93 Tous droits réservés. Conformation générale du cerveau. Face
supérieure
ou convexité. Lorsqu'on a, par la scie ou le ma
mpose de deux moitiés symétriques, qu'on isole aisément par leur face
supérieure
, en disséquant la dure-mère à son pourtour et en
isphères semblent exclusivement constitués, à leur surface convexe ou
supérieure
, par une masse de tissu nerveux dont l'écorce uni
termes les deux hémisphères. Le cerveau est alors posé sur sa face
supérieure
ou convexe et l'on a sous les yeux sa face inféri
enne; EP, espace perforé postérieur; TEG, tegmentum, calotte ou étage
supérieur
des pédoncules; LN, locus niger; AQ, aqueduc de S
tué en avant et en bas, est le pont de Varole proprement dit; l'étage
supérieur
, situé en arrière et en haut, est le tegmentum (T
ise, convexes en arrière, les tubercules cpiadrijumeaux antérieurs ou
supérieurs
(QA). Sur la ligne médiane, entre les tubercules
de splenium (SPL). Entre le sple-nium et les tubercules quadrijumeaux
supérieurs
s'enfonce la fente de Bichat (Bf). Elle s'avance,
oile, la valvule de Vieussens. Ces pédoncules (pédoncules cérébelleux
supérieurs
) semblent se terminer derrière les tubercules qua
ne faut jamais arracher l'artère basilaire, particulièrement son bout
supérieur
; en l'arrachant on risque de détériorer l'espace
que nous avons sommairement décrites comme appar-enant soit à la face
supérieure
, soit à la face inférieure du cerveau, sont visib
leux. — Nous avons dit que le corps calleux (ce) représente la partie
supérieure
du seuil. Le corps calleux est une voûte de subst
et en dehors de la corne occipitale. Uniformément convexe à sa face
supérieure
et concave à sa face inférieure, la partie moyenn
ur; QP, tubercule quadrijumeau postérieur; Psc, pédoncule cérébelleux
supérieur
; CP, commissure postérieure; G, glande pinéale; C
e ou thalamus. On peut y reconnaître facilement deux étages : l'étage
supérieur
, recouvert d'un mince revêtement de substance bla
ant de la voûte (DF). L'habénule est la limite naturelle de l'étage
supérieur
et de l'étage inférieur du thalamus. L'étage infé
est constitué par de la substance grise; il n'est pas, comme l'étage
supérieur
, revêtu par la couche blanche du stratum zonale.
mus n'est pas moins bien limité à sa partie inférieure qu'à sa partie
supérieure
. Son bord inférieur, en effet, est représenté par
la voûte (DF). Dans son ensemble, elle décrit une courbe à convexité
supérieure
, qui continue la courbure générale du canal épend
L'aqueduc de Sylvius (AQ), [qui traverse d'arrière en avant la région
supérieure
de la masse protubérantielle (PV), a pour paroi s
la région supérieure de la masse protubérantielle (PV), a pour paroi
supérieure
les tubercules quadrijumeaux. QA, QP. Les tuber
mamelonnées situées sur le prolongement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs). Les deux tubercules antérieurs et les deux
cule inférieur, oblique en bas et en avant, et qui correspond au bord
supérieur
de la gouttière de Monro (M) ; 5° enfin un pédonc
vu, d'autre part, que l'habénule fait suite à un ganglion de l'étage
supérieur
de la couche optique (GI1). C'est qu'en effet la
la ligne médiane, la face inférieure du corps calleux (ce) à la face
supérieure
du trigone (TBI). L'intervalle des deux feuillets
. Il y est encore un peu replié sur lui-même; enfin, arrivé à la face
supérieure
du crochet, il s'y épuise en s'amincissant encore
On sait aussi que Broca comptait les circonvolutions à partir du bord
supérieur
de l'hémisphère en suivant la face externe de hau
hémas classiques d'Ecker qui représentent les faces interne, externe,
supérieure
et inférieure du cerveau sont à peu près irréproc
que cas particulier. Lorsqu'il s'agissait de localiser dans la région
supérieure
des circonvolutions centrales la fonction motrice
gion moyenne des mêmes circonvolutions, la fonction motrice du membre
supérieur
, il suffisait de s'en rapporter au profil du cerv
F) et pariétale (P) se confondent encore dans toute l'étendue du bord
supérieur
de l'hémisphère; mais elles sont divisées en ileu
fois la fimbria (FI) se bifurque en avant : la branche de bifurcation
supérieure
sera le corps calleux ; la branche inférieure ser
deux extrémités. L'extrémité postérieure se relève et atteint le bord
supérieur
de l'hémisphère. Tout ce qui est situé à sa parti
scissure occipitale (Oe) entame de plus en plus profondément le bord
supérieur
de l'hémisphère, où elle se continue, à la face e
la partie postérieure du lobule para-central (Pa), c'est l'extrémité
supérieure
de la,scissure de Bolando (R). En avant du sillon
(sme), composée parfois de plusieurs tronçons, et qui occupe l'étage
supérieur
de la première frontale, dans une direction paral
nt la fosse en se rapprochant l'une de l'autre sont appelées opercule
supérieur
et opercule inférieur. Elles sont entaillées pa
n est deux, en tout cas, situées à la région antérieure de l'opercule
supérieur
, dont l'apparition est précoce et dont l'importan
s; F, circonvolution frontale ascendante ; prs, sillon prœ-rolandique
supérieur
; pri, sillon pras-rolandique inférieur ; t.^, pr
remière, deuxième, troisième circonvolutions temporales; t^^, branche
supérieure
du premier sillon temporal ; tii, branche inférie
e ; p, sillon pariétal ou interpariétal ; P% circonvolution pariétale
supérieure
; P^, circonvolution pariétale inférieure; Pi, si
; P^, circonvolution pariétale inférieure; Pi, sillon post-rolandique
supérieur
; sillon post-rolandiqae inférieur; P, circonvolut
pli courbe; 0, pôle occipital; r.O, pli de passage pariéto-occipital
supérieur
ou premier pli de passage externe; t.P, pli de pa
ando et qui, plus tard, seront parallèles à cette scissure. Le sillon
supérieur
(prs) ou prœ-rolandique supérieur reçoit l'extrém
allèles à cette scissure. Le sillon supérieur (prs) ou prœ-rolandique
supérieur
reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon
rande importance. Les deux branches de cette bifurcation (tu, branche
supérieure
, tiif branche inférieure), forment un angle ouver
région pariétale on constate de grandes modifications. Sur le bord
supérieur
de l'hémisphère, en arrière, apparaît l'encoche d
ns son ensemble, d'avant en arrière, divise, en deux étages la partie
supérieure
de la région pariétale. Ce sillon, appelé interpa
e incisure isolée. Ce qui est au-dessus de lui est le lobule pariétal
supérieur
(P1) ; ce qui est au-dessous est le lobule pariét
r le prolongement de la première temporale (T1). Le lobule pariétal
supérieur
(P1) et le lobule pariétal inférieur (P2) sont sé
n petit sillon parallèle à cette scissure ; le sillon post-rolandique
supérieur
(pt) et le sillon post-rolandique inférieur (p2)
e lobe pariétal est relié au lobe ocipital (0) par deux plis : un pli
supérieur
(n 0), qui décrit une courbe à concavité interne
e occipitale externe (Oe) ; c'est le pli de passage pariéto-occipital
supérieur
ou premier pli de passage externe (Gratiolet). Il
mier pli de passage externe (Gratiolet). Il réunit le lobule pariétal
supérieur
(P1) au lobe occipital (0); un pli inférieur (71
ois, le premier sillon frontal (/i) se confond avec le prœ-rolandique
supérieur
en arrière et ne se prolonge pas en avant. Dans l
tal ; p, sillon pariétal ou interpariétal; p^, sillon post-rolandique
supérieur
; sillon post-rolandique inférieur; Oe, scissure
deuxième frontale (F2). La scissure de Rolando (R) atteint le bord
supérieur
de l'hémisphère et le dépasse même, pour se termi
ou moins profondément, de dedans en dehors, dans le lobule pariétal
supérieur
(P1), le sillon pariétal transverse (pt). Le si
étal transverse (pt). Le sillon pariétal, le sillon post-rolandique
supérieur
et le sillon post-rolandique inférieur se rejoign
it : il consiste en trois plis dont l'ensemble est un triangle à base
supérieure
. La base répond à l'opercule de la région frontal
rigole antérieure de l'insula ; IRP, rigole postérieure; 1RS, rigole
supérieure
; OF, opercule frontal ; OR, opercule de Rolando
vec le bord postérieur de l'insula postérieur (INP). Enfin une rigole
supérieure
(1RS), cachée sous les régions frontale, rolandiq
cissure d'Arnold, qui divise dans presque toute sa longueur la région
supérieure
de la face interne de l'hémisphère, est absolumen
ularités. Par exemple, la scissure limbique (L) n'atteint pas le bord
supérieur
de l'hémisphère derrière l'extrémité supérieure d
n'atteint pas le bord supérieur de l'hémisphère derrière l'extrémité
supérieure
de Rolando (fi). Pour compenser cette diminution
inues, branchées sur la scissure de Sylvius et mordant sur l'opercule
supérieur
: l'antérieure, ou incisure frontale de Sylvius (
sure temporale; jR, scissure de l'iolando; prs, sillon prœ-rolandique
supérieur
; pi-i, sillon prœ-rolandique inférieur; f^, f„ pr
rse ; p, sillon pariétal ou interpariélal ; Pi sillon post-rolandique
supérieur
;^2 sillonpost-rolandique inférieur; ipi, incisure
le frontal; OR, opercule rolandique; OP, opercule pariétal ; P's, pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur; P'i, pli inférieur
ndique; OP, opercule pariétal ; P's, pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
; P'i, pli inférieur du lobule pariétal supérieur
r du lobule pariétal supérieur; P'i, pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
; P\ lobule pariétal inférieur, ou deuxième circo
branche verticale ; R, scissure de Rolando\prs, sillon prœ-rolandique
supérieur
; pri, sillon prœ-rolandique inférieur; ft, f.}, l
li de passage externe; tt, sillon parallèle; l|S et ttt, ses branches
supérieure
et inférieure; T1, T2, T3, première, deuxième, tr
eure : la branche verticale (S'"). Celle-ci se divise à son extrémité
supérieure
, de telle façon 1. Le cerveau représenté ci est
deuxième frontales; P, pariétale ascendante ; sillon post-rolandique
supérieur
; P^, P-, première et deuxième circonvolutions par
ale ascendante (F) par deux racines ou deux pieds (pF2, pF2). Le pied
supérieur
est normal; le pied inférieur est situé au-dessus
ieur est normal; le pied inférieur est situé au-dessus de l'extrémité
supérieure
du sillon prse-rolandique inférieur (pri). Cette
férieur; pFs, pied delà troisième frontale; p„ sillon post-rolandique
supérieur
; p2, sillon post-rolandique inférieur; P, pariéta
anche antérieure; R, scissure de Rolande; frs, sillon praî-rolandique
supérieur
; ^ri, sillon pra;-rolandique inférieur; F\ premi
le anomalie, il faut d'abord considérer que le sillon prse-rolandique
supérieur
(prs) s'étend au devant de la circonvolution fron
d'anormal, si ce n'est son anastomose avec le sillon prse-rolandique
supérieur
[prs). Dès lors, tout s'explique dans cette dispo
t à ce niveau qu'il faut localiser le centre des mouvements du membre
supérieur
gauche, sous prétexte que le centre des mouvement
upérieur gauche, sous prétexte que le centre des mouvements du membre
supérieur
gauche siège en partie; sur le pied de la deuxièm
ent le centre des mouvements du membre "inférieur siège à l'extrémité
supérieure
des circonvolutions rolandiques; mais ce n'est là
arallèle ; tti, branche inférieure du sillon parallèle ; i4s, branche
supérieure
du sillon parallèle; ipi, incisure du lobule pari
anomalies tiennent évidemment à l'accroissement excessif de la partie
supérieure
du lobule pariétal inférieur, qui a effacé les in
rconvolution frontale ascendante ; P, pariétale ascendante ; P's, pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur; P'i, pli inférieur
nte ; P, pariétale ascendante ; P's, pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
; P'i, pli inférieur du lobule pariétal supérieur;
r du lobule pariétal supérieur; P'i, pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
; pi, sillon pariétal transverse ; P-, lobule pari
iétal inférieur; p, sillon interpariétal; p.,, sillon post-rolandique
supérieur
confondu avec l'inférieur ; GP, lobule du pli cou
érieure (ipi) est l'incisure du lobule pariétal inférieur; la branche
supérieure
est le prolongement supérieur du sillon post-rola
lobule pariétal inférieur; la branche supérieure est le prolongement
supérieur
du sillon post-rolandique; il forme la limite ant
lon post-rolandique; il forme la limite antérieure du lobule pariétal
supérieur
(P*s). 11 nous reste à signaler une disposition
scissure de Rolando est le sillon prœ-rolandique, lorsque le segment
supérieur
(prs) et le segment inférieur (pri) de ce sillon
ux cas l'erreur est très facile à éviter. Les rapports de l'extrémité
supérieure
de la véritable scissure de Rolando avec la sciss
44 reproduit un spécimen de cette anomalie. Le sillon prœ-rolandique
supérieur
(prs) se confond avec le sillon prœ-rolandique in
prœ-rolandiques : les deux sillons frontaux qui devraient naître, le
supérieur
dans le sillon prœ-rolandique supérieur, l'inféri
taux qui devraient naître, le supérieur dans le sillon prœ-rolandique
supérieur
, l'inférieur dans le sillon prœ-rolandique inféri
tomose qui relie le lobule pariétal inférieur (P2) au lobule pariétal
supérieur
(P1). Schéma 41. — Face externe d'un hémisphère
re droit. R, scissure de Rolando ; prs, pri, sillons post-rolandiques
supérieur
et inférieur, confondus en un seul; pt, p2, sillo
et inférieur, confondus en un seul; pt, p2, sillons post-rolandiques
supérieur
et inférieur confondus en un seul ; F, circonvolu
la deuxième frontale (F2) à la troisième (pFs) ; P1, lobule pariétal
supérieur
; P2, lobule pariétal inférieur; p, sillon interpa
tains. Ils ne sont représentés que par les circonvolutions de la face
supérieure
ou de la face inférieure et les circonvolutions s
jeure portion de ce qu'on appelle le forceps major (il occupe la face
supérieure
et interne de la_corne occipitale). Au-dessous
profond refoule au-dessus de lui le plancher ventriculaire. La partie
supérieure
de l'hippocampe est désignée quelquefois s*ous le
s inférieures; elle sera plus postérieure sur les coupes horizontales
supérieures
. En dehors du noyau lenticulaire (schéma 49), d
pare la région fronto-parié-tale de la région temporale. Sur son bord
supérieur
on remarque une incisure profonde (if) ou incisur
tes incisures superficielles. Le bord inférieur, qui sert de limite
supérieure
à la première circonvolution temporale (T1), est
i sont constantes et dont Broca a nettement précisé le siège : l'une,
supérieure
, forme un angle ouvert en arrière ; c'est le geno
l'une, supérieure, forme un angle ouvert en arrière ; c'est le genou
supérieur
; l'autre, inférieure, forme un angle également o
sépare ; on reconnaîtra ainsi toujours, et très facilement, le genou
supérieur
et le genou inférieure de la frontale ascendante
le genou inférieure de la frontale ascendante (GFs, GFi) et le genou
supérieur
et le genou inférieur de la pariétale ascendante
e la deuxième circonvolution frontale (pF2). Au niveau de son genou
supérieur
et de son genou inférieur, la scissure de Rolando
rconvolution frontale ascendante (F). prs. Le sillon prœ-rolandique
supérieur
, parallèle à la scissure de Rolando, s'étend au d
rieur, parallèle à la scissure de Rolando, s'étend au devant du genou
supérieur
de la frontale ascendante (GFs). Il se bifurque e
Le sillon prae-ovalaire, situé immédiatement en avant de l'extrémité
supérieure
de Rolando, s'avance à une faible distance, de de
ovalaire représente, sur la face convexe de l'hémisphère, l'extrémité
supérieure
d'un sillon de la face interne, formant la limite
horizontalement, d'arrière en avant, depuis le sillon prse-rolandique
supérieur
(prs) où il riait, jusqu'au voisinage de la conve
tion presque perpendiculaire à celle de ce sillon. Il forme la limite
supérieure
de la troisième circonvolution frontale (F3), et
upérieure de la troisième circonvolution frontale (F3), et du segment
supérieur
du cap (CAS), puis s'enfonce d'avant en arrière
ent la circonvolution en deux plis à peu près égaux de volume. Le pli
supérieur
s'anastomose avec la première frontale (dFM) ; le
rizontal et situé à sa partie interne. pr Le sillon post-rolandique
supérieur
, parallèle à la scissure de Rolando, sépare la ci
sépare la circonvolution pariétale ascendante (P) du lobule pariétal
supérieur
(P's). En haut, il n'atteint pas la scissure inte
en faisant qu'un seul. Il est donc vrai que le sillon post-rolandique
supérieur
(px) se jette dans le post-rolandique inférieur (
nctes qui appartiennent l'une et l'autre au lobe pariétal : la région
supérieure
est formée par le pli supérieur du lobule pariéta
l'autre au lobe pariétal : la région supérieure est formée par le pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur (P*s), par le pli in
région supérieure est formée par le pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
(P*s), par le pli inférieur du lobule pariétal su
ule pariétal supérieur (P*s), par le pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
(P*i), parle premier pli de passage pariéto-occip
le lobule du pli courbe (GP), parle pli courbe (PC). Dans la région
supérieure
, le sillon pariétal envoie une branche (pf) qui e
du lobe carré. Il divise en deux portions inégales le lobule pariétal
supérieur
. La portion antérieure, la plus petite (P's^est l
étal supérieur. La portion antérieure, la plus petite (P's^est le pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur: la portion postérie
térieure, la plus petite (P's^est le pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
: la portion postérieure, très allongée et se term
rminant en pointe en arrière, est le pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
(P'i). Cette dernière portion, qui va toujours s'
ariétal transverse est ici, comme nous venons de le dire, une branche
supérieure
du sillon pariétal. ipi. L'incisure du lobule p
n parallèle se divise, à sa partie postérieure, en deux branches, une
supérieure
(tls), et une inférieure (tu). Sur cet hémisphè
e consiste en une incisure transversale, s'enfonçant au milieu du pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur (P's). Elle est ici,
ansversale, s'enfonçant au milieu du pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
(P's). Elle est ici, comme sur tous les cerveaux,
st ici, comme sur tous les cerveaux, placée en arrière de l'extrémité
supérieure
de Rolando. Oe. La scissure occipitale externe
e de l'hémisphère, entame légèrement le lobe occipital, parla branche
supérieure
qu'elle envoie en haut et en arrière, au-dessus d
-dures que nous avons déjà signalées et que nous appellerons le genou
supérieur
(GFs) et le genou inférieur (GFi). Dans l'angle r
onne insertion au pied de la deuxième frontale (pF2). A son extrémité
supérieure
s'insère la première frontale (F1). A son extrémi
Elle est divisée par un sillon (fif) en deux plis superposés : le pli
supérieur
est la deuxième frontale proprement dite (F2) ; l
p deux segments, parfaitement reconnaissantes d'ailleurs : le segment
supérieur
du cap (CAS) et le segment inférieur (CAI). Le se
nt les sinuosités de la scissure de Rolando ; on y reconnaît le genou
supérieur
(GPs) et le genou inférieur (GPi). En bas, la p
ale (ip). Son extrémité inférieure est donc très large. Son extrémité
supérieure
, au contraire, va toujours s'amin-cissant, confor
nérale, entre la scissure de Rolando (R) et le sillon post-rolandique
supérieur
(pj. En bas, la pariétale ascendante donne nais
étal inférieur (pP2); en haut elle donne naissance au lobule pariétal
supérieur
. Celui-ci est divisé en deux plis secondaires (Fs
Celui-ci est divisé en deux plis secondaires (Fs, Fi). P*s. Le pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur est accolé à la pari
plis secondaires (Fs, Fi). P*s. Le pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
est accolé à la pariétale ascendante, dont il n'e
ante, dont il n'est séparé en avant que par le sillon post-rolandique
supérieur
(p^. En arrière, il est séparé du pli inférieur (
les deux plis secondaires. Fi. Le pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
va d'avant en arrière, s'amincissant toujours, ju
ssu du sillon pariétal (p). nO. Le pli de passage pariéto-occipital
supérieur
est commun au lobule pariétal supérieur et à la p
de passage pariéto-occipital supérieur est commun au lobule pariétal
supérieur
et à la première circonvolution occipitale (O1).
. PC. Le pli courbe entoure dans sa concavité le fond de la branche
supérieure
du sillon parallèle (tts). Limité en haut par le
ssi sa limite inférieure est-elle représentée ici par le prolongement
supérieur
de la scissure calcarine (K). En avant et en de
convolution occipitale est séparée de la première par le prolongement
supérieur
de la scissure calcarine (K). Elle se confond en
. T1. La première circonvolution temporale représente, par son bord
supérieur
, la lèvre inférieure delà scissure de Sylvius (S'
n frontal s'étend d'arrière en avant depuis le sillon prse-rolandique
supérieur
(prs) jusqu'au voisinage du pôle frontal, sans êt
. Il envoie une incisure (pQ dans le pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
(P'i) ; cette incisure est le deuxième sillon par
s'enfonce profondément, de dedans en dehors, dans le lobule pariétal
supérieur
(lJ1s). pr Le sillon post-rolandique supérieure
e prend naissance dans la frontale ascendante (F) par deux pieds : un
supérieur
(pF^) tout voisin du genou supérieur de la fronta
cendante (F) par deux pieds : un supérieur (pF^) tout voisin du genou
supérieur
de la frontale ascendante (GFs) ; un inférieur (t
nastomose (xFA), qui est le pli d'anastomose antérieur. P's. Le pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur est fortement entail
li d'anastomose antérieur. P's. Le pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
est fortement entaillé par la scissure limbique o
pas le bourrelet (SPL). Il en est séparé (fig. 2) par le prolongement
supérieur
du tubercule de la fasciola cinerea (Tf), qui va
se relève, en haut et en arrière et va {L) jusqu'au voisinage du bord
supérieur
de l'hémisphère qu'elle n'entame pas immédiatemen
ère en arrière de l'encoche formée à la face interne, par l'extrémité
supérieure
de la scissure de Rolande [R). — A l'endroit où e
e de Rolande [R). — A l'endroit où elle se relève pour gagner le bord
supérieur
de l'hémisphère, elle envoie une branche postérie
nd obliquement de haut en bas et d'arrière en avant, depuis le bord
supérieur
de l'hémisphère jusqu'à la partie la plus postéri
calleux, jusqu'au pôle occipital (PO) où elle se bifurque. La branche
supérieure
de bifurcation pénètre dans la deuxième circonvol
deux plis métopiqucs. pro. Le sillon prae-ovalaire descend du bord
supérieur
de l'hémisphère jusqu'au voisinage de la scissure
aît enfin à la face interne de l'hémisphère, dont elle entame le bord
supérieur
; elle établit la limite, d'ailleurs toute conv
petit pli de passage fronto-limbique (tu f) entre le gyrus métopique
supérieur
(GMA) elle rectangle frontal antérieur (Rf). t:
ntérieure et postérieure de ce pli sont bien nettes sur ' sur le bord
supérieur
de l'hémisphère, elles ne le sont pas moins au ni
du grand sillon métopique {sME), qui émet les deux grandes incisures
supérieures
dont il a été question ; mais ces incisures du gr
ère de Rolande, appartient au lobe pariétal et représente l'extrémité
supérieure
de la pariétale ascendante réfléchie à la face in
t le pentagone du lobe carré (PEN). La base du triangle est le bord
supérieur
de l'hémisphère; le côté antérieur est la scissur
antérieur est la scissure limbique; le côté postérieur est la branche
supérieure
de la scissure pariétale {sP). Cette masse triang
e qu'il est parcouru d'arrière en avant par trois sillons à convexité
supérieure
; le plus important, ou sillon du cuneus {sCu), q
section médiane, mais par une section sagittale tangente à la partie
supérieure
de la face interne. Le couteau a donc séparé de l
elève derrière le lobe paracentral (Pa) et va se terminer sur le bord
supérieur
de l'hémisphère qu'elle entame profondément, entr
oral (o/J présente à son extrémité antérieure une saillie à convexité
supérieure
et interne qui est le lobule de l'hippocampe (IIL
haut et en arrière, pour former une sorte de crochet (Une). Le bord
supérieur
et externe de la circonvolution de l'hippocampe e
e sillon post-rolandique inférieur (p.^) et le sillon post-rolandique
supérieur
(p^) communiquent largement l'un avec l'autre, et
'anastomose pariéto-pariétal antérieur, qui réunit le lobule pariétal
supérieur
(P's) au lobule pariétal inférieur (P^), peut êtr
du lobule pariétal inférieur (ipi) envoie à la branche de bifurcation
supérieure
de Sylvius un prolongement. Donc il n'y aurait, p
astomose pariéto-pariétal antérieur (dii la cir convolution pariétale
supérieure
(P's) à la pariétale inférieure (P') interrompt l
j. Le premier sillon frontal se branche sur un sillon prse-rolandique
supérieur
à trois grands rameaux (prs). Ce premier sillon f
on absence, le sillon orbitaire externe {soe) se dédouble. Le tronçon
supérieur
du sillon orbitaire externe doit être, par conséq
leurs de la frontale ascendante par trois racines : une double racine
supérieure
(pF^) au-dessous du genou supérieur de la frontal
rois racines : une double racine supérieure (pF^) au-dessous du genou
supérieur
de la frontale (GFs), et une racine inférieure (x
(xCP) entre le pli courbe (PC) et le pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
(P'i). A sa partie antérieure, il est interrompu
umineuse, naît, comme sur Phémisphère droit, par trois racines : deux
supérieures
(pF^) au devant du genou supérieur de la frontale
droit, par trois racines : deux supérieures (pF^) au devant du genou
supérieur
de la frontale ascendante (F) ; une infé- 1 A c
ue la présence d'une scissure occipitale complète, entaillant le bord
supérieur
de l'iiémisplière, doit entraîner une conformatio
deuxième à la troisième frontale. On peut considérer les deux racines
supérieures
(pF^) comme une seule et même racine très large,
re, la scissure de Sylvius envoie une profonde branche de bifurcation
supérieure
entre le pied de la deuxième pariétale (pP^) et l
anastomose (xLP) du lobule du pli courbe (GP) avec le lobule pariétal
supérieur
(P's). Ce pli mamelonné s'observe très fréquemmen
uivant son axe, par une incisure allongée, qui s'étend entre le genou
supérieur
(GPs) et le genou inférieur de cette circonvoluti
pt^ le second sillon pariétal transverse divisent le lobule pariétal
supérieur
en deux plis (P's et P'i), relativement peu compl
rontale antérieure est très compliquée, tandis que la région frontale
supérieure
ou métopique est très simple. Rf. Le rectangle
'ailleurs l'incisure prse-ovalaire (pro) n'est ici qu'un prolongement
supérieur
de l'incisure ovalaire (io). C'est l'allongement
du lobe carré n'est pas séparé du gyrus postérieur au niveau du bord
supérieur
de l'hémisphère, ainsi que cela se voit sur le ce
lobe carré (GQA). Seulement, au lieu d'atteindre et d'entamer le bord
supérieur
de l'hémisphère, elle s'arrête et se bifurque. L'
le s'arrête et se bifurque. L'intervalle qui la sépare de l'extrémité
supérieure
I de la scissure de Rolando [R) est considérable.
e postérieur (GMP). Il aborde donc le lobule paracentral par son bord
supérieur
, au lieu de l'aborder, comme c'est la règle, par
e scissure jusqu'au devant du lobe carré, mais sans atteindre le bord
supérieur
de l'hémisphère. sme. Le petit sillon métopique
ransverse, du fait que la scissure limbique (L) n'atteint pas le bord
supérieur
de l'hémisphère, prend un accroissement très cons
carré (GQA), puisque la scissure limbique n'arrive pas jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère. R. La scissure de Rolande empi
ce interne du cerveau; en général, elle ne fait qu'entailler son bord
supérieur
. Cette extension inusitée de l'extrémité supérieu
entailler son bord supérieur. Cette extension inusitée de l'extrémité
supérieure
de Rolando à la face interne de l'hémisphère doit
profond. — La scissure sous-pariétale, d'autre part, atteint le bord
supérieur
de l'hémisphère et empiète sur la face externe du
ffisamment le lobule paracentral en avant (Pa), n'atteint pas le bord
supérieur
de l'hémisphère. Par compensation, l'incisure ova
cule de jonction (TJ) au-dessous du corps calleux (GC), jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère, en arrière de l'encoche de Rolan
marquablement allongés dans le sens antéro-postérieur; l'un d'eux, le
supérieur
, se continue avec le sillon ros tral (SR). GQA.
t volume; tout le lobe carré lui-même est aminci au voisinage du bord
supérieur
de l'hémisphère. La scissure sous-pariétale est d
euses incisurcs superficielles qui compensent l'absence de la branche
supérieure
de la scissure sous-pariétale. 0^ Le gyrus ling
nombreux; le sillon du gyrus lingual (si) émet trois fortes incisures
supérieures
qui compliquent la circonvolution. Cette circonvo
cependant que le grand sillon métopique ne peut pas servir de limite
supérieure
à la circonvolution limbique ; aussi voit-on réap
carré se trouve donc divisé par cette scissure en deux étages : l'un
supérieur
, où l'on reconnaît d'avant en arrière le gyrus an
pariétale (sP) émet pourtant ses deux branches ; seulement la branche
supérieure
est horizontale ; et ce n'est pas le bourrelet (B
deux branches. Pour compenser l'absence du prolongement de la branche
supérieure
en haut et en arrière, un tronçon isolé de la sci
relet du lobe carré (BQ) par une profonde scissure qui entame le bord
supérieur
de l'hémisphère, Figure 2. face interne du mê
l'hémisphère. La première est celle qui est située au niveau le plus
supérieur
. 11 est facile de reproduire ces coupes en fais
terne. La troisième frontale (F^), divisée au niveau de l'extrémité
supérieure
de son pied, se continue directement avec l'operc
sure de Sylvius (S') : c'est la branche de bifurcation postérieure et
supérieure
. Quant à la scissure elle-même, on la voit, en ar
aux, est la fosse de Sylvius; elle apparaît à la hauteur de la rigole
supérieure
de l'in-sula. Enfin, derrière la branche de bif
l'in-sula. Enfin, derrière la branche de bifurcation postérieure et
supérieure
de Sylvius, se succèdent les trois circonvolution
ire interne du thalamus. Cette lame n'existe guère que dans la région
supérieure
du thalamus. Elle est formée en partie par la lam
inférieure de la couche optique, c'est-à-dire de la région de l'étage
supérieur
de la calotte; elle se compose de deux couches en
Dans le lobe occipital, le corps calleux, après avoir formé la paroi
supérieure
de la corne postérieure du ventricule, se porte
ans le lobe frontal, est la masse de fibres qui émergent de la partie
supérieure
et antérieure du corps calleux, pour se mélanger
gues, effilées en dedans ; ces taches représentent la section du bord
supérieur
du putamen; mais sur les pièces durcies dans les
PASSANT PAR LE MILIEU DE LA COMMISSURE BLANCHE ANTÉRIEURE ET LA FACE
SUPÉRIEURE
DU TUBERCULE QUADRIJUMEAU ANTÉRIEUR (Voy. schém
MEAU ANTÉRIEUR (Voy. schéma Si, p. 68) La coupe passe par la face
supérieure
du tubercule quadrijumeau antérieur; c'est dire q
qu'un seul ; mais ils sont séparés l'un de l'autre, dans leur partie
supérieure
, par la capsule interne qui s'y creuse une sorte
ois noyaux (NaC, NiC, NeC) qui avaient été entamés par une coupe plus
supérieure
. C'est une masse grise assez homogène, limitée en
e, ce ventricule présente une surface bombée qui correspond à la face
supérieure
de la corne d'Ammon. Dans sa partie postérieure,
double le cul-de-sac du grand sillon occipito-temporal (o^J. La paroi
supérieure
est formée par le noyau amygdalien (NA). j La par
énoïdal est la substance grise du gyrus falciforme. Il forme la paroi
supérieure
de la vallée de Sylvius. 11 est situé immédiateme
pour la simplification de l'étude, considérer à l'hémisphère un bord
supérieur
, une face interne, un bord inférieur et une face
résulte, de cet accoleinent des deux parois latérales, que les parois
supérieures
et inférieures n'existent plus que virtuellement;
ale. FACE EXTERNE Inimctliatement au-dessous et en dehors du bord
supérieur
de l'hémisphère, formé par le sommet de la premiè
le premier pli de passage (-0) pariéto-occipital, situé entre le bord
supérieur
de l'hémisphère et la terminaison postérieure du
nsi presque au contact de l'écorce de la calcarine. Il sert de limite
supérieure
à la deuxième circonvolution occipito-temporale (
son étendue antéro-postérieure. La lame festonnée passe donc du bord
supérieur
du lobule lingual (0^) au bord inférieur et à la
té de la corne postérieure du ventricule latéral. Écorce. Le bord
supérieur
est toujours représenté par la première circonvol
nnaît la scissure perpendiculaire interne {Oï)-, elle forme la limite
supérieure
du cuneus (0®), lequel est entaillé par une incis
ici, en effet, plus voisin du sommet de sa courbe. Au-dessous du bord
supérieur
(0*) de l'hémisphère, le plan de section intéress
e pariéto-occipital [r.O), en partie confondu avec le lobule pariétal
supérieur
(P'), puis le sillon pariétal, au-dessous duquel
ire. Elle a sur le plan de section une forme rectangulaire, un bord
supérieur
, un bord inférieur, un bord interne, un bord exte
gyrus lingual (0^), par conséquent au-dessous du cuneus. A sa partie
supérieure
, le faisceau sensitif semble se confondre avec le
ans le sens antéro-postérieur, visibles surtout au-dessus de la paroi
supérieure
(FOi). Ce faisceau aplati représente les fibres l
férieures du forceps major, c'est-à-dire des fibres venues de l'étage
supérieur
du splenium du corps calleux. La plupart d'entre
calleux. La plupart d'entre elles suivent d'avant en arrière la paroi
supérieure
de la cavité ventriculaire, puis s'in Figure 3.
sensitif est plus épais ; il semble encore se confondre, à,sa partie
supérieure
, avec le faisceau compact du farnix clinent, le
'écorce du sillon pariétal et la partie inférieure du lobule pariétal
supérieur
(P^) lui fournissent également des fibres. Figu
es du forceps major (FOi) est plus épais. Il forme nettement la paroi
supérieure
de la cavité ventriculaire. La coupe le fait voir
r toujours plus foncé à sa partie inférieure. Ce sont donc les fibres
supérieures
qui sont le plus franchement horizontales ; ce so
s émanées du pli courbe et de la partie inférieure du lobule pariétal
supérieur
(P*). Écorce. Le sommet de la surface de sect
Écorce. Le sommet de la surface de section, c'est-à-dire le bord
supérieur
de l'hémisphère, n'est plus représenté par la pre
n effet, à ce niveau, au travers du p)li inférieur du lobule pariétal
supérieur
. Cavité ventriculaire. Elle est agrandie dans
tion plus loin. DU CUNEUS Écorce. Le sommet de la coupi ou bord
supérieur
de l'hémisphère est représenté par le bord supéri
la coupi ou bord supérieur de l'hémisphère est représenté par le bord
supérieur
du lobe carré (Q), au-dessous L Nous avons dit
anche. FS. Le faisceau sensitif s'isole plus nettement, à sa partie
supérieure
, du faisceau compact du fornix (FCF). Celui-ci, a
ulement du sillon du cuneus [sCu), s'accole plus intimement à la face
supérieure
du faisceau inférieur du fornix (FOi). D'ailleurs
ontal (FPF) situé, sur la coupe précédente, en dehors du prolongement
supérieur
du faisceau sensitif (FS), il est ici situé en de
u cuneus la majeure partie de ses fibres, il occupe surtout la partie
supérieure
de cette circonvolution. 11 est encore séparé de
if présente la même disposition générale. : Ici on voit que sa partie
supérieure
, effilée, est nettement séparée : du faisceau par
lui, les fibres moyennes du forceps j major (FOm), venues de l'étage
supérieur
du spleniuin, s'étalent j au-dessus de la paroi s
de l'étage supérieur du spleniuin, s'étalent j au-dessus de la paroi
supérieure
du ventricule, dont elles sont i séparées par les
sens antéro-postérieur et pour cela plus foncées, au lobule pariétal
supérieur
(1"), dans toute sa hauLeui'. — Le faisceau occip
corce. C'est toujours le sommet du lobe carré (Q) qui forme le bord
supérieur
de l'hémisphère. A la face interne, le lobe carré
us, cette scissure présente d'une façon constante deux branches, un(i
supérieure
[Oi), qui sépare le lo-be carré de la masse hémis
e l'hémisphère. A la partie externe de la coupe, en dessous du bord
supérieur
, le lobule pariétal supérieur est divisé en deux
externe de la coupe, en dessous du bord supérieur, le lobule pariétal
supérieur
est divisé en deux plis distincts. Le pU supérieu
le lobule pariétal supérieur est divisé en deux plis distincts. Le pU
supérieur
du lobule pariétal supérieur (P's) et le pli infé
est divisé en deux plis distincts. Le pU supérieur du lobule pariétal
supérieur
(P's) et le pli inférieur du lobule pariétal supé
obule pariétal supérieur (P's) et le pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
(P4). Ces deux plis sont séparés par un prolongem
occipitale est donc séparé du bord médian de l'hémisphère par le pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur, qui n'est autre que
u bord médian de l'hémisphère par le pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
, qui n'est autre que le premier pli de passage pa
extrémité postérieure, se divisant en deux branches, c'est la branche
supérieure
{ti^) qui sépare encore ici les deux lobules pari
moyen, clair, par conséquent composé de fibres transversales; un plan
supérieur
, foncé, antéro-postérieur. L'explication de cette
a partie externe du faisceau sensitif (FS), luais ses deux extrémités
supérieure
et inférieure se mêleut avec des fibres d'associa
itudinal inférieur se divise ici très nettement en trois couches: ime
supérieure
(FLl), foncée, compacte, dirigée d'avant en arriè
n avant, les trois couches en question se réduiront à deux. La couche
supérieure
(FLi) aura disparu; c'est-à-dire que ses fibres a
es dernières. Donc, les fibres antéro-postérieures, formant la couche
supérieure
(FLi) du faisceau longitu- Figure 8. COUPE VE
uis une profonde entaille, qui se divise en deux branches. La branche
supérieure
est l'extrémité inférieure et antérieure de la sc
érieures du forceps; l'autre. Fin-' férieure, qui renferme ses fibres
supérieures
. En dehors de ce qui précède, les détails de l'
ceau sensitif, toujours compact et bien circonscrit, sauf à sa partie
supérieure
, se divise après sa réflexion sous le ventricule
jettent (comme on peut le voir sur les figures 8 et 9) dans la partie
supérieure
du gyrus lingual (0'). Mais ce qui constitue la m
démontrent. Le faisceau inférieur du forceps se confond à sa partie
supérieure
avec le faisceau moyen (FOm). Au niveau de l'angl
'observe pas tout à fait en arrière; plus en avant, c'est le faisceau
supérieur
du forceps qui forme la paroi externe du ventricu
. Le faisceau moyen du forceps major est nettement limité à sa partie
supérieure
par une ligne oblique en haut et en dehors, paral
vant et en dehors, devenant plus compactes dans la ' région pariétale
supérieure
. Le plus grand nombre d'entre elles arrivent du l
(fig. 7), en est séparé sur les coupes 10,11 et 12 ! par l'extrémité
supérieure
de la scissure de Rolande (R) qui cm- i piète, co
grande profondeur, la scissure limbique (L). Celle-ci sert de limite
supérieure
au pli de passage pariéto-limbique (xL); ce pli d
ceau longitudinal inférieur (FLI). A la face externe, les deux plis
supérieur
et inférieur de la première circonvolution pariét
e (P's et P*i, fig. 9) se confondent dans la circonvolution pariétale
supérieure
(P'). Celle-ci est séparée de la pariétale ascend
cinquième circonvolution occipito-lemporale (O'). FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps (fig. 11, 12) est un nouveau faisceau
il vient du bourrelet du corps calleux, dont il représente la partie
supérieure
; il passe en avant et au-dessus du recessus antér
ent où ces deux faisceaux passent de la partie inférieure à la partie
supérieure
du recessus de la scissure occipitale. Cette disp
léro-interne au devant de laquelle passe transversalement le faisceau
supérieur
du forceps (FOs.) Ce dernier faisceau, n'étant co
t, décrivent une courbe à concavité antérieure où se loge le faisceau
supérieur
du forceps (FOs). LFE. La lame festonnée du cun
édiatement après (fig. 12) une forte insertion sur le lobule pariétal
supérieur
(P'). FOV. Faisceau occipital vertical (fig. 9)
CENTIMÈTRE EN ARRIÈRE DU BOURRELET DU CORPS CALLEUX, TANGENTE AU BORD
SUPÉRIEUR
DU PENTAGONE DU LOBE CARRÉ Écorce. Le bord su
ENTE AU BORD SUPÉRIEUR DU PENTAGONE DU LOBE CARRÉ Écorce. Le bord
supérieur
est représenté par la partie la plus élevée de la
nvolution frontale ascendante (F) appartient ici aussi bien à la face
supérieure
et au bord supérieur qu'à la face interne. Elle e
endante (F) appartient ici aussi bien à la face supérieure et au bord
supérieur
qu'à la face interne. Elle est séparée de la fron
les suivantes : Le sillon postrolandique. P*. Le lobule pariétal
supérieur
est divisé en deux plis par une profonde incisure
sillon pariétal ou iiiterpariétal. Cette division du lobule pariétal
supérieur
n'est pas commune; elle résulte ici du fait que l
ur n'est pas commune; elle résulte ici du fait que le lobule pariétal
supérieur
(P^) et le lobule pariétal inférieur (P^) sont ré
nt plus antérieures. Mais elle reste toujours quadrilatérale. Le bord
supérieur
ou voûte de la corne occipitale correspond au fai
spond au faisceau moyen du forceps (FOm), le bord externe au faisceau
supérieur
(FOs), le bord interne au faisceau inférieur (FOi
A sa partie interne il est toujours aussi nettement isolé du faisceau
supérieur
du forceps (FOs). Sa surface de section se dirige
inal inférieur ne présente plus guère que deux couches : une blanche,
supérieure
, dont il vient d'être question (FL2); une foncée,
nche précédente, on reconnaît que la différence est grande. La couche
supérieure
(FLi) a disparu. Cela revient à dire que les fibr
(FLi), vertical, situé au milieu de la substance blanche du faisceau
supérieur
du forceps (FOs). La couche moyenne du faisceau
à la partie externe du ventricule, sont les plus voisines du faisceau
supérieur
du forceps (FOs). On s'en rend mieux compte en ex
ens vertical, décrivant une courbe à convexité postérieure; la partie
supérieure
de la courbe se dirige vers la partie la plus inf
la partie la plus inférieure du lobe carré, et plus loin vers la face
supérieure
du corps calleux. Sa partie inférieure se porte e
antes. FOm. Le faisceau moyen du forceps, formant toujours la paroi
supérieure
ou voûte de la corne sphénoïdale, est à sa partie
vers la paroi ventriculaire externe, où elles s'accolent au faisceau
supérieur
du forceps. FOs. Le faisceau supérieur du force
elles s'accolent au faisceau supérieur du forceps. FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps, venu de la partie la plus supérieure
s. FOs. Le faisceau supérieur du forceps, venu de la partie la plus
supérieure
et la plus postérieure du bourrelet du corps call
ngle supéro-externe est émoussé par une partie des fibres du faisceau
supérieur
du forceps qui le croisent obliquement. A la face
ubstance blanche. FS. Le faisceau sensitif, peu compact à sa partie
supérieure
, se condense à sa partie inférieure. Au-dessous d
us du fornix (FDF) que nous n'avons étudié encore que dans une région
supérieure
, et seulement sur la figure précédente. FLI. Le
plus que de deux couches (FL2 et FL3), la moyenne et l'inférieure. La
supérieure
(FLi) est réduite à une très mince lamelle, à pei
ctement le trajet du faisceau compact du fornix (FCF) dans la portion
supérieure
de l'hémisphère. Sur la coupe 14, sa coloration,
tent obliquement en bas et en dehors, à la partie externe du faisceau
supérieur
du forceps (FOs), puis à la partie externe du fai
de sCction. Ses fibres sont blanches et situées au-dessus du faisceau
supérieur
du forceps (FOs). On ne le retrouve pas dans la r
ans la région sous-jacente au forceps ; par conséquent, son extrémité
supérieure
va en avant plus loin que le plan vertical passan
ue le démontrent les figures suivantes (17 et 18). FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps, bien séparé du faisceau moyen (FOm),
ur cette coupe, une insertion importante à la base du lobule pariétal
supérieur
. Une autre, venue de plus loin au-dessous et en a
la pariétale ascendante (P) s'aplatit; une partie du lobule pariétal
supérieur
(P1) se confond avec elle. C'est le point où le l
rieur (P1) se confond avec elle. C'est le point où le lobule pariétal
supérieur
s'anastomose avec la pariétale ascendante. L'in
duit à une simple dépression (ipc). Cavité ventriculaire. Le bord
supérieur
présente des ondulations qui répondent au croisem
hors par le faisceau pariéto-frontal (FPF), en dedans par le faisceau
supérieur
du forceps (FOs), puis par le faisceau sensitif (
sens qu'il rentre dans le plan de section, parallèlement au faisceau
supérieur
du forceps (EOs), lequel semble mélanger ses fibr
de la circonvolution lim-bique (C), mais avec les fibres du faisceau
supérieur
du forceps (FOs). Cette dernière confusion de fib
(FOs). Cette dernière confusion de fibres résulte de ce que les plus
supérieures
du faisceau moyen du forceps se portent obliqueme
s se portent obliquement en bas et en dehors comme celles du faisceau
supérieur
. Elles entament même l'angle supéro-externe de la
s démontre qu'elles se portent d'arrière en avant. FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps à sa partie supérieure s'incline en av
arrière en avant. FOs. Le faisceau supérieur du forceps à sa partie
supérieure
s'incline en avant en dedans; à sa partie inférie
l, plus clair que sur la coupe précédente, se dirige du lobe pariétal
supérieur
et du lobe pariétal inférieur dans la pariétale a
est-à-dire au voisinage de la réflexion de cet interstice, de la face
supérieure
du corps calleux à sa face inférieure. Nous la re
l'emporte, de ce fait, sur la couche moyenne (FL2). Quant à la couche
supérieure
(FLi), encore visible sur la figure 14, elle a ic
ie moyenne. Limité en dedans, d'une façon très nette, par le faisceau
supérieur
du forceps (FOs) et plus bas, d'une façon moins n
. FOm. Le faisceau moyen du forceps recommence à s'isoler à sa face
supérieure
. La direction des fibres du faisceau supérieur (F
à s'isoler à sa face supérieure. La direction des fibres du faisceau
supérieur
(FOs) est, en effet, beaucoup plus franchement cl
ait paru se mélanger sur les coupes déjà étudiées. FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps décrit son arc à concavité inférieure
ourbure présente le maximum d'amplitude. Ici, en effet, son extrémité
supérieure
ne se confond pas avec la substance blanche du ce
. 18) que ses fibres se portent ensuite transversalement vers la face
supérieure
du corps calleux. LFE. La lame festonnée, aminc
férieur (FLT), remonte en dedans du forceps et va mélanger ses fibres
supérieures
avec celles qui tapissent l'écorcc du lobe carré.
) est toujours peu profonde. La pariétale ascendante (P) et la partie
supérieure
du lobule pariétal supérieur (P1) se rejoignent e
a pariétale ascendante (P) et la partie supérieure du lobule pariétal
supérieur
(P1) se rejoignent et, dans la figure suivante (1
ier s'enfonce entre le faisceau moyen du forceps (FOm) et le faisceau
supérieur
(FOs). Dorénavant ces deux faisceaux seront nette
un de réflexion des fibres du faisceau sensitif (FS) et des faisceaux
supérieur
et moyen du forceps (FOm et FOs), l'incurvation d
ium ; il remonte donc de la partie inférieure du splenium à sa partie
supérieure
; et, dans ce trajet, ses fibres sont approximativ
liquement en bas et en avant, sont visibles sur cette coupe. Les plus
supérieures
rentrent dans le plan de section et deviennent tr
r. La démarcation s'accuse surtout dans ses rapports avec le faisceau
supérieur
et le faisceau inférieur, par ce fait que les deu
u supérieur et le faisceau inférieur, par ce fait que les deux angles
supérieurs
du ventricule entaillent profondément la substanc
elle où le ventricule atteint son maximum de largeur. FOs. Faisceau
supérieur
du forceps. De plus en plus isolé du faisceau moy
en par l'encoche de l'angle supéro-externe du ventricule, le faisceau
supérieur
du forceps s'élargit dans la portion où il représ
de celui-ci. La partie foncée qu'on aperçoit au-dessous de l'incisure
supérieure
représente la face supérieure du corps calleux.
qu'on aperçoit au-dessous de l'incisure supérieure représente la face
supérieure
du corps calleux. Déjà on peut constater que la
postrolan-dique (p.), est en grande partie constituée par la portion
supérieure
du lobule pariétal supérieur (fig. 15, P1). Cav
grande partie constituée par la portion supérieure du lobule pariétal
supérieur
(fig. 15, P1). Cavité ventriculaire. La dispo
disposition, déjà constatée sur la figure précédente, des deux angles
supérieurs
de la cavité du ventricule, s'accuse davantage. E
ceau moyen du forceps proemine dans la cavité, dont il forme la paroi
supérieure
qui est en quelque sorte flottante. Nous venons d
rve en dedans, suivant exactement la direction des fibres du faisceau
supérieur
du forceps (FOs). Substance blanche. FS. Le f
en majeure partie accumulées au pourtour et spécialement à la partie
supérieure
de la grande scissure limbi que. En bas, dans le
de la coupe, qui se reconnaissent à leur couleur foncée. L'extrémité
supérieure
de l'arc s'adosse à la substance grise de la part
du ventricule deux saillies. La saillie externe se compose des fibres
supérieures
du faisceau moyen ; la saillie interne se compose
'en dehors, plus compactes en arrière qu'en avant. FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps se jette en dedans, dans la région sup
. Le faisceau supérieur du forceps se jette en dedans, dans la région
supérieure
du splenium. LFE. La lame festonnée s'insinue e
faisceau pariéto-frontal se porte du pli courbe et du lobule pariétal
supérieur
à la pariétale ascendante, comme sur les coupes p
OSTÉRIEURE DU CORPS CALLEUX Écorce. Le sommet de la coupe ou bord
supérieur
de l'hémisphère est représenté par l'extrémité su
la scissure sous-pariétale divise en deux parties le lobe carré; une
supérieure
, appartenant au pli de passage pariéto-limbique (
donc lui-même que la continuation du sillon de l'hippocampe à la face
supérieure
du corps calleux. Ce qui fait que l'identité des
deux sillons ne frappe pas dès le premier examen, c'est que le sillon
supérieur
, parvenu à la partie postérieure du splenium, se
passage cunéo-limbique, représenté ici uniquement par le dédoublement
supérieur
de la cinquième temporale (Ts). Sur les dernières
e. Elle est doublée dans toute son étendue par le tapetum ou faisceau
supérieur
du forceps (FOs). La face supérieure est représ
ndue par le tapetum ou faisceau supérieur du forceps (FOs). La face
supérieure
est représentée par le faisceau moyen du forceps,
ie que forme le bulbe de la corne postérieure. En même temps, la face
supérieure
du ventricule se porte en dedans, se rétrécit et
et assez compact à sa partie moyenne; il est plus diffus à sa partie
supérieure
, où il enveloppe le faisceau supérieur du forceps
l est plus diffus à sa partie supérieure, où il enveloppe le faisceau
supérieur
du forceps (FOs, 23); enfin, à sa partie inférieu
F). Ces trois faisceaux s'entrecroisent en arrière avec les faisceaux
supérieur
, moyen et inférieur du forceps (FOs, FOm, FOi).
résente un arc de cercle à concavité antérieure. Les trois extrémités
supérieures
se jettent dans la substance grise de la circonvo
a encore : Io que le faisceau diffus du fornix accompagne le faisceau
supérieur
du forceps (FOs); que le faisceau compact du forn
as la circonvolution gotlronnée, s'il lui reste accolé depuis la face
supérieure
du corps calleux jusqu'à la face inférieure de la
rallèle au plan de la coupe qu'il ne l'était sur les ce i La face
supérieure
du corps calleux (ce), composée de fibres trans
et la bandelette cendrée (Fci), sous la forme d'un triangle à sommet
supérieur
, dont la pointe mal arrêtée peut être prolongée p
ité ventricu laire, mais non la face interne. Il représente la face
supérieure
, reportée en dedans. On ne peut couper l'hémisphè
linées en bas, en arrière et en dehors, à la face interne du faisceau
supérieur
ou tapetum. On voit (fig. 22 et 25) le reliquat d
t sous la paroi du ventricule de dehors en dedans. FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps ne présente, sur cette planche, rien q
r de direction et se porter en bas et en dedans. Profil du faisceau
supérieur
du forceps (FOs) à son insertion sur la partie po
tion directe que cette lame de fibres nerveuses établit entre l'étage
supérieur
et l'étage inférieur de l'hémisphère, entre les c
LORE CARRÉ, LA PARTIE POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, ET TANGENTES A LA FACE
SUPÉRIEURE
DES TURERCULES QUADRIJUMEAUX POSTÉRIEURS Écorce
mplement que la scissure de Rolando (R), arrivée au voisinage du bord
supérieur
de l'hémisphère, a une très faible profondeur. La
nce plus profondément dans le centre ovale et se rapproche des fibres
supérieures
du corps calleux. Sur la figure 25, le grand si
). Seulement cette circonvolution change de nom en passant de la face
supérieure
à la face inférieure du splenium. A la face supér
ant de la face supérieure à la face inférieure du splenium. A la face
supérieure
, c'est la circonvolution limbique ; à la face inf
ar la disparition progressive d'un des côtés du quadrilatère. La face
supérieure
se rétrécit en effet et se porte de dehors en ded
tion de l'hippocampe en deux étages parfaitement distincts : un étage
supérieur
dans lequel nous trouverons toujours la corne d'A
en avant les fibres du faisceau longitudinal inférieur (FLI). L'étage
supérieur
porte plus spécialement le nom de subiculum ; et
augmente d'épaisseur. Mais il est surtout représenté par le faisceau
supérieur
du forceps (FOs, fig. 26 et BRISSAUD. 10 suiv
e assez profonde (fig. 28 et 29) qui marque la séparation du faisceau
supérieur
du forceps (FOs) et des deux faisceaux moyen et i
antéro-postérieure de ses fibres. — En haut, il contourne le faisceau
supérieur
du forceps (FOs) et parait se porter vers l'écorc
est en effet dans le plan vertical de section ; il passe de la partie
supérieure
à la partie inférieure du corps calleux, mais peu
senté (fig. 27, 28) par le bulbe de la corne postérieure, à la partie
supérieure
et interne du ventricule ; et aussi à la partie i
d'entre elles passent sous la paroi ventriculaire. FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps, dirigé de haut en bas et de dedans en
samment isolé entre le faisceau diffus du fornix (FDF) et le faisceau
supérieur
du forceps (FOs). Ce faisceau, qui concourt à la
l'intervalle de substance blanche intercalé entre l'écorce et la face
supérieure
du ventricule. Il en résulte que les faisceaux so
le se réfléchit de la face inférieure du fasciola cinérea sur la face
supérieure
de la circonvolution de l'hippocampe. Ainsi, pe
hippocampe que ce qui appartient au subiculum, c'est-à-dire à l'étage
supérieur
de cette circonvolution. Pour ce qui a trait au
comportent dans cette région comme se sont comportés ceux du forceps
supérieur
et moyen dans des régions plus postérieures. Arri
t pour quelques-unes d'entre elles. Celles-ci forment alors la couche
supérieure
du faisceau longitudinal inférieur; et c'est parc
parce quelles ne se réfléchissent pas toutes ensemble que la couche
supérieure
de ce faisceau est nécessairement moins épaisse q
uoiqu'elles n'en soient séparées par aucune démarcation appré- Face
supérieure
du bourrelet du corps calleux (ce). Fci fasciol
Fci fasciola cincerea devenant taenia tecta (tec). FOs, faisceau
supérieur
du forceps ; FOm, faisceau moyen du forceps.
'il s'est réfléchi dans le gyrus fusiforme. Quant à la couche la plus
supérieure
, elle répond toujours au tapetum ; les couches in
épond toujours au tapetum ; les couches intermédiaires (entre la plus
supérieure
et la plus inférieure) répondent toujours au fais
l ne faut pas s'attendre à trouver son épaisseur égale dans sa partie
supérieure
et dans sa partie inférieure. On le voit (fig. 35
en bas et en avant, se portent en dehors et forment la partie la plus
supérieure
du manteau du subiculum (Ilip). FOi. Le faiscea
ule, descend dans la paroi externe de celui-ci, en dedans du faisceau
supérieur
du forceps et se porte en avant (FOm, fig. 55).
ur du forceps et se porte en avant (FOm, fig. 55). FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps (FOs, fig. 55, 55) se continue au-dess
ricule qu'il tapisse. Dorénavant il ne sera plus question du faisceau
supérieur
du forceps, mais seulement du tapetum formant la
re à sa partie inférieure, s'incline en haut et en dedans à sa partie
supérieure
. Au-dessus du ventricule (dont il est séparé par
sont produits : d'abord (fig. 42) on voit la circonvolution pariétale
supérieure
(P1) se confondre avec la pariétale ascendante (P
angles conservent la même forme et les mêmes rapports. Dans la région
supérieure
, elle s'incurve de plus en plus vers la ligne méd
xterne, d'abord inclinée en dedans, puis horizontale. Quant à sa face
supérieure
proprement dite, elle se réduit à un intervalle d
en bas et en dehors, rejoindre la lame médullaire qui tapisse la face
supérieure
de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Sur l
effet les fibres dont elle se compose sont dirigées dans ce sens, les
supérieures
venant d'avant en arrière, les inférieures allant
dans et qu'elles forment, dans ce dernier trajet (fig. 41), la limite
supérieure
du sillon ou fente, ou diverticule du subiculum (
faisceau inférieur du forceps et se terminent finalement dans l'étage
supérieur
de la circonvolution de l'hippocampe, en dehors e
(fig. 38) est, d'une façon manifeste, ' la continuation de la portion
supérieure
du corps calleux. Il contourne toute la paroi ext
nsitif ne se mélangent jamais. Il n'en est pas de même dans la région
supérieure
et externe du tapetum, où les fibres du faisceau
bres du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 42) rejoignent la partie
supérieure
du corps calleux. FS. Le faisceau sensitif (fig
érieur présente ici quatre couches (fig. 57 et suiv.) : Io une couche
supérieure
claire, formée des fibres les plus internes du ta
de cette circonvolution et ne se mélangent avec les fibres de l'étage
supérieur
que tout à fait au voisinage de l'écorce grise.
croissant; elle reste maintenant invariablement la même. A sa partie
supérieure
et interne, la coloration accentuée qu'il présent
(fig. 42), de place en place. Cela signifie simplement que ses fibres
supérieures
se portent souvent directement en dedans vers l'é
toute leur étendue, leur homogénéité. En d'autres termes, les fibres
supérieures
du cingulum sont des fibres courtes ; les fibres
elles se portent en dehors et se mêlent avec toutes celles de l'étage
supérieur
du subiculum. Leurs plus proches voisines sont ce
illon du subiculum (Dsu), se jeter, de dehors en dedans, dans l'étage
supérieur
de la circonvolution de l'hippocampe. Jusqu'à pré
guette de substance grise qui, au-dessous de lui, s'étale sur la face
supérieure
du corps calleux (ce) représente le prolongement
de la région où le ventricule latéral sera divisé en deux étages : un
supérieur
, un inférieur. C'est le point où sa cavité présen
retrouver sur le segment inférieur de cette couche grise à la partie
supérieure
de la corne d'Ammon. Elle y forme en effet (fig.
e du corps calleux (ce). Il devient le taenia tecta (tec) à la face
supérieure
du corps calleux. La substance réticulaire d'Ar
l'écorce ou substance grise du subiculum. Le subiculum a pour limite
supérieure
cette surface et pour limite inférieure le prolon
ent externe de la Hip, circonvolution de l'hippocampe, dont la face
supérieure
, ou subiculum, est tapissée par la substance réti
sentant le renversement de l'écorce à la face inférieure et à la face
supérieure
du corps calleux (ce), pour former le fascia dent
xterne est occupé par l'ai vous dont il va être question. A sa partie
supérieure
la fimbria est donc dirigée d'avant en arrière, l
) est la continuation du corps calleux et de ce qui reste du faisceau
supérieur
du forceps. On peut remarquer sur cette planche q
, en tout cas, que le tapetum renferme des fibres venues d'une région
supérieure
à celles du corps calleux ; il suffit pour s'en a
s'en assurer, de jeter les yeux sur les figures 44 et 45 : la partie
supérieure
du tapetum se continue manifestement avec le mant
u du gyrus fusiforme. — Le faisceau sensitif interne n'a pas délimite
supérieure
bien précise. Il semble toutefois s'étendre jusqu
a plus d'angle supéro-externe, à proprement parler, puisque la paroi
supérieure
est formée par l'ancienne paroi externe fortement
dans. n'est compact que dans sa moitié inférieure. — Dans sa moitié
supérieure
il se dirige obliquement en haut, en dedans et en
ige obliquement en haut, en dedans et en avant, au-dessus du faisceau
supérieur
du corps calleux (FOs) vers la circonvolution lim
44, TAP) verticale, située au milieu même du prolongement du faisceau
supérieur
du forceps (FOs). Elles se dirigent obliquement e
e en dehors à la rencontre du noyau caudé (fig. 54). Dans sa partie
supérieure
comme dans sa partie inférieure, la cavité ventri
est interrompue. La fimbria est divisée en deux tronçons. Le tronçon
supérieur
(TRI, 51, 54) poursuit son trajet postéro-antérie
e plus en plus profondément; elle le divise ainsi en deux étages : un
supérieur
qui représente le corps calleux proprement dit, d
l n'emprunte au corps calleux que la moitié, tout au plus, des fibres
supérieures
de celui-ci. Une autre bonne partie des fibres ca
eau longitudinal inférieur ne se compose plus que de deux couches. La
supérieure
, transversale, renferme les fibres du faisceau se
dedans, et va se terminer, comme le faisceau précédent, dans l'étage
supérieur
de la circonvolution de l'hippocampe. Mais ici un
avant, au dessus et en dehors du fascia dentata (Fd). Entre la partie
supérieure
et la partie inférieure de la fimbria les deux co
ra seul le nom de fimbria ou de corps bordé (FI, fig. 55); le tronçon
supérieur
portera le nom de pilier postérieur du trigonc (T
a masse du corps calleux se trouve ainsi divisée en deux parties : la
supérieure
correspond au corps calleux proprement dit, et l'
entrent dans sa constitution : un inférieur superficiel (fig. 52); un
supérieur
également superficiel ; un moyen ou profond. Tous
riculaire occipitale dans toute sa hauteur (fig. 55), puis la portion
supérieure
de cette cavité (qui ne s'est pas encore montrée
iveau de la partie postérieure de la couche optique : un prolongement
supérieur
se porte au-dessus de la couche optique (Th) et d
phénoi'dalc, elle reste quelque temps encore quadrangulairc : le côté
supérieur
du quadrangle est représenté par la couche optiqu
ces inférieure et postérieure de la couche optique, passe à la face
supérieure
du tubercule quadrijumeau antérieur. Nous y revie
figures 57, 58, 59. Finalement il reste divisé en deux tronçons : un
supérieur
, le noyau caudé proprement dit (NC, fig. 60), un
tance blanche. ce. Le corps calleux fournit, au niveau de son étage
supérieur
, dans deux directions bien distinctes, des fibres
lus guère reconnaissable que dans sa portion sus-jacente à la portion
supérieure
du ventricule, Au-dessous de la queue du noyau ca
raît ici pour la première fois. Il n'est sectionné que dans sa partie
supérieure
. Sa moitié inférieure a été séparée transversalem
ure. Sa moitié inférieure a été séparée transversalement de sa moitié
supérieure
avant la division du corps calleux (voy. Introd.)
s du tubercule quadrijumeau postérieur ; Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
au niveau de sa décussation ; FLP, faisceau lon
ommissure de Meynert (voy. plus loin) ; Th, thalamus. de son bord
supérieur
, aminci en dehors, et se continuant en haut et en
le, au voisinage de la ligne médiane. Pcs. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
(fig. 57, 58, 60) est placé exactement entre le
ojection horizontale de l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs) au niveau de la coupe vortico-transversale
bord supéro-externe de l'entrc-croisemcnt des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Il provient, comme on le sait, de la région bulb
non seulement du stratum zonale du pulvinar, mais aussi de la région
supérieure
de la couche optique. — Sur les coupes 59 et 60 l
n du lobule de l'hippocampe, après avoir enveloppé toute la convexité
supérieure
et antérieure de ce noyau. Sur la coupe 60 la b
que dans le long trajet qu'elle parcourt sous le thalamus, à la face
supérieure
du ventricule sphénoïdal, elle est souvent dissoc
au sensitif interne, directement transversal, se jette dans la partie
supérieure
de l'étage inférieur de l'hippocampe, juste au-de
5, 64, 65). En haut, sur la face externe, le sillon prse-rolandique
supérieur
Oprs, fig. 61) sépare la première frontale (F1) d
rt, entre la saillie inférieure du pulvinar (Pul, fig. 66) et la face
supérieure
de la circonvolution de l'hippocampe (Hip, fig. 6
l'ovoïde irrégulier que représente la couche optique vue par sa face
supérieure
. Or, la partie inférieure et externe du thalamus
halamus ou pulvinar (fig. 66, 66) reçoit, elle aussi, comme la partie
supérieure
et interne, des fibres issues du faisceau sensiti
schématique représentant les deux couches optiques vues par leur face
supérieure
(Th). Le corps genouillé externe (GE) et le cor
erne, pour aller se perdre dans ce corps ge-îouillé et dans la partie
supérieure
et interne du pulvinar. Ces ibres (TRO, fig. 65,
le plus inférieur de la protubérance. Psc. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
est sectionné encore (sur toutes les figures de c
la région latérale de la substance grise de l'aqueduc (SG), sa partie
supérieure
est plus claire et sa partie inférieure est plus
e. Sur les coupes durcies dans le bichromate d'ammoniaque, les fibres
supérieures
semblent donc se confondre avec la substance gris
grise de l'aqueduc. Pcs, entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. FLPi, filtres inférieures du faisceau longitud
elles sont coupées perpendiculairement à leur direction. FLPs, fibres
supérieures
du faisceau longitudinal postérieur; elles sont o
diculaires au plan de section, situées entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et le pont de Varole (PV). Il se compose de
une couche inférieure foncée (Lem, If. 61, 62, 65, 64), et une couche
supérieure
claire. La couche inférieure, foncée, est constit
tituée par un faisceau aplati de fibres dirigées en avant ; la couche
supérieure
, claire, est une émanation de la précédente. Elle
rrière, suivant la ligne A, paraîtront foncées, tandis que les fibres
supérieures
, coupées en avant, suivant la ligneR, paraîtront
. Déjà nous avons indiqué (pl. XX) le procédé par lequel les fibres
supérieures
de la couche de Reil se portent en haut et en deh
eau inférieur; l'autre destiné à recouvrir le tubercule quadri-jumeau
supérieur
. Cette distinction est absolument de convention.
faisceau propre de la calotte outegmentum; Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
; FRF, faisceau rétrograde (voy. plus loin); FLP,
couche du lemniscus correspondant au faisceau propre de la calotte.
supérieure
, dont les deux côtés sont formés par le tubercule
fibres de la calotte. Nous choisirons ceux du côté gauche. Le plus
supérieur
(LM1) remonte dans le plan de la coupe, c'est-à-d
les trois premières se sont déjà portées vers les parties externes et
supérieures
de l'isthme. Elle leur est sous-jacente. Au momen
ne avec son congénère et qui n'est autre que le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes), et au milieu duquel on reconnaît le noya
as dans la nature ; il est constant néanmoins que les fibres les plus
supérieures
de la couche de Reil proprement dite s'inclinent
rrivées au voisinage de l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs), on voit (sur la figure schématique 97) qu'
s en dehors, leur trajet direct vers les corps genouillés. Les plus
supérieures
vont aux corps genouillés internes, et ibrment la
: un étage inférieur composé de fibres antéro-postérieures; un étage
supérieur
composé de fibres dirigées en haut et en dehors.
s, plus profondes, les remplacent (RR) figure 63, venues de la région
supérieure
du pont de Varole (PV). Laq. Le laqueus ou fais
ité répond au laqueus ou faisceau latéral de Reil (Laq); la concavité
supérieure
circonscrit la substance grise de l'aqueduc (SG)
c (SG) ; la concavité inférieure circonscrit le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Le tegmentum peut être considéré comme un
s ; SG, substance grise de l'aqueduc; l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
; CMT, commissure de Meynert (pour ce qui concer
emnisque (Lem) avec le tegmentum (TEG) ; Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. CP, commissure postérieure. Schéma 99. tegme
nt tout simplement les plus internes de la ! couche de Reil. Les plus
supérieures
sont des fibres du pédoncule ! cérébelleux supéri
Reil. Les plus supérieures sont des fibres du pédoncule ! cérébelleux
supérieur
(Pcs), facilement reconnaissables sur les profils
dehors en dedans s'épanouir avec le stratum zonale sur toute la face
supérieure
de la couche optique. Cela signifie, en d'autres
ntale de la couche optique, depuis la face inférieure jusqu'à la face
supérieure
de ce noyau, et qui aboutissent toutes, en somme,
uillé interne (fig. 70) ne fait plus qu'une faible saillie à la paroi
supérieure
de la fente de Bichat. Il est séparé du noyau pos
-optici-intergenicularis est refoulé en Pcs, pédoncules cérébelleux
supérieurs
; VV, valvule do Vieus-sens ; Gl, corps genouil
est bien développé, on peut reconnaître qu'il est limité à sa partie
supérieure
par le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (
u triangulaire de l'isthme (fig. 69). Pcs. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
(fig. 69) continue de s'entre-croiser avec son co
e. Mais ces racines, envisagées isolément, ont un calibre de beaucoup
supérieur
à celui de cette commissure, et il est invraisemb
deux moitiés du cerveau. C'est un mélange de fibres venues d'un étage
supérieur
d'un hémisphère pour gagner un étage inférieur de
nt dans la substance grise du thalamus, au-dessus des fibres les plus
supérieures
du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA)
ntinue manifestement (fig. 70) avec le stratum zonale de la convexité
supérieure
de la couche optique (ZS, fig. 71^ 72). Dans sa p
à fait en bas, lorsqu'il s'est réfléchi d'arrière en avant à la face
supérieure
du ventricule sphénoïdal, il longe la convexité i
t facile de constater que ce faisceau du centre ovale, dans la partie
supérieure
de l'hémisphère, appartient surtout, à la premièr
nnexion. Mais, par sa face inférieure, il émet des fibres à concavité
supérieure
(RNC, 77, 78), qui représentent sa couronna rayon
ntricule. NIC. Le noyau interne du thalamus (fig. 78) est à l'angle
supérieur
et interne de la couche optique. Il est séparé du
Tout à fait en arrière, le pulvinar forme donc tout à la fois la face
supérieure
et la face inférieure du thalamus. Plus en avant
rieur, dont il semble, au premier abord, faire partie, mais à l'étage
supérieur
, dont il s'est accidentellement écarté. Pcs. Le
ont il s'est accidentellement écarté. Pcs. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
(fig. 74, 75) représente un demi-cercle dont la c
ssure de Meynert (fig. 75), intercalée entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et le faisceau longitudinal postérieur (FLP
abénule; Cl', commissure postérieure; Tes, pédoncules cérébelleux
supérieurs
s'entre-croisant sur la ligne médiane, au-dessous
et en dehors. Elles sont destinées à accompagner la partie interne et
supérieure
du pédoncule cérébelleux jusque sous le thalamus,
t aisément au-dessus de l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs). Il se confond maintenant avec la substance
t le corps genouillé externe. 11 est à la surface ; il forme la paroi
supérieure
de la fente de Richat. Ses fibres sont d'abord tr
, 75) fait de plus en plus partie intégrante du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Toutefois, il laut remarquer que d'autres
. Les premières fibres du faisceau arqué apparaissent dans l'opercule
supérieur
de la scissure de Sylvius (voy. pl. XXI, fig. 65,
oujours curviligne, les deux côtés le sont aussi quelquefois. Le côté
supérieur
présente ainsi une concavité supérieure, en rappo
ont aussi quelquefois. Le côté supérieur présente ainsi une concavité
supérieure
, en rapport avec le faisceau pariéto-frontal, sit
rtent en dehors, puis en haut, décrivant ainsi une courbe à concavité
supérieure
, et se prolongeant finalement dans le corps calle
ieur excavé comme un V renversé et largement ouvert. Quant à son bord
supérieur
, il est très régulièrement demi-circulaire; toujo
gris. NR. Noyau rouge de Stilling, noyau rouge de la calotte, olive
supérieure
, nucleus ruber, ganglion du pédoncule cérébelleux
e, olive supérieure, nucleus ruber, ganglion du pédoncule cérébelleux
supérieur
, sont les expressions synonymes qui servent à dés
dans le champ de la calotte sur le trajet des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs). Lorsque ces derniers se sont entre-croisés
la situation exacte du noyau rouge (NR). Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
; VV, valvule de Vieussens. couche de Reil et
le distance sépare donc leur entre-croisement de la région de l'étage
supérieur
, où ils abordent le noyau rouge. Les pédoncules
xe passe par le Situation du noyau rouge de la calotte dans l'étage
supérieur
du pédoncule. PV, protubérance ; PP, pied du
n peut le voir sur le schéma 118, occupe la région moyenne de l'étage
supérieur
du pédoncule. Il est assez voisin de la ligne méd
ool ou dans les solutions de chromâtes, la teinte spécifique du noyau
supérieur
de la calotte s'atténue notablement et même dispa
c savoir au juste si la section qui traverse le pédoncule cérébelleux
supérieur
et où celui-ci est toujours reconnaissable, intér
locus niger, ou substantia nigra de Sœmmering, apparaît entre l'étage
supérieur
(TEG) et le pied du pédoncule ou étage infé- Vu
he de l'isthme. Elle sépare absolument l'étage inférieur de l'étage
supérieur
du mésocéphale, sauf en dehors et en dedans du pé
dal (FP) ne sont pas séparés par le locus niger des fibres de l'étage
supérieur
; ils passent à côté. En dedans, la lamina mediali
s'en rendre compte d'après la figure 83, que le pédoncule cérébelleux
supérieur
abandonne quelques fibres au locus niger. Subst
loin ces deux faisceaux (FP et LTE). Pcs. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
a perdu sa forme primitive de demi-cercle : ses f
our le traverser d'arrière en avant. En bas, le pédoncule cérébelleux
supérieur
est limité par la lamina medialis (Lm), qui l'acc
s, ou en dehors, pour enve- Section vertico-transversale de l'étage
supérieur
du pédoncule à la partie postérieure du noyau rou
cérébral ; LN, locus niger de Sœmmering ; Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
; FRF, fasciculus retroflcx ; FLP, faisceau l
Meynert (Pcs, fig. 84). On voit sur les coupes 80 et 81 que l'origine
supérieure
de ce faisceau correspond très exactement au gang
jumeaux (QA, QP). Le ventricule moyen (VM) est vu par son ouverture
supérieure
. G, la glande pinéale reposant sur les tubercules
sur la coupe 79 ce qui reste des anciens faisceaux croisés de l'étage
supérieur
. S'il ne se perd pas en totalité dans la substanc
noyau rouge. CEO. Les fibres postérieures du pédoncule cérébelleux
supérieur
, qu'on peut appeler, dans leur ensemble, faisceau
-Meynert LTE, lamina tegmenti ; md, lamina lateralis. cérébelleux
supérieur
. On désigne sous ce nom les fibres inférieures du
. Lm. La lamina medialis (fig. 79), toujours confondue par son bord
supérieur
avec le pédoncule cérébelleux supérieur, envoie u
ujours confondue par son bord supérieur avec le pédoncule cérébelleux
supérieur
, envoie une partie de ses libres dans le faisceau
on la plus postérieure du pied du pédoncule. 11 est séparé de l'étage
supérieur
et en particulier de la lamina tegmenti (LTE) par
e corps calleux (fig. 80) se divise en dehors en trois faisceaux : un
supérieur
qui fournit au centre ovale (CO) ; un inférieur q
s et postéro-antérieures. TAP. Le tapetum (fig. 80) sort de l'étage
supérieur
du corps calleux et se porte immédiatement en arr
avant, ce sillon frontal se confondre avec le sillon prae-rolandique
supérieur
. Au fond de la scissure de Sylvius (S'), l'insu
us, Une) sur les coupes. Le crochet est toujours appliqué sur la face
supérieure
de la circonvolution de l'hippocampe (Ilip, fig.
presque totalité par la queue du noyau caudé (NCC fig. 90). La paroi
supérieure
est formée par la bandelette sous-optique (BSO).
due dans le sens transversal, entre l'étage inférieur (FM) et l'étage
supérieur
(LTE). Il décrit une courbe à concavité supérieur
eur (FM) et l'étage supérieur (LTE). Il décrit une courbe à concavité
supérieure
; son extrémité interne atteint presque la ligne m
plan transversal, et tapissée de chaque côté, c'est-à-dire à sa face
supérieure
et à sa face inférieure, par une lame de substanc
ostérieurs sont les plus épais ; que les fibres qui tapissent la face
supérieure
de la lame et qui accom- pagncnt ses méandres f
le du corps genouillé, n'est donc pas autre chose que la lame blanche
supérieure
de la couronne rayonnante. Substance blanche.
u pyramidal (FP). Projection horizontale des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs) ; ils s'entre-croisent sur la ligne médiane
les noyaux rouges de la calotte (NR). Pcs. Le pédoncule Cérébelleux
supérieur
(fig. 85, 87, 89) se porte, en masse, en haut e
cales, en arrière du noyau rouge, la section du pédoncule cérébelleux
supérieur
présente une grande confusion. Tel faisceau, divi
même de ce noyau. Le changement de direction du pédoncule cérébelleux
supérieur
qui, des que sa décussation transversale est ache
(LN, fig. 85, 87). Il est certain que, si le pédoncule cérébelleux
supérieur
se jette en masse dans le noyau rouge de la calot
alamus ; NR, noyau rouge de la calotte ; Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
dont les fibres se jettent en majeure partie dans
halamique formé des fibres les plus externes du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Ce faisceau s'épanouit en éventail au-dessous de
EG. Le faisceau de la calotte ou tegmentum situé dans le prolongement
supérieur
du pédoncule cérébelleux inférieur (Pcs, 85) em
oyau rouge (!VR) au niveau de la pénétration du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), sur la coupe vertico-transversale 85). L
(TEG) enveloppe à la fois le noyau rouge et le pédoncule cérébelleux
supérieur
. calotte, qui l'enveloppe de toutes parts, est
es. Elles enveloppent alors, tout d'un bloc, le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et le noyau rouge (NR). Celles qui passen
NR). Ce ganglion est abordé en arrière par le pédoncule cérébelleux
supérieur
, après que celui-ci s'est entrecroisé avec son co
ceau de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le pédoncule cérébelleux
supérieur
et le noyau rouge. sent presque immédiatement a
r ou lamina tegmenti (LTE, fig. 80, 88, 89, 90); l'antre antérieur et
supérieur
ou faisceau tegmento-thalamiquc (CAO) (fig. 96, p
de la couche optique. Elle est située entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) qui est au-dessus d'elle, et le locus niger
e lamellaire de fd^res interposées entre l'étage inférieur et l'étage
supérieur
, se confond sur le plus grand nombre des préparat
fig. 88), le faisceau pyramidal (FP') s'épanouit à la face interne et
supérieure
du noyau lenticulaire que les prochaines coupes v
cularis (fig. 85) se continue encore avec le stratum zonale à la face
supérieure
du thalamus. En bas, au-dessous de la couche opti
s calleux (fig. 88) émet en dehors deux groupes de fibres : le groupe
supérieur
va se perdre dans le centre ovale; le groupe infé
act, — et toujours plus compact à la partie inférieure qu'à la partie
supérieure
du faisceau sensitif. Nous allons voir bientôt ce
ouche oi)tique et leur enlre-cioisement avec les faisceaux de l'étage
supérieur
, PV. Le pont de Varole;, PP, le pied du pédoncu
érieure de la couche optique; Rth, sa couronne rayonnante ou racine
supérieure
du thalamus ; Thl, racine inférieure; BSO, bandel
, lamina tegmenti (ces deux derniers faisceaux proviennent de l'étage
supérieur
des pédoncviles). — CG, couche grillagée formée p
a lame médullaire latérale du thalamus. Ce sont ces fibres de l'étage
supérieur
du mésocéphale qui, en s'entre-croisant, comme l'
strum, comme le faisceau ûrqué se confond en apparence avec la partie
supérieure
de cette lame grise. Nous verrons plus tard (pl
comme celles que nous avons déjcà étudiées, se dirigent vers le bord
supérieur
de l'hémisphère, où elles se terminent dans l'éco
l'écorce; elle est au contraire franchement arrêtée sur tout son bord
supérieur
. La ligne sinueuse que décrit la face supérieure
tée sur tout son bord supérieur. La ligne sinueuse que décrit la face
supérieure
du faisceau longitudinal inférieur correspond, ai
Écorce. A la face externe de l'hémisphère, le sillon prœrolandiquc
supérieur
{p7's, fîg. 92) reçoit l'extrémité postérieure du
nro (M). Enfin, plus bas encore (fig. 96), entre la région de l'étage
supérieur
occupée par le noyau rouge (NR) et la région du p
(Une, fig. 94); mais on verra bientôt se fermer ce passage. Sa paroi
supérieure
, à mesure que le corps genouillé tend à disparaît
eau entre la face inférieure de la bandelette optique (BO) et la face
supérieure
de l'uncus. Substance grise. CAM. La corne d'
édente. La crête de la fimbria se termine donc exactement sur la face
supérieure
de l'uncus. La crête formée par l'uncus ou croc
appartenant aux fibres les plus extérieures du pédoncule cérébelleux
supérieur
, est limité en dedans par le fasci- culus retro
'une petite surface blanche, disposée en croissant avec une convexité
supérieure
, et dont le bord inférieur rectiligne présente un
tion foncée, très nettement arrêtée surtout au niveau de la convexité
supérieure
. La surface blanche (qui est à la limite du cor
paraissent sur la surface de section. Pcs. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
, situé comme précédemment au-dessus de la lamina
igne médiane. Au moment où toutes les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
ont terminé leur décussation, la lamina medialis
bres du pédoncule cérébelleux, une partie passe au-dessous. La partie
supérieure
est la véritable continuation de la lamina medial
, au-dessous des fibres les plus antérieures du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) ; un étage supérieur qui, sous la forme d'u
plus antérieures du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) ; un étage
supérieur
qui, sous la forme d'un faisceau à section triang
r (BSO, fig. 95, 96). Elle recouvre même partiellement la convexité
supérieure
de la queue du noyau caudé; et il en sera ainsi j
lamellaire, comme le faisceau arqué (ARC) se perd dans son extrémité
supérieure
. ARC. Le faisceau arqué (fig. 95) occupe toujou
éro-postérieures sont le plus condensées. En dedans, vers l'extrémité
supérieure
et externe de la capsule interne (CI), le faiscea
e exclusivement par la cpueue du noyau caudé (NCC, fig. 102); sa face
supérieure
est formée, en dehors par la partie la plus posté
interne. On voit apparaître maintenant, à son extrémité antérieure et
supérieure
le noyau antérieur (NaC). NaC. Le noyau antérie
ne et par sa face interne. Les côtés non parallèles sont limités : le
supérieur
, par le segment postérieur de la capsule interne
subthnlamicuin, noyau ainygdaliforme, bandelelle accessoire de Volive
supérieure
, ganglion de la capsule interne, corps de Forel,
nférieure les fibres de la lamina tegmenti (LTE). Il émet par sa face
supérieure
les fibres du faisceau capsulaire (MF), sur les r
ro-postérieur est plus long que son diamètre tansversal. La convexité
supérieure
a un plus petit rayon que la convexité inférieure
halamique (fig. 97) est tout ce qui subsiste du pédoncule cérébelleux
supérieur
. 11 est beaucoup moins large que précédemment, po
laire externe du thalamus. S'il est vrai que le pédoncule cérébelleux
supérieur
renferme des fibres destinées à l'écorce cérébral
uli posterioris). la planche XXVll il décrit une courbe à convexité
supérieure
. La concavité inférieure de cette courbe limite l
d'une teinte sombre sur la coupe 101 de la planche XXVII. Les fibres
supérieurs
et internes, au niveau de la coupe 101' ont vmo t
nveloppe donc du haut en bas le noyau rouge de la calotte. Ses fibres
supérieures
(FLP) vont au thalamus. Ses fibres inférieures (R
est indubitable que le faisceau d'Arnold réunit l'écorce à la région
supérieure
et interne du pédoncule, c'est en quelque sorte p
lamina medialis (fig. 98) n'est plus représentée que par son faisceau
supérieur
, accolé à la partie interne du noyau rouge (NR) ;
n môme temps, au contact de la lamina medialis (Lm), dont l'extrémité
supérieure
(fig. 98) s'insinue entre les deux branches du fa
rsque le faisceau cérébello-thalamique, venu du pédoncule cérébelleux
supérieur
, a dépassé, d'arrière en avant, la partie moyenne
n voit sortir de ce dernier noyau les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) qui y avaient pénétré. Ces fibres (NL) font
au cérébello-thalamique (CEO) dans le Pcs, le pédoncule cérébelleux
supérieur
; CEO, faisceau céréhello-t hala m i qu e ne pén
arquera, toutefois, que cette coloration est plus prononcée à la face
supérieure
du discus lentiformis, ce qui semble démontrer qu
e démontrer que le faisceau capsulaire aborde le ganglion par sa face
supérieure
. On est assez mal renseigné sur les connexions du
nexions du faisceau et du ganglion (nous venons de dire que la région
supérieure
du discus lentiformis a été appelée par Forci zon
NCC). D'abord placée à sa partie interne, la voici placée à sa partie
supérieure
; un peu plus loin, c'est-à-dire plus en avant, el
ieure du thalamus (ThI). L'observateur regarde le cerveau par sa face
supérieure
; la projection de la figure est donc horizontale.
, et suivant approximativement le même parcours, se place à sa partie
supérieure
, puis à sa partie externe, et s'épanouit en évent
remière portion de son trajet elle décrit donc une courbe à concavité
supérieure
; cette première portion appartient tout entière
ovale. Nous savons que son faisceau accessoire (FP') est l'expansion
supérieure
du faisceau pyramidal au moment où celui-ci émerg
nternes, au-dessus et au-dessous de la corne d'Ammon. Le prolongement
supérieur
est à l'extrémité antérieure de la fente de Bicba
érieure du thalamus (ThI, fig. 106, 107, 108). C'est sur la convexité
supérieure
du noyau amygdalien que s'applique la partie post
par les fibres du faisceau capsulaire (MF, fig. 108) dont l'extrémité
supérieure
se perd dans la lame médullaire externe (LML). L'
L). L'entre-croisement des fibres corticales et des fibres de l'étage
supérieur
, en dedans de la lame médullaire externe, forme c
au-dessus et en dedans du pied du pédoncule. 11 est adossé à la face
supérieure
et interne de l'anse du noyau lenticulaire (ANL).
érébral (fig. 106, 107, 108), où l'on reconnaît deux étages : l'étage
supérieur
, occupé par la substance grise intcrpédonculaire
es superposées à la partie la plus inférieure du thalamus. La portion
supérieure
de ce faisceau restera la plus compacte dans son
gard. On peut toutefois affirmer que les fibres qui passent à la face
supérieure
du discus lentiformis et même à travers la partie
la face supérieure du discus lentiformis et même à travers la partie
supérieure
de ce noyau, vont former dans la capsule interne
alotte : la lame latérale (Lind); les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
ne traversant pas le noyau rouge (Pcs); le faisce
; SG, substance grise du ventricule moyen; Tes, pédoncule cérébelleux
supérieur
traversant le noyau de la calotte après s'être en
férieur ou faisceau d'Arnold (pl. XXIX, fig. 109, AR); 2° un faisceau
supérieur
, auquel on peut réserver la dénomination de rac
06). Sur cette dernière coupe on notera l'apparition de l'extrémité
supérieure
de ce faisceau, à la face interne de la couche op
ue (BSO). Celle-ci va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa partie
supérieure
. La partie inférieure du noyau amygdalien (NA) es
amus (ThI). La coupe 108 n'intéresse que les extrémités inférieure et
supérieure
de cette racine. dedans du faisceau de Yicq-d'A
ivement dans sa portion inférieure ou sphénoïdale, et dans sa portion
supérieure
ou thalamique. Quant à la portion moyenne ou hori
amygdalien, pénètrent avec ces deux derniers faisceaux dans la paroi
supérieure
du ventricule sphénoïdal, et, finalement, s'épuis
et du faisceau géniculé (FG). Mais en outre on voit, à son extrémité
supérieure
et externe, apparaître l'ensemble de ces fibres q
qu'un seul et même noyau, ininterrompu, creusé seulement, à sa partie
supérieure
, d'une gouttière où se loge la capsule interne. I
claires, et légèrement striées, se portent vers l'écorce. Ses fibres
supérieures
, foncées, marchent d'arrière en avant; mais sur l
Dsu, fig. 106, 108). Ainsi s'explique la netteté absolue de sa limite
supérieure
, dont nous avons antérieurement parlé à plusieurs
thalamus, parallèlement à la face interne de celui-ci. Son extrémité
supérieure
aboutit à la capsule blanche sous-jacente au tube
(TAP, iîg. 114) et le faisceau longitudinal inférieur (FLI); sa paroi
supérieure
n'est autre chose que la face inférieure du noyau
est réduit à une fissure (fig. 112, 115), il en forme encore la paroi
supérieure
; et lorsque la coupe passe au-devant de cette fis
érieur vont de dehors en dedans et barrière en avant ; celles du plan
supérieur
vont de dehors en dedans et Savant en arrière. Le
llé externe; BG, couronne rayonnante. thalamus ; les fibres du plan
supérieur
appartiennent à l'anse du noyau lenticulaire (ANL
superposées que dans une très faible partie de leur surface. La lame
supérieure
ou anse du noyau lenticulaire (ANL) appartient à
seulement elle se divise en deux couches secondaires. La lame blanche
supérieure
(ANL) ou anse du noyau lenticulaire vient des clo
vant et au-dessus de la bandelette optique. Celle-ci adhère à la face
supérieure
du crochet de l'hippocampe (Une). — NC, noyau cau
utes les couches de la base du cerveau, décrit une courbe à convexité
supérieure
. Les coupes en série horizontales permettent cepe
ée et compacte, qui se porte en bas et en dedans jusqu'à la convexité
supérieure
du tubercule mamillaire (TM). Elle enveloppe ce t
noyau caudé de façon à être située maintenant (fig. 109) à la partie
supérieure
et externe de ce ganglion. Puis, lorsque le noyau
ut près de la face antérieure du ganglion, avec les lames à convexité
supérieure
venues de la partie supéro-externe. Ainsi le gang
'elle. Sur les coupes 115 et 114, elle n'a pas encore atteint la face
supérieure
de cette bande ganglionnaire, — que nous savons ê
, le corps calleux se divise en deux étages bien distincts : un étage
supérieur
qui fournit des fibres au centre ovale ; un étage
U) accolé à la face externe de la capsule et confondu à son extrémité
supérieure
avec le claustrum (CL). Ce faisceau — fasciculus
nférieures du faisceau arqué (ARC, fig. 112); par les fibres les plus
supérieures
du faisceau parallèle ; par la couronne rayonnant
ail dont le plan aurait été incurvé de manière à former une concavité
supérieure
et une convexité inférieure. Le fasciculus unciri
es que par une incisure peu profonde. Cette incisure était la branche
supérieure
du deuxième sillon frontal (f2) sur la coupe 115.
) et par son pédicule qui formera le septum lucidum. Quant à la paroi
supérieure
, elle est toujours constituée par la face inférie
gmente considérablement de largeur; il s'incurve davantage : son bord
supérieur
est moins arrêté que sur les coupes précédentes,
t que la lame profonde est formée par des fibres qui occupent l'étage
supérieur
de l'espace perforé antérieur, tandis que la lame
de dedans en dehors; elles se dirigent ensuite en avant, et les plus
supérieures
d'entre elles se perdent à la partie externe du c
mme un grand faisceau arqué, à concavité antérieure, dont l'extrémité
supérieure
répond au lobe frontal et l'extrémité inférieure
son extrémité antérieure, grâce à la délimitation absolue de son bord
supérieur
. Nous disons délimitation absolue, attendu que le
n sur les fig. 125 et 126, où un petit sillon en crochet, à convexité
supérieure
, les sépare (T4 T3, fig. 126). La scissure de S
enfonce vers l'insula et se divise en deux branches, l'une verticale,
supérieure
, l'autre oblique ou horizontale, inférieure. L'ex
l'autre oblique ou horizontale, inférieure. L'extrémité de la branche
supérieure
correspond à la rigole supérieure de l'insula ; l
férieure. L'extrémité de la branche supérieure correspond à la rigole
supérieure
de l'insula ; l'extrémité de la branche inférieur
du cul-de-sac antérieur du troisième ventricule, adhérente à la face
supérieure
du chiasma, est cette mince couche de substance g
la. 11 ne dépasse jamais, ni en haut ni en bas, l'écorce de la rigole
supérieure
ou de la rigole inférieure. En avant et en arrièr
A. Le segment antérieur de la capsule interne (fig. 122), à sa partie
supérieure
et externe, renferme les fibres de la couronne ra
de deux couches : une inférieure, claire, adjacente au cingulum; une
supérieure
foncée, lamellaire, qu'on retrouve sur les coupes
llaire, qu'on retrouve sur les coupes 125, 124, 125. 126; la couche
supérieure
ne renferme évidemment que des fibres antéro-post
au chiasma. CH. Chiasma optique (fig. 122, 125) adhère par sa face
supérieure
avec la substance grise de la lame terminale (LAT
et le lobe temporal sera séparé du reste de l'hémisphère. La paroi
supérieure
de jla vallée de Sylvius (S) est formée par le pô
ventriculaire. Elle est assez régulièrement triangulaire. La paroi
supérieure
est formée par la face inférieure du corps calleu
et la paroi interne par le septum lucidum (PEL, fig. 130) et la face
supérieure
du rostrum (ROS). Substance grise. NC. Le noy
: une inférieure, volumineuse et toute de substance grise (GSL) ; une
supérieure
, mince et formée de substance blanche (PEL). La s
ontale du ventricule et qu'il se divise en dehors en deux lames : une
supérieure
se confondant avec le centre ovale, une inférieur
soi que la concavité antérieure du rostrum (qui fait suite à la face
supérieure
du corps calleux) se confond avec la substance ré
rps calleux s'insinue dans la profondeur, sur les parties latérale et
supérieure
de l'espace perforé, sans arriver jusqu'à la surf
roise à la face profonde des circonvolutions orbitaires. La portion
supérieure
du faisceau du centre ovale (CO, fig. 132), sorti
et est séparée de la partie antérieure de l'insula (IN) par la rigole
supérieure
de Sylvius {8'). Au-dessous de l'insula s'enfonce
e du faisceau diffus qui se termine, s'épuise totalement dans l'étage
supérieur
du lobe frontal. FDF. Le faisceau diffus du for
ois sa paroi interne n'est plus exclusivement représentée par la face
supérieure
du noyau caudé : en dehors elle est formée par le
dans la substance blanche qui l'enveloppe de tous côtés. Mais sa face
supérieure
est encore nettement arrêtée par une ligne convex
e divise en deux portions facilement reconnaissables : 1° une portion
supérieure
, foncée, qui renferme les fibres dirigées d'arriè
intensité que lorsqu'elles accompagnaient d'avant en arrière la face
supérieure
du corps calleux, c'est précisément parce qu'elle
ux autres figures (2 et 3) représentent le plan de section du segment
supérieur
. Par conséquent les coupes de cette planche (et d
aisceaux de la calotte qui sont : en dedans, le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), le fasciculus retroflexus (FRF), le faisce
bercule quadrijumeau antérieur, divisé au niveau même de sa convexité
supérieure
, n'est visible que sur la coupe de la figure 1. I
yau caudé (NC) et l'écorce du tubercule de jonction. Sur les coupes
supérieures
(1 et 2), le segment antérieur de la capsule inte
d'arrière en avant vers la région sphénoïdale (T*). Sur les coupes
supérieures
(1 et 2), le putamen, limité toujours en dehors p
tegmentum à leur sortie de ce noyau. Pcs. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
(fig. 1), venu du côté opposé, s'épanouit à la su
onculaire (GIP). Il est limité en dehors par le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et en dedans par le faisceau longitudinal p
Laq. Le laqueus est représenté ici (fig. 1) par les fibres les plus
supérieures
du Icmniscus; il vient de la commissure postérieu
es cérébello-thalamiques font suite à celles du pédoncule cérébelleux
supérieur
; elles ne traversent pas le noyau rouge; elles gl
édullaire de la capsule (MF, fig. 3), pour aboutir aux noyaux moteurs
supérieurs
du bulbe.. L'anse du noyau lenticulaire est lim
e se porte en avant, en dehors et en bas, et disparait sur les coupes
supérieures
. Thl. La racine inférieure du thalamus (fig. 2
d'une zone blanche qui appartient aux fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
, devenues horizontales pour passer de la région d
dans celle des noyaux gris centraux. QA. Le tubercule quadrijumeau
supérieur
(fig. 4) est sectionné au niveau de sa convexité
adrijumeau supérieur (fig. 4) est sectionné au niveau de sa convexité
supérieure
. Sa coloration, déjà claire, indique que le coute
e du centre médian (NmC) par le bras du pulvinar (BP) et, à sa partie
supérieure
(fig. 5), se confond avec le noyau interne du tha
re (fig. 4), en bas, en dedans et en ar-, rière; sur la coupe la plus
supérieure
(fig. 6), il se dirige en haut en avant et en ded
l. prend naissance. BP. Le bras du pulvinar est le faisceau le plus
supérieur
et le plus antérieur de la bandelette latérale de
rois coupes la masse opto-striée s'est rendue indépendante de l'étage
supérieur
. GH. Le ganglion de l'habénule (fig, 7) est enc
tte crête s'efface sur la coupe (9), qui passe par un plan horizontal
supérieur
à l'habénule. NpC. Le noyau postérieur du thala
bres représentent la couronne rayonnante du thalamus pour les parties
supérieures
de l'hémisphère. Il faut compter comme appartenan
n'est presque qu'une apparence; en eflet, sur les coupes horizontales
supérieures
, les fibres du faisceau arqué se rapprochent de l
se continue avec le fascia dentata (Fd). C'est ici la partie la plus
supérieure
de la corne d'Ammon. Ce n'est déjà presque plus l
ntéro-postérieure. Celle-ci est due à la présence des fibres les plus
supérieures
du septuni lucidum (PEL) et des fibres les plus i
aux couches inférieures du thalamus. 11 disparaît donc sur les coupes
supérieures
. On ne le reconnaît ici que sur la coupe 7 (la pl
ure que les coupes s'élèvent (fig. 8), dissocie les fibres de l'étage
supérieur
de la calotte. Celles-ci d'ailleurs deviennent de
eau tegmento-thalamique (fig. 7) est un de ces faisceaux de l'étage
supérieur
qui abandonnent peu à peu, de bas en haut, leurs
st représentée ici par des fibres venues du stratum zonale de la face
supérieure
de la couche; elles s'enfoncent en spirale dans l
nante. . PLANCHE XXXVll COUPES HORIZONTALES PASSANT PAR LA RÉGION
SUPÉRIEURE
DE LA MASSE OPTO-STRIÉE. Les deux premières fig
emières figures (10 et 11) représentent le plan de section du segment
supérieur
de l'hémisphère droit; la figure 12 représente le
e fois sur la coupe 10, c'est-à-dire qu'il occupe seulement la région
supérieure
de la couche optique. D'abord allongé, fusiforme
es en dedans de la lame médullaire interne (LMl). Sur les coupes plus
supérieures
(fig. 11) il n'y a plus à distinguer de noyaux. L
ub-7'o^imrf?ym s'isole très imparfaitement. Enfin, sur une coupe plus
supérieure
encore (fig. 12), la couche optique n'existe plus
oupe précédente (pl. XXXVl, fig. 9), répondaient encore à l'extrémité
supérieure
de la corne d'Ammon. ce. Le corps calleux, divi
aire interne (Oi) : disposition qui est constante. FOs. Le faisceau
supérieur
du forceps (fig. 12) n'est que l'ensemble des fib
périeur du forceps (fig. 12) n'est que l'ensemble des fibres les plus
supérieures
du corps calleux ; il est facile de s'en rendre c
x ; il est facile de s'en rendre compte sur cette coupe (12), la plus
supérieure
de toutes. On voit aussi très facilement que le t
rès facilement que le tapetum (TiVP) n'est que la portion du faisceau
supérieur
du forceps (FOs) réfléchie dans la paroi externe
la paroi externe de la corne occipitale du ventricule. — Le faisceau
supérieur
du forceps (FOs) et le faisceau inférieur (FOi) f
e leur surface de section, sur le segment inférieur et sur le segment
supérieur
. ThA. La racine antérieure du thalamus, qui sur
ur cette coupe appartiennent surtout au système des fibres de l'étage
supérieur
de la calotte. On y reconnaît la lame médullaire
5" enfin le bras du pulvinar (BP), qui représente le faisceau le plus
supérieur
du laqueus. Le faisceau d'Arnold qui, presque à
te à la capsule proprement dite, est formée par les libres de l'étage
supérieur
de la calotte; la couche interne, adjacente à la
ntéresse ici que la région inférieure, où l'on reconnaît la convexité
supérieure
du noyau rouge (NR) et le ganglion de l'habénule
séparation réelle des fibres du splenium en deux couches : les fibres
supérieures
du splenium (ce) appartiennent aux faisceaux supé
: les fibres supérieures du splenium (ce) appartiennent aux faisceaux
supérieur
et moyen du forceps major; les fibres inférieures
gdalien, qui n'est qu'effleuré par la coupe au niveau de sa convexité
supérieure
, est limité en dehors par la capsule externe (CE)
ure 5. Cette dernière coupe horizontale passe par la partie la plus
supérieure
du noyau amygdalien, presque tangentiellement à l
périeure du noyau amygdalien, presque tangentiellement à la convexité
supérieure
de ce noyau. Elle fait voir les rapports de la ba
al du corps godronné; on procède en quelque sorte comme si la surface
supérieure
du corps godronné était le plan du microtome. On
Les coupes convergent vers la partie la plus antérieure du pont.
supérieur
de l'hémisphère. La plus postérieure (I) de ces c
ber juste. On n'a, pour se guider, que les circonvolutions de la face
supérieure
ou de la face inférieure. Elles sont trop variabl
les antériores pedunculi). ARC. Faisceau arqué, faisceau longitudinal
supérieur
, fasciculus arcuatus (Burdach, Arnold). ARC. Fi
alamique. CAP. Cap de la troisième circonvolution frontale. CxlS. Pli
supérieur
du cap de la troisième circonvolution frontale. !
leux. ^ CE. Capsule externe. CEO. Fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
allant à la couche optique, faisceau cérébello-
micum, noyau amygdalicn de Stilling, bandelette accessoire de l'olive
supérieure
, ganglion de la capsule interne. DO. Désert olf
ps' major. FOp. Fibres postérieures du forceps major. FOs. Fibres
supérieures
du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical. \
forme. GFi. Genou inférieur de la frontale ascendante. GFs. Genou
supérieur
de la frontale ascendante. GIl. Ganglion de l'h
urbe. GPi. Genou inférieur de la pariétale ascendante. GPs. Genou
supérieur
de la pariétale ascendante. GQA. Gyrus antérieu
érieure de l'insula. IRP. Rigole postérieure de l'insula. 1RS. Rigole
supérieure
de l'insula. IS. Stratum intermedium pedunculi (M
e de Stilling, noyau de la calotte, ganglion du pédoncule cérébelleux
supérieur
. 0'. Première circonvolution occipitale. 0^.
e. p. Sillon pariétal ou interpariétal. P^ Circonvolution pariétale
supérieure
, ou lobule pariétal supérieur. P'i. Pli inférie
ariétal. P^ Circonvolution pariétale supérieure, ou lobule pariétal
supérieur
. P'i. Pli inférieur du lobule pariétal supérieu
ou lobule pariétal supérieur. P'i. Pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
. P*s. Pli supérieur du lobule pariétal supérieur.
upérieur. P'i. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur. P*s. Pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur. p^. Sillon pariétal
r du lobule pariétal supérieur. P*s. Pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
. p^. Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
P*s. Pli supérieur du lobule pariétal supérieur. p^. Sillon pariétal
supérieur
ou postrolandique supérieur. P'. Circonvolution p
e pariétal supérieur. p^. Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
supérieur
. P'. Circonvolution pariétale inférieure ou lobul
ond du sillon parallèle. PC. Pli courbe. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, hrachhim cerebelll superhis, processus cerebelll
ème. ttCP. Pli d'anastomose entre le pli courbe et le lobule pariétal
supérieur
. xF. Grand pli de passage fronto-limbique. zf.
emière frontale à la deuxième. TcFP. Pli de passage pariéto-frontal
supérieur
. -jifP. Pli d'anastomose postérieur de la premi
li d'anastomose entre le lobule du pli courbe et le lobule pariétal
supérieur
. 7:0. Premier pli de passage pariéto-occipital, p
pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto- occipital
supérieur
, premier pli de passage externe (Gratiolet). rjy.
is. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. RNL. Couronne rayonnante
supérieure
du noyau lenticulaire. RNm. Couronne rayonnante d
allèle. ^li. Branche inférieure du sillon parallèle. ti^. Branche
supérieure
du sillon parallèle. T-. Deuxième circonvolutio
eum griseum. TEG. Tegmentum, calotte, faisceau de la calotte, étage
supérieur
du pédoncule. Tf. Tubercule du fascia dentata.
Une. Crochet, uncus. VC. Ventricule de la cloison. V(l. Racine
supérieure
du trijumeau et noyau de la branche descendante d
nt....................... . xi B Bandelette accessoire de l'olive
supérieure
(DL)......... 311 Bandelette de Giacomini (BGI)
xl Brachium cerehelli superius (Pcs) (voy. Pédoncule cérébelleux
supérieur
)....................... 431 Bras du pulvinar, B
pariétale inférieure (P^)............. xlv Circonvolution pariétale
supérieure
(P*). ..,„.-...... xlv Circonvolution temporale
l postérieur de la calotte (FLP).... 227, 279 Faisceau longitudinal
supérieur
(ARC).......... 254, 504 Faisceau médian de la
72 Faisceau sensitif interne (FSi).............. 77, 237 Faisceau
supérieur
du forceps (FOs).............. 108 Faisceau du
nule (GH)............ xxr, 226, 243 Ganghon du pédoncule cérébeUeux
supérieur
(NR)........ 259 Ganglion interpédonculaire (GI
06 Fibres pédonculo-corticales de Charcot............. 351 Fibres
supérieures
du forceps (FOs)............... 108 Fibres temp
76, 342 Genou du corps calleux (GC)..............xvui, 445 Genoux
supérieur
et inférieur de la frontale ascendante...... 3
Gyrus pariétal inférieur (P^)................. xl\ Gyrus pariétal
supérieur
(P^)................. xly Gyrus postérieur du l
yi Lobule paracentral (Pa)..................xxxvn Lobule pariétal
supérieur
(P').................xliv Lobus caudicis de Bur
25 Occipitale (sixième circonvolution), (0^)............ 26 Olive
supérieure
(NR).................... 259 Opercule du lobe c
..... l Opercule rolandique (OR).................. xlvhi Opercule
supérieur
de Sylvius (OP).............. lxiii p Pédoncu
antérieur du thalamus (ThA)......... 345, 567 Pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs).......... 208, 277 Pédoncule cérébelleux
érébelleux supérieur (Pcs).......... 208, 277 Pédoncule cérébelleux
supérieur
(portion postérieure aHant à la couche optique)
o-limbique (ttF).............xxxvm Pli de passage pariéto-occipital
supérieur
(tcOj........xlv, 11 Pli de passage pariéto-tem
de passage externe (ttP)....... 7 Pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
(P") . 11 Q Queue du noyau caudé (NCC).. . .
1 Racine grise du nerf optique (voy. CH)............. 406. Racine
supérieure
du thalamus (Thl)........520, 522, 544 Racine i
Racine olfactive moyenne (OLM, et voy. GS)........ix, 407 Racine
supérieure
du trijumeau (DY)............. 251 Radiatio cor
406 Recessus antérieur de l'hippocampe (RAH)........ 258, 528 Pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur (P^«)......... 10
'hippocampe (RAH)........ 258, 528 Pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
(P^«)......... 10 Pôle de l'insula (PI)........
ando (fi)......,...........xli, 3 Scissure de Rolando (prolongement
supérieur
), (fij)....... 256 Scissure de Sylvius (branche
ix Rigole postérieure de l'insula (IRP).............. xlix Rigole
supérieure
de l'insula (1RS). ............. xlix Rostrum (
(branche inférieure), (^jj............ 7 Sillon parallèle (branche
supérieure
), fjg)............ 7 Sillon pariétal ou interpa
postrolandique inférieur (pi).............. 6 Sillon postrolandique
supérieur
(pi).............. 5 Sillon prœ-ovalaire (pro).
-rolandique inférieur (pti).......... xliv, 4 Sillon prœ-rolandique
supérieur
{prs)............. xliv Sillon prffi-uncique (P
o-médullaires) ; les fibres les plus longues atteignant l'extrémité
supérieure
du filum termi- nale (Dejerine et Thomas). Pa
diaire et moyen, et qui s'étend de la corticalité cérébrale au bord
supérieur
de la protubérance. Nous renvoyons à la troisième
en bas et en dehors qui unit le bord externe du noyau caudé au bord
supérieur
du putamen représente la limite fictive qui sép
aration par dissociation. Cn(a) segment antérieur; Cli(s) segment
supérieur
; CR(p) segment postérieur; CR(i) segment inféri
ante en quatre segments dont l'un est antérieur, le second moyen ou
supérieur
, le troisième postérieur, le quatrième inférieur.
des segments est recouvert par le faisceau ar- qué ou longitudinal
supérieur
et croisé par quelques fibres du faisceau occip
ntal vus sur une coupe horizontale passant par la région Lhalamique
supérieure
de la capsule interne (détail de la fig. 14). Mét
frontale (F3) et s'arrête assez brusquement au niveau de la partie
supérieure
de cette même circonvolution. Le faisceau compact
ne rayonnante et entrent dans la capsule interne sur des plans plus
supérieurs
et plus posté- rieurs. Le faisceau occipito-fro
CR(i), segment inférieur; CR(p), segment postérieur; CR(s), segment
supérieur
de la couronne rayonnante. Cia, segment antérieur
rontal. 10 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig. 7. - Les segments
supérieur
et inférieur de la couronne rayonnante; les segme
ticulier cas Schweigoffer, Fig. 116, p. 134). 2. Segment moyen ou
supérieur
de la couronne rayonnante. (CR, CR(s), Fig. 2,6
pCR, pied de la couronne rayonnante. - ]les, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Plcle, plexus choroïdes du ventricule latéra
lexus choroïdes de la corne sphénoldale. - p1'S, sillon prérolandique
supérieur
. - ? faisceau pyramidal. R, scissure de Rolando
precuneus (PrC), du pli courbe (Pc), des circonvolutions pariétales
supérieure
(P,) et inférieure (P2), de la circonvolution m
supérieure (P,) et inférieure (P2), de la circonvolution marginale
supérieure
(Gsm) et de la partie postérieure des trois cir
rieur de la couronne rayonnante et la partie postérieure du segment
supérieur
de la couronne rayonnante dans la région du carre
, segment rétro- lenticulaire de la capsule interne. - Cli, segment
supérieur
de la couronne rayonnante. - ds, diverlicule du
ieur ou pied du pédoncule céré- bral. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - l'vl, pulvinar. - Qa, tubercule quadriju- me
en bas et en dehors et forme avec le plan médian un angle à sommet
supérieur
, qui est d'environ 40° sur les coupes antérieures
7), permettent de diviser la capsule interne en deux régions, l'une
supérieure
en rapport avec la couche optique région thalam
frontale. - 111p, sillon marginal postérieur. - ms, sillon marginal
supérieur
. - NC, noyau caudé. NL, nerf de Lancisi. - NL3,
et en dedans, les inférieures en arrière, en dedans et en haut, les
supérieures
en arrière, en dedans et en bas. Il résulte de
égion thalamique. tionne le stratum zonale du thalamus, la partie
supérieure
du putamen, la tête et la queue du noyau caudé.
s horizontales qui sectionnent le tronc du noyau caudé ou la partie
supérieure
de la couche optique, les segments antérieur (Cia
- mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - ms, sillon marginal
supérieur
de l'insula. - Nl, noyau amygdalien. - NC, noya
pCR, pied de la couronne rayonnante. - prs, sillon pré-rolan- dique
supérieur
. - PiTh, pédoncule inférieur du thalamus.PAs, péd
pe horizontale intéressant la base du noyau lenticulaire et la partie
supérieure
de la région sous-thalamique et sectionnant les
elles passent d'abord entre le tronc du noyau caudé (NC) et le bord
supérieur
du putamen (NLj), puis descen- dent entre la fa
u mani- festes sur les coupes horizontales qui passent par le tiers
supérieur
de la couche optique (Fig. 13, 20), sont très a
quement et gardent cette direction oblique, jusque dans les régions
supérieures
du pied du pédoncule cérébral (Fig. 25). Il s'agi
âce à la dis- position en éventail de la capsule interne, la partie
supérieure
de la coupe FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉ
ur ventriculaire. Sur les coupes horizontales passant par les tiers
supérieur
et moyen du thalamus (Fig. 10 et 21), le segmen
ie recour- bée de la queue du noyau caudé (NC") (Fig. 281); sa face
supérieure
est recouverte par le pulamen (NLJ), le globus
U rétroflexe de Meynert. - 1·'T faisceau de Turck formant la couche
supérieure
du segment sous-lenticulaire de la capsule inte
ersales et sagittales de la région (Fig. 29, 30 et 281) : la couche
supérieure
comprend les fibres du faisceau de Turck (FT) q
antiel, passant par l'entre-croisement des pédoncules céré- belleux
supérieurs
et l'entre-croisement des nerfs pathétiques. Méth
'cs, pédoncule cérébelleux supé- rieur ; son petit entre-croisement
supérieur
(zsl'es); son grand entre-croisement inférieur
ibres protubéranhelles qui forment la lèvre inférieure du trou borgne
supérieur
. - Méthode de Weigert. Le stratum intermedium e
glion interpédonculaire. - Le, locus casruleus. A'cs, noyau central
supérieur
. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire
e. - A'7, noyau de la troisième paire. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
; xil'cs, son grand entre-croisement inférieur. -
pes lemniscus superficiel (PLs) ainsi que les rapports de la partie
supérieure
du pied du pédoncule avec l'anse du noyau lenti
antiel et intéresse l'entre-croisement des pédoncules céré- belleux
supérieurs
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.
e ayant détruit l'insula, le putamen, sectionné le segment moyen ou
supérieur
de la couronne rayon- nante et entraîné une hém
nante et entraîné une hémiplégie gauche. Dans la région pédonculaire
supérieure
(Fig. 39), la zone dégénérée occupe la partie m
ain; P(d), sa zone moyenne dégénérée. - l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
; xPcs, son entre-croisement. - PLp, pes lemnisc
Cogery, Fig. 177, p. 175), on verra sur les coupes voisines du bord
supérieur
de la protubérance, des fibres saines refouler
ce cas, la zone dégénérée (P(cl) occupe dans la région pédonculaire
supérieure
la partie moyenne du pied du pédoncule (Fig. 39
lemniscus superficiel on voit, sur les coupes très voisines du bord
supérieur
de la protubérance, un petit fas- cicule de fib
bas pour pénétrer dans le cervelet avec les pédoncules cérébelleux
supérieur
ou moyen. Elles appartiennent en effet aux fibr
de la façon suivante : 1° Les fibres les plus internes et les plus
supérieures
se portent en dedans, cheminent au-dessous de l
u rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncule céré- belleux
supérieur
(Méthode de Weigert). Aol, aire olfactive. - B,
s coeruleus. - Lmi, lame médullaire interne; Lilla, lame médullaire
supérieure
du thala- mus. Ln, locus niger. -Na, noyau anté
le. - Il, pied du pédoncule cérébral. - ]les. pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Plch, plexus choroïdes fermant le ventricule l
acheté tout à fait spécial. 2. Fibres cortico-thalamiques moyennes,
supérieures
ou pariéto- fronto-rolandiques. (Radiations tha
ou pariéto- fronto-rolandiques. (Radiations thalamiques moyennes ou
supérieures
, pédoncule supérieur de la couche optique.) (Fi
ndiques. (Radiations thalamiques moyennes ou supérieures, pédoncule
supérieur
de la couche optique.) (Fig. 7, 26.) Les fibres
ieur (Na) du thalamus en formant la lame médul- laire antérieure ou
supérieure
. Les autres forment les fibres radiées, tra- ve
Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Il, bandelette optique. moitié
supérieure
du noyau externe (Fig. 21 et T. le., Fig. 301, 30
u pli courbe, de la partie adjacente des circonvolutions pariétales
supérieure
et inférieure, du gyrus supra-marginalis et du pr
étro- lenliculaire de la capsule interne, la région sous-thalamique
supérieure
. C'est dans cette dernière région que les radia
ules onduleux, et abordent le corps genouillé externe par sa partie
supérieure
et externe. Elles comprennent à la fois des fibre
. ter, Fig. 320, p. 6H). Elles représentent les radiations les plus
supérieures
et les plus profondes du tubercule quadrijumeau a
e mal connus. Il est probable que ces radiations occupent la partie
supérieure
du segment postérieur de la couronne rayonnante
21go-Ici,yiègée (Fig. 236). Elles passent dans la région thalamique
supérieure
par la partie postérieure du segment antérieur de
ig. 35, 36, 337, 351 et tGi.), c'est-à-dire par les fibres les plus
supérieures
de la protubérance. Le faisceau interne est lim
cas le faisceau geniculé (Ci[g]) est lésé; les lésions de la partie
supérieure
du segment antérieur de la capsule interne (Cia
nt dans le locus niger et dont un petit nombre atteint seul le bord
supérieur
de la protu- bérance ; aucune de ces fibres ne
constituée par des fibres qui tirent leur origine des cinq sixièmes
supérieurs
des circonvolutions rolandiques (Fa, Pa), des p
e la partie moyenne de la zone rolandique (zone corticale du membre
supérieur
) forment les deuxième et troisième cinquièmes int
ent postérieur de la capsule interne (Cip). Les libres de la partie
supérieure
de la zone rolandique et du lobule paracentral (z
ge inférieur du pied du pédon- cule cérébral. Les fibres du segment
supérieur
ou sus-sylvien du secteur moyen et la région or
pu le constater à l'aide de la méthode de Marchi, au delà du tiers
supérieur
de la protubérance; d'autre part, les lésions pro
ations du locus niger proviennent sur- tout des régions rolandiques
supérieures
. Parmi les fibres qui se rendent dans le locus
' origine de la zone rolandique, en particulier de ses trois quarts
supérieurs
; ils occupent, dans la région thalamique de la
; 6, par l'entre-croisement inférieur des pyramides; 7, par la région
supérieure
de la moelle cervicale. - Les voies centrifuges
la pyramide du bulbe (coupes 2, 3, 4) et forme l'entre-croise- ment
supérieur
ou sensitif du bulbe (coupe 5), - CR, corps resti
(coupes 5, 6, 1). - Lg, lingula. - Ol, l'olive |bulbaire. - Os, olive
supérieure
. - l'on, pé- doncule cérébelleux moyen. - Pes,
- l'on, pé- doncule cérébelleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - 7'o, protubérance. - l'(vcc) la pyramide ou
e la pyramide du bulbe (coupe 4, Cp), formaient l'entre- croisement
supérieur
ou sensitif des pyramides (Fig. 51, coupe 5), p
aisceau interne de l'étage inférieur du côté ma- lade. - T, étage
supérieur
du pédoncule cérébral. Bibliothèque des Inter
oyau caudé) non encore myélinisé. - d, la partie interne de la couche
supérieure
ou dor- sale du pied du pédoncule cérébral (fib
u caudé) non encore myélinisée. - b, la partie externe de la couche
supérieure
ou dorsale du pied du pédoncule cérébral (fibre
ouches, l'une ventrale inférieure ou périphérique, l'autre dorsale ou
supérieure
. La couche ventrale comprend quatre faisceaux (
nculaire infé- rieure le tiers moyen et dans la région pédonculaire
supérieure
, le troisième quart externe du pied du pédoncul
ment postérieur, se rapproche du genou de la capsule sur les coupes
supérieures
, puis aborde le centre ovale et se rend dans le l
scence rétrograde. - Ln, locus niger. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - Rl,
aire). D'une manière générale, l'emploi de la méthode de Marchi est
supérieure
à celle de Weigert, dans ce genre de recherches
tion de territoires corticaux déterminés : tels sont les deux tiers
supérieurs
de la couche optique, (en particulier le pulvin
es cordons de Z3ztrdacJt et de Goll; sur les pédoncules cérébelleux
supérieur
et moyen; sur les noyaux moteurs et sensitifs d
itudinal postérieur , le noyau du ruban de Reil latéral, les olives
supérieure
et inférieure, le corps trapézoïde, le noyau de
68). FIG. 68. - Cas Pradel. Coupe horizontale passant par la partie
supérieure
de la région sous-thalamique de la capsule inte
lame médullaire externe du thalamus (Lme), le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) bien qu'atrophiés, ne participent nulleme
ouge de Stilling,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel. Région pédonculaire
supérieure
. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule c
ux pontiques gauches. Atrophie indirecte des pédoncules cérébelleux
supérieur
et moyen droits et hémi-atrophie de la calotte
et croisé) ; 3° Que le ruban de Reil et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(vu leur intégrité) ne reçoivent pas de fibres
e projection cortico-gerzouillées externes, desti- nées à la partie
supérieure
du corps genouillé externe. Ces fibres portent en
(Cirl), dans la zone de Wernicke (W), le pulvinar (Pul), la partie
supérieure
et postérieure du corps genouillé externe (Cge)
ociation qui relient la face inférieure du lobe occipital à la face
supérieure
de la région pariéto-occihilale est en partie mas
ciennes, dont l'une occupe la partie centrale du cunéus et la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine ; dont l'autre détruit l
sphère gauche qui est dégénéré dans sa partie interne, inférieure et
supérieure
(Fig. 92). 2° Une dégénérescence très intense d
é corticale. A droite, plaque jaune ancienne du cuneus et de la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine, vaste plaque jaune de
ère gauche. Coupe oblique en bas et en dehors passant par la partie
supérieure
de la couche optique et la voûte de la corne sp
egment rétrolenticulaire de la capsule interne (Cirl), de la partie
supérieure
de la zone de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul).
le pli courbe, la partie postérieure et inférieure du pli marginal
supérieur
(Gsm) l'extrémité postérieure de la première ci
e de la capsule interne (Cirl), dans le pulvinar (Pul) et la paitie
supérieure
de la zone de Wernicke (W) (Fig. 97 et 98). Auc
pas de fibres à la voie pédonculaire. Coupes passant par la partie
supérieure
(Fig. 99) et la partie inférieure (Fig. 100) du
(Pli courbe, lobule pariétal inférieur, circonvolution marginale
supérieure
), des deux tiers in- férieurs de la circonvolut
3) et du corps genouillé interne (Cgi). Dégénérescence de la partie
supérieure
des radiations de la calotte, de la partie supé
) ; clans une lésion du lobule paracentral (Parc) et de l'extrémité
supérieure
des circonvolutions frontale (Fa) et pariétale as
la hauteur de la région thalamique et s'ir- radient dans les tiers
supérieur
et moyen du thalamus. Les fibres cortico-protubé-
s. Topographie de la lésion corticale, lobule paracentral et partie
supérieure
des circonvolutions rolandiques. (Voy. dégénéres-
ans chez. un homme mort à l'âge de 74 ans.- Ramollissement du tiers
supérieur
des circonvo- lutions pariétale et frontale asc
capsulaire (Fig. 108). Coupes hori- zontales passanl par la partie
supérieure
(Fig. 107) et la partie moyenne (Fig. 108) de l
la région sous-optique de la capsule interne (fin.109), les parties
supérieure
(Fig.110) et infé- rieure (Fig. 111) du pied du
d'association de la région, sur le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
(Arc), sui le faisceau occipito-frontal (OF) et
gle antéro-interne du pariétal gauche. Com- pression de la partie
supérieure
de la zone rolandique par une esquille os- se
de la zone rolandique : 1° Lésion du lobule paracentral et du quart
supérieur
des circonvolutions frontale et pariétale ascen
paracentral s'accompagnent presque toujours d'une lésion de la partie
supérieure
de la face externe des circonvolutions rolandiq
paracentral ne représente en effet que la face interne de la partie
supérieure
des circonvolutions rolandiques. Les dégénéresc
de la pyramide bulbaire correspondante. 2° Lésion du deuxième quart
supérieur
des circonvolutions frontale et pa- riétale asc
d'un enfon- cement du crâne ayant contus et lésé le deuxième quart
supérieur
de la zone rolan- dique et déterminé une monopl
troubles de la déglutition. Coupe vertico-transversale de la partie
supérieure
de l'hémisphère pas- sant par la ligne A, A de
capsule interne. Dégénérescence du faisceau arqué ou longi- tudinal
supérieur
, de la capsule externe, de la couche sagittale in
ie facio-linguale gauche. Coupe vertico-trans- versale de la moitié
supérieure
de l'hémisphère passant par la cavité porencépha-
al (P) (Fig.121). La dégénérescence, très ma- nifeste à la partie
supérieure
du pied du pédoncule, au voisinage de la band
lobe temporal, s'étalent de préfé- rence à la partie postérieure et
supérieure
de ce lobe (Fig. 123). Dans le premier cas (cas
- Para- lysie faciale inférieure droite avec hémiparésie du membre
supérieur
droit. Dimi- nution de l'intelligence. Mimique
ralysie faciale infé- rieure droite avec lié- miparésiedumembre
supérieur
droit. Double lésion cor- vcale : 1° lésion d
lysie faciale infé- rieure droite avec lié- miparésie du membre
supérieur
droit. Double lésion cor- ticals : lésion du
t sous-thalamique de la capsule interne (Fig. 126) et par la partie
supérieure
du pédoncule cérébral (Fig. 127). 1° La lésion
es lenticulo-caudées. Le pulvinar (Pul), la partie pos- térieure et
supérieure
du noyau interne du thalamus (Ni), le corps genou
a partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), la partie
supérieure
du pulvinar (Pul) dont les fibres radiées ont com
s fibres radiées ont complètement disparu (Fig. 131) et l'extrémité
supérieure
de la zone de Wernicke (W). Dans la région sous
ure du segment postérieur de la cap- sale interne, de la partie
supérieure
du pulvinar, de la partie postérieure du noya
tubercule quaùrl.1u- meau postérieur et do la partie postéro
supérieure
du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du
ture. Coupes horizon- tales passant par les régions thalamiques
supérieure
(fin.130) et moyenne (Fig. 131). La plaque ja
ure du segment postérieur de la cap- sule interne, de la partie
supérieure
du pulvinar, de la partie postérieure du no)
tubercule quadriju- meau postérieur et de la partie postéro-
supérieure
du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du
aisceau de Türck. Il démontre que lorsque dans la région thalamique
supérieure
et moyenne la zone dégénérée occupe le segment
de Tûrck (FT). Cette dernière ne peut être suivie au delà du tiers
supérieur
de la protubérance et la pyramide antérieure du
ceaux longitu-- dinal inférieur (Fli), uncinatus (Fu), longitudinal
supérieur
(Arc) et du tapetum (Tap). La dégénérescence du
capsule interne (Cia) sont rares. Celles qui en occupent la partie
supérieure
(cas Racle, Fig. 165 à 173) empiètent en généra
ent pas sur le pied du pédoncule cérébral. Les lésions de la partie
supérieure
du segment rétro- lenticulaire (Cirl) empiètent
développement du membre inférieur. L'atrophie musculaire du membre
supérieur
était portée à un degré extrême; le membre inféri
thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- Lor, des quatre
e (Fig. 143). Lacoupe ho- rizontale (Fig. 143) sectionne le tiers
supérieur
de l'hémisphère cérébral et passe au-dessus du
thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre
thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre
thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du DO) au rouge, du locus niger. des quatre c
u ruban de Reil médian droit (Rm) (a), du pédoncule céré- belleux
supérieur
gauche (Pcs (a). Hypertrophie considérable de l
e. FiG. 151. - Cas Rivaud. Coupe transversale sectionnant la partie
supérieure
de la protubérance et les noyaux du toit du'qua
e du ruban de Reil médian droit (Hm (a) et du pédoncule cérébelleux
supérieur
Pics (a) gauche. Fascicules arrondis aberrants
thalamus, des corps genouillés interne et externe, delà partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre
thalamus, des corps genouillés interne et externe. de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre
eigert. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la partie
supérieure
et postérieure du noyau rouge (\R) (fin. 1 r8 et
thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatro
a partie inférieure de l'en- tre-croisement moteur et la région
supérieure
de la moelle au niveau de l'émergence de la
vent être suivis dans toute la hauteur de la moelle cervi- cale
supérieure
. Ilémialro- phie en masse de toute la moitié
thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre
thalamus, des corps genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre
lleuse croisée, due il atrophie secondaire des pédoncules cérébelleux
supérieur
(l'cs) et moyen (Fig. 150 à 9 : ;1); l'atrophie
le cas Rivaud, c'est la petitesse, l'atrophie extrême de la partie
supérieure
de la couche optique (pulvinar, noyaux externe et
faits mettent bien en évidence les connexions étroites de la partie
supérieure
du thalamus avec la corticalité cérébrale, et les
thalamus, des coup- genouillés interne et externe, de la partie
supérieure
du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre
e et moyen du noyau lenticulaire, le tronc du noyau caudé, le tiers
supérieur
du segment antérieur et la moitié supérieure du
u noyau caudé, le tiers supérieur du segment antérieur et la moitié
supérieure
du segment posléi ieur de la capsule interne. L
ticulaire et sous lenticulaires de la capsule interne, et la partie
supérieure
du pied du pédoncule cérébral. Bibliothèque d
167 B. - Lésions centrales circonscrites. a. Lésion de la partie
supérieure
du segment antérieur (Cia) et de la partie adja
a partie adja- cente de la tête du noyau caudé, sectionné la partie
supérieure
du segment antérieur (Cia) et les deux tiers an
u segment antérieur (Cia) et les deux tiers antérieurs de la partie
supérieure
du segment postérieur (Cip) de FiG. 165, 166 et
sion centrale qui a détruit le putamen, évidé le tronc et la partie
supérieure
de la tète du noyau caudé, sectionné la partie
la partie supérieure de la tète du noyau caudé, sectionné la partie
supérieure
du segment antérieur (Cia) et les deux tiers anté
peu obliques en bas, en arrière et en dedans, passant par la partie
supérieure
(Fig. 165) et la partie moyenne (Fig. 166 et 16
érescence, voire même une destruc- tion complète de la par- tie
supérieure
du segment antérieur (Cia), de la cap- suie i
segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans les parties
supérieure
el moyenne de la région thalamique; une dégé-
73) atteignent seuls le sillon pédonculo-protubérantiel et le tiers
supérieur
de la protubérance où elles peuvent être suivie
raphie de la lésion qui correspond à une destruction de la partie
supérieure
du segment antérieur et des deux tiers antérieu
rticulier, que le membre inférieur est aussi paralysé que le membre
supérieur
, contrairement à ce que l'on voit chez les hémipl
genouillés externe et interne, le ruban de Reil médian à la partie
supérieure
de la calotte pédonculaire et le pilier postéri
eux lésions cen- trales. L'une sectionne, dans la région thalamique
supérieure
, le quart antérieur du seg- ment postérieur de
égion sous-thalamique de la capsulE interne (Fig. 193) et la partie
supérieure
du pédoncule aux confins de la région sous opti
la capsule interne en avant du faisceau de Turck, atteint la partie
supérieure
du pied du pédoncule cérébral et a entraîné une
, la porencéphalie empêchant la pénétration des fibres du seg- ment
supérieur
de la couronne rayonnante dans la capsule interne
ant en quelque sorte le corps strié, a sectionné le pied du segment
supérieur
de la couronne rayonnante. Mais les deux cas té
hotographie.) - 1 m. 200. - Cas Longery. L'encéphale vu par sa face
supérieure
après déchirure de la mince membrane qui limite
assant paries tubercules quadrijumeaux antérieurs (Qa), la partie
supérieure
de la protubérance (Po), et l'entre-croisement
otubérance (Po), et l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pes). Agénésie complète de la voie pédonculair
on thalamique de la capsule, on ne les rencontre que dans la moitié
supérieure
de la capsule interne : la moitié inférieure de l
rouge (NR, Fig. 205, ` ? 00, 20G) contient toutefois, dans sa partie
supérieure
surtout, moins de fibres qu'à l'état normal; pe
' Fic.` ? 12.-Cas Longery. Coupe passant - par la moelle cervicale
supérieure
. 1 Méthode de Weigert-Pal. 7/1 grandeur natur
du centre médian de Luys. Le cervelet et ses pédoncules cérébelleux
supérieur
, moyen et inférieur, paraissent nor- maux. Les
éphalie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie. Face
supérieure
de l'encéphale. Les lèvres de la profonde scissur
naissance à des circonvolutions cérébrales dans les régions interne
supérieure
, inférieure, antérieure et postérieure des hémisp
n cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opta - striés
on cérébrale et hydro- céphalie.Absence de soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opto-striés.
pendyme ventriculaire, mais sont plus épaisses au niveau des parois
supérieure
et inférieure, et surtout de l'angle externe du v
n cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opta - striés
n cérébrale et hydro- cephalIe. Absenco de soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opto-striés.
ses (Fc) entourent l'angle supéro-externe et s'étalent sur la paroi
supérieure
du ventricule en une couche infiniment plus épais
ventriculaire au niveau de la porencéphalie (Fig. 221). Le faisceau
supérieur
(CR), le plus petit, est l'homologue du segment s
ulièrement manifeste sur la coupe suivante] (Fig. 223). Le faisceau
supérieur
(pCR) des fibres de projection contourne en croch
en crochet le faisceau des fibres calleuses (Fc) et tapisse sa face
supérieure
; il est traversé au voisinage de l'angle supér
ents rétro et sous-lenticulaires de la capsule interne. Le faisceau
supérieur
, très petit, contourne en crochet les fibres call
à celles de la face interne de l'hémisphère (Fig. 222). Le faisceau
supérieur
de la couronne rayonnante (CR) conserve cette dis
rsque l'on s'approche des régions antérieures du manteau, le faisceau
supérieur
de la couronne rayonnante augmente; le crochet
interne. En résumé les fibres des segments antérieur, postérieur et
supérieur
de la cou- ronne rayonnante abordent les gangli
us -lenticulaire de la capsule interne. Quant aux fibres du segment
supérieur
de la couronne rayonnante, - comme elles ne peuve
on cérébrale et hydro- céphalie Absence de soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opfo-striés.
a corne occipitale d'une couche épaisse, surtout le long des parois
supérieure
et externe du ventricule, puis elles se concentre
(Strz) et le noyau antérieur (ThXa) de la couche optique, la partie
supérieure
et antérieure du corps strié, en particulier, l
ternes peuvent être suivies sur les coupes sériées dans le faisceau
supérieur
de la couronne rayonnante(CR) du manteau cérébr
n cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps s pto-striés.
n cérébrale et hydro- céphalie. Absence do soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opto-striés.
n cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opto-striés.
Fig. 231), puis s'épuisent rapidement dans la région protubérantielle
supérieure
. Quelle est l'origine corticale de ces fibres d
face orbitaire du lobe frontal, ou y arrivent-elles par le faisceau
supérieur
de la cou- Inc. 230. - Cas Richard. Loupe horiz
fibres de la couronne rayonnante du lobe orbitaire dans le faisceau
supérieur
de la couronne rayonnante (Voy. plus haut, p. 2
genou de la capsule à la queue du noyau caudé; mais, comme la partie
supérieure
du segment rétrolenticulaire fait défaut, la qu
n cérébrale et b5dro- céphalie. Absence do soudure du segment
supérieur
du man- teau cérébral aux corps opto-striés.
: le centre moteur du membre inférieur, le centre moteur du membre
supérieur
, le centre moteur de la face. De ces trois centre
le centre moteur de la face. De ces trois centres, celui du membre
supérieur
est le plus vaste : il occupe les deux quarts moy
lutions frontales. Le centre du membre inférieur correspond au quart
supérieur
des circonvolulions rolandiques et au lobule pa
tion électri- que do ces centres chez l'homme. Zone du membre
supérieur
. Centro du pouco. 220 ANATOMIE DES CENTRES NE
cal de l'audition. - F, centre de la face. - .1/S, centre du membre
supérieur
. - MI, centre du membre inférieur. Fia. 233. -
r la circonvolution frontale ascendante, l'union des tiers moyen et
supérieur
de l'aire faciale, au niveau du genou du sillon
ls, Lloyd et Deaver, lIearn, Sachs et Gerster). Le centre du facial
supérieur
occupe la partie supérieure de la zone de la face
, Sachs et Gerster). Le centre du facial supérieur occupe la partie
supérieure
de la zone de la face, immédiatement au- dessou
ent persistante qui frappe à la fois le membre inférieur, le membre
supérieur
et certains muscles de la face et de la langue
opposé du corps. Lorsque la lésion destructive intéresse la moitié
supérieure
de la zone motrice et le lobule paracentral, co
t-à-dire une paralysie isolée de la face et de la langue, du membre
supérieur
ou du membre inférieur, soit une paralysie limi
relèvent toutes d'une lésion du obule paracentral uu de l'extrémité
supérieure
de la région rolandique (tu- meur, plaques de m
ent être totales et relever d'une lésion occupant le deuxième quart
supérieur
des circonvolutions rolandiques, comme dans notre
CENTRES NERVEUX. Représentation corticale bilatérale du facial
supérieur
. Paralysie associée de la langue, du pharyn
u sillon de Rolando; à gauche, à l'union du tiers moyen et du tiers
supérieur
de ce sillon. Disposition radiée des circonvoluti
le quart inférieur de la région rolandique. Dans ces cas le facial
supérieur
n'est jamais absolument intact. Lorsqu'on exami
discutée qu'ait été la pathogénie de cette parésie légère du facial
supérieur
, de si courte durée dans l'hémiplégie faciale d
onnent simul- tanément tel est le cas pour les muscles de la moitié
supérieure
de la face - que dans les muscles à fonctions p
faciale d'origine corticale ou capsulaire, dans laquelle le facial
supérieur
soit aussi paralysé que dans la paralysie faciale
que ce fait que, pendant t longtemps, on s'est demandé si le facial
supérieur
avait un centre cortical. Or ce centre existe,
macaque et chez l'orang, l'excitation du centre cortical du facial
supérieur
détermine l'occlusion bilatérale des paupières, a
les mômes résultats à ces auteurs, le faisceau capsulaire du facial
supérieur
d'un côté ayant la môme action bilatérale que l
és de haut en bas, le centre du membre inférieur, le centre du membre
supérieur
et le centre de la face. En avant de ces centre
ez l'orang (Fig. 240), les centres du membre inférieur (MI) du membre
supérieur
(MS) et de la face siègent surtout sur la circo
volution frontale ascendante et s'insinue enlre le centre du membre
supérieur
(MS) et celui de la face ; mais il existe en outr
petits orteils; le centre du gros orteil correspondant àl'extrémité
supérieure
du sillon de FiG. 240. - Les centres moteurs co
ns., 1890). III, centre du membre inférieur. - MS, centre du membre
supérieur
. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 2M
PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 2M Rolando. Les centres du membre
supérieur
sont, par contre, échelonnés de haut en bas : é
oigts, index et pouce, les grandes articulations occupant la partie
supérieure
de la zone, tandis que les centres des petites ar
l'épaule. Par contre, la disposition générale des centres du membre
supérieur
se rapproche beaucoup de celle que l'on rencont
ieur. Lorsqu'on applique les élec- trodes en arrière de l'extrémité
supérieure
du sillon de Rolando, on agit sur les articu- l
t toutefois loin d'être aussi fine et distincte que celle du membre
supérieur
, et dès qu'on emploie un courant un peu fort on
rtout chez l'orang. Elle est située au-dessous de la zone du membre
supérieur
, s'étend en avant jusqu'au sillon précentral et
uvements de la face proprement dite, mais encore celle de la partie
supérieure
du tube digestif (lan- gue, pharynx) et du lary
caractérise cette zone, c'est qu'à l'encontre des zones des membres
supérieur
et inférieur, elle contient un certain nombre de
le macaque en deux régions : l'une supé- rieure, la région faciale
supérieure
dont l'excitation entraîne le clignement, c'est-à
âchoires analogues à ceux de la mastication. Dans la région faciale
supérieure
, on trouve contigu au centre du pouce et de l'i
sous du centre des yeux et de la tête se trouve le centre du facial
supérieur
, centre palpébral, dont l'excitation détermine la
nts des lèvres, de la bouche et de la langue. Le centre de la lèvre
supérieure
siège sur la circonvolution pariétale ascendant
au-dessous du genou du sillon de Rolando. L'excitation de la partie
supérieure
de la zone détermine la contraction de la partie
partie supérieure de la zone détermine la contraction de la partie
supérieure
de l'orbiculaire des lèvres du côté opposé. L'e
- rieure du sillon interpariétal, détermine l'élévation de la lèvre
supérieure
du côté opposé. Par l'excitation de la partie c
ostérieure est aplatie lorsque l'électrode est appliqué aux limites
supérieures
de cette zone; elle est épaissie, gonflée, lorsqu
mouvement, la langue s'adapte sur le plancher de la bouche, sa face
supérieure
est légèrement concave et la pointe rétractée d
l'excitation détermine la déviation conjuguée simple, un territoire
supérieur
dont l'excitation est suivie d'une déviation la
a région excitable de la capsule occupe dans la région thala- mique
supérieure
(I) la presque totalité des segments antérieurs e
excitable qui apparaît à peu près à l'union des régions thalamiques
supérieure
et moyenne, s'ac- croît rapidement à mesure que
vements des yeux, de la tête, de la face et de la langue, du membre
supérieur
, du tronc et du membre inférieur. Le point extr
rents centres secondaires, sectionnent à angle droit les deux tiers
supérieurs
du sillon de Roland,, on obtient assez exacte-
sthésie, les troubles de la sensibilité sont plus marqués au membre
supérieur
qu'au membre inférieur, au tronc et à la face, et
e inférieur, au tronc et à la face, et au niveau de cette extrémité
supérieure
ils sont d'autant plus accusés que l'on examine d
draient aux bords externe et interne de la sphère visuelle, le bord
supérieur
de la rétine au bord antérieur de la sphère visue
e inférieur. - .VS, région sensitivo- motrice corticale des membres
supérieurs
. - F, région sensitivo-motrice de la face. - Jf
s, moyennes et longues, en particulier par le faisceau longitudinal
supérieur
ou arqué et le faisceau lon- gitudinal inférieu
porale au centre de Broca et et la zone motrice corticale du membre
supérieur
Un certain nombre de ces fibres passent probabl
'autant plus en arrière du genou qu'ils proviennent de régions plus
supérieures
de la zone rolandique. Lorsque le genou et la
lève d'une lésion corticale, dans les deux cas, en effet, le facial
supérieur
n'est pas absolument intact. Dans le cas que nous
e Cip correspond à la région rolandique moyenne, - centre du membre
supérieur
, - et que le troisième quart moyen correspond à
- et que le troisième quart moyen correspond à la région rolandique
supérieure
, - centre du membre inférieur. Nous ne possédon
est l'hémiplégie banale, portant sur le facial inférieur, le membre
supérieur
et inférieur du côté de la lésion. Lorsque les fi
du genou (Ci(g) sont détruites sur une certaine étendue, le membre
supérieur
restera indéfiniment paralysé et contracturé de
psule interne et du thalamus, siégeant dans les régions thalamiques
supérieure
ou moyenne de la capsule interne, n'a produit q
e Cip, les lésions de cette partie de Cip dans la région thalamique
supérieure
devraient produire de l'anesthésie, ce qui n'es
e de Weigert.) be, bord externe. - bi, bord interne. - bs, bord
supérieur
. Les deux se}' tièmes de libres d( projecti
du crochet. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation
supérieure
du faisceau mamillaire principal. Bibliothèque
au rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; il forme la couche
supérieure
du segment sous-lenticulaire de la capsule inte
aventriculaire. dit. La troisième, corps du trigone, occupe l'étage
supérieur
du ventricule latéral, s'étend du bourrelet du
res, la fimbria s'épaissit, son bord interna s'applique sur sa face
supérieure
(Fig. 30, p. 45), et elle se présente sous l'as
ntriculaire recouvre la circonvolution godronnée (Cg), dont l'angle
supérieur
(l'ancien bord interne) donne inser- tion aux p
ec les fibres intraventriculaircs de l'alvcus. Sa partie externe ou
supérieure
contient les libres de la fimbria et se termine
partie ventrale ou réfléchie du splenium avec la partie dorsale ou
supérieure
(Fig. 9, p. 14, 42 et 268). A ce niveau, une pe
férieure de la cavité ventriculaire unique (Fig. 200 et 216). Sa face
supérieure
est parfaitement lisse et libre, tapissée par l
ce dorsale à sa face ventrale, représentent le contingent dor- sal,
supérieur
ou extraammonique du corps du trigone, l'homologu
parla laque hématoxylinique, traverser le corps calleux de sa face
supérieure
ou dorsale à sa face infé- rieure ou ventrale {
matoxylinique. Parmi ces derniers, les uns s'ados- sent à la parlie
supérieure
du corps du trigone, entrent dans sa constitu-
terne de la corne sphénoïdale, et occupent une région d'autant plus
supérieure
et voisine de la voûte de la corne sphénoïdale qu
usqu'au niveau des digitations de la corne d'Ammon; 2° dans l'étage
supérieur
et la corne frontale du ventricule latéral, le lo
. 294 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les segmonts in- térieur et
supérieur
de la corne d'Ammon des mammifères ma- cros
travenlriculaire et la puissante commissure du psalterium ; l'autre
supérieure
, constituée par le fornix longus de Forel. L'un
salterium. La fimbria est un volumineux faisceau ^situé à la partie
supérieure
du segment ven- tral et à la partie inférieure
doncule cérébral. - aPcs, entre-croisement du pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Po, protubé- rance. - l'shi, psalterium dors
ven- tral de Ganser. Lo psalterium dor- sal le Ganser. Partie
supérieure
du trigone ou forni\ longus. Lo fornix long
rieures du rhinencé- phale du côté opposé ou du même côté. Partie
supérieure
du trigone, fornix longus (forci), fornix superio
ématoxylinique; il occupe d'abord l'intervalle qui sépare la partie
supérieure
de la partie réfléchie du bourrelet du corps, c
ssus de ce ganglion. Une capsule de libres plus épaisse a la partie
supérieure
et Fic. 273. - Les ganglions interne et externe
blique en haut et en avant parallèle au plan du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Méthode de Weigert-Pal. F, champ de Forel. -
liker, puis s'enchevêtre avec les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
au momentdeleur entre-croiscmenl et se termin
couche optique (Fig. 253 et 254). Arrivé dans la région thalamique
supérieure
(Fig. 3 I 0), le faisceau de Vicq d'Azyr s'infléc
e même, puis croise l'entre-croisement des pédoncules cérébel- leux
supérieurs
en concourant à former lesjibres antéro-postérieu
inal postérieur. Il est pro- bablement l'homologue du noyau central
supérieur
de l'homme (Voy. For- mation réticulée,lII°parl
- sule interne. L'irradiation des libres des segments postérieur et
supérieur
de la couronne rayonnante simule sur cette coup
iculaire de la capsule in- terne : ses deux couches superposées, la
supérieure
formée de fibres sectionnées per pendiculaireme
, située dans l'angle rentrant du pédoncule du putamen. CR, segment
supérieur
de la couronne rayonnante. - CSgt, couches sagitt
la. ma sillon marginal antérieur de l'insula. - ms, sillon marginal
supérieur
de l'insula. - ? 1, noyau amygdalien. \'C', Suc",
médian, mais s'en séparent déjà dans les régions protubérantielles
supérieures
, de telle sorte que l'intégrité du ruban de Reil
é du ruban de Reil médian (Fig.28S) dans la région pé- donculaire
supérieure
. - Dégénérescence partielle et légère du globus
on s'étend en profondeur jusqu'aux couches sagittales et au segment
supérieur
de la couronne rayonnante qu'elle sectionne prè
et du corps de Luys. ;oupes qui passent par la région thalamique
supérieure
la dégénérescence intéresse les rois noyaux tha
hémisphères et l'absence de soudure du manteau cérébral à la partie
supérieure
du corps strié. Dans l'un des cas (cas Longery,
Fie) la capsule interne, et convergent vers les parties antérieure,
supérieure
, postérieure et inférieure du globus pallidus, à
: CORPS STRIÉ. 321 tionne le stratum zonale du thalamus, la partie
supérieure
du putamen, la tète et la queue du noyau caudé
le et au champ de Forel (F), c'est-à-dire à la partie antérieure et
supérieure
de la capsule du noyau rouge, puis s'irradie da
ieurs du segment postérieur de la cap- sule interne et de la partie
supérieure
du pied du pédoncule cérébral en fascicules den
lors suivant le siège de la lésion : ainsi les lésions de la partie
supérieure
et moyenne du noyau lenticulaire (domaine des a
amen, la partie adjacente du globus pallidus, le tronc et la partie
supérieure
de la tête du noyau caudé soient complètement dét
ente aux circonvolutions rolandiques a sectionné le pied du segment
supérieur
de la couronne rayonnante, empiète un peu sur la
ent supérieur de la couronne rayonnante, empiète un peu sur la partie
supérieure
et postérieure du noyau externe de la couche op
cir- convolutions rolan- diques ayant sec- tionne le segment
supérieur
de la cou- roiine rayonnante et empiété sur l
supérieur de la cou- roiine rayonnante et empiété sur la partie
supérieure
do la a couclio optique. Dé- générescence do
cir- convolutions rolan- diques ayant sec- tionné lo segment
supérieur
de la cou- ronne-rayonnanto et empiété sur la
supérieur de la cou- ronne-rayonnanto et empiété sur la partie
supérieure
de la couche optique. Dé- générescence de la
-jacente aux circonvolutions rolandiques ayant sectionné le segment
supérieur
de la couronne rayonnante et empiété sur la face
segment supérieur de la couronne rayonnante et empiété sur la face
supérieure
du thalamus. Intégrité du segment rétrolenticul
cir- convolutions rolan- diques ayant sec- tionné le segment
supérieur
de la cou- ronne rayonnante et empiété sur la
supérieur de la cou- ronne rayonnante et empiété sur lapartio
supérieure
de la couche optique. Dé- générescence do la
98). Elles traversent ensuite ce segment capsulaire (Fig. 297); les
supérieures
suivent la voie des radiations strio-thalamique
probablement à l'extension de la lésion sous-corticale à la partie
supérieure
du thalamus. Il existe enfin une dégénérescence d
ans, atteinte depuis quatre mois d'une hémiplégie légère du membre
supérieur
gauche avec intégrité complète de la sensibilité
la région pédonculaire inférieure, lorsque le pédoncule cérébelleux
supérieur
fait place au noyau rouge. i'ic. 30G et 307. -
308 et 309). Ce n'est en effet que dans la région protubérantielle
supérieure
, lorsque les fibres aberrantes dégénérées de la
, frappé par la diffé- rence d'aspect que présente dans ses parties
supérieure
et inférieure le thalamus vu sur une coupe vert
es et vertico-transversales montre, il est vrai, que dans la partie
supérieure
ou dorsale du noyau externe la substance grise
u dorsal de Kolliker) (Na). Ce noyau occupe la partie antérieure et
supérieure
de la couche optique et s'enfonce à la manière
rémité postérieure, effilée en forme de queue, appartient à la face
supérieure
du thalamus (Fig. 310 et 7, p. 10). Les cellu
ec le pulvinar (Pul) (Fig. 291 et 310), Sur les coupes horizontales
supérieures
, le noyau in- terne et le pulvinar se fusionnen
u rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncule cere- helteux
supérieur
. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. ? 10 ai
ocus coeruleus.-Lmi, lame médullaire interne ; Lma, lame médullaire
supérieure
du thalamus.- Ln, locus niger. - Na, noyau anté
ontale. - P, pied du pédoncule cérébral. - Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Plc%, plexus choroïdes fermant le ventricule
rticalité cérébrale et avec la région de la calotte. Dans sa partie
supérieure
et moyenne s'irradient de nombreuses fibres rad
érieur de la capsule interne et proviennent des parties moyennes et
supérieures
des circonvolutions rolandiques et de la partie
a cou- ronne rayonnante du thalamus, aux fibres cortico-thalamiques
supérieures
(Voy. p. 62); elles ont été désignées par v. Mo
ombre de fibres du ruban de Reil mé- dian, du pédoncule cérébelleux
supérieur
et des fibres longitudinales de la formation ré
lier avec le ruban de Reil médian, le pé- doncule cérébelleux
supérieur
et la for- mation réticulée. 352 ANATOMIE DES
ES NERVEUX. Lame médullaire interno. Sa lamo supplé- mentaire
supérieure
. Son étendue et ses rapports. Sa lamo suppl
te de cette disposition que l'on peut considérer la lame médullaire
supérieure
soit comme une dépendance de la lame médullaire
lotte du pédoncule cérébral en particulier du pédoncule cérébelleux
supérieur
, de la formation réti- culée, etc. La lame médu
lumineux des noyaux thalamiques, le noyau externe, occupe la partie
supérieure
et externe de la couche optique, corres- pond a
disposition que sur les coupes horizontales passant par les couches
supérieures
du thalamus, les noyaux externe et antérieur so
rons plus loin (p. 358), qu'un de ses noyaux acces- soires. La face
supérieure
du noyau externe est recouverte par le stratum
ar le stratum zonale (Strz) (Fig. 290) et concourt à former la face
supérieure
du thalamus. Sa partie externe, recouverte par
oyau antérieur (Na), lui abandonnent des fibres, croisent la partie
supérieure
du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et la lame médu
T. ler, Fig. 305 à 307). Particulièrement abondantes dans la moitié
supérieure
ou dorsale du noyau externe, elles existent néa
lame médullaire externe. Elles sont peu nombreuses dans les régions
supérieures
du tha- lamus, mais augmentent rapidement de no
pulvinar se continue sans ligne de démarca- tion nette avec la face
supérieure
du thalamus; la limite est constituée par une l
ins d'un millimètre d'épaisseur et se prolonge en avant sur la face
supérieure
des noyaux interne, externe et antérieur du tha
e, le segment rétrolenticulaire de la capsule interne, les segments
supérieur
et inférieur de la - couronne rayonnante vus su
ibres profondes du tubercule quadrijumeau antérieur. - CR, le segment
supérieur
de la couronne rayonnante. - pCR, le pied de la
ndante. - Paie, lobule paracentral. - l'cs, pédoncule cérébel- leux
supérieur
. - Plch, plexus choroïdes du ventricule latéral.
an de Reil médian. - l'o, protubérance. - pns, sillon prérolandique
supérieur
. - Pul, pulvinar. - P-2. circonvolution pariétale
age du noyau antérieur, de nombreuses fibres à la lame médul- laire
supérieure
(Lms) et à la lame médullaire interne (Lmi). En a
el antérieur (rétine, nerf et bandelette optique). Dans la partie
supérieure
du pulvinar s'irradient des fibres qui provien-
ivisent le corps genouillé externe en deux noyaux : l'un, dorsal ou
supérieur
, reçoit les fibres rétiniennes, ainsi que v. Mo
la dégéné- * rescence occupe, dans la région thalamique dorsale ou
supérieure
, les noyaux externe (Ne), interne (Ni), antérie
étend ni au ruban de Reil médian (Rm) dans la région pédoncu- laire
supérieure
, ni au pédoncule cérébelleux supérieur (Pes). Ces
ns la région pédoncu- laire supérieure, ni au pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes). Ces deux faisceaux qui se terminent par
rie de fibres, mais comprennent des fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
, des fibres du noyau rouge, des fibres longitudin
ian de Luys, mais qu'il envoie en outre des fibres dans les parties
supérieures
du noyau externe du thalamus. Il assure ainsi l
postérieurs croisés de la moelle épinière. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
participe à la formation du faisceau thalamique
e Forel et des radiations de la calotte. Le pédon- cule cérébelleux
supérieur
, le noyau rouge et sa capsule de fibres, la for-
à sa partie cen- trale, mince à ses bords. Les fascicules du bord
supérieur
s'effilent et s'amin- cissent dans la lame infé
est situé immédiatement en avant du pul- \inar, à l'union des faces
supérieure
et interne du thalamus, et occupe de chaque côt
e, dont la base se continue avec le stratum zonale (Strz) des faces
supérieure
et interne du thalamus et dont le som- met cons
u troisième ventricule une courbe en forme d'S (Fig. 3l). La courbe
supérieure
à convexité externe, traverse le noyau interne
ns sa concavité, le fais- ceau longitudinal postérieur et la partie
supérieure
du noyau de la troi- sième paire. La courbe inf
pe l'espace inter- pédonculaire de Cruveilhier au voisinage du bord
supérieur
de la protubérance. Il se Bibliothèque des Inte
ement en bas et en dedans, pénètrent dans la partie anté- rieure et
supérieure
de ce ganglion et l'entourent d'une sorte de fer
rel et se terminent dans la sub- stance grise centrale de la partie
supérieure
du quatrième ventricule et dans le gan- glion d
hez les vertébrés inférieurs elle est renversée en avant. La face
supérieure
de la glande pinéale n'affecte avec la toile cho-
a face convexe de la commis- sure interhabénulaire, mais à la, face
supérieure
du conarium (Fig. 317) et au voisinage de son s
inéal de Mihal- kowicz, le ventricule du conarium de Hyrtl. La lame
supérieure
du diver- ticule pinéal s'insère sur le bord in
ame inférieure (lamina conarii s. inferior se continue avec le bord
supérieur
de la commissure postérieure. Composée d'une su
. 21, p. 33), d'autant plus étendu que l'on examine des coupes plus
supérieures
; sur les coupes vertico-transversales (Fig. 323,
stérieure jusqu'à la commissure molle) sectionnent dans leur partie
supérieure
la région sous-thalamique, et dans leur partie
on sous-optique quatre faces, un sommet et une base. Les faces sont
supérieure
, inférieure, interne et externe : La face supér
Les faces sont supérieure, inférieure, interne et externe : La face
supérieure
, située au-dessous de la région ventrale du thala
e moitié moins étendue dans le sens antéro-posté- rieur que la face
supérieure
, repose sur le locus niger et se continue avec
or c'est le segment postérieur de la capsule interne (Cip) Sa face
supérieure
. Sa face inférieure. Sa face interne. Sa fa
de Forel. Fie, fibres lenticulo-caudées qui traversent la par- tie
supérieure
du segment postérieur de la capsule interne. - la
uperficielle de la circonvolution du crochet. - ms, sillon marginal
supérieur
de l'insula. - SA, noyau amygdalien. - Na, noya
g de la substance grise centrale du troisième ventricule, la partie
supérieure
et interne de la région sous- optique, et qui r
e cet amas ganglionnaire, ses fibres divergent, entourent les faces
supérieure
, interne, inférieure et externe du noyau rouge,
ions strio-sous- thalamiques, des fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, du noyau rouge, des fibres longitudinales de l
le désigna sous le nom impropre de bandelette accessoire de l'olive
supérieure
: il ne s'agit pas ici, en effet, d'une bande-
et de tous les auteurs, et ne doit pas être confondue avec l'olive
supérieure
ou protubérantielle, décrite en 1859 par Schroede
u-dessus et en dedans du pied du pédoncule cérébral et de la partie
supérieure
du locus niger, au-dessus, en dehors et en avan
apparaît sur les coupes qui inlc- l.i'7nntlnC ? ressent la partie
supérieure
des commissures antérieure et postérieure du ce
globus pallidus (Fig. 324, 325). Le bord externe est en même temps
supérieur
, il est en rapport avec le segment postérieur d
schen et d'autres, le ruban de Reil médian, arrivé dans les régions
supérieures
du noyau rouge,se porte- rait en dehors vers le
Goll et de Burdach; la plus grande partie contournerait les parties
supérieure
et externe du corps de Luys et se continuerait so
rrespond au tiL'nia thalami, tu ganglion de l'habenula et à la face
supérieure
de la glande pinéale. Mince en haut où elle tap
missure sous-thalamique postérieure. Au-dessus d'elles, à la partie
supérieure
ou dorsale de la commissure sous-thalamique pos
les uns des autres par de la substance grise. Elle occupe la partie
supérieure
et interne du chiasma et de la bandelette optique
nt il tire son origine siègent dans la muqueuse qui revêt la partie
supérieure
des cornets et de la cloison des fosses nasales
du crochet. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr ou branche de bifurcation
supérieure
du faisceau mamillaire principal. Bibliothèque
nsemble les radiations optiques de Gratiolet, passent par la partie
supérieure
du seg- ment rétro-lenticulaire de la capsule i
ceau macu- laire les obligent à se grouper en deux faisceaux : l'un
supérieur
, alimenté par les fibres du quadrant supéro-ext
rtes du côté de la macula, à concavité maculaire, puis abordent, le
supérieur
la partie supé- rieure, l'inférieur la partie i
a partie centrale de la papille, mais se cantonnent à sa périphérie
supérieure
et inférieure et sont séparés l'un de l'autre,
culaire et occupe lé secteur interne du nerf optique. La périphérie
supérieure
et inférieure est occupée par les fascicules su
périphérie supérieure et inférieure est occupée par les fascicules
supérieur
(ts) et inférieur (ti) du faisceau temporal. Da
u maculaire dans la partie centrale du nerf optique, les fascicules
supérieur
et inférieur du faisceau temporal (ts, ti) se r
ire. - ni, le quadrant inférieur du faisceau nasal; ns, le quadrant
supérieur
du faisceau nasal. - li, le quadrant inférieur
. - li, le quadrant inférieur du faisceau temporal; ts, le quadrant
supérieur
du faisceau temporal. - p, les fibres pupillair
il occupe, après la fusion des deux fascicules temporaux, la partie
supérieure
et interne du nerf optique (Jatzow, Siemer- lin
la partie inféro-interne de la bandelette en suivant soi les plans
supérieurs
, soit les plans inférieurs du chiasma et en s'enc
ement, la partie externe et périphérique du chiasma, puis la partie
supérieure
et externe de la bandelette. Une compression,
le de la bandelette, entraîne une hémianopsie homonyme des secteurs
supérieurs
du champ visuel. i° Dans les centres ganglionna
ue; elles proviendraient du ganglion ciliairc, du ganglion cervical
supérieur
et du cordon sympathique, se diviseraient en abor
III0 paire, dans le cervelet, par la voie du pédoncule cérébelleux
supérieur
et dans la protubérance, jusqu'au bulbe rachidi
des tubercules quadrijumeaux, formée par les pédoncules cérébelleux
supérieurs
et la valvule de Vieussens et décrite par Ilis
é au-dessus du tronc encéphalique et non en arrière de lui; sa face
supérieure
est en outre a découvert, elle est située en ar
quadrijumeaux. On constate alors que le cervelet présente une face
supérieure
inclinée en dos d'àne (Fig. 312, 310), une face
ite, d'angle du toit ou de le tente du quatrième ventricule. Face
supérieure
(Fig. 331, 338, 339, 340, 312). - Vu par sa face
Face supérieure (Fig. 331, 338, 339, 340, 312). - Vu par sa face
supérieure
, le cervelet présente d'après la comparaison des
ses parties constituantes. Configuration ex- térienrc. 1 Face
supérieure
. ; échancrure mar- supialc. 438 ANATOMIE DE
438 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ]il ci semi-In- nau P. Vermis
supérieur
. l'isthme postérieur dont la sépare un repli pi
et du hile du cervelet (Fig. : 331, el 33G). On considère à la face
supérieure
une partie sagittale médiane et sail- lante, le
e supérieure une partie sagittale médiane et sail- lante, le vermis
supérieur
(Vs) ou face supérieure du lobe moyen du cer- v
sagittale médiane et sail- lante, le vermis supérieur (Vs) ou face
supérieure
du lobe moyen du cer- velet, et deux parties la
érébelleux inclinés en versant de toit ou en dos d'âne. Le vermis
supérieur
(Vs) est compris entre l'échancrure semi-lunaire
rvelet, recouvert de la pie-mère et de l'arachnoïde, vu par sa face
supérieure
. La toile choroïdienne et les plexus choroïdes de
le. - le, lame cornée. - Ll', lobe postérieur du cervelet. LS, lobe
supérieur
du cervelet. NC, noyau caudé. - Plch, les plexu
lz) situé dans la région du carrefour ventriculaire. - ssl', sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - Tch, toile choroidienne. - Tg
'Ci-si, veine du corps strié. - rG, veine de Galion. - )'6', vermis
supérieur
du cervelet masqué en partie par les plis de l'
eux par un sillon sagittal très superficiel, le sillon longitudinal
supérieur
(sis) droit et gauche (Fig. 339, 31O), simple (lé
comme elles présentent à peine au niveau des sillons longitudinaux
supérieurs
une légère encoche, il ne peut donc pour la fac
udinaux supérieurs une légère encoche, il ne peut donc pour la face
supérieure
du cervelet - être question d'un lobe médian et
n'en est pas de même à la face inférieure du cervelet. Le vermis
supérieur
est convexe d'avant en arrière; il forme à la fac
vermis supérieur est convexe d'avant en arrière; il forme à la face
supérieure
du cervelet une saillie plus ou moins accusée sui
dent le vermis en arrière. Un sillon transversal profond, le sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr (ssV) (sillon postérieur et supé
ond, le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (sillon postérieur et
supérieur
de quelques auleurs) (Fig. 331, 338, 339) qui a
eint en dedans le fond de l'échancrure marsupialc, divise leur face
supérieure
en deux parties inégales. La partie antérieure, l
concave; elle correspond au monticule (culmen et déclive) du vermis
supérieur
et forme le lobe supé- rieur (LS). La partie po
érieure ou occi- pitale du cervelet est moins régulière que la face
supérieure
. Les hémi- sphères sont plus bombés, plus conve
très convexe dont la partie postérieure se continue avec le vcrmis
supérieur
, dont la partie anlérieure s'enfonce profondéme
ur, est plus volumineux, plus large et mieux délimité que le vermis
supérieur
. Il constitue une saillie cruciale, une sorte d
ure se porte obliquement en haut et en arrière, et s'unit au vermis
supérieur
dans le fond de l'échancrure marsupiale, au niv
n inférieur de Vicq d'A ? yr (siV, Fig. 333), l'homologue du sillon
supérieur
, divise la face inférieure de l'hémisphère en d
urs, (Fig. 333) obliques en arrière et en dehors, lon- gent le bord
supérieur
du rocher; ils présentent un sillon large et supe
ent à angles plus ou moins droits les sillons et lamelles des faces
supérieure
et inférieure du cervelet. Lira 1 Ienllsphère
avec le sillon de même nom du côté opposé. Ce sillon sépare la face
supérieure
de la face inférieure de l'hé- misphère. Il ne
d postérieur du cervelet, mais empiète un peu en dedans sur la face
supérieure
, en dehors sur la face inférieure. Les angles
ervelet (hCv); et à sa périphérie, l'extrémité antérieure du vermis
supérieur
, représenté par le lobule cenlral (Le) el la li
de section propre a chacun des pédoncules. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) occupe la parlie supérieure et interne dn
doncules. Le pédoncule cérébelleux supérieur (Pes) occupe la parlie
supérieure
et interne dn hile; sa surface de section est ova
la lingula (Lig). En dehors et au-dessous du pédoncule cérébelleux
supérieur
se trouve la surface de seclion irré- An;lra.
cérébelleux moyen (Pcm), adhérant en haut au pédoncule cérébelleux
supérieur
, en bas et en dedans au pédoncule cérébelleux i
éral du quatrième ventricule (PIN71) et le tlocculus (Floc) du lobe
supérieur
du cervelet, puis pénètrent dans le sillon marg
inférieur (Pci) est plus étendue que celle du pédoncule cérébelleux
supérieur
, mais beaucoup plus petite que celle du pédoncu
eur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. - No, nodule. - l'es, pédoncule cérébelleux supé
illon sous- flocculaire. - ssl, sillon semi-lunaire. - ssl', sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - Uv, luette. - VT, valvule de
ire. Cette disposition concentrique est surtout manifeste à la face
supérieure
du cervelet (Fig. 338) et dans la région postéro-
e, et il est fréquent de voir, en particulier au niveau du ver- mis
supérieur
, des sillons interlobulaires du côté droit, par e
st jamais en outre absolu : il est fréquent de rencontrer à la face
supérieure
et surtout à la face inférieure du cervelet un
tte particularité est surtout évidente pour les sillons des parties
supérieure
et inférieure du cervelet, elle l'est moins pou
is en cinq segments ou régions pri- mitives qui sont : 1° le vermis
supérieur
; 2° les lames transversales ; 3° la pyramide; i
ment des lamelle; propres à chaque lobe. Mode propre au lobe
supérieur
. versale supérieure (folium cacuminis) ; 6° les
propres à chaque lobe. Mode propre au lobe supérieur. versale
supérieure
(folium cacuminis) ; 6° les lames transversales i
ure et postérieure et celle du lobe postérieur en lobe semi-lunaire
supérieur
, lobe semi-lunaire inférieur et lobe grêle. I
Schafer, d'après leur situation sous les noms suivants : 1° Lobe
supérieur
, ou lobe de la masse principale du vermis; 2° L
lobe du nodule. Les trois derniers lobes restent indivis ; le lobe
supérieur
se frag- mente en quatre lobes secondaires, le
ermienne et dans la région hémisphérique (Fig. 335). Dans le lobe
supérieur
(LS), la région moyenne ou vermienne (V) est in
ctement avec celle du vermis, ainsi que cela s'observe dans le lobe
supérieur
, mais s'implantent sur une ou deux lamelles de
e inféro-interne, lobe inféro-autérieur) se dis- tinguent du lobe
supérieur
et du lobe postérieur par l'in- dépendance de
t, des lamelles propre aux différents lobes du cervelet. LS, lobe
supérieur
. - LP, lobe postérieur. - Ll, lobe inférieur- ?
est d'autant plus grande que le lobe est plus antérieur. I. LOBE
SUPÉRIEUR
OU LOBE DE LA MASSE PRINCIPALE DU VERMIS Le lob
I. LOBE SUPÉRIEUR OU LOBE DE LA MASSE PRINCIPALE DU VERMIS Le lobe
supérieur
comprend la partie du cervelet située au-dessus d
fond de l'échancrure marsupiale; il appartient à la fois à la face
supérieure
et à la facc antérieure du cervelet. Limité e
illons marginaux antérieurs (sma) (Fig. 334) dont il forme la lèvre
supérieure
, en arrière par le sillon supérieur de Vicq d'A
g. 334) dont il forme la lèvre supérieure, en arrière par le sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du lobe post
ieur de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du lobe postérieur, le lobe
supérieur
constitue un des lobes les plus volumi- neux du
nté par une simple encoche qui appartient aux sillons longitudinaux
supérieurs
. Cette fusion constitue un caractère commun à t
s inférieure et postérieure du cervelet. Sillons principaux du lobe
supérieur
. - Les sillons qui limitent ces quatre lobes se
ieur des anciens auteurs, ou sillon préclival de Schafer, ou sillon
supérieur
et antérieur. Ils présentent comme caractère co
être concentriques à l'échancrure semi-lunaire, de se terminer Lobe
supérieur
. Limites. Lobes secondai'es Leurs caractère
bencéphale passant par le plan sagittal médian du cervelet. Le lobe
supérieur
est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose,
prépyramidal. - SR, formation réticulée de la calotte. - ssV,, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antéri
lival (sta) est le sillon le plus profond et le plus étendu du lobe
supérieur
. Il entaille profondément le monticule et le lo
vule de Vieussens (Fig. 337), entre les deux pédoncules cérébelleux
supérieurs
qu'il recouvre à sa base. Pour l'apercevoir il fa
uvre à sa base. Pour l'apercevoir il faut ou bien renverser le lobe
supérieur
en arrière, ou enlever à l'aide de ciseaux Sill
et s'é- tendent d'un pédoncule cérébelleux moyen à l'autre. Le bord
supérieur
est tapissé de lamelles sur ses deux faces et d
as"du tubercule quadrijumeau postérieur. - fui, fibres arci- formes;
supérieures
de l'isthme. - Gp, glande pinéale. - Lig, lingu
7'cm, pédoncule cérébel- leux moyen. - l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Qa, Qp"tubercules quadrijumeaux antérieurs e
s. IV, nerf pathétique. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 453 partie
supérieure
de la valvule de Vieussens que des rapports de co
affecte des rapports intimes avec la base du pédoncule cérébelleux
supérieur
et la partie postérieure du pédoncule cérébelleux
du dans le sens vertical sa partie médiane qui appartient au vermis
supérieur
(lobule central proprement dit), mince et effil
ure (Fig. 331) recouvre, au niveau du vermis, la lingula, la partie
supérieure
de la valvule de Vieussens, l'émergence des nerfs
ar le lobe du culmen dont la sépare le sillon post-central. Le bord
supérieur
est libre et onduleux; sa partie moyenne est plus
ntérieur (Fig. 358). Les faces antérieure et postérieure et le bord
supérieur
du lobe central sont tapissés de lames et de la
n'est jamais absolue. ric. 338. - Les corps opto-striés et la face
supérieure
du cemelet. (D'aptes la photo- graphie d'une pi
be postérieur. - 7..f/p, lobe qua- drilatère postérieur. - LS, lobe
supérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. Lsls, lob
rieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. - NC, noyau caudé. - Qa, tubercule quadrijumcau
- scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'A/yr. - ssV, sV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azr. - V(Cu), culmen du monticule. -
Il comprend une partie médiane, le culmen, qui appartient au vermis
supérieur
, et deux masses latérales ou hémisphériques con
e, ce lobe présente trois faces qui sont anlérieure, postérieure et
supérieure
. La face anlérieure est tapissée de lames et de
recouvre le lobe central et quelquefois les pédoncules cérébelleux
supérieurs
lorsque le lobe central n'apparaît pas à la fac
belleux supérieurs lorsque le lobe central n'apparaît pas à la face
supérieure
du cervelet. La face postérieure forme la lèvre
nous l'avons vu plus haut, de véritables plis de passage. La face
supérieure
est très large et comprend la moitié antérieure d
on, aspect. Ses faces. Les lobules secou- daires de sa face
supérieure
. Leurs variétés d'as- pect et leur asymé- t
lusetsurun même hémisphère 4 : ;8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
supérieur
gauche, puis s'élargit brusquement en formant une
elles; elle se rétrécit légèrement au niveau du sillon longitudinal
supérieur
droit (sis), s'élargit au niveau du vermis, puis
s deux le sillon mar- ginal antérieur gauche. Fie. 339. - Le lobe
supérieur
du cervelet, ses lobes et lobules secondaires et
upérieur du cervelet, ses lobes et lobules secondaires et le sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. La pièce a été durcie dans l'alco
sillons interlo- baires et interlobulaires ont été écartés. Le lobe
supérieur
est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose.
d sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sis, sillon longitudinal
supérieur
droit et gauche. - spo, sillon post-central. -
upérieur droit et gauche. - spo, sillon post-central. - ssV. sillon
supérieur
de Vicq d'Aiyr et son lobule profond. - sla, sill
du déclive. I'(Cîj), culmen du monticule. V(rlc) déclive du vermis
supérieur
. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCEPHALE. 159 Le 5° lob
, 359, 360). Situé en arrière du lobe précédent, en avant du sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr qui le sépare du lobe postérieur
i emprunte ses caractères et son aspect gé- néral à la fois au lobe
supérieur
et au lobe postérieur du cervelet. Par la fusio
étendue à la partie hémisphérique, ce lobe appartient bien au lobe
supérieur
du cervelet, mais le vermis ne forme plus, comm
TRES NERVEUX. Les faces. Les lobules secon- daires de sa face
supérieure
. Variétés d'aspect et asymétrie. Les lobule
face anté- rieure concave, une face postérieure convexe et une face
supérieure
. La face antérieure forme la lèvre postérieure
inuent avec les lames de la partie hémisphérique du lobe. La face
supérieure
est irrégulière de forme. Dans la région du vermi
dans le fond de l'échancrure marsupiale, les sillons longitudinaux
supérieurs
sont plus profonds et le délimitent mieux des p
me largeur que le premier; ai rivé au niveau du sillon longitudinal
supérieur
droit, ce lobule se dédouble, fournit deux lobu
nce après un trajet plus ou moins long dans la profondeur du sillon
supérieur
de Vicq d'lr-r, pour former les lamelles et lob
oppement considérable de ses parties hémisphériques. Séparé du lobe
supérieur
par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV), l
ses parties hémisphériques. Séparé du lobe supérieur par le sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr (ssV), le lobe postérieur est li
lobe quadrilatère postérieur. - LI', lobe posté- rieur. - LS, lobe
supérieur
. - 7,su, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lob
eur. - 7,su, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Az
d sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - sis, sillon longitudinal
supérieur
. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sta, s
de Vicq d'Azyr. - sis, sillon longitudinal supérieur. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transverse antérieu
zyr. - sta, sillon transverse antérieur. - l'(Cu), culmen du vermis
supérieur
. V(dc), déclive du vermis supérieur. Lobe posté
eur. - l'(Cu), culmen du vermis supérieur. V(dc), déclive du vermis
supérieur
. Lobe postérieur. Dimensions. Limites. 46
. Tubercule vah u- laire Les deux lobes secondaires. Sillon
supérieur
do Vicq d'.lryr. Sa profondeur, son aspect.
ct. sphérique en trois grands lobes qui sont : le lobe semi-lunaire
supérieur
, le lobe semi-lunaire inférieur et le lobe grêl
el de Vicq d'Azyr le subdivise en deux parties inégales : La partie
supérieure
,1a plus petite, se réduit il une simple lame exc
), le folium cacuminis des anciens auteurs, les lames transversales
supérieures
d'Arnold; il représente la partie la plus posté
ames transversales inférieures d'Arnold et cle Kü 1- liker. Sa face
supérieure
est très réduite, elle n'est guère plus développé
ée de nombreuses lamelles et lobules transversaux et forme la lèvre
supérieure
du profond sillon post-pyramidal. Les lobes sem
upérieure du profond sillon post-pyramidal. Les lobes semi-lunaires
supérieurs
sont réunis dans la région du verrais par le fo
daires : 1° Le lobe du bourgeon terminal ou des lames transversales
supérieures
. comprenant le bourgeon terminal et les lobes s
rieures. comprenant le bourgeon terminal et les lobes semi-lunaires
supérieurs
; 2° Le lobe du tubercule valvulaire ou des lame
erons en revue les sillons qui i les limitent, il savoir, le sillon
supérieur
, le grand sillon circonférentiel et le sillon i
le grand sillon circonférentiel et le sillon inférieur. Le sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr (ssV) (Fig. 336, 338,339, 340,341)
supëro-posléricur, de sillon posl-clical (Schafer), sépare le lobe
supérieur
du lobe postérieur. Superficiel dans la région
(Fig. 341 et Coupes sagittales, Fig. 336, 358, 359, 3G0), le sillon
supérieur
devient rapidement profond dans la région des h
s sillons interlobaires el interlo- Imlaires qui sillonnent la face
supérieure
du cervelet même recouvert de ses méninges (Fig
lles de sa lèvre postérieure qui appartiennent au lobe semi-lunaire
supérieur
sonl, par contre, transversales el sensiblement p
` ? , 3t3) (Sulcus horiionlalis magnus) sépare les lobes de la face
supérieure
du cervelet de ceux de la face inférieure, et e
ceux de la face inférieure, et en particulier le lobe semi- lunaire
supérieur
(Lsls) du lobe semi-lunaire ini'éricnr(Lsli). C'c
trajet il la face inférieure du cer- velet et n'apparaît à la face
supérieure
que dans le voisinage de l'échan- crurc marsupi
n écarte les lèvres de ce sillon (Fig, : H3¡, FIC, 311. - Le sillon
supérieur
de Vicq d'.lzyr et les lobules qui ,Lapisseut ses
aphie d'une pièce durcie dans l'alcool et dont leswlèvres du sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr ont été écartées.) Même pièce que
geon terminal. - LP, lobe postérieur. - 11), lobule profond du sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr.- Lqa, lobe quadrilatère antérie
rilatère antérieur. - Ggp, lohe quadrilatère postérieur. - LS, lobe
supérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lob
'Azyr. sta, sillon transverse antérieur. - sis, sillon longitudinal
supérieur
. ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr ? Tu, tuber
sverse antérieur. - sis, sillon longitudinal supérieur. ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr ? Tu, tubercule valvulaire. - 1'
Fig. 342. - Face latérale du rhombencéphale : les lobes semi-lunaires
supérieur
et inférieur, le grand sillon circonférentiel e
rieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur.-Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. - P, pied du pédon- cule cérébral. - Po, protu
q d'Azyr. - si l', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ss t', sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transverse antérieu
on inférieur de Vicq d'Azyr (siV) (Fig. 3H-), l'homologue du sillon
supérieur
du même auteur, est un sillon, profond en dedans,
e sillon marginal antérieur (sma) à peu près à la hauteur du sillon
supérieur
(ssV) dont le sépare le pédoncule céré- belleux
e. 1. Lobe du bourgeon terminal ou lobe des lames transver- sales
supérieures
. - Bourgeon terminal (13t) et lobe semi- lunair
sales supérieures. - Bourgeon terminal (13t) et lobe semi- lunaire
supérieur
(Lsls). Le lobe du bourgeon terminal constitue
bord pos- térieur du cervelet et se trouve comprise entre le sillon
supérieur
(ssV) et le grand sillon circonférentiel de Vic
s, le lobe du bourgeon terminal forme l'important lobe semi-lunaire
supérieur
(Lsls), mince en dedans, épais en dehors, et qu
eur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
.-Li, lobe des lames transversales d'Arnold. - s
- sc ? grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - ssl', sillon
supérieur
de Vie d'Azyr. - Tv, tubercule valvulaire. - 1'
Vie d'Azyr. - Tv, tubercule valvulaire. - 1'(Éle) déclive du vermis
supérieur
. Sillon inférieur do Vicq d'.\zyr. Son éten
aires. Plis de passage profond reliant le lobes semi-lunaire;
supérieur
et mfc- rieur. Lame de concen- tration comm
e pro- fonde supéro-antérieure forme la lèvre postérieure du sillon
supérieur
; elle présente constamment un mince lobule apl
t les faces supéro-antérieure et pos- térieure du lobe semi-lunaire
supérieur
ont comme caractère commun d'être régulièrement
la face inné- rieure sont plus irrégulières. Elles forment la lèvre
supérieure
du grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr,
postérieure, supéro-antérieure et infé- rieure du lobe semi-lunaire
supérieur
, se fusionnent en dedans et s'im- plantent à an
e concentra- tion commune se continue avec l'une ou l'autre lamelle
supérieure
du tubercule valvulaire. Ce mode d'insertion de
gion vermienne de la région hémisphérique. Elle fait défaut au lobe
supérieur
où les lames des hémisphères se continuent dire
directement avec celles du verrais et où les sillons longitudinaux
supérieurs
sont insignifiants. , 2. Lobe du tubercule valv
s trazzsvez·- sales d'Arnold, remarquable par l'exiguïté de sa face
supérieure
et le développement relativement considérable d
et que le grand sillon circonférentiel passe sur le vermis, la face
supérieure
du tubercule valvu- laire est un peu plus étend
obe semi-lunaire inférieur (Lsli), à l'inverse du lobe semi-lunaire
supérieur
, est large el épais en dedans, mince et étroit en
'autre, mais encore d'un hémisphère à l'autre. Il présente une face
supérieure
qui forme la lèvre inférieure du grand sillon c
partie vcr micnne. Tuberculo valvulaire. ltrievetéde sa tacu
supérieure
. Étendue de sa face inférieure. Segment Lén
e jette en dehors sur la partie correspondante du lobe semi-lunaire
supérieur
(Fig. 343, côté gauche). En dedans, les nombreuse
nique qui s'implante par un court pédicule sur le lobe semi-lunaire
supérieur
ou qui se continue avec les lamelles qui tapissen
êle. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. - Ma, trou de Magendie. - mol', membrane obtura-
rès réduit de vo- lume lorsqu'on le compare aux lobes postérieur ou
supérieur
du cervelet; mais, au pointde vuc embryologique
'implantation du lobe de l'amygdale. Le cervelet repose sur sa face
supérieure
. (D'après la photographie d'une pièce durcie dans
rieur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. ms, le relief médian du versant supérieur du t
Lsls, lobe semi-lunaire supérieur. ms, le relief médian du versant
supérieur
du toit du 4' ventricule formé par la substance
. z/e, nid d'hirondelle. - No, nodule. - Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - l'es(a), face intra-ventriculaire du pédoncule
périeur. - l'es(a), face intra-ventriculaire du pédoncule cérébelleux
supérieur
formant les reliefs latéraux du versant supérie
ncule cérébelleux supérieur formant les reliefs latéraux du versant
supérieur
du 4' ventricule. - pédoncule cérébelleux moyen
sillon post-nodulaire. - sprp, sillon pré-pyramidal. - set', sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - Uo, luette. ! T, valvule de T
nid cle l'amygdale (Burdach) (nh, Fig. 345). Elle loge l'extrémité
supérieure
de l'amygdale dont la sépare un feuillet pie-mé
étroite base d'implantation qui est latérale (Fig. 316) et non pas
supérieure
, comme pour les autres lobes de la face inférieur
pédicule d'insertion de l'amygdale est situé à l'union de son tiers
supérieur
avec ses deux tiers inférieurs (Fig. 34G). Il est
: externe, interne et postérieur, et deux extrémités dont l'une est
supérieure
, l'autre inférieure. La face antérieure est con
pe vertico-transversale du cervelet passant par le culmen du vermis
supérieur
, les noyaux du toit, le bouchon, l'olive cérébell
eur. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. - Ses, embole ou bouchon. No, nodule. Nt, noya
du lobe grêle. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. spop, sillon post- pyramidal. 6
sans pénétrer dans la profondeur de la vallée de Reil. \J extrémité
supérieure
est plus volumineuse que l'inférieure. Comprise
Fig. 346) mon- trent, en outre, les rapports qu'affecte l'extrémité
supérieure
de l'amyg- dale avec l'olive cérébelleuse dont
antérieure et externe de l'amygdale, ainsi que ceux des extrémités
supérieure
et infé- rieure. Les lames de concentration pos
de point de concentration aux deux ou trois lobules de l'extrémité
supérieure
; l'inférieure, beaucoup plus étendue, atteint p
t de limite interne aux nids de pigeon ou d'hirondelle, el une face
supérieure
, tapissée de lamelles cérébelleuses et recouver
et se réfléchissant sur la substance blanche et l'écorce de la face
supérieure
du nodule pour se continuer sur la toile choroï
e (Fig. 347). Au niveau du point d'arrêt de cette dernière, la face
supérieure
du nodule donne insertion à la mince couche épi
ition (Fig. 108, 110 et 3 i.7) que la moitié postérieure de la face
supérieure
du nodule est intra-ventriculaire et que sa moi
nsidère à chaque valvule de Tarin deux faces et deux bords. La face
supérieure
, convexe, fait saillie dans le se ventricule; ell
st recouverte d'un feuillet pie-mérien qui la sépare de l'extrémité
supérieure
de l'amygdale. Le bord postérieur se continue a
à la substance blanche centrale du cervelet. Il forme avec la paroi
supérieure
du toit du ire ven- tricule le diverticule angu
r. - Lsli, lobe semi-lunaire infé- rieur. - Lsls. lobe semi-lunaire
supérieur
. - No, nodule. - Pes, pédoncule cérébelleux sup
semi-lunaire supérieur. - No, nodule. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Pci, pédoncule cérébelleux inférieur. - Pain.
sillon sous-flocculaire. - ssl. sillon semi-lunaire. - ss1', sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - Uv, luette. - l'T. valvule de
intra-ventriculaire; elle forme, ainsi que nous le verrons, la face
supérieure
du diverticule latéral du 1° ventricule (rlV..)
t en haut où elle fait suite au cerveau moyen (Fig. 319). Sa limite
supérieure
est marquée : en avant, par un profond sillon,
d sillon, le sillon pédonculo-protubérantiel ou 1),oliibé),ciiiiiel
supérieur
, qui sépare la protubérance des pédoncules cérébr
re. Sa direction est presque verticale chez l'adulte, son extrémité
supérieure
n'étant inclinée que de 20° à 30° en avant d'un
eure est en rapport avec le rebord du trou occipital et l'extrémité
supérieure
de l'apophyse odontoïde de l'axis. Un sillon tr
lll- béranliel inférieur, divise cette face en deux régions : l'une
supérieure
ou pontine, très saillante et caractérisée par
qui est remarquable par ses reliefs longitu- dinaux. 1° La région
supérieure
ou pontine constitue la protubérance annulaire,
allongée ! . Elle est limitée en haut par le sillon probllbérantiel
supérieur
ou pédonculo- protubérantiel; il la sépare du p
s pédoncules cérébraux el forme sur la ligne médiane le trou borgne
supérieur
, profond diverticule triangulaire limité en hau
ord externe du pied du pédoncule cérébral, le sillon protubérantiel
supérieur
se jette à angle presque droit dans le sillon lat
(tb), s'élargit en haut et se termine dans le sillon protubérantiel
supérieur
, au niveau du trou borgne supérieur (tb'). Il l
e dans le sillon protubérantiel supérieur, au niveau du trou borgne
supérieur
(tb'). Il loge l'artère basilaire, et on le désig
dehors des bourrelets pyramidaux, on trouve, à l'union du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de la protubéran
llon marginal antérieur du cervelet. Les lames c lamelles des faces
supérieure
et inférieure du cervelet s'implantent à an gle
cervelet s'implantent à an gles plus ou moins droits sur ses bords
supérieur
et inférieur; sur Sol TOME Il. 31 Fit;. 349.
érance. - Py, pyramide antérieure du bulbe recou verte il sa partie
supérieure
et à sa partie moyenn par les fibres arciformes
ion pyramidale. lG; trou borgne in férieur. <&', trou borgne
supérieur
. - V. trijumeau - 1 ? nerf facial. - VIII, nerf
le sillon marginal antérieur. On appelle, depuis Rolando, faisceaux
supérieurs
, ceux qui pas- sent au-dessus de l'émergence du
ensions présentent de grandes variétés individuelles. Les faisceaux
supérieurs
et inférieurs débordent en haut et en bas les s
nce, masquant ainsi en partie les pédoncules cérébraux et la partie
supérieure
du bulbe. Ils s'incurvent en même temps sur la
vent en même temps sur la ligne médiane au niveau des trous borgnes
supérieur
et inférieur, et se moulent en haut autour de c
es , de Cruveilhier. Celle disposition des fibres prolubéranlielles
supérieures
et inférieures est très manifeste sur la coupe
.'i), on la voit constituée par deux parties : l'une postérieure ou
supérieure
, l'étage postérieur, la ca- lotir' ou legmenlum
de la protubérance qui le recouvrent. Dans le sillon protubérantiel
supérieur
et dans le sillon latéral de l'isthme, on trouv
n trouve constamment un petit fascicule de fibres qui longe le bord
supérieur
de la protubérance et du pédoncule cérébelleux mo
ans la masse blanche du cervelet entre les pédoncules cérébel- leux
supérieur
el moyen. Malacarne le considérait à tort comme u
variétés individuelles; en général, il apparait dans le trou borgne
supérieur
immédiatement en dehors des fibres radiculaires d
t on le voit surgir vers la partie moyenne du sillon protubérantiel
supérieur
, entre la protubérance et le pied du pédoncule
pédoncule cérébral. Le plus souvent il est unique le long du bord
supérieur
de la protu- bérance, d'autres fois il se bifur
le ruban de Reil latéral et pénètre avec le pédoncule céré- belleux
supérieur
dans le cervelet (Fig. 351); d'autres fois encore
t (Fig. 351); d'autres fois encore, un fascicule croise l'extrémité
supérieure
du pédoncule cérébelleux supérieur dont il long
un fascicule croise l'extrémité supérieure du pédoncule cérébelleux
supérieur
dont il longe le bord interne. Plus rarement en
ncipaux et constants, le tænia pontis suit assez exactement le bord
supérieur
de la protubérance et il semble n'être, dans la
bulbe un relief longitudinal très marqué. Etranglées à leur partie
supérieure
où elles se dégagent au-dessous des fibres tran
eur et se dirige oblique- ment en bas et en dedans. Son extrémité
supérieure
n'atteint pas la protubé- rance dont elle est
chez l'enfant nouveau-né. Lorsqu'on sectionne le bulbe à son tiers
supérieur
(Fig. 366, 367), on constate que l'olive est fo
(sillon des nerfs mixtes) et représente, eu partie, la continuation
supérieure
du faisceau de Gowers. En bas, il se fusionne a
rmée par la valvule de Vieussens (VV) et les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs) ; elle est située en arrière du cerveau m
la sépa- rent des pédoncules cérébelleux moyens (Pcm). Sa limite
supérieure
est consti- tuée en dedans par le sillon d'émer
de Vieussens et sur la partie inférieure des pédoncules cérébelleux
supérieurs
auxquels elles adhèrent intimement; on peul con
i sépare la lingula du lobule central. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pes) occupent les parties exler- nes de cette
nt du sillon latéral de l'isthme, croisent le pédoncule cérébelleux
supérieur
en décrivant des courbes à concavité inférieure,
nodule avec les valvules de Tarin. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen Tpo, t.eni
les se ramassent en un très fort faisceau qui entoure son extrémité
supérieure
et la sépare nettement du ruban de Reil latéral,
et la sépare nettement du ruban de Reil latéral, fibres arciformes,
supérieures
de l'isthme (fai) de Retzius (Fig. 337 et 351). D
ruban de Reil latéral envoie à la surface du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) ; dans ces cas, l'isthme postérieur parait
nte, qui remplit l'intervalle entre les deux pédoncules cérébelleux
supérieurs
et se prolonge avec eux dans la masse blanche c
xtrémité libre de ce lobule; tantôt et le plus souvent, l'extrémité
supérieure
de la valvule est visible sous l'aspect d'une min
ue sans ligne de démarcation avec la moelle épinière, ci une partie
supérieure
, évasée, formée de chaque côté par deux cordons
trice du quatrième ventricule (loV'), de forme triangulaire, à base
supérieure
, et dont les angles latéraux se prolongent en d
eure du bulbe rachidien, une partie inférieure fermée et une parlie
supérieure
ouverte. En réalité, le bulbe est fermé dans to
r l'apposition des cordons postérieurs; il l'est dans sa partie
supérieure
, par la membrane épendy- maire obturatrice dn
latéral du bulbe. - /) ? fossette médiane. - fsa, fst, fos- sette
supérieure
ou antérieure. - ft, faisceaux arrondis, funicu
lée, adossée au corps restiforme, et qui n'atteint, pas les limites
supérieures
du bulbe; elles se portent ensuite obliquement
ans le hile du cervelet en passant entre les pédoncules cérébelleux
supérieur
, situé en dedans, et les pédoncules cérébelleux
lrice du quatrième ventricule est une membrane triangulaire, à base
supérieure
, qui forme le versant inférieur du toit du quatri
t fort variable et paraît manquer dans la plupart des cas. Son hord
supérieur
est concave et se continue en haut avec l'épilhél
atéraux du le ventricule (d'après Retzius). Les lobes postérieur,
supérieur
et inféiieur du cervelet ont été enlevés, le nodu
sont coudées à angle droit et situées il. cheval sur l'extré- mité
supérieure
des corps restiformes sur laquelle elles s'insère
re après ablation du tronc encéphalique, des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, de la lingula et du lobe central. (D'après la ph
e à la rencontre de la ligula opposée. Tantôt, ses bords interne et
supérieur
sont profondément déchiquetés et la ligula post
tte nerveuse, que l'on peut désigner sous le nom de tænia ou ligula
supérieure
du quatrième ventricule. La toile choroïdienne
dienne inférieure, jetée comme un pont sur la partie postérieure et
supérieure
du bulbe et qui se continue en bas avec la 1)ic-m
de Tarin et à la substance blanche du nodule, c'est-à-dire au bord
supérieur
de la membrane obturatrice. MORPHOLOGIE DU RHOM
lon de même nom de l'aqueduc de Sylvius, s'élargit dans la partie
supérieure
ou protubéranlielle du plancher pour former une
ils s'amincissent ensuite, occupent toute la largeur de la partie
supérieure
du plan- cher et se continuent dans l'aqueduc d
11, fossette mé- diane. - fs, funiculi separautes.- fsa, fossette
supérieure
ou antérieure.- fl, funiculi teretes.- ob, obex
nt deux dépressions triangulaires, les fossettes inférieure (al) et
supérieure
(fsa) du plancher rhomboïdal (Fig. 355). La fos
uleur gris foncé; irrégulièrement triangulaire ou ovalaire à sommet
supérieur
et connue sous les .noms de : aile grise (Ag, F
a (al, Fig. 355), cuneus cinereus, eminentia cinerea. La fossette
supérieure
(fsa, fst) (fovea anterior), moins profonde que
res Weber à la petite zone allongée située au-dessus de la fossette
supérieure
, qui s'étend jus- qu'à l'aqueduc de Sylvius et
nombreuses cellules nerveuses fortement pigmentées. Les fossettes
supérieure
et inférieure sont séparées l'une de l'autre pa
recouverte par les stries acoustiques, de sorte que ses extrémités
supérieure
et inférieure sont seules visibles sur le planc
ile grise et connue sous le nom d'aile blanche externe. L'extrémité
supérieure
appartient à la région protubérantielle; Charpy
tique, une saillie ganglionnaire allongée qui entoure l'ex- ,rCmité
supérieure
du corps restiforme el représente un des noyaux d
également, quoi- que plus réduite chez l'homme, entoure l'extrémité
supérieure
du corps restiforme, appartient au plancher des
ries se portent obli- quement en haut et en dehors vers la fossette
supérieure
dans laquelle elles s'enfoncent (stries oblique
fecter un trajet longitu- dinal, croiser très obliquement la partie
supérieure
des funiculi teretes et se perdre au voisinage
MIE DES CENTRES NERVEUX. Les trois régions du jnlanchcr. Région
supérieure
. HCglOll bulbaire ou inférieure. Aile blanc
édiaire ou moyenne, ou région des stries acoustiques; 2° une région
supérieure
ou protubéran- tielle; 3° une région inférieure
otubéran- tielle; 3° une région inférieure ou bulbaire. La région
supérieure
ou protubérantielle est étroite, allongée et beau
du nerf moteur oculaire externe et au genou du facial; la fossette
supérieure
(fsa), dans laquelle s'enfoncent les stries aco
stérieure du quatrième ventricule comprend donc deux versants, l'un
supérieur
, l'autre inférieur, qui s'unissent à angle très a
cti, le faite, sommet ou angle du toit ou de la lente. Le versant
supérieur
, oblique en bas et en arrière, est légèrement con
les de la lingula, et de chaque côté par les pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Vu par la face ventriculaire (Fig. 343), le ve
eux supérieurs. Vu par la face ventriculaire (Fig. 343), le versant
supérieur
présente trois bandes antéro-postérieures saill
sont formées par la face ventriculaire des pédoncules céré- belleux
supérieurs
(Pes, v) et s'unissent en dehors au plancher du q
on latéral, les sépare en haut du locus ca·ruleus et de la fossette
supérieure
du planchcr (Fig. 352. Voy. aussi coupes P3, P4
à 628). Le versant inférieur (Fig. 3S4) est plus irrégulier que le
supérieur
; il est coudé et présente : z10 un petit segmen
cou- pcs : transv('rsalc ? Voûte du 4e ven- tricule. Versant
supérieur
. Étendue. Hehefs longlt1HlÎ- nauc. Versan
3). diverticules latéraux du quatrième ventricule. - Les versants
supérieur
et inférieur du toit, en se réunissant avec le pl
la voûte du quatrième ventricule. La paroi épaisse occupe la partie
supérieure
et antérieure du diverticule; elle est formée p
dimen- taires, plus ou moins développées, les liqitlw antérieure et
supérieure
(Fig. 353). L'extrémité renflée des diverticu
au hile du cer- velet et au sillon marginal antérieur. La partie
supérieure
, S2lS-vetl)'tC2llatt'e de celle ligne d'arrêt, dé
elle ligne d'arrêt, décrit dans son ensemble une courbe à convexité
supérieure
(Fig. 3.8). Très accen- tuée et saillante sur l
a et des ailes du lobe central sur la base du pédoncule cérébelleux
supérieur
et du pédoncule cérébelleux moyen (Fig. 337) ;
la ligne d'arrêt, est plus irré- gulière et plus accidentée que la
supérieure
(Fig. 315 et 31ls); sur la ligne médiane, elle
ourbe à CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 505 concavité
supérieure
et antérieure, qui comprend assez exactement les
.7,s< : , lobe semi-lunaire inférieur. - Lits, lobe semi-lunaire
supérieur
. - Pie, pyramide de mais- carne. - Oc, olive cé
onférentiel. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssl', sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-pyramidal. -
ongements : les uns extrinsèques forment les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, moyens et infé- rieurs , émergent au niveau du
aisseur de la substance blanche centrale, au voisinage du ver- sant
supérieur
du toit du quatrième ventricule, se trouvent les
s grandes dimensions sur une coupe horizontale passant par le tiers
supérieur
des olives cérébelleuse (Fig. 3G1), telle qu'el
eil divise le cervelet en deux parties d'inégale épaisseur : l'une,
supérieure
, mince, comprenant la substance blanche immédia
culaires externes du cervelet mises à nu après ablation de la lèvre
supérieure
du sillon supérieur de Vicq d'Azyr. La moitié d
rvelet mises à nu après ablation de la lèvre supérieure du sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. La moitié droite représente une
tre ovale du cervelet après ablation des circonvolutions de la face
supérieure
du grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr.
es. - Lsli, lobe semi- lunaire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire
supérieur
. - Oc, olive cérébelleuse. - sef, grand sillon
d'Azyr. - Th, Thalamus. - Il (de) déclive. - (eu), culmen du vermis
supérieur
. Centre ovalo du cervelet. 508 ANATOMIE DES
r l'olive cérébel- leuse et le pédoncule cérébelleux moyen. Le lobe
supérieur
est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose,
sillon post-cen- tral. - spop, sillon post-pyramida). ssl', sillon
supérieur
de Vicq d ? zyi-. - sla, sillon transverse anté
s internes du lobe semi-lunaire inférieur et de l'amygdale. Le lobe
supérieur
est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose,
4° ventri- cule. - Nt, noyau du toit. - l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Plcht, plexus choroïdes transversaux du 't'
férieur de Vicq d'Azyr. - sprp, sillon prépyramidal. - ssV,, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieu
lement (au delà du plan sagittal passant par le sillon longitudinal
supérieur
) avec l'arbre de vie des lobes latéraux du cerv
trale sè continue en haut et en avant avec le pédoncule cérébelleux
supérieur
(coupe S5, Fig. 360), et l'on voit apparaître a
e dans le plan situé immédiatement en dehors du sillon longitudinal
supérieur
une véritable région de transi- tion, dans laqu
t (NL), nucleus /cc, nucleus fasligii, substance feilrit- giiiezise
supérieure
(v. IiGlliker). - Découvert et figuré par Stillin
zontales (coupes H6, C4, Fig. 429, 435) qui inté- ressent sa partie
supérieure
, le noyau du toit se présente sous l'aspect d'u
entelés accessoires occupent dans la région de transition la parlie
supérieure
et interne de l'olive cérébelleuse. Ce sont deu
ant par les noyaux dentelés accessoires, le pédon- cule cérébelleux
supérieur
et la grosse racine sensitive descendante du trij
eur et la grosse racine sensitive descendante du trijumeau. Le lobe
supérieur
est coloré en bleu, le lobe postérieur en rouge,
u masticateur ou moteur du trijumeau. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - l'ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - scf,
sillon du lobe grêle. - spop, sillon post-pyramidal. - ssl', sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieu
qui le sépare da noyau du toit, en arrière du pédoncule cérébelleux
supérieur
avec leque il pénètre dans le hile de l'olive c
ue à la façon d'un coin, entre ce corps et le pédoncule cérébelleux
supérieur
qu'il comprime (coupes H 5 et H 6, Fig. 4 28 et 4
artie inféro-poslérieure du hile de l'olive cérébelleuse; la partie
supérieure
, mince, effilée et plus ou moins irrégulière, rep
t en bas et en dedans. Ses faces sont externe et interne, ses bords
supérieur
et inférieur, ses extrémités antérieure et post
ge obli- quement en haut et en dedans, de telle sorte que les bords
supérieur
et inférieur ne sont pas situés sur un même pla
et inférieur ne sont pas situés sur un même plan sagittal; le bord
supérieur
est plus interne que l'inférieur, il est distan
- Pem, pédoncule céré- belleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - sta,
belleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transverse antéri
s sont plus nombreux, plus étendus, plus profonds, dans les régions
supérieure
et inférieure du corps dentelé où l'on en compt
lement la surface de l'olive cérébelleuse. Au niveau des deux tiers
supérieurs
de sa face interne, l'olive cérébelleuse présen
5, Fig. 3G1);; il livre passage aux libres du pédoncule cérébelleux
supérieur
et loge un des noyaux dentelés accessoires, qui
sse le nid d'hirondelle (coupe C 6, Fig. 437). Les parties externe,
supérieure
, inférieure et postérieure de l'olive céré- bel
, l'homologue de la substance - blanche intra-ciliaire. A la partie
supérieure
et externe de l'olive cérébel- leuse, on trouve
ont l'un, exlezwe et superficiel (fsme, Fig. 361), occupe la moitié
supérieure
de la substance blanche centrale des hémisphère
coupes S 9, C5, C8, Fig. 358, 361, 416); le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), aux dépens du feutrage intra-ciliaire (fic
ise, connue sous le nom de Fig. 36 ? . - Les pédoncules cérébelleux
supérieur
et moyen, l'étage antérieur de la protu- béranc
moteur du trijumeau. - 1\Ts, noyau sensitif du trijumeau. Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - l'cm, pédoncule cérébelleu
- l'cm, pédoncule cérébelleux moyen. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - 1', raphé médian de la protubérance avec ses f
lles sont par conséquent particulièrement nombreuses dans la moitié
supérieure
de la protubérance (H 1 à H4, Fig. 391 à 396).
lIes. Fibres sagittales ,lu raphé. Pédoncules cére- I)clletix
supérieurs
. Trajet. Rapports. moyennes cessent d'exist
ticulée du côté opposé (coupe H 3, Fig. 362). Pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Synonymie : Processus cerebelli ad testi
commissura cerebelli cmn ce1'ebro (Arnold), pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Gratiolet), bmc1zia conjunc- livra, Bindearm (
l,' GJ'ossltirnsc1zenkel des Kleinhirns. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
s'étendent du noyau dentelé et du feutrage inlra-
tra-ventriculaire qui imprime un relief longitudinal sur le versant
supérieur
du toit du live ventricule (Fig. 345) et une face
semi-lunaire ou antérieure du cervelet. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs, Fig. 363 et 360,coupe S 5) émergent de la
mer le nid de pigeon ou d'hirondelle et sonl séparés de l'extrémité
supérieure
de l'amygdale, en avant par l'épendyme ven- tri
e. 363. - Les noyaux rouges de Stilling et les pédoncules cérébelleux
supérieurs
dans leur trajet intra-cérébelleux, juxta-ventr
encéphalique et du cervelet, sectionnant les pédoncules cérébelleux
supérieurs
dans toute leur longueur, depuis leur origine d
- l'cna, pédoncule cérébelleux moyen. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - xl'cs, son entre-croisement. - Peste), le pé
. - xl'cs, son entre-croisement. - Peste), le pédoncule cérébelleux
supérieur
après son entre-croisement. - Plclel'n, plexus
t aisé par la dissection de poursuivre chaque pédoncule cérébelleux
supérieur
, soit dans le cervelet, soit dans les noyaux ro
suivre dans toute sa longueur le trajet du pédoncule cérébel- leux
supérieur
, depuis son origine dans l'olive cérébelleuse jus
sé. Stilling compare celle disposition des pédoncules cérébel- leux
supérieurs
à deux branches de ciseaux à demi ouvertes. Les n
elleuses aux lames. De par son trajet, chaque pédoncule cérébelleux
supérieur
comprend donc trois parties : l'une inférieure
enne, ou juxta-ventriculaire, apparente à l'extérieur, la troisième
supérieure
ou int1'a-legmenlaire et appartenant à la calot
s perpendiculaires à l'axe de l'encéphale, le pédoncule cérébelleux
supérieur
présente une surface de section et des rapports
profondeur de la cavité du noyau dentelé, le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) se distingue mal du feutrage intra-ciliai
e par le feutrage intra-ciliaire (lie), le bouchon (Sem) et la lame
supérieure
du corps dentelé (Oc, coupes C 2 à C 5, Fig. 43
olive cérébelleuse (Fig. 432, coupe C 1,), le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) se rapproche de la ligne médiane; il est
vec le corps juxta-restiforme (Cj), en particulier avec l'extrémité
supérieure
du noyau de Deiters connue sous le nom de noyau
s connue sous le nom de noyau de Bechterew (NB) et avec l'extrémité
supérieure
des noyaux sensitif (NVs) el moteur (NVm) du tr
par les fibres semi-circulaires externes qui contour- nent la face
supérieure
du noyau dentelé et se fusionnent ace niveau avec
on segment moyen ou juxta-ventriculaire, le pédoncule cérébel- leux
supérieur
forme la paroi postérieure du quatrième ventricul
intervalle d'autant moins grand que l'on considère des coupes plus
supérieures
. Cet intervalle est comblé en bas (coupe H3, Fi
g. 3G2, côté droit) par le noyau moteur du trijumeau et l'extrémité
supérieure
du noyau sensitif, en haut (Fig. 362, côté gauche
eure du noyau sensitif, en haut (Fig. 362, côté gauche) par l'olive
supérieure
ou protubérantielle (Os) et le ruban de Reil laté
uxta-ventri- culaire et intra-tegmentaire, le pédoncule cérébelleux
supérieur
change de forme. Son extrémité postérieure s'ef
ogliques cloisonnent la surface de section du pédoncule cérébelleux
supérieur
en champs rectangulaires qui sont d'autant plus
tuber- cules quadrijumeaux postérieurs, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
FIG. 364. - La commissure de Wernekink, les ent
entre-croisements supéiieur et inférieur des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. - La voie pédonculaire, le stratum inler- medi
NR1, noyau du ruban de Iteil latéral. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
; xiPcs, son grand entre-croisement inférieur ; xs
and entre-croisement inférieur ; xsl'cs, son petit entre-croisement
supérieur
. - PLp, pes lemniscus profond. - RI, ruban de Rei
coupes P3, P2, Fig. 368, 393), et les deux pédoncules céré- belleux
supérieurs
forment, sur les coupes transversales, un large f
coupe P 1, Fig. 364). L'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
présente quelques particularités, il ne s'effec
ut et en arrière. Il en résulte que si dans les régions moyennes et
supérieures
(coupe P.2, Fig. 393), l'entre- croisement s'ef
eure du raphé, voisine du ruban de Reil médian, et dans les régions
supérieures
que la partie postérieure du raphé, celle qui a
e fibres, appartenant aux fascicules les plus postérieurs, les plus
supérieurs
et les plus internes, s'entre-croise à angle dr
donc distinguer dans l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
un grand entre-croisement ventral ou inférieur
) il direction transversale, et un petit entre-croisement dorsal ou
supérieur
(xsPcs) à direction dorso-ventrale (Fig. 364).
médiatement après leur entre-croisement, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pes) forment de chaque côté du raphé deux volumi
rise qui grandissent au sur et à mesure que l'on examine les coupes
supérieures
(Fig. 363 et Fig. 25, 26, 48), et se superposent
5, 26, 48), et se superposent finalement aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
croisés en formant les noyaux rouges (NR) de St
Stilling. Un certain nombre de fascicules du pédoncule cérébelleux
supérieur
pénètrent dans l'épaisseur du noyau rouge, lui
ntrale du thala- mus. (Voy. Constitution des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, Chap. IV.) Noyau rouge (NR), radiations de la
. 1\Iode : d' cntre-croi sement des pédon- cules cérébelleux
supérieurs
. PetIt entre-croise ment supérieur. Grand e
pédon- cules cérébelleux supérieurs. PetIt entre-croise ment
supérieur
. Grand entre-croisé ment Infériour. Noyaux
rouge de la calotte (nucleus ouber de Burdach et de Stilling, olive
supérieure
de Luys), figuré déjà par Santorini, Vicq d'Azy
relais ganglion- naire situé sur le trajet du pédoncule cérébelleux
supérieur
(ganglion du pédoncule cérébelleux supérieur).
pédoncule cérébelleux supérieur (ganglion du pédoncule cérébelleux
supérieur
). Il occupe la calotte pédonculaire aux confins
anléro-postérieur. Il est situé au-dessus du pédoncule cérébelleux
supérieur
qui l'aborde presque immédiatement après son en
ert, échancrure considérée à tort par Luys comme le hile de l'olive
supérieure
. Le noyau rouge présente, sur les' coupes color
ionne en arrière, en bas et en dehors avec le pédoncule cérébelleux
supérieur
, les fibres longitudi- nales de la formation ré
se) et les fibres extrinsèques du cervelet : pédoncules cérébelleux
supérieur
, inférieur, moyen et corps juxta-restiforme. Co
rne. - A'vn, noyau du facial. - Oc, olive cérébelleuse. - Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - l'ci, pédoncule cérébelleu
- l'cm, pédoncule cérébelleux moyen. - l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Rm, ruban de Reil médian. SgR, substance gél
avec les fibres semi-circulaires externes qui recou- vrent la face
supérieure
de l'olive cérébelleuse, s'insinue entre le pédon
de l'olive cérébelleuse, s'insinue entre le pédon- cule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) e
pédoncule cérébelleux moyen qui leur sont parallèles dans la partie
supérieure
de leur trajet. Le pédoncule cérébelleux inféri
volumineux faisceau qui occupe l'angle postéro-externe de la moitié
supérieure
du bulbe et constitue le corps restiforme (Crst
rticules latéraux du 4° ventricule. Coupe transversale de la partie
supérieure
du bulbe passant par les tubercules acoustiques
d'olive inférieure, de grosse olive, pour la distinguer de l'olive
supérieure
, petite ou protubérantielle. Située à la partie
l'olive supérieure, petite ou protubérantielle. Située à la partie
supérieure
du bulbe, entre la pyramide antérieure et le si
(Fig. 398, p. 563 et 4 f.G, p. 679) qui sectionnent les extrémités
supérieure
et inférieure de l'olive n'intéressent cle même
oyau plat, vertical et rectiligne, qui n'atteint pas les extrémités
supérieure
et inférieure de l'olive, recouvre la moitié inte
étendu et occupe presque toute la hauteur du bulbe, de l'extrémité
supérieure
de l'olive à l'entre-croisement sensitif, coupe
nterne du pied du pédoncule cérébral, de chaque côté du trou borgne
supérieur
(coupe P3, Fig. 368). Fig. 368. - Dissociation
en haut et en avant passant par la lèvre inférieure du trou borgne
supérieur
, par la valvule de Vieussens et la commissure e
rnekink, formée par l'entre-croise- ment des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. (
ion inter-pédonculaire. - Le, locus ceruleus. - ives, noyau central
supérieur
. - NI, noyau latéral, compris entre le pédoncule
érieur. - NI, noyau latéral, compris entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
et le ruban de Reil médian. - -Vin, noyau du nerf
noyau du nerf moteur oculaire commun. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
formant par son entre-croisement avec celui du
eau compact (coupe P 4 Fig. 3G9). Ce n'est qu'au voisinage du tiers
supérieur
de la protubérance (coupe Hl, Fig. 3994,p. 557)
rnekink, formée par l'entre-croi- sement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. - Méthode de Weigert-Pal. 3/t Gran- deur natur
res de la protubérance. z - Lc,locus cwruleus. - Ncs, noyau central
supérieur
. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - lil,
leus. - Ncs, noyau central supérieur. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - lil, ruban de Reil latéral. - rubin de Hei)
il médian et le faisceau central de la calotte. Dans les deux tiers
supérieurs
de la protubérance, la dissociation de la voie
du faisceau pyramidal est plane ou légèrement concave. A la partie
supérieure
du bulbe(coupeH8,Fig.398, cûlé gauche, p. 563),
phie de l'écorce cérébelleuse. Intégrité des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs). Intégrité des voies pédonculaires (VP).
s fibres transversales du pont qui apparaissent dans le trou borgne
supérieur
, et qui dissocient la voie pédonculaire, refoul
réintègrent la voie pédoncu- laire dans les régions bul- baires
supérieure
(Fig. 379) et moyenne (Fig. 380). Dégé- néres
étachent de la voie pédonculaire dans les régions protubérantielles
supérieure
ou moyenne (Fig. 375, 381, 382), tantôt seuleme
x différentes hauteurs de la moelle cervicale inférieure ou dorsale
supérieure
. Le faisceau dit de Pick, n'est qu'une modalité
ll et de Burdach, forment l'entre-croisement piniforme, sensitif ou
supérieur
des pyramides et se continuent avec le ruban de R
aux propres a certains faisceaux de la formation réti- tulue.
supérieur
, le noyau rouge et les radiations de la calotte (
ales. La colonne interne fournit, dans la région pro- tubérantielle
supérieure
, le noyau d'origine de la porlion motrice du ne
du corps restiforme, en connexion intime avec ce faisceau, l'olive
supérieure
ou protubérantielle, CONFIGURATION INTERIEURE D
long trajet étendu de la région sous-optique a la moelle cervicale
supérieure
, le réseau de substance grise de la formation rét
nt : au voisinage du raphé deux noyaux superposés, le noyau central
supérieur
(Ncs, coupes Hl, H 2, Fig. 394 et 395) et le no
, 400, 402). Au niveau du collet du bulbe el de la moelle cervicale
supérieure
, ils constituent les cornes antérieure et latéral
par le faisceau rétroflexe de Meynert et les voies cérébel- leuses
supérieures
- radiations de la calotte, noyau rouge et pédonc
es - radiations de la calotte, noyau rouge et pédoncule cérébelleux
supérieur
- avec lesquelles elle s'enchevêtre intimement; e
ulaire au-dessus de l'entre-croi- sement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Le noyau blanc de Stilling, les entre-croiseme
noyau du nerf moteur oculaire commun. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
après son entre-croisement ou noyau blanc de Stil
e sens antéro-postérieur du noyau rouge et du pédoncule cérébelleux
supérieur
, qui lui succède (Fig 392), à la subs- tance gr
en grande partie, par l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
qui forment la commissure en fer à cheval de We
situées l'une en avant, l'autre en arrière du pédoncule cérébelleux
supérieur
. La zone antérieure (coupe P 2, Fig. 393), minc
réti- culée. Chez le chien et le lapin où le pédoncule cérébelleux
supérieur
est peu développé, la formation réticulée occup
ce grise centrale; son enchevêtrement avec le pédoncule cérébelleux
supérieur
est facile il constater et le noyau latéral fai
- dessous de l'entre- croisement des pé- doncules cérébelleux
supérieurs
. 556 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau c
supérieurs. 556 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau central
supérieur
lièrement riche en trabécules gris, apparaît le
rieur lièrement riche en trabécules gris, apparaît le noyau central
supérieur
J' de Bechterew(Ncs, hig. 39, coupeHl). Cenoyau
Ncs, hig. 39, coupeHl). Cenoyau occupe la région protu- bérantielle
supérieure
, existe sur toutes les coupes qui passent au-dess
latéral de la for- mation réticulée. - l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - xil'cs, son grand entre-croi- sement inférie
entre-croi- sement inférieur. - xsl'cs, son petit entre-croisement
supérieur
. - PLp, pes lemniscus profond. - RI, ruban de R
cc, FiG. 3%. - La formation réticulée de la région protubérantielle
supérieure
au-dessous de la commissure en fer à cheval de
Lqa. lobe quadrilatère antérieur du cervelet. - Vcs, noyau central
supérieur
. - NI, noyau latéral de la formation réticulée. -
yau latéral de la formation réticulée. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Ill, ruban de Reil latéral. - 7 ! M : , ruban de
pondant à l'entre-croi- sement des nerfs pathétiques et à la partie
supérieure
de la valvule de Vieussens(coupe H2 Fig. 395),
ure de la valvule de Vieussens(coupe H2 Fig. 395), le noyau central
supérieur
parai ! élargi et mal délimité en dehors; il es
i- Fig. 395. - La formation réticulée de la région protubérantielle
supérieure
. - Les noyaux central supérieur et circonflexe.
ulée de la région protubérantielle supérieure. - Les noyaux central
supérieur
et circonflexe. - Les rubans de Ileil médian et l
l médian et latéral, le noyau du ruban de Reil latéral et la partie
supérieure
du corps trapézoïde. - La dissociation de la vo
- Le, locus ceruleus. Nef, noyau circonflexe. - Ncs, noyau central
supérieur
; Ncs' son seg- ment externe. NUI, noyau du ruba
- l'cnz, pédoncule cérébelleux moyen. -l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - r, raphé avec ses fibres sagittales. - Rl, r
rabécules gris qui semble n'être qu'une dépendance du noyau central
supérieur
, lequel comprend ici un segment interne (Ncs) e
ral supéro-externe de Bechterew). Dans la région protubérantielle
supérieure
(coupe H2, Fig. 395), les trabécules,gris s'ama
ruban de Reil médian, et avec celles qui limitent le noyau central
supérieur
en dehors (coupe H2, Fig. 395). 3° Dans la régi
l'émergence du trijumeau et à son noyau moteur, les noyaux central
supérieur
et circonflexe disparaissent. Les fibres longit
n réticulée, dans la région'comprise entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
, le hile du cervelet et la face externe du fais
aux moteur et sensitif du trijumeau. - Les pédoncules cérébel- leux
supérieur
, moyen et inférieur et les fibres semi-circulaire
ur du trijumeau. - v\'l's, noyau sensitif du trijumeau. - Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - ! 'cm, l'ci, ]les, pédoncu
e. - ! 'cm, l'ci, ]les, pédoncule céré- belleux moyen, inférieur et
supérieur
. - Iinz, ruban de Reil médian. - SR, formation
uban de Reil médian et le faisceau central de la calotte. - L'olive
supérieure
ou protubérantielle, le corps trapézoïde, la bran
yau d'origine du nerf facial. - Oc, olive cérébelleuse. - 0 ? olive
supérieure
ou protubérantielle; hOs, hile de l'olive supé-
eure. - L'ci, L'cnz, l'es, pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et
supérieur
. l'il, fais- ceau pyramidal. r, raphé, ses fibr
dans en dehors et d'avant en arrière (coupe H 7, Fig. 397), l'olive
supérieure
(Os), le noyau d'origine du facial (NVII), la s
x profonds de la protubérance. c) Segment bulbaire. 1 Dans le tiers
supérieur
du bulbe, la forma- tion réticulée se transform
HALE. 563 Fic.. 398. - La formation réticulée de la région bulbaire
supérieure
. Le noyau central inférieur, le ruban de Reil m
en avant, passant par le sillon bulbo-protubérantiel et l'extrémité
supérieure
de l'olive bulbaire, au-dessus du diverticule l
ibulaire du nerf auditif. malion réticulée. Dans la région bulbaire
supérieure
(coupe H8, Fig. 398), le noyau central inférieu
réticulée blanche apparaît sur la ligne médiane Y entre-croisement
supérieur
, sensitif, ou pi*nilo2,nîe du bulbe (xpin, coup
scicules onduleux du FIG. 401. - La formation réticulée à la partie
supérieure
de l'entre-croisement moteur du bulbe. Méthode
t suite d'après cet auteur aux fibres qui enveloppent l'extré- mité
supérieure
de l'olive bulbaire et à celles qui sonl adossées
encéphale entre le pédoncule cérébral et les pédoncules cérébelleux
supérieur
et moyen, se porte obli- quement en haut, en ar
t contourne en anse la partie supé- rieure du pédoncule cérébelleux
supérieur
, puis redevient profond en s'enfonçant sous le
c, Burdach). Si l'on fait abstraction des connexions inférieures et
supérieures
du ruban dit de Reil (connexions qui ne furent
us. 5ï0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. S) nonynncs de la pni-tio
supérieure
du ruban de Rcl : Synonymies de la partie i
nd dans le tubercule quadrijumeau antérieur porte les noms de ruban
supérieur
, obères Schleifenblatt (Meynert) ; obere Schleife
HALE. 571 1 toute la hauteur du bulbe en formant l'entre-croisement
supérieur
à celui des pyramides. L'examen de coupes fines
à Stilling, Deiters, Clarke, Luys, Kôlliker, que l'entre-croisement
supérieur
du bulbe provient des noyaux des cordons postérie
fibres des noyaux des cordons postérieurs et de l'entre-croisement
supérieur
du bulbe montaient dans le bulbe en arrière des p
arrière des pyramides anté- rieures au niveau de l'entre-croisement
supérieur
, sensitif ou piniforme du bulbe. Il change ensu
juxta-restiforme, les fibres arciformes interréticulées, la partie
supérieure
de l'entre- croisement piniforme et la couche i
ption de cette coupe, p. 6î3, coupe H13, Fig. 443.) Cp, extrémité
supérieure
des cordons postérieurs. NCp, masse commune aux n
s'entre-croisant à la partie postérieure du raphé au niveau du bord
supérieur
de l'entre-croisement pini- forme (xpin). - Fit
rme d'un cône de pin, à sommet postérieur, c'est l'entre-croisement
supérieur
ou sensitif du bulbe, l'entre- croisement pinif
tique ou par celle des dégéné- rescences secondaires. Sa partie
supérieure
, mince et effilée, occupe dans les ré- gions
tre la pyramide antérieure, le noyau central inférieur, l'extrémité
supérieure
de l'olive bulbaire et le raphé médian. Couche
fibres radicu- laires de la VIe paire, et connu sous le nom d'olive
supérieure
ou protubérantielle (Os). Peu développée chez l
t. - .\1-Il, noyau du facial. - Oc, olive cérébelleuse. - Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - l'ci, l'cm. l'es, pédonc
lle. - l'ci, l'cm. l'es, pédoncules cérébelleux inférieur. moyen et
supérieur
, - IW ruban de Reil médian. Sbe, qtibstaiice bl
sont particulièrement nom- breux dans les régions protubérantielles
supérieure
et moyenne, mais font le plus souvent défaut da
l médian; il se porte en arrière, recouvre le pédoncule cérébelleux
supérieur
(l'cs), atteint la face latérale du tronc encép
e s'accuse davantage l'entre- croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(x Pcs). Le ruban de Jteil latéral (RI), présen
le tubercule quadrijumeau antérieur et,con5titunt le ruban de Reil
supérieur
(obere Schleife); les autres -mi de beaucoup les
cordons antérieurs de Gratiolet et de Stilling; faisceau longitudinal
supérieur
de Stieda; Hinteres LangsbÜndel de Meynert; fib
l de Meynert; fibres spinales des régions postérieures (Luys); bord
supérieur
de la substance réticulée (Henle); fasciculus lon
du noyau rouge, de l'entre-croisement des pédon- cules cérébelleux
supérieurs
, du noyau central supérieur et du noyau réticul
roisement des pédon- cules cérébelleux supérieurs, du noyau central
supérieur
et du noyau réticulé de la calotte, et présente
IEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 581 cérébral, la protubérance et la partie
supérieure
du bulbe, grâce à l'intense coloration de ses f
ur la partie supéro-internc de la capsule du noyau rouge; sa partie
supérieure
et externe comprend sur les coupes horizontales
S CENTRES NERVEUX. Son aspect dans la région protubéran- ticlle
supérieure
. ' 1 Son aspect au ni- \ eau du noyau du ne
aspect dans la région protubéran- tielle intérieure cérébelleux
supérieurs
(coupe n° 13 x, T. ICI', Fig. 328, p. 661), ce po
élimitée en avant par l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
et unie à celle du côté opposé par un petit pon
con- serve cette forme d'aile dans toute la région protubérantielle
supérieure
qui correspond à l'émergence du nerf pathétique
trémité supé- rieure de la valvule de Vieussens et au noyau central
supérieur
(coupes P2 à P4 et H1, Fig. 420 à 423, p. 618 à
micirculaires externes du cervelet. Y ? noyau réticulé. - Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - l'cs, pédon- cule cérébe
ive supérieure ou protubérantielle. - l'cs, pédon- cule cérébelleux
supérieur
. - Sge, substance grise centrale. - SR, formation
au central de la calotte est le moins bien délimité; dans la partie
supérieure
ou pédonculaire de son trajet, il se fusionne c
ure de (coupe Hl, Fig. 423 p. 623). Accolé au pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), il est limité en arrière par le noyau ci
ière par le noyau circonflexe (Nef), en dedans par le noyau central
supérieur
(nets) et le faisceau longitudinal postérieur (Fl
en avant, du ruban de Reil médian (Rm), par les fibres horizontales
supérieures
du corps trapézoïde (Tr) qui se rendent dans le
partie avec le ruban de Reil médian se place en dedans de l'olive
supérieure
ou protubérantielle (Os) et du noyau du facial (N
e du noyau rouge et ses COI1- ne21ons aiec le pédoncule cérébelleux
supérieur
. Arch. roy. de Belgique, Brucelles, 1894. - Du
le angulaire dans le cervelet et elle est constituée dans sa partie
supérieure
par le cervelet, dans sa partie inférieure, par
marquable par son épaisseur et sa brièveté, se détache de la partie
supérieure
du noyau blanc central et se porte obliquement
limètres de haut sur 1 à 2 millimètres de large. Vers son extrémité
supérieure
, renflée en massue, - convergent les axes plusi
es plusieurs fois ramifiés des 3 à 4 lobules secondaires de la face
supérieure
du culmen; sur ses faces antérieure et postérieur
nflée reçoit : 1° le court axe commun aux 2 ou 3 lobules de la face
supérieure
du déclive; 20 le court axe du bourgeon termina
° l'axe plus long du tubercule valvulaire (Tub. valv.). Sur sa face
supérieure
s'implantent les axes des nombreux lames et lob
ic", substance grise centrale du tronc encéphalique et de la partie
supérieure
de la moelle. - spo, sillon postcentral. - spop
, sillon prép-rail-iidal. - Sli, formation réticulée. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transverse anté-
QUE DU RHOMBENCÉPHALE. 591 ou moins sessiles qui tapissent la lèvre
supérieure
du sillon ]Jost-pYI'amidal (spop). Elle reçoit
e détachent directement de la substance blanche centrale, deux sont
supérieures
et deux inférieures. Les premières se portent d
mmet de la lingula est plus indépendant et mieux développé. La face
supérieure
de l'axe de la lingula est seule recouverte par
pissée par l'épendyme ventriculaire et concourt à former le versant
supérieur
du toit du quatrième ventricule. L'axe de la lu
de la substance blanche centrale, l'écorce cérébelleuse de la face
supérieure
du nodule est recouverte dans une petite partie d
n étendue, par l'épendyme ventriculaire qui se réfléchit du versant
supérieur
sur le versant inférieur du toit du quatrième v
sépare complètement l'ÉTAGE antérieur en deux parties; la partie
supérieure
ou prolubé- ranlielle, très épaisse, contient l
. Les petits amas irréguliers de substance grise situés à la limite
supérieure
de la coupe, au-dessus du noyau central inférie
(Nt) et le nodule, rase le bord interne du pédon- cule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et Intéresse, dans le tronc encéphalique,
neuse de Hoiando. siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. ssF, sillon
supérieur
de vice d'Azyr. - SR, formation réticulée. - st
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. quelques fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Quant aux lobes des faces supérieure et
du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Quant aux lobes des faces
supérieure
et postérieure du vermis : lobes central, culmen,
vec le ruban de Reil médian (Rm) et les connexions avec l'extrémité
supérieure
de l'olive bulbaire (Oi), sont très mani- feste
t, la valvule de Tarin, le nid d'hirondelle, le pédoncule cérébelleux
supérieur
à sa pénétration dans le cervelet. - Les étages
. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Py, faisceau pyramidal. - Rna, ruban de Reil
rise du bulbe. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV,, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - spo, sillon post-central. - s
vule de Tarin (VT), le nid d'hirondelle et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs); elle intéresse dans le tronc encéphaliqu
et se continue direc- tement en avant avec le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes), formant avec lui une masse irrégulièreme
t moins nettement circonscrite que la partie interne. Des parties
supérieure
et postérieure de la substance blanche centrale s
lamelle cérébelleuse qui recouvre la base du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) et envoie un grêle et court axe dans la s
es sont représentées dans cette coupe : 1° Par le lobe semi-lunaire
supérieur
, réduit à une lamelle qui coiffe l'extrémité po
en avant, la pyramide et la luette en arrière, et dont l'extrémité
supérieure
se loge dans le nid d'hirondelle, formé sur cet
ulbaire par les fibres arciformes sectionnées très obliquement. Les
supérieures
, plus colorées par l'hématoxyline, appartiennen
cérébelleuse et le trajet intracérébelleux du pédoncule cérébelleux
supérieur
. La substance blanche du vermis s'accroît rapid
a substance blanche centrale, qui reçoit les pédoncules cérébelleux
supérieur
, inférieur et moyen, et contient dans son épais
i bordent les faces antérieure el postérieure ainsi que l'extrémité
supérieure
de la branche verticale de l'arbre de vie média
mplantation, qui correspond à toute la moitié antérieure de la face
supérieure
de la substance blanche centrale des hémisphère
quadrilatère pos- térieur), du bourgeon terminal (lobe semi-lunaire
supérieur
), et du tubercule valvulaire (lobe semi-lunaire
si à une simple lamelle sessile, adhérente au pédoncule cérébelleux
supérieur
(Lig', Coupe S4, Fig. 412). L'axe du lobe cen
en un moignon informe qui présente deux crêtes ou saillies, dont la
supérieure
reçoit l'insertion de l'axe de l'amygdale, l'in
s'effectue bientôt sur une ligne assez régulière à légère convexité
supérieure
(Coupes S 8 et S 9, Fig. 416 et 417), ligne sur
ort considérable des fibres fournies par les pédoncules cérébelleux
supérieur
et inférieur, 2° aux dépens des axes de tous le
r et inférieur, 2° aux dépens des axes de tous les lobes de la face
supérieure
du cervelet. Les lobes de la face inférieure du
- sphères cérébelleux, le noyau sphérique, le pédoncule cérébelleux
supérieur
et sa pénétration dans le cervelet, la valvule
acial. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Rm, ruban de Reil médian. sef, grand sillon
use de Rolando. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - spop, sillon post-pyramidal.
et égalent bientôt en profondeur les sillons interlobaires du lobe
supérieur
des hémisphères. L'axe du lobe central ne s'impla
ant une courbe à concavité inférieure. L'axe du lobe semi-lunaire
supérieur
(qui n'est que la continuation de celui du bour
s'implantent à une certaine dis- tance l'un de l'autre sur la face
supérieure
de la branche horizontale ainsi modi- fiée. Cet
iée, destinée au lobe postérieur et à la partie postérieure du lobe
supérieur
du cer- velet ; elle s'épanouit dans le lobe se
e lobe semi-lunaire inférieur, reçoit les axes du lobe semi-lunaire
supérieur
et du lobe du déclive (quadrilatère postérieur),
rgie se continue directement en avant avec le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs); sa face inférieure, tapissée par l'épend
rvelet et recouvre la partie posté- rieure du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), ainsi que les fibres senzi-circu- laires
t colorées par l'hématoxyline du volumineux pédoncule céré- bulleux
supérieur
(Pcs) que l'on voit se porter en bas et en arrièr
ière, pénétrer dans la masse blanche du cervelet et former la paroi
supérieure
du quatrième ventri- cule. Dans l'angle ouvert
s irrégulier, riche en fibres à myéline et qui représente la partie
supérieure
du noyau de Deiters, désignée encore sous le nom
oyaux accessoires de l'olive cérébelleuse, les pédoncules cérébelleux
supérieur
et inférieur, les noyaux moteur et sensitif du
'ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - scf, grand sillon circon- férentiel de Vicq
de Rolando. - si Il, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'.\zyr. - slg, sillon du lobe grêle. - s
inférieure de la coupe est le noyau de Monakow situé dans la partie
supérieure
des cordons postérieurs, aux confins du corps r
rde en haut un petit amas de substance grise représentant la partie
supérieure
de la substance gélatineuse de Rolando (SgR), d
ectionné aux confins du pédoncule cérébelleux moyen. Dans la partie
supérieure
de la coupe, on trouve encore quelques fascicul
. 112 et 413) montrent le mode d'émergence du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) de la substance blanche centrale du cervele
t en bas avec le corps restiforme. - Pes(le), pédoncule cérébelleux
supérieur
dans la région du hile de l'olive, les fibres les
de l'olive, les fibres les plus externes du pédoncule céré- belleux
supérieur
dans son segment juxta-ventriculaire (l'cs) se tr
Vicq d'Azyr. - sit', sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du lobe grêle. - sp
- Pcnz, pédoncule cérébelleux moyen. - Pes, pédoncule, cérébelleux
supérieur
. - PFloc, pédoncule du llocculus. - cPyc, crête .
Vicq d'Azyr. - si ? sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieu
a coupe S 5, Fig. 413), plus allongé dans le sens sagittal. Sa face
supérieure
, légèrement excavée, reçoit un feston de l'oliv
a-ciliaire (fie), formé en grande partie par le pédoncule cérébelleux
supérieur
, des fibres semi-circulaires externes (fsme), s
e en avant avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Sur sa face
supérieure
, assez régulièrement convexe, s'implantent radiai
obes quadrilatères antérieur et postérieur et du lobe semi- lunaire
supérieur
, séparés par des sillons interlobaires et interlo
et interlobulaires, de pro- fondeur sensiblement égale. Le sillon
supérieur
de Vicq zizi.;< ? (ssV) et le grand sillon cir
onférentiel du même auteur (scf), qui limitent le lobe semi-lunaire
supérieur
en haut et en bas, se distinguent seuls par leu
Vicq d'Azyr. - sil-, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'.lzyr. - spo, sillon post-central. - sp
nstituent la toison ou le feutrage eX/1'aciliail'e (fec). La moitié
supérieure
de la toison, enfin, est tapissée par une couch
Vicq d'Azyr. - siV, sillon inférieur de Vico d'Azyr. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - slg, sillon du lobe grêle. - sp
inférieure et se continue en avant avec les pédoncules cérébelleux
supérieur
et inférieur; Dans la région des hémisphères, e
rables à l'étude de l'entre-croi- sement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, et de la commissure de Wernekink qui en résult
atre coupes obliques en haut et en avant sectionnent le trou borgne
supérieur
, profonde dépression, située sur la ligne médiane
entre les pédoncules cérébraux et la protubérance, et dont la lèvre
supérieure
est formée par le sommet de l'espace interpédon
le nerf pathétique (IV) à son émergence, ou section- nent la partie
supérieure
de la valvule de Vieussens (VV). Toutes ces coupe
à 328, p. 619 à 661). Comme d'autre part, les fibres transversales
supérieures
de la protu- bérance décrivent une courbe à con
s supérieures de la protu- bérance décrivent une courbe à convexité
supérieure
et atteignent sur la ligne médiane un niveau pl
ncule et ne sépare qu'incomplè- tement l'étage inférieur de l'étage
supérieur
du pédoncule cérébral. Biblàatqu des Internes
me de l'encéphale. Calotte pédonculaire. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pes) occu- pent la presque-totalité de la calo
ormation réti- culée, l'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
et l'entre-croisement t des nerfs pathétiques.
'es, pédoncule cérébelleux supé- rieur ; son petit entre-croisement
supérieur
(xsPcs); son grand entre-croisement inférieur (
e des parties antérieure et interne d'un des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, puis se porte d'avant en arrière de chaque côté
continue avec les fibres les plus internes du pédoncule cérébelleux
supérieur
du côté opposé. Ce petit entre-croisement n'exist
qu'a la partie supé- rieure et postérieure du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Il peut être désigné sous le nom d'entre-crois
leux supérieur. Il peut être désigné sous le nom d'entre-croisement
supérieur
(xsPcs), pour le distinguer du grand entre-croi
rmation réticulée et l'entre- croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
.-Coupe P2, coupe horizontale oblique en haut et
éral de la calotte protubérantielle. - l'es, pédoncules cérébelleux
supérieurs
; xil'cs, leur grand entre-croisement inférieur;
rand entre-croisement inférieur; xsPcs, leur petit entre-croisement
supérieur
. - Plu, pes lemniscus profond. - RI, ruban de Rei
n, ni sur le trajet ultérieur des fibres du petit entre- croisement
supérieur
dont l'existence est constante et que nous avons
te coupe par l'entre-croisement des fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
, elle n'est représentée que par le faisceau lon
sépare le ruban de Reil du bord con- vexe du pédoncule cérébelleux
supérieur
du côté opposé. Le ruban de Reil médian (Rm) ap
10 en 10 coupes au-dessous de la précédente, intéressent la partie
supérieure
de la valvule de Vieussens et les premières fibre
422), l'échancrure inter-pé- donculaire, et partant le trou borgne
supérieur
, est comblée par les fibres trains- versales de
uban de Reil, le faisceau central de la calotte et le noyau central
supérieur
. - Coupe P 3, coupe horizontale oblique en haut e
nglion interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. Ncs, noyau central
supérieur
. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire
e. - Nui, noyau de la troisième paire. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
; xiPcs, son grand entre-croisement inférieur. - R
e du ruban de Reil médian (Rm), les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) sont plus clairsemées- le long de son bor
alotte pédonculaire, la commissure de Wer- nekink, le noyau central
supérieur
, les faisceaux compacts de la formation réti- c
ures de la protubérance. - Le, locus ca'ruleus. Arcs, noyau central
supérieur
. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur et com-
a'ruleus. Arcs, noyau central supérieur. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
et com- missure en fer à cheval de Wernekink. -
(Fig.421)P4(Fig. 422), la décussation des pédoncules céré- belleux
supérieurs
(xiPcs) n'occupe que la partie antérieure du raph
lle apparaît : en dedans, de chaque côté du raphé, le noyau central
supérieur
(Ncs) ; en dehors, les fibres fortement colorée
es qui se portent en arrière, recou- vrent le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et peuvent être suivies jusqu'au voisinag
tudinal de la protubérance, cette coupe intéresse en avant le liers
supérieur
de la protubérance et sectionne en arrière la p
iers supérieur de la protubérance et sectionne en arrière la partie
supérieure
de la valvule de Vieussens et l'entre-croisemen
ode de Marchi), dans la substance grise de l'étage antérieur du tiers
supérieur
de la protubérance. On ne les rencontre plus su
123. - L'étage antérieur et la calotte de la région protubérantielle
supérieure
; la voie pédonculaire et sa dissociation par le
par les fibres transversales du pont. - Le pédon- cule cérébelleux
supérieur
, la formation réticulée : noyau central supérieur
cule cérébelleux supérieur, la formation réticulée : noyau central
supérieur
et fais- ceaux compacts (faisceau longitudinal
- Lqa, lobe quadrilatère antérieur du cervelet. - Nes, noyau central
supérieur
. NI, noyau latéral. - 7'e;) : , pédoncule céréb
7'e;) : , pédoncule cérébelleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Rl, ruban de Iteil latéral. - Rm, ruban de Rei
passe au-dessous de l'entre-croisementdes pédoncules céré- belleux
supérieurs
(Pcs). Les fibres croisées de ces pédoncules occu
écules gris de la formation réticulée (SR) forment le noyau central
supérieur
(Ncs), noyau ovalaire qui s'étend du faisceau l
. Une étroite rangée de fibres longitudinales limite le noyau central
supérieur
(Ncs) en dehors et le sépare d'un segment de fo
t désigné quelquefois sous le nom de segment externe du noyau central
supérieur
. Le faisceau central de la calotte (Fcc) occupe
r la coupe P4 et se loge dans la concavité du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Le ruban de Reil médian (Rm) forme une b
PHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 625 complètement le pédoncule cérébelleux
supérieur
et atteignent en arrière la valvule de Vieussen
ig. 351, p. 487). Coupe H2 (Fig. 2). Cette coupe passe par le tiers
supérieur
de la pro- tubérance et l'émergence du trijumea
érance et l'émergence du trijumeau; elle intéresse le noyau central
supérieur
, le noyau du ruban de Reillaléral et les lamelles
central supérieur, le noyau du ruban de Reillaléral et les lamelles
supérieures
du cervelet. L'étage antérieur et l'étaye pos
ubérance, et d'autre part au refoulement du pédon- cule cérébelleux
supérieur
(Pcs) à la partie postérieure de la calotte. Un
(coupe Hl) : par la situation excentrique des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pes) dont la surface de section semi-lunaire o
dernière, sépare le faisceau central (Fce) du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Y es) en dehors, du faisceau longitudinal post
on par les fibres transversales du pont. Le pédon- cule cérébelleux
supérieur
, la formation réticulée, ses noyaux central supér
ule cérébelleux supérieur, la formation réticulée, ses noyaux central
supérieur
et circonflexe, ses faisceaux compacts : faisce
. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. ? ce, faisceau central
supérieur
. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa,
Le, locus coeruleus. - Nef, noyau circonllexe. - Ncs, noyau central
supérieur
. - Ncs', sa partie externe. - NRl, noyau du rub
n. - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - SgPo, substance grise antérieure du pont. - sp
p. 630), s'entre-croise au niveau du raphé et se rend dans l'olive
supérieure
et le ruban de Reil latéral du côté opposé. Dans
ral du côté opposé. Dans ce trajet il décrit une courbe à convexité
supérieure
très accentuée, ainsi que le montre la coupe ve
curvilignes qui entourent la face externe du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes), atteignent en arrière la valvule de Vieu
représente un petit faisceau irrégulier qui limite le noyau central
supérieur
(Ncs) en arrière et en dehors et qui n'atteint pa
r les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et sectionne la partie
supérieure
de la subslance blanche centrale des hémisphère
s du cervelet. La formation réticulée, le noyau réti- culé, l'olive
supérieure
, les noyaux moteur et sensitif du trijumeau. Le r
faisceau latéral du bulbe, puis contourne le pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur. - F
- Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - l'es, pédoncule céré- belleux
supérieur
. - 1', fihres sagittales du raphé. Rm, ruban de R
bulbo-protubéranliel. Calotte. - Dans la calotte, le noyau central
supérieur
a disparu, il a fait place au noyau réticulé (N
l limite en dedans un petit noyau irrégulièrement ovalaire, l'olive
supérieure
ou P1'olubél'antielle (Os), entourée en avant par
largeur de la calotte. Il s'étend dans le sens transversal de l'olive
supérieure
(Os) au raphé, où ses fascicules clairsemés plo
fibres (Fit) d'origine fort com- plexe, située en avant de l'olive
supérieure
ou protubéranlielle et qu'on peut con- sidérer
trajet longitudinal, étendu du tronc du trijumeau (Vs) à la partie
supérieure
de la moelle cervicale. Méthode de Weigert-Pal. 3
otte entre le ruban de Reil médian (Rm) et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes). Le noyau nzolezvr(NVm) est constitué par
moteur (NVm) du noyau sensitif (NVs). La coupe intéresse la partie
supérieure
du noyau sensitif qui appa- raît comme une mass
ors du ruban de Reil médian (Rm) et qui passant en avant de l'olive
supérieure
ou protubérantielle (Os), en arrière du tronc du
il s'infléchit en arrière et en dehors, passe en dehors de l'olive
supérieure
(Os) et de la formation réticulée (SR), puis re
la formation réticulée (SR), puis recouvre le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) et pénètre avec lui dans le cervelet. Le
éticulé (Nrt), le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et l'olive
supérieure
ou protubéranlielle (Os). Les fibres radiculair
un petit fascicule de fibres qui traverse le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) et appartient au système des fibres semi-
les du pont. - La forma- tion réticulée, le noyau réticulé, l'olive
supérieure
, le ruban de Reil médian, le fais- ceau longitu
culus teres. A. noyaux pontiques. - nid, noyau réticulé. - Os, olive
supérieure
. - l'ci, pédoncule cérébelleux inférieur. - péd
rieur. - pédoncule cérébelleux moyen. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Rm, ruban de Reil médian. -SR, formation rétic
elleux dans la région du hile du cervelet. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) forme encore le faisceau compact d'aspect
leux inférieur (Pci) est situé en dehors du pédoncule céré- belleux
supérieur
(Pcs) ; c'est, sur cette coupe, un faisceau étroi
elle passe. Elle intéresse le noyau du bouchon (Nem), les méandres
supérieurs
de l'olive cérébelleuse Fig. 428. - La région p
tubérantielle, ses fais- ceaux compacts, le noyau réticulé, l'olive
supérieure
, la grosse racine sensitive des- cendante du tr
sensitive des- cendante du trijumeau. - Les pédoncules cérébelleux
supérieur
, inférieur et moyen dans la région du hile du c
croisement des noyaux du toit. - Oc, olhe cérébelleuse. - Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - Pci, pédoncule cérébelleux
- l'cm, pédoncule cérébelleux moyen. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Rm, ruban de Reil médian. Sbc, substance bla
t très diffuses; le faisceau central de la calotte (Fcc) et l'olive
supérieure
(Os) sont toujours adossés au ruban de Reil média
rapézo'ide (Tr) et affecte une lorme ovalaire. En dehors de l'olive
supérieure
(Os), la formation réticulée (SR) est pauvre en
(SR) est pauvre en fibres et présente, dans cette région, la partie
supérieure
de la colonne d'origine du nerf facial (vu). La
escendante sensitive du trijumeau (Vsd) et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), il existe une zone irrégulière de substanc
ernes du cer- velet (fsmi), qui traversent le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Cette zone constitue le corps ju,r;ta-l'
semi-circulaires externes qui le séparaient du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) ont disparu, et à leur place apparaît la
belleuse (Oc) dont la face interne recouvre le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et le noyau emboliforme ou bouchon (\cm);
m); ce dernier déprime la grosse extrémité du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Dans la région du vermis, la coupe passe
oyau réticulé (Nrt), le faisceau central de la calotte (Fcc), l'olive
supérieure
(Os), le noyau du facial (NVII), le corps trapé
tic) et extra-ciliaire (fec). La coupe sectionne en effet la partie
supérieure
de l'olive et ce n'est que sur un plan plus infér
té antérieure de l'olive s'insinue entre les pédoncules cérébelleux
supérieur
(Pes) et inférieur (Pci). Son extrémité postéri
roisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. - Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - Pci, 7'cm, 7'cs, les pédon
. - Pci, 7'cm, 7'cs, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et
supérieur
. - Rm, ruban de Jteil médian. - Sglt, substance g
DE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 639 Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pcs) occupent les parois latérales du qua- tri
(Nt), puis se portent en avant, traversent le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) en fascicules onduleux et enchevêtrés, et c
ce, le noyau du facial (Nvn), le nerf vestibulaire (VlIIv), l'olive
supérieure
(Os) et les fibres radiculaires du nerf moteur
ossé au raphé en dedans, et effilé en dehors, où il atteint l'olive
supérieure
ou protubé- rantielle (Os). 11 est séparé de ce
le, qui relie le noyau de terminaison du nerf cochléaire aux olives
supérieures
et au tubercule quadri- jumeau postérieur du cô
elle; le ruban de Reil,; le faisceau central de la calotte; l'olive
supérieure
ou protubérantielle; le noyau cen- tral inférie
ieur. - Np, noyaux pontiques. Oc, olive cérébel- leuse. - Os, olive
supérieure
ou protubérantielle. - ithos, hile de l'olive sup
- Os, olive supérieure ou protubérantielle. - ithos, hile de l'olive
supérieure
. - l'ci, l'cn, Pes, les pédoncules cérébelleux
. - l'ci, l'cn, Pes, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et
supérieur
. - puy, faisceau pyramidal. - r, raphé. - Rm, r
nerf auditif. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 641 L'olive
supérieure
ou protubéranlielle (Os) atteint dans cette régio
ans le noyau de là Vle paire (Nvi) ; elles relient en effet l'olive
supérieure
au noyau du nerf moteur oculaire externe. Le no
. Le noyau du facial (Nvn) situé en arrière et en dehors de l'olive
supérieure
(Os), en dedans de la substance gélatineuse de
intéresse le segment horizontal (VIIj), le plus élevé et la partie
supérieure
du genou (Vils) au point où il se continue avec l
avec le tronc encéphalique, la formation des pédoncules cérébelleux
supérieur
, moyen et inférieur, et la manière dont se prés
latères antérieur (Lqa) et postérieur (Lqp) et le lobe semi-lunaire
supérieur
. Ce dernier lobe, complètement séparé des autres
ieur. Ce dernier lobe, complètement séparé des autres par le sillon
supérieur
de Vicq d'A : YI' (ssV), est sans connexion avec
s, décrivent des courbes régulières autour du pédoncule cérébelleux
supérieur
et de la paroi externe du 4e ventricule, et tra
plus courtes, ne dépassent pas les limites du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et entrent dans la constitution du pédoncul
stincte sur la moitié gauche de la coupe qui sectionne les méandres
supérieurs
de l'olive cérébelleuse (Oc) et le bouchon (Nem
- l'ci, l'em, l'cs, les pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et
supérieur
. - ssl', sillon supérieur de Vicq d'A\ryr. - sta,
édoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - ssl', sillon
supérieur
de Vicq d'A\ryr. - sta, sillon trans- verse ant
ci, Pcnz, Pcs, les trois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et
supérieur
. - 1'l', la voie pédonculaire. - Vsd, la grosse
sse un peu au-dessous de la précédente. Elle intéresse les méandres
supérieurs
de l'olive cérébelleuse (Oc), l'em- bole (Nem)
n- sinue entre l'olive cérébelleuse Oc) et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Le grand entre-croisement commissural (E
(Nem) d'une part, entre l'embole (Nem) et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) d'autre part, et qui forment en se fusion
le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci). Le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) n'a pas changé d'aspect, mais il est trav
i, Pcm, Pes, les trois pédoncules cérébelleux infé- rieur, moyen et
supérieur
. - ssl-, sillon inférieur de Vicq d'Azyr. - sta,
centrale des hémisphères. Les circonvolutions du lobe semi- lunaire
supérieur
forment encore, comme sur la coupe C 1 (Fig, 432)
misphères et séparés du lobe quadrilatère posté7'iew' par le sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr (ssV). Les lamelles de la partie
live (Oc) et le bouchon (Nem) ou en dehors du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes), puis entre dans la constitution du pédoncu
t (xNt), traversent en fascicules onduleux le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes) et concourent à former le C07'pS juxta-1'es
l'cnz, Pcs, les trois pédoncules cérc- belleux inférieur, moyen et
supérieur
. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - Vsd, g
doncules cérc- belleux inférieur, moyen et supérieur. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - Vsd, grosse racine sensitive
ieure appar- tient à la face ventriculaire du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), et l'anté- rieure, plus réduite, au co-î
mi) et traversent en fascicules onduleux le pédoncule céoébcl- leux
supérieur
(Pcs). L' entre-croisement des noyaux du toit (
. L' entre-croisement des noyaux du toit (xNt) entoure donc la face
supérieure
et la face postérieure des noyaux du toit, les
i, l'an, l'es, les trois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et
supérieur
. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'.lcyr. - sta,
pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq d'.lcyr. - sta, sillon transverse anté-
he vestibulaire du nerf auditif. poslérieur et le lobe semi-lunaire
supérieur
; à droile ce dernier s'insère par un de ses axe
e en dedans, et qui loge dans sa concavité le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). L'extrémité postérieure de l'olive est v
C 6 du rhombencéphale sec- tionnant le bourgeon terminal, la partie
supérieure
de la pyramide du vermis, les amygdales, le flo
laires externes. - Lsli, Lsls, les lobes semi-lunaires inférieur et
supérieur
du cervelet. - nif, nid d'hirondelle. - Oc, olive
e la substance blanche centrale du vermis. Elle intéresse la partie
supérieure
du bulbe rachidien, le diverticule latéral du q
, s'implantent les nombreux et importants axes du lobe semi-lunaire
supérieur
(Lsls). Au voisinage du vermis, en arrière de l
'où procède, sur les coupes plus. élevées, le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pes). L'olive est entourée en dehors. par une
s des diverticules latéraux du quatrième ventricule et de la partie
supérieure
des pyramides antérieures du bulbe, et intéress
hléaire (NVIIIc), le pédoncule du flocculus (PFloc), et l'extrémité
supérieure
de l'olive bulbaire (Oi); à gauche, elle passe au
tte région, cela tient à ce que cette coupe intéresse l'extré- mité
supérieure
de l'olive et que la capsule de fibres est partic
ormes qui décrivent des courbes à concavité interne, postérieure et
supérieure
, puis s'entre-croisent au niveau du raphé avec
DU RHOMBENCÉPHALE. 661 gauche de la coupe n'intéresse que la partie
supérieure
de ce noyau (NVIIIc) qui sert de noyau de termi
acoustique. Coupe H 9 (Fig. /39). - Cette coupe intéresse la partie
supérieure
du bulbe au niveau des diverticules latéraux du
F) ; elle sectionne les tubercules acoustiques (Tub.ac) et le tiers
supérieur
de l'olive bulbaire (Oi). Le bulbe, sur cette
vec le cervelet et présente la forme triangulaire propre au segment
supérieur
ou ouvert du bulbe, c'est-à-dire au segment qui
UDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. FIG. 439. - La région bulbaire
supérieure
au niveau des diverticules latéraux du qua- tri
confondent en dedans avec la couche L c. 440. - La région bulbaire
supérieure
au-dessous des diverticules latéraux du qua- tr
passe par la partie moyenne des olives (Oi) et sectionne la partie
supérieure
du noyau de l'hypoglosse (Nxu), le noyau ambigu
urtes et plus grêles, elles semblent Fig. 441. - La région bulbaire
supérieure
au niveau de l'émergence du nerf pneumo- gastri
s H 11, H 12, H 13, Fig. 441 à 413). Il n'appartient qu'à la partie
supérieure
et moyenne de l'olive, atteint rarement son ext
s et de l'entre-croisement commissural et se termine dans le vermis
supérieur
. 672 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le corps
sectionne la partie inférieure de l'olive bulbaire (Oi), la partie
supérieure
des noyaux des cordons postérieurs (NCp) et les
ns olivaires inférieures et sous-olivaires. Il représente la partie
supérieure
de Y entre-croisement sensitif ou piniforme (xp
Ar). Elle passe par le tiers inférieur de l'olive (Oi) et la partie
supérieure
des noyaux des cordons postérieurs (NCp). La
as et en dedans, et en décrivant des courbes à concavité interne et
supérieure
. Suivant la hauteur des coupes que l'on étudie, o
18, p. 615. Méthode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, extrémité
supérieure
des cordons postérieurs de la moelle. - Crst, cor
ieure de la pyramide. Le noyau arqué (Narc), qui occupait à la partie
supérieure
du bulbe la face interne des pyramides, s'est p
20 (Fig. 419 et ? 0). - Les coupes H19 et H20 passent par la partie
supérieure
de l'entre-croisement pyramidal ou entre- crois
ise affecte la forme caractéristique propre à la moelle cer- vicale
supérieure
; on y distingue une corne antérieure reliée par
re que l'on envisagerades coupes intéressant les régions cervicales
supérieure
et moyenne de la moelle épinière, la distance qui
distance qui sépare TOME II. 44 't Fig. 433. La région cervicale
supérieure
de la moelle au niveau de l'émergence de la pre
de l'arbre de vie du cervelet. Dendrites. - Du pôle périphérique ou
supérieur
de la cellule de Purkinje se détachent une ou d
comme les cellules de Purkinje. Les dendrites naissent de la partie
supérieure
de la cellule et atteignent en se ramifiant la
ve par conséquent sectionné suivant sa longueur. Il longe la partie
supérieure
des corps des cellules de Purkinje, atteint sou
hées de Cajal (ce, Fig. 456), dont les corps siègent dans la partie
supérieure
de la couche STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉP
sa hauteur par un dense feutrage de fibres et présenle à sa limile
supérieure
, au-dessous du corps des cellules de Pur- kinje
nous n'avons jamais pu les suivre ni dans le pédoncule cérébelleux
supérieur
auquel ils appartiennent vraisemblablement, ni
se qui arrivent au corps dcnteléparlavoiedes pédoncules cérébelleux
supérieur
,moyen ou inférieur. Entre les cellules nerveuse
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Fig. 463. - L'écorce cérébelleuse du lobe
supérieur
du cervelet et la substance blanche centrale av
oit, l'olive cérébelleuse et l'em- bole. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, moyens et inférieurs. Coupe horizontale du rho
ci, Pcm, l'es, les (rois pédoncules cérébelleux inférieur, moyen et
supérieur
.- sus 17, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - Is(l
doncules cérébelleux inférieur, moyen et supérieur.- sus 17, sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr. - Is(l, grosse racine sensitive
res - non groupés en fascicules ou en faisceaux - relient les faces
supérieure
et inférieure, les parties externe et interne d
es postérieure et infé- rieure de l'hémisphère (lobes semi-lunaires
supérieur
el inférieur, lobes grêle, digastrique ; voy. C
e du hile de l'olive, grâce à l'apparition du pédoncule cérébelleux
supérieur
et du bouchon, qui refoulent peu à peu le feutr
aire envoie la majorité de ses fibres dans le pédoncule cérébelleux
supérieur
; ces deux formations, intimement fusionnées dans
dentelé, grâce au parallélisme des fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
, groupées en fascicules serrés, fortement colorés
entourent la face externe du corps dentelé et s'étalent sur sa face
supérieure
(Coupe C4, Fig. 432, p. gaz); elles se continue
e intra- ciliaire. Sa fusion avec lo pédoncule cérébel- lieux
supérieur
au- quel il envoie la plu- part de ses fibres
toit au noyau de Deiters, fibres reliant le noyau du. toit ci l'olive
supérieure
faisceau sensoriel cérébelleux direct (direckte
C/lstici, etc. (Edinger). Elles traversent le pédoncule cérébelleux
supérieur
, entourent le noyau du toit d'une véri- table c
ntre ovale de Vieussens. Elle» enveloppent la face externe, le bord
supérieur
, l'extrémilé postérieure el la partie supé- rie
avoir contourné la face externe, l'extrémité postérieure et le bord
supérieur
de l'olive cérébelleuse, les fibres semi-circulai
r. - l'enz, pédoncule cérébelleux moyen. Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - PFloc, pédoncule du tlocculus. - cPyc, crête d
icq d'Azyr. - sil', sillon inférieur de Vicq d'.lryr. - ssV, sillon
supérieur
de Vicq 1 ? zyr. sla, sillon transverse antérieur
ui décrivent des courbes régulières autour du pédoncule cérébelleux
supérieur
et de la paroi externe du quatrième ventricule
res cesse sur les coupes plus inférieures qui intéressent la partie
supérieure
du corps dentelé et le bouchon (Nem). (Coupes H
s sur toutes les coupes horizontales qui intéressent les deux tiers
supérieurs
du corps dentelé. Sur ces coupes les fibres sem
a coupe Cl, Fig. 432), plus bas par le bouchon (Nem) et l'extrémité
supérieure
du corps dentelé (Oc), (coupes C2, C3 et H5, Fi
) le plus petit, passe entre le bouchon et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(coupe C2, Fig. 433, p. 645). Il semble donc qu
ans et qui se trouve sectionné sur ces coupes au niveau de son bord
supérieur
, si l'on réflé- chit au trajet des fibres semi-
culaires externes, iL la manière dont elles s'étalent sur la partie
supérieure
du noyau dentelé, à la courbe à concavité inférie
t C2 (Fig. 427 et 433), entre la toison et le pédoncule cérébelleux
supérieur
, appartienne en réalité aux fibres semi-circula
ur occupe la branche verticale de l'arbre de vie du vermis, la face
supérieure
du noyau du toit et l'axe du lobe central; il s
pace linéaire nommé troisième ventricule ou ventricule moyen. Sa face
supérieure
, convexe, constitue le plancher des ventricules l
la veine du corps strié et la bandelette demi-circulaire. Sa surface
supérieure
concourt à la formation du plancher des ventricul
égions inférieures et antérieures de ce lobe aux régions pariétales
supérieures
; à la région postérieure, un autre faisceau, le f
rit une anse du lobulus extremus de l'occipital vers le lobe pariétal
supérieur
; un troisième faisceau, situé à la région médian
oisième faisceau, situé à la région médiane, le faisceau longitudinal
supérieur
(Pl. VI, 1), réunit la région infé-rieure du lobe
-frontales unissent la partie postérieure du lobe frontal à la partie
supérieure
du lobe sphénoïdal et au lobe occipital, en décri
mmédiatement en arrière et en dedans; celles qui viennent des régions
supérieures
se dirigent obliquement de haut en bas ; celles q
; XXVI, 3; LU, 4). Les fibres convergentes des régions antérieures et
supérieures
se portent vers le bord externe de la tête du cor
oïdes (Pl. XI, XLIV, 3). Les fibres convergentes des régions moyennes
supérieures
et internes se juxtaposent en un fascicule qui s'
capsule interne (PL IV, 7), et pénètrent dans la région antérieure et
supérieure
de la couche optique. Meynert donne à ce faisceau
: l'un gagne la masse du corps qu'elle aborde par la face interne et
supérieure
, et pénètre dans sa substance sous l'apparence de
lanchâtres curvilignes. L'autre plonge verticalement dans la partie
supérieure
du noyau lenticulaire sous forme de lamelles qui
sa con-génère, se dirige directement en avant, appliquée sur la face
supérieure
de la couche optique qui lui correspond. Ces ba
ules antérieurs, moyens et inférieurs. Les pédoncules antérieurs ou
supérieurs
se dirigent en avant en cheminant dans l'épaisseu
ubstance médullaire, partage la circonférence en deux portions, l'une
supérieure
et l'autre inférieure. La conformation intérieu
situées sur une seule rangée les unes à côté des autres, à la limite
supérieure
de la zone profonde, sur laquelle repose le corps
pes de fibres, qui se détachent de la substance corticale des régions
supérieures
au grand sillon circonférenciel, passent au-dessu
d'arrivée au corps rhomboïdal. Les fibres qui proviennent des régions
supérieures
se dirigent en bas, celles des régions inférieure
rs les tubercules quadriju-meaux; il forme les pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Ces trois groupes de fibres suivent un trajet
VI, 19; XXXVIII, 20; XXXIX). Les fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, dès leur sortie du corps rhom-boïdal, se séparen
quatrième ventricule une bandelette aplatie, qui en occupe les angles
supérieurs
. Ces bandelettes s'infléchissent en dedans, s'ent
de noyaux rouges. Une partie des fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
contourne la face externe des noyaux rouges et va
iques sous le nom à'Isthme de F encéphale, qui le divisent en un plan
supérieur
comprenant les tubercules quadrijumeaux, la valvu
es quadrijumeaux, la valvule de Vieussens, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
et le ruban de Reil ; et en un plan inférieur, fo
ssique du nerf hypoglosse, le noyau du moteur oculaire externe (noyau
supérieur
du facial), le noyau du pathétique et celui du mo
l il envoie quelques fibres, ce qui lui a fait donner le nom de noyau
supérieur
du facial. La substance grise présente autour d
une disposition cordi- forme. Dans les angles arrondis delà partie
supérieure
, elle renferme, de chaque côté de la ligne médian
l, situé dans la protubérance, en arrière et en dedans de l'extrémité
supérieure
de la substance gé- (1) Mathias Duval, Recherch
latineuse de Rolande-, au niveau du point où les racines moyennes et
supérieures
viennent se réunir à la racine bulbaire pour form
riptorius; et plus haut elle renferme le noyau des racines moyenne et
supérieure
du trijumeau. Les noyaux sensitifs des nerfs mi
l'aspect de stries médullaires appelées barbes du calamus; le groupe
supérieur
ou interne, beaucoup plus gros, passe en avant et
espace en petits amas, qui donnent nais-sance aux fibres des racines
supérieures
du trijumeau. Ces cellules volumineuses, de 70 [a
tral après la décussation des cordons de la moelle, forme à la partie
supérieure
de l'aqueduc de Sylvius deux intumescences de cha
uadrijumeaux. Le noyau de substance grise du tubercule quadrijumeau
supérieur
est mal limité; celui du tubercule quadrijumeau i
ues sous la forme d'un faisceau unique. Ce faisceau contourne le bord
supérieur
des pédoncules cérébraux, sous le nom de bandelet
ns de l'innervation encéphalique. § 1. Dans la partie antérieure et
supérieure
du bulbe, on rencontre un noyau ovalaire, de coul
les trois segments de l'encé-phale (Pl. IV, 20). Au-dessus du bord
supérieur
de la protubérance, un amas de substance grise fo
r noire bistrée (Pl. IV, 19; XXVIII, 12; XL, 22). § 3. A ïextrémité
supérieure
de chaque pédoncule cérébral, la substance grise
oyaux sont situés sur le trajet des fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, qu'ils interrompent. Ils émettent par le côté op
s a décrit le premier, sous le nom de bandelette accessoire de lolive
supérieure
, un amas de substance grise situé dans l'interval
de substance grise situé dans l'intervalle compris entre l'extrémité
supérieure
du locus niger et le bord antéro-externe du noyau
interne avec un groupe de fibres provenant des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, tandis qu'il émet par sa face antéro-externe des
rieure du raphé médian; la portion sensitive prend, au niveau du bord
supérieur
de l'olive bulbaire, une direction en arrière et
ieure de la protubé-rance, au fur et à mesure qu'ils gagnent son bord
supérieur
(Pl. IV, 20; V). Gavoy. — Encéphale. 6 La por
sont traversés et dissociés par les fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Pl. IV, 25). Les intervalles compris dans la p
grosses fibres transversales. Ces trois cordons atteignent le bord
supérieur
de la protubérance ; ils émergent au dehors pour
une forme Y étage inférieur (pes, crusta) ; l'autre est appelée étage
supérieur
[tegmentum, calotte de Haube, coiffe de Gratiolet
e; il est en con-tact en arrière avec la substance grise de la partie
supérieure
du plancher du qua-trième ventricule, et celle qu
3. Distribution des fibres nerveuses spinales. — Arrivé à l'extrémité
supérieure
des pédoncules cérébraux, chaque cordon de la moe
les pédoncules cérébraux, où il rencontre les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, qui le traversent et le dissocient. Il s'étale e
ocient. Il s'étale en une bandelette aplatie, curviligne, à convexité
supérieure
et interne, se porte en dehors et en bas, s'immer
ns le noyau lenticulaire du corps strié. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
se répandent après leur entre-croisement, ainsi q
n faisceau de fibres afférentes fourni par les pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Ces fibres pénètrent dans la substance grise des
s qui se détache du faisceau principal que les pédoncules cérébelleux
supérieurs
envoient aux noyaux rouges. Ce fascicule contourn
dans laquelle ces fibres se distribuent. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
établissent par conséquent une connexion intime e
lleuse. c. Disposition des cellules de Purkinje autour de la limite
supérieure
de la couche granuleuse. d. Zone superficiell
ubstance grise du névraxe dans le bulbe [coupe au niveau de la région
supérieure
de Volive bulbaire). a. Raphé médian. b. Noya
se fixe en bas aux deux tiers externes de la ligne courbe occipitale
supérieure
; en haut, les fibres s'attachent au bord postérie
ent d'avant en arrière entre les deux hémisphères du cerveau. Le bord
supérieur
convexe est en contact sur la ligne médiane avec
usqu'à la protubérance occipitale interne. Un dédoublement de ce bord
supérieur
contient le sinus longitudinal supérieur qui suit
. Un dédoublement de ce bord supérieur contient le sinus longitudinal
supérieur
qui suit la direction de la suture sagittale. Le
ir d Hérophile, confluent des sinus latéraux et du sinus longitudinal
supérieur
; la faux du cerveau contient par conséquent trois
ou plancher des fosses nasales, constituée par les os maxil- laires
supérieurs
en avant, et par les palatins en arrière. Sa long
ses ptérygoïdes, le cartilage de la trompe d'Eustache et les attaches
supérieures
du muscle constricteur supérieur du pharynx; en a
trompe d'Eustache et les attaches supérieures du muscle constricteur
supérieur
du pharynx; en avant, par le voile du palais. L
ètres de l'ouverture antérieure des fosses nasales, au niveau du bord
supérieur
du cornet inférieur; il est ovale, très évasé, de
ne verticale, communiquant avec la cavité des fosses nasales. La face
supérieure
offre une excavation profonde, la selle turcique,
due horizontalement de la gouttière latérale de l'occipital aux bords
supérieurs
des rochers des os temporaux ; elle loge dans son
oraux ; elle loge dans son dédoublement les sinus latéraux et pétreux
supérieurs
, en avant elle entoure la protubérance annulaire
s pariétaux et les temporaux latéralement, par les fosses occipitales
supérieures
en arrière. 16. — Coupe du lobe médian du cerve
calement dans la boucle que décrit le genou du corps calleux. Le bord
supérieur
de la cloison adhère à la face inférieure des fib
us opticus} a la forme d'un ovoide dirigé d'avant en arrière. Sa face
supérieure
, blanche et convexe, est recouverte par les bande
interne est grisâtre et traversée par un filament blanc, le pédoncule
supérieur
de la glande pinéale ou habense. Vers le tiers
umeaux, c'est la valvule de Vieussens (14). Elle recouvre la partie
supérieure
d'une cavité comprise entre le cervelet, le bulbe
côté opposé, l'artère basilaire (?) qui se divise, au niveau du bord
supérieur
de la protubérance, en deux branches : les artère
tre la disposition intérieure des deux saillies signalées sur la face
supérieure
de la couche optique, le corpus album subro-tundu
c un faisceau de fibres blanches, formépar les pédoncules cérébelleux
supérieurs
après leur entre-croise-ment sur la ligne médiane
n à la région située en arrière du locus niger, qui est appelée étage
supérieur
(tegmentum). La protubérance annulaire a la forme
d du bulbe rachidien au pédoncule cérébral, dont il constitue l'étage
supérieur
. La section du cervelet réprésente, au lieu qu'
ssens (14, Pl. Il), la coupe du bord interne du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Au-dessous du lobule orbitaire apparaît, en av
is faisceaux distincts, désignés sous le nom de pédoncule cérébelleux
supérieur
, pédoncule cérébelleux moyen, pédoncule cérébelle
ise du noyau intraventriculaire du corps strié, formant, avec la face
supérieure
de la couche optique, le plancher des ventricules
groupe de fibres afférentes (16) qui émane des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. En avant du noyau rouge existe un petit noyau ov
ébelleux moyens et par les fibres verticales (22) venant de la région
supérieure
et antérieure du bulbe rachidien. En arrière appa
e, des fibres de la substance médullaire, et le faisceau longitudinal
supérieur
qui circonscrit la surface périphérique du corps
oit la queue de ce noyau se diriger en arrière, en enlaçant la région
supérieure
et externe de la couche optique. Dans le sillon i
s corporis callosi, que borde supérieurement le faisceau longitudinal
supérieur
, dont on distingue nettement la direction des fib
érance est la section du lobe sphénoïdal (20, Pl. VI). Dans son angle
supérieur
apparaît l'extrémité antérieure de la corne d'Amm
ette cavité commence au-dessus du lobule orbitaire, contourne la face
supérieure
du corps strié, puis de la couche optique, passe
, constitué par les divers groupes de fibres convergentes des régions
supérieures
, antérieures et moyennes (capsule interne). 12.
substance grise du noyau intra-ventriculaire est réduite à sa portion
supérieure
et postérieure; elle est séparée delà couche opti
des circonvolutions. Les fibres convergentes des régions antérieures,
supérieures
et postérieures ont une direction rayonnée autour
ergentes des régions antérieures, les fibres convergentes des régions
supérieures
et moyennes, et, en arrière, parles radiations op
issement des fibres spinales anté-rieures (Pl. VI et VII). La portion
supérieure
du segment externe du noyau lenticu-laire se voit
dinale, dont la substance grise entoure la substance blanche. Le bord
supérieur
et interne porte un épais cordon blanc désigné so
dimensions moins étendues que celles de la coupe précédente. Le bord
supérieur
reçoit les fibres du tœnia semi-circularis (9) ;
ar le faisceau arciforme frontal; les fibres convergentes des régions
supérieures
et moyennes plongent verticalement vers le noyau
IV. Coupe horizontale antéro-postérieure passant au niveau de la face
supérieure
du corps calleux. (Cette série de coupes est
Cette série de coupes est faite sur un même cerveau frais, de la face
supérieure
du corps calleux vers la base du cerveau.) 1.
e la section horizontale porte sur un point plus éloigné de la région
supérieure
des hémisphères. Ces diverses sections portent le
tres ovales de Vieussens, lorsque la coupe passe au niveau de la face
supérieure
du corps calleux. %. — Ensemble des fibres conv
ssurantes des deux hémisphères. Les fibres commissurantes des régions
supérieures
sont sectionnées au point où elles touchent à la
ure, appelée bourrelet ou splenium, est arrondie; elle forme la lèvre
supérieure
de la fente cérébrale de Richat. La face supéri
forme la lèvre supérieure de la fente cérébrale de Richat. La face
supérieure
présente un sillon médian (4) qui s'étend du geno
om-missurantes continuent leur trajet en passant au-dessus de la face
supérieure
de ces noyaux. L'espace qui se trouve compris ent
rieure de ces noyaux. L'espace qui se trouve compris entre cette face
supérieure
et cette sorte de voûte est appelé cavité des ven
, la face interne (6) du noyau intraventriculaire, séparée de la face
supérieure
de la couche optique (8) par le sillon intermédia
des régions moyennes, recouvrant l'intervalle compris entre les faces
supérieures
et internes des noyaux opto-striés des deux hémis
ieure. 6. — Sillon intermédiaire séparant le noyau caudé de la face
supérieure
de la couche optique (7); ce sillon est recouvert
le antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. La substance grise cor
couche optique et se distribue en partie dans le pul vinar. La face
supérieure
des couches optiques a été effleurée par la secti
oupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région
supérieure
de la couche optique. 1. — Portion réfléchie ou
le antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. La multiplicité de rep
Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région
supérieure
du noyau lenticulaire. 1. — Portion réfléchie
s superior montrant la disposition des deux substances dans la région
supérieure
du cervelet. XXI. — Encéphale dont on a détaché
on antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. Substance grise cortic
bords internes des lobes occipitaux apparaît la section de la région
supérieure
et médiane du cervelet. Les fibres médullaires on
e. XXII. — Coupe horizontale antéro-postérieure passant sur le bord
supérieur
de la com-missure blanche postérieure. 1. — Por
rcade blanche (12), formée par les fibres convergentes antérieures et
supérieures
qui pénétrent dans la capsule interne, plongent v
Pédoncule moyen de la glande pinéale. 19. — Section des pédoncules
supérieurs
, habenœ, de la glande pinéale, sur les parois du
vaisseaux à l'intérieur. Elle repose sur les tubercules quadrijumeaux
supérieurs
(nates); sa base, tournée en avant, donne nais-sa
cs, fins, dirigés, en avant, latéralement, en bas, appelés pédoncules
supérieur
, moyen, inférieur. Les pédoncules antérieurs ou s
nt la cavité de la cloison transparente. 24. — Section de la région
supérieure
et médiane du cervelet. Les fibres médul-laires o
le antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. La substance grise cor
rbe formé par l'épanouissement des fibres convergentes antérieures et
supérieures
. Le centre antérieur de la couche optique (6, P
le nom de corps godronné ou fascia dentata. La section de la région
supérieure
et médiane du cervelet représente la disposition
r l'épanouissement des fibres convergentes des régions antérieures et
supérieures
. 11. — Dernier vestige du centre antérieur ; qu
cavité de la cloison transpa-rente (21). 22. — Section de la région
supérieure
des lobes latéraux du cervelet. Les fibres médull
le antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur\ faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. Substance grise cortic
ces faisceaux apparaît le corpus Luysii (12, Pl. XXVI) et le segment
supérieur
des noyaux rouges de Stilling, qui émettent en av
arrière des fibres afférentes, appartenant aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Sur la ligne médiane est l'ouverture du quatri
tes aux noyaux rouges. Ces fibres viennent des pédoncules cérébelleux
supérieurs
; elles s'enroulent autour du noyau rouge, pénètre
ieur de la substance grise. 20. — Section transversale de la partie
supérieure
de la commissure blanche antérieure. On aperçoit
effé-rentes cérébelleuses ; celles-ci ont une direction antérieure et
supérieure
, elles forment les pédoncules cérébelleux supérie
on antérieure et supérieure, elles forment les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, processus cerebelli ad testes (26). Sur la ligne
ale antéro-postérieure d'un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. Substance grise cortic
leur entier développement ; ils reçoivent des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, après leur entre-croisement, des fibres afférent
nterne donne naissance aux faisceaux efférents cérébelleux; le groupe
supérieur
forme les pédoncules cérébelleux supérieurs qui s
nts cérébelleux; le groupe supérieur forme les pédoncules cérébelleux
supérieurs
qui se dirigent en avant et en haut, s'entre-croi
cule est ouverte entre les deux faisceaux des pédon-cules cérébelleux
supérieurs
; à l'entrée est la coupe des fibres radiculaires
Faisceau de fibres efférentes appartenant aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
. 16. — Substance grise centrale tapissant les p
ficie les faisceaux de fibres convergentes. 23. — Fibres efférentes
supérieures
ou pédoncules cérébelleux supérieurs, émer-geant
ntes. 23. — Fibres efférentes supérieures ou pédoncules cérébelleux
supérieurs
, émer-geant de la face interne du corps rhomboïda
ale antéro-postérieure d'un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. Substance grise cortic
se du corps genouillé externe. En dehors apparaît la coupe de la face
supérieure
du ganglion olfactif et le mode d'épanouissement
stance grise du locus niger des fibres spinales postérieures ou étage
supérieur
; en dehors est le faisceau latéral qui fait suit
es, émettant de sa face interne les fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. XXX. — Coupe horizontale antéro-postérieure pa
lleux vers l'angle arrondi du lobe sphénoïdal ; ils forment à la face
supérieure
du corps calleux les saillies longitudinales nomm
locus niger de Sœmmering. 16. — Fibres spinales postérieures, étage
supérieur
des pédoncules cérébraux. 17. — Fibres transver
omboidal (23), qui émet de sa face interne les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(24), et, au-dessous, un faisceau de fibres à dir
le antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. La substance grise cor
rizontale de un millimètre dépaisseur, passant au niveau de la région
supérieure
de la protubérance annulaire, puis cette coupe es
la protubérance annulaire, puis cette coupe est renversée sur sa face
supérieure
. La substance grise corticale décrit, dans la s
parente à la face interne des pédoncules cérébraux, au-dessus du bord
supérieur
de la pro-tubérance. 9. — Face inférieure des p
misphérique. Cette lame de libres commissurantes repose sur la face
supérieure
des noyaux opto-striés. Elle forme ainsi un espac
tal des ventricules latéraux. Les fibres commissurantes des régions
supérieures
décrivent un trajet curviligne à concavité tourné
s décrivent un trajet curviligne à concavité tournée vers les régions
supérieures
; les fibres commissurantes des régions inférieur
nium du corps calleux formé par les fibres commissurantes des régions
supérieures
moyennes et postérieures. En haut, ces fibres son
crêtée par le sinus corporis callosi ; en bas, elles forment la lèvre
supérieure
de la fente cérébrale de Bichat ; leur entre-croi
aphé sur la ligne médiane (2). 3. — Fibres convergentes des régions
supérieures
et postérieures (fibres de Kólliker) 4. — Fibre
ane émet des fibres efïerentes qui forment les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(11). La section ayant enlevé la région médiane
direction qui leur est propre. Les fibres commissu-rantes des régions
supérieures
et postérieures décrivent un trajet curviligne et
stance blanche et grise, tendue entre les deux pédoncules cérébelleux
supérieurs
, au-dessus de l'angle supérieur du quatrième vent
ntre les deux pédoncules cérébelleux supérieurs, au-dessus de l'angle
supérieur
du quatrième ventricule ; elle se continue en bas
e centre, puis se groupent pour constituer les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, qui s'unissent aux bords de la valvule de Vieuss
re du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des régions
supérieures
, moyennes et postérieures. 2. — Ensemble des fi
tes constituant le centre médullaire. Les fibres des régions interne,
supérieure
, moyenne et inférieure prennent une direction con
a couche optique. 4. — Section des bandelettes géminées sur la face
supérieure
de la couche optique. 5. — Section de la substa
s petits que les précédents ; ils envoyent, de leur partie externe et
supérieure
, un cordon qui se dirige en dehors et en avant ju
entre les tubercules qu adrij umeaux. ,11. — Pédoncules cérébelleux
supérieurs
s'engageant au-dessous des tubercules quadrijumea
les émergent en trois cordons divergents : les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(11), les pédoncules cérébelleux moyens, dont on
ons de l'insula. Les fibres commissurantes des régions postérieures
supérieures
forment la portion postérieure du corps calleux.
riculaire du trigone, les bandelettes géminées, se voit entre la face
supérieure
de la couche optique et le bord externe du corps
dent à l'origine des nerfs moteurs oculaires externes ; l'extrémité
supérieure
du sillon avoisine le lieu d'origine des nerfs mo
e du corps calleux, formée par les fibres comrnissurantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Les fibres convergentes de la
supérieures et moyennes. 2. — Les fibres convergentes de la région
supérieure
et celles de la région moyenne (3) se dirigent ve
et de comprendre comment ces bandelettes, en s'appliquant sur la face
supérieure
des couches optiques, isolent le ventricule moyen
le moyen. 16. — Raphé d'entre-croisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, après leur jonction au-dessous des tubercules qu
res cérébelleuses ascendantes, appartenant aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
. 20. — Faisceau de fibres cérébelleuses se diri
a, dans le centre médullaire. Les fibres commissurantes des régions
supérieures
forment la voûte du corps calleux; les fibres con
orment la voûte du corps calleux; les fibres convergentes des régions
supérieures
passent entre le noyau caudé et le noyau lenticul
isceau afférent formé par le prolongement des pédon-cules cérébelleux
supérieurs
, après leur entre-croisement au raphé médian. L
e du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Point de dissociation des fib
es et des fibres convergentes. 3. — Fibres convergentes des régions
supérieures
et des régions moyennes. 4. — Fibres convergent
— Centre moyen. 13. — Centre médian. 14. — Section des pédoncules
supérieurs
de la glande pinéale sur les parois du ventricule
inclinant en avant pour s'entre-croiser sur un plan plus antérieur et
supérieur
. 29. — Cornes postérieures de la substance gris
ius à la substance grise des circonvolutions qui constituent la lèvre
supérieure
et la lèvre infé-rieure de cette scissure. La sub
s le diverticulum sphénoïdal. Les fibres commissurantes des régions
supérieures
, forment la région moyenne ou voûte du corps call
çoit par sa facu interne des fibres nerveuses du faisceau cérébelleux
supérieur
. En dehors de la substance grise du locus niger
e du corps calleux, formée par les fibres commissu-rantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Fibres convergentes des régio
eures et moyennes. 2. — Fibres convergentes des régions externes et
supérieures
, plongeant dans la substance grise du corps strié
ous est la cavité du ventricule moyen. 19. — Section des pédoncules
supérieurs
delà glande pinéale dans l'épaisseur des parois d
rveuses du centre médullaire. Les fibres commissurantes des régions
supérieures
se portent d'un lobe à l'autre dans les régions h
s qui le séparent du noyau caudé ; il reçoit en dedans les pédoncules
supérieurs
de la glande pinéale. Le centre moyen tend à s'ef
corps calleux, constituée par les fibres commis-surantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Point de dissociation des fib
convergentes et commissurantes. 3. Fibres convergentes des régions
supérieures
et externes se portant dans la capsule interne. C
sorte d'écorce périphérique. Les fibres commissurantes des régions
supérieures
et moyennes constituent la voûte du corps calleux
noyau lenticulaire (9 PL XLIV). Les fibres convergentes des régions
supérieures
et moyennes n'atteignent plus la cap-sule interne
ovenant des pyramides anté-rieures du bulbe rachidien. Sur son bord
supérieur
sont les fibres radiculaires des nerfs moteurs oc
e du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Point de séparation des fibre
ommissurantes et convergentes. 3. — Fibres convergentes des régions
supérieures
et moyennes, interrompues à l'entrée de la capsul
tée (Sinus corporis callosi). Les fibres commissurantes des régions
supérieures
et moyennes passent d'un lobe à l'autre dans les
es noyaux jaunes (8, Pl. XLVI). Les fibres convergentes des régions
supérieures
et externes ne dépassent pas l'entrée de la capsu
ire ; leur direction croise celle des fibres convergentes des régions
supérieures
. La couche optique est réduite à la portion ant
re du corps calleux, formée par les fibres commissurantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Point de dissociation des fib
et des fibres commissurantes. 3. — Fibres convergentes des régions
supérieures
et moyennes s'étendant jusqu'à l'entrée de la cap
u du corps calleux, formée par les fibres commis-surantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Point de dissociation des fib
stiges des lobes sphénoïdaux. Les fibres commissurantes des régions
supérieures
et moyennes se détachent de la base des circonvol
é, se dirigent en dedans et en haut vers leurs congénères des régions
supérieures
, auxquelles la lamelle de la cloison transpa-rent
remarque que la substance grise occupe la région centrale et l'angle
supérieur
, tandis que la substance blanche l'entoure comme
u du corps calleux, formée par les fibres commissu-rantes des régions
supérieures
et moyennes. !. — Point de dissociation des fib
e dissociation des fibres convergentes et commissurantes de la région
supérieure
. 3. — Fibres convergentes des régions supérieur
antes de la région supérieure. 3. — Fibres convergentes des régions
supérieures
et moyennes, plongeant dans la substance grise du
lame épaisse, qui tend à rejoindre les fibres congénères de la région
supérieure
. 9. — Section des lamelles de la cloison transp
des lamelles de la cloison transparente. Elles adhèrent par leur bord
supérieur
et parleur bord inférieur aux deux portions de la
u du corps calleux, formée par les libres commissu-rantes des régions
supérieures
et moyennes. 2. — Point de dissociation des fib
érieures ou orbitaires constituant, avec leurs congénères des régions
supérieures
, la portion réfléchie ou genou du corps culleux.
s calleux, formé par l'ensemble des libres commissurantes des régions
supérieure
, moyenne et infé-rieure ou orbitaire. Ces diver
Ces fibres décrivent par conséquent un trajet curviligne, à concavité
supérieure
pour les fibres commissurantes des régions supéri
ne, à concavité supérieure pour les fibres commissurantes des régions
supérieures
, à concavité tournée en bas pour les fibres des r
icules latéraux. Les fibres commissurantes se juxtaposent sur la face
supérieure
des noyaux opto-striés, qu'elles enserrent comme
rogressif de la portion médiane des fibres commissurantes des régions
supérieures
et inférieures. 3. — Fibres arciformes se renda
érébelleux moyens................... 27 § 3. Pédoncules cérébelleux
supérieurs
.................. 27 CHAPITRE III. — Névraxe...
V. Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la face
supérieure
du corps calleux...............................
antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau..........................
Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région
supérieure
de la couche optique...........................
antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau........................
Coupe horizontale antéro-postérieure, passant au niveau de la région
supérieure
du noyau lenticulaire..........................
antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau. . . 93 XXII. Coupe hor
. 93 XXII. Coupe horizontale antéro-postérieure passant sur le bord
supérieur
de la commissure blanche postérieure...........
antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau,.........................
antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau..........................
le antéro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau......¦...................
antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau..........................
antéro- postérieure de un millimèlre d'épaisseur, faite des régions
supérieures
vers la base du cerveau........................
izontale de un millimètre d'épaisseur, passant au niveau de la région
supérieure
de la protubérance annulaire, puis cette coupe
protubérance annulaire, puis cette coupe est renversée sur sa face
supérieure
.......... 115 XXXIII. Coupe verticale transvers
s Protozoaires en sont dépourvus ainsi que les embryons des animaux
supérieurs
, dans les pre- mières phases de leur développem
l'incise d'abord parallèlement de chaque côté du sinus longitudinal
supérieur
et chacun de ces lambeaux est divisé en deux pa
se ensuite à l'aide du scalpel la tente du cervelet le long du bord
supérieur
du rocher, tout en soutenant les hémisphères cé
inière. Le cadavre étant couché sur le ventre, on soulève la partie
supérieure
du tronc à l'aide d'un billot placé sous la fou
bre lombaire et on sectionne transversalement à ce niveau la partie
supérieure
de la vertèbre. Puis, passant le crochet sous l'a
sériées. Lorsque l'on présume l'existence d'une lésion de la partie
supérieure
de la moelle, ou lorsque l'on veut étudier en cou
lorsque l'on veut étudier en coupes sériées l'extrémité tout à fait
supérieure
de cet organe, il est préférable d'ouvrir la ca
l'arc postérieur de l'atlas et, par ce procédé, la région cervicale
supérieure
et bulbaire inférieure pourront après durcisse-
dirige le scalpel d'avant en arrière, en suivant le sillon marginal
supérieur
de l'insula, tandis que la pointe chemine libre-
ion ne doit pas dépasser l'extrémité postérieure du sillon marginal
supérieur
de l'insula. On agit de même de l'autre côté. 3
ilieu de la tète du noyau caudé et par le point de réunion du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de la couche opt
de vue macroscopique, car, comme elle passe très près de la partie
supérieure
de la région sous-optique, elle n'est pas à emp
teau plus haut que ne le fait cet auteur, c'est-à-dire par le tiers
supérieur
de la couche optique. On n'intéresse alors que
cerveau. L'encéphale se trouve ainsi divisé en deux parties, l'une
supérieure
comprenant les deux hémisphères, les pédon- cul
prenant les deux hémisphères, les pédon- cules cérébraux, la partie
supérieure
de la protubérance et les tuber- cules quadriju
r ce tronçon moyen, une coupe horizontale (EF) passant par le tiers
supérieur
de la couche optique. Dans le premier comme dan
tiquons sur l'hémisphère une coupe horizontale passant par le tiers
supérieur
de la couche optique et, après avoir pris un cr
voy. fig. 7) d'un cylindre métallique creux, enchâssé par sa partie
supérieure
dans une cuve en zinc, de forme rectangulaire e
la roue correspond à un, quatre ou huit déclanchements. La partie
supérieure
du cylindre, celle qui est enchâssée dans la cuve
Sa lame est plate inférieurement et légèrement concave sur sa face
supérieure
. Pour pratiquer une coupe, on saisit le couteau
cilité de la dissociation, de ne pas prendre de nerfs d'un diamètre
supérieur
à celui d'une aiguille à tricoter d'une moyenne
atcs. Ch, corde dorsale. LDI, lame neuralo ou médullaire. - 1, bord
supérieur
de la lame neurale droite arrivé presque au con
s latérales donnent naissance aux couches optiques dans leur moitié
supérieure
, et aux régions sous-thalamiques de Forel dans le
e sur son axe qui embrasse par sa concavité la partie antérieure et
supérieure
des vésicules oculaires primi- tives (fig. 23,
es s'élargit en avant et en haut, où elle se continue avec la paroi
supérieure
du cerveau intermédiaire (fig. 17 et 18). Ver
iaire. Le fond de la scissure interhémisphérique répond à la partie
supérieure
de la lame terminale embryonnaire; il fait sail
cules des hémisphères sont larges et glolmleuses dans leurs parties
supérieure
et postérieure, où elles sont séparées l'une de l
arrière dans le troisième ventricule; et deux parties latérales et
supérieures
, les cavités des vésicules hémisphéri- ques ou
ifs.. . Vue de la cavité ventriculaire, après ablation de sa partie
supérieure
, la Cavité commune aux cerveaux intermédiaire e
férieur. - MoV. membrane obturatrice du lu ventricule. - MS, membre
supérieur
. - VA, vésicule auditive. - VH, vésicule des hé
fondamentale. Ftc. 2b. - Coupe transversale de la région dorsale
supérieure
de la moelle d'un em- bryon humain d'environ qu
ent (fig. 29), Fie. 27. Coupe transversale de la ré- gion dorsale
supérieure
de la moelle d'un embryon humain d'environ se-
et lombaires. Fio. 28. Coupe transversale de la région dor- sale
supérieure
de la moelle d'un embryon hu- main d'environ se
d'une membrane Fie. 29. - Coupe transversale de la région dorsale
supérieure
de la moelle d'un embryon humain de huit semain
le. FiG. 30. Coupe transversale de la moelle de la région dorsale
supérieure
d'un foetus humain de 3 mois. (D'après W. His.)
leur considérer trois parties : une partie moyenne (c), une partie
supérieure
(a et b) et une partie inférieure (d et e). Les b
le la cavité du quatrième ventricule (fig. 20 (c) ; dans leur partie
supérieure
les bords se portent transversalement en dedans
naissance aux hémisphères cérébelleux et aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
. La partie inférieure des bords est beaucoup pl
ie inférieure des bords est beaucoup plus étendue que les par- ties
supérieures
ou moyennes; elle se dirige d'abord en bas et trè
eure ou bulbaire,, appartient à l'arrière-cer- ..., veau; la partie
supérieure
ou protubérantielle, au cerveau postérieur pro-
s latéral du quatrième ventricule, la moyenne, le (laccullls, et la
supérieure
, un mince bord saillant appartenant à la face inf
es, qu'un sillon secondaire subdivise bientôt en lobe, semi-lunaire
supérieur
et en lobe semi-lunaire inférieur. La troisième
le central qui envoie de chaque côté et en avant du lobe cunéiforme
supérieur
une petite languette, l'aile du lobule central;
rminal ou folium cacllminis, qui relie les deux lobes semi-lunaires
supérieurs
, ainsi que le tubercule postérieur (tuber valvu
s sont formées de deux lames appliquées l'une sur l'autre ; la lame
supérieure
, la plus faible, s'amincit et recouvre les plexus
t dixième paires, et au pédoncule du ilocculus. Plus tard, la paroi
supérieure
s'atrophie .complètement, et il existe de chaqu
érieur, la lame alaire donne nais- sance aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
, tandis que l'angle supérieur de la membrane ob
is- sance aux pédoncules cérébelleux supérieurs, tandis que l'angle
supérieur
de la membrane obturatrice, fournit la valvule
au moyen et le cerveau intermédiaire par le pédoncule cérébel- leux
supérieur
, et avec la moelle épinière par le pédoncule céré
rébrale à la moelle épinière, n'apparaissent que chez les vertébrés
supérieurs
(oiseaux et mammifères). Les reptiles, les amph
iens; les ganglions crâniens se développent aux dépens de la partie
supérieure
du cordon ganglion- naire, lequel donne de chaq
e fournit en outre les parties constituantes de la calotte ou étage
supérieur
des pédoncules cérébraux. Mais les pédoncules c
ommering. L'étage inférieur constitue le pied du pédoncule, l'étage
supérieur
, la calotte ou tegmentul11. Le pied du pédoncul
qui la divisent en quatre tubercules, les tubercules quadrijumeaux
supérieurs
et inférieurs, appelés encore antérieurs et pos
l; ses parois latérales s'épaississent considérablement, ses parois
supérieures
et inférieures se réduisent par contre à l'état d
it par devenir horizontal, et par former toute la partie de la face
supérieure
de la couche optique, recouverte par le corps d
eau du trou de Monro et du tubercule antérieur du thalamus, la face
supérieure
de la couche optique s'élargit en arrière, débord
ntricules latéraux. Elle ne comprend donc, que la partie de la face
supérieure
, de la couche optique définitive, située en ded
par un sillon, le sillon de Monro (fig. 41 à 44, 52, 53.) La saillie
supérieure
correspond à la lame alaire, et donne naissance
PEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. loi. 1 1 i renferment chez les vertébrés
supérieurs
, plusieurs ganglions thalamiques . qui rétrécis
urs conserve sa structure nerveuse toute la vie; chez les vertébrés
supérieurs
, au contraire, il se transforme par suite d'une
i constistue le saccus vasculosus des poissons cartilagineux. Paroi
supérieure
ou voûte du cerveau intermédiaire. - La paroi s
x. Paroi supérieure ou voûte du cerveau intermédiaire. - La paroi
supérieure
ou voûte, recouvre le troisième ventricule et réu
ée que par un léger étranglement (fig. 41, 42, 43, 44). Cette paroi
supérieure
se réduit à une mince lamelle, recouverte par u
te le premier rudiment de la glande pinéale, et qui divise la paroi
supérieure
en deux parties inégales, l'une postérieure, l'
transforment, avec la participation de la Division de la pa- roi
supérieure
en deux parties inéga- les. Partie postérie
e oeil des vertébrés. Il s'atrophie et disparait chez les vertébrés
supérieurs
; le canal de l'épiphyse se retire dans l'intérieu
laire la base du cerveau; il pré- sente une partie moyenne ou étage
supérieur
(cella média), une partie anté- rieure, la corn
terne se réunit à angle aigu à la paroi externe, en formant le bord
supérieur
de l'hémisphère. La lame terminale embryonnaire d
é inférieure du lobe temporal qu'ils n'atteignent cependant pas. Le
supérieur
ou pli ammonique, s'épaissit et donnera naissan
terminale embryonnaire. On peut lui considérer deux segments, l'un
supérieur
, l'autre intérieur. Le segment supérieur répond
idérer deux segments, l'un supérieur, l'autre intérieur. Le segment
supérieur
répond à la zone choroïdienne de His (Area chor
S1ls-optique qui ferme le troisième ventricule en avant. Sa partie
supérieure
correspond à la zone choroïdienne de His; elle
dicule oculaire, qu'il limite en avant, et atteint en bas la limite
supérieure
de la région infundibulaire. Le segment moyen, le
spond au sillon qui prolonge la fosse sylvienne en avant. Le bord
supérieur
du corps strié est en rapport avec le manteau cér
st en rapport avec le manteau céré- bral, et correspond à la limite
supérieure
de la fosse sylvienne; le bord pos- térieur, li
il limite en avant le pédicule oculaire, est séparé dans sa partie
supérieure
de la couche optique au niveau du trou de Monro
nique avec la corne sphénoïdale, que par l'intermédiaire de l'étage
supérieur
du ventricule latéral (fig. 52 à 63). Le corp
ntérieur. - Pm, pli marginal de Schmidt. - purs, sillon prérolandique
supérieur
. - R, scissurede Rolande sap. sillon arqué post
erine). Les fibres du pied du pédoncule cérébral atteignent le bord
supérieur
de la protubérance vers la fin du quatrième moi
ison. Chez l'homme, les bords du septum lucidum sont antérieur,
supérieur
etpostériellr. Dans ce der- nier apparaissent
immédiatement au-dessus du sillon choroïdien dont il forme la lèvre
supérieure
ou dorsale; son bord externe, qui porte dans la
des ventricules latéraux, décrivent une courbe autour de la partie
supérieure
et postérieure du noyau caudé. Ils ne dépas- se
u corps calleux. Celles du genou font irruption au niveau des bords
supérieur
et antérieur de la zone choroïdienne, celles du
a vie embryonnaire, par la voûte du troisième ventricule et la face
supérieure
des couches optiques, recouvertes par le repli
ues, recouvertes par le repli mésodermique de la toile choroïdienne
supérieure
. L'arrêt de développement du corps calleux, ent
ue chez les mammifères; encore n'est-il complet que dans les ordres
supérieurs
: les marsupiaux et les monotrêmes ne possèdent
érieur ou sphénoïdal devient le sillon de l'hippocampe, son segment
supérieur
ou fronto-pariétal, le sinus du corps calleux. En
pariéto-occipilale atteint vers le sixième ou septième mois le bord
supérieur
de l'hémisphère, et incise plus ou moins profon
le de substance grise, l'indusellm ,fj1'iseum, qui recouvre la face
supérieure
du corps calleux et dans laquelle apparaissent
rivé au terme de son développement, en sillon marginal anté- rieur,
supérieur
et postérieur. Un sillon oblique en haut et en ar
l. Au septième mois, la scissure pariéto-occipitale, incise le bord
supérieur
et la face externe de l'hémisphère, et sépare l
r sillon pué-rolandique inférieur ; puis apparaît le sillon frontal
supérieur
, et à la face orbitaire le sillon olfactif. Le lo
o-postérieure, dési- gnées sous le nom de circonvolutions frontales
supérieure
, moyenne et infé- rieure. Elles s'implantent en
hémisphère le præcuneus. Le sillon calloso-marginal incise son bord
supérieur
vers le 1 tc. b9. - l<'acc externe du cervea
l. - pi sillon prérolandique in- férieur. p1 ? sillon prérolandique
supérieur
. Il, scissure de Holando. - S, vallée de Sylviu
o qu'elle borde en arrière; la seconde, ou circonvolution pariétale
supérieure
est - parallèle à la scissure ihter-hemisphériq
t - parallèle à la scissure ihter-hemisphérique; elle forme le bord
supérieur
du lobe pariétal et correspond à la face exte
ieure de la scissure de Sylvius. et décrit une courbe à concavité
supérieure
et antérieure, qui in- cise plus ou moins profo
i scissures du lobe tem- \ pl;al.. i i 1 1 FIG. 70. - Face
supérieure
du cerveau crun loetus humain du commencement d
- pi,i, sillon prérolandique inférieur. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - R, scissure de Rolando. - S(p), branche post
divisée en trois circonvolutions : les circonvolutions occipitales
supérieure
, moyenne et inférieure. Ces circonvolutions se
gyrzcs descendens d'Ecker. En avant, la circonvolu- tiou occipitale
supérieure
, qui représente la face supérieure et externe du
, la circonvolu- tiou occipitale supérieure, qui représente la face
supérieure
et externe du cuneus, s'unit à la première circ
isphère et une grande partie de la face interne chez les mammifères
supérieurs
; l'autre, en connexion avec le lobe olfactif, cor
ryologie ou Traite complet du développement de l'homme et des animaux
supérieurs
. Tra- duction française sur la deuxième édition
elles constituent les rami-communicantes. Dans la moelle cervicale
supérieure
, les points d'émergence des deux ' 10 Les neu
rfs naissant de la colonne nucléaire dans la région cer- vicale
supérieure
. Branche motrice du trijumeau et nerfs mote
la colonne nucléaire qui apparaît au niveau de la moelle cervicale
supérieure
se maintient dans le bulbe rachidien jusqu'au niv
e; elles s'entrecroisent sur la ligne médiane, traversent la partie
supérieure
de la valvule de Yieussens et deviennent libres
t Bid- der l'ont montré simultanémcnt en 1847. Chez les vertébrés
supérieurs
, la masse protoplasmique se déjette sur un de
présentent le type normal de la cellule ganglionnaire des vertébrés
supérieurs
. L'unipolarisa- tion se rencontre également dan
do Ranvier. Unipolarisatiou des ganglioblastes dos vertébrés
supérieurs
. Fibres centrales des ganglioblastes. Cordo
prolongement central des cellules ol- factives ( ? ,z). - e, partie
supérieure
do deux cellules de soutènement. - o, surface
? teii.ye de la langue, celle de 1't,pi- glotte, des cordes vocales
supérieures
(fig. 136) et inférieures (fig. 138) et de l'
es striés involontaires, tels qu'on les rencontre dans la portion
supérieure
de l'oesophage chez l'homme, ou dans les coeurs
ÉRATIONS GÉNÉRALES SUR L'ENCÉPHALE L'encéphale représente la partie
supérieure
et considérablement modi- fiée du névraxe. Situ
inière. Le cerveau proprement dit constitue la partie antérieure et
supérieure
de l'encéphale, dont il représente le segment l
us, chez les individus de petite taille ainsi que. chez les espèces
supérieures
; il est, par contre, relativement faible chez le
es et des mouvements, sont moindres chez elles que chez les espèces
supérieures
; parce que, en outre, le cerveau a plus d'intlu
, le cerveau a plus d'intluence sur les mouvements dans les espèces
supérieures
. 21 Les jeunes ont un poids encéphalique relati
istes, qui localisent dans le lobe frontal les fonctions psychiques
supérieures
. Densité de l'encéphale. - La densité de la mas
sphérigue (Sih), les sépare complètement au niveau de leurs parties
supérieure
, antérieure et posté- rieure. A leur partie moy
et du corps cal- leux au pressoir d'Héuolcile, s'insère sur la face
supérieure
de la tente du Faux du cerveau Fie. 148. - Fa
a face supérieure de la tente du Faux du cerveau Fie. 148. - Face
supérieure
de l'encéphale ; la scissure inter-hémisphérique
la scissure inter-hémisphérique a été écartée pour montrer la face
supérieure
du corps calleux et du cervelet. (D'après la phot
- pl'i,sillon prérolandique inférieur. - pis, sillon prérolandique
supérieur
. - pt, sillon pariétal transverse. - pla, pli d
s. Les extrémités sont antérieure et postérieure, les bords sont t.
supérieurs
et inléro-externe, les faces sont externe, intern
, l'extré- mité postérieure oulole occipital, à la fosse occipitale
supérieure
(fig. lui9). Le bord supérieur demi-circulaire,
le occipital, à la fosse occipitale supérieure (fig. lui9). Le bord
supérieur
demi-circulaire, arrondi et mousse, sépare la fac
e Pacchioni, et répond dans toute son étendue au sinus longitudinal
supérieur
. Le bord inféro-externe, mousse dans la région
'os frontal, en arrière avec l'os occipital, à sa partie moyenne et
supérieure
avec l'os pariétal, à sa partie moyenne et infé
inférieur. Comme la faux du cerveau ne descend pas jusqu'à la face
supérieure
du corps calleux, il en résulte que les deux fa
ieur et moyen de la base du crâne, et repose en arrière sur la face
supérieure
de la tente du cervelet. Elle présente, à l'uni
sillon inter-pariétal. - ipo, incisurc pré-occipitale. - Iv', éperon
supérieur
do la scissure calcarine. - 0 ! , 0;,03, premiè
e. - pré, sillon prcrolandiquc inférieur. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - Il, scissure de Rolando. - S, vallée de Sylv
factif. - C, cuncus. - c, sillon du cuneus. - Cal, calotte ou étage
supérieur
du pédoncule. - CB, carrefour olfactif de Broca.
re pariéto- - . occipitale (po), à cheval sur le bord hémisphérique
supérieur
. Ces trois scissures divisent la face externe d
convolution temporale (T,) du gyrus supra-marginalis (Gsm). Le bord
supérieur
de la branche postérieure de la scissure de Sylvi
- pri, sillon prérolandiquc inférieur. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - R,R', sillon de Rolando, interrompu par un p
eur, sont très profonds et entament toute l'épais- seur de la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius; ils naissent quel- q
d'opercule; (fig. 150, 1go, 161, 163, 173, etc.), il forme la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius et sert de couvercle
Le pli de passage superficiel constitue la circonvolution marginale
supérieure
ou gyrus supra, marginalis (Gsm) (fig. 150). Le
ale une distance moyen- ne de 40 millimètres (réré).Son extrémité
supérieure
est sépa- rée de l'extrémité antérieure du lo
millimètres seule- . ment (Variations de 64 à 82). Son extrémité
supérieure
est séparée de l'extrémité posté- rieure du l
nvexes en avant, sont cons- tantes ; elles occupent la par- . tie
supérieure
et la partie infé- rieure de la scissure de Ro-
de la scissure de Ro- lando, sont désignées sous le nom de genou
supérieur
et de genou inférieur, et sont sépa- rées l'u
circonvolution frontale ascendante. - Gsm, circonvolution marginale
supérieure
. - ic, incisure du cap. i/bp, incisure frontale
t- rolandiquo.jM' ! +p)'.}, sillons prérolandiques infé- rieur et
supérieur
. - 7tC" premier pli vertical de Gromier. - 7tC.
IE DES CENTRES NERVEUX. - Circonvolutionsro- landiques. Limites
supérieure
et inférieure de la scissure de Rolando. Fo
n- volution rolandique, ou centrale postérieure (Pa). L'extrémité
supérieure
de la scissure de Rolando, située un peu en arr
de l'hémisphère, est limitée par le pli de passage fronto-pariétal
supérieur
ou lobitle paracentral (Parc) (fig. 151, 17'1 à
'1 à 182) qui relie à la face interne de l'hémisphère l'extrémité
supérieure
des deux circonvolutions rolandi- ques. L'extré
iétal. pc, sil- lonpost-rolandique. -pers, sil- lon prérolandique
supérieur
. - pa', sillon prérolandique infé- rieur. R,
nication de la scissure de Ro- lando et du sillon prérolandique
supérieur
. (Voy. fig. 165 et 166 -qui se rapportent au mê
. 150, 159, 161- à 1G91, à cheval sur la partie postérieure du bord
supérieur
de l'hémisphère, sépare le lobe pariétal du lob
- pei, sillon prérolandique inférieur. - pcs, sillon prérolandique
supérieur
. - Il. /{, scissure de Rolando. S, scissure de Sy
que. Sil10n }JI'Ól'oIancli- que intérieur le bord hémisphérique
supérieur
, et se recourbe en avant sur la face infé- rieu
ar ces auteurs sous les noms de lobule frontal (Gratiolet), d'étage
supérieur
ou portion frontale du lobe frontal (Broca), de p
chwalbe). ... Trois sillons secondaires, les sillons prérolandiques
supérieur
et infé- rieur (prs, pri), le premier sillon fr
frontale du lobe de sa portion orbitaire. Sillons prérolandiques
supérieur
et inférieur (pr) (prs) (pri). Synonymie. - Sil
landique est alors divisé en deux segments, l'un inférieur, l'autre
supérieur
. Le sillon prérolandique inférieur (pri), le plus
à une courte incisure isolée (fig. 162). Le sillon prérolandique
supérieur
(prs), plus petit que l'inférieur, reçoit le pr
la scissure de Sylvius. - S'(1», éperon inférieur. - S"(N), éperon
supérieur
de la branche postérieure de la scissure de Sylvi
fig. 158). Il se dirige d'arrière en avant, du sillon prérolandique
supérieur
à l'extrémité antérieure du lobe frontal,et se
ri, sillon prérolandiquo- inférieur. - pros, sillon prérolan- dique
supérieur
. - R, scissure de Rolando. - S, scissure do Syl
circonvolutions frontales (F" F2, 1"31. - Synonymie : Étage frontal
supérieur
ou troisième étage frontal et pli de la zone exte
der obérer Sti1'nwindungsug (Bischolf). - Gyrus frontal tout à fait
supérieur
(Henle). - Superior frontal gyrus (Turner). - Tro
remière frontale (F,) décrit la plus grande courbe, occupe le bord,
supérieur
de l'hémisphère, borde la grande scissure inter
généralement dédoublée dans sa partie antérieure. Le sillon frontal
supérieur
(f,) la sépare de la première circonvolution fr
lèle à celui de la première frontale, et pour s'insérer à la moitié
supérieure
de la circonvolu- tion frontale ascendante (Fa)
le ou circonvolution do Broca. llc. 158. - Face externe et bord
supérieur
de l'hémisphère gauche. (D'après la . photograp
uc. pri, sillon prérolandique inférieur. p"8, sillon prérolandique,
supérieur
. - pt, sillon pariétal transverse. - 7tGI, 7tG" p
e en H (f 3) et forme le désert olfactif de Broca : tic. 159.-e'ace
supérieure
des hémisphères cérébraux. - . (Photographie d'
e circonvolutions occipitales. Pi, Pi, circonvolu- tions pariétales
supérieure
et inférieure. - Pd, circonvolu- tion pariétale
: , sil- lon prérolandique inférieur. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - pt, sillon pariétal transverse. - 7tG" premier
nvolution frontale ascendante (Fa), décrit une courbe à conca- vité
supérieure
, qui embrasse l'extrémité inférieure du sillon pr
antérieur de l'insula (ma) (fig. 1 î : 3). Le pied recouvre la face
supérieure
de la région insulaire antérieure (la), dont il
il est séparé par un sillon antéro- postéricur, le sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms). La troisième circonvolution f
'if, sillon prérolandique inférieur. - ]J1'S, sillon prérolandique
supérieur
. -R, scissure de Rolando. S(a), branche antérieur
1»,i, sillon prérolandique infé- rieur. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - R, scissure de Rolando. - S, scissure de Syl
férienr forme l'oper- cule rolandique. Lc pli fronto-pa- riétal
supérieur
for- me le lobule para central. I,olo cenir
ont elle suit l'obliquité et les sinuosités. Au niveau de son genou
supérieur
et de son genou inférieur, la scissure de Rolando
, frontal (f,) qui s'abouche dans la scissure de Rolando. La partie
supérieure
de la circonvolution frontale ascendante s'anas
par deux plis de passage, les plis de passage fl'onto-parirJ- taux
supérieur
et inférieur. i Le pli de passage inférieur, le
nférieur, le plus souvent superficiel, embrasse dans - sa concavité
supérieure
l'extrémité inférieure du sillon de Rolando ; sa
ale au contraire est mince, étroite, comme du reste-toute la partie
supérieure
de la circonvolution par létale ascendante (Pa)
on bord postérieur donne insertion aux circon- volitions pariétales
supérieure
et inférieure. 2° lobe pariétal (P). Le lobe pa
. - OpR, opercule rolandique. Pi, 7'3, circonvo- lutions pariétales
supérieure
et inférieure. - Pa, circonvolution pariétale asc
arallèlement à la scissure de Rolando qu'elle contourne à sa partie
supérieure
, en contribuant à former le pli de passage f1'O
rieure, en contribuant à former le pli de passage f1'Onto-pa/'i/tal
supérieur
ou lobule paracentral (Parc). Le contingent par
ontal beaucoup plus volumineux (fig. 177, 180, 181, 182). La partie
supérieure
de la circonvo- lution pariétale ascendante est
- pri, sillon prérolandique inférieur. - pi,s, sillon prérolandique
supérieur
. - pt, sillon pariétal transverse de Brissaud.
à scissure de Sylvius; S'(p), son éperon inférieur; S"(p), son éperon
supérieur
. S(v), branche verticale de la scissure de Sylv
d, formé par un des plis d'insertion de la circonvolution pariétale
supérieure
sur la circonvolution pariétale ascendante. Une
pri, sillon préro- landique inférieur. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - iota, pli anastomotique profond du sillon in
al profond. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 267 qucfois le lobule pariétal
supérieur
au lobule pariétal inférieur, de (elle sorte qu
Broca). Notation : (Ecker, Broca) P,. La circonvolution pariétale
supérieure
(P,) (lobule pariétal supérieur) large en avant
a) P,. La circonvolution pariétale supérieure (P,) (lobule pariétal
supérieur
) large en avant, étroite en arrière, n'occupe q
a reçu le nom de gyrus supra- marginalis, de pli ou lobule marginal
supérieur
de Gratiolet (Gsm). ' Après avoir formé le prem
du sillon paral- - - lèle (t,), en décrivant une courbe à convexité
supérieure
et se bifurque enfin en deux anses : l'anse ant
circonvolution occipitale (02), r .Fic. 166. - Face externe et bord
supérieur
de l'hémisphère gauche. (D'après la a photograp
- pour, sillon post-rolandique. - pri, purs, sillons prérolandiques
supérieur
et inférieur. - pt, sillon pariétal transverse de
scendante par son pied, d'insertion; elle est reliée à la pariétale
supérieure
par un ou plusieurs plis anastomotiques soit pro-
r contourne la scis- sure de Sylvius, en formant le lobule marginal
supérieur
(Gsm), dont le deuxième contourne le sillon par
- 1° Gyrus supra-marginalis (pu (G s m]1. -s5soa,wr. -Pli marginal
supérieur
(Gratiolet). Loutre du pli marginal supérieur (
soa,wr. -Pli marginal supérieur (Gratiolet). Loutre du pli marginal
supérieur
(Gratiolet.). Gyrus purietalis inferior une ter
pitale, et sépare le lobe temporal du lobe occipital son extrémité
supérieure
FIG. 1G7. Face postéro-externe de l'hémisphère
lution pariétale inférieure. - P,, P2, circonvo- lutions pariétales
supérieure
et inférieure. - l'a, circunvoln- tion pariétal
sillon oc- cipital, sillon inter-occipital (i o) [sillon, occipital
supérieur
o,] d'Ecker), n'est autre que la continuation d
re pré-occipitale de \Ieynert.- j, incisure de Jensen. - K', éperon
supérieur
de la scissure calcarine. - K", éperon inférieu
ns. ! Première circon- volution occipitale. deux parties, l'une
supérieure
et postérieure, qui correspond à la première ci
: première (0,), deuxième (0» et ou circonvolutions occipitales '
supérieure
, moyenne et inférieure, et la circonvolution, des
oder obère II interhauphuindung (Ecker). Circonvolution occipitale
supérieure
(I : cher). - Pli occipital supérieur et pli de p
). Circonvolution occipitale supérieure (I : cher). - Pli occipital
supérieur
et pli de passage supé- rieur externe (Gratiole
e o.,). Sa partie antérieure s'anastomose avec le lobule pariétal ,
supérieur
(P,) et forme le premier pli de lia.s.wrrelirtnié
g. 168, 169). Après son anastomose avec la circonvolution pariétale
supérieure
(P,), la première circonvolution occipitale se
L'c-occipit,atcdcSchaw)bc.f, scissure calcarine. - K',K", épe- rons
supérieur
et inférieur de la scissure calcarine. Oi,0°,03,
st le point de réunion des trois faces du lobe temporal, qui sont :
supérieure
, externe et inférieure. La face inférieure, conca
on- volution pariétale inférieure. - Pi, circonvolution pariétale
supérieure
. - Pi, circonvolution pariétale inférieure. - l
ci- pital. por, sillon post-rolandique. prs, sillon prérolandique
supérieur
. - R, scissure de Rolando. - S(p;,hranclic post
isurc pré-occipitale de Schwalbe (fit.,150, 160, 161, 162). La face
supérieure
forme la lèvre infé- rieure de la scissure de S
courbe (Pc), il se divise souvent en = (fib. 169, 171). La branche
supérieure
constitue l'axe du pli courbe (t,), la branche
ipitale. - por, sillon post-rolandique. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - 1tGIo premier pli vertical de Gromier. - R,
ES NERVEUX. Deuxième sillon temporal. D'autres fois, la branche
supérieure
est dédoublée; son rameau pos- térieur, situé s
issure de Sylvius ; S'(p), son éperon inférieur ; S"'p), son éperon
supérieur
. - TI, T2, T3, }Jl'CIlli(.l'c, deuxième et troi
décrirons de bas en haut, afin de ne pas séparer l'étude de la face
supérieure
de la première circonvolution - temporale, de c
mporale. Première circon- volution temporale. Lobule marginal
supérieur
. Sillon temporal ,rofond. i La deuxième c
,). - SvKoKYMiK : Gyrus temporales superior (Ecker). - Pli temporal
supérieur
; Pli marginal postérieur ou inférieur (Gratio-
uxième circonvolution pariétale (1\), en formant le lobule marginal
supérieur
de Gratiolet (Gsm). Cette circonvolution forme
sillon intermédiaire de Jensen (j) (fig. 164, 1G5,-1 ï-1). La face
supérieure
de cette circonvolution, située profondément dans
ion, située profondément dans la scissure de Sylvius, forme la face
supérieure
du lobe temporal; elle ne devient donc apparent
sépare la région rétro-insulaire d'avec la circonvolution marginale
supérieure
(Gsm), laquelle représente un véritable pli de
able pli de passage pariéto-temporal superficiel. Par son extrémité
supérieure
, le sillon temporal profond apparaît à la face
é inférieure de ce sillon incise plus ou moins profondément la face
supérieure
de la première circonvolution temporale (T,); ell
t, et dont la base affecte la forme d'un triangle rectangle à bords
supérieur
, antérieur et inférieur. Les angles de celte ba
antérieur (ma)etposté1'iew' (mp) (fig. 173). " . Le sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms), lu- rigole supérieure de Broc
173). " . Le sillon marginal supérieur de l'insula (ms), lu- rigole
supérieure
de Broca, festonné et découpé' en dents de scie
antérieur. - mp, sillon marginal postérieur. - ms, sillon marginal
supérieur
. - Oi,0>,03, première, deuxième et troisième c
ssaud), qui se continue en arrière avec la circonvolution marginale
supérieure
(Gsm) dont il est séparé par l'éperon supérieur d
volution marginale supérieure (Gsm) dont il est séparé par l'éperon
supérieur
de la branche postérieure de la scissure de Syl
convexité postérieure, et s'unit il angle aigu -au sillon marginal
supérieur
; son segment postérieur sépare l'insula de la rég
étudiée plus haut; son segment antérieur sépare l'insula de la face
supérieure
de la première circonvolution temporale (T,).
rieure de Broca se détache à angle presque droit du sillon marginal
supérieur
; il est court, presque vertical et sépare l'ins
la direction est sensiblement parallèle à celle du sillon marginal
supérieur
(fig. 173). Des trois faces de l'insula, la sup
llon marginal supérieur (fig. 173). Des trois faces de l'insula, la
supérieure
, la plus étendue, se termine en pente abrupte
a plus étendue, se termine en pente abrupte dans le sillon marginal
supérieur
; l'antérieure présente également une pente trè
orte en haut et en arrière, pour se terminer dans le sillonmarginal
supérieur
, à 1, 1 et demi ou 2 cent, en avant de son angle
es de profondeur, se termine insensiblement dans le sillon marginal
supérieur
; il est le premier sillon qui apparaît à la surfa
iveau de l'espace perforé antérieur et au niveau du sillon marginal
supérieur
; ces deux segments se portent vers le pôle ins
la, et se terminent par une large base au niveau du sillon marginal
supérieur
. La base de la circonvolution antérieure de l'ins
atteignent en général ni le pôle de l'insula, ni le sillon marginal
supérieur
, mais ils peuvent dans quelques cas être assez
us à la partie postérieure du lobe ]imbique (fig. 182, 183). Le pli
supérieur
, constant égale- ment, relie la partie moyenne
pli 1-)a ? -iéto-occij)i,'I(tl interne ou pli de passage interne et
supérieur
de Gratiolet (-pot). Il est toujours limité en
sillon de l'hippo- campe. K, scissure calcarine; K', son épe- ron
supérieur
; 7<", son éperon inférieur. ]( T po, branche
ncisure pré-occipitale. - A', scissure calca- rine ; K', son éperon
supérieur
; K", son éperon inférieur. - K + po, branche comm
? o.s'o-M ! <7 ? a/e (cm) (fig. 1711 à 182), parallèle à la face
supérieure
du corps calleux, dont elle est séparée par toute
coude à angle obtus, se dirige en haut et en arrière, vers le bord
supérieur
de l'hémisphère, sur lequel elle produit le plu
artie orbitaire de la première circonvolution frontale de sa partie
supérieure
. C'est le sillon sus-orbitaire de Broca (so) (f
rrière, limite la scissure inter-hémispherique, forme le bord supé-
supérieur
de l'hémisphère, et se termine en arrière, dans l
ovalail'e de Broca, repré- sente le pli de passage fronto-pariétal
supérieur
ou le pli rolandique SlIprf- rieur; irrégulière
ssure sous-pariétale. Ce sillon, qui entaille plus ou moins le bord
supérieur
de l'hémisphère et la première circonvolution par
interne représentent la face interne des circonvolutions pariétale
supérieure
et première frontale. La surface du cuneus est ir
re. Par sa base, le cuneus concourt à limiter le bord hémisphérique
supérieur
, son sommet est relié au lobe limbique (L,) par
iée au précunéus par le pli de passage pariéto-occipital interne et
supérieur
de Gratiolet (-poi) (lig. 182). Sa [face inféri
(lig. 182). Sa [face inférieure, profonde également, forme la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine; elle est reliée au lobu
u lobe lim- bique par deux plis de passage rétro-limbiques, dont le
supérieur
est en général superficiel, et l'inférieur prof
bichromate.) C, cuneus. c, sillon du cuneus.Ca<,calotte ou étage
supérieur
du pédoncule.-Ce,corps calleux. -CI3, carrefour
- it, incisure temporale. - li, scissure calcarine. - K', incisure
supérieure
de la scissure calcarine. - l, sillon intra-limbi
al (lg) divise le lobule de même nom en deux circonvolutions, l'une
supérieure
, l'autre inférieure. Le pli lingual supérieur,
circonvolutions, l'une supérieure, l'autre inférieure. Le pli lingual
supérieur
, sinueux, mince et étroit, forme la lèvre infér
, le grand lobe limbique de Broca (L) se compose de deux arcs, l'un
supérieur
, l'autre inférieur, réunis en avant par le lobe
eur, l'autre inférieur, réunis en avant par le lobe olfactif. L'arc
supérieur
ou fronlopariétal (L,) longe dans toute son éten-
biculum cornu Ammonis (Burdach). - Circonvolution temporale interne
supérieure
(Bischoff). - Portion du gyrus occipito-temporali
la face profonde de la première circonvolution limbique, de la face
supérieure
du corps calleux, des nerfs de Lancisi (NL) et
fasciola cinerea (Fc) (fig. 182, 149). Arrivée au niveau de la face
supérieure
du bourrelet du corps calleux, la circonvolution
eux, et qui recouvre à la façon d'un léger voile gris toute la face
supérieure
du corps calleux. Cette mince lamelle, qui souven
ésence du mince voile gris, l'induspum griseum, qui tapisse la face
supérieure
du corps calleux, s'explique aisément par l'embry
re de la première circonvolution frontale (oF,) en dehors; son bord
supérieur
, véritable arête longitudinale logée dans le si
ent le sillon olfactif (f,) : elles sont recouvertes, comme le bord
supérieur
du pé- doncule olfactif, par une lame de substa
l'écorce grise du lobe frontal et qui constitue la racine olfactive
supérieure
de Broca. Le carrefour de l'hémisphère de Broca
ctive . externe. Racine olfactive interne. Racine olfactive
supérieure
rle Broca. Carrefour olfactif dl." Bror'a.
ttes diagonales font suite aux nerfs de Lancisi. situés sur la face
supérieure
du corps calleux; elles passent dans ce cas au-
ap de la troisième circonvolution frontale. - Cal, calotte ou otage
supérieur
du pédoncule. - Cg, circonvolution godronnée. C
entricule latéral. - xPcs, entrecroisement du pédoncule cérébelleux
supérieur
. i - 308 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Mol !
nche verticale . S(v) Sa branche postérieure ...^.. S(p) L'éperon
supérieur
de cette branche .. '. S'(p) L'éperon inférie
érieur.. ma 2. Sillon marginal postérieur . mp 3. Sillon marginal
supérieur
.. ms 4. Sillon principal de l'insula " ou sil
parié to-occipitale po i 4. Scissure calcarine. : .. K Son éperon
supérieur
.... K' . Son éperon inférieur.... K" Branche
qui sépare le cerveau de l'isthme de l'encéphale, au niveau du bord
supérieur
de la protubérance (fig. 183). L'étude du plan de
e les pédon- cules cérébraux en formant le trou borgne antérieur ou
supérieur
ou fossette inlerpédonculaire. De chaque côté e
^ inférieure est libre et repose sur la gouttière optique; sa face
supérieure
, jja adhérente à la commissure grise de la base
Cette dernière, forme avec la substance grise qui recouvre la face
supérieure
du chiasma un angle aigu, ouvert en haut et en
sont également aplaties de haut en bas, et adhérentes par leur face
supérieure
à la commissure grise de la base, dans toute la
te sur une section transversale la forme d'un croissant à concavité
supérieure
et occupe la partie interne et supé- rieure du
s trapézoïde. (D'après Gudden.) 73/1, bandelette optique. Ca, étage
supérieur
ou calotte du pédoncule (région du faisceau tri
ge dans la concavité du faisceau visuel direct; convexe par sa face
supérieure
, elle est également convexe par sa face infé- r
nt, par l'intermé- diaire de la substance grise qui tapisse la face
supérieure
du chiasma et des bandelettes optiques, avec la
nté- rieurs, en arrière avec la substance grise qui tapisse la face
supérieure
des tubercules mamillaires et l'espace inter-pé
long, obliquement dirigé en bas et en avant; large à son extrémité
supérieure
et creusée d'une cavité, le diverticule de l'in
ro- mate.) bd, bandelette diagonale de Broca. C, calotte ou otage
supérieur
du pédoncule. - CC(g), genou du corps calleux.
du cervelet. - Lip, lobe inféro-postéricur du cervelet. - Lsm, lobe
supérieur
et moyen du cervelet. lso, lame sus- optique. -
supérieur et moyen du cervelet. lso, lame sus- optique. - Lsp, lobe
supérieur
et postérieur du cervelet. - 11, lame terminale e
de la région sous-optique et de la ré- gion de la calotte ou étage
supérieur
des pédoncules. Le pédoncule du tuber- cule mam
t de l'axe coudé encéphalique ; aussi est-il à prévoir que sa paroi
supérieure
sera beaucoup plus longue que sa paroi inférieure
rd antérieur de la protubérance, 9 millimètres, tandis que la paroi
supérieure
mesure 17 millimètres, des pédoncules de la gla
pare le pied ou étage inférieur du pédoncule de la calotte ou étage
supérieur
, est assez large; l'émergence de la troisième p
e masse volumineuse de gros fais- ceaux de fibres, étendues du bord
supérieur
de la protubérance àla base du cerveau dans laq
eur bord postéro-externe est presque vertical et forme avec le bord
supérieur
de la ) Locus niger de Socmmeriniri. ? t
téro-mtcrne lait avec l'horizontale un angle de 45° et avec le bord
supérieur
de la protu- bérance un angle de 80°. De cett
artie inférieure du pédoncule cérébral passant au voisinage du bord
supérieur
de la protubérance et intéressant le tubercule qu
a- drijumeau postérieur, l'entrecroisement du pédoncule cérébelleux
supérieur
, le noyau de la IVe paire et le tamia pontis. (
7', étage inférieur ou pieddupédoncule. Pcs. pédoncule cérébelleux
supérieur
. Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - Bl, rub
umeau. ;c : Pcs, entrecroisement inférieur du pédoncule cérébelleux
supérieur
.- sl'cs, entrecroisement supérieur du pédoncule c
férieur du pédoncule cérébelleux supérieur.- sl'cs, entrecroisement
supérieur
du pédoncule cérébelleux supérieur. MORPHOLOGIE
supérieur.- sl'cs, entrecroisement supérieur du pédoncule cérébelleux
supérieur
. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 32u accentué dans les
inférieure. (D'après Gudden.) Bll, bandelette optique. - Ca, étage
supérieur
ou calotte du pédoncule. CG, commis- sure de Gu
s tubercules quadrijumeaux, ou au niveau des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Parmi ces faisceaux de fibres, plus ou moins v
e trouve situé à égale distance de la bandelette optique et du bord
supérieur
de la protubérance. Il apparaît, ainsi que l'a
aît, ainsi que l'a indiqué Gudden, au niveau du tiers moyen du bord
supérieur
du tubercule quadrijumeau antérieur, occupe l'a
doncule cérébral. Il apparaît à la surface du pédoncule cérébelleux
supérieur
ou au niveau du sillon qui sépare ce pédoncule
Trajet du txuia pontis. 328 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Étage
supérieur
des pédoncules ou ré- gion de la calotte. S
thme de l'encéphale, contourne le pied du pédoncule le long du bord
supérieur
de " la protubérance (fig. 189, 192), pénètre
plus grande partie de son éten- due. La face interne de l'étage
supérieur
du pé- donculen'esten effet libre que dans un
. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Po, protubérance. l'ul, pulvinar. - Il ? pyr
tubercule quadrijumeau postérieur (Qp) et le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) d'autre part, est sillonnée de fibres bla
ieur (untere Schleife), visible à la surface de l'isthme. L'étage
supérieur
, ou calotte du pédoncule, constitue donc une régi
et la substance perforée postérieure en dedans, région dont la face
supérieure
ou ventriculaire forme, avec celle du côté oppo
ling (NR, fig. 193) situé de chaque côté du raphé, dans les régions
supérieures
de la calotte du pédoncule et entouré d'une cap
e, on trouve, à la place du noyau rouge, le pé- doncule cérébelleux
supérieur
ou noyau blanc de Stilling (Pcs, fig. 189). De
é du raphé, en arrière du noyau rouge ou du pédon- cule cérébelleux
supérieur
, il existe un petit faisceau triangulaire, le f
ig. 193). En dehors du noyau rouge (NR) ou du pédoncule cérébelleux
supérieur
, se trouve la section transversale semi-lunaire
e réticulée. Xoyau rouge de Stilling. Pédoncule cérébel- leux
supérieur
. Faisceau longitu- dinal postérieur. Noyaux
fig. 189). Dans la région Fig. 193. Coupe transversale de la partie
supérieure
du pédoncule cérébral de l'homme au niveau de l
- ll, bandelette optique. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 331 pédonculaire
supérieure
(fig. 193), elle est recouverte par les libres du
ansversal; les divisent en tubercules quadrijumeaux anté- rieurs ou
supérieurs
et tubercules quadrijumeaux postérieurs ou inféri
cules quadrijumeaux, ganglion de l'habenula, pédoncules cérébelleux
supérieurs
. (D'après la photographie d'une pièce durcie dans
noyau caudé. - l', pied du pédoncule. - Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Po, protubérance. P2tl, pul- vinar de la cou
en rouge. · bd, bandelette diagonale do Broca. C, calotte ou étage
supérieur
du pédoncule. . Cc(g), genou du corps calleux.
velet. - Lip, lobe ' inférieur et postérieur du cervelet. Lsm, lobe
supérieur
et moyen du cervelet. - lso, lame sus-optique.
supérieur et moyen du cervelet. - lso, lame sus-optique. Lsp, lobe
supérieur
et postérieur du cervelet. It, lame terminale emb
e et avant-mur. Capsule extrême. sième ventricule (V3), sa face
supérieure
recouverte en dedans par la toile choroïdienne
en haut dans la masse blanche des hémisphères (CO), le long du bord
supérieur
du noyau caudé, pour former la couronne rayonna
tre ovale de Vieussens. Cette coupe, horizontale, passe par la face
supérieure
du corps calleux; elle n'intéresse que la substan
inq centimètres environ. Le point culminant du tronc FM. 197.- Face
supérieure
de l'encéphale ; la scissure inter-hémisphérique
la scissure inter-hémisphérique a été écartée pour montrer la face
supérieure
du corps calleux et du cervelet. (D'après la phot
cunéus. 1 sillon prérolandique inféricur.-prs, sillon prérolandique
supérieur
. pt, sillon pariétal transverse. 1 ! : pla, pli
S CENTRES NERVEUX. Bourrelet. Genou. Iicc ou rostrum. Sa face
supérieure
. du corps calleux est distant de trois centimèt
nt de trois centimètres environ de la partie la plus élevée du bord
supérieur
du cerveau. Sa longueur mesure 7 à 8 centi- mèt
erveau. Sa longueur mesure 7 à 8 centi- mètres (Sappey)'sur sa face
supérieure
, 5 à 6 seulement sur sa face infé- rieure. Son
du corps calleux deux faces, deux bords et deux extrémités. La face
supérieure
(fig. 199), plus large en arrière qu'en avant,
s ou éloignés l'un de l'autre. Ces tractus parcourent toute la face
supérieure
du corps calleux, à laquelle ils sont du reste pe
rière, vestige du raphé du corps calleux. De chaque côté de la face
supérieure
(fig. 199), on trouve au niveau du sinus du cor
parent le cingu- lum de l'écorce grise du léeliici tecta. La face
supérieure
du corps calleux est en rapport, par l'intermédia
ière, convexe transversale- ment, celle face présente comme la face
supérieure
un aspect fasciculé. Libre dans une étendue bie
que cette dernière, elle est tapissée par Yépendymc, forme la paroi
supérieure
ou voûte des ventricules laté- raux, et donne i
fibres du cingulum sectionnées parallèlement au niveau de la face.
supérieure
du corps calleux. - Cinq', Cing", libres du cingu
lleux sur lui-même, et on peut lui considérer trois parties : l'une
supérieure
, l'autre postérieure, la troisième inférieure. La
supérieure, l'autre postérieure, la troisième inférieure. La partie
supérieure
représente l'extrémité postérieure du tronc du
u corps du trigone deux faces, trois bords et trois angles. La face
supérieure
est convexe dans le sens antéro-postérieur, elle
sur cette face du Corps du trigone. Ses faces. FIL;. 200. Étage
supérieur
des ventricules latéraux. Corps du trigone et sep
leux inférieur et postérieur. - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et
supérieur
. - Lsm, lobe cérébelleux supérieur et moyen. -
a, lobe cérébelleux antérieur et supérieur. - Lsm, lobe cérébelleux
supérieur
et moyen. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et po
- Lsm, lobe cérébelleux supérieur et moyen. - Lsp, lobe cérébelleux
supérieur
et postérieur. - Ly, lyre ou psalterium. - inF,
térieur du corps calleux (rostrum posterior). Cal, calotte ou étage
supérieur
du pédoncule cérébral. coa, commissure antérieu
tubercules quadrijumeaux an té- iczrzs(Qa) (fig.198). Par leur face
supérieure
, ils sont unis au corps calleux, dont ils sont
rale. l', pied du pédoncule cérébral. - l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Poa, l'op, libres antérieures et postérieures
le. - P, pied du pédoncule cérébral. - Pcs, pé- doncule cérébelleux
supérieur
. - Pchl, plexus choroïdes. - Poa, l'op, fibres an
ment la paroi interne des ventricules latéraux (VI). Son bord
supérieur
, long et convexe, s'unit à la face inférieure
ieur, ou mieux postéro-inféricllr, est concave; il répond à la face
supérieure
du trigone, à ses piliers antérieurs et à la lame
AqS, Aqueduc de Sylvius. B, fente cérébrale de Bichat. Cal. étage
supérieur
du pédoncule ou calotte. CB, carrefour olfactif
MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 3 : Portion antérieure ou frontale; étage
supérieur
. L'étage supérieur du ventricule latéral, plus
ALE. 3 : Portion antérieure ou frontale; étage supérieur. L'étage
supérieur
du ventricule latéral, plus large en avant (m'en
aspect semi-lunaire, et répond à la partie la plus large de l'étage
supérieur
des ventricules laté- raux. Ses parois supérieu
s large de l'étage supérieur des ventricules laté- raux. Ses parois
supérieure
et antérieure sont concaves et répondent au tro
courbée de la tête du noyau caudé. La moitié postérieure de l'étage
supérieur
du ventricule latéral, située en arrière du tro
ne du noyau caudé (NC) avec le corps calleux (fig. 122). La paroi
supérieure
est formée par la face inférieure du corps calleu
ptique, le sillon opto-stl'ié (si) ; 3° le tiers externe de la face
supérieure
de la couche optique (Th) ; i° la face supérieure
xterne de la face supérieure de la couche optique (Th) ; i° la face
supérieure
du trigone (Tg) et les plexus choroïdes du vent
a teinte gris-rougeàtre du noyau caudé. Le tiers externe de la face
supérieure
de la couche optique, compris entre Étac npérip
rolonge dans le bulhe olt'aetit'. Moitié postérieure de l'étape
supérieur
du ventricule latéral. i Ses limites. Sa
diaire (Yoy. p. 113 et fig. 52 il gui). La partie Fie. 208. - Étage
supérieur
des ventricules latéraux. Corps du trigone et sep
leux inférieur et postérieur. - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et
supérieur
. Lsm, lobe cérébelleux supérieur et moyen. Lsp,
Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur. Lsm, lobe cérébelleux
supérieur
et moyen. Lsp, lobe cérébelleux supérieur et post
ur. Lsm, lobe cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe cérébelleux
supérieur
et postérieur. - Ly, lyre ou psalterium. - 7nF,
208), plus étroite en arrière, la lame cornée est libre par sa face
supérieure
, et recouvre la veine du corps strié, qu'elle p
le sur la paroi inférieure et se continue directement avec la paroi
supérieure
de la corne occipitale (Voc). Elle présente en
oyau amygdalien (NA), et un FIG. 209. - Paroi inférieure de l'étage
supérieur
et paroi supéro-externe de l'étage inférieur du
raphie d'une pièce durcie dans l'alcool.) " Cal, calotte ou étage
supérieur
du pédoncule cérébral. cm, sillon calloso-margina
cas. Sa coupe est irrégulière, quelquefois triangulaire. La paroi
supérieure
ou mieux supéro-externe, ou voûte, se continue
érieure ou mieux supéro-externe, ou voûte, se continue avec la face
supérieure
du prolongement sphénoïdal, et se moule assez e
longitudinaux et une surface plane (fig. 210). Le relief interne et
supérieur
est plus petit; c'est un relief plein, formé par
collatérale de Meckel (Ec). Deux sillons inlra-venlriculaires, l'un
supérieur
, l'autre inférieul', sépa- rent fergot de Moran
d'autant plus profonds, que l'ergot de Morand est plus accentué; le
supérieur
, que nous désignerons sous le nom de diverticul
gnerons sous le nom de diverticule du cunéus, correspond à la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine ; l'inférieur ou diverti
calcarine ; l'inférieur ou diverticule du lobule lingual à la lèvre
supérieure
de celte même scissure. Ce dernier diver- ticul
t donc que la corne sphénoïdale et la partie postérieure de l'étage
supérieur
du ventricule latéral : les cornes frontale et
nt en dedans avec la toile choroïdienne (Tch), au niveau de l'étage
supérieur
du ventricule latéral, et avec la pie-mère de l
ns la partie fronto- pariétale du ventricule, le point de réflexion
supérieur
correspond au bord externe du corps du trigone,
(fig. 212). Dans le prolongement sphénoïdal, le point de réflexion
supérieur
correspond à la bandelette demi-circulaire, l'i
ticales et de forme triangulaire ; un sillon curviligne à concavité
supérieure
, le sillon de Monro (sM), divise les parois lat
es parois latérales du troisième ventricule en deux régions : l'une
supérieure
, l'autre inférieure. La région supérieure ou th
e en deux régions : l'une supérieure, l'autre inférieure. La région
supérieure
ou thalamique, ou région de la couche optique,
es en rouge. bd, bandelette diagonale de Broca. C, calotte ou étage
supérieur
du pédoncule. Cc(g), genou du corps calleux. -
u cervelet. - Lip, lobe inl'éro-postérieur du cervelet. - Lsm, lobe
supérieur
et moyen du cervelet. - Iso, lame sus-optique o
- Iso, lame sus-optique ou lame terminale embryonnaire. - Lsp, lobe
supérieur
et postérieur du cervelet. - ll, commissure bla
as et en avant, se termine par une extrémité effilée dans la moitié
supérieure
de la tige pituitaire. Sa base (fig. 213), allo
rdon très blanc, situé à la limite de la face interne et de la face
supérieure
de la couche optique, et dont les fibres se ter
uée entre le corps du trigone et la moitié interne Wt$|j de la face
supérieure
de la couche optique. Cette soi-disant partie hor
ventricule, au-dessous du corps du trigone (fig. 212, 213). La face
supérieure
, convexe d'avant en arrière, est recouverte par l
lobe cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsm, lobe - cérébelleux
supérieur
et moyen. Lsp, lobe cérébelleux supérieur et post
- Lsm, lobe - cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe cérébelleux
supérieur
et postérieur. - Na, noyau antérieur du thalamu
des ventricules latéraux. Sa base se dédouble en deux feuillets, le
supérieur
se réfléchit sur le bourrelet du corps calleux, e
corps calleux, et se confond avec la pie-mère qui recouvre la face
supérieure
du corps calleux et les circon- volutions du lo
- volutions du lobe limbique. Le feuillet inférieur entoure la face
supérieure
, le bord libre et la face inférieure de la glan
ntriculaire du corps strié. B. Le noyau caudé ou portion interne et
supérieure
du corps strié de Vicq d'Azyr; noyau intra-vent
t en dedans est logée dans l'épaisseur du lobe frontal; par sa face
supérieure
, il fait saillie dans le ventricule latéral; par
gros faisceaux blancs, et le divise en deux parties ou noyaux, l'un
supérieur
et interne, le noyau intra-ventriculaire du cor
NA). * La ligne horizontale y-/ qui passe il l'union des deux tiers
supérieurs
avec le tiers inférieur de cette ligure, divise
e cette ligure, divise la capsule interne en doux régions : la région
supérieure
ou thalamique de l'a capsule interne comprend l
dirigées per- pendiculairement à son grand diamètre. Cette face est
supérieure
au niveau du tronc du noyau caudé, et répond à
le envoie au segment' externe du noyau lenticu- laire, dont la face
supérieure
lui est parallèle, de nombreuses travées de sub
é de la substance grise sous- FiG. 215. Paroi inférieure de l'étage
supérieur
et paroi supéro-externe de l'étage inférieur du
ographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) Cal, calotte ou étage
supérieur
du pédoncule cérébral. cm, sillon calloso-margina
inatus (Fu) (fig. 242 et 243). Les bords du noyau lenticulaire sont
supérieur
, inférieur et interne. Les bords supérieur et i
noyau lenticulaire sont supérieur, inférieur et interne. Les bords
supérieur
et inférieur sont convexes; ils convergent en ava
nt la partie moyenne repose sur l'espace perforé antérieur. Le bord
supérieur
est longé par les fibres les plus inférieures d
ticulaire. Fibres radiées. Couche optique (thalamus). La face
supérieure
est recouverte par le .stratum zonale et di-
umeaux, au dessus des pédoncules cérébraux dont elle occupe le côté
supérieur
et interne et qu'elle contourne par son extrémi
une des couches optiques quatre faces et deux extrémités. Les faces
supérieure
et interne sont libres, ainsi que l'extrémité p
terne, à la région sous-optique et au pédoncule cérébral. La face
supérieure
, convexe dans le sens antéro-postérieur, légère-
s médullaire d'un blanc éclatant, qui forme la limite enlre la face
supérieure
et la face interne et qui fait un léger relief
us blanc porte le nom de tænia thalami, de pédon- cule antérieur ou
supérieur
, de frein, de rênes (habenæ) ide la glande pi-
i (tth, fig. 216). Etroite en avant, plus large en arrière, la face
supérieure
présente un sillon longitudinal, large mais peu
cerveau antérieur et le cerveau intermédiaire. La partie de la face
supérieure
de la couche optique, située en avant et ' en d
et recouverte par l'épendyme ventriculaire. La partie de la face
supérieure
de la couche optique, située en arrière et en d
ptique. En dedans de la partie postéro-interne du pulvinar, la face
supérieure
présente une petite surface triangulaire à base
es tubercules quadriju- maux ; en haut, elle est séparée de la face
supérieure
parle tænia tltalami (tth) .ou pédoncule antéri
eur (halena) de la glande pinéale. Un sillon curviligne à concavité
supérieure
, le sillon de Monro, étendu du trou de Monro à l'
obe cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsm, lobe ** cérébelleux
supérieur
et médian. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et p
m, lobe ** cérébelleux supérieur et médian. - Lsp, lobe cérébelleux
supérieur
et postérieur. - Na, noyau antérieur du thalamu
artie postérieure de sa face inférieure repose en effet sur l'étage
supérieur
du pédoncule, qui porte ici le nom de région so
ng (Ln) et se confond sans ligne de démarcation nette, avec l'étage
supérieur
ou calotte du pédoncule cérébral. Elle renferme d
, qui appartient à la fois à la région sous-thalamique et à l'étage
supérieur
du pédoncule et qui est entouré d'une couche de
tinuité directe les uns avec les autres : Les pédoncules antérieur,
supérieur
et postérieur. Un quatrième pédoncule, le pédon
ne direction sagi 1 tale. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 381 Le pédoncule
supérieur
ou moyen, le plus large, aborde par ses fibres
fibres se dirigent d'arrière en avant et pénètrent dans les couches
supérieures
du pulvinar. Les plus inférieures se rendent di
zontales macro et microscopiques, fig. 221-228, 292-293) ; les plus
supérieures
s'étalent sur la face supérieure de la couche o
fig. 221-228, 292-293) ; les plus supérieures s'étalent sur la face
supérieure
de la couche optique et concourent à former le
au externe qui répond à la capsule interne et un noyau antérieur ou
supérieur
, le plus petit des trois, qui s'enfonce la mani
e qu'elle présente à la coupe l'aspect d'un S italique. A sa partie
supérieure
et antérieure, elle donne un prolongement à peu
t ne présentent pas alors de limites distinctes. Noyau antérieur ou
supérieur
(\Ta).-Sur les coupes sagittales, le noyau anté
e médul- aire interne. 1 I I 1 , Noyau antérieur ! ou
supérieur
. ! 1 382 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Noya
rieure du thalamus, en dehors et au-des- sous du noyau antérieur ou
supérieur
; en arrière, il se continue ainsi que Luys l'a
xterne se confond en avant avec le noyau antérieur, près de la face
supérieure
de la couche optique, dans la région du faisceau
par le fasciculus retroflexus de Meynert (FM). C'est il la partit;
supérieure
et postérieure de ce noyau interne, que se trou
eut par conséquent lui considérer deux parties ou ré- gions : l'une
supérieure
ou thalamique, l'autre inférieure ou sous-thalami
, s'étendent en avant et en arrière, s'épanouissent le long du bord
supérieur
du noyau lenticulaire, puis divergent dans tous l
point d'épanouissement de la capsule interne, compris entre le bord
supérieur
du noyau lenticulaire et le bord externe du noy
la première à 41 millimètres et la seconde à 75 millimètres du bord
supérieur
de l'hémisphère. Dans la série des coupes verti
limètres, la dis- tance qui sépare chaque coupe horizontale du bord
supérieur
de l'hémisphère. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVE
s de la coupe dite du centre ovale de Vieus- sens, qui rase la face
supérieure
du corps calleux, passe par la première circonv
blanche de l'hémisphère, entourée par les circonvolutions du tiers
supérieur
du cerveau. Écorce. - Sur cette coupe on consta
sont, le deuxième sillon frontal (f"), le sillon ]J ? ru[an- dique
supérieur
(prs), le sillon inle/ïJariélal (ip); cette diffé
illimètres, la distance qui sépare chaque coupe horizontale du bord
supérieur
de l'hémisphère. 388 ANATOMIE DES CENTRES NERVE
sphère droit, n° (35, passant à 35 milli- mètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 3a des fig. 217 et 218.
: to-occipitale ou perpendiculaire interne (po), enfin l'extrémité
supérieure
du cunéus (C), qui forme sur cette coupe un petit
mier et deuxième sillons frontaux (fl, puis le sillon prérolandique
supérieur
(prs), la circonvolution frontale ascendante (Fa)
irconvolution pariétale (P2), on trouve la circonvolution pariétale
supérieure
(P,), qui se continue avec le précunéus (PrC) i
tale-occi- pitu ou perpendiculaire externe (po), enfin l'extrémité
supérieure
de la première ! tt circonvolution occipitale (0,
qui constituent le faisceau arqué de Burdach ou faisceau longitudinal
supérieur
(Arc). Le faisceau arqué est mal délimité sur c
remière circonvolution occipi- talc. - Pi, circonvolution pariétale
supérieure
. - /'2, circonvolution pariétale inférieure. -
lon parieto-occipital. Parc, précunéus. - pws, sillon prérolandique
supérieur
. - Il, scissure de Rolando. sp, sillon sous-par
émisphère droit, n° 41, passant à 41 millimètres au-dessous du hord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 41 des fig..217 et 218. (
lignes 41 des fig. 2'17 et 218). . Cette coupe intéressse la partie
supérieure
du tronc du corps calleux (Ce), l'extrémité sup
se la partie supérieure du tronc du corps calleux (Ce), l'extrémité
supérieure
du ventricule latéral (VI) et le tronc du noyau
la deuxième pariétale (P) dans une grande étendue, depuis la partie
supérieure
de son pied d'insertion sur la pariétale ascend
n pied d'insertion sur la pariétale ascendante (Pa) jusqu'à la partie
supérieure
de la première circonvolution occipilale (0,).
us (PrC), la scissure 7JrlI'iéto-occipilale (po), enfin l'extrémité
supérieure
du cunéus (C) qui n'occupe encore qu'une petite
tance blanche. - Le corps calleux (Ce) est sectionné dans sa partie
supérieure
., il est limité en dehors parle ventricule, latér
us externes de la couronne rayonnante appartiennent au prolongement
supérieur
des fibres de la capsule externe (Ce), les inte
nante, est constitué parle faisceau, arqué ou faisceau longitudinal
supérieur
de Burdach (Arc), qui se continue insen- siblem
se la partie inférieure du tronc du corps calleux (Ce), ['extrémité
supérieure
de la couche optique (Th) et du segment externe d
du noyau lenticulaire (NLJ, ainsi qu'une partie du sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms). Écorce. - L'écorce diffère
avant de la scissure de Sylvius (S[p]), correspond déjà à la partie
supérieure
de l'Opercule. En arrière de la scissure de l'é
segments, on trouve la couche optique (Th), sectionnée il sa partie
supérieure
, et qui présente un noyau gris central, la part
partie supérieure, et qui présente un noyau gris central, la partie
supérieure
du noyau externe entouré d'une capsule blanche,
lagée (Zr). En dehors des noyaux opto-striés, se trouve l'extrémité
supérieure
de la cap- sule interne(Cia, Cip), formée de li
e la capsule externe (Ce) et l'écorce qui limite le sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms), on trouve une lame blanche, f
me blanche, formée par les fibres du faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
(Arc), et la partie supérieure de Y avant-mur (AM
res du faisceau arqué ou longitudinal supérieur (Arc), et la partie
supérieure
de Y avant-mur (AM), sous forme d'une mince ban
misphère droit, n° 45, passant à 4o nnillimèlres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 4 des fig. 217 et 218.
te (lignes 48 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par la partie
supérieure
du septum lucidum (SI), le noyau antérieur de l
SI), le noyau antérieur de la couche optique (Na Th) et l'extrémité
supérieure
du putamen (NL : ,). L'écorce et la substance
a pre- mière circonvolution frontale interne. - mi, sillon marginal
supérieur
. NC, tête du noyau caudé. NC ? queue du noyau c
misphère droit, n° 48, passant à IF8 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 48 des fig. -217 et 218.
rconvolution temporale (tri) se continue en avant, avec l'extrémité
supérieure
du pli temporal profond (Tp), très peu marqué s
terne de la première circonvolution frontale. ? )M, sillon marginal
supérieur
.A'C,noyaucaude ? Ys,troisième segment du noyau le
-pariétal. Th, couche optique. T, ! gsna;, circonvolution temporale
supérieure
au niveau du pli marginal supérieur. - < ? bra
sna;, circonvolution temporale supérieure au niveau du pli marginal
supérieur
. - < ? branche verticale du sillon parallèle.
misphère droit, n° 52, passant à ti2 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Ligne 52 des fig. 21 et 218. (
ples et un sillon un peu plus profond, correspondant à une incisure
supérieure
de la scissure calcarine (K). Le cunéus (C) est l
émisphère droit, n° 55, passant à 55 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes ;;5 des lig. 217 et 218.
frontale. - OpR, opercule rolandique. Pu, circonvolution marginale
supérieure
ou pariétale inférieure. Pa, circonvolution par
misphère droit, Do58, passant il ;;8 millimèlrcs au-dessous du Lord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes b8 des figures 21 et 218.
en plusieurs endroits, une fois en arrière, au niveau de son éperon
supérieur
, qui sépare le cunéus (C) de la première occipita
ire de la corne < ? txtt)t0)). Cavités ventriculaires. - L'étage
supérieur
du ventricule latéral (VI) est limité en avant
misphèrc droit, n° 61, passant à 61 millimètres au- dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 01 des figures 217 et 218
s qui ne communiquent entre eux, que par l'intermédiaire de l'étage
supérieur
du ventricule latéral. La corne frontale (Vf), ap
(cop), la partie inférieure de la couche optique (Th)et l'extrémité
supérieure
des tubercules quadrijumeaux antérieurs (Qa). É
émisphère droit, n° 63, passant à 63 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 03 des figures 217 et 2)8
émisphère droit, n° 65, passant à Ou millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes Ça des figures 217 et 218
ERVEUX. pulvinar (Pul) qui est libre, et concourt à former la lèvre
supérieure
de la partie moyenne de la fente cérébrale de B
ar les commissures antérieure (coa) et postérieure (cop), la partie
supérieure
de la région sous- optique de la capsule intern
émisphère droit, n° 68, passant à 68 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Ligne 68 des figures 217 et 218.
émisphère droit, n° 70, passant à 70 millimétrés au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 70 des fil{. 217 et 2t8.
oupe passe par la substance innommée de Reichert (Sti) et la partie
supérieure
du pédoncule cérébral (P). ' Écorce. - L'écorce
occipito- temporal, sa face postérieure concourt à former la lèvre
supérieure
de la fente cérébrale de Bichat. À la place d
re (Al) ne peut guère être suivie au delà de la région pédonculaire
supérieure
, où ses libres entrent, en partie dans la capsu
les fibres parallèles. Elles se confondent dans la région du noyau
supérieur
de la troisième paire, avec le faisceau longitudi
misphère droit, n° 72, passant à .î2 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 72 des fig. 217 et 218. (
ainsi que des faisceaux radiculaires de la 3° paire (III); 3° l'étage
supérieur
enfin ou région des tubercules quadrijumeaux (q
x faces latérales, interne et externe, un bord inférieur et un bord
supérieur
. Dans sa partie antérieure, au contraire, la ba
tale jusqu'au niveau du chiasma, ses faces deviennent inférieure et
supérieure
, ses bords interne et ex- terne. Le chiasma n'e
hère droit, n° 75, passant Ù. 7;) 73 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes '7a des flg. 217 et 218.
e de l'hémisphère droit, n° 78, passant à 78 millimètres - (lu bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 78 des fig. 217 et 218. (
misphère droit, n° 82, passant il 82 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. Lignes 82 des fig. 217 et 218. (
èrement concave. La face inférieure ou orbitaire repose sur l'étage
supérieur
de la base du cràne; la face externe est en rap
isé en deux parties inégales par l'incisure du cap (ic) ; la partie
supérieure
est en con- nexionaveclepied de la t/'01- siè
pied de la troisième circon- volution frontale (F3) la par- tie
supérieure
du cap (fisc). Deux circonvolutions frontales
tc (tec); cette disposition se retrouve aussi bien dans la partie
supérieure
, que dans la partie inférieure de la face in-
us-épcndyntaire (Sge) ; celle-ci se réduit à deux seg- tnents, l'un
supérieur
, l'autre inférieur. Le segment supérieur (Sge) do
t à deux seg- tnents, l'un supérieur, l'autre inférieur. Le segment
supérieur
(Sge) double la bord externe du ventricule laté
toute la série des coupes vertico-transversales, le long de l'étage
supérieur
du ventricule laté- ral (zig. 240 à 256) ; au n
240 à 256) ; au ni- veau du carrefour venlricu- laire ce segment
supérieur
n'est plus reconnaissable qu'au microscope. L
troisième ci ? convolution frontale (oF3). Large dans sa partie
supérieure
, cette lame s'effile dans sa partie infé-
2) le genou du corps calleux comprend deux parties. La par- tic
supérieure
, épaisse, se continue sur les coupes ultérieu
le, s'atténue et disparaît sur la coupe n° 55 (fig. 243). La partie
supérieure
du cingulum forme dans toute la série des coupes
s libres s'incurvent, et sur la coupe n° 30 (fig. 237), le triangle
supérieur
foncé se continue en bas, avec une lame claire de
s cas est plus ou moins défiguré. Le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
de Burdach (Arc) pourrait êlre appelé faisceau
s (Fu) d'une part (coupes nos 40 et 43, ü ? t0-`3-li), et la partie
supérieure
de la capsule externe (C), d'autre part (coupes n
ne est convexe, l'interne est très accidentée; plane dans sa moitié
supérieure
, située au-dessus du bourrelet du corps calleux
olution temporale (T,) est étroite et mince; elle présente une face
supérieure
ou sylvienne, qui s'applique sur ]'ojJel'clrle,.
sceau uncinatus (Fu). Il reste néanmoins au niveau de son extrémité
supérieure
, en connexion avec l'écorce insulaire, dont il re
r le septum lucidum (SI) et le bec du corps calleux (Ce'), sa paroi
supérieure
par le corps calleux (Ce). Son bord externe est
faisceau occipito-frontal (OF), le faisceau arqué ou longitudi- nal
supérieur
Arc) et le faisceau uncinatus (Fu). Dans le lobe
hevêtrées. . Coupe n° 60 (fig. 244). - La paroi interne et la paroi
supérieure
du ventTi- cule latéral (VI) sont toujours form
. 449 calleux (Cc). Le noyau caudé (NC) ne forme plus que la partie
supérieure
de sa paroi interne; dans l'angle inférieur du
- mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - ms, sillon marginal
supérieur
de l'insula. NA, noyau amygdalien. XC, noyau caud
? (AM), en bas le faisceau uncinatus (Fu) dont les fibres les plus
supérieures
entrent dans la constitution de la partie infé-
par le genou de la capsule interne (Ci[g]); l'obliquité de la face
supérieure
du noyau len- ticulaire ainsi que de la capsule
icale, divisée en 'deux parties par sillon de Monro (sM). La partie
supérieure
ou thalamique estlimité'e îàr-le't ? nia tia.la7n
u de Vicq d'Azyr (VA) et la corne d'Ammon (CA). Écorce. - Le bord
supérieur
de l'hémisphère est formé par la première circo
p). Le fond de cette scissure est occupé par l'insula (1), la lèvre
supérieure
est formée par l'opercule rolandique (OpR), la
er à noter. Le ventricule latéral (VI) est intéressé dans son étage
supérieur
et dans la partie antérieure de la corne sphénoïd
t dans la partie antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph). L'étage
supérieur
du ventricule latéral (VI) est aplati et se rédui
l (VI) est aplati et se réduit 11 l'état d'une fente, dont la paroi
supérieure
est formée par le corps calleux (Ce), la paroi in
- mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - nzs, sillon marginal
supérieur
de l'insula. - NL3,a, ,, noyau lenticulaire et
diuitations antérieures delà corne d'Am- mon (CA) ; le diverticule
supérieur
sépare la corne du noyau amygdlliien (NA), l'in
base du cerveau. La bandelette (II) n'est adhérente que par sa face
supérieure
, où une mince lamelle de substance blanche la s
à former la paroi latérale du troisième ventricule (V.,), une face
supérieure
qui présente la saillie du tubercule antérieur
e dans laquelle on trouve les deux faisceaux de Forel : le faisceau
supérieur
ou thalamique (Fth) et le faisceau inférieur ou l
c, lobule paracentral. l'a, protubérance. pms, sillon prérolandique
supérieur
. P, faisceau pyramidal. - R, scissure de Rolando.
OUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 150 l'autre de ces coupes. Le bord
supérieur
de l'hémisphère est constitué' par le lobule pa
rnière circonvolution est très large, le sillon }/1 ? olllll- dique
supérieur
(prs) l'incise profondément et la scissure de Rol
é par l'in- sula (I). L'opercule rolandique (OpR) en forme la lèvre
supérieure
, tandis que la lèvre inférieure est formée par
ar la circonvolution temporale profonde (Tp) et la face profonde ou
supérieure
de la première circonvolution temporale (T,). ).
. - Le ventricule latéral (VI) est intéressé au niveau de son étage
supérieur
et au niveau de la corne sphénoïdale (Vsph). Les
et au niveau de la corne sphénoïdale (Vsph). Les limites de l'étage
supérieur
sont les mêmes que sur les coupes précédentes. La
r et deuxième sillons temporaux. - Tap. tapetum. - lLs, trou borgne
supérieur
. - Tg, trigone. - Tlt, couche optique. - Tp, circ
lobule paracentral. - Po, protubérance. purs, sillon prérolandique
supérieur
. 1ttl, pli temporo-limbique. R, scissure COUPES
i- circularis dont les fibres se sont accrues, s'étale sur la paroi
supérieure
de la corne sphénoïdale et masque souvent la qu
séparent du segment postérieur de la capsule interne (Cip). La face
supérieure
de la couche optique présente sur cette coupe u
ntille biconvexe, dirigée obliquement en haut et en dehors. Sa face
supérieure
, convexe, est séparée de la couche optique (Th)
as autre chose que la continuation directe de la calotte ou l'étage
supérieur
du pédoncule. Les coupes n's 78 et 80 (fig. 250
e (du) et se divise en deux faisceaux de volume inégal. Le faisceau
supérieur
et interne continue la direction du pied du péd
on de la deuxième circonvolution pariétale (P2), qui forme la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius (S [p]) et qui refoul
éressent en effet la région rétro-insulaire (Tp) et le pli marginal
supérieur
(Gsm) et (P.,) ). Sur la coupe n° 89 (fig. 255)
et que la partie postérieure de son tronc (NC) au niveau de l'étage
supérieur
du ventricule latéral (VI), et sa queue (NC') dan
e cérébelleux moyen. - Po, protubérance. - pi-s, sillon prérolandique
supérieurs
R, scissure de Rolande. RC. radiations de la ca
iforme. - Gh, ganglion de l'hahenula. Gsm, circonvolution marginale
supérieure
(gyrus supra-marginalis). Il, hippocampe. - ip,
dante. - Parc, lobule paracentral. - 1'eus, pédoncule céré- helleux
supérieur
. - prs, sillon prérolandique supérieur.- - R, sci
eus, pédoncule céré- helleux supérieur. - prs, sillon prérolandique
supérieur
.- - R, scissure de Rolando. - 11, ruban de Reil
iétal. - ot, sillon collatéral. l ? (gsnt), circow·olutionmarpinale
supérieure
(gyrus supra-marginalis). l'a, circonvolution p
e ascendante. - Parc, lobule paracentral. l'es, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Pul, pulvinar. - 11, scissure de Rolando. -
1cke,. le champ ou la zone de l1'cl'lliclw (W) pré- sente un sommet
supérieur
, une base inférieure; ses côtés latéraux correspo
scen- dante. - Parc, lobule paracentral. Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Pu pulvinar. - Il, scissure de Rolando.. - RI,
) intéressent en outre la partie postérieure de la calotte ou étage
supérieur
du pédoncule. On trouve en dedans l'aqueduc de
ent rapprochées passent par le lobule paracentral (Parc), la partie
supérieure
des circonvolutions frontale et pariétale ascen-
xtra-ventriculaire de la couche optique (Sexv). Écorce. - Le bord
supérieur
de l'hémisphère est formé par le lobule para- c
. et 93 (fig. °356 et 357); les autres coupes intéressent sa partie
supérieure
. En dehors de la scissure de Rolando nous trouv
u noyau cade. - ot, sillon collatéral. - I ? circonvolution pariétale
supérieure
. - l'a, circonvolution pariétale ascendante. -
aires, circonvolutions sous-cal- leuses (Cse), qui occupent la face
supérieure
de la circonvolution de l'hippocampe (H) et fon
its comme sur les coupes précédentes, une fois au niveau de l'étage
supérieur
du ventri- cule latéral (VI) immédiatement au-d
ressent le lobe temporal; une première fois au niveau de son étage-
supérieur
(VI), une seconde fois au niveau de la corne sphé
ue du noyau caudé (NC'), parties qui forment le plancher de l'étage
supérieur
du ventricule latéral (VI) et la voûte de l'éta
a partie commune aux cornes occipitale et sphénoïdale et il l'étage
supérieur
du ventricule. Noyaux gris centraux. -Le,, coup
en dehors de la lame cornée (le) et étendue du plancher de l'étage
supérieur
du ventricule latéral (V1) il la voûte de la co
ne et inférieure forme la voûte du carrefour ventriculaire; sa face
supérieure
est recouverte par le loenia tecta (tec) et le
n limbique. - 01, sillon collatéral. - P,, circonvolution pariétale
supérieure
. Pi, circonvolution' pariétale inférieure. - Pa,
bique (L, et H). Le lobe limbique comprend deux parties, une partie
supérieure
qui se confond avec le précunéus (PrC), dont il e
r les coupes n°5 133 et 137 (fig. 265, 266), il s'étend sur la face
supérieure
du cunéus (C) et à la face interne et inférieur
c) il la face externe. Le ]J/'éculléus (PrC) occupe toute la moitié
supérieure
de la coupe. FIG. 2gui. -Coupe vertico-transver
obe limbique. - ot, sillon collatéral. Pi, circonvolution pariétale
supérieure
. - P2, circonvolu- tion pariétale inférieure. -
'hémisphère, le Jmicllnéus (PrC), forme la circonvolution pariétale
supérieure
(P,). En dehors de celle-ci, nous trouvons la c
on occipital. - ot, sillon collatéral. Pi, circonvolution pariétale
supérieure
. P-2, circonvolution pariétale inférieure. - Pc,
drangulaire sur les coupes nON 105 et 107 (fig. 261, 262). Sa paroi
supérieure
est limitée par les fibres calleuses qui con- c
llon occipital. oi, sillon collatéral. P,, circonvolution pariétale
supérieure
. - P2, circon- volution pariétale inférieure. P
iffe le fond de la scissure cal- carim : (IC). Les extré- mités
supérieure
et inférieure de la corne occipitale se recou
e de la corne occipitale se recour- benten dedans;l'extré- mité
supérieure
se pro- longe dans le cunéus en formant un pe
ccipitales. - ot, sillon collatéral. - P,, circonvolution pariétale
supérieure
. Pi, circonvolution pariétale inférieure. - Ile
ccipitales.-ot, sillon collatéral. - P,, circonvolu- tion pariétale
supérieure
. - Ps, circonvolution pariétale inférieure.Pc,
ques colorées il l'hématoxyline ou au carmin.' Au niveau de l'angle
supérieur
du ventricule, les couches de la paroi externe se
r la coupe n° 105 (fig. 261) où il est situé au niveau de la partie
supérieure
et interne du bourrelet du corps cal- leux, dan
ndo (R) incise le lobule paracentral et le sillon ]J/'é-1'Olandique
supérieur
(prs) et délimite ce lobule en avant. Entre la pa
aJ'iéto-lirnbiques antérieur et postérieur ( ? pla, zlnlp). Le bord
supérieur
du précunéus (PrC) appartient à la face externe d
essous du cunéus nous trouvons le lobule lingual (Lg), dont la face
supérieure
se moule sur le cunéus (C) et sur l'isthme du lob
issures calcarine et pariéto-occipitale (K+po). L'écorce de la face
supérieure
du lobule lingual et de la face inférieur du cuné
rface de coupe du corps calleux est ici fort irré- gulière. Sa face
supérieure
est en effet déprimée et déformée en deux endroit
a section du nerf de Lancisi (NL) et du tarnia tecta (tec). La face
supérieure
du corps calleux présente des dentelures plus ou
, lobe cérébelleux inférieur et postérieur. - Lsp, lobe cérébelleux
supérieur
et postérieur. - Ln, locus niger. - Ly, lyre. - »
lexus choroïdes du ventricule latéral. - Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - PiTh, pédoncule inférieur du thalamus. Po, p
re parieto-occipitale.-PrC, précunéus. - pi-s, sillon prérolandique
supérieur
. - Piil, pulvinar. - Py, faisceau pyramidal. Tt/7
Uv, uvula (luette) ? JÕ'ù.\j,W¡";L"'\5'eq, d'Azyr. F (Czr), partie
supérieure
(culinen) du vermis. V (De), partiq'inlrr ! eure
ette coupe, il fournit en arrière deux diverticules : l'un petit et
supérieur
, situé entre la lyre (Ly1 etle tronc du corps c
r compris entre la lyre et le corps du trigone (Tg). Le diverticule
supérieur
, connu sous le nom de ventricule de Fla (Ver),
ion de la corne sphénoïdale, de la corne occi- pitale et de l'étage
supérieur
du ventricule. Le trigone (Tg) et les plexus ch
te coupe ne l'intéresse donc que dans son segment vertical. La face
supérieure
de la couche optique (Th) est divisée en deux par
rige obliquement en haut et en arrière, et qui représente la partie
supérieure
du faisceau rétroflexe de Jfe ! JneJ't (FM), au
réticulée de la calotte (SR) et les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), qui se dirigent obliquement en haut et e
U CERVEAU. 491 longueur que présentent l'étage inférieur et l'étage
supérieur
du pédoncule. L'étage inférieur du pédoncule (P
e ; elle ne comprend sur cette coupe que le pédoncule céré- belleux
supérieur
(Pcs). Comme la coupe est un peu oblique en bas
cervelet, cette coupe intéresse le vermis supel'i01' dans la moitié
supérieure
du cervelet, et l'hémisphère cérébelleux dans sa
onvolutions orbitaires (oF ¡[Gr]), en for- mant la racine olfactive
supérieure
de Broca et en arrière avec la substance grise
CROSCOPIQUES DU CERVEAU. 49 : cédente (n° 5, lig. 268). Par sa face
supérieure
il est en contact avec la masse blanche du lobe
i correspond à la première ébauche du globus pallidums, A la partie
supérieure
de la commissure antérieure (coa), on trouve un
couche optique. Ln, locus niger. Lsa, lobe cérébelleux antérieur et
supérieur
. -Lsm, lobe cérébelleux supérieur et médian. - li
sa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur. -Lsm, lobe cérébelleux
supérieur
et médian. - lisp, lobe cérébelleux inférieur et
tage inférieur du pédoncule cérébral. P,, circonvolution pariétale,
supérieure
. - l'a, circonvolution pariétale ascendante. - Pa
re pariéto-occipitale. -arc, précunéus. - prs, sillon prérolandique
supérieur
. - Pul, pulvinar. - l1j, faisceau pyramidal. - 7z
leuse (Oc) et une petite dépression arrondie, appartenant la partie
supérieure
du quatrième ventricule (V ? ). La coupe intére
cule (V ? ). La coupe intéresse l'hémisphère cérébelleux; sur la face
supérieure
on distingue le lobe supào-antIJI'Í1 ! W' (Lsa)
convolutions rolandiques (Fa, Pa) et de la circonvolution pariétale
supérieure
(Pj), qu'une seule et même masse. La scissure p
sionne avec l'écorce de la circonvolution du crochet (U). Sur la face
supérieure
de la circonvolution du crochet (U), au-dessous
profondeur des masses blanches des circonvolutions, mais sa limite
supérieure
est toujours nette, grâce à la direction de ses
ceau inférieur du forceps (Fin'). Cavités ventriculaires. - L'étage
supérieur
du ventricule latéral (VI) est intéressé dans t
moyen, - po, scissure parieto-occipitale. p7-s, sillon pré-rolandique
supérieur
. P/</. pulvi- nar. trl, pli dlro-lilllbifiue
es par le premier sillon frontal (1'1); le sillonpl'é-l'olrllldique
supérieur
(prs), la ci,'conco- lution frontale ascendante
est limitée au dehors par incisure temporale (it). Quant à la lèvre
supérieure
de la vallée de Sylvius (VS), elle est formée par
). Dans le fond du sillon de l'hippocampe (h) on aperçoit la partie
supérieure
de la circonvolution godronnée (Cg). L'écorce
grise de la corne d'lznznorz (CA) se continue avec celle de la face
supérieure
de la cipculIL'ulution de l'hippocampe (H) el for
l reconnaître, grâce il la direction de ses fibres et à ses limites
supérieures
encore nettes. Il se continue en arrière avec l
cipitale. por, sillon post-rolandique. pvs, sillon pre-rotan- dique
supérieur
. PThm, pédoncule moyen de la couche optique.Pi<
la ligne 17 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors de l'étage
supérieur
du ventricule latéral, au niveau du seuil de l'
lS1WI'SIÛCSIIWcl'uswpiques, fig. 240 il 35<j.) Au-dessus du bord
supérieur
de la substance grise sous-épendymaire, on trouve
e (NC'), au-dessus du pulvinar (Pul); une seconde fois, à la partie
supérieure
de sa tête (NC), où il est réduit à quelques îlot
ventail, répond à la bandelette optique (II) et sa base à la limite
supérieure
du noyau caudé (NC). Lorsque d'autre part on se
ntral et un pôle périphérique; le pôle central répondant il la face
supérieure
du putamen (NL3), le pâle périphérique à sa fac
s les régions infra-corticales, mais il n'en reçoit pas par sa face
supérieure
(Wernicke); il présente donc un pôle périphériq
mblent s'irradier dans le putamen ne font que tra- verser sa partie
supérieure
. Ces fibres qui constituent le segment antérieur
). Le putamen (NL3) a considérablement augmenté de volume, son bord
supérieur
donne naissance à de nombreux ponts, de substan
t (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Toute la paroi
supérieure
du carrefour ventriculaire est bordée par les fib
phénoïdale. por, sillon post-rolandique. prs, sillon pre-rolandique
supérieur
, - Pul, pulvinar. - 'It1'l, pli rétro-limbique. R
ème segment du noyau lenticulaire (NL3), le fond du sillon marginal
supérieur
de l'inslila (ms) et par la corne sphé- noïdale
icule latéral affecte une forme très allongée et aplatie. Sa limite
supérieure
est formée par les derniers vestiges du noyau amy
g, lobule lingual. ma, sillon marginal antérieur. ms, sillon marginal
supérieur
. NA, noyau amygdalien. - NC, queue du noyau cau
e putamen, se logent la commissure arrtérieure (coa), l'extré- mité
supérieure
du noyau amygdalien (NA) et de nombreux orifices
mporale (T,). La face inférieure et la moitié antérieure de la face
supérieure
du troisième segment du noyau lenticulaire (NL3
e précédente, et qui siégeaient sur la moitié antérieure de la face
supérieure
du noyau, lenticulaire. Entre l'extrémité antér
s, elle est interrompue il sa partie moyenne par le sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms), par l'écorce grise qui l'entour
rsqu'on la compare à celle de la coupe précédente. Le sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms) est plus accentué et les circo
nal antérieur. zip, sillon marginal postérieur.-ms, sillon marginal
supérieur
. NC', queue du noyau caudé. Os, 0,; deuxième et
rginal antérieur. mp, sillon marginal postérieur. ms, sillon marginal
supérieur
. 0,,03, deuxième et troisième circonvolutions o
s le nom d'éminence collatérale de Meckel, (Ec, fig. 275). Sa paroi
supérieure
est longée par un noyau gris, mince et étroit,
ent le faisceau de Turc (fur) qui passe dans la région sous-optique
supérieure
, entre le noyau lenticulaire et la partie recou
ige des ganglions de base. Cependant, au-dessous du sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms), dans l'espace qui correspond au
ées par les deuxième et premier sillons temporaux (t2, t,). La face
supérieure
de la première circonvolution temporale (T,) fo
S [a]). Le sillon qui délimite la base de l'insula, sillon marginal
supérieur
(ms), est le plus long, il est interrompu sur c
en insula postérieur (Ip). Laparlie postérieure du sillon marginal
supérieur
(ms) se continue il angle aigu avec le sillon mar
érieur du lobe temporal. Dans le fond des sillons margi- 7//lII.I :
supérieur
et postérieur, l'écorce temporale fait saillie, e
pF3). La branche postérieure (S [p]) est limitée en bas par la face
supérieure
de la première circonvolution temporale (T,), qui
s centraux, la capsule interne, la région sous-optique et la partie
supérieure
du pédoncule cérébral. La coupe supérieure pass
ous-optique et la partie supérieure du pédoncule cérébral. La coupe
supérieure
passe par le centre ovale de Vieussens, la coupe
é par les libres calleuses (Ce). Très épais il la partie interne et
supérieure
de la substance grise sous-épendymaÍ1'e (Sge),
coupes suivantes). On les voit très nettement contourner la partie
supérieure
de la substance grise s01ls-épendymail'e (Sge) et
out la même. Nous venons de voir qu'elle est formée clans sa partie
supérieure
par des fibres qui s'irradient dans la première
riculaire, sous lequel elles s'arrêtent assez brusquement; les libres
supérieures
contournent la corne frontale (Vf) comme sur la
(oF,). Là, le faisceau calleux inférieur s'effile comme le faisceau
supérieur
, et entoure la paroi externe de la. corne frontal
ntale d'une couche de fibres continues. Mais tandis que le faisceau
supérieur
, que le faisceau inférieur et que le genou sont
sous-épendymaire (Sge), assez épaisse au niveau des parois externe,
supérieure
et inférieure de la corne frontale; au niveau d
mur (AM). Ces deux noyaux sont incomplètement séparés dans leurs 3/
supérieurs
parle segment antérieur de la capsule interne (
sont des libres sectionnées très obliquement sauf au niveau du bord
supérieur
du corps strié, où elles le sont presque parallèl
particularités intéres- santes. On la voit se prolonger sur la face
supérieure
du corps calleux pour former le t<l'nill tec
interne de la première circonvolution frontale. - ms, sillon marginal
supérieur
. - NC, noyau caudé. NL3, troisième segment du n
d'une lame étroite et brisée qui se dédouble au niveau de sa partie
supérieure
et se perd au voisinage du sillon marginal supéri
de sa partie supérieure et se perd au voisinage du sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms). Au niveau de la partie horizo
e le segment externe du globus pallidus (NL) au niveau de sa partie
supérieure
. Les fascicules volumineux qui apparaissent dans
on du segment antérieur de la capsule interne (Cia) le long du bord
supérieur
de ce noyau, et sont faciles il reconnaître dans
a). Sectionnées presque parallèlement il leur axe au niveau du bord
supérieur
du corps strié, ces fibres sont coupées d'autan
fibres d'association courtes qui longent le fond du sillon marginal
supérieur
de l'insula (ms) et qui s'épanouissent d'une pa
frontale. mp, sillon marginal postérieur. - n ? s, sillon marginal
supérieur
. -NC, noyau c ! ).udc. ;V, nerf de Lancisi. - NL3
l'anse du noyau lenticulaire (Al), fibres qui traversent la partie
supérieure
du pilier antérieur du trigone. Au-dessous du cor
ibres du segment antérieur de la capsule interne (Cia). La partie
supérieure
du segment antérieur de la capsule interne (Cia)
la capsule interne se divise en trois parties : la partie interne et
supérieure
forme le stmtllm zonale de la couche optique (s
pédoncule antérieur de la couche optique, est englobé dans le bord
supérieur
du segment interne du globus pallidus (NL,); il
NA) fait saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph) et forme la lèvre
supérieure
du diverlicule du subiculum. Tapissée par la subs
e. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. 1ns, sillon marginal
supérieur
de l'insula.- NA, noyau amygdalien. A'C, noyau
mus. pCR, pied de la'couronne rayonnante. prs, sillon prérolandique
supérieur
. PiTh, pédoncule inférieur du thalamus ? Y, péd
présente pas l'ampleur des coupes de la série précédente. La partie
supérieure
de la coupe ne présente rien de particulier il no
coupe un noyau volumi- neux, irrégulièrement quadrilatère. Sa face
supérieure
, étendue du sillon opto- slrié au taenia thalam
dehors en dedans la recouvre ; ces fibres proviennent de la partie
supérieure
de la capsule interne et du pied de la couronne
s fibres du système lenlicztlo-caztdé. La partie interne de la face
supérieure
de la couche optique, comprise entre le sillon
grise appartenant il la substance, perforée postérieure. Sa moitié
supérieure
, com- prise entre le sillon de Monro et la subs
us nier.- mp, sillon marginal postérieur. - 112S, sillon marginal 1
supérieur
. NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NC', qu
pallidus, les autres émergent le long de son sommet ou de son bord
supérieur
; de la ces libres se portent en dedans, traversen
nt un faisceau qui enveloppe, soit la face inférieure, soit la face
supérieure
du corps de Luys. Le faisceau supérieur, particul
e inférieure, soit la face supérieure du corps de Luys. Le faisceau
supérieur
, particulièrement dense, se porte en dedans et
de la capsule interne (Cip), formé de deux parties inégales, l'une
supérieure
, l'autre inférieure. La supérieure correspond i
mé de deux parties inégales, l'une supérieure, l'autre inférieure. La
supérieure
correspond il la région lhalamique du segment p
es fibres du stratum zonale décrivent une grande courbe à concavité
supérieure
, puis entrent dans la constitution du pied de l
R) et affectent un trajet presque horizontal au niveau de la partie
supérieure
de la capsule interne. Les fibres radiées du thal
nombre va constituer le faisceau pyramidal du bulbe. Dans la partie
supérieure
de la région thalamique de la capsule, ces fibres
uent les fibres de projection du. noyau caudé, traversent la partie
supérieure
de la capsule interne, s'entre-croisent avecres
l (P) et de l'étage antérieur de la protubérance (Poa). La partie
supérieure
de cette coupe ne présente rien de particulier il
noyau rouge, où ils font suite aux fibres dû pédoncule cérébelleux
supérieur
et où ils sont croisés par des fibres radiculaire
OUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 549 interne au niveau de la partie
supérieure
de la région sous-thalamique, les supé- rieures
partiennent à la capsule du noyau rouge et au pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs); en dedans, on trouve les dernières fibres
- pen. pied de la couronne rayonnante. - Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Plch, plexus cho- roïdes du ventricule latér
exus choroïdes de la corne sphénoïdale. - ]JI'S, sillon prérolandique
supérieur
. Prl, fais- ceau pyramidal. R, scissure de Rola
les fibres lenliculo-caudées qui tra- versent obliquement sa partie
supérieure
, puis des libres du putamen (NL.,) qui traverse
de libres foncées, nettement sectionnées en travers et dont la partie
supérieure
est traversée par le faisceau de 7'ür·cl, : ave
pédoncule au niveau de l'entre-croisement du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), ainsi que la partie postérieure du pied
et de la partie inférieure de la capsule interne. Les fibres radiées
supérieures
ou fibres y ? r7<) ? </6tntt ? < du pi
h, (Pp Th). Entre ces fibres et les fibres qui traversent les îlots
supérieurs
du pu- tamell, il existe une zone verticale, ri
-pCR, pied de la couronne rayonnante. - l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - P/c/t)A, plexus choroïde du ventri- cule lat
laire externe (Lme) se présentent, au moins au niveau de leur partie
supérieure
, comme sur les coupes précédentes. Dans la part
surtout constituée par l'entre-croisement du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), entre-croisement se luisant par de très gr
r de très gros fascicules de fibres. Entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs) et la substance grise de l'aqueduc qui se
se portent en dedans et s'insinuent entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
et la substance grise postérieure de la protubé
e l'angle externe du ventricule latéral en deux parties : la partie
supérieure
contourne, comme sur les coupes précédentes, l'
ubiculum (ds). En dehors des fibres calleuses qui tapissent l'angle
supérieur
du carrefour vell- triculaire et des fibres du
fusiforme (Fus) ; à la face externe, la cincozz- volution pariétale
supérieure
(P,), la branche descendante ou occipitale du p
ajor du corps calleux (Fm) ; ce dernier forme, au niveau de l'angle
supérieur
de la corne occipitale, un faisceau volumineux et
angle inféro-externe, celte couche se réduit au niveau de la partie
supérieure
et interne de la corne occipitale, la largeur d
tales (Voy. Coupes horizontales, fig. 392, 293 et 298). Le faisceau
supérieur
traverse le segment rétro-lenticulaire de la caps
trouve les fibres d'association propres de ce lobe Coiffant l'angle
supérieur
du faisceau longitudinal inférieur, on trouve un
gion calcarinienne avec la convexité du lobe occipital. La moitié
supérieure
de ce système est constituée par le faisceau tran
le faisceau transverse du lobule lingual de Vialet. Né de la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine (K) et de la face inte
unéus (C), le faisceau de Sachs (ftcS) passe au-dessus de la partie
supérieure
du faisceau longitudinal inférieur (Fli) qu'il co
passe par la partie infé- rieure du corps calleux (Ce), l'extrémité
supérieure
et postérieure de la corne d'Ammon (CA), le tie
rémité supérieure et postérieure de la corne d'Ammon (CA), le tiers
supérieur
de la couche optique (Th), le putamen (NL3) et
ment uni au bourrelet du corps calleux le trigone entoure la partie
supérieure
de la corne d'Azmon (CA) dont il forme l'alvéus,
u''t, sillon pré-rolandique inférieur. - prs, sillon pré-rolandique
supérieur
. - R, scissure de Rolando. - RCc, radiations du c
nt par la ligne 3 de la ligure 299. Cette coupe passe par la partie
supérieure
du noyau caudé (NC), le tronc du corps calleux
e, la coupe intéresse le tronc du corps calleux (Ce) dans sa partie
supérieure
. L'écorce grise de la première circonvolution lim
ro-poslérieure qui appartiennent au faisceau arqué, ou longitudinal
supérieur
de l3rcrdacla (Arc). En dedans, le cingulum (Cing
s coupes plus infé- rieures, et qui se dirigent tous vers la partie
supérieure
du noyau lenticulaire, reste au-dessous de la c
u corps calleux (Ce), par le ventricule latéral (VI) et l'extrémité
supérieure
de la couche optique (Th.) L'écorce est repré
l'opercule ; les coupes suivantes intéresseront le sillon marginal
supérieur
de l'insula, puis les circonvolutions de l'insu
) la capsule interne (Cia, Cip) se confond en dehors avec la partie
supérieure
de la capsule externe (Ce). Elle est sillonnée
grise, qui relient la face inférieure du noyau caudé (NC) à la face
supérieure
du troisième segment du noyau lenticulaire (NLJ
gne 5 de la figure 299. Cette coupe passe par les sillons marginaux
supérieur
(ms) et postérieur (mp) de l'insula, la partie
marginaux supérieur (ms) et postérieur (mp) de l'insula, la partie
supérieure
du noyau lenticulaire (NL3), le noyau antérieur
entées seulement par l'écorce qui double le fond du sillon marginal
supérieur
(l11s). Le corps calleux (Ce) est divisé en deu
il contours très accidentés en dedans, et qui représente la partie
supérieure
du troisième segment COUPES MICROSCOPIQUES DU C
ulaire (NLa)' L'insula (la, Ip), sectionné au niveau de sa partie
supérieure
, est séparé de l'opercule de la troisième circo
i- tution de la mince lame de libres blanches, qui recouvre la face
supérieure
de la couche optique, et qui contribue à lui do
'est étendu et recourbé ; il em- brasse dans sa concavité la partie
supérieure
du premier segment (NL,), dont il est séparé pa
du putamen (NL.,). Sur foules les coupes qui portent sur la moitié
supérieure
de ce segment, les libres du genou sont coupées
externe (Cgi, Cge), la com- missure postérieure (cop) et la partie
supérieure
du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa.) Sur
l), les corps geuouillés interne et externe (Cgi, Cge) et la partie
supérieure
du tubercule quadrijunicau antériettr· (Qa), qui
0 de la figure 299. Cette coupe passe par la région sous-thalamique
supérieure
, au- dessus du corps de Luys. Elle se distingue
du globus pallidus (NL,), traversent dans la région sous-thalamique
supérieure
les 2/3 antérieurs du segment postérieur de la
lus au-dessous de la présente coupe. Dans la région sous-thalamique
supérieure
, la capsule interne se trouve ré- duite à son s
ntérieur (Cia) disparaît en effet, dès que l'on sectionne la partie
supérieure
du corps de Luys (CL). Quant au seg- ment rétro
intéresse la région sous-thalamique de Forel et passe par la partie
supérieure
du corps de Luys (CL) et la partie moyenne de la
ue ; il atteint son plus grand développement au niveau de la partie
supérieure
du noyau rouge (NR), puis disparait progressive-
eau lenticulaire de Forel (FI), dont nous avons vu naître la partie
supérieure
sur la coupe précédente (n° 10, suri. 309). Les
elle passe par la partie moyenne du corps de Luys (CL), les couches
supérieures
de la capsule du noyau rouge (RC) et par l'extrém
st située au-dessous du faisceau de 7'M;'c ? (FT) qui croise salace
supérieure
, et elle limite en dehors la bandelette optique (
onstituent les radiations de la. calotte (RC), et forment la partie
supérieure
de la cajisule du noyau, rouge. En avant des ra
om- missure postérieure (Fcop) qui descend dans la calotte ou étage
supérieur
du pédon- cule. En avant de ce faisceau on trou
upe passe par la substance innominée de Reichert (Sti) et la partie
supérieure
de la circonvolution du crochet (U); elle intéres
R) constitue la formation la plus importante de la calotte ou étage
supérieur
du pédoncule. Il a augmenté de volume, et il est
erforé antérieur (Epa), la région du tuber cinereum (Te), la partie
supérieure
du tubercule mamillaire, la circonvolution du c
lient plus Ü la base du cerveau que par le luter (Te) et la partie
supérieure
du tubercule mamillaire. Lalillllrlell'tle opti
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 631 dans ses parties tout à fait
supérieures
, et n'est pas indiqué par ses lettres sur la co
l maintenant Vêlage infé- rieur ou pied Au pédoncule (P) de l'étage
supérieur
ou région de la calotte. Le noyau rouge (NR) a
dans la série actuelle, il ne faut pas perdre de vue que les coupes
supérieures
intéressent en avant la région sous-thalamique
mi), renflée il sa partie pos- térieure, qui correspond a sa partie
supérieure
du centre médian de, Ato/.s'nette- ment apparen
de la ligure 31 S. Celle coupe intéresse la région sous-thalamique
supérieure
, le ganglion COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU.
7 du pulvinar (Pul), et cet épaississenient correspond il la partie
supérieure
de la zone ou du champ de Wernicke, que nous al
iagonale (bd), et ce fait indique que nous touchons ici aux régions
supérieures
de l'espace per foré antérieur. Coupe n" 4 x (f
la ligne 4 x de la ligure : 31 : i. Cette coupe intéresse la partie
supérieure
de la substance parorée pos- térieure (Spp), la
e pos- térieure (Spp), la commissure postérieure (cop), l'extrémité
supérieure
du corps de Luys (CL) et le champ de Forel (h.l
ons de la calotte. Le champ de Forel (F) formé, en effet, la partie
supérieure
de la capsule du noyau 1'(lUge, et nous verrons
G43 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cette coupe passe par la partie
supérieure
du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), la pa
rtie supérieure du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), la partie
supérieure
du noyau rouge (NR) et par la commis- sure de M
par la ligne 6 x de la figure 313. Cette coupe passe par la partie
supérieure
du tubercule î2îaî ? îlllcii)-e(Tm) et du noyau
te coupe intéresse le chiasma des nerfs optiques (xll) et la partie
supérieure
du noyau de la troisième paire (Nm). Le pulvina
e (NL3) s'est encore réduit, et se continue en avant avec la partie
supérieure
du noyau amggdalien (NA). Dans l'angle que form
bondance ou en croissant, caractéristique des régions pédonculaires
supérieures
. Le corps de Luys a disparu; sa place on trouve
it faisceau se porte en dehors et en arrière, parallèlement au bord
supérieur
du locus niger, traverse le ruban de Reil média
Tiil'ck aborde le segment postérieur de. la capsule dans la partie
supérieure
de la région sous-optique, sépare ce seg- ment
oncule cérébral (P), et du côté de la base du cerveau, par la paroi
supérieure
du prolongement sphénoïdal du ven- tricule laté
férieur ou pied du pédoncule céré- bral. Pes, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadriju- meau an
serrées, sectionnées transversalement, et qui constituent la partie
supérieure
du 1)(doil- cule cérébelleux supérieur (Pcs). C
t qui constituent la partie supérieure du 1)(doil- cule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Ce faisceau augmente de volume et refoule
état frais, ont fait dire à Stilling que le noyau rouge des régions
supérieures
Au pédoncule fait place a un noyau blanc dans l
aires inférieures. En arrière et en dedans Au pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), on trouve le faisceau longitudinal posté
cordon antIYro-lall'l'at de la moelle. Toute la région de l'étage
supérieur
ou calotte du pédoncule, est séparée du pied du
inué de volume, et sa place est occupée parle pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs), qui prend une part de. plus en plus évid
férieur ou pied du pédoncule cérébral. Pes, pédoncule cé- rébelleux
supérieur
. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rm, ruba
ur (Qp) et en avant, par rentre-croisement du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). En dedans du pied du pédoncule cére'Gral
pédoncule cére'Gral (P) se trouvent sectionnées les fibres les plus
supérieures
de la protubérance, le tænia ponlis (Tpo). Les
st éloignée du raphé par toute l'épaisseur du pédoncule cérébelleux
supérieur
(Pcs). Ce dernier, qui nait du noyau rouge (NR)
après son origine, formant ainsi dans la partie ventrale de l'étage
supérieur
, ou calotte Au pédoncule, un très large entre-c
inférieur ou pied du pédoncule cérébral. Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. ni, ruban
pontis. xiPcs, entre-croisement inférieur du pédoncule cérébelleux
supérieur
. -xsPcs, entre- croisement supérieur du pédoncu
rieur du pédoncule cérébelleux supérieur. -xsPcs, entre- croisement
supérieur
du pédoncule cérébelleux supérieur. )le, racine e
rieur. -xsPcs, entre- croisement supérieur du pédoncule cérébelleux
supérieur
. )le, racine encéphalique ou petite racine motr
gros fascicules de fibres qui constituent le pédoncule cérébelleux
supérieur
, tra- versent le raphé en fascicules presque pa
ement se faisant à angle extrêmement aigu, c'est V entre-croisement
supérieur
du pédoncule cérébelleux supérieur (xsPcs) dont l
t aigu, c'est V entre-croisement supérieur du pédoncule cérébelleux
supérieur
(xsPcs) dont les fibres descendent presque para
hé, et se perdent dans la masse de fibres Au pédoncule, cérébelleux
supérieur
. Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ne s
ci, sous l'aspect qui le caractérise dans les régions pédonculaires
supérieures
. Comme le raphé est occupé dans son sens an lér
rieur par l'important en/l'e-cl'oi- sement du pédoncule cérébelleux
supérieur
, le faisceau longitudinal postérieur n'envoie p
pare le tubercule quadrijumeau postérieur, du pédoncule cérébelleux
supérieur
. En dehors, le faisceau longitudinal postérieur
oncule par lésion corticale ou centrale. Arrivées au niveau du bord
supérieur
de la protubérance, ces libres deviennent apparei
e porter en bas, et longer le bord externe du pédoncule cérébelleux
supérieur
, avec lequel il se confond. CHAPITRE IV STRUC
égale. Elle atteint enfin son maximum d'épaisseur, dans les régions
supérieures
des circonvolutions rolandiques et dans le lobule
à travers la substance grise, le cylindre-axe, émet dans la partie
supérieure
de son trajet de fines collatérales (col fig. 338
erveau, constitue le véritable centre des actions nerveuses d'ordre
supérieur
, la cellule psychique de Cajal. Cette cellule p
tochtones de la couche moléculaire; 2° Avec les arbori- sations
supérieures
des cellules à cylindre-axe ascendant; 3° A
e, la myélinisation s'effectue dans les circonvolutions parié- tale
supérieure
(P,) et pariétale ascendante (Pa). Entre la deuxi
es géantes ne se rencontrent que dans le voisinage du bord marginal
supérieur
, et sur la face qui regarde le sillon de l3olando
actives^ le septum lucidum, le mince voile gris qui tapisse la face
supérieure
du corps calleux, soit d'une modification considé
ellules dont le volume augmente de haut en bas. l'ar leur extrémité
supérieure
, elles donnent naissance à des dendrites se rami-
e, cylindre-axe d'une cellule inférieure. - f, celui d'une cellule
supérieure
. - g, corpuscule fusiforme antèro-posterieur. -
al. l', pied du pédoncule cérébral. - l'es, pédoncule céré- belleux
supérieur
. - Py, faisceau pyramidal.- RCge, radiations du c
de 1\S' correspond il la circonvolution de l'hippocampe, la courbe
supérieure
à la corne d'Am- mon proprement dite. C'est d
ifficulté qui complique encore l'étude de cette région. L'extrémité
supérieure
de la corne d'Ammon pénètre en effet dans le hi
z lesquels elle est très développée, désigne, sous le nom de région
supérieure
de la corne d'Ammon, la région en relation avec
d'Ammon adjacente à la circonvolution godronnée constitue la région
supérieure
, et la partie en connexion avec le subiculum la
confusion que pourrait créer, dans l'es- pèce, l'emploi des termes
supérieur
et inférieur, nous décrirons ces deux ? régions d
née (région inférieure de Cajal) et de région hippocampique (région
supérieure
de Cajal). C'est l'extrémité supéro-interne de
n- drites ascendantes traversent ainsi, avant d'aborder les parties
supérieures
de la couche moléculaire, une zone pauvre en ce
des et moyennes de l'écorce cérébrale typique. Les couches les plus
supérieures
contiennent les plus petites cellules; les cuuche
us volumineuses, cequi a amené Schiiffer à consi- dérer les couches
supérieures
, comme l'homologue- de la couche des petites ce
ales allant la fimbria. F, fimbria. G, petite cellule pyramidale ou
supérieure
. ? faisceau formé de grosses collatérales nerveus
ingue dans le stratum oriens deux zones : l'une inférieure, l'autre
supérieure
. La zone inférieure renferme des cellules fusif
cylindre-axe horizontal des cellules du type II de Golgi delà zone
supérieure
(fig. 354, b). La zone supérieure du stratum or
s du type II de Golgi delà zone supérieure (fig. 354, b). La zone
supérieure
du stratum oriens, beaucoup plus épaisse que la
jal, est la plus fréquente, le cylindre-axe se détache de la partie
supérieure
de la cel- lule, traverse la couche des cellule
aire inférieur. - col(s), col- latérales du plexus intcr-granulaire
supérieur
. eu, cylindre-axe dont les grains protoplas- mi
ouche moléculaire. B, couche des grains. C, zone plexiforme ou partie
supérieure
de la couche des cellules polymorphes. D, couch
prolongement central des cellules olfactives ( ? ? ). - e, partie
supérieure
de deux cellules de sotitèneiiieiit. - o, sur
e de cinq, ce sont : le cingulum, le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
, le faisceau longitudinal inférieur, le faisceau
ral dont ils relient les différents lobes. Le faisceau longitudinal
supérieur
ou faisceau arqué relie le lobe frontal aux lob
a), faisceau antérieur du cingulum. Cing(h), faisceau horizontal ou
supérieur
du cingulum. - Cing(p), faisceau postérieur du ci
(CO), et dissociée par les fibres calleuses qui se rendent au bord
supérieur
de l'hémisphère et aux circonvolutions de la face
nt pas recouvertes par l'écorce grise, mais formeraient sur la face
supérieure
du corps calleux, les nerfs de Lancisi et les t
faisceau horizontal. Le faisceau horizontal (Cing[h]) longe la face
supérieure
du corps cal- leux, ses fibres proviennent de l
isceau antérieur du cingulum. - Cill ! )(h), faisceau horizontal ou
supérieur
du cingulum. - Cino7(p), faisceau postérieur du c
externe, le faisceau uncinatns et le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
. (Demi-schématique.) .tre, faisceau arqué ou lo
supérieur. (Demi-schématique.) .tre, faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
. Ce. capsule externe. F., deuxième circon- volu
tale. - p0)', sillon post-rolandiduc. - purs, sillon pré-rolandique
supérieur
. - Il, scissure de Rolando.- Ti, T" première et d
il 75G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 1 Faisceau longitu- dinal
supérieur
ou faisceau arqué. Son trajet. à l'écorce t
; elles s'entre- croisent à ce niveau avec le faisceau longitudinal
supérieur
(Arc). Le faisceau uncinatus est souvent intére
du lobc frontal (Yoy. chap. suiv., t. II). Faisceau longitudinal
supérieur
ou faisceau arqué (Arc) ((ascicuills arcualus d
act, que dans la région pariétale de l'opercule; parallèles au bord
supérieur
du putamen, ses fibres les plus inférieures et le
nférieures et les plus superficielles atteignent le sillon marginal
supérieur
de l'insula, disso- i cient le bord supérieur d
nt le sillon marginal supérieur de l'insula, disso- i cient le bord
supérieur
de l'avant-mur, recouvrent en dehors les fibres d
nd à la base des circon- volutions de l'opercule sylvien; son angle
supérieur
se perd dans la couche des fibres avoisinantes.
n rétro-insulaire. Les faisceaux uncina- lus, arqué ou longitudinal
supérieur
et occipital vertical, sont vus par transparence.
cal, sont vus par transparence. Arc, faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
. - Fi, F3, deuxième et troisième circonvo- luti
al antérieur. - mp, sillon marginal postérieur. ms, sillon marginal
supérieur
. 0\, 0" première et deuxième circonvolutions occi
croscopiques sériées, que lorsque le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
de Bur- dach se trouve englobé dans une lésion
pinion. Nous venons de voir, en effet, que le faisceau longitudinal
supérieur
de Burdach est situé en dehors de la couronne r
rd supéro-externe et s'irradient dans les circonvolu- tions du bord
supérieur
de l'hémisphère. Or Wernicke a montré que ces F
ttale, situé entre le cingulum et le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
de Burdach; il est séparé du cin- gulum par tou
par toute l'épaisseur du corps calleux, et du faisceau longitudinal
supérieur
par le pied de la couronne rayonnante (Iib. 3S1,
été disséqué. La préparation montre la paroi inférieure de l'étage
supérieur
du ven- tricule latéral et la voûte des cornes
reçoit chemin faisant, un grand nombre de fibres provenant du bord
supérieur
de l'hémisphère et des circonvolutions de la fa
d'association : cingulum, faisceaux occipito-frontal, longitudinal
supérieur
et uncinatus. Méthode de Weigert. Agran- dissem
tion frontale. - mp, sillon marginal postérieur. tns, sillon marginal
supérieur
. NC, noyau caudé. - NL, nerf de Lancisi. .Via,
missurales, la substance blanche de ce z19 Rapports de son bord
supérieur
. Le faisceau longi- tudinal inférieur se di
Morand et le tiers FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ï71 t
supérieur
de la couche optique. Méthode de Weigert. 3/2 gra
et sont d'autant plus obliques qu'elles proviennent de régions plus
supérieures
. Les fibres qui naissent de l'écorce du cunéus
sceau uncinatus. avec les fibres du faisceau arqué ou. longitudinal
supérieur
de Burdach et avec celles du faisceau uncinatus
titue exclusivement un faisceau d'association; ([liant il sa partie
supérieure
, intimement unie au segment rétro-lenticu- lair
l. -par, pied de la couronne rayonnante.- I'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Plch, plexus choroïdes du ventricule latéral
, etc., etc. ; elle doit donc nécessai- rement. traverser la partie
supérieure
du faisceau longitudinal inférieur avant d'arri
et dans ces cas, on voit ses fibres dégénérées traverser la partie
supérieure
du faisceau longitudinal inférieur, passer sous l
ent du noyau lenticulaire et aborder dans la région sous-thalamique
supérieure
le segment postérieur de la capsule interne, immé
lobe au pulvinar. Ces fibres se rassemblent à la partie externe et
supérieure
du noyau amygdalielt, s'entre-croisent dans toute
pe horizontale d'un cerveau de singe macaque, passant par la partie
supérieure
de la région sous-thalamique. Méthode de l'al. Ag
nt formés de libres plus ou moins verticales, qui relient la partie
supérieure
du lobe occipital à ses parties moyenne et infé
masse blanche des plis cunéo-limbiques. Ses fibres relient la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine à sa lèvre inférieure
sse couche de fibres propres au lobe occipital et qui relie le bord
supérieur
de ce lobe à sa face inférieure. Il met par consé
es postérieures ou descendantes du fais- ceau arqué ou longitudinal
supérieur
de Burdach. : Dans leur ensemble, les fibres du
ale que le stratum calcarinum. Ses fibres naissent donc de la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine et se portent transversa
che et comme celles du faisceau transverse du cunéus, dans la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine, puis se portent verti
propres des sillons du cunéus et s'irradient dans l'écorce du bord
supérieur
de l'hémisphère. Stratum proprium cunei. r
ion frontale. ® Ces fibres, plus ou moins longues, naissent du bord
supérieur
de l'hémi- @ sphère, se portent obliquement en
ionnées perpendiculairement à leur longueur. Les fibres des parties
supérieures
de la couronne rayonnante, se trouvent sectionn
nt à leur axe, elles s'irradient en effet dans les faces interne et
supérieure
de la première circonvolution frontale et dans
t de la première circonvolution limbique (L,), des faces interne et
supérieure
de la première circonvolution frontale (mF,,F,),
(PrC), de la première circonvo- lution pariétale (P,) et de la face
supérieure
des circonvolutions rolandiques (Fa, Pa); elles
sous- épcndymaire (Sge) particulièrement épaisse en dehors, sa face
supérieure
est en rapport en dedans avec le toenia tecta (
utres fibres : nous avons vu plus haut que le faisceau longitudinal
supérieur
ou arqué de Bur- dach (fig. 375, p. 754) ne ser
s parties, ainsi que nous l'avons vu plus haut (p. 343). Une partie
supérieure
, qui n'est autre que l'extré- mité postérieure
postérieur du corps calleux (Cc[rp]). Les radiations de laparlie
supérieure
du bourrelet se comportent comme celles du tron
s radiations de la partie inféro-interne du lobe occipital, l'autre
supérieur
, beaucoup plus volumi- neux, qui dessert les ré
eur, beaucoup plus volumi- neux, qui dessert les régions externe et
supérieure
de ce lobe. Ces deux 1 Origine et trajet de
partie, faisceau accessoire ou minor du forceps (Fm') ; le faisceau
supérieur
celui de grande partie, faisceau principal ou maj
convolution occipitale IO,) convergent, en rayonnant, vers l'angle
supérieur
de la corne occipitale, traversent les couches
ent dans la constitution du forceps major. Les fibres du faisceau
supérieur
ou major du forceps (Fm) affectent une FAISCEAU
r (Fli). Par sa base, le cône creux du forceps s'adosse à la partie
supérieure
du bourrelet du corps calleux. Les fascicules r
suite de la section du corps calleux, pourvu que Fibres de partie
supérieure
major du forceps. Origine et trajet des rad
jor du forceps. Origine et trajet des radiations de la partie
supérieure
du bourrelet. Tapetum. Le tapetum n'ap- p
t fusiforme (Fus), soit des circonvolu- tions de la face externe et
supérieure
du lobe occipito-pariétal (deuxième circonvolut
tête à gauche, et de diminution du sens mus- culaire dans le membre
supérieur
droit, sans troubles paralytiques ni ataxiformes.
ce à l'apport incessant de nouvelles fibres) à la partie externe et
supérieure
du ventricule et à la face sous-épendymaire du fo
la face interne de l'hémisphère, de sa face inférieure, et du tiers
supérieur
de sa face externe (fig. 399). La lig. 400 re
rieurs, alors que le corps calleux n'existe que chez les mammifères
supérieurs
, où son développement est en raison directe de
res deviennent inférieures puis externes et les fibres antérieures,
supérieures
, puis internes. La commissure antérieure compre
la base, croisée par les fibres du faisceau arqué ou lon- gitudinal
supérieur
, décrit une courbe régulière, qui correspond au b
inal supérieur, décrit une courbe régulière, qui correspond au bord
supérieur
du putamen et au pied de la couronne rayonnante e
ambaud et Renault, partent du vestibule pour former le limaçon, l'une
supérieure
, l'autre inférieure. Ces deux lames, primitivemen
e tube et constituent parleur réunion la lame des contours. La plaque
supérieure
forme plus spécialement le sommet, et l'inférieur
anal horizontal, puis celle du canal vertical inférieur. « Quant au
supérieur
, l'ossification se l'ait d'abord autour du canal,
e, puis par Duverney. « De l'extrémité antérieure du canal vertical
supérieur
part une lame osseuse qui descend obliquement jus
en partie vertical, formant la voûte de la cavité glénoïde, la paroi
supérieure
du conduit auditif externe, et la zone antéro-sup
l'une est interne et l'autre externe. Le bord comprend une portion
supérieure
ou pariétale (suture squamo-pariétale), une antér
lé des autres segments du temporal, la face interne montre une partie
supérieure
qui forme le champ cérébral de l'écaillé, et une
pétro-squameuse longe la scissure du même nom. Elle nait sur le bord
supérieur
de la pyramide et s abouche dans le canalis tempo
rga a décrit un lin canal qui perfore l'extrémité postérieure du bord
supérieur
du rocher, s'ouvre dans le sillon transverse et l
sous-zygomatique ou basilaire, par sa partie moyenne, forme la paroi
supérieure
du conduit auditif externe. Celle-ci est presque
ygomatiques sont antérieures ou postérieures et les pré-zygomatiques,
supérieures
ou inférieures. Bovero et Calamida, sur 2/172 t
n apparente qu'après l'âge de trois ans. Elle passe au-dessus du pôle
supérieur
du méat, tantôt horizontalement (pl. II, fig. 3,
Garnault à prendre comme repère la ligne horizontale tangente au pôle
supérieur
du méat, qui est absolument fixe. Kôrner, le prem
( Moyenne . . . mill. 11,3 8,7 5,2 5,2 se trouve au-dessus du pôle
supérieur
¦ Maxima ... . » 17,0 i5,o 9,0 7,0 du méat.....
he imparfait, il mesura directement au compas l'épaisseur de la paroi
supérieure
du conduit auditif externe, sur une nouvelle séri
i le résultat de ces nouvelles mensurations : Epaisseur de la paroi
supérieure
du conduit, mesurée en son milieu DOLICHOCÉPHAL
............................. 4,3 4,3 2,4 2,6 Epaisseur de la paroi
supérieure
du conduit, mesurée à son extrémité interne, au b
........................... 4,6 4,8 4,3 3,2 L'épaisseur de la paroi
supérieure
du conduit oscillait entre 2,4 millimètres (chez
ales que chez les brachycéphales. Il constata, en outre, que la paroi
supérieure
du conduit est plus épaisse à gauche (6,55 millim
pendiculaire à la base du cerveau, l'autre (ligne b) tangente au pôle
supérieur
du méat, et parallèle à la base du cerveau. Ainsi
a fosse cérébrale moyenne au-dessus de l'horizontale tangente au bord
supérieur
du conduit, mesurée sur la verticale passant pa
conclusion pratiquement utile au point de vue chirurgical. La paroi
supérieure
du conduit est constituée par les tables interne
pneumatiques on rencontre à ce niveau le groupe cellulaire limitrophe
supérieur
du conduit qui quelquefois est en connexion avec
l'occipital latéral, elle continue en dehors la ligne demi-circulaire
supérieure
et augmente ainsi la surface d'insertion des musc
la lèvre triangulaire du tympanal, on divise l'apophyse en un segment
supérieur
ou base, et un segment inférieur ou sommet. L'apo
en haut et en arrière pour rejoindre la ligne courbe demi-circulaire
supérieure
de l'occipital. On remarque à son niveau le group
, sur le bord postérieur de l'apophyse, la partie inférieure du tiers
supérieur
. Nous l'avons rencontré soit au niveau du bord po
py). Elle appartient k la paroi postérieure du conduit par sa portion
supérieure
ou squameuse, k la face exocrânienne du rocher pa
nienne du rocher par sa portion inférieure. Elle forme, avec la paroi
supérieure
du conduit, un angle dièdre, nommé angle de l'évi
terne constitue le bord antéro-externe de l'apophyse. A son extrémité
supérieure
, on trouve une saillie en forme d'épine ou de crê
.............. 6 — 120 Elle n'occupe pas invariablement l'extrémité
supérieure
du bord antéro-externe. Selon ïrautmann, elle ser
niveau de l'angle pétro-mastoïdien interne. Lecoude occupe la partie
supérieure
de cet angle. Le bord antérieur du sillon continu
le. Le bord antérieur du sillon continue en haut la direction du bord
supérieur
du rocher, et se termine en bas au niveau de l'ép
oïdien. Il occupe toujours la partie la plus antérieure interne, et
supérieure
de l'apophyse. Cette situation fixe, juxta-tympan
e d'un cône renversé et aplati transversalement. Il possède une paroi
supérieure
, une extrémité inférieure et deux parois latérale
latérales, l'une antéro-externe, l'autre postéro-interne. La paroi
supérieure
ou tegmen antri, de faible épaisseur et creusée q
ueur, !\ millimètres de hauteur, 2-3 millimètres de largeur. Sa paroi
supérieure
, très mince, fait suite à celle de l'attiquc et f
aration primitive de l'écaillé et du rocher, lame qui, dans sa partie
supérieure
est unique et dans sa partie inférieure se conver
le postérieur cérébelleux. Bonomo trace : i° une ligne horizontale
supérieure
, asterion-zygomatique, qui, prolongeant en arrièr
supérieure, asterion-zygomatique, qui, prolongeant en arrière le bord
supérieur
de l'apophyse zygomatique, rencontre l'astérion à
ygomatique marque le plancher de la fosse cérébrale moyenne. Le point
supérieur
du plan médian indique l'extrême limite des cellu
t par l'insertion du pavillon. Il est situé à la partie antérieure et
supérieure
de cet espace à une profondeur moyenne de i5-20 m
stoïdien marque la limite antérieure du sinus sigmoïde. Son extrémité
supérieure
est comprise entre la ligne astérion-zygomatique
en dante en arrière et passant à 3-/| millimètres au-dessus du pôle
supérieur
du méat : 2" une ligne horizontale CD qui rase le
antéro-supérieurc, anlrale, limitée en haut par la ligne horizontale
supérieure
, en avant par le bord antéro-externe de l'apophys
entre le sillon sigmoïde et la paroi postérieure du conduit. INDICE
SUPÉRIEUR
A I .3o Dolichocéphales Brachycéphales 32 22
ut, en avant et en dedans chez les brachycéphales (Korner). Le bord
supérieur
est sillonné par le sinus pélreux supérieur et do
hales (Korner). Le bord supérieur est sillonné par le sinus pélreux
supérieur
et donne insertion à la tente du cervelet ; il se
ouvent au corps du sphénoïde, sous laquelle s'engage le sinus pétreux
supérieur
. Le bord antérieur s'unit au sphénoïde. A son p
'écaillé, il présente les orifices de deux canaux superposés, dont le
supérieur
loge le muscle interne du marteau, et l'inférieur
t-trois fois sur 3o, soit 76,6 pour cent, cette mesure était égale ou
supérieure
à 10 millimètres. Sur ces mêmes temporaux, la dis
s « au voisinage de l'orifice tympanique de la trompe, dans sa moitié
supérieure
, ou plus en arrière sur la paroi interne, une pet
vec le conduit auditif interne, à travers les fossettes vestibulaires
supérieure
et inférieure. Il communique avec la fosse cérébe
e courbe en fer achevai. Par rapport à l'axe de la pyramide, l'un est
supérieur
, l'autre postérieur et le troisième externe. Le
— externe................................................... 12 — —
supérieur
................. ..................... 12-i5 —
... 2,0-2 millimètres — externe....... 2-1 — — ...... 2,7-1.5 — —
supérieur
..... i,5-i — — ...... 2,5-2 — Canal demi-circul
e; le sommet regarde en arrière et en dehors. Canal demi-circulaire
supérieur
ou sagittal. — Il est tracé sur un plan sagittal
ullaire, et une branche postérieure. Celle-ci croise le sinus pétreux
supérieur
et s'unit en angle droit avec la branche supérieu
e le sinus pétreux supérieur et s'unit en angle droit avec la branche
supérieure
du canal demi-circulaire postérieur. Ce carrefour
versal, il présente une branche inférieure ampullaire, et une branche
supérieure
qui court horizontalement sous la paroi postérieu
ale distance de la fente unguéale et de la gouttière du sinus pétreux
supérieur
. Le sommet embrasse dans sa concavité l'aqueduc d
....................... 7 — Une fistule des canaux demi-circulaires
supérieur
et postérieur.................. 5 — Les fenêtre
canaux demi-circulaires, siégeant, soit au niveau du sommet du canal
supérieur
, soit au carrefour des canaux verticaux, soit au
soit au carrefour des canaux verticaux, soit au niveau de la branche
supérieure
du canal postérieur. Le rapport du canal supéri
u de la branche supérieure du canal postérieur. Le rapport du canal
supérieur
(branche postérieure) avec le sinus pétreux supér
apport du canal supérieur (branche postérieure) avec le sinus pétreux
supérieur
explique l'éclosion possible de symptômes pyohémi
érature 37°, le matin. Pouls 80. Rien au fond de l'œil. Les vertèbres
supérieures
sont sensibles à la pression, mais le crâne ne l'
a cochlée parait saine : il y a du pus clans le canal demi-circulaire
supérieur
. Au niveau de la face postérieure de la pyramide
tia arcuata où se trouve le sommet fistulisé du canai demi-circulaire
supérieur
. Dans les cas d'abcès extra-duraux profonds de
'avant en arrière. Chez l'adulte, on trouve à décrire trois faces :
supérieure
, antérieure et postérieure; trois bords : antéro-
érieur et inférieur; et deux extrémités : interne et externe. La face
supérieure
, excavée en gouttière, constitue en grande partie
ue circulaires dont le diamètre mesurait 1-2 millimètres. Les bords
supérieurs
, en s'unissant au squamosal, forment les scissure
maxillaire intérieur et « en luxant en dehors et en avant l'extrémité
supérieure
de pérez. - oreille et ENCÉPHALE ^ la glande
bord antérieur du limaçon, un peu au-dessus et en dedans, où la lame
supérieure
atteint cette partie du labyrinthe. Là elle subit
Dans le premier type, la fosse jugulaire est superficielle; sa limite
supérieure
ne dépasse pas l'oreille interne, ou, pins exac
teau sépare la partie inférieure de la caisse ou atrium, de la partie
supérieure
appelée coupole, recessus épitympanique, ou attiq
lle se continue insensiblement avec le plancher de la caisse. Paroi
supérieure
ou cérébrale (tegmen tympani).—Formée presque tou
rner en a trouvé 3o fois sur /|/|5 crânes. Paroi externe. —Le tiers
supérieur
, entièrement osseux, constitue le mur de la loget
, et limite, du côté de la caisse, le groupe des cellules limitrophes
supérieures
du conduit. La membrane du tympan, sertie dans
) et en bas par un renflement en forme de spatule (umbo). A la partie
supérieure
de la membrane, on remarque deux replis curvilign
ace externe de la membrane tympanique en deux segments, dont l'un est
supérieur
et l'autre inférieur. Le segment supérieur a été
ux segments, dont l'un est supérieur et l'autre inférieur. Le segment
supérieur
a été décrit pour la première fois par Shrapnell.
s. Elle offre en son milieu un petit repli, appelé par Schwalbe repli
supérieur
, qui la divise en deux zones d'inégale étendue, l
ainsi : « Il existe à la surface interne de la membrane, à la région
supérieure
de sa moitié postérieure, un repli de 3-4 millimè
e du tympan, comme le dit Hamon du Fougeray, mais bien dans la moitié
supérieure
; elle est comprise entre la première et la deuxi
e correspond à peu près à notre troisième ligne horizontale, son bord
supérieur
étant à la hauteur de l'extrémité inférieure du m
e de l'appareil ligamentaire de la membrane du tympan et de la partie
supérieure
de cette dernière. » (Schwartzc.) C'est, en som
e dans le plan sagittal, présente la forme d'une sandale avec un bord
supérieur
convexe, un bord inférieur rectiligne, une face i
e la caisse, assurent encore la statique de cette chaîne. Le ligament
supérieur
du marteau, court et assez large, descend du tegm
possède aussi un ligament suspenseur étendu du tegmen tympani au bord
supérieur
du corps de l'osselet, et un ligament postérieur,
hi traverse la caisse de dedans en dehors pour se fixer sur la partie
supérieure
et interne du manche : innervé par le maxillaire
ro-supérieur ou attico-mastoïdien. (Forns.) L'inflammation du segment
supérieur
constitue l'otite épi tympanique, — forme grave q
t en arrière avec les ampoules des canaux demi-circulaires externe et
supérieur
. Une couche osseuse, dont l'épaisseur atteint 2-3
t, introduit par le trou stylo-mastoïdien et ressortant par l'orifice
supérieur
au niveau de la surface de section, indiquait trè
conduit. La portion tynipano-inastoïdienne, au niveau de sa partie
supérieure
, répond : en avant, à la cavité tympanique; en de
les cartilages de Meckel et de Reichert chez l'embryon des mammifères
supérieurs
, l'arc manclibulaire et l'arc hyoïdien dans les c
'arc hyoïdien dans les classes moins élevées. Le facial des vertébrés
supérieurs
doit émerger au-dessus de l'oreille moyenne comme
d postérieur de la première fente branchiale; mais chez les vertébrés
supérieurs
, cette fente s'est élargie pour donner l'oreille
r la circonvolution frontale ascendante, à l'union des tiers moyen et
supérieur
de l'aire faciale, au niveau du genou du sillon d
Mills, Lloyd et Deaver, Hearn, Sachs et Gerster.) Le centre du facial
supérieur
occupe la partie supérieure de la zone de la face
rn, Sachs et Gerster.) Le centre du facial supérieur occupe la partie
supérieure
de la zone de la face, immédiatement au-dessous d
mmédiatement au-dessous du centre du pouce » (i). Le centre du facial
supérieur
a une action bilatérale, contrairement k celui du
s superjîcicdis et profundus), s'entrecroisent au niveau de la partie
supérieure
de la protubérance et entourent de leurs ramifica
e dernier forme une colonne grise, étendue en hauteur depuis le tiers
supérieur
de l'olive bulbaire jusqu'à la moitié de la protu
ière du noyau latéral; plus haut, il se trouve placé derrière l'olive
supérieure
ou protubérantielle ; dans la zone du corps trapé
ielle ; dans la zone du corps trapézoïde, on l'aperçoit entre l'olive
supérieure
et la racine descendante du trijumeau; tout à fai
rieure et la racine descendante du trijumeau; tout à fait à la partie
supérieure
, il est séparé de la racine descendante du trijum
visé derrière la branche montante du maxilaire inférieur en un rameau
supérieur
ou temporo-facial et un rameau inférieur ou cervi
as de cancer du larynx avec énorme adénopathie de la région cervicale
supérieure
. Le malade présentait une paralysie de la moitié
sont plus énergiques que celles du releveur des lèvres, et du segment
supérieur
de l'orbiculaire palpébral. Si l'opéré rit sponta
de l'apophyse mastoïde et du sterno-cléido-mastoïdien dans son tiers
supérieur
. Puis, après avoir dégagé le bord postérieur de l
III). Le sinus latéral du côté droit présente très souvent un calibre
supérieur
à celui du côté gauche. Ce calibre augmente légèr
contre les autres ». (Cruveilhier.) Les sinus afférents, longitudinal
supérieur
et droit, convergent au niveau de la protubérance
ation; 3° par fusion. « Dans le premier type, le sinus longitudinal
supérieur
qui reçoit les veines de la convexité des hémisph
compris entre les deux branches de bifurcation du sinus longitudinal
supérieur
; la poche ainsi formée communique avec les deux
veine émissaire occipitale ; b) Les veines cérébelleuses latérales
supérieures
et inférieures ; c) Les veines cérébrales posté
pitales. Au niveau du coude du si nus latéral : f) Le sinus pétreux
supérieur
; g) Le sinus pétro-squameux ; h) Le sinus pé
férentes de la jugulaire externe. b) Veines cérébelleuses latérales
supérieures
et inférieures. — Elles rampent à la surface du c
rande veine anastomotique postérieure qui relie le sinus longitudinal
supérieur
au sinus latéral, en décrivant une grande courbe
Hédon.) Cette dernière, issue de la partie moyenne du sinus pétreux
supérieur
ou de la partie antérieure du sinus caverneux, tr
ière, pour se terminer dans le tiers postérieur du sinus longitudinal
supérieur
. e) Veines diploïqLies occipitales. —Elles sont
ux afférents du pressoir ou dans le sinus latéral. f) Sinus pétreux
supérieur
. — Il parcourt le bord supérieur du rocher et rel
le sinus latéral. f) Sinus pétreux supérieur. — Il parcourt le bord
supérieur
du rocher et relie le coude du sinus latéral au c
o) Sinus pétreux inférieur. — Logé dans la gouttière pétro-occipitale
supérieure
, ce sinus vient du confluent sinusal antérieur ou
l. — Le tronc thyro-linguo-facial forme une ampoule au-dessus du bord
supérieur
du cartilage thyroïde. Les branches d'origine de
onde. En voici un exemple emprunté à Streit : « Le sinus longitudinal
supérieur
de calibre normal traverse la tente du cervelet,
». Le sinus latéral peut manquer en totalité : le sinus longitudinal
supérieur
gagne alors leforamen magnum et de là la fosse ju
nes transtemporales et du sinus sigmoïde en dedans, des sinus pétreux
supérieur
et pétro-squa-meux en haut, du plexus carotidien
latéral....................................... 2.3 fois — — pétreux
supérieur
.............................. 3 — — — pétreux i
hlébite peut encore se développer primitivement dans le sinus pétreux
supérieur
par carie du canal demi-circulaire supérieur, dan
nt dans le sinus pétreux supérieur par carie du canal demi-circulaire
supérieur
, dans le sinus pétro-squameux anormalement dévelo
portion horizontale du sinus latéral, envahir les sinus, longitudinal
supérieur
, droit et occipitaux, pénétrer dans le sinus laté
tout le canal sinuso-jugulaire depuis le coude sinusal jusqu'au bord
supérieur
du cartilage thyroïde. Mais il suivit la voie tra
ent à la jugulaire interne pour continuer la dissection de la portion
supérieure
. « Au cours de cette dissection, des organes impo
ale, une face externe ou squameuse répondant à l'écaillé, et une face
supérieure
ou Sylvienne qui constitue le versant inférieur d
olution temporale est séparée de la précédente par le sillon temporal
supérieur
, plus connu sous le nom de sillon parallèle. Elle
pariéto-occi-pitale ou perpendiculaire interne; en haut, par le bord
supérieur
hémisphérique, en bas et en dedans par le sillon
us, qui se continue avec la première occipitale, et la circonvolution
supérieure
du lobule lingual qui correspond k la deuxième oc
omprise entre la scissure de Rolando, la scissure de Sylvius, le bord
supérieur
hémisphérique et la ligne unissant la scissure pe
flexueuses et séparées par le sillon interpariétal, sont la pariétale
supérieure
et la pariétale inférieure. La pariétale inféri
coustique, forme le corps trapézoïde, entre en connexion avec l'olive
supérieure
, s'entre-croise presque en totalité, passe par le
rieure de la première circonvolution temporale gauche et sur la lèvre
supérieure
de la deuxième temporale. C'est le centre de Wern
de Broca; la surdité verbale domine si la lésion a détruit la partie
supérieure
de la première temporale; la cécité verbale domin
cke. Faisceaux d'association.— a) Le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
, constitué par une série de fibres courtes relian
e latéral, on trouve deux faisceaux d'association com-missurale, l'un
supérieur
, l'autre inférieur, formés par des fibres qui vie
tout à fait en dedans, la circonvolution de l'hippocampe. Le segment
supérieur
est constitué par les deux premières circonvoluti
latéral, on aperçoit encore une partie rétrécie qui relie le segment
supérieur
à la capsule interne et aux noyaux gris centraux.
eloppe tout d'abord l'abcès otitique, pour envahir ensuite le segment
supérieur
, en refoulant le prologement sphénoïdal du ventri
toujours ils consistent en une hémiparésie, plus accentuée au membre
supérieur
, avec hémiplégie faciale. Exemple : chez un malad
s ou des spasmes toniques et cloniques, localisés surtout aux membres
supérieurs
. Ces troubles de la motilité, dont on conçoit l
anosmie ; 2° Si l'on ne perçoit que les solutions dont le titrage est
supérieur
à 1 1000, il y a de l'hyposinie ; 3° Si l'on perç
e, au-dessus et en arrière du bulbe. On lui décrit deux faces : l'une
supérieure
, séparée du cerveau par le tentorium convexe tran
aussi qui apparaît la première chez l'embryon. Il forme, sur la face
supérieure
du cervelet, une saillie médiane à striation tran
horizontalement, divise chaque hémisphère cérébelleux en une portion
supérieure
et une portion inférieure. On divise artificielle
ingula, ailes du lobule central, lobules quadrilatère et semi-lunaire
supérieur
, pour la face supérieure des hémisphères; et lobu
central, lobules quadrilatère et semi-lunaire supérieur, pour la face
supérieure
des hémisphères; et lobules digastrique, grêle et
sement partiel ou total, au niveau de la portion antérieure du vermis
supérieur
(lingula, lobule central, culmen). b) Le faisce
e du trijumeau, il s'incurve et pénètre dans le pédoncule cérébelleux
supérieur
pour s'entre-croiser et aboutir au vermis supérie
ncule cérébelleux supérieur pour s'entre-croiser et aboutir au vermis
supérieur
et aux noyaux du toit. (Mott et Tooth, in Thomas.
ent le pédoncule cérébelleux inférieur et se terminent dans le vermis
supérieur
et dans les noyaux du toit. Chemin faisant, elles
sulco-marginal de Marie. — Il prend son origine au niveau du verrais
supérieur
(Teljatnik), du noyau dentelé (Thomas), traverse
du côté opposé à la lésion et à l'émergence du pédoncule cérébelleux
supérieur
, des libres dégénérées qui occupent le trajet du
ceau cérébral, voie afférente, tire son origine des noyaux politiques
supérieurs
, s'entre-croise et aboutit aux régions supérieure
s noyaux politiques supérieurs, s'entre-croise et aboutit aux régions
supérieure
, inférieure, latérale de l'écorce cérébelleuse, e
re, latérale de l'écorce cérébelleuse, et, en partie aussi, au vermis
supérieur
et aux noyaux centraux. (Bechterew.) Le faiscea
édiaire de fibres efférentes qui passent par le pédoncule cérébelleux
supérieur
et, après entre-croisement, se divisent en deux b
ubro-cérébelleux. — C'est le gros contingent du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Il constitue une voie efférente, formée par la b
mée par la branche ascendante de bifurcation des fibres pédonculaires
supérieures
qui dérivent de l'écorce du vermis, des noyaux ce
rajet vers les noyaux sphérique et du toit et vers l'écorce du vermis
supérieur
. Ce faisceau fournirait de simples collatérales a
Monakow ; il entre aussi en connexion avec le tubercule quadrijumeau
supérieur
, par l'intermédiaire du faisceau longitudinal pré
aire. — On résèque le plafond attico-antral et une partie de la paroi
supérieure
du conduit auditif externe. Après avoir incisée l
e inférieure de l'écaillé temporale, en conservant, au-dessus du pôle
supérieur
du conduit auditif, un segment osseux qui mesure
rise entre le méat auditif interne et la fente unguéale, est égale ou
supérieure
à 10 millimètres dans 7G pour cent des cas : et q
tre du coude du sinus latéral. On devra évider tout d'abord la partie
supérieure
de la zone sinusale, en se rapprochant de l'astér
iagnostic des maladies des yeux, des oreilles, et des voies aériennes
supérieures
. Paris, T903. Chauveau (C), L'anatomie de l'app
), Veines jugulaires et artères carotides chez l'homme et les animaux
supérieurs
. Thèse de Paris, 189G. Laurens (I'.), Thrombo-p
her. Thèse de Paris, 1874. Marinesco, Contribution à Vétude du facial
supérieur
. Revue générale des sciences. Paris, i8g8. Marcha
Face inférieure. Figure 3. — Face postérieure. Figure f\. — Face
supérieure
. Série de six temporaux vus par leur face exter
her de la fosse cérébrale moyenne. On la voit très rapprochée du pôle
supérieur
du méat auditif externe sur la figure 4; éloignée
aîne des osselets occupe sa position normale. On aperçoit le ligament
supérieur
du marteau, court et arrondi, et le ligament anté
. — On aperçoit la face externe de la membrane tympanique. Le segment
supérieur
(pars flaccida ou membrane de Schrapnell) a été e
anique. Le marteau et l'enclume sont en position normale. Sur le bord
supérieur
de l'enclume, on remarque un repli muqueux. On en
ont le premier tour de spire forme le relief du promontoire. La paroi
supérieure
du conduit auditif offre de rares el petites cell
offre de rares el petites cellules pneumatiques (cellules limitrophes
supérieures
) . On aperçoit Vaditus ad antrum, large, nettem
fant de huit mois. L'apophyse mastoïde est à peine ébauchée. La paroi
supérieure
du conduit, très courte, se dirige très obliqueme
s été figuré. Le conduit auditif externe est large et évasé. La paroi
supérieure
offre plus d'épaisseur et de plus nombreuses cell
Les cellules squameuses sont remarquablement développées. La paroi
supérieure
du conduit présente une épaisseur considérable. L
t la cavité glénoïdc. L'antre est compris tout entier dans le segment
supérieur
de la coupe. L'apophyse est du type mixte, avec p
pire du limaçon, le vestibule, les canaux demi-circulaires externe et
supérieur
et le conduit auditif interne. L'apophyse mastoïd
t un pont osseux qui porte l'empreinte de deux canaux superposés : le
supérieur
appartient au canal demi-circulaire externe ou ho
gle droit de la branche postérieure du canal sagittal avec la branche
supérieure
du canal frontal. Figure t\- — Le canal demi-ci
érébrale moyenne. La branche postérieure croise à angle droit le bord
supérieur
du rocher sur lequel passe le sinus pétreux supér
e droit le bord supérieur du rocher sur lequel passe le sinus pétreux
supérieur
. PHOTOTYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI F
a ligne médiane, au niveau du vermis inférieur. Le sinus longitudinal
supérieur
s'abouche à plein canal dans le sinus latéral dro
çoit les orifices des sinus droits, occipitaux postérieurs et pétreux
supérieurs
, ainsi que celui de la veine antro-sigmoïdale de
de Willis). Le sinus latéral droit présente un calibre notablement
supérieur
à celui du sinus latéral gauche. En haut, le sinu
faisceaux d'association : le cingulum qui appartient au lobe limbique
supérieur
ou circonvolution calloso-mar-ginale, le faisceau
ue la cavité tympanique, en laissant le marteau en position. La paroi
supérieure
des deux conduits auditifs externes est scléreuse
temporal. La troisième circonvolution temporale s'appuie sur la paroi
supérieure
du conduit et sur le tegmen tympani. On trouve le
ntermédiaire de Wrisberg et facial. La coupe intéresse : i" l'étage
supérieur
et la corne sphénoïdale du ventricule latéral, la
e fusiforme, l'hippocampe, la corned'Ammon, la godronnée et les lobes
supérieurs
du cervelet; 3°parmi les fibres de projection : l
e la fosse cérébrale moyenne, celle du canal demi-circulaire vertical
supérieur
. Des deux côtés, le tegmen antri offre une faib
ue en bas et en dehors de la tente du cervelet. Elle sépare les lobes
supérieurs
du cervelet du lobule fnsiforme et de la circonvo
s'étend jusqu'au plan sagittal qui passe par le canal demi-circulaire
supérieur
. En dedans de l'antre, on trouve une zone de tiss
ale du ventricule latéral, le corps dentelé et les sinus longitudinal
supérieur
, droit, latéral et pétreux supérieur ; 2° sur l'é
entelé et les sinus longitudinal supérieur, droit, latéral et pétreux
supérieur
; 2° sur l'écorce : le lobule paracentral, les ci
sur l'écorce : le lobule paracentral, les circonvolutions pariétales
supérieure
et inférieure ou supra-marginalis, les première,
fusiforme et lingual, l'isthme cunéo-limbique, leprécunéus, les lobes
supérieurs
et inférieurs du cervelet, la luette, le vermis s
les lobes supérieurs et inférieurs du cervelet, la luette, le vermis
supérieur
et l'amygdale; 3" dans la substance blanche : le
ntralis anterior, les pariétales ascendante ou centralis posterior et
supérieure
, la deuxième occipitale, les lobules lingual et f
a pyramide pétreuse est quadrangulaire. Le tentorium sépare la face
supérieure
du cervelet des lobules fusiforme et lingual. Le
s cellules qui prolongent en avant le groupe des cellules limitrophes
supérieures
du conduit. Au-dessous du sinus sigmoïde, on re
TYPIE PEUSER BUENOS AIRES IMP. CONI FRÈRES PLANCHE XX Segment
supérieur
d'une coupe presque horizontale passant, à droite
oviennent des fibres des pédoncules pour former le bord interne (bord
supérieur
) de l'hémisphère. Rolando signale aussi, mais san
dmet quatre lobes dans l'hémisphère, 1° un lobe antérieur, %° un lobe
supérieur
, 3° un lobe inférieur, 4° un lobe postérieur; mai
utions du lobe antérieur sont très-exactement rendues; celles du lobe
supérieur
sont très-certainement bien copiées, mais le modè
Singes) a trois circonvolutions antérieures, trois postérieures, deux
supérieures
, une interne, et des circonvolutions sus-orbitair
ux, fournit une large expansion qui s'élève jusqu'aux circonvolutions
supérieures
(fig. 4. -b S. -f.), et (fig. 2. —. S. +.), puis
de Sylvius déjetée en arrière par la présence de deux circonvolutions
supérieures
(fig. 4, SS, SS"), dont la postérieure se porte e
e antérieure. Elle forme successivement la lèvre antérieure, la lèvre
supérieure
et la lèvre postérieure de scissure de Sylvius, e
rang-Outang par la face dorsale et par la base. Ces figures sont bien
supérieures
à celles de Gall ; mais elles sont loin d'être pa
u'à un cerveau de Singe. C'est un corps ovoïde et convexe à sa partie
supérieure
, fort inégal à sa face inférieure, de laquelle s'
les anatomistes ont donné le nom de lobes temporaux. Entre cette face
supérieure
et la face inférieure il n'y a aucune limite natu
hères se touchent ou se correspondent par des surfaces dont la partie
supérieure
est, à peu de chose près, plane et régulière. L
métriques , nous retrouvons sur chacune d'elles une moitié de la face
supérieure
et une moitié de la face inférieure du cerveau.
e moitié de la face inférieure du cerveau. f elte moitié de la face
supérieure
, réunie à toute la portion de la face inférieure
à la fois sur le profil médian de l'hémisphère. Nous nommerons bord
supérieur
la ligne courbe suivant laquelle la face externe
ion, sillonne la face externe de l'hémisphère, et monte vers son bord
supérieur
en s'inclinant plus ou moins en arrière. Cette sc
prochant comme deux lèvres. La lèvre antérieure, ou, si l'on veut, la
supérieure
, plus développée que l'inférieure, a reçu le nom
rière de la précédente; elle naît d'une échancrure qui divise le bord
supérieur
de l'hémisphère et descend sur la face externe du
rieure est divisée en deux étages par la scissure de Sylvius. L'étage
supérieur
comprend le lobe antérieur ou frontal et le lobe
lui donne, pour cette raison, le nom de lobule orbitaire. L'autre,
supérieure
convexe, répond à la partie frontale du coronal.
frontal inférieur. En a' l'étage frontal moyen. En a" l'étage fivntal
supérieur
. L'étage surcilier et le pli frontal moyen se r
ensemble au-dessus du coude de la scissure de Sylvius. Le pli frontal
supérieur
se confond avec le pli antérieur du lobe pariétal
lement sur la face externe de l'hémisphère et se confond, à la partie
supérieure
, avec le pli frontal supérieur. Le deuxième pli
hémisphère et se confond, à la partie supérieure, avec le pli frontal
supérieur
. Le deuxième pli ascendant b' b' monte, parallè
pli ascendant b' b' monte, parallèlement au précédent, jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère ; là il s'infléchit brusquement,
de Sylvius, sont au nombre de trois, à savoir : 1° Le pli temporal
supérieur
d. Ce pli se continue directement avec le pli mar
t ce pli au pli temporal moyen. 3"* Le troisième pli, pli occipital
supérieur
h h, est assez mal défmi; c'est un étage, un lobu
11 y a deux plis de passage profonds et cachés sous l'opercule. Le
supérieur
passe du deuxième pli ascendant au sommet du lobe
age, en comptant de haut en bas. Dans le Callitriche, les deux plis
supérieurs
sont recouverts par l'opercule; les deux inférieu
t il s'agit, la scissure de Sylvius forme un tel angle avec la partie
supérieure
du sillon parallèle, qu'elle semble se continuer
elle semble se continuer avec lui et se prolonger ainsi jusqu'au bnrd
supérieur
de l'hémisphère. Cette remarque suffira pour prév
distinguerons deux scissures prm-cipales : L'une A descend du bord
supérieur
de l'hémisphère et s'arrête au niveau du bord pos
Callitriche, la scissure des hippocampes est fort relevée à sa partie
supérieure
, où elle se termine en se bifurquant. La branche
ieure, où elle se termine en se bifurquant. La branche de bifurcation
supérieure
est plus courte que l'inférieure; ce point, comme
scissure perpendiculaire et la scissure des hippocampes, à sa partie
supérieure
, divisent d'une façon très-simple la face interne
au lobe pariétal. L autre est postérieure; elle répond à la partie
supérieure
du lobe occipital. Nous lui donnerons le nom de l
ou postérieur du corps calleux, il s'élargit et s'élève jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère. Nous nommerons, avec M. Foville,
, l'ouverture de l'hémisphère; mais sa partie antérieure et sa partie
supérieure
appartiennent seules au lobe fronto-pariétal. La
onné, est une dépendance du lobe temporal. Les relations de la partie
supérieure
de ce pli ont été bien connues des anatomistes. S
n avant, la marge de l'hémisphère ; il se réunit, le long de son bord
supérieur
, à tous les plis de la face externe du lobe parié
à tous les plis de la face externe du lobe pariétal et au pli frontal
supérieur
. Plis du lobule occipital. Le lobule occipita
e l'unissent au lobule quadrilatère. L'un de ces plis, pli de passage
supérieur
interne, descend du sommet du lobule quadrilatère
du lobule occipital, où il se termine en s'unissant au pli de passage
supérieur
externe. Ce pli est caché dans le fond de la scis
bule quadrilatère. Ce pli est superficiel et forme une partie du bord
supérieur
de la scissure des hippocampes. Plis du lobe oc
lis parallèles. Nous distinguerons en le pli godronné, pli temporal
supérieur
interne; en 4 4, le pli unciforme, pli temporal m
obule orbitaire est blanc. Le lobule frontal est rose, et son étage
supérieur
est rouge. Le lobe pariétal est vert. Le lobe
e très-serré, très-aigu, dont le sommet s'élève souvent jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère. Le lobe temporo-sphénoïdal est t
e, que dans le Callitriche, le Malbrouck et le Grivet. Le pli frontal
supérieur
présente des incisures secondaires dont la direct
a a lieu en particulier dans la Mo7ie ; souvent aussi les deux étages
supérieurs
du lobe occipital sont confondus par suite de l'a
tes les Guenons, aux plis de passage du Callitriche, et les deux plis
supérieurs
sont constamment cachés par l'opercule du lobe po
s il y a beaucoup de variations dans le degré de développement du pli
supérieur
externe. Ce pli, en effet, se confond souvent ave
externe. Ce pli, en effet, se confond souvent avec le pli de passage
supérieur
interne; ces différences, qu'aucune loi ne régit,
al sur lequel nous devons , dès à présent, insister, c'est que le pli
supérieur
, qu'il soit distinct du pli interne ou confondu a
des hippocampes. Cette scissure est toujours très-relevée à sa partie
supérieure
, en sorte que le lobule occipital interne est pre
cissures profondes le divisent. L'une sépare l'étage moyen de l'étage
supérieur
; elle répond à une scissure analogue dans le Call
d à une scissure analogue dans le Callitriche. L'autre divise l'étage
supérieur
et se réunit en avant à la précédente, en formant
ercule du lobe postérieur. Dans les Semnopithèques, le pli de passage
supérieur
est large, développé et entièrement superficiel ;
t complètement oblitérée dans ce point, l'opercule manque à sa partie
supérieure
. Le deuxième pli de passage est à peine saillant
semble anticiper sur la région fronto-parié-tale ; il recouvre le pli
supérieur
de passage, comprime le pli courbe, le refoule en
e, du Semnopithèque maure et du Nasique au cerveau des Semnopithèques
supérieurs
et du Soiilili? Je prévois: P Que le pli fi'onl
hèques supérieurs et du Soiilili? Je prévois: P Que le pli fi'onlal
supérieur
simple dans VEntelle est subdivisé, dans le Souli
secondaires ; 2" Que le deuxième pli ascendant présente à sa partie
supérieure
un indice de division compliquée ; 3" Que la ra
grandeur singulière du deuxième pli ascendant; 2° Le volume du pli
supérieur
de passage, qui est énorme et complètement à déco
culièrement T la maigreur des plis frontaux et surtout du pli frontal
supérieur
, qui, néanmoins, porte une ou deux incisures seco
racilité des plis ascendants et surtout du postérieur, dont la partie
supérieure
est très-courte; 3" la force du pli temporal moye
la force du pli temporal moyen; 4° enfin l'absence du pli de passage
supérieur
externe. A ces faits, dont le second et le dernie
sse et ne présente aucune scissure entre son étage moyen et son étage
supérieur
. Je dis la plupart du temps, car cette scissure e
rontaux inférieurs sont également fort réduits ; mais l'étage frontal
supérieur
est très-grand, si on le compare à celui du Rhésu
; le deuxième pli ascendant est faible à sa racine, mais à sa partie
supérieure
il se déve îoppe et forme un lobule assez grand
ntenant aux plis de passage, nous remarquerons 1 ° L'absence du pli
supérieur
de passage; 2° La grandeur du deuxième pli de p
dans toutes les Guenons, la branche inférieure est plus courte que la
supérieure
. Dans les Macaques, au contraire, la branche in
Macaques, au contraire, la branche inférieure est très-courte mais la
supérieure
est très-longue. Cette différence est caractérist
emarquerons, néanmoins, le développement plus riche du pli de passage
supérieur
interne, qui semble compenser l'absence du pli
de passage supérieur interne, qui semble compenser l'absence du pli
supérieur
externe, et la petitesse du lobule de l'hippocamp
gueur et le peu de saillie du lobe temporal; 5** par l'absence du pli
supérieur
de passage et la grandeur du deuxième pli, dont l
rande inclinaison en arrière du deuxième pli ascendant dont le lobule
supérieur
est moins développé, tandis que l'extrémité supér
dont le lobule supérieur est moins développé, tandis que l'extrémité
supérieure
du premier pli ascendant se dilate et s'évase plu
férieurs, l'emporte par la grandeur et la richesse de l'étage frontal
supérieur
. L'enchaînement de ces faits peut être exprimé
moyen 2.2. est très-flexueux, mais très-grèle ; enfin le pli frontal
supérieur
3 3 3. 3' 3' est divisé, par une scissure bien tr
revanche, le pli frontal moyen est large et flexueux. Le pli frontal
supérieur
présente des indices bien visibles de la subdivis
rontal, il y a, à peu de chose près, égalité. Refoulé par la partie
supérieure
du lobule frontal, le premier pli ascendant est g
ure du lobule frontal, le premier pli ascendant est grêle à sa partie
supérieure
et un peu incliné en arrière (fig. 6, 4.4.4.).
s marquée encore dans le deuxième pli ascendant, dont le prolongement
supérieur
se développe au loin (fig. 6, 5.3.5.5'.). Ces d
remarquable, c'est la grandeur et les flexuosités singulières du pli
supérieur
de passage a. Ce pli forme un large pont entre
ans les cerveaux de l'espèce humaine (fig. lY 1.1.1.1'); mais l'étage
supérieur
du lobe fronto-pariétal (pli de la zone externe 2
eur, la petitesse relative du lobe occipital, le développement du pli
supérieur
de passage nous obligeront de ranger VOrang à la
g-Outang ; il est relativement un peu plus allongé; en outre, le bord
supérieur
de l'hémisphère décrit une courbe plus régulière,
s grands même et plus épais que ceux de VOrang-Outang. Le pli frontal
supérieur
(pl. VI, fig. 2 3.3.3'3') est subdivisé en deux p
eu desquelles domine le sillon qui sépare l'étage moyen 10 de l'étage
supérieur
11. L'opercule est entier et bien développé. Ma
erveau du Chimpanzé à celui de l'Orang-Outang, c'est l'absence du pli
supérieur
de passage. Ainsi le pli supérieur de passage m
g-Outang, c'est l'absence du pli supérieur de passage. Ainsi le pli
supérieur
de passage manque absolument. Le deuxième pli e
et de la scissure ; 4° La grandeur de l'opercule et Vabsence du pli
supérieur
de passage, qui, dissimulé dans les Guenons, supe
nué à son extrémité antérieure, en sorte que le cerveau, vu à sa face
supérieure
, n'est point om/e comme celui de VOrang, mais pre
quels s'ajouteront, dans un moment, des motifs nouveaux, VOrang comme
supérieur
à VEnche-Êko, et plus encore à VEnge-Ëna, Un cara
es étincellent d'harmonie, a fait, au commencement des choses, l'Inde
supérieure
à l'Afrique par ses Hommes, par ses Primates, par
ourra, de la sorte, le comparer plus facilement au cerveau des Singes
supérieurs
. Un premier fait doit être remarqué; c'est la p
l moyen entourant le pli surcilier 2. 2. 2; 4"* enfin l'étage frontal
supérieur
subdivisé en deux ou trois plis larges et flexueu
anière la plus compliquée et se mêle en telle façon à l'étage frontal
supérieur
, qu'il est le plus souvent extrêmement difficile
e se confondent surtout les plis de l'étage moyen, tandis que l'étage
supérieur
conserve, si je puis ainsi dire, toute son indépe
us n'oserions pas les résoudre affirmativement. Les plis de l'étage
supérieur
doivent être étudiés avec l'attention la plus scr
vec lui ; ils sont constamment au nombre de deux, à savoir : Un pli
supérieur
qui longe la grande scissure cérébrale (pl. I, fi
jue je possède, ce pli fort simple se jette complètement dans l'étage
supérieur
. présentent une symétrie remarquable au premier
n'existe jamais dans les cerveaux normaux de la race blanche. Le pli
supérieur
, contourné de mille manières et souvent divisé en
ce lobule s'élèvent un ou deux plis accessoires B qui montent au pli
supérieur
de passage; ils ont été déjà vus et bien décrits,
énormément développés, et tous les quatre devenus superficiels. Pli
supérieur
de passage. — Le pli supérieur, très-flexueux, pr
les quatre devenus superficiels. Pli supérieur de passage. — Le pli
supérieur
, très-flexueux, prolonge le lobule, singulièremen
1° Dans deux directions opposées, le pli surcilier et le pli marginal
supérieur
, qui, se recourbant l'un vers l'autre par leurs e
premier pli ascendant est uni intimement aux plis de l'étage frontal
supérieur
, le sommet du deuxième pli ascendant se prolonge
ème pli ascendant se prolonge par son lobule et par le pli de passage
supérieur
, jusque vers l'extrémité postérieure du cerveau.
présente, dans l'intérieur de la vallée de Sylvius, son bord marginal
supérieur
. En nous résumant, dans le cerveau humain le lo
umain le lobe frontal est énorme, et développé surtout dans son étage
supérieur
; le lobe occipital est, au contraire, extrêmemen
devant du sommet de la scissure de Sylvius ; enfin le pli de passage
supérieur
manque, et le deuxième est caché. 2° Dans y Ora
ourbe est sessile, et naît au niveau du sommet de la scissure. Le pli
supérieur
de passage est grand et superficiel, et le deuxiè
, et sa racine naît au niveau du sommet de la scissure. Les deux plis
supérieurs
de passage sont grands, flexueux, et tous les deu
i, dans un sens général et abstrait, le cerveau de l'Orang-Outang est
supérieur
au cerveau du Troglodyte Chimpanzé. Mais cette
ai hypo-thétiquement — Oui, l'intelligence de l'Orang-Outang serait
supérieure
à nos yeux, si nous avions égard seulement à son
ssez nombreux. En avant du lobe quadrilatère, ce pli donne à son bord
supérieur
quelques expansions lobées qui l'ont fait compare
e humaine, et son développement est relatif à celui du pli de passage
supérieur
, auquel il correspond. L'étage supérieur, simpl
à celui du pli de passage supérieur, auquel il correspond. L'étage
supérieur
, simple dans les Singes, est, en général, fort co
pour se dilater enfin en un lobule terminal qui répond, vers le bord
supérieur
de l'hémisphère, au sommet des deux plis ascendan
implicité, l'arrangement régulier des deux plis qui composent l'étage
supérieur
du lobe frontal. Ces plis, comparés de droite à g
c, à priori, se reproduire dans les arrêts de développement des races
supérieures
. Cette pensée est longtemps restée, dans mon espr
cérébraux, je retrouvai ce groupe de plis réguliers occupant l'étage
supérieur
des lobes frontaux et reproduisant absolument, bi
ophié que j'ai décrit plus haut, la même apparence de l'étage frontal
supérieur
se reproduit encore. Ainsi, nous ne pouvons en do
tte disposition paraît résulter d'un moindre développement des étages
supérieurs
. Les cerveaux des fœtus appartenant à la race bla
roupe humain des degrés divers d'organisation, comprenant des espèces
supérieures
sans queue et des espèces à queue plus ou moins l
e qui en est le signe, à moins qu'elle ne soit animée par un principe
supérieur
? » {Histoire naturelle, tome XIV, page 61, Paris
l'esprit-de-vin, assez allongé, eu égard à sa hauteur. Vu par la face
supérieure
, il est assez large dans son ensemble, mais un pe
rité sériale, sont transformés en organes nouveaux doués de fonctions
supérieures
. C'est ainsi que la queue, appendice inutile chez
nutile chez les Singes de l'ancien continent, devient chez les Singes
supérieurs
du nouveau un doigt préhenseur, où la sensibilité
se relever en K (pl. XII, fig. 7 et 8) et se prolonger jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère. Or, si on écarte les lèvres de c
e de la scissure. Deux sillons assez profonds divisent ce pli : l'un,
supérieur
, est horizontal; l'autre, inférieur, est oblique,
ais que le précédent, est divisé en deux plis secondaires à sa partie
supérieure
. 5° Le pli courbe est fort remarquable. Il naît
nt est assez grêle à sa racine; il n'est point subdivisé, à sa partie
supérieure
, comme celui des Atèles. D'ailleurs l'ensemble de
disposition toute particulière des plis de passage. Ainsi V le pli
supérieur
manque; Le deuxième pli de passage, né du sommm
hippocampes est très-profonde dans sa partie postérieure. Sa branche
supérieure
de bifurcation est fort élevée, ce qui est en rap
onvaincre par la considération des figures de l'atlas. Vu par sa face
supérieure
, il est assez régulièremeni ovale, et son extrémi
sente, non plus, rien de particulier au premier abord. Yu par sa face
supérieure
, le cerveau est à peu près ovoïde, mais son extré
vres de la scissure perpendiculaire externe. On voit aussi que le pli
supérieur
manque absolument; ce caractère est assez importa
ajous est plus globuleux que celui des Guenons. T Le pli de passage
supérieur
externe existe dans les Guenons; il manque dans l
-dessus de son groupe. Ils ne le mettent jamais au niveau des groupes
supérieurs
. Quelque réduite que soit, dans les Ouistitis, la
les Ouistitis, la réalisation du type, ce type abstrait est cependant
supérieur
à celui que l'analyse découvre dans le cerveau de
une correspondance possible avec un certain âge du cerveau des Singes
supérieurs
et de l'Homme, étudiés pendant la période fœtale.
ou pli surcilier; 2*" l'étage frontal moyen; 3° enfin l'étage frontal
supérieur
. Ce pli paraît le plus important des trois. Simpl
mbre de trois. P Le premier pli ascendant. Ce pli reçoit, à sa partie
supérieure
, l'extrémité du pli frontal supérieur. 2" Le deux
nt. Ce pli reçoit, à sa partie supérieure, l'extrémité du pli frontal
supérieur
. 2" Le deuxième pli ascendant. Ce pli forme un co
ieur. 2" Le deuxième pli ascendant. Ce pli forme un coude à sa partie
supérieure
, se dilate plus ou moins, et se prolonge jusqu'à
e prolonge jusqu'à la scissure perpendiculaire externe. Cette portion
supérieure
du deuxième pli ascendant fournit de bons caractè
t à la scissure de Sylvius. On distingue aisément 1** le pli temporal
supérieur
, qui borde inférieurement la scissure de Sylvius,
rieur. 2° Le pli temporal moyen. Ce pli est séparé du pli tem poral
supérieur
par un sillon très-profond, le sillon parallèle ;
ages principaux, à savoir l'étage inférieur, l'étage moyen et l'étage
supérieur
, tous les trois horizontaux et parallèles. Mais c
tal. Je les nomme plis de passage. Le premier pli de passage, pli
supérieur
, unit le lobule du deuxième pli ascendant au somm
postérieur. Le deuxième pli unit le sommet du pli courbe à l'étage
supérieur
du bord occipital. Le troisième pli est intermé
les deux derniers sont constamment superficiels. Quant aux deux plis
supérieurs
, ils méritent d'être attentivement considérés. Ai
s, les Sais et les Sajous parmi les Cèbes. A. Lorsque les deux plis
supérieurs
existent simultanément, ils peuvent être tous les
ns un deuxième cas, le deuxième pli seul est caché sous Topercule; le
supérieur
est grand, flexueux et superficiel. C'est ce qu'o
pito-temporal sont mieux définis. Nous distinguons 1° le pli temporal
supérieur
interne ou pli godronné. Ce pli, très-grèle, fait
s consUmment un plus grand développement de ce lobe dans les Singes
supérieurs
de chaque groupe naturel. Ainsi le lobe frontal
anière à peu près, sauf un peu plus de grandeur relative dans l'étage
supérieur
. Gibbons. — Dans les Gibbons, l'étage supérieur
lative dans l'étage supérieur. Gibbons. — Dans les Gibbons, l'étage
supérieur
domine ; le moyen demeure confondu avec l'étage i
bien qu'assez compliqués, sont peu distincts l'un de l'autre. L'étage
supérieur
domine, et présente des traces de division en deu
lobe frontal s'accuse de plus en plus, et dans ce lobe c'est l'étage
supérieur
qui s'accroît davantage. Homme. — Enfin, dans l
vantage. Homme. — Enfin, dans l'Homme, cette prééminence de l'étage
supérieur
du lobe frontal est de plus en plus accusée. Dans
bdivisé en deux plis bien distincts 5 dans l'Homme caucasique, le pli
supérieur
se subdivise encore, mais l'étage moyen semble pl
cerveau de la Vénus hottentote. C'est donc encore ici l'étage frontal
supérieur
qui a le plus d'importance. On observe, d'aille
ons du lobe frontal. 11 y a quelques indices de division dans l'étage
supérieur
. Dans les Magots ou Pithèques des anciens, c'es
supérieur. Dans les Magots ou Pithèques des anciens, c'est l'étage
supérieur
qui l'emporte, des traces de division en deux pli
ns le Chimpanzé, l'étage orbitaire est grand, le moyen est réduit, le
supérieur
domine. Ce pli est nettement divisé en deux plis
t, relativement, plus court que dans les Macaques ordinaires; l'étage
supérieur
et le moyen sont très-simples et réduits, mais l'
tage supérieur et le moyen sont très-simples et réduits, mais l'étage
supérieur
est, en revanche, très-grand et assez divisé. O
nent. Constamment le lobe frontal est plus développé dans les espèces
supérieures
de chaque groupe pris à part. Singes américains
m de son développement relatif dans les Ma -caques et dans les Singes
supérieurs
du nouveau continent. Les plis ascendants sont,
sa portion radiculaire, mais le lobule qu'il présente à son extrémité
supérieure
présente des différences re marquables. Guenons
erveau lisse, nous pouvons affirmer que le développement de ce lobule
supérieur
du deuxième pli ascendant est, dans chaque groupe
noïdal présente, nous distinguerons, en premier lieu, le pli temporal
supérieur
ou pli marginal. Ce pli, dont on aperçoit un vest
rveaux d'hommes caucasiques. Ce moindre développement dans les Singes
supérieurs
et dans l'Homme, et d'autre part son universalité
dis que le pli marginal paraît diminuer d'importance dans les animaux
supérieurs
de chaque groupe, le pli temporal moyen, suivant
entir de quelle importance est la considération de ces plis. Le pli
supérieur
manque chez les Cynocéphales, les Macaques et les
le est physiologique ou sériale. En tous cas, le développement du pli
supérieur
indique un type supérieur. F. Des plis de la fa
riale. En tous cas, le développement du pli supérieur indique un type
supérieur
. F. Des plis de la face interne. Nous les avons
n horizontale de la scissure des hippocampes caractérisent un cerveau
supérieur
. Ces faits confirment, en un certain degré, les r
ntal résultant surtout d'un développement excessif de l'étage frontal
supérieur
, la grandeur du lobule du deuxième pli ascendant,
ie. Qu'un phrénologiste promène ses doigts sur les bosses occipitales
supérieures
d'un Homme et d'un animal (je suppose, pour un in
Masse ganglionaire thoracique. 9. Nerfs de l'estomac. 1 o. Nerfs
supérieurs
thoraciques. ] 1. Nerfs des pattes. 12. Cordo
Ganglion abdominal. Morue. Encéphale de ce poisson, vu par sa face
supérieure
. te. Tubercule ethmoïdal, ou cérébral, to. Tube
même que chez la plupart des autres animaux; la partie moyenne ou ver
supérieur
, n. 1, est, au contraire, un peu déprimée ; quant
e largeur en avant. Des trois lobes du cervelet, le lobe moyen ou ver
supérieur
, est un peu plus volumineux que les autres. Por
ous les animaux, est divisé en trois parties. 1. Lobe médian ou ver
supérieur
. a. Lobe latéral, ici peu volumineux, plus gran
3. Petit lobe, éminence lobulaire, flocons. Lapin. Fig. ire Face
supérieure
de l'encéphale. Lobes cérébraux plus allongés q
circonvolutions cérébrales de cette famille. Renard. Fig. ire. Face
supérieure
de l'encéphale. Tout-à-fait en avant, deux lobule
. 3, au-dessus du corps calleux. 1. Partie moyenne du cervelet; ver
supérieur
. 2. Partie latérale. 3. Flocons ou partie lat
de plus, les hyènes. iT. Fig. i. Encéphale de chat, vu par sa face
supérieure
. En avant, une saillie ponctuée, c'est le lobe ol
tinguer les quatre circonvolutions formant toute la partie externe et
supérieure
de chaque lobe cérébral, et suivre l'analogie qui
la troisième et de la quatrième circonvolution, et placé à la partie
supérieure
du cerveau, de nombreuses ondulations le différen
AMILLE DES OURS ET DES MARTES. phale du même animal, vu par sa face
supérieure
. Loutre. L'encéphale de la loutre est aplati et
outes celles des cerveaux que nous avons vus jusqu'ici. Fig. ire face
supérieure
. Fig. 2. Face inférieure: les mêmes lettres exp
anset les solipèdes). Fig. ire. Encéphale du mouton, vu par sa face
supérieure
. En avant, se trouvent deux émi-nences arrondies,
la disposition générale, de la circonvolution que l'on voit à la face
supérieure
du cerveau de Fours brun. S. La ligne ponctuée
ent. P. Circonvolutions postérieures, au nombre de quatre. Les deux
supérieures
sont celles que j'ai décrites fig. I; les deux au
, dont le cerveau du chat nous a déjà présenté un rudiment, le groupe
supérieur
, dont l'analogue existe chez l'ours. Les points
rive pas jusqu'à lui; tandis que chez l'homme, par exemple, la partie
supérieure
du cerveau ayant acquis des circonvolutions nouve
S. Bœuf. Fig. i. Côté gauche de l'encéphale du bœuf, vu par sa face
supérieure
. En avant un mamelon ponctué représentant une p
ions que chez le mouton, à l'exception cependant de la circonvolution
supérieure
et interne ou en forme de V, qui, chez le bœuf, l
e double circonvolution externe (fig. 1) et une double circonvolution
supérieure
(fig. j ). Cheval. Côté gauche de l'encéphale d
es seules différences sont celles-ci. En arrière, les circonvolutions
supérieures
sont au nombre de trois, tandis qu'il y en a seul
rée au point +, on ne trouve plus qu'une circonvolution antérieure et
supérieure
. En revanche, les circonvolutions externes sont m
SANGLIER, DU COCHON TONQUIN ET DE L'AI. Chevreuil. Fig. i™. Face
supérieure
de l'encé- » phale. S. S. Point corresponda
ce cerveau et celui des moutons. Sanglier. Encéphale vu par sa face
supérieure
. S. Scissure de Sylvius. I, II, III, IV. Les qu
ications placées dans l'intérieur de chaque sillon. Kangxjroo. Face
supérieure
de l'encéphale, lobe droit. S. Scissure de Sylv
im, etc., etc. s. c. Sillon crucial. Ai. Encéphale vu par sa face
supérieure
. I, II, III. Trois circonvolutions peu profonde
ondes et très légèrement ondulées. Fig. i. Encéphale vu par sa face
supérieure
. " S. S. Scissure de Sylvius, dirigée obliqueme
arge, et présente de très nombreuses lamelles ; il est en cela , bien
supérieur
à celui des encéphales figuré dans les planches p
U PHOQUE. ENCÉPHALE DU MARSOUIN. Fig. i. Encéphale vu par sa (ace
supérieure
et dont le lobe cérébral droit (fig. 2) a été dét
rconvolution envoie un prolongement+qui va s'unir aux circonvolutions
supérieures
S. S. S. S; je n'ai trouvé cette disposition que
ion antérieure. Supprimez, par la pensée toutes les circonvolutions
supérieures
S. S. S. ainsi que le prolongement + de la circon
irconvolution S. S. S. qui est la plus antérieure des circonvolutions
supérieures
. En arrière de la circonvolution supérieure S.
re des circonvolutions supérieures. En arrière de la circonvolution
supérieure
S. S. S., est un sillon, dont l'analogue existe c
lando. Au-delà de ce sillon on voit de volumineuses circonvolutions
supérieures
S'. S'. S". S", qui de même que les circonvolutio
et qui se réunirait à la circonvolution I. A., si les circonvolutions
supérieures
n'existaient pas. II. P., II. P., Seconde circo
antérieures, trois circonvolutions postérieures, deux circonvolutions
supérieures
, une circonvolution interne , et un groupe de ci
taliques indiquent l'origine des nerfs de l'encéphale. ?ig# 2. Face
supérieure
de l'encéphale. I. A., IL A., III. A., Première
troisième circonvolutions antérieures, naissant de la circonvolution
supérieure
S, S, S, et se dirigeant presque directement en a
sur la figure 4* SINGE PAPIÓN. S, S, S. L'une des circonvolutions
supérieures
, celle qui fournit les trois circonvolutions anté
laquelle se trouve la scissure de Rolando. S' S\ La circonvolution
supérieure
qui se continue en arrière jusqu'au point -h où e
. R. la scissure qui sépare l'une de l'autre les deux circonvolutions
supérieures
, ou scissure de Rolando. i Petite portion du lobe
e que la scissure de Sylvius, S SSS S'S' S'. Les deux circonvolutions
supérieures
.. 1. A, II. A, III. A. Première, deuxième et troi
utions antérieures, naissant toutes trois de la même circonvolution
supérieure
. I. P, II. P, III, P. Première, seconde et troisi
dont elle est séparée par la partie la plus basse des circonvolutions
supérieures
. La seconde et la troisième circonvolutions se po
ec l'autre, -t- Point de réunion et prolongement de la circonvolution
supérieure
S', S', S', avec le prolongement de la circonvolu
gement de la circonvolution interne qui va s'unir à la circonvolution
supérieure
(S', '*? S', S?, %. 4). . ' •' J c. o. Couche
u cervelet. ENCÉPHALE DE L'HOMME. encéphale dun vieillard. Face
supérieure
de l'encéphale d'un vieillard : la calotte du crâ
erveau et c'est au-dessous de lui que se trouvent les circonvolutions
supérieures
, celles qui n'existent pas chez les animaux, à l
e. S. R. Sillon de Rolando. S S S et S' S' S' S'. Circonvolutions
supérieures
* séparées Tune de l'autre par la scissure de Rola
N ENFANT né à sept mois, ot ayant vécu quelques jours. Fig. i. Face
supérieure
du cerveau. Lobe gauche. I. A., IL A., III. A.
convolution du lobe gauche paraît n'être pas unie à la circonvolution
supérieure
, parce que le point de jonction de l'une à l'autr
lobe droit est tout-à-fait régulière. S S. Première circonvolution
supérieure
, celle qui fournit les trois circonvolutions ant
circonvolutions antérieures. S' S' S' S' S'. Seconde circonvolution
supérieure
qui est sous-divisée et dont l'union avec la circ
rière. S. R. Sillon de Rolando, qui sépare les deux circonvolutions
supérieures
. -h Point de jonction de l'une des circonvoluti
ions supérieures. -h Point de jonction de l'une des circonvolutions
supérieures
à la circonvolution interne. Lobe droit. Les mê
mêmes lettres indiquent les mêmes parties. La seconde circonvolution
supérieure
de ce côté S' S' S' n'est pas exactement semblabl
ois circonvolutions antérieures, SS et S'S'. Les deux circonvolutions
supérieures
. I. P. II. P. Premiere et seconde circonvolutions
lleux , envoie un prolongement qui s'unit à l'une des circonvolutions
supérieures
, et descend derrière le corps calleux où elle for
lobe frontal.) S. R. Sillon de Rolando. SS.,S'S'. Circonvolutions
supérieures
, séparées l'une de l'autre par le sillon de Rolan
irconvolution S'S' envoie vers la partie postérieure du cerveau. [Pli
supérieur
de passage.) PP. Circonvolutions postérieures.
en et du pneumogastrique. S. P. Spinal, C. V. Cervelet. L. S. Lobes
supérieurs
. L. L. Lobes latéraux. T. Touffes. N. A, Nerfs au
, S. Rord antérieur de la fosse de Sylvius. —• R' S., R' S., son bord
supérieur
. — B" S., R1' S., son bord inférieur. I. 1. 1.
ment de la circonvolution interne qui va s'unir à la circonvolution
supérieure
. CC. Cervelet, c.o. Couche optique. pv'. Pilier
mité sphénoïdale. ce, ce, ce, Corps calleux. VL., VL., VL., Paroi
supérieure
de l'étage supérieur du ventricule latéral. C.
, ce, ce, Corps calleux. VL., VL., VL., Paroi supérieure de l'étage
supérieur
du ventricule latéral. C. A. Cavité ancyroïde o
A. A A. Trois circonvolutions frontales. S. S., S'S'. Circonvolutions
supérieures
. (Plis ascendants.) S". Prolongement de l'une d
lis ascendants.) S". Prolongement de l'une des deux circonvolutions
supérieures
vers le lobe occipital. (Lobule du pli pariétal a
cation delà plancheXX. PLANCHE VINGTIÈME. CHARRUAS ADULTE. — FACE
SUPÉRIEURE
DU CERVEAU. — ENFANT BLANC. MÊME FACE Fig. \. C
circonvolutions frontales. S. S. S., S'. S'. S'. S'. Circonvolutions
supérieures
. S. R. Sillon de Rolando. S. S. Scissure de Sylvi
précis de ce cerveau n'a point été indiqué par Leuret. Son volume est
supérieur
à celui de l'enfant nouveau-né. Les circonvolutio
NE DES MOITIÉS DE L'ENCÉPHALE. ENCÉPHALE DE F1ESCHI. Fig. \. Face
supérieure
. ig. 2. Profil du cerveau N.B. Il est fort à
téral de l'isthme (Gru- veilhier), ou Ruban. (Reil.) d. Pédoncule
supérieur
du cervelet. e. Valvule de Vieussens que recouv
Tubercule quadrijumeau postérieur. c. Ruban de Reii. d. Pédoncule
supérieur
du cervelet. f. Ensemble des pédoncules cérébel
g. Pli marginal inférieur. h. Pli courbe. ». Premier pli ou pli
supérieur
de passage unissant au sommet du lobe occipital l
eur. h. Pli courbe. h\ Rranche descendante du pli courbe. ?*. Pli
supérieur
de passage superficiel. Le deuxième pli est cac
.) Les lettres ont la même signification dans la figure 5. Le pli
supérieur
de passage manque; le deuxième est caché au fond
diatement au-devant des corps genouillés du même côté. Fig. 2. Face
supérieure
du noyau (d'après la préparation). Le corps calle
/'. Valvule de Vieussens tendue entre les deux pédoncules cérébelleux
supérieurs
. g. Tubercules quadrijumeaux postérieurs, désig
m. Habemc ou rênes de la glande pinéale bordant la fente de l'étage
supérieur
du troisième ventricule. n. Fente qui fait comm
ieur du troisième ventricule. n. Fente qui fait communiquer l'étage
supérieur
du ventricule intermédiaire avec cette dilatation
illant dans les singes. p. Taenia semiei roula ris. q. Renflement
supérieur
du corps strié interne. r. Extrémité antérieure
se développent les hémisphères, coupé vers sa racine. Fig. 5. Face
supérieure
du corps calleux énu-cléé avec l'ensemble du noya
au- tre au point de leur entre-croisement. f. Fibres du pédoncule
supérieur
du cervelet qui suivent la distribution de l'un
be sphénoïdal. p. Étage inférieur ou perforant du pédoncule. q. Étage
supérieur
ou perforé dont une portion se recourbe vers l'
rance. f. Faisceau triangulaire latéral de l'isthme. g. Pédoncule
supérieur
du cervelet divisé et déta- ché du cervelet.
bandelette optique. p. Lobe sphénoïdaï. q. Pédoncule cérébelleux
supérieur
. r. Écorce du cervelet. L. A. Lobe antérieur
mité frontale à l'extrémité occipitale de l'hémisphère. ci . Fibres
supérieures
de l'ourlet qui se portent vers l'extrémité posté
u septum lucidum. /'. Corps strié externe. q. Fibres qui de l'arc
supérieur
de l'éventail pé-donculairese portent dans le lob
.c.c. Courbe du corps calleux. c\c\c\c\ Ses expansions dans le bord
supérieur
de l'hémisphère. c'\ Branche descendante que le
des expansions du corps calleux qui se porte en arrière dans le bord
supérieur
de l'hémisphère au-dessus de la corne occipital
té postérieure de l'hémisphère et plus particulièrement dans son bord
supérieur
. m,v. Rayons antérieurs de cette expansion s'en
perforant du pédoncule. n. Commissure antérieure. p. Corps strié
supérieur
interne, mis à découvert par suite de l'ablatio
c la masse du corps strié. d. Corps strié externe. e. Corps strié
supérieur
ou interne. ff. Corps calleux divisé sur le pla
sur le plan médian de l'encéphale. y*. Ses expansions dans le bord
supérieur
de l'hémisphère. * Cette lettre a été par erreu
strié externe, y. Fibres qui descendent du corps calleux et du bord
supérieur
du cornet pédonculaire dans les circonvolutions
isceau perforé. c. Corps strié externe. d. Corps strié interne ou
supérieur
. e. Fibres du pédoncule qui composent l'éventai
du côté opposé de l'axe se porte par le corps calleux dans le bord
supérieur
de l'hémisphère droit. g\ gn, gtn, gl\ gv, gr\
lans fibreux qui composent l'hémisphère disséqué de sa base à sa face
supérieure
. a. Faisceau perforé du pédoncule. b. Son fai
. Plan fibreux qui du corps genouillé interne se porte dans le bord
supérieur
de l'hémisphère. g. Plan des fibres directes de
ec le corps strié externe, o. Commissure antérieure. Fig. \. Face
supérieure
du cervelet d'un enfant nouveau-né. a. a. a. a.
de Reil ou corps du cervelet moyen. c. Lobe semilunaire ou postéro
supérieur
. d. Monticule du cervelet médian. e. e. Amygd
erminaison du corps restiforme dans le vermis latéral. e. Pédoncule
supérieur
du cervelet. c. Fibres de ce pédoncule embrassa
estiforme a été en partie coupé, pour montrer l'ensemble du pédoncule
supérieur
du cervelet. a. Protubérance. b. Expansions d
ven. b\ Leurs prolongements dans le ver mis latéral. c. Pédoncule
supérieur
du cervelet. c\ Fibres de ce pédoncule qui enve
cervelet séparés par une dépression médiane et semblable à une lèvre
supérieure
recouvrant le rictus du quatrième ventricule. N
sont encore apparentes mais s'effacent manifestement. Fig. 6. Face
supérieure
du même cerveau. B. Bulbe. V. N. Ouverture du
res principaux de la forme définitive sont déjà acquis. Fig. 9 Face
supérieure
du même cerveau. E. F. Extrémité frontale de l'
ue et profonde. L. A. Lobule auriculaire du cervelet. Fig. 42. Face
supérieure
du même cerveau. E. F. Extrémité frontale de l'
nt béante. S. R. Sillon de Rolando, très-profond. F. S. Pli frontal
supérieur
. P. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli p
ent ainsi autour d\me fosse de Sylvius encore béante. Fig. \5. Face
supérieure
du même cerveau. E. F. Extrémité frontale de l'
lbe. OL. Olive. CL. Cervelet latéral. T. Touffe. Fig. 5. Face
supérieure
du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E.
l ou pli orbi- taire. 2° Étage moyen du même lobule. 3° Son étage
supérieur
. N.B. On doit remarquer que la scissure parallè
nt nettement dessinée sur le lobe occipito-sphénoïdal. Fig. 2. Face
supérieure
du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E.
scendant. L. P. P. A. Lobule du pli pariétal ascendant. P. P. Pli
supérieur
de passage. P. C. Pli courbe avec le pli de pas
C. O. Lobe occipital. 2. Étage moyen du lobule frontal. 3. Étage
supérieur
du même lobule. Fig. 5. Proûl du cerveau d'un e
riétal ascendant. P. P. S. Lobule du pli pariétal ascendant, et pli
supérieur
de passage. P. P'. Pli de passage passant du somm
age inférieur du lobule frontal. 2. Son étage moyen. 3. Son étage
supérieur
. Fig. 4. Profil de l'hémisphère droit du même c
leux recouvrant le ruban fibreux de l'ourlet. E. S. L Étage frontal
supérieur
interne. L. Q. Lobule quadrilatère. L. T. Lobule
Lobe sphénoïdal. P. L. 0. Pli du lobule orbi taire. Fig. 6. Face
supérieure
du même cerveau. E. F. Extrémité frontale. E.
1. Étage inférieur du lobule frontal. 2. Étage moyen. 3. Étage
supérieur
(1). (1) L'ensemble de ces figures montre qu'à
a naissance le système des plis cérébraux est complet. Fig. 4. Face
supérieure
. C. Bulbe. C. G. Cervelet latéral gauche engagé
bule atrophié du pli pariétal ascendant. P. C. Pli courbe. 1. Pli
supérieur
de passage. 2. Deuxième pli de passage [superfi
passage [superficiel). M. Étage moyen du lobe frontal. F. F. Étage
supérieur
divisé en deux plis. Fig. 2. Profil du même cer
férieur du lobe frontal. E. M. Étage moyen du même lobe. F., F. Étage
supérieur
. N. B. Parmi les faits les plus remarquables qu
ité occipitale. E. F. Extrémité frontale. P. F. S. I. Pli frontal
supérieur
interne.] P. C. C.—PC. Pli du corps calleux.
and (1 m.75) ; le dernier aussi est assez bien bâti et d'une taille
supérieure
à la moyenne (1 m. 80). Ses deux soeurs actue
t qu'il présente une cyphose dor- sale assez prononcée. Les membres
supérieurs
aussi apparaissent plutôt allon- gés - en effet
émoussé. Le pubis est complètement dépourvu de poils. Extrémités
supérieures
. Les bras sont longs et fins, ils présentent dans
ssez réduite (35 kil.). Vu de profil, on s'aperçoit que les membres
supérieurs
sont un peu tombants en avant à cause de la cyp
pendant la première et la seconde enfance, aurait eu une croissance
supérieure
à la moyenne du fait de l'hypertrophie de sa gl
der Hypophys. Zeitschr. f. Psych., t. 2, 1908. INSTITUT D'ÉTUDES
SUPÉRIEURES
DE FLORENCE CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE dirigé
chef de l'hôpital Saint-Spiridon, pour un abcès froid dans le tiers
supérieur
de la ré- gion du sternum. Il a été opéré et c'
ur que les jambes, Etant debout, au repos (V. Pl. V), les membres
supérieurs
de notre sujet tombent sans s'approcher du tron
'ils sont trop petits pour le corps dont ils dépendent. Les membres
supérieurs
descendent à peine au niveau des grands trochan
t la distance du vertex au pubis = 78 centimètres ; ainsi la partie
supérieure
est presque deux fois plus grande que la partie
férieure. Si les proportions normales étaient conservées, la partie
supérieure
(du vertex au pubis) correspondrait il peu près
ité gauche ; l'ensellure lombaire est très prononcée. Les membres
supérieurs
sont très courts, l'extrémité des doigts, les bra
s atteignent le tiers inférieur de la cuisse. Il existe aux membres
supérieurs
une légère flexion de l'avant-bras et l'extensi
et s'écartent les uns des autres par leurs extrémités. Au membre
supérieur
droit nous trouvons lesdimensions suivantes : s
4 cent. et celle du médius =. 6 cent. 5. Les dimensions du membre
supérieur
gauche sont presque les mêmes,. sa longueur tot
is la mois de juin la malade seutant des douleurs le long du membre
supérieur
droit. Depuis 5 semaines, douleurs en ceinture
petites tumeurs rosâtres se trouvent dans le voisinage. Le membre
supérieur
droit pend inerte le long du corps. La main et le
corps. La main et les doigts conservent leurs mouvements. La partie
supérieure
de l'avant-bras et le bras sont modérément oedé
in. Pendant 4 jours, le malade souffrait de douleurs dans la région
supérieure
de l'abdomen, sous les côtes, et sur la ligne omb
côtes, et sur la ligne ombilicale. La force musculaire des membres
supérieurs
est bonne. Le gros orteil du pied droit a une t
peu mobile et pré- sente une lordose lombaire tandis que la partie
supérieure
de la région dorsale présente une cyphose. La l
tébrale au niveau des vertèbres dor- sales inférieures ou lombaires
supérieures
. Le malade retourne a Varsovie dans un état pir
le dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la partie
supérieure
de la ,région lombaire. Le malade retourne à Va
mettre les orteils en extension (Babinski pas sûr). Les abdominaux
supérieurs
sont égaux des deux côtés, inférieur droit abol
s changements appréciables. Les nerfs crâniens normaux. Les membres
supérieurs
fonctionnent normalement. Les réflexes du muscle
région abdominale. Les douleurs envahissaient peu à peu les membres
supérieurs
et toute la colonne vertébrale. Au début, d'int
t l'entrée à l'hôpital, elle présentait l'affaiblissement du membre
supérieur
droit, de vifs réflexes patellaires, une trépid
rfs sciatiques et cruraux. Etat actuel. - Nerfs crâniens et membres
supérieurs
sans changement. Membres supérieurs : le droit
el. - Nerfs crâniens et membres supérieurs sans changement. Membres
supérieurs
: le droit un peu plus faible ; les réllexes tend
ère. II est possible que dans une région de la moelle (la a dorsale
supérieure
peut-être) des changements de structure peu prono
t restée stationnaire. Depuis 2 ails la tumeur croit dans la partie
supérieure
du sternum. Au début on y sentait une tuméfacti
olume, dans le lobe droit on sent une tumeur dure. Dans la par- tie
supérieure
du sternum, tumeur du volume d'un oeuf, molle. A
sur la XIIe dor- sale et la I''8 lombaire vertèbre. Dans la région
supérieure
des vertèbres dorsales du côté droit, tout près
es pupilles sont égales,, réagissant bien à la lumière. Les membres
supérieurs
et inférieurs ne présen- tent aucun trouble dan
y forme une tumeur. Depuis deux ans, une autre tumeur sur la région
supérieure
du sternum. Douleurs de la nuque, une certaine
ure dans le lobe droit du corps thyroïde. Une tumeur dans la région
supérieure
du sternum. Les vertèbres XII° dorsale et Ire l
e tuméfaction très douloureuse du côté droit des vertèbres dorsales
supérieures
. Le ma- lade ménage sa colonne vertébrale (doul
ns, ni dans les membres. Réflexes tendineux aux membres inférieurs,
supérieurs
faibles. On constate au cours de la maladie que l
a le, vertèbre lombaire comprimât du Côté droit les racines sacrées
supérieures
, qui à, ce niveau partent de la moelle vers la
tumeur. L'absence de dou- leurs sur la face postérieure des membres
supérieurs
fonl présumer que les racines sacrées sont rest
u oedémateux. Les douleurs au sacrum se calmèrent un peu. Le membre
supérieur
droit est libre des douleurs jusqu'à présent. Il
s court, même sur un coussin mou. Les nerfs crâniens et les membres
supérieurs
ne présentent rien de notable. Les mouvements d
es disparaissent graduellement. On ne peut pas préciser leur limite
supérieure
. L'utérus est augmenté de volume, dure, mobile.
qu'à la 11-1 vertèbre sacrée, mais sans pouvoir atteindre sa limite
supérieure
). Anesthésie typique de la région anale fessièr
face postérieure de la hanche gauche, le plus fortes dans sa région
supérieure
et de la fesse gauche non loin du pé- rinée mon
mé. Les nerfs crâ- niens ne présentent rien de notable. Les membres
supérieurs
de même. Les réflexes tendineux et périostaux s
he. Escarre sacrée dans la région sacrée. Les réllexes abdominaux
supérieurs
sont faibles, les inférieurs abolis. ' Le réfle
urinaires légers. Etat actuel. Les nerfs crâniens et les membres
supérieurs
ne présen- tent rien de notable. La marche est
continuellement pendant quelques années. II y a 4 an 1/2, le membre
supérieur
droit est devenu faible et contracture, les membr
ement à la lumière. Les autres nerfs crâniens sont normaux. Membres
supérieurs
: le membre supérieur droit est constamment con-
autres nerfs crâniens sont normaux. Membres supérieurs : le membre
supérieur
droit est constamment con- tracture (il est flé
uée excepté le premier qui est étendu et en abduction). Le mem- bre
supérieur
gauche pour la plupart de temps, reste étendu le
D' Bornstien et Sterling. 68 FLATAU Mouvements actifs : le membre
supérieur
droit dispose seulement du mouve- ment d'élévat
des mouvements associés de la tête et de la main gauche. Le membre
supérieur
gauche peut être levé légèrement à l'épaule, él
igts et une flexion minime du genou. Mouvements passifs : Le membre
supérieur
droit peut être élevé en haut jusqu'à la ligne
phalangieune ; les doigts peuvent être remués facilement. Le membre
supérieur
gauche a les muscles extenseurs du coude et du ca
eur gauche se fléchit et s'étend malgré lui. Réflexes : le membre
supérieur
droit a les réflexes du triceps et périos- tal
s deux pieds. La sen- sibilité douloureuse est diminuée aux membres
supérieurs
(plus sur les doigts), hypoalgésie sur le tronc
sensibilité thermique est très atteinte sur les membres inférieurs
supérieurs
et le tronc jusqu'au 11° espace intercostal. Le
centimètre dans la partie moyenne de la moelle cervicale. La limite
supérieure
de cette pachyméningite externe correspond à la
dans les segments cervicaux inférieurs de même que dans les dorsaux
supérieurs
et moyens des défigurations de différentes sortes
arisation plus riche des segments dorsaux inférieurs et lom- baires
supérieurs
, de même qu'un léger épaississement et la dilatat
nce nécrotique de toute la coupe transversale de la moelle lombaire
supérieure
et dorsale inférieure, Nonne en conclut qu'au c
utnam etElliot, cas de cancer des dorsales inférieures et lombaires
supérieures
, etc.). L'issue fut mortelle. Il n'y eut même p
du système pyramidal, soit dans la jambe même, soit dans le membre
supérieur
ou dans le domaine du facial. Car un symptôme équ
cérébelleuse. Atrophie musculaire énorme en jarretière aux membres
supérieurs
et inférieurs. Valgisme et équînisme des pieds,
ntractions fibrillaires. - Début de l'atrophie par les extré- mités
supérieures
. Atrophie musculaire rigoureusement identique a
onc que chez Marguerite l'atrophie aurait débuté par les extrémités
supérieures
. L'attention de la mère fut ensuite attirée par
inférieure sont très prononcés. Les oreilles sont petites, la lèvre
supérieure
est ombragée d'un duvet noir. Les zigomas sont
aussi tout à fait normaux. La respiration se fait avec le type costal
supérieur
. r. Le mouvement de pronation et de supination
s prononcées. On peut dire en conclusion que l'atrophie des membres
supérieurs
chez Marguerite s'arrête en forme de gant au mili
itatihilité neuro-musculaire galvanique et faradique. Aux membres
supérieurs
, sur le deltoïde, le biceps et le triceps brachia
ur est à peu près 'inexcitable. Sur les autres muscles de la région
supérieure
des cuisses, 'il existe une diminution globale de
sont en strabisme divergent, son nez est légèrement épaté. Sa lèvre
supérieure
est aplatie et rehaussée, les dents sont mal im
e est tout à fait particulier par la disposition que prend sa lèvre
supérieure
qui se relève d'une façon exagérée, en laissant
ide était constitué par de la diplégie avec amyotrophie des membres
supérieurs
, avec nystagmus, strabisme, bradylalie, dégluti
participation médullaire, par le fait de l'amyotrophie des membres
supérieurs
. Je suis parfaitement d'accord avec M. Dejerine
e débute généralement par les pieds et envahit après les extrémités
supérieures
. La localisation topographique de l'atro- phie
une, au niveau du lobe frontal droit, l'autre à la région pariétale
supérieure
gauche ; pas de fracture du crâne. Au moment de
ation scapulo-humérale et a de la difficulté à sou- lever le membre
supérieur
droit au-dessus de la ligne horizontale ; la forc
la main droite et d'éprouver de fortes douleurs dans tout le membre
supérieur
droit. Pas de troubles de la sensibilité object
st souple ; le pouls est bien frappé. Le trajet des nerfs du membre
supérieur
droit n'est pas particulièrement douloureux à la
es réflexes pupillaires sont normaux. La force musculaire du membre
supérieur
droit est très diminuée ; celle du membre infér
les muscles de la face sont animés d'un tremblement fin. Le membre
supérieur
droit est atteint de secousses convulsives contin
la main du côté droit sont très atténuées. Les mouvements du membre
supérieur
sont plus faciles. M. A. commence à mobiliser l
e un peu scandée ; l'écriture est normale. Les mouvements du membre
supérieur
droit et la force musculaire sont normaux, Le r
s tard, apparaissent des secousses convulsives localisées au membre
supérieur
droit; les troubles trophiques s'accentuent. Da
à une lésion localisée dans la région m.otrice gauche, à la partie
supérieure
de la frontale et de la pariétale ascendantes ; c
urmillements aux doigts et des secousses convulsives dans le membre
supérieur
droit avec scotome scin- tillant. Un an après s
t et le derme s'atrophia ; puis l'atrophie porta sur tout le membre
supérieur
. La sensibilité était légère- ment diminuée dan
le 12 octobre 1903. L'autopsie (Dr Steinhaus) montra dans le quart
supérieur
du sternum une tumeur plate. Au même niveau, su
n. Il y a une semaine elle a ressenti de la raideur de tout le membre
supérieur
droit. En même temps le membre est devenu le si
raideur de la main gauche. Une demi- heure après, les deux membres
supérieurs
étaient paralysés. Les inférieurs conservaient
t un peu élargi. Les ver- tèbres cervicales inférieures et dorsales
supérieures
sont douloureuses à la pression. La tête peut e
nservée. Les mouvements des globes oculaires sont bons. Les membres
supérieurs
sont complètement paralysés. Les réflexes du musc
ineuse sur la face antérieure de la cage thoracique. Ni les membres
supérieurs
ni les inférieurs ne présentent d'oedèmes. Le
bien le toucher sur tout le corps depuis les clavicules ou le bord
supérieur
des omo- plates (les membres supérieurs y compr
is les clavicules ou le bord supérieur des omo- plates (les membres
supérieurs
y compris). La sensibilité thermique etdoulou-
reuse est abolie dans les membres inférieurs et affaiblie dans les
supérieurs
et tout le tronc. 9 septembre. - L'état génér
VA et IVe espaces intercostaux elle est affaiblie. Dans les membres
supérieurs
la sensibilité tactile et douloureuse est affai
eurs la sensibilité tactile et douloureuse est affaiblie. Au membre
supérieur
gauche les troubles sensitifs se localisent sur
s la face et le cou enflent. Neuf semaines plus tard tout le membre
supérieur
droit devient raide, la malade y ressent des doul
es jours avant la mort il y avait des paresthésies dans les membres
supérieurs
, la main gauche tremble, de- vient douloureuse
se raidit. Très vite se développe la paralysie complète des membres
supérieurs
. Après deux heures de sommeil la malade se ré-
fait trois jours avant sa mort on constate une tumeur de la région
supérieure
du thorax envahissant le bas du cou et le corps
roïde. La figure est enflée. La tête reste immobile, raide. Membres
supérieurs
complètement paralysés Réflexes tendineux faibl
région des vertèbres dorsales moyennes et pénétrant dans la partie
supérieure
de la cavité thoracique droite. TUMEURS DE LA
re droite, instables, qui peu à peu se pro- pagèrent vers le membre
supérieur
droit et tourmentèrent le malade jour et nuit.
s mouvements des globes oculaires sont bons. Pouls 132. Les membres
supérieurs
ne pré- sentent rien d'anormal. Le malade ne
ade ne peut même pas s'asseoir sur son lit. Les vertèbres lombaires
supérieures
et dorsales inférieures sont douloureuses. La par
DE LA COLONNE VERTÉBRALE 157 Dans les segments cervicaux et dorsaux
supérieurs
il n'y a pas de change- ments notables. Dans le
x du côté gauche. Les mouvements de la tête sont normaux. Le membre
supérieur
gauche ne peut pas être élevé jusqu'à la ligne
élevé jusqu'à la ligne horizontale. Quand la malade porte le membre
supérieur
gauche en avant, l'épaule s'élève en même temps
lade- commença à ressentir des douleurs, de ce côté, dans le membre
supérieur
et sur le tronc, surtout au niveau des dernières
une sensation de serre- ment dans la partie inférieure du thorax et
supérieure
de l'abdomen. Etal actuel. Les nerfs crâniens s
rsistent toujours. La force musculaire des membres inférieurs et du
supérieur
droit est augmentée. Au cou, au-dessous de l'ap
8 septembre. - Mouvements de la tête impossibles. Dans le membre
supérieur
gauche, l'unique mouvement qui a persisté est une
t pas les piqûres, à droite, elle les sent. Analgésie sur le membre
supérieur
gauche, à droite, la malade sent les piqûres su
es là où la tumeur passe de gauche à droite. Les segments cervicaux
supérieurs
ont leur face antérieure tout fait indemne. E
he), en même temps que s'affaiblissaient les mouvements des membres
supérieurs
. La sensibilité A cette époque était intacle. Q
ard les mouvements de la tête sont devenus impossibles, aux membres
supérieurs
très limités, et aux inférieurs également restr
nt une paralysie flasque presque complète des membres inférieurs et
supérieurs
. Sensibilité troublée. La malade est morte un an
grise). Cet aspect était surtout marqué dans les segments cervicaux
supérieurs
(excepté le premier) et moyens, beaucoup moins vi
rescence secondaire du faisceau gauche de Burdach dans les segments
supérieurs
de la moelle. 172 ' FLATAU Dans ce cas les
icale. Tandis que les phénomènes du côté de l'épaule et des membres
supérieurs
dépendaient de deux causes. Il y a lieu de suppos
xtra- vertébrales. Mais les symptômes plus tardifs dans les membres
supérieurs
(affaiblissement,atrophie, paralysie) étaient e
ondaire du faisceau gauche de Burdach dans les seg- ments cervicaux
supérieurs
. Elle se développa par suite de compression et
x périphériques ; alors nous constatons des douleurs dans un membre
supérieur
, douleurs fortes, s'irradiant vers les doigts,
e l'un ou l'autre sein. Bientôt l'affaiblissement de tout le membre
supérieur
s'ajoute aux douleurs (quelquefois les deux phé
es membres inférieurs (après la période des douleurs dans la partie
supérieure
du corps) durait à peine deux semaines après le
ant la localisation la tumeur provoque des phéno- mènes médullaires
supérieurs
ou inférieurs, c'est-à-dire que tous les quatre
alysie. Dans un de nos cas (obs. X) la tumeur envahissait la moitié
supérieure
de la cavité thora- cique, le bas du cou avec l
néoplasiques extra vertébrales (dans la moitié inférieure du cou et
supérieure
du mé- diastin), on ne peut pas les expliquer p
et précisément dans les segments cer- vicaux inférieurs et dorsaux
supérieurs
, nous voyons que les plus gros vaisseaux sangui
rême de telle ou telle partie du corps : visage, poi- trine, partie
supérieure
du dos, la teinte marbrée de la peau des bras,
alors le plaisir de tromper, de mystifier, et partant de se croire
supérieurs
à ceux qu'ils trompent et mys- tifient. Enfin l
ieurs sans aucun trouble des sphincters ; une contracture du membre
supérieur
avec intégrité complète du membre inférieur.
gle droit (signe de Seeligmuller) ; dans le tremblement des membres
supérieurs
, occupez une des mains à un travail quelconque
és au sport, chez qui le tonus des muscles est certainement égal ou
supérieur
à la normale. Ce n'est donc pas le tonus muscul
l'imagi- ner en déplaçant seulement, en relevant jusqu'aux centres
supérieurs
le siège supposé de sa paresse, qui n'est pas m
départ, notre caractère. Il existe des variétés dans ces connexions
supérieures
comme il en existe dans les systèmes anatomique
enfant marche à petits pas, en plongeant du côté droit, les membres
supérieurs
sont demi-fléchis et un peu écartés du corps ;
que à droite qu'à gauche ; à droite aussi la maladresse des membres
supérieurs
est plus marquée et elle s'accompagne d'adiadoc
idineux. Beaucoup de poil au pubis et sur l'abdomen. , Extrémités
supérieures
. Leur raccourcissement est des plus frappants,
normaux, Normaux les réflexes tendineux et périostes des extrémités
supérieures
. Extrémités inférieures. De même le raccourciss
triè- me doigt est plus court et il se trouve implanté dans un plan
supérieur
et pos- térieur aux autres. Les autres orteils,
om- paraison de la base. Les parois;en général sont d'une épaisseur
supérieure
à la moyenne, elles sont inégales, particulière
est bien développée et forme un angle aigu et fort proéminent. La.\
supérieure
est peu développée et les os du nez sont fort r
ées. A la base du crâne la selle turcique est normale. Extrémités
supérieures
: Articulation du coude. - Cette articulation est
l aime la société, il est loquace et fait preuve d'une intelligence
supérieure
à la moyenne. Il n'a jamais été atteint de syph
té du patient est normale. L'intelligence bien développée et un peu
supérieure
à la moyenne. Le patient lit et écrit très bien,
faitement nor- male et bien équilibrée et d'une intelligence plutôt
supérieure
à la moyenne. Visage. Traits mimiques réguliers
longue ; les testicules gros tous les deux. Extrémités : Extrémités
supérieures
. Elles sont énormément raccour- cies et du type
leur longueur. Les réflexes tendineux et périnstaux des extrémités
supérieures
sont assez vifs. Extrémités inférieures. En '
rémités inférieures. En 'proportion elles sont plus courtes que les
supérieures
; ce raccourcissement est fait particulièrement a
es deux condyles est plus prononcé que d'ordinaire.. . L'épiphyse
supérieure
du tibia est déformée, mais moins que l'épiphyse
décote. 256 GIUSEPPE FRANCH1N1 ET MAURO ZANASI \ .. L'épiphyse
supérieure
du péroné est, elle aussi, déformée ; sa pointe a
ction sexuelle est normale. Assez de poils sur le pubis. Extrémités
supérieures
. Elles sont anormalement raccourcies et grossies
des mains normale ; réflexes périostés et tendineux des extrémités
supérieures
normaux. Extrémités inférieures. Elles sont plu
ités inférieures. Elles sont plus raccourcies en proportion que les
supérieures
et ce raccourcissement est aussi du type rhizomél
surtout pour son condyle interne. Le péroné parvient avec sa pointe
supérieure
au niveau de la ligne articulaire. L'extrémit
pointe supérieure au niveau de la ligne articulaire. L'extrémité
supérieure
de cet os est remarquablement déformée. La rotu
endent à l'égalité. La musculature du tronc et celle des extrémités
supérieures
est très développée, de manière à donner à nos
inférieures sont très raccourcies, bien plus en comparaison que les
supérieures
, et ce raccourcissement est toujours du type rhiz
s petit que les autres et il est implanté sur un plan postérieur et
supérieur
. Ce fait n'existait pas aux mains. M. Marie ind
ntrée variable dans les divers cas étudiés. On a parlé de mentalité
supérieure
à la normale, de mentalité normale et aussi de me
rt grosse, nous pouvons parler de mentalité normale et probablement
supérieure
à la moyenne, car ils ne manquaient ni d'intellig
supporter de longues fatigues, qui certainement pourraient sembler
supérieures
à leur masse, à leur contour- lIlation, Cela no
rps de cette enfant et le raccourcissement rela- tif des extrémités
supérieures
peuvent être en faveur d'une achondroplasie, de
vidus robustes, qui peuvent supporter des fatigues qui sembleraient
supérieures
à leurs forces; leur histoire ne parle pas de m
hiv. sur Kinderheilltunde, I, IV, Heft. 1902. INSTITUT DES ÉTUDES
SUPÉRIEURES
DE FLORENCE SUR UN CAS DE MALADIE DE PAGET A
o CATOLA, , Libre-Docent de neuropathologie à l'Institut des Etudes
supérieures
de Florence, Médecin de l'asile des aliénés.
inférieur) presque d'un centimètre le bord alvéolaire du maxillaire
supérieur
et les dents, qui sont d'ailleurs très bien con
ulations temporo- maxillaires. Les os malaires et les maxillaires
supérieurs
ne présentent aucune modifi- cation de leurs ca
s ; hémi-circonférence : 40 centimè- tres de chaque côté. Membres
supérieurs
: L'humérus, le radius et le cubitus ne présenten
les nodosités d'Heberden. Les mêmes remarques que pour les membres
supérieurs
peuvent être faites à l'égard des os du bassin
igne de rhumatisme aux pieds. Les artères périphériques des membres
supérieurs
et inférieurs n'apparais- sent pas nettement ar
contraire, rien pré- ciser à propos de la déformation de la partie
supérieure
du sternum. L'augmentation de volume du squelet
fait ordinairement son début par l'apophyse montante du maxillaire
supérieur
, déterminant un tel élargissement des os de' fa
ante de Paget, localisée aux os du crâne et, peut-être, à la partie
supérieure
du sternum. Nous ne sommes pas-très affirmatif
dans la région du pont de Varole et un ramollissement de la partie
supérieure
des circonvolutions centrales degauche comme de
290 COSTANT1N t dont l'état s'améliora dans la région de la branche
supérieure
, après une cure énergique aux injections de sub
mouvements actifs ou passifs du cou sont à l'état normal. Membre
supérieur
droit. L'on ne remarque pas de troubles trophique
nt. Force musculaire au dynamomètre : 19; 28 épreuve : 22. Membre
supérieur
gauche. L'on n'y relève pas d'altérations trophiq
'avant-bras. Il élève le bras à un niveau qui n'est pas de beaucoup
supérieur
à l'horizontale. Les autres mouvements du membr
érence de la cuisse, à 24 centimètres de l'épine iliaque antérieure
supérieure
: 41 centimètres ; de la jambe à 15 centimètres
he, très vif à droite. Pharyngien conservé. Les tendons des membres
supérieurs
existent ; vifs- à gauche..Vif le patellaire des
e. Les organes internes, normaux. Les nerfs crâniens et les membres
supérieurs
ne présentent rien de notable. Le membre inféri
ion. Il urine avec difficulté. Les douleurs dans la région lombaire
supérieure
sont très fortes (elles se calment un peu après
si. Dans certains endroits, par exemple dans les segments lombaires
supérieurs
, ces hémorragies distendent en quelque sorte le
es changements patho- logiques diminuent. Dans les segments dorsaux
supérieurs
, le rapport delà substance blanche à la grise e
myéliniques, mais une coloration rosâtre (dans les segments dorsaux
supérieurs
). Souvent on peut voir des cylindraxes dénudés
orées par la méthode de Marchi démontrent dans les segments dorsaux
supérieurs
une dégénérescence secondaire peu accentuée des c
llaires sont infiltrées. Ce n'est qu'au niveau des segments dorsaux
supérieurs
que la figure de la substance grise devient norma
rine et des matières fécales. Douleurs dans les vertèbres lombaires
supérieures
et en ceinture au-dessous des côtes. Les douleu
e grise reprend sa forme caractéristique. Dans les segments dorsaux
supérieurs
, elle est presque normale. En même temps on y v
antécédents on ne trouve ni tuber- culose ni syphilis. Les membres
supérieurs
se paralysent de plus en plus, et tout à fait a
entré ; la marche était devenue tout à fait impossible et la limite
supérieure
des troubles sensitifs atteignait la VIIIe côte e
que pas de douleurs, la percussion de la tête est indolore. Membres
supérieurs
. La malade peut exécuter tous les mouvements av
e. La dure-mère incisée à l'opération s'est réunie, excepté le bout
supérieur
de la plaie par où s'élimine un peu de pus. Imméd
méninge. Après l'incision de la dure-mère, on constata que le bout
supérieur
de la fumeur se trouve à 6 millimètres au-dessous
de la malade, l'absence de symptômes morbides du côté de la partie
supérieure
du corps parlaient contre la sclérose en plaque.
tumeur, nous avons pris en considération en premier lieu la limite
supérieure
de l'anesthésie et la zone des douleurs en cein
as correspondants nous sommes arrivés à la conclusion que la limite
supérieure
de l'anesthésie dépend des VIIIe et Vile segmen
monte le long de la moelle 328 FLATAU tJ épinière. Vers le pôle
supérieur
de la tumeur, la configuration interne de la mo
sous et au-dessus de la tumeur. Même au niveau du pôle inférieur et
supérieur
de la tumeur, la substance blanche et la grise
s lésions qui siégeaient dans la moitié gauche de la moelle dorsale
supérieure
dépendaient en grande partie d'un processus qui n
mmencent à disparaître. En remontant on voit déjà au niveau du pôle
supérieur
de la tumeur, c'est-à-dire au niveau du VIe segme
crâniens fonctionnent normalement. La force musculaire des membres
supérieurs
est bonne. Les réflexes tendineux et périostaux s
uche (En arrière jusqu'à la crête iliaque). Les réflexes abdominaux
supérieurs
sont conservés, les autres abolis. La nuit il y
ternes du dos de pied. Le réflexe d'Oppenheim. Le réflexe abdominal
supérieur
droit est conservé, le gauche et tous les autre
la moelle est bien distincte. Quand on écarte avec le doigt le pôle
supérieur
de la tumeur on voit que TUMEURS DE LA MOELLE É
lle. Quant à la localisation de la tumeur, on constate que son pôle
supérieur
sous forme d'une languette atteint le niveau où
plus près de la première. La même chose peut-on dire de la par- tie
supérieure
de la XIIe racine dorsale droite. Le pôle inférie
inférieur allongé cor- respond au lieu de pénétration des faisceaux
supérieurs
de la Ire racine lom- baire postérieure dans la
a moelle en même temps reprend sa forme habituelle. On voit le pôle
supérieur
de la tumeur au FIG. 24. - Neuro fibi-oatigiont
e cérébelleuse gauche. xx III 23 346 FLATAU niveau de la partie
supérieure
du Xe segment dorsal (fig. 20). On y voit des e
le sur la tumeur, de sorte que les deux semblaient uniques. Le pôle
supérieur
de la tumeur correspondait au lieu de sortie de
cture caverneuse. Les cavernes sont remplies de sang dans la partie
supérieure
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
dies internes (1). Le malade se plaint de douleurs dans les membres
supérieurs
: ce sont des sensations de brûlure et des pico
de brûlure et des picotements. Les douleurs naissent dans la partie
supérieure
de la colonne vertébrale et de là vont jusqu'aux
conservé. Le plantaire faible. Tonus musculaire normal. Les membres
supérieurs
fléchis au coude et rapprochés vers le tronc (dan
même le muscle thénar (sur- tout le droit). Les muscles aux membres
supérieurs
sont flasques. Le malade ne peut pas étendre le
a colonne vertébrale dans la région cervicale inférieure et dorsale
supérieure
est douloureuse à la pression. Quand on fait as
assez bien conservée. Analgésie complète des membres inférieurs et
supérieurs
dans leur région du coude. 16. Les douleurs des
t recouvrant la moelle dans sa région cervicale inférieure. Le bout
supérieur
de la tumeur correspondait à la VIe racine cervic
alade de 49 ans qui a ressenti au début des douleurs dans la partie
supérieure
de la colonne vertébrale et dans les omoplates.
jambes normal. De temps en temps des secousses musculaires. Membres
supérieurs
fléchis au coude et rapprochés du tronc. Atroph
trophie des petits muscles des mains. Affai- blissement des membres
supérieurs
, surtout des segments distaux. Ré- flexes des m
. Pupille droite plus large que la gauche. Les douleurs des membres
supérieurs
tantôt croissaient, tantôt dimi- nuaient. Anest
vertébrale vers les 354 FLATAU mains, affaiblissement des membres
supérieurs
avec atrophie muscu- laire, affaiblissement sui
e des jambes et du tronc jusqu'à une certaine limite et aux membres
supérieurs
, anesthésie des zones radiculaires). Il était é
utres troubles dans le fonctionnement des nerfs crâniens. Membres
supérieurs
. Les mouvements du membre droit sont normaux. I
ans le droit, . Depuis quelques semaines, douleurs dans le membre
supérieur
gauche. Dou- leurs dans la région lombaire et d
est plus large que la droite. Le fond de l'oeil est normal. Membres
supérieurs
. Le membre gauche est soulevé avec peine à cause
el. Les deux pupilles ne réagissent pas à la lumière. Les mem- bres
supérieurs
sont au même état. Les membres inférieurs ne sont
ques au ventre. Le lendemain elle a perdu connaissance ; son membre
supérieur
droit fut pris de mouvements convulsifs, l'écum
ns la bouche. Ces accès durait plus de trois heures. Puis le membre
supérieur
droit tremblait pen- dant quelques minutes, la
, la respiration était stertoreuse, écume dans la bouche. Le membre
supérieur
droit levé passivement en haut retombe inerte. La
ue des enfoncements peu profonds. Dans la région dorsale moyenne et
supérieure
, il y a des tumeurs plus grandes (maximum cent,
de Weigert ne démontrent pas de lésions dans les segments cervicaux
supérieurs
(1-11). On y voit seulement une certaine raréfa
deur des articulations. L'affaiblissement des membres inférieurs et
supérieurs
se laissait déjà constater pendant le premier s
la substance grise. Après un temps, la paralysie motrice du membre
supérieur
gauche ayant dimi- nué beaucoup» Fauteur conclu
rontale ascendante n'a pas la même épaisseur dans ses trois tiers :
supérieur
, moyen et infé- rieur. Assez souvent, le tiers
is tiers : supérieur, moyen et infé- rieur. Assez souvent, le tiers
supérieur
qui est plus large que le tiers in- férieur a u
la frontale ascendante diffère suivant que l'on considère le tiers
supérieur
, moyen et inférieur (fig. 5, Pl Y11VIEI).Dansla
ieur, moyen et inférieur (fig. 5, Pl Y11VIEI).Dansla partie la plus
supérieure
de cette circonvolution les cellules sont dispo
nt du versant antérieur et lorsqu'on se rapproche du sillon frontal
supérieur
, elles restent cantonnées sur le sommet et sur le
llules est plus grande, c'est-à-dire au niveau de la partie la plus
supérieure
de la circonvolution. La forme des cellules est
celles qui incitent les centres médullaires des muscles des membres
supérieurs
ou des membres inférieurs. Pour étudier les r
ns la partie tout à fait postérieure de celui-ci, et dans la partie
supérieure
de la fron- tale ascendante. Les lésions se lim
Notes cliniques. 17 ans, hémiplégie gauche plus prononcée au membre
supérieur
; pouvait marcher. Durée de la maladie, 52 jours.
iers moyen et inférieur de la frontale ascendante que dans le tiers
supérieur
et dans le lobule paracentral. 40 Ana. G... N
DE BETZ AVEC LES MOUVEMENTS VOLONTAIRES (G. Marinesco). 6. Tiers
supérieur
des frontale et pariétale ascendantes (types t, z
si que la capsule externe. Un autre foyer, petit, siège à la partie
supérieure
de la couche optique droite. Examen microscop
serve encore des cellules pigmentées et atrophiées dans la par- tie
supérieure
de la couche granuleuse.La différence est nette q
incomplète avec aphasie. La paralysie est plus prononcée au membre
supérieur
. Le ma- lade pouvait marcher étant soutenu. Dur
ans, hémiplégie gauche incom- plète, intéressant surtout le membre
supérieur
. Durée de la maladie, 6 mois. Examen macroscopi
Les lésions cellulaires sont un peu moins accu- sées dans le tiers
supérieur
de la frontaie ascendante et dans le lobule para-
ques.- 64 ans, hémiplégie gauche avec contracture intense du membre
supérieur
. Rire spasmodique. Durée de la maladie, 9 ans.
ues. On constate aussi leur diminution con- sidérable dans le tiers
supérieur
de la frontale ascendante, où cependant celles
uvent marcher, mais qui ne peuvent pas faire usage de leur mem- bre
supérieur
ou bien d'une façon seulement très incomplète, la
ellules de Betz ayant l'aspect plus ou moins normal. Dans les tiers
supérieurs
des frontales ascendantes, l'atrophie et la dis
la réaction à distance, dont une même en achromatose. Dans le tiers
supérieur
des frontales ascendantes on observe également
e dans les cellules de Betz des lobules paracentraux. Dans le tiers
supérieur
des frontales ascendantes quelques cel- lules e
ut opérée et la balle fut extraite. Paraplégie flasque. Aux membres
supérieurs
atrophie des muscles des avant-bras, des région
ulo-humérales et thénars et hypothénars, les mouvements des membres
supérieurs
, également abolis immédiatement après l'accident,
ue. Les cellules de Betz des lobules pa- racentraux et des portions
supérieures
des frontales ascendantes sont en grande partie
s des cellules de Betz dans les lobules paracentraux. Dans le tiers
supérieur
des frontales ascendantes les lésions sont peu
osco- pique. Dans les lobules paracentraux ainsi que dans les tiers
supérieur
des frontales ascendantes on voit des] lésions
ules de Betz des lobules paracentraux et dans la partie tout à fait
supérieure
des frontales ascendantes. 9° Marin G... Notes
ont complètement disparu. Les lésions s'étendent également au tiers
supérieur
des frontales ascendantes, mais là elles sont m
lules de Betz dans les lobules paracentraux ainsi que dans le tiers
supérieur
des fron- tales ascendantes des deux côtés. Dan
que. - Les cellules de Betz des lobules paracentraux et des parties
supérieures
des frontales ascen- dantes sont en réaction et
scopique. Les cellules de Betz des lobules paracentraux et du tiers
supérieur
des frontales ascendantes ont en grande [partie d
ale amyotrophique, typique avec atrophie plus prononcée aux membres
supérieurs
et à certains mus- cles de la face et de la lan
D... Notes cliniques. 48 ans, avec atrophies intenses aux mem- bres
supérieurs
ainsi que de grands troubles bulbaires ; il est m
trophies musculaires de la ceinture scapulo-humérale et des membres
supérieurs
, avec lesquels elle ne pouvait t plus faire auc
s se limitent aux lobules para-centraux et à la portion tout à'fait
supérieure
des frontales ascen- dantes. Dans les cas d'hém
clérose latérale amyotrophique avec troubles bulbaires, les membres
supérieurs
étant également plus atteints, il est naturel q
cortical du bras et obser- vant que la paralysie motrice, du membre
supérieur
, qui s'est produite immédiatement après l'opéra
, ainsi que le montre bien la photographie, dans laquelle le membre
supérieur
est placé en abduction, est très élevé, et en rot
as (Morel), et à la région latérale de la cage thora- cique, partie
supérieure
de l'aisselle ; tandis que son rameau antérieur,
érales d'une lentille, avec une grande tache oblongue à la par- tie
supérieure
de la zone latérale, s'étend sur la largeur moyen
nouit en éventail d'aspect très estompé,entre le rachis et le bord'
supérieur
de l'omoplate présentant ainsi une symétrie génér
oetale plutôt qu'à une névrite simple. Dans cette région thoracique
supérieure
, où les trajets des nerfs sont hori- zontaux, l
précisément au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale
supérieure
. On ne peut se défendre d'émettre aussi une hyp
s souvent aux genoux ou aux pieds, et parfois même dans les membres
supérieurs
, spécialement aux mains. Peu de mois après la p
le facial de droite est hypotonique dans le soulèvement de la lèvre
supérieure
. La langue, dans la cavité buccale, tend à dévi
ête, du cou et du tronc. Mouve- ments passifs et actifs des membres
supérieurs
, normaux. Dynamométrie : D. 12, G. 12. Les memb
mbres supérieurs, normaux. Dynamométrie : D. 12, G. 12. Les membres
supérieurs
ne présentent pas de troubles ataxi- ques ou di
cuté avec une certaine hésitation. Réflexes. Vifs, tous les tendons
supérieurs
; pour les rotnliens et les achil- léens sont a
st légèrement déformée, et présente un coutour irrégu- lier au bord
supérieur
; elle est plus grande que la gauche, et complète
es inférieurs. Les observations de trophcedème localisé aux membres
supérieurs
sont encore peu nombreuses : en 1901, Rapin en
l Drshnuic). MnçeOn RW fir. h.¡t ? r" TROPHOEDI : l1E DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
427 La force est très bien conservée; la mobili
rs, ni à la face ; la localisation est restée li- mitée aux membres
supérieurs
, et garde une topographie plus ou moins seg- me
as portent surtout sur la localisation du tro- phoedème aux membres
supérieurs
, sur la consistance de l'oedème qui ne présente
latérale est convexité gauche. Le thorax est aplati dans sa partie
supérieure
, bombé dans l'inférieur : il est oblique ovalai
ieur guéri. Le bassin est infantile, étroit et haut. Les- membres
supérieurs
paraissent longs ; les épiphyses sont un peu gr
trêmement net si l'on considère la voûte palatine et le maxillaire
supérieur
: le segment gauche est plus court, plus étroit
région cervico-dorsale, à concavité droite dans la région cervicale
supérieure
. L'allas et l'axis sont soudés en une seule mas
ne scoliose il concavité gauche, qui compense en partie la courbure
supérieure
à concavité droite. Dans un plan sagittal, le
corde de l'arc scoliotique. Dans les régions cervicale et dorsale
supérieure
le ligament vertébral com- mun antérieur était
ourt, large ; ses trois pièces sont soudées. Le squelette du membre
supérieur
est à peu près normal : on remarque la gracilit
reuse et thermique dans les mêmes régions et en outre sur le membre
supérieur
droit et au-dessus jus- qu'à la liane ombilical
inter- costal. Absence de réflexes abdominaux. Mouvements du membre
supérieur
droit un peu affaiblis. Rétention de l'urine. I
au niveau de la VIIe vertèbre cervicale (VIsegment cervical et bout
supérieur
du Ier dorsal) (fig. 31). Le jour suivant on co
mmence à marcher en s'aidant de la voiture d'Eulenburg. Le mem- bre
supérieur
gauche, surtout la main, est plus faible que le d
e que les contractions spasmodiques nocturnes. La tête et la moitié
supérieure
du corps transpirent très intensive- ment. Au m
en augmentant. Douleurs constantes dans la nuque et dans le membre
supérieur
droit ; fourmillements dans le membre supérieur
e et dans le membre supérieur droit ; fourmillements dans le membre
supérieur
gauche. En ce moment, on constate des troubles
'une douleur dans la tempe et l'occiput. Les mouvements des membres
supérieurs
sont normaux. Les réflexes du muscle triceps sont
sont conservés, les périostaux abolis. Paresthésies dans le membre
supérieur
gau- che (sensation de brûlure). Les membres su
ns le membre supérieur gau- che (sensation de brûlure). Les membres
supérieurs
présentent un affaiblisse- ment très prononcé.
e la nuque ont dirninué et la transpiration exa- gérée de la partie
supérieure
du corps a disparu. Etat actuel (26 juin 1909).
s périostaux à droite conservés, à gauche abolis. Toute la partie
supérieure
du corps y compris la face transpire fortement, c
té est abolie sur les membres inférieurs et sur le tronc. La limite
supérieure
pour la région hypoesthésique est en avant une li
au- dessus des mamelons, en arrière, la ligne réunissant les bords
supérieurs
des omoplates. Aux membres supérieurs, la sensi
la ligne réunissant les bords supérieurs des omoplates. Aux membres
supérieurs
, la sensibilité tactile est conservée. Les trou
elle, surtout de ses segments inférieurs (VIIe, VIIIe) et du dorsal
supérieur
(ter). On voit à travers la dure-mère la colorati
ration cyanosée foncée de la moelle cervicale inférieure et dorsale
supérieure
(en arrière). Sur les différentes coupes faites
a partie su- périeure et inférieure du corps : la tête et la moitié
supérieure
du corps étaient mouillées de sueur, tandis que
ommençait à se troubler depuis les mamelons en bas et sur le membre
supérieur
gau- che, la jambe gauche était un peu épargnée
localisaient dans la nuque, au cou, dans la gorge et dans le membre
supérieur
droit. L'état du malade un an et demi après le
les douleurs ont disparu de même que la transpiration de la moitié
supérieure
du corps. L'état général empira toujours. Il y
e tom- baire). Dans le cas de Starr (fibrome dans la moelle dorsale
supérieure
), les douleurs siégeaient dans la région du coe
profonds et tracent une ligne de démarcation qui correspond au pôle
supérieur
de la tumeur (en prenant en considération la lo
Quand la moelle épinière est lésée transversalement dans sa partie
supérieure
, les réflexes tendineux des membres inférieurs
la détermination du siège de la tumeur nous renseigne sur son pôle
supérieur
. De nombreuses erreurs peuvent se produire. Sou
Bruns, Oppen- heim, Nonne), elles donnent la limite de l'anesthésie
supérieure
à celle créée par la tumeur. A cause de cela on
lle cervicale on a des symptômes radiculaires au cou et aux membres
supérieurs
(douleurs de la nuque, irradiant dans les bras,
. Si la tumeur siège dans la moelle cervicale inférieure et dorsale
supérieure
, on a des phénomènes du côté des pupilles et de
s la région recto-génitale et celle innervée parles racines sacrées
supérieures
, des atrophies muscu- laires (même accompagnées
oissance graduelle de la tumeur le long de la moelle vers la région
supérieure
ou inférieure (le cerveau ou la queue du cheval
phies musculaires et la paralysie flasque (surtout dans les membres
supérieurs
), l'absence de symptômes radiculaires, surtout
uration interne de la moelle devient normale déjà au niveau du pôle
supérieur
et inférieur de la tumeur, Microscopiquement on
eur siégeant au niveau de la moelle cervicale inférieure et dorsale
supérieure
) on pouvait constater une dégénérescence descen
ent à lui et commence à exécuter quelques mouvements avec le membre
supérieur
gau- che, consistant en flexion limitée et exte
a moitié gauche du corps a un peu diminué. Les mouvements du membre
supérieur
gauche restent très limités; le malade réussit
es membres du côté droit. Les mouvements volontaires dans le membre
supérieur
gauche sont presque tous impossibles. Le malade,
s complète à droite qu'à gauche. Mouve- ments volontaires du membre
supérieur
gauche très limités ; forte résistance à tous l
i. Le réflexe bicipital de gau- cbe est vif. Les réflexes tendineux
supérieurs
sont absents à droite. Vu la tensiou du ventre,
à gauche ; des deux côtés, on note l'absence des réflexes tendineux
supérieurs
. Membre supérieur gauche. Le dos de la main et
ôtés, on note l'absence des réflexes tendineux supérieurs. Membre
supérieur
gauche. Le dos de la main et des doigts de ce mem
essai d'écriture ne peut être tenté parce que le malade a le membre
supérieur
gauche parésie, et qu'il avait toujours écrit de
tales. Dans une section passant à 82 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère, on ne rencontre rien du côté d
gique. Une section horizontale, à 72 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère présente une légère raréfaction
ns une coupe horizontale, à 70 et 68 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère les altérations ci-dessus décrite
horizontales, conduites à environ 63 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère : la différence dans les altérati
ne section horizontale conduite à 61 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère, on voit les faits suivants : le
horizontale,conduite à 58 millimètres (PI. LV,A) au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère, on voit les faits suivants : le
myéline. Une section horizontale à 55 millimètresau-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère permet de voir les faits suivan
sections pratiquées à 45 millimètres (Pl. LVI,D) au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère, la capsule interne apparaît, dét
rizontales successives, jusqu'à 33 millimètres au-des- sous du bord
supérieur
de l'hémisphère, on voit en partie détruite la su
- Coupe horizontale pratiquée à 58 millimèlres au-dessous du bord .
supérieur
de l'hémisphère. Indications communes à cette f
B. Coupe horizontale passant à 55 millimètres au-dessous du bord ,
supérieur
de l'hémisphère. Fj, g. front. primus ; F2, g.
D. Coupe horizontale pratiquée à 45 millimètres au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. S. Fiss. Sylvii ; Pa, g. parie
hien par Muratoff comprend trois parties distinctes : 1° une partie
supérieure
horizontale située au- dessous du corps calleux
ttale, situé entre le cingulum et le faisceau arqué ou longitudinal
supérieur
de Burdach ; il est séparé du cingulum par tout
r toute l'épaisseur du corps calleux, et du faisceau longitudi- nal
supérieur
par le pied de la couronne rayonnante. Le faiscea
reçoit, chemin faisant, un grand nombre de fibres provenant du bord
supérieur
de l'hémisphère et des circonvolutions de la fa
. En arrière, cette formation calleuse adhère fortement à la partie
supérieure
du bourrelet cortical ci-dessus décrit et se cont
end du pôle frontal au pôle occipital. La circonvo- lution frontale
supérieure
et la circonvolution pariétale ascendante pré-
téral et reçoit de nombreuses fibres des circon- volutions frontale
supérieure
, frontale ascendante et pariétale ascendante.'
la pro- fondeur de chaque hémisphère ; l'un pénètre dans la partie
supérieure
, l'autre dans la partie inférieure du lobe fron
échéance toujours très accentuée de tous les pouvoirs intellectuels
supérieurs
. Chez ces individus, très souvent on trouve aus
on doit considérer comme très réduits tous les éléments psychiques
supérieurs
, mais cela semble en har- monie avec l'absence
nt conformé ; il est un peu détaché de la mastoïde et son extrémité
supérieure
rappelle un peu l'oreille pointue. Les incavati
ésente aussi quelque anomalie ; les deux moitiés des os maxillaires
supérieurs
et des os palatins semblent avoir été comprimés l
sont de tonicité et d'éner- gie parfaitement normales. Extrémités
supérieures
. - Il suffit de donner un coup d'ceil aux photogr
u bras est presque normale : l'extrémité de la main arrive au tiers
supérieur
de la cuisse ; de même le déve- loppement respe
les mou- vements qui sont vifs et exacts. De même qu'aux extrémités
supérieures
on n'a la moindre trace d'hypotonie articulaire
à peine. Psychiquement au contraire, il est très développé et même
supérieur
à tout enfant de son âge n'ayant reçu, comme lu
stance entre les angles internes des deux yeux est de 4 millimètres
supérieure
à celle qu'on constate chez le père. Le nez ens
ées, et les premières 4 grosses molaires permanentes, dont les deux
supérieures
, par défaut d'espace, sont dirigées en dehors.
cryptorcfidie bilatérale Aucun signe de réveil sexuel. Extrémités
supérieures
et inférieures. Les bras et les jambes sont de
eds. 554 ETTORE LEVI ' Tous les réflexes tendineux aux extrémités
supérieures
et inférieures sont .vifs et normaux ; le réfle
tat parfaitement physiologique. La percussion de la région sternale
supérieure
et l'inspection radioscopique de cette même rég
incters. L'intestin est parfaitement réglé. Les réflexes abdominaux
supérieurs
et inférieurs sont normaux. La tonalité et l'éner
le premier nain, une hernie inguinale bila- térale. . Extrémités
supérieures
el inférieures. Encore plus que chez notre prem
nt aussi nombreuses qu'à l'état normal (PI. LXIV, C). A l'extrémité
supérieure
du gang) ion, la racine sensitive n'est nullement
s, les fibres saines y sont très rares (PI. LXIV, E). A la limite
supérieure
du ganglion on distingue un petit filet nerveux
ient com- plète, l'aphasie totale. Les réflexes tendineux du membre
supérieur
droit étaient exagérés, ceux du membre supérieu
endineux du membre supérieur droit étaient exagérés, ceux du membre
supérieur
gauche normaux. Les réflexes tendineux des memb
est plus petit que les autres et implanté sur un plan postérieur et
supérieur
. Ce fait n'existe pas aux mains. M. Marie indiq
t divisé en deux par un sillon vertical profond qui descend du bord
supérieur
de l'hémisphère pour se recourber ensuite en arri
u huit sillons divergents qui rayonnent de bas en haut vers le bord
supérieur
de l'hémisphère. Là partie anté- rieure de cett
scendante de la scissure interpa- riétale se continue jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère, délimitant ainsi en arrière su
t. Le gyrus supramarginalis est uni à la circonvolution pa- riétale
supérieure
par un large pli de passsage. Le lobe occipital p
ieu de se terminer brusquement à un ou à deux centi- mètres du bord
supérieur
de l'hémisphère, descend obliquement en avant p
e nombreux sillons profonds qui divergent en remontant vers le bord
supérieur
de l'hémisphère. Le précunéus est bien conformé.
t en haut pour se recourber ensuite vers la circonvolution frontale
supérieure
; eu bas il se con- tinue avec un champ de fibr
les plans antérieurs à celui- ci, il y a fusion absolue des parois
supérieure
et inférieure de la corne frontale, en sorte qu
ce médiane au tuber cinereum et aux ganglions de la base. La partie
supérieure
de cette paroi est occupée en partie par une ma
, dont le plus inférieur surplombe la bandelette optique et le plus
supérieur
s'accole à la masse de fibres située au-dessus
plus clos sur la ligne médiane. La masse de fibres située à l'angle
supérieur
du ventricule et dans la profondeur de la circo
assez facilement vers les circonvolutions médianes et vers le bord
supérieur
de l'hémisphère. 1.'avant-mur paraît anormaleme
le. La capsule externe est totalement décolorée et de son extrémité
supérieure
se détachent plusieurs fascicules pâles qui tra
é temporale. C'est le trajet des radiations qui proviennent du bord
supérieur
de l'hémisphère que l'on peut suivre le plus ai
nt pour affecter un trajet sagittal ou antéro-postérieur. Sa partie
supérieure
hé- berge une partie du cingulum, mais l'enchev
- interne, et la commissure molle est située au niveau de son tiers
supérieur
. Le corps mamillaire, très remonté, s'applique
arquée qui s'étend de l'extrémité de la capsule externe au il bord
supérieur
de l'hémisphère (lobule paracentral, circonvoluti
oration intense de sa partie inférieure, mais reçoit dans sa partie
supérieure
, de la couronne rayonnante voisine, au sur et à
rsale de la glande pinéale. Cette memhraue adhère fortement au bord
supérieur
de la couche optique et au bord inférieur de la
couche sagittale externe. Ce segment reçoit également de la partie
supérieure
de la première circonvolution temporale, des ra
paroi ventriculaire latérale pour se rendre dans la partie la plus
supérieure
du faisceau sagittal, alors que les fibres déri
érieure du faisceau sagittal, alors que les fibres dérivées du bord
supérieur
de l'hémi- sphère se recourbent en bas et en de
ainsi que la zone sous-épendymaire et les deux piliers du trigone (
supérieur
et inférieur) présentent une dégénéres- cence t
e interne de la couronne rayonnante pariétale abandonne à la partie
supérieure
de l'isthme limbique un grand nombre de fascicule
occipital, n'étaient que les prolongements postérieurs des segments
supérieur
(ou pariétal) et inférieur (ou temporal) du cin
éto- temporale. Nous avons vu en effet qu'à cet endroit le cingulum
supérieur
ou pariétal se confond grossièrement avec le fa
- bre de fascicules qui renferment les radiations calleuses du bord
supérieur
et de la convexité du lobe occipital. La couc
agittale externe se colore parfaitement aussi bien dans son segment
supérieur
que dans son segment inférieur. On commence à d
s nettement un mince fascicule qui représente sans doute le segment
supérieur
ou fronto-pariétal du cingulum. Ses fibres affe
totalement incolore. , Les coupes prises un peu au-dessous du bord
supérieur
de la couche opti- que nous font voir une membr
e fibres indivisible qui entoure de toute part le segment dorsal ou
supérieur
du ventricule latéral. En arrière,là où il aborde
plus raccourcis que les péronés, de telle façon que les extrémités
supérieures
de ces os dépassent souvent le plateau tibial.
pendant reconnaître que notre premier nain a surtout les extrémités
supérieures
in tolo un peu courtes. Notre troisième nain es
s sommes d'accord avec M. Meige que le nanisme n'a pas de limi- tes
supérieures
de même que le gigantisme n'en a pas d'inférieure
et tournés de manière que la surface extérieure des doigts devient
supérieure
, et la face supérieure tend à devenir intérieure.
que la surface extérieure des doigts devient supérieure, et la face
supérieure
tend à devenir intérieure. (a) Cependant l'anat
e grande partie de la crête illaque, l'épine iliaque postérieure et
supérieure
, l'échancrure qui la suit et l'épine iliaque po
he artificielle, analogue à la troclilée fémorale, dans l'extrémité
supérieure
du tibia. Cette excavation, et la forme erronée
ques,gllé/'ison (1 pl.),par Marchand, 135. Trophmdvme des membres
supérieurs
ayant débuté it la ménopause (2 pl.), par Bau
onse à M. Ettore Levi. 25. et DEsBouis. Trophoedème des membres
supérieurs
ayant débuté à la ménopause (2 Pl.), 426. l3e
ce et maligne, 286. DEBouis et BAGER. Trophoedème des mem- bres
supérieurs
ayant débuté à la méno- pause (2 pl.), 426. D
ires (Pierre MERLE et G. PASTI-,z), LXIX. Trophoedème des membres
supérieurs
(Bauer et DEsaoLls), XLV et XLVI. Troubles tr
ses membres inférieurs ne deviennent pas plus longs que les membres
supérieurs
, s'il ne fait pas ses dents, s'il a le ventre t
ans une famille de taille, soit moyenne, soit à plus forte rai- son
supérieure
à la moyenne. Quand bien même tous les autres car
ctionnent normalement, et que la respiration affecte le type costal
supérieur
. Les articulations coxo-fémorales sont immobili
eux des orteils ont toujours été parfaitement libres. Les membres
supérieurs
ne sont pas tout à fait normaux, bien' que la mal
toplasmiques. La loca- lisation de ces zones mortifiées à la partie
supérieure
de la glande indique que nous avons affaire à d
E HYPERTROPHIQUE. LONG. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
si pendaison, le second est mort en bas-âge, le
sistants du service, donnent les renseignements suivants : Membre
supérieur
gauche. - Les muscles de la main sont comme fondu
ne paraissent pas atteints. L'impotence fonctionnelle de ce membre
supérieur
gauche est complète, il pend inerte le long du co
e est complète, il pend inerte le long du corps (Pl. ? A). Membre
supérieur
droit. De ce côté l'atrophie est arrivée à un sta
uelquefois des fourmillements et des crampes, tantôt dans le membre
supérieur
droit, tantôt dans le gauche, au niveau du bras o
ues et y reste jusqu'en 1899. L'atrophie et l'impotence des membres
supérieurs
persistent 48 . LONG mais ne paraissent pas p
m'avait signalé ce cas intéressant. Nous constatons que les membres
supérieurs
seuls sont atteints par l'atrophie musculaire ;
ade peut faire à pied de longues promenades. L'atrophie des membres
supérieurs
n'est pas symétrique, elle est beaucoup plus accu
ture myélopathique à distribution asymé- trique limitée aux membres
supérieurs
et arrêtée depuis longtemps dans son évolution.
E. (Long, de Genève.) ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
49 pelle les lésions bien connues de l'axe gris
carmin. Oc. 1, obj. 3. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
51 un feutrage plus ou moins épais englobant pa
min. Oc. III, obj. 6. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
53 Nombre de gaines fibreuses ne contiennent pl
osine. Oc. III, obj. 6. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
55 est notablement plus atrophié que le premier
Douleurs intermittentes pendant quel- ques années dans les membres
supérieurs
. Mort à 67 ans par néo- plasme des voies biliai
de a souffert pendant plusieurs années de douleurs dans les membres
supérieurs
, douleurs intermittentes, variables de siège et
yélite antérieure chro- atrophie musculaire PROGRESSIVE DES membres
SUPÉRIEURS
57 nique, syringomyélie, sclérose latérale amyo
Dans l'observation II (atrophie musculaire progressive des membres
supérieurs
et inférieurs) il trouve des lésions des cordon
kelhypcrtrophie, 1813. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES membres
SUPÉRIEURS
59 res et des nerfs périphériques, et dans les
ériphériques, et dans les muscles des lésions fibreuses aux membres
supérieurs
, lipomateuses aux membres inférieurs. Les mo- d
ites suite de gelure et de blessures par éclat d'obus ; les membres
supérieurs
se prirent plus tard alors que le malade était
es des éléments nerveux ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
63 ou musculaires. A proprement parler ce n'est
musculaire avait atteint les mem- bres inférieurs puis les membres
supérieurs
il y avait des lésions des cor- dons postérieur
oncs nerveux. L'observation I de Friedreich (atro- phie d'un membre
supérieur
et des deux membres inférieurs) indique une int
membres inférieurs, de sclé- rose interstitielle simple aux membres
supérieurs
. Les deux cas publiés par Dubreuilh présentent
coupes transversales et ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
65 longitudinales des nerfs cette organisation
duites par une atrophie musculaire progressive, limitée aux membres
supérieurs
avec prédominance du côté gauche et par de rare
à peu près égale dans ,tous les segments des membres inférieurs et
supérieurs
. Le malade ne fait pas très 68 \ ITALO IIOSSI
petites oscillations, analogues à celles qui existent dans le membre
supérieur
droit et qui tiennent plutôt du tremblement int
rès bien conservée dans tous les segments des membres inférieurs et
supérieurs
. L'épreuve de la diadococinésie montre que les
antaire en extension des deux côtés. Réflexes tendineux des membres
supérieurs
pas exagérés. Réflexe pupillaire à la lumière e
ce musculaire est bien conservée dans tous les segments des membres
supérieurs
et inférieurs ; elle est cependant plus forte dan
e gauche. Il n'y a pas d'incoordination proprement dite des membres
supérieurs
. Quand 70 ITALO ROSSI le malade saisit un obj
plaques. Il existe des troubles de la diadococinésie dans le membre
supérieur
gauche et non dans le membre supérieur droit. O
iadococinésie dans le membre supérieur gauche et non dans le membre
supérieur
droit. On note aussi dans les mouvements de fle
tension aussi à droite. Le tremblement particulier dans les membres
supérieurs
était devenu plus accusé. ' Mort le 4 décembre
mités inférieures dans l'épreuve de l'agenouille- ment, et pour les
supérieures
dans celle de la diadococinésie. Les mouvements
galement conservée dans tous les segments des membres inférieurs et
supérieurs
; la motilité des yeux est normale, il n'y a pa
endant il est à noter que dans les deux tiers antérieurs de la face
supérieure
du cervelet les sillons superficiels sont plus pr
s d'épaisseur. Cet amincissement des lamelles intéressant le vermis
supérieur
et le lobe quadrilatère antérieur et postérieur
es lamelles du lobe semi-lunaire, et en général du reste de la face
supérieure
et de la face inférieure du cervelet, où le fai
une coupe sagittale passant un pen en dehors du sillon longitudinal
supérieur
gauche, divisé en deux parties. L'une, comprenant
lobe quadrilatère antérieur et postérieur, du lobe grêle, du vermis
supérieur
(culmen et déclive) du floc- culus, du lobe dig
res antérieurs et postérieurs, dans le flocculus, et dans le vermis
supérieur
(culmen et déclive), auxquels succèdent en ordr
léculaire avaient un aspect normal. Dans les lobes semi-lunaires,
supérieur
et inférieur,dans les amygdales, dans la luette
- trecroisement commissural du vermis. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
dans toutes les coupes où ils émer- gent du cer
ans les lamelles de quelques lobes (quadrilatère, flocculus, vermis
supérieur
) l'atrophie frappe avec une intensité égale les
synergie musculaire, le tremblement particulier dans les extrémités
supérieures
et les troubles de la parole, faits assez fréqu
ais dans ces cas les lésions atteignaient un degré d'intensité bien
supérieur
à celles par nous rencontrées. Ce fait ainsi qu
éactions normales. Dans les divers mouvements commandés des membres
supérieurs
et infé- rieurs, il existe des phénomènes marqu
e gau- che ; paralysie des deux droits- externes et des deux droits
supérieurs
! signe d'Argyll-Robertson bilatéral, et enfin
; la percussion seule pro- voque quelques douleurs vers l'extrémité
supérieure
. 2° Le'genou droit est un'peu en valgus et cela
e volume, mobile encore, mais sensible à la pression. Les membres
supérieurs
ne présentent aucune déformation appréciable. Les
sistant en une élévation de température locale occupant les membres
supérieurs
et inlé- rieurs du côté droit, et qui nous semb
PARHON ET ZALPLACTA Son facies ne présente rien d'anormal. Sa lèvre
supérieure
commence à se couvrir de poils, ce qui est le m
nt 65 kilos et un enfant de 15 ans 41 kil. 2. Son poids serait donc
supérieur
par rapport à celui de l'adulte normal de 181 k
CONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XX, PL. XIII. SQUELETTE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
(SUITE) Pal. 7. m : "111 n ? C'I' e.t 1 , P
. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL, XIV. MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
(ÉCORCHÉ, SUITE) t'v Il 01 Pad PsAn tel PLANC
de la figure». Depuis cette époque, elle voit double et sa paupière
supérieure
est tombante à droite. Jamais, dit-elle, elle n
l y a deux ans. En résumé il s'agit d'une poliencéphalite à la fois
supérieure
et tinté- rieure, puisqu'il y a ophtalmoplégie
envahie sur toute son étendue (1). Ainsi ' dans la poliencéphalite
supérieure
, qui est souvent une localisation du Ta- bes, l
marcher. Il n'a jamais présenté aucun trou- ble dans les extrémités
supérieures
; il a appris à écrire de bonne heure. Etal actu
erfs crâniens. Le malade peut très bien se servir de ses extrémités
supérieures
; les mou- vements se font bien, la force est n
sural est le moins atteint. Les reliefs musculaires des deux tiers
supérieurs
de la cuisse sont très marqués ; au contraire a
1° la première cir- convolution frontale dans sa partie interne et
supérieure
et dans la moitié antérieure de sa partie orbit
t : la première circonvolution frontale dans sa par- tie interne et
supérieure
et dans la moitié antérieure de sa partie or- b
, depuis sa première enfance, a bien pu se servir de ses extrémités
supérieures
, il a apprit à écrire de bonne heure, et le pre-
rée à Bicêtre, a montré l'intégrité absolument parfaite des membres
supérieurs
. Or le résultat de l'autopsie montrant une lési
comme anato- miquement identique à la poliencéphalite hémorragique
supérieure
de Wernicke, etqu'il appela encéphalite aiguë p
ie droite avec aphasie. Il exisleactuellement (1899) dans le membre
supérieur
droit de la parésie spasmodique avec mouve- men
égie : à gauche une hémiplégie spastique frappant surtout le membre
supérieur
(avec des mouvements choréo-athétosiques, exagé
rouve des plaques de méningo-encéphalite au niveau du lobe pariétal
supérieur
et du lobe frontal de l'hémisphère gauche, et u
foyers poliomyélitiques. On a démontré aussi que la poliencéphalite
supérieure
de Wernicke n'est pas une affection exclusiveme
, 1905. 144 ITALO ROSSI On a montré encore que la poliencéphalite
supérieure
de Wernicke peut s'étendre vers le bulbe et la
ationnaire depuis la fin de 1905. Actuellement l'aspect du membre
supérieur
gauche est monstrueux, d'aspect éléphantiasique
, d'aspect éléphantiasique, dans toutes ses parties, sauf la région
supérieure
du bras. La couleur est blanchâtre, sauf sur la
r- sistant. ' Voici les circonférences comparées des deux membres
supérieurs
soigneuse ment repérées : 148 ' fi;fimrrc '
ocale pouvant, déterminer une gêne circulatoire au niveau de membre
supérieur
gauche Le coeur est en état très suffisant,' pa
e localisation, rien ne s'oppose théoriquement à ce que les membres
supérieurs
puissent, eux aussi, être lésés. bES TROPHOEDÈM
rmation congénitale consistant en une hypertrophie des deux membres
supérieurs
due à la présence d'un oedème dur, non dépressi
ent (1). ? (1) E. Long, Atrophie musculaire progressive des membres
supérieurs
type Aran- Duchenne, par névrite interstitielle
uleurs spontanées. Les follicules pileux de la partie antérieure et
supérieure
dé la Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière.
Cli0PI10EDG11E CHRONIQUE 161 cuisse sont très développés. La limite
supérieure
de l'oedème est le pli inguinal en avant, le pl
la face et Rapin un autre où l'oedème intéresse les deux inem- bres
supérieurs
. Dans ce dernier cas il s'agissait d'une femme âg
enfant obser- vée par cet auteur une adipose sous-cutanée du membre
supérieur
ainsi que l'oedème trophique du membre inférieu
ntrastent par leur petitesse avec l'aspect massif des deux segments
supérieurs
; la peau comme trop grande pour les plans qu'ell
se diffuse de la cuisse de celle de la jambe ; ici, comme au membre
supérieur
, l'adipose est plus abondante en arrière qu'en
forme du grand pectoral au repos, à la fois distendu dans sa moitié
supérieure
et relâché dans sa moitié inférieure, et, par c
que de ce cas, dû à l'association très rare d'une paralysie alterne
supérieure
et d'une hémianopsie homonyme datant de plus de
que, avec par- ticipation du facial et de l'hypoglosse. Le membre
supérieur
droit est contracture en flexion : flexion à angl
de la première et de la seconde phalange. Tout mouvement du membre
supérieur
est impossible sauf un léger degré d'ab- ductio
quand il s'asseoit. La face est incomplètement paralysée. Le facial
supérieur
est pris en partie aussi ; le malade résiste tr
lysie presque complète de l'oculo-moteur commun gauche. La paupière
supérieure
gauche est tombante, à demi-fermée et le malade e
upière droite, la pupille gauche reste immobile. Les muscles droits
supérieur
et inférieur ne semblent pas agir ; le droit inte
, on a 39 centimètres à gauche et 35 centimètres adroite. Le membre
supérieur
gau- che, aussi bien à 10 'centimètres au-dessu
la partie moyenne de la protubérance, de façon à laisser sa moitié
supérieure
attenante à la partie su- périeure du tronc enc
riées. Nous avons étudié sur coupes sériées horizontales, la partie
supérieure
du tronc encéphalique (capsule interne, région
figures. - Sur la coupe représentée (fig. 1) passant par la partie
supérieure
de la région sous-optique, et intéressant les tub
du pulvinar, les corps genouillés externes et internes et la partie
supérieure
du noyau rouge, on voit un foyer de ramollissem
figures 8 et 9, les fibres les plus externes du pédoncule cérébelleux
supérieur
sont intéressées par la lésion. Sur ces mêmes c
du tronc encéphalique gauche, s'étend, de la région sous-thalamique
supérieure
la région pédon- culaire inférieure et s'arrête
téro-inférieure du pulvinar. 2° Au niveau de la région pédonculaire
supérieure
, il détruit la plus grande partie des corps gen
n et effleure les fibres les plus externes du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Dans le pied du pédoncule,la lésion au contrai
tions ascendantes sur les coupes de la région capsulaire moyenne et
supérieure
et enfin les dégénérations descendantes dans la
. Sur le petit nombre des coupes sériées, comprises entre la limite
supérieure
du foyer et le thalamus et intéressant la région
oration employée per- mettant d'en juger. Les coupes de la partie
supérieure
du tronc encéphalique montrent en outre qu'il e
mesure qu'on étudie des coupes plus élevées et que dans la portion
supérieure
de la capsule interne, à partir de la dispariti
accusée du ruban de Reil médian mentionnée dans la'région bulbaire
supérieure
, il existe des lésions atrophiques très manifeste
moteur gauche (paupière gauche à demi- fermée, paralysie des droits
supérieur
et inférieur, intégrité partielle du'droit inte
d'être fréquentes dans la littérature, les cas de paralysie alterne
supérieure
associés à l'hémianopsie sont extrêmement rares
omiques et pathologiques de l'as- sociation de la paralysie alterne
supérieure
et de l'hémianopsie homonyme, on voit que le mé
drome caractéristique du pédoncule céré- bral, la paralysie alterne
supérieure
, celui de la bandelette optique ou du corps gen
s été faite jusqu'ici - que l'as- sociation de la paralysie alterne
supérieure
et de l'hémianopsie puisse être produite par la
céré- brale. Dans cette observation en effet, la paralysie alterne
supérieure
n'était pas due, comme c'est le cas plus habitu
corps genouillé externe, produire - en plus de la paralysie alterne
supérieure
une hémanopsie homonyme qui sera temporaire ou
ie de la IIIe paire droite. L'association de la paralysie alterne
supérieure
et de l'hémianopsie peut être enfin la conséque
nterne du pé- doncule, puisse être la cause d'une paralysie alterne
supérieure
. En effet, dans le foyer de ramollissement qu'e
double foyer, l'un pédonculaire, déter- minant la paralysie alterne
supérieure
, l'autre temporo-occipital provo- quant l'hémia
né de l'hémianopsie qui était ainsi associée à la paralysie alterne
supérieure
produite par le foyer pédoncu- laire. Il s'agis
e d'origine corticale et due elle aussi, comme la paralysie alterne
supérieure
, à l'oblité- ration de l'artère cérébrale posté
stérieure. Pour lui, le complexus sympto- matique paralysie alterne
supérieure
plus hémianopsie - est caracté- ristique de l'o
se traduire par cette association de symptômes : paralysie alterne
supérieure
avec hémianopsie ». Pour l'auteur ce n'est que pa
térieure, soit de la communicante postérieure et de la cérébelleuse
supérieure
. Dans notre cas, par conséquent, la situation p
rieure, soit delà communicante postérieure, soit de la cérébelleuse
supérieure
doivent avoir été le siège d'une oblité- ration
as avait donné lieu à l'association morbide de la paralysie alterne
supérieure
et de l'hé- mianopsie, n'est pas un foyer uniqu
tères (cérébralepostérieure, communicante postérieure, cérébelleuse
supérieure
, choroïdienne antérieure). Nous avons pu cons-
Noyau rouge. P. - Pied du pédoncule. Pcs. - Pédoncule cérébelleux
supérieur
. v Pul. - Pulvinar. Py. - Pyramide. Qa. Tub
de paralysie et d'anesthésie com- plètes des membres inférieurs et
supérieurs
Le lendemain il me fut apporté dans notre hôpit
e flasque et d'une anesthésie complète. Pas de réflexes anx membres
supérieurs
et inférieurs. Le tronc était légèrement cedémati
gèrement cedématié. Réten- tion des sphincters.Douleurs aux parties
supérieures
du tronc et au cou (io cer- (1) A bord du Trans
nua pendant 5 jours ; la sensibilité revint] faiblement à la partie
supérieure
du tronc (4° cervicale),plus faible à la surface
rieure du tronc (4° cervicale),plus faible à la surface des membres
supérieurs
innervée par la 76 et 8e cervicale. La superficie
ne cein- ture d'hyperesthésie douloureuse. La paralysie des membres
supérieurs
(aussi bien que des inférieurs) persiste. Nous
l'examen histologique : (Pl. XL.) Région cervicale. Dans la partie
supérieure
juxlabulbaire on voit une bandelette de nécrose
i la sensibilité persiste - affaiblie, il est vrai - dans la partie
supérieure
du tronc innervé par la 4e cervicale, et les sur-
du tronc innervé par la 4e cervicale, et les sur- faces des membres
supérieurs
innervés par la 6e et la 7e. Dans les cordons l
foyers hémorragiques. Ces faits expliquent la paralysie des membres
supérieurs
et l'absence des réflexes tendineux. Les vaisse
la congestion et de la diapédèse. . Région dorsale. -A la région
supérieure
on trouve les mêmes lésions, mais plus intenses
de symétrie, d'abord dans les muscles du tronc, puis aux extrémités
supérieures
, et enfin dans les inférieures, quoique l'extré
plégie crurale flaccide, totale et complète, parésie des extrémités
supérieures
, parésie des muscles fléchisseurs et extenseurs d
s aux extrémités inférieures, réactions pres- que normales dans les
supérieures
. On continua avec les bains chauds et le massag
ressivement, avec assez d'nnifor- mité, d'abord dans les extrémités
supérieures
et puis dans les inférieures. Après un mois, l'
complète, douloureuse quand on imprime des mouvements aux segments
supérieurs
des extrémités abdominales ; douleur à la press
ce dans le périmètre du milieu de la cuisse, et un et demi au tiers
supérieur
de la z jambe. Je conseillai de continuer le
phériques, excepté aux muscles extenseurs des doigts de l'extrémité
supérieure
droite, où elles POLYNÉVRITE .\IGUE INFANTILE 2
'est une régression lente et assez uniforme, d'abord aux extrémités
supérieures
et puis aux inférieures, sans que cela signifie
lète uni- formité d'évolution aux extrémités homologues, ni que les
supérieures
soient toujours complètement guéries, avant les
eintures scapulaires et des mollets. Ceinture scapulaire el membres
supérieurs
.- Les muscles qui montrent le degré d'hypertrop
ras par une dépression profonde. Les trapèzes sont dans leur partie
supérieure
peut-être un peu plus développés que chez un en
'enfant ne présente qu'un nombre de dents infime. ' A la mâchoire
supérieure
il n'y a que neuf dents : trois incisives, deux
e et de la clavicule et la gibbosité constatée. Du côté des membres
supérieurs
, on remarque une malformation spéciale du coude
rus, on remarque que cet os est très notablement élargi à sa partie
supérieure
. Le canal médullaire semble plus large que norm
os sont écartés l'un de l'autre d'environ 1 centimètre. L'extrémité
supérieure
du radius ne présente ni tête, ni col ; elle con-
diaphyse.La tubérositébicipitale est à peine indiquée. L'extrémité
supérieure
de l'os remonte sur le bord pos- térieur et ext
râne. Le point céphalique du radius est soudé, mais toute la partie
supérieure
de l'os présente de la raréfaction osseuse. La
du condyle humerai. L'extrémité du radius atteint l'union du tiers
supérieur
et du tiers moyen de l'olécrâne : il semble donc
bitus présente une incurvation assez marquée à l'union de son tiers
supérieur
et de son tiers moyen. A la main, même retard
6 ans elle n'a que 13 dents : 9 de première dentition à la mâchoire
supérieure
, 4 à la mâchoire inférieure, dont 2 seulement d
ans, absence de certaines dents (une seule incisive à la mâ- choire
supérieure
, mais G dents à la mâchoire inférieure) ; et cari
ité. » .4 ? 12 ans : « La dentition est très irrégulière, les dents
supérieures
sont très petites, les incisives ont la dimensi
ont petites, irrégulières, crénelées chez la fille, 9 ans - ; dents
supérieures
mal implantées, petites, crénelées, cupuliformes,
e le plus souvent le groupe des incisives, et surtout des incisives
supérieures
. Chez notre ma- lade il y a bien à la mâchoire
ncisives supérieures. Chez notre ma- lade il y a bien à la mâchoire
supérieure
absence d'une incisive latérale, mais à la mâch
nce du ganglion ciliaire. Les expériences faites sur les mammifères
supérieurs
ont montré que le moteur oculaire commun n'agit s
antérieurs et externes, des deux côtés. En examinant les membres
supérieurs
, on est frappé immédiatement par la différence
plaint de fourmillements et d'engourdissement de tout le membre i ^
supérieur
. Il existe nettement une augmentation de volume
i d'ulcérations des doigts (Pl. L et LI). La motilité des membres
supérieurs
n'est pas indemne; si tous les mouve- ments spo
is modes. ) 2GG RAYMOND ET LJONNE }' moins touchée qu'à la partie
supérieure
du thorax, mais il est impossible do t préciser
trois modes Sln1\GO\(1'GLIG AVEC PHÉNOMÈNES BUL1U1HES 267 membres
supérieur
et inférieur droits; elle est très diminuée sur t
s les mouvements, on constate un certain degré d'ataxie au membre 1
supérieur
droit; rien de pareil il gauche. Pas d'ataxie sta
, et les troubles vasomoteurs (rougeur et refroidissement du membre
supérieur
droit). 1 Il n'y a aucun trouble sphinctérien.
c trépidation spinale et signe de Babinski et une parésie du membre
supérieur
droit, -accompagnée d'affaiblissement des réflexe
bles trophiques et vaso- moteurs qu'on remarque au niveau du membre
supérieur
droit. Ainsi donc l'existence d'une syringomyél
ent parfois tout un membre ; c'est presque toujours alors le membre
supérieur
qui est touché [Lunz (4), Chauffard (1) N,1,BAN
rtement atrophié, le corps restiforme droit de même. Le péd. céréb.
supérieur
droit est bien mieux conservé. L'hémis- phère g
entièrement normale, un cubitus très reconnaissable, une extrémité
supérieure
du radius légèrement réduite. Les deux os de l'av
section. Nous avons pratiqué une amputation du bras droit, au tiers
supérieur
, afin de pouvoir en pratiquer la dissection. In
loppé; son insertion supé- rieure remonte très haut, jusqu'au tiers
supérieur
de l'humérus. Il y a deux chefs superposés dans
tôt d'arrière en avant et devient superficielle dès la partie toute
supérieure
de la face antérieure de l'avant-bras. Le tendo
puissances cubi- ques, peut-ou dire approximativement. L'extrémité
supérieure
des os de l'avant-bras est très développée, à p
ement abondante et épaisse, jusqu'à deux travers de doigt, au tiers
supérieur
de la face antérieure ; elle est abon- dante, q
g. 2) s'insérant l'épitrochlée, à la face antérieure de l'extrémité
supérieure
du cubitus, à la face profonde de l'aponévrose
achiale, à une cloison qui le sépare du rond pronateur, et au quart
supérieur
de la crête postérieure du cubitus, par un tendon
ce profonde du tendon du biceps, chemine au-dessus des inser- tions
supérieures
du court supinateur et se perd dans l'anconé près
nt-bras, on voit ensuite un muscle (i, fig. 9) qui a des insertions
supérieures
analogues à celles qui sont normale- ment celle
a 5e semaine intra-utérine). Profondément par rapport à la partie
supérieure
de ces muscles, on trouve la face postérieure d
rieure des os de l'avant-bras est aussi petite que leur extré- mité
supérieure
est grosse, et elle se termine en petites spatule
logie de l'hérnimèle. Si même on restreint la comparaison au membre
supérieur
seul, on ne trouve pas un stade où le segment h
privée presque complètement des membres inférieurs, avait le membre
supérieur
droit bien conformé, et le gauche affecté d'hémim
281-284. Dissection. - Sujet mâle mort à 2 mois. Les deux membres
supérieurs
sont réduits de chaque côté à un fragment d'hum
s de chaque côté à un fragment d'humérus qui comprend tout le tiers
supérieur
, c'est-à-dire la portion deltoï- dienne. A droi
vait été portée sur l'humérus au niveau de la jonction de son tiers
supérieur
. La portion supérieure du triceps est assez dév
humérus au niveau de la jonction de son tiers supérieur. La portion
supérieure
du triceps est assez développée, et les faiscea
ssin. Les muscles coxo-fémoraux s'insèrent sur le tibia à la partie
supérieure
. Le grand fessier est bien développé à la parti
tent en raccourci la forme de leurs congénè- res : leurs extrémités
supérieures
ont une conformation normale et s'articulent av
avant-bras peuvent être divisés en z 2 groupes, dont les insertions
supérieures
sont normales, et dont les inférieu- res se fon
limètre dans le sens transversal. Elle est moindre dans les parties
supérieures
et n'existe plus dans la région sous-bulbaire ;
s sont le siège d'un vice de confor- mation. Dissection. - Membre
supérieur
droit. La malformation ne remonte pas plus haut
dedans et vient se fondre avec la partie osseuse voisine. Membre
supérieur
gauche : ici non plus, il n'y a que la main qui s
visse. Son volume est moindre que celui de la main droite. Membre
supérieur
droit : les muscles du bras ne présentent rien à
périeurement; maisinférieurement.le grand palmaire va à l'extrémité
supérieure
de l'os que nous avons considéré comme le zu mé-
caux, mais il y a deux interosseux palmaires et un dorsal. Membre
supérieur
gauche : Les muscles du bras sont normaux. L'avan
rablement altérés. C'est ainsi qu'au lieu de trouver les insertions
supérieures
limitées des fléchisseurs, nous voyons, de dehors
superficiel, lequel, au lieu d'être épitrochléen, s'insère aux 3/4
supérieurs
de la face anté- rieure du radius et au bord ex
édent. Ce petit tendon phalangien va de la 1 ? phalange à la partie
supérieure
de la dernière. De cette disposition résulte do
du long supinateur. Les deux radiaux externes ont leurs insertions
supérieures
normales; mais, à l'extrémité inférieure du rad
oit. - Tous les muscles de la cuisse existent avec leurs insertions
supérieures
régulières. En bas, les insertions inférieures so
au interne, qui, 5 à 6 fois plus développé, présente les insertions
supérieures
normales et se termine bientôt en un tendon aplat
tendon aplati ; le soléaire est atrophié ; il s'attache à la partie
supérieure
et externe de la face postérieure du tibia, et
ent, et se fixe avec ce fascia à la partie externe de l'extré- mité
supérieure
du tibia. Jambe. Il n'y a pas de muscles à la r
ne de la pince et le rameau externe de la branche externe. Membre
supérieur
droit.- Les artères de l'avant-bras arrivent jusq
pe, n'y a trouvé absolu- rien d'anormal non plus. Nerfs. - Membre
supérieur
droit. - Le médian, au pli du coude, passe entre
s la dépendance normale de ce nerf reçoivent ses branches. Membre
supérieur
gauche. - Le médian est très ténu ; il innerve se
r que l'absence du saphène externe au membre gauche. Os. - Membre
supérieur
droit. - Carpe. Ire rangée. Le scaphoïdc n'a pas
tacarpiens ; le premier est normal ; le 2° répond par son extrémité
supérieure
au trapèze, au trapézoïde et au grand os anorma
l'index est soudée à celle du doigt qui serait le médius. Membre
supérieur
gauche. Le carpe se réduit il 3 os : le scaphoïde
termine par un appendice digital unique. On a appliqué des membres
supérieurs
artificiels. XIV. - J. GRYNFELDT, Anatomie d'un
n tronçon d'humérus, de 6 pouces environ de longueur. Son extrémité
supérieure
, un peu plus grêle que dans l'état naturel, off
ait le seul à la région interne, était très mince. Les deux tendons
supérieurs
, très grêles, ne variaient pas dans leurs attac
cond descendait obliquement en dehors en passant derrière la partie
supérieure
du faisceau coracoïdien du biceps, pour s'engager
êt de développement. Montpellier médical, 1886, p. 501. Le membre
supérieur
gauche se termine par une extrémité arrondie rapp
extrémité inférieure qui représente un prisme triangulaire à sommet
supérieur
. La base du prisme regarde en avant par suite d
tout entière sur l'avant-bras, qui paraît amputé à l'union du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs. La comparaison av
ui-même, de telle façon que la face antérieure c'est-à-dire la face
supérieure
, décrit une convexité qui regarde en dedans et en
s résultant de plusieurs arrêts de développement. Du côté du membre
supérieur
droit, le bras est nor- mal ; l'artère numérale
ts renflements arrondis. Le squelette est représenté par le tiers
supérieur
du cubitus avec son olé- cràne qui n'a pas de p
DES TISSUS 323 Cubitus et radius gauche présentent dans leur partie
supérieure
et leur dia- physe leurs détails anatomiques no
quelette du moignon. Cette masse a une forme quadrilatère; son bord
supérieur
est soudé au radius ; ses bords externe et inte
s : rond pronateur, court supinateur, anconé. Toutes les insertions
supérieures
, c'est- à-dire celles qui se font au voisinage
nférieures, sont modifiées. Enfin trois muscles, dont l'insertion
supérieure
se fait dans la moitié infé- rieure de l'avant-
der au fléchisseur profond à un centimètre de son insertion osseuse
supérieure
. Fléchisseur profond. Même disposition du tendo
érer sur le moignon par trois ordres de fibres tendineuses : 1° les
supérieures
s'insèrent à la partie moyenne de la face antér
ure du massif osseux ; 2° les moyennes s'insèrent entre l'insertion
supérieure
et l'extrémité du massif osseux ; 3° les inférieu
ordres d'insertions : 1° fibres pro- fondes, s'insérant à la partie
supérieure
de la face postérieure du massif osseux ; 2° fi
M classique du pli du coude. Nerfs. Ils présentent dans la moitié
supérieure
leur distribution nor- male, quoique notablemen
in- terne et le musculo-cutané épuisent leurs rameaux dans le tiers
supérieur
. Le cubital, lorsqu'il a fourni ses branches mu
montre que le radius, fortement incurvé en dehors, a son extrémité
supérieure
déformée et luxée en dehors de l'humérus ; le cub
rs de l'humérus ; le cubitus n'apparaît distinct qu'à son extrémité
supérieure
, longue de 3 centimètres, large de 1, qui est l
à eux, il s'articule en dedans avec le côté externe de l'extrémité
supérieure
du 2e métacarpien. Mais la signification attrib
; ainsi il est à peu près aussi épais, sinon plus épais à sa partie
supérieure
qu'à l'inférieure ; mais dans sa partie supérie
pais à sa partie supérieure qu'à l'inférieure ; mais dans sa partie
supérieure
il présente une tubérosité qui correspond à la
me dans le cas de Mouchet et Vaillant. Cependant, par son extrémité
supérieure
, cet os unique de l'avant-bras pré- sente quelq
l'épicondyle, le condyle, la trochlée, l'é- pitrochlée. L'extrémité
supérieure
de l'os de l'avant-bras est d'un volume plus pe
bien qu'il soit un peu plus long ; un seul sésamoïde.- L'extrémité
supérieure
de-ce métacarpien est un peu modifiée et, en ex
t en dedans par rapport à l'axe de cette 2e phalange. * Le membre
supérieur
gauche présente de grandes analogies, dans son en
ie à la Société, est porteur d'une difformité congénitale du membre
supérieur
droit. A l'inspection, le bras pa- raît normal,
une grosse tubérosité saillante sur sa face externe. Son extrémité
supérieure
est très volumineuse et égale environ à la moit
as, et présente une tubérosité à sa partie moyenne. Son ex- trémité
supérieure
est remontée en avant du condyle huméral et s'art
s, ayant la tête et le tronc bien conformés ; il s'est noyé. Membre
supérieur
droit. Normal, sauf la main qui est privée du méd
fléchi et ankylosé à l'articulation phalango-phalangienne. Membre
supérieur
gauche. Le bras est normal, mais il y a ankylose
t de supination existent. Le cubitus et le radius séparés la partie
supérieure
de l'avant-bras se fusionnent en bas pour forme
mme atteinte d'hémimélie des 330 KLIPPEL ET BOUCIIET deux membres
supérieurs
. Le bras droit ne présente plus qu'un doigt, muni
L'humérus gauche a la même longueur que l'humérus droit. Le membre
supérieur
gauche se termine, un peu au-dessous de l'artic
constitué par cinq tubercules cutanés, arrondis, su- perposés : un
supérieur
, du volume d'un pois séparé par un profond sillon
oracique droite, L. L... est parfaitement bien conformée. Le membre
supérieur
droit n'est représenté que par le bras dont l'os
ÉRIQUE DES TISSUS 333 dius est plus court que normalement; le tiers
supérieur
du cubitus est formé ; au carpe, il y a un seul
I. LVIII, C est très démonstrative : on voit le premier diverticule
supérieur
très arrondi et rempli par les gaz, on voit aussi
mises par quelques auteurs dans des cas de ce genre, le diverticule
supérieur
serait-il congénital. Il faut signaler que dans
x. 11 en est de même des réflexes ten- dineux et osseux des membres
supérieurs
. Pas de troubles vaso-moteurs ni trophiques. L'
ses jacksonniennes il y a paralysie post-épileptoïde même du membre
supérieur
droit. La paralysie dure dix à quinze minutes.
on solide, et qu'il est un peu faible du côté droit (même au membre
supérieur
). Au dynamomètre on a cependant 60 à droite pour
ienne, très volumineuse, qui occupe la région des lobules pariétaux
supérieurs
et la partie adjacente de la faux du cerveau. C
vient aisément à la détacher. Elle repose sur les lobules pariétaux
supérieurs
qu'elle écarte et refoule fortement en lias et en
peu étalée de chaque côté, au-dessus des circonvolutions pariétales
supérieures
, au-dessous de la dure-mère; celle-ci a été détru
ements extrêmes, en dehors, des deux globes oculaires ; les membres
supérieurs
pré- 372 RAYMOND ET ALQUIER sentaient un trem
ipaux faisceaux d'association, notamment du faisceau longitu- dinal
supérieur
et de l'occipito-frontal. Dans les noyaux gris ce
les cérébraux. 2" Dans la protubérance annulaire et la partie toute
supérieure
du bulbe, la calotte présente des lacunes de dé
otte est presque entièrement oc- cupée par quatre lacunes de volume
supérieur
à celles du cerveau. La plus grande, située à g
seurs de la main. Les réflexes tendineux étaient abolis aux membres
supérieurs
. Aux mem- bres inférieurs, il existait une légè
la région dorsale. Au point de vue de la sensibilité, sur le membre
supérieur
droit la thermo- anesthésie était très prononcé
cavité et à la pro- lifération épithéliale. Dans la région dorsale
supérieure
, le canal s'ouvre dans la cavité dont la paroi
lleurs au niveau de C. Il c'est-à-dire, bien au-dessus de la partie
supérieure
delà cavité.'Nous n'avons pas constaté de process
égères lésions de sclérose sans dégénérescence, les nerfs du membre
supérieur
droit présentaient des lésions marquées : c'est
dégénération pyramidale bilatérale, que leur abolition aux membres
supérieurs
dérive des lésions nerveuses périphériques et de
ordres sensitifs et particulièrement la thermo-anesthésie du membre
supérieur
à la destruction des cornes postérieures par la g
uâtres, légèrement ecchymotiques, siégeant vers le rebord orbitaire
supérieur
et inférieur, très douloureuses à la pression (
; en bas, occupant par une vaste ecchymose noire toute la paupière
supérieure
, avec un petit prolongement noir aussi foncé à
on, moyenne, de la branche ophtalmique de Willis, elle-même branche
supérieure
du trijumeau. Rappelons que le nerf frontal don
r le nerf frontal externe à la muqueuse et à la peau de la paupière
supérieure
(filets palpébraux) et à la peau du front et du
erf frontal interne à la peau de la partie in- terne de la paupière
supérieure
(filets descendants), à la peau de la partie mé
iguration normale et s'ar- ticule comme il convient ; sou extrémité
supérieure
ne paraît pas défectueuse au point de vue anato
sans tête articulaire, apparaît taillé en bec de flûte sur sa face
supérieure
; de plus le col regarde plus directement d'avan
poids du corps, pour arriver graduellement à l'angle droit; la face
supérieure
du col paraît d'ailleurs comme usée par les fro
e la fermeture de l'angle d'inclinaison et aussi de l'usure du bord
supérieur
du-col, se trouve plus haut situé que normalement
auche, la saillie des fessiers est plus accusée à gauche. ' Membres
supérieurs
. - Les membres supérieurs out un développement
iers est plus accusée à gauche. ' Membres supérieurs. - Les membres
supérieurs
out un développement en harmonie avec le tronc,
onnaire, réduite à un bourrelet longitudinal renflé à son extrémité
supérieure
en un rudiment de pavillon replié et soudé en a
steraient pas sur un os qui.aurait été sectionné vers son extrémité
supérieure
; en outre, il n'y a pas decicatrice sur le moi
atrophiés toujours, et l'atrophie va en s'accentuant de l'épiphyse
supérieure
à l'épiphyse inférieure ; on comprend qu'au nivea
l'absence du cubitus. Dans les difformités congénitales des membres
supérieurs
, l'absence du cubitus est beaucoup plus rare qu
i une régression atavique. Au pre- mier abord, l'aspect des membres
supérieurs
de notre sujet rappelle celui des membres antér
Duval). Cette régénération qui ne se produirait chez les vertébrés
supérieurs
que dans la période de l'état embryonnaire est ob
s, et en particulier celles qui commandent les mouvements du membre
supérieur
, n'apparais- sent point à ce premier examen com
lication. Les anomalies constatées par la dissection dans le membre
supérieur
sont nombreuses et diverses, marquant à la fois
s du pouce. Si l'on étudie le développement embryologique du membre
supérieur
, et en particulier les différentes époques d'ap
u tableau ci-joint pour s'en rendre compte. Développement du membre
supérieur
(d'après Warren Harmon LEwis). Après la trois
Après la cinquième semaine : embryon de H millimètres. Le membre
supérieur
est légèrement plus avancé en développement que l
Brachial antérieur. j) Pronato-flexor mass de l'avant-bras : partie
supérieure
, plus petite, compacte à l'extrémité proximale
Pa- ris, 1902, 6 s., Il,51. AUDEBERT. - Malformation des membres
supérieurs
; hémimélie. Toulouse médical, 1901, 2 s., III,
run et Chaillous). Commandeur (G.). Hémimélie unilatérale du membre
supérieur
; note sur l'anatomie des moignons d'arrêt de d
été chloroformisée, le chirurgien a pratiqué d'a- bord, sur la face
supérieure
de la mamelle, et à une certaine distance de sa
plumasseaux de charpie imbibés d'eau froide. » La peau de la face
supérieure
du pédicule avait été tellement tiraillée par l
etirés. Le tableau n'est pas signé, mais le cadre porte à sa partie
supérieure
un 424 4 IIAXN ET WICKERSHEIMER cartouche où
les unes contre les autres. Tronc : saillie du sternum à la partie
supérieure
; dépression thoracique en entonnoir avec un cha
c est de 52 centimètres (le sujet étant assis et le point de repère
supérieur
étant l'acromion). Le rachis présente une cypho
achis présente une cyphose dorsale et une lordose lombaire. Membres
supérieurs
: Longueur des bras : 26 centimètres (de l'acro
EPTIQUE 429 et régulière quant à ses parois. Elle s'étend la partie
supérieure
de l'hémi- sphère droit, commençant à l'union d
centimètres environ au-dessous de la ligne par où passerait lebord
supérieur
de cet hémi- sphère droit. Quant au bord extern
perdre en arrière au niveau de la partie postéro-supérieure du vermis
supérieur
du cervelet. La pie-mère, très épaissie, forme
ts différents suivant les points où on la considère. Dans la moitié
supérieure
de la cavité, on observe une membrane lisse, un
âtre, épaisse, et sillonnée par de petits vais- seaux. Cette moitié
supérieure
est limitée et séparée de la moitié inférieure pa
pille (b) avec plaques il deux pattes qu'on introduit sous le bord
supérieur
431 hossolimo des deux orbites (c), en arrièr
OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie des membres
supérieurs
. (Obs. I) Nouvelle Iconographie DE la Salpêtr
IE OSSEUSE HÉRÉDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie du membre
supérieur
. ? ,. (Oh ? n EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES DYSTROP
OSSEUSE HEREDITAIRE (Halipré et Hébert) Radiographie des membres
supérieurs
. (Obs. III) NOUVELLE Iconographie DE la Salpê
raphique, au type classique, car elles prédominent pour le mem- bre
supérieur
aux points éloignés du coude et pour le membre in
ur. A la palpation on ne perçoit rien dans le squelette aux membres
supérieurs
, à la colonne vertébrale, aux côtes, au sternum
gulier. Le tibia droit aussi est gros et irrégulier dans sa partie
supérieure
. On obtient le même résultat si l'on palpe le s
remarquable, excepté son volume exagéré. Les mouvements des membres
supérieurs
sont normaux et la force y est assez bien conse
leur intégrité. , Les réflexes profonds sont faibles aux membres
supérieurs
; aux membres inférieurs on remarque l'absence d
et intéressant non seulement les membres inférieurs, mais aussi les
supérieurs
, le tronc el , la face. 1 Elle présente donc
cliniquement. Les réflexes tendineux sont faibles tant aux membres
supérieurs
qu'aux membres inférieurs, et cela d'une façon
TORTICOLIS MENTAL 465 sente un renflement fusiforme dans son tiers
supérieur
; ce n'est là d'ail- leurs que l'exagération d'
d'une sensation de tiraillement douloureux en arrière de l'attache
supérieure
du sterno-mastoïdien. 18 mai 1903. Depuis 12 jo
'en serrant les paupières, après la fermeture complète, la paupière
supérieure
s'abaisse légèrement, le bulbe oculaire tourne
ère qu'il mit sur chaque paupière : les points noirs de la paupière
supérieure
s'abaissaient verticalement, tandis que les poi
ères, comme pour dormir ; et en posant les doigts sur les paupières
supérieures
on peut constater le mouvement caractéristique
ière inférieure, car dès que celle-ci était éloignée et la paupière
supérieure
baissée, on ne voyait plus se produire le phéno
x.sont tournés en haut, vers l'extérieur, au-dessous de la paupière
supérieure
presque relâchée, comme si le sujet craignait d
en effet, la fente palpébrale est plus ou moins fermée, la paupière
supérieure
est légèrement baissée et les bulbes sont tourn
as de paralysie complète du nerf facial, ou seulement de sa branche
supérieure
. De plus, il insista beaucoup sur ce fait que la
u bulbe oculaire oblique inférieur (quelquefois peut-être, le droit
supérieur
). Ce même auteur soutient aussi que ce mécanism
tile, parce que, par la contrac- tion de l'orbiculaire. la paupière
supérieure
s'épaissit et le bulbe tournant vers le haut, l
es, dont la postérieure représente le noyau d'origine du facial dit
supérieur
. MM. Parhon et Papinian de leur côté ont conclu
doit rechercher selon toute probabilité, le rapport avec le facial
supérieur
. La preuve inverse de l'opinion soutenue parMende
s oculaires unie à une paralysie des muscles innervés par le facial
supérieur
droit. t. M. Negro (21) admet une véritable u
c l'oculomoteur, toujours comme centre de l'élévation des paupières
supérieures
. Aussi bien Siemerling a essayé de concilier ce
le sinus du faisceau longi- tudinal postérieur, le noyau du facial
supérieur
et celui de l'élévateur de la paupière puissent
dans des conditions pathologiques entre l'élévateur de la paupière
supérieure
et les muscles innervés par le facial supérieur,
eur de la paupière supérieure et les muscles innervés par le facial
supérieur
, spécialement rorbiculaire de la paupière (Rema
tion dystale et au voisinage de celle de l'élévateur de la paupière
supérieure
(IIIe paire). Cependant l'hypothèse de placer a
ndant l'hypothèse de placer aussi dans ce noyau le centre du facial
supérieur
ne semble pas soutenable à cet observateur ; il
nt à la IIIe et qui fournit spécialement l'élévateur de la paupière
supérieure
. La constatation de Giannelli va donc confirmer
ment au fonctionnement de l'élévateur de la paupière et du fa- cial
supérieur
. Le fait que le genou de la VIF paire à la protub
douloureuse que pourrait donner la cornée comprimée contre le paroi
supérieure
de la cavité oculaire. En fermant un oeil par u
doit être attribué à un réflexe ou s'il dérive des centres nerveux
supérieurs
. J'ai voulu reprendre la question controversée
fes Archiv sur Ophth. Bd. 48.2-3. 13. MAMNFSCO. L'origine du facial
supérieur
. Revue neurolog. 1898, Nr. 2. 14. GEHUCIITEN (v
l (t pt.), 155. Long. Atrophie musculaire progressive des membres
supérieurs
, type Aran-Duchen- ne, par névrite interstitiel
nry MEIGE, 97, 174. Atrophie musculaire progressive des mem- bres
supérieurs
, type Aran- Dut henné, par névrite iarersliriel
5. Tumeur cérébrale de la region des circon- volutions pariétales
supérieures
(2 pi.), par Souques, 365. ' Tumeurs cérébral
IGE), XIII à XXIII. Atrophie mus ulaire progressive des mem- bres
supérieurs
par nevnte interstitielle hypertrophique (E. Lo
res fois, et c'est presque la règle, on aura une hémiplégie alterne
supérieure
ou inférieure. Que faut-il entendre par cette
t dans le bulbe, et ces noyaux qui sont en rapport avec des centres
supérieurs
cérébraux, en-' voient des nerfs aux muscles de
it placée plus haut de manière à intéresser simultanément la partie
supérieure
, du bulbe et la partie inférieure de la protubé
x. (Fig. 5.) Dans cette variété d hémiplégie alterne les membres,
supérieur
et inférieur, sont paralysés du côté opposé à l
par le nerf facial, aussi bien les muscles innervés par le facial
supérieur
que ceux innervés par le facial inférieur, sont
ie aux muscles droit interne, droit inférieur, petit oblique, droit
supérieur
et releveur de la paupière supé- rieure, qu'il
l existera en effet, une hémiplégie croisée intéressant les membres
supérieur
, inférieur, et la partie inférieure de la face,
SYNDROME TEMPORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOPIE PERMANENTE 9 paupière
supérieure
tombante et paralysée, alors que l'oeil gauche es
côté vous ne notez aucun phénomène paraly- tique ni dans le facial
supérieur
, ni dans les muscles animés par le mo- teur ocu
é gauche, de sorte que l'hémiplégie affecte non seulement le membre
supérieur
et le membre inférieur, mais encore la partie inf
hémiplégie gauche se joint une paralysie du releveur de la paupière
supérieure
droite, c'est-à-dire du côté opposé à l'hémiplé
symptômes fort atté- nués ; c'est ainsi qu'aujourd'hui la paupière
supérieure
droite se relève suffisamment pour laisser aper
es à la clinique de St-Anne. « Paralysie du releveur de la paupière
supérieure
droite, parésie des muscles droit interne, droi
aupière supérieure droite, parésie des muscles droit interne, droit
supérieur
, droit inférieur, petit oblique, c'est-à-dire d
s était complète, ainsi que la paralysie du releveur de la paupière
supérieure
et des muscles ani- més par le moteur commun ;
eptiqtes. Délire. Autopsie : tubercule solitaire du lobule pariétal
supérieur
droit. Andrade, âgé de 24. ans, célibataire, em
ges, j'ai constaté qu'elles adhéraient au cortex du lobule pariétal
supérieur
dans une région très limitée. En pro- menant le
existence d'une tumeur dans la partie antérieure du lobule pariétal
supérieur
de l'hémisphère droit. Quels troubles fonctionn
OMATIQUE DES NÉOPLASIES CORTICALES 29 conseilles du lobule pariétal
supérieur
ne sont point nombreuses, et rien qu'à ce point
sous la pie-mère, qui occupait la partie moyenne du lobule pariétal
supérieur
droit », je ne connais aucune lésion de ce lobule
écision anatomique. Presque toujours les lésions du lobule pariétal
supérieur
étaient très étendues et empiétaient plus ou mo
ers, par exem- ple, où il y avait un gliome dans le lobule pariétal
supérieur
gauche, qui ne s'étendait pas au loin, mais l'e
l supérieur gauche, qui ne s'étendait pas au loin, mais l'extrémité
supérieure
de la pariétale ascen- dante était « comprimée,
la lésion, c'est- à-dire, à la partie antérieure du lobule pariétal
supérieur
, à côté de son cen- tre moteur et peut-être eng
onclu- sion, à savoir : que la partie antérieure du lobule pariétal
supérieur
est le centre du sens musculaire de la jambe, c
dernier cas. En effet, puisqu'une lésion irritative de la partie
supérieure
des circon- volutions ascendantes, centre moteu
ieur semble être placé dans la partie antérieure du lobule pariétal
supérieur
. II. - Les lésions corticales siégeant dans la
de cette soudure osseuse. Elle n'est plus visible dans la moitié
supérieure
de l'os qui est seulement plus volumineux qu'à
ci est pourvu, à l'union de son tiers inférieur avec ses deux tiers
supérieurs
, d'une tubérosité saillante qui constitue la su
omalie. Les deux phalanges, intimement soudées par leurs extrémités
supérieures
, s'écartent en formant entre elles un angle obt
ressentit aussitôt « quelque chose de bizarre » dans tout le membre
supérieur
gauche ; depuis ce moment il reste inhabile, la
oté déjà les sensations subjectives de froid perçues dans le membre
supérieur
gauche, que la malade est obligée de couvrir plus
e à une rééducation attentive, C : 1acun des segments de son membre
supérieur
droit, il peut saisir des objets de faible dime
e singulière extension chez les individus dont l'in- telligence est
supérieure
. Les centres sensoriels étant les premiers à se
uditive gauche intacte était séparée de toutes les parties voisines
supérieures
, postérieures et inférieures par un foyer de ramo
époque, pendant ou après ( ? ) survint une paralysie de son membre
supérieur
droit à laquelle succéda l'amyotrophie qui pers
ennes. Elle présente des douleurs lancinantes au niveau des membres
supérieurs
, de l'anesthésie suivant le trajet du nerf cubi
suivant le trajet du nerf cubital, de l'incoordination des membres
supérieurs
. Pas d'incoordination motrice des membres inférie
parition, de douleurs constrictives et de douleurs dans les membres
supérieurs
. Dès le début, des phénomènes vésicaux sont app
a trace du mal perforant, non complètement cicatrisé. Aux membres
supérieurs
, on note une incoordination motrice indubitable,
région lombaire inférieure, elles diminuent dans la région lombaire
supérieure
, pour devenir accentuées à la partie supérieure d
la région lombaire supérieure, pour devenir accentuées à la partie
supérieure
de la région dorsale et à la région cervicale.
es sillonnent les cornes postérieures. (Pl. X, A.) 2° Région sacrée
supérieure
(1'0 sacrée). Les lésions existent mais sont re-
icaux, la démarche caractéristique, de l'incoordination des membres
supérieurs
, mais au cours duquel les ré- flexes rotuliens
rticulièrement discrètes au niveau de l'union de la moelle lombaire
supérieure
avec la moelle dorsale. Le tabès est, par consé
lexes vasculaires sont exagérés. On observe sur les deux extrémités
supérieures
dans la région de l'avant-bras, dans les endroits
côté gauche du corps, savoir : la sur- face interne de l'extrémité
supérieure
, la région pectorale, le côté, la fesse, et la
Carey et offre au point de vue du résultat du traitement un intérêt
supérieur
; il reste, en effet, le seul encore aujourd'hu
meur osseuse près du petit trochanter ; hyperostose sur l'extrémité
supérieure
du péroné droit. Entre les adducteurs et la lon
'il était porteur d'une tumeur osseuse à la partie interne du tiers
supérieur
de la cuisse gauche : masse ovoïde, longue de Il
te l'hypothèse d'un ostéome à cause du siège ? Jus- tement le tiers
supérieur
de la cuisse n'est-il pas le siège de prédilectio
partie interne du bras, à la face antérieure du tibia, à la partie
supérieure
du péroné, sur les côtes. D'autres fois ce sont d
ement que la bande osseuse, qui va de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
126 A. WEIL ET J. NISS1M jusqu'au petit troch
être recouverte par le rhomboïde ». « Au mois de juillet,la tumeur
supérieure
avait disparu et l'inférieure en partie en même
le premier, le gonflement pâteux peut se mon- trer soit à la partie
supérieure
, à l'angle supérieur de l'omoplate (Ston- ham),
ent pâteux peut se mon- trer soit à la partie supérieure, à l'angle
supérieur
de l'omoplate (Ston- ham), à l'angle inférieur
e malade de Rabek a présenté trois noyaux de ce genre : à la partie
supérieure
de la tête, à l'occiput et un autre sous la mâc
tait très bas et le crâne al- longé d'avant en arrière, la mâchoire
supérieure
en prognathisme. Avec cela les oreilles étaient
tion en avant de la tête de l'astragale. « Au thorax et aux membres
supérieurs
, les manifestations pathologi- ques se réduisai
n de dermato-sclérose partielle de la région dorsale et des membres
supérieurs
et inférieurs, recueillie par I. l3artMélemy, dan
nne, donnant au doigt une sensation-de carton, présente à la partie
supérieure
deux petites excoriations. Elle est dépourvuede c
que un léger sillon violacé apparut sur le bord libre des paupières
supérieures
. Le 22 novembre, le malade qui avait eu des enn
t, vers 7 heures du soir, de mouvements convulsifs dans les membres
supérieurs
et inférieurs. Les globes oculaires sont con- v
le d'instituer ce traitement. - NOTE SUR LA PARALYSIE DU FACIAL
SUPÉRIEUR
DANS L'HÉMIPLÉGIE PAR LÉSION CÉRÉBRALE PAR
absolument l'existence de toute paralysie dans le domaine du facial
supérieur
. Landouzy, par exemple, admet qu'il n'existe au
0. Berger, de son côté, affirmait que la par- ticipation du facial
supérieur
est la règle (5). Il n'est pas douteux que, dans
trace non plus, et on ne croyait guère à la participation du facial
supérieur
à l'hémiplégie faciale, si bien que le fait de
c'est la persistance des signes grossiers de la paralysie du facial
supérieur
; aussi ai-je pensé que l'ob- servation suivant
tion le 25 janvier 1898, se plai- gnant de secousses dans le membre
supérieur
et d'engourdissements dans le membre inférieur
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRT. T. XI. PI. XVIII PARALYSIE DU FACIAL
SUPÉRIEUR
dans l'Hemip)cgic par lésion cérébrale (Ch. I
Iiré) MASSON & Cie, Editeurs NOTE SUR LA PARALYSIE DU FACIAL
SUPÉRIEUR
151 droit incomplètement fermé, particularité q
celui du côté gauche sain. Aucune trace d'atrophie. C'est le membre
supérieur
seulement qui a été le siège de secousses. Il est
auche. Quand elle ferme volontaire- ment les deux yeux, la paupière
supérieure
droite est animée des mouve- ments de battement
bromure de potassium à doses crois- santes, les secousses du membre
supérieur
qui se reproduisaient presque huit et dix fois
ie de l'enfance s'étendent à la face et en particulier il la région
supérieure
de la face, à l'orbiculaire des paupières, qui
ies et les épileptiques. 1890. p. NOTE SUR LA PARALYSIE DU FACIAL
SUPÉRIEUR
153 J'ai voulu m'assurer si la persistance de l
obilisées, on peut observer, chez un homme, une respiration costale
supérieure
; inversement, chez une femme, lorsque les espac
eure; inversement, chez une femme, lorsque les espaces intercostaux
supérieurs
sont pris, on voit s'établir la respira- tion a
uppuration peut s'établir. C'est ainsi que Kottts ouvre a la partie
supérieure
de l'avant-bras un abcès qui donne issue à une
gouvernante de son malade, s'est aperçue d'une raideur des membres
supérieurs
ainsi que d'une difformité de la colonne vertéb
la douleur se sont localisés, cette fois, à la nuque et à la moitié
supérieure
du thorax, du côté droit, en arrière. Ces phénomè
arquée. Les articulations sterno-claviculaires et chondro-sternales
supérieures
sont mobiles ; les muscles intercostaux inférie
ar le processus néoplasique. A chaque respiration on voit les côtes
supérieures
et la clavicule se soulever légèrement tandis q
ctionne 6ner-i(itieiii'eiit : la respiration est en som- me costale
supérieure
et surtout diaphragmatique. (PI. XX.) Au bras d
ses de nouvelle formation que l'on remarque, existaient à la partie
supérieure
de sa face dorsale, un peu au-dessous et en deh
nt les mouvements des tendons. A quelques détails près, le membre
supérieur
gauche présente les mêmes Fil. 1 - Itadiographi
lexion arrive à angle droit seulement. A l'union des trois quarts
supérieurs
du bras avec l'inférieur, se voit une fourche c
omme dans la luxation intra-cora- coïdienne double. A l'extrémité
supérieure
de l'avant-bras, au niveau des insertions du mus-
envahissement des mus- cles par les travées néoplasiques. Le bord
supérieur
des muscles grands dorsaux ossifiés fait une sail
lent sont assez accusées. ' Deux jetées osseuses partent des angles
supérieurs
et internes des omopla- tes ; elles vont en hau
au tiers inférieur de la cuisse et descendant en bas jusqu'au tiers
supérieur
de la face postérieure de la jambe en s'épaissi
e et rate normaux. La respiration est très obscure dans les régions
supérieures
duhorax, très exagérée au contraire aux bases,
ir les muscles de la ceinture omo-claviculaire et soulève la partie
supérieure
du thorax; il offre 20 à 24 respirations à la m
quées droite. Plus tard, douleurs en cein- ture et dans les membres
supérieurs
(sphère du cubital). En 1890. Troubles moteurs
(sphère du cubital). En 1890. Troubles moteurs du côté des membres
supérieurs
; les mou- vements deviennent brusques, saccadés
mente. Vacillation de la tête. Réflexe rotulien aboli. Les membres
supérieurs
, pendant l'occlusion des yeux, présentent de l'in
en juger, la force musculaire paraît conservée. Du côté des membres
supérieurs
, l'incoordination est aussi très marquée : avec
res sur le trajet du sciatique, surtout il gauche. Dans les membres
supérieurs
le malade sent des fourmille- ments. ' La par
st de configuration normale : elle pré- sente cependant sur la face
supérieure
et surtout au niveau de la grande cir- conféren
téraux, la sclérose s'étend de la région sacrée la région cervicale
supérieure
, occupant les territoires des faisceaux pyramidal
tique (tronc), saphène interne et nerf du quadriceps crural. Membre
supérieur
: collatéral externe du pouce, radial, médian, br
tant, dans nos cas, ce contact n'a pas eu lieu, car tout le neurone
supérieur
avait péri ; de sorte que les cellules motrices
bulbe et de la protubérance; sa face inférieure constitue la paroi
supérieure
du quatrième ventricule, vous voyez que la paro
iette. Rappelez-vous aussi que les trois pédoncules cérébelleux, le
supérieur
, le moyen et l'inférieur, qui relient le cervelet
rcons- tances du cas; elle consiste à localiser la tumeur à la face
supérieure
du bulbe, en dehors du plancher du quatrième ve
urplus, les tumeurs du cervelet, bridées qu'elles sont, à leur face
supérieure
, par la lente du cervelet, se développent surto
Chipaull, a commencé par tailler un lambeau en ellipse, à convexité
supérieure
, dans la région temporo-pariélale droite (fig. 2)
ercée sur ses parties latérales. Les pédoncules cérébelleux, moyen,
supérieur
ou inférieur, sont certainement atteints ; le p
en réserve. 2° Le stylet, par une vis spéciale sur l'épaississement
supérieur
, peut être fixé à n'importe quel niveau. Ceci d
ication se fait de la manière suivante. On dévisse l'épaississement
supérieur
jusqu'à ce que l'ai- guille montre zéro. On dév
n dévisse aussi la petite vis qui se trouve dans l'épais- sissement
supérieur
, et le cône du stylet tombe facilement de l'orifi
giques de la sensibilité cutanée. La périphérie de l'épaississement
supérieur
est divisée en 20 parties égales, de sorte que ch
l la sensibi- lité douloureuse des surfaces dorsales des doigls est
supérieure
à celle des surfaces palmaire et plantaire. L
rieur de l'os. 9° Quelques particularités relatives au maxillaire
supérieur
, qui est petit par rapport au crâne et dont la
constate sur lui, à l'âge d'un an, en 1890, l'une (incisive médiane
supérieure
droite) présente sur son bord libre une échancrur
st très vive. En outre, légères érosions sur les incisives médianes
supérieures
; léger de- gré de rachitisme (chapelet costal
d'une façon exagérée et l'enfant prend un développement de beaucoup
supérieur
à celui des enfants de même âge. Mais la tête r
re 3 centimètres, soit 1/3 en moins pour ce dernier. Les extrémités
supérieures
mesurent 7 cm. 2 de circonférence contre 6 cm.
& Cu : . Editeur : ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 265 Extrémité
supérieure
, 22 centimètres (tibia sain), 19 (tibia atrophié)
V). Du côté droit il est représenté par un triangle isocèle il base
supérieure
. Il se montre formé de deux circonvolutions épa
ce externe, l'hémisphère droit montre au niveau du 1/6 centi- mètre
supérieur
une même différence. Le sillon est moins marqué,
loca- lisée ici au lobule paracentral du côté droit et à la partie
supérieure
des circonvolutions frontale et pariétale ascen
as jusqu'au coude et les transforma en une masse osseuse. Le membre
supérieur
gauche, depuis le poignet jusqu'au coude, se pr
use connue. On remarqua d'abord la perte des mouvements des membres
supérieurs
: il était incapable de les lever, les porter à l
le sternum. L'examen montre le grand pectoral ossifié il sa partie
supérieure
, de la cla- vicule au bras. Les dépôts osseux f
e leur étendue. 6° La longue portion du biceps droit, à son attache
supérieure
, dans l'éten- due de 2 pouces. 7° L'extrémité
et représentant une espèce de clavicule abdominale. 12° La partie
supérieure
du droit antérieur de la cuisse droite. 130 Tou
plus grande partie de ce tissu, il en est de même dans les membres
supérieurs
; mais aux membres inférieurs, certaines portio
mble être recouverte par le rhomboïde. Au mois de juillet la tumeur
supérieure
avait disparu et l'inférieure en partie, en mêm
ête iliaque gauche, à 1 pouce 1/2 de l'épine iliaque postérieure et
supérieure
; elle chemine le long de la colonne vertébrale,
7" jusqu'à la 2", par de courtes fibres tendineuses. De la partie
supérieure
et externe de cette bande partent deux bandelette
s bandes lon- gitudinales siégeant de chaque côté de la colonne; la
supérieure
des deux bandes, du côté gauche, se prolonge en
ent parleur extrémité antérieure au sternum, aux cartilages costaux
supérieurs
, et à l'extrémité antérieure des clavicules. De
uration de celui de l'homme. A. l'âge de 8 mois raideur des membres
supérieurs
, on constata alors des saillies dans le dos.
apparaît derrière l'épaule droite. Trois semaines après, les membres
supérieurs
commencent à devenir raides, et, dans l'espace
a partie inférieure de la nuque. Plus tard le dos et les extrémités
supérieures
, les extrémités inférieures furent successiveme
une grosse masse en fer-à- cheval, réunie au squelette, à concavité
supérieure
. La porlion transverse siège il l'union de la 5
e gauche. De nouvelles tumeurs se sont développées dans l'extrémité
supérieure
droite, en extension presque com- plète et très
ion presque com- plète et très en pronation. Elles siègent au tiers
supérieur
et postérieur et à la partie inférieure et inte
ux génio-hyoïdiens. Epaississement et durcissement de l'in- sertion
supérieure
du sterno-mastoïdien, dans l'étendue de 3 centimè
deux prolongements, l'inférieur allant s'insérer sur la 3° côte, le
supérieur
, sur l'apophyse coracoide. Atrophie du deltoïde,
te ; une masse osseuse s'insérant sur l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, suit la direction du tenseur du fas- cia lata
out sur le biceps, et difficulté dans les mouvements des extrémités
supérieures
. Il y a deux ans, apparition d'ossifications su
rs une brèche dentaire et une fente résultant de ce que la mâchoire
supérieure
est un peu plus en avant que l'inférieure. Ossi
tion des muscles droit antérieur et biceps ne dépasse pas la moitié
supérieure
de la cuisse, la cuisse est cependant d'une imm
rochers. Léger rétrécissement du trou grand rond, et de l'ouverture
supérieure
du canal vertébral par suite de l'épaississemen
branches se lixe au tiers externe de la clavicule, l'autre il l'angle
supérieur
de l'omoplate; elle envoie encore un prolongeme
l'omoplate, on voit une pointe osseuse tellement mobile sur l'angle
supérieur
de l'os qu'on la dirait réunie il l'omoplate pa
rs, une masse bifurquée dont la branche 298 A. WEILL ET J. NISSIM
supérieure
va directement en dehors s'insérer sur l'humérus
ent conformée. Elle offre en bas une lame quadrilatère dont le bord
supérieur
se continue en haut et en dehors en une bande, qu
une tumeur située dans le grand rond. De l'angle formé par le bord
supérieur
de la lame quadrilatère et la bande qui va en h
e de la lame quadrilatère, au niveau de l'angle formé par les bords
supérieur
et gauche ; elle se dirige en haut et en dehors,
x axillaire; elle s'étend de la live à la 6° côte; il son extrémité
supérieure
, elle émet une apo- physe qui s'insère sur la 3
ontale du pubis. Un peu au-dessous de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
naît une bande osseuse qui se prolonge jusqu'au
du fascia lata, la partie antérieure du moyen fessier et la moitié
supérieure
du vaste externe. Cette masse s'insère au grand
vaste externe. Cette masse s'insère au grand trochanter. La partie
supérieure
de la tumeur est bifurquée. La masse princi- pa
noyau osseux. Atrophie des muscles de la jambe ; sur l'extrémité
supérieure
de la diaphyse du tibia et de son bord interne,
ossification des. trapèze, sus-épineux, petit rond et petit dentelé
supérieur
. Ons. XVII. - HuTn, Algemeine med. centr. Zeit.
quides. En 1883, ajoute Henning, rien de changé dans les extrémités
supérieures
, depuis 1876 : humérus à angle droit sur le cub
Fonctions intellectuelles et organes des sens normaux. La partie
supérieure
de la colonne dorsale semble fortement cyphotique
arrière. Côtes immobiles. Le thorax semble immobile dans sa partie
supérieure
; la respiration est diaphragmatique. La colonne
saillantes qui prennent naissance aux épines iliaques antérieures et
supérieures
et se dirigeait jusqu'aux omoplates en suivant
la raideur de la marche et des troubles de la motilité des membres
supérieurs
et inférieurs. La disparition des mouvements
l'abduction et la rotation externe; à l'épine iliaque antérieure et
supérieure
et au pli de l'aine, on trouve une tumeur diffu
its tubercules et de travées, fixée à l'épine iliaque antérieure et
supérieure
et au fémur. Réactions électriques. - Contracti
Urine normale. Tête penchée en avant et un peu à droite ; la partie
supérieure
du corps est voûtée ; les bras s'éloignent très
droit et une bandelette osseuse va de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à l'ombilic. La narcose fait constater la trans
hiés, fibreux ou ossifiés. Réaction normale des muscles des membres
supérieurs
et inférieurs avec de légères exceptions. L'exc
cal très petit. Ultérieurement, petit à petit, tantôt il la partie
supérieure
du dos, tantôt il la partie inférieure, apparu-
i fixe l'articulation du coude dans une légère flexion. Sur l'angle
supérieur
et interne de l'omoplate,se voit une pointe osseu
t, se montre comme une lame osseuse colossale. Tandis que les côtes
supérieures
offrent une assez ample excursion respiratoire,
entimètre. L'os zygomatique et l'apophyse zygomatique des mâchoires
supérieures
sont saillants, épaissis. Exostose comme une no
axillaires sont ossifiées. Exostose comme une cerise sur le bord
supérieur
de la 10e côte gauche. Ossification des trapèze
enou droit dans une légère flexion, épaississement de l'extré- mité
supérieure
du péroné. Pied en valgus équin. Le gros orteil
aco-brachiaux. Le brachial antérieur gauche possède, dans sa partie
supérieure
, une pointe osseuse qui se perd dans le muscle. M
complète du genou. Pied en varus équin. Pointe osseuse à la partie
supérieure
du tenseur du fascia lata gauche. A la partie p
l'ap- parition des premières douleurs, un noyau osseux à la partie
supérieure
et externe de l'avant-bras gauche. . 08s. XXV
comme un franc. Atrophie du grand pectoral gauche dans ses parties
supérieures
, pas d'ossifications encore. Les creux axillair
rus, se voient trois ossifi - cations comme des pois. Dans le tiers
supérieur
du bras existe une masse de consistance cartila
de 1/2 centimètre. Ossification du grand palmaire dans ses parties
supérieures
; il donne la sen- sation en avant d'une corde
droite semble plus grosse que la gauche. Partie de l'épine iliaque
supérieure
, une tumeur, douloureuse à la pression, se dirige
intue,de 1 centimètre sur 3 centimètres de base,à l'union des tiers
supérieur
et moyen. Muscles plantaires droits gonflés, doul
e aveline se trouvent maintenant sur l'épine iliaque postérieure et
supérieure
droite. 7 août. - Chute, fracture des deux os d
he (PI. XXXVIII, 3). Modifications de l'attitude. - Toute la partie
supérieure
du corps est penchée en avant. La tête est fléc
lan antéro-postéricur, la tête et le cou sont fléchis sur la partie
supérieure
de la colonne dorsale ; celle-ci est fléchie su
droite allant jusqu'à la partie moyenne du dos ; la colonne dorsale
supérieure
forme un segment de circonférence à concavité ant
t ne se détache plus la saillie de la proéminente. En somme cyphose
supérieure
à grand rayon, surmontant le redressement de to
roites ; ils ne pourront loucher la table simultanément; le segment
supérieur
, courbe, ne peut coïncider avec le plan de la
nes lombaire et dorsale infërieuressonten ligne droite; la partie
supérieure
du rachis est inclinée en avant. Fig. 2. - Du
tête est maintenue à 16 centimètres au-dessus du plan. L'extrémité
supérieure
du péroné gauche est i 21 centimètres au-dessus d
d jusqu'à la partie moyenne de la région dorsale ; le rachis dorsal
supérieur
et cervical fait une deuxième cour- bure à conc
ote gauche du thorax est plus étendu que le droit. Dans sa partie
supérieure
et moyenne le sternum pré- sente une courbure à
. A droite, le ster- num de Dur... concaveen avant dans sa partie
supérieure
, convexe en avant dans sa par- tie inférieure
horizontal passant à 1 centimètre au-dessus de l'ombilic. La partie
supérieure
est plane. La por- tion inférieure, globuleuse,
gauche à droite. Il en ré- sulte que l'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche est plus élevée et plus en avant que l'é
est plus élevée et plus en avant que l'épine iliaque antérieure et
supérieure
droite. La mensuration donne : 225 millimètres
on donne : 225 millimètres pour le diamètre bi-épineux antérieur et
supérieur
; 293 millimètres pour le diamètre bi-crète max
la courbure normale du sacrum dans sa partie inférieure. Sa partie
supérieure
parait redressée, et sa crête épineuse se conti
che) ; la distance en ligne droite de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à la malléole externe est de 0 m. 85 à gauche, de
nes, du tarse, du métatarse et des orteils sont normales. Membres
supérieurs
. - Les deux épaules sont portées en avant avec in
ules sont portées en avant avec incli- naison en avant de leur bord
supérieur
. La face supérieure des saillies acro- miales r
n avant avec incli- naison en avant de leur bord supérieur. La face
supérieure
des saillies acro- miales regarde presque direc
de tiraillement. Les mouvements des autres articulations du membre
supérieur
sont abso- lument normaux. Des nodosités de Mou
lète; il ne reste de chaque muscle que deux faisceaux : l'un costal
supérieur
et claviculaire, horizontal, l'autre costal infé-
al infé- rieur, ascendant (PI. XXXVIII, 5). En arrière le trapèze
supérieur
est un peu atrophié des deux côtés ; l'éteu- du
supérieur est un peu atrophié des deux côtés ; l'éteu- due du bord
supérieur
du trapèze du côté droit est plus considérable qu
ts du bras. Les sus-épineux et sous-épineux sont normaux. Membres
supérieurs
. - La force musculaire, est bien conservée dans l
érieurs. - La force musculaire, est bien conservée dans les membres
supérieurs
. A gauche le malade porte facilement à bras tendu
lement à bras tendu une chaise tenue horizontalement par le barreau
supérieur
du dossier. A droite, où les mouvements sont pl
s lombes, le grand trochanter gauche, l'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche sont sensibles il la pression ondes points
met verticalement en extension, Fig. 6. - Dans la marche, la partie
supérieure
du corps est redressée lorsque Duf... se porte
le dos rigide est tendu de l'un l'autre. L'ischion droit et la partie
supérieure
de la cuisse gauche reposent seuls sur le bord
aite en 334 A. FEINDEL ET P. FROUSSARD flexion, flexion du rachis
supérieur
sur le rachis inférieur, flexion de la cuisse s
tie inférieure, courbé en avant et incliné de côté dans sa par- tie
supérieure
. Le cas de Baumler est assez différent des aulres
lage. Le ligament ro- tulien, incrusté de sels de chaux à sa partie
supérieure
, ne présente pas plus que les surfaces articula
a pour ainsi dire surprise en cette attitude. La cyphosedu rachis
supérieur
pourrait de même dépendre d'attitudes en flexio
oté ; la tempéra- ture est aussi plus élevée. A droite, le membre
supérieur
est plus long, l'inférieur plus gros que les me
é abondant sur le tégu- ment). Le rebord alvéolaire du maxillaire
supérieur
droit, deux fois plus gros que le gauche, prése
hie faciale gauche congénitale portant sur la joue, les maxillaires
supérieur
et inférieur et les dents. Les 'cheveux sont pl
son aspect normal, les os qui sont lisses au toucher. Le maxillaire
supérieur
et le frontal augmentés de volume ont une directi
mi-centimètre au delà de la ligne médiane. La déviation de la lèvre
supérieure
dans cette direction est éva- luée à 1 centimèt
e des lèvres ainsi que les os de la face, l'orbite, les maxillaires
supérieur
et inférieur droits, les os de la moitié droite
ents, 4 de chaque côté iL la mâchoire inférieure et 9 à la mâchoire
supérieure
, dont 5 à droite et à à gauche. L'évo- lution d
lles et à celle de la bosse frontale droite ainsi que des maxillaires
supérieur
et inférieur droits dont la surface est irrégul
tologique a pu être pratiqué sur un fragment cunéiforme de la lèvre
supérieure
. Les diverses couches de l'épiderme et du derme s
, l'année suivante, rapporte un cas d'bémihypertrophie de la partie
supérieure
du corps. OBS. XYII. - (AFtNIIEI,1, Hypertrophi
ntimètre au-dessous du niveau de l'apophyse gau- che. Le maxillaire
supérieur
droit, tout entier anormalement augmenté de vol
vant et en bas. Voici les résultats des mensurations pour la partie
supérieure
du visage : De l'aile du nez à la pointe de la
auche. L'hypertrophie atteint égale- ment le côté droit de la lèvre
supérieure
qui se continue sans dénivellement avec les par
court qu'à gauche; le rebord alvéolaire des mâchoires inférieure et
supérieure
est beaucoup plus développé à droite qu'à gauch
; il existe en outre quelques vices d'implantation à la mâ- choire
supérieure
, dont le rebord descend plas bas à droite d'au mo
ndante des lèvres est ordinairement hypertrophiée, surtout la lèvre
supérieure
qui pend comme un voile épais au-dessus de l'in
s os participent complètement à l'hypertrophie : tout le maxillaire
supérieur
, l'os malaire, le maxillaire inférieur qui peut ê
tre le siège d'une malformation totale (Finlayson). Le maxillaire
supérieur
et le frontal sont seuls notablement hypertro-
sme convergent dans l'observation de Ziehl ; ou bien son acuité est
supérieure
du côté malade (Ollier). L'odorat reste toujour
sméjean, Mac Gregor, Steffen, Zhu- kovski) ; tantôt c'est le membre
supérieur
correspondant (Arnheim, Stembo) ou la main du m
de la face et, plus exactement, des bour- geons frontal, maxillaire
supérieur
et inférieur, pouvant coïncider avec l'hypergén
ans. Un à deux ans avant, la malade avait eu un abcès à la mâchoire
supérieure
correspondante. Enfin, en 1893, Ch. Dana signal
pendant que se ralentissait la marche de la dentition à la mâchoire
supérieure
du même côté. Actuellement, l'hypertrophie atte
trophiée, est camard et dévié vers la droite par son bout. La lèvre
supérieure
gauche, augmentée de volume et tombante, recouv
partie correspondante de la lèvre inférieure. Le duvet de la lèvre
supérieure
est moins marqué à gauche qu'à droite. Les os d
qué à gauche qu'à droite. Les os de la face, le corps du maxillaire
supérieur
, la région alvéolaire participent à l'hypertrop
axillaire inférieur est normal. Il n'existe à droite, à la mâchoire
supérieure
, que t dents : deux incisives, une canine, une
rieur de la peau. L'oreille gauche est hypertrophiée dans sa moitié
supérieure
et cette hyper- trophie tient au cartilage épai
nterne jusqu'au voisinage de la suture sagittale. Le rebord orbitaire
supérieur
saillant et l'os malaire très proéminent surplo
e bord libre est surtout épaissi à la partie interne de la paupière
supérieure
qui paraît, de ce fait, plus déformée. Les mou-
e l'incisive droite médiane et se continue en arrière sons la lèvre
supérieure
qui se tend forte- ment au-dessus d'elle, quand
ie des gencives sont marqués pour la mâchoire inférieure et pour la
supérieure
autant à la face externe qu'à la face interne o
x cutanés en- levés par le Dr Hund, à la région malaire, à la lèvre
supérieure
et au menton. Au cours de l'opération on avait
présentait les particula- rités suivantes (l'l.1LI, Il). La partie
supérieure
de la tôle paraissait tran- chée,de sorte qu'il
ce cas avec le cas précé- dent, nous voyons qu'ici, dans la partie
supérieure
de la tète, les os crâniens et la peau qui les
ns ce cas, la cavité crânienne est ouverte seulement dans sa partie
supérieure
et elle est conservée latéralement, mais il arriv
tta- chés des nerfs offrant l'aspect de filaments fins; à la partie
supérieure
on voit des ganglions intervertébraux bien déve
voyons que les os de la voûte crânienne manquent aussi ; la partie
supérieure
du canal vertébral est ouverte et la moelle épi-
fil ; M, de dos, le causal vertébral fendu dans la région cervicale
supérieure
; N, face du cyclope avec un oeil formé par l'uni
l du cordon latéral n'était pas développé. Dans la région cervicale
supérieure
, l'aspect est presque le même que dans la régio
z qui la colonne vertébrale était L fendue dans la région cervicale
supérieure
, la moelle épinière existait L seulement dans l
l de la fillette, chez laquelle était seulement atrophiée la partie
supérieure
de la voûte crâ- nienne, grâce à quoi une parti
cles rhomboïdes des deux côtés successivement. Au niveau de l'angle
supérieur
et postérieur des omoplates, il a constaté une
res. Masses volumineuses à l'angle inférieur des omoplates; l'angle
supérieur
de l'omoplate gauche est pris; le droit ne l'es
comme des noisettes situées l'une à l'occiput, d'autres à la partie
supérieure
de la tête, une autre beaucoup plus grosse au c
it, allongée, très large en haut, plus étroite plus bas ; la moitié
supérieure
est en- tièrement fixe, et forme une masse comp
gauche, se voit une petite masse ovale de 5 centimètres. La partie
supérieure
du muscle sterno-mastoïdien droit est épaissie
883 on découvre, par hasard, une tuméfaction au niveau de l'an- gle
supérieur
de l'omoplate droite, à l'insertion de l'angulair
, légère courbure de compensation lombaire gauche ; cyphose dorsale
supérieure
penchant la tête an avant. Respiration presque
'angulaire de l'omoplate. En 1893, tête inclinée à droite ; membres
supérieurs
recourbés ; les coudes séparés des parties laté
r- ganes du corps de l'animal. Quant au cerveau, siège des facultés
supérieures
, on se le représentait comme une masse homogène
possédât le don de l'éloquence native ; mais avec son intelligence
supérieure
, avec une puissance de travail exceptionnelle e
région scapulo-humérale dans les diverses attitudes et des membres
supérieurs
, nous ferons remarquer en passant qu'il n'y a p
d'autres termes, le problème est le suivant : 1° Pourquoi le tiers
supérieur
du trapèze est-il respecté, alors que les deux
se à la première question nous parait relativement facile. Le tiers
supérieur
du trapèze est respecté, parce qu'il constitue à
sente également deux portions bien délimitées, à savoir, le trapèze
supérieur
ou descendant et le trapèze inférieur ou trans-
ien. La por- tion postérieure du mastoïdo-huméral s'unit au trapèze
supérieur
dont il forme le faisceau occipito-claviculaire
t au trapèze inférieur, il se fusionne complètement avec le trapèze
supérieur
. Le trapèze supérieur fait alors partie de la m
il se fusionne complètement avec le trapèze supérieur. Le trapèze
supérieur
fait alors partie de la musculature du cou : c'es
r que le spinal est destiné avant tout à la portion claviculaire ou
supérieure
du trapèze, et les rameaux tra- (1) G'11.1U\'E.
eck et deBardeleben, conclut que le spinal n'innerve que la portion
supérieure
du trapèze, et que les portions moyenne et inféri
par le spinal, car dans la section de ce nerf, alors que la portion
supérieure
est complètement paralysée, les portions moyenn
ervical. Le spinal est réservé au sterno-mastoïdien et à la portion
supérieure
du trapèze. A cet égard, on peut donc séparer l
n supérieure du trapèze. A cet égard, on peut donc séparer le tiers
supérieur
des deux tiers moyen et inférieur de ce muscle.
ra- pèze scapulaire ou dorsal, le premier s'appliquant à la portion
supérieure
qui s'insère à la clavicule, et le second répon
us facile que de répondre à la première de nos questions : le tiers
supérieur
du trapèze est respecté, alors que les deux tie
istance, le grand dentelé se contracte synergiquement avec le tiers
supérieur
du grand pectoral et avec le trapèze scapulaire,
angle externe de cet os est attiré en avant et en haut par le tiers
supérieur
du grand pectoral La puissance de ce mouvement
temps, montré l'importance. Quelle serait donc l'attitude du membre
supérieur
et de l'épaule qui favoriserait particulièremen
l'angle interne, auquel s'attache l'angulaire. Le poids du mem- bre
supérieur
abaisse l'angle externe, qui n'est plus retenu pa
e pour empêcher ce mouvement de bascule dé l'omoplate ». La portion
supérieure
ou claviculaire du trapèze est incapable, à elle
st déterminée par le besoin de lutter contre la pesanteur du membre
supérieur
qui se trouve maintenu à l'horizontale dans des
siège d'une hypertrophie monstrueuse portant sur la joue, la lèvre
supérieure
, la lèvre inférieure et la partie supérieure du
sur la joue, la lèvre supérieure, la lèvre inférieure et la partie
supérieure
du cou. Cette moitié de la figure descend, pend
n est effacé, caché derrière les saillies formées soit par la lèvre
supérieure
, soit par la lèvre inférieure. La lèvre supérie
oit par la lèvre supérieure, soit par la lèvre inférieure. La lèvre
supérieure
est augmentée de volume dans toute son étendue
le droite où cesse l'augmentation de volume, offrant comme la lèvre
supérieure
une direction fortement oblique à droite. Le ne
ôt un peu rétréci, annulé en partie par le prolongement de la lèvre
supérieure
. Il existe un peu d'hypertrophie et de rougeur
ront. Mais l'hypertrophie n'est pas seulement extérieure : la lèvre
supérieure
surtout et même la lèvre inférieure sont consid
s dents n'auraient jamais poussé du côté gauche, soit au maxillaire
supérieur
, soit au maxillaire inférieur. Au maxillaire su
u maxillaire supérieur, soit au maxillaire inférieur. Au maxillaire
supérieur
il ne reste qu'une grosse molaire apparente; tout
ps on remarque une hémiparésie du côté gauche, atteignant le membre
supérieur
et le membre inférieur. xi 30 450 0 LANNOIS E
t le membre inférieur. xi 30 450 0 LANNOIS ET BERNOUD Le membre
supérieur
gauche ne présente pas d'atrophie en longueur,
tendon rotulien. La trépidation épileptoïde existe aussi au membre
supérieur
. Mais si le côté droit est plus fort et mieux d
n nota- ble des réflexes et de la trépidation épileptoïde au membre
supérieur
comme au membre inférieur. La sensibilité par
angiome des méninges en communication avec le sinus lon- gitudinal
supérieur
. Le malade de Poirier, âgé de 34 ans, présentait
épileptiques des Chazeaux porte un énorme noevus de tout le membre
supérieur
et de l'épaule gauches : elle a en même temps d
ace : ce nmvus, sans hypertrophie des tissus, commence sur la lèvre
supérieure
, occupe le nez tout entier, toute la partie moy
de petits mouvements très légers et limités à la face et au membre
supérieur
. Ce nouvel accès n'a duré qu'une quinzaine de j
énitales. Absence de lobule de l'oreille, absence de deux incisives
supérieures
; les dents existantes sont dentelées. Les deux g
un angle de 30°. Pectoral droit ossifié dans ses parties moyenne et
supérieure
. Pectoral et grand dorsal gauches ossifiés. Del
ns. Lésions congénitales et ayant progressé, localisées aux membres
supérieurs
. Dans certains endroits des plaques osseuses se
de quelques ar- ticulations et malformation congénitale des membres
supérieurs
. En outre quelques os sont eux-mêmes augmentés
roit avoir senti quelques endroits enflés et douloureux à la partie
supérieure
du dos ; à 14 ans, 9 mois après l'accident, forma
ctions fibrillaires du masséter droit à la mastication. A la partie
supérieure
du masséter droit se voient quelques noyaux dur
IFIANTE PROGRESSIVE 483 près d'elle quelques tubercules sur la face
supérieure
et le bord postérieur de l'os. Omoplates fixées
s, en partie elle les croise; elle soulève les muscles de la partie
supérieure
et externe de la cuisse. Circonférence à ce niv
emblée; " 8° La maladie débute en général par la nuque ou la partie
supérieure
du clos : - 9° Elledétermine secondairement l
s combien son sens critique était, aiguisé. En cela, son aptitude
supérieure
à saisir du premier coup d'oeil les caractères
? ... z IIEI\Y IEI(1; TABLE DES MATIÈRES Amyotrophie du membre
supérieur
gauche chez un Fellah consécutive à la variole,
r.\. SouQuEs et Pierre DuvAL (15 phot.), 419. Paralysie du facial
supérieur
dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale, par C
le (2 phot., 1 fig.), 343. Charcot (J.-B.). Amyotrophie du membre
supérieur
gauche chez un fellah consé- cutive à la variol
rticulai- res, 452. Féré (Cu.). Note sur la paralysie du facial
supérieur
dans l'hémiplégie par lésion cérébrale (2 phot.
sur la tête (Henry Meige), XXV, XXVI, XXVII. Paralysie du facial
supérieur
dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale (Cn. F
ieur elle présente une concavité : la concavité où se logeait la face
supérieure
de l'hémisphère cérébelleux; il faut toujours la
le liquide conservateur. Le niveau du liquide doit dépasser le niveau
supérieur
de la pièce. A partir de ce moment, celle-ci ne d
e de potasse; enfin le bichromate d'ammoniaque nous a toujours semblé
supérieur
à toute autre substance, même pour la facilité av
9. CAP. Cap de la troisième circonvolution frontale, 9. CAS. Pli
supérieur
du cap de la troisième circonvolution frontale, 9
e, 10, 15. GFi. Genou inférieur de la frontale ascendante. GFs. Genou
supérieur
de la frontale ascendante. GP. Lobule du pli cour
, 11. GPi. Genou inférieur de la pariétale ascendante, 10. GPs. Genou
supérieur
de la pariétale ascendante, 10. H. Sillon en H du
iétal ou interpariétal, 5, 14. PH. Pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
, 10. P's. Pli supérieur du lobule pariétal supé
14. PH. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur, 10. P's. Pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur, 10, 15. dv Sillon
obule pariétal supérieur, 10. P's. Pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
, 10, 15. dv Sillon pariétal supérieur ou post-r
supérieur du lobule pariétal supérieur, 10, 15. dv Sillon pariétal
supérieur
ou post-rolandique supérieur, 5, 14. P2. Circon
supérieur, 10, 15. dv Sillon pariétal supérieur ou post-rolandique
supérieur
, 5, 14. P2. Circonvolution pariétale inférieure
4, 13, 15. pro. Sillon prœ-ovalaire, 4. prs. Sillon prœrolandique
supérieur
, 5. PS. Pôle sphénoïdal. pt. Sillon pariétal
r pli de passage pariéto-occipiïal, pli de passage pa-riéto-occipital
supérieur
, premier pli de passage externe (Gratiolet), 11,
le, 7,14. ti{. Branche inférieure du sillon parallèle, 7. tv. Branche
supérieure
du sillon parallèle, 7. I2. Deuxième circonvoluti
ale, 26, 50. TEG. Tegmentum, calotte, faisceau de la calotte, étage
supérieur
du pédoncule, 16, 17. Tf. Tubercule du fascia d
frontale. GFi. Genou inférieur de la frontale ascendante. GFs. Genou
supérieur
de la froutale ascendante. GP. Lobule du pli cour
urbe, 51. GPi. Genou inférieur de la pariétale ascendante. GPs. Genou
supérieur
de la pariétale ascendante. H. Sillon en H du lob
riétal ou interpariétal, 54. E'i." Pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
. P s. Pli supérieur du lobule pariétal supérieu
l, 54. E'i." Pli inférieur du lobule pariétal supérieur. P s. Pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur, 51. P2. Circonvol
du lobule pariétal supérieur. P s. Pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
, 51. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou
e inférieure ou lobule pariétal infé-rieur", 51. pr Sillon pariétal
supérieur
ou post-rolandique supérieur, 51. PC. Pli courbe.
al infé-rieur", 51. pr Sillon pariétal supérieur ou post-rolandique
supérieur
, 51. PC. Pli courbe. pF1. Pied de la première c
nférieur, 52. pro. Sillon prœ-ovalaire. prs. Sillon prœrolandique
supérieur
. PS. Pôle sphénoïdal. pt. Sillon pariétal tra
Pli d'anastomose entre le lobule du pli courbe et le lobule pariétal
supérieur
, 51, 54. ttO. Premier pli de passage pariéto-oc
er pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital
supérieur
, premier pli de passage externe (Gratiolet). t:
frontale. GFi. Genou inférieur de la frontale ascendante. GFs. Genou
supérieur
de la frontale ascendante. GP. Lobule du pli cour
i courbe. GPi. Genou inférieur de la pariétale ascendante. GPs. Genou
supérieur
de la pariétale ascendante. H. Sillon en H du lob
iétal ou interpariétal, 57, 59. P1!. Pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
, 40. IHs. Pli supérieur du lobule pariétal supéri
57, 59. P1!. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur, 40. IHs. Pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur, 40. Sillon pariét
lobule pariétal supérieur, 40. IHs. Pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
, 40. Sillon pariétal supérieur ou post-rolandiq
Hs. Pli supérieur du lobule pariétal supérieur, 40. Sillon pariétal
supérieur
ou post-rolandique supérieur. P2. Circonvolution
ariétal supérieur, 40. Sillon pariétal supérieur ou post-rolandique
supérieur
. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou lobul
ndique inférieur. pro. Sillon prœ-ovalaire. prs. Sillon prœrolandique
supérieur
. PS. Pôle sphénoïdal. pt. Sillon pariétal transve
8. tcCP. Pli d'anastomose entre le pli courbe et le lobule pariétal
supérieur
. TcfA. Pli d'anastomose antérieur de la premièr
Pli d'anastomose entre le lobule du pli courbe et le lobule pariétal
supérieur
. 7:0. Premier pli de passage pariéto-occipital,
er pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital
supérieur
, premier pli de passade externe (Gra-tiolet), 40.
, 57, 59. ti{. Branche inférieure du sillon parallèle. iiS. Branche
supérieure
du sillon parallèle. T2. Deuxième circonvolution
a. Lobule paracentral ou ovalaire, 42, 43. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
. PEA. Pli, ourlet, ou pentagone antérieur de la
emière frontale à la deuxième. 7iFP. Pli de passage pariéto-frontal
supérieur
, 45. ttL. Pli de passage pariéto-limbique, 44.
du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 97, 98. FOs. Fibres
supérieures
du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical, 96,
étal ou interpariétal, 88, 90, 92, 96. P1. Circonvolution pariétale
supérieure
, ou lobule pariétal supé-rieur, 92, 93, 94, 99.
er pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital
supérieur
, premier pli de passage externe (Gra-tiolet), 88.
ennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major. FOs. Fibres
supérieures
du forceps, 108. FOY. Faisceau occipital vertic
Sillon pariétal ou interpariétal, 100. P1. Circonvolution pariétale
supérieure
, ou lobule pariétal supérieur, 107, 108. P*i. P
l, 100. P1. Circonvolution pariétale supérieure, ou lobule pariétal
supérieur
, 107, 108. P*i. Pli inférieur du lobule pariéta
pariétal supérieur, 107, 108. P*i. Pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
, 100, 107. PJs. Pli supérieur du lobule pariétal
P*i. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur, 100, 107. PJs. Pli
supérieur
du lobule pariétal supérieur, 100, 107. Pa. Lobul
e pariétal supérieur, 100, 107. PJs. Pli supérieur du lobule pariétal
supérieur
, 100, 107. Pa. Lobule paracentral ou ovalaire, 10
acentral ou ovalaire, 103, 106. PC. Pli courbe. ps. Un prolongement
supérieur
du sillon interpariétal. pl. Sillon pariétal tran
07. tu. Branche inférieure du sillon parallèle, 100. tis. Rranche
supérieure
du sillon parallèle, 100. T2. Deuxième circonvo
en du forceps major, 115, 117, 120, 125, 125, 126, 129. FOs. Fibres
supérieures
du forceps, 114, 118, 121, 125, 125, 126, 150.
p. Sillon pariétal ou interpariélal. P1. Circonvolution pariétale
supérieure
, ou lobule pariétal supé-rieur, 110. pt. Sillon
supérieure, ou lobule pariétal supé-rieur, 110. pt. Sillon pariétal
supérieur
ou postrolandique supérieur, 110. P2. Circonvolut
al supé-rieur, 110. pt. Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
supérieur
, 110. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou
ttCP. Pli d'anastomose entre le pli courbe et h; lobule pariétal
supérieur
, 110. -L. Pli de passage pariéto-limbique. tcO3.
splenium ou faisceau moyen du forceps major, 157, 159. FOs. Fibres
supérieures
du forceps, 155, 155, 157, 140. FPF. Faisceau par
p. Sillon pariétal ou interpariétal. P1. Circonvolution pariétale
supérieure
, ou lobule pariétal supérieur. P2. Circonvolution
riétal. P1. Circonvolution pariétale supérieure, ou lobule pariétal
supérieur
. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou lobul
es du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 148. FOs. Fibres
supérieures
du forceps, 142, 148. FPF. Faisceau pariéto-front
p. Sillon pariétal ou interpariétal. P1. Circonvolution pariétale
supérieure
, ou lobule pariétal supé-rieur. pv Sillon parié
étale supérieure, ou lobule pariétal supé-rieur. pv Sillon pariétal
supérieur
ou postrolandique supérieur. P2. Circonvolution
pariétal supé-rieur. pv Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
supérieur
. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou lob
ps major, 158. FOm. Faisceau moyen du forceps major, 158. FOs. Fibres
supérieures
du forceps, 158. FPF. Faisceau pariéto-frontal, 1
. p. Sillon pariétal ou interpariétal. P1. Circonvolution pariétale
supérieure
ou lobule pariétal supé-rieur. Pi. Sillon parié
étale supérieure ou lobule pariétal supé-rieur. Pi. Sillon pariétal
supérieur
ou postrolandique supérieur. P2. Circonvolution
ariétal supé-rieur. Pi. Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
supérieur
. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou lob
161. Sillon pariétal ou interpariétal. P'. Circonvolution pariétale
supérieure
, ou lobule pariétal supé-rieur, 161. pv Sillon
supérieure, ou lobule pariétal supé-rieur, 161. pv Sillon pariétal
supérieur
ou postrolandique supérieur. P'-. Circonvolutio
tal supé-rieur, 161. pv Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
supérieur
. P'-. Circonvolution pariétale inférieure. Pa
es du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 184. FOs. Fibres
supérieures
du forceps, 182, 185. FPF. Faisceau pariéto-fro
te, 192. p. Sillon pariétal ou interpariétal, 185. pv Sillon pariétal
supérieur
ou postrolandique supérieur. P2. Circonvolution p
ou interpariétal, 185. pv Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
supérieur
. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou lobul
nférieure ou lobule pariétal infé-rieur. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 201. Pul. Pulvinar, 197. PV. Pont de Varole,
. Trigone cérébral. TRO. Tractus opticus zonalis, 202. Vd. Racine
supérieure
du trijumeau et noyau de la branche des-cendante
eure ou lobule pariétal infé-rieur, 204. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 208, 216, 218. Pul. Pulvinar, 206, 216, 222.
rieure ou lobule pariétal infé-rieur, 238. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 227. prs. Sillon prserolandique supérieur. Pul.
Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur, 227. prs. Sillon prserolandique
supérieur
. Pul. Pulvinar, 225. PV. Pont de Varole, 226. QA.
alamus, 240. NmC. Centre médian, 240, 242. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 247. Pul. Pulvinar, 242. PUT. Putamen. PV. Pont
Circonvolution pariétale ascendante, 256. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 259, 262. PV. Pont de Varole, 262. R. Scissure d
occupant le fond du sillon parallèle, 287. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 277, 280, 281. prs. Sillon prœrolandique supérie
ncule cérébelleux supérieur, 277, 280, 281. prs. Sillon prœrolandique
supérieur
. PV. Pont de Varole, 277. R. Scissure de Rolando.
ascendante. PAR. Faisceau parallèle, 505. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 295. PP. Pied du pédoncule cérébral. prs. Sillon
ieur, 295. PP. Pied du pédoncule cérébral. prs. Sillon preerolandique
supérieur
, 290. PUT. Pdtamen, 294, 298, 5()2. PV. Pont de V
upant le fond du sillon parallèle, 526. prs. Sillon prœrolandique
supérieur
. PUT. Putamen, 509, 524. RFP. Couronne rayonnan
f. OLI. Racine olfactive interne, 429. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
, 428, 451. PL Pôle de l'insula. PP. Pied du p
n temporal. ttt. Rranche inférieure du sillon parallèle. ti?. Branche
supérieure
du sillon parallèle. t%. Deuxième sillon temporal
oyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major. FOs. Fibres
supérieures
du forceps, 446. FP. Faisceau pyramidal. FPV. Fai
on pariétal ou interpariétal. lMi. Pli inférieur du lobule pariétal
supérieur
. pv Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
lMi. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur. pv Sillon pariétal
supérieur
ou postrolandique supérieur. P2. Circonvolution
pariétal supérieur. pv Sillon pariétal supérieur ou postrolandique
supérieur
. P2. Circonvolution pariétale inférieure ou lob
pli de passage pariéto-occipital, pli de passage pariéto - occipital
supérieur
, premier pli de passage externe (Gratiolet). 7i
Faisceau d'Arnold, 452. ARC. Faisceau arqué, faisceau longitudinal
supérieur
, 454. RAM. Rase de la corne d'Ammon, 456. RP.
eynert. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 464 FOs. Fibres
supérieures
du forceps. FOV. Faisceau occipital vertical.
t,t. Quatrième sillon occipilo-temporal. Pcs. Pédoncule cérébelleux
supérieur
. PP. Pied du pédoncule cérébral. Pul. Pulvina
tercepté en bas par la cloison fibro-musculaire du périnée. Sa partie
supérieure
, évasée, est plutôt une surface de sustentation d
riétés, dans les quatre points principaux de son trajet. Dans le tube
supérieur
d'introduction de l'aliment, composé de trois cav
osseuse est formée principalement par la jonction des os maxillaires
supérieurs
et jugaux avec ceux de la boîte du crâne. Le sque
et jugaux avec ceux de la boîte du crâne. Le squelette de la mâchoire
supérieure
est complété par une série de petits os intercala
ée dans sa charpente osseuse, en haut par la voûte des os maxillaires
supérieurs
et palatins, en bas par 1 arc osseux du maxillair
e fascia lata , renfermé dans une duplicature, outre le grand fessier
supérieur
, qui fait également office de tenseur par la band
mé de deux couches superposées : sous l'aponévrose, et dans la moitié
supérieure
de la jambe, les loges des jumeaux, et au-devant,
es du diaphragme, et vient former collection sous la peau à la partie
supérieure
de l'abdomen. Enfin, clans les affections chroniq
mêmes du canal. Ces deux orifices, dits les anneaux, l'un interne et
supérieur
ou péiïtonéal, l'autre externe et inférieur ou in
rme ellipsoïde, en travers, est constitué dans son contour externe et
supérieur
par le ligament de Pou part, qui en trace la cloi
nent ordinairement former tumeur sous la peau de la partie interne et
supérieure
de la cuisse. Les épancliemens urinaires produits
ablissent ses communications avec les cavités de la face et la partie
supérieure
ducou ; mais comme ces orifices, de même queceuxd
e inférieur, si important sous le rapport des hernies. Pour le membre
supérieur
, la disposition est analogue, mais moins intéress
els sont aussi, pour le membre thoracique, les vaisseaux scapulaires,
supérieurs
ou inférieurs; seulement, à ce membre, les vaisse
auciers delà face; ce sont : l'orbiculaire palpébral dans son contour
supérieur
, et le frontal. L'aponévrose n'est autre que lepé
es moitiés de l'os occipital, et n'est sous-cutané que dans sa partie
supérieure
, l'inférieure étant masquée par les attaches des
issement aux deux petits muscles peauciers auriculaires, antérieur et
supérieur
, et s'insère en bas sur l'apophyse zygomatique. E
nent du maxillaire inférieur et de la branche orbitaire du maxillaire
supérieur
. Le grand nombre de ces filets et la fréquence de
configuration, délimitation. Située à la région moyenne, latérale et
supérieure
du crâne, dans l'étendue de l'os pariétal; sans l
la suturemédiane en particulier, vu la présence du sinus longitudinal
supérieur
logea sa face crânienne; (b) la portion médiane i
SALE. Situation, configuration , délimitation. — Située à la partie
supérieure
et moyenne de la face, constituée par l'appareil
se compose des cavités nasales renfermées entre les os de la mâchoire
supérieure
et ne se prononce au dehors que par la proéminenc
les deux orbites qu'il sépare; en bas, par la naissance cle la lèvre
supérieure
, et, latéralement, par le contour des joues. 2° A
urnies à l'extérieur, au milieu par la faciale, en bas par la labiale
supérieure
, en haut par l'ethmoïdale ; à l'intérieur, par le
la sphéno-palatine, la branche nasale de l'ethmoïdale et la palatine
supérieure
. Les principales veines accompagnent les artères;
médian. Les parois latérales sont constituées par les os maxillaires
supérieurs
et palatins, et par leurs annexes; le cornet infé
ormée par les replis dermo-musculaircs, ellypsoïdes, des deux lèvres,
supérieure
et inférieure, circonscrivant la fente transversa
a couche musculaire sous-jacente; elle présente au milieu, à la lèvre
supérieure
, le sillon nasal (philtrum); au contour de l'orif
cipal est l'orbiculaire palpébral, auquel s'adjoignent, pour la lèvre
supérieure
, le myrtiforme et la terminaison des élévateurs,
enton; 3° Vaisseaux sanguins. Les artères et veines sont les labiales
supérieures
et inférieures; 4° Nerfs. Ils sont fournis par le
s. Ils sont fournis par le facial, le sous-orbitaire et les dentaires
supérieur
et inférieur; 5° Membrane mu-» queuse. Continuati
muqueux. 6°Squelette. Il est constitué en haut par les os maxillaires
supérieurs
, en bas par l'os maxillaire inférieur, dont les b
ment circonscrite de chaque côté par la cavité orbitaire, à la partie
supérieure
et latérale de la face, elle se compose de l'appa
e point existent les bulbes pileux des cils, plus longs à la paupière
supérieure
qu'à l'inférieure. i° Membrane muqueuse. Déjà con
compose de l'or-biculaire palpébral et de l'élévateur de la paupière
supérieure
. A cette couche appartiennent les cartilages tars
physe zygomatique et par la portion sous-orbitaire de l'os maxillaire
supérieur
, elle est limitée en haut par la fosse temporale,
l'orbiculaire palpébral, les élévateurs commun et propre de la lèvre
supérieure
, les deux zygomatiques et le canin. 4° Vaisseaux
ette, l'arcade zygomatique et la portion sous-orbitaire du maxillaire
supérieur
, qui renferme le sinus maxillaire. RÉGION GÉNIE
teur ; au milieu de ce muscle, en regard de la troisième dent molaire
supérieure
, sur cette membrane vient s'ouvrir l'orifice du c
tte. Il est formé par les deux arcades alvéolaires des os maxillaires
supérieur
et inférieur, dans lesquelles sont implantées les
ce canal lui-même passe transversalement sur le masseter à son tiers
supérieur
, et contourne son bord antérieur 9 pour s'app
nches faciales, occipitales, auriculaires postérieures, pharyngiennes
supérieures
, massétérines externes, parotidiennes, et qu'ils
6° Squelette. Il est formé par la branche montante de l'os maxillaire
supérieur
qui sépare le masseter des ptérygoïdiens, et la r
communication à la surface cutanée, s'ouvre latéralement à la partie
supérieure
du pharynx par la trompe d'Eustache, qui sert au
iguration, délimitation. Située de chaque côté à la partie médiane et
supérieure
du cou, limitée en haut par la base de la mâchoir
rose cervicale. Très mince, quoique assez dense, elle forme la partie
supérieure
de l'aponévrose antérieure commune, circonscrite
ropres de cette région sont les artères et veines thyroïdiennes ; les
supérieures
se distribuent en avant du corps thyroïde, et les
le filet de communication du grand sympathique, et le nerf cardiaque
supérieur
. 6° Squelette. Comme dans la région précédente, l
e latérale du cou, elle n'est bien circonscrite qu'en bas par le bord
supérieur
de la clavicule ; partout ailleurs ses limites so
: le tissu cellulaire adipeux, le peaucier, et l'aponévrose cervicale
supérieure
. Plus profondément, le triangle inférieur omo-cla
ns du scalène antérieur naissent les artères vertébrale, intercostale
supérieure
, mammaire interne, thyroïdienne inférieure et sca
e supérieure, mammaire interne, thyroïdienne inférieure et scapulaire
supérieure
; ordinairement, entre les scalènes est l'origine
e, limitée en haut par la bosse occipitale externe et la ligne courbe
supérieure
, en bas par le bord supérieur de l'omoplate, laté
occipitale externe et la ligne courbe supérieure, en bas par le bord
supérieur
de l'omoplate, latéralement par la région sus-cla
que le furoncle et l'anthrax. Recouverte par les cheveux à la partie
supérieure
, elle est glabre inférieurement. 20 Couche cellul
Situation, configuration, délimitation. Situéeà la partie moyenne et
supérieure
du thorax, en regard du sternum et des cartilages
ire. La surface abdominale est disposée en trois zones transversales,
supérieure
, moyenne et inférieure, dont chacune renferme tro
cune renferme trois régions, une médiane et deux latérales. i° Zone
supérieure
ou thoraco-épigastrique. Elle est bornée en hau
ation. Située verticalement de chaque côté du plan moyen, à la partie
supérieure
de l'abdomen, séparée de sa congénère par le sill
° Couche musculaire. Elle est formée seulement par les deux faisceaux
supérieurs
des muscles sterno-pubiens, engaînés dans la dupl
ur, c'est-à-dire dans la cavité abdominale dont ils forment la partie
supérieure
, ils sont bornés en haut par le diaphragme; l'hyp
jà connues ; elles se composent au-dessous de la peau, de l'extrémité
supérieure
du grand oblique, qui revêt la ceinture abdominal
xtrémités, par les deux dernières côtes et le ligament cintré pour la
supérieure
, et par la crête iliaque pour l'inférieure ; au m
x superficiels des parties génitales, et vont se jeter dans la rangée
supérieure
des ganglions inguinaux. 6° Nerfs. Fournies par l
ion ano-périnéale. La région pubienne, dont le pénil occupe la partie
supérieure
, tire son importance des organes génitaux externe
, le scrotum et les organes qu'il renferme ; chez la femme, la partie
supérieure
de la vulve, dont la moitié inférieure fait parti
itié pénienne, pour entrer dans la vessie, forme un coude à concavité
supérieure
, qui avait motivé celui donné à la sonde par J.-L
crum et le bas-fond de la vessie, en formant une courbure à concavité
supérieure
, puis, au-dessous de la prostate, s'incurve légèr
tion. Le pli inguinal, ou l'aine, est cette ligne oblique à concavité
supérieure
, étendue de l'épine iliaque antérieure à celle du
ati- 1 Planche i, n" 3i ; et planches 7 et 8. ({lies de la rangée
supérieure
inguinale, disposés eu chapelet en travers des gr
son de la saillie plus grande du sacrum. C'est à sa partie moyenne et
supérieure
d'une part, et cle l'autresur le pubis que s'appl
s. 4° Vaisseaux et nerfs. Les artères et veines sont : pour la moitié
supérieure
, les fessières, et pour la moitié inférieure, les
re ou sous-claviculaire ; une inférieure ou axillaire; une externe et
supérieure
ou scapulo-humè-rale; et une postérieure ou scapu
située au-dessous de la clavicule à la partie antérieure et latérale
supérieure
du thorax. Dirigée obliquement du haut en bas et
t, en bas, la naissance des vaisseaux thoraciques longs ; à la partie
supérieure
s'abouche la veine céphalique. Les lymphatiques t
ôtes, l'apophyse coracoide, et, jusqu a un certain point, l'extrémité
supérieure
de l'humérus comme faisant limite. La région so
posantes. i" Peau. D'une texture serrée, adhérente aux os à la partie
supérieure
, elle en est séparée sur l'articulation par une b
t planche 9. lation. Au-dessous du deltoïde se présente l'extrémité
supérieure
del'humérus et l'articulation. La tête humérale,
coracoïdienne et la cavité glénoïde de l'omoplate, et par l'extrémité
supérieure
de l'humérus. Il est évident cpie c'est eu égar
ur gaine os-téo-fibreuse, et, tout-à-fait en bas, une portion du bord
supérieur
du grand dorsal qui bride et contient l'angle inf
veines sont fournies: pour la fosse sus-épineuse, par les scapulaires
supérieurs
; pour les fosses sous-épineuse et sous-scapulaire
re , par la masse du triceps brachial, bombée dans sa portion charnue
supérieure
, aplatie dans sa portion inférieure aponévro-tiqu
ux figurent en grand nombre dans ce groupe. A partir du sillon médian
supérieur
, l'artère et les veines humé-raies se divisent en
aux recouvrant le court supinateur, cpii lui-même environne la moitié
supérieure
du radius. A cette région appartiennent l'artère
et en arrière par une ligne horizontale passant au sommet du triangle
supérieur
poplité. RÉGION INGUINO-FÉMORALE 1. Situation
rieure de la grande région de faîne, située à la partie antérieure et
supérieure
de la cuisse, de forme triangulaire ; elle est li
ses profondeurs. 3° Couche musculaire. Formée en dehors par la partie
supérieure
du couturier et la portion fémorale convexe du ps
n et les luxations de la tête du fémur en bas et en dedans. La partie
supérieure
est l'un des points où se pratique l'incision pou
turier, au sillon des gros vaisseaux; elle est bombée dans sa portion
supérieure
et moyenne par le relief des adducteurs, et aplat
nsible, garnie de follicules sébacés et de quelques poils à la partie
supérieure
, sur-tout dans le pli périnéal. 2° Couche sous-cu
le; de sorte qu'ils se correspondent par leur partie moyenne au tiers
supérieur
de la cuisse. A la partie inférieure, les rapport
hanter et les attaches du grand fessier et du fascia-lata à la partie
supérieure
, et la naissance du genou à la partie inférieure;
par la bandelette fascia-lata, tendon membraneux des muscles fessier
supérieur
et fascia-lata. La couche musculaire est formée u
lienne, vaguement circonscrite entre deux lignes horizontales dont la
supérieure
passe au-dessous des saillies charnues du triceps
4° Vaisseaux et nerfs. Les artères et veines sont : les articulaires
supérieures
et inférieures anastomosées entre elles, de haut
mme bien musclé, la dépression poplitée n'existe que pour le triangle
supérieur
, les jumeaux formant en commun une saillie termin
scles s'inscrit l'aire poplitée de forme losangique, dont le triangle
supérieur
est formé par lecartement des fléchisseurs, et l'
s; (c)la naissance des artères et veines articulaires des deux côtés,
supérieures
et inférieures, et, au milieu, les articulaires m
tique externe et du péroné au tibia. En second plan, mais à la partie
supérieure
seulement, existe l'aponévrose d'insertion commun
iquement la direction de haut en bas; de sorte qu'externe à la partie
supérieure
, il passe au-devant de l'artère et des veines tib
tement de la plaie, très profonde, sur-tout quand on agit à la partie
supérieure
. RÉGION JAMBIÈRE POSTÉRIEURE1. Situation, con
Achille. Déprimée cle haut en bas et saillante au milieu, à la partie
supérieure
, par le relief du tendon, elle présente de chaque
s du coude-pied et des malléoles, elle comprend au-delà toute la face
supérieure
du pied dans ses trois portions, sans autre démar
rme le repli cutané, organe excréteur de l'ongle, qui termine la face
supérieure
en ce sens, protège la pulpe digitale et lui sert
qu'elle est nécessaire et réunit une somme de chances favorables très
supérieure
aux risques qu'elle fait courir. Enfin, on ne doi
n en couchant l'instrument : et, du reste, le bistouri droit est très
supérieur
aux autres pour attaquer les tissus et faire des
ateur, on reconnaîtra combien la première position estle plus souvent
supérieure
à la troisième dans l'application qui leur est co
. Le bistouri tenu dans cette situation, de ses deux faces, l'une est
supérieure
et l'autre inférieure ; son tranchant est tourné
rniers doigts. Le pouce et le médius se font opposition sur les faces
supérieure
et inférieure de l'instrument. L'indicateur est p
ts, demi fléchis, fixent l'extrémité libre du manche contre la partie
supérieure
et interne de l'éminence hypothénar. Cette positi
plusieurs, on doit affronter d'abord la partie moyenne, puis l'angle
supérieur
de la plaie, avant de passer les aiguilles interm
s aiguilles étant placées, on passe un second fil ciré sur l'aiguille
supérieure
; on en rabat les extrémités latéralement, et on l
ut pour lequel il a été inventé. 3° Artère humerak. (a) A sa partie
supérieure
, au-dessous du tendon du grand pectoral, où elle
teurs, ne nous paraissent pas applicables en ce point. (b) Au tiers
supérieur
ou à la partie moyenne de la cuisse, la compressi
u à des signes de plé thore sanguine vers la tête et les extrémités
supérieures
. Pour bien comprimer du premier coup, la pelote d
e principalement dans les opérations pratiquées près de la veine cave
supérieure
, à la base du cou ou de la poitrine ; dans ce cas
urte, enlever en dédolant ou en pressant avec les ciseaux les couches
supérieures
centrales et le bourrelet de circonférence, jusqu
ns un fauteuil, l'opérateur placé devant lui commence par la mâchoire
supérieure
, la main gauche servant à écarter les lèvres et d
de leur contour sur laquelle on agit. i ° Pour les dents incisives
supérieures
, la rugine à bec d'âne, tenue à pleine main comm
appuyée sur la poitrine de l'opérateur. 2° Pour les dents molaires
supérieures
, employer sur la face externe la rugine en biseau
e inférieure, mais à-peu-près impraticable pour celles de la mâchoire
supérieure
. La dent étant préparée et asséchée comme il a
sage fait préférer la luxation vers la grande courbure. 20 Mâchoire
supérieure
. (Pl. 24 et 2 5.) L'opérateur est placé debout, d
utefois, quand les racines sont peu longues, comme pour les incisives
supérieures
, Laforgue recommande l'usage de la pince des horl
ttre beaucoup de précaution à l'extraction des canines de la mâchoire
supérieure
, vu l'extrême longueur de leur racine cpii se fra
, est toujours, chez le même sujet, plus prononcée au bord alvéolaire
supérieur
qu'à l'inférieur, et que la déformation augmente
vité abdominale; enfin, dans presque toute l'étendue des deux membres
supérieurs
et inférieurs. Dans les névralgies, les vésicatoi
en former un pli vertical, à large base, dont il fait tenir la partie
supérieure
par un aide. Dans ce premier temps, on doit, en f
ectées d'œdème ou d'engor-gemens chroniques; 4° les parties latérales
supérieures
et postérieures du cou, dans les angines et les d
ur remédier à une perte de substance de l'aile du nez et de la partie
supérieure
de la joue, M. Roux tailla aux dépens de la lèvre
e la lèvre inférieure un lambeau à pédicule qu'il greffa sur la lèvre
supérieure
, comme un intermédiaire obligé de passage entre;
les plans, la peau de la tête offre anatomiquement une garantie très
supérieure
à celle des autres régions. 3° La taille du lam
en avec le tiers inférieur, a été suivie de l'atrophie des deux tiers
supérieurs
.Pourtant , quant à la considération de ménager le
s, par l'auriculaire postérieure, et, au-dessous, par la thyroïdienne
supérieure
. Aujourd'hui M. Guérin remet en usage la section
econd. Le malade est couché sur un lit relevé en pente sous la partie
supérieure
du corps. Un aide maintient la tête inclinée du c
fort volume ; en arrière, les cervicaux transverses, les scapulaires
supérieurs
, les thyroïdiens inférieurs, à leur origine; en
l coup jusqu'à l'os. Ecartant les lèvres de la plaie on isole le bout
supérieur
du nerf, on le saisit avec des pinces à disséquer
'extérieur, à sa sortie par le trou sous-orbitaire, situé à la partie
supérieure
de la fosse canine, à quatre lignes au-dessous du
(Pl. a3, fig. ~. Dans cette opération, qui se pratique sous la lèvre
supérieure
, pour éviter une cicatrice à la figure, le chirur
ien relève fortement, avec le pouce et l'indicateur gauches, la lèvre
supérieure
vers la fosse canine; si la bouche est étroite, i
e l'opérateur isole le bord externe de l'élévateur propre de la lèvre
supérieure
, au-dessous duquel se dégage le faisceau vasculai
duquel se dégage le faisceau vasculaire, entre ce muscle et l'attache
supérieure
du canin laissé en dehors et en arrière. Si l'on
'isoler et d'en faire l'incision et l'excision. Section à l'orifice
supérieur
du canal dentaire. ( Procédé de M. Warren.) Dirig
divisions, l'occipitale, l'auriculaire postérieure et la pharyngienne
supérieure
; enfin plus profondément, derrière le faisceau de
strument tranchant. Le chirurgien écarte en haut l'artère auriculaire
supérieure
, en bas l'artère occipitale, isole et refoule en
et la cloche se détache. C'est ici que la ventouse à pompe est très
supérieure
, puisqu'elle permet de taire de nouveau le vide,
légères des rameaux vers les troncs, refoule le sang vers les parties
supérieures
; le pouce alors s'abaisse à deux pouces environ a
e et de la médiane commune, excepté, pour cette dernière, à sa partie
supérieure
, au point de bifurcation, où l'on risque de bless
en avant par le principal courant lymphatique rubané, et, à sa partie
supérieure
, elle croise en arrière les rameaux du nerf cutan
ur la plaie, en laissant pendante une extrémité sur la partie externe
supérieure
de l'avant-bras. On environne le membre par une s
veine au-dessous de la malléole. C'est donc au milieu ou à la partie
supérieure
de cette apophyse, et vers le bord externe et pos
ployé. Ce chirurgien propose d'ouvrir la veine céphalique à sa partie
supérieure
, par une incision clans le sillon compris entre l
elquefois assez pour que la recherche en soit laborieuse, et au tiers
supérieur
du deltoïde elle passe sur la branche deltoïdienn
r du deltoïde elle passe sur la branche deltoïdienne de la thoracique
supérieure
cpii peut être coupée. De préférence au lieu indi
émorragie en retour que les anastomoses pourraient causer par le bout
supérieur
du vaisseau. Quelques tours débande un peu serrés
sure que le sang pénètre, on facilite sa transmission dans les veines
supérieures
par de légères frictions de la plaie vers l'aisse
quand les veines sont lésées, et qui le fait remonter dans les veines
supérieures
quand les vaisseaux sont intacts, a reçu assez im
le inférieur de la plaie ; saisissant ensuite avec des pinces le bout
supérieur
, on l'incise avec des ciseaux près de l'angle sup
inces le bout supérieur, on l'incise avec des ciseaux près de l'angle
supérieur
de la plaie : la rétraction de chacun des bouts,
sur la face antérieure du ligament inter-osscux dans ses trois quarts
supérieurs
, et sur le tibia dans son quart inférieur, elle e
euses et du voisinage de l'articulation ; on évite également le tiers
supérieur
, à cause de la profondeur du vaisseau, sauf les c
laie. Alors, suivant que l'on agit à la partie moyenne ou à la partie
supérieure
de la jambe, chercher, à l'œil ou au toucher, soi
ieur. Modification de M. Lisfranc. Pour le cas de ligature au tiers
supérieur
, afin de rencontrer plus sûrement l'interstice mu
ecouvert par la peau, l'aponévrose jambière et, dans ses trois quarts
supérieurs
, les muscles jumeaux et soléaire, dont l'épaisseu
'espèce des tissus. Ces considérations se résument sur trois parties,
supérieure
, moyenne et inférieure, constituant les trois lie
ans cette région. Le fond de la plaie alors est formé, dans sa moitié
supérieure
, par le bord du soléaire, la moitié inférieure ét
t point quelconque de la longueur de la plaie. 3° Ligature au tiers
supérieur
de la jambe. L'artère est encore ici plus éloigné
situation, l'origine de l'artère correspond un peu au-dessus du tiers
supérieur
de la jambe et un peu en dedans de la partie moye
sur le muscle long fléchisseur propre du gros orteil, à son extrémité
supérieure
, le refouler en dehors et inciser avec précaution
uille à suture, la ligature médiate de l'artère péronière à sa partie
supérieure
. Artère poplitée (pl. 38) '. Situation. Logée
usque sous l'arcade du soléaire sur la ligne médiane, et au cinquième
supérieur
de la jambe, elle est légèrement flexueuse en dem
les masses musculaires des fléchisseurs de la jambe pour le triangle
supérieur
et des jumeaux pour l'inférieur. Lieux d'électi
s veines poplitée et saphène postérieure, préférablement vers l'angle
supérieur
de la plaie dans l'écartement des muscles fléchis
en haut, et sera plus longue, si l'artère doit être liée à sa partie
supérieure
, où sa profondeur est d'environ cinq centimètres.
même une des artères jambières à son origine. Ligature à la pairie
supérieure
ou dans un lieu non déterminé à l'avance. {Procéd
de dix centimètres avec une légère inclinaison en dedans à la partie
supérieure
. M. Marshal recommande une incision de onze centi
ou d'arrivée, suivant le côté gauche ou droit, le sommet du triangle
supérieur
, pour croiser, un peu en diagonale, la direction
e des doigts le sillon du jumeau interne en descendant de l'extrémité
supérieure
entre le bord du muscle et l'angle interne du tib
he inciser dans l'étendue de huit centimètres en commençant à l'angle
supérieur
au-dessous des tendons prétibiaux; la peau étant
ne en diagonale de haut en bas et d'avant en arrière les trois quarts
supérieurs
de la cuisse avec une demi-torsion spirale de la
itié intermédiaire : de sorte que le faisceau vasculaire, à son quart
supérieur
, est placé en dedans de ce muscle, et fortifié da
, préférablernent dans la portion de J'espace qui fait suite au tiers
supérieur
; 3° à l'extrémité supérieure, au-dessous de l'aîn
rtion de J'espace qui fait suite au tiers supérieur; 3° à l'extrémité
supérieure
, au-dessous de l'aîne ou de l'arcade crurale; 4°
r positivement de la direction de l'artère à ses battemens. La moitié
supérieure
du sillon, occupée par la gaîne, est grisâtre, mo
eur. 2° Ligature sous le couturier, à la partie moyenne ou au tiers
supérieur
(pl. 39, fig. 2 et 3). On considère comme une m
opération, de lier l'artère fémorale à la partie moyenne ou au tiers
supérieur
de la cuisse. Sans doute, au point de vue chirurg
sur le bord interne du couturier (Hunteret M. Lisfranc) pour le tiers
supérieur
de l'espace jusqu'à une longueur de dix à douze c
récédemment. B. Partie moyenne de l'espace sous le couturier (tiers
supérieur
de la cuisse). Procédé de Desault. Inciser en deu
découvert dans la plaie, se conduire comme précédemment. C. Partie
supérieure
de l'espace sous le couturier (quart supérieur de
édemment. C. Partie supérieure de l'espace sous le couturier (quart
supérieur
de la cuisse). Procédé de Hanter, modifié par M.
térieure, se conduire comme précédemment. 3° Ligature à l'extrémité
supérieure
de la cuisse (espace sous-aponé-vrotique). Procéd
quatre centimètres près la même que celle qui s'effectue à la partie
supérieure
de l'espace sous le couturier. Nous n'avons donc
fessière. Situation. L'artère fessière sort du bassin parla partie
supérieure
de la grande échancrure sciatique, placée entre l
une ligne oblique qui de la saillie de l'épine iliaque postérieure et
supérieure
vienne tomber entre la grosse tubérosité sciatiqu
sciatique et le grand trochanter : c'est environ aux deux cinquièmes
supérieurs
de cette ligne que l'artère fessière sort du bass
peu en dehors; au-dessous de lui est le faisceau vasculaire, l'artère
supérieure
et plus profonde, la veine postérieure et inférie
érentes, à la face dorsale de la main, au tiers inférieur et au tiers
supérieur
de l'avant-bras. i° Ligature à la face dorsale
en amenant vers soi et pratiquer la ligature. 3° Ligature au tiers
supérieur
de [avant-bras (pl. La bifurcation de l'artère
son insertion à la tubérosité du radius, l'artère radiale à son tiers
supérieur
descend presque verticalement, mais avec une légè
quée, dans une étendue de six à sept centimètres, en arrêtant l'angle
supérieur
de la plaie à deux centimètres du plan inter-arti
difficiles. D. M. Malgaigne, adoptant le point de départ de l'angle
supérieur
prescrit par M. Lisfranc, conduit son incision de
ît la plus sûre : seulement, pour fixer le point de départ de l'angle
supérieur
; au lieu de la désignation vague du milieu du pli
nts : au poignet, au tiers inférieur, à la partie moyenne ou au tiers
supérieur
de lavant-bras. i0 Ligature au poignet. Situé
en dedans ou vers soi. y Ligature cï la partie moyenne ou au tiers
supérieur
de l'avant-bras. Jusqu'à la hauteur de ses deux
plus haut ; au-dessus de ce point, c'est-à-dire dans sa demi-longueur
supérieure
, l'artère cubitale est appliquée, avec ses deux
par le fléchisseur sublime et le cubital antérieur jusqu'à son arcade
supérieure
, dans une longueur de huit à neuf centimètres, et
eux dans une longueur de sept à huit centimètres, en arrêtant l'angle
supérieur
de la plaie environ à cinq centimètres de la sail
lée quand on a atteint la face postérieure. B. Ligature à la partie
supérieure
de l'avant-bras. Pratiquée une fois avec succès
se dans cette direction sur une longueur de huit centimètres, l'angle
supérieur
s'arrêtant à trois centimètres au-dessous de la s
bras au-dessus de sa bifurcation, sa partie moyenne, et son extrémité
supérieure
à la sortie de l'aisselle. Manuel opératoire.
dedans en dehors en évitant le nerf médian. 3° Ligature à la partie
supérieure
du bras (pl. 42, fig. 1 ) '. Procédé de M. iÀsf
s vaisseaux acromio-thoraciques et les rameaux des nerfs thora-ciques
supérieurs
, et, un centimètre et demi plus bas, l'origine de
rière sont les nerfs médian, musculo-cutané et radial, et à la partie
supérieure
est la veine céphalique qui traverse la plaie de
u deltoïde et du grand pectoral, une incision curviligne, à concavité
supérieure
, dans presque toute l'étendue de la clavicule, en
ets jugulaires externe et sous-clavier ; 4° les vaisseaux scapulaires
supérieurs
et cervico-trans-verses, qui parcourent la plaie
edans, en bas les ganglions lymphatiques et les vaisseaux scapulaires
supérieurs
, en haut les vaisseaux cervico - transverses et l
côté interne du muscle : nous y ajouterions aussi l'artère scapulaire
supérieure
, qui croise le tendon en avant, et, jusqu'à un ce
yoïdien et la glande thyroïde; en haut, par les vaisseaux thyroïdiens
supérieurs
. Lieux d'élection. On peut lier la carotide à t
eu habituel d'élection on choisit, comme étant plus facile, la partie
supérieure
sur le côté du cartilage thyroïde : mais comme li
s près de son origine. Manuel opératoire. i° Ligature à la partie
supérieure
(pl. 45 , fig. i. A et A3). Le malade étant cou
n faire la section entre deux ligatures dans la crainte, pour le bout
supérieur
, d'une hémorragie interstitielle, qui gênerait l'
milieu du pli inguinal intermédiaire de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à celle du pubis, point auquel nous avons vu que
us et à quatre centimètres en dedans de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
. La peau étant coupée, diviser avec ménagement le
s centimètres au-dessus et eu dedans de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
. Procédé de sir A. Cooper. Pratiquer, au lieu d
'incision recti-ligne précédente, une incision curviligne à concavité
supérieure
et interne, qui du bord de l'anneau inguinal exte
tière de Pou part jusqu'à la hauteur de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
. La peau, le fascia su-perfîcialis et l'aponévros
l'artère. Sous ce rapport le procédé original d'Abernethy est demeuré
supérieur
à tous les autres, parce qu'il permet de lier l'a
plutôt pour objet de permettre la ligature vers la partie moyenne ou
supérieure
. Le procédé de sir A. Cooper ne permet de lier av
in M. Malgaigne propose une modification pour la ligature à la partie
supérieure
, mais elle nous paraît comprise clans le procédé
pt centimètres, embrassent en arrière dans leur écartement le détroit
supérieur
du bassin : celle de gauche est antérieure et ext
ine iliaque, et décrivant un trajet curviligne à concavité interne et
supérieure
. Nous n'insisterons pas sur les circonstances ult
ignant au chirurgien de « découvrir l'artère vers sa racine et partie
supérieure
, et la lier sans autre cérémonie (in-fol., p. 699
s toute sa longueur, en vide et en nettoie la cavité, cherche le bout
supérieur
de l'artère, y introduit le bec d'une sonde pour
alade a guéri. Modification de Sabatier. Pour un anévrisme au tiers
supérieur
de la cuisse, Sabatier, ayant établi une compress
sse aucune ressource après lui, s'il arrivait que la ligature du bout
supérieur
vînt à se détacher. Ligature simple. Cette form
er sa cavité; aller à la recherche de l'orifice d'abouchement du bout
supérieur
du vaisseau et y introduire, pour le soulever, le
la pointe du bistouri qu'il dirige en appuyant doucement sur la face
supérieure
de la lame avec l'extrémité du doigt indicateur d
interrompt le cours en fermant la plaie par l'abaissement de sa lèvre
supérieure
avec le doigt indicateur, et on l'empêche de se r
s des deux mains, on fait circuler les corps qu'ils renferment du sac
supérieur
dans le sac inférieur. En les ouvrant, on les tro
éri une tumeur à Xantre dHyghmore, et Arendt une autre de la paupière
supérieure
. l\° Une tumeur à Xoreille (Dupuytren) a reparu a
roduire le séton. Wardrop, ayant affaire à une pseudarthrose du tiers
supérieur
du fémur, reconnut le bout qui appartenait au fra
iers supérieur du fémur, reconnut le bout qui appartenait au fragment
supérieur
et pratiqua directement au-dessus, en suivant le
fuhr. Chez un enfant cle cinq ans, à la suite d'une fracture du tiers
supérieur
clu fémur, les fragmens déplacés en haut et en de
rurgie, que « lorsqu'une maladie réside principalement dans la partie
supérieure
de l'humérus on ne doit dénuder et scier que la p
icu-« fièrement pour l'articulation du genou. » Mais dans les membres
supérieurs
, où la conservation des mouvemens est si précieus
* tions ont des avantages éviclens, particulièrement pour les membres
supérieurs
et dans certains cas spéciaux (pie nous indiquero
tacarpo-phalangienne, suivant que l'on a pour but d'enlever la moitié
supérieure
ou la moitié inférieure de l'os. Après avoir conv
er ou en emporter, suivant les cas, un ou plusieurs ou même la rangée
supérieure
tout entière. Procédé de M. Dubled. Ce procédé,
viron vers le milieu de sa cliaphyse. On a alors deux fragmens : l'un
supérieur
tenant au bras, l'autre inférieur tenant au carpe
mportance qu'elle mérite. Les fractures comminutives de l'extrémité
supérieure
de l'humérus avec plaie des tégumens, les luxatio
iennes à treize millimètres (six lignes) au-dessous de leur insertion
supérieure
et rabattre sur le bras le lambeau quadrilatère q
dehors et divisent les fibres deltoïdiennes près de leurs insertions
supérieure
et inférieure. Il en résulte un lambeau quadrilat
en arrière et un peu en haut, cle manière à former un lambeau à base
supérieure
et postérieure (pl. 58, fig. i et 2). Procédé d
de l'humérus, recourir à une seconde incision partant cle l'extrémité
supérieure
de la première, vers l'acromion , et se dirigeant
écuté d'après le procédé de M. Lisfranc, lui paraît incontestablement
supérieur
(procédé de désarticulation cle l'épaule, cle M.
rticales de huit centimètres (trois pouces) dont les deux commissures
supérieures
sont représentées par les points d'entrée et de s
, permettent de soulever ce premier pont clermo-musculaire externe et
supérieur
, formé par la peau et la majeure partie de la mas
Appréciation. Lorsqu'après une fracture comminutive de l'extrémité
supérieure
de l'humérus on veut seulement extraire les esqui
fit chevaucher l'extrémité interne de la clavicule derrière la partie
supérieure
du sternum, de manière à comprimer l'œsophage et
de l'articulation sterno-claviculairc, un lambeau quadrilatère à base
supérieure
. C'est dans la même intention que M. Velpeau reco
e pour détacher la tumeur de bas en haut ; éleva une seconde incision
supérieure
dirigée de l'a-cromion au bord externe de la jugu
de par trois incisions circonscrivant un lambeau quadrilatère, à base
supérieure
, qui serait disséqué et relevé en haut. On conçoi
ection oblique du cuboïde, de manière à réséquer la moitié de sa face
supérieure
et presque toute sa face externe, et enleva égale
ités inférieures des deux os de la jambe conjointement avec la partie
supérieure
de l'astragale, ou bien se borner à l'extraction
de réséquer facilement avec la gouge ou la scie à chaîne l'extrémité
supérieure
de l'astragale, si le cas pathologique l'exige.
e pas d'altération, autrement il serait facile d'en enlever la partie
supérieure
à l'aide du ciseau et du maillet ou préférablemen
ur ainsi dire que comme accessoire dans la composition des deux tiers
supérieurs
de la jambe, cette condition permet d'enlever san
inconvénient une partie considérable de sa diaphyse ou son extrémité
supérieure
isolément. i° Extraction du corps du péroné par
re et peu profonde, se cicatrise bien. 20 Extraction de l'extrémité
supérieure
du péroné. Procédé de l'auteur (pl. 61, fig. 4).
cuisse, tracer au-dessus de la rotule une incision courbe à convexité
supérieure
qui s'étende d'un ligament latéral à l'autre et p
ire et avec les précautions convenables. Pour mettre à nu l'extrémité
supérieure
du tibia, on prolonge les deux incisions vertical
de White. Suivant Briot, ce procédé consiste à pratiquer à la partie
supérieure
et externe de la cuisse une grande incision qui d
entimètres (trois pouces) au-dessous de cette saillie. De l'extrémité
supérieure
de cette première incision, qui divise la peau et
es os de la face. Si, parmi tous les os de la face, les maxillaires
supérieur
et inférieur sont les seuls dont on ait soumis le
quent d'être suivi. RÉSECTION ET EXTIRPATION COMPLÈTE DU MAXILLAIRE
SUPÉRIEUR
. Depuis long-temps on pratiquait la résection p
is long-temps on pratiquait la résection partielle de l'os maxillaire
supérieur
pour des caries, des fongus, des cancers, des ost
au niveau du grand angle de l'oeil et se termine en divisant la lèvre
supérieure
vers la dent canine, l'autre part à environ quato
as et d'avant en arrière qui divisera du même coup le nerf maxillaire
supérieur
et les connexions de l'os avec l'apophyse ptérygo
de M. Velpeau. (A) Chez un malade qui portait un cancer du maxillaire
supérieur
gauche, M. Velpeau commença par faire une incisio
ouvrant le dos du nez, ouvrit la narine de ce côté et sépara la lèvre
supérieure
en deux parties : joignant alors ces deux incisio
x lambeaux sont rapprochés sur la ligne médiane et réunis à la partie
supérieure
par la suture entortillée et à la partie inférieu
s pratiquer une seconde incision prenant son origine vers l'extrémité
supérieure
de la première et se prolongeant le long du bord
drait de cette façon deux lambeaux latéraux au lieu d'un seul lambeau
supérieur
. 5° Ablation totale de la mâchoire (pl. 65 , fi
pouce et de l'éminence thénar; toutefois nulle méthode ne nous paraît
supérieure
à I ovalaire, qui convient également à tous les m
qu'à la commissure, reporterie bistouri sur sa face dorsale à l'angle
supérieur
de la plaie, contourner la face latérale clu méta
in que les accidens inflammatoires sont plus redoutables cpi'au tiers
supérieur
. Toutes ces raisons ont été démontrées illusoires
bras se trouve au côté externe du tendon clu grand palmaire, au tiers
supérieur
elle marche entre le long supinateur, le rond pro
airs superficielles rétractées. Cette modification est sans contredit
supérieure
et à l'ancienne méthode et au procédé plus récent
e l'avant-bras , et conseillent la dissection des té-gumens. Au tiers
supérieur
du membre, M. Malgaigne propose, dans son Anatomi
de trois centimètres, dénude en 8 de chiffre et scie les os. Au tiers
supérieur
il suit le procédé de M. Sédillot, seulement il f
les tendons, et former u::c cicatrice prompte et solide. A la partie
supérieure
on a des chairs en assez grande quantité pour êtr
iée. L'opérateur se place toujours en dehors quand il ampute au tiers
supérieur
, plus bas il y a de l'avantage à se placer en ded
Ce chirurgien ne pratiquait de lambeau que pour l'amputation au tiers
supérieur
. MM. Bégin et Sanson, qui ont étendu cette méthod
une méthode que l'auteur cherche à généraliser. amputation au tiers
supérieur
. Les tentatives des chirurgiens pour balancer l
er de l'os le lambeau circonscrit par ces quatre incisions. Lambeau
supérieur
(Chélius). Pratiquer deux incisions longitudinale
les : l'une sur l'espace inter-osseux, l'autre sur le bord interne et
supérieur
du métatarsien; puis une troisième circulaire r
ce in ter-osseux dans toute son épaisseur, réunissait les deux angles
supérieurs
de la plaie par une incision circulaire qui intér
al à l'aide de deux incisions dont l'une porte sur le bord interne et
supérieur
, et l'autre sur la face plantaire. Amputation d
nt applicable. La modification deZang est sans importance; le lambeau
supérieur
n'est qu'un procédé d'exception : celui qui donne
aisons sont suffisantes pour motiver un choix que nulle considération
supérieure
ne venait infirmer. Mais si, d'un côté, la mécani
l'artère fémorale, les perforantes, et diverses musculaires; au tiers
supérieur
on trouve en plus, outre des branches musculaires
n de l'épaule et de la hanche quand la corruption gagnait les parties
supérieures
de la cuisse (fenioris) et du bras (brachii), et
ens, une soustraction de parties qu'il faudrait étendre à la fraction
supérieure
du membre dans sa continuité. AMPUTATION DANS L
par Leblanc, elle est généralement rejetée, les autres lui étant très
supérieures
. Voici du reste le procédé de M. Cornuau. La main
érale se compose d'une demi-sphère osseuse reçue dans une demi-cavité
supérieure
ostéo-fibreuse; en haut la voûte acromio-clavicul
inciser le ligament coraco-huméral, le tendon du biceps et le contour
supérieur
de la capsule; luxer vers soi la tête de l'os, gl
au contour de l'os et faire écarter rapidement les chairs au contour
supérieur
: 20 par une incision demi-circulaire couper les
Il diffère du précédent : i° par l'allongement du lambeau externe et
supérieur
, coupé à trois travers de doigt au-dessous de l'a
pour la ligature préalable. Procédé de La Paye (lambeau externe et
supérieur
). Pratiquer d'abord dans l'épaisseur du deltoïde
ction de la tête humérale. Procédé de Dupuytren (lambeau externe et
supérieur
). Attribué à ce chirurgien, dont il porte le nom,
, et tailler, de la profondeur vers la surface, un lambeau externe et
supérieur
de la longueur convenable. Formule de Dupuytren
e l'aisselle, à six centimètres au-dessus du pli cutané, le tranchant
supérieur
légèrement incliné en haut. Piquer sur la tête hu
nc, le lambeau interne de Delpech, ou au besoin un lambeau uniquement
supérieur
ou inférieur. AMPUTATION DE L'ÉPAULE AVEC LE BR
t le ligament cunéo-métatarsien sur la face interne, puis sur la face
supérieure
; enfoncer obliquement le bistouri, le tranchant e
Pérault, chirurgien de Touraine, pour un cas d'attrition de la partie
supérieure
de la cuisse par un timon de voiture; le malade g
quer la désarticulation coxo-fémorale sont : l'attrition de la partie
supérieure
de la cuisse par un projectile ou à la suite d'un
ite d'un coup très violent, les fractures comminutives de l'extrémité
supérieure
du fémur et, comme dans les résections, toutes le
es à en déterminer la position. i° De l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, en abaissant une ligne verticale à cinq centimèt
-dessous et deux centimètres plus en dedans, est le rebord externe et
supérieur
de la cavité cotyloïde. 20 Du milieu de la symphy
olongée de huit centimètres (trois pouces) atteint le bord interne et
supérieur
de la cavité cotyloïde. 3° A partir du point indi
t pratiquer tune incision demi-circulaire qui, delà partie externe et
supérieure
du grand trochanter, descende en arrière vers la
donne une plaie d'un écarte-ment un peu trop considérable à son angle
supérieur
et difficile à maintenir réunie par manque d'une
vant et en arrière, les deux incisions obliques qui forment la partie
supérieure
de l'ovale : le reste de l'opération se pratique
3, 224. — De l'articulation -coxo-fémorale, 224, 225. — Du maxillaire
supérieur
, 225, 226. — Du maxillaire inférieur, 226—228. —
1° TÊTE. A. Os malaire. 13. Os maxillaire inférieur, la partie
supérieure
de la branche étant enlevée pour montrer la fosse
ien, dont une portion est enlevée. h. Mylo-hyoïdien. 3° EXTRÉMITÉ
SUPÉRIEURE
DU TRONC. D. Clavicule. E,E. Les deux premièr
e primitive. 2. Veine jugulaire interne. 3. Vaisseaux thyroïdiens
supérieurs
. 4. Veine thyroïdienne moyenne. 5. Veines thy
es. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. CÔTÉ DROIT. A. Face
supérieure
de la vessie. B. Milieu du trigone vésical, ent
t les hernies. Au CONTOUR DES DEUX COTES. 1. Disque de la surface
supérieure
de la quatrième vertèbre. 2. Section du psoas.
RÉGION FESSIÈRE. Côté gauche. D. Loge musculaire du grand fessier
supérieur
(abducteur de la jambe ). 16. Nerfs fessiers.
u pyramidal avec ses vaisseaux et ses nerfs. I K. Loges des jumeaux
supérieur
et inférieur avec leurs vaisseaux et leurs nerfs.
ère la gaîne des muscles pectoraux; 3° la région brachiale interne et
supérieure
. 1° Creux de l'aisselle. 5. Masse de ganglion
s branches inférieures du plexus qui les accompagnent. G. Extrémité
supérieure
de la loge du grand dorsal avec ses vaisseaux e
tion entre la région sous-claviculaire et la région brachiale interne
supérieure
. A son extrémité il se perd sur le tendon du musc
infundibulum, avec les gros vaisseaux. 3° Région brachiale interne
supérieure
. M. Portion de la loge du biceps, dont le muscl
tails intérieurs. A. Intérieur de Vanneau inguinal. 1. 1. Segment
supérieur
de l'aponévrose du grand oblique ren- versé en
ses nerfs. K. Portion de l'aponévrose fémorale qui revêt l'extrémité
supérieure
coupée du droit antérieur. L. Aponévrose fascia
ET NERFS DES RÉGIONS INGUINALE, ABDOMINALE INFÉRIEURE ET FÉMORALE
SUPÉRIEURE
. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. INDICATION DES L
vu en transparence derrière le feuillet postérieur. K. Extrémité
supérieure
de la loge du droit interne. L. Extrémité supérie
. K. Extrémité supérieure de la loge du droit interne. L. Extrémité
supérieure
de la loge du couturier. M. Loge du droit antérie
u couturier. M. Loge du droit antérieur de la cuisse. 26. Extrémité
supérieure
coupée dans le point où elle contourne la saill
s vaisseaux; on voit en trans- parence le nerf cubital. K. Partie
supérieure
de la loge du long supinateur et du premier radia
ache du deltoïde. —- Figure 3. Section de l'avant-bras dans sa partie
supérieure
la plus large. — Figure 4. Section de l'avant-bra
s. C. Loge du triceps. D. Loge du coraco-brachial. E. Extrémité
supérieure
de la loge du brachial antérieur. 1. Vaisseaux
jumeau interne. 19. Vaisseaux sanguins. 20. Nerfs. L. Extrémité
supérieure
de la loge du soléaire» 21. Vaisseaux tibio-pop
ns son aponévrose de contention. P. Q. Loges des deux grands fessiers
supérieur
et inférieur vues ou profil. 23. Vaisseaux sang
ies par les vaisseaux péroniers. C. Loge dusoléaire vue à la partie
supérieure
, au profil. D. Loge du jumeau externe vue sur l
Artère poplitée. 2. Veine poplitée. 3. 4. Vaisseaux articulaires
supérieurs
, externes et internes. 5, 6. Vaisseaux articulair
sion cruciale, le bistouri et la pince occupés à disséquer le lambeau
supérieur
gauche, la main qui tient Je bistouri en cinquièm
laire, et à repousser le tronc du pneumo-gastrique, le nerf cardiaque
supérieur
et le filet du grand lymphatique, si quelques sym
nu par deux petits coulants métalliques (h, h). Le lacs sur la plaque
supérieure
(e) est fendu longitudinalement pour le passage d
esseur de J. L. Petit, légèrement modifié par M. Charrière. La plaque
supérieure
(e) est diminuée d'étendue, et le lacs, en passan
re représente la compression de l'artère en deux points : à sa partie
supérieure
et à sa partie moyenne. COMPRESSION PUBIENNE.
ivie de résection. Le doigt indicateur d'un aide maintien la paupière
supérieure
abaissée, tandis que celui de la main gauche de l
de la seconde petite molaire du bord alvéolaire gauche de la mâchoire
supérieure
avec la clef à panneton garni (n°6, pl. 26). Fi
a seconde dent grosse molaire du bord alvéolaire droit de la mâchoire
supérieure
avec la clef tournante (n°8, pl. 26). Figure 5.
e opération pratiquée sur la première incisive droite du maxillaire
supérieur
. PLANCHE 25. Figures 1 et 2. Extraction des d
che. Figures 3 et 4. Extraction des dents de sagesse de la mâchoire
supérieure
avec le crochet en Z sur la clef de Garengeot. —
ure 6. (a) Extraction d'une canine saillante en dedans, à la mâchoire
supérieure
. L'opération est figurée avec la pince des horlog
hoire inférieure. (b) Luxation de la racine de la première incisive
supérieure
gauche avec le levier (n° 29), la racine ébranlée
27), d'une double racine de dent grosse molaire cariée de la mâchoire
supérieure
. (b) Extraction, avec le davier, d'une racine v
vacillante ou précédemment luxée de la seconde petite molaire gauche
supérieure
. INSTRUMENS QUI SERVENT A L'EXTRACTION DES DENT
s aux treuils, sur le plan inférieur (a) de l'instrument. Sur le plan
supérieur
(b), un bouton métallique (1) commande une vis de
oracique (fig. 2). 2. Ajutage en cuivre, qui s'adapte à l'extrémité
supérieure
du membre. 3. Bourrelet circulaire, formé par l
quer la hauteur du mercure, et peut indiquer une hauteur barométrique
supérieure
à un quart d'atmosphère. (B) Pompe. Cette pom
ties molles a permis la dilatation plus considérable, entre le collet
supérieur
de rétrécissement de la clavicule et un collet in
ausé par la veine basilique. M. Dilatation commençante de la partie
supérieure
de l'artère brachiale au-dessous du collet d'étra
, recouverte et bridée par le muscle petit pectoral. B. Extrémité
supérieure
de l'artère axillaire s'ouvrant dans la tumeur.
e est rétrécie par les tendons des jumeaux, et aplatie dans sa moitié
supérieure
par les tendons fléchisseurs de la jambe. énumé
Elle est recouverte d'un lacis de vaisseaux variqueux. B. Portion
supérieure
de la tumeur. C. Point d'aplatissement moyen fo
tique poplité interne, rejeté en dehors de la tumeur. I, I. Extrémité
supérieure
des jumeaux, dont on a enlevé la portion qui reco
couvrait la tumeur. K. Extrémité inférieure des jumeaux. L. Extrémité
supérieure
du soléaire. M. Muscle poplité. N. Tendons des
endineux, demi-membraneux et droit interne), qui revêtent l'extrémité
supérieure
de la tumeur. FIGURE 2. ANÉVRISME POPLITÉ. CO
ntérieure de la poche anévrismale. B. Artère poplitée. C. Orifice
supérieur
de l'artère poplitée (ouvrant dans la tumeur).
eur anévrismale convertie en un ruban ligamen- teux. 2. Extrémité
supérieure
oblitérée delà portion de l'artère poplitée qui
oblitérées. 5,5. Branches anastomotiques provenant des collatérales
supérieures
et inférieures qui remplacent les articulaires mo
ns un état d'extrême dilatation, qui se jettent dans les articulaires
supérieures
, elles-mêmes augmentées de volume, pour former, a
astomotiques d'un fort volume. 8. Branche de terminaison de la partie
supérieure
du tronc poplité, oblitérée inférieurement en cul
S. LIGATURE DE L'ARTÈRE TIBIALE ANTÉRIEURE. 1° (A et A2) Au tiers
SUPÉRIEUR
de la jambe. 1. Section de la peau. 2. Sectio
ection de l'aponévrose jambière, doublée en ce point par l'aponévrose
supérieure
d'insertion du jambier antérieur et du long exten
répète la fig. 1, en donnant l'anatomie chirurgicale des deux plaies
supérieures
. Figure 3. Ligature de l'artère péronière au mi
sseau est engagée la sonde cannelée. 3° (C et C'2) Fig. 2. Au tiers
supérieur
de la jambe. La plaie est maintenue écartée en
re poplitée. 9. Aiguille anglaise, passée sous l'artère à la partie
supérieure
de la plaie. 10. Sonde cannelée, passée sous l'
li du coude ; 2° Artère cubitale, dans trois points ; (B) à la partie
supérieure
de sa portion antibrachiale ; (C) dans sa portion
ndon du biceps humerai. LIGATURE DE L'ARTÈRE CUBITALE. 1° Portion
supérieure
antibrachiale. (B) Figures 1, 2, et B2. — (a) D
f radial.— 6. Artère radiale, entre ses deux veines (7, 7). Portion
supérieure
antibrachiale. (Voyez , pour P opération , pl. 41
omie chirurgicale, la figure (G2). 2° (F) Artère radiale, à la partie
supérieure
de l'avant-bras. 3° Artère cubitale, dans deux po
t F2) Fig. 1, et Pl. 40. LIGATURE DE L'ARTÈRE RADIALE, a sa portion
supérieure
antibrachiale. 1. Section de la peau. — 2. Sect
igature de l'artère axillo-brachiale, ou plus exactement de la partie
supérieure
de l'humérale, par le creux de l'aisselle. Le poi
à ligature. du grand pectoral déjeté en bas et en dedans. — 3. Bord
supérieur
du muscle petit pectoral, déprimé en bas par un c
IGATURES DE L'ARTÈRE SOUS CLAVIÈRE. (Procédé ordinaire.) La lèvre
supérieure
de la plaie est soulevée par deux crochets mous
— 2. Section des attaches clavicu-laires du grand pectoral. — 3. Bord
supérieur
du muscle petit pectoral, déprimé, avec la peau e
ne jugulaire antérieure, dont le trajet est peu normalici à sa partie
supérieure
. —9. Veine jugulaire externe, trop en dehors sur
horacique longue.— 11. Artère axillaire, portant trois ligatures : 1°
supérieure
(a); moyenne (b); et inférieure (c). Tome 6.
rd interne du sterno-mastoïdien. 3. Lambeau triangulaire externe et
supérieur
, rejeté en haut et en dehors. Il est formé par la
reux jaune qui fortifie la gaîne des vaisseaux fémoraux à leur partie
supérieure
. 6. Veine fémorale. 7. Section de la gaîne su
M. Velpeau). a. Main gaucbe d'un aide de face, qui écarte la lèvre
supérieure
de la plaie et contient le poids des viscères abd
rès une pièce du Muséum de la Faculté.) Fracture comminutive du tiers
supérieur
du fémur. Le fragment inférieur s'est enfoncé dan
ent inférieur s'est enfoncé dans la masse des adducteurs; le fragment
supérieur
est venu faire issue au-dehors en déchirant le tr
Pièce du Muséum de la Faculté.) Fausse articulation de l'extrémité
supérieure
du tibia, pouvant justifier l'opération du séton
scie vertical. figure 2. Ablation d'une exostose éburnée du tiers
supérieur
de l'humérus , d'après une pièce ( figure 3) copi
re du fémur. L'os est scié en deux fragmens (A et B). Sur le fragment
supérieur
se voient les orifices de couronnes de trépan (a,
le t. IV. pag. 144-146 et pl. 51-54.) Figure 13. Carie de la partie
supérieure
de la diaphyse du tibia. Figure 14. Végétations
eure de la diaphyse du tibia. Figure 14. Végétations de l'extrémité
supérieure
du fémur. (Pièce provenant de la collection de l'
is par un tissu fongueux entrecoupé de lamelles osseuses. L'extrémité
supérieure
du péroné, déjetée en dehors par la tumeur, est n
dans toutes les inclinaisons. Sous ce double rapport, il nous paraît
supérieur
à-la-fois au trépan français et à la trépbine ang
e (c), est formée par le bord des extenseurs. Pour isoler le fragment
supérieur
, on a coupé longitudinalement le court supinateur
ne reste plus qu'à couper quelques adhérences fibreuses. A. Lambeau
supérieur
relevé, formé par l'extrémité intérieure du tri
vé, formé par l'extrémité intérieure du triceps brachial. B. Bord
supérieur
de la plaie formé par le faisceau interne coupé
ant du membre, soulève de la main gauche la bande de la masse charnue
supérieure
, J, tandis que de la droite il tient l'extrémité
s deux os, séparément ou coïncidemment avec la résection de la partie
supérieure
de l'astragale. Indépendamment des difficultés et
e en avant, sur une compresse protectrice (h), la section du fragment
supérieur
(i). Au fond de la plaie se voient les muscles ex
ejeté sur la face postérieure. (b) . Section verticale de l'attache
supérieure
du long péronier, qui met à nu l'excavation que
nse de passage au travers du ligament inter-osseux. (d) . Attache
supérieure
du soléaire. (e) . Petite incision transversale
nt supposée terminée, voici les détails de la plaie : (d) . Lambeau
supérieur
relevé vers la cuisse et maintenu par le pouce
es thoraciques et intercostales. FIGURE 2. RÉSECTION DE LA MOITIÉ
SUPÉRIEURE
DE L'OMOPLATE. (Pratiquée par M. Janson.) Cet
otivée que dans le cas d'ostéo-sarcôme , auquel est exposée la moitié
supérieure
de l'omoplate par sa situation superficielle. Sur
deux incisions elliptiques). 1,1. Section de la peau. 2. Section
supérieure
du trapèze. 3. Section de l'angulaire. 4. Sec
la fosse sous-épineuse. 12. Fils à ligature des artères scapulaires
supérieure
et posté- rieure. FIGURE 3. RÉSECTION DE LA
er sur un fait concluant, nous avons figuré l'ablation de la mâchoire
supérieure
telle que vient dernièrement de la pratiquer avec
taires gui ne sont pas sur la figure 1. Deneno. Étendue de la lèvre
supérieure
relevée en haut par le lambeau. p. Plan de sect
de la moitié du corps de la mâchoire à partir de la canine, la partie
supérieure
de la branche étant conservée. Une incision verti
e (m), les côtés de la langue (n) compris entre les arcades dentaires
supérieures
, et à gauche les plans de section des ptérygoïdi
ère brachiale. e , Autre main du même aide qui soutient le fragment
supérieur
du membre malade. f, Main gauche du chirurgien
des chairs du fragment inférieur. h, Section des chairs du fragment
supérieur
. La rétraction circu- laire des chairs superfic
e l'artère humérale. FIGURE 4. amputation a lambeaux de la partie
supérieure
du bras. ( Membre droit. ) ( Procédé de Sabatie
ation est représentée lorsqu'aprôs avoir taillé le lambeau externe et
supérieur
, et fait la section transversale des chairs en ba
la première côte, n, Autre main du même aide qui maintient le lambeau
supérieur
relevé par une bandelette pour faciliter la sec
re de la jambe. d, Main gauche du chirurgien qui fixe l'extrémité
supérieure
de la jambe au-dessus de la section. e, Main
eure de la jambe. g, Main gauche du chirurgien qui fixe la partie
supérieure
de la jambe au-dessus de la section, et en même t
n du lambeau interne et postérieur sans taillader la peau vers Fangle
supérieur
d'entrée, et en offrant la lame assez perpendicul
dorsale du pied en avant, et par celle qui revêt en arrière la partie
supérieure
du talon, et sur les côtés les malléoles. La surf
t autre chose qu'une boîte de réception du moignon jambier. La partie
supérieure
de l'appareil est une autre boîte de réception de
cuisse du malade. b. Main gauche du chirurgien qui fixe l'extrémité
supérieure
de la jambe. c. Main droite du chirurgien arm
e sur le pubis. b. Main gauche du chirurgien qui attire l'extrémité
supérieure
de la jambe en avant et en bas, pour faciliter
indications que dans la figure précédente. 1. Section de l'extrémité
supérieure
des muscles biceps et demi-tendineux. m, n, o.
des chairs et des os. Figure 5. Amputation de la jambe à son quart
supérieur
par l'incision ovalaire de la peau et la section
cé précédent a été enregistré dans ces conditions. Dans le membre
supérieur
gauche, ce tremblement existe mais moins accusé
solue pour toutes les modes dc la sensibilité au niveau des membres
supérieur
et inférieur; elle est incomplète quoique très di
arquet. Dans celte-attitude, le membre intérieur droit, les membres
supérieurs
, le tronc appuyés ne tremblent pas. Sa tête tre
xes rotuliens et plantaires sont presque abolis à droite. Le membre
supérieur
droit, dans l'acte de porter un verre à la bouche
de troubles trophiques. Les pieds sont en varus équin. Aux membres
supérieurs
, la force musculaire est diminuée surtout à dro
s en varus équin. Les réflexes sont normaux aux genoux. Les membres
supérieurs
sont parésiés. Au dynamo- mètre : main droite,
e de son apparition. C'est un tremblement général de tout le membre
supérieur
. La langue est agitée d'un tremblement continuel
mat 1889. Le réflexe rotulien est exagéré du côté gauche. Le membre
supérieur
droit tremble continuellement. Ce tremblement s'e
r la main à la malade et dans les mouvements voulus. Dans le membre
supérieur
gauche, il y a, presque toujours, un état de trém
ie peut être considérée comme guérie. Seul le tremblement du membre
supérieur
droit persiste; il présente les caractères repr
termine une trépidation intense et prolongée. Au repos, les membres
supérieurs
ne présentent aucun tremblement; mais dans les
Il y a dix-huit mois, elle éprouva de la faiblesse dans les membres
supérieurs
; depuis cette époque, elle a été complètement
es sons et des cris inarticulés de tonalité différente. Les membres
supérieurs
sont fléchis et appuyés sur sa poitrine; ils ne
ce jour, la batterie lut appliquée tous les jours, sur les membres
supérieurs
et inférieurs, et il s'ensuivit une rapide amélio
rticuler et d'émettre des sons; on notait également que les membres
supérieurs
, qui, quelques jours auparavant, ne pouvaient ê
ormalement; elle avait entièrement perdu le tremblement des membres
supérieurs
« the entirely lost the tremor in her arms », e
faculté de parler et le parfait usage de ses membres inférieurs et
supérieurs
. Le 22 février 1888, elle fut envoyée dans une
dique datant de cinq ans, du tremblement intention- nel des membres
supérieurs
remontant à deux ans, de l'absence de troubles
ndait bientôt aux autres régions musculaires, au tronc, aux membres
supérieurs
et à la nuque. En même temps, la vue s'obscurci
nça à avoir du tremblement des membres inférieurs, puis des membres
supérieurs
. L'écriture était gênée, cependant une friction
e tous les symptômes. Le malade marche seul, se sert de ses membres
supérieurs
, parle mieux. Il y a encore un léger tremblemen
, le malade, couché dans la position horizontale, tremble du membre
supérieur
droit; le gauche, au repos, tremble peu ou pas.
remblent plus dans la station debout ni dans la marche. Aux membres
supérieurs
les mouvements sont accompagnés de tremblement.
ui est affaiblie, sont intacts. La tète ne tremble pas. Les membres
supérieurs
sont immobiles au repos; ils sont animés d'un t
ment des membres inférieurs. Le 18 octobre, tremblement des membres
supérieurs
plus violent. Vertiges et chutes. Le le, novemb
nches annexées à ce travail, est considérable au niveau des membres
supérieurs
, du thorax et du cou, si bien que,les bras sont
sion de la formule. Les réflexes tendineux sont absents aux membres
supérieurs
, le réflexe patellaire est affaibli à droite, à
réflexes tendi- neux, loin d'être exagérés, font défaut aux membres
supérieurs
. /0(,t r'FeV , C4 cet(Ul#Q. . 2' (LQ 112.Jc.(,&
e entra a l'Hôtel-Dieu, il était absolument impotent de ses membres
supérieurs
. Déjà depuis plusieurs mois, depuis septembre 1
ce moment, les lésions n'avaient point augmenté du côté des membres
supérieurs
, l'impotence et l'atrophie étaient restées dans l
qu'à droite. Quand on dit au malade d'élever les yeux; la paupière
supérieure
se relève d'une manière très incom- plète. Les
culaire est considérable au niveau du cou, du thorax et des membres
supérieurs
. Elle n'existe'pas au,niveau de la.face.'Au cou e
grande partie disparu (muscles des gouttières vertébrales, portion
supérieure
du tra- pèze, etc.). Il en résulte que la tête
POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. - ATROPHIE MUSCULAIRE DU COU ET DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
LECROSNIER & BABÉ DE L'OPHTIIALMOPLÉGIE E
rsqu'il est au lit. Ce phénomène n'existe pas au niveau des membres
supérieurs
ni du cou; on le constate seulement aux mains et
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
manquent totalement. Aux membres inférieurs le
uleurs vives, sinon de temps en temps dans les épaules et la partie
supérieure
des bras, et encore n'étaient-elles pas d'une g
se tenir debout, commence à marcher. Néanmoins, l'état des membres
supérieurs
est resté stationnaire. Les muscles sont flasqu
dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont absents aux membres
supérieurs
et il n'y a ni paralysie des sphincters ni modifi
llés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses. Membre
supérieur
gauche. Dynamomètre = 0. La main ne serre pas d
presque aussi volumineux à leur partie inférieure qu'a leur partie
supérieure
, des bras qui ont une forme cylindrique, des épau
le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la partie
supérieure
de la jambe : on dirait un genou atteint d'hydart
l'inversion de formule fait complètement défaut. Exemple : Membre
supérieur
droit : Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière
urgical du ptosis basé sur la suppléance du releveur de.la paupière
supérieure
par le frontal (Procédé de Dransart et de Pagen
l. Pendant toute cette période d'immobilisation au lit, les membres
supérieurs
avaient fait quelques pro- grès, mais les membr
uve plus spécialement son application le long du sinus longitudinal
supérieur
et on peut le prolonger il travers la suture co
nt nul au repos, provoqué par un mouvement t intentionnel du membre
supérieur
. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1
epos, puis en marche). F.r. 28. Malade assis. Tremblement du membre
supérieur
droit persiste au repos, s'accentue .t l'occasi
s musculaire est également aboli dans les divers segments du membre
supérieur
et du membre inférieur du même côté. Anesthés
observe chez B... sont les suivants : 1° Un hémispasme de la lèvre
supérieure
qui fait que la commissure gauche est plus élev
avec résistance de la part du malade, les divers segments du membre
supérieur
et du membre inférieur opposent une résistance
surtout accentuées à la tète et aux membres inférieurs. Aux membres
supérieurs
le tremblement est relativement moins intense; le
les oscillations se montrent plus régulières, plus larges au membre
supérieur
droit qu'au membre supérieur gauche. A la têt
plus régulières, plus larges au membre supérieur droit qu'au membre
supérieur
gauche. A la tête les oscillations se font dans
nt ni dans la station assise ni dans la station debout. Aux membres
supérieurs
, le tremblement est particulièrement pro- noncé
- noncé au niveau des mains, quelle que soit l'attitude des membres
supérieurs
. Qu'ils soient pendants le long du corps, ou qu
l'inquiétait c'était un tremblement assez accentué des deux membres
supérieurs
. A son grand ennui, il écrivait avec peine et ten
point de rendre la marche possible. Seul le tremblement des membres
supérieurs
nc diminuait pas. Il y a dix-huit mois, M. X...
ur en avant de la poitrine, mais n'irradiait dans aucun des membres
supérieurs
. La crise douloureuse dura deux heures environ
lente, au contraire. Le malade ne cherche pas ses mots. Les membres
supérieurs
au repos sont animés d'un tremblement vibra- to
Il n'y a aucun trouble de la motilité, ni à la face ni aux membres
supérieurs
.La tête ne tremble pas, La parole n'est pas troub
s du visage étaient moins mobiles à gauche qu'à droite, la paupière
supérieure
du côté gauche était plus tombante et plus pare
de sclérose en plaques, survint un tremblement rhythmique du membre
supérieur
droit, que je ne pouvais accorder avec le diagn
étant réunis à droite et à gauche par une ligne courbe à convexité
supérieure
). Le sens musculaire elle sens arlirrrlaire son
esthésie cutanée est encore délimitée de la même manière. La limite
supérieure
ne monte pas aussi haut que les figures 8 et 9
sthésie est délimitée comme dans les deux cas précédents; sa limite
supérieure
est un peu moins élevée en avant et en arrière.
ns élevée en avant et en arrière. i-'ic ni. 1 Fie. 3-2. Limiles
supérieure
! , 1';inesLllésie dans lu paraplégie hystérique
nes géni- taux : c'est là un caractère qui, joint à la délimitation
supérieure
de ces troubles de la sensibilité, suffirait po
res inférieurs sont complètement paralysés, le tronc et les membres
supérieurs
sont nor- maux. Absence des réflexes tendineux
urs, qui s'atrophient. Les réflexes sont toujours abolis. La limite
supérieure
de l'anesthésie correspond à peu près à la limi
endant un figoe différentiel de haute valeur, c'est la délimitation
supérieure
, c'est la distribution de l'anesthésie cu- tané
e (fit. 29, 30, 31, 33). Dans les paraplégies spinales, les limites
supérieures
de l'anesthésie cutanée sont en rapport avec la
près, il s'aperçut que dans l l'espace de quinze jours, sa paupière
supérieure
se paralysait peu à peu. Puis \ survint de la d
alysait peu à peu. Puis \ survint de la diplopie, enfin la paupière
supérieure
droite se prit à son tour et à ce moment le mal
Varsovie qui fit des ce moment le diagnostic de polioencé- phalite
supérieure
de Wernicke. Les choses restèrent en cet état p
s'atrophiaient et devenaient mous et flasques dans les deux membres
supérieurs
. Enfin dans les derniers temps apparut un certa
médecin qui vit ce malade et fit le diagnostic de polioencéphalite
supérieure
. Le traitement consista surtout dans l'électrisat
et ainsi de suite. 11 en était de même pour la parésie des membres
supérieurs
. État actuel (juin 1890). Le signe le plus frap
des deux côtés, mais surtout à gauche. Le bord libre de la paupière
supérieure
couvre plus de la moitié de la cornée et le malad
e la tête en arrière afin de relever le globe oculaire que le droit
supérieur
est impuissant à mettre en mouvement. On ne con
vement passif de flexion de la tête en avant. Au niveau des membres
supérieurs
, la faiblesse va presque jusqu'à la pa- ralysie
ble. Les réflexes tendineux du genou sont normaux; ceux des membres
supérieurs
sont complètement absents. La sensibilité est i
secousses fibril- laires dans les muscles atrophiés de ses membres
supérieurs
. Les réactions électriques des muscles n'ont pu
st complètement éteinte depuis longtemps. OBS. XXX. Poliencéphalite
supérieure
(ophthalmoplégie nucléaire) et poliomyélite (B.
nte de l'affection. Caractère particulier, l'atro- phie des membres
supérieurs
, qui a débuté par les muscles de l'épaule, ne s
externe presque complète. Il a très peu d'action sur ses paupières
supérieures
, qui couvrent la moitié de la cornée et de la p
a de la faiblesse et de l'atrophie des deux épaules et de la partie
supérieure
des bras, et une légère atrophie des avant-bras
l'invasion de la colonne motrice s'est faite non plus par le bulbe
supérieur
mais par la moelle. Les noyaux commandant aux m
partient donc à la polio- myélite chronique et à la poliencéphalite
supérieure
et inférieure. 11 est plus douteux qu'anatomiqu
taient défi- nitives, ne fut signé que le 8 octobre suivant, par la
supérieure
du couvent de Saint- Marcoul, la soeur assistan
, d'une abondance et -d'une longueur moyennes. A la face, la partie
supérieure
est sensiblement normale; la partie inférieure
eille droite dont le lobule est un peu allongé et plissé. La partie
supérieure
des deux joues est peu vieillie. ' C'est surtou
os du crâne. Etat mental. - Amnésie, pleurs faciles. Les membres
supérieurs
sont affaiblis (surtout le droit). Dynamomètre
uche, 15 kilogr. Cependant la malade peut exécuter avec ses membres
supérieurs
tous les mouvements qu'on lui commande de faire
5 1/2 par seconde. Elles ne cessent jamais, ni lorsque le membre
supérieur
droit est au repos. 182 NOUVELLE ICONOGRADUE DE
coucher. Quelques heures après, le tremblement envahit les membres
supérieurs
et la tête; et depuis ce jour il a toujours per-
d'un aide. Cet affaiblissement musculaire existe aussi aux membres
supérieurs
. Les mouvements en sont lents, inhabiles. L'exp
complètement défaut. Il n'y a pas trace de contracture. Aux membres
supérieurs
les réflexes tendineux du coude et du poignet son
male. A l'épigaslre deux rides très visibles, réunies à leur partie
supérieure
, s'écartant aussitôt à angle aigu, viennent des
ridé est assez marqué. Au niveau des membres, soit dans les membres
supérieurs
soit dans les inférieurs, les plis sont d'autan
trémités à pro- prement parler sont presque intactes. Aux membres
supérieurs
, les aisselles sont garnies de quelques poils rar
et irrégulièrement implantées. Les deux grandes incisives médianes
supérieures
sont atteintes de carie, ainsi que les grosses mo
résente d'ailleurs un tremblement très intense qui occupe le membre
supérieur
droit. Ce tremblement que nous avons observé pe
crudescence des secousses, les fait cesser un moment. D Aux membres
supérieurs
, le tremblement a des allures plus capricieuses
neurasthénie et hystérie. Tremblement hystérique localisé au membre
supérieur
droit et accompagné de mouvements choréi- ques.
sie; 5° une parésie des.membres du côté droit prédominant au membre
supérieur
. Exploration dynamométrique : main gauche, 70 k
rique : main gauche, 70 kilogr. ; main droite, 15 kilogr. Le membre
supérieur
est atrophié dans son ensemble. Au bras et à l'
us de courir, de faire de longues marches. Tremblement. Le membre
supérieur
droit est le siège d'un tremble- 198 NOUVELLE I
git d'un tremblement rapide, à forme vibratoire, localisé au membre
supérieur
droit. Nous n'avons pas pu constater chez ce ma
UDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 19 ? Motilité. Le membre
supérieur
droit est notablement parésie. Au dynanomètre :
e n'est pas seul en cause dans l'incapacité fonctionnelle du membre
supérieur
droit. Le tremblement dont il est animé, et que
s réflexes tendineux du poignet et du coude sont normaux. Le membre
supérieur
gauche, les membres infé- rieurs, la face, la l
e l'acuité auditive de l'oreille droite. ~ Le tremblement du membre
supérieur
droit que nous allons maintenant décrire est re
-elle dit. Il a toujours persisté depuis. Il est localisé au membre
supérieur
droit. Il existe au repos et pendant les mouve-
Ons. XVII. Hystéro-épilepsie. Tremblement hystérique des membres
supérieur
et inférieur du côté droit. Le nommé Cah..., Ch
stérie qu'il s'installa définitivement. Il existait alors au membre
supérieur
et au membre inférieur droits. Depuis quelque t
asthénie et hystérie consécutives. Tremblement hystérique du membre
supérieur
droit. Armandine Roug..., âgée de seize ans, co
Ce tremblement, accompagné d'un degré notable de parésie du membre
supérieur
droit, a toujours persisté depuis. Jusqu'à ce j
la température dans toute la moitié droite du corps. Mais le membre
supérieur
droit est le siège d'une anesthésie absolue, supe
prise de douleurs lancinantes dans toute la tète, dans la mâchoire
supérieure
, elle avait des battements dans les tempes, des b
Tremblement. Ce tremblement est localisé exclusivement au membre
supérieur
et au membre inférieur du côté droit. Les membres
pendant quelquefois qu'ils tremblent simultanément. C'est au membre
supérieur
que le tremblement se montre prédominant et de
re prédominant et de beaucoup. Les oscillations rhythmées du membre
supérieur
n'existent pas constam- ment. Parfois, que la m
is, que la malade soit assise, debout, ou bien en marche, le membre
supérieur
reste en repos; la main droite repose alors sur l
faibles, mais elles grandissent aussitôt et immédiatement le membre
supérieur
entre en danse; le bras, en oscillant, s'écarte
ent. Ces oscillations, au lieu de se géné- raliser à tout le membre
supérieur
, s'éteignent souvent après une série de ÉTUDE C
ussi aisément sur un pied que sur l'autre. De môme avec le membre
supérieur
elle exécute tous les mouvements qu'on lui pres
ommissure labiale gauche est un peu relevée. Le contour de la lèvre
supérieure
de ce côté est plus accentué. Sensibilité. Sens
reux. Points sus-orbilaire et sous-orbitaire des deux côtés. Membre
supérieur
. Au membre supérieur droit, tout le côté de la
laire et sous-orbitaire des deux côtés. Membre supérieur. Au membre
supérieur
droit, tout le côté de la flexion, depuis l'arl
sus-auriculaire situé au-devant et un peu au-dessous de l'insertion
supérieure
de l'oreille, au niveau de la saillie formée pa
l'ophryon, contournant le crâne en passant au-dessus de l'insertion
supérieure
de l'oreille, puis par le point le plus saillan
segment rejoignant les deux points situés au-dessus de l'insertion
supérieure
des oreilles en passant par l'ophryon. b. La
on au point occi- pital maximum en passant au-dessus de l'insertion
supérieure
de l'oreille droite. d. La demi-courbe latéra
par exemple, le développement de la portion occipitale du crâne est
supérieure
à celui de la portion frontale. A l'appui de ce
nerfs moteurs du cerveau et de la moelle allongée (polioencéphalitc
supérieure
et inférieure) peut se combiner avec une lésion
îne la mort de la malade en six mois. OBS. XXXII. Polio encéphalite
supérieure
et inférieure avec atrophie musculaire (Eichhor
droit et du droit externe du côté gauche, paralysie des deux droits
supérieurs
et des deux obliques inférieurs, de même que des
obliques inférieurs, de même que des droits inférieurs et obliques
supérieurs
). Réactions pupillaires complètement intactes.
e de la moelle. 11 s'agit donc d'une polioencéphalite inférieure et
supérieure
et d'une poliomyélite. Sortie de la clinique
ires pen- dant un temps plus ou moins long. Chez Br..., les membres
supérieurs
sont tout d'abord intéressés; les mains devienn
e type Aran-Duchenne. Dans le cas de Seelig- müller, les extrémités
supérieures
et inférieures auraient été envahies en même te
un an et demi, la poliomyélite se com- pliqua de paralysie bulbaire
supérieure
. La localisation essentiellement variable de la
des extenseurs des doigts, du biceps, du deltoïde et de la portion
supérieure
du trapèze; par contre, les fléchisseurs des do
alade a éprouvé de légers élancements dans les épaules et la partie
supérieure
du bras. Quant à la sensibilité cutanée, elle e
ouve une sensation de refroidissement très intense dans les membres
supérieurs
; et cependant la peau n'est ni froide ni cyanos
de diplopie passagère, et que la faiblesse progressive des membres
supérieurs
et inférieurs ne vint qu'en second lieu. Il en fu
de ptosis. Presque en même temps la paralysie s'étendit aux membres
supérieurs
, en commençant par les avant-bras et par les ma
envahit successivement ou simul- tanément les membres inférieurs et
supérieurs
. Tous les groupes musculaires ne sont pas pris
minimum. La planche V montre bien quel degré d'atrophie les membres
supérieurs
et inférieurs peuvent atteindre en si peu de te
y a pas la moindre ébauche de paralysie bulbaire. Seuls les membres
supérieurs
sont restés à peu près dans le même état; en tout
e, n'acquiert pas une importance spéciale. L'hahitus de la partie
supérieure
du corps présente au contraire beaucoup plus d'
'on rencontre chez tous les amyotrophiques atteints dans le segment
supérieur
de leur corps. On les trouve aussi dans la mala
ladie de Duchenne-Aran, dans laquelle les localisations médullaires
supérieures
sont exactement les mêmes. Là aussi les bras so
eux. C'est qu'en effet son bulbe inférieur seul est pris; son bulbe
supérieur
reste indemne. Le facies à lui seul pour- rait
nus s'adjoindre les signes qui caractérisent la lésion de la moitié
supérieure
du bulbe, l'ophthalmoplégie externe. Cette associ
se produira dans les cas, rares il la vérité, où la lésion bulbaire
supérieure
, se propageant à la moelle a atteint au passage
s mentionnés et dans lesquels la lésion, ayant débuté dans le bulbe
supérieur
, s'étend ensuite plus ou moins rapidement au bu
à ce sujet. Tout ce qu'on peut dire, c'est que la polioencéphalite
supérieure
n'est pas faite pour rendre plus favorable le p
ble que le début de la polioencéphalomyélite chronique par le bulbe
supérieur
entraîne un pronostic moins sévère que le début
ormale. Double paralysie faciale complète, avec paralysie du facial
supérieur
: paralysie du voile du palais. Affaiblissement d
ffaiblissement des muscles du cou, de plusieurs groupes des membres
supérieurs
et inférieurs. Pas de paralysie dc la langue. P
79). Les altérations cons- tatées par Gowers au niveau de la partie
supérieure
du quatrième ven- tricule sont telles que « les
LÉGIE EXTERNE. 239 des lésions nucléaires et signala dans la partie
supérieure
du noyau oculomoteur deux amas de cellules gang
gauche était en partie masqué par suite de la chule de la paupière
supérieure
; la pupille du môme côté, un peu rétrécie, ne
ommun; la substance fondamentale paraissait intacte. Dans la partie
supérieure
du noyau de l'oculomoteur commun existaient deux
situé il la partie externe du précédent, au niveau de son extrémité
supérieure
, il avait une forme ovalaire à grand diamètre h
nts alaxiques de la pointe de la langue, tremblement des extrémités
supérieures
, absence de coordination des membres inférieurs
encéphalique (encéphalite diffuse pro- bable) localisée aux étages
supérieurs
des pédoncules cérébraux et aux couches optique
la base des tubercules quadrijumeaux et de la partie ]atÓ- rale et
supérieure
du pédoncule droit. Altération inflammatoire ca
locus niger des deux J côtés, les fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, l'aqueduc de Syl- vius et son pourtour. Sur un
région où pénètre le moteur oculaire commun, pour 2° longer le bord
supérieur
de la protubérance annu- laire, envahir suivant
ongueux. A la partie supéro-externe de l'avant-bras, dans sa moitié
supérieure
, on constate les cicatrices on les restes des c
ue réveille, à gauche,' une sen- sibilité moindre que sur le membre
supérieur
droit. Quant à l'électrisation des nerfs, du mé
tent des altérations intéressantes : les inci- sives et les canines
supérieures
sont petites et offrent, les incisives médianes
rps et 262 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sur le membre
supérieur
gauche est perçu très nettement et sans erreur de
erreur de lieu. Cependant il semble, par comparaison avec le membre
supérieur
du côté opposé, que les perceptions tactiles so
quises à droite qu'à gauche. L'analgésie est complète sur le membre
supérieur
gauche et délimitée en haut en manche de veste
où elles se montrent normales. Pour la thermoanesthésie les limites
supérieures
du chaud et du froid sont identiques à celles d
appliqué dans ces conditions suc- cessivement sur les deux membres
supérieurs
montre bien cette différence en provoquant un c
sion unique hori- zontale, sauf les deux grandes incisives médianes
supérieures
qui offrent le type parfait des dents dites « e
normal dans les muscles du visage, mais il y a chute de la paupière
supérieure
des deux yeux, surlout du droit si bien que le
ues et ne pénétraient pas à l'intérieur de celles-ci.; même au bord
supérieur
de ces couches, il n'y avait nulle part trace d
: paralysie du muscle droit interne et parésie des droits externe,
supérieur
et inférieur. Sur l'oeil gauche : paralysie des
palatin. Parésie des muscles de la nuque. Ataxie légère des membres
supérieurs
et considérable des membres inférieurs; le côté
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. nom de paralysie bulbaire
supérieure
proposé par M. le professeur 1 Charcot, qui rés
ticlle; débute ordinairement par la ^jjs- «Un-1^ paralysie bulbaire
supérieure
, c'est-à-dire par l'ophthalmoplégie. Il est , '
re chronique), de même l'oph- thalmoplégie externe (poliencéphalite
supérieure
) peut se combiner à une amyotrophie plus ou moi
maxillaire infé- rieur, dont l'arcade dentaire est dépassée par la
supérieure
d'à peu près 4 à millimètres. La lèvre supérieu
t dépassée par la supérieure d'à peu près 4 à millimètres. La lèvre
supérieure
est aussi plus grosse que l'inférieure et surpl
ers). Pas de chapelets rachitiques. Pas de pachydermie. , Membres
supérieurs
. - Bras et avant-bras normaux; pas d'atrophie m
CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE INFANTILE. 273 Main gauche. - Epiphyses
supérieures
du second métacarpien et de la phalange du pouc
lus générale, celle de développement de la totalité du.maxil- laire
supérieur
par rapport à la base du crâne cérébral. C'est al
uvent sur un plan très antérieur à celui du maxillaire et des dents
supérieures
. Le déve- loppement de la mandibule se rencontr
int alvéolaire au niveau du point d'implantation des deux incisives
supérieures
. , Sur les parties latérales, e. Le point zyg
LOGIQUE CIIEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 277 3° La longueur faciale
supérieure
ou distance ophyo-alvéolaire, qui s'obtient en
une pointe de compas glissière à l'ophryon et l'autre sous la lèvre
supérieure
, au niveau du point alvéolaire. Cette longueur
ler l'angle facial, on place la lame d'acier élastique sur la lèvre
supérieure
, le milieu qui porte l'arc gradué correspondant
arrière la cavité de la conque, faisant face à l'hélix. A la partie
supérieure
l'anthélix semble se bifurquer et donne naissan
ieure verticale, l'antérieure recourbée en avant et formant le bord
supérieur
de la cavité de la conque. Ces deux saillies circ
ière du tragus se trouve une autre saillie triangu- laire, à sommet
supérieur
, l'antitraglls, situé à la partie inférieure de
l'oreille. 1, Racine de l'hélix rejoignant ]' : nUhûtt\. 2, Partie
supérieure
de la conque. 3, Partie inférieure de la connue
ce même du pavillon qui perd alors sa forme ovoïde, car l'extrémité
supérieure
au lieu d'être arrondie, forme un angle à la pa
Cependant- on a noté chez les aliénés un développement de la conque
supérieur
à celui du pavillon surtout dans le sens transv
que nor- malement il était indépendant et soudé seulement la partie
supérieure
de son bord antérieur. Or, parfois il arrive qu
e verticale saillante, les deux paupières sont comme bouffies et la
supérieure
semble dédoublée transversalement. » (Topinard.
i semi-lunaire recouvrant la caron- cule, comme chez les mammifères
supérieurs
, comme difformités congénitales de la conjoncti
fréquent est le bec-de-lièvre avec toutes ses variétés (inférieur,
supérieur
, commissural, simple ou com- plexe). Sur la v
ent, sa caducité ont été regardés comme plus particuliers aux races
supérieures
(Darwin, Mantegazza). Pour l'observation de l
-1 PI'Onl. 2-2 Mol. ^- 1 = 32. Le numérateur représente la mâchoire
supérieure
et le premier chiffre il partir de la gauche se
e peut tenir à deux causes : d'une part à ce que la ligne de l'arcade
supérieure
se re- lève fortement sur la ligne médiane au n
us; De l'extrémité inférieure du médius ; De l'ombilic; Du bord
supérieur
de la symphyse du pubis; De l'épine iliaque ant
E DE LA SALPÊTRIÈRE. d'une anomalie du développement de l'extrémité
supérieure
du canal vertébral (Féré1); enfin la longueur d
je trouvai de l'hémianesthésie de tout le côté droit, face, membres
supérieur
et inférieur avec hémianesthésie pharyngée et a
es et des cuisses ne donne aucune différence de volume. Les membres
supérieurs
et le reste du corps ne présentent aucun trouble
tumeur de la protubérance n'expliquerait pas l'intégrité du membre
supérieur
, la monoplégie crurale, les troubles vésicaux,
dans leur attitude normale), le tronc incliné en avant. Les membres
supérieurs
ne présentent rien de spécial à noter. Sensibil
Dans ce temps-là, se montra un peu d'affaiblisse- ment des membres
supérieur
et inférieur gauches, avec gène dans la marche,
lit est celle indiquée plus haut. Habituellement, elle a son membre
supérieur
gauche fléehi derrière le dos, interposé entre
end à la région antérieure de la poitrine, à l'abdomen, à la partie
supérieure
du bras (l'épaule comprise), à la base du cou.
usqu'à la face, en bas jusque dans la jambe. Au-dessus de la limite
supérieure
, au-dessous de la limite inférieure, la sensibi
nts hyperesthésiés. Il y a parésie, ou plutôt hypodynamie du membre
supérieur
gauche, mais pas de paralysie véritable; la mal
enfin plus tard la main droite pendant le voyage. Mais aux membres
supérieurs
il ne s'agit que d'une simple parésie; les mouv
des. Aux membres inférieurs, elle est très obtuse jusqu'à la partie
supérieure
des hanches et inférieure de l'abdomen. La malade
it assez exactement la position imprimée à ses membres. Aux membres
supérieurs
, la sensibilité est beau- coup moins altérée sa
ormal; la proportion des phosphates alcalins y était d'un treizième
supérieure
à celle des phosphates terreux. Depuis environ
, les mouvements sont moins discordants et plus assurés aux membres
supérieurs
. La malade se sert des mains avec plus d'adresse
ls atteints. Au commencement de 1885, les articulations des membres
supérieurs
sont douloureuses, et bientôt les .mou- vements
; les yeux restent entr'ouverts. 1° Troubles moteurs. Les membres
supérieurs
sont parfaitement mobiles, mais les mains sont
enjouée. Aujourd'hui, elle présente une chorée rhythmée des membres
supérieurs
. Les attaques sont devenues plus rares. 316 N
t. Rien du côté de l'ouïe, du goût et de l'odorat. Rien aux membres
supérieurs
. Elle présente une métror- rhagie abondante, de
bles trophiques. Rien a noter dans les divers viscères. Les membres
supérieurs
sont normaux. L'intelligence est vive,' l'appétit
ture qui sert au malheureux pour se déplacer, l'atrophie du membre
supérieur
gauche est clairement exprimée par la position de
e, dont elle porte plus manifestement les stigmates sur lefmeffibre
supérieur
gauche, atrophie, griffe des interosseux et tub
bots. Contracture de la jambe gauche. Thorax aplati dans sa partie
supérieure
, excavation en entonnoir du corps du sternum. L
dépression du sternum, d'origine congénitale, commence à la partie
supérieure
du corps de l'os, formant une fosse de 4 centim
ximum 101 mm. . transverse . '13 L frontal minimum 10 L Membres
supérieurs
: Doigts en massue, vitiligo à la main droite.
'alcooliques. Son père s'est brûlé la cervelle. C'est un dégé- néré
supérieur
d'une intelligence développée, mais avec de profo
RAPHIE DE LA SALPETRIERE. de la ligne médiane et s'étendant du bord
supérieur
de la troisième côte au bord supérieur de la qu
édiane et s'étendant du bord supérieur de la troisième côte au bord
supérieur
de la quatrième. Rien d'anormal à l'auscultation.
eure de la poitrine est- aplatie et concave en avant dans sa partie
supérieure
surtout. Le sternum constitue le fond de cette
produit une flexibilité anormale du sternum qui résiste à sa partie
supérieure
, soutenu qu'il est par les premières côtes, mai
e de contracture. Il cite l'observation d'une malade dont le membre
supérieur
droit considérablement affaibli pouvait parfaitem
l'autre et il peut exister aussi des différences entre les membres
supérieurs
et les inférieurs. Dans les cas où les deux var
Rarement l'élat asphyxique est plus étendu et remonte aux membres.
supérieurs
jusque vers le coude et à la partie postérieure d
rappe par la coloration violacée du lobule du nez et de l'extrémité
supérieure
des oreilles. L'extrémité des doigts présente le
appuyé Alexander pour pratiquer l'ablation des ganglions cervicaux
supérieurs
9. Je dois ajouter en manière de réserve que ch
arche était im- possible et l'a toujours été depuis. Seul le membre
supérieur
gauche semble être resté indemne. Quoi qu'il en
l'agitation du début. État actuel. Hémiplégie complète des membres
supérieur
et inférieur du côté droit; le facial inférieur
sauf chez les sujets très maigres, car toute la nuque et la partie
supérieure
du dos sont occupées par des bourrelets adipeux
dans l'extension tout l'espace qui sépare l'occipital de la partie
supérieure
du dos; à droite et à gauche il se perd dans le
s lalérales du cou. Au-dessous de lui se trouve le bourrelet dorsal
supérieur
, mal délimité inférieurement, se continuant sou
uis cette monoplégie gauche disparaît. La jambe droite et le membre
supérieur
du même côté restent paralysés. On avait songé à
l'extension passive, est affaiblie surtout du côté droit. Membres
supérieurs
. Parésie plus marquée à droite qu'à gauche. Au
s deux talons. Parfois elles siègent en même temps dans les membres
supérieurs
, au niveau du coude et de la main. La malade le
igé de lui mettre des planches pour prévenir une chule. Aux membres
supérieurs
, le sens mus- culaire et articulaire est égalem
longue quelques secousses épileptoïdes dans le membre. Aux membres
supérieurs
, on ne note rien d'intéressant, sauf une parési
tés de la face du côté droit (elle est moins profonde sur le membre
supérieur
et la partie antérieure du tronc du même côté).
points superposés du rachis (région dorso- lombaire, région dorsale
supérieure
). La peau est sensible d'ordinaire au plus lége
autour de l'ombilic, les deux épaules, les deux fesses. Aux membres
supérieurs
, il y a presque toujours quelques altérations a
s vraiment remarquable d'atrophie mus- culaire et osseuse du membre
supérieur
gauche, résultant d'une mono- plégie hystéro-tr
le se trouve localisée à une région très limitée : l'union du quart
supérieur
et des trois quarts inférieurs de l'avant-bras,
trophie porte sur les muscles de l'épaule droite : biceps, faisceau
supérieur
du trapèze, sus- épineux, grand pectoral, sous-
te la région dorsale pour venir se localiser à la partie médiane et
supérieure
du thorax : nouvelles frictions el nouvelle mét
a débuté du côté droit et a guéri assez rapidement, puis le membre
supérieur
gauche s'est pris. Celle atrophie présente comm
usses dans l'orbiculaire des lèvres. Atrophie musculaire. 1° Membre
supérieur
droit, (a) L'ayant-bras et le bras sont normaux
érieur, puis 430 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dans le
supérieur
. En même temps, les membres gauches demeuraient p
quatre heures sans connaissance. Lorsqu'il revint à lui, le membre
supérieur
et le membre inférieur droits étaient complète-
ours après, les mouvements revenaient incomplètement dans le membre
supérieur
. La sensibilité est restée complètement abolie. P
son congénère. Il mesure 77 centimètres de l'épine iliaque anléro-
supérieure
il l'extrémité de la malléole externe, le droit m
o-moteurs s'exagèrent dès que le malade se tient debout. (b) Membre
supérieur
gauche. - Dans ce membre la motilité est faible-
r le membre; il augmente lorsque le malade est debout. (b) Membre
supérieur
droit. - A droite, l'action musculaire n'a point
it c'est a l'extrémité qu'on constate surtout l'atrophie, au membre
supérieur
du même côlé c'est à la racine du memhre que ce
ions faradiques- (appareil à chariots de Dubois-Reymond). a7 Membre
supérieur
gauche. Le minimum d'excitabilité normale = 12
iques; les autres muscles ne répondent plus au courant. c. Membre
supérieur
droit. L'excitabilité électrique est diminuée,
omatose médullaire. Cette atrophie occupe de préférence les membres
supérieurs
, les mains ; or, ce sont là également les lieux
s réflexes tendineux des membres inférieurs, diminution aux membres
supérieurs
. Secousses. Scoliose. Anesthésie étendue en parti
près M. Roll, un certain nombre de caractères spéciaux. Les limites
supérieures
de cette anesthésie seraient mal tranchées et se
verait pas dans l'anesthésie des hystériques. En outre, les limites
supérieures
des divers modes de sensibilité ne seraient pas
mbre, elle est en « camisole » ou en « hémicamisole o ; ses limites
supérieures
sont souvent parfaitement nettes, etc. Or, dans
s de l'aréole du mamelon, la portion inférieure manque et la partie
supérieure
paraît moins épaisse que celle du côté opposé.
ins épaisse que celle du côté opposé. Tous les mouvements du membre
supérieur
se font bien, mais il est cependant plus faible,
rale suivi de secousses dans les muscles du dos et dans les membres
supérieurs
. Au moment de l'accès, il a une sensa- tion de
s secondes, ces mouvements cessent, ainsi que la rigidité du membre
supérieur
droit. Même après ces excès incomplets, le mala
e dont il vient d'être parlé; il est surtout intense dans la région
supérieure
du dos et de la poitrine; sur les membres supér
dans la région supérieure du dos et de la poitrine; sur les membres
supérieurs
il se manifeste jusqu'au poignet, il n'existe p
taient constitués par des spasmes toniques commençant par le membre
supérieur
droit, mais s'étendant à tout le corps, sans cr
e, la troisième à la troisième côte et ;i une petite partie du bord
supérieur
de la quatrième. Ces digitations sont séparées
eurs, la rupture des vaisseaux, la paralysie temporaire des membres
supérieurs
, sont imputables en partie à la compression des g
ainsi obtenu un tube en bois de largeur correspondante. L'extrémité
supérieure
de ce tube était fermée par un bouchon de caout
seconde en arrière des membres anté- rieurs. Au milieu des moitiés
supérieures
de chacune de ces courroies était attachée une
t de la sensibilité électro-musculaires dans les paralysies du membre
supérieur
, étudiées à l'aide de l'électrisation localisée.
labial s'est creusé sous l'influence de Vélévateur propre de la lèvre
supérieure
et du nez; les rides rayonnantes voisines de l'an
rtu de quelle loi un mouvement circonscrit dans un point de la partie
supérieure
de la face peut-il imprimer, en apparence, une te
. Fuontal............Muscle de l'attention. Orbiculaire palpébral
supérieur
............Muscle de la réflexion. Sourcilier.
atique.......Muscle du pleurer modéré. Élévateur propre de la lèvre
supérieure
..........Muscle du pleurer. Elévateur commun de
Muscle du pleurer. Elévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
............Muscle du pleurer à chaudes larmes T
Doute......... Mépris......... Frontal. Orbiculaire palpébral
supérieur
(portion du muscle dit sphincter des paupières);
Pyramidal du nez. Élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
, palpébraux. Petit zygomatique et palpébraux.
ans-versc du nez, et élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. TABLEAU SYNOPTIQUE. expressions complexes
cier et abaisseurs de la mâchoire inférieure. Orbiculaire palpébral
supérieur
, mas- séter, buccinateur, carré de la lèvre i
illaire inférieur, au maximum de contraction. Orbiculaire palpébral
supérieur
et triangulaire des lèvres. Orbiculaire palpébr
lpébral supérieur et triangulaire des lèvres. Orbiculaire palpébral
supérieur
et grand zygomatique. Pyramidal du nez , grand
gard tourné en haut et latéralement, et spasme des paupières, dont la
supérieure
recouvre une partie de l'iris. Même combinaison
de l'attention (le frontal), de la réflexion (l'orbiculaire palpébral
supérieur
), de l'agression (le pyramidal), de la douleur (l
), du pleurer (le petit zygomatique et Y élévateur propre de la lèvre
supérieure
), du pleurnicher [Yélévateur commun de F aile du
e), du pleurnicher [Yélévateur commun de F aile du nez et de la lèvre
supérieure
), enfin des muscles complémentaires de la surpris
— A. Frontal, muscle de Y attention. — B. Orbiculaire palpé- bral
supérieur
, muscle de la réflexion. — C, D. Palpébraux sup
palpé- bral supérieur, muscle de la réflexion. — C, D. Palpébraux
supérieur
et inférieur, muscle du mépris et complémen- 1
le du pleurer modéré et du chagrin. — G. Elévateur propre de la lèvre
supérieure
, muscle du pleurer, — H. Élévateur commun Fie.
ure, muscle du pleurer, — H. Élévateur commun Fie. 1. de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, muscle du pleurnicher. — I.
t moteur (la sourcilier. — F. Filet moteur de l'orbiculaire palpébral
supérieur
. •— ,F. Filet moteur du pal-pébral supérieur.—,1.
l'orbiculaire palpébral supérieur. •— ,F. Filet moteur du pal-pébral
supérieur
.—,1. Filet moteur du palpébral inférieur. — K.
petit zygomatique. —Q. Filet moteur de l'élévateur propre de la lèvre
supérieure
. —M. Filet moteur du transverse du nez. — L. File
ransverse du nez. — L. Filet moteur de l'élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez. — N. 0. Filets moteurs de l'
aciale. — A. B. Filets moteurs des muscles auriculaires postérieur et
supérieur
. — C. Filet moteur du muscle occipital. — S. Bran
nissant sur la ligne médiane, forment une nouvelle courbe à concavité
supérieure
, dont la corde et la flèche sont plus petites que
n du frontal exerce une action notable sur l'élévation de la paupière
supérieure
. La petite fille sur laquelle j'ai fait contrac
ent attentif. Ill MUSCLE DE LÀ RÉFLEXION (orbiculaire palpébral
supérieur
, portion du muscle dit sphincter des paupières, B
étude du mécanisme et de l'expression du muscle orbiculaire palpebral
supérieur
(B, fig. 1), chez un vieillard (représenté dans l
, 8, 9). A droite, electrisation modérée de l'orbiculaire palpebral
supérieur
: réflexion. A gauche, attention. Fig. 13. —Elec
ion. Fig. 13. —Electrisation plus forte des orbiculaires palpébraux
supérieurs
, avec abaissement léger des commissures labiales
e même individu, la contraction au maximum de l'orbiculaire palpébral
supérieur
et du sourcilier. À gauche, électrisation très
lier. À gauche, électrisation très forte de l'orbiculaire palpébral
supérieur
: mécontentement, pensée sombre. A droite, électr
le mécanisme de la contraction volontaire de l'orbiculaire palpébral
supérieur
est identiquement le même que sous l'influence du
trique. Contraction volontaire, forte, des orbiculaires palpé-braux
supérieurs
, chez un jeune sujet (voy. son portrait photograp
Si ensuite vous découvrez le côté droit, où l'orbiculaire palpébral
supérieur
est mis en contraction, vous observez : 1° que le
'avais provoqué qu'une contraction modérée de l'orbiculaire palpébral
supérieur
. Sur la figure 13, l'orbiculaire palpébral supé
aire palpébral supérieur. Sur la figure 13, l'orbiculaire palpébral
supérieur
a été mis en contraction de chaque côté plus éner
été produit par la contraction électrique des orbiculaires palpébraux
supérieurs
. Les différences que l'on observe entre ces deu
n œil, sous l'influence de la contraction de l'orbiculaire palpé-bral
supérieur
, que cette contraction ait été provoquée par un c
de la méditation. Lorsque la contraction de l'orbiculaire palpébral
supérieur
est à son maximum, le mouvement de corrugation es
de la figure 1 , où j'ai fait contracter énergiquement l'orbiculaire
supérieur
. B. — Expression. Revenons à l'expérience rep
n de l'étude clu mécanisme des mouvements de l'or-biculaire palpébral
supérieur
. Regardons alternativement et comparativement cha
magique de ce mouvement imprimé au sourcil parl'orbiculaire palpébral
supérieur
. On pourrait objecter que le sourcil naturellem
haut degré, avec un sourcil très haut et dont l'orbiculaire palpébral
supérieur
serait très peu développé. Cependant, dans les ca
et en lumière un fait anatomique, ignoré jusqu'alors : la terminaison
supérieure
du pyramidal du nez (P, fig. 1) dans la peau de l
dal, on ne voit plus le sillon transversal qui indique la terminaison
supérieure
et cutanée de ce muscle se dessiner d'une manière
siste à l'action des pyramidaux, au point que leurs fibres terminales
supérieures
ont creusé un sillon profond dans l'espace inters
gnes résultait de la contraction énergique de l'orbiculaire palpébral
supérieur
. A l'appel de ce muscle, on a vu apparaître, à l'
dal, en cachant la partie inférieure de la face, à partir de la lèvre
supérieure
. Est-il possible de voir un regard plus méchant?
— mécanisme. Le sourcilier (0, fig. 1), recouvert par l'orbiculaire
supérieur
, ne peut être excité que par l'intermédiaire de s
t moteur, en dehors des fibres les plus excentriques de l'orbiculaire
supérieur
, filet qui vient du palpebral supérieur, et qui e
excentriques de l'orbiculaire supérieur, filet qui vient du palpebral
supérieur
, et qui est sous-cutané dans deux points (voy. I,
e ligne sineuuse composée de deux courbes, l'une interne, à concavité
supérieure
, et l'autre externe, à concavité inférieure; 3° q
t se rejoignent, et décrivent au centre une petite courbe à concavité
supérieure
; enfin ils se terminent, en dehors, au niveau d'
quelques-unes des fibres les plus externes de l'orbiculaire palpébral
supérieur
, qui se sont contractées et ont produit ces rides
u sourcil. D'autre part, on se rappelle que l'orbiculaire palpébral
supérieur
abaisse le sourcil en masse, et tend toute la pea
le sourcilier est antagoniste du pyramidal du nez et de l'orbiculaire
supérieur
, pour la tête du sourcil. Enfin, l'expérience d
fig. 2) du grand zygoma-tique se fait un peu au-dessous de l'attache
supérieure
de ce muscle, c'est-à-dire 2 centimètres et demi
a différence expressive de ces figures. En effet, cachez-en la partie
supérieure
jusqu'au niveau du bord inférieur de l'orbite, al
e des paupières inférieures, une dépression transversale, à concavité
supérieure
, et qu'au-dessous de cette dépression la peau de
y. E, fîg. 1); il est séparé latéralement de l'orbicu-laire palpébral
supérieur
par une intersection aponévrotique. Tous ces fa
la première (fig. 35), le rhéophore a été posé au niveau de la partie
supérieure
du grand zygomatique, sur le point où doit s'imme
ntre elles, que du côté droit, où l'expérience est faite, la paupière
supérieure
s'est abaissée et que l'inférieure s'est au contr
e du nez est attirée obliquement en haut et en avant ; que la portion
supérieure
du sillon naso-labial a suivi la même direction ;
associe aussi avec l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
pour peindre une nuance de la même expression. J'
et se rapproche davantage de la verticale; que la moitié de la lèvre
supérieure
qui correspond au triangulaire excité, est attiré
rend plus sérieuse la réflexion exprimée par l'orbiculaire palpébral
supérieur
, sur la moitié droite de la figure 12, et s'il ét
a figure lo par la contraction assez forte de l'orbiculaire palpébral
supérieur
, devient, dans la figure une expression de pensée
sombre par la même contraction au maximum de l'orbiculaire palpébral
supérieur
gauche, combinée avec un léger abaissement des co
DU PLEURNICHER (petit zygomatique et élévateur propre de la lèvre
supérieure
, F, II, fig. \ ). Figures 46, 47, 48, 49, 50, 5
fférentielle du petit zygomatique et de l'élévateur propre delà lèvre
supérieure
, chez le même sujet. A gauche, excitation élect
. A droite, excitation électrique de l'élévateur propre de la lèvre
supérieure
et contraction volontaire des paupières : nuance
ction partielle de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. A droite, contraction partielle de l'élévateur
ction partielle de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
: mécontentement, mauvaise humeur. A gauche, re
ion expressive des élévateurs communs de l'aile du nez el de la lèvre
supérieure
, associée à l'abaissement de la lèvre intérieure
ion électrique des élévateurs communs de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
, el. abaissement volontaire de la lèvre inférieur
tion expressive de l'élévateur commun de l'aile du nez el de la lèvre
supérieure
, combinée avec celle des palpébraux, comparativem
tion électrique de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
, et des palpébraux : pleurnicher. A droite, con
le externe des paupières. C'est justement là que se trouve la portion
supérieure
du petit zygomatique (voy. F, fig. 1) qui s'attac
e la paupière inférieure. Dans cette région, une partie de la portion
supérieure
de l'élévateur propre de la lèvre supérieure (voy
une partie de la portion supérieure de l'élévateur propre de la lèvre
supérieure
(voy. G, fig. 2), et le filet moteur (voy. L, fig
iment ces muscles, de telle sorte que le courant dirigé sur la partie
supérieure
du petit zygomatique peut rencontrer le filet ner
e l'os malaire, et qu'elle s'exerce sur la partie médiane de la lèvre
supérieure
et de la ligne naso-labiale. 11 en est résulté qu
de la paupière inférieure qui s'est un peu rapprochée de la paupière
supérieure
. Sur le côté gauche des figures /|7 et /18, où
ans la figure /16. Chez ce vieillard, on voit sur la peau de la lèvre
supérieure
de petites rides obliques en haut et en dehors, e
non-seulement élevé la partie moyenne de la moitié droite de la lèvre
supérieure
, en lui faisant décrire une courbe à concavité in
même temps il a, pour ainsi dire, retroussé cette moitié de la lèvre
supérieure
, de manière à mettre à découvert une plus grand
cette disposition anatomique. Dès que ce muscle a atteint la lèvre
supérieure
et le côté externe de l'élévateur propre, ses fib
du petit zygomatique se faisant au bord libre de la peau de la lèvre
supérieure
, ce muscle ait une tendance à retrousser celle-ci
t. Le côté droit de la figure 47, où l'élévateur propre de la lèvre
supérieure
est excité, montre que l'action de ce muscle est
matique ; seulement on observe que l'action qu'il exerce sur la lèvre
supérieure
et sur la ligne naso-labiale a une direction moin
ets jeunes et aux lèvres épaisses, ce muscle retrousse aussi la lèvre
supérieure
. Le mécanisme de cette action de l'élévateur de l
e supérieure. Le mécanisme de cette action de l'élévateur de la lèvre
supérieure
s'explique parfaitement par la disposition anatom
res 51, 52 et 53, le rhéophore a été appliqué au niveau de la portion
supérieure
de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la l
tion supérieure de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
(H, fig. 1), vers le point d'immersion du filet m
it que l'aile du nez s'est élevée et a entraîné avec elle l'extrémité
supérieure
de la ligne naso-labiale, qui s'est allongée en d
ngée en devenant moins oblique, et que la portion externe de la lèvre
supérieure
a été attirée en haut, suivant la direction de l'
nt la direction de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. Sur le côté droit de la figure 51, l'éleclrisa
du nez et celui de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. B. — Expression. Les expériences électro-phy
s. Du côté droit de la figure 47, où l'élévateur propre de la lèvre
supérieure
est contracté en même temps que le sphincter des
essives (la courbe de la ligne naso-labiale, le mouvement de la lèvre
supérieure
et le relief de la pommette) produites par ces de
la pommette) produites par ces deux muscles (l'élévateur de la lèvre
supérieure
et le petit zygomatique) ont entre elles beaucoup
pleurer à chaudes larmes, le pleurnicher, est l'élévateur de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez(voy. H, fig. 1); maison n'obt
ter des paupières, l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
ne possède plus le pouvoir d'exprimer le pleurer
ieure, et que ce relief est limité en avant par un sillon à concavité
supérieure
, qui, naissant 2 centimètres et demi en arrière d
que dans les figures 61 et 62, et de plus abaissement de la paupière
supérieure
et. regard en bas : expression d'effroi. Fig. G
à S millimètres ; la lèvre inférieure seule s'est écartée de la lèvre
supérieure
de 2 centimètres environ. Pour les expressions
re et latérale de la joue, et infé-rieuremeut, au niveau de la partie
supérieure
du thorax, dont il suit enfin les contours à la f
n de l'effroi. On voit, en effet, malgré l'abaissement de la paupière
supérieure
, la contraction combinée des peauciers, des front
............ 17 III. Muscle] de la réflexion (orbiculaire palpébral
supérieur
, portion du muscle dit sphincter des paupières
et du pleurnicher (petit zygomatique, élévateur propre de la lèvre
supérieure
, et élévateur commun de la lèvre supérieure et
teur propre de la lèvre supérieure, et élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez).......... 81 Légende des f
graphies esthétiques, on les trouvera, je; n'en doute pas, infiniment
supérieures
à celles qui composent la partie scientifique, et
en haut (mouvement produit par l'action synergique des muscles droits
supérieurs
de l'œil et frontaux). De chaque côté, la courbe
cave en bas et se creuser un peu. En même temps, la forme de la lèvre
supérieure
de ce côté est légèrement relevée ou retroussée,
de la figure 80), Alors le sillon naso-labial et la forme de la lèvre
supérieure
se sont modifiés à droite, ainsi que je l'ai dé
m. Les abaissent de son sourcil (le pyramidal du nez et l'orbicuîaire
supérieur
, P et B, fig. 1) l'emportent sur les élévateurs,
de ce muscle est toujours en bas, et conséquemment que sa terminaison
supérieure
étant mobile et se faisant à la peau, dans l'espa
motions. Ordinairement, toutefois, il se contracte avec l'orbiculaire
supérieur
(0, fig. 1); alors le sourcil est abaissé en mass
nfluence de l'action combinée du pyramidal du nez et de l'orbiculaire
supérieur
). Alors, on le conçoit, si dans l'emportement de
à la région cervicale lorsque les symptômes prédominent aux: membres
supérieurs
, et à la région lombaire dans la forme commune, c
xie (incoordination motrice et douleurs fulgurantes) dans les membres
supérieurs
. Or, cette sclérose consécutive affecte exclusive
Fig- 3. Coupe au niveau de la 12e vertèbre dorsale. — Fig. 4. Partie
supérieure
du renfle-ment lombaire. (Ces quatre figures sont
comotrice généralisée, c'est-à-dire intéressant à la fois les membres
supérieurs
et les membres inférieurs, est venu confirmer ces
e rencontrent jamais que dans les cas où, pendant la vie, les membres
supérieurs
ont présenté les symptômes tabétiques. Ils n'exis
inent de ce côté, selon que ces symptômes n'ont affecté que le membre
supérieur
droit ou s'y sont montrés plus accusés qu'à l'aut
ire, dans le membre gauche. De plus, dans tous les cas où les membres
supérieurs
étaient restés absolument indem-nes, les tractus
brachial, bien que les symptômes d'ataxie eussent occupé les membres
supérieurs
. Ce cas s'est enfin présenté chez une nommée Moli
idemment de tout ce qui précède que, pour ce qui concerne les membres
supérieurs
, la lésion des cordons de Goll ne saurait réclame
ui lui soit contraire. Ce qui vient d'être dit à propos des membres
supérieurs
s'applique d'ailleurs également aux membres infér
motrice occupaient aussi bien les membres inférieurs que les membres
supérieurs
, et cependant la lésion des cordons médians faisa
rapidement, mais se montra limitée d'une façon très nette aux membres
supérieur
et inférieur du côté droit. Je ne pouvais me réso
nre, les symptômes ataxiques font absolument dé-faut dans les membres
supérieurs
, au moins dans l'immense majorité des cas. Il y
e la para-plégie, une paralysie complète avec contracture des membres
supérieurs
. Cependant, à l'autopsie, on constata que la moel
as de paralysie proprement dite, mais il se produit dans les mem-bres
supérieurs
, lors des mouvements intentionnels, une inco-ordi
i-ques, tantôt une paralysie plus ou moins prononcée dans les membres
supérieurs
. Quelle est la raison de cette complication sin
épinière, peuvent retentir, par une action à distance sur les régions
supérieures
de ce cordon nerveux. C'est ce que met bien en lu
impossible, tant que dure l'applica-tion, d'exciter dans les membres
supérieurs
des mouvements réflexes. Je vous rappellerai au
soit l'ataxie, soit la paralysie avec ou sans contracture des membres
supérieurs
, dans les cas pathologiques qui nous oc-cupent. C
de déterminer l'apparition des symptômes tabétiques dans les membres
supérieurs
. Mais une fois consti-tuée, la sclérose consécuti
e le répète, lorsque la lésion partielle primitive occupe les parties
supérieures
de la région dorsale. Or, la paralysie des membre
arties supérieures de la région dorsale. Or, la paralysie des membres
supérieurs
, tôt ou tard suivie d'une contracture, est un sym
Si, au contraire, les bandelettes externes sont envahies, les membres
supérieurs
seront atteints d'incoordination motrice. Enfin,
ps que la plupart des autres symptômes s'aggravent et que les membres
supérieurs
, libres jusqu'à ce moment, sont envahis à leur to
rieurs sont toujours préférablement affectés ; néanmoins, les membres
supérieurs
, la tête, le tronc, ne sont pas, tant s'en faut,
le. Celte dernière affection, lorsqu'elle prédomine dans les mem-bres
supérieurs
, rappelle par quelques-uns de ses caractères la p
a pas d'incoordination des mouvements des membres tant inférieurs que
supérieurs
. La démarche est régulière, et la station de-bout
que tardive, ce qui est parfaite-ment exact, c'est toujours au membre
supérieur
, à l'épaule, au coude ou au poignet qu'on l'obser
ung der Arthristis défor-mons. {Note de la i" édition.) les régions
supérieures
de la moelle, alors qu'elle est déjà très ancienn
hro-pathie typique de l'épaule. (De toutes les jointures des mem-bres
supérieurs
, c'est l'épaule qui est le plus souvent affectée)
s confinée au lit, et l'incoor-dination était peu marquée aux membres
supérieurs
, quand un matin, à la suite d'accès fulgurants, e
me vit survenir, dans l'espace d'une nuit, une tuméfaction du mem-bre
supérieur
tout entier, telle que ce membre était presque le
toujours de la description classique — les symp- Fig.6. —Extrémité
supérieure
d'un humérus sain et d'un humérus offrant, les lé
ivant du malade, par une parésie avec atrophie musculaire des membres
supérieurs
. La dilatation, dans ces cas, intéressait presque
ls signalent seulement les cas dans lesquels la paralysie des membres
supérieurs
, après avoir été plus ou moins prononcée, s'amend
phénomènes est du plus haut intérêt pour le veuses entre Je segment
supérieur
et le segment inférieur de la moelle épinière? S'
ncet (1856, p. 406), par M. Ogle. une région plus élevée, la partie
supérieure
du renflement brachial, par exemple, ce sont les
et à un côté de l'abdomen, elle s'étendrait de ce même côté au membre
supérieur
, au tronc, au cou même, de telle sorte que la fac
lésion spinale, la pa-ralysie motrice occuperait à la fois le membre
supérieur
et le membre inférieur, lesquels présenteraient l
e-raient hyperesthésiés. La zone d'anesthésie qui formerait la limite
supérieure
de ces parties serait située très haut, et oc-cup
rties serait située très haut, et oc-cuperait, par exemple, la partie
supérieure
du thorax et de l'épaule et même le cou. L'anes
— De la paraplégie cervicale. — Compression des nerfs des extré-mités
supérieures
. — Lésions de la moelle épinière au cou ; leur mo
gie cervicale i. La paralysie occupe alors, soit un seul des mem-bres
supérieurs
, soit les deux membres supérieurs à la fois, ex-c
pe alors, soit un seul des mem-bres supérieurs, soit les deux membres
supérieurs
à la fois, ex-clusivement ou tout au moins, d'une
mment dans cette variété du mal de Pott, que les nerfs des extrémités
supérieures
soient comprimés, tantôt au niveau des trous de c
sie motrice limitée, au moins pendant quelque temps, aux deux membres
supérieurs
ou même à l'un de ces mem-bres. 1 Sur la parapl
ète, mettre en doute l'existence de la forme de paralysie des membres
supérieurs
sur laquelle j'ap-pelle votre attention. Yoici d'
parfois, bien que toujours à un degré moins prononcé, dans le membre
supérieur
du même côté. Un fait rapporté par le Dr Radcli
pi-nière pourrait déterminer une paralysie motrice bornée aux membres
supérieurs
. Vous n'ignorez pas que, dans certains cas de par
les où une tumeur intraspinale cervicale a déterminé dans les membres
supérieurs
une paralysie se rap-prochant, à beaucoup d'égard
droit; puis, au bout de quinze jours, elle s'était étendue au membre
supérieur
gauche. Deux mois après le début des premiers sym
sions par compres-sion soit de la région cervicale, soit de la partie
supérieure
de la région dorsale de la moelle. Les symptôme
traumatiques portant sur la moelle cervicale ou sur la moelje dorsale
supérieure
. C'est tantôt la dilatation (myosis spasticà), ta
864, t. III, p. 30. la dyspnée qui, dans la compression des régions
supérieures
de la moelle épinière, peuvent exister à titre de
s névralgiques qui, en pareil cas, occupent naturellement les parties
supérieures
du thorax, ces symp-tômes ont quelquefois reprodu
aignait de toux et de dyspnée accompagnées de douleurs dans la partie
supérieure
du dos ainsi que dans l'é-paule droite, de transp
dû subir en conséquence du rétrécissement que présentaient la partie
supérieure
du canal vertébral ainsi que le trou occipital. J
oins, d'une lésion siégeant dans le bulbe ou dans la moelle cervicale
supérieure
; c'est là une thèse que je me réserve de dévelop
lle n'affecte qu'un seul membre inférieur, ou encore l'un des membres
supérieurs
: ; — d'autres fois, très rarement à la vérité, e
rès rarement à la vérité, elle frappe exclusi-vement les deux membres
supérieurs
— enfin, il est des cas où la paralysie, atteigna
égion cervicale dans un cas de para-lysie infantile spinale du membre
supérieur
droit. — Pièce recueillie à la Sal-pêtrière chez^
essivement ; puis, quinze jours plus tard, ils reparurent aux membres
supérieurs
, mais, à la vérité, d'une manière incomplète. C'e
ière incomplète. C'est que, dans un bon nombre de muscles des membres
supérieurs
, la nutrition avait souffert au point que l'atrop
radi-salion ; par opposition aux désordres constatés sur les mem-bres
supérieurs
, l'amélioration.avait continué à progresser dans
temps, il se produisit un certain amendement dans l'état des membres
supérieurs
et le malade commença en outre à pouvoir se maint
en rien mo-difiés sur les différentes parties du tronc et des membres
supérieurs
. Quant aux membres inférieurs, ils sont tous de
avan-cer que la rétrocession des symptômes, déjà ébauchée aux membres
supérieurs
, s'y accuserait plus encore et s'étendrait sans d
ce qui concerne la puissance motrice et la nutrition dans les membres
supérieurs
; aux membres inférieurs, la contractilité faradi
s, l'amaigrissement des cuisses était déjà appréciable. Les membres
supérieurs
n'ont, à aucune époque, été sé-rieusement engagés
aux origines des nerfs rachidiens. L'atrophie muscu-laire des membres
supérieurs
se développe sous cette double influence ; elle s
ine aura subi un amaigrissement très prononcé, tandis que les membres
supérieurs
, ayant été épargnés tout entiers, offriront une s
de longue date d'atrophie musculaire protopathique, dont les membres
supérieurs
étaient, de même que le tho-rax, réduits à l'état
M. Duchenne l'a noté dans une douzaine de cas seulement ; les membres
supérieurs
, alors, sont pris en second lieu. 3° Enfin, il
la langue. —Gêne très prononcée de la déglutition. — Les deux membres
supérieurs
, surtout le gauche, sont pendants, inertes, sans
r et hypottiénar. 11 n'existe pas de déformation in griffe. — Membres
supérieurs
non atrophiés ; la station et la marche ont été p
, à l'âge de 55 ans — Début vers l'âge de vingt-six ans par le membre
supérieur
droit. — Extension len-tement progressive de l'at
eur droit. — Extension len-tement progressive de l'atrophie au membre
supérieur
gauche. — Les membres inférieurs ne sont affectés
rmations paralytiques; attitude de la main. — Trémulation des membres
supérieurs
à l'occasion des mouvements intentionnels. — Mode
) La maladie débute, dans la grande majorité des cas, par les membres
supérieurs
, sans fièvre, le plus communément sans malaise ap
d nombre d'articulations. Ainsi, pour ne parler d'abord que du membre
supérieur
, voici quelle est l'attitude qu'il offre habituel
autre particularité. Parfois, dans la sclérose latérale, les membres
supérieurs
pa-rétiques, contractures et atrophiés, ont néanm
qui nous occupe s'ac-cuse le plus souvent d'abord dans un des membres
supérieurs
; puis, elle s'étend à l'autre de manière à donne
ne saurais dire pourquoi, dans certains cas, la rigidité des mem-bres
supérieurs
ou inférieurs est peu prononcée, tandis que dans
ibrillaires et s'atrophier dans leur ensemble à l'exemple des membres
supérieurs
. En général, quand cette atrophie est poussée à u
er les con-ditions normales. 1° Parésie sans anesthésie des membres
supérieurs
, accom-pagnée d'émaciation rapide de l'ensemble d
trophient qu'à la longue et jamais au même degré que ceux des membres
supérieurs
. La vessie et le rectum ne sont point affectés
utrefois, elle se circonscrit dans ses commencements soit à un membre
supérieur
, soit à un membre inférieur ; par-fois, elle rest
ent qui est en relation physiologique avec les mouvements des membres
supérieurs
. Plus tard, elle gagne le déparlement qui est en
peine après l'attaque, les muscles, tant du membre in-férieur que du
supérieur
, commencèrent à s'atrophier en même temps qu'ils
ue, est capable aujourd'hui de marcher et de se servir de ses membres
supérieurs
pour exécuter quelques ouvrages. La guérison est
sque sur le sommet de la tête et se répandent aussi dans les mem-bres
supérieurs
. Ces douleurs sont accompagnées d'une sorte de
ces même, des fourmillements et des engourdissements dans les membres
supérieurs
, en même temps qu'il s'y produit un certain degré
es des plaques à'anesthésies qui peu-vent s'étendre jusqu'à la partie
supérieure
du tronc. Ce n'est pas tout encore ; les membre
Pierret, l'atrophie portait à la fois sur toute l'é-tendue du membre
supérieur
et du membre inférieur d'un même côlé (Fig. 26).
. La paralysie débute soit par les membres inférieurs, soit par les
supérieurs
, d'où il s'ensuit une marche tantôt ascen-dante,
rice. La paralysie s'aggrava progressivement et s'étendit aux membres
supérieurs
. Deux ans après le début, le malade était condamn
métriquement, dans toute leur étendue en hauteur, depuis l'ex-trémité
supérieure
du renflement cervical, jusqu'à l'extrémité infér
— E, cordons de Goll. si perfectionnées ; c'est, toutefois un essai
supérieur
peut-être, à quelques égards, aux tentatives d'un
server depuis longtemps, chez ceriains hémiplé-giques, dans le membre
supérieur
contracture, en redressant les phalanges des doig
envahis, elle peut s'étendre, mais toujours tardivement, aux membres
supérieurs
. Ceux-ci deviennent, en pareil cas, le théâtre de
ension et dans la pronation. Quand les choses en sont là, les membres
supérieurs
demeurent immobiles, rigides, plus ou moins forte
D'ailleurs, dans celte affection, ce sont, dans la règle, les membres
supérieurs
qui, les premiers, sont envahis, contrairement à
es membres inférieurs, avec ou sans rigidité concomitante des membres
supérieurs
(forme spinale de la sclérose en plaques) '. Môme
'une myélite partielle sié-geant, au moins primitivement, à la partie
supérieure
du renflement lombaire. Cette indication vous per
erse siégeant au-dessous du renflement lombaire ou occupant la partie
supérieure
de ce renflement. Des fourmillements, des engou
on siège primitif, ainsi que le prouvent plusieurs cas où les membres
supérieurs
ont été à leur tour envahis par la paralysie. Enf
s'étendant au membre du côté opposé, et, en dernier lieu, aux membres
supérieurs
3. M. Leyden a emprunté à M. Benedikt le fait s
rvint une paralysie complète avec atrophie musculaire, dans le membre
supérieur
, du même côté 4. Dans un cas très intéressant,
uscles de la main et d'une éruption pemphigoïde. Plus tard, le membre
supérieur
du côté opposé fut à son tour frappé d'atrophie e
ause rénale ou vésicale. La paralysie ne s'étend jamais aux membres
supérieurs
; il s'agit d'ailleurs plutôt là d'un affaiblissem
nchique paralyse l'intestin, et comment, enfin, celle du nerf laryngé
supérieur
suspend momentanément la respira-tion. Mais ce qu
ctes réflexes sont atténués, à un degré remarquable, dans les membres
supérieurs
, pendant tout le temps que dure l'irritation. Cet
ivement les mouvements dans le membre inférieur droit, ceux du membre
supérieur
corres-pondant, bien que redevenus possibles et a
ce, dans ce cas, ils sont très évidents au contraire dans les membres
supérieur
et inférieur du côté droit. Ceux-ci, je puis vo
et dans les mouvements. Dans les mouvements intentionnels du membre
supérieur
, il se manifeste une agitation choréiforme tout à
ou-de-pied du côté droit. Vous remarquerez que, par contre, le membre
supérieur
de ce côté reste à peu près im-mobile. Mais cela
ise par ses parents à 4 ans et demi, elle était paralysée des membres
supérieur
et inférieur du côté droit, et éprouvait de temps
-zaine d'années de douleurs vagues occupant toute l'étendue du membre
supérieur
droit. Depuis 1869, elle est devenue sujette à de
ême époque, un tremblement choréiforme s'est emparé de ce même membre
supérieur
droit. Le tremblement en question est pour ains
a face, au tronc et au membre inférieur du côté droit. Seul le membre
supérieur
droit, siège des mouvements ohoréiformes, offre e
eu l'occasion de vous le faire remarquer, c'est par l'un des membres
supérieurs
, ou par un des côtés de la face, que s'opère le d
hytmiques précipitées et violentes. Presque aussitôt après, le membre
supérieur
du même côté fut à son tour envahi de la même faç
tou-jours par le membre inférieur gauche, gagnaient ensuite le membre
supérieur
du même côté, et quelquefois en outre la moitié c
miers jours d'octobre, la contrac-ture commença à s'emparer du membre
supérieur
gauche, de la main surtout, et à l'occuper d'une
e temps de gagner son lit et de s'y étendre. Alors, on voit le membre
supérieur
gau-che se fléchir à l'excès au niveau des articu
e mon service, la nommée P..., présentant une contracture des membres
supérieur
et inférieur du côté gauche, permanente à un cert
e les convulsions, dans l'épi-lepsie partielle débutant par le membre
supérieur
, tendent à se généraliser, elles n'envahissent le
face est affectée tout d'abord, c'est, après elle, le tour du membre
supérieur
, et en dernier lieu celui du membre inférieur. Si
le membre inférieur, elles se répandent successivement sur le membre
supérieur
d'abord, puis sur la face. Cet ordre ne paraît êl
épassé le terme ordinaire, d'une paralysie subite affectant le membre
supérieur
gauche. En revenant à lui, il avait trouvé ce mem
long du corps. Je constatai que la paralysie était limitée au membre
supérieur
gauche qu'elle occupait dans toute son étendue, e
M. Vigla. A ce moment, la ma-lade se servait très bien.de ses membres
supérieurs
, qui n'étaient le siège d'aucune douleur; quant a
Les douleurs fulgurantes commencèrent à se montrer dans les membres
supérieurs
un an environ après l'admission de G... à l'hospi
cupent encore les membres inférieurs. Les mouvements dans les membres
supérieurs
n'ont été affectés que dans ces derniers temps. A
ment. En dehors de cela, il n'existait à cette date, dans les membres
supérieurs
, aucune trace d'incoordination motrice. Vers le
s raccourci et mesure 62 centimètres de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à la malléole externe. 11 est placé sur le côté e
genou et même pour la partie inférieure de la cuisse. C'est la partie
supérieure
de la cuisse ainsi que la hanche, et comme siège
e distance d'en-viron 12 centimètres de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, lorsque le membre est placé dans la rectitude (V
tière est raccourcie, et mesure depuis l'épine iliaque anté-rieure et
supérieure
jusqu'au condyle interne du fémur une lon-gueur d
osé ; cette longueur est mesurée depuis l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, jusqu'à la malléole externe. Le membre est placé
cuisse jusqu'à quelques centimètres de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
. Ces plis remontent obliquement de bas en haut, d
ne ligne qui joindrait transversalement l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à l'ischion. Les divers mouvements de l'articul
et en haut. Il existe donc là une luxation ilio-ischiatique. Membre
supérieur
gauche. — Il présente des lésions à l'épaule et à
ent raccourci ; il présente une augmentation de volume dans son tiers
supérieur
. Nous trouvons là, en effet, un cal un peu diffor
un peu difforme occupant les deux os, commen-çant au niveau du tiers
supérieur
du cubitus à près de six cen-timètres de l'olécrâ
yloïde du radius. Il englobe tout l'espace inter-osseux vers le tiers
supérieur
de l'avant-bras, sur-tout postérieurement. Ce cal
e fraction spontanée a intéressé les deux os, le cu-bitus à son tiers
supérieur
, le radius à sa partie moyenne, c'est-à-dire qu'i
l'indicateur étant celui dont l'allongement est perma-nent. Membre
supérieur
droit. — Sa longueur, mesurée depuis l'acro-mion
l y a entre deux corps inégalement froids. — Les mouvements du membre
supérieur
droit sont moins profondément affectés ; 1 incoor
e le fragment inférieur a remonté sur la face postérieure du fragment
supérieur
. — Elles nous montrent un cal assez régulier et c
le cubitus gauche, on trouve un cal très-gros à la jonction du quart
supérieur
avec les trois quarts inférieurs. Du bord externe
cavité postérieure, et va s'unir au radius un peu au-dessous du tiers
supérieur
. — Le radius, qui a été fracturé à sa partie moye
t s'unir à la face antérieure du cubitus, de telle sorte que la jetée
supérieure
est située en arrière des deux os et l'inférieur,
on volume; le grand trochanter est usé et ce qui reste de l'extrémité
supérieure
du fémur vient aboutir à un cal irrégulier, offra
l'arthropathie, nous avons là une fracture. Presque tout le fragment
supérieur
s'est détruit par atrophie, par frottement, et la
établissent, au contraire, clairement, en ce qui concerne les membres
supérieurs
, que les fractures s'y sont produites à une époqu
les doigts de sa main gauche se fléchir involon-tairement, le membre
supérieur
gauche se raidir dans l'extension et s'élever tou
brûlure, la toux, ayant pour siège apparent le larynx ou les régions
supérieures
de la trachée, ont dans tous les cas précédé la c
prémonitoires de l'attaque semblent désigner le larynx ou les régions
supérieures
de la trachée, comme étant le point de départ de
ux effets produits chez les ani-maux par l'excitation du nerf laryngé
supérieur
, faite dans de certaines conditions 2, mais on ne
opsie, on trouva la moelle entièrement divisée au niveau de la partie
supérieure
de la région dorsale; un lambeau de la dure-mère
ncomplète du mouvement, avec obnubilation de la sensibilité du membre
supérieur
gauche, s'était manifestée. Le huitième jour, à p
compagnant d'au-cun trouble de la sensibilité marqua pour les membres
supérieurs
le début des accidents. Bientôt après l'atrophie
pas été durable. L'atrophie, tout en faisant des progrès aux membres
supérieurs
et au tronc, n'avait pas envahi d'une façon appré
olume considérable qu'avaient subi les masses musculaires aux membres
supérieurs
, ceux-ci n'étaient pas atteints en réalité d'une
moins la traîner où bon lui semblait. Dans leur ensemble, les membres
supérieurs
étaient flasques, pendant habituellement le long
. — L'atrophie des muscles est extrêmement prononcée dans les parties
supérieures
du corps. Elle porte à peu près égale-ment, sur l
t de même des régions sus et sous-épineuses ; dans toutes les parties
supérieures
du corps, le squelette se dessine et parait imméd
qui, comme le trapèze, ne sont atrophiés que partiellement. Membre
supérieur
droit. — Le deltoïde est jaune et considéra-bleme
rme qu'a pris le sys-tème capillaire de la région. Dans les parties
supérieures
de la région cervicale, la vasculari-sation dimin
hénomène spasmodique, attestée par la flaccidité générale des membres
supérieurs
, la mobilité de toutes les grandes articulations,
Si maintenant nous considérons que dans certains points, à la partie
supérieure
de la région cervicale, par exemple, de même qu'à
es douleurs dans les mains, et, à partir de cette époque, les membres
supérieurs
s'affaiblissent à leur tour progressivement. Ve
e de la maladie, au contraire, la faiblesse des membres inférieurs et
supérieurs
avait progressé rapidement, la marche était deven
se produire l'atrophie et la déformation caractéristiques des membres
supérieurs
qu'elle présentait déjà à un très haut degré lors
xpression singulière : tandis que le front, les sourcils et la partie
supérieure
des joues ont conservé leur mobilité, on remarque
accomplissent d'une manière normale. État des menées. — Les membres
supérieurs
sont, dans l'en-semble, remarquablement amaigris
e main en griffe. Les mou-vements des différentes parties des membres
supérieurs
sont d'ail-leurs extrêmement limités. C'est à pei
bras, sont également très bornés. D'une ma-nière générale, le membre
supérieur
gauche est peut-être un peu moins faible que le d
est un amaigrissement général : on ne constate pas, comme aux membres
supérieurs
, les déformations qui tiennent à l'atro-phie préd
ement normale, tandis qu'elle paraît être plutôt exagérée aux membres
supérieurs
. Un grand nombre de muscles, ceux surtout des e
ou provoquées se remarquent encore sur tous les muscles de la partie
supérieure
du tronc. Us sont aussi très marqués aux muscles
angement notable ne s'est produit. Seulement la faiblesse des membres
supérieurs
a toujours été en augmen-tant, mais cependant l'i
s, s'accentuant de plus en plus, rendait les déformations des membres
supérieurs
, et sur-tout des mains, plus caractéristiques enc
ide laryngo-trachéal qui s'entendait à une grande distance. La partie
supérieure
des voies respiratoi-res était le siège d'une acc
ifeste le 13 au matin. Elle s'est montrée très forte même aux membres
supérieurs
, là où l'atrophie était le plus prononcée. Avant
manifeste-ment atrophiés, dans la base de cet organe. 5°Auxmembres
supérieurs
. Ledeltoïdeest atrophié d'une manière très marqué
ect fendillé qui était àpeu près général dans les muscles des membres
supérieurs
et inférieurs. Les pectoraux ne présentaient no
mouve-ments du pharynx, provoqués par le liquide arrêté à son orifice
supérieur
. Jamais celui-ci ne reflue vers les fosses nasale
ent confinée au lit. L'impuissance motrice, complète dans le membre
supérieur
gauche, est un peu moins prononcée dans celui du
ité, ceux des membres inférieurs avec une énergie plus grande que les
supérieurs
. L'orbiculaire des lèvres, en particulier, paraît
une belle coloration rouge. Les pectoraux et les muscles du membre
supérieur
gauche sont jaunes, décolorés, amincis et leur as
très prononcé du contenu de la gaine. Dans les muscles des membres
supérieurs
qui, à l'œil nu, avaient une coloration jaunâtre
vahir, en passant du côté opposé, la formation réticulée et la partie
supérieure
des cordons latéraux. Les cornes antérieures qui,
la périphérie par une bande étroite de tissu resté sain. La partie
supérieure
de la région, celle qui est située immédia-tement
us côtés par une sorte de couronne de tissu sclérosé. Si, des parties
supérieures
, on descend vers les régions dorsale et lombaire,
sorganisée dans son ensemble, et l'on peut constater dans les régions
supérieures
de la moelle, la pré-sence de véritables foyers.
é, ne sont pas plus émaciés que les parties correspondantes du membre
supérieur
droit. Les masses muscu-laires y sont cependant,
ominante des muscles des émi-nences thénar et hypothénar. Le membre
supérieur
droit est uniformément amaigri dans toutes ses pa
étaient là moins nombreux qu'aux parties correspondantes des membres
supérieurs
. p. Nerfs crâniens. — Sur toutes les préparatio
ensiblement altérées. c) Coupe faite au niveau de la partie la plus
supérieure
des oli-ves. — Cette coupe qui contient les noyau
as, pectoral, sacro-lombaire ; 2° le renflement cervical et la moitié
supérieure
de la région dorsale de la moelle épiniôre ; 3° d
re les mains qu'une partie de la moelle épinière comprenant la moitié
supérieure
de la ré-gion dorsale et le renflement cervical t
ice. La paralysie s'aggrava progressivement et s'é-tendit aux membres
supérieurs
. Deux ans après le début, le malade était condamn
métriquement, clans toute leur étendue en hauteur, depuis l'extrémité
supérieure
du renflement cervical jusqu'à l'extré-mité infér
horée post-hémiplégique, variété athétose). Les jointures du membre
supérieur
gauche sont rigides. — La main est fléchie sur l'
ures. Fig. 2.— Coupe transversale de la moelle épinière à la partie
supérieure
du renflement cervical. a, a, Cordons latéraux.
— De la paraplégie cervicale. — Compression des nerfs des extré-mités
supérieures
. — Lésions de la moelle épinière au cou ; leur mo
rmations paralytiques; attitude de la main. — Trémulation des membres
supérieurs
à l'occasion des mouvements intentionnels. — Mode
ètres de longueur et 2 de largeur, et la ligne courbe de sa surface
supérieure
mesure 6 centimètres depuis l'origine de l'anévry
pédoncule cérébelleux moyen. Coupe D. l'cs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Pcsd, pédoncule cérébelleux supérieur gauche
l'cs, pédoncule cérébelleux supérieur. Pcsd, pédoncule cérébelleux
supérieur
gauche atrophié ou dégénéré. GYII, genou du f
mide gauche déformée. Ntrap, noyau du corps trapézoide. Os, olive
supérieure
. Nacv, noyau ventral de l'acoustique. VII, ra
EXPLICATION DE LA PLANCHE III Coupe E. Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Pcsd, pédoncule cérébelleux supérieur dé- gé
Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. Pcsd, pédoncule cérébelleux
supérieur
dé- généré. Subs. ferr., substance ferrugineu
du triju- meau. V,s, racine sensitive de la Ve paire. Os, olive
supérieure
. l'on, pédoncule cérébelleux moyen. Ctrap, co
postérieur. Cal, calotte ou tegmentum. Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Lc, locus coeruleus. RI, ruban de Reil média
est aussi plus petit à gauche droite (PI. I, A). Dans les coupes
supérieures
, du côté cérébral, on constate une dégénéres- c
constatée dans les coupes de toute la série, jusque dans la région
supérieure
du pont de Ya- role, à la hauteur de l'entrecro
role, à la hauteur de l'entrecroisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Et même dans le voisinage du centre médian de
s paraissent mieux développées à gauche qu'à droite dans les coupes
supérieures
du bulbe (PI. II, D). Protubérance. - La partie
érale- ment plus développées à gauche dans les parties antérieures (
supérieures
ou proximales) de la protubérance, ce qui résul
rales (PI. III, E et F). La substance médullaire qui limite l'olive
supérieure
, y compris la par- tie dorsale de cette substan
nécrose intense par compression. La région tout entière des vermis
supérieur
et inférieur est presque complètement détruite à
ême le noyau du toit à gauche (PI. 11, C). Le pédoncule cérébelleux
supérieur
est aussi détruit dans la région du toit du qua
que totale de ses fonctions, nous trouvons le pédoncule cérébelleux
supérieur
du même côté dans un état très prononcé de dégé
cussation, on ne voit s'entrecroiser que le pédoncule céré- belleux
supérieur
de droite. Nous dirons bientôt les conséquences d
la moitié gauche du cervelet, à l'exception des parties du oernais
supérieur
et inférieur situées les plus en arrière, et qui
rtébrale, profondément encaissé dans le pont de Virole et la partie
supérieure
du bulbe. Le développement extrêmement lent de
velet et des régions de la protubérance et du pédoncule cérébelleux
supérieur
gauche, qui a été dé- truit peu à peu presque c
à cette époque, la destruction com- plète du pédoncule cérébelleux
supérieur
, la lésion du ruban de Reil, etc. Quant aux tro
ptoma- tologie de notre cas la destruction du pédoncule cérébelleux
supérieur
et l'atrophie par compression,du pédoncule céré
rouge était tout à fait atrophié, bien que le pédoncule cérébelleux
supérieur
ne fût pas aussi compromis que dans notre cas.
arations. En effet, dans notre observation le pédoncule cérébelleux
supérieur
gauche était réduit à un reste de substance ext
. Les tumeurs sont réparties de la façon suivante : Sur les membres
supérieurs
il y en a quelques-unes extrêmement petites dan
anesthésie à la piqûre sur toute la surface du corps sauf au tiers
supérieur
des cuisses et à la main droite. Par contre les
mamelons fait saillie une véritable gibbosité sternale. Le versant
supérieur
de cette gibbosité débute brusquement à 7 centi
d'âne proémine de 7 centi- mètres sur le plan de la région sternale
supérieure
qui paraît normale. Le ver- NOUV. Iconographie
bbosité semble jouir d'une certaine mobilité sur le segment sternal
supérieur
, mobilité qui est produite par les mouvements d'i
d'expiration. Dans la fosse sternale que limitent le segment sternal
supérieur
et le versant supérieur de la bosse vient se lo
se sternale que limitent le segment sternal supérieur et le versant
supérieur
de la bosse vient se loger le menton de FI... don
mé. Il est très abaissé. Le plan horizon- tal qui passe par le bord
supérieur
de la fourchette répond au corps de la 9° ver-
mière pliure sternale est le fond et dont les bords sont formés, le
supérieur
par la four- chette sternale, l'inférieur par l
, le thorax dans son ensemble est asymétrique et aplati : sa partie
supérieure
est particulière- ment affaissée ; c'est dans c
nton, une saillie médiane ayant l'aspect d'un croissant à concavité
supérieure
, dont les cornes se perdent vers les an- gles d
lobes par un sillon médian. Dans ce der- nier cas, les deux tumeurs
supérieures
et les deux inférieures finissent par se rappro
souvent, au lieu de quatre tumeurs, on n'en trouve que trois (deux
supérieures
et une inférieure). Ces tumeurs reproduisent al
a la forme d'une py- ramide tronquée à base inférieure et à sommet
supérieur
(Hayem). Quel que soit le développement des mas
nt des masses graisseuses, elles ne dépas- sent jamais, à la partie
supérieure
et postérieure de la nuque, une ligne réunissan
es siègent en de vé- ritables lieux d'élection qui sont les parties
supérieures
et internes des membres, tant au bras qu'à la c
mant un volumineux double menton. 2 lipomes symétriques à la partie
supérieure
de la nuque. Rien ailleurs. Pas de troubles vis
dicu- laires en forme de noix. La consistance des deux tuméfactions
supérieures
est plus ferme que celle des inférieures. D'aut
face postérieure du cou une tuméfaction quadrilobée dont la limite
supérieure
correspond exac- tement aux lignes courbes occi
e supérieure correspond exac- tement aux lignes courbes occipitales
supérieures
. A ce niveau la peau est mobile et nullement ad
durs, irréguliers, de volume variable; en remontant vers la partie
supérieure
, il semble que ces noyaux indurés aillent s'att
l'éther. On mène d'abord une longue incision médiane, sur la partie
supérieure
du pédicule, afin de se rendre compte des con-
e siège dèvrait se placer à la région lésée par la polioencéphalite
supérieure
. Mais je trouve intéres- sant de rapprocher ces
unâtres, profondément striés en travers. Rien d'anormal aux membres
supérieurs
. La sensibilité cutanée, la sensation du sol pe
érieurs de la moelle et seulement les cordons de Goll dans le tiers
supérieur
. Les racines de la queue de cheval sont les ant
s et demi à sa partie adhé- rente qui forme un relief vers le tiers
supérieur
de la fosse interne de l'os coxal : cette apoph
autres vertèbres sacrées sont absentes. Les apophyses articulaires
supérieures
du sacrum sont très développées : leur face int
lle est déviée à droite il partir de la dixième dorsale ; la partie
supérieure
de la colonne forme un angle de z50 environ ave
baire (pl. XIX, E Lu) est profondément altérée au niveau de sa face
supérieure
. Cette face est augmentée par la présence à droit
profondeur à gauche, ce qui rend excessivement saillants les bords
supérieur
et inférieur. La hauteur de la ver- tèbre est d
t du tiers droit de la deuxième lombaire située au-dessous. La face
supérieure
dans ce qu'il en reste, est à peu près plane et n
linéaire homologue de la deuxième lombaire allant du milieu du hord
supérieur
de celle-ci en avant il la base de l'apophyse t
imensions des apophyses articulaires ; aussi les faces articulaires
supérieures
et inférieu- res qui leur correspondent sont pr
es dépolies, obliques, inégales. Disparition de la face articulaire
supérieure
de la troisième lombaire : à la place, cavité r
parition de crises de douleurs fulgurantes parcou- rant les membres
supérieurs
dans le sens de leur longueur et d'autres fois da
es qui sont successive- ment les suivantes : Le sacrum a une face
supérieure
érodée, rugueuse et inégale. Le bord droit de s
ffet, a sa face inférieure dans un état analogue à celui de la face
supérieure
du sacrum. Cette face inférieure est oblique en
roit du sa- crum, légèrement usé et rugueux en cet endroit. La face
supérieure
de cette vertèbre est aussi très irrégulière, t
inégalités correspondantes à celles de la dernière lombaire. La face
supérieure
est saine dans presque toute son étendue : cepe
uses irrégulières. Mais les altérations portent surtout sur la face
supérieure
de la vertèbre : cette face est fortement excavée
rs sont transformés en une masse, simplement dépolie dans sa partie
supérieure
fortement rugueuse partout ailleurs : c'est cette
illeurs : c'est cette masse qui comble la cavité formée par la face
supérieure
de la troisième lombaire. Cette masse est limit
s triangu- laires, la première termine le bord antérieur de la face
supérieure
, l'autre s'im- plante en arrière sur le pédicul
, réduite à un sim- ple,sillon par le développement exagéré du bord
supérieur
et du bord inférieur. Ce dernier en particulier
ticulier s'avance latéralement de près de deux centimètres. La face
supérieure
n'est pas altérée. La dernière vertèbre dorsale
, aplatie de haut en bas, dépassant de plus d'un centimètre le bord
supérieur
de la première lombaire : elle a la forme d'un
nous venons de signaler sur la dernière vertèbre dorsale. Son bord
supérieur
est légèrement déprimé dans sa moitié gauche, d
e celle-ci sont saillants, dentelés et renversés en dehors. Les faces
supérieure
et inférieure sont saines. On retrouve ces même
ailleurs, ce bord est mousse et régulier. Il en est de même du bord
supérieur
dans toute son étendue, sauf encore au niveau.d
ité importante ici est la suivante : toute la partie gauche du bord
supérieur
,de la ligne médiane au trou de conjugaison corr
'une à l'autre par cette sorte de pont largement jeté entre le bord
supérieur
de l'une et le bord inférieur de l'autre : elles
ro- sité du tissu osseux environnant. Au-dessus d'elle et du bord
supérieur
de la deuxième lombaire part une nouvelle exost
lés par les bords de la vertèbre et leurs dentelures. Enfin le bord
supérieur
du corps vertébral est comme bourgeonnant (Pl.
fidgurantes encore. Phénomènes acroparesthésiques dans les membres
supérieurs
. Diminution des crises clitoridiennes et des tr
à l'atrophie des membres. Légère incoordination motrice des membres
supérieurs
. Craquements articulaires dans ces membres. Arthr
s. Apophy- ses transverses presque absentes. Apophyses articulaires
supérieures
développées au détriment des inférieures. Le ma
urs de ceinture et quelques dou- leurs fulgurantes dans les membres
supérieurs
et le tronc. , Deux ans après l'apparition des
ition du réflexe rotulien des deux côtés. Aucun trouble des membres
supérieurs
, sauf l'existence de quelques dou- leurs fulgur
t apparent au niveau des muscles du cou, du tronc, dans les membres
supérieurs
et inférieurs. Les mus- cles des extrémités, le
nse, piqûres d'épingle au boutdes doigts, anesthésie des extrémités
supérieures
. Il lui arrive souvent de tenir un objet dans l
tition est mauvaise : il reste seulement quatre dents à la mâchoire
supérieure
, dont deux molaires et les deux canines ; six d
de douleur à la pression de la fosse iliaque gauche. Les membres
supérieurs
possèdent des muscles très amaigris. La force n
elle est régulière, sans déviations brusques. La deuxième courbure,
supérieure
, part de la dixième dorsale et comprend toute l
ticulaires sacro-iliaques sont saines. Il en est de même de la face
supérieure
: en particulier, la surface articulaire verté-
- rieur est arrondi et possède à peine quelques dentelures. Le bord
supérieur
est plus irrégulier : il possède même à gauche
oint d'implantation, polie à sa face inférieure, rugueuse à sa face
supérieure
: celle-ci sert de sup- port à la portion resta
trémité droite, à bord tranchant gauche. Par suite, les deux faces,
supérieure
et inférieure, sont inclinées l'une' vers l'au-
: elle offre des aspérités et des dépressions profondes. Les bords,
supérieur
et inférieur, sont dentelés. Les apophyses arti
, supérieur et inférieur, sont dentelés. Les apophyses articulaires
supérieures
sont inégales et rugueuses : l'apophyse articul
st implantée en arrière ; l'ex- trémité libre est en avant, sa face
supérieure
, lisse en grande partie, présen- tant en d'autr
trace de cartilage articulaire que dans le tiers gauche de la face
supérieure
de cette ver- tèbre : les deux tiers droits en
la forme de coin qu'affectent les vertèbres sous-jacentes. La face
supérieure
, il part son inclinaison,est normale. Le bord s
s. La face supérieure, il part son inclinaison,est normale. Le bord
supérieur
est dentelé. La face inférieure est large : elle
face inférieure de )'ostéophyte est dépolie et spongieuse, la.surface
supérieure
au contraire est lisse, elle s'étend jusque sur
t, où nous notons les détails suivants : a) Motilité. - Les membres
supérieurs
sont normaux. Le malade marche avec peine, à ca
ité tournée en avant et en dehors. Le tiers in- férieur et le tiers
supérieur
de cet os portent d'énormes exostoses sur leur
En résumé, le malade est atteint de polynévrite motrice des membres
supérieurs
à prédominance dans le territoire du radial. On
re malade et nous allons résumer les ré- sultats obtenus. Membres
supérieurs
. - Le le, examen pratiqué le 30 août 1899 avait m
est frappé lorsqu'on l'examine d'une hypertrophie de tout le membre
supérieur
droit et aussi de la région latérale et postérieu
qui depuis sa naissance pré- sente une ectasie vasculaire du membre
supérieur
droit et de la région thoracique latérale. Cett
aires développées sur le membre su- périeur droit et dans la région
supérieure
et latérale du thorax. C'est un l'ait bien conn
c une netteté saisis- sante. Si les angiomes solitaires du membre
supérieur
sont relativement fré- quents, les angiomes mul
ns, l'angiome ici prend un segment tout entier du corps : le membre
supérieur
droit depuis l'extrémité des doigts jusqu'à sa
le de cette région pourra déter- miner une double paralysie alterne
supérieure
. C'est un fait de ce genre que.j'ai eu l'occasi
t d'hémiplégie, accentuée surtout au niveau de la face et du membre
supérieur
. En effet, tandis que le malade soulevait assez
e et complète du nerf moteur oculaire commun : chute de la paupière
supérieure
, strabisme externe, immobilité du globe oculaire,
n droite donnait 19 et la gauche 12. Du côté de l'oeil, la paupière
supérieure
recouvrait une partie du globe oculaire; tous l
rotuliens des deux côtés normaux, les réflexes tendineux du membre
supérieur
paralysé conservés. La malade jouit de toute so
ce celluleux compris entre le bord antérieur du deltoïde et le bord
supérieur
du grand pectoral (espace delto-pectoral) contien
dans le scrotum derrière chaque testicule et à la partie interne et
supérieure
des deux bras. Les tuméfactions globuleuses de la
plus une tuméfaction dill'use des cuisses, des bras et de la moitié
supérieure
des avant-bras. Les tuméfactions sont apparues
ou ; d'autres tuméfactions à l'épaule droite, aux bras, à la partie
supérieure
des avant-bras. Début il y a 4 ans. Pas de lipome
facture et de l'exécution, le tableau du musée de St-Omer est bien
supérieur
à celui qui appartient au DrPaul de Molènes, qu
face externe du moignon de l'épaule à égale distance des insertions
supérieure
et inférieure du deltoïde. , Le malade nous a
dité musculaire. La même atrophie que nous avons signalée au membre
supérieur
se reproduit au membre inférieur et se traduit pa
s au compas d'épaisseur : Diamètre transversal au pli radio-carpien
supérieur
à droite 4 cent. 2. à gauche 4 centimètres. s
même dans quelques cas nous avons trouvé du ptosis de la pau- pière
supérieure
, notamment dans un cas publié par M. le professeu
centimètres au-dessus d'une ligne horizontale passant par la partie
supérieure
du conduit auditif externe, se trouve une plaie c
la main gauche à chaque instant. Pas de paralysie faciale. Lemembre
supérieur
droit estlesiège d'une paralysie motrice complète
on. Les mouvements réflexes sont complètement abolis dans le membre
supérieur
, fort affaiblis dans le membre inférieur. Il exis
tour à la motilité continue à s'accentuer, d'abord dans les membres
supérieur
et inférieur gauches qui ont repris.leurs mouveme
as très accentués en général et affectent le plus souvent le membre
supérieur
, la main en particulier. Ce sont par exemple, d
Il existe une petite cicatrice sur le côté interne de la pau- pière
supérieure
droite, à peu près à 1/4 de pouce de l'angle inte
lade n'ayant plus de jugement écrivait des lettres insolentes à ses
supérieurs
, mais suffisamment raisonnables pour que ceux-c
de la sensation pour toutes les sortes d'excitants. Sur la paupière
supérieure
, le front et la partie antérieure du cuir cheve
eux et glisser son front également bien des deux côtés. ' Le membre
supérieur
gauche est raidi en demi-flexion et incapable d'a
ésence d'une énorme tumeur qui occupe toute la partie antérieure et
supérieure
du cou d'une oreille à l'autre. Elleestlimitée
nuque. De telle sorte que la tumeur a envahi en totalité la partie
supérieure
du cou, formant un gros collier d'où émerge la
ce. Il existe un développe- ment veineux assez prononcé à la partie
supérieure
du thorax des deux côtés, mais pas sur la tumeu
, en dedans par un auriculaire paraissant de dimensions notablement
supérieures
à la normale, cette pince était munie de partie
lètement développé); première phalange courte, tassée avec épiphyse
supérieure
amincie et réduite, deuxième phalange bien cons
e COMPLÈTE DE la totalité du REBORD alvéolaire DES DEUX MAXILLAIRES
SUPÉRIEURS
, PENDANT L'AVULSION D'UNE CA- NINE, DANS UN CAS
e bas en haut. Toutes les dents, mais surtout celles de la mâchoire
supérieure
, étaient dou- loureuses et, parmi ces dernières
malade à aller trouver un dentiste pour se faire arracher la canine
supérieure
droite qui était la plus douloureuse. * Le dent
, à sa grande surprise, tout le rebord alvéolaire des maxillai- res
supérieurs
lequel supportait onze dents (les cinq autres den
on, est comme enclavée dans la mâ- 256 SABRAZÈS ET FAUQUET choire
supérieure
et a basculé de bas en haut et d'arrière en avant
u menton. Aussi le sillon naso-génien est-il très déprimé, la lèvre
supérieure
est-elle deviée vers la bouche et rapetissée. Cet
disparition complète de tout le rebord alvéolaire -des maxillaires
supérieurs
qui est elle-même la conséquence de la fracture
ée plus haut. Du fait de l'absence de rebord al- véolaire, la lèvre
supérieure
et les parties attenantes des joues mal soute-
t pour cela on est obligé de redresser en avant et en haut la lèvre
supérieure
rentrante - on est surtout frappé par l'absence
frappé par l'absence complète du rebord alvéolaire des maxillaires
supérieurs
. Bien plus, à la place de ce rebord on trouve u
emarqué qu'elle était moins sensible du côté droit de la mâ- choire
supérieure
; c'est ainsi qu'elle a pu introduire un petit mo
t en extension; les autres phalanges sont inflé- chies. Les membres
supérieurs
sont devenus très maladroits, surtout le gauche ;
u- che ; on fait cette épreuve sur les os malaires, les maxillaires
supérieurs
, sur l'apophyse styloïde des cubitus, sur les t
gts ne sont jamais tombés. Sueurs fréquentes la nuit dans la partie
supérieure
du corps. L'articulation tibio-tarsienne droite
ique la plante du pied. Appareil digestif. - L'état des maxillaires
supérieurs
rend la mastication très difficile. Inappétence
ontalgie ; des tractions opérées à l'aide d'un davier sur la canine
supérieure
droite, d'ailleurs saine, ont produit une fract
queuse et arrachement de tout le re- bord alvéolaire de la mâchoire
supérieure
entraînant avec lui onze dents parfaitement int
s deux membres inférieurs, douleurs lancinantes dans les extrémités
supérieures
et inférieures. Forte diminution de la sensibil
douleurs progressivement accrues, envahissant bientôt les membres
supérieurs
, accompagnées de paresthésies (picotement et fo
ries réflexes rotuliens. Douleurs lanci- nantes dans les extrémités
supérieures
et inférieures. Diminution de la sensibilité cu
auche. Plis cutanés et abdomi- naux. Colonne cervicale et dorsale
supérieure
rectiligne. Scoliose latérale gauche dorso- lom
s parcourant les membres inférieurs, apparaissant aussi aux membres
supérieurs
, s'irradiant quelquefois aux épaules, à la face,
s quatre derniers doigts de la main gauche, la motilité des membres
supérieurs
est normale : il existe cepen- dant un peu d'in
conversation interrompue. Dans le cas de crampes isolées du membre
supérieur
gauche, on constate une adduction et une supina
la fosse iliaque gauche; on ohtient le même résultat même un degré
supérieur
, si on exerce cette pression soi-même, en inclina
sie et le rectum sont sains. Les mouvements actifs des membres tant
supérieurs
qu'inférieurs sont ra- pides et forts, triompha
iste pas la moindre trace d'incoordination motrice dans les membres
supérieurs
. Aux membres inférieurs au contraire, l'ataxie
lombaire et sacrée ci concavité ci droite. Scoliose cervico-dorsale
supérieure
de sens opposé, moins accentuée. Légère cyphose l
baire. 'Crête épineuse saillante, surtout dans les réglons dorsale
supérieure
et dorso- lombaire. Voussure hénzithoracique
es sont sur- tout saillantes et volumineuses dans la région dorsale
supérieure
et dorso-Iom- baire. La colonne vertébrale pr
ales inférieures : elle a sa concavité tour- née à droite. L'autre,
supérieure
, tourne sa concavité à gauche et comprend la co
tourne sa concavité à gauche et comprend la colonne cervico-dorsale
supérieure
. La première est plus accentuée, la seconde plu
lgurantes dans les membres inférieurs, lancinantes dans les membres
supérieurs
, constrictives dans les hypochondres, l'épigast
a crête iliaque. Pli cutané abdomi- nal. Scoliose cervico-dorsale
supérieure
à concavité tournée à gauche. Scoliose donso- l
la première. Cyphose cervico-dorsale très accentuée dans sa partie
supérieure
sans gibbosité angulaire. Enfoncement de la rég
omëo-sacrëe. Apophyses épineuses dorsales inférieures et lombaires
supérieures
épaissies, saillan- tes. Corps vertébraux augme
lancinantes d'une intensité moindre se montraient dans les membres
supérieurs
. Les céphalées devenaient plus fréquentes et pl
. Il n'existe pas du tout d'incoordination motrice dans les membres
supérieurs
. La marche est très peu hésitante, elle est eff
l'hémithorax gauche. La crête épineuse, régu- lière dans sa partie
supérieure
, devient irrégulière à partir de la dixième dor-
colonne vertébrale. Attitude très nette du gibbeux à bosse dorsale
supérieure
. Trois courbures vertébrales : scoliose lombaire
urant quatre jours, à la suite de laquelle les dents de la mâchoire
supérieure
tombèrent toutes sauf trois : ces dents n'é- ta
ées. Quelques mois plus tard, apparaissait une chute de la paupière
supérieure
gauche, coïncidant avec une paralysie du droit
lle ou totale de la langue. Trois dents subsis- tent il la mâchoire
supérieure
, deux d'entre elles sont saines. A la mâchoire
très arrondie, apparaît sous les vêtements, siégeant dans la partie
supérieure
du thorax. Examinée directement, la colonne v
uement. Des fourmillements pénibles surviennent dans les extrémités
supérieures
et inférieures. Enfin le malade eut pendant lon
umière. Le réllexe pharyngien est conservé. Les réflexes abdominaux
supérieurs
et infé- rieurs sont très vifs. Abolition dès r
re douleur ni trace de suppuration, toutes les dents de la mâchoire
supérieure
, toutes sans exception. Deux ans après, il eut
tes sans exception. Deux ans après, il eut une chute de la paupière
supérieure
et du strabisme. Depuis cinq ans, il est obligé
tion lente de la colonne vertébrale. La courbe de la région dorsale
supérieure
est très augmentée. Les apophyses épineuses des
arfaite. La dentition est mauvaise, toutes les dents de la mâchoire
supérieure
, sauf deux, sont tombées depuis vingt-cinq ans.
trique profonde à la douleur est conservée. Les réflexes abdominaux
supérieurs
et inférieurs sont exagérés. Les réflexes testicu
s. Il-n'a jamais existé de troubles des sphinc- ters. Les membres
supérieurs
ne présentent rien d'anormal à signaler. Ils ne s
à la deuxième lombaire, elle est surtout accentuée dans sa portion
supérieure
et atteint son maximum de cour- bure, au niveau
eau de sa partie moyenne, vers la ligne mamelon- naire,. Ic segment
supérieur
fait avec le segment inférieur un angle rentrant
eure du tronc offre une direction inverse et fait avec le seg- ment
supérieur
un angle de 75 à 80°. Le ventre est tombant, proé
n éventail, impuissante et suppliante. El le relèvement de la lèvre
supérieure
, et la dilatation des nariues, et 1'écarquillem
parole est devenue plus lente et légèrement saccadée ; les membres
supérieurs
étaient aussi moins adroits ; l'écriture était
ns mise à exécution pour l'examen de notre second malade. Membres
supérieurs
. - Aucune trace de paralysie, la résistance aux m
'extension est très grande et du reste la muscu- lature des membres
supérieurs
est puissante ; il n'y a pas de différence entre
dès que la malade prend le porte-plume entre ses doigts, le membre
supérieur
décrit des oscillations et les muscles de l'émi-
e, les yeux fermés ou les yeux ouverts ; la sensibilité des membres
supérieurs
sous tous ses modes (tact, douleur, température)
c'est-à-dire, dans le vermis inférieur, la pyramide,et dans le vermis
supérieur
, le culmen ; l'uvula, le nodule de la lingula e
du cervelet. Les lames et les lamelles les plus voisines du vermis
supérieur
, c'est-à-dire les lames les plus internes du lo
ieur, c'est-à-dire les lames les plus internes du lobe semi-lunaire
supérieur
sont relativement moins atteintes, mais la diff
anche centrale (bile) qui se continue avec le pédoncule cérébelleux
supérieur
, sont très intensivement colorées. Les fibres q
corps restiforme pour pénétrer dans les lobules du lobe semilunaire
supérieur
les plus rapprochés de la ligne médiane ; on pe
vent être distinguées au milieu des libres du pédoncule cérébelleux
supérieur
avec lesquelles elles se con- fondent sans dout
estiforme. A leur émergence du cervelet, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, ne sont nullement dégénérés, ils sont même trè
occupée par le faisceau de Gowers, au niveau de la moelle cervicale
supérieure
, se poursuit dans le bulbe (PI. XLVII,A, B) et
hie est plus prononcée dans la moitié inférieure que dans la moitié
supérieure
. Les cellules des olives et des noyaux juxta-ol
oi la substance médullaire de l'olive est plus riche dans sa moitié
supérieure
que dans sa moitié inférieure ; d'autre part le
e réticulée du bulbe et ses noyaux semblent diminués. A l'extrémité
supérieure
du noyau de Monakow (noyau de Burdach externe),
bord interne une zone décolorée qui augmente jusqu'à l'extré- mité
supérieure
de l'olive (Pl. XLVIII, D, E) ; de même, ce nivea
elleux moyen. Tout le système acoustique - corps trapézoïde, olives
supérieures
et noyaux juxta-olivaires, ruban de Reil latéra
l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 341 C.- Pédoncule cérébelleux
supérieur
. - Isthme de l'encéphale (Pl. XLVIII, E, F; PI.
e (Pl. XLVIII, E, F; PI. XLIX, H, I, J). Le pédoncule cérébelleux
supérieur
et son entre-croisement sont intensi- vement co
mis,quelques-unes avec les parties adjacentes du lobe semi- lunaire
supérieur
(cette région hémisphérique contient en effet plu
isceau dégénéré danslecordon antéro- latéral de la moelle cervicale
supérieure
; par sa topographie, ce faisceau rap- pelle la
du corps dentelé explique la conservation du pédoncule cérébelleux
supérieur
et l'absence de dégénération dans ce faisceau ; l
parfois même les oscillations augmentent d'amplitude, et la partie
supérieure
du tronc oscille d'avant en arrière 4 ou 5 fois d
peu, mais avec beaucoup de peine, et après s'être relevé, la partie
supérieure
du tronc oscille d'avant en arrière autour d'un a
s. - La propulsion détermine de grandes oscillations de l'extrémité
supérieure
du tronc, ce sont des mouvements rapides de flexi
t en appliquant délicate- ment la pulpe des index sur les paupières
supérieures
, on perçoit très nette- ment les oscillations h
ppareil vestibulaire fonctionne normalement. Motilité des membres
supérieurs
. - Ni paralysie, ni atrophie musculaire. Au dyn
de les saisir ou de les porter. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont exagérés (réflexe du poignet, réflexe oléc
ndividu normal, un mouvement de flexion du gros orteil. Aux membres
supérieurs
et inférieurs, la résistance aux mouvements pas-
ster plusieurs secondes. Il n'existe pas d'hypotonie ni aux membres
supérieurs
, ni aux membres inférieurs. Tête et face. Il
t d'appui. Pendant la marche, les jambes sont écartées, les membres
supérieurs
en abduction légère, les malades marchent avec
ou couchée, car dans la station de- bout les mouvements des membres
supérieurs
d'une assez grande ampli- tude modifient manife
ibre; d'autre part il existe une très légère maladresse des membres
supérieurs
au moment de saisir ou de po- ser un objet; l'é
totale du pédoncule cérébelleux moyen ; le pé- doncule cérébelleux
supérieur
, qui prend ses origines dans le noyau dentelé,
bsence de signe de Romberg. A une période plus avancée, les membres
supérieurs
se prennent, la main hésite au momentde la préh
; l'état parétique, la contracture, l'étal spasmodique des membres
supérieurs
et inférieurs sont pour ainsi dire constants da
troubles de l'équilibre : ce sont un léger tremblement des membres
supérieurs
, les secousses nystagmiformes, les altérations
et aurait-il encore d'autres fonctions ? Le tremblement des membres
supérieurs
n'existe pas au repos, il appa- raît à propos d
imètres de l'angle externe de l'orbite. Léger ptosis de la paupière
supérieure
gauche. La langue tirée, était droite, les mouv
et les vomissements..... Les racines de l'élévateur de la paupière
supérieure
avaient été aussi atteintes, mais aucun autre r
frontale ascendante; PA, pariétale ascendante; PS, lobule pariétal
supérieur
; l'r, lobule pariétal inférieur; PC, pli courbe;
idérer avec un prolongement, et surtout leur donner un calibre bien
supérieur
. Ce qui est représenté par un trait serait peut
t de nos tiges, nous avons essayé d'en faire pénétrer sur le rebord
supérieur
de l'orbite et de leur faire suivre la paroi os
yaux centraux et principalement du noyau caudé, ainsi que la partie
supérieure
des fibres de l'épanouissement pédonculaire. Le
formé est long de 1 cent. 5 et le corps étranger est situé au bord
supérieur
du cuneus......... » .. * Enfin il nous reste
du membre inférieur mais elle n'a jamais ré- cupéré celui du membre
supérieur
du même côté. Les parents déclarent qu'elle n'a
lle : le nez est long, pointu, arqué, un peu recourbé vers la lèvre
supérieure
; le menton est Nouv. Iconographie DE la SALPETR
e malade n'a aucune douleur, ne se plaint de rien que de son membre
supérieur
droit impo- tent, il peut bien ci la vérité le
uche (18 1/2 au lieu de 24) et l'atrophie commence déjà à la partie
supérieure
(2< 1/2 au lieu de 25 centimètres) et au-des
u radius a pénétré dans la paume de la main dépassant l'extré- mité
supérieure
du premier métacarpien et séparé seulement par un
de ce côté avec les phalanges saines du pouce, mais son extré- mité
supérieure
et carpienne est brusquement rélrécie, ]a-,tête c
grêles cylindres osseux brusquement coupés au niveau de leur tiers
supérieur
sans trace de renflement épiphy- saire et prése
l antérieur sur l'hypothyroïdie bénigne chronique. Toute la denture
supérieure
est tombée et la mâchoire inférieure, à peu de
nt fatigués. Cette femme est littérale- ment épuisée. Les paupières
supérieures
retombent en sacs sur les orbites. La chevelure
t dépassait les limites de l'anneau. Elle empiétait sur le pourtour
supérieur
de l'anneau fibreux. On remarquera que deux ann
hénomènes suivent une marche lente mais pro- gressive ; les membres
supérieurs
, peu musclés sont sans force ; leur maigreur s'
la faiblesse musculaire est des plus marquées, surtout aux membres
supérieurs
: l'abduction des bras est impossible ; le malade
côté gauche. La masse sacro-lom- baire fait saillie. Les membres
supérieurs
sont le siège d'une atrophie généralisée étendue
a cuisse est notablement moins marquée qu'elle ne l'est aux membres
supérieurs
, cependant quand les genoux sont amenés au cont
res inférieurs et se sont propagés ensuite au thorax et aux membres
supérieurs
, y com- pris les mains; les muscles du cou sont
niveau, soit encore à l'inclinaison brusque des segments vertébraux
supérieur
ou inférieur, au- dessus ou au-dessous de la gi
ons facio-crànienues accompagnent presque uniquement les gibbosités
supérieures
. Nos observations, en effet, n't'n offrent pas
ischions par conséquent de se rapprocher. Des diamètres du détroit
supérieur
s'exagèrent, ceux du détroit moyen et inférieur
deuxième cas, au contraire, le promontoire fait saillie au détroit
supérieur
; le diamètre pubo-sacré devient plus court. La
01 isthésis ou d'un spondy- lizème dans la configuration du détroit
supérieur
. Enfin les os iliaques, le sacrum, les articula
n avec une tour carrée à toit proéminent. Cette peinture est très
supérieure
à la précédente ; le coloris en est frais et di
montra la cause du mal : l'oeso- phage était rétréci dans sa partie
supérieure
, au point d'admettre seule- ment le passage d'u
e professeur Laüfe- naûer une malade atteinte de paralysie bulbaire
supérieure
chronique sans complication avec d'autres malad
rescence. On remarque immédiatement le ptosis de la paupière gauche
supérieure
, dont la chute est presque totale : entre les d
et seule- ment fort peu de secousses fibrillaires dans la paupière
supérieure
gauche quand la malade la relève activement.
d'une paralysie bulbaire supé- rieure chronique ou polioencéphalite
supérieure
chronique. Au fond ce n'est pas une lésion très
du côté opposé ; ou sinon, ce sont des cas de la paralysie bulbaire
supérieure
compliqués soit de la paralysie bulbaire inféri
parfois ou même souvent des lésions unilatérales des nerfs du bulbe
supérieur
, mais les symptômes de la maladie compliquée (a
f facial gau- che, aucun progrès. C'est pour une paralysie bulbaire
supérieure
incon- testablement un développement fort lent.
acial qui est le point de jonction entre les pa- ralysies bulbaires
supérieures
et inférieures, et comme notre cas a débuté par
inférieures, et comme notre cas a débuté par une paralysie bulbaire
supérieure
restreinte sur la lésion du noyau de la troisiè
à supposer qu'il s'agit chez notre malade d'une paralysie bulbaire
supérieure
de caractère descendant, avec un développement
iques disparurent presque, mais resta une rigidité dans les membres
supérieurs
et inférieurs. Huit mois avant la mort le malad
ce de l'écorce cérébrale. 3. Zone motrice du côté gauche. a) Région
supérieure
. - Sur bien des préparations on reçut une masse
é approximativement le même que sur les prépa- rations de la région
supérieure
. L'examen des préparations de l'écorce cérébral
mes que celles dans le lobe frontal. C) Région motrice. - a) Partie
supérieure
. - Pour l'examen on prit sept morceaux différen
contiennent aussi beaucoup de globules noirs. - c) Région lombaire
supérieure
. - On voit macroscopiquement la dégénérescence se
s dans les faisceaux de Turck descendent jusqu'à la partie lombaire
supérieure
, où la dégénérescence des faisceaux pyramidaux
les régions inférieures de la moelle épinière que dans les régions
supérieures
de la moelle épinière; et ce fait à son tour do
les régions inférieures de la moelle épinière, que dans les parties
supérieures
. Le dernier fait n'est pas facile à expliquer; il
dissements douloureux du côté gauche, principalement dans le membre
supérieur
. Elle sent des picotements et des fourmillements
nesthésie perma- nente de tout le côté gauche prédominant au membre
supérieur
, mais compre- nant la sensibilité spéciale : to
la malade regarde en bas,le mouvement d'abaissement de la paupière
supérieure
droite suit plus lentement le mouvement de l'oe
du tabes, des variétés motrices, sensitives, trophiques et mixtes,
supérieures
et inférieures, etc., notre observation a trait à
uses, transverses et articulaires, une légère inclinaison des faces
supérieure
et inférieure, une Nouv. Iconographie de la Sal
sversale, enfin une exagération des dentelu- res des bords. La face
supérieure
et la face inférieure sont irrégulières, rugueu
spondante a disparu dans l'é- crasement. Les apophyses articulaires
supérieures
sont inégales et ru- gueuses, l'apophyse épineu
istique de celte vertèbre, c'est l'élargissement extrême de sa face
supérieure
qui peut atteindre jusqu'à huit centimètres dan
se poursuit sur la gouttière et se confond avec elle ; une surface
supérieure
rugueuse au contraire, garnie d'aspérités, de d
s qui rappellent de très près ceux des vertèbres lombaires. La face
supérieure
sacrée est généralement dépolie et âpre, son bo
nt être comblées par la présence de lamelles ostéophytiques, à base
supérieure
, adhérentes sur une longue étendue, libres aux ex
uiera pesamment sur elle, et fera effort avec les muscles du membre
supérieur
et de l'hémithorax correspondants : la déviatio
solides l'étayent solidement, en véri- tables colonnes. La vertèbre
supérieure
, entraînée par l'écrasement latéral de l'étage
ement le poids de la partie supé- rieure de la colonne, des membres
supérieurs
et de la tête, mais elles subissent encore des
hose cervico-dorsale du rhumatisme chronique ankylosant, la cyphose
supérieure
de la maladie de Paget, la cy- phose dorsale in
la sensibilité intacte du côté droit, anesthésie complète du membre
supérieur
, légère insen- sibilité du membre supérieur. Ce
ésie complète du membre supérieur, légère insen- sibilité du membre
supérieur
. Ces hémiplégie et anesthésie provenaient de la
robable du filet de l'oculo-moteur , commun qui innerve la paupière
supérieure
. ". A gauche les plis du front sont violemment
cée des muscles frouto-sourciliers, un soulèvement de la pau- pière
supérieure
de l'oeil gauche entre le ptosis, strabisme diver
nnaire par la suite, la paralysie se limite à l'extrémité du membre
supérieur
gauche à la moitié gauche de la face. Observa
, et à un moindre degré la sensibilité thermique) jus- qu'au membre
supérieur
est sérieusement atteinte. Le réflexe rotulien
tôt fonctionnelle que nettement organique.... Ptosis de la paupière
supérieure
gauche.... Il rit ou pleure plus que facile- me
venant d'une blessure à la base du crâneou dans la région cervicale
supérieure
. Il mourutbientôt.En examinant son crâne,on tro
t lé- gèrement déviée à droite. Les membres inférieurs et le membre
supérieur
gau- che avaient récupéré leur motilité,mais le
u, mais il semble qu'il y ait une légère atrophie de tout le membre
supérieur
droit en même temps qu'on y constate une notabl
, dépression crânienne. Thorax. - Il existe un méplat à la région
supérieure
de la moitié du thorax droit, immédiatement au-
osé. Avant-bras. - L'atrophie est aussi visible que pour le segment
supérieur
du membre, le sillon médian antérieur étant plu
ntérieur étant plus marqué que pour le côté opposé. Mesuré au tiers
supérieur
il a 22 centimètres de circonférence, le gau- c
, ni fourmille- ments, zone d'hypoesthésie étendue à tout le membre
supérieur
droit. Diminution de la sensibilité thermique
que celles de droite restent complètement immobiles. Dans la partie
supérieure
de la région du sommet de la tête à gauche, se tr
Le territoire du facial droit est paralysé ainsi que son extrémité
supérieure
. Les organes internes sont nor- maux En ce qu
du facial droit et une paralysie complète des membres inférieur et
supérieur
droits. Il est impossible de constater des trou
ien restent abaissés. La langue est déviée à droite. Dans le membre
supérieur
droit, la force n'est que peu diminuée. L'extrémi
gauche, le pli naso-génien est tiré, effacé. Les extrémités gauches
supérieure
et inférieure re- tombent mollement quand on le
ètement disparu, les mouvements commencent à revenir dans le membre
supérieur
gauche. L'amélioration continue de jour en jour
te de névrite FiG. 8 bis. - Coupe transversale de la moelle dorsale
supérieure
dans un cas de myé- lite aiguë chez l'homme, du
ximum d'intensité dans la région dorso-lombaire et vers les régions
supérieures
et se localise dans le domaine de la spinale an
sence de foyers de myélite centraux autour de ce canal à une région
supérieure
à celle où on a injecté le microbe. Je dois faire
sie congénitale d'un seul muscle oculaire : droit interne, externe,
supérieur
, inférieur ou plus rarement un des obliques).
eleveur de la paupière et du droit su- périeur (ptosis et strabisme
supérieur
congénitaux). 2° Les paralysies associées du dr
ar la réunion des éléments suivants : 1° ptosis, paralysie du droit
supérieur
; 2° paralysie ou parésie des droits interne, e
ière supé- rieure ; la ténotomie montra l'absence complète du droit
supérieur
. Les facultés intellectuelles étaient incomplèt
ejette fortement la tète en arrière. Cette chute des deux paupières
supérieures
lui donne l'aspect d'une per- ÉTUDE SUR L'OPUTA
ormalement constitués, mais ils reposent sur des arcades orbitaires
supérieures
aplaties surtout dans leurs partiesmoyen- ne et
qu'il surplombe moins le globe oculaire et que le sillon orbitaire
supérieur
est moins profond que d'habitude. Rien cependan
rizontal (ce qui nécessite le rejet de la tête en arrière) le tiers
supérieur
de la cornée est recouvert par le bord libre de
périeur de la cornée est recouvert par le bord libre de la paupière
supérieure
ainsi qu'une petite partie du rebord supérieur 5e
ibre de la paupière supérieure ainsi qu'une petite partie du rebord
supérieur
5e la pupille : celle-ci se découvre d'une faço
on complète dans les mouvements d'élévation complète de la paupière
supérieure
(Ce mouvement est peut- être un peu moins marqu
t, en dehors et en bas sont entièrement supprimés (action des droit
supérieur
, externe, inférieur et grand oblique), faits do
autour d'un axe antéro-postérieur, de tell e sorte que l'extrémité
supérieure
du méridien vertical s'incline en dehors. Il es
rne du disque op- tique, sont représentés par quatre branches, deux
supérieures
, deux infé- rieures qui quittent rapidement la
n frontale. Il semble que, dans nos derniers examens, les paupières
supérieures
se relevaient peut-être un peu mieux, surtout l
e tout d'abord à l'examen des malades, c'est la chute des paupières
supérieures
; le ptosis existe dans toutes les observations ;
erture de la fente palpébrale, mais le sou- lèvement de la paupière
supérieure
qu'il produit est toujours minime. La contracti
nous avons soigneu- sement analysées, nous trouvons le muscle droit
supérieur
paralysé dans tous les cas, deux fois seulement
thner, " de Heuck, 2e de Hirschberg, Lucanus, Cabannes) l'extrémité
supérieure
de l'axe verti- cal s'incline en dehors, sous f
que. Dans deux autres cas (Hirschberg) l'inclinaison de l'extrémité
supérieure
de l'axe se faisait au contraire en dedans à ca
Il est normal dans deux cas (Lucanus, Gast), rétréci dans sa moitié
supérieure
(1er cas de Heuck) à cause de l'inclinaison en ba
lée de l'insertion des tendons musculaires sur le globe, des droits
supérieur
et externe dans un cas de Heuck où l'opération
es, les oreilles non déformés. Les mains et les doigts, les membres
supérieurs
sont ceux d'une femme grasse, sans déformations
uels. Motricité.- Pas de troubles moteurs notables dans les membres
supérieurs
; tout au plus existe-t-il une légère indécisio
des mollets est un peu plus accentuée, quoique modérée. Aux membres
supérieurs
, même maladresse légère dans les mouvements de
t molluscum gros comme un grain de millet. Au niveau de la partie
supérieure
du sternum, une verrue colorée du volume d'un g
eure de l'avant-bras gauche, une tache pigmentaire foncée. Au tiers
supérieur
de l'avant-bras droit, une tache pigmentaire gran
ée. A droite, un escalier conduit par quelques degrés à une chambre
supérieure
. Au fond, derrière un rideau, s'étagent sur plu
de la face, énorme gon- flement de la joue, protrusion de la lèvre
supérieure
, bouffissure des paupières allant jusqu'à l'occ
ogr., 9 dessins), 116, 260, 42, 502. Paralysie (un cas de) bulbaire
supérieure
chronique, par IIudovernig (1 photocol- logr.
en photocollogr.), 411. HUOOVEHNIG. Un cas de paralysie bulbaire
supérieure
chronique (1 photocollogr.), 473. Ladame (CII
stéo - arthropathie rare (gaine), LVII, LVIII. Paralysie bulbaire
supérieure
chronique (HUDOYERNW), LXX. Paralysie général
nt, dans cette variété de Mal de Poil, que les nerfs des extrémités
supérieures
soient comprimés tantôt au niveau des trous de co
es de compression de la moelle ou des racines dorsales et lombaires
supérieures
. 2° Cas avec signes de compression radiculo-méd
es de compression de la moelle ou des racines dorsales et lombaires
supérieures
. Ce sont les faits de cet ordre qui sont surtou
nture, haute de 5 à 6 centimètres. Rien à noter du côté des membres
supérieurs
de la tête et du cou, pas de troubles intellect
UX 11 compression de la moelle et des racines dorsales et lombaires
supérieures
, le début est, à peu près, toujours marqué par
idienne siégeant au-dessus du rentle- ment lombaire, ou à la partie
supérieure
de celui-ci. Faisons observer que l'interprétat
onsidérable, et comme il existait une légère parésie des extrémités
supérieures
peut-être même un peu d'atrophie, on pense à un
s troubles moteurs progressifs apparus 3 ans avant dans les membres
supérieurs
. A 36 ans, troubles analogues dans les membres in
ume deux autres cas : l'un avec atrophie légère diffuse des membres
supérieurs
, et grosse impotence, pleurer spasmodique, simp
vait du côté droit atrophie musculaire et douleurs dans le mem- bre
supérieur
, hémiatrophie linguale ; en outre, pseudo-trismus
te son intérêt à la possibilité d'une paralysie flasque des membres
supérieurs
, avec atrophie musculaire. Il est exceptionnel de
. Quelques névralgies avaient précédé cette paralysie : « Au membre
supérieur
gauche, la sensibilité était un peu altérée, le s
par ses parents. D'ordinaire, à la paralysie flasque des membres
supérieurs
s'ajoute une paraplégie spasmodique des membres
urtout lorsqu'elle s'ac- compagne d'atrophie musculaire des membres
supérieurs
et de troubles . de la sensibilité. Un homme
l. Au bout de 2 mois,douleurs dans les épaules, puis dans le membre
supérieur
gauche, présentant la diffusion et les caractères
rs radiculaires. Un mois plus tard, atrophie et paralysie du membre
supérieur
, puis du membre inférieur gauche, puis des 2 memb
s avec rétention des réservoirs et anesthésie occupant, aux membres
supérieurs
, le domaine du plexus brachial inférieur, et éten
fai- blissement progressif des deux membres inférieurs et du membre
supérieur
droit. 8 mois après, paraplégie spasmodique san
s, paraplégie spasmodique sans troubles vésicaux, parésie du membre
supérieur
droit surtout à la main et à l'avant-bras,avec tr
d'inégalité pupillaire ; douleur la pression des vertèbres dorsales
supérieures
(Il n'est pas fait mention de troubles sensitif
oliose légère (Pl. IV).' La malade ne peut se servir de ses membres
supérieurs
, à cause de l'affaiblissement et de l'incertitude
ès une série d'oscillations irrégulières. On constate : aux membres
supérieurs
, parésie des triceps brachiaux, des muscles ant
tation des douleurs, avec sensation de chaleur exagérée aux membres
supérieurs
, et de froid aux inférieurs, les réflexes du po
flasque avec atrophie musculaire et troubles sensitifs aux membres
supérieurs
, sans troubles notables de la partie inférieure
région comprimée, en particulier sur le trajet des nerfs du membre
supérieur
. Plus tard, la compression des mêmes racines se
'anesthésie affecte le caractère dissocié. La paralysie des membres
supérieurs
suit de près ; elle est géné- ralement flasque
moelle et des racines cervicales inférieures détermine aux membres
supérieurs
une paralysie flasque, avec alrophie musculaire,
lysie spasmodique des membres inférieurs avec intégrité des membres
supérieurs
; 3° Paralysie spasmodique des quatre membres ;
e spasmodique des membres inférieurs, paralysie flasque des membres
supérieurs
. 1° Il est exceptionnel que la paralysie flasqu
l est exceptionnel que la paralysie flasque se localise aux membres
supérieurs
comme dans le cas de M. Broca ; d'ordinaire, on t
a localisation aux membres inférieurs avec intégrité habituelle des
supérieurs
, le fait que les troubles moteurs ne prédominen
s de spasmodicité des membres inférieurs avec intégrité des membres
supérieurs
, les signes ressemblent beaucoup à ceux d'une myé
reuse, de la 3° à la 6e dorsale. Aucun symptôme morbide aux membres
supérieurs
, à la tête et au cou. Le traitement antisyphili
'avons pas d'observation avec autopsie. La compression de la moelle
supérieure
s'accompagne, habituellement, des troubles bulbai
e spasmodique des membres inférieurs, paralysie flasque des membres
supérieurs
. - Lorsque cette dernière s'accompagne d'atrophi
e spasmodicité des membres inférieurs, avec paralysie flas- que des
supérieurs
, un certain degré d'atrophie des muscles du group
intensité et à la précocité des douleurs de la nuque et des membres
supérieurs
, qui offraient avec la plus grande netteté tous l
et douleurs à la pression au niveau de plusieurs vertèbres dorsales
supérieures
, avaient permis de penser au mal de Pott; or, l
lupart présentaient seu- lement une ossification de leurs faisceaux
supérieur
et inférieur, de beau- coup les plus forts, qui
lonne dorsale moyenne. - Ossification costo-vertébrale (faisceaux
supérieur
et inférieur) et costo-transver- saire. Fig.
acccusée au niveau de la région cervico-dorsale comme si la partie
supérieure
du rachis était en- traînée par le poids de la
nt commun antérieur. Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales
supérieures
paraissent très allongées par une ossification
ée à son union avec l'occipital ; l'irrégularité extrême de la face
supérieure
de l'atlas nous fait supposer qu'il y avait ankyl
otale de leur ligament rayonné; en général les deux forts faisceaux
supérieur
et inférieur, qui joi- gnent la côte aux deux c
intervertébral (PI. IX, fig. 1, 2, 3 A) ; l'un des deux faisceaux,
supérieur
ou inférieur, est seul ossifié au niveau de cer
enfoncée dans le bassin, de sorte que le bord postérieur du détroit
supérieur
est plus aplati que normale- ment, le détroit e
oblique de la hanche. (Pierre Marie et A. Léri.) FIG. I. Morceau
supérieur
: le fémur et l'os iliaque en place et adhérents.
hanter ne contenait pour ainsi dire pas de tissu compact. La partie
supérieure
de ce fémur est restée adhérente à l'iléon, la pa
vec maximum au niveau des 7e et 8° vertèbres; la' ° colonne dorsale
supérieure
est presque à angle droit avec l'inférieure. La
tat du traitement, nous avons déjà à enregistrer une perte de poids
supérieure
à 32 kilogrammes, la polyurie, l'élévation de la
illaires et forment une rangée irrégulière ; les incisives médianes
supérieures
sont grandes et très proémi- nentes. La rangée
médianes supérieures sont grandes et très proémi- nentes. La rangée
supérieure
des dents dépasse l'inférieure. Ni l'examen ext
ussi le cas pour les mouvements de toutes les jointures des membres
supérieurs
. - Les mains larges, camardes, aux longs doigts
t singulier de la peau des paumes de la main. Mesures des membres
supérieurs
. ACROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME 81 g
Le cartilage épi- pliysaire est partout à un degré de développement
supérieur
à celui qui corres- pond avec l'âge. La spongio
romégalie. Hypertrophie singulière non congénitale des extré- mités
supérieures
, inférieures et céphalique. Revue de médecine, t.
la localisation de l'hypertrophie osseuse symétrique aux extrémités
supérieures
et inférieures, à la partie inférieure du stern
moins enfantins. Il n'existe point de cyphose cervicale et dorsale
supérieure
ni une augmentation de.volume des clavicules, ni
e titre de : Hypertrophie singulière non congénitale des extrémités
supérieures
, inférieu- res et céphalique, et comme on n'ape
niveau du dos dn pied est seulement de ? c'est-à-dire, de très peu
supérieure
à la température de la salle, 18°. De plus, on
partie interne de ce faisceau se confond avec le cingulum et partie
supérieure
avec les fibres de la couronne rayonnante. II fai
it ses fibres croisent d'autres fibres qui proviennent de la partie
supérieure
du corps genouillé externe et qui entrent dans la
la sphère visuelle et qui se rend au lobe temporal ; mais la partie
supérieure
de ce faisceau renferme des fibres qui passent da
llé. , Probst (2) fait des conclusions sur le faisceau longitudinal
supérieur
(qui, pour lui aussi, correspond à la couche sa
, aux corps genouillés externe et interne, au noyau latéral (partie
supérieure
) de la couche optique et aux couches superfi- c
ouillé externe et au noyau latéral de la couche optique ; la partie
supérieure
renfer- merait les tibres des circonvolutions p
supérieure renfer- merait les tibres des circonvolutions pariétales
supérieures
et inférieures ; -1 ces dernières fibres seraie
oyaux centraux, un bon nombre de fibres se détachent z de la partie
supérieure
du segment vertical du faisceau longitudinal infé
de projection que renferme le faisceau longitudinal dans la partie
supérieure
de son segment vertical (au niveau des ganglions
du lobe occipital et en partie dans l'écorce des cir- convolutions
supérieures
de la convexité pariéto-occipale. Dans le lobe te
, et enfin les fibres qui tirent leur origine des circonvolu- tions
supérieures
se portent en bas ; toutes se réunissent et passe
tions de l'artiste comme lieu de mesure un point de l'arc orbitaire
supérieur
situé au-dessus de la pupille. En mesu- rant de
y est parfaitement rendu, la fente palpébrale rétrécie, la paupière
supérieure
retombée, les arcs orbitaires inégaux, le droit
résente une cypho-scoliose extrêmement marquée de la région dorsale
supérieure
. Cette scoliose est à convexité droite ; elle i
timètres au niveau de l'angle infé- rieur. La flèche de la scoliose
supérieure
est de 3 centimètres (Pl. XX)- Immédiatement au
s (Pl. XX)- Immédiatement au-dessus de cette cypho-scoliose dorsale
supérieure
, la tête est ramenée à la verticale par une lég
l'épine de l'omoplate gauche répond à la conca- vité de la scoliose
supérieure
, son angle inférieur à la concavité de la sco-
, les bras pendants, dépasse un peu la limite qui sé- pare le tiers
supérieur
du tiers moyen de la cuisse. Dimensions des dif
qu'on rencontre dans l'achondroplasie typique, ce sont : Membres
supérieurs
trop longs, quoique courts ; ils dépassent les cr
hie, existe réellement et est perceptible à la palpation. Membres
supérieurs
. Main : on y observe des arrêts de développement,
côté. Il en résulte un abaissement de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche plus basse que la droite de 1 centimètre
plus profondes. Une bande d'hy- poalgésie est apparue sur la partie
supérieure
de la poitrine entre les clavicules (1) Chez un
topographie des troubles de la sensibilité tactile. - Les membres
supérieurs
et inférieurs, sauf les faces palmaires des mains
nées de service au 9er dragons, présente de l'ichthyose des membres
supérieurs
et du dos (état rugueux de la peau qui est sèch
s points pigmentaires noirs. 3) La troisième, à droite de la partie
supérieure
du pli interfessier, du volume d'une noix, hémi
rticulièrement sur le dos et les fesses ; une à la face, à la lèvre
supérieure
droite, recouverte à sa partie infé- rieure par
les chiens âgés. Ils se développent principalement sur les parties
supérieures
du corps, la tête, le cou, le dos ou les parois
itales, la partie postéro-inférieure de la circonvolution pariétale
supérieure
, la totalité du pli courbe, la partie postéro-i
marquable. Au dehors de la bandelette optique et longeant la partie
supérieure
de la paroi ventriculaire on reconnaît un faisc
dehors vers le lobule para- central et la circonvolution pariétale
supérieure
. Ces fibres appartiennent au cingulum horizonta
ipitale) et de la partie postérieure de la circonvolution pariétale
supérieure
. En outre, il existe une lacune du pulvinar avec
re, il existe une lacune du pulvinar avec infiltration de la partie
supérieure
du corps genouillé externe, mais ce noyau est trè
du noyau caudé et du pied de la couronne rayonnante et de la partie
supérieure
du noyau lenticulaire. Toutes ces lésions occup
s, le précunéus, le lobule paracentral, la circonvolution pariétale
supérieure
, le pli courbe, la Schéma n* II. - Cas Ro...
aisceaux de Sachs, de Vialet et de Wernicke (pâleur de la pariétale
supérieure
et de la partie adjacente du pli courbe, de la
sceau optique central est anormal le long de la paroi ventriculaire
supérieure
; il est dégénéré sur une courte étendue au-des
ge immédiat et l'on voit très nettement sur cette coupe que le bord
supérieur
du corps genouillé externe est atteint ; c'est
llé et là aussi on constate une dégénérescence diffuse de la partie
supérieure
de la couche sagittale externe. Dans nos autres
é. En premier lieu, elle renferme les fibres provenant de la partie
supérieure
lésée du corps genouillé, ces fibres se sont po
pas toutes de même date. Le ramollissement ancien détruit la partie
supérieure
du gyrus supra- margiualis, la majeure partie d
sure calca- rine ; de tout le lobe occipital il n'y a que la partie
supérieure
du lobule lin- gual et la partie adjacente du l
frontale et la partie attenante de la frontale ascendante, la partie
supérieure
des 186 1.ASAL LE-A ItCHAMBAULT frontale et p
ale ascendantes et la majeure partie de la circonvolution pariétale
supérieure
. Il existe en outre des foyers récents qui lèsent
oscope on constate que cette strie renferme les fibres de la partie
supérieure
de la couche sagittale interne, c'est-à-dire le
générescence qui. occupe ici la couche sagittale externe. La moitié
supérieure
de cette couche est totalement dégénérée ; bien q
ferme les fibres du faisceau optique central des- tinées à la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine. Plus en avant, et imm
tion limbique, le lobule paracen- tral, la circonvolution pariétale
supérieure
, la partie antérieure du pli courbe. la partie
a première circonvolution temporale. Au-dessous du foyer, la partie
supérieure
(du segment inférieur) de la couche sagittale e
ur la coupe précédente, on note la décoloration des circonvolutions
supérieures
et inférieures de la convexité. La coupe suivan
eau de Wernicke avec décoloration con- sécutive des circonvolutions
supérieures
(pli courbe et circonvolution pariétale supérie
circonvolutions supérieures (pli courbe et circonvolution pariétale
supérieure
). Au-dessous du ventricule, on voit une zone très
sur'la couche sa- gittale interne, sur le tapetum et sur la partie
supérieure
de la couche sagit- tale externe (radiations ge
e et deuxième circonvolutions temporales s'irradient dans la partie
supérieure
et externe du pulvinar et dans la partie postérie
, troisième temporale) et qui se terminent dans les circonvolutions
supérieures
;le la convexité (pli courbe, gyrus supramarginali
la suite de lésions du lobe frontal ou des circonvolutions du bord
supérieur
de l'hémisphère (pre- mière frontale, lobule pa
s qui siègent au niveau de la couche optique,surtout dans sa partie
supérieure
. On constate alors la dégénérescence, peu consi
r dégé- nérer à la suite de lésions antérieures (fig. 5, le segment
supérieur
de la cou- che sagittale externe occipitale est
ttale externe du lobe occipital et,selon qu'il siège dans la partie
supérieure
ou inférieure de cette couche, on le voit s'engag
perdre dans l'écorce de ces circonvolutions, surtout dans la lèvre
supérieure
ou inférieure (selon le cas) de la scissure cal
al ». Le faisceau^ optique central prend son origine dans la partie
supérieure
et externe du corps genouillé externe. Les fibr
sur la paroi ventricu- laire inférieure; sur la paroi ventriculaire
supérieure
, il ne contient que quel- ques fibres et le lon
d'association c'est indubitable ; il provient en partie de la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine et reçoit de nombreuses
vexité occipitale, mais il contient en outre les fibres de la partie
supérieure
de la couche sagittale externe qui vont se term
eure du lobe temporal, résumer de la façon suivante : a) Le tiers
supérieur
de la couche sagittale externe contient la couron
ouche sagittale externe; quelques fibres occupent la partie la plus
supérieure
ou dorsale de la couche sagittale externe et entr
ce fais- ceau reçoit et émet pour les 'circonvolutions médianes et
supérieures
du lobe occipital. Ces deux faisceaux font part
ux faisceaux font partie d'un seul système, constituent le cingulum
supérieur
du lobe occipital et ne diffèrent dans leurs cara
t sectionne les couches sagittales profondes au niveau de la partie
supérieure
de la paroi ventriculaire externe. On constate
en dans son segment inférieur (lobule lingual) que dans son segment
supérieur
(isthme de la première circonvolution limbique).
volution lim- bique,doivent traverser toute la largeur de la partie
supérieure
de l'hémisphère, . et cela à des niveaux où le
allidus du noyau lenticulaire, elles n'occupent guère que la partie
supérieure
de la couche verticale peu différenciée de la r
ssi ne puis-je savoir si cette lésion remontait jusqu'à l'extrémité
supérieure
du neurone. Mais dans les deux cas de tabes anc
étruits, sur toute leur étendue, probablement depuis leur extrémité
supérieure
jusqu'à la bifur- cation en T de l'axone, qui m
té cette critique, carje n'ai ja- mais admis à priori la résistance
supérieure
de la racine motrice, mais je l'ai déduite à po
à indiqué. Dans le tabes incipiens, on les voit monter vers le pôle
supérieur
du ganglion, où elles s'accumulent; le pôle inf
le prouve l'orien- tation des massues et leur accumulation au pôle
supérieur
des ganglions. Quant aux massues qui existent d
ution, car il n'existe que peu de massues dans les fascicules du pôle
supérieur
du ganglion ; par contre les massues sont extrê
ions. On doit donc s'attendre à trouver un nombre de massues tantôt
supérieur
, tantôt inférieur à celui des fibres altérées,
cipiens). Photographie d'une portion de substance blan- che au pôle
supérieur
du 4" ganglion lombaire ; massues de croissance.
- Fig. S. - Coupe longitudinale d'un fascicule radiculaire au pôle
supérieur
d'un ganglion sacré. Très nombreuses fibres néofo
mais il persiste jusqu'au lendemain une légère impotence du membre
supérieur
droit et un violent mal de tête. 6 septembre. N
contracture et de l'exagération des réflexes tendineux ; au membre
supérieur
, une monoplégie flasque, de l'hypoesthésie s'ét
ulose infiltrée subaiguë, avec ulcérations, cavernes dans la moitié
supérieure
. Etude ! lista-pathologique. Nous avons fait l'
llongés que nous avons signalés indique l'existence, dans les zones
supérieures
de l'écorce, d'altérations plus anciennes et d'un
toute lésion tuberculeuse spécifique dans les méninges et les zones
supérieures
de l'écorce, chez un phtisique en pleine évolut
t de la motricité plus marqué aux membres inférieurs qu'aux membres
supérieurs
(Durand-Fardel (1), De- mange (2), Charcot (3)
aigrissaient pas et pouvaient s'occuper à l'aide de leurs mem- bres
supérieurs
à différents travaux. En dehors des conditions
amais elle ne s'accompagne de secousses fibril- laires. Les membres
supérieurs
, le cou, le tronc ont conservé la liberté de le
endineux apprend que ceux-ci sont conservés, aussi bien aux membres
supérieurs
qu'aux membres inférieurs, un peu faibles si l'
sont réduits les muscles qui s'insèrent autour d'elles. Les^membres
supérieurs
jusqu'ici à peu près' respectés deviennent rigi
e n'est pas diffuse, c'est tardivement qu'elle frappe les mem- bres
supérieurs
; à cette époque la rétraction est très développé
'inversion de la formule. Aux membres inférieurs, comme aux membres
supérieurs
, pas la moindre trace d'incoordination quel que
éflexe de Babinski en extension. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont également exagérés. Les sensibilités parai
gnathisme inférieur : l'arcade dentaire inférieure dépasse l'arcade
supérieure
de près de un centimètre (nous relevons une obser
Vicart a eu l'obligeance de pratiquer l'examen des voies aériennes
supérieures
et nous a remis la note suivante : « aucun dive
lastiques ; le glissement des téguments de l'épaule et de la partie
supérieure
du bras vers les régions les plus déclives par
l rejette la tête un peu en arrière, fléchit légèrement les membres
supérieurs
et prend dans l'en- semble l'attitude forcée et
ertaine distance, sur cette même dure-mère, était fixée l'extrémité
supérieure
des filets radicu- laires attenant aux ganglion
gauches dans leur trajet extradural). On re- marque dans la partie
supérieure
de la coupe, une zone en croissant où les fibres
EURES 311 1 cellules, la méthode de Nissl ne donne pas de résultats
supérieurs
à ceux de la méthode osmique au carmin, cette d
canal rachidien ouvert ; il faut la rouvrir à la pince. A la partie
supérieure
où les bourgeons n'adhèrent pas, ils sont séparés
complètement fermé par un pont osseux, sauf à la partie tout à fait
supérieure
de la brèche pratiquée 8 mois 1/2 auparavant. L
omo-pa,tliologique on trouva : moelle petite au niveau de la partie
supérieure
et moyenne, épaississement des méninges, deux p
a été sujet à des douleurs rhumatismales siégeant aux deux membres
supérieurs
, douleurs qui depuis ont reparu de temps à autre.
un an et l'empê- che de se tenir debout et de marcher. Ses membres
supérieurs
ne présentent pas de raideur. La flexion, l'ext
xtension,la rotation de la tête sont bonnes. Quoi- que^ les membres
supérieurs
n'aient pas de raideur évidente, les mouvements
es de l'acné iodique. On trouve quelques éléments jusqu'à la partie
supérieure
du thorax. La jambe gauche présente une desquam
membres inférieurs sont atrophiés, surtout à la jambe ; les membres
supérieurs
sont, eux aussi, quoique un peu moins, nettement
nservent l'attitude que nous avons ci-dessus dé- crite. Aux membres
supérieurs
au contraire, les mouvements sont assez bien co
onnel progres- sif. Difficulté des mouvements au niveau des membres
supérieurs
. Diminution de la sensibilité aux cuisses et au
abinski des deux côtés. Légère exagération des réflexes des membres
supérieurs
. Affaiblissement de la vue ; pendant deux années
artie dorso-lombaire. Examen microscopique. Région protubéranlielle
supérieure
. Mé- thode de Weigert et Weigert-Pal (PI. LI, f
fig. 1). Calotte. - A gauche, destruction du pédoncule cérébelleux
supérieur
, du faisceau longitudinal postérieur, de la pet
comprise entre le ruban- de Reil médian, le pédoncule cérébel- leux
supérieur
et le faisceau central de Bechterew. Une partie a
tie du faisceau cen- tral de la calotte et du pédoncule cérébelleux
supérieur
, au faisceau loncitu : dinal postérieur, sauf q
nt un peu le stratum superficiale. Les cellules des noyaux centraux
supérieurs
, des noyaux latéraux et de la substance grise d
rtie des fibres du stratum superficiale et du pédoncule cérébelleux
supérieur
et moyen. Le faisceau pyramidal contient peu de
ROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 349 noyau central inférieur, de l'olive
supérieure
et des noyaux du pont sont pres- que complèteme
du pont sont pres- que complètement conservées. ' Région bulbaire
supérieure
. La zone de sclérose occupe les deux pyra- mide
llules des cornes de la moelle sont présentes. ' Moelle cervicale
supérieure
.- Dans toute la section transverse de la coupe il
es. L'abduction est nulle, l'adduction presque nulle. Les membres
supérieurs
sont amaigris mais à un degré moindre que les in-
alade souffrait depuis mois de tremblement intentionnel des membres
supérieurs
et inférieurs ; il traînait les pieds en marcha
Planches LIl, LI, lui (OBS. I FI. 1. Protubérance dans sa moitié
supérieure
. ' Fio. 2. Idem dans sa moitié inférieure. Fi
une hémorrhagieprotubérantielle qui s'est faite à l'union du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de la protubéran
'hémipont gauche. L'hémorrhagie a remonté presque jusqu'aux limites
supérieures
de la protubérance, mais n'est pas descendue au
e ruban de Reil est intéressé par l'hémorrhagie à droite. Au niveau
supérieur
de l'émergence du trijumeau, le tiers interne seu
ntimètre de diamètre environ. En hauteur, il laisse intact le tiers
supérieur
de la protubérance. La lésion commence à 4 mill
s de l'émergence du trijumeau. Son maximum est au niveau des fibres
supérieures
de ce nerf. Enfin, sur le plan d'émergence des.
ies de son corps par le détail. A la tête on constate que la partie
supérieure
est plus réduite que la face, le front est légè
n prognathisme assez accentué ; la lèvre inférieure proémine sur la
supérieure
sans cependant être pendante et décou- vrir les
es avoir prudemment détachées, le cerveau est en- levé. Sur la face
supérieure
de la selle turcique, apparaît une tache d'aspect
il ne présentait ni la macroglossie ni l'hypertrophie du maxillaire
supérieur
. Nous aurions désiré avoir une radiographie de
re. Distance in- connue. Entrée à 3 centimètres au-dessus du rebord
supérieur
de l'oreille droite. Sortie au niveau de l'extr
ètres de long sur 4 de large, à bords déchiquetés. , . La portion
supérieure
du maxillaire droit, l'os nasal sont détruits. De
de la grosseur d'une noisette. Paralysie des extrémités des membres
supérieur
et inférieur gauche. Pas de troubles intellectu
ée. Diminution de la motilité et de la sensibilité dans les membres
supérieur
et inférieur droits. Déviation légère de la l
iel de constitution très complexe. A l'extrémité inférieure du bout
supérieur
, on peut voir un nombre considérable de massues
ces, et plus profondément,un autre réseau très fin. A l'extrémité
supérieure
du bout inférieur nous trouvons les mêmes phéno-
es éléments cellulaires émigrés. A l'extrémité in- férieure du bout
supérieur
de la moelle il y a également une accumulation co
re les détails concernant les rapports de la cicatrice avec le bout
supérieur
de la moelle. La cicatrice présente une espèce d'
de croissance de volume moyen revenant sur eux-mêmes. Dans le bout
supérieur
on voit pas mal de fibres nerveuses, iso- lées
fibro-cellulaire ; par ses tractus, elle se délimite de l'extrémité
supérieure
et inférieure de la moelle sectionnée et enve-
tés les éléments jeunes émigrés entre les deux bouts. L'ex- trémité
supérieure
du bout inférieur de la moelle est coiffé par une
vasculaires, lacunes qui existent également à l'ex- trémité du bout
supérieur
. Section de la moelle de chien adulte : 90 jour
es sommets pénétreraient dans la cicatrice. Sur les côtés des bouts
supérieur
et inférieur, on rencontre un certain nombre de
dans des espaces interstitiels des lames conjonctives.Dans le bout
supérieur
, ces fibres, peu nombreuses, au lieu de traverser
ur présente à son extrémité plus de mas sues terminales que le bout
supérieur
; certaines d'entr'elles possèdent une par- tie
elle est plus mince et forme comme une espèce de pont entre le bout
supérieur
et le bout supérieur tuméfiés. Les racines com-
t forme comme une espèce de pont entre le bout supérieur et le bout
supérieur
tuméfiés. Les racines com- prises à ce niveau s
nales sériées dont l'aspect varie suivant le ni- veau. Dans le bout
supérieur
situé au-dessus de la compression, la partie cen-
a une constitution très complexe. A l'extrémité inférieure du bout
supérieur
on voit un tissu vasculaire extrêmement riche f
cordons cellulaires dont nous venons de parler, Au niveau du bout
supérieur
de la moelle, là où il y a des vaisseaux de nou
, parfois oblique (Fig H). A mesure qn'on se rapproche de la partie
supérieure
, ces faisceaux se réunis- sent par groupes, cha
ent ni du tronc, ni du cou, ni des membres inférieurs ; aux membres
supérieurs
, on constate quelques très faibles mouvements,
station et la marche ; de la parésie,mais moins marquée, du membre
supérieur
, et un certain degré de faiblesse des muscles d
s marquée des muscles de la nuque, du cou, des épaules, des membres
supérieurs
et des muscles du tronc. La paralysie flasque éta
ET que. 6 mois après, la paralysie avait progressé vers les parties
supérieures
du corps et en particulier au tronc et dans les
supérieures du corps et en particulier au tronc et dans les membres
supérieurs
. L'enfant ne put être suivi ultérieurement, mai
t de la nuque, les muscles de la ceinture scapulaire et des membres
supérieurs
se prennent. La paralysie s'accompa- POLIOMYÉLI
me et bien constitué; mais rapidement on s'aperçoit que les membres
supérieurs
et inférieurs, parfois les quatre membres et mê
très marquée, et au niveau du pied droit. Amyotrophie. Aux membres
supérieurs
, l'atrophie musculaire porte surtout sur les ém
que s'observent se distri- buent de la façon suivante : aux membres
supérieurs
l'anesthésie porte sur tout le membre jusqu'à l
reux poplité) et se limite en haut par une ligne qui suit la limite
supérieure
des fesses et le pli de l'aine de chaque côté; l'
e côté droit du corps (Pl. LXV). Si nous comparons les deux membres
supérieurs
l'un avec l'autre, nous constatons que le bras
La colonne vertébrale présente un faible degré du scoliose dorsale
supérieure
à convexité droite. Le rebord inférieur de la c
ue est de 4 centimètres moins élevé à droite qu'à gauche ; son bord
supérieur
est aussi moins élevé du côté droit. La hauteur
ssi moins élevé du côté droit. La hauteur du thorax mesurée du bord
supérieur
de la cla- vicule jusqu'au rebord costal est de
La sensibilité et les réflexes sont normaux partout, sauf au membre
supérieur
droit où il n'y a pas de réflexe du poignet et
ombaire decom- pensation. 468 LEJONNE ET CHARTIER 1 Les membres
supérieurs
et inférieurs sont par rapport au tronc norma-
Lejonne el Chartier). DYSTROPIIIE D'ORIGINE PULMONAIRE ' 469 rynx
supérieur
est très réduit dans ses deux diamètres. Le doigt
ajoute les miracles aux prodiges ; aucun signe (signe de puissance
supérieure
) ne sera plus grand qu'Etienne lui-même. z Le g
dégénéres- cence. Cypho-scoliose. Ataxie des membres inférieurs et
supérieurs
avec im- possibilité de marcher la nuit. Dérobe
également, il commmença à ressentir daus les membres inférieurs et
supérieurs
, dans les inférieurs surtout, des douleurs très p
. A partir de cet accident, les troubles de la motilité des membres
supérieurs
et inférieurs vont en augmen- tant avec une cer
seulement faire quelques pas. Signe de Romberg très accusé. Membres
supérieurs
Atrophie musculaire, type Aran-Duchenne, égale
a face interne du genou gauche, il reporte la sensation à la moitié
supérieure
de la cuisse. Dans les parties où la sensibilit
des régions plus éloignées de la racine des membres. . , Membres
supérieurs
. Les différents modes de sensibilité, tact, doule
n, lorsqu'il croit être arrivé dans la bonne direction. Aux membres
supérieurs
, l'incoor- dination est plus marquée. Les yeu
rs constrictives ni téré- brantes. Pas de douleurs dans les membres
supérieurs
. L'intelligence du malade est assez développée.
e, tout à coup il tombe assis à terre. L'incoordination des membres
supérieurs
a également augmenté. Les troubles de la sensib
ffle beaucoup moins facilement qu'autrefois. Rien du côté du facial
supérieur
. Ce malade, qui avait déjà autrefois l'ouïe dure,
triques qui sont très augmentés de volume. Tous les nerfs du membre
supérieur
et inférieur sont en quelque sorte gigantesques
; mais ce que nous avons observé dans les troncs nerveux du membre
supérieur
, ou inférieur, nous permet d'appliquer à l'évol
semées ; les collatérales réflexes sont absentes. Dans les segments
supérieurs
de la région cervicale (Ve, IVe, IIIe) la dégéné-
s et des cuisses plus marquée à la périphérie. Atrophie des membres
supérieurs
type Aran-Duchenne, diminuant également de bas en
ntre. Douleurs fulgu- rantes. Incoordination très nette des membres
supérieurs
, moins nette aux membres inférieurs du fait de
s. Sensibilité tactile abolie complètement jusqu'au niveau du tiers
supérieur
de chaque jambe ; réapparaît peu à peu en (1) D
, et la malade croit qu'on la touche avec un corps chaud. Membres
supérieurs
: altération très prononcée de la sensibilité tac
ensité extrême de l'atrophie, il n'en est pas de même aux mem- bres
supérieurs
. La malade en effet ne peut se servir de ses bras
inférieurs double pied-bot équin varus avec pied creux. Aux membres
supérieurs
atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Mains s
n partielle de dégénéres- cence. Incoordination marquée des membres
supérieurs
et inférieurs. Signe de Romberg très accusé. Al
ôtés les troubles de la sensibilité tactile sont les mêmes. Membres
supérieurs
. A droite, anesthésie absolue sur toute l'étendue
r normale sur la face antérieure de l'abdomen et la région fessière
supérieure
. A gauche la sensibi- lité à la douleur n'est a
retard est accompagné d'un certain degré d'hyperesthésie. Membres
supérieurs
. Les troubles de la sensibilité douloureuse ont l
evient normale au niveau de l'ombilic et des fesses ; aux mem- bres
supérieurs
altérations également très marquées sur la face d
. La sensibilité est intacte dans tous ses modes sur les deux tiers
supérieurs
des régions antérieure et postérieure du tronc,
llantes-et renversées en dehors avec profusion en avant de la lèvre
supérieure
- lèvre de tapir. Il existe éga- lement ici, to
les malades que nous avons observés jusqu'ici, la domaine du facial
supérieur
paraissait encore intact. Nous ajouterons enfin
tte position, on leur fait fermer les yeux ils tombent. Aux membres
supérieurs
l'incoordination n'est pas moins nette. Les yeu
cines des membres in- férieurs que pour ceux du tronc et desmembres
supérieurs
; elles décrois- sent donc de bas. en haut ; ell
bres inférieurs chez les malades de Pierre Marie et que les membres
supérieurs
sont au contraire peu atrophiés, moins atrophié
extrémités inférieures étaient presque toujours plus prises que les
supérieures
. Par conséquent, à l'encontre de l'opinion de Pie
es jambes, l'asymétrie de l'atrophie dans les muscles des mem- bres
supérieurs
, qui s'écartent du tableau clinique ordinaire à l
lonus. Pas de troubles sensitifs ni sphinctériens. Rien aux membres
supérieurs
ni à la face ; examen ophtalmoscopique négatif.
e. Pas de tuberculose viscérale nette. Foie gras. Centres nerveux
supérieurs
Cerveau, cervelet, bulbe, protubérance. Aucune
ri-malléolaire droit,pas de troubles sphinctériens.Rien aux membres
supérieurs
et à la tête. Rachis : mouvements gênés dans la
ion de la substance grise : le volume total de la moelle est plutôt
supérieur
à la normale. Les cellules nerveuses sont défor
pigmentation avec chromatolyse des cellules nerveuses. De la partie
supérieure
du 1er segment lombaire jusqu'à la partie inférie
ns le bras droit, et sont réveillées par les mouvements des membres
supérieurs
, qui deviennent maladroits. 7 mois-plus tard,»
uit : la tête est penchée en avant, raide et immobile ; aux membres
supérieurs
, atrophie du type Aran-Duchenne avec participat
elle. Evolution en 6 mois 1/2 ; douleurs rndicu- laires des membres
supérieurs
; à la période terminale, syndrome de Brown Séq
la tête, qu'il tient inclinée en avant et à gauche, et des membres
supérieurs
, qu'il tient croisés, et ne peut se coucher dan
pas de lésions d'au- cune sorte ; cependant dans la région lombaire
supérieure
, les gaines lympha- tiques périvasculaires appa
s ou au-dessous du siège de la compres- sion. Les centres nerveux
supérieurs
(cerveau, cervelet, bulbe, protubérance) pa- ra
d'une ligne horizontale,passant par la 6e dorsale. Rien aux membres
supérieurs
ni à la face ; myosis gauche ; pas de signes pul-
es. La moelle n'est ni comprimée ni déformée. Les centres nerveux
supérieurs
sont sains, macroscopiquement et histologi- que
ules motrices dans la patho- génie des troubles moteurs des membres
supérieurs
(atrophie musculaire, dans l'observation IX, ré
dorsal avec gibbo- sité. A 50 ans, douleurs vagues dans les memhres
supérieurs
, affaiblissement progressif des inférieurs; un
ulmonaire, petits tubercules anciens. Intégrité des centres nerveux
supérieurs
(même au microscope) ; pas d'amyotrophie. Rachi
partie marginale des cordons postérieurs. Dans la région cervicale
supérieure
, on trouve, au niveau des cordons pos- térieurs
une compression des racines lombo-sacrées, alors que les lombaires
supérieures
étaient éga- lement entourées de masses lardacé
e Pott cervical, comment distinguer, parmi les troubles des membres
supérieurs
, les symptômes radiculaire et les symp- tômes m
a son maximum d'étendue sur une coupe de la région protubérantielle
supérieure
, perpendiculaire à l'axe longitudinal de la pro
ntéro-postérieur dans le feutrage sous-lobaire du lobe semi-lunaire
supérieur
. Enfin sur des coupes horizontales encore plus
blié (1) a-t-il été débité en tranches sagittales pour son fragment
supérieur
et horizontales pour son frag- ment inférieur.
upes sagittales et horizontales. a) Coupes sagittales du fragment
supérieur
. Sur des coupes convena- blement choisies, on c
de Dejerine, on voit 3 foyers de dégénérescence lFig. 3). Les deux
supérieurs
, antérieur el postérieur, correspondent aux fibre
(FIC). b) CoUpes horizontales dû' fragment inférieur. Sur les plus
supérieures
de ces coupes on trouve des lésions directement
ant la substance blanche limitée en dehors par le lobe semi-lunaire
supérieur
, en arrière le lobe quadrilatère posté- rieur e
téro-postérieure séparant la substance blanche du lobe semi-lunaire
supérieur
et occupée par le feutrage sous-lobaire. En p
neux et inégaux dans le feutrage sous- lobaire du lobe semi-lunaire
supérieur
, indiquant la terminaison du foyer hé- Fio. 5
stérieure de l'olive au feutrage sous- lobaire du lobe semi-lunaire
supérieur
; 4° Et du pédoncule cérébelleux inférieur (PCI)
n, lamelliforme, dans le feutrage sous-lobaire du lobe semi-lunaire
supérieur
. Au niveau de ce foyer il existe une sclérose a
nt au reste de la coupe. Le foyer sous-lobaire du lobe semi-lunaire
supérieur
forme une dégénéres- cence massive. On distin
aire ; et le 3° dans le feutrage soits-lobaire du lobe semi-lunaire
supérieur
. 2° Dans le tronc cérébral, au-dessus et au-des
ssus et au-dessous du cervelet. Sur les coupes comprenant la partie
supérieure
de la protubérance et l'origine des pédoncules
escence ascendante d'une partie des fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Ainsi,sur une coupe(fig.9)perpendiculaire à l'
t par l'étage antérieur et la calotte de la région protubérantielle
supérieure
, on FIG. 7 Fia. 8 548 LAIGNEL-LAVASTINE v
G. 7 Fia. 8 548 LAIGNEL-LAVASTINE voit le pédoncule cérébelleux
supérieur
, la formation réticulée, le noyau central supér
ule cérébelleux supérieur, la formation réticulée, le noyau central
supérieur
, le faisceau longitudinal postérieur, le faisceau
à gauche. Le foyer droit (PCSD) dans l'axe du pédoncule cérébelleux
supérieur
est formé de 4 lignes se croisant , à concavité
rne correspond à la partie postéro-externe du pédoncule cérébelleux
supérieur
gauche. Ce sont les fibres ascendantes du pédoncu
eur gauche. Ce sont les fibres ascendantes du pédoncule cérébelleux
supérieur
droit après décussation. Dégénérescence descend
uverts. Les dégénérations ascendantes dans le pédoncule cérébelleux
supérieur
r et son entrecroisement sont classiques et mon
r dans leur angle postérieur. Elles montent ainsi jusqu'à la partie
supérieure
du corps ci- liai're et se recourbent pour desc
omplète des symptômes oculo-pupillaires, réflexes des articulations
supérieures
faibles, mais présents ; ceux des membres inférie
fibres du précunéus, du pli courbe, des circonvolutions pariétales
supérieure
et inférieure, etc. ». « Les fibres du segment
nciennes dont l'une occupe la partie centrale du cunéus et la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine ; dont l'autre détruit l
e étant « ex- clusivement un faisceau d'association », et la partie
supérieure
« intimement unie au segment rétro-lenticulaire
du faisceau optique central et c'est dans sa partie postérieure et
supérieure
que s'épuisent les radiations cortico-genouillées
t moteur en tenant le bulbe de façon à ce que la face ventrale soit
supérieure
et la face dorsale (plancher du ventricule) infé-
midale : disparition à un niveau variable (le plus souvent dor- sal
supérieur
) du faisceau direct et irradiation rapide dès que
tures, savoir : une fracture à la jambe droite, une autre à la partie
supérieure
du fémur gauche, deux ou trois à presque toutes l
sseuse, qui, d'après cet excellent observateur, se dépose à la partie
supérieure
ainsi qu'à la partie inférieure du col de l'os, a
e la tête de l'os s'applique contre le grand trochanter : l'extrémité
supérieure
du fémur représente alors l'extrémité supérieure
hanter : l'extrémité supérieure du fémur représente alors l'extrémité
supérieure
de 1 humérus. Si on demande à sir Astley Cooper
étendue du grand au petit trochanter. On remarque aussi que la partie
supérieure
du grand trochanter est séparée de l'inférieure p
er PT faisait partie d'un fragment triangulaire, dont un prolongement
supérieur
s'étendait jusqu'au bord postérieur du grand troc
lesquels ont été écartés les uns des autres; on voit, i° le fragment
supérieur
formé par la tête et par le col de l'os; 20 le fr
ien plus souvent encore, le grand trochanter, affaibli dans sa partie
supérieure
et postérieure par l'excavation, connue sous le n
ien ne s'opposait donc à ce que les (1) Toute fracture de la partie
supérieure
du fémur qui a lieu au-dessous du petit trochante
s une fracture du col du fémur, mais bien une fracture de l'extrémité
supérieure
du fémur. XXIIlc LIVRAISON. 2 cellules du tis
est détaché du corps de l'os et porté fortement en haut. Le fragment
supérieur
présente en bas une espèce d'apophyse en forme de
n'y avait donc aucun travail entre les fragmens osseux. Le fragment
supérieur
présente deux avances osseuses : i ° l'une inféri
nnées VM, VM, et du tissu fibreux. Cette pointe ou avance du fragment
supérieur
est presque entièrement composée de tissu compact
rieur est presque entièrement composée de tissu compacte ; i° l'autre
supérieure
plus considérable AT, entièrement composée de tis
grand trochanter. Il y avait donc un double engrènement du fragment
supérieur
et du fragment inférieur; si bien qu'il était imp
e mode de consolidation de la fracture du col du fémur. Le fragment
supérieur
, formé par la tête et par le col de l'os, présent
eux fragmens (ce qui est extrêmement fréquent), la pointe du fragment
supérieur
est ordinairement reçue entre ces deux fragmens;
'un clou dans l'épaisseur du grand trochanter, ou même dans la partie
supérieure
du corps du fémur. 11 n'est pas rare de voir le c
i s'était enfoncée dans l'épaisseur du fémur et jusque dans la partie
supérieure
du cylindre du corps de cet os, si bien qu'il éta
tte fracture, fracture du col du fémur, ou bien fracture de la partie
supérieure
du corps de cet os? Les signes ordinaires de la f
lquefois un peu aigu; 2° déplacement suivant l'épaisseur; le fragment
supérieur
est tantôt légèrement oblique d'avant en arrière,
telle manière que le fragment inférieur déborde en avant le fragment
supérieur
, tantôt oblique dans un sens opposé, de telle man
vemens est non-seulement la surface de la tête, mais encore la partie
supérieure
du pourtour de la cavité cotyloïde. Quel que so
e du grand trochanter. Il y a engrènement des fragmens. Le fragment
supérieur
présente une cavité qui reçoit une espèce d'apoph
on, que le fragment inférieur déborde de beaucoup en haut le fragment
supérieur
, tandis que le fragment supérieur déborde de beau
rde de beaucoup en haut le fragment supérieur, tandis que le fragment
supérieur
déborde de beaucoup en bas le fragment inférieur.
trouvé un engrènement réciproque formé ainsi qu'il suit : le fragment
supérieur
et le fragment inférieur, présentaient chacun une
par M. Pigné, élève interne dans le service de M. Sanson, le fragment
supérieur
présentait une coche profonde qui recevait une ap
breuse. — L'ancienne capsule fibreuse, qui a été déchirée à sa partie
supérieure
, au voisinage du rebord de la cavité eotyloïde, e
chirée au voisinage du rebord de la cavité eotyloïde, toute la partie
supérieure
de cette capsule se trouve refoulée sur le col du
nouvelle articulation ; la saillie de la nouvelle cavité, à la partie
supérieure
de laquelle vient se terminer le tendon réfléchi
fibreuse nouvelle, très forte, peut être divisée en deux moitiés, une
supérieure
et une inférieure. La moitié supérieure hémisphér
divisée en deux moitiés, une supérieure et une inférieure. La moitié
supérieure
hémisphérique, est extrêmement épaisse, surtout e
té : il est composé de faisceaux circulaires parallèles/ Cette moitié
supérieure
de la capsule fibreuse est de nouvelle formation
taient lacérés, que la capsule fibreuse était déchirée dans la moitié
supérieure
de sa circonférence et le col du fémur comme étra
oïde, à raison du peu d'épaisseur de cette insection, toute la partie
supérieure
de cette ancienne capsule se trouve refoulée, ram
frottant TF était très remarquable. La fig. 4 représente la partie
supérieure
du fémur dont la tête TF était aplatie, déformée,
ée sur le col, que les tiraillemens auxquels est soumise cette partie
supérieure
de la capsule, les frottemens qu'elle subit, déve
par les pieds et s'étendant aux genoux, aux cuisses, puis aux membres
supérieurs
: elles occupent surtout le côté droit du corps,
placé, mais il m'a semblé qu'il résultait d'une altération des fibres
supérieures
des ligamens odontoïdiens. Ces ligamens odontoïdi
igamens occipito-axoïdiens postérieurs, et qui rétrécissent la partie
supérieure
du canal. Cette saillie tient à-la-fois à l'hyper
rie de la Salpêtrière le i5 août i836, pour une paralysie des membres
supérieurs
et inférieurs. Il n'était pas difficile de reconn
et de la 3e vertèbre cervicale. La paralysie porte sur les membres
supérieurs
et inférieurs droit et gauche; mais les membres d
roit sont plus faibles que les membres du côté gauche, et les membres
supérieurs
sont moins affectés que les membres inférieurs.
ans pouvoir, à beaucoup près, soutenir le poids du corps. Les membres
supérieurs
pourraient rendre quelques services, n'était l'en
uvent sous la malade et la faisaient choir; depuis un an, les membres
supérieurs
, surtout celui du côté droit, ont été affectés.
convaincu que la maladie consistait dans une compression de la partie
supérieure
de la moelle épinière, que cette compression étai
amens et des muscles vertébraux antérieurs, et se termine à la partie
supérieure
du thorax par un cul-de-sac qui soulève la plèvre
s et déformées, font une saillie considérable derrière les extrémités
supérieures
des phalanges qu'elles avaient entièrement abando
t bien difficile de faire la part de chacun de ces os. Les extrémités
supérieures
des os métacarpiens sont incomplètement soudés au
langes qui offrent l'usure la plus remarquable. ESM'est l'extrémité
supérieure
du premier métacarpien. El M'l'extrémité inférieu
ir. Ainsi à la Salpêtrière, sur plusieurs femmes paralysées du membre
supérieur
depuis leur enfance, à la suite de convulsions, e
rdin, Emery, etc. ; une incision cruciale ayant été faite à la partie
supérieure
de la tête, on disséqua les lambeaux, puis on sci
èce pathologique. XXIe LIVRAISON. ï transverse de l'os maxillaire
supérieur
; on observa alors un développement considérable d
os propres du nez, de l'ethmoïde, du sphénoïde et de l'os maxillaire
supérieur
: les fosses nasales, la surface orbitaire et la
r mettre en évidence la paroi externe des fosses nasales, les cornets
supérieur
, moyen et inférieur, le corps du sphénoïde S, rec
gulièrement ovoïde et entourait de toutes parts les quatre cinquièmes
supérieurs
de l'humérus, qu'elle débordait en haut, si bien
elle est remplacée par un tissu compacte, éburné, excepté à la limite
supérieure
de la tumeur, où se voit un tissu aréolaire. Dans
gnait depuis quelque temps d'une douleur vive et continue à la partie
supérieure
du bras droit, et là existait, au niveau du delto
i de rougeur, ni de gonflement, se portèrent successivement au membre
supérieur
droit et aux jambes. Elles cédèrent à deux fortes
sa face postérieure. Les deux fémurs F, F sont réunis dans leur tiers
supérieur
et distinctsdans leurs deux tiers inférieurs. Les
aillante, dirigée d'avant en arrière : leur face postérieure, devenue
supérieure
, est concave et supportait (au rapport de l'un de
des corps des pubis et la face interne des ischions, devenues un peu
supérieures
, interceptent une cavité à la formation de laquel
e à base dirigée en haut: ce cône est di visé en deux segmens, l'un
supérieur
ou fémoral, Fautre inférieur ou tibial,lesquels s
es parties intermédiaires, et c'est pour cette raison que les membres
supérieurs
que sépare le thorax n'ont jamais été trouvés réu
postérieure est en avant ; 3° le tibia dont il n'existe que la moitié
supérieure
, et qui se termine en pointe mousse. Il n'y a pas
sa face antérieure regarde le plan postérieur du corps. Son extrémité
supérieure
présente trois éminences, dont une médiane ET rep
lia jambe est représentée par un moignon , que constitue la moitié
supérieure
du tibia. Ce tibia a, comme le fémur, subi un mou
ia a, comme le fémur, subi un mouvement de demi-rotation. L'extrémité
supérieure
de cetos unique présente trois facettes, une moye
surfaces articulaires du tibia résultent de la fusion des extrémités
supérieures
de ces deux os. Il y avait deux rotules R et R'
e directement en haut ; en outre, dans l'attitude bipède, les membres
supérieurs
ne peuvent s'appliquer sur les parties latérales
ut rentre pour ainsi dire dans l'ordre, lorsqu'on donne à ces membres
supérieurs
une direction perpendiculaire au tronc. Il me par
bouche, largement ouverte, a la forme d'un carré long, dont les bords
supérieur
et inférieur représentent les lèvres; 5° menton t
e continue sans interruption jusqu'à la fin du canal sacré. La partie
supérieure
de la colonne vertébrale se trouve renversée sur
cas de cyclopie, les mâchoires et plus particulièrement les mâchoires
supérieures
sont courtes, vu l'absence plus ou moins complète
e cyclopie dans lesquels l'atrophie porte non-seulement sur la partie
supérieure
delà face, mais encore sur la partie inférieure,
est perpendiculaire à l'axe des jambes décrit une courbe à concavité
supérieure
; que les deux premières phalanges des derniers o
aire et la trompe du côté droit, est très dur, fixé par son extrémité
supérieure
au gros intestin , à l'aide de filamens fibreux,
eils EP, EP : on voit, entre les extrémités inférieures des fémurs et
supérieures
des tibias,une masse charnue, libre en bas JR , q
ns antéro-postérieur: il n'y a pas d'excavation pelvienne. Le détroit
supérieur
et le détroit inférieur sont confondus dans le mê
orifice inférieur du bassin OIB, qui représente à-la-fois Je détroit
supérieur
et le détroit inférieur; fusion des deux tubérosi
ont exactement celles de sa distribution'(i). Ainsi le nerf laryngé
supérieur
n'était pas malade, car le muscle crico-thyroïdie
e muscle aryténoïdien : or, l'anatomie démontre que le rameau laryngé
supérieur
y laisse quelques filets. Les mêmes raisons ne pe
ion. A 76 ans, s'étant fait placer un râtelier d'argent à la mâchoire
supérieure
, il en résulta , dit-il , une inflammation de la
ouvertes au liquide accumulé dans la cavité de ce viscère : les voies
supérieures
et les voies inférieures, et je ne saurais dire q
eille. Nombreux ganglions sur les côtés et à la partie postérieure et
supérieure
du col. Ces ganglions sont assez consistans, un p
a diarrhée dans les derniers jours ; les membres inférieurs, puis les
supérieurs
, se sont infiltrés ; le pouls est resté fréquent,
gastro-duodénale.—Les ganglions lymphatiques qui entourent la partie
supérieure
de l'aorte abdominale sont indurés, — Rate infilt
e des traces de décomposition putride; ainsi, l'omoplate et le membre
supérieur
correspondant ne conservent plus que quelques lam
e moment que cet enfant n'était point du sexe masculin. « Le membre
supérieur
gauche est parfaitement conservé; la portion numé
moins volumineux de moitié que celui d'un enfant à terme ; sa partie
supérieure
gauche est convertie en une masse graisseuse ferm
s O. — La vessie V ne paraît contenir aucun liquide. 70 Les membres
supérieur
et inférieur disséqués font voir que les muscles
on , doivent rester inaltérables. L'altération observée sur le membre
supérieur
du côté droit est probablement antérieure de quel
ieds débordaient en haut la tête, et venaient appuyer contre la paroi
supérieure
du kyste ; il y avait également deux pieds-bots.
On voit que la hernie du rectum HR est une invagination de la partie
supérieure
de l'intestin dans la partie inférieure. Le point
lieu par le mécanisme des invaginations ordinaires : alors la partie
supérieure
du rectum ou inférieure du colon s'enfoncerait da
qui-sortent, et quelquefois la matrice et presque toujours la partie
supérieure
« de la vessie lorsqu'elle est pleine d'urine. Si
part, formait la tumeur droite, d'une autre part, occupait la partie
supérieure
de la tumeur gauche. Je me demandai, avant la d
tumeur : la peau enlevée, on trouve deux hernies bien distinctes. La
supérieure
formée par l'épiploon graisseux, ayant la grosseu
able à son volume et à ses appendices graisseux qui forment la partie
supérieure
de la grande tumeur et la presque totalité de la
nteux, qui la remplace chez l'adulte, venait s'engager dans la partie
supérieure
de l'anneau. Quant aux petits cordons ligamenteux
ir l'inférer d'un liseret rouge d'injection qui se voyait à la moitié
supérieure
de la circonférence de la tumeur, aussi bien au p
ntes. Il n'y a d'abord qu'une très petite portion de ses extrémités «
supérieure
et inférieure qui se trouve dans la cavité abdomi
dans la cavité abdominale où il ne plongerait que par ses extrémités
supérieure
« et inférieure. Toute la partie intermédiaire, c
Lemercier,SenarcC C"^ Invagination (i) ayant son siège à la partie
supérieure
de l'intestin grêle. (Planches iv, v, vi, xxn6 li
n bas et de gauche à droite et décrivant un arc de cercle à concavité
supérieure
(pl. 4 et 5). A cette tumeur, qu'on reconnaît p
dans le cas actuel, le duodénum a limité l'invagination de la partie
supérieure
de cet intestin. Le péritoine n'est recouvert d
ux tumeurs polypeuses : l'une PM plus considérable occupant la partie
supérieure
; l'autre, plus petite P', occupant la partie infé
e déplacement, n'occupe pas la partie inférieure, mais bien la partie
supérieure
du cylindre central; or c'est la partie inférieur
tion de cette anse. L'espèce d'anneau ou de collier formé aux limites
supérieures
de la tumeur, par le cylindre externe sur le cyli
nniventes aurait pu faire reconnaître si elle appartenait à la partie
supérieure
ou bien à la partie inférieure de l'intestin grêl
communiquait avec un foyer purulent du muscle psoas : tantôt le bout
supérieur
de l'intestin divisé était profondément in-vaginé
s'était faite aux dépens du bout inférieur et non aux dépens du bout
supérieur
de l'intestin. Il est probable que la valvule ilé
-dessus de l'anus contre nature s'est opposée au renversement du bout
supérieur
. (C) Les invaginations qui ont lieu dans un poi
connais pas d'exemple où le bout inférieur ait été reçu dans le bout
supérieur
. Du reste, le mécanisme suivant lequel s'opère
ant lequel s'opère l'invagination, c'est-à-dire l'insinuation du bout
supérieur
dans le bout inférieur qui se renverse sur lui-mê
n seul cas de tumeur adipeuse du volume d'une fève occupant la partie
supérieure
de l'intestin grêle. La membrane muqueuse qui la
qu'on s'approche de l'anus. La portion la plus altérée est la partie
supérieure
du rectum, dont toute la circonférence est couver
le d'extension à la vessie du cancer du rectum. Cancer de la partie
supérieure
du rectum. Tous les symptômes de la rétention des
s est propagé jusqu'à la vessie. M. de Cr., 45 ans- ancien officier
supérieur
de la garde royale, éprouvait tous les huit jours
ns constant qu'il existait un rétrécissement considérable à la partie
supérieure
de cet intestin ou à la fin de l'S iliaque du col
générescence cancéreuse avec rétrécissement considérable de la partie
supérieure
du rectum. La dégénérescence s'était propagée au
m. Il n'en reste que des débris à sa partie inférieure et à sa partie
supérieure
. La surface interne de l'intestin offre un grand
n faisant, j'ai pénétré dans une grande cavité morbide, dont la paroi
supérieure
était formée par le rectum et la vessie rapproché
itoine, et communiquait avec le rectum par le trajet infundibuliforme
supérieur
dont j'ai parlé, en sorte qu'il y avait ici fistu
es caractères du cancer gélatiniforme, m'a offert dans ses deux tiers
supérieurs
une disposition que je n'avais point encore renco
ue, depuis la même époque, il avait constamment éprouvé, dans la zone
supérieure
de la cavité abdominale, un embarras plutôt qu'un
t à la bouche, langue blanche, rénitence et matité dans toute la zone
supérieure
de l'abdomen , ventre indolent,selles assez rares
gé de la nuance la plus belle et la plus vive possible. A sa partie
supérieure
, ce vaste kyste présentait une arrière-cavité, si
ui n'étaient séparées l'une de l'autre que par une bride. L'ouverture
supérieure
se terminait en cul-de-sac. Un stylet introduit d
érieure du foie, lequel était énorme, au point d'atteindre le détroit
supérieur
du bassin. Ce grand volume du foie était dû à d
tte douleur. Une pression, exercée sous la dernière côte, aux limites
supérieures
de la région lombaire, comme si on voulait explor
a portion déplacée : elle soulève le diaphragme ; en outre, sa partie
supérieure
est sillonnée d'une, de deux,de trois rainures pl
alvule iléo-cœcale, le calcul, après avoir franchi librement le tiers
supérieur
de cet intestin, puis après avoir éprouvé des obs
étendue. Le même lobe droit du foie présente, au voisinage du bord
supérieur
, deux foyers purulens, superficiels p ab, p'a'b',
u'il eut bientôt débordé pour atteindre l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, et se prolonger dans l'hypochondre et dans le fl
ine jugulaire interne, dont la cavité est remplie de pus. Aux limites
supérieure
et inférieure se voit un caillot conoïde, qui a c
yroïde, se prolongean tderrière le sternum , pénètre dans l'évasement
supérieur
du médiastin ; i° lorsque le corps thyroïde qui e
l'extrémité inférieure de la glande parotide jusqu'au niveau du bord
supérieur
du cartilage cricoide. Cette tumeur était ovoïde,
nd de laquelle on sentait les cartilages dénudés. En effet, la partie
supérieure
du cartilage cricoïde était ossifiée et cariée. L
fut ainsi prolongée de plusieurs mois. La fig. 3 représente le lobe
supérieur
du poumon gauche, transformé en un kyste acéphalo
Lutzen : une pièce de canon lui passa transversalement sur la partie
supérieure
de l'abdomen. Les accidens les plus formidables s
grand épiploon avait en outre contracté des adhérences avec la moitié
supérieure
de l'ouverture de communication entre la cavité a
ouce du cartilage de la huitième, et décrivait une courbe à concavité
supérieure
. La surface interne du sac présentait une disposi
semblent avoir été envahis isolément et restent distincts. Le lobe
supérieur
présente à sa surface, dans un certain nombre de
ane PSI, infiltrée de sang. La figure 2 représente la coupe du lobe
supérieur
et du lobe inférieur. On voit sa couleur blanchât
e: il était enveloppé par une fausse membrane très épaisse. La partie
supérieure
du lobe supérieur adhérait intimement à la plèvre
pé par une fausse membrane très épaisse. La partie supérieure du lobe
supérieur
adhérait intimement à la plèvre costale, si bien
s noyaux durs, tuberculeux, étaient disséminées çà et là. La moitié
supérieure
du lobe supérieur était creusée d'une caverne, qu
rculeux, étaient disséminées çà et là. La moitié supérieure du lobe
supérieur
était creusée d'une caverne, que remplissaient in
droite du sternum , sur lequel il empiète, et ayant détruit la partie
supérieure
de la mamelle, dont les deux tiers inférieurs ont
ure 3 représente une vaste caverne cicatrisée CP, CP occupant le lobe
supérieur
du poumon. Ce cas est remarquable par les brides
avernes cicatrisées cp, c p, se voyaient dans d'autres points du lobe
supérieur
. Réflexions sur les cicatrices pulmonaires. A l
. Le poumon du côté de l'épanchement était parfaitement sain. Le lobe
supérieur
de l'autre poumon présentait deux ordres d'altéra
cloisons complètes ; j'ai évacué le pus contenu dans le foyer le plus
supérieur
F P pour montrer sa surface interne qui présente
l advenu si la malade n'avait pas succombé? Ou bien le foyer purulent
supérieur
FP se serait ouvert et le pus mêlé au sang aurait
oblitérée par des caillots adhérens. Je trouve, en outre, à sa partie
supérieure
, au centre du caillot, une matière blanche, sembl
lleurs inévitable', de la maladie. A l'ouverture du cadavre, partie
supérieure
du vagin gangrenée communiquant largement avec la
aint-Luc, n° 10, dans l'état suivant : Hémiplégie gauche. Le membre
supérieur
de ce côté est rigide, demi fléchi, parsemé de tu
s et cutanées, étendues de la clavicule au bout des doigts. Ce membre
supérieur
est infiltré et complètement immobile. On reconna
e présentait cette malade, pour m'en tenir à la description du membre
supérieur
gauche. Ce membre supérieur (voyez planche v, x
r m'en tenir à la description du membre supérieur gauche. Ce membre
supérieur
(voyez planche v, xxxe livraison) présente une mu
biceps humerai ; on ne trouve de fibres musculaires qu'à leur attache
supérieure
. Leurs tendons sont parfaitement conservés. Ce ti
parleurs flexuosités alternes à la manière d'un serpent. La partie
supérieure
de la veine saphène présente une dilatation ou va
uins, ainsi qu'on le voit en VO. La fig. l'montre ouverte la partie
supérieure
de la veine saphène. On y voit que la varice laté
igée, passait au devant de la symphyse du pubis, au niveau du détroit
supérieur
. Cette veine communiquante était saine à son embo
ge. En sciant l'astragale, on voit que le cartilage qui revêt la face
supérieure
de cet os est décollé de la couche osseuse subjac
e troisième adducteur. Caillots non adhérens dans les cinq sixièmes
supérieurs
de la poplitée, adhérens et denses dans le sixièm
aux os.» J'ai pensé que la différence qui existait entre la partie
supérieure
et la partie inférieure du membre gangrené, sous
que c'était en raison de cette différence de structure que la partie
supérieure
avait été le siège d'une gangrène humide, tandis
tupeur jusqu'au 5 mai. Ouverture du cadavre le 6 mai.— Tout le lobe
supérieur
du poumon droit était le siège d'une inflammation
es commémoratifs suivans : Depuis un an , douleurs dans les membres
supérieurs
qu'elle rapportait à la goutte. Ces douleurs étai
goutte. Ces douleurs étaient temporaires et se portaient d'un membre
supérieur
à l'autre , jamais aux membres inférieurs. Pres
ées seulement par des brides. Les artères et les veines des membres
supérieurs
ont été injectées. Cette injection ne me paraît p
échirure. Le tissu propre du cœur m'a paru intact. Artère du membre
supérieur
gauche ( Côté du membre gangrené).—Un caillot san
pales branches collatérales. J'ai suivi ce caillot dans la scapulaire
supérieure
et cervicale transverse. La portion de caillot qu
est remarquable par sa longueur inaccoutumée. L'artère mésentérique
supérieure
AMS est le siège d'une dilatation anévrysmale con
onnée dans les planches 1 et 2. L'incision de l'artère mésentérique
supérieure
AMS, a montré la perméabilité de cette artère jus
e. La plupart des vaisseaux qui naissaient de l'artère mésentérique
supérieure
étaient oblitérés à leur origine par des caillots
évrysme sphéroïdal, circonscrit par deux anneaux ou collets ; dont le
supérieur
répondait à l'orifice de l'artère sous-clavière g
percussion, sonorité parfaite du thorax en avant, dans ses deux tiers
supérieurs
à gauche,dans son tiers supérieur à droite. Malit
orax en avant, dans ses deux tiers supérieurs à gauche,dans son tiers
supérieur
à droite. Malité complète en bas des deux côtés;
la poche droite SIP n'adhérait aux lamelles décolorées qu'à la partie
supérieure
; en bas, il n'y avait pas d'adhérence; la surface
si à cause d'un piquotement douloureux qu'il éprouvait dans le membre
supérieur
gauche. Depuis la même époque, il souffre (i) M
que le tronc est divisé en deux parties superposées, et que la moitié
supérieure
n'est pas supportée par la moitié inférieure, en
avec le doigt tous les points de sa longueur, je reconnus à la partie
supérieure
et latérale gauche de la région dorsale, une tume
Les mammaires internes avaient deux lignes,et les diaphragmatiques
supérieures
une ligne et demie de diamètre. Ces dernières éta
ment au dessous du point rétréci de ce côté. En outre, l'intercostale
supérieure
, née de la sous-clavière, venait se confondre ave
e du cœur (fig. 1) a été faite au niveau de la réunion des deux tiers
supérieurs
avec le tiers inférieur des ventricules, perpendi
immédiatement derrière le bord gauche du cœur, à la*réunion du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de ce bord. C'étai
t avec un caillot sanguin décoloré et condensé qui occupait la partie
supérieure
de la cavité , un caillot sanguin ordinaire. La p
es ; que cette infiltration s'étend bien plus loin que la perforation
supérieure
P', fig. i ne semble l'indiquer ; qu'elle s'est p
me et les dimensions d'une lentille. Ce diaphragme, convexe à sa face
supérieure
, concave à sa face inférieure ou ventriculaire, o
aible , presque insensible. La respiration ne s'entend qu'à la partie
supérieure
de la poitrine. Vomissemens pendant les quinze jo
ans : Thouret fils a présenté à la société anatomique la veine cave
supérieure
d'un individu qui était mort avec les symptômes a
re, mobile, tenait à l'épiploon par un pédicule mince. —La veine cave
supérieure
était complètement oblitérée par une tumeur carci
e tumeur] carcinomateuse s'était développée au voisinage de la partie
supérieure
de la veine jugulaire interne et avait envoyé un
cancéreuse MC, lobulée qui se prolonge d'une part dans le veine cave
supérieure
VCS où elle se termine par une extrémité obtuse M
ang dans quelques points. La tumeur adhère intimement à la veine cave
supérieure
et à la partie postérieure de l'oreillette ; un g
céreux me, me a été divisé ; il est situé en arrière de la veine cave
supérieure
qu'il déprime. Ce tubercule peut donner une idée
ie ; le sang pouvait pénétrer dans l'oreillette : i° de la veine cave
supérieure
entre la tumeur et la paroi postérieure de cette
n péricardique de l'aorte, de l'artère pulmonaire et de la veine cave
supérieure
; non-seulement la matière tuberculeuse est infil
lette. La membrane interne seule avait été respectée. La veine cave
supérieure
était dans le même cas que l'oreillette, c'est-à-
t également un autre foyer apoplectique sur le bord antérieur du lobe
supérieur
du même poumon. Le poumon droit était tellement a
est l'infiltration légère des membres inférieurs, et même des membres
supérieurs
. Rétention d'urine, cathétérisme. Le 20 et les
dire dans son lobe inférieur et dans la partie inférieure de son lobe
supérieur
. La poche formée par le péricarde est notablement
cœur, libre dans toute son étendue, l'apparence mamelonnée.La partie
supérieure
du péricarde adhérait aux gros vaisseaux correspo
'abord les synoviales des membres inférieurs, puis celles des membres
supérieurs
, puis les séreuses et plus particulièrement le pé
s limitées à la face, mais s'accompagnent de raideur dans les membres
supérieurs
. La malade entre à l'hôpital Beaujon; là, elle
e crâne : on devrait les distinguer en celles qui naissent de la face
supérieure
du rocher, c'est-à-dire dans la fosse sphéno-temp
urs. Tumeur fibreuse du poids de deux onces, 5 gros, née de la face
supérieure
et un peu de la face postérieure du rocher droit.
côté gauche; portant sur le mouvement et sur le sentiment. Le membre
supérieur
est dans un état de demi-flexion avec rigidité. L
n œuf de poule, du poids de deux onces cinq gros, naissait de la face
supérieure
, en empiétant un peu sur la face postérieure du r
lle elle s'est détachée de la base du crâne. Les faces postérieure et
supérieure
du rocher étaient mamelonnées, rugueuses, parsemé
ens du cerveau, par la partie de cette tumeur qui naissait de la face
supérieure
du rocher, 20 aux dépens du cervelet par la parti
es. Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse, naissant de la face
supérieure
du rocher. — Petite tumeur osseuse naissant de la
commissure, une tumeur osseuse très considérable, naissant de la face
supérieure
du rocher et se creusant une cavité aux dépens de
La tumeur, qui était du poids de plusieurs onces, naissait de la face
supérieure
du rocher, et plus exactement , de la partie du r
er, et plus exactement , de la partie du rocher qui répond à la paroi
supérieure
de la caisse du tympan. Elle était divisée en lob
ocher, naissait encore une petite tumeur entièrement osseuse. La face
supérieure
du rocher présentait, au voisinage du pédicule de
nt continuer la tumeur osseuse. Les tumeurs qui naissent de la face
supérieure
du rocher produisent leurs effets de compression
on empire aussitôt que la cause étrangère a cessé d'agir. Les membres
supérieurs
servent encore à la malade : ils ne sont nullemen
ouillie, maintenue par une coque fibreuse, qui forment les deux tiers
supérieurs
de cette même tumeur. Cette bouillie encéphaloïde
et qu'il m'a montrés dans le suc cancéreux ? -En examinant la face
supérieure
du rocher, j'ai vu de petites tumeurs osseuses qu
étaient intactes; l'intelligence était entière: pourquoi les membres
supérieurs
ont-ils été libres, alors que les membres inférie
ste, intégrité parfaite du mouvement et du sentiment dans les membres
supérieurs
: les urines et les selles sont rendues volontaire
cellulaire cérébral sous-arachnoïdien. Cerveau, cervelet et partie
supérieure
de la moelle parfaitement sains. Le poumon droit
ntiment. La tumeur occupait, non la région lombaire, mais la partie
supérieure
de la région dorsale. Dans les paraplégies parfai
formaient une espèce de gaine. L'autre tumeur, qui occupait la partie
supérieure
et postérieure de la région dorsale , était oliva
r : les deux membres inférieurs sont également affaiblis. Les membres
supérieurs
sont parfaitement sains. L'examen de la région lo
étranglée, mais sans solution de continuité manifeste. Tout le lobe
supérieur
du poumon gauche, sauf le bord antérieur, la part
le lobe supérieur du poumon gauche, sauf le bord antérieur, la partie
supérieure
du lobe inférieur du même côté, étaient frappés d
parois du tronc, la vessie, le rectum, et peut-être aussi les membres
supérieurs
. Ce fut en effet ce qui advint les jours suivans.
es jours suivans. Les deux membres inférieurs, le tronc , les membres
supérieurs
présentèrent ce singulier amalgame de paralysie e
furent rendues involontairement. Pour traitement, moxas à la partie
supérieure
de la région dorsale, saignées répétées. Pendant
ermait brusquement, lui donnait une secousse. Du reste, les membres
supérieurs
, la région cervicale, la tête, n'ont, en aucune f
la peau et la paralysie douloureuse des muscles ont envahi le membre
supérieur
droit. Déjà , la veille, l'épaule commençait à êt
it à être engagée. C'est pendant la nuit que s'est paralysé ce membre
supérieur
à la suite de douleurs vives et de secousses conv
suivie de vomissemens. 9 juin. La paralysie s'est étendue au membre
supérieur
gauche , seul membre qui n'eût pas été envahi. Le
rde; douleur légère derrière le cou: la malade souffre plus du membre
supérieur
droit, lequel a été primitivement affecté, que du
re supérieur droit, lequel a été primitivement affecté, que du membre
supérieur
gauche. Elle peut remuer le pouce et les autres d
n outre les orteils et même un peu le genou du côté gauche. Le membre
supérieur
droit,qui avait été pris le premier et qui l'étai
. 15 juin : le mouvement est revenu la nuit dernière dans le membre
supérieur
droit, à la suite de douleurs excessivement vives
nvahit successivement les membres inférieurs, le tronc et les membres
supérieurs
, paralysie qui survient graduellement, d'abord da
Plus loin, lorsque la paralysie douloureuse s'est étendue aux membres
supérieurs
, il dit" « La sensibilité persiste toujours dans
la sensation est-elle très faible. Elle meut très bien les extrémités
supérieures
; mais la sensibilité des mains est dans le même é
e. Les racines des nerfs me paraissent atrophiées. Le bulbe rachidien
supérieur
est sain ; le bulbe rachidien inférieur est moins
complète des membres inférieurs : affaiblissement moindre des membres
supérieurs
. — Atrophie et induratio n de la moelle.—Epaissis
ain inférieur reste en arrière et les jambes se croisent. Les membres
supérieurs
sont affaiblis, mais moins que les membres inféri
rétraction des membres inférieurs. —» Paralysie incomplète du membre
supérieur
gauche. — Induration de la moelle. — Mort par ram
un peu la jambe gauche. L'extension forcée est douloureuse. Membres
supérieurs
affaiblis: elle les meut cependant; mais elle se
affaiblis: elle les meut cependant; mais elle se sert mieux du membre
supérieur
droit que du membre supérieur gauche. Quand on me
dant; mais elle se sert mieux du membre supérieur droit que du membre
supérieur
gauche. Quand on met un objet quelconque dans la
ement cervico-brachial de la moelle, qui répond aux muscles du membre
supérieur
, et le renflement lombaire, qui répond aux muscle
âge: elle exécutait toute sorte de mouvemens à T'aide de ses membres
supérieurs
, et je ne remarquai aucune différence entre les m
. explication oes figures. La figure 1 et 1' représente la partie
supérieure
de la moelle et la protubérance d'une paraplégiqu
d'appui. Dans le principe, elle avait le libre exercice des membres
supérieurs
: ils s'engourdirent à leur tour. Elle entra à l'h
cessaient que par la contention mécanique des membres. Les membres
supérieurs
obéissent mieux à l'empire de la volonté que les
temps, par un mouvement combiné et brusque de la tête, et, du membre
supérieur
, elle s'appliquait avec force la main contre la f
ne flexion exagérée. L'articulation est largement ouverte à la partie
supérieure
, et cependant la malade n'y a jamais éprouvé auc
altération était plus profonde à la partie inférieure qu'à la partie
supérieure
de la moelle. A la partie inférieure, l'altératio
s tard l'engourdissement, la semi-paralysie, s'étendirent aux membres
supérieurs
. La malade resta dans mes salles la dernière an
rois mois après, la jambe droite se prit comme la gauche. Les membres
supérieurs
finirent par participer à la paralysie: ils étaie
squ'au dernier moment. J avais diagnostiqué une lésion de la partie
supérieure
de la moelle. J'avais même été tenté, dans le pri
e: une île de substance grise T G se voit à la réunion des deux tiers
supérieurs
avec le tiers inférieur de la moelle. La fig. 4
ir subi la transformation grise dans la plus grande partie de sa face
supérieure
. Cependant, en examinant avec attention, il m'a p
e plutôt qu'elle n'exécute les mouvemens de progression. B. Membres
supérieurs
. i° Sentiment : engourdissement, fourmillement da
a0 Mouvement. Intégrité à-peu-près parfaite du mouvement aux membres
supérieurs
, érosion. Aucune douleur spinale. La sensibilité
e. La malade ne sent très bien que la peau de la face et de la partie
supérieure
du col : urines et selles involontaires. Dévoieme
e ans environ, qui est entièrement privée du mouvement dans le membre
supérieur
et le membre inférieur du côté droit, et chez laq
ent privée du sentiment dans les membres inférieurs et dans le membre
supérieur
droit ; c'est parce que je l'ai soumise à des épr
en même temps paralysie des membres inférieurs et paralysie du membre
supérieur
. Ce n'est pas la première fois que j'ai eu occasi
se manifester sous forme hémiplégique, par exemple, lorsque la partie
supérieure
de la moelle est comprimée et que la compression
lète des membres inférieurs. Diminution de la sensibilité des membres
supérieurs
. Diminution notabley mais relativement moindre, d
i84o pour une bronchite. M'étant aperçu que les mouvemens des membres
supérieurs
étaient faibles et incertains, je l'interroge à c
s secousses convulsives , douloureuses ou non douloureuses. Membres
supérieurs
. — La sensibilité des membres supérieurs est sing
non douloureuses. Membres supérieurs. — La sensibilité des membres
supérieurs
est singulièrement diminuée. J'engage la malade à
este, la malade ne se plaint d'aucune douleur. Myotilité. Le membre
supérieur
droit se meut avec agilité bien mieux que le memb
membre supérieur droit se meut avec agilité bien mieux que le membre
supérieur
gauche, et c'est principalement de ce membre qu'e
malade est prise, le 9 mars, de douleurs extrêmement vives au membre
supérieur
gauche, et plus particulièrement à la région delt
0 et 11 mars, la douleur subsiste, mais elle ne dépasse pas le membre
supérieur
; d'un autre côté la malade remue très bien les d
urésie. Le 19, mars, diminution notable des douleurs dans le membre
supérieur
gauche. Pour la première fois, elle accuse des do
te de la plèvre pariétale et médiastine. La plèvre qui répond au lobe
supérieur
du poumon était exempte d'inflammation, excepté à
rsonnes qui n'ont qu'un seul membre inférieur disponible. Les membres
supérieurs
jouissent de toutes leurs facultés sensitives et
ens de toutes les parties dégénérées. Ces parties sont les deux tiers
supérieurs
de la paroi postérieure du vagin, la paroi antéri
eut répondre à mes questions. Il m'est impossible d'établir la limite
supérieure
de la paralysie. L'abdomen est sensible à la pr
n'empêchaient pas la malade de marcher comme de coutume : les membres
supérieurs
et inférieurs n'ont jamais été douloureux. Huit j
, après la visite, fièvre vive, douleurs très intenses dans le membre
supérieur
gauche; ces douleurs sont permanentes et augmenté
ralyse. J'étais convaincu que la moelle était comprimée à la partie
supérieure
de la région dorsale, et je tâchais de faire pass
uoi il lui semblait que son corps se ployait en deux, et que le train
supérieur
n'était pas soutenu par le train inférieur. Les m
i de la production en forme de gaîne fibreuse qui entourait la partie
supérieure
de la moelle, si la tumeur du foie n'était venue
eignement, présente une déchirure des pédoncules cérébraux et du plan
supérieur
de l'isthme de l'encéphale. Le sang remplissait l
érance proprement dite n'avait été entamée que dans sa couche la plus
supérieure
, et les pédoncules cérébelleux avaient été respec
nes d'épaisseur, moitié liquide, moitié coagulé. (2) Rien à la face
supérieure
du cerveau qui puisse motiver un épanchement sang
les conjonctives sont injectées : les yeux sont saillans. Le membre
supérieur
gauche est immobile, mais d'une rigidité extrême;
es autres moyens de stimulation (paralysie avec rigidité), lue membre
supérieur
droit est dans un état complet de résolution; il
ter la malade, mais sans obtenir aucune réponse de sa part. Le membre
supérieur
gauche est complètement paralysé et moins rigide
omplètement paralysé et moins rigide que le jour précédent; le membre
supérieur
droit est dans le même état; sensibilité des memb
e grise de quelques circonvolutions occupant la partie postérieure et
supérieure
de l'hémisphère droit, était ramollie, sans chang
conclure de l'hémiplégie générale que la force de mouvoir les membres
supérieurs
et inférieurs a son organe exclusif dans la protu
ie moyenne de l'hémisphère gauche, au voisinage du sinus longitudinal
supérieur
. L'adhérence avait lieu au moyen dîme plaque tube
ité dite digitale avait à elle seule autant de longueur que la partie
supérieure
du ventricule latéral. Peut-on guérir de tuberc
e gauche complète du mouvement avec rigidité très prononcée du membre
supérieur
; paralysie moins complète et sans rigidité du mem
représente une coupe de l'hémisphère droit du cerveau, vu par sa face
supérieure
. LA est le lobe antérieur, LB le lobe postérieur,
he avec déviation de la commissure, rigidité très prononcée du membre
supérieur
du même côté : bien que le mouvement y soit aboli
mène qui se rattache au même ordre de faits que la rigidité du membre
supérieur
. Le pincement des membres paralysés détermine u
et couvertes de petits caillots. Le corps calleux offrait à sa face
supérieure
, surtout au niveau delà partie qui est recouverte
nt, suivant la direction des fibres ; ces taches occupaient la moitié
supérieure
de l'épaisseur du corps calleux : la face inférie
ie capillaire, coïncidant avec une inflammation du sinus longitudinal
supérieur
et des veines cérébrales adjacentes. La figure
muniquée. Les nombreuses veines qui aboutissent au sinus longitudinal
supérieur
et le sinus longitudinal supérieur lui-même SLO s
aboutissent au sinus longitudinal supérieur et le sinus longitudinal
supérieur
lui-même SLO sont pleins de concrétions sanguines
très adhérentes aux parois des vaisseaux. Dans le sinus longitudinal
supérieur
, la phlegmasie semble avoir marché d'arrière en a
un grand affaiblissement cérébral. A ïouverture, sinus longitudinal
supérieur
, veines cérébrales supérieures distendues par du
bral. A ïouverture, sinus longitudinal supérieur, veines cérébrales
supérieures
distendues par du sang concret et adhérent, d'un
e 3o,à la visite du matin, hémiplégie avec rigidité gauche. Le membre
supérieur
est plus particulièrement affecté. Commissure des
ans ses enveloppes. La voûte crânienne enlevée, le sinus longitudinal
supérieur
me frappa par sa distension, par sa dureté et par
empli par une injection noire très consistante. Les veines cérébrales
supérieures
, également distendues, ressemblaient à des cordes
s noires, visibles même à travers la dure-mère. Le sinus longitudinal
supérieur
était rempli de caillots, au milieu desquels on t
ples des circonvolutions du cerveau. — Phlébite du sinus longitudinal
supérieur
. — Le ramollissement est borné a toutes les parti
ar une diminution notable du sentiment et du mouvement dans le membre
supérieur
de ce côté. La malade remue péniblement ce membre
le membre supérieur de ce côté. La malade remue péniblement ce membre
supérieur
; mais tous les mouvemens sont possibles, quoique
ment dits. Le 19 novembre, je fus surpris de trouver dans le membre
supérieur
gauche une rigidité que je n'avais pas encore con
u ne remplit pas la cavité du crâne. Phlébite du sinus longitudinal
supérieur
et de la partie attenante des sinus latéraux. Cet
n pouce du confluent ou pressoir d'Hérophile. Les veines cérébrales
supérieures
sont également distendues par du sang coagulé , a
tenait également du pus, qui s'arrêtait au voisinage de la veine-cave
supérieure
. Les poumons étaient sains : deux verres de sér
irconvolutions pariétales qui occupent le bord antérieur et la partie
supérieure
de la scissure de Sylvius, ont subi le ramollisse
lante, qui représentait la protubérance occipitale et la ligne courbe
supérieure
des carnassiers, mais qui n'était autre chose que
upérieure des carnassiers, mais qui n'était autre chose que la partie
supérieure
de l'écaillé occipitale brusquement et anguleusem
alais, sans division correspondante du bord alvéolaire et de la lèvre
supérieure
. Troisième fait. M. Barbie du Bocage, jeune méd
du crâne : « Circonférence du crâne, 260 millimètres; ligne courbe
supérieure
, 135 millimètres; ligne courbe « transversale, 13
du crâne, au point de réunion des angles des pariétaux et de l'angle
supérieur
de l'occipital, existe une tumeur du volume d'une
ement plus grand qu'à l'état normal de l'occipital, qui, de son angle
supérieur
, se recourbe brusquement sur lui-même. Toutes les
interne de la base du crâne est remarquable par la saillie de la face
supérieure
du corps du sphénoïde, la profondeur des fosses l
rsée en arrière, paraissait implantée aux deux épaules et à la partie
supérieure
du sternum , on a cherché la raison de cette disp
nctes, l'une inférieure, formée par la vessie caudale, vide ; l'autre
supérieure
, qui répond au corps du cysticerque. On voit que
rieure , qui répond au corps du cysticerque. On voit que cette partie
supérieure
est formée de deux corps inégaux en forme et en v
ltération s'était propagée à travers les parois du sinus longitudinal
supérieur
dans l'intérieur de ce sinus, qu'elle remplissait
t contractiles. La paralysie du mouvement est complète dans le membre
supérieur
droit : elle est incomplète dans le membre inféri
urs suivans, état stationnaire. Le 28 décembre, je trouve les membres
supérieur
et inférieur fléchis et dans un état de rigidité.
eau ; miel scillitique deux onces. Même état jusqu'au 3i. Le membre
supérieur
de rigide qu'il était devient flasque. Le membre
n récent occupait essentiellement la couche optique : aussi le membre
supérieur
du coté opposé était-il beaucoup plus paralysé qu
de placer dans la couche optique le principe des mouvemens du membre
supérieur
. Ce foyer sanguin bien limité eût guéri, si la ma
de flaccidité et de rigidité que nous avons remarquées dans le membre
supérieur
tenaient peut-être à ce que le foyer sanguin atte
stertoreuse; flaccidité de tous les membres, à l'exception du membre
supérieur
gauche, qui présente un peu de rigidité. Sensibil
base. Elle pesait 34 grammes, o5. « Elle offrait i° deux faces : une
supérieure
, irrégulière, convexe, parcourue dans toute sa lo
dinales ; une inférieure, légèrement concave, moins lisse que la face
supérieure
; 20 deux « extrémités : une antérieure, arrondie,
sait au niveau de l'articulation de l'os malaire avec l'os maxillaire
supérieur
, descendait obliquement, en passant près du nez,
eur et d'épaisseur : sa densité est de 1,10; de ses deux faces, l'une
supérieure
, convexe, est sillonnée dans toute sa longueur pa
ombre se voit à la partie inférieure du cou, quelques-uns aux membres
supérieurs
, d'autres à la partie supérieure de la cuisse dro
ure du cou, quelques-uns aux membres supérieurs, d'autres à la partie
supérieure
de la cuisse droite. Quelle était la nature de ce
ence. C'est surtout dans le tissu cellulaire sous-cutané de la partie
supérieure
de la cuisse qu'abondent ces dégénérations par po
1 représente le canal de l'urètre et la vessie ouverts par leur face
supérieure
. La symphyse a été divisée, et les deux pubis ren
rieure de cette espèce de ventricule décrivait une courbe à concavité
supérieure
. Cette paroi inférieure était parcourue par une c
u reste du canal de l'urètre. Il résultait de la courbe à concavité
supérieure
décrite par la paroi inférieure du ventricule pro
inférieure constituait une sorte de valvule semi-lunaire à concavité
supérieure
. Les orifices des uretères sont extrêmement rétré
a vessie et proéminant dans la cavité de cet organe. TS est la tumeur
supérieure
, TI la tumeur inférieure : celle-ci est beaucoup
3 représente la vessie et le canal de l'urètre ouverts par leur face
supérieure
et sur la ligne médiane. Indépendamment de l'hy
obules décrits, tandis qu'elle était très épaisse autour de la moitié
supérieure
du canal PP. (1) Observation et pièce pathologi
iveau de la partie antérieure du scrotum, juste au niveau du ligament
supérieur
de la verge. Réflexions. — i° L'hypertrophie de
nt à la présence d'une couche prostatique épaisse autour de la moitié
supérieure
du canal de l'urètre, c'est un fait constaté par
de la partie inférieure fît, en quelque sorte, refluer vers la moitié
supérieure
une partie des grains glanduleux de la moitié inf
ajouterai qu'on rencontre même des orifices prostatiques sur la paroi
supérieure
de ce canal, dans tous les points qui répondent à
n ou plusieurs petits calculs. Une coupe verticale faite sur la paroi
supérieure
du canal de l'urèthre , établit que la portion de
'urèthre , établit que la portion de prostate qui entoure cette paroi
supérieure
présente la même disposition spongieuse et contie
ure, on trouve une fausse route: l'instrument avait traversé la paroi
supérieure
du canal, labouré et même entamé le corps caverne
érations. 11 s'agit de la présence de deux canaux de l'urètre, l'un
supérieur
, plus petit (fig. 3'), qui occupe la face dorsale
3" ), savoir : le canal inférieur dans le lieu accoutumé MU; le canal
supérieur
à la face supérieure du gland par un pertuis OC E
nal inférieur dans le lieu accoutumé MU; le canal supérieur à la face
supérieure
du gland par un pertuis OC E beaucoup plus étroit
C E beaucoup plus étroit que l'orifice du conduit inférieur. Le canal
supérieur
était formé par la réunion des deux conduits éjac
es. Le bassinet contenait un calcul brisé en deux fragmens, dont le
supérieur
avait la forme d'un cône. Le fragment inférieur q
ig. 3), remplissait le bassinet et obstruait incomplètement l'orifice
supérieur
de l'uretère. J'ai fait mention ,dans le cours de
ux et Boyer, tome vir. page 38j. partie du côté gauche. L'extrémité
supérieure
refoulait en haut le fbie; l'extrémité inférieure
inférieure occupait la fosse iliaque gauche et remplissait le détroit
supérieur
. Cette tumeur était formée aux dépens du rein, do
ueux étaient remplies par un liquide d'apparence synoviale. La partie
supérieure
du kyste était parcourue par des vaisseaux veineu
qui est rempli de ganglions volumineux et extrêmement durs. Le membre
supérieur
droit est le siège d'un oedème dur, éléphantiasiq
t d'ailleurs excellent. La malade ne se plaignait guère que du membre
supérieur
droit qui était le siège d'un œdème dur, souvent
e cette malade portait depuis long-temps, devint cancéreux. Le membre
supérieur
droit était énormément infiltré. La malade faisai
on d'en rapporter plus tard quelques exemples. 6° Œdème des membres
supérieurs
, — L'œdème des membres supérieurs est au moins au
es exemples. 6° Œdème des membres supérieurs, — L'œdème des membres
supérieurs
est au moins aussi fréquent dans le cancer de la
s fatigante pour le médecin et pour la malade que l'œdème des membres
supérieurs
dans le cas de cancer mammaire. J'ai sous les yeu
; coloration violacée au pourtour; gros tubercules occupant la partie
supérieure
de la glande. Mamelle gauche non déformée, mais
rax. Une coupe horizontale a été faite au niveau de l'eschare la plus
supérieure
. On voit que le tissu de la glande G M se confond
tin, la malade fut prise de mouvemens convulsifs saccadés des membres
supérieur
et inférieur du côté droit : les secousses duraie
, depuis un an, elle était sujette à un tremblement léger des membres
supérieurs
, et surtout du bras droit, ce qui l'avait forcé d
d'hémiplégie. Le 17, je trouve une résolution complète des membres
supérieur
et inférieur du côté droit; la volonté n'a plus a
épaisseur du cerveau. La tumeur était molle, mais d'une mollesse bien
supérieure
à celle de la substance cérébrale ramollie qui l'
sformation en tissu aréolaire et pultacé s'étendait à la zone la plus
supérieure
du vagin, qu'il était impossible de distinguer du
la tumeur fibreuse et le kyste ayant été retenus au-dessus du détroit
supérieur
, à raison de leur volume, le col utérin s'était a
nous montre le vagin ouvert par sa paroi postérieure. Les deux tiers
supérieurs
de sa cavité sont remplis par une tumeur ovoïde P
la face postérieure du polype PP (fig. i), je reconnus que sa partie
supérieure
était recouverte par une espèce de valvule mince,
dévoré par la gangrène : un détritus gangreneux remplissait la partie
supérieure
du vagin qui avait lui-même participé au travail
uverture, péritonite pseudo-membraneuse. Le col utérin et la partie
supérieure
du vagin ont été complètement détruits. Un vaste
pture d'adhérences récentes. Il n'existait de l'utérus que le tiers
supérieur
du corps de cet organe. Le col de l'utérus, les d
ne. Le col de l'utérus, les deux tiers inférieurs du corps, la partie
supérieure
du vagin étaient détruits. Une escharre considéra
. Ouverture du cadavre. — L'utérus volumineux atteignait le détroit
supérieur
par son fond, auquel adhère assez intimement la f
fond auquel il était intimement uni pour venir s'accoler à la partie
supérieure
de la face postérieure de la vessie. L'uretère, l
rps de l'utérus, mais du côté du vagin, elle s'étend aux trois quarts
supérieurs
de la paroi antérieure et à la moitié supérieure
end aux trois quarts supérieurs de la paroi antérieure et à la moitié
supérieure
de la paroi postérieure de ce conduit. L'altérati
n correspondant. Les rapports de l'uretère avec la partie latérale et
supérieure
du vagin et avec le bas-fond de la vessie qui est
placée a été ouverte par une incision verticale. De chacun des angles
supérieurs
de l'utérus part un cordon. A ce cordon est appen
ie urinaire, dont la capacité parut moindre que de coutume. La partie
supérieure
de ce canal et le museau de tanche qu'elle embras
s, des trompes et du corps de l'utérus au dessus du niveau du détroit
supérieur
chez les enfans nouveau-nés, explique pourquoi le
ètement détruit par la gangrène. Destruction gangreneuse de la partie
supérieure
de la paroi postérieure du vagin. Il résulte de c
eure du vagin. Il résulte de cette destruction du col et de la partie
supérieure
du vagin, un foyer gangreneux sous-péritonéal, ou
gangreneux. La destruction gangreneuse du col utérin et de la partie
supérieure
de la paroi antérieure du vagin, s'est étendue au
se du tissu cellulaire du bassin. — Gangrène par érosion de la partie
supérieure
du vagin. Dubois, trente-six ans, couturière, j
lulaire du bassin. L'altération portait essentiellement sur la partie
supérieure
du vagin, qui offrait une érosion très considérab
la chose qu'on a figuré la partie inférieure de l'utérus et la partie
supérieure
du vagin. On voit sur ce museau de tanche un gran
le professeur Blandin, mais le bistouri ne put atteindre les limites
supérieures
du mal. Du reste, la partie extirpée par ce derni
aître la continuation de l'utérus lui-même : elle contourne la partie
supérieure
de la tumeur, se moule en y adhérant sur le sphér
bien distinctes : i° un grand kyste uniloculaire qui formait le tiers
supérieur
de la tumeur et dont les fragmens KO, KO ont été
résentent les cellules, qui forment deux groupes bien distincts, l'un
supérieur
, l'autre inférieur, susceptibles de séparation. C
ut dans la figure 2, on voit en avant le thorax; en haut, les membres
supérieurs
; en bas, les membres inférieurs ; en arrière et
che en arrière. OED est la cavité orbitaire droite ; MSP, la mâchoire
supérieure
; MID, la mâchoire inférieure vue par le côté droi
en bas. XXXVIe LIVRAISON. I OEG, orbite gauche ; x\IIG, mâchoire
supérieure
; M1G, mâchoire inférieure, l'une et l'autre vues
se soudent ou se confondent en même temps que le bassin; les membres
supérieurs
se soudent ou se confondent avec le thorax. Une
la moitié gauche dans la cavité thoracique du fœtus gauche. Son bord
supérieur
concave répond à la base du thorax au niveau des
pose sur le diaphragme. Il y a quatre auricules, deux à droite, une
supérieure
OS (qui est cachée dans la position naturelle du
relle du cœur), une inférieure OI, deux à gauche O'S', OT. L'auricule
supérieure
gauche O'S' et l'auricule inférieure droite OI, s
inférieure droite OI, sont beaucoup plus considérables que l'auricule
supérieure
droite OS (Voy. fig. 2) et l'auricule inférieure
A du côté droit, l'artère aorte A' du côté gauche, les veines - caves
supérieures
et inférieures droites VCS, VCf, les veines-caves
- caves supérieures et inférieures droites VCS, VCf, les veines-caves
supérieures
et inférieures gauches V'C'S', V'CT. Un seul di
t-à-fait semblable au foie antérieur FF, ayant comme lui son ligament
supérieur
, sa vésicule biliaire et sa veine ombilicale. L
vert. La figure 2 représente le cœur ouvert par son bord concave ou
supérieur
; à l'aide de cette incision , on pénètre dans une
une cavité à parois extrêmement minces divisée en deux moitiés, l'une
supérieure
l'autre inférieure, par une cloison horizontale i
plète : cette cavité est la cavité commune des oreillettes; la moitié
supérieure
de cette cavité reçoit les veines pulmonaires, la
'une cavité auriculaire commune, que le ventricule aortico-pulmonaire
supérieur
ou ventricule du bord concave appartenait au fœtu
dégénération dans sa moitié inférieure; il était sain dans sa moitié
supérieure
. Cette masse était d'une mollesse telle qu'elle s
. Gangrène de l'utérus et du vagin. Gangrène par érosion de la partie
supérieure
du vagin........... Maladies de l'utérus et de
iples des circonvolutions du cerveau. Phlébite du sinus; longitudinal
supérieur
. Le ramollissement est borné à toutes; les partie
ons. 9e liv., pl. 11, m, iv, v, vi, p. 6. — Luxation de l'extrémité
supérieure
du radius sur l'humérus à droite et à gauche. 9e
pl. m, p. 4- — Formes et effets du cancer rectal.=Cancer de la partie
supérieure
du rectum. Tous les symptômes de la rétention des
gaslro-duodénale. Les ganglions lymphatiques qui entourent la partie
supérieure
de l'aorte abdominale sont endurcis. Rate infiltr
culeuse du cancer. 27e liv., pl. m, p. 4. — Sur l'œdème des membres
supérieurs
dans le cancer mammaire. 27e liv., pl. m, p. 6. —
roit. 20e liv., pl. m, iv, p. 3. — Inflammation du sinus longitudinal
supérieur
et des veines qui y aboutissent; apoplexie capill
tiples des circonvolutions du cerveau. Phlébite du sinus longitudinal
supérieur
. Le ramollissement est borné à toutes les parties
da. 16e liv., pl. iv, p. 4- — Hémiplégie par compression de la partie
supérieure
de la moelle. 25e liv., pl. iv,p. 2. — Compress
/.— Tumeur fibreuse du poids de deux onces, cinq gros, née de la face
supérieure
et un peu de la face postérieure du rocher droit.
. 5. — Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse naissant de la face
supérieure
du rocher. Petite tumeur osseuse naissant de la f
gastro-duodénale. Les ganglions lymphatiques qui entourent la partie
supérieure
de l'aorte abdominale sont indurés. Rate infiltré
euse du tissu cellulaire du bassin. Gangrène par érosion de la partie
supérieure
du vagin. 37e liv., pl. n, p. 3. —Point de paroti
. 21e liv., pl. vi, p. 3,— Invagination ayant son siège à la partie
supérieure
de l'intestin grêle. 22e liv., pl. iv, v, vi, p.
s. 21e liv., pl. vi, p. 4. — Invagination ayant son siège à la partie
supérieure
de l'intestin grêle. 22e liv., pl. iv, v, vi ,p.
ations. 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 6. — Luxation de l'extrémité
supérieure
du radius sur l'humérus, à droite et à gauche. 9e
ncomplète des membres inférieurs; affaiblissement moindre des membres
supérieurs
. Atrophie et induration de la moelle. Epaississem
vec rétraction des membres inférieurs. Paralysie incomplète du membre
supérieur
gauche. Induration de la moelle. Mort par ramolli
lète des membres inférieurs. Diminution de la sensibililé des membres
supérieurs
. Diminution notable , mais relativement moindre d
Enfant né avec des phlyetènes aux pieds , aux mains et à la paupière
supérieure
. Mort au bout de 36 heures. Quelques lobules pulm
de l'œdème du poumon. 22e liv-, pl. m, p. 5.— Sur l'œdème des membres
supérieurs
dans le cancer mammaire. 27e liv., pl. m, p. S. —
complète des membres inférieurs : affaiblissement moindre des membres
supérieurs
. Atrophie et induration de la moelle. Epaississem
vec rétraction des membres inférieurs. Paralysie incomplète du membre
supérieur
gauche. Induration delà moelle. Mort par ramollis
». 5.— Inflammation des grosses et des petites veines de l'extrémité
supérieure
à la suite d'une plaie par arme à feu. 11e liv.,
tiples des circonvolutions du cerveau. Phlébite du sinus longitudinal
supérieur
. Le ramollissement est borné à toutes les parties
S Enfant né avec des phlyetènes aux pieds, aux mains et à la paupière
supérieure
. 15e liv., pl. n , p. 6. PHOSPHATE. De la forma
= Enfant né avec des phlyetènes aux pieds, aux mains et à la paupière
supérieure
. Mort au bout de trente-six heures. Quelques lobu
ations. 9e liv., pl. 11, m, iv, v, vi,p. 6. — Luxation de l'extrémité
supérieure
du radius sur l'humérus à droite et à gauche. 9e
tiples des circonvolutions du cerveau. Phlébite du sinus longitudinal
supérieur
. Le ramollissement est borné à toutes les parties
l. m, p. 4-— Formes et effets du cancer rectal. = Cancer de la partie
supérieure
du reclum. Tous les symplôrnes de la rétention de
. = Tumeur fibreuse du poids de deux onces, cinq gros, née de la face
supérieure
et un peu de la face postérieure du rocher droit.
n, ». — Tumeur osseuse mamelonnée très volumineuse naissant à la face
supérieure
du rocher. Petite tumeur osseuse naissant à la la
lète des membres inférieurs. Diminution de la sensibilité des membres
supérieurs
, suite de degeneration grise de la moelle épinièr
euse du tissu cellulaire, du bassin. Gangrène par érosion delà partie
supérieure
du vagin. 37e liv., pl. n, p. 3. VAISSEAUX. Pro
p. 6. — Inflammation des grosses et des petites veines de l'extrémité
supérieure
, à la suite d'une plaie par arme à feu. 11e liv.,
matin, et il présente à ce moment une monoplégie complète du membre
supérieur
gauche, avec anesthésie absolue. Cette pa- de l
habiller, il s'aperçoit qu'il ne peut plus du tout remuer le membre
supérieur
gauche. - Le mé- decin l'examine à la visite du
gauche. - Le mé- decin l'examine à la visite du matin. - Le membre
supérieur
gauche pendait le long du corps; il était raide
nous en indiquerons plus loin les caractères. L'attitude du membre
supérieur
a subi de- puis le début quelques modifications
-dire une semaine environ après le début de la paralysie, le membre
supérieur
a commence à s'atrophier. (le malade affirme qu
ent chez lui en l'examinant d'une façon méthodique : '. Le membre
supérieur
gauche est complètement paralysé; les mouvement
ré,- si CLINIQUE NERVEUSE. sentent un peu de raideur. - Le membre
supérieur
gauche est beaucoup plus grêle que le droit; la
E L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 7 La sensibilité est abolie dans le membre
supérieur
gauche, comme l'indiquent les figures t et 2, s
aussi complètement défaut dans ce membre. La température du membre
supérieur
gauche est plus élevée que celle du côté opposé
ur la cuisse et le membre inférieur droit est raide comme le membre
supérieur
. La raideur s'observe aussi du côté gauche, mai
droit. En plus, la situation des membres est différente ; le membre
supérieur
gauche est appliqué le long du corps, les doigt
nt avoir la même force. Mais la paralysie et l'anesthésie du membre
supérieur
DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 1 t ne se sont pas
assage avec succès, de masser le malade. M. Gautiez masse le membre
supérieur
droit, c'est-à- dire le membre sain, et on obse
arle comme par le passé. - 4. - Paralysie et anesthésie du membre
supérieur
gauche dans le même état. M. Gautiez pratique a
environ après le début de l'opération, tous les segments du membre
supérieur
peuvent se mouvoir spontanément ; pourtant ces
ts de l'épaule sont en particulier très limités ; et tout le membre
supérieur
, en particulier la main et les doigts, présente
ndues et assez fréquentes, mais régulières. En même temps le membre
supérieur
du côté opposé s'engourdit un peu, mais cet eng
-pariétale droite et la sensibilité revient aussitôt dans le membre
supérieur
gauche.-Le malade est alors abandonné à lui-mêm
; on recommande enfin au ma- lade de continuer à exercer son membre
supérieur
pendant la journée. Le malade est examiné deu
a motilité persiste encore. 6. - Les mouvements spontanés du membre
supérieur
gauche persistent encore, et ils sont même un p
10. - Le malade depuis le 7 mars est redevenu paralysé du membre
supérieur
gauche. Il s'endort dans l'après-midi et, à son
ette façon la prédominance des troubles fonctionnels dans le membre
supérieur
, le peu d'intensité des trou- bles observés du
t tout à fait accessoires, nous voyons que la sensibilité du membre
supérieur
est tout à fait abolie, et il en est ainsi de l
interne du service, prit à ce moment son observation. Les membres
supérieur
et inférieur sont presque complètement paralysés.
; le biceps et le triceps sont très réduits de volume. A la partie
supérieure
de l'avant-bras gauche le péri- mètre est de 19
augmentée. - La sensibilité est complètement abolie dans le membre
supérieur
gauche (sensibilité au tact, à la douleur, à la
ices de gymnastique et d'exé- cuter en particulier des deux membres
supérieurs
des mouve- ments synergiques. On prie d'autre p
étale droite; après chaque séance, a sensibilité reparaît au membre
supérieur
gauche pendant plusieurs heures, et au bout de
commandé de faire. Son état général est toujours le même. Le membre
supérieur
gauche paraît un peu plus fort qu'autrefois, ma
si l'on jette les yeux sur les figures 3 et 4, on voit qu'au membre
supérieur
, seul membre paralysé au moment où cette figure
ux membres paralysés, elle est bien plus accentuée dans le membre
supérieur
dans lequel la paralysie est plus tenace; elle
les phénomènes spastiques ne se développent pas dans les membres
supérieurs
ou inférieurs, quand la lésion des cordons post
nts). Le pôle positif était appliqué au niveau du ganglion cervical
supérieur
du grand sympathique, et le pôle négatif était
u langage intérieur) ayant été soustraits au contrôle « des centres
supérieurs
(centres d'inhibition), les groupes nerveux « q
rvation clinique : L» amnésie avec agraphie; 2° parésie des membres
supérieur
et inférieur droits; 3° accès convulsifs affect
tale ascendante, sus-marginale, angulaire et Lemporo-sphénoi- dale
supérieure
étaient les plus atrophiées de toutes. L'examen
sie complète d'abord des membres inférieurs, puis des extrémités
supérieures
; dyspnée; parole inintelligible (aphonie); dyspha
naison des bandelettes optiques dans les tubercules quadri- jumeaux
supérieurs
. La bandelette se distribue surtout aux deux ti
nd gagne les couches trans- verses et inférieures de l'S de l'étage
supérieur
; un troisième enfin (faisceau aberrant du cordo
yramidaux, la situation dorso-latérale, jusqu'à l'entre- croisement
supérieur
des pyramides de Meynert, pénétrent, au niveau
s prolongements du corps trapézoïde; elle est par l'entrecroisement
supérieur
des pyramides en rapport de continuité avec les
encontre : 1° les noyaux du cordon latéral du bulbe ; 2° les olives
supérieures
; 3° unnoyau .de cellules petites et moyennes s
le noyau central de Roller très développé, au niveau de l'extrémité
supérieure
des grosses olives; 2° le noyau réticulé tegmen
- culier, du pédoncule cérébelleux moyen) ' ; 3° le noyau central
supérieur
, au niveau du tiers supérieur de la protubérance,
elleux moyen) ' ; 3° le noyau central supérieur, au niveau du tiers
supérieur
de la protubérance, des deux côtés du raphé, qu
édiatement dans la formation réticulaire. Ils se rendent aux olives
supérieures
(fibres issues de la partie postérieure du fais
iculaires mais surtout celui du cordon antérieur), au noyau central
supérieur
(faisceau radiculaire du cordon anté- rolatéral
lo-moteur commun. Le groupe des petites cellules en question (noyau
supérieur
de l'ocu- lo-moteur commun ? ) demeure en relat
viennent de la substance blanche profonde du tubercule quadrijumeau
supérieur
(antérieur), car ces dernières ne sont t pourvu
108 revue d'anatomie le,'[' de PHYSIOLOGIE. line ; c'est Itt moitié
supérieure
des fibres transverses de la protubé- rance ou
et latéralement; une partie de ces fibres gagne l'écorce de la face
supérieure
de l'organe, mais sans tou- cher au vermis. La
a protubérance, et se rend d'arrière en avant à l'écorce de la face
supérieure
du cervelet et du vermis. Le système spinal du
sieurs systèmes de fibres du pédoncule cérébel- leux antérieures ou
supérieures
; 2° par le système cérébral du pédoncule cérébe
nts occupe toute l'étendue comprise entre le tubercule quadrijumeau
supérieur
;et l'extrémité inférieure du bulbe. Si l'on at
té inférieure du bulbe. Si l'on attribue aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
(et inférieurs ? ) la fonction centripète de tr
dé le cervelet, mi-partie entre les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
, mi-partie au-dessus de celle-ci pour se perdre
fibres du segment externe du corps restiforme ; il vient des olives
supérieures
du même côté et peut-être du côté opposé, ainsi
s du faisceau pyramidal dans le cordon latéral au niveau du segment
supérieur
de la moelle. La subs- tance fondamentale au se
ig), à travers les fibres circulaires qui forment l'entrecroisement
supérieur
des pyramides de Meynert, et, finalement, dans
ité de la vessie, du rectum ; atrophie des mus- cles des extrémités
supérieures
, surtout à la ceinture, de l'épaule et des peti
et REMAK, M. WESTPHAL répond que les réflexes tendineux des membres
supérieurs
ne présen- taient pas une exagération considéra
une névrite du trijumeau droit (rameaux ophthalmique et maxillaire
supérieur
), avec atteinte du nerf lacrymal, a conservé de
i,iiiie lacrymale. L'inflammation a commencé par l'incisive externe
supérieure
SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 droite, qu'il fallut e
Troubles de la sensibilité dans le domaine de la branche maxillaire
supérieure
; ils rétrocédèrent du reste tandis que s'instal
rétion lacrymale unilaté- rale dans les névralgies de la maxillaire
supérieure
du trijumeau. M. 11RAUSE. Des troubles fonction
sie très étendue de la peau et de la mu- queuse des voies aériennes
supérieures
, à l'exception d'un très petit nombre d'endroit
er en vibration non les deux rubans vocaux, mais les cordes vocales
supérieures
: à l'autopsie, on trouva une adhérence intime
e contracture réflexe consé- cutive à une lésion du noau du laryngé
supérieur
. Dans un autre cas, la dyspnée se montrait subi
s cordes vocales, du résultat obtenu par l'électrisation du laryngé
supérieur
qui, de même que les excitants mécaniques ou ch
urs des cordes vocales, dueà une excitation dégénérative du laryngé
supérieur
, contracture susceptible d'être augmentée à l'o
n circonscrite de la corne antérieure droite, de la moelle lombaire
supérieure
. Les lésions étendues de la périphérie ne pouva
de volume variable à sa face interne; le sinus veineux longitudinal
supérieur
est énormément dilaté en arrière, rétréci en av
res. Etant donnée la taille exiguë de Gr.. (1m,20) les membres tant
supérieurs
qu'inférieurs sont réguliers, égaux, pro- porti
ACHEXIE P1CH1'DEH1111QUIr. ' I assez abondants par place; paupières
supérieures
très bouffies diminuant considérablement l'ouve
fies qu'à droite, aussi l'oeil droit est-il plus ouvert. A la lèvre
supérieure
, aux extrémités, il existe un léger duvet : aux
début : le membre inférieur est complète- ment paralysé; le membre
supérieur
est très affaibli; les muscles du côté gauche,
les membres se raidissaient et à la suite desquelles les membres
supérieurs
et inférieurs gauches restaient contracturés pend
certain temps, l'état s'améliora de nouveau; la paralysie du membre
supérieur
finit par disparaître; le membre inférieur gauc
on observation, et voici quel était. alors l'étatdeR... : le membre
supérieur
gauche est absolument flasque; aucun mouvement
ur lui; le membre inférieur droit parait un peu affaibli, le membre
supérieur
droit se meut normalement; - rien au point de v
ument normale en ce qui concerne la motilité. La motilité du membre
supérieur
est très affaiblie; le malade peut faire exécut
mbre inférieur est très peu atteint, la face est indemne; le membre
supérieur
gauche est complètement paralysé ; en même temp
z lui. A ce momentvoici dans quel état il se trouvait : le membre
supérieur
était complètement paralysé; il lui était imposib
r l'oeil gauche. La sensibilité était complètement abolie au membre
supérieur
; au membre infé- rieur et à la face elle était
quinze jours environ. A ce moment. le malade remarqua que le membre
supérieur
gauche devenait raide, les doigts commencèrent
mouvements spontanés qui jusqu'alors avaient été abolis au membre
supérieur
, reparurent; la sensibilité reparut de son 166
la vue lui paraissait plus trouble à gauche qu'à droite. Le membre
supérieur
était complète- tement paralysé : les mouvement
ne excellente mémoire et d'une intelligence assez vive. Le membre
supérieur
gauche est complètement paralysé comme le jour
la douleur, et le sens musculaire sont absolument abolis au membre
supérieur
gauche. Au membre inférieur gauche, la sensibil
lysé. - Les réflexes tendineux sont conservés. 5 février. Le membre
supérieur
gauche, qui était flasque au début, devient rai
e de la main une pelote de ouate. 15. - On s'aperçoit que le membre
supérieur
gauche est beaucoup plus grêle que le droit. En
le du bras gauche il y a 3 cen- timètres de différence; à la partie
supérieure
de l'avant- bras, il y a entre les deux côtés u
s. Les douleurs ont disparu. 15. - On remarque que l'état du membre
supérieur
se mo- difie, la contracture est moins accentué
ours est survenue une modification importante dans l'état du membre
supérieur
; quelques mouve- ments des doigts très limités,
est aussi fort que celui du côté opposé. La sensibilité du membre
supérieur
sauf aux doigts est tou- jours complètement abo
mande à sortir, et voici dans quel. état il se trouve : . le membre
supérieur
gauche n'est plus para- 168 CLINIQUE NERVEUSE.
hèse, on considérerait la contracture développée dans le mem- bre
supérieur
comme due à une dégénération secon- daire. Mais
; car, la localisation pres- que absolue de la paralysie au membre
supérieur
n'est guère conciliable avec les données anatom
aires, soit per- sonnels. A la suite d'un traumatisme sur le membre
supérieur
gauche, ayant, selon toute vraisemblance, occas
q jours. Lorsqu'on lui enlève l'appareil, on constate que le membre
supérieur
est contrac- turé. Le malade est examiné à la S
ccident; la contracture persiste toujours, les mouvements du membre
supérieur
sont presque complètement abolis. Il existe en
miers jours, il y avait en même temps, un affaiblissement du membre
supérieur
gauche et dps membres inférieurs, mais ces phén
n absolue de la sen- sibilité sous toutes ses formes dans le membre
supérieur
droit. Diminution de la sensibilité dans tout l
aire et une partie de la face; la sensibilité à la piqûre du membre
supérieur
était complètement abolie, mais le ma- lade épr
ur voir s'il y avait fracture ou luxa- tion ; la motilité du membre
supérieur
était, comme au début, abolie; les doigts seuls
me jour, mais il lui fut impossible de se tenir debout; le membre
supérieur
gauche était aussi affaibli, et le malade ne s'en
VEUSE. Le malade au bout de treize jours peutse lever, son membre
supérieur
gauche avait recouvré sa force ; le membre supéri
er, son membre supérieur gauche avait recouvré sa force ; le membre
supérieur
droit seul restait paralysé et d'après ce que d
paraissant d'une intelligence au-dessous de la moyenne. Le membre
supérieur
droit pend flasque et inerte le long du corps;
exes tendineux du coude et du poignet sont con- servés. Le membre
supérieur
droit est un peu violacé et il est plus froid q
u. - Son état général est toujours très bon. La paralysie du membre
supérieur
droit est complète et flasque. Les mouvements d
aboli. Les réflexes tendineux sont affaiblis à droite. Le membre
supérieur
droit est plus froid que le gauche. La main dro
rps n'est pas normale; elle est très affaiblie dans toute la partie
supérieure
du corps, un peu affaiblie dans la partie infér
nous constatons. Dans l'Observation I, tous les muscles du membre
supérieur
gauche paralysé depuis l'épaule jusqu'à la main
ion quelconque. Dans l'Observation II, tous les muscles du membre
supérieur
gauche paralysé sont atrophiés, mais à l'avant-
bservation III, il est dit, en ce qui concerne l'atrophie du membre
supérieur
gauche, qu'elle ne 188 clinique NERVEUSE. sem
bliées dans le Progrès médical de 9 885), les muscles du mem- bre
supérieur
, quoique leurs fonctions aient été sus- pendues
novembre 1884, en se plaignant de la perte du mouvement des membres
supérieurs
et inférieurs. Quant aux antécédents, le malade
u la plante des pieds. Il est en état de faire la flexion du membre
supérieur
droit. Les membres supérieurs ainsi que les inf
n état de faire la flexion du membre supérieur droit. Les membres
supérieurs
ainsi que les inférieurs sont tout à fait sans
b, Corne droite. MONOPLÉGIE HYSTÉRIQUE AVEC CONTRACTURE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT DATANT DE SIX MOIS, GUÉRIE EN UNE DEMI-HE
'avait jamais été troublée depuis le début des accidents. Le membre
supérieur
droit était le siège d'une paralysie avec contr
re atteignait le bord antérieur du trapèze et remontait à la partie
supérieure
de la nuque jus- qu'au cuir chevelu, l'analgési
inférieurs ; puis rapidement surviennent : une parésie des membres
supérieurs
, des troubles de la sensibilité dans les quatre
aralysie complète et de reaction dégénérative, l'ataxie des membres
supérieurs
quand on obstrue les yeux du patient. Enfin il
ie irrégulièrement disséminée des mus- cles du tronc et des membres
supérieurs
ou inférieurs. Asymétrie faciale témoignant sur
ue le cordon latéral droit paraisse atrophié au niveau de la partie
supérieure
de la moelle cervicale, des noyaux des nerfs mo
luioplégie totale typique : blépharoplose bilatérale (les paupières
supérieures
ont une largeur de 28 millimètres); les sourcil
éaction des pu- pilles ; presque en même temps, parésie des membres
supérieurs
et inférieurs (impossibilité de marcher sans ap
Eichhorst, Loewenfeld. Cependant l'exis- tence dans les extrémités
supérieures
de mouvements spasmo- diques, de sautillements
qui ne lui sont pas habituelles : tels le début par les extrémités
supérieures
et l'épaule, l'insignifiance des troubles moteu
es. Intégrité abso- lue des petites cellules nerveuses de la moitié
supérieure
de l'é- corce des circonvolutions ascendantes.
ésence d'une tumeur qui, comprise dans la moitié droite de son plan
supérieur
comprime le raphé et la moitié gauche de l'orga
lomoteur commun des deux yeux excepté de l'élévateur de la paupière
supérieure
, de la réac- tion lente des pupilles, des papil
lande pinéale et de son pédoncule, englobe le pédoncule cérébelleux
supérieur
, l'extrémité anté- rieure du tubercule quadriju
a principalement détruit la substance corticale des deux frontales
supérieures
, sauf leurs parties antérieures et postérieures
hologie NERVEUSE. dante; c'est-à-dire que la parésie des extrémités
supérieures
, accompagnée de légère paresthésie, fut bientôt
bradylalie, quelques troubles de l'innervation dans les extrémités
supérieures
, de la paralysie spasmodique des membres inféri
strés pour alcoolisme, le chiffre des épileptiques parait être bien
supérieur
à celui de Paris ; la proportion serait de 1/3
ant induit (les bobines étant entièrement poussées). Dans la partie
supérieure
du tronc et dans les bras, la sensibilité est a
des tiraillements. L'épine dorsale est douloureuse dans la par- tie
supérieure
et inférieure du thorax; les mouvements de la t
2 CLINIQUE NERVEUSE. l'antitragus et en avant envahit les paupières
supérieures
. T. R. 39°,8. Soir : 40°,3 (érysipèle). 25. -
R. 39o,4. Soir : 40°,3. 28. - Le cuir chevelu et la région faciale
supérieure
sont redevenus normaux ; l'oreille droite, la l
Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la partie inférieure du bras et
supérieure
de l'avant-bras droit par l'érysipèle; faible r
janvier. -Poids : 20 kilogr. 700. 2 février. - Dentition. Mâchoire
supérieure
.- Permanence des racines de la plupart des dent
nte. Th... ne prend que du lait. Gonflement très marqué de la lèvre
supérieure
et de la joue droite, qui est rouge et luisante
aut et de dedans en dehors. Les cils sont assez rares à la paupière
supérieure
, très rares à la paupière inférieure. On cons
s sur tout le reste du corps : aisselles, dos, thorax, anus, lèvres
supérieures
, joues. La peau a un aspect cireux, pâle. Les o
, et réciproquement, l'extrémité ceecale d'infé- rieure est devenue
supérieure
. Le tout forme une tumeur qui atteint une large
e. Le foie atteint le rebord costal ; le diaphragme remonte au bord
supérieur
de la quatrième côte à droite, au bord inférieu
pulmonaire, très compacte au lobe inférieur, l'est moins au lobe
supérieur
et est partout très oedématié. Les bronches sont
re du grand sympathique paraissent absolument normaux ; les parties
supérieure
et dorsale du grand sympa- thique sont de même
ore distinctement la trace, surtout sur la table externe; son tiers
supérieur
n'est pas ossifié et forme la plus grande parti
courbe que par un pli de passage se dirigeant du lobule pariétal
supérieur
à la première circonvolution occipitale; son extr
inférieure se trouve située à un centim. de l'extrémité postéro-
supérieure
de la scissure parallèle. Lobzele orbitaire. La
me circonvolu- tion frontale à la troisième. - La scissure frontale
supérieure
(Se. f. s.) est très irrégulière, très sinueuse
e lentille (t.), tumeur un peu surélevée, énucléable et à la partie
supérieure
de laquelle la pie-mère est adhérente. La trois
ion pariétale ascendante (P A) est assez maigre. Le lobule pariétal
supérieur
(P,) est sinueux, bien développé; un pli de pas
out près du lobule de l'insula et atteint presque par son extrémité
supérieure
et verticale la fente interbénrispliérique; cet
L 0) nettement séparé du lobe temporal est relié au lobule pariétal
supérieur
par un pli de passage à niveau et au pli courbe
ule pa ? ,ace71ti,al(LP), moyennement développé surtout àsapar- tie
supérieure
, présente vers son tiers inférieur un petitsillon
oppé. La fissure calcarine (F. ca), décrit une courbe à con- vexité
supérieure
. Le corps calleux, le corps strié, la couche op
ssure interhémisphérique pour s'arrêter à 4 millimètres de la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius. La scissure frontale
la lèvre supérieure de la scissure de Sylvius. La scissure frontale
supérieure
(Sc. f. s.) est sinueuse, assez profonde, ainsi
(P. A.) est maigre, surtout à sa partie médiane. Le lobule pariétal
supérieur
(P,), irrégulier, est très découpé; des plis de
e la scissure in ter-hémisphérique; elle est bifide à son extrémité
supérieure
et verticale et forme un ),, représentant une s
ire interne (Sc. p. i.) profonde se termine à 2 centimètres du bord
supérieur
de la fente interhémisphérique, sans aller rejo
e des lèvres et des conjonctives est également pâle ; les paupières
supérieures
sont légèrement gonflées. L'intelligence a su
ganglions; l'inférieur a une lon- gueur d'un centimètre et demi; le
supérieur
est beaucoup plus volumineux : il a une longueu
enfant, et nous constatâmes le même état de la peau sur les membres
supérieurs
et inférieurs, à l'abdomen et aux reins, mais,
crétin des Batignolles. 342 CLINIQUE NERVEUSE. dont 9 la mâchoire
supérieure
et 10 à l'inférieure. Elles sont d'ailleurs abs
ème dentition; ce sont les deux inci- sives moyennes, à la mâchoire
supérieure
; les autres sont des dents de lait'. - Le vis
st plus fort que son congénète e et descend jusqu'au niveau du bord
supérieur
de la rotule. Absence de l'instinct génital (Pa
bas étaient coupées, et il y avait une dent double dans la mâchoire
supérieure
du côté gauche, la dent cor- respondante du côt
Niahide opéré par M. Sick. 356 CLINIQUE NERVEUSE. Les extrémités
supérieures
et inférieures sont déformées; les parties moll
encore la limite des épiphyses. Il en est de même pour l'extrémité
supérieure
du fémur. L'épiphyse du grand tro- chanter est
drementdela fenêtre. B... après avoir attaché la corde au barreau
supérieur
du grillage s'était assise sur l'encadrement de l
'est-à-dire derrière la termi- naison postérieure du sillon frontal
supérieur
) se trouvait une cicatrice carrée, au centre de
ement, et puis il devenait le siège d'un spasme clonique. Le membre
supérieur
droit était alors lentement étendu à angle droi
s spasmes dans le membre inférieur cessaient; mais ceux du membre
supérieur
continuaient avec vigueur; le spasme affectait
taient prises dans l'ordre suivant : le membre inférieur, le membre
supérieur
, la face et le cou; le caractère des mouvements
épart était situé vers la terminaison postérieure du sillon frontal
supérieur
, point qui coïncide, comme nous l'avons vu plus
ébrale on a dû lier trois grosses veines venant du centre du membre
supérieur
, parce qu'elles traversaient directe- ment la c
n, le malade fut d'abord complètement paralysé des doigts du membre
supérieur
droit; de plus, il y avait une grande flexion d
é. Le membre inférieur droit était ensuite pris, et enfin le membre
supérieur
droit. La paralysie du membre supérieur gauche
te pris, et enfin le membre supérieur droit. La paralysie du membre
supérieur
gauche succédait sou- vent à l'attaque. A de fr
droite à 85. Il pouvait exécuter tous les mouvements avec.le membre
supérieur
gauche; ceux de la main étaient un peu affaibli
uce gauche. Les réflexes profonds étaient exa- gérés dans le membre
supérieur
gauche. Le malade avait souvent des maux de têt
eur venant de la région de l'écorce pour les mou- vements du membre
supérieur
. La plaie fut refermée comme ci-dessus. Les 3/6
tiellede la face du côté gauche, une paralysie complète du membre
supérieur
gauche depuis et y compris l'épaule. Le 27 juin,
et il y avait une perte complète du sens musculaire dans le membre
supérieur
gauche, au-dessous de l'épaule. Le second jour
jour après l'opération, en faisant un effort pour remuer son membre
supérieur
gauche, le malade a mis tout d'un coup sa main
dit qu'il sentait un « bourdonnement ». Quand on remuait le membre
supérieur
gauche, il se plaignait que la douleur semblait
vait une cicatrice et la légère dépression d'une fracture à l'angle
supérieur
et antérieur du pariétal gauche, près de la lig
e l'abdomen est juste à l'extrémité pos- térieure du sillon frontal
supérieur
. Le professeur Ferrier a mon- REVUE DE PATHOLOG
ésion située dans le tiers postérieur de la circonvolution frontale
supérieure
, c'est-à-dire juste au-dessous de la légère dép
e corps genouillé externe, l'autre dans le tuber- cule quadrijumeau
supérieur
. Le nerf optique contient des fibres de deux ca
moins bien. Cependant chez le lapin privé du tubercule quadrijumeau
supérieur
d'un côté, et par suite aveuglé du côté opposé
s se trouvent à la partie interne du frontal. Le sinus longitudinal
supérieur
s'élargit fortement en arrière, et se rétré- ci
Sc. p. ? Scissure parallèle frontale. Se ? s., Scissure frontale
supérieure
. Se. f. i., Scissure frontale inférieure. Se.
te. , P. A., Circonvolution pariétale ascendante. P" Pli pariétal
supérieur
. '1, Pli pariétal inférieur. P.3, Pli courbe.
tion de la thermogénese. Le thermomètre monté avec une vitesse bien
supérieure
à droite qu'à gauche. Il est vrai que cette mét
sistant en une élévation de température locale occupant les membres
supérieurs
et infé- rieurs du côté droit. » Ils la considè
r une ligne transversale, qui répond à la base du thorax. La moitié
supérieure
est mince et fluette, l'autre moitié est d'une
'avancer un peu plus en avant que le 1ebord inférieur du maxillaire
supérieur
, mais ce fait doit être rapporté sans doute à u
pporté sans doute à une atrophie régressive du rebord du maxillaire
supérieur
, qui a complètement perdu ses dents. ' * Pas de
pendants, les extrémités digitales arrivent à 3 centimètres du bord
supérieur
de la rotule. Il n'y a pas de déviation latéral
re les deux muscles grands droits de l'abdomen. Du côté du membre
supérieur
on ne constate aucune grossière altération osse
us semble un peu raccourci. Pas d'incordination motrice des membres
supérieurs
. Pas de paralysies. Tous les mouvements sont po
de paralysies. Tous les mouvements sont possibles, tant aux membres
supérieurs
qu'aux membres inférieurs. Sensibilité. - Au-de
imètres sur la face antérieure par suite de l'ascension du fragment
supérieur
de la rotule. La synoviale est très épaissie (1 c
par un espace peu impor- tant de la crête iliaque. - Les membres
supérieurs
semblent trop longs par rapport au tronc ce qui t
pos, soit dans les mouvements mimiques du visage, les deux branches
supérieure
et inférieure sont indemnes, l'occlusion des pa
as- toïdien, du faisceau cléido-occipital du trapèze et des muscles
supérieurs
de laçage thoracique : pectoraux, dentelés, etc
s résultats. Examen de la ceinture scapulo-humé1'ale et des membres
supérieurs
. - Le faisceau postérieur du deltoïde, les mus
exe cutané plantaire est absent. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont affaiblis. L'exploration de la tonicité mu
male, la fossette sous-occipitale a disparu et le ligament cervical
supérieur
est très saillant. Le muscle sterno-cléido-mast
rfs cervicaux, il faut admettre une lésion nucléaire dans la moitié
supérieure
de la moelle cervicale. Après avoir démontré la
rynx ; Chauveau li- mite l'action motrice du spinal au constricteur
supérieur
et Beevor et Horsley (1888) en expérimentant su
positives pour l'inner- vation du spinal sur le voile et la partie
supérieure
du pharynx, tandis qu'elles seraient négatives
istait des trou* bles dans la musculature du voile et de la portion
supérieure
du pharynx, troubles parfaitement analogues à c
plus variés. La plus grande fréquence de ces désordres aux membres
supérieurs
s'explique par la multiplicité des actes foncti
ctions de l'organisme, caractérisées par une altération des parties
supérieures
de ces fonctions, arrêtées dans leur évolution,
première publiée en France, de claudication intermittente du membre
supérieur
droit, se tradui- sant par une crampe des écriv
ignalée par- les auteurs, la claudication intermittente des membres
supérieurs
n'a au contraire fait jusqu'à présent le sujet qu
e ordre d'idées, un jeune soldat atteint d'un tic tonique du membre
supérieur
droit, et d'une crampe des écrivains. La coïnci
ans la capsule. Les souris sont enfermées dans une cage, à la paroi
supérieure
de laquelle se trouve la source de radium, dist
des (3 et la fraction des y dont la puissance de péné- tration est
supérieure
à celle de la plupart des rayons X ordinaires » (
es cornes antérieu- res : 2 à 3 seulement ont des dimensions un peu
supérieures
(PI. XV, C). Ellesoccupent la régioncervico-dor
expérience vient démontrer l'action nocive, pour le lapin, de,doses
supérieures
à celles des 3 premières, et se rapprochant dav
plus quitter son lit, ne pouvait plus voir parce que ses paupières
supérieures
étaient pen- dantes et elle ne pouvait les rele
tantôt l'une tantôt l'autre, ne pouvait pas se servir de son membre
supérieur
gauche ni de son membre inférieur gauche. Elle
tête en arrière et par la contraction du muscle frontal la paupière
supérieure
se relève un peu pour lui permettre d'apercevoir
che par la contraction des muscles du cou de ce côté. Les membres
supérieur
et inférieur gauches présentent aussi un certain
l'attouchement de la plante (signe de Babinski). Du côté du membre
supérieur
gauche, les réflexes sont aussi exa, gérés : en
feste diminution.du volume des mem- bres gauches, surtout du membre
supérieur
. Les mensurations des deux côtés donnent les ré
avec la forme connue d'hémiplé- gie pédonculaire dite aussi alterne
supérieure
(syndrome de Weber). Dans notre cas, il y a oph
intégrité pour la musculature des yeux et dans le domaine du facial
supérieur
. ' Les différentes sensibilités sont conservées
oints diffé- rents des centres nerveux ; -les unes frappent l'étage
supérieur
, cortical des neurones, comme le ramollissement
res dans toute la face et le cou; elles s'étendent même aux membres
supérieurs
et à la partie supérieure du tronc. Le front se p
le cou; elles s'étendent même aux membres supérieurs et à la partie
supérieure
du tronc. Le front se plisse, les joues se creu
lature du cou (sterno-cléido-mastoïdiens et pauciers), de la partie
supérieure
du tronc (pectoraux, trapèze, bras et épaules),
et symétriquement. Les spasmes des muscles' du cou et de la partie
supérieure
du tronc sont très rares ; nous ne retrouvons q
ment des contractions de l'hémi-face gauche, du cou et de la partie
supérieure
du tronc. Le point intéressant à éclaircir est
uscles de la face et du cou immobilisés, puis sur ceux de la partie
supérieure
du tronc. Le malade n'émet que des sons inintel
sme, le pourquoi delà localisation bilatérale au cou et aux membres
supérieurs
, unilatérale à la face, il ne nous est pas poss
émi-spasme facial, Soc. neurologie, 6 avril 1905. INSTITUT D'ÉTUDES
SUPÉRIEURES
DE FLORENCE CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE, dirig
tes des seins très développées. Le sternum- rentrant dans son tiers
supérieur
est de longueur normale et très épais. Les clav
it de la lordose lombaire. Les organes génitaux sont de proportions
supérieures
à celles de la moyenne. 138 ETTORE LEVI des h
i dans tousses diamètres et il est en antéver- sion. - Extrémités
supérieures
. La brièveté des extrémités supérieures est des
téver- sion. - Extrémités supérieures. La brièveté des extrémités
supérieures
est des plus évidentes ; dans la position du so
; leur contraction est très énergique ; la mobilité des extrémités
supérieures
est normale en tous sens. - Il y a hypotonie ar
ur à celui du tibia ; nous voyons en effet que l'épiphyse péronéale
supérieure
arrive jusqu'à la ligne articulaire du genou et
s mensurations montrent, au contraire, que les segments des membres
supérieurs
et inférieurs sont entre eux presque égaux avec u
et, en effet, l'index radio-hu- méral et tibio-fémural sont de peu
supérieurs
à la moyenne. On peut tout de même, ici, parler
t nous ne voyons des coudures relativement brusques qu'à l'épiphyse
supérieure
du fémur et du radius. L'ossification des carti
nnement continu de l'espèce conduit celle-ci à un stade d'évolution
supérieur
. A priori, il paraît même vraisemblable de penser
mécanismes. Quoi qu'il en soit, nous observons chez les mammifères
supérieurs
, en même temps qu'une augmentation importante d
chez l'homme instruit et intelligent. De ce dernier aux mammifères
supérieurs
, on pourra observer toute une série de cas inte
nce même est méconnue. Le siège de la conscience sera placé dans le
supérieur
et nous y ajouterons d'une façon tout à fait psyc
sance se trouvent dans l'étage inférieur et que, par conséquent, le
supérieur
n'a d'autre moyen d'action que les rouages situés
physiologique.Je ne compte d'ailleurs plus m'occuper ici de l'étage
supérieur
que j'ai qualifié d'accessoire, m'estimant déjà
ai cependant laissé subsister une volonté cons- ciente dans l'étage
supérieur
, en attendant une interprétation définitive. Ce
une ou plusieurs d'entre elles. Elle peut être dirigée vers l'étage
supérieur
, atteindre la zone consciente et alors elle est
de ce point la sensation-spectacle devient consciente dans l'étage
supérieur
, se transforme en mouvements et en cris approprié
es résultats tout imparfaits de leurs premiers efforts étaient déjà
supérieurs
aux meilleures conclusions de la psychologie et m
du côté droit; on observa des mouvements associés dans l'extrémité
supérieure
paralysée pendant les mouvements actifs ou pas-
les tonifiant par le massage. En réalité tous les muscles du membre
supérieur
: tous ceux de la main, tous ceux de l'avant-br
saccadés qui se passent dans l'articulation de l'épaule, le membre
supérieur
tout entier formant un bâton rigide, le malade
ouche, etc. Au début le tremblement a atteint égale- ment le membre
supérieur
gauche, mais actuellement le trouble s'est locali
rieur gauche, mais actuellement le trouble s'est localisé au membre
supérieur
droit. Il n'existe aucun mouvement choréique ni à
e, on constate une rigidité extrême de la main et de tout le membre
supérieur
, et le malade peut à peine tracer une lettre ou
chet « détachés », qui s'exécutent très ra- pidement avec la partie
supérieure
de l'archet. Tout à fait analogue, tant par son
gnalée par Côster (38). Autres crampes professionnelles des membres
supérieurs
. Toutes les professions qui imposent un surmena
ui se fractura l'humérus à la jonc- tion du tiers moyen et du tiers
supérieur
. Il est vraisemblable, malgré la lourdeur avec
uis les bras, ne peut plus marcher depuis 2 ans. L'état des membres
supérieurs
et des mains lui permet encore de faire de peti
e temps après l'immobilisation (2 ou 3 ans). L'atteinte des membres
supérieurs
a été à peu près parallèle. L'affaiblissement a
s mettre le bras sur la tête. Actuellement, l'impotence des membres
supérieurs
est à peu près complète; cependant le malade pe
croître. C'est vers 9 ans et demi que les lésions du côté du membre
supérieur
ont apparu. Actuellement, il s'agit d'un enfant p
yse. L'angle formé par le bord postérieur de la diaphyse et le bord
supérieur
du condyle, au lieu de se rapprocher de l'angle
ent marquée sur la surface de l'os par une ligne courbe à concavité
supérieure
qui répond à l'insertion de la capsule fibreuse
sition ; il en est de même pour la crête qui correspond à la limite
supérieure
du cartilage d'encroûtement. Dans l'épaisseur d
ement arrondi de dessin très différent, à tel point que l'extrémité
supérieure
du tibia res- semble à l'épiphyse inférieure du
nsta- ter simplement'de la saillie des grands droits. Les membres
supérieurs
sont graciles, de diamètre à peu près uniforme ;
ramollis. Les pieds sont nettement tombants. Mensuration Membres
supérieurs
. MYOPATHIE GÉNÉRALISÉE 243 que par son extrém
férence très nette de distance entre le creux axillaire et le bord
supérieur
de la crête iliaque respectée, 18 centimètres à
. Cette déformation n'existe pas à gauche. En avant toute la partie
supérieure
de la paroi thoracique droite est en saillie ;
pas saillantes. Troubles de la réflectivité. - Rien. III. Membres
supérieurs
. Aspect. -Ceinture scapulaire et épaule. La t
osseux se dessinent sous la peau. Les bras grêles dans leur partie
supérieure
, sont irrégulièrement épaissis à leur partie in
malade peut écarter légèrement le bras du corps. De tout le membre
supérieur
les seuls segments qui puissent encore agir son
rhomboïde n'est point touché ; (3) au niveau du deltoïde,de la partie
supérieure
du bras, du triceps dans ses deux tiers supérie
ïde,de la partie supérieure du bras, du triceps dans ses deux tiers
supérieurs
, du brachial, du biceps très réduit de volume,
'il y ait aussi sous le rideau musculaire une exostose de la partie
supérieure
du radius. Les doigts de la main sont volumineu
à gauche. Troubles de la réflectivité. Pas de réflexes au membre
supérieur
. IV. Membres inférieurs. Aspect. Dans le lit,
es rétractions tendineuses. ? Troubles sensitifs. Comme aux membres
supérieurs
, on ne trouve ici rien d'anormal après l'examen
appés à un degré du reste extrêmement variable. Enfin les membres
supérieurs
participent à la symptomatologie de la myopathi
palpation, le foie paraît augmenté de volume, en effet ses limites
supérieures
arrivent à la 6e côte et son bord inférieur déb
é, toutefois il n'existe pas une véritable hypotonie. Aux membres
supérieurs
l'on peut noter un léger tremblement à caractère
1905. (9) A. TESTI, OBdème neurolrophique et vaso-moteur du membre
supérieur
droit. Riv. critica de clinica medica, an V, ne
rmal ; M... est d'une intelligence moyenne et reçut une instruction
supérieure
; elle a toujours ma- nifesté des idées religieu
reste assise dans un fauteuil toute la journée ; seuls les membres
supérieurs
exécutent quelques mouve- ments. 2 janvier 19
esthésies et l'affaiblisse- ment de la force motrice de l'extrémité
supérieure
droite et par l'atrophie des petits muscles de
la radio- graphie. Après l'opération, les douleurs dans l'extrémité
supérieure
droite ces- sèrent, mais, au dire de la malade,
aient presque continues, de caractère diffus dans toute l'extrémité
supérieure
droite. Ces douleurs empêchaient la malade de dor
les examens réitérés. Parésie diffuse peu prononcée de l'extrémité
supérieure
droite, réflexes profonds affaiblis. Atrophie des
ousses dispa rurent complètement et la force motrice de l'extrémité
supérieure
^droite fut reconstituée. L'atrophie des muscle
oit et une légère diminution des réflexes profonds dans l'extrémité
supérieure
droite Comparativement â ceux de l'extré- mité
ment cervical ou lombaire, sui- vant que la crampe occupe le membre
supérieur
ou inférieur ; l'autre électrode est placée sur
du petit doigt, tandis que le médius et l'annulaire lui deviennent
supérieurs
. On fait exécuter ainsi plusieurs tours à la cann
ls inventés pour la réédu- cation de l'ataxie tabétique des membres
supérieurs
: règle triangulaire, planchette à chevilles, e
la réflectivité. Le malade n'éprouve pas de douleur dans le membre
supérieur
droit ; il accuse seulement quelques sensations p
897, p. 718. 88. KRONENBERG. - Claudication intermittente du membre
supérieur
. Wien. klin. Woch., 8 oct. 1908. 89. LAMY. Sp
M. Phila., 1886. 95. Macé DE Claudication intermittente du membre
supérieur
droit ; crampe des écrivains d'origine artériel
Congr." Genova, octobre, 1904. 122. RUDLER. - Tic tonique du membre
supérieur
droit. Nouv. Icon. Salp., 1903, n° 4. 123. Rung
r de gros noyaux néoplasiques. Les parois inférieures, latérales et
supérieures
de ces cavités ventriculaires sont infiltrées d
une crise d'épilepsie jacksonnienne exclusivement limitée au membre
supérieur
droit, qui est le siège de convulsions clonique
dant vingt minutes environ, un état parétique très accusé du membre
supérieur
droit. La sensibilité reste normale. Interrogé at
s'accompagne d'amyotrophie généralisée à tous les muscles du membre
supérieur
droit. Le 14 et le 28 janvier, on ob- serve de
les crises épileptiformes toujours strictement localisées au membre
supérieur
droit. ' Myosis et troubles casomoteurs de la f
do. Ce noyau cancéreux correspond donc au centre cortical du membre
supérieur
et sa localisation explique l'épilepsie jacksonni
ux côtés et assez paresseuses à l'excitation lumineuse. Les membres
supérieur
et inférieur du côté gauche sont animés d'une s
i existait, la veille, du côté droit, a diminué au niveau du membre
supérieur
, mais a persisté complètement dans le membre infé
persisté complètement dans le membre inférieur droit. Les membres
supérieur
et inférieur du côté gauche présentent toujours
ince et creuse la partie postérieure de la circonvolution pariétale
supérieure
, au- dessus de la scissure perpendiculaire exte
ions précédentes dans la profondeur desquelles la partie externe et
supérieure
de la tumeur est logée, sont ramollies, grisâtres
be est réduite par places à un millimètre d'épaisseur. , La paroi
supérieure
du prolongement occipital du ventricule latéral,
es bandelettes optiques, le pé- doncule cérébral gauche et le tiers
supérieur
et latéral gauche de la pro- tubérance, le pédo
a pro- tubérance, le pédoncule cérébral droit dans ses trois quarts
supérieurs
, les nerfs pathétiques, moteurs oculaires commu
et externe, en un mot le type clinique de Weber (hémiplégie alterne
supérieure
ou pé- donculo- protl1 béran tielle). Les mus
les vaso-moteurs assez prononcés se manifestent du côté du mem- bre
supérieur
droit. La main est froide, elle a une teinte viol
utation et d'oscilla- tions latérales de la tête ; enfin, le membre
supérieur
gauche est animé de petits mouvements rythmique
e des muscles droits inférieurs et de la parésie des muscles droits
supérieurs
des deux yeux. La langue, légèrement atrophiée,
gauche, presque effacé à droite. Troubles oculaires. La paupière
supérieure
droite est paralysée ; elle tombe et ne peut êt
bas, en dehors, à gauche, ainsi qu'une paralysie des muscles droits
supérieur
, inférieur, interne, avec ptosis par paralysie
rieur, inférieur, interne, avec ptosis par paralysie de la paupière
supérieure
et dila- tation de la pupille, en un mot, une p
de poussées de kératite aiguë suivie de l'apparition dans la moitié
supérieure
d'une taie blanche, opaque, en forme de lunule,
atéraux et de nutation de la tête avec mouvements rythmés du membre
supérieur
gauche. Troubles moteurs et sensitifs. - Les
tbésie assez marquée. - L'hémiplégie droite est complète. Le membre
supérieur
droit est contrac- ture, la main est en griffe,
idérablement la respiration, du côté du dia- phragme. Les membres
supérieur
et inférieur gauches sont, parfois, agités de que
de mouvement latéral de la tête à gauche. Ces mouvements du membre
supérieur
gauche et de la tête se reproduisent parallèlemen
e du côté droit est complète avec contracture douloureuse du membre
supérieur
. L'abolition des deux réflexes rotuliens est abso
en se servant des mem- bres du côté gauche non paralysé, le membre
supérieur
droit présente, à l'oc- casion et pendant la du
d'autres troubles trophiques. Les mouvements convulsifs du membre
supérieur
et ceux de latéralité de la tête et du cou ont
es valvules sont normales. Le foie est un peu globuleux à sa partie
supérieure
, sans cirrhose, ni gommes ; sa coloration est j
e les résultats suivants : A droite, la cornée présente à la partie
supérieure
, vers l'angle supéro- interne, une taie blanche
ée insuffisamment protégée par suite de la paralysie de la paupière
supérieure
. L'oeil droit est porté en haut et en dedans ; l'
partie antéro- inférieure se trouve immédiatement au-dessus du bord
supérieur
de la pro- tubérance, recouvrant et comprimant
te son étendue et le pédoncule cérébral droit dans ses trois quarts
supérieurs
. Cette compression des deux pédoncules cérébrau
rculaire, englobant les pédoncules cérébraux et surplombant le bord
supérieur
de la protubérance en avant et au-dessus de laque
couches optiques, se propageant à la partie inférieure latérale et
supérieure
des deux vantri- cules latéraux et comprimant l
ètre d'épaisseur environ. Les plexus cho- roïdes coiffent la partie
supérieure
de ces noyaux néoplasiques intra-ventri- culair
l'insula du côté gauche. Le néo- plasme atteint également la partie
supérieure
et latérale du prolongement frontal des ventric
d'apparence normale. Nerfs périphériques : Les nerfs des membres
supérieurs
ne présentaient aucune modification ma- croscop
depousser longtemps pour uriner. Aucun trouble morbide aux membres
supérieurs
et à la tête, le signe d'Argyll n'est pas évident
en arrière, contre la pie- mère. Dans la région lombaire et sacrée
supérieure
, la partie centrale de chaque cordon est seule
u membre inférieur gauche. Le membre inférieur droit et les membres
supérieurs
ont une motilité normale. Le malade peut marcher
d l'enfant couchée essaye de s'asseoir, on constate que les parties
supérieures
du grand droit au-dessus de l'ombilic se contra
les abdominaux nous avons obtenu avec le courant induit aux parties
supérieures
des grands droits et aux grands obliques de pet
indre résistance. Pas de symptômes en ce qui con- cerne les membres
supérieurs
. Pas de paralysie de la vessie. Pendant ce temps
u 14 et du 15 septembre, la parésie s'est étendue aussi aux membres
supérieurs
, spécialement au droit, et il ne pouvait ni s'a
u membre inférieur droit et une parésie du gauche. Pour les membres
supérieurs
, il n'y avait qu'une incompétence légère du bra
e. Elle ne peut point du tout rester assise. La parésie des membres
supérieurs
est encore très prononcée, surtout pour les mouve
e les parents ont ob- servé une paralysie des membres inférieurs et
supérieurs
qui n'a pas disparu depuis. 1 Etal le 23 juin
depuis. 1 Etal le 23 juin 1905. - Il y a une parésie des membres
supérieurs
et ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 8
t au lit, Ensuite il a éprouvé une difficulté à mouvoir le mem- bre
supérieur
droit. Le lendemain, une paralysie réelle-de ce m
plus prononcée à droite. Il y a aussi une parésie des deux membres
supérieurs
qui est plus étendue à droite.Les muscles paral
EHRENBERG lysie du tronc et une parésie très prononcée des membres
supérieurs
.Les mou- vements du cou ont également été affai
eoir dans le lit sans qu'on l'y aide, et, s'il est assis, la partie
supérieure
du tronc tombe en avant et il ne peut la releve
mou- vements des pieds sont mieux conservés. La motilité du membre
supérieur
droit est normale, mais il y a encore une parés
mpossibilité pour le malade à tenir le tronc droit sans que la partie
supérieure
tombe en avant. Il peut marcher un peu avec bea
la malade est cathétérisée. Il y a une parésie marquée du membre
supérieur
droit pour tous les mou- vements qu'elle peut t
eur extension normale. Une paré- sie se trouve aussi dans le membre
supérieur
gauche, mais la force musculaire est ici moins
ée qu'à droite. Les réflexes des tendons et du périoste des membres
supérieurs
sont très accusés. Aux membres supérieurs la sens
t du périoste des membres supérieurs sont très accusés. Aux membres
supérieurs
la sensibilité est absolument normale. La lim
on dans toute la moelle, depuis la région sacrée jusqu'aux segments
supérieurs
de la moelle dorsale, et qui aurait atteint les
cornes antérieures dans toute cette étendue. La parésie des membres
supérieurs
, nous l'avons expliquée en supposant que l'hémo
ire à une lésion complète des faisceaux pyra- midaux dans la partie
supérieure
de la moelle dorsale. Presque en même temps que
secondaire qui est venue compliquer l'hématomyplie à son extrémité
supérieure
et qui a atteint les cordons postérieurs. En co
lésion diffuse (de nature syphilitique ou autre) dans les segments
supérieurs
de la moelle dorsale. Si nous acceptons ce dia-
quer tous les symptômes par une myélomalacie limi- tée aux segments
supérieurs
de la moelle dorsale, on ne peut en outre s'emp
de ce cas, il faut admettre une myélomalacie ou myélite à la partie
supérieure
de la moelle dorsale, mais nous ne pouvons dire
s une parésie des membres inférieurs et de l'un ou des deux membres
supérieurs
, il y a de très bonnes raisons de croire que tout
ait conservé, mais affaibli. Une paralysie unilatérale de la moitié
supérieure
des muscles abdominaux a été décrite par Starck
i abdominale, mais les muscles étaient con- servés dans les parties
supérieures
. Dennett rapporte un cas où il a observé, 7 moi
position. Les réflexes abdominaux inférieurs ont disparu, mais les
supérieurs
persistent. Pas de troubles de la motilité de l
flexe consiste toujours en une contrac- tion très nette des parties
supérieures
des grands droits de l'abdomen. On n'a pas un d
Loewegren, cité ci-dessus ; dans tous les deux, seules, les parties
supérieures
des muscles abdominaux ont été conservées et to
aigres); il se déplace vers le haut pour la contraction des parties
supérieures
de ces muscles et vers le bas pour la contracti
de tenir le tronc debout sans s'aider des bras, sans que la partie
supérieure
du tronc tombe en avant. C'est le seul de nos cas
hutes. En même temps apparurent des accidents du côté des mem- bres
supérieurs
. Enfin, tout récemment, la malade commença à êt
rapprochée, il lui est impossible d'éteindre une bougie. Membres
supérieurs
. La force y est très diminuée,et on s'en rend com
tie infé- rieure et à leur partie moyenne, s'effilant à leur partie
supérieure
. L'épais- seur maxima de chacune de ces portion
celle du pubis au sol est de 1 m. 025. L'allongement des membres
supérieurs
est également très uet : en position horizontal
ses, par comparaison surtout avec les autres seg- ments des membres
supérieurs
: elles sont allongées dans le sens vertical ;
ablier au-devant du pubis. Les hanches sont élargies. Les membres
supérieurs
sont un peu tombants en avant, ce qui est en rap-
mme aucun trait ni de myxoedème ni d'acromégalie de toute la partie
supérieure
du visage. On pourrait signaler un très léger
Masson & Cie, Editeurs. Phototypie Btrthaud INSTITUT D'ÉTUDES
SUPÉRIEURES
DE FLORENCE CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE (Direc
re membre de la famille ne se dis- tinguèrent jamais par une taille
supérieure
à la moyenne. Antécédents personnels. Né à term
s de son enfance. Il parait qu'au premier âge sa taille n'était pas
supérieure
à la moyenne. Ce fut seulement vers l'âge de 8
n objectif. - Elat général. Mario Palazzi est de taille de beaucoup
supérieure
à la moyenne : actuellement 199 centimètres. Les
ure à une montre, il ne sait pas tenir ses affaires et les chiffres
supérieurs
à quelques francs lui font peur; il a une profond
ion ; elle ne réagit pas du tout t à la lumière. ' Dans la partie
supérieure
droite du foramen pupillaire droit,on voit une fi
des dents inférieures rejoint et dépasse légèrement celle des dents
supérieures
. En- regardant le patient de profil on voit trè
bdomen en particulier. Il est plutôt étroit aux épaules et au tiers
supérieur
, évasé à la base. Les épaules sont tombantes. L
arasternale gauche à moitié de la ligne xipho-ombilicale. La limite
supérieure
arrive à la 6° côte sur la parasternale. A droi
illaire antérieure. Le foie ne dépasse pas l'arc costal ; sa limite
supérieure
est normale. La rate est dans les limites norma
rmale. Réflexes crémastériens faibles ; scrotal aboli. Extrémités
supérieures
. Les extrémités supérieures sont bien propor- t
ens faibles ; scrotal aboli. Extrémités supérieures. Les extrémités
supérieures
sont bien propor- tionnées dans leurs parties ;
res inférieurs sont proportionnellement plus accrus que les membres
supérieurs
. , c) Les segments proximaux des membres (fémur
res ; les mouvements passifs peuvent se faire dans une étendue très
supérieure
à la normale. Les organes sexuels de notre géan
ssi le type en long. Le premier métatarsien présente à son épiphyse
supérieure
du côté externe une exostose très nette. La pre
à deux travers de doigt au-dessus de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche ; la seconde est une petite tache brunât
à cinq travers de doigt au-dessus de l'épine iliaque postérieure et
supérieure
gauche, au niveau du relief gauche des muscles
ut et en bas par deux lignes parallèles et légèrement obliques ; la
supérieure
répond à un plan passant très légèrement au-des
and trochanter; en avant, ces deux lignes changent de direction, la
supérieure
s'abaissant, l'inférieure remontant pour se ren
courbe en fer à cheval, à concavité tournée en dehors ; la branche
supérieure
de ce fer à cheval croise la face postérieure du
nes dorsales auxquelles le naevus cor- respond au' niveau du membre
supérieur
, de la paroi antérieure et de la paroi postérie
r la moelle, au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale
supérieure
; elle est marquée en ces points par une colora
ation, à la partie inférieure de la région cervicale et à la partie
supérieure
de la région dorsale, elle est en quelque rapport
de la moelle qui est voisin des régions de l'innervation du membre
supérieur
et du thorax, alors qu'au- cune altération n'es
colonne vertébrale avec courbure postérieure, surtout de la portion
supérieure
de la région dorsale. Les muscles du cou et du co
rée. Sensibilité : sensations subjectives de douleur dans la partie
supérieure
de la colonne vertébrale, irradiations de ces d
: légère exagération de toutes sortes de sensibilité dans la partie
supérieure
du corps, aux bras et au cou. Sensibilité muscula
sont pas adhérents. Le lobe inférieur gauche ainsi que tout le lobe
supérieur
, à l'exception de son sommet, sont couverts de fa
verts de fausses mem- branes fibrino-purulentes. L'incision du lobe
supérieur
montre une hépatisa- tion typique. La pression
égèrement granuleuse au tou- cher (pneumonie catarrhale). Les lobes
supérieur
, moyen et la partie antérieure du lobe inférieu
est épaissie. Cet épaississement est surtout marqué dans la portion
supérieure
de la région cervicale où la dure- mère atteint
ères, en particulier dans l'artère spinale antérieure. Dans la zone
supérieure
, la pie-mère montre un épaississement ANKYLOSE
la région dorsale. Quelques racines postérieures de la région dorsale
supérieure
ne renferment plus du tout de fibres à myéline.
moins marquée. On ne la trouve pas du tout dans la région cervicale
supérieure
. A l'examen microscopique du ganglion de la rég
téralement par des épaississements osseux. Les vertè- bres dorsales
supérieures
sont atrophiées, diminuées de volume, aplaties la
ssable. Dans un cas (4' côte), on aperçoit une fente dans la partie
supérieure
de l'espace correspondant à l'articulation costo-
est abaissée. Les épines transversales des sept vertèbres dorsales
supérieures
ne sont pas fusionnées, bien qu'elles se touchent
adhérence avec les ganglions intervertébraux. Les racines dorsales
supérieures
sont grisâtres ; au microscope, on voyait une d
e a amené l'atrophie des disques in- tervertébraux dans ses régions
supérieures
et inférieures ; les cartilages intervertébraux
des deux mains. Cette diminution de la sensibilité avait, pour limite
supérieure
, une ligne passant à peu près au niveau de l'ar
nesthésie ou hypoesthésie au chaud et au froid avaient, pour limite
supérieure
la racine du membre, et pour limite inférieure un
en. Les pupilles sont maintenant inégales ; la gauche a un diamètre
supérieur
à celui de la droite. La déviation de la colo
iveau de l'épine iliaque antéro-snpérieure droite. 3° Aux membres
supérieurs
les troubles sont bilatéraux et analogues des d
dépolies, obliques et inégales. Disparition de la face articulaire
supérieure
de la troisième lombaire : à la place, cavité rug
ses. Apophyses transverses presque absentes. Apophyses articulaires
supérieures
, développées au détriment des inférieures. Le m
ies latérales et la vertèbre affecte la forme d'un cône : les faces
supérieure
et inférieure sont irrégulières, rugueuses, por
celles où s'est loca- lisé surtout le processus atrophique. La face
supérieure
de la vertèbre, située immédiatement au-dessous
ncontré chez notre malade des phénomènes de névrite sur les membres
supérieurs
ceux-là ayant probablement celle origine. - J
nute. Le crâne se montre très développé spécialement dans sa moitié
supérieure
et quelque peu asymétrique. Sur le frontal gauc
Les dents, en partie cariées, sont disposées régulièrement. Membres
supérieurs
, Les courbures de la clavicule sont très prononcé
entimètres, à gauche 22 cen- timètres de circonférence. Le membre
supérieur
gauche, sauf un léger accroissement de volume de
tions dignes d'être notées. Les masses musculaires des deux membres
supérieurs
sont atrophiées. Cependant le patient peut dépl
inférieure est modérément épaissie, mais nou déformée ; l'épiphyse
supérieure
du tibia a des dimensions volumineuses ; la crête
nstitue plus un bord mais une vraie face. Outre cela, dans le tiers
supérieur
du côté interne on distingue plusieurs exostose
rieure est considérablement épaissie, moins cependant que l'épiphyse
supérieure
du tibia, dont la crête a disparu, remplacée pa
nt, le thorax long qui tend à rentrer dans le bassin, les mem- bres
supérieurs
qui, vu l'abaissement de la slature, paraissent d
de yirchow frappe spécialement la branche mon- tante du maxillaire
supérieur
. SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE 533 L'elepha
rmations commencent après 60 ans, et épargnent toujours les membres
supérieurs
et le crâne. Je crois avoir suffisamment discut
que les ulcérations syphilitiques se trouvent généralement au tiers
supérieur
, sa figure irrégulièrement circulaire et non pa
paralysie et des membres inférieurs et de l'un au moins des membres
supérieurs
. Cette règle s'explique par la tendance prononc
lesse ou paralysie (exception faite, bien entendu, pour les parties
supérieures
du thorax où les mouvements d'inspiration peuve
alysie des deux membres inférieurs et de l'un ou des deux mem- bres
supérieurs
et où nous n'avons pas observé de troubles respir
le cas XVII, il n'y avait qu'une parésie légère de l'un des membres
supérieurs
, qui a d'ailleurs disparu en peu de temps . Dan
paralysie a atteint à la fois les membres inférieurs et les membres
supérieurs
; mais, évidemment, notre expérience est beaucoup
RG apparue, après quelques petites secousses, une parésie du membre
supérieur
droit. Puis sont venus des frissons, alternant
nt des douleurs dans le cou. Il y a une parésie prononcée du membre
supérieur
droit. Il n'y a aucune respiration abdominale,
st mis au lit. Pendant ce jour il a senti une faiblesse des membres
supérieurs
, mais aussi des symptômes qui indiquent une parés
érieur droit. Il y a une parésie presque complète de tout le membre
supérieur
droit et une parésie très développée du gauche.
que la paralysie n'avait atteint, dans ce cas, que l'un des membres
supérieurs
et pas les membres inférieurs; en conséquence,
tirage intercostal apparaît le plus pour les es- paces intercostaux
supérieurs
, sur le côté antérieur du thorax. Ce malade est
rs et qu'il est survenu plus tard une paralysie de l'un des membres
supérieurs
également, ce cas nous fournit un exemple du vrai
remiers signes de la paralysie sont apparus au tronc ou aux membres
supérieurs
. Toutefois comme les membres inférieurs ne sont
enfin la poliencé- pbalite aiguë. (A suivre.) INSTITUT D'ÉTUDES
SUPÉRIEURES
DE FLORENCE . CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE (Dir
ernier jour 34, 5 0/0. La quantité d'a- zote précipitable fut aussi
supérieure
à la normale. Quant aux différents groupes sulf
une grande importance pathogénique. Le contenu du sang en gras est
supérieur
à la normale, de telle façon qu'on peut parler
ien que dans les autres organes les gras se trouvent en proportions
supérieures
à la nor- male. La signification intime de ce f
ur cambriolage et une la dernière en date pour voies de fait sur un
supérieur
. La poitrine ne porte aucun tatouage, mais le d
é à l'atelier de travaux publics à la suite de voies de fait sur un
supérieur
, il est classé parmi les fortes têtes, mais ne pa
igne de reconnaissance pour les affiliés d'une bande. Sur le membre
supérieur
gauche sont tatoués un ivrogne et deux fem- mes
générés : contrastant avec l'intégrité des pédoncules cérébel- leux
supérieurs
et de ses noyaux d'origine, les corps dentelés, q
é- nérés. Il en ressort d'une part que les pédoncules cérébelleux
supérieurs
tirent xxii 40 606 LEJONNE El' LHERWTTE bie
queuses. Substance blanche centrale des hémisphères. Dans la moitié
supérieure
par les méthodes de Weigert et de Pal,les fibre
de l'insertion du trijumeau. On ne le retrouve pas dans les coupes
supérieures
. A son niveau, on constate que les fibres sont
ont irrégulières, tortueuses et variqueuses. Pédoncules cérébelleux
supérieurs
. D'une manière générale, aussi bien à droite qu
nérale, aussi bien à droite qu'à gauche, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
présentent une atrophie considérable. 1° Segm
t épaisses et bien conservées. Sur les coupes intéressant la partie
supérieure
du noyau dentelé, les pédon- cules cérébelleux
la partie supérieure du noyau dentelé, les pédon- cules cérébelleux
supérieurs
présentent également des fibres très clairsemées.
ventricule est exces- sivement dilaté ; les pédoncules cérébelleux
supérieurs
sont réduits à quelques faisceaux de fibres bie
astant avec la diminution énorme du volume du pédoncule cérébelleux
supérieur
, les fibres semi-circulaires externes sont au con
onservées. 3° Segment in trutpgmentaire. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, toujours très réduits, paraissent cependant po
osé. Plus haut, après l'entrecroisement, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
(noyaux blancs de Stilling) sont encore très ré
ve elle-même. Sur certaines coupes, particulièrement dans la région
supérieure
, l'olive ap- paraît comme une masse arrondie, d
seulement quelques très rares fibres myéliniques. Dans la partie
supérieure
de l'olive, les altérations sont tout à fait anal
droit; on peut les suivre jusqu'au corps restiforme. A la région
supérieure
, on trouve la même raréfaction, peut-être un peu
ormales ; on ne voit pas de sclérose bien manifeste. Sur les coupes
supérieures
le corps restiforme se montre toujours aussi atro
du même côté. Au microscope la lésion apparaît dans la partie toute
supérieure
de la pro- tubérance annulaire, sur une coupe t
e du ruban de Reil médian, quelques fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
gauche qui déçussent à ce niveau et le faisceau
ent à ce niveau et le faisceau longitudinal postérieur. A sa partie
supérieure
le foyer sectionne la majorité des fibres du mote
édian est atteint au niveau de son quart interne ; dans les régions
supérieures
on constate l'atrophie de la partie tout à fait i
elés et disparition presque complète des pé- doatcttles cérébelleux
supérieurs
jusqu'aux noyaux rouges, dont les lésions sont
rès minime partie des fibres entrecroisées du pédoncule cérébelleux
supérieur
(commissure de Wernekink). Ce que nous som- mes
ers trois mois, des troubles se sont manifestés au niveau du membre
supérieur
droit ; l'enfant s'est mis à fléchir l'avant-bras
ée vers la droite et en légère rotation vers la gauche. Le membre
supérieur
droit est en contracture comme lors du premier ex
umeur pédiculée que nous avons signalée plus haut. Dans la partie
supérieure
de la tumeur, sous le plancher du 4° ventricule,
sont bien proportionnés. Rien d'anormal daus l'attitude des membres
supérieurs
et inférieurs; il peut exécuter tous les mouvem
laire est assez bien conservée dans tous les segments des mem- bres
supérieurs
. Aux membres inférieurs la force des fléchisseurs
s, la rétraction des muscles fléchisseurs s'y opposant. Aux membres
supérieurs
, l'atrophie est plus intense à la main, dont les
t surtout manifeste dans l'articulation de la cheville. Aux membres
supérieurs
, on sent une certaine ré- sistance dans l'exten
es fléchisseurs est très réduite, presque égale à zéro. Aux membres
supérieurs
la résistance des mus- cles extenseurs du bras
u décubitus dorsal. Il a des troubles de diadococinésie aux membres
supérieurs
, plus prononcés à droite. La mémoire est faible
s dorsal, les membres inférieurs en flexion et croisés. Les membres
supérieurs
sont égale- ment en flexion et appliqués au tho
antérieure du globe frontal ne mesure que 8 mm. 1/2. A la surface
supérieure
du cervelet on constate une tumeur kystique, de
s le corps calleux et la pointe correspon- dant au milieu du vermis
supérieur
. Ce kyste a des parois d'une certaine épais- se
ver dans la position assise et même debout. La mobilité des membres
supérieurs
est tout à fait nor- male. La malade ne se sert
Pas de dysarthrie. Les mouvements du tronc sont normaux. Membres
supérieurs
. Les masses musculaires des membres'supérieurs ne
mesures suivantes : Circonférence cuisse (15 cm. au-dessus du bord
supérieur
de la rotule). D t 32 centimètres. G : 33. Ci
centimètres. G : 33. Circonférence jambe (15 cm. au-dessous du bord
supérieur
de la rotule). D : 23.5 cm. G : 24. 652 ALESS
ent à droite, il s'obtient à peine à gauche. Les réflexes tendineux
supérieurs
sont faibles ; le radial de droite n'existe pas
leur. Il n'y a rien du côté de la sensibilité objective des membres
supérieurs
, du dos,de la poitrine et de l'abdomen. Rien du c
aintenant, il accuse aussi une faiblesse appréciable dans le membre
supérieur
droit. L'examen ne montre rien par rapport à l'
rt à l'attitude et à la motilité des muscles innervés par le facial
supérieur
et inférieur, ni en ce qui regarde les mouve- m
nférieur, ni en ce qui regarde les mouve- ments du cou et du membre
supérieur
gauche, si ce n'est une légère dimi- nution de
dimi- nution de résistance aux mouvements passifs. Dans le membre
supérieur
droit on n'observe aucune attitude vicieuse, ni
20 centimètres 5 ; G : 22 centimètres. A mains étendues, le membre
supérieur
droit se fatigue plus facilement. Membres infér
ensuration donne : Pour la cuisse, 15 centimètres au-dessus du bord
supérieur
de la rotule : D : 29 centimètres ; G : 31 cent
e, les abdominaux manquent des deux côtés. Des réflexes des membres
supérieurs
sont évidents,seulemeut le bicipital qui est pl
latérale am y o trophique parlent l'abolition des réflexes profonds
supérieurs
et inférieurs, la marche de la maladie, et l'inté
encore atteindre ou la partie symétrique ou la partie immédiatement
supérieure
ou inférieure, mais elle peut aussi se développ
s des doigts. Le 8 octobre, une faiblesse des membres inférieurs et
supérieurs
avec dysesthésies analogues à celles des doigts
s les muscles des membres inférieurs, mais qui augmente aux membres
supérieurs
des racines vers les extrémités. La parésie est
es symptômes généraux. Il y a une parésie des membres inférieurs et
supérieurs
. Il peut faire tous les mouvements des membres
rieurs et supérieurs. Il peut faire tous les mouvements des membres
supérieurs
, mais la force en est diminuée. La diminution d
'aider des bras. La paralysie des parties périphériques des membres
supérieurs
a augmenté. Les troubles du sens musculaire aux
s du tronc, quand il y a des troubles moteurs à la fois des membres
supérieurs
et inférieurs. Sur ce point, nous trouvons des
alysie se propage très sou- vent des membres inférieurs aux membres
supérieurs
en laissant intacts les muscles du tronc. C'est
a phase de la restauration des fonctions motrices. Pour les membres
supérieurs
, cette diflérence entre la polynévrite et la po
e des quatre membres qui a disparu en premier lieu dans les membres
supérieurs
; par conséquent, tout me semble parler en faveur
la marche d'un type cérébelleux et deux fois une ataxie des membres
supérieurs
. Il ne s'agissait pas d'enfants mais, dans tous
On note à la partie droite du cou sur le maxillaire et à la partie
supérieure
du bras gauche des cicatrices profondes et irré
nt des humérus d'apparence épaisse et trapue, surtout à leur partie
supérieure
. Les dimensions transversales sont les suivante
té Anatomique, 1836, p. 297. & Vice de conformation des membres
supérieurs
. M. Andral présente à la Société les membres su
des membres supérieurs. M. Andral présente à la Société les membres
supérieurs
d'une jeune fille de 21 ans. Sur ces pièces on
e d'un coin dont la base serait dirigée vers la partie in- terne et
supérieure
du thorax. A sa partie supérieure il présente une
rigée vers la partie in- terne et supérieure du thorax. A sa partie
supérieure
il présente une échan- crure très accentuée. Il
du péroné, hauteur du tronc. Elle n'en diffère que par ses membres
supérieurs
trop longs quoique courts et l'absence de main
ue ses parents s'aperçurent d'une déformation des os des extrémités
supérieures
. Dans la suite Th. MI... jouit constamment d'un
trouvons en présence d'un cas de raccourcissement des ex- trémités
supérieures
, d'une micromélie, pas tout fait symétrique, mais
fait agir ceux-ci n'est pas également perfectionné chez les animaux
supérieurs
et inférieurs et que le mécanisme réflexe des pre
le plus infime du règne animal ; tels sont probablement les animaux
supérieurs
; tel est, en tous cas, l'enfant qui vient de n
au bas de l'échelle animale, mais aussi chez l'homme et les animaux
supérieurs
dont les leucocytes par exemple subissent de la
la matière organisée, puisqu'ils. n'ont pas d'esprit. L'homme est
supérieur
aux animaux, c'est entendu. Il parle, il pos- s
et même les organes étant sen- siblement les mêmes chez les animaux
supérieurs
et chez l'homme, qui oserait prétendre qu'ils p
itales en passant chez le second ? Qui oserait soutenir que l'homme
supérieur
à l'animal par l'intelligence lui est cependant
RIÈRE D'UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX DES EXTRÉMITÉS
SUPÉRIEURES
. 1 Dans le cours de l'année d'internat que j
ysie atrophique et des altérations de la sensibilité des extrémités
supérieures
, troubles généralement symétriques, et paraissant
aiblesse et d'amaigrissement. L'impotence fonctionnelle des membres
supérieurs
résultant de ces symp- tômes devint telle que d
y a un mois elle éprouva desdoulcurs dans la continuité des membres
supérieurs
, et vint pour ce motif réclamer des soins. ,
s deux côtés en étaient exempts. Tous les mouvements des extrémités
supérieures
, même ceux de l'articulation du coude et ceux q
taient à des fractures des régions dorsale inférieure et lombaire
supérieure
; aussi les phénomènes nerveux étaient-ils localis
membres sont atteints, et les troubles prédominent dans les membres
supérieurs
. Observation IV. - Fracture du rachis au niveau
bre 1887 à l'hôpital. Dès le lendemain de l'accident, les membres
supérieurs
et inférieurs se seraient contractures, ceux-ci
eux-là en flexion. Les mains reposaient sur la partie antérieure et
supérieure
du thorax, la main droite était complètement fe
fin du troisième mois que les membres inférieurs, puis les membres
supérieurs
, purent exécuter quelques mouvements volontaires.
e, quelquefois davantage, il éprouve dans les membres inférieurs et
supérieurs
comme des secousses produites par la fermeture
ement à son accident.) Ces lésions sont les suivantes : sur la face
supérieure
du gros orteil du pied droit, la peau présente
Il existe en effet de chaque côté du pli interfessier, à sa partie
supérieure
, à gauche, une cicatrice blanche dirigée de bas
en développée physiquement; muscu- lature des membres inférieurs et
supérieurs
au-dessus de la moyenne, présen- tant partout u
haut que la malléole interne droite. L'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche est également située un peu plus haut qu
ire revient un peu dans ce membre; elle reste abolie dans le membre
supérieur
. - La sensibilité tend à devenir égale des deux c
re. Le malade quitte l'hôpital. Il subsiste une paralysie du membre
supérieur
droit et de l'épaule correspondante; les muscles
douleurs fulgurantes dans la jambe droite, plus tard dans le membre
supérieur
du même côté, et inégalité pupillaire intermitt
cture occupait les régions dorsale, lombaire et sacrée, les membres
supérieurs
plus que les inférieurs dans le cas unique de f
; tantôt, surtout pour la sensibilité,en sens inverse. Les membres
supérieurs
sont rarement pris sans que la respiration soit
réaction chargé de poids que l'on fait tenir à la main, le membre
supérieur
étant étendu. Les deux premières figures représ
ujet, l'avant-bras en demi-flexion, aussi à l'état normal; la ligne
supérieure
fournie par la main droite la plus faible, est
'aided'un tambour myographique appliqué sur les muscles des membres
supérieurs
et en particulier sur le biceps. La figure 11 a
r- latine. Le nez est large et les ailes épaissies. Les maxillaires
supérieurs
et inférieurs sont augmentés de volume d'une fa
pertrophie du thymus, notamment pas [de ma- tité derrière la partie
supérieure
du sternum ; il existe un peu de gonflement au-
s bras dont les dimensions laissent un peu à désirer. L'extré- mité
supérieure
toute entière offre l'image d'une hypertrophie al
iphérie. Aux extrémités inférieures, il en est de même que pour les
supérieures
. Ici Fir. 19 (Obs. XIV). L'ACROMÉGALIE. 51
férieur se trouvent placées un peu en avant de celles du maxillaire
supérieur
; les parties molles également sont épaissies au
n arrive à le sentir. La colonne vertébrale présente dans la partie
supérieure
de la région dor- sale une cyphose plane; la tê
laire est à en- viron un centimètre en avant de celle du maxillaire
supérieur
. 54 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
é farado-cutanée par la méthode de Erb donna à la face, aux membres
supérieurs
et inférieurs des chiffres normaux, sauf au niv
pour rechercher s'il trou- verait chez elle la matité de la région
supérieure
du sternum qu'il avait cons- tatée chez les deu
travail). Voici quels furent les résultats de sonexamen : la moitié
supérieure
du sternum et les parties du thorax immédiateme
e diminution de la sonorité a la . l'orme d'un trapèze dont la base
supérieure
mesure environ 12 cent., la base inférieure 8 c
nt., les bords latéraux 9 cent. La matité cardiaque . par sa partie
supérieure
se confond avec la limite inférieure de la zone q
r n o n ;- 7 r 4 c FiG. 29. Respiration (costale
supérieure
) de la malade Ant. E... à l'étal de repos pendant
ée par une crise de douleurs fulgurantes et la chute de la paupière
supérieure
gauche. Depuis cette crise, toutefois, le trait
destinées à être placées sous les ais- selles du patient. Le bord
supérieur
de la tige présente, de chaque côté, trois enco-
e,, on fera varier les dimen- sions du collier en plaçant la boucle
supérieure
de la- pièce dans le premier, le deuxième ou le
e ou le troisième des crans ou encoches qui se trouvent sur le bord
supérieur
de la tige dé fer ; plus la' tête est volu- min
e'par une demi-minute et on arrive ainsi progressivement au chiffre
supérieur
indiqué, lequel est atteint vers la sixième ou
muni à sa partie supé- rieure d'un crochet auquel se fixe le moufle
supérieur
duquel doit par- tir (et non de celui d'en bas)
ont légèrement- déprimées.' Lorsque le sujet est debout les membres
supérieurs
allongés le long du corps (pl. XIII), on voit d
es dents de celle-ci ne pouvaient s'adapter à celles de la mâchoire
supérieure
. Les lignes de la tête étaient peu ou pas altérée
du corps est principalement due à la cyphose arciforme de la partie
supérieure
de la région dorsale du rachis et à l'attitude pa
on des tempes et des oreilles. La partie de la région du maxillaire
supérieur
proche du nez est également anormalement développ
mites ordinaires. La lèvre inférieure est un peu plus grosse que la
supérieure
. L'arcade dentaire inférieure dépasse en avant
que la supérieure. L'arcade dentaire inférieure dépasse en avant la
supérieure
du 5 millimètres. L'ACROMÉGALIE. 99 Les bra
u niveau du corps thyroïde aucune altération appréciable. La partie
supérieure
du thorax est déprimée, l'infé- rieure élargie.
ie et l'analgésie sont complètes : cette zone occupe tout le membre
supérieur
gauche et se termine en manchon sur l'épaule. R
ain en flexion; de même, si l'on étend brusquement l'un des membres
supérieurs
, celui-ci reste ainsi fixé en extension. - El
de l'orbicu- laire. Cette contracture plisse fortement la paupière
supérieure
, ainsi qu'il est facile de le voir sur la planc
ntuent encore l'occlusion. Du reste, de temps en temps, la paupière
supérieure
est animée de mouvements convulsifs spontanés,
n de l'oeil n'est pas seulement complète; mais encore la pau- pière
supérieure
empiète sur l'inférieure. ce qui indique nettemen
se absolue de l'oeil gauche : lorsqu'on relève de force la paupière
supérieure
de cet oeil, et que l'on ferme l'oeil droit, la m
y a une zone d'aneslhésie légumentaire, com- prenant les paupières
supérieure
et inférieure, el s'étendanl dans une zone ' pé
paraissent, ainsi que d'autres contractures des muscles des membres
supérieurs
et inférieurs, qu'on enlève ensuite faci- lemen
nt externe de la malade : elles sont complètes dans tout le segment
supérieur
de la moitié ' gauche du corpsy compris le bras
périeur de la moitié ' gauche du corpsy compris le bras; le segment
supérieur
de la moitié droite , est bypoesthésique, la ma
mbre infé- rieur droit ont leur sensibilité normale. Mais le membre
supérieur
droit, y compris l'épaule, est hyperesthésié et
constate aussi que tous les muscles de l'épaule droite et du membre
supérieur
droit sont en imminence de contracture : celle-ci
à midi, des contractures se produisent spontanément dans le membre
supérieur
droit : le bras est en adduction contre le tronc,
asme avec amaurose et de ses arlbralgies avec contracture du membre
supérieur
droit. Tous les matins, on fait disparaître ces a
plus et ne s'est plus reproduite depuis. Les arthralgies du membre
supérieur
droit et les contractures qui les accom- pagnen
t de nature hystérique est venu s'ajouter aux arthralgies du membre
supérieur
droit : ce membre est incessamment agité de mou
XVII pour comprendre que les plis que l'on observe sur la paupière
supérieure
ne peuvent être attribués qu'à une contracture
e une zone d'anesthésie tégumentaire; elle com- prend les paupières
supérieure
et inférieure et forme une bande circulaire de
nt fermé; la malade peut toutefois faire mouvoir un peu sa paupière
supérieure
, mais sans réussir à romprelespasmc. Lorsqu'on lu
ce, le crâne et les membres infé- rieurs ; le thorax et les membres
supérieurs
sont presque complètement glabres. La tète es
eurs peu accusée, n'enlraîne aucune gène fonctionnelle. Aux membres
supérieurs
, même absence de poils que sur le thorax. Le mu
helle et celle de la main gauche jusqu'au 32. La longueur du membre
supérieur
prise de l'acr4miou .u.l'elrémité du médius est d
de repos, la longueur de la verge est de 8 centimètres sur la face
supérieure
. La circonférence prise au niveau du gland est de
anguette osseuse qui' passe au-dessus, et un déve- loppement un peu
supérieur
à la normale de la cavité glénoïde et de l'acro-
à; la consis- tance était partout assez grande sauf dans le segment
supérieur
qui offrait une mollesse à peu près égale à cel
ments fibrillaires de la face, si ce n'est au niveau de l'insertion
supérieure
du petit zygomatique du côté droit. Les lèvres
e alors des phrases absolument inintelligibles. Du côté des membres
supérieurs
, le tremblement est peu accusé lorsqu'on fait t
es tremblés absolument indéchiffrables. ' Pas plus dans les membres
supérieurs
qu'inférieurs nous ne constatons s de trembleme
'avant-bras; en bas, elle se termine brusquement à l'union du tiers
supérieur
et du tiers moyen du dos de la main, au niveau d'
one brun-rougeâtre est une plaque décolorée répon- dant à la moitié
supérieure
du dos de la main, plaque parsemée de quelques
ied d'Ivry il l'hospice de Bicêtre et pourra y retourner. Le membre
supérieur
droit pend flasque le long du corps;. il ne res
es. Pendant la marche, cet état d'extension persiste; . les membres
supérieurs
restent droits; les mains ne quittent guère le
agit d'un cas de paralysie agitante à forme hémiplégique. Le membre
supérieur
pré- sente l'attitude fléchie et le tremblement
ourbure latérale, concave à droite, au niveau de sa portion dorsale
supérieure
, et concave à gauche dans la- portion lombaire.
appuyant surtout sur le sol. ' ' Par contre, la position du membre
supérieur
gauche ne diffère en rien de l'attitude classiq
ement n'existe qu'à la main gauche; 'il n'apparaît jamais au membre
supérieur
. Les membres du côté droit sont indemnes de tou
eur musculaire sans paralysie proprement dite, l'attitude du membre
supérieur
gauche, la déformation de la main, le trembleme
es deux tiers infé- rieurs du visage, le cou, l'épaule et la partie
supérieure
de la poitrine : \ droite. , Il faut ajouter
s deux tiers infé- rieurs de la face, le cou, l'épaule et la partie
supérieure
de la poi- trine à droite ? ' ? La distributi
bas, au niveau de l'insertion du peaucier, en haut, sur les limites
supérieures
de la région fronto-pariétale; en dehors, le pa
attentivement la face, on constate que la moitié droite de la lèvre
supérieure
est animée de petites secousses qui se répètent f
a ses angles presque complètement effacés et dépasse le maxillaire
supérieur
de 2 centimètres et demi. Celui-ci, à son tour, p
se trouverait, comme d'habitude, à peu près au pubis. Les membres
supérieurs
se montrent également excessivement longs. Lais
Giosué Marcacci) dans la mesure du squelette entier. Or les membres
supérieurs
de Ghirlenzoni ont une longueur de 810 millimètre
suivant Marcacci à t 1,892 millimètres, de là résulte que le membre
supérieur
serait, par rapport au tronc, plus long de 100
oite; aussi, en est-il résulté une scoliose assez notable. La portion
supérieure
du coude ainsi formé est dirigée horizontalemen
externe de l'os iliaque se montrent très apparentes. Aux membres
supérieurs
, les phalanges méritent une mention tant pour l
culièrement sentir sur les artères qui se distri- buent aux parties
supérieures
du tronc (cou et tête), aussi ces artères devaien
pilepsie; mono-contractures fréquentes et passagères des extrémités
supérieures
et inférieures gauches. La malade est facilemen
uchant de la même façon le bord gauche, la face inférieure, la face
supérieure
de la langue, j'ai obtenu des contractures dans c
raide. Peu de temps après, le bras droit se raidit aussi. Le membre
supérieur
était contracture en flexion, les doigts fléchi
çât, la langue qui se trouvait ramassée dans la bouche et la partie
supérieure
du pharynx devait avec sa base fermer en grande
uchsine et l'acide acétique. -- L'hypertrophie du ganglion cervical
supérieur
du grand sympathique porte plus sur la gangue c
s nerfs qui le constituent. Portion cervicale. Le ganglion cervical
supérieur
gauche est très volu- mineux; il a conservé sa
avoir traversé les piliers du diaphragme, vient se jeter à l'angle
supérieur
gauche du ganglion semi-lunaire; il se continue
millimètres de hauteur; ils ne donnent aucune branche par leur bord
supérieur
concave, mais par leur bord inférieur convexe ils
re eux et descend jusqu'à l'origine des alvéoles. Les maxillaires
supérieurs
sent longs de 88 millimètres, soit 22 de plus que
'est que de 28 mill., d'où il résulte que le plan des incisives est
supérieur
d'environ 10 mill. à celui des molaires. - Le c
r d'environ 10 mill. à celui des molaires. - Le corps du maxillaire
supérieur
a en outre sa face antérieure concave, mais les
i, à la vérité, n'est pas rare; mais en outre on voit que le sillon
supérieur
destiné au passage de cette artère est converti e
es irréguliers qui prolongent en arrière les apophyses articulaires
supérieures
, analogues aux tubercules mamillaires de la premi
s, la longueur du bord spinal est de 1 centi- mètres, celle du bord
supérieur
est de 9 centimètres; en y ajoutant l'apophyse
s. ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 235 Les os des membres
supérieurs
n'offrent pas un développement aussi exubérant
et le dia- mètre transversal de 132 millimètres. Le plan du détroit
supérieur
a une inclinaison de 32° seulement, ce qui est
s. Foie : a son lobe droit doublé ou triple de volume; il la partie
supérieure
et moyenne une dépression froncée capable do co
très petit. Ovaires du volume d'un petit oeuf de pigeon. Membres
supérieurs
et inférieurs normaux; les supérieurs sont plus
petit oeuf de pigeon. Membres supérieurs et inférieurs normaux; les
supérieurs
sont plus volumineux relativement que les infér
rte que l'excès de nutrition somblait plutôt appartenir aux parties
supérieures
. L'état des dents, de la mâchoire, du foie, sem
acine transverse : longueur 33 mill. ; épaisseur 7 mill.). La paroi
supérieure
de la fosse zygomatique est plus ascendante que
e qu'à ceux d'un corps animé, se trouvent pleins d'une vigueur très
supérieure
à l'âge de notre miraculée, et aux forces qu'el
plus forte, plus agile, plus vigoureuse que jamais et non seulement
supérieure
à son âge présen- tement de soixante-seize ans
il y a prédominance de la paralysie et de l'atrophie dans le membre
supérieur
, dans l'autre, prédominance dans le membre inféri
ne dura que huit jours. En juin 1888, chorée malléatoire du membre
supérieur
droit qui persista pendant une dizaine de jours
uleurs. Ajoutons qu'il existe un très léger tremblement des membres
supérieurs
qui s'exagérerait au moment des éblouissements;
ur état normal. Quelque temps après, il a pu prévoir que son membre
supérieur
gauche allait s'atro- phier en voyant apparaîtr
l'autre sur la face externe de l'avant-bras, au niveau de sa moitié
supérieure
, il sentait bien le courant, mais les doigts ne
manchon circulaire' l'union du tiers inférieur avec les deux tiers
supérieurs
de l'avant-bras; analgésie incomplète de la paume
e cinq ans. A vingt-trois ans, douleurs très vives dans les membres
supérieurs
qui sont gonflés jusqu'aux épaules sans rougeur v
indiquent les période> d'état normal avant l'attaque. Les traits
supérieurs
sont relatifs au volume, les inférieurs à l'urée)
entiels azotés inférieurs, susceptibles de remplacer les pro- duits
supérieurs
, l'urée en particulier, dont la quantité est abai
n contact avec eux. Cette anesthésie s'observe en général au membre
supérieur
, et n'est pas toujours en raison directe du deg
sclérose latérale amyotrophique, étant donné l'atrophie des membres
supérieurs
débutant par les mains et l'exagé- : 11 NOUVELL
te pas sur les muscles des membres inférieurs. Réflexes des membres
supérieurs
normaux. Réflexes rotuliens très exagérés des d
ns. ' . , . ' Sensibilité à la douleur (fig. 81, 82). - Aux membres
supérieurs
elle est symétriquement abolie jusqu'à 2 traver
ies qu'abolies. Sensibilité au froid (glace) (fig. 85, 86). Membres
supérieurs
: com- ptt'tement abolie jusqu'au niveau des co
très prononcé. Réflexe pupillaire plus faible à gauche. - Paupière
supérieure
gauche ne se relève pas aussi bien que la droit
on à partir du trou palatin antérieur. En les regardant par la face
supérieure
, on voit que les deux lames internes ne sont pas
nte s'engage sur cette espèce de V, et sur la crête du maxil- laire
supérieur
qu'elles comprennent entre leurs deux bords obliq
urs deux bords obliques en arrière et en haut. Le bord alvéolaire
supérieur
est complètement édenté. En arrière il est arro
osses frontales qui dépassent en avant l'orbite; 2° les maxillaires
supérieurs
qui débordent l'os malaire. Ecartemenl entre le
proémine en avant, divisant en deux le bord antérieur du maxillaire
supérieur
. La partie supérieure est rectiligne en haut et u
visant en deux le bord antérieur du maxillaire supérieur. La partie
supérieure
est rectiligne en haut et un peu en arrière (su
xillaire. L'os malaire est normal. Cette étude du massif maxillaire
supérieur
prouve qu'il y a avant loul une dilatation rema
u spongieux abondant entourant le sinus. L'occipital dans la partie
supérieure
de son écaille, les pariétaux près de leur bord
a moitié gauche de la surface olfactive du sphénoïde; de là un bord
supérieur
concave en haut et un peu à gauche. La moitié g
au-dessus du sommet de l'apophyse, crisla-galli, ouvre l'extrémité
supérieure
des sinus frontaux, larges à ce niveau : le dro
s verticale, tendrait même à se déjeter un peu en arrière. Son bord
supérieur
est comme déchiqueté. Il est à 32 mill. de la rai
ieur. - Les quatre gouttières pétreuses sont très marquées. La face
supérieure
de l'apophyse basilaire est finement rugueuse (lo
pitale interne au trou borgne, 140 mill.; delà protubérance au bord
supérieur
de. la lame quadrilatère, 73 mill. Entre les an
la symphyse déborde en avant d'environ 20 mill. Les apophyses géni
supérieures
, très développées, sont de même en retrait sur
ur son bord libre. Sa face postérieure est très convexe et son bord
supérieur
notablement déjeté en avant. En outre, son angle
la saillie considérable du rebord alvéolaire inférieur en avant du
supérieur
; et par la saillie du menton en avant du rebord
est accrue. En somme, il y a courbure par compensation des parties
supérieure
et inférieure du rachis, la région dor- sale su
des parties supérieure et inférieure du rachis, la région dor- sale
supérieure
étant l'origine de la déformation. Cela est démon
'affaissement latéral, il existe une torsion des vertèbres dorsales
supérieures
; les apophyses transverses droites sont refoulées
ssement en hauteur et un élargissement notable; les bords des faces
supérieure
et inférieure sont des crêtes rugueuses et spongi
ure et inférieure sont des crêtes rugueuses et spongieuses. La face
supérieure
des 12° dorsale, 1 ? 2° et 3° lombaires présente
e son éten- due, regarde un peu en bas dans sa partie concave. Bord
supérieur
, normal. Les bord et face inférieurs sont voûté
ieur descend plus bas que le postérieur. Extrémité externe; sa face
supérieure
est envahie par les rugosités deltoïdiennes; le
angle rectangle à peu près isocèle, dont le sommet atteint la lèvre
supérieure
de l'épine, l'hypothénuse (2 mil.) longeant sa lè
ompris la tubérosité glénoïde), 116 mill. Hauteur maxima de la face
supérieure
de l'épine, 37 mill. Humérus. - Tête rugueuse,
'extrémité postérieure de la petite cavité sig- moïde à l'extrémité
supérieure
du bord externe. Face antérieure. La gouet- tiè
rtie moyenne un angle très obtus ouvert en dedans. Leurs extrémités
supérieures
sont un peu incurvées en avant. Main. - Sur auc
et bifurcation inférieure de la ligne âpre normaux. Tri- furcation
supérieure
très épaissie, la branche externe surtout. Angle
u jumeau et est entouré d'une gouttière demi-circulaire à concavité
supérieure
. Insertion du jumeau externe et gouttière popli
u condyle interne. Dimensions. - Longueur totale (il partir du bord
supérieur
du grand trochanter) 385 mill. ; largeur de la
arlie articulaire du condyle interne, 28 mill. Tibia. - Extrémité
supérieure
. Gouttière du 1/2 membraneux pas très marquée.
supérieure. Gouttière du 1/2 membraneux pas très marquée. Extrémité
supérieure
brisée en arrière; très spongieuse, mais peu de
de la diaphyse à la partie moyenne, 60 mill. Largeur de l'extrémité
supérieure
, 80 mill. (partie postérieure cassée d'où impos
, présente en haut des pointes et des crêtes tranchantes. Extrémité
supérieure
arrondie : elle a 30 mill. de diamètre et est f
2. Tloubles nerveux (d'une forme particulière de - des extrémités
supérieures
), 1, 2. Troubles trophiques (dans la paralysie
5. Troubles nerveux (d'une forme particulière de - des extrémités
supérieures
), par Blocq, 1. Syringomyélie (un cas de -),
eignement professionnel rend des services d'un ordre bien autrement
supérieur
. Il permet de donner à un certain nombre d'enfa
e section, quoique cepen- dant à une altitude encore très élevée et
supérieure
à la route stratégique qui contourne l'hospice
IIemb1'es. - Etant donnée la taille exiguë de Gr.. les membres tant
supérieurs
qu'inférieurs sont réguliers, égaux, pro- porti
rnis; les cils sont ! long ? , assez abondants par place; paupières
supérieures
très bouffies diminuant considérablement l'ouve
fies qu'à droite, aussi l'oeil droit est-il plus ouvert. A la lèvre
supérieure
, aux extrémités, il existe un léger duvet; aux
latéralement jusqu'à l'antitragus et en avant envahit les paupières
supérieures
. T. R. 39°,8. - Soir : 40°,3 (érysipéle). 25.
R. 39°,4. -Soir : 40°,3. 28. - Le cuir chevelu et la région faciale
supérieure
sont redevenus normaux ; l'oreille droite, la l
Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la partie inférieure du bras et
supérieure
de l'avant-bras droit par l'érysipèle; faible r
1 janvier. Poids : 20 kilogr. 700. 2 février. - Dentition. Mâchoire
supérieure
. Permanence des racines de la plupart des dents
nte. Th... ne prend que du lait. Gonflement très marqué de la lèvre
supérieure
et de la joue droite, qui est rouge et luisante
aut et de dedans en dehors. Les cils sont assez rares à la paupière
supérieure
, très rares à la paupière inférieure. On cons
s sur tout le reste du corps : aisselles, dos, thorax, anus, lèvres
supérieures
, joues. La peau a un aspect cireux, pâle. Les o
, et réciproquement, l'extrémité ceecale d'infé- rieure est devenue
supérieure
. Le tout forme une tumeur qui atteint une large
- Le foie atteint le rebord costal ; le diaphragme remonte au bord
supérieur
de la quatrième côte à droite, au bord inférieu
ure du grand sympathique paraissent absolument normaux; les parties
supérieure
et dorsale du grand sympa- thique sont de même
ore distinctement la trace, surtout sur la table externe; son tiers
supérieur
n'est pas ossifié et forme la plus grande parti
courbe que par un pli de passage se dirigeant du lobule pariétal
supérieur
à la première circonvolution occipitale; son extr
inférieure se trouve située à un centim. de l'extrémité postéro-
supérieure
de la scissure parallèle. Lobule orbitaire. - L
me circonvolu- tion frontale à la troisième. - La scissure frontale
supérieure
(Sa. f. s.) est très irrégulière, très sinueuse
e lentille (t.), tumeur un peu surélevée, énucléable et à la partie
supérieure
de laquelle la pie-mère est adhérente. La trois
ion pariétale ascendante (P A) est assez maigre. Le lobule pariétal
supérieur
(P,) est sinueux, bien développé; un pli de pas
out près du lobule de l'insula et atteint presque par son extrémité
supérieure
et verticale sa fente interhémisphérique; cette
L 0) nettement séparé du lobe temporal est relié au lobule pariétal
supérieur
par un pli de passage à niveau et au pli courbe
obule paracent7-al(LP), moyennement développé surtout à sa par- tie
supérieure
, présente vers son tiers inférieur un petitsillon
pé. - La fissure calcarine (F. ca), décrit une courbe à con- vexité
supérieure
. Le corps calleux, le corps strié, la couche op
ssure interhémisphérique pour s'arrêter à 4 millimètres de la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius. La scissure frontale
la lèvre supérieure de la scissure de Sylvius. La scissure frontale
supérieure
(Se. f. s.) est sinueuse, assez profonde, ainsi
(P. A.) est maigre, surtout à sa partie médiane. Le lobule pariétal
supérieur
(P,), irrégulier, est très découpé; des plis de
de la scissure inter-hémisphérique; elle est bifide à son extrémité
supérieure
et verticale et forme un )., représentant une s
ire interne (Se. p. i.) profonde se termine à 2 centimètres du bord
supérieur
de la fente interhémisphérique, sans aller rejo
e des lèvres et des conjonctives est également pâle ; les paupières
supérieures
sont légèrement gonflées. L'intelligence a su
ganglions; l'inférieur a une lon- gueur d'un centimètre et demi; le
supérieur
est beaucoup plus volumineux : il a une longueu
enfant, et nous constatâmes le même état de la peau sur les membres
supérieurs
et inférieurs, à l'abdomen et aux ieins, mais n
de que 19 dents, CACHEXIE l'ACHYDERMIQUE. 69 dont 9 à la mâchoire
supérieure
et 40 à l'inférieure. Elles sont d'ailleurs abs
ème dentition; ce sont les deux inci- sives moyennes, à la mâchoire
supérieure
; les autres sont des dents de lait1. Le visag
est plus fort que son congénère et descend jusqu'au niveau du bord
supérieur
de la rotule. Absence de l'instinct génital (Pa
bas étaient coupées, et il y avait une dent double dans la mâchoire
supérieure
du côté gauche, la dent cor- respondante du côt
alisé moyen. CACHEXIE PACHYDERMIQUE OPÉRATOIRE. 83 Les extrémités
supérieures
et inférieures sont déformées; les parties moll
encore la limite des épiphyses. Il en est de même pour l'extrémité
supérieure
du fémur. L'épiphyse du grand tro- chanter est
deux ans sans pouvoir bouger, avec les jambes raides ; la partie
supérieure
du corps était saine. Cette paraplégie guérit à
souple n'offrant rien de parti- culier. SYMPTÔMES. ion Membres
supérieurs
bien conformés, bien muscles, symétriques. Les
hiés. Peau bistrée, assez épaisse; duvet assez abondant à la partie
supérieure
du dos; quelques poils à la partie externe des
rneux. Submatité sous chaque clavicule. ,. Dentition. A la mâchoire
supérieure
dix dents de lait' et première molaire ; à la m
gauche contracture légèrement et d'une fa.çon intermittente. Membre
supérieur
gaucho flasque, les doigts cependant serrent lé
ueux, assez profond, communique en haut avec la scissure frontale
supérieure
. La scissure perpendiculaire externe ne pré- se
est beaucoup plus net dans la partie moyenne. La scissure frontale
supérieure
, si- nueuse, assez profonde, va se jeter dans l
le parallèle com- plète, prenant son origine à la scissure frontale
supérieure
et se terminant à 3 millimètres de la scissure
RCULOSE DE LA PROTUBÉRANCE. est coupée profondément à son cinquième
supérieur
par le sillon qui fait communiquer la scissure
périeur par le sillon qui fait communiquer la scissure fron- tale
supérieure
avec le sillon de Rolando, de telle sorte qu'on
le finit là, d'autant plus qu'elle envoie dans la scissure frontale
supérieure
, en avant, une sorte de crochet. La pariétale a
ée dans ses trois quarts inférieurs, très amaigrie dans son quart
supérieur
. Elle est sinueuse, nettement séparée du pli pa
art supérieur. Elle est sinueuse, nettement séparée du pli pariétal
supérieur
, elle communique à 1 centim. environ de la scis
scissure interpa- riétale à la scissure parallèle. Le pli pariétal
supérieur
est assez développé, très découpé dans ses part
es; il en est de même du pli de passage qui se rend du pli pariétal
supérieur
au lobe occipital. Le pli pariétal inférieur es
scissure parallèle est sinueuse, profonde, bifurquée à ses parties
supérieure
et postérieure et com- munique en bas avec un s
tion du corps calleux est assez développée et sinueuse sur son bord
supérieur
. Les scissures et les circonvolutions temporo-o
8 circonvolution interrompt la continuité de la scis- sure frontale
supérieure
qui est sinueuse et prend son origine dans le s
scissure frontale inférieure et descend presque jusqu'à la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius. La frontale ascendan
sinueux, va aboutir au sillon occipital transverse. Le pli pariétal
supérieur
très sinueux, très découpé, est assez bien déve
la moitié gauche et présente plusieurs bosselures : l°à sa partie
supérieure
un renflement de la grosseur d'un noyau de ceri
auche. Bouche déviée droite. Ptosis avec tuméfaction de la paupière
supérieure
droite. Strabisme externe et dilatation de la p
s. Une tumeur semblable, grosse comme une noix, se trouve à la face
supérieure
du lobe gauche du cervelet. - Tuberculose pulmo
es membres, troubles de la sensibilité. Ptosis léger de la paupière
supérieure
gauche; strabisme interne de l'oeil corresponda
. Hémiplégie gauche du corps avec un peu de con- tracture du membre
supérieur
. Assoupissement, toux, dys- phagie. Sensibilité
ntestinale et mésen- térique ; dans la moitié gauche et à la partie
supérieure
de la protubérance un tubercule cru, gros comme
tête tombe en ar- rière dès qu'on asseoit l'enfant. ' Extrémités
supérieures
. Le bras droit est rapproché du corps, fléchi
une tumeur .que contourne l'artère basilaire. L'artère cérébelleuse
supérieure
gauche pénètre très profondément dans le pont d
. 7 juin. Perte de connaissance. Rigidité spasmodique du mem- bre
supérieur
gauche. Disparition des vomissements. 12 juin.
TEMPÉRATURE. ' ' 127 Le réflexe rotulien était exagéré. Les membres
supérieurs
étaient contractures ; les mouvements du cou ét
, 49 cent. ? 2. 132 MÉNINGITE TUBERCULEUSE : IMBÉCILLITÉ. Membres
supérieurs
maigres et longs, épaules angu- leuses, saillio
ésentant encore des traces de trans- parence à la partie moyenne et
supérieure
du frontal, à la partie supérieure et antérieur
parence à la partie moyenne et supérieure du frontal, à la partie
supérieure
et antérieure des pariétaux. La base est symétr
épaissie au niveau de laface inférieuredcla protubérance; à la face
supérieure
du cervelet, elle devient plus mince, sans gran
e, envoie deux plis de passage à F2 et s'insère sur F A à sa partie
supérieure
. - 1<'2' aussi très sinueuse, offre deux ins
e. L'insertion de la première se fait également au niveau du bord
supérieur
; la seconde s'insère sur F A par deux insertion
uvre une masse ca- séeuse sous-pleurale à la partie moyenne du lobe
supérieur
. Elle a 2 cent. sur 1 cent. 1/2, s'énuclée faci
risés, sans tubercules ni ulcérations. Foie (470 grammes). Sa face
supérieure
est légèrement adhérente au diaphragme. Elle es
apables de déployer la moindre force. Les, mou- vements des membres
supérieurs
s'accompagnaient de tremblement; il pouvait par
es. L'abdomen et le rachis n'offrent rien de particulier. Membres
supérieurs
, normalement conformés; leurs dimensions sont s
oedème du cou. La res- piration est fréquente, avec le type costal
supérieur
, la voix est extrêmemeut sourde, voilée. La tou
râne, la dure-mère paraît adhé- rente aux os; le sinus longitudinal
supérieur
renferme du sang et des caillots. La calotte et
profond. - La pariétale ascendante est très large dans son quart
supérieur
, maigre à sa partie moyenne, atrophiée dans son
partie moyenne, atrophiée dans son quart inférieur. Le pli pariétal
supérieur
est atrophié ; le pli pariétal inférieur, au co
e, la moitié inférieure de la frontale ascendante, les deux tiers
supérieurs
de la pariétale ascendante, la moitié antérieure
que la frontale ascendante, mais très sinueuse. Le lobule pariétal
supérieur
est composé de circonvolutions très grêles. - L
eau de la partie antérieure de la première frontale, de la partie
supérieure
du lobe quadrilatère, et un peu sur le bord du
était incapable d'attention, ne pouvait plus marcher; les membres
supérieurs
étaient agités de tremblements, enfin il gâtait
givales hypertrophiées et détachées des dents surtout à la mâchoire
supérieure
. Voûte palatine assez large et peu profonde.
; les testicules sont de la dimension d'un petit haricot. Membres
supérieurs
: très grêles et très amaigris. Deux cicatrices
ous du sein gauche, tandis que le talon vient reposer sur la partie
supérieure
et interne do la cuisse droite et répondre à la
des genoux permettant d'allonger facilement les membres. Membres
supérieurs
: Le plus souvent, Ren... place les deux mains
te. Peu de diarrhée. Escharre du grand trochanter et de la partie
supérieure
de la crête sacrée. 29 Mars. Décédé à 11 heures
-dessus du rebord cos- tal ; le diaphragme atteint à droite le bord
supérieur
de la quatrième côte, à gauche le bord supérieu
t à droite le bord supérieur de la quatrième côte, à gauche le bord
supérieur
de la cin- quième côte. Les cavités pleurales
La scissure interpariétale est réduite à sa lèvre anté- rieure et
supérieure
, sa lèvre postérieure formant de oe côté la lim
ulier. - La scissure perpendiculaire externe est réduite à sa lèvre
supérieure
. - La scissure parafe est comprise entièrement
ie deux plis de passage à la seconde frontale. La scissure frontale
supérieure
ost dé- doublée dans son tiers postérieur. La s
e transversale profonde qui semble continuer la scis- sure frontale
supérieure
(1), dont elle est séparée par un pli de passag
ante est assez volumineuse et assez si- nueuse.- Le lobule pariétal
supérieur
est peu développé; quelques points voisins de l
ct un peu chagriné à son extrémité antérieure. La scissure frontale
supérieure
est profonde et sinueuse. La deuxième circonvol
ers moyen, au niveau de la lèvre inférieure de la scissure frontale
supérieure
, un petit kyste allongé le long de cette lèvre
cette incisure transver- sale communique avec la scissure frontale
supérieure
. Le lobule pariétal supérieur, assez volumineux
communique avec la scissure frontale supérieure. Le lobule pariétal
supérieur
, assez volumineux dans son ensemble, est un peu
et légèrement chagriné dans la partie située au-dessus de la lèvre
supérieure
de la scis- sure perpendiculaire externe. Le lo
un peu dans son tiers moyen et s'amincit de nouveau dans sa partie
supérieure
. Le pli pariétal supérieur est sinueux et assez
et s'amincit de nouveau dans sa partie supérieure. Le pli pariétal
supérieur
est sinueux et assez gros. - Le pli pariétal in
e également, son origine et près de sa terminaison. Le pli pariétal
supérieur
est 174 EXAMEN HISTOLOGIQUE. volumineux, sinu
n, trou de Botal oblitéré. Le diaphragme remonte à droite au bord
supérieur
de la 4e côte; à gauche, au bord inférieur do la
endante par une insertion très grêle, à 1 c. 1;2 au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère, de telle sorte que, entre ce b
st assez grêle à sa base,chagri- née et très flexueuse à sa portion
supérieure
. - Le pli pariétal supérieur est volumineux ; l
née et très flexueuse à sa portion supérieure. - Le pli pariétal
supérieur
est volumineux ; l'inférieur est, au DESCRIPTIO
convolution frontale, simple à son origine, présente un premier pli
supérieur
qui va s'insérer sur la frontale ascen- dante d
son tiers infé- rieur par une incisure incomplète et dans son tiers
supérieur
au-dessous des insertions de la première fronta
nte, très irrégulière, donne un fort pli de passage au pli pariétal
supérieur
, puis elle s'amaigrit, se recourbe en avant pou
amaigrit, se recourbe en avant pour se confondre avec l'extrémité
supérieure
de la frontale ascendante et interrompre le sillo
ascendante et interrompre le sillon de Rolando,. - Le pli pariétal
supérieur
est flexueux et assez développé. Le pli pariéta
e est analogue à celle d'un mamelon. La peau du dos, dans sa partie
supérieure
, est souple ; à la région lombaire, elle est du
.-Tête de forme un peu carrée, élargie transversalement à sa partie
supérieure
, avec saillie considérable des deux bosses pari
autres récentes ; une autre linéaire, de 2 centimètres, à la partie
supérieure
de la tempe gauche. Les arcades orbi- taires, e
Le nez, large à sa base, présente quel- ques cicatrices à sa partie
supérieure
. Bouche grande, lèvres épaisses. Face arrondie
lus grosse que celle de la gauche. Pas d'onanisme constaté. Membres
supérieurs
ordinaire- ment fixés dans la demi-flexion (con
qui touchent immédiatement par leur insertion antérieure à l'angle
supérieur
de la plaie sont gonflées^ mais ne paraissent p
dans son tiers inférieur, est moins développée dans ses deux tiers
supérieurs
, grêle vers sa partie moyenne. Le sillon de Rol
, est complète et profonde; cette dernière, interrompue à son tiers
supérieur
par un pli de passage grêle, allant du lobule p
rs supérieur par un pli de passage grêle, allant du lobule pariétal
supérieur
à la première circonvolution occipitale, se con
le dont elle n'est séparée que de 4 millimètres. Le lobule pariétal
supérieur
est sinueux, bien développé, ainsi que le lobul
ses. La scissure occipitale transverse coupe la scissure occipitale
supérieure
, puis l'inférieure, et n'est séparée de la scis
e transverse se trouve en arrière, part de la scis- sure occipitale
supérieure
et coupe la scissure occipitale inférieure. Ces
age transversal (de Gromier) assez grêle, allant du lobule pariétal
supérieur
, bien développé et très sinueux à la deuxième c
coupent pas la scissure occipitale inférieure. Los lobules pariétal
supérieur
et inférieur, le pli courbe, les circonvolution
aude, sans sécheresse. Extrémités froides et cyanosées, surtout les
supérieures
. Perte de connaissance complète. A 8 heures du
e fournit : 1° en haut, un sillon profond, divisant le pli pariétal
supérieur
en deux parties; 2° en bas, un sillon qui se bi
jet jusquo dans lo lit du premier sillon occipital. Le pli pariétal
supérieur
et le pli pariétal inférieur sont bien développ
t reliés par des plis de passage à ni- veau, allant du pli pariétal
supérieur
et du pli pariétal inférieurà 11- lacirconvolut
divise en deux parties, pour se terminer dans la scissure frontale
supérieure
, qui est sinueuse et profonde. A son quart post
ion et le sillon faisant commu- niquer les deux scissures frontales
supérieure
et inférieure ; un pli de passage grêle à nivea
ompt, vers sa partie moyenne, la continuité de la scissure frontale
supérieure
; deux autres plis de passage à niveau, larges,
ouveau coupée par un pli de passage à niveau allant du pli pariétal
supérieur
au pli courbe ; plus loin, elle se confond avec
nsverse occipital et le premier sillon occipital. Le pli pa- riétal
supérieur
est bien développé ; un pli de passage profond
e. p. f., Scissure parallèle frontale. Se. f. s., Scissure frontale
supérieure
. ' Se. f. i., Scissure frontale inférieure. S
nte. P. A., Circonvolution pariétale ascendante. P1, Pli pariétal
supérieur
. P2, Pli pariétal inférieur. Ps, Pli courbe.
au lieu de S il faut lire Se. S. Les lettres placées sur le bord
supérieur
de Tl doivent être lues Sc. S. au lieu de Se. Se.
fois des troubles semblables aux précédents. La névralgie des dénis
supérieures
semble les provoquer plus facilement. La lésion
e suivant le siège de la lésion dans le corps genouillé, une lésion
supérieure
dans le corps genouillé amenant des scotomes infé
ysie de l'abduction. l'ig. 4J. (A) Diplopie verlicale, fausse image
supérieure
. OEil en bas, fausse image en haut, paralysie d
pédonculaire, les fibres du facial et du M. 0. E, dans la partie
supérieure
de la protubérance, les fibres motrices des mem
(fig. 55 A.) Syndrome type Foville dans la lésion protubérantielle
supérieure
: 5 ? [POULARDE Fig. 52. La croix indique l
gauche). (B) Syndrome type Foville dans les lésions protuleraticlles
supérieures
(les deux yeux regardent à droite). PARALYSIE
ndrome se rencontre dans « les lésions de la calotte de la partie
supérieure
de la protubérance ». Syndrome de Babinski-Nage
étage inférieur du pédoncule; elles occupent probable- ment l'étage
supérieur
(la partie voisine de la couche optique). Dans
IES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 1 7 ! 1 région protubérantielle
supérieure
, avant celui des fibres du facial (Voir syndrom
radiations optiques; d) lésions du pédoncule cérébral dans l'étage
supérieur
(faisceau de la calotte), au voisinage de la couc
nies les fibres du centre antérieur) ; e) lésions protubérantiellcs
supérieure
, moyenne et inférieure. La déviation conjuguée
té (fig. 53 A). Syndrome type Foville par lésion protubérantielle
supérieure
: para- lysie de l'oculogyre d'un côté; paralys
voies intra-céréhrales. Tumeurs du 4° ventricule. Polioencéphalile
supérieure
. Paralysie bulbaire asthénique. Sclérose en plaqu
'est-à-dire si la lésion siège avant le relais du ganglion cervical
supérieur
. L'ésérine produit un myosis maximum ajoutant le
elle s'élève et se. porte en dehors pour se cacher sous la paupière
supérieure
. Ces phénomènes existeraient le premier chez 41
ÈRES PTOSIS paralytique. Paralysie DU 11ELE\'EIiII de LA paupière
supérieure
. Symptômes. Le ptosis ou chute de la paupière s
A paupière supérieure. Symptômes. Le ptosis ou chute de la paupière
supérieure
se pré- sente sous des aspects cliniques variés
beaucoup d'autres affections, avec abaissement réel de la paupière
supérieure
, la distinction du vrai ptosis est beaucoup plu
leveur de la paupière, soit au muscle frontal, soit au muscle droit
supérieur
, élévateur du globe oculaire. 1..\GOI'IITAL)I
lysie faciale périphérique, totale, intéressant à la fois le facial
supérieur
et le facial inférieur, on est frappé par ce fait
splié.no-palatin, le traversent, pénètrent dans le nerf maxilllaire
supérieur
, puis dans son rameau orbitaire lequel- s'anast
on de uasser el les trois branches du trijumeau; G, nerf maxillaire
supérieur
; II, rameau orbilaire du maxillaire qui anastom
e, une absence de sy- nergie, entre les mouvements de la paupière
supérieure
et ceux du globe. Quand le ma- lade regarde e
re et ceux du globe. Quand le ma- lade regarde en bas la paupière
supérieure
s'ahaisse moins vite que le globe, elle s'attar
res années, on voit apparaître un nystagmus persistant; les membres
supérieurs
se niellent à trembler dans les mouvements volo
treux superficiel, le nerf vidien, le ganglion le nerf maxillaire
supérieur
et son rameau orbitaire anastomosé avec le nerf l
ssi bien que de l'excitation du rameau orbitaire du nerf maxillaire
supérieur
, la diminution de la sécrétion lacrymale dans la
compliqué : celles qui partent du noyau ventral contournent l'olive
supérieure
en lui abandonnant quelques fibres, mais vont s
REILLE ET LE SYSTEME NERVEUX. 125 tricule, gagnent les unes l'olive
supérieure
et, les autres, plus- nom- breuses, l'olive sup
unes l'olive supérieure et, les autres, plus- nom- breuses, l'olive
supérieure
du côté opposé en s'entrecroisant avec celles q
nerf optique.. Les fibres auditives condensées au niveau de l'olive
supérieure
forment le faisceau acoustique qui occupe la pa
contrer dans la continuité des sons ou n'exister que pour la limite
supérieure
des sons, ce qui, pour les partisans de la théo
appeler que son territoire de distribution est localisé à la partie
supérieure
des fosses nasales au-dessus du bord libre du c
tie supérieure des fosses nasales au-dessus du bord libre du cornet
supérieur
et surtout sur la face supérieure de celui-ci;
au-dessus du bord libre du cornet supérieur et surtout sur la face
supérieure
de celui-ci; qu'à ce niveau on trouve des cellu
anté- rieur de Broca, serait l'aboutissant de la racine accessoire
supérieure
et occuperait surtout la partie orbitaire de la
tie orbitaire de la 5° frontale.' Enfin un troisième centre, centre
supérieur
de Broca, se trouverait à la partie antérieure du
ent en appliquant les électrodes au-devant du tragus et à sa-partie
supérieure
; il y aurait là un véritable « point d'élection
ivre (paralysie des membres inférieurs). Les parésies des mem- bres
supérieurs
sont d'ordinaire en rapport avec les mouvements p
aralysant de Gercer, au cours de l'évolution de la polioencéphalile
supérieure
, aiguë, s'observent également des périodes de s
exes persistant malgré une fonte musculaire déjà intense. Le facial
supérieur
est toujours intact dans les paralysies bulbair
, TROUBLES DE L'ÉCRITURE.- 207 L'impotence; fonctionnelle du membre
supérieur
droit chez les droi- tiers, gauche chez les gau
a coupées horizontalement par moitié et dont on a enlevé la partie
supérieure
(F. Moutier), il s'agit donc de deviner le mot al
transformer les sensations sim- ples ou élémentaires en sensations
supérieures
ou perceptions propre- ment dites. Elle' représ
leur apparaît, leur donne des conseils. Ils croient être des êtres
supérieurs
, surhumains. L'idée déli- rante, chez eux, revê
ercice des droits civils; 2° S'il reçoit un nombre de pensionnaires
supérieur
il celui fixé par l'ordonnance d'autorisation;
) et se rendant au cervelet par les pédoncules cérébelleux moyen et
supérieur
. 5" Neurone cérébello-olivai°e. De l'écorce cér
ut-être aussi du même côté, en passant par le pédoncule cérébelleux
supérieur
, pour s'entre-croiser dans la protu- bérance (c
euvent revêtir la topographie radiculaire (voir fig. 5) aux membres
supérieurs
, 8`' cervicale et 1 dorsale). Habituellement bi
us, et l'on compare avec le côté opposé. A l'état normal, le membre
supérieur
peut reconnaître des poids de '1/iU de différen
ités des membres qu'à leur racine, plus intense également au membre
supérieur
qu'au membre inférieur ou encore qu'à la face e
l'ait enfin partie du tableau clinique du « syndrome prolubéranliel
supérieur
» de Raymond et Cestan('). Ce syndrome se carac
e plus ou moins haut sur le tronc, sans dépasser jamais les membres
supérieurs
. Les deux membres inférieurs peuvent être attei
de l'anesthésie dépend du siège de la lésion médullaire; sa limite
supérieure
correspond à la distribution cutanée des racines
que celle des filets nerveux Fig. 20. Territoires cutanés du membre
supérieur
. Schéma, d'après Soulié. . (Territoire des nerf
. 21. Distribution radiculaire des nerfs du plexus brachial au membre
supérieur
. Schéma d'après les données de )lad, de Thornbu
hémas donnés par les auteurs, sensiblement les mêmes pour le membre
supérieur
, différent notablement entre eux pour le membre
r l'agent comprimant. La disposition de l'anes- thésie, à sa partie
supérieure
, est donc un élément précieux de diagnostic [RO
compressions cervi- cales et dorsales su- périeures, la limite
supérieure
de l'anes- thésie correspond à peu près au ni
? dorsale); elle peut occuper quelquefois le bord radial du membre
supérieur
(5", 6e racines cervicales). Rarement au début,
é clair) tactile et douloureuse, il topographie radiculaire (membre
supérieur
: 6 ? Cv, et accessoirement Cyl Il; membre infé
sitifs, dans la syringomyélie, occupent le plus souvent les membres
supérieurs
et le tronc, plus rarement les jambes. Ordinaire-
; l'anesthésie en tranche sur les membres, se prolonge à sa limite
supérieure
, suivant une hande parallèle au grand axe de ce
achial (schéma d'après Brissaud). S. moelle épinière; M S, membre
supérieur
; BR, renflement brachial de la moelle; A, B, C,
B, C, métamères du tronc; il, 2, 5, centres métamériques du membre
supérieur
; z, ? s", zones de sensibilité circulaire du me
embre supérieur; z, ? s", zones de sensibilité circulaire du membre
supérieur
correspondant aux centres métamériques 1, 2, 5 ;
otrices; elles se présentent suivant des types différents : A) Type
supérieur
(Duchenne, Erb). L'anesthésie occupe les région
C) Type total. Dans ce type, l'anesthésie s'étend à tout le membre
supérieur
; elle occupe la main et l'avant-bras et s'arrête
alysie motrice, occupe des régions appartenant à la fois au segment
supérieur
et au segment inférieur du plexus (5e, 7e et 8e r
es sensitifs dans tous les cas de phénomènes doulou- reux du membre
supérieur
; ce qui a permis à Dejerine et à ses élèves d'i
-sacré. Habituellement dans les cas de lésion de la région lombaire
supérieure
, la moelle épinière (qui descend jusqu'à la 2°
ntes le long de la face. postérieure des cuisses jusqu'à leur tiers
supérieur
ou moyen; de la marge de l'anus, du coccyx, du
face interne et antérieure de la jambe et de la cuisse. Les limites
supérieures
précises de L,; sont encore incertaines ainsi que
, le plus souvent, on observe des troubles sensitifs soit au membre
supérieur
(type cervical ou cervico-dorsal), soit au membre
sur le tronc ; plus marqués aux membres infé- rieurs qu'aux membres
supérieurs
(dans les cas de névrite des quatre membres) ;
uivant une ligne franche. 'Mais il est à remarquer que cette limite
supérieure
ne forme pas une ligne perpendiculaire, mais ob
t de gant, en gant, en manchette, en gant de soirée, pour le membre
supérieur
. Au membre intérieur, c'est l'anesthésie en cha
Fig. ili. lléiniaiiestliésie hystérique, plus marquée il la partie
supérieure
du corps. (Cas l'uuru..., l31ci'lrc, 1903). 5
sens proximal; elle est plus marquée au niveau des membres (membre
supérieur
surtout) que sur la face et le tronc et entraîn
ne retrouve que les deux ou trois points maxima par zone. La limite
supérieure
et inférieure de ces zones est absolument nette
ccipitale, rostrale, maxillaire, mandibulaire, hyoïdienne, laryngée
supérieure
et inférieure, naso-labiale, mentonnière, steI'
me thalamique de Dejerine et Roussy, du syndrome pro- tuh0ralll.iel
supérieur
de Raymond et Cestan. [ROUSSY.] 5 72 ` ? ' '
s de la partie antérieure du cuir chevelu, du front, de la paupière
supérieure
;, de la racine et du lobule du nez, par des doule
elle se traduit par des douleurs au niveau du front, de la paupière
supérieure
, de la racine du nez. La névralgie des nerfs ci
larmoiement, du blépharospastuc. La névralgie du nerf maxillaire
supérieur
a, pour expression sytnp- tomaticlnc, des doule
le antérieure, de la face cutanée et muqueuse de la joue, des dénis
supérieures
. Les points douloureux principaux de cette névr
sur la face antérieure du poignet. Souvent les névralgies du membre
supérieur
sont limitées aux nerfs cutanés, les gros tronc
domen, la région fessière, les organes génitaux externes, la partie
supérieure
de la cuisse. La névralgie s'accompagne de diff
grand trochanter et la tubérosité de l'ischion, les points fémoraux
supérieur
, moyen et inférieur il la partie postérieure de l
rivée il 5 centimètres la pointe louche le tronc du nerf maxillaire
supérieur
sortant du trou grand rond au plafond de la fos
, qui comprend les canaux du diploé des os maxillaires inférieur et
supérieur
, le canal dentaire infé- rieur il son orifice s
e appro- priée, l'orifice du canal dentaire est pénétré à son épine
supérieure
par une aiguille recourbée, de même l'orifice d
de tiicbat. en arrière ! de la face postérieure de l'os maxillaire
supérieur
, pour arriver dans la fente plérygo-maxillaire.
rond. (D'après Sicard.) Fig. 4. Trou grand rond. Le nerf maxillaire
supérieur
B, au sortir du trou grand rond, parcourt d'arr
ssion, au niveau des membres inférieurs comme au niveau des membres
supérieurs
. Nous examinerons les réflexes les plus usuels en
otulien inférieur et les éminences theuar et hypotbénar sur le hord
supérieur
de la rotule. On donne alors un choc bref et lé
réflexe, fait examiner l'oeil du malade et fait relever la paupière
supérieure
par un assistant. Kronig percute le tendon aprè
artie inférieure de la cuisse, les deux pouces appuyant sur le bord
supérieur
de la rotule et pressant cet os fortement en ba
obable que, dans ces cas, il s'agit de lésions limitées à la partie
supérieure
de la moelle, de lésions discrètes méningo-vasc
uil la paraplégie flasque. '20 Exagération des réflexes des membres
supérieurs
. L'exagé- ration des réflexes des membres supér
es des membres supérieurs. L'exagé- ration des réflexes des membres
supérieurs
est souvent caractéristique de la sclérose laté
plus qu'au niveau des membres inférieurs. L'atrophie des membres
supérieurs
associée à l'exagération des réflexes des membres
amyo- trophique. L'exagération des réflexes tendineux des membres
supérieurs
est également souvent symptolnatiqlle de; la sg
calisation cervicale. Enfin, l'exagération des réflexes des membres
supérieurs
peut s'ob- server au cours des affections artic
des réflexes se manifeste par l'exagération des réflexes du membre
supérieur
, par l'exagération du réflexe patellaire, par l
vant quelques ailleurs, elle est plus marquée au niveau des membres
supérieurs
, souvent le réflexe massétérin est exagéré. Quelq
e avec une zonesus-jacente d'anesthésie et une zone d'hyperesthésie
supérieure
à la précédente; enfin, -du côté opposé à la lési
d'ordinaire sont : . 1 Les réflexes abdominaux (inférieur, moyen et
supérieur
) que l'on désigne encore sous le nom de réflexe
e ces connexions, de ces cellules motrices avec les centres nerveux
supérieurs
. Comment les cellules motrices reçoivent-elles
les cellules motrices reçoivent-elles l'influx nerveux des centres
supérieurs
? ' ? Suivant Van Gehuchten, il y aurait deux v
plégie disparue. Pour explorer l'étal des mouvements dans le membre
supérieur
, le mieux est de dire au malade de déboutonner
tout un côté du corps. Ils ne peuvent pas remuer du tout le membre
supérieur
, les mouvements du membre infé- rieur sont ordi
n en dehors, extension des doigts, élévation du bras pour le membre
supérieur
; pour le membre inférieur, mécanisme du raccour
a grosse extrémité du côté sain. Les muscles innervés par le facial
supérieur
participent assez souvent aussi il cette parési
airement observés con- siste dans un mouvement de flexion du membre
supérieur
paralysé qui se produit pendant le bâillement o
nt de douleurs dans les membres paralysés, surtout dans les membres
supérieurs
; ces douleurs HÉMIPLÉGIE. ! (i7 sont souvent
terminent pas de paralysies localisées, de nionopif. gies du membre
supérieur
ou inférieur, ou d'un segment de membre- HÉMIPL
t de la fente palpébrale avec ptosis léger. Syndrome protubérantiel
supérieur
(Raymond et Cestan) : d'un côté incoordination,
la paralysie est plus marquée pour le membre inférieur que pour le
supérieur
. Ce qui permettra le mieux de faire le diagnost
t de les recourber fortement dans le sens de l'extension. Le membre
supérieur
et le membre inférieur sont, dans cette forme,
it un tremblement, des mouvements involontaires dans tout le membre
supérieur
du côté droit, atteint du reste d'une légère hé
d'un bâillement par exemple et se passent surtout dans les membres
supérieurs
: du côté [CROUZON.] 478 MOUVEMENTS ASSOCIÉS.
phénomène a pour résultat de cacher la pupille derrière la paupière
supérieure
: ce signe est également un signe de paralysie or
SSOCIÉS. coude, dès que le malade s'assoit sur son lit, les membres
supérieurs
se placent en demi-flexion, l'extension complèt
e est impossible. Cette constatation du signe de Kernig aux membres
supérieurs
a été faite par plusieurs auteurs : Chauffard (
e soient la fréquence et la valeur de cette contracture des membres
supérieurs
dans, les méningites, c'est surtout au signe de
s ce cas, une céphalée, une légère paralysie du membre inférieur et
supérieur
du côté gauche était le seul symptôme clinique, e
e. Dans certains cas, la paralysie s'accuse da- vantage aux membres
supérieurs
, paraplégie cervicale. -' Examen du malade. Le
t examen local par un examen général du sujet (troubles des membres
supérieurs
, état des yeux, signe d'Argyll, .psychisme). La
avant. Ils figurent le sommet de deux triangles Ù base opposée, le
supérieur
ayant les cuisses pour côtés, les jambes dessin
dissociation syringomyeliquc. La température du membre paralysé est
supérieure
il celle de l'autre cote. Du côté croisé la inu
Elle est surmontée d'un petit ruban d'bypercstbesie dont la limite
supérieure
comcide avec la bande d anestbesie du côte direct
livre il de multiples contorsions du tronc, du visage, des membres
supérieurs
. Les jambes sont jetées latéralement, niais ave
s réflexes aux quatre membres, débutant à vrai dire par les membres
supérieurs
, l'autre d'atrophie intense avec disparition de
lysie est progres- sive, spasmodique, prononcée surtout aux membres
supérieurs
. Cette évolution est fort longue, atteint des a
ation des réflexes. Les principaux troubles intéressent les membres
supérieurs
: contrac- ture, thcrmo-anesthesie et analgésie
dire toujours de l'exagération des réflexes ten- dineux aux membres
supérieurs
, même lorsque ceux-ci ne présentent aucun troub
rminer des plaques de sclérose produisant la spasticité des membres
supérieurs
, du nystagmus, des troubles de la parole, tout le
araplégiques de Erb, l'exagération des réflexes au niveau du membre
supérieur
est loin d'être exceptionnelle. . PARAPLÉGIE. 5
scen- dante a la période terminale et atteint le tronc, les membres
supérieurs
, les centres bulbaires. On se rapproche alors s
ébrile, atteignant d'abord les membres inférieurs, puis les membres
supérieurs
, les cen- tres bulbaires enfin. Les sphincters
tétraplégie flasque, progressive, il évolution rapide. Les membres
supérieurs
sont pris les derniers, mais récupèrent les pre-
e, l'anesthésie remonte plus ou moins haut sur le tronc : la limite
supérieure
est une ligne transversale il peu près horizontal
t quinze ans, quelquefois plus tôt. Souvent le tronc et les membres
supérieurs
sont atteints. Les malades peuvent marcher d'or
ils peuvent présenter du nystagmus et du tremblement des membres
supérieurs
auquel ne participe point la tète. Une telle desc
il suffit de retenir seulement qu'ils peuvent exister. Les membres
supérieurs
sont indemnes d'ordinaire, il n'y a pas d'amyo-
pondante : z1 dans la région cervicale; 2 dans la région dorsale
supérieure
; 5 dans la région dorsale inférieure (6 ? H" v
re de Chipault qui les additionne. Ainsi, si la limite transversale
supérieure
de la paraplégie anesthésique correspond a la 1
cruter les parties sus- et non sous-jacentes. Syndrome cervical
supérieur
. Les com- pressions de la moelle cervicale po
déterminantes; les troubles peuvent être plus intenses aux membres
supérieurs
. Les désordres sphinctériens sont inconstants.
ant parfois les membres dans un ordre quelconque, soit une diplégie
supérieure
avec pseudo-névralgie sur les trajets radi- cul
ysie radiculaire totale, soit les types de la paralysie radiculaire
supérieure
ou inférieure. L'atteinte du centre cilio-spinal
racines émergentes établit une discordance variable entre la limite
supérieure
des troubles observés et la hauteur de la lésio
ibilité attei- gnant en avant le pli inguinal, en arrière la limite
supérieure
du sacrum avec anesthésie tout particulièrement
nction d'un ou de plusieurs d'entre eux ('). I. MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
MUSCLES DE L'ÉPAULE Deltoïde. Insertions. Le
vrose qui le recouvre. En dehors, il prend insertion sur la facette
supérieure
de la grossi ! tubérosité de l'humérus. Innerva
. Réciproquement, le deltoïde intact compense les MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
. M5 effets de la paralysie du sus-épineux. Duch
Petit rond. Insertions. Le petit rond s'insère : 1° sur la moi- tié
supérieure
de la facette étroite et longitudinale qui s'éten
ion. Deux nerfs distincts provenant du plexus brachial : 1° le nerf
supérieur
du sous-scapulaire innerve les faisceaux supérieu
ial : 1° le nerf supérieur du sous-scapulaire innerve les faisceaux
supérieurs
du muscle ; 2° le nerf inférieur du sous-scapul
, cette expansion tend l'aponévrose antibrachiale, fixe l'insertion
supérieure
des muscles de la MUSCLES DU MEMBRE SUhi ? P'f;
st un muscle constitué par trois portions distinctes à leur origine
supérieure
et qui se réunissent en bas pour prendre insert
longue portion et du vaste interne, naissent du radial à la partie
supérieure
du bras, le rameau du vaste externe naît plus b
ance à se pro- jeter en avant et en dehors, entraînée par le membre
supérieur
dans cer- tains actes, comme' celui de frapper
almaire, le petit palmaire, le cubital antérieur; MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
. 527 7 le second plan contient le fléchisseur c
en s'insère sur le bord interne de l'olécrane et sur les deux tiers
supérieurs
du bord posté- rieur du cubitus. En bas, le ten
languettes chacun, sur les côtés interne et externe de l'extrémité
supérieure
de la deuxième phalange des : 2". ") ? 4" et 5e d
eur commun profond des doigts s'insère en haut sur les trois quarts
supérieurs
de la face antérieure et de la face interne du
langes fortement et amènent même la subluxation de leur extrémité
supérieure
. Quand le fléchisseur superficiel est seul paraly
ère en haut sur la face antérieure du radius, dans ses trois quarts
supérieurs
et sur le tiers externe du liga- ment interosse
ne. En bas, le ten- don du muscle se fixe en arrière de l'extrémité
supérieure
ou base du deuxième métacarpien. ? Innervatio
ssible grâce à la contraction simultanée des deux MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
. 551 autres extenseurs, le premier radial exter
ubitus située au-dessous de la petite cavité sigmoïde, sur le quart
supérieur
du bord externe du cubitus, sur la par- tie pos
postérieure du ligament annulaire de l'articulation radio-cubitale
supérieure
, sur le ligament latéral externe de l'articulatio
nent de l'épicondyle. Le muscle court supinateur contourne le tiers
supérieur
du radius et vient s'insérer sur la face extern
as, le tendon du muscle s'insère sur le côté interne de l'extrémité
supérieure
du cinquième métacarpien. Innervation. Nerf rad
es rameaux que ce nerf envoie au vaste externe. MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
, 5 5 Physiologie. L'anconé est extenseur de l'a
bducteur. Il se termine en bas sur le côté externe de l'extré- mité
supérieure
de la première phalange du pouce et envoie une ex
fixent a l'os sésamoïde interne, et au côté interne de l'extrémité
supérieure
de la première phalange du pouce. Innervation.
mènent la flexion et l'adduction du premier méta- MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
. 555 carpien, la flexion de la première phalang
nne du médius, se termine sur le tendon extenseur MUSCLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
. 557 du médius; le troisième lombrical, situé s
ise en deux portions : une courte portion qui se fixe a l'extrémité
supérieure
de la première phalange sur le côté corresponda
la face externe du grand trochanter. , Innervation. Nerf fessier
supérieur
, branche du plexus sacré. Physiologie. Les fais
s, le tendon du muscle s'insère au bord antérieur et un peu au bord
supérieur
du grand trochanter. Innervation. Nerf fessie
au bord supérieur du grand trochanter. Innervation. Nerf fessier
supérieur
, branche du plexus sacré. Physiologie. Quand le
dehors : son tendon terminal se fixe sur la partie moyenne du bord
supérieur
du rirancl lrocll,lnlcr. Innervation. Nerf du p
al, rameau du plexus sacré. Jumeaux pelviens. Insertions. Le jumeau
supérieur
s'il ! - sère sur la face externe et le bord in
hanter. MUSCLES DU MEMBRE INFÉRIEUR. 541 Innervation. - Le jumeau
supérieur
est innervé par un rameau spe- cial du plexus s
la bandelette de Maissiat. Innervation. Hameau issu du nerf fessier
supérieur
, branche du plexus sacré. Physiologie. Le ten
e la cuisse et vient s'insérer sur la partie interne de l'extrémité
supérieure
du tibia en avant de la tubérosité interne. Il
ur les faces antérieure et externe du fémur dans leurs trois quarts
supérieurs
. Les quatre portions du quadriceps convergent e
fémur dans son tiers inférieur et vont se perdre sur le cul-de-sac
supérieur
de la synoviale du genou. Le muscle sous-crural
ule en dehors. Le faisceau sous-crural attire en haut le cul-de-sac
supérieur
et la synoviale du genou et l'empêche ainsi d'ê
he ascendante de l'ischion. En bas, le tendon se fixe sur la partie
supérieure
de la face interne du tibia où il contribue Ù for
rtie la plus élevée de l'inter- stice de la ligne âpre, un faisceau
supérieur
qui se rend il la branche de bifurcation extern
le dit tubercule du troisième adduc- teur qui est situé à la partie
supérieure
et interne du condyle interne du fémur. Inner
and adducteur est adducteur de la cuisse, il détermine par son chef
supérieur
et son chef moyen la rotation de la cuisse en deh
n bas son tendon prend insertion sur le côté interne de l'extrémité
supérieure
du tibia en constituant, avec les tendons du droi
ambier antérieur), sur la face interne du tibia dans ses deux tiers
supérieurs
, sur la partie interne du ligament interosseux, s
ches terminales du sciatique poplité externe. Il reçoit à sa partie
supérieure
un petit rameau venu directement du sciatique p
sère en haut sur la tubérosité externe du tibia, sur les deux tiers
supérieurs
de la face interne du péroné, sur la partie ext
la partie antérieure et externe de la tête du péroné, sur le tiers
supérieur
de la face externe de cet os, sur la face profo
péroné, sur la moitié postérieure de son bord externe, sur le tiers
supérieur
de sa face postérieure, puis sur la ligne obliq
orte obliquement en bas et en dedans et vient se fixer sur la lèvre
supérieure
de la ligne MUSCLES DU MEMBRE -INFÉRIEUR. 551
éroné située en arrière du ligament interosseux, sur les deux tiers
supérieurs
de ce ligament interosseux, sur les cloisons fi
tenseur des orteils s'insère en arrière sur la partie antérieure et
supérieure
du calca- \1(\urrt, sur le. tissu fibreux situé
yse mas- toïde, en partie sur la portion externe de la ligne courbe
supérieure
de l'occipital; le chef claviciilaire s'insère
ef sternal avec lequel elles se confondent, gagnent la ligne courbe
supérieure
de l'occipital, et se terminent sur la partie e
dont le tendon terminal vient se fixer sur le tubercule de la face
supérieure
de la première côte (tubercule de Lisfranc). Le
deux faisceaux : le faisceau antérieur vient s'insérer sur la face
supérieure
et le bord externe de la première côte, le faisce
d externe de la première côte, le faisceau posté- rieur sur le bord
supérieur
et la face externe de la seconde côte. Innervat
re postérieur. Le ventre postérieur s'insère en arrière sur le bord
supérieur
de l'omoplate immédiatement en dedans de l'écha
Physiologie. Il y lieu d'envisager l'action distincte des faisceaux
supérieurs
et inférieurs du muscle. La partie supérieure, fo
stincte des faisceaux supérieurs et inférieurs du muscle. La partie
supérieure
, formée par les fibres claviculaires et costale
partie supérieure, formée par les fibres claviculaires et costales
supérieures
, porte l'épaule en avant et en haut (attitude d
toral. Insertions. Le petit pectoral s'insère en dedans sur le bord
supérieur
et la face externe des 5°, 4" et y° côtes. En h
ns. Le grand dentelé peut être divisé en trois portions. La portion
supérieure
, légèrement oblique en bas et en avant, naît de
supérieure, légèrement oblique en bas et en avant, naît de l'angle
supérieur
du scapulum et se fixe par deux digitations sur
n moyenne du muscle produit isolément ce même mouvement. La portion
supérieure
fait exécuter à l'omoplate un mouvement de basc
te qui est au-dessus et, d'autre part, sur la lèvre interne du bord
supérieur
de la côte, qui est au-dessous. Les faisceaux d
portent en bas et en dehors et se terminent en éventail sur le bord
supérieur
de la face externe de la côte située au-dessous
après. Le nombre de ces muscles est très variable, les sous-costaux
supérieurs
l'ont très sou- vent défaut ainsi que certains
la sixième côte est transversale et se continue avec les faisceaux
supérieurs
du transverse de l'abdomen, les digitations sui
t se rappro- chent d'autant plus de la verticale qu'elles sont plus
supérieures
. Innervation. Nerfs intercostaux. Physiologie
de la foliole latérale, s'insè- rent sur la face interne et le bord
supérieur
des six dernières côtes. Les faisceaux postérie
ombes du sommet de la douzième côte à la face antérieure et au bord
supérieur
de l'apophyse transverse de la deuxième vertèbr
aux s'entre-croisent et séparent ainsi deux orifi- ces : un orifice
supérieur
oesophagien, un orifice inférieur aortique. Inn
ifférences dans les mouvements de la base du thorax et de la partir
supérieure
de l'abdomen entre le côté sain et le côté malade
is sur l'apprll- dice xyphoïde lui-même. Innervation. Les parties
supérieure
et moyenne du grand droit sont innervées par le
de la symphyse pubienne et de l'ombilic. Innervation. La partie,
supérieure
du muscle est innervée par les derniers nerfs i
autant de digitations. 11 forme un grand éven- tail, ses faisceaux
supérieurs
ou antérieurs sont à peu près horizontaux, ses
u la moitié externede l'arcade crurale, sur l'épine iliaque antéro-
supérieure
et sur l'interstice de lacréte iliaque dans ses d
faisceaux du transycrse pour former le tendon conjoint, sur le bord
supérieur
du pubis, sur l'épine pubienne et jusque sur la
a portion iliaque du muscle prend ses insertions sur les deux tiers
supérieurs
de, la fosse iliaque, sur la lèvre interne de la
ur le tiers interne (lèvre inférieure de la ligne courbe occipilalc
supérieure
), sur la protubérance occipitale externe, sur l
sales et sur les ligaments surépineux correspondants. Les faisceaux
supérieurs
du muscle oblique en bas et en dehors viennent
, s'insèrent sur le bord postérieur de l'acru- mion et sur la lèvre
supérieure
du bord postérieur de l'épine de l'omo- plate d
rameaux principaux, le trapèze reçoit encore, pour sa partie toute
supérieure
, quelques filets accessoires du grand nerf occi-
ut prendre son point d'insertion lixe sur l'omoplate. Les faisceaux
supérieurs
ctavicutairesinctinen) ta tète de leur coté et un
t la partie ! de muscle qui est affectée. La paralysie de la partie
supérieure
ne se constate que dans les grandes inspiration
externe des trois ou quatre dernières cotes. Le tendon d'insertion
supérieur
du grand dorsal se lise, en avant de celui du g
tronc, le grand dorsal agit principalement sur l'omoplate, le tiers
supérieur
du muscle rapproche l'omoplate de la ligne médian
il se porte en bas et en dehors et vient se fixer soit sur l'angle
supérieur
du scapulum, soit sur la portion du bord spinal q
fixe sur la colonne cervicale, attire en haut et en dedans l'angle
supérieur
de l'omoplate, abaisse le moignon de l'épaule.
ate, car le rhomboïde peut le suppléer. Petit dentelé postérieur et
supérieur
. Insertions. Le petit dentelé postérieur et sup
postérieur et supérieur. Insertions. Le petit dentelé postérieur et
supérieur
s'insère en dedans sur la partie inférieure du
dorsales. En dehors il s'insère par quatre digitations sur le bord
supérieur
et la face externe des deuxième, troisième, qua
TRONC ET DU COU. 373 Physiologie. - Le petit dentelé postérieur et
supérieur
élève les côtes, est par conséquent inspirateur
double titre le petit dentelé postérieur et inférieur est comme le
supérieur
, un muscle inspirateur (Testut). MUSCLES DE LA
s'insère sur les deux tiers externes de la ligne, courbe occipitale
supérieure
, sur la portion mastoïdienne du temporal qui i
de la tête qui porte la face de son côté. Petit oblique ou oblique
supérieur
de la tête. Inser- tions. Le petit oblique de l
ères vertébrales ne s'observe qu'à la région dorsale et à la partie
supérieure
de la région lombaire, au-dessous les trois muscl
crête iliaque, s'étend en hauteur du sommet du sacrum à la partie
supérieure
de la région dorsale ; de sa face antérieure nais
s comprend six faisceaux prenant naissance sur le sommet et le bord
supérieur
des apophyses transverses des six dernières dor
se de cinq ou six faisceaux qui s'insèrent sur le sommet et le bord
supérieur
des MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC E
eur de l'apophyse transvprse qui est au- dessus, en bas sur le bord
supérieur
creusé en gouttière de l'apophyse transverse qu
mais font presque toujours défaut au niveau des vertèbres dorsales
supérieures
. Les intertransver- saires des lombes sont au n
syprse (apophyse costifornie) qui est au-dessus, en bas sur le bord
supérieur
el sur le sommet de l'apophyse transverse (apop
inférieur atrophié et privé de ses dents remonte vers le maxillaire
supérieur
, le peaucier subit une certaine tension plutôt
nom de muscle orbito-amiculaire et qui s'étend de l'oreille au bord
supérieur
de l'arcade orbitaire. Le muscle auriculaire an
a région temporale entre le muscle frontal et le muscle auriculaire
supérieur
; ce muscle vaste et mince s'insère d'une part p
use qui le sépare de l'auriculaire antérieur. Le muscle auriculaire
supérieur
s'insère d'une part (insertion fixe) par son bo
culaire supérieur s'insère d'une part (insertion fixe) par son bord
supérieur
convexe à la partie latérale de l'aponévrose épic
qui le prolonge, lire l'oreille en avant et en haut. L'auriculaire
supérieur
est un élévateur direct, l'auriculaire postérieur
sous l'influence de la volonté, contracter légèrement l'auriculaire
supérieur
et l'auriculaire postérieur; . [G GUILLAIN,]
l naît en arrière sur les deux tiers externes delà ligne occipitale
supérieure
et sur la partie correspondante de l'apophyse m
amidaux, les faisceaux moyens et externes descendent vers le rebord
supérieur
de l'orbite et s'y entre- croisent avec les deu
en rapprochant ses insertions a pour résultat l'abaissement du bord
supérieur
du front, son raccourcissement en hauteur, la f
médiane par des plis à courbure inverse, 1 ascension de la paupière
supérieure
et par suite l'agrandissement de la fente palpé
es, il attire l'aile du nez en haut et en avant ainsi que la partie
supérieure
du sillon naso-labial, il retrousse la narine.
lage de 1 aile du nez et sur la partie correspondante du maxillaire
supérieur
, ses libres se portent en bas et en avant en dé
iforme. Insertions. Le myrtiforme s'insère en bas sur le maxillaire
supérieur
au niveau de la fossette myrtiforme et de la sa
aupières (occlusion légère de l'oeil) est aux releveurs de la lèvre
supérieure
, il est le muscle de la joie (Duchenne) dont il
il coté des élévateurs, sur la lace profonde de la peau de la lèvre
supérieure
. Innervation. Nerf facial. Physiologie. Le pe
gomatique attire en haut et en dehors la partie externe de la lèvre
supérieure
. D'après Duchenne ce muscle marquerait l'attend
sement ; sa con- traction, jointe à celle des relcveurs de la lèvre
supérieure
, se produirait dans le dédain et le pleurer.
ure. Insertions. L'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
s'étend de l'angle interne de l'oeil à la lèvre s
la lèvre supérieure s'étend de l'angle interne de l'oeil à la lèvre
supérieure
. Il s'insère en haut sur la face externe de l'a
en dehors et s'insérant il la face profonde de la peau de la lèvre
supérieure
. Innervation. Nerf facial. Physiologie. L'élé
. Physiologie. L'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
attire en haut l'aile du nez et la lèvre supérieu
et de la lèvre supérieure attire en haut l'aile du nez et la lèvre
supérieure
. Élévateur propre de la lèvre supérieure. Inser
l'aile du nez et la lèvre supérieure. Élévateur propre de la lèvre
supérieure
. Insertions. L'élévateur propre de la lèvre sup
de la lèvre supérieure. Insertions. L'élévateur propre de la lèvre
supérieure
s'insère en haut sur le maxillaire supérieur en
ur propre de la lèvre supérieure s'insère en haut sur le maxillaire
supérieur
entre le trou sous-orhifaire et le rebord inférie
n dedans et se terminent il la face profonde de la peau et la lèvre
supérieure
. Innervation. Nerf facial. Physiologie. L'élé
nervation. Nerf facial. Physiologie. L'élévateur propre de la lèvre
supérieure
attire eu haut la partie moyenne de la lèvre su
de la lèvre supérieure attire eu haut la partie moyenne de la lèvre
supérieure
. Au point de vue mimique les élévateurs de la l
e part, à l'aide d'un double faisceau irradié à la peau de la lèvre
supérieure
jusqu'au sillon médian et au delà au cartilage
mique est caractérisé surtout par l'agilité musculaire de. la lèvre
supérieure
et du nez (Charpy). . Carré du menton. Insertio
ccinateur s'insère en arrière, sur le bord alvéolaire du maxillaire
supérieur
dans la partie de ce bord [G. GUILLAW. : 588
ulaire des lèvres est formé de deux moitiés distinctes : une moitié
supérieure
située dans la lèvre supérieure, c'est le demi-
eux moitiés distinctes : une moitié supérieure située dans la lèvre
supérieure
, c'est le demi-orbiculaire supérieur, une moitié
périeure située dans la lèvre supérieure, c'est le demi-orbiculaire
supérieur
, une moitié inférieure située dans la lèvre inf
le demi-orbiculaire inférieur. Les faisceaux du demi-orbiculaire
supérieur
naissent à droite et à gauche de la ligne média
étache de la sous-cloison des fosses nasales et le faisceau incisif
supérieur
qui prend son orifice il la partie interne de l
nt développé chez le nouveau-né. Innervation. Le demi-orbiculaire
supérieur
est innervé par les filets buccaux supérieurs d
n. Le demi-orbiculaire supérieur est innervé par les filets buccaux
supérieurs
de la branche temporo-faciale, le demi-orbicu-
culaire des lèvres agit dans l'occlusion de la bouche ; ses moitiés
supérieure
et inférieure prennent leur point fixe aux inse
t, la projection en avant est déter- minée par les muscles incisifs
supérieurs
et inférieurs qui sont adduc- teurs de l'angle
e et sur la face interne de la branche mon- tante jusqu'à l'orifice
supérieur
du canal dentaire. Innervation. Nerf du ptérygo
rygoïdien externe naît il la base du crâne par deux faisceaux, l'un
supérieur
, l'autre infé- rieur. Le faisceau supérieur ou
ar deux faisceaux, l'un supérieur, l'autre infé- rieur. Le faisceau
supérieur
ou sphénoïdal s'insère sur la partie de la gran
ades dentaires inférieures dépassent en avant les arcades dentaires
supérieures
. Quand les deux ptérygoïdiens se contractent al
molaires infé- rieures glissent dans tous les sens sur les molaires
supérieures
. [G, GUILLAIN.] SEMÉIOLOGIE DES PARALYSIES
ution frontale ainsi que sur le pied de la circonvolution pariétale
supérieure
. Trois territoires principaux existent dans la
trice : le territoire du membre inférieur,. le territoire du membre
supérieur
, le territoire de la face. Ces trois territoire
haut en bas. Le territoire du membre inférieur correspond au quart
supérieur
des circonvolutions rolandiques et au lobule para
tions rolandiques et au lobule paracentral; le territoire du membre
supérieur
occupe les deux quarts moyens des cir- convolut
ient, d'après les expériences, beaucoup plus différenciés au membre
supérieur
qu'au membre inférieur. Les recherches expérimen-
rale, brachiale ou faciale, suivant que la lésion siège à-la partie
supérieure
, moyenne ou inférieure de la zone rolan- dique.
e la ligne sylvienne d'après Poirier. Pour déterminer l'extrémité
supérieure
de la ligne rolandique il faut « mesurer avec s
MOTRICE. répond au haut de Romande » (Poirier). Ce point rolandique
supérieur
est en moyenne à 18 cm. 5 de la suture nasale.
lors de l'excitation de la première thoracique, on voit les membres
supérieurs
accomplir un mouvement approprié, à la cueillet
ndique le niveau le plus élevé de l'émer- gence des fibres les plus
supérieures
et la lettre b le niveau le plus inférieur de l'é
ncipales de paralysies radicu- laires : 1" la paralysie radiculaire
supérieure
(paralysie dite du type Du- chennc-I;rh); 2° la
" la paralysie radi- cniairctotate. Dans la paralysie radiculaire
supérieure
, les muscles paralysés sont ceux innervés par l
se présente au médecin avec un bras immobile et abaissé. Le membre
supérieur
est contre le tronc en adduction et en rotation
i trace de nouveaux caractères. Si, dans la paralysie radiculaire
supérieure
, les mouvements de flexion de l'avant-bras sur
paralysés. L anesthésie, qui existe dans la paralysie radiculaire
supérieure
, se coustate dans la sphère de distribution cut
E -RADICULAIRE. nerf radial, du nerf musculo-cutané. « Dans le type
supérieur
des para- lysies radiculaires, dit Dejerine, on
laire totale ne laisser comme reliquat qu'une paralysie radiculaire
supérieure
. Les lésions des racines inférieures du -plexus
iale est absolue, tous les muscles du bras sont atteints. Le membre
supérieur
lésé pend inerte, flasque, le long du corps, en
paralysie radiculaire totale sont étendus à presque tout le membre
supérieur
. L'anesthésic existe à ta main, il l'avant-bras.
e tcmps très court, et 'il subsiste, soit une paralysie radiculaire
supérieure
, soit une paralysie radiculaire inférieure, soi
pe complexe, sont atteintes des racines appartenant et au seg- ment
supérieur
et au segment inférieur du plexus. Ces paralysies
sies radiculaires : la paralysie totale, la paralysie radi- culaire
supérieure
, la paralysie radiculaire inférieure, des types c
ilence. Les classiques disent que, dans les paralysies radiculaires
supérieures
, les troubles de la sensi- bilité font défaut e
ires obstétricales sont le plus souvent des paralysies radiculaires
supérieures
; on a toutefois signalé des paralysies totales
troncutaire. Los lésions corticales localisées an centre du membre
supérieur
, au niveau de. la région rolandique, peuvent am
ps relativement court et il subsiste soit une paralysie radiculaire
supérieure
, soil unejtaralysie radiculaire inférieure, soi
bserve un certain mouvement d'abaissement consensuel de la paupière
supérieure
. Cestan et Dupuv-Dutemps ont insisté sur un phé
consiste. Lorsque le regard du malade se dirige en bas, la paupière
supérieure
s'abaisse en môme temps que le globe oculaire t
sions aponévroliques) qui unissent les paupières aux muscles droits
supérieur
et inférieur et les rendent dans une certaine l
ysie faciale il entraine et relève dans son mou- vement la paupière
supérieure
qui n'est plus maintenue par la contraction de
quedeht paralysie faciale d'origine cérébrale l'intégrité du facial
supérieur
; celle ET DES NERFS SPINAUX. 627 intégrité to
as de paralysie faciale d'origine cérébrale, même lorsque le facial
supérieur
semble intact, le malade ne peut cependant pas
nerf se fusionne avec le pneumogastrique et innerve le constricteur
supérieur
du pha- rynx et les muscles intrinsèques du lar
ngle externe du seapulum est entraîné en bas par le poids du membre
supérieur
tandis que l'angle inférieur se rapproche de la
é postérieur présente le ganglion plexiforme qui reçoit à sa partie
supérieure
et externe la branche interne du spinal, tandis
le trapèze. C'est de ce ganglion que partent les nerfs pharyngiens
supérieur
et inférieur qui iront s'anastomoser avec les f
nglion plexiforme, à sa partie inférieure, que naît le nerf laryngé
supérieur
: il nous suffira de rappeler que celui-ci se div
e) fournit des filets moteurs au muscle crico-thyroïdien et dont la
supérieure
beaucoup plus volumineuse va se distribuer à la
base de la langue, pour lui donner sa sensibilité. Le nerf larviu'é
supérieur
est donc surtout un nerf sensitif. La inutilité
par iirocckaert, les fibres centri- pètes provenant soit du laryngé
supérieur
par l'anastomose de Oalieu, soit des filets aua
pour origines apparentes bulbaires trois groupes de filets dont le
supérieur
constituait le pneumo- gastrique et l'inférieur
ile el, comme elle est la conséquence de l'atteinte du nerf laryngé
supérieur
, avec la para- lvsie du crico-thyroïdien ainsi
de l'os hyoïde, ou au-dessous de cet os au point où le nerf laryngé
supérieur
traverse la membrane thyru-lyoidiennc, permet d
tc.). 1° Hémiplégie laryngée d'origine périphérique. - Le laryngé
supérieur
peut se paralyser isolément, le plus souvent sous
acile à comprendre : l'irritation des filets sen- sitifs du laryngé
supérieur
et sans doute aussi du récurrent gagne le bulbe
ité non seu- lement au niveau des cordes, mais dans toute sa partie
supérieure
connue dans le phénomène de l'effort. Dès que c
énéralement place à l'atrophie : elle siégerait surtout aux membres
supérieurs
sur le deltoïde, les sus- et sous-épineux, le b
. L'affection a envahi les membres inférieurs, puis les mem- bres
supérieurs
. Pieds-bots varus-équins par rétractions filJI'
des membres vers leur extré- mité et, pour ce qui était des membres
supérieurs
, jusque-là seuls atro- phiés, notre malade ne f
abord les muscles les plus rapprochés de la racine des membres soit
supérieurs
, soit inférieurs, et gagne progressivement les
membres inférieurs dans le domaine des nerfs péroniers, aux membres
supérieurs
dans une partie des petits muscles de la main e
s côtes, mais on n'observe pas la dépression mé- diane de la partie
supérieure
de la cage sterno-costale, qui donne au thorax
u près la même largeur dans sa partie inférieure que dans sa partie
supérieure
; aussi au-dessous des fausses côtes les hvpo-
ue la partie postérieure de la tète rejoint à angle droit la partie
supérieure
: au lieu d'être oblongue, la tête paraît carré
r de iauuomen et le grand omique, le grand dentelé. Aux membres
supérieurs
le deltoïde est assez fréquemment atteint de ps
rs. Il est souvent le seul muscle pseudo-hypertrophié des membres
supérieurs
;. dans quelques cas le triceps, le biceps, le l
s l'atro- phie prédomine sur la pseudo-hypertro- phie aux membres
supérieurs
et au tho- rax ; elle survient toujours d'emblé
e et de force sont aussi peu marquées et aussi tardives aux membres
supérieurs
(le deltoïde mis à part) qu'elles sont capitale
le ventre, puis ils soulèvent leur tronc à l'aide de leurs membres
supérieurs
et en fléchis- sant les genoux ; quand ils sont
férieurs et les lombes, très tardivement les épaules et les membres
supérieurs
; comme la paralysie pseudo-hypertrophique. elle
au tronc des masses sacro-lombaires et du long dorsal, aux membres
supérieurs
des muscles du groupe d'Erb, biceps, brachial ant
rfois plus apparente que réelle a cause de l'atrophie de la portion
supérieure
(atrophie longitudinale de Both). Les sus- et s
e les malades se voûtent et ne peuvent se tenir droits. Le faisceau
supérieur
du trapèze, qui résiste parfois seul à l'atroph
facial, aussi bien, au moins dans la plupart des cas, par le facial
supérieur
(orbiculaire des paupières, sourcilier, frontal)
e dans la variété scapulo-humérale, mais, comme pour les extrémités
supérieures
, l'hypertrophie vraie ou fausse est beau- coup
S MUSCULAIRES. sont grosses, la lèvre inférieure tombante, la lèvre
supérieure
souvent saillante en avant (lèvre de ta- pir)
Egger où les fes- siers paraissaient un peu touchés. Aux membres
supérieurs
, l'atrophie frappe d'abord les mains, soit les
des membres inférieurs exigent moins de délicatesse. Aux membres
supérieurs
de même qu'aux membres inférieurs, comme Guilla
ute par les membres inférieurs, n'envahit d'ordi- naire les membres
supérieurs
qu'après un intervalle de quelques mois à quelq
. P. Marie et Sainton (4)]. Quand la maladie débute par les membres
supérieurs
, elle envahit très rapide- ment les membres inf
'après llaincl (5), l'affection pourrait rester limitée aux membres
supérieurs
, mais les cas décrits par cet auteur, cas dans
temps aux muscles du cou et de la nuque et aux muscles des membres
supérieurs
en commen- çant par l'épaule et le bras ; tardi
re qui consiste en contractions bilatérales des muscles des membres
supérieurs
atrophiés quand on place le pôle négatif d'une
un courant faradique ou galvanique traversant les muscles du membre
supérieur
. Les réflexes tendineux sont variables, mais le
uchenne; l'amyotrophie atteint généra- lement à la fois les membres
supérieurs
et les membres inférieurs; à la main elle prédo
à type Aran- Duchenne. mais le plus souvent l'atteinte des membres
supérieurs
est alors précédée par celle des membres inféri
he, épaule, plus volontiers aux mem- bres inférieurs qu'aux membres
supérieurs
. L'amyotrophie d'origine articulaire est ordina
ou les deux membres inférieurs, excep- tionnellement les membres
supérieur
et inférieur d'un même côté. Aux membres atte
gressive de la syringomyélie et atteindre en masse les deux membres
supérieurs
; dans certains cas de tumeurs très étendues de
nellement (P. Marie); l'atrophie frappe avec prédilection le membre
supérieur
, et à peu près dans une proportion égale les.
ale infantile. L'atrophie est sur- tout nette au niveau des membres
supérieurs
. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE. 715
nférieur elle prend surtout les muscles de la fesse et de la partie
supérieure
de la cuisse. Cette règle n'est pas absolue et
ession. Les névrites par compression sont plus fréquentes au membre
supérieur
et presque tou- jours elles sont unilatérales.
e supé- rieure, inférieure ou totale. Dans la paralysie radiculaire
supérieure
, les muscles frappés sont les muscles du groupe
urtout localisés aux extrémités et surtout à l'extrémité, du membre
supérieur
, aux doigts. La cicatrisation se fait mal ou in
comme la névrite saturnine, qui affectent de préférence les membres
supérieurs
; le plus grand nombre des polynévrites restent
, parfois localisée ou asymétrique ; elle siège surtout aux membres
supérieurs
, et particulièrement vers l'extrémité. Elle est
s muscles des pieds et des jambes, elle atteint parfois les membres
supérieurs
, l'abdomen, le thorax, le cou; elle est caractéri
es gagnent parfois la racine des membres, plus rarement les membres
supérieurs
. Ces névrites sont généralement curables après
hypertrophie : Leyden-Moebius : 1" enfance généralement. Membres
supérieurs
: Scapulo-humérale, juvénile : Erb : adolescenc
membres inférieurs : pieds, extenseurs de la jambe; puis mem- bres
supérieurs
: mains, avant-bras; évolution lente. 2. Type W
1" enfance; début par racine des membres : membres inférieurs, puis
supérieurs
; évolution rapide (quelques années). c) Myélo-n
odification des réflexes tendineux; début par extrémité des membres
supérieurs
: mains ; évolution : membres supérieurs : mains,
par extrémité des membres supérieurs : mains ; évolution : membres
supérieurs
: mains, avant- bras, épaules, bras, thorax, tr
lérose latérale amyotrophique : paralysie spasmodique des mem- bres
supérieurs
; parfois paralysie labio-glosso-laryngée; évolu-
les, et surtout le deltoïde; elle atteint parfois aussi aux membres
supérieurs
les sus et sous-épineux et les biceps, aux memb
d'un membre, membre inférieur (Lesage, Berger, Annequin), ou membre
supérieur
(Cerné, Babinski, etc.). L'altération vasculair
it d'lui sujet al.lcint d'hémiathétose, surtout prononcée au membre
supérieur
droit, depuis l'ige [le 5 ans; observé 11 24 an
ulaire; celle-ci semble s'être développée, précisément dans le membre
supérieur
droit, à la suite d'une fièvre typhoïde contrac
es membres inférieurs, mais aussi ceux du tronc et même des membres
supérieurs
et de la tête, en somme, presque toute la muscula
s nous ne savons pas encore si une lésion des pé- doncules moyen ou
supérieur
n'est pas suffisante pour provoquer ce même tro
face. Le début peut se faire, exceptionnelle- ment, par les membres
supérieurs
(tabès supérieur), presque jamais par la tête.
t se faire, exceptionnelle- ment, par les membres supérieurs (tabès
supérieur
), presque jamais par la tête. Membres inférie
lexes, et l'incoordination des muscles du tronc et même des membres
supérieurs
y entre pour une part ; c'est ainsi qu'on voit
à cloche-pied, les yeux ouverts, puis les yeux fermés. 1 Membres
supérieurs
. L'ataxie des membres supérieurs ne va pas souv
puis les yeux fermés. 1 Membres supérieurs. L'ataxie des membres
supérieurs
ne va pas souvent jusqu'aux grands gestes incoo
lontiers à la découverte précoce des troubles ataxiques des membres
supérieurs
, celles par exemple de tailleur ou de couturièr
t pas tremblées cependant. \luand 1 ataxie est prononcée, le membre
supérieur
entier y prend une part manifeste; les boissons
que. Varia- tion suivant que le malade a les yeux ouverts (lig-ne
supérieure
) ou Termes (ligne infé- rieure) . 758 INCOORD
enfonce brusquement dans la joue ou dans l'oeil. Pour les membres
supérieurs
comme pour les inférieurs, on observe en même t
ésions des nerfs périphé- riques, des ataxies par lésions des voies
supérieures
, hulbe, protubérance, cerveau, des alaxies par
brale ou bulbo-protubérantielle par altération des voies sensitives
supérieures
, des symptômes d'ataxie par névrite périphériqu
a perte du sens musculaire et stéréognostique et l'ataxie du membre
supérieur
du côté de la lésion. Dana a signalé un cas d'ata
uvent limitée à l'extrémité des membres et en particulier du membre
supérieur
, main et doigts. Elle consiste en une série de sa
dant la station debout, on fait exécuter un mouvement aux membres
supérieurs
. Dans les cas plus accentués, le malade ne peut
rteur d'un tubercule du lobe droit du cervelet. Du côté des membres
supérieurs
, on ne constate souvent pas de trouble correspo
hachée et explosive. Ces derniers troubles, troubles des membres
supérieurs
, de l'écriture et de la parole, encore fort peu
membres inférieurs, du tronc, de la tête, moins souvent des membres
supérieurs
, tremblement qui accentue fréquemment les oscilla
ais des épreuves semblables peuvent être imaginées pour les membres
supérieurs
. Le sujet étant étendu, on le prie de fléchir u
nts d'ataxie vraie. L'incoordination est plus tardive aux membres
supérieurs
, mais ne les épargne pas ; elle se révèle d'abo
. Marie), l'atrophie musculaire manifeste des membres inférieurs et
supérieurs
à type Charcot-Marie, le signe d'Argyll plus ou
e ; ledérobement desjambes est fréquent. Les mouvements des membres
supérieurs
présentent des déviations sans rapport avec le
on debout hésitante et oscillante. Parfois oscillations des membres
supérieurs
, écriture irrégulière; parole scandée. Astres é
n évident que ces qualités seront bien plus utiles pour les membres
supérieurs
, pour les doigts tout particulièrement, que pou
tats chez des ataxiques même très gravement atteints. C) Membres
supérieurs
. Le traitement rééducateur des membres supérieu
nts. C) Membres supérieurs. Le traitement rééducateur des membres
supérieurs
peut se faire, comme celui des membres inférieurs
lications ou de syn- dromes associés) sont indemnes; et les régions
supérieures
du visage trahissent une vivacité intellectuell
. Cette asynergie homolatérale est due à quelque foyer de la région
supérieure
du bulbe intéressant les faisceaux ou pédoncule
nt décrit un syndrome particulier, lié à des lésions de la ré- gion
supérieure
du bulbe, ramollissement ou hémorragie, et caract
g('.e avec hémia trophiedroitcdela langue, une atrophie du faisceau
supérieur
du trapèze droit, un complexus analogue au synd
immobiles (Brissaud). La face est paralysée et parésiée, le facial
supérieur
étant à peu près respecté. Le jeu de la muscula
es vrais, ce contraste entre l'expression intelligente de la moitié
supérieure
du visage et l'ab- sence d'expression de la moi
elles se localisent alors principa- lement à la face et aux membres
supérieurs
et se caractérisent par les mouvements des glob
mettre en évidence ce tremblement. C'est ainsi que pour les membres
supérieurs
il faut demander au malade d'étendre les bras et
l1l'nlail'cs : en général, il est plus marqué au niveau des membres
supérieurs
, mais il est également très marqué au tronc et à
mblements fibrillaires sur toute la surface du corps. Aux membres
supérieurs
, pour le voir, si on demande au malade de tenir
nse que la marche des malades devient très difficile et les membres
supérieurs
deviennent tout à fait malhabiles à saisir les
t ne gêne pas le malade dans l'exécution des mouvements des membres
supérieurs
et inférieurs. Ce tremblement, nous l'avons dit,
es lèvres, la langue, il a pour siège de pré- dilection les membres
supérieurs
, cependant ces caractères donnés par Debove et
l'hippus (Cruchet, Revue neurologique, 1904). ' Quand les membres
supérieurs
sont atteints, le malade est incapable de saisi
position. , Les mouvements les plus variés s'observent aux membres
supérieurs
et aux membres inférieurs, de même au niveau de
des douleurs intenses qui commencent en général par les extrémités
supérieures
, par les doigts, par les mains; qui se généralise
ie postérieure des cuisses, et par la suite aux muscles des membres
supérieurs
: dans tous les cas, les muscles du cou et de l
st lente et spasmodique, les sons sont comme poussés. Aux membres
supérieurs
, les mouvements sont plus accentués aux extré-
- mités que prédominent les mouvements, mais moins qu'aux membres
supérieurs
; on les constate également au niveau de la jambe
obligés de rester au lit ou dans des chaises roulantes. Les membres
supérieurs
sont également très malhabiles et les malades n
ons déjà dit les troubles qu'ils provoquaient au niveau des membres
supérieurs
et des membres inférieurs : c'est, au niveau de
supérieurs et des membres inférieurs : c'est, au niveau des membres
supérieurs
les mouvements qu'on a comparés à ceux du poulp
-propos, une grande facilité d'assimilation : ce sont des dégénérés
supérieurs
, des déséqui- librés simples (Ballet). Le dé
des lies psychiques proprement dits ou mentaux, tics du psychisme
supérieur
, et des tics polygonaux ou du psychisme inférieur
nomène des orteils, prou- vaient la réalité ('). Tics des membres
supérieurs
. Tics de l'épaule : tics de haussement, de prop
iles et à développer le pouvoir frénateur et correcteur des centres
supérieurs
». La disciplime psycho-motrice est applicable
8Hi recours aussi souvent qu'il sera utile ce contrôle des centres
supérieurs
pour réprimer les actes automatiques : aussi il
coopération de, tous les muscles et de tous les segments du membre
supérieur
» : il y des muscles qui doivent se contracter, i
ait été précédée de lésions traumatiques ou pathologiques du membre
supérieur
(contusion, périostite, etc.), souvent encore e
éta- chent et tombent. Il a usure puis résorp- tion du maxillaire
supérieur
avec destruc- tion du plancher de la cavité nas
rtie des symptômes de la compression de la moelle dans les segments
supérieurs
où la pneumogastrique et le phréniquo sont attein
c la plus grande faci- lité et l'ascension de l'infection aux voies
supérieures
est rapide. 11 ne faut donc jamais sonder sans
otégés, car la prin- cipale condition de l'ascension vers les voies
supérieures
de l'infection est la stagnation de l'urine dan
du col, où rétention complète. Dans ces cas, l'ascension aux voies
supérieures
est rapide et grave d'emblée. La pyélo-néphrile
isse (première grosse molaire, Fournier), et des incivises médianes
supérieures
de la seconde dentition obliquement dirigées de
orbant, les rebords alvéolaires, perforant parfois, le maxil- laire
supérieur
. 11 s'agit de maux perforants tabétiques, au nive
centraux. On se rappellera que le pneumogastrique, par le largyngé
supérieur
, et le glosso-pharyngien innervent la base de l
s mas- ticateurs et du pharynx; l'oeil, la face y compris le facial
supérieur
, les membres supérieurs et inférieurs se prenne
pharynx; l'oeil, la face y compris le facial supérieur, les membres
supérieurs
et inférieurs se prennent. Il n'y a pas de Il. IL
ts. Le SÉMÉI0L0G1E DES VOIES DIGESTIVES SUPÉRIEURES. 981 t facial
supérieur
est intact, il n'y a jamais de ptosis. Chez ce ma
et le voile du palais, quelquefois SÉMIOLOGIE DES VOIES DIGESTIVES
SUPÉRIEURES
. 983 une moitié du corps, fréquemment alors cou
pasmes, le spasme inférieur et le spasme total ou spasme à syndrome
supérieur
. Le spasme inférieur présente le syndrome des s
l'oesophage; il peut être total, et par là même c'est à Pori- lice
supérieur
du conduit que les malades situeront leurs troubl
u pneumogastrique. Le tabès peut également donner de l'oesophagisme
supérieur
. Le plus ordinairement le spasme total ou supér
l'oesophagisme supérieur. Le plus ordinairement le spasme total ou
supérieur
est un symptôme de névrose. 11 caractérise ces
ue présentent beau- coup d'idiots et un certain nombre de dégénérés
supérieurs
. C'est un acte agréable en soi. On ne peut rumi
t plutôt de rétention si la lésion est élevée, cervicale ou dorsale
supérieure
; il y aura plutôt incontinence si elle est infé
dire portent sur un membre (plutôt un membre inférieur qu'un membre
supérieur
) ou sur les denx membres d'un même côté (Geoffr
eure de l'avant-bras est souvent plus volumineuse que son extrémité
supérieure
; Le métacarpe est peu déformé,, sauf un léger é
les uns dans les autres, en arcades semi-lunaires il convexité
supérieure
; les doigts sont fléchis au ni- veau des deux
12) caractérise la «parésie analgésique avec panaris des extrémités
supérieures
» à laquelle on a donné le nom de maladie de Mo
er chez l'adulte la persistance d'une paralysie infantile au membre
supérieur
; quand la lésion de la moelle est assez intense
t assez intense pour déterminer lllïg. 14. - Atrophie du mem- bré
supérieur
droit il la ' suite d'une paralysie in- fanti
assivement le poignet de façon à écarter normalement les insertions
supérieures
et inférieures des muscles fléchisseurs. La mai
nitales portent plus souvent sur les membres inférieurs que sur les
supérieurs
et sont souvent plus prononcés ; leurs causes s
inférieure de la jambe et, il un moindre degré, de son extrémité
supérieure
. 10 a Sl.)11;10t.OGli : DU PIED. 13) Dans les
n arrêt du développement de tout le membre inférieur et du membre
supérieur
du même côté. . Il est bilatéral dans les par
es membres inférieurs sont contracturés à l'exclusion des membres
supérieurs
; dans les deux autres variétés la rigidité spas
sus-auriculaire. 11 se prend au-dessus du trou auditif sur le bord
supérieur
de la racine horizontale de l'arcade zygomatique.
. MOUTIER.] - 1066 . ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. - on met la branche
supérieure
bien horizontale sur le vertex et l'on fait gli
phryon est le milieu d'une ligne passant tangentiel- lement au bord
supérieur
des sourcils. Le point mentonnier se trouve sur
ches obtuses. De l'ophryon en haut, on descend en relevant la lèvre
supérieure
au point alvéolaire ; pour repérer ce point, co
pérer ce point, correspondant à l'intervalle des incisives médianes
supérieures
en leur point d'implantation, il conviendra de
dant, nous conseillons absolument de vérifier les mesures du membre
supérieur
au compas-glissière, en prenant pour 0 l'acromion
lement la dimension d'un segment donné en retranchant de son niveau
supérieur
, la hauteur à sa limite la plus basse. Par exem
. Centre des mamelons de chaque coté. Centre de l'ombilic. Bord
supérieur
du pubis. Epine iliaque ant. sup. de chaque côt
supérieur du pubis. Epine iliaque ant. sup. de chaque côté. Bord
supérieur
de chacun des grands trochanters. Articulatio
le compas-glissière du point le plus reculé du talon il l'extrémité
supérieure
du gros orteil quel- quefois au deuxième, puisq
eurs : ceux-ci s'allongent proportionnellement plus que les membres
supérieurs
, et les avant-bras et les jambes plus que les b
ie est une hyper- trophie singulière non congénitale des extrémités
supérieures
, inf'é- )')frr ? << ? <7//</)<(P
teils et les ongles conformes au type précédemment décrit au membre
supérieur
. P. Marie a signalé deux variétés : tantôt les ma
e des membres inférieurs. Dans de tels cas, le tronc et les membres
supérieurs
, la tête sont d'un homme normal. Le raccourciss
a bifurcation de l'authelix (mira furcata). Prognathisme. Peut être
supérieur
ou inférieur; c'est un bon signe de dégénéresce
il est indispensable d'examiner le coeur et les voies respiratoires
supérieures
dont les malformations congénitales entraînent co
segment inférieur du nez se fait alors, en rentrant dans le segment
supérieur
, il y a alors enchâssement, télescopage du nez
Cette malformation dentaire siège au niveau des incisives médianes
supérieures
de seconde dentition, elle est le plus souvent
es ventricules par l'injection directe, rapide d'une quantité d'eau
supérieure
à ') 00 grammes provoque le ralentissement du p
n du corps des vertèbres JM' par élargissement de l'extrémité **[
supérieure
et par exagération de la jji cannelure circulai
spects présentés par la selle, sa partie postérieure ou son orifice
supérieur
: l'appréciation de ces diffé- rences légères p
ans tons les sens avec proéminence du sacrum dans l'aire du détroit
supérieur
. Raymond et Claude (') ont décrit, une forme de
la plupart des troubles de la motilité, le tremblement des membres
supérieurs
disparut presque complètement, le malade put po
subi successivement l'enlèvement de toutes les dents de la mâchoire
supérieure
gauche, la section de la branche sous-orbitaire
trijumeau, l'enlèvement du ganglion de Casser, du ganglion cervical
supérieur
du grand sympathique; chacune de ces interventi
trode exploratrice ' sur l'élévateur de l'aile du nez et de iatcvre
supérieure
. 1 ? 11gv APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ.- c
[E. HUET.] A FiG. 22 (d'après Erb). B 1. Points moteurs'du membre
supérieur
(face antérieure). 1. Triceps brachial (longue po
du pouce; 28. Adduc- teur du pouce. 11. Points moteurs du membre
supérieur
(face postérieure). -1. Deltoïde (partie postérie
r le milliampè-. rcmètre, que l'action du pôle positif est égale ou
supérieure
à celle du pôle négatif. En effet, par suite de
tains d'entre eux; ainsi on la rencontre assez facilement au membre
supérieur
sur le deltoïde, le vaste externe du triceps, l
rts les contractions se montrent lentes et que PFC devient égale ou
supérieure
à NFC. RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE. 12f de la
vue qualitatif, l'action de l'anode devient souvent égale ou un peu
supérieure
à celle de la cathode, rappelant ainsi ce qu'on
différente est placée sur le sternum ou de préférence sur la partie
supérieure
du dos. L'électrode exploratrice, représentée p
déjà contracturés ou menacés de contracture (en général aux membres
supérieurs
la con- tracture porte plus particulièrement su
u poignet et de la partie inférieure de l'avant-bras pour le membre
supérieur
, sur la partie inférieure de la face antérieure
e la région dorso- lombaire et une large anode il la région dorsale
supérieure
, ou encore sur la paroi abdominale. Si la paral
la paroi abdominale. Si la paralysie est localisée sur les membres
supérieurs
, on place la cathode sur la région cervico-dorsal
des cas précédents, lorsque la paralysie est localisée aux membres
supérieurs
ou aux membres inférieurs; il est par- ticulièr
lièrement applicable lorsque la paralysie atteint à la fois membres
supérieurs
et membres inférieurs ; dans ce cas il est plus s
isation un jour les membres inférieurs et un autre jour les membres
supérieurs
. * A la galvanisation continue ainsi dirigée, i
re et à placer les deux électrodes sur le muscle, l'une à sa partie
supérieure
, l'autre il sa partie inférieure. La galvanis
aralysies ohstétricales qui, le plus souvent, portent sur le membre
supérieur
et reconnaissent habituellement comme cause J'é
ieur des paupières et él( ? vateurs de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
; sur la joue au niveau du buccinateur, des zygo
biculaire des paupières, élévateurs de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
, zygomatiques. orbiculaire des lèvres, muscles du
es zygoma- tiques et les élévateurs de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
avec le retour de la tonicité et de la contract
ensions appropriées. est placée sur les paupières fermées, paupière
supérieure
, ou paupière inférieure, ou l'une et l'autre pa
du nerf sciatique à la cuisse (points fémoraux inférieur, moyen et
supérieur
), au niveau de l'échancrure sciatique (point fess
orter l'électrode sur un autre point. Au lieu de placer l'électrode
supérieure
sur la région lombaire de la colonne, vertébral
inférieurs, névralgies crurale, obturatrice, etc., soit aux membres
supérieurs
, névralgies des divers nerfs du plexus brachial
ite, de 10 cm2 environ, en forme de tampon, est placée il la partie
supérieure
du cou, entre le larynx et le muscle sterno-clé
'on se propose d'agir sur les membres inférieurs ou sur les membres
supérieurs
; courant de 10 à 50 m. A., pendant 10 il 20 min
thnagel, placer dans le cas où les troubles portent sur les membres
supérieurs
le pôle négatif à la nuque, le pôle positif sur
ique compre- nant les deux hémisphères, les pédoncules et la partie
supérieure
de la protubérance annulaire. Je crois préfér
ie inférieure de la protubérance, le bulbe ra- chidien et la partie
supérieure
de la moelle cervicale. Il est possible, et c'e
plus liaut, on incise d'emblée la tente du cervelet le long du bord
supérieur
du rocher et l'on continue l'extraction globale
ant au même niveau à droite et il gauche par la région pédonculaire
supérieure
. Ainsi l'on peut ultérieure- ment pratiquer des
ilieu de la tète du noyau caudé et par le point de réunion du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de la couche optiq
e vue macroscopique, car, comme elle passe très près de la « partie
supérieure
de la région sous-optique, elle n'est pas à emplo
au plus « haut que ne le fait cet auteur, c'est-à-dirc par le tiers
supérieur
de la « couche optique. On n'intéresse alors qu
l 1 pour 100. Le volume de cette solution doit être de 15 à 20 fois
supérieur
à celui des pièces à fixer; on change le liquid
lité de la dissociation, de ne pas prendre de « nerfs d'un diamètre
supérieur
il celui d'une aiguille à tricoter d'une « moye
Tremblement, 859. (Tumeurs (lu -), Radiothérapie, 1189. Cervical
supérieur
(Syndrome des lu- sions médullaires), 514. Ce
érieurs, 1046. Élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
, élévateur propre de la lèvre supérieure, inner
le du nez et de la lèvre supérieure, élévateur propre de la lèvre
supérieure
, innervation, physio- logie, 586. , Encéphale
ontrôle de la vue, 754. - Troubles de la mar- che, 755. - Membres
supérieurs
, 757. - Tronc, tète et face, 758. - cérébelle
nférieur, névralgie, 587. - Injection d'alcool, 422. - maxillaire
supérieur
, névralgie, 587. - Injection d'alcool, 425. - m
bles de la motilité, 98. - Paralysie du rele- veut de la paupière
supérieure
, 98. - Paralysie de l'orbiculaire, 105. - Trou-
548. - Persécution (Idées de -), 21. Petit dentelé postérieur et
supérieur
. - - et inférieur. Innervation, physio- logie
rche, 7 ! H. - Exercices du tronc, 795. - Exercices des mem- bres
supérieurs
, 796. - motrice des li- qUC1l1'S, 895. Réflex
isée, 441. Exagération aux membres inférieurs, 444. - aux membres
supérieurs
. - d'un seul -côté du corps. - générale, 445.
s cérébelleuses. Lésions, syndrome cérébelleux, 776. - digeslives
supérieures
. Examen de la bouche, des dents, 97î(i. - de la
nt logés au côté dorsal, dans le canal formé par la série des anneaux
supérieurs
des vertèbres. La relation qui existe entre ces
les invertébrés, l'axe nerveux est inférieur au tube digestif; il est
supérieur
à ce tube dans les animaux vertébrés. Plusieurs
orte, serait inférieure au tube digestif; mais les organes des sens
supérieurs
et le cerveau suivraient ce mouvement, ce qui n'a
, tandis que la moelle épinière est toujours à la « région dorsale ou
supérieure
des animaux à vertèbres. Cette « objection tombe,
eux, une première masse médiane et symétrique est logée dans l'anneau
supérieur
de la vertèbre. C'est là un ganglion supérieur qu
st logée dans l'anneau supérieur de la vertèbre. C'est là un ganglion
supérieur
qui n'est autre chose qu'un segment de la moelle
x. missures, l'une à droite, l'autre à gauche, unissent le ganglion
supérieur
au ganglion inférieur. Cet ensemble a la forme d'
elques animaux privilégiés, les mammifères, les ganglions médullaires
supérieurs
condensés et attirés en quelque sorte vers l'encé
d'autant plus que ses deux moitiés sont en regard de masses nerveuses
supérieures
plus puissantes. Fig. 4. Dans ce cas les comm
r que dans ce cas, au lieu du ganglion inférieur, ce sera le ganglion
supérieur
qui se divisera, l'anneau nerveux s'ouvrant alors
i se divisera, l'anneau nerveux s'ouvrant alors du côté de son chaton
supérieur
. Fig. 5. Cette division une fois admise, il s
er un rapprochement plus ou moins grand entre ces moitiés du ganglion
supérieur
ainsi divisé, et les ganglions du système inférie
les ganglions du système inférieur qui leur correspondent. Le système
supérieur
pourra descendre ainsi dans la sphère du sympathi
du sympathique, doit affecter chez les invertébrés le système nerveux
supérieur
. Nous sommes conduits, en conséquence, à consid
Par suite de cette loi, fondée sur l'observation, le système nerveux
supérieur
descendu dans la sphère du système nerveux inféri
onnerons une attention toute particulière à cette série des ganglions
supérieurs
que les anatomistes ont désignée sous le nom d'ax
fères n'occupe pas toute la longueur du canal rachidien ; ses limites
supérieures
répondent dans tous ces animaux aux environs du t
deux diverticulum, l'un inférieur, qui est le tuber cinereum, l'autre
supérieur
, qui est la glande pinéale. Cet enroulement du
ésignons l'arc qui est au-dessus de la commissure sous le nom d'étage
supérieur
. L'étage supérieur est dilaté en un pavillon tr
t au-dessus de la commissure sous le nom d'étage supérieur. L'étage
supérieur
est dilaté en un pavillon très-large, qui recouvr
en un pavillon très-large, qui recouvre toute l'étendue de la région
supérieure
des couches optiques. Nous lui donnerons le nom d
x bandelettes qui, de la base du noyau cérébral, se portent à sa face
supérieure
, en s'enroulant avec le ventricule médian. Elles
ux masses grises, au centre desquelles est un prolongement de l'étage
supérieur
des ventricules latéraux. Ces masses sont les lob
er l'une de l'autre. Cette séparation est assez facile vers la partie
supérieure
du bulbe, c'est-à-dire vers sa base, mais plus ba
ue ce qu'on a appelé le faisceau externe de la silique. L'extrémité
supérieure
de l'olive n'atteint point au bord de la protubér
tie rougeâtre de la glande pituitaire est un peu aplatie en sa partie
supérieure
, et convexe dans les autres. Elle est d'un tissu
lobe est transversal, le plus petit est de devant en arrière. Le bord
supérieur
du grand lobe est convexe, son bord postérieur es
rieur est échancré. Cette échancrure reçoit le petit lobe. « Laface
supérieure
du grand lobe est d'autant plus élevée que le suj
elui-ci. « Il y a pendant toute la vie deux substances dans le lobe
supérieur
, l'une extérieure, rougeâtre forme une couche épa
tte vue des frères Wenzel a aujourd'hui peu de partisans. § 3. Face
supérieure
du noyau. Les parties supérieures du noyau céré
'hui peu de partisans. § 3. Face supérieure du noyau. Les parties
supérieures
du noyau cérébral, la plupart enveloppées par des
drijumeaux placés au-devant de lui. Ces faisceaux sont les pédoncules
supérieurs
du cervelet, appelés aussi processus cerebelli ad
ansversalement au-dessus d'elle entre les deux pédoncules cérébelleux
supérieurs
, un ou deux millimètres en arrière des tubercules
les singes, est le jrein de la valvule de Vieussens. Les pédoncules
supérieurs
du cervelet sont, comme nous le verrons mieux dan
duc de Sylvius. Ce canal qu'accompagne le prolongement des pédoncules
supérieurs
du cervelet est complètement recouvert par une vo
l'un vers l'autre au-dessus de l'aqueduc de Sylvius et des pédoncules
supérieurs
du Cervelet, et forment, en se réunissant l'un à
rmant une arcade, que s'engagent l'aqueduc de Sylvius, les pédoncules
supérieurs
du Cervelet, et toutes les fibres qui, des faisce
uadrijumeaux, les pédoncules sont enveloppés à leurs faces interne et
supérieure
, par ces productions arciformes, que nous avons s
té comprise entre les deux moitiés de l'axe encéphalique, l'ouverture
supérieure
de cette cavité paraîtra divisée par le pont tran
sieurs faisceaux distincts. I. Le premier suit la courbe de l'étage
supérieur
du ventricule intermédiaire, se porte, sous la fo
gouvernait le corps entier (1). Les habenœ séparent nettement la face
supérieure
de la couche optique d'avec sa face médiane. II
ie. Le second prolongement médian est fort petit, il émane de l'arc
supérieur
de l'anneau immédiatement au-devant des tubercule
médianes, conserve quelque chose de sa forme tubuleuse. Mais de l'arc
supérieur
du tube naît, le long d'une fente médiane (1) qui
us ventriculus est cavitas rimjE majuscules œmula,» divise sa paroi
supérieure
, une vaste expansion triangulaire horizontale et
ptiques. La cavité de cette dilatation communique avec celle de l'arc
supérieur
du tube par la fente médiane que nous venons d'in
de vestibule des ventricules cérébraux. La modification de l'étage
supérieur
du ventricule médian ne se borne point là. Les de
e griffe. Ce prolongement est mais il faut entendre ceci de l'étage
supérieur
de ce ventricule (R. Vieussens, Pfevr. univers.
ricules, à certains égards, très-facile et très-simple. Mais la paroi
supérieure
a des relations compliquées dont nous ne saurions
. Cette lame triangulaire appliquée au-dessus du vestibule de l'étage
supérieur
du ventricule intermédiaire, semble en effet le f
et en arrière de laquelle se voit béante la fente médiane de l'étage
supérieur
du ventricule médian. Voilà ce que les anatomiste
eux moitiés de l'axe; les soulèvements parallèles enveloppent l'étage
supérieur
des ventricules latéraux, à partir de leurs corne
s devons indiquer maintenant les rapports qui existent entre la paroi
supérieure
des ventricules latéraux et les parties que nous
iné à loger. Ceci posé, nous partirons, de chaque côté, de la paroi
supérieure
du vestibule; cette paroi, intimement adhérente à
ieure de Yopercule, se réfléchit sur ses bords, et en tapisse la face
supérieure
sans s'avancer cependant jusqu'aux parties médian
ment de deux lames symétriques, une sorte de cloison entre les étages
supérieurs
des deux ventricules latéraux ; cette cloison est
s'est formé le ventricule intermédiaire. Puis nous avons vu l'étage
supérieur
de ce ventricule se dilater en un vaste vestibule
moijen ; 3° le processus cerebelli ad testes, qui forme le pédoncule
supérieur
. Telle est la composition des racines du cervelet
du cervelet dans l'homme a la forme d'un cœur. La face postérieure ou
supérieure
du cœur est convexe; l'antérieure ou l'inférieure
scissure longitudinale. — Une scissure horizontale, étendue à la face
supérieure
du cervelet entre les deux pédoncules moyens, dis
e la fosse cérébelleuse. Ces lobules sont : 1° La lame transversale
supérieure
; %° Les lames transversales inférieures; 3°
ers que nous ne changerons pas, on distingue : 1° Les lobes postéro
supérieurs
ou seminulaires. Ces lobes, fort épais, surtout à
inges de l'ancien continent. Ils correspondent à la lame transversale
supérieure
du vermis médian. 2° Les lobes postéro inférieu
ngulière. De l'interstice qui sépare l'un de l'autre ses deux anneaux
supérieurs
se détache une lame saillante en dehors, qui po
rieurs se détache une lame saillante en dehors, qui porte à sa face
supérieure
un certain nombre de feuilles et forme un petit l
spéciale du rocher, qui est circonscrite par le canal demi circulaire
supérieur
du labyrinthe osseux de l'oreille (1). Je lui don
euilles qui le composent soient exclusivement distribuées sur la face
supérieure
de sa lame basilaire; nous l'avons trouvé très-gr
xiste dans YOrang et dans le Chimpanzé. Mais il n'y a dans ces singes
supérieurs
aucune trace du premier lobule et à plus forte ra
ral et du bord inférieur d'un lobe se portent le plus souvent au côté
supérieur
du lobe contigu, et même à sa face libre. Cela a
s. On les désigne sous le nom de couches corticales. Dans les animaux
supérieurs
, elles sont, en général, plissées et comme chiffo
le on distingue un bord antérieur qui répond au lobe frontal, un bord
supérieur
qui longe le lobe pariétal, et enfin un bord in
ure divise obliquement la face externe de l'hémisphère. Son extrémité
supérieure
regarde en arrière ; l'inférieure se dirige en av
interne de l'hémisphère est plus* simple; elle est plane à sa partie
supérieure
qui touche à l'hémisphère opposé. Dans sa partie
d à l'angle inférieur de la fosse de Sylvius, et le sommet à sa paroi
supérieure
. Ils ont été parfaitement représentés par Rolando
dans les singes, elle touche à la voûte or-bitaire; l'autre, la face
supérieure
, est convexe, elle est contenue dans les loges su
re, la face supérieure, est convexe, elle est contenue dans les loges
supérieures
du frontal. Nous donnons au lobule, compris par l
ace inférieure, le nom de lobule orbitaire ; celui qui occupe la face
supérieure
est le lobule frontal. — Le lobule orbitaire est
olfactif; cette scissure, scissure des lobes olfactifs, loge l'arête
supérieure
de ces lobes, très-grêles, comme chacun sait, dan
Le lobule orbitaire se continue en avant avec un pli qui suit le bord
supérieur
de l'hémisphère. Le lobule frontal comprend , d
e, il comprend un gros pli peu flexueux qui se continue avec la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius dont il circonscrit l'a
e, sa disposition est constante dans la plupart des singes. L'étage
supérieur
comprend le groupe frontal supérieur. Ce groupe,
la plupart des singes. L'étage supérieur comprend le groupe frontal
supérieur
. Ce groupe, né du prolongement antérieur du lobul
roupe, né du prolongement antérieur du lobule orbitaire, suit le bord
supérieur
de l'hémisphère, et se jette dans l'extrémité sup
suit le bord supérieur de l'hémisphère, et se jette dans l'extrémité
supérieure
du pli frontal ascendant. Le groupe frontal sup
l'extrémité supérieure du pli frontal ascendant. Le groupe frontal
supérieur
ne comprend qu'un seul pli dans les singes inféri
eux. Il y a aussi constamment deux plis dans l'espèce humaine. Le pli
supérieur
suit le bord supérieur de l'hémisphère ; nous l'a
amment deux plis dans l'espèce humaine. Le pli supérieur suit le bord
supérieur
de l'hémisphère ; nous l'avons trouvé simple et p
t circonscrite par les flexuosités du pli injérieur du groupe frontal
supérieur
. En général, dans l'ordre des faits que nous ex
la Vénus holtentote, dans Yidioie que nous avons examinée, les étages
supérieurs
des deux lobes frontaux étaient à peu de choses p
les deux lobes frontaux il n'y a plus aucune symétrie; souvent le pli
supérieur
de l'étage frontal supérieur, double d'un côté, e
y a plus aucune symétrie; souvent le pli supérieur de l'étage frontal
supérieur
, double d'un côté, est simple de l'autre. Dans au
Rolando; 2° un pli courbe. Ce pli, dans les singes, naît de la marge
supérieure
de la scissure de Sylvius, un peu au-devant du so
toujours dans l'homme. Dans tous les cas, cette portion de la marge
supérieure
de la scissure de Sylvius, qui est comprise entre
plus forte raison chez l'homme, le pli courbe n'atteint point au bord
supérieur
de l'hémisphère. Un intervalle l'en sépare, que r
la considération est importante, le nom de plis de passage. Le pli
supérieur
de passage manque dans les cynocéphales et les ma
s-grand, mais il est caché par l'opercule. Dans les guenons, le pli
supérieur
existe, mais à l'état rudi-mentaire. 11 est, comm
percule. Dans les semnopithèques, les gibbons et les orangs, le pli
supérieur
de passage est grand et superficiel. Le deuxième
ire, les parties prédominantes sont : 1° le groupe de l'étage frontal
supérieur
; 2° le lobule du pli pariétal ascendant; 3° le pl
frontal supérieur; 2° le lobule du pli pariétal ascendant; 3° le pli
supérieur
de passage ; 4° le deuxième pli de passage, c'est
xième pli de passage, c'est-à-dire tous les plis qui occupent le bord
supérieur
de l'hémisphère, et s'étendent de l'extrémité du
imètre environ en arrière de l'ouverture cérébrale et descend du bord
supérieur
de l'hémisphère sur sa face interne où elle se te
quadrilatère. Nous donnerons à ce premier pli le nom de pli marginal
supérieur
. Les dentelures de son bord supérieur l'ont fait
mier pli le nom de pli marginal supérieur. Les dentelures de son bord
supérieur
l'ont fait comparer à une crête, de là le nom de
do. Ce pli forme l'étage inférieur du lobe fronto-pariétal. L'étage
supérieur
qu'une anfractuosité flexueuse, mais peu profonde
peu profonde, sépare du précédent, est compris entre lui et le bord
supérieur
de l'hémisphère. Il est indivis dans la plupart d
éral subdivisé en deux plis dont le plus élevé se confond avec le pli
supérieur
du lobe frontal externe. B. Plis du lobe occipi
des hippocampes, est très-grêle. Il se continue avec le pli marginal
supérieur
derrière le genou postérieur du corps calleux, et
rêmement réduit, n'occupe que la minime partie des fosses occipitales
supérieures
; en sorte que ces prolongements du lobe pariétal
1), les corps striés, le corps calleux, toute la partie antérieure et
supérieure
des hémisphères manquait, il n'y avait qu'un vest
uface des lobes est gris, comme les hémisphères eux-mêmes. Leur arête
supérieure
correspond à la scissure longitudinale des lobule
la grande ouverture de la bourse qu'il divise en deux moitiés, l'une
supérieure
, l'autre interne. Ces ouvertures donnent passage
petits axes gris du bulbe et pénètrent dans l'olive par son ouverture
supérieure
. Ces fibres forment un plan bien distinct. Les se
s en dehors se trouve le tractus fibreux qui s'engage par l'ouverture
supérieure
de l'olive et s'épanouit à l'intérieur de la bour
n distincte des cordons postérieurs brachiaux et des funicules grêles
supérieurs
qui se porte vers le cervelet, ont des fonctions
venir plus tard. Le plus important de ces satellites est le pédoncule
supérieur
du cervelet; situé en dehors et au-dessus du cord
ocus niger, substantia nigra, d'endroit noir, le distingue de l'étage
supérieur
que composent essentiellement des fibres émanées
térieurs de la moelle, du nerf acoustique et du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Cet étage supérieur du pédoncule a été désigné p
, du nerf acoustique et du pédoncule cérébelleux supérieur. Cet étage
supérieur
du pédoncule a été désigné par les anatomistes al
2. gements du cordon postérieur, du nerf acoustique et du pédoncule
supérieur
du cervelet, s'étalent au centre de chaque couche
des fibres émanées soit des cordons postérieurs, soit des pédoncules
supérieurs
du cervelet, soit du nerf acoustique. Quant à ce
eur de cette partie de la racine cérébelleuse qui dépend du pédoncule
supérieur
. Or, nous appelions, il n'y a qu'un instant, ce p
2° Structure du noyau blanc. Les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
qui ont enveloppé l'olive, et celles qui,* après
nnulaire, avons-nous dit, est formée de deux plans : un plan profond,
supérieur
aux pyramides, un plan superficiel qui passe au-d
n superficiel de la protubérance est énormément saillant, et son bord
supérieur
recouvre complètement le plan profond. Il en est
ervelet et celui des lobes olfactifs. 4° Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
sont le seul lien visible qui unisse directement
par certaines divisions, ils se rattachent aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
et aux prolongements des faisceaux postérieurs ve
semble des hémisphères par une coupe transversale, effleurant la face
supérieure
du corps calleux, la section de ces deux centres
icule s'y voit avec la grande dilatation de l'infundibulum. Son étage
supérieur
, que bordent les rênes de la glande pinéale, comm
u ce qui reste du pédoncule, on peut apercevoir une partie de la face
supérieure
des couches optiques. Le bord supérieur de l'ou
voir une partie de la face supérieure des couches optiques. Le bord
supérieur
de l'ouverture qui fait communiquer avec le vesti
et, pour s'en détacher plus loin et se perdre dans les plis marginaux
supérieurs
du lobe. D'autres, contournant avec l'ourlet l'ou
re au niveau de la scissure des Hippocampes, en sorte que les parties
supérieures
du plan des libres propres ne tiennent à ses part
enir sur les tractus blancs qui parcourent d'avant en arrière la face
supérieure
du corps calleux, et qu'on a désignés sous le nom
du système nerveux, pl. 18, iig. 1. particulièrement dans son bord
supérieur
. Dans les singes, quo nous prenons ici pour type,
ur du corps calleux, se porte vers les extrémités occipitales du bord
supérieur
de l'hémisphère, en suivant l'épaisseur de cette
on découvre un vaste éventail, dont les fibres rayonnent dans le bord
supérieur
de l'hémisphère, depuis le deuxième pli ascendant
avec attention le tractus gris semicirculaire qui unit le corps strié
supérieur
au corps strié inférieur pour découvrir cette ori
es très-rapprochées les unes des autres qui se terminent dans le bord
supérieur
de l'hémisphère, et continuent d'arrière en avant
e expansion cérébrale du nerf optique dans toutes les parties du bord
supérieur
de l'hémisphère qui sont en arrière du genou post
r l'existence. Ils s'engagent, en effet, dans la masse du corps strié
supérieur
, et, pour arriver à leur destination dernière, tr
de chose près l'existence de ces fibres dans toute l'étendue du bord
supérieur
de l'hémisphère, de son extrémité occipitale à so
respondent avec toute l'étendue de la bande de plis qui longe ce bord
supérieur
, plis dont le développement excessif caractérise
suite de ce mélange même, que leur terminaison plonge dans les étages
supérieurs
de l'hémisphère. Ainsi donc, et que le lecteur
équences que ceux que je signale ici. Évidemment, dans les mammifères
supérieurs
, dans l'homme et dans les primates, il y a deux r
tal le long du bord inférieur de l'hémisphère, et de là vers son bord
supérieur
où ses fibres peuvent être suivies jusqu'en regar
e la scissure de Sylvius. Leur véritable terminaison est dans le bord
supérieur
du lobe occipital ; je ne les ai pas vues remonte
e les ai pas vues remonter plus haut chez les singes, le long du bord
supérieur
de l'hémisphère. Il n'en est pas ainsi dans l'hom
isphère. Parmi ces commissures la plus considérable passe de la marge
supérieure
de la scissure de Sylvius à sa marge inférieure,
es couches corticales du cerveau se prolonge assez loin sur leur face
supérieure
et sur leur bord interne, où elles présentent, ch
nd nombre de faisceaux semblables occupent le bord externe et la face
supérieure
du lobe olfactif. Dans mon mémoire sur l'organe d
res crâniennes. La première a pour corps l'os basilaire, pour lames
supérieures
, les deux occipitaux, et pour arcs inférieurs des
ipitale. La deuxième a pour corps le sphénoïde postérieur, pour arc
supérieur
ses grandes ailes et les pariétaux, et pour arc i
riétale. La troisième a pour corps le sphénoïde antérieur, pour arc
supérieur
ses petites ailes et les os frontaux, pour arc in
t rudimentaire ; elle a pour corps la masse de l'cthmoïde, pour lames
supérieures
les os du nez et pour lames inférieures les deux
eur commun; et des nerfs de sentiment, savoir : la branche maxillaire
supérieure
(1), et l'ophthal-mique du trijumeau. Enfin, la
numeration fait apparaître un fait fondamen- (1) Le nerf maxillaire
supérieur
passe, il est vrai, dans l'homme, par un trou par
erf au travers de la protubérance, et sous les pédoncules cérébelleux
supérieurs
jusqu'à la paroi grise du quatrième ventricule, o
mbattent cette opinion, et les font naître des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, des faisceaux intermédiaires, des tubercules qua
es racines du pathétique s'enfoncent entre les pédoncules cérébelleux
supérieurs
et les rubans de Reil, et se terminent dans le pl
a formation de la paire occipitale. 2° Deux branches, le maxillaire
supérieur
et l'ophthalmique, correspondent au trou de conju
gine du trijumeau. Or, le tubercule cendré de Rolando est l'extrémité
supérieure
de la strie gélatineuse qui occupe, dans toute l'
L'une, de teinte grise, se place au-dessous du pédoncule cérébelleux
supérieur
, et se porte avec lui dans le cervelet. L'autre
ige vers le plan médian de l'axe, au-dessous du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Une partie des fibres qui la composent, suivant
nt une assez grosse division qui glisse sous le pédoncule cérébelleux
supérieur
, et descend avec un prolongement du faisceau post
eele. Kônigsberg, § 21, page 3G.) le système des coupes qui est ici
supérieur
à tous les autres. Ils figurent deux ramification
e porte de l'organe de Jacobson à un petit ganglion situé sur la face
supérieure
du lobe. On pourra consulter à cet égard, outre l
que ce rapport entre les ganglions surajoutés et les organes des sens
supérieurs
, est plus étendu et surtout plus immédiat. Il e
ins égards à cette opinion de Baër. Pendant fort longtemps, l'orifice
supérieur
du cerveau intermédiaire présente les traces d'un
prend, avec la valvule de Vieussens, la partie visible des pédoncules
supérieurs
du cervelet, n'existait point encore. La région
ques formaient le nez de ce mufle; le cervelet représentait une lèvre
supérieure
divisée par un sillon médian, et les corps restif
me de vingt et un ans (âge qu'avait atteint notre idiote) ; mais bien
supérieure
à celle qu'aurait pu faire supposer un cerveau au
agé en deux masses latérales, n'offrait encore aucune trace de vermis
supérieur
et ne portait ni feuilles ni sillons. Comparons
présente le cerveau de l'homme supposerait chez un primate une taille
supérieure
à celle de l'Éléphant, d'autant plus que dans le
la convexité du cervelet sur laquelle elle se moule. — « La convexité
supérieure
répond à la concavité légère des a lobes postérie
li est tendu entre les gouttières latérales de l'occipital et le bord
supérieur
des deux rochers, et souvent chez les animaux il
vertical; sa forme est celle d'une lame de faux très-large. Son bord
supérieur
adhère à la gouttière sagittale du crâne. Son tra
ur duquel il est compris. On lui a donné le nom de sinus longitudinal
supérieur
. Un autre est compris dans le tranchant de la fau
nit avec l'extrémité antérieure du sinus droit. Le sinus longitudinal
supérieur
s'unit de son côté avec l'extrémité postérieure d
inus suivants : 1° Le sinus pétreux postérieur étendu le long du bord
supérieur
du rocher, entre le sinus caverneux et le sinus l
tendus de la cinquième paire jusqu'au voisinage du sinus longitudinal
supérieur
. Un troisième filament nerveux occupait l'épaisse
rnissent les artères auditives. Plus en avant, il donne les artères
supérieures
du cervelet. Ces artères, parallèles aux fibres d
e, passent au-devant des nerfs trijumeaux et se distribuent à la face
supérieure
du cervelet, elles donnent en outre des ramuscule
us signalerons encore une petite artère qui, de l'artère cérébelleuse
supérieure
, se porte à la surface du pédoncule supérieur du
l'artère cérébelleuse supérieure, se porte à la surface du pédoncule
supérieur
du cervelet, dans l'intérieur du corps rhom-boïda
es sinus de la dure-mère. On distingue : 1° Les veines cérébrales
supérieures
. Leurs racines, logées dans lo fond des circonvol
es. Leurs racines, logées dans lo fond des circonvolutions de la face
supérieure
du cerveau, se portent vers la scissure médiane
nterne des hémisphères, et s'ouvrent enfin dans le sinus longitudinal
supérieur
. 2° Les veines cérébrales postérieures. Elles s
eures. Elles s'ouvrent dans les sinus latéraux près des sinus pétreux
supérieurs
. 3° Les veines cérébrales antérieures. Nées de
rieure du sinus caverneux, et dans certains cas dans le sinus pétreux
supérieur
. 4° Les veines du corps strié et les veines cho
l'extrémité antérieure du sinus droit. 5° Les veines cérébelleuses
supérieures
. Elles s'unissent à la partie moyenne du sinus dr
e. La variété est inconnue dans les sauvages, et elle vient aux races
supérieures
, aux races du jour, comme les appelle si poétique
rps du sphénoïde antérieur, qui offre constamment chez les mammifères
supérieurs
deux cavités aériennes séparées l'une de l'autre
ieur palatin de cette vertèbre, dont les os nasaux représentent l'arc
supérieur
. Ces choses sont surtout apparentes dans les anim
us complète. On remarque d'ailleurs entre le développement des arcs
supérieurs
des vertèbres céphaliques et celui de leurs arcs
fférentes régions du tronc nous offrent un exemple. Les arcs crâniens
supérieurs
sont-ils petits? Les arcs costaux céphaliques, c'
platissement et d'un amoindrissement des nasaux, qui en forment l'arc
supérieur
. Ainsi les choses se lient en telle sorte, qu'à l
rtèbre frontale, entraînait un développement excessif des maxillaires
supérieurs
, qui, n'étant pas égalés par l'inférieur, s'avanç
érieur, s'avançaient au-dessus de celui-ci, si bien que les incisives
supérieures
n'étaient plus en rapport avec les inférieures. C
la prédominance de tous ces caractères. Ainsi, considérant l'étage
supérieur
du lobe frontal, le lobule du deuxième pli ascend
du lobe frontal, le lobule du deuxième pli ascendant et loe doux plis
supérieurs
de passage, comme constituant les régions caracté
res cas, le lien compresseur, noué sous le menton, divise les parties
supérieures
du crâne en deux lobes, comme M. le docteur Lunie
j'y vois de bien grandes difficultés. Je reconnais bien que les races
supérieures
sont caractérisées par un plus grand développemen
eut-on, à cause de cela, le considérer comme le centre d'une activité
supérieure
? A cela je répondrai que certaines parties de la
stinguent plus particulièrement par leur grandeur, savoir: 1° l'étage
supérieur
du lobe frontal; 2° le lobule du deuxième pli asc
e pli ascendant; 3° enfin, le développement simultané des deux plis
supérieurs
de passage et, en deux mots, de tous les plis com
le bout inférieur à la blessure est trouvé plus sensible que le bout
supérieur
. Il en conclut l'existence de certaines fibres de
t composée de fibres transversales ; une autre (pédoncule cérébelleux
supérieur
) va d'arrière en avant et se porte vers le cervea
anal semi-circulaire horizontal ; la section du pédoncule cérébelleux
supérieur
détermine une suite de culbutes en avant celle du
(1) Recherches experiment. Deuxième édition. Paris, 1842, p. 483.
supérieur
et inférieur. Il y a donc, dit M. Flourens, un ra
st divisible ainsi que le principe de la vie, « même chez les animaux
supérieurs
et les plus haut placés, « sans excepter l'homme.
s connaissante et active. Cognoscens, et activa. Eh quoi! les bêles
supérieures
connaissent donc! mais si elles connaissent elles
), un feu (3), un nombre qui se meut lui-même (4) ? Cela n'est-il pas
supérieur
à toutes les rêveries des philosophes (5) ? CHA
ntre à la manière d'une chambre obscure ou d'un daguerréotype. Il est
supérieur
au tact en tant qu'il donne à l'esprit des images
cela peut-il s'expliquer autrement que par l'existence d'un principe
supérieur
et incorporel? Il est certain que cet argument a
répétition (1) et le principe d'association. Mais il y a une méthode
supérieure
qui est celle des analogies rationnelles. Cette m
de l'homme si la foule des idées n'y était disciplinée par le pouvoir
supérieur
de l'âme. Aussi, cette expression si simple : « c
tion incessante. Dans le second cas, il n'y pas de lutte. Les organes
supérieurs
de l'âme sont eux-mêmes affectés, et le vaisseau
méningites et les encéphalites périphériques, enchaînant les organes
supérieurs
de l'âme, laissent triompher le chaos, et peupl
a les stigmates faux de Marie Bucaille, et les fausses marque? de la
supérieure
des Ursulines de Loudun ; dans le domaine des fai
comme une chaîne de jugements coordonnés, sous l'empire d'une faculté
supérieure
, je veux dire la faculté d'abstraction. Ainsi n
est donc fort difficile de se faire, indépendamment de cette faculté
supérieure
, une idée de l'intelligence; aussi, les Hébreux d
n ne tenant compte que des résultats, leur attribuer une intelligence
supérieure
à celle de l'homme, puisqu'il est bien certain qu
tenais malgré lui. A ce moment, le coati, qui grimpait dans la partie
supérieure
de la cage et paraissait d'abord indifférent à ce
minée, les narines flairent dans l'attitude de la répulsion; la lèvre
supérieure
, semblable à un obturateur chez l'homme, est alor
on par une intuition spontanée, sans jamais s'élever à des inductions
supérieures
; enfin, il ne peut rien hors du domaine naturel d
mais ici s'arrête leur langage ; l'homme seul possède les deux formes
supérieures
. 3. Il y a chez les animaux des vestiges éviden
. Ainsi, l'homme est distinct des animaux, il règne dans une sphère
supérieure
; mais s'ensuit-il que ceux-ci n'aient point d'âm
s et dans l'nomme ; eiles occupent, en effet, toute l'étendue du bord
supérieur
des hémisphères. L'analogie ne permet-elle pas de
b. § 2. Description du noyau cérébral............... 44 § 3. Face
supérieure
du noyau................. 60 § 4. Des ventricul
e reproduits par la volonté. Ils sont d'un poids incompara- blement
supérieur
à celui de tous les renseignements qui vous ont é
te je fais exécuter des mouvements passifs aux segments des membres
supérieurs
et des membres inférieurs, et enfin je fais pal
nt à trois ans ; la paralysie occupe le membre inférieur, le membre
supérieur
et la face, elle est plus prononcée au membre s
, le membre supérieur et la face, elle est plus prononcée au membre
supérieur
qu'au membre inférieur ; toute- fois, les mouve
is ans ; la paralysie était flasque au membre inférieur ; le membre
supérieur
gauche était légèrement contracturé ; les réfle
après l'accident ; chez l'autre la lésion avait pour siège la partie
supérieure
de la moelle dorsale et l'examen avait eu lieu
rocédé imaginé par Jendrassik. Dans l'examen des réflexes du membre
supérieur
, souvent difficiles à constater, il y a lieu d'
S BRACHIAL OU D'EXTENSION DE L'AVANT-BRAS. On lait porter le membre
supérieur
en dehors et en arrière ; on le soutient de la
Cette autre position me semble préfé- rable : l'attitude du membre
supérieur
est analogue à la précédente, mais au lieu de s
TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 43 E. Réflexe de pronation. Le membre
supérieur
est placé dans la même position que pour la rec
des réflexes rotuliens et achilléens. Quant aux réflexes du membre
supérieur
, ils ont été généralement considérés comme inco
ps brachial. D'après mes observations, parmi les réflexes du membre
supérieur
, il en est trois, le réflexe du triceps, le réf
este parfaitement sains, dont les réflexes osso-tendineux du membre
supérieur
sont forts chez l'un et faibles chez l'autre. Voy
ineux des membres intérieurs peuvent être forts et ceux des membres
supérieurs
faibles; et môme les divers réflexes d'un membr
elle de la flexion de l'avant-bras sur le bras et ne lui est jamais
supérieure
. Or, la diminution ou l'abolition du réflexe de
achilléen existe et le rotulien est aboli. Les réflexes des membres
supérieurs
dans le tabès ont été, en 1901, l'objet d'un tr
, p. 2 ! ¡ : -i). D'après lui, l'abolition des réflexes des membres
supérieurs
précéderait habituellement l'irréflectivité des
vrai qu'à une certaine phase de la maladie les réflexes des membres
supérieurs
s'affai- blissent et disparaissent à leur tour
contre, la névrite saturnine, atteignant principalement les membres
supérieurs
, n'abolit parfois que les réflexes de ces membr
tendues : elle occupe tantôt les quatre membres, tantôt les membres
supérieurs
ou les membres inférieurs, tan- tôt un seul mem
parfois à une abolition de tous les réflexes tendineux des membres
supérieurs
; en pareil cas l'état des réflexes des membres
uisent qu'une portion limitée, les réflexes tendineux des mem- bres
supérieurs
ne seront troublés que d'une manière partielle ;
egment ; malgré l'intégrité des autres réflexes tendineux du membre
supérieur
, la cavité médullaire peut avoir envahi toute la
conseillons, pour la constatation de ce signe, de placer le membre
supérieur
du sujet en demi-flexion et pronation et d'immo
elviens. d) La surréflectivité est circonscrite dans un des membres
supérieurs
. Ce type s'observe plus rarement que le précéde
rochées qu'une lésion atteignant les fibres correspondant au membre
supérieur
frappe presque inévitablement celles qui comman
Dans la première, tous les réflexes tendineux et osseux des membres
supérieurs
sont exagérés : elle dépend d'une lésion bilaté
onde sous-variété, l'exagération des réflexes tendineux des membres
supérieurs
n'est que partielle ; le réflexe d'extension de
rréflectivité peut occuper les deux membres inférieurs et un membre
supérieur
. C'est un type rare que nous ne faisons que sig
rès notable, généralement l'état des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
est bien différent. Nous reviendrons sur ce poi
estent abolis après l'attaque; au contraire, les réflexes du membre
supérieur
, qui étaient conservés, s'exagèrent. e) Enfin
us exagérés. Il en est tout autrement pour les réflexes des membres
supérieurs
dont les modifications sont subordonnées, en pa
flexion de la main et des doigts. Sinon, l'irréflectivité du membre
supérieur
n'est que partielle et l'on constate alors presqu
ntre que la recherche méthodique des réflexes tendineux des membres
supérieurs
, d'habitude négligée, fournit des renseignements
gue trois réflexes cutanés abdominaux : l'inférieur, le moyen et le
supérieur
. z4 si SÉMIOLOGIE Une excitation légère de la
voir qu'on peut observer aussi des réflexes de ce genre aux membres
supérieurs
. Ces données établies, nous sommes en mesure de
se fléchissent très nettement quand on excite la peau de la partie
supérieure
de la cuisse ou de la partie inférieure de l'ab
ne aux membres inférieurs, peut atteindre en même temps les membres
supérieurs
, où elle offre les mêmes caractères : rigidité
rès forts. Qu'on la considère aux membres inférieurs ou aux membres
supérieurs
, ce qui frappe surtout, ce sont ses liens intim
il constata alors que les mouvements des divers segments du membre
supérieur
gauche s'opéraient bien plus difficilement que
soir à l'heure habituelle. Le 23 décembre, à son réveil, le membre
supérieur
gauche était totalement paralysé. Le malade se
tie supé- rieure du corps, voici ce que je constate : . Le membre
supérieur
gauche est plus rapproché du tronc que le membre
Le membre supérieur gauche est plus rapproché du tronc que le membre
supérieur
droit et la main gauche se trouve plus près de
he se trouve plus près de la ligne médiane que la droite. Le membre
supérieur
gauche est flasque ; on peut facilement fléchir e
est aussi nettement plus fort du côté de la paralysie. Le mem- bre
supérieur
gauche est sensiblement plus froid que le droit.
rapports entre les mouvements du membre inférieur et ceux du membre
supérieur
; la cuisse et le bras se portent simultanément e
ade tourne sur lui-même avec une certaine brusque- rie, les membres
supérieurs
s'écartent du tronc ; mais du côté gauche le mouv
s abandonne à eux- mêmes, je constate ceci : du côté sain le membre
supérieur
vient heurter contre le tronc, rebondit une foi
une fois ou deux, puis reste immobile ; du côté paralysé le membre
supérieur
présente des oscillations plus nombreuses et ne r
s ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des membres
supérieurs
qui s'associent généralement aux précédents san
ainsi un mouvement passif; si, comme cela arrive souvent, le membre
supérieur
, après être retombé, reste immédiatement appliqué
e est intervenue, car, en vertu des lois de la mécanique, le membre
supérieur
, s'il avait été complètement inerte, aurait dû, a
la joue fait saillie au dehors; de plus, quand le domaine du facial
supérieur
est atteint, ce qui n'est pas rare, surtout au
e côté. L'affaiblissement de la tonicité dans les muscles du membre
supérieur
peut encore être décelé de la manière suivante
as et qu'on cherche à appli- quer ainsi ces deux segments du membre
supérieur
l'un sur l'autre aussi fortement qu'il est poss
iliaque, qui, suivant qu'il prend son point d'appui à son insertion
supérieure
ou à son insertion inférieure, fléchit la cuiss
s qui inclinent le tronc en arrière. S'il en était ainsi, la partie
supérieure
du tronc, entraînée par la pesanteur, viendrait
à ce but, de faire contracter énergiquement les muscles des membres
supérieurs
. Malgré ces précautions on n'arrive pas toujour
légie organique spasmodique, à condition que la paralysie du membre
supérieur
soit assez marquée ; je n'ai jamais perçu cette s
ture hystérique. J'ajoute que la contrac- ture hystérique du membre
supérieur
est ordinairement plus intense ; la pulpe des d
aire exécuter un mouvement quelconque aux divers segments du membre
supérieur
paralysé. Faites l'expérience suivante : saisisse
de la commissure, de l'abaissement du sourcil, etc., et au membre
supérieur
par le phé- nomène que j'ai appelé Inflexion ex
is une phlébite), mais elle ne se plaignait nullement de son membre
supérieur
, qui cependant était absolument inerte. Elle exéc
elle ne paraissait pas percevoir les déplacements passifs du membre
supérieur
. J'ai appris que plus tard son intelligence s'a
ôme temps qu'on abaisse l'extrémité antérieure du pied. Au membre
supérieur
on peut facilement provoquer le déclenchement d
fficiles à mettre en évidence et où la déter- mination de la limite
supérieure
de leur zone de production est impor- tante à c
inte de paraplégie spasmodique en flexion une contracture du membre
supérieur
avec abo- lition des réflexes tendineux et exag
pyramidale, qu'elles occupent les membres inférieurs ou les membres
supérieurs
, il était nécessaire de faire une subdivision e
onne seulement le moyen de connaître la place occupée par la partie
supérieure
du néoplasme et ne renseigne pas sur la situation
ente à la lésion et la surréflectivité ne franchit jamais la limite
supérieure
de cette région. Ces deux données, limité de l'
pêtrière, janvier-férier 191 3. RÉFLEXES DE DÉFENSE 125 la limite
supérieure
des réflexes de défense se trouvait au niveau de
e et l'index, le tendon d'Achille dans son tiers moyen ou son tiers
supérieur
, on provoque chez l'individu sain une sensation
de traite de l'hyper- kinésie réflexe qu'on peut observer au membre
supérieur
. En janvier 1911 (Revue Neurologique, t. ;XXI,
de défense témoigne que la moelle est délivrée du joug des centres
supérieurs
; mais, comme on le voit par ce qui précède, la
serveraient que quand il y a persistance de l'influence des centres
supérieurs
. Dans la section complète, l'extension se produ
abolis; la moelle n'était donc pas entièrement libérée des centres
supérieurs
; or, chez ce malade, bien souvent, des excitati
phe mondiale. Quelques mots sur les mouvements réflexes des membres
supérieurs
. Claude, dans un travail : « Sur certains phéno
réactions motrices réflexes et a eu surtout en vue celles du membre
supérieur
. J'ai mentionné des réflexes de défense du memb
membre supérieur. J'ai mentionné des réflexes de défense du membre
supérieur
dans mon article de i()'5. « Ils consistent éga
uel le niveau inférieur de la compression correspondait à la limite
supérieure
des réflexes de défense) : Paraplégie incomplèt
ne aux membres inférieurs, peut atteindre en même temps les membres
supérieurs
, où elle offre les RÉFLEXES DE DÉFENSE 14g mô
le point excité comme pour le protéger. Dans le deuxième, le membre
supérieur
se soulève, la main se porte sur Ja tête et vie
gique traduisent la libération de la moelle par rapport aux centres
supérieurs
. Les faits observés cadrent fort bien pour la p
s. Comment le comprendre ? On pourrait dire que lorsque les centres
supérieurs
ont asservi les centres infé- rieurs, ceux qui
s. Or, ceux des extenseurs de la jambe qui ont leur point d'attache
supérieur
sur le fémur ne peuvent être influencés par la
ste étendue, la flexion de la cuisse éloigne les points d'insertion
supérieurs
de la longue portion z) Voir ce sujet l'article
ronc et peut se poursuivre en D 2-D 1 sur la face interne du membre
supérieur
droit. Sur la plus grande étendue du territoire a
Brown-Séquard par coup de couteau au niveau de la moelle cervicale
supérieure
présentait à son entrée à l'hôpital, entre autres
Il existe des troubles moteurs prédominant du côté droit. Au membre
supérieur
droit, le biceps et les supinateurs sont à peu
de modifi- cation notable de l'excitabilité électrique. Au membre
supérieur
gauche, les troubles parétiques atteignent les mê
n organique du système nerveux ; les réflexes tendineux des membres
supérieurs
et des membres inférieurs sont normaux ; la vue
d il cherche à marcher, a un aspect tout à tait spécial ; la partie
supérieure
du corps ne suit pas le mouvement du membre inf
ns en vue, l'individu normal, en même temps qu'il incline la partie
supérieure
du corps en arrière, fléchit la jambe sur le pied
E CÉRÉBELLEUSE 187 mus, du tremblement dit intentionnel des membres
supérieurs
et de l'asynergie des membres inférieurs ; ce s
fois que maintenant, et un léger tremblement intentionnel du membre
supérieur
gauche, on peut affirmer que la partie de l'app
fonctionner simul- tanément les deux membres, le trouble du membre
supérieur
gauche s'impose à l'observation. On observe d
teurs. La parole est lente et interrompue. Les mouvements des membres
supérieurs
sont maladroits, manquant de la juste mesure, d
sons asseoir côte à côte un tabétique ayant de l'ataxie aux membres
supérieurs
et un cérébelleux présentant de façon typique les
ite, l'autre à gauche, avec mission de soutenir seulement la partie
supérieure
de son corps sans lui imprimer de mouvements, il
ment et démesurément, et le pied est porté en avant. Mais la partie
supérieure
du corps ne concourt pas au mouvement de transl
puisse avancer, il faut donc que les aides impri- ment à la partie
supérieure
de son tronc une légère impulsion en avant, ou
s et à peu près immobiles, les pieds comme figés au sol : la partie
supérieure
du corps seule s'infléchit en arrière, et, lorsqu
a caractéristique à retenir c'est non pas le mouvement de la partie
supérieure
du corps, mais bien l'inertie de la partie infé
uvements élémentaires d'une manière presque normale, mais la partie
supérieure
du corps reste en arrière, et il faut que les a
ation du corps à la flexion de la cuisse. L'immobilité de la partie
supérieure
du corps pendant que le membre inférieur se porte
t comme le complément de la précédente. Dans l'une, c'est la partie
supérieure
du corps qui n'accompagne pas le mouvement de la
c'est la partie inférieure qui reste immobile, tandis que la partie
supérieure
fonctionne. N'est-il pas rationnel de soutenir qu
-iliaque qui, suivant qu'il prend son point d'appui à son insertion
supérieure
ou à son insertion inférieure, fléchit la cuiss
n le faisant connaître, ce trouble se manifeste surtout aux membres
supérieurs
. L'adiadococinésie est tantôt bilatérale, tantô
trouve de simples mentions de ce genre : « ataxie légère du membre
supérieur
»,... « ataxie de la main ». C'est là peut-être
ent fixes. Cette fixité est remarquable par sa perfection, elle est
supérieure
à celle qu'un homme normal est en mesure de réa
t inversé, on obtient une rotation conjuguée du côté sain, égale ou
supérieure
à la normale ; la rotation voltaïque conjuguée
xcitable est celle qui se trouve au devant du tragus et à sa partie
supérieure
; c'est là « le point d'élection ». En appliqua
ngulaires et l'inscription réalisée par l'un de nous pour le membre
supérieur
par le procédé suivant (') : sur une feuille de p
si le courant est faible, si ce dernier est plus intense, la lèvre
supérieure
du côté élec- trisé s'abaisse et se porte en av
ndant la vie de troubles de motilité de la face et dont les membres
supérieurs
n'avaient été que légèrement parésiés. Examen éle
e Neurologie de Paris. Séance du 9 novembre i go5. 222 SÉMIOLOGIE
supérieur
réagissaient avec i milliampère et demi et les au
insisté sur la (') Quand il s'agit de paralysies réflexes du membre
supérieur
avec hypothermie, la fusion anti- cipée des sec
habituels du cerveau. On pratique une incision courbe à conca- vité
supérieure
de la dure-mère. L'exploration aussi complète que
s correcte ; elle n'est pas titu- bante. Les mouvements des membres
supérieurs
sont réguliers. Pas d'asynergie ; pas d'adiadoc
l à droite, est faible à gauche. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont faibles des deux côtés. Le réflexe cutané
l'espace de 15 jours. - La face est légèrement parésiée. Le membre
supérieur
, au contraire, est presque inerte; les mouvemen
imités. Le membre inférieur est un peu moins paralysé que le membre
supérieur
; le malade, il est vrai, est incapable de se t
erture de la dure-mère par une incision en fer à cheval à convexité
supérieure
, et une seconde incision verticale partant du som
s après, le malade s'aperçut d'une diminution de la force du membre
supérieur
gauche; puis apparurent des mouvements spasmodiqu
es mouvements spasmodiques involontaires dans les muscles du membre
supérieur
gauche et du cou, qui allèrent en s'accentuant
troubles dont il est atteint sont moins intenses. Quand son membre
supérieur
gauche est placé en avant, il le maintient avec s
ements spasmodiques qui sont surtout très prononcés quand le membre
supérieur
gauche est en avant du thorax et que le malade
nt atténués. Il s'agit d'un hémispasme gauche prédominant au membre
supérieur
ainsi qu'au cou et très peu prononcé au membre
ras. Ce qui fait la rareté de ce fait c'est que le spasme du membre
supérieur
est ici très marqué et que le membre inférieur
e j atteint d'un hémispasme prédominant au cou ainsi qu'au membre
supérieur
gauche et occupant aussi, mais à un degré moindre
orte en arrière. Le spasme du cou est associé à un spasme du membre
supérieur
gauche, ne cédant que rarement d'une manière co
ésentait une surélévation de l'épaule gauche, avec scoliose dorsale
supérieure
, à convexité gauche et il inclinait le tronc ve
de bon état relatif, l'enfant fut pris de spasmes marqués du membre
supérieur
gauche (attitude de légère abduction et de rota
n vers la droite. L'épaule gauche se soulève davantage et le membre
supérieur
gauche tend à se tourner en dedans. Le tronc est
° Un état spasmodique de tout le côté gauche prédominant au membre
supérieur
. 2° Des signes de lésion des faisceaux pyramida
Les photographies de l'article de la Clinique montrent que le membre
supérieur
avait, il y -a a dix ans, la même attitude géné
mètres plus courts qu'à droite. Les exostoses de l'épiphyse tibiale
supérieure
ont provoqué le déjettement en dehors et la tor
olis dit mental, d'autre part, de mouvements spasmodiques du membre
supérieur
et du membre inférieur gauches, qui rappellent
ette femme souffrait autrefois. J'ajoute que la faiblesse du membre
supérieur
gauche, consécutive à l'opération, s'est notabl
ection du spinal, tels que la gêne dans le fonctionnement du membre
supérieur
, ils sont minimes et négli- geables, si on les
paralysie complète avec anesthésie du membre inférieur et du membre
supérieur
du côté gauche. Vers la même époque apparurent
ndre. 286 AFFECTIONS DU CERVELET La paralysie motrice du membre
supérieur
et du membre inférieur gauches commença à s'att
ons de la tête déjà signalées, un léger tremble- ment des membres
supérieurs
, mais il y a des attitudes dans lesquelles le tre
la station sans y être aidé. Dans cet acte le sujet titube, la partie
supérieure
du corps et la tête présentent des oscillations
ment plus d'une minute; au début, les oscil- lations de la partie
supérieure
du corps sont très légères, elles s'accentuen
ne venait pas à son secours. Ajoutons que, pendant que la partie
supérieure
du corps oscille et que le sujet cherche à retr
placés de chaque côté du sujet, se contentent de soutenir la partie
supérieure
du tronc sans lui imprimer de propulsion, dès l
te en arrière (voir fig. 16). Ce défaut de synergie entre la partie
supérieure
du corps et les membres inférieurs constitue le t
douleur et à la température est affaiblie aux membres inférieur et
supérieur
gauches, à la partie gauche du tronc et du cou. A
. Cette fixité est remarquable par sa perfection ; elle semble même
supérieure
à celle qu'est en mesure de réaliser un homme n
li, mais paraît même plus parfait qu'à l'état normal. Aux membres
supérieurs
il y a du tremblement intentionnel, mais le mal
ies vestibulo-cérébelleuses pour gagner le noyau dentelé. La limite
supérieure
de ce foyer répond à l'union du tiers supérieur
dentelé. La limite supérieure de ce foyer répond à l'union du tiers
supérieur
et du tiers moyen de la protubérance, un peu au
corps dentelé et dégénération consécutive du pédoncule cérébelleux
supérieur
; 7° Lésion du floculus et de l'amygdale dont l
é de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des membres
supérieurs
sont accomplis avec correction, mais avec un lé
réflexes achilléens sont normaux. Les réflexes tendineux du membre
supérieur
paraissent un peu plus forts a droite qu'à gauc
grand, est tout récent. Ce premier foyer s'étend sur toute la moitié
supérieure
du bulbe ; sa forme générale est triangulaire ;
ical ; son trajet onduleux s'étend de la partie moyenne à la partie
supérieure
des olives ; il siège sur les parties latérales
ses. PCM. Pédoncule cérébelleux moyen. PCS. Pédoncule céré- belleux
supérieur
. V. Nerf trijumeau. N'Il. Nerf facial. VII.. Nerf
autres fibres dégénérées qui se rencontrent jusque dans les régions
supérieures
de la calotte. Le faisceau longitudinal postéri
ent une dégéné- rescence centripète qui s'étend jusqu'à l'extrémité
supérieure
du faisceau, sur la face interne du noyau rouge
r dans leur angle postérieur. Elles montent ainsi jusqu'à la partie
supérieure
du corps ciliaire et se recourbent pour descend
e froid, une vaso-constriction réflexe, notamment dans les extrémités
supérieures
. Cette vaso-constriction se traduit par deux ph
La Fig. 22. (Obs. I). Contracture des membres inférieurs, du membre
supérieur
droit et du cou. (Mars 18gô, d'après une photog
ars, on note de nouveaux troubles. Il y a de la raideur des membres
supérieurs
, plus prononcée à droite qu'à gauche; la main gau
oscillations rapides ; les réflexes tendineux et osseux des membres
supérieurs
sont normaux. Parfois la malade soulève un bras e
de ces muscles, à des secousses dans les muscles de la par- tie
supérieure
du corps, des pectoraux en particulier. La pe
sacrum et au niveau des trochanters. La contracture des membres
supérieurs
s'accentue, surtout à droite; de ce côté les
e qui part de l'angle externe du 4c ventricule, contourne la partie
supérieure
du corps restiforme et vient toucher les nerfs mi
A MOELLE grêles, plus flasques et moins rouges que ceux des membres
supérieurs
; le triceps crural droit est le plus altéré.
série de taches ecchymotiques. , A cinquante-quatre ans, le membre
supérieur
droit devient faible. Ces phénomènes auraient p
accompagnant de secousses involontaires du membre. Les deux membres
supérieurs
, mais surtout le droit, sont affaiblis ; elle p
diminuée de ce côté ; pas de troubles de la sensibilité aux membres
supérieurs
. La malade urine parfois avec difficulté, mais il
Au microscope les coupes des régions cervicale inférieure et dorsale
supérieure
montrent dans le point indiqué, une plaque de s
hyperexcitabilité musculaire et sur l'état cataleptoïde des membres
supérieurs
, mais j'insisterai davantage sur le contraste qu'
es infé- rieurs doit s'appliquer aussi à la contracture des membres
supérieurs
; dans l'observation I, la contracture de la ma
roit commençant par les muscles de la face, gagnant ensuite le membre
supérieur
, puis le membre inférieur. Je le trouve abattu,
inférieur droit s'effectuent avec lenteur ; les fonctions du membre
supérieur
peuvent être accomplies, mais non sans difficulté
rement au niveau des centres psycho-moteurs de la face et du membre
supérieur
et que l'opération sera faite en deux temps, à
tendineux sont normaux, de même intensité exactement qu'au membre
supérieur
gauche. La pression artérielle est sensiblement
ous conduisent à rappro- cher les troubles observés, dans le membre
supérieur
droit de cette malade, des troubles pltysiopath
ée des troubles physiopathiques que notre malade présente au membre
supérieur
droit. BAmasst. 2 a 338 PARAPLÉGIES - AFFECTI
en s'appuyant sur le bras d'une autre personne. Quant à son membre
supérieur
droit, elle s'en sert continuellement, dans la
toires et l'hypo- thermie, notamment pour ce qui concerne le membre
supérieur
, à une altération de la moelle et plus particul
sympathiques qui y prennent naissance. Quant à la parésie du membre
supérieur
, en l'absence de tout signe objectif de lésion
ion qui intéresse à la fois le sympathique et la moelle ? La limite
supérieure
de la zone de produc- tion de tous les phénomèn
la région cervicale : l'abolition de tous les réflexes des membres
supérieurs
, l'amyotrophie, les secousses fibrillaires, la to
nal ne méritant pas d'être relaté, n'était la contracture du membre
supérieur
gauche sur laquelle je désire appeler l'attenti
nsi, si les fibres des faisceaux pyramidaux correspondant au membre
supérieur
étaient atteintes dans la région cervicale, celle
malade que je présente, les réflexes tendineux et osseux du membre
supérieur
gauche contracturé, non seulement ne sont pas e
dans la région temporale, et aussi indifféremment dans la moi- tié
supérieure
que dans la moitié inférieure. L'irrégularité des
taient nettement unilatéraux. Nous avons essayé d'établir la limite
supérieure
d'apparition de ces mouvements réflexes : comme
d'une ligne nettement horizontale. Si nous la comparons à la limite
supérieure
de l'anesthésie, nous voyons que ces deux lignes,
ons, une distribution horizontale. En nous basant sur ces limites
supérieures
de la sensibilité des mouve- ments réflexes nou
exes nous avons essayé de localiser la lésion médullaire. La limite
supérieure
des mouvements réflexes, arrivant en arrière un p
été amputée). Les réflexes crémastériens, abdominaux inférieurs et
supérieurs
sont abolis. Les troubles du sphincter vésical
la jambe droite, et à la région plantaire. En même temps. le niveau
supérieur
de l'anesthésie s'abaisse jusqu'à une horizontale
rès forts à droite, faibles à gauche. Les réflexes cutanés abdominaux
supérieurs
et inférieurs sont abolis. L'excitation de la p
donc très probablement une lésion de la moelle dorsale à sa partie
supérieure
, et, chez les deux malades qui la portent, la sen
inale se contracte bien sous l'influence de la volonté. Les membres
supérieurs
sont normaux. Les réflexes achilléens existent,
u quadriceps fémoral du côté correspondant. Les réflexes abdominaux
supérieurs
sont faibles. Le réflexe anal est conservé. La
ficulté. Au moment où nous examinons ce malade, il existe au membre
supérieur
droit une atrophie et une faiblesse très marqué
es mêmes troubles : atrophie et contracture, existent aussi au membre
supérieur
gauche, mais beaucoup moins accentués. Les ré
oup moins accentués. Les réflexes tendineux sont aholis aux membres
supérieurs
. Aux membres inférieurs, il existe une parésie
ie permet seulement de reconnaître la place occupée par l'extrémité
supérieure
du néoplasme et ne renseigne pas sur la situa-
superficiel exposerait à localiser trop haut ou trop bas la limite
supérieure
du territoire des réflexes de défense. Voici un
douloureuse, donner lieu à des mouvements volontaires de la partie
supérieure
du corps amenant un déplacement passif des memb
urs d'interpré- tation, à tracer, comme nous l'avons dit, la limite
supérieure
des réflexes de défense et à déterminer ainsi l
anesthésie donnait, au point de vue de la localisation de la limite
supérieure
, des indications infidèles. En pareil cas, le c
ations carac- téristiques d'une compression de la moelle. La limite
supérieure
de l'anes- thésie se trouvait au niveau du cinq
l'anesthésie donne ordinairement le moyen de reconnaitre la limite
supérieure
d'une compression spinale, la limite inférieure
douleur, tact) y est extrêmement affaiblie ; toute- fois la limite
supérieure
de l'anesthésie thermique remonte un peu moins .h
alade localise'la sensation douloureuse qu'elle éprouve à la limite
supérieure
de cette région. A noter que certaines régions so
otonie ni atrophie musculaire. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
et inférieurs sont très forts surtout du côté g
tence d'une légère hypoesthésie à la douleur au niveau de la partie
supérieure
du tronc dans la région mammaire et à la face i
ofondes escarres; il n'y a pas d'atrophie musculaire. Les membres
supérieurs
sont allongés le long du corps, les mains sont ou
s membres inférieurs sont forts, les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont en partie exagérés en partie affaiblis. Le r
re par la percussion de l'omoplate, des os du coude et de la partie
supérieure
du cubitus qui, à l'état normal, donne lieu à une
r schéma) on obtient des mouvements réflexes de défense aux membres
supérieurs
: ils consistent en une extension de l'avant-bras
n comparatif des divers réflexes tendineux et le siège de la limite
supérieure
des mouvements réflexes de défense autorisait à
s membres inférieurs et le tronc, mais encore au niveau des membres
supérieurs
dans leur partie interne (C', C8, D'). De plus,
s réflexes de défense Rd. i. aux membres inférieurs, dont la limite
supérieure
est en et aux membres supérieurs Rd. s. dont la
x membres inférieurs, dont la limite supérieure est en et aux membres
supérieurs
Rd. s. dont la limite supérieure est en X'. b
e supérieure est en et aux membres supérieurs Rd. s. dont la limite
supérieure
est en X'. bres inférieurs et le tronc, il y av
le encore comprise dans ses enveloppes apparaît renflée à sa partie
supérieure
; à l'incision de la dure-mère on constate en ap
dans leur ensemble un véritable manchon fibreux enserrant la partie
supérieure
de la moelle. Cette fusion des enveloppes médul
uteur. L'anneau fibreux se prolonge en haut sur la région cervicale
supérieure
et, entre les 2e et 3'' segments, la face antérie
tique, G. gomme encastrée dans l'anneau méningé qui enserre la partie
supérieure
de la moelle cervicale. Fig. 45. - Moelle cer
nous avons constaté des mouvements réflexes de défense aux membres
supérieurs
que nous avons pu utiliser pour la localisation d
reurs commises peuvent provenir de ce qu'on a assigné comme limites
supérieures
des troubles de la sensibilité celles de l'hypoes
ue, dans les cas de ce genre, on a dû prendre pour repère la limite
supérieure
de l'anesthésie complète ou maxima située parfo
correspond, d'après nous, avec une grande approximation, au niveau
supérieur
de la compression spinale. Cette proposition
iège de la compression à un ou deux segments au-dessus de la limite
supérieure
de l'anesthésie. Mais 3g6 PARAPLÉGIES - AFFECTI
s inférieurs et sur une partie du tronc; elle s'atténue à la partie
supérieure
et l'hypoesthésie marquée atteint le niveau de D
t; les réflexes de défense sont devenus plus forts et leur limite
supérieure
se trouve nettement en D 8/g. Les troubles sp
ppré- ciable. Le lipiodol injecté par en haut s'arrête à son niveau
supérieur
tandis que sa partie inférieure est en rapport
lement injectée a presque rejoint les parties latérales de la voûte
supérieure
qui n'a pas (') Voir : Revue Neurologique. Para
alade étant placée la tête en bas, qu'une grosse partie de la bille
supérieure
de lipiodol restait fixée dans sa position primit
s douleurs occupent : 1° la région lombaire, irradiant vers la partie
supérieure
de la colonne vertébrale ; 2° l'angle inférieur
omparaison avec les parties normales situées plus haut. Les limites
supérieures
de cette hypoesthésie ne sont pas les mêmes pour
s matières. Ajoutons qu'on ne constate aucun trouble ni aux membres
supérieurs
, ni à la tête. Étant donné les troubles obser
ion de la moelle, proba- blement par néoplasie atteignant la partie
supérieure
de la moelle dor- sale, s'imposait. Il y avai
- sale, s'imposait. Il y avait tout lieu d'admettre que la limite
supérieure
de cette compres- sion correspondait au IVe ou
e spasmes. La sensibilité devient de plus en plus nette ; la limite
supérieure
de l'hypoesthésie descend de deux ou trois trav
te et des yeux, pas d'Arc, 11-Robertson ; rien non plus aux membres
supérieurs
si ce n'est des réflexes osso-tendineux égaux e
re et à la douleur est, au contraire, fortement atteinte. La limite
supérieure
de l'anesthésie « instable » passe à 3 centimètre
is, nous avons pu les faire apparaître dans une zone dont la limite
supérieure
dépassait légèrement la ligne mamelonnaire et s
uvait distante de 1 centimètre et demi à 2 centimètres de la limite
supérieure
de l'anesthésie ('). Epreuve du lipiodol, prati
es, l'inférieure, reste adhérente au cul-de-sac sacré ; l'autre, la
supérieure
, se mobilise et se divise en plusieurs parties d'
plusieurs jours et quelques troubles pas- sagers du côté du membre
supérieur
droit, la période post-opératoire s'est déroulée
ser la topographie des troubles sensitifs pour déterminer le niveau
supérieur
de la compression. C'est probablement pour ne p
thésie instable sa valeur et pour avoir pris comme repère la limite
supérieure
de l'anesthésie maxima que, dans un certain nom
état normal deux angles, tous deux obtus, de 160" environ : l'angle
supérieur
est ouvert en dehors, ses côtés correspondent a
nt le triceps sural, qui sont généralement res- pectés. Les membres
supérieurs
et la face, cela est démontré par un certain no
eurs du pavillon de l'oreille ne sont jamais affectés ; les membres
supérieurs
se prennent ensuite, et les muscles qui sont pr
; à l'avant-bras : le long supinateur; les autres muscles du membre
supérieur
sont souvent envahis dans la suite, en particul
ffection débute à la fois par les membres inférieurs et les membres
supérieurs
; la face peut être prise aussi en même temps q
époque, étant soldat, qu'il aurait commencé à éprouver aux membres
supérieurs
452 AFFECTIONS DES MUSCLES et aux membres inf
te je fais exécuter des mouvements passifs aux segments des membres
supérieurs
et des membres inférieurs, et enfin, je fais pa
érique avec des réflexes tendineux manifestement exagérés au membre
supérieur
et au membre inférieur, avec de l'épilepsie spi
'une deuxième rachicenthèse le sujet est pris d'un spasme du membre
supérieur
dont on obtient aussi la disparition immédiate pa
lieu dans lequel ils se trouveront, de l'ascen- dant moral de leurs
supérieurs
et pour une très grande part de la manière dont s
signe, sous le nom d'acro-contractures ou d'acromyotonies du membre
supérieur
, des contractures de la main en attitudes varié
voit que les plus grandes oscillations correspondent à une pression
supérieure
de i à 2 centimètres de mercure à la pression d
entimètres et atteignent parfois 7 et 8 centimètres ; à la partie
supérieure
de l'avant-bras, elles sont de 2 à 3 centimètres;
s troubles moteurs à l'extrémité, surtout quand il s'agit du membre
supérieur
, l'amyotrophie atteint généralement tout le mem
bre inférieur que dans les formes hypertoniques observées au membre
supérieur
. Cette différence est à rapprocher de celle que n
du membre inférieur. Dans quelques cas de contrac- tures du membre
supérieur
(main d'accoucheur), examinés dans les mêmes co
ur aux médecins non spécialisés. Chez un malade, blessé à la partie
supérieure
de l'avant-bras, voici ce qu'on observe : d'une
u médian, que les réflexes ostéo-périostés et ten- dineux du membre
supérieur
sont ordinairement plus vifs du côté malade que
lesse, intermittente d'abord, puis durable et progressive du membre
supérieur
droit, de l'amyotrophie des muscles de l'épaule
e, pr2, vol. XXIII, p. 1). (2) Tumeur méningée de la région dorsale
supérieure
. Paraplégie crurale par compression do la moell
, d'in- tensité modérée, des réflexes de défense, ayant pour limite
supérieure
le neuvième segment dorsal. Troubles de sensibi
qui fut suivie d'une période de bien-être, dont la durée ne fut pas
supérieure
à quatre mois. Pendant l'année igo2-rgo3, C...
ui a été obtenu par l'ablation du ganglion de Gasser et de beaucoup
supérieur
à l'effet de toutes les autres opérations. No
e mouvoir la tête et qu'il lui était impossible de remuer le membre
supérieur
et le membre inférieur gauches ; le côté droit
t une tendance aux mouvements athétosiques des orteils. Le membre
supérieur
gauche présente aussi des troubles de motilité tr
he. A droite, il n'y a pas de troubles de motilité, mais, au membre
supérieur
et au membre inférieur, la sensibilité thermiqu
mplètement contracturé, que la rigidité a atteint ensuite le membre
supérieur
droit, que le côté gauche est resté à peu près da
on séant, de mouvoir la tête, les membres inférieurs et les membres
supérieurs
, ou du moins les mouvements qu'il peut exécuter
l'éventail. Les réflexes tendineux et les réflexes osseux du membre
supérieur
droit sont exagérés. Au membre supérieur gauche
réflexes osseux du membre supérieur droit sont exagérés. Au membre
supérieur
gauche, l'état des réflexes est semblable à ce
re et de faire tourner un peu la tête, les mouvements de son membre
supérieur
droit sont améliorés au point qu'il peut manger
elles du rectum s'effectuent normalement. Le 14 novembre, le membre
supérieur
droit est revenu à peu près à la normale, le ma
Le membre inférieur droit fonctionne mieux que le gauche; le membre
supérieur
droit est tout à fait normal; le membre supérie
gauche; le membre supérieur droit est tout à fait normal; le membre
supérieur
gauche est celui où l'amélioration a été le CON
l'adduction réflexes des orteils. Les réflexes tendineux du membre
supérieur
droit sont forts ; la percussion du radius ne p
s de D. R., mais le deltoïde, le biceps et les extenseurs du membre
supérieur
gauche présentent un léger degré d'hypoexcital)il
oubles de motilité qui atteignent d'abord exclusivement les membres
supérieurs
et inférieurs du côté gauche, ainsi que le cou, e
réflexes tendineux et des réflexes cutanés, l'amyotrophie du membre
supérieur
gauche, la thermoasymétrie et la thermoanesthésie
it jours environ après la première séance radiographique, le membre
supérieur
droit peut se mouvoir suffisamment pour que le
THÉRAPEUTIQUE le malade a recouvré intégralement l'usage du membre
supérieur
droit et en partie celui du membre supérieur ga
ment l'usage du membre supérieur droit et en partie celui du membre
supérieur
gauche; il remue la tête et le tronc avec assez
; on constate encore un peu de rigidité, de l'amyotrophie au membre
supérieur
, des réflexes tendineux exagérés et de l'extensio
c d'un côté ou de l'autre, ou de se mettre sur son séant. La partie
supérieure
du tronc, les (') Voir : Rivista critica di cli
medica, anno VII, n° 45, igo6, Firenze. 6r4 THÉRAPEUTIQUE membres
supérieurs
, le cou et la face sont, en ce qui concerne la mo
gique, mars-avril 19 12). 192. Tumeur méningée de la région dorsale
supérieure
. Paraplégie crurale par compression de la moell
ociété de Neurologie, 9 novembre 1916). 243. Hyperthermie du membre
supérieur
après résection d'un anévrisme axillaire chez u
i J917)' 247. Paraplégie organique. Troubles vaso-moteurs au membre
supérieur
droit avec meiopragie et sans modification loca
oup de, scolioses de la première enfance, la convexité de la courbure
supérieure
est à gauche. Cette courbure s'étend de la quatri
est incliné à gauche, presque suivant le prolongement de l'extrémité
supérieure
de la courbure. La région lombaire est également
côté gauche. Le thorax est oblique dans le même sens que la moitié
supérieure
de la colonne dorsale. La figure fait bien voir l
ntraire, une direction récurrente par rapport au rachis. Le détroit
supérieur
du bassin, cordiforme, est légèrement rétréci à g
nt aux vertèbres placées au-dessus d'elle, et s'articule par son bord
supérieur
avec le corps de la cinquième dorsale. 3 I—i
igmoïde en S verticale, avec cette différence que la courbure dorsale
supérieure
a pris plus d'extension qu'à l'ordinaire ; d'où l
de flèche en avant et 15 millimètres en arrière ; la courbure dorsale
supérieure
, 2 centimètres en avant, 1 en arrière. La courbur
redressent et se replient pour se continuer, en haut, avec la partie
supérieure
du rachis restée droite, en bas avec le sacrum. C
plus distant de la ligne médiane du rachis. La courbure accessoire
supérieure
, à convexité droite, mais oblique de haut en bas
de la troisième période. Comme dans la lig. 7, pl. III, la courbure
supérieure
est assez longue; elle comprend les cinq première
lus bas et comprend les première et deuxième lombaires. Là courbure
supérieure
, cachée par le sternum, est semblable à celle de
u corps de la sixième vertèbre forme la limite des deux courbures. La
supérieure
, à convexité gauche, compliquée de cyphose sénile
double gibbosité costale se voit à la région postérieure du tronc. La
supérieure
, formée par les cinq ou six premières côtes gauch
e. Pl. IV. Le bassin est presque régulier ; le contour du détroit
supérieur
est seulement un peu rentré à droite et en avant,
millimètres de flèche. Bassin ample et assez régulier ; le détroit
supérieur
, cordiforme, est; légèrement resserré dans sa moi
roite à gauche. Le bassin n'est que légèrement déformé ; le détroit
supérieur
est un peu resserré du côté droit, vers lequel s'
timètres en arrière. Par une exception rare, la courbure secondaire
supérieure
, formée par la septième cervicale et les trois pr
limètres de flèche en avant et 40 millimètres en arrière; la courbure
supérieure
, 9 millimètres en avant, 7 en arrière; la courbur
, très obliques de haut en bas et de gauche à droite, comme la moitié
supérieure
de la portion du rachis incurvée. Le détroit su
e la moitié supérieure de la portion du rachis incurvée. Le détroit
supérieur
du bassin n'est pas symétrique : sa partie antéri
ètres dans le premier sens, 7 millimètres dans le second. La courbure
supérieure
présente, comme dans la figure 2, une particulari
régulier, mais trop petit : le diamètre antéro-postérieur du détroit
supérieur
n'a que 8 centimètres, et le diamètre transverse
fosse iliaque gauche. La cinquième lombaire, engagée dans le détroit
supérieur
du bassin, le rétrécit tellement qu'il ne reste q
mme dans la figure, le haut du tronc penche à droite, et si la partie
supérieure
du tronc est droite, le bassin est beaucoup plus
bures secondaires, à convexité droite, produites par ce mouvement, la
supérieure
est constituée par les huitième, neuvième, dixièm
ième lombaire dans la direction de l'axe du sacrum ; mais la courbure
supérieure
est insuffisante pour ramener le haut du rachis s
érieure du rachis à droite ne compense pas l'inclinaison de sa partie
supérieure
à gauche, et que la tête et le cou sont penchés à
ent antéro-postéricur : tandis que le diamètre transversal du détroit
supérieur
a 13 centimètres , on ne trouve que G centimètres
nt, et de 7 millimètres en arrière. Notons que la courbure accessoire
supérieure
, étendue de la première à la quatrième dorsale, a
bassin est déformé, moins développé à gauche qu'à droite; le détroit
supérieur
, plus rétréci dans le premier sens (pie dans le s
me dorsales. Fig. 5, a et h. — Quatrième dorsale, vue par ses faces
supérieure
et inférieure. La moitié droite de l'arc apophysa
x courbures. Fig. 6, a et b. — Cinquième dorsale, vue par ses faces
supérieure
et inférieure. Réduction encore plus considérable
vexité droite. Fig. 7, a et b. — Sixième dorsale, vue par ses faces
supérieure
et inférieure. L'arc apophysaire à peu près comme
te de la ligne médiane. Fig. 8. — Septième dorsale, vue par sa face
supérieure
. Même réduction de l'arc apophysaire dans sa moit
e principale. Fig. 9, a et b. — Huitième dorsale, vue par ses faces
supérieure
et antérieure. Le corps est semblable à celui de
et septième. Fig. 10, a et 6. — Neuvième dorsale, vue par ses faces
supérieure
et inférieure. Voisine de la troisième courbure,
t plus arrondi PL VU] Fig. 11. — Dixième dorsale, vue par la face
supérieure
. Le corps a la môme hauteur à droite et à gauche.
nstituent la troisième. Fig. 12. — Onzième dorsale, vue par la face
supérieure
. Léger affaissement du corps à gauche; réduction
ée à gauche. Fig. 13, a et b. — Douzième dorsale, vue par les faces
supérieure
et postérieure. Corps d'égale hauteur à droite et
ort au corps. Fig. 14, a et b. —Première lombaire, vue parles faces
supérieure
et postérieure. Corps très légèrement affaissé à
grêle que la droite. Fig. 17. — Quatrième lombaire, vue par la face
supérieure
. Assez régulière, sauf un peu plus de développeme
sixième côte, et de l'autre avec l'apophyse transverse de la vertèbre
supérieure
. 6 Sixième côte, Droite. Gauche. Non moin
sa face externe d'une rainure produite par le refoulement, du bord
supérieur
; articuléepardeux facettes avec les sixième et hu
ment sa partie postérieure a changé de ligure et en deux moitiés, une
supérieure
et une inférieure; col raboteux, de direction e
ntraire de la torsion normale, de manière que la face externe devient
supérieure
au voisinage de la tubérosité, disposition que l'
rieure en arrière, rieure dans le même sens que dans la dixième. Bord
supérieur
de la gouttière très saillant à la face interne,
hérent, et dont le volume est normal, a été refoulé jusqu'à la partie
supérieure
du thorax. C'est le foie, très volumineux et à
us volumineux que le gauche. Amincissement en pointe de l'extrémité
supérieure
de ces organes, plus marqué au rein gauche. Leur
lèle à la colonne lombaire, dont elle ne s'éloigne qu'à son extrémité
supérieure
. Œsophage légèrement courbe, oblique de haut en b
et superficielle, paraît produite par la pression du cœur sur sa face
supérieure
. Fig. II. — Rachis, vu de face, de sorte que la
rie, parce que la torsion de la colonne et l'inclinaison de sa partie
supérieure
ont imprimé à cette courbure une direction presqu
ar les six vertèbres dorsales les plus inférieures; mais les dorsales
supérieures
, quoique légèrement déviées en sens contraire, la
porté le milieu de la courbure principale. Les vertèbres lombaires
supérieures
, situées sur une ligne presque horizontale, ont e
s iliaques. Aorte concentrique à la courbure dorsale et à la partie
supérieure
de la courbure lombaire, qu'elle croise inférieur
ns courbée, éloignée de l'aorte et de la colonne lombaire à sa partie
supérieure
. OEsophage légèrement recourbé dans le même sen
ement en haut; cet organe est en outre descendu jusque dans la partie
supérieure
de la fosse iliaque droite. On n'a pas noté la di
urbure de cette artère et figure assez bien la corde de l'incurvation
supérieure
du rachis. Pl. XVI. PLANCHE DIX-SEPTIEME. F
evé, large et court, le droit très allongé et rétréci, dans sa moitié
supérieure
, par la pression qu'il a subie dans la gouttière
dans »a concavité, tournée à gauche, de la petite courbure accessoire
supérieure
, elle abandonne le rachis vis-à-vis la courbure p
n'avait plus que 2 centi-Bouvier. 7 mètres de flèche ; la courbure
supérieure
était moins sensible qu'avant le traitement. Les
ié était à 26 millimètres de la ligne médiane. Les vertèbres dorsales
supérieures
décrivaient une courbure en retour très légère, à
ée et dirigée dans le même sens, s'inclinait à droite à son extrémité
supérieure
pour se continuer avec la courbure dorsale. C'éta
IC»[l lallu.ia u ll.l chien attaché sur notre appareil. Le tracé
supérieur
indique la respiration diaphragmatique. DU VE
repos et après les mouvements de quarante minutes. La cour- bure
supérieure
indique toujours la respira- tion diaplita-mati
es respirations d un lapin, en repos sur notre appareil. Les deux
supérieurs
sont les thoraciques. Les deux inférieurs sont
g. î. - 1.u .apm est en balancement sur notre appareil. La courbure
supérieure
indique la respiration thoracique. Entre les deux
biii, ul.u ,.upareil. L'artère fémorale est découverte. La courbure
supérieure
indique la respiration thoracique. tig. 10. -
faiblesse des mem- bres inférieurs et la thermanesthésie du membre
supérieur
gau- che se mirent à marcher plus vite, ce que
égale à 43 kil. (65 du côté droit); les autres mouvements du membre
supérieur
gauche sont de force normale, à l'exception de
l'abaissement de l'é- paule, qui sont plus faibles. Dans le membre
supérieur
droit, on n'observe de la faiblesse que dans l'
r sentent des diffé- rences de température moindres, mais partout
supérieures
à celles du côté op- posé où la thermanesthésie
ssivement. Leur atrophie pro- gressait rapidement. Dans les membres
supérieurs
au con- - traire, on observait une certaine amé
LAIRE. 27 Î velle sphère de thermanesthésie : c'est celle du membre
supérieur
droit au-dessous du coude ; la partie inférieur
férence de 4°, et la paume de la main - celle de 3"-3 ? à la partie
supérieure
de l'avant-bras la thermanesthésie descendait p
tres nouveaux s'y sont associés .Les troublesmoteurs des extrémités
supérieures
ont progressé moins que tous les autres ; on n'
Elle est le plus accusée du côté gauche dans la sphère des racines
supérieures
cervicales. L'analgésie est nettement limitée p
ion ultérieure de la thermanes- thésie régionnaire dans les membres
supérieurs
et inférieurs droits ; une délimitation très ac
. - Anesthésie partielle du sens de la tem- pérature dans le membre
supérieur
droit et la moitié du thorax du même côté. Doul
ions insignifiantes. Par mo- ments, des paresthésies dans le membre
supérieur
droit et le thorax, des douleurs lancinantes, s
res parties du corps aussi parfois dans les articulations du membre
supérieur
droit; elles diminuent par la compression et la
ée non plus. La sensibilité thermique est affaiblie sur le membre
supérieur
droit et la moitié droite du thorax. (Voy. fig.
angue au moment où le malade la tirait hors de la bouche. Membres
supérieurs
. Tous les mouvements sont possibles, étendus et
prononcé à gauche, à la partie inférieure du thorax et la partie
supérieure
de l'abdomen ; à droite - à la partie supérieure
horax et la partie supérieure de l'abdomen ; à droite - à la partie
supérieure
de la poitrine. Un abaissement semblable se ret
e. Un abaissement semblable se retrouve aussi dans les deux membres
supérieurs
à un degré plus élevé dans leurs parties centra
le malade ne per- çoit que la différence de 1 l°/2-2°. Aux membres
supérieurs
et à la poitrine il y a une anesthésie plus net
te : 4-5°; les autres régions du dos, de la poitrine et des membres
supérieurs
: 2-3°. Les réflexes cutanés à la douleur sont
cles fléchisseurs du genou. Les réflexes tendineux dans les membres
supérieurs
ne sont presque pas provocables au biceps et au
amélioré. Il reste une zone thermanesthésique, occupant les membres
supérieurs
et les épaules. La face, le cou, la poitrine, l
ie et l'atrophie muscu- laire des parties périphériques des membres
supérieurs
sont combinés avec une analgésie et une therman
r- bale (IV) ; la localisation corticale des mouvements du membre
supérieur
(V), du membre inférieur (y Y), le noyau cortical
xième frontale avec le centre cortical des mouvements'du mem- bre
supérieur
au tiers moyen delà frontale ascendante; le pre-
s les zones corticales. Le centre cortical des mouvements du membre
supérieur
est situé sur la partie moyenne de la circonvol
rconvolution frontale'. Le centre cortical des mouvements du membre
supérieur
fut d'abord déterminé par l'expérimentation phy
ation de l'agraphie que le centre cortical des mouvements du membre
supérieur
au milieu de la frontale ascendante se trouve e
te entre la topographie motrice du cerveau de l'homme et des singes
supérieurs
(Macacus sinicus). Les expériences de 188î ont
vements de chaque articulation, (pour ceux de l'épaule, à la partie
supérieure
, pour ceux du pouce, à la partie inférieure du
ceux du pouce, à la partie inférieure du centre cortical du membre
supérieur
à l'endroit où ce centre se confond avec le cen
ce ; pour ceux du gros orteil, immédiatement en face de l'extrémité
supérieure
de la scissure rofandiquedansie centre cortical
ien. » DE l'axe cérébro-spinal. 47 siège des mouvements du membre
supérieur
au point ou nous l'avons inscrit. Quelques-uns
s premiers donnent pour centre à cette région de l'écorce, le tiers
supérieur
de la pariétale ascendante, ainsi que le lobule
le paracentral, et la font empiéter en outre en avant sur la partie
supérieure
de la frontale ascendante, en arrière sur le lo
; le centre cor- tical apparaît jusqu'à l'heure actuelle, du facial
supérieur
inscrit dans la région du pli courbe sur le sch
es yeux, nous ne représentons le siège du centre cortical du facial
supérieur
sur notre schéma. Archives, t. XVI. 4 RECUEIL
è- vement tel que le trou occipital parait être au niveau du bord
supérieur
de la selle turcique et de la gouttière optique.
rieurs, dégénérescence limitée, dans la moelle cervicale et dans la
supérieure
, aux faisceaux de (joli occupant, dorsale parti
e brune jusqu'au noir intense... Taches d'un noir bleu sur la lèvre
supérieure
, la conjonctive palpébrale inférieure... L'urin
suivre et l'accompagner tant qu'il n'y a pas une nécessité d'ordre
supérieur
pour que ce mystère soit dévoilé. On le suivait
ouveaux sièges et sans accroître le personnel. On viole un principe
supérieur
, le principe de la compétence, sans en retirer
IOGRAPHIE. 125 c'est le bon sens lui-même ; c'est aussi le principe
supérieur
qui donne à l'idée de justice, que la magistrat
in. Publications du « PROGRÈS médical X ? S'CBMt' Jeanne des Anges,
supérieure
des Ursulines à Loudun, <ll'lle siècle. Auto
fortes dans les omoplates, les lombes et les membres inférieurs et
supérieurs
et des engourdisse- ments sans paralysie. Le de
L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 151 « est dû à l'hémorrhagie de la partie
supérieure
; .il suit toujours l'hémorrhagie de la partie l
cas est plus grave, la paralysie devient ascendante, les membres
supérieurs
, l'un ou tous les deux, se paralysent, la dyspn
symptômes céphaliques et bulbaires a été négatif.-Rien aux membres
supérieurs
. Les autres fonctions de l'organisme paraissent
es membres inférieurs, accompagnée de monoplégie fugitive du membre
supérieur
droit, non précédée des symptômes céphaliques.
heures par paralyser complètement les deux membres inférieurs et le
supérieur
droit. Pas de perte de connaissance, pas de ver
et des purgatifs.' 158 CLINIQUE NERVEUSE. La monoplégie du membre
supérieur
droit n'a été que momen- tanée : en effet, elle
du contact et de la température. Nulle trace de paralysie du membre
supérieur
droit : Nuls troubles vaso-moteurs. Nuls troubl
légie des membres inférieurs avec monoplégie passade de l'extrémité
supérieure
gauche. Syndrome spasmodique dans la suite. Gra
et complète dès son début, accompagnée de monoplégie de l'extrémité
supérieure
gauche. -Le malade dit que ses deux membres inf
inférieurs étaient seuls insensibles à la piqûre : au contraire, le
supérieur
était très sensible. Pas de distorsion de la bo
n autre symptôme cépha- lique, sauf cette monoplégie de l'extrémité
supérieure
gauche que nous considérons comme étant d'origi
Sens musculaire normal. - Pas de troubles vaso-moteurs. L'extrémité
supérieure
gauche ne présente rien d'anormal. Pas de troub
aine complète des membres inférieurs, sans paralysie des extrémités
supérieures
et de la face. Ses membres paralysés étaient in
asie, il devient paralytique des membres inférieurs, ses extrémités
supérieures
étant absolument indemnes. Ses mem- bres paraly
occupaient les articulations de l'épaule et du coude de l'extrémité
supérieure
droite, ainsi que celles de la hanche et du gen
ires. Paralysie et anesthésie des mcm- bres inférieurs; l'extrémité
supérieure
s'était aussi paralysée peil- dttnt une demi-he
es deux membres inférieurs sont complètement paralysés. L'extrémité
supérieure
gauche l'était aussi beaucoup, car il ne pouvai
recouvra aussi bien la motilité que la sensibi- lité de son membre
supérieur
gauche. Le 27 juillet, la dyspnée avec le senti
par 2 personnes; il n'y avait pas trace de paralysie de l'extrémité
supérieure
ni de la face. La sensibilité n'était pas alté-
s membres ne sont ni froids ni rouges ou violacés. Rien aux membres
supérieurs
ni à la face. Les fonctions de la vessie ou du
poids épigastrique, gêne de la respiration. Parésie des extrémités
supérieures
commençant par la gauche. Après une demi-heure,
recouvré entière- ment la motilité et la sensibilité de ses membres
supérieurs
. Le 10 juin, il peut se tenir debout et faire q
s céphaliques. Cinq minutes après, éclate une parésie des membres
supérieurs
, qui ayant commencé par l'extrémité gauche finit
orte que la parésie de la motilité et de la sensibilité des membres
supérieurs
du malade constituait à elle seule toute la sym
inférieur gauche a presque disparu. Le droit inférieur et les deux
supérieurs
sont restés dans le même état parétique, mais c
à l'état normal. Depuis ce moment, l'amélioration de ses extrémités
supérieures
a marché rapidement; d'un jour à l'autre, leur
après l'accident, le malade a recouvré l'intégrité de ses mem- bres
supérieurs
. Son train postérieur continue à être immobile. L
Selles régulières. Fonctions génitales normales. Rien aux membres
supérieurs
, sauf un tremblement qui se fait sentir quand le
rines. Rétention des matières fécales. Pas de paralysie aux membres
supérieurs
ni à la face. Pas d'autres symptômes. Un médeci
rectales et génitales ne laissent rien à désirer. Rien aux membres
supérieurs
ou à la face. Aucun symtôme céphalique. Les fon
ades formait une saillie considérable et très mar- quée à la partie
supérieure
du ventre. Ce développe- ment est brusque et én
toral droits. Faiblesse dans toutes les articulations des membres
supérieurs
. Tremblement fasciculaire dans les muscles de l
ité : analgésie du côté gauche, de la moitié du thorax et du membre
supérieur
; à droite de l'avant-bras et de la main. Titerm
frileux, fourmillement, sensation de constric- tion dans la partie
supérieure
de la poitrine. Pas de dispositions neuropathiq
exion et nutrition. La peau des par- ties périphériques des membres
supérieurs
est de couleur rouge bleuâtre; elle est habitue
ment froide au toucher. Une légère irritation du dos et des membres
supérieurs
provoque une rou- geur qui persiste longtemps.
s ; celle-ci est moindre. La faiblesse des mouvements des membres
supérieurs
est légèrement supérieure au degré d'atrophie.
. La faiblesse des mouvements des membres supérieurs est légèrement
supérieure
au degré d'atrophie. Membres inférieurs : Faibl
s. Tremblement fnsciculaire dans les muscles du thorax, des membres
supérieurs
et de la langue, dont la moitié gauche pa- rait
à un degré moindre). Du côté droit, l'analgésie s'étend à la partie
supérieure
du bras, descend jusqu'au mamelon par devant et
te par derrière et atteint à des degrés différents tout le mem- bre
supérieur
droit. Le sens de la température est diminué su
t atteinte d'un certain degré de thermanesthésie. Prenons le membre
supérieur
: c'est la partie supérieure du bras, par exemp
de thermanesthésie. Prenons le membre supérieur : c'est la partie
supérieure
du bras, par exemple, ou la main, qui est attei
bution des racines inférieures thoraciques et des racines lombaires
supérieures
d'un seul côté. Sur la tête, le cou et le thora
s racines thoraciques infé- rieures ou bien coïncide avec la limite
supérieure
de la distribution des nerfs sensitifs du plexu
immersée parle renflement cervical, ou bien occupe aussi la partie
supérieure
de cette région (rayon du nerf axillaire). Mais
la même chose dans les parties inner- vées par le segment cervical
supérieur
de la moelle épinière. Dans le cas où cette rég
strict entier (la surface postérieure de la cuisse). Les extrémités
supérieures
sont atteintes le plus souvent; habituellement
pas ordinairement limité à cette seule moitié et envahit le membre
supérieur
ou inférieur ou bien la région du nerf trijumea
vé d'anesthésie des deux membres DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 203
supérieurs
sans lésion simultanée des segments thora- ciqu
a ce tableau. En général, nous n'avons pas observé dans les membres
supérieurs
et le thorax de disposition rigoureusement symé
sur la poitrine dans un de ces cas, moitié de la face et le membre
supérieur
dans l'autre) que nous avons rencontrés en 1881
pana- rts et le phlegmon dans différents endroits, les mem- bres
supérieurs
surtout, se rencontrent relativement souvent da
par étiques des mouvements se loca- lisent surtout dans les membres
supérieurs
; la fai- blesse prédomine habituellement sur l'
au de la commissure droite. 1883. 7 juillet. Dentition : mâchoire
supérieure
: douze dents saines, mais mal rangées et atrop
térieures de la mâchoire inférieure viennent se placer en avant des
supérieures
. Voûte palatine et gencives normales. 238 8
riétale par un pli de passage à niveau allant du lobule pariétal
supérieur
au lobe occipital. La scissure interpariétale, qu
ue par un pli d'insertion de la première frontale et vers son tiers
supérieur
par un pli d'insertion de la deuxième frontale
grêle, atteinte aussi de méningo- encéphalite, surtout à son tiers
supérieur
, mais à un degré moins prononcé. Lobe pariétal.
, mais à un degré moins prononcé. Lobe pariétal. Le lobule pariétal
supérieur
peu volumi- neux est envahi par la méningo-eizc
ssure de Sylvius par un sillon profond et oblique qui longe le bord
supérieur
d'une circonvolution transverse temporo-pariéta
t un . DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 243 3 peu grêle' dans sa partie
supérieure
. La fissure calcarine, la couche optique, le lo
iétale par un pli de passage à niveau se rendant du lobule pariétal
supérieur
au lobule occipital. La scissure perpendiculaire
un pli de passage transversal atrophié, se rendant du pli pariétal
supérieur
au pli courbe; plus loin, elle va se confondre
ne scissure parallèle frontale interrompue seulement vers son quart
supérieur
par un pli de passage à niveau atrophié, allant
frontale et pariétale ascendantes sont atrophiées dans leur moitié
supérieure
, la pre- mière plus que la seconde. Lobe pari
la pre- mière plus que la seconde. Lobe pariétal. Le pli pariétal
supérieur
est tout à fait atrophié, vermiforme, sauf sur
n- dant une coloration légèrement ocreuse, surtout dans sa partie
supérieure
. Lobe temporal. Les trois circonvolutions tempo
tissu scléreux de dégénérescence descendante, en dehors de la corne
supérieure
du côté gauche. Cette corne paraît un peu plus
re ovale, sont groupées par Pitres en trois ordres de faisceaux :
supérieur
, moyen et inférieur. Faisant précéder ce qualifi-
tiels, parvenus dans l'axe spinal, est prise à la région dorsale
supérieur
immédiatement au-dessous du renflement brachial d
e, les fibres intellectuelles forment les fai- sceaux préfrontaux :
supérieur
, moyen et inférieur dans leur totalité sur la c
suivant l'étage inférieur; à la couche optique, en suivant l'étage
supérieur
; 2° les autres, de chacun des noyaux gris centr
ngage parlé de Bitot et dégénérescences secondaires à ces lésions
supérieures
, dans la capsule interne, dans le pédoncule) sur
nt former : 1° Sur la coupe frontale de Pitres, le faisceau frontal
supérieur
(fascicule des fibres motrices du membre infé-
le faisceau frontal moyen (fascicule des fibres motrices du membre
supérieur
) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu) et le faisceau fro
ébrale des nerfs moteurs périphériques (hypoglosse, nerfs du membre
supérieur
, sciatique et crural, etc.). Huglings Jackson a
ans son ensemble le faisceau moteur, pyramide très allongée, à base
supérieure
corticale, formée par toute la zone mo- trice c
rices s'isole du tronc du faisceau et vient se placer dans, l'étage
supérieur
en dedans des fibres centripètes de cet étage (
(PL. II, fig. 1, bleu 4). Ce sont ces fibres centripètes de l'étage
supérieur
du pédoncule qui, dans la moelle, constitue- ro
ns latéraux de la moelle (PI,. II, fig. 2, bleu 1); 2° dans l'étage
supérieur
, le fascicule, qui réprésen- tera les cordons a
auxquels sont venus se joindre les fibres centri- fuges de l'étage
supérieur
du pédoncule et de la protubérance, se dédouble
res en dégénérescence et appliquée au sillon antérieur. Des régions
supérieures
les faisceaux pyramidaux directs vont en s'amin
eignant dans la compression lente de la moelle, d'abord les membres
supérieurs
, puis les membres inférieurs dans la suite, que
uve ainsi révélé par sa mortification même, puisque par des lésions
supérieures
, ses fibres constituantes interrompues dans leu
un foyer de ramollissement du volume d'un haricot situé à la partie
supérieure
de la région moyenne de la capsule droite. (Sem
secondaires, elles se montrent à la suite d'une lésion destructive
supérieur
! ; : au pédoncule, dans la partie moyenne du p
inférieur. D'autres fibres centripètes paraissent oc- cuper l'étage
supérieur
(PL. II, fig. 1, rose) ; ce qui accroît con- si
e du pédoncule. Cette portion du faisceau sensitif occupant l'étage
supérieur
siège assez exactement vers la partie médiane d
le, traversés à ce niveau par les fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
. : l'atrophie des cornes et des libres radicula
ante. - P. A. ; cire, pariétale ascendante. P. s. ; lobule pariétal
supérieur
. P. i.; lobule pariétal inférieur ou du pli cou
. III. Cécité ver- bale. IV. Surdité verbale. V. Motilité du membre
supérieur
. '1 Veyssière. licch. cliniq. et expér. sur l'h
postérieure des circ. orbitaires. - 6 ; faisceau pétliculo-frontal
supérieur
. - 7; faisc. ])éd.-frontal moyen (de l'agraphie
sula (partie moyenne). 3; cire, sphénoïdales.- 4 ; faisc. fron- tal
supérieur
(tractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. fr
e du lobule de l'insula. 3 ; cire, sphénoïdales. i; faisc. pariétal
supérieur
(tractus moteur cortico-crural, f). - 5 ; faisc
1 ; étage inférieurs 2; locus niger de JI.CInI11C1'ritl. 3 ; étage
supérieur
. PLANCHE Il IC. 1. - Coupe des pédoncules cér
ons antérieurs traversés parles libres des pédon- cules cérébelleux
supérieurs
(étage supérieur). 5, 5; noyaux d'origine des n
versés parles libres des pédon- cules cérébelleux supérieurs (étage
supérieur
). 5, 5; noyaux d'origine des nerfs moteurs ocul
de trente-quatre ans, présente une paralysie faciale droite totale (
supérieure
et inférieure) et une déviation conjuguée des y
) et une déviation conjuguée des yeux. Pas de paralysie des membres
supérieurs
ni inférieurs. Abolition des réflexes rotuliens
OMPLÈTE (ALCOOLIQUE) DES MUSCLES DES YEUX. (Polio-encéphalite aiguë
supérieure
de Wernicke) ; par R. TuomsrN. IAz·clc. . Psych
pillaires, des muscles accommodateurs, des élévateurs des paupières
supérieures
, en un mot oplalkalmoplégie nucléaire externe d
rvations. C'est un- procédé d'analyse physio- logique incomparable,
supérieure
la vivisection et à Hypnotisme animal, puisque
de faits, le retour précoce à la maison sera un agent thérapeutique
supérieur
à celui du séjour à l'asile; dans une seconde,
gardiens ou gardiennes, ainsi qu'au Kreisirrenanstalt de la Bavière
supérieure
de Alunich où, pour plus de 600 aliénés, il a 7
naissances psychiatriques suffisantes, c'est affaire à l'auto- rité
supérieure
de prendre les mesures convenables. M. EDEL. Mi
du Kreisphysikus à propos de l'admission. Mais, comme fonctionnaire
supérieur
du service sanitaire, il a le droit d'inspecter
la liste des admis- sibles se trouverait épuisée, l'administration
supérieure
conser- vera la facullé d'appeler à cet emploi
s. A titre exceptionnel également et lorsqu'une nécessité d'ordre
supérieur
le recommanderait, ou encore par mesure disciplin
s rapproché; - la condition de redevenir iiilerne après un concours
supérieur
, nous parait tout au moins bizarre et ne peut s
membres inférieurs peut être accompagnée de monoplégie d'un membre
supérieur
soit droit (CES. Il), soit gauche (OBs. III et
cas où ce n'est plus une monoplégie mais une paraplégie des membres
supérieurs
qui accom- pagne et précède même quelquefois pe
inférieur gauche a presque disparu, le droit inférieur et les deux
supérieurs
étant restés dans le même état de parésie : cet
absolue de faire le moindre mouvement. Les paralysies des membres
supérieurs
, qui accom- pagnent la paraplégie, tantôt sont
s et durent quelques jours. C'est ainsi que la monoplégie du membre
supérieur
gauche du malade de I'Observation III et la par
du malade de I'Observation III et la paraplégie des extré- mités
supérieures
du malade de I'Observation XII ont commencé à s
le de bien-être. A 6 heures, paralysie des membres inférieurs et du
supérieur
droit. Anesthésie, rétention d'urines. A 11 heu
sion durant quelques minutes. Pas de trace de paralysie aux membres
supérieurs
et à la face. La sensi- bilité est fortement tr
15 février, retour de la motilité et de la sensibilité aux membres
supérieurs
. Secousses. Douleurs en ceinture. Le 20 mars, cli
n'avaient presque plus d'odeur, il a commencé à mouvoir ses membres
supérieurs
. La rétention d'urines et de selles persiste ; on
e vingt-cinq jours après l'invasion de la paralysie, les extrémités
supérieures
étaient complètement dégagées de leur paralysie
vait des douleurs intenses aux articulations des coudes des membres
supérieurs
. La paraplégie n'a pas lardé à jouer son rôle d
n, paralysie subite et complète des deux membres inférieurs et du
supérieur
droit, anesthésie, rétention d'urines pendant deu
Dans la journée du 23 mars, il recouvre les fonctions de son membre
supérieur
droit. Le 4 avril, possibilité de se tenir debout
a motilité que de la sensibilité, des deux membres inférieurs et du
supérieur
droit, suivie de rétention d'urines. Archives,
haud; il n'y a pas d'autres troubles vaso-moteurs. Rien aux membres
supérieurs
, rien du côté de la vessie, du rectum et des or
embres inférieurs peut être accompagnée de mono- plégie d'un membre
supérieur
quelconque; c'est le droit pour les Observation
, ce n'est plus une monoplégie, mais bien une paraplégie de membres
supérieurs
qui au même moment subite et complète accompagn
début, était complète aux quatre membres. Ces paralysies de membres
supérieurs
tantôt t sont fugitives (la monoplégie de l'OBS
'atro- phie des muscles est bornée à une région limitée au membre
supérieur
par exemple (OBSERV. IV), il se peut nie par le
e certaine région (celle de la main, de l'avant-bras, delà partie
supérieure
du bras etc.). Une telle disposition n'exclue p
ar région occupant en cas de localisation mono- plégique, un membre
supérieur
et la partie adjacente de la poitrine, par exem
lle (avec ou sans analgésie) à localisation caractéristique (moitié
supérieure
du corps, forme hémiplégique, disposition par r
99. Paris, 1876, de L3RPILEPSIE PROCURSIVE. 3 lésion de la partie
supérieure
et externe du pédoncule cérébral, le même auteu
dans les creux sus-claviculaires et dans les aisselles. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont courts et gros. Les mains so
s des tempes, très rares sur les régions pariétales et tem- porales
supérieures
. Crasses presque généralisées du cuir chevelu s
imètres. Front bas, ridé, peau de la face jaune, cireuse; paupières
supérieure
et inférieure pâles, bleuâtres, bouffies, comme
glée; elle aurait rendu une fois du sang par la boucüe. Les membres
supérieurs
et intérieurs sont gros, courts; les mains et l
meture du circuitpar un mouvement qui porte brusquement l'extrémité
supérieure
du méridien verti- cal vers le côté de la catho
te du corps, de la char- pente musculaire de l'abdomen et du membre
supérieur
du même côté. Autopsie. Foyer de ramollissement
u, nettement circonscrit, et limité à l'é- corce grise de la partie
supérieure
de la circonvolution centrale antérieure gauche
rieure gauche et à celle de la partie postérieure du sillon frontal
supérieur
et des bords avoisinants de la première et de l
ssent la eircouvo- lution centrale antéroeuregauciie avec le membre
supérieur
droit; ' le cas acluel viendrait en outre à l'a
uivant la- quelle ce rapport physiologique existerait avec le tiers
supérieur
plutôt qu'avec le tiers moyen de cette circonvo
signalées comme ayant quelque influence sur les fonctions du membre
supérieur
. Quant au membre inférieure droit, le siège mêm
uite d'em- blée, généralement à l'état eloiiiqllesur les extrémités
supérieures
et inférieures et à la face, si parfois elle de
s propriétés de la sensibilité ; il en est de même du nerf cervical
supérieur
. Intéârilé de la muqueuse bucoo-linguale, de la
. Deux exemples DE l'effet produit par l'abolition delà FA- CUL'l'L
supérieure
DE contrôle personnel; par le 1)' S,V.1GE. (Tlte
on centésimale de la mortalité générale des asiles étant trois fois
supérieure
àccllede la morta- lité de la population ordina
pesant de 9/9 déci- grammes, coa-ulelix dans le sinus longitudinal
supérieur
; foie graisseux, reins normaux, l'intestin remp
c succès le concours pour une place de médecin adjoint, coiz- cours
supérieur
, n'ira pas concourir pour une place d'interne.
nte. - P. A. ; cire, pariétale ascendante. P. s. ;, lobule pariétal
supérieur
. P. i.; lobule pariétal inférieur ou du pli cou
. III. Cécité ver- bale. IV. Surdité verbale. V. Motilité du membre
supérieur
. VI. Motilité du membre inférieur. - Vil. Centr
mité postérieure des cire, orbitaires. 6; faisceau pédiculo-frontal
supérieur
. - 7; faisc. péd.-frontal moyen (de l'agraphie,
la (partie moyenne). 3 ; cire, sphénoïdales. - 4 ; faisc. fron- tal
supérieur
(tractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. fr
du lobule de l'insula. 3 ; cire, sphénoidales. 4 ; faisc. pariétal
supérieur
(traclus moteur contico-crural, f). 5 ; faisc.
aKce. 1 ; étage inférieur. 2; locus niger de Soemmerring. 3 ; étage
supérieur
. - 1 ? ? ui uuic ' " rome xvl. Y1 il 1 EXPLIC
ns antérieurs traversés par les fibres des pédon- cules cérébelleux
supérieurs
(étage supérieur). 5, 5 ; noyaux d'origine des
ersés par les fibres des pédon- cules cérébelleux supérieurs (étage
supérieur
). 5, 5 ; noyaux d'origine des nerfs moteurs ocu
end en outre : a) Une étroite zone d'azestlzesie placée à la limite
supérieure
de la zone d'hyperesthésie du côté de la lésion
côté opposé, une étroite zone d'hyperes- thésie confine à la limite
supérieure
de l'anesthésie. b) Du côté de la lésion, coïnc
Sans doute le malade est redevenu à même de se servir de son membre
supérieur
fracturé. Mais peu à peu, un gonflement énorme,
e cicatrice est située à gauche de la ligne médiane ; son extrémité
supérieure
se trouve à 2 centimètres de l'intervalle qui sép
uf- frait dans tout le corps, sauf dans la tête et dans les membres
supérieurs
. Quand on se fui mis à le déshabiller, ses souf
ins sur l'abdomen, preuve que la motilité était intacte aux membres
supérieurs
. Par contre, les membres inférieurs étaient ine
pied et de la jambe, remontant jusqu'au-dessus du genou. Au memhre
supérieur
droit, la sensibilité n'était pas indemne partout
rte immédiatement, pe- sant 3500 grammes, corps normal ; extrémités
supérieures
totalement absentes, extrémités inférieures rem
pendices présentenl une structure qui les rapproche soit du segment
supérieur
du membre absent (ébauche d'humérus et de fémur
auche ; à la place du bras droit, moignon court renfermant le quart
supérieur
d'un humérus, articulé normalement. 2. MILLER,
r deux masses charnues avec appendice non digiti forme ; extrémités
supérieures
représentées par deux moignons renfermant l'ext
s supérieures représentées par deux moignons renfermant l'extrémité
supérieure
de l'humérus, pourvue de ses insertions muscula
rite aiguë il deux mois ; pas de membres inférieurs ; deux moignons
supérieurs
, mo- biles, squelettes et terminés par un mamel
ge de 6 mois, d'une broncho- pneumonie ; absence totale des membres
supérieurs
et du membre infé- rieur droit; ceintures scapu
; puis un second segment ossi- forme, allongé, à grosse extrémité
supérieure
, à diaphyse tortueuse, mesurant 4 cent. 1/2 ; e
le, d'aspect chétif mais sa conformation générale, à part le membre
supérieur
droit, est parfaite. Quelques ganglions au cou
sur la peau. Dents cariées : presque tou- tes celles de la mâchoire
supérieure
ont disparu, celles du bas sont très malades, e
e la main qui du côté sain est de vingt- trois centimètres (du bord
supérieur
de l'olécrane à l'extrémité du petit doigt) est
n et une franchise dans la nuance qui dénotent une aisance vraiment
supérieure
. Tous les deux sont d'incomparables virtuoses d
; sa forme simule assez fidèlement celle d'un bait posé sur le bord
supérieur
de l'hémisphère. Elle présente, par conséquent,
lobe frontal elle comprime et aplatit la circonvolu- tion frontale
supérieure
dans laquelle elle semble se creuser un lit. To
outeuse. Sur une coupe transversale intéressant la totalité du bord
supérieur
de l'hémisphère, le nouveau tissu a la forme d'
r places en petits foyers d'hémorrhagies interstitielles. La face
supérieure
de ce sarcome est appliquée à la dure-mère, en un
roite. La parti- cularité intéressante^ c'est que du côté du membre
supérieur
droit il n'y a ni atrophie ni paralysie, tandis
rieur droit il n'y a ni atrophie ni paralysie, tandis que le memhre
supérieur
gauche pré- sente de l'atrophie musculaire. Les
che pré- sente de l'atrophie musculaire. Les extrémités des membres
supérieurs
sont libres dans leurs mouvements et non tuméfi
en partie même après la position élevée que l'on donne aux membres
supérieurs
. (1) Massius, Un cas de syringomyélie. Annales
87 terne de l'avant-bras et siégeait plus exactement dans la moitié
supérieure
du cubitus. A cause de cette liyperostose il a
cette atrophie musculaire n'est pas très considérable. A la partie
supérieure
de la face antérieure du thorax, il existe sur la
bital, il existe un peu au-dessus du point de jonction de la moitié
supérieure
avec la moitié inférieure, une tumeur dure, incom
e. Dans son cas, qui a trait à un malade âgé de 20 ans, l'extrémité
supérieure
du cubitus droit est légère- ment hypertrophiée
dissociation syringomyélique la plus nette, elle occupe les membres
supérieurs
dans leur totalité, le cou, la moitié droite de l
mbres inférieurs sont exagérés ; les réflexes tendineux aux membres
supérieurs
diminués. Le malade marche facilement, mais à pet
ie de l'atrophie musculaire, a donné le résultat suivant : Membre
supérieur
droit. Courant faradique. DE LA MAIN SUCCULEN
t perdu leur souplesse. Mais la faiblesse et l'atrophie des memhres
supérieurs
seraient survenues progressivement. L'atrophie, e
ans. Etat actuels Ce qui frappe tout d'abord en regardant le membre
supérieur
, c'est 1,'aspect dissemblable des mains ; leur
i- lité douloureuse est abolie dans les régions suivantes : membres
supérieurs
, face antérieure du tronc et de l'abdomen, face
dans le service de M. Marie. Etat actuel. -L'attitude des membres
supérieurs
du malade est très caracté- ristique. Les membr
sont tournés vers l'axe de main. L'état des mouvements des membres
supérieurs
est le suivant : le malade ne peut porter un ob
i, comme chez Jacq... ? toute tentative de mouvement dans le membre
supérieur
s'accompagne de l'exagération de cette attitude p
; le malade présente la dissociation syringomyélique aux mem- bres
supérieurs
, à la face antérieure et postérieure du cou et du
sensations de froid aux mains. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont abolis, les réflexes patel- laires exagéré
cubital antérieur est atrophié. Mais le segment terminal du membre
supérieur
présente une atrophie très marquée, surtout à l
'albumine dans l'urine. L'examen électrique des muscles des membres
supérieurs
, pratiqué par M. Muet avec le courant faradique
e contusion du plexus brachial avec paralysie et atrophie du membre
supérieur
et oedème très prononcé de la face dorsale de la
ale des mains consécutif à des traumatis- mes des nerfs des membres
supérieurs
. Du reste, on a observé de l'oedème dans des ca
seraient de nature à prouver que pour une région donnée des membres
supérieurs
et inférieurs, il existe dans la moelle des cen
ntres moteurs, vaso-moteurs et sensitifs des extrémités des membres
supérieurs
. Je pourrais invoquer comme preuve en faveur de
E UYSTÉRO-TRAUiIfATIQUE DES MUSCLES DU TRONC LU ni dans les membres
supérieurs
. Ses viscères et ses sphincters sont restés tou
her l'une de l'autre. La malade se sert au contraire de ses membres
supérieurs
pour manger, mais elle ne peut mettre sa camiso
inférieure. L'hypertrophie commence à 14 cen- timètres de la partie
supérieure
de la fossette d'insertion du ligament rond. A
la fossette d'insertion du ligament rond. A 22 centimètres du bord
supérieur
du grand trochanter, l'hypertrophie se traduit
opposé) et que l'os est comme raccourci. La dis- tance de la partie
supérieure
de la fossette d'insertion du ligament rond il la
ue 7 vertèbres dorsales ont leur corps vertébral soudé. Aux membres
supérieurs
l'humérus gauche s'hypertrophie progressivement
es parallèles l'une à l'autre, l'inférieure plus accen- tuée que la
supérieure
, dirigées obliquement de haut en bas et de dehors
dius sain. Les clavicules, les omuplates et les autres os du membre
supérieur
ne sont pas le siège d'altérations. Le systèm
le à quatre branches af- fectant la forme d'un X. Ses deux branches
supérieures
sont munies d'an- neaux situés à diverses haute
able et va se fixer à la boucle de la précédente. Les deux branches
supérieures
passent sous les bras. Au niveau de la région dor
ue, rt n'en pas douter, la méthode thérapeutique la meilleure, bien
supérieure
, en particulier, à toutes les autres méthodes m
en rapport avec la lésion spinale ne dépassaient pas, comme limite
supérieure
, les plis inguinaux. Voici par exemple une obse
itivo-moteurs à disposition croisée, sans participation des membres
supérieurs
à ces mê- mes troubles. Les faits du précédent
ligne horizontale passant par la 7e vertèbre dorsale ; à sa limite
supérieure
cette zone d'hyperesthésie était bordée par une
plète des membres inférieurs et une paralysie partielle des membres
supérieurs
. Pendant trois jours, il a eu de la rétention d'u
, un peu d'élévation de la température locale. De plus, à sa limite
supérieure
, la zone d'anesthésie était bordée par une étroit
nt d'une paraplégie des membres inférieurs, une paralysie du membre
supérieur
gauche sans compter de l'hypoesthésie à droite
ut occasionner des troubles sensi- tivo-moteurs du côté des membres
supérieurs
, mais qu'il n'en est pas for- cément ainsi. Il
faire encore qu'à la suite du traumatisme médul- laire les membres
supérieurs
présentent dcs troubles du mouvement et du sent
epuis la plante des pieds jusqu'au niveau de la 3'côte. Même limite
supérieure
(1) Ilr,noo,o. Ueber einen Fall von Brown-Sequa
o 1, p. 9. ni r F. RAYMOND pour l'anesthésie adroite. Aux membres
supérieurs
tout se réduisait à une certaine exagération de
nsitivo- moteurs aux quatre membres, également durables aux'membres
supérieurs
et aux membres inférieurs ; hyperesthésie et pa
el des érec- tions intermittentes. Circonstance à noter : au membre
supérieur
gauche, les muscles du groupe Erú (deltoïde, bi
eau auquel la moelle se trouve entamée, l'envahissement des membres
supérieurs
par les troubles du mouvement et du sentiment e
paralysie motrice complète du membre infé- rieur, parésie du membre
supérieur
, rétablissement de la motilité dans les muscles
ssement de la fente palpébrale, à gauche, avec chute de la paupière
supérieure
et rétrécissement de la pupille. En outre on a
eur gauche était le siège d'une anesthésie qui s'étendait au membre
supérieur
droit, enfin il y avait également para- lysie d
aits où l'hémisection médullaire intéressait la partie lout il fait
supérieure
du (1) YL'CETi. Beilrag : 1l1' zmilatel'alen sp
xillaire; à gauche, de l'anesthésie super- ficielle, dont la limite
supérieure
correspondait à celle de l'hyperesthésie du côt
on déjà ancienne de Brown-Sequard, une paralysie complète du membre
supérieur
droit avec paresthésie du membre infé- rieur co
n voie de rétablissement, aux doigts de la main gauche et au membre
supérieur
droit. Au bout de quelques mois, l'anesthésie,
est vrai que cinq années après l'attentat, le sujet avait le membre
supérieur
droit atrophié, de même que les muscles de l'ép
i deux observations où l'existence d'une hémisection de l'extrémité
supérieure
de la moelle a été confirmée par l'autopsie.
espectait que la moitié correspon- dante de la tête et de la partie
supérieure
du cou. En outre le malade a eu de la rétention
rs le milieu de la paume, et quelquefois seulement vers la par- tie
supérieure
. « La peau située dans la direction du doigt fo
t de troncs nerveux très différents. C'est ainsi que pour le membre
supérieur
, on a pu distinguer le centre de commandement d
ricaux dont l'inser- tion se fait sur le bord radial de l'extrémité
supérieure
de la première phalange et qui se contractant e
domine au vertex dans les races inférieures, et même dans les races
supérieures
chez les sujets qui n'ont point surchauffé leur
burn, le lecteur trouvera les localisations des muscles du mem- bre
supérieur
: 204 G. MARINESCO MAIN SUCCULENTE ET ATROPHI
e ascendante ou descendante, l'atrophie musculaire dans le mem- bre
supérieur
sera plus ou moins prononcée aux membres supérieu
dans le mem- bre supérieur sera plus ou moins prononcée aux membres
supérieurs
ou fera complètement défaut. Si dans la plupart
syringo- myélie, a admis au point de vue des déformations du membre
supérieur
, par l'atrophie musculaire, trois types princip
ment primitif de la gliomatose, le centre de la tlexion des membres
supérieurs
serait périphérique par rapport à celui de l'ex
. 208 G. MARINESCO dans la région cervicale inférieure et dorsale
supérieure
. Or, comme dans sa marche, elle détruit la corn
ahit dans un certain ordre les muscles des trois segments du membre
supérieur
en laissant in- tacts pour un certain temps les
e marche diffuse et frappe indistinctement, ies muscles des membres
supérieurs
. Dans ces trois formes ascendante, descendante
n haut et de proche en proche des étages inférieurs vers les étages
supérieurs
de la moelle, c'est-à-dire de la région cervico-d
c'est-à-dire de la région cervico-dorsale vers la région cervicale
supérieure
. Les premiers noyaux atteints seront ceux qui s
est entrée à la Salpêtrière avec une atrophie manifeste des membres
supérieurs
et une ankylose pro- gressive des articulations
LES SYRINGOMYÉLIES 2H 1888, elle présentait l'état suivant : membre
supérieur
droit, amaigrisse- ment général des muscles de
ie aux membres inférieurs. Dissociation syringomyélique aux membres
supérieurs
, à la face antérieure et postérieure du tronc.
e, tout au moins quand elle dé- bute par les extrémités des memhres
supérieurs
. Toutefois, il faut s'en- tendre sur le mot seg
t pris dans sa totalité à l'exclusion des autres segments du membre
supérieur
, car, dans ce cas, le mot d'atrophie segmentaire
racine cervicale et de la 1° dorsale et se dirige vers les régions
supérieures
, il s'ensuit que cette atrophie musculaire présen
MARINESCO ' " - .. - .. ..VIII. ' Pour,'un segment donné du membre
supérieur
, les muscles les plus petits sont représentés p
ain degré d'intellectualité et de mémoire, mais distincts des actes
supérieurs
, qui ont leur centre en 0 : les actes polygonaux
ychisme n'est donc plus synonyme de mental : le mental ou psychisme
supérieur
« son centre en 0, C automatisme ou psychisme inf
au psychisme inférieur, polygonal, automatique, et non au psychisme
supérieur
libre et conscient qui est en 0. Donc, en défin
ne idée actuelle, qui ré- side enO, dans l'intellectualité vraie et
supérieure
; - le tic bulhomédul- laire (à l'autre bout de
gonal : je n'y vois pas l'intervention prouvée de l'intellectualité
supérieure
, de l'idée présente. Il peut y avoir une idée s
peu de diminution, au moins momentanée de la volonté, du psychisme
supérieur
, de 0 ; ils ont quelque chose de mental. Nos poly
t mettre d'oat côté le tic polygonal et de l'autre le tic psychique
supérieur
. Ne voyez pas dans cette dictinction une simple
es idiots myxoedémateux, mais des idiots, pas- sez-moi le mot, très
supérieurs
. Ils ont de tout petits lobules thyroïdes, just
du de ses aptitudes sexuelles, il est d'un niveau intellectuel très
supérieur
à la moyenne. Son fils, encore plus myxoedé- ma
posés sur le côlé droit de la face, du cuir chevelu et de la partie
supérieure
du thorax, avec un as- pect un peu différent su
de la poitrine. Enfin, la dernière localisation, située à la région
supérieure
de l'épaule, vers le trapèze, appartient à la z
erritoire de La branche ophtalmique de Willij et du nerf maxillaire
supérieur
. Mme Bail..., 32 ans. Tache foncée, de couleu
re DES N.EVI DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES NERVEUX 269
supérieure
, le côté droit du nez, la région sous-palpébrale
paupière inférieure. Enfin un pro- longement vient occuper la lèvre
supérieure
, arrivant jusque vers la com- missure, débordan
s vasculaire veineux développé sur le territoire du nerf maxillaire
supérieur
et de la branche de Willis. X..., 10 ans. Entre
au service de M. le professeur Gross, pour une tu- meur de la lèvre
supérieure
. Cette tumeur siège du côté droit, vers l'union
upe de petits angiomes veineux disséminés sur la moitié de la lèvre
supérieure
; ce groupe fait lui-même partie' d'un naevus v
et palpébraux. En outre, il existe une petite tache sur la paupière
supérieure
, appar- tenant à un rameau supérieur du nasal e
petite tache sur la paupière supérieure, appar- tenant à un rameau
supérieur
du nasal externe (br. de Willis). Nouv. Iconogr
ficiel droit. NOEVUS VEINEUX sur le territoire du nerf maxillaire
supérieur
et de la branche de Willis. MASSON & Cie,
gèrement divergente. 3° Enfin un petit groupe isolé légèrement
supérieur
. Chez cet homme le naevus suit nettement le tra
r une ligne basale à peu près horizontale, et en haut par une ligne
supérieure
allant obliquement en haut. Ce naevus est formé p
arition des noevi; peut-être pourrait-on se demander si des centres
supérieurs
n'interviennent pas aussi dans leur genèse. C'est
ve du bord inférieur de l'orbite et on me- sure la distance au bord
supérieur
dans le plan vertical. 3° La troisième dimensio
ques une diminution proportionnelle du volume des os de la mâchoire
supérieure
et on n'observe pas chez eux en général le chan
équence de l'absence de chevauche- ment normal de l'arcade dentaire
supérieure
chez les aliénés : absence qu'il rencontra chez
39 0/0) et 35 présentaient l'absence de che- vauchement de l'arcade
supérieure
(23, 02 0/0). Chez 18 (11, 84 0/0), il y avait
e oreille d'animal s'accentue lorsqu'il existe vers l'union du bord
supérieur
et du bord postérieur de l'hélix plus ou moins at
ant 10 sujets, l'atrophie se limitait à certaines régions du membre
supérieur
paralysé; le membre inférieur restait in- demne
econd, comprenant 7 sujets, l'atrophie existait à la fois au membre
supérieur
et au membre inférieur. Dans le troisième, comp
uivent. 10r GROUPE. Arthrites avec AMYOTHOPUIE LIMITÉES au membre
SUPÉRIEUR
. 10 MALADES. OBS. L - Hémiplégie droite, ankylo
es ; bras droit, 28 centimètres. Les autres articulations du membre
supérieur
sont li- bres ; pas d'atrophie. Marche conser
. Hémiplégie droite. Ankylose de toutes les articulations du membre
supérieur
. Atrophie musculaire ; adipose. Luc..., homme,
Atrophie musculaire très marquée dans les trois segments du membre
supérieur
droit. Circonférence du bras au niveau de la li
anée dans la région deltoïdienne. On retrouve l'adipose à la partie
supérieure
de l'avant-bras, le long du tiers supérieur du
l'adipose à la partie supérieure de l'avant-bras, le long du tiers
supérieur
du radius, masquant l'atrophie à ce niveau. Mépla
t l'atrophie à ce niveau. Méplats très accentués au niveau du tiers
supérieur
de l'avant-bras. Atrophie en masse de tous les
pt des sujets du premier groupe, l'atrophie portant sur le mem- bre
supérieur
est limitée aux muscles de la ceinture scapulaire
pontanées ou provoquées que res- sentent ces malades dans le membre
supérieur
sont nettement localisées par eux au niveau de
de l'observation X, ankylose de toutes les articulations du membre
supérieur
paralysé, épaule, coude et main, atrophie muscu-
malades du premier groupe, l'atrophie est restée limitée au membre
supérieur
. Remarquons que chez eux le membre supérieur es
ée limitée au membre supérieur. Remarquons que chez eux le membre
supérieur
est impotent, pour ainsi dire, que le membre in
. C'est, du reste, la règle chez les hémi- plégiques, que le membre
supérieur
soit plus sévèrement atteint, nous dirions mieu
lisation un peu plus rare, mais cepen- dant admissible- A la partie
supérieure
de la face, il est fréquent de voir (1) E. FEIN
oelle à un niveau qui correspond aux vertèbres dorsales moyennes et
supérieures
. 3° Un troisième type comprend les cas où les m
supérieures. 3° Un troisième type comprend les cas où les membres
supérieurs
et le thorax participent aux troubles sensitivo
ie, les cas où l'hémisection inté- ressait la moelle dans sa partie
supérieure
, immédiatement au-dessus de la protubérance occ
e se doublait d'une anesthésie. Il se plaignait d'avoir les membres
supérieurs
lourds et engourdis, et il fut incapable de sig
ille. Le soir, la pa- ralysie du sentiment avait envahi les membres
supérieurs
, que le malade avait de plus en plus de peine à
ction n'intéresse pas la moelle à un niveau voisin de son extrémité
supérieure
, elle met rarement la vie du blessé en péril.
ou moins élevé de l'hémisection : Si la lésion intéresse la partie
supérieure
du rachis, faites des réserves, surtout s'il ex
s intestin fonctionnaient normale- ment. Les mouvements des membres
supérieurs
et du tronc s'effectuaient avec une parfaite ré
présence d'une étroite bande d'hyper- esthésie conliguë à la limite
supérieure
de l'anesthésie. Mais encore une fois, pour qu'
épend. On conçoit également-que du côté de l'hémisection, la limite
supérieure
de la zone d'hyperesthésie dépasse la limite su
, la limite supérieure de la zone d'hyperesthésie dépasse la limite
supérieure
qu'atteint l'anesthésie du côté opposé, étant don
rdu. La soif était vive. Pendant trois mois l'impotence des membres
supérieurs
fut complète, puis il pu recom- mencer à, se se
Parfois devant les yeux pas- sent des éblouissements. Les membres
supérieurs
sont robustes en général. Cependant la force de
t signaler en outre que, tandis qu'à droite l'épine iliaque antéro-
supérieure
est à 13 centimètres du bord inférieur des côtes,
sensibilité. OBs. IL Paralysie spinale infantile limitée au membre
supérieur
droit, mouvements atéthoïdes des doigts par con
ffection au- rait débuté. Il fut pris de convulsions, et son membre
supérieur
droit de- vint paralysé.. - - - - , Néanmoins
gauche. Atrophie du bassin. Scoliose. B. Forme localisée au membre
supérieur
droit. Atrophie en longueur et surtout en large
déformation de la colonne vertébrale. L'atrophie en masse du membre
supérieur
droit est encore plus évidente, ainsi que le mont
timètres à droite, 25 centimètres à gauche. L'impotence du membre
supérieur
est pour ainsi dire complète. Il ne peut serrer
paule, elle peut exécu- ter un seul mouvement. L'attitude du membre
supérieur
malade est cons- tamment en pronation. Pour met
e sensibilité. Jamais le malade n'éprouve de douleur dans le membre
supérieur
droit. Sous l'influence du froid, en hiver, son
forme paraplégique chez le premier malade. Elle a atteint le membre
supérieur
droit chez le second. Il faut noter chez Ban...
sain, de même âge. (Epreuves négative ? RADIOGRAPHIES DES MEMBRES
SUPÉRIEURS
dans un cas de paralysie infantile. (Épreuves
ans un cas de paralysie infantile. (Épreuves négatives) A. Membre
supérieur
gauche sain. B. Membre supérieur droit (en pron
(Épreuves négatives) A. Membre supérieur gauche sain. B. Membre
supérieur
droit (en pronation). RADIOGRAPHIE DES OS DANS
Une autre planche (Pi. XXXV et XXXVI) représente les deux mem- bres
supérieurs
, l'un sain et l'autre malade, de notre deuxième s
ues de paralysie matinale(engourdissement et parésie des extrémités
supérieures
). Deux soeurs sont impressionnables, pleurniche
. (Suite et fin 2- GROUPE. - Arthrites ET amyotrophie DES membres
supérieur
ET inférieur. '. SÉJOUR au LIT. 7 malades. OB
l'articulation scapulo-humérale, les autres articulations du membre
supérieur
sont libres. Adipose énorme de tout le membre s
s du membre supérieur sont libres. Adipose énorme de tout le membre
supérieur
s'étendant jusqu'à l'extrémité des doigts, masq
che avec ankylose et arthrite de toutes les articulations du membre
supérieur
; atrophie musculaire . Séjour au lit. Arthrite de
émiplégie gauche, séjour au lit; arthrite et ankylose des mem- bres
supérieur
et inférieur avec atrophie généralisée. Perr.,
te, séjour au lit, arthrites et amyotrophie généralisée des membres
supérieur
et inférieur. M. Lard..., cinquante ans, femme,
ent, comme les sujets du premier groupe, de l'amyotrophie du membre
supérieur
. Mais à l'inverse de ce qui existe chez ces der
ortant principalement sur les mus- cles de la fesse et de la partie
supérieure
de la cuisse. Chez tous aussi, l'articulation c
Hémiplégie gauche sans atrophie ni arthrite. Mobilisation du membre
supérieur
. Chai..., homme, soixante-cinq ans, hôpital Hér
ciale ; spasmodique. Flaccidité sans atrophie des muscles du membre
supérieur
; pas d'arthrite, si ce n'est légers craquements
TTE O>3s. XX. Hémiplégie droite, aphasie. Mobilisation du membre
supérieur
, - absence d'ankylose et d'atrophie, sauf au ni
entent ni douleurs spontanées ni douleurs provoquées dans le membre
supérieur
indemne d'arthrite, sauf en ce qui regardé l'ar
ints, du fait de la paralysie ou mieux de la contracture, le membre
supérieur
ou inférieur ou mieux certaines régions bien dé
l'arthrite et l'atrophie ne tarde pas à apparaître. Pour le membre
supérieur
, l'évolution des phénomènes est encore plus con
hie sont-elles beaucoup plus rarement observées que dans le segment
supérieur
du membre. Enfin, ce qui corrobore la pathogéni
u sail- lantes, les yeux normaux. Le nez est gros, écrasé, la lèvre
supérieure
peu augmentée ; l'inférieure fait un bourrelet
icules sont atrophiés ; il reste à peine deux haricocèles. Membre
supérieur
. - Très long et petit pour sa longueur. Légère at
iguës, non seulement aux membres inférieurs, mais aussi aux membres
supérieurs
indemnes de paralysie. Il en est un peu de même
restant indemnes quoiqu'ils fussent beaucoup plus atteints que les
supérieurs
par la paralysie. De cette forme aiguë une va
à 30 ans, insidieusement, sans douleur, et débuter par les membres
supérieurs
. On constate encore actuellement la diminu- tio
s de substance de la face, l'atrophie et la contracture des membres
supérieur
et inférieur, la coloration foncée de ces dernier
e sa vie, la reine de Hongrie prit l'habit du tiers ordre et devint
supérieure
d'un hôpital qu'elle avait fondé à Marbourg.
ontraire, l'oeil est complètement clos par le ptosis de la paupière
supérieure
, toutes les rides ont disparu, et les lèvres flas
idie et le bâton que cette femme tient de la main gauche. Le membre
supérieur
semble moins atteint, car la main droite esquisse
roite, paralysie faciale du même côté, avec participation du facial
supérieur
: c'est là un ensemble clinique assez rare. Mais
ils en partie tombés, mais prédominent surtout sur les membres tant
supérieurs
qu'inférieurs. C'est en somme ce qu'on trouve e
u'on voit dans l'ombre déjeté en dehors; mais c'est sur les membres
supérieurs
, qui se montrent presque complètement découvert
ent progressivement, un à un, débutant d'ordinaire parles mem- bres
supérieurs
. L'impuissance motrice s'accroît avec le degré de
cement du membre impossible. « L'infirme d'Albert Durer a le membre
supérieur
droit profondément atteint. Il est inerte et la
iture qui sert au malheureux pour se déplacer, l'atrophie du membre
supérieur
gauche est clairement exprimée par la position de
pre, dont elle porte plus manifestement les stigmates sur le membre
supérieur
gauche : atrophie, griffe des interosseux et tube
sante; elle est rendue plus cruelle encore par ce fait que la lèvre
supérieure
a subi une perte de substance qui laisse voir les
e saint guérit un lépreux. « Le malade montre à découvert la partie
supérieure
du corps marqué et d'une sorte de semis régulie
ns dans ce bâtiment, nous y trouvons, de plain-pied avec la galerie
supérieure
une grande salle servant de musée scolaire fais
nge et du charbon aux calorifères. Fig. 3. Plan des musées (tracé
supérieur
, des dortoirs et du logement qui les termine (tra
des grimaces avec le nez qu'il tord, secoue la tête et les membres
supérieurs
; il est de plus sujet à de violents maux de têt
rès écartées du crâne en arrière. L'ourlet est adhérent à la partie
supérieure
; il existe un tubercule sur le bord de la conq
conque ; le lobule est à peine dessiné. Dentition. Les incisives
supérieures
sont crénelées et pré- sentent des sillons. Les
supérieures sont crénelées et pré- sentent des sillons. Les canines
supérieures
ont chacune un cuspis très pointu avec sillon à
ne contient pas de calculs. La superficie du foie, surtout àlaface
supérieure
, est couverte d'adhérences péritonéales d'un bl
umon gauche (240 gr.). Plèvre lisse, non dépolie. Au niveau du lobe
supérieur
, on trouve une petite caverne isolée pouvant co
le qui est ossifiée, mais dont -on voit encore la trace à la partie
supérieure
. Au niveau de la fontanelle antérieure, se trou
pli de passage transversal, à niveau, se rendant du lobule pariétal
supérieur
au pli courbe. Le lobule pariétal inférieur, as
existe une circonvolution de passage se rendant du lobule pariétal
supérieur
à la première occipitale, et un autre entre le
écartées. L'incisure préovalaire n'est qu'indiquée par une encoche
supérieure
, en continuité avec la scissure parallèle front
llant de la troi- sième à la seconde frontale. La scissure frontale
supérieure
est très-tortueuse, irrégulière, profonde, inte
ndante est peu développée sur tout son parcours. Le lobule pariétal
supérieur
est moyennement développé, mais à sa partie la
e est également bien dévloppée. Le lobule paracentral, sur son bord
supérieur
et surtout à sapartieantérieure est en retrait
est profonde, formant encoche et a deux lèvres écartées à sa partie
supérieure
. La scissure calcarine est profonde. Le coin, b
convulsifs à début unilatéral à partir de 4 ans. Parésie du membre
supérieur
droit. Salacité. Onanisme précoce mais passager
ais osseux. IDIOTIE ET ÉPILEPSIE symptomatiques. 25 5 Les membres
supérieurs
ou inférieurs ne présentent pas de déformations
cuse surtout sur le lobs frontal et les circonvolutions motri- ces
supérieures
;. Il existe même un véritable état chagriné de
nte : l'hémis- phère droit présente une forte convexité de son bord
supérieur
, tandis qu'à gauche on observe au contraire un
- Le menton est un peu fuyant. Dentition. Au niveau de la mâchoire
supérieure
il existe 4. incisives permanentes, longues, éc
mais à part cela ne pré- sentent aucune particularité. Les membres
supérieurs
sont le siège d'un certain degré de contracture
main fléchie, les doigts en extension. Le développement des membres
supérieurs
est symétrique et normal. La différence qui exi
point de vue fonctionnel, l'enfant est maladroit de ses mem- bres
supérieurs
. Les mouvements sont gênés et moins éten- dus q
droite.- Pas de troubles de la sensibilité cutanée dans les membres
supérieurs
. Les réflexes tendineux du poignet existent. Qu
t n'écrivait pas du tout. La marche et les mouve- ments des membres
supérieurs
ne présentaient rien de parti- culier. C'est
aso-moteurs des mains et des avant-bras. Les mouvements des membres
supérieurs
n'étaient pas gênés. Description DU malade. 43
gèrement aplati dans le sens antéro-postérieur au niveau de son 1/3
supérieur
, mais sa structure n'est nulle- ment altérée. L
ingue pas la saveur du sucre de celle du sel. Dentition. Mâchoire
supérieure
. Les deux incisives média- nes sont crénelées,
x, de l'anthélix ou du lobule. L'ouie paraît normale. Les membres
supérieurs
ne présentent ni déformation, ni atrophie muscu
note une certaine raideur dans les membres inférieurs ; les membres
supérieurs
sont flasques, légèrement cyanosés. Au niveau d
quées dans toute l'étendue du lobe frontal, sur les lobes pariétaux
supérieur
et inférieur, sur le pli courbe et à l'extrémit
scendante a un développement normal; elle est coupée dans la partie
supérieure
par deux sillons ; la partie ainsi isolée est r
vers la fente interhémis- phérique en découpant le lobule pariétal
supérieur
. Elle envoie également un sillon assez profond
ssure perpendiculaire interne est très profonde, béante à sa partie
supérieure
. Elle se prolonge jusqu'au-dessus du bourrelet
iétale par un pli de passage à niveau se rendant du lobule pariétal
supérieur
au lobule occipital. Lobule orbitaire. Le lobul
coupant le pied de la troisième frontale, interrompue à son tiers
supérieur
par un pli de passage sinueux bien développé, a
scissure parallèle frontale communique avec la scis- sure frontale
supérieure
, formant avec l'extrémité postérieure de celle-
ostérieure de celle-ci une sorte de grand Y. La scissure frontale
supérieure
est sinueuse, profonde, interrompue par un pli
ylvius, La frontale ascendante, un peu maigre surtout à sa partie
supérieure
, est sinueuse, très-découpée. A son tiers inférie
rbe de celle-ci, il y a un pli de passage allant du lobule pariétal
supérieur
au lobule pariétal inférieur, de telle sorte qu
e, La colonne vertébrale présente une saillie prononcée à la partie
supérieure
de la région dorsale. Cette gibbosité décrit, e
a se perdre dans le sillon transverse occipital. Le lobule pariétal
supérieur
est moyennement développé, sa partie postérieur
verge, deux torsions : 1° une première en vertu de laquelle la face
supérieure
devient face latérale gauche; une deuxième dans
n foncé, assez fournis en arrière, rares au contraire sur la partie
supérieure
de la tête : les deux tiers du cuir chevelu son
es sont épaisses, surtout l'inférieure; il existe , un prognathisme
supérieur
très prononcé : six dents du haut sont complète
et porté en avant. (Fig. 6.) . 124 Microcéphalie. La mâchoi1'e
supérieure
estlarge, le palais peu profond, avec projectio
lon profond qui, à la partie antérieure, envoie deux branches : une
supérieure
qui empiète sur la I ? et une inférieure très l
0 Microcéphale : cerveau. assez bien développée. Le lobule pariétal
supérieur
n'existe pas. Lo sillou vertical qui limite en
ical qui limite en arrière cette circonvolu- tion contourne le bord
supérieur
de l'hémisphère et se termine à la partie infér
cé par une grosse circon- volution arrondie, présentant à sa partie
supérieure
quatre petits sillons superficiels dont le plus
lon de Rolando (n) est situé un peu en arrière de la moitié du bord
supérieur
. Il n'empiète pas sur la face inter- en et s'ar
ur la F A par deux racines séparées par un petit sillon à convexité
supérieure
. La F- prend naissance sur la F A par une gross
rs par un sillon cruciforme, Dans l'ti- cartement des deux branches
supérieures
de ce sillon plonge une émanation de F1. Dans l
divise en deux la P A à sa partie infé- ricurc. Le lobule pariétal
supérieur
n'existe pas. - Lc lobule pariétal inférieur es
eloppée surtout à la partie supé- rieure, et offrant dans sa partie
supérieure
trois encoches, deux en avant, et une en arrièr
sur eux. C'est ainsi que nous voyons disparaître le lobule pariétal
supérieur
, le pli courbe et son lobule. Le lobc occipital
s sa face postérieure, celle des pilliers, et une partie de la face
supérieurs
du voile du palais sont complètement tapis- sée
sées. L'épiglotte n'offre due quelques points envahis sur sa face
supérieure
; sa face laryngée au contraire est tout à fait
la face externe de la plèvre viscérale; pas de liquide. Les parties
supérieures
du poumon sont gorgées d'un liquide spumeux. La
it, en réalité, d'un peu plus de quatre centimètres, et que la face
supérieure
du cervelet était presque complètement à découv
'où il suit encore que l'apla- tissement très prononcé de la partie
supérieure
de l'occipital pourrait être attribué à ce qu'e
n peu plus à droite. Lèvres proéminentes, épaisses, surtout lalèvre
supérieure
. Menton un peu pointu. Le maxillaire infé- rieu
du thorax au niveau des mame- lons : 62 centimètres. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont bien constitués. Les mains s
Sourcils et cils longs et abondants. Très léger duvet sur la lèvre
supérieure
. Duvet noir assez abondant à la face postérieur
male; battements du coeur réguliers. Mastication bonne. La mâchoire
supérieure
, en pointe, offre douze dents, parmi lesquelles
t bien rangées. L'articulation est défectueuse, il y a prognathisme
supérieur
, et les dents inférieures mordent sur la genciv
et l'arcade est très ovalaire. Au lieu de s'entrecroiser, les dents
supérieures
recouvrant les inférieures en avant, les dents
3 à la naissance (microcéphalie très prononcée et pl'ogna- thisme
supérieur
). Convulsions répétées à un an. Fugues solitair
aires de lait. Incisives serrées. Articulation : léger prognathisme
supérieur
. Mâchoires très développées. Le cou est mince
eu proéminent. L'cnscllure lombaire est très marquée. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont minces, mais bien constitués
uue demi-heure par jour. Puberté. - Très léger duvet sur la lèvre
supérieure
, tronc, aisselles et membres glabres. Léger duv
é. Inégalité d'âge de quatorze ans. Mi- crocephalie et prognathisme
supérieur
à la naissance. Mar- che à vingtet un mois. Jam
ée du côté gauche. 162 Description du malade. Dentition. Mâchoire
supérieure
: 11 dents saines, assez bien rangées, blanches
te- tementsortie. Canine de lait gauche encore en place. Mâchoire
supérieure
: 13 dents saines, assez bien rangées ; la pre-
ire gauche manque. Articulation assez régulière. Léger prognathisme
supérieur
; gencives en bon état. La voûte palatine est p
. Pas de déviation rachidienne. Le ventre est souple. Les membres
supérieurs
sont de volume égal, bien musclés ; les articul
ment de la moitié droite de l'occipital, surtout dans sa par- ' tie
supérieure
; les régions pariétales sont arrondies et parais-
e ; emphysème généralisé à la tête, au cou, au tronc et aux membres
supérieurs
. La cyanose va en augmentant, la, respiration e
r deux insertions volu- mineuses séparées par un simple sillon ; la
supérieure
fait .partie du bord convexe de l'hémisphère :
e une circonvolution sinueuse qui paraît répondre au lobul pariétal
supérieur
. En arrière de l'extrémité postérieure de la sc
nt fusionnées entre elles et nettement séparées des circonvolutions
supérieures
par un sillon profond dans lequel celles-ci vie
aboutir après s'être en quelque sorte enroulées pour former le bord
supérieur
de la dépres- sion. Le pli supérieur est simple
enroulées pour former le bord supérieur de la dépres- sion. Le pli
supérieur
est simple et s'arrête avant d'arriver à la poi
cipitale, le second, plus volumineux, décrit une courbe à concavité
supérieure
, va jusqu'à la pointe occipitale, se recourbe e
éparée par un sillon presque rectiligne, seule- ment dans son tiers
supérieur
. Dans leur moitié inférieure ces circonvolution
existe un sillon, en arrière duquel on trouve : 1° le long du bord
supérieur
de l'hémisphère une masse quadrangulaire; 2° au
ampe. Il présente quelques plis transversaux superficiels. Son bord
supérieur
limite en bas la perforation. Ce bord est const
a sépare un sillon assez profond ; l'un et l'autre à leur extrémité
supérieure
sont séparés du reste de la cir- convolution pa
y a un nouveau sillon transversal. A partir de là, le long du bord
supérieur
de l'hémisphère, existe une circonvolution qui
faciale. Voûte palatine aplatie. Dentition de lait. Progna- thisme
supérieur
très prononcé. Articulation très défectueuse. T
ons occupant tout le lobe inférieur et la partie inférieure du lobe
supérieur
. Plèvre saine. abdomen. Rate : 30 gr., normale,
halo-rachidien. Caillot noir volumineux dans le si nus longitudinal
supérieur
. La base parait symétrique. Dure-mère normale.
iques, par exemple sur le lobe frontal et au niveau du pli pariétal
supérieur
droit. A gauche, congestion moins pro- noncée.
es méningées qui descendent vers le lobe frontal en suivant le bord
supérieur
de l'hémisphère. Thrombose semblable des veines
faitparlie de la cavité ventriculaire, et se replie dans sa moitié
supérieure
. Elle forme uncsorte de voile dans le ventricul
ci ont une disposition ascendante du bord inférieur du lobe au bord
supérieur
. Là elles se replient sur la face interne en fo
éro-postéricur. sinueux, profond et large, à égale distance du bord
supérieur
et du bord inférieur de l'hémis- phère. La part
du bord supérieur et du bord inférieur de l'hémis- phère. La partie
supérieure
est composée de circonvolutions dirigées vertic
is présente une déviation à concavité tournée à gauche, à la partie
supérieure
de la région dorsale; une autre, compensatrice,
le; une autre, compensatrice, en sens inverse au-dessous. Membres
supérieurs
. Paralysie du côté droit. Attitude particulière
ière clans le kyste et divisant la 1' frontale en doux parties, une
supérieure
et une inférieure. La partie supérieure, très l
ontale en doux parties, une supérieure et une inférieure. La partie
supérieure
, très large, se divise bientôt de nouveau en de
nouveau la Ire frontale en deux digitations, l'une formant le bord
supérieur
de l'hémisphère, l'autre formant un bec qui plo
étroit, au-dessus duquel elle se replie en S pour gagner le bord
supérieur
de l'hémisphère. '2mo frontale, très clcvelop-
ant une S ita- lique allongée et s'arrêtant avant d'arriver au bord
supérieur
de l'hémisphère. La scissure de Sylvius n'offre
ment séparées par des sillons très superficiels. Le lobule pariétal
supérieur
est assez large et forme le bord supérieur de l
iels. Le lobule pariétal supérieur est assez large et forme le bord
supérieur
de l'hémisphère. Il est séparé en deux dans la
sse quadrilatère composée de deux circonvolutions plus petites, une
supérieure
quadrilatère en arrière, trapezoïde en avant, e
ès superficiels et incomplets. Il est divisé en deux par- ties, une
supérieure
et une inférieure, par un sillon horizontal pro
ieure et inférieure tri- angulaire se continuant en arrière avec la
supérieure
plus grêle formant le bord supérieur. 1J2 PEU
continuant en arrière avec la supérieure plus grêle formant le bord
supérieur
. 1J2 PEUDO-POREXCÉPHALIE unilatérale. La 1me
du voile du palais; le lait revient'par le nez et souille la lèvre
supérieure
. T.R. 38",4. Soir : T.R. 38° 28 février. Même
fausses membranes à une petite ligne verdâtre siégeant à la partie
supérieure
de l'amygdale droite; diminution du gonflement
e coudée de 2 cent. 1/2. - Pariétale ascen- dante réduite à son 1/3
supérieur
. Pariétale supérieure assez volumineuse, formée
/2. - Pariétale ascen- dante réduite à son 1/3 supérieur. Pariétale
supérieure
assez volumineuse, formée de deux masses', sépa
tal. Quelques sillons transversaux peu profonds. Lobule pariétal
supérieur
assez bien développé, forme d'u- une masse de c
e dans la scissure parallèle et qui est divisé en trois masses, une
supérieure
quadrilatère, une carrée au- dessous, et une tr
La circonvolution postérieure se continue en haut avec la pariétale
supérieure
et s'arrête en bas à la scis- sure parallèle.
? ); grosseurs süs-c1w-icuhires; gonflement des veines de la partie
supérieure
de la poitrine; bouffissures au niveau des dern
niveau des dernières vertèbres cervicales et des premières dorsales
supérieures
; mains larges et froides, mollets gros et ferme
i existe au niveau des vertèbres cervicales antérieures et dorsales
supérieures
, » C'est là une particularité que nous avons ég
assin est assez étroit ; les fesses sont tremblantes. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont courts dans tous 2 ? 0 IDIOT
partie inférieure du pénil, entre le pli transversal et l'extrémité
supérieure
dos grandes lèvres, on trouve deux bouquets com
rsiste et, de plus, R.. cherche à toucher les autres. Les membres
supérieurs
et inférieurs n'ont pas une lon- gueur proporti
ls sont assez abondants aux extrémités, rares au milieu de la lèvre
supérieure
. La mouche est rudimentaire. La barbiche commen
s- selles, assez abondants sur les reins, ainsi que sur la partie
supérieure
et la face antérieure des cuisses, sont assez nom
logistessont d'accord, c'est sans contredit l'in- tégrité du facial
supérieur
dans l'hémiplégie cérébrale ba- nale. Tous les
iplégie cérébrale le facial inférieur seul est intéressé, le facial
supérieur
est indemne, ou n'est atteint que dans des cas
les auteurs insistent sur l'importance de cette intégrité du facial
supérieur
pour diffé- rencier la paralysie faciale d'orig
alie apparente, et que l'on n'a pas hésité à décrire pour le facial
supérieur
un centre cortical et un trajet intra- cérébral
légie cérébrale infantile se montrant chez le nouveau-né, le facial
supérieur
est paralysé, au même litre et au même ,lttcumr
cial inférieur (Gibotteau). On compte les observations où le facial
supérieur
est respecté. Pourquoi celte contradiction abso
Jacksonnienne de la face, les convulsions se montrent sur le facial
supérieur
comme sur le facial inférieur. · D'ailleurs l
r le facial inférieur. · D'ailleurs l'intégrité absolue du facial
supérieur
chez l'adulte est loin d'avoir été admise par t
sie dans l'hémiplégie ordinaire et remarque la chute de la paupière
supérieure
. Mais c'est à Duplay (1854) que revient l'honne
ière. 0. Berger soutient la fréquence de la participation du facial
supérieur
à l'hémi- plégie faciale. L'ÉTAT DU FACIAL
du facial supérieur à l'hémi- plégie faciale. L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 3 Hallopeau a vu que « plusieurs fois dans les
ur d'avoir attiré de nouveau l'attention sur ce sujet : « Le facial
supérieur
ne reste pas intact dans l'hémiplégie ; d'ordin
n hé- miplégiques. La parésie des muscles innervés par le frontal
supérieur
ne manque pour ainsi dire jamais dans l'hémi- p
les des classiques. Loin d'être l'exception, la paralysie du facial
supérieur
est la règle dans l'hémiplégie. Dans un tra- va
cent Pugliese confirme ses recherches anté- rieures : « Les muscles
supérieurs
de la face participent d'or- dinaire à l'hémipl
e parésie peut aller jusqu'à la paralysie. Ces troubles du facial
supérieur
confirment la loi qui règle laparticipation des d
dans la littérature des ob- servations d'hémiplégiques où le facial
supérieur
était peu ou prou intéressé. Les rapporter sera
, 1898-1899, plusieurs observations anciennes. L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 5 se montre paralysé, tandis que dans les mouv
re paralysé, tandis que dans les mouvements volon- taires le facial
supérieur
se montre bien innervé. Ce fait confirme d'une
importance de la synergie des mouvements dans la motilité du facial
supérieur
et explique en partie comment l'intégrité du fa
acial supérieur et explique en partie comment l'intégrité du facial
supérieur
a pu être soutenue. 11 est un fait certain, c
it certain, c'est que chez les hémiplégiques la paralysie du facial
supérieur
n'attire pas immédiatement l'at- tention. Tandi
même au repos, la paralysie du facial inférieur, du côté du facial
supérieur
dans la plupart des cas tout semble normal. Si
Si l'on s'en tient à un examen superficiel, la paralysie du facial
supérieur
n'ap- paraît pas. Pour la mettre en évidence il
ouissant uniquement des mouvements synergiques. Si pour le facial
supérieur
on emploie des procédés ana- logues, on met fac
e fait exécuter des mouvements aux mus- cles innervés par le facial
supérieur
, ce n'est pas seulement à l'existence même du m
s différences appréciables. Le malade tenant les L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 7 yeux fermés et résistant, on cherche à relev
EUR. 7 yeux fermés et résistant, on cherche à relever la paupière
supérieure
: la résistance n'est pas la même d'un côté et de
ie du facial inférieur est donc peu marquée. De même pour le facial
supérieur
qui est pour ainsi dire indemne. Les rides du f
ns. Hémiplégie gauche remontant à un an, très accentuée aux membres
supérieur
et inférieur. La joue gauche est flasque, la
ers l'âge de vingt-cinq ait,. Hémiplégie prédominante sur le membre
supérieur
. Sensibilité intacte. Réflexes tendineux exagér
la langue. Donc très légère atteinte du facial inférieur. Le facial
supérieur
est à peine touché. La malade exécute tous les
trice en voie d'amélioration. Paralysie prédominante dans le membre
supérieur
; diminution et retard de la sensibilité. Contra
rle. La pointe de la langue se dévie légèrement à droite. Le facial
supérieur
est atteint au prorata. Les rides du front sont
d'hémiplégie gauche depuis sept ans, à prédominance sur le mem- bre
supérieur
. Contracture. Le facial inférieur gauche est pa
gauche; le pli naso-génien gauche est abaissé et elfacé. Le facial
supérieur
est aussi touché : la paupière supérieure gauche
aissé et elfacé. Le facial supérieur est aussi touché : la paupière
supérieure
gauche est plus l'état du FACIAL SUPÉRIEUR. 9
touché : la paupière supérieure gauche est plus l'état du FACIAL
SUPÉRIEUR
. 9 tombante que la droite ; les rides frontales
e est déviée à gauche. Pas de troubles de la déglutition. Le facial
supérieur
est beaucoup moins touché. La queue du sourcil
est légèrement tombant à droite ; le malade peut siffler. Le facial
supérieur
est peu touché : les rides du front sont sensib
he se dévie vers la gauche, ainsi que l'extrémité du nez. Le facial
supérieur
n'est pas indemne. Le front est plus lisse à droi
d'hémiplégie gauche, encore aujourd'hui très accentuée aux membres
supérieur
et inférieur ; troubles de la sen- sibilité, co
it sont alors beaucoup plus accentués que du côté gauche. Le facial
supérieur
est aussi touché. Les sourcils sont au même niv
^ droite remontant à dix-huit mois. Contracture surtout au membre
supérieur
qui est de beaucoup le plus atteint. Paralysie
passer les arcades dentaires. Troubles de la déglutition. Le facial
supérieur
est intéressé. Les rides du front du côté gauch
vers quarante ans, d'hémiplégie droite, prédominante sur le membre
supérieur
. Contracture. Pas de troubles de la sensi- bili
o-gémen est exagéré; la face semble tirée vers la gauche. Le facial
supérieur
droit est manifes- tement paralysé. Le sourcil
on XV. R... Joséphine, cinquante ans. Hémiplégie L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 11 gauche en janvier 1896. Contracture très ac
ntuée surtout au membre inférieur; paralysie prédominante au membre
supérieur
. Crises de larmes involontaires, spasmodiques q
i naso-génien est effacé ; la langue est déviée à gauche. Le facial
supérieur
est également pris. La queue du sourcil gauche
aphasique moteur. Le facial inférieur droit est paralysé; le facial
supérieur
est aussi atteint. La fente palpé- brale droite
ilité de siffler. Légère déviation de la langue à droite. Le facial
supérieur
est pris. Les rides du frout sont, en effet, pr
88 d'hémiplégie gauche avec contracture prédominant sur le membre
supérieur
. Paralysie nette du facial inférieur gauche. Le
plus élevée que la droite ; le malade ne peut sif- fler. Le facial
supérieur
droit est touché. Les rides du front de ce côté
. Quand les muscles des sourcils sont contractés L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 13 ils présentent aux mouvements passifs la mê
4 CLINIQUE NERVEUSE. Paralysie du facial inférieur droit. Le facial
supérieur
est aussi atteint : la queue du sourcil est plu
ie motrice en 1896. Contrac- ture très accentuée, surtout au membre
supérieur
. Marche très péniblement et en fauchant. Le p
les muscles du côté gauche quand le malade parle ou rit. Le facial
supérieur
gauche semble contracture : Les rides sont plus
ées de ce côté, le sourcil est relevé et presque L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. ' 15 immobilisé. La malade ne peut fermer isol
Coingt et Pugliese. Loin d'être l'exception, la paralysie du facial
supérieur
est la règle dans l'hémiplégie cérébrale vulgai
avons observés et où le facial inférieur était touché, le facial
supérieur
était aussi atteint; plus ou moins d'ailleurs, su
ntégrité de leurs mouvements, et sont seulement parésiés, le facial
supérieur
est pour ainsi dire 16 CLINIQUE NERVEUSE. ,
alysie a aboli l'action du facial inférieur, la paralysie du facial
supérieur
est aussi très nette, et facile à mettre en évi
à mettre en évidence. D'ailleurs le degré de paralysie du facial
supérieur
est toujours beaucoup inférieur à celui de la p
scles à mouvements asyuergiques. Les muscles innervés par le facial
supérieur
sont des muscles essentiellement synergiques. P
un seul côté. Le seul mouvement asynergique qui dépende du facial
supérieur
est la fermeture et l'ouverture isolée d'un oei
ce mouvement. Rien d'étonnant donc à ce que les muscles du facial
supérieur
soient relativement respectés dans l'hémi- plég
t pour ainsi dire latente. En tout cas, cette paralysie du facial
supérieur
dans l'hémi- plégie cérébrale n'est pas aussi i
'on observe dans la paralysie faciale périphérique. Ici le facial
supérieur
est paralysé au même degré que le facial inférieu
, à notre avis, on ne peut plus parler d'intégrité réelle du facial
supérieur
dans l'hémiplégie cérébrale, il existe bien cep
et de la paralysie périphérique. Latente, la paralysie du facial
supérieur
est masquée par la déformation des traits infér
t jadis, ce sujet est un indice certain de la paralysie du facial
supérieur
. Si le malade ne peut fermer isolément l'oeil d
ans un cas nous avons observé la con- traction secondaire du facial
supérieur
. Dans ce cas les rides sont plus accentuées du
ourcil sont très diminués 1 Thèse Paris, 1897. L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 19 et n'existent pour ainsi dire plus. Ces cas
s plus rares, et même exceptionnels. 1 La participation du facial
supérieur
à l'hémiplégie, son parallélisme avec les troub
acial inférieur viennent combattre la conception du noyau du facial
supérieur
isolé au pli courbe (Exner, Paneth, Landouzy, D
laissant qu'une paralysie faciale droite totale occupant le facial
supérieur
comme le facial inférieur. L'au- topsie montra
rcule frontal. Ce ramollissement gagne dans la profondeur la rigole
supérieure
de l'insula. Le lobule du pli courbe et le pli
oyons avoir démontré au contraire que cette participation du facial
supérieur
est la règle dans l'hémiplégie. Nous avons pu p
. VII). Le facial inférieur était paralysé ; la paralysie du facial
supérieur
se caractérisait parla chute de la paupière et
cas d'épilepsie jacksonienne ; les crises débutaient par le facial
supérieur
(frontal et orbiculaire), gagnaient le facial i
le d'accepter l'existence d'un autre moteur cortical pour le facial
supérieur
localisé ou pli courbe. Tout s'accorde pour dém
admettre la dissociation d'origine du facial inférieur et du facial
supérieur
. Les deux branches de la septième paire ont un
. Anal, in Ileviie neurologique, 1898, p. 786. L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 21 inférieur et semble respecter le facial sup
TAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 21 inférieur et semble respecter le facial
supérieur
, ce n'est pas à l'anatomie, mais à la physiolog
, mais à la physiologie qu'il faut en demander la raison. Le facial
supérieur
doit son intégrité apparente à la synergie fonc
des muscles qu'il innerve. Quel trajet suivent les fibres du facial
supérieur
dans l'en- cépliale ? Il est facile de le dédui
u rayon lenticulaire entraîner simultanément la paralysie du facial
supérieur
et inférieur, évidemment par compression de la
u noyau caudé comme cause d'une hémiplégie avec paralysie du facial
supérieur
et inférieur. Coingt a observé chez le professe
ez le professeur Charcot un hémiplé- gique avec paralysie du facial
supérieur
tout entier (orbicu- laire, facial, sourcilier)
concerne le nommé L... Louis (Obs. XVI). Ici la paralysie du facial
supérieur
était assez marquée. Le cortex ne présente aucu
par le genou de la capsule interne. Le trajet des fibres du facial
supérieur
par l'anse lenticulaire doit être rejeté Tout l
rébral. Nous venons de voir les symptômes de la parésie du facial
supérieur
dans l'hémiplégie. Dans un certain nombre de cas,
nt qu'il ne semblerait au premier abord, le releveur de la paupière
supérieure
, innervé par le moteur oculaire commun particip
rgement ouvert et le malade ne peut abaisser sa paupière. Le facial
supérieur
a perdu toute action sur l'orbiculaire et le mo
e ptosis s'allie à une paralysie du facial infé- rieur et du facial
Supérieur
; Pitons a signalé un fait célèbre de ptosis et
et le malade est dans l'impossibilité de fermer L'ÉTAT DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 25 ' l'oeil paralysé. Or, dans la paralysie fa
la lésion qui donne l'hémiplégie au même titre que celui du facial
supérieur
, et moins encore que ce dernier puisque celui-c
diminuée du côté paralysé et sa prédominance d'action sur le facial
supérieur
parésie est diminuée. Par son action syner- giq
utant synergiques que asyner- giques, très incomplètement le facial
supérieur
comme les muscles du tronc dont les mouvements
a frappé davantage l'orbiculaire et que le releveur de la paupière
supérieure
est ou indemne ou peu touché. Le ptosis, par co
onc rien d'extraordi- naire. Par contre, le releveur de la paupière
supérieure
est relativement asynergique, tout au moins che
calisation corticale du ptosis que l'on trouvera l'état DU FACIAL
SUPÉRIEUR
. 27 dans la thèse de Surmont (Lille, 1886). Rap
d'un travail sur ce sujet conclut que le releveur de la paupière
supérieure
possède un centre situé dans l'extrémité posté-
de l'époque d'apparition et de l'évolution des paralysies du facial
supérieur
et du moteur oculaire commun chez les hémiplégi
rcot. Il est exceptionnellement rare de voir la paralysie du facial
supérieur
et du moteur oculaire com- mun persister à un d
inférieur guérit, l'amélioration se fait rapide du côté du facial
supérieur
et du releveur de la paupière supérieure. Celui
it rapide du côté du facial supérieur et du releveur de la paupière
supérieure
. Celui-ci reprend le premier l'intégrité de ses
lui-ci reprend le premier l'intégrité de ses mouvements ; le facial
supérieur
peut aussi reprendre toute son intégrité ' Lanc
Dans toute hémiplégie d'origine céré- brale, la paralysie du facial
supérieur
est de règle toutes les, fois que le facial inf
acial inférieur est lui-même paralysé. 20 Cette paralysie du facial
supérieur
est toujours beau- coup moins accentuée que cel
aciale périphérique. 3° Dans l'hémiplégie, la paralysie du facial
supérieur
est pour ainsi dire latente et demande à être r
oculaire commun à la paralysie. 5° L'intégrité relative du facial
supérieur
et surtout du mo- teur oculaire commun ne tient
ogiquement du mode d'action synergique de ces nerfs. 6° Le facial
supérieur
a le même centre cortical ou un centre très voi
re très voisin du facial inférieur. Les centres corticaux du facial
supérieur
et du releveur de la paupière supérieure sont p
centres corticaux du facial supérieur et du releveur de la paupière
supérieure
sont placés dans la zone psychomotrice. PATHO
marquée. Tremblements légers aux LES MÉLANCOLIQUES. 39 membres
supérieurs
. Les pupilles sont égales, mais réagissent len-
nte et paresseuse, n'est pas hésitante ni difficile. Les extrémités
supérieures
offrent des tremblements, les .5 mouvements des
- ryngien normal, le réflexe rotulien un peu exagéré. Les membres
supérieurs
présentent des tremblements très marqués. Les réf
lèvres, ni de contractions dans les muscles de la face. Les membres
supérieurs
ne présentent pas de tremblements aux extrémités.
te, il parle en tenant la bouche fermée. Les extrémités des membres
supérieurs
froides et légèrement cyanosées. Nous observons
. La parole est nor- male. Il n'y a pas de tremblements aux membres
supérieurs
. La force musculaire est diminuée. La marche es
bien à la lumière et à l'ac- commodation. Les réflexes des membres
supérieurs
et le réflexe rotulien sont normaux; elle n'a p
culaires contractés; les sillons naso-géniens prononcés; la lèvre
supérieure
relevée; le corps incliné; les mains pendantes. z
issent % la lumière et à l'accommodation. Les réflexes' des membres
supérieurs
et les réflexes rotuliens sont normaux. Il n'es
lier, teinte bistrée très prononcée autour des paupières ; la lèvre
supérieure
est assez forte, le sillon médian est régulier
extenseur de la jambe, adducteurs de la cuisse, muscles des membres
supérieurs
, muscu- lature du ventre, etc.). En dehors de l
s les deux une diminution dans la capacité de lever les pau- pières
supérieures
qui commençaient à pendre. Bientôt on observa e
ades aient jamais vu des images doubles. Chez l'un, les paupières
supérieures
étaient pendantes à peu près au même degré des
t la participation légère du nerf facial, surtout ses deux branches
supérieures
du côté droit, dans le premier cas. Le fait que
qués au crâne. La voûte du palais profonde : les dents cariées, les
supérieures
sont tombées ; la pupille droite contractée, la
la syphilis héréditaire. La voûte du palais est excavéc. Les dents
supérieures
sont presque- toutes tombées, les inférieures i
n implantées, éloignées les unes des autres surtout à la mâchoire
supérieure
. La voûte du palais très excavée. Les ganglions l
grand que le droit. La voûte du palais est très excavée. Les dents
supérieures
et inférieures usées. La luette petite déviée à
le ou crânienne. Les lobules des oreilles sont adhérents. Les dents
supérieures
et inférieures petites et usées, les incisives su
nt les lobules adhérents. La voûte du palais est excavée. Les dents
supérieures
et inférieures bien implantées. Les inférieures
érieures et inférieures bien implantées. Les inférieures usées, les
supérieures
éloignées les unes des autres. La malade prés
s inférieurs. Des vergetures abdo- minales s'étendant sur la partie
supérieure
des cuisses. Les pupilles sont dilatées, égales
auche surpasse en longueur les autres dents voisines, le maxillaire
supérieur
est étroit, irrégulier; les molaires en partie
s des oreilles adhérents dans toute leur étendue; l'arcade dentaire
supérieure
dépasse l'inférieure, les dents supé- rieures l
dégérescence à noter : Une légère asymétrie crânienne ; la partie
supérieure
de la région fronto-pariétale gauche est plus d
hésiomètre le malade répond à 4 centimètres au tronc et aux membres
supérieurs
; à t)' centimètres pour les cuisses et la jamb
ont pu être faites. NOTE SUR UN CAS D'HÉRÉDITÉ RÉGRESSIVE. 131
supérieur
. De cette manière la régénérescence du type s'
les ateliers ou dans les champs. Si le rendement, là-bas, est bien
supérieur
à celui que nous obtenons dans nos asiles de la
ation journalière. Sous ce rapport la législation anglaise est bien
supérieure
à la nôtre ; en France, en effet, les sorties à
que nos gardiens sont plus stables et ont une instruction spéciale
supérieure
à celles de leurs collègues étrangers, que nos
iiisaiity, octobre 1897.) E. B. VIII. Le développement des centres
supérieurs
du cerveau; par le Dr STEWART PATON. Déjà Ana
s intimes entre le développement ana- tomique des centres cérébraux
supérieurs
et leur expression fonc- tionnelle physiologiqu
tructure. C'est ainsi que les corps opto-striés, chez les vertébrés
supérieurs
, sont relativement plus petits que chez le poisso
de la disposition des centres corti- caux. Les centres cérébraux
supérieurs
peuvent être considérés comme un tout complexe
muscle répond à l'excitation d'une racine, par exemple : le segment
supérieur
à la C,, le moyen à la G", l'infé- rieur à la C
militaire se réduit à enseigner l'obéissance aux règlements et aux
supérieurs
ainsi qu'à supporter sans riposte les observati
eau pyramidal jusque dans la protubérance et même jusqu'à la partie
supérieure
du bulbe, et ne parvenir à la formation réticul
réticulaire de la calotte ou au raphé que dans la région de l'olive
supérieure
pour se rendre aux noyaux moteurs des nerfs. 6)
concurremment des conduc- teurs à la zone 39 (pli courbe et partie
supérieure
de la première temporale), sans qu'il y ait uni
rougeur de la face au moment de la résection du gan- glion cervical
supérieur
. Disparition graduelle de ces phénomènes de que
dant de la peine à trouver le mot propre. La paralysie de la partie
supérieure
du bras a totalement dis- paru, mais il n'en es
Nous avons au contraire constaté que cette toxicité paraît toujours
supérieure
à celle de l'individu bien portant. Nos expér
milles dont l'énergie de reproduction est considérable, notablement
supérieure
à celle des familles normales. Mais par contras
duire en conséquence d'un trouble psychologique profond des centres
supérieurs
.d'un cerveau instable ? et les poisons de cer-
de quelqu'une de ces causes 1 intégrité fonction- nelle des centres
supérieurs
est lésée, ne peut-on assister à la désagrégati
orsque les effets toxiques de l'alcool eurent désagrégé les centres
supérieurs
, la première idée impulsive qui vint, l'inhibit
s attaques convulsives épilepliformes qui débutèrent dans le membre
supérieur
du côté paralysé et s'accom- pagnèrent de perte
ésie cutanées segmentaires ; anesthesie kinesthésique des membres
supérieurs
, et symptômes d'amnésie rétro-antérograde. Sous l
s. Exagération des réflexes rotuliens. Parésie des muscles obliques
supérieurs
droits. II. Michel S... (5" enfant), vingt-quat
férieurs de la face ; contractions intentionnelles dans les muscles
supérieurs
de la face. Parole irrégulière, par à coups et
les droits oculaires internes (obs. Il et III) et du muscle oblique
supérieur
(obs. I) (dans les observations précédentes des
ibilité, des paumes et des plantes, et dans le domaine des branches
supérieures
du tri- jumeau. L'auteur fait le diagnostic d
apidement augmenté, elle est maintenant de 93 cent. 5 ; les membres
supérieurs
se sont allongés de 18 p. 100 de leur longueur
que, à savoir, la constitution d'un dynamisme réalisant une force
supérieure
à l'individualité première. Aussi comprend-on q
nvulsives, invoquent à l'esprit de l'épileptique l'idée d'une force
supérieure
à laquelle il attribue l'acte dont il ne se sen
Hystérie dans l'Histoire (P. Richer). Enfin Soeur Jeanne des Anges,
supérieure
des Ursulines à ' Magnan. Leçons cliniques sur
rtie cervicale de la moelle et deux une lésion de la partie dorsale
supérieure
. Trois fois le début a été brusque et la moelle
ie de ces nerfs ; quelques tubes. seulement des nerfs des mem- bres
supérieurs
présentaient la même altération. L'absence de l
mença par les membres inférieurs, envahit le tronc puis les membres
supérieurs
, enfin les muscles de la res- piration. La pa
d'emblée; 8° la maladie débute en général par la nuque ou la partie
supérieure
du dos; 9° elle détermine secondairement l'atro-
ntée de volume et déformée. Atrophie des mus- cles des deux membres
supérieurs
, avec diminution notable des réflexes tendineux
se comprend toute la colonne vertébrale, à l'exception de la moitié
supérieure
de la région cervicale ; la courbure occupe tou
avec notre main ou en le fermant par l'abaissement de la paupière
supérieure
; si ensuite nous l'exposons brusquement à la l
dico-psycho- logiques ; on y trouve avec des considérations d'ordre
supérieur
des indications pratiques en matière de médecin
as. Personnel DE surveillance (Femmes). Une surveillante en chef,
supérieure
des infirmières religieuses. 28 surveillantes i
nt-Augustin. L'indemnité allouée pour les religieuses, y compris la
supérieure
, est de 200 francs par an, pour chacune. 78 s
ignait maintenant de ressentir les mêmes symptômes dans les membres
supérieurs
. L'attaque d'influenza avait duré un mois et de
ur tour ; la marche devint alors absolument impossible. Aux membres
supérieurs
, les extenseurs anti-brachiaux furent aussi env
e alcoolique ? Ainsi que nous l'avons dit plus haut, si les membres
supérieurs
et les membres inférieurs étaient envahis, les
position du pied, le steppage, de la maladresse dans les membres
supérieurs
au début, de l'oedème des membres inférieurs, de
s membres inférieurs furent les premiers atteints. puis les membres
supérieurs
et, enfin, le tronc et la partie supé- rieure d
alvanique sans réaction de dégénérescence. Le tremblement du membre
supérieur
droit, qui seul nous inté- resse ici, est nette
t cet accrois- sement doit éveiller l'attention de l'Administration
supérieure
, car il menace de déborder l'enceinte trop étro
oyenne. Les autres ont 132. enfants que l'on peut classer ainsi : 1
supérieur
, 32 normaux, 24 morts d'éclampsie, 20 à trouble
atineux, sur la moelle dorsale de l'un et l'autre côté. A la partie
supérieure
delà moelle cervicale double tache scléreuse ne
a sclérose en plaqnes (Kahler et Pick, P. Marie). Paralysie alterne
supérieure
MM cours d'une méningite tuberculeuse- Ramollis
Huit jours après se développe, en 12 heures, une paralysie alterne
supérieure
(syndrome de Weber) constituée par une hémiplég
e. M. 1)'ASTR09 dépose un rapport sur un cas de paralysie alterne
supérieure
survenue chez un enfant de treize ans au cours d'
en rapport indistinctement avec les deux côtés du tronc ; le vermis
supérieur
correspond aux membres inférieurs ; sa partie p
rieurs ; sa partie postérieure et inférieure correspond aux membres
supérieurs
; 4° En outre le cervelet se trouve en rapport
est quelque peu effacé. Impossible de siffler. La force des membres
supérieurs
est affaiblie. Les muscles pectoraux sont atrop
s diverses parties du corps, et notam-- ment : rouge dans la partie
supérieure
du tronc, et blanc dans la partie inférieure, p
ent. 2 IX. 1898. Ptosis léger à gauche ; parésie des membres droits
supérieur
et interne du même oeil ; la pupille gauche est
pourvu de sens moral, chez le minus habens incapable d'inclinations
supérieures
. L'instabilité est émotionnelle. Le plaisir et
te la crainte que toute cette aventure ne lui ait nui auprès de ses
supérieurs
, de sa famille. Jouira-t-il de la même considér
ieur, à peu près automatique, siège dans l'insula de Reil; l'autre,
supérieur
, destiné aux conceptions verbales, est loca- li
t du pied, un premier noyau postéro-latéral allant depuis la partie
supérieure
du 5° segment lombaire à la partie inférieure d
é et. un second noyau, posté- rieur au premier, allant de la partie
supérieure
du 2° segment sacré à la partie inférieure du 4
cation ventriculaire, inté- ressant tout le pourtour des deux tiers
supérieurs
de la Se. de Sylvius, déformation du lobe front
pagne de mouvements jack- sonniens convulsifs localisés aux membres
supérieur
et inférieur droits. Le 2 ces mouvements sont l
ents, désordonnés, arythmi- ques, choréiformes et limités au'membre
supérieur
droit. Les doigts de la main droite sont animés
2 septembre. Les mouvements cliorëiformes, jaclaonniens, du membre
supérieur
et de la moitié droite de la face persistent ;
ation la plus complète à la supi- nation exagérée ; enfin le membre
supérieur
présente, dans son ensemble, des mouvements de
ellent plusieurs fois par minute, la malade immobilise son mem- bre
supérieur
droit en se couchant dessus. La commissure labial
e de Litlle d'origine obstétricale. Amyolrophie tardive des membres
supérieur
et inférieur gauches. M. BotNHT. Ce petit garço
l'eniant peut à peine remuer les mem- bres inférieurs. Les membres
supérieurs
sont moins contracturés; ils n'exécutent que qu
ol qu'il ne quitte pas. Depuis trois mois, les membres inférieur et
supérieur
gauches se sont atrophiés ils sont plus mous, p
c lutt, de Railton. L'amyotrophie secondaire et tardive des membres
supérieur
et infé- rieur gauches cadre bien avec cette in
-pariélale droite, contracture secondaire et permanente des membres
supérieur
et infé- rieur gauches. R..., trente et un ans,
le service de clinique médicale dont nous étions chargé. Le membre
supérieur
gauche peut exé- cuter quelques mouvements brus
te une anesthésie en manchette au poignet gauche. La peau du membre
supérieur
gauche parait plus froide; la raie dermographiq
s une trentaine de séances de pendaison, les mouvements des membres
supérieurs
et inférieurs gauche sont moins brusques, moins
de connaissance de courte durée, de paralysie incomplète du membre
supérieur
droit, augmentant progressivement ; le membre i
résie augmente ; il existe une paralysie très prononcée des membres
supérieur
et inférieur gauches ; enfin le côté droit est
; elle suivit la même progression ascen- dante du côté des membres
supérieurs
. Ce malade succomba avec des phénomènes de para
l et Sil- vestnni, 473. Cerveau. Le développement des cen- ties
supérieurs
du -, par l'aton, 418. Cervelet. Sur un cas d
du professeur P. Delati- nis, par Assimis, 61. Paralysie alterne
supérieure
au cours d'une tuberculeuse. Ramollissement d
ni-lis), appelle « la parésie analgésique avec panaris des extrémités
supérieures
», et que nous appellerons plus volontiers, pour
je veux vous parler et encore en tant qu'elle affecte les extrémités
supérieures
, les paralyse, y atrophie les muscles, y abolit l
(1883) est intitulé : Parésie analgésique.avec panaris des extrémités
supérieures
. Il contient l'importante découverte de l'analgés
ue d'étudier consiste dans la parésie avec « analgésie des extrémités
supérieures
, d'abord limitée « à l'un des côtés, passant ensu
artie du bras, mais quelquefois, elle peut s'étendre à tout le membre
supérieur
et même à d'autres parties du corps. C'est en mêm
Les troubles trophiques ne se bornent pas seulement aux extrémités
supérieures
. M. Broca a attiré l'attention sur l'existence d'
t à la privation presque complète de l'usage d'un ou des deux membres
supérieure
. En ce qui concerne Yétiologie, nos connaissanc
nuer, malgré un essai de cinq mois, à cause de la faiblesse du membre
supérieur
gauche. Il n'avait pas la force de harnacher ses
e passant par le sommet du creux de l'aisselle en dedans et la partie
supérieure
du moignon de l'épaule en dehors et coupant envir
ne crête osseuse, aiguë et tranchante, formée par l'arête du fragment
supérieur
. Ablation de la crête à la gouge. Hémostase. Sutu
pendant deux mois. Mais, au bout de ce temps, la faiblesse du membre
supérieur
reparut et il fut obligé de nouveau de retourner
peine exercer une force de 4 kil. Les réflexes tendineux du membre
supérieur
sont plus forts du côté sain que du côté malade.
sont plus forts du côté sain que du côté malade. De plus, le membre
supérieur
tout entier est le siège d'une anesthésie complèt
a moindre trace de tremblement. Je soulève successivement ses membres
supérieurs
, puis les membres inférieurs; vous voyez qu'ils s
tard (1888). Le tremblement avait progressivement envahi les membres
supérieurs
. A la suite d'une de ses attaques, il resta pen
ont nous provoquions il y a un instant l'apparition clans les membres
supérieurs
, par la manœuvre de porter un verre à la bouche.
i qu'étant soldat, il adressa un jour des injures et des menaces à un
supérieur
et fut condamné pour ce fait à cinq ans de prison
ut graduellement, dans les deux jambes d'abord, puis dans les membres
supérieurs
. Il entra alors à l'hôpital d'Auxerre où il séjou
branches qui se rendent aux muscles extérieurs: droit interne, droit
supérieur
, droit inférieur, petit oblique, releveur de la p
t, dans bien des circonstances, d'une parésie fugace d'un des membres
supérieurs
, avec sensation d'engourdissement remontant de l'
scintillant, d'hémiopie, de parésie avec engourdissement d'un membre
supérieur
, etc., les symptômes oculaires seraient représent
mouvements imparfaits du droit interne, du droit inférieur, du droit
supérieur
, ptosis incomplet. Diplopie caractéristique de la
qui s'élevait à 10 et 12 degrés centigrades. C'est aussi au membre
supérieur
qu'a paru l'œdème bleu chez les deux malades que
'état suivant : La main droite est gonflée, d'un volume de beaucoup
supérieur
à la gauche. Les doigts, la main sur sa face dors
pour le tact, la douleur, la chaleur dans toute la longueur du membre
supérieur
, jusqu'au-dessus de de l'épaule, en forme de manc
même situation. leP février 1890. — L'analgésie a disparu au membre
supérieur
droit dans son entier, mais les impressions doulo
érieur principalement) droit. A un travers de main au-dessous du bord
supérieur
do la rotule il y a, entre le côté droit et le cô
nce de 2 centimètres (27 cent, à droite, 29 cent, à gauche). Au tiers
supérieur
de la cuisse, cette différence n'est plus que de
douleur est vive à la partie interne du genou, au niveau de l'attache
supérieure
du ligament latéral. Elle est spontanée et très f
ans le triceps droit atrophié. Rien du côté du tronc ou des membres
supérieurs
. La malade est maigre, faible, son intelligence
ain degré d'hypoesthésie pour le chaud dans toute l'étendue du membre
supérieur
droit. Vue : rétrécissement double du champ vis
égion de la cuisse. 19 février.— L'hypoesthésie a disparu au membre
supérieur
en grande partie; il reste encore des plaques ane
nuits; pendant vingt-quatre heures, l'enfant serait resté au détroit
supérieur
. Quatre applications de forceps avec chloroforme.
e long de la crête sacrée, à la partie la plus proéminente du détroit
supérieur
, de telle sorte qu'il n'est nullement protégé con
un mois environ. La douleur était localisée aux reins et à la partie
supérieure
de la fesse gauche. Il n'y eut point alors de dou
lle, points sacro-lombaire, fessier, trochantérien, poplité, péronier
supérieur
, malléolaire, plantaire (milieu de la plante du p
te une plaque d'anesthésie remontant jusqu'au pli inguinal et au bord
supérieur
de Fos coxal, se perdant en arrière dans la régio
ion, les névrites que le plomb détermine affectent plutôt les membres
supérieurs
et n'occasionnent pas de douleur. Le diabète pe
ou externes du moteur oculaire commun, à savoir: droit interne, droit
supérieur
, droit inférieur, petit oblique, releveur de la p
s du bulbe proprement dit, une région qu'on pourrait appeler le bulbe
supérieur
, ou protubérantiel. En cette région se termine
vant en arrière ou de haut en bas, ceux de l'élévateur de la paupière
supérieure
, du droit supérieur, et du petit oblique ; b) des
haut en bas, ceux de l'élévateur de la paupière supérieure, du droit
supérieur
, et du petit oblique ; b) des noyaux médians pour
ers cas ont été désignés par Wernicke sous le nom de polioencéphalite
supérieure
aiguë ou subaiguë. Ils sont le plus souvent rapid
er ici, laissant de côté, comme nous l'avons dit, la polioencéphalite
supérieure
aiguë, les cas de tumeurs, et enfin les ophthalmo
les cas que nous allons considérer d'une sorte de paralysie bulbaire
supérieure
, comparable à tous égards à la paralysie bulbaire
alysie bulbaire inférieure se complique parfois de paralysie bulbaire
supérieure
et inversement. Je fais allusion ici à la paral
inférieure du ventricule, alors que dans le cas de paralysie bulbaire
supérieure
, ce sont les noyaux de l'oculo-moteur situés au n
au niveau de l'aqueduc de Sylvius et à la partie correspondante mais
supérieure
du 4e ventricule, qui sont atteints. Ce sont là
rne de cette catégorie constitue donc une sorte de paralysie bulbaire
supérieure
, qui, je le répète, « fait le pendant » de la par
l cas, en quelque sorte systématiquement, des noyaux moteurs du bulbe
supérieur
à ceux du bulbe inférieur. Je puis citer un exe
ns les membres. Dans ce cas, la lésion est descendante et va du bulbe
supérieur
vers l'inférieur. C'est un exemple assez fréquent
terminent fatalement la plupart peut-être des cas de polioencéphalite
supérieure
. Tels les faits de Bresgen (jeune fille de "25 an
au bout de 25 ans. Plus rares sont les cas où la paralysie bulbaire
supérieure
succède à l'inférieure. On peut rappeler à l'appu
labio-glosso-laryngée ascendante. 2° Les cas de paralysie bulbaire
supérieure
isolée sont peut-être les plus fréquents et les p
e mois. Il est possible, d'autre part, que ces paralysies bulbaires
supérieures
aient une tendance descendante, et que, rencontra
ts qui précèdent. Ici l'oph-thalmoplégie externe, la polioencéphalite
supérieure
se combine à une amyotrophie plus ou moins généra
ont pris à leur tour, les réflexes tendineux sont absents aux membres
supérieurs
, normaux aux inférieurs. Il offre des secousses f
ssir, ses membres étaient devenus impuissants ; peu après les membres
supérieurs
furent pris. C'est 3 mois après le début de la ma
la maladie se serait arrêtée. La combinaison de la polio-encéphalite
supérieure
n'est pas faite pour rendre le pronostic plus fav
imeur. XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe (paralysie bulbaire
supérieure
) combinée soit à la paralysie labio-glosso laryng
alysie bulbaire totale dont le début peut se faire soit par la partie
supérieure
, soit par la partie inférieure du bulbe. La premi
très accentué. Elle ne peut souffler ni siffler. Paralysie faciale
supérieure
pas absolue. Cependant impossibilité de fermer le
ment du globe oculaire en haut ainsi que le relèvement de la paupière
supérieure
sont absolument impossibles. Le ptosis est d'aill
implement d'origine inorganique. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux. Le réflexe massétérin
oncé que l'atrophie musculaire et les symptômes de paralysie bulbaire
supérieure
. On ne saurait dire quelle est l'explication de c
un peu nasonnée. L'amyotrophie est considérable au niveau des membres
supérieurs
, du thorax et du cou, si bien que les bras sont b
rsion cle formule. Les ré flexes tendineux sont absents aux membres
supérieurs
, le réflexe patellaire est affaibli à droitej à p
les réflexes tendineux, loin d'être exagérés, font défaut aux membres
supérieurs
. Obs. III. —Polioencèphalorny élite. Br..., H
ade entra à l'Hôtel-Dieu, il était absolument impotent de ses membres
supérieurs
. Déjà depuis plusieurs mois, depuis septembre 1
à ce moment, les lésions n'avaient point augmenté du côté des membres
supérieurs
, l'impotence et l'atrophie étaient restées dans l
he qu'à droite. Quand on dit au malade d'élever les yeux, la paupière
supérieure
se relève d'une manière très incomplète. Les pupi
usculaire est considérable au niveau du cou, du thorax et des membres
supérieurs
. Elle n'existe pas au niveau de la face. Au cou e
en grande partie disparu (muscles des gouttières vertébrales, portion
supérieure
du trapèze, etc.). Il en résulte que la tête du m
lorsqu'il est au lit. Ce phénomène n'existe pas au niveau des membres
supérieurs
ni du cou ; on le constate seulement aux mains et
ne du mollet. . Cuisse, tiers inférieur........ Avant-bras, tiers
supérieur
..... Bras, partie moyenne ........ I D = 35 c
- 1/2 l D = 20 — I G = 19 — Les réilexes tendineux des membres
supérieurs
manquent totalement. Aux membres inférieurs le ré
douleurs vives, sinon de temps en temps dans les épaules et la partie
supérieure
des bras, et encore n'étaient-elles pas d'une gra
ns le même état, en ce qui concerne l'atrophie musculaire des membres
supérieurs
. Le mal s'est un peu aggravé au niveau des membre
i de crises d'étouîfement. En ce qui concerne la paralysie bulbaire
supérieure
, aucun autre noyau ne paraît avoir été envahi. Le
commence à marcher avec des béquilles. Néanmoins, l'état des membres
supérieurs
est resté stationnaire. Les muscles sont flasques
de dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont absents aux membres
supérieurs
et il n'y a ni paralysie des sphincters ni modifi
llés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses. Membre
supérieur
gauche. — Dynamomètre = 0. La main ne serre pas d
rophie des muscles de l'avant-bras et du bras est manifeste. Membre
supérieur
droit. — Dynamomètre= 10. Le médius ne se redress
à J cent, de lajotuie. 38 1/2 38 1/2 De la jambe à 20 cent, du bord
supérieur
de la rotule............ 33 33 1/2 Il existe à
nt presque aussi volumineux à leur partie inférieure qu'à leur partie
supérieure
, des bras qui ont une forme cylindrique, des épau
e le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la partie
supérieure
de la jambe : on dirait un genou atteint d'hydart
re; Vin-version de formule fait complètement défaut. Exemple : Membre
supérieur
droit. Nerf deltoïde M. Deltoïde. Nerf radi
irurgical du ptosis basé sur la suppléance du releveur de la paupière
supérieure
par le frontal (Procédé de Dransart et de Pagenst
eil. Pendant toute cette période d'immobilisation au lit, les membres
supérieurs
avaient fait quelques progrès, mais les membres i
s après, il s'aperçut que, dans l'espace de quinze jours, sa paupière
supérieure
se paralysait peu à peu. Puis survint la diplopie
se paralysait peu à peu. Puis survint la diplopie, enfin la paupière
supérieure
droite se prit à son tour et à ce moment le malad
n de Varsovie qui fit dès ce moment le diagnostic de polioencéphalite
supérieure
de Wernicke. Les choses restèrent en cet état p
s s'atrophiaient et devenaient mous et flasques dans les deux membres
supérieurs
. Enfin dans les derniers temps apparut un certa
er médecin qui vit ce malade et fit le diagnostic de polioencéphalite
supérieure
. Le traitement consista surtout dans l'électrisat
e et ainsi de suite. Il en était de même jreur la parésie des membres
supérieurs
. État actuel (juin 1890). — Le signe le plus fr
é des deux côtés, mais surtout à gauche. Le bord libre de la paupière
supérieure
couvre plus de la moitié de la cornée et le malad
rse la tête en arrière afin de relever le globe oculaire que le droit
supérieur
est impuissant à mettre en mouvement. On ne con
vement passif de flexion de la tête en avant. Au niveau des membres
supérieurs
, la faiblesse va jusqu'à la paralysie. L'atrophie
able. Les réflexes tendineux du genou sont normaux ; ceux des membres
supérieurs
sont complètement absents. La sensibilité est i
e de secousses fibrillaires dans les muscles atrophiés de ses membres
supérieurs
. Les réactions électriques des muscles n'ont pu
avait le premier porté chez lui le diagnostic de polio-encéphalite
supérieure
et dont les notes nous avaient servi, ainsi qu'il
èce, n'acquiert pas une importance spéciale. L'habitus de la partie
supérieure
du corps présente au contraire beaucoup plus d'in
l'on rencontre chez tous les amyotrophiques atteints dans le segment
supérieur
de leur corps. On les trouve aussi dans la maladi
maladie de Duchenne-Aran, dans laquelle les localisations médullaires
supérieures
sont exactement les mêmes. Là aussi les bras sont
yeux. C'est qu'en effet son bulbe inférieur seul est pris; son bulbe
supérieur
reste indemne. Le faciès à lui seul pourrait donc
venus s'adjoindre les signes qui caractérisent la lésion de la moitié
supérieure
du bulbe, l'ophthalmoplégie externe. Cette associ
teints de cette maladie. En ce qui concerne les épaules et le segment
supérieur
des membres thoraciques, ce sont toujours les mêm
it se produira dans les cas, rares à la vérité, où la lésion bulbaire
supérieure
, se propageant à la moelle, a atteint au passage
ons mentionnés et dans lesquels la lésion, ayant débuté dans le bulbe
supérieur
, s'étend ensuite plus ou moins rapidement au bulb
ignait sous le nom de parésie analgésique avec panaris des extrémités
supérieures
. L'affection, d'abord unilatérale, mais pouvant a
nt avec le temps envahir l'autre côté du corps, occupe un des membres
supérieurs
, en commençant par l'extrémité. A la suite de dou
id. Ces fourmillements existent aussi de temps en temps aux membres
supérieurs
. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de maux de tète
a force de la cuisse est à peu près bien conservée; celle des membres
supérieurs
est très diminuée. D = Main droite.......... 13
est au lit, il éprouve toujours, au niveau des pieds et de la partie
supérieure
des jambes, une sensation de chaleur exagérée, de
lan horizontal (risorius de Santo-rini), pour l'élévation de la lèvre
supérieure
(petit zygomatique) et pour l'occlusion des lèvre
e, la torsion de la langue, l'extension possible au domaine du facial
supérieur
, les secousses musculaires qui l'accompagnent, et
derniers enfin, toujours séparément, aux muscles droit interne, droit
supérieur
, droit inférieur et petit oblique. C'est dans cet
paralysies alternes pédonculo-prolu-bérantielles ou protubérantielles
supérieures
. En manière de contraste, je veux vous rappeler r
nts, il y a cinq ou six ans, que se produisit la chute de la paupière
supérieure
gauche. Ce ptosis apparut sans cause connue et pe
de ce temps, la motilité revint graduellement, d'abord dans le membre
supérieur
, mais très lentement, et deux mois après seulemen
da pas à se cicatriser. Gomme effets immédiats, paralysie des membres
supérieur
et inférieur droits, de ce dernier surtout. Mais
e l'examen direct va peut-être nous rendre vraisemblable. Au membre
supérieur
droit existent à la fois des troubles sensitifs e
es de la main; les contractions fibrillaires font défaut. Le membre
supérieur
gauche est indemne. Voilà bien quelques particu
du tendon extenseur. En second lieu, il existe à la partie interne et
supérieure
de la première articulation carpo-métacarpienne u
ffet, dans la syringomyélie, cette hypertrophie totale des extrémités
supérieures
. Mais, pour beaucoup de raisons, il est inadmissi
eux, dans un cas de syringomyélie compliquée d'hypertrophie du membre
supérieur
. Il est possible que notre malade'soit porteur de
hystérique. A un certain moment même les paupières, la joue, la lèvre
supérieure
étaient constamment agitées de petits mouvements
émiplégie se développa, plus marquée au membre inférieur qu'au membre
supérieur
du côté gauche. Il traîne aujourd'hui la jambe et
e des circonvolutions fronto-pariétalcs ascendantes et dans la région
supérieure
, le début des secousses épileptoïdes se fera par
érieure et si elle occupe la région moyenne, par la main et le membre
supérieur
, comme chez cette malade. La lésion mônin-gitique
Broca. — 2. Extrémité inférieure du sillon de Rolande — 3. Extrémité
supérieure
du sillon de Rolande Mais peut-être pourrait-on
cielle des méninges, siégeant au niveau des centres moteurs du membre
supérieur
droit et n'ayant pas encore déterminé de lésion o
ssement d'origine athéromateuse par exemple. L'attitude des membres
supérieur
et inférieur du côté paralysé, la participation d
ssent une sorte d'engourdissement passager dans l'épaule et le membre
supérieur
du côté droit : vers les trois heures du matin il
es membres inférieurs, avec ou sans rigidité concomitante des membres
supérieurs
. En pareil cas, la coexistence actuelle ou passée
les résultats de l'autopsie. Fig. 48. — Coupe à la région cervicale
supérieure
. Fig. 49. — Coupe au niveau du renflement cerv
— Coupe à la région dorsale. Fig. Sï. — Coupe à la région lombaire
supérieure
. Fig. 47. En établissant, à cette époque, les
it mois, la malade fut prise d'un affaiblissement graduel des membres
supérieur
et inférieur du côté droit. Cette faiblesse survi
bâillements. Pendant les deux autres minutes (voir les deux lignes
supérieures
), des secousses de toux apparaissent entre les bâ
apparaissent entre les bâillements. Fig.^l). — Respiration costale
supérieure
de Ler... Augustine, inscrite aveu le pneuraograp
Douche pour masquer son bâillement. Fig. 54. — Respiration costale
supérieure
de L... (11 août 1888). Toux (T) et bâillements (
és suivants en fournissent la preuve. Fig. 55.— Respiration costale
supérieure
de Ler... inscrite pendant 8 minutes consécutives
cutives (chaque ligne reproduite ici Fig. 56. — Respiration costale
supérieure
de Ler... inscrite pendant 5 minutes consécutives
ondes (une demi-grandeur naturelle). Fig. 57. — Respiration costale
supérieure
de Ler... inscrite pendantG minutes consécutives
condes (une demi-grandeur naturelle). Fig. 58. —Respiration costale
supérieure
d'une hystérique très émotive, inscrite pendant 6
t d'une violente douleur au cœur et à l'estomac. De plus, les membres
supérieurs
étaient agités de mouvements convulsifs d'une cer
acture. Puis surviennent quelques mouvements rythmiques des membres
supérieurs
et inférieurs, ainsi que des mouvements lents de
réquent d'observer au début de l'attaque des contractures des membres
supérieurs
ou inférieurs, contractures qui, de toniques, ne
.. 189 XI. Cinq cas d'ophthalmoplégie externe (paralysie bulbaire
supérieure
) combinée soit à la paralysie labio-glosso-laryng
sensitive du —,341. Nerfs sbnsitifs : distribution des — au membre
supérieur
, 342 ; — au membre inférieur, 153,154. Nerf s
es cellulaires du renfle- ment cervical en connexion avec le membre
supérieur
et de la moelle lombo-sacrée, en connexion avec
nstituent le centre du musculo-cutané. Plus bas, au niveau du tiers
supérieur
du septième segment cervical, le noyau du radia
on placer le biceps brachial par exemple, qui prend son inser- tion
supérieure
sur l'omoplate et l'inférieure sur le radius, ou
oit un typesca- pulo-huméral intéressant' le territoire radiculaire
supérieur
du plexus brachial, soit un type antibrachial e
yélies n'ayant jamais présenté des douleurs fulgurantes des membres
supérieurs
, douleurs qui sont ordinairement la signature d
motrice s'asso- cient des troubles sensitifs et moteurs des membres
supérieurs
. Les deux bras sont ballants le long du corps,
é proximale d'autre part, avec l'aspect d'une paralysie radiculaire
supérieure
bilatérale. Aucun mouvement de supination et de r
; elle est un peu affaiblie à droite. Les pectoraux ont leurs chefs
supérieurs
un peu affaiblis, leurs chefs inférieurs au contr
réactions, mais que les réactions des muscles du groupe radiculaire
supérieur
sont au contraire altérées moins cepen- dant qu
s secousses fibrillaires limitées aux muscles du groupe radiculaire
supérieur
. Or à cette disposition motrice visiblement rad
sus-épineuse, en dehors les deux épaules, limitée ainsi à la partie
supérieure
par une ligne circulaire à la nais- sance du co
ale est entourée de deux territoires hypoesthésiques. Le territoire
supérieur
recouvre non seulement tout le cou mais remonte
est plus étendu, car il com- prend non seulement le cou, la partie
supérieure
du thorax et les deux bandes externes des bras
ominent avec une netteté remarquable dans le territoire radiculaire
supérieur
du plexus brachial. Ons. IL D...., 36 ans. La m
tait cantonnée dans ces deux cas précités sur le groupe radiculaire
supérieur
. En 1874, Prévost et David publiaient dans les
Lorsque la poliomyélite aiguë de l'enfance s'étend à tout le membre
supérieur
, ici encore il est souvent facile de constater
t, et nous devons porter particulièrement l'attention sur le membre
supérieur
gauche qui a été atteint par la paralysie infan
par le contraste qui existe entre les muscles du groupe radiculaire
supérieur
du plexus brachial et ceux du groupe radiculaire
rs fois atteints dans des cas de lésions de la par- tie radiculaire
supérieure
du plexus brachial, toutefois à un degré moindre
on les muscles dont la paralysie s'observe dans le type radiculaire
supérieur
. Une lésion loca- lisée de la corne antérieure,
n jeune américain, âgé de 12 ans, atteint d'une paralysie du membre
supérieur
gauche avec atrophie assez prononcée de la plus
de douleurs moins vives dans les membres. En même temps le mem- bre
supérieur
gauche fut frappé de paralysie dans sa totalité.
un trai- tement par l'électrisation et par le massage. Au membre
supérieur
gauche un certain nombre de muscles paralysés re-
e correspondraient bien à cette hypothèse : au début tout le membre
supérieur
gauche est paralysé ; la paralysie rétrocède as
re cet enfant pendant trois mois; les muscles du groupe radiculaire
supérieur
, les radiaux et le triceps brachial avaient enc
ffet l'innervation est d'une manière générale fournie par la partie
supérieure
du plexus brachial, TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES M
VIIIe racines cervicales, et d'autre part des lésions de la partie
supérieure
du plexus brachial atteignent non seulement l'épa
cou (3) et la saillie de la chaîne osseuse constituée par les bords
supérieurs
du sternum et des deux clavicules. D" même aspe
l'enfant ne pouvait plus se tenir debout. A ce moment, les membres
supérieurs
se prenaient, le petit malade, d'abord maladroi
ées. MYOPATHIE AVEC RÉACTIONS ÉLECTRIQUES NORMALES 29 Les membres
supérieurs
sont uniformément amaigris, cependant les muscles
lète. Le tronc et les membres inférieurs sont inertes ; les membres
supérieurs
ont conservé une certaine motilité et c'est en
e le dossier, si elle ne prend pas un point d'appui sur les membres
supérieurs
, elle ne peut rester longtemps dans cette posit
r la colonne vertébrale et la fosse iliaque). Muscles des membres
supérieurs
. L'impotence due à l'atrophie muscu- laire dimi
ien plus considérables qu'à la cein- ture scapulaire et aux membres
supérieurs
. Les muscles de la ceinture pel- vienne (muscle
et des muscles, plus marquée aux membres inférieurs qu'aux membres
supérieurs
; Une diminution simple de l'excitabilité galva
ravation lente et progressive ; ex- tension aux muscles des membres
supérieurs
et inférieurs en commençant par leur racine et
Parfois, mais très rarement ces déformations atteignent les membres
supérieurs
où l'on peut observer une flexion légère des avan
sont nor- maux. Les sphincters fonctionnent normalement. Membres
supérieurs
. Très amaigris, surtout à leur racine ; ils mesur
bjective et subjective. Les sphincters fonctionnent bien. Membres
supérieurs
. Les deux bras sont fléchis à 55°, le bras en abd
plitude ; elle a rapproché de la colonne vertébrale les deux angles
supérieurs
de l'omoplate, de telle sorte que le bord interne
les grands pectoraux rétractés limitent cet écartement des membres
supérieurs
, aussi le malade est-il obligé de tenir constamme
pation de la face. Rétraction en flexion très prononcée des membres
supérieurs
. Rétraction et flexion de la cuisse sur le bass
ssi amaigrie d'une part, et d'autre part les fesses et les deux tiers
supérieurs
des cuisses qui sont vraiment athlétiques; et e
nférieur de la cuisse sont très amaigris, tandis que les deux tiers
supérieurs
de la cuisse et les fesses ont simplement conse
phénomène d'ataxie. Le sens musculaire est conservé. Les membres
supérieurs
sont intacts ; non seulement leur forme est norma
c dire que la motricité est parfaitement conservée dans les membres
supérieurs
, 26 ans après le début de la maladie, quelle qu
la ligne (jarretière) qui sépare le tiers inférieur des deux tiers
supérieurs
de la cuisse. Le toucher existe, mais la sens
ents, les réflexes. Les réflexes tendineux sont intacts aux membres
supérieurs
; peut-être très légèrement exagérés. Aux membr
iment remarquables de ce cas, c'est l'intégrité absolue des membres
supérieurs
, 26 ans après le début de la maladie. L'envahis
en qu'il rejette du cadre de la maladie tous les cas où les membres
supérieurs
restent indemnes, au moins quand il s'est écoul
t ait pu se produire. Les cas publiés, avec in- tégrité des membres
supérieurs
, appartiendraient à d'autres formes d'a- myotro
cot-Marie, d'une façon par- faite, sauf l'envahissement des membres
supérieurs
; de quel droit lui refuser l'étiquette de « typ
n sera très souvent obligé de se passer de l'atteinte des mem- bres
supérieurs
, pour diagnostiquer, et cela bien légitimement, l
Charcot-Marie. D'après les cas connus , l'envahissement des membres
supérieurs
se produit dans des délais très variables, depu
s-nous porté ? Il est évident que, malgré l'in- tégrité des membres
supérieurs
nous aurions dit : amyotrophie Charcot- Marie,
ie Charcot- Marie, ce qui veut dire que l'envahissement des membres
supérieurs
, n'est point nécessaire pour constituer le type
vrait-on attendre, pour déclarer dans un cas donné, que les membres
supérieurs
ne se prendraient plus ? Voici à présent, l'imp
sable, et cependant 26 ans après le début de la maladie les membres
supérieurs
sont encore indemnes. Est-ce un cas de transiti
urs sont encore indemnes. Est-ce un cas de transition ? Les membres
supérieurs
se pren- dront-ils ? Cela serait en tous cas un
é entre l'envahissement des membres inférieurs et celui des membres
supérieurs
est de 15 ans, d'après les cas connus jusqu'à p
lise le type Charcot-Marie, avec intégrité défi- nitive des membres
supérieurs
, car en effet la maladie paraît immobili- sée d
long. Ce cas paraît donc prouver que l'en- vahissement des membres
supérieurs
, peut ne pas se produire du tout dans le type C
rouverait, et cela victorieusement, que l'envahissement des membres
supérieurs
, n'est nullement nécessaire au diagnostic, et qu'
t les troubles' décrits du côté des membres inférieurs, les membres
supérieurs
devenaient (1) KOII ! OEOLD, La maladie de Thom
malade sent quelque chose qui lire du côté externe des pau- pières
supérieures
. Après avoir montré les gencives, le malade sent
à fait fa- cilement. Le gonflement des joues est libre. Membres
supérieurs
. Tous les mouvements des articulations de l'épaul
le plus prononcé : à la figure, les muscles du front ; aux membres
supérieurs
, les muscles des bras ; aux membres inférieurs,
e à l'oeil nu, entre ces deux portions du névraxe. Aussi, la limite
supérieure
du cône a-t-elle été fixée arbitrairement, et à
vous disais, à l'instant, que dans ma manière d'envisager la limite
supérieure
du cône terminal, j'avais étéguidépar des considé
nt aux questions qu'on lui posait. L'examen de la tête, des membres
supérieurs
et du tronc n'a donné que des résultats normaux
ière, d'une bande longitudinale qui se poursuivait le long du tiers
supérieur
delà faceposté- rieure de la cuisse; ses limite
a partie avoisi- nante des fesses et sur la partie médiane du tiers
supérieur
de la face pos- térieure de la cuisse, et dans
initial doit avoir atteint, d'une fa- çon prépondérante, la portion
supérieure
du segment lombaire de la colonne. Rappelez-vou
tomo-pathologiste qui explore le cerveau il en est une qui est bien
supérieure
aux autres pour l'étude des lacunes : c'est la
a coupe de Fleclisig, séparant l'hémisphère en deux portions, l'une
supérieure
, l'autre inférieure, et faite de dedans en dehors
s ayons porté nos coupes soit en pleine lacune soit sur ses confins
supérieurs
ou inférieurs, toujours le vaisseau nous est ap
e vermillon aux pommettes.il existe un petit noevus sur la paupière
supérieure
gauche. Les cheveux sont d'abondance moyenne, u
l est en effet verti- cal et s'incline en dedans vers son extrémité
supérieure
. Sur cette dépression sous-claviculaire font sa
édente du thorax change d'aspect lorsqu'on fait prendre aux membres
supérieurs
une attitude autre que l'attitude du repos. Si
oit ont une largeur égale il celle des segments analogues du membre
supérieur
opposé, encore que leur circonférence soit infé
ectoraux n'a jamais gêné le malade, les mouvements divers du membre
supérieur
n'en ont pas été troublés. Cet homme nage, grim
ons déjà vu. Cette intégrité fonctionnelle des mouvements du membre
supérieur
, due à la suppléance des muscles deltoïde, trap
Froriep en (8 : 9, qui invoque la compression exercée par le membre
supérieur
sur le thorax du foetus. A l'appui de cette thé
acique consécutive à l'absence des muscles pectoraux ; or le membre
supérieur
correspondant s'adaptait exactement à cette exca-
s des parties inférieures du corps vers le haut, celles des parties
supérieures
vers le bas ; le champ visuel du côté droit, pa
ires d'autre part se rendent vers les noyaux cérébelleux, le vermis
supérieur
et les circonvolu- LE SENS DES ATTITUDES 177
DES ATTITUDES 177 tions postérieures du cervelet. Par le pédoncule
supérieur
, le noyau rouge et le faisceau décrit par Meyne
de l'atrophie est la même que dans le cas de paralysie radiculaire
supérieure
du plexus brachial. Lorsque la poliomyélite aig
main gauche. 11. Le malade est dans le coma complet. Les membres
supérieurs
sont contracturés. Lorsqu'on pince le côté droi
e à gauche. Par contre, il n'y a aucune parésie nette des mem- bres
supérieur
et inférieur : la force musculaire est égale des
TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 209 de parésie évident du membre
supérieur
droit ; le malade serre moins fort de la main d
ade se plaint d'un certain degré d'incoordination motrice du membre
supérieur
droit ; en mangeant il por- terait souvent sa c
es trois circonvolutions frontales en haut, et s'étend vers le bord
supérieur
de l'hémisphère en ne laissant qu'une bande étr
timètres représentée par la 1e circonvolution frontale et la partie
supérieure
des circonvolutions frontale ascendante et pariét
ertion au pédicule par sa partie inférieure et moyenne. Cette masse
supérieure
est plus irrégulière et plus bourgeonnante que le
l'extension vers le lobe pariétal et les circonvolutions temporales
supérieures
. L'examen, au moyen de la méthode deNissl, des
e du voile du palais, la partie gauche se contracte seule. Membre
supérieur
d2-oit. - Tous les mouvements sont possibles, mai
. Le le'' décembre, on constate une très grande faiblesse du membre
supérieur
l' et inférieur du côté droit. Les deux pupil
té. Le 20 doigt se termine aussi par un bourrelet, mais sur sa face
supérieure
existe un rudiment linéaire d'ongle. Le 3" or
t (fig. 1 et 2). Occipital. De chaque côté, les points inférieur et
supérieur
de l'écaille ont donné naissance à une lame oss
e largeur maxima de 15 millimètres depuis son insertion sur le bord
supérieur
du rocher jusqu'à son bord libre. A droite, le vo
Fig. 1. Fig. 2. Schéma de l'ossification du crâne. Fig. 1. Vue
supérieure
. Fig. 2. - Vue postérieure. XY. Axe antéro-po
portions membraneuses). 1. Occipital gauche (points d'ossification
supérieur
et inférieur de l'écaillé). 2. droit 3. Os ép
timètres à gauche de l'axe antéro-postérieur. Le sinus longitudinal
supérieur
, qui est par le fait même déjeté à gauche, suit
r- veau, continue dans la direction primitive du sinus longitudinal
supérieur
, dé- crivant avec lui une courbe régulière d'un
une fente semble indiquer une ébauche de canal. Entre la paupière
supérieure
gauche et le pédicule on ne peut dire s'il exis
et la lèvre inférieure sont absolument normaux. Mais déjà la lèvre
supérieure
n'est représentée que par deux bourgeons latéraux
d'eux les commissures labiales. Entre les deux parties de la lèvre
supérieure
, la distance de 6 centimètres atteint 8 centimètr
ous se sent de chaque côté une partie dure, rudiments du maxillaire
supérieur
; incomplètement recouvert par les bourrelets laté
n, est ici déjeté vers la droite. Il est de forme triangulaire à base
supérieure
, et c'est surtout vers son extrémité inférieure
e, recou- vrant ce qui correspond à l'os incisif. Entre ce bourgeon
supérieur
médio-laté- ral d'une largeur de 15 millimètres
s molles, répondant au sillon naso-labial. Au-dessous du bourgeon
supérieur
de la lèvre est l'os incisif, celui-là étant ré
sa coales- cence. Il en est tout autrement de sa branche maxillaire
supérieure
. Outre cette branche, intervient le bourgeon fr
par leur soudure l'os incisif revêtu de sa portion médiane de lèvre
supérieure
. Mais au lieu de s'être fusionnés latéra- lemen
être fusionnés latéra- lement avec chacune des branches maxillaires
supérieures
, la fusion n'a eu lieu que du côté droit et seu
fice externe de la narine droite. Quant au côté gauche, la partie
supérieure
latérale, partie ascendante de la vaste cavité,
udure entre le processus globulaire gauche et la branche maxillaire
supérieure
corres- pondante. ' Nommons pour plus de simp
baie de près de 5 centimètres entre les deux parties du maxillaire
supérieur
. Cette division se prolonge jusqu'au pharynx, l
du bourrelet nasal externe, et le séparant du bour- geon maxillaire
supérieur
est le sillon lacrymal. Lorsque la branche maxill
ire supérieur est le sillon lacrymal. Lorsque la branche maxillaire
supérieure
passe au devant du sillon nasal, pour se fusionne
se nasale s'ouvrant directement en arrière de la branche maxillaire
supérieure
, caries lames palatines, qui naissent du bord i
un fil métallique très fin ne pouvait pénétrer. La paroi orbitaire
supérieure
correspondant au frontal est fibreuse, et se co
versal plus petit de 13 milli- mètres. Le cerveau, vu par sa face
supérieure
, présente dans son ensemble une forme étroite e
ire. Les méninges les tapissent d'une façon fort serrée, et la face
supérieure
, revêtue par elles, 'forme un dôme d'aspect presq
urtout à la face inférieure. Scissure interhémisphérique . Partie
supérieure
: (PI. XXVIII, fig. D) absolument accolés par les
voit, dans la profondeur, à 20 millimètres au-dessous de la surface
supérieure
, une bande antéro-postérieure (PI. XXIX, fig. H
'Ill MONSTRUOSITÉ DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE D. Encéphale, face
supérieure
. - - ,...... 1 0' 1 1 .. E. Face inférieure.
tte bande est visible par son bord antéro- externe droit. A sa face
supérieure
, cette bande se présente sous l'aspect d'une me
, nous voyons que, perpendiculaire- ment à cette commissure à faces
supérieure
et inférieure membraneuses, se détache perpendi
dante Fa des premières frontales Fb, Fc, Fd, les sil- lons frontaux
supérieur
et inférieur étant peu profonds et irréguliers.
nvolution pariétale inférieure. Quant à la circonvolution pariétale
supérieure
, elle est rejetée à gauche de l'axe antéro-post
et les fluctuations des attitudes du corps par rapport à la partie
supérieure
du pont d'union. M. Chapot-Prévost affirme que
le pont d'union avait une longueur de 4 centimètres du côté du bord
supérieur
et de 9 du côté du bord inférieur. Comme on peut
re de Liao-Sienne-Chen paraît toujours et d'une façon très évidente
supérieure
à celle de Liao-Toun- Chen. VI Nous avons p
, mais peu étendus, et ceci suppose quelques muscles dans la moitié
supérieure
de la cuisse. On sent les battements artériels de
uvoir ainsi juger de l'état tant de l'os iliaque que de l'extrémité
supérieure
du fémur. La radiographie du membre inférieur a
s deux condyles, et la rotule allongée, sou- dée à eux. L'extrémité
supérieure
de l'os de la jambe ne présente aucune trace de
dre les courbures. Quelquefois à côté de lui, est conservé le tiers
supérieur
du tibia, et dans ce cas le genou se rappro- ch
dinaire ment l'état de la cuisse. 1 Le tibia présente à son tiers
supérieur
, une déformation angulaire. Tandis que la parti
on tiers supérieur, une déformation angulaire. Tandis que la partie
supérieure
est presque toujours la continuation endi- gne
tement, sauf une der- nière molaire du côté droit, et à la mâchoire
supérieure
, deux incisives et une canine ; ces dents sont
nfant de 2 ou 3 ans, avec une aréole à peine saillante. Les membres
supérieurs
sont très longs. La voie est un peu enrouée act
espectées sont ? 1 le pôle occipital lui- même; 2°te bord an léi-o -
supérieur
, sui, toute l'étendue de la scissure perpendicu
XXIV C, D. Deux coupes horizontales de l'hémisphère gauche (segment
supérieur
de l'hémisphère). Ces deux coupes, dis- tantes
circonvolution s'infléchit pour former la circonvolution marginale
supérieure
,la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substa
ne large nappe d'ulcérations occupant la circonvolution mar- ginale
supérieure
, toute la P2, empiétant sur le quart inférieur de
rs ; chez notre malade, nous avons vu ainsi alterner dans le membre
supérieur
droit des phénomènes convulsifs et paralytiques é
ouleurs fulgurantes dans les membres inférieurs et dans les membres
supérieurs
, d'abord continues, moins fré- quentes et moins
membres inférieurs et des membres xv 20 298 ' THOMAS ET HAUSER
supérieurs
. Abolition des réflexes patellaires. Retard très
onctives jeunes).Les méninges sont épaissies, notamment à la partie
supérieure
de la figure. L'atrophie radiculaire augmente b
. Incoor- dination extrême aux membres inférieurs comme aux membres
supérieurs
. Troubles de la sensibilité : retard dans la tr
Les racines antérieures restent partout intactes. Région dorsale
supérieure
. - Les coupes longitudinales du 2e ganglion dor
abord localisées aux membres inférieurs, puis ga- gnant les membres
supérieurs
. A 50 ans, la vue baissa assez rapidement 308 .
eurs, force musculaire normale. Incoordina- tion légère des membres
supérieurs
. R"é(]exes fibrillaires et plantaires abolis. I
ements d'ailleurs mal coordonnés. Incoordination légère des membres
supérieurs
. Abolition des réflexes tendineux aux quatre me
s très légers de la sensibilité aux membres inférieurs. Aux membres
supérieurs
incoordination très légère, pas de troubles de
pressions douloureuses. Altérations du sens musculaire. Aux membres
supérieurs
, ni incoordination ni atrophie, conservation de
troubles de la marche; abolition des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
et in- férieurs. Signe de Romberg. Douleurs sou
orme de lancées aux membres inférieurs, Pas de douleurs aux membres
supérieurs
, pas de douleurs en ceinture, pas de crises gas
phie ni hypotonie ; abolition des réflexes patellaires. Aux membres
supérieurs
pas d'incoordination ; par intervalles tremblem
llard devant les yeux. Depuis 8 mois l'incoordina- tion des membres
supérieurs
a tellement augmenté qu'elle ne peut mar- cher
de contraste psychique, qui ne sont souvent qu'une forme atténuée,
supérieure
, du négativisme, le dé- faut de synthèse, l'emp
, et néanmoins très perceptibles sous les téguments. Les extrémités
supérieures
des mêmes os et la partie inférieure des fémurs
r avec le tiers moyeu du radius droit, l'autre à l'u- nion du tiers
supérieur
avec le tiers moyen de l'humérus du même côté ; l
s en rapprochent. Mais leur symétrie ne se retrouve pas aux membres
supérieurs
, leur prédilection pour les épiphyses est très
vu « une exostose du volume d'un oeuf de pigeon, à l'union du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs du cubitus, remo
cette espèce d'ignorance que tous les hommes et les autres animaux
supérieurs
possèdent à l'aurore de leur existence comme si
de la Corée, l'influence de l'admirable philosophie de trois hommes
supérieurs
, sages entre les sages : Lao-Tse, Kong-Tse et B
ourbure latérale, concave à droite, au niveau de sa portion dorsale
supérieure
, et concave à gauche dans la portion lombaire ;
eux parkinsoniens, montrant chez tous les deux, une cyphose dorsale
supérieure
, très nette chez la première malade, moins acce
mine nettement au niveau des mus- cles fléchisseurs, pour le membre
supérieur
; parfois même (obs. 3 et 4), les mouvements d'
t l'hérédo- ataxie (2), où les troubles de la motricité des membres
supérieurs
peuvent se déceler, bien longtemps avant tout a
ouvons nous-même maintenir la rectitude, sans grand effort. Membres
supérieurs
. - La force est conservée dans les bras et dans l
les réflexes (2) tendineux sont abolis, aux membres in- férieurs et
supérieurs
; le chatouillement de la plante n'amène aucun dé
où les réflexes tendineux étaient abolis en même temps aux membres
supérieurs
et inférieurs. 398 DESTARAC Face. - Au repos
des adducteurs. La même remarque peut être- faite pour les membres
supérieurs
. Au point de vue qualitatif, CFP se rapproche,
our tous les réflexes tendineux, tant aux membres inférieurs qu'aux
supérieurs
. Il y a bien aussi une légère diminution de la
, que l'on constate à tout propos, pour les membres infé- rieurs et
supérieurs
, dans la marche, l'écriture ; pour la tète, le tr
isolés des membres. La force musculaire est conservée aux membres
supérieurs
et infé- rieurs. Mais, à côté de ces quelques
oumis à une double influence excitatrice et inhibitrice des centres
supérieurs
(cerveau, cerve- let, protubérance). « C'est
nos malades ; le placerons-nous dans la moelle ou dans les centres
supérieurs
? Ces deux hypothèses pourraient être soutenues
de l'atrophie type Charcot Marie les cas où l'atteinte des membres
supérieurs
ne s'est point produite. Je n'ai jamais eu une
ouvait faire soupçonner l'existence d'un type limité aux extrémités
supérieures
. Les cas que nous rapportons ici ne nous parais
a- tre-vingts ans était atteinte de la même affection ; ses membres
supérieurs
n'avaient jamais présenté la moindre trace d'at
é de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des membres
supérieurs
sont accomplis avec correction, mais avec un lé
ormaux. Les réflexes 494 BABINSKI ET NAGEOTTE tendineux du membre
supérieur
paraissent un peu plus forts à droite qu'à gauc
s, le plus récent et le plus grand (Fi) s'étend sur toute la moitié
supérieure
du bulbe : sa forme générale est triangulaire ; s
al ; son tra- jet onduleux s'étend de la partie moyenne à la partie
supérieure
des oli- ves ; il siège sur les parties latéral
répond' aux membres inférieurs et le noyau cunéi- forme aux membres
supérieurs
, cela revient à dire que les fibres du ruban de
ssions des membres inférieurs sont en arrière et celles des membres
supérieurs
en avant; or, précisément L on remarquera que,
t au corps genouillé interne. J. Plus haut encore, sous l'extrémité
supérieure
du corps genouillé in- terne, le ruban de Reil
an ; en arrière et en dehors, elle répond à la région postérieure' (
supérieure
) du noyau externe. Dans leur trajet, les fibres
manées des noyaux grêle (membres inférieurs), cunéi- forme (membres
supérieurs
), du trijumeau (face) et destinées aux noyaux d
re d'autres fibres dégénérées qui remontent jusque dans les régions
supérieures
de la calotte. Ce sont : 1° des fibres éparses da
ir de limite nette entre ces différentes formations. Dans la partie
supérieure
du bulbe, les fascicules dégénérés 5D'i Il 13BA
udinal non dégénéré, qui va en se renforçant jusqu'au noyau central
supérieur
de la calotte, dans lequel il semble se perdre.
venons d'indiquer, plus haut à la portion interne du noyau central
supérieur
qui prend sa place ; le côté externe est limité
ntent une dégénérescence centripète qui s'étend jusqu'à l'extrémité
supérieure
du faisceau, sur la face interne du noyau rouge
VI, LVII, fig. L, M, N, 0). Elles montent ainsi jusqu'à la partie
supérieure
du corps ciliaire et se recourbent pour descend
uche, latéropulsion vers la gau- che, tremblement léger des membres
supérieurs
, hémiplégie légère et hémianesthésie droites, d
les racines antérieures médullaires au niveau de la région dorsale
supérieure
, nous sommes amenés à conclure que les fibres d
s qui.établissent la communication entre le centre irido-dilatateur
supérieur
et le centre cilio-spinal ? On peut supposer av
racines antérieures des régions cer- vicales inférieure et dorsale
supérieure
, en particulier dans la 1 ra dorsale. Il nous r
nystagmus, latéropulsion vers le côté lésé, tremblement des membres
supérieurs
, hémiasynergie du membre inférieur du côté lésé
il attribuer à cette lésion le tremblement intentionnel des membres
supérieurs
? Le noyau de Deiters dont le faisceau efférent
rsqu'il veut pren- dre un objet, une grande incertitude des membres
supérieurs
. La marche est impossible sans soutien ; la dém
to-méningite. Sous le cervelet, entre sa face inférieure et la face
supérieure
de la protubérance et du bulbe, il s'est formé
l'aspect normal du reste des hémis- phères cérébelleux et du vermis
supérieur
. Dans toute la partie atrophiée la consistance
s les mouvements provoqués. Il existe aux deux membres inférieur et
supérieur
droits, mais surtout au bras, un tremblement à os
d'atrophie manifeste ni au bras ni à la jambe ; seulement le membre
supérieur
droit présente une cyanose très apparente. Au dyn
psie, 34 heures après la mort. Lésions de broncho-pneumonie du lobe
supérieur
du poumon droit. On trouve même de petits blocs l
. 48) ; l'autre, plus petite, de moitié moins longue, sur la partie
supérieure
de laquelle il s'appuie de la main droite, s'en
gement disproportionné des membres inférieurs ; celui des mem- bres
supérieurs
est à peu près équivalent : la grande envergure,
che VU),si soigneusement étudié par D.-J. Cunningham les épiphyses
supérieures
des deux humérus soudées seulement en partie au c
l'e se retrouvait ainsi sur les os de l'avant-bras et à l'extrémité
supérieure
du fémur. A l'examen microscopi- que, on consta
ur les membres ; 2° Les membres inférieurs sont plus accrus que les
supérieurs
; 3° Les segments proximaux des membres (fémur,
et inaccessible qu'il soit, aux mesurations précises,a une longueur
supérieure
à celui du côté droit et, cela en négligeant mê
ibles d'une assez suffisante rigueur : la longueur totale du membre
supérieur
, comprise entre l'acromion et l'ex- trémité du
ouve d'ordi- naire située un pouce au-dessous de ce niveau, au bord
supérieur
de la sym- physe (Quain). D'après les canons du
moins que la mesure constatée. La même chose existait aux mem- bres
supérieurs
(de l'acromion à l'extrémité du médius), qui, d'a
563 ment des dents sont également très visibles. Les deux incisives
supérieures
, la canine, les bicuspides et la première molai
leurs couronnes. Un appareil était porté pendant la vie la mâchoire
supérieure
. Bassin et tronc. Bassin. 566 LAUNOIS ET RO
rticulier le nez, les os malaires et les maxillaires, aussi bien le
supérieur
que l'inférieur, semblent énormes, au point que l
i en arrière ; le front est étroit z L'élargissement de la partie
supérieure
du visage est due : 1° A l'énorme élargissement
ntre, l'allongement porle surtout sur la croissance des maxillaires
supérieur
et inférieur. Le nez, très fort, est courbé ; s
onc. La cage thoracique est augmentée dans tous les sens. La partie
supérieure
est aplatie; l'inférieure est fortement bombée en
arrière. Les épaules sont horizontales ; scapulae alalae. Membres
supérieurs
. Plus longs qu'à l'état normal : l'allongement po
e. Synoviale vineuse et hypertrophiée aux articulations des membres
supérieurs
. Au niveau de la tibio-tarsienne droite, les ca
eu de la longueur normale : 15 mm.). Face (fig. 5). Les maxillaires
supérieurs
sont très augmentés (distance de la suture fron
limètres. L'antre d'Higmore est accru en proportion des maxillaires
supérieurs
. Les molaires sont surtout augmentées en hauteur.
- 1. 1 ? RAYMOND siologiques des différents segments des membres
supérieurs
se compor- taient de même. Aussi le malade étai
aires se déviaient convulsivement en haut et en dedans; la paupière
supérieure
s'abaissait à peine, et le blanc de la sclérotiqu
mait n'avoir pas maigri. De temps en temps, les muscles des membres
supérieurs
étaient agités par quelques secousses fibrillaire
on moins nette, à l'ex- ploration de l'élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, de l'orbiculaire des paupi
ques et galvaniques étaient sensiblement normales aux deux' membres
supérieurs
, sans la moindre trace de R. D. De même, les ré
ND R.D. était bien caractérisée dans l'élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, mais comme précédemment el
rontal, l'orbiculaire des paupières, l'élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, l'orbiculaire des lèvres,
NFC = PFC dans l'orbiculaire des paupières, l'élévateur de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, les muscles du menton ; le
dans le frontal, et avec NFC PFC dans les zygomatiques. Aux membres
supérieurs
et inférieurs, l'état des réactions électriques
nsuite dans ceux des jambes, enfin dans ceux du pied. Aux membres
supérieurs
, l'amélioration a suivi le même ordre, de la ra
gauche. A 0,09 centimèt. au-dessus du bord Au même niveau, 0,29.
supérieur
de la rotule, 0,30. A 0,17 centimèt. au-dessus
bon appétit. xa 2 18 E. NOGUÈS ET J. S1ROL Du côté des membres
supérieurs
on ne constate rien d'anormal sinon un peu d'am
tteigne aussi ses bras, car il commence à éprouver dans les membres
supérieurs
ce qu'il a ressenti au début dans ses jambes.
La sensibilité est Idem. Idem, (des membres tout à fait normale.
supérieurs
). Pas de troubles ob- jectifs. Les troncs ner
inférieurs de la face et secousses intentionnelles dans les muscles
supérieurs
de la face (chez le 3e malade) ; 12° État men
es, et notamment la parésie des muscles droits internes et obliques
supérieurs
(dans les autres cas de cette maladie, on rencont
rencontre plus sou- vent l'affection des muscles droits externe et
supérieur
). C'est ensuite le développement considérable d
n sur l'autre. Elle remarqua de même, en ce qui regarde les membres
supérieurs
, qu'à droite en particulier, l'avant-bras avait
gauche tend toujours à chevaucher le pied droit. Dans les membres
supérieurs
la contracture est en flexion et se montre plus
t-bras. Sous l'influence d'une émolion les contractures des membres
supérieurs
et inférieurs s'exagèrent, ou elles se manifest
même qu'on n'observe pas de contracture les mouvements des membres
supérieurs
sont incomplets et lents et cela plus à droite qu
e une curiosité frappante (PI. VI, A). A côté de la fissure labiale
supérieure
se remarque une absence com- plète de la voûte
xiste une absence des arcs postérieurs des vertèbres dans la partie
supérieure
de la colonne vertébrale et dans sa continuation
la moelle épinière a la grosseur d'une plume d'oie, mais sa partie
supérieure
s'épaissit et la partie cervicale augmente jusq
iformes internes sont marquées très mal et seulement dans la partie
supérieure
; les libres arciformes externes et antérieures a
formes internes, presque non développés et seulement dans la partie
supérieure
, au-dessus du bord supérieur des olives, la rac
éveloppés et seulement dans la partie supérieure, au-dessus du bord
supérieur
des olives, la racine descendante du nerf triju
é. Le corps trapézoïde est très bien développé ainsi que les olives
supérieures
. La couche des fibres sensitives manque, ainsi
res radiculaires du nerf trijumeau. Nous trouvons encore les olives
supérieures
et l'origine de la couche latérale du ruban de
fibres protubérantielles. Les pédoncules cérébelleux inférieurs et
supérieurs
manquent aussi. Sous l'épithélium épendymaire n
che latérale des fibres sensitives. Mais les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, la couche médiane des fibres sensitives manquent
les faisceaux cortico-protubérantiels et les pédoncules cérébelleux
supérieurs
ne sont pas développés, ainsi que les noyaux roug
e du milieu. Le canal central de la moelle et celui de la formation
supérieure
s'unissent entre eux. Dans la partie antérieure
e allongée, à la protubérance annulaire, aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
, à la partie des pédoncules cérébraux, etc., fo
de trouble dans la locomotion, dans le fonc- tionnement des memhres
supérieurs
et du tronc ; il pouvait sans difficulté courir
rsqu'il écrivait, il se plaignait parfois de crampes dans le membre
supérieur
droit. Pas de syphilis. Alcoolisme modéré. A 20
oncer le sourcil. Lorsqu'on lui dit de fermer les yeux, la paupière
supérieure
n'atteint pas l'inférieure; les paupières reste
trique dans le rire, dans l'action de faire la moue, etc. Membres
supérieurs
. - Lorsqu'on découvre le malade, on voit que les
urs MYOPATHIE PRIMITIVE ET PROGRESSIVE AVEC AUTOPSIE 51 La moitié
supérieure
du bras contraste avec la moitié inférieure. Le
en arc de cercle vers la plante du pied. En aucun point des membres
supérieurs
et inférieurs il ne se produit de contractions
es muscles a été pratiqué par 1\1. le professeur Bergomé. Au membre
supérieur
droit, conservation de l'exci- tabilité faradiq
déprimés. Le cadavre est littéralement squelettique dans la partie
supérieure
du corps jusqu'aux cuisses. Les muscles atrophiés
in ; on a noté une laxité extrême de l'articulation péronéo-tibiale
supérieure
qui est subluxée. Les racines nerveuses, le ner
ubluxée. Les racines nerveuses, le nerf facial, les nerfs du membre
supérieur
, circonflexe, radial, médian, cubital, ont leur
la hauteur des espaces intercostaux, et principalement à la région
supérieure
de la cage thoracique, les étages spinaux et les
e démonstratif d'une localisation métamérique spinale. Si sa limite
supérieure
eût été moins franchement horizontale, le diagn
lement la même. Les parties malades sont la tête, le cou, la région
supérieure
du buste, les membres supérieurs depuis le mili
es sont la tête, le cou, la région supérieure du buste, les membres
supérieurs
depuis le milieu du bras jusqu'à l'extré- mité
paralysies oculaires passagères, puis en 1894 une poussée du membre
supérieur
droit avec exagération de l'engourdissement des
ù les tubes nerveux à myéline n'exis- tent pas. D. Région dorsale
supérieure
. l)Par les colorants myéliniques la topographie
petit nombre de fibres dans la portion moyenne. G. Région CERVICALE
supérieure
. Colorations myéliniques. - La dégénérescence d
LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT CONSÉCUTIVE A DES TRAUMATISMES VIOLENTS E
ervation. Sommaire. - Homme, 27 ans, colporteur; atrophie du membre
supérieur
droit : début à 12 ans après luxation de l'épau
rophie des muscles ; épaississement dermique à la surface du membre
supérieur
droit atrophié où le pouls est plus petit, la cro
15, lit 3, en juillet 1898; il est atteint d'une atrophie du membre
supérieur
droit. Cette atrophie a débuté, à de 12 ans, ép
une chute du haut d'un lit et se fracture l'humérus droit au tiers
supérieur
, avec contusion violente et gonflement de l'épaul
. Nouvelle fracture de l'humérus droit, siégeant à l'union du quart
supérieur
et des trois quarts inférieurs. Immobilisation.
bre atrophié. En dehors de ces accidents et de l'atrophie du membre
supérieur
droit qui en est la conséquence on ne trouve da
MARTY vée, tirée en haut, et par le volume inégal des deux membres
supérieurs
: le droit est très grêle (Voir 7'/<oo)'. st
re bien suspendu et attaché par des mus- cles puissants à la partie
supérieure
du thorax. Si maintenant on examine en détail l
e de l'omoplate, acrominn, apophyse coracoïde, clavicule, extrémité
supérieure
de l'humérus) se dessinent sous la peau au poin
iron au lieu de 5 cent. de l'antre côté). De plus, le grand dentelé
supérieur
, le rhomboïde, etc. qui remplissent cette goutt
et de l'omoplate tient, dans certains mouvements d'effort du membre
supérieur
, le scapulum en arrêt par rapport au rachis, a pe
'ÉrRIEHE. T. XII. PI. XVII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT (S,ibi-izès et Marty) rP71 ? 1r/,>i
ètrière. T. XII. PI. XVIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT (S.tL,razcs et 1\ ! arty) Radiographie
être un peu plus grêle sans qu'on puisse l'affirmer. Les extrémités
supérieure
et inférieure de l'humérus atteignent presque le
énorme massue montée sur un manche long et grêle. A l'union du 1/4
supérieur
avec les 3/4 inférieurs, l'humérus change de dire
ssous, le corps redevient un peu plus grêle jusqu'à l'union des 2/3
supérieurs
avec le 1/3 inférieur; là l'humérus semble souf
t-bras, surtout le radius, sont diminués d'épaisseur. L'extré- mité
supérieure
du cubitus (olécrttnc et apophyse coron oïde) est
au con- traire sensiblement réduit. ' En somme, les os du membre
supérieur
droit (humérus, radius et cubitus) pris séparém
ÈTRIÈRE. T. XII. PL. XX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT (Sabrazès et MARTY) Main gauche {côté s
l'abduction des doigts. Examen DES réactions électriques DU membre
supérieur
DROIT ET DU côté DROIT Du cou (20 juillet), par
ne se souvient pas d'avoir jamais eu d'insensibilité dans le membre
supérieur
droit; mais il a eu des fourmillements dans les
le, ni d'un côté, ni de l'autre. La température objective du membre
supérieur
droit est un peu plus basse dans ses divers seg
est un peu plus basse dans ses divers segments que celle du membre
supérieur
gauche. La sensation au contact d'un corps froi
une hyperalgésie encore plus vive. La pression du nerf scapulaire
supérieur
, au point où il passe dans l'enco- che que lui
a main. Pas de contractions fibrillaires des muscles dans le membre
supérieur
droit, ni dans la région pectorale et postérieu
nférieure ; les 8e cervicale et 1 'e dorsale une courbe à concavité
supérieure
; la 7e cervicale va en ligne droite de la moelle
ute du haut d'un lit est suivie de fracture de l'humé- rus au tiers
supérieur
et d'un gonflement douloureux de l'épaule avec ir
duré plusieurs mois. ' Quant à la fracture de l'humérus au tiers
supérieur
elle n'est pas sans avoir causé quelques dommag
ns le cas de MM. Achard et Lévi, le lobule paraceutral et la partie
supérieure
des circonvolutions frontale et pariétale ascen
e lésions dorsales. - On emploie aussi couramment le terme de tabès
supérieur
, qui, lui, est bien mauvais, pour désigner la f
édullaire est située plus haut que le segment dorsal. Mais ce tabes
supérieur
est-il cervical, bulbaire, céré- bral ? II y au
ans son établissement jalonner, préparer l'homologation des parties
supérieures
de l'axe cérébro-spinal avec les segments infér
res de la moelle, sont si haut placés dans le voisinage des centres
supérieurs
que les fibres qui en émanent n'ont aucune rais
ornes postérieures, d'où les impressions s'élèvent vers les centres
supérieurs
et corticaux, pour former les images tactiles de
ecte- ment, soit après d'intéressants relais, vont vers les centres
supérieurs
et corticaux former les images auditives (zones
ripètes du tronc labyrinthique émettent sans doute vers les centres
supérieurs
un très grand nombre de fibres, plus qu'aucun c
que fibre gagnant iso- . lément ou à peu près isolément les centres
supérieurs
dont beaucoup ne sont pas éloignés. Ces mêmes l
e chez les sourds-muets. Je l'ai souvent isolée chez les tabétiques
supérieurs
. 3° Quand l'irritation labyrinthique est consid
téro-supérieure de l'apophyse mastoïde,pour pénétrer, par la partie
supérieure
du conduit, dans la caisse et l'antre mastoïdie
mpullaires sans toucher aux noyaux des muscles obliques, des droits
supérieur
et inférieur. De même pour une gomme. Je ne con-
ct de la gouttière thoraco-scapulaire se trouve modifié : sa partie
supérieure
ne constitue plus une rigole, mais un plan un p
delà paroi thoracique droite, tout particulièrement dans la partie
supérieure
, et la modification de la ligne qui réunit la p
ns la moitié inférieure. Dans ces diverses situations des membres
supérieurs
, le cou et la tête ne présentent aucune attitud
s d'un fardeau), on voit que le tra- pèze, le rhomboïde et le tiers
supérieur
du grand pectoral sont seuls contractés. Le gra
de donner un point fixe aux muscles qui vont du scapulum au membre
supérieur
. Il joue donc un rôle primordial, dans les divers
déformation de la région scapulaire, due à ce fait que le mem- bre
supérieur
, pesant de tout son poids, dit Duchenne, sur l'an
la vigueur, avec lesquelles se fait l'élévation verticale du membre
supérieur
, est pro- portionnelle à la force du tiers moye
llante, allongée (longueur : 8 cent., largeur : 2 cent. à la partie
supérieure
et 1 cent. à la partie inférieure), s'étendant
sa moitié inférieure une colora- tion blanc nacré et dans sa moitié
supérieure
une teinte jaune-brunâtre. A la périphérie de c
oitié inférieure, il existe un léger degré d'oedème. Dans la moitié
supérieure
, la peau adhère intimement il l'os. La palpation
long, irrégulière, de consistance dure, ressemblant à une cicatrice
supérieure
de la peau. Dans la partie latérale droite de l
deux au niveau du thorax en avant et une à la face interne du ri/3
supérieur
de l'avant-bras droit. Ces taches ressemblaient
e antéro-externe de la cuisse droite, une tache commençant au tiers
supérieur
de la cuisse et descendant jusqu'au-dessous du
eaucoup plus m arquées au membre inférieur du côté gauche. Membre
supérieur
droit. Atrophie très marquée des muscles des émi-
eau de la moitié inférieure, faisant ainsi contraste avec la moitié
supérieure
. Le long supinateur en dehors, les palmaires et
du pied (astragale et scaphoïde) qui semblent être luxés. Membre
supérieur
gauche. L'examen des membres de ce côté présente
auche légère pour laquelle entre à l'infirmerie. L'aspect du membre
supérieur
droit est comparable à celui du côté gauche. Me
one la plus externe du noyau lenticulaire, au niveau de l'extrémité
supérieure
de celui-ci, il coupe un peu la partie la plus
e ; à la région lombaire, elles sont moins accusées dans le segment
supérieur
que dans le segment inférieur et dans la région
té- rieures. 3° Méthode de WEIGEIIT et de PAL. - Région cervicale
supérieure
. Coupe entre la V0 et 2e cervicale. On est frap
marquées que dans les coupes de l'étage précédent. Région dorsale
supérieure
. - Sur une coupe entre la première et la deuxiè
cervicale. M. - Coupe au niveau de la (je cervicale. V. - Partie
supérieure
de la moelle cervicale. DE L'AMYOTROPHIE CHARCO
ut être considéré comme sain, ainsi que le nerf crural. Au membre
supérieur
, les altérations des nerfs sont encore moins in-
rfs intra-musculaires, la méthode de Weigert. Les muscles du membre
supérieur
qui ont été examinés sont : l'exten- seur du po
noter que cette hypertrophie énorme a respecté la face et la partie
supérieure
du tronc. Et à part deux masses lipomateuses appe
m'amène son fils atteint d'infantilisme (type Lorain), d'une taille
supérieure
à la normale, très intelligent du reste et se r
était fortement distendue, prête à se rompre, soufflée à son pôle
supérieur
. Il s'y trouvait un gros calcul qui permettai
s dentaires. Très fréquemment, une ou plusieurs petites in- cisives
supérieures
sont séparées par un espace anormalement grand. D
n espace anormalement grand. D'au- tres fois, les petites incisives
supérieures
sont détaille rudimentaire, noi- râtres, dégéné
isse- ment se traduit tout de suite par le nasonnement. Les régions
supérieures
semblent s'engorger d'abord. Les malades se pla
onflement des cordes vocales et au manque de consonnance du pharynx
supérieur
, les- quels phénomènes se trouvent sous la dépe
abdominale résistant et main- tenant l'utérus dans l'axe du détroit
supérieur
. Les varices se déclarent au bout de deux ou tr
définitives. Celles-ci viennent mal. irrégulièrement. Les incisives
supérieures
latérales manquent parfois ; d'autres fois, elles
ouche ouverte et présente des végétations adénoïdes dans le pharynx
supérieur
. Comme il me paraissait en retard de développem
s ; les gencives rouges, injectées, chargées de tartre. Les membres
supérieurs
sont douloureux et raides ; elle ne peut lever le
- son sur les deux épaules, en avant et en arrière et sur la partie
supérieure
(1) Tu. D. Savill, On the pathology of itching
débuté, comme cela a déjà été observé par Hoffmann, par les membres
supérieurs
,puis elle s'est étendue aux membres inférieurs,
de gagner sa vie. A ce moment l'atrophie avait atteint aux membres
supérieurs
les éminences thénar et hypothénar, les inter-
n'aperçoit plus de chair musculaire. 322 PAUL SAINTON - Au membre
supérieur
, les muscles de la main sont le siège d'altératio
rs ; quelquefois cependant l'atrophie se montre d'abord aux membres
supérieurs
. Le début n'est jamais brusque : il est lent, ins
mbe est mince, la cuisse est atrophiée en jarretière. Aux membres
supérieurs
(v. PI. LU, fig. E. IL), l'atrophie occupe les
début habituel se fait par les membres inférieurs et qu'aux membres
supérieurs
leur siège d'élection se trouve être la zone de
cune lésion du fond de toit. Les réflexes sont abolis aux membres
supérieurs
. Les réflexes du genou et du tendon d'Achille l
in droite. Retard à la perception de la douleur ; pied gauche, face
supérieure
4", ra- cine du deuxième orteil 4" ; pied droit
usqu'à une ligne oblique allant de l'articulation du genou au tiers
supérieur
de la face externe de la jambe. Hyperesthésie,
ssus du genou gauche. Hyperalgésie à la tête, au tronc, aux membres
supérieurs
, et à la cuisse gauche dans une petite zone à l
la région ombili- cale aux bras, à la face, au cou et il la partie
supérieure
du thorax jusqu'à une ligne passant par les cre
liniquement par : 1) Son début habituel par l'extrémité des membres
supérieurs
, leplus souvent par les petits muscles de la ma
. lao 161/2 . - moitié de ['avant-bras......... 19 191/2 - partie
supérieure
de t'avant-bras .... ` ? ') 23 - - moyenne du b
vant-bras .... ` ? ') 23 - - moyenne du bras........ 23 231/2 - -
supérieure
du bras....... su 2S1/2 Les muscles du bras et
és au niveau des muscles de l'épaule, des deux cuisses et du membre
supérieur
gauche, et provoqués très énergiquement par la
sation spontanée de fourmillements dans toute l'étendue des membres
supérieurs
. Sensibilité conservée au tact, à la douleur, à
nu. L'atrophie n'a ni rétrocédé ni augmenté ; le volume des membres
supérieurs
est resté ce qu'il était à l'entrée du malade.
irconférence du poignet 16 16 moitié de l'avant-bras 17 19 partie
supérieure
........... 20 18 partie moyenne du bras........
ments passifs est conservée aux membres infé- rieurs. Aux membres
supérieurs
la résistance aux mouvements passifs est absolu-
nt moins atrophiés ; conservés en grande partie dans les deux tiers
supérieurs
, ils disparaissent brusquement dans la région p
la main. L'état reste stationnaire depuis 18 mois dans les membres
supérieurs
. L'atrophie du thorax aurait accompagné celle d
ïdes sont absolument disparus. Tête de l'humérus saillante. Membres
supérieurs
. - Biceps réduit à l'état d'une corde, le droit
rieure de l'avant-bras sont en partie conservés surtout dans le 1/3
supérieur
. La main : Le malade laisse le poignet en demi-
s sont plus marquées à droite qu'à gauche. Mouvements des membres
supérieurs
. - Le malade ne peut élever le bras en abductio
malade plie facilement la cuisse. 368 G. ÉTIENNE Mensuration 1/3
supérieure
de l'avant-bras droit.... 18 ' ` gauche... 19
nsidérable aux membres inférieurs, contraste avec celle des membres
supérieurs
. Circonférence partie moyenne cuisse droite 39.
a constaté l'amaigrissement des membres inférieurs, et des membres
supérieurs
; depuis deux mois il ne peut plus s'ha biller,
ramasser un objet. Pas d'atrophie des muscles abdominaux. Membres
supérieurs
. - Aplatissement des muscles des éminences thénar
t fermer les doigts avec une force médiocre. Circonférence du tiers
supérieur
de l'avant-bras, 22 centimètres. Bras cylin- dr
tement amaigri, de constitution primitivement assez bonne. Membre
supérieur
droit. La main droite présente l'aspect de main e
résistance aux mouvements passifs est assez bien conservée. Membre
supérieur
gauche. - Les doigts de la main gauche sont resté
riques, faite par notre collègue M. le professeur Guilloz. Membre
supérieur
gauche : réactions électriques : A. - 111uscles
ux groupes dorsaux et plus marquée à droite. partie moyenne tiers
supérieur
tiers inférieur Circonf. avant-bras droit 16 15
ons revenir, l'empreinte deltoïdienne se rapproche des inser- tions
supérieures
, et le deltoïde devient saillant. Tremblement f
lté à la rele- ver (fig. H, K). Dans cette position, les deux lames
supérieures
du trapèze dont il ne reste que l'aponévrose, f
tendons péri-articulaires d'insertion musculaire. Io A l'insertion
supérieure
du deltoïde est une plaque (fig. M, L) osseuse en
naire surtout du côté droit. De ce côté, tous les muscles du membre
supérieur
sont pour ainsi dire totalement disparus, compl
du tronc, thorax, abdo- men et bassin, ceux du cou, ceux du membre
supérieur
gauche, ceux des membres inférieurs, n'apparais
et moyen avec infiltration de tubercules ; bronchite. Dans le lobe
supérieur
, tubercules crétacés. ' C ? Surcharge graisse
e continuer sa profession, impossible de faire usage de ses membres
supérieurs
. Cette impotence de ses membres supérieurs elle
ire usage de ses membres supérieurs. Cette impotence de ses membres
supérieurs
elle existait depuis plusieurs mois, et elle ét
muscles envoie d'atrophie, aucun trouble trophique sur les membres
supérieurs
du malade. Les réflexes tendineux du poignet so
aire, si bien que, malgré le prognatisme assez marqué du maxillaire
supérieur
, l'arcade dentaire infé- rieure est encore débo
moins un centimètre (On sait que nor- malement c'est le maxillaire
supérieur
qui chevauche sur l'inférieur). Cette projectio
e soit pas gaucher). Contrastant avec le faible volume des segments
supérieurs
, les extrémités paraissent énormes; les mains s
chromatopsie, ni de nystagmus. Les réflexes sont abolis aux membres
supérieurs
et inférieurs, le réflexe plantaire est en flex
nt jusqu'à la moi- tié de la jambe droite, hyperalgésie aux membres
supérieurs
et au thorax jus- qu'à la ligue bi-axillaire.
on, tandis que la gauche, plus large, se dilate un peu. La paupière
supérieure
gauche est lé- gèrement tombante. Acuité visuel
y a une petite plaque d'hypoalgésie à la partie externe de la face
supérieure
du pied droit. Hyperalgésie au flanc droit et a
oigts. Aux pieds, il y a un retard de la perception de 3" à la face
supérieure
, de 4" à la face plantaire, de 2" aux artères.
ed gauche. Anal- gésie au creux axillaire s'étendant jusqu'au tiers
supérieur
de la face interne du bras. Hypoalgésie au crân
ultats suivants : Excitabilité faradique. - Les nerfs des membres
supérieurs
ont conservé l'excitabilité (distance moyenne d
C. Cette excitation est conservée dans tous les muscles des membres
supérieurs
, les contractions sont assez bonnes, il n'y a p
TunE. 1. Face antérieure'. Hyperesthésie au chaud à toute la partie
supérieure
du corps et aux jambes jusqu'à i'articu)ation tih
e incomplète d'anesthésie au tact dans 2 cas ; dans le cas du tabes
supérieur
une ceinture de môme ordre dans l'étendue de la
tifs de la sensibilité est surtout à utiliser dans les cas de tabès
supérieur
, de tabes cervical lorsque l'aboli- tion du réf
zone d'anesthésie à la face dorsale et à la face ventrale du membre
supérieur
contiguë à la zone précédente, mais qui se cont
hons donc pas le nom de la maladie ; mais admirons l'art vrai- ment
supérieur
avec lequel le peintre a rendu le tableau cle la
bales aux parties de l'écorce dans les- quelles s'opèrent les actes
supérieurs
». J'ai observé récemment deux cas d'aphasie am
gue les différentes couches. Dans la substance blanche de la partie
supérieure
du pli courbe, on voit une petite traînée décol
e horizontale a détruit la subslance blanche du pli courbe; l'angle
supérieur
affleure l'extrémité supérieure du ventricule d
lance blanche du pli courbe; l'angle supérieur affleure l'extrémité
supérieure
du ventricule dilaté. La partie inférieure du fai
s marqués clans la substance blanche de la circonvolution pariétale
supérieure
; son extrémité inférieure at- teint le niveau d
es blanches du pli courbe et d'une partie de celles de la pariétale
supérieure
et des 1 ra et 2e temporales. Coupe 5 (PL LXX
pli courbe et coupé en partie celles qui dépendent de la pariétale
supérieure
el de la 2" temporale. Dans la coupe 4 (I'1.
8 temporale. Un cons- tate un prolongement de la lésion à la partie
supérieure
du segment pos- térieur de la capsule interne q
(au moins dans sa partie inférieure) jusqu'au niveau de l'extrémité
supérieure
de l'incisure parhâtate de l'opercule (i p) et mô
ants (Fig. 9) : la capsule externe est détruite dans ses deux tiers
supérieurs
, le faisceau arqué est complètement coupé depui
rieur et des radiations optiques ne sont détruites qu'à leur partie
supérieure
dans une portion de leur trajet, mais le sont e
ieure de la première. 444 TRÉNEL interne est détruite à la partie
supérieure
de sa région postérieure rétro- lenticulaire. L
, Hypertrophie yseuclo- acromégalique segmentaire de tord un membre
supérieur
, avec troubles syringomyé- liques ayant la même
re, dans les statistiques récentes, les localisations sur le membre
supérieur
sont de beaucoup les plus fréquemment relatées.
ans, sujette à des crises nerveuses, atteinte d'un oedème du membre
supérieur
droit datant de six années. L'enflure avait début
22 ans, couturière, qui présentait un oedème dsytrophique du membre
supérieur
gauche. Toute la jambe gauche depuis la racine
ans : paralysie progressive avec atrophie musculaire des mem- bres
supérieurs
. Antécédents héréditaire nuls. Antécédents pe
e, ni traumatisme. L'atrophie musculaire frappe d'abord le membre
supérieur
gauche et inté- resse successivement son symétr
naris anesthésique. En novembre 1898, impotence absolue des membres
supérieurs
; mains succulentes cyanosées et refroidies, av
nt, depuis l'âge de 18 ans, d'une paralysie progressive des membres
supérieurs
. On ne connaît pas de maladie semblable dans sa
veloppa ensuite progressivement une atrophie musculaire du mem- bre
supérieur
gauche, puis, 7 ou 8 ans après, du membre supérie
ire du mem- bre supérieur gauche, puis, 7 ou 8 ans après, du membre
supérieur
droit. La colonne vertébrale subit, il cette ép
5. SYRINGOMYÉLIE 491 On est frappé surtout par l'état des membres
supérieurs
. Dans la sta- lion debout, les bras tombent ine
n gelée très froide au toucher. ' . L'altitude tombante des membres
supérieurs
, les abaissements de la température extérieure
uscles ayant perdu leur excitabilité faradique. Sensibilité. Membre
supérieur
gauche. Contact bien perçu et bien localisé sur
ibilité au froid est simplement émoussée. SYRINGOMYÉLIE 9J Membre
supérieur
droit. Contact et piqûre très bien perçus. Sens
tibiale sous-rotulienne de nature rachitique, intéressant le tiers
supérieur
du tibia, beaucoup plus accentuée à gauche qu'à
nnent ni sucre, ni albumine. Réflexes : périostique nul au membre
supérieur
droit, conservé à gau- che ; abdominauxnuls; te
ar G. ROS80LIMO, 22. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre
supérieur
, par J. Sabrazès et L. MARTY, 107. Atrophies
rty L. et G. SABRAZES. Atrophie mus- ' culaire et osseuse du membre
supérieur
(1 stéréo-phot.), 107. Meige (Henry). Ti-opli
uiiiazès J. et L. MARTY. Atrophie muscu- laire el osseuse du membre
supérieur
(1 stéréo-phot.), 107. Sabrazès et Bnwouss. M
X, LXI, LXfI, LXIII. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre
supérieur
droit (Sabrazès etMARTY). XVII, XVIII, XIX, XX.
titubant, bras et jambes écartées. Une certaine ataxie des membres
supérieurs
et des mo- difications dans l'écriture, un lége
ine avec une hypotonicité générale de tous les muscles. Aux membres
supérieurs
, les phénomènes observés sont de même ordre : f
intacts. Rachis normal. Pas de troubles d'inner- vation des membres
supérieurs
, du bulbe, de l'encéphale, des fonctions respir
iques, des réflexes cutanés de la zone hyperesthésique de la limite
supérieure
de la région anesthésiqup, etc. ; mais nous ten
res) est senti à gauche, pas a droite. La fesse gauche et la partie
supérieure
interne de la cuisse gauche ne sentent ni le fr
que pas de raisons contre ; en particulier l'intégrité des membres
supérieurs
, de la nutrition musculaire, cutanée, de la for
moelle, de même que l'absence des troubles fonctionnels des membres
supérieurs
, de la respiration, déglutition, etc. indique a
aucun déficit sensoriel, pas de tremblement volontaire des membres
supérieurs
, mais seulement de la maladresse et de la lente
ents, quand il est couché. Les mouvements de préhension des membres
supérieurs
sont imparfaits, irréguliers, brusques, saccadé
fut trouvé en voie d'atrophie et où l'in- coordination des membres
supérieurs
était telle qu'on devait aider le malade à man-
asthénie générales ; dès qu'on lui demande un effort de ses membres
supérieurs
, SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE 35 il contracte s
lation dans le vermis. Celui-ci est irrigué par les cérébel- leuses
supérieures
, qui après avoir contourné les pédoncules (Duret)
par une communicante qui émet des artérioles nourricières du vermis
supérieur
. Rien n'est, à la vérité, plus variable et capr
mple- ment suffire pour réaliser un ramollissement limité du vermis
supérieur
. Ce diagnostic de localisation ne saurait évide
la pointe du lobe occipital gauche s'étendant en avant à la partie
supérieure
du pli courbe, au premier pli pariéto-temporal
estruction des faisceaux blancs sous-jacents (faisceau longitudinal
supérieur
, faisceau occipital vertical de Wer- nicke). -
anop- sie. Le lendemain, la motilité est revenue dans les membres
supérieur
et infé- rieur droits. Seule l'hémi-hypoesthési
prolonge sous la Ire parié- tale (section du faisceau longitudinal
supérieur
). 7° Coupe portant sur la corne occipitale à 2
e correspondant au pli courbe (Destruction du faisceau longitudinal
supérieur
etd'unepartiedu faisceau occipital vertical deWer
u pli courbe et des faisceaux sous-jacents (faisceau longi- tudinal
supérieur
), lésions s'étendant vers les points du globe occ
r- convolution occipitale) et sous-corticale (faisceau longitudinal
supérieur
, faisceau occipital vertical de Wernicke). Peut
usculaire au niveau des gouttières vertébrales, jus- qu'à la partie
supérieure
du rachis, avec une intensité décroissante, cela
xterne de la masse à a droite et à gauche,et. dont les deux côtés
supérieurs
répondent au bord inférieur des grands dorsaux,
les sujets. Chez les individus peu muscles ou gras, les deux cotes
supérieurs
, répondant au sillon du grand dorsal sont à pei
trer dans l'abdomen ; la poitrine est bombée en haut : il la partie
supérieure
il existe en effet une sail- lie transversale f
es inférieurs dessinent un relief qui continue celui des cartilages
supérieurs
, mais n'a plus de rapports avec la cuvette. E
UOT ET MOUTIER Les deux reliefs dessinés par les cartilages costaux
supérieurs
et inférieurs se continuent au niveau de la par
abdominale ; elle paraît se produire surtout aux dépens de la partie
supérieure
; à ce niveau existent en effet deux ou trois pl
cique, étant donné l'abaissement des dernières côtes. A la partie
supérieure
de l'abdomen, la région épigastrique forme une vo
es. La cyphose est surtout marquée au niveau des vertèbres dorsales
supérieures
(PI. X,E, F et H)et la déformation rachidienne
la déformation rachidienne est quelquefois si accusée que la partie
supérieure
du dos prend une direction presque horizontale. A
est facilement appré- ciable dans toute son étendue, même sa partie
supérieure
. Elle ne dépasse pas en arrière le plan des apo
st très accusée, la face postérieure du cou comme la région dorsale
supérieure
se rapproche de l'horizontale. Parfois, surtout p
our d'un axe horizontal un mou- vement de bascule tel que sa partie
supérieure
est portée en arrière ; cette déformation s'acc
anters sont en effet très saillants en dehors ; la cuisse à sa partie
supérieure
présente une largeur exagérée, sa face antérieu
nt arqués laissent entre eux un espace ovalaire allant de la partie
supérieure
des cuisses anormalement écartées aux malléoles i
s segments. Nous n'avons jamais observé de déformations des membres
supérieurs
. Par contre, nous avons été plusieurs fois frap
o-Paget est pourtant des plus nets ; on retrouve la cyphose dorsale
supérieure
souvent plus accusée que chez l'homme, l'écarte
teindre la ré- gion cervicale. Quelquefois avec une cyphose dorsale
supérieure
bien nette, il y a peu ou pas de redressement d
pouvons comparer le tibia au fémur, le fémur à l'humérus, le membre
supérieur
au membre inférieur, enfin nous comparerons le di
érien bi-acromial (bi-acromial = 100) montre éga- lement une valeur
supérieure
il la moyenne pour le diamètre bi-trochantérien.
étudier : fémurs et tibias, clavicules, omoplates, os des mem- bres
supérieurs
. Nous espérons pouvoir compléter un jour dans une
en radioscopique a révélé une diminution de l'opacité des os un peu
supérieure
à ce qu'elle est normalement chez le vieillard. E
semi-opaque prolongeant le bord inférieur de la côte dans la partie
supérieure
de l'espace intercostal (Fig. 2). Nous allons
s tibias, de déformations des clavicules, d'altérations des membres
supérieurs
ni d'épaissis- sementdu crâne. L'attitude génér
faveur du Paget, le crâne, les clavicules, l'omoplate, les membres
supérieurs
sont indemnes ; et l'hypertrophie des membres inf
ose apparaissant à un âge avancé, peu considérable, surtout dorsale
supérieure
, impossible à corriger complètement, et s'accom
, le col, la tête, le grand trochanter, en un mot toute l'extrémité
supérieure
du fémur, et à l'extrémité inférieure principalem
de la Personnalité, mis au jour par le bouleverse- ment des couches
supérieures
de notre stratification psychique. CONFÉRENCE F
nsistant pas davantage sur ce sujet. Le traitement des bubons est
supérieur
à tout ceci. « On pourra pren- dre, écrit Paré,
y a pas trace, dans le membre, d'atrophie musculaire. Aux membres
supérieurs
, on ne constale pas de tremblement intention- n
pre de l'ataxie statique. Légère incoordination motrice aux membres
supérieurs
se traduisant par une hésitation à atteindre le
rce segmen- taire est diminuée dans tous les membres. Aux membres
supérieurs
, l'incoordination est beaucoup plus marquée. L'éc
, ana- logue à celle de Henri R..., une certaine ataxie des membres
supérieurs
, une légère scansion de la parole. Les réflexes
s atteint aussi les mains (ce dé- but par l'incertitude des membres
supérieurs
aurait été noté par Sanger- Brown, mais est tou
droite, était très amoindrie à gauche, aussi bien dans les membres
supérieurs
que dans les membres inférieurs. La marche ét
les fibres qui en émanent sont atrophiés ; *, plus bas, à la partie
supérieure
du bulbe, on voit les corps restiformes réduits
Dans la région frontale par exemple c'estsurtout la partie latérale
supérieure
de la Nouvelle Iconographie DE la Salpli'rilre
tudinal dorsal. N III, noyau III* paire. Pcs, pédoncule cérébelleux
supérieur
. Py, pyramide. Rm, Ruban de Reil, médian. Ln lo
s'agissait d'un syndrome particulier : un syndrome protu- bérantiel
supérieur
, qui n'est pas le syndrome de Weber, qui n'est pa
mes particuliers, (1) RAYMOND et CESTAN, Le syndrome prolubérantiel
supérieur
, Gazette des hôpi- taux, )''03. 160 GRUNER ET
ueduc de Sylvius depuis le plancher du 3° ventricule jusqu'au quart
supérieur
du pont de Varole. Ainsi placée la tumeur donna
viée à gauche, la langue est tirée sur la ligue médiane, la branche
supérieure
du facial n'est pas atteinte. Parole lente, b
à la lumière. En résumé, il y a paralysie de l'élévateur, du droit
supérieur
, du droit in- férieur, du grand et du petit obl
du corps. Voici quelques chiffres : 166 GRUNER ET BEI\TOLOTTl
supérieure
du faisceau sensitif et envahit le tubercule quad
tubercule quadrijumeau gauche, la substance réticulaire, la partie
supérieure
et interne du ruban de Reil, les fibres de la rac
tie supérieure et interne du ruban de Reil, les fibres de la racine
supérieure
des- cendante du trijumeau des deux côtés. On n
en arrière des tubercules quadrijumeaux postérieurs, dans la partie
supérieure
de la protubérance, le tuberculome est toujours p
illimètres de largeur. Le ruban de Reil, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
, les faisceaux cen- traux de la calotte sont ép
On peut croire ce trouble consécutif à la destruction de la racine
supérieure
et descendante du trijumeau, qui contiendrait,
re, sans lésion aucune du noyau rouge ou des pédoncules cérébelleux
supérieurs
; peut-être, comme le soutiennent les auteurs an-
ion est donnée par Rickards (1) dans un cas d'hémorragie de l'étage
supérieur
du pédoncule ; or, chose remarquable, chez le m
tte. Ce symp- tôme a été signalé quelquefois dans lapoliencéphalite
supérieure
subaiguë ou chronique ; alors tous les muscles
nez est volumineux, élargi transversalement, surtout à sa par- tie
supérieure
où les os du nez descendent très obliquement en d
'autant plus grand. La lèvre inférieure est plus volumineuse que la
supérieure
et partant plus saillante. Les sillons cutané
x épaules. Thorax. En avant, le thorax est globuleux dans sa partie
supérieure
,saillant en avant, aplati sur les côtés. Les de
ie exagérée des angles costaux à la base gauche du thorax. Membre
supérieur
. Main hypertrophiée, large. Sur /6[T/ace palmaire
anges, prises sur les pièces décalcifiées, ne pa- raissent pas très
supérieures
à la normale pour une femme de 1 m. 70. Premièr
trique, la queue du sourcil gauche semble abaissée. Sur la paupière
supérieure
gauche on note un naevus. La paupière supérieur
e. Sur la paupière supérieure gauche on note un naevus. La paupière
supérieure
droite porte un chalazion. Les conjonctives sont
une personne instruite, qui fut atteinte d'uneparalysie radiculaire
supérieure
et inférieure du bras droit, consécutive à un a
appareils destinés à la rééducation de l'ataxie motrice des membres
supérieurs
des tabétiques : le casier, le jeu de la planch
ose homologue s'observe dans les cas où la douleur occupe la partie
supérieure
du sciatique ; elle a pour but de relâcher les
jection en avant d'une épaule, rotation ou inclinaison de la partie
supérieure
du tronc, etc. Ici il s'agit, bien d'attitudes
eux côtés, il existe une certaine contracture au niveau des membres
supérieurs
, mais à un degré bien moindre. Il grince des de
ée des membres inférieurs. L'incoordination est moindre aux membres
supérieurs
; B... peut saisir une épingle après avoir « pla
éguliers. 23. Affaiblissement progressif. Même état local au membre
supérieur
droit, mais, de plus, le membre inférieur du mê
s cordons de Goll du tabes incipiens. 10. Obs. VIII. Moelle dorsale
supérieure
. Sclérose postérieure du tabes incipiens un peu
a méthode de Weigert-Pal. Pas de lésions des pédoncules cérébelleux
supérieurs
et inférieurs. Le pédoncule cérébelleux moyen g
e habituelle des membres contracturés est la flexion pour le membre
supérieur
et l'extension pour le membre inférieur ; mais le
la contracture dans le domaine du facial inférieur droit. Le membre
supérieur
droit complètement paralysé est dans une attitude
thopathie de l'épaule, car toute tentative pour mobiliser le membre
supérieur
, arrache des cris à la malade (PI. XXXV). Le co
ur qu'au niveau des doigts ou du poignet. La sensibilité, au membre
supérieur
, ne présente pas de troubles objectifs, il n'y
déformations des extrémités paraly- sées, surtout celles du membre
supérieur
. On n'y retrouve pas le type habituel des attit
t sains. La protubérance, le bulbe, en trois régions différentes,
supérieure
, moyenne et inférieure, la moelle au niveau du
rvation très intéressante de M. Testi (56) le trophoedème du membre
supérieur
avait été précédé par un oedème passager. Enf
omique de la maladie, le phénomène est plus fréquent dans le membre
supérieur
(main succulente) et est accompagné par des alt
iasis comme dans le trophoedème s'arrête à une ligne de démarcation
supérieure
qui le sépare d'une région parfaitement saine.
de grand surmenage. Il y a quelques années, notre malade est nommée
supérieure
de sa congrégation, fonctions, qui néces- siten
termittentes d'abord, puis continues dans la nuque et à la par- tie
supérieure
des trapèzes, douleurs bilatérales, mais plus mar
trouve un peu de douleur à la pression à la nuque et sur la partie
supérieure
des trapèzes, surtout à droite. Le torticolis s
ertébrale cy- phosée, le thorax déformé et globuleux. Les membres
supérieurs
sont indemnes. C'est au niveau des membres infé
e .pseudarthrose. Ils chevauchent l'un sur l'autre, l'interne étant
supérieur
et antérieur ; les mouvements qu'on leur imprim
u à 32 ans une canine supplémentaire au niveau du rebord alvéolaire
supérieur
, près de la ligne médiane. Léger progna- thisme
ontanelle postérieure ou lambdoïde, béante et entourant l'extrémité
supérieure
de l'écaille occipitale très facilement percept
droite et à gauche on aperçoit un fragment osseux au-dessus du bord
supérieur
de l'omoplate, séparé du sternum par un espace
n intégrité absolue ; les réflexes patellaire, achilléen, du membre
supérieur
, les réflexes cutanés et pupillaires, l'acuité
; cette région des pariétaux est à un niveau plus élevé que le bord
supérieur
des frontaux. A l'union des frontaux et des parié
iculaire des mouvements anormaux spontanés et provoqués des membres
supérieurs
par rapport au thorax. Très facilement on produ
réduit au 1/4 de grandeur naturelle d'une radiographie de la partie
supérieure
du thorax d'une femme normalement conformée (décu
la clavicule joue dans l'économie un rôle de soutien pour le membre
supérieur
. (Bichat), ce rôle est très relatif puisque chez
ement de la base du crâne par suite d'une-pliure en arc à convexité
supérieure
(Scheuthauer'). Noire examen radiographique n'a
moitié ou des 2/3, le rebord orbitaire inférieur en retrait sur le
supérieur
donnant lieu à un exorbitisme apparent, le diam
ssement du frontal et à un certain degré d'atro- phie du maxillaire
supérieur
, c'est-à-dire à la diminution plus ou moins grand
stance Fio. 2. Tumeur pseudencéphalique postérieure. 0. S. Limite
supérieure
de la région occipitale. T. Tumeur. 356 RABAU
abord, la tête ne suit pas nécessairement le mouvement de la partie
supérieure
du rachis ; quel que soit le sens de la déviati
et Thlipsencéphale. Lorsque la fissure spinale dépasse les régions
supérieures
de la colonne, elle peut néanmoins s'arrêter .e
resque exclusivement limités aux méninges, dans le segment lombaire
supérieur
de la moelle. Les cellules ne sont que très .pe
erveux et qui s'y substitue ell'ectivement à la partie- tout à fait
supérieure
du système nerveux. b) Hémorragies et exsudatio
tra-médullaire. Au sur et à mesure que l'on remonte vers les étages
supérieurs
de la moelle, les phénomènes qui ont pour siège l
semble pas être rapide ; s'il est notablement plus avancé à la partie
supérieure
de la moelle qu'à sa partie moyenne, la progres
st une disposition qui, malgré tout, la souligne. Dans les segments
supérieurs
de la moelle, en effet, on voit s'ébau- cher la
remarquable : la méningite existe à peine ; même, dans les segments
supérieurs
de la moelle, on ne peut que soupçonner un très
ue la désintégration est sensiblement moins avancée dans le segment
supérieur
de la moelle que dans les segments inférieurs.
t par l'inflammation (fig. 11). Les coupes intéressant les segments
supérieurs
ne montrent plus aucune trace de moelle, mais,
nt dans la région lombaire. Mais elle n'existe pas dans les régions
supérieures
de la colonne vertébrale. La moelle lombaire ex
s en haut et c'est, non pas un segment inférieur, mais un seg- ment
supérieur
qui devrait résister le plus longtemps. Cela est
ÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 397 sont les étages
supérieurs
qui sont les premiers atteints. Dans notre premie
ucun doute et nous sommes conduits à re- connaître que les segments
supérieurs
les moins dégénérés ont disparu les premiers pa
r la langue hors de la bouche. Rien d'extérieur aux yeux. Membres
supérieurs
normaux de tous points. Parésie des membres inf
ns sans tremblement. Exagération des réflexes tendineux des membres
supérieurs
. Céphalée frontale intense. Vertiges. Intellige
mpagnant de mouve- menlsà oscillations courtes et rapides du membre
supérieur
. 11 août 1903. Démarche à petits pas, les jambe
ue légère, il est pris d'un tremblement généralisé qui, aux membres
supérieurs
, s'exagère après la répétition des mouvements.
descente du testicule, indépendants de la respiration. , Membres
supérieurs
. Force musculaire bien conservée, sauf dans l'act
de cette apparence : tout d'abord, la position basse des paupières
supérieures
, faisant croire à un ptosis, qui en réalité n'exi
s dans les mouvements. Expression stupide de la face. Les paupières
supérieures
sont abaissées. Il existe d'ailleurs un certain d
eraient les formes inférieures dans la première enfance, les formes
supérieures
dans l'âge plus avancé. , En tous cas, il nous
Les muscles frontaux, les zygomatiques et les releveurs de la lèvre
supérieure
du côté droit sont donc en apparence paralysés.
le stade d'hypertrophie ; la participation simul- tanée des membres
supérieurs
chez l'un des frères et chez l'autre seule- men
u polarticulaire. Les douleurs ont persisté trois mois. Les membres
supérieurs
se sont pris trois ans après, mais jamais le mala
à l'hôpital, parce qu'il ne pou- vait plus se servir de ses membres
supérieurs
, ni rester debout. Mais ce qui attire davantage
YOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 431 étendre. Après cela, les membres
supérieurs
ont commencé à faiblir, il pouvait à peine port
e temps, le malade ne peut pas bien préciser si ce sont les membres
supérieurs
ou inférieurs qui ont faibli les premiers. La m
fois elles ne se sont localisées que dans les membres inférieurs et
supérieurs
; elles devenaient plus fortes pendant la nuit,
e état de paralysie ; les douleurs avaient disparu dans les membres
supérieurs
et ne persistaient que dans les membres inférie
l'abdomen, for- mant un cône, dont la base serait la circonférence
supérieure
de la cage tho- racique et le sommet formé par
es muscles de l'abdomen sont de même bien développés. Les membres
supérieurs
ont des attitudes variables dans leur état statiq
t. 5, et à gauche 17 centimètres. Les mouvements actifs aux membres
supérieurs
sont réduits, le malade peut à peine plier les
laint de douleurs aiguës dans les membres, surtout dans les membres
supérieurs
. Le malade passe son temps couché sur le dos, e
il commence par sentir des douleurs dans les membres inférieurs et
supérieurs
, les douleurs étant encore plus fortes aux épau
cette position vicieuse. Le malade a pu faire usage de ses membres
supérieurs
jusqu'à l'âge de 17 ans, c'est-à- dire trois an
sinent très bien. La main ressemble à celle d'un singe. Les membres
supérieurs
ont l'attitude suivante : le membre en entier tom
pouce légèrement fléchie sur la première. Dimensions des membres
supérieurs
: DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE P
sont abolis. Tous les mouvements passifs des segments des membres
supérieurs
se font avec facilité, mais la résistance muscu
rétraction du tendon d'Achille. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
ne se produisent plus non plus, par suite de l'
8 m. A., contractions fortes NFC > PFC. Le nerf facial (rameaux
supérieurs
, moyens et branche inférieure) 6 m. A., contrac
existe' aucun change- ment de l'excitabilité, tandis qu'aux membres
supérieurs
il existe une diminu- tion très marquée, et aux
asal, con- tractions tétaniques à 200 divisions. j . Nerf facial,
supérieur
, moyen et inférieur, contractions tétaniques à 15
in, nasal, 7 m. A., NEC> PFC, contractions fortes. Nerf facial
supérieur
, moyen, inférieur^ m. A., NFC > PFC, contracti
grandes douleurs ; il semblait même immobilisé quant à la par- tie
supérieure
du tronc. Les mouvements de mastication et de dég
ceux de rotation et d'extension ne peuvent s'exécuter. La région
supérieure
du cou ne présente aucune particularité. Le tou
lanc droit,avec saillie plus forte de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche si- tuée sur un plan plus élevé que la d
s qu'on lui fasse exécuter quelques mouvements spéciaux des membres
supérieurs
, avec flexion du tronc, qu'on lui ordonne avec fe
bres inférieurs. Elles semblaient surtout accentuées dans le membre
supérieur
droit, sans cependant de localisation précise.
e plus pouvoir se porter. » Sur la malade couchée, les deux membres
supérieurs
sont en extension, sans différence de volume ou
flexe de Babinski. L'examen de la sensibilité au niveau des membrés
supérieurs
révèle quelques zones d'hyperesthésie, quelques a
par hérédité, parce qu'elle leur confère une qualité, c'est d'être
supérieurs
à la chasse à l'arrêt. Pour Apert, l'achondropl
bservations (inédite ; enfant Darr...) la longueur totale du membre
supérieur
était de 8 cen- timètres, correspondant à un di
nouveau-né, d'un crâne brachycéphale et à bosses saillantes, de peu
supérieur
490 l'ORAX ET DURANTE au volume d'un crâne d'
e cas est anormal sous plusieurs rapports. Limité aux seuls membres
supérieurs
avec intégrité de la tête et des membres inféri
, Darr., oct. 1899). Mère syphilitique ; Thorax rétréci à sa partie
supérieure
et élargi à sa base. Epaissis- sement considéra
rmations, assez fréquen- tes aux membres inférieurs, plus rares aux
supérieurs
, consistent en des in- curvations bruques, à an
n très fréquente est une inclinaison en sens inverse des éphiphyses
supérieures
et inférieures du radius et du cubitus. Il en r
triangulaires ou quadrilatères et parfois soudés ; les maxillaires
supérieurs
sont rapprochés de la colonne vertébrale. Les
son développe- ment. « Au contraire, les deux points d'ossification
supérieurs
se développent. L'occipital inférieur ne mesure
ississe- ment de l'occipital inférieur contraste avec la minceur du
supérieur
. Les crêtes occipitales sont très marquées » (R
ire de ces malades qui possèdent, effecti- vement, une vigueur bien
supérieure
à celle que semblerait comporter leur pe- tite
volumineux, est portée en arrière. Le bord postérieur du maxillaire
supérieur
esta 30 millimètres de la colonne ver- tébrale
diamètres et relative du diamètre an- tél'o-]Joslé1'ieur du détroit
supérieur
. Il existe souvent une légère asymétrie du bass
élique de la micromélie. L'atrophie, portant surtout sur le segment
supérieur
des membres supérieurs et inférieurs, aura néce
e. L'atrophie, portant surtout sur le segment supérieur des membres
supérieurs
et inférieurs, aura nécessairement de l'influence
le rétrécissement marqué du diamètre antéro- postérieur du détroit
supérieur
. Tous les diamètres du détroit supérieur par- t
éro- postérieur du détroit supérieur. Tous les diamètres du détroit
supérieur
par- ticipent à l'étroitesse du bassin d'une fa
çon absolue. Mais ils sont, relative- ment aux diamètres du détroit
supérieur
, plus grands à cause de la bascule du sacrum. E
u bassin plus que l'autre. Le diamètre antéro-postélieur du détroit
supérieur
est ordinairement très rétréci, descend à G ou
elles. Sur le squelette de la Mater- nité, les diamètres du détroit
supérieur
mesurent : le transversal 11 centimè- tres, l'a
ds irrégulièrement disposés et d'épaisseur variable le long du bord
supérieur
de la ligne d'ossification (Voy.c. PI.LIV, fig.l0
ligne d'ossification et dont sommet atteint et même dépasse le bord
supérieur
de la zone de proli- fération pour atteindre le
sseuses. Fio. 10. Achondroplasie. Coupe longitudinale de l'épiphyse
supérieure
du fémur. a) zone du cartilage indifférent. - f
lasie. Ossification chondi ale. (Coupe longitudinale de l'extrémité
supérieure
du tibia). a) cartilage indifférent. b) adénome
fèrent. b) adénome cartilagineux en voie d'ossification. Sa portion
supérieure
enferme encore de grosses cellules cartilagineuse
eportait, comme chez l'achon- droplase, l'ombilic à l'union des 2/3
supérieurs
avec le 1/3 inférieur du corps. Les incurvation
s kystiques, six doigts à chaque extrémité), qui, à côté de membres
supérieurs
normaux, possédait des mem- bres inférieurs cou
autres bovidés que par une atrophie portant sur le seul maxillaire
supérieur
. Cette petitesse du maxil- laire supérieur avec
t sur le seul maxillaire supérieur. Cette petitesse du maxil- laire
supérieur
avec conformation spéciale ne paraît pas patholog
sacrum. Le rétrécissement du diamètre antéro-postérieur du détroit
supérieur
du bassin est donc compensé, dans une limite va
, tandis que sur les côtés les inférieures dépassent évidemment les
supérieures
. La voûte palatine est très ogivale. Le malade
nts n'est=pas possible. Voici quelques mesures prises sur le membre
supérieur
droit : Le médius = cent. 8. La main,de l'apoph
ue la colonne vertébrale présente une lordo-scoliose dans la moitié
supérieure
de la région dorsale et par contre une cyphose
ions normales du tronc et un rac- courcissement notable des membres
supérieurs
etinférieurs,l'arrêt de crois- sance de ces der
moins prononcée. Dans certains cas elle n'est pas égale aux membres
supérieurs
et aux membres inférieurs,pouvant être plus pro
s et aux membres inférieurs,pouvant être plus prononcée aux membres
supérieurs
ouinver- sement. Dans d'autres cas la micromé
avons dit,la micromélie rhizomélique est plus prononcée aux membres
supérieurs
. Ainsi chez le malade de Ces- tan,le bras = 13,
rd, d'Apert). Dans deux cas nous trouvons signalée une intelligence
supérieure
à la moyenne (Huet-Caruette, Joachimsthal). I
es. Dans les cas où l'intelligence se trouve notée comme normale ou
supérieure
, les dimen- sions de la tête sont peu augmentée
es ou normales. C'est ainsi que dans les deux cas avec intelligence
supérieure
à la moyenne chez deux fillettes de 10 ans, mal
x sont très bien développés ou ont même l'aspect d'un développement
supérieur
à la normale. Chez les femmes achondroplasiques
tronc et de la colonne vertébrale : une lordo-scoliose de la moitié
supérieure
et une cyphose de la moitié inférieure de la ré
x clavicules présentent leur surface articulaire libre. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont remarquables par la petitesse
orteil = ;l0 centimètres. Le fémur gauche présente à l'union du tiers
supérieur
avec le moyen un cal très volumineux, irrégulie
on. On remarque parfaitement le raccourcis- sement des membres, les
supérieurs
n'atteignant que la région trochantérienne ; la
gnant que la région trochantérienne ; la microrizomélie des membres
supérieurs
, avec main en trident; la courbure des mem- bre
ses sont aussi très réduites. Le trait blanc qu'on voit à la partie
supérieure
des os est dû à la ficelle avec laquelle on avait
s, le tronc restant normal. 3° Micromélie rizo- mélique des membres
supérieurs
.4° Main en trident. 5° Ensellure lombaire. 6° E
et cela non seulement aux membres inférieurs mais aussi aux membres
supérieurs
(bras = 18, avant-bras = 14 cm.). En ce qui con
omposé de six os. Le premier métacarpien s'articule à son extrémité
supérieure
avec les os qui remplacent le trapèze et le tra
rès accusée avec une concavité en dedans et en avant. Son extrémité
supérieure
pénètre vraiment dans la diaphyse fémorale. En co
nes les épiphyses. Luxation postérieure et interne de son extrémité
supérieure
, et luxa- tion externe de son extrémité inférie
]. Le phénomène peut être observé dans le même sujet dans le membre
supérieur
[Dreiblaol (85) ; Melde (86) ; Kummel (84)]. No
Lorsqu'on est en présence d'une absence congénitale de l'extrémité
supérieure
du tibia, le péroné reste au contraire presque
e développait t normalement, a produit une luxation à son extrémité
supérieure
et à son extrémité inférieure. Et il s'agit d
le système de charpente, dans l'ossa- ture du membre. » La partie
supérieure
du péroné, comprimée contre la diaphyse fémorale
lle est arrivée au niveau de la plante du pied. Puisque l'extrémité
supérieure
était fixée par la compression du capu- chon am
cet élément étiologique est très difficile à nier dans les membres
supérieurs
. Les mains sont formées par six doigts. Mais tan-
pent à une époque plus avancée de la vie foetale et que les membres
supérieurs
se développent plus tôt. Si l'arrêt de développ
t les propor- tions de l'amnios s'est fait au moment où les membres
supérieurs
avaient déjà commencé leur différenciation tand
t de cette maladie le malade s'aperçut d'un tremblement aux membres
supérieurs
. Guéri du choléra sortit de l'hôpital, mais le tr
epas, le malade a une sensation de boule qui l'étrangle à la partie
supérieure
du cou. La langue possède des mouvements en masse
agé- rés des deux côtés. De même les réflexes tendineux des membres
supérieurs
. Le réflexe massétérin est un peu accentué bila
x parties par une coupe passant à travers les sillons longitudinaux
supérieurs
et inférieurs du vermis. Une partie, la plus pe
l'ordinaire. La capsule olivaire, au contraire, surtout à sa partie
supérieure
là où prend naissance le faisceau central de la
par la ligne de repère S 5 le pédoncule cérébelleux in- férieur et
supérieur
, les noyaux masticateurs et de la VIII° paire, la
lobes quadrilatère antérieur et postérieur, les lobes semi-lunaires
supérieur
et inférieur, le lobe grêle sont extrêmement am
coupe horizontale du rhombencéphale passant par la partie olivaire
supérieure
du bulbe et correspondant à C 6 de la figure 431
nt au-dessus du corps den- lelé (Pl. LXI).-Le pédoncule cérébelleux
supérieur
reste décolorédans sa moitié moyenne; les fibre
nt par le hile et l'émergence du trijumeau le pédoncule cérébelleux
supérieur
est bien coloré dans toute son étendue. Le ruban
t notablement diminuées de nombre. Sur une lame qui borde le sillon
supérieur
de Vicq d'Azyr j'ai pu compter seule- ment une
qui marche par instant d'un air mal assuré. Il présente aux membres
supérieurs
une atrophie très apparente, plus marquée du cô
ints. C'est surtout au niveau du del- toïde, surtout dans sa partie
supérieure
, qu'il y a une atrophie certaine, d'ail- leurs
la masse musculaire antéro-externe, sont conservés dans leur tiers
supérieur
et considérablement atrophiés dans le reste de le
n anatomique nouvelle. Effectivement, nous avons noté que la partie
supérieure
de la colonne vertébrale est toujours fortement
cet os ne sont plus propor- tionnelles aux dimensions du maxillaire
supérieur
: il y a prognathisme infé- férieur. Ce prognat
où se fait surtout l'accroissement des os en longueur : extrémités
supérieure
de l'humérus, inférieure des os de l'avant-bras
e, toutes les exostoses, aussi bien celles siégeant sur les membres
supérieurs
que celles occupant le tronc, le bassin ou les me
lifération osseuse ; c'est aussi l'inégal développement des membres
supérieurs
et des membres inférieurs. Les membres supérieu
ement des membres supérieurs et des membres inférieurs. Les membres
supérieurs
paraissent très courts, alors que les membres inf
es infé- rieurs semblent mieux proportionnés à la taille. Le membre
supérieur
gauche, du creux de l'aisselle à l'extrémité du
es plus considérables, mesure, du sommet de l'épine iliaque antéro-
supérieure
au sommet de la malléole péronière, 81 centimètre
ent, surtout du côté gauche; il est très étroit dans ses deux tiers
supérieurs
. En avant, font saillie la partie supérieure du
it dans ses deux tiers supérieurs. En avant, font saillie la partie
supérieure
du sternum et les extrémités externes et intern
s sont élargies simplement. A droite, au voi- sinage de l'extrémité
supérieure
, sous la tête humérale, mais implantée sur la d
oissance axillaire de l'omoplate. A gauche, on remarque l'extrémité
supérieure
de l'os deux exostoses : la supérieure, très gr
che, on remarque l'extrémité supérieure de l'os deux exostoses : la
supérieure
, très grosse, est implantée sous le col anatomi-
ieure par une exostose saillante : mais il faut noter que l'extrémité
supérieure
du radius est complètement luxée et fait hernie
sur 626 LAUNOIS ET TRÉMOLIÈRES la saillie formée par l'extrémité
supérieure
du fémur, dans l'angle externe du pli de l'aîne
l'artère fémorale soulever la peau par ses battements. L'extrémité
supérieure
du fémur droit est moins volumineuse que celle de
mée ; le mollet, du fait d'une très grosse exostose de, l'extrémité
supérieure
du tibia occupant les faces postérieure et inte
fait une saillie marquée à la face interne de la jambe. L'extrémité
supérieure
du péroné est très végétante ; son extrémité in
ase de la face antérieure du calcanéum, une plus petite à la partie
supérieure
de la même face, et des saillies osseuses sur l
partie interne de la tête du tibia et l'hypertrophie de l'extrémité
supérieure
du péroné. Le pied droit paraît normal. Pourtant,
ticulièrement ainsi pour le massif osseux qui surplombe l'extrémité
supérieure
du fémur gauche. Une toux fréquente et quinteus
e à la troisième période. On constate, en effet, dans tout le tiers
supérieur
du poumon gauche des signes cavitaires et il est
t peu atteintes ; celle du côté gauche est parsemée, dans son tiers
supérieur
, d'adhérences unissant la paroi de la caverne au
hancrure intercondylienne et 41 centimètres du sommet de l'exostose
supérieure
à l'extrémité inférieure du condyle. La circonf
de 8 cen- timètres ; la circonférence maxima du massif exostosique
supérieur
atteint 46 centimètres. Sur une coupe transvers
ntimètres. Ce massif exostosique a complètement modifié l'extrémité
supérieure
du fé- mur : la surface articulaire, seule, a c
yenne. Les deux os sont plus épais qu'à l'état normal et l'épiphyse
supérieure
du péroné a en grande partie disparu. Cet os se
L'aspect des surfaces de section de l'exostose occupant l'extrémité
supérieure
du fémur est, sous ce rapport, tout à fait cara
obtient un total de 66 exos- toses pour le tronc, 25 pour le membre
supérieur
droit, 33 pour le mem- bre supérieur gauche, 32
ur le tronc, 25 pour le membre supérieur droit, 33 pour le mem- bre
supérieur
gauche, 32 pour le membre inférieur droit, 38 pou
bre inférieur gauche. Ou encore, 58 exostoses pour les deux membres
supérieurs
, 70 pour les deux membres inférieurs, ce qui fait
(Launois et Tremoliurcs.) Radiographies du thorax et des membres
supérieurs
llaes0\ CI', éditeurs. EXOSTOSES MULTIPLES
elette de cet individu 4 de ces tumeurs osseuses : 1° Sur le bord
supérieur
et interne du biceps droit* Cette tumeur atteint
tumeur grosse comme un oeuf de pigeon se trouve près de l'extrémité
supérieure
du péroué gauche. 9° Une tumeur (pisiforme) exi
12° Enfin, la dernière tumeur se voit près du bord interne du tiers
supérieur
de l'humérus gauche. Observation II (PL. LXXII)
t, que se développa la première tumeur osseuse, exactement au tiers
supérieur
de j'humérus, en un point compris entre le bord
isiforme) sur le péroné gauche un peu au-des- sous de son extrémité
supérieure
. 5° Une tumeur au-dessous du condyle in- terne
ment, il présente : 1° Une tnmeur à la jambe gauche près du condyle
supérieur
interne du tibia. 2° Une tumeur immédiatement au-
rne de l'os iliaque gauche ; très bosselée, spécialement à son bord
supérieur
interne (On compte "640 SIMONINI jusqu'à 16 b
symétrique au bord interne du même os. La 19", près de l'extrémité
supérieure
et interne du tibia droit. La 20", près de la têt
e tumeur plus grosse que les précédentes, se trouve près du condyle
supérieur
et externe du tibia gauche. La 22", du même vol
halange de l'annulaire de la même main. La 29°, près de l'extrémité
supérieure
de la première pha- lange de l'annulaire de la
filtrée de la fissure calcarine. 656 MOCQUIN bords et à la partie
supérieure
du cervelet on ne rencontre que quelques points
nt normalement. Le crâne est dé- formé dans sa partie antérieure et
supérieure
qui est légèrement aplatie dans le sens transve
musculaire moyenne; les ré- flexes tendineux sont partout (membres
supérieurs
et inférieurs) un peu exa- gérés ; il n'y a pas
u moins marqué qu'à droite puisque le bord inférieur de la paupière
supérieure
ne descend que jusqu'au bord inférieur de la pupi
arqué que chez la mère puisque le bord inférieur des deux paupières
supérieures
atteint le bord supérieur de l'orifice pupillai
ue le bord inférieur des deux paupières supérieures atteint le bord
supérieur
de l'orifice pupillaire. L'élévation de la paupiè
lmoplégie. Examen des yeux. - O.G. Le bord inférieur de la paupière
supérieure
dépasse un peu le bord supérieur de la pupille.
Le bord inférieur de la paupière supérieure dépasse un peu le bord
supérieur
de la pupille. O.D. Il n'atteint que le bord in
yphilitique de l'ophtalmoplégie. Examen des yeux. 0. D. La paupière
supérieure
cache la moitié de l'iris. 0. G. le ptosis est
ixe ou avec une canne, des mouvements d'assouplissement des membres
supérieurs
exi- geant une véritable dislocation des épaule
ro-interne comme pivot, un mouvement de bascule qui porte sa partie
supérieure
en haut et en avant. L'angle inférieur est fort
ste aucune gêne de l'écriture ni des mouvements complexes du membre
supérieur
. Le trapèze a conservé, des deux côtés, l'intég
iques sous-jacentes. Suivant le degré de l'intensité, le maxillaire
supérieur
et la voûte palatine sont atteints, soit ensemble
ningite, impriment aux foetus des mouve- ments d'une amplitude très
supérieure
aux mouvements spontanés d'un foetus sain. Le m
en peut juger : les crêtes iliaques sont normales. ' Les membres
supérieurs
présentent également une déformation marquée ;
st déformée il leur niveau. A part cela, la déformation du membre
supérieur
est comparable à celle du membre inférieur. La
tant encore plus développée il gauche qu'à droite. Le maxi 1- laire
supérieur
ne présente rien de particulier. Par contre, le m
es. Le sternum est égale- ment hypertrophié, surtout dans sa moitié
supérieure
. Le thorax très gros dans sa partie supérieure,
rtout dans sa moitié supérieure. Le thorax très gros dans sa partie
supérieure
, évasé dans sa moitié inférieure, paraît très rap
ace articulaire inférieure = 3 cent. 1/2. Largeur du plateau tibial
supérieur
= 9 cent. 1/2. La plus grande circonfé- rence r
. La plus grande circonfé- rence répondant à 0 m. 15 de l'extrémité
supérieure
= 17 cent. 1/2. Poids = 670 grammes à l'état pr
ssus des condyles = 0. 17 cent. Longueur = 0. 47 cent. -Ex- trémité
supérieure
très volumineuse avec conservation respective des
droit, mais beaucoup plus irrégulier. Il présente à l'union des 2/3
supérieurs
avec le tiers inférieur un point très rétréci c
DE LA SAL1'l''s'l'ltll;Rl, L'hypertrophie porte surtout sur les 2/3
supérieurs
de l'os ; néanmoins le 1/3 inférieur- est notab
? Circon- férence suscondylienne = 17 cent. Poids 900 gr. Membre
supérieur
droit. Les os de la main droite contrairement il
ne = 0. 05 cent. Longueur (en lignedroite) = 6 cent. 1/2. Le membre
supérieur
gauche est comparable au membre supérieur droit.
= 6 cent. 1/2. Le membre supérieur gauche est comparable au membre
supérieur
droit. Sternum. Longueur = 23 cent. Appendice x
upent les os du crâne, le radius, les tibias (diaphyse et extrémité
supérieure
) et les clavicules. Elle respecte au contraire
l'obligeance de M. Rellery-Desfonlaines, on verra que l'ex- trémité
supérieure
était fortement touchée par l'ostéite déformante.
, étant encore plus développée à gauche qu'il droite. Le maxillaire
supérieur
ne présente rien de particulier. Par contre le
s marquée à droite et surtout des apophyses montantes du maxillaire
supérieur
qui'font une véritable saillie sous la peau et
is la déformation est extrême- ment marquée au niveau du maxillaire
supérieur
. De plus la. concavité de la voûte palatine a d
emble augmenter. Les épaules ont leur aspect ordinaire. Les membres
supérieurs
sont déformés et cette déformation apparaît sur-
. L'hypertrophie porte sur toute l'étendue de l'os : les extrémités
supérieures
sont très développées et con- 20 NOUVELLE ICONO
orche dans chaque main, vêtu d'une clamyde, et chaussé. A la partie
supérieure
, d'un côté une Bacchante danse suivant le mode or
font un angle ouvert d'environ 35°. Le torse est droit, les membres
supérieurs
retombent naturellement de' chaque côté du corp
decolonnes creuses, et transmettent aux tibias le poids des parties
supérieures
. Enfin les tibias soutiennent les fémurs et tou
emière vertèbre cervicale on atlas dont les sur- faces articulaires
supérieures
forment son centre d'appui. Lorsque le visage e
'autre effet que de rapprocher ses deux insertions, son in- sertion
supérieure
fémoro-tibiale de son insertion inférieure au cal
l'articulation du genou et au déplacement en arrière de l'extrémité
supérieure
du tibia, 84 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
alternative que de soulever le talon. Si la fixité de l'insertion
supérieure
est obtenue par d'autres moyens, le même résult
e en arrière et par suite l'inclinaison en ar- rière-de l'extrémité
supérieure
du tibia et que l'insertion supérieure du gastr
en ar- rière-de l'extrémité supérieure du tibia et que l'insertion
supérieure
du gastrocnémien se trouvant fixée, la contract
nue en extension par la seule force de la pesanteur. Et l'extrémité
supérieure
du tibia étant ainsi rendue fixe, la contractio
fascia lata, au milieu le moyen fessier, et en arrière le faisceau
supérieur
du grand fessier. Le tronc tout entier sous pei
la colonne vertébrale s'infléchit à sa base pour ramener la partie
supérieure
du torse au-dessus de la base de sustentation.
, au-dessus de la han- che qui par contre est abaissée. La partie
supérieure
de la colonne vertébrale est droite et ne subit
plus étroite et saillante par suite de la contraction de la moitié
supérieure
de ses muscles (moyen fessier). Cette forme s'acc
un seul pied, l'équilibre devient encore plus précaire. Les membres
supérieurs
s'écartent davantage et cette station ne peut g
ure du thalamus (Thl). L'observateur regarde le cerveau par sa face
supérieure
; la projection de la figure est donc horizonta
et suivant approximativement le même parcours, se place à sa partie
supérieure
, puis à sa partie externe, et s'épanouit en évent
(BSO). Celle-ci va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa partie
supérieure
. La partie inférieure du noyau amygda- lien est
lentes douleurs rachidiennes cervicales, irradiées dans les membres
supérieurs
. Atrophie musculaire considérable dans les membre
d'une grande violence . Celles-ci se propageaient dans les membres
supérieurs
, dans les côtés de la poitrine. Le cou était ra
n séjour qui fut de quelques semaines, il remarqua que les .membres
supérieurs
maigrissaient énormément. z L'atrophie muscul
, les douleurs n'ont fait qu'augmenter d'intensité dans les membres
supérieurs
. Elles sont devenues très aiguës dans les mains
rophie musculaire très accentuée, occupant le thorax et les membres
supérieurs
dansjeur entier, avec prédominance dans les ava
a tête et une paralysie des deux sixièmes paires (PI. XVI). Membres
supérieurs
? L'atropine est très marquée aux mains. Les es-
TE CERVICALE SYPHILITIQUE 107 l'axe de l'avant-bras quand le membre
supérieur
est pendant au repos ; il n'y a pas d'hyperexte
rticulation de l'épaule sont très douloureux. L'abduction du membre
supérieur
est limitée surtout par la tension du grand pec
sont fortement déprimés. Le malade éprouve clans la région slernale
supérieure
des douleurs semblables à celles qu'il ressent
ure des douleurs semblables à celles qu'il ressent dans les membres
supérieurs
. Symptômes cérébraux. L'intelligence est intact
té profondément altérées, car la paralysie atro- phique des membres
supérieurs
est du type radiculaire. On doit admettre qu'il
raitement, malgré un commencement d'atrophie musculaire aux membres
supérieurs
. (De la méningo-myélite syphilitique, thèse de Pa
rmique n'ont pas été absolument cons- tants la région antérieure et
supérieure
de la cuisse. Dans un premier examen l'eau chau
sent en outre de temps en temps des fourmillements dans les membres
supérieurs
et jus- que dans la face. A part cela, il n'exi
ie atteignant plusieurs muscles, principale- ment ceux de la moitié
supérieure
du corps, de la ceinture scapulaire et des bras
rapide de la maladie, l'envahissement presque simultané des membres
supérieurs
, et de la face, le peu d'accroissement des mass
ses tantes très intelligente, avait été religieuse et était devenue
supérieure
de sa commu- 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
que de troubles de la station et de la marche. A 18 ans les membres
supérieurs
furent atteints par la maladie. Le travail il l'a
eau de l'épine ou de la pointe de l'omoplate (Pl. XVIII). Membres
supérieurs
. Les deltoïdes sont très diminués ; le bras ne pe
tinuer le mouvement. Réflexes tendineux ou périostiques des membres
supérieurs
inappréciables. Membres inférieurs. Le grand fe
cette atrophie des fessiers et retombe sur les parties latérales et
supérieures
des cuisses. Au MYOPATHIE PRIMITIVE GÉNÉRALISÉE
l'impotence fonctionnelle pour les membres inférieurs, les membres
supérieurs
et la face, él ! fI la localisation ltrétloani-
ut les résumer, d'une façon générale, comme il suit : Aux membres
supérieurs
la diminution de l'excitabilité électrique des
n'y a que des altérations moins importantes à signaler. I. MEMBRES
supérieurs
et ceinture scaruLantr. ,1. - Courants faradiqu
. ,1. - Courants faradiques. (L'exploration faradique des membres
supérieurs
a été faite avec l'appa- reil à chariot de Trip
s comparables, d'une façon absolue, à ceux obtenus pour les membres
supérieurs
accole grand chariot; leur comparaison rela- NO
. 2. Courants galvaniques. (Mômes conditions que pour les membres
supérieurs
. Nous ne rappor- tons que les réactions du côté
our les suivants, ainsi que pour les muscles et les nerfs du membre
supérieur
, une résistance assez considérable se trouve sura
s 2 côtés ; Orbiculaire des lèvres : 100mm; Élévateur de la lèrre
supérieure
et de l'aile du nez : à droite 100mra ; à gauch
de la cuisse. 170 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Rameaux
supérieurs
: 107 C. dans le frontal, le sourcilier, le pyra-
m A, X, NFC seule, 2 m , NFCC > PFC". ' Nerf facial : Rameaux
supérieurs
; ,1/2 m A, VI, NFC'' ; 1 m A, X, NFC > PrC'
épaules maigrissaient. A l'âge de 20 ans, la faiblesse des membres
supérieurs
s'était accentuée, au point qu'il a été obligé
la flexion passive de la tête et mal à son ex- tension. , MEMHHES
supérieurs
. La morphologie des épaules est anormale. Les del
vres, et dans la por- tion de l'élévateur commun qui élève la lèvre
supérieure
; dans les au- tres muscles il n'y a pas d'alté
térations manifestes de la contractilité électrique. I. - Membres
supérieurs
. Ceinture scapulaire. Tronc 1. Courants faradiq
bord spinal du scapulum font une forte saillie en arrière, l'angle
supérieur
et interne est remoulé et fait saillie dans le
eu atrophié, et l'atrophie est appré- ciable surtout dans sa partie
supérieure
: C. ni. il 80mm, il 70mm C. assez bon- nes, il
e, l'atrophie est plus marquée et porte surtout aussi sur la partie
supérieure
: C. m. a 70n ? à 60 C. assez bonnes. Portion m
à droite, n'est guère atrophiée, si ce n'est un peu dans sa partie
supérieure
, C. m. à 70 ? il GO C. assez bonnes; a gauche, un
GO C. assez bonnes; a gauche, un peu plus atrophiée, dans sa partie
supérieure
surtout, C. m. à 6ai ? : C. assez bon- nes il Õ
sez bonnes Ù 60; - il gauche, sensiblement atrophiée dans sa partie
supérieure
: C. m. il 0 : il 55 C. assez bonnes. Biceps
ité un peu diminuée surtout dans la partie qui s'insère il la lèvre
supérieure
: C. minima apparaissent à 85mm dans la portion
ile du nez, et il 80mm seulement dans la portion qui élève la lèvre
supérieure
. Dilatateur des narines : C. m. à 100 ; Trans
té un peu diminuée, surtout dans la par- tie qui occupe la paupière
supérieure
; C. minima apparaissent entre 80 et 85 ? Fronta
dans les ni. du nez, les zygomatiques, et l'élévateur de, la lèvre
supérieure
; de 80 il 85 C. dans l'orbiculaire des lèvres ;
A. NFC'>PFC ? Elévateur commun de l'aile du 11t ? et de la lèvre
supérieure
: VIII, 2 m. A. NFC' dans la partie qui élève l
élévation bien accusée de l'aile du nez, élévation faible de la lèvre
supérieure
: il PF élévation seulement de l'aile du nez ;
F élévation de l'aile du nez et aussi, mais plus faible de la lèvre
supérieure
. Zygomatiques : VIII, 2 m. A. NFC' seule; X, 3
d sa main gauche au-dessous du genou correspondant, étend le membre
supérieur
droit, grimpe avec la main gauche le long de la
et le thorax en extension exagérée, joints à l'attitude des membres
supérieurs
, donnent il l'habitus général de ce malade une al
ne résistance d'une faiblesse inusitée, très marquée aux extrémités
supérieures
, surtout à gauche. En outre, la contraction mus
au moment où passent St-Jean et St-Pierre. L'émaciation des membres
supérieurs
est extrême. L'attitude de la main en griffe es
çons les doigts entre la face inférieure de l'acromion et l'extrémité
supérieure
de l'humérus. Je ne vous parle pas de la tête n
ut nullemeut douloureuse; mais immédiatement après, loti[ le membre
supérieur
gauche, y compris la main, s'infiltra d'un oedè
nstrictive do la région dorso-lombaire) et n'ont envahi les memhres
supérieurs
que beaucoup plus lard. Vers la même époque, se
ce. En 1881, elle ressent des douleurs fulgurantes dans les membres
supérieurs
droit et gauche (au niveau des mains et des cou
ment son épaule craquer. Le lendemain matin, elle sent son mem- bre
supérieur
gauche lourd et paresseux ; elle le regarde et le
n en- lève une seconde fois, cinq mois après. L'épaule et le membre
supérieurs
étaient alors, dit la malade, dans l'état actue
s dou- leurs fulgurantes ne s'étaient pas montrées dans les membres
supérieurs
. De- puis elles sont revenues, à intervalles va
avec une ecchymose étendue, soit dans l'un soit dans l'autre membre
supérieur
. Ces ecchymoses n'étaient ni précédées ni sui-
précédées ni sui- vies de crise douloureuse. L'ecchymose du .membre
supérieur
droit s'est effacée progressivement et l'articu
trouve un ptosis très peu -'prononcé de l'oeil droit. La' paupière
supérieure
recouvre en grande partie le globe de l'oeil ;'le
a diplopie qu'elle a constatée il l'époque même ou 1,,( paù-' pière
supérieure
s'est- abaissée. Les pupilles- un peu dilatées,,
douloureuses et thermi- ques perçues mais avec retard. Aux membres
supérieurs
'et à la face,- le contact est conservé mais l'
s sans, laisser, les moindre vestige de-leur existence. L'extrémité
supérieure
delà diapbyse. hume- rale se présente sous form
compte, eu la prenant entre ses doigts.; Cette résorption du quart
supérieur
des deux humérus explique' la morphologiëz si c
semblable. La dislocation est. telle qu'on peut mettre les 'membres
supérieurs
dans les altitudes les plus extraordinaires et fa
ces lésions, la ma- lade se sert encore passablement de ses membres
supérieurs
, du moins de ses mains et de ses avant-bras. Ki
as plus marqués au niveau de l'épaule que dans le reste des membres
supérieurs
. Quant à 1 ? iiiiyo[ropiiie, si elle existe, il
rgnées : la ceinture, le tronc, le cou, la face et même les membres
supérieurs
, sauf cependant la sphère du cubital qui semble
était deux fois plus gros que maintenant; la jambe, dans son tiers
supérieur
, était aussi un peu enflée. L'enduro est alors
bertson est très net. Aucun trouble de la mobilité dans les membres
supérieurs
: dans ceux-ci, comme dans les membres inférieurs
e malade de Déjerine il y avait sur le cubitus, à la réunion du 1/3
supérieur
avec les a/3 inférieurs, une llyperostose du vo
est très significatif. Elle est beaucoup plus fréquente aux membres
supérieurs
, contrairement à ce qui se passe dans le tabes, e
s, contrairement à ce qui se passe dans le tabes, et pour le membre
supérieur
sa fréquence est plus grande pour les articula-
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Description de la malformation du membre
supérieur
gauche Voy. Fig. 63 (1). ' La malade présente d
' La malade présente depuis sa naissance une déformation du membre
supérieur
gauche. Ce membre, dans son ensemble, a des dim
ut se borne à une anomalie de la main droite. Sans doute, le membre
supérieur
droit est atrophié dans son ensemble, mais celle
ec la main du côté sain. Du reste, les divers segments de ce membre
supérieur
droit (épaule, bras, avant-bras, carpe et méta-
nous avons parallèlement étudiés : niveau topographique des limites
supérieure
et inférieure de la moelle, de ses segments régio
raux c'est-à-dire de l'issue rachidienne des ra- cines. La limite
supérieure
de la moelle, déterminée par la 1 ? paire cervica
hyse au bord inférieur de la 12e; la moelle sacrée occupe la partie
supérieure
du canal lombaire. Ces moyennes, déjà connues et
e numéro des racines qui naissent à son niveau; à la région dorsale
supérieure
il faut ajouter deux; à partir de le Gaz apophy
2e lombaire. - On dira donc : « chez l'enfant, a la région dorsale
supérieure
, delà lrc à la 4e apophyse il faut ajouter 3 po
il, est sorti un séquestre mince et long, et un abcès à la paupière
supérieure
gaucho ; il vint Ù Paris et fut soigné par Chassa
épaule droite, du poignet droit et de l'impotencc de tout le membre
supérieur
. Le 17 mai, il se présente il la consultation d
ule droite est tuméfiée ; il se plaint de l'impotence de son membre
supérieur
droit. Motilité. On ne remarque pas d'atrophie
s et en arrière (PL XXXIII et XXXIV). Tous les mouvements du membre
supérieur
gauche sont libres, sauf l'éléva- tion du bras
calleux (PI. 111VI). . Dentition très' mauvaise : toute la mâchoire
supérieure
est dépourvue de dents ; il ne reste qu'une can
cts. Fin juin. L'état du malade a peu changé; l'impotence du membre
supérieur
droit persiste, la laxité de l'épaule paraît un
, il doit en être de même de la lésion; enfin elle occupe le membre
supérieur
, le siège de la lésion est donc le ren- flement
a sensibilité de la plaque imprégnée de sel d'argent est infiniment
supérieure
il celle de l'écorce cérébrale ; elle conserve to
siège d'une vive douleur. Or ces deux membres et surtout le membre
supérieur
étaient frappés d'atrophie; ce dernier, réduit
les solutions de continuité cutanéessi fré- quentes aux extrémités
supérieures
. Cette pathogénie serait altribuable du moins a
tion correspondant la syringomyélie ? Les arthropathies des membres
supérieurs
sont de beaucoup les plus fréquentes parce que la
plus fréquentes parce que la lésion siège de préférence a la partie
supérieure
de la moelle. D'autre part elles sont si rareme
due à la flexion du coude, mais à la subluxation de l'extrémité
supérieure
du radius, déviant en dehors l'axe de l'avant
uvent et lui fit suivre des cours, afin qu'elle préparât son brevet
supérieur
. Elle devint de plus en plus préoccupée de maig
s vestibulaires et médullaires qui se donnent rendez-vous au vermis
supérieur
. Ces fibres nous semblent 1 devoir être physiol
antérieur et du tubercule acoustique d'abord, et aussi, par l'olive
supérieure
, l'anse latérale, le noyau du ruban de Reil, le
ait décrit des faits de ce genre sous le nom de paralysies alternes
supérieures
, et, à pro- pos du cas caractéristique de Luton
lysé, l'occlusion isolée do l'oeil gauche est impossible. Le membre
supérieur
gauche est totalement paralysé ; les doigts, la m
oesfleésae anclae, pour tous les modes de la sensibilité. Au membre
supérieur
, il y a une légère atrophie musculaire en masse.
léchi à angle droit au devant de la poitrine et impotent. Le membre
supérieur
droit est raide et résiste aux mouvements provoqu
es sont exagérés du côté droit; il y a de la trépidation. Au membre
supérieur
ces réflexes sont impossibles à provoquer à cause
obligean- ce, à la date du 19 février. « OEil gauche. La paupière
supérieure
recouvre en grande partie le globe de l'oeil. I
e est normale. Pas de vice de réfraction. OEil droit. - La paupière
supérieure
est un peu rétractée ; elle laisse a dé- couver
zontale. Ces fais- ceaux s'accolent et sortent par la tache criblée
supérieure
, formant le ra- meau supérieur de Scli2ctclGe.
ent et sortent par la tache criblée supérieure, formant le ra- meau
supérieur
de Scli2ctclGe. 2° Un quatrième faisceau se dét
onnes de Clarke, que nous retrouvons plus haut le long de la racine
supérieure
du trijumeau, jusque sous les tuber- cules quad
le noyau latéral de Stieda et Schwalbe, la partie externe du noyau
supérieur
de IIenle, le noyau dorsal latéral, le noyau à
estibulaire et un faisceau cérébelleux direct qui aboutit au vermis
supérieur
comme celui de Flechsig. Nous en faisons pour ces
de ce, dernier, un important faisceau qui se dirige vers le vermis
supérieur
du cervelet. Ce faisceau est l'homologue du fai
ui des cellules de la colonne de Clarke remonte vers le même vermis
supérieur
. De ce noyau de Deiters partent encore deux faisc
noyau du toit du même côté et vers celui du côté opposé. Du vermis
supérieur
, rendez-vous commun des fibres cérébelleuses di-
notre schéma, des fibres se dirigent par le pédoncule céré- belleux
supérieur
vers le noyau rouge (NB) du côté opposé, et de ce
ucezs. VIf. Noyau du facial. IX. N. Glosso- pharyngien.- OS. Olives
supérieures
.- T. Noyaux trapézoïdes.- NG. Noyau des cor- do
(n C) et se dirigent ensuite (Bechterew) vers le vermis cérébelleux
supérieur
. C'est par ce double système de fibres que doiv
ent maintenant le faisceau décrit par Edinger, unissant cette olive
supérieure
du noyau de l'abducens (VI). Enfin de la partie
x faisceaux dont l'un postérieur se dirige obliquement vers l'olive
supérieure
du côté opposé, et l'autre atteint directement
e supérieure du côté opposé, et l'autre atteint directement l'olive
supérieure
du même côté. Nous verrons plus loin les connex
ontribue à former les fibres du corps trapézoïde et atteint l'olive
supérieure
opposée (Edinger). Un quatrième aboutit à l'olive
corps trapé- zoïde, traverse le raphé, passe en arrière de l'olive
supérieure
opposée, et remonte dans l'anse latérale vers l
réticulée et atteignent l'écorce pariétale op- posée. De l'olive
supérieure
part un important faisceau qui atteint le noyau d
aboutit vraisembla- blement à la temporale du même côté. L'olive
supérieure
est enfin en rapport avec le nerf oculomoteur ext
pesant cent livres et plus. Ses muscles, non seulement des membres
supérieurs
, mais des lombes et des membres inférieurs se son
n maximum qu'elle gardait toute la journée. En même temps le membre
supérieur
gauche qui pendant le décubitus avait sa sensib
troubles de la sensibi- ité (Fig. 97 et 98). Les réflexes du membre
supérieur
gauche et de toutes les autres parties du corps
dans le second le type que j'ai décrit sous le nom de typé brachial
supérieur
. ... Je ne saurais du reste insister ici sur le
scles qui meuvent les coiumissures, et .,qui, agissent sur faièv-re
supérieure
.- Il en résulte que la Jigné : qui sépare les lèv
creusent et s'arrondissent par l'action* des élévateurs de la lèvre
supérieure
, ce qui donne' à la physionomie un air pleureur(3
longue quand à la po- lio-encéphalite inférieure vient s'ajouter la
supérieure
. Ce faciès si spécial n'est pas d'ailleurs, com
appeler indépendantes, qui, à leur tour, réagissent sur les systèmes
supérieurs
à celui qu'elles affectent. L'ordre de dépendan
on superficielle de l'os ; sur cette autre, une destruction des faces
supérieure
et postérieure du corps vertébral. Outre les di
physes; ils doivent se pénétrer de sels calcaires et former les faces
supérieure
et inférieure des corps vertébraux. L'atlas-, don
dans la forme du tronc. Un rapprochement s'opère entre les vertèbres
supérieure
et inférieure à celle qui est détruite. Le poids
une flexion telle de la colonne, que la face antérieure des vertèbres
supérieures
vient s'adosser à la partie supérieure du fragmen
face antérieure des vertèbres supérieures vient s'adosser à la partie
supérieure
du fragment inférieur. Ce dessin nous offre l'exe
mple d'une coaptation survenue par l'inclinaison en avant du fragment
supérieur
du rachis. Dans le premier cas, il y a adosseme
r entrer en contact. Dans le second mode de coaptation, le fragment
supérieur
, en partie érodé à sa face antérieure, est renver
r, en partie érodé à sa face antérieure, est renversé sur l'extrémité
supérieure
du fragment inférieur taillé en biseau, et forman
us offre une variété curieuse de consolidation osseuse. Les vertèbres
supérieures
du fragment inférieur, fortement déjetées en arri
ns une gouttière, creusée à leur face antérieure, la base du fragment
supérieur
, auquel elles servent, en quelque sorte, de gaine
antes sont situées, dans ce cas, tantôt au milieu, tantôt à la partie
supérieure
ou inférieure de la gibbosité. Cette variété appa
rbure principale à convexité droite, distinguer une deuxième courbure
supérieure
à convexité gauche. Ce signe pourrait manquer. La
dans la région cervicale, il y a ordinairement paralysie des membres
supérieurs
et des membres inférieurs; cependant on a vu la p
inférieurs; cependant on a vu la paralysie n'affecter que les membres
supérieurs
seulement. La moelle, dans ces cas, devait être s
une opinion exagérée ; mais on ne peut nier que le poids des parties
supérieures
du corps n'augmente la courbure de l'épine ; il e
ant éprouvé à trois reprises, depuis un an, une paralysie des membres
supérieurs
et inférieurs. Les deux premières attaques ont cé
ris par M. Legrand ; je ne sache pas que ce médicament se soit montré
supérieur
à aucun de ceux qu'on a opposés directement à l'a
us dense qu'il ne l'est dans l'ostéite. ARTICLE II. MAL VERTÉBRAL
SUPÉRIEUR
OU SOUS-OCCIPITAL. Nous avons laissé de côté un
ne vertébrale pour en examiner les affections à part; c'est la partie
supérieure
ou les deux premières vertèbres du cou et leurs a
la paraplégie, mais, chose surprenante, pas de paralysie des membres
supérieurs
. La moelle était comme ramassée et revenue sur el
lsifs, de la paralysie. La paralysie affecte plus souvent les membres
supérieurs
que dans le mal vertébral des autres régions; que
s avons abordé un autre ordre de faits. En décrivant le mal vertébral
supérieur
, je vous ai parlé des luxations et des ankyloses
on aurait, pour l'os iliaque, deux luxations, la sus-cotyloïdienne ou
supérieure
, et l'iliaque ou postéro-supérieure; deux corresp
aire, et, par conséquent, sont dans la direction du poids des parties
supérieures
. Dans le cas que nous examinons, la tête de ces o
es mêmes pièces concourent à former chacun des trois bords. La partie
supérieure
du cotyle reste la plus profonde ; l'oblitération
remarque en général une diminution du diamètre transverse du détroit
supérieur
et un élargissement du même diamètre du détroit i
a tubérosité sciatique du même côté est déjetée en dehors. Le détroit
supérieur
offre une déformation que M. Lenoir a rapprochée
ment des parties molles donne un volume plus considérable à sa partie
supérieure
; inférieurement il est plus grêle. Ce membre pré
t. Le sommet des trochanters s'est élevé au niveau de l'épine iliaque
supérieure
. Nous voyons les aines déprimées, les trochanters
puytren a conseillé de porter une ceinture pour maintenir l'extrémité
supérieure
du fémur appliquée contre le bassin; c'est en eff
é sain ; le pouce droit placé ainsi que le gauche sur l'épine iliaque
supérieure
, est évidemment plus élevé. On peut espérer que l
des muscles des deux yeux, contraction simultanée des muscles droits
supérieurs
, droits inférieurs, des muscles latéraux, non pas
ents, faire des recherches dans la plaie, dans son fond, à ses angles
supérieur
et inférieur, et voir s'il ne reste pas quelque p
ssa à l'état chronique. 11 en est résulté une déformation des membres
supérieurs
et inférieurs, déformation qui n'empêcha point la
s difformités n'ont fait que s'accroître. Vous voyez , dans le membre
supérieur
, comme une subluxation du cubitus en arrière, con
. Vous voyez que, chez cette femme, la déformation existe au membre
supérieur
comme à l'inférieur. Remarquez la forme arrondie
e, nous trouvons un pied bot varus droit, avec une atrophie du membre
supérieur
gauche, et, comme antécédents, des convulsions à
alysie croisée. Mais le mouvement est revenu en partie dans le membre
supérieur
, tandis qu'au pied la paralysie est complète ; il
gaments n'existent pas au même dgré; la première est presque toujours
supérieure
à l'autre. Plus le pied bot est ancien, moins cet
se diriger en ligne droite, s'est trouvé porté à son côté interne et
supérieur
, ainsi qu'on le voit sur plusieurs de ces pièces
e pied est paralysé, et tout le membre est atrophié jusqu'à sa partie
supérieure
. Une bride très-large et très-solide, étendue du
res diverses, et l'on a ainsi un écartement variable de son extrémité
supérieure
en dehors et en avant, suivant la direction et la
eu en même temps, chez cet enfant, une paralysie incomplète du membre
supérieur
. Cet autre enfant est un exemple curieux des di
rmités multiples dont je vous ai entretenus précédemment. Les membres
supérieurs
, paralysés presque complètement, sont dans l'exte
ts, réglés par une vis, inclinent la sandale, par rapport à la partie
supérieure
du levier, sous un angle variable à volonté. L'un
e courroie pour fixer le levier. Une rondelle, placée à son extrémité
supérieure
, lui donne un point d'appui sur le côté interne d
articulation quelque mobilité dans le sens de la flexion. L'extrémité
supérieure
du levier est fixée à la jambe, non immédiateme
fère, dans ce cas, deux montants articulés à un seul ; leur extrémité
supérieure
est réunie à un demi-cercle rembourré, prenant so
nie à un demi-cercle rembourré, prenant son point d'appui à la partie
supérieure
de la jambe, en arrière dans le pied équin, en av
eurs divisions représentant les tendons des muscles. Mais l'insertion
supérieure
des muscles sur les os est fixe, tandis qu'ici ce
dres de moyens que nous avons indiqués, les appareils mécaniques sont
supérieurs
aux deux autres; ils peuvent toujours remplacer c
de la nouvelle substance entre les deux côtés de la section. Le bout
supérieur
du tendon ne descend jamais au-dessous du lieu où
bres musculaires. Quant au bout inférieur, il descend et s'éloigne du
supérieur
en proportion de l'abaissement de son point d'ins
normale du pied? Le bout inférieur n'étant pas écarté suffisamment du
supérieur
, la cicatrice tendineuse est trop courte et le mu
lumineuse et les bosses frontales ne sont pas saillantes. Aux membres
supérieurs
, pas de courbures ; le rachitisme ne s'y décèle q
probable que cette courbure de l'épine date de peu d'années. Membres
supérieurs
bien conformés; les inférieurs sont un modèle du
s sont fortement courbés en X, et les genoux se touchent. Les membres
supérieurs
ont seuls échappé à l'envahissement du rachitisme
n marqué. Le rachis est droit; le bassin paraît régulier. Les membres
supérieurs
n'offrent pas de courbures, mais les poignets s
tions de la région lombaire. Il y a rétrécissement oblique du détroit
supérieur
à gauche, si les dernières vertèbres s'inclinent
rachitisme pelvien se font sentir sur d'autres points que le détroit
supérieur
. Ainsi, la marge du bassin, l'excavation pelvienn
ns le détroit inférieur un rétrécissement analogue à celui du détroit
supérieur
; quelquefois pourtant, malgré les déformations du
t supérieur; quelquefois pourtant, malgré les déformations du détroit
supérieur
, l'inférieur est à peine altéré. On l'a même renc
vant en arrière au point que le diamètre antéro-postérieur du détroit
supérieur
n'a que quarante-sept millimètres. La fille Bouré
ux grossesses que par le broiement de la tête de l'enfant. Le détroit
supérieur
n'a que six centimètres, au lieu de onze, dans so
ouches chondroïde et spongoïde se fait simultanément dans les membres
supérieurs
et inférieurs, mais en des points différents, qui
Loc. cit., cap. 21, p. 270. du radius et du cubitus, à l'extrémité
supérieure
de l'humérus. Les extrémités opposées des mêmes o
ux membres inférieurs, où elle précède, en général, celle des membres
supérieurs
. Mais elle se voit à peu près aussi souvent au fé
ivement de bas en haut, » depuis les os de la jambe jusqu'aux membres
supérieurs
, au rachis et au crâne. Vous savez déjà que la dé
jà reconnu , savoir, que les membres inférieurs se courbent avant les
supérieurs
, et, dans les uns et les autres, le segment infér
le segment inférieur, 19. la jambe, Pavant-bras, avant le segment
supérieur
, le bras, la cuisse; encore faut-il probablement
, avant la marche , la déformation porte plus souvent sur les membres
supérieurs
que sur les inférieurs. Les vingt exemples de rac
fraient des déformations aussi étendues aux membres inférieurs qu'aux
supérieurs
. 2° Causes, sens des courbures. — On a longtemp
re interne, à convexité antérieure et (1) Gaz. méd., 1834. un peu
supérieure
, s'accroît près de l'extrémité sternale, en chang
le de ne pas voir, dans cette disposition, l'effet du poids du membre
supérieur
agissant de haut en bas sur l'extrémité externe d
tte situation de la tête fémorale, l'obliquité augmentée de la partie
supérieure
de la diaphyse, forcent le bassin de s'incliner e
hors, forment la parenthèse; les fémurs sont peu courbés; les membres
supérieurs
droits. II. Lésions des parties molles. — (1) N
que trois ou quatre sur cent. Cette proportion n'est certainement pas
supérieure
à celle qu'on trouverait dans toute autre réunion
en présente un tibia du côté gauche qui est droit dans ses deux tiers
supérieurs
, fortement courbe en arrière à son tiers inférieu
ère appréciable qu'à droite, le thorax n'est pas déprimé. Les membres
supérieurs
sont droits et offrent seulement le gonflement ép
te courbure s'efface en partie. Le ventre est volumineux. Les membres
supérieurs
n'ont de particulier que le renflement des poigne
rtèbres. Le chapelet est prononcé , le ventre volumineux. Les membres
supérieurs
et inférieurs offrent de légères courbures, à pei
avant-bras; leur courbure est située au bord externe , dans le tiers
supérieur
de l'os, tandis qu'habituellement elle siège beau
e est complètement fermée; le rachis est droit, ainsi que les membres
supérieurs
. L'enfant marche, et vous ne pensez probablement
les écrits d'Hippocrate et de Galien, mais l'inclinaison de la partie
supérieure
du corps en avant. C'est ce qu'en voit par certai
eld (U), de ne pas attribuer la courbure dorsale au poids des membres
supérieurs
, de certains viscères et de la tête elle- (1) D
oût 1849. même, agissant dans la station sur les vertèbres dorsales
supérieures
de manière à les attirer en avant. Les muscles po
nage du cou. Les épaules sont élevées, portées en avant à leur partie
supérieure
, saillantes et soulevées vis-à-vis l'angle inféri
des enfants rejeter le tronc en arrière, tout en inclinant sa partie
supérieure
en avant, de manière à présenter à la fois, la sa
en avant; 3° sur tout le tronc, en soutenant sa partie antérieure et
supérieure
, et en la repoussant en arrière. Il ne faut pas
considérable , et forme presque un angle droit dans la région dorsale
supérieure
. Voici un exemple d'une déformation intermédiai
ses sont portées en arrière, relevées en forme de croupe; leur partie
supérieure
, presque horizontale, augmente encore la concavit
es que l'on fait vêler trop jeunes, contractent un excès de concavité
supérieure
de la région lombaire, et même dorsale, du rachis
e (1) Wenzel, loc. cit., p. 331. davantage en avant par sa partie
supérieure
, et les femmes sont plus exposées à cet excès d'
s'insèrent. Le haut du tronc, la tête, les épaules, tout le membre
supérieur
, sont droits ou portés en arrière dans la lordose
ge les mains; et, suivant que les mouvements exécutés par les membres
supérieurs
portent ces poids en avant ou en arrière du tronc
lle qu'il soit obligé de faire effort de haut en bas avec les membres
supérieurs
dans l'attitude du scieur de long placé au-dessus
hopédique. En soulageant les vertèbres lombaires du poids des parties
supérieures
, en faisant cesser les contractions musculaires n
te attitude, fixer le bassin d'une part, la tête, le haut des membres
supérieurs
ou la poitrine, de l'autre, et exercer sur ces pa
lordose lombaire ; chez l'un, elle est due à une cyphose de la partie
supérieure
du dos; chez l'autre, c'est la partie inférieure
passé en dehors et au-dessus des côtes qui leur étaient naturellement
supérieures
, et ont donné lieu à l'apparence bizarre que vous
ce sens par la moindre surcharge, par un léger mouvement des membres
supérieurs
qui déplace le centre de gravité , le malade réun
ans; suivant les positions diverses, le repos ou l'action des membres
supérieurs
, etc. Le rachis, cette carene du squelette, com
autres sections du corps et surtout à la tête, au thorax, aux membres
supérieurs
et au bassin. A notre point de vue, ce qui nous
trémités sur une ligne verticale. La courbure oblique a son extrémité
supérieure
en dehors de cette ligne verticale ; elle est obl
s. A. La plus simple consiste dans la flexion latérale de la partie
supérieure
du tronc, à droite ou à gauche, toutes les vertèb
fig. 1 et 4. (5) Pl. 2, fig. 2. La flexion latérale de la partie
supérieure
du tronc est une attitude anormale dans la statio
ronc est une attitude anormale dans la station, à moins que le membre
supérieur
abaissé ne trouve un appui; elle est moins rare d
que dans l'attitude précédente ; elle ne fait que ramener l'extrémité
supérieure
de la courbe à la ligne médiane. Les enfants, les
rra faire décrire au rachis deux courbures opposées mais inégales, la
supérieure
cervico-dorsale étant toujours moins marquée que
es sujets, de faire prédominer à volonté la courbure inférieure ou la
supérieure
, et de rapprocher ainsi la courbure en S de la co
influences qui agissaient dans le sens antéro-postérieur. Les membres
supérieurs
, entraînant l'épine latéralement dans leurs mouve
elles. Les plus courtes, qui se voient surtout dans la région dorsale
supérieure
, ne comprennent que trois ou quatre vertèbres; le
simple à son début, n'occupe qu'un petit nombre de vertèbres dorsales
supérieures
; elle s'étend en longueur en devenant plus marqué
sent toujours, de manière que, dans la station verticale, l'extrémité
supérieure
du rachis répond directement au-dessus de son ext
leurs ligaments. Corps vertébraux. — Si l'on considère par sa face
supérieure
où inférieure la circonférence du corps des vertè
forme une saillie très-prononcée en avant; la circonférence des faces
supérieure
et inférieure offre par là, en avant, la figure d
roit est un peu plus échancré. Les trois ou quatre apophyses dorsales
supérieures
sont alternativement déjetées à droite et à gauch
ment du trapèze gauche, dus l'un et l'autre à une courbure secondaire
supérieure
gauche, qui s'est développée plus que les autres.
— Le siège le plus fréquent de ces courbures est à la région dorsale
supérieure
ou moyenne ; leur concavité est tournée à gauche.
u rachis sur le sacrum, surtout chez les enfants, celle des vertèbres
supérieures
, permettent aux muscles de ramener les deux extré
n'a pas lieu, ou bien elle est insuffisante, incomplète, et la partie
supérieure
du tronc reste inclinée et hors de la ligne verti
vers la septième, la huitième ou même la neuvième. La petite courbure
supérieure
en retour, la cervico-dorsale, se prolonge un peu
accompagne presque toujours la sigmoïde, la petite déviation dorsale
supérieure
ou cervico-dorsale sus-aortique, qu'on trouve mêm
grande part à la scoliose, ou décrire seul, jusque dans ses vertèbres
supérieures
, un arc latéral, excepté dans les inflexions spéc
des bords minces. Ces bords sont le résultat de l'étalement des faces
supérieure
et inférieure des corps vertébraux, qui sont élar
aissement rhomboïdal ou losangoïde. Elle consiste en ce que les faces
supérieure
et inférieure du corps vertébral ne sont plus dan
nt à la fois aux deux courbures inverses qu'elles séparent. La partie
supérieure
de la vertèbre est attirée d'un côté, et l'inféri
bre de quarante-cinq seulement , les deux faces de l'atlas et la face
supérieure
de l'axis en étant dépourvues. Ces cartilages fin
duite, la force de pression verticale tombe obliquement sur leur plan
supérieur
; elle tend à les faire glisser horizontalement en
s et articulaires; les fausses côtes s'ajoutent seulement à sa partie
supérieure
. Si la courbure était bi-dorsale, il y aurait d
pl. 3, fio. 5. Les courbures inférieures principales, ou égales aux
supérieures
, rétrécissent le thorax à la hauteur des fausses
t, chez les sujets âgés, un resserrement antéro-postérieur du détroit
supérieur
, qui peut lui faire perdre dans ce sens un ou deu
sans que les nerfs soient comprimés, parce que leur diamètre est bien
supérieur
à celui des nerfs. Ce n'est que dans les déviatio
dorsales, réduit, en outre, la circonférence des régions abdominales
supérieures
. L'inclinaison du tronc en avant, quand elle a li
scoliose. Un certain nombre d'entre eux sont coniques; leur extrémité
supérieure
, très-rétrécie, finit en pointe, la pression et l
sur des reins situés dans le sens de la concavité, quand leur partie
supérieure
a été soumise à quelque pression latérale (2).
vra être le point fixe; vous ne verrez aucun mouvement de la vertèbre
supérieure
, parce que la première sera mobile précisément da
ïde, le trapèze, en agissant sur l'épaule clans les efforts du membre
supérieur
, attirent les vertèbres horizontalement et les éc
quemment, au bas de la région cervicale gauche et visrà-vis la partie
supérieure
de l'omoplate, une troisième saillie à peine accu
us la partie inférieure de l'omoplate. D'autres fois, c'est la partie
supérieure
du scapulum qui est plus soulevée qu'à droite, pa
, et l'équilibre n'est rétabli que par le retour de la région dorsale
supérieure
vers le côté gauche, par l'inclinaison de la régi
la région cervicale dans le même sens, et par l'abaissement du membre
supérieur
gauche. La tète revient un peu à droite pour limi
de la région dorso-lombaire gauche sont déprimés dans leur portion
supérieure
, et forment inféiïeurement une saillie assez cons
au troisième degré. Mêmes caractères que la précédente. La courbure
supérieure
est ici assez marquée, et se traduit par une sail
rthrodiales correspondantes, les apophyses articulaires des vertèbres
supérieures
glissent à proportion, de haut en bas, sur les ap
u'une force étrangère suspend le corps par la tête ou par les membres
supérieurs
, de manière que le poids des parties inférieures
e redresser un peu et reste plus ou moins fléchie à gauche; sa partie
supérieure
seule suit la direction des lombes et décrit comm
ue j'ai eus sous les yeux, une plus grande proportion d'intelligences
supérieures
que chez les sujets bien conformés. Je conviens q
ies graves; elle a une constitution éminemment scrofu-leuse, sa lèvre
supérieure
est grosse, elle a eu des ophthalmies scrofuleuse
la contracture du rhomboïde dans un cas, du rhomboïde et de la partie
supérieure
du trapèze dans l'autre. L'épine dorsale était dr
r à droite et à gauche l'action de ces muscles et de ceux des membres
supérieurs
et inférieurs. On préviendra ainsi l'influence de
En déchargeant les vertèbres et leurs ligaments du poids des parties
supérieures
, la position horizontale les place dans, la meill
surtout chez les sujets prédisposés aux congestions vers les parties
supérieures
. Il est quelquefois avantageux de pouvoir augme
rties inférieures sur le rachis, retenu par le frottement des parties
supérieures
, de manière à augmenter quelque peu l'écartement
e corps, au lieu de poser sur les pieds, est suspendu par les parties
supérieures
; mais cela n'est possible qu'autant que les musc
inférieures du corps; 2°les exercices avec suspension par les parties
supérieures
; 3° les exercices dans la position horizontale du
pour tirer de l'eau d'un puits, etc. De là diverses passes du membre
supérieur
qui se pratiquent dans les gymnases. On produit e
ette flexion du tronc à.droite dans les efforts de traction du membre
supérieur
gauche sur un corps résistant, dans l'action de s
eux avec port de fardeaux, dont le poids s'ajoute à celui des parties
supérieures
. On devine qu'il en est de même de tous les effor
r plus fortement les vertèbres les unes sur les autres. Les membres
supérieurs
, que nous verrons, dans le deuxième ordre d'exerc
station sur les parties inférieures est assez borné, qu'il n'est pas
supérieur
à celui delà position horizontale, et qu'il ne sa
encore à vous parler. 2° Exercices avec suspension par les parties
supérieures
. — Un médecin allemand, Lentin (1), a conseillé,
straire les vertèbres à la pression exercée sur elles par les parties
supérieures
. Elle le fait un peu moins complètement , puisque
y devenir habile; la sustentation et l'ascension au moyen des membres
supérieurs
seuls exigent surtout une pratique spéciale. Auss
e maintenir les rapports natu- 34, rels du tronc avec les membres
supérieurs
. Je ne reviens pas sur la conséquence qu'on a tir
d'abord et on ne confie que par degrés le poids du corps aux membres
supérieurs
. On leur laisse, dans les premiers temps, la poss
erce, dans la position horizontale ou inclinée, à s'aider des membres
supérieurs
pour déplacer le tronc et les membres inférieurs.
Au plier sur les'membres inférieurs correspond un plier des 'membres
supérieurs
, c'est-à-dire une flexion suivie d'extension, qui
tes manières de monter aux échelles et d'en descendre par les membres
supérieurs
seuls, l'ascension aux mâts, à deux perches verti
sur le rachis au moyen du poids des parties inférieures. Les membres
supérieurs
sont alors employés à mouvoir le corps sur le pla
violents, ils favorisent doublement les congestions vers les parties
supérieures
par l'attitude et par les efforts qui les accompa
ait en partie dans le sens antéro-postérieur, ce qui relève les côtes
supérieures
et fait rentrer les côtes moyennes, d'où une vo
ions fournissent en outre un moyen de contre-extension pour la partie
supérieure
du tronc. Comme nous l'avons fait pour les exte
u thorax, viennent en aide à la contre-extension; en fixant la partie
supérieure
du tronc, elles le retiennent et l'empêchent en p
e côté, et tirer parallèlement à la première courroie sur l'extrémité
supérieure
de la courbure; mais, afin délaisser plus de libe
épau-lette la forme d'une croupière, dans laquelle on passe le membre
supérieur
, et qui agit sur le haut du thorax de la même man
uire , au moyen des appareils, une demi-suspension, celle des parties
supérieures
, à les attirer en haut, à les soulever dans la st
evons avec les mains, sur ces enfants, soit la tête, soit les membres
supérieurs
et le haut du thorax, sans détacher les pieds du
et, dans ces expériences, en agissant sur la tête que sur les membres
supérieurs
. Aussi les appareils à arbre suspenseur de la têt
ptionnels de courbures cervico dorsales. Le soulèvement des membres
supérieurs
par les mains placées sous les aisselles, a l'inc
er à cette courbure une obliquité inverse, en inclinant son extrémité
supérieure
à gauche. Cela change tout l'aspect du tronc: l
mme l'effort des mains, tantôt de soutenir et de soulever les membres
supérieurs
et le haut du thorax, tantôt de presser latéralem
n transmettant directement au bassin une portion du poids des parties
supérieures
; ils peuvent servir à relever une épaule basse ,
. Elle entraîne la partie inférieure du tronc d'un côté, et sa partie
supérieure
se rejette par compensation du côté opposé, ce qu
tané deviendra bientôt durable; les inclinaisons opposées des parties
supérieure
et inférieure du tronc disparaîtront plus ou moin
ume par rapport aux lames cartilagineuses épiphysaires de leurs faces
supérieure
et inférieure. Autour de ce noyau se passent des
charge du corps et soulageaient les » vertèbres du poids des parties
supérieures
. » Mais, ajoute l'auteur, on ne put éviter que la
Méthode d'évacuation.................. 60 Art. II. — Mal vertébral
supérieur
ou sous-occipital......... 69 § Ier. — Anatomie
embres inférieurs. 476 2° Exercices avec suspension par les parties
supérieures
. 480 3° Exercices dans la position horizontale.
utres ne peuvent se mouvoir qu'accroupis et avec l'aide des membres
supérieurs
, généralement moins atteints. Chez les diplégiq
droite, dans le rire. Aucune anomalie appréciable du côté du facial
supérieur
. Réflexes.- Réflexes patellaires remarquablemen
sion des jambes sur les cuisses. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
ne donnent pas d'indications précises ; mais il
ion épileptoïde bien accentuée. Réflexes abdominaux des deux côtés,
supérieurs
et inférieurs, considérable- ment exagérés. L'e
que; tous les mouvements sont coordon- nés. On constate aux membres
supérieurs
un léger tremblement à l'occasion des mouvement
onie ni atro- phie musculaire. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
et inférieurs sont très forts surtout du côté g
des es- carres ; il n'y a pas d'atrophie musculaire. Les membres'
supérieurs
sont allongés le long du corps, les mains sont
membres inférieurs sont forts, les réflexes ten- diueux des membres
supérieurs
sont en partie exagérés en partie affaiblis. Le
re par la percussion de l'omoplate, des os du coude et de la partie
supérieure
du cubitus qui, a l'état normal, donne lieu à u
r schéma) on obtient des mouvements réflexes de défense aux membres
supérieurs
: ils consistent en une extension de l'avant-br
n comparatif des divers réflexes tendineux et le siège de la limite
supérieure
des mouvements réflexes de défense autorisait à
en- core comprise dans ses enveloppes apparaît renllée il sa partie
supérieure
; ;i l'incision de la dure-mère on constate en a
ibreux enserrant la partie MÉNINGITE CERVICALE HYPERTROPHIQUE Li)
supérieure
de la moelle. Cette fusion des enveloppes médulla
s réflexes de défense ltd.i. aux membres inférieurs, dont la limite
supérieure
est en X et aux membres supérieurs R d. s. dont l
membres inférieurs, dont la limite supérieure est en X et aux membres
supérieurs
R d. s. dont la il mite supérieure est en X'.
périeure est en X et aux membres supérieurs R d. s. dont la il mite
supérieure
est en X'. 16 BABINSKI, JUMENTIÉ ET JARKOWSKI
uteur. L'anneau fibreux se prolonge en haut sur la région cervicale
supérieure
et, entre les 2e et 3c segments, la face antéri
nous avons constaté des mouvements réflexes de défense aux membres
supérieurs
que nous avons pu utiliser pour la localisation d
que, G. gomme encastrée dans l'anneau méningé qui enserre la partie
supérieure
de la moelle cervicale. FiG. 2. Moelle cervical
. La pupille droite est un peu plus petite que la gauche. Le membre
supérieur
droit est à demi fléchi et en pronation constan
rend immédiatement cette position quand on l'en a écarté. Le membre
supérieur
gauche garde une attitude quelconque et remue n
as droit dont les mouvements sont assez limi- tés. Les deux membres
supérieurs
sont agités d'un tremblement qui existe au repo
hémiplégie droite à distribution très inégale. Alors que le membre
supérieur
était presque complètement im- mobilisé, la fac
menait régulièrement tous les jours dans son jardin. Dans le membre
supérieur
, également, la force motrice revint suffisammen
pas dépasser en haut une ligne horizontale prise au niveau du bord
supérieur
du corps genouillé externe. En dedans, la lésion
lade accuse une très légère faiblesse dans les membres inférieur et
supérieur
droits. Il ne monte pas ni ne descend pas les esc
edresser la langue et de porter la pointe en arrière vers les dents
supérieures
, il exécute faiblement ce mouvement du côté dro
vinaigrées. Les morceaux de sel ou de sucre frottés contre la face
supérieure
et le bord de la langue ne déterminent pas la s
s pour les muscles explorés : releveur du nez, releveur de la lèvre
supérieure
, orbiculaire des lèvres et carré du menton. Troph
normale. Pupilles égales, régulières et contrac- tiles. , Membres
supérieurs
. Motilité conservée et égale des deux côtés, dans
des aliments par le nez, parole mieux articulée, parésie du membre
supérieur
droits, sensation de cuisson au niveau de la go
tuel.-Le malade est grand, maigre,bien bâti. Nerfs crâniens,membres
supérieurs
en bon état. Les membres inférieurs sont absolume
douleur, et à la chaleur est complètement annihilée depuis la zone
supérieure
démarcative au niveau de la ligne xyphoïde (sch
iminution de la sensibilité sur tous les modes, à partir dune ligne
supérieure
de démarcation située au niveau de l'appendice
f, pen- dant six mois, de la compression médullaire. La démarcation
supérieure
segmentaire des troubles de la sensibilité ains
e tant soit peu le genou droit. Douleurs dans les jambes. La limite
supérieure
de l'insensibilité descend de 3-4 doigts en tra
ur apparut à la lisière inférieure de la 5e vertèbre dorsale et àja
supérieure
de la 6e vertèbre également à droite. Dans le d
de noter par- ticulièrement l'abaissement, au 58 jour, de la limite
supérieure
de l'in- sensibilité, de 3-4 doigts en travers
ïdien et les vaisseaux vei- neux, reprit son état normal, la limite
supérieure
de l'anesthésie tomba du niveau de la ligne xyp
s fonctionnent régulièrement ; il se sert norma- lement des membres
supérieurs
, dans des proportions et avec une force suffi-
sur la 12e vertèbre dorsale, ainsi que sur les vertèbres lombaires
supérieures
est douloureuse; réflexes de l'abdomen fai- ble
limitation et un faible degré de paralysie ; réflexes ab- dominaux (
supérieurs
seuls) faibles; réflexes patellaires etachittéens
sses couches, ni la vérole. Etat actuel. Nerfs crâniens, extrémités
supérieures
normales; extrémi- tés inférieures dans l'état
, de la douleur, du chaud et du froid, décroît à partir de la ligne
supérieure
démarcativepassant 2 doigts plus bas que la lig
ent ; suppression complète de la sensibilité à partir de, la limite
supérieure
, indiquée dans ta description de l'état présent ;
urine. Etat présent. Organes intérieurs, nerfs crâniens, extrémités
supérieures
à l'état normal. Extrémités inférieures : la dr
bilité sur le ventre, au niveau du sacrum et des fesses, avec ligne
supérieure
délimitative répondant plus ou moins il la ligne
e infantile congénitale. Les mouvements étaient localisés au membre
supérieur
droit du côté paralysé. Unverricht a décrit un
ou de l'autre, localisées dans quelques muscles des membres, tantôt
supérieurs
, tantôt inférieurs, mais respectant les muscles d
t ensuite s'étendre aux muscles du tronc et même à l'un des membres
supérieurs
, mais respectant toujours les muscles du cou et d
gauche en se propageant ensuite presque instantanément aux membres
supérieurs
et quelquefois à la face. Quand la malade était
s noté un mouvement presque symétrique de contrac- tion des membres
supérieurs
avec soulèvement des épaules, une petite rotati
nt de latéralisation droite, avec extension du tronc et des membres
supérieurs
, notamment du bras droit. La durée de ces mouve
Ces mouvements sont un peu plus intenses du côté droit. Les membres
supérieurs
exécutent des mouvements similaires et les musc
Souvent ce mouvement est accompagné d'autres mouvements du membre
supérieur
, du déplacement de la tête et de mouvements des m
s ou bien s'élève contre le palais ; les dents se serrent; la lèvre
supérieure
s'é- lève, etc. La tête est aussi atteinte pa
lexion totale ou partielle, d'adduction et d'abduction. Les membres
supérieurs
exécutent les mouvements habituels d'élévation,
être atteints. Les muscles les plus atteints sont ceux des membres
supérieurs
et inférieurs, du tronc, du cou, de la face et de
n les mouvements étaient localisés au visage, au cou et aux membres
supérieurs
et dans l'autre cas ils étaient généralisés aux
première inclusion. Le diamètre de la troisième inclusion n'est pas
supérieur
à un millimètre. Elle n'est séparée de son ento
trochanter, tandis que par régie ils attei- gnent l'union du tiers
supérieur
avec le tiers moyen de la cuisse. On pourrait f
ités ne sont pas légères, où au contraire la micromélie des membres
supérieurs
est bien évidente. Mais je ne peux pas suivre l
ostic d'achondroplasie incomplète dans un cas parce que les membres
supérieurs
n'étaient pas raccourcis, les doigts arri- vant
; il y avait un léger degré de micromélie rhizomélique aux membres
supérieurs
, les doigts des mains ne présentaient pas la di
t de poils abondants, la verge est,pour sa longueur et sa grosseur,
supérieure
à la moyen- ne de celle des adultes Les testicu
ssin est quelque peu rétréci et ne semble pas dévié. Aux extrémités
supérieures
la micromélie est mise en évidence par le fait
nde ouverture est à la hauteur ce qu'est 95,8 à 100, au lieu d'être
supérieure
a cette dernière. De plus le membre supérieur n
100, au lieu d'être supérieure a cette dernière. De plus le membre
supérieur
n'atteint pas 40/100 de la hauteur totale, au lie
type nettement rhizomélique, de sorte que l'index radio-huméral est
supérieur
au normal. Les bras sont un peu écartés du tron
mar- qué au segment proximal de façon que l'index tibio-fémural est
supérieur
à 100. Les cuisses sont grosses et charnues, le
, mais pas trop si l'on ne considère que la base. Quant aux membres
supérieurs
, la tête de l'humérus apparaît grosse spécia- l
la hauteur ce que 95,5 est à 100), les membres infé- rieurs et les
supérieurs
réprésentant respectivement 46. 5 et 39. 5/100
forme du thorax dans son ensemble (thorax à carène). Les extrémités
supérieures
ne sont pas raccourcies, les courbes des diaphy
e- cherches dont il est l'objet. Enfin sa mentalité est de beaucoup
supérieure
à ce que l'on pourrait attendre d'un homme de s
comme la font certains nains, ses aventures amoureuses. Extrémités
supérieures
. - En regardant simplement les diverses photogra-
ercé, non seulement relève une brièveté à peine marquée des membres
supérieurs
, mais il s'aperçoit que cette micromélie est à
ronter avec les données de l'homme normal, on trouve pour le membre
supérieur
entiér 40. 8 au lieu de .45 ; pour le bras 14.8 a
t présenter une notable déviation de la normale, et il est en effet
supérieur
à 100. Les mains au contraire ont une longueur se
court que les autres. Tous les mouve- ment sont normaux aux membres
supérieurs
aussi bien qu'aux inférieurs. La sensibilité es
d'être rapporté, aussi ne l'ai-je pas reproduite. Pour les membres
supérieurs
on peut confirmer la brièveté anormale de l'hu-
un adulte vigoureux, elles nous ont permis de relever que la partie
supérieure
delà diaphyse du radius droit décrit une brève
une forme de micromélie segmentaire symétrique diffuse aux membres
supérieurs
et aux inférieurs ; mais nous avons ici, en out
t un léger degré de microsomie nettement rhizo- mélique aux membres
supérieurs
. Quant au sujet de la première observation, la
première observation, la macrocéphalie et la microsomie des membres
supérieurs
sont si prononcées qu'elles consti- tuent une v
longueur totale du membre la somme des différents segments qui est
supérieure
à la mesure prise in tolo, la micromélie est to
rap- porte à la circonférence du crâne et à la longueur des membres
supérieurs
, mieux proportionné que le premier cas de micro
gnathisme assez accentué. Les dents assez régulières. Au maxillaire
supérieur
on constate l'absence (par carie) de l'incisive
NOUVELLE CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'ACHONDROPLASIE 187 La partie
supérieure
: 6 centimètres. La distance qui sépare l'ombil
a racine sur la ligne médiane. La voûte palatine ogivale, les dents
supérieures
, normales, bien sériées. A la mâ- choire inféri
igne médiane. Les lobes latéraux semblent perceptibles. Le membre
supérieur
est court. La tête humérale se sent de deux côtés
clavicules ne présentent rien d'anormal. Le sternum dans sa partie
supérieure
et sur une longueur de 14 centimè- tres présent
forme peu arrondie de la tête humérale. La radiographie du membre
supérieur
montre que l'humérus présente une forte saillie
osé. La denti- tion très altérée, manque complètement au maxillaire
supérieur
. Au maxil- liaire inférieur on ne trouve plus q
fourcette sternale au pubis : 50 cen- timètres. Les deux membres
supérieurs
sont très courts et asymétriques, celui du côté
s profondes et plus éva- sées sur le crâne achondroplase que celles
supérieures
(Pl. XXXII) tandis que sur le crâne normal leur
ue par un véritable sillon au-dessous de la tête de l'os. La partie
supérieure
de la diaphyse humérale semble aplatie d'avant
l'extrémité supé- rieure du tibia, de sorte que les deux extrémités
supérieures
de ces os sont presque sur le même plan. L'os
moins développée que la gauche. La bouche est petite, sur la lèvre
supérieure
quelques poils; de même aux com- missures bucca
intelligence plus ou moins réduite. Deux fois elle était par contre
supérieure
à la moyenne et : i fois elle était considérée
toutes ses dimensions. Le col du fémur est très court ; l'extrémité
supérieure
de cet os semble s'écraser contre le bassin.
gus est presque manquant. Le nez est camus. Les incisives latérales
supérieures
manquent, les inférieures sont il peine ébauché
ent avec la tête. Le malade n'accomplit aucun mouvement des membres
supérieurs
et inférieurs ; dès qu'on soulève ceux-ci, ils
nt abolis à droite, très vifs à gauche : faibles sont les tendineux
supérieurs
. Il n'existe pas de Babinski, les crémas- térie
minal mais costo-abdominal. Le malade, invité à mouvoir les membres
supérieurs
, réussit assez bien à exé- cuter l'ordre, cepen
in- férieurs, mais l'activité est plus limitée que pour les parties
supérieures
. Dans les tentatives pour répondre aux question
ibles, d'abord d'une voix aphone. Les mouvements actifs des membres
supérieurs
et inférieurs s'accomplissent mieux que dans les
ture est normale (toujours sous 37°). ' On observe dans les membres
supérieurs
et inférieurs des mouvements cho- réiformes inv
te encore de légers mouvements choréiformcs à la charge des membres
supérieurs
. la juin. - L'allure est encore moins incertain
iers mois de sa vie, le malade présentait un accroissement du crâne
supérieur
à la normale et il commence à marcher très tard
liquide à pression fortement augmentée, avec un contenu d'albumine
supérieur
à la quantité physio- logique, sans lymphocitos
du corps devient normale. Alors l'enfant présente dans les membres
supérieurs
et inférieurs des mouvements choréi formes ; la
dû ou à des lésions bilatérales, ou à des déformations de la partie
supérieure
des circonvolutions rolandiques, ou bien à une su
on le liquide cérébro-spinal sortit avec une pres- sion notablement
supérieure
à la normale, sans globuline, sans tendance à l
é droit, et 40 pour le côté gauche. Les mouve- ments des extrémités
supérieures
s'exécutent sans aucune gêne. Les mouve- ments
la musculature de cette région. Dans cette position des extrémités
supérieures
, on reconnaît mieux que dans toute autre que le
une déviation compensa- toire de la colonne vertébrale de la partie
supérieure
de la colonne vertébrale cervicale. Les muscles
e la colonne vertébrale cervicale. Les muscles de toute l'extrémité
supérieure
droite sont plus forts que ceux du côté gauche.
'omoplate droite, quand le sujet est au repos et que les extrémités
supérieures
pendent le long du corps, ne peul être considér
erveux : Sensibilité : est intacte à la face, au tronc, aux membres
supérieurs
et infé- rieurs, à tous ses modes, objectivemen
ux yeux, au voile du palais, aux membres- inférieurs et aux membres
supérieurs
dans ses trois segments. Au dynamo- mètre, main
u- aucun coup d'un instrument tranchant ou contondant sur le membre
supérieur
. Il est au contraire permis d'hé- siter entre u
classiques à début lombaire. Parésie de la Ille paire. Les membres
supérieurs
sont aussi pris actuellement (surtout le gauche)
LES MODIFICATIONS DANS LA MOELLE ÉPINIÈRE 249 Segments lombaires
supérieurs
(fig. 3). Les racines antérieures présentent de
atéraux. Les. cellules ne présentent rien d'a- normal. Les segments
supérieurs
lombaires présentent des modifications des raci
lle du malade. Il est en effet « tout en jambes », et a des membres
supérieurs
d'une lon- gueur quelque peu démesurée. Lorsqu'
y eut de plus une complication de nature inconnue dans les membres
supérieur
et inférieur du côté droit, complication que l'
t au dévelop- » pement exagéré des membres inférieurs ; les membres
supérieurs
présen- tent aussi une longueur anormale, alors
e est de dimension moyenne. Qu'il s'agisse d'ailleurs des membres
supérieurs
ou inférieurs, l'excès de développement porte i
on, au niveau de l'extrémité inférieure du radius et de l'extrémité
supérieure
du tibia, alors que la soudure devrait être com-
nsurations, car il est expressément noté que la taille du sujet est
supérieure
à la moyenne. Peut-être bien y a-t-il eu aussi
située au niveau de l'union du tiers inférieur avec les deux tiers
supérieurs
, tandis que celle de la jambe droite se trouve
troubles thyroïdiens avec la sclérodermie de la face et des membres
supérieurs
, mais elle n'est pas en concordance avec les ca
qui attira son attention a été donné par la cyanose des. extrémités
supérieures
; peu après elle ressentit des douleurs à l'articu
ent du côté gauche. Les réflexes tendineux et périostés aux membres
supérieurs
sont plutôt vifs. Pas de troubles du côté des s
e reste du corps. Cette zone a la forme d'une ceinture dont le bord
supérieur
est plus régulier, l'inférieur étant plus ou mo
quelques jours de durcissement dans le formol, au niveau de la face
supérieure
du corps calleux, on découvrait un vaste foyer de
hiée dans les coupes les plus inférieures; dans les coupes les plus
supérieures
, l'écorce et la substance blanche de la région
antérieure ; la plus grande partie du 2e seg- ment, et l'extrémité
supérieure
du premier. Du noyau caudé, il ne reste que la
E-THOMAS ' La couche optique est extrêmement réduite dans les plans
supérieurs
; il ne s'agit pas d'une atrophie primitive, 'm
t attri- buer l'atrophie extrême du thalamus dans sa partie la plus
supérieure
. La couche optique est non seulement réduite da
atrophiée. B. Faisceaux d'association . - Le faisceau longitudinal
supérieur
ou arqué a été complètement détruit dans sa por
lcarine. Le faisceau uncinatus est un peu plus pâle dans les étages
supérieurs
de son DE LA RESTAURATION DU LANGAGE DANS L'APH
des accidents). - L'hémi- plégie droite est très intense. Le membre
supérieur
est contracture en flexion très marquée ; la ma
S A la face on constate une paralysie faciale gauche totale (facial
supérieur
et facial inférieur). Au repos la fente palpébr
face ne reste pas complètement immobile ; l'éléva- teur de la lèvre
supérieure
n'est pas tout à fait paralysé. La malade ne peut
se rend pas un compte exact de la position qu'on donne à son membre
supérieur
droit; de même quand on la touche, elle ne loca
re de l'opercule ro- landique, et la portion adjacente de la partie
supérieure
de la première tempo- rale. Rééducation.- Le
inférieur forme le fond de la cavité (PI. L, B). Au niveau'du tiers
supérieur
de la couche optique et du noyau lenticulaire,
de la deuxième pariétale que s'est formée la cavité dans sa moitié
supérieure
. 31 Sur les coupes passant par l'extrémité supé
ans sa moitié supérieure. 31 Sur les coupes passant par l'extrémité
supérieure
du noyau caudé et la couronne rayonnante (PI. L
trois quarts antérieurs, et s'arrête au bord externe de l'extrémité
supérieure
du noyau caudé. Le tiers postérieur de la couro
SECONDAIRES. Faisceaux d'association. - Le faisceau lon- gitudinal
supérieur
ou arqué a été compris dans la lésion, sur la plu
démontrer avec Madame Dejerine. La dégénérescence de l'extrémité
supérieure
du pulvinar s'explique par les lésions qui ont
s. C'est en somme une cavité creusée à l'emporte-pièce. A la limite
supérieure
on distingue cependant, aussi bien sur la photo
t endommagé. PI. L Fio. A. Coupe horizontale passant par le tiers
supérieur
des ganglions centraux. , Destruction de l'insu
sule interne. 1-'io. D. - Coupe horizontale passant par l'extrémité
supérieure
du noyau caudé et par la couronne rayonnante, e
capsule interne. FIG. b.- Coupe horizontale passant par l'extrémité
supérieure
des ganglions centraux. Vaste lésion ayant détr
r de ramollisse- ment a détruit la couronne rayonnante, l'extrémité
supérieure
de l'insula : l'opercule rolandique, pariétal e
urs ainsi que la délicatesse des attaches articulaires. Les membres
supérieurs
, pendant la danse, sont fléchis à angle droit, en
se les mouvements du corps pour exécuter des mouvements des membres
supérieurs
; il se touche les oreilles, surtout de la main d
'étaient montrées dans les élévateurs de l'aile du nez, de la lèvre
supérieure
ou dans les zygoma- tiques, au moment où la par
i sont : fermeture de l'oeil avec battements rapides de la paupière
supérieure
, contraction de l'orbi- culaire des lèvres avec
res est possible du côté gauche, mais les mouvements de la paupière
supérieure
gauche sont plus lents que ceux de la paupière
ulièrement au niveau des zygomati- ques, des élévateurs de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, de l'orbiculaire des lèvre
supérieure et de l'aile du nez, de l'orbiculaire des lèvres (partie
supérieure
et partie inférieure), dans les muscles du menton
omme chez tout sujet normal d'ailleurs, d'abaissement des paupières
supérieures
et de rétré- cissement des fentes palpébrales),
une réac- tion ambiguë à l'excitabilité galvanique pour la branche
supérieure
. Une troisième exploration, faite le 17 juillet
sourci- lier, la paresse et le défaut de résistance de la paupière
supérieure
, enfin par la parésie de la moitié gauche de l'
a ligne médiane, les peauciers, enfin, tendent la peau de la partie
supérieure
du cou. Si maintenant on ferme énergiquement (1
mèrent fort la malade. D'à bord un tremblement convulsif des membres
supérieurs
et du haut du corps, qui persista pendant 4 jou
est légèrement moins ouverte que la droite. Les plis de la paupière
supérieure
sont également marqués des deux côtés, mais ceu
ettement attirée en haut et en dehors. Le sillon médian de la lèvre
supérieure
est situé à gau- che de l'axe de la face, ainsi
de l'élévation de la commissure labiale, la partie gauche de la lèvre
supérieure
xxvi 25 382 PITRES ET ABADIÉ paraît moins l
se contractent également à gauche et à droite ; les plis palpébraux
supérieurs
et inférieurs sont aussi marqués à gauche qu'à dr
lus découvertes à droite qu'à gauche ; la partie gauche des lèvres,
supérieure
et inférieure, est moins arrondie et recouvre c
ion. Excitabilité galvanique : diminuée pour le tronc et la branche
supérieure
, presque abolie pour la branche inférieure ; pa
ous les mouvements volontaires sont conservés dans les membres tant
supérieurs
qu'inférieurs, droits que gauches. Mais la mala
pression de la main droite et de la force de résistance des membres
supérieurs
et inférieurs droits. La marche est en apparenc
triangle formé par l'aile du nez, le sillon naso-génien et la ligne
supérieure
d'implantation des moustaches : ce sont à ce ni
eau des muscles zygomatiques, élévateur de la narine et de la lèvre
supérieure
, canin, buccinateur, orbiculaire des lèvres, carr
es, dans le carré du menton et dans la houppe, même dans les fibres
supérieures
du peaucier du cou. Elles ont été observées en
l y a difficulté pour boire et on note de l'engouement. Le facial
supérieur
est également atteint, les rides frontales sont m
vre facilement, ce qui est impossible à droite. Du côté des membres
supérieurs
et inférieurs, la motilité spontanée est nor- m
e est nor- male ; la marche se fait sans difficulté, mais le membre
supérieur
gauche est nettement plus faible que le droit (
mbres inférieurs. Les réflexes sont vifs des deux côtés aux membres
supérieurs
. Il en est de même des rotuliens. Le Babinski s
uberculomes de la frontale ascendante : m, dans le centre du membre
supérieur
; f, dans le centre de la face. B. Cervelet. t,
Rolando où il occupait les centres moteurs de la face et du membre
supérieur
gauche. Deux autres sont retrouvés dans les lob
aux (céphalée, troubles visuels, paralysies de la face et du membre
supérieur
gauches) des symptômes médullaires (Kernig et t
dans la frontale ascendante, au niveau des centres droits du membre
supérieur
TUBERCULOMES MULT1PLFS DU CERVEAU ET DES MÉNING
e la fosse cérébrale moyenne au lieu d'être dans un plan horizontal
supérieur
à celui de la fosse cérébrale postérieure se tr
rière ; la consé- quence, c'est la lordose. Le périmètre thoracique
supérieur
est égal à l'infé- Kouvei.le Iconographie DE la
culaire de la couche musculaire. L. lumen. FiG. 6. -- A la partie
supérieure
, fibres collagènes des méninges ; à la partie inf
en fentes. Nous avons sur la figure trois îlots de gliaspongium (le
supérieur
, moyen et inférieur), le moyen est le plus marq
ent, depuis la dure-mère dans la pro- fondeur du tissu. La partie
supérieure
de la figure 6 appartient aux méninges, la partie
et des membres n'a rien de particulier à signaler. Les deux membres
supérieurs
identiques ont les dimensions suivantes dans le
rieurs ont une longueur totale de 88 centimètres. Les os dit membre
supérieur
, à la palpation, sont normaux. Les mains sont v
odéré de diffé- rents os de la face, os propres du nez, maxillaires
supérieurs
, notamment dans leur rebord alvéolaire, apophys
dire l'un un poids à peu près normal, Vautre un poids nota- blement
supérieur
; l'énorme crâne pagétique 7 pesait mu grammes (1
rbitaires, les cellules mastoïdiennes ou les branches du maxillaire
supérieur
, sont représentés ici par autant de bandes larg
ans tous nos cas de Paget, la même ligne aboutit au niveau du tiers
supérieur
des choanes, tout prés du sphénoïde; et sur le cr
st formé en avant par les voûtes orbitaires, en arrière par le bord
supérieur
des rochers, et dont le sommet se trouve un peu
is s'est aggravée dans ces derniers temps. Pas d'ataxie aux membres
supérieurs
. Signe de Rllmbprg très net. L'examen de la mot
beaucoup diminué à droite. Le réflexe abdominal inférieur aboli, le
supérieur
maintenu. Phénomène de Babinski présent. Le m
ait. 12 août. La sensibilité de la face interne de la cuisse (tiers
supérieur
) est quelque peu revenue. 10 septembre. -Nouv
de a un facies altéré, presque cachectique. La motilité des membres
supérieurs
est normale. Dans la région lombaire gauche, on
tion, un organisme bien bâti, pas d'attitudes vicieuses des membres
supérieurs
et inférieurs, pas de défor- formations ou atro
ons. Passivement, on peut exécuter tous les mouvements. Aux membres
supérieurs
, il n'est gardé de la motilité des doigts que la
ours une petite fente. On note le signe de de Graefe (les paupières
supérieures
n'accompagnent pas les mouvements d'abaissement
4. On note une remarquable amélioration de la motilité. Aux membres
supérieurs
il exécute le mouvement actif d'opposition du gro
ique indiquant une diffusion du procès morbide dans les territoires
supérieurs
du névraxe. Ainsi un cas de Froin a présenté un s
e ont trouvé une méningo-myélite transverse, intéressant le segment
supérieur
de la queue de cheval et le cône terminal. Le p
ns développées. Il n'existe pas d'ensellure lombaire. Les membres
supérieurs
ont aussi un volume assez considérable, beaucoup
centimètres. D'ail- leurs, au dire du malade, le volume des membres
supérieurs
aurait un peu di- minué depuis quelque temps. L
plupart des actes que le malade doit accomplir. Du côté des membres
supérieurs
, par exemple, il est gêné lorsqu'il veut se met
iceps, les deltoïdes, les fléchisseurs des doigts, pour les membres
supérieurs
, etc. Sur certains de ces muscles, notamment su
ne épingle dans la dure-mère au niveau d'une des vertèbres dorsales
supérieures
, et j'observais ses déplacements. Mais il fallait
du, j'enlevais la moelle, je l'immobilisais en fixant son extrémité
supérieure
et je l'allongeais en tirant sur l'autre extrémit
résultats thérapeutiques quand il s'agit du tabes sont infini- ment
supérieurs
à ceux obtenus dans les paralysies spasmodiques e
sur 50 centimètres de largeur. A la face postérieure de l'extrémité
supérieure
de ce plan est vissé un crochet en fer K. M. qu
re de ce plan est vissé un crochet en fer K. M. qui dépasse ce bord
supérieur
de 20 centi- mètres. Le crochet supporte la p
compte de l'angle de l'inclinaison du plan, on adapte à l'extrémité
supérieure
de la face externe du montant gauche un arc métal
roit de la face, on voit que le muscle élévateur commun de la lèvre
supérieure
droite et de l'aile du nez est contracture, de
et souvent la contracture est si prononcée que l'on voit les dents
supérieures
du côté droit sans que la malade puisse fer- me
contracture faciale bilatérale hystérique. 39 lévateur de la lèvre
supérieure
droite s'accentuer, de manière que non seu- lem
ite s'accentuer, de manière que non seu- lement l'on voit les dents
supérieures
de ce côté, mais aussi une partie de la gencive
t en bas et l'orbiculaire des lèvres est contracture dans sa partie
supérieure
gauche, de sorte que cette partie fait saillie
ette partie fait saillie et est plus rigide au toucher que la lèvre
supérieure
droite. Elle couvre presqu'entièrement la lèvre i
e avec une expression de mépris, à cause de l'élévation de la lèvre
supérieure
droite et de l'aile du nez. Le côté gauche, au
fibrillaires sur- venir dans le muscle élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez et dans le grand zvgomal ic
commissure labiale gau- che s'abaissait par des secousses, la lèvre
supérieure
devenait rigide, l'aile du nez s'abaissait auss
ssi et la lèvre inférieure se glissait en partie au des- sous de la
supérieure
. Tout cela ne durait qu'une à deux minutes et l
s convulsions générales cessèrenl : et la contrac- ture des membres
supérieurs
apparut alors. Dans cette situation, la fièvre se
tte situation, la fièvre se présenta, et la contracture des membres
supérieurs
disparut immédiatement, sans que les convulsion
nvahit progressivement les diverses régions de la face, des membres
supérieurs
et inférieurs et du tronc, en commençant par les
les buccinateurs, le transverse du nez, les élévateurs de la lèvre
supérieure
el du nez, puis les occipito- frontaux, les sou
, palais normal, dentition bonne, intelligence conservée. Membres
supérieurs
. Assis sans bouger quand on dit au malade de se t
en arrière en une mi- nute, Massalongo quatre seulement. Membres
supérieurs
. L'aspectdu malade atteint d'athétose dou- ble
lade atteint d'athétose dou- ble est très frappant : les extrémités
supérieures
sont toujours bien plus for- tement prises que
ont presque toujours plus prononcés d'un côté du corps. Les membres
supérieurs
sont touchés de bonne heure, souvent en même te
lesquelles leur ab- sence a été dûment constatée. Comme aux membres
supérieurs
les mou- vements sont surtout prononcés vers le
t alors en contractures et Unissent par immobiliser les mem- . bres
supérieurs
au niveau desquels peut disparaître l'athétose.
des (obs. 2) usait d'un procédé analogue. Quelquefois les membres
supérieurs
offrent des attitudes particulières qui persist
ten- sion et flexion, tantôt en abduction et adduction. - Membres
supérieurs
. La malade est raide, peul cependant s'asseoir. U
igts qui tiennent la plume. Elle n'y réussit ce prix. Les membres
supérieurs
sont le siège d'une raideur générale, un peu plus
e de la raideur qui est en- core bien plus accentuée qu'aux membres
supérieurs
. Le côté droit paraît plus raide que le côté ga
ouvements involontaires s'exécutent de la même façon qu'aux membres
supérieurs
. C'est un passage incessant des orteils de la fle
général du corps, qui est très frappant pour son âge. Ainsi la partie
supérieure
du corps parait beaucoup plus développée que la
dénote quinze ou seize ans. La bouche est bien conformée. La lèvre
supérieure
est teinte d'une ombre de moustache. La poitr
scille à droite et à gauche, mais surtout de haut en bas. 1 Membres
supérieurs
. Quand le malade est au repos, assis par exemple,
tension. Il y a surtout un état d'instabilité dans les deux membres
supérieurs
. . Il n'y a de déformation nulle part. On sen
uvements athétosiques sont bien moins pronon- cés qu'aux extrémités
supérieures
; ils consistent en quelques oscillations latéra-
rmer en contractures et finissent alors par immobiliser les membres
supérieurs
, au niveau desquels peut disparaître l'athétose
er à immobiliser complètement ou pres- que complètement les membres
supérieurs
(obs. de Clay Schav, Richar- dière, Blocq et Bl
s infé- rieurs est constante, qu'elle siège quelquefois aux membres
supérieurs
dans le type spinal, et souvent au niveau de ce
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le type le plus souvent observé aux membres
supérieurs
c'est le t) pe ell flexion, dans lequel l'avant
aucune apparition de spasme myotonique. Sur la même figure la ligne
supérieure
, B, représente le tracé recueilli sur un autre
e sus-trochalltéricnne rencontre les épines iliaques antérieures et
supérieures
à cinq centimètres au-dessus du milieu du pli de
peut s'appeler la li- gne épi-trochantérienne. Elle forme la limite
supérieure
du membre infé- rieur et ses rapports avec le b
coupe le pli de l'aine en son milieu. L'épine iliaque antérieure et
supérieure
est située au-dessus d'elle d'un quart de tète
celle qui sépare ce dernier point de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
. Vu par sa face postérieure le membre inférieur
eut faire il l'étude du malade. Je passe rapidement sur le membre
supérieur
qui mesure dans sa totalité de l'acromion à l'e
que l'on retrouve ainsi au torse, de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, au-dessus de la clavicule en ligne directe ou
fois parlé/côté gauche. Dans ces divers faits est l'un des membres
supérieurs
que s'étaient, comme d'habitude, manifestés les
es spinaux. L'atrophie a envahi successive- ment la main, le membre
supérieur
, l'épaule et le thorax du côté droit. A gauche
an , plus tard, même découverte pour la main gauche. Les membres
supérieur
et inférieur gauches n'ont commencé à perdre leur
e ' du tronc ; nous la décrirons plus loin. 1 lllotilité. Membres
supérieurs
; atrophie très notable, plus marquée M droite,
ore la partie inférieure de la colonne cervicale et la portion <
supérieure
de la colonne lombaire. Une ligne tirée de la 7"
nant de la courbure sur cette ligne mesure 8 centimètres. La partie
supérieure
du rachis cervical présente une 1 courbure de c
ue; de ce côté aussi, la crête ilia- que répond il l'union du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de l'hu- mérus ;
d'une ou de deux béquilles à cause de l'instabilité de ses membres
supérieurs
. Les béquilles s'embarrassaient dans ses jambes
ement. Etat actuel. La santé générale est bonne. Motilité. Membre
supérieur
droit. Les mouvements de l'épaule, du coude et
utefois une dépression légère des espaces intermétacarpiens. Membre
supérieur
gauche. Mêmes constatations, avec un degré beauco
piqûre. Abolition de la sensibilité au-dessous du milieu du membre
supérieur
; diminu- tion légère partout ailleurs, sauf au
avec celte diffé- rence que l'anesthésie absolue remonte au membre
supérieur
jusqu'à la racine de ce membre, et au membre in
nsibilité a la piqûre s'est abolie dans les mômes régions du membre
supérieur
gauche. On note également des trem- blements fi
ce à une courbure dorso-lombaire à convexité gauche; mais la partie
supérieure
du thorax est au contraire inclinée vers le côt
égion dorsale, sauf dans un cas où elle n'intéressait que la partie
supérieure
du dos. La scoliose était tou- jours assez peu
nous avons eu l'occasion d'examiner. L'atrophie frappait le membre
supérieur
droit et la jambe gauche. Le membre inférieur g
de Heine. D'après lui, la paralysie frappe souvent toute la partie
supérieure
du tronc, et y persiste dans une certaine mesur
lomúai- res, c'est-à-dire des muscles spinaux lombaires. La partie
supérieure
du tronc tend naturellement à basculer en avant
du corps se porte instinctivement en arrière, et libre de la partie
supérieure
du tronc sur sa partie inférieure est obtenu pa
ujet affecté depuis 4 ans de mouvements choréiformes dans le membre
supérieur
gau- che et la face, avec contracture de divers
e, avec contracture de divers muscles, particulièrement aux membres
supérieurs
, à l'épaule gauche et au cou (sterno-mastoïdien g
déter- miné une double inflexion du rachis avec courbnre principale
supérieure
à convexité tournée à droite. « La hanche gauch
te droite », avec rotation de cet os autour de son angle interne et
supérieur
, de telle sorte que l'angle inférieur s'était por
in. Mais d'ordinaire il existe une courbure de compensation dorsale
supérieure
qui ramène l'épaule du côté malade au niveau de
niennes sont moins développées que chez les autres, mais elles sont
supérieures
à celles des vrais microcéphales. De plus on ob
ues cas il y a des morsures de la langue et des lèvres. Aux membres
supérieurs
l'enfant relève brus- quement le bras, choque l
s l'instabilité musculaire est encore plus mar- quée qu'aux membres
supérieurs
, de là une démarche toute spéciale ; des espèce
s points douloureux : point crural, point obturateur, point fessier
supérieur
, trahissaient la participation de ce plexus. Br
t donc penchées vers le côté ma- lade. Mais les vertèbres lombaires
supérieures
ne se redressent pas comme tout à l'heure jusqu
chez deux sujets frappés d'une atrophie très manifeste d'un membre
supérieur
, de l'épaule et du thorax du même côté, la cour
ectait la face; elle atteignait les membres inférieurs plus que les
supérieurs
, frappait les bras et les cuisses plus que les
t. L'épaule droite est un peu plus élevée que la gauche ; la partie
supérieure
du thorax est rétrécie transversalement. Le mal
de ce point tomberait bien loin en arrière des talons. Le membre
supérieur
gauche est en extension complète long du tronc,
st exactement de 5 oscillations par se- conde. La roideur du membre
supérieur
constitue une des principales causes de gêne po
ideur a envahi le côté droit, aussi bien le membre inférieur que le
supérieur
. La physionomie est immobile et comme couverte
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. elle parle, s'est étendu à tout le membre
supérieur
, et enfin au membre inférieur du même côté. Dep
uel il frotte continuellement. Le tremblement occupe tout le membre
supérieur
gauche. , Le membre inférieur fléchit pendant
ns le membre inférieur quand la malade est émotion- née ; au membre
supérieur
, il existe continuellement ; ses oscillations ont
alement, mais à un degré moindre (Pl. xxix, xxx, xxxi). Le membre
supérieur
droit tombe le long du tronc, allongé et raide, l
st cyanosée et presque constam- ment couverte de sueur. Le membre
supérieur
gauche est légèrement fléchi ; la main ne présent
ue les troubles étaient limités au côté droit, et surtout au membre
supérieur
, il a été impossible de préciser la nature de l
ont souvent dans l'impossibilité complète de s'asseoir. Aux membres
supérieurs
il n'y a pas de contracture manifeste, mais il
hasard quelquefois, ils sont d'abord limités seulement aux membres
supérieurs
et ne surviennent qu'au moment des mouvements vol
tisfaisante, une détente des phénomènes spasmodiques. Les mem- bres
supérieurs
en particulier recoud l'en), à partir de l'âge de
ratoire de l'appareil de Boudet de Paris ; nous con- sidérons comme
supérieur
le procédé indiqué par Maggiorani consistant en
vertébrale présente dans la région cervicale inférieure et dorsale
supérieure
une scoliose dont la convexité est tournée à dr
voulons signaler surtout ce qui a trait à la sensibilité : « Membre
supérieur
droit : anesthésie complète de la main ; à l'av
ur les régions internes des faces antérieure et postérieure. Membre
supérieur
gauche : même distribution de l'anesthésie, cep
nte et douloureuse au bout de dix à quinze minutes. ` Aux membres
supérieurs
, il n'y a ni parésie ni paralysie notables ; la
L'anesthésie frappe les quatre membres symétriquement. Aux membres
supérieurs
, elle est limitée en haut par la région du coude.
ns scolio-cy- photiques demandent à être recherchées. Aux membres
supérieurs
, à droite et à gauche, l'avant-bras, le poignet,
s- tence d'une lésion des ganglions intra-crâniens et de la portion
supérieure
de la moelle peut-être du corps strié, queClay-
re aucune lésion ; l'examen microscopique ayant porté sur la partie
supérieure
de la circonvolution frontale ascendante, et su
ble datant de la première en fance, occupant la face et les membres
supérieurs
. Rigidité des membres inférieurs. Germaine B...
parole difficile; démarche commençant à devenir hésitante. Membres
supérieurs
et inférieurs presque toujours froids. Agitation
de Friedreich. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 297 Membres
supérieurs
. Mouvements athétosiques des mains et des doigts
très maladroitement et salement. La position habituelle des membres
supérieurs
: Bras fléchis et contre le tronc. Pas d'hypert
s, irrégulièrement. Crâne, front fuyant, aplatissement de la partie
supérieure
du crâne. Saillie des régions pariétales. La ré
étales. La région occipitale forme une sorte d'angle avec la partie
supérieure
. Bipa- riétale est aplatie à sa partie supérieu
le avec la partie supérieure. Bipa- riétale est aplatie à sa partie
supérieure
. Cheveux bruns-clairs. L'enfant laisse toujours
/2 c. du poignet il 1/2 c. Pas de contracture du niveau du membre
supérieur
droit. A gauche l'écartement du tronc est plus
Vascularisation fine par place avec taches laiteuses le long du bord
supérieur
des deux hémisphères dans leur moitié antérieur
. SOi NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. coupe, les 2 lobes
supérieurs
sont normaux ; pas d'adhérences pleurales ; le lo
de la coupe est grisâtre au raclage. Poumon gauche (170 gr.). Lobe
supérieur
normal ; lobe inférieur et à la base, congestio
ance de M. BOURNEVILLE). Athétose double, occupant les extrémités
supérieures
seulement et la face. Imbécillité. Jules Vi..
ère est venue très rarement il l'hospice. État actuel : Membres
supérieurs
émaciés ; les mains sont cyanosées ; raideur de t
E SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 305 deur et même émaciation qu'aux membres
supérieurs
(on ne remarque pas de mouvement athétosique de
le lobe inférieur présentent une coloration jaune-verdâtre, le lobe
supérieur
est d'un gris-rose ; odeur gangre- neuse ; moll
s loin. Il est d'ailleurs incomplet puisque les mesures des membres
supérieurs
n'y sont pas données. Si l'on veut en faire usage
sin, pag. 41. v 21 314 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
supérieurs
ne sauraient convenir à une figure de sept têtes
suivant la tradition artistique, suppose, au contraire, des membres
supérieurs
trop courts. Nous avons vu que la scien- ce, to
s membres inférieurs manquent donc de précision. Quant il la moitié
supérieure
de l'individu, torse et membres supérieurs, ell
sion. Quant il la moitié supérieure de l'individu, torse et membres
supérieurs
, elle reproduit à très peu de chose près les pr
gments égaux chacun à une face ou trois quarts de tête. Le membre
supérieur
rappelle l'égalité déjà signalée par Léonard de
des tailles. Mais il y a divergence sur les pro- portions du membre
supérieur
. M. Collignon, par exemple, le fait plus court
pendant que les membres inférieurs augmentent. Quant aux mem- bres
supérieurs
, en nous appuyant sur les résultats que donnent l
moins précises que dans le canon de sept têtes et demie, le membre
supérieur
comporte, par contre, une mensura- tion plus fa
u médius, deux têtes (avant-bras et main). Les égalités du membre
supérieur
subsistent comme dans le canon pré- cédent. L'o
tier. Notre canon de huit tètes reproduit les proportions du membre
supérieur
de la figure d'ensemble de J. Cousin, le môme m
mbre supérieur de la figure d'ensemble de J. Cousin, le môme membre
supérieur
présen- tant des proportions bien moindres sur
figure d'ensemble. Mais, sur cette dernière, si les subdi- visions
supérieures
sont bonnes, celle qui limite le torse par en bas
un torse trop court et les membres inférieurs trop longs. Le membre
supérieur
, en outre, esl trop courtpuisclu'il ne me- CANO
loppé en hauteur. Mais c'est surtout dans les diamètres transverses
supérieur
et inférieur du tronc que résident les plus gra
bout et un petit bout, mais chez l'homme cet ovoïde est à gros bout
supérieur
, tandis qu'il est à gros bout inférieur chez la
mme chez la femme, le tronc représente un ovoïde à grosse extrémité
supérieure
; mais tandis que chez l'homme la différence ent
o-postérieur ne s'augmente que de 1 à 2,36. La longueur du membre
supérieur
moins la main est doublée entre 4 et 5 ans, tri
lée entre et 7 ans, puis triplée à l'âge adulte. Des os du membre
supérieur
, ce sont ceux de l'avant-bras qui croissent ave
peut déjà tirer quelques indications sur les proportions du membre
supérieur
. Si nous comparons ce dernier au membre inférie
ette dernière mesure, que, sur le dessin deJ. Cousin, les mem- bres
supérieurs
sont peut-être un peu longs, car l'extension du p
pour la troisième fois de tremblements hystériques d'un des membres
supérieurs
. La première atteinte avait duré 15 jours, la sec
'une hémichorée avec mouvements arythmiques, plus marqués au membre
supérieur
qu'au membre inférieur, et gênant beau- coup la
position de re- repos ; mais la contracture existe comme au membre
supérieur
. On peut en effet par le pied droit soulever le
us avons vu par quelle manoeuvre on pouvait les provoquer au membre
supérieur
du même côté. (Fig. 43). Leur forme est la même
bras ; un an plus tard apparaît le tremblement dans les extrémités
supérieures
; l'année suivante, la tête se fixe, s'immobili
ons. Ce tremblement, qui se manifeste davantage dans les extrémités
supérieures
, nous rappelle par tousses caractères, ce tremb
e retenu. Si l'on a à faire à une inflammation des tissus du membre
supérieur
d'o- rigine quelconque on peut tenter la faradi
uis quelque temps. Dans les cas d'arthrite rhumatismale des membres
supérieurs
j'obtiens les mêmes résultats qu'aux membres in
aradisation de l'artère fémorale. Mais quant à la névrite du membre
supérieur
, il faut dire qu'il est en général impossiblede
al, dont l'irritation retentit t\ser- jours sur les nerfs du membre
supérieur
atteints de la névrite. ¡ser- Que faut-il faire
e, de la face etc., en faisant agir le courant induit sur la région
supérieure
du cou. Au contraire, on ne peut se promettre r
re elle et lui. brosse de l'aort'st située tout près de l'extrémité
supérieure
du ster- du -1 ; il doit donc être possible d'e
alalgie accidentelle laquelle cède à la faradisa- tion de la région
supérieure
du cou pendant quelques minutes. Encouragé par
oreille moyenne en même temps que je faradisais la région cervicale
supérieure
du côté de l'affection. On pose suivant Remak,
emple la partie inférieure de l'iris s'élargit tandis que la partie
supérieure
devient plus mince ou disparait en se resserrant
n ne se manifeste par aucun phénomène (la faradisation de la région
supérieure
du cou dont nous traitons maintenant ne l'excit
nstaté une influence énorme de la faradisation modérée de la région
supérieure
du cou sur l'hyperémie du tympan et de l'oreille
ique continu. L'amendement que produit la faradisation de la région
supérieure
du cou n'est pas du tout fugace; il peut durer
est inévitable. Il ressort donc que la faradisa- tion de la région
supérieure
du cou est indiquée dans l'hyperémie du tissu s
je me bornerai à mentionner encore que la faradisation de la région
supérieure
du cou est utile dans la prosopalgie odontalgiq
mon hypothèse. Après 3, 5, 10 minutes de faradisation de la région
supérieure
du cou je constate souvent que les mouvements a
n était moins prononcée. J'ai posé alors les rhéophores à la région
supérieure
du cou : les restes du tympan et de la surface
lus superficiel dans la région inférieure du cou que dans sa région
supérieure
. On sait que le pneumo-gastrique est un nerf (1
nduit excite la partie cervicale inférieure et la partie thoracique
supérieure
du grand sympathique, les fibres vaso- motrices
er, malgré un essai de cinq mois, à cause de la faiblesse du membre
supérieur
gauche. Il n'avait pas la force de harnacher ses
faiblissement lentement progressif du membre inférieur et du membre
supérieur
du côté droit; ' Enfin des troubles Irophiques
e fortement penchée en avant et un peu inclinée à gauche; la partie
supérieure
du tronc est elle-même notablement inclinée à g
le que la crête vertébrale décrit une S italique, dont la concavité
supérieure
(portion cervico-dorsale) regarde à gauche et d
ortion dorso-lombaire) est tournée à droite. A la courbure latérale
supérieure
se rattache une proéminence très accusée de la
déployer une résistance égale à celle qu'il oppose avec le membre
supérieur
du côté opposé. 12 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
anesthésie sensitivo-sensorielle dû côté droit intéressant les sens
supérieurs
(vison, odorat, le goût, ' DEUX CAS DE MALADIE
, avec atrophie mus- culaire consécutive et contracture des membres
supérieurs
et infé- rieurs. En même temps, elle eut une sé
gèrement. La contracture avait à peu près disparu; tant aux membres
supérieurs
qu'inférieurs, le système musculaire paraissait e
également à la stéatopygie une accumulation graisseuse à la partie
supérieure
et externe des cuisses, dont les femmes boschim
relet graisseux Fig. 13. Fig. 14. . Amas graisseux de la partie
supérieure
et externe de la cuisse chez doux sujets européen
lle-ci semble remonter jusqu'au défaut des côtes, qui est la limite
supérieure
du flanc et qui marque la taille (fig. z15, 16)
résentait, à côté de troubles hystériques, un tremblement du membre
supérieur
droit que l'auteur a décrit dans les termes suiva
dus à toute la moitié gauche du corps et d'un tremblement du membre
supérieur
droit dont voici la description : « Le membre e
our du tronc; aux mou- vements pendulaires de la totalité du membre
supérieur
s'ajoutent des mouvements alternatifs de pronat
rariété, avait été prise d'un tremblement des jambes et des membres
supérieurs
qui gênait considérablement la malade pour marc
es d'un même côté du corps (forme hémiplégique), tantôt aux membres
supérieurs
, ou bien encore aux membres inférieurs (forme p
éveloppement des oscillations (attitude du serment pour les membres
supérieurs
; extension de la jambe pour les membres infé- r
che des malades devient difficile, incertaine. De même, aux membres
supérieurs
, il peut gêner considérablement la préhension des
ement vibratoire que nous décrivons. Prédominant tantôt aux membres
supérieurs
, tantôt aux membres inférieurs, le tremblement
uvements. La démarche des malades est ferme et assurée. Aux membres
supérieurs
, seuls, les actes qui nécessitent des mouvement
oujours choisis sont les suivants : le sommet de la tête; au membre
supérieur
, la face dorsale du métacarpe, la main étant en
lement communiqué et dû aux secousses des autres segments du membre
supérieur
, tandis que, dans les autres maladies (alcoolis
delà région sacrée. Le sillon inter- fessier est ouvert à sa partie
supérieure
, et le sacrum s'y présente sous la forme d'une
à fait superficiel, forme quelquefois une espèce de cap à la partie
supérieure
de l'échancrure interfessière et parfaitement v
ns une attitude vicieuse caractérisée par ce fait que, de la partie
supérieure
de la région dorsale à la pointe du sacrum, elle
de cordes faisant relief sous la peau. Le membre inférieur comme le
supérieur
est facilement ramené à la rectitude. La contra
patel- laire est plus exagéré que les réflexes tendineux du membre
supérieur
. Le redressement de la pointe du pied ne provoq
jambe, 29 des deux côtés. La longueur des divers segments du membre
supérieur
est égale des deux côtés; mais au membre inféri
is en même temps (pl. XIV). ' On voit quelquefois aussi le faisceau
supérieur
du grand dorsal gauche s'animer de contractions
notamment. Peut-être existe-t-il un léger affaiblissement du membre
supérieur
droit. A l'exploration dynamométrique on obtient
ire. Généralisé aux quatre membres, il prédomine tantôt aux membres
supérieurs
tantôt aux membres inférieurs, mais il est touj
Le sens mus- culaire enfin est complètement aboli dans les membres
supérieur
et in- férieur du côté droit. Les zones hysté
piratoire se trouve complètement mo- FJG. 37. - Respiration costale
supérieure
de Ler... Augustine. inscrite avec le pneumograph
bâillements. Pendant les deux autres minutes (voir les deux lignes
supérieures
), des secousses de toux apparaissent entre les bâ
on delà sensibilité pharyngée; dimi- Fin. 38. - Respiration costale
supérieure
de Ler... (Il août. 1888). 1'ow (T) et bâilleme
'une violente douleur au coeur et à l'estomac. De plus, les membres
supérieurs
étaient agités de mouvements convulsifs d'une.
ure. Puis surviennent quelques mouvements rhythmiques des membres
supérieurs
et inférieurs, ainsi que des mouvements lents de
quent d'observer au début de l'attaque des contractures des membres
supérieurs
ou inférieurs, contractures qui, de toniques, ne
ers. Le pre- mier, à genoux et appuyé sur un bâton, porte au membre
supérieur
droit la déformation caractéristique de la main
é quelques mouvements de l'articulation coxo- fémorale. Les membres
supérieurs
sont très parésiés, de même que les muscles du
des muscles du dos, enfin de tous les muscles inférieurs. Le membre
supérieur
droit est complètement indemne. Il existe de la
impossible à la malade de marcher et de se servir de ses membres
supérieurs
. Il n'existait aucun trouble ni de la sensibilité
le territoire musculaire innervé par le nerf péronicr. Aux membres
supérieurs
on la constate dans la sphère du radial, et d'u
les muscles encore indemnes, bien que les fléchisseurs des membres
supérieurs
conser- vassent encore un certain degré de moti
ide d'une canne. Elle se plaignait d'un affaiblissement des membres
supérieurs
, qui aurait été plus notable encore quelques se
onc. La respiration est anxieuse, rapide, dyspnéique. Les membres
supérieurs
s'affaiblissent et bientôt la malade peut diffi
er celle de la famille de la malade; le développement des mem- bres
supérieurs
a été proportionnellement plus rapide que celui d
d'un allongement du tarse; le pli cutané qui surplombe la paupière
supérieure
est très accentué à cause de l'épaississement d
o- phie qui a été noté dans beaucoup de cas d'acromégalie. Membre
supérieur
. - L'hypertrophie des mains est bien évidente s
ne de Lille. NOTE SUR LA RÉTRACTION NÉVROPATIIIQUE DE LA PAUPIÈRE
SUPÉRIEURE
Les mouvements des paupières sont encore parmi
'orbiculaire animé par le nerf facial et du releveur de la paupière
supérieure
innervé par le nerf moteur oculaire commun n'es
ée au releveur des paupières. La rétraction posthume de la paupière
supérieure
peut être le fait du muscle de Millier, muscle
n général, dans le regard hori- zontal, la tête droite, la paupière
supérieure
ne laisse pas voir la sclé- rotique au dessus d
r les mouvements d'élévation. L'élévation exagérée de la paupière
supérieure
s'observe à l'état normal, sans aucune anomalie
oureux ou non (de Wec- ker). L'élévation- exagérée de la paupière
supérieure
se produit chez quelques individus à propos de
c'est sur- tout lorsqu'elle manque que l'arc formé par la paupière
supérieure
forme une convexité très marquée : la surface d
se le spasme si curieux RÉTRACTION W\'It01'.1TIIIQUE DE LA PAUPIÈRE
SUPÉRIEURE
. 157 dans lequel le mouvement de la paupière su
LA PAUPIÈRE SUPÉRIEURE. 157 dans lequel le mouvement de la paupière
supérieure
s'associe aux mouvements du maxillaire inférieu
mouve- ments de la latéralité de] cet os. Ce spasme de la paupière
supérieure
apparaît surtout lorsque le malade mange en reg
s de toute interprétation rationnelle. La rétraction de la paupière
supérieure
se rencontre encore, mais d'une manière permane
ur pathognomonique de cette maladie. La rétraction de la paupière
supérieure
peut exister dans la ma- ladie de Graves en l'a
ession d'effroi si caractéristique. Cette rétraction de la paupière
supérieure
a été signalée par White Cooper et par de Gracf
ière par Stellwag von Carrion', aussi la rétraction de la paupière,
supérieure
avec suppression du cli- gnement est-elle quelq
Mais, dans le goitre exophthalmique, la rétraction de la paupière
supérieure
se manifeste encore par un autre phénomène, c'est
hénomène, c'est l'ab- sence de synergie du mouvement de la paupière
supérieure
et du globe oculaire lorsque le regard est diri
tion des phénomènes. Lorsqu'on le fait regarder en bas, la paupière
supérieure
ne descend pas en même temps que la pupille et
temps que la pupille et elle laisse entre son bord libre et le bord
supérieur
de la cornée un espace de à 3 millimètres (fig
nt est rare et lorsque le sujet dirige son oeil en bas, la paupière
supérieure
suit le mouvement, mais avec une lenteur remarq
nt et qu'elles ne sont plus de niveau avec les dents de la mâchoire
supérieure
. Autrefois la malade était sujette de temps en
NT. 163 encore plus visible par la saillie considérable de la paroi
supérieure
de l'orbite. i ' Les yeux sont un peu saillan
ailes du nez et de la peau qui recouvre la cloison. i , La lèvre
supérieure
est très grosse et très longue, c'est-à-dire que
lier à noter. Le cou est penché en avant et il existe une cyphose
supérieure
cervico-dorsale, caractérisée par une saillie a
qui s'ouvre par son extrémité inférieure dans le goulot, et par la
supérieure
à l'air libre. Ce tuyau est muni d'un autre tuy
e bout libre qui se ter- mine en embout. 3° Finalement, la partie
supérieure
n'est, comme je l'ai dit, qu'un culot de terre
x des poumons, puis- que la puissance expiratrice est de deux tiers
supérieure
à la puissance inspiratrice, comme cela résulte
Nous avons ainsi réuni bon nombre d'exemples de paralysie bulbaire
supérieure
isolée ou combinée à la paralysie bulbaire infé
de Briie\oe; 2° sphincter de la pupille; 3° droit interne; 4° droit
supérieur
; 5° releveur de la paupière supé- rieure ; 6° d
ns toute la moitié droite du visage, avec gonflement de la paupière
supérieure
droite, diplopie, ptosis, paralysie complète de t
Il POLIOENCÉPIALITE SUPÉRIEURE ET INFÉRIEURE. Paralysie bulbaire
supérieure
avec ébauche de paralysie bulbaire inférieure.
rois formes : aiguë, subaiguë et chronique, et deux variétés, l'une
supérieure
, l'autre infé- rieure, en leur donnant comme li
ture extérieure de l'oeil constitue une sorte de paralysie bulbaire
supérieure
comparable à tous égards à la paralysie bulbair
ente encore, la lésion n'est pas aussi accusée que dans les régions
supérieures
. Les cellules des cornes antérieures n'ont pas
ce très amaigrie. Rien du côté de la langue, ni des yeux. Membres
supérieurs
. - M01wements. - Côté droit : presque tous sont
ité nulle. Grand oblique : quelques contractions dans les faisceaux
supérieurs
. Muscles latéraux : contractilité conservée.
pas très abondant. La malade n'accuse aucune faiblesse des membres
supérieurs
; elle peut soulever de lourds fardeaux; les mai
t un peu injectée, en les diverses régions de l'organe. Au membre
supérieur
, l'atrophie porte sur les muscles (interosseux
s coupes ont été pratiquées méthodiquement dans la région cervicale
supérieure
, moyenne et inférieure, dans la région dorsale
la région dorsale moyenne et inférieure, et dans la région lombaire
supérieure
et moyenne. Elles ont été traitées par différen
élevé pour cet examen : le nerf médian à la partie moyenne du bras,
supérieure
, moyenne et infé- rieure de l'avant-bras, le cu
re, moyenne et infé- rieure de l'avant-bras, le cubital à la partie
supérieure
et inférieure de l'avant-bras, enfin les deux b
tit nombre de fois dans lajournée. Pas de douleurs dans les membres
supérieurs
, de douleurs en ceinture, de serrement de la po
'escalier avec difficulté. Pas d'incoordination motrice des membres
supérieurs
. 11 a beaucoup de peine à se boutonner; mais cela
pour les membres inférieurs à partir des genoux et pour les membres
supérieurs
à partir du coude. On peut appliquer sur la pea
e par l'épingle est de mieux en mieux perçue; à partir de la moitié
supérieure
de la cuisse et du bras la douleur qu'elle occa
ou voit quelques détails du fond de l'oeil, au niveau de la partie
supérieure
seulement, et on reconnaît en même F1G. 66. F
, intéressant la face plantaire, les doigts, une partie des membres
supérieurs
et inférieurs; que ces plaques plus ou moins no
ceptionnel enfin de les voir apparaître simultané- ment aux membres
supérieurs
, d'une part, aux membres inférieurs, de l'autre
mois, la malade fut prise d'un affaiblissement graduel des membres
supérieur
et inférieur du côté droit. Cette faiblesse sur
ar les reproductions que nous mettons sous ses yeux. Dans la partie
supérieure
de la composi- tion, le Christ et les prophètes
as en rapport avec l'intensité de l'atrophie. Celle-ci, aux membres
supérieurs
en particulier, portait surtout sur l'éminence
ugmentation de volume et les déformations des pieds et de la moilié
supérieure
des jambes; c'est la bilatéralité, la symétrie et
ses mains, et cela non sans précautions infinies. Dans le membre
supérieur
gauche, les déformations semblent cal- quées su
es ont un volume et un aspect normal. Il en est de même des membres
supérieurs
, du tronc, du cou et de la face. Nulle part, on n
ébauchée. Voici, pour commencer, un exemple de paralysie du facial
supérieur
: Ons. V. - Ophthalmoplégie avec parésie du fac
facial supérieur : Ons. V. - Ophthalmoplégie avec parésie du facial
supérieur
(Birdsall). Malade de vingt-neuf ans, atteinte
x yeux. Excitabilité électrique des muscles commandés par le facial
supérieur
paraissant quelque peu affaiblie. Grâce à l'usa
ution de l'excitabilité électrique des muscles animés par le facial
supérieur
n'a rien qui doive surprendre, puisque d'après ce
ucens était para- lysé. L'explication de la participation du facial
supérieur
à l'ophthal- moplégie est encore plus simple si
uite de la syphilis secon- daire, avec symptômes de poliencéphalite
supérieure
et inférieure (Ro- seiitlial 1). Un syphiliti
e a débuté il y a trois ans par une chute progressive des paupières
supérieures
. Présentement, celle malade offre une paralysie
lioencéphalite totale, le début peut avoir lieu, soit par la partie
supérieure
soit par la partie infé- rieure du champ moteur
r ce qui suit : OEil gauche : paralysie complète des muscles droits
supérieur
et inférieur. Parésie du droit interne et du pe
ux mois pour aboutir à la guérison. Ois. XXII. Paralysie bulbaire
supérieure
et inférieure à marche aiguë. Guérison (P. Ette
érieure à marche ascendante est le pendant de la paralysie bulbaire
supérieure
à marche descendante et peut, comme cette der-
n de l'oculo-moteur. Parmi les noyaux nerveux étages dans la moitié
supérieure
du 4e ventricule, l'affection s'attaque surtout
es et immobile, la paupière inférieure était para- lysée. Le facial
supérieur
provenant du noyau de l'abducens suivant les un
r suivant les autres, nous voilà bien près de la paralysie bulbaire
supérieure
; nous en avons une ébauche dans les cas suivant
aralyse, Dorpat, 1861. DE L'OPHTHALMOPLËGIE EXTERNE. 305 du droit
supérieur
chez un homme de quarante ans atteint de para-
ralysie glosso-labio-laryngée, une chute incom- plète des paupières
supérieures
, plus marquée du côté gauche, et de l'affaiblis
la salive. C'est alors qu'apparut un autre phénomène : la paupière
supérieure
gauche, devenant de plus en plus faible, finit
très accentué. Elle ne peut souffler ni siffler. Paralysie faciale
supérieure
pas absolue. Cependant impossibilité de fermer
nt du globe oculaire en haut ainsi que le relèvement de la paupière
supérieure
sont absolument impossibles. Le ptosis est d'aill
plement d'origine inorganique. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux. Le réflexe massélér
ui précède, il résulte que l'oplithalmoplégie ou paralysie bulbaire
supérieure
est bien l'analogue de la paralysie labio-glosso
ent impliquent forcément une altération des noyaux moteurs du bulbe
supérieur
et des cellules des cornes antérieures de la mo
spinale antérieure chronique ou subaiguë et dans la poliencéphalite
supérieure
prises isolément; la poliencéphalomyélite n'éta
plaques. La planche XLIV reproduit une coupe de la région cervicale
supérieure
de la moelle, relativement peu altérée à ce nivea
bas-reliefs de -), par J.-M. Charcot et P. Richer, 134. Paupière
supérieure
(Note sur la rétraction névropathique de là -),
rallo, 37, 38, 39. TABLE DES FIGURES Amas graisseux de la partie
supérieure
et externe de la cuisse, 13,14. Articulation
es .lésions se précisent. La face antérieure, les bords latéraux et
supérieurs
de l'épiphyse distale sont hérissés d'ostéophyt
, il y a coexistence d'anomalies dentaires; en effet, à la mâchoire
supérieure
on note l'absence congénitale de deux canines.
de la main un cachet tout à fait caractéristique (PI. VII). Membre
supérieur
droit. Acromélie : anomalie du carpe caractérisée
érieur gauche. L'acroméiie est encore plus prononcée qu'aux membres
supérieurs
: les os du tarse sont profondément altérés, les
sien se présente comme doublé de volume, et au niveau de son .tiers
supérieur
il présente une bifurcation exactement symétrique
la et London, 1912. 24 - RERTOLOTTI Si nous observons les membres
supérieurs
de Marguerite, nous aperce- vons de suite qu'il
arola, a décrit un cas typique de ce genre, où il y avait au membre
supérieur
gauche absence du pouce (ectrodactylie absolue av
luette est verticale. Les mouvements actifs et passifs des membres
supérieurs
et inférieurs. et du tronc sont normaux. Les réfl
rme. L'oeil ne se ferme pas à cause de l'abaissement de la paupière
supérieure
, mais par une vraie contracture de l'orbiculair
asme de l'orbiculaire, mais au contraire d'une ptose de la paupière
supérieure
. 36 MENDICINI ET ARTOM Par exemple, on pourra
urrait pensera la possibilité d'une ptose hystérique de la paupière
supérieure
, qui se produirait à gauche au même moment où l
rant des yeux, et même quelques normaux, ont de baisser la paupière
supérieure
d'un côté en relâchant le tonus du releveur. ;
siologiques qui ont lieu entre le releveur de la paupière, le droit
supérieur
, le petit oblique de l'oeil et le frontal penda
ns la même caté- gorie il faut ranger les mouvements de la paupière
supérieure
qui s'accom- pagnent avec l'ouverture de la bou
r l'incertitude de nos connaissances sur l'origine réelle du facial
supérieur
. En tout cas, si la question anato- mique n'est
profondes où l'on trouve les plus beaux spécimens, dans les couches
supérieures
ils deviennent plus petits. Ils sont trouvés auss
mitent, dans le premier cas ils se présentent déjà dans les couches
supérieures
. CONCLUSIONS. Chez des gens à un âge moyennem
posée s'est injectée, 54 ' MARCHAND 'ET USSE . les deux paupières
supérieures
ont pris une teinte cyanosée assez facile à dis-
et sous-orbitaires sont sensibles. Léger tremblement des extrémités
supérieures
. Rigidité des mus- cles de la jambe. Pouls plei
it en extension et abduction légère. Tronc ner- veux de l'extrémité
supérieure
droite douloureux à la pression. Tremblement de
érieure droite douloureux à la pression. Tremblement de l'extrémité
supérieure
droite, la main droite transpire beaucoup et enfl
vre, unilatéral, et selon la règle, il siège à gauche. 1 La lèvre
supérieure
apparaît divisée jusqu'au voisinage de la narine.
vical et connexions intraspinales. - L'étude de la moelle cervicale
supérieure
(fig. 7-10) comprend deux points intéressants :
ES DE LA MOELLE CERVICALE 67 ED. LONG . PL. XVII Fis. 6. - Partie
supérieure
du segm. C6 f ic. 7. - Segm. CI, Fic.. 8. - S
déplacement du faisceau cérébelleux direct dans la moelle cervicale
supérieure
. Ce n'est cependant qu'une explication insuffis
nflement cervical et refoulées par l'arrivée des racines cervicales
supérieures
ne passent pas dans le faisceau de Goll, ; elles
ces fibres peu nombreuses et disséminées se perdent dans la partie
supérieure
du bulbe; on ne les retrouve plus dans la protu
faisceau latéral du bulbe et au corps restiforme, au-dessus du plan
supérieur
de l'entrecroisement pyramidal, émet par sa face
pédoncule cérébelleux inférieur, contourne le pédoncule cérébelleux
supérieur
et se termine à la face inférieure du cervelet,
ité inférieure pour gagner la face externe du pédoncule cérébelleux
supérieur
et le cervelet. Ce trajet terminal des faisceau
et est ininterrompu et sur la face externe du pédoncule cérébelleux
supérieur
, que contournent tou- tes ces fibres, il n'est
e. - Si on compare les coupes du bulbe (fig. 12-15) avec les coupes
supérieures
(fig. 16-22) il est certain que les fibres dégé
réticulée (fig. 16) la zone limitée parle noyau du facial, l'olive
supérieure
et le faisceau central de la calotte. Il chemin
e Reil médian et le Reil latéral, en avant du pédoncule cérébelleux
supérieur
. Pendant leur trajet intraprotubéran tiel, ces
ngent le ruban de Reil. latéral, en dehors du pédoncule cérébelleux
supérieur
qui va vers la décussation médiane, arrivent ains
SCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 79 BLUMENAU. - Sur la terminaison
supérieure
du faisceau de Gowers (texte polonais). Anal, i
u cordon de Goll. NR, noyau rouge. NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau
supérieur
du Reil latéral. NV, noyau sensitif du triju- m
que. NXII, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive bul- baire. Os, olive
supérieure
. P, pied du pédoncule. Pci, Peu, Pcs, pédon- cu
édoncule. Pci, Peu, Pcs, pédon- cules cérébelleux inférieur, moyen,
supérieur
. Pul, pulvinar. - Py, voie pyra- midale. - Qa,
isement sensitif. x Pcs, entrecroisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
. - x Py, entrecroise- ment pyramidal. ' TRAVA
rait de l'aiguille d'un côté une contraction des parties moyenne et
supérieure
du même côté de l'abdomen. Il y a donc un troub
s de la dure- mère on remarque que la moelle,au niveau de la partie
supérieure
de la région dorsale et sur une faible hauteur,
atérale des 2e et 3e segments (partie inférieure du premier, partie
supérieure
du second). La tumeur n'est reliée à la moelle
antérolatéraux conservent l'état normal qu'ils avaient aux éta- ges
supérieurs
; mais les cordons postérieurs, dont nous venons
le de sécrétion uni ou pluriglan- dulaire. A l'examen des membres
supérieurs
, nous voyons tout d'abord que le processus dyst
mbre inférieur gauche ; on trouve, de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche il la malléole péronière correspondante,
s sans succès ; car c'est une femme mariée, plus âgée que moi at ma
supérieure
dans les bureaux. Elle est vexée parce que je n
té de son temps à la recherche'd'un nouvel organisme microbien. Ses
supérieurs
ne croyaient pas à ses épreuves de contrôle. Il
uses suivant la direction du pointillé. Le type anesthésique facial
supérieur
est très fréquent. Il comprend presque toujours
ts de ce type. Je crois que cette aneslhésie, dans sa forme faciale
supérieure
, par sa fréquence et par sa valeur diagnostique
nt accompagnée de l'insuf- fisance des muscles animés par le facial
supérieur
, .spécialement les orbi- culaires. L'atrophie d
istique. » Quoique le plus souvent les muscles animés par le facial
supérieur
sont les seuls atteints, nous voyons aussi des
moment de la pose photographique, on voit la paralysie de la lèvre
supérieure
et de la joue du côté droit faire contraste ave
du doigt ou du porte-plume avec une pression moyenne. Aux membres
supérieurs
, t'anesthésie est thermique et tactile. Quoique
nds chez les lépreux qui la présentent apparaît dans les extrémités
supérieures
plus fréquemment que dans les autres maladies q
t 166 BARRAQUER on comprend que l'exploration avec ces intensités
supérieures
ne peut pas être prolongée au delà de quelques
nt donné de cette marche ascendante, l'atro- phie passe aux membres
supérieurs
: d'abord aux mains, puis aux avant- bras, et q
aroc. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHA11COT-MARIE 179 9 membres
supérieurs
. Dans ce dernier cas, il semble que, le plus sou-
nées, deux ou trois ans en moyenne, avant d'attein- dre les membres
supérieurs
. En général, les mains se prennent au mo- ment
la marche, et ce n'est que deux ou trois ans après que les membres
supérieurs
ont été atteints. Chez le second, F..., le débu
pouvaient plus le maintenir longtemps debout. Du reste, ses membres
supérieurs
sont aujourd'hui infiniment moins touchés que ses
d les pieds et les 180 SOUQUES jambes, ne se montrant aux membres
supérieurs
(mains d'abord, puis avant-bras) que plusieurs
ins pendant une très longue période (PI. XXXII, XXXIV). Aux membres
supérieurs
, les mains présentent les déformations sui- van
as sont atrophiés dans leur moitié inférieure alors que leur moitié
supérieure
est indemne. Les bras sont intacts. Le second d
es cuisses, dans leur totalité (PI. XXXIII et XXXIV). Aux membres
supérieurs
, il faut noter l'atrophie extrême des petits mu
ssin se font avec une force certainement très diminuée. Aux membres
supérieurs
, F ? peut fléchir et étendre les doigts, mais s
aste, dis-je, se retrouve encore plus frappantau niveau des membres
supérieurs
. Avec des mains extrêmement atrophiées, nos deu
dans quelques rares cas, l'amyotrophie qui a débuté par les membres
supérieurs
, pourrait s'y fixer pour toute la vie, comme dans
que dans les cas où l'a- trophie musculaire débute par les membres
supérieurs
et s'y maintient longtemps. En effet, on se tro
férieurs, le signe de Romberg, une ataxie moins marquée des membres
supérieurs
. Tous les mouvements s'effectuent avec une éten
, les radia- tions du noyau rouge « occupent probablement la partie
supérieure
du segment postérieur de la couronne rayonnante
re (pli courbe, lobule pariétal inférieur, circonvolution marginale
supérieure
), les deux tiers inférieurs de la circonvolutio
e partie du tiers antérieur de la couche péri-capsulaire dorsale ou
supérieure
et entrent également dans la constitution du ti
e. Dans le lobe occipital, ce ramollissement détruit toute la lèvre
supérieure
, le fond, et la moitié externe de la lèvre infé
1 202 LA SALLE ARCHAMBAULT tout la zone marginale sous-capsulaire
supérieure
, où un petit lobule totale- ment incolore se dé
rso-mé- diane présente également une pâleur manifeste. Près du bord
supérieur
de la couche optique, on voit un petit foyer la
très bien que la décoloration siège encore de préférence la partie
supérieure
du noyau rouge où elle atteint surtout les zone
ntru-latérale. Un foyer lacunaire est encore visible dans la partie
supérieure
de la couche optique et semble avoir déterminé un
ement en avant du bord postérieur du pulvinar, et détruit la partie
supérieure
de la première circonvolution oc- cipitale, la
mplètement le pied de la couronne rayonnante et à détruire le tiers
supérieur
du noyau lenticulaire. On voit donc que ce foyer
lobule paracentral, des circonvo- lutions rolandiques et du lobule
supérieur
de l'insula. Enfin, sur les coupes qui passent
ande dégénérée se détache assez nettement; elle émerge de la partie
supérieure
du champ de Wernicke, se porte transversalement e
réaction déterminée par la lésion centrale siégeant dans la partie
supérieure
de la capsule interne létrulenticulaire, on obser
ratum zonale de la couche optique, ainsi que l'affaissement du bord
supérieur
de ce ganglion. L'implication de la couronne ra
nde de la circonvolution limbique et des circonvolutions marginales
supérieures
. La dégénérescence a peu près complète du trigo
ro-thalamique d'Arnold est devenue plus saillante, et, de la partie
supérieure
de ce territoire, une traînée dégénérée peut être
rd externe de ce noyan pour s'irradier dans sa substance médullaire
supérieure
, l'autre se portant en bas et en dedans pour s'un
yau rouge e est dépourvu de fibres nerveuses au niveau de son tiers
supérieur
, en d'au- tres termes, qu'il existe une dégénér
ntale et parié- tale ascendantes. Cette dégénérescence de la partie
supérieure
du noyau rouge s'observe sur toutes les coupes
IONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 207 à intensifier l'atrophie du bord
supérieur
de ce ganglion. Le corps du trigone demeure par
du stratum zonale, de la lame mé- dullaire externe et de la partie
supérieure
surtout du noyau latéral. Il est pas- sible, ce
- culièrement régulière ; elle se limite assez étroitement au quart
supérieur
de ce noyau et intéresse les zones marginales d
les dorso-latérale et dorso-médiane ainsi que la capsule dorsale ou
supérieure
. On remarque encore la dégénéres- cence très ma
élimité par la dégénérescence. Il est vrai qu'à cet endroit le bord
supérieur
de la couche optique semble être intéressé par de
altérations vasculaires. On remarque une atrophie en masse du bord
supérieur
de l'hé- misphère ainsi que des nayaux caudé et
ouge et une dégénérescence assez accentuée de la capsule dorsale ou
supérieure
(faisceau lenticulaire de Forel) du corps de Luys
rque une dégénérescence peu intense, mais nette toutefois, du quart
supérieur
de ce noyau. La dégénérescence atteint en parti
évrier 1913, n° 1, p. 20). 214 LA SALLE ARCHAMBAULT son segment
supérieur
. La dégénérescence capsulaire ienticuio-tha'amiqu
pariétal et une dégénérescence extrê- mement marquée des deux tiers
supérieurs
de la capsule interne. Au niveau de la couche o
otable de ce gan- glion avec déformation et enfoncement de son bord
supérieur
, une décoloration accentuée du noyau interne et
us-lenticulaire de la capsule interne et abordent ensuite la partie
supérieure
du champ de Wernicke. La dégénérescence du fais
e s'étend à la capsule du noyau rouge, surtout au segment dorsal ou
supérieur
de cette capsule, puis elle pénètre dans la sub
l- laire externe sur toute sa hauteur, le stratum zonale, la partie
supérieure
du noyau latéral ainsi que le tubercule antérie
i que le tubercule antérieur et les autres noyaux du bord dorsal ou
supérieur
de ce ganglion. Quant au noyau rouge, la dégé-
lésions intéressant soit le cervelet ou le pédoncule cérébei- leux
supérieur
(Bnulnl'fer), soit la calotte pédonculaire ou la
auclie. accompa- gnée d'une hypertrophie des extrémités des membres
supérieurs
et inférieurs. Antécédents héréditaires. Père v
qui font de notre malade un acromégalie indiscutable. Aux membres
supérieurs
, les mains (PI. XL, fig. 1) ont l'aspect caractér
niveau ; de plus, la peite des rapports normaux des os maxillaires
supérieur
et inférieur se juge par une usure en biseau de
ablement augmentée de volume, ses dimensions sont deux à trois fois
supérieures
à celles d'une selle normale. Cet agrandissement
11- 16. - étude D'UN cas D'ACR011tÉGALlE - â35 fermée à sa partie
supérieure
. Le diamètre anléro-postérieur atteint à peine
'hypertension inlracranienne, ce signe ait une valeur indi- catrice
supérieure
à l'élévation de pression du liquide qui pour Sic
t au 5" orteil, présente, surtout à droite, un volume notable- ment
supérieur
;i celui des autres orteils. Ainsi, à s'en teni
ctionné en trois parties qui, dans leur ensemble, forment une masse
supérieure
à celle d'une phalange nor- male. Des trois fra
SÉANCE DU 1 MAI 1914. ZONA ET PARALYSIE R \DIr;ULAIRES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
(1), PAR SOUQUES, BAUDOUIN et LANTUÉJOUL. N
Le 10 mars 191, il se sent un peu fatigué. En môme temps, le membre
supérieur
gauche lui semble un peu lourd et maladroit. Pa
bout de deux à trois jours, apparition d'une éruption sur le membre
supérieur
gauche. Il vient à la consultation et entre à l'i
entre à l'infirmerie, le 13 mars 1914, présentant un zona du membre
supérieur
gauche. Examen actuel (20 mars t91fJ,). - L'éru
xamen actuel (20 mars t91fJ,). - L'éruption est localisée au membre
supérieur
gauche. Pas de vésicules aberrantes. Elle siège d
deux ou trois vésicules siège sur la face postérieure de la moitié
supérieure
du bras. L'éruption occupe, eu outre, toute la fa
le siège avant tout sur la face postérieure, occupant dans le tiers
supérieur
la partie externe, et dans les deux tiers infé-
Masson & Cie, Editeurs ZONA ET PARALYSIE IiADICULAIRh6â.tBhtE
SUPÉRIEUR
253 Cette localisation est nettement visible su
é subjective : Jamais de douleurs propre- ment dites dans le membre
supérieur
gauche depuis l'apparition du zona. Le xxvii 17
territoire du zona. 1 Sensibilité objective : Au niveau du membre
supérieur
gauche, la sensa- tion de contact au pinceau, d
a douleur est nor- malemeut perçue partout sauf au niveau du membre
supérieur
gauche. A ce niveau, il n'y a pas d'analgésie v
a secousse sans inversion. En résumé, il s'agit d'un zona du membre
supérieur
, occupant tout le territoire cutané des quatre
es divers troubles. Les paralysies consécutives au zona du membre
supérieur
sont excep- tionuelles. Nous rappellerons les d
ecté et augmenté de volume. (1) JoFFRov, Deux cas de zona du membre
supérieur
avec atrophie musculaire. Archives de physiolog
où une petite tumeur à l'entrecroisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
avait provoqué les secousses choréifol mes sans
e spasmodique, après celles où la lésion des pédoncules,cérébelleux
supérieurs
avait provoqué les mouvements invo- lontaires,
ux sont bien exécutés, pas de lenteur, pas de nystagmus. Extrémités
supérieures
. Il n'y a pas d'atrophies localisées. Les réfle
e d'écharpe : l'ansa lenticularis. D'autres fibres émergent la face
supérieure
du globus pallidus, elles croisent sous un angle
Reil médians et les lemnisci' latéraux, les pédoncules cérébelleux
supérieurs
et les faisceaux longitudi- naux postérieurs on
he ne présentait aucun trouble fonctionnel', pas plus que le membre
supérieur
droit. Il a constaté lui-même comment la gêne fon
arrivant presque à toucher la face antérieure du sternum. Le membre
supérieur
gauche présente tout d'abord au niveau de la main
palper aisément ; aucun mouvement actif n'est possible. Le membre
supérieur
droit présente au niveau de la main une atrophie
lue. Il faut enfin signaler que les différents segments des membres
supérieurs
sont flasques, mobiles, sans rétraction tendine
s muscles antagonistes. Les muscles trapèzes présentent un faisceau
supérieur
acromio-claviculaire en apparence bien conservé
n ne voit pas de secousses fibrillaires, même au niveau des membres
supérieurs
où elles existent peut-être, mais où elles sont
'a eu même d'engourdissements ni de fourmillements dans ses membres
supérieurs
. La sensibilité objective est normale, aussi bien
fications sensibles sur les sterno- cléido -mastoïdiens. Le trapèze
supérieur
se contracte bien, mais il y a DR. sur les port
le pousse par derrière ; surtout il remarque en 1910 que son membre
supérieur
gauche perd de sa force. Il remarque très nette
rès l'atteinte de la main gauche, en 1911, alors que tout le membre
supérieur
gauche est fonctionnellement très touché, la main
main droite se prend. Lentement, et de bas en haut, tout le membre
supérieur
droit est atteint. En 1911, il marche encore, v
lleurs toujours ses chutes, et peut éviter, en s'aidant des membres
supérieurs
, que sa tête ne heurte le sol. Jamais il n'a pe
it encore soit soutenu, soit en longeant les murs. Les deux membres
supérieurs
étaient atteints, mais il pouvait encore manger s
nfiné au lit, mais l'état général est satisfaisant. - Les membres
supérieurs
sont flasques, sans raideur ni contracture ; ils
apulo-humé- ale est nettement visible sous les téguments. Le membre
supérieur
droit est un peu moins touché que le gauche. La
sont à peine perçues au niveau des membres inférieurs et du membre
supérieur
gauche ; elles sont un peu mieux perçues, quoique
sont un peu mieux perçues, quoique très mal, au ni- veau du membre
supérieur
droit. Le sens des attitudes persiste, bien que t
aire progressive qui a évolué selon le type Aran-Duchenne : membres
supérieurs
, gauche d'a- bord, puis droit, et finalement me
cats et effilés. La tête est quelquefois volumineuse, le maxillaire
supérieur
proé- minent. Un autre symptôme qu'on peut re
s. Sur la face, un nodule du volume d'un gros pois déforme la lèvre
supérieure
gauche, d'autres, plus petits, criblent le fron
, ni de clonus. Les réflexes abdominaux sont normaux. Aux membres
supérieurs
tous les réflexes tendineux sont abolis : le tric
e de la face ni de la mimique. Un peu de prognathisme du maxillaire
supérieur
. La voûte palatine est ogivale ; on note quelqu
térotypies dentaires, en particulier du chevauchement des incisives
supérieures
. Aux membres. inférieurs, seule l'extrémité inf
pied gauche est légèrement plus volumineux que le droit. Le membre
supérieur
droit est normal. ` L'épaule, le hras et l'avan
odactyle que nous examinerons est un homme de 49 ans dont le membre
supérieur
gauche paraît, dans l'ensemble, plus court et m
u dif- férente. Voici tout d'abord un homme de 32 ansdunl le membre
supérieur
droit est terminé par un moignon portant des ru
ssimilée au pisi- forme. Déplus, le volume relatif de cet os paraît
supérieur
au volume que feraient ensemble les trois os no
nt dans les radius normaux. L'extrémité cubitale repose sur la face
supérieure
de cette pyramide, elle est, en conséquence, légè
et en question est une femme âgée de 82 ans, ectrodaclyle du membre
supérieur
gauche. Le membre se termine par un moignon légè-
formation syndactyle existe comparable à elle-même aux deux membres
supérieurs
, a forliori quand elle existe en même temps et
e le dépôt de bromure, augmente toujours et atteint un maximum bien
supérieur
à celui que permettait l'usage du sel, Sur le t
ur du nerf sympathique, d'après Asher et Flac ? par le nerf laryngé
supérieur
et inférieur, d'après Garnier et Villemin par d
ar différents ganglions du nerf sympathique et par le. nerf laryngé
supérieur
. Quant à l'innervation des glandes parathyroïdes,
t. 28, II, p. 103. GAIINI1 : 11 (Ch.) et Vu.t.emrr (J.). Les nerfs
supérieurs
du corps thyroïde. Comptes rendus de la Soc. de
degré de débilité nerveuse est au-dessous de la neurasthénie, mais
supérieur
à épilepsie, qui est la réac- tion la plus furt
e, par et HAIIAIIO, 312. Zona et paralysie radiculaires du membre
supérieur
, par Souques, Baudouin et LANTUÉJOUL, 251. TA
BAUDOUIN et LANTUÉJOLL. Zona et paralysie radiculaires du membre
supérieur
, 251. Amyotrophie progressive Aran-Duchenne d
es dents ne se correspondent pas exact tement, c'est-à-dire que les
supérieures
n'affrontent pas en ligne droite les inférieure
cée. La fente palpébrale est plutôt restreinte. Il y a prognathisme
supérieur
, tandis que la mâchoire infé- rieure est peu dé
anomalies rachitiques présentées par notre petit sujet. Les membres
supérieurs
minces et grêles paraissent très longs en compara
Aplatissement de la racine du nez, facies adénoïdien, prognathisme
supérieur
. Zygomas plutôt proéminents, mâchoire inférieur
nt insuffisant des rebords orbitaires. Ptosis moyenne des paupières
supérieures
qui, à l'état de repos, couvre le tiers supérie
e des paupières supérieures qui, à l'état de repos, couvre le tiers
supérieur
de la cornée. Paupières inférieures boursouflée
le vertex, cette distance mesurée en centimètres est d'un bon tiers
supérieur
à celle qui existe entre le trou auditif et le me
exagérée, les rebords orbitaires sont peu développés. Les paupières
supérieures
sont épaisses et bourrelées, les inférieures sont
s, les inférieures sont légère- ment éversées. Les deux paupières
supérieures
et inférieures sont tirées en dehors et en haut
cavité buccale en est frappé par l'implantation vicieuse des dents
supérieures
et inférieures avec les incisives qui forment deu
un peu vague. ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 19 Le prognathisme
supérieur
est tout à fait net comme dans les autres obser-
, au profil de la lamelle carrée du sphénoïde renforcée à sa partie
supérieure
par les apophyses clinoïdiennes postérieures.
Broca, dans les crânes normaux,n'a jamais retrouvé un angle négatif
supérieur
à 2°. On a émis plusieurs hypothèses pour résou
ier serait plutôt diminué ; or, dans l'oxycéphalie, le prognathisme
supérieur
est plutôt apparent que réel et serait dû à l'a
à 1H ,7. En résumé, dans l'oxycépha- lie, l'indice orbitaire serait
supérieur
à l'indice orbitaire normal et infé- rieur à l'
le qui suit brusquement la moitié postérieure de la paroi orbitaire
supérieure
, fait qui peut très bien expliquer l'exophtal-
e une inclinaison plus accusée de la moitié postérieure de la paroi
supérieure
de l'orbite (V. schéma n° 2). Du côté du trou
e 94 à 110. En résumé dans l'oxycéphalie. l'indice orbitaire serait
supérieur
à l'in- dice orbitaire normal et inférieur à ce
recherches, il faut ajouter la conformation anormale du maxillaire
supérieur
, qui est recourbé en avant, et la réduction éno
s sujets, l'existence d'une méningite séreuse localisée à la partie
supérieure
de l'encéphale. Je ne saisis pas bien, peut-être,
eut-être, la pensée de Meltzer lorsqu'il parle de méningite séreuse
supérieure
. Pour moi, ce se- rait le crâne antérieur le pl
érieur le plus compromis ; pour Meltzer, ce serait plutôt la partie
supérieure
. Toutefois, comme on le voit, mes vues personnell
taille et une disproportion dans la longueur exagérée des mem- bres
supérieurs
. La diathèse rachitique donc est constante dans
tronc, en avant comme en arrière, et moins fréquemment aux membres
supérieurs
, elles sont très rares aux membres inférieurs.
ais après un pas ou deux, les convulsions se communiquent au membre
supérieur
droit, avec lequel il a l'air de se frotter le cô
portables. 11 a vomi les aliments pris le soir précédent. Le membre
supérieur
droit est parésié, il ne peut exécuter avec que d
et il présente de temps en temps des tressaillements dans le membre
supérieur
gauche. ' 23. - L'état de prostration est beauc
ontinuelle- ment et il ne répond plus aux interrogations. Le membre
supérieur
du côté gauche, surtout les doigts et les mnscl
state un état de raideur musculaire appréciable surtout aux membres
supérieurs
: l'extension passive de l'avant-bras est presque
tion des ré- flexes rotuliens et des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
. M. Babinski, en 1898, étudiant l'étal du réfle
liniques ; cette différence est des plus nettes. 2° Région sacrée
supérieure
(Ve sacrée). - Les cordons postérieurs ne por-
e où les tubes nerveux sont serrés et compacts. 5° Régions lombaire
supérieure
et dorsale inférieure (1'E lombaire el 1 le dor
à mesure qu'on remonte dans la moelle. gaz Régions dorsale moyenne,
supérieure
, cervicale. Elles sont nor- males. - 11 '
, qui ne présentent pas le signe de 1,Vestphal. Ce sont des ta- bes
supérieurs
, avec lésions cantonnées dans là moelle cervico-d
centués, le nez fortement busqué, le menton fort et carré, la lèvre
supérieure
peu proéminente.' Sa tête est recouverte d'une
t plus ferme. La température du soir resta stationnaire, légèrement
supérieure
à 38° C. Tout en restant toujours sans connaiss
mporale à la zone de Broca et à la zone motrice corticale du membre
supérieur
». 13...présenleunecerlaineparésie de tout l'ap
toison légère châtain clair. Le.visage est imberbe et si la lèvre
supérieure
se recouvre aujourd'hui d'une moustache fine et
IGANTISME acromégalique 12-1 Circonférence de la cuisse 0,1 du bord
supérieur
de 128 GALLAIS Nous sommes d'autre part frapp
ion présente des modifications intéressantes. Il y a, à la mâchoire
supérieure
, d'abord persistance des dents de lait, et interv
ons et des cannelures très marquées, surtout les incisives médianes
supérieures
. On ne reconnaît pas là la dent d'Iltiteliinsoi
oeur du reste), n'apporte aucune gêne dans les mouvements du membre
supérieur
gauche. Celui-ci, ainsi que le membre supérieur d
ouvements du membre supérieur gauche. Celui-ci, ainsi que le membre
supérieur
droit, peut exécuter des mouvements plus étendu
sique depuis l'établissement des règles, qui fut tardif. Membres
supérieurs
. -- Le bras et Iavant-bras ont des proportions re
lle est légèrement au-dessous. L'accroissement réel est donc un peu
supérieur
à celui donné par celte formuie dont l'approxi-
EN S 1 C)5 gueur des racines sacrées (18 à 28 cent.) près de 2 fois
supérieure
à celle des premières racines lombaires (11 à 1
, bronchites fréquentes. A 26 ans, contu- sion violente à la partie
supérieure
de la jambe droite. Le réflexe achilléen, faibl
pinéale, avait, disent ces auteurs, une intelligence troublée, mais
supérieure
à celle d'un enfant de son âge, et son développ
celui des particules existant dans les véritables suspensions, est
supérieur
à celui des molécules. Jusqu'à ces dernières an
plasma est parsemé de particules de volume inégal, mais en tout cas
supérieur
à celui des cellules du ganglion conservé et di
nir suivant la besogne et le but qu'ils ont à remplir : aux membres
supérieurs
, les muscles se perfection- nent, ils se multip
tronc. On dirait que la colonne vertébrale s'est tassée à sa partie
supérieure
, comme dans certains maux de Pott sous-occipita
a. Chez un individu à cou normal, ce chiffre est près de trois fois
supérieur
. Sens latéral. Les mouvements sont encore plus
u crâne, occupée en- tièrement par les deux poumons, dont les lobes
supérieurs
paraissent venir se mouler sur le sommet de la
squ'à la base du crâne. En introduisant la main à l'extrémité toute
supérieure
de la cavité thoraci- que, on sent la première
lus larges qu'on s'éloigne davantage de la tête. A. la partie toute
supérieure
, les côtes se rapprochent tellement qu'elles semb
n note une scoliose à concavité latérale droite, répondant au tiers
supérieur
de la colonne vertébrale (ceci confirme les const
par l'union de plusieurs vertèbres. Cette masse située à la partie
supérieure
porte 4 paires de cûtes. Au-dessous d'elle se d
ons des corps vertébraux qui se voient nor- malement. A la partie
supérieure
de la masse osseuse se trouvent deux surfaces art
hyses épineuses la distance ne dépasse pas 1 cm. 8. Cette portion
supérieure
de la colonne vertébrale ne possède ni atlas, ni
s l'expliquer facilement par. l'existence de la petite articulation
supérieure
, et surtout du large orifice triangulaire qui la
t le bulbe et le cervelet. Vue par ses faces latérales, cette masse
supérieure
présente, en plus des 4 paires de côtes que nou
ngle que forment en s'écartant les gros vaisseaux du cou. Le bord
supérieur
du cartilage thyroïde est à 3 centimètres de la f
en sacrées. Les vertèbres sacrées en coccygiennes. Dans la région
supérieure
, au contraire, le processus de transformation e
éi te d'origine microbienne ou toxique a bouleversé toute la partie
supérieure
du squelette vertébral. Il y a là un point obsc
rontales étant plus ou moins proéminentes, surtout vers leur partie
supérieure
. La moitié droite du front (de la ligne médiane
du côté droit. La dentition laisse beaucoup à désirer.A la mâchoire
supérieure
, onobserve du côté droit une incisive (probable
une molaire (l'avant-dernière). Du côté gauche on observe la moitié
supérieure
de l'incisive latérale ainsi qu'une molaire sym
t-bras et de la main, on ne remarque pas la luxatiou de l'extrémité
supérieure
du radius notée dans le cas des auteurs plus ha
ie montrait que l'humérus était très notablement élargi à sa partie
supérieure
et le canal médullaire semblait plus large que
normalement. Il y avait en outre raréfaction osseuse. L'ex- trémité
supérieure
du radius qui n'affectait plus des rapports avec
e. La tubérosité bicipilale était à peine indiquée. Toute la partie
supérieure
de cet os était raréfiée. Le corps du radius pr
ous avons observé que celle dérivation dans la position des membres
supérieurs
est d'autant plus prononcée que les malades veule
vite ou quand ils sont pris d'émotion. Cette abduction des membres
supérieurs
, surtout bien visible quand on regarde la march
e de l'atrophie musculaire et des troubles de la motilité. Membre
supérieur
gauche : A l'état de repos, le pouce est en exten
ns, notamment dans la palpation. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont abolis. Aux membres inférieurs, les réflex
gauche et dans le gastro-cnémien du même côté. Motilité. -- Membre
supérieur
gauche : Les doigts restent fléchis et le ma- l
e. L'élévation du bras se fait encore presque normalement. Membre
supérieur
droit : L'écartement des doigts en éventail est a
tif de la sensibilité (contact, tempéra- ture, douleur) aux membres
supérieurs
et inférieurs, au tronc; il n'y a aucun retard
ité; elles furent, en particulier, beaucoup plus visibles au membre
supérieur
droit. Dans un troisième séjour, du 22 mars au
de l'épaule sont respectés (trapèze, grand pectoral). , Au membre
supérieur
druit, l'atrophie a aboli presque complètement la
adavérique est plus prononcée aux membres inférieurs qu'aux membres
supérieurs
et plus à droite qu'à gauche. La musculature du t
l'atrophie avait produit : une impotence presque complète du membre
supérieur
gauche intéressé jus- qu'au deltoïde, une parés
phie musculaire progressive débutant par les extrémités des membres
supérieurs
(type Aran-Duchenne), dont la cause anatomique
s membres inférieurs, n'at- teignant que secondairement les membres
supérieurs
, et caractérisée en outre par l'abolition des r
ement dans des articles de périodiques que le début par les membres
supérieurs
du même ensemble s5 mptomatique, est signalé. H
Pas de contractions fibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres
supérieurs
; les bras paraissent hypertrophiés. La soeur de
rappée depuis l'àge de 5 ans d'une atrophie progressive des membres
supérieurs
, commençant par les muscles des mains, tandis q
culaire, répartis sur quatre générations, et chez tous, les membres
supérieurs
seuls étaient atteints. Le début avait lieu le
sive débutant par les membres inférieurs avec extension aux membres
supérieurs
, accompagnée de phénomènes douloureux ; à l'aut
membres infé- rieurs, et le saturnisme pour la parésie des membres
supérieurs
. L'examen histologique montra l'intégrité de la
ervation est importante pour le début de la maladie par les membres
supérieurs
, et pour la névrite interstitielle qui en est u
appée d'une atrophie progressive débutant par la racine des membres
supérieurs
, avec extension consécutive aux membres inférie
uscles des jambes, extension consécutive aux cuisses et aux membres
supérieurs
. Abolition des réflexes tendineux, tremblements f
faibles, légère diminution de la sensibilité ; atrophie des membres
supérieurs
, mains, avant-bras, bras, épaules ; atrophie de
s fréquentes ; extension progressive dans les membres inférieurs et
supérieurs
,puis arrêt de la maladie. Réflexes tendineux fa
imilaire ; atrophie des muscles de la jambe, pied-bot ; aux membres
supérieurs
, atrophie des muscles de la main, puis de l'ava
enfance par les extrémités des membres inférieurs, puis des membres
supérieurs
; extension progressive avec intégrité relative d
Douleurs intermittentes pendant quelques années dans les mem- bres
supérieurs
. Mort il 67 ans par néoplasme des voies biliaires
nnes dont les anté- (1) Atrophie musculaire progressive des membres
supérieurs
(type A.'ali-Duchenl1e), par névrite interstiti
sciatique. A égalité de lésions, les autres nerfs, ceux des membres
supérieurs
en par- ticulier, n'y ont pas participé. La pat
rophiées, les postérieures semblent presque normales. Son extrémité
supérieure
répond au cinquième segment lombaire qui est part
yaux témoignant d'un processus actif. ' C) Au niveau de la partie
supérieure
du 3e segment sacré et inférieure du 2e (PI. XL
peu près complètement disparu : elle redevient normale à la partie
supérieure
de S' (fig. 9). D) A la partie supérieure du 2°
ent normale à la partie supérieure de S' (fig. 9). D) A la partie
supérieure
du 2° segment sacré et au niveau du 1 ? (l'I. XLI
QUE DE LÉPICONE AVEC LIPOMATOSE 315 5 niveau de la région cervicale
supérieure
, il existe encore une grande quantité de fibres
saient penserà une lésion des régions lombaire inférieure et sacrée
supérieure
, autrement dit il une lésion de l'épi- cône (1)
e Gombault et Philippe. Fio. 7 et 8. - Coupes passant par la partie
supérieure
de SI et inférieure de Sa, écrasement et destru
thrombosée. Planche XLIII Fio. 9. - Coupe passant sur S2, partie
supérieure
. La moelle paraît intacte à droite, complètemen
droite. Mesures du crâne et de la face. 322 MINGAZZINl férence
supérieure
, surtout à droite. Les mesures suivantes permette
se produit sans aucun trouble. Au toucher, l'on sent bien la partie
supérieure
et la partie moyenne du cucullaire, mais non la
nt atrophiés et que les fosses sont recouvertes de graisse. Le bord
supérieur
de l'omoplate droite se présente plus haut que ce
étendu sur son lit, le sujet n'y arrive qu'en s'aidant des membres
supérieurs
, et en arc-boutant fortement la tête et les pie
t aussi très difficiles et incom- plets. 324 MINGAZZINI Membres
supérieurs
. - Tandis que le sujet arrive facilement à soulev
vements actifs des muscles de la ceinture scapulaire et des membres
supérieur
et inférieur de gauche. Membre supérieur droi
capulaire et des membres supérieur et inférieur de gauche. Membre
supérieur
droit. Au repos, quand le bras est abandonné le l
st de toute évidence que toutes les masses musculaires de ce membre
supérieur
droit sont atrophiées, mais l'atrophie est encore
la main a une tendance à tomber. Le sujet peut soulever le membre
supérieur
droit tout entier, mais c'est là un mouvement q
n mouvement d'adduc- tion. En outre, dans cette position, le membre
supérieur
droit se fatigue très vite et a une tendance à
astriques se produisent des deux côtés. Pas de réflexes des tendons
supérieurs
à droite ceux des biceps et du triceps se produ
rieurs sont faibles des deux côtés et ils man- quent dans le membre
supérieur
droit, côté de l'atrophie. Or, si l'on considèr
écoulé entre l'invasion de la moitié de la face et celle du membre
supérieur
droit, pour ne pas supposer que le jeune homme ai
ble qui s'est écoulé entre l'invasion de la face et celle du membre
supérieur
, puis en- tre ce dernier et le membre inférieur
lorsque le sujet avait 6 ans. A 12 ans, c'était le tour des membres
supérieurs
, et quel- ques années encore après, les fléchis
arquer que, du côté malade, il n'y avait plus de réflexes tendineux
supérieurs
, tandis que, des deux côtés, les réflexes rotul
t appuyer cette seconde opinion. En effet, les réflexes tendi- neux
supérieurs
étaient abolis du côté malade, mais les réflexes
au niveau du genou : l'attitude n'a rien d'anthropoïde. Les membres
supérieurs
ne pré- sentent aucun épaississement osseux ni
; on ne voit pas l'incurvation en avant et en dehors de l'extrémité
supérieure
du fémur caractéristique de la maladie de Paget.
e du malade H... en 1910 : l'augmentation porte surtout sur la partie
supérieure
de la crête tibiale, rugueuse et irrégulière. l
Ce qui frappe le plus, c'est la saillie considérable des, deux tiers
supérieurs
du tibia (PI. LIX,L,LI). Cette saillie est tout
ion qui avait été plus particulièrement contusionnée, sur la partie
supérieure
de la crête tibiale, un nodule osseux, une « bo
'une part en hauteur le long de la crête tibiale sur les deux tiers
supérieurs
qui précisément avaient été plus ou moins contu
tour. Ces caractères sont surtout nets quand on compare l'extrémité
supérieure
malade et l'extrémité inférieure indemne du tib
(191 1). On voit dans les deux cas la même incurvation de la partie
supérieure
du tibia, le même aspect ouateux, le même rebord
que des lésions évolutives at- teignant progressivement les membres
supérieurs
, les membres inférieurs, le tronc, et causant f
myotrophie, l'une relativement diffuse, l'autre limitée aux membres
supérieurs
, observé une raréfaction et une atrophie des cell
férieure du 7e segment cervical estéga- galemenl touchée, la moitié
supérieure
relativement indemne. Le Ipr seg- ment dorsal,
gments dorsaux. Pas de lésion des cornes antérieures dans la partie
supérieure
de la moelle cervicale ainsi que dans la moelle
qui l'accompagnent, elle a deux maxima : l'un cervi- val et dorsal
supérieur
, l'autre dorsal inférieur ; et deux minima : l'un
tres, profond d'environ 1 centimètre à la partie médiane ; la lèvre
supérieure
de la cicatrice chevauche légèrement. Le cal osse
e perle du sens de position des membres. Les mouvements des membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux ; la marche ne prése
entrée à l'hôpital, il a constaté un affaiblissement des extrémites
supérieures
. quatre mois plus tard c'était le tour des extr
suffisante CARIE DES VERTÈBKES 393 sans tremblements. Extrémités
supérieures
: le bras droit cassé dans l'enfance est plus c
tite escarre superficielle. Sensa- tion de froid sur tout le membre
supérieur
gauche. 12. Ne peut plus marcher seul, chancell
oureuses des membres inférieurs. 7 avi,il 1904. Etat actuel. Membre
supérieur
gaucho plus faible que le droit. Le malade surm
Dans la partie in- férieure du 6e cervical ou plutôt dans la partie
supérieure
du 7e cervical la con- formation de la moelle c
s la droite ; en un endroit distant de près de 200 micrones du bord
supérieur
du 7e cervi- cal ils forment une ligne courbe,
ment, pour commencer disparaftre, A l'endroit correspondant au bord
supérieur
du : leur segment-cervical la circonférence de la
e et aux mains suivies d'un affaiblissement nota- table des membres
supérieurs
et d'atrophie des muscles du type Aran-Du- chen
e Aran-Du- chenne, les réflexes tendineux et périostaux des membres
supérieurs
fai- blirent, les membres inférieurs ont présen
côté gauche, beaucoup plus h. ceux du côté droit, et pour le membre
supérieur
c'est surtout la flexion de l'avant-bras sur le
ta- nés de défense ne sont nullement exagérés. ' Réflexes. Membre
supérieur
gauche. Position de ce membre pour l'exa- men :
ombante en pronation complète, on percute un peu fort sur la région
supérieure
de la face dorsale de l'avant-bras, sur le muscle
cle extenseur commun. Le réflexe du biceps est très vif. , Membre
supérieur
droit a) En plaçant les segments du membre dans l
e la percussion. ? Pour la recherche de tous ces réflexes du membre
supérieur
droit il faut pren- dre encore quelque précauti
erfs crâniens et dans les différentes régions du cou. Aux membres
supérieurs
, il existe une très faible, minime diminution de
coup moins développées, qui partent de l'extrémité latérale du bord
supérieur
ou inférieur des corps vertébraux. Ce sont comm
rachis est plus accentuée ; la distance verticale du menton au plan
supérieur
des cuisses est de 28 centimètres. L'épaule droit
du sternum en arrière, et que les épines iliaques antérieu- res et
supérieures
comprimaient fortement les fausses côtes. La mala
r était égale des deux côtés. Il y a adiadococinésie dans le membre
supérieur
droit. Dans les membres in- férieurs, soit de g
che sur un seul pied est impossible. Adiadococinésie des membres
supérieur
et inférieur droits. Nystagmus bien prononcé, r
tête ne commence à tomber à droite qu'à 8 milliampères. Le membre
supérieur
droit présente un certain tremblement. Quand on
Anesthésie tactile dans la région de l'ophtalmique et du maxillaire
supérieur
: hyposthésie dans la zone maxillaire inférieur
t avoir autrefois souffert de douleurs assez vives dans les membres
supérieurs
et surtout dans la main notamment au niveau des
en entier et s'étendait sur C 7 (partie inférieure) et D 1 (partie
supérieure
). Le reste de la moelle était indemne. L'ATROPH
truction de la corne antérieure est complète au niveau de la moitié
supérieure
du 8e segment. Elle est remplacée par une cicatri
niveau de la partie in- ferieure de ce même segment et de la partie
supérieure
du 1er segment dorsal. A ce niveau petite cavit
al.Simple atrophie sans destruction complète au niveau de la partie
supérieure
du 7e segment cer- vical et inférieure du le, d
rticulations sont complètement libres, notamment celles des membres
supérieurs
de l'épaule, du poignet et de la main. En particu
pothénarienne, plus marquée du côté gauche. Les muscles des membres
supérieurs
, avant-bras, bras et épaules sont d'aspect norm
iste. Le réflexe pupillaire existe. Enfin la réflectivité du membre
supérieur
donne les résultats suivants : Les réllexes du
t l'opposant. ' La main gauche paraît indemne ainsi que les membres
supérieurs
et infé- rieurs. L'examen du système nerveux
inal et le réflexe crémateux sont conservés. Les réflexes du membre
supérieur
méritent une mention spéciale. Il n'y a pas de mo
des douleurs lancinantes dans les membres inférieurs et les membres
supérieurs
. Pas de crises gastriques, mais mictions impérieu
i à gauche. Réflexe cutané plantaire en flexion.Réflexe du mem- bre
supérieur
(voir plus loin). Pas de clonus, pas de raccourci
me de l'extension des deux dernières phalanges. Réflexe du membre
supérieur
: coude, paraît aboli des deux côtés. Poignet,
IX Ainsi donc, abolition à peu près complète des réflexes du membre
supérieur
, sauf du réflexe radial droit (côté amyotrophié
sumé, c'est un malade atteint de syphilis nerveuse, à type de tahes
supérieur
. Atrophie isolée des petits muscles de la main
itique avec lésions cellulaires diffuses, où l'atteinte des membres
supérieurs
est à la fois diffuse et plus ou moins rapidement
a main, s'accompagne d'a- myotrophie considérable de tout le membre
supérieur
. Il s'agit donc en réalité d'atrophie musculair
que. «AyONDPtRENnu. Tabès avec atrophie musculaire des deux membres
supérieurs
. Re- vue Neurologique, 1904, p. 162. Iternrow
C. Radiographie de la tumeur hypophysaire ; l'encoche de la partie
supérieure
à été prélevée pour l'examen histologique. ACRO
. Ces crises commençaient du côté gauche, et rapide- ment du membre
supérieur
se généralisaient à tout le corps, avec contracti
ure du sinus au-dessous de l'orifice, et on aperçoit alors la paroi
supérieure
refouiée par la tumeur. Celle-ci a même en arri
éole externe) : 0, 85. Le pied est plutôt petit. Longueur du membre
supérieur
(de l'acromion à l'extrémité du médius) 0,75. L
puis la terminaison du grêle dans un cæcum énorme jusqu'à la partie
supérieure
du rectum, représentait une des formes de l'aff
e nez. Epaississement des clavicules. Notons encore que les membres
supérieurs
sont trop courts, leur extrémité digitale attei
lement déformés. La cuisse droite est surtout augmentée à sa partie
supérieure
; la gauche, plus grosse et régulièrement cylind
nservée. La raie vaso-motrice de Vulpian est différente aux membres
supérieurs
et aux membres inférieurs. Aux membres supérieu
rente aux membres supérieurs et aux membres inférieurs. Aux membres
supérieurs
son évolution est normale ; aux membres inférie
grosseur massive des membres inférieurs et la gracilité des membres
supérieurs
et du tronc presque juvénile. En outre,si le me
TAIRE DES MEMBRES INFÉRIEURS 479 grissement de la face, des membres
supérieurs
et du thorax. Par contre, on constate un dévelo
e est normale, et les membres résistent à la fatigue. Aux membres
supérieurs
, les masses musculaires sont atrophiées, mais la
s sa treizième année, maigrit rapidement de la face et de la moitié
supérieure
de la poitrine. Cet amaigrissement, qui survint
t les hypertrophies graisseuses. 11 existe également dans la partie
supérieure
du corps des lieux de prédi- lection pour les d
ité des membres inférieurs contraste avec la gracilité de la partie
supérieure
du corps. Chez eux également le tissu conjoncti
le dans notre cas, entre la partie inférieure du corps et la partie
supérieure
, n'est, d'ailleurs, nous semble-t-il, que l'exa
ntre la grosseur des membres inférieurs et la maigreur de la moitié
supérieure
du corps à propos d'une basedowienne avec myxoe-
a également intéressé la région dorso-lombaire droite. La limite
supérieure
-des tumeurs cervicales est constituée, en avant,
RENEL ET PASSOU sence déjà signalée de nombreuses tumeurs au membre
supérieur
; s'il en était besoin, ce détail aiderait à ru
e globe de l'œil et le bord osseux de l'orbite à son angle externe et
supérieur
; elle verse son fluide par huit ou dix orifices s
leur écartement la caroncule lacrymale ; tous deux sont obliques, le
supérieur
descendant, l'inférieur ascendant, et formés par
diculairement sa directipn et le partage en deux moitiés inégales. La
supérieure
logée entre la gouttière osseuse et la caroncule
nsible, formé dans la paroi externe et antérieure par l'os maxillaire
supérieur
, et, dans la paroi infé-rieure et interne, par un
sur sa longueur, sa convexité est en avant et en dehors; son orifice
supérieur
ou lacrymal est incliné en avant et en dedans ver
rméabilité des voies lacrymales. 20 Injection par le point lacrymal
supérieur
. Relever la pau-pière supérieure avec le pouce de
20 Injection par le point lacrymal supérieur. Relever la pau-pière
supérieure
avec le pouce de la main qui est. libre, les doig
ts au-dessous de la pommette. Insinuer le tube dans le point lacrymal
supérieur
et terminer comme il a été dit précédemment; mais
nasal (méthode de Laforest). i° Cathétérisme par le point lacrymal
supérieur
. Procédé d'Anel. L'opérateur placé derrière le
ête le manche de l'instru-ment en regard de la première dent incisive
supérieure
opposée. Si la sonde est d'une courbure convena
manche, devenu horizontal, correspond au plan de la première incisive
supérieure
du côté op-posé (n° 3), et le bec, qui a remonté
Méjean pratiquait, comme Anel, le cathétérisme par le point lacry-mal
supérieur
, allait saisir dans les fosses nasales le fil du
était conique et légèrement évasé en bec de cuillère à son extrémité
supérieure
. L'auteur lui avait dû un assez grand nombre de s
e seulement de deux centimètres , évasée en bourrelet à son extrémité
supérieure
, et terminée en bec de cuillère à son extrémité i
lisse, conique, légèrement incur-vée, et qui n'offre qu'un bourrelet
supérieur
cannelé en dedans, est sujette à remonter, devien
quatre millimètres à son bourrelet, trois millimètres à l'extré-mité
supérieure
de la tige, et un millimètre et demi à son extré-
le bourrelet, qui a pénétré dans le sac lacrymal, affleure l'orifice
supérieur
du canal nasal. La canule étant en position , pre
suré. Le malade a guéri sans larmoiement, quoique le conduit lacrymal
supérieur
fût resté oblitéré. — Plusieurs praticiens ont pr
, faire aux tégumens, à quatre ou cinq mil-limètres du bord palpébral
supérieur
ou inférieur, une incision qui lui est parallèle
aie plus régulière. Autant que possible, quelle que soit la paupière,
supérieure
ou inférieure, faire en sorte que l'incision la p
usqu'à son niveau, le pédicule étant entre les deux. Pour la paupière
supérieure
(fig. i et 2), le lambeau est taillé en dehors su
blépharoptose (pl. 5, fig. 9, 10, ii, 12). La chute de la paupière
supérieure
, déterminant l'occlusion forcée de l'œil, constit
le dépend d'une paralysie complète du muscle élévateur de la paupière
supérieure
; elle est curable, au contraire, lorsqu'elle tien
fig. 9 et 10). Dans le cas de paralysie de l'élévateur de la paupière
supérieure
, Morand et Anel avaient eu l'ingénieuse idée de f
écrire,aux dépens des tégumens delà paupière,une seconde, à concavité
supérieure
, dont la courbe se prolonge d'autant plus inférie
lus simple que ce procédé. Le sourcil étant rasé, relever la paupière
supérieure
et la mainte-nir en cet état par l'application de
l'élévateur et de la conjonctive et, après l'a-voir isolé à son bord
supérieur
et à ses extrémités, en faire la résection avec l
s simple, et aussi le plus sûr, est de maintenir soulevée la paupière
supérieure
par des bande-lettes agglutinatives, comme il a é
ient l'angle interne, quatre l'angle externe, et un seul l'hémisphère
supérieur
. Le ptérygion renferme un épais lacis de vaisseau
re que l'œil sur lequel on opère s'offre en premier plan. La paupière
supérieure
est relevée par l'indicateur ou mieux par l'indic
inverse la tige dont la concavité s'ap-plique en plein sur la courbe
supérieure
du cristallin , la pointe entamant sa circonféren
e cristallin, et, par un mouvement de rotation, incliner le tranchant
supérieur
en arrière et en bas pour tracer une voie dans le
a division de la capsule antérieure appliquer l'aiguille près du bord
supérieur
du cristallin et presser légèrement d'a-vant en a
mou-vement de bascule, d'où il résulte que sa face antérieure devient
supérieure
, et son bord inférieur antérieur (pl. io, fig. i
n a piqué la cornée. i° Piqûre en Aa*. Remonter la pointe à la partie
supérieure
du cristallin, l'embrasser, et, portant le manche
ieu de la section cornéale, les désignations de kératomie inférieure,
supérieure
ou oblique, con-stituant autant de procédés. Mais
lame, achève de s'évacuer en entier.Laisser retomber aloisia paupière
supérieure
et faire reposer pendant quelques instans l'œil,
o-tion du malade, faire relever avec beaucoup de douceur la pau-pière
supérieure
, ou mieux la relever soi-même de la main qui est
on de l'instrument une pression lente et bien graduée sur la paupière
supérieure
, en arrière du plan auquel corres-pond le cristal
e, et la tige de l'instru-ment glissant un peu en bas sur la paupière
supérieure
, la des-censión du cristallin continuant suivant
chappe au dehors sans le cristallin , abaisser rapidement la paupière
supérieure
, pour fermer la plaie, et laisser reposer l'œil q
à la surface de la cornée au milieu de son quart de cercle externe et
supérieur
; piquer et glisser le cou-teau comme à l'ordinair
r comme il a été dit à propos de la kératomie inférieure. Kératomie
supérieure
(pl. 9, fig. 7 et 8). La kératomie supérieure e
férieure. Kératomie supérieure (pl. 9, fig. 7 et 8). La kératomie
supérieure
est la section du demi-cercle supérieur de la cor
fig. 7 et 8). La kératomie supérieure est la section du demi-cercle
supérieur
de la cornée. Pratiquée pour la première fois par
lade, soulevant avec les doigts de la main qui est libre la pau-pière
supérieure
, tandis qu'un aide, placé au devant de l'opéré ,
n, par la continuité de la marche du couteau, diviser un demi-segment
supérieur
de la cornée distant d'un à deux millimètres de l
u'on abandonne à elle-même, tandis qu'on relève fortement la paupière
supérieure
pour qu elle ne s'oppose pas à la sortie du crist
our qu elle ne s'oppose pas à la sortie du cristallin. La kératomie
supérieure
est indiquée lorsque la moitié infé-rieure de la
t et prévient la procidence de l'iris (Jœger). Toutefois la kératomie
supérieure
a des inconvéniens réels dans son exécution. La c
qui entraîne moins de strabisme que l'angle externe; 3° l'hémisphère
supérieur
de l'iris , déjà moins avantageux vu la quantité
ure comme pour l'abaissement du cristallin; la diriger vers la partie
supérieure
et interne de la circonférence de l'iris, en tour
a paupière supé-rieure, et. parcourir la demi-circonférence orbitaire
supérieure
en ayant soin d'enlever en même temps la glande l
rs, et le chasse à l'extérieur. M. Mal-gaigne préfère suivre la paroi
supérieure
du conduit auditif, parce que, représentant le so
s répondent de chaque côté aux apophyses montantes des os maxillaires
supérieurs
,etappuientcnarrière sur la lame perpen-diculaire
, en dedans par la sous-cloison, en arrière par l'origine de la lèvre
supérieure
, et en avant par le lobe nasal. Il faut remarquer
levant fortement le lobe du nez et en déprimant la racine de la lèvre
supérieure
. Narines postériewes. Plus vastes que les narin
es s'ouvrent, en arrière et un peu obliquement en bas, dans la partie
supérieure
du pharynx. Hautes dedetix centimètres,larges de
rement. Elles offrent quatre parois : l'inférieure ou le plancher, la
supérieure
ou la voûte, l'interne ou la cloison, et enfin l'
fibreux qui ont leur siège presque exclusif sur la cloison. La paroi
supérieure
ou la voûte, qui n'a pas plus de quatre à cinq
llaire distant de quatre centimètres de la narine antérieure. Le méat
supérieur
, plus profondément situé que les deux précédens,
vêtues par la muqueuse plus rouge, molle, très vasculaire à la région
supérieure
, où elle devient plus spécialement, à cause de sa
ailler un lambeau convenable verti-calement sur le milieu de la lèvre
supérieure
en n'intéressant que la moitié de son épaisseur.
, on peut la réparer en empruntant un lambeau à la joue ou à la lèvre
supérieure
. Mais quand la perte de sub-stance est très peu é
plus souvent, à activer le développement du polype avec une intensité
supérieure
à la destruction opérée par le caustique. Procé
par le trou sus-orbitaire. Sinus maxillaire. Situé dans la mâchoire
supérieure
, le sinus maxillaire suit, dans son développement
maxillaire qui est comme cachée sous le cornet ethmoïdal. 2° La paroi
supérieure
ou orbitaire constitue; le plancher de l'orbite ;
ade qui depuis long-temps portait une fistule de ce genre à la partie
supérieure
et interne de l'orbite. Les ouvertures résultan
t demi (un pouce et demi) envi-ron de profondeur, et au niveau du pli
supérieur
de lailc du nez. En glissant alors doucement le b
r-sonnes qui donnent du cor. Son siège le plus ordinaire est la lèvre
supérieure
; parfois il affecte aussi les deux lèvres à-la-fo
issure, retourne la lèvre, la muqueuse en avant, en l'élevant pour la
supérieure
et l'abaissant pour l'inférieure. Le chirurgien,d
lève que le second ou le troi-sième jour. 2" Gonflement de la lèvre
supérieure
. Cette espèce d'hy-pertrophie , signe ordinaire d
bec-de-lièvre congenial, au contraire, occupe invariablement la lèvre
supérieure
, et c'est de l'aspect qu'il présente qu'il a em-p
en remontant jusqu'à quatre ou cinq millimètres plus haut que l'angle
supérieur
delà fente et diviser nettement les chairs d'un s
il est convenable de placer la seconde aiguille au-dessous de l'angle
supérieur
afin que l'un des lambeaux ne fasse pas bourrelet
, et les arrêter par quelques tours sous les extrémités de l'aiguille
supérieure
. Dès que les sutures entortillées sont fixées on
trument en piquant d'a-bord, puis en sciant de haut en bas de l'angle
supérieur
de la plaie vers le bord libre par une section fr
onserver sa partie médiane pour servir de tubercule moyen de la lèvre
supérieure
. On taille en-suite de chaque côté le bord des de
avantageuse pour imiter après la réunion la forme normale de la lèvre
supérieure
, reste à appliquer les ai-guilles à suture que l'
la lèvre inférieure. Dès le troisième jour on peut enlever l'aiguille
supérieure
et l'une des médianes, s'il y en a quatre ou plus
tant plus en dedans que la maladie envahirait davantage vers la lèvre
supérieure
, intéresse également toute l'é-paisseur des chair
au-dessus de la maladie, formera la base d'un autre lambeau vertical
supérieur
en regard. Enfin une dernière incision verticale
issé-quer en dessous les trois lambeaux, un peu seulement le vertical
supérieur
pour éviter les vaisseaux et les nerfs dans la fo
sés en croix de Saint-André, une épingle unissant le lambeau vertical
supérieur
avec la lèvre inférieure, tandis que l'autre unit
supérieur avec la lèvre inférieure, tandis que l'autre unit la lèvre
supérieure
avec le lambeau vertical inférieur. Un même fil,
en bas pourla mâchoire inférieure, et de bas en haut pour la mâchoire
supérieure
, les brides et adhérences anormales dans toute le
e la narine à l'extrémité du lobule de l'oreille, aux deux cinquièmes
supérieurs
du masse-ter, et côtoie en travers ce muscle acco
orce d'en insinuer le bout extérieur dans la por-tion parotidienne ou
supérieure
du canal. M. Zancj a recours à la même substance,
es, de manière que la nouvelle voie salivaire forme un Y avec le bout
supérieur
du canal qu'elle continue. Voici en quoi il consi
lage de la conque, attaquer la masse indurée, d'abord par son contour
supérieur
, puis postérieur, où elle est mieux limitée, en l
e mylo-hyoïdien ; circonscrite entre les vaisseaux faciaux à son bord
supérieur
, et ceux de la langue à son bord inférieur, cette
à droite du malade, comme pour l'extraction des dents delà mâ-choire
supérieure
, commence par écarter à l'aide du doigt indi-cate
e la voûte palatine. Ordinairement même elle s'étend aussi à la lèvre
supérieure
, en sorte qu'un même cas peut réclamer deux opéra
sonde cannelée ou le manche d'un scalpel, en commençant par son bord
supérieur
, et gagnant en profondeur alternativement sur l'u
'air atmosphérique un passage artificiel quand il existe, à la partie
supérieure
du tube aérifère, quelque obstacle mécanique à la
e de l'engorgement séreux des lèvres de la glotte, rend ce moyen très
supérieur
à l'emploi des scarifications et de la sonde lary
dans un ordre chronologique de la partie infé-rieure vers l'extrémité
supérieure
du canal aérifère ; ce sont : la trachéotomie, la
s lèvres s'appliquent sur tout l'orifice tra-chéal , nous paraît bien
supérieure
à l'introduction d'une sonde , qui, laissant péné
section horizontalement sur la membrane seule, parallèlement au bord
supérieur
du car-tilage cricoïde. Nous ne faisons que menti
teur de cette opération, dont, la nécessité, pour agir dans la partie
supérieure
du tube aérien , est aussi évi-dente que celle de
parties qu'il importe d'éviter sont les vaisseaux et le nerf laryngés
supérieurs
situés le long du bord supérieur du cartilage thy
t les vaisseaux et le nerf laryngés supérieurs situés le long du bord
supérieur
du cartilage thyroïde. Voici le détail du procédé
face antérieure du rachis, derrière la trachée-artère dans son tiers
supérieur
, puis au-devant de l'aorte. Pour diriger les inst
liquides. Il suffit alors de les verser avec un entonnoir par le bout
supérieur
de la sonde. 2° Évacuation de Vestomac. Elle se
ne inférieure, ni remonter plus haut que l'hyoïde, où le nerf laryngé
supérieur
et les artères linguale et faciale pour-raient êt
onvexe, une première in-cision semi-elliptique oblique et à concavité
supérieure
, en pro-cédant de haut en bas et de dehors en ded
rs le sein, il pratique de la même manière l'incision semi-elliptique
supérieure
, d'un angle à l'autre de la première, par une sec
un doigt, éparpillant ainsi ses cinq doigts sur le contour externe et
supérieur
ou axillaire de la plaie, d'où proviennent les va
érées, on les enlève en prolongeant dans leur sens l'angle externe et
supérieur
de l'incision. Ces chapelets glandulaires affecte
e intercostal, en se tenant plus près de la côte inférieure que de la
supérieure
; relevant un peu la lèvre supé-rieure, d'un secon
nt sur chacune de ses faces latérales, aux vaisseaux diaphragmatiques
supérieurs
; des arté-rioles fournies parles dernières interc
général le milieu d'une ligne tracée de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
gauche à l'om-bilic. On évite ainsi la vessie et
'élection de pé-nétrer , chez la femme , par la partie postérieure et
supérieure
du vagin, pour arriver clans le cul-de-sac périto
légèrement oblique, dont il main-tient de la main gauche l'extrémité
supérieure
, tandis cpie l'infé-rieure est fixée par l'aide;
la collection liquide; tin petit couvercle qui s'adapte à l'extrémité
supérieure
de la canule, et un bouchon en boisa l'autre extr
eur de la plaie pour ne pas blesser l'épi-ploon tendu entre la partie
supérieure
de la plaie et les atta-ches gastro-coliques. 2
rale consécutive ; 2° Autant que possible, de débrider vers l'angle
supérieur
de la plaie, la pression des viscères abdominaux
e. Manuel opératoire. Le malade étant couché sur le dos, la par-lie
supérieure
du tronc soulevée , le thorax et les cuisses légè
, de telle sorte qu'il reste encore un peu de passage dans l'o-rifice
supérieur
de la plaie, delà main droite, armée d'une sonde
, vers l'angle infé-rieur de la plaie, de manière à démasquer l'angle
supérieur
; l'ex-trémité huilée du doigt indicateur est glis
ffectuée sur un militaire, Rhamdor conçut l'idée d'introduire le bout
supérieur
de l'intestin dans le bout inférieur, et de les f
-ration. La première est de distinguer l'un de l'autre les deux bouts
supérieur
et inférieur. Jusqu'à présent l'unique moyen, con
ême. D'une part, le mésen-tère qui arrive jusque sur la plaie du bout
supérieur
s'oppose à ce qu'il puisse être introduit dans l'
e, s'il était constant et qu'il ne pût pas également s'offrir au bout
supérieur
, serait un indice pour les distinguer l'un de l'a
M. Smith ne put opérer l'invagination, quoiqu'il eût mis dans le bout
supérieur
une chandelle en guise de mandrin. M. Velpeau con
e Chopart et Desault, qui consiste à intro-duire d'abord dans le bout
supérieur
une carte roulée en cylindre, puis à faufiler à p
in sur la carte, et à se servir des chefs du fil pour attirer le bout
supérieur
dans le bout inférieur cpie l'on perfore ensuite
-port deux surfaces de nature différente, la membrane séreuse du bout
supérieur
avec la membrane muqueuse du bout inférieur; obje
abord le mésentère dans l'étendue de quelques millimètres sur le bout
supérieur
, puisa chaque extré-mité du diamètre infra-supéri
chaque extré-mité du diamètre infra-supérieur, il passe dans le bout
supérieur
une anse de fil, dont un chef ressort par la face
aide, les saisit d'une main, tandis que de l'autre il dirige le bout
supérieur
attiré parles anses de fil pour l'invaginer dans
rurgien, sans s'occuper d'établir la distinction entre les deux bouts
supérieur
et inférieur, introduit le fragment de liège clan
oses étant à ce point, de la main gauche le chirurgiei saisit le bout
supérieur
, et de la droite prend l'aiguille de l'un de; fil
inférieur , on essai d'y invaginer méthodiquement l'extrémité du bout
supérieur
. O termine enfin, soit par une suture, soit en no
es fils n'est pas assez certaine. Le procédé de M. Denans nous paraît
supérieur
sous tous les rapports. Les bouts d'intestin sont
om-bre des individus, sont prêtes à céder si la force d'impulsion est
supérieure
à la résistance qu'elles opposent. Ces ouvertures
ervoir dans lequel les matières intestinales sont versées par le bout
supérieur
. De là elles sortent par la plaie extérieure, ou
ours un sac inerte , incapable de réagir sur les matières que le bout
supérieur
de l'intestin y dépose. Et alors il est facile de
pubis sous les tégumens. On y distingue deux orifices, dont l'un est
supérieur
et l'autre inférieur, et en outre des parois limi
réunissant sur le ligament de Fallope. Il ne reste plus que la paroi
supérieure
du canal. Celle-ci, moins net-tement limitée, est
es deux muscles petit oblique et transverse de l'abdomen. L orifice
supérieur
interne oupéritonèal du canal, ou l'anneau intern
certains cas, et qui a été nommé pilier in- 3o terne de l'anneau
supérieur
, est formé par \efascia transversalis. L'orifice
e l'anneau supérieur, est formé par \efascia transversalis. L'orifice
supérieur
, enfin , est fermé par le péritoine qui, chez l'
bas et de dehors en dedans ; son extrémité inférieure répond au bord
supérieur
de l'os pubis, et l'autre, qui est supérieure et
nférieure répond au bord supérieur de l'os pubis, et l'autre, qui est
supérieure
et externe, est émoussée par des fi-bres transver
s distinctes: l'une, la plus externe, répond préci-sément à l'orifice
supérieur
du canal, et est limitée en dedans par la saillie
ce n'est qu'à l'époque du déve-loppement du bassin que son extrémité
supérieure
est entraînée en dehors par l'écartement des os d
ions sont beaucoup moins considérables que chez l'homme ; son orifice
supérieur
est, pour ainsi dire, réduit à une simple fente,
venons de le limiter, constitue, pour certains anatomistes, l'orifice
supérieur
d'un canal acci-dentel, connu sous le nom de cana
rural ; elle s'amincit aussi et se continue avec la partie interne et
supérieure
de ce que nous avons décrit sous le nom d'entonno
ière formée par l'aponévrose du grand oblique, elle contourne le côté
supérieur
et interne de l'anneau. H résulte donc de ces rap
lote, indique la nécessité de faire agir la compression sur l'orifice
supérieur
du canal, et M. Mal-gaigne , adoptant la même doc
ires et de sous-cuisses. Dans la hernie qui s'échappe par la partie
supérieure
de la ligne blanche , et que l'on appelle hernie
ormation d'un anus contre nature. Ensuite, on introduira dans le bout
supérieur
du tube digestif une sonde de femme afin de perme
dans d'autres l'étranglement siège en unpointtrès élevé, à l'orifice
supérieur
de l'anneau inguinal, par exemple. Le chirurgien
dans toute son étendue. Enfin, l'étranglement peut siéger à l'orifice
supérieur
du canal et ce cas est un des plus embarrassans q
heureux pour reconnaître, avec le doigt, l'obstacle placé à l'orifice
supérieur
du canal, mais si même on ne peut y parvenir il f
it se comporter comme dans le cas d'un étranglement situé à l'orifice
supérieur
du canal inguinal. Une tumeur existe derrière l'a
fin l'étranglement avait lieu dans le trajet in-guinal ou à l'orifice
supérieur
du canal, comme évidemment la hernie serait obliq
il consiste à porter le bis-touri en dedans de l'anneau , sur le côté
supérieur
de la demi-circonférence interne, et à le diriger
éperon, qui s'interpose comme une cloison incomplète entre les bouts
supérieur
et inférieur de l'in-testin. D'autre part, sur le
e complet ou une grande difficulté à la circulation des fèces du bout
supérieur
dans l'inférieur, le cercle d'adhérences, tiraill
des deux bouts de l'intestin, l'inférieur surtout et d'abord, puis le
supérieur
à l'aide de lentes de charpie, de volume gradué,
ment du ventre, déterminés par la rétention des matières dans le bout
supérieur
de l'intestin, l'ont forcé de rétablir la fistule
n, c'est-à-dire que les fèces puissent passer assez librement du bout
supérieur
dans l'inférieur, de telle sorte que la fistule,
substituer deux sondes de femme, qu'on introduit, l'une dans le bout
supérieur
et l'autre dans le bout inférieur. On est sûr qu'
doigt ou sur la sonde de femme dans l'un des bouts de l'intestin, le
supérieur
par exemple; on l'y fait pénétrer, suivant le bes
iser l'obstacle qu'il apporte au cours des matières fécales , du bout
supérieur
cle l'intestin dans le bout inférieur. Celui cle
mencer au niveau et un peu au-devant de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, et se terminer à 6 ou 8 centimètres au-dessous,
d'ailleurs à leur sortie par des injections d'eau tiède dans le bout
supérieur
et dans le bout inférieur. Après quelques jours,
xpulsion du reste par une ou deux injections d'eau tiède dans le bout
supérieur
et dans le bout inférieur. Lorsque le ventre est
vices peuvent, se présenter clans cette in-cision : ou bien à l'angle
supérieur
l'intestin aura fui sous le tran-chant et le tiss
lade de M. Colombe, la paroi de l'intestin s'invagina dans l'o-rifice
supérieur
du tube; mais on conçoit qu'il serait facile d'év
tournée vers la fistule, et la sonde étant glissée jusqu'à la partie
supérieure
du foyer : on met en rapport les deux instrumens;
et scarifier les culs-de-sacs. Il est prudent aussi de revoir l'angle
supérieur
de la plaie et de s'assurer s'il n'existe pas enc
iné à vaincre les coarctations de la partie moyenne ou de l'extrémité
supérieure
du rectum. 11 est inutile d'insister sur ces déta
drique et allongé, pas trop cte, circonscrit et fixé, à son extrémité
supérieure
ou intes-tinale, par deux fortes ligatures en cro
tampon de Boyer, pour noyau central et fixe, la canule dont le colle,
supérieur
fixerait au dedans la ligature en croix , et dont
enne, la transversale du périnée, quelques rameaux de l'hémorrhoïdale
supérieure
et de la honteuse interne. Pour quiconque a bie
masse cancéreuse. M. Lisfranc porte les ciseaux courbes à l'extrémité
supérieure
de la fente verticale, et coupe l'intestin circul
é. On la pratiquait à l'aide d'escharotiques, placés soit à la partie
supérieure
, soit à la partie inférieure de la tumeur, ou bie
pais, mais il est toujours moins long que les lam-beaux de l'incision
supérieure
, attendu qu'en ce point la cou-ronne du gland se
u'il ne présente pas d'induration chronique, la simple incision, soit
supérieure
, soit inférieure, est suffisante. Il en est encor
bien qu'à la rigueur on puisse encore se contenter d'inciser son bord
supérieur
et d'exciser les lèvres de la plaie, il n'en est
gland avec un fil; on incisait circulairement la peau vers la partie
supérieure
de la verge, avec la précaution de n'offenser ni
et offre par consécpient sa concavité en haut; l'autre antérieure et
supérieure
, à la racine de la verge a son sommet au devant d
moins épaisse que celle qui est au-dessous, de là vient que la paroi
supérieure
de la partie prostatique de l'urètre est beaucoup
sez de développement pour être refoulée dans le ventre par le détroit
supérieur
du bassin, ce qui fait que la courbure postérieur
s fixerions cette dimension. Une remarque à faire, c'est que la paroi
supérieure
est plus longue que l'inférieure ; cela tient à c
est-il plus apparent que réel, il tient à l'affaissement de la paroi
supérieure
sur l'in-férieure. A partir du sommet de cette co
elle-même pourront ap-porter des obstacles au cathétérisme. La paroi
supérieure
partout lisse et dense ne présente aucun obstacle
congéniale des deux moitiés de cet organe le long de la ligne médiane
supérieure
. Le pénis ne présente que fort peu de longueur, l
'enfonce sous la symphyse des pubis, laquelle lui constitue une paroi
supérieure
jusqu'à la vessie. L'urine n'est souvent retenue
, et détachant la peau de chaque côté, reproduire au canal une pa-roi
supérieure
cutanée, soit au moyen de la peau allongée et réu
u'il importe de se rappeler parfaitement la configu-ration des parois
supérieure
et inférieure de l'urètre. La paroi supérieure, s
figu-ration des parois supérieure et inférieure de l'urètre. La paroi
supérieure
, soutenue par les corps caverneux, dense et résis
samment sentir la nécessité de côtoyer et de sentir toujours la paroi
supérieure
de l'urètre avec t. vii. le bec de la sonde.
pas que ce soit avec le bec de la sonde qu'on appuie contre la paroi
supérieure
dans la crainte de froisser les parties ; il reco
lavessie en s'ap-puyant légèrement contre le plan incliné de la paroi
supérieure
de la courbure sous-pubienne. Toutefois le procéd
ouce et l'indicateur de la main droite, ayant soin de suivre la paroi
supérieure
du canal, tandis qu'avec la main gauche il tire l
fice du rétrécissement est aussi central ou latéral, droit ou gauche,
supérieur
ou inférieur. Si le rétrécissement est situé au b
de saillie. En parcourant de la même manière alternativement la paroi
supérieure
et la paroi inférieure du ca-nal, on peut acquéri
t plus en rapport avec les rainures de la douille, mais avec son bord
supérieur
qui les retenait. Pour fixer le nitrate d'argent
n se sert de l'un ou de l'autre, suivant qu'on veut agir sur la paroi
supérieure
, ou sur la paroi inférieure. D'un autre côté, pou
oite d'un médiocre calibre, en ap-puyant plus que jamais sur la paroi
supérieure
de l'urètre. Cautérisation. A. Cooper eut recou
lobe médian pathologique de la prostate, ou bien on éloigne les lobes
supérieur
et inférieur de la prostate hypertro-phiée. Le bu
ans le point qu'on désire au moyen d'une vis, présente dans sa partie
supérieure
un canal cylindrique horizontal dans lequel pénèt
aire. Elles étaient articulées à leur extrémité vésicale : la branche
supérieure
était fixe et faisait corps avec la canule, la br
isir l'instrument s'allonge et se raccourcit à volonté; son extrémité
supérieure
est brisée, en sorte qu'elle peut être in-clinée
. 20 Pression avec la vis et l'écrou. Pour agir avec une force bien
supérieure
et substituer une pression régulière et graduelle
pel-vienne , surface interne de la cloison périnéale, tapisse la face
supérieure
des releveurs de l'anus ou le fond de l'excavatio
. Au reste, maintenant que nous connaissons des procédés de beau-coup
supérieurs
et d'une exactitude presque mathématique, il sera
ours sans abandonner la can-nelure du cathéter, jusque vers la partie
supérieure
de la plaie. Ainsi placé , le lithotome servait à
n'en est pas moins vrai qu'il suffit pour démontrer qu'elle est sinon
supérieure
, du moins égale aux autres. Ainsi donc, eu égard
'autre main, il saisira le pied par son bord interne et par sa partie
supérieure
. Le troisième maintiendra les épaules; le quatriè
instrumens un demi-tour à gauche, au moyen duquel le gorgeret devient
supérieur
à la te-nette, et peut être retiré avec plus de f
gage dans leur intervalle; —si elle est en rap-« port, avec leur bord
supérieur
, elle se place entre eux naturel-« lement, à mesu
ivans comme moyen de diagnostic : « Si le sang s'échappe de « l'angle
supérieur
de la plaie, ou de la couche sous-cutanée, a ce s
pas ordinairement au-delà du point où la partie moyenne et la partie
supérieure
se réunissent. Cependant, comme il pour-rait arri
uche, dont le bord cubital est tourné en haut, est porté dans l'angle
supérieur
de la plaie, où il reconnaît la portion membraneu
le continue de s'avancer d'abord sur la face postérieure, puis sur la
supérieure
, dont elle est écartée par l'ouraque et les art
omme Douglas, Morand portait son doigt indicateur gauche dans l'angle
supérieur
de la plaie et l'appuyait contre la vessie pour m
'un d'eux (44) est construit sur le modèle du releveur de la paupière
supérieure
de Pellier. De toutes les modifications opérato
pratiquer cette incision, on place le doigt indi-cateur dans l'angle
supérieur
de la plaie, la face palmaire tour-née vers l'omb
t. l'on place en même temps son doigt indi-cateur gauche dans l'angle
supérieur
de la plaie de la vessie, on le remplace immédiat
is, et trace la ligne que doit parcourir l'incision jusqu'à sa limite
supérieure
, dans une longueur de 7 à 8 centimètres. S'armant
iocrement serré. Quelques opérateurs veulent qu'on réunisse la partie
supérieure
de la plaie avec des bandelettes agglutina-tives,
emps la canule, jusqu'au quatrième ou cinquième jour, toute la partie
supérieure
de la plaie se trouverait réunie, et il ne rester
ètre et le cli-toris , de manière à atteindre la vessie par sa partie
supérieure
près du point où elle s'unit à l'urètre. Seulemen
Procédé de L. Collot et de A. Dubois. Il consiste à diviser la paroi
supérieure
de l'urètre directement d'avant en arrière; on le
un bistouri droit dans sa cannelure et incisait, en entrant, la paroi
supérieure
de l'urètre, et tout ce qui l'entoure jusqu'au li
a taille vestibulaire, et la taille urétrale par incision de la paroi
supérieure
, ne peuvent évidemment donner passage qu'à des ca
a, donne au-thentiquement le résultat le plus favorable ( 1 o, po) et
supérieur
à ceux de Norwich, Venise et Moscou qui, avec des
s, à ad-mettre ces chiffres qui présenteraient la lithotomie égale ou
supérieure
en résultat à la lithotritie. Sans doute en appar
ération de la taille, s'il exis-lail une petite ouverture à la partie
supérieure
des organes soudés, on s'en servirait pour faire
es permettent aux matières accumulées dans l'utérus ou dans la partie
supérieure
du vagin de s'écouler au dehors, en même temps qu
alors facile de sentir la fluctuation du sang accumulé dans la partie
supérieure
du vagin, car on n'en était pas séparé par plus d
, et l'autre à 27 millimètres au-dessus, entre cet orifice et l'angle
supérieur
de la division. La réunion fut prompte, et ne fut
ar semaine, j'ai cru que la fente se fermerait par degré de sa partie
supérieure
vers les tégumens.... Ainsi traitée, la cloison r
istules vésico-vaginales, fit pratiquer une échancrure vers sa région
supérieure
, et M. Ricque le fit cribler de trous, pensant qu
ceps, et dans lequel la tète de l'enfant, long-temps fixée au détroit
supérieur
du bassin, comprime fortement la paroi antérieure
e de ces pla-ques présente sur sa face interne, tout près de son bord
supérieur
, une ouverture qui laisse passer une érigne mobil
ambeau circonscrit entre ces deux in-cisions, de l'inférieure vers la
supérieure
, en prenant les plus grandes précautions pour ne
e-aiguille ordinaire, et, armée d'un fil double, fut portée à l'angle
supérieur
, et arrêtée avec un mor-ceau de diachylum, passé
NTÉRO-VAGINALES. Toutes les fois qu'une portion du tube intestinal,
supérieure
au rectum, vient s'ouvrir dans le vagin, et y ver
t à l'autopsie qu'on avait introduit l'intestin invaginé dans le bout
supérieur
du gros intestin, au lieu de l'introduire dans le
ane, le museau de tanche vient faire saillie à la vulve, et la moitié
supérieure
du vagin est retournée sur elle-même, comme un do
mmoder à la forme du vagin, de la vessie et du rectum. Leur extrémité
supérieure
présente une cuvette ovale, dont le grand diamètr
it œuf, et se prolongeait par un pédicule distinct jus-qu'à la partie
supérieure
du col. 6" Polypes cancéreux. On voit quelquefois
'un polype ayant le volume du gros orteil, qui s'insérait à la partie
supérieure
du col, et fai-fait saillie dans le vagin. Il le
éviter la lésion du tissu de l'utérus, en faisant fixer, à sa partie
supérieure
, l'origine de la tumeur avec une pince, pendant q
contenus dans le vagin , et qui s'inséraient à sa partie tout-à-fait
supérieure
, ou même jusque dans le col utérin. Herbiniaux a
, soit avec une sonde à cro-chet, et a pour but de forcer l'extrémité
supérieure
des deux son-des à se rapprocher de plus en plus
obtus; chacune de ces branches est enfoncée séparément dans la partie
supérieure
du col utérin, au-dessus de la partie malade. L'i
érisation ; 20 quand la maladie ne s'étend pas au-dessus de la partie
supérieure
de l'insertion utérine du vagin ; 3° lors même qu
qui a l'avantage de mieux embrasser la tumeur et de ten-dre la partie
supérieure
du vagin, M. Lisfranc absterge soigneu- sèment
ns lentes et graduées, d'abord dans la direction de l'axe du dé-troit
supérieur
, puis dans celle de l'axe du détroit inférieur. L
d'abaisser les ligamens larges et de les inciser dans les deux tiers
supérieurs
de leur étendue ; une aiguille courbe à manche, d
nfant est vivant, 2° quand la tête sera déjà en-gagée dans le détroit
supérieur
et enclavée dans la filière du bas-sin, de manièr
forceps, même dans le cas où la tête, encore en-gagée dans le détroit
supérieur
, se trouverait placée transversa-lement. » Toute
sse du bassin. Quelle qu'en soit la cause , Yétroi-tesse des détroits
supérieur
et inférieur est la circonstance qui (.1) Primi
de ce qui arrive le plus fréquemment, qu'il fallait, pour le détroit
supérieur
, que le diamètre anléro-postérieur ou sacro-pubie
n bord externe et d'une ligne fictive, tirée de l'épine antérieure et
supérieure
de l'os des îles, jusqu'à l'extrémité antérieure
trer les artèresépigas-triques ; 3° d'ouvrir la matrice par sa partie
supérieure
, de manière à favoriser l'écoulement des lochies
au péritoine, et le décol-ler afin de découvrir le col et l'extrémité
supérieure
du vagin, dans le but d'y faire un ouverture par
ait proposé de décoller et repousser la séreuse , découvrir la partie
supérieure
du vagin , l'inciser sur la partie latérale, intr
Extraction, kératomie inférieure, 23, 24;ké-ratomieoblique, kératomie
supérieure
, 2 5 ; kératomie latérale, méthode mixte, 26. — P
divergent (strabismus divergeas). En haut ou vers le front, strabisme
supérieur
ou frontal {strabis-mus sursùm vergens). En bas o
ors (Boyer (1)); la concordance de trois muscles, les droits interne,
supérieur
et inférieur, et même celle des deux obliques, so
n du droit interne s'ajoute une traction plus ou moins forte du droit
supérieur
ou du droit inférieur, la déviation se présente p
u droit inférieur, la déviation se présente plus ou moins in-terne et
supérieure
, ou interne et inférieure, et en outre l'œil sera
mince, était de cinq milli-mètres plus court que l'externe. Le droit
supérieur
s'est trouvé incurvé, son bord interne, concave,
nd on exerce avec le doigt la pression la plus légère sur la paupière
supérieure
; la seconde, la guérison toute nouvelle, parles s
vement d'élévation de l'œil étant le moins ordinaire, le muscle droit
supérieur
est le plus mince des quatre. (1) Pl. B; C, D,
nsemble il y a rétraction de l'œil en travers, (b) Les muscles droits
supérieur
et inférieur agissent précisément de la même mani
oit interne, en con-traction, les portions correspondantes des droits
supérieur
et inférieur concourent également au mouvement in
ue en dedans et en haut dans l'ac-tion combinée des droits interne et
supérieur
; oblique en dedans et en bas dans celle des droit
le grand oblique, fixé en arrière à la gaîne fibreuse et à la partie
supérieure
du trou optique, logé suivant sa longueur dans l'
e du trou optique, logé suivant sa longueur dans l'angle intérieur et
supérieur
de l'orbite, au-dessus du droit interne, se termi
45 degrés dans une petite poulie cartilagineuse à l'angle in-terne et
supérieur
du rebord de l'orbite; se dirige en arrière, en d
et en bas, vers le globe de l'œil, s'insinue sous le tendon du droit,
supérieur
, et s'insère, en s'épanouissant, au milieu de la
it, supérieur, et s'insère, en s'épanouissant, au milieu de la courbe
supérieure
de la sclérotique, au niveau du diamètre transver
en deux faisceaux inégaux, ou bien il s'en dé-tache un petit faisceau
supérieur
, inférieur ou latéral, séparé de l'autre par un e
ur : rétraction des deux muscles droits correspondans. (c) Interne et
supérieur
: peut être produit par les deux muscles droits du
it externe agit seul, légèrement aidé peut-être par les muscles droit
supérieur
et inférieur. Externe et inférieur: il est produi
duit par les muscles de ce nom; il en est de même s'il est externe et
supérieur
. Dans les deux cas si l'œil n'est point saillant,
ant concourir à la rétraction. Il en sera de même du strabisme direct
supérieur
ou inférieur, si tant est que ce dernier existe.
oit supposer que les deux muscles voisins, soit les droits interne et
supérieur
, in-terne et inférieur, externe et supérieur, ext
it les droits interne et supérieur, in-terne et inférieur, externe et
supérieur
, externe et inférieur, con-courent pour une même
e temps à F opération. D'une main il tient l'élévateur de la paupière
supérieure
, et de l'autre il maintient fermé l'œil sain. Dan
de contenir les mouveniens de la tète et de bien relever la paupière
supérieure
, en prévoyant à mesure les divers temps de l'opér
s simple. Le chirurgien place l'élévateur de Pellier sous la paupière
supérieure
et le donne à tenir à l'aide situé derrière le ma
r se place debout en face du patient : il in-troduit sous la paupière
supérieure
l'élévateur cpi'il confie à l'aide placé derrière
st exécutée avec facilité; il suffit de placer le crochet sur le bord
supérieur
du muscle , et de tirer un peu en avant pour char
ur fixer l'œil malade , un aide a relevé avec un spéculum la paupière
supérieure
, et un autre aide a abaissé avec ses doigts la pa
nt il est décrit par M. Gairal (Du Strabisme, page 46). « La paupière
supérieure
est relevée (par un aide) avec un spéculum , un a
ces auxiliaires. Un aide fixe la tête du malade et relève la paupière
supérieure
avec l'élévateur de Pellier ou tout simplement av
avec un crochet la paupière infé-rieure, de s'armer, pour la paupière
supérieure
, de l'élévateur de Pellier, ou le chirurgien, s'i
mps), l'opérateur soulève avec le pouce de la main droite la paupière
supérieure
, et ordonne au malade de regarder droit devant lu
océdé de M. Baudens. Les instrumens sont : l'élévateur de la paupière
supérieure
, de Pellier; le crochet abaisseur de la paupière
n'offre aucune difficulté. Le cro- chet mousse, passé par la plaie
supérieure
, soulève légèrement la conjonctive, la couche cel
sant face au chirurgien, relève avec l'un des refouleurs la pau-pière
supérieure
, de la main gauche pour l'œil gauche, de la droit
con-vergent. En même temps, l'aide qui d'une main refoule la paupière
supérieure
, de l'autre main avec la seconde érigne, accroche
lat, au travers de la piqûre, en insinue le sommet mousse sur le bord
supérieur
du muscle, et, par un mouvement de quart de cercl
iesus-orbitaire survenue après la section des muscles droits externe,
supérieur
et inférieur. Il est proba-ble que cet accident d
nt nécessités dans la position des aides. Section des muscles droit
supérieur
(pl. D, fig. 3) et droit inférieur. Si on opère
r (pl. D, fig. 3) et droit inférieur. Si on opère pour un strabisme
supérieur
, et (pie déjà on ait fait la section du droit int
onjonctive et du fascia sous-jacent. Si l'on a affaire à un strabisme
supérieur
ou frontal, c'est la section du muscle droit supé
à un strabisme supérieur ou frontal, c'est la section du muscle droit
supérieur
qui constitue l'opération ou au moins son fait pr
t. Le cas d'application le plus ordinaire est le strabisme convergent
supérieur
, lorsque les muscles droits interne et supérieur
strabisme convergent supérieur, lorsque les muscles droits interne et
supérieur
étant préalablement divisés, l'œil néanmoins est
millimètres dans l'es-pace moyen entre les muscles droits interne et
supérieur
; à travers cette ouverture accrocher la sclérotiq
eux trancbans, en partant de la racine du nez, pour labourer la paroi
supérieure
de l'orbite dans l'angle de réunion avec la paroi
el d'opérer la section du petit oblique en cas de strabisme divergent
supérieur
, lorsque la division des muscles droits externe e
vergent supérieur, lorsque la division des muscles droits externe et,
supérieur
ne donnait qu'un résultat insuffisant : aussi, es
'on a soin de diriger son tranchant en bas et au-devant du maxillaire
supérieur
(Lettre à l'Académie des sciences, février 1841 )
s, il devient nécessaire aussi de les couper, soit les muscles droits
supérieur
et infé-rieur pour l'exemple que nous avons cité.
me semble la résul-tante moyenne : ex. les muscles droits interne et.
supérieur
, interne et inférieur ou externe et supérieur, po
cles droits interne et. supérieur, interne et inférieur ou externe et
supérieur
, pour les strabismes de même dénomination. C'est
qui aie plus éclairé cette question: i° dans le strabisme interne et
supérieur
il y a des cas où la section du grand oblique a é
ait pu la faire préjuger à l'avance. 2" Dans le strabisme externe et
supérieur
, il est assez commun que l'on soit obligé de coup
petit oblique , l'œil après la section des muscles droits externe et
supérieur
continuant à se porter en haut et en dehors; mais
ion du droit ex-terne produit une amélioration ; après celle du droit
supérieur
la déviation en haut est beaucoup moins sensible;
pour obtenir un redresse-ment complet, couper les deux muscles droits
supérieur
et infé-rieur , puis le tendon du grand oblique q
ran-che , faire de nouveau la section des muscles droits inférieur et
supérieur
. » Ce genre de strabisme, du reste, est plus rare
lobe oculaire, qu'après avoir divisé successivement les muscles droit
supérieur
, grand oblique, droit interne et droit externe.
squ'après la section des quatre muscles précités, les droits interne,
supérieur
, inférieur et grand oblique , une dévia-tion, qui
s propositions suivantes : (a) Strabisme direct, interne, externe, ou
supérieur
. i° Si l'œil est encore bien mobile et que, sauf
tit lambeau cutané, long d'envi-ron huit millimètres, sur la paupière
supérieure
, et de six sur la paupière inférieure, et large d
pper au chirurgien, on peut croire que le chiffre des revers est bien
supérieur
à la moyenne que nous venons d'exprimer. Il est u
provient de quelque cicatrice, transperçant avec un crochet la partie
supérieure
de la callosité pour l'attirer à soi, par une dou
s toute son épaisseur, laissant intacte la muqueuse qui revêt la face
supérieure
. La largeur de la plaie faite par l'entrée et la
oisinage de l'insertion fixe. Tel est, par exemple, le cas du fessier
supérieur
(abducteur de la jambe). Mais comme il y a souven
rin a pratiqué la myotomie de l'attache, au sacrum, du muscle fessier
supérieur
, abducteur de la jambe, et M. Bouvier celle du te
On connaît quelques faits de sections en très grand nombre au membre
supérieur
; mais s'il n'en est pas survenu d'accidens très
avant-bras, dans le cas de rétraction faible, couper sur les attaches
supérieures
des muscles dont les tendons se rendent à la main
s. Premier procédé. Le malade étant couché sur un lit dont le tiers
supérieur
se relève en pente, un aide lui tient la tête et
e temps la corde de l'arc inférieur et la force de rappel delà courbe
supérieure
. Ce point de fait étant établi, suivant M. J. Gué
médiate du kyste. 5° L'enlèvement d'une petite exostose à la partie
supérieure
et antérieure du tibia, suivi de résorption des d
convenable en faisant glisser l'instrument sous la peau jusqu'au bord
supérieur
de la côte où doit se faire la piqûre. Dans les c
a méthode générale sous-cutanée. Selon nous ce procédé est évidemment
supérieur
à tous les autres, même à celui de M. Stanski. So
ération, xvin-xix. = Section de muscles variés. Droit externe, droits
supérieur
et infé-rieur, xix. — Grand oblique, procédés de
. 2, os frontal, 3, os malaire ; 4, plan-cher orbitaire du maxillaire
supérieur
; 5, tubercule lacrymal, saillie formée par la rac
rtilages revêtus de leur enveloppe fibro-celluleuse ; sur la paupière
supérieure
s'épanouit son releveur. 12, 12. Bords palpébra
dans l'écartement des conduits la- crymaux. 15. Conduit lacrymal
supérieur
dans lequel est engagée une soie pour en montre
u crâne; b, des six pre-mières vertèbres cervicales; c, du maxillaire
supérieur
garni de ses dents, dont l'avant-dernière est eid
larynx. Plan de section des parties molles, g, le nez ; h, la lèvre
supérieure
; i, l'épiglotte ; k, la lèvre inférieure; 1, la
n muscle génio-glosse. Plan des cavités. — Cavité nasale, m, cornet
supérieur
; n, cornet moyen; o, cornet inférieur; p, cul-de-
orifice de la trompe d'Eustache. — Cavité buccale, s, arcade dentaire
supérieure
; t, piliers du voile du palais. — u, Cavité du p
opère l'injection. FIGURE 2. Cathétérisme par le conduit lacrymal
supérieur
. Le stylet de Méjean, introduit par le conduit la
mal supérieur. Le stylet de Méjean, introduit par le conduit lacrymal
supérieur
, est descendu dans le canal nasal jusque dans le
tive, à travers une incision à la peau, est représenlée à la paupière
supérieure
(procédé de Dieffenbach ). Figure 7. La même op
u elliptique enlevé aux dépens de la région sourcilière et palpébrale
supérieure
. —Fi-gure 10. Rapprochement par des sutures des b
aire). — Figure 11. — Ablation d'un lambeau elliptique de la paupière
supérieure
. — Figure 12. Rap-prochement par des sutures entr
ique ( Grœfe, Dzondi ). Figures 1 et 2. Restauration de la paupière
supérieure
.—Figure 1. Pour corriger une cicatrice vicieuse d
rieure.—Figure 1. Pour corriger une cicatrice vicieuse de la paupière
supérieure
, le lambeau qui renferme la cicatrice étant enlev
ngueuses de la conjonctive. —Figure 7. Excision sur le bord palpébral
supérieur
avec la pince et les ciseaux. — Figure 8. Excisio
eau avec la pince et le bistouri. — Figure 10. Excision à la paupière
supérieure
parla surface de la conjonctive. Figure 11. Exc
Figure 2. L'élévatoire en écaille (c) étant glissé sous la paupière
supérieure
et maintenu par un aide qui attire en même temps
u bord palpébral, puis disséqué de bas en haut et coupé, sur son bord
supérieur
, la conjonctive avec le cartilage tarse, le chiru
rès avoir pratiqué la contre-ponction d'arrière en avant. La paupière
supérieure
est soulevée par les doigts indicateur et médius
s de la capsule cris-talline quand il y a lieu. Figure 7. Kératomie
supérieure
( avec le couteau de Riehlcr ). L'o-pération étan
sule cristalline jusqu'à la ligne e, f, où elle se trouve à la partie
supérieure
du cristallin. Figure 7. Abaissement du cristal
n. La lentille, par la pression de l'aiguille en avant de son contour
supérieur
subit, sur le plan hori-zontal, un mouvement de b
ri-zontal, un mouvement de bascule tel que sa face antérieure devient
supérieure
; et son bord inférieur, antérieur. FIGURE 11. T
. Figure 9 (procédé de Scàrpa). Décollement de la partie interne et
supérieure
de l'iris avec l'aiguille à cataracte. Figure 1
Figure 4. Section horizontale des voies auditives vues par le plan
supérieur
dont la paroi est enlevée, et montrant le diamètr
F. Fig. 1,2,3,4. Trompe d'Eustache, depuis son orifice,à la par-tie
supérieure
du pharynx, jusque dans la caisse. Ce canal se co
antérieur des fosses nasales formé par les os nasaux, les maxillaires
supérieurs
et, au mi-lieu, par la cloison médiane, le vomer.
érieurs et, au mi-lieu, par la cloison médiane, le vomer. A la partie
supérieure
(b) on voit le lambeau taillé sur le front et déj
le forme trois triangles : deux latéraux pour les ailes du nez, et un
supérieur
médian pour la sous-cloison. (d) Lambeau appliq
L'incision ( b), prolongée entre la base de l'aile du nez et la lèvre
supérieure
, augmente beaucoup l'ouverture et néanmoins les b
ochées en une plaie li-néaire ; les sutures sont posées sur la moitié
supérieure
, il ne reste plus qu'à les appliquer sur la moiti
oigts (o, p ) des deux mains d'un aide, de manière à relever la lèvre
supérieure
sur la joue. Le chirurgien a incisé dans la goutt
dissection, est réuni dans une portion de son étendue avec l'incision
supérieure
; le reste est destiné à former la lèvre, mais ave
ngue est vue librement dans l'écartement des deux segmens de la lèvre
supérieure
. Figure 9. Aspect du bec-dedièvre vu obliquemen
re et leurs conduits excréteurs. Parties accessoires. 1 Extrémité
supérieure
du sterno-mastoïdien. 2. Muscle masseter. 3.
effet produit, est du très petit nombre de ceux dont le mécanisme est
supérieur
à l'action de la main la plus exercée. Une canu
s-que, les fils étant passés, on va procéder à l'invagination du bout
supérieur
de l'intestin dans le bout inférieur. Figure 2.
e-vée pour laisser voir dans sa cavité. (a) Extrémité de l'intestin
supérieure
ou initiale. — (b) Extré-mité inférieure ou termi
, au-dessus du pli de l'aîne. — (d) Orifice cutané du bout intestinal
supérieur
, donnant issue aux fèces. — (e) Orifice, plus étr
ant à la fois sur les deux faces extérieure et intérieure. (a) Bout
supérieur
de l'intestin. L'extrémité libre (b) donne issue
ntestin est enlevée pour laisser voir dans leur intérieur. (a) Bout
supérieur
de l'intestin, (b) Son orifice cutané ingui-nal,
plication de sa théorie de Ventonnoir membraneux, (a) Orifice du bout
supérieur
de l'intestin. — (b) Orifice du bout inférieur. —
constituée par l'aponévrose du grand oblique et formant le segment
supérieur
de l'anneau crural. c. Feuillet aponévrotique d
nte la courbe inférieure de l'anneau inguinal interne, dont la courbe
supérieure
est indiquée au-dessus par la tension des airi-gn
lement (c); le sac inférieur (d) ne renferme que de Pépiploon, le sac
supérieur
(b) offre en plus une anse d'intestin. FIGURE 3
derrière le cor- don spermatique. b, b. Demi-sphères de l'épingle
supérieure
passée au-dessous de l'an- neau inguinal extern
e péritoine pariétal qui recouvre l'intestin grêle, et, dans le tiers
supérieur
, en travers, une portion de l'es-pace extra-périt
laie est large-ment ouverte à l'extérieur, montre l'entonnoir du bout
supérieur
. Un fil passé derrière le bout inférieur fixe l'i
adhérence, et le rétablissement direct du cours des matières du bout
supérieur
de l'intestin dans le bout inférieur. Des deux
l'hôpital du Gros-Caillou dans le service de M. Baudens. A la partie
supérieure
se voit une ulcération qui forme l'orifice cutané
l ouvert en dessus; c'est-à-dire dans son demi-cylindre inférieur, le
supérieur
étant enlevé. INDICATION DES SIGNES COMMUNS AUX
ule ou portion terminale du rectum qui forme une courbure à convexité
supérieure
pour se terminer à l'orifice anal. B. Vessie.
nt la portion membraneuse ou sous ce lobe, ou au-dessus du petit lobe
supérieur
, que se font le plus ordinairement les fausses ro
. 6). — f. g. Les deux lèvres de l'orifice vésico-prostatique dont le
supérieur
se relève et l'inférieur s'abaisse devant la sond
M. Leroy-d'Etiolles. Figure 2. Dilatation par écartement des lobes
supérieur
et inférieur de la prostate hypertrophiée, avec l
réelle en ayant été prise sur plusieurs moules en plâtre. La portion
supérieure
de sa face antérieure est enlevée pour laisser vo
e blesse les vaisseaux et sort de la prostate. E. Petites incisions
supérieures
pratiquées avec le bistouri boulonné (M. Vi-dal d
résente, sur le profil des parties disséquées , l'incision du segment
supérieur
delà prostate el du col de la vessie par laquelle
ilhotome simple, dont le tranchant, tourné en haut, incise le segment
supérieur
de la prostate et le col de la vessie. PLANCH
de la vessie. Un calcul est couché dans le bas-fond. A, A. Contour
supérieur
de la vessie. B. Plan de seclion de l'extrémité
e , le chirurgien qui soutient, avec l'indicateur gauche (a), l'angle
supérieur
de la plaie vésicale, et en fait écarter le bord
tée cadavérique, la paroi abdominale qui revêt la vessie, et la paroi
supérieure
de cet organe étant enlevées pour laisser voir da
de de la ligne suivant laquelle la tête s'est engagée dans le détroit
supérieur
du bassin. FIGURE 3. SYMPHYSEOTOMIE. La secti
par le plan externe, sur une section de l'orbite au profil.(a) Droit
supérieur
; (b) droit inférieur; (c) droit externe; (d) peti
oblique. Figure 2. Appareil musculaire des deux yeux vu par le plan
supérieur
, le plancher orbitaire étant enlevé. Les muscles
s par les mêmes signes que dans la figure 1; des deux côtés, le droit
supérieur
est coupé pour laisser à découvert le globe de l'
a glande lacrymale (f) est laissée en position sur la face externe et
supérieure
de l'œil. Du côté gauche, on a laissé la membrane
plan moyen, (a et b) Muscles droits externe et interne ; le feuillet
supérieur
de l'enveloppe de glissement se confond en avant
t oblique dans sa gaine spéciale ; (g) muscle releveur de la paupière
supérieure
. Son feuillet supérieur d'enveloppe communique d'
péciale ; (g) muscle releveur de la paupière supérieure. Son feuillet
supérieur
d'enveloppe communique d'abord par une attache fi
en avant sur l'une et l'autre face du cartilage tarse de la paupière
supérieure
(i). Figure 4. Fascia sclérotical antérieur ou
ent dessiné d'après M. Z. non opéré. Figure 8. Strabisme convergent
supérieur
, dessin communiqué par M. Amussat. Figure 9. St
strabique non opéré, où le droit interne (a) étant rétracté, le droit
supérieur
(b) plus court et concave dans le même sens, conc
. Liston, (aa) Doigts d'un aide qui maintiennent soulevée la paupière
supérieure
. — (b) Pince fermante abandonnée à son poids , qu
section s'en opère avec les ciseaux (e). FIGURE 3. Section du droit
supérieur
. FIGURES 4 el 6. Section du petit oblique, Proc
a) Main gauche d'un aide armée du refouleur qui maintient la paupière
supérieure
. — (b) Main droite du même aide qui soulève la co
aponévrose fascia lata, dont la tension est com-mandée par le fessier
supérieur
, (b) Rétraction du tendon du biceps. FIGURE y.
L'EMPYÈME. FIGURE i. (a) Main gauche d'un aide qui fixe l'extrémité
supérieure
du pli cutané dont l'extrémité inférieure est ten
e der- nier est presque complètement détruit. L'écorce de la partie
supérieure
du lobe lingual, qui borne la lèvre inférieure
e trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure. La lèvre
supérieure
de la scissure calcarine est atteinte très faib
a lésion s'étend sur la substance blanche, qui se trouve près du bord
supérieur
de la corue postérieure Les fibres strati calca
externe de la corne postérieure, sont sclérosées dans leur partie
supérieure
et dans la par- tie qui se trouve sous la paroi
iens des membres inférieurs sont exagérés. Les réflexes des membres
supérieur
et inférieur du côté droit sont plus forts que
e la partie de la substance blanche du coin, qui aboutit à la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine, est détruite par le
scissure calcarine, est détruite par le ramollissement ; la partie
supérieure
de la substance blanche du coin est con- serv
couche de substance nerveuse. L'écorce du coin, qui borne la lèvre
supérieure
de la scissure calcarine est conservée, ainsi q
pes dans la substance blanche, qui se trouve plus haut que la paroi
supérieure
de la corne postérieure, des lacunes, autour de
ie interne du corps calleux, qui se trouve près de la paroi intéro-
supérieure
de la corne postérieure, est aussi détruite par l
Sa lèvre inférieure est assez épaisse, elle contraste ainsi avec la
supérieure
, dont la partie gauche surtout est mince. Le mu
à la même hauteur sur la partie gauche de la lèvre et de la gencive
supérieures
. On constate ensuite une hypoesthésie légère de l
s dans ce cas est la suivante : L'abaissement de la paupière gauche
supérieure
, c'est-à-dire la faiblesse de UN CAS DE PARALYS
hé. L'hypoesthésie de la partie gauche de la lèvre et de la gencive
supérieures
doit être mise sur le compte d'une lésion de la
très près de ceux-ci dans les voies conduis : ) ! ) ! , aux centres
supérieurs
.. , (1) A belgyogyaszat kézikoenyve, Vol. 6.
le quatrième jour ses membres inférieurs, le cinquième, les membres
supérieurs
n'exé- cutèrent plus aucun mouvement. La mort f
ouvé 4 kystes dont le plus volumineux pesait 510 grammes. La partie
supérieure
et postérieure du lobe droit, s'étant rompue av
serpents.) Il nous semble qu'il existe une légère parésie du droit
supérieur
droit, ce J symptôme n'est d'ailleurs pas persi
a coupe préfrontale, nous voyons au fond d'un sillon et à la partie
supérieure
de F3, dont il intéresse la substance blanche et
le), un kyste à contenu solide, gros comme un pois ; 4° A la partie
supérieure
du pied de F2 au fond d'un sillon, et intéres-
cervicale droite et lombaire droite. L'épine iliaque antérieure et
supérieure
du côté droit est située à un niveau notablemen
est de 9 centimètres, La distance de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à la rotule est droite de 37 centimètres et dem
e à la face antéro-externe de la cuisse, au niveau de l'extré- mité
supérieure
de celle-ci : c'est une masse assez volumineuse,
5 centimètres sur le membre gauche. Les autres jointures (membre
supérieur
, etc.) et le système musculaire du reste de l'o
les faits, décrits par Sonnenbourg (5), de flexion dans l'épiphyse
supérieure
du tibia : on observe une modification dans l'o
otre sujet, le rôle joué par celui-ci, puisqu'il existe à la partie
supérieure
de la cuisse gauche une pseudo- hernie musculai
on n'a d'ailleurs rien de spécial au point de vue médical.Le membre
supérieur
gauche repose sur le genou, le bras droit est mai
HE T. XIV. PI. X LA PISCINE PROBATIQUE (Henry Meige) Fragment
supérieur
il'une toile peinte des HoniccsdeReims(Y ? siècle
auts de localisation du contact simple ou douloureux. Les membres
supérieurs
et la face sont indemnes de troubles moteurs ou
de la moelle, on ne le retrouve pas dans le segment suivant. Partie
supérieure
du 5° segment dorsal. Ici on voit reparaître dans
Goll droit contient encore plus de fibres saines que dans la partie
supérieure
de ce segment. Le cordon de Goll gauche reste a
rmale, même niveau. Fig. 5. - 48 segment dorsal. Fig. 6. - Partie
supérieure
du 5» segment dorsal. 110 LONG ET WIKI raux
épaississement, d'aspect uniforme sur toute la longueur des régions
supérieure
et moyenne de la moelle dorsale. On remarque en o
x qui sont représentés sur la figure 16 et sur la figure 19 (rangée
supérieure
) montrent l'aspect normal que nous avons rencontr
de lé sions (figures 17 et 20) se retrouvent dans tous les segments
supérieurs
et moyens de la moelle dorsale, avec prédominan
rdon de Goll droit, on trouve le maximum des lésions dans la partie
supérieure
du 5° seg- ment dorsal, d'où est partie la dégé
sées ; 3o une diminution de volume de la moelle dans les deux tiers
supérieurs
de la région dorsale. Remarques. - i° Les lés
le de l'état dystrophique de la moelle (maximum dans les deux tiers
supérieurs
de la région dorsale, atténuation progressive a
pinière; cette dernière passe sous la moelle allon- gée. La surface
supérieure
de la moelle allongée est lisse et sert de plan-
attention est de suite attirée sur la malformation des deux membres
supérieurs
, dont on peut se rendre compte sur les photograph
ont familières à ce sujet. Les épaules et les bras dans leur partie
supérieure
sont bien conformés; les NOUV. ICONOGRAPHIE DE
aire chez ce sujet à l'aide de diverses ra- diographies des membres
supérieurs
. · Membre supérieur droit. Une première radiogr
aide de diverses ra- diographies des membres supérieurs. · Membre
supérieur
droit. Une première radiographie nous représente
t. Une première radiographie nous représente l'en- semble du membre
supérieur
du côté droit (PI. XVI) . Elle a été prise, le su
ainsi il est à peu près aussi épais, sinon plus épais, à sa partie
supérieure
qu'à sa partie inférieure; mais dans sa partie
sa partie supérieure qu'à sa partie inférieure; mais dans sa partie
supérieure
il présente une tubérosité qui Correspond à la
rapporté par 111dI. llloucbet et Vail- lant (1). Par son extrémité
supérieure
, cependant, l'unique os de l'avant-bras présent
UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE (Huet et Infroit). Radiographie du membre
supérieur
droit. Masson & Cie, Editeurs , - ' - l'I
1 .) 3 If UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE HCt7))/)-0 ? 1. Membre
supérieur
droit. 2. Radiographie du coude droit dans l'exte
on maxima de l'avant-bras. 3. Radiographie de l'extrémité du membre
supérieur
droit. 4. Radio- graphie du coude droit dans la
épicondyle, le condyle, la trochlée et l'épi- trochlée. L'extrémité
supérieure
de l'os de l'avant-bras a un aspect semblable ;
et il est notablement plus gros que dans l'état normal. L'extrémité
supérieure
du métacarpien estun peu modifiée et, en examin
langes du pouce réunies ne mesurent pas plus de 3 cm. 1/2. Membre
supérieur
gauche. Dans son ensemble le squelette du membre
Membre supérieur gauche. Dans son ensemble le squelette du membre
supérieur
gauche présente de grandes analogies avec celui d
alement conformé; l'humérus également paraît normal à son extrémité
supérieure
et dans une grande partie de sa dia- physe. A s
ieure et par la présence de la tubérosité bicipitale. Son extrémité
supérieure
a l'aspect d'une baguette; elle s'articule auss
UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE ;ti'<et7) ? ro. Radiographie du membre
supérieur
gauche. MSSOn & CI, l : diteurc 1111Otut\
nant nous étudions les mouve- ments des divers segments des membres
supérieurs
, voici ce que nous cons- tatons : Membre supé
s des membres supérieurs, voici ce que nous cons- tatons : Membre
supérieur
droit. -- Les mouvements du bras sur l'épaule se
1 2 .. 'i UN ECTROMELIEN HÉMIMÈLE 7 ? et7 ? o. 1. Membre
supérieur
gauche. 2. Radiographie du coude gauche d.tns l'e
on maxima de l'avant-bras. 3. Radiographie de l'extrémité du membre
supérieur
gauche. 4. Radiographie du coude gauche dans la
end en sautoir de l'extrémité inférieure de l'hu- mérus à la partie
supérieure
et externe de l'os de l'avant-bras ; il paraît co
et il est étendu de l'extrémité inférieure de l'humérus à la partie
supérieure
de l'os de l'avant-bras ; il correspond soit au
ns pu lui faire préciser davantage leur to- pographie. - - Membre
supérieur
gauche. - Comme à droite la musculature de l'épau
e assez peu développé dans le segment périphérique des deux membres
supérieurs
; nous n'avons pas réussi à percevoir les pulsa
es mains, G... a acquis une assez grande dextérité avec les membres
supérieurs
. Comme nous l'avons vu, il a pu être occupé dan
des dents ou encore du menton, qu'il vient appuyer contre la partie
supérieure
du sternum. Ainsi, dans le cas que nous venons
ns de rapporter, il n'existe de malfor- mations qu'aux deux membres
supérieurs
, et seulement dans leur segment périphérique, m
prolongement du radius. Pour expliquer la situation de l'extrémité
supérieure
de l'os de l'avant- DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIE
es 10, A, B, et C, de l'ouvrage cité) et repré- sentant les membres
supérieurs
d'un sujet de 9 ans, on pourrait croire être en
e un cas atypique d'absence du radius ; il la palpation l'extrémité
supérieure
de l'os unique de l'avant-bras paraissait resse
l'absence du cubitus. Dans les difformités congénitales des membres
supérieurs
l'absence du cubitus est beaucoup plus rare que
de 120°; l'extrémité inférieure de ]'hu- mérus aplatie, l'épiphyse
supérieure
décollée, avec conformation anormale. - De l'au
vec conformation anormale. - De l'autre côté le radius et la partie
supérieure
du cubitus sont unis l'un à l'autre et à l'humé
cher (1) ; il concerne une jeune fille de 17 ans ; les deux membres
supérieurs
présentent des difformités. A droite les deux o
e (une apophyse semblable existe aussi au même niveau sur le membre
supérieur
de l'autre côté). L'os de l'avant-bras a l'appa
ue nous avons déjà cité sur la main-bote. Les difformités du membre
supérieur
, observées dans ces cas, présentent beaucoup moin
tion avait acquis, malgré le développement si imparfait des membres
supérieurs
, une assez grande habileté lui permettant notam
e talent une vaste compo- sition de peinture, suppléant les membres
supérieurs
absents par l'emploi des membres inférieurs eux
Cirque de la rue Saint-Honoré un ectromélien privé des deux membres
supérieurs
qui nageait et faisait des exercices variés (1)
ussi une régression atavique. Au premier abord l'aspect des membres
supérieurs
de notre sujet rappelle celui des membres antér
-Duval). Cette régénération qui ne se produirait chez les vertébrés
supérieurs
que dans la période de l'état embryonnaire est
ds écartés. Il n'y a pas de tendance à l'arc de cercle. Les membres
supérieurs
sont écar- tés, les avant-bras à demi-fléchis,
et nous pouvons remarquer à l'appui de cette opinion que le membre
supérieur
gauche repose inerte et très atrophié sur le ge
ermittent, exagéré par les mouvements vo- lontaires, dans le membre
supérieur
droit, qui se montre aussi un peu affaibli dans
e mécanisme psychologique de cet état soit l'inhibition des centres
supérieurs
de la conscience intellectuelle et de l'activit
e adhérente aux parois de la fosse cérébrale antérieure ; à la face
supérieure
on la distinguait difficile- ment a cause de sa
rouge, mais moins prononcée que chez ce dernier, de tout le membre
supérieur
gauche, coloration qui s'accentue au cours des
on rouge vineux de la peau, limitée au côté gauche pour les membres
supérieurs
et le tronc. Cette coloration est répartie de l
Les limites de cette tache sont : à droite, une ligne allant du bord
supérieur
de la fourchette sternale à l'appendice xyphoïd
tissu cellulaire sous-cutané sont épaissis à gauche pour le membre
supérieur
et le tronc. De là les résultats sui- vants :
traction. A droite : 48 cm. 5 et 47 cm. 5. Périmètres des membres
supérieurs
. Bras, à 12 centimètres au-dessus de l'olécrane
t de la rotule, en dehors à 8 centimètres au-dessous de l'extrémité
supérieure
du péroné, en arrière à 19 centimètres au-desso
sous du pli du genou, en dedans à 11 centimètres au-dessous du bord
supérieur
du tibia ; en bas par une ligne passant en avan
main. 2° A la jambe dans toute l'étendue d'un bas ayant pour limite
supérieure
une Régions hyperesthésiques pour le froid ou a
du pli du genou, et en dedans à 12 centi- mètres au-dessous du bord
supérieur
du tibia. 2° A droite. - Au pied dans toute l'é
e. - Au pied dans toute l'étendue d'une bottine ayant pour li- mite
supérieure
une ligne passant, en dehors à 15 centimètres au-
ulaire est notablemeut diminuée à gauche, du moins pour les membres
supérieurs
. En effet alors qu'à droite le malade amène l'aig
5 (moyenne de quatre observations). Déplus, selon lui, les membres
supérieurs
seraient souvent le siège d'un tremblement qui
la jambe ; dos ; face antéro-externe de la cuisse ; thorax (parties
supérieures
de la face antérieure) ; paroi abdominale an- t
ns, sa vessie se vi- dait pendant le sommeil sans que les métamères
supérieurs
fussent aver- tis de la réplétion de ce réservo
celui-ci avance en âge, cet hyperamiboïsme diminue, et les neurones
supérieurs
se rétractent de moins en moins pendant le somm
s sont courts, fendillés, recou- verts par de la peau à leur partie
supérieure
. Du côté de la poitrine nous re- marquons que l
rine nous re- marquons que le sternum est bombé dans ses deux tiers
supérieurs
, aplati dans son tiers inférieur. A l'auscult
ction peut, il est vrai, survenir chez des intelligences réellement
supérieures
. L'élite des littérateurs et des artistes nous
pi- nière, dans le le' cas, la partie abaissée du bulbe, à son bord
supérieur
existait déjà une profonde fissure, corresponda
le 4c ventricule est bien moins élargi et seulement dans la région
supérieure
, mais dans celui-ci comme dans l'autre cas, la
a partie abaissée de la moelle allongée. Phot. 31. - La formation
supérieure
a un peu augmenté de volume.Comme dans la coupe
indiquée, mais par contre elle est bien indiquée dans la formation
supérieure
. Phot. z Au devant nous avons la moelle épinièr
comme une formation supplémentaire. Les changements dans la partie
supérieure
de la moelle épinière etde l'allongée sont analog
ssure latérale, où sont placées les racines postérieures. La moitié
supérieure
de la moelle est augmentée de volume com- parat
oelle allongée, la partie dorsale du canal vertébral dans sa partie
supérieure
doit s'élargir, et effectivement dans tous nos ca
à gauche pour la mâchoire inférieure et à droite pour le maxillaire
supérieur
; brachydactylie ; scoliose... La malade, don
mb des membres inférieurs jurent avec la contrac- ture de la partie
supérieure
du corps. Et cependant cette figure a été très
un fait analogue au niveau du coude en ce qui concerne l'extrémité
supérieure
du radius. La radiographie met en parfaite évid
ures de la diaphyse des fémurs et des tibias, et, comme les membres
supérieurs
ont conservé leur longueur, l'extrémité des mai
à cette brièveté qu'est due la petitesse de la taille. Les membres
supérieurs
par- ticipent à cette brièveté. Tandis que, che
nt elle n'est pas encore réglée. La face est aplatie, le maxillaire
supérieur
est élargi, le front assez proémi- nent. La voû
ion lombaire où l'on constate une ensellure très marquée. Membres
supérieurs
: Epiphyses claviculaires et humérales particuliè
degré de lordose vertébrale amène un peu d'ensellure vers la partie
supérieure
de la région lombaire. 3° Du côté des membres s
a partie supérieure de la région lombaire. 3° Du côté des membres
supérieurs
, peu de modifications sauf que l'épaule gauche
prononcé de leur face interne, les tibias présentent une extrémité
supérieure
anormalement développée qui contraste avec les
a hanche droite est saillante, volumineuse; l'épine iliaque antéro-
supérieure
est remontée, et se trouve sur un plan supérieur
e iliaque antéro- supérieure est remontée, et se trouve sur un plan
supérieur
à l'épine iliaque du côté opposé. La colonne
présente actuellement des clavicules fortement arquées, un mem- bre
supérieur
gauche fortement incurvé regardant le thorax par
s sont très longues, surtout à la mâchoire inférieure. Prognathisme
supérieur
. La sensibilité sous ses divers modes est parto
L'existence d'un cartilage épiphysaire très développé à l'extrémité
supérieure
de la 2e pha- lange de ces doigts malformés exp
es mouvements volontaires, mais il était assez vif dans les membres
supérieurs
pour empêcher une cuillère d'arriver à la bouch
duisent à un mouvement spasmodique rythmé et symétrique des membres
supérieurs
. Ce spasme était, les jours précédents, dissimulé
actions n'entraî- nent aucun déplacement des épaules ou des membres
supérieurs
, on ne les soupçonne pas si une serviette est j
'une manière générale que les muscles de l'épaule agitent le membre
supérieur
dans sa totalité : à la main le tremblement est
, 332 FÉRÉ repos insuffisant pour la réparation, donne un travail
supérieur
à celui de la première : Dans l'expérience V, l
a tumeur atteignait le poids de 210 grammes : c'est-à-dire un poids
supérieur
à celui du cer- velet, du bulbe et de la protub
on des réflexes mais sans impotence fonctionnelle. Dans les membres
supérieurs
, en relevant brusquement la paume de la main on p
ascen- dante,intacte dans sa partie inférieure, est.dans sa moitié
supérieure
,comprimée d'avant en arrière et de dehors en de
ostume dissi- mule les anomalies corporelles, mais dont les membres
supérieurs
sont' .d'une brièveté que l'achondroplasie arri
scillations latérales des doigts ; oscillations légères des membres
supérieurs
; écriture difficile, fatigue à la suite du moi
droits ces fibres ont disparu complètement (Fig. 1). Région dorsale
supérieure
et cervicale inférieure. Dans les cordons pos-
sinage du faisceau de Turck (Fig. 2). Dans les régions cervicales
supérieures
la zone de sclérose occupe dans les cordons pos
vêtues de plusieurs couches des cellules rondes. Dans ses par- ties
supérieures
il est obturé. Les vaisseaux delà moelle dans t
tit, mais ses fibres sont bien colorées. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
sont sains dans toute leur étendue. Dans les pé
6 millimètres, région du renflement cervical 12,2, région cervicale
supérieure
10 - 77 millimètres. Au microscope on constatai
ules. Les cel- lules persistantes étaient sans lésions. Les parties
supérieures
du cervelet étaientplus atrophiées que les infé
on du manteau blanc du névraxe. Nous le suivrons depuis la partie
supérieure
du système nerveux, qui correspond aux tubercul
n). La première coupe porte au niveau de la région prolubéranlielle
supérieure
. Nous remarquons le faisceau sensitif bien cons
t aux fibres d'émergence de l'oculomoteur externe ou de l'extrémité
supérieure
de l'hypoglosse, dont lesnoyaux paraissent sous
rties propres à la moelle et en dehors de la dépendance des centres
supérieurs
étaient à peu près intactes, ainsi les fibres c
nt avec le cervelet. V Les préparations qui intéressent la partie
supérieure
du système nerveux montrent qu'à ce niveau les
un vestige de la continuation de ces par- ties, avec les formations
supérieures
(hémisphères surtout représentés par la tumeur
truosités. Qu'il nous suffise de rap- peler qu'en certaines régions
supérieures
du névraxe de cet anencéphale les formations ve
mbreux au niveau de la région bulbo-protubé- rantielle. Les régions
supérieures
du névraxe semblent de la sorte détruites sur l
nt plus vive que l'on s'élève davantage du côté des centres nerveux
supérieurs
. VIII Dans l'examen psycho-physiologique des
ce des accès convulsifs à début jacksonien commençant par le membre
supérieur
gau- che et se généralisant rapidement pour rev
e pourrait- on pas penser ici à une localisation du noyau du facial
supérieur
? VI. - Dans la moelle nous avons remarqué en a
e rudimentaire indépendamment du fonctionnement des centres nerveux
supérieurs
et d'autre part l'incompatibilité notoire qu'il y
ncement de la peau du sein lui-même reste sans effet. A la partie
supérieure
et un peu interne du sein on sent une masse dure
imple, je dois rappeler ici qu'elle présente à la partie interne et
supérieure
du sein une petite tumeur, un peu aplatie, atte
ises, et la cage thoracique avait gardé sa forme ordinaire. Membres
supérieurs
. Les deux clavicules ont leurs courbures fortemen
sels calcairès. ' Nous n'avons pas examiné les artères des membres
supérieurs
, mais il est probable qu'elles présentaient les
l présente à ce niveau 4 centimètres de circonférence. Dans ses 4/5
supérieurs
, il offre une courbure à concavité antérieure e
tout interne. La diaphyse, immédiate- ment au-dessous de l'épiphyse
supérieure
a environ 8 centimètres de tour, un aspect rugu
excavée et gonflée ; 2° Le bord interne est mousse dans sa partie
supérieure
. A ce niveau des couches d'os néoformé le recou
n peu plus court que la normale (20 cent. au lieu de 23), la partie
supérieure
est normale (4 cent. de tour), la partie in- fé
tiers inférieur, 20 à la partie moyenne. Le tibia seul, à son tiers
supérieur
a 15 centimètres de tour. Le tout décrit une fort
ette de \.\ jambe. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 419 physe
supérieure
, friable, poreuse, a gardé sensiblement sa forme.
rière le péroné, soudé à elle. Le péroné est normal à son extrémité
supérieure
, l'articulation péronéotibia le n'étant pas sou
articulation. Le cubitus droit n'est altéré que dans ses deux tiers
supérieurs
. L'épiphyse supérieure forme une sorte de géode
s droit n'est altéré que dans ses deux tiers supérieurs. L'épiphyse
supérieure
forme une sorte de géode dans le tissu spongieux.
phie, c'est une dislocation des travées osseuses au niveau du tiers
supérieur
de la dia- physe. Nous pouvons considérer cet
ission de sons. J'avais relevé l'influence des mouvements du membre
supérieur
droit sur les mouvements d'articulation et la f
apin nous permettent d'entre- voir une localisation sur les membres
supérieurs
. Chez sa première malade, l'affection semble mê
(bras droit et jambe gauche). Chez la dernière, les deux membres
supérieurs
sont atteints simultané- ment. Bien plus, ce ca
me est atteinte d'un oedème blanc, dur et indolore des deux membres
supérieurs
, ayant présenté pendant 30 ans les mêmes caractèr
r de couper la chemisette. Nous constatons, en effet, que le membre
supérieur
droit est tuméfié dans toute sa longueur, y com
DYSTROPHIE CONJONCTIVE CONGÉNITALE. OEDÈME CONGENITAL des membres
supérieurs
et de la moitié droite delà face. (Rapin, de Ge
uration n'indique pas de différence sensible entre les deux membres
supérieurs
. Mme G. travaille debout et fait aller un tour av
nter l'enfant à la Société médicale de Ge- nève. Les deux membres
supérieurs
sont fort augmentés de volume. L'hypertro- phie
de traces. ' Malgré les dimensions considérables de ses extrémités
supérieures
, Fanny C., qui est lingère de son état, n'en es
La force musculaire est diminée droite et à gauche pour le membre.
supérieur
, sans qu'il y ait de paralysie véritable. Cepen
ouleur est complètement abolie. L'anes- tbésie s'arrête à la partie
supérieure
de la cuisse, vers le tiers supérieur. Cependan
tbésie s'arrête à la partie supérieure de la cuisse, vers le tiers
supérieur
. Cependant, dès qu'on atteint les couches muscu
sont à peu près nuls. Comme la photographie l'indique, les membres
supérieurs
n'ont pas participé au développement exagéré co
rrête, comme je l'ai dit plus haut, comme l'anestlié- sie, au tiers
supérieur
de la cuisse. ; Telle est, brièvement relatée,
a cuisse (dens notre cas, au OBSERVATION DE TROPHOEDÈME 507 tiers
supérieur
), on ne peut plus admettre uniquement la distribu
embres (la face est respectée), très marquée surtout pour le membre
supérieur
et plus particulièrement encore pour la main. E
coup plus grande pour les membres infé- rieurs que pour les membres
supérieurs
. La peau est plus épaisse sur tout le côté gauc
amen de cette enfant, c'est l'hypertrophie consi- dérable du membre
supérieur
gauche, hypertrophie plus accentuée à la péri-
8 centimètres et à droite de 37. Aux membres inférieurs comme aux
supérieurs
, il n'existe aucune anomalie, de la peau, de la
bas et,en dehors et la jambe droite un peu en dedans. , Les membres
supérieurs
semblent démesurés, et quoiqu'à demi immobilisés
de même du reste des articulations du tronc, du cou et des membres
supérieurs
. , - La tête est presque totalement immobilisée
cuisse et de la jambe. Aussi, sur les photogra- phies, les membres
supérieurs
semblent de dimension exagérée et donnent au ma
nnent au malade l'allure d'un anthropoïde. Si l'extension du membre
supérieur
était 'possible, l'extrémité du médius descendr
ulle part elles ne sont plus marquées qu'à la hanche. , Extrémité
supérieure
du fémur. - Comme on peut le voir sur la photo-
nche LXXI, et sur les figures ci-jointes (fig. 1 et 2), l'extrémité
supérieure
du fémur est considérablement déformée. La tète
té inférieure du fémur. - Beaucoup moins déformée que l'extré- mité
supérieure
, elle présente néanmoins des saillies irrégulière
régularité du pourtour de son cartilage d'encroûtement. Extrémité
supérieure
du tibia. Là aussi, les bords des surfaces articu
du cartilage d'en- croûtement des extrémités osseuses. Extrémité
supérieure
du péroné. - Elargie et comme évasée par aplatis-
l'os. Quand cette tête articulaire est oblique, comme à l'extrémité
supérieure
du fémur, la déformation est beaucoup plus grande
e anatomique. « Quant à la tête, elle est d'une expression vraiment
supérieure
; ce qui reste de vie dans ce corps exsangue es
présentait des crises convulsives à la suite desquelles les membres
supérieur
et inférieur gauches restaient contractures; aprè
tous d'ailleurs sont conservés de ce côlé aussi bien pour le membre
supérieur
que pour le membre inférieur. Par contre, le
dressement du pied) avec abolition du réflexe rotulien. Le membre
supérieur
droit est également paralysé, mais à un degré plu
ènes existent, mais moins marqués, dans la moitié droite du segment
supérieur
du tronc y compris le bras droit. Dans chaque f
, obéit uniquement aux lois de la pesanteur et fait avec le segment
supérieur
un angle obtus que limite forcément la résis- t
e base de sustentation, base peu solide d'ailleurs, car le membre
supérieur
gauche presque complète- ment paralysé rend dif
lité du tronc étant toutefois moins marqués, les muscles du segment
supérieur
droit du corps jouissant d'une puissance relati
i présentait des ulcéra- tions à la vulve et à la partie interne et
supérieure
des cuisses, il contracta la syphilis (1879).
ils, de chaque pied sont soudés l'un il l'autre dans les deux tiers
supérieurs
de ! leur étendue; celte disposition est congén
ir été des crises hystériques ; une paralysie transitoire du membre
supérieur
gauche avec anesthésie et 31 NOUVELLE ICONOGRAP
nous avons constaté qu'il était impossible de produire aux membres
supérieurs
la contracture artificielle : enfin les attaques
s la station debout, un peu penché en avant. L'attitude des membres
supérieurs
mérite d'être relevée. Habituellement les coude
'on voit dans l'ombre déjeté en dehors.. Mais c'est sur les membres
supérieurs
qui se montrent presque complètement découverts
ient progressivement, un à un, débutant d'ordinaire par les membres
supérieurs
. L'impuissance motrice s'accroît avec le degré
lacement du membre impossible. L'infirme d'Albert Durer a le membre
supérieur
droit profondément atteint. Il est inerte et la
aire, si sa jambe étant fléchie on cherche à l'étendre. Aux membres
supérieurs
la force musculaire est également bien conservé
sion des yeux. Il existe également de l'incoordination des membres
supérieurs
; elle esl malhabile de ses mains, surtout pour
ns. On trouve un très léger degré de nystagmus bilatéral. Membres
supérieurs
. - Au repos on n'observe rien d'anormal. En faisa
omplètement abolis au genou ainsi du reste qu'au niveau des membres
supérieurs
. Pas de (rouble des sphincters, ni des autres a
peu d'am- plitude. Dans les mouvements intentionnels des membres
supérieurs
, la direction générale du mouvement persiste, m
s un compte exact de la position dans laquelle on place ses membres
supérieurs
et inférieurs. Les pieds présentent une légère
uliens sont absents. Les réflexes cutanés sont normaux. Les membres
supérieurs
sont normalement conformés; on notedetemps en t
le secours d'un aide. C'est vers celte même époque que les membres
supérieurs
furent insensi- blement frappés d'incoordinatio
ale : sco. liose à convexité droite de la région dorsale. Membres
supérieurs
. -Au repos, les membres supérieurs ne présentent
te de la région dorsale. Membres supérieurs. -Au repos, les membres
supérieurs
ne présentent rien d'anormal. Leur force dynamo
était donc atteinte. h période paralytique a débuté par les membres
supérieurs
; peu après, Ici membres inférieurs se sont pris
endant plus d'un an, il exista une paralysie atrophique des membres
supérieurs
avec griffe radiale, et une paralysie spasmodiq
ve des phéno- mènes paralytiques et atrophiques du côté des membres
supérieurs
; les mou- vements de ces membres sont revenus a
bas de l'escalier. ' La malade n'accusait de douleur qu'à la partie
supérieure
et externe de la ; jambe. \ Au niveau de la t
par une flexion violente du genou en dedans, arrachant l'extrémité
supérieure
du péroné comme la malléole externe peut l'être
du pied en dedans. » 3° Le dernier mode de fracture de l'extrémité
supérieure
du péroné, comme aussi le plus rare, est le tra
, douleur parfois très étendue, d'autres fois localisée à la partie
supérieure
et externe de la jambe, dans tous les cas très
decin est alors appelé qui diagnostique une fracture de l'extrémité
supérieure
du péroné. Les mouvements volontaires du genou
ils provoquent des douleurs très vives irradiant jusqu'à la partie
supérieure
et externe de la jambe. Le malade ne peut met
pour maintenir le pied dans cette position. A la partie externe et
supérieure
de la jambe, à un ou deux centimètres au-dessou
iste une zone d'anesthésie (figure 34), comprenant en bas la partie
supérieure
du gros orteil et le tiers interne du deuxième;
e et s'arrête au niveau de la jonction du tiers moyen avec le tiers
supérieur
. La zone d'anesthésie présente un abaisse- ment
ce qui, du reste, est normal. Pàlpation. Lorsqu'on palpe la partie
supérieure
de la face externe de la jambe gauche, on const
un des divers mécanismes invoqués pour les fractures de l'extrémité
supérieure
du péroné pourrait être invoqué ou défendu; il
a pu être constaté, il y avait arrache- ment complet de l'extrémité
supérieure
du péroné, à la place de laquelle n'existait pl
e titre de cette intéressante observation : Fracture de l'extrémité
supérieure
du péroné gauche.. compression du sciatique pop
umatismales possibles au niveau de l'articulation tibio-pé- ronière
supérieure
. Or, le nerf sciatique poplité externe, au mome
passe derrière la tête du péroné dont il est séparé par l'insertion
supérieure
du muscle soléaire, contourne horizontalement l
t où il la contourne, il affecte la forme d'un ruban dont la moitié
supérieure
est formée par les fibres du tibial antérieur,
le de la branche cutanée péronière se rejoignent au niveau du tiers
supérieur
de la jambe. Dans les deux tiers inférieurs, ce
ile en une petite bande qui va occuper la moitié interne de la face
supérieure
du gros orteil. Cette zone est innervée par le mu
du péroné, la forme d'une bandelette, il est probable que la partie
supérieure
de cette bandelette, contenant les fibres du ti
ouve notée dans toutes les observations de fractures de l'extrémité
supérieure
du péroné. Le mécanisme de cette lésion n'est p
irs, je ne crus pas avoir le droit de le priver ainsi de son membre
supérieur
, car la contracture peut disparaître d'un jour à
ait farci de masses caséeuses en voie de ramollissement à la partie
supérieure
; il existait en outre de ce côté des traces d'une
'elle . , contourne complètement en avant et; en arrière; sa face
supérieure
, en rapport avec les circonvolutions adjacentes
'agissait d'un enfant atteint d'un double bec de lièvre de la lèvre
supérieure
qui ne vécut que quelques heures. On constata a
ne sont plus réunis que par l'isthme dont on aperçoit à nu la face
supérieure
. Il n'y a aucun vestige du corps calleux ni de
ses prolongements. La coupe horizontale elliptique de toute la face
supérieure
de l'hémisphère droit fait apercevoir l'ampliat
fout défaut et les convulsions se montrent d'emblée. Les membres
supérieurs
et inférieurs se raidissent, puis ne tardent pas
oesthésie du membre inférieur à partir du pli fessier, le seg- ment
supérieur
, y compris le bras, possédant sa sensibilité norm
iJ). Dans tous les cas, la ligne de descente présente une convexité
supérieure
plus ou moins marquée, et non interrompue; il
e description peut s'appliquer aussi aux : dévia- tions des membres
supérieurs
; leur traitement doit être basé sur les mêmes p
immobilisent les pieds dans la position de l'équinisme. Les membres
supérieurs
restent libres. Tels sont les renseignements qu
ovalaire, de cinq ou six centimètres de longueur, dont l'extrémité
supérieure
est située à environ trois centimètres en avant
sez résistantes, uniformes partout, pas plus saillantes aux membres
supérieurs
qu'aux membres inférieurs. Nulle part ni sailli
force, sans mesure. Des désordres semblables existent aux' membres
supérieurs
, dans les- quels l'ataxie la plus nette, la plu
ère tous ces troubles. Les troubles des mouvements dans les membres
supérieurs
s'accusent encore d'une manière remarquable dan
'il enfonce la plume dans le papier, etc.. En résumé, aux membres
supérieurs
comme aux inférieurs, tous les mou- vements son
légère dépression qui dure une demi-seconde. Tantôt c'est la lèvre
supérieure
qui se relève brus- quement, et dans un point t
te une scoliose à courbure convexe à droite, dans la région dorsale
supérieure
, avec une petite courbure de compensation dans la
tout desuite frappé de la longueur disproportionnée de ses membres
supérieurs
(taille, 1m,58; envergure 4m,69); il présente u
ses jambes. Il se livre à des mouvements bizarres avec ses membres
supérieurs
, prend avec ses mains des objets ima- ginaires
re carac- térisée par l'hypertrophie non congénitale des extrémités
supérieures
, inférieures et céphalique, et je proposais, po
79. Les deux mains inférieures sont celles du malade, les deux mains
supérieures
sont celles (l'un homme en bonne santé dont la
n gauche. Son diamètre intérieur mesure 20 millimètres. Aux membres
supérieurs
, pas plus du reste qu'aux membres inférieurs, on
une projection considérable des fausses côtes en avant ; à la partie
supérieure
, au-dessous des clavicules, il existe plutôt un
du menton, 22 cen- timètres ; de la racine des cheveux à la partie
supérieure
des os propres du nez, 66 millimètres; des os p
érieure,- qui autrefois étaient en arrière de celles de la mâchoire
supérieure
, sont maintenant en avant de celle-ci d'au moin
5 millimètres. La longueur est aussi notablement augmentée; sa face
supérieure
présente un assez grand nombre de sillons, mais
est là tout au plus l'exagération de l'état normal. Le maxillaire
supérieur
ne présente rien de bien net; il est probablement
t cependant augmentées. L'os hyoïde paraît être aussi d'un volume
supérieur
à la normale. Le corps thyroïde ne peut être qu
ieures ont trait aux membres inférieurs. La sensibilité aux membres
supérieurs
est très légèrement émoussée, et le trouble s'a
qu'à confirmer d'autres résultats plus sûrs. En résumé, aux membres
supérieurs
, la sensibilité est très légèrement diminuée. P
nvaincu que le sens musculaire est relativement diminué aux membres
supérieurs
et aux membres inférieurs. V. - La vue est pa
s antéro- externe et antéro-interne des jambes, tandis que le tiers
supérieur
de la région postérieure est sensible. Insens
ment. Il a aussi ressenti des douleurs fulgurantes dans les membres
supérieurs
. Depuis quatre ans, sa vue a beaucoup faibli. I
- Signalons une incoordination très marquée au 'niveau des membres
supérieurs
. - Diminution des réflexes tendineux. III IV.
te apophyse est augmentée de volume et déformée. Astragale. La face
supérieure
est complètement usée, la tête a disparu. Cub
e et qui se traduit par un ! gonflement considérable de la paupière
supérieure
. : i J.-M. CHARCOT (de l'Institut). PAUL Ri
avant et la tête incli- née dans le même sens. De plus, les membres
supérieurs
sont fléchis dans leurs diverses jointures, les
il en diffère complètement par l'attitude des membres. Les membres
supérieurs
sont étendus dans l'articulation du coude et dans
ET RADE. ÉDITEURS S HABITUDE EXTÉRIEURE ET FACIES. 215 membres
supérieurs
restent droits et pendants, les mains ne quittent
est due à la prédominance d'action du muscle orbiculaire palpébral
supérieur
. Enfin, sur d'autres fronts, on observe les deu
oque, apparaissent en outre des douleurs fulgurantes dans le membre
supérieur
droit. Il existait aussi une douleur sourde, cont
alisées au membre inférieur droit, attei- gnirent ensuite le membre
supérieur
du même côté, l'inégalité pupil- laire intermit
à la jambe droite, enfin elles gagnèrent successivement les membres
supérieurs
, le cou et la tête. Ces douleurs étaient interm
iveau des angles orbitaires externes mesure 61 centimètres. Membres
supérieurs
. - L'augmentation de volume porte surtout sur les
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment angulaire, et le dos est, à sa partie
supérieure
, tout à fait convexe. Au niveau de la base du c
t convexe. Au niveau de la base du cou, en arrière, et de la partie
supérieure
des épaules, se voient une quinzaine de petites
e semble augmenté de volume; son plus grand dia- mètre, à sa partie
supérieure
, atteint 6 centimètres. En revanche, c'est à pe
saillie des apophyses du frontal fait qu'entre celles-ci et le bord
supérieur
de l'os malaire se trouve une' profonde dépressio
est volumineux et proémine de 43 millimètres^ en avant de la lèvre
supérieure
; sa .largeur à la base des narines est de 42 mi
aillant; la lèvre inférieure est proéminente par rapport à la lèvre
supérieure
. La distance qui sépare l'extrémité antérieure
let el. semblent envahies par l'hyperostosc. Au niveau de l'angle
supérieur
de l'occipital au point de jonction avec la 2&l
tique, 26. ' · Diamètre transversal du front au niveau de la partie
supérieure
de l'arcade sourcilière et à 2 centimètres au-d
inférieure ayant sans doute eu plus de facilité à s'étendre que la
supérieure
parce qu'elle est un os unique et mobile, il s'en
e, 29 pouces. La mâchoire inférieure, qui déborde antérieurement la
supérieure
de l'épaisseur d'un doigt, a 18 pouces en prena
t de là au menton. De la partie infé- rieure moyenne du menton à la
supérieure
des dents incisives de cette mâchoire, il y a 4
es, ce qui fait qu'elle descend en bas et vient poser sur la partie
supérieure
du sternum, de manière que le sujet paraît n'avoi
son énorme déve- loppement, vient presque au niveau de la mâchoire
supérieure
. Les parties molles de la face ne suivent pas d
contraire sont très volumineuses, un peu plus l'in- férieure que la
supérieure
, la langue n'est pas beaucoup plus grosse que n
ent extraordinairement hypertrophique, plus encore pour les membres
supérieurs
que pour les inférieurs. 1. Cesare Lombroso, Ca
êles et droits comme par deux colonnettes à large base. Les membres
supérieurs
étaient grêles et longs ; les mains seules étai
insolite; elle se confond sans ligne de démarcation avec la partie
supérieure
de la poitrine. Les lèvres sont boursouflées, l'i
portant sur la totalité de l'organe (fig. 86). L'arcade dentaire
supérieure
est normale; l'arcade dentaire inférieure appar
férieure appartient à une circonférence beaucoup plus grande que la
supérieure
; i on dirait la mâchoire d'un géant appliquée c
; i on dirait la mâchoire d'un géant appliquée contre le maxillaire
supérieur
d'un adulte; on peut, lorsque la mâchoire infér
ue la mâchoire inférieure esl aussi rapprochée que pos- sible de la
supérieure
, passer le bout de l'indicateur entre les arcades
tous les diamètres; elles sont plus longues et plus larges que les
supérieures
... Les globes oculaires font une saillie consid
res, sans être oedématiées, pré- sentent un gonflement spécial : la
supérieure
recouvre la moitié de la cornée, on dirait qu'e
on uniforme, se continuent sans ligne de démarcation avec la partie
supérieure
de la poi- trine. Le corps thyroïde hypertrophi
un mélange d'avachissement et de basse sensualité... Les membres
supérieurs
et inférieurs ont leur volume ordinaire; ils sem-
oires sont fermées, les dents de l'inférieure dépassentcelles de la
supérieure
. Le larynx et l'os hyoïde ne semblent pas augme
ugmentalion ; des lobes dit corps thyroïde. Matitc cardiaque : bord
supérieur
de la deuxième ' ¡ L'.\Clt031 £ GALIE, : ! jÍ
les autres et présentent un si grand nombre de différences. La partie
supérieure
de cette surface CC avait conservé l'aspect spong
de vésicules extrêmement petites, affaissées, extraites de la partie
supérieure
Ce de la masse commune ( fig. 1 ) ; ces grappes,
eux qui existe assez souvent, et qu'on peut appeler ganglion cervical
supérieur
accessoire. Ce ganglion reçoit en effet et émet u
et une partie des branches que reçoit et qu'émet le ganglion cervical
supérieur
, dont le volume est alors sensiblement diminué. D
vérifier. 2°. La tumeur fusiforme IG remplace le ganglion cervical
supérieur
; elle a deux pouces trois lignes de long sur un
fs cervicaux qu'elle cache ; seulement il se détache de son extrémité
supérieure
quelques filets qui se dirigent vers l'artère car
stérieure est devenue antérieure. La tumeur i'G, ou ganglion cervical
supérieur
accessoire, est seule restée en position. La figu
s'anastomoser avec le nerf carotidien fourni par le ganglion cervical
supérieur
IG; 20 deux ou trois filets b, c, qui, anastomosé
quel naissent des rameaux qui vont se jeter dans le ganglion cervical
supérieur
IG. Le ganglion cervical supérieur IG donne nai
jeter dans le ganglion cervical supérieur IG. Le ganglion cervical
supérieur
IG donne naissance à un grand nombre de rameaux d
ucoup plus considérable que dans l'état naturel. i°. De son extrémité
supérieure
partent deux ordres de filets; les uns destinés p
e la pièce. 20. C'est par son bord externe que le ganglion cervical
supérieur
reçoit les rameaux qui établissent sa communicati
aires cervicales, accrus par les filets indiqués du ganglion cervical
supérieur
accessoire; les autres naissent d'une seconde ans
ième paires cervicales. La figure 4 représente le ganglion cervical
supérieur
IG divisé longitudinalement dans presque toute so
re fibreuse était commune à toutes les tumeurs ; le ganglion cervical
supérieur
accessoire IG' avait seul une dureté cartilagineu
, cette couche encéphaloïde devient beaucoup plus épaisse à la partie
supérieure
. 4° Enfin, pour mieux voir la circonférence de la
faitement les caractères du tissu propre de cet organe qu'à la partie
supérieure
; là on retrouvait le tissu granuleux et rougeâtr
oirâtre, se voyaient en grand nombre dans l'épaisseur de cette partie
supérieure
. C'étaient évidemment les calices dilatés et obli
r coloration. L'uretère naissait de la partie interne antérieure et
supérieure
de la tumeur; donc l'altération avait principalem
envahi et la régio^i iliaque et l'hypo-chondre gauches. Son extrémité
supérieure
adhérait intimement au diaphragme; son extrémité
obe inférieur du poumon ; une troisième artère AD naître de la partie
supérieure
de l'aorte abdominale par un tronc commun avec la
du cœur ouvertes; la fig. 5, le ventricule gauche, et à la la partie
supérieure
de la cloison C une ouverture CP établissant comm
ommet du coccyx répondait au niveau de l'épine iliaque postérieure et
supérieure
. Ainsi le détroit inférieur factice O succédait i
nsi le détroit inférieur factice O succédait immédiatement au détroit
supérieur
, ou plutôt le détroit inférieur et le détroit sup
nt au détroit supérieur, ou plutôt le détroit inférieur et le détroit
supérieur
étaient confondus. Les trous sacrés antérieurs TS
que le rein et l'artère rénale. La figure 7 représente l'extrémité
supérieure
d'un enfant qui, en même temps que cette difformi
ubitus C était intact, mais il ne restait du radius que son extrémité
supérieure
R. La main s'articulait non avec l'extrémité infé
L'écartement qui sépare l'extrémité inférieure du tibia de la facette
supérieure
de l'astragale indique toute l'étendue du déplace
èrement disparu dans la moitié inférieure de sa longueur. L'extrémité
supérieure
du tibia, déjetée en dehors, présentait un plan o
la saillie de l'astragale et la couche fibreuse qui forme le ligament
supérieur
de cette articulation ; des cartilages de nouvell
t, et que le tibia s'articulait avec la partie postérieure de sa face
supérieure
; mais nous pensons qu'il n'est pas nécessaire d'
Le diaphragme D, dans toute la portion correspondante à l'extrémité
supérieure
de la rate, était d'un vouge vif, et cette colora
inégalités de couleur que présente la surface de la rate. L'extrémité
supérieure
était marbrée de blanc et de rouge; ailleurs, c'é
un courant d'air, demande sans cesse qu'on lui frictionne les membres
supérieurs
. Sueur considérable, mais sans amendement. —Potio
'air frais à l'aide d'un éventail, de frictions rudes sur les membres
supérieurs
, faute de quoi elle est dans un état lypothimiqu
l de changer de place, d'un courant d'air ou de frictions aux membres
supérieurs
. Soupirs de temps en temps. Le 19 au matin, le
ant : coma profond; immobilité; insensibilité complète des extrémités
supérieures
; un peu de sensibilité aux extrémités inférieures
la moitié droite de la commissure. Fig. 3. Elle représente la face
supérieure
de la tumeur perlée TP, qui, après avoir écarté l
surviennent des vomissemens qui sont suivis de paralysie des membres
supérieurs
; large saignée; affaissement : mort à quatre heur
de vingt ans, affecté de phlegmon érysipélateux de toute l'extrémité
supérieure
, mourut avec tous les symptômes d'une lésion grav
servation fait partie des bulletins de cette Société, on voit le lobe
supérieur
du poumon gauche converti en une vaste caverne ou
purulent, mais les divisions bronchiques qui se rendent dans le lobe
supérieur
du poumon gauche remplies de pus; la muqueuse bro
muqueuse bronchique très-rouge et très-épaissie; le parenchyme dulobe
supérieur
mollasse, infiltré, ayant perdu ses caractères de
t paraître il y a deux ans, sans cause connue, une tumeur à la partie
supérieure
du sternum. Avant cette époque, santé parfaite ;
isée elle-même en deux autres tumeurs, l'une inférieure T'A', l'autre
supérieure
T"A", que séparait un étranglement circulaire. Le
tation naissaient encore deux appendices, ou poches anévrysmales l'un
supérieur
plus petit T'A", l'autre inférieur plus considéra
rte qui répond en arrière à la trachée et à l'œsophage ; i° la partie
supérieure
de la crosse entre l'origine du tronc brachio-cép
eance de M. Honoré, médecin de l'hôpital Necker, c'était de la partie
supérieure
de la crosse de l'aorte, entre les origines des v
diqués, que naissait une tumeur énorme qui, après avoir usé la moitié
supérieure
du sternum et les cartilages costaux correspondan
pace de trois ou quatre jours, cette douleur s'étendit aux extrémités
supérieures
et inférieures, qui furent successivement paralys
es extrêmement bornées; tout le reste du corps, y compris l'extrémité
supérieure
gauche, est frappé d'une paralysie complète et du
a nuque, une douleur vive avec paralysie des mouvemens de l'extrémité
supérieure
gauche, que ce rhumatisme (car c'est ainsi qu'il
ouleur à la nuque, laquelle s'est étendue aux épaules, aux extrémités
supérieures
et inférieures qui furent successivement paralysé
Je ne saurais trop appeler l'attention des anatomistes sur la limite
supérieure
de l'épanchement qui est le collet du bulbe. Là e
éressait que la moitié gauche de la moelle, et ce sont les extrémités
supérieure
et inférieure du même côté qui avaient été paraly
écrasa sous mes doigts et le scalpel; il n'y eut qu'à « son extrémité
supérieure
où elle conservât encore un peu de sa forme natur
s, en sorte que le malade ne vivait que par la tête et les extrémités
supérieures
. Voici quel était son état au moment de son ent
La douleur et la paralysie du mouvement se propagèrent aux extrémités
supérieures
; le malade mourut subitement. Il ne me fut pas p
isérable que la veille : la rigidité existe aussi dans les extrémités
supérieures
. L'inflammation de l'intestin tend à se propager
fin d'une maladie chronique. Les parois abdominales et les extrémités
supérieures
sont toujours d'une rigidité excessive. Coliques
vec ses paroles et l'air de gaîté qui brille sur son visage. La lèvre
supérieure
devient Je siège d'une tuméfaction considérable :
eil est parsemé de concrétions crétacées, déposées partie sur sa face
supérieure
, partie sur sa face inférieure. La fig. 6" repr
ns très-légèrement encroûtés. D'autres articulations des extrémités
supérieures
présentaient des altérations analogues. La capsul
es ; elle consiste dans un angle extrêmement aigu formé par la moitié
supérieure
du levier vertébral avec la moitié inférieure ; i
première de ces vertèbres est reçue dans un enfoncement que son bord
supérieur
a creusé sur le corps de la deuxième* Il y a disp
ieur. Quelquefois , comme dans les deux exemples précédens, la moitié
supérieure
et la moitié inférieure de la colonne vertébrale,
orme la base inclinée de l'espèce de pyramide que constitue la partie
supérieure
de la colonne vertébrale. Une portion de cette de
, d'un égal diamètre, était pourvue d'un hymen bien conformé. Le bord
supérieur
ou le fond, la face antérieure et la face postéri
rus, par un mécanisme tout-à-fait semblable à la division de la lèvre
supérieure
dans le bec-de-lièvre : on conçoit d'ailleurs ais
ngreneux, occupent le fond de l'utérus et plus spécialement son angle
supérieur
droit. Ils correspondent évidemment au lieu de l'
st composé de deux parties bien distinctes; l'une ve livraison. 1
supérieure
, plus considérable; l'autre inférieure, plus peti
ier. La tumeur inférieure E m'a paru formée par fépididyme; la tumeur
supérieure
T, par le corps du testicule. Du reste l'une et l
douleur, ou plutôt cet engourdissement, s'étendit aux deux extrémités
supérieures
; que six semaines après il fut pris successiveme
dont elle est séparée par une couche épaisse de liquide. A la partie
supérieure
de la tumeur, il existe une bouillie blanchâtre q
u cadavre. Les deux replis muqueux qui forment les côtés de l'orifice
supérieur
du larynx ^ la muqueuse qui revêt la région posté
isine du pharynx, la base de la langue, la face antérieure et le bord
supérieur
de l'épiglotte, présentent une couleur d'un blanc
replis muqueux qui, comme deux lèvres latérales, bordent l'ouverture
supérieure
du larynx, alors telle est la laxité du tissu cel
un abcès dans l'épaisseur du repli muqueux droit, qui forme l'orifice
supérieur
du larynx. Le cartilage aryténoïde, dépouillé de
on a coupé les nerfs de la huitième paire au-dessous du nerf laryngé
supérieur
; il devait mourir asphyxié. L'explication est in
circonférence de l'épiglotte érodée et comme festonnée EE, l'orifice
supérieur
du larynx OLE et la muqueuse qui revêt sa face po
nant. L'érosion de l'épiglotte, et de tout ce qui entourait l'orifice
supérieur
du larynx, le défaut de souplesse de toutes les p
, excepté du côté de l'utérus U, qui occupait la partie antérieure et
supérieure
de la tumeur; il était déformé à cause des tracti
déformé à cause des tractions qui avaient été exercées sur son angle
supérieur
droit et obliquement allongé de gauche à droite.
ses et tardives : plaçait-on le doigt au-devant de l'œil, la paupière
supérieure
ne s'abaissait qu'au bout d'une ou deux secondes.
e considérable dans lequel on aperçoit la presque totalité de la face
supérieure
du cervelet; la pointe de ces lobes n'atteignait
état : paralysie complète du sentiment et du mouvement des extrémités
supérieure
et inférieure droites. La langue s'incline du côt
ns les tendons de la moitié droite du corps et surtout de l'extrémité
supérieure
. Loquacité continuelle, et néanmoins il répond tr
partie le mouvement de l'extrémité inférieure; moins dans l'extrémité
supérieure
. Après un an de séjour à la Maison royale de Sant
on est pectorale et plaintive ; soubresauts et raideur de l'extrémité
supérieure
gauche. — Le 26, petits mouvemens convulsifs dans
eure gauche. — Le 26, petits mouvemens convulsifs dans les extrémités
supérieures
. Il paraît que l'enfant entend encore, car elle f
te la légère douleur ou plutôt l'embarras qu'elle éprouve à la partie
supérieure
du frontal; cet embarras cesse par momens; il aug
mais quand on lui demande ce qui lui fait mal, elle montre la partie
supérieure
du frontal où elle dit éprouver des battemens. Po
e cinquième jour, l'œil droit est largement ouvert ; mais la paupière
supérieure
gauche, paralysée, tombe sur l'œil qu'elle recouv
l qu'elle recouvre. Les deux pupilles sont très-dilatées. L'extrémité
supérieure
gauche paraît affaiblie dans sa myotilité, car lo
ait à paraître qu'au voisinage du bulbe raehidien. En outre la partie
supérieure
de la région cervicale, largement dilatée, conten
spèce de descente de la moelle allongée et du cervelet dans la partie
supérieure
du canal raehidien. Les ventricules du cerveau, t
étroites, ordinairement circulaires. Si l'obstacle est à l'extrémité
supérieure
de l'uretère, la dilatation commence parle bassin
es plaques agminées elles-mêmes. J'appellerai l'attention sur la plus
supérieure
des plaques pustuleuses de cette figure, qu'on vo
nes disent que les papilles ou villosités vont diminuant de la partie
supérieure
vers la partie inférieure de l'intestin grêle.
petites escarres. Il y avait en tout une dizaine d'escarres. Les plus
supérieures
n'ont pas été rendues sur cette figure. A la fin
bserver deux cas de tumeurs osseuses et careinomateuses, nées du plan
supérieur
et du plan postérieur du rocher. Dans un cas, la
nce osseuse, naissaient par un pédicule unique et très-étroit du plan
supérieur
du rocher, au niveau de la caisse du tympan. Une
es olfactives, i° la selle turcique, 3° le plan postérieur et le plan
supérieur
du rocher. Les tumeurs nées au niveau du rocher s
hés à la dure-mère, au. niveau et sur les côtés du sinus longitudinal
supérieur
. Ce sinus ouvert m'a présenté de petites végétati
rcher; elle fait le mouvement de la marche, mais la tête et la moitié
supérieure
du tronc l'entraînent en avant comme une masse in
ces où je suis parvenu à oblitérer complètement le sinus longitudinal
supérieur
, l'animal n'a éprouvé aucun accident. IX. L'obl
er Y apoplexie capillaire. Dans l'un de ces cas le sinus longitudinal
supérieur
, le sinus latéral gauche, et les veines cérébrale
itudinal supérieur, le sinus latéral gauche, et les veines cérébrales
supérieures
, étaient distendus par un sang noir et adhérent j
ans la couche optique gauche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal
supérieur
et les veines cérébrales supérieures étaient dist
l'autre cas, le sinus longitudinal supérieur et les veines cérébrales
supérieures
étaient distendues par du sang coagulé et adhéren
l'arachnoïde une grande quantité de sérosité. Le sinus longitudinal
supérieur
SS est rempli de sang coagulé fortement adhérent
s les veines cérébrales qui vont se rendre dans le sinus longitudinal
supérieur
sont pleines de pus concret qui formait de petits
e se voit sur l'hémisphère gauche, au voisinage du sinus longitudinal
supérieur
. existaient une foule de petits foyers apoplect
s les plus forts. Flexion avec rigidité et tremblement de l'extrémité
supérieure
droite. Mort dans la journée. Le sujet de cette o
ral de ce côté et la cavité de l'arachnoïde. On voit encore la partie
supérieure
de l'ouverture OA que présente le lobe antérieur
ée çà et là de petits foyers ; le principal foyer se voit à la partie
supérieure
en ET. Du reste le corps du testicule est sain; o
uatrième mois, deux points fluctuans se manifestent, l'un à la partie
supérieure
, l'autre à la partie inférieure de la tumeur. Une
céreuse, parfaitement circonscrite, enkystée, forme les cinq sixièmes
supérieurs
de la tumeur. Le tissu propre du testicule SS, re
ue de l'hydrocèfe, et je découvris un peu de transparence à la partie
supérieure
; tout le reste était opaque. J'en conclus qu'il
encéphaloïde altéré? La substance du testicule, refoulée à la partie
supérieure
de la poche, se moulait sur elle; la couche la pl
l'avant-bras se déplacent en arrière, « et par conséquent l'extrémité
supérieure
du carpe se déplace en avant ; ce n'est donc pas
llante, et descend beaucoup moins que celle du cubitus C. L'extrémité
supérieure
du carpe se trouve sur un plan supérieur et antér
e du cubitus C. L'extrémité supérieure du carpe se trouve sur un plan
supérieur
et antérieur à celui de l'extrémité inférieure de
n avait pu être portée dans l'extension, pas de doute que l'extrémité
supérieure
du carpe ne fît en avant, sous la peau, une saill
ses lignes d'insertion et ses apophyses plus saillantes. L'extrémité
supérieure
du radius n'est pas creusée pour recevoir la peti
ui complète cette tête; on n'en trouve que des rudimens. Les facettes
supérieures
du trapèze T et du trapézoïde T', sont rapetissée
rapèze T et du trapézoïde T', sont rapetissées, de même que la moitié
supérieure
de ces os qui devait répondre au scaphoïde atroph
tée beaucoup plus loin; l'avant-bras s'articule non plus avec le bord
supérieur
, mais bien avec la face dorsale du carpe. La fi
aient devenues articulaires et encroûtées de cartilages: les facettes
supérieures
, autrefois articulaires, étaient au contraire dép
et 6 (planche 3) représentent une luxation en arrière de l'extrémité
supérieure
du radius droit sur l'humérus. La fig. 4 représ
nche 4) représente un autre cas de luxation en arrière de l'extrémité
supérieure
du radius gauche sur l'humérus. Ainsi que dans l'
sion incomplet. Réflexions. Les exemples de luxation de l'extrémité
supérieure
du radius sur l'humérus, le cubitus restant en pl
ux cas de luxations en arrière du radius avec ankylose des extrémités
supérieures
du radius et du cubitus. Dans ces deux cas, le ra
Dans ces deux cas, le radius et le cubitus se croisent à leur partie
supérieure
comme dans une forte pronation. Dans l'un de ces
par M. Paillard), sous le titre de Luxation congénitale de Vextrémité
supérieure
du radius sur Vhumérus a droite et a gauche, le d
une autopsie qui se rapporte parfaitement à mon sujet : « L'extrémité
supérieure
de chaque radius avait abandonné sa situation nat
sition de la trochoïde rejjrésentée par l'articulation radio-cubitale
supérieure
, que cette luxation peut avoir lieu dans une pron
hez les enfans que le déplacement incomplet en arrière de l'extrémité
supérieure
du radius : le défaut de développement de la peti
t fussent consécutives à une maladie de l'articulation radio-cubitale
supérieure
, mais qu'il me paraît plus probable d'admettre qu
ations des extrémités inférieures d'abord, puis celles des extrémités
supérieures
furent successivement le siège de douleurs, auxqu
ses dents, on fut obligé de lui arracher les deux incisives moyennes
supérieures
; et à l'aide de cette brèche, on put lui faire a
ulaires et acromio-claviculaires, centre des mouvemens de l'extrémité
supérieure
tout entière, sont remarquables par la fréquence
ement sur la partie inférieure et interne de cette tête ; à la partie
supérieure
existaient des végétations recouvertes de carti
ls redouble de fréquence; il devient petit, misérable. Les extrémités
supérieures
s'infiltrent, et néanmoins appétit excellent; gai
limpide. Les poumons, refoulés contre le médiastin et vers la partie
supérieure
du thorax, étaient tellement petits, qu'on a pein
nous nous contenterions de l'immobilité, s'il occupait les extrémités
supérieures
. Eh bien ! le repos pour l'estomac c'est la diète
haut en bas, dans la veine fémorale d'un chien, depuis son extrémité
supérieure
jusqu'aux creux du jarret, et une autre tige, de
'os, et s'étendait même jusque dans le tissu spongieux de l'extrémité
supérieure
. Il ne me fut pas donné de saisir le lien qui uni
. Inflammation (*) des grosses et des petites veines de V extrémité
supérieure
a la suite dune plaie par arme a feu (planche i
ital Beaujon le 5 août avec un gonflement considérable de l'extrémité
supérieure
. Le chirurgien de garde fait l'extraction de la b
A l'ouverture, phlébite des grosses et petites veines de l'extrémité
supérieure
. Abcès multiples dans l'épaisseur du deltoïde et
. Hépatite granuleuse. La planche 1 (fig. 1) représente l'extrémité
supérieure
de ce malade. Un stylet P a été introduit à trave
ne trouvant pas la veine, j'introduisis un gros stylet dans la partie
supérieure
de la veine fémorale, et je vis à mon grand étonn
ois, un petit foyer purulent existait dans l'épaisseur de l'extrémité
supérieure
du jumeau interne, et envoyait des espèces d'embr
utre bout. Deux foyers considérables existaient autour de la partie
supérieure
des vaisseaux péroniers entre le muscle soléaire
eux. Le stylet introduit dans la veine poplitée pénétra dans le foyer
supérieur
, et permit de voir que la veine péronière n'exist
as rare de rencontrer dans le cas d'inflammation des veines du membre
supérieur
, à la suite d'une saignée, des phlébites du membr
e du poumon, et sont entourés d'une auréole rouge et indurée. Le lobe
supérieur
en est complètement exempt. La coupe du même po
poumon représenté planche m appartient à l'individu dont l'extrémité
supérieure
a été figurée planche i. Le poumon (fig. i) est
un cancer de l'extrémité gauche du pancréas et un cancer de la partie
supérieure
du rein gauche; dans un autre cas, le cancer du f
dans l'abdomen ; bouffissure de la face ; infiltration des extrémités
supérieures
; point de douleur - respiration naturelle, pouls
îo in for I ou r© cU l'ooeoptiagp, l'estomac, le duodénum et le tiers
supérieur
du jéjunum distendus par un liquide jaune-brunâtr
es liquides ne pouvaient franchir l'obstacle; la partie de Pintestin,
supérieure
au calcul, avait un pouce huit lignes de diamètre
qui avoisine le pylore P; ce cordon dilaté et bosselé dans sa partie
supérieure
se continuait manifestement avec les conduits hép
iques, il contenait deux petits calculs dans l'épaisseur de son tiers
supérieur
. J'ai dû penser que ce cordon n'était autre chose
othèse, et de l'existence de deux concrétions biliaires dans le tiers
supérieur
du cordon, et de la continuité de ce cordon avec
nt dirigée de haut en bas et de gauche adroite, atteignait le détroit
supérieur
. Dans le dernier mois de sa vie, la malade épro
cinquièmes inférieurs de la circonférence de l'estomac. Le cinquième
supérieur
a été respecté. Cette tumeur est limitée inférieu
5oo à 2000; car une femme en couches a une puissance d'infection bien
supérieure
à celle d'un malade ordinaire. La question de l'e
mphatiques qui longent les bords de cet organe et occupent ses angles
supérieurs
. Ne serait-il pas possible qu'il y eût quelque ra
s : il a pour sujet une femme âgée de 55 ans, qui portait à la partie
supérieure
et interne de la cuisse, un lipome énorme qui sim
tissu cellulaire dense, infiltré et injecté. Au niveau des deux tiers
supérieurs
de la cuisse, aucune trace d'inflammation ou de f
imitifs, ont succombé aux accidents consécutifs, on trouve aux angles
supérieurs
de l'utérus, le long de ses bords , en un mot dan
étaient pénétrées de pus dans toute leur épaisseur et dans la moitié
supérieure
de la longueur de ce canal. Les vaisseaux lymph
était très volumineux, et s'élevait de beaucoup au-dessus du détroit
supérieur
. Le tissu cellulaire sous-péritonéal, qui répon
cupent l'épaisseur des ligaments larges, ceux qui émargent des angles
supérieurs
de l'utérus, sont pleins de pus. Les poumons m'
dépressible; face rouge; langue rouge à son limbe, blanche à sa face
supérieure
: deux selles en diarrhée; lochies sanguinolentes
eaient les bords de l'utérus ; un grand nombre émergeaient des angles
supérieurs
de cet organe pour suivre la direction de la trom
tonéal très-sain ; les vaisseaux lymphatiques qui répondentaux angles
supérieurs
de l'utérus étaient pleins de pus concret. Le t
auche. Le pus cesse brusquement dans cette veine au niveau du détroit
supérieur
et par conséquent n'atteint pas les ganglions lom
eulement aux dépens de son corps, mais encore aux dépens de la partie
supérieure
de son col. Fig. 2. L'utérus représenté fîg 2.
uisses. Décoction blanche. Synapismes promenés le long des extrémités
supérieures
et inférieures. Thériaque, matin et soir, 1/4 lav
interne offre une rougeur vive par arborisation. Dans les deux tiers
supérieurs
la couleur est naturelle. La membrane interne d
us ou moins rapidement à ceux des jambes, des cuisses, de l'extrémité
supérieure
, aux parois abdominales, thoraciques, et aux mass
interne de l'intestin grêle. Muqueuse à peine injectée dans la moitié
supérieure
de cet intestin. L'injection augmente peu à peu,
Un enduit muqueux, jaunâtre et cohérent, tapisse la première moitié
supérieure
de l'intestin grêle. Un enduit muqueux, plus liqu
ntées ph II, fîg. 1. Cette altération ne s'observe que dans la moitié
supérieure
du gros intestin. Les follicules de cet intestin
t tapissée d'une couche uniforme de mucosités blanches dans sa moitié
supérieure
. Sa moitié inférieure contient des mucosités sang
llicules. Rien de particulier dans l'estomac ni dans les deux tiers
supérieurs
de l'intestin grêle. La partie inférieure présent
toute l'étendue de cet intestin. La rougeur va croissant de la partie
supérieure
à la partie inférieure. Les gros intestins cont
érales, les doigts restèrent convulsivement écartés et les extrémités
supérieures
et inférieures demi-fléchies. Le faciès choléri
asphyxié par le gaz acide carbonique. Une lois j'ai vu les extrémités
supérieures
tellement livides, qu'un médecin, d'ailleurs inst
es hameaux et les petites villes dans une proportion incomparablement
supérieure
aux grandes villes. Ainsi, malgré les cordons san
t été atteints, ou du moins ils ne l'ont pas été dans des proportions
supérieurs
aux autres classes de la société, malgré leurs fa
ge, l'établissement d'une ambulance à l'ancien Trésor (i). L'autorité
supérieure
enjoignit d'abord de la fermer; mieux informée, e
. La hg. 2 représente les deux ventricules, ouverts par leur partie
supérieure
: le ventricule droit est distendu par un énorme
s, j'ai vu du sang concret épanché tout le long du sinus longitudinal
supérieur
, entre la dure-mère et les os du crâne. Une autre
mon, à l'aide d'un pédicule vasculaire. PD, poumon droit, sur le lobe
supérieur
duquel on a détaché la plèvre. PG, poumon gauche
il n'existait du trou de botai qu'une petite fente située à la partie
supérieure
de la fosse : un caillot était engagé dans cette
Enfant né avec des phlyctènes aux pieds, aux mains et et la paupière
supérieure
. Mort au bout de trente-six heures. Quelques lobu
pénétrer dans les voies aériennes : souvent le pourtour de l'orifice
supérieur
du larynx est hérissé de fausses membranes, et né
tement sur la voûte des ventricules et sur toutes les circonvolutions
supérieures
, la base de cet organe étant intacte; tantôt elle
t ouvert par l'ablation du pariétal, du frontal droit et de la partie
supérieure
de l'occipital. La faux cérébrale, F, est énorme;
sées sur elles-mêmes. Le bulbe raehidien BR, se continue avec l'étage
supérieur
ou antéro-postérieur de la protubérance. La saill
portion d'intestin déplacée était située à la réunion des deux tiers
supérieurs
avec le tiers inférieur de l'intestin grêle. La
testin était disposé derrière le trou sous-pubien : ÏGS , est le bout
supérieur
qui était distendu par une grande quantité de liq
t entourés de vaisseaux. On voyait en outre à la face interne du lobe
supérieur
du poumon gauche une masse considérable de matièr
t épais, et nullement disposé par plaques irrégulières. L'extrémité
supérieure
de la tumeur se continue sans rainure circulaire
versement du vagin est donc aussi complet que possible. A la partie
supérieure
et antérieure de la tumeur, méat urinaire MU, inf
haque coté de la symphyse. La vessie volumineuse déborde le détroit
supérieur
. Son bas-fond, et peut-être une partie de sa pa
érieure delà vessie, mais se trouve placé à la réunion des deux tiers
supérieurs
avec le tiers inférieur de cette paroi. Les ori
placement. Entre la vessie et le rectum , on voyait les deux angles
supérieurs
de l'utérus U, U disposés à la manière des cornes
rtie inférieure de son col; 4° par l'échancrure que présente son bord
supérieur
ou fond, échancrure qui est le résultat du plisse
couchement : l'utérus volumineux pèse de tout son poids sur l'orifice
supérieur
du vagin ; les ligaments utérins distendus n'impo
térins distendus n'imposent aucune limite au déplacement. L'extrémité
supérieure
du vagin forme un vaste cul-de-sac dans lequel pe
e radicale par des procédés particuliers : la dilatation de la partie
supérieure
du vagin, son relâchement, son défaut de résistan
ment du vagin et plus particulièrement du rétrécissement de sa partie
supérieure
, qu'on pourrait obtenir par une cautérisation sup
, derrière l'arcade crurale. Cette veine suivait la direction du bord
supérieur
du pubis jusqu'à la symphyse ; de là se portait v
sées de manière à favoriser le cours du sang vers le foie. La portion
supérieure
à l'ombilic était plus épaisse, jaunâtre et opaqu
te prostate entourait de toutes parts le canal de l'urètre, la partie
supérieure
de cette glande était, relativement, aussi dévelo
OU, la portion prostatique du canal de l'urètre ouverte par sa paroi
supérieure
, l'épaisseur de la coupe de la prostate CP, CP, l
pothénar. La fluctuation manifeste que j'avais observée à la partie
supérieure
et postérieure de l'avant-bras était due à un abc
rs, les nuances de coloration que présente le muscle depuis sa partie
supérieure
, qui est infiltrée de pus, PI, jusqu'à sa partie
ui le constituent, savoir un inférieur PR, formé par le péritoine, un
supérieur
P V formé par la plèvre. Ces deux feuillets accol
éparent sont extrêmement denses, presque cartilagineuses. La partie
supérieure
du rein présentait une matière encéphaloïde, au m
on de rein respectée par la maladie avait été refoulée vers la partie
supérieure
de la tumeur : ici la totalité des lobules qui en
., pl. IL ) EXPLICATION DES FIGURES. La fig. 1 représente la face
supérieure
du cervelet d'un enfant de 9 à 10 ans. Deux masse
chacune a le volume d'un œuf de pigeon: toutes deux occupent la face
supérieure
de l'organe; l'une est située en dehors et en ava
soutient. Il est probable que cet os est le débris d'un os maxillaire
supérieur
. Le trou DO pourrait bien représenter le trou sou
est probable que cette portion osseuse appartenait à l'os maxillaire
supérieur
; l'échancrure DO paraît être le trou sous-orbita
alvéoles bien distinctes qui paraissent avoir appartenu au maxillaire
supérieur
. Considérations sur les kystes pileux en généra
ent osseux, m'a paru, dans quelques cas, appartenir à l'os maxillaire
supérieur
. Il existe quelques exemples où des dents semblab
contenus dans la gaine fibreuse formée par la dure-mère. La partie
supérieure
de la colonne vertébrale est très fortement recou
s. La fig. 2 (grandeur naturelle) représente une coupe de la partie
supérieure
de la tumeur. On voit 1° la couleur ardoisée de l
une matière crétacée, est déposée ou infiltrée dans le sommet du lobe
supérieur
du poumon, et nous révèle la puissance conservatr
dans ce dernier sens que dans le premier. La peau qui revêt la tumeur
supérieure
est parsemée de quelques poils. On y voit, en out
voile du palais. Fig. 4. Grandeur naturelle. Tête vue par la région
supérieure
, et par derrière. Les téguments M C, MC, MC, ont
ue cinq minutes. » XLXe LIVRAISON. j osseuse ouverte par sa paroi
supérieure
, les pariétaux P coupés près de leur bord inférie
roit P s'élève au-dessus de la clavicule jusqu'au niveau de la partie
supérieure
du larynx en dehors delà glande thyroïde TD: le t
nt , les pariétaux arrivant pour ainsi dire en contact avec la région
supérieure
du dos, la partie postérieure ou écaille use de l
ait ployé en double , et ses pieds étaient arc-boutés contre la paroi
supérieure
de la poche. Les deux pieds présentaient au plus
n individu qui mourut avec une exostose douloureuse siégeant au tiers
supérieur
de la face interne du tibia, je trouvai la tumeur
l'ablation de la mamelle gauche cancéreuse, vit se former à la partie
supérieure
du sternum, une tumeur qui augmenta progressiveme
ce côté, une fracture avec saillie en dehors et en avant du fragment
supérieur
. Comme on se disposait à lui appliquer l'appareil
fractures de cuisse, on sentit une crépitation manifeste à la partie
supérieure
du fémur gauche. En même temps la malade accusa u
fracturés, le droit à l'union du tiers inférieur avec les deux tiers
supérieurs
, le gauche au-dessous du grand trochanter. Du res
époque, parurent plusieurs tumeurs, deux sur les parties latérales et
supérieures
du crâne ; une troisième à la partie moyenne de l
e crâne par la fente sphénoïdale, et comprimait les nerfs maxillaires
supérieur
et inférieur de la cinquième paire, et la partie
excessivement minces au niveau de la fracture et dans ses deux tiers
supérieurs
. Le canal médullaire de l'os était rempli par des
euses superposées M, mais sans adhérence les unes aux autres. La plus
supérieure
s'enfonçait dans l'épaisseur de la tête de l'os T
occupe non-seulement le corps de l'os, mais même encore son extrémité
supérieure
GT. 20me. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CŒUR
son centre une petite ouverture. Ces ecchymoses occupaient la partie
supérieure
du sillon postérieur du cœur, un peu à droite de
t fut une gangrène spontanée qui se déclara à la partie antérieure et
supérieure
de la cuisse, et qui, d'abord circonscrite, s'éte
ance blanche est intacte. Une circonvolution qui avoisine l'extrémité
supérieure
de la scissure de Sylvius, et qui appartient à la
re. Ramollis s emens du cerveau. Inflammation du sinus longitudinal
supérieur
et des veines qui y aboutissent; apoplexie capill
épileptiformes dans la moitié gauche du corps, surtout dans le membre
supérieur
: le pouce de la main gauche reste très fortement
ré du lobe inférieur du poumon droit. Téte. — Le sinus longitudinal
supérieur
(fig. 1, SL) est rempli par un caillot très dense
la fig. 1, pl. 4? xxC Hvr- Dans Fun de ces cas, le sinus longitudinal
supérieur
, le sinus latéral gauche et les veines cérébrales
gitudinal supérieur, le sinus latéral gauche et les veines cérébrales
supérieures
étaient distendus par un sang noir et adhérent; e
s la couche optique gauche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal
supérieur
et la veine cérébrale supérieure étaient distendu
ns l'autre cas, le sinus longitudinal supérieur et la veine cérébrale
supérieure
étaient distendues par du sang coagulé et adhéren
rchait en tremblant; qu'elle se servait également bien de ses membres
supérieurs
. Peu d'heures avant l'accident, elle avait mangé
injectés; point de déviation dans la commissure des lèvres. Le membre
supérieur
droit est dans un état complet de résolution : so
de résolution : soulevé, il retombe comme une masse inerte; le membre
supérieur
gauche est rigide et ne tombe que lentement. Les
s membres inférieurs étaient respectivement dans le même état que les
supérieures
: de temps en temps, quelques contractions sponta
gauche. Perte complète du sentiment. — Rigidité rémittente du membre
supérieur
gauche; extension avec rigidité du membre inférie
l'infirmerie le i5 novembre 183a, avec un engourdissement des membres
supérieur
et inférieur du côté droit : cet engourdissement
int-Antoine, n° 4, elle présenta l'état suivant : paralysie du membre
supérieur
droit; soulevé, ce membre ne tombe pas à la maniè
nt primitive. La paralysie avait porté principalement sur le membre
supérieur
; le membre inférieur était très imcomplètement pa
té à conclure que le lobe antérieur préside aux mouvemens des membres
supérieurs
. J'avais diagnostiqué un ramollissement du cerv
sont longs, la partie inférieure du corps prévaut en hauteur sur la
supérieure
. Adipose manifeste en certaines régions : à la
ire est dans le pire état; il a toujours été mauvais. Le maxillaire
supérieur
est actuellement dépourvu de dents ; l'inférieur
s, en Syrie, d'où résulta une fracture du fémur gauche en sa partie
supérieure
, ainsi que de l'olécrâne du même côté. Il garda
0 k. Crâne d'aspect normal. Conformation féminine du corps. Membres
supérieurs
très longs. Mains féminines, fines et longues,
imètres. Le scrotum s'insère dans la région pu- bienne, à la partie
supérieure
de la racine du pubis ; testicules descendus de
la figure et du ventre légèrement pig- mentée. Dents du maxillaire
supérieur
suspectes (lues) ; légère exostose du tibia dro
cte d'une lampe électrique, on ne voit aucune réaction. La paupière
supérieure
de l'oeil droit est un peu plus abaissée que ce
OURNOY Autopsie. Crâne. - Aucune suture visible, sauf à la partie
supérieure
du lambda. Calotte sclérosée, épaisse de 4 à 9
e t centimètre. Vu de i côté, il a une forme conique dans sa partie
supérieure
, au-dessus d'un plan passant par les bosses fro
mportantes. Peu visibles au vertex, à l'occipital et dans la partie
supérieure
du frontal et des pariétaux, les impressions di
ha- lie consiste en ceci : dans cette dernière affection, la partie
supérieure
du crâne s'ouvre, à la façon d'une fleur; chez
ague douleur au niveau de la colonne dorsale inférieure et lombaire
supérieure
. Par contre, la palpation et la pression sur le
nous dit qüé l'enfant' n'était pas capable'd'immobiliser' le membre
supérieur
g'3u'¿he pendant l'usage du bras'droit. Du rest
; mais elles s'en distinguent par leur irrégularité. Aux mem- bres
supérieurs
l'adduction du bras avec flexion dans le coude pe
de conscience, puis légères convulsions des doigts des deux membres
supérieurs
, ainsi que des muscles de la face. Prononce quel-
de 2 à 20 jours, il est pris de convulsions instantanées du membre
supérieur
gauche. Ces convulsions sont suivies d'engourdi
dissipant petit à petit. Etat actuel. Léger tremblement des membres
supérieurs
à l'extension. A la pression des carotides, per
paraît donc que le tonus des muscles fléchisseurs et pronateurs est
supérieur
à celui des muscles extenseurs. 66 MADAME ATHAN
signes habituels de la paralysie d'un ou plusieurs nerfs du membre
supérieur
s'ajoutent des troubles vasomoteurs et trophi-
à la con- tracture de certains autres. Les contractures du membre
supérieur
prédominent ordinairement à ! la main et aux do
isation tronculaire au cours des acromyo- fonies rebelles du membre
supérieur
, Paris médical, 3 juin 1916, n° 23. CENTRE NEUR
sion : 92 LAIGNGL-LAVASTINE ET PAUL COURBON main et des épiphyses
supérieures
et inférieures des deux os de l'avant-bras. Pas
ciseau mécanique qui tra- versa les parties charnues de l'extrémité
supérieure
du premier espace inter- métacarpien gauche san
ma- lade éprouve une douleur dans le trapèze au niveau de son bord
supérieur
; la SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN
te une cicatrice de cinq centimètres environ, entourant l'extrémité
supérieure
du deuxième métacarpien et on y sent un cal ; c
nterosseux dorsal après plaie des masses musculaires de l'extrémité
supérieure
du premier méta- carpien ; VII, raideur des der
ionnel est un rapport topographie- que. La blessure est à la partie
supérieure
du dos de l'avant-bras, et il y a hypertonie de
remier interos- seux dorsal, V et XV. La blessure est à l'extrémité
supérieure
de l'hu- mérus el il y a hyperlonie des muscles
s cicatrices sur le bord externe de la base de l'olécrâme, au tiers
supérieur
de l'avant-bras derrière le radius, sur la mass
sse charnue du long supinateur, sur la face antéro-interne du tiers
supérieur
de l'avant-bras, enfin sur le bord cubital à quel
ymose linéaire ; l'application d'un plâtre enfermant tout le membre
supérieur
amena en quelques jours un dégonflement en mass
nell ayant traversé la région antéro-interne du bras gauche au quart
supérieur
. Il se présente le 25 juillet 1915 avec l'avant
avait été blessé dix mois auparavant par une balle entrée au tiers
supérieur
de la partie antéro-externe du bras droit , sor
mme enroulé sur son axe longitudinal. La blessure siégeait au tiers
supérieur
de la cuisse; les douleurs et la paralysie étai
egré qui est fréquent. Dans le cas B, la blessure siégeait au tiers
supérieur
de la cuisse; la paralysie.était incomplète, su
egré moyen de déformation, degré le plus fréquent : lésion au tiers
supérieur
de la cuisse, paralysie très incomplète, amyotr
tubérosité volumineuse avec laquelle vient s'articuler l'extrémité
supérieure
de la 1. ro phalange. Celle-ci affecte la même
abdominale. Il n'existe aucun trouble du système nerveux. Le membre
supérieur
droit est très atrophié dans son segment supéri
rveux. Le membre supérieur droit est très atrophié dans son segment
supérieur
. Le bras surtout au tiers inférieur présente un
certaines parties du caractère le mettent à un niveau égal ou même
supérieur
. A. Sentiments. -- Sentiments moraux. - Ils son
ion presque sagittale, par la ligne moyenne de la région fron- tale
supérieure
. Il ne sentit pas la moindre douleur, ne perdit p
sion. 3. T. : 35°3 à 36°. P. : 62. Impotence complète des membres
supérieurs
et inférieurs. Le malade ne peut fléchir les do
cartes. Constipation. 9. Le malade soulève spontanément les membres
supérieurs
à 40 centi- mètres au-dessus du plan du lit, pl
IENNE 1 Pas de contracture de la nuque. ' Faiblesse des membres
supérieurs
. 27. Reprenant mon service après quelques jours
droit. Contraction idio-musculaire. La force musculaire des membres
supérieurs
paraît intacte. Le réflexe cubital est peu marqué
e spontanément. La force musculaire paraît intacte dans les membres
supérieurs
. 18. - Trépidation indéfinie du pied gauche ; t
n même temps inappétence. Pas de céphalée. Rien du côté des membres
supérieurs
. Symptômes à l'entrée. A l'inspection, aucune m
é. 208 ETIENNE Membres inférieurs engourdis. Réflexes des membres
supérieurs
normaux. 10. Démarche encore hésitante et flage
n est plus forte, il se produit des con- tractions dans les membres
supérieurs
. Quand le malade s'asseoit, il éprouve une doul
ossible du côté droit. Mais le malade peut s'asseoir et les membres
supérieurs
sont totalement indemnes. Enfin, de partielle e
le réflexe cubital apparut un peu marqué. Les réflexes des membres
supérieurs
ont été intéressés dans l'observation XII. Il e
était plus forte, extension des contractions propagées aux membres
supérieurs
. Mouvements contro-latéraux également dans l'ob
des membres, notamment des membres inférieurs, parfois des membres
supérieurs
et inférieurs (obs. XII) ; douleurs musculaires s
hilléen. 9. - Nous constatons une faiblesse très grande des membres
supérieurs
. En essayant le dynamomètre, on ne vient pas au
l'anal- gésie des quatre membres, apparaissant d'abord aux membres
supérieurs
, , mutilation des doigts, pas de parésie. Progr
e (symptômes des quatre membres, qui avaient commencé aux membres
supérieurs
, maladie chronique, toujours progressive, mutilat
, mais les troubles de la motilité sont plus développés aux membres
supérieurs
. On discute la question de savoir s'il pouvait
olynévrite pas typique ; les symptômes ont commencé par les membres
supérieurs
, peu de parésie. Anesthésie et ataxie très déve
de 1 an. z- Symptômes de polyné- vrite, mais commençant aux membres
supérieurs
. Bientôt guéri pendant le traitement mercuriel.
s de 3 mois. Symptômes de polynévrite, plus pro- noncés aux membres
supérieurs
. Douleurs fortes aux membres supérieurs. Paraly
lus pro- noncés aux membres supérieurs. Douleurs fortes aux membres
supérieurs
. Paralysie unilatérale faciale, de l'abducens e
WANDEL. Syphilis de 3 mois. D'abord névralgies intenses aux membres
supérieurs
, puis paralysie des quatre membres. Mort 4 mois p
leau clinique : Oppenheim (symptômes le plus développés aux membres
supérieurs
, réflexes exagérés), Frugoni (symptômes les plu
lexes exagérés), Frugoni (symptômes les plus développés aux membres
supérieurs
), Nonne (obs. 47J) (symptômes d'abord développé
rieurs), Nonne (obs. 47J) (symptômes d'abord développés aux membres
supérieurs
), Crocq (des symptômes d'abord seulement en un
bras), Cestan (obs. 1) (symptômes exclusivement du côté des membres
supérieurs
). 240 PETREN Je le répète : quand nous nous r
'abord d'une stomatite très intense et d'un tremblement des membres
supérieurs
qui dura peu de temps, mais ensuite est venue u
mpte rendu dont je dispose du cas) seulement développés aux membres
supérieurs
. Meinertz a publié un cas où il s'est agi d'un
e dus à une intoxication mercurielle puissent se borner aux membres
supérieurs
. En passant, je rappelle la comparaison avec la
naître une polynévrite, peut-être localisée seule- ment aux membres
supérieurs
(quand ils ont travaillé manuellement avec du m
agérés, ataxie considérable des jambes, un peu d'ataxie des membres
supérieurs
et une parésie légère d'un facial. Non traités
ynévrite sont apparus, mais ils étaient marqués surtout aux membres
supérieurs
, peu développés aux jambes. Une anesthésie consid
prend en considération la prédomi- nance des symptômes aux membres
supérieurs
. Il y a quelques années, un cas était publié pa
Atrophie musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine DU PLEXUS
supérieur
, quatorze ANS après UNE fracture méconnue DE la
che du cheval et le pavé, le cavalier roulant sur le dos, le membre
supérieur
s'est pour ainsi dire déroulé, un peu trop vite
musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine DU plexus brachial
supérieur
, quatorze ANS après UNE FRACTURE MÉCONNUE DE la
XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE SANS PARALYSIE DANS LE DOMAINE DU PLEXUS
SUPÉRIEUR
14 ANS APRÈS UNE FRACTURE DE LA CLAVICULE (A. L
ont l'innervation dépend des branches collatérales nées à la partie
supérieure
du plexus brachial (grand dentelé, angulaire, r
ostérieurs ou latéraux, la syphilis ne limite ses effets aux étages
supérieurs
de la moelle. Nous nous en étions aperçu déjà e
amyotrophies spinales de l'adulte sont aussi fréquentes aux membres
supérieurs
qu'elles sont rares aux membres inférieurs; que l
ils et des mouvements beaucoup plus forts du premier. Les membres
supérieurs
ont dans tous leurs segments une musculature, u
à fait ,; xxviii , 18 266 \ LÉRI exceptionnelle; les membres
supérieurs
sont absolument indemnes, ce qui, à une époque
ux observations originales (1). trophie type Charcot-Marie (membres
supérieurs
et inférieurs) ; il avait présenté 22 ans aupar
ans ses différentes modalités. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux. Il s'agit donc d'un
fonction des muscles de la face, de la nuque, du cou et des membres
supérieurs
et inférieurs. Les muscles dorso-lombaires et c
res. Sensibilité générale normale. Réflexes tendineux des membres
supérieurs
et inférieurs normaux. Comme le précédent, ce c
ité sub- jective. d b ... f.. M .' . d.. Rien du côté des membres
supérieurs
ou inférieurs. Mémoire et idéation normales.
égales. Impossibilité absolue de fermer complètement les paupières
supérieures
. Dans ce mouvement, celle-ci tombe inerte. La p
a sensibilité. La parésie semble plus accentuée à gauche. Membres
supérieurs
. - Force normale. Réflexes anti-brachiaux normaux
lysie faciale par lésion cérébrale.. Dans ces conditions, le facial
supérieur
est beaucoup moins lésé que le facial inférieur
d qu'il en soit ainsi grâce à l'action synergique des nerfs faciaux
supérieurs
des deux côtés. Cette explication n'a plus de v
foyer de ramollissement, une hémorragie, une poliencéphalite aiguë
supérieure
ou inférieure peuvent arriver à ce résultat. Mais
l'attention sur sa paralysie. Par contre, dans le territoire facial
supérieur
, nous n'avons aucun fait semblable. Presque tou
de D... présente un aspect particulier. Il est figé dans sa partie
supérieure
. Le front est lisse et uni sans la moindre ride,
tenté de croire que seule existe une paralysie bilatérale du facial
supérieur
. Il n'en est rien. L'asymétrie faciale étant to
que 11 centimètres. Notons encore que le duvet qui couvre la lèvre
supérieure
est plus apparent du côté droit, qu'un pareil d
membres inférieurs et aux articulations du poignet dans les membres
supérieurs
. Les plis de la région fessière et du thorax so
en somatique ne révèle pas d'autre altération que celle des membres
supérieurs
et du tronc. Le développement intellectuel de l'e
uel de l'en- fant est normal, il fait ses études, se sert du membre
supérieur
droit pour écrire du mieux qu'il peut, et s'hab
thoracique gauche. - Humérus plus long que normalement. Ex- trémité
supérieure
de l'os régulière ; l'inférieure se bifurque en r
syndactylie. Membre thoracique droit. - Humérus normal. L'extrémité
supérieure
du radius ne s'articule pas avec l'humérus. Le
ticule pas avec l'humérus. Le cubitus est atrophié. A l'extré- mité
supérieure
, l'olécrâne est séparé du corps de l'os, et situé
p'HÉMmÉLIE 295 d'eux s'articulant avec un métacarpien. A la rangée
supérieure
, il n'y a que deux os (scaphoïde et semi-lunair
L'anomalie résidait dans les deux segments terminaux des mem- bres
supérieurs
, à gauche un rudiment d'avant-bras et de main, ce
tale du tibia, qui se trouve représenté seulement par son extrémité
supérieure
, avec les cavités glénoïdes respectives s'artic
oïdes respectives s'articulant avec les condyles du fémur. Le tiers
supérieur
du corps du tibia se termine en pointe, sous fo
le tissu. Le péroné, atrophié et très arqué, possède une extrémité
supérieure
nor- male et une extrémité inférieure arrondie.
méta- tarse, de telle sorte que le pied forme un angle d'ouverture
supérieure
et antérieure, et que le calcanéum, l'astragale
ladie de Little) plus marquée aux membres inférieurs qu'aux membres
supérieurs
, plus mar- quée à la jambe gauche qu'à la jambe
stigmate de lues que la déformation caractéristique des 4 incisives
supérieures
, connue sous le nom de dents d'Hutchinson. Les
arrive plus aujourd'hui, bien que la raideur persiste. Ses membres
supérieurs
étaient agités de mouvements choréiques et on con
e traduit par des grimaces et des mouvements choréiques des membres
supérieurs
; chaque syllabe sort péniblement, surtout si o
et même à coudre malgré les troubles de la motricité de ses membres
supérieurs
. Il s'agit donc, dans ce cas, d'une diplégie cé
hie, ni alexie, ni aphasie sensorielle. La zone motrice des membres
supérieurs
et inférieurs doit aussi être atteinte dans une
t peu probable que les mouvements anormaux du visage et des membres
supérieurs
s'améliorent également; ils persistent généraleme
. Tension augmentée, surtout du côté droit. Le sinus lon- gitudinal
supérieur
est rempli de sang abondant fluide. La face inter
le porta à s'examiner de plus près. Et il remarqua que sa paupière
supérieure
descendait plus bas que la gauche. Mais la gêne f
r, sauf dans la. moitié droite de la face, du cou et dans la partie
supérieure
du thorax. Le territoire anidrosique est limité
igne qui va de l'apophyse de la 7e cervicale en passant par le bord
supérieur
du trapèze jusqu'au niveau de l'insertion infér
qui, partant de l'apophyse épineuse de la 7* cervicale, longe le bord
supérieur
du trapèze jusqu'à l'épaule, descend jusqu'à l'
te dirigée en bas et en dedans, et distante d'un centimètre du bord
supérieur
de la 3e vertèbre dorsale. Cette blessure a d
i, normalement, provoque la mydriase avec rétraction de la paupière
supérieure
et légère projection du globe (Stewart). - Da
a suite des instillations de cocaïne, par rétraction de la paupière
supérieure
et légère projection du globe. C'est là une con
psczido- ptosis » par paralysie de la partie non striée (tarsienne
supérieure
) du muscle releveur qui s'insère sur le bord supé
(tarsienne supérieure) du muscle releveur qui s'insère sur le bord
supérieur
du car- tilage tarse. Celte absence tient peut-
sudation marquée, n'existant que dans les cas de lésion thoracique
supérieure
, peut être rapportée à une paralysie des nerfs
'à l'insertion deltoïdienne sur l'humérus et en avant jusqu'au bord
supérieur
de la 2e côte. L'hémianidrose occupe donc à peu
t de l'épine de l'omoplate en arrière et intéressait tout le membre
supérieur
. Chez Georges, la pilocarpine n'a produit aucun
de Neurologie (1). Connaissant l'anse sympathique périthyroïdienne
supérieure
de Garnier et Villemin (2), qui née du ganglion
supérieure de Garnier et Villemin (2), qui née du ganglion cervical
supérieur
se réfléchit autour de la face inférieure de l'
se réfléchit autour de la face inférieure de l'artère thyroïdienne
supérieure
, remonte appli- quée à la carotide externe et e
se sympathique non encore dé- crite autour de l'artère thyroïdienne
supérieure
, Journal d'anatomie et de pbySi014, 1910, p. 40
rs que l'abaissement corrélatif de la pression artérielle du membre
supérieur
gauche (Mx. : 15,3 au lieu de 17 ; Mn. : 8,5 au
bras gauche et que la comparaison oscillométrique des deux membres
supérieurs
avant et après l'injection donne des nombres id
mprenons des cas de parésies et d'atrophies segmentaires desmembres
supérieurs
, souvent compliquées de troubles trophiques cutan
rve des troubles musculaires et des troubles tro- phiques du membre
supérieur
. Les troubles musculaires du membre supérieur s
- phiques du membre supérieur. Les troubles musculaires du membre
supérieur
sont quelquefois géné- ralisés, beaucoup plus s
s portent aussi`souvent sur les os et les articula- tions du membre
supérieur
, particulièrement celles des doigts (obs. IV et
s compliquées de contractures isolées de tel ou tel muscle dumembre
supérieur
, qu'il existe enfin des troubles trophiques consi
trophie musculaire, de parésies et de troubles trophiques du membre
supérieur
pour lesquels les anciens procédés d'électrodia
achial 359 Observation. 1. - De P... Jean. Tiraillement du membre
supérieur
droit par retour de manivelle. Atrophie et paré
et 1916. Etat le 15 novembre 116. - Parésie avec atrophie du membre
supérieur
droit prédominant à l'épaule. La paralysie et l
d'atrophie. Dans l'ensemble, parésie et atrophie diffuses du membre
supérieur
droit prédominant à l'épaule d'une part, et d'a
- ques au galvanique et au faradique dans tout le domaine du membre
supérieur
droit.. 1 Il semble donc qu'on ait affaire à
I. , Observation IV (PL. LXI), F... Ernest. - Contusion du membre
supérieur
gauche. Parésie et atl'o- phie prédominant à t'
ne poudrière le 19 mai 1915. Dans la projection du corps, le membre
supérieur
gauche a été fortement traumatisé. Il y a eu luxa
e présente une paralysie incomplète avec atrophie moyenne du membre
supérieur
gauche. Paralysie et atrophie : \OU\" 1 1-1 1 [
ouble moteur un tremblement total et intermittent de tout le membre
supérieur
gauche, tremblement s'étendant parfois au membr
correspond assez exactement au territoire cutané du plexus brachial
supérieur
, moins l'avant-bras Sur toute cette zone, la peau
contact et à la piqûre est diminuée dans toute l'étendue du membre
supérieur
. Mais il est difficile de préciser s'il s'agit d'
: 14,6. ' Pour le médian et pour les muscles du groupe radiculaire
supérieur
, il y a ~ une certaine baisse du rapport, ce qu
plupart accélérateurs, contenus dans la moelle dorsale des centres
supérieurs
ou modérateurs. Dans ces conditions, la compressi
t- est entré en arrière du sterno-cléido-mastoïdien droit, au tiers
supérieur
, et a été extrait le 7 avril à T ? La voix aura
sultats suivants : ayant porté comparativement sur les deux membres
supérieurs
, sur les nerfs (cubital, médian, radial, circompl
ent à l'occasion des mouve- ments volontaires du niveau des membres
supérieurs
, ce tremblement esta rythme lent et à larges os
) Par des signes de la série tabétique (Romberg, ataxie des membres
supérieurs
, signe d'Argyll), ici limités au minimum. b) Pa
dulte, sans hérédité ni familiarité con- nues, débutant aux membres
supérieurs
et d'abord unilatérale. L'épo- que tardive du d
es par un certain degré d'hydarthrose. Les muscles des deux membres
supérieurs
sont atrophiés d'une façon globale, sans troubl
es : les réflexes achilléens, rotuliens et les réflexes des membres
supérieurs
sont normaux ; les diverses sensibilités superfic
lyarthropathie ayant atteint au début les articulations des membres
supérieurs
et de la colonne cervicale, puis ayant abandonn
facultés de raisonnement, comme Souques l'a montré, sont de niveau
supérieur
à celui de l'enfant. La prédominance de l'anoma
nd alors comme dans le type féminin une forme limitée par une ligne
supérieure
horizon- tale (obs. VI et IX). Il n'existe jama
aux membres inférieurs, il n'en est pas toujours ainsi aux membres
supérieurs
qui s'allongent aussi plus que normalement par
l'excès proportionnel du seg- ment inférieur, en regard du segment
supérieur
; l'autre est le trouble du développement, en c
de le dire, est impossible. La motilité des membres inférieurs et
supérieurs
est bonne ; la force mus- culaire est normale.
dos et debout, le malade présente un voussure de la région dorsale
supérieure
. La colonne verlébrale offre une légère scoliose
ntaire est seule impossible. Les mouvements et la-force des membres
supérieurs
sont normaux ; il en est de même au niveau des
et achilléens sont normaux ; il en est de même de ceux des membres
supérieurs
et des réflexes cutanés. Il n'y a aucun trouble
e se font normalement. Il en est de même des mouvements des membres
supérieurs
et inférieurs. ) Pas de troubles de la sensib
douleur dans la même région. La motilité des membres inférieurs et
supérieurs
est normale. Les réflexes cutanés et tendineux
ette étiquette : Sagesse. C'est évidemment le spécifique rêvé, bien
supérieur
à la classique ellébore. Et son action ne se fa
rues dont son cerveau est surchargé. On voit fuser le par l'orifice
supérieur
de l'appareil, et dans ce nuage apparaissent to
happement. Ici le patient est plongé, tête première, dans l'orifice
supérieur
de l'appareil, il en res- sort par le bas, comp
-BOUYERET, 252. (Atrophie musculaire pure, dans le do- maine du -
supérieur
, quatorze ans après une fracture méconnue de la
ement professionnel rend des services d'un ordre bien autre- ment
supérieur
. Il permet de donner à un certain nombre d'enfa
au niveau de la région sylvienne de l'hémisphère gauche et du bord
supérieur
de cet hémisphère. A droite elle présente des a
isphère gauche. Cet hémisphère est nettement divisé en deux étages,
supérieur
et inférieur, par la scissure de Sylvius et une
érêt, ce n'est la région inférieure du lobe parié- tal et la région
supérieure
des lobes temporal et occipital qui présente de
s, colorées. - Bouche assez grande; commissures horizontales. Lèvre
supérieure
peu élevée, avec sillon médian assez marqué. -
s dents permanentes. Articulation profonde, avec léger prognathisme
supérieur
. - Mastication bonne. Oreilles grandes, écart
téro- postérieure. Pourtour de l'anus fortement pigmenté. Membres
supérieurs
assez grêles. Pannicule adipeux assez abondant
e un pois, tout près du hile droit dans le tissu pulmonaire du lobe
supérieur
. 20 Tuberculose généralisée. Poumon gauche :
umon gauche : 120 gr. Le sommet, la languette antérieure, les bords
supérieur
et inférieur du lobe inférieur sont emphy- séma
nférieur du lobe inférieur sont emphy- sémateux. A la coupe du lobe
supérieur
, quelques tubercules. dont l'un, gros comme une
érent au diaphragme, il présente de nom- breux tubercules à sa face
supérieure
. On en trouve aussi àla coupe; l'un deux est co
ronde ; arcades sourcilières régu- lières et symétriques. Paupières
supérieures
bouffies; sourcils dirigés en haut et en dehors
erceptibles dans les bourses, ni dans le trajet inguinal. Membres
supérieurs
gros, bien conformés, mains bien faites, ongles
st de plus en plus nette. - Lemem-. 28 DESCRIPTION du malade. bre
supérieur
est atteint au même degré que l'inférieur. Les
étale ascendante. On note une altération analogue à la partie toute
supérieure
du lobule de l'insula. La pariétale ascendante
de l'insula. La pariétale ascendante est atrophiée à son extrémité
supérieure
au point d'offrir un volume moitié moindre que
e celui de la frontale ascendante. Même lésion de la partie la plus
supérieure
du lobe pariétal. Adhérences nom- breuses de la
sé, ne semble pas très altéré. Légère atro- phie de la partie toute
supérieure
du lobe pariétal. En arrière et au-dessous du p
du canal vagino-péritonéal persistant, près de l'orifice inguinal
supérieur
. Signalons encore l'atrop.'ne toute particulièr
les membres inférieurs, prin- cipalement le gauche et sur le membre
supérieur
correspondant; 2° le gâtisme. L'autopsie nous p
bservées pendant la vie. A gauche, la lésion est bornée à la partie
supérieure
de la pariétale ascendante, tandis qu'à droite,
servir par les autres enfants, 1883. 23 juin. - Dentition. Mâchoire
supérieure
: 12 dents médiocrement rangées ; érosion des d
st plus rapprochée que la gauche de la ligne médiane. Les membres
supérieurs
sont bien musclés. On observe Description DU ma
Avril-octobre. - Hydrothérapie. lout. Puberté.Fin duvet de la lèvre
supérieure
; quel- ques poils courts sous les aisselles et
e par une sorte de contemplation. La tenue restait bonne. Membres
supérieurs
. 48 DÉVELOPPEMENT DU POIDS ET DE LA TAILLE.
s cas de ce genre, c'est-à-dire com- pliqués d'athétose ; le membre
supérieur
n'avait pas d'attitude fixe, ainsi qu'on l'obse
rcils peu fournis, arqués, largement séparés en dedans. Paupières
supérieures
égales et bien mobiles. Fente palpébrale assez
peu écartées, minces ; repli de l'hélix large, formant à la partie
supérieure
une courbe plus grande que normalement ; tragus
ique. La pointe du coeur bat sur la ligne mamelonnaire, à la partie
supérieure
du 8e espace. Rien à l'auscultation. Abdomen
tensible, non déchiqueté. Fourchette assez saillante. Les membres
supérieurs
sont contractures. La contracture, qui d'ailleu
partie moyenne des cuisses. Au tronc, à la face et aux mem- bres
supérieurs
, elle existe, quoique très obtuse. L'enfant est
que. La frontale ascendante est interrompue, au niveau.de son tiers
supérieur
, par un autre foyer de sclé- rose atrophique, q
foyer de sclé- rose atrophique, qui empiète un peu sur l'extrémité
supérieure
de FI et s'étend très-loin en arrière, occupant
partie supé- rieure de la pariétale ascendante, le lobule pariétal
supérieur
en entier, ainsi que le lobe occipital Face i
central, le lobule quadrilatère, la face interne du lobule pariétal
supérieur
et la face interne du lobe occipital; sur la pa
noyaux crétacés. Poumon droit (330 gr.). Adhérences de tout le lobe
supérieur
. Le lobe moyen est le siège d'un vaste foyer de
Aspect chagriné de PA dans sa moitié inférieure et du lobe pariétal
supérieur
qui présente des tra- ces d'adhérences dans ses
gauche, râles crépitants et. sous-cr- pitants dans toute la partie
supérieure
du poumon. Souffle caverneux en arrière, vers l
Bouche large de 4 centimètres, à peu près toujours fermée. Lèvre
supérieure
moyennement épaisse, portant de chaque côté une
e côté une dépression. qui rappelle le bec de lièvre. Cotte lèvre
supérieure
est ombragée d'un léger duvet qui commence à no
, qui est pointu, on trouve quelques poils comme ceux de la lèvre
supérieure
. -.Toues très amaigries, couvertes d'un fin duv
. L'abdo- men est souple, non douloureux à la pression. Membres ;
supérieurs
décharnés. L'avant-bras droit est en flexion co
en et la deuxième en luxation postérieure sur la première. Membre
supérieur
gauche dans le môme état d'amaigrisse- ment que
pariétaux existent. On voit deux plaques translucides vers le bord
supérieur
du pariétal droit à un centimètre );2 de la lig
ose pulmonaire complète des lobes inférieurs; caséification du lobe
supérieur
avec cavernes. rlbclomen.- Foie (750 gr.), ra
la ligne médiane, à l'union de la face postérieure et de la face
supérieure
du crâne. - Le front est assez élevé, mais étroit
rrière et en dehors. L'odorat n'est pas développé ! ? ). La lèvre
supérieure
ne présente rien de particulier. Sur la lèvre i
t légèrement perceptible. Le larynx n'est pas saillant. Les membres
supérieurs
sont en adduction, l'avant-bras dans un état qu
Légers mouvements des paupières ; quelques secousses des membres
supérieurs
; rien aux inférieurs. Ni morsure de la langue, ni
sal. Double porencéphalie vraie. 9T porus l'a détruite et ce bord
supérieur
se continue insensi- blement avec la face infér
r se continue insensi- blement avec la face inférieure. . Le bord
supérieur
du porus est bordé par les circonvo- lutions fr
et remplacée le le pseudo- kyste cuti remplit le porus ; leur tiers
supérieur
seul persiste. De la frontale ascendant, se dét
circonvolution frontale qui est assez nette. / ' Le pli pariétal
supérieur
, le pli pacta inférieur sont Le pli pariétat su
qui se continue avec celle des ventricules. En soulevant le bord
supérieur
on arrive à voir le 3" ventricule qui commu- ni
plus. Hémisphère droit. - Ici le porus occupe surtout la partie
supérieure
de la face convev : e de l'hémisphère dont il int
ure de la face convev : e de l'hémisphère dont il intéresse le bord
supérieur
. Ce porus est distant de 4 centimètres de la po
ent celle du pied des deux circonvolutions rolandiques, (opercule
supérieur
) et celle de la première temporale (opercule in
ouple, non douloureux à la palpation. Région anale saine. Membres
supérieurs
amaigris. Muscles sans puissance. Mains osseuse
- res adhérences. Très nombreux tubercules surtout dans les lobes
supérieurs
. - Poumon gauche (1150 gl'.) ; adhét'cnee compl
lières peu saillantes. Sourcils clairs. Paupières peu mobiles; la
supérieure
recouvre normalement la moitié supérieure du gl
Paupières peu mobiles; la supérieure recouvre normalement la moitié
supérieure
du globe oculaire. Rétrécissement léger de la f
cloison. Odoratf'). Bouche petite, toujours en tr'ou verte; lèvre
supérieure
proéminente. Langue normale. Palais, voile du D
, rien de particulier. - .Abdomen souple, pas de hernies. Membres
supérieurs
bien conformés et symétriques, ainsi que les me
moyen et le maxil- laire inférieur est nettement en retrait sur les
supérieurs
.- Les joues sont larges, charnues, colorées, il
et un lobule détaché. L'ouïe sem- ble bien développée. Le membre
supérieur
droit est contracture. L'avant-bras est en demi
ce est en adduction et les autres doigts repliés sur lui. Le membre
supérieur
gauche est normal. Les ongles sont bien implant
rieure de l'abdomen et du thorax où telle est discrète. Les membres
supérieurs
sont indemnes. Le men- ton, le front, le cuir c
FA est considérablement sclérosée, elle présente à sa partie toute
supérieure
au moment où elle se perd dans le lobule parace
rose atrophique de PA dans toute son étendue, surtout à son tiers
supérieur
. Le tobe pariétal et la partie postérieure du lob
es et isochrones à ceux du pied. Parfois ces mouvements des membres
supérieurs
et inférieurs du côté gauche étaient accompagné
large à sa base. Pas de lésions du coeur ni des poumons. Membres
supérieurs
longs et grêles, très peu musclés ; (1) Voici d
oeuf de merle.- Pas de poils aux aisselles. Duvet léger à la lèvre
supérieure
. La région anale est recouverte de poils assez
l arrive v marcher seul et à se tenir debout. Dentition. Mâchoire
supérieure
: 10 dents permanentes. Les canines ne sont pas
160 Tuberculose pulmonaire. éloignée d'un centimètre. Son extrémité
supérieure
aboutit à 2 centimètres de la sagittale. La brè
e (530 gr.). Lésions analogues; toutefois le lobe Réflexions. 181
supérieur
est atteint d'un degré plus considérable - : une
idérable - : une caverne de la grosseur d'une noix occupe sa partie
supérieure
. Dans le lobe inférieur, les lésions sont les m
ettes peu saillantes, symétriques. - Bouche un peu grande. La lèvre
supérieure
fait saillie surtout à sa partie médiane. Voûte
minent. Le foie déborde légèrement les fausses cotes. Les membres
supérieurs
minces et peu musclés, sontnéan- moins normalem
nus de la dure-mère sont gorgés de sang noir. Le sinus longitudinal
supérieur
est rempli de caillots fibrineux blancs. - La d
pleurales nombreuses des deux côtés. Induration de la base du lobe
supérieur
gauche, tiont les bronches laissent sourdre à l
nvulsions. L'enfant avait les yeux convulsés en haut, les membres
supérieurs
étaient agités de quelques mouvements, durant t
marquée. Orifice de l'hymen non visible. Muqueuse saine. Membres
supérieurs
d'inégale longueur. Bras et avant-bras de confo
it est plus long que le gauche. Il en est de même des deux membre.,
supérieurs
l'un par rap- port à l'autre. Genu valgum droit
e liquide cép halo -rachidien. 1raz IÉNI'.\ C0-EN-CÉPH.&LITE.
supérieur
présente au niveau de sa partie toute supérieure
-EN-CÉPH.&LITE. supérieur présente au niveau de sa partie toute
supérieure
des altérations semblables à celles que nous av
saillie du corps thyroïde. Mouvements du larynx normaux. Membres
supérieurs
amaigris, peu musclés mais réguliers et cylindr
t respire ordinairement parle nez. - Bouche 2 cen- timètres. Lèvres
supérieure
et inférieure bien conformées, toutes les deux
Amygdales petites. L'enfant a neuf dents temporaires, 4 inci- sives
supérieures
, dont les 2 de gauche sont en retrait sur les i
2 de gauche sont en retrait sur les inférieures; une grosse molaire
supérieure
à droite, et 4 inci- sives inférieures. Joues a
pation. Matité hépa- tique normale. Rate non perceptible. Membres
supérieurs
égaux, sans saillies musculaires, assez abondam
erceptible, Très petit comme un petit haricot. An usnormal. Membres
supérieurs
normalement conformés; motilité et sensibilité
ilité normales. Cicatrices de vaccin aux deux épaules sur la partie
supérieure
et externe du deltoïde. Membres inférieurs norm
et sont d'un rouge foncé. - I-0117-IOn gauche (138 gr.). Le lobe
supérieur
est sain. La partie la plus déclive de la face
eur d'un oeuf d'oiseau. Rien sur le pubis, anus normal. Les membres
supérieurs
sont en flexion. L'avant-bras est fléchi sur le
tes le long de la suture inler-frontale et des angles antérieurs et
supérieurs
des pariétaux. La suture coronale est libre de
e petite. Lèvre supé- rieure procidente ainsi que l'arcade dentaire
supérieure
. Palais, voile du palais, langue, normaux. Amyg
roite et à gauche. Poids : 48 kilogr. 500- Taille : 1 ? 61. Membres
supérieurs
. Le droit est atrophié. (Voir plus loin les men
que la face palmaire le touche et ne peut être redressée. Le membre
supérieur
gauche n'est pas atrophié mais est fort peu dév
ans sa moitié inférieure, est sclérosée et atrophiée dans sa partie
supérieure
. Il en est de même de P A, où la lésion est moi
rcours mais surtout dans leur moitié inférieure. - Le lobe pariétal
supérieur
et le pli courbe sont très altérés. La lésion v
). Hépatisation rouge du lobe inférieur. Congestion intense du lobe
supérieur
. - Coeur (300 gr.), normal, pas de persis- tanc
ière. Voici le tableau des mensurations comparatives de ses membres
supérieurs
: Antécédents PERSONNELS. 235 violentes migra
re 5. Abdomen. Rien de particulier. Rate et foie normaux. Membres
supérieurs
régulièrement conformés. Articula- tions et mus
ractères. Perforation très nette du derme au niveau de la phlyctène
supérieure
du côté gauche. Le tissu cellulaire sphacélé ap
érieure du bassin, et, par cette voie, et par le périnée, la partie
supérieure
et interne de la cuisse gauche (9 novembre). Au
On trouve, le 15 novembre, des râles sibilants dans les deux tiers
supérieurs
des poumons, des râles sous- crépitants aux bas
nsation de fluctuation, qui répond à ce que l'on voyait par la face
supérieure
. Cerveau; hydrocéphalie. 247 Hémisphère céréb
tance cérébrale, amincissement plus prononcé au niveau de la partie
supérieure
du ventricule correspondant, à l'extrémité supé
de la partie supérieure du ventricule correspondant, à l'extrémité
supérieure
de FA et à la partie postérieure de F et Fez. F
uits presque à de simples lignes, est amincie et répond à la partie
supérieure
de FA, etc.. : c'est cette région qui forme sur
rochet avec F2. Il est à remarquer toutefois que les parties toutes
supérieures
de Fi et de FA se laissent déprimer d'une façon
oite, mais d'une façon bien moindre. Il en est de même de la partie
supérieure
de PA et du lobe pariétal supérieur qui, cepend
Il en est de même de la partie supérieure de PA et du lobe pariétal
supérieur
qui, cependant, n'offrent à la vue aucune anoma
membrane fibreuse blanchâtre, forme des plioatures à son cul de sac
supérieur
. Le cul de sac antérieur est peu profond, le po
épression digitale moins pro- fonde qui correspond au lobe pariétal
supérieur
. De ce côté, le corps calleux, transparent par
couleur rappelle celle des circonvo- lutions cérébrales. La partie
supérieure
et externe de cette masse présente sur la coupe
ption du malade. 267 surtout à droite, il est déchiré à sa partie
supérieure
et pré- sente un tubercule. Le lobule est peu d
et adhérent à gauche. Thorax bien conformé ainsi que les membres
supérieurs
et inférieurs. Aucun signe de rachitisme. Le do
la puberté, il est bien développé : un fin duvet recouvre sa lèvre
supérieure
, quel- ques poils ont poussé aux aisselles, le
x petits, très écartés. Fentes palpébrales assez grandes. Paupières
supérieures
bien mobiles et également tombantes. Cils court
queté. Les seins ont 7 centimètres et demi de diamè- tre. Membres
supérieurs
grêles, peau saine, sans cicatrice, quelques po
à gau- che. - L'occipital semble séparé, au moins dans sa partie
supérieure
correspondante à la calotte, par une sorte de s
de d'éducation, qui permet d'obtenir des résultats incomparablement
supérieurs
à ceux de la crâniectomie. Cette méthode, compl
petite à la naissance (microcéphalie très prononcée et prognathisme
supérieur
). - Convulsions répétées à un an. Fugues solita
ascendante. PA, pariétale ascendante. pt, P2, PC,lobes pariétaux
supérieur
et inférieur, pli courbe. Lo, lobe occipital.
A, circonvolution pariétale ascendante. P', P2, PC, lobes pariétaux
supérieur
et inférieur, pli courbe. LO, lobe occipital.
ascendante. PA, pariétale ascendante. pt, P2; PC, lobes pariétaux
supérieur
et inférieur; pli courbe. Ti, T2, T3, première,
VIII. (Ons. de Roq ? p. 88-96). Hémisphère cérébral gauche; face
supérieure
. LF, lobe frontal. LO, lobe occipital. Péd,
ascendante. PA, pariétale ascendante. P', P2, PC, lobes pariétaux
supérieur
et inférieur, pli courbe. T', T2, T3, premièr
scendante. PA, pariétale ascendante. P1, Il-, PC, lobes pariétaux
supérieur
, inférieur et pli courbe Lo, lobe occipital.
la grosseur d'une noix, sont placés dans la portion interne du repli
supérieur
de la synoviale, un peu au-dessus du bord supérie
interne du repli supérieur de la synoviale, un peu au-dessus du bord
supérieur
du condyle interne ; 2° Plusieurs autres corps
x centimètres, épais d'un centimètre et demi, est attaché à la partie
supérieure
du 1 Voici l'état des viscères : plusieurs peti
urface articulaire est rugueuse, mamelonnée. (Pl. 11, A.) Extrémité
supérieure
du tibia. Les lésions, en général, sont les mêmes
Paralysie des nerfs moteurs à gauche. — Doideurs dans les mem- bres
supérieurs
. — Arthropathie de l'épaule gauche. (Observation
étonnée en se réveillant de voir qu'elle a une chute de la pau-pière
supérieure
gauche, avec strabisme externe; mais, déjà, la
emettre debout, elle oublie de lâcher les bras du fauteuil. Membres
supérieurs
. La malade serre assez fortement des deux côtés,
auche qu'à droite ; à gauche, strabisme externe, chute de la paupière
supérieure
, que la malade peut néanmoins relever. La pupille
lin (9 juin), en se réveillant, elle s'est aperçue que tout le membre
supérieur
, depuis le poignet jusqu'à l'épaule, était consid
l n'existait pas de corps étrangers intra-articulaires. L'extrémité
supérieure
de Thumérus a une forme très-singulière. La surla
avait usée; dans son état actuel, cette pièce ressemble à l'extrémité
supérieure
du cubitus. (La planche III donne une idée fidèle
né, avec une autre plaie ayant 4 à 5 centimètres et répondant au bord
supérieur
du condyle interne. 11 déc. Abcès circonscrit,
upérieur du condyle interne. 11 déc. Abcès circonscrit, à la partie
supérieure
et interne du moignon; ponction. La cicatrisation
stant aussi, on remarque des mouvements spasmodiques dans les membres
supérieurs
. — H y a eu deux selles abondantes. Injection de
e temps en temps, mouvements convulsifs (tétaniques) dans les membres
supérieurs
. — Pepuis deux heures, le malade a du délire. Rel
à droite qu'à gauche. Il présente sur sa face antérieure et son bord
supérieur
une déchirure de 10 centimètres au moins, dont le
fatigues du bras ; puis, à la suite des douleurs vives à l'extrémité
supérieure
du bras droit, le surlendemain, aspect typhoïde.
e est situé immédiatement au-dessous de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
droite, qui a été en partie dénudée ; l'orifice d
timètres. Cette plaie avait la forme d'un triangle irrégulier, à base
supérieure
, à sommet dirigé un peu obliquement en bas du côt
ment deux orifices : l'un, situé en dehors et qui re-présente le bout
supérieur
de l'intestin, ainsi que le démontre la sortie de
membres inférieurs, et était à peine à la seconde période aux membres
supérieurs
ou, en d'autres termes, l'incoordination ne faisa
avait envahi à la fois la moitié inférieure de la cuisse et le tiers
supérieur
de la jambe. (Ibid,, p. 165.) —L..., atteinte d'u
explication nous semble sujette à caution, au moins pour les membres
supérieurs
, car s'il est vrai que l'arthropathie inté-ressai
a-langiennes gauches, ce qui établit l'égalité entre les deux membres
supérieurs
. 11 serait peut-être aussi rationnel d'admettre u
s elle a vu paraître l'anesthésie et de l'affaiblissement des membres
supérieurs
, surtout à droite. Peu de temps après, le bras dr
RAPHIQUE DES HOPITAUX ARTHROPATHIE CHEZ UNE HÉMIPLÉGIQUE Membre
supérieur
gauche. La planche VII: donne une idée très-exact
e. La planche VII: donne une idée très-exacte de l'atlitude du membre
supérieur
gauche. On voit : 1° que Vépaule, comparativement
pothénar, les muscles interrosseux ne sont pas atrophiés. Le membre
supérieur
gauche, considéré dans son ensemble est, par rapp
du corps. — L'excitabilité réflexe est cependant augmentée au membre
supérieur
gauche. La malade nous raconte que, parfois, lors
sque aussitôt des spasmes tétaniques courts et répétés dans le membre
supérieur
correspon-dant (épilepsie spinale). Outre ces p
en rap-port du reste avec sa naissance un peu prématurée. — Le membre
supérieur
droit est le siège d'un arrêt de développement qu
frent celle de leurs con-génères en raccourci. Ainsi leurs extrémités
supérieures
ont une conformation normale et s'articulent avec
ndon. —L'autre, profond, qui s'étend de l'épitrochlée, de la partie
supérieure
des deux os de l'avant-bras et du ligament intero
croissance, se fait bien. Il porte aujourd'hui quatre incisives (deux
supérieures
, deux infé-rieures). Il est indemne de syphilis e
e vice de conformation que celui dont nous allons parler. Le membre
supérieur
droit a sa configuration normale. Du som-met de l
l'utérus étant suffisamment dilaté, on applique le forceps au détroit
supérieur
: l'accouchement s'opère rapidement. L'enfant, do
. Les membres sont contractures; les inférieurs dans l'extension, les
supérieurs
dans la demi-flexion. Les doigts sont fléchis sur
e résullat. Le rétré-cissement du bassin porte surtout sur le détroit
supérieur
, mais il n'est généralement pas assez considérabl
aux l'un et l'autre à leur extrémité infé-rieure ; — sur leur segment
supérieur
et au voisinage de la coulisse bicipitale, on rem
. 2, humérus normal; fig. 3, humérus droit.) Radius. Leur extrémité
supérieure
est saine; à sa partie inférieure le radius gauch
de la coulisse des muscles radiaux. Cubitus. Sains à leur extrémité
supérieure
. — Le droit porte à son extrémité inférieure (un
ffre rien d'extraordinaire dans sa configuration. Fémurs. Extrémité
supérieure
. Les grands et petits trochanters ont un développ
dyles, saillies larges, peu proéminentes. Tibia gauche. L'extrémité
supérieure
présente à deux centimètres et demi au-dessous de
. 3.)— L'extrémité inférieure est saine. Péroné gauche. L'extrémité
supérieure
est pourvue d'un gros ostéophyte, ayant l'aspect
mamelonné sur ses bords, adhé-rent à deux centimètres de l'extrémité
supérieure
du péroné par un pédicule assez étroit. Il a quat
millimètres. (Planche XII, fig. 4 ; face postérieure.) L'extrémité
supérieure
du péroné porte en avant et en dehors deux petits
deux petits tubercules. Au niveau de l'articulation tibio-péronéale
supérieure
existe une grosse masse osseuse, écartant les deu
oici leur ordre de fréquence: le tiers inférieur du fémur et le tiers
supérieur
du tibia et du pé-roné, le tiers supérieur de l'h
rieur du fémur et le tiers supérieur du tibia et du pé-roné, le tiers
supérieur
de l'humérus et le tiers inférieur de l'avant-bra
le tiers inférieur de l'avant-bras; puis viennent ensuite l'extrémité
supérieure
du fémur et l'ex-trémité inférieure du tibia et d
corps de l'os. — D'autre part M. Ollier avance que les os des membres
supérieurs
s'allongent surtout par les extrémités opposées a
rviligne de 2 à 3 milli- mètres de profondeur ; le tiers externe et
supérieur
ne présente pas de trace de sillon. Il existe a
bserve aucune déviation soit de la bouche soit de la langue. Membre
supérieur
droit (paralysé). Au repos, le bras s'appuie le l
itte de sa besogne qu'avec lenteur. Dans l'hiver, la peau du membre
supérieur
droit devient violacée, marbrée. Au toucher, il e
nche XVI indique bien les différences de la main et des avant-bras.
supérieur
. Au palper, le genou et la jambe sont plus frais
lanche XVIII le démontre d'une façon assez péremptoire. — Les membres
supérieurs
sont relativement très-longs ; lorsqu'ils sont da
e est plus marquée à gauche qu'à droite ; il en résulte que le membre
supérieur
gauche (60 centimètres) est moins long que le dro
affectent principa-lement les membres et plus les inférieurs que les
supérieurs
. Le bassin, le thorax sont, il est vrai, moins dé
ineuse. — Rappelons aussi la différence de longueur entre les membres
supérieurs
, la disproportion de ces membres avec le tronc. —
PHTOGRAP HIQUE DES HOPITAUX TUMEUR FIBRO-PLASTIQUE A sa partie
supérieure
, la] tumeur présentait une ulcération de 5 centim
er. 1 Dans un cas de périostite phlegmoneuse diffuse de l'extrémité
supérieure
de l'humérus gauche, que j'ai pu observer dans le
salive mousseuse, blanche, abondante. Le cou est roide. Les membres
supérieurs
sont rigides ; le droit l'est moins que le gauche
à gauche, d'autres fois à droite, et cela aussi bien pour les membres
supérieurs
que pour les inférieurs. Ainsi, à ce moment, le m
it le même effet des deux côtés, à savoir l'abaissement delà paupière
supérieure
. La bouche est en-tr'ouverte, plus à gauche qu'à
est l'inverse de ce que nous avions vu au précédent examen. Membre
supérieur
droit : soulevé, il retombe inerte ; les doigts,
coude, sont flasques; l'épaule offre une certaine roi-deur. — Membre
supérieur
gauche : flaccidité absolue. Vers les membres i
et et V isthme pèsent 170 gr. Thorax. Il y a un peu d'œdème du lobe
supérieur
du poumon gauche, une légère congestion du lobe i
, une légère congestion du lobe inférieur du même poumon et des lobes
supérieur
et inférieur du poumon droit. — Le péricarde renf
is ces arrêts de développement avaient tous pour siège un des membres
supérieurs
et appartenaient, au genre de monstruosités connu
curieuses ; nous allons successivement les passer en revue. Membre
supérieur
gauche. — Le bras parait bien conformé; il est ce
, et parvient ainsi à l'amener jusqu'au niveau de sa bouche. Membre
supérieur
droit. — Le bras est bien conformé; il en est de
atrophie appréciable. Les lésions occupent donc surtout les membres
supérieurs
, ainsi que le tronc; elles sont d'ailleurs beauco
28 avril. — P. 96; T. V. 58°,5. —Soir: P. 108; T. V. 40°,8. La lèvre
supérieure
est rouge, luisante, gonflée et douloureuse. Depu
il vaut mieux ne pas injecter à un animal des globules d'un diamètre
supérieure
celui de ses propres globu-les ; mais il n'en est
atteinte depuis vingt mois d'hémiplégie gauche. Vous voyez le membre
supérieur
de S9 année. 9 ce côté dans la demi-flexion ;
de l'origine hystérique de la paralysie. Ainsi, tandis que le membre
supérieur
était dans un état de flaccidité complète, absolu
rigidité tardive se manifeste toujours de préférence dans le mem-bre
supérieur
. e. La contracture, qui, aujourd'hui, occupe le
re supérieur. e. La contracture, qui, aujourd'hui, occupe le membre
supérieur
, date de quelques mois seulement et elle s'est dé
e ; elle affectait le côté droit et était surtout prononcée au membre
supérieur
. La guérison survint presque tout à coup, 18 mois
ques suivants : Io au centre de la région fessière ; 2° vers le quart
supérieur
et postérieur de la cuisse ; 3° et 4° au niveau d
re vers le milieu de la face postérieure de la cuisse; un à la partie
supérieure
du creux poplité; trois le long du tiers moyen et
e trois points névralgiques : 1° à la fesse; 2° vers l'union du tiers
supérieur
avec le tiers moyen de la cuisse ; 5° au niveau d
un point de son éten-due, entre autres au zona du cou et des membres
supérieurs
consé-cutif à une névrite due à la compression de
après quelques minutes de repos, elle était neutre dans les couches
supérieures
, alcaline dans les inférieures; au bout d'une heu
OPITAUX DE PARIS CLINIQUE CHIHURGICALE FRACTURE MULTIPLE DU TIERS
SUPÉRIEUR
DE L'HUMÉRUS DROIT balle incrustée DANS LA cavi
ù s'écoule un liquide sanieux.—Je constate la fracture de l'extrémité
supérieure
de l'humérus, et l'explo-rationde la plaie avec l
ationde la plaie avec le styletmefait reconnaître que celte extrémité
supérieure
de l'os est en fragments multiples, mais je ne tr
thorax, ex-plorés, je conclus que la lésion est limitée à l'extrémité
supérieure
de l'humérus. L'état de prostration générale da
. Les morceaux de la continuité de l'os enlevé, je découvre le bout
supérieur
de l'humérus et je scie l'os immédiatement au-des
dant plus fermes. Peu à peu, les tissus entre l'omoplate et le bout
supérieur
de l'humérus se froncent, la peau se plisse, et l
s d'un centimètre. En l'examinant, on reconnaît que c'est l'extrémité
supérieure
du bord externe, de l'omoplate, cette partie épai
épitrochlée. Le contact entre l'extrémité de l'humérus et la partie
supérieure
du bord externe de l'omoplate est immédiat, et il
qui restait de la cavité glénoïde, d'un côté j'aurais enlevé le bord
supérieur
de la cavité articulaire qui est resté après la c
e bord de l'oreille en avant et en arrière du pavillon, dont le tiers
supérieur
fut détruit. C'est en cet état que le malade entr
u-dessous de lui se trouve un bourrelet cutané qui masque la paupière
supérieure
en partie. Comparé au côté opposé, on voit que, d
d du moignon auriculaire et la peau du crâne avoisinante. Les parties
supérieures
de la lésion sont détruites et des cicatrices s'y
s veines cuta • nées, et ces dernières avaient acquis un calibre bien
supérieur
à celui qu'elles possèdent normalement ; de là de
ablissement du membre inférieur. — Con-tracture persistante du membre
supérieur
. — État actuel. Trib... Louise-Joséphine, âgée
îne la jambe droite en marchant. Elle ne peut se servir de son membre
supérieur
, qui est lourd, mais elle le soulève. Les doigts
de différence. Il n'y a pas de signes de paralysie fa-ciale. Membre
supérieur
droit. La malade élève le bras jusqu'à l'hori-zon
ndiquent les dimen-sions comparatives des divers segments des membres
supérieurs
: DROIT GAUCHE Circonférence du métacarpe (ex
. ... 18,5 — 19 — — du mollet....... 23,3 — 24 — Les deux membres
supérieurs
ont la même longueur. — Les règles commencent à d
égies apparues à 17 mois et à 7 ans. D'après M. Cotard, « le membre
supérieur
est rapproché du tronc, l'avant-bras fléchi à peu
ture ; les autres doigts sont plutôt dans l'extension. Tout le membre
supérieur
gauche, par rapport à l'autre, est atrophié. —
tes pour que chacun puisse se rendre compte de l'attitude des membres
supérieurs
chez les malades que nous avons eu plus particuli
liaires ; la coupe démontre qu'ils pren-nent naissance dans la couche
supérieure
du péricarde. A l'ouverture du ventricule gauch
aspect, la consistance de la tumeur cervicale. Elle occupe la par-tie
supérieure
droite de la région du cou, n'empiète pas sur la
igne mé-diane du cou ; en bas elle ne dépasse pas la réunion du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs du muscle sterno-c
embla ramener quelques mouvements dans la face, le cou et les membres
supérieurs
. Deux piles de Bunsen furent apprêtées rapidement
autre deux tumeurs rondes, grosses chacune comme un marron d'Inde. La
supérieure
est un peu plus volumineuse que l'in-férieure. El
l'enveloppe cutanée. Elle paraît être très-vasculaire. Dans la moitié
supérieure
de sa hauteur , elle est recouverte d'un épiderme
t aux sels d'atropine ; — 5° son action antivomitive est égale, sinon
supérieure
, à celle du chlorhydrate de morphine; — 4° comme
elles atteignaient surtout les deux membres inférieurs, et le membre
supérieur
droit. Cependant la constriction circulaire, qui
'est offert à nos yeux: Depuis l'épaule jusqu'au poignet, le membre
supérieur
gauche présente une tuméfaction générale. Il exis
servation a été publiée depuis longtemps et chez laquelle l'extrémité
supérieure
de l'humérus était profondément érodée, de mani
humérus était profondément érodée, de manière à simuler l'extrémité
supérieure
du cubitus : en un mot, c'est une surface concave
ent on avait attribué cette prédominance si marquée du côté du membre
supérieur
droit à l'usage habituel que nous faisons du bras
ommencement de com-pression de la branche cervico-faciale; la branche
supérieure
du fa-cial est intacte. Diagnostic. — Parmi les
n et Yaltat, 97. F Fontagnères, 284. Fracture multiple du tiers
supérieur
de l'humérus droit, résection de l'épaule, par Re
ions. Le cœur est normal, les orifices sains; l'aorte, dans sa partie
supérieure
, est à peine athéromateuse, et présente seulement
térieure du noyau intraventriculaire du corps strié gauche et l'étage
supérieur
du pédoncule cérébral gauche. Le sang a fait irru
on anfractueux, sans ramollissement périphérique, existe dans l'étage
supérieur
de la protubérance. Enfin, dans le corps strié dr
sés principalement sur les branches de la cérébelleuse postérieure et
supérieure
. On ne trouve pas d'anévrysmes dans le cerveau. L
e, des vomissements, puis des secousses convulsives clans les membres
supérieurs
, principalement à droite, et elle meurt dans le c
rs une paralysie complète de la sensibilité et du mouvement au membre
supérieur
gauche. Le lendemain seulement, le membre inférie
isseur de la couche optique droite. Ce caillot, qui intéresse l'étage
supérieur
du pédoncule cérébral droit, a déchiré la face su
esse l'étage supérieur du pédoncule cérébral droit, a déchiré la face
supérieure
de fa couche optique, ce qui a permis au sang de
ance, une première attaque de paralysie affectant seulement fe membre
supérieur
droit, fl y a deux ans et demi, deuxième attaque
ps strié du côté gauche, et une autre cicatrice ocreuse cle la partie
supérieure
de la couche optique et du corps strié de l'hémis
l'attaque; hémiplégie gauche, avec rigidité très prononcée du membre
supérieur
du même côté ; rigidité des muscles postérieurs d
ntimètres au dessous d'une ligne fictive qui partirait de l'extrémité
supérieure
de ce sillon en suivant un trajet perpendiculaire
sif ; stupeur, puis coma, hémiplégie droite avec flaccidité du membre
supérieur
droit. Cinquième jour, érythème de la fesse dro
l — environ 200 oscillations doubles par minute, à l'aide des membres
supérieurs
, la température rectale ne s'élève pas au-dessus
nt conservés sur toute la moitié droite du corps ; à gauche le membre
supérieur
est roide, demi-fléchi, fortement contracture ; o
é de Varachnoïde : il s'étend en nappe sur toute l'étendue de la face
supérieure
de l'hémisphère cérébral droit; à sa partie moyen
enfin les convulsions, qui semblent aller progressivement des parties
supérieures
aux parties inférieures, se montrent dans fa cuis
s de 1 centimètre d'épaisseur. Ce pus est presque concret à sa partie
supérieure
, qui adhère à la dure-mère et qu'on enlève avec c
seuls atteints pendant longtemps, mais, il y a trois ans, les membres
supérieurs
ont été envahis à leur tour par des douleurs fulg
s'étendait à la fois à la moitié inférieure de la cuisse et au tiers
supérieur
de la jambe. En ces derniers points, le gonflemen
dit, surtout prononcée au genou et elle s'étendait de là à la partie
supérieure
de la cuisse et à la partie supérieure de la jamb
e s'étendait de là à la partie supérieure de la cuisse et à la partie
supérieure
de la jambe. Le médecin consulté à cette époque a
ans l'arthrite sèche. L'extrémité inférieure de la cuisse et le tiers
supérieur
delà jambe sont un peu empâtés, volumineux ; mais
mbes et auxpieds. Au contraire, elles ont envahi récemment lesparties
supérieures
du corps où elles siègent, principalement entre l
dans les doigts des mains, etc. Cependant, les mouvements des membres
supérieurs
s'opèrent régulièrement, sans incoordination. Tou
onner les membres inférieurs ; elles ont envahi récemment les membres
supérieurs
où elles se produisent assez fréquemment. Ceux-ci
chute (1). Chez un charpentier qui avait fait une chute sur la partie
supérieure
du cou, suivie de flexion forcée de l'épine en av
on médullaire, puisque celle-ci ne dépassait pas par en bas la partie
supérieure
de la région dorsale. D'ailleurs, il existe des f
s une quinzaine de jours. Ces douleurs sont surtoutintenses au membre
supérieur
, où elles paraissent occuper principalement les a
et déprimée, ayant environ 3 centimètres de diamètre, occupe l'étage
supérieur
des circonvolutions du lobe temporal et s'étend d
aucune altération appréciable. Les diverses articulations du membre
supérieur
droit ayant été ouvertes, on constate une injecti
s les jointures des membres du côté droit. Le nerf médian du membre
supérieur
droit est comparé au nerf correspondant du côté g
a malade : à l'autopsie, on trouve dans les articulations des membres
supérieurs
et inférieurs du côté droit, les synoviales rouge
is ses mouvements, au point que la malade pouvait marcher ; le membre
supérieur
correspondant était resté très-faible, mais non c
ussitôt. La face et les yeux sont dirigés vers la droite, la paupière
supérieure
gauche est un peu tombante. La commissure labiale
y a pas eu d'attaques convulsives. La l'ace est injectée. — Le membre
supérieur
gauche est flasque ; seuls les doigts sont un peu
s ou de l'avant-bras la malade donne des signes de douleur. Le membre
supérieur
gauche est plus chaud que celui du côté opposé, e
mars. — L'état ne s'est pas modifié d'une manière notable. Le membre
supérieur
gauche est toujours complètement inerte. On remar
s que déterminent les mouvements des diverses articulations du membre
supérieur
gauche, de répaule surtout, sont toujours très ac
pérature a baissé (T. R. 38°J. Les douleurs persistent dans le membre
supérieur
paralysé qui est toujours manifestement plus chau
s de souffrance très-manifestes quand on meut les jointures du membre
supérieur
gauche. T. R. 39°, G. — La mort survient le 19, à
Quinze heures après la mort, on constate ce qui suit : les membres
supérieur
et inférieur gauches ne présentent pas traces de
de Rolando, la circonvolution marginale postérieure, à son extrémité
supérieure
, au niveau de l'étage supérieur des circonvolutio
rginale postérieure, à son extrémité supérieure, au niveau de l'étage
supérieur
des circonvolutions du lobe pariétal, parait rela
onné, de nombreux points de pneumonie lobaire. Dissection du membre
supérieur
gauche. — Les muscles de la partie antérieure du
novembre. Etat actuel le 29. Hémiplégie droite complète. Le membre
supérieur
droit est privé de tout mouvement. Il est flasque
notable des facultés intellectuelles; selles involontaires. Le membre
supérieur
gauche paraît un peu plus faible que le droit; la
hors de la bouche, est manifestement portée vers la gauche. Le membre
supérieur
gauche est flasque, inerte. Le poignet et le dos
é. Les mouvements provoqués dans les diverses articulations du membre
supérieur
paralysé ne paraissent occasionner que de légères
x heures du matin : Absence cle rigidité cadavérique dans les membres
supérieur
et inférieur du côté gauche. La rigidité est, au
d'hémianesthésie cérébrale (c'est-à-dire avec participation des sens
supérieurs
, (V... etO...), en conséquence, d'une lésion orga
lade en interposant un écran, ou simplement en baissant ses paupières
supérieures
avec la main, la catalepsie fait place à un nouve
thargie hystérique provoquée, un frémissement constant de la paupière
supérieure
, la convulsion des globes oculaires dans diverses
yeux sont fermés ou demi-clos; frémissement persistant de la paupière
supérieure
; convulsion des globes oculaires; anesthésie tota
ourues par un courant. Les expériences du médecin italien sont bien
supérieures
à toutes celles qui avaient été faites jusqu'alor
faire traiter à la Salpêtrière d'une contracture hystérique du membre
supérieur
droit dont elle était atteinte depuis sept mois e
, une insensibilité incomplète de ce côté gauche (face, tronc, membre
supérieur
). Tous les deux ou trois jours, pendant un mois,
oilà donc une fille atteinte d'une contracture artificielle du membre
supérieur
droit. Si nous plaçons l'aimant près de la main g
j'introduis le doigt jusqu'au fond de la gorge, jusque sur l'orifice
supérieur
du larynx; tout est absolument insensible. Les ét
u bras droit, et vous voyez que la malade a une contracture du membre
supérieur
droit. Pendant que notre malade est dans cette
res palpitaient légèrement. Il n'y avait pas d'anesthésie des membres
supérieurs
; mais, ma main ayant touché légèrement l'autre me
, au contraire, partielle, c'est-à-dire occuper seulement les membres
supérieurs
, par exemple, à l'exclusion de la face. Le phénom
un lieu éclairé, on met l'œil à découvert en soulevant les paupières
supérieures
. 3° Etat de somnambulisme provogué. — Cet état
es yeux du sujet catalepfisé en abaissant avec le doigt les paupières
supérieures
,pour amener l'état léthargique avec hyperexcitabi
ommunique aux membres. Ainsi une attitude tragique donnée aux membres
supérieurs
a pour effet d'imprimer a. la physionomie un air
l droit correspondant à l'hémisphère gauche, en abaissant la paupière
supérieure
. Si cette paupière est relevée, et l'œil droit de
ces conditions présente deux lignes en courbes superposées. —La ligne
supérieure
correspond au tambour appliqué sur le biceps brac
le réflexe rotulien ne retentit en aucune façon sur le bras. Le style
supérieur
qui correspond au biceps brachial trace une liane
e montre le tracé II (Fig. /). Par la fixité du regard en convergence
supérieure
, la malade est rapidement endormie. Les membres s
is de Pflûger, que le réflexe rotulien se propage d'abord aux membres
supérieurs
avant de retentir sur l'autre jambe, ce qui est e
nous avons vu souvent le réflexe rotulien retentir sur les membres
supérieurs
; mais, nous n'avons pas observé la diffusion du
servé la diffusion du réflexe en sens inverse, c'est-à-dire du membre
supérieur
au membre inférieur. D'ailleurs, cette dernière l
es. Dans ce cas, le tambour myographique est appliqué vers le tiers
supérieur
de la face antérieure de l'avant-bras au niveau d
ssez développés, mais le réflexe rotulien ne se propage pas au membre
supérieur
du même côté. (Tracé I, Fig. 6). Pendant la lét
e inférieur se contracture dans l'extension forcée, on voit le membre
supérieur
animé, à chaque choc rotulien, de secousses réfle
ble degré. Il n'y a point d'extension du réflexe rotulien aux membres
supérieurs
. La malade est placée en face d'une vive lumièr
eux se convulsent en haut, les pupilles se cachent sous les paupières
supérieures
, la tête se renverse. Del.... est endormie, les m
s dire qu'en ceci l'hyper-excitabilité neuro-musculaire s'est montrée
supérieure
à la faradisation localisée. Et cela, pour deux r
. 1 de la Planche VI, où l'excitation du muscle orbiculaire palpébral
supérieur
n'a été portée que d'un seul côté. 11 nous a semb
e, une expression qui leur est propre. Ces muscles occupent la partie
supérieure
du visage et im priment tous au sourcil un mouv
mouvement particulier. Ce sont : le frontal, l'orbiculaire palpébral
supérieur
, le sourcillier et le pyramidal du nez. Les point
de la face. 1, frontal ; 2, sourcillier; 3, orbi-culaire palpébral
supérieur
; 4, pyramidal du nez; 5, palpébral inférieur; 6,
it zygo-matique ; 8, élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
; 9, transverse du nez; 10, triangulaire des lèvre
'attention de Duchenne. Fig. 18.— Contraction du muscle orbicidaire
supérieur
. Muscle de la réflexion, de Duchenne. tractio
ques et concentriques à l'arc du sourcil ; 2° Orbiculàire palpébràl
supérieur
: Muscle de laréflexion. (Fig. 18). — Abaissement
e ligne sinueuse composée de deux courbes : l'une interne à concavité
supérieure
, l'autre externe à concavité inférieure. — Plis t
point quelconque du muscle (Pl. V, Fig. 3). L'orbiculaire palpébral
supérieur
se contracte aussi très facilement et d'une façon
ction du pyramidal du nez se joint à celle de l'orbiculaire palpébral
supérieur
(Fig. 2, Pl. VI). Nous n'avons pu obtenir complèt
st, il est vrai, contracté énergiquement mais l'orbiculaire palpébral
supérieur
s'est toujours contracté en même temps. Quant a
sous de laquelle se dessine une dépression transversale à concavité
supérieure
. Lorsque le grand zygomatique se contracte seul,
ués en dedans de lui (petit zygomatique, élévateur propre de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, qui reçoivent leurs filets m
rs filets moteurs d'un même rameau nerveux qui passe sous l'extrémité
supérieure
du grand zygomatique) entrent également en contra
tire en haut et en dehors la portion moyenne de la moitié de la lèvre
supérieure
, d'où résulte: une courbe à concavité inférieure
résulte: une courbe à concavité inférieure du bord libre de la lèvre
supérieure
et du sillon naso-labial, un gonflement de la pom
ction du petit zygomatique. Muscle du pleurer, de Duchenne. lèvre
supérieure
, dont il est difficile de la distinguer ; il arri
distinguer ; il arrive fréquemment que l'élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez participe à l'excitation. C'e
peut remarquer sur la figure 3, Planche VIT. Le mouvement de la lèvre
supérieure
représente assez bien l'action du petit zygo-mati
qui représente l'action isolée du muscle élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, il est facile de se rendre c
être attribuée au petit zygomatique. L'élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez imprime à ces parties de la p
naso-labial allongé et moins oblique, la portion externe de la lèvre
supérieure
attirée eh haut. Le transverse du nez, que Duch
Contraction du muscle élévateur commun de l'aile' duhezel de la lèvre
supérieure
. la lubricité, fait subir, par sa contraction,
t, la ligne naso-labiale allongée tend à devenir rectiligne, la lèvre
supérieure
est attirée obliquement en bas et en dehors, la n
ontracter simultanément les peaussiers et les orbiculaires palpébraux
supérieurs
, nous avons obtenu le masque de la frayeur avec l
n simultanée du triangulaire des lèvres et de l'orbiculaire palpébral
supérieur
, donne à la physionomie une expression de méditat
contraction du grand zygomatique, associée à l'orbiculaire palpébral
supérieur
, ne donne lieu qu'à une grimace (Fig. 3 de la Pl.
tique d'un côté et l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
de l'autre, le grand zygomatique d'une part et le
excitation du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
est pratiquée des deux côtés à la fois, pendant q
e résultat, et qui correspond bien certainement au muscle auriculaire
supérieur
. Que conclure de ce fait d'observation, si ce n'e
se le rameau nerveux qui va donner le mouvement au muscle auriculaire
supérieur
, et qui ne saurait être autre que le rameau tempo
de de caoutchouc appliquée de l'extrémité _.-vers la racine du membre
supérieur
, et la ligature étant maintenue au bras pour empê
re les deux côtés du corps, entre les membres inférieurs, les membres
supérieurs
et la face, l'hyperexcitabilité pouvant se montre
tendineux sont exagérés aux genoux, mais sans irradiation aux membres
supérieurs
, ils existent aux coudes; aux poignets ils se mon
Pas d'achromatopsie. Exagération des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
comme aux membres inférieurs, plus accusés à gauc
ure des yeux, les pupilles se cachent convulsivement sous la paupière
supérieure
et ne se laissent pas découvrir. La catalepsie n'
ive d'hynoptisme parle procédé de la fixité du regard, en convergence
supérieure
. Au bout de cinq minutes environ, les yeux se fer
rmées, la pupille fuit la lumière en se cachant soit sous la paupière
supérieure
, soit sous la paupière inférieure ; lorsque néanm
yperexcitabilité neuro-musculaire cesse tout d'un coup dans un membre
supérieur
seulement ou dans les deux membres à la fois, pou
ans la face (commissure labiale tirée en dehors), soit dans le membre
supérieur
, soit dans le membre inférieur (brusquement soule
xterne ; — ce point correspond, comme on sait, à peu près à la limite
supérieure
de la région encéphalique, dite zone motrice cort
odeler, sont plongées dans l'autre hémisphère, resté en place. L'une,
supérieure
, est recourbée de façon à contourner le bord infé
et à atteindre par son extrémité la surface corticale, vers la partie
supérieure
des circonvolutions ascendantes. L'autre tige, pl
ère. Nous savons que la contraction du muscle orbiculaire palpébral
supérieur
a pour propriété de froncer le sourcil transversa
6) ; pour le muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
qui est le muscle du dédain ; pour le muscle tria
e de l'autre. Il peut exister aussi des différences entre les membres
supérieurs
et les membres inférieurs. D'un jour à l'autre,
ité de signe opposé la neutralise. Quand la machine marche, la moitié
supérieure
du plateau de caoutchouc, en allant du premier pe
et avec paralysie de la sensibilité et du mouvement de tout le membre
supérieur
. Vous pouvez constater que cette contracture arti
i comment on procède : on commence, par exemple, par placer le membre
supérieur
dans l'abduction, de façon à ce qu'il occupe une
e est hypérémiée. Fig. 7. — Le nerf médian à l'avant-bras du membre
supérieur
droit coté paralysé), comparé au nerf corresponda
al. Fig. 4. — Excitation bilatérale du muscle orbiculaire palpebral
supérieur
. Fig. i Fig. 2 PLANCHE VI. Fig. 1. — Exci
PLANCHE VI. Fig. 1. — Excitation unilatérale du muscle patpébral
supérieur
, On peut constater, dans le muscle du côté opposé
tte figure, à la contraction des deux muscles orbiculaires palpébraux
supérieurs
excités directement s'est ajoutée celle des pyram
ré de contraction du muscle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. Fig. 4. —Excitation unilatérale du muscle élév
citation unilatérale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre
supérieure
. L'excitation, parfaitement localisée, porte sur
bilatérale du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. Fia. 2. — Excitation bilatérale du carré du me
Fig. 3. — Excitation simultanée des muscles orbiculaires palpébraux
supérieurs
et des grands zygomatiques. Fig. 4. — La malade
l gauche.—Excitation bilatérale du muscle élévateur commun delà lèvre
supérieure
et de l'aile du nez. Le muscle droit du côté léth
e la face, p. 362; — du frontal, p. 363; — de j'orbiculaire palpebrai
supérieur
, p. 364; — du pyramidal du nez, p. 365; — du sour
7; — du petit zygomatiquc, p. 368; —de l'élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, p. 369; — du transverse du n
veut pas, à toute force, être bossu. Tronc et membres. —A. Membres
supérieurs
. — Les éminences thénar et hypothénar sont effacé
eloppé à la partie inférieure, relati-vement au diamètre de la partie
supérieure
; les côtes sont inéga-lement arquées des deux côt
congénère de 4 à 5 centimètres environ. Distance d'une épine iliaque
supérieure
et antérieure à l'autre, 0m,26. Le sacrum est for
peine voit-on quelques contractions dans le droit interne à sa partie
supérieure
, dont le tendon fait saillie sous la peau. Long
ait saillie sous la peau. Longueur de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à la partie inférieure des condyles fémoraux, 0m,
Quelques mensurations ont donné : De l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à la partie inférieure des condyles fémoraux...
omme une espèce de frémissement spontané dans les muscles des membres
supérieurs
et inférieurs. Depuis trois ou quatre mois, elle
ntra à l'hôpital le 12 mai 1845. A ce moment, les muscles des membres
supérieurs
étaient continuellement en mouvement ; ceux des m
ouvements du membre abdominal sont moins accentués que ceux du membre
supérieur
qui exécute continuellement des alternatives de f
1* volume de la rate. — Aphonie. — Paralysie incomplète des membres
supérieurs
, puis des membres inférieurs. — Douleurs dans les
sitôt se joindre une paralysie in-complète de la motilité des membres
supérieurs
, d'abord, puis des membres inférieurs ; l'intelli
e possèdent pas de noyaux ; leur nombre est au moins égal, et souvent
supérieur
, à celui des globules discoïdes. Pendant tout l
entation des bords de l'ectasie. La longueur du coloboma est un peu
supérieure
au diamètre de la papille ; les veines du fond de
parasitaire. La maladie, après avoir atteint les cheveux de la partie
supérieure
de la région fron-tale, s'étendit à ceux des régi
c, étaient assez abondantes sur la face, au cou et sur les extrémités
supérieures
, mais beaucoup moins sur les membres inférieurs.
che IX par une traînée blanche. Elle a son siège pré-cis entre le pli
supérieur
et le pli moyen de l'articulation radio-carpienne
prise dans la cicatrice. Il parait com-plètement sectionné : son bout
supérieur
se termine par une ex-trémité renflée en massue;
mporaux durs, tendus et fort douloureux, membres rigides, surtout les
supérieurs
, parois abdominales dures, opistho-tonos, etc. Le
nne de l'occipital. Cette tumeur, qui nais-sait au-dessous de l'angle
supérieur
de l'occipital descendait jus-qu'aux premières ve
ndait jus-qu'aux premières vertèbres sacrées, jusqu'au niveau du bord
supérieur
de l'os coxal. Un fil mené du point de sortie d
arc mesuré d'une apophyse, mastoïde à l'autre et passant par le bord
supérieur
de la tête, est de 10 centimètres 1/2. En avant d
intactes. Dans cet orifice, on peut distinguer trois parties : une
supérieure
de beaucoup la plus considérable, une moyenne e
aucoup la plus considérable, une moyenne et une inférieure. La partie
supérieure
forme un trou presque régulièrement arrondi, mesu
bres dorsales, elle n'établit que peu de séparation entre lés parties
supérieure
et inférieure qui, vues de loin, paraissent se co
équences surtout de l'anse osseuse qu'il fait en avant dans sa moitié
supérieure
. De chaque côté des six premières vertèbres dorsa
étant impossible, elles descendent presque verticalement. L'ouverture
supérieure
du thorax, formée par la réunion des deux premièr
l8 septembre 1871,M. le docteur Ilacherelle m'adressa M.X... officier
supérieur
, âgé de 70 ans. Il y a douze ans, étant en Afriqu
inique chirurgicale de l'Hôtel-Dieu, pour une fracture de l'extrémité
supérieure
de l'humé-rus droit, dont le diagnostic était ren
e. Cette tumeur donnait lieu à une notable déformation de la partie
supérieure
gauche du thorax; elle formait, à deux travers de
s et méningées, avec les canaux veineux et avec le sinus longitudinal
supérieur
. « 2° Sur la présence d'une veine qui établit u
ine qui établit une grande communi-cation entre le sinus longitudinal
supérieur
et le sinus de la base du crâne (sinus pétreux ou
r grande veine anatomique. « 3° Sur la terminaison du sinus pétreux
supérieur
, qui se jette dans la veine jugulaire interne, et
et les chats nouveau-nés, enfin les cochons d'Inde pour les pressions
supérieures
à 26 centimètres; au-dessous, les grenouilles et
rès-profonde au dos de la verge, superficielle sur le canal à la face
supérieure
. Le prépuce est à l'état de paraphimosis ; la m
mplantée sur le corps de l'os ; de là, elle s'étend jusqu'à la partie
supérieure
de la jambe, après avoir envahi l'articulation du
partie postérieure de l'os ; elle se continue également avec le tiers
supérieur
du fémur, mais la transition entre l'os et la tum
la tumeur avait augmenté de volume; en effet, la distance de son bord
supérieur
à l'arcade de Fallope n'était plus que de 9 centi
fixée au samedi 2 mars. Opération. — Amputation circulaire au tiers
supérieur
, à environ 4 centimètres au-dessous du grand troc
'on avait dû imprimer au malade, l'os s'était brisé juste à la limite
supérieure
de la tumeur ; cette section était oblique, et la
ribue cet accident à la pression exercée par l'appareil sur la partie
supérieure
de la cuisse et le bassin ; en outre, le moignon
de la cuisse, existe un vaste cloaque, re-montant jusqu'aux attaches
supérieures
de ces muscles à la tubé-rosité ischiatique. Au n
e solution d'acide picrique. On examine en premier lieu l'extrémité
supérieure
de la tumeur qui, sous forme d'un bouchon arrondi
r : la peau n'est adhérente nulle part, excepté au niveau du fragment
supérieur
du péroné et dans une très-faible étendue au frag
et laisse suinter une grande quantité de liquide huileux. Le fragment
supérieur
tout en présentant une solidité plus grande est c
démontré nulle part l'existence de cellules de cartilage. Le fragment
supérieur
du péroné est de beaucoup le plus volumi-neux et
avant, au bord inférieur du ligament annulaire et à la partie la plus
supérieure
du grand os; enfin, la direction générale de ce f
es avant-bras et les mollets.— La sensibilité est intacte aux membres
supérieurs
et intérieurs; la contractilité musculaire s'exer
s la sensibilité, ni dans la contraclilité des muscles. — Les membres
supérieurs
sont agités d'un violent tremblement; le malade n
Il a pris 5 bains ; le tremblement a un peu diminué dans les membres
supérieurs
; les jambes tremblent toujours beaucoup. 15 ma
'abord chez elle, c'est la contracture énorme qui affecte les membres
supérieur
et inférieur gauches. Cette contracture, qui ne c
nous constatons : 1° une hémiplégie gauche, avec flaccidité du membre
supérieur
et contracture du membre inférieur; 2° une hémian
n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d'une contracture du mem-bre
supérieur
gauche; et, lors de mes leçons, en 1870, je vous
dans des conditions aussi favorables que la première fois. Le mem-bre
supérieur
droit était redevenu à peu près libre. Partant, i
vomissements dans la matinée ; on aperçoit à la partie postérieure et
supérieure
de la cuisse droite et de la fesse du même côté,
cen-timètres environ. De ce point les reins remontent vers la partie
supérieure
de la paroi abdominale, couchés de chaque côté de
rte et la veine cave in-férieure. De leur jonction à leur extrémité
supérieure
, les reins mesurent chacun sur leur bord convexe
mètres. L'intervalle qui sé-pare les bords internes de leur extrémité
supérieure
est de 7 cen-timètres. Ils présentent un aspect
artères : Lune pénétrant dans le rein à 6 centimètres de l'extrémité
supérieure
, l'autre à 1 centi-timètre et demi environ de la
rences. En prenant pour point de repère l'épine iliaque antérieure et
supérieure
et le tubercule du condyle externe du fémur, on l
L l E l Il O c O M É L l E sente au niveau de la réunion des 2/3
supérieurs
avec le 1/3 infé-rieur une incurvation en arrière
du museau de tanche. Nous n'avons pas à nous occuper ici de la partie
supérieure
, située au-dessus de celte insertion et nommée, p
-vaginale ou vaginale; elle est entourée complètement par l'extrémité
supérieure
du vagin, dans lequel elle plonge libre-ment. Sa
t dans le canal de la sonde et re-passé ensuite en dehors par le trou
supérieur
que j'y avais pratiqué, me servit à attirer jusqu
onflés en même temps, distants de deux à trois centimètres et dont le
supérieur
, grâce au fil qui en maintient le centre contre l
ages suivants : les deux ballons étant invariablement assu-jettis, le
supérieur
excite la fa~c interne de l'utérus, l'inférieur e
ntinu avec renforcement, et plus tard une tumeur pulsatile à lapartie
supérieure
et interne de l'orbite. Cette tumeur est formée
out, la tumeur pend, comme un sac charnu sur la partie postérieure et
supérieure
de la cuisse gauche. La peau qui recouvre le pé
e plus énergique. De plus, la tension du courant d'ouverture est bien
supérieure
, car, lancé dans le fil télégraphique, il transme
du liquide s'élève subitement dans tous les tubes à une hauteur bien
supérieure
à l'horizontale abc, et puis reprend son niveau
ns la position assise, les genoux à la hauteur du menton, les membres
supérieurs
croisés au-tour des jambes et prenant sur elles u
uniquement ici d'une sclérose pulmonaire très-prononcée. L'orifice
supérieur
du larynx est couvert de nombreuses ulcé-rations
sur la résorption progressive de la partie alvéolaire des maxillaires
supérieurs
; de M. Guyon, sur un polype du larynx, 1 L'obse
est de même lors-qu'on électrise les ganglions cervicaux ou la partie
supérieure
de la moelle : les syncopes ou les étourdissement
t été prises comparativement sur les deux jambes : Distance du bord
supérieur
de la rotule à la partie moyenne de la face pla
..... Circonférence du genou.............. — de la jambe au tiers
supérieur
. . , . — — au tiers inférieur..... — passant
est complètement détruit par l'ulcération, du moins quant à sa partie
supérieure
; nous avons vu ce qu'il en restait à la partie i
fut caractérisé par une petite tumeur indurée siégeant sur la partie
supérieure
et libre du prépuce, au niveau du gland. Ce petit
e qu'elle remplit, cette tumeur est allongée, de forme conoïde à base
supérieure
. Si, avec le doigt, on fait le tour de cette base
me sortit de la bouche. Au bout d'une minute, respiration profonde et
supérieure
et relâchement des membres et de la face. Ensuite
hies musculaires, ce sont toujours les muscles extenseurs des membres
supérieurs
ou des membres inférieurs qui sont atteints en pr
îmes ce malade, et quelques muscles, surtout les muscles de la partie
supérieure
de la face, étaient toujours paralysés, mais sans
La lésion très-limitée doit, en effet, se trouver dans cette portion
supérieure
du bulbe où sont si-tuées, tout près les unes des
ot, à savoir qu'il y avait deux noyaux d'origine du nerf facial, l'un
supérieur
, et l'autre inférieur, plus petit, qui fournit su
observe dans les autres paralysies faciales. C'est donc bien le noyau
supérieur
du facial, voisin du noyau d'origine du nerf mote
ions, que la paupière inférieure seule prend part à la paralysie ; la
supérieure
peut encore recouvrir pres-que complètement le gl
met des poumons. Poumon gauche sain. — Congestion et oedème des lobes
supérieur
et infé-rieur du poumon droit, dont les bronches
reste désormais au système veineux. » En pénétrant dans la veine cave
supérieure
, le contraire a bientôt lieu. Le point importan
une amé-lioration très-sensible. Les mouvements saccadés des membres
supérieurs
ont beaucoup diminué d'étendue ; la démarche repr
ansion également synchrones au pouls radial. Au niveau de la partie
supérieure
du pavillon de l'oreille, et des bosselures de la
nt dans l'angle antérieur et tient sous sa dépendance toute la partie
supérieure
du pavillon de l'oreille et toutes les bosselures
ection de 5 gouttes de perchlorure de fer dans le lobule antérieur et
supérieur
de la tumeur : on n'est pas certain que le perchl
s battements. 17 avril. Deuxième injection, 6 gouttes dans les lacs
supérieurs
et postérieurs; mêmes précautions que précédemmen
vasculaire qui donne lieu à l'hémorrhagie. Coagulation dans la partie
supérieure
; on arrête l'écoulement de sang par un petit tam-
é de perchlorure de fer. 1er mai. Septième injection dans la partie
supérieure
et antérieure du pavillon à l'origine de l'hélix
r qu'il existe des battements assez faibles, il est vrai, à la partie
supérieure
de la circonférence du pavillon dans la partie av
un certain nombre de ces points sont même cicatrisés. Toute la moitié
supérieure
du pavillon de l'oreille est dure, lisse, ne bat
m-place cette branche artérielle conduit dans la partie antérieure et
supérieure
du pavillon de l'oreille. — Elle fournit avant d'
it complète et c'est à peine si la malade pouvait dire oui. Le membre
supérieur
était complètement inerte et aujour-d'hui après u
; on peut agir aussi efficacement en électrisant le ganglion cervical
supérieur
. Les phosphènes et les vertiges que l'on peut pro
circulation plus active. Si au lieu d'agir sur le ganglion cervical
supérieur
, on met un des pôles sur le front et l'autre sur
élioration notable, et uniquement en électrisant le ganglion cervical
supérieur
. Dans d'autres cas, la maladie sans s'améliorer a
et, depuis onze ans, a vu successivement tous ses muscles des membres
supérieurs
s'atrophier les uns après les autres, en commença
cé d'une façon brusque, et s'est manifesté à la fois dans les membres
supérieurs
et les extrémités inférieures, et dans la tête, m
a tête a de légers mouve-ments de latéralité. Les muscles des membres
supérieurs
ont des secousses qui ne permettent pas de porter
rmé par la rencontre du nez avec le front est très-prononcé. La lèvre
supérieure
est haute, épa;sse ; l'inférieure est épaisse. La
ment injectée, et il y a un pro-lapsus presque complet de la paupière
supérieure
. —Aucune tumé-faction ganglionnaire au cou. Le
toujourslégèrementinjecté, larmoyant, à demi couvert par la paupière
supérieure
. (Voyez Planche XXXII.) Jamais de tuméfaction gan
réciable dans les organes. — Le lobe droit du foieprésente, à sa face
supérieure
, un kyste hydatique du volume d'une tête de fœtus
t contracte des rapports très-immédiats avec la portion antérieure et
supérieure
du museau de tanche. La paroi anté-rieure du vagi
du vagin est également repoussée en bas et tapisse cette même par-tie
supérieure
du col en présentant de nombreux plis transversau
queuse présente des érosions légères et un aspect violacé : la partie
supérieure
de la mu-queuse est au contraire pâle, d'un aspec
en bas et se trouvent compris dans la mensuration de la circonférence
supérieure
du col. La longueur totale de Vutérus (mesurée
La longueur totale de Vutérus (mesurée de l'orifice externe au bord
supérieur
) est de 15 centimètres. La longueur du col (pri
son travail. Les paralysies de la face et les paralysies du membre
supérieur
sont successivement décrites. Chacune de ces para
araîtraient l'indiquer. Viennent ensuite les paralysies des membres
supérieurs
, qui sont beaucoup moins rares qu'on ne le croit
ur le fond ou sur les côtés de l'utérus, mais seulement sur sa moitié
supérieure
. Le pouce devra rester sur la face antérieure. Pu
et reconnaissant pour cause la propagation de la myélite aux régions
supérieures
de la moelle ; 5° Des troubles trophiques nombr
à la paehyméningite cervicale, les douleurs précoces dans les membres
supérieurs
, l'atrophie musculaire rapide qui leur succède, l
ure médiane, un bourgeon fongoïde qui doit être le rudiment du membre
supérieur
droit, et qui ressemble à un mamelon quand il est
es poils assez nombreux dont quelques-uns ont 7 à 8 millimètres ; les
supérieurs
semblent être ceux que l'on voit ordinairement su
périeurs semblent être ceux que l'on voit ordinairement sur la partie
supérieure
du dos des nouveau-nés. —, Ce bourgeon cephalique
dans le tissu cellu-laire. Une incision verticale va depuis la partie
supérieure
jusqu'au pubis ; une autre transversale d'un memb
partie supérieure jusqu'au pubis ; une autre transversale d'un membre
supérieur
à l'autre. — Tous les téguments de la face anté
e dur que sont dues les saillies globuleuses situées sous les membres
supérieurs
. Le tronc doit être divisé" en trois portions :
qu'elle déborde de moitié en haut. C'est elle qui donnait à la partie
supérieure
du corps la flaccidité dont nous avons parlé. Cet
ue dans toute son étendue en re-montant jusqu'au niveau de la portion
supérieure
unique du ster-num. Le foie, le pancréas font déf
ssie, en côté par les deux ure-tères, dont le calibre est notablement
supérieur
à celui de l'intes-tin. Il n'y a pas d'éventratio
a la forme d'un haricot, à grand diamètre horizontal. De sa convexité
supérieure
, part un tronc commun pour la partie supérieure,
ntal. De sa convexité supérieure, part un tronc commun pour la partie
supérieure
, veine cave supérieure, qui fournit bientôt trois
upérieure, part un tronc commun pour la partie supérieure, veine cave
supérieure
, qui fournit bientôt trois vaisseaux secondaires
an pour l'extrémité céphalique, les deux laté-raux pour chaque membre
supérieur
et la partie correspondante de la poche dorsale.
ine cave su-périeure. L'aorte descendante se divise au niveau du bord
supérieur
du bassin en deux iliaques qui fournissent chacun
pais, complet, mais les muscles de la paroi thoracique et des membres
supérieurs
sont formés de rares faisceaux séparés par de n
ement gros. Plusieurs ganglions sympathiques sontvisibles à la partie
supérieure
de la cavité thoracique. Le squelette ne nous p
um cartilagineux unique seulement dans sa première pièce. Le membre
supérieur
droit n'est relié à la clavicule que par un petit
cette omoplate part un ligament qui supporte les téguments du membre
supérieur
; mais sur la partie moyenne de ce ligament se tro
). EXPLICATION DE LA PLANCHE XXXV I, bourgeon répondant au membre
supérieur
droit;— II, bourgeon répondant au membre supérieu
épondant au membre supérieur droit;— II, bourgeon répondant au membre
supérieur
gauche ; — III, bourgeon céphalique. — Les dépres
mes frappé de sa démarche, de sa tournure, de la longueur des membres
supérieurs
. Impossible de voir, au premier examen, les mem
sont si développés en tous sens et le tronc si court... Les membres
supérieurs
, loin de présenter cet aspect fœtal, noté par M.
pour l'appréciation de la hauteur de l'utérus. Or, ici, de la partie
supérieure
de la symphyse à l'anneau ombi-lical il y avait :
t, dû, sans nul doute, à l'ampleur de ce bassin dont l'axe du détroit
supérieur
formait cependant avec l'ho-rizon un angle beauco
e digitaline cristallisée, nous avons obtenu sur nous-même des effets
supérieurs
à ceux qu'ont produits 4 milli-grammes de digital
gitaline cristallisée possède une intensité d'action incomparablement
supérieure
à celle de la digita-line Homolle et Quevenne, et
courbures latérales, l'une inférieure, à concavité droite, l'autre
supérieure
, à concavité gauche. La plante des pieds repose
'un de l'autre de dix centimètres, un fil à plomb, dont l'extrémité
supérieure
est placée au niveau de l'apophyse épineuse de
ble courbure latérale, l'une inférieure à concavité gauche, l'autre
supérieure
à concavité droite. Si l'on cherche à modifie
inférieure occupant la région lombaire, à concavité droite, l'autre
supérieure
, dans la région dorsale et à concavité gauche.
x courbures latérales, l'une inférieure à concavité droite, l'autre
supérieure
, à concavité gauche. Dans l'OBSI-1-111AT[ON I I
ble courbe latérale, l'une inférieure à concavité gauche, l'autre
supérieure
à concavité droite. Dans les Observa- riows IV
ble courbure latérale, l'une inférieure à concavité droite, l'autre
supérieure
à concavité gauche. On peut constater facilemen
son du tronc, et elle est sous sa dépendance; quant à la courbure
supérieure
dorsale, elle est tournée en sens inverse, et c
e se tenir debout et de marcher. Le malade se sert de ses membres
supérieurs
, mais les mains sont fermées : le père assure q
ue alfirnre-t-elle l'état général restant satisfaisant, les membres
supérieurs
et la tête auraient été paralysés au point qu'e
au bout desquels le mouvement revint complètement dans les membres
supérieurs
, mais très imparfai- tement dans les membres in
une tendance à l'extension : elle gagne le cou, l'épaule, le membre
supérieur
. On n'a plus alors affaire à une éphidrose; ce
ndant. Thermanesthésie et troubles de la sensibilité dans le membre
supérieur
droit. Le nommé Emile D..., âgé de trente et un
et aux membres inférieurs. Mais il n'en est pas de même aux membres
supérieurs
. D... a remarqué, depuis quelques années, qu'en
ensibilité élec- trique persistent dans toute l'étendue des membres
supérieurs
; mais le malade nous dit qu'il sent moins du cô
en outre, que depuis '18"/7 il ressent des douleurs dans le membre
supérieur
droit. Ces douleurs ont débuté par le poignet s
le long de la ligne axillaire. Il n'y a pas d'amiotrophie du membre
supérieur
droit, les forces y sont conservées. Les réflex
tre des lésions du grand sympathique cervical. Le ganglion cervical
supérieur
du côté droit est notablement hypertrophié. Au
ical droit et du sympathique gauche, sauf pour le ganglion cervical
supérieur
. Celui-ci atteignait un volume double de celui
un cas très intéressant d'éphidrose limitée à la branche maxillaire
supérieure
du trijumeau. Au moment où la sudation atteigna
coeur. L'au- topsie révéla une pneumoniechronique ulcéreuse du lobe
supérieur
gauche, de l'oedème pulmonaire, des abcès furon
la première condition, c'est que le directeur et les fonctionnaires
supérieurs
prennent en main cette organisation; la suivent
écouvert par Leydig. Une partie de ces appareils occupe l'extrémité
supérieure
d'une fente branchiale. Exemples : le glosso-ph
nt-bras, mais moins accentué que celui du tronc et des extré- mités
supérieures
. Aucune anomalie du côté de la face ou de la la
ne du noyau acoustique antérieur en connexion lui-même avec l'olive
supérieure
du côté opposé, par l'intermédiaire d'un puissa
issant tractus qui se dirige dans le corps trapézoïde, avec l'olive
supérieure
du même côté par l'in- termédiaire de quelques
rcuées qui sont situées au-dessous des stries acoustiques ; l'olive
supérieure
est en connexion avec le cervelet, ainsi qu'ave
mane du noyau acoustique interne en connexion lui-même avec l'olive
supérieure
. L'acous- tique reçoit encore le segment intern
s membres inférieurs, légères douleurs du tronc et des extrémités
supérieures
. En juin, hypéralgésie, amaigrissement prononcé d
ntégrité du sens musculaire. Lésion avec enfoncement des deux tiers
supérieurs
du pariétal gauche et de l'extrémité supérieure
ment des deux tiers supérieurs du pariétal gauche et de l'extrémité
supérieure
du pariétal droit. Trépanation pratiquée par'l'
xtrémités inférieures. Le tubercule siégeait dans la partie la plus
supérieure
du renflement lombaire dont il occu- SOCIÉTÉS S
e l'intérieur, sur une liste de présentation dressée par le conseil
supérieur
des aliénés, confor- mément à l'article 6, surv
les maladies mentales, elaient l'objet d'une présentation du comité
supérieur
. Chacun des établissements publics ou privés d'
dans chacun de ces établissements permettra d'éclai- rer le comité
supérieur
qui doit être créé si vous votez l'article 15 d
ent, il sera constitué, près le ministère de l'intérieur, un comité
supérieur
des aliénés composé comme il suit : un membre S
vement encore, - le Gouvernement accepterait un comité permanent et
supérieur
. M. 'l'I.\.11LLE-S.1L1G\Y. Elle conseil supérie
mité permanent et supérieur. M. 'l'I.\.11LLE-S.1L1G\Y. Elle conseil
supérieur
des prisons ? DE Gavardie... siégeant au minist
ministratives et plaçait en même temps auprès du ministre un comité
supérieur
pourvu d'attribu- tions administratives. Ces at
aux publics; il existe au ministère de l'intérieur une commis- sion
supérieure
pour l'application de la loi de 1875 sur le régim
ctions pour la protection des enfants du premier âge. La commission
supérieure
qui est créée par l'article 15 est pour- vue d'
es maisons des grandes villes. Les efforts récents de la commission
supérieure
pour remédier à ces défauts paraissent être bie
sites annuelles faites maintenant par la direction de la commission
supérieure
, indiquent qu'on a compris la nécessité de la s
t des scapulaires et des deltoïdes. Therizo-`cnesthésie des membres
supérieurs
et du thorax. - Analgésie limitée. Job Kousmine
herine le 20 janvier 1886, se plaignant de la faiblesse des membres
supérieurs
. Le malade naquit dans le gouvernement de Foula
e postérieure du corps, sur le côté radial ex- terne des extrémités
supérieures
et les fesses, il y a de nombreuses cicatrices
(surtout à gauche); le muscle trapèze est conservé dans sa portion
supérieure
et paraît atrophié dans les autres. Les res- ta
r un certain espace de forme sémi-lunaire, dont la limite convexe
supérieure
corres- pond à la poignée du sternum et dont la
ne, le malade ne perçoit même pas la différence de 15°. La partie
supérieure
du bras droit et la partie inférieure du bras g
phénomène qui, d'après mes observations, n'est pas rare : l'épaule
supérieure
, par exemple, ne perçoit qu'un seul attouchemen
up et bien ; la jambe droite et plus lourde subjectivement. Membres
supérieurs
: les petits mouvements de la main sont moins a
on- sidérale dans la sphère de distribution de nerfs de la partie
supérieure
de la moelle épinière du côté droit, nette- m
, la bronchite empiré, le foie aug- menté, le coeur faibli. Membres
supérieurs
: les mouvements de l'articulation de l'épaule
l des deux côtés de tout le nerf tri- jumeau droit et de la branche
supérieure
du trijumeau gauche il s'est développé une ther
peu profonde, s'observe sur les membres inférieurs, sur le membre
supérieur
gauche et les parties du thorax restés auparava
ant constant. Le tnorax au-dessous des ma- melons, tout le membre
supérieur
gauche et les membres infé- rieurs perçoivent m
ue avait considé- rablement diminué, et ce n'est que dans la partie
supérieure
de l'épaule gauche qu'elle est comparativement
er. Point d'altérations motrices nouvelles. La force des extrémités
supérieures
a augmenté. Le dynamomètre indique 34 à droite,
e ; la nuque, de même que les épaules, le sont davantage. Le membre
supérieur
gauche a été bien moins atteint; de même la moi
leur aussi bien qu'un courant induit modéré ; tandis qu'à la partie
supérieure
de la moitié droite du thorax, qui perçoit un c
(sur la nuque et le thorax), des troubles prédominants des membres
supérieurs
, la participation du nerf trijumeau des deux cô
eurs, de l'analgésie et de la thermo-anesthésie partielle du membre
supérieur
droit; atro- phie des muscles de la main; des t
e plaint d'une douleur sourde et profonde siégeant dans le membre
supérieur
droit, surtout dans la main. Toute secousse, to
sse- ment local de tel ou tel autre organe. Sensibilité. - Membre
supérieur
droit. Le plus léger attouchement est partout
à mesure que l'on observe plus haut et elle est normale à la partie
supérieure
de l'épaule. (Fig. 6.) Le sensde la température
DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 177 différence de 6°, mais à la partie
supérieure
de l'épaule elle peut percevoir une différence
l'épaule elle peut percevoir une différence moindre de 2°. Membre
supérieur
gauche. Toutes les espèces de sensibilité sont
malade. - L'époque à laquelle parut la therma- nesthésie du membre
supérieur
droit nous est inconnue. Il y. a deux ans, au m
rent dans la région scapulaire, près de la clavicule et à la partie
supérieure
du bras à la moindre secousse. L'articulation d
alade éprouva une seule fois une douleur sourde dans tout le membre
supérieur
gauche; mais cette dernière avait un caractère
matique ou autre produisant la lésion de tous les nerfs du membre
supérieur
droit au-dessous de l'épaule ; 4) nous ignorons
iculations radio-carpiennes et les autres articulations des membres
supérieurs
ne sont pas atteints. Contractilité électrique.
t libres et forts, de même que tous les autres mouvements du membre
supérieur
droit. Souvent se produisent les mouvements fib
ne partout des chiffres dans les limites de la normale. Aux membres
supérieurs
: les bouts des . doigts des deux côtés, 2 mill
sent la différence thermique de 2 à 3°; au maximum dans les membres
supérieurs
où le malade ne perçoit pas de différence de 25
rs où le malade ne perçoit pas de différence de 25°, et à la partie
supérieure
du bras de 40°, entre 0 et 40°. Aucune de ces t
roite est subjectivement plus atlaiblie. Les muscles de la partie
supérieure
de l'avant-bras sont très rudes au palper, ne
s- qu'à présent. Le dos de la main est oedé- matié dans sa partie
supérieure
, et sur la limite de l'articulation radio-carpi
les entraînent des mouvements secondaires compensateurs des membres
supérieurs
et de la tête, destinés à maintenir l'équilibre
ement, le malade étant assis ou couché et affecte aussi les membres
supérieurs
; de plus, le nystagmus, l'embarras de la parole
ire, en tous cas, qui, entre autres caractères, affecte les membres
supérieurs
et la face, et, de plus, ne cesse pas lors de d
de activité. Rien ne se fait sans le secours des cellules du plan
supérieur
, c'est-à-dire des circonvolutions auxquelles vi
ce genre de recherches. Or, il a constaté que l'excitation du bout
supérieur
du sym- pathique cervical déterminait une sudat
ntre la sixième paire cervicale et la cinquième dorsale'. Le groupe
supérieur
qui provient des 6% 7°, 8° paires cervicales pa
urs (Franck), soit plutôt un point de la moelle ou même des centres
supérieurs
commun aux filets sudoraux et irido-dilaiateurs
n difficile à résoudre. Il est cependant probable que les centres
supérieurs
1 Dartre et lltorat. - In Dllval, art. Vaso-mot
ainsi que des élancements et des crises douloureuses dans le membre
supérieur
droit, et cela dans la sphère du nerf cubital.
NERVEUSE. périeur et premier thoracique, l'électrisation du bout
supérieur
du nerf sciatique sectionné amène une di- latat
sur les ganglions cervicaux et no- tamment sur le ganglion cervical
supérieur
du sym- pathique. Ces lésions peuvent-être rame
bdomen et le bassin. Percussion et auscul- tation normales. Membres
supérieurs
et inférieurs réguliers- Peau blanche et fine;
és. Cils larges, nombreux. - Très léger duvet aux joues, à la lèvre
supérieure
et au menton. Organes génitaux. Poils dorés, fr
la place de méat normal, orifice allongé se terminant par la partie
supérieure
de l'orifice anormal et com- muniquant avec lui
e parler est de 14 millim., l'orifice anormal occupe les deux tiers
supérieurs
du pénis. Etat mental. Affectueux, il dit quelq
u est en extension ; le tronc raidi se dresse à moitié; les membres
supérieurs
sont contractures dans la flexion ; le pouce es
lexion ; le pouce est dans la main, les doigts fléchis; les membres
supérieurs
sont en extension forcée. Tout le corps est ens
un rameau ascendant qui, après avoir tra- versé le lobule pariétal
supérieur
, va se terminer en encoche sur la face interne,
sinueuse, est uu peu grêle. Lobe pariétal. - Les lobules pariétaux
supérieur
et inférieur ne présentent pas d'autres particu
e est séparée par un pli de passage à niveau allant du pli pariétal
supérieur
au lobe occi- pital. La scissure interpariélale
se presque entièrement la pariétale ascendante en deux parties, une
supérieure
, et une DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 241 inféri
de passage à niveau allant de la partie postérieure du pli pariétal
supérieur
au pli courbe; plus loin la scissure interparié
tale. Un pli de passage légèrement en retrait, allant de la partie
supérieure
de l'opercule à la deuxième frontale, inter- ro
sa moitié inférieure, mais plus grêle que de cou- tume à sa moitié
supérieure
. Lobe pariétal . - Le pli pariétal supérieur, b
u- tume à sa moitié supérieure. Lobe pariétal . - Le pli pariétal
supérieur
, bien développé dans ses deux tiers antérieurs,
c., ont attribué l'automatisme à l'épuisement des centres cérébraux
supérieurs
par la décharge, et à la perte temporaire du co
ce ni la langue, ne sont prises; la paralysie est limitée au membre
supérieur
et inférieur et souvent n'est pas complète; les
re de l'intérieur, non seulement par des raisons d'adminis- tration
supérieure
, ne doit pas souffrir le contrôle même consul-
-t-elle communication des dossiers ? AI. DE Rapporteur. Le comité
supérieur
pourra en avoir com- munication. M. LE Présid
icle 6 ; mais la rédaction de cet article... AI. DELSOL. Le conseil
supérieur
était visé à l'article 4 ; ce con- seil est vot
président, que le para- graphe en question visait l'avis du conseil
supérieur
des aliénés. Or, ce conseil supérieur étant vot
tion visait l'avis du conseil supérieur des aliénés. Or, ce conseil
supérieur
étant voté maintenant par le Sénat, il y a lieu
: « Toutefois, le ministre peut, après avoir pris l'avis du conseil
supérieur
des aliénés institué en vertu de l'article 15 c
hef sont nommés sur une liste de présentation dressée par le comité
supérieur
des aliénés. Les candidats inscrits sur cette l
de l'intérieur sur une liste de présentation dressée par le comité
supérieur
des aliénés et comprenant des candidats pris, p
en chef nommés sur une liste de présentation dressée par le comité
supérieur
des aliénés. Les candidats inscrits sur cette l
ment dans la famille ou sous l'influence de la famille n'est-il pas
supérieur
à tout autre ? Est-ce que, dans beaucoup de cas
diées à ce point de vue, telles que la muqueuse des voies aériennes
supérieures
, la conjonctive et le tympan, et l'anesthé- sie
ticke. Publications du « Progrès 2fÉDICAL ».-SiIT Jeanne des Anges,
supérieure
des Ursulines à Loudun, X I'll siècle. Auto-bio
qu'il sait toujours la position dans laquelle on place ses membres
supérieurs
, il a besoin d'un instant d'attention pour avoi
mme chez les sujets sains. Il n'y a rien d'anormal dans les membres
supérieurs
. Les pupilles sont égales, mais rétrécies. Elle
environ de liquide sanguinolent. La loge formée en bas par le plan
supérieur
du diaphragme, en haut par le poumon refoulé, e
que, les grands splanchniques , les pneumo-gastriques, les laryngés
supérieurs
droits et gauches, le récurrent droit et le phi,é
st pas de même pour les muscles placés sous la dépendance du facial
supérieur
et en particulier pour l'orbiculaire des paupiè
touché, la paralysie est presque joujours partielle et le facial
supérieur
reste indemne; tel n'est pas le cas DE LA PARAL
us petite vers la partie médiane et s'étendant à gauche à la partie
supérieure
de l'occi- pital. Front peu développé (avec nom
un mouvement circu- laire du pouce et de l'index'. Les extrémités
supérieures
et inférieures sont bien développées ; les main
ont quatre surtout sont assez larges, à la face externe et au quart
supérieur
de la cuisse droite. Le tissu cicatriciel est f
ebord costal; 2° que le dia- phragme remonte à droite jusqu'au bord
supérieur
de la quatrième côte ; qu'il est refoulé en bas
ieur oblique de bas en haut divisant entièrement le lobule pariétal
supérieur
; avant d'arriver à la scissure perpendiculaire
ssage à niveau allant de l'extrémité postérieure du lobule pariétal
supérieur
à la circonvolution de passage qui réunit le pl
r une sorte de scissure précentrale en se continuant avec un sillon
supérieur
qui divise presque entièrement la deuxième circ
terpariétale par un pli de passage à niveau reliant le pli pariétal
supérieur
au lobe occipital. - La scissure interpariétale
u ascendant oblique d'avant en arrière à travers le lobule pariétal
supérieur
; elle continue son chemin jusqu'au sillon occi
t de la frontale ascen- dante et parallèlement à elle sur sa moitié
supérieure
, on trouve une scissure profonde empiétant en h
avec celui de la frontale ascendante. Les deux scissures frontales
supérieure
et inférieure sont sinueuses, profondes. La fro
iaphragme. Le tracé moyeu donne la respiration thoracique. Le tracé
supérieur
, repré- sente la respiration diaphragmatique pr
rèt complet des respirations : Tout à fait à droite, Fig. 41. Ligne
supérieure
: fespiration diaphragmatique. Ligne moyenne :
leur état normal. Le tracé n° 43 nous donne, par la courbure
supérieure
, la respira- tion thoracique, et par la courb
isses toujours rap- prochées ainsi que le genou et l'un des membres
supérieurs
est élevé, servant en quelque sorte de balancie
SE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 437 l'incoordination motricedes membres
supérieurs
chez l'ataxique elle se distingue de l'incuordi
uvements, débutent par les jambes envahissent plus tard les membres
supérieurs
et vont en augmentant progres- sivement. La mar
che. - Un cas de parésie de presque tous les muscles de l'extrémité
supérieure
gauche à étiologie reniai - quable. - Deux cas
et même de violentes secousses, surtout prononcées dans le membre
supérieur
. En même temps parésie gauche. Intégrité des nerf
te optique. Paralysie des membres inférieurs. Parésie des membres
supérieurs
, surtout dans les extenseurs. Pas d'ataxie. Mouve
ectiforme suivi de paralysie des extrémités, surtout de l'extrémité
supérieure
du côté droit, avec aphasie mixte. Ceci persist
plusieurs jours des contrac- tions cloniques allant de l'extrémité
supérieure
à la paroi muscu- laire de l'abdomen du même cô
se de la moitié droite de la moelle cervicale inférieure et dorsale
supérieure
portant principalement sur la substance grise.
ndue de son parcours. L'animal possédait un oeil avec ses paupières
supérieure
et inférieure, une rétine, un corps vitré, deux
ité orbitaire ronde et grande limitée : en bas, par les maxillaires
supérieurs
, latéralement par les os malaires, en haut par
tement sur les renfle- ments que forment en arrière les maxillaires
supérieurs
. Ce sont eux qui, presque adossés, constituent
ornets du nez, du vomer, des intermaxillaires ; aussi le maxillaire
supérieur
est-il arrondi et non pointu en avant. Partie s
maxillaire supérieur est-il arrondi et non pointu en avant. Partie
supérieure
du maxillaire inférieur arquée en forme de croc
, M. Remak ne connaît pas de lésion cérébelleuse (issue du vermis
supérieur
et comprimant la valvule) dans laquelle on ait no
, rappelant le tétanos, mais en différanl et occupant l'extrémité
supérieure
d'une jambe. Sera publié en détail '. P. Keraval.
t. Après tout, est-ce que ces asiles étrangers, s'ils ne sont pas
supérieurs
aux asiles français, ne sont pas encore bien admi
avons trouvé quelques phénomènes d'engourdissement dans les membres
supérieurs
, dont les réflexes étaient devenus plus forts q
tabes. Dans un cas même nous avons observé la chute de la paupière
supérieure
droite, chez un malade dont les membres supérie
e de la paupière supérieure droite, chez un malade dont les membres
supérieurs
étaient fortement engourdis et certainement parés
, grisâ- tres et bistrées sur ce tronc ; jambonnées sur les membres
supérieurs
. Quelques taches palmaires et plantaires sans s
inférieurs, de juger s'il existe le signe de Romberg. Les membres
supérieurs
participent dans une certaine mesure à la paralys
re l'état général s'améliore et la para- lysie diminue. Les membres
supérieurs
recouvrent leurs mouvements ; la mar- che bien
souffler, et que Duchenne lui fit observer l'immobilité de la lèvre
supérieure
. L'acte du rire fut également trouvé singulier. D
lée et la cyanose y est assez fréquente. Etat actuel. Aux membres
supérieurs
, l'omoplate a son bord spinal dis- tant, à la v
us-claviculaire forme un méplat dont les dimensions verticales sont
supérieures
aux dimensions horizontales. Le bras, dont le b
l y arrive encore très bien lorsqu'elle est tenue en l'air. Membres
supérieurs
. Au niveau de l'extrémité inférieure de la cuisse
rvation relative des autres muscles. En ce qui concerne les membres
supérieurs
, il est survenu depuis 1889 quel- ques changeme
elles de MM. Le Noir et Be- zançon. En effet au niveau de la partie
supérieure
du bras, la circonférencequi était autrefois à
et en haut avec les pédoncules cérébraux qui émergent de sa partie
supérieure
, en bas et en arrière avec le bulbe rachidien qui
peut donc distinguer à la protubé- rance deux régions : une région
supérieure
ou pédonculo-protubérantielle, une région infér
tronc unique des filets de l'oculo-moteur commun qui émerge du bord
supérieur
de la protubérance ; elle atteint ces filets avan
faradisation de la région claviculaire dans la névrite des membres
supérieurs
. Je pose les rhéophores du côté opposé à l'affe
s, il faut se garder d'exciter pendant la faradisation de la région
supérieure
du cou, les nerfs accessoires de Willis et le f
le pouls de la carotide s'il s'agit de la faradisation de la région
supérieure
du cou. Le pouls de ces artères devient plus am
ide de béquilles, voient survenir des troubles trophiques du membre
supérieur
; il faut alors savoir reconnaître pour cause d
au toucher la sensation de deux noyaux durs ; le noyau cen- tral ou
supérieur
est le moins volumineux. L'inférieur ou périphéri
perceptibles. Par contre, le tibia surtout au niveau de son plateau
supérieur
est hypertrophié et élargi. Les craquements art
'ataxie sont au même point. Il a regagné de la force aux extrémités
supérieures
, comme en témoigne le dynamomètre qui marque 42
et objectives normales. Sueurs froides des pieds. Les extrémités
supérieures
n'ont pas la force normale. L'enfant ne peut se
artères spinales. Envahissement de la moelle dans la région dorsale
supérieure
. IL, 50 ans, marchand des quatre saisons, entre
membres inférieurs et la partie inférieure du tronc. Les membres
supérieurs
sont indemnes. Pas de phénomènes cérébraux : rien
. Sur les coupes transversales qui intéressent les régions lombaire
supérieure
et dorsale inférieure (jusqu'à la 8e racine env
omposée de très fines granulations réfringentes. - Région dorsale
supérieure
. Ici non seulement les lésions méningées et vas-
e cylindre-axes hy- Fia. 4. Coupe transversale de la région dorsale
supérieure
. Une partie de la cir- conférence postérieure d
and nombre. Il nous reste à signaler au niveau de la moelle dorsale
supérieure
, les altéra- tions, peu étendues d'ailleurs, qu
XIV, XV. Fra. 1. Coupe DE la moelle au niveau DE la RÉGION DORSALE
SUPÉRIEURE
. (Coloration au picro-carmin, grossissement 9 d
DE l'artère spinales antérieures, au NI- veau DE la région lombaire
SUPÉRIEURE
. (Double coloration, grossissement 60 diam.) A.
formé autour D'UN capillaire dans la PIE-MÈRE DE la RÉGION dorsale
SUPÉRIEURE
(hématoxyline, grossissement 90 diam.). En bas et
semblables à ceux que nous venons de décrire dans la région dorsale
supérieure
. Mais la lésion a beaucoup moins d'importance i
lésions dont il vient d'être question s'atténuent vers les régions
supérieures
de la moelle allongée, pour disparaître à peu prè
s ne varie pas, la pupille restant toujours couverte dans sa moitié
supérieure
. Langue non déviée. Comme la première fois, on
âleur du visage. Pas d'opistllotonos, ni de contracture des membres
supérieurs
: mais quand on soulève les deux membres inféri
il est agité de secousses rhylmi- ques qui occupent toute la moitié
supérieure
du tronc et les membres supé- rieurs. Rien n'
tenir. . La scène que nous venons de décrire n'occupe que la partie
supérieure
du tableau, dont les deux tiers inférieurs envi
e. Mais il existe de l'analgésie et de la Ihermo-anesthésie. Membre
supérieur
droit. Contact, chaleur, température sont conser-
it. Contact, chaleur, température sont conser- vés dans les parties
supérieures
du bras ; au-dessous d'une ligne oblique passan
a dissociation dite syringomyélique dans toute sa pureté. Au membre
supérieur
gauche, la ligne à partir de laquelle on constate
n'est sentie que vers le milieu du pli cutané moyen, à l'extrémité
supérieure
du pouce et de l'index. Membre inférieur droit.
la forme ni la nature de ce qu'on met entre ses doigts. Les membres
supérieurs
, placés dans l'attitude du serment, présentent
flexes tendineux sont normaux aux membres inférieurs et aux membres
supérieurs
. Aucun trou- ble de la marche, ni de la miction
ction, ni de la défécation. Tandis que sur les membres et la partie
supérieure
du tronc il n'existe que quelques poils fo- let
u rendre qu'incomplètement la différence de coloration de la partie
supérieure
de la partie inférieure du corps qui est tout il
bes (pl. 1). Pour se tenir en équilibre le malade reporte la partie
supérieure
du corps en arrière. L'équilibre est d'ail- leu
uments pour arriver sur la crête iliaque. Il en résulte que le bord
supérieur
du grand trochanter au lieu de correspondre au mi
at normal est en réalité au-dessus de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
. Nous pensons rejeter ici ce que M. Char- cot d
ANCHES 151 5 centimètres au-dessus de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
. Elle coupe en avant le pli de l'aine en son mi
t située à 5 centimètres au-dessus de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
et le milieu du pli de l'aine étant situé à env
isfaisante à l'autopsie ni dans l'envahissement des centres nerveux
supérieurs
, ni dans une thrombose ou embolie d'origine infec
e étendue relativement restreinte, au niveau de la région dor- sale
supérieure
. 2° Ces altérations consistent essentiellement
ntéressée ainsi que nous l'avons vu, au niveau de la région dorsale
supérieure
, les lésions sont de deux ordres : a) Les unes
ne étendue un peu moindre. La substance grise, dans toute la moitié
supérieure
de la moelle dorsale est creusée de cavités nom
urs, et que d'autre part le nombre des tubes malades dans la région
supérieure
de la moelle est beaucoup plus considérable qu'
à l'oeil nu, une déformation de l'organe occupant la région dorsale
supérieure
, depuis la 2e jusqu'à la 5e racine. Dans cette
vi. 42 Fig. 17. Coupe d'une veinule de la pie-mère (région dorsale
supérieure
). On voit qe- la tunique adventice de cette vei
ommeux qui occupe le cordon latéral gauche dans la moelle dorsale
supérieure
. .172 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ncipal, occupant une hauteur de il 3 racines dans la moelle dorsale
supérieure
, présente une sclérose diffuse delà substance bla
gures 7 et S). L'affaiblissement du muscle élévateur de la paupière
supérieure
est le second indice de la démence. Cet indice
sie de ce mus- cle se reconnaît à la position que prend la paupière
supérieure
par rapport à la pupille, c'est-à-dire que le l
NOMIQUES DE LA DÉMENCE APATHIQUE 181 pupille et en couvre la partie
supérieure
(1). L'observation est encore rendue plus facil
ies des deux muscles sus-nommés (du muscle élévateur de la paupière
supérieure
et du muscle orbitaire inférieur) pro- duit le
ment attaque tout d'abord les muscles qui se dirigent vers la lèvre
supérieure
, c'est-à-dire le muscle grand zygomatique, le p
nd zygomatique, le petit zygomatique, le muscle profond de la lèvre
supérieure
et le muscle élévateur de la lèvre supé- rieure
t un contraste plus ou ou moins tranchant entre le portrait mimique
supérieur
et inférieur du sujet. Le personnage couronné d
fé- rieur de la face, parésie des muscles élévateurs de la paupière
supérieure
(plus apparente à droite qu'à gauche), contract
n spasmodique du muscle frontal, du muscle élévateur de la paupière
supérieure
et du muscle sourcilier des deux côtés. La phot
lusieurs muscles fron- taux (le frontal, le sourcilier, l'orbitaire
supérieur
et le pyramidal du nez), dans les cas où il y a
uque el exagération considérable des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
. Mort des suites d'un érysipèle de la face. D
ans les différents segments des membres in- férieurs. Les membres
supérieurs
sont affaiblis également, mais il un degré beauco
xagérés aux quatre membres (sur- tout du côté gauche pour le membre
supérieur
). La trépidation spinale se pro- duit très faci
épaule. Réflexes tendineux toujours très exagérés, même aux membres
supérieurs
. La malade contracte un érysipèle de la face à
adhérences avec le périoste des vertèbres. Dans la région cervicale
supérieure
, le diamètre de l'organe est plus que dou- blé,
e consistance. La même lésion se poursuit jusqu'à la région dorsale
supérieure
. Dans la ré- gion dorsale moyenne, la moelle re
é- sentent de nombreux petits vaisseaux oblitérés. Région dorsale
supérieure
. Comme lésion importante dans cette région, il
. Sur les coupes transversales qui passent à la partie tout il fait
supérieure
de l'entrecroisement des pyramides, on voit que
augmentant d'intensité du côté de la moelle épinière. Dans les 2/3
supérieurs
, il existe une hypertrophie colos- sale des mén
r de la nuque avec douleurs irradiées dans le cou, dans les membres
supérieurs
. Les mouvements communiqués ou spontanés provoq
ralgiques, en mai 1891, survint subitement une chute de la paupière
supérieure
gauche, avec diplopie, sans déviation apparente
ent des piqûres de morphine. Puis apparut une paralysie des membres
supérieurs
et inférieurs gauches sans ictus. ' ' La para
ce, qui exige l'usage presque continuel de purgatifs. Aux membres
supérieurs
, rien d'anormal autre qu'une exagération très no-
raplégie spasmodique exagération des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
anesthésie dans le domaine du trijumeau gauche, a
quée d'adénite suppurée de l'ais- selle. Il prétend que sa paupière
supérieure
du côté gauche aurait commencé il tomber peu de
lentement. Le mouvement est bien revenu, surtout dans les mem- bres
supérieurs
; mais la marche est restée pénible. Actuelleme
s exagérés des deux côtés ; pas de trépidation spinale. Aux membres
supérieurs
, les réflexes du coude et du poignet sont très
e de cheveux. Eu juin 1891 survinrent des douleurs dans les membres
supérieurs
. C'étaient des douleurs sourdes et profondes qu
alade. Ces élancements avaient pour siège non seulement les membres
supérieurs
, mais aussi la partie supérieure du thorax. L
ur siège non seulement les membres supérieurs, mais aussi la partie
supérieure
du thorax. La malade ne peut spécifier si en mê
; les douleurs lancinantes augmentent d'intensité dans les membres
supérieurs
. La malade ne fait aucun traitement sérieux (fr
lète de l'oeil gauche faiblesse et douleurs dans les deux mem- bres
supérieurs
avec atrophie légère du côté gauche. Examen de
rnalc, dans les deux régions claviculaires et la racine des membres
supérieurs
. La pression, la percussion sur les apophyses é
sont limités à la moitié environ de leur étendue normale. Membres
supérieurs
. Il existe une atrophie musculaire évidente dans
la motilité.- - Tous les mouvements sont possibles dans les membres
supérieurs
(sauf les mouvements sus-indiqués des doigts de l
st tout fait nulle. Le sens musculaire est parfait dans les membres
supérieurs
; il n'y a pas la moindre ataxie, même les yeux
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les réflexes tendineux aux membres
supérieurs
(coudes et poignets) sont normaux. L'examen é
uche est complètement fermé par la chute paralytique de la paupière
supérieure
; le sourcil du même côté est un peu élevé. En de
de l'oeil avec rétrécissement de la fente palpébrale. La paupière
supérieure
se laisse soulever sans difficulté ; et l'on cons
'anormal maintenant du côté de la colonne vertébrale et des membres
supérieurs
: plus de douleurs du tout. Dynamomètre, 19 kilog
es jambes, les pieds, sans localisation plus précise. Les membres
supérieurs
sont absolument sains, mais il est à noter que le
des bras. Les réflexes tendineux sont toujours exagérés aux membres
supérieurs
. Les frictions mercurielles, qui avaient été su
quer que dans l'esquisse de Munich la facture est sur ce point très
supérieure
à la gravure du Louvre. On trouve dans celle-là l
l'excitabilité électrique des muscles n'est pas modifiée. La moitié
supérieure
du corps reste indemne, dans les cas non compli
à gauche, elle s'épuise au bout de 2 ou 3 secousses. Les membres
supérieurs
ne présentent aucun trouble du mouvement et de
ins complètement guéries ; des accidents légers du côté des membres
supérieurs
, tels que des raideurs passagères, une exaltation
seule l'exagération considérable des réllexes tendineux aux membres
supérieurs
pouvait mettre sur la voie d'une poussée méning
e avec troubles vésicaux. 1 ? xa- aération des réflexes aux membres
supérieurs
. Disparition de tous les acci- dents cérébraux.
bre inférieur droit. L'incontinence d'urine persiste. Aux membres
supérieurs
, la motilité est parfaite, la sensibilité est nor
euse. Un mois après, il eut une roséole intense sur toute la partie
supérieure
du corps ; puis des pla- ques muqueuses il l'an
es inférieurs s'ajoute un état spasmodique très évident des membres
supérieurs
, se traduisant par l'exaltation considérable de
al spasmodique. - L'exaltation des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
dans la pa- raplégie syphilitique n'a pas échap
s troubles vé- sicaux. Exagération notable des réflexes aux membres
supérieurs
; en un mot, tableau du labes dorsal spasmodiqu
u de rétention véritable; jamais non plus d'incontinence. Membres
supérieurs
. Le malade accuse une faiblesse et une légère dou
cuse une faiblesse et une légère douleur mal définie dans le membre
supérieur
droit, surtout l'avant-bras et la main. Ce- pen
rès grande des réflexes au coude clan poignet dans les deux membres
supérieurs
. Ces réflexes sont aussi forts que dans la sclé
ie ni la moindre perversion de la sensibilité objective aux membres
supérieurs
. Le réflexe massétérin semble fort ; mais on ne
d'une façon pathologique, tandis que pour les réflexes des membres
supérieurs
, cela ne fait pas de doute. Dans la sphère de
é aux membres inférieurs, même exagération des réflexes aux membres
supérieurs
. Les troubles vésicaux sont si légers, qu'ils m
ts de boue. Au réveil, il ressentait dans toute l'étendue du membre
supérieur
droit et dans la cuisse ainsi que dans le genou
du 2 août 88. Anesthésie complète et sous tous les modes du membre
supérieur
droit limitée en gigot. Au membre inférieur dro
e certaine instruction. Pressé de quitter la religion juive par ses
supérieurs
, il lutta longtemps avant de se décider à renier
veil il s'est trouvé paralysé de tout le côté gau- che. Les membres
supérieur
et inférieur raidis, contractures, et couverts d'
u côté gauche, mais moins fortement que la première fois. Le membre
supérieur
était surtout atteint. Il y avait une raideur a
re paralysie. Les membres paralysés sont contracturés, surtout le
supérieur
qui présente une sorte de raideur élastique.
, affaiblie dans tout le côté gauche à la douleur, abolie au membre
supérieur
. Anesthésie en manche de veste. (Fig. 31, 32).
nt des ailes en plus ou moins grand nombre, ou des pyramides à base
supérieure
, à pointe inférieure se confondant avec les dents
e série de malades les contractu- res se répartissent sur le membre
supérieur
du côté excité et sur le mem- bre inférieur du
s les résultats que nous avons obtenu jusqu'ici : Irritant le quart
supérieur
nasal de l'oeil droit nous avons vu que, l'ex-
; le visage a une expression morose et mécontente ; les extrémités
supérieures
sont fléchies à angle droit et ramenées vers le t
es et des pieds sont plus pâles et plus froids que dans les régions
supérieures
du corps. Les gencives sont ramol- lies. L'appé
ncon- trent une résistance considérable. 23-24. Herpès à la lèvre
supérieure
. 28-29. - - La malade urine sous elle. 1er se
avec segment infé- rieur occupé par un liquide purulent, et segment
supérieur
rempli de sé- rosités; clans la région de l'apo
faut reconnaître qu'on rencontre souvent chez eux des intelligences
supérieures
, des esprits merveilleusement équilibrés, des a
du XVIIe siècle, un homme d'un grand savoir et d'un esprit vraiment
supérieur
auquel nous devons plusieurs des institutions l
lie, la malade a été prise d'une faiblesse considérable des membres
supérieurs
, compliquée bientôt d'une atrophie musculaire gén
s rapi- SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 7 des dans le membre
supérieur
gauche. Dès les premiers jours d'avril, la mono
ue cette anesthésie ne respecte, en somme, que la face et la partie
supérieure
du côté droit de la poitrine; rappelez-vous qu'el
ains. Puis l'abolition de la sensibilité avait en- vahi les membres
supérieurs
, dans toute leur étendue, le tronc, et finale-
és depuis l'émergence de la 2e paire cervicale, jusqu'à l'extrémité
supérieure
du segment lombaire. Les cordons postérieurs étai
lombaire. Les cordons postérieurs étaient dégénérés dans la moitié
supérieure
du segment cervical ; il n'en restait plus de tra
en quelque sorte la moelle de part en part depuis la région dorsale
supérieure
à droite etcervicale supé- rieure à gauche, jus
des yeux. Paralysie incomplète de la 3e paire gauche (ptosis droit
supérieur
entièrement paralysé; droit interne moyennement p
paralysés : droit externe, grand oblique, petit oblique. Le droit
supérieur
et le droit interne sont sains. Quand on sollicit
en même temps que sont apparus du ptosis et de la diplopie. Membres
supérieurs
. Au dynamomètre : 20 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
onservés. Il n'existe pas de trépidation épileptoïde. Aux membres
supérieurs
les réflexes sont également conservés sans aug-
nt l'oculo-moteur gauche. 2. La syphilis cérébrale. v 3. Le tabès
supérieur
. En faveur de la première de ces hypothèses plu
que nous attribuons la cause de ces paralysies oculaires à un tabes
supérieur
. On constate assez fréquemment dans ces formes l'
le des tabétiques. Puisqu'il est incontestable que c'est à un tabes
supérieur
que nous avons affaire, il importe de se demand
oviforme, la tête du ra- dis étant située au niveau de l'extrémité
supérieure
de la phalange, endroit où la déformation est l
pa- reils. Donc il y a évidemment de l'amyotrophie des 111eInÚ7'eS
supérieurs
, amyolro- phie double, mais sensiblement plus c
légère enflure de la cheville et au niveau du métatarse il la face
supérieure
du pied. Le malade crut avoir all'aire il un no
ent (en ce temps ou peu après le début de l'amyotrophie des membres
supérieurs
), il le mettait naturellement sur le compte de so
use interne, nous de- vons mettre l'atrophie musculaire aux membres
supérieurs
, uniquement sous la dépendance des arthropathie
ement surje lit, les pieds légèrement déviés en dehors. Les limites
supérieures
de la paraplégie ne sont pas nettement dessinées
ic topographique de la lésion : d'une façon géné- rale, les membres
supérieurs
paraissent exclus de la paraplégie ; le ma- lad
ité, mais par leur dissociation même et la netteté de leur limite
supérieure
, ils éclairent précieusement le diagnostic du
omplète s'établit peu à peu à mesure qu'on remonte vers les parties
supérieures
, et bientôt les trois modes de sensibi- lité fo
trois modes de sensibi- lité font totalement défaut; vers la partie
supérieure
du thorax, on atteint Fio. 10. - Répartition de
- Répartition des troubles moteurs : Hémiparaplégie double à limite
supérieure
dé- nivelée : le bras gauche est parésié, le dr
tale.) Deux bandes d'hyperesthésie {pointillé) surmontent la limite
supérieure
de l'anesthésie. pace intercostal ; puis, si on
au de la tre côte ? " ' - " La sensibilité tégumenlaire des membres
supérieurs
est intacte; celle du cou et de la face né prés
l'opisthotonos de la nuque n'a pas diminué. La parésie. des membres
supérieurs
a gardé les mêmes caractères; les mouvements so
culaires de surface sont très congestionnés, surtout dans la région
supérieure
de la moelle. A la hauteur des premières racine
c le cou- teau d'autopsie : elle porte sur le milieu de l'adhérence
supérieure
, c'est- à-dire au niveau de la tuméfaction maxi
ous ne décrirons donc en détail que l'une d'elles, la tumeur gauche
supérieure
, par exemple, nous réservant d'a- jouter pour s
antéro-postérieur de 1.4 millimètres; cette aire est par conséquent
supérieure
à celle du renfle- ment cervical. La forme de
ieure (P1.1,8, ' coupe 119) pour se continuer enfin, vers la partie
supérieure
, en un pro- longement de simple infiltration em
lle on' aperçoit t quelques globules sanguins. - Dans les régions
supérieures
, situées au-dessus de la gomme, l'artère a retr
nappe située sous la tunique interne. V. Tumeurs. 1° Tumeur gauche,
supérieure
. -A l'oeil nu, ou a un fai- ble grossissement,
IX 5 66 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les extrémités
supérieure
et inférieure de la gomme permettent de surpren
arties centrales périépendymaires et commissurales, même à un étage
supérieur
à celui de la tumeur elle- même, indique bien q
e, inférieure. La description que nous venons de donner de la gomme
supérieure
, s'applique presque intégralement à l'autre tum
s deux, le gauche dans son tiers inférieur, le droit dans son tiers
supérieur
(Fig. 15). Les coupes de cet étage sont remarqua-
d'or; cette dégénérescence ne se poursuit pas loin; dans nos coupes
supérieures
nous n'en retrouvons plus trace. Les autres fai
s cellules de la colonne de Clarke sont appa- rentes sur les coupes
supérieures
, colorées par la méthode d'Azoulay ; elles font
ll, l'étage des tumeurs; en revanche, si on exami- nait les régions
supérieures
du domaine paraplégie, les surfaces cutanées du
apercevoir leur noyau et leur nucléole. Sur les coupes de la partie
supérieure
de la moelle dorsale, on voit la pie-mère épais
u sans nystagmus ; chez le 2c il existait de l'athétose des membres
supérieurs
. Deux enfants avaient des crises qui rappelaien
nation forcée, tout cela indique une violente contracture du membre
supérieur
, sans doute observée sur le vif et rendue avec
ité spasmodique qui va en s'allé- nuant de plus en plus aux membres
supérieurs
, de telle sorte qu'à l'âge de 4 ans ceux-ci doi
tout la nuit, au point de le réveiller. Puis, chute de la paupière
supérieure
gau- che ; lorsqu'elle se relève il voit double
Les dents qui restent offrent l'aspect suivant. L'incisive médiane
supérieure
droite offre la configuration générale dite en
tre, le malade les soulève difficilement. Les muscles des membres
supérieurs
ne sont pas atrophiés, toutefois la force muscu
mais très vraisemblablement causée par quelque dépôt sur la région
supérieure
de la moelle et ses membranes. La lésion comprima
e 4 mois, atteinte 3 jours auparavant d'une pa- ralysie des membres
supérieurs
qui avait débuté subitement. « Les bras relevés
que par le compte rendu ci-dessus. (3) BAnnE. Paralysie des membres
supérieurs
chez une petite fille atteinte de sypliilis hér
use de l'inintelligibilité de la parole, de la parésie des membres'
supérieurs
et de l'augmentation du volume du ventre due à du
ntractilité dans la zone du facial est aussi normale. Les membres
supérieurs
sont étendus,rigides,sans atrophie musculaire e
riens sont diminués. Le réflexe abdominal est forint. Aux membres
supérieurs
, les réflexes tendineux sont augmentés, il y à
iège et sur lesquelles nous reviendrons. Rien du côté des membres
supérieurs
. Il arrive parfois à la malade de laisser échap
e permet pas de juger de leur exacte confi- guration. Les membres
supérieurs
sont normalement conformés et sains. Il n'en est
férer que les membres inférieurs ont subi, relativement aux membres
supérieurs
, un véritable arrêt de développement. Tronc. Cy
t de développement. Tronc. Cyphose très marquée à la région dorsale
supérieure
, arrondie, sans saillie ou pointe d'uue vertèbr
rieure du tronc est parse- mée de cicatrices. A la région dorsale
supérieure
, 2 cicatrices étoilées de cautères anciens. A l
qui affecta d'abord les extrémités inférieures puis les extrémités
supérieures
; de sorte que la malade fut forcée de rester cou
avaient été pro- duits par une gomme placée au-devant des vertèbres
supérieures
et comprimant la moelle ; ils, disparurent aprè
re de la dent. Il existe de l'atrophie cuspidienne des deux canines
supérieures
. « En bas, les trois premières molaires et les
ysie complète des membres inférieurs tendant il envahir les membres
supérieurs
, due il des manifes- tations qui doivent être r
pris d'une façon in- tense et presque exclusive comparativement aux
supérieurs
et, dans l'hypothèse d'une lésion unique, il es
e risque de souiller ses vêtements. La force musculaire des membres
supérieurs
et inférieurs est normale ; pas d'atrophie musc
l autre par des phénomènes d'asphyxie symétrique des .,5 extrémités
supérieures
. - Marius R... nous a donné quelques renseignem
losse ou des nerfs du voile du palais. Mais l'impotence des membres
supérieurs
et la localisation toute parti- culière de la p
gauche et des membres inférieurs. Il avait un ptosis de la paupière
supérieure
de l'oeil droit avec strabisme externe. Elle parl
ne fut qu'au bout de six mois que ceux- ci revinrent dans le membre
supérieur
gauche, progressivement, on commen- çant par le
rg). Les réflexes rotuliens sont abolis des deux côtés. Les membres
supérieurs
exécutent des mouvements coordonnés. Le bras droi
articulier a noter si ce n'est l'état de ses dents. - 1° Mâchoire
supérieure
Incisive médiane gauche : sillon profond transver
esmembres inférieurs et d'une parésie de mème natu re des mem- bres
supérieurs
. La sensibilité était à peu près intacte; il exis
A MOELLE ÉPINIÈRE 139 Là encore la lésion siégeait dans les parties
supérieures
de la moelle, peut-être dans le bulbe. De plus
nystagmus des deux globes dans les mouvements extrêmes. La mâchoire
supérieure
est asymétrique. A gauche, il manque les incisive
r bord libre. Sillons transversaux moins accentués qu'à la mâchoire
supérieure
. La canine gauche est déformée ; la droite est
ontinence d'urine permanente et constipation opiniâtre. Les membres
supérieurs
sont indemnes de phénomènes paralytiques ; les ré
douloureux, aucune déforma lion ! locale. Rien du côté des membres
supérieurs
; les pupilles sont normales. Le mari de Mme X.
ions dentaires très spéciales. Les incisives médianes et latérales,
supérieures
et inférieures, sont striées, déformées, leur b
uce ; il a du reste gardé sa forme biconcave habituelle ; sa partie
supérieure
paraît ne pas avoir été touchée ; son corps, peut
bes. La sensation de froid, moins facilement accusée qu'aux membres
supérieurs
, est néanmoins rapidement perçue. Il y a un cer
arrière même si on lui oppose une résistance assez forte. Membres
supérieurs
. Assez bien musclés. , Ils ne présentent rien d
ulature externe dénote pour l'oeil gauche, une paralysie de l'oblique
supérieur
caractérisée par un strabisme permanent et qui
toujours ouverte, aux dents généralement mal plantées, à la lèvre.
supérieure
trop courte et trop épaisse, leur nez camus suint
grossière, pourvue d'une forte mâchoire inférieure débordant sur la
supérieure
, repose sur des épaules carrées. Les jambes très
sonnage. - Le torse est la partie la plus intéressante. La région
supérieure
présente une double gibbosité, dorsale et thora-
arc- boutant destiné à maintenir la stabilité de toute la partie
supérieure
du corps. Cette attitude n'est pas sans analogi
ue, pas plus que la seule extrémité qui soit conservée. Les membres
supérieurs
n'offrent rien d'anormal. Le bras droit est pres-
lièrement difficile, nous sommes arrivés il obtenir une moyenne peu
supérieure
à la normale. Une recherche particulière a été
mmée de la scissure pariétale avec le sillon occipital longitudinal
supérieur
rien de particulier n'a été constaté à droite.
t dé- veloppée et donne.une incision profonde dans la circonférence
supérieure
cérébrale. Comme le montre très distinctement
latéraux et inférieurs. Le passage de la circonvolution occipitale
supérieure
il la circonvolu- tion pariétale supérieure est
rconvolution occipitale supérieure il la circonvolu- tion pariétale
supérieure
est resté intact, tandis que le passage de la cir
ions, tandis que la partie postérieure, qui correspond à la surface
supérieure
du lobe détruit, est transformée en tissu conjo
gauche (y compris le lobe frontal et la circonvo- lution pariétale
supérieure
)on constate une diminution des fibres etcellules
L'atrophie du pédoncule cérébral gauche et du pédoncule cérébelleux
supérieur
droit s'explique par l'atrophie de l'hémisphère g
e lobe temporal ait contribué à l'atrophie du pédoncule cérébelleux
supérieur
, car eu égard il une destruction aussi considér
al et les' fibres plus médianes avec les circonvolutions temporales
supérieures
. , Kam donne le nom de « fascicule or(il » à la
est-à-dire les libres latérales dans les circonvolutions temporales
supérieures
et les mé- dianes dans les circonvolutions de p
ent été fatigués. La malade n'a presque plus de dents à la mâchoire
supérieure
, elle les a perdues, ou hrisées, en mordant le
s signification particulière, à l'exception de la première incisive
supérieure
droite qui est érodée en coup d'ongle à son bord
Déplus, les fontanelles nous paraissent mal ossifiées. Les membres
supérieurs
sont dans leur totalité extrêmement réduits : c
ns les membres inférieurs, nous voyons reparaître comme aux membres
supérieurs
le processus atrophique, généralisé et d'autant
MOMIE » (Face.) G. MASSON, Editeur UN « HOMME MOMIE » (Membre
supérieur
.) G. MASSON, Editeur UN « HOMME MOMIE » Pho
cuité visuelle, sans diplopie ni strabisme, ni ptose de la paupière
supérieure
. La plante du pied gauche est légèrement Ityper
des manifes- tations de l'incoordination des membres inférieurs et
supérieurs
. Les au- teurs de l'article « Paralysie général
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE dinalion el celle des membres
supérieurs
; de plus chez B..., on ne cons- tate pas de tr
l'un de nous constatons une tuméfaction occupant la face externe et
supérieure
de la cuisse gauche. Cette tuméfaction est glob
tal le 12 septembre. . Une tumeur énorme siège à la face externe et
supérieure
de la cuisse gauche. Elle a son point culminant
ion (PI.XLII)(1). La base de celte tumeur occupe toute la hauteur
supérieure
de la cuisse, donnant à celle-ci un élargisseme
ité qu'elle communique avec l'article coxo-fémoral et que la partie
supérieure
du fémur est atrophiée. , Consécutivement, il y
avaient été produits par cette gomme placée au-dévant des vertèbres
supérieures
et comprimant la moelle. » Dans le cas de Mon
en voie de guérison. Cicatrite ancienne adhérente il l'os, au tiers
supérieur
de la cuisse gauche. Abcès de la malléole interne
Au contraire la structure des parois de ce vaisseau dans la partie
supérieure
de la moelle dorsale est normale, il part une i
ont surtout affectés au niveau de la partie moyenne et de la partie
supérieure
de la moelle dorsale alors que dans les autres
apercevoir leur noyau et leur nucléole. Sur les coupes de la partie
supérieure
de la moelle dorsale on voit la pie-mère épaiss
ire surtout sur les cordons postérieurs pour atteindre à la portion
supérieure
de la moelle dorsale leur plus forte étendue, e
isolée mais aussi, dans le cas où la lésion est limitée, les faces
supérieure
et in- férieure de la tumeur pénètrent dans des
ns les parties voisines. C'est ainsi que dans les coupes du segment
supérieur
à celui où se trouve la gomme, on note que les
et en dedans du moignon de l'épaule, entre la clavicule et le bord
supérieur
de l'omoplate. Ici encore, on peul faire toutes
ysie des sphincters, ainsi que le retour de la motilité aux membres
supérieurs
; voire que déjà quelques légers mou- vements é
elle ne présente pas de modi- fications qualitatives. Aux membres
supérieurs
les réactions électriques sont normales. Voyons
ua. Les membres inférieurs furent envahis d'abord, puis les membres
supérieurs
. Aux crampes dans les mollets succédèrent des c
des nerfs exaspérait ces douleurs. La paralysie envahit les membres
supérieurs
. Il n'est pas dit qu'il s'y associa de l'atroph
ne jusqu'aux lèvres ; dans certains cas il reste limité aux membres
supérieurs
. Sa durée est variable. Les auteurs anciens sur
représentant des vaisseaux de nouvelle formation. Région dorsale
supérieure
. - Même aspect que *ci-dessus. Nulle trace de m
est aussi presque uniquement formé, tbrombus blanc. Région lombaire
supérieure
. On reconnaît assez nettement la substance blan
orgés de sang et distendus. Le sinus latéral, le sinus longitudinal
supérieur
atteignent les dimen- sions du petit doigt d'un
près les dimensions par une ligne plus foncée. A la région dorsale
supérieure
la cavité du canal rachidien est envahie pres-
le sépare sa face superficielle de la face profonde de la cou- clic
supérieure
. Ainsi se trouve limitée une sorte de sillon de p
e celle de l'intervention ; cependant le siège du mal à la par- tie
supérieure
du dos, près de la base du cou, peut laisser supp
lie avec anesthésietotate, par le professeur P. Raymond, 5. Tabes
supérieur
avec conservation des réflexes (un cas de), par
éral avec dissociation sy- ringomyélique, 49. LENOBLE (E.). Tabes
supérieur
avec con- servation des réflexes, 17. LONDE (
essé, peinture murale de Pompéi, VII. Faciès dans un cas de tabes
supérieur
, III. Gommes syphilitiques de la moelle (cou-
érie. Onze possédant le serti- ficat d'études, forment une division
supérieure
, ne vont it l'école qu'une demi-journée par sem
lève. cxxxiv Traitement 71 ! I : : DICO-P¡ : : DAGOGIQUE, membres
supérieurs
. On élève et on abaisse simultané- ment les bra
, comme Georges '1`..., par suite de la malformation de la mâchoire
supérieure
et d'une dentition anormale frappent à tout ins
d'une dentition anormale frappent à tout instant les inci- sives
supérieures
trop développées, de la pointe de la lan- gue e
d'un mont, il y a une vallée. Cette dépression sépare l'extré- mité
supérieure
des grandes lèvres qui ne se rejoignent pas. Le
4 et 89 mm. en moins. Puberté : Fin duvet aux extrémités delà lèvre
supérieure
; rien à la lèvre inférieure ni au menton, niaux
5 à son âge, 19 ans). (Fig. 25 et 26.) Puberté (15 l11n). - Lèvre
supérieure
, moustache nais- sante, blonde. Lèvre inférieur
sous les aisselles. Seins nuls. Une dizaine de poils à l'extrémité
supérieure
des grandes lèvres, formant de cha- que côté un
ongs, bouclés, très abondants, surtout au niveau de la com- missure
supérieure
des grandes lèvres, allant jusqu'aux aines, 40
te un prognathisme du maxillaire supé- rieur net. L'arcade dentaire
supérieure
dépasse l'inférieure d'un centimètre environ. L
au du cartilage thyroïde, 26 cm. Glande thyroïde normale. Membres
supérieurs
réguliers, un peu maigres. Léger duvet sur les
tiers interno du 3e espace intercostal. 1/icrosphyynie. - Membres
supérieurs
sans saillie muscu- laire ; la peau en est doub
t serrées et obliquement dirigées en haut et en arrière. A l'arcade
supérieure
, les dents sont ou informes ou cariées, ou abse
té. Etat glabre de tout le corps, sauf un duvet naissant à la lèvre
supérieure
. Duvet égale- ment sur les jambes. Pénil, deux
ite noix. Périnée : quelques poils. Pas d'appétit sexuel. Membres
supérieurs
, gros, courts, doublés d'un pannicule adipeux a
nce. 1901. Juin. - Puberté. Duvet fin ombrant légèrement la lèvre
supérieure
. Le reste du visage est glabre.- Poils lins, pe
4 cent. Les deux lèvres sont mal dessinées, épaisses. - La lèvre
supérieure
est un peu plus épaisse que la lèvre inférieure
: Circonférence 0,26. Corps thyroïde à peine sen- sible. Membres
supérieurs
: de forme, d'attitude, de volume nor- maux. Jo
ssez épais. Aucune saillie mus- culaire n'est dessinée. Les membres
supérieurs
s'effilent ré- gulièrement de leurs racines à l
- sente qu'un léger duvet sur les membres inférieurs. Les membres
supérieurs
, les aisselles, le thorax et l'abdomen sont gla
s très ogivaux. Atrésie considérable de la voûte, d'où prognathisme
supérieur
et chevauchementdes dents de l'arcade dentaire
ent de l'atrophie cuspidienne. Le con est très court. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont bien confor- més et ont un v
s de l'oreille, voûte et voile du palais très ogivaux, prognathisme
supérieur
. Le faciès de l'enfant est vieillot, il parait
sont peu marquées. Le pannicule adipeux est notable. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont grêles, les saillies muscula
Gland pointu, avec trace du sillon sur la ligne médiane de la face
supérieure
(le la base du gland au méat. Léger épispadias.
petite olive. Une vingtaine de poils au-dessus de la commis- sure
supérieure
des grandes lèvres. D'où infantilisme. OBS. XXX
infantilisme partiel : poils rares (plutôt du duvet), sur la lèvre
supérieure
, petitesse notable des testicules en désharmoni
l)04. - Juin. - Puberté. -Fin duvet commençant à om- brer la lèvre
supérieure
, rien à la lèvre inférieure ni sur les joues. A
isposition nous ne retrou- vons d'anomalies qu'à la région incisive
supérieure
. Là, en effet, les deux incisives médianes semb
importance et due à l'irrégularité d'évolution, l'incisive centrale
supérieure
droite en rétroversion et se plaçant derrière l
gulières. Région anale, normale. Organes génitaux et puberté. Lèvre
supérieure
, léger duvet. Lèvre inférieure, joues, menton,
e : longueur cinq centimètres sur 8 cm. de circonférence. Membres
supérieurs
. Leur attitude, leur mobilité, sont nor- males.
t est jouf- flu, ce qui rajeunit celui-ci. Léger duvet à la lèvre
supérieure
, sur les joues ; quelques poils follets sous le
férieure du pénil, 6 cm. sur 4 cm., formant une boucle il la partie
supérieure
des gran- des lèvres, assez grosses et larges.
st normalement conformé. Il est cependant un peu étroit à sa partie
supérieure
. Les côtes présentent une goutière verticale pr
aires sont peu épaisses. Le bassin est peu développé. Les membres
supérieurs
sont longs et grêles, les masses musculaires pe
nt bien conformés. Pas d'onychophagie. Le squelette des mem- bres
supérieurs
ne présente pas d'anomalie. La sensibilité au t
nifeste mal ses sensations. Les me)nh)'GS inférieurs sont comme les
supérieurs
longs et grêles. Les articulations en sont norm
es pieds sont un peu cyanosés. Les mouvements spontanés des membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux. Il en est de même d
t très arrondi à sa partie inférieure, et plutôt étroit à la partie
supérieure
. L'étroitesse du front contraste singulièrement
Arcades sourcillièrc; saillantes, sourcils peu abondants. Paupière
supérieure
épaisse, baume. - Cils noirs, bien implantés. -
res épaisses, ' l'inférieure surtout qui est en léger ectropion. La
supérieure
est mal dessinée et présente un léger duvet.
en sont dissimulées par un épais pannicule adipeux, - Les membres
supérieurs
sont de forme normale, mais recouverts d'un épais
nt le pli inguinal. Ombilic très déprimé. Bassin large. , Membres
supérieurs
: adipose très marquée. Membres xi ouf DE QUE
rien de particulier. Lobule soudé. Fente buccale symétrique. Lèvre
supérieure
mince, en ectropion léger, fait saillie en haut
voile du palais. - Luette et amygdales normales. - Progna- thisme
supérieur
. Le menton est fuyant, en retrait, possède une
ettant la totalité de l'index. Périnée glabre ainsi que les membres
supérieurs
et infé- rieurs. - Règles d'abondance moyenne.
ce moyenne. Aucun trouble de la sensibilité générale. Les membres
supérieurs
ne présentent rien de particulier au point de v
26 centimètres. Corps thyroïde difficilement appréciable. Membres
supérieurs
volumineux, épais pannicule adipeux. Brièveté d
olumineux, épais pannicule adipeux. Brièveté des segments du membre
supérieur
. Membres inférieurs courts, adiposc exagérée. S
rcillières, très en retrait sur les bosses frontales. Les paupières
supérieures
et inférieures sont accolées et ne se relèvent
en physiologique. Les dents sont au com- plet ; à l'arcade dentaire
supérieure
, elles sont très espacées. Menton petit. -;Orei
hérent. Audition bon- ne. - Cou circonférence, 24 cm. Les membres
supérieurs
et inférieurs n'offrent rien d'anor- mal dans l
isse et moins longue. La bouche est constamment entr'ouverle. Lèvre
supérieure
épaisse, relevée, surmontée de deux plis naso-l
ion complète. Dents de forme nor- male. Les deux premières molaires
supérieures
sont hors rang, saillantes en dehors. Pas de pr
périeures sont hors rang, saillantes en dehors. Pas de prognathisme
supérieur
ni inférieur. Menton saillant par l'adipose,
nton. Le cou est délimité par des plis de peau profonds à sa partie
supérieure
et à sa partie inférieure. Corps thyroïde perce
e péripilaire sur la peau des membres. (Fig. 32, 33, 34). Membres
supérieurs
. D'un gros volume, ils vont en s'efii- lant pro
e de la région sacrée qui a la forme d'un triangle isocèle à base
supérieure
. Aux deux extrémités de la base, c'est-à-dire a
cela se rencontre souvent, immédiatement au-dessus de la jonction
supérieure
des grandes lèvres. Quelques poils sur les gran
tête enfoncée dans les épaules est inclinée en avant. Les membres
supérieurs
sont longs, amaigris ; l'extré- mité inférieure
roite mais moins marquée que la courbure dorsale. Toute la partie
supérieure
du tronc est inclinée à droite (Fig. f0) et les
crête iliaque correspondante. Bassin. - Élargissement du diamètre
supérieur
. Membres supérieurs. - Humérus légèrement incur
spondante. Bassin. - Élargissement du diamètre supérieur. Membres
supérieurs
. - Humérus légèrement incurvé ! ; arti- culatio
bien prononcées, ainsi que le montre le résumé ci-après : Membres
supérieurs
un peu gros, n'apparaissant pas de prime abord
du globe oculaire, qui cependant est bien recouvert par la paupière
supérieure
. Motilité normale ; pas de nystagmus. Iris bleu
ent., hélix ourlé dans toute sa longueur, haut surtout iL sa partie
supérieure
, entre laquelle et la partie moyenne il y a mêm
musi- cale, mais l'enfant aime la musique et le chant. , Membres
supérieurs
suffisamment développés. Mains assez petites, r
up plus petit que le droit, sclé- rosé et présentant dans sa partie
supérieure
des tubercules disséminés. - Poumon droit volum
niveau du pli courbe, des circonvolutions frontales et pariétales
supérieures
, du lobule paracentral. Elles sont Nanisme mong
ès régulier, dans une situation nor- male par rapport au maxillaire
supérieur
.- Les oreilles sont petites, symétriques. Leur
ncerne le foie et la rate. La région anale est normale. Les membres
supérieurs
sont de forme régulière. Leur volu- me est le m
Partout elle s'enlève facile- ment. - Au niveau de l'union du tiers
supérieur
de la F. A. avec son tiers moyen, la pie-mère p
e de la pyramide pétreuse du rocher et le clivus (plan de la face
supérieure
de l'apophyse basilaire). Voici les valeurs de
phénoïde. Les deux versants latéraux qui se continuent avec la face
supérieure
des grandes ailes ont des inclinaisons différen
oir le bec de cette circonvolution a un développement notablement
supérieur
du côté sain ; il est parfaitement appréciable à
e la pression cérébrale a produit un véritable renversement du bord
supérieur
du rocher en même temps qu'un léger tassement d
lique cette façon d'interpréter les faits à des anormaux d'un degré
supérieur
; 1 Avant de terminer, signalons une modificatio
ineuses; pas de végétations adénoïdes. Pro- gnathisme du maxillaire
supérieur
avec les dents très serrées et quelques caries;
astication normale. Menton rond, sur le même plan que le maxillaire
supérieur
. Oreilles normalement implantées, un peu écarté
Cou : circonférence, 2R centimètres. Corps thyroïde normal. Membres
supérieurs
. - Le membre supérieur gauche est atrophié, les
centimètres. Corps thyroïde normal. Membres supérieurs. - Le membre
supérieur
gauche est atrophié, les masses musculaires ont
ose. Sur les mains, les mêmes taches que sur le visage. - Le membre
supérieur
droit est normal. Membres inférieurs . - Le mem
res inférieurs . - Le membre inférieur gauche est atrophié comme le
supérieur
, aussi bien dans sa longueur que dans son volum
sont à peu près semblables. Organes génitaux et puberté. - La lèvre
supérieure
, la lèvre in- férieure, les joues, le menton, s
le gauche est plus petit ; périnée et anus, gla- bres ; les membres
supérieur
et inférieur droits, glabres; les mem- bres sup
; les membres supérieur et inférieur droits, glabres; les mem- bres
supérieur
et inférieur gauches, recouverts d'un léger duvet
pariétale ascendante dans son entier. Celle-ci. les plis pariétaux
supérieur
et inférieur et le pli courbe pourraient être con
: 262 ) Absence DU CORPS calleux. plis pariétaux inférieur P2 et
supérieur
P1 et le pli courbe, demi- cercle qui encadre l
hémiplégie gauche (fig. 66) est nettement caracté- risée. Au membre
supérieur
les mouvements spontanés sont à peu près nuls ;
). Souvent elle État DE MAL épileptique. 267 s'élève à un chiffre
supérieur
. D'autres fois, après la période convulsive, ap
vie au grand air, travail manuel, etc.) qui produit des résultats
supérieurs
à toute intervention. » Nous acons toujours com
ur l'aile droite du nez, tuméfaction assez considérable de la lèvre
supérieure
. La déchéance s'affirme de plus en plus. Le mêm
ger nystagmus, cécité. Hémipa- résie gauche. Contractures du membre
supérieur
gauche. Description des convulsions. Puberté. -
La boue/le est petite, les lèvres sont un peu épaisses surtout la
supérieure
qui porte une ulcération à son milieu. Le palais
obule épais. L'oreille gauche est mal ourlée surtout dans sa partie
supérieure
où elle est aplatie. Le cou court st le siège d
permanente, Le corps thyroïde n'est pas appréciable. Les membres
supérieurs
et intérieurs sont d'apparence normale du côté
les mouvements. Il existe une hémiparésie du côté gauche. Le membre
supérieur
est contraclteré mais non d'une façon permanent
Le thorax arrondi présente une saillie assez prononcée iL sa partie
supérieure
. Le rythme respiratoire est régulier. Le coeur
ements spontanés se font difficilement à gauche et pour le membre
supérieur
, reniant s'aide avec le membre sain. Les mouve-
ve chez l'enfant des secousses assez fréquentes soulevant le membre
supérieur
gauche. En même temps, la tête est portée en av
érieurs en demi flexion ne peuvent être redressés. Les membres tant
supérieurs
qu'intérieurs paraissent absolument dépourvus d
térieure. Il n'existe pas de contracture au membre droit. Le membre
supérieur
gauche est le siège d'une demi contracture et l
uche est le siège d'une demi contracture et l'extrémité articulaire
supérieure
du radius est luxée sur le condyle de l'humérus
edéprimée vaguement triangulaire àsommet mousse inférieur et à base
supérieure
le remplace. La base à 3 centimètres environ et
ère cérébral droit de Veyr..., (p. 228 et 243). PLANCHEIV. Face
supérieure
de l'encéphale de Perr ? " (p. 245 et 247). Pla
circonvolutions sont extrêmement atrophiées. - P', lobule pariétal
supérieur
. - P2 lobule pariétal inférieur. - LO, lobe occ
la maladie provoque justement des troubles des fonctions psychiques
supérieures
. Le célèbre connaisseur du cerveau humain M. le
OCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 15 grandes apophyses
supérieures
coniques, dirigées la pointe en avant et située
res coniques, dirigées la pointe en avant et situées dans la moitié
supérieure
de la septa pellucida, et les petites apophyses
, émoussé, large de 3 millimètres, d'où, si l'on presse sur le bout
supérieur
, se dé- clenchent deux petits canifs avec leurs
lis cerebri, pour ne pas léser le sinus longitudinal par la surface
supérieure
du cerveau vers en bas et un peu vers le dedans.
he (section droite inférieure X. vers en bas à droite, section gauche
supérieure
X.) 1. Fornix. 2. Nucl. caudatus. ' 3. Nucl
sversale complète de la moelle, dans la région cervicale ou dorsale
supérieure
, l'homme est atteint t de paraplégie spasmodiqu
orragie détruit toutes les fibres capsulaires desti- nées au membre
supérieur
, par exemple, la paralysie consécutive se montr
specte quelques-unes des fibres capsulai- res destinées aux membres
supérieurs
, la paralysie n'envahira pas au même degré tous
personnelle ou non, elle ne fait que constater un fait : au membre
supérieur
la contracture se fait en flexion parce que les
s cas chez l'adulte, la contracture se produit en flexion du membre
supérieur
et en extension au membre inférieur, car est cu
tat actuel : Motilité : Pas de paralysie de la face, ni des membres
supérieurs
, ni du membre inférieur droit. Le membre inféri
diagnostic posé, pendant la vie, de lésion de la région rolandique
supérieure
, est confirmé par la constatation d'un foyer de r
al (Parc). A ce niveau (fig. 1) la nécrose a détruit : 1° la partie
supérieure
, la pointe seulement,de Pa ; 2° une plus grande
a ; 2° une plus grande étendue de Fa, non seulement son ex- trémité
supérieure
, mais encore sa face antérieure, dans le sillon q
noplégie crurale. FiG. 1. - Coupe horizontale passant par la partie
supérieure
des circonvolutions rolandiques. Fic. 2. - Co
r qui correspond à la projection des fibres de la région rolandique
supérieure
. Mais déjà dans la partie supérieure de la caps
fibres de la région rolandique supérieure. Mais déjà dans la partie
supérieure
de la capsule interne on ne distingue plus, ave
, 'zone qui livre passage aux fibres de pro- - jection de la partie
supérieure
de la zone corticale psycho-motrice. La figure
Quant à la raréfaction des fibres du cordon de Goll dans la partie
supérieure
de la moelle, on sait qu'elle s'observe fréquemme
ticale des mouvements du membre inférieur dans la région rolandique
supérieure
. Depuis longtemps d'ailleurs ce fait est établi
ernière a été faite Fiu. 5. Renflement cervical. FIC. 6. - Partie
supérieure
du renflement lombaire. MONOPLÉGIE CRURALE ET
iner une paralysie motrice du membre infé- rieur sans que le membre
supérieur
participe à l'hémiplégie. Cette forme clinique
égions corticales et sous-corticales les zones motrices des membres
supérieur
et inférieur sont anatomiquement et physiologiq
deux cas on observe une paralysie mo- trice simultanée des membres
supérieur
et inférieur ; la face peut même participer à l
cences secondaires consécutives à la lésion de la région rolandique
supérieure
: bien visibles en effet avec la méthode de Wei
de l'hémisphère cérébral droit, n'ayant laissé intact que le tiers
supérieur
des circonvolutions ro- landiques. Répartition
être interrogée. Elle présentait une diminution de volume du membre
supérieur
gauche, plus marquée à l'avant-bras et à la mai
née. Le diagnostic à appliquer à cette atrophie partielle du membre
supérieur
gauche avait paru incertain et dans les notes d
lisation des lésions. Les coupes horizontales passant par la partie
supérieure
de l'hémisphère montrent des circonvolutions ay
e même coupe horizon- tale (fig. 8) : en avant la région thalamique
supérieure
, en arrière le com- mencement de la région sous
eure. B. Dégénérescences et atrophies secondaires. Dans la partie
supérieure
de l'hémisphère, au-dessus de la cavité kystique,
lacement ; 1 2° Que les fibres de projection provenant de la partie
supérieure
de la région rolandique (lobule paracentral et
. Plus bas, dans la région sous-thalamique et jusque dans la partie
supérieure
du pédoncule' cérébral, les fibres du segment p
Remarques. La malade présentait une inégalité de volume des membres
supérieurs
, l'avant-bras et la main gauches étant de plus
sphère. Des circonvolutions rolandiques il ne subsiste que le tiers
supérieur
de la frontale ascendante et un peu moins encor
corce cérébrale qui correspond à la localisation motrice- du membre
supérieur
étant, en fait, presque complètement détruite on
tômes cliniques, en même temps que l'état dystrophique de ce membre
supérieur
, une altération beaucoup plus notable des fonct
nférieur est due évidemment à la conservation de la zone rolandique
supérieure
. D'autre part on peut comprendre facilement l'ab-
ralysie permanente. , La faible diminution de la motilité du membre
supérieur
gauche ob- servée chez la malade et l'absence d
avec quelque vraisemblance la conservation des mouvements du membre
supérieur
; mais elle n'a pas empêché cependant le segment
rronées. ' Dans la seconde observation le centre cortical du membre
supérieur
est détruit pendant la vie intra-utérine ; le s
xiste entre eux qu'un étroit sillon suppurant.L'ongle forme le bord
supérieur
de cette ulcération, il semble diminué de hauteur
halanges. existe de l'ankylose des diverses articulations du membre
supérieur
droit.Elle est incomplète,car on peut mobiliser l
nsparence des épipbyses digitales des métacarpiens et des épiphyses
supérieures
des phalanges, due à un début de raréfaction os-
dans.l'extrémité inférieure claire et comme abrasée. Les extrémités
supérieures
des phalanges sont déformées et élargies. Celles
e. xxi 5 66 FÉLIX ROSE La mensuration des phalanges (extrémités
supérieures
) donne : SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS SÉANC
male ou est un peu rouge ; elle a sa couleur normale dans la partie
supérieure
, elle est rosée ou légèrement rouge à la partie
' peu marqué et ne durant que quelques instants ; c'est à la partie
supérieure
de la jambe qu'on a le plus de chance de le pro
xistent aussi à la face externe de la jambe, au niveau de la limite
supérieure
de l'oedème ; elles sont toutefois moins nombre
ribue à un « clou » qu'il eut l'an dernier. On voit dans le quart
supérieur
quelques taches jaunâtres superficielles ; il e
ils manquent 70 COURTRLLE\IO\'l' même complètement dans la moitié
supérieure
. En dehors d'un léger degré de signe de Lasègue
ueur ; il en est de même des deux jambes (36 centim. de l'extrémité
supérieure
du péroné à la pointe de la malléole ex- terne)
une constitution paranoï- que, peut-être, sous le commandement d'un
supérieur
, en excitant l'en- vie : l'envie pour cette aut
celle qui se trouve en haut de la figure 18, dans la petite bourse
supérieure
de la figure 19. Mais si une trêve se manifeste d
), d'un réalisme extraordinaire, est située à la partie tout à fait
supérieure
de la voussure du porche de gauche sur la grand
plus variable : le plus souvent, elle paraît aplatie dans la partie
supérieure
et bombée dans la partie inférieure. Un signe
en fontanel- laire. Les lacunes se trouvaient toujours dans les 3/4
supérieurs
de la su- ture métopique ; la longueur variait
elques mois ; deplus, j'ai trouvédans 3 cas des restes de la partie
supérieure
de cette fontanelle. La fermeture de la fontane
gfors. D. E. Radiographies d'un crâne normal. * indique la partie
supérieure
de la fontanelle astérisque. -(- la place de la l
s sutures ; on y voit aussi la suture béante représentant la partie
supérieure
delà fontanelle astérique. Après ces observations
dessous de sa partie médiane, en sorte qu'elle est, dans sa partie
supérieure
, plus horizontale qu'à l'ordinaire et, dans . s
à environ 27°, tandis que Broca n'a jamais trouvé un angle négatif
supérieur
à - 2o (cf. Fig. ci-dessous). Faute d'examens d
nant dans la dysostose cléidocranienne d'où la saillie de la partie
supérieure
de la face et conformation en tête d'oi- seau »
à une interruption de l'arc osseux. Les dimensions du maxillaire
supérieur
sont également fort di- minuées et le sinus se
es dents du maxillaire inférieur fermé dépassent de 1 cm. les dents
supérieures
. Pourtant, un examen détaillé montre qu'il ne s
e l'os, mais que cela tient en partie à la petitesse du .maxillaire
supérieur
et à l'atrophie des -.bords alvéolaires, en parti
es de Vienne, j'ai trouvé pour la partie médiane des maxil- 'laires
supérieurs
(correspondant aux incisives et canines) un nombr
maux ou soudure de ces os aux apophyses montan- tes des maxillaires
supérieurs
. 4° Développement incomplet de l'os malaire, su
suite de névrite). Les artères temporales et irrégulières, nasales
supérieures
sont atrophiées, filiformes ; les veines ont ga
ouleur ; il existe, en ce point, une légère voussure. Aux membres
supérieurs
, rien à noter, qu'une légère exagération des ré
sacrum. Les membres inférieurs et le tarse sont normaux : le membre
supérieur
gauche est à peine plus faible que le droit et
ernières lombaires, on voit des lésions plus récentes. Les coupes
supérieures
, traitées par le Pal, présentent l'ensemble de la
des lésions un peu différentes, selon que l'on considère les coupes
supérieures
ou inférieures. Les coupes SM/5érieures,corresp
oite est diminué. La surcoloration au Van Gieson montre l'extrémité
supérieure
de la ménin- gite scléreuse engainant quelques
ure du syphilome, beaucoup plus cellulaire que fibreuse à sa partie
supérieure
, explique que, lors de l'examen de la sensibilité
é des centres sympathiques pé- riphériques séparés de leurs centres
supérieurs
, qui normalement les in- hibent. . Enfin l'ét
on retrouve à gauche la répétition des symptômes initiaux du membre
supérieur
droit : une main tombante par paralysie du nerf r
antérieur et à l'extenseur commun des orteils. 25. - Les membres
supérieurs
sont extrêmement atrophiés, il n'y reste plus q
ar une paralysie amyotrophique progressive débutant par les membres
supérieurs
. Au niveau de ces membres la paralysie et l'atr
uatre membres ; et, précisément, dans les nerfs radiaux aux membres
supérieurs
et dans le sciatique poplité externe aux membre
tre malade la paralysie et l'amyotrophie débutèrent par les membres
supérieurs
tandis que, com- me on le sait, la polynévrite
on a constatés dans la moelle cervicale (fig. 6). Moelle lombaire
supérieure
: Dans cette région le nombre des tubes nerveux
e ; celles des faisceaux pyramidaux,au niveau de la moelle lombaire
supérieure
. La portion extramédullaire des racines était i
coupes transversales et longitudinales de tous les nerfs du membre
supérieur
et du membre infé- rieur, sauf, dans ce dernier
Id. PLANCHE XXV Pio. 7. Coupe transversale de la moelle lombaire
supérieure
. Zp, zone pyra- midale. Méthode de Marchi. - Mê
anés, et nous pouvons citer les réflexes crémastériens, abdominaux (
supérieur
, moyen et inférieur), fessiers, anal, qui tous so
ouvent cette contraction n'était pas unique. Par exemple, au membre
supérieur
, le réflexe osseux qu'on provoque par la percus
sente le mouvement qui étend le coude et porte en arrière le membre
supérieur
, etc.. Le réflexe osseux en général, comme tous
ntracture, dans les cas les plus communs, nous voyons qu'au 'membre
supérieur
, le bras est un peu rapproché du tronc, le coude
niques sur la propagation des réflexes. Même difficulté aux membres
supérieurs
. Mais si par une seule excitation périphérique
une autre explication à ce phénomène. Et comme l'attitude du membre
supérieur
indique plutôt un mouvement coordonné pour un but
ue, qui, arrivant à la moelle, peut reproduire l'attitude du membre
supérieur
ou du membre inférieur en contraction, ne peut pr
membre inférieur en contraction, ne peut prove- nir que des centres
supérieurs
à ceux de la moelle. Notre conviction s'est fai
aires, qui se produisaient dans le côté malade, soit dans le membre
supérieur
, soit dans le membre inférieur, quand nous exam
res chez les hémiplégiques. Mann en examinant les muscles du membre
supérieur
et du membre inférieur chez des hémiplégiques en
ent assez rapidement leurs fonctions u. Mann constate que,au membre
supérieur
,« c'esl le coilrt abdtlc- « teur du pouce et le
ins atteinte (muscle deltoïde, grand dentelé « et un peu la portion
supérieure
du trapèze). » Pierre Marie (1), dans une thèse
st élevé en masse par flexion de la cuisse sur le bassin. Au membre
supérieur
il se produit tout d'abord un léger mouvement de
du côté malade reprodui- saient les attitudes classiques du membre
supérieur
en flexion et du mem- bre inférieur en extensio
up plus rares.Aujourd'hui i il n'existe plus de paralysie au membre
supérieur
; par contre le membre inférieur est très contr
e présentait les mouvements as- sociés de Pitres et Camus au membre
supérieur
et au membre inférieur ; il ne présentait de la
des troubles graves de la motilité volontaire, tandis qu'au membre
supérieur
il présentait des mouvements associés; mais pas d
fficultés qu'on éprouvait à les obtenir. Les muscles des extrémités
supérieures
donnaient tous, et avec promptitude, la réac- t
casions par l'appareil Riva- Rocci modifié par Martin ne fut jamais
supérieure
à 132 millimètres et ja- mais inférieure à 120
e quelques-unes sem- blaient dilatées et gorgées de sang. La partie
supérieure
de la jambe était normale. Le tiers inférieur d
genou était disparue à l'exception d'une petite région à la partie
supérieure
du triangle de Scarpa. Le pied et la jambe étaien
it chaude, plus enflée que d'habitude, et douloureuse jusqu'au bord
supérieur
de la rotule. Deux jours plus 188 HOPE ET FRENC
u niveau d'une jointure au niveau de l'articula- tion immédiatement
supérieure
(Meige). Pour toutes ces raisons, par con- séqu
nstitutionnel. 6° Netteté de la limitation de l'oedème à son niveau
supérieur
. 7° Son occurrence possible aussi bien dans un
s l'oedème. Pas de modifications des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
ni aux membres inférieurs. Pas de phénomène o
bilité révèle une analgésie complète à la piqûre sur tout le membre
supérieur
droit et sur le thorax, limitée assez exactement
ers objets métalliques amenés au contact du 202 ' DESPLATS membre
supérieur
droit ou du thorax du même côté ne sont perçus qu
due à la médication ; car les mesures relevées pendant la cure sont
supérieures
à celles de lamoyenne normale. - 2. Les troub
'état général. ' Le 20. - Les douleurs se sont étendues aux membres
supérieurs
et particu- Nouvelle Iconographie DE la SALP1 :
lèvre de tapir, fait contraste avec'le retrait apparent de la lèvre
supérieure
. ' ' 256 BRISSAUD ET GY L'ouverture buccale n
ion est difficile, monotone; par suite, dit le malade, que sa lèvre
supérieure
est tirée vers la droite, il fait alors entrer en
au de l'angle saillant du thyroïde est de 36 centimètres. Membres
supérieurs
. Les épaules sont tombantes. L'abduction et l'add
Enfin les mouvements de déduction sont nuls. Dimensions des membres
supérieurs
: Circonférence du bras prise à 20 centimètres
normaux. Appareil respiratoire. - La respiration est de type costal
supérieur
. Dyspnée nulle. Toux légère amenant le rejet de
as droit lui-même est légèrement mobilisable. Néanmoins les membres
supérieurs
ne peuvent se déplacer que par des mouvements de
res est complet pour la jambe. Il est moins accusé pour les membres
supérieurs
. C'est ainsi que le malade ne peut manger sans
iques ne sont que très légèrement modifiées, aussi bien aux membres
supérieurs
qu'aux membres inférieurs. 13. On pratique un t
eure des deux premières circonvolutions frontales et des deux tiers
supérieurs
des circonvolutions rolandiques. Macroscopiquem
PLANCHES Pl. YLV11. Fio. A. L'encéphale vu d'en haut, par sa face
supérieure
. Méninges complètement enlevées à gauche, parti
plupart présentaient seulement une ossification de leurs faisceaux
supérieurs
et inférieurs, de beaucoup les plus forts, qui se
ure des disques. * Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales
supérieures
paraissent très allongées par une ossification
ales : b) une courbe de compensation à convexité droite à la partie
supérieure
de la région dorsale ; c) une légère scoliose à
ament sus-épineux ossifié au maximum au niveau de la région dorsale
supérieure
, sommet de la'courbe, alors qu'il n'y a aucune tr
rente. Les douleurs éprouvées par T... siègent surtout à la partie
supérieure
du 292 ODDO thorax, elles présentent ,le cara
ion abdominale. Elle sont moins mar- quées aujourd'hui. La partie
supérieure
du thorax est aplatie, déprimée, rappelant l'aspe
sacrum repose sur le rebord du siège, et les épaules sur la partie
supérieure
du dossier. Examen du système nerveux. T... épr
ées en myosis. Pas de troubles visuels, pas de scotome. Les membres
supérieurs
paraissent intacts. Par con- tre, l'ankylose de
. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). INSTITUT D'ÉTUDES
SUPÉRIEURES
DE FLORENCE. CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE
nocturne dans la première enfance. Les réflexes cutanés abdominaux,
supérieurs
et inférieurs, sont également vifs des deux côt
en sont un peu exagérés, la percussion avec le marteau sur la marge
supérieure
du pubis provo- que en même temps une vive cont
ésence des aréoles nor- malement situées : atélie. Les extrémités
supérieures
et inférieures sont très minces et allongées ; le
udement et dans ses relations sociales il s'est conduit d'une façon
supérieure
à son âge ; il n'a jamais montré aucun caractère
sont parfaitement normales. Les réflexes tendi- neux des extrémités
supérieures
et inférieures plutôt vifs.' Le réflexe pharyn-
s épiphy- saires de l'extrémité inférieure du fémur, de l'extrémité
supérieure
du tibia 324 ETTORE LEVI et du péroné ; dans
interne ; elle est bien diminuée aux quadrants inférieur externe et
supérieur
interne, et com- plètement abolie au quadrant s
externe et supérieur interne, et com- plètement abolie au quadrant
supérieur
externe. C'est là le résultat de l'épreuve avec
disproportion entre le déve- loppement du visage et des extrémités
supérieures
(mains et pieds) et celui du reste du corps ; c
l droite qu'à gauche ; le sternum aussi est régulier, car sa partie
supérieure
est très sail- lante, tandis que les deux tiers
inophiles, l'augmentation est variable, mais le nombre est toujours
supérieur
à la normale. Pour les deux autres cas, la part
un pourcentage élevé d'hémoglobine ; le poids spécifique fut trouvé
supérieur
à la normale. Dans tous les cas il y eut augmen
e, de celle de Wang). La chaux journalière fut éliminée en quantité
supérieure
à la normale ; rien de particulier quant à l'ac
ÉGALIE 343 Dans les fèces l'N et les graisses eurent un pourcentage
supérieur
à la normale. Des graisses on dosa les divers
certains jours de l'acide urique. Lachaux urinaire futen moyenne
supérieure
qu'à l'ordinaire, et la magnésie au contraire i
s saillante que la droite. La gabelle est peu saillante. Le contour
supérieur
est légèrement en pointe, ou plutôt en carène,
haque côté à 5 centimètres environ au-dessus de l'angle d'insertion
supérieur
du pavillon. Il existe à ce .niveau deux larges
lades, en une coupole incapable de s'agrandir et percée à sa partie
supérieure
d'un orifice losangique, la fontanelle bregmati
manières différentes. 1. La région du chiasma présente à sa partie
supérieure
une concavité re- couverte d'un feutrage de gro
ES altérations DU TISSU cérébral 363 pôle frontal ; c'est la moitié
supérieure
du lobe frontal qui est même le plus fortement
ar des va- cuoles et des cellules araignées gonflées. Puis le tiers
supérieur
de la coupe paraît normal ; mais ce n'est qu'im
u tronc et aux membres infé- rieurs, elle est normale ; aux membres
supérieurs
, elle est plus rouge que partout ailleurs. Le
ne dépression longitudinale assez marquée dans la région occipitale
supérieure
. Il est asymétrique, ainsi que le visage. Le ma
int d'une infirmité congénitale des membres supé- rieurs. Au membre
supérieur
droit le pouce manque, l'index est peu développé,
ats aux places qu'occupent habituellement les saillies de la partie
supérieure
du grand pectoral et du faisceau claviculaire du
ent présenté rien de particulier. Radiographies. - Les deux membres
supérieurs
jusqu'à mi-bras ont été radiographiés au labora
es radio- graphies sont reproduites ci-contre (pl. LXVII). MEMBRE
supérieur
GAUCHE.- Le radius fait défaut ainsi que les os d
st plus oblique que normalement sur l'axe du cubitus et l'extrémité
supérieure
du cubitus est dans son ensemble reportée en ar
tion moins parfaite à l'extrémité inférieure de l'humérus. Membre
supérieur
DROIT. La disposition générale est la même qu'à
g, plus transparent aux radiations de Roent- gen que les extrémités
supérieures
contiguës des trois métacarpiens restants. Ces
périeures contiguës des trois métacarpiens restants. Ces extrémités
supérieures
des trois mélacarpiens chevauchent l'une sur l'au
incurvée, mais cependant un peu plus que d'ordinaire. Son extrémité
supérieure
présente les mêmes particularités que de l'autr
oyau osseux ovalaire, peu épais, qui semble représenter l'extrémité
supérieure
du radius. En résumé, il s'agit d'absence congé
e congénitale de toute la portion radiale du squelette des. membres
supérieurs
; radius, 1 et métacarpien et squelette du pouc
d'un rayon osseux, mais tout le côté externe et antérieur du membre
supérieur
est atrophié; cette atrophie remonte parfois ju
r la sage-femme au moment de la naissance. Le côté radial du membre
supérieur
regarde chez le foetus vers l'extrémité céphaliqu
t Kuss : « L'absence congénitale des deux os homologues des membres
supérieurs
et des membres inférieurs-radius pour l'avant-
otique caudal est identique à celle de la portion radiale du membre
supérieur
par rapport au capuchon amniotique céphalique,
absence de radius n'est que partielle et qu'il subsiste l'extrémité
supérieure
de l'os et une partie de la diaphyse, de petites
résultats excellents (Kirmisson, Hoffa, Hedard). INSTITUT D'ÉTUDES
SUPÉRIEURES
DE FLORENCE. CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE
es tissus de soutien (os et cartilages) dérivent chez les ani- maux
supérieurs
du mésenchyme (Hertwig) : le développement du coe
me qu'elles appartiennent à une catégorie intellec- tuellement bien
supérieure
. Par un seul caractère nos malades pourraient a
efois. La mensuration donne : A droite : A gauche : A la partie
supérieure
de la cuisse..... 48 cent. 52 cent. Au dessus d
ais qui se généralisent et sont très manifestes dans les deux membres
supérieurs
et surtout dans le gauche. Il est vrai que la per
emme atteinte d'atrophie incomplète des muscles du cou et des membres
supérieurs
, avec diminution (non absence) des réactions fara
rtaines affections nerveuses locales, cite des contractures du membre
supérieur
, à la suite de piqûres du doigt. Ces faits sont
faire sur le membre inférieur, nous pouvons le répéter sur le membre
supérieur
. Si, avec un marteau à percussion, nous frappons
nviron. Une analyse plus attentive fait reconnaître, qu'aux membres
supérieurs
, ce sont les extenseurs qui sont en défaut, comme
manifestement soulevée, et elle entraîne dans son mouvement le membre
supérieur
tout entier. 1. M. Debove (Progrès medical, 188
exes tendineux, caractère qui se retrouve aussi bien dans les membres
supérieurs
que dans les inférieurs, on ne retrouve aucun aut
en pareil cas, et que nous nous bornerons à considérer aux extrémités
supérieures
, peuvent être ramenées, quel- Fig. 4. — Représe
nte offre une contracture spasmodique de tous les muscles des membres
supérieur
et inférieur du côté gauche ; cela date de l'enfa
és d'embarras de la parole, de parésie et d'engourdissement du membre
supérieur
droit. Il est resté troublé pendant huit jours, p
ation s'est simplifiée. La contracture a disparu, d'abord aux membres
supérieurs
, puis au membre inférieur gauche, persistant dans
ion ; cette perte de la sensibilité générale s'observe dans le membre
supérieur
, dans l'inférieur, dans la moitié du tronc et de
deaux, il résulte qu'il existe des zones hystérogènes sur les membres
supérieurs
ou inférieurs, et que ces zones ont les mêmes pro
amais, sanglolte et se replie sur lui-même. Les membres inférieurs et
supérieurs
sont fléchis, il se cache la tête dans les mains,
Pour ce qui est de l'état moral, les renseignements fournis par la
supérieure
de la communauté où elle vivait sont peu explicit
gnet est libre ; il en est de même des autres articulations du membre
supérieur
. La déformation est donc limitée à la main. Les p
e la contracture, la sensibilité est revenue sans transfert au membre
supérieur
droit, au tronc, à la tête, au bras, mais non à l
n, chirurgien de la Salpê-trière. L'opération a été faite à la partie
supérieure
du bras : ce nerf médian, soulevé sur une sonde c
elevons surtout chez notre malade, l'existence: 1° d'un point fémoral
supérieur
siégeant au bord inférieur du muscle fessier, ent
ussi dans les muscles petit et moyen fessier, innervés par le fessier
supérieur
qui vient directement des premières paires sacrée
té gauche, le petit elle moyen fessiers, innervés par le nerf fessier
supérieur
qui, lui, émane directement des premières branche
fondément atteints. Or, ces muscles sont innervés par le nerf fessier
supérieur
qui, par son origine, n'a rien de commun avec le
e parahjtique, est caractérisée par l'impuissance motrice des membres
supérieurs
. La paraplégie cervicale s'accompagne datrophie m
inférieurs n'est pas une paralysie atrophique comme celle des membres
supérieurs
, elle n'est pas due, en effet, à une lésion des r
se a duré six mois, les douleurs occupaient non seulement les membres
supérieurs
, mais encore le thorax ; la moelle dorsale était
était donc atteinte. La période paralytique a débuté par les membres
supérieurs
, peu après les membres inférieurs se sont pris ;
pendant plus d'un an, il exista une paralysie atrophique des membres
supérieurs
avec griffe radiale et une paralysie spas-modique
ssive des phénomènes paralytiques et atrophiques, du côté des membres
supérieurs
; les mouvements de ces membres sont revenus auss
tin, lorsqu'il se réveille : il était complètement paralysé du membre
supérieur
et du membre inférieur droits, qui étaient absolu
bres paralysés, au point de pouvoir se lever. Il assure que le membre
supérieur
était devenu comparativement beaucoup plus libre
ion de la face ou de la langue, aucune trace de paralysie des membres
supérieurs
et inférieurs. La marche est libre, il peut se te
ignes, deux verticales, plus longues et égales, deux horizontales. La
supérieure
unit l'extrémité supérieure des deux verticales e
longues et égales, deux horizontales. La supérieure unit l'extrémité
supérieure
des deux verticales et l'inférieure se prolonge d
els le début, postérieur à la 20e année, s'est fait par les membres
supérieurs
, par les mains, plus particulièrement par les émi
, par les membres inférieurs que se ferait le début. Puis les membres
supérieurs
peuvent se prendre à leur tour ; mais quel que so
e, une véritable diminution de volume et surtout de force des membres
supérieurs
, en particulier des muscles du bras. Et c'est là
des amyotrophi-ques semblables à eux. Le début a lieu par les membres
supérieurs
, les bras en particulier et les muscles de la cei
lieu à l'âge de 14 ans, par les membres inférieurs ; puis les membres
supérieurs
se prirent à leur tour, à 20 ans, et aujourd'hui
dans la plus tendre enfance, par une immobilité complète de la lèvre
supérieure
, marquée surtout dans le rire et les pleurs (fig.
et si on veut lui faire accomplir cet acte, on remarque que la lèvre
supérieure
, •qui ne se contracte pas, flotte comme un voile
it pas été noté, je crois, par Duchenne, chez notre malade, le facial
supérieur
est pris lui aussi ; la petite malade ne peut pli
é remarqué dès la plus tendre enfance. A l'âge de 14 ans, les membres
supérieurs
ont commencé à se prendre à leur tour (fig. 30),
blance est frappante. Chez lui, comme chez elle, la face, les membres
supérieurs
, sont atrophiés; jamais on n'a constaté chez lui,
culaire se contracte inégalement et il se forme au niveau de la lèvre
supérieure
comme une sorte de nœud dans la moitié droite, se
été celui de la forme juvénile ordinaire, c'est-à-dire où les membres
supérieurs
ont été envahis tout d'abord, tandis que la face
enfants présentaient la forme juvénile d'Erb à début par les membres
supérieurs
, alors que le troisième était atteint de la forme
existe chez lui une faiblesse très prononcée des muscles des membres
supérieurs
, sans atrophie ni hypertrophie, tandis que le tri
ecin, par exemple, soit spontanément, il se manifeste, dans le membre
supérieur
du côté gauche, de petites secousses plus ou moin
tements dans l'épigastre, une sorte d'engourdissement. Puis le membre
supérieur
droit commence à se mouvoir, suivi bientôt par le
fait le geste de l'orateur qui démontre. De temps en temps, le membre
supérieur
tout entier est emporlé dans de grands mouvements
rrière; la tête se rapproche du bassin, ou, au contraire, les membres
supérieurs
«ont projetés en l'air et gigottent, la têle re
éristiques constituant une attaque. L'enfant raidit alors ses membres
supérieurs
et inférieurs, ferme les yeux, esquisse l'arc de
s musculaire est parfaitement conservé dans toute l'étendue du membre
supérieur
droit. La seule zone hystérogène constatée chez
ment est, depuis quelque temps, devenu inconscient. Alors les membres
supérieurs
se raidissent dans l'extension, le droit d'abord,
c'est-à-dire 3 jours après l'accident, P... s'aperçut que son membre
supérieur
gauche était devenu faible. Il alla alors consult
ar les mouvements actifs ou passifs. Paralysie incomplète du membre
supérieur
gauche. Le malade pouvait encore, très incomplète
analgésie gauche généralisée ; l'anesthésie était complète, au membre
supérieur
exclusivement. Dès cette époque, on constatait le
ieur. L'anesthésie et la paralysie restèrent telles quelles au membre
supérieur
. Le rétrécissement du champ visuel ne s'était éga
pouls capillaire sensible au front. La paralysie motrice du membre
supérieur
gauche, qui se présente inerte, pendant le long d
e des mouvements auxquels ils sont soumis, etc. En dehors du membre
supérieur
gauche, il n'existe de ce côté, aucune modificati
rquer que pendant toute la durée de celte première attaque, le membre
supérieur
gauche ri a pas p?*is part aux convulsions ; il e
i paisiblement toute la nuit, il constate à son réveil que son membre
supérieur
droit était flasque, pendant, inerte, incapable d
, avec le mode de distribution anatomique des nerfs cutanés du membre
supérieur
. Vous voyez, en effet, que, sur le dos de la ma
tre, et portant une poulie, avait frappé sur la partie postérieure et
supérieure
du crâne et y avait fait une plaie d'ailleurs ass
ment, il a éprouvé une sensation qui lui a fait croire que son membre
supérieur
était absent, qu'il était complètement séparé du
égie flasque et perte de la sensibilité dans tous ses modes au membre
supérieur
gauche à la suite d'une chute. — Autres symptômes
lysie ou même de parésie. Dès l'origine, je le répète, seul le membre
supérieur
s'est montré atteint. J'ajouterai qu'une lésion
es de la sensibilité cutanée ne sont pas exactement limités au membre
supérieur
droit ; on les retrouve, bien qu'atténués, c'est-
e droite généralisée, seulement beaucoup plus prononcée sur le membre
supérieur
que partout ailleurs. Si, maintenant, nous exam
uite d'une chute ; seulement, chez lui, la paralysie occupe le membre
supérieur
gauche, et c'est la partie 1. Voir l'observatio
. peut, vous le voyez, mouvoir à volonté toutes les parties du membre
supérieur
gauche. Mais ces mouvements sont peu énergiques,
sujet, nous déterminons, par exemple, la contraction de l'orbiculaire
supérieur
des paupières (muscle de la colère, D. de B.), vo
ue, est, comme vous pouvez le constater, complète, absolue. Le membre
supérieur
droit tout entier est pendant le long du corps, n
Suite) l. Sommaire. — Production d'une monoplégie de tout le membre
supérieur
chez une hystérique par suggestion; moyen analogu
chez la même malade de la paralysie des différents segments du membre
supérieur
(épaule, coude, poignet, doigts). — La sensibilit
nd, en avant, jusqu'auprès du bord droit du sternum, englobe le tiers
supérieur
du sein et se dirige obliquement vers le creux ax
pli du coude en avant et passant en arrière au-dessus de l'extrémité
supérieure
de l'olécrâne *. Tel est le territoire d'anesth
ans les deux cas, c'est exactement sur les mêmes segments du membre
supérieur
, épaule, coude, poignet, que porte l'impuissance
__Mesl.... esthémia- nesthésique à droite; c'est donc sur le membre
supérieur
gauche que nous devrons opérer. Les résultats que
ée sur ce qu'elle éprouve, elle accuse dans toute l'étendue du membre
supérieur
correspondant, une sensation d'engourdissement, d
importante qui s'est produite chez lui, dans les mouvements du membre
supérieur
gauche, les divers troubles de la sensibilité et
eslhésie se voient, en particulier, au niveau du coude pour le membre
supérieur
, et pour le membre inférieur au niveau de la hanc
T-CINQUIÈME LEÇON Sur un cas de contracture spasmodique d'un membre
supérieur
survenue, chez l'homme, en conséquence de l'appli
ue. Cet homme offre, comme vous le voyez, une contracture du membre
supérieur
gauche qui, depuis plusieurs mois, prive ce membr
sie, en appliquant un coup de poing d'intensité modérée sur la partie
supérieure
du membre. La sensation d'engourdissement, d'abse
au bout de ce temps, l'appareil fut enlevé, on constata que le membre
supérieur
était contracture, le coude et les doigts dans la
ie. Vous pouvez reconnaître comment, chez notre malade, le membre
supérieur
gauche, habituellement porté en écharpe, est fléc
ontracture qui s'observe dans le cas de fracture, surtout aux membres
supérieurs
à la suite et en conséquence de l'application d'u
e hystérique, mais encore que la contracture qu'il présente au membre
supérieur
gauche n'est pas autre chose qu'une des nombreuse
ieur gauche, c'est-à-dire du côté où se voit la contracture du membre
supérieur
. Vous constatez, en effet, que l'application de q
échappé. Voici quel est actuellement l'état du malade. Dans le membre
supérieur
gauche, la sensibilité a reparu; elle paraît même
tout à fait de même pour ce qui est relatif aux mouvements du membre
supérieur
gauche. A la vérité, ceux de l'épaule, du coude e
fin, la lourde voiture lui passe sur le corps, au niveau de la partie
supérieure
des cuisses. — En général, à ce moment du rêve, l
e centrale normale. Le malade mange peu, mais il mange. Les membres
supérieurs
ne présentent aucune trace de paralysie, ni d'ins
re. En conséquence, on est, du 1. Ainsi qu'on l'a vu pour le membre
supérieur
(Voir la Leçon XXI, pages ¦ 328, 340, 341 et la L
lle, à peu près nécessairement — ainsi que cela a lieu dans le membre
supérieur
, — l'anesthésie cutanée et profonde d'un segment
XXV, p. 414 et Seq. était très gênée; illui semblait que son membre
supérieur
droit, le membre tamponné, était absent, remplacé
aule, la région sous-claviculaire et une partie de la face. Le membre
supérieur
droit est complètement paralysé du mouvement, sau
le 2 mars 1886, a donné les résultats suivants : Monoplégie du membre
supérieur
droit, sans aucune trace de participation de la f
onnaît que l'application d'un lien circulaire produit sur les membres
supérieurs
ou inférieurs de Mouill... des contractures très
té profonde sont complètement éteintes dans toute l'étendue du membre
supérieur
gauche et lorsque ses yeux sont fermés, il ne pos
nomène cérébral; la paralysie occupe le membre inférieur et le membre
supérieur
du côté droit, mais elle ne s'étend pas aux muscl
propres. Examinons d'abord l'état actuel de la motilité. Le membre
supérieur
droit est absolument inerte, flasque, et retombe
au membre inférieur droit une obnubilation assez marquée ; au membre
supérieur
droit, il y a une abolition totale de la sensibil
t), une minute plus tard, la sensibilité existait dans tout le membre
supérieur
et la paralysie avait disparu ; la malade se serv
, il y a prédominance de la paralysie et de l'atrophie dans le membre
supérieur
; dans l'autre, prédominance dans le membre infér
té publiées dans le Progrès médical de 1880) 1, les muscles du membre
supérieur
, quoique leurs fonctions aient été suspendues pen
aradisation des muscles crico-thyroïdiens et sur le trajet du laryngé
supérieur
, il arrive à pouvoir donner quelques sons pendant
oncé du champ visuel avec contracture de l'accommodation. Le membre
supérieur
droit est atteint de chorée analogue à la chorée
toujours de l'hé-mianalgésie à droite et de l'hémichorée des membres
supérieur
et inférieur droits. Pour le membre inférieur, l'
le seau à ordures qu'elle descendait dans la rue ; parésie du membre
supérieur
droit. Elle remonte se coucher. A dix heures, un
n laryngée et, dans l'espèce, paralysie des filets moteurs du laryngé
supérieur
. L'examen laryngoscopique, fait à ce moment (fé
vestibule de la glotte, troubles dépendants d'une paralysie du larynx
supérieur
. Le malade était, à son entrée dans le service, a
athogénie de ce cas particulier: « L'anesthésie du domaine du laryngé
supérieur
concourt, de son côté, à démontrer que cette sort
sternale dans l'effort vocal) nous invite à admettre que le laryngé
supérieur
peut être seul atteint par l'hystérie et que ce n
t d'abduction, c'est-à-dire lorsqu'il indique la paralysie du laryngé
supérieur
et l'état normal du récurrent, nous serons autori
s ou moins complète, c'est encore vrai. Mais une paralysie du laryngé
supérieur
ne peut expliquer le mutisme ; la parole à voix b
age écrit, CLE, est en rapport avec le centre moteur commun du membre
supérieur
, et le centre moteur de [articulation verbale, CL
égie flasque et perte de la sensibilité dans tous ses modes au membre
supérieur
gauche à la suite d'une chute. — Autres symptômes
(Suite). Sommaire. — Production d'une monoplégie de tout le membre
supérieur
chez une hystérique par suggestion ; moyen analog
chez la même malade de la paralysie des différents segments du membre
supérieur
(épaule, coude, poignet, doigts). — La sensibilit
-CINQUIÈME LEÇON. sur un cas de contracture spasmodique d'un membre
supérieur
survenue chez l'homme en conséquence de l'applica
nde série. 18, ayant le certificat d'é- tudes, forment une division
supérieure
, ne vont à l'école qu'une demi-journée par sema
e four de la Boulangerie centrale,, dont le salaire est cepen- dant
supérieur
it celui des chefs d'atelier, n'ont droit qu'au
naris analgésique. - Quelques semaines après, deux abcès dit membre
supérieur
droit. - Description du malade en 1889 : différ
ouvelle description du malade. 4 PARÉSO-ANALGI : SIE DES extrémités
supérieures
. Bis... (Charles), né à Paris le 12 novembre 18
février 1887). » Il y est 6 P : 11;ES0- : 111LGES1E DES extrémités
supérieures
. resté jusqu'au 24 novembre 1888, sans aucune a
e nécrose. Cicatrisation lente. 8 PARESO-ANALGÉS1E DES extrémités
SUPÉRIEURES
. En juin 1889, B... a eu un abcès sans cause co
n 1889, B... a eu un abcès sans cause connue au niveau de la partie
supérieure
de l'avant-bras droit, à 3 ou 4 centimètres du
, 1 Titoi,ax M're ! <<t0', très développé dans ses deux tiers
supérieurs
, rétréci dans son tiers inférieur. Les muscles
tablement arrêtés dans leur développe- ment par rapport à là moitié
supérieure
du tronc. - La colonne vertébrale décrit une lé
ce qui contribue encore à augmenter la saillie. ? ? ,o. ? Membres
supérieurs
. - On n'observe pas de déformation des bras ' P
éformation des bras ' Pig. -1. 10 PARÉSO-ANALGÉSIE DES extrémités
SUPÉRIEURES
. mais le gauche est mieux développé que le droi
peu plus prononcée à droite. Il existe une luxation de l'extrémité
supérieure
du radius dont on ignore et la date et la cause
urtout des doigls, Fi ! l. 3. '13 Paréso-analgésie DES extrémités
supérieures
. est épaissie, rugueuse. On noie sur la face do
la sensibilité. Sur l'avant- z4 PARE50-AN11.GES1E L1 : 5 extrémités
supérieures
. bras et le bras, la sensibilité à la piqûre es
is sans éprouver de douleur. Au niveau de la, face interne du tiers
supérieur
du bras droit et de l'aisselle correspondante,
rsistance du gonflement et de la 16 P1RES0-ANALGESIE DES extrémités
supérieures
. douleur. T. H. 38°,7 et 39°,5. Bain de bras ph
. - Les modifications sont les suivantes : poils follets à la lèvre
supérieure
et au menton ; poils longs, frisés à la racine
rdonnier du dehors. 1895. Janvier. - Puberté. Poils fins à la lèvre
supérieure
et au menton. Quelques poils dans l'aisselle ga
relèverons que les points principaux. La différence entre la partie
supérieure
du thorax et la partie inférieure persiste, et
suivantes en donnent une idée. 18 PARÉSO-ANALGÉSIE DES extrémités
SUPÉRIEURES
. sant la phalangette, on produit un bruit sec,
- La notion de position est normale. En ce qui concerne les membres
supérieurs
, les divers modes de la sensibilité sont conser
q jours avec le même instrument. 24 PARÉSO-ANALGÉSIE DES EXTRÉMITÉS
supérieures
. Imbécillité ET hémiplégie droite. 25 5 II. B
oudes, était ou non congénitale. 26 Paréso-analgésie DES extrémités
SUPÉRIEURES
. V. - L'hémiplégie du côté droit qui prédomine
été plus atteintes que les régions qui correspondent aux membres
supérieurs
. Les mensurations des membres faites à différente
le gauche, seraient devenus rela- tivement plus agiles, les membres
supérieurs
se seraient fortifiés et l'attitude en crochet
une simple énumération : pouce à ressort, luxation de l'extré- mité
supérieure
du radius, mutilations pathologiques de deux do
ion n'était pas justifiée, que la paréso-analgésie des extrémités
supérieures
n'était qu'une variété clinique de la syringomyél
la sringouyélic, 1890, p. 72. ' 28 PARÉSO-ANALGÉSIE des extrémités
supérieures
. ont soutenu qu'il s'agissait là de deux maladi
ait lieu de distinguer la paréso-analgésie à panaris des extrémités
supérieures
de la syringomyélie '. Le cas qui précède nous
et au-dessous de l'olé- cràne, c'est-à-dire à la partie tout à fait
supérieure
de l'avant- bras, et cela des deux côtés, il y
colonne vertébrale, à la région cervicale pour l'examen des membres
supérieurs
, à la région lombaire pour les membres inférieu
ctililé muscu- laire nous avons suivi la méthode de Erb. ' MEMBRE
supérieur
gauche A. Sensibilité. Main. Face dorsale '" ?
ibilité. Main. Face dorsale '" ? 30 Paréso-analgésie DES extrémités
supérieures
. Face palmaire. Examen électrique. ' ' .31
ctrique. ' ' .31 Face interne. 32 PARÉSO-ANALGÉSIE DES extrémités
supérieures
. ' En resumé, l'examen électrique démontre que
itre, ni de ganglions ; circonférence : 30 cen. timètres. Membres
supérieurs
. - Bien conformés. Le bras droit présente une r
, également atrophiés, laissent à décou- vert presque toute la face
supérieure
des hémisphères céré- belleux. L'encéphale, déb
de passage très nombreux et un peu de pachy- méningite à sa partie
supérieure
.- Le lobe temporal est normal à sa partie infér
rière, on trouve aussi à son tiers postérieur, sous ses deux lèvres
supérieure
et inférieure, des traces bien nettes de pachym
cée de la région lom- baire. Saillie exagérée des fesses. Membres
supérieurs
et inférieurs gros, courts, incurvés. - Etat pa
rnes. - Les cils sont longs, noirs, assez abondants aux paupières
supérieures
, rares et courts aux paupières inférieures. P
Sourcils, cils, pas de mo- dification appréciable. Les paupières
supérieures
sont boullies, fermes au tou- cher ; les infé
mateuses). Les 64 IDIOTIE avec cachexie PACHYDERIIQUE. mètres, la
supérieure
9 mil. Les mâchoires normales ne portent pas
normales ne portent pas de dents; cependant les deux incisives
supérieures
sont un peu ap- parentes. La langue est épais
o-géniens sont ac- clissés. La bouche est très grande. La lèvre
supérieure
est très épaisse ; son sillon médian est un p
aillante que la gauche. Au dessous de l'orbite droit, le maxillaire
supérieur
est creusé en une cavité plus profonde qu'à gau
ain, fentes palpébrales régulières. Paupières tuméfiées surtout les
supérieures
par le fait d'une bléiltai'o-conjo2cli.i;ile. 1
ition de lait complète, la plupart des dents, surtout à la mâchoire
supérieure
, sont atta- quées par la carie. L'articulation
n- férence 3a mm. Aucune trace de hernie n'est constatée. Membres
supérieurs
égaux et réguliers; il en de même des membres i
es, l'une formée d'une longue circonvolution représentant la moitié
supérieure
de PA et le lobule pariétal supérieur ; l'autre
ution représentant la moitié supérieure de PA et le lobule pariétal
supérieur
; l'autre plus contournée compre- nant la parti
sans aucune notion, mauvaise volonté, ne veut rien faire. Membres
supérieurs
. 90 Marche DE LA maladie. 1 ? septembre. - L'
période- de 188°. Onanisme fréquent. 20 nov. - Plaie à la partie
supérieure
de l'oreille dans un ' accès. L'étendue du trau
on veut défléchr la jambe gauche, l'on n'y parvient pas. Le membre
supérieur
gauche n'est pas contracture, les membres du cô
érique amoin- drie. On peut, sans trop d'efforts, plier les membres
supérieur
et inférieur gauches, beaucoup plus difficileme
eur et inférieur gauches, beaucoup plus difficilement les membres
supérieur
et inférieur droits. Autopsie faite le 9 août 9
sus du rebord costal ; le diaphragme remonte à droite jusqu'au bord
supérieur
de la 4° côte, et, à gauche jusqu'au bord infér
nt été le siège des convulsions. Elle était complète pour le membre
supérieur
, incomplète pour l'inférieur. Le membre supérie
te pour le membre supérieur, incomplète pour l'inférieur. Le membre
supérieur
était contracture, le bras collé contre le tron
e, ou mieux l'arrêt de développement, était plus accusé au membre
supérieur
qu'au membre inférieur, qu'il allait en quel- q
nférieur, qu'il allait en quel- que sorte eu diminuant de la partie
supérieure
du corps à l'inférieure. Elles montrent encore
diculaire externe. Le lobe temporal se divise en deux régions : Une
supérieure
normale formée de T ; une inférieure complèteme
ve très élargie. Le lobule de l'insula d'aspect normal iL sa partie
supérieure
est sclérosé et atrophié dans toute la région q
circulaire. Région anale normale ; pas d'hémor- rhoides. Membres
supérieurs
. - La forme des bras est normale ; leurs dimens
les circonvolutions frontales, qu'elles intéressent dans leurs 3/4
supérieurs
. Face cot2uexe. Même répartition des lésions, m
che se dessine et quelques poils ont poussé au pénil. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont gros, courts et offrent des
oduit pas de godet à la pression du doigt. Cils longs aux paupières
supérieures
, très peu développés, rares et comme naissants
es lèvres réduites à un léger repli de 4 à 5 millimètres. Membres
supérieurs
. -Le développement des bras est en rapport avec
aujourd'hui sous les yeux. A cette époque, en effet, le maxillaire
supérieur
présentait un affais- sement presque horizontal
incisives infé- rieures heurtent la face postérieure des incisives
supérieures
et empêchent le croisement complet des deux mâc
t de moins d'un cen- timètre. Les cils, peu abondants aux paupières
supérieures
, le sont moins encore aux paupièresinférieures
s la partie sus-ombilicale. l'ointe de hernie ombilicale. Membres
supérieurs
. Ils sont épais, cylindriques ; les doigts sont
de cyanose des orteils. Les mensurations comparatives des membres
supérieurs
et inférieurs n'ont décélé aucune différence. L
férieurs n'ont décélé aucune différence. Les mouvements des membres
supérieurs
sont relativement vifs surtout quand l'enfant e
du mois sont aujourd'hui guéries. 1890. Mars. - L'état des gencives
supérieures
est très satisfaisant. Elles ne saignent plus e
aires inférieures ont achevé leur éruption et les secondes molaires
supérieures
sont à demi sorties de la gencive. Août. - La
présenterait son nombre régulier de dents, si une première molaire
supérieure
gauche, profondément cariée, n'avait dû être ex
ariée, n'avait dû être extraite antérieurement. La première molaire
supérieure
droite, symétrique de la dont enlevée, est auss
ges de sa couronne persistent seuls sur la gencive. - Les incisives
supérieures
sont les seules dents qui présentent une anomal
nts. Les membres du côté gauche sont, au contraire, paralysés. Le
supérieur
est absolument impotent, l'enfant est incapable
ntigus. Le plus volumineux siège au niveau de l'angle postérieur et
supérieur
du pariétal droit. Il mesure 25 mm, sur 30 mm.
que trois os wormiens allongés, immédiatement en dehors de l'angle
supérieur
et postérieur de l'occipital. - L'os frontal es
une dépression très prononcée répon. dant aux angles antérieurs et
supérieurs
des pariétaux. - Les bosses pariétales sont pro
, sur FA et l'.1; la méningo-encéphalite atteint le lobule pariétal
supérieur
, la pariétale ascendante et '1'2, elle est prin
bres. Noevus rouge au- dessous du pli du coude et ncevi à la partie
supérieure
du bras, vers l'aisselle. Taches brunes sur l'o
novembre. Exercices des jointures. - L'attitude, l'état des membres
supérieurs
et inférieurs sont les mêmes. Puberté. Le visag
la région de l'orbiculaire. Etat de la dentition. - Le maxillaire
supérieur
présente un certain degré d'atrésie déterminant
es membres /ip. 41 1 240 Imbécillité et paraplégie spasmodique.
supérieurs
, poils assez abondants sur les cuisses, peu abo
es. Poils noirs, abon- dants, frisés au niveau du pénil ; le rebord
supérieur
forme un V dont le sommet est dirigé vers la ra
correspondante du tronc par rapport à la poitrine et aux membres
supérieurs
qui sont bien développés; puis l'altitude génér
iane du front n'a pas subi de modification (p. 2'iGi. Les membres
supérieurs
, égaux, ont continué il se développer en grosse
Et ni H 71 Tableau des mensurations de la tête. ,1/e mores
supérieurs
. 248 .. PARAPLÉGIE spasmodique. tête, les che
etc. Marche à 3 ans Va- Microcéphalie très prononcée. Prognathisme
supérieur
. Diphtérie : mort. AUTOPSIE. - Absence presqu
ues translucides sur la moitié postérieure des pariétaux, la partie
supérieure
de l'occipital, au niveau de bregma et sur la p
3f¡ IDIOTIE. Fij'. 13. Ons. IX. Hémisphère cérébral gauche; face
supérieure
. 1,1', lobe frontal. 1.0, lobe occipital. I
scendante. PA, pariétale ascendante. l'l, P=, PC, lobes pariétaux
supérieur
et inférieur; pli courbe. Tl, T2, TO, premièr
iveau de la partie postérieure du pariétal droit et de la par- .tie
supérieure
et droite de l'occipital. Transparence, encore
cm. q. A gauche, les régions pariétales pos- térieure et occipitale
supérieure
sont encore transparentes, traitement CHIRURGIC
, du bregma, sur les parties inférieures des pariétaux et'la région
supérieure
de l'occipital : Lasuture métopique est. fermée
gau-. che. -.L'occipital semble séparé, au moins dans sa partie,
supérieure
correspondante à la calotte, par une sorte de.
de la fontanelle, et en arrière au niveau des angles antérieurs et
supérieurs
des pariétaux, à la suite des bords postérieurs
à la coronale, elle en est éloignée d'un centimètre. Son extrémité
supérieure
abou- tit à 2 centimètres de la sagittale. La b
lations pharyngées. Goût normal. Dentition régulière. Le maxillaire
supérieur
présente de l'atrésie. Rétroversion des incisiv
illaire supérieur présente de l'atrésie. Rétroversion des incisives
supérieures
gauches. Oreilles grandes, écartées. -L'ouïe es
On perçoit facilement toute l'étendue du corps thyroïde. Membres
supérieurs
normaux, peu musclés; ongles légèrement can- ne
ulières, symétriques. Bouche moyenne, la partie médiane de la lèvre
supérieure
est légèrement déviée à droite ; au repos la bo
à droite ; au repos la bouche est à demi ouverte à droite, la lèvre
supérieure
fait saillie sur l'inférieure, lèvres toutes de
bstances sucrées, salées, amères. Dents complètes ; les incisives
supérieures
proéminent, pas de signe de Hutchinson. - Men-
irconférence est de 28,5. Corps thyroïde de volume moyen. Membres
supérieurs
bien musclés, longueur égale, articu- lations s
'.); pas de thymus. -Poumon droit (250 gr.), pas d'adhérences. Lobe
supérieur
atélectasié. - Poumon gauche (380gr.). - La par
électasié. - Poumon gauche (380gr.). - La partie inférieure du lobe
supérieur
présente une hépatisation rouge tendant à deven
dant à devenir grise ; il coule dans l'eau ; emphysème il la partie
supérieure
; au lobe inférieur nombreux nodules de broncha
nombreux nodules de broncha-pneumonie. Adhérence pieu raie du lobe
supérieur
. - Coeur (110 gr.), normal. Abdomen. - Foie (95
. L'enfant garde sans cesse la bouche entr'ouverte. A la mâchoire
supérieure
, incisives centrales et premières mo- laires pe
NIÉNITGO-NCI : PH : 1LITLr. antérieurs du lobe temporal Sur la face
supérieure
du 4" ventricule existe une coloration rouge br
ues. Nez régulier. - Bouche grande. Voûte palatine normale. Lèvre
supérieure
volumineuse, épaisse, recouverte d'un léger duv
ans le Cher, le 26 juillet 1854. La tête toute entière, les membres
supérieurs
et le tronc parais- sent bien conformés. Sauf u
re quelles ne devraient l'être, par rapport au tronc et aux membres
supérieurs
. Voici quelques mesures qui donnent une idée de
Augmentation des accès à 9 ans. Arrêt de développement du membre
supérieur
droit.-Gaucher. - Irritabilité. - Affaiblisseme
du rachis. - Organes génitaux normaux, pas d'ona- nisme. Membres
supérieurs
. - A l'inspection, le membre droit parait un pe
es' sont un peu cyanosées. La peau est chaude, sèche. Les membres
supérieurs
sont flasques, et demeurent immobiles, même qua
Face convexe. - Lobe frontal. Les scissures parallèles fron- tales
supérieure
et inférieure sont profondes ; la supérieure es
parallèles fron- tales supérieure et inférieure sont profondes ; la
supérieure
est interrompue, au-dessus de la scissure front
; la supérieure est interrompue, au-dessus de la scissure frontale
supérieure
, par un pli de passage un peu en retrait et mar
à niveau, allant de la '2me frontale à la 3me. La scissure frontale
supérieure
est sinueuse, cou- pée à sa partie antérieure p
ée et contrairement à la règle elle parait plus large à sa partie
supérieure
qu'à sa partie inférieure. Lobe pariétal. Le lo
rieure qu'à sa partie inférieure. Lobe pariétal. Le lobule pariétal
supérieur
est bien développé. Il est séparé en avant de l
it il existe un pli de pas- sage à niveau allant du lobule pariétal
supérieur
il la pariétale ascendante. La scissure inter-p
meau ascendant, profond et sinueux, partageant le lobule pariétal
supérieur
en deux parties à peu près égales. Un peu plus lo
vant et en arrière par la scissure parallèle bifurquée. A sa partie
supérieure
et antérieure, on trouve un pli de passage asse
tal. Il existe deux plis de passage allant l'une du lobule pariétal
supérieur
à la 1 ? circonvolution occipi- tale, l'autre d
chagrinée à sa partie postérieure. La scissure, parallèle frontale
supérieure
est interrompue par un pli de passage il niveau
édiaire du rameau ascendant de cette dernière. La scissure frontale
supérieure
, assez profonde est interrompue dans son tiers
est également assez bien développée ; elle est divisée à son quart
supérieur
par un sillon profond faisant communiquer le si
au- delà jusqu'au sillon occipital transverse. Le lobule pariétal
supérieur
est bien développé, très découpé ; il en est de m
bien constitués, pieds plats surtout àgauche. .VoZiZi'Zédes membres
supérieurs
nor- male. Marche défectueuse. L'enfant incline
eveux châtains clairs, bien implantés. Léger duvet clair à la lèvre
supérieure
, aisselles glabres. Organes génitaux : Pénil gl
uillet. Puberté. Aisselles et pénil glabres. Léger duvet à la lèvre
supérieure
. Verge : circonférence, 45 millimètres, longueu
llières déprimées. Fen- tes palpébrales petites (22 mm.), paupières
supérieures
ten- dues et déprimées, garnies de cils bien im
ttes assez saillantes, symé- triques. Bouche petite (4 cm). - Lèvre
supérieure
mince, très saillante au-dessus de la lèvre inf
ord libre, la bouche étant fermée, correspond à l'ar- cade dentaire
supérieure
. -Palais déprimé, un peu ogival àson centre; vo
amers. Menton large à petite fossette en retrait sur le maxillaire
supérieur
.Créâtes grandes : le pavillon droit a 5 cm. de
u des trois ou quatre dernières vertèbres dorsales. . Les membres
supérieurs
sont assez bien développés. L'a- vant-bras est
ents et sourds. - Poumons et viscères abdominaux normaux. Membres
supérieurs
maigres, émaciés, mais sans malforma- tions. -
tions. - Meartbres inférieurs plus forts, plus développés que les
supérieurs
, mais n'offrant rien de particulier. Sensibilit
châ- tains clairs sont peu fournis mais bien implantés. La lèvre
supérieure
est ombragée de poils fins et clairsemés. Les ais
ctuel et moral, cet enfant peut être-' considéré comme relativement
supérieur
; il a des notions, générales sur tout ce qui l'
l convulsif l'enfant avait les deux membres inférieurs et le membre
supérieur
droit contractures ; lorsque sa tète eut pris c
ontractures ; lorsque sa tète eut pris ce volume anormal, le membre
supérieur
gauche, libre jusqu'alors, futaussi atteintde c
qu'une hernie ombilicale de la grosseur d'une noisette. ' Membres
supérieurs
non déformés, en état de demi-con- tracture. Me
eurs, légèrement incurvés en dedans, contractures comme les membres
supérieurs
. Organes génitaux, rien de particulier. Tempéra
s parents ont toujours remarqué une disproportion entre ses membres
supérieurs
et inférieurs, ces derniers paraissant moins dé
épaisses, ouvertes normalement. Bouche, 53 .millimètres ; la lèvre
supérieure
est un peu mince. - 31en- ton carré. Le visage
ssez volumineux; pas d'anomalies viscérales perceptibles. Membres
supérieurs
assez bien conformés et sensiblement égaux. Tou
océphalie. 237 Puberté. - Quelques poils fins et noirs à la lèvre
supérieure
et à la lèvre inférieure. Rien au menton, ni au
seur d'un oeuf de pigeon ; bourses rétractées. Dentition Mâchoire
supérieure
: 13 dents permanentes contigues, premières mol
ntes. Les parents avaient noté des disproportions entre les membres
supérieurs
et les inférieurs que nous n'avons pas observée
ées. Nous avons constaté un léger état de contracture du mem- bre
supérieur
droit et une certaine raideur des arti- Hydrocé
ota- blement plus faible que le droit et que la main et le membre
supérieur
gauches étaient fortement déviés. A4 ans, appa-
vale; voile du palais paraissant normal. Dentition. Le maxillaire
supérieur
offre une atrophie de l'os intermaxillaire laté
deux diamètres. La dentition est extrêmement anormale au maxillaire
supérieur
. Les incisives centrales permanentes offrent un
rois incisives qui restent, sont marquées de géantisme et leur bord
supérieur
affecte la forme d'une fleur de lys. Adroite,il
dents seulement de la première dentition (la seconde molaire droite
supérieure
et la seconde molaire droite infé- rieure) sont
amelons : ! )4 centimètres. - Abdomen et bassin, normaux. Membres
supérieurs
amaigris, le membre droit parait mieux développ
ase est tournée en haut et dont le sommet tronqué aboutit à l'angle
supérieur
de l'occipital. La base, longue de 9 centimètre
, placés en contact les uns des autres et des os voisins. L'angle
supérieur
droit se prolonge avec la partie droite de la sut
ences d'une ossification plus avancée. Enfin, au-dessous de l'angle
supérieur
droit se trouve un triangle d'apparence cartila
n'offre rien de bien particulier à signaler, sinon que son angle
supérieur
, déjeté latéralement, s'insinue entre l'os surnum
al ; l'inférieur n'existe pas, puisqu'il est soudé au temporal ; le
supérieur
est arrondi, convexe ; son quart antérieur est
s plus d'un centimètre de hauteur; en arrière, au niveau de l'angle
supérieur
de l'occipital, elle se bifurque pour se contin
Ces membranes s'écartent de la ligne médiane au niveau de la partie
supérieure
delà fontanelle antérieure et viennent se réuni
petite, lèvres un peu épaisses. La bride médiane qui unit la lèvre
supérieure
aux gencives est très développée. Dentition rég
llie très prononcée des arcades orbitaires ; nez régulier. La lèvre
supérieure
pré- sente, à un centimètre de chaque commissur
he large, lèvres épaisses, toujours entrouvertes. A la nect- choire
supérieure
, dentition très irrégulière, les 4 prémolai- re
inale du testicule gauche. Scrotum développé. Pénil glabre. Membres
supérieurs
bien conformés. Motilité normale ; mains épaiss
e moyenne, phimosis, méat normal. Testicules très petits. Membres
supérieurs
très grêles. A la. partie postérieure et intern
ec faiblesse et l'attitude normale est ladvtni-Ilexion. Les membres
supérieurs
sont à la mensuration sensiblement égaux. Les
té. Fin duvet commençant à ombrer Etat intellectuel. 303 la lèvre
supérieure
. Aisselles glabres, mais léger engorge- ment ga
e une plaque muqueuse, d'aspect^ légèrement papillomateux à la face
supérieure
de la langue à droite de la ligne médiane. Malg
rise des circonvolutions. Seules FA et PA, surtout dans leur partie
supérieure
, restent indemnes. Tous les sillons sont oblité
58. Coupe du bulbe et du 4^ ventricule faite au niveau de la partie
supérieure
des olives. La masse néoplasique T oblitère compl
ation de fluctuation., qui répond il ce que l'on voyait par la face
supérieure
. Hydrocéphalie : moelle. 321 322 Hydrocéphali
t ces modifications sont purement de compensation. 3" Les membres
supérieurs
et inférieurs sont fré- quemment le siège de de
la sensibi- lité et de rechercher de quel degré elle est chez eux
supérieure
ou inférieure à la normale. Bornons-nous à rela
ses compagnes, qu'elle veut commander, et auxquelles elle se croit
supérieure
. Assez affectueuse pour les petites filles elle
Quelques taches de rougeur à sa base. Pas de parésie faciale. Lèvre
supérieure
débordant l'inférieure. Bouche assez grande. La
e se tou- chent qu'au niveau des premières molaires. Prognathisme
supérieur
très accentué. Menton assez petit et pointu. Fi
rmal à la percussion, ni à l'auscultation. Abdomen, normal. Membres
supérieurs
assez musclés. Poignets, mains, ongles, rien de
ues poils très disséminés à la Hydrocéphalie chronique. 351 lèvre
supérieure
, poitrine glabre, aisselles garnies de poils as
oils abondants. l'oils assez nombreux sur les fesses et à la partie
supérieure
des cuisses. A l'école et à l'atelier les maî
nce passagère iL incliner la tète à droite. Eruption de 3 incisives
supérieures
et d'une inférieure. La fontanelle antérieure a
tale, pour la troisième zone; et la troisième, au fond de la partie
supérieure
de la scissure de Sylvius. 1" District. Coupe à
PLANCUE I Coupe horizontale à un centimètre au-dessous de la face
supérieure
du corps calleux. 1, Irradiations extra-nuclé
u corps calleux. v, Bord externe du ventricule latéral. s, Partie
supérieure
de la scissure. i, Insula de Reil. F, F3, F3,
interne confinant au bord externe du ventricule latéral. 2, Coude
supérieur
de la capsule interne. 3, Fond de la. scissure
as de tissu synectique in- dique leur continuation vers les parties
supérieures
, mais on les retrouve au niveau de la décussati
uit le bord externe de ces deux organes; il recouvre un peu la face
supérieure
du fais- ceau croisé, mais c'est à peine s'il e
s le cervelet, et se terminent sans doute dans l'écorce du vermis
supérieur
du même côté. Une petite partie du cordon latéral
parole, tantôt unique, tantôt accompagnée de monoplégie (du membre
supérieur
) ou d'hémiplégie (des deux membres) du côté dro
ingite tuberculeuse avec un amas de tubercules occupant l'extrémité
supérieure
des deux circonvolutions centrales du côté droi
eau d'origine traumatique dans la région parié- tale gauche (moitié
supérieure
des circonvolutions ascendantes), produisant de
olutions ascendantes. - E. Le centre de la jambe occupe l'extrémité
supérieure
des mêmes circonvolutions et les parties voisin
ant constaté l'existence d'un point douloureux au niveau de l'angle
supérieur
gauche du pariétal, appliqua à ce niveau une co
ux données fournies par la patho- logie expérimentale sur un animal
supérieur
. Avec deux kitog. de paraldéide les auteurs ont
parois en sont ci- mentées ; elles prennent jour par une ouverture
supérieure
munie de grilles en fil de fer, et contiennent
délibérative. On peut cependant se plaindre .auprès de la direction
supérieure
des décisions de la direction de tel ou tel éta
s, la direc- tion de ce dernier est tenue d'adresser à la direction
supérieure
les autres demandes d'admission : c'est celle-c
. Chaque année, au mois de mai, il envoie un rapport à la direction
supérieure
et au collège royal de santé. Il existe en outr
dos aliénés est, dans le rapport principal annuel de la direction
supérieure
au roi, l'objet d'un chapitre séparé très étendu.
e fois donnée. I I 6 VARIA . Les rapports annuels de la direction
supérieure
font aussi inva- riablement mention d'un asile
e le commun des aliénés de leur classe, sont placés dans une classe
supérieure
. Enfin l'auteur termine par des considérations
. 1 ? Phase tonique. 13V CLINIQUE nerveuse. A droite, le membre
supérieur
rigide est étendu dans l'adduc- tion et la rota
ied sont tournés un peu en dehors. (Fig. 1.) .) A gauche, le membre
supérieur
se raidit un peu, mais tou- jours consécutiveme
es crises, la main droite reste fermée convulsivement, et le membre
supérieur
droit un peu contracté. A gauche, les membres d
: le côté gauche se prend à son tour. Dans chaque accès, le membre
supérieur
gauche s'étend et se raidit, les doigts se cont
ement rigide. Les mou- vements cloniques se montrent dans le membre
supérieur
gauche, mais beaucoup plus faiblement qu'à droi
: 1° le regard devient fixe, les pupilles se contractent. Le membre
supérieur
gauche se place dans l'ex- tension ; le poing e
nes de voisinage. Une lésion localisée, soit au fond de la partie
supérieure
et antérieure de la scissure de Syl- vius, soit
sie, car, dans ce cas comme dans le premier, la paralysie du membre
supérieur
surtout se manifestera à cause du voisinage (5
e du voisinage (5 milli- mètres) des faisceaux qui forment le^coude
supérieur
de la capsulé interné (section verticale).^ "'
r une légère couche de substance blanche; hémiplégie gauche; membre
supérieur
complètement paralysé, l'inférieur exécute enco
lus grande épaisseur ; athérome artériel. Hémiplégie gauche; membre
supérieur
beaucoup plus para- lysé que l'inférieur. Trait
Trois attaques d'hémiplégie gauche ; paralysie com- plète du membre
supérieur
, incomplète du membre inférieur : déviation des
s aux* membres^ droits \n\> I 70 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. membre
supérieur
gauche paralysé, mais encore sensible ; des mou
qu'ils croient, par exemple, devoir attri- buer au lobule pariétal
supérieur
, se rapportent, 0 d'après , les termes employés
pas à revenir sur les divisions de iiurdach en lobe antérieur, lobe
supérieur
, lobe inférieur, que personne ne 'songe à tirer
, for' ? (T9 ? °T(j'f ,Ccs noms s'appliquent assomme à l'extrémité
supérieure
et f latérale de la-scissurepaiéto-occipitale q
externe, de façon à ce qu'elle vienne rejoindre l'extrémité postéro
supérieure
du premier sillon temporal, pour couper plus ba
illon transversal auquel aboutit fréquemment la scissure'front tale
supérieure
. C'est le sillon froalo-nagual; de Wernicke. Qu
Cette incisure termine en avant la scissure surcilière. La partie
supérieure
du lobe frontal correspond à la voûte du fronta
Synonymie : Portion dorsale (Schwalbe) ; Portion frontale ou étage
supérieur
(Broca). On y rencontre la snssure parallèle fr
(Pansch) ; Sulcus frontales inferior (Ecker). La scissure frontale
supérieure
. Synonymie : Premier sillon frontal (Broca), 6'
s circonvolutions frontales. a. Première circonvolution frontale ou
supérieure
(Ecker, Pansch). Synonymie : Etage frontal su
frontale ou supérieure (Ecker, Pansch). Synonymie : Etage frontal
supérieur
ou troisième et pli de la zone externe, de Grat
rectus ou gyrus orbitalis me- sialis de Pansch (Ecker); Première ou
supérieure
du groupe des circonvolutions frontales . Erste
(Bischoff); Première frontale (Broca); Gyrus frontal tout (; fait
supérieur
(Henle) ; Siipe2,ioi frontal gyrus (Turner) ; Tro
ieure contiguë à la pariétale ascendante, le lobule du pli marginal
supérieur
de Gratiolet, et, plus en arrière, le pli courbe
n d'éviter les confusions. C. Lobe pariétal. a. LOBULE pariétal
supérieur
. Synonymie : Lobule du deuxième pli ascendant (
mie : Lobule du deuxième pli ascendant (Gratiolet) ; Gyrus pariétal
supérieur
(Pansch); Première circonvolution pariétale (Br
innere Schet- le,97,uppe z Troisième temporale ou lobule temporal
supérieur
d'Hugueuin (erreur typographique' ! lisez pariéta
dont nous al- lons parler. En tout cas, la queue du lobule pariétal
supérieur
participe à la constitution du pli de passage e
sans interrup- tion, sa marche dans le lit même du sillon occipital
supérieur
. C'est dans ce dernier cas, que le terme de sul
sumé, la scissure interpariétale séparela ligne desreplis pariétaux
supérieurs
de la ligne des replis pariétaux inférieurs. El
sure de Sylvius (pli marginal su- périeur et lobule du pli marginal
supérieur
de Gratiolet), a été appelé par lui lobule supr
upramarginal, la qualification succédanée de lobule du pli marginal
supérieur
. Ainsi a pensé M. Richer, tandis que il : Pozzi
scendante; circonvolution pariétale ascendante; P,, lobule pariétal
supérieur
; Pi, lobule pariétal inférieur; P, lobule du pli
et de la première temporale. c. Première circonvolution occipitale,
supérieure
, qui, d'après , Pozzi, termine en,arrière le pr
e ou circonvolution occipitale supé- rieure (Ecker) ; Pli occipital
supérieur
, pli de passage supérieur externe (Gratiolet) ;
tale supé- rieure (Ecker) ; Pli occipital supérieur, pli de passage
supérieur
externe (Gratiolet) ; Obérer Zug der hinleren C
nduiig (Bischoir). d. Première scissure occipitale longitudinale ou
supérieure
(Pozzi). "' '" Svnonymie : Sulcus occipilalis
euxième circonvolution de passage. et plus spécialement à sa partie
supérieure
(l'ozzi).; Elle rest mar- quée 0 2, dans Ecker
première circonvolution temporale (Broca). - Synonymie : Temporale
supérieure
(Ecker) ; Pli marginal postérieur et inférieur
mporale) (Gratiolet, Ttirner,Cliarcot). Synonymie : Sillon temporal
supérieur
ou premier (Ecker : Bischoff); Sulcus temporali
dante; Pa, circonvolution pariétale ascendante; Ps, lobule pariétal
supérieur
; P lobule pariétal inférieur; Il-, lobule du pli
ccupation dans le traitement des maladies mentales dans les classes
supérieures
; par David Bower. (Journal of men- Se ! C ! !
présentait pasrdautre anomalie.31 sur uust Les ganglions cervicaux
supérieurs
! (qui, : malheureusement,'ont été seuls examin
r ? m' rè 11 au1nivéau de lior- zontale du frontal, et sur, la face
supérieure
de la tente du cervelet. il. OB=CIV'ATIO ? 111.
émence). Beaucoup d'liallu- z ne lèvent pas les veux; leur paupière
supérieure
recouvre le globe, oculaire; ils paraissent hon
ans que 3L'lfendelsoit arrivé jusqu'ici à en déterminer l'extrémité
supérieure
. n mu·1 .iI'hijîv La discussion qui s'engage ce
ue extrêmement restreint, une paralysie totale des deux extrémités,
supérieure
et inférieure, du côté droit. En même temps, il
sur l'opuscule entier, sur la partie antérieure du lobule pariéLul
supérieur
, sur le 1 oliule su persmarginal (pari étal infér
vertures à fortes grilles, généralement pratiquées dans les régions
supérieure
;. Elles possèdent des lieux d'aisances et sont
êtues d'un enduit, fermées de partout excepté en haut ; l'ouverture
supérieure
totale permet le contact direct de l'atmosphère
né une masse homogène de consistance pâteuse. Au cou et aux membres
supérieurs
, on note l'aspect pseudo-hypertrophique des fai
eviennent plus aisés. La même particularité a lieu pour les membres
supérieurs
. Si le malade étend vivement le bras pour saisi
ens musculaire est affaibli, particulièrement au niveau des membres
supérieurs
. Ces troubles de la sensibilité générale sont l
d'indiquer, les membres du côté gauche se téta- nisent : le membre
supérieur
se raidit dans l'extension, le poing fermé et u
e de la face est animé de petits mouve- ments convulsifs, le membre
supérieur
du même côté, puis la jambe, sont dans l'extens
uré plusieurs jours, il existe une sorte d'état parésique du membre
supérieur
gauche. La malade éprouve quelque difficulté à
aux accès, mais simplement de l'impotence fonctionnelle du membre
supérieur
gauche, se rattachant à un état douloureux de l
prise, en effet, de temps en temps de spasmes convulsifs du membre
supérieur
gauche. Ces spasmes s'accusent de la façon suiv
vers ladroite. -Dans une seule matinée, on a vu le manège du membre
supérieur
288 CLINIQUE NERVEUSE. gauche se reproduire s
quesdes deux côtés mais plus prolongées à gauche, surtout au membre
supérieur
, parfois limitées à la partie gauche du corps.
moins développé que le droit. Pas de déviation du rachis. Membres
supérieurs
. A l'inspection, le membre gauche n'a pas d'att
la précèdent sont complètement sains sur la face interne et le bord
supérieur
, mais la face externe de cette partie répondant
dans ses trois centimètres inférieurs; les deux centimètres et demi
supérieurs
sont sains. Les parties saines de la frontale a
xiste une sorte de cavité assez profonde ouvientso perdre la partie
supérieure
delascissure Parallèle(PL.Vl, spp). La lobule d
te de renflement en massue à l'ori- gine de sa portion horizontale (
supérieure
).- Le lobe paracentral est bien développé avec
onvolution pariétale ascendante parait normale. - Le pli pa- riétal
supérieur
, le pli pariétal inférieur, et le pli courbe sont
présentaient, en 1882, que de très légères diffé- rences. Au membre
supérieur
gauche la paralysie persista plus longtemps, et
les secousses étaient plus prolongées à gauche, sur- tout au membre
supérieur
. Enfin, dans certains accès, surtout les accès'
notamment la prédominance des accidents convulsifs, dans le membre
supérieur
gauche, dont le centre mo- teur, qui occupela m
ue, dans les accès, il était moins fortement atteint que le memb' e
supérieur
; or, DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES. 3H l'au
étaient beaucoup moins prononcées et même nulles dans la portion
supérieure
de la frontale et de la pariétale ascendantes.
e, \e lobule paracentral. Ce petit'rectangle est la zone de réunion
supérieure
et mé- diane des deux circonvolutions (frontale
à la lisière du manteau des circonvolutions, entre les extrémités
supérieures
du sillon de Rolando et du sillon calloso-margina
TIONS CEREBRALES. 315 L'avant-coin, par conséquent, c'est la face
supérieure
et in- terne du lobule pariétal supérieur, qui
onséquent, c'est la face supérieure et in- terne du lobule pariétal
supérieur
, qui surmonte le tiers posté- rieur de la secon
oca); Pozzi en décrit trois : 1° un pli de passage pariéto-temponal
supérieur
interne (Pozzi), ou pli de passage interne supé
riéto-temponal supérieur interne (Pozzi), ou pli de passage interne
supérieur
de Gratiolet, passe derrière le corps calleux e
médius (lobule lingual), (Pansch); Circonvolution temporale interne
supérieure
(Bischoff) ; Pliun- ciforme ou temporale moyenn
inatus ou pli unciforme. La circonvolution concentrique externe, ou
supérieure
(gyzwsznargizaalis externus), a pour facteurs :
nes et le corps du trigone, constituant tous ensemble une branche
supérieure
; le corps bordé de la corne d'Ammon, le corps go-
: paralysie totale, à l'exception du globe oculaire, de la paupière
supérieure
, du dos du nez, de la région parotidienne; le g
DE PATHOLOGIE \( : It1'EUSK. 333 gnostic,lacontracture des membres
supérieurs
survenue après une. attaque des plus grave est
du lobule paracentral, de la seconde temporale, du lobule pariétal
supérieur
, du lobule pariétal infé- rieur, du lobe occipi
le tiers inférieur de l'écorce. Le système des fibres tangentielles
supérieures
manque encore com- plètement; on C'est à une
n mois plus loin, l'on assiste à une blé- pharoptose de la paupière
supérieure
droite : accélération de l'activité cardiaque,
e. II. Quant à l'hémiplégie, voici les conclusions : 1° l'extrémité
supérieure
non paralysée perd en moyenne 18 8 kiL de sa fo
réflexes tendineux dans les membres atteints et dans les extrémités
supérieures
, une légère rigidité des musclesde la jambe, un
son intelli- gence s'en est ressentie. Paralysie motrice du membre
supérieur
droit et faiblesse marquée du membre inférieur
due, comme on peut alors le constater, à l'effondrement de la paroi
supérieure
du ventricule. Les cir- convolutions du côté ga
exercé par de bons serviteurs, sous la direction des fonctionnaires
supérieurs
de l'asile, constitue le meilleur moyen d'attei
n aide, à dé- celer les tractus des fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
; il pense que ses préparations démontrent que l
nce dans ces deux lobules, de sorte qu'ils représentent les moitiés
supérieure
et inférieure de l'hémisphère. Le vermis n'a pa
misphère. Le vermis n'a pas laissé non plus grande trace. Le vermis
supérieur
se trouve peut-être dans sa plus forte part enter
part enterré sous l'hémisphère gauche et sous le rudiment du lobule
supérieur
SOCIÉTÉS SAVANTES. 369 droit. D'un autre côté
centimètres; le vermis est très fortement réduit, surtout le vermis
supérieur
. Le monticule ou éminence du vermis supérieur f
it, surtout le vermis supérieur. Le monticule ou éminence du vermis
supérieur
fait défaut. Les olives de la moelle allongée s
ladie. Intégrité de l'encéphale, des nerfs crâniens, des extrémités
supérieures
, des fonctions végé tatives, des organes génita
e accentuée dans les membres inférieurs, modérée sur les extrémités
supérieures
. Intégrité de la vessie et du rectum ; pas de t
eurs vives dans la région hypogastrique, irradiant vers l'extrémité
supérieure
gauche. Céphalalgie violente. Amaigrisse- ment.
l'), dans le traite- ment des maladies mentales dans les classes
supérieures
, par Bo- wer, 203. Olfactif (absence apparent
E PREMIÈRE Coupe horizontale à tut centimètre au-dessous de la face
supérieure
du corps calleux. 1, Irradiations extra-nuclé
u corps calleux. v, Bord externe du ventricule latéral. s, Partie
supérieure
de la scissure. i, Insula de Reil. Fi, Fi, F3
'nterne confinant au bord externe du ventricule latéral. 2, Coude
supérieur
de la capsule interne. 3, Fond de la scissure p
P a, Pariétale ascendante. S/i,SL)lon de Rolande Pi, Pli pariétal
supérieur
. P C, Pli courbe. l ? Première circonvolution
'rontale ascendaiite. P a, Pariétale ascendante. Pi, Pli pariétal
supérieur
. Il , Pli pariétal inférieur. P c, Pli courbe
- de série. 25 ayant le certificat d'études, forment une division
supérieure
, ne vont à l'école qu'une demi- journée par sem
Le remplacement des murs par des grillages incurvés à leur partie
supérieure
et défendus par une haie d'ar- bustes non épine
ssi d'un meilleur recrutement - c'est de faire que le person- nel
supérieur
, aussi bien que le personnel subalterne aime so
l'a compris et tous ceux qui n'ont pas d'autre souci que l'intérêt
supérieur
des malades l'en féliciteront. C'est parce qu'i
é correspondante du front est moins haute. Det2titiota. -\Iàclioirc
supérieure
: 13 dents eontiguës, mal rangées, de forme irr
pénil, les bourses, le périnée et l'anus sont glabres. Les membres
supérieurs
et inférieurs bien conformés, maigres, sont rec
ictées par une longue expé- rience, n'ont d'autre but que l'intérêt
supérieur
des malades. Accomplies, elles diminueraient no
épaisses, érythémateuses. Arcades den- taires assez régulieres, la
supérieure
est aplatie à sa partie moyenne, dents non crén
e ; voile du palais, etc., normaux. Tronc, très régulier. - Membres
supérieurs
, longs et grêles. - Membre inférieur gauche, bi
pau- pières. Impétigo ulcéré de la face ; gonflement de la lèvre
supérieure
. Iodure de fer, huile de foie de morue, bains s
eloppée à la région postérieure; léger aplatissement de la partie
supérieure
de l'occipital. Le front est assez haut; bosse
es palpébrales larges, légèrement obliques (type Mongol). Paupières
supérieures
hautes, - cils châtains foncés et de longueur m
orat semble exister. - Bouche largement fendue, symétrique. Lèvre
supérieure
courte, un peu épaisse. - Lèvre inférieure minc
t de ce côté des chiffres un peu moins élevés (V. p. 5l). Au membre
supérieur
, la paralysie porte surtout sur les extenseurs,
stance sous-jacente. Les points particulièrement lésés sont le bord
supérieur
de la F', les parties postérieure et moyenne de
rieure et moyenne de la F2, la partie moyenne de la 1 ? et le tiers
supérieur
de la frontale ascen- dante (F.A). Le sillon de
r la pariétale ascendante, sur le tiers inférieur de la pariétale
supérieure
, sur les deux tiers inférieurs de la pariétale in
ère pas sur l'union de la pariétale infé- rieure et de la temporale
supérieure
, de telle sorte qu'en suivant avec le doigt ou
ce n'est les lésions de méningo-encéphalite sur toute la temporale
supérieure
et sur la partie postérieure des T2 et T3. Le l
drilatère et le coin. Tou- tes ces circonvolutions, surtout au bord
supérieur
de l'hé- misphère, sont atteintes de méningo-en
pulmonaire ; le poumon gauche a son aspect normal ; à la Membres
supérieurs
. Ut NI tp. ....... t : 1 z en ci
d, le faisceau pyramidal croisé gauche, a un volume ordinaire non
supérieur
à la normale, puis l'agénésie s'aecompagne d'une
, capuchon très développé. - L'enfant est partout glabre. Membres
supérieurs
: grêles ; mains grandes, doigts carrés,; ongle
ent dépassées par celles du lobe fronlal gauche. En suivant le bord
supérieur
des hé- misphères, on constate que vers la part
ent la scissure interhémisphérique; plus en arrière, les deux bords
supérieurs
divergent tous deux en dehors, mais 60 PSEUDO-F
le droit, beaucoup plus que le gauche, de telle sorte que le bord
supérieur
de l'hémisphère droit est fortement convexe en
le lobe inférieur et les parties posté- rieures des lobes moyen et
supérieur
sont splénisées; en avant, au contraire, ce pou
t des matières demi-liquides. L'appen- dice est normal, en position
supérieure
. Pas de corps étran- gers ni de vers. - Foie no
onnel ne donne rien de pré- cis. - Ne ? droit, bouche petite, lèvre
supérieure
épaisse à sa partie médiane, la lèvre inférieur
. - Pou- mon droit, emphysème et légère congestion des deux lobes
supérieurs
; foyer de bJ'Ollc/w-pnelLJ110nie occupant le lobe
nie occupant le lobe inférieur. - Poumon gauche, congestion du lobe
supérieur
; emphysème du lobe inférieur ; dans ce lobe con
utres termes, cette scissure semble aller du bord inférieur au bord
supérieur
de l'hémisphère, inter- rompue seulement à sa p
et en mettant l'hémisphère devant le jour, qu'il existe à la partie
supérieure
de notre enfonce- ment un trou ovalaire d'un ce
ntre de convergence. En avant, se détachent trois racines : : 10 la
supérieure
s'épaissit dès son origine pour donner naissanc
ès son origine pour donner naissance à la circonvolution frontale
supérieure
FI; elle se dirige en avant, formant le bord supé
ié- tales : 1°La première, épaisse d'un centimètre, longe le bord
supérieur
de l'hémisphère et se continue en arrière avec la
circonvolutions ont chacune la forme d'une pyramide dont le sommet,
supérieur
, correspond a leur racine et la base au bord in
ant de la scissure de Sylvius, il s'insère d'une part par sa racine
supérieure
dans l'excavation porencé- phalfcltte et par l'
uel, commençant au-dessus du corps calleux pour se terminer au bord
supérieur
de l'hémis- phère, derrière le lobule paracentr
. - Menton rond, peu volumineux, sur le même plan que le maxillaire
supérieur
. - Oreilles écartées de la tète, bien ourlées,
29 centimètres à la base. - Corps thy- roïde appréciable. Membres
supérieurs
, bien conformés, bien musclés; moti- lité et se
Nez droit. - Bouche moyenne, à contours bien dessinés pour la lèvre
supérieure
, moins nets pour l'inférieure, qui est plus cha
on bord alvéolaire. - Dents espacées, surtout à la région antéro-
supérieure
, petites ; elles sont en outre usées et presque
nt, mais le corps thyroïde ne paraît pas très- développé. Membres
supérieurs
bien développés ; mouvements spon- tanés et pro
. - Le lobe occipital est peu volumineux, sans sclérose. La lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius est plus oourte que d
est très net et assez pro- fond. - Les plis pariétaux inférieurs et
supérieurs
(Pl, P2) et le pli courbe (PC) sont plutôt volu
hématoxyline selon le procédé Wei- gert-Pal, au niveau de la partie
supérieure
et de la partie moyenne de la protubérance, du
. Lèvres normales. - Bouche moyenne. Dents blanches régulières, les
supérieures
chevau- chent légèrement sur les inférieures. R
avec capuchon peu développé. Hymen ovalaire. Anus normal. Membres
supérieurs
bien développés, même très gras. Mains bien fai
et PA semblent saines. Les scissures sont béantes. Le lobe pariétal
supérieur
est à peu près normal ; mais le pli courbe et l
eur et de couleur normales ; elles sont un peu serrés à la mâchoire
supérieure
. - Les oreilles, hautes de 5 cm., sont bien con
tés dans l'anneau inguinal, les bourses demi-pendantes. , Membres
supérieurs
et inférieurs bien musclés et parfai- tement co
es génitaux : rien de particulier. Sensibilité normale. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux. Intelligence. L'e
igne médiane. La suture sagittale part t du tiers droit de son bord
supérieur
. Elle est très sinueuse excepté sur un centimèt
cot. Corps entièrement glabre, ainsi que la région anale. Membres
supérieurs
bien conformés, jouissant de tous leurs mouveme
ccipital droit saillant. Légère transparence des fosses occipilales
supérieures
, un peu plus il. droite. Toutes les sutures son
L'une des veines méningées répon- dant à la partie moyenne du bord
supérieur
de la frontale gauche ascendante présente des c
nt se continuer avec un caillot qui remplit le sinus longitudinal
supérieur
. Il en est de même d'une veine nestre méningée
ux parties; 3° le pli de passage qui unit FA a l'A à leur extrémité
supérieure
, fermant ainsi, en liant, le sillon de Rolando.
qui manque à droite. 160 DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. Les lobes pariétaux
supérieur
et inférieur ne se ressemblent pas. Face inte
u crâne, ayant une conformation assez particulière : les deux tiers
supérieurs
du pavillon forment avec le tiers supérieur un
ère : les deux tiers supérieurs du pavillon forment avec le tiers
supérieur
un angle obtus, de sorte que la conque présente
dification sensible par rapport à la note précédente. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux, dans tous leurs seg
elier qu'à la classe. (Fig. 16). Puberté : léger duvet sur la lèvre
supérieure
. Quelques poils au pénil. Verge : circonférence
bien à la gymnastique et au chant. - Puberté : Duvet sur la lèvre
supérieure
et les joues, poils peu abondants au pénil. Le
sselles, formant une bande de 5 cent, sur 2. Le tronc, les membres ^
supérieurs
et inférieurs sont glabres. Poils châtain-blond
i considérable, on en obtiendra plus facilement de semblables ou de
supérieures
chez des enfants moins profondément frappés, ce
FA, frontale ascendante. SR, sillon de Rolando. PS, pli pariétal
supérieur
. PI, pli pariétal inférieur. LO, lobe occipit
PA, pariétale ascendante. SR, sillon de Rolando. PS, pli pariétal
supérieur
. PI, pli pariétal inférieur. Fo, foyer de pse
frontale ascendante. ! 'A, pariétale ascendante. LP, lobe pariétal
supérieur
. LO, lobe occipital. Fo, foyer de pseudo-pore
nvolutions temporales. INS, lobule de l'insula. 1'2, pli pariétal
supérieur
. P3, pli pariétal inférieur. Légende de la fi
obule paracentral. PA, pariétale ascendante. ]>1, pli pariétal
supérieur
. 1, pli pariétal inférieur. LO, lobe occipita
R, sillon de Rolando. PA, pariétale ascendante. Il', pli pariétal
supérieur
. l ? pli pariétal inférieur. T, T2, T3, circo
A, frontale ascendante. SO, pariétal aeeendante. pi, pli pariètal
supérieur
, P2, qli pariétal inférieur. PC, plie ourle.
sillon de Rolando. PA, pariétale ascendante. Lys, lobule pariétal
supérieur
. LPI. lobule pariétal inférieur. PC, pli cour
nde et troisième circonvolutions temporales. LPS, lobule pariétal
supérieur
. LPI, lobule pariétal inférieur. PC, pli cour
hettes indépendantes qui glissent entre deux rainures sur la partie
supérieure
de la boîte permettent de dissimuler à volonté
nt pas. 29 autres ayant le certificat d'études forment une division
supérieure
et ne vont à l'école qu'une demi-journée par se
de même que les années précédentes, la population a toujours été
supérieure
à ce chiffre. Elle était de 130 le 1" janvier e
s l'adoptez, il titre de voeu., y aurait lieu pour l'administration
supérieure
, il laquelle votre décision se- rait transmise,
et assez sinueuses; il existe une série d'os wormiens sur la moitié
supérieure
des sutures pariéto-occipilales. Méninges. - Li
passage à F2; elle se termine en arrière' par deux branches : l'une
supérieure
qui descend sur la face interne jusqu'au sillon
deux plis à F2 et présente en arrière une encoche au niveau du bord
supérieur
, moins profonde que celle de droite, et une pet
ow;/lC grande, lèvres épaisses, l'inférieure un peu renversée, la
supérieure
saillante à la partie médiane. - Langue, palais
ourlées, en forme de bateau par suite du renversement de la partie
supérieure
du pavillon ; le lobule est détaché. L'ouïe ne
dimensions naturel- les. - Colonne vertébrale régulière. Membres
supérieurs
symétriques, grêles, normaux, moti- lité normal
plus marquées au sommet droit. - Poumon droit (460 gr.) : le lobe
supérieur
présente une vaste cauerne ; on en trouve une p
ésente une vaste cauerne ; on en trouve une plus petite à la partie
supérieure
du lobe inférieur, qui est fortement congestion
nt encore plus marquées que sur cette dernière, surtout à la partie
supérieure
. - La première pariétale envoie un pli de passa
es sillons superficiels. Le second offre des adhérences à sa partie
supérieure
. - Le coin se décortique facilement. En enlevan
me et s'insère sur la frontale ascendante un peu au-dessous du bord
supérieur
de l'hémisphère. La deuxième frontale, sinueuse
ns le pli courbe. La deuxième temporale est cou- pée dans sa partie
supérieure
parla scissure parallèle, celle-ci allant s'ouv
aillantes et symétriques. - Bouche moyenne, lèvres peu épaisses, la
supérieure
un peu saillante. - Palais, rien d'anormal; voû
cte. Cou bien détaché. Corps thyroïde difficile à saisir. Membres
supérieurs
: bien musclés, sans ancienne cica- trice. Les
à l'infirmerie pour des plaies multiples des orteils, dont la face
supérieure
présente des surfaces ulcérées, saignantes et f
tion très prononcé. Le cou est raidi, les articulations des membres
supérieurs
ne jouent plus avec la même facilité, les muscl
ints et de chaque côté; au niveau de l'épine iliaque postérieure et
supérieure
, l'os est mia à nu. A la partie postérieure du
t1- mienne. - Adhérences de la pie-mère dans la zone rolan- dique
supérieure
. Couilb.... (Amélie Gcorgette), née à Paris le
accès en notre présence, très court. Son visage pâlit, les membres
supérieurs
se raidirent en extension, ainsi que le tronc e
ons à 8 mois, se renouvelant mensuellement. - Faiblesse des membres
supérieur
et inférieur du côté gauche, constatée à 18 moi
tête (1). 56 Description DU malade. principalement à la paupière
supérieure
où ils sont un peu relevés en haut. Pas de blép
. Pommettes peu saillantes, symétriques. Bouche assez grande, lèvre
supérieure
légè- rement pendante ; palais osseux légèremen
apprécie bien les diverses saveurs. z On note un léger prognathisme
supérieur
; à la mâchoire supérieure, il y a 13 dents, l'
aveurs. z On note un léger prognathisme supérieur ; à la mâchoire
supérieure
, il y a 13 dents, l'incisive latérale droite n'es
randes et épaisses, bien ourlées, fortement décollées à leur partie
supérieure
; leur lobule n'est pas adhérent. Ouïe saine. Co
érent. Ouïe saine. Cou grêle ; corps thyroïde normal. Les membres
supérieurs
ne sont pas également développés. Tandis que le
empérature et à la douleur. ' DESCRIPTION DU malade. 57 Membres
supérieurs
. 58 Marche DES accès. étaient devenus bien mo
berté. Léger duvet sur toute la figure, principalement sur la lèvre
supérieure
. Aisselles glabres, ainsi que les membres supér
t sur la lèvre supérieure. Aisselles glabres, ainsi que les membres
supérieurs
et inférieurs. Bouquets de poils fins il la rac
ue la précédente dans ses deux tiers inférieurs tandis que le tiers
supérieur
est rela- tivement normal. - La Il présente un
. - La Il présente un arrêt de développe- ment, ainsi que la partie
supérieure
de la P.A. ; mais les deux tiers inférieurs de
bien développé et ne présentant aucune lésion; à sa par- tie toute
supérieure
on voit aboutir la scissure de Rolando qui, à c
par un pli de passage, et par conséquent n'attei- gnant pas le bord
supérieur
de l'hémisphère. - La scissure de Sylvius, a pe
comme divisée par un sillon superficiel en deux parties dont l'une,
supérieure
, se continue avec le pied de la Fi et dont l'au
u plus bas. L'orifice de l'hymen n'est pas visible ( ? ). Membres
supérieurs
régulièrement conformés; les ongles ne sont pas
ieure qui est ossifiée mais déprcssible au niveau de l'angle antéro
supérieur
du pariétal droit. Les sutures sont très dentel
es n'offre rien de particulier. Puberté. - Léger duvet sur la lèvre
supérieure
; rien au menton. Thorax glabre. Quelques poils
sourcils peu accusés et très peu abondants, très pâles. - Paupière
supérieure
bouffie, l'inférieure est séparée de la joue pa
nvolutions ascen- dantes. Celles-ci, normales dans leurs deux tiers
supérieurs
, s'amincissent tout-à-coup au niveau du sillon
ière dentition est complète Les dents sont déviées, les incisives
supérieures
sont en rétroversion. Voûte et voile du palais et
- Léger érythème de la région anale, dû au gâtisme. ' Les membres
supérieurs
sont grêles, peu musclés. Les mouvements sont g
le adipeux est très réduit. Quelques petites cicatrices a ta partie
supérieure
du clos. Quatre Cicatrices de vaccin sur le bra
soit sur ses mains, soit sur les objets qui l'entourent. - La lèvre
supérieure
est régulière. On ne trouve pas de déformation
n est long, un peu en avant, symétrique par rapport aux maxillaires
supérieurs
. Le cou mesure 27 centimètres de circonférence
e fréquent dès que l'enfant ne se sent pas surveillé. Les membres
supérieurs
sont bien développés; les mains rouges, violacé
suture sagittale sont visibles. L'empreinte du sinus longitu- dinal
supérieur
n'est bien apparente qu'en arrière. A droite, b
. (Fig. 8). Examen de la dentition par M. le Dr CRUET. - Mâchoire
supérieure
: Douze dents saines mal rangées, mâchoire laté-
bien rangées sur une mâchoire normale. Articulation. Prognathisme
supérieur
peu prononcé. Les dents inférieures touchent le
ur peu prononcé. Les dents inférieures touchent le collet des dents
supérieures
.- Voûte palatine étroite et assez profonde. Gen
Système pileux peu abondant et sous forme de duvet léger à la lèvre
supérieure
, rare au niveau des aisselles, abondant au péri
ensuite en s'atténuant et se porte légèrement à droite. A la partie
supérieure
du front est un ressaut indiquant la suture fro
s saillantes à cause de l'ex- ophtalmie qu'a le malade. La paupière
supérieure
est très développée. L'occlusion complète de l'
te. Lèvres peu développées, naturel- lement entr'ouvertes. La lèvre
supérieure
laisse habituelle- ment à découvert les incisiv
née de la ligne médiane que la droite. La moitié gauche de la ligne
supérieure
est plus mobile que la moitié droite. La lang
s thyroïde. Thorax. Saillie assez prononcée de la région sternale
supérieure
. Ma7 ? xe22es assez développées. Légère cyphose c
la grosseur d'un petit oeuf de poule, égaux. Anus normal. Membres
supérieurs
. Développement égal, saillies mus- culaires nor
pas d'adénopathie. 15 juillet. - Puberté. - Duvet léger à la lèvre
supérieure
. Le reste du visage est glabre, ainsi que le th
rté. Quelques poils courts dessinent une ligne étroite sur la lèvre
supérieure
; un groupe de poils rares à la pointe du menton
joues. Poils longs, peu abon- dants sous les aisselles. Les membres
supérieurs
, le tronc sont glabres. Poils noirs, abondants
cent. ; longueur, 4 cent. et demi. Poils assez nombreux à la partie
supérieure
de la face in- terne des cuisses. Poils courts,
nts dans le sillon inter-fessier, sur ses bords jusqu'à l'extrémité
supérieure
du pli inter-fessier. (Fig. 10, 11 et 12). Ré
ourlées ; lobule assez long, non adhérent. Dentition. - Mâchoire
supérieure
: 13 dents; la canine gauche est en voie d'érup
Articulation temporo-rnaxillai1'e normale ; les incisives médianes
supérieures
, par suite de leur petitesse, recouvrent très p
vent même pas être sentis à Panneau. Anus infundibuliforme. Membres
supérieurs
très amaigris, immobilisés par une contracture
lu- mineux occupe le sinus latéral gaucho : le sinus longitudinal
supérieur
est distendu par un caillot occupant les trois qu
les membres. 43 juin. - Tremblement presque continuel des membres
supérieurs
. 14 juin. - Persistance du tremblement. Diminut
a tête des sourcils, sont plus fournis vers la queue. Les paupières
supérieures
sont gonflées, surtout la gauche. Les cils sont
illai- res sont marqués de prognathisme alvéolaire. Le maxillaire
supérieur
présente en particulier un abaissement très mar-
agé- rée au niveau de la partie inférieure du cou et de la partie
supérieure
du dos; il existe également une légère convexité
oins accusée chez elle que chez les malades précédents. Aux membres
supérieurs
nous n'avons à noter que l'épaissis- sement des
s de long, se pro- longeant sur les grandes lèvres dans leur moitié
supérieure
; poils blonds assez nombreux sur la moitié infé
s d'un centimètre de large), le capuchon fait saillie à la partie
supérieure
de la vulve : - L'activité de Marie-Louise n'est
n de Rolando. P.A., pariétale ascendante. L.P.S., lobule pariétal
supérieur
. L.O., lobe occipital. Tl, première temporale
n do Rolando. P.rl., pariétale ascendante. L.l'.S., lobe pariétal
supérieur
. L.P'.L, lobule pariétal inférieur. L.O., lob
te. P.A., pariétale ascendante supplémentaire. P.S., pli pariétal
supérieur
. P.I., pli pariétal inférieur. T2, T2, T3, pr
n de Rolando. P.A., pariétale ascendante. L.P.S., lobule pariétal
supérieur
. L.P.L, lobe pariétal inférieur. P.C., pli co
embres inférieurs : cette coloration est intermittente. Aux membres
supérieurs
, la teinte est d'un bleu accusé. Partout sensib
sements.Depuis deux ans, par- fois un peu de gonflement de la lèvre
supérieure
. Examen du Dr Cassirer. Les mains sont déviées
ais la force musculaire est no- tablement diminuée aux deux membres
supérieurs
, au dynamomètre. A droite : 22.38. A gauche :
nt elle dessine le re- lief ; l'aile du nez est atrophiée, la lèvre
supérieure
a fondu et n'offre plus qu'un mince liséré roug
ophie notable du rebord orbi- taire, de l'os malaire, du maxillaire
supérieur
, du maxillaire inférieur et des cartilages du n
videmment, de se demander si le résultat fonctionnel à prévoir sera
supérieur
à l'état présent. En thèse générale, si l'hyper
ulou- reuse ni inflammatoire. Depuis cette époque, tout le membre
supérieur
gauche est affaibli, amaigri, même atrophié, sp
use et indolente, d'une atrophie muscu- laire progressive du membre
supérieur
gauche et d'une dissociation de la sensibilité
'une dissociation de la sensibilité aux extrémités des deux membres
supérieurs
. Au mois de janvier (4 janvier), cinq semaines
égie spasmodique. En mars, douleurs de la nuque au niveau des bords
supérieurs
des deux trapèzes. Vertiges. Exagération des ré
es muscles est pratiqué par M. Allard. Tous les muscles des membres
supérieurs
et des épaules se contractent normalement aux d
roglique de la commissure antérieure est moins épaisse qu'à l'étage
supérieur
; une bande de même nature plus épaisse et plus l
ssant par la région de l'entrecroisement des pédoncules cérébelleux
supérieurs
, on voit l'atro- phie considérable du pédoncule
érieurs, on voit l'atro- phie considérable du pédoncule cérébelleux
supérieur
droit qui envoie un contingent de fibres vers l
e de dégénération n'y est visible (Planche XVIII). Sur les coupes
supérieures
de la protubérance annulaire, l'atrophie consid
bérance annulaire, l'atrophie considérable du pédoncule cérébelleux
supérieur
à gauche est très appa- rente. On voit toujours
e atrophie est en rapport avec l'atrophie du pédoncule. cérébelleux
supérieur
gauche observée sur les coupes de la protubéran
s-jacent est infiltré de tubercules de différents âges ; un des lobes
supérieurs
montre une réaction fibreuse intense. Les gangl
o- pariétale, qu'elle atteint à 1 centimètre au-dessus de la limite
supérieure
de l'écaille temporale. Elle siège donc tout en
olonge en pleine protubérance, arrivant jusqu'au contact de la face
supérieure
, sans cependant s'ouvrir à l'extérieur. Moelle.
de frôlement aux membres inférieurs, gagne le tronc et les membres
supérieurs
. En serrant fortement les poignets de la malade
e, reste du faisceau longitudinal inférieur : du même côté, l'angle
supérieur
du ventricule, au niveau du faisceau transverse d
ctions tendi- neuses ; chaque segment est en flexion sur le segment
supérieur
; les cuisses en abduction et rotation en dehor
t on voit un bourrelet transversal saillant se dessiner à la partie
supérieure
du mollet, bourrelet très réduit en hauteur ent
lèvement permanent des orteils ; pas de griffe du pied. Les membres
supérieurs
présentent eux aussi une grosse atrophie muscu-
re la faculté de préhension. Dans les mouvements composés du membre
supérieur
, on reconnaît bien cette inégale répartition de
e boire, on le voit d'abord incliner le tronc pour porter le membre
supérieur
dans la direction du verre ; une fois la main c
rps, sauf cependant à certaines régions qui sont : pour les membres
supérieurs
la face antérieure des bras ; pour les membres
sa main. Les réflexes tendineux sont totalement abolis aux membres
supérieurs
et inférieurs. - Les réflexes cutanés plantai
très marquée. MYOPATHIE ATROPHIQUB PROGRESSIVE 115 qu'aux membres
supérieurs
. Alors que les contractions par électrisation du
à cet homme de continuer à travailler. Pas de vertiges. Les membres
supérieurs
ont conservé leur dexté- rité. Il n'existe aucu
ommodation et du sphincter de l'iris. Paralysie incomplète du droit
supérieur
et du droit interne. Acuité chromatique normale
du sphincter de l'iris à droite, avec paralysie incomplète du droit
supérieur
et du droit interne du même côté ; . . 3° L'a
taires ou palatins. Le système pileux est nor- mal. ' Les membres
supérieurs
n'offrent rien à signaler, ni comme forme, ni c
asse oblique en bas et en dehors, rappelant l'aspect de l'extrémité
supérieure
du fémur. L'extrémité su- péro-interne, effilée
ole interne est nette. L'architecture parait normale; les épiphyses
supérieures
et inférieures ne sont pas encore soudées, et c
normaux sauf le foie ; la veine om- bilicale l'atteint par sa face
supérieure
et le traverse pour gagner la face inférieure.
ques millimètres seulement qui leur forment collerette. La moitié
supérieure
du sacrum forme la partie inférieure de la fosse
n sacre; 5, ganglion du sympathique sacré; 6, ganglion scnsitti sacré
supérieur
; 7, nerf sortant par le trou sacre antérieur; 8
anglions sont très dé- veloppés à la racine des membres ; au membre
supérieur
sont 4 ou 5 gan- glions, fusionnés les uns aux
on de Gasser d'où divergent les trois nerfs ophtalmique, maxillaire
supérieur
et maxillaire inférieur. Le nerf facial est tro
ois d'octobre 1898, la malade ressentit des douleurs dans le membre
supérieur
droit; ces douleurs survenaient sous forme de cri
ire, on voit qu'elle a la forme d'une masse, unique à son extrémité
supérieure
, bifide à son extrémité inférieure res- PARAPLÉ
r 1 cm. 7. Terminée en massue, presque brusquement, à son extrémité
supérieure
, elle s'effile in- férieurement et se trouve pl
st le prolongement de la zone de dégénérescence signalée aux étages
supérieurs
de la moelle ; le tissu y est comme dissocié par
médullaire, comme pourrait l'être une masse unique à son extrémité
supérieure
, plus développée à droite, bifide à son extrémi
on le tableau sympto- matique (nerveux) était le suivant : Membre
supérieur
droit. Atrophie des muscles de la main droite. =
(Les cordons postérieurs sont en grande partie respectés.) Membre
supérieur
gauche. Atrophie très légère, diminution de la
ature. On constate quelques troubles parétiques du côté des membres
supérieurs
et une certaine inhabileté des mains. Des crise
s'accompagnent de sensations pénibles dans la région pré- cordiale
supérieure
. L'appétit est conservé,mais considérablement dim
extérieur du thorax, les poumons sont peu volumineux. Dans le lobe
supérieur
de chacun d'eux, plus particulièrement à gauche
ombril à la symphyse 15 cm., la dis- tance des deux épines iliaques
supérieures
antérieures 22 cm. 3. Les organes génitaux sont
veloppement du corps, très gros à l'égard de l'âge. - Les membres
supérieurs
bien développées, sont cependant un peu trop lo
donne 13 kgr. celle de la gauche 12 kgr. Les mesures des membres
supérieurs
sont : GIGANTISME PRÉCOCE 185 186 HUDOVERNIG
ques. Dans cette maladie qui porte principalement sur les fonctions
supérieures
, les fonctions du réel, la volonté et l'atten-
erses dérivations motrices qu'ils présentent. TIC TONIQUE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT PAR le Dr Fernand RUDLER, médecin-major
- L... se présente à notre observation pour une affection du membre
supérieur
droit qui remonte à cinq ans. Il est allé à l'éco
toutes ces manoeuvres exigent un travail soutenu et suivi du membre
supérieur
droit. La répétition de ces mouvements n'a tout
'atelier, le malade a même pu exercer la pro- TIC TONIQUE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT 219 fession de tisserand qui demande une
a gêne, sans aucune douleur, dans une foule de mouvements du membre
supérieur
droit, en particulier dans les mouve- ments de
e décide aussitôt à se servir pour les usages journaliers du membre
supérieur
'gauche. La gêne dans les mouvements est accomp
c le léger traumatisme signalé. Ils sont restés localisés au membre
supérieur
droit. L... a essayé de régulariser les mouveme
thoracique 0 m. 86, pour une taille de l m. 77. A la vue, le membre
supérieur
droit ne présente aucune déformation appa- rent
issu cellulaire ne présentent rien d'anormal. Les muscles du membre
supérieur
droit ne semblent pas atrophiés. Toute- fois, à
kilogs dans le gauche. La réaction électrique des muscles du membre
supérieur
droit est normale. La contractilité faradique e
graphie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XLIX TIC TONIQUE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT (F. Riidlei-). Masson & CI ? I : di
malade se couche en quelque sorte sur l'avant-bras droit, le membre
supérieur
droit en flexion complète, l'épaule très basse; i
Pas de déformation cra- nienne. Pas de tremblement dans le membre
supérieur
droit, sinon dans l'écriture ; pas de contractu
s du point de Erb. Aucun trouble de la sensibilité dans le membre
supérieur
droit, ni sur aucune autre partie du corps ; pa
ent commandé; la maladresse dans les mouvements complexes du membre
supérieur
droit et la gêne dans l'écriture sont plus accu
étojres, pas de sueurs plus abondantes ni plus rares dans le membre
supérieur
droit. Pas de dépig- mentation, mais, sur les p
rès marquées du caractère, mais il est émotif TIC TONIQUE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT 223 impatient, d'humeur irritable à l'exc
pignement, l'exagération du mouvement de rotation signalé du membre
supérieur
droit. L'attention volontaire est encore assez
n, paralysie parcellaire ou parésie, du plexus brachial droit, type
supérieur
de Duchenne-Erb. Mais d'autres hypothèses peuve
sées de rougeur au visage, engourdissement et sensibilité du membre
supérieur
droit à des tempéra- tures basses). Il ne peut
de névrite des diabétiques. L'irrégularité des mouvements du membre
supérieur
droit (maladresse pour porter un objet à la bou
riture et aussi celle d'une foule de mouvements complexes du membre
supérieur
» (1). La. perturbation dans les fonctions de ce
tération, paralysie parcellaire ou parésie du plexus brachial, type
supérieur
de Duchenne-Erb. Ce type qui correspond à la lé
achial dans Collet, Palh. int., t. I, p. 261. TIC TONIQUE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT 225 entraîne une gêne dans l'élévation du
nd groupe commande l'attitude en adduction et en rotation du membre
supérieur
; la sensibilité est presque toujours intacte. Or
gêne de l'écriture et d'une foule de mouvements complexes du membre
supérieur
), et du grand dorsal (élévation de l'épaule dan
ette fonction marquent souvent le point de départ de tics du membre
supérieur
droit. Le torticolis mental reconnaît parfois c
ont extrê- mement rares chez les tiqueurs, même chez ceux du membre
supérieur
droit. Et ce fait tient à ce que, dans l'immens
ation, par la réunion d'autres caractères. Les mouvements du membre
supérieur
droit sont coordonnés, on observe seulement de
de réduire progressivement les services que doit ren- dre le membre
supérieur
droit. L... a consulté plusieurs médecins, puis
façon absolue à l'état mental du liqueur ? TIC TONIQUE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DHOIT 229 Peut-on concilier avec l'hypothèse d'
e cas particulier par le repos ac- cordé par le malade à son membre
supérieur
droit pendant de longues années. Il résulte d
résulte de cette discussion que L... est atteint d'un tic du membre
supérieur
droit. L'absence des modifications de la sensibil
La maladresse dans l'exécution d'une foule de mouvements du membre
supérieur
droit qui semblait relever de troubles fonction
Nous avons fait exécuter au malade tous les mouvements des membres
supérieurs
« len- teinent, régulièrement, correctement, au
vons affirmer que la gêne dans les mouve- ments complexes du membre
supérieur
droit a considérablement diminué ; en particuli
d'ailleurs complète dans ce dernier ouvrage. TIC TONIQUE DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT 231 L... peut actuellement porter la main
. Le membre supé- rieur gauche sain servira de précepteur au membre
supérieur
droit malade. La correction du tic des muscles
nt égaux et normaux, de même que les réflexes tendineux des membres
supérieurs
, les réactions pupil- laires et la sensibilité
st normal. Une autre constatation a son importance. Sur la partie
supérieure
de la face externe de la cuisse gauche existe u
Nous ne nous attarderons pas non plus sur ce tremblement du membre
supérieur
droit survenu à l'âge de 12 ans, sans cause connu
athie, etc., et aussi la présence d'un petit noevus sur la paupière
supérieure
gauche. Ils insistent sur la coexistence de l'i
remplaçant la tête que cet os devrait normalement avoir. La partie
supérieure
de ce dernier se termine brusquement, en pleins t
é et, parmi les nombreuses relations d'anomalies osseuses du membre
supérieur
, nous n'avons pu trouver qu'un seul cas qui leur
e celle-ci rappelle d'assez près la forme habituelle, son extrémité
supérieure
fait, par contre, totalement défaut; l'os se ter-
ond à l'union du tiers inférieur de la diaphyse avec les deux tiers
supérieurs
. Le cas présent se rapproche donc, non pas d'un
iques apparte- nant toutes, exclusivement, au bord radial du membre
supérieur
. Ces constatations nous conduisent à rattacher
aire, lorsque l'absence par- tielle du radius porte sur l'extrémité
supérieure
de cet os, le pouce et le carpe ne sont pas int
ente- ment, elle nous conduit à rapprocher l'absence de l'extrémité
supérieure
de la première phalange du pouce de l'absence d
rieure de la première phalange du pouce de l'absence de l'extrémité
supérieure
du radius ; elle nous conduit à considérer cett
comme une variété d'hémimélie intercalaire An bord radial du membre
supérieur
. Elle rentre (1) Delanglade a employé une expre
es. (2) GAETAN APPRAILLÉ, Malformations congénitales de l'extrémité
supérieure
du ra- dius, thèse de Paris, 1901. 244 KLIPPE
halangien du pouce parait avoir perdu ses connexions avec la partie
supérieure
du squelette, il existe, néanmoins, un cordon f
on puisse en juger, ce cordon s'attache directe- ment à l'extrémité
supérieure
de l'os et fait corps avec lui. Déplus, la pré-
e la localisation très nette de l'anomalie au bord radial du membre
supérieur
. Une stric- tion, une compression intervenant d
ractères morphologiques très curieux dans la totalité de sa surface
supérieure
: tout en étant du reste très régulière pour ce
fond, sur les fibres transverses plus superficielles de la portion
supérieure
de l'organe. Cette séparation des faisceaux qui,
aissable; réduit en frag- ments, il s'énuclée facilement et la face
supérieure
du calcanéum apparaît; elle est légèrement érod
ionsyringomyétique. D'autre part, dans cette affection, les membres
supérieurs
sont surtout atteints, les atrophies musculaire
n. Un mois après, le malade était guéri et se servait de son membre
supérieur
. Tels sont les cas de résection articulaire dan
e- aortique. Autopsie (12 mars 1903). Adhérences dans la partie
supérieure
des deux plèvres, épanchement sanguin abondant
ipose est un peu plus accusée aux membres inférieurs qu'aux membres
supérieurs
; elle a en outre une tendance à affecter une disp
t le côté droit qui est le plus hypertrophié, tandis qu'aux membres
supérieurs
la différence, quoique moins sensible, est en f
u-des- sus des chevilles par un bourrelet correspondant à la limite
supérieure
de la chaussure : les pieds ne sont pas augment
de volume. Au tronc et aux bras, la tuméfaction n'a pas de limites
supérieures
bien tranchées ; elle se-confond insensiblement
, les rivières et les forêts. Toute l'antiquité a cru à des esprits
supérieurs
à l'homme et chargés de commander aux différents
s, qui paraît être d'origine anversoise. Le volet gauche de l'étage
supérieur
porte en effet le nom de Jean Wave et la date d
de Jean Wave et la date de 1515. Toutefois, la fac- ture des volets
supérieurs
diffère sensiblement de celle des neuf volets i
s devons encore signaler le volet de droite du tryptique de l'étage
supérieur
. On y voit des malades invoquant la Sainte ; il
ge 22). L'autre est de HANS HOLBEIN LE Vieux. Il figure à la partie
supérieure
du volet gauche du triptyque sur bois dont le p
etits muscles de la main, pas plus que des autres muscles du membre
supérieur
. Pensant à une ancienne section traumatique res
s fibreux ou autre n'occupait sa place. À la hauteur de l'extrémité
supérieure
de l'incision, on trouve, entre les muscles, un
ns laquelle c représente le tronc du cubital au niveau de la moitié
supérieure
de l'avant-bras, permet de se rendre compte du vo
des tendons et des muscles voisins. Au moment de la section du pôle
supérieur
, la malade se plaint que sa main est subitement
hénomènes douloureux dans l'avant- bras. La pression de l'extrémité
supérieure
de la cicatrice exaspère cette douleur et déter
absence du tronc nerveux sur une étendue de 17 centimètres. Le bout
supérieur
est infiltré de graisse et considérablement hyp
tral, mais un peu moins volumi- neux. c, Cubital au niveau du tiers
supérieur
de l'avant-bras. En le comparant au médian on p
ransversale du névrome terminal du bout périphérique dans son tiers
supérieur
, près de son col. Forte infiltration adipeuse. Le
ir dans sa plus grande étendue, mais devenait rouge à son extrémité
supérieure
au point où il se renfle. Dans la fibre qui côt
6°; chez certains, la température du matin est de quelques dixièmes
supérieure
à celle du soir. J'ai vu. ré- cemment la tempér
ion : l'éli- mination à peu près constante de quantités normales ou
supérieures
à la normale de chlorures légitime encore l'app
omo- teurs, qui impliquent nécessairement la mise en jeu de centres
supérieurs
d'association et de coordination, et qui ne peu
observé récem- ment chez un sujet atteint de tic tonique du membre
supérieur
droit 1). Il existe des tiqueurs humains qui ne
(Tunel, Ciseau), inflammation chronique de la muqueuse de la lèvre
supérieure
(Symbole), érosions gingivales au niveau du croch
èvre supérieure (Symbole), érosions gingivales au niveau du crochet
supérieur
(Nolus). La denture de ces chevaux offre des an
; cicatrices de la barbe ; hypertrophie de la muqueuse de la lèvre
supérieure
. Barre droite tranchante; carie des cro- chets
. en pho- tocollogr.), par F. CunIONI, 276. Tic tonique du membre
supérieur
droit (1 pl. en photocollogr.), par F. RUDLER,
abre chez un tabé- tique (SADCtnzâs), XXIV. Tic tonique du membre
supérieur
droit (Rudler), XLIX. Trophoedème chronique,
tion pour l'obéissance ou pour le commandement militaires, cet esprit
supérieur
s'était pourtant fait deviner et estimer même par
ole de M. Royer-Collard donnée, courir, ivre de joie, chez un employé
supérieur
de la guerre, lui demander le moment de la procha
ue ses forces réelles, et l'amour du devoir, tel qu'il le comprenait,
supérieur
au sentiment et à l'intérêt de sa conservation. I
à l'autre. Comme il avait le don d'attirer à lui tout ce qui était
supérieur
, il comptait des amis dans plus d'un camp. C'est
p. 256* 1. forme qui constitue les premiers rudimens des animaux
supérieurs
. C'est une substance molle, nerveuse, qui se nour
hagien que l'on retrouve dans tous les invertébrés, et dont la partie
supérieure
, renflée latéralement, a été regardée comme forma
es diverses fonctions, il réunit des propriétés qui, chez des animaux
supérieurs
, ont un siège distinct et semblent avoir besoin
nt épars, et il n'en reste que deux qui sont alors situés à la partie
supérieure
de l'anneau, et fournissent des nerfs aux tentacu
glions, tous compris dans le même anneau ; deux de ces ganglions sont
supérieurs
et fournissent chacun trois paires de nerfs, dont
r de l'œsophage que sont placés les cinq ganglions : deux à la partie
supérieure
et latérale de l'anneau, ce sont les ganglions cé
x ganglions céphaliques réunis par une commissure , forment la partie
supérieure
ou sus-œsophagienne de l'anneau ; il part de chac
'ai dit que la réunion des leux ganglions céphaliques forme la partie
supérieure
de l'anneau, j'ai essayé de déterminer le volume
t au-dessus de l'orifice œsophagien, le second à sa partie externe et
supérieure
, les deux autres au-dessous. Les nerfs qui en par
ions placés autour de l'œsophage ; or, d'après M. Garner, le ganglion
supérieur
ou sus-œsophagien n'est aulre que le lobe optique
t parle Aristote, est commune à tous les céphalopodes ; elle est bien
supérieure
, dit Cuvier, à celle du caméléon (2) ; tous égale
ues sont dépourvus , et s'opérer des actes qui dénotent une industrie
supérieure
à celle de la plupart des autres animaux ; parfoi
» Malgré l'autorité de M. J. Cloquet, je n'admets pas que les cordons
supérieur
et inférieur de l'ascaride lombricoïde soient des
veuse réunie de distance en distance par neuf ganglions ; le ganglion
supérieur
ou céphalique donne des nerfs optiques qui sont t
Jetez un coup-d'œil sur la figure (pl. lre) qui représente la partie
supérieure
du système nerveux du lombric de terre, et vous t
autres se trouvent les arachnides, animaux qui possèdent des facultés
supérieures
à celles dont il a été question jusqu'ici. Outre
pour eux une espèce de bétail; enfin il en est certaines espèces qui,
supérieures
aux autres par la force et par le courage, soumet
e graves métaphysiciens, qui vivaient au xvic siècle (1), l'homme est
supérieur
aux animaux, principalement en ce qu'il a inventé
tages souterrains; quelquefois il y a jusqu'à neuf étages à la partie
supérieure
et autant à la partie inférieure. Ces étages sont
les blancs exploitent les nègres, comme chez les blancs, les classes
supérieures
, quand on les laisse faire, exploitent le peuple.
ien au-dessous du bœuf, et l'homme, combien n'aurait-il pas d'animaux
supérieurs
à lui ? Buffon consent à ce que l'on examine les
me; mais à l'état frais, on peut suivre, sur leur partie interne et
supérieure
une des racines du nerf optique, et à leur partie
ogue à la lame interventriculaire ou cloison transparente des animaux
supérieurs
. L'intérieur de ces ventricules offre des objets
e, implantée latéralement sur la moelle épinière, et formant la paroi
supérieure
d'une cavité ventriculaire, et recouvrant en to
appartiennent à ce nerf, ils sont adherens aux deux côtés externes et
supérieurs
de la moelle , en arrière du cervelet. Celui du c
ptiques, £ar deux racines dont l'une s'étale sur la partie interne et
supérieure
du ganglion correspondant, et l'autre sur la part
re analogue à celle que l'on rencontre chez les vertébrés des classes
supérieures
. Cette transi lion qui s'opère dans une même clas
n ganglion plus ou moins considérable. Le ganglion, situé à la partie
supérieure
de la moelle, en ar rière du cervelet, est, com
ce postérieure de celle de l'homme, qu'elle devient chez eux, la face
supérieure
. La même répétition eût été nécessaire en parlant
t antérieures et postérieures dans l'espèce humaine, inférieures et
supérieures
dans tous ies animaux.C'était un embarras et des
une de ces moitiés sur le compresseur, ou bien j'enlevais une portion
supérieure
que j'examinais d'abord et ensuite j'en faisais a
e. A l'extrémité céphalique de la moelle , les deux faisceaux spinaux
supérieurs
s'écartent les uns des autres et de leur écarleme
te, ourayonnée. L'isolement des fibres s'opère à la partie externe et
supérieure
de la lame optique. Les fibres y sont placées les
ue convergent vers deux points, l'un inférieur et externe , l'autre
supérieur
et interne , et y forment deux faisceaux qui se j
e sorte de raphé. Si l'on enlève ce raphé en même temps que la partie
supérieure
des lames optiques auxquelles il sert de moyen d'
re qu'elle a à-peu-près la forme d'un X ; l'une de ses extrémités, la
supérieure
, va du ganglion de la lame optique au centre du g
ur des ganglions encéphaliques et les fibres transverses de la partie
supérieure
de la moelle, sont toujours très pe- don consid
xi-phiasespadon. Ce poisson, l'un des géans de la mer, a la mâchoire
supérieure
armée d'une tige osseuse longue et solide ; sa fo
partant du front, descendait jusqu'au bord alvéolaire de la mâchoire
supérieure
et qu'il coupait cette ligne par une autre qui, p
ns tomberait plus d'une fois à rebours ; le xiphias a sur la mâchoire
supérieure
, un prolongement osseux qui a jusqu'à deux mètres
transformations aura-t-il éprouvées dans une classe d'animaux réputée
supérieure
à la classe qui la précède? Ici, la configuration
forme au contraire chez la tortue une masse globuleuse égale et même
supérieure
en volume à l'un des lobes optiques. D'après M. M
chez les poissons. Les racines des nerfs sont doubles, c'est-à-dire
supérieures
ou spinales et inférieures ou fulcrales, ces dern
êmes se divisent en fibres, de telle manière que les fibres d'un nerf
supérieur
s'approchent constamment des fibres du nerf placé
ssus des mollusques et des poissons : les reptiles eux-mêmes, quoique
supérieurs
à ces derniers, n'égalent ni les abeilles, ni les
oie vivante, c'est être cruel; choisir pour victime un animal égal ou
supérieur
à soi, c'est être féroce ; vivre d'herbes ou de p
sectes. Elles s'adressent rarement à des animaux d'une force égale ou
supérieure
à la leur; aussi ne luttent-elles presque jamais
ssent la présence de l'homme. 5. Les serpens sont, pour la plupart,
supérieurs
à tous les autres reptiles, soit pour la multipli
logue, s'étendre les instincts, et se révéler des facultés d'un ordre
supérieur
. Est-ce le hasard qui fait marcher ainsi de conce
i le prouver. Nous voici arrivés à une classe d'animaux de beaucoup
supérieure
pour l'organisation et les facultés aux poissons
mais libres dans tout le reste de leur étendue, convexes à leur face
supérieure
et entièrement dépourvus de circonvolutions. A la
ue plutôt qu'elle ne constitue la scissure de Sylvius, et à la partie
supérieure
et antérieure du cerveau, une dépression plus pro
de patte d'oie, se dirige vers la face interne du lobe, dans le bord
supérieur
duquel il se termine. Un autre faisceau blanc se
. C'est un petit tubercule grisâtre, pair, comme implanté à la partie
supérieure
et interne des cuisses du cerveau, traversé par u
ande partie de leur étendue, comme implantés sur la partie externe et
supérieure
de la moelle épinière. Ces corps sont les lobes o
ion cérébral, les dépressions vasculaires qui se remarquent à la face
supérieure
de ce ganglion chez plusieurs oiseaux, le recouvr
oit que je viens d'indiquer, et qui laisse voir à découvert la partie
supérieure
de la portion correspondante des faisceaux fulcra
inférieures ou fulcrales, de la surface des faisceaux fulcraux ; les
supérieures
ou spinales, du sillon latéral-supérieur de la mo
distribuent aux organes du mou vement. Cependant le nerf maxillaire
supérieur
est presque à la fin, et il sert à la sensibilité
la moelle épinière................. 0,00846 Id. Fibre du maxillaire
supérieur
.............. 0,0 r Id. Fibre du glosso-pharyng
est très sanguinaire, il s'attaque à des oiseaux qui sont d'une force
supérieure
à la sienne ; il en est de même du gerfault, du f
esse. L'industrie des hérons, pour se procurer des alimens, n'est pas
supérieure
à celle de l'engoulevent; il se met en embuscade,
ndelles peuvent prédire le mauvais temjis ou l'orage. longue que la
supérieure
est disposée en cuillère. L'animal décrit une cou
lus grande proportion que chez ce dernier, il naît un nombre de mâles
supérieur
à celui des femelles. On ne sait pas quel est le
pides, el ce que nous savons d'elles nous oblige à les regarder comme
supérieures
aux mésanges. Quant aux perroquets, à la perruche
s bombé dans la région correspondante », puis il indique, à la partie
supérieure
du crâne de la dinde et de la poule, et au niveau
l'indice de la scissure de Sylvius; les deux autres sont à la partie
supérieure
de chaque lobe cérébral : sur un cerveau depuis l
convolutions cérébrales. La figure 1 (pl. iv), représentant la face
supérieure
du cerveau du renard, montre le complément de la
rième circonvolution , que l'on pourrait appeler aussi circonvolution
supérieure
, avec la circonvolution interne. Les circonvolu
te des variations plus nombreuses que les autres. On voit sur la face
supérieure
du cerveau du renard (fig. 1), immédiatement derr
illon crucial, sillon que j'ai déjà signalé à la partie antérieure et
supérieure
du cerveau de la famille des renards, et qui est
on peut s'assurer qu'elle existe des deux côtés, en examinant la face
supérieure
du cerveau du même animal (fig. lle). Il existe à
es groupes précédemment étudiés. En avant du cerveau vu par sa face
supérieure
, on trouve chez le furet, la fouine, le coati, le
comme on l'a vu pour le renard (pl. iv, fig. 3), à la circonvolution
supérieure
. Au-dessus de l'orbite est une dernière circonv
ien de particulier, si ce n'est que l'interne s'élève jusqu'à la face
supérieure
du cerveau dans la plus grande partie de son éten
ne rencontre le sillon crucial si constant à la partie antérieure et
supérieure
du cerveau, chez les renards, les chats, les ours
très court. La seconde circonvolution extérieure, placée à la face
supérieure
du cerveau, présente des dispositions analogues.
en avant, où elle se confond avec la circonvolution anférieure fil
supérieure
, qui commence immédiatement en arrière du Johe ol
nards, des chats et des ours. L'une des circonvolutions de l'ours, la
supérieure
, s'en rapproche cependant quant à ses ondulations
en existe deux à la périphérie du lobe cérébral, et la circonvolution
supérieure
est divisée en arrière, circonstances qui se renc
re la partie antérieure et la partie postérieure de la circonvolution
supérieure
ne se fait pas à la surface du cerveau, mais seul
es, ni aux unes ni aux autres. Celle qui se trouve placée à la partie
supérieure
du cerveau est triple en arrière (PPP, pl. xi, fi
dant d'avant en arrière du cerveau, formant les deux tiers de la face
supérieure
de cet organe, et ayant deux sous-divisions en av
calleux où elle envoie une sorte de ramification aux circonvolutions
supérieures
. Le point de communication entre la circonvolutio
ication entre la circonvolution interne 1,1,1, et les circonvolutions
supérieures
S,S, est marqué par le signe -f-. Comparez à ce c
ant et en arrière de la circonvolution interne et des circonvolutions
supérieures
. En avant et au-dessus de la scissure de Sylviu
sus de la scissure de Sylvius S. S. se trouvent trois circonvolutions
supérieures
S. S. S., S'. S'. S". S"., pl. xiv, dont on retro
s circonvolutions antérieures par les circonvolutions trans-verses ou
supérieures
, formerait un cerveau analogue à celui de la ba
des autres mammifères. En effet, supprimez les trois circonvolutions
supérieures
de l'éléphant, attachez la première circonvolutio
il nouveau de circonvolutions , et cet appareil est situé à la partie
supérieure
du lobe cérébral. Quant aux sinuosités, aux ond
Le singe alrois circonvolutions antérieures, trois postérieures, deux
supérieures
, une interne et des circonvolutions sus-orbitaire
urnit une large communication + qui s'élève jusqu'aux circonvolutions
supérieures
(+ fig. h el S +, et fig. 2 S +) puis descend en
g. h) est déjetée en arrière, par la présence de deux circonvolutions
supérieures
S,S,S,S, et S',S',S', fig. h, dont la postérieure
cule cérébral, qui, reployé sur ce pédoncule, en recouvre les parties
supérieure
et latérale, a une disposition différente suivant
pratiquée au-dessous du niveau du corps calleux, on enlève la partie
supérieure
de la substance cérébrale. Corps strié. Dans la
tre bandelette correspondante à celle-ci, mais qui adhère à la partie
supérieure
du pédoncule cérébral, et dont je vais parler.
antérieure des tubercules quadrijumeaux, et sur sa partie interne et
supérieure
, l'on voit un faisceau de fibres blanches, qui se
, t. rv, p. 683. Celle commissure réunit, l'un à l'autre, la partie
supérieure
de chacun des lobes cérébraux, elle se présente s
rochement des lobes ou hémisphères (c. c. pl. iv, fig. 3 et); sa face
supérieure
offre des stries longitudinales (chordœ longitudi
erie par la circonvolution interne. La lace inférieure forme la paroi
supérieure
des ventricules latéraux; entre ces ventricules,
pinéale et du corps pituitaire qui diminuent à mesure que les parties
supérieures
du cerveau se développent, et la réunion des deux
e se voit de suite si l'on considère la déviation que présente le ver
supérieur
du cervelet (même pl., fig. lre), dont les circon
is ou lobe médian du cervelet, les pédoncules du cervelet, et la face
supérieure
de la moelle allongée. Deux petits sinus, un de c
espèces d'animaux en sont presque entièrement dépourvues. A la face
supérieure
de la moelle allongée, existe un sillon longitudi
térieures. C'est le nom que quelques au teurs ont donné à la partie
supérieure
ou céphalique des faisceaux spinaux de la moelle.
mant ainsi la transition entre les classes inférieures et les classes
supérieures
, entre l'état embryonnaire et l'état parfait. Les
r le cervelet. » S'il en était ainsi, le cerveau de l'éléphant serait
supérieur
à celui du singe, et même à celui de l'homme, car
mais, ainsi que je l'ai fait remarquer, il manque des circonvolutions
supérieures
; les tubercules quadrijumeaux en sont, toute prop
ouris . . Id.................. 0,0025 Id........ du nerf maxillaire
supérieur
..... 0,00583 Rat........ de la moeile allongée.
d'intelligence que nous appelons instinct, et dans l'homme, un degré
supérieur
que nous appelons raison. » (2) La proposition
quelques expériences qui indiquent chez ces animaux une intelligence
supérieure
à celle des moutons, mais qui est cependant très
conçues à cet égard, ne se sont pas réalisées. (1) Le sanglier est
supérieur
au cochon, ses sens ne sont pas hébétés, il voit,
ant du pécari et du cochon en général, leur attribue une intelligence
supérieure
à celle des rongeurs el des ruminans et d'un gran
léphant est remarquable par une aptitude d'observation et de jugement
supérieure
à celles des autres pachydermes. On a élevé un
ion dont il est doué, tandis que l'éléphant est, par sa seule nature,
supérieur
à tous trois. Le caractère de l'éléphant est do
our mériter cette faveur que les dents de son père, dont la force est
supérieure
à celle de tous les autres singes de la Ménagerie
rde, grimpa contre un poteau voisin, alla saisir la corde par le bout
supérieur
, et, la tirant à elle, amena son enfant qu'elle r
les ours, les martes et les civettes sont inférieurs aux chiens, mais
supérieurs
aux chats. 7. La chauve-souris et la roussette,
mille; ils se donnent des secours réciproques. 17. Les cétacés sont
supérieurs
aux précédens; ils vivent en société et en famill
animaux, est, pour le courage, ou la ruse, ou l'instinct carnassier,
supérieur
à la famille entière des chiens et à celle des ch
ses à chacune desquelles il donne des facultés spéciales. A la partie
supérieure
du crâne d'un chat (pl. xcn), il place les facult
inférieure unie à l'os écailleux et la cavité abdominale; la mâchoire
supérieure
unie aux os eth-inoïde etjugal, et la cavité thor
bitaire et dans la région temporale; enfin la science, dans la partie
supérieure
du front. Puis pour démontrer que sa localisation
s le pariétal, à la disparition complète de ceux que recouvre l'angle
supérieur
de l'occipital, et, par conséquent, à la diminuti
, puisque la phrénologie a placé l'amour pour les petits sous l'angle
supérieur
de l'occipital ; puisqu'elle explique l'amour mat
d il ne recouvre que très imparfaitement le cervelet1, et que l'angle
supérieur
de l'occipital manque au cerveau? L'organe manque
ici. Aux animaux inférieurs, jamais de circonvolutions; aux animaux
supérieurs
, toujours des circonvolutions ; et à l'éléphant,
ne parle pas, celle du mouton en particulier, est, proportion gardée,
supérieure
à celle du chien, du chat, et de tous les rongeur
instincts des carnassiers, et de placer dans les deux circonvolutions
supérieures
, les instincts des herbivores. Mais si cela était
imaux, au cerveau de l'homme; cette addition coïncidant avec un degré
supérieur
d'intelligence, serait-il favorable à la localisa
la déduction que l'on pourrait tirer de ce fait. Mais si les facultés
supérieures
sont inhérentes aux circonvolutions supplémentair
diment du cerveau du singe, dans lequel on trouve les circonvolutions
supérieures
, sans que ces animaux aient des facultés qui les
elui du mouton : le mouton paraîtra, d'après cette règle, de beaucoup
supérieur
au chien. Ainsi, ni la présence des circonvolut
, le cervelet est moins développé, moins complet que chez les animaux
supérieurs
; ainsi, dans la chauve-souris, on compte au lobe
éveloppement de l'intelligence. 27. La présence des circonvolutions
supérieures
dont sont pourvus l'éléphant, le singe et le maki
tance nerveuse, composée de deux hémisphères et située à l'extré-mité
supérieure
de ce qu'on désigne sous le nom de pédon-cules cé
s sont compris entre deux masses de substance grise, l'une interne et
supérieure
(0), l'autre inférieure et externe (L). Ces deux
peu sèche, je vous ferai remarquer que, suivant Ferrier, l'extrémité
supérieure
de cette circonvolution est occupée par les centr
ette circonvolution est occupée par les centres moteurs (A) du membre
supérieur
du côté opposé. Des sillons perpendiculaires à
iétale le scinde en deux lobules secon-daires : 1° Le lobule pariétal
supérieur
(Ippa), qui est le cen-tre (B) des mouvements du
li (pc) du même nom ; 3° enfin un sillon, plus marqué chez les singes
supérieurs
, isole de ces lobules la circonvolution pariétale
dante. Dans une partie de ce lobule réside le centre moteur du membre
supérieur
(À), qui s'étend jusqu'à l'extrémité supérieure d
entre moteur du membre supérieur (À), qui s'étend jusqu'à l'extrémité
supérieure
de la circonvolution frontale ascendante. Lobe
de Sylvius, divise ce lobe en deux étages. Nous trouvons dans l'étage
supérieur
la circon-volution marginale et, à l'extrémité de
découvrez successivement le lobule du pli pariétal ou lobule pariétal
supérieur
(P1), le lobule du pli courbe (P2) et enfin le pl
s uniforme, car elles sont plus nombreuses qu'ailleurs aux extrémités
supérieures
des deux circonvolu-tions médianes et surtout dan
te ; — 3° au-dessous, les cellules de Purkinje qui occupent la limite
supérieure
d'une couche granuleuse très accentuée ; — 4° plu
nte, la circonvolution pariétale ascendante, surtout dans leur partie
supérieure
; enfin, un petit lobule situé à la face interne d
e ; — S/, Sillon transversal du lobule paracentral ; — S?*, Extrémité
supérieure
de la scissure de Rolande — LP, Lobule paracentra
disposition des circonvolutions ascendantes, de leur origine au bord
supérieur
de l'hémisphère, nous est con-nue, de telle sorte
is, d'autres fois, il arrive jusqu'à elle en détermi-nant sur le bord
supérieur
de l'hémisphère une'sorte d'enco-che (Sr). Le l
n général, un sillon peu profond (S£), situé à égale distance du bord
supérieur
et du bord inférieur, le parcourt dans sa longueu
c'est, pour ainsi dire, la face interne ou médiane du lobule pariétal
supérieur
.-En arrière, la -scissure temporo-occipitale, trè
e paracentral qui existe comme chez l'homme, au moins chez les singes
supérieurs
, ait jamais été l'objet d'investigations physiolo
remier lieu, sur la surlace du cerveau, comprenant les faces externe,
supérieure
, interne et inférieure ; et en second lieu, sur l
e vaisseau arté-riel. Mais auparavant, elle adéjàfburni, par son bord
supérieur
dans une région qu'on appelle V espace per foré a
e. — Pa, circonvolution pariétale ascendante. —-LPs, lobule pa-riétal
supérieur
. — LPi, lobule pariétal inférieur. — Pc, pli cour
xpérimentation tend à Fig. 12. — Territoires vasculaires de la face
supérieure
du cerveau. — P, lobe frontal. — P, lobe pariétal
olution centrale postérieure. — F F 2, F 3, circonvolutions frontales
supérieure
, moyenne et inférieure. — F1, f 2, sillons fronta
ntales supérieure, moyenne et inférieure. — F1, f 2, sillons frontaux
supérieur
et inférieur. — f 3, sillon frontal vertical (sul
illon frontal vertical (sulcus prsecentralis). — P l, lobule temporal
supérieur
. —P2, lobule temporal in-férieur ou P 2, Gyrus su
ginalis. —po, po, fissura parieto-occipitalis. — t !, sillon temporal
supérieur
. — 0 première circonvolution occipitale. — o, sul
inge, est le siège, selon Ferrier,-du centre des mouvements du membre
supérieur
et, pour une partie, du membre inférieur. Dans
illon occipital transverse. — Oc, fissure calcarinc; o c', sa branche
supérieure
; o c', sa branche inférieure. — D, Gyrus descend
— il existait une hémiplégie complète, per-manente, dans les membres
supérieur
et inférieur du côté opposé (Fig 13). C'est là,
à la deuxième circonvolution frontale (Fig. 17), enfin à l'extrémité
supérieure
de la circonvolution frontale ascendante. La troi
Elle fournit aux couches optiques, dans une grande étendue, à l'étage
supérieur
des pédoncules cérébraux et aux tubercules quadri
couche optique a l'aspect d'un ovoïde aplati. De ses deux faces, la
supérieure
regarde le ventricule latéral et l'inférieure, qu
rigée en avant et en dedans et la queue en haut et en dehors. La face
supérieure
fait saillie dans le ventricule ; la face interne
un angle tourné en dedans vers la capsule interne. La face interne et
supérieure
est intimement unie à la capsule interne, et la f
seu-lement du pied ou crustra, étage inférieur. Le tegmentum ou étage
supérieur
, qui est séparé du pied par le locus ni-ger, entr
oncule, se rendent aux noyaux gris centraux, succèdent dans la partie
supérieure
de la capsule interne des faisceaux qui, prenant
s du noyau lenticulaire, lesquels se détachent principalement du bord
supérieur
du second et du troisième segment (Fie/. 19). I
de la couche optique ; 2° aux tubercules quadrijumeaux ; 3° à l'étage
supérieur
du pédoncule. Les planches que je fais passer s
brale antérieure, soit de la cérébrale postérieure. Emanées du bord
supérieur
de la sylvienne, les artères striées pénètrent da
près avoir pénétré dans le troisième segment, elle traverse la partie
supérieure
de la capsule interne, puis arrive dans l'épaisse
e à M. Huguenin (/oc. cit., pl. 69, page 93), l'ablation des par-ties
supérieures
des hémisphères, y compris le corps calleux, a mi
ns ascendantes frontale et pariétale, principalement dans leur moitié
supérieure
, et souvent toutes les deux à la fois ; il y avai
ux cérébelleux directs. Mais cette disposi-tion n'occupeque la moitié
supérieure
du cordon médullaire; au-dessous de la région dor
age inférieur qu'on appelle encore le pied (pes, crusta) ; 2° l'étage
supérieur
ou tegmentum, autrement dit, la calotte (Haube de
dési-gne sous le nom de zone motrice. (Lobule paracentral, extré-mité
supérieure
des circonvolutions frontale etpariétale ascen-da
étendant depuis la substance grise de Scemmering, qui forme sa limite
supérieure
et répond au côté le plus étroit du parallélogram
st, en effet, dans l'épaisseur de la Fin.59.— Cerveau du chien (lac©
supérieure
).— S.Cr, sillon crucial. —G. S, gyrus sygmoïde (r
circonvolutions frontale et pariétale as-cendantes, dans leur moitié
supérieure
principalement, ainsi que dans le lobule paracent
hémorrhagie cérébrale, surtout quand elles portent sur les deux tiers
supérieurs
des circonvolutions ascendantes et le lobule para
atro-phie musculaire qui avait attiré l'attention, occupait le membre
supérieur
gauche à peu près dans sa totalité. Au contraire,
totale, et nous supposerons que celle-ci siège dans la région dorsale
supérieure
. Il y a à considérer, vous le savez, les lésion
jà connue de Turek, peut être suivie jusque dans les régions les plus
supérieures
de la moelle. On la retrouve dans les corps resti
e composent paraissent prendre leur origine dans les régions les plus
supérieures
de la moelle dorsale. En con-séquence, leur dégén
, augmente Fig. 63.— A, Coupe de la moelle épinière (région dorsale
supérieure
). — B, Région cervicale. — F c, Faisceau cérébell
effiler et n'occupe plus que la partie médiane, qui, dans les régions
supérieures
delà moelle épinière (renflement cervico-brachial
otrice, aussi bien clans les mem-bres inférieurs que dans les membres
supérieurs
, les faisceaux de Burdach étaient seuls lésés, et
anière à le séparer de son centre, ce nerf s'altère, chez les animaux
supérieurs
, suivant une direction déterminée. Ainsi, coupez
aux données de l'anatomie pure, et même, quelque-fois, leur sont très
supérieures
. Voici, en deux mots, les quelques aperçus que
plète, absolue, ou peu s'en faut, de tout un côté du corps. Le membre
supérieur
est complètement flasque et retombe lourdement su
tré dans la profondeur du troi-sième segment, elle traverse la partie
supérieure
de la capsule interne et arrive jusqu'au noyau ca
à celui qui vient d'être décrit, sur les diverses parties du mem-bre
supérieur
. Seulement, autant que j'en puis juger par les qu
lorsque existe une cer-taine tendance à la contracture dans le membre
supérieur
, ou lorsque cette contracture s'est déjà établie,
seulement, En outre, l'amplitude de la contraction est de beaucoup
supérieure
, du côté malade, à ce qu'elle est du côté sain ;
, mais elle se traduisait seulement par une légère rigidité du membre
supérieur
droit; le membre inférieur était à peu près compl
éplus, la contracture s'était consi-dérablement accrue dans le membre
supérieur
ou elle était auparavant à peine accentuée, contr
devenue permanente. Dans l'immense ma-jorité des cas, c'est le membre
supérieur
qu'elle occupe en premier lieu. On trouve alors l
s se rapportent dans la règle à un type fondamental. Dans les membres
supérieurs
, la flexion prédomine, tandis que dans les membre
e même dans l'épilepsie partielle. 1° Considérons d'abord le membre
supérieur
. C'est, avons-nous dit, le type de flexion qu'on
est dans la supination. Je ne crois pas qu'il existe, pour le membre
supérieur
, d'autres at-titudes que celles que je viens de s
la contracture est là habituellement moins accusée que dans le membre
supérieur
. Un degré même Fig. 85. — Hémiplégie ancienne.
pes toujours les mêmes: type de flexion avec pronation pour le membre
supérieur
, type d'ex-tension ou d'équinisme avec varus pour
la théorie que je viens d'émettre, tout imparfaite qu'elle soit, est
supérieure
ce-pendant à celles qui ont été proposées pour ré
tes les imperfections. Si j'y insiste, c'est que je la crois vraiment
supérieure
à toutes celles qui, antérieure- ment, ont été
arrêtés. Il nous restait encore à vous montrer que notre théorie est
supérieure
à toutes celles qui ont été proposées. 1° L'anc
où elle reste fréquemment confinée, tend parfois à gagner les membres
supérieurs
. M. Erb a émis l'idée que ces cas se rapportaie
et par une tendance marquée à l'en-vahissement progressif des membres
supérieurs
. Ce genre de paraplégie spasmodique a paru asse
y a lieu de mentionner surtout un tremblement particulier des membres
supérieurs
, quelquefois remplacé par de la contracture, une
cte, et nettement séparable de celle-ci. A leur tour,les extrémités
supérieures
sont affectées, l'ayant-bras sé raidit, demi-fléc
alade que des symptômes de paraplégie spasmodique. Mais les membres
supérieurs
présentent, eux aussi, des caractères bien partic
état normal. Il faut également signaler ce fait, que les deux membres
supérieurs
sont symétriquement affectés, à d'infimes différe
pied ». Trois mois plus tard, s'est déclarée la paralysie des membres
supérieurs
, caractérisée par de l'impuissance motrice, des c
accentuait, ils diminuèrent progres-sivement d'abord dans les membres
supérieurs
, puis, dans les membres inférieurs, et c'est ains
tc. ; et même aujourd'hui, en dépit de l'atrophie extrême des membres
supérieurs
, on peut encore provoquer un réflexe tendineux ex
s, Les réflexes sont exagérés partout (réflexes tendineux des membres
supérieurs
et des membres inférieurs ; trépidation spinale;.
ns, journalier, a été pris de faiblesse et de raideurs dans le membre
supérieur
gauche, vers le mois de janvier 1876. Peu à peu,
supérieur gauche, vers le mois de janvier 1876. Peu à peu, le membre
supérieur
droit fut frappé de la même manière, et, très rap
ès le début de l'affection, la contracture a diminué dans les membres
supérieurs
; mais les membres inférieurs sont dans un état sp
L'articulation des mots est exces-sivement embarrassée. — Les membres
supérieurs
sont pro-fondément atrophiés, surtout au niveau d
ée d'une période plus ou moins longue de paralysie. Mais, aux membres
supérieurs
même, quand l'atrophie ne survient pas trop brusq
lites les plus diverses, 366. DlASTALTlQues. (V. arcs.) E Etage
supérieur
, 113. Etage inférieur, 6 ; — sa division, en fa
i"i/i' '" ... LA MALADIE DE PARKINSON 3 encore localisé au membre
supérieur
gauche. Mais la raideur était géné- ralisée ; t
elle accusait de fréquentes douleurs dans les jointures des membres
supérieurs
; à cette époque, on provoquait aisément chez ell
us remarquez enfin, Messieurs, le tremblement qui agite ses membres
supérieurs
et les défor- mationsconsidérables des quatre m
ais, procédons par ordre. Le tremblement est localisé aux membres
supérieurs
. Même lorsque le malade est couché, lorsqu'il t
tude normale, mais se font un peu lentement, surtout ceux du membre
supérieur
gauche ; et, entre tous, surtout les mouvements
remarquez la même tendance à fléchir tous les segments des membres
supérieurs
; la main, en particulier, prend déjà l'attitude h
partielle des dendrites, principalement dans les régions cervicales
supérieure
et dorsale inférieure. Lésions minimes de l'écorc
sale. Le faisceau médio-périphérique, faisceau de Hoche à sa partie
supérieure
, triangle médian sacré ou triangle de Gombault
ure. 4° Lombaire.- Les coupes de ce segment ont porté sur sa limite
supérieure
, au voisinage immédiat des fascicules inférieur
t in- tactes ; elles appartiennent sans doute aux racines lombaires
supérieures
. Il faut noter que dans tout ce trajet il exist
issauer et du réticulum des colonnes de Clarke à la région lombaire
supérieure
. La méthode de Nissl montre une altération fort
zones sclérosées se rapprochent l'une de l'autre par leur extrémité
supérieure
. 6e Cervicale. - Les deux bandelettes arrivent
ibres radiculaires à trajet descendant, qui proviennent des racines
supérieures
saines. La pre- mière de ces objections est réf
particulier celles de la zone de Lissauer, provenaient des racines
supérieures
, elles devraient aller en diminuant progressive-
la même ; à moins de supposer que ces fibres, provenant des racines
supérieures
et destinées au renfle- ment lombo-sacré, n'ont
te en avant et qui semble être due au passage des racines lombaires
supérieures
épargnées ; mais je voudrais étudier, à l'intér
euse des formes de transition entre cet M et le trajet inférieur et
supérieur
de la bandelette montre que cette figure parfai
ieure d'un fais- ceau descendant médio-périphérique, dont le trajet
supérieur
forme à la région dorsale le faisceau de Hoche.
le faisceau cérébelleux direct n'est pas dégénéré à la partie toute
supérieure
de la ré- gion cervicale, ce qui va un peu à re
une forme triangulaire qui s'étend davantage au niveau de la partie
supérieure
de la moelle lombaire. La pie-mère est épaissie
istent les lésions les plus marquées du cordon latéral. A la partie
supérieure
de la région dorsale, on retrouve les mêmes lés
ale d'une S horizontale et renversée, à boucles inégales, la boucle
supérieure
étant plus grande que la boucle inférieure. La bo
le supérieure étant plus grande que la boucle inférieure. La boucle
supérieure
correspond à un mouvement de flexion du gros orte
lhouette du malade, ont quelque chose de particulier. ' La moitié
supérieure
de la colonne dorsale est incurvée en cyphose lég
éral bon. Vu à nu le malade se tient fortement voûté de la par- tie
supérieure
du dos, la tête portée en avant ; se déplaçant to
malade, sa silhouette offrent quelque chose de spécial. La moitié
supérieure
de la colonne dorsale est incurvée en cyphose lég
use : l'axe du corps est brisé en 3 points, d'où 4 segments : les 2
supérieurs
, tête, cou et tronc formant un angle ouvert en
chez le sujets. La localisation est à signaler : elle est dorsale
supérieure
: l'arc cyphoti- que occupe seulement les six o
RCULES QUADRIJUMEAUX ANTÉRIEURS ET POSTÉRIEURS CHEZ LES VERTÉBRÉS
SUPÉRIEURS
(LAPINS ET SOURIS) PAR F. CZARNIECKI (de Mo
pare facilement du cerveau sauf en quelques points, le long du bord
supérieur
gauche, où l'on trouve une stratification de me
e vertico-frontale passant à la réunion du 1/3 inférieur et des 2/3
supérieurs
de la scissure de Rolando et l'on tombe sur une
nué de volume de même que la moitié de la protubérance. Le vermis
supérieur
ne fait pas saillie et semble comme fondu dans la
r le siège de ces associa- tions d'idées qui constitue le psychisme
supérieur
: l'intelligence est une et un organe distinct
talité du facial cette lésion devait être rapportée à un des étages
supérieurs
de l'encéphale (au- dessus de la couche optique
aractéristique de l'atrophie du cervelet les tremblements du membre
supérieur
et les altérations de la parole. Ces mêmes symp
s qui montrent la dégénérescence croisée du pé- doncule cérébelleux
supérieur
après lésion du cervelet : cet entrecroise- men
de sa volonté, mais dit-il, de l'air qui lui manque. Aux membres
supérieurs
: ataxie très marquée ; le malade ne peut porter
antaire abdominale, crémastérien sont également abolis. Aux membres
supérieurs
persistance du réflexe du long supinateur bien
ce extrême. Aux membres inférieurs, impotence complète. Aux membres
supérieurs
, force musculaire plus diminuée à gauche qu'à dro
belleux latéral, plus accusée dans la moelle cervicale et la partie
supérieure
de la moelle dorsale ; enfin atro- phie des cor
ifestations dynami- ques de l'énergie biologique des être organisés
supérieurs
. Mais nous ne pouvons pas nier que dans ces syn
rvés, mais l'on observe encore la perversion d'un ordre tout à fait
supérieur
de volitions, qui se manifeste par les caprices,
ce chiffre de 20 0/0 bien que mi- nime est absolument faux et bien
supérieur
à la réalité. Dans le paragra- phe 3 de la rela
hèse volontaire sont développés, mais il leur manque cette critique
supérieure
et cet ordre de volitions qui déterminent la cons
8,6 guéri- rent pour ne jamais plus rentrer. Notre chiffre donc est
supérieur
de 32.4 0;0 à celui de l'asile de Ferrare qui e
é le manuscrit de saint Benoît et de saint Maur, l'abbé Desidérius,
supérieur
160 HEITZ du couvent, avait commencé d'import
outenir par derrière. Par contre, du côté de la face et des membres
supérieurs
, nous trouvons d'excellents détails. Les cheveu
tte composition qui, comme nous venons de le voir, est certainement
supérieure
aux oeuvres purement byzantines, est aussi tout à
n pronation forcée, le tout cons- tituant une contracture du membre
supérieur
parfaitement observée et rendue. » Il semble qu
nnées. Ernest se vante d'être venu au monde à terme avec une taille
supérieure
de 5 centimètres à la moyenne. Jusqu'à l'âge
ons souvent dit, le gigantisme n'a ni limite inférieure ni li- mite
supérieure
. Si Ernest est digne d'être rangé parmi les géant
sont proportionnellement un peu plus développés en longueur que les
supérieurs
, disposition signalée de longue date chez les ind
forcent les doigts à s'é- carter les uns des autres. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont arrondis,sans saillies muscula
8 décembre, elle sentit un engourdissement marqué dans les membres
supérieur
et inférieur gauches, sans qu'elle soit gênée pou
peaucier du côté gauche. Le réflexe pharyngé est diminué. Au membre
supérieur
gauche, on note la per- sistance de quelques mo
aryngé est conservé. Le sens stéréognostique est conservé au membre
supérieur
droit. On constate la présence des signes de Ba
elle l'hémianopsie. On constate le signe du peaucier. Son membre
supérieur
droit est incomplètement paralysé ; la main droit
t et en arrière. Mensurations qui concernent les membres : Membre
supérieur
: Longueur de l'humérus, 22. de l'avant-bras,
res. Partie moyenne du bras, 24. Partie inférieure » 26. Partie
supérieure
» 28. Membre inférieur : Longueur totale de l
ieur : Longueur totale de la jambe de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
jus- qu'à terre, 66 centimètres. De l'épine i
jus- qu'à terre, 66 centimètres. De l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à la pointe de la rotule, longueur du péroné, 2
il forme col- lier ; largement répandu sur le tronc et les membres
supérieurs
, il respecte les organes génitaux et les membre
nt marquée aux mem- bres inférieurs. Ataxie très légère aux membres
supérieurs
et à la face. Hypo- tonie considérable aux memb
urs ; atrophie musculaire assez mar- quée aux membres inférieurs et
supérieurs
. Retard dans la transmission de la sensibilité
té superficielle ou profonde. Réflexes tendineux abolis aux membres
supérieurs
et inférieurs. Réflexe cutané plan- taire aboli
très légère étendue de la face interne des cuisses et la partie toute
supérieure
dé la région anale dans un rayon de quelques ce
tion très marquée aux membres inférieurs. Ataxie légère aux membres
supérieurs
. Abolition des réflexes tendineux. ' Exagératio
né plantaire. Troubles radiculaires de la sensibi- lité aux membres
supérieurs
(sur le trajet des 5e et 6e racines cervicales et
la marche et de la station debout les pieds rapprochés. Aux membres
supérieurs
: incoordination très légère, abolition des réf
llard devant les yeux. Depuis six mois l'incoordination des membres
supérieurs
a tellement augmenté qu'elle ne peut marcher seul
ordination très marquée aux membres inférieurs, absente aux membres
supérieurs
. Hypotonie aux membres supé- rieurs et inférieu
oordination très marquée aux membres inférieurs, légère aux membres
supérieurs
. Sensibilité peu touchée aux membres, cependant
es des sensibilités profondes aux membres inférieurs et aux membres
supérieurs
. Réflexes tendineux aboli ? . Paresthésies nomb
du ganglion, le nombre des cellules saines est toujours de beaucoup
supérieur
à celui des cellules malades. Il y a des cellules
au niveau de la face antérieure de la moelle dans la région dorsale
supérieure
. Les viscères abdominaux sont très hyperémiés.
distend le sillon. médian autre- FiG. a. Coupe passant par le bord
supérieur
du corps de l'axis à travers le lie segment cer
téro-interne du faisceau de Goll. Fio, c. Coupe passant par le bord
supérieur
du corps de la 36 vertèbre cervicale à travers
ches hémorrhagiques disséminées. Fie. e. Coupes passant par le bord
supérieur
du corps de la 4e vertèbre cervicale à travers
Le canal épendymaire est intact. Fio. g. Coupe passant, par le bord
supérieur
de la 5e apophyse épineuse . cervicale fracturé
en bande, que nous avons vues corres- pondre à la bande thoracique
supérieure
d'hyperesthésie, consistent en une vaso-dilatat
s mêmes conditions de température, tandis qu'au niveau de la partie
supérieure
du thorax, elle disparaît en une seconde. Ces ind
t localisée à la moitié du frontal droit. Le lendemain, la paupière
supérieure
gauche était un peu tombée ; elle ne pouvait dévi
cillations, les troubles suivants : chute incomplète de la paupière
supérieure
gauche; impossibilité d'élever l'oeil correspon
dans les régions innervées par la branche ophtalmique et maxillaire
supérieure
du trijumeau ; elle se complique très rarement
sie myasthénique 275 Autres opiitalmoplégies. - La polyel1céphalite
supérieure
hémorra- gique de Wernicke, qui pourrait se con
ations et l'influence de l'exercice et du repos. La polyencéphalite
supérieure
chronique, par son évolution progressive ou son
formations multiples qu'il présente aux membres tant inférieurs que
supérieurs
. Le malade- présente du côté gauche un genu val
une paralysie faciale du type périphérique avec atteinte du facial
supérieur
. La langue est tirée obliquement, la pointe dévié
s et en avant et siégeant à l'union du tiers inférieur avec les 2/3
supérieurs
de l'avant-bras. Les deux axes des parties dévi
rci ; son extrémité unguéale reste située sur un niveau notablement
supérieur
à celui des deux doigts voisins ; il est comme re
VII : 1'1 : XLII' MALFORMATIONS OSSEUSES (,fl. Cange.) Membres
supérieurs
, deux mois après l'opération. DÉFORMATIONS DES
Kirmisson, que l'existence des déforma- tions rachitiques du membre
supérieur
. » Et plus loin il ajoute : « Elles ont ceci de
si satisfaisant que le résultat fonctionnel, surtout pour le membre
supérieur
droit, le plus déformé. En ce qui concerne le m
mbre supérieur droit, le plus déformé. En ce qui concerne le membre
supérieur
gauche, la pseu- darthrose, l'impotence muscula
t à la partie externe des cuisses. Mouvements ataxiques aux mèmbres
supérieurs
. Sensibilité au contact et au froid très diminu
alise exclusivement dans les cordons de Goll au niveau de la région
supérieure
dorsale et de la région cervicale. Une sclérose
ntral dans les parties infé- rieures et obturation dans les parties
supérieures
. La paroi des vaisseaux épais- sie. Diminution
ssie. Faisceau cérébelleux direct dégénéré dans la région cervicale
supérieure
. Faisceau de Gowers dégénéré à partir de la rég
escence dans la périphérie du faisceau de Burdach, dans les parties
supérieures
une dégénérescence du faisceau de Goll dans sa
complètement et les objets qu'il fixe dansent devant lui. Sa lèvre
supérieure
est prise par moments d'un trem- blement sponta
ns les racines antérieures, de sorte que- dans les régions dorsales
supérieures
et cervicales elles présentent une raréfaction de
-dessus il n'y a pas de lésion. Dans les coupes de la région sacrée
supérieure
et lombaire infé- rieure on constate une raréfa
ndemne de toute lésion. Cordons antéro-laidi-aux. - Région sacrée
supérieure
: on trouve ici une raréfaction qui longe toute
se, surtout dans les parties antérieures. Dans la région lombaire
supérieure
elle envahit aussi l'espace jusqu'alors ÆI °U
isant pour annihiler passagèrement l'action régulatrice des centres
supérieurs
, en laissant libre essor aux actes d'automatisme
camarades de chambrée, considéré comme un mauvais plaisant par ses
supérieurs
qui ne manquent pas de le punir, il s'adresse au
es spasmodiques. Il n'y a aucun trouble de la motilité; aux membres
supérieurs
il existe un léger tremblement qui se manifeste
causaient à la caserne les tracasseries de ses camarades ou de ses
supérieurs
. Depuis le début de la maladie, tous les antisp
bre inférieur, biceps brachial et fléchisseurs des doigts au membre
supérieur
, on observe des bigar- rures blanchâtres anorma
homologues du côté droit et du côté gauche, les muscles des membres
supérieurs
sont notablement moins at- teints que ceux des
at- teints que ceux des membres inférieurs et du tronc. Aux membres
supérieurs
même, les muscles du bras et ceux de l'avant-br
ert-Pal et deMarchi. Nous avons examiné des deux côtés, aux membres
supérieurs
les muscles des éminences thénar et bypothénar,
ns prononcées dans les muscles des segments 348 CESTAN ET LEJONNE
supérieurs
des membres ; elles sont d'ailleurs beaucoup plus
identes au ni- veau des membres inférieurs qu'au niveau des membres
supérieurs
; d'autre part, il semble bien que la fibrose i
rocessus lé- sionnel, dans le long supinateur au niveau des membres
supérieurs
, dans le grand pectoral et le grand dorsal au n
s de l'observation ; en effet, la rétraction en flexion des membres
supérieurs
et inférieurs, la rigidité du tronc qui malgré
s sur la face inférieure et géné- ralement moins encore sur la face
supérieure
. La gaine piale épaissie et sclérosée sépare et
anger seule et se vit complètement privée de l'usage de ses membres
supérieurs
dont les différents segments ne pouvaient se mou-
, et s'embarrasse lorsqu'elle a causé un certain temps. Le membre
supérieur
droit est paralysé, mais il n'existe pas de'raide
in. Il ne semble pas qu'il y ait d'atrophie musculaire. Au membre
supérieur
gauche, les mouvements sont en général un peu p
x et l'annu- laire étant les moins pris. Les réflexes des membres
supérieurs
sont normaux. Du côté des membres inférieurs on
partout normale. La notion de position est très altérée aux membres
supérieurs
, et les membres inférieurs présentent un certai
gauche ; mais rien à droite. Pas d'atrophie musculaire. Aux membres
supérieurs
, les mouvements spontanés du bras et de l'avant-
e sur tout le côté gnuche, au membre inférieur, au tronc, au membre
supérieur
; à droite on trouve nettement indiquée une zone
est trouvé normal (Vialet). , En 1902. - Même impotence des membres
supérieurs
, sans raideur, ni contracture sauf pour la main
auche du corps à l'exception de la face, et du côté droit la partie
supérieure
du tronc, l'épaule et la partie externe du memb
partie supérieure du tronc, l'épaule et la partie externe du membre
supérieur
; les territoires radiculaires sous- jacents à c
e lésion à tendance cavitaire, s'étendant depuis la région lombaire
supérieure
jusqu'à la partie in- férieure du bulbe et d'au
pprochés, par- fois même au contact. Dans toute la région cervicale
supérieure
c'est ainsi que se présente la lésion qui impri
artie inférieure du bulbe ; il n'en reste plus trace dans la moitié
supérieure
du bulbe où les rubans delteil sont intacts.
orne postérieure dans la région cervicale, dorsale et même lombaire
supérieure
, nous avons noté la dégénérescence rétrograde de
ensibilité à la chaleur normale. Urine norma- lement. Les membres
supérieurs
ne présentent qu'une légère diminution de force.
xion de la jambe sur. la cuisse. Etat stationnaire pour les membres
supérieurs
. ' * Le malade a été purgé là veille au soir ;
existe-t-il depuis quelque temps) que la respira- tion est costale
supérieure
et que les dernières côtes n'ont pas d'expansion
nt et ne peuvent être fléchis sur la jambe. Paralysie des membres
supérieurs
plus complète à gauche qu'à droite. Remue le br
troubles trophiques, pas d'escha- res ; légère atrophie des membres
supérieurs
. Réflexe patellaire presque aboli à gauche, plu
(avec double coloration par la cochenille). Bulbe. - Dans sa partie
supérieure
et dans sa partie inférieure le bulbe paraît to
avec diminution de ce réflexe; au bout de 4 ou 5 jours les membres
supérieurs
se prirent progressivement il leur tour, le gau
uatre membres : elle resta pourtant plus accentuée dans les membres
supérieur
et inférieur gauches qui avaient été plus atteint
bilatérale deila corne grise antérieure depuis la moelle cervicale
supérieure
jusqu'au deuxième segment sacré,destruction surto
mes athlétiques des cuisses. Le même contraste existe aux membres
supérieurs
entre le volume du bras et celui de l'avant-bra
s reprises il s'est plaint d'avoir dans les cuisses et les mem- bre
supérieurs
une sorte de frémissement musculaire, allant parf
des ulcérations de la jambe gauche, l'autre à la partie externe et
supérieure
de la jambe droite. Ces taches érythémateuses,
nt dans le tic de l'ours. - 4. Bouche. Les déviations de la lèvre
supérieure
et la chute de la lèvre inférieure doivent être
chomoteurs, qui impliquent nécessairement la mise en jeu de centres
supérieurs
d'association et de coordination et qui ne peuven
ules quadri- jumeaux antérieurs et postérieurs chez les vertébrés
supérieurs
(Sur l'aspect extérieur des dendriles des) (6 f
bercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs chez les vertébrés
supérieurs
(6 figures), 100. DiDE et LEBORGNE. Nouveau c
nelles, sont plus grandes que leur frère, et d'une taille peut-être
supérieure
à celle de la moyenne des femmes. Elles sont mari
. Le grand'père, vigoureux et gros, était d'une taille sensiblement
supérieure
à la moyenne. Comme nous venons de le voir, d
eper à la Société de Neurologie (2), était un bel exemple.' Membres
supérieurs
. - De même que les membres inférieurs, les membre
mbres supérieurs. - De même que les membres inférieurs, les membres
supérieurs
sont aussi très longs, comme le prouve la grande
la mesure qu'on obtient en ajoutant deux fois la longueur du membre
supérieur
(950) à la dis- tance bi-acromiale (420), ce qu
egard sur les proportions intrinsèques des trois segments du membre
supérieur
, si nous les comparons entre eux et avec le can
evaient avoir pour une longueur totale de 0 m. 9JO, celle du membre
supérieur
de José Lopes, si les rapports du canon de Topi
a région antéro- inférieure, la face; la partie crânienne est peine
supérieure
à la moyenne, et pas même dans toutes ses dimen
, au lieu d'être 8 MAGALHAES LEMOS régulier, offre dans sa partie
supérieure
deux incisures assez profondes qui limitent un
rd, contraste par son exagération avec la longueur totale du membre
supérieur
, et surtout de son segment proximal (bras). Mai
donnée une hypertrophie singulière, non congénitale, des extrémités
supérieures
, inférieures et céphalique. (1) Dans l'immense
a- liques, sans être des géants, ne présentent pas moins une taille
supérieure
à la moyenne -- ce qui a son importance au poin
elle du côté opposé. Les lèvres un peu renversées. Entre la lèvre
supérieure
et la cloison des fosses nasales, on observe un
n transversal très évident. La lèvre inférieure plus épaisse que la
supérieure
proéminant hors de la bouche. Entre les deux
lèvres, on observe une dent canine dont la pointe comprime la lèvre
supérieure
. Au-dessous de la lèvre inférieure, on observe
s ogivale. Les gencives sont tuméfiées et saignantes. A la mâchoire
supérieure
il ne présente qu'une seule dent,ou pour mieux di
noncée. Les épaules très rap- prochées de la ligne médiane. Le bord
supérieur
des muscles proéminent comme une corde tendue.
isibles. Sur la face antérieure du thorax, on observe que sa partie
supérieure
pré- sente une direction oblique en arrière, l'
Les poils de cette région sont rares et très minces. Les membres
supérieurs
gardent d'habitude la position en demi-flexion. L
es mus- cles postérieurs de la cuisse. En lui soulevant le membre
supérieur
et en le laissant tomber de lui-même, la chute
s, dans les zygomatiques, dans le sourcilier. En excitant le facial
supérieur
avec un courant de 1 m. a. on n'observe pas de
plénique est très épaissie (périsplénite) spécialement vers le pôle
supérieur
où la capsule présente l'as- pect d'une plaque
u pied-bot ? 7 Une fois les crampes intéressèrent aussi les membres
supérieurs
. Le signe de Trousseau n'existait pas dans l'in
r- sale moyenne avec lordose compensatrice dans la région cervicale
supérieure
, thorax projeté en avant, peu déformé, sternum
sans effet, ont eu recours à la ligature de l'ar- tère thyroïdienne
supérieure
et inférieure. On observa d'abord une améliora-
la radiographie première : en perspective face palmaire- extrémité
supérieure
droite. L'élargissement de la région du poignet
ar la déviation congénitale primaire d'ordre mécanique de la partie
supérieure
du carpe. Consécutivement et secondai- rement,
. Etat normal du tronc et des membres inférieurs. Quant aux membres
supérieurs
, on y re- marque l'anomalie qui sera décrite ci
bre de rayons, correspondant aux premiers linéaments des phalanges,
supérieur
à cinq, dans un cas allant jusqu'à neuf (2). 2°
ême que la polydaclylie se manifeste plus fréquem- ment aux membres
supérieurs
qu'aux membres inférieurs sérail bien en harmon
peresthésie marquée aux membres inférieurs, moins nette aux membres
supérieurs
. Atrophie musculaire du quadriceps, parésie des
peut faire mécon- naître la torpeur réelle de l'activité psychique
supérieure
. La confabulation qui n'est pas, à proprement p
nné de la tète et du tronc. Il n'a omis ni le ptosis de la paupière
supérieure
droite, ni la difformité de l'auriculaire gauch
e la tête, cyphose dans les régions cervicale inférieure et dorsale
supérieure
en forme de courbe, dont les extrémités sont po
hose peu accentuée dans les régions cervicale inférieure et dorsale
supérieure
. La colonne vertébrale, dès les ver- tèbres dor
ale supérieure. La colonne vertébrale, dès les ver- tèbres dorsales
supérieures
, présente une ligne presque droite. La lordose
de la cage thoracique pendant la respiration.Les deux extrémi- tés
supérieures
ne peuvent se soulever plus haut que la ligne hor
et amaigri. Les viscères sont intacts. Cyphose de la région dorsale
supérieure
et cervi- cale inférieure : la lordose lombaire
e toute la colonne vertébrale, sauf dans les vertèbres cer- vicales
supérieures
; la cage thoracique est aplatie et reste immobil
e quelques muscles de la région de l'épaule et de toute l'extrémité
supérieure
gauche (3 cm.) ; cette atrophie ne s'accompagne p
scles serrati ant. maj., supra et infras- pinati, des deux portions
supérieures
des muscles grands pectoraux. Diminu- tion quan
lus haut que l'ombilic et divise l'abdomen en deux parties : l'une,
supérieure
, est plate et l'autre, inférieure, fait saillie e
ticulations coxo-fémorales. La cage thoracique dans ses deux tiers,
supérieur
et médian, est complètement immobile. La respir
articulaires des épaules ; les autres articulations des extrémités
supérieures
sont intactes ; ankylose des articulations des
se à 3 centimètres au-dessus de l'ombilic, en deux parties : l'une,
supérieure
, qui est plate, et l'autre, inférieure, qui est
cuisse gauche, à l'union de son tiers inférieur avec ses deux tiers
supérieurs
, il existe une tuméfaction oblongue, mesurant 1
pes et bientôt on s'aperçoit que cela tient déjà à ce que la partie
supérieure
de Pa, Parc. et L. sont envahis par la tumeur.
es entre les faisceaux musculai- res,possédent un pouvoir absorbant
supérieur
à celui de la couche super- ficielle. Un liquid
, ni puissamment active, et ne mé- rite pas d'être considérée comme
supérieure
à toute autre, en tant qu'intensité thérapeutiq
d'un petit étal ambulant à jour en formelle gibet carré et au cadre
supérieur
duquel sont suspendus divers objets, de petites p
les pique mais retire moins la droite que la gauche. Aux membres
supérieurs
, la contracture est plus marquée à gauche qu'il
- çantes dans la partie droite du visage ; en même temps, le membre
supérieur
droit s'agite d'une façon non rythmique. Le mem
il a eu des crises convulsives dans lesquelles la face et le membre
supérieur
, du côté droit, auraient seuls été agités. ' -
sont donnés. A 11 h. 1/2, nouvelle crise convulsive dans le membre
supérieur
droit ; pas de secousses au membre inférieur qu
. I (A. Souques). i. Hémisphère droit. Coupe passant par le tiers
supérieur
de la couche optique (4 loyers). lIlOHH.A.GOE C
y a chez le malade une raideur généralisée très prononcée (membres
supérieurs
et inférieurs, nuque, trismus invincible). Pas de
araît très affaibli intellectuellement. On voit au niveau du membre
supérieur
droit des secousses assez lentes (70 à 80 à la
es signes d'hémiplégie gauche. 3. Le malade présente dans le membre
supérieur
droit des mouvements convulsifs déplaçant les d
raissent. Dans l'après-midi, nouvelles convul- sions dans le membre
supérieur
droit. Rien à la face ni au membre inférieur. Le
rs plus tard. Cette femme avait, en outre, une atrophie des membres
supérieur
et inférieur 200 ALQUIER ET KLAIIFELD gauches
osen, 1887, p. 524. 202 ALQUIEll ET IiLARFELO ' tion de l'orifice
supérieur
de l'aqueduc de Sylvius, par un cysticerque gros
s des deux côtés, faiblesse vésicale, avec pareslhésies des memhres
supérieurs
, parésie des inférieurs, et contractions toniqu
considérable des 3 premiers ventricules, oblitération de la partie
supérieure
du 4" par du tissu cica- triciel fibreux renfer
R1CHAI1DT, Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk., t. 28, p. 306. ÉCOLE
SUPÉRIEURE
DE MÉDECINE UEJllLI\' DIHBC1EUB-PnOl'. L. Devot
tte proéminence du côté droit. Etal actuel (janvier 1911). Membre
supérieur
droit. La main droite est en légère extension s
tremblement intentionnel, pas d'ataxie dans les mouvements. Membre
supérieur
gauche. - Le membre supérieur gauche se présente
d'ataxie dans les mouvements. Membre supérieur gauche. - Le membre
supérieur
gauche se présente d'aspect tout à fait normal.
de la sensibilité à la piqûre sont bien manifestes sur les membres
supérieurs
, sur le cou et sur la poitrine jusqu'au mamelon.
La sensibilité thermique est pervertie sur presque toute la partie
supérieure
du corps, mais cette altération est plus manife
du corps, mais cette altération est plus manifeste sur les membres
supérieurs
et sur la région de l'épaule. Dans ces régions
s'en apercevoir. ' Cette thermo-anesthésie occupe les deux membres
supérieurs
, le cou, la par- tie supérieure de la poitrine
-anesthésie occupe les deux membres supérieurs, le cou, la par- tie
supérieure
de la poitrine et la partie supérieure du dos (ré
érieurs, le cou, la par- tie supérieure de la poitrine et la partie
supérieure
du dos (région de l'é- paule et région scapulai
est sèche et se laisse soulever en gros plis surtout aux extrémités
supérieures
(dos des mains) ; c'est cet aspect que ces aute
l'ouïe et de la sensibilité générale, impotence partielle du membre
supérieur
droit, due à une chute récente causée par une a
localisation : il recouvre en effet la plus grande partie du membre
supérieur
et du thorax du côté droit ; sa teinte générale l
lques verrucosités ; au contraire sur la face postérieure du membre
supérieur
, et autour des îlots de peau saine que nous décri
la région sus;claviculaire, notre point de départ. Tout le membre
supérieur
est envahi, à part cependant quelques îlots de
ante, à cause de la disproportion qui existe entre les deux membres
supérieurs
; tandis que les membres infé- rieurs ne présen
ue généralement localisé aux membres inférieurs siège ici au membre
supérieur
, ou encore à ce qu'une légère dilatation veineu
droit du corps. 2° Il existe sur la face postéro-interne du membre
supérieur
une série d'îlots de peau saine qui dans leur e
épaisseur d'un tissu compact ; dans les parties dorsales moyenne et
supérieure
, la couche compacte n'existe qu'à la surface, q
disque interv. (H) normal avec les parties adjacentes d'un vertèbre
supérieure
(Aj et infé- rieure (c). On voit sur la pièce l
ans le troisième il présentait une cyphose dans la région cervicale
supérieure
, tandis que sa lordose physiologique était apla
ffé- rentes ; dans d'autres le nombre est moins élevé mais toujours
supérieur
à celui qu'on rencontre dans les ganglions norm
lysie gauche du type périphéri- que portant à la fois sur le facial
supérieur
et inférieur. A l'état statique : La Louche e
te du côté droit se porter en haut et en dedans pendant que le bord
supérieur
du trapèze se dessine fortement sous la peau. Au
de que l'on aperçoit tendu, entre l'omoplate et la colonne. Le bord
supérieur
du trapèze est réduit à une mince lame horizontal
/o/ ! 7 ? La force est relativement conservée au niveau des membres
supérieurs
et inférieurs aussi bien à droite qu'à gauche.
ntégrité parfaite de la motilité et de la sen- sibilité des membres
supérieurs
. Or on ne peut même pas supposer que la lésion
l'hôpital pour des ulcérations superficielles siégeant sur la face
supérieure
du gros orteil et sur la partie inférieure de l
illeurs ne le gêne pas pour accomplir de longues marches. Membres
supérieurs
. Grande envergure : 1 m. 88, prise directement en
e l'extrémité du médius gauche, le malade étant debout, les membres
supérieurs
étendus en croix. Cette grande envergure dépa
lade a donc non seulement des extrémités énormes mais des mem- bres
supérieurs
relativement très longs. Nous insistons sur le
curieuxde noter, ce sont les longueurs différentes des deux membres
supérieurs
. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur le table
millimètres. Cet allongement porte sur tous les segments du membre
supérieur
, qui pris individuellement sont chacun plus lon
lus longs que leurs homologues du côté opposé. Par contre le membre
supérieur
gauche est plus gros que le droit. On le voit p
re. Si maintenant nous opposons ces trois parties du corps, membres
supérieurs
, tronc et membres inférieurs, nous constatons que
onc solide, membres inférieurs robustes, pieds énormes. Les membres
supérieurs
au contraire paraissent plus grêles. 318 MOSSÉ
sents au niveau des tempes. Le front est bombé, rétréci à la partie
supérieure
et se rapproche fortement du front olympien. Le
onne et normale pour les canines et les incisives ; les prémolaires
supérieures
et infé- rieures sont cariées. Les sourcils s
ien marqués, mais il existe fort peu de poils au niveau de la lèvre
supérieure
et du menton. La langue ne paraît pas trop augm
lade savait d'ailleurs mal s'en servir. Il semble doncque le membre
supérieur
gauche soit plus fort que le membre supérieur dro
ble doncque le membre supérieur gauche soit plus fort que le membre
supérieur
droit, ce qui cadrerait avec nos mesures puisqu
qui cadrerait avec nos mesures puisque nous avons vu que le membre
supérieur
gauche était à la fois plus gros et plus court
urs et nous avons montré l'asymétrie si appréciable entre le membre
supérieur
droit et le membre supérieur gauche. Ce n'est p
ymétrie si appréciable entre le membre supérieur droit et le membre
supérieur
gauche. Ce n'est pas non plus un infantile. Il
expliquer par la pathologie glandulaire cette asymétrie des membres
supérieurs
? Le système nerveux est-il atteint ? Les antéc
s sont saillantes, inégales, grandes, les inférieures dépassant les
supérieures
; les canines et les molaires sont très espacées
uche. Le corps thyroïde est petit, impalpable, et au-dessus du bord
supérieur
du sternum, on arrive à sentir le thymus hypert
s. Développement abondant de poils sur les épaules, sur les membres
supérieurs
, sur le thorax et sur la région sacro- lombaire
es divers segments du membre, une augmentation de résistance un peu
supérieure
à la normale. Les mouvements actifs sont tous u
orme et par un autre os de forme allongée, semilunaire, à convexité
supérieure
et qui est articulé en grande partie avec le ra
dilformité quel- conque dans leur squelette,elle paraît être un peu
supérieure
à la moyenne. Les os du carpe ne présentent auc
chez lui) des anomalies congénitales suivantes du côté des membres-
supérieurs
et du thorax : a) Au membre supérieur droit :
antes du côté des membres- supérieurs et du thorax : a) Au membre
supérieur
droit : développement anormal du squelette des
s deux os qui la constituent (syndactylie incomplète). b) Au membre
supérieur
gauche : absence congénitale du pouce (ectrodac-
. Poings fermés, bras fortement repliés sur les avant-bras. Membres
supérieurs
.- Parésie complète et flexion des avant-bras sur
bles trophiques . Amyotrophie diffuse, moins marquée qu'au mem- bre
supérieur
; érythème purpurique à la face dorsale du pied d
t sanguin, sans cause connue, au niveau du rebord alvéolaire gauche
supérieur
et de la gencive. L'hémorragie a duré deux à tr
ns flexion, varus équin à droite seulement; pas de clonus ; membres
supérieurs
en flexion sans contracture véritable, animés d
pouvions pas lui plier les genoux s'il nous résistait. Aux membres
supérieurs
, rien d'anormal. Quoique ce malade ne présente
, soulevons jusqu'à la hauteur d'un mètre, par exemple, l'extrémité
supérieure
du bâton, et cherchons à la maintenir fixe à ce
nt marqué de l'épiphyse humorale inférieure et aussi de l'extrémité
supérieure
du cubitus. L'épiphyse radiale ne présente pas de
; en effet, les index tihiofémoral et radio- huméral sont nettement
supérieurs
à la moyenne. Le raccourcissement est moins acc
chondroplasiques, dont l'in- telligence, suivant les cas, peut être
supérieure
, égale ou inférieure à la normale. En ce qui
nts sont cariées et en grande partie ahsentes surtout au maxillaire
supérieur
(1). Voûte palatine ogivale. Corps thyroïde net
ation circulatoire au niveau des vaisseaux rétiniens. Les incisives
supérieures
sont petites et espacées; la voûte palatine est
; sont élargis Heur extrémité, le nez s'est aplati, les maxillaires
supérieurs
se sont étalés, et la taille a grandi de 6 cent
trau- matique, nous avons noté un allongement insolite des membres
supérieurs
et inférieurs. La radioscopie et la radiographi
de graisse, sèche et sensible. Quelques poils clairsemés à la lèvre
supérieure
et au menton. Absence presque totale à la régio
plètement glabre, à part quelques rares poils au niveau de la lèvre
supérieure
et du menton. Les sourcils sont peu fournis. Le
es sexuels secondaires ; le duvet qui commençait à revêtir sa lèvre
supérieure
, loin de faire place à ses moustaches, disparut
eurales à la partie posté- rieure et inférieure du thorax ; le lobe
supérieur
est atteint d'hépatisation grise, les lobes moy
rales, elle est intense, formant de grosses travées ; à la par- tie
supérieure
et à l'autre extrémité, elle est peu prononcée; e
et sa fréquence relative ; il s'agit d'une dysplasie des extrémités
supérieures
. Elle peut être décrite en un mot : elle consiste
précédent, la seule défectuosité à si- gnaler concerne les membres
supérieurs
. Un coup d'oeil sur la photographie (fig. 3) mo
orps ; et le raccourcisse- ment affecte les deux segments du membre
supérieur
; de plus le membre su- périeur gauche est plus
note par exemple le raccourcissement de tous les segments du membre
supérieur
et la main gauche y présente les caractères de la
pas justifiées par les signes objectifs, qu'il s'agisse des membres
supérieurs
ou des membres inférieurs, il y a lieu, avant d
le même résultat chez nos malades tabétiques, ataxiques des membres
supérieurs
, et puis encore chez un autre hémiplégique atax
tabès, il a eu une hémiplégie droite, qui a été gué- rie au membre
supérieur
presque complètement, mais son membre inférieur
qui petit il petit ont envahi tout le corps, y compris les membres
supérieurs
, sauf la tête. Puis sont survenues des douleurs
nt à la distance (signe d'Argyll- Roberston positif). ' Le membre
supérieur
droit ne se ressent plus de l'attaque d'hémiplégi
flexes tendineux et cutanés sont abolis des deux côtés, aux membres
supérieurs
comme aussi aux membres inférieurs. Le malade s
ns des membres inférieurs et à toutes les articulations des membres
supérieurs
, sauf aux articulations sca- pndo-humérales. Le
bservation du malade, que c'était la seule articulation du mem- bre
supérieur
où le sens des attitudes était conservé. Il y a
ire ou du sens des attitudes, comme nous l'avons vu aussi au membre
supérieur
, pour beaucoup de mouvements combinés ? Quoiq
ce bien régulière, pour que la marche soit parfaite. Déjà au membre
supérieur
nous avons vu chez notre malade que les mouve-
à toutes les articulations des membres in- férieurs. Aux membres
supérieurs
, le sens des attitudes est conservé, et on n'y ob
trouble ? Si nous nous rappelons les troubles ataxiques des membres
supérieurs
que présentait le malade de la seconde observatio
interprété ces phénomènes par l'absence du sens profond aux membres
supérieurs
, d'où il ne peut plus graduer son effort, par man
her sur le bord interne de la main droite. Pas d'ataxie aux membres
supérieurs
, mais il y a tout de même un commencement : le
s, absence ou (rouble de tous les mouvements coordonnés des membres
supérieurs
et inférieurs, etc. De plus,les mouvements volo
e de la pyramide pétreuse du rocher et le clivus (plan de la face
supérieure
de l'apophyse basilaire). Voici les valeurs de
phénoïde. Les deux versants latéraux qui se continuent avec la face
supérieure
des grandes ailes ont des inclinaisons différen
oir le bec de cette circonvolution a un développement notablement
supérieur
du côté sain ; il est parfaitement appréciable à
e la pression cérébrale a produit un véritable renversement du bord
supérieur
du rocher en même temps qu'un léger tassement d
plique cette façon d'interpréter les faits. des anormaux d'un degré
supérieur
. Avant de terminer, signalons une modification
hie opti- que, et à droite ptosis incomplet avec paralysie du droit
supérieur
. On attribua pendant la vie, ces troubles au ta
ssive. Cette hyper- ti-opliie intéresse tous les segments du membre
supérieur
droit avec maximum aux trois doigts externes et
la dissociation de la sensibilité aux extrémités des deux mem- bres
supérieurs
. Diagnostic de syringomyélie. Mort par tubercu-
scles, corticale et sous-corticale ; mais tandis que pour le membre
supérieur
l'innervation corticale des exten- seurs serait
ur, ce serait celle des fléchisseurs, et vice-versa. Pour le membre
supérieur
, l'inner- vation sous-corticale des fléchisseur
on) et du tonus (asthénie, atonie), de l'incoordination des membres
supérieurs
, de l'asynergie cérébel- leuse et de l'exagérat
bre, asynergie, atonie pour les membres inférieurs, ataxie pour les
supérieurs
), occupent le côté du corps homonyme à celui RE
es extenseurs, mais encore la participation du groupe radi- culaire
supérieur
aux deux bras. Ces paralysies s'accompagnent d'
bante, un tremblement léger intentionnel, surtout net aux mem- bres
supérieurs
, contractions vermiculaires de la langue, parésie
ques. Chez l'autre, ramollissement linéaire très limité de la lèvre
supérieure
de la' scissure pariéto-occipitale. Mais dans l
vant l'entrée à l'hôpital, le malade sentit une faiblesse du membre
supérieur
droit et puis une gêne de la respiration. Etat
ie complète avec affaiblissement de tous les muscles de l'extrémité
supérieure
droite. Cyanose des, 1 extrémités. Lorsque le m
rivent deux groupes en' rapport avec les deux artères thyroïdiennes
supérieure
et inférieure. En général, elles ont une colora
des symptômes que 100 CLINIQUE NERVEUSE. nous observons au membre
supérieur
gauche d'une part et à la face d'autre part. '
upérieur gauche d'une part et à la face d'autre part. ' Le membre
supérieur
gauche est le siège d'une paralysie à peu près
la sensibilité tactile est la mieux conservée. Enfin, la' limite
supérieure
des zones anesthésiques est insensible. Vous po
ion de la partie inférieure de la face et du cou. Quant à la partie
supérieure
de la face, à peu près normale à gauche, elle e
beaucoup plus marquée à droite où elle intéresse aussi la paupière
supérieure
: cette infiltration est Fig 1 ! 1. 108 . CLI
ration d'une DR, laquelle avait été plus prononcée pour les rameaux
supérieurs
que pour les moyens. Au membre supérieur gauche
noncée pour les rameaux supérieurs que pour les moyens. Au membre
supérieur
gauche, on constate de la DR très prononcée dan
de vue de la sensibilité, l'examen de la face comme celui du membre
supérieur
gauche révèlent des trou- bles profonds. Ceux-c
t, d'une façon générale, la moitié droite de la face dans sa partie
supérieure
, la moitié correspondante du cuir chevelu dans
Cette zone répond au territoire de distribution des deux branches
supérieures
du trijumeau et du nerf auriculo-tem- poral ; t
resse DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 109 notamment les deux branches
supérieures
du plexus cer- vical superficiel qui offrent la
l'eutrée etsèclie, surtout si on la comparait à celle des membres
supérieurs
; enfin, aux pieds, on remarquait de nombreuses
onter peu à peu vers leur racine et réalisant au niveau des membres
supérieurs
l'aspect' clas- sique de la main simienne, en u
VEUSE. 119 attention. Chez notre femme, elle occupait les membres
supérieurs
et les inférieurs, chez cet homme, elle ne porte
et les inférieurs, chez cet homme, elle ne porte que sur le membre
supérieur
gauche, mais chez l'un comme chez l'autre, elle
iale s'observe au cours de la syringomyélie elle respecte le facial
supérieur
; enfin, Messieurs, je vous rappellerai l'hypert
emière fois par Morvan sous le nom de paréso-analgésie d extrémités
supérieures
. L'association clinique de la paralys des analg
re de syringomyé- lies avérées peuvent réaliser du côté des membres
supérieurs
un tableau clinique rappelant de tous points la
e à la face interne de l'hémisphère immédiatement en avant du tiers
supérieur
de la fissure calcarone. La quatrième, commune
iculation du genou et s'y peuvent propager, par exemple à la moitié
supérieure
de la jambe. L'immobilité permanente de l'ani
l\I11. Un noyau spécial de la formation réticulée dans la région
supérieure
de la protubérance; parW. de l3ECn'rEnw. (Ncvr'ol
oyau réticulaire du tegmentum pontis de Hechterew, le noyau central
supérieur
ou médian de ]3eclitei-ev, le noyau inomiaé de
rcule quadrijumeau postérieur dans les parties profondes de l'étage
supérieur
des pédoncules céré- braux. Le picrocarmin mont
cordon latéral de la moelle. Aussi peut-on le nommer noyau centrai
supérieur
latéral, ou tout court, noyau central supérieur
ommer noyau centrai supérieur latéral, ou tout court, noyau central
supérieur
, média), ou mieux médian. On le trouve égalemen
. P. KERAVAL. XXXV. Du réflexe sous-épineux, réflexe de l'extrémité
supérieure
de l'homme, inconnu jusqu'ici; par Steiner. Du
1903, se plaignant sur la faiblesse des muscles du cou et du membre
supérieur
droit; en mars de 1902 il avait eu un abcès sur
ANTES. 171 cèrent à se restituer graduellement, mais dans la partie
supérieure
du tronc des deux côtés et dans le bras droit r
x côtés. Dans les muscles de la face, du cou, du tronc, des membres
supérieurs
et', en partie, des membres infé- rieures, on r
ràle- ments, un grincement de dents et un tremblement'des membres
supérieurs
de courte durée ; le malade était gateux en ce te
rticulations centrales. Une faiblesse, peu signifiante, des membres
supérieurs
. Les réflexes tendineux sont exagérés, les réfl
- SAKOFF se combine aussi avec la palio-encéphalite hémorrhagique
supérieure
(de WERNtCKE) ; en outre, pendant le cours de la
entit des élancements dans l'omoplate droite ; ensuite, le mem- bre
supérieur
droit fut paralysé et la veille de l'entrée à l'h
ysie de toutes les extrémités. Une paralysie com- plète des membres
supérieurs
et inférieurs ; une anesthésie com- plete infér
sions cutanées serait par ordre de fréquence : - Tronc. Membres
supérieurs
. Abdomen. Tète. Très rarement : Membres sup
c. Membres supérieurs. Abdomen. Tète. Très rarement : Membres
supérieurs
. Siège le plus rare : Jambe. M. Gaucher admet
nous ont montré que ces lésions siègent au tronc puis aux membres
supérieurs
, contrairement à l'opinion de M. Le Guiner (thè
mit dans une maison d'éducation tenue par des Assomptionnistes. Le
supérieur
était un homme de bien pour qui j'ai conservé u
en vain : on 'apprit et pour que nul ne l'ignorât, un beau jour, le
supérieur
de ce séminaire, une brute qui est aujourd'hui
n exercice et que, au moins dans le domaine de l'activité psychique
supérieure
, la perte des moyens d'exécution peut entraîner
s d'innervation segmentaires répondant aux trois segments du membre
supérieur
, bras, avant-bras et main; chacune de ces zones
que le noyau du deltoïde entoure le noyau du biceps dans sa partie
supérieure
, comme le muscle deltoïde lui-même enveloppe la
e supérieure, comme le muscle deltoïde lui-même enveloppe la partie
supérieure
du muscle biceps ; de même, le noyau des adduct
entent les centres / individuels musculaires, et enfin, les centres
supérieurs
, supra-nucléaires (Parinaud) dont la lésion pro-
centres trophiques par les produits microbiens). Potiencéphalite
supérieure
aiguë Itéinoi,2,hagiqzie. MM. Brissaud et BRÉCY
es noyaux de la 3° paire, les tubercules quadrijumeaux, la partie
supérieure
de la protubérance. Cette observation est à rappr
its depuis le tra- vail de Wernicke sou,s le nom de poliencéphalite
supérieure
aiguë hémorrhagique. Il s'agirait de lésions as
t, devient l'esclave de l'habitude ; son fonctionnement psychi- que
supérieur
se trouve tout entier sous la domination du systè
laire. On ne doit appliquer 'ni le froid intense ni une température
supérieure
à 60°, on provoquerait une douleur vive, une vr
ès, anurie presque com- plète ; la température s'élève, les membres
supérieurs
, le tronc se prennent à leur tour, et tellement
ingomyélie occupant une partie de la moelle cervicale et la portion
supérieure
de la moelle dorsale. Peu de temps avant son en
s actes respirateurs brusques sont consécutifs aux tics des membres
supérieurs
et du tronc ; 3° Les tics de frappement (coups
vancé de leur affection, ce qui explique ce pourcentage de beaucoup
supérieur
à celui trouvé chez les paralytiques généraux à
n soumis à cette médica- tion. Le traitement par les piqûres semble
supérieur
à celui par ingestion. SOCIÉTÉS SAVANTES. 279
la masturbation. X... avons-nous dit, était doué d'une intelligence
supérieure
. OBSESSIONS ET VIE SEXUELLE. 293 Toutefois, à
atente au niveau du chiasma, et une thrombose du sinus longitudinal
supérieur
. L'autopsie révèle : de l'adipose généralisée,
èle : de l'adipose généralisée, une thrombose du sinus longitudinal
supérieur
et des sinus tranverses, des hémorrhagies dans
jettes aux anomalies ; propor- tion : 52,6 p. 100. La' cérébelleuse
supérieure
se distingue par une grande constance mais souv
qui contient le noyau de l'ôculomoteur externe ainsi que la portion
supérieure
du noyau du facial. Dégénérescence : des branch
depuis longtemps connu, on pourrait l'appeler : noyau accessoire ou
supérieur
du facial. II. Connexions de l'auditif. 1. Immé
u'au niveau du noyau principal ou inférieur du facial et de l'olive
supérieure
du côté correspondant. Là, les unes affectent une
ux postérieurs la plus voisine de l'axe, au niveau du noyau central
supérieur
de Bechterew, le nombre des fibres entrecroisées
ostérieurs, symétriquement des deux côtés. 6. En dedans des parties
supérieures
du noyau réticulaire de la protubérance, au niv
ait atteint d'une anesthésiedes branches ophthalmique et maxillaire
supérieure
du trijumeau droit et d'une légère hypoesthésie
a sensibilité dans le territoire de l'ophthalmique et du maxillaire
supérieur
; celle du maxillaire inférieur est presque abso
re, la sécheresse, déterminent les mêmes effets chez les organismes
supérieurs
; mais ici intervient la complexité du système n
présente le mécanisme des instincts et des phénomènes de la volonté
supérieure
. P. KERAYAL. 340 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
troubles de la motilité sont : a, une paralysie complète du membre
supérieur
lorsque le foyer se limite à la couronne rayon-
sie, d'hémiplégie, et en général dans les paralysies de l'extrémité
supérieure
d'origine centrale. Prend-on la main du côté ma
phie avec paralysie musculaire et ? 011 dégénérative de l'extrémité
supérieure
gauche indique u] des cellules des cornes antér
elui-ci se complique parfois de paresthésie de la face et du membre
supérieur
du côté opposé à la céphalalgie. Finalement il s'
ans, non réglée, malade depuis quatre ans. Par contre, les parties
supérieures
du bulbe témoignent a un faible grossisse- ment
ellement d'abord sur le membre inférieur droit, puis, sur le membre
supérieur
droit, enfin, dans le môme ordre, plus tard, à
robable, par conséquent, que le métabolisme défectueux de la partie
supérieure
du tractus gastro-intestinal, la diarrhée, et l'a
par l'oculo-moleur commun et léger strabisme divergent. Le membre
supérieur
droit est animé de mouvements spasmodiques- bea
emps que de mouvements spasmodiques. Langue déviée à droite. Membre
supérieur
droit paralysé, atrophié et atteint de mouve- m
la grosseur d'une aveline située dans l'angle formé par la surface
supérieure
et interne de la couche optique. Cette tumeur f
us l'empire des- quelles, il se livre à des voies de fait contre un
supérieur
; conduit alors au cachot, il met le feu à la p
e de son système dentaire ; il n'existe plus de dents au maxillaire
supérieur
, et, à la mâchoire inférieure, on ne compte plu
centres automatiques de l'utérus sont donc subordonnés aux centres
supérieurs
cérébrospinaux qui peuvent en renforcer ou en e
adiation optique de Gratiolet et au tapetum, se dirige, à la partie
supérieure
de l'arc qu'il décrit, de dedans en dehors, à l
u poids des hémis- phères cérébraux' n'est devenue pour les garçons
supérieure
a 303 grammes, pour les filles supérieure à 280
devenue pour les garçons supérieure a 303 grammes, pour les filles
supérieure
à 280 grammes, qu'à l'âge de neuf à dix mois. A
radium, il arrive aussi que tout en tombant elle reste cependant
supérieure
à l'affaiblissement de l'excitabilité de l'expéri
is sa naissance une absence complète du troisième segment du membre
supérieur
gauche, en même temps qu'un certain nombre de s
résection du nerf médian depuis la paume de la main jusqu'au tiers
supérieur
de l'avant-bras, l'auteur a constaté que les de
urs très bien ordonnée. Ce sont les sujets qu'on a appelé dégénérés
supérieurs
. en donnant le nom à ces états émotifs de stigm
de de fermer énergiquement les yeux, on voit alors dans la paupière
supérieure
du côté paralysé se relever brusquement découvr
mène est dû à ce que dans les cas de paralysie faciale, la paupière
supérieure
n'étant plus maintenue par l'orbiculaire, est f
, lorsque l'oeil se dirige en bas, il entraine avec lui la paupière
supérieure
qui s'abaisse ainsi fortement, malgré l'inertie
des psychologiques à la Sorbonne. Dr Bourneville, membre du conseil
supérieur
de l'Assistance publique. - Bruman, conseiller
u ministère de l'Intérieur. -Strauss, sénateur, mem- bre du conseil
supérieur
de l'Assistance publique. -1111 Stupuy, directr
ccusés (grand lobule de l'oreille, léger prognathisme du maxillaire
supérieur
, voûte palatine ogivale). Aucun trouble de la s
astication normale. Menton rond, sur le même plan que le maxillaire
supérieur
. Oreilles normalement implantées, un peu écarté
ois : circonférence, 29 centimètres. Corps thyroïde normal. Membres
supérieurs
. Le membre supérieur gauche est atrophié, les m
9 centimètres. Corps thyroïde normal. Membres supérieurs. Le membre
supérieur
gauche est atrophié, les masses musculaires ont
ose. Sur les mains, les mêmes taches que sur le visage. - Le membre
supérieur
droit est normal. Membres inférieurs . - Le mem
res inférieurs . - Le membre inférieur gauche est atrophié comme le
supérieur
, aussi bien dans sa longueur que dans son volum
c sont à peu près semblables. Organes génitaux et puberté. La lèvre
supérieure
, la lèvre in- férieure, les joues, le menton, s
le gauche est plus petit ; périnée et anus, gla- bres ; les membres
supérieur
et inférieur droits, glabres; les mem- bres sup
; les membres supérieur et inférieur droits, glabres; les mem- bres
supérieur
et inférieur gauches, recouuerts d'un léger duvet
e frontal ; 2° le lobe temporel; 3° les plis pariétaux inférieur et
supérieur
et le pli courbe, demi-cercle qui encadre la fr
émiplégie gauche (fig. 14) est nettement caracté- risées, au membre
supérieur
les mouvements spontanés sont à peu près nuls;
le membre est atrophié, à un moindre degré toutefois que le membre
supérieur
. Notons encore la petitesse relative du testicu
monté que jus- quà39,9 (fg. 16). Souvent elle s'élève à un chiffre
supérieur
. D'autres fois, après la période convulsive, ap
olution frontale ascendante assez bien développée ; circonvolutions
supérieure
et moyenne, normales de position mais mal formé
e la frontale ascendante, assez bien développée, mais à l'extrémité
supérieure
montrant de la minceur. Le lobule pariétal supé
l'extrémité supérieure montrant de la minceur. Le lobule pariétal
supérieur
rétréci, atrophié, et irrégulier ; le premier sil
portion occipitale. Lobe temporo-sphénoïdal gauche : circonvolution
supérieure
très réduite, avec béance résul- tante des sill
s nette- ment différencié, (par les'sillons pré-rolandique, frontal
supérieur
et frontal inférieur), en les 3 circonvolutions
, tronc du sympa- thique cervical, ganglions cervicaux inférieur et
supérieur
). Pas de lésion du noyau bulbaire du spinal. At
Atrophie très marquée de la corne antérieure de la moelle cervicale
supérieure
. (Noyau u cervical du spinal). " MM. Gallavar
ongénital, l'atrophie de la corne antérieure de la moelle cervicale
supérieure
c'est-à-dire du noyau d'origine du spinal cer-
ce que cette hémiplégie eut une prédominance marquée pour le membre
supérieur
. ' Le cas que l'auteur présente autorise à reje
téressant, c'est-à-dire la pré- dominance de la paralysie au membre
supérieur
, l'auteur pense que le fait est dû à la sensibi
ns hérédité pathologique. Dou- leurs débutant à la racine du membre
supérieur
droit, irradiant vers l'extrémité. Atrophie pro
de malformation portant sur deux régions sy- métriques des membres
supérieurs
avec atténuation du côté droit atrophie des pha
évrose spéciale dite psychasthénique. LXVIII. Tic tonique du membre
supérieur
droit; par IiUDLn. zone. Iconogr. delà Salpétri
rticularité intéressante, une conformation anor- male de la surface
supérieure
de la langue, qui est creusée de sil- lons long
hée, troubles menstruels. La partie inférieure du ganglion cervical
supérieur
a été résé- quée. L'amélioration a été immédiat
é immédiate. Actuellement, il n'y a plus d'exophtalmie, la paupière
supérieure
suit le globe, la conver- gence se fait facilem
ffuse, une pachyméningite localisée au niveau du sinus longitudinal
supérieur
. L'examen his- tologique montra qu'il s'agissai
beaucoup plus de fibres venant d'un seul hémisphère que les membres
supérieurs
. Maladie bleue et cyanose rétinienne. M. Babi
circonvolutions sont extrême- ment atrophiées, P', lobule pariétal
supérieur
. - P'- lobule pariétal inférieur. LO, lobe Qcci
alysie. De la contracture secon- daire du releveur de la paupière
supérieure
dans le cours de la faciale, par Berger et Loew
lexe.- Plexus choroïdes. Voir Vomisse- ments POLIE1\CtI'H \LITE
supérieure
aiguë hémorrhagique, par Brissaud et Brécy, 2
eux, par Scliterbak, 156. Du - sous-épi- lieux, - (le l'extrémité
supérieure
de l'homme, inconnu jusqu'ici, par Siettier.
coprolalie, par Morel de Litchfield, 4 ? 1 - to- nique du membre
supérieur
droit, par Rudler, 497. - et sté- réotypies d
gnement professionnel rend des services d'un ordre bien autrement
supérieur
. Il permet, de donner il un cer- tain nombre d'
te un plancher, soutenu par des consoles, et formant la gale- rie
supérieure
à laquelle on accède par deux escaliers placés
gées contre M. le Préfet de police. Je les ai faites dans l'intérêt
supérieur
des malades et aussi au point de vue de l'honneur
éral près la Cour de Cassation, et, à ce titre, membre du Conseil
supérieur
des prisons. Je sais qu'il y a bien des choses à
'éducation des enfants arriérés et épileptiques, l'adminis- tration
supérieure
devra se préoccuper de créer un person- sel ens
chevelu, à la face, sauf à la moitié gauche du menton, aux membres
supérieurs
sauf aux doigts; sur le ventre et la partie sup
aux membres supérieurs sauf aux doigts; sur le ventre et la partie
supérieure
du thorax du côté gauche. Elle est con- servée
est complètement insensible. Puberté. Très léger duvet sur la lèvre
supérieure
. La région pectorale est assez développée. Poil
durée de trente secondes. A 8 h. 24, une secousse dans les membres
supérieurs
. C'est la pre- mière depuis le commencement de
, symétrique. Fracture ancienne de la clavicule gauche. - Membres
supérieurs
. Bien conformés et développés. Réflexes du coud
de la muqueuse. Bouche sèche, lèvres entrou- vertes et pâles. Lèvre
supérieure
courte, mince, laissant les dents à découvert L
la tête : CONTRACTURES ET DLI'ORnL1TI01S DES MEMBRES. Si Membre
supérieur
gauche. Les déformations sont absolu- ment semb
ible de se rendre compte des mouvements volontaires des mem- bres
supérieurs
, non plus que de la marche. La sensibilité géné
impossibles à explorer en raison de l'hébétude du sujet. Membres
supérieurs
. 52 Etat cachectique ; mort. Puberté. Glandes
ando depuis sa jonction avec la scissure de Sylvius jusqu'au bord
supérieur
de l'hémisphère il existe trois petits kystes rem
s du niveau des autres circonvo- lutions. Au-dessus, dans son tiers
supérieur
enfin, elle est réduite à une lamelle grisâtre
i se perd en h : wt sur le bord de l'hémisphère. Le lobule pariétal
supérieur
est constitué par des circonvolutions un peu pl
sant inférieurcinent autour d'un sillon assez profond parti du bord
supérieur
de l'hémisphère, et se divise en deux petites c
ée, au contraire, d'une façon excessive dans ses tiers inférieur et
supérieur
. I'.A. est atrophiée dans toute son étendue. Le
eloppée que la droite qui est, du reste, assez saillante; la partie
supérieure
droite du frontal est sail- lante, la gauche dé
t déviée à droite. - Bouche moyenne, lèvres très fortes, surtout la
supérieure
qui présente plusieurs cicatrices cutanées et m
le du même côlé ; en ce dernier point elle est très rouge. La lèvre
supérieure
est encore tuméfiée : les paupières inférieures
puis 8 jours, l'agitation est plus marquée. Tremblement des membres
supérieurs
. - 18 septembre. Hier le malade a pris G gr. de
ussi : une rougeur de la face, des oreilles, du cou et de la partie
supérieure
delà poitrine au début de l'in- halation, de l'
es ; de temps en temps, un certain degré de tremblement des membres
supérieurs
,- (1) Voir'le Compte-rendu de 1880, p. 48· E
Etat- général excellent. Il n'y a plus de tremblement des membres
supérieurs
. ' 16 novembre. - L'état de l'enfant reste le m
. Etat général assez bon. 24 novembre . Etat de la bouche. Mâchoire
supérieure
quinze dents permanentes serrées; dents de sage
lm. 47. -Actu el- - lement, un léger et fin duvet recouvre la lèvre
supérieure
, les joues sont glabres, mais le pénil est revê
que durant ses périodes d'accès. Puberté. Léger duvet à la lèvre
supérieure
et à la pointe du menton, rien aux joues. - Poi
n pli de passage sur la frontale ascendante. La scissure frontale
supérieure
est très sinueuse et profonde. La 2 ? frontale es
qui paraît être la continuation de la seconde frontale; l'incisure
supérieure
n'est pas complète et s'arrête à 4 ou 5 millim,
mplète et s'arrête à 4 ou 5 millim, du sillon de Rolando ; le tiers
supérieur
de cette circonvolution présente, dans sa parti
partie médiane, une incisure oblique allant du fond et de lapartie
supérieure
du sillon de Rolando vers l'extrémité frontale
ente une lèvre inférieure, dis- tante d'environ 1 cm. 5 de la lèvre
supérieure
au niveau de la 3mo frontale. Elle laisse voir
supérieure au niveau de la 3mo frontale. Elle laisse voir la partie
supérieure
des circon- volutions du lobule de l'insula, et
possède un rameau antérieur très net et très profond. Son extrémité
supérieure
et posté- rieure est bifurquée. . Le sillon p
ssage niveau allant do la pariétale ascendante auxlobules pariétaux
supérieur
et inférieur. La scissure pariétale mo- yenne e
es embrassent un lobule de la 2 .l.em- porale. Le lobule pariétal
supérieur
est essentiellement formé par une grosse circon
elles interceptent le cuneus formé de deux circonvolutions dont la
supérieure
est double en arrière. La Il-- temporale occipi
la 1 ? incisure frontale, s'arrête en haut à un centimètre du bord
supérieur
de l'hé- misphère. Le sillon de Rolando, très s
sillon de Rolando, très sinueux, communique avec le sillon frontal
supérieur
; il s'arrête normalement en bas; il est coupé p
gne de démarcation avec la scissure parallèle. Le lobule pariétal
supérieur
est formé de nombreuses cir- convolutions irrég
pli de passage. Elle s'unit en avant et en haut au lobule pariétal
supérieur
. La ;2we occi- pitale se joint en avant à la 3,
porte en dedans, elle est oblique de bas en haut, et son extrémité
supérieure
se dirige assez fortement en avant, de manière
d inférieur où il est amin- ci et tranchant comme celui-ci. Le bord
supérieur
est épais et offre plusieurs aspérités. En ar
e se confond avec celui de la face antérieure ( 7 cent.) Son bord
supérieur
fortement concave a 9 centimètres; son bord inf
. Poids : 27 kilog, 400. Taille ; let25. Dentition. ' A la mâchoire
supérieure
, les quatre incisives et les premières molaires
es inférieures dépassent de près d'un centimètre, en arrière, les
supérieures
. Les gencives sont rouges, en bourrelet. Il y a u
1m 27. AfJÉ ! \IE, S7 i 2 juin. Eruption eczémateuse à la partie
supérieure
de la face, ne dépassant pas la bouche en bas.
u'au bord inférieur de la cinquième côte, et à droite jusqu'au bord
supérieur
de la même côte. Disons enfin que l'examen hist
bi-pariétale est située à gauche du sillon du sinus longi- tudinal
supérieur
. Le diplod est peu développé, sauf au niveau de
a faux de la dure-mère dans sa partie antérieure. Au niveau du bord
supérieur
des hémisphères, la dure-mère est notablement é
organes de ces deux cavités sont normaux; pas de hernie. Membres
supérieurs
de même grosseur des deux côtés. Bras gauche tr
érieure elles se confondent pour s'invaginer dans le porus. Le bord
supérieur
est constitué par une seule circonvolution prés
r ainsi du lobe occipital auquel il n'est contigu que par sa partie
supérieure
, qui se continue du reste avec cette circonvolu
ans sa moitié inférieure par la 4e circonvolution' et forme le bord
supérieur
de l'hémisphère dans sa moitié supérieure. La 3
lution' et forme le bord supérieur de l'hémisphère dans sa moitié
supérieure
. La 3e enfin, prend son origine en arrière de la
forme triangulaire et est constitué par deux circonvolutions, une
supérieure
subdivisée parun sillonhorizontal etuneinférieure
dont une la divise comme F. A. en deux parties. Le lobe - pariétal
supérieur
est formé de nombreuses circonvolutions très sé
que, le front est élevé. Les oreilles sont bien ourlées à la partie
supérieure
, l'our- let est à peine marqué à la partie infé
n. La voûte palatine et le voile du palais sont normaux. Les lèvres
supérieure
et inférieure. sont épaisses. La bouche a G cen
sses. La bouche a G centimètres d'ouverture, il y a un prognathisme
supérieur
très prononcé. Cou, circonfé- rence 52 centim.
ression de la région ovarienne n'est pas douloureuse. L"s membres
supérieurs
et inférieurs sont bien conformés. Pas d'anomal
aire étoilée sur sa région latérale droite. Thorax, rachis, membres
supérieurs
et inférieurs normaux et bien développés. Pea
es au menton, plus abondants et dessinant la moustache à la lèvre
supérieure
. Poils longs et frisés sous les aisselles. La sen
blondes occupant toute la hauteur de la partie moyenne de la lèvre
supérieure
, mais moitié moins hautes à ses extrémités. -Mo
e couvert, balaye. 1888. Janvier. - Puberté, Poils longs à la lèvre
supérieure
, abondants au menton. Touffe de poils très clai
gauche. Pas d'adhérences. Pas d'ecchymoses sous-pleurales. Le lobe
supérieur
présente à sa surface de nombreuses dilatations
u ventricule latéral, forment la partie la plus élevée du segment
supérieur
capsulaire que nous avons étudié dans les trois
comprend maintenant pour- quoi dans les coupes frontales les stries
supérieures
de la capsule interne sont horizontales, au lie
nt des faisceaux capsu- laires continus eux-mêmes à ceux de l'étage
supérieur
du pédoncule cérébral. Contrairement à l'opinio
n du corps calleux ou de l'our- let.) 2° Le faisceau longitudinal
supérieur
ou arqué. 3° Le faisceau unciforme. (Fasciculus
de l'avant-coin ou lobule quadrilatère. B. Faisceau longitudinal
supérieur
ou arqué. Ce faisceau a-t-il été constaté sur l
centimètres en dehors de la ligne médiane. Le faisceau longitudinal
supérieur
ou arqué devrait être appelé faisceau longitudi
udinal supérieur ou arqué devrait être appelé faisceau longitudinal
supérieur
externe, par rapport à la moelle de l'ourlet, q
elle de l'ourlet, qui devrait porter celui de faisceau longitudinal
supérieur
interne. L'un ne mé- rite pas plus que l'autre
onise avec la direction de l'hémisphère. Le faisceau longitudinal
supérieur
externe, sensible- ment plus volumineux que l'i
cendante, et le lobule pariétal inférieur; En bas, avec les couches
supérieures
de la circon- volution externe du lobule orbita
connexions que Meynert lui attribue, avec le faisceau longitudinal
supérieur
, il faut ajouter celles qu'il possède avec le f
ieu de la tête du corps strié et par le point de réunion du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de la couche opt
psule interne sous la forme de centre demi-circulaire. (Pl. VII.)
Supérieur
à celui de M. Pitres, ce mode de section- ner e
que. C. c., corps calleux. F. 1. sup. int., faisceau longitudinal
supérieur
inteine. /'...1 ? faisceau de Meynert. C. i.,
ule interne; segment postérieur. f. l, s. e., faisceau longitudinal
supérieur
externe. 1. s. i., faisceau longitudinal supéri
eau longitudinal supérieur externe. 1. s. i., faisceau longitudinal
supérieur
interne. N, c., noyau caudé. viii il ` ..
faisceau longitudinal inférieur. ' f. l. s., faisceau longitudinal
supérieur
. · PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'
montre le tracé II (Fig. 1). Par la fixité du regard en convergence
supérieure
, la malade est rapidement endormie. Les membres
de Pflùger, que le réflexe rotulien se propage d'abord aux membres
supérieurs
avant de retentir sur l'autre jambe, ce qui est
ous avons vu souvent le réflexe rotulien retentir sur les membres
supérieurs
; mais, nous n'avons pas observé la diffusion du
é la diffusion du réflexe en sens inverse, c'est-à-dire du membre
supérieur
au membre inférieur. D'ailleurs, cette dernière
. Dans ce cas, le tambour myographique est appliqué vers le tiers
supérieur
de la face antérieure de l'avant-bras au niveau
-développés, mais le réflexe rotulien ne se propage pas au membre
supérieur
du même côté. (Tracé I, Fig. 6.) Pendant la lét
inférieur se contracture dans l'extention forcée, on voit le membre
supérieur
animé, à chaque choc rotulien, de secousses réf
e degré. Il n'y a point d'extension du réflexe rotulien aux membres
supérieurs
. La malade est placée en face d'une vive lumièr
x se convulsent en haut, les pupilles se cachent sous les paupières
supérieures
, la tête se renverse. Del... est endormie, les
dire qu'en ceci l'hyperexcitabilité neuro- musculaire s'est montrée
supérieure
à la faradisation localisée. Et cela, pour deux
très ingénieux, employé parles ataxiques de Bicétre. Aux membres
supérieurs
, les douleurs fulgurantes existent depuis l'ann
par crises rapprochées. Il n'y a pas d'incoordination des membres
supérieurs
et ils exécutent tous les mouvements avec l'exact
te. ~ Les trois arthropathies de notre malade siègent aux membres
supérieurs
, les membres inférieurs en sont exempts, ce n'e
ue tardive, ce qui est parfaitement exact, c'est toujours au membre
supérieur
qu'on l'observe. Or, la sclérose spinale peut ê
a sclérose spinale peut être tout à fait récente dans les régions
supérieures
de la moelle, alors qu'elle était déjà très anc
avait passé inaperçue tant que le gonflement avait existé. Le bout
supérieur
du tendon parait adhérent aux parties sus-jacen
s-jacentes et il y a de l'empâtement à ce niveau. Au-dessus du bout
supérieur
, par la palpation, on explore facilement la gou
lore facilement la gouttière sus-condylienne du fémur, puis le bout
supérieur
de la rotule, au niveau duquel s'est fait la ru
e la crampe des écrivains et en même temps une anesthésie du membre
supérieur
droit. L'approche d'un aimant, fai- sait, en qu
oigt dans toute l'arrière gorge et toucher longuement l'ouver- ture
supérieure
du larynx. Mais il n'y a de sensible que les po
'un amas gris, mal délimité, situé au voisinage du noyau acoustique
supérieur
, sur le pro- longement de la colonne grise des
ne peuvent être fondés qu'en vertu de l'autorisation administrative
supérieure
. La concession ne peut être refusée que dans le
finitives et exécutoires, et il n'appartient pas à l'administration
supérieure
de mettre obstacle par un décret à l'exécution qu
ventriculaire cesse au niveau du bord interne, ou, pour mieux dire,
supérieur
du corps bordant. Tout ce qui (en considérant u
o- miques (grandes cellules pyramidales en épaisse cou- che) ; la
supérieure
, au contraire, ou circonvolution godronnée, pré
ns lequel ils distinguent seulement deux feuillets superposés, l'un
supérieur
(notre circonvolution go- dronnée), l'autre inf
de la Planche X, où l'excitation du muscle orbiculaire palpébral
supérieur
n'a été portée que d'un seul côté. Il nous a se
vement particulier. Ce sont : le frontal, l'orbicu- laire palpébral
supérieur
, le sourcillier et le pyrami- dal du nez. Les p
e la face. 1, frontal; 2, sourcillier; 3,.or- bieulaire palpébral
supérieur
; 4, pyramidal du nez; S, palpébral inférieur;
zygomatique; 8, élévateur' commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
; 9, traiisverse du nez; 10, triangulaire des
iques et concentriques à l'arc du sourcil; 2° Orbiculaire palpébral
supérieur
: Muscle de la réflexion (Fig. 18). - Abaisseme
clicnne. Fig. 18. Contraction du muscle orbiculaire palpébral
supérieur
. Muscle de la réflexion, de Du- cheniie. ÉT
. 191 nueuse composée de deux courbes : l'une interne à concavité
supérieure
, l'autre externe à concavité infé- rieure. Plis
nt quelconque du muscle (PL. IX, Fig. 3). L'orbiculaire palpébral
supérieur
se contracte aussi très facilement et d'une faç
ion du pyramidal du nez se joint à celle de l'orbiculaire palpébral
supérieur
(Fig. 2, PL. X). Nous n'avons pu obtenir complè
il est vrai, contracté énergiquement, mais l'orbiculaire palpébral
supérieur
s'est toujours contracté en même temps. Quant
s de laquelle se dessine une dépres- sion transversale, à concavité
supérieure
. Lorsque le grand zygomatique se contracte seul
en dedans de lui (petit zygomatique, élévateur propre de la lèvre
supérieure
, ' élévateur commun de la lèvre supé- rieure e
ilets moteurs 'd'un même' rameau nerveux qui passe sous l'extrémité
supérieure
du grand zygomatique) en- trent également en co
ulte : 'une courbe à'concavité inférieure du bord libre de la lèvre
supérieure
et'' du sillon naso- labial, un gonflement de l
mais elle se confond avec celle de l'élévateur propre de la lèvre
supérieure
, dont il est difficile de la distinguer; il arriv
remarquer sur la Figure 3, Plan- ciie XI. Le mouvement' de la lèvre
supérieure
repré- sente assez bien, l'action du'-petit zyg
représente i l'action isolée du muscle élévateur commun del1 lèvre
supérieure
et de l'aile du nez, ibesl facile de se'rendre
petit zygomatique. , , - ur ' L'élévateur commun 1 DE 1 LA PLÈVRE'
supérieure
ET DE l'aile DU NEZ imprime- à ces parties de l
naso-labial allongé et moins oblique, la portion externe de ladèvre
supérieure
attirée en haut. LE transverse du NEZ; que' Duc
la ligne naso-labiaile allongée tend à devenir réctiligne, la lèvre
supérieure
' est attirée obliquement en bas et en dehors,
ter simul- tanément les peaussiers et les orbiculaires palpébraux
supérieurs
, nous avons obtenu le masque de la frayeur avec
simultanée du triangulaire des lèvres et de l'orbiculaire palpébral
supérieur
, donne à la 4 La production de la catalepsie pe
ontraction du grand zygomatique, associée à l'orbiculaire palpébral
supérieur
, ne donne lieu qu'à une grimace (Fiq. 3 de la P
e d'un côté et l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
de -l'autre, le grand zygomatique d'une part et
e rameau nerveux- qui iva donner le mouvement au muscle auriculaire
supérieur
, et , qui 'ne sauraitiêtre autre que le rameau'
e de caoutchouc appliquée de l'ex- trémité vers la racine du membre
supérieur
, et la li- 214 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. gatu
tal et sphénoïdal et se terminant a la racine'des lobules pariétaux
supérieur
et inférieur. Un petit foyer de ramollis- semen
une) de ramollissement à la partie pos- térieure du lobule pariétal
supérieur
. ' ' ' ' *" "" M. Magnan a terminé sa communica
une diminution'notable de la contractilité faradique.1 Aux membres
supérieurs
, il existe aussi un certain degré de faiblesse
aires sont bien développées. La joue gauche, surtout dans sa partie
supérieure
, est notablement atrophiée ; les éminences osse
j r Chez un jeune homme · deldlx-huit ans; : portant, à la partie
supérieure
du péroné gauche,, une tumeur de la grosseur d'un
^'observation qui fait l'objet de cette note concerne un offi- cier
supérieur
, de cinquante ans,, indemne de tout antécédent
t à tout le côté gauche, y compris le cou, la bouche, la paupière
supérieure
, le frontal, constituaient autant de signes en fa
eû,' la paüplèré sûperlëûré L systéme tee, 1 iris bleu, la paupière
supérieure
tombante. Le système nerveux est facilement tro
r,delalnuque,.dé ? louleurs, parfois violentes, occupant la partie^
supérieure
de l'épine et gênant t les mouvements du bras g
-à-dire un courant centrifuge par excitation spontanée 'des centres
supérieurs
^descendant aux foyers inférieurs. 1P K. stnofij
ptique. C. c., corps calleux. F. sur. int., faisceau longitudinal
supérieur
interne. f. 31., faisceau de Meynert. g. C. i
ule interne; segment postérieur ? , 1. s. e., faisceau longitudinal
supérieur
externe. /. /. s. i., faisceau longitudinal sup
longitudinal supérieur externe. /. /. s. i., faisceau longitudinal
supérieur
interne. N. c., noyau caudé. li11'LIC ? l'lU\
., faisceau longitudinal intérieur. f. 1. s., faisceau longitudinal
supérieur
Archives de Neurologie T. II. Pl. IX. Fig. 1.
HES. PLANCHE X Fig. t. Excitation unilatérale du muscle palpébral
supérieur
. On peut constater dans le même muscle du côté
figure, à la contraction des deux muscles orbicu- laires palpébraux
supérieurs
excités directement, s'est ajoutée celle des py
de contraction du muscle élévateur de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. Fig. 4. Excitation unilatérale du muscle éléva
tation unilatérale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre
supérieure
. L'excitation, parfaitement localisée, porte sur
latérale du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. L'excitation porte sur le corps même du muscle
Fig. 3. Excitation simulatanée des muscles orbiculaires palpébraux
supérieurs
et des grands zygomatiques. Fig. 4. -La malade
auche. Excitation bilatérale du muscle élévateur commun de la lèvre
supérieure
et de l'aile du nez. Le muscle droit du côté lé
horizontal (risorius de Santo- rini), pour l'élevation de la lèvre
supérieure
(petit zygomatique) et pour l'occlusion des lèv
la torsion de la langue, l'extension possible au domaine du facial
supérieur
, les secousses musculaires qui l'ac- compagnent
soumis à des traumatismes d'une intensité variable pour les membres
supérieurs
et infé- rieurs : quelques jours après se dével
des quatre membres. Il s'agit tantôt d'une monoplégie d'un membre,
supérieur
ou inférieur, tantôt d'une hémiplégie tantôt d'
e : les mem- bres inférieurs sont frappés de paralysie; les membres
supérieurs
sont parésiés. Tig. 1. tJlladl'Illé : perle
x : Perte de la sensibilité au toucher et à la doulcur. - l, Limite
supérieure
du territoire insensible (1 sept); - 1 Limite s
l, Limite supérieure du territoire insensible (1 sept); - 1 Limite
supérieure
du territoire insensible ( : l sept.). 36 PATHO
abaissement de la température des extrémités inférieures. Au tiers
supérieur
de la jambe gauche existent des taches violacée
d'elles, plus éten- due a plusieurs centimètres de long. Membres
supérieurs
. - Motilité. Il existe un certain degré de paré
-dessous desseins, en bas par une ligne horizontale située au tiers
supérieur
de la partie antéro-interne des cuisses et sur
nts convulsifs portent plus spécialement sur la tête et les membres
supérieurs
; -, les bras se rapprochent du tronc, les avant
portantes qui suivirent. 3 septembre. Les extrémités des membres
supérieurs
sont complètement paralysées, la malade ne peut
0 ; MG : 4 K. La zone d'a- nesthésie a gagné du terrain aux membres
supérieurs
et remonte au niveau d'une circonférence passan
ns se sont produites du côté des membres thora- ciques. Les membres
supérieurs
sont paralysés dans tous leurs seg- ments. Les
seins et la région périphérique (à part le sillon). - Les membres
supérieurs
sont totalement insensibles et tous leurs modes d
; seule l'aura se produit. Amendement de la pa- ralysie des membres
supérieurs
. MD : 20 MG : 15. D... peut mettre les mains su
ps ; deltoïdes encore parésiés. La sensibilité reparaît à la partie
supérieure
du dos. Dis- sociation des troubles de la sensi
e du dos. Dis- sociation des troubles de la sensibilité aux membres
supérieurs
: l'in- sensibilité au contact, à la piqûre per
TRE MEMBRES. 41 doigts, et limitée en haut par uue ligne circulaire
supérieure
et parallèle à la série des têtes des métacarpi
d'ex- citation. Motilité. Disparition de la paralysie des membres
supérieurs
. Dynamomètre : MD : 30 K. MG 20 K. Les deltoïde
nifiants et reste ignorée de la malade. L'électrisation des membres
supérieurs
produit des contractions énergiques, mais non p
lement. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 'M duite : le membre
supérieur
droit en son entier jusqu'à l'insertion du delt
eur droit conserve toujours une botte d'anesthésie. Quant au membre
supérieur
, il peut, au point de vue de la dissociation des
ible à la température et à la piqûre a gagné du terrain : la limite
supérieure
du poignet a gagné le coude (fig. 9). 13. - Le
été plus consi- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. dérable pour les membres
supérieurs
que pour les membres inférieurs et en rapport c
ssent, di- minuent, se modifient du jour au lendemain aux membres
supérieurs
. D'abord limitée aux mains, et à la partie inféri
troubles moteurs qui y sont beaucoup plus accusés. Aux mem- bres
supérieurs
, les troubles sensitifs ne tardent pas à rétrocé-
ATRE MEMBRES. 47 'l rature gagne chaque jour du terrain : sa limite
supérieure
est reportée au pli du coude, puis au niveau de
t encore du terrain, remonte au niveau du pli du coude. Le membre
supérieur
se divise ainsi en quatre segments ; pour chacu
er cette paraplégie suivie à bref délai d'une paralysie des membres
supérieurs
? S'agit-il d'une para- lysie émotive sur laque
ublié en effet, que nous sachions, de paralysie émotive des membres
supérieurs
. Quelle est donc la cause de ces troubles moteu
onner des résultats et les mouvements revenir lentement aux membres
supérieurs
et inférieurs. La part importante qui revenait
nétré à travers les téguments, les os du crâne et atteint la couche
supérieure
du cerveau. Aux bords de la plaie, de même dans
nstater une régéné- ration positive. En ce qui concerne les classes
supérieures
les oiseaux et les mammifères, cette question p
mait une bandelette triangulaire dont le sommet aboutissait au bord
supérieur
de la protubérance. Cette bandelette, séparée d
urne le bord postérieur de la couche optique, s'étale sur la face
supérieure
de ce renflement; et enfin se termine en forman
u second noyau de Luys. Avant d'atteindre le tubercule quadrijumeau
supérieur
, ils rejoignent un faiseau profond de raccorde-
rès apparente eu tirant en dehors le crochet de l'hippocampe. L'arc
supérieur
de l'anse est la bandelette que je viens de déc
it alors des lames blanches irrégulières faisant partie du plancher
supérieur
de ce prolongement des ventricules latéraux et
devient une partie du quadrilatère perforé, tandis qu'une émanation
supérieure
du même faisceau postérieur se porte dans l'int
s'épanouit en un large pinceau de fibres qui s'étalent sur la paroi
supérieure
do la portion réfléchie des ventricules et qui
qu'à la corne d'Ammon, et enfin, Sappey l'implante « sur la paroi
supérieure
de la portion réfléchie des ventricules » et la f
aire, tandis que les bandelettes olfactives appar- tiennent à l'arc
supérieur
ou cérébral. La communication par le trigone es
ercules mamillaires représenteraient les tuber- cules quadrijumeaux
supérieurs
et les corps genouillés externes super- posés,
« les corps striés, le corps calleux, toutela partie antérieure et
supérieure
des hémisphères manquaient; il n'y avait qu'un
osition contraire eût été signalée. Puisque la partie antérieure et
supérieure
des hémisphères manquait, comment expliquer, av
Schwalbe, laquelle est rattachée à la circonvolution concen- trique
supérieure
par le crochet. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS
égions différentes du corps. Une lésion des- tructivedes deux tiers
supérieurs
des circonvolutions centrales, par exemple, peu
sensibilité générale et spéciale les matériaux de. ses élaborations
supérieures
. C'est ainsi que les coordinations psychiques d
es ou du dos dé l'animal, des convul- sions éclatent dans le membre
supérieur
droit ; après des exci- tations plus fortes, to
é inférieure gauche se contractait plus faiblement et l'extrémité
supérieure
gauche, tout en présentant des contractions muscu
9.) Type clinique de poliomyélite chronique avec polioencéphalite
supérieure
(ophthalmoplégie nucléaire) et polioencéphalite i
ime ainsi : « Les veines cérébrales au niveau du sinus longitudinal
supérieur
sont souvent dilatées, variqueuses; leurs paroi
ante-neuf exemples d'anomalies semblables pourles veines cérébrales
supérieures
et neuf exemples pour les veines cé- rébrales p
de celle-ci et finalement, s'ouvraient dans le sinus longitu- dinal
supérieur
. Ces anastomoses dangereuses des deux feuillets
olando et la scissure perpendiculaire externe d'une part, la moitié
supérieure
de la pariétale ascendante, le lobule pariétal
la moitié supérieure de la pariétale ascendante, le lobule pariétal
supérieur
, la partie postérieure dulobule paracentral, l'
descendantes, paralysie générale), on voit, au niveau de la partie
supérieure
de la moelle dorsale ou de la partie inférieure
s symptômes d'une para- lysie atrophique progressive des extrémités
supérieures
et des muscles du cou. La mort a été causée par
et chez une partie des dé- linquantes. La capacité crânienne parait
supérieure
chez les gar- diennes. Chez elles, on rencontre
éférable à l'emploi de la cellule, tantôt au contraire celle-ci est
supérieure
à l'alitement forcé. Il y a des malades qui, mê
ette commission d'ajourner toute décision jusqu'à ce que le conseil
supérieur
de l'Assistance publique ait été appelé à donne
ges. Berlin, 1891, A. Ilirschivald. BOURNEVILLE. Rapport au Conseil
supérieur
de l'Assistance publique sur la création des so
ion de la loi du 30 juin 1838, sur les aliénés, présenté au Conseil
supérieur
de l'As- sistance publique. Volume in-4° de 34-
pas à se cicatriser. Comme effets immédiats, paralysie des membres
supérieur
et inférieur droits, de ce dernier surtout. Mai
examen direct va peut-être nous rendre vraisem- blable. Au membre
supérieur
droit existent à la fois des troubles sensitifs
de la main; les contractions fibrillaires font défaut. Le membre
supérieur
gauche est indemne. Voilà bien quelques particu
la gravité et l'état de la plaie. Le coup a été porté il la partie
supérieure
de l'os occipital près de son point de suture a
des membres inférieurs en arrière, et plus en avant, des mem- bres
supérieurs
. z L'état presque constant d'inertie, de stupeu
entre des mouvements des membres inférieurs, vers celui des membres
supérieurs
; 3° Que les mouvements des yeux sont bien loca
ié droite le cordon latéral est le mieux conservé. Dans les régions
supérieures
et inférieures, on remarque facilement des' dég
(il-. 20).- Nous finies encore une préparation de la région dorsale
supérieure
de la moelle au niveau de la dernière (3°) sec-
e et de toute la moitié du corps à l'exception de la région dorsale
supérieure
est tout à fait annulée. Sur les parties corres
ntéressant d'éclaircir premièrement, à quel niveau dans la ré- gion
supérieure
les voies du rétablissement des mouvements deva
u quatrième ventricule, le bout inférieur du cervelet, et la région
supérieure
de la moelle épinière. Aussitôt sous l'entre-cr
épinière. Aussitôt sous l'entre-croisement des pyrami- des, au bout
supérieur
de la moelle épinière, on y a fait une hémi- se
n latérale de la moelle épinière doivent se trouver, depuis le bout
supérieur
de cette dernière, dans la moitié latérale oppo
u'à la position réfléchie du genou du corps calleux le prolongement
supérieur
du corps godronné et ses annexes, les nerfs de
t supérieur du corps godronné et ses annexes, les nerfs de Lancisi,
supérieurs
et inférieurs. Or, il est facile de constater q
é- mité interne de la bande diagonale avec la formation godronnée
supérieure
et les nerfs de Lancisi, d'une part; et avec le
e l'appareil olfactif (corps genouillés et tubercules quadrijumeaux
supérieurs
) ainsi que le septum luci- dum (racine grise du
re de la formation godronnée; 2° en dedans avec le pro- longement
supérieur
du corps godronné et les nerfs de Lancisi; 3° a
st le sopor qui constitue le second stade de l'intoxication. Il est
supérieur
au bromure de potassium, seuls l'opium et la mo
ser avec lui. Comme l'organisme ne s'y habitue pas, le sulfonal est
supérieur
à la mor- phine. P. K. IX. Accès DE lypémanie
diminution progressive des guérisons, qui actuellement n'est guère
supérieure
à une proportion de 19 p. 100. Et l'étranger en p
oi si attaquée. M. Sabran a contribué à faire repousser, au conseil
supérieur
de l'Assistance, l'ingérance des pouvoirs judic
la façon des épithéliomas, se touchent au noyau et par leur partie
supérieure
, série de prolongements qui s'entre- croisent e
sdePur- kinge. Analogie entre le cervelet et les organes des sens
supérieurs
. Les cellules de la surface de la circonvolutio
ue à travers l'entrecroisement des pyramides, jusque dans la moitié
supérieure
de la protubérance. Atrophie presque complète d
elle des cordons postérieurs de la moelle cervicale et de la partie
supérieure
de la moelle dorsale, atrophie des cellules dan
ux ; rien d'anormal à l'ophtalmoscope. Parésie légère des membres
supérieurs
; parésie plus accusée des membres inférieurs, sur
ater chez le lapin une atrophie du corps trapé- zoïde et de l'olive
supérieure
du même côté, de la partie inférieure du ruban
ux secondaires de l'auditif, mais des trousseaux qui vont à l'olive
supérieure
du même côté, dans la substance blanche de laqu
'anévrysme siège au début de l'aorte descendante; il adhère au lobe
supérieur
du poumon gauche non atélectasié et à l'oesopha
nes; il n'a qu'une soeur, qui est religieuse, et qui, au dire de sa
supérieure
, a a la tête faible ». Au moment de la guerre d
ble. Il a été l'un des élèves les plus brillants de l'Ecole normale
supérieure
, a été reçu agrégé, et pro- fessait dans un lyc
bite et paraissait diminué, les cheveux avaient blanchi à la partie
supérieure
de la moitié gauche de la tête, et la moitié ga
uttière large de six millimètres, toute l'étendue, à partir du bord
supérieur
de l'orbite gauche jusqu'à la suture lambdoïde,
urait très net. La pression et l'électrisation du ganglion cervical
supérieur
du nerf sympathique gauche grossissaient à l'in
vement au côté droit.' La pression exercée sur le ganglion cervical
supérieur
du nerf sympathique gauche causait de la douleu
e et reste sans connaissance. 11 y a donc eu un moment où le membre
supérieur
gauche a été fortement tiraillé et où le corps
et les journées suivantes. Etat actuel. 1° Aspect général : membre
supérieur
gauche pendant, flasque, très amaigri ; absence
mpathique qui en part. Nous sommes autorisés à fixer cette limite
supérieure
par le fait que les muscles angulaires et rhomb
il est possible qu'on les trouverait également dans les paralysies
supérieures
surve- nant à la suite d'une section chirurgica
chevelu, à la face, sauf à la moitié gauche du menton, aux membres
supérieurs
sauf aux doigts; sur le ventre et la partie sup
aux membres supérieurs sauf aux doigts; sur le ventre et la partie
supérieure
du thorax du côté gauche. Elle est con- servée
est complètement insensible. Puberté. Très léger duvet sur la lèvre
supérieure
. - La région pectorale est assez développée. Po
durée de trente secondes. A 8 h. 24, une secousse dans les membres
supérieurs
. C'est la pre- mière depuis le commencement de
er, symétrique. Fracture ancienne de la clavicule gauche. Membres
supérieurs
. Bien conformés et développés. Réflexes du coud
yéténiques allant au vestige du cordon autéro-latéral. H. La face
supérieure
(dorsale) de la même substance grise donne de f
n dehors, le côté externe du ruban de Reil, à la hauteur de l'olive
supérieure
; elles sont situées entre le ruban de Reil et l
la hauteur de la grosse olive elles occupent les côtés et la partie
supérieure
de ce dernier organe et passent ensuite dans le
nnent accès à une baie de douze pieds et demi; on pénètre à l'étage
supérieur
par un escalier incom- bustible encaissé dans l
vissés l'un sur l'autre; elle a six panneaux. Les quatre pan- neaux
supérieurs
(deux à droite, deux à gauche d'une croix mé- .
rvir, de concert avec le judas, à pénétrer jusqu'au malade. L'étage
supérieur
du bâtiment en question est réservé aux femmes.
est atteinte de sclérose à des phases diverses; intégrité du vermis
supérieur
et du vermis inférieur. Dans les parties les pl
on trouve une légère éclaircie des fibres. Le pédoncule cérébelleux
supérieur
gauche est diminué d'un tiers, de même que le noy
à croire qu'il existe une connexion entre le pédoncule cérébelleux
supérieur
, le noyau rouge de la calotte du côté opposé, l
olution fatale en huit mois. Pas d'autopsie. Atteinte de la branche
supérieure
du facial (orbi- culaire des paupières). Mémoir
s Arch. f. Psychiat. ' Voy. le rapport de M. Bourneville au Conseil
supérieur
de l'Assis- tance publique, juin 1891. 426 SO
s il crée des embarras. Egal à son chef par le diplôme, quelquefois
supérieur
même à lui parles connaissances et les travaux
errible élément de discorde, pour sûr il y aura brouilles. Alors le
supérieur
supprimera en fait son subordonné auquel il ne da
éciations : il devra être toujours donné sur présentation du comité
supérieur
des aliénés, d'après surtout les titres scientifi
se, soit sous forme de résidence, donné sur présentation du conseil
supérieur
des aliénés, d'après surtout les titres scienti
t la ques- tion encore si obscure de la génération chez les animaux
supérieurs
. c. - Qu'est-ce qu'une image intense, qu'est-ce
aux à l'étranger et en France. Nous avons éte chargé par le Conseil
supérieur
d'Assistance publique, de faire un rapport sur
dans l'avant-bras, le bras, puis le côté droit de la face, la lèvre
supérieure
et la lèvre inférieure, le menton, accompagnés d'
; alors survient l'engour- dissement de la main droite, de la lèvre
supérieure
et inférieure, où il éprouve en même temps un s
habitude intermit- tente de dormir, étendu- sur le dos, les membres
supérieurs
relevés et les mains jointes derrière la nuque.
e. C'est vous dire qu'il ne pouvait aucune- ment élever ses membres
supérieurs
. Ainsi, quand on lui demandait de faire un effo
e, ce qui se passe dans le (1) Pièce anatomique (tête, cou, membres
supérieurs
et tronc d'un cadavre) disséquée M. A. Julien.
é ni distendu, quelque extrême que fût la position donnée au membre
supérieur
. Ces résultats sont d'ailleurs, en parfait accord
améliorèrent et devin- rent presque normaux, surtout pour le membre
supérieur
gauclie, le bras droit devenant raide, difficil
à peu près station- naires. Actuellement (nov. 1893) les membres
supérieurs
, qui sont peut-être un peu raides (surtout le d
il peut encore pro- gresser sur les genoux en s'aidant des membres
supérieurs
(Pl. I et II). Dans toutes ces positions, les p
certaines d'entre elles offrent l'aspect suivant : Incisive médiane
supérieure
gauche, deux larges cupules latérales ; incisiv
supérieure gauche, deux larges cupules latérales ; incisive médiane
supérieure
droite, 2 cupules également ; l'une d'elles a f
d'elles a favorisé une large brisure de la dent. Incisive latérale
supérieure
droite détruite ; il ne reste que trois cuspides
l ne reste que trois cuspides acu- minées. Incisive latérale gauche
supérieure
, il ne reste que deux cuspides pointues. Il exi
léger sillon sur l'incisive médiane inférieure gauche. Les canines
supérieures
droite et gauche sont normales. Les canines infér
fillette qui est âgée de 11 mois et présente du côté des mem- bres
supérieurs
et inférieurs des phénomènes qui l'inquiètent.
paule sur l'autre, les reins faiblissaient constamment; les membres
supérieurs
étaient maladroits, saisissant mal les objets que
es inférieurs en parti- culier, qui sont affectés davantage que les
supérieurs
». Malheureusement l'enfant a eu une grippe trè
est de forme cylindrique, long de 10 centimètres. A son extrémité'
supérieure
se trouve un renflement garni d'un anneau, dont
on du bassin. De ce centre vers les bouts des doigts des extrémités
supérieures
et inférieures la sensibilité douloureuse augme
s à pointes de la couche de Mal- pighi, surtout visible à la partie
supérieure
, et non pas dans toute l'é- paisseur comme on l
rale du tronc. Cette couche graisseuse fait disparaître les sillons
supérieur
et inférieur des lianes. En arrière, on voit la
épression lombaire inférieure, la seule constante chez la femme; la
supérieure
n'est pas visible. 62 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
n léger trem- blement des quatre membres, plus prononcé aux membres
supérieurs
, et qui n'a pas grande signification en l'espèc
rne de la jambe, clans la région péron iére. 1 Enfin, à la partie
supérieure
de la rainure inter-fessière existait une escha
rminal, il est de toute nécessité de reporter plus haut la limite
supérieure
de celui-ci, de la reporter un peu au-dessus de
insérer sur les vertèbres coccygiennes. Fait important, la moitié
supérieure
du filament interne est médullaire, c'est-à-dir
s de Lachmann, on a trouvé, à l'autopsie, un gliome dans la. partie
supérieure
du filament terminal, qui, vous vous le rappelez
ns anatomistes, notamment par M. Charpy. Il faut reporter la limite
supérieure
du cône terminal immédiatement au-dessus du cen
ple. Vous avez affaire à une lésion qui re- montej1lsqu'Ù la partie
supérieure
du renflement lombaire. En effet, la sensibilit
de la face postérieure de la jambe, proviennent surtout des racines
supérieures
SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CUEVAL 101
, que, chez le premier, l'affection devait être limitée aux racines
supérieures
de ce plexus. B. Une dernière éventualité se ra
ppelez peut-être, à l'autopsie, on a trouvé une tumeur de la partie
supérieure
du filament terminal, qui comprimait exclusivem
especte le domaine d'innervation du péronier (Affection des racines
supérieures
du plexus sacre') . e) Ces mêmes symptômes, ave
uit du côté même oÙ s'effectue le mouvement. Exemple : si le membre
supérieur
étendu horizontalement en dehors est mû alterna
cles situés en avant de l'épaule (tiers antérieur du deltoïde, partie
supérieure
du grand pectoral) pour le mouvement en avant,
ns du liquide céphalo-rachidien et si- tuée à la partie tout Ù fait
supérieure
de l'incision durale, était difficile à isoler.
e erreur analogue a du être, au moins quelques fois faite au membre
supérieur
dans les mêmes conditions, et peut être même d'
ôté; et, suivant les autres, à la prédominance d'action , du membre
supérieur
droit. 1- .- 2° Conformation postérieure du tho
droit. 1- .- 2° Conformation postérieure du thorax. Dans sa partie
supérieure
le thorax est recouvert par le scapulum entouré
i- ves técoderl1liques que tout le système nerveux avec les organes
supérieurs
des sens. Dans l'économie générale de l'organis
tbésio droite comprenant le côté droit de la langue elles orga- nos
supérieurs
des sens, c'ost-a-diro la vue, l'ouic, le goût et
tious d'huile de croton sur deux endroits symétriques des extrémités
supérieures
, s'est maintenu longtemps cl opiniâtrement sur
affecté depuis ans d'un eczéma de la face, du cou et des extrémités
supérieures
. Anesthésie des membres supérieurs et du dos pa
face, du cou et des extrémités supérieures. Anesthésie des membres
supérieurs
et du dos par zones : de toutes les variétés de
eczéma du dessus des mains. Anesthésie à la douleur des extrémités
supérieures
. Un , . Fig. 46. Rétrécissement du champ visuel
s cuisses et des jambes. Anesthésie il la la douleur des extrémités
supérieures
et inférieures. (Fig. 39) VI. Un employé de com
éma ré- cidivant des mains. Anesthésie il la douleur des extrémités
supérieures
. Irrita- bilité générale. Sous l'action des cal
ins. Anesthésie à la douleur et anes- thésie tactile des extrémités
supérieures
. Au bout de 3 ans, l'eczéma était resté au même
hes et de la hanche du même côté ; 3° la cuisse gauche dans ses 2/3
supérieurs
environ ; 4° enfin, elle descend sur le bras ga
é dé- terminée par l'incurvation des côtes : 50 la face externe 'et
supérieure
de la cuisse, où l'on remarque un placard ayant
sur la cuisse, surtout au niveau de la moitié externe, et au membre
supérieur
où elle est distri - buée d'une façon bizarre;
uvait constater en effet : ' 1° Une hémiplégie complète des membres
supérieur
et inférieur droits, sans paralysie faciale, sa
llon qui sépare l'olive de la pyramide du même côté, et a )a partie
supérieure
de celle-ci, soit avant l'entrecroisement des pyr
es mouvements. Du côté droit il y a hémiplégie complète des membres
supérieurs
et inférieurs, avec contracture en flexion. L'a
angle aigu sur la cuisse, le pied venant toucher la partie interne
supérieure
de la cuisse gauche. Ces contractures sont rigide
imètres, et une hauteur de 3"'1/` ? millimètres et occupe la partie
supérieure
de la pyramide gauche. La partie de la pyramide
branes fihrineuses. Sur la coupe du poumon, on constate que le lobe
supérieur
est fortement hyperémié et oedématié : le lobe in
e jusqu'au bord inférieur de la 4m" côte, il gau- che jusqu'au bord
supérieur
de la 5e côte. Le péritoine est partout un peu
déjà à l'oeil nu une atrophie de la pyramide gauche dont l'extrémité
supérieure
seule était respectée. Après avoir été durci
née, complètement nu. Une fois dans ce trou il en fermait la partie
supérieure
au moyen d'une cloche à melon et y restait tant q
e ne sort pas, et les yeux sont simplement relevés sous la paupière
supérieure
. Ce n'est pas l'aspect du visage dans la variét
ostérieure affecte une topographie variable dans la région lombaire
supérieure
et dans la région dorsale. l Dans la région l
e supérieure et dans la région dorsale. l Dans la région lombaire
supérieure
et moyenne où la lésion n'est pas aussi prononc
naire seulement chez la femme. Les membres inférieurs ainsi que les
supérieurs
sont d'un beau mo- dèle, plus ou moins gracile
sa manière, utiliser ces données banales, pour en tirer une oeuvre
supérieure
, toujours empreinte d'un cachet de vérité irrép
ements d'élévation des globes oculaires et un tremblement du membre
supérieur
droit, provoqué par les mouvements volontaires. C
l est son siège ? Très probablement dans la région protubérantielle
supérieure
. Mais ceci demande démonstration. Permettez-moi
e du petit oblique ; b, centre du droit inférieur; c, centre du droit
supérieur
et du releveur de la paupière; d, centre du dro
centres des muscles droit interne, releveur de la paupière et droit
supérieur
, droit inférieur, petit oblique. Enfin vient le
euillez remarquer, je vous prie, que ces centres occupent la partie
supérieure
de la protubérance, non loin des tubercules qua
, non loin des tubercules quadrijumeaux, des pédoncules cérébelleux
supérieurs
et. FIG. 54. Schéma montrant la disposition des
, e. ? noyau d'Edinger Westphal n. v. a, noyau ventral antérieur ou
supérieur
,-n. v. p, noyau ventral postérieur ou inférieur,
ntral postérieur ou inférieur, - n. d. a, noyau dorsal antérieur ou
supérieur
, n.d.p, noyau dorsal postérieur ou inférieur, - n
par suite du facial inférieur, parce que le foyer occupe la région
supérieure
de la protubérance et qu'il siège, par hypothès
n, du nystagmus. Le voisinage des pédoncules cé- rébelleux moyen et
supérieur
, du cervelet et des organes que je vous rap- pe
tre l'existence d'un ou de plusieurs foyers morbides dans la partie
supérieure
du pont 272 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETR
usieurs rameaux artériels, émanés du tronc basilaire vers sa partie
supérieure
, ont été frappés au cours de la rougeole. Il en
ondent aux médianes antérieures de la moelle, naissent de la partie
supérieure
du tronc basi- laire, se dirigent directement e
e et phrénique). On avait porté le diagnostic de polioencé- phalite
supérieure
, analogue aux observations de Wernicke. A l'autop
patients la comparent ». Lorsque la contracture affecte les membres
supérieurs
, les doigts se ser- rent les uns contre les aut
« Pourrait-on voir, dans cette contracture localisée aux extrémités
supérieures
, dans cette tétanie saturnine, autre chose qu'u
emandait si elle allait ne plus pou- voir, se servir do ses membres
supérieurs
. Les mains étaient raides, mais non douloureuse
ts à droite. Zones hystérogènes. - Colonne dorsale dans sa moitié
supérieure
. Vertex. Points ovariens. Toutes ces zones so
on continue; puis les contractures apparaissent. Tantôt les membres
supérieurs
sont en demi-flexion, tantôt en extension. Tant
eresthésie et la douleur empêche la malade de respirer. Les membres
supérieurs
contracturés sont douloureux. Les crises ont un
trois éléments éruptifs spéciaux ; les deux inférieurs agminés, le
supérieur
séparé des précédents par un intervalle d'un ce
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tion tibio-tarsicnne, sur la partie
supérieure
du bras, et inférieure de l'avant- bras, sur to
ssion du fini le plus consciencieux. Cette facture d'une aisance si
supérieure
surprend d'autant plus qu'on est accoutumé à tr
n, se tient la vieille assistante. La façon dont elle mord sa lèvre
supérieure
, pour ne pas rire trop ostensiblement, est d'un n
assant en avant par le muscle couturier, en ar- rière par la limite
supérieure
de la fesse. Dans tout ce territoire la sensi-
E AIGUË ? -; s i ? $7 dans la moitié gauche du tronc et à la partie
supérieure
de la face anté- rieure de la cuisse gauche. Aj
sous l'influence des moindres traumatismes. La tête et les membres
supérieurs
sont indemnes. L'état général est mauvais ; la
e 40° et 41°. La mort survient le 28 février. Autopsie. Les membres
supérieurs
présentent une rigidité cadavéri- que très marq
rmale ; à peine note-t-on une légère diminution à la région dorsale
supérieure
. Sur les coupes transversales, dans la même rég
mais n'offrent pas la rigidité cadavérique des muscles des membres
supérieurs
; seuls les muscles de la région anté- rieure d
aspects très comparables à ceux qui ont été décrits pour la partie
supérieure
de la lésion. Néanmoins la tache de myélite dim
dans le sillon postérieur au renflement cervical et dans la partie
supérieure
de la région lésée; les leucocytes forment là de
ue et une certaine diminution de consistance dans sa région dorsale
supérieure
. Sur une coupe pratiquée dans cette région on v
large tache non colorée. La lésion commence au niveau des radicules
supérieures
de la 8e paire cervicale ; son étendue est très
symétrie qu'affecte l'extrémité inférieure par rapport l'extrémité
supérieure
, sa prédilection pour la substance grise, qu'el
omme de 44 ans avec déformation. Début il y a 18 mois par le membre
supérieur
gauche. Prédominance sur les muscles de l'épaul
un hystérique. i MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE - 357 Membre
supérieur
. Le membre supérieur gauche abaissé en masse semb
MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE - 357 Membre supérieur. Le membre
supérieur
gauche abaissé en masse semble n'être plus rete
de ce côté sem- ble presque complètement disparu dans ses faisceaux
supérieurs
, et le malade ne peut résister lorsqu'on cherch
onique et quelques craquements clans l'articulation radio- cubitale
supérieure
droite. Tronc. Les muscles sus-épineux, sous-ép
t la droite 34, 40 1/2 et lieu centimètres. En mesurant les membres
supérieurs
du haut en bas nous trouvons au con- traire à g
des lèvres, etc., louchant plus fortement les membres ; aux membres
supérieurs
avec prédominance considérable du côté gauche s
avant et la tête in- clinée dans le même sens. De plus, les membres
supérieurs
sont fléchis dans leurs diverses jointures, les
t le repos et s'augmentait par la fatigue. Puis tout le ment- 1 bre
supérieur
droit s'est mis trembler et plus tard la jambe dr
communiqués; le côté gauche tremble moins que le droit, les membres
supérieurs
moins que les inférieurs. Les oscillations ont
t le « mouvement de édccle o. A la face, la lèvre inférieure, et la
supérieure
légèrement, tremblent de haut en bas, sans que ce
nde série. 21, ayant le certificat d'études, for- ment une division
supérieure
, ne vont à l'école qu'une demi-journée par sema
ce que nous voudrions voir accomplir en grand par l'Administration
supérieure
. Nous cherchons à mettre nos instituteurs et no
rents, soit pour tout autre motif, ne peuvent arriver aux divisions
supérieures
de leur école. Ce nombre est d'autant plus élev
e ET éducation DES IDIOTS. pourvues de plus d'une division de cours
supérieur
, le pro- gramme scolaire soit solidement posé,
ente. On ne doit t jamais réserver pour la classe suivante du cours
supérieur
la connaissance d'unc matière importante du pro
profit. Bossée. II. Berlin, le il novembre 9892. Aux conseils
supérieurs
royaux et au conseil scolaire royal de la régio
tibilité de chaque enfant, de sorte que seuls arrivent aux classes
supérieures
ceux d'entre eux qui se sont montrés perfectibl
e 2 mai, à la dose de 3 grammes. 10 juin. - Phlyctène sur la partie
supérieure
de : l'ourlet n I : PIL1 ? l'SII ? . de l'o
de l'oreille droite. Excoriation sur la moitié gaucho de la lèvre
supérieure
; légère rougeur des joues, rien aux mains ni a
écorchures étendues, sur tout le côté gauche du nez et de la lèvre
supérieure
, sur la paupière supérieure et la pommette gauc
le côté gauche du nez et de la lèvre supérieure, sur la paupière
supérieure
et la pommette gauche. Ces écorchures, vieilles d
nez et sur la narine droite, enfin sur la moitié droite de la lèvre
supérieure
. L'ongle du pouce gauche est tombé : inflammati
est devenu oedémateux, a envahi la région parotidienne, la lèvre
supérieure
, et s'arrête sur le front à la ligne de striction
rrondies, croùteuses, siégeant : à gauche sur la narine et la lèvre
supérieure
, au niveau du grand angle de l'oeil, sur le lob
e l'oreille et le côté du cou, sur la nuque; à droite, sur la lèvre
supérieure
. EOSINATE DE SODIUM. 15 18 juin. - Les ulcéra
ès, consistant en des écorchures occupant le dos du nez et la lèvre
supérieure
et commençant à se recou- vrir de croûtes jaunâ
ût. 23 avril. Rougeur intense occupant toute la face et la partie
supérieure
du cou et s'accompagnant d'une sensation de cha
même temps, gonflement peu marqué occupant les joues, les paupières
supérieures
et inférieures, la face dorsale des mains et de
s occupant le front, les joues, les sourcils, les lèvres, la partie
supérieure
et gauche de la nuque. Pas de rougeur des tégum
s noirâtres, de la largeur d'une lentille, disséminées sur la lèvre
supérieure
, la narine, la joue, le lobule de l'oreille du
ntes, de couleur orangée, dissé- minées sur le dos du nez, la lèvre
supérieure
, la joue, le menton et la face antérieure du pa
nses. Cette rougeur peut occuper toute la face, le cou, la partie
supérieure
du thorax, la face dorsale des mains et des doi
action n'est point constante, ou qu'elle ne s'exerce qn'à des doses
supérieures
? Les changements favorables devraient être, al
r des phlyctènes. Dans l'aisselle et sur la partie interne du tiers
supérieur
du bras, il y a une vaste surface rouge sur laq
cite.- Pleurésie purulente. - Mort. AUTOPSIE. - Atrophie du tiers
supérieur
de la frontale ascendante, de la pariétale asce
, de la partie anté- rieure du lobe paracentral et du lobe pariétal
supérieur
de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie limit
ur de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie limitée de la partie
supérieure
de la frontale ascendante de l'hémis- phère cér
que l'assa foetida sent bon. - Bouche moyenne, asy- métrique. Lèvre
supérieure
assez bien formée, mais la moitié droite est un
pas reparu. . Tout le côté droit du corps est atrophié. Membres
supérieurs
. - Le gauche est normalement déve- loppé, a con
particulier à noter sur les deux tiers inférieurs de FA. Son tiers
supérieur
est le siège d'une atrophie manifeste qui s'éte
manifeste qui s'étend en arrière du sillon de Rolando, sur le tiers
supérieur
de PA et sur la par- tie antérieure du lobule p
normale. Il en est de même du sillon de Rolando. - Le lobe pariétal
supérieur
est atrophié dans sa partie antéro-supérieure s
nt également très nets : Tout le côté droit est atrophié. Le membre
supérieur
droit présente, en outre, un état spasmodique q
V. A l'autopsie nous avons trouvé une atrophie mani- feste du tiers
supérieur
de FA., atrophie qui s'étend en arrière du sill
atrophie qui s'étend en arrière du sillion de Rolando, sur le tiers
supérieur
cle PA et sur la partie antérieure du lobule pa
artie antérieure du lobule paracentral. Cette atrophie de la partie
supérieure
de la frontale ascendante, mais bien moins pron
continuité ; les paupières sont boursouflées, sur- tout la paupière
supérieure
et présentent un fort ourlet qui s'étend jusqu'
ures externes; les cils sont châtains, longs, fournis aux paupières
supérieures
, plus blonds, courts et clairsemés aux paupière
peu dessinées. Les pommettes sont saillantes et colorées ; la lèvre
supérieure
est large et saillante ; la lèvre inférieure dé
érieure est large et saillante ; la lèvre inférieure déborde sur la
supérieure
; la bouche est un peu large (55 millimètres) l
s dents sont assez régulièrement plantées, les inci- sives médianes
supérieures
larges, en fer de bêche; l'incisive latérale dr
sive latérale droite s'imbrique sur l'incisive voisine, la canine
supérieure
droite; ne fait que; pointer, la mâchoire inférie
tout son long à terre. Mouvements tétaniformes limités aux membres
supérieurs
, se produisant toutes les douzes ou duinzes sec
connaissance à nou- veau et que son corps se raidisse, les membres
supérieurs
se projettent en avant dans une secousse tétani
e continuité. Les yeux sont assez ouverts, iris bleu. Les paupières
supérieures
présen- tent un pli régulier au niveau des cils
narines visibles de face sont symétriques et en croissant. La lèvre
supérieure
est épaisse et en saillie ; un léger duvet très
niveau des mamelons, 80,5 ; au niveau du nombril, 83. Les membres
supérieurs
sont longs et grêles, mais symé- triques. Les m
la joue gauche ; verrue sur l'épaule gauche, nævus brun à la partie
supérieure
de la fesse gauche. Puberté : fin duvet de' la
lité (j6 ans). (2) Les yeux, dit-elle, sont égaux, mais la paupière
supérieure
cache davantage l'oeil droit. (3) Mul..., pèr
de la dimension d'une grosse noisette. Très léger duvet il la lèvre
supérieure
et au pénil ; aisselles glabres. Le sillon tran
he est petite, relevée aux commissures ; pas de saillie de la lèvre
supérieure
; pas de forme ogivale de la voûte palatine ; B
nt. Le malade entend bien. Le thorax est bien conformé. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont normaux; mais le rél1exe rot
mus chez l'enfant normal. 159 pont glandulaire ; seules, les cornes
supérieures
indi- quaient les deux lobes de la glande. Ra
. Rapports. Dans deux cas (voir nOS 23 et 61 du tableau) la corne
supérieure
droite du thymus remontait très haut dans le co
iphtérie, quelque soit leur âge, le poids du thymus est constamment
supérieur
il cinq grammes. Voici un tableau qui résume ce
boullies, sont bordées de cils longs, bien implantés à la paupière
supérieure
, irrégulièrement implan- tés et moins abondants
d'anormal du côté des organes intra-abdo- min;tU L ' Les membres
supérieurs
sont bien développés, gras, mais le biais gauch
etites lèvres, peu saillantes, forment, on s'unissant à la partie
supérieure
, un petit capuchon qui recouvre complètement le
ntiguës sont très atrophiées, blan- ches, dures ; ce sont la partie
supérieure
de P2., tout P.C., toute la moitié antérieure d
mais ont leur forme et leur consistance normales. (PA, P1, moitié
supérieure
de L.Q ; extrémité du lobe occipital, pied de FA,
is circonvolutions frontales surtout de FI et les lobules pariétaux
supérieur
et inférieur. Le lobe temporal dans son entier
rement lorsqu'on l'appelle ou qu'on hausse la voix. Le maxillaire
supérieur
offre une légère atrésie, l'inférieur est norma
isives permanentes à la mâchoire inférieure et trois il la mâchoire
supérieure
, l'incisive centrale droite manquant. Les molai
diocrement développée. La PA est remplacée dans ses deux cinquièmes
supérieurs
par un îlot scléreux. - On trouve encore un îlo
petites, sur- tout la dernière qui est très ellilée dans son quart
supérieur
. - La photographie n'en donne pas une idée exac
- Pas d'adhérences des plèvres. - Poumon droit volumineux; le lobe
supérieur
est farci de tubercules ; le lobe moyen présent
st le siège des mêmes lésions. De plus, il y a vers son extrémité
supérieure
une tuméfaction de la dimension d'une noisette,
ions adénoïdes latérales ; l'amygdale de Luchka recou- vre le tiers
supérieur
du vomer. La langue est épaisse, mobile ; par d
e : une autre cicatrice, sillon- gée, est située au niveau du tiers
supérieur
de la crête tibiale 202 DÉLIRE MÉLANCOLIQUE : I
- Les lèvres sont minces, l'infé- rieure est plus développée que la
supérieure
. - Le palais et la voûte palatine n'affectent p
araissant normal. - Corps thyroïde : rien de particulier. Membres
supérieurs
à musculature faible mais à fonctions normales.
sourcilières peu saillantes, aux pommettes déprimées, au maxillaire
supérieur
peu sail- lant, tandis que le maxillaire inféri
he. Cette contracture existe mais il un moindre degré aux membres
supérieurs
, durant l'examen la malade ne cesse de pousser
inférieur, nombreux foyers caséeux dans ce lobe tandis que le lobe
supérieur
est indemne de tubercules. - Rien de particulie
les et les nerfs des membres inférieurs contrac- turés et du membre
supérieur
droit également contracturés ne permettent à l'
ars. - Dans son dernier accès, il s'est fait une plaie ;'1 la lèvre
supérieure
et quelques contusions au menton. 25 juillet. -
ez est coupe par une cica- trice. Cicatrice de 2 cent. sur la lèvre
supérieure
; une autre sur l'inférieure. - Le menton porte
t tout son bord inférieur. Il manque au malade les quatre incisives
supérieures
cassées dans une chute. Enfin signalons quelque
; - contusions de l'oeil et du front à droite ; plaies de la lèvre
supérieure
et du menton ; morsures profondes de la langue
e. P. A., circonvolution pariétale ascendante. Pst., pli pariétal
supérieur
. P2., pli pariétal inférieur. P. C., pli cour
riétal inférieur. P. C., pli courbe. Se. f. s., Scissure frontale
supérieure
. Se. f. i., Scissure frontale inférieure. Se.
ir s'accumuler dans la cavité buccale. Il y a un peu de ' Les dents
supérieures
aussi bien que les inférieures sont implantées
tes-Etudes. LES FONCTIONS DE L'INTELLIGENCE L'étude des fonctions
supérieures
du système ner- veux, j'entends celles de l'int
ction de chaleur dans les centres nerveux, chaleur quantitativement
supérieure
à celle qu'engen- drent les simples impressions
ne organisation cérébrale inférieure à une o ? 'a/;M6 ? e cérébrale
supérieure
1 ». Les processus psychiques qui nous semblent
d'inhibition motrice, est, on le sait, un caractère d'organisation
supérieure
: l'inten- sité de la conscience est en raison
ont lieu avec une fatalité d'autant plus assurée que toute fonction
supérieure
d'inhibition est éteinte dans ces cerveaux en r
é chez le chat (fig. 6), ni chez le lapin (fig. 7). A l'extrémité
supérieure
des circonvolutions centrales (frontale 1 Horsl
l'angle de la bouche. - 8, élévation de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. - 9 et 10, owerture de la bouche, avec protrus
es mouvements du gros orteil seul par une excitation de l'extrémité
supérieure
de la scissure de Rolando. Le centre cor- respo
rouve une région dont l'excitation produit les mouvements du membre
supérieur
(3. 4, 5, 6, a, 6, c. d, fig. 1, et arm. fig. 2
ce. Les mouvements « proximaux » sont représentés dans la partie,
supérieure
de la région, les mouvements « distants » c'est-à
s mouvements de la face, de la bouche, de la langue. Dans la partie
supérieure
de cette région, on peut différencier des centr
e région, on peut différencier des centres pour les muscles faciaux
supérieurs
(fit. 1, 2, 3) en avant, et pour les inférieurs
ool, pied ; Toes, orteils; - Thigh, cuisse ; - Trunk, tronc; Upper,
supérieur
; Lower, inférieur; Wrist, poignet. ' 73 PHYS
citation du pli courbe. L'excitation de la circonvolution temporale
supérieure
(14, fig. 1) produit un redressement de l'oreil
nier fait est dû à l'absence de la vision dans les portions antéro-
supérieures
et lalérales de la rétine. J'ai dernierement cher
yeux. Il n'y avait aucune preuve, au contraire, que les portions
supérieures
de la rétine étaient moins sensibles que les port
out pour l'oeil du côté opposé. Que les autres régions de la rétine
supérieure
, inférieure externe et interne soient spécialem
s de la vision partielle en qua- drant, en secteur dans les moitiés
supérieures
ou inférieures du champ visuel. Cependant, ce s
iseaux en général, la région homologue au centre \isuel des animaux
supérieurs
occupe la partie pari(·lo- posténeure de l'hémi
, après la destruction de toute la sphère visuelle chez les animaux
supérieurs
, homme ou singe, aucune réaction des impression
s réactions sem- blables puissent être découveites chez les animaux
supérieurs
, même quoique à un moindre degré. 11 est certai
es du cerveau traversent toute la capsule interne occupent le tiers
supérieur
du genou de celle-ci. Il en et de même des fibr
ussi combattre l'idée que la maladie ait pu débuter par les centres
supérieurs
de la mentalité. Certains cas d'ataxie locomo
criblée étant demeurée normale, le nerf occupe la région externe et
supérieure
de l'infun- dibulum, son diamètre est un peu in
traversé la lame criblée, se placent presque toutes dans la partie
supérieure
de la membrane nerveuse, de sorte que le bord i
e qui s'étend jusqu'à la base du crâne. Presque toujours, un sillon
supérieur
antéro-postérieur divise le toit en deux moitiés
t surtout naissance à deux systèmes différents de fibres. Le - plan
supérieur
contient les racines du nerf optique; le plan inf
sseaux de fibres qui se rendent en bataillons compactes aux régions
supérieures
et antérieures; on les retrouve dans la capsule
trousseaux y occupent le segment le 140 SOCIÉTÉS SAVANTES. - plus
supérieur
à peu près au niveau du quart supérieur de la c
0 SOCIÉTÉS SAVANTES. - plus supérieur à peu près au niveau du quart
supérieur
de la capsule. Ils proviennent en partie du noy
al, toutes les fibres du pied du pédoncule ne dépassent pas l'étage
supérieur
de la protu- bérance ; c'est là qu'elles se ter
ombo-sacré et même, ainsi que vous avez pu en juger, dans la partie
supérieure
de ce plexus. Nous touchons ici à un point des
sectionne, chez les cobayes, le grand nerf scia- tique à la partie
supérieure
de la cuisse, le petit nerf sciatique qui n,a p
substance grise de la corne d'Ammon; l'autre en dedans sur la face
supérieure
du lobule. (Voir la ng. 16.) La forme de la s
de l'hippocampe. L'écorce qui borde la petite vir- gule ou virgule
supérieure
sera concave par sa partie adhérente, convexe p
pellerai tout à l'heure la lame bordante crétée. Portion externe et
supérieure
de la substance médul- laire. Lame bordante amm
t Quelquefois cette branche interne se poursuit jus- qu'à la face
supérieure
du bourrelet pour disparaître ensuite; mais ell
ernière. Dans les cas où la susbtance grise est accolée à la face
supérieure
du corps calleux, le ruban réticulé est très fa
scription j'ai employé l'expression «demi-circonvolution go- dronné
supérieure
; » comme souvent elle est incomplète, il vaut mi
incomplète, il vaut mieux, pour être plus exact, dire prolongement
supérieur
ou sus-calleux du corps goudronné ». ARCHIVES
st assez fréquent, ils représentent sur le corps calleux la portion
supérieure
de la formation go- dronnée dans le ventricule.
ancisi ' J'ai eu occasion de voir une fois sur le milieu de la face
supérieure
du corps calleux une traînée de substance grise
prochés l'un de l'autre, sur le plan médian de la voûte à sa partie
supérieure
, parcourent ainsi tout le corps calleux jusqu'a
ser avec le toenia. L'autre, qui continue le trajet, suit le bord
supérieur
du septum et arrive enfin à rejoindre les nerfs
t, Broca a néamoins admis trois centres nerveux secon- daires, un
supérieur
, un postérieur, et un antérieur. Le centre olfa
s, un supérieur, un postérieur, et un antérieur. Le centre olfactif
supérieur
est situé sur la face in- DE L'APPAREIL NERVEUX
eux. » Foville, comme on le voit, avait entrevu le corps godronné
supérieur
; mais il n'en parle plus à partir de ce moment,
onnais- sance du moins, qui ait vu une partie du corps go- dronné
supérieur
. «... La fascia dentata, au contraire, tourne a
rne autour du bord postérieur du corps calleux pour aller à sa face
supérieure
et se continuer'avec cette petite couche de sub
les se conti- nuent toutes plus ou moins modifiées sur la surface
supérieure
du corps calleux, à l'exception de la fim- bria
du corps cal- leux, qui est développé à moitié; atteindre sa face
supérieure
, sur laquelle on peut l'accompagner avec une gr
ue présente, dans le ventricule du corps cal- leux, le prolongement
supérieur
du corps godronné. Je crois que, prévenus maint
'homme cette demi-circonvolu- tion. Lame bordante du prolongement
supérieur
du corps yodronné FOVILLE, sous le nom de ruban
qui n'est pas surmontée, développe toujours une quantité de chaleur
supérieure
à celle de la contrac- tion musculaire dynamiqu
le que produit l'excitation de la première circonvolution temporale
supérieure
et ses homologues chez les vertébrés inférieurs
Dans une de mes premières expériences dans laquelle les deux tiers
supérieurs
de la circonvolution temporale supérieure furent
s laquelle les deux tiers supérieurs de la circonvolution temporale
supérieure
furent détruits des deux côtés, on prit les not
n des autres portions du lobe temporal, la circonvolution temporale
supérieure
fut atteinte uni ou bilatéralement. Dans deux d
le lobe temporal était détruit excepté la circonvolution temporale
supérieure
. Avec la plupart deceux qui l'ont vu, nousavons
rt évident entre le sens de l'ouïe et la circonvolu- tion temporale
supérieure
, de la conduite d'un singe chez lequel les deux
conduite d'un singe chez lequel les deux circonvolutions temporales
supérieures
étaient effective- ment ou potentiellement détr
l'ablation complète, non seulement des circonvolu- tions temporales
supérieures
, mais de tout le lobe lui-même des deux côtés.
vons plus ou moins complètement détruit la circonvolution temporale
supérieure
des deux côtés. Je dis plus ou moins complèteme
maux, dans lesquels la destruction de la circon- volution temporale
supérieure
semble avoir été la plus complète, furent exami
- mal, auquel on avait enlevé les deux circonvolutions temporales
supérieures
était aussi sourd. Scbxlîer pense que moi aussi j
e du lobe temporal gauche, comprenant la circonvo- lution temporale
supérieure
. L'animal guérit rapidement de son opé- ration
l j'ai fait l'extirpation bilatérale de la circonvolution temporale
supérieure
, avec un intervalle d'un mois entre les deux op
e l'ouïe et dans les autres facultés. La circonvolution temporale
supérieure
gauche fut enlevée le 8 octobre. (Comme on peut l
novembre, on découvrit et coupa de même la circonvolution temporale
supérieure
droite. Celle fois, l'extrémité inférieure de la
onsidère que la portion supé- rieure de la circonvolution temporale
supérieure
(G, /t< ? .18) est la sphère sensitive de l'
t trouvé que la destruction unilatérale de la partie postérieure et
supérieure
de la troisième circuuvolu- tion externe chez l
apports avec la scissure de Sylvius que la circonvolution temporale
supérieure
chez le singe, mais qu'il en est séparé par la
ylvienne est l'homologue de la circonvolution temporo-sphénoi- dale
supérieure
Cependant j'ose dire que la ressemblance entre la
ure de la circonvolution sylvienne et la circonvo- lution temporale
supérieure
est seulement superficielle, due au défaut de p
vienne correspondrait exactement avec la circonvo- lution temporale
supérieure
. La surdité par maladie cérébrale chez l'homme
térales affectant simultanément les deux circonvolutions temporales
supérieures
. Il y a cependant deux ' De Windungen der conve
ité verbale avec une lésion de la première circonvolution temporale
supérieure
dans l'hémisphère gauche. Fio. 23. 3S6 PATHOL
avec autopsies, dans tous la circon- volution temporo-spliénoïdale
supérieure
était atteinte et que dans 12 cas, la seconde e
comprenait aussi bien le pli courbe que la circonvolution temporale
supérieure
; dans six cas les lésions avaient envahi la cir
dans six cas les lésions avaient envahi la circonvolution temporale
supérieure
et les parties avoisinantes des lobes occipitaux
f un, il y avait une lésion évidente de la circonvolution temporale
supérieure
. Les cas de décharges auditives, ou de sensatio
lus ancienne partie était au-dessous de la circonvolution temporale
supérieure
, déter- minait des convulsions qui débutaient p
ncontestablement la gauche davantage. On a trouvé la circonvolution
supérieure
atro- phiée dans des cas de surdité de longue d
ésentait une atrophie extensive des deux circonvolutions temporales
supérieures
. Broad- bent 5 décrit le cerveau d'une femme so
dans le lobe temporal et plus spéciale- ment dans la circonvolution
supérieure
de ce lobe. Les expériences de Baginsky', comme
usqu'aux corps rec- tiformes, et de là dans le processus vermiforme
supérieur
du cer- velvet. En avant du cordon cérébelleux
trer, provient'surtout des racines postérieures de régions dorsales
supérieure
et cervicale et non de celles des extrémités infé
ellules, l'amyotrophie constatée pendant la vie, sur les extrémités
supérieures
et inférieures. Clini- quement, le processus sp
lg. Zeitsch. f. Psych., XLIV, 6.) Jusqu'au voisinage de l'extrémité
supérieure
de l'entrecroise- ment des pyramides, le noyau
érieure avec le spinal tout au voisinage de l'hypoglosse. La racine
supérieure
du spinal quitte cependant le bulbe à la même h
té lésé, la disparition de toutes les cellules ner- veuses du noyau
supérieur
(dorsal) et inférieur (ventral) commun ' au pne
ablement diminué. Nous enregistrons les conclusions : 1° Le noyau
supérieur
ou dorsal vagoglossopharyngien (plan supérieur
usions : 1° Le noyau supérieur ou dorsal vagoglossopharyngien (plan
supérieur
du bulbe) anime le pneumogastrique du même côté
é c un trousseau de fibres nerveuses qui commencent dans le segment
supérieur
de l'entre-croisement des pyramides, se sépare
este des cordons latéraux, pour se perdre, au niveau de l'extrémité
supérieure
du bulbe, dans le corps restiforme. Ce faisceau
antérieures de la moelle thoracique moyenne et du segment lombaire
supérieur
, foyers hémorrhagi- ques ayant détruit la subst
à quatre systèmes de fibres : deux inférieurs, ou ven- traux ; deux
supérieurs
ou dorsaux. Trois d'entre eux participent à la
ux participent à la formation du corps trapézoïde ; un des systèmes
supérieurs
s'entre-croise avec son homologue partiellement
postérieure qu'après entre- croisement dans le voisinage des olives
supérieures
. Le ruban de Reil du tubercule quadrijumeau inf
tre-croisent dans le raphé, derrière le corps trapézoïde. - L'olive
supérieure
contient des fibres issues des deux noyaux du n
an de Reil inférieur; ce faisceau, chez l'homme, va jusqu'à l'olive
supérieure
et se rattache aux fibres du corps trapézoïde qui
tent les mouvements py- loriques : il en est de même pour la partie
supérieure
de lamoelle, le bulbe, les pédoncules cérébraux
ieure de lamoelle, le bulbe, les pédoncules cérébraux, les segments
supérieurs
des couches optiques (centres d'arrêt). L'excit
entimètre etdemi, occupant le bord interne du biceps entre le tiers
supérieur
et le tiers moyen du bras, il existait aussi un
systèmes, notamment dans la substance grise; au niveau de la région
supérieure
de la moelle dorsale, toute la coupe transverse
iers enfin, toujours sé- parément, aux muscles droit interne, droit
supérieur
, droit inférieur et petit oblique. C'est dans c
alysies alternes pédonculo-protu- bérantielles ou protubérantielles
supérieures
. En ma- nière de contraste, je veux vous rappel
s, il y a cinq ou six ans, que se produisit la chute de la paupière
supérieure
gauche. Ce ptosis apparu', sans cause connue et
e temps, la mobilité revint graduellement, d'abord dans le membre
supérieur
, mais très lentement, et deux mois après seulemen
jambes sont contractures. Cette contracture qui s'étend aux membres
supérieurs
persiste quelque temps après l'attaque et résis
a face. Il regarde en l'air. Il doit y avoir quel- qu'un à un étage
supérieur
, qui nettoie sa chaufferette à la fenêtre. 11 a
pposé du corps; dans d'autres elle s'est localisée soit aux membres
supérieurs
ou infé- rieurs, soit au tronc, mais nous n'avo
les restes de ces rapports primitifs avec la face moyenne, externe,
supérieure
et inférieure de l'hémisphère cérébral sont con
cines, soit une externe passant dans le lobule de l'hippocampe, une
supérieure
et une moyenne en rapport res- pectivement avec
isi (s. t. 1. ni. fig. 31) qui sont visibles chez l'homme à la face
supérieure
du corps calleux. Il décrit aussi comme particu
um lucidum. - sa, substance blanche. - sp, pédoncules cérébel- leux
supérieurs
. - st, stria terminalis. - toi, tractus olfactif.
frontale et pariétale ascendantes à l'exception de leur extrémité
supérieure
et inférieure. La lésion envahissait aussi la bas
. La lésion envahissait aussi la base de la circonvolution frontale
supérieure
et le membre [antérieur de la circonvolution du
s bilatéralement dans chaque hémisphère : ceux de la région faciale
supérieure
et ceux du larynx. Donc une extirpation i Ph. T
du bras et de la jambe par lésion du lobule paracentral et du tiers
supérieur
des circonvolutions ascendantes, la sensibilité
us. Dans un cas de mon service d'une cicatrice traumatique au tiers
supérieur
de la circonvolution frontale ascendante, l'exc
exalgine est un puissant analgésique qui parait, à ce point de vue,
supérieur
à l'antipyrine. Elle serait même plus active pu
titres scientifiques dont les juges seraient les membres du comité
supérieur
des aliénés, à qui incom- berait en outre la mi
'aliéné non dégénéré. par une paralysie occasionnelle des fonctions
supérieures
. J. S. XLV. DE H NATURE DES PHÉNOMÈNES SOMATIQU
. b) l11otitité, II existe une paralysie très avancée des membres
supérieurs
et inférieurs. Aux membres inférieurs, elle est à
égers mouvements, et encore avec une grande difficulté. Les membres
supérieurs
sont un peu moins atteints. 48 8 PATHOLOGIE NER
égion lombaire (PL. I, fig. 1, 2 et 3). Au contraire, à l'extrémité
supérieure
de cette région (PL. I, fig. 4), ils sont sclér
t ces lésions en procédant de la partie inférieure vers la partie
supérieure
de la moelle, comme nous l'avons fait pour celles
lésion devient plus étendue et plus massive à partir de l'extrémité
supérieure
de la région lombaire. Depuis ce point jusqu'à
IE NERVEUSE. étaient le plus prononcées et le plus diffuses (partie
supérieure
de la région dorsale et inférieure de la région
. Cette sclérose est surtout accusée au niveau de la partie dorsale
supérieure
et cervicale inférieure. Sur ce point, elle for
ions, dit l'auteur, offrent leur maximum d'intensité vers la partie
supérieure
de la région dorsale et dans le cordon latéral.
Westphal, comme chez la nôtre, c'est au niveau de la région dorsale
supérieure
et cervicale inférieure que la sclérose des cor
e étant celles d'une myélite dif- fuse, les altérations des parties
supérieures
et infé- rieures représentant des dégénérescenc
e des parties de la moelle sus et sous-jacentes aux régions dorsale
supérieure
et cer- vicale inférieure, elle se présente, no
plus grande étendue de la région lombaire, et dans les deux tiers
supérieurs
de la région cervicale, c'est-à-dire sur les po
à l'arc réflexe correspondant aux réflexes tendineux des membres
supérieur
et inférieur. La même interprétation est applic
NCHES PLANCHE 1 Fig. 1. Coupe de la moelle au niveau de la partie
supérieure
du cône médullaire. Fig. '-). - Coupe transve
emarque toutefois un développement en largeur exagéré des incisives
supérieures
médianes. Le voile du palais et la voûte palati
épais et ont le lohule adhérent. Le ne ? est aquilin. Les membres
supérieurs
sont régulièrement conformés. Le pied gauche prés
luette, piliers réguliers et symétriques. Maxillaires inférieur et
supérieur
symé- triques. Dents bien rangées, saines; la d
- triques. Dents bien rangées, saines; la deuxième petite molaire
supérieure
droite seule est cariée. La partie inférieure de
tébrale ractiligne.- Abdomen très développé et saillant. Membres
supérieurs
grêles, mais bien conformés; mains petites, doi
nférieure de l'oesophage (il y en a aussi quelques-unes à la partie
supérieure
). - L'estomac est absolument normal. - Les follic
nne une sorte de sillon transversal incom- plet. Le lobule pariétal
supérieur
a la forme d'un quadrilatère avec un sillon en
- Le lobe quadrilatère, moitié plus long que large, oifre un sillon
supérieur
transversal et un sillon vertical qui aboutit a
avec la seconde : il n'y a qu'une attache située au niveau du bord
supérieur
pour les deux circonvolutions. La troisième fro
ux parties réunies par un pli de passage à un centimètre du Il bord
supérieur
. - Le sillon de Rolando est profond. La pariétale
t profond. La pariétale asemdante est régulière. Le lobule pariétal
supérieur
, l'inférieur, le pli courbe, le lobe occipital
corps genouillés et les tu- hercules quadrijumeaux chez des animaux
supérieurs
et les tu- hercules jumeaux des oiseaux. 2° C
ge moyen), occu- pant la moitié antérieure, vers la fente orbitaire
supérieure
et ayant atteint le trijumeau, les trois nerfs
usion que les fibres gus- tatives sont contenues dans le maxillaire
supérieur
. P. K. VI. Contribution A l'étude DU noyau exte
temps qu'une diminution de volume de certaines portions de l'étape
supérieur
des pédoncules cérébraux ainsi que d'un faiscea
que l'on observe : secousses a droite, clignotement des paupières
supérieures
et quelques mouvements ondulatoires du ventre, pu
e sort quelquefois de la bouche, sans jamais être mordue. Le membre
supérieur
droit est étendu dans l'adduction et la rotatio
d-bot équin est tournée un peu en dehors. Du côté gauche, le membre
supérieur
se roidit, mais bien après la jambe droite et à
plètes et le côté gauche est envahi à son tour. En effet, le membre
supérieur
gauche est tout à fait dans l'extension, les do
cloniques se montrent alors pour la première fois dans le membre
supérieur
gauche, mais toujours plus légèrement qu'à droi
eux. Aorte saine. - Foie, rate, sains. Poumons. - Emphysème du lobe
supérieur
. Un peu de con- gestion des bords postérieurs.
ssance incomplète, à laquelle avait succédé une paralysie du membre
supérieur
droit, et la perte de la parole. Trois semaines
dite goutteuse ; la perte de coordination du mouvement des membres
supérieurs
et inférieurs avec démarche ataxique signalée p
seule fois une hyperesthésie des jam- bes avec douleurs à la partie
supérieure
de la colonne lombaire; mais l'autopsie ne fut
la face el de la langue et de quelques-uns des muscles du membre
supérieur
gauche. Arthropalhie du coude à gauche. Anesthé
artie de la tète, elle n'est entendue que du côté sain. b) Membre
supérieur
gauche. Sensibilité tactile un peu affaiblie au
'extrémité inférieure de l'humérus, sur l'olécràne, sur l'extrémité
supérieure
du cubitus, et enfin sur le radius dont la tête
s membres. L'atrophie est surtout marquée au niveau des membres
supérieurs
, et bien plus prononcée du côté gauche que du
). Lorsque le malade est debout, il rejette en arrière la partie
supérieure
du tronc, et il se produit ainsi une ensellure tr
de MM. Vidal et Cuffer) avec celle de certains muscles des membres
supérieurs
..Ce qui semble indi- quer que, dans ces cas, po
de la tumeur avec le noyau du facial, son contact avec les racines
supérieures
de l'auditif expliqueraient bien aussi l'engour
re \en- touses et son rostellum central. - B, Crochets de la rangée
supérieure
du rostellum, mesurant 17 millimètres. - C, Cro
t il n'est pas rare que les malades rendent une urine d'une densité
supérieure
à la normale. A côté de la polyurie hystérique,
l'urine dans certains faits de lésions trau- matiques de la partie
supérieure
du rachis par irritation du bulbe. On voit auss
te avec des convulsions toniques, commençant par la face, le membre
supérieur
et ensuite l'infé- rieur ou vice versa, seuleme
mitées au voile du palais; les deux autres s'étendirent aux membres
supérieurs
et inférieurs. L'ensemble symptomatique, dans u
ervical et atrophie des racines antérieures. Dans le bulbe, l'étage
supérieur
(sensitif) de l'entrecroisement inférieur ne pré-
ons en foyer situées dans l'étage moyen, plus rarement dans l'étage
supérieur
de la protubérance se limitent quelquefois à la
simples, mais très pro- pres ; celles des pensionnaires des classes
supérieures
sont très élé- gantes. Chaque division se compo
onnoirs métalliques, émaillés, automatiquement rincés par la partie
supérieure
; les lieux d'aisances appartiennent au système
pour les hommes, de dix cellules pour les femmes. Dans les étages
supérieurs
on a placé les dortoirs ; aux étages moyens ain
rat. Pas de paralysie des muscles de l'oeil. Rien du côté du facial
supérieur
. Paralysie faciale inférieure gauche. Réflexes
s veux. Le 27 janvier, le malade est paralysé à droite (membres
supérieurs
et inférieurs; le facial inférieur droit étant pe
pes transversales, à l'union du tiers inférieur avec les deux tiers
supérieurs
de la protubérance, foverde ramollissement dede
he. Sur la face externe du cerveau, au niveau des lobules pariétaux
supérieur
et inférieur, foyer de ramollissement ancien du
a atropme musculaire, tllen au cote des organes des sens, du facial
supérieur
et des muscles des yeux. Pas de paralysie des m
être déterminé ainsi qu'il suit : ENGORGEMENT DU SINUS FALCIFORME
SUPÉRIEUR
. 307 Nées du pied de la circonvolution frontale
RECUEIL DE FAITS CAS D'ENGORGEMENT PROGRESSIF DU SINUS FALCIFORME
SUPÉRIEUR
; Par le D' N. POPOFF, médecin à l'hôpital de Sa
, t. VIII. 1 Lancet, 1875, ne 17. ENGORGEMENT DU SINUS FALCIFORME
SUPÉRIEUR
. 309 Marthe lf..., villageoise, âgée de cinquan
ndroits. Sur la face externe de la paroi droite du sinus falciforme
supérieur
, correspondant au point de jonction du lobe fro
rième ventricule. Je n'eus à ma disposition que le sinus falciforme
supérieur
avec la tumeur. 310 RECUEIL DE FAITS. On co
hait presque entièrement sans adhérer pourtant à sa paroi gauche et
supérieure
; sa partie intérieure est trois fois plus grande
spensable de rappeler les relations anatomiques du sinus falciforme
supérieur
. Le sinus falciforme supérieur commence au fora
ns anatomiques du sinus falciforme supérieur. Le sinus falciforme
supérieur
commence au foramen coecum, à la surface intern
enfants seulement); plus loin, il reçoit : il les veines cérébrales
supérieures
, de 10 à 12 de chaque côté, qui portent le sang
ce interne des hémisphères; 9° une rangée de veinules de la portion
supérieure
de la faux du cer- veau et des régions avoisina
it d'un côté à la veine faciale et de l'au- tre au sinus falciforme
supérieur
, En outre, pour faciliter la répartition réguli
est vrai que Wernicke en parlant du thrombose du si- nus falciforme
supérieur
, ne fait mention que d'un symptôme, celui de l'
a matité du foie un peu en dedans de la ligne ma- millaire. Le bord
supérieur
n'est pas perculable à cause de la fuite rapide
excitation aurait été transmise au centre par les fibres de l'étage
supérieur
des pédoncules cérébraux qui, pour Flechsig, se
dents, des vomissements, des douleurs dentaires dans le maxillaire
supérieur
droit, des convul- sions, de l'irrégularité du
de la réaction pupillaire. On trouve à l'au- topsie dans le vermis
supérieur
du cervelet, au-dessous du tubercule quadrijume
- daux sont dégénérés. La dégénérescence du pédoncule cérébelleux
supérieur
-gauche qui émane de la dégénérescence secondaire
selle turcique, sur la partie moyenne de la protubérance. La région
supérieure
de la moelle est fortement hyperémiée. Pneumoni
state, dès le premier jour, une chorée posthémi- plégique du membre
supérieur
droit, de l'hémianopsie du même côté et de l'ap
galvanique; courant dirigé des vertèbres cervicales aux extrémités
supérieures
atteintes. P. K. 1 Voyez : Société de Psychiatr
sico- rectale, enfin des élancements avec convulsions des membres
supérieurs
. On constate presque au début de la sensibilité à
rme la localisation des zones motrices des extrémités dans le tiers
supérieur
des deux circonvolutions ascen- dantes, mais l'
égique accompagnée de tremblements inten- tionnels dans les membres
supérieurs
et de symptômes oscil- lants et inégaux comme t
e décèlent dans le cervelet, dans la protubérance, dans les régions
supérieures
de la moelle allongée, dans les régions cervica
s les déformations actuelles. Elles occupent surtout les extrémités
supérieures
et les mains, et sont caractérisées par de l'at
ble, mais actuellement, c'est encore une cause mystérieuse, fatale,
supérieure
à nos moyens d'action et peu faite d'ailleurs p
deuil eruel : nous avons perdu Lasègue, et le souvenir de cet homme
supérieur
, dout vous connaissiez les rares qualités de l'
ine mentale (Heidelberg, 1879; Bonn, Leipzig, 1882), que les écoles
supérieures
de Fribourg et Koenigsberg ont institué des leç
vision militaire, les statistiques des établissements d'instruction
supérieure
et élémen- taire ; ces documents sont parvenus
s de l'oeil, des extrémités inférieures et en partie des extrémités
supérieures
(parésie) ; l'autopsie de ce dernier pa- tient
-71, mou- rait un an plus tard des suites d'une carie du maxillaire
supérieur
. Jadis, il avait été atteint de mélancolie : te
mplètement paralysés ; le patient nepeut plus lever que la paupière
supérieure
: saillie assez marquée des globes oculaires.
culaire, M. Meynert tend à croire qu'il commande plus à l'extrémité
supérieure
qu'à l'extré- mité inférieure. Lagrosseurrespec
t au noyau caudé, tandis que les animaux qui se servent des membres
supérieurs
pour d'autres fonctions (chauves-souris) ont un
ai l'e sont caraclérisées pal' une paralysie plus marquée du membre
supérieur
que du membre inférieur; la paralysie du membre
l se termineraient mi-partie dans la formation réticulée de l'étage
supérieur
des pé- doncules cérébraux (champ moteur), mi-p
des bords papillaires se limite exclusivement à la partie interne,
supérieure
el inférieure du disque. C'est après avoir tenu
stère de l'intérieur et qu'en tête du service soit placé un Conseil
supérieur
. La commission et les attributions de ce Con- s
créé, soit une direction, soit une division, assistée d'un conseil
supérieur
dont nous avons indiqué la composition et les a
grand profit des élèves. Nous émettons aussi le voeu que le conseil
supérieur
avise au moyen d'assurer dans toute la France,
vier. Thèse de Paris, 1884. De la compression des nerfs du membre
supérieur
à la suite des fractures; par l3o.m..\n.\N. Thè
sse. Les chambres à coucher relues dortoirs sont relégués à l'étage
supérieur
: chaque lit dispose de 904 pieds cubiques, cha
imples au charbon de terre). Les dortoirs occupent aussi les étages
supérieurs
. On mange dans le sous-sol. Les aliments sont a
s sont de dimensions suffisantes, prennent la lumière par la partie
supérieure
d'un des côtés (fenêtre grillée) et sont pourvu
récompensé. (Ann. méd. ]Jsyclwl.). faits DIVERS. le 13 Conseil
supérieur
DE statistique. - Par arrêté ministériel en dat
argée d'étudier les mesures à prendre pour la création d'un conseil
supérieur
de statistique. NÉCROLOGIE. - Le Centmlblatt su
Damaschino, 248. Paralysie saturnine, 247. Pédoncule cérébelleux
supérieur
(dégénérescence secondaire du), par mindel, 3
otrophique, par J\Iicrzejewski et Erlitzky, 250. Sinus falciforme
supérieur
(engor- gement chronique du), par Po- pofi, 3
LANCHE PREMIÈRE Fig. 1. -.Coupe de la moelle au niveau de la partie
supérieure
du cône médullaire. Fig. 2. Coupe transversal
er tout entier à la fougue de son ima- gination créatrice, en homme
supérieur
qu'il se croyait, il avait, sans motif aucun, a
à leur valeur. Quand donc une idée se présente à notre esprit comme
supérieure
aux autres, si elle prévaut dans notre esprit,
chés, de simples personnages tels que Napoléon élevés à des rangs
supérieurs
. On en est, somme toute, réduit à enregistrer u
toire, ordinairement facile à réprimer, n'entrave point les centres
supérieurs
qui ne per- dent ni leur contrôle, ni leur infl
ade se démène, confus et irrité, il demande à être amené devant ses
supérieurs
, puisqu'il est chef de gare. Sa place n'est pas
sous l'action dévastatrice d'une maladie qui inhibe, les fonctions
supérieures
modératrices et rectificatrices. Ces tendances
expliquer la localisation de l'amyotrophie à l'extrémité du membre
supérieur
, il admet que la lésion est elle-même localisée
es cellules radiculaires, sont les cellules sem- blables des étages
supérieurs
, qui agissent sur les premières par les fibres
phie musculaire et contractures particulièrement accusées au membre
supérieur
; on constatait, en outre, des troubles de la sen
imbéciles, arriérés et épileptiques de la région. L'administration
supérieure
, ainsi que nous l'avons déjà dit plusieurs fois
se rappelle très bien avoir voulu ramener ses camarades et même ses
supérieurs
au respect de Dieu. D'ailleurs, ces accès de pr
ans le cercle de ses amies la connais- sance d'un officier de grade
supérieur
. Il fit sur elle une profonde impression. Comme
vent en être instruits. Maintenant, si mes droits de naissance sont
supérieurs
aux leurs. c'est à moi qu'il appartient de disp
oins qu'il y aurait des Bourbons d'Espagne dont les droits seraient
supérieurs
aux miens. ce qui peut bien être sans que j'en
Demoiselle de quarante ans, professeur de sciences dans une école
supérieure
de filles, zélée, assidue, un peu surmenée dans s
ce, on n'a constaté aucune anomalie, aucune douleur, dans le membre
supérieur
gauche jusqu'à la maladie convulsive indiquée p
ns sont égaux ; le trapèze gauche est plus volumineux, son bord
supérieur
est plus dur et plus épais. Le grand pectoral a
cusé à droite. Chen... a beaucoup de peine à maintenir son membre
supérieur
gauche dans cette position, il le laisse retomber
à fermer le gauche- Ses élévateurs de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
sont plus faibles que leurs congénères de droite
. 31éi) ? . sur l'inégalité professionnelle de longueur des membres
supérieurs
considérée comme cause d'erreurs diagnostiques et
s étudiés par lui, le trouble trophique est plus marqué aux membres
supérieurs
qu'aux membres inférieurs : mais il n'est pas a
V, p. 72, 1871). - F. Dreyrolls, Arrêt de développement des membres
supérieurs
. EC/l'Ut/ac ? ie. ,1/lél'll- lion des méninges
les crises. M. le De Poucel lui fait une trépanation de la partie
supérieure
de l'occipital gauche (avril 18cl6). Après l'op
; 4° des ramifications collatérales d'axones de cellules des zones
supérieures
(couches des pyramides petites et moyennes). De
ules polymorphes. L'axone, d'une finesse extrême, issu de la partie
supérieure
ou inférieure du cytoplasma, se décompose rapid
embres inférieurs, elles sont moins longues au tronc et aux membres
supérieurs
. L'alimentation impossible, la parole changée.
dirigeables par eux; b) des centres de coordination intellectuelle
supérieure
, actionnés (hypothèse spiritualiste) ou non (hy
ée, dirigent et commandent les premiers : c'est, en bloc, le centre
supérieur
. L'inhibition exercée par le centre supérieur s
en bloc, le centre supérieur. L'inhibition exercée par le centre
supérieur
sur les centres subalternes, inhibition qui est
47 musculaire, secousses fibrillaires (notamment dans les membres
supérieurs
); anesthésies légères dans les parties périphériq
es troncs nerveux, notablement gonflés et durs, et qui, aux membres
supérieurs
, pré- sentent en outre des nodosités ; ensuite
ralysie alterne de la sensibilité indique une lésion dans la région
supérieure
de la protubérance, lésion intéressant la bande
encore. Les yeux se dirigeaient en bas par l'excitation de la zone
supérieure
du lobe occipital, en haut par l'excitation de
ents plus positifs. D'après Mott et Schaeffer l'excitation du tiers
supérieur
de cette zone produirait une déviation latérale
ilatérales. Peut-être le serait-il dans l'hé- mianopsie horizontale
supérieure
; mais l'existence de celle-ci est trop discuta
lieu en particulier l'intégrité apparente de l'orbiculaire (facial
supérieur
). Pour expliquer cette intégrité il n'est peut-
n Pughese, loc. cil. 3 Si les autres muscles innervés par le facial
supérieur
restent aussi indemnes, c'est probablement qu'i
OGIE. base à la conception d'un centre particulier pour le facial
supérieur
et d'un autre-centre pour le releveur. Le centr
le ascendante. Le centre de l'orbiculaire (c'est-à-dire du facial
supérieur
) est placé aussi au niveau de cette dernière ? -
interpréter de même les cas où, contrairement à la règle, le facial
supérieur
est paralysé par une lésion hé- misphérique ? F
ne de la couche optique. « Sur le pli de passage du lobule pariétal
supérieur
avec la pariétale ascendante, on trouve une pet
t de tous ses mouvements ( ? ) ainsi que l'élévateur de la paupière
supérieure
, les paupières ne sont pas absolument immobiles
, sans expression de senti- ments, c'est un masque figé; les lèvres
supérieure
et inférieure sont paralysées; il y a impossibi
côté gauche, les phénomènes étant plus marqués au niveau du membre
supérieur
qu'au niveau du membre infé- rieur. Les réflexe
ise et des vomissements, des secousses convul- sives dans le membre
supérieur
droit et l'on constate le ' lendemain une hémip
meuse des colonnes antéro-latérales droites de la région dorsale
supérieure
, sclérose périphérique généralisée à la région do
, en outre, uneothésie dans la région de l'ophthalmique, de l'étage
supérieur
du nerf maxillaire supérieur. Diminution de l'o
a région de l'ophthalmique, de l'étage supérieur du nerf maxillaire
supérieur
. Diminution de l'ouïe à gauche; acuité auditive
ormale. Le pincement de l'aorte au-dessous de l'artère mésentérique
supérieure
donne les mêmes résultats (exp. VI et VII) que
isent pendant la marche, les doigts trainent par terre. Les membres
supérieurs
sont pris rarement. Parfois les muscles du visa
s trapézoïde 'sert également à le mettre en rapport avec les olives
supérieures
des deux côtés; 6° Les fibres du pédoncule moye
sidérations évolutives, que le cerveau de la femme est relativement
supérieur
à celui de l'homme. M. Foveau de Courmelles s'é
de des sar- comes des nel fi, et en particulier des nerfs du membre
supérieur
. Champomier (Alexandre). De la morphine comme a
r. Les ulcérations des doigts sont cicatrisées ; l'oedème du membre
supérieur
gauche est toujours très accusé. Octobre. Les f
iliers gauches du voile du palais sont flasques et tombants. Facial
supérieur
intact. Au membre supérieur gauche, la paralysi
alais sont flasques et tombants. Facial supérieur intact. Au membre
supérieur
gauche, la paralysie estcomplète avec début d'une
ur qu'on l'enlève. Si on la découvre, elle dit en voyant son membre
supérieur
paralysé : « Tiens ! voilà ce malheureux bras,
nts imprimés aux articulations du 280 0 CLINIQUE NERVEUSE. membre
supérieur
déterminent de vives douleurs sauf au niveau de
du cou-de-pied. ,6 janvier 1899. - Contracture en flexion du membre
supérieur
et du membre inférieur gauche. Douleurs spontan
zontalement l'hé- misphère de dedans en dehors, il l'union du tiers
supérieur
et du tiers moyen de la couche optique. C'est l
moyen de la couche optique. C'est la surface de section du fragment
supérieur
que nous représentons ici. Nous avons d'abord d
ale droite totale ayant respecté les muscles innervés par le facial
supérieur
; il semble cependant que l'orbiculaire droit s
rend compte de son état et cause avec facilité. Motilité. Membre
supérieur
droit. Impotence absolue de lout le membre ; pa
n repose sur son coude. Les mêmes manoeuvres répétées sur le membre
supérieur
gauche donnent des résultats tout différents. L
gauche, il explore très bien les différentes régions de son membre
supérieur
droit dont il apprécie fort bien l'élévation de
pour le membre inférieur (réflexe plantaire et rotulien). Au membre
supérieur
droit, le réflexe des radiaux est très net. Phé
ité à la piqûre est absolument nulle dans toute l'étendue du membre
supérieur
; le malade ne réagit même pas par un mouvement
. 6) a sectionné en dedans la couche optique à l'union de son tiers
supérieur
avec son tiers moyen, à 4 centimètres 1/2 du bo
n tiers supérieur avec son tiers moyen, à 4 centimètres 1/2 du bord
supérieur
de l'hémisphère, pour ressortir en dehors au ni
tre de 1 millimètre environ de diamètre. La peau recouvre la face
supérieure
et les faces latérales de la verge, mais la fac
ce qui existe de la paroi inférieure de l'urèthre pénien ; la paroi
supérieure
est repré- sentée par cette petite surface rect
e en arrière l'orifice uréthral. Autrement dit, tandis que la paroi
supérieure
de cette portion spongieuse mesure 4 à 5 centim
autopsie, il ne s'est formé, de la portion spongieuse, que la paroi
supérieure
; il manque presque toute la paroi inférieure, q
nerf trijumeau (branche ophtal- mique de Willis et nerf maxillaire
supérieur
) ; par le Dr VILCOQ. (.%0211·lz. de Neurologie,
carlatine, fut atteint d'une paralysie progressive des deux membres
supérieurs
, précédée de douleurs et accompagnée de trouble
ires, interstitielles et parenchymateuses constatées dans la partie
supérieure
du nerf et dans son centre médullaire. Cette prop
nerfs. A. Fenayrou. XXIV. Atrophie musculaire et osseuse du membre
supérieur
droit, consécutive à des traumatismes violents
par la prédominance des symptômes cliniques : tabes dorsalis, tabes
supérieur
. L'auteur trouve ces expressions impropres et t
iges. Ces symptômes présenteraient une fréquence et une fixité bien
supérieures
il d'autres signes comme le nystag- mus et les
Il s'agit d'un forgeron qui pendant son travail a reçu sur le bord
supérieur
de 1 orbite gauche un moine de quelques livres qu
on électrique percutanée, directe. C'est l'élévateur de la paupière
supérieure
. Chez les individus nor- maux il n'est excitabl
a. L'excursion de la pau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 319 pière
supérieure
est, au début, très faible et ne comporte que des
llladen, 1898) ; 8° L'excitabilité de l'élévaleur de la pau- pière
supérieure
est donc probablement un signe de réaction dégé-
s survenaient seu- lement dans la station debout ou quand la partie
supérieure
du corps était dressée; ils tenaient peut-être
n cas de contracture congénitale avec hypertrophie de l'ex- trémité
supérieure
gauche; par S. KAUSCHER. (l'eurolo3. Cen- lrulû
rniers doigts de la main gauche. Les réflexes tendineux des membres
supérieurs
sont exagérés ; le réflexe rotulien est très ab
fusion mentale et hallucinations, parésies passa- gères des membres
supérieurs
, parfois délire de possession. Sur- dité. A l'e
hialgie. Rapidement les troubles paralytiques gagnèrent les membres
supérieurs
, puis le larynx ; depuis un jour la parole est
tion. Les membres inférieurs sont totalement paralysés, les membres
supérieurs
également; cette paralysie est flasque, sans co
lésions avaient à peu près complètement disparu au niveau du tiers
supérieur
du noyau, particularité rencontrée aussi par pl
continuité ; les pau- pièzes sont boursouflées, surtout la paupière
supérieure
et pré- sentent un fort ourlet qui s'étend jusq
ures externes; les cils sont châtains, longs, fournis aux paupières
supérieures
, plus blonds, courts et clairsemés aux paupière
dessinées ; les pommettes sont sail- lantes et colorées ; la lèvre
supérieure
est large et saillante ; la relèvre inférieure
ieure est large et saillante ; la relèvre inférieure déborde sur la
supérieure
; la bouche est un peu large (5 millimètres) ; l
les dents sont assez régulièrement plantées, les incisives médianes
supérieures
larges en fer de bêche; l'incisive latérale dro
cisive latérale droite s'imbrique sur l'incisive voisine, la canine
supérieure
droite ne fait que pointer. la mâchoire inférie
tout son long à terre. Mouvements tétaniformes limités aux membres
supérieurs
, se pro- duisant toutes les douze ou quinze sec
u et que son corps 39C RECUEIL DE FAITS. se raidisse, les membres
supérieurs
se projettent en avant dans une secousse tétani
nde partie .se termine sans s'entrecroiser dans les circonvolutions
supérieures
du vermis. Les fibres antérieures et transversa
l antérieur). Le second fournit la plupart de ses fibres à l'écorce
supérieure
du vermis ; le reste contourne la face antérieu
ussi, mais non toujours, la dégénérescence du pédoncule cérébelleux
supérieur
, des libres arciformes externes et internes du
res. On sait que les lésions des racines, tant de la moelle dorsale
supérieure
que de la moelle cervicale inférieure, entraîne
zones qui correspondent aux racines dégénérées de la moelle dorsale
supérieure
et de la moelle cervicale inférieure sont en de
analogues à ceux d'une ruche. Mais la cellule nerveuse des animaux
supérieurs
n'est pas un simple endroit de passage des fibr
ment les fonctions du système nerveux prennent, chez les animaux
supérieurs
au moins, leur source dans la multiple variation
c d'autres organes tels que le cervelet, le pathétique, les parties
supérieures
de l'isthme, on en obtient la dégénérescence. L
couche optique, des libres à l'écorce du lobe optique, à la partie
supérieure
du corps genouillé thalamique, ainsi qu'à un ét
'une couche grêle qui reste cepen- dant à égale distance de la face
supérieure
et de la face inférieure du nerf sans s'éloigne
celui-ci en deux compartiments; un compartiment antérieur, interne,
supérieur
et un compartiment postérieur, externe, inférie
usque de volume du goitre, tremblement des doigts et même du membre
supérieur
en entier, vitiligo, irritabilité et surexcitat
ines médullaires lombaires et son échappée vers les centres nerveux
supérieurs
, restent subordonné à sa nature, à sa densité,
é et du pouvoir inhibiteur au moyen de mouvements lents des membres
supérieurs
. L'amélioration a été assez considérable pour p
roit de suspecter un ramollissement de la région frontale antéro-
supérieure
». RAMOLLISSEMENT CEREBRAL ET TROUBLES PSYCHIQU
0°,4. Troubles gastro-intestinaux. Saburration des voies digestives
supérieures
, odeur fétide. Le lendemain : aphasie, état dys
ormant une cavité bifide en avant et s'éten- dant à toute la partie
supérieure
de la substance blanche. La partie postérieure
vient jusqu'à la substance grise de la frontale ascendante (moitié
supérieure
) et ses deux extrémités antérieures s'évasent j
mianesthésie intéressant la face du même côté (chute de la paupière
supérieure
). En octobre 1893, la malade meurt dans une att
ouvements convulsifs des membres à droite, plus accentués au membre
supérieur
et suivis d'hémiparésie du même côté. A l'admis
ue, avec état parétique des membres droits, plus accentué au membre
supérieur
. La malade ne profère que des sons inarticulés
othèse de monoplégie hystérique, cliniquement admise pour le membre
supérieur
, devait être formellement rejetée, et qu'à ce m
mbre supérieur, devait être formellement rejetée, et qu'à ce membre
supérieur
existait une névrite, à la fois motrice et sensi-
e en plaques. 11 est difficile desavoir si cette atrophie du membre
supérieur
est due à la présence d'une plaque de sclérose
LI. Hypertrophie pseudo-acromégalique segmentaire de tout un membre
supérieur
, avec troubles syringomyéliques ayant la même t
a conservé son aspect normal. En même temps, tout le long du membre
supérieur
droit, dans la région de l'épaule, dans la part
hiromégalie, mais bien hyper- trophie segmentaire de tout le membre
supérieur
jusques et y compris la clavicule et l'omoplate
symptômes communs : siège de la fracture un peu au-dessous du tiers
supérieur
, direction de la fracture très oblique de haut
moment de l'accident, il existait une immobilisation des extrémités
supérieures
des leviers osseux (bassin ou épaule) et que le
crural, elle est en rapport avec le lieu d'entrecroisement du bord
supérieur
du couturier et des adducteurs. Nette chez les
ties limitrophes du centre ovale. Elle n'a pas touché aux par- ties
supérieures
et supéro-externes du lobe frontal. Elle s'avance
ion IL - Fongus de la dure-mère avec destruction du lobule pariétal
supérieur
gauche. Ici les troubles sensitifs du côté droi
li courbe est peu lésé, et que, par suite, c'est le lobule pariétal
supérieur
qui est le plus pris. L'absence de céphalalgie
eur d'une localisation dans la substance blanche du lobule pariétal
supérieur
. Les troubles du sens musculaire et de la perce
ouloureux. La pression au niveau de l'épine iliaque anté- rieure et
supérieure
provoque des élancements; le cordon nerveux y e
itième mois de la vie embryonnaire (Horsley) et les centres nerveux
supérieurs
étant, à cette époque, en voie de développe- me
ordonnées. D'où l'atrophie prédominante des faisceaux d'association
supérieurs
, des fibres arciformes, qui ne se développent q
onculaire, ainsi que les parties voisines, et pro- jette un segment
supérieur
jusque dans le troisième ventricule, tout en ép
les jambes avec une incoordination manifeste, tandis que la partie
supérieure
du corps reste immobile et entraîne ainsi le ma
e l'auto-suggestion. BIBLIOGRAPHIE. XIII. Education des dégénérés
supérieurs
. Réflexe de l'obéissance; par H. Thulié. (Revue
musique épargne des oublis et main- tient la cadence. Les dégénérés
supérieurs
subissent les mêmes influences. Lorsqu'une ré
. Atrophie. Musculaire et osseuse du TABLE DES MATIERES. membre
supérieur
droit, consécu- tive il des traumatismes violen
cture. Un cas de congéni- tale avec hypertrophie de l'extré- mité
supérieure
gauche, par Ka- lischer, 320. Convulsifs. Con
ypertrophie. Pseudo-acroméga- lique segmentaire de tout un membre
supérieur
avec troubles syrmgomyéliques ayant la même t
erf trijumeau (branche ophtal- mique de Willis et nerf maxillaire
supérieur
), par Vilcoq, 300. TABLE DES AUTEURS ET DES COL
ande série. 17 ayant le certificat d'études, for- ment une division
supérieure
, ne vont à l'école qu'une demi-journée par sema
ignent plus de bienveillance. Il y va et de l'intérêt clés malades,
supérieur
à toute autre considé- ration, et de l'intérêt
eté, etc., s'y dessi- nent tour à tour. 1/ëtëuafeu)' de la paupière
supérieure
est le siège de convulsions qui se suivent it d
la lumière, mais ne réagit que très peu à la convergence. Membres
supérieurs
. D'une manière générale, les mem- bres supérieu
rgence. Membres supérieurs. D'une manière générale, les mem- bres
supérieurs
sont beaucoup plus pris que les membres inférie
ant. Prognathisme marqué, les incisives inférieures dépassent les
supérieures
, la mâchoire étant normalement formée. Grince-
ns orifice visible. La sensibilité générale parait normale. Membres
supérieurs
égaux et symétriques, bien confor- mes. La mobi
-aucune lésion macroscopique pas plus que FA. Les lobules pariétaux
supérieur
et inférieur sont formées de nombreuses petites
'et/b)'mes sont apparus, localisés iL l'extrémité des deux membres
supérieurs
; les deux mains s'agitent continuelle- ment, l
gencives sont en assez bon état ; on compte 12 dents a la mâchoire
supérieure
, dont 2 prémo- laires de lait; il la mâchoire i
ne déborde pas le rebord inférieur des fausses côtes. Les membres
supérieurs
semblent égaux en volume. Les mouvements de l'é
ons des mouvements alhétosidues de la face, du cou et des membres
supérieurs
, prédominant surtout à la main du côté droit. Mis
édente. 1898. Janvier. Puberté. Quelques poils bruns sur la lèvre
supérieure
et le menton ; dans les aisselles, poils bruns
enton ; dans les aisselles, poils bruns et longs. - Sur les membres
supérieurs
et inférieurs, poils blonds d'un centimètre ; -
e frontale (5c.lo.f.), profondément dessinée. - Scissures frontales
supérieure
et inférieure (So.f.s. et So.f.i), sinueuses, m
cale dans sa partie .inférieure, moins volu- mineuse dans sa moitié
supérieure
qui est déjetéc en arrière. - Pariétale ascenda
nne. Pariétale ascendante, llexueuse, amincie près de son extrémité
supérieure
. Pariétale supé- rieure, courte et larc. - l'ar
- Circonvolution frontale interne, légèrement renflée iL sa partie
supérieure
. Lobule paracenlral, bien développé. - Coin et
in droit. un peu p,qf)gstiqf1lj1¡é ; ? pet4t>wsté,v son extrémité,
supérieure
. Capsuieurenaie rien, - Vessie, organes génitau
l'âge de quatre ans. Ils occupaient la face, le cou, les membres
supérieurs
et inférieurs. VI. Les mensurations des membres
dhérent. Ouïe naturelle. Thorax bien conformé ainsi que les membres
supérieurs
qui paraissent égaux. Préhension normale. Membr
issu compacte. Plaques transparentes au niveau de l'angle antéro-
supérieur
du pariétal gauche. de la partie moyenne des tem-
olando (8, R,) est large et sinueux; il n'empiète pas sur le bord
supérieur
de l'hémisphère. La scissure perpendiculaire ex
en trois endroits par des plis de passage. - La scissure frontale
supérieure
(Se. f. s.), très irrégulière, est très nette, pr
t profonde, elle communique par un sillon avec la scissure frontale
supérieure
. - La scissure interpariétale (Se. ip.), assez
ons sont très nettes avec la frontale ascendante. - Le pli pariétal
supérieur
(Pl.) est nettement accusé. - Le pli pariétal i
lleux (C. C. C.) est très-large à. sa partie postérieure ; son bord
supérieur
qui correspond à la scissure calloso-marginale
rallèle frontale est peu longue et profonde. - La scissure frontale
supérieure
, irrégulière, sinueuse, com- munique par un Sil
ariétale ascendante est étroite surtout dans ses parties moyenne et
supérieure
; elle est bien séparée des circonvo- lutions p
ete7pti-id tale. - Le pli courbe, ainsi que les deux plis pariétaux
supérieur
et infé- rieur, ne présente rien de particulier
elever avec détails les caractères de sa paralysie. Les mem- bres
supérieurs
étaient égaux et assez bien dévelop- pés. Les e
é ni marché ; - cécité dès la naissance. En juin 1895 : aux membres
supérieurs
, contractures prédomi- nant à droite el aux ext
gères et multiples éro- sions au niveau du bord libre des incisives
supérieures
; Oreille externe normalement écartée de la base
lier, teinte bistrée très prononcée autour des paupières ; la lèvre
supérieure
est assez forte, le sillon médian est régulier
lon médian est régulier : la lèvre inférieure est en saillie sur la
supérieure
; le menton est rond, la bouche moyenne, les po
ntes. La bouche est grande, il existe du prognathisme du maxillaire
supérieur
qui rend la lèvre pro. idente. La dentition est
rachitique au niveau des articulations chundro-stcrnales. Membres
supérieurs
bien conformés, néanmoins on doit signaler une
n'offre rien de particulier au niveau de PA ni du lobule pariétal
supérieur
mais le lobule pariétal inférieur est formé de
al chez Pint.. et sur la pariétale ascendante, le lobule pariétal
supérieur
chez Le Ga... Dans les deux cas l'hémis- phère
développées et très asymétriques. Les plis pariétaux inférieurs et
supérieurs
sont tout-à-fait dissemblables sur les deux hém
- manentes, les incisives médianes et les premières prémolai- res
supérieures
et inférieures sont poussées; les dents de lait
longueur 5 cm., circonférence 5 cm. Testicules situés iL la partie
supérieure
du scrotum, du volume d'un gros noyau de cerise
lanchâtre et sèche au centre ; quelques taches rosées sur la partie
supérieure
de l'abdomen. la juillet. - Même état, léger ba
ns F A, qui, assez volumineuse, n'est coupée que vers son cinquième
supérieur
par une incisure au-dessous du pli de passage q
elle se bifurque pour donner deux plis de passage au lpbq pariétal
supérieur
. Cette circonvolu- tion est très mince'et très
ar un pli de passage avec F3, en haut par un autre avec F. Soutiers
supérieur
, complètement isolé en bas par une incisure, fo
en bas par une incisure, forme deux noyaux, un inférieur; isolé, un
supérieur
communiquant avec Fi. , Lobe pariétal. PA est e
riétale offre sa forme ordinaire en demi cercle et les deux lobules
supérieur
et inférieur peuvent être considérés, comme deu
quelques petits ganglions le long des parties latérales. Membres
supérieurs
et inférieurs, rien de particulier. Sensibilité
indépendante, son tiers inférieur est grêle, tandis que les 2/ : l
supérieurs
sont larges et très développés. Le lobule parié
/ : l supérieurs sont larges et très développés. Le lobule pariétal
supérieur
est petit, formé de circonvolutions grêles elle
en proéminent, vaste cicatrice de brûlure au flanc droit. Membres
supérieurs
réguliers ; onychophagie très mar- quée. ille
une inférieure se continue en avant avec F2 et un pli de FI et une
supérieure
qui va rejoindre le pied de F1. Lobe pariétal.
- res. Son tiers inférieur est séparé par une incisure et les 2/3
supérieurs
sont aussi divisés par un sillon profond situé à
de passage important coiffe ce sillon et unit PA au lobule pariétal
supérieur
. Le sillon intcrpariétal s'étend jusqu'au voisi
perpendiculaire externe. - Ilien de notable pour le lobule pariétal
supérieur
. Les circonvo- lutions du lobule pariétal infér
infé- rieure un peu proéminente, les oreilles normales. La lèvre
supérieure
est' couverte d'un duvet brunâtre, la barbe est
gion pectorale ' proéminente, sans exagération. Af<')))h)'< ?
supérieurs
régu- lièrement conformés, articulations phalan
r tout le pénil, envahissant les aines, les bourses, et les parties
supérieures
des cuisses. Le scrotum est normal. Ver- ye ass
sauf un léger retard d'éruption des deuxièmes molaires temporaires
supérieures
qui n'ont point encore apparu, mais sont sur le
de l'urine, l'enfant élant gâteuse ; pas d'onanisme. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont assez volumi- neux et potelé
pariétal n'offre pas de sclérose sur PA, ni sur le lobule pariétal
supérieur
, mais tout le lobule pariétal infé- rieur est l
e., scissure perpendiculaire externe. Se. f. s., scissure frontale
supérieure
. ,' Se. f. i., scissure frontale inférieure.
a été indiquée par les lettres PA au lieu de FA. Pl, pli pariétal
supérieur
. P2, pli pariétal inférieur. P3, pli courbe.
ale ascendante. P A, pariétale ascendante. L P S, lobule pariétal
supérieur
. L P I, lobule pariétal inférieur. ' P C, pli
sure de Sylvius. Op P, opercule pariétal. L P S, lobule pariétale
supérieur
. L P I, lobule pariétal inférieur. S P E, sci
frontales. - S R, sillon de Rolando. ' - L P S, lobule pariétal
supérieur
. L P I, lobule pariétal inférieur. P A, parié
eignement professionnel rend des services d'un ordre bien autrement
supérieur
. Il permet de donner à un certain nombre d'enfa
plaisamment, qu'il cou- rait à sa perte; mais, poussé par une force
supérieure
à sa volonté, il ne pouvait ni s'arrêter, ni se
côtés sont légèrement hypcrdrophiés; manustupration'. Les membres
supérieurs
sont bien conformés, velus. Sur la face antérie
mètre) ; une autre cicatrice plus petite, plus déprimée, au tiers
supérieur
et externe de la jambe gauche ; une cicatrice d
de phosphènes. Gran- did... ne ressentirait rien du côté du membre
supérieur
; la durée de cette aura serait très brève. Avan
après un de ces accès, d'une agitation choréiformes des extrémités
supérieures
et inférieures, de la tête; la parole était sac
conformées, leur lobule, normal, est- adhérent dans les deux tiers
supérieurs
. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 53 facile; trembl
cette sensation.. On peut seulement savoir qu'au niveau de la lèvre
supérieure
gauche, il ressent de temps à autre un fourmill
entraîner de substance grise, si ce n'est au niveau du pli pariétal
supérieur
. Pas de lésions en foyer. - Ventricule laté- ra
munique largement à sa partie postérieure avec la scissure frontale
supérieure
, séparant ainsi le tiers postérieur de la deuxi
xième frontale de ses deux tiers antérieurs. - La scissure frontale
supérieure
est profonde surtout en arrière. - La première
assage signalé plus haut, puis se poursuit dans le sillon occipital
supérieur
jusqu'au sillon transverse. - Le pli courbe est
de passage à niveau, reliant le lobe occi- pital au lobule pariétal
supérieur
. - Le lobule orbitaire est bien conformé. a).
irconvolution frontale au cap de la troisième. La scissure frontale
supérieure
est légèrement sinueuse, cou- pée à son extrémi
lepsie PROCURSIVE. hien développées, normales. - Le lobule pariétal
supérieur
, régulier, est peu volumineux; en effet la scis
nueux, très découpé, très développé au détriment du lobule pariétal
supérieur
. - Le pli courbe est assez gros également. - La
ais la scissure occipitale trans- verse n'existe que dans sa partie
supérieure
; en dessous de la scissure interpariétale conti
scissure interhémisphérique et se terminantdans le lobule pariétal
supérieur
à un demi-centimètre de la scissure interpariét
e du mucus nasal et palpébral en assez grande quantité. La paupière
supérieure
droite est rosée et gonflée. P. petit régulier
. - Le pli pariétal infé- rieur est assez plissé. - Le pli pariétal
supérieur
est volumi- neux comme dédoublé. Le pli courbe,
ie un prolongement très gros à bipartie postérieure du pli pariétal
supérieur
. - Le lobe occipital, assez plissé, est très vo
al situé entre l'insertion de la première frontale et l'inser- tion
supérieure
de la deuxième frontale, Le sillon de Rolando e
endante du pli pariétal inférieur est très profond. Le pli pariétal
supérieur
est sinueux, envoie deux plis de passage à la p
de parler est de H millim., l'orifice anormal occupe les deux tiers
supérieurs
du pénis. Etat mental. - Affectueux, il dit que
u est en extension ; le tronc raidi se dresse à moitié; les membres
supérieurs
sont contractures dans la flexion; le pouce est
flexion; le pouce est dans la main, les doigts fléchis; les membres
supérieurs
sont en extension forcée. Tout le corps est ens
nt sinueuse, est un peu grêle. Lobe pariétal. Les lobules pariétaux
supérieur
et inférieur ne présentent pas d'autres particu
e est séparée parmi pli de passage il niveau allant du pli pariétal
supérieur
au lobe occi- pital. - La scissure interpariéta
E l'épilepsie PROCURSIVE. pariétale ascendante en deux parties, une
supérieure
, et une inférieure; à un centimètre en arrière
de passage à niveau allant de la partie postérieure du pli pariétal
supérieur
au pli courbe; plus loin la scissure interparié
ale. - Un pli de passage légèrement en retrait, allant de la partie
supérieure
de l'opercule à la deuxième frontale, inter- ro
sa moitié inférieure, mais plus grêle que de cou- tume à sa moitié
supérieure
. Lobe pariétal. - Le pli pariétal supérieur, bi
ou- tume à sa moitié supérieure. Lobe pariétal. - Le pli pariétal
supérieur
, bien développé dans ses deux tiers antérieurs,
c., ont attribué l'automatisme à l'épuisement des centres cérébraux
supérieurs
par la décharge, et à la perte temporaire du co
us petite vers la partie médiane et s'étendant à gauche à la partie
supérieure
de l'occi- pital. - Front peu développé (avec n
n mouvement circu- laire du pouce et de l'index 1. Les extrémités
supérieures
et inférieures sont bien développées ; les main
ont quatre surtout sont assez larges, à la face externe et au quart
supérieur
de la cuisse droite. Le tissu cicatriciel est f
ebord costal; 2° que le dia- phragme remonte à droite jusqu'au bord
supérieur
de la quatrième côte ; qu'il est refoulé en bas
ieur oblique de bas en haut divisant entièrement le lobule pariétal
supérieur
; avant d'arriver à la scissure perpendiculaire
ssage à niveau allant de l'extrémité postérieure du lobule pariétal
supérieur
à la circonvolution de passage qui réunit le pl
r une sorte de scissure précentrale en se continuant avec un sillon
supérieur
qui divise presque entièrement la deuxième circ
terpariétale par un pli de passage à niveau reliant le pli pariétal
supérieur
au lobe occipital. - La scissure interpariélale
u ascendant oblique d'avant en arrière à travers le lobule pariétal
supérieur
; elle continue son chemin jusqu'au sillon occi
t de la frontale ascen- dante et parallèlement à elle sur sa moitié
supérieure
, on trouve une scissure profonde empiétant en h
avec celui de la frontale ascendante. Les deux scissures frontales
supérieure
et inférieure sont sinueuses, profondes. La fro
n pli de passage à niveau. Lobe pariétal. - Les lobules pariétaux
supérieur
et inférieur, le pli courbe sont volumineux, ma
de la commissure droite. 1883. 7 juillet. - Dentition : mâchoire
supérieure
: douze dents saines, mais mal rangées et atrop
riétale par un pli de passage à niveau allant du lobule pariétal
supérieur
au lobe occipital. La scissure interpariétale, qu
ue par un pli d'insertion de la première frontale et vers son tiers
supérieur
par un pli d'insertion de la deuxième frontale
grêle, atteinte aussi de méningo- encéphalite, surtout à son tiers
supérieur
, mais à un degré moins prononcé. Lobe pariétal.
, mais à un degré moins prononcé. Lobe pariétal. Le lobule pariétal
supérieur
peu volumi- neux est envahi par ia méningo-encé
ssure de Sylvius par un sillon profond et oblique qui longe le bord
supérieur
d'une circonvolution transverse temlJo¡'o-pa1'i
parait un 144 DE L'ÉPILEPSIE procursive. peu grêle dans sa partie
supérieure
. - La fissure calcarine, la couche optique, le
iétale par un pli de passage à niveau se rendant du lobule pariétal
supérieur
au lobule occipital. - La scissure perpendiculair
un pli de passage transversal atrophié, se rendant du pli pariétal
supérieur
au pli courbe ; plus loin, elle va se confondre
ne scissure parallèle frontale interrompue seulement vers son quart
supérieur
par un pli de passage à niveau atrophié, allant
frontale et pariétale ascendantes sont atrophiées dans leur moitié
supérieure
, la pre- mière plus que la seconde. Lobe pari
pre- mière plus que la seconde. Lobe pariétal. - Le pli pariétal
supérieur
est tout à fait atrophié, vermiforme, sauf sur
n- dant une coloration légèrement ocreuse, surtout dans sa partie
supérieure
. - Lobe temporal. - Les trois circonvolutions t
tissu scléreux de dégénérescence descendante, en dehors de la corne
supérieure
du côté gauche. Celte corne parait un peu plus
e fibres - = r> (Beaunis). Dans trois cas de lésion de la partie
supérieure
et externe du pédoncule cérébral, le même auteu
e man- ger et de boire due aux mouvements désordonnés des membres
supérieurs
. - Contorsions du tronc, du cou, des muscles de l
semble qu'il soit obligé de faire un effort pour parler : la lèvre
supérieure
a des. contorsions, elle s'avance parfois, les
e veut saisir un verre, placé sur une table devant lui, les membres
supérieurs
quittent leur position allongée sur le tronc, s
ui n'a produit aucune amélioration. 26 mai. - Dentition. Mâchoire
supérieure
, seize dents bien ran- gées, saines; mâchoire i
uche moyenne, lèvres ordinaires. Lemai.. contracte souvent sa lèvre
supérieure
de sorte qu'il s'y forme des plis verticaux sur
éformation du rachis. Boutons d'acné en avant et sur les deux tiers
supérieurs
du dos. Membres supérieurs assez bien conformés
d'acné en avant et sur les deux tiers supérieurs du dos. Membres
supérieurs
assez bien conformés. L'épaule gauche des- cend
e même en dedans. Voici les mensurations des membres : a) Membres
supérieurs
. 176 DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLIT
ramassée (PLANCHKS 111 et IV). Mais ce n'est pas tout, les membres
supérieurs
qu'il étend pour se soutenir aux objets voisins
longe la langue, mais il la maintient en appuyant sur elle la lèvre
supérieure
; il ne peut la porter à gauche ou à droite, ni
evées chez Derno... Quand Lem... veut prendre un verre, les membres
supérieurs
décrivent de grands mouvements. Le bras droit s
isses toujours rap- prochées ainsi que le genou et l'un des membres
supérieurs
est élevé, servant en quelque sorte de balancie
HÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. l'incoordination motricedes membres
supérieurs
chez l'ataxique elle se distingue de l'incoordi
uvements, débutent par les jambes envahissent plus tard les membres
supérieurs
et vont en augmentant progres- sivement. La mar
nt ne s'étant jamais livrés à l'onanisme. On sait que les dégénérés
supérieurs
présentent assez fréquemment aussi des anomalie
s dégénérés inférieurs, et il est à craindre que chez les dégénérés
supérieurs
les aptitudes génésiques et reproductrices ne s
ration plus régulière, quelques mouvements convulsifs des membres
supérieurs
; agitation. Traitement : Julep avec acétate d'am
nsi que l'avait remarqué M. Bourneville, sur les incisives médianes
supérieures
. (1 ? 7. 18). Il semble y avoir entre ces deux
e différence de niveau entre les branches homologues de la mâchoire
supérieure
(Fig. 23 et 24). La seconde consiste dans une s
staches naissantes et quelques poils rares au menton et à la partie
supérieure
des joues. - Poils noirs, frisés, très abondant
10 à 12 fois au lieu de 3 fois). -Si donc nous partons de la moitié
supérieure
de la con- vexité de la circonvolution de l'hip
de carte à jouer; ce cordon (C B) est le corps bordant; son angle
supérieur
(du côté X) s'amincit graduellement, mais ne pr
nous venons de le dire, se rattache au corps bordant, tandis que la
supérieure
va se ratta- cher (au dessus de X, fiq. 2) à la
dans la concavité de la forma- tion ammonique, mais bien la moitié
supérieure
de cette formation, c'est-à-dire la circonvolut
haut la corne d'Ammon, ou, si on le préfère, la demi-circonvolution
supérieure
de l'hip- pocampe. Ce sillon, c'est l'anfractuo
en est une véritable dépendance ; cette lame, située entre le bord
supérieur
de la corne d'Ammon et le subiculum, par conséq
ii2îb21aitinz ; fimbria) est une bandelette très blanche... La face
supérieure
ou ventriculaire est libre; sa face inférieure
la bandelette du trigone (Ia). Cette bandelette est, avec la face
supérieure
de la couche optique et avec les plexus choroïd
r à cheval complet à conca- vité antérieure, présentant une branche
supérieure
et une branche inférieure (chez l'homme il n'y
e compre- nant chacune de ces branches, les parties de la branche
supérieure
seront donc symétriquement disposés par rapport
-dessous du corps calleux. D'autre part, on aperçoit dans la partie
supérieure
de la figure 6, au- dessus du corps calleux, un
is bien par ce qui reste des circonvolutions sous-calleuses (partie
supérieure
de l'hippocampe) atro- phiées et que, par suite
pes verticales, elles sont sur- tout intéressantes dans leur partie
supérieure
, intéres- sant la branche supérieure du fer à c
intéressantes dans leur partie supérieure, intéres- sant la branche
supérieure
du fer à cheval en question, car sa branche inf
n'en est plus de même, sur une coupe verticale, pour les parties
supérieures
ou sous-calleuses des deux cornes d'Ammon (fig.
orticales dévelop- pées au-dessus de lui. De ces couches, l'une est
supérieure
(C H) et continue d'un côté à l'autre ; on reco
que le corps godronné n'est que la circonvo- lution antérieure (ou
supérieure
, ou inférieure, selon qu'on considère l'une des
5. Coupe de la moitié inférieure, et figure 6 coupe de la moi- tié
supérieure
(sous-calleuse) de la corne d'Ammon du mouton. -
nerf auditif dans ces par- ties. D'après Huguenin, c'est la région
supérieure
de ce ganglion , précisément dans celle qui se
es postérieures se trouve, d'après cet observateur, entre la partie
supérieure
et l'inférieure de ces racines, immédiatement à
au noyau externe de Huguenin. Henle 2 désigne sous le nom de noyau
supérieur
du nerf auditif, celui que Krause appelle noyau
du nerf auditif prend dans la formation des pédoncules cérébelleux
supérieurs
(Bindearm), tandis que Mathias Duval3 insinue q
s distinctes : une antérieure et inférieure; l'autre postérieure et
supérieure
. Ces deux faisceaux se. distinguent par le cara
de la coupe, correspondant au faisceau du nerf localisé à la région
supérieure
et pos- térieure présentait de gros tubes médul
l arrive cependant que ces fibres émergent de la partie postérieure
supérieure
du tronc du nerf au- ditif, à l'égal des branch
it l'îlot occuper presque 48 ANATOMIE. tout l'espace de la partie
supérieure
et postérieure du nerf, ne laissant tout autour
server que les grosses fibres ner- veuses du faisceau postérieur et
supérieur
du nerf au- ditif, s'amincissaient légèrement e
e double relation entre ces nerfs. La pre- mière a lieu à la partie
supérieure
et interne, et se compose de quelques filaments
du nerf auditif traitée par le picro-carminate. Faisceau postérieur
supérieur
montrantdes tubes nerveux à myéline volumineuse
2.-3/7 Hart. : Trois tubes nerveux à myéline du faisceau postérieur
supérieur
du nerf auditif soumis à l'action de l'acide osmi
. Il existait de l'incoordination dans les mouvements des membres
supérieurs
et inférieurs. La marche, les yeux fermés, étai
ue et qui ne fut jamais DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. -19 trouvée
supérieure
à 96° Fahr. (35°,5 c.) En ce qui concerne l'int
er la sensi- bilité cutanée. En pinçant fortement la peau du membre
supérieur
ou inférieur droit, on voit la face grimacer; l
oit très bien avant d'enlever les méninges, et qui occupe la partie
supérieure
de la circonvolution pariétale ascendante et la
upérieure de la circonvolution pariétale ascendante et la pariétale
supérieure
. 2° Quand, après avoir incisé les méninges, on
. Voici leur théorie : la plu- part des hommes se servent du membre
supérieur
droit pour faire es gestes, pour les travaux dé
et son rôle comme centre des mouvements les plus délicats du membre
supérieur
.Si, au contraire, l'homme se sert surtout de sa
trémulante, traînée, scandée, des oscillations dans les extrémités
supérieures
au repos, de la titubation pendant la marche et
dans leur intervalle on note un tremblement violent des extrémités
supérieures
avec inclinaison très prononcée du corps à droi
essive de l'ensemble du système musculaire débutant par les membres
supérieurs
et ne sautant pas de tel groupe à tel autre. On
ne dilatation brusque du canal central à partir du segment dorsal
supérieur
de l'organe jusque dans la portion lombaire qui
2nB t3t, 'I,llffTt Mi'-^ll' ' 013SERV,TIO,41.' I. -Parésie du droit
supérieur
gauche ; Posis tran- t Observation I. JParésie
t supérieur gauche ; Posis tran- t Observation I. JParésie du droit
supérieur
gauche,; pLosis ran- ,sitôiré'àJplusieürs''r'ép
Observation IL .Parasie de la troisième paire"droite et du droit
supérieur
' droit ;. 'atrophié blanche simple, des rnerfs o
e entre l'amaurose qui résulte d'une irritation du nerf maxillaire,
supérieur
et, celle qui résulte d'une irritation du nerf
tes," avec les, mouvements 'du 'bras ' du côté opposé ; ' la partie
supérieure
des deux'méines circonvolutioris avec le lobule
nvolutioris avec le lobule paracentral (et aussi le lobule pariétal
supérieur
? ) ,, avec ceux des deux membres du côté oppos
ontribution à l'étude des modifications de la sensibilité du membre
supérieur
consécutives aux lésions nerveuses; par G. Mialab
IIEZ les hystériques. 131 entre les membres inférieurs, les membres
supérieurs
et la face, l'hyperexcitabilité pouvant se mont
ndineux sont exagérés aux genoux, mais sans irradiation aux membres
supérieurs
, ils exis- tent aux coudes ; aux poignets ils s
Pas d'achromatopsie. Exagération des réflexes tendineux aux membres
supérieurs
comme aux membres inférieurs, plus accusés à ga
e des yeux, les pupilles se cachent convulsivement sous la paupière
supérieure
et ne se laissent pas découvrir. La catalepsie
petits boutons, gros comme une tête d'épingle, limitée aux membres
supérieurs
, et qui dura environ cinq à six jours. Deux ou
ez posément, se fléchit sur le bassin pour faire avec les membres
supérieurs
étendus un angle de 45° environ ; elle se rejette
u côté paralysé. Thorax et abdomen normalement conformés. Membres
supérieurs
. Le bras gauche est raide avec contrac- ture ;
s; la dyspnée augmente. On entend dans le poumon gauche à la partie
supérieure
un souffle bronchique profond, masqué en partie
o- pneumonie caséeuse, identiques à ceux du poumon droit. Le lobe
supérieur
est intact. Les ganglions péribronchiques sont
e..., présentant un défaut d'équilibre entre les facultés morales
supérieures
, la volonté, la conscience, et les facultés infé-
'évolution formatrice, dispenser la quantité qu'exigent les organes
supérieurs
qui pré- sident à la vie psychique; les couches
l'oiseau (projection en avant du nez et des incisives du maxillaire
supérieur
); pour toute parole, elle fait entendre un ronf
lambdoïde, l'obliquité antérieure des dents incisives du maxillaire
supérieur
tandis que la mâchoire inférieure est fortement
latées au cours de l'observation, présentait aussi un bec-de-lièvre
supérieur
médian compliqué de gueule-de-loup. Les difficu
, voit se développer en 1869 une ulcération sur le bord de la lèvre
supérieure
qui se prolonge jusqu'aux con- fins de la muque
onvulsions cloniques de certains muscles symétriques des extrémités
supérieures
et inférieures, qui se sont manifestées à la su
ie, t. II, p. 1,78. SOCIÉTÉS SAVANTES. 237 principalement la face
supérieure
du chiasma, tandis que la commis- sure postérie
des troubles trophiques du côté des articula- tions des extrémités
supérieures
. Il parait certain que les réflexes ont pu être
loffiiiann, Sauvages, Bosquillon signalent la paralysie des membres
supérieurs
' dans le cours de l'empyème ; en 1875, M. Raym
e lendemain 1 ? mars, il offre les symptômes suivants : à la partie
supérieure
du dos, entre la première et la deuxième vertèb
abdominal a conservé toute sa force. Il en est de même des membres
supérieurs
. Les réflexes offrent une remarquable asymétrie
ogres- snement, et quand elle arrive vers le genou droit, la partie
supérieure
de la face commence a se prendre L gauche. L'in
ette dysesthésie peut, comme l'anes- thésie, se limiter à la partie
supérieure
d'un côté de la face, et s'accompagner de troub
e se trouvait sur une ligne allant de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à l'ombilic, à 9 centimètres de l'épine et à 12
s du pubis et à 13 centimètres des épines iliaques antérieures et
supérieures
. Le point ovarien gauche est à 2 centimètres au-
ètres au-dessous de la ligne passant par les deux épines iliaques
supérieures
et 5 centimètres en dedans de ces épines. Si, apr
d'hypnotisme par le procédé de la fixité du regard, en convergence
supérieure
. Au bout de cinq minutes environ, les yeux se f
s, la pupille fuit la lu- mière en se cachant soit sous la paupière
supérieure
, soit sous la paupière inférieure; lorsque néan
, elle parait à l'oeil nu tout à fait normale, depuis son extrémité
supérieure
, jusqu'à l'origine du renflement lombaire. Au n
it. Depuis huit jours, il existe une véritable paralysie du 'membre
supérieur
droit; le membre inférieur est atteint, mais à
ète des membres du côte droit. Les mouvements volontaires du membre
supérieur
sont encore possibles, mais très limités. La fo
la piqûre, au pincement et au froid, dans toute l'étendue du membre
supérieur
, du membre inférieur et du tronc, jusqu'à cinq
paralysie du 'côté droit tend t diminuer, les mouvements du membre
supérieur
sont un plus étendus, mais la force muscu- lair
motrice. La paralysie du mouvement était plus prononcée au membre
supérieur
qu'au membre inférieur, tandis que l'anesthésie
est très amaigri. Aucune malformation congénitale ni aux membres
supérieurs
, ni aux inférieurs, qui sont longs et grêles. Le
tales sont comme évi- dées. 'Traces de duvet cachectique à la lèvre
supérieure
et au niveau des branches du maxillaire inférie
face postérieure de l'os. Au moment où il se réfléchit sur son bord
supérieur
, il passe sous le sinus pétreux supérieur qui c
se réfléchit sur son bord supérieur, il passe sous le sinus pétreux
supérieur
qui contribue à le fixer encore plus solidement
gère de la vue, hémiopie transitoire homonyme, rarement croisée,
supérieure
ou inférieure, cécité complète, tels sont les d
x de la motilité (parésies ou para- lysies). Ils occupent le membre
supérieur
, tout un côté du corps, le corps entier parfois
s moteurs dans l'hémisphère gauche, ont une impor- tance quantilive
supérieure
à celle des centres homologues dans l'hémisphèr
des deux circonvolu- tions rolandiques, tandis que toute la portion
supérieure
de ces circonvolutions, avec le lobule paracent
convolutions rolandiques, il appartiendrait exclusivement au membre
supérieur
et même seulement à l'avant-bras et la main. Ex
des circonvolutions cen- trales renferme le champ absolu du membre
supérieur
et non pas celui du membre inférieur, etc.. O
analogues à celle-ci, aura dé- montré que le champ absolu du membre
supérieur
siège a la face inférieure du lobe sphénoïdal,
ibution il l'étude de* modifications rl(, la sensibilité dit membre
supérieur
consécutives aux lésions nerveuses; par G. 111mcn
oupe de la moitié iiiféiteiii,e, et figure 6 coupe (le la moi- lit,
supérieure
(sous-calleuse) de la corne (lit mouton. Let- t
du neif auditif traitée par le picro-carnmaate. Faisceau postétteur
supérieur
montrant des tubes nerveux à myéline volumineus
. ? 3/711art. : Trois tubes nerveux à myéline du faisceaupostétieur
supérieur
du nerf auditif soumis a l'action de l'acide osmi
série. Douze possédant le certificat d'études, forment une division
supérieure
, ne vont il l'école qu'une demi journée par sem
Charles Scapucci, assistant il la Clinique Médi- cale de l'Institut
Supérieur
de Florence, sous-Directeur du Sanatorium Casan
nçon à cinq ans de travaux publics, inculpé de violences envers ses
supérieurs
à l'occasion du service. Or, ce nommé Hellanger
ue la racine du nez. Les cils assez rares, sont longs aux paupières
supérieures
. Les iris sont bleu clair; les pupilles, égales
bisme. Ne; moyen, formant une concavité prononcée dans sa moitié
supérieure
, extrémité grosse, arrondie. Narines égales, el
ée. Joues grosses, colo- rées. Bouche petite (i cent. 1/2), lèvre
supérieure
portée légère- (1) L'enfant Lehris ? mongolien,
accentué. Lèvre inférieure plutôt étroite. Dentition : Maxillaire
supérieur
très rétréci latéralement en forme d'angle, som
proéminent, à parois flasques. Pas de hernie ombilicale. Membres
supérieurs
et inférieurs réguliers ; mouvements souples, r
e d'une émotion pro- voquée par la chute d'une suspension à l'étage
supérieur
; 4° garçon, 11 ans, bien portant, pas de convul
ouvertes surtout celle de droite, ailes à peine dessinées. Lèvre
supérieure
fuyante, mince, en retrait; lèvre inférieure sa
volumineux, hymen cir- culaire, non frangé ; anus rien. Alembres
supérieurs
bien proportionnés, un peu courts cependant. Ma
vent collées le matin qu'autrefois. Toutes les dents de la mâchoire
supérieure
sont tombées, M... porte un dentier complet.
5 de circonférence ; le corps thyroïde est perceptible. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont bien musclés et n'offrent ri
, de 28 à droite et 23 à gauche. Organes génitaux et puberté. Lèvre
supérieure
, léger duvet brun; lèvre inférieure, joues, men
traînante, le malade entre'en déchéance. Il se promène, la par- tie
supérieure
penchée en avant et la tête baissée ; il marche
iocéphalie. Fontanelles soudées. Front bas et triangulaire à sommet
supérieur
. Visage piriforme. Arcades sourcillières peu pr
de forme normales. Lèvre inférieure un peu plus volumineuse que la
supérieure
. Palais : voûte et voile de forme un peu ogival
ur 4 cent, de large. Hélix assez large et bien ourlé dans son tiers
supérieur
, à peine ourlée dans ses deux tiers inférieurs.
mouvements provo- qués de flexion dans les articulations du membre
supérieur
sont possibles complétement. Ceux d'extension s
nt. Ceux d'extension sont incom- plets. Les articulations du membre
supérieur
au palper ne présentent rien d'anormal. La form
artie moyenne, par un foyer de sclérose atrophique, depuis son bord
supérieur
jusques et y compris le bord inférieur de F3. L
à peu près saines, l'extrémité posté- rieure de I et F2 et les 4/5
supérieurs
de FA. Les portions scléreuses des trois circon
tée dans son développement. La sclérose atrophique de l'extrémité
supérieure
de PA se prolonge sur le lobe paracentral qui est
nte, la partie inférieure et antérieure de Pa, tout le pli pariétal
supérieur
, P1, les deux tiers postérieurs de la première
erculose ; PYO-PNIJU11f0-THORAx, 67 tie correspondant à l'extrémité
supérieure
de la sclérose de la face externe. La circonvol
Ce pou- mon est creusé au niveau de son lobe moyen et de son lobe
supérieur
d'une grosse cauerne ayant tous les caractères d'
4 k. 300; Taille : 1"'28, au lieu de 1111li2. Main gauche. Face
supérieure
. -- L'index, le médius et l'annulaire sont asse
au niveau des fausses côtes qui sont rejetées en arrière, la partie
supérieure
du thorax forme une conve- xité très accusée, s
prononcée que d'habitude, princi- palement au niveau des deux tiers
supérieurs
du thorax. Au- dessous de cette convexité, on n
brale forme une stillie notablement exagérée au niveau de la partie
supérieure
du dos. Il existe également une légère convexit
olonne vertébrale. Celle-ci offre deux courbures de scoliose, l'une
supérieure
, il convexité regardant à droite, l'autre infé-
8 IDIOTIE myxoedémateuse. Description DU malade.' 89 t Mâchoire
supérieure
. - Cûté gauche. Incisive centrale permanente,
qui sont rejetées assez fortement en dehors. En arrière, la partie
supérieure
du thorax forme une convexité très accusée, sur
si que dans le creux axillaire. DESCRIPTION DU malade. 91 Membres
supérieurs
. 92 Idiotie myxoedémateuse. érythème assez pr
le déshabille et on le couche. Il se jette en arrière, les membres
supérieurs
s'allongent et se raidissent; la respiration de
embres étaient souples. Le cou était rigide. 20 février. - Membre
supérieur
gauche : rigidité assez prononcée de l'épaule,
atarso-phalangiennes. Les doigts commen- cent à être mous. Membre
supérieur
droit : épaule molle, coude et poignet rigides,
n peu congestionné et il y a des plaques de péri-hépatite à la face
supérieure
du lobe droit. Vésicule biliaire, rien. Rein dr
métopique de 182,9. Les dimensions du crâne de Debarg.. sont donc
supérieures
. ' Le diamètre antéro-postérienr maximum part e
fait défaut, ce qui n'empêche pas le diamètre maximum d'être encore
supérieur
à celui d'adultes normaux et à saillie forte. R
amens de Deb... à son arrivée à Bicêtre. car la proéminence du bord
supérieur
de l'os avait attiré l'atten- tion. La présence
gomatiques, faible développement de l'os ma- laire et du maxillaire
supérieur
, absence des arcades dentaires, tout cela est t
u fémur restant normale, ainsi que la partie externe de l'extrémité
supérieure
du tibia, la partie interne de ce dernier os s'
s et pariétales. - E, fosse ethmoïdale. T, fosse temporale. R. bord
supérieur
du rocher. A, trou auditif. B, basion (bord ant
nanisme ET infantilisme. Tête assez grosse, volumineuse à la partie
supérieure
. Crâne : forme ovoïde : la partie postérieure e
lle, la notion des cou- leurs. etc. Ne : . petit, arrondi, à courbe
supérieure
et dorsale ; narines étroites, sillon naso-labi
entimètres. Prépuce long, gland découvrable. Anus normal. Membres
supérieurs
réguliers, normaux, cylindriques, potelés, mais
uvet très fin au-dessous des oreilles et aux extrémités de la lèvre
supérieure
, tout le corps est glabre. Les bourses sont pen
r suite d'une fréquentation irrégulière de la classe. Les membres
supérieurs
sont constamment agités, exécutant des mouvemen
missure labiale et la région avoisinante de la joue ou sur la lèvre
supérieure
, ou sur le menton ; aussitôt que la langue a pa
jaunâtres sur la chemise. Urine : ni albumine ; ni sucre. Membres
supérieurs
: forme et attitude normales, bien développés.
rendu de 1901, p. 84, Accès D'ÉPILEPSIE ; hémorragie cutanée. 173
supérieures
sont réunies par une bande d'un centimètre cou-
ures prolongées. Pommettes peu saillantes. Bouche moyenne, la lèvre
supérieure
proémine un peu. Palais très ogival. Pharynx, a
Bras glabres, avant-bras poils follets; cuisses glabres. Membres
supérieurs
et inférieurs bien conformés. Sensibilité génér
apprit le lendemain qu'il s'agissait d'un homme, habitant à l'étage
supérieur
, qui avait eu une crise d'épilepsie. Cette émot
Pommettes symétriques, peu saillantes. Bouche entrou- verte ; lèvre
supérieure
un peu proéminente. Palais, nor- mal. Amygdales
e. Bourneville, Bicêlre, 1902, 14 210 Idiotie profonde. Membres
supérieurs
, réguliers ; cicatrices de vaccin aux deux bras
est en exophtalmie sous des paupières très oedématiées, la paupière
supérieure
est sillonnée d'une plaie transversale due à un
éfaction considé- rable des paupières de l'oeil gauche. La paupière
supérieure
, sphacélée, a laissé évacuer une partie du pus.
aces du lobe frontal. Il existe une atrophie très prononcée du bord
supérieur
du lobe carré et de son bord antérieur. A l'ang
es- pondante de la scissure calloso-marginale et l'angle postéro-
supérieur
du lobule paracentral. Face convexe. - Les circ
, large dans son tiers inférieur, est étroite dans ses deux tiers
supérieurs
. Les autres circonvolutions pariétales, le pli co
ions pariétales, le pli cour- be et les circonvolutions occipitales
supérieures
sont plutôt un peu grêles. - La lobe temporal e
assez difficiles à trouver, gros comme un grain de blé. Membre
supérieurs
mai- gres : avant-bras en flexion permanente
s Bourneville, Bicêlre, 1902 André. Mêmes caractères. Membres
supérieurs
grê- les, les bras écartés dutronc, l'avant-b
as ici, car le poids après décès était de 19 kil. 800, c'est-à-dire
supérieur
à celui qui avait été constaté six mois plus tô
n du malade fait constater une con- tracture en flexion des membres
supérieurs
portant 'surtout sur l'avant-bras ; les mains r
trabisme divergent. Il y a une saillie très mar- quée du maxillaire
supérieur
et du maxillaire inférieur. Les dents sont très
ieure des cuisses. Le pied reste en attitude normale. Les membres
supérieurs
sont contractures en flexion. (1,'ig. 38.) Les
ant ces cris, les rides de la face s'accusent au niveau de la lèvre
supérieure
, des joues, du nez, des paupières. Quant aux
F', F2, F3, lre, 20, 3' circonvolutions frontales. P1, pli pariétal
supérieur
. PA, circonvolution pariétale ascendante.. FA
3, 1 ? 2°, 3e circonvolutions temporales. Se fs., scissure frontale
supérieure
. Sc fi., scissure frontale inférieure. Se p.,
r,Fa,F3, Ie", 2e, 3°, circonvolutions frontales. P1, Pli pariétal
supérieur
. P2, Pli pariétal inférieur. PC, Pli courbe.
, F2, F3, Ire, 2e, 3° circonvolutions frontales. LPS, lobe pariétal
supérieur
. ' LPI, lobe pariétal inférieur. F, fourche.
temporales Se S., scissure de Sylvius. Se fs., scissure frontale
supérieure
. Se fi., scissure frontale inférieure. Se p,
s et pariétales. E, fosse ethmoidade. - T, fosse temporale. R, bord
supérieur
du rocher. A, trou auditif. B, basion (bord ant
ombinée à des phénomènes parétiques du côté de la face ou du membre
supérieur
droit, on peut aussi la voir s'allier à la form
aucun trouble de la déglutition. Réflexe pharyngé normal. Le facial
supérieur
paraît intact; l'orbi- culaire des paupières se
secousses convulsives involontaires. Rien de semblable aux membres
supérieurs
ni à la face. Pas de tremble- ment. La rétent
u côté du sphincter anal. B. Sensibilité. Aucun trouble aux membres
supérieurs
ni il la face. La main droite est un peu plus f
n trouve de petits anévrismes le plus antérieur sur la cérébelleuse
supérieure
; le plus en arrière et le plus gros sur la céré
ne éruption antérieure iden- tique. Le tronc, le dos et les membres
supérieurs
sont indemnes. Chaque bulle durait de huit à di
ère, sans ictus. En 1895, elle a eu le zona un mois, dans la partie
supérieure
du thorax, côté gauche. Elle n'avait pas et n'a
aucun régime particulier. - Elle n'a plus qu'une denlà la mâchoire
supérieure
. Il y a déjà un an qu'elle perd ses' dents, sans
ins hygiéniques et antiseptiques. La peau des membres inférieurs et
supérieurs
est rugueuse, sèche. Ichthyose légère de tout l
-le avec deux fils de cuivre sur les épines iliaques antérieures et
supérieures
(trois points d'appui), son extrémité supérieur
es antérieures et supérieures (trois points d'appui), son extrémité
supérieure
(surmontée d'un point de repère) mar- quera les
de la cuisse paraît moindre chez .l'enfant, les individus musclés,
supérieur
chez les adultes amaigris. L'hypotonie parait m
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 lomotcur commun, que le droit
supérieur
qui soit innervé par le noyau du coté opposé. L
tout cas intéressant de constater que : , a). Les muscles (droit
supérieur
et oblique inférieur) qui concourent au mouveme
nt radiculaire qui innerve le nez et la partie contiguë de la lèvre
supérieure
. 4° La destruction du terri- toire postéromédia
PHYSIOLOGIE pathologiques. 61 XXII. Arrêt DE DÉVELOPPMENT DU membre
supérieur
consécutif A un- traumatisme datant DE l'enfanc
psie d'un malade ayant présenté un arrêt de développement du membre
supérieur
consé- cutif à un traumatisme du coude. L'exame
kel, et elles gagneraient ensuite le cerveau par le nerf maxillaire
supérieur
, deuxième branche du trijumeau. Quant aux fibre
ganglion otique, soit, comme d'autres l'imaginent, au maxil- laire
supérieur
, grâce à une anastomose existant entre le plexus
u de Burdach, gagne, entre les deux, la ligue limitante. La branche
supérieure
monte dans le faisceau de Burdach et surtout da
cervical. L'hémisphère gauche, au niveau du centre moteur du membre
supérieur
, ne présentait pas d'atrophie visible à lit nu.
t sectionner le sympathique entre le ganglion ,cervical moyen et le
supérieur
; quand le goitre est plus accusé, la section do
nsisté en la résection de la partie inférieure du ganglion cervical
supérieur
avec 3 centimètres et demi à 4 centi- mètres du
sympathique, l'excision et les tiraillements du ganglion cervical
supérieur
ont déterminé une excitation, sans effet pour le
éveloppa une parésie des extrémités droites, surtout des extrémités
supérieures
. Le malade a un air éperdu, passe d'un endroit
li naso-labial droit et une déviation de langue à droite; le membre
supérieur
droit est plus faible que le membre 86 sociétés
périeur droit est plus faible que le membre 86 sociétés savantes.
supérieur
gauche. Le sens musculaire est affaibli dans les
, rempli de caillots décolorés, par lesquels, plus près de la paroi
supérieure
passe un canal d'un aspect irrégu- lier, dans l
che de la bouche se déviait de côté et en bas. La force des membres
supérieurs
était très affaiblie ; à la compression d'un dy
bre, mais aussi au jardin, sans ressen- tir de fatigue. Ses membres
supérieurs
devinrent plus forts, de sorte qu'elle s'occupa
elle a eue il y a quinze mois. La force est très diminuée au membre
supérieur
droit; au dynamomètre = 18 ; du côté gauche = 2
habituel, ressentant seu- lement un peu de faiblesse dans le membre
supérieur
droit. Depuis, elle a eu deux crises semblables
. En résumé, asthénie très prononcée, parésie très légère du membre
supérieur
droit et de la face à droite; abolition des rét
gré de para- lysie faciale droite. Parésie plus accentuée du membre
supérieur
droit qui reste habituellement inerte et pendan
e un très léger degré de paralysie faciale, et de parésie du membre
supérieur
. Réflexes rotuliens abolis. Il n'y a plus de céph
de ou qu'on lui parle; il est limité au côté et prédomine au membre
supérieur
; il augmente d'amplitude à l'occasion des mouve
ns, du milieu, des occasions de nuire. Pensons encore aux dégénérés
supérieurs
il syndromes vrais très voisins de la dégénéres
ui M. Quénu a pratiqué la résection bilatérale du ganglion cervical
supérieur
du grand sympathique et du tronçon nerveux sur
pour retenir son cheval emballé, d'une paralysie des deux membres
supérieurs
. Quelques minutes plus tard, la paralysie gagna l
thoracique, en bas, et la ligne qui passe parle mamelon et le'bord
supérieur
de l'omo- plate, en haut. Dans toute la moitié
es (zone de distribution du plexus sacré) ; au- dessus de la limite
supérieure
précitée de l'anesthésie se trouve une bande ét
troite d'hypéresthésie ; rétention d'urine; constipation; la moitié
supérieure
du corps est normale. Evolution de la maladie.
le nystagmus. Au mois de septembre, l'anesthésie gagne les membres
supérieurs
, en même temps qu'on remarque une parésie des m
rale, tapissée d'un tissu connectif. Au niveau de la région dorsale
supérieure
, la tumeur ) centrale et la cavité se séparent
la tumeur, localisée dans la partie centrale de la région cervicale
supérieure
et développée également au milieu d'une gliomat
tion dans ses parois des éléments néo- plasiques. Quant à la cavité
supérieure
, c'est de la syringomyélie, consécutive à la gl
dont est constituée la paroi de la cavité localisée dans la partie
supérieure
de la moelle, ne lui parait pas suffisamment fa
a majorité des cas, l'ongle jaunit, brunit. Il présente sur sa face
supérieure
des sillons transversaux ou longitudi- naux ; i
fut suivie d'une cataracte traumatique avec ptosis de la paupière
supérieure
. Il fut très affecté de ce reliquat post-traumati
t externe du frontal. Poumons.- Congestion hypostatique à la partie
supérieure
et aux deux bases. Coeur. Surcharge graisseuse
conscience, ni douleur ; la douleur, qui est l'apanage des êtres
supérieurs
, n'en a pas moins une utilité très grande parce q
première fois. Il y a donc entre les êtres inférieurs et les êtres
supérieurs
cette différence que les premiers ne connaissant
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2)S tive, tandis que chez les êtres
supérieurs
elle est à la fois consécu- tive et préventive.
EMENT INCOMPLET DES NE111,S optiques dans LE chiasma DES mammifères
supérieurs
; par BECUTEREFF.(Rct) ! <e de psy- cliologie
partiel du nerf optique dans le chiasma de l'homme et des mamifères
supérieurs
. Les expériences multiples faites par l'auteur
A l'autopsie on constata que le tiers postérieur de la temporale
supérieure
était lésé et que la pariétale inférieure l'était
courbe ayant conservé une corticalité et des systèmes d'association
supérieurs
, postérieurs et inférieurs nor- maux. 222 REV
La surdité verbale devait correspondre à la lésion de la temporale
supérieure
, l'alexie et l'agraphie à la des- truction de l
l'opération, lésion du grand sympa- thique et du ganglion cervical
supérieur
. Chose particulière, il n'y pas, eu diminution
ATHOLOGIE NERVEUSE. 225. qui a présenté de la paralysie des membres
supérieurs
, portant sur les muscles extenseurs des doigts,
tion de l'inconscience, et perte du contrôle exercé par les centres
supérieurs
sur les réflexes à la-façon d'un shock » affect
fixer d'une façon durable la manière dont les processus psychiques
supérieurs
s'effectuent chez les malades, M. Sommer a comp
e, opistotonos permanent, membres inférieurs en exten- sion forcée,
supérieurs
en flexion, céphalalgie, dyspnée, pouls 93, t.
ôt transformée en paralysie, des membres inférieurs, puis du membre
supérieur
droit. Le membre supérieur gauche, envahi en de
des membres inférieurs, puis du membre supérieur droit. Le membre
supérieur
gauche, envahi en dernier lieu, n'a été qu'incomp
ie d'une phase dépressive et que finalement le travail fourni était
supérieur
à la normale. (d suivre.) ASILES D'ALIÉNÉS. C
1,036,19 à la Guyane, et à 859,33 à la Nouvelle-Calédonie, chiffre
supérieur
à celui des rentes qui suffi- sent à la plupart
e l'éducateur. Et la raison fondamentale en est que l'inverti, si
supérieur
soit-il, est toujours un dégénéré. La perversion
tribuent guère. Si l'on pouvait établir par des faits que l'inverti
supérieur
n'est pas un dégénéré et qu'il peut fournir une
u'au point de vue fonctionnel ; c'est un homme d'une intel- ligeuce
supérieure
. On ne connaît non plus aucune tare névropa- th
DE DE LA DESCENDANCE DES INVERTIS. 287 7 ils peuvent même se croire
supérieurs
à ceux qui sentent et pensent autrement; mais q
ux. Lèvres normales. Bouche moyenne. Dents blanches régulières, les
supérieures
chevau- chent légèrement sur les inférieures. I
t avec capuchon peu développé. Hymen ovalaire. Anus normal. Membres
supérieurs
bien développés, même très gras. Mains bien fai
et PA semblent saines. Les scissures sont béantes. Le lobe pariétal
supérieur
est à peu près normal ; mais le pli courbe et l
s de signe de Romherg, incoordina- tion moins accentuée aux membres
supérieurs
. Tremblement léger au repos continuant sans exa
constate pas de lésions vertébrales. Les autres segments du membre
supérieur
présentent leurs mouve- ments normaux. Il n'y a
influences, il n'en est pas de même des fonctions complexes d'ordre
supérieur
. Pour celles-ci les tissus et organes se transm
ions passent directement aux centres moteurs sans aller aux centres
supérieurs
; « il y a production d'un court circuit dans le
celle des faits cons- cients psychiques volontaires, très limitée,
supérieure
s'est élevée par l'évolution, laissant tomber a
a été d'encourager des personnes d'un niveau intellectuel et moral
supérieur
à entrer dans la carrière. Chaque fois que ce
sur une liste de promotion que lorsqu'ils seraient dans la division
supérieure
de l'école ; ils ne pourraient passer de la pre
; ils ne pourraient passer de la première division dans la division
supérieure
qu'après que leur capacité intellectuelle, phy-
s réagir, il est possédé, il est sous la domination d'une puissance
supérieure
qui opprime ce qui reste de sa personnalité pri
idées de domination par une LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 369 puissance
supérieure
, des idées de possession presque de règle chez
ellules nerveuses du cerveau et de la moelle épinièreldes vertébrés
supérieurs
, une question difficile se présente, celle de lam
ne à admettre, par analogie avec ce qu'on observe, chez les animaux
supérieurs
, que les libres teimi- naisons nerveuses de Smi
X, t89j, 1). t)7. 384 REVUE CRITIQUE. s'étendent dans les régions
supérieures
de l'écorce, elles entrent en contact avec ces
résentaient pour lui les cellules d'origine des fibres de la racine
supérieure
du trijumeau, racine motrice, comme en témoi- A
erveux unique. Quant aux cellules globuleuses voisines de la racine
supérieure
du trijumeau, racine motrice (IC&Ililer), e
ques. D (Van Gehuchten. De l'ori/gine du pathétique et de la racine
supérieure
du trijumeau, 1895.) Les dendrites participent
e de jours consécu- tifs privée de l'usage de la vue. Les paupières
supérieures
étaient tombantes, les pupilles dilatées et san
M. Jaboulay, qui fit l'extirpation des deux ganglions sympathiques
supérieurs
. Après l'opération, les crises furent aussi fré
esse la moelle à un niveau qui correspond aux vertèbres moyennes et
supérieures
. -Troisième type : Les membres supérieurs et le
ux vertèbres moyennes et supérieures. -Troisième type : Les membres
supérieurs
et le thorax participent aux troubles sensitivo
mpris jusqu'à la face. La lésion intéresse la moelle dans sa partie
supérieure
, immédiatement au-dessous de la protubérance oc
n malade voué à une mort certaine. Si la lésion intéresse la partie
supérieure
du rachis, une issue fatale est vrai- semblable
les nerfs terminaux de la troisième paire, sont situés dans l'étage
supérieur
du pédoncule cérébral, au-dessous des tubercule
r- tains noyaux, notamment de celui de l'élévateur de la paupière
supérieure
, partent des filets radiculaires qui s'entre-croi
constater une dégénérescence assez visible du pédoncule cérébelleux
supérieur
, et évidemment certaines fibres du pédoncule cé
supérieur, et évidemment certaines fibres du pédoncule cérébelleux
supérieur
ne se terminent pas dans le noyau rouge, mais l
a démontré l'existence d'un processus inflammatoire dans la région
supérieure
de la moelle épinière s'étendant en bas jusqu'a
l'olive du même côté. Comme le système des pédoncules cérébelleux
supérieurs
sert de connexion entre le cervelet et les noya
dans l'espace de dix-huit mois, à savoir : anesthésie de la région
supérieure
du thorax et de la face cubitale des deux mem-
gion supérieure du thorax et de la face cubitale des deux mem- bres
supérieurs
en même temps que symptômes oeulo-pupillaires d
rganique primitive située dans la protubérance, le bulbe, la partie
supérieure
de la moelle, les ganglions sympa- tliiqties. F
s de troubles tro- phiques, ni d'atrophie musculaire. Aux membres
supérieurs
, il paraît y avoir une diminution de force nota
lisées et avec un retard assez considérable. Au niveau de la limite
supérieure
, il ne s'agit plus que d'hypoesthésie : il n'y a
seule- ment la nuit : le besoin d'urmer n'est plus perçu. Membres
supérieurs
. 1° 21 gauche, n) Motilité. Pas de déforma- tio
les de la motilité et de la sensibilité permet de fixer les limites
supérieures
de la lésion spinale. On reporte cette limite s
, sans localisations précises dans toute l'étendue des deux membres
supérieurs
, permet de supposer que les racines de tout le
de volume au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale
supérieure
. La surface externe de la dure-mère rachidienne p
andis qu'il manque à peu près totalement dans la région cervi- cale
supérieure
de sa moelle. Jusqu'au niveau de la deuxième do
ces troubles de la sensibilité. c). En remontant, dans les membres
supérieurs
nous trou- UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 447 1
rieurs, signes de lésion transverse de la moelle ; pour les membres
supérieurs
, signes de compressions radiculaires; au-dessus
esthésie appré- ciable seulement à un examen minutieux. La limite
supérieure
de la lésion était donc cliniquement la suivant
ard. - c). La section des racines postérieures arrivant à la partie
supérieure
de la moelle dorsale produit de l'hyperesthésie d
sous la dépendance de lésions centrales), ou bien pour les membres
supérieurs
des erreurs notables dans l'appréciation de dif
TUMEUR DE LA MOELLE. 455 Les troubles de la sensibilité aux membres
supérieurs
d'ailleurs très légers, affectaient nettement l
pour mes péchés, ce qu'on n'a peut-être jamais vu en 1 Lettre de la
supérieure
des Ursulines au Père Surin. 2 Pierre Janet.jM&
aperçoit un noyau médian à grosses cellules; - sa partie externe et
supérieure
, on trouve un amas cellulaire, pair et symétriq
asculaire lorsqu'elle porte sur la chaîne thoracique dans sa partie
supérieure
.Il faut admettre, en principe, bien que ce fait
XXXVH. Observation DE mouvements associés TYPIQUES DE l'extré- mité
supérieure
droite dans l'aphasie; par E. Remarié. (LvC2l1'OI
e la jambe, les mêmes mouvements se peuvent produire dans le membre
supérieur
, du même côté que celui de la jambe (origine pé
le chien ne produit pas le même résultat parce que chez les animaux
supérieurs
, le cerveau ayant un gros volume, la piqûre n'e
rémités de l'animal, qu'il s'agisse d'une grenouille ou d'un animal
supérieur
. L'excitation indépen- dante de ce centre engen
éiques qui n'ont pas succombé à la section trans- vase des segments
supérieurs
de la moelle. Cela veut dire que les convulsion
n du tronc des hémisphères dans la région du tubercule quadrijumeau
supérieur
, à l'endroit où ce dernier possède des cellules
ance blanche, interrompra des fibres qui vont de la région frontale
supérieure
ou moyenne à la couche optique. Donc, toute dégén
quadrijumeaux ne contient que très peu de myéline; donc le neurone
supérieur
des fibres auditives est pourvu de myé- line av
r même de cette aire, limitée, sur une coupe transverse par l'olive
supérieure
, le noyau du facial, les racines émergentes du
elle. Cou- servant cette orientation latérale par rapport à l'olive
supérieure
, les fibres dégénérées montent vers le cerveau
eil latéral et y demeurent. Au moment où les pédoncules cérébelleux
supérieurs
arrivent dans la calotte, les fibres dégénérées
et, côtoyant le noyau des pyramides, l'olive accessoire, les olives
supérieures
, la région du tubercule quadrijumeau, arriverai
érieures, la région du tubercule quadrijumeau, arriverait à l'étage
supérieur
des pédon- cules cérébraux où, situé en dedans
bution à l'étude des troubles nerveux par cals exubérants au membre
supérieur
. Friteau (Edouard). Les branches extra-pétreuse
ement ni plus vigoureusement indi- qués. « La plupart des animaux
supérieurs
, nous dit 11. Walsh, singes, éléphants, ours, c
l ? tirdllcka, 402. Aphasie. Mouvements associés de l'extrémité
supérieure
droite dans l ? par Remak, 486. Aphasique. Mo
ole chez un , par Sainton, 58. Arrêt DE développement du membre
supérieur
consécutif à un trauma- tisme de l'enfance, par
ra l'observation de ce macaque, il continua à étendre son extrémité
supérieure
gauche lorsqu'on lui présentait un fruit. Il ne
es, de quelques paires rachidiennes de la moelle dorsale moyenne et
supérieure
. Les petites différences anatomo-patholo- gique
locale, et comme les colla- térales réflexes de la moelle lombaire
supérieure
participent du même processus, on s'explique sa
n prévision du traitement par le lit : notons des sommiers à partie
supérieure
mobile, permettant au malade de res- 1 Nous avo
rmé dans la lutte pour la vie. Mais ces faits ont un intérêt encore
supérieur
au point de vue mental, quand on y cherche un m
-mère, qui était très adhérente sur les côtés du sinus longitudinal
supérieur
, il s'échappe une grande quantité de sérosité.
de l'enfant (comme dans celui du petit chat et d'autres mammifères
supérieurs
) il y a non seulement une augmentation quantita
le renflement lombaire (moins dans le cervical), et dans la partie
supérieure
de la moelle altération distincte des cordons de
peut voir un précipité de bleu de Turnbull se faire dans la partie
supérieure
du nerf, dans les racines, surtout dans les rac
. Elle est, malgré sa longue durée, absolument flasque. Aux membres
supérieurs
les réflexes osseux et tendineux existent un pe
ne de l'EpicGae médullaire ; par L. lllmoa (de Moscou). La limite
supérieure
du cône médullaire doit, après les observa- tio
situés immédiatement au- dessus du cône, ne dépassant pas la limite
supérieure
de la cin- . quième racine lombaire. Le sympt
es cas en : 10 Intégrité des réflexes rotuliens (signe de la limite
supérieure
) ; 2U Intégrité des sphincters (limite inférieure
uis dix-huit mois douleurs dans le bras gauche. Paralysie du membre
supérieur
gauche depuis huit mois, faiblesse du membre in
ois, faiblesse du membre inférieur gauche depuis six mois. Membre
supérieur
gauche : Atrophie des éminences thénar, hypo- t
d'une pneumonie est tombée dans le coma. Les membres inférieurs et
supérieurs
étaient animés de mouve- ments mvocloniques qui
nomènes pachyméningitiques notamment par les contractures du membre
supérieur
amenant des déformations qu'il fallait distingu
eu près ré- gulière. Voûte palatine assez profonde, arcade dentaire
supérieure
rétrécie en avant, de sorte que la canine gauch
poliomyé- litique étendue de la corne antérieure droite à la partie
supérieure
du renflement cervical (augmentation du tissu n
certain point une forme spéciale que Pierre Marie appelle le labes
supérieur
ou le tabès cérébral. Il admet que dans cette f
ntité des sillons et plis de passage. Dans les cerveaux à évolution
supérieure
, les lobes occipitaux deviennent plus profonds,
divement, obéissant ainsi à la règle de tous les tissus d'évolution
supérieure
; l'auteur rappelle sur ce point les travaux de
choisi a été la circonvolution frontale ascendante à son extrémité
supérieure
, d'abord parce que, de tout le cerveau, c'est e
les forces du muscle; par contre, il se dessine, dans les segments
supérieurs
de la colonne vertébrale, une scoliose compensa
ament primitif qui regarde extérieurement devient le prolonge- ment
supérieur
de la cellule ; celui-ci est donc le plus ancien
es cellules; les jeunes cellules en effet possèdent un prolongement
supérieur
bieu développé mais n'ont pas du tout de dendri
Marinesco (de Bucharest). COMMUNICATIONS S Paralysie Radiculaire
supérieure
du Plexus Brachial chez une jeune enfant; arrêt
chial avec réaction de dégénérescence limitée au groupe radiculaire
supérieur
. La distinction d'avec la paralysie spinale inf
eur localisation exclusive aux divers muscles du groupe radiculaire
supérieur
; par l'absence de toute période fébrile d'invas
ent en grande partie, sinon exclusivement, de la partie radiculaire
supérieure
du plexus bra- chial, c'eL-à-dire des V° et VI'
plégie hysté- rique, la paralysie s'établit à la fois sur le membre
supérieur
et sur le membre inférieur, mais très rarement
'11(,M[ANOISIE. 2. Absence d'altérations manifestes des mitres sens
supérieurs
. VIII. - L'ÉTAT PSYCHIQUE. IX. Troubles circu
dans le bras droit, parésie légère de tout le côté droit (membres
supérieur
et inférieur), hémianesthésie incomplète de tout
utopsie, ils ont trouvé dans les deux cas un tubercule de la partie
supérieure
de la protubérance entre les noyaux de la 111°
aidant en faveur d'une affection médullaire siégeant dans la région
supérieure
. Note sur la structure du noyau et la division
un côté de la face, au territoire de distribution des deux branches
supérieures
de la cin- quième paire droite et du rameau aur
génie est anor- mal, et parce qu'il possède des qualités psychiques
supérieures
, et ' parce qu'il est névropathe. Mais il est f
en aurait jamais eu, même au moment de la paralysie. Les membres
supérieurs
ont conservé toute leur force muscu- laire. Ils
it pas de clonus. 11 n'y avait pas de signe de Romberg. Les membres
supérieurs
étaient indemnes. La marche était facile, le pi
. Le thorax est bien conformé, les masses muscu- laires des membres
supérieurs
sont solides. Toute la force musculaire est con
s sont solides. Toute la force musculaire est conservée aux membres
supérieurs
, le malade oppose une , MALADIE NERVEUSE FAMILI
fforts pour étendre, fléchir, etc., les divers segments des membres
supérieurs
. Il existe une très légère esquisse de Romberg.
ze à quatorze ans. Jambe gauche à 15 centimètres au-dessous du bord
supérieur
de la rotule, 30 cent, 1 2. ' Jambe droite à
, 30 cent, 1 2. ' Jambe droite à 1;i centimètres au-dessous du bord
supérieur
de la rotule, 32 cent. 1/4. Jambe gauche à 22
ule, 32 cent. 1/4. Jambe gauche à 22 centimètres au-dessous du bord
supérieur
de la rotule, 21 cent. 1/2. 1 Jambe droite à
rticulaire, pas de mouvements intentionnels des muscles des membres
supérieurs
. Troubles sensoriels. Pas de nystagmus. Pupille
e. A l'âge de dix-sept ans, une ruade de cheval lui fendit la lèpre
supérieure
: il en conserve encore à l'heure actuelle une
lité, pas de troubles sphinctériens, pas de- nystagmus. Les membres
supérieurs
restaient indemnes. On ins-, titua un traitemen
Légère esquisse de Romberg. Force musculaire conservée aux membres
supérieurs
et égale- ment aux membres inférieurs. G... (Je
particulier aux réflexes cremastériens, ni aux réflexes des membres
supérieurs
. Si l'on fait marcher le malade tout vêtu, 'le
e côté également. Le sujet sent bien le sol sous ses pieds. Membres
supérieurs
. - Pas de tremblement intentionnel des membres
Membres supérieurs. - Pas de tremblement intentionnel des membres
supérieurs
(yeux ouverts ou fermés). La langue ne trem- bl
ensurations des mesures. Cuisses : 13 centimètres au-dessus du bord
supérieur
de la rotule. Droite, 43 cent. 5; gauche, 43 ce
5; gauche, 43 cent. 5. - Jambes : 17 centimètres au-dessous du bord
supérieur
de la rotule : droite, 3t fort; gauche, z. -
ds jusqu'à la cuisse, son extension fatale et régulière aux membres
supérieurs
, l'aspect général du malade ne permettent pas u
é est partout normale. Les réflexes tendineux sont abolis au membre
supérieur
gauche et un peu exagérés à droite. Les réflexe
rophie musculaire qui, après avoir débuté à l'extré- mité du membre
supérieur
gauche, a envahi le côté droit et entraîné une
une exagération des réflexes tendineux aux membres infé- rieurs et
supérieurs
et un léger nystagmus. Malgré l'absence de trem
sujets; chez l'adulte, elle débute presque toujours par les membres
supérieurs
, tandis que chez les enfants de deux à dix ans,
re que l'anesthésie monte sur le tronc, elle envahit les extrémités
supérieures
, exactement comme dans les lésions de la moelle
. En avant, la dure-mère est adhérente dans les régions thoiaciques
supérieure
et moyenne. La surface antérieure de la moelle
anormalement saillants, tortueux et disten- dus, sauf à la portion
supérieure
de la région thoracique. A la face postérieure
qu'il n'y a pas de ptpsis par parésie du releveur de la paupière
supérieure
, puisque le malade remue parfaitement la paupière
l'hypoglosse sont étroitement en rapport avec le ganglion cervical
supérieur
du sympathique. Sur un cliché lîoentgen, on ape
en même temps les trac- tus au moyen desquels l'action d'inhibition
supérieure
s'exerce sur les centres réflexes inférieurs, c
ules, dans les bourses, sont de la grosseur d'un haricot. Membres
supérieurs
. IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE. " . 281 une contrac
rait complexe, mais elle contient sûrement le pédoncule cérébelleux
supérieur
qu'on découvre un peu en arrière d'elle et la c
s nettement l'établissement d'un certain degré de parésie du membre
supérieur
gauche. Il y a un an, nous notons quelques accè
ué lui-même l'existence d'un certain degré d'empâtement à la partie
supérieure
de la nuque. Depuis cette époque un nouveau phé
latéralité se font plus facilement et sans raideur. Dans la partie
supérieure
de la nuque on observe l'empâtement déjà signal
bilité générale, il y avait hypereslhésie à gauche pour les membres
supérieur
et inférieur, réaction normale pour -le tronc e
inférieur, réaction normale pour -le tronc et la face. Aux membres
supérieur
et inférieur droits, un peu d'hypoesthésie. Nor
e parait aujourd'hui complète ci gauche mais plus marquée au membre
supérieur
dont la force musculaire est nulle et qui conse
non congestion- nées. Léger oedème cérébral au niveau de la partie
supérieure
du lobe frontal gauche. En somme, à première vu
ieur. . La compression avait donc eu lieu entièrement sur la face
supérieure
du rocher. Quant à la diminution de l'acuité au
s ; les membres inférieurs dans la résolution absolue ; les membres
supérieurs
contractures, l'avant-bras est fléchi, la main
de la rage trois semaines environ après avoir été mordue à la lèvre
supérieure
par un chien inconnu. Un chien et un lapin iocu
arallèlement une complexité plus grande de la structure des centres
supérieurs
. Depuis la naissance jusqu'à l'Age adulte, à me
e que l'activité mentale augmente, les connexions entre les centres
supérieurs
et inférieurs du cerveau s'accroissent avec une
te jeune, l'écorce a atteint son maximum de complexité. Les centres
supérieurs
ont entre eux des rapports plus étroits que jam
offrent une possibilité d'association des diverses impulsions bien
supérieure
à celle que l'on observe chez l'enfant nouveau-
discutées par un conseil de médecins légal analogue aux Conseils
supérieurs
d'hygiène. D 1. blanie. - 1'1. Rapports sur le
ée, mais d'une manière toute autre que dans l'hémiplégie. Le membre
supérieur
est atteint d'un tremblement à peu près nul l 3
partie inférieure du corps et 1'liéiiii- tremblement dans^la partie
supérieure
doivent être sous la dépen- dance d'une lésion
u reste de la préparation. - Paralysie associée îles muscles droits
supérieurs
. MM. 1\loc;uÈs et Cirode envoient l'observation
es d'une malade atteinte de paralysie hystérique des muscles droits
supérieurs
. 11 lui est impossible de regarder en haut sans
ophie de la moitié droite du cervelet et du pédoncule cérébel- leux
supérieur
droit; raréfaction des cellules des cornes anté-
y a atrophie de la moitié opposée du cervelet et de son pédon- cule
supérieur
ainsi que de la bandelette longitudinale dans la
nt pas une connexion inter-neuronique entre les faisceaux efférents
supérieurs
et inférieurs. Enfin tandis que les fibres de p
petite salle de travail, un laboratoire de photographie. A l'étage
supérieur
: logements des médecins (3 assistants, 2 sta-
la topo- graphie des centres moteurs corticaux, chez les animaux
supérieurs
tels que le singe, puis chez l'homme,' par voie
re aux mou- vements volontaires exécutés par l'ensemble du membre
supérieur
;' elles sont entraînées dans les mouvements assoc
n- sités de courant maxima déterminait des contractions du membre
supérieur
droit. Les attaques convulsives se sont reproduit
éapparurent avec une grande fréquence. La parésie motrice du membre
supérieur
gauche persistait, elle se compliquait de contr
e. Le il février 1896, on extirpa tout le centre moteur du membre
supérieur
de l'hémisphère gauche. Déjà douze heures après l
13 mars 1896, on procéda à l'extirpation du centre moteur du membre
supérieur
de l'hémisphère droit. Cette dernière opéra- ti
qu'à la suite de ces excisions de fragments de l'écorce, le membre
supérieur
correspondant a été frappé d'une simple parésie
mes débutaient par le pouce et l'index, pour envahir tout le membre
supérieur
droit. D'autres accès semblables se reproduisir
usses cloniques envahissaient le membre inférieur droit ; le membre
supérieur
se raidissait. Les spasmes envahissaient le côt
ètres 4/2. Le malade a pré- senté une paralysie passagère du membre
supérieur
droit. Les attaques d'épilepsie se sont reprodu
ingt-quatre heures. Elles étaient suivies d'une paralysie du membre
supérieur
gauche et de la moitié gauche de la face. Le ma
paule gauche, et d'une certaine maladresse des mouvements du membre
supérieur
gauche. La sensibilité était intacte de ce côté.
t restés limités aux muscles du côté droit' de la face et du membre
supérieur
droit ; ils se sont accompagnés de perte de la
où l'excitation électrique provoquait des mouvements dans le membre
supérieur
du côté opposé. A la suite de cette seconde opé
it ; si je ne peux pas dire que je lui dois un chiffre de guérisons
supérieur
à celui que j'aurais obtenu sans lui, je peux c
ATHOLOGIQUES. 393 périphérique. La parésie porte sur les deux tiers
supérieurs
des muscles seulement. Une chute sur le ventre
. Iconogr. de la Salpélrière, n° 2, 1900.) Double paralysie alterne
supérieure
, plus accentuée à gauche, REVUE D'ANATOMIE ET D
atérales, les régions sous-menton- nière et vertébrale, les parties
supérieures
et internes des membres, les régions pectorale,
e complète de la totalité du rebord alvéolaire des deux maxillaires
supérieurs
pendant l'avulsion d'une canine chez une tabéti
iques sans aucun trouble cérébral. Il y avait paralysie des membres
supérieurs
et quelquefois des infé- rieurs. Les troubles m
s et quelquefois des infé- rieurs. Les troubles moteurs des membres
supérieurs
étaient variables, réalisant tantôt le type Déj
rconvolution pariétale postérieure, et partait en haut de la partie
supérieure
de la seconde circonvolution frontale pour fini
tioif qui vont de la base du cerveau au cervelet par les pédoncules
supérieurs
. L'examen des pédoncules, de la protu- bérance
aison peut-on dire que cela est vrai pour un tissu à spécialisation
supérieure
comme celui qui constitue le système nerveux. D
faut d'abord chercher dans quelles limites les fonctions nerveuses
supérieures
sont intactes et voir dans quelle mesure les fa
e ne s'accompagnait pas de douleurs, elle s'est limitée aux parties
supérieures
et moyennes de la colonne vertébrale et elle a
pas une maladie. ' En somme, pour être juste, il faut dire que les
supérieurs
ont souvent de la névrose, sans dire que la sup
isément ce tem- pérament nerveux qui se retrouve à la fois chez les
supérieurs
et chez les névrosés,qui forme le lien entre la
, on peut ainsi admettre qu'un même homme soit à la fois névrosé et
supérieur
il il est névrosé par une zone de son système n
supérieur il il est névrosé par une zone de son système nerveux et
supérieur
par une autre i-. « La supériorité et la névros
des deux côtés. Réflexes cutanés abolis, sauf le réflexe abdominal
supérieur
. 7° Verge normale. Testicules petits. Anesthési
s inguinales très marqué des deux côtés. 9° Existence à la partie
supérieure
et interne des doux cuisses, un peu au-dessous
is, il souffrit d'une attaque convulsive dont la jambe et le membre
supérieur
droit restèrent paralysés. La mère ne se rappel
s étaient devenus durs, ce qui la gênait pour l'habiller, le membre
supérieur
avec l'avant-bras en flexion, était appliqué au
it davantage sur la cuisse, en augmentant la contracture, le membre
supérieur
s'appliquait en même temps, avec plus de force
En le prenant de la main gauche il marche facilement. Son membre
supérieur
droit devient rigide en flexion, les doigts de la
soixante pour les classes élémentaires et quarante pour les classes
supérieures
, Chaque enfant I)ossèd 1- certificat sanitaire
- grès et les travaux qu'il a accomplis, les passages aux classer
supérieures
, ainsi que l'observation médicale détaillée. '\&l
t un côté du corps, qui se caractérisent principale- ment au membre
supérieur
par un tremblement, au membre infé- rieur par u
on des réflexes tendineux au côté droit, particulièrement au membre
supérieur
; les réflexes du biceps brachial et du poignet
marche qu'avec des béquilles- sans que l'innervation de ses membres
supérieurs
ait jamais été altérée. Or, après une seule déb
qui innervent les muscles internes et l'élévateur de la pau- pière
supérieure
. L'ophtalmoplégie est certainement d'origine nu
gé de cinquante ans, présente une paralysie des deux muscles droits
supérieurs
et une parésie des droits inférieurs ; quelques
ques de Ch. Henry, de Haab, de . Pillz. L'existence de ces réflexes
supérieur
^, ainsi que des modifi- cations pupillaires dan
és, vu que le nombre des illettrés habitants russes est de beaucoup
supérieur
à celui des lettrés. Steinberg et Tcheremchan
s e v, par Raymond et Cestan, 182." . associée des muscles droits
supérieurs
, par Noguès et Cirode. 340. Diagnostic des - li
malade présentait une anesthésie absolue de la face et des membres
supérieurs
, qu'il refusait toute nourriture et que sa répu
pouvant agir par compression sur la moelle. Les muscles des membres
supérieurs
et inférieurs sont notable- ment amaigris et pr
le plus grand nombre d'entre elles persistent. b) Moelle dorsale
supérieure
(fig. 5). A l'étage supérieur de la moelle dors
lles persistent. b) Moelle dorsale supérieure (fig. 5). A l'étage
supérieur
de la moelle dorsale, lorsque se constitue le c
férieure. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. Il 1; b) Etage
supérieur
(ftj. 7). L'en<emIJle des cordons postérieurs
Mais on remarque un tremblement oscillatoire permanent du membre
supérieur
, prédominant aux doigts et n'augmentant pas dan
- tion. Il existe un léger degré de ptosis et de parésie du droit
supérieur
et du droit interne. Enfin il parut y avoir une d
faut cependant admettre que le surmenage qui a lieu dans les écoles
supérieures
et leur système compliqué et intensif d'examens
res avec commencement d'atrophie, portant surtout sur les membres
supérieurs
, exagération des réflexes tendineux, etc.). Dans
Il y avait hémiplégie totale droite, mais sans paralysie du facial
supérieur
, et cependant la lésion intéressait la région r
l'hypothèse de J'action bilatérale des cenlres corticaux du facial
supérieur
, et d'autant plus qu'il y avait destruction du pi
avité des images des choses. R. CHARON. IX. Amyotrophie DU membre
supérieur
DROIT, consécutive A la variole chez un fellah;
trois cas identiques d'atrophie réellement squelettique du membre
supérieur
, reconnaissant pour cause la variole. Il s'agissa
eur semble être placé- dans la partie antérieure du lobule pariétal
supérieur
; 2°les lésions corticales siégeant dans la zone
bservations d'hystériques chez lesquels on constate, dans un membre
supérieur
, l'abolition de la sensibilité des reliefs. La
terne faciale (lésion bulbo-protubéran- tielle), hémiplégie alterne
supérieure
désignée par Charcot sous le nom de Syndrome de
ésenté à la fin de sa maladie une névrite des membres inférieurs et
supérieurs
, avec paralysie des extenseurs de la main et de
efficace, c'est la rééducation : il -faut réapprendre au psychisme
supérieur
à diriger son psychisme inférieur, son polygone
et du siège; 2° à produire, par une traction exercée sur la partie
supérieure
du tronc, la flexion progressive des rachis. Ex
« poylgouale, sous-corticale (Grasset) ? Pro- cède-t-il dupsychisme
supérieur
, on du psychisme inférieur ? Sans prétendre tra
mbres. Les réflexes cuta- nés sont légèrement allaiblis aux membres
supérieurs
, principale- ment du côté droit. Aux membres in
diminution de l'excitabilité électrique neuro-musculaire du membre
supérieur
droit. Les sphinctes sont intacts. Etat quelque
t dans ce cas d'une syringomyélie de la partie cervicale et dorsale
supérieure
de la moelle (anesthésie partielle et troubles
encore de ce cas, c'est l'hypertrophie totale de toute l'extrémité
supérieure
droite. Des cas semblables ont été décrits par
n phénomène 'de nature acromégalique. L'hypertrophie de l'extrémité
supérieure
droite peut être expliquée par l'affection des
s d'un même organe. Elle atteint son maximum dans la région dorsale
supérieure
ou cervicale inférieure; le fait a son importan
l'ouïe, infanti- lisme, oreilles séniles et pointues à l'extrémité
supérieure
. Héré- dité chargée. Six semaines après son e
mes de la maladie de Friedreich (ataxie des membres infé- rieurs et
supérieurs
, ataxie statique, embarras de la parole, aboli-
n trois groupes : A. arthrites avec amyotrophies limitées au membre
supérieur
, 10 malades. B. Arthrites et amyotrophies des m
bre supérieur, 10 malades. B. Arthrites et amyotrophies des membres
supérieur
et infé- rieur. Séjour au lit, 7 malades.- C. M
mites de l'articulation lésée (ceinture scapulaire, fesse et partie
supérieure
de la cuisse généralement) et qu'elle ne 122
cervicale et de la première dorsale, et se dirige vers les régions
supérieures
, il s'ensuit que cette atrophie présente une to
; c'est le type Aran-Duchenne; 8° Pour un segment donné du membre
supérieur
, les muscles les plus petits sont représentés p
appareil ligamenteux périarticulaire. Même réflexion pour le membre
supérieur
; on ne trouvait, au milieu de J'avant-bras, qu'
consécutive à l'influenza (névrite radiculaire du plexus brachial,
supérieur
et inférieur). - En un mot, paralysie combinée
ut et irradiant dans les épaules, la par- tie du cou et l'extrémité
supérieure
droite; paresthésie de cette dernière qui devie
ous les accidents ; reste simplement de la parésie de l'extré- mité
supérieure
droite. C'est une observation à rapprocher des ca
rcalaires ; l'impression sensitive va de la périphérie 'aux centres
supérieurs
par l'intermédiaire des libres longues et des c
re qu'il en faille une douzaine. La compression du point douloureux
supérieur
peut à elle seule amener la guérison, mais il e
us facile. La sym- palhicotomie, ou l'ablation du ganglion cervical
supérieur
, telle qu'il la pratique, est selon lui suffisa
section lotale ne met, pas plus que la section du ganglion cervical
supérieur
, à l'abri des récidives, parce que celles-ci ti
us ceux qui s'approchaient.' Deux généraux et plusieurs officiers
supérieurs
attirés par la fusilladé ne parvinrent pas à in
de particulier dans le domaine des nerfs craniens et dans la partie
supérieure
du corps. Paralysie inférieure absolue. Les jam
lagmus. Bien ! ôt ia malade commence à res- sentir dans les membres
supérieurs
des picotements et des four- millements ; elle
a surface intérieure des deux bras. Parésie pro- noncée des membres
supérieurs
, principalement dans les segments périphériques
bras (la partie cubitale est plus atteinte). Anesthésie des membres
supérieurs
, prédominante aussi dans le domaine des nerfs c
nerf facial droit à type périphé- rique (participation des branches
supérieures
). Agonie qui dure encore dix jours. Mort le 18
loppant en forme de manchon. Dans la partie cervicale et dorsale
supérieure
, le néoplasme n'occupe que la pie-mère et la moel
e grise ne se dis- tingue que diffusément. Dans le segment cervical
supérieur
et dorsal moyen se trouvent des excavations int
de la queue de cheval. Les poumons, emphysémateux dans les parties
supérieures
, pré- sentent à leur base une broncho-pneumonie
'on a l'effet d'un tissu caverneux. Au niveau des racines lombaires
supérieures
l'aspect général de la coupe se modifie. Nous y
. A côté de cette tache on aperçoit une fente sinueuse (l'extrémité
supérieure
de la cavité centrale), très étroite, paral- lè
ltz a vu chez son malade s'installer progressivement une paraplégie
supérieure
et bientôt après une inférieure; l'évolution de
degré dans la région cer- vicale, justement au-dessous de la cavité
supérieure
. Dans le bulbe, ramollissement extrême. Dans la
par exemple la face antérieure de la moelle dans la région dorsale
supérieure
. On y voit les éléments sarcoma- teux tapisser
ation qui entoure la moelle en manchon (c'est-à-dire dans la partie
supérieure
en commençant de la huitième racine dorsale). C
au territoire qui corres- pond à la moelle détruite. Dans la partie
supérieure
, où la 'néoformation se divise en périphérique
veux nous avons mentionné un ramollissement qui a détruit la partie
supérieure
de la moelle cervicale et le bulbe. Les causes
ent du sarcome, cela se voit bien plus encore à l'étude de son bout
supérieur
. On y voit en effet cette formation complexe se
ieure en forme de. sac à parois con- jonctives. Quant à la cavité
supérieure
où le tableau anatomique n'est pas embrouillé p
hose qui se mesure ni qui se pèse, il n'y en a pas moins une notion
supérieure
qui domine tout débat, qui, à mon avis, s'impose
prêts à les instruire, à les guider, à leur donner cet enseignement
supérieur
. Il répondrait aux pres- criptions de l'art. 14
union pour appeler l'attention du Congrès sur ces questions d'ordre
supérieur
. Je ne doute pas qu'elles reçoivent de vous l'ac-
e Bernard, qui admet une sorte d'inhibition exercée par les centres
supérieurs
sur la moelle épinière : soustrait à cette acti
la syl vienne, lasylvienne elle-même étaient saines, l'extré- mité
supérieure
de la carotide était, par contre, le siège d'un f
bservation les faits étaient de date récente. De l'état du facial
supérieur
et du moteur oculaire commun dans l'hémiplégie
, toutes les fois que le facial inférieur était paralysé, le facial
supérieur
l'était aussi, mais à un moindre degré. Cette par
les observations d'hémiplégie présentent la participation du facial
supérieur
à la paralysie; trois SOCIÉTÉS SAVANTES. 245
l'estomac, un point bilatéral placé sur la circonvolution pariétale
supérieure
, sur le prolongement de la branche postérieure
ence d'une piqûre, d'une émotion quelconque : au niveau des membres
supérieurs
la rigidité existe, mais est beaucoup moins acc
'économe, cela est incontestable et tient à ce que l'administration
supérieure
ne montre pas assez de sévérité envers les coup
'hui cette maladie. Atrophie. Celle-ci ayant commencé par le membre
supérieur
droit, tout le côté correspondant du corps, exc
ras, de l'avant-bras et de la main. Trois mois plus tard, le membre
supérieur
opposé était atteint à son tour, et quelques se
IQUE NERVEUSE. encore sont visibles dans divers muscles des membres
supérieurs
et plus particulièrement dans les interosseux.
e commencement, l'atrophie s'est prononcée davantage dans le membre
supérieur
gauche que dans le membre opposé ainsi que l'in
embre opposé ainsi que l'indiquent les chiffres suivants : Membre
supérieur
droit. SYRING011YÉLIE. z77 Dissociation syr
dans les deux mem- Fifj. -21. 1. 278 CLINIQUE NERVEUSE. bres
supérieurs
, sauf dans un espace limité qui s'étend dans la p
cervicale pouvant se pro- pager jusqu'aux articulations des membres
supérieurs
, rigi- dité du cou et parfois des éruptions vés
lle se manifestent la parésie et l'atrophie des muscles des membres
supérieurs
en respectant généralement ceux qui sont innerv
ption, les localisations de l'atrophie dans les muscles des membres
supérieurs
et du tronc et la déformation de la colonne ver
La thermanesthésie est complète dans la jambe droite jusqu'au tiers
supérieur
, dans tout le pied gauche jusqu'à l'articulation
valle. La thermanesthésie est moins prononcée dans les deux membres
supérieurs
, dans le tiers supérieur de la jambe droite, da
est moins prononcée dans les deux membres supérieurs, dans le tiers
supérieur
de la jambe droite, dans la cuisse du même côté
les difformités des mains et l'intensité de l'atrophie des muscles
supérieurs
et du tronc, il y a aussi la différence prin- c
inférieurs s'est transformée en une paralysie complète; les membres
supérieurs
ont été ensuite envahis, à leur tour, par la pa
tale est atténuée du côté hémiplégique 7 fois sur15 ; égale ou même
supérieure
4 fois sur 15. - B. Le diamètre vertical de l'orb
s le bras gauche; à la fin de ce mois, affaiblissement[des branches
supérieures
et inférieures du facial des deux côtés, paré-
région sacrée la plus inférieure, jusqu'à la région dorsale la plus
supérieure
, sont le siège des deux types de lésions, dont
uées par une extrême raréfaction des fibres, dans la région la plus
supérieure
de la moelle thoracique. Les lésions radiculair
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 311 antérieures dans la moelle sacrée
supérieure
et lombaire inférieure; aspect extrêmement susp
deux côtés, il y a atrophie des cellules dans la moelle thoracique
supérieure
et cervicale inférieure. Depuis la sixième racine
de chaque noyau. Ces fibres se rendent en partie au muscle droit
supérieur
, au releveur de la paupière, au petit oblique e
ulaire externe du facial, près de l'extrémité inférieure de l'olive
supérieure
. G. D. XX. La chromatolyse O'INS LES cornes ant
eure des cornes antérieures de la moelle et s'étendent de la partie
supérieure
du cinquième segment lombaire, jusque vers l'ex
re inférieur : un premier noyau très grand s'étend de l'ex- trémité
supérieure
du cinquième segment lombaire jusqu'à la partie
s sensitifs et moteurs passer de la jambe au tronc et à l'extrémité
supérieure
. Après avoir dé- taillé les caractères des épil
qu'Alexander a préconisé en 1889 la résection du ganglion cervical
supérieur
comme moyen de traitement de l'épilepsie, de no
e, la langue déviée à droite (hémiplégie incomplète); les membres
supérieurs
sont affaiblis, la parole très embarrassée et les
ter-hémisphérique, sur la première circonvolution frontale le tiers
supérieur
de la circonvolution ascendante et sur la circon-
e la circonvolution ascendante et sur la circon- volution pariétale
supérieure
. Elles s'enlèvent facilement de la substance co
yphose arrondie de toute la région dorsale et de la partie lombaire
supérieure
avec immobilité complète de ces parties. Les mo
rs de la colonne vertébrale sur toute son étendue ou dans sa partie
supérieure
seulement. La moelle épinière se trans- 342 S
rononcée des membres inférieurs, ataxie moins prononcée des membres
supérieurs
; absence des réflexes rotuliens ; immobilité d
là, elle se prolonge jusqu'à la terminaison de la tumeur. La cavité
supérieure
, de même que la cavité inférieure, se fond par
mbilic. Le 91, la malade rentre à l'hôpital Golitzyne, où la limite
supérieure
de l'anesthésie est trouvée au niveau de l'ombi
même temps, douleurs au cou et aux bras. Les jours suivanlslalimite
supérieure
de l'anesthésie s'est élevée jusqu'au niveau de
une plaie du cuir chevelu dirigée d'ar- rière en avant de la partie
supérieure
du pariétal droit à la partie inférieure du tem
la zone rolandique. R. C. LXXXVI11. Note sur la paralysie du facial
SUPÉRIEUR
dans L'JIÉ511- . PLEG)E par lésion cérébrale ;
'est la persistance des signes ordinaires de la paralysie du facial
supérieur
, dont l'auteur donne une obser- vation complète
propos d'un récent procès en Grande-Bretagne. Il considère comme
supérieure
la loi française qui ne poursuit l'homosexualité
me étendue, ces petits foyers n'ont jamais leur plus grand diamètre
supérieur
à 1 millimètre. A première vue, on se croirait
. Le premier décrit ce qu'il nomme la polioencéphalite hémorragique
supérieure
, carac- térisée anatomiquement par l'existence
illaires ayant le même siège que les foyers de la poliocnc.éphalite
supérieure
hémorragique. En résumé nous pouvons dire : pen
cise des premières nous éclairera sur le mécanisme des formes dites
supérieures
. Lorsqu'une image vient exciter notre rétine, v
grande partie des ascendantes manque, et principalement leur partie
supérieure
jusqu'a l'arête du manteau, mais c'est tout sup
re (Revue neurologique, mars 1898.) E. B. XL. L'origine du facial
supérieur
; par le Dr Marinesco. Sur des coupes sériées pr
rs types cellulaires. Après la section chez le chien du nerf facial
supérieur
, on constate une réaction très manifeste dans l
al, réaction diminuant à mesure qu'on se rap- proche de l'extrémité
supérieure
. On pourrait conclure de celte REVUE D'ANATOM
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 493 expérience que l'origine du facial
supérieur
, tout au moins chez le chien, se trouve dans le
es proviennent exclusivement de la masse grise située entre l'olive
supérieure
et le noyau d'origine de la partie motrice du p
ostérieur est formé par les cellules d'origine des fibres du facial
supérieur
; 3° Le groupe médian et le groupe externe repré
dis que la partie dorsale seule de ce noyau est l'origine du facial
supérieur
. Ces dernières conclusions ne s'appliquent cepe
ce des fibres qui forment l'entre-croi- sement antérieur de l'étage
supérieur
des pédoncules céré- braux de Forel : les fibre
olive cérébelleuse, et du noyau du toit. Dans le vermis cérébelleux
supérieur
se trouve probablement le passage d'une partie
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 513. d'association moyen) ; 2° un mécanisme
supérieur
spécial à la notion du mot, dans le cent ! e d'
'emploi industuel des -, par 1Jlllmer, 528. AmoTRoPll1E du membre
supérieur
droit, par J.-B. Chalcot, 46. - de la mam dro
. Valeur relative des - , par Goodrich, 418. Facial. Origine du -
supérieur
, par Marinesco, 492. Recherches sur l'origine
ns l' - spasmodique infantile, par Féré, 303. Paralysie du facial
supérieur
dans l ? par Féré, 402. TABLE DES MATIÈRES.
1° Anesthésie cutanée très accentuée sur toute l'étendue du membre
supérieur
droit, répandue sur le tronc en avant et en arriè
tics qui autrement le priveraient de sommeil. La secousse du membre
supérieur
droit que nous venons de décrire, est souvent acc
offre une concavité regardant à droite et inversement dans la moitié
supérieure
; la main droite, le bras étant pendant, descend b
de paralysie soit dans les membres inférieurs, soit dans les membres
supérieurs
et qui peut exécuter, à l'aide de ces membres, to
s précipités, plutôt lents. Ils occupent le cou, la face, les membres
supérieurs
, le tronc. A la petite fille : Comment vous app
qui s'est passé ; mais le troisième jour, il ressentit dans le membre
supérieur
droit de forts engourdissements, et le lendemain
ce même membre une paralysie très accentuée. Le même jour, le membre
supérieur
correspondant se prit à son tour de la même façon
ueront pas d'en faire leur profit. Considérons maintenant le membre
supérieur
gauche : il est pendant, sans rigidité, très affa
Gaz. hebdom., 23 novembre 1888. tion des réflexes soit aux membres
supérieurs
, soit aux inférieurs. Nous voilà déjà, par de cer
arbone. née est profondément atteinte sur toute l'étendue du membre
supérieur
paralysé, et également sur toute l'étendue du mem
ensitive cutanée et profonde totale, parésie concomitante des membres
supérieurs
et inférieurs avec perte du sens musculaire, abse
sses convulsives qui soulèvent de temps en temps brusquement la lèvre
supérieure
droite, et aussi de secousses du même genre qu'on
scription obtenue par le procédé du tatouage, qu'on lit sur la partie
supérieure
et interne de son avant-bras gauche: «Mort aux fe
'il en soit,Ch....ey fut frappé par derrière, et reçut dans la partie
supérieure
du tronc, à la base du cou, un coup de couteau qu
rofondément, présente cependant une rigidité marquée dans les membres
supérieurs
qu'elle tient demi-fléchis sur la poitrine. Cette
bservés jusqu'à ce jour. Vous voyez que lorsqu'on soulève les membres
supérieurs
de la malade, ceux-ci ne retombent pas et conserv
lepsie bien formulée, les attitudes expressives imprimées aux membres
supérieurs
de manière à figurer ce qui se voit soit dans l'a
hez B..., avec une vigueur presque athlétique du tronc et des membres
supérieurs
, la démarche a de tout temps été anormale, un peu
grands mouvements choréiques se sont manifestés d'abord sur le membre
supérieur
gauche ; deux ou trois jours après ils ont gagné
présentées actuellement que par de légères secousses des membres tant
supérieurs
qu'inférieurs, visibles surtout lorsque ceux-ci s
sis, les mains reposant sur le genou, élèvent tout à coup les membres
supérieurs
à 10 ou 12 centimètres au-dessus du plan de repos
fois se produisent dans les mêmes circonstances, occupent les membres
supérieurs
, ou les membres inférieurs ou parfois les deux en
que sa main gauche était le siège de fourmillements et que le membre
supérieur
de ce côté tout entier était devenu faible, pesan
chéma que je vous présente : Anesthésie cutanée absolue sur le membre
supérieur
gauche, se terminant en «. gigot » du côté du tro
'à droite, au contraire, ceux-ci occupent la cuisse et les deux tiers
supérieurs
de la jambe gauche ; disposition croisée du reste
testicule gauche ; un troisième occupe la limite inférieure du tiers
supérieur
du mollet droit; un quatrième enfin se trouve sur
deux côtés. Revenons actuellement sur ce qui est relatif au membre
supérieur
gauche ; de ce côté, il n'y a pas, à proprement p
e à la région cervicale dans vin cas de paralysie infantile du membre
supérieur
droit. — Pièce recueillie à la Salpêtrière chez u
en Las âge qui était née avec une sorte de paralysie d'un des membres
supérieurs
, probablement d'une paralysie obstétricale. Lui
tombée et néanmoins, ce jour-là, la paralysie s'est étendue au membre
supérieur
droit. Aucune trace de douleurs. Mais, par contre
rocession a commencé au bout de 15 jours ; malheureusement, le membre
supérieur
droit : l'épaule, le coude d'abord, puis la main,
e des centres nerveux s'accompagne de névrite optique. 1. Au membre
supérieur
gauche, l'anesthésie cutanée est compliquée d'ane
trefois, et le tremblement intentionnel très manifeste dans le membre
supérieur
gauche. Les réflexes tendineux rotuliens et ceux
e pas fait reconnaître que le tremblement intentionnel des extrémités
supérieures
, après avoir été très prononcé pendant de longs m
venues raides ; la marche est réellement difficile ; dans les membres
supérieurs
, qu'elle meut cependant assez librement, elle épr
, dumoins à un certain degré. Onpouvait même craindre que les membres
supérieurs
, épargnés dans la maladie première, ne participas
qui vont suivre. On trouve, exactement reproduites dans les membres
supérieurs
toutes les particularités que nous venons de sign
réalité. C'est donc encore l'hystérie qui est en jeu dans les membres
supérieurs
. La présence de l'élément hystérique est encore
ies hystéro-psychiques. Pour ce qui est de la paralysie des membres
supérieurs
, qui se présente comme l'on a vu en tout semblabl
nt plutôt psychique, qui a son substratum dans les couches cérébrales
supérieures
, l'autre plutôt physiologique ou physique, comme
ces destinées à être placées sous les aisselles du patient. Le bord
supérieur
de la tige présente de chaque côté, trois encoche
me, ou le troisième des crans ou encoches que se trouvent sur le bord
supérieur
de la tige de fer ; plus la tête est volumineuse
une demi-minute à une minute, et progressivement,on arrive au chiffre
supérieur
indiqué, lequel ne doitgéné-ralement pas être att
indiquées un trépied portatif à branches démontables muni à sa partie
supérieure
d'un crochet auquel se fixe la moufle sur laquell
urs fulgurantes plus intenses que jamais, et une chute de la paupière
supérieure
gauche. Le traitement a été suspendu, du moins pr
ur s'est développée à la suite des accès qui siègent dans les membres
supérieurs
. Pas de sucre dans les urines. Il a eu, à plusieu
pour le diagnostic. Ce tremblement occupe, non seulement les membres
supérieurs
, les mains en particulier, mais aussi les membres
pt jours environ après l'accident, se manifesta une parésie du membre
supérieur
gauche ainsi qu'une faiblesse avec crampes doulou
de la face. Par contre, l'hémiplégie gauche s'est accentuée au membre
supérieur
où elle était restée fort incomplète; la pression
...commence à éprouver un certain degré de faiblesse dans le membre
supérieur
gauche ; la main de ce côté ne pouvait plus tenir
avec flaccidité typique ; aucune participation de la face, le membre
supérieur
gauche pend inerte ; la main de ce côté donne à p
sur l'adomen, tandis qu'en arrière elle forme une courbe à convexité
supérieure
qui de l'extrémité interne du pli fessier remonte
oter une analgésie portant sur la moitié gauche de la face, la moitié
supérieure
du tronc jusqu'à la ligne médiane, l'épaule enfin
rieure du tronc jusqu'à la ligne médiane, l'épaule enfin et le membre
supérieur
tout entier ; ovarie gauche ; pas d'autres points
été à peu près complète au début, et, à cette époque-là, les membres
supérieurs
et inférieurs gauches étaient flasques, absolumen
M. Cartaz. Elle occupe surtout à droite la région des cordes vocales
supérieures
et inférieures ; on serait en mesure très certain
erts de boue. Au réveil il ressentait, dans toute l'étendue du membre
supérieur
droit et dans la cuisse ainsi que le genou du mêm
au système nerveux. Il existe dans toutes les articulations du membre
supérieur
droit un certain degré de rigidité qui dépend d'u
que nous rencontrons ici (1). Cette contracture spasmodique du membre
supérieur
droit date, paraît-il, des premiers jours qui ont
dité comparable à celle que nous venons de relever à propos du membre
supérieur
correspondant; c'est là encore la contracture spa
vent chez Ro..el, dans l'exécution de certains mouvements des membres
supérieurs
et en particulier Qui eût pu deviner, Messieurs
ilibre, occasionnent les mouvements du tronc, de la tête, des membres
supérieurs
, et aussi ces mouvements de recul qui peuvent êtr
Cette paraplégie porte à la fois sur les membres inférieurs et les
supérieurs
, prédominant toutefois de beaucoup dans ceux-là ;
; il est intéressant de remarquer même, dès à présent, qu'aux membres
supérieurs
, aux mains surtout où elle était assez accentuée
ême faiblesse d'action des muscles extenseurs se retrouve aux membres
supérieurs
, en ce qui concerne les mouvements du poignet. La
ne. Dr. Farad. 85 millim. Gauche Farad. 70 millim.. Aux membres
supérieurs
, pas d'anomalie évidente. Résumé: Diminution ou
tous leurs caractères, quoique fort atténués, toutefois, aux membres
supérieurs
, plus particulièrement sur la partie inférieure d
retour très accentué des mouvements s'est produit du côté des membres
supérieurs
et pour ce qui est des membres inférieurs la mala
téristique, — il était devenu faible de tout le côté droit, du membre
supérieur
surtout : les objets qu'il portait lui tombaient,
bilité et à peu près absolue. Perte du sens musculaire dans le membre
supérieur
droit. Il ne peut rendre compte les yeux fermés d
s que le sujet en ait la moindre notion. Il y a parésie des membres
supérieur
et inférieur du côté anesthésié (côté Fig. 76.
e aurait envahi du même coup les deux membres inférieurs et le membre
supérieur
droit, et dans ces membres l'impuissance motrice
rétrocession, comme vous voudrez l'appeler. C'est alors que le membre
supérieur
droit, tout d'abord se dégage ; il devait cependa
te persistance, jusqu'àl'àge mûr, delafragilité osseuse sur ce membre
supérieur
droit qui, un instant frappé de paralysie complèt
le répète, le malade ayant atteint l'âge de 36 ans, on voit ce membre
supérieur
droit qui, 34 ans auparavant, après avoir été un
l'avant-bras, puis se répandant sur les parties symétriques du membre
supérieur
gauche, épaule et avant-bras, et en dernier lieu
sont également encore assez volumineux. Aux cuisses, et aux membres
supérieurs
, les réactions électriques sont d'une façon génér
chez lui aux genoux, se montrent normaux, plutôt faibles, aux membres
supérieurs
; qu'il n'existe en aucun point du corps, à part
ions où l'on voit, comme cela s'est produit chez N...las, les membres
supérieurs
pris les premiers. Conformément à ce qui est la r
minences thénar et hypothénar, sont, en tant qu'il s'agit dés membres
supérieurs
, atteints en premier lieu; mais plusieurs fois, a
astillier arriva auprès d'elle, il la trouva paralysée de l'extrémité
supérieure
droite, depuis l'épaule jusqu'au bout des doigts,
che, se rencontre tout aussi prononcée sur une bonne partie du membre
supérieur
du même côté, en particulier au niveau de l'épaul
de spasme glosso-labié : la langue est tirée vers la droite, la lèvre
supérieure
du côté gauche est plus relevée qu'à droite; puis
, il rendit du sang par le nez, la bouche et les oreilles. Son membre
supérieur
droit était paralysé, t. Note sur un cas de mon
ntillant ?) on voit, dis-je, la paralysie se reproduire sur le membre
supérieur
droit avec perte complète de la sensibilité et du
itpas faire autrefois. L'épreuve dynamométrique donne, pour le membre
supérieur
droit, 25 kilos etpour legauchel7. Le rétrécissem
e telle qu'elle était au moment de l'entrée du malade, mais au membre
supérieur
gauche et à la face elle est beaucoup moins accen
e. Il n'y a plus d'anesthésie ni à la tête, ni au tronc, ni au membre
supérieur
gauche. Au membre inférieur gauche, il n'existe p
mouvements des paupières, puis ils ont occupé la tête et les membres
supérieurs
. — Déjà à cette époque, les bruits laryngés et la
n léger tremblement vibratoire, qui existe également dans les membres
supérieurs
, et qui, bien qu'il s'exagère manifestement à l'o
oit suivant par derrière ; il procédait ainsi à petits pas. Le membre
supérieur
gauche n'a jamais présenté, dans l'exécution des
e du type Duchenne-Aran, débutant suivant la règle par les extrémités
supérieures
; les eminences thénar et hypothénar sont déjà pl
main seule, soiten outre une partie de l'avant-bras ou même le membre
supérieur
tout entier, et toujours,en pareil cas, la délimi
s l'origine La parésie et l'atrophie gagnèrent rapidement le membre
supérieur
droit tout entier, puis, en commençant par la mai
périeur droit tout entier, puis, en commençant par la main, le membre
supérieur
gauche Fig. 105. — La main droite de Bar......m
eux, comme vous pouvez le constater, ne sont pas exagérés aux membres
supérieurs
. Les deux membres inférieurs ont commencé à s'a
egrés de température (fig. 112). Sur toute l'étendue des deux membres
supérieurs
, symétriquement, en avant comme en arrière, depui
la thermoanes-thésie est seulement relative : ainsi, sur les parties
supérieures
des cuisses, sur l'abdomen, la partie inférieure
ertain temps tout au moins. Une vis de pression, située à la partie
supérieure
des cylindres, permet de maintenir le thermomètre
t représentée panine large plaque qui occupe toute l'étendue du tiers
supérieur
de la poitrine en avant (fig. 110). Fig. U3 Fig
Fig. 115. troubles moteurs occupent exclusivement les deux membres
supérieurs
, qui sont afiectés symétriquement, à peu près au
ls possibles. L'examen électrique des muscles atrophiés des membres
supérieurs
a fait trouver un peu partout la réaction de dégé
ute l'étendue du tiers inférieur des bras. Sur les épaules, la partie
supérieure
des bras, le cou, le devant de la poitrine, la mo
rtie supérieure des bras, le cou, le devant de la poitrine, la moitié
supérieure
du tronc en arrière,il y a seulement obnubilation
g. 118 i'jg. 119 Sensibilité à la douleur. de glace sur la partie
supérieure
du doset sur le devant de lapoitrine ne produit q
ière, tandis que toujours, dans toutes les explorations des membres
supérieurs
sur toute leur étendue, les membres supérieurs so
orations des membres supérieurs sur toute leur étendue, les membres
supérieurs
sont restés insensibles au froid (fig. 120 et 121
anchée, horizontale, déterminant un plan circulaire à l'axe du membre
supérieur
. Ainsi, vous le voyez, nous trouvons ici, liée
vous le voyez, nous trouvons ici, liée à une paralysie de l'extrémité
supérieure
droite, cette dissociation si particulière des tr
femme « qu'il avait peur d'être paralysé ». Le tremblement du membre
supérieur
droit était devenu incessant; la jambe droite com
lui une parésie très prononcée des membres du côté droit. Le membre
supérieur
droit est un peu moins affaibli que la jambe. Le
s de cela, elle a été prise de douleurs névralgiques dans les membres
supérieurs
, dans le cou, le dos et la poitrine. Il y a donc
is ; puis s'est développée une paralysie avec amyotrophie des membres
supérieurs
qui présentaient la griffe radiale (mains de préd
tensité, la trépidation disparut ; l'amélioration du côté des membres
supérieurs
marchait du même pas et même plus rapidement, car
rquée seulement par des réflexes rotuliens exagérés ; mais, au membre
supérieur
, il y a une amyotrophie avec réaction de dégénére
avoir été des crises hystériques, une paralysie transitoire du membre
supérieur
gauche avec anesthésie et perte du sens musculair
et nous avons constaté qu'il était impossible de produire aux membres
supérieurs
la contracture artificielle; enfin, les attaques
enir longtemps debout et de faire une course un peu longue. Au membre
supérieur
, dont la paralysie était complète, absolue le pre
vements de la tête et du cou étaient parfaitement libres. Le membre
supérieur
pend inerte le long du tronc. La paralysie du mem
membre supérieur pend inerte le long du tronc. La paralysie du membre
supérieur
gauche est totale, et à peu près absolue. Quelque
n somme non d'une hémiplégie, mais de monoplégies associées du membre
supérieur
et du membre inférieur. Sensibilité. — La sensi
nt dans la moitié gauche de la tête et du cou, et dans tout le membre
supérieur
du même côté. Cette aneslhésie s'interrompt brusq
25. ment sur la ligne médiane à la tête et au cou, mais à la partie
supérieure
du thorax, elle s'étale un peu tout autour de l'é
et au froid, mais l'anesthésie n'est pas aussi complète qu'au membre
supérieur
et à la face. La zone anesthésique dépasse la lig
imite remonte même un peu au-dessus de la fesse et de l'épine iliaque
supérieure
en arrière; en avant elle descend obliquement dan
nappe anesthésique péri-scapulaire de celle qui circonscrit la partie
supérieure
de la cuisse. L'anesthésie des membres est prof
tile (Lésions médullaires, région lombaire) 141 Fig. 33 — — du membre
supérieur
(Lésions médullaires)............. 146 Fig. 34.
canisme, 361,367.—Mécanisme psychique, 374. — (Mouvements des membres
supérieurs
dans Ã), 359. — paralytique, 470. — Pronostic, 37
e reconnaître la présence d'un léger épanchement dans le cul-de-sac
supérieur
de la synoviale. Quelques tremblements fibrilla
émergences des branches postérieures de ce nerf. Le point iliaque
supérieur
répond aux dernières divisions du nerf fessier
nt iliaque supérieur répond aux dernières divisions du nerf fessier
supérieur
, émané des deux dernières paires lombaires. Il
eux dernières paires lombaires. Il existe fréquemment à la.partie
supérieure
et interne de la cuisse un point qui ne peut ré
modique. Les muscles cor- respondant aux points douloureux lombaire
supérieur
et iliaque supérieur produiront, en se contract
r- respondant aux points douloureux lombaire supérieur et iliaque
supérieur
produiront, en se contractant, le rapprochement
également bien des deux mains.-Tous les mouvements des extrémités
supérieures
et inférieures se font parfaitement bien et ave
umine. La sensibilité reparaît d'une façon très obtuse, à la partie
supérieure
des membres abdominaux. T. 38 ? Acci- dents tho
nt abolie sur toute l'étendue des membres inférieurs, sauf le tiers
supérieur
de la cuisse qui était un peu sensible ; néanmo
us avons trouvé que sa région lombaire en grande partie et le tiers
supérieur
de la région dorsale avaient subi le ramollisse
dante et qui fournit aux centres du facial inférieur et du membre
supérieur
peut, par l'ischémie de ces régions et la suppr
, rendre compte de la para- lysie du facial inférieur' et du membre
supérieur
du malade qui fait le sujet de ]'ÜnsEuvATION XL
des centres moteurs des membres. Le lobule paracentral, le tiers
supérieur
de la frontale ascendante et une petite éten- d
ieur de la frontale ascendante et une petite éten- due de la partie
supérieure
de la pariétale ascendante, régions ou siège le
ltat de l'is- chémie des centres du facial inférieur et du membre
supérieur
, suivie au bout d'un certain temps d'une paraly
a dû altérer d'une certaine façon la zone motrice, sauf son tiers
supérieur
, ce qui explique la durée de trois mois de cet
es distincts : 1° des mou- vements de l'aile du nez. et de la lèvre
supérieure
gauche, en réponse à l'excitation du tiers infé
o- voquer des mouvements de flexion et d'extension des extrémités
supérieure
ou inférieure du côté opposé, mouvements souven
t être subdivisée en cen- tres de la face, du tronc, des extrémités
supérieure
et inférieure, etc. A cet effet, Seppilli a rép
sensittfs. Mais le pro- cessus dégénératif atteindrait les centres
supérieurs
des appareils de la sensibilité cutanée et musc
es des extrémités correspon- ' dent surtout aux lésions des parties
supérieures
de ces circonvolutions. (A suivre.) RECUEIL D
nce de la dégéné- rescence des faisceaux de Goll, dans les portions
supérieures
de la moelle. P. K. IL Contribution A L'Éi'UD
a pour ce cerveau un poids total de 66 onces et demie, c'est-à-dire
supérieur
à tous les chiffres rapportés jusqu'ici. R. AI.
n'est pas sans dangers. Comparé aux autres narcotiques, il leur est
supérieur
en ce qui concerne l'agitation, surtout parce q
e décision du ministre de l'intérieur, sur la proposition du comité
supérieur
des aliénés : -. CI : 10 Les aliénés qui, placé
la proposition motivée du médecin traitant, et après avis du comité
supérieur
. » - (Adopté.) « Art. 41. Lorsque la sortie d'u
cavitaire que je vais décrire. Elle siégeait à la région cervicale
supérieure
et s'étendait vers le bas, sur une longueur de
(V. fig. 20); elle affecte l'apparence Fig. 19. - Coupe delà partie
supérieure
de la moelle cervicale. (Le pointillé indique l
s, en effet, supposer que son point de départ se trouve à la partie
supérieure
, là où elle est confondue avec le canal central
tent bien dans toute l'écorce, elles occupent surtout les régions
supérieure
et moyenne de l'écorce. J'avoue que je ne puis
couche superficielle (slrulo slflJeJjicia'e) comprenant le tiers
supérieur
de l'écorce, et formée presque exclu- sivement
st-elle pas au fond identique à celle de Mey- nert ? Les deux tiers
supérieur
et moyen de l'é- corce, selon Golgi. ne corresp
s centrifuges. « Il suit que l'irritation est transmise aux centres
supérieurs
sans passer directement par les cellules nerveu
s volontaires, provenant des tubes nerveux qui émergent des centres
supérieurs
, se rendent directement aux tubes nerveux centr
semble pouvoir appliquer aussi aux cellules nerveuses des centres
supérieurs
1. » Quel est donc le siège de l'activité centr
rés inférieurs ne diffère point, en général, de celle des vertébrés
supérieurs
». Nous ne ferons également que signaler les Mé
i l'on constate que les premières prédominent dans les deux tiers
supérieurs
de l'écorce, et surtout dans le tiers moyen, où
0 : « Le poids spécifique du cerveau des aliénés est, en moyenne,
supérieur
à celui des individus sains d'esprit. Le cervelet
es systématisés offrent en général un poids spécifique du cerveau
supérieur
à celui des formes aiguës et typiques de manie et
emble, les crânes des aliénés ont une capacité moyenne sensiblement
supérieure
à celle des individus sains d'esprit. Meynert e
a symé- trie. Le cerveau, et partant le crâne, des races humaines
supérieures
, est donc de plus en plus asymétrique : cette a
e, offrant la réunion de presque toutes les ano- malies. Mâchoire
supérieure
. - Côté gauche. Incisive centrale perma- nente,
qui sont rejetées assez fortement en dehors. En arrière, la partie
supérieure
du thorax forme une convexité très accusée, sur
s prononcée qne d'habitude, principalement au niveau des deux tiers
supérieurs
du thorax. Au-dessous de cette convexité Fi ! J
d'une noisette 1. Le bassin est très étroit par rapport à la partie
supérieure
du tronc ; les fesses sont régulières, assez fe
es qu'on remarque au cou et aux ais- selles. Membres. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont 1'J'0<, courts, égaux, em
uleuses. Les feuilles sont opposées, les inférieures pétiolées, les
supérieures
sessiles ; l'inflores- cence est en corymbes, l
couches optiques. Les ban- delettes optiques sont divisées. La face
supérieure
révèle que les débris des couches optiques sont
accompagne d'une exagération des plis de l'anthélix dont la branche
supérieure
ne s'accentue net- tement qu'à raison de l'enro
ce fait qu'elle occupe à peu près la limite intermédiaire au tiers
supérieur
et au tiers moyen du bord libre de l'oreille. -
oureuses, il existe un senti- ment de faiblesse dans les extrémités
supérieures
ou inférieures en rapport avec une impotence fo
traces anatomiques de syphilis chez un paralytique général; le bord
supérieur
du gland présentait une cicatrice. Le miscrocope
et, de l'écorce du pli courbe. Dégénérescence secondaire du segment
supérieur
des fibres de Gra- tiolet jusqu'à la substance
tant étendus tout du long sur un lit de re- pos, on élève la partie
supérieure
de leur corps au moyen d'une sangle qui embrass
orps au moyen d'une sangle qui embrasse et contient toute la moitié
supérieure
du thorax, en infléchissant fortement la tête e
ans la région de la moitiédroite de la tête et de toute l'extrémité
supérieure
correspondante; les mêmes phénomènes se rencont
nt l'ut - le rôle de Montaudoiu était tenu d'une façon tout à l'ait
supérieure
par S..., dont nous parlions ci-dessus : nous n
ervatoire a dit les Imprécations de Camille d'une façon tout à fait
supérieure
, avec la Leçon de Grammaire spirituellement réc
chnoïde, également épaissie, avait une teinte laiteuse. A la partie
supérieure
du gyrus central antérieur, la pie-mère et l'ar
aura eu beaucoup plus <; d'influence auprès de l'administration
supérieure
que nos journaux '( de médecine, que nos Sociét
. Ces fourmillements existent aussi de temps en temps aux membres
supérieurs
. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de 320 0 CLIN
force de la cuisse est à peu près bien conservée; celle des membres
supérieurs
est très diminuée. . . D = Main droite 13 - g
st au lit, il éprouve toujours, au niveau des pieds et de la partie
supérieure
des jambes, une sen- sation de chaleur exagérée
usion des yeux. Il existe également de l'incoordination des membres
supérieurs
elle est malhabile de ses mains, surtout pour t
font défaut et les convulsions se montrent d'emblée. Les membres
supérieurs
et inférieurs se raidissent, puis ne tar- dent
oesthésie du membre inférieur à partir du pli fessier, le seg- ment
supérieur
, y compris le bras possédant sa sensibilité nor-
nerveuses pâles, atrophiées et sans prolongements. Région dorsale
supérieure
. La zone antéro-externe de Westphall présente u
lus petites qu'à l'état normal. Dans la région dorsale moyenne et
supérieure
, on voit avant et près du faisceau cérébelleux un
du faisceau pyramidal est moins atteint que dans la région dorsale
supérieure
. Le cordon de Flechsig, séparé du faisceau préc
i que les racines antérieures et posté- rieures. Région cervicale
supérieure
. - On peut dire en général qu'ici, à l'excepti
l en est de même des noyaux des nerfs bul- baires. Dans la région
supérieure
du bulbe, on voit immédiatement au-dessus des o
disséminées. - Ces fibres saines sont plus nombreuses à la, partie
supérieure
de la moelle qu'à sa partie inférieure où leur
happé à la dégénérescence; cette bande est plus définie à la partie
supérieure
qu'à la partie inférieure de la moelle. Sclér
ns le cordon latéral, la lésion est plus avancée que dans la région
supérieure
. Atrophie des racines postérieures. Les co- lon
cines postérieures. Les co- lonnes de Clarke dans la région dorsale
supérieure
sont visible- ment atrophiées. Les fibres fin
atrophie était considérable. 352 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. dorsale
supérieure
les diamètres sont de x 5 et tom- bent à 5 x 5
ion dorsale inférieure. La lésion augmente dans r la région dorsale
supérieure
, et ne diminue que dans la région inférieure du
ue dans la même région à mesure que l'on se rapproche des parties
supérieures
, de sorte que dans la zone de transition entre
due, à partir de la région dorsale inférieure jus- qu'à ses limites
supérieures
. 3. Les lésions histologiques portent non seule
que nous avons examinée présentait une diminution de volume bien
supérieure
à ce qu'ont noté les auteurs qui nous ont précé
r et de ses deux tiers posté- Fig. 39. Coupe au niveau de la partie
supérieure
du renflement cervical. Les parties dégénérées
de Burdach est devenue un peu moins étendue. A la région dorsale
supérieure
, la partie postérieure des cordons médians post
érée a presque complètement disparu (g. 40). Au niveau de la partie
supérieure
du renflement lombaire (g. z1) la dégénérescenc
ttement, mais il a diminué d'é- tendue. Fig. H. Coupe à la partie
supérieure
du renflement lombaire. 382 ANATOMIE PATHOLOGIQ
nt à la dégénérescence des cordons latéraux, limitée dans la partie
supérieure
au faisceau cérébel- leux, elle a entrepris, ve
sclérose des faisceaux de Türck présentait son maximum à la partie
supérieure
de la région dorsale et au voisinage du renflem
laté- raux telle que nous l'avons nous-même observée. A la partie
supérieure
de la moelle, la dégénérescence entreprend une
fibres. Or, quand on examine des coupes de la moelle, à la partie
supérieure
de la région cervicale, chez le nou- ' Parmi le
dans la ligure a, planche IV. qui correspond il la région cervicale
supérieure
: elles sont encore bien évidentes, quoique moi
. Cette zone relativement inco- lore ne se rencontre qu'à la partie
supérieure
de la moelle cervicale. Si l'on examine la sé
mine la série des coupes de la moelle en s'éloignant de l'extrémité
supérieure
, on la voit bientôt diminuer peu à peu, puis di
e de cette subdivision des cordons posté Flg, 42. Coupe à la partie
supérieure
de la région cervicale che z un foetus de 8 moi
ivre la subdivision des cordons de fioll jusqu'il la région dorsale
supérieure
; toutefois, il déclare qu'elle y est beaucoup mo
are qu'elle y est beaucoup moins nette que dans la région cervicale
supérieure
. 1 Ueber die lleslandtheilc der Hinte·sldn,ye d
erminer l'examen des coupes faites au niveau de la région cervicale
supérieure
, il nous reste à signaler la dégénérescence des
r tout le trajet de ces faisceaux. Seulement, à partir de la région
supérieure
de la ETUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3'M 1 mo
nt le bulbe du chien. A des recherches ultérieures sur les segments
supérieurs
de l'axe cérébro-spinal est réservée la localis
ire, et leur recrutement se faisant dès lors dans une classe un peu
supérieure
, ils seront plus dévoués et plus utiles; il ne
PROJET DE LOI sur LES aliénés. - Le gouvernement a saisi le conseil
supérieur
de l'assistance publique du projet de loi sur les
i le bureau de la Chambre des députés qu'il l'a transmis au conseil
supérieur
de l'Assistance publique, pour qu'il y soit pré
ux vice-amiraux, commandants en chef : « M. le président du conseil
supérieur
du service de santé de la marine a appelé mon a
t inversé, on obtient une rotation conjuguée du côté sain, égale ou
supérieure
à la normale ; la rotation voltaïque conjuguée
favorables à l'exploration des réflexes osso-tendineux des membres
supérieurs
. Pour le réflexe du triceps brachial ou d'exten
s brachial ou d'extension de l'avant-bras, on fait porter le membre
supérieur
en dehors et en arrière ; on le soutient de la
osition suivante me semble encore préférable : l'attitude du membre
supérieur
est analogue à la précédente, mais au lieu de s
s du réflexe d'extension. Pour le réflexe de pronation, le membre
supérieur
est placé dans la même position que pour la rec
posées sur le réflexe achilléen et les réflexes tendineux du membre
supérieur
m'ont permis d'établir quelques no- tions nouve
sain, a une intensité généralement inférieure et en tout cas jamais
supérieure
à celle de la flexion de l'avant-bras sur le br
i précède que mes observations sur les réflexes tendineux du membre
supérieur
, dont la recherche était d'habitude négligée, o
nergiquement le tendon d'Achille, dans son tiers moyen ou son tiers
supérieur
, entre le pouce et l'index, on pro- voque chez
té droit chez une malade atteinte d'un spasme fonctionnel du membre
supérieur
droit, qui se manifestait en particulier par un
tituent une notion clas- sique. B. Réflexes tendineux des membres
supérieurs
. L'état de ces réflexes, dans le tabes, a été l
vrai qu'à une certaine phase de la maladie les réflexes des membres
supérieurs
s'affaiblissent et disparaissent à leur tour ch
ne seulement le moyen de connaître la place occupée par l'extrémité
supérieure
du néoplasme et ne renseigne pas sur la situati
ets atteints d'une lésion spinale siégeant certainement à la partie
supérieure
de la moelle dorsale et chez lesquels l'excitatio
l'anesthésie donne ordinairement le moyen de reconnaître la limite
supérieure
d'une compression spi- nale, la limite inférieu
oubles de motilité qui occupent d'abord exclusivement les mem- bres
supérieur
et inférieur du côté gauche ainsi que le cou, en
jours environ après la première séance radiographique, le membre
supérieur
droit peut se mouvoir suffisamment pour que le ma
première fois, le malade a recouvré intégralement l'usage du membre
supérieur
droit et en partie celui du membre supérieur ga
ment l'usage du membre supérieur droit et en partie celui du membre
supérieur
gauche, il remue la tête et le tronc avec assez
éaction de dégénérescence. 110 Enfin, nous avons constaté au membre
supérieur
des mouve- ments réflexes de défense que nous a
yen de mettre en évidence l'hypotonicité dans les muscles du membre
supérieur
: 118 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE Lorsqu'on i
bras et qu'on cherche à appliquer ainsi ces deux segments du membre
supérieur
l'un sur l'autre, on constate, FIG. 12. -Hémipl
début. - Flexion combinée de la cuisse et du tronc à gauche. tion
supérieure
ou à son insertion inférieure, fléchit la cuisse
s qui inclinent le tronc en arrière. S'il en était ainsi, la partie
supérieure
du tronc, entraînée par la pesanteur, viendrait
organique avec contracture, à condition que la paralysie du membre
supérieur
soit assez marquée : jamais 124 AFFECTIONS DE L
phénomène : on recommande au malade de laisser inertes les membres
supérieurs
, puis on place les avant-bras en supination ; o
exé- cuter un mouvement quelconque aux divers segments du membre
supérieur
paralysé. Faites l'expérience suivante : saisisse
alade tourne sur lui-même avec une certaine brusquerie, les membres
supérieurs
s'écartent du tronc ; mais du côté atteint le m
nne ensuite à eux-mêmes, je constate ceci : du côté sain, le membre
supérieur
vient heurter le tronc, rebondit une fois ou de
une fois ou deux, puis reste immobile ; du côté paralysé, le membre
supérieur
exécute des oscillations plus nombreuses et ne
reposer ses mains sur les miennes et cesse de les tenir, le membre
supérieur
garde généralement du côté sain l'attitude que
s ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des membres
supérieurs
qui, sans être d'ailleurs indispensables à l'ac
nsi un mouvement passif; si, comme cela arrive souvent, le membre
supérieur
, après être retombé, reste immédiatement appliqué
est intervenue, car, en vertu des lois de la mécanique, le membre
supérieur
, s'il avait été complètement inerte, aurait dû, a
1878). On avait affaire à un malade dont les mouvements des membres
supérieurs
et inférieurs manquaient de mesure (Masslosig-
usqu'à présent l'adiadococinésie a été observée surtout aux membres
supérieurs
. Elle est tantôt bilatérale, tantôt unilatérale ;
cervelet et ayant donné lieu à de l'adiadococinésie dans le membre
supérieur
gauche. Marburg (Nearol. Centralblati, l 9 10,
ent d'atrophie cérébelleuse, où le trouble était très net au membre
supérieur
gauche. Max Rothmann, de lierlin, (The symploms
correspondent à une perturbation du centre cortical de l'extrémité
supérieure
et qui résultent d'un trouble dans les réflexes
l'autre à sa droite, avec mission de soutenir seulement la par- tie
supérieure
de son corps sans lui imprimer de mouvements, et
ation du tronc à la flexion de la cuisse. L'immobilité de la partie
supérieure
du corps, pendant quele membreinférieur seporte e
t comme le complément de la précédente. Dans l'une, c'est la partie
supérieure
du corps qui ne se déplace pas alors que la par
est la partie infé- rieure qui reste immobile, tandis que la partie
supérieure
fonctionne. N'est-il pas rationnel de soutenir
érale partielle de l'olive cérébelleuse, des pédoncules cérébelleux
supérieur
et inférieur et de l'olive bulbaire du côté opp
s actes complexes nécessitant notamment la coopération de la partie
supérieure
et de la partie inférieure du corps, se rencont
ouvait facilement démêler, comme caractère essentiel, que la partie
supérieure
du corps se trouvait constamment dans une autre
Paris, igi i) ont constaté un état catalep- toide léger des membres
supérieurs
associé à un défaut d'équilibration dans la mar
ieur droit sont exé- cutés presque synergiquemenl. Ceux des membres
supérieurs
sont correctement accomplis, mais avec un léger
. puni. Pédon- cule cérébelleux moyen. - PCS. Pédoncule cérébelleux
supérieur
. V. Nerf trijumeau. VII. Nerf facial. VIII. Ner
antes établissant la communication entre le centre irido-dilatateur
supérieur
et le centre cilio-spinal. Nous avons émis l'hy
s la production du nystagmus). Le tremblement bilatéral des membres
supérieurs
est peut-être dû aux lésions des systèmes oliva
r dans leur angle postérieur. Elles montent ainsi jusqu'à la partie
supérieure
du corps ciliaire et se recourbent pour descend
malades éprouvaient une sensation de froid et les veines du membre
supérieur
, particulièrement celles du dos de la main, éta
étaient légers ; ils étaient au contraire très mar- qués au membre
supérieur
et à la région cervicale. Le spasme du cou siég
dominant dans le sterno-mastoïdien et associé à un spasme du membre
supérieur
gauche. La tête, à peu près constamment en rota
l. Ce qui faisait sortir ce fait de la banalité, c'est qu'au membre
supérieur
gauche le réflexe du triceps brachial était man
ces muscles, comparés à ceux des membres inférieurs ou des membres
supérieurs
, paraissent sou- mis à un régime privilégié leu
exophtalmie bilatérale fort appa- rente, du tremblement des membres
supérieurs
et une augmentation du nombre des pulsations qu
ogique, mars-avril igi2). 192. Tumeur méningée de la région dorsale
supérieure
, Paraplégie crurale par compression de la moell
cliniques go Réflexe achilléen go Réflexes tendineux des membres
supérieurs
1)2 Du champ visuel et de la vision centrale da
érie. Treize possédant le certificat d'études, forment une division
supérieure
, ne vont il l'école qu'une demi-journée par sem
e Corner, de Londres;M. Iligoutchi, profes- seur il l'École normale
supérieure
de Tokio ; - z Mme Kauffmann, secrétaire de la
ngtemps, dans les écoles de tous degrés : primaires, secondaires et
supérieures
; mais je voudrais que les instituteurs, profes
dévelop- pement de la pomme d'Adam (cartilage thyroïde). Membres
supérieurs
: forme, attitude, volume, motilité, pression (
Pyromanie (Pyr, feu) Distance du rebord externe de l'extrémité
supérieure
de l'auricu- laire au rebord externe de l'extré
supérieure de l'auricu- laire au rebord externe de l'extré- mité
supérieure
du pouce, la main étant dans son extension la p
illes régulières, lobule bien détaché. Tronc bien conformé. Membres
supérieurs
et infé- ' Le père, comme nous l'avons dit, com
t sur les deux tiers médians du pénil. Quelques poils à l'extrémité
supérieure
des grandes lèvres, qui sont assez développées,
sont plus pigmentées et pré- sentent des poils au niveau du lier,;
supérieur
de la face externe. A signaler une vanité crois
dégénérescence). - Front fuyant et étroit; nez long, pointu; lèvre
supérieure
en saillie, lèvre inférieure en retrait, le bas
uine; les oreilles sont longues (Ga mm.) et larges dans leur partie
supérieure
(4 cm.), fortement décollées. - Crâne : légère
age ovale. - Cicatrice de brûlure très étendue existant à la partie
supérieure
du front et s'étendant de chaque côté des joues
irconférence : 26 centimètres.- Corps thyroïde appréciable. Membres
supérieurs
bien conformés ; sensibilité bien conservée. -
- loppées, petites lèvres triangulaires, n'occupant que la moitié
supérieure
de la vulve, clitoris peu développé, méat urinair
II et V sont en outre intéressants parce qu'on voit à leur partie
supérieure
un espace resté inoccupé (cerclé de noir sur V
diamètre transversal est relativement et même parfois effectivement
supérieur
au diamètre antéro-postérieur sur un os malade.
mal lepiara poplilé est incliné en dedans,' en raison de la saillie
supérieure
de sa partie externe. Sur un fémur cl' hémiplég
le de trouver des symptômes de ce genre sur un os, mais à la partie
supérieure
de quelques-uns de nos fémurs nous constatons l
est sur un plan plus élevé que normalement. En effet, son extrémité
supérieure
ne dépasse pas le hord du grand tro- chanter su
1 n'en est pas de même sur le fémur pathologique ; 3° Que le bord
supérieur
du col fémoral est plus arqué qu'à l'état norma
ieur, ainsiqu'on i'a vu tout à l'heure. Le développement musculaire
supérieur
est d'ail- leurs en rapport avec cette augmenta
mauvais état, les épiphyses non soudées sont absentes et la partie
supérieure
de la diaphyse est brisée : nous n'avons donc p
A l'état normal le poids du corps se fait sentir sur l'extré- mité
supérieure
du fémur et tend, par suite de son inclinai- so
l'indice pilastrique exprime bien que l'os sain était d'une vigueur
supérieure
, mais en comparant les éléments d'information o
culaire et le système osseux. L'os sain, ayant supporté un poids
supérieur
, et ayant été pourvu malgré cela d'une musculat
l reste à savoir quel point de repère doit être pris il la partie
supérieure
. Est-ce la tête ? Est-ce le grand tro- chanter
n'est pas modifiée et dans plusieurs cas le fémur malade est encore
supérieur
au fémur sain. La saillie plus faible du grand
équent on arrive a des résultats incertains. Pour trouver le bord
supérieur
du grand trochanter, il faut déprimer la peau à
: 1° à passer en revue les trans- formations des os longs du membre
supérieur
pendant la durée de la croissance en insistant
us. Transformation de la diaphyse pendant la croissance. Au tiers
supérieur
chez le nouveau-né, l'humérus est aplati d'avan
ques représentent l'humérus plusieurs niveaux. - Fig. 4 et 5. Tiers
supérieur
; a et b bords de la gouttière ; - le bord exter
peut aller jusqu'à la perforation. De môme la torsion humorale est
supérieure
sur un os adulte. Il suffit d'examiner les o.
emblables des deux côtés. G... entend bien.-I3ouche moyenne : lèvre
supérieure
très mince, lèvre inférieure plus grosse, avanç
enne transformée en un véritable orifice canali- culaire. Membres
supérieurs
gras, bien développés ; G. ne sait pas se servi
hori- zontale. Lèvres lippues : l'inférieure dépasse de le. 5 la
supérieure
. Menton large. Palais aplati, ne formant pas la
t, mais obliques en avant, comme celles des frugivores. Les dents
supérieures
passent, grâce à une plus grande obliquité, par
lobule détaché et peu développé, s'écartant beaucoup à leur partie
supérieure
de la paroi crânienne. Conduit auditif externe
des contrariétés et des émo- tions. Un duvet fin recouvre la partie
supérieure
des joues et les faces latérales du front. Co
cent; pas de goitre, stcrnocléido- mastoïdiens saillants. Membres
supérieurs
normaux, peu musclés. Mains assez normalement c
tituées; ongles bien implantés. Un léger duvet recouvre les membres
supérieurs
. Thorax : il présente des déformations : très l
ss). La 3e frontale (F.3) est peu développée. La scissure frontale
supérieure
(se. f.s) est normale, sinueuse. La scissure fr
- tions plus blanches, de moindre volume surtout dans la par- tie
supérieure
qui répond au pli de passage pariéto-occipital.
rt : congestion pulmonaire. 106 Hémiplégie; croissance. Membres
supérieurs
. Examen histologique. 107 Poids des organes.
, les joues amaigries. La bouche est de dimension moyenne, la lèvre
supérieure
mince, la lèvre inférieure plus épaisse, rosées
e. Réglée irrégulièrement depuis le mois de mai 1898. Les membres
supérieurs
sont normaux de forme et de développement ; pas
ez est plutôt aplatie. - Pommet- tei moyennes. Bouche grande; lèvre
supérieure
normale, lèvre inférieure un peu épaissie et co
hau- eur sur 3 cent. de largeur. L'hélix est large dans sa moitié
supérieure
(8mm), très étroit dans l'inférieure (4m), L'anth
plus typique, sous le nom de «chinois». « Le front est bas. Le bord
supérieur
de l'orbite, les sourcils et les paupières sont
un peu diflicile à mobiliser; pas de tremblement dans le mem- bre
supérieur
droit qu'elle pouvait élever un peu au-dessus d
des deux os Fig. 10. 158 Description de la malade. maxillaires
supérieurs
est très marquée et forme un raphé saillant. -
très marquée et forme un raphé saillant. - Les dents de la mâchoire
supérieure
sont pour la plupart cariées : ce sont des dent
ler quant au foie, il la rate ou aux fosses iliaques. Les membres
supérieurs
, grêles, sont cyanoses à leur extré- mité (main
xtré- mité (mains et partie antérieure des avant-bras) le membre'
supérieur
droit est contracturé, le coude est appliqué cont
à réduire sans exception toutes ces attitudes vicieuses. Le membre
supérieur
gauche ne présente pas d'attitude vicieuse, mai
et des sillons assez profonds. La FA est peu développée ; sa partie
supérieure
a été détruite par la lésion congénitale. Nous
étant intéressée par la lésion dans son bord antérieur et son bord
supérieur
. Le lobe occipital n'offrait rien de particulie
la forme d'une large crevasse qui interrompt la continuité du bord
supérieur
de l'hémisphère au niveau du lobule para- centr
entre les deux lèvres de la crevasse est de Om0 ? au niveau du bord
supérieur
de l'hémisphère ; il la ter- minaison de la bra
terne de l'hémisphère et dont les faces peuvent être distinguées en
supérieure
(répondant à la face externe de l'hémisphère),
postérieure absente de la Fi (sur la face interne), et de la partie
supérieure
de F. A., et en posté- rieure (répondant iL la
de dedans en dehors la circonvolution du corps calleux, la partie
supérieure
du noyau caudé, et tombe enfin dans la cavité v
par la circonvolution du CC; en haut elle se continue avec la face
supérieure
de la cavité. En somme la base du porus a fait
ieure de Fi, la plus grande partie du lobe paracentral et la partie
supérieure
de F A et la partie postérieure de la circonvol
F A et la partie postérieure de la circonvolution du C C. La face
supérieure
du porus est limitée en avant et de dedans en d
a fait disparaître la portion postérieure de la 1 , la partie toute
supérieure
de la F A, et la portion anté- rieure de la l'
mprise de haut en bas entre l'écorce de la face externe et la paroi
supérieure
du ven- tricule, et de dedans en dehors entre l
rieure du porus, comprise de haut en bas entre l'écorce et la paroi
supérieure
du ventricule et de dedans en dehors entre la s
la P A, a intéressé toute l'extrémité anté- rieure de la pariétale
supérieure
et (dans la profondeur seule- ment) la partie a
ors du corps calleux et aboutit au ventricule, au niveau de la face
supérieure
de la couche optique. Etant données la densit
anche horizontale sont perpendiculaires et arrondies. A la partie
supérieure
du porus les circonvolutions ont une coloration
t de contracture permanent aux deux membres inférieurs et au membre
supérieur
droit, permettait de rattacher cette idiotie à
sses, arrondies. L'orifice do communication aboutissait à la partie
supérieure
de la couche optique et avait environ 0"'005 de
lèle. Tel, 1'=", Ta, circonvolutions temporales. P1, pli pariétal
supérieur
. P2, pli pariétal inférieur. , PC, pli courbe
quatre heures après la mort. - Thorax. Hépatisation de tout le lobe
supérieur
du poumon droit; quelques noyaux de broncho-pne
ie moyenne des 2" et 3e 8 IDIOTIE. temporales; 7° lobule pariétal
supérieur
; 8° lobule du pli courbe. Face interne. 1° Il
une faible portion de la pariétale ascendante; 4°le lobule pariétal
supérieur
; 5° la partie postérieure de la première tempor
inguinale. Par suite de l'état de gâtisme, les fesses et la partie
supérieure
des cuisses sont le siège drnértlzènechronidue;
mort. Thorax. Le pou- mon gauche est un peu affaissé dans son lobe
supérieur
, et légèrement congestionné à sa partie inférie
pite plus, est friable sous le doigt mais surnage encore. Les lobes
supérieur
et moyen sont sains. - Coeur 120 gr. ; caillots
urs kystes séreux, transparents, lenticulaires ; à l'union du tiers
supérieur
et du tiers moyen, on trouve une tumeur en sail
'autres petits noyaux, de même aspect, se voient vers l'extrémité
supérieure
do l'organe, sur la même face. La coupe du rein
neux sur la face convexe du lobe occipital; un sur le lobe pariétal
supérieur
; - un à la partie antérieure de la circonvoluti
frontale ascendante deux nodosités indurées; sur le lobule pariétal
supérieur
, îlot volumineux, séparé par une scissure nette
est très amaigri. Aucune malformation congéni- tale ni aux membres
supérieurs
, ni aux inférieurs, qui sont longs et grêles. -
ales sont comme évidées. Traces de duvet cachectique à la lè- vrc
supérieure
et au niveau des branches du maxillaire inférie
ades dentaires. Au cou un sillon correspondant en avant à la partie
supérieure
du cartilage thyroïde, montant latéralement à d
- nâtre ; il est limité par les lèvres tuméfiées et violacées, la
supérieure
surtout et dans tout le trajet, l'inférieur en ar
dique est très mince et se fusionne en grande partie dans sa moitié
supérieure
avec la première circonvolution frontale. A dro
inue avec elle, mais non continue avec les extrémités inférieure et
supérieure
des parties supérieure et inférieure du sillon
n continue avec les extrémités inférieure et supérieure des parties
supérieure
et inférieure du sillon prérolandique entre les
la deuxièmecirconvolution frontale avec la prérolandique. Sa partie
supérieure
n'est guère représentée que par des vestiges is
droite, par une ligne peu marquée qui s'étend obliquement du tiers
supérieur
de la scissure de Rolando à l'incisure perpendi
u tiers inférieur de la scissure de Rolando jusqu'au milieu du bord
supérieur
de la fosse de Sylvius, et qui est continu à sa
se termine en arrière par une bifurcation qui représente la partie
supérieure
du sillon prérolandique; à droite, elle gagne o
que côté en deux parties, antérieure et postérieure, par l'angle
supérieur
de la fosse sylvienne et l'incisure longue à ga
e inférieure de la fosse sylvienne est presque séparée de sa partie
supérieure
par le rapprochement du lobe temporal et de la
comme la scissure de Rolando ; elle s'anastomose à ses extrémités
supérieure
et inférieure avec la première et la deuxième c
tie antérieure de la scissure limbique. Chez les hom- mes des races
supérieures
, les quatrième et cinquième cir- convolutions t
'est-à-dire que le pli de passage cu- néo-limbique ou rétrolimbique
supérieur
est profond. Après s'être unie à la scissure oc
rétro- limbique inférieur est profond comme le pli rétrolimbique
supérieur
ou cunéolimbique; au contraire, chez Edern, du
urs et postérieurs se pro- longent en branches étoilées. La branche
supérieure
pénètre dans le lobule quadrilatère, au-dessus
première circonvolution frontale, près de l'incisure sus-orbitaire
supérieure
. Des deux cotés, le pli J'l'Onto-limbillue est
, le pli J'l'Onto-limbillue est profond et l'incisure sus-orbitaire
supérieure
est rudimentaire comme chez le MICROCÉPHALIE. 5
Membre inférieur gauche. La tumeur qui occupe et déforme le tiers
supérieur
de la cuisse est constituée par une exostose do
u côté paralysé. Thorax et abdomen normalement conformés. Membres
supérieurs
: Le bras gauche est roide, avec contracture; l
; la dyspnée augmente. On entend dans le poumon gauche, à la partie
supérieure
, un souffle bronchique profond, masqué en parti
cho-pneumonie caséeuse identi- ques à ceux du poumon droit. Le lobe
supérieur
est intact. Les ganglions péribronchiques sont
qui a presque le vo- lume d'une tête d'adulte. Au niveau du détroit
supérieur
, l'intestin est subitement rétréci par le rappr
cloison verticale de 10 centimètres de hauteur qui sépare la partie
supérieure
de la cavité abdominale en deux loges et qui ab
lte de la flexion d'avant en arrière et de bas en haut de la partie
supérieure
de l'os iliaque. Cette flexion apparait encore
pace de 12 13 ? il résulte de cette disposition que le dé- troit
supérieur
a pris la forme d'un gamma fi) ou d'une fente b
érieur s'est dévié fortement en dedans, de manière à former avec le
supérieur
un angle ouvert en dedans d'environ 70 degrés;
'environ 70 degrés; lorsqu'on fait reposer la sur- face articulaire
supérieure
et l'épitrochée sur le plan hori- zontal, on vo
, avec oppression forte ; souffle tubairc, à gauche, dans le tiers-
supérieur
du poumon; respiration très rude, avec râles cr
gauche, on découvre deux cavernes du volume d'une noix dans le lobe
supérieur
, et une un peu plus petite dans le lobe inférie
e moyenne, l'arcade dentaire inférieure assez bien rangée; l'arcade
supérieure
présente les petites molaires cariées; les quat
du poumon droit, on entend des râles ronflants dans les deux tiers
supérieurs
et des râles fins à la base. Toux sèche, quinte
138 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. les lèvres moyennes. L'arcade dentaire
supérieure
est assez régulière; onyvoit l'incisive médiane
e la marche. -Aujourd'lmi, on ouvre un abcès déve- loppéà la partie
supérieure
de l'occipital. 5 Septembre. Pendant la nuit l'
ocreux; on en observe une troisième, plus étendue, longeant le bord
supérieur
de l'hémisphère, à partir de la pariétale ascen
normale, chez lui, mais il y a défaut absolu de la parole. La lèvre
supérieure
est le siège d'un érythème occa- sionné par un
intense ; coryza très marqué, entraînant de l'érythème de la lèvre
supérieure
; somnolence. T. R. 40°,2. - Soir : T. R. 40°,6.
constate à l'aus- cultation l'existence de gros râles dans le tiers
supérieur
du poumon droit : du côté gauche, la respiratio
ux de bronchio-pneumonie. Le poumon gauche, au niveau de son lobe
supérieur
, est flasque, affaissé. On y voit quelques nodu
155 mère, très fine, s'enlève difficilement surtout vers le bord
supérieur
de la face convexe. Hémisphère gauche. La pie-m
ormaux, les lèvres épaisses, la bouche est large. L'arcade dentaire
supérieure
est bien rangée, munie d'incisives médianes à c
icule gauche, caillot jaunâtre, adhérent au bord libre et à la face
supérieure
de la grande valve de la mitrale. Un second cai
llette droite dans le ventricu'e correspondant, cruoriqueàsa partie
supérieure
, adhère : .t t à la valvule. Abdomen. Foie, 7
descendante. Pa, pariétale ascendante. P1, pu, lobules pariétaux,
supérieur
et inférieur. P3, pli courbe. T1, T-, T3, cir
rvé, en ce sens que le ma- lade reproduit exactement avec le membre
supérieur
gauche les mouvements passifs communiqués au me
L'examen de la sensibilité montre une anesthésie complète du membre
supérieur
droit. La zone insensible s'étend jusqu'à la mo
ut sur sa jambe gauche. Diminution de la force musculaire au membre
supérieur
gauche qui serre moins fort, et qui donne au ma
ému. 11 ne se modifie pas dans le bain. 15 - La parésie des membres
supérieur
et inférieur gauches a à peu près complètement
. Anesthésie complète Fig. 6. 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. du membre
supérieur
se terminant en arrière à l'omoplate. Anes- thé
perte de connaissance; on note alors : 1° de la parésie des membres
supérieur
et inférieur droits; des troubles de la motilit
torsion et des oscillations diverses, en même temps que les membres
supérieurs
sont constamment agités. » Les mouvements du
tion quand le malade est couché, ils se localisent dans les parties
supérieures
du corps, lorsque le sujet est debout. Or, chez
uelque mouvement involontaire du cou. Déjà les mouvements du membre
supérieur
sont peu fré- quents : bien plus exceptionnels
moelle présente absolument sa consistance nor- male. Dans la partie
supérieure
, elle est sensiblement plus molle, sans que nul
e processus morbide atteint son maximum d'intensité à l'ex- trémité
supérieure
de la moelle dorsale au niveau des deuxième et
tués au milieu des îlots. Ils sont entou- Fit, 7. Coupe à la partie
supérieure
de la moelle dorsale. Distribution des foyers d
en des points correspondant assez bien à ceux de la région dorsale
supérieure
; mais ils sont beaucoup moins consi- dérables.
it d'altérations qu'un certain degré de ramollissement de la partie
supérieure
de la région dorsale. Le foyer originaire de la
ine la série des coupes pratiquées en se dirigeant vers l'extrémité
supérieure
de la moelle, on voit que les lésions persistent
ts : l'inflammation semble avoir eu son point de départ à la partie
supérieure
de la région dorsale; du moins, c'est à ce nive
ion nocive sur la moelle épinière et particulièrement sur la partie
supérieure
, bulbaire. Les lésions trouvées aux autopsies d
oduit un syndrome unique (paralysie des branches innervant le droit
supérieur
et l'oblique inférieur, rien que cela) et symét
au selon les espèces animales, M. Bechterew divise les mammifères
supérieurs
en deux glands groupes. 1. Chez les uns, dès la
s le bulbe au milieu de la corne antérieure (territoire d'origine
supérieur
) ; il se déjette de côté et occupe, à partir de l
git d'un cas de frac- ture avec déplacement. Au niveau de la partie
supérieure
du renflement lombaire, la dégénérescence est d
trajet de son faisceau cantéro-latéral ascendant : 1° A la partie
supérieure
de la région cervicale, à la hauteur de Ja troi
n avec l'autre. Un système ventral (inférieur) ; un système dorsal (
supérieur
). Le système ventral renferme les fibres qui vo
ventral renferme les fibres qui vont de la glande pinéale au noyau
supérieur
de l'ocu- lomoteur commun et au faisceau longit
yau supérieur de l'ocu- lomoteur commun et au faisceau longitudinal
supérieur
Le sys- tème dorsal représente les libres de la
s libres de la substance blanche profonde du tubercule quadrijumeau
supérieur
qui, après entre-croisement en arrière du canal
rmations analogues, le noyau de Rurdach étant réservé à l'extrémité
supérieure
, celui de Goll à l'extrémité inférieure. En c
tie la plus inférieure du champ interne ; le syslème arcué moyen et
supérieur
du même noyau occupe la partie moyenne de ce ch
rf vague dans le champ externe du bulbe forment les fibres les plus
supérieures
du faisceau lon- gitudinal supérieur à peine pl
forment les fibres les plus supérieures du faisceau lon- gitudinal
supérieur
à peine plus de l'imitables. P. K. XIV. CONTRIB
s calleux ; tel est, à nu, le fasciculus ar- cuatus ou longitudinal
supérieur
de Burdach et 111eynert qui mé- rite le nom de
e remit en lumière. H. M. C. XXX. Amputation ancienne A la partie
supérieure
du bras gauche ; ATROPHIE DE L\ CIRCONVOLUTION
onde période, l'impulsion du choc est modérément torte et la pointe
supérieure
du tracé peut, ou bien être arrondie, ou bien s
te de J'hypoplasie de la névroglie sur toute l'écorce des frontales
supérieurs
, toutes parié- taux supérieurs, premières tempo
lie sur toute l'écorce des frontales supérieurs, toutes parié- taux
supérieurs
, premières temporales des deux cota, delà parié-
ales, dans lesquelles on trouve des habitudes sociales, quelquefois
supérieures
a celles de bien des peuplades humaines, qui mo
(diminution du champ visuel, plaques d'hypéresthésie) ; les membres
supérieurs
sont moins solides qu'auparavant, et agités par
s qu'auparavant, et agités par un tremblement ainsi que les membres
supérieurs
. L'auteur à propos de cette observation fait l'
a marche des anesthésies, et débutant de préférence par les membres
supérieurs
où l'on observe l'une des trois formes de Archi
la liste des admissibles se trouverait épuisée, l'administration a
supérieure
se réserve la faculté d'appeler à cet emploi un c
xceptionnel également, et lorsqu'une nécessité d'ordre 132 VARIA.
supérieur
le commanderait, ou encore par mesure disciplinai
es; offices; - 6" présence constante d'un méde- cin ou d'un employé
supérieur
du personnel organisé; il y aura son habi- tati
le Dr E.-E. White est nommé professeur de psychologie. Un Conseil
supérieur
DE Médecine légale. Au ministère de la Justice,
s; pendant vingt-quatre heures, l'enfant se- rait- resté au détroit
supérieur
. Quatre applications de forceps avec chloroform
long de la crête sacrée, à la partie la plus proéminente du détroit
supérieur
, de telle sorte qu'il 1 n'est nullement protégé
n mois environ. La douleur était localisée aux reins et à la partie
supérieure
de la fesse gauche. Il n'y eut point alors de d
e, points sacro-lombaire, fessier, trochantérien, poplité, péronier
supérieur
, malléolaire, plantaire (milieu de la plante du
ment un caractère rythmé. Plus marqués, ai-je dit, dans les membres
supérieurs
, ils ont une amplitude différente, suivant que
re l'acte impossible. Ce der- nier caractère vise surtout le membre
supérieur
droit, auquel l'amplitude moindre des oscillati
produisant également, bien qu'à un moindre degré, dans les membres
supérieurs
et inférieurs. La première maladie à laquelle o
cou ; la tête branle plus rarement, le début a lieu par les membres
supérieurs
, le tremblement peut rester longtemps, tou- jou
isé à la tête, mais habituellement il occupe la tête et les membres
supérieurs
; très rarement, il envahit progres- sivement l
e 'des oscillations obliques. ' ...... Le tremblement des membres
supérieurs
est moins cons- , tant que celui de la tête ; n
corps, cependant ils sont plus fré- quents et plus nets aux membres
supérieurs
. Dans un certain nom- , bre de cas, il faut pou
d'une para- lysie des extenseurs. Sauf une fois, c'est le membre
supérieur
qui a été touché; dans le cas auquel nous faiso
nnelle de la jambe et l'insensibilité du pied complète. Au membre
supérieur
, la paralysie s'est localisée d'emblée ; mais s
ralysé. Ainsi, dans un cas cité par Lytten ' de paralysie du membre
supérieur
, il y avait un empâtement de tout le bras par i
nsuite paraplégie, troubles des sphincters, paralysie des membres
supérieurs
, du nerf facial, et mort avec des signes de par
d'engourdissement, de pesanteur et de faiblesse dans tout le membre
supérieur
; « il lui semble que le membre frappé ne lui ap
'étend à la face dorsale et à la face palmaire de la main, au tiers
supérieur
de la phalange des quatre premiers doigts et au
emiers doigts et au cinquième doigt en son entier; il a pour limite
supérieure
une ligne circulaire passant au-dessus des apo-
es inférieures affectent la forme de « bagues » situées à la partie
supérieure
des phalanges. Dans toute cette région, l'anest
du territoire anesthésié se sont complètement modifiées. La limite
supérieure
de l'anesthésie, gagnant du terrain, s'est report
ace dorsale et palmaire) ont récupéré leur sensibilité. La limite
supérieure
de l'anesthésie est reportée au niveau du pli d
NE névrose PEU connue DES extrémités, principalement DES EXTRÉMITÉS
SUPÉRIEURES
; par M. BERNHARDT. (Central, f. Nervenh., 1886.
érapeutique. II. Parésie de presque tous les muscles de l'extrémité
supérieure
gauche. Etiologie remarquable. - Le deltoïde se
chow) tout le long du trijumeau et surtout de la branche maxillaire
supérieure
(derniers stades de l'inflamma- tion) ; même ét
D'UNE ESPÈCE TOUTE particulière DE mouvement associé de la paupière
SUPÉRIEURE
EN état DE parésie dans LE cas D'UNE BLÉ- PHARO
ère d'ordinaire pendante. Par conséquent l'élévateur de la paupière
supérieure
est innervé non seulement par l'ocu- lomoteur c
ans ceux des éléments qui com- mandent à l'élévateur de la paupière
supérieure
; or, on se rappelle qu'une bonne partie des fib
sme ayant porté sur les parties les plus élevées du lobule pariétal
supérieur
et du lobule paracentral avait, de concert avec
ccipitaux, insulas, corps striés, des deux côtés - de la fron- tale
supérieure
, du gyrus rectus et de l'avant-coin du côté gauch
uve à l'autopsie un sarcome développé aux dépens des deux frontales
supérieures
gauches, et la dégénérescence grise des cordons
UE D'ÉLECTROTHÉRAPIE ET DE THÉRAPEUTIQUE 261 L frottement la partie
supérieure
des cuisses du malade. La bai- gnoire est ainsi
voir avec le corps calleux ; il appartient au faisceau longitudinal
supérieur
. L'obser- vation est en outre caractérisée par
eille dame démente; elle succomba à une pneumonie lobulaire du lobe
supérieur
gauche; lésions atéleclasiques avec bronchite p
l présente des pièces à l'appui. Ce faisceau commence à l'extrémité
supérieure
de l'entrecroisement des pyramides, il semble c
où la liste des admissibles se trouverait épuisée, l'administration
supérieure
se réserve la faculté d'appeler à cet emploi un
. A titre exceptionnel également, et lorsqu'une nécessité d'ordre
supérieur
le commanderait, ou encore par mesure disciplinai
e depuis quelque temps à Londres et en Angleterre que les autorités
supérieures
, inquiètes de cet état de choses et sollicitées
imples élancements assez espacés et localisés seulement à la partie
supérieure
de l'orbite gauche. L'attaque survient alors : le
de l'organisme animal, pour être com- plexes chez les animaux dits
supérieurs
, sont loin d'être compliqués et se rapprochent
sion postérieure du corps godronné en : 1° C. a. s., corps godronné
supérieur
; 2° une branche qui se bifurque pour fournir 11'T
des nerfs de Lnncisi et L. y. les nerfs de la Lyre. Le prolongement
supérieur
du corps godronné est relié à l'angle interne d
gonale en P. c. c, pédoncule du corps calleux, par le corps bordant
supérieur
C. b. s, prolongement de la lame réticulée L. r.
ctive. S'il est un peu déchu, il n'en aura pas moins une fonction
supérieure
; et les pédoncules des lobes seront de simples
ans et en haut avec ce que j'ap- pellerai plus loin le prolongement
supérieur
du corps godronné et en dehors avec l'origine d
nce pour la vision normale : la perceptibilité différentielle est
supérieure
dans la vision binoculaire à ce qu'elle est dan
s n'avons pas, il est vrai, constaté objectivement dans les membres
supérieurs
des troubles de sensibilité analogues à ceux de
z les oiseaux et spécialement chez les pigeons, la classe justement
supérieure
de vertébrés. Ces phéno- mènes sont familiers à
longue durée, possèdent les centres inférieurs séparés des centres
supérieurs
. Les mam- mifères chez lesquels l'opération a l
uivre nécessairement une rupture violente des centres inférieurs et
supérieurs
préalablement ou directement unis. Comme la cau
par les nerfs des sens spéciaux et subordonné aux centres nerveux
supérieurs
par lesquels l'organisme s'adapte aux choses exté
xemple que, quoique les lésions qui causent une affection du membre
supérieur
soient groupées principalement dans une même ré
ie des muscles rotateurs de l'oeil et de l'élévateur de la paupière
supérieure
avec intégrité du sphincter irien et du muscle
égénérative gagne les libres de la racine postérieure immédiatement
supérieure
par leur côté .interne et médian, au point où e
HOLOGIQUES. n'est que coutiguë au faisceau de G011. Dansles parties
supérieures
de la moelle, au lieu de passage de la moelle e
equi succède à la résection des racines posté- rieures de la moitié
supérieure
du corps ne se prolonge que dans les faisceaux
le ascendante et ayant détruit une petite partie du lohule pariétal
supérieur
, le lobule pariétal inférieur et le commencemen
ux côtés, sous-jacent aux circonvolutions pariétales inférieures et
supérieures
, aux première et deuxième temporale. Atrophie d
s. Atrophie presque complète de la couche profonde et des couches
supérieures
des noyaux centraux dupont de Varole. P. K. 432
Il en est résulté une atrophie des noyaux de l'accessoire, du noyau
supérieur
et inférieur du pneu- mogastrique et du glosso-
mme très étendue. Afin d'éviter, en ce qui regarde les ex- trémités
supérieures
, la pression exercée sur la peau, M. Hitzig a f
roupe des pamnoéses ou folies intellectuelles sys- tématiques, bien
supérieur
, suivant lui, à l'expression de Yerrïcck- theit
eine fémorale droite, et enfin, une thrombose du sinus longitudinal
supérieur
et caverneux. Ces accidents relèveraient de l'i
e sorte que ses dents débordent et recouvrent celles de la mâchoire
supérieure
. Il offre, en outre, quelques attributs d'une c
les membres inférieurs étaient complètement paralysés, les membres
supérieurs
l'étaient aussi un peu, le malade avait une gra
usque qui ctpi-is successivement et 1res rapidement : a), le membre
supérieur
droit ; b), l'inférieur droit; c), le supérieur
ent : a), le membre supérieur droit ; b), l'inférieur droit; c), le
supérieur
gauche; d), l'inférieur gauche; anesthésie ; pa
icale et rectale. - Le 18 mars, retour de la motilité à l'extrémité
supérieure
gauche, et le 20, au supérieur droit, sensation
retour de la motilité à l'extrémité supérieure gauche, et le 20, au
supérieur
droit, sensations de brûlure, douleurs fulgu- r
ment pour faire place à une paralysie brusque et complète du membre
supérieur
droit, quelques minutes plus tard, du membre in
du membre inférieur droit. Une dizaine de minutes après, le membre
supérieur
gauche est pris à son touret devient paralytique;
urs, au point qu'aucun mouvement n'était possible. Rien aux membres
supérieurs
ni à la face. La sensibilité aurait été complèt
précédée, ni accompagnée, ni suivie d'au- cune paralysie de membres
supérieurs
. Il n'en est pas de même pour le malade de l'OB
que la paralysie de ses membres inférieurs un peu de paralysie aux
supérieurs
. Ce qu'il y a surtout de remarquable c'est le m
XXI, qui a saisi successivement et très rapidement : a). le membre
supérieur
droit, b), l'inférieur droit, c). le supérieur
nt : a). le membre supérieur droit, b), l'inférieur droit, c). le
supérieur
gauche et d). l'inférieur gauche. En d'autres t
nférieur était précédée pendant quelques moments d'une paralysie du
supérieur
correspondant, de sorte qu'en quelques minutes,
, le malade ne remuait plus que la tête. Les paralysies des membres
supérieurs
, qui ont accompagné la paraplégie sont, comme c
pas de troubles de la sensibilité et du sens musculaire aux membres
supérieurs
. Réflexes normaux. Pas do picotements. Il n'y a
ce ..membre. Pas trace de parésie au membre inférieur gauche, aux
supérieurs
et à la face. Nous'constations une légère diminut
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 65 sements des membres
supérieurs
, qui partaient des doigts pour » remonter aux é
nt. Le membre inférieur gauche n'a pas trace de paralysie. Rien aux
supérieurs
et à la face. Il y a une exaltation considérabl
sissait et le serrait fortement, les en- gourdissements des membres
supérieurs
qui partaient des doigts pour arriver en remont
extrêmement vives, s'étendant à l'occiput et s'irradiant au membre
supérieur
droit, exaspération de ces douleurs, de temps à a
ns l'après- midi, fourmillements et engourdissements dans le membre
supérieur
droit, en même temps qu'un certain degré de par
région, s'étendant jusqu'à l'occiput et s'irradiant aussi au membre
supérieur
droit et surtout aux grandes articulations de l
els que des fourmillements et des engourdissements dans le membre
supérieur
droit, en même temps qu'un certain degré de parés
0 septembre, le malade est dans l'impossibilité de remuer le membre
supérieur
droit qui pend le long de son tronc comme une m
e nous fûmes consulté. Etat du malade (6 octobre 1883). Le membre
supérieur
droit est pendant, dans une attitude incomplète
xamen électrique est négatif pour tous les autres muscles du membre
supérieur
droit. Sensibilité. Le malade se plaint encore
presque complètement anesthésique. Enfin, pour finir avec le membre
supérieur
droit, n'oublions pas de noter quelques trouble
et des organes génitaux. Pas de paralysie aux membres inférieur et
supérieur
gauches. Il n'y a aucun symptôme céphalique.
douleurs qui s'éten- daient à l'occiput et s'irradiaient au membre
supérieur
droit. C'est elle qui afait naître les fourmill
ce sont la paralysie et, un peu plus tard, la myatrophie du membre
supérieur
droit. 84 CLINIQUE NERVEUSE. A une étape ulté
ar le fait du pseudo-mdeme. Les attaches sont épaisses. Les membres
supérieurs
égaux ont 0"'22 de longueur, les inférieurs, ég
comment on procède : on commence, par exemple, par placer le membre
supérieur
dans l'abduction de façon à ce qu'il occupe une
faits physiologiques, l'auteur est arrivé à en rattacher les zones
supérieures
à l'olive inférieure, au milieu de la calotte,
, la locali- sation des lésions des cordons postérieurs à la moitié
supérieure
de la moelle, au contraire la généralisation de
;t prévoir sera de deux au moins. Le nombre des places données sera
supérieur
d'une ci celui des places vacantes. Cette pro
écrite, éliminatoire dans le cas où le nombre des candidats serait
supérieur
à trois pour une place; 2° une épreuve orale, c
uve sera éliminatoire dans le cas où le nombre des candidats serait
supérieur
ci trois pour une place; 3° Une épreuve cliniqu
que le concours pour les places de mé- decins adjoints devrait être
supérieur
aux concours habituels de l'internat et qu'il é
à prévoir, sera de deux au moins. Le nombre des places données sera
supérieur
d'une à celui des places vacantes. V. - Le jury
uve sera éliminatoire dans le cas où le nombre des candidats serait
supérieur
à trois pour une place ; 3° Une épreuve clini
eaux grêles (flq. 3 et 4). Sur les coupes de la partie thoracique
supérieure
(P. ni) de la moelle épinière, le tableau ci-de
, en bas et en dedans ; les autres nerfs crâniens et les extrémités
supérieures
sont dans un état normal. Dans les jambes, doul
uis un mois, l'ouïe et l'odorat se sont affaiblis. Dans les membres
supérieurs
, il faut remarquer l'absence complète du réflex
ns d'autres endroits, au contraire, hyperesthésie. Dans les membres
supérieurs
, sensation d'engourdissement dans les trois der
t de ce temps, il est pris tout d'un coup d'une parésie des membres
supérieurs
, bientôt suivie de celle des membres inférieurs
liques ou autres. Le soir, le malade commence à mouvoir ses membres
supérieurs
et dans le cours de la nuit, l'amélioration fai
s convulsifs ; l'accès commence par une flexion excessive du membre
supérieur
gauche au niveau des articulations du poignet e
ui a eu lieu à midi 40 et qui a été suivi d'une parésie des membres
supérieurs
et inférieurs gauches. Cetle parésie a duré tro
flement au moins apparent, en même temps qu'une paralysie du membre
supérieur
non plus le gauche, ce qui lui est arrivé le 10
était atteint des mêmes accidents, à savoir une paralysie du membre
supérieur
tantôt gauche tantôt droit avec ou sans paralys
es dont l'une est un exemple de paralysie de la face et du membre
supérieur
gauche. a). Paralysie faciale. ' Observation
ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. b). Paralsie de la face et du membre
supérieur
droit. Observation XLVIII. Le nommé Jean Cous
temps, tout d'un coup, il est pris de paralysie complète du membre
supérieur
gauche. La bouche, en même temps, était de trav
i bien que le droit. Il n'y a aucune trace de paralysie au membre
supérieur
droit et aux inférieurs. Sauf quelques petits éto
11 n'y a aucune trace de paralysie, soit faciale, soit du membre
supérieur
gauche depuis un mois, époque de la disparition d
issure était coupée par un pont de substance blanche vers son tiers
supérieur
; au delà de ce pont elle envoyait en avant et e
le faisceau solitaire du bulbe. Ce faisceau s'étend de la partie
supérieure
du bulbe à l'entre-croisement supérieur des pyra-
sceau s'étend de la partie supérieure du bulbe à l'entre-croisement
supérieur
des pyra- mides. Il ne dépasse pas en haut le p
tent en haut et en avant, en se rapprochant de l'écorce du vermis
supérieur
, une partie allant au côté opposé. Le deuxième
monte vers la moitié correspondante de la région moyenne du vermis
supérieur
. Le troisième faisceau, constitué par les fibre
intense, sans maux de tête ni nausées. Un peu d'ataxie des membres
supérieurs
et faiblesse du membre inférieur gauche. Réflex
nalogues, il a émis l'hypothèse d'une lésion passagère de la partie
supérieure
du plancher du quatrième ventricule, lésion s'é
n gauche au-dessous de l'entrecroisement des pyramides, le membre
supérieur
gauche seul est paralysé, tandis que la même hé
ans, et gagne ce qui reste des fibres restiformes au niveau du plan
supérieur
de la formation réticulaire; ici cette branche de
; mais ses fibres ne sont point en rapport avec le noyau interne ou
supérieur
du même côté (tfente, Sclmalbe,Edinger). La rac
La racine-antérieure de l'acoustique, après avoir atteint la partie
supérieure
du noyau de Deiters, gagne le noyau situé en arri
deux ascendantes des deux côtés, et, à gauche, du lobule pariétal
supérieur
et de la première occipitale d'Ecker. Pathogénie
ique, à de l'exagération des réflexes, tendineux sur les extrémités
supérieures
, à des signes de para- lysie spinale spasmodiqu
s exclusivement de fibres ascen- dantes. Les pédoncules cérébelleux
supérieurs
ne passentpas dans le torus semi-circulaire; il
héorique et pratique. Sa méthode, ses instruments de précision sont
supérieurs
aux mensurations non mathématiques que l'on exé
z Le même. Nouveaux cas de I)rti,éso-aicilgésie (1,,s extrémi- tés
supérieures
. (Gazette hebdomadaire, n° 32-34, 1886.) Oppen-
service des femmes pour le soin de ce genre de malades. La classe
supérieure
de l'école des infirmiers et infirmières compte
que les faits généraux acquis par l'expérimentation sur les animaux
supérieurs
, sur les singes en parti- culier, ne soient app
nctions cérébrales diffère chez l'homme de celle des autres animaux
supérieurs
: elles servent à éclairer le côté subjectif de
ndie ont été induits en erreur pour avoir étendu à tous les animaux
supérieurs
les résul- tats d'expériences pratiquées sur de
ait lésée et où il exis- tait des troubles de la motilité du membre
supérieur
du côté opposé à la lésion. On peut, si l'on es
et des systèmes opposés, au désir de conci- lier dans une synthèse
supérieure
les théories adverses et contraires. Chez ces c
ous les physiologistes et tous les cliniciens .de marque : ils sont
supérieurs
à leur oeuvre. L'étude des fonctions sensoriell
empérature, le matin, 36° 4; le soir, elle est ordinairement un peu
supérieure
à 37°, elle est par exemple de 37° 2. Après la
t de maux de tête et de vertige. Les mouvements dans les extrémités
supérieures
sont parfaitement normaux en ce qui concerne la
que le gauche 1... est gau- cher. Aucune rigidité dans les membres
supérieurs
. Les mouve- ments passifs s'opèrent très aiséme
jusqu'à la plante des deux pieds et, en partie, dans les extrémités
supérieures
. Ainsi, nous remarquons chez le malade une anes
régions des nerfs cutaneus, medialis, mé- dius, cutaucus postérieur
supérieur
et de tout le nerf ulnariq. La même anesthésie
général de l'anesthé- sie reste toujours le même : dans les membres
supérieurs
, la face ulnaire, ainsi que les deuxième et tro
s électriques sont également normales dans les muscles des -membres
supérieurs
et inférieurs. L'irritabilité mécanique des mus
ie et les vertiges persistaient. Au bout de ce temps, les membres
supérieurs
étaient com- plètement dégagés de la paralysie,
au bout desquels il a complètement récupéré l'usage de ses membres
supérieurs
. Quant aux inférieurs, l'amélioration a été tel
à une hémiplégie gauche. La bouche était de travers, ses membres
supérieur
et inférieur du côté gauche, ne pouvaient exécute
lèvement du casque, le ma- lade est atteint, le long de l'extrémité
supérieure
droite, surtout aux épaules, de douleurs intens
n engourdissement très fort suivi bientôt d'une paralysie du membre
supérieur
et inférieur droit; sa bouche aurait été de tra
t après, le malade est atteint subitement d'une paralysie du membre
supérieur
et inférieur droit, la bouche était aussi de tr
parties du corps s'étendit jusqu'à la surface postérieure du tiers
supérieur
des cuisses. Je fis usage contre la gangrène de
, et à plusieurs reprises chaque jour, par des profondeurs toujours
supérieures
à trente mètres, et jusqu'alors il n'avait rien
ie de ses lèvres enflées, ses yeux étaient saillants, ses mem- bres
supérieurs
froids, son pouls était petit. faible et filiform
incohérents ; quel- quefois il remuait un peu seulement les membres
supérieurs
et avait de la dyspnée depuis le commencement d
mersive, il sentit des douleurs et des engourdissements aux membres
supérieurs
et inférieurs, qu'il remuait difficilement, san
avait seulement beaucoup de taches livides au thorax ; ses membres
supérieurs
et inférieurs ne cessèrent pas de remuer jusqu'
pport avec la loca- lisation bulbaire de l'affection (polycéphalite
supérieure
de Vernick). C'est là la forme classique de l'o
e dose de 0 gr. 20 par kilogramme; elle est augmentée par des doses
supérieures
. On n'obtient pas d'abaissement de la températu
sie des membres inférieurs ; vingt- quatre heures après les membres
supérieurs
présentent les mêmes phénomènes. Au moment de l
lysie débutant par les membres inférieurs, puis gagnant les membres
supérieurs
, et peu de temps après la face ; pas d'atrophie
de bléplia- rite chronique, sont dépourvues de cils; les paupières
supérieures
sont très gonflées, comme dans un cas d'anasarq
elles, etc.), on ne rencontre trace de transpiration. Les membres
supérieurs
sont gros ; les extrémités sont froides, sèches
os voûté; ventre énorme, proéminent, hernie ombilicale; mem- bres
supérieurs
et inférieurs gros; mains et pieds élargis, gon-
rvicale deux fois de suite. Il présentait de la paralysie du membre
supérieur
, de la parésie du membre infé- rieur et de la d
e la colonne cervicale qui a guéri, gardant une parésie des membres
supérieurs
. AL le 1)' Putnam pense que dans un cas du D''
bre et irritabilité du système nerveux, affaiblissement des centres
supérieurs
de l'encéphale devenant ainsi incapables d'inhi
triomphe. Et il ne servira de rien d'ajouter que, pour les animaux
supérieurs
, la complexité de leur milieu est une sauvegard
us ne saurions laisser passer sous silence un livre d'ensemble bien
supérieur
aux traités de psychologie physiolo- gique que
parfaitement bien appropriée, que nous avons pu obtenir des planches
supérieures
aux anciennes. B. PREMIÈRE PARTIE Épileps
s'étendre et s'écarter les uns des autres, et en même temps le membre
supérieur
droit tout entier a été pris de secousses. Elle a
t Yodorat sont normaux. La sensibilité générale est intacte. Membre
supérieur
droit. L'attitude habituelle est celle qui est fi
, d'une façon précise, le degré de l'arrêt de développement du membre
supérieur
droit. Membre inférieur droit. Il est plus faib
0e 20e Distance de l'épine iliaque antérieure et sup. à l'extrémité
supérieure
du tibia . . . 38e 38e Distance de cette extrém
trophie est beaucoup moins prononcée au membre inférieur qu'au membre
supérieur
. R.... se plaint de palpitations cardiaques et
ent rien de particulier.— Les mouvements du cou sont libres. Membre
supérieur
gauche. — La Planche II donne une idée très-exact
e. — La Planche II donne une idée très-exacte de l'attitude du membre
supérieur
gauche. On voit: 1° que l'épaule, comparativement
-pothénar, les muscles interosseux ne sont pas atrophiés. Le membre
supérieur
gauche, considéré dans son ensemble, est, par rap
du métatarse. ... 12e 12° Distance de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à l'extrémité supérieure du tibia. 43e 45e Dist
Distance de l'épine iliaque antérieure et supérieure à l'extrémité
supérieure
du tibia. 43e 45e Distance de celle-ci à la mal
du corps.—L'excitabilité réflexe est, cependant, augmentée au membre
supérieur
gauche. La malade nous raconte que, parfois, lors
sque aussitôt des spasmes tétaniques courts et répétés dans le membre
supérieur
correspondant (épilepsie spinale). Outre ces ph
s. Elle est toujours sujette à des migraines. — Les spasmes du membre
supérieur
gauche persistent. — Uodorat et le goût sont moin
u'il est permis d'en juger, car il n'existe que trois dents. Membre
supérieur
droit (paralysé). Au repos, le bras s'appuie le l
ne peuvent en faire plus de trois). Dans l'hiver, la peau du membre
supérieur
droit devient violacée, marbrée. Au toucher, il e
tmosphériques. Voici les mensurations comparatives des deux membres
supérieurs
. Droit. Gauche. Circonférence du bras au ni
pophyse iliaque ant. et sup. à Iconographie : t. n. l'extrémité
supérieure
du tibia. 43 43 Distance de celle-ci à la mallé
7 18 L'influence du froid sur la peau est moins grande qu'au membre
supérieur
. Au palper, le genou et la jambe sont plus frais
ement. Dans tous les cas, d'ailleurs, la contracture impose au membre
supérieur
une attitude particulière. Nous la rappellerons s
egré très-accentué. La contracture prédomine en général au membre
supérieur
, de même que les commuions durant l'état de mal.
he sont pris, de temps en temps, de mouvements spasmodiques. Memdre
supérieur
gauche.— L'avant-bras est d'habitude à demi fléch
e, du cou-de-pied 24,5 26 Distance de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à la tubé-rosité externe du tibia 40 47,5 Dista
alatin. — La percussion du crâne ne provoque pas de douleur. Membre
supérieur
droit. — Rigidité assez prononcée des jointures,
ire, du métatarse 21 21,5 Distance de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
à l'extrémité supérieure du tibia............ 50
Distance de l'épine iliaque antérieure et supérieure à l'extrémité
supérieure
du tibia............ 50 51 — de celle-ci à la
: chez celles-ci, en effet, l'atrophie était plus prononcée au membre
supérieur
. Ajoutons aussi que le père de St... nous a assur
n de la rigidité des membres paralysés et, le plus souvent, du membre
supérieur
. Ces douleurs occupent tantôt l'épaule seule (Obs
s plus accusées tantôt au membre inférieur (Obs. V), tantôt au membre
supérieur
(Obs. VI); mais, dans bien des cas, il est malais
ques. La percussion de la tête n'est nulle part douloureuse. Membre
supérieur
droit. — Attitude habituelle : le bras est accolé
19 20 Distance de l'épine iliaque antérieure et sup. à l'extrémité
supérieure
du tibia... il 42,5 Droit. Gauche. Distance
dant à la fois à l'extrémité inférieure de l'humérus et à l'extrémité
supérieure
du radius. (Il y a eu, dans ce point, interventio
membre inférieur droit est atrophié à un moindre degré que le membre
supérieur
correspondant. Les mouvements des jointures de la
claquent sur le verre. Enfin, la contracture disparaît dans le membre
supérieur
droit. Br... ne perd pas connaissance ; elle en
emi, la paralysie de la jambe droite ne s'est pas aggravée. Le membre
supérieur
droit était libre, l'enfant s'en servait et ne la
jambe droite pendant quelque temps ; ensuite leur extension au membre
supérieur
droit ; enfin la généralisation des convulsions ;
rine pas sous elle dans ses crises. Etat actuel (1866). — Le membre
supérieur
gauche est notablement moins fort que le droit; c
érieur est pris spontanément de trépidation; en même temps, le membre
supérieur
qui, lui, était souple auparavant, se contracture
acture des membres du côté gauche. En voici la description : Membre
supérieur
gauche. — Il est dans l'extension et la pronation
gauche avec convulsions vibratoires et par une contracture du membre
supérieur
correspondant, la malade se met à rire. Elle assu
t en haut et à gauche, les paupières battent rapidement ; les membres
supérieurs
se raidissent et se fléchissent ; les membres inf
e droite et, aubout d'une minute, se porte à gauche. Alors, le membre
supérieur
gauche s'allonge ; il survient quelques petites c
t, ils sont en tièrement libres (Pl. VIH). 5 atril. — Le membre
supérieur
est tout à fait souple, même la main. Dès qu'on f
lutition; — b) une trépidation du membre inférieur droit; les membres
supérieurs
n'ont point participé à cette sorte d'accès incom
resducôté droit elle membre inférieur gauche sont libres. — Le membre
supérieur
est contracture (attitude ordinaire). Interrogé
gauche. Le cou est vigoureusement tendu, comme gonflé. Le membre
supérieur
gauche, soulevé à demi, est légèrement écarté du
t rigides, sauf celles des doigts qui ne sont que roides. ¦ Le membre
supérieur
droit demeure, tout le temps, appliqué contre le
les trois derniers doigts sont fléchis (Pl. IX); peu après, le membre
supérieur
se place en pronation, la main se fléchit sur l'a
raît s'enfoncer entre les épaules, se renverse en arrière ; le membre
supérieur
gauche devient rigide, s'allonge, la main Année
se plissent ; les yeux se portent à gauche et en bas ; — les membres
supérieurs
se contracturent dans la demi-flexion, les coudes
trop de difficulté. Les membres inférieurs sont plus affectés que les
supérieurs
. V... marche en titubant, se bouscule contre les
puis demi-rotation du corps avec demi-flexion simultanée des membres
supérieurs
. V) Phase des secousses tétaniformes et rapides
re la jambe du talon à la fesse, comme avec un fil de fer. » Membre
supérieur
droit: l'épaule et le coude sont roides, mais la
que » toute la troupe de Richelieu se rendit à Loudun. » Lors que la
Supérieure
et les autres Energumènes, 5 voioient des personn
une contracture des quatre membres (forme diplé-gique) : les membres
supérieurs
sont dans l'extension et la pronation ; les infér
ères se ferment, la face se convulsé et se congestionne ; les membres
supérieurs
se contracturent dans l'extension et quelquefois,
159; — membres inférieurs, 96,135, 141, 146 159 163; — des membres
supérieurs
, 134, 141, 146, 165; — des muscles de Petit, 142;
ant issue à du pus abondant par deux ouvertures situées à la partie
supérieure
. On fait des contre-ouvertures et l'on draine;
fermes (quelques petites cicatrices sans caractère). Les membres
supérieurs
sont normaux (3 cicatrices de vaccin à droite,
gette du petit doigt à droite est en demi-flexion; l'os à sa partie
supérieure
semble présenter une légère exostose, l'ongle n
tement plus petit que le droit n'est jamais descendu. Les membres
supérieurs
et inférieurs sont bien conformés, bien musclés
es médiocrement épaisses, dents bien rangées, si ce n'est la canine
supérieure
gauche qui s'est développée en avant et au-dess
lles sont nor- males : la droite est dépourvue d'ourlet à la partie
supérieure
; (1) Dog... prétend qu'il ressent au début de
des taches rouges, brunes de la peau dont une, siégeant à la partie
supérieure
de la cuisse, présente en son centre une tache
otements aux membres inférieurs et des engourdissements aux membres
supérieurs
; il accuse de plus de fortes déman- geaisons au
crispation des doigts. Ces mouvements, si mar- qués dans le membre
supérieur
gauche, existent à peine dans le droit; et ce n
lsifs sont aussi fréquents dans ce pied qu'à la figure et au membre
supérieur
gauche, c'est-à- dire à peu près continuels. Pa
s- sic a peu près pleine. Le diaphragme remonte il droite au bord
supérieur
de la quatrième côte et à gauche au bord inféri
s leur moitié inférieure avec quelques parties saines ; leur moitié
supérieure
, sauf quelques rares adhérences, est saine ; en
lobe paracentral est lésé dans toute sa partie inférieure, son bord
supérieur
est sain : au milieu existe dans 108 MÉNINGO-EN
lus inférieure et antérieure, est dénué de substance grise. La face
supérieure
de la première temporale est à peu près saine.
be paracentral. Nous avons vu que l'enfant se servait des membres
supérieurs
, qui paraissaient plus vigoureux et plus habile
- pression de la racine du nez peu marquée. Bouche moyenne, lèvre
supérieure
assez volumineuse, menton arrondi, fos- sette s
radius, au-dessus de l'apophyse styloïde. Rien au cubitus. Membre
supérieur
gauche. Rien à la clavicule ni au bras ; à l'av
e inférieure, deux exostoses en forme de crochet. - Toute la partie
supérieure
de la jambe parait le siège d'une énorme exosto
externe du fémur. A la jambe, hyperostoso au niveau de l'extrémité
supérieure
des deux os, mais moins considérable que du côt
lle. Contracture assez marquée aux membres FRACTURE DU CRANE. 115
supérieurs
, mais pouvant être vaincue. Pas de paralysie :
n développées ; le sillon de Rolando est normal. Les plis pariétaux
supérieur
et inférieur, le pli courbe, le lobe occipital,
étale ascendante aussi régulière que la précédente. Le pli pariétal
supérieur
est peu volumi- neuf - le pli pariétal inférieu
comme on le verra par cette description. Fémur droit. - Extrémité
supérieure
. La tête articu- laire est à peu près normale;
rités, une surtout sur la face externe au niveau de l'union des 2/3
supérieurs
avec le 1/3 inférieur. Extrémité inférieure : b
de de 1 centimètre. Condyles : rien. Fémur gauche. - L'extrémité
supérieure
est presque méconnaissable, les faces antérieur
cent.), dirigée verticalement en haut. Tibia gauche. -- Extrémité
supérieure
: une aspérité sur le tubercule antérieur ; le
tat ordinaire, mais inégale et rugueuse. Péroné gauche. Extrémité
supérieure
sur le bord externe, 2 aiguilles dirigées en de
ute son étendue; en outre, à l'union des 3/4 inférieurs avec le 1/4
supérieur
, aiguille soudée à la diaphyse par ses deux ext
ara- tion à la partie postérieure. L'articulation péronéo-tibiale
supérieure
était remplacée, à l'état frais, par une pseudar-
dis- posées sur une ligne antéro-postérieure. Tibia. - Extrémité
supérieure
: une aiguille de 2 centi- mètres sur la face i
breuses as- pérités sur le reste de l'épiphyse. Péroné.-Extrémité
supérieure
: sur la face postérieure, énorme champignon os
dirigée supérieurement d'environ 3 centimètres. Les os des membres
supérieurs
sont moins atteints; cependant. on trouve encor
développement aux extrémités inférieures des fémurs, aux extrémités
supérieures
des humérus, et des tibias, etc., siège de préd
nsion des atla- ques. Guérison subite de la paralysie des membres
supérieurs
; guérison graduelle de la paraplégie. - Retour
ur en faire sortir de l'eau. Le mouvement serait revenu aux membres
supérieurs
du jour au lendemain ; les membres inférieurs n
La sensibilité a reparu sur toute la partie supé- rieure du membre
supérieur
gauche, en procédant de haut en bas et en suiva
suivi des attaques hystériques et, en ce qui concerne les membres
supérieurs
, elle a guéri subitement. HYSTÉRIQUES ET POSSÉD
ppée que la droite qui est. du reste, assez saillante ; - la partie
supérieure
droite du frontal est saillante, la gauche dépr
t déviée adroite ; bouche moyenne, lèvres très fortes, surtout la
supérieure
qui présente plusieurs cicatrices cutanées et m
sente plusieurs cicatrices cutanées et muqueuses; arcades dentaires
supérieure
et inférieure, régulières de chaque côté ; inci
is 8 jours, l'agitation est plus mar- quée. Tremblement des membres
supérieurs
. 18 septembre. Hier, le malade a pris 6 gr. de
noté : une rougeur de la face, des oreilles, du cou et de la partie
supérieure
de la poitrine au début de l'inhalation ; l'acc
; de temps en temps, un certain degré de tremblement des membres
supérieurs
. Depuis le début des accidents, Sch... est deve
la salle. Etat général excel- lent. Plus de tremblement des membres
supérieurs
. Sc... gâte moins. Décembre. - Les douches on
ent à la captivité et à leur faire passer des lettres aux autorités
supérieures
. J'avais fait un passe-partout avec une clef à
ception des sensations musculo-tactiles. La destruction des centres
supérieurs
corticaux n'abolirait avec les images motrices
u'il faille chercher en dehors des centres kinesthésiques du membre
supérieur
la localisation du toucher actif. Les argu- men
de modification des accès. Le traitement de Betcherew s'est montré
supérieur
aux bromures seuls dans cinq cas. Dans un cas o
t dépend tout entier d'un bon fonctionnement des centres psychiques
supérieurs
. L'auteur est d'avis qu'il faut périodiquement
ci le minimum de loisir'indispensable à la satisfaction des besoins
supérieurs
de l'homme. Il constate l'action funeste du poi
icalement à une profondeur d'au moins deux pouces et vers la partie
supérieure
de la fesse. Faire l'injection 78 REVUE DE THÉR
occupait la plus grande partie de l'hémisphère gauche. A la partie
supérieure
l'hémisphère tout entier paraissait envahi, et
e. DU 11uSGRHE-CLAY. XXV. Excision du ganglion cervical sympathique
supérieur
doit dans un cas de glaucome, avec une revue de
s fulgurantes. fréquentes au niveau de la nuque et dans les membres
supérieurs
, au début et au cours de la syringomyélie. M. V
olphus, Laurent Joubert, Louis Vives, Léon Dumont, etc. Les animaux
supérieurs
manifes- tent leur gaieté non seulement par des
le décrit habituellement comme une incissure légère, entre le bord
supérieur
de l'hémisphère et la scissure de Sylvius. Cett
remière et qui forme les deux tiers de la scissure de Holando ; une
supérieure
, apparaissant à la surface du cerveau comme une
nt à la surface du cerveau comme une légère dépression vers le bord
supérieur
de l'hémisphère. Un pont de substance cérébrale
e ascendante. Il semble qu'en allant à la re- cherche de la portion
supérieure
qu'il ne trouvait pas, il ait poussé des branch
sure de Holando se forme par un seul sillon continu, dont la partie
supérieure
est plus superficielle. Dans un tiers des cas c
s sont séparés par un très mince pli de passage pa- riéto-occipital
supérieur
(premier pli de passage de Gratiolet). Au devan
. Conclusions GÉNÉRALES. 1° La durée de la vie ou longé- vité est
supérieure
chez les ascendants des paralytiques généraux à
erf et même au-dessus de ces noyaux dans le ter- ritoire des olives
supérieures
. Les fibres pyramidales qui vont au noyau du tr
trijumeau s'entre- croisent surtout, bien au-dessus de l'extrémité
supérieure
des noyaux de ce nerf, dans le segment éloigné
8.) Le cadavre ayant le bassin relevé de façon à ce que la partie
supérieure
du corps et de la tête soient basses, on enfonce
u canal infraorbitaire, de façon à pénétrer, par la fente orbitaire
supérieure
, dans l'espace arachnoïdien, au niveau du pôle
ultats. On peut continuer à l'expérimenter. Les iodiques sem- blent
supérieurs
pourvu qu'on réglemente sagement la manière de
ce totale : de tout le territoire de la partie réticulée de l'étage
supérieur
des pédoncules cérébraux à l'exception des fibr
) ; 2° de la bandelette olfactive ; 3° du trigone ; 4° de la partie
supérieure
de la commissure des cornes d'Ammon; 5° de la l
Du onzième au douzième jour on en voit dans le trigone; la partie
supérieure
de la commissure ammonique ; la voie de com- 15
interne à la partie postéro-inférieure du gyrus marginal; la partie
supérieure
des troisième et quatrième circonvolutions arqu
e du ruban de Reil médian. A la hauteur du noyau latéral de l'étage
supérieur
des pédoncules cérébraux, le faisceau de Gowers
croisement disséminé ou fascicu- laire ; les pédoncules cérébelleux
supérieurs
sont tout le temps demeurés normaux. Dans la ré
ion que l'on sait; il se termine dans les circonvolutions du vermis
supérieur
. Quelques fibres du cordon de Goll non-entre-cr
edicin la moyenne du poids de 209 cerveaux de déments séniles était
supérieure
à la moyenne de 243 cerveaux de paralytiques gé
énergiquement le tendon d'Achille dans son tiers moyen ou son tiers
supérieur
entre le pouce et l'index, on provoque chez l'i
alysie ni d'une contracture des muscles droits inférieurs ou droits
supérieurs
, mais d'un trouble de la fonction de l'élévatio
eure, périnéale et inguinale. 6 et 7. Resensibilisation du membre
supérieure
droit. Les mouvements ouvrent toujours la scène
e fléchissent, s'étendent, s'écartent, distension brusque du membre
supérieur
droit; mouvements de flexion et d'extension 216
ble d'aphasie motrice ou sensorielle. A la région frontale gauche
supérieure
, notre malade présente la cicatrice d'une ancie
ns scapulo-humérales. Ce serait une spondylose rhizomélique à début
supérieur
tant l'homologie est complète avec la spondylos
bras. Ce qui fait la rareté de ce cas c'est que le spasme du membre
supérieur
est ici très marqué et que le membre inférieur
fs de la sensibilité; à l'autopsie : ramollissement aigu de la face
supérieure
du cervelet, comprenant le vermis et les région
su perlicielles et des massesmus- culaires : névralgies des membres
supérieurs
et du globe oculaire avec troubles accommodatif
faiblé 120, cyanose des extrémités et de la face, paralysie faciale
supérieure
bilatérale, paralysie du voile du palais avec per
ut de trois jours para- lysie progressive des membres inférieurs et
supérieurs
, procédant des grandes articulations aux petite
ux-trois jours plus tard paralysie faciale bilatérale inférieure et
supérieure
. La conscience est presque intacte. La températ
Scoliose. Certaine faiblesse des mouvements volontaires des membres
supérieurs
, et notamment de la main droite. Dissociation d
Clonus du pied gauche. Dissociation de la sensibilité aux membres
supérieurs
et au tronc. Anesthésie complète à la douleur et
éché; nombreux sont ceux qui, pour s'assurer un degré de perfection
supérieur
ou pour se punir d'un man- que à la chasteté, s
paralysie générale, le poids spé- cifique de l'écorce cérébrale est
supérieur
à la normale. Par ordre de fréquence, on trouve
se et le jeu compliqué des fonctions neuropsychiques des organismes
supérieurs
il y a une énorme distance. Peut-on raisonnable
ézoïde, et la partie qui continue donne des fibres au noyau latéral
supérieur
324 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
PATHOLOGIQUES. de Flechsig (noyau parabigéminé). Au niveau du bord
supérieur
de la protubérance, le ruban de Reil principal
elles il existe en ce point un noyau rond qui doit être l'extrémité
supérieure
du noyau réticulaire de la protubérance de Bech
au interne ou médian du ruban de Reil s'en va, par-dessus le bord
supérieur
et interne de la substance noire et un peu en deh
im) mais il est en rapports fournis avec les pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Peut-être déjà aux faisceaux du ruban de Reil
noyau de Luys se mélange-t-il des fibres des pédoncules cérébelleux
supérieurs
; la masse principale de ces dernières ne se myé
es en anses. La substance blanche moyenne du tubercule quadrijumeau
supérieur
et peut-être aussi du tubercule quadrijumeau in
nuque, de l'orbi- culaire des lèvres et de l'élévateur de la lèvre
supérieure
. Il existe en même temps, de temps à autre des
quant une annihi- lation plus ou moins profonde du centre psychique
supérieur
et conscient, et, par suite, une diminution de
et, par suite, une diminution de la résistance (fonction du centre
supérieur
) et une augmentation de l'impressionnabilité (f
outissant aune annihilation plus ou moins forte du centre psychique
supérieur
et conscient, dissociation pouvant résulter de
résie des deux droits internes, et légèrement aussi des deux droits
supérieurs
. Rétrécissement très marqué des champs visuels.
es extrémités. L'ophtalmoplégie débuta par une chute de la paupière
supérieure
gauche et rotation en dehors de l'oeil gauche.
plus tard faiblesse dans les extrémités,localisée pour les membres
supérieurs
au triceps des deux côtés, pour les extrémités
où la liste des admissibles se trouverait épuisée, l'administration
supérieure
conservera la faculté d'appeler à cet emploi un
rs caractères dans nos observations. En frottant légèrement la face
supérieure
de la langue, avec une pointe émoussée ou simpl
de l'intelligence, il est facile de constater que l'instruction est
supérieure
à la moyenne ; il répond facilement aux questio
a. De ce type se distingue clairement les malades atteints de tabès
supérieur
, avec les réflexes rotuliens élevés la conserva
iers moyen des ascendantes, partiellement atteintes dans leur tiers
supérieur
et inférieur, et du pli courbe. On constate une
ie, le trouble de la sensibilité est surtout marqué sur l'extrémité
supérieure
; sensibilité normale au thorax et au tronc. Si
y a, par conséquent, lésion surtout du milieu, mais aussi du tiers
supérieur
et du tiers inférieur des ascendantes, que trah
érieurs, envahir les muscles du bas- sin, de l'abdomen, des membres
supérieurs
, de la nuque et du cou, où elle se cantonne, so
nérées, et est encore plus accusée à droite. Dans la moelle dorsale
supérieure
, une raie dégénérative, entre le champ de Burda
ordonner en un groupe précis. En un mot la compression de la partie
supérieure
de la moelle dorsale a provoqué la dégénérescen
des fibres constituant le faisceau posléro-médian occupe les plans
supérieurs
de la moelle des deux côtés de la ligne médiane e
formée de fibres des racines postérieures descendantes de la région
supérieure
de la moelle ; 2° A la formation du trousseau pos
bres descendantes que l'on voit déjà au niveau de la moelle dorsale
supérieure
, dans la partie antérieure du cordon postérieur
consistant en une courbure cyphotique arrondie de la région dorsale
supérieure
, et une disparition de la concavité normale de
urs, alors dans un état très accentué d'instabilité, et les centres
supérieurs
qui exercent nor- malement sur eux une action d
mportantes et non moins marquées existent en effet dans les centres
supérieurs
. La nature et le degré du trouble mental ont un
qu'un abaissement plus ou moins général de la tonicité des centres
supérieurs
aboutit à une exagération de l'état de conscien
ement, coup) détermine un état de crampe dans les muscles du membre
supérieur
des deux côtés. Le malade a souf- fert de rhuma
haut et, aussitôt ayant 446 SOCIÉTÉS SAVANTES. atteint le membre
supérieur
, la*malade perdait connaissance. Pendant son sé
rences de la dure-mère avec les os du crâne dans la région du tiers
supérieur
des circon- volutions centrales, sur une étendu
rimaires (sensations simples) et les identifications secon- daires,
supérieures
. L'interruption des premières constitue les ane
rs). La prépondérance de l'hémisphère gauche dans les actes mentaux
supérieurs
explique bien la suffisance de cette uni- latér
riétaux inférieurs, et que l'agnoscie tactile (localisée) du membre
supérieur
serait déter- minée par la lésion du tiers moye
l en partie tantôt de la pointe, tantôt des talons. - Les membres
supérieurs
en flexion et rapprochés du tronc ont des mouve
plutôt, dit-il, « l'ean de Cologne ». Langue. Nous frottons la face
supérieure
de la langue avec un bout de papier, C... sent
bouffies, sont bordées de cils longs, bien implantés à la paupière
supérieure
, irrégulière- ' La mère est partie en Angleterr
rien d'anormal du côté des organes intra-abdominaux. Les meiubres
supérieurs
sont bien développés, gras, mais le bras gauche
espondantes ; adhérences nombreuses de la dure-mère le long du bord
supérieur
des deux hémisphères. Les sinus sont vides. La
s contiguës sont très atrophiées, blanches, dures ; c'est la partie
supérieure
de P2, tout P C, toute la moitié anté- rieure d
mais ont leur forme et leur consistance nor- males. (PA, P', moitié
supérieure
de LQ, extrémité du lobe occi- pital, pied de F
is circonvolutions frontales surtout de F' et les lobules pariétaux
supérieur
et inférieur. Le lobe temporal dans son entier
isceaux visuels rétiniens et les éléments de la rétine. Le quadrant
supérieur
de la rétine serait innervé par le faisceau sup
. Le quadrant supérieur de la rétine serait innervé par le faisceau
supérieur
du nerf optique et de la bandelette optique; son
cortical se limite aux lèvres de la fissure calcarine dont la lèvre
supérieure
correspond au quart de cercle supérieur de la r
re calcarine dont la lèvre supérieure correspond au quart de cercle
supérieur
de la rétine des deux yeux (Hun, Henschen). On
e la couche optique et du pulvinsr, qui a pénétré jusqu'à la limite
supérieure
du corps genouillé détruit en ce point, mais a
lette et le faisceau visuel occipital; ce qui prouve que le segment
supérieur
du corps genouillé correspond au quart supérieu
e que le segment supérieur du corps genouillé correspond au quart
supérieur
de la rétine, et que le territoire lésé de cet or
l'action indirecte de l'hémorragie, il appert que les deux moitiés
supérieure
et inférieure du corps genouillé ne se peuvent
suppléer, qu'il s'agit bien d'une localisation, et que le segment
supérieur
du corps genouillé réunit les fibres des deux moi
eux moitiés REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 509
supérieures
dps deux rétines, mais jusqu'au corps genouillé l
roisement partiel des nerfs optiques dans le chiasma des mammifères
supérieurs
; par W. de Bechterew. (uro;. Centmllil.. XVII,
prouve un entre-croisement partiel dans le chiasma des mammifères
supérieurs
. Et l'homme ? Il y a majorité écrasante des cli
ec hémiplégie faciale gauche, complète dans le territoire du facial
supérieur
, incomplète dans le territoire du facial inférieu
les plaques de Kiihne. - Les fibres sensorielles chez les vertébrés
supérieurs
se terminent dans les muscles volon- taires de
PATHOLOGIQUES. LXXXII. Nouvelles recherches sur l'origine du facial
supérieur
et du facial inférieur; par M. G. MARINESCO. (P
ar la section des diverses branches du facial établit que le facial
supérieur
a son origine dans le noyau commun de ce nerf.
uve détruite l'opinion longtemps admise, d'après laquelle le facial
supérieur
a son origine dans un noyau différent et peut-ê
tations recueillies chez ces divers animaux, que le noyau du facial
supérieur
est situé à la partie postérieure du noyau moyen
la partie postérieure du groupe moyen; 3° la branche bucco-labiale
supérieure
émanant du groupe externe; 4° la branche bucco-
t médiane ou médiane externe qu'il faut chercher le noyau du facial
supérieur
. Ces constatations histologiques trouvent leur
5 livres ; mâchoire inférieure projetée half an inch en avant de la
supérieure
; lèvre inférieure épaissie ; langue fendillée,
. Glande thyroïde normale. Pouls : 84 pulsations. Os des extrémités
supérieures
et infé- rieures augmentées de volume. Du talon
ans le coma on trouva un noyau tuberculeux développé dans la partie
supérieure
et anté- rieure gauche de la protubérance annul
erbales aux parties de l'écorce dans lesquelles s'opèrent les actes
supérieurs
. L'intéressante autopsie de l'auteur (destructi
et pour un bon nombre d'attaques on a trouvé une quantité d'indican
supérieure
à la normale. Le chiffre normal de l'urée (30 g
toxication, que les urines des épileptiques, possèdent une toxicité
supérieure
à la toxicité normale. R. de lIUSGli4VE-CLAl.
distribution de la dissociation syringomyélique au niveau du membre
supérieur
gauche qui était nettement radicu- laire au lie
rges, la main trop longue par rapport aux autres segments du membre
supérieur
, la langue hypertrophique, la voix caverneuse.
urra-t-elle rendre des services incontestables auprès des dégénérés
supérieurs
. Ces der- niers présentent dans leur état psych
nérés inférieurs (idiots, arriérés intellectuels), et les dégénérés
supérieurs
(idiots et imbéciles moraux). M2 bibliographie.
; P. A., circonvo- lution pariétale ascendante; - 111, pli pariétal
supérieur
; r Ps, pli pariétal inférieur; P', C., pli cour
ariétal inférieur; P', C., pli courbe; Sc. f. s., scissure frontale
supérieure
; - Se. f. i., scissure frontale inférieure; - S
On s'appuie encore sur ce fait que certains tissus, chez les animaux
supérieurs
môme, sont totalement privés de nerfs et de vaiss
it rouge, tuméfié, saillant, mais recouvert cependant par la paupière
supérieure
paralysée. Cornée trouble ; iris-t,rès immobile,
la section, un travail inflammatoire s'est développé dans le segment
supérieur
de la moelle épinière. siste en une section net
gnon à travers ce dernier orifice. La région temporale et la paupière
supérieure
du côté droit sont ecchymoséeset tuméfiées ; coma
oit. De temps à autre, sans provocation, il se produit dans le membre
supérieur
de ce côté une sorte de contraction spasmodique q
région cervicale, par 1. Loc. cit. p. 252. exemple, ou la partie
supérieure
de la région dorsale, —faits dans lesquels le dée
itées aux membres paralysés et elles occu-pentleplus souvent lemembre
supérieur
; c'est surtout à lasuite du ramollissement céréb
é les symptômes de l'arthropathie des ataxiques. Fig. 5. —Extrémité
supérieure
d'un humérus sain et d'un humérus offrant les lé-
urd'hui nom-breux, dans lesquels notre arthropathie siège aux membres
supérieurs
et occupe soit l'épaule, soit le coude, montrent
rait vu, chez le lapin, des tubercules (?) se développer dans le lobe
supérieur
du poumon à la suite delà section du ganglion du
cemment encore, M. Sinitzin, après l'extirpation du ganglion cervical
supérieur
d'un côté, aurait vu l'introduction d'un petit fi
t remarquer depuis longtemps déjà que l'ablation du ganglion cervical
supérieur
parait retarder l'apparition des désordres de nut
tation du nerf, la pression manomé-triquedans le canal de Wharton est
supérieure
à la pression du sang dans les conduits artérie
leur ensemble, un appareil de perfection-nement propre auxorganismes
supérieurs
. Voilà pour le côté physiologique. En ce qui co
ns qu'il en ait conscience. La marche, même s'il s'agit des membres
supérieurs
, l'action de saisir un poids, de le soulever, de
roisé est plus rare. J'ai vu cependant, au moins deux fois, le membre
supérieur
droit, puis le membre in-férieur gauche être affe
res, elle y parvient sans efforts, dit-elle, mais alors les paupières
supérieures
sont animées de petits mouvements convulsifs qui
nier acte, une résistance due aux mouvements convulsifs des paupières
supérieures
, mouvements que la malade ne saurait maîtriser. L
x sont peu creusés, ainsi que les sillons jugo-menton-niers. La lèvre
supérieure
est immobile ; la lèvre inférieure est animée d'u
out, un peu penché en avant. (V. Pl. 1 et II.) L'attitude des membres
supérieurs
mérite d'être relevée. Fig. 9. — Déformations d
e s'aper-çut, il y a quatre ans, que les diverses jointures du membre
supérieur
droit devenaient raides. A ce phénomène s'ajoutai
t au-dessous des sourcils, qui sont re-levés, ainsi que les paupières
supérieures
: de là, une sorte d'hébétude empreinte sur la ph
ne durée de cinq à six minutes. Les membres, principalement le membre
supérieur
droit, parais-sent lourds. Lorsque la malade veut
que pensez-vous des mouvements rythmiques dont la tête et les membres
supérieurs
sont agités ? — C'est juste, fit le visiteur. Il
remblement a disparu aussitôt d'une manière complète dans les membres
supérieurs
et inférieurs, mais en partie seulement à la tête
aire reparaître seu-lement d'unemanièrepartielle, dans un des membres
supérieurs
par exemple, je vais la prier de porter à sa bouc
s en premier lieu que, dans celle-ci, il s'agit par exemple du membre
supérieur
, dans l'acte de porter la main à la bouche, la di
comotrice progressive (sclérose des cordons postérieurs), les membres
supérieurs
sont affectés, il s'y produit, à l'occasion des a
avec tous les caractères que nous avons signalés à propos des membres
supérieurs
, c'est-à-dire que, absent pendant le repos comple
e la paralysie motrice, ils peuvent être confinés au lit. Les membres
supérieurs
sont envahis, eux aussi, soit simulta-nément, soi
tion des différents modes de la sensibilité aux membres inférieurs et
supérieurs
: l'intégrité de la vision. —Cette femme a succomb
; — plaques de sclérose sur la protubérance, le pédoncule cérébelleux
supérieur
du côté droit, etc. : — plaques de sclérose à la
s'emparer, — le fait esl d'ailleurs assez exceptionnel — des membres
supérieurs
qui, eux aussi, sont alors en général dans l'exte
graver d'une manière lentement progressive et à s'étendre aux membres
supérieurs
. En pareil cas, la situation du clinicien est néc
'abord chez elle, c'est la contracture énorme qui affecte les membres
supérieur
et inférieur gauches. Cette contracture, qui ne c
'une grande attaque. Disons toutefois que, antérieu-rement, le membre
supérieur
était tout à fait paralysé, mais flasque, et déjà
ous consta-tons : 1° une hémiplégie gauche, avec flaccidité du membre
supérieur
et contracture du membre inférieur, 2° une hômia-
'est qu'une nouvelle attaque est suivie d'une contracture du membre
supérieur
gauche; et, lors de mes leçons, en 1870, je vous
dans des conditions aussi fa-vorables que la première fois. Le membre
supérieur
droit était redevenu à peu près libre. Partant, i
le symptôme qui frappe, c'est une hémiplégie, plus accusée au membre
supérieur
qu'à l'inférieur et s'accompagnant de flacci-dité
-tance grise subsiste, capable de rattacher le bout inférieur au bout
supérieur
. J'avoue que la comparaison me paraît forcée, du
les cas de M. Tùrck, les lésions avaient envahi à la fois la partie
supérieure
et externe de la couche optique, le troisième noy
ième noyau de la partie extra-ventriculaire du corps strié ,1a partie
supérieure
de la capsule interne, la région correspondante d
he. Bientôt la mo-tilité reparaît. — 12 nov. Les mouvements du membre
supérieur
gauche sont énergiques et rapides ; ceux du membr
ayant 5 lignes environ de largeur et 8 de longeur, située à la partie
supérieure
et externe de la couche optique droite. La cicatr
e ; deux dans le pont de Varole ; enfin une dans la portion droite et
supérieure
gauche du cervelet. On n'a pas noté de dégénéra-t
te. — Morl le 4 avril. Autopsie. Dans la subslance blanchi' du lobe
supérieur
gauche, on découvrit un foyer de ramollissement d
e blanche jusqu'à deux pouces. Les régions lésées étaient : la partie
supérieure
et extrême de la couche optique : la 3e partie du
nticulaire: la portion correspon-dante de la subtance blanche du lobe
supérieur
qui lui est opposée. Toujours plusieurs de ces ré
uer que, sous ce nom, il comprend à la fois les douleurs de la partie
supérieure
de l'ab-domen et les douleurs hypogastrique et il
une ligne horizontale pas-sant par les épines iliaques antérieures et
supérieures
, faites tomber les lignes perpendiculaires qui li
onde de cette région fait reconnaître aisé-ment la portion du détroit
supérieur
qui décrit une courbe à concavité interne : c'est
'ovaire serait situé à la hauteur et même un peu au-dessus du détroit
supérieur
, débordant avec la trompe vers les fosses iliaque
ne fois vaincue, la main perçoit la résistance offerte par le détroit
supérieur
du bassin, la scène change, et la réso-lution des
l'excitation sub-sistera, de mettre en jeu l'excitabilité des membres
supérieurs
. Et, inversement, si chez une grenouille préparée
de la même façon, vous entourez d'un lien fortement serré les membres
supérieurs
, tant que la ligature persistera, l'excitation de
-sie,d'ovarie, de parésie et par moments de contracture des membres
supérieurs
et inférieurs, occupant le côté droit. Par-fois l
oucher du doigt les particularités Fig. 22. — Contracture du membre
supérieur
gauche. les plus intéressantes relatives à cett
atteinte depuis vingt mois d'hémiplégie gauche. Vous voyez le membre
supérieur
de ce côté dans la demi-flexion (/'?//. 22); il
enschrift. 1875, n° 26.) Dans quelques cas de paralysie des membres
supérieurs
, lorsqu'il s'agit par exemple d'une hémiplégie co
de l'origine hystérique de la paralysie. Ainsi, tandis que le membre
supérieur
était dans un état de flaccidité complète, absolu
ndon, 1840, p. 240. manifeste toujours de préférence dans le membre
supérieur
. e) La contracture, qui, aujourd'hui, occupe le
; elle affectait le côté droit et était surtout pro-noncée au membre
supérieur
. Laguérison survint presque tout à coup, dix-huit
e sortit de la bou-che. Au bout d'une minute, respiration profonde et
supérieure
: relâchement des membres et de la face. Ensuite
nt x^arié, dans le même temps, de 40 à 80. En même temps, les membres
supérieur
et inférieur du côté droit, simultanément, s'éten
est aussi prononcée que possible (Fig. 28) ; en ce moment, le membre
supérieur
, tout entier, est dans l'extension; son grand axe
uel la paume de la main se dirige en dehors. Cette attitude du membre
supérieur
rappelle assez bien, vous le voyez, celle qui se
res dans tes premiers mois de 1873 et aurait frappé d'abord le membre
supérieur
droit. Enfin ella a remarqué, à peu près à la, mê
tenant les lèvr'es sont presque toujours accolées l'une à l'autre, la
supérieure
est ramassée, plissée ; quelquefois, au dire de l
la tête et aux membres inférieurs, mais n'a guère changé aux membres
supérieurs
. Notons aussi que le besoin de déplacement, qui é
nt fortement le tronc et les bras, onarrêteles mouvements des membres
supérieurs
, on suspend du môme coup celui de la tête et les
né en avant; il progresse à petits pas;les membres inférieurs, et les
supérieurs
, eux aussi, sont rigides, demi-fléchis. Il ressen
épilep-tiformes, avec écume à la bouche. Consécutivement, les membres
supérieurs
deviennent roides et on note un embarras de la pa
répidation spontanée et provoquée ; — rigidité et parésie des membres
supérieurs
, prédominant dans le membre supérieur droit ; — a
igidité et parésie des membres supérieurs, prédominant dans le membre
supérieur
droit ; — absence de tout tremblement dans les mo
enfant marchait comme une personne ivre. Puis, la tête et les membres
supérieurs
sont envahis. La malade est incapable de se tenir
out après une station debout prolongée, et le tremblement des membres
supérieurs
, notamment quand il buvait ou écrivait. A ces tro
'offre aucun tremblement, mais celui-ci se manifeste dans les membres
supérieurs
dès qu'un mouvement est exécuté. C'est principale
le plus souvent par quel-ques mouvements de circumduction des membres
supérieurs
, en même temps que survient la perte de connaissa
se débattaient contre une étreinte... : d'autres fois.., les membres
supérieurs
et inférieurs se meuvent dans tous les sens; la f
e occupant ta main droite, le poignet et remontant j usqu'à la limite
supérieure
de la moitié inférieure de l'avant-bras, aussi bi
nt et sur le mouvement et occupant, dans toute son étendue, le membre
supérieur
droit, où existe désor- mais une résolution com
térieur du même côté est, lui aussi, paralysé du mouve-ment, comme le
supérieur
, niais à un moindre degré cependant, bien que l'a
ubstance blanche et même sur la substance grise centrale. I, Partie
supérieure
de la région cervicale, immédiatement au-dessous
cervical. 3, Partie inférieure du renflement cervical, 4, Partie
supérieure
de la région dorsale. 5, Deux centimètres plus
de la région dorsale. 5, Deux centimètres plus bas, région dorsale
supérieure
. 6, Un centimètre et demi plus bas, région dors
rsale supérieure. 6, Un centimètre et demi plus bas, région dorsale
supérieure
. 7, Deux centimètres plus bas, réunion du tiers
dorsale supérieure. 7, Deux centimètres plus bas, réunion du tiers
supérieur
avec le tiers moyen. 8, Un centimètre et demi p
tre et demi plus bas. 13, Trois centimètres plus bas. .14, Partie
supérieure
du renflement dorso-lombaire, 15, Milieu du renfl
bstance blanche et même sur la substance grise centrale). 1, partie
supérieure
du renflement cervical. 2, Un centimètre et dem
(fin du renflement cervical). 4, Deux centimètres plus bas (partie
supérieure
de la région dorsale). 5, Un centimètre et demi
7 ; — dans la sclérose en plaques, note, 272. G Ganglion cervical
supérieur
(Effets résultant cle l'extirpation du), 135. Glo
2')L 6 AXATOMIU. croisements : l'inférieur moteur, le moyen et le
supérieur
sensitifs. Ces deux derniers sont formés par de
vont se confondre avec les fibres du stratum zonale. A la partie
supérieure
(fig. 3), les fibres sensitives suivent deux vo
comme pour la figure précédente. Fig. 3. Coupe du bulbe à la partie
supérieure
de l'entrecroisement sensitif. - Les lettres co
uvons affirmer que les préparations obtenues par notre procédé sont
supérieures
, tant au point de vue de la finesse des coupes,
une sorte de bourgeonnement 30 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. du segment
supérieur
. Ici, au contraire, Lésions loca- lisées, segme
la blessure, des douleurs intolérables survinrent dans le membre
supérieur
correspondant sans s'accompagner de paralysie m
hez les sujets dont l'incoordination motrice a envahi les membres
supérieurs
,mous avons trouvé également d'une manière const
mblablement, il faut le placer dans lecer- veau, parce que les sens
supérieurs
de l'odorat et de la vision sont intéressés, et
tteindre, et nous pouvons comprendre ainsi les troubles des membres
supérieurs
dans la préhen- sion des objets, aussi bien que
che. Lorsqu'un sujet atteint d'incoordination motrice des membres
supérieurs
veut saisir un objet de petit volume, tel qu'un
llie très prononcée des arcades orbitaires ; nez régulier. La lèvre
supérieure
pré- sente, à un centimètre de chaque commissur
t ou d'avant en arrière. La face parait symétrique. Arcade dentaire
supérieure
: médianes sont larges, crénelées; les incisive
. - La voûte palatine est plate, assez large, symétrique. Membres
supérieurs
.-On note un peu de raideur des épaules, des cou
ante est peu développée, sinueuse ; normale au toucher..L'extrémité
supérieure
du sillon de Rolando est très marquée sur le lo
/5 moyens; un peu moins dans son cinquième. inférieur et ses 2/5'
supérieurs
. Le tiers postérieur de la première circonvolut
aux arborisés qui montent, en rayonnant, du corps strié à la partie
supérieure
des ventricules. - La couche optique est moins
ales, nez épaté. - Les pommettes sont peu saillantes. - La mâchoire
supérieure
est proéminente. Les arcades dentaires sont nor
ente. Les arcades dentaires sont normales. Les incisives médianes
supérieures
sont larges, les inférieures sont crénelées ; yeu
relativement développées présentent quelques poils longs. Membres
supérieurs
. Le bras gauche est assez libre. - Le droit est
que la gauche. - Le pédoncule cérébral gauche, surtout à sa partie
supérieure
, est plus petit que le droit.-La protubérance e
variable, d'une coloration blanchâtre, opaque, d'une densité bien
supérieure
aux parties avoisinantes et faisant partie des
ont très irrégulières, très dures, et sont soudées dans leur moitié
supérieure
. Cette masse est séparée par un sillon transver
nne de la deuxième circonvolution temporale; sur le lobule pariétal
supérieur
; sur le pli courbe ; sur la pointe du lobe occ
issure de Sylvius ; sur la première temporale ; sur le pli pariétal
supérieur
; enfin sur le pli courbe. b) Face interne :
pariétale ascendantes du côté gauche présentaient dans leur partie
supérieure
un îlot de sclérose très considérable et dispos
Il marche en remor- quant laborieusement sa jambe malade. Le membre
supérieur
ne peut se mouvoir; la main se ferme péniblemen
ure céphalique oscillait sans que les écarts de température fussent
supérieurs
à un demi-degré. Nous de- vons signaler aussi q
le trapèze se trouve indiqué dans la région frontale antérieure et
supérieure
, le scalène est près de la troisième frontale,
entiques les tubercules quadriju- meaux chez l'homme et les animaux
supérieurs
d'une part, et les lobes optiques chez les rept
à savoir que les faisceaux qui vont sans interruption aux ganglions
supérieurs
sont précédés dans leur développement par des r
aires) plus prononcées ; 4° on ne peut pas trouver dans les parties
supérieures
de la moelle, de différence de structure corres
les deux une plaie de décubi- tus large comme la main, à la partie
supérieure
du dos du côté opposé, qui guérit rapidement. C
à plusieurs opéra- tions. Pourtant l'examen rigoureux des portions
supérieures
(moelle allongée, protubérance, pédoncules), n'
conduisent seulement à ad- mettre que dans les animaux tout à fait
supérieurs
et l'homme, la voie dérivée est devenue la prin
it auditif interne ; mais l'os était sain. La dure-mère à la partie
supérieure
du rocher était couverte d'une couche épaisse d
lleurs aucun symptôme nouveau. En 1876, nouvelle tumeur à la partie
supérieure
de la cuisse droite ; en 1878, autre tumeur au-
fets analogues. Origine du genre humain, considérée comme d'essence
supérieure
, la fonction génératrice, elle aussi, a eu ses
n sont très différentes, suivant qu'on envisage l'extrémité du bout
supérieur
ou le bout inférieur de ces nerfs. D'un côté, o
ions plus amples, un dicrotisme plus marqué, 'une rapidité'un peu
supérieure
(8 oscillations par' 'seconde au lièu de 7.) *
st alors rempli par un muscle contracture ? ou dont la tonicité est
supérieure
à'celle de son antagoniste ? , On nous objecter
présent', on s'est contenté 'de signaler les oscillations du membre
supérieur
, sans chercher à . ? (Jt m ·Ilo·(r··y'1 ? PCM'
ont rigides et contracturés. ' Voici les détails observés au membre
supérieur
gauche : des 'mouvements' de totalité- sont' im
siffle, la bouche est fortement tirée à droite. , ,, ' , : Membre
supérieur
droit. La malade s'en sert bien ; sensi- bilité
bilité et motilité normales ; les circonférences des deux mem- bres
supérieurs
prises au niveau du poignet, de l'avant-bras et
gâteuse et se tient recro- quevillée dans un fauteuil, les membres
supérieurs
fortement fléchis, les talons sous les fesses.
dans toute son étendue et présente des tubercules dans tout le lobe
supérieur
, dont le sommet est farci do petites cavernes r
habitude. On trouve, en mesurant la distance qui sépare l'extrémité
supérieure
du sillon de Rolando de la pÔite3du-Ible fronta
e 15 à 16 cent. D'autre part, on trouve, en mesurant de l'extrémité
supérieure
du .6 sillon" dé' Rolando à la pointe du lobe o
re- r If J ,4 'I b t ... t "'1 r J ' 1 lf ) l '\ no " l' ? w ment
supérieures
(il a 13 |A Les uns et les autres I.nl,2f 11 -J
eur du son est in- différente. Le malade place sa main sur la paroi
supérieure
de la caisse ou dans l'intérieur même. Nous avo
nerf dilatateur-type de la langue, des muqueuses nasales latérales,
supérieures
et li- férieures, gingivales et géniennes. (Soc
s, il survint une aggravation notable de la chorée pour les membres
supérieurs
, et en même temps une contracture des inférieur
lblatt, 1878), d'une plaque de sclérose dans la portion cer- vicale
supérieure
du cordon latéral gauche, chez un enfant de vin
'dernières paires cervicales et de la première dorsale). Le membre
supérieur
gauche' présentait une paralysie complète - , .
à,,9b1 ? Hn malade qui présentait,- du 8té°dë 'l'céil et. du membre
supérieur
correspondants,, des , ? , ? étd,1 (,'l, (¥.ldl
On rapporte une autopsie faite dans un cas de ce genre ? la'racine
supérieure
autopsie faite dans un cas de ce genre : la,rac
acine supérieure autopsie faite dans un cas de ce genre : la,racine
supérieure
u ranc r' " pire'cervièalie) I éÍé s'ul' tfbu-
omissements : La localisa- tion des phénomènes convulsifs au membre
supérieur
droit pendant plusieurs attaques fit supposer u
ui se passaient à Loudun, il y a 250 ans, alors que M ? de Belfiel,
supérieure
des Ursu- lines était amenée, en grande pompe,
rquer que le chiffre 31 p. 100 donné par M. Fletcher Beach est bien
supérieur
à celui qu'il a observé lui-même dans le Royal-
M. HARRINGTON TuKE (Londres) n'a jamais observé dans les classes
supérieures
de la société un seul cas de paralysie gé- néra
'autopsie donna les résultats suivants : à gauche, vers la moitié
supérieure
du sillon de Rolando (slllclls centralis, de Hu
par les méninges, et que remplissait un liquide séreux. La vésicule
supérieure
une fois vidée, on y trouvait un canal, du cali
x circonvolutions frontales, en arrière aux temporales. Sur le bord
supérieur
de l'in- sula, on trouvait un orifice, qui cond
le sillon calloso-marginal, qui court parallèle- ment entre le bord
supérieur
et interne de l'hémisphère et le corps calleux,
x à la plante du pied gauche, le corps a 1m,30 de longueur. Du bord
supérieur
du sternum à la symphyse du pubis, le tronc a 4
tissu compacte, et de beaucoup plus grêles que ceux des mem- bres
supérieurs
. Les tableaux suivants donnent les dimensions d
ttentive de la surface cérébrale fait reconnaître le sillon frontal
supérieur
(PL. XI, (1), et l'inférieur (Pr,. XI, fz), qui
se. Entre le lobule pariétal inférieur (PL. X, XI, P2) et le bord
supérieur
de la première circonvolution temporale (PL X,XI,
ier soir; ; quelques vésicules d'herpès sont situées sur la lèvre
supérieure
à gauche. L'auscultation de la poitrine ne révè
ut; la pupille gauche est moins contractée que la droite. Le membre
supérieur
gauche nous a paru un peu hy- poresthésié ; il
ses convulsives de l'aile du nez et de la moitié gauche de la lèvre
supérieure
, selles diarrhéiques involontaires, congestion
est symétrique ; la bouche petite ; toutes les dents de la mâchoire
supérieure
sont recou- vertes d'un capuchon de tartre. Les
394 CLINIQUE MENTALE. , 1 Les oreilles sont longues ; leur partie
supérieure
est exubé- rante. Les cheveux sont châtains,
é, si ce n'est une saillie exagérée des fausses côtes. 'Les membres
supérieurs
sont dans la flexion ; les jointures rigides ;
face inférieure de ce lobe qu'à la face convexe, et le long du bord
supérieur
, sont très atrophiées, ont l'aspect vermiforme.
première et deuxième circonvolutions temporales, la partie moyenne
supérieure
des circonvolutions ascendantes (c, d,) la raci
coupe en quelque sorte l'hémisphère en deux parties; sur le bord
supérieur
de la face convexe, il produit une hachure profon
inférieure, tandis qu'il est anormalement développé dans sa moitié
supérieure
, qui forme une sorte de tablier. Pas d'onanisme
s, mais encore plus marquées, existent sur le bord libre et la face
supérieure
des trois valves de la tricuspide. L'artère p
mitrale présente sa disposition normale, mais ses bords et sa face
supérieure
sont Fig. 22. A, P., artère pulmonaire. Br. g.,
roduction exacte de ce qui se passe au même moment dans les membres
supérieurs
. Cette action à distance peut être considérée c
l. Suivons la marche de la bande du bras, après que son extrémité
supérieure
a atteint l'acromion. Sa largeur n'est encore que
le membre inférieur, correspondant à celui qui est produit dans le
supérieur
, mais toujours de même sens. Pour compléter cet
se iliaque son trajet habituel vers l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, il se plaçait à côté du nerf crural et descendai
e cébien et arrive, relativement à l'origine des fibres moyennes et
supérieures
du glosso-pharyngien chez cet animal, exactemen
et 4° de la bandelette solitaire. B. Fibres radiculaires les plus
supérieures
du glosso-pharyn- gien ; nerf de Wrisberg. Le n
, dansl'immense majorité des cas, beaucoup plus prononcée au membre
supérieur
qu'au membre inférieur : « Aussi, dit M. Vulpia
ns le membre inférieur, et très exception- nellement dans le membre
supérieur
. La raison de ce fait est d'ordre purement anat
beaucoup plus de fibres commissurales que les cen- tres des membres
supérieurs
; l'entrecroisement des fibres des- tinées à la
nérale (contrairement à ce que dit Berger). Le tronc et les parties
supérieures
du corps ne sont jamais atteints. Le malade, de
on rencontre des ostéophytes des deux côtés du sinus lon- gitudinal
supérieur
. La dure-mère adhère assez intimement à la surf
de l'apophyse odontoïde. Bright avait observé de même à la moitié
supérieure
de la moelle une série de lamelles osseuses app
ans les autres organes, sauf dans le foie, qui présentait à la face
supérieure
de son lobe droit une tache jaunâtre. On vit à la
mière temporale droite. Troisième tumeur à deux centimètres du bord
supérieur
de l'hémis- phère gauche en avant de la scissur
equel l'autopsie démontre un foyer hémorrhagique occupant la partie
supérieure
de la circonvolution frontale ascendante, la pa
upable d'outrages, de tentatives et de menaces de meurtre envers un
supérieur
. Après son incartade, à l'asile de Saint-Robert
yenne de la tête du corps strié et par le point de réunion du tiers
supérieur
avec les deux tiers inférieurs de la couche op-
d'action d'un groupe mus- culaire (les fléchisseurs pour le membre
supérieur
). Quant aux contractures latentes elles peuvent
dernier, montant verticalement, va se terminer derrière l'extrémité
supérieure
de la circonvolution centrale postérieure (ou c
e3 avec ila ;substance,grisej djiLÇSyâHiSâHâ ? ' Ne. Dans la partie
supérieure
de la coupe, notamment dans scëtteipartie qui r
rement de-.la) coupe pr4qédenteiiet11de)4çelle-ciiJqge -le* segment
supérieur
(.de rrhémisphèreqest, enjqeque sorte, eisoléide
vant : (PLVXIV; g.,4). 0n ,y,distingüé; la iportiori postérieure et
supérieure
derina,ula,7p,jqui,faitanHe - sur la surface;de
? . t3" q gaffrrrnr ovf : ) i ;)0 Une liane -le tond de la partie r
supérieure
de la .no))"9yd ? Ti 0o/,ip,t ? rrf,9fj,f : <
ynfit f,f .^irrnrj an up scissure de Sylvw, au fond nl'az f9acc ? é
supérieure
, , , . , ..G0t')i"sr[o,7a9 ? piani ? o ob de
nicato-syl- vezz ? ze, ou setionlleytrèsalégèrement;l'extré, mité
supérieure
2de91a ? capsuleS3 interne. Cette ligne est un
\V oa'.[9\',m I &11-J .t-if, 9191H Dans cette région, la partie
supérieure
de, la cap- - ? . i'Rv<,17 ej un rmijoos. 91
contre du l./5 ? : .i 1 ? Jt ? i ? y,m .9)1090 ;hïvoj-, UH /;r.)9/i
supérieur
et des 4/5 inférieurs. La branche inférieure ..
l' jeu 8l'' ) i ? ' ' 1 11 a culairejiest pas interesse. Le segment
supérieur
ou -pl.o poh h flrrrrii f'tt<< G fil p
ontales dans le ( a ? j111 4tii mon 4t 1, . (- lr.Tdq«yl, segment
supérieur
, .les stries de la capsule interne sont "Il tiu
.rn.n>.%< ' «^-rrfT -, prr',^ sylvienne effleure 1 extrémité,
supérieure
de'la capsule - . J >*< ' £ as uuu 000010
"3ïër, P-nrrf)q séparent complètement les deux noyaux; le segment
supérieur
est à peu près le même que'celui cle8fa bx.Sje.
1 ? tà9'li , ""H'' ep 0RW.r rj, 1.< ? riai» 7,'rt, .1 extrémité
supérieure
du noyau caudé très réduit F-Ju- »oou;tOj i/jii
nejjClayjcuJe.gJElle est. donc 'composéejidej,deuxsegments .j J.jun
supérieur
,} l'autre^ inférieur , , le 1 peyiér sensibleme
Apparition, d'ecchymoses, sur la peau .des ^membres , inférieurs et
supérieurs
, ,a la suite des fortes, crises - ? J "" "1 Ÿ y
i.'ii *-» >t» *i M*yilnmirji*0 ->l )9Vn 9'IWi iù ? Les, membres
supérieurs
sont également atteints. Il ressent -''ni r.'ii
t' empêche toute, lecture .continue ? ) Légère ptose de la paupière
supérieure
droite. L'i. Constipation habituelle. Le, malad
MÉTALLOSCOPIE, METALLOTHÉRAPIE, 2ESTIISIOCi-,NES. 571 i un degré
supérieur
de l'amblyopie. Le somnambulisme n'est qu'une f
res dans toute la hauteur de- la moelle jusqu'à la région cervicale
supérieure
du côté gauche. D'ailleurs le processus a égale
trois ans auparavant ainsi qu'en témoigne une cicatrice de la lèvre
supérieure
. Les signes actuels consistèrent en céphalal- g
ler d'une façon intelligible, de déglutir et de relever la paupière
supérieure
de l'oeil droit, une série d'érythèmes dé coule
déglutition, de la vessie, du rectum, de l'élévateur de la paupière
supérieure
droite s'expli- quent par le néoplasme de la mo
les études de Ferrier (atteinte de la circonvolu- tion postcentrale
supérieure
et de la première pariétale), les apo- plexies
, la fine ligne de ramollissement siégeant sur la lisière marginale
supérieure
(Neelsen).Pourlui, c'est al'intégrité des lobes
nale des extré- mités inférieures, ataxie et parésie des extrémités
supérieures
. Anesthésie presque complète des jambes et du t
cale ; cela est dû à l'action compensatrice des portions moyenne et
supérieure
du trapèze et aussi des muscles abduc- teurs du
je lui passai doucement, pendant environ dix secondes, sur le tiers
supérieur
de la cuisse le pôle négatif d'une tige d'acier
ire lentement.1 Dans tous les cas* la' contracture impose au membre
supérieur
une attitude ' particulière; 'la bras est plus
pro : nonce., La, contracture prédomine 'ordinairement' au membre
supérieur
ainsi, Mquç les convulsions durant 'l'état 'de'ma
de la rigidité des membres paralysés et le, plus souvent du membre
supérieur
; quelques malades accusent une propulsion, une
et moins prolongées ; , elles sont tantôt plus accusées au membre
supérieur
,, tantôt au membre inférieur., L'écume est assez
..... , ' i ... \.< ,' ? ' , · i ? t,9,i , | 'D'une intelligence
supérieure
, possédant' déjà une solide instruc- tion,'l'es
aisceau longitudinal externe. J' t. sup. int" faisceau longitudinal
supérieur
interne. f in{., faisceau longitudinal inférieu
llongée ; la continuation de ce dernier dans la région postérieure ou
supérieure
du tronçon pédonculaire du cerveau, la combinaiso
ti-que , et celle du tractus optique avec cette partie postérieure ou
supérieure
du tronçon pédonculaire du cerveau. Pour montre
icules du fais-ceau postérieur de la moelle dans les arcs transverses
supérieurs
de la protubérance annulaire. Y, E, U', diverse
ne médiane, d d', convexité ex-terne de la région fasciculée. m, bord
supérieur
de la protubérance, n. partie profonde de la prot
miforme, à laquelle on distingue une région infé-rieure et une région
supérieure
; et de parties latérales, les hémisphères cérébel
hémisphères cérébelleux, dans lesquels on distingue aussi une région
supérieure
et une région inférieure. Les parties médianes du
e an-nulaire. I, moelle allongée coupée en travers. FIGURE 2e. Face
supérieure
du cervelet. I, I, I, I, grande circonférence d
t, au nerf trijumeau H, en ar-rière au nerf auditif 0. A S S, parties
supérieures
de l'hémisphère. CEEC, parties inférieures de l'h
au. Q, ruban fibreux oblique procédant du corps restiforme. S, partie
supérieure
de l'hémisphère. C, partie inférieure. -+- Réunio
cérébelleux est à découvert. D, tuber-cules quadrijumeaux. S, parties
supérieures
. C, parties inférieures de l'hémisphère cérébelle
cents aux nerfs auditifs. II, arbre de vie de l'éminence vermiforme
supérieure
. B, membrane nerveuse blanche allant de la couche
externe du pédoncule cérébelleux ont été mis à découvert. S, partie
supérieure
. C, partie inférieure de l'hémisphère cérébelleux
", racine grise du nerf op-tique se portant en divergeant des parties
supérieures
de ces nerfs au delà du chiasma et du chiasma lui
stérieur aigu de la scissure, voy. en E E E ce second fragment, lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius, décrivant de nombreux
e comme les bases des circonvolutions de l'insula au pied de la lèvre
supérieure
de la scissure. Les circonvolutions de la conve
D', extrémité postérieure de l'hémisphère. D , aaaaaaa' D', segment
supérieur
ou moyen de la grande circon-volution de deuxième
re. PL. 10 PL. 11 (Jette planche présente une figure de la face
supérieure
du cerveau. I) D I), fragment supérieur de fa g
ente une figure de la face supérieure du cerveau. I) D I), fragment
supérieur
de fa grande circonvolution de deuxième ordre. Ce
partant de la base des nerfs ol-factifs pour se terminer à la partie
supérieure
des hémisphères au niveau de la suture fronto-par
ps strié B du cotylédon extra-ventriculaire B'. JJ marquent la face
supérieure
du corps calleux; O O, la face exté-rieure de la
acine grise antérieure. P P, portion de la circonvolution de l'ourlet
supérieure
au corps calleux. y y, point de jonction des rami
n pédonculaire. P, protubérance. V W y , bulbe rachidien. S I, région
supérieure
de l'hémisphère cérébelleux. C, sa région infé-ri
et qui se portent dans les circonvolutions des parties antérieure et
supérieure
de l'hémi-sphère. Toutes ces branches b s'insèren
la suture fronto-pariétale. A, coupe du crâne. K, sinus longitudinal
supérieur
. I, grande faulx. L L, nerfs optiques. D J J, cou
tée sur cette planche montre à découvert toute l'éten-due des parties
supérieures
du corps calleux, en dehors duquel on voit rayonn
ostérieur du ventricule et se trouve en regard de la bosse occipitale
supérieure
. R", tubérosité temporale répondant à l'extrémi
ébral. FIGURE **e. Cette figure montre toute l'étendue de la face
supérieure
du noyau cérébral, et laisse voir en raccourci un
nde circonvolution de deuxième ordre dont la partie E' forme la lèvre
supérieure
de la scissure de Sylvius. On voit en I, sur le c
oré. V V, fibres de cette saillie centrale qui se portent à la région
supérieure
du corps calleux en croisant le tronc-fibreux de
ans chute sur la face, écrasement du nez et fracture du maxillaire
supérieur
. Ozène consécutive. Dévelop- pement de la cache
la tête des sourcils sont plus fournis vers la queue. Les paupières
supérieures
sont gonflées, surtout sur la gauche. Les cils
maxillaires sont marqués de prognathisme alvéolaire. Le maxillaire
supérieur
pré- sente en particulier un abaissement très m
t exagérée au niveau de la partie inférieure du cou et de la partie
supérieure
du dos; il existe également une légère convexit
ins accusée chez elle querellez les malades précédents. Aux membres
supérieurs
, nous n'avons à noter que l'épaississement des
n rien, est très énervée et mange moins. Secousses dans les membres
supérieurs
. 14 juin. Les secousses continuent dans les mem
bres supérieurs. 14 juin. Les secousses continuent dans les membres
supérieurs
. Inappétence, vomissements. Suspension du trait
euse restée presque normale, de même que les pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Le sujet de l'observation est un vieillard de
is la hanche droite. Au bout de sept mois elle s'étendait au membre
supérieur
du même côté; enfin la parole devint difficile,
onservés. Ni le membre inférieur droit, ni les membres inférieur et
supérieur
gauches ne participent à l'état convulsif. Il e
, c'est-à-dire dans la région correspondante à la partie moyenne et
supérieure
de la REVUE DE THERAPEUTIQUE. 1 -la circonvol
tion du monopole. Le commerce des boissons distillées par quantités
supérieures
à 40 litres est libre; pour les quanlités moind
à des hallucinations unilatérales du sens du toucher dans le membre
supérieur
gauche. Il lui semblait parfois que sa main se
pas téméraire de penser que le malade, ayant éprouvé dans le membre
supérieur
gauche des sensations mor- bides, les transform
ée par ceux de leurs semblables qui sont doués d'une intelli- gence
supérieure
. Ils peuvent ne présenter que peu ou point les
s suivant sa conduite, il passe des catégories inférieures dans les
supérieures
, tout comme il peut redescendre si sa conduite
dénués de culture musicale. Dans les folies acquises, les formes
supérieures
de la faculté musicale, celles où la musique es
ourrait pas obtenir volontairement des résultats analogues, ou même
supérieurs
. Leur mémoire toutefois est plutôt consacré à p
s-marginal adjacent et dans la circonvolu- tion temporo-sphénoïdale
supérieure
où résident les centres de la vision et de l'au
erminologie de Jackson, un état de dissolution des couches les plus
supérieures
des centres les plus élevés, avec activité hype
des images et de leurs résidus (per- ception) et un centre cortical
supérieur
(lobe frontal) siège de l'idéa- tion (apercepti
atre années d'exercice. Le traitement des assistants est en général
supérieur
à celui de nos internes. A Munich, ces médecins
elle de 32,000 francs allouée au département par l'administra- tion
supérieure
sur les fonds du pari mutuel. Par délibération
un peu déviée à droite. Il a un nystagmus très accusé. Les membres
supérieurs
sont en général faibles, mais le bras droit est
auche est presque impossible. La sensibilité générale des membres
supérieurs
est conservée, quant à]la main droite elle est
est comprimé et il est accessible à l'air seulement dans sa portion
supérieure
. Dans la partie supérieure de la portion inféri
ssible à l'air seulement dans sa portion supérieure. Dans la partie
supérieure
de la portion inférieure du poumon droit il y a
eures sont plus atta- quées dans les étages inférieurs que dans les
supérieurs
. Quel rapport existe entre la lésion de la moel
. Le corps piluitaire est souvent atrophié surtout dans sa moitié
supérieure
. Enfin, l'état athéromateux du cerveau des vieill
e exostose de l'os frontal, ayant son maximum d'épaisseur à l'angle
supérieur
de jonction de cet os avec les pariétaux, et s'ét
de la substance noire de Soemmering ; 2° aux pédoncules cérébelleux
supérieurs
, et, transversalement, aux noyaux rouges de la
ou des deux artères vertébrales, l'excision du gan- glion cervical
supérieur
, la trépanation, avec ou sans incision des méni
roisement de deux droites formées : l'une par l'allongement du bord
supérieur
de la cavité orbitaire; l'autre par le prolonge
diminution de la sensibilité aux frôlements, tandis qu'aux membres
supérieurs
c'est la sensibilité à la douleur et la notion
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de l'autre côté, atteint d'abord le facial
supérieur
, puis, quand cette branche a récupéré sa motili
ue s'établit définitivement, les contrac- tures gagnent les membres
supérieurs
où l'atrophie est très mar- quée, tandis qu'ell
s l'influence des inhibi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 289 lions
supérieures
, son contrôle lui est surtout intrinsèque, et le
fi- samment ouverte l'accumulation de l'eau atteint l'échappement
supérieur
et s'écoule surtout par cette voie. Si la force d
autions aptes à préserver sa vie. Aussi les principes de la justice
supérieure
de la loi commune et de la science demandent qu
uret; chez beaucoup d'animaux elle existe comme scissure coronaire (
supérieure
). Chez l'homme, M. Benedikt a retrouvé la parti
ar exemple dans le cerveau de Francesconi. En arrière c'est l'étape
supérieur
de la scissure inter-pariétale qui appartient c
ivores doit être reconnue comme représentante au moins de la partie
supérieure
de la scis- sure centrale des primates : Plus
conde scis- sure de Leuret des carnivores correspond dans sa partie
supérieure
-à la scissure pariéto-occipitale externe de l'
sur le recrutement d'un personnel d'infirmiers 'd'un niveau social
supérieur
au niveau actuel. R. 11f. C. ASILES D'ALIÉNÉS.
eur, main- tenus dans une armature en fer. Pas de grilles. Le tiers
supérieur
servira à la ventilation. ' Dortoirs. - 25 mè
ts suivent les cours ; ils sont répartis en dix classes : la classe
supérieure
ne compte que r10 élèves. Le personnel enseigna
as ne pré- sente pas d'anomalies accentuées, c'est celui d'un nègre
supérieur
, mais aussi il était chef de brigands, d'esclav
ée. Le patient se plaint de douleurs et de faiblesse dans le membre
supérieur
gauche. Les douleurs sont parfois si intenses q
est seulement un peu lente et traînante. Les mouvements du membre
supérieur
droit sont normaux; le membre supérieur gauche
Les mouvements du membre supérieur droit sont normaux; le membre
supérieur
gauche pend inerte le tons du tronc. Le malade
pieds. Abolition des réflexes tendineux et périostiques aux membres
supérieurs
, diminution notable aux membres inférieurs. For
général, surtout au bras et à l'avant-bras gauches. Toute la partie
supérieure
du membre semble plus amaigrie que la partie co
ité électrique est diminuée pour les muscles et les nerfs du membre
supérieur
gauche dans les limites de 1 à 2 mil- liampères
. Affaiblissement de l'excitabilité mécanique des muscles du membre
supérieur
gauche. Diminution de la sensibilité cutanée do
ores à la pression. Pour se rendre compte de l'irrigation du membre
supérieur
gauche on a retiré une gouttelette de sang à l'
ue la température ambiante baissait de 3°, la température du membre
supérieur
droit baissait de 0°,6, celle du membre gauche
eux est resté tel quel. Après avoir enlevé la peau des deux membres
supérieurs
, ce qui frappe surtout c'est la différence du c
ossible toutefois de penser que la loi servirait mieux les intérêts
supérieurs
de la société, aussi bien que ceux de l'individ
upillaire réflexe, hypoalgésie dans les jambes (moindre à la parlie
supérieure
du corps); atrophie musculaire extrême. Il s'ag
19 de la hauteur totale (soit environ 52 p. 100). De même le membre
supérieur
mesurait 37 pouces (os, (30) et, d'après le mêm
eau et maniant du minium.Il y a trois ans, paralysie de l'extrémité
supérieure
gauche qui disparait quatre mois plus tard. Le se
c enfoncement de la boîte cranienne au niveau de la région frontale
supérieure
gauche. L'accès délirant survint quelques mois
ou moins complète des muscles des yeux (l'élévateur de la paupière
supérieure
à gauche, excepté) survient brusquement, chez u
que les scolomes. Les manifestations en question gagnent la partie
supérieure
et droite de champ visuel qu'elles occupent bie
ire qu'il y a eu déplacement dans le champ visuel externe gauche et
supérieur
des fragments de choses perçues à la droite du
affaire d'espèce clinique et non de nosographie. P. K. XLVI. Partie
supérieure
DU ruban DE REIL ET écorce cérébrale; par M. BO
X. Contribution A l'étude DU trajet DU ruban DE REIL (ruban de Reil
supérieur
c01'lico-tha[¡tmique); par Chr. JAKOB. (Neurolog.
pénètrent dans le cervelet et de là par les pédoncules cérébelleux
supérieurs
dans le cerveau ». On n'est .pas encore à même
es certaines. Ltvoff. LVI. SUR la compression totale DE la RÉGION
supérieure
DE la MOELLE épinière; par EGGER, (A1'chiv, rÜ1
veille le fonctionnement d'un centre de coordination intellectuelle
supérieure
, de fixation et d'élaboration des matériaux fou
ls accompagnés de rêves et constitués par l'état de repos du centre
supérieur
en même temps que par le fonctionnement partiel
il hypnotique est un état de sommeil pro- fond et durable du centre
supérieur
; l'état des autres ne différant de l'état norma
normal que par la cessation de leurs communications avec le centre
supérieur
, d'où une plus grande intensité dons leur fonct
é dons leur fonctionnement Comme tous les autres centres, le centre
supérieur
serait sujet à certaines maladies (dans certain
allucination, au cours de laquelle il y aurait inhibition du centre
supérieur
. E. B. LX. Circonvolutions cérébrales anormales
ure inférieure très courte et convexe vers l'abscisse et à courbure
supérieure
longue et concave vers l'abscisse. Pour le nerf
la partie moyenne de l'S ; et pour Weber le troi- sième ou courbure
supérieure
de l'S concave vers l'abscisse. Le procédé tech
autres portions, la moyenne, et surtout la troisième ou cour- bure
supérieure
, qui, très grande, exige une très petite échelle
ensiblement droit détermine des augmentations égales ; et la partie
supérieure
de beaucoup la plus grande concave vers l'absci
l des échanges chimiques, ce total exclut les opérations men- tales
supérieures
. -Les opérations de l'esprit sont en surplus sur
ci-dessus, il a pratiqué sur un chien la section des nerfs laryngés
supérieurs
et récurrents, et lésé les troncs du sympathiqu
ne vers son centre spinal. En d'autres termes, la lésion du neurone
supérieur
influence le neurone suivant à son extrémité pé
urone périphé- rique (téléneurone). Comment va s'altérer le neurone
supérieur
(archineurone) ? Il n'est pas rare d'observer
anaris analgésique. - Quelques semaines après, deux abcès du membre
supérieur
droit. - Description du malade en 1889 : différ
n 1889, B... a eu un abcès sans cause connue au niveau de la partie
supérieure
de l'avant-bras droit, à 3 ou 4 centimètres du
volumineuse'. Thorax irrégulier, très développé dans ses deux tiers
supérieurs
, rétréci dans son tiers inférieur. Les muscles
tablement arrêtés dans leur développe- ment par rapport à la moitié
supérieure
du tronc. La colonne vertébrale décrit une légè
ceinture, ce qui contribue encore à augmenter la saillie. Membres
supérieurs
. On n'observe pas de déformation des bras pirl.
peu plus prononcée à droite. Il existe une luxation de l'extrémité
supérieure
du radius dont on ignore et la date et la cause
ais sans éprouver de douleur. Au niveau de la face interne du tiers
supérieur
du bras droit et de l'aisselle correspondante,
89, le DI Robert SoREL (du Havre). PARESO-AN.1LGESIE DES EXTRÉMITÉS
SUPÉRIEURES
. 453 de la main et du poignet jusqu'à une ligne
té. Les modifications sont les suivantes : poils follets à la lèvre
supérieure
et au menton poils longs, frisés à la racine de
rdonnier du dehors. 1895. Janvier. - Puberté. Poils fins à la lèvre
supérieure
et au menton. Quelques poils dans l'aisselle ga
relèverons que les points principaux. La différence entre la partie
supérieure
du thorax et la partie inférieure persiste, et
. La notion de position est normale. En ce qui concerne les membres
supérieurs
, les divers modes de la sensibilité sont conser
été plus atteintes que les régions qui correspondent aux membres
supérieurs
. Les mensurations des membres'faites à différente
le gauche, seraient devenus rela- tivement plus agiles, les membres
supérieurs
se seraient fortifiés et,l'attitude en crochet
une simple énumération : pouce à ressort, luxation de l'extré- mité
supérieure
du radius, mutilations pathologiques de deux do
ion n'était pas justifiée, que la paréso-analgésie des extrémités
supérieures
n'était qu'une variété clinique de la syringomyél
ait lieu de distinguer la paréso-analgésie à panaris des extrémités
supérieures
de la syringomyélie '. Le cas qui précède nous
et au-dessous de l'olé- crâne, c'est-à-dire à la partie tout à fait
supérieure
de l'avant- bras, et cela des deux côtés, il y
colonne vertébrale, à la répion cervicale pour l'examen des membres
supérieurs
, à la région lombaire pour les membres inférieu
ctilité muscu- laire nous avons suivi la méthode de Erb. ' MEMBRE
SUPÉRIEUR
GAUCHE 468 RECUEIL DE FAITS. face dorsale, ai
La contraction musculaire est obtenue avec 5 milliampères. MEMBRE
SUPÉRIEUR
DROIT REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
tielle au moyen de fibres spéciales qui, sur les côtés de la partie
supérieure
de cette calotte et en dedans du ruban de Reil
la formation réticulaire qui constituent le prolongement direct et
supérieur
des faisceaux fondamentaux des cordons antérieu
res de long, le tubercule quadrijumeau inférieur se relie à l'olive
supérieure
et au corps trapézoïde par le ruban de Reil latér
u noyau acoustique antérieur, au tubercule acoustique, aux olives
supérieures
, au tubercule bijumeau postérieur du côté opposé.
, qui sert de voie centrale aux sensations auditives, et des olives
supérieures
, qui servent de postes interrup- teurs des fibr
ales dégénérées; on peut les suivre jusque dans la moelle cervicale
supérieure
. Le faisceau lon- gitudinal postérieur du côté
se, est située entre le faisceau longitudinal postérieur et l'olive
supérieure
. Enfin le corps restiforme fournit des fibres a
développement est précoce, et monte graduellement dans les centres
supérieurs
avec le développement de ceux-ci. L'animal no
de l'hémisphère gauche, englobant les circonvolutions pariétales
supérieures
, les urus supramarginalis et angularis et la part
orte par Sarbon, 479. MoRvAn. Paréso-analgésie des extré- mités
supérieures
avec panaris ou maladie de - avec imbécillité
ait de la peine ci se lever ; mais il semble qu'a- lors ses membres
supérieurs
étaient indemnes, du moins il n'a conservé aucu
aire s'observe non seulement aux membres inférieurs, mais aussi aux
supérieurs
. C'est ainsi que, si on lui fait fermer la main
la cuisse, a 13 cent. au des- sous de l'épine iliaque antérieure et
supérieure
, est de 58 cent., celle]du mollet, de39 cent. ;
même courir avec agilité. De même pour les mou- vements des membres
supérieurs
. Sensibilité in- tacte. - Ilieii de spécial dan
sie spi- nale; on ne retrouve rien d'analogue du côté des membres
supérieurs
ou des muscles de la langue et de la face.- Q
au niveau du manche invisible; l'opacité est surtout forte au tiers
supérieur
. L'air pénètre dans l'épreuve de Valsalva, et c
Pour ce qui est des membres, ils sont inégalement intéressés. Les
supérieurs
sont presque indemnes ; tous les mouvements volon
ous-donne onze divisions à droite et dix à gauche. Si les membres
supérieurs
sont presque indemnes, il n'en est pas de même
s'éloigne un peu du type clas- sique. Si, sur bulbe et les portions
supérieures
de la moelle, il est encore possible de.reconna
ntes régions nous montre, dans les portions cervicales et la moitié
supérieure
de la dorsale, des plaques de sclérose, très supe
sage superficiel qui réunit la partie antérieure du lobule pariétal
supérieur
à la partie anté- rieure du lobule du pli courb
rche le sillon de Rolando (RR', Pl. 1) on trouve bien son extrémité
supérieure
qui échancre la partie moyenne du lobule parace
errompu par un pli de passage profond, qui fait suite à l'extrémité
supérieure
de la frontale ascendante, qui est affaissée à
(6 et 7) vers sa partie moyenne, et elfe est effondrée à sa partie
supérieure
. La circonvolution pariétale ascendante (PA, PA
ncisures dont l'une très profonde (8) placée à l'union de son tiers
supérieur
avec le tiers moyen, l'autre plus superficielle(9
rompue que par un pli de passage profond. Le lobule pariétal (PS)
supérieur
n'offre rien de remarquable. Le premier pli de
rpariétale, coupée par un pli de passage, 1 A. LPS. Lobule pariétal
supérieur
. SS. S'S'. Branches de bifurcation de la scissu
s qui animent tout le corps, mais surtout la face et les extrémités
supérieures
. Les paupières palpitent. Cette phase est de co
cipitale externe répond au lambda. Les distances rolando- coronales
supérieure
et inférieure sont de 48 et 28 millimètres chez
ation devant, selon toutes probabilités, répondre au gyrus pariétal
supérieur
et d'une façon générale aux circonvolutions par
s, représentant en réalité ceux qui, chez l'homme et les mammifères
supérieurs
, relient le pulvinar et le corps genouillé exte
sphère droit, le segment postérieur des circonvo- lutions frontales
supérieure
et moyenne, ainsi que le tiers supé- rieur de l
intéressant les deux circonvolutions ascen- dantes dans leur tiers
supérieur
sans empiéter. La substance blanche du territoi
tale et de la frontale ascendante ayant réduit en bouillie le tiers
supérieur
de cette dernière. In- tégrité de la pariétale
e suivante, à savoir que le sang de la portion cervicale et dorsale
supérieure
de la moelle, trouve son débouché par en haut,
la cavité crânienne (sinus vei- neux qui se trouvent sur la surface
supérieure
du corps de l'os basilaire). Les voies collatér
canal central, soit dans toute leur longueur, soit par leur partie
supérieure
. Il faut distinguer entre les simples évasement
ant que présente la caverne avec le canal central par son extrémité
supérieure
; car les cavernes commencent à se former là où
ion des diverticules qui s'abouchent avec le canal à leur extrémité
supérieure
, la présence d'oedôme, la présence de replis, d
mité supérieure, la présence d'oedôme, la présence de replis, degré
supérieur
d'oedème. P. K. VI. Sur la question DE la curab
fusion de ces altérations aux autres cordons dans la moelle dorsale
supérieure
. Disparition du groupe moyen de cellules des co
la sphère du trijumeau à gauche, du spinal et des paires cervicales
supérieures
à droite, et l'atteinte du pneumo-gastrique fai
animale. M. Duret montre comment le système ner- veux des vertébrés
supérieurs
est comparable à celui des anné- lides et formé
président du tribunal à consentir un bail dont la durée ne sera pas
supérieure
à neuf ans. Avec la même autorisation, précédée
ion devrait siéger à la partie pos- térieure du noyau, vers l'angle
supérieur
du quatrième ventricule. L'absence de paralysie
lésion ne parait guère dépasser l'aqueduc de Sylvius dont la paroi
supérieure
est cependant épaissie. « Tout à fait en haut
e manière égale des deux côtés. La diplopie existe dans la partie
supérieure
du champ visuel, aussi bien que dans l'inférieure
ller plus loin; si une bride unit les (êtes des osselets à la paroi
supérieure
de la caisse, et s'oppose aux mouvements en ded
vers la droite. Inertie et perte absolue de tonicité des mem- bres
supérieur
et inférieur du côté gauche. Le 25 mai l'intell
ariétale, traverse obliquement la partie la plus externe de l'étage
supérieur
de la base et passe à l'étage moyen, immédiatem
obule pariétal inférieur, à la moitié inférieure du lobule pariétal
supérieur
et à la moitié postérieure des première et deux
et 33 ? ; P. 92. IL survient bientôt de la contracture des membres
supérieurs
et des muscles du cou, avec déviation des globe
cules nombreux et à différents degrés d'évolution dans tout le lobe
supérieur
. Pas de caverne à droite; tubercules ramollis a
hors. Le pouce est fortement appuyé sur l'index fléchi. Les membres
supérieurs
sont dans la supination et un peu dans l'ab- du
s d'inhibition. D'après lui, quand on retranche les centres nerveux
supérieurs
, ou quand on sectionne un nerf, l'augmentalion
de ce qu'il nomme « l'équivalent mécanique de l'action des centres
supérieurs
», qui ne serait autre chose que la différence
nfin de la main gauche. On ne tarde pas àconstater dans l'extrémité
supérieure
droite : parésie du tri- ceps et des muscles de
uble alors. Jamais de nystagmus. Presque aussi fréquent aux membres
supérieurs
, il consiste en des mouvements de flexion et d'
pareil à celui de la sclérose en plaques. Les membres inférieurs et
supérieurs
exécutent, au-dessus et au-dessous de la trajec
es phénomènes d'ataxie décrits par Hammond : ataxie des mem- bres
supérieurs
et inférieurs; double névrite optique; diplopic
iphérique du grand sympathique et peut- être aussi dans les centres
supérieurs
du bulbe, ainsi que peu- vent le faire supposer
ppareils termi- naux moteurs de la grenouille et ceux des vertébrés
supérieurs
. La scission rigoureuse de Kuhne ne saurait êtr
s corps genouillés, le ruban de Reil, et les pédoncules cérébelleux
supérieurs
. Deux observations servent de base à la communi
i nomme un tuteur. Sur ces entrefaites, l'autorité administrative
supérieure
, représentée par le directeur régional, décide qu
lésion destructive siégeant sur le lobule paracentral, sur le tiers
supérieur
de la circonvolution frontale ascendante ou sur
ur de la circonvolution frontale ascendante ou sur les deux tiers
supérieurs
de la circonvolution pariétale ascendante, déte
ion pariétale ascendante, détermine une paralysie des deux membres (
supérieur
et inférieur) du côté opposé, sans paralysie de
- q(es d'épilepsie partielle. Extension de la paralysie au membre
supérieur
gauche. Plaque de méningite tuberculeuse loca-
s caractères d'un accès d'épilepsie partielle : la jambe, le membre
supérieur
et les muscles de la face du côté gauche ont ét
embre inférieur gauche, sans aucun trouble para ! lytique du membre
supérieur
de ce côté. 1 Huit jours après, deuxième attaqu
État actuel (9 mars). Il existe une paralysie flaccide du membre
supérieur
et du membre inférieur gauches. 1 Les pièces an
ex- tension forcée et légèrement déjeté en dehors.')' ' Le membre
supérieur
est inerte. Cependant la malade exécute quelque
nt-bras. L'extension est impos- sible. - Les muscles de ce,, membre
supérieur
, surtout ceux du bras, sont flasques et comme l
de ce lobule, sur la face interne de l'hé- misphère, et à la partie
supérieure
des circonvolutions frontale et pariétale ascen
.n»'"> '(.t"t ? .. . intérieur gauche, et^qui a gagne le membre
supérieur
? ,D. ) ? ? ? 0 . o r41 . , i correspondant seu
exactement limité, au niveau du lobule paracentral et de la partie
supérieure
'des deux circonvolutions dont ce lobule est, p
visage né sont nullement déviés, pas plus que la langue. Le membre
supérieur
gauche est complètement indemne. Il fait tous l
La sensibilité est intacte comme la motilité à la face, au membre
supérieur
et au, tronc. Au membre inférieur, la sensi- t
ouveau* à'lai'face. Sur leFeôté âauché,du corps, et ,sur, le membre
supérieur
;da sensibilité au contact, parait un peu plus o
"I'à%e, »\ ,-».,V , 1 1 13 avril.. Quelque soit le point du membre
supérieur
que l'on pique ou que 1 on touche, la malade ra
irconvolutions* frontale et pariétale ascendante dans leur} partie)
supérieure
; ? f tl 1 1"t)11J 1 1) I) .Ju 1 1 . elle a une
res] pelviens et plus tard ex- tension de- la paralysie, au, memhre"
supérieur
,,corr es- pondant ; dans ceux de la seconde, la
hésie du membre inférieur \ gauche. L'autop- sie montra à la partie
supérieure
de l' hémisphère droit des granulations méningé
embre' inférieur gauche consécutive à une lésion du lobule pariétal
supérieur
1 Thèse de Paris, -1870, p. 211. DES LOCALISA
mbre inférieur 'consécutivement=combinéeàla,pa- ralysie'- du membre
supérieur
: Ils'ait'd'un homme de cinquante et un ans,'ay
nte, comprimé et- ramolli sans les détruire complè- tement le tiers
supérieur
de la frontale ascendante et du lobule paracent
ette dernière d'un individu qui s'était fait une blessure à l'angle
supérieur
et antérieur du pariétal gauche , près de la su
DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 289 central et delà partie
supérieure
des frontale et parié- tale ascendantes est suf
? e tache pétéchiale s est produite sur la muqueuse , de la lèvre,
supérieure
, dont'elle occupe toute la 'moitié droite. Urin
ur gauche est depuis n dune tuméfaction étendue depuis la1 partie1,
supérieure
'delà - h.'ii Ji ? ii..>';lr>" 'il ? =]-,
rs inférieurs de la moelle; elles sont moins profondes que le tiers
supérieur
, et. cessent d'être appréciables à'quelques cen
C.r f . t"t '. 't j't 1, je, -.1.1. ' tt 1 d'un coup dans un membre
supérieur
, seulement ou dans 1 les deux mèmbrès a la fo
te,dë)a'sctérosc en plaques/ de 1 ataxie 6âde'l'a choree. Le membre
supérieur
droit est 'ilasqe s8uiev'é', il retombe absolum
ques épiteptiformosfi'équente's;']oca]isécs.surt,outdaus le membre,
supérieur
gauche et qui continuent à se reproduire 'fréqu
ur. 1·riûs lesririëmbrestc`ontrâturé'le'-sout ? . 'à un degré bien'
supérieur
a oelui des'jours'précédents ? sut'tout* le a i
oi 1 "én"avantudii'c6ndùit' auditif 'externël1 gingivaux,1' labiaux
supérieur
"Àdigitil il -jjt 1' -·J 10l yllui- n, J6lÏUJ.J
grandi.quelque.peu. Le.soir;. apparition .djimej bulle surjla^èvre^
supérieure
.près.de . la commissure, t., huJioo'nr.-iJ ne '
sur la lèvre inférieure. Le soir les lésions trophiques de la lèvre
supérieure
, et celles de la Ièvreülfériéürésétsont réûniés
me doute peut s'élever à propos de la paralysie saturnine du membre
supérieur
-.«par exemple, qui occupe un certain nombre de
iques- à -l'hypoglosse, .au j pneumogastrique, au ganglion cervical
supérieur
; M S, branche mastoïdienne superficielle; DI, b
i par les mêmes paires ; - -m ? 01, obturateur interne; FS, fessier
supérieur
; 1, 2, les deux' faisceaux du iombo-sacre'a.Dan
lombaire dans l'observation I (parésie et rigi- dité des extrémités
supérieures
, malgré l'intégrité du segment cervical) ; bien
a portion interne des faisceaux cunéiformes à la région cervicale
supérieure
, le faisceau pyramidal et les deux cordons posté-
e ultérieurement des tremblements intentionnels dans les extrémités
supérieures
et inférieures, du ralentissement dans l'ai ti-
ier fait traita une étudiante de vingt-quatre ans suivant les cours
supérieurs
de femmes. Ses accès auraient débuté à la suite d
é- rieur^; réduction^ excessive de;l'opercule.I'Lm sillon'frontal
supérieur
se"jétteldans,ly,silloliidel Rolande' extrêmement
second bourgeon - organique, de,sorte,qu'au)nivcau,dela portion : ,
supérieure
du» renflement lombaire, ,,la .section ? transv
s .mentaux parmi les élèves dans les établissements d'ins- truction
supérieure
? A raison de la diversité des opinions, de la
émités du corridor existent des salles de jour communes. Les étages
supérieurs
contiennent des dortoirs de dix à douze lits. L'a
L'hypochondrie constatée correspond à la lésion du lobule pariétal
supérieur
; Bisch- Ilirschfeld a décrit un cas de ramollis
commence le plus souvent par la tête, quelquefois par les membres
supérieurs
, souvent par la tête et les bras simultanément, t
erpariétale, coupée par un pli de passage, tO. LPS, Lobule pariétal
supérieur
. SS, S' S', Branches de bifurcation de la sciss
met de joindre à cette Revue des planches dont la vérité est toujours
supérieure
à celle de tout autre genre d'iconographie. Les
oisième incision transversale. De cette façon on obtient un lambeau
supérieur
, quadrangu-laire, dont la base répond au pubis ;
ièrement du périnée. Il existe alors une vaste plaie dont la partie
supérieure
est occupée par la verge complètement dépouillée,
ules. Deux autres points sont encore nécessaires pour joindre le bord
supérieur
de ces lambeaux au lambeau dorsal, afin de recouv
u, il y a quelques années, à la « Charité, un larynx dont l'ouverture
supérieure
était en « grande partie obstruée par une végétat
n de la muqueuse au-dessus des cordes vocales vraies ou sur leur face
supérieure
donne un résultat négatif, une toux vio- lente
Les mêmes expériences ont été répétées après la section des laryngés
supérieurs
et du nerf vague ; dans ce cas, l'excitation du l
de la trachée et de sa bifurcation reste sans effet, si les laryngés
supérieurs
seuls ont été coupés. Le larynx est insensible, m
latations variqueuses considérables, qui s'étendent jusqu'à la partie
supérieure
des cuisses. Pas d'éruption dans d'autres régio
présentait les caractères bien tranchés de cette maladie à la partie
supérieure
des jambes, et, par l'effet du traitement, les tu
res inférieurs; entre six et sept ans début de l'atrophie aux membres
supérieurs
. Nous n'entrerons pas dans le détail de cette obs
nce, les muscles des membres ou du tronc, en débutant par les membres
supérieurs
, et n'atteint les membres inférieurs qu'à une pér
es. DES HÎPITAUX PLANCHE XI LIPOMES SYMÉTRIQUES Les ulcérations
supérieures
, les abcès autour du rectum peuvent être rattaché
s aurons à décrire. i° Groupe occipital. — Au niveau des insertions
supérieures
du trapèze, d'une apophyse mastoïde à l'autre, s'
an de la nuque, dans lequel s'avance une traînée triangulaire, à base
supérieure
, de cheveux noirs. Des deux côtés, la peau est d'
ont : o,i25mm dans le sens transversal, 0,8 de haut en bas. Le bord
supérieur
n'est pas convexe comme les autres, il est légère
e n'est pas homogène, mais formée par quatre noyaux. L'un, interne et
supérieur
, arrondi, offre un diamètre approximatif de 5 cen
un autre, inférieur et externe, présente un volume égal ; à la partie
supérieure
de l'espace qui les sépare est un noyau de o,3; e
e, mais ce n'est plus la mobilité normale primitive. 3° Sur le bord
supérieur
de l'omoplate, on trouve de chaque côté une tumeu
noisette, mais mal limitée. 8° Groupe lombaire. — Au niveau du bord
supérieur
du sacrum est une saillie transversale due à une
pes que nous venons de signaler. 11° Groupe pubien. — Sur la partie
supérieure
du pubis, un peu au-dessus de ses épines, sont de
occupent toute la région occipitale, nettement limitées par leur bord
supérieur
, concave à sa partie moyenne, elles se confondent
ion sus-claviculaire, et celle qui se trouve au niveau de l'extrémité
supérieure
du sternum. Les caractères de ces dernières, de m
ts qui lui sont transmis par les muscles qui s'insèrent à l'extrémité
supérieure
de l'humérus. Ces muscles offrent un volume égal
epispadias. Dans l'épispadias, l'urètre n'est pas fermé à sa partie
supérieure
; mais cette imperfection n'est que le résultat du
plètement distincte, n'offre pas de vice de développement. La lèvre
supérieure
est le siège d'un double bec de lièvre, formant s
ntinue directement avec le bord de la solution de continuité. Le bord
supérieur
de l'ouverture est constitué par la limite antéri
alés à la base de la langue : c'est au-dessus de ce point d'insertion
supérieure
que s'ouvrent les trompes d'Eustache, dont la dis
dence que le trouble de nutrition a été profond : absence de la lèvre
supérieure
, absence de la voûte palatine et du voile du pala
a pression exercée sur la lèvre par le lobule médian du bec de lièvre
supérieur
. Ce lobule a, en effet, un bord inférieur trancha
ar la commissure labiale gauche. — Résolution complète. — Les membres
supérieurs
et inférieurs sont froids ; le pouls est impercep
le mésentère et la tumeur. En versant un filet d'eau par l'extrémité
supérieure
de l'aorte abdominale, on voit sortir un jet au t
on voit sortir un jet au travers d'une éraillure située vers l'angle
supérieur
de cet hiatus. Entre les lèvres déchiquetées de c
ée 1848, le docteur H. W. Berend dit en avoir trouvé un dans la lèvre
supérieure
d'un malade. Dans un autre de la même année, le d
eux vulves parfaitement conformées; l'une antérieure, est de beaucoup
supérieure
en volume à la seconde qui se trouve située posté
compris entre la clavicule, sous laquelle elle descendait, et le bord
supérieur
du cartilage thyroïde; elle s'étendait en refoula
uri droit et pointu une ponction, juste dans l'angle rentrant du bord
supérieur
du thyroïde, puis je remplaçai le bistouri pointu
c difficulté les replis arythéno-épiglot-tiques et les cordes vocales
supérieures
. Follin avait été sans doute frappé des résultats
du cartilage thyroïde. C'est à quelques millimètres seulement du bord
supérieur
de ce cartilage, à peu près à égale distance de l
re d'une note aiguë. Le polype est vu dans toute l'étendue de sa face
supérieure
, moins son point d'implantation dans le ventricul
opération, après la section du cartilage thyroïde : a, cordes vocales
supérieures
; b, cordes vocales inférieures ; c, entrée du ve
lade : a, épiglotte ; b, bourrelet de l'épiglotte ; c, cordes vocales
supérieures
; d, entrée du ven-triculede Morgagni ; e, cordes
toile, tantôt en planches, la partie antérieure étant fixe, la partie
supérieure
pouvant être relevée et former auvent. 3° Les t
. La fenêtre anglaise à guillotine, qui peut être ouverte à la partie
supérieure
dans une mesure variable, est encore un moyen trè
as droit s'élève, l'avant-bras se fléchit sur le bras, tout le membre
supérieur
droit devient roide ; presque en même temps le br
ts serrées. Le corps est couvert d'une sueur visqueuse. Les membres
supérieurs
sont fiasques. Teinte violacée de la main et du b
l'extrémité postérieure de l'hémisphère et du bord inférieur au bord
supérieur
, toutes les circonvolutions sont remarquablement
t de constater la diminution du diamètre antéro-postérieur du détroit
supérieur
, et de plus, l'inflexion de la colonne rachidienn
etit tube et d'ouvrir une des deux autres pour que le liquide du vase
supérieur
pénétrât dans la poitrine ou que celui de la poit
n anormale ; ce n'est qu'aux bords de la valvule mitrale, sur la face
supérieure
, que l'on remarque des dépôts fibrineux, les uns
indiqués et discutés avec soin, les vices de conformation des membres
supérieurs
, le torticolis, le pied-bot, la ténotomie, la rég
té électrique sont normales dans les muscles innervés par le facial
supérieur
; cependant l'oeil se ferme encore avec une cert
avancée, à l'exception du releveur de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
; l'excitabilité faradique est notablement dimin
muscles orbiculaires des paupières, frontal et releveur de la lèvre
supérieure
n'ayant recouvré qu'imparfaitement la contracti
ns Ja première enfance; à l'âge de dix ans, tic convulsif du membre
supérieur
droit, qui a persisté pendant plusieurs années;
s rameaux nerveux, tant pour le facial inférieur que pour le facial
supérieur
; pas d'accroissement de l'excitabilité galvaniq
plaisamment, qu'il cou- rait à sa perte; mais, poussé par une force
supérieure
à sa volonté, il ne pouvait ni s' arrêter, ni s
ines antérieures pour aller au grand sympa- thique.- Pour le membre
supérieur
, ils liassent par le 3° gan- glion cervical, ma
oplégie brachiale hystéro-traumatiques qu'il a publiées'. La limite
supérieure
de l'anesthésie est en particulier digne d'être
gumentation de la façon suivante : 1° le cas d'anesthésie du membre
supérieur
observé par M. Adamkiewicz présente tous les ca
rs des cir- convolutions temporo-sphénoïdales, les lobules pariétal
supérieur
et inférieur et la plus grande partie du lobe o
deux dernières vertèbres dorsales et des trois vertèbres lombaires
supérieures
. Il n'y avait pas de tuméfaction ici, sauf quan
cines cervicales à leur point d'envergure entre les scalènes : tvpo
supérieur
des paralysies radiculaires du plexus brachial.
Jendrassik, sous l'influence des mouvements du tronc et des membres
supérieurs
. Quoi qu'il en soit, la disparition du phénomèn
SE CONTRIBUTION A L'HISTOIRE DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE
SUPÉRIEUR
, D'ORIGINE HYSTÉRO-TRAUMA- TIQUE ; Par H. REN
. 130 PATHOLOGIE NERVEUSE. lieu à une vive douleur dans le membre
supérieur
gauche. D'abord limitées à l'avant-bras et à la
e relevé des observations les plus con- nues de paralysie du membre
supérieur
est, à cet égard, singulièrement instructif.
sif des membres, et finalement, une monoplégie complète du membre
supérieur
s'accentuant d'autant plus que la motilité reve
ingt ans, observé par Féréol, eut une monoplégie tenace du membre
supérieur
, à la suite d'un léger coup sur l'épaule; un au
pitaux (27 novembre 1885) un malade atteint de monoplégie du membre
supérieur
droit, avec hémi- anesthésie sensitive et senso
ait des progrès : bientôt la parésie s'accusa dans tout le membre
supérieur
. Au moment de son entrée à l'hôpital, on cons
ntrée à l'hôpital, on constate l'état suivant : Parésie du membre
supérieur
droit, portant exclu- sivement sur la main et s
gie psychique des membres inférieurs. Pendant des mois, les membres
supérieurs
Fig. 13. DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE
uis deux mois, il existe quelques mouvements choréiques aux membres
supérieurs
. Au moment de son entrée à l'hôpital (9 mars 18
rieur gauche ne sont pas modifiés. Il existe une parésie du membre
supérieur
, il est très diffi- cile à la malade de porter
de ce côté porte sur la moitié antérieure du tronc et sur le membre
supérieur
tout entier. Le ventre et les membres inférieur
la sensibilité est également émoussée sur le tronc et sur le membre
supérieur
(voir le schéma), mais les phénomènes les plus
nt-bras. Elle dessine donc une sorte de manchette, dont la partie
supérieure
se termine par un sillon circulaire presque régu-
s, qui précèdent, accompagnent ou suivent la monoplégie du membre
supérieur
sous l'influence de la provoca- tion du traumat
E. sensibilité est très émoussée et presque abolie dans le membre
supérieur
droit. Etat actuel. Fille robuste, nullement ne
ésie et une anal- gésie complète. Cette anesthésie occupe le membre
supérieur
droit Fig. 16. Fig. 17. DES MONOPLÉGIES PAR
isolée, des racines sensitives et trophiques des nerfs du mem- bre
supérieur
et porte le diagnostic suivant : affection rhu-
ières : il n'en est aucun qui se fît remarquer par une intelligence
supérieure
, bien pondérée. Cette faiblesse intellectuell
e du mucus nasal et palpébral en assez grande quantité. La paupière
supérieure
droite est rosée et gonflée. P. petit régulier
ases; petite masse crétacée du volume d'un petit pois à l'extrémité
supérieure
du lobe inférieur; conges- tion assez prononcée
mère est légèrement conges- tionnée, sauf au niveau du pli pariétal
supérieur
où il existe une ecchymose; elle est mince, mai
entraîner de substance grise, si ce n'est au niveau du pli pariétal
supérieur
. Pas de lésions en foyer. Ventricule laté- ral,
munique largement à sa partie postérieure avec la scissure frontale
supérieure
, séparant ainsi le tiers postérieur de la deuxi
euxième frontale de ses deux tiers antérieurs. La scissure frontale
supérieure
est profonde surtout en arrière. La première ci
assage signalé plus haut, puis se poursuit dans le sillon occipital
supérieur
jusqu'au sillon transverse. - Le pli courbe est
de passage à niveau, reliant le lobe occi- pital au lobule pariétal
supérieur
. Le lobule orbitaire est bien conformé. a). F
irconvolution frontale au cap de la troisième. La scissure frontale
supérieure
est légèrement sinueuse, cou- pée à son extrémi
PROCURSIVE. 25 ! 1 bien développées, normales. - Le lobule pariétal
supérieur
, régulier, est peu volumineux; en effet la scis
nueux, très découpé, très développé au détriment du lobule pariétal
supérieur
. - Le pli courbe est assez gros également. La s
ais la scissure occipitale trans- verse n'existe que dans sa partie
supérieure
; en dessous de la scissure interpariétale conti
ascissure interhémisphérique et se terminantdans le lobule pariétal
supérieur
à un demi-centimètre de la scissure interpariét
se. Le pli pariétal infé- rieur est assez plissé. - Le pli pariétal
supérieur
est volumi- neux comme dédoublé. Le pli courbe,
ieun prolongement très gros à la partie postérieure du pli pariétal
supérieur
. - Le lobe occipital, assez plissé, est très vo
al situé entre l'insertion de la première frontale et l'inser- tion
supérieure
de la deuxième frontale, Le sillon de Rolando e
endante du pli pariétal inférieur est très profond. Le pli pariétal
supérieur
est sinueux, envoie deux plis de passage à la p
s et l'ouïe est le plus fin des cinq sens. Les mains et les membres
supérieurs
n'oifrent rien de particulier; les membres infé
ne grande aisance dans les mouve- ments des articulations du membre
supérieur
, et une intégrité complète des muscles dé ce de
cuir chevelu, le front, le long de la colonne cervicale et dorsale
supérieure
, à la région latérale du cou. Intégrité de l'od
ment signalés. Par suggestion, on lui donne une paralysie du membre
supérieur
gau- che, avec contracture et anesthésie, suivi
ui suggère de n'en point avoir. C'est un phénomène anté- rieur et
supérieur
à la suggestion. Or, Bernheim n'ad- met que de
rices; les paralysies suggérées qui ont aussi des caractères fixes,
supérieurs
à la suggestion et cependant différents de ceux
nées, une faiblesse accompagnée d'atrophie muscu- laire des membres
supérieurs
, une suppression partielle du sens de la tempér
tielle du sens de la température, de l'analgésie dans les membres
supérieurs
et le thorax, puis dans les mem- bres inférieur
ente-deux ans, présentant les phénomè- nes d'anesthésie des'membres
supérieurs
, du thorax, du cou et de la nuque. Les sens de
sthésies tenaces (sensation de cuisson froide), dans les extrémités
supérieures
; ce processus s'était déve- loppé dans l'espace
la perte du sens de la douleur et de la température, dans la partie
supérieure
gauche du corps et dans l'extrémité supérieure
ture, dans la partie supérieure gauche du corps et dans l'extrémité
supérieure
correspondante, qui était en outre le siège de
x jusqu'à la sixième côte et 374 PATHOLOGIE NERVEUSE. les membres
supérieurs
, et s'étant manifesté dans ces régions, princip
ffai- blissement unilatéral ou symétrique des muscles des membres
supérieurs
, avec anesthésie ou analgésie par- 376 PATHOLOG
ême mit- zzière, à droite elle occupe seulement le cou et la partie
supérieure
du thorax . G. Mihaïloff, paysan de l'arrondi
loppé. , DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE 381 La musculature du membre
supérieur
du coté droit présente un certain amaigrissemen
le par la tension du pectoral. Tous les autres mouvements du membre
supérieur
droit et tous ceux du gauches sont normaux. Le
et paraît plus froide au palper que la droite. Les organes des sens
supérieurs
sont à l'état normal. Le fond de l'oeil est nor
ives et poignantes dans les reins, dans les vertèbres thora- ciques
supérieures
; une céphalalgie générale fréquente; douleur à
position assise d'origine ap- paremment musculaire. Dans le membre
supérieur
droit il y a eu des crampes de courte durée, da
es par Schultze. Nous avons : 1° atro- phie des muscles des membres
supérieurs
; 2°anesthé- sie partielle sans symptômes d'inte
e man- ger et de boire due aux mouvements désordonnés des membres
supérieurs
. Contorsions du tronc, du cou, des muscles de la
semble qu'il soit obligé de faire un effort pour parler : la lèvre
supérieure
a des contorsions, elle s'avance parfois, les c
e veut saisir un verre, placé sur une table devant lui, les membres
supérieurs
quittent leur position allongée sur le tronc, s
ui n'a produit aucune amélioration. 26 mai. - Dentition. Mâchoire
supérieure
, seize dents bien ran- gées, saines; mâchoire i
étrique. 400 RECUEIL DE faits. Lemai.. contracte souvent sa lèvre
supérieure
de sorte qu'il s'y forme des plis verticaux sur
ormation du rachis. Boutons d'acné ' en avant et sur les deux tiers
supérieurs
du dos. Membres supérieurs assez bien conformés
'acné ' en avant et sur les deux tiers supérieurs du dos. Membres
supérieurs
assez bien conformés. L'épaule gauche des- cend
e même en dedans. Voici les mensurations des membres : a) Membres
supérieurs
. DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 4
ramassée (Planches 111 et IV). Mais ce n'est pas tout, les membres
supérieurs
qu'il étend pour se soutenir aux Archives, t. X
longe la langue, mais il la maintient en appuyant sur elle la lèvre
supérieure
; il ne peut la porter à gauche ou à droite, ni
evées chez Derno... Quand Lem... veut prendre un verre, les membres
supérieurs
décrivent 404 RECUEIL DE FAITS. - DEUX CAS D'AT
' ! J, à Stockholm pour 1885.) A. R. XII. Paralysies radiculaires
supérieures
du plexus brachial, d'origine PIlOFESbIONr>'
impotence presque absolue des deux membres inférieurs et du membre
supérieur
gauche. Tous les deux ou trois mois depuis un a
iétale et frontale ascendantes et sur la circon- volution pariétale
supérieure
. Autour de ce tubercule, il existait une zone d
e (paralysie complète du bras droit), empiétant un peu sur le tiers
supérieur
de celle même circonvolution (paralysie incom-
ervice. Enfin, au centre du Gouvernement doit être établi un comité
supérieur
chargé d'assurer l'unité de ce service, d'éclaire
ec l'importance du service. Je ne parlerai pas non plus du comité
supérieur
, dont le Gou- vernement reconnaît l'utilité. Su
o l'intérieur, sur une liste de présentation dressée par le conseil
supérieur
des aliénés, et après un concours public, surve
r le ministre de l'intérieur sur la liste de présentation du comité
supérieur
des aliénés; je suis d'accord avec mes collègues
volontiers. Néan- moins, les dispositions de la loi de 1838 étaient
supérieures
à tous les points de vue. En effet, la surveill
e confiance à l'administration, vous prouverez que les laïques sont
supérieures
sous tous les rapports aux religieuses, et, par
re assurés qu'à mérite égal vous serez toujours promus aux grades
supérieurs
de préférence aux candidats du dehors. Plusieur
ticulièrement les membres du Conseil général et de l'Administration
supérieure
dont la présence a rehaussé celte cérémonie.
Bochm. Publications DU Progrès médical. - Soeltl' Jeanne des Anges,
supérieure
des Ursulines à Loudun, XV 11» siècle. Auto- bi
etica, par Adam- kievicz, 101. Monoplégies partielles du membre
supérieur
d'origine hvstéro-trau- matique, par Rendu, 177
et même arrêter leur ecou- Il-ment pal' une pression sur la partie
supérieure
du front, on peut même empêcher cet écoulement.
on qui fut posée au cours d'une des dernières réu- nions du conseil
supérieur
de l'Assistance publique : com- bien d'aliénés
c toutes sortes de réticences. Lorsque la question posée au Conseil
supérieur
de l'As- sistance publique se présente, la majo
l'observateur pratique la flexion ou la supination de l'ex- trémité
supérieure
. Il enest de même pour les fléchisseurs de la j
la portion la- biale de l'élévateur de l'aile du nez et de la lèvre
supérieure
. Il s'agit d'un réflexe transmis par la branche
la lèvre supérieure. Il s'agit d'un réflexe transmis par la branche
supérieure
sensitive du trijumeau au facial. Près de la mo
t; . «^ \'Il. Les réflexes des segments éloignés des . extrémités
supérieures
et leur signification diagnostique; par \1'.M.
seulement le tiers inférieur, mais le tiers moyen et même le tiers
supérieur
du cubitus ; c'est donc un réflexe périos- tiqu
a colonne vertébrale au niveau des vertèbres cervicales et dorsales
supérieures
. Enfin il existe une fausse sensation de membre
il ne peut s'en débarrasser, même quand il regarde son extrémité
supérieure
gauche, immobile, paralysée. L'autopsie révèle da
l'ingestion de l'azote, et qu'en aucun cas l'azote urinaire ne fut
supérieur
à la quantité d'azote ingéré. Malgré cette diminu
prolubéranliello (hémorrhagie probable chez un alcoolique). Tabès
supérieur
et méningite syphilitique basilaire. MM. Souque
: R0 CL LEENHARDT. - Pas de syphilis, in- coordination des membres
supérieurs
depuis deux ans, force musculaire conservée. Se
as le diagnostic de tabès. Névrite radiculaire cervicale et dorsale
supérieure
. MM. Déjérine, LEENHARoT et Morero montrent une
tion médicale de l'Asile, à la suite d'une discussion du Conseil
supérieur
de l'Assistance publique, de laquelle il paraît r
ble entre les deux sexes. Le nombre des entrées pour les hommes est
supérieur
de 15 % au nombre correspondant pour les femmes
es admissions de l'année. Les améliorations atteignent un chif- fre
supérieur
de quelques unités à celui de 1903 et sensiblemen
Intérieur, d'appeler la bienveillante attention de l'administration
supérieure
sur les retraites des médecins des asiles, admise
pas nécessairement ou normalement combinée avec une intelli- gence
supérieure
, cela semble indiqué par une communication fait
implique l'exercice de l'hémisphère gau- che il semble que le côté
supérieur
(le gauche ici) en souffre, et qu'il s'en suive
puis peu : la température du côté gauche de la tête est nette- ment
supérieure
à celle du côté droit. Il serait intéressant de s
physes vertébrales.sacrum pas douloureux à la pres- sion. Membres
supérieurs
: Une certaine diminution delà forcemus- culair
psie : Les deux poumons, surtout le droit, présentent, dans les 2/3
supérieurs
, des lésions de congestion très intense, avec c
e antérieure et aux points de sortie de plusieurs racines sa- crées
supérieures
et lombaires inférieures.Les racines sacrées in-
avons trouvé quelques légères lésions consistant dans l'abondance,
supérieure
à la normale, de fibres grêles, sans aucune for
te étaient très douloureux à la pression. Dans le 2e cas, la partie
supérieure
de la symphyse sacro-iliaque était légèrement d
'examen nous a été confié pour être l'objet d'un rapport au Conseil
supérieur
de l'Assistance publique. En raison du petit no
ction la proposition suivante : « La IV" section demande au Conseil
supérieur
de déclarer qu'il y aura un médecin en chef et
de médecins chefs de service. Voici le texte adopté par le Conseil
supérieur
: Le conseil supérieur est d'avis qve les médec
vice. Voici le texte adopté par le Conseil supérieur : Le conseil
supérieur
est d'avis qve les médecins adjoints doivent êt
es asiles d'aliénés ont été l'objet du voeu ci- après. Le Conseil
supérieur
de l'Assistance publique émet le voeu que les p
les sont maintenant renseignés sur ce qui a été fait par le Conseil
supérieur
. A eux d'a- gir, à l'administration de préparer
une légère augmentation des cloisons névrogliques dans les segments
supérieurs
des cordons de Coll, particularité trop fré- qu
rpe chez le singe le droit interne ; à sa place, il greffe le droit
supérieur
ou le grand oblique ; il constate que la réacti
eu près à 4 ver- tèbres au-dessous de l'endroit lésé. 11. La limite
supérieure
(le la thermo-analgésie totale croisée, produit
q apophyses épineuses au-dessous de l'endroit lésé. - 12. La limite
supérieure
de la thermo-analgésie totale croisée, produite
es épi- neuses) au-dessous de-l'endroit lésé. 13. Quand la limite
supérieure
de la thermo-analgésie totale croisée commence à
sensation des impressions caloriques, algides, algiques ; la limite
supérieure
de l'anesthésie thermique occupe le niveau supé
s ; la limite supérieure de l'anesthésie thermique occupe le niveau
supérieur
, celle de l'anesthésie algide occupe le niveau
tteint son maximum à l'épreuve de + 50° et de 0°. 16. Les limites
supérieures
des thermo-anesthésies à l'égard des températures
tes supérieures des thermo-anesthésies à l'égard des températures
supérieures
à ? 50°, par exemple à l'égard de ? 60°, -1- 70°,
, etc..., descendent toujours graduellement au-dessous de la limite
supérieure
de la thermo-anesthésie à l'égard de + 50° pour
ésie à l'égard de + 50° pour se rapprocher par en haut de la limite
supérieure
de l'anal- gésie. 17. Les limites supérieures d
r en haut de la limite supérieure de l'anal- gésie. 17. Les limites
supérieures
des thermo-anesthésies à l'égard de température
de - 5^, 10°, etc... s'élèvent graduellement au-dessus de la limite
supérieure
de la thermo-anesthésie à l'égard de 0°, pour se
sthésie à l'égard de 0°, pour se rapprocher par en bas de la limite
supérieure
de l'analgésie. 18. Les limites supérieures de
par en bas de la limite supérieure de l'analgésie. 18. Les limites
supérieures
de la thermo-anesthésie à l'égard de températur
températures intermédiaires à 0° et + 50° gisent entre les limites
supérieures
à l'égard de ces deux températures. P. KERAVAL.
xercée sur les centres nerveux inférieurs parles centres psychiques
supérieurs
, ex. : démence congénitale (84 %) et autres dém
rtant sur la face, la langue, la cein- ture scapulaire, les membres
supérieurs
, la ceinture pelvienne et la région antérieure
int d'hémi- plégie spinale à topographie radiculaire dans le membre
supérieur
avec contracture des fléchisseurs sans troubles
e normale, c'est-à-dire, que l'écart obtenu avec la main gauche est
supérieur
à celui que donne la main droite. Chez les hy
l'incoordination des membres infé- rieurs et du tronc, des membres
supérieurs
, et de certains mus- cles et appareils spéciaux
que l'Etat puisse intervenir jamais. A quoi bondés lors un Conseil
supérieur
de l'Assistance publique ' ? Celui-ci délibère
disposition 1 infirmier de jour par 10 malades et frac- tions de 10
supérieures
il 5 qu'il utilisera selon les besoins du ser-
né par la névrite ascendante régionale post-traumatique des membres
supérieurs
, pourra être plus méthodiquement et scientifiqu
ral, s'étendre, par exemple, au cas de névrite ascendante du membre
supérieur
, à tous les nerfs du ple- xus brachial et même
tants des centres (névrites ascendan- tes dis to-centrale.s, membre
supérieur
). Le type de névrite ascendante sera d'autant p
la grande vitesse ; comme pour les fortes se- z cousses, la partie
supérieure
de la secousse ne s'inscrit pas, clans certaine
que Furbringen a donnée comme constante chez beaucoup de vertébrés
supérieurs
; la consti- tution du plexus brachial telle qu
e à son tour de la suppression de l'influx nerveux venu des centres
supérieurs
et agissant sur les cellules de la corne antéri
ût 1905. Le Ministre de l'Intérieur à MM. les Préfets, Le Conseil
supérieur
de l'Assistance publique, dans sa dernière sess
5. Le Ministre de l'Intérieur à Messieurs les Préfets. Le Conseil
supérieur
de l'Assistance publique dans sa dernière sessi
rare ; dans les cas graves, on observe le prolapsus de la paupière
supérieure
, parfois la paralysie du facial. Pour le pouls,
pédoncules cérébraux. Les voies conductrices afférentes aux centres
supérieurs
augmentent proportionnellement à la diminution
apparaît chez l'enfant avec le complet déve- loppement des centres
supérieurs
. Mais avant que ce dé- veloppement soit définit
it enlevé à l'un l'écorce cérébrale au niveau du centre du membre
supérieur
gauche, au second, les centres des mouvements d
he, au second, les centres des mouvements de la face et des membres
supérieurs
et inférieurs gauches. Respectivement, neuf moi
t, dit-il, a exécuté quelques mouvements des membres in. crieurs et
supérieurs
. Il n'a point fait une seule inspiration, mais
tion automatique des fonctions végétatives, et réserver aux parties
supérieures
la conscience des fonctions. L'analogie observé
entrent en activité. A la corticalité sont réservés les phénomènes
supérieurs
de l'entendement, de la conscience. - V. Nous
tible avec son mode de développement, il se constitue un or- gane
supérieur
comme un fleuve rompt ses digues à me- sure que
mpte tout ce que les ancêtres ont acquis et transmis. Les fonctions
supérieures
non encore définitivement fixées dans l'espèce
rs centraux ; un nouveau con- cours ne donnerait pas un recrutement
supérieur
. Le ministère est lié par des précédents qu'il
me le disait Masselon, « le désir d'arriver n'étouffe pas la notion
supérieure
de l'intérêt général », il avait paru que le co
r la hauteurde la région cer- vicale entière et des quatre segments
supérieurs
delà région dor- sale ; il s'y est formé unecav
la région rolandiqueVroite,etle 1111ll'chi pratiqué sur la portion
supérieure
du faisceau pyramidal de la moelle ne révèlent
e. La teneur de cette résolution est la suivante : ` « Le Conseil
supérieur
est d'avis que les médecins adjoints dans les a
ile Saint-Robert : PERSONNEL médical. Dans notre rapport au Conseil
supérieur
de l'Assistance publi- que sur la Fixation du n
aurait été étranglé par sa camisole. Mais comment ' ? Par qui ? La
supérieure
a déclaré que le fou en,se débattant, avait fai
lus vers la déchéance. (Fia. 17.) Puberté. Léger duvet sur la lèvrc
supérieure
. Quelques poih. folcl au pénil. Le reblc du C01
349 Puberté. Duvet et quelques poils noirs et courts sur la lèvre
supérieure
. Lèvre inférieure et menton glabres. Fin duvet
ulaire, zvgomatique, buccal, menton- nirr, des terres inférieure et
supérieure
, surciliaire, frontal, de l'angle buccal (rl-fl
er.rmnaliln, mi. an,joarhar lo hou- 11'\I'I ? l'lI1l'nl des couches
supérieures
de noire stratification psy- chique.» F. T. ..
opsie, connue cause de la morl, une thrombose du sinus longitudinal
supérieur
. Dans celle observation, deux points sont à met
iliâ ai[;ui· anlériuuronmul ; 2° la thrombose du sinus longitudinal
supérieur
qui correspondait fort bien aux ) InpltÎ- mes t
emtions aSl'I'l1danfe ? Etudi('l's au niveau de la moelle cervicale
supérieure
il la limite supérieure du foyer de my('WI'. a)
Etudi('l's au niveau de la moelle cervicale supérieure il la limite
supérieure
du foyer de my('WI'. a). Cordons postérieurs :
et au contact (le ? cornes antérieures. 2o Dans la région cervicale
supérieure
: dégénérescence surtout marquée il la la péri-
destruction des faisceaux blancs nus-jacnl : (faisceau longitudinal
supérieur
, faisceau occipital vertical le \\-cruicl : e.)
on, même la dis- parilion, de l'espace iléo-costal. C\phose dorsale
supérieure
com- pensée par l'extension de la cuisse sur le
ose des tibias, déformation des clavicules, altérations des membres
supérieurs
, augmentation de volume du crâne. Les vrais mal
énomination d'écoliers mentalement anor- maux, ils forment te degré
supérieur
de l'imbécillité (arriéré in- tellectuel de Ség
r des fragments osseux morbides. restes des dernières ver- tèbres
supérieures
, repoussées devant lui parle segment t inférieu
ve sa forme et'son volume normaux ; même elle a un volume parfois
supérieur
à la normale ; la péri-pachyméningite alors agi
substance blanche. Les vaisseaux se comportent comme dans la coupe
supérieure
. -Les cellules radiculaires, étudiées au Xissi,
plus en plus dans les segments 444 PATHOLOGIE NERVEUSE. lombaires
supérieurs
et disparaît dans les inférieurs où tout le cor
n- draie,, très tuméfié, faits qu'on retrouve aussi dans la coupe
supérieure
, à la périphérie de laquelle il existe encore d
, sans être forte ? sont toutefois évidentes. Dans la moelle sacrée
supérieure
, existe une illculu- ration diffuse dans les co
retrouvent avec la même intensité dans les seg- ments immédiatement
supérieur
et inférieur (D 12, LIS), diminuent progressive
eux. Les lésions diffuses de la substance blanche dans les segments
supérieurs
et infé- rieurs aux segments de la moelle compr
fongueuse, lardacée, étendue jusqu'à la région lombaire l't sacrée
supérieure
, adhérant exclusivement à la lace antérieure de
es méninges molles dinu- nue progressivemenl : à la région dor-ale,
supérieure
elle est très la·tiltle ; v la O·;;ion cervical
moitié des cordons pos- lérieurs en largeur. Dans la région dorsale
supérieure
, c'est le faisceau de Goll qui parait licitemen
injecter.Cette aiguille est introduite derrière la dernière molaire
supérieure
, et elle est conduite vers le trou ovale ou le
o-volition- nelle. ' Commotion médullaire ; paralysie des membres
supérieurs
; , intégrité des membres inférieurs. MM. Tho
une chute sur le dos.Paralysie avec douleurs très vives des memhres
supérieurs
; hyperesthésie du bord interne de l'avant-bras
ellules nerveuses. Commotion médullaire.^ Para- lysie des membres
supérieurs
, intégrité des membres infé- rieurs, par Thom
9'l'(L.1 : ()lOlJ22.1 Névrite radiculaire cervicale et dorsale
supérieure
, par Déjérme, Leenhardt et Mo- rero, p. 54. L
ar Becliterew p. 41. Les - des segments éloignés des ex- trémités
supérieures
et leur signification diagnostique, par Becht
ons du a\ ce les facultés mentales, par Kronthal, p. 117. Tabès
supérieur
et méningite syphilitique bas]hure, par Souqu
! )au)t,p.) : t2. THHO\iB0-PIILÉBITF du 11 5111115 s longitudinal
supérieur
chez un paralytique général, par Lannois et ,
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