occasion de vous en parler plus tard. II est donc vrai que certains
sujets
peuvent être hypnotisés, sans qu'on s'en doute, p
fortuite, est beaucoup plus commune qu'on ne pense, surtout chez les
sujets
entraînés, et elle peut être l'occasion d'absence
nditions sont requises pour qu'il y ail hypnose, l'une qui regarde le
sujet
, l'autre l'opérateur ; lu troisième le moyen que
tre l'opérateur ; lu troisième le moyen que celui-ci emploie. Dans le
sujet
, il faut un état d'âme où l'exercice des facultés
ne influence et une direction efficaces, exercées sur les facultés du
sujet
; enfin, le moyen par lequel l'opérateur exerce co
et selon toute la compréhension du mot. L'on rencontre, en effet, des
sujets
qui sont suggestibles et ne sont pas endormis. To
sujets qui sont suggestibles et ne sont pas endormis. Toutefois, ces
sujets
, bien qu'ils paraissent éveillés, présentent, sou
ou un état analogue au sommeil, dans lequel l'activité psychique d'un
sujet
est influencé et dirigé du dehors par suggestion
cte immoral, en soi et de soi. L'acte, sans doute, sera immoral si le
sujet
n'a pas de motif raisonnable de se faire hypn
ans hypnose. M. le Dr P. Farez communique ses idées personnelles au
sujet
d'un enfant extraordinaire déjà étudié en Allemag
rs hiérarchiques. Le traitement par la suggestion hypnotique fut à ce
sujet
, dans le milieu ecclésiastique, l'objet de nombre
ant près de trois quarts d'heure les mains appliquées sur le front du
sujet
. Durant tout ce temps, je ne cessai d'affirmer la
e nouveau par la seule injonction de dormir: il suffira de dire à ses
sujets
: dormez, pour qu'aussitôt ils soient endormis et
ué, on puisse leur faire toutes les suggestions. De plus, les mêmes
sujets
peuvent être mis en état d'hypnose à distance, c'
le réveil a lieu, sans aucune crise, au moment qui a été indiqué. Les
sujets
hypnotisés, quel que soit le degré de l'hypnose,
iennent, sous l'influence de l'hypnose, dans l'état physiologique des
sujets
. Déjà des examens sphymographiques nous ont per
s avons complété ces recherches en comparant, chez un grand nombre de
sujets
, la tension artérielle dans l'état de veille et d
dèle Verdin. Nous avons constaté que, d'une façon générale chez les
sujets
qui présentaient do l'abaissement permanent de la
l, mais encore pendant assez longtemps après le réveil. Chez certains
sujets
dont la pression artérielle est à peine perceptib
ose devront être prolongées pendant une ou plusieurs heures. Chez les
sujets
dont la tension artérielle est normale, le so
imentales susceptibles de mettre en jeu l'activité psycho-motrice des
sujets
. L'hypnotiseur devra se borner à provoquer l'appa
, en particulier, de la circulation générale. L'examen comparatif des
sujets
dans l'état de veille et dans l'état d'hypnose no
le ferai avec toute l'abondance de détails que mérite l'importance du
sujet
; je m'y étendrai plus particulièrement sur tout c
enues, jointes aux dénégations de l'hypnotisme et de l'automotisme du
sujet
. En 1859, lu Dr Azam, de Bordeaux, familiarisé
liarisé avec les ouvrages hypnotiques de Braid, commença à étudier le
sujet
par lui-même, et un rapport de ses expériences pe
s des quatre sections de l'Institut fut alors formée pour examiner le
sujet
, et Braid adressa à l'Académie uno lettre dans la
ceux-ci pouvaient être déterminés par des moyens mécaniques dans des
sujets
qui étaient absolument ignorants de l'hypnotisme
crises et de sa céphalée était l'hypnose fortuite à laquelle il était
sujet
, l'indication première était donc de le délivrer
une cause de malaise et même d'accidents. On conçoit, dès lors, qu'un
sujet
susceptible de s'endormir et do se réveiller fort
'il faut penser de la puissance suggestive des hypnotiseurs sur leurs
sujets
. À en croire certains auteurs, particulièrement
n'est pas de séances de démonstration où l'on ne fasse accomplir à un
sujet
entraîné, le simulacre d'un crime : tantôt on fai
e objection a une valeur réelle, c'est qu'il est des cas où, chez les
sujets
très suggestionnables, on ne peut obtenir leur ad
répugnent. C'est ainsi, par exemple, que, lorsqu'on veut endormir un
sujet
pour lui faire subir une opération et qu'il est p
t tout cela, lorsqu'on a recours à l'hypnotisme, puisqu'on délivre le
sujet
hypnotisé de tous les symptômes pénibles, qu'on r
tes les maladies: il peut être tour à tour ou simultanément, pour les
sujets
sensibles, l'hypnotique qui endort, le sédatif qu
association des états psychiques correspondants, je commandais à mon
sujet
une série d'exercices, tels que : exécuter des mo
e autrement subtile et complexe, basée sur le diagnostic psychique du
sujet
, sur l'étude raisonnée de son caractère, sur la r
ofile de l'occasion qui m'est offerte aujourd'hui pour revenir sur ce
sujet
et pour soumettre à votre bienveillante attention
ne plaidoirie appropriée à l'individualité normale et pathologique du
sujet
, réussira souvent là où la suggestion hypnotique
re, qui enseigne que l'auto-« suggestion n'est réalisable que sur des
sujets
hystériques ou névro- • pathes, et, qu'à côté d
erne la suggestion des crimes et ce qui a été appelé l'automatisme du
sujet
hypnotisé. Il est sur ce point plus en accord ave
les observations de Dclbœuf et des autres. M. Frédéric Myers dit à ce
sujet
: « Observons ce qu'est le ton moral du somnambule
ention sur ce fait qu'il n'y avait là aucune atteinte â la volonté du
sujet
. Braid, comme nous l'avons vu, établissait d'im
sommeil ordinaire, dit-ii, aussitôt que la conscience est perdue, le
sujet
est seulement en parenté avec lui-même, tandis qu
enté avec lui-même, tandis que dans le sommeil déterminé, l'esprit du
sujet
conserve la mémoire de la personne qui l'a endorm
aient au point de vue du « rapport » existant entre l'opérateur et le
sujet
. Suivant Carpenter, qui expliquait les opinions d
rait reposer entièrement sur le principe des « idées dominantes ». Le
sujet
croyait que l'opérateur avait seul pouvoir sur lu
, par la transmission de leurs propres pensées dans l'esprit de leurs
sujets
, ils ne le découvrirent jamais. Toutes les expéri
mesmérique. Mais dans un grand nombre d'autres cas, dans lesquels les
sujets
n'étaient pas habitués aux séances mesmériques, l
ens, en relation directe et unique avec ceux qui les ont endormis. Le
sujet
entend tout ce que l'opérateur lui dit, mais il n
personne. Ce rapport s'étend à d'autres sens. « Suivant Liébcault, le
sujet
est donc mis (en rapport) avec l'hypnotiseur parc
e sourde à tous les autres bruits. La concentration de l'attention du
sujet
sur l'opérateur, et le souvenir qu'il garde de ce
ns personnelles me portent à conclure dans le sens de Braid. Dans des
sujets
qui n'avaient aucune connaissance de ce qui était
naturel et le sommeil artificiel est la concentration de l'esprit du
sujet
sur l'opérateur, expliquant par lit, non seulemen
apport, mais aussi le pouvoir que possède l'opérateur d'influencer le
sujet
. (à suivre) CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Socié
le en condition seconde, soit par insensibilité psychique suggérée au
sujet
. 6° La Suggestion, c'est-à-dire ridée, d'où qu'
s de la discussion, M. Mierziewski ayant formulé quelques réserves au
sujet
des applications pédagogiques de l'hypnotisme, M.
vantages de cet état de repos, de passivité. Lorsqu'ils jugent que le
sujet
est arrivé à un état de somnolence appréciable, i
ergie volontaire, à la créer lorsqu'elle fait défaut. Ils tiennent au
sujet
plongé dans le sommeil provoqué le même langage q
e négligent jamais de procéder, avec le plus grand soin, au réveil du
sujet
. Bien plus, les médecins adonnés à la pratique de
l'hystérie infantile sont les suivantes : « Vous allez créer chez les
sujets
une attitude spéciale à être hypnotisés par le pr
manque jamais de limiter les inconvénients que peut présenter pour un
sujet
une suggestibilité naturelle excessive, en lui su
s ont été publiés, et encore un médecin compétent aurait su guérir le
sujet
en une seule séance d'hypnotisation. Ce qui est p
voulue ou à ceux qui, dans un but de curiosité, provoquent chez leurs
sujets
des expériences de dissociation mentale, qui leur
paraître sous l'influence d'une nouvelle suggestion. On nous parle de
sujets
que l'expérimentateur n'aurait pu réveiller. Pour
ériences, nous n'avons jamais constaté rien de semblable. Toujours le
sujet
se réveille sous la simple action des mots consac
normale, est en rapport direct avec le développement intellectuel du
sujet
. Suggestibilité est, en fait, synonyme d'éducabil
, surtout lorsqu'on ne néglige pas de procéder avec soin au réveil du
sujet
, nous affirmons l'innocuité complète de ce procéd
excès de toutes sortes ; garçon mal équilibré, extrêmement nerveux et
sujet
à des crises d'agitation. Une sœur un peu plus âg
e de cette femme paraît intacte, elle raisonne sans difficulté sur un
sujet
quelconque et elle tient bien sa maison. Elle ne
ans artifice ni mise en scène, et nous avons simplement suggéré à nos
sujets
la disparition do leurs verrues. Nos conclusion
expériences identiques et que, dans quelque temps, les données sur ce
sujet
seront encore plus concluantes que celles que nou
ant tout à fait retiré du public. Puisse aussi toute discussion a son
sujet
avoir une trêve. Veuillez agréer, Monsieur le R
tion dc souffler sur la figure ne réveillait pas aussi rapidement mes
sujets
, lorsque je leur suggérais que ceci diminuerait l
la mémoire perdue. Berheim dit : « Si je pose ma main sur le front du
sujet
, celui-ci pense profondément pendant un instant,
l avait opposées à l'automatisme et qui maintenait l'individualité du
sujet
hypnotisé. Il est par-dessus tout important de no
à ses étudiants, et dans laquelle il insistait sur l'importance d'un
sujet
destiné à révolutionner la théorie et la pratique
se ronger les ongles. Voici les réponses qui lui sont parvenues à ce
sujet
; Onychophages illustres. — J'ai vu quelque part
rs est tout entier consacré à la réfutation de la thèse soutenue à ce
sujet
, depuis 1884, par le rapporteur, d'abord dans un
icteur. Il entre dans tous les détails nécessaires et rappelle que le
sujet
mis en expérience avait pu, par l'effet de la sug
tion psychologique. Enfin, la plupart du temps l'on n'a affaire comme
sujet
qu'à des malades, tout au moins des névrosés qui
se en scène et dont par conséquent les témoignages sont toujours fort
sujets
à caution. Il résulte de là qu'il semblait presqu
certains genres de suggestion, la manière dont elle est perçue par le
sujet
et le mécanisme par lequel il l'exécute. Je pense
écarter ces difficultés, d'abord en ne prenant pas des malades comme
sujets
, mais des personnes habituées aux études physiolo
répondérante et masquer le phénomène principal ; enfin, en plaçant le
sujet
dans un état qui, s'il n'est pas l'état de veille
s puissent distraire, de quelque façon que ce soit, l'opérateur ou le
sujet
. Or, il est quelquefois nécessaire d'attendre, pe
lettres. M. C..., étudiant en médecine, se présente pour servir de
sujet
pour les expériences de suggestion mentale, je lu
combler complètement ce creux pour empêcher de voir par en bas. Le
sujet
ainsi préparé se tient debout au milieu de la sal
grand silence. Cetto première expérience terminée, je m'approche du
sujet
et je lui débande les yeux. Il nous rend compte
s'est arrêté. La même force a été ressentie aussi nettement par le
sujet
, s'exerçant sur le bras droit et le portant dans
ême soir. M. B..., étudiant en médecine, se présente pour servir de
sujet
. Je n'insisterai pas sur les préparatifs qui sont
i applique le bandeau et les passes habituelles lui sont faites. Le
sujet
est placé debout au milieu de la salle, bien en l
acée derrière moi. Ma suggestion mentale porte sur la jambe droite du
sujet
que jo veux foire lever et porter en avant. Penda
plus profondément dans mon esprit le mouvement que doit accomplir le
sujet
, cela donne plus de force à la suggestion. Au bou
lus de force à la suggestion. Au bout de 15 à 20 secondes, on voit le
sujet
porter le poids du corps sur la jambe gauche, pui
ntact du sol et se porte nettement en avant. J'enlève le bandeau du
sujet
et lui souille sur les yeux. Il nous rend compte
leurs non plus d'expériences de ce genre. Par conséquent, aucun des
sujets
que je prenais là au hasard, parmi ces élèves, ne
ment. Aucun d'eux, pas plus les spectateurs que ceux qui servaient de
sujet
, ne pouvait imaginer à l'avance ce qui allait se
us complète, car il n'y a pas eu la moindre hésitation de la part des
sujets
, qui ont accompli immédiatement et avec la plus g
érais de faire. J'ajouterai encore ceci : le fait d'opérer avec des
sujets
absolument neufs me fait attacher la plus grande
e rapproche ces témoignages de ceux qui m'ont été donnés par d'autres
sujets
dans des expériences antérieures, et vous allez v
ze étudiants. Je prends d'abord un des jeunes gens qui m'a servi de
sujet
la semaine précédente. Lui ayant bandé les yeux e
i lui est faite. On voit que la suggestion n'est plus assez forte, le
sujet
est distrait, il laisse tomber les bras en disant
ficile à exécuter, cependant au bout de quelques instants, on voit le
sujet
relever légèrement les coudes en arrière, et alor
a suggestion qui était faite pour porter les bras en arrière, mais le
sujet
a suivi en totalité l'impulsion partielle qui éta
rrons du reste, dans d'autres expériences, qu'il n'est pas rare qu'un
sujet
fasse un mouvement plus étendu que celui qui lui
as convaincu de la réalité de l'impulsion que prétendent éprouver les
sujets
en expérience. Il ne suspecte leur bonne foi en a
du corps bien définie. Je m'éloigne alors à environ deux mètres du
sujet
et je commence une suggestion mentale énergique à
ique à laquelle je donne pour objectif l'écartement du bras gauche du
sujet
, dans un plan parallèle au plan du corps, puis la
e toute hésitation, exactement comme il avait eu lieu chez les autres
sujets
. Aussitôt après avoir enlevé le bandeau des yeu
u depuis qu'il a senti lui-même l'impulsion. Je prends alors un des
sujets
qui m'a servi dans la séance précédente et je l'e
nce et des sinuosités, nombreuses. Je mets le bandeau sur les yeux du
sujet
en dehors de la salle et quand tout est préparé à
ntérieur, je rentre avec lui en le guidant par la main. Je place le
sujet
à l'extrémité de la ligne, les pieds exactement d
e à droite et décrit de nouveau une grande courbe sur la gauche. Le
sujet
en expérience suit la ligne pas à pas, très exact
te dernière courbe, un élève avait placé un chapeau sur la ligne ; le
sujet
heurte du pied ce faible obstacle et il semble qu
j'ai tenu à répéter plusieurs fois les mêmes expériences avec des
sujets
différents. La simplicité de l'action suggérée re
e plus, cela me permettait de recueillir les diverses impressions des
sujets
, dans des conditions absolument identiques. Cette
sultats très remarquables ; vous avez pu voir, en effet, que tous les
sujets
ont éprouvé les mêmes sensations, les ont analysé
grande importance, étant donnée cette circonstance, quo plusieurs des
sujets
, pris dans des séances différentes, n'avaient ni
séances différentes, n'avaient ni vu les expériences, ni entendu les
sujets
qui en avaient rendu compte précédemment. Ils ne
t, dans ces expériences, de rechercher dans quel état se trouvent les
sujets
au moment où ils reçoivent et exécutent les sugge
ls reçoivent et exécutent les suggestions mentales. En apparence, les
sujets
sont en état de veille, et de fait, si vous les i
e. Pour le prouver, il suffira de nous rappeler ce que la plupart des
sujets
ont signalé de leurs impressions quand on leur fa
de tous les membres, quelques-uns indiquent des fourmillements. Le
sujet
se trouve placé là dans cet état que j'ai décrit
t, isolé des autres choses environnantes. C'est cotte modification du
sujet
qui permet d'établir entre lui et le suggestionne
u, des influences extérieures ou certains troubles physiologiques des
sujets
sont capables de diminuer ou de supprimer l'influ
bles de diminuer ou de supprimer l'influence du suggestionneur sur le
sujet
, ces expériences négatives viennent encore s'ajou
ue la présence d'une autre personne entre le suggestionneur et le
sujet
, ou même une personne trop rapprochée du sujet, s
e suggestionneur et le sujet, ou même une personne trop rapprochée du
sujet
, surtout si elle fait un effort contraire à la su
la suggestion, si l'on veut qu'elle réussisse. Avec un de mes bons
sujets
, j'ai pu constater des efforts nouveaux de volont
la volonté s'affaiblir pour la reprendre par à-coups successifs. Mon
sujet
put chaque fois me prévenir de l'impresssion qu'i
que je me propose de faire dans d'autres expériences) à imposer à mon
sujet
l'idée de l'acte à accomplir en lui laissant ensu
. Ce n'est pas tout. Plusieurs fois par jour, notre jeune homme est
sujet
à des hallucinations auditives, principalement lo
ues minutes. Dès lors on est persuadé que l'on se trouve en face d'un
sujet
très sensible à la suggestion. En effet, à chaque
moins de netteté suivant le degré de suggestibilité ou de démence des
sujets
. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Sooiété d'hypnol
rki). On connaît les crises gastralgiques terribles auxquelles sont
sujets
les axatiques, dans ce que l'on est convenu d'app
ous sa main. J'ai donc essayé de l'endormir à l'aide de passes, et le
sujet
est devenu tellement sensible que, maintenant, il
pouvait être produit par des moyens mécaniques seulement, sans que le
sujet
se doutât du but en vue ; il dissipa l'erreur que
phénomènes dépendant.des idées dominantes produites dans l'esprit du
sujet
. Un des énoncés les plus clairs de cette théorie
, l'hypercsthésic tactile, peuvent être évoqués simultanément chez le
sujet
. Ce fait prouve qu'on ne peut expliquer l'hypnose
avec confiance les résultats qu'il désirait obtenir; et chez certains
sujets
il trouva que ceux-ci pouvaient être modifiés sim
end pas de la suggestion elle-même, mais des conditions inhérentes au
sujet
lui-même, telles que le désir et le pouvoir d'acc
tion. Ainsi on peut suggérer l'analgésie en termes identiques à trois
sujets
et obtenir des résultats différents chez chacun.
possible de créer par la suggestion un état artificiel dans lequel le
sujet
n'est en rapport qu'avec l'opérateur, mais cette
t Liébeault croient, au contraire, qu'il y a un rapport réel entre le
sujet
et l'agent, et que cela découle, naturellement, d
ffecté en aucune façon par l'hypnotisme, sinon de son propre gré. Ses
sujets
étaient dociles et obligeants; mais malgré cela i
Nancy diffèrent entièrement de ces idées. Ils tiennent la volonté du
sujet
pour affaiblie, ou détruite, et le considèrent co
mérite cette désignation, considérons l'état voiilionnel et moral du
sujet
. Au commencement, je croyais que l'hypnotisé ét
sur des crimes de laboratoire. Bernheim et Liégeois prétendent que le
sujet
croit que le crime est réel, parce qu'étant hypno
il fait. Mais ni les uns, ni les autres, ne semblent avoir demandé au
sujet
lui-môme ce qu'il pensait de la chose. J'ai que
n crime ». Une distinction aussi subtile n'aurait pas été possible au
sujet
dans son état normal. Il est à espérer que dans
aboratoire ne seront plus cités à l'appui de cette thèse, sans que le
sujet
ait été questionné dans l'hypnose pour découvrir
nose qu'elle implique est plus correcte que la théorie automatique du
sujet
. Je désire, en finissant, exprimer mon apprécia
raid, ont eu une conception aussi claire de l'état mental et moral du
sujet
et ont plus fait pour démasquer les apparences tr
ffecté en aucune façon par l'hypnotisme, sinon de son propre gré. Ses
sujets
étaient dociles et obligeants, mais malgré cela,
e Nancy diffèrent entièrement de «es idées. Us tiennent la volonté du
sujet
pour affaiblie ou détruite et le considèrent comm
lier: « Je ne saurais trop le répéter en présence de ces faits : le
sujet
hypnotisé n'est pas un cadavre inerte ou un corps
t un automate organique (2). » « L'hypnotisme ne coule pas tous les
sujets
dans un même moule ; il ne supprime pas l'individ
hors do doute, qu'il y a des crimes par suggestion, que certains
sujets
peuvent être amenés au crime, etj'ai étudié les c
nt leur source purement subjective qui est dans le système nerveux du
sujet
lui-même. La fixation d'un objet brillant avec fa
ntration de l'attention sur une idée unique détermine le sommeil ; le
sujet
peut s'y plonger lui-même sans influence extérieu
exprimée par la parole; ses gestes, s'ils ne sont pas compris par le
sujet
, ne déterminent aucun phénomène... Celte partie d
Si l'on fait reprendre aux muscles leur état flaccide pendant que le
sujet
est encore en hypnotisme, le pouls descend rapide
a source de tous les phénomènes hypnotiques est dans l'imagination du
sujet
, que tous ces phénomènes sont purement psychiques
ivante : sommeil anesthésique obtenu par fixation du regard; quelques
sujets
, rendus analgésiques, dans cet état, peuvent subi
ait entrer l'idée du sommeil et l'idée de guérison dans le cerveau du
sujet
. Telle est la grande découverte de Liébeault; à l
émoire n'est jamais abolie après Thypnose profonde; que chez tous les
sujets
, on peut, par simple affirmation, sans les remett
Nous n'avons jamais observé de sommeil inconscient. Même alors que le
sujet
reste inerte, sans réagir, comme en léthargie, sa
ommeil hypnotique. • Je le répète: à tous les degrés de l'hypnose, le
sujet
garde sa conscience; le coma hypnotique de Braid
effets thérapeutiques ; ils existent à l'état do veille chez certains
sujets
, ce que Braid avait déjà montré en 1846. J'ai éta
ets, ce que Braid avait déjà montré en 1846. J'ai établi que tous les
sujets
, sans exception, qui les réalisent dans le sommei
épète, d'état spécial méritant le nom d'hypnotisme ; il n'y a que des
sujets
suggestibles plus ou moins, auxquels peuvent être
uggestibilité, l'hallucinabilité, etc., dues à l'imagination seule du
sujet
. Liébeault remplaça l'hypnotisme de Braid par l
ne propriété normale du cerveau, plus ou moins développée suivant les
sujets
: la suggestibilité. Je suppose, ai-je dit, que
de l'hypnotisme, eût été faite directement; on aurait établi que tel
sujet
, actionné par l'affirmation, peut réaliser de la
aucune raison d'être; on ajouterait tout simplement que certains
sujets
peu suggestibles à l'état de veille le deviennent
peut leur suggérer préalablement l'idée de sommeil; mais que chez les
sujets
très suggestibles, cette suggestion préalable n'e
tes par l'écorce du cerveau n'impressionnent en rien la conscience du
sujet
; pendant le jour, il répond à peu près aux quest
grand nombre d'individus sains ou malades, surtout chez des personnes
sujettes
à une autre impression non moins bizarre, l'impre
e ces cas n'est signalée l'impression si étrange de dédoublement : le
sujet
se voit double, mais ne se sent pas double. En
l'image hallucinatoire ne reproduisait les gestes et les attitudes du
sujet
. Le cas d*E. N. méritait donc d'être signalé. R
subjectif comme l'impression en question, n'est même jamais connu du
sujet
que d'une façon indirecte par l'observation d'act
t pas rare de voir ces différentes impressions coexister chez un même
sujet
, et toutes ont peut-être pour base des troubles p
'urine. Son succès dépend de la gravité du cas et de l'état mental du
sujet
. Je crois donc pouvoir conclure en résumant de
veaux faits. D'autre part, bien que les discussions théoriques sur ce
sujet
aient été fréquentes et qu'elles aient permis aux
écoles, ne pas chercher des explications plus où moins admissibles et
sujettes
à variations successives; il faut s'en tenir à de
es à variations successives; il faut s'en tenir à des faits précis au
sujet
desquels ne peut plus se produire aucun désaccord
3" par émotivité. Ces trois variétés peuvent se combiner chez le même
sujet
. De plus elles se montrent à des degrés très vari
uratif qu'une direction morale continue. Si on le peut on prendra les
sujets
dès l'enfance, on leur imposera une éducation con
urs à la suggestion adaptée aux circonstances et à la personnalité du
sujet
. ii est impossible de donner ici cette méthode en
rande distance entre eux. Les faibles, les émaciés et les personnes
sujettes
à l'insomnie doivent prendre quelque chose avant
s-Arts. La première conférence sera faite par le Df Bérillon sur le
sujet
suivant : Le grand hypnotisme et l'Ecole de Paris
euve. Plusieurs psychologues éminents, auxquels nous avions soumis le
sujet
de notre communication, ne nous avaient pas dissi
utant il y aurait d'incon* vénients à pratiquer l'hypnotisme chez des
sujets
excellents, bien portants, autant il y aura d'ava
t il y aura d'avantages à l'appliquer, comme moyen pédagogique, à des
sujets
mauvais, vicieux ou malades ; et nous nous empres
re service en publiant la bibliographie de nos recherches sur le même
sujet
. Les principes de la pédagogie suggestive Le
, et par l'augmentation del'au!.jmatisme. Le troisième principe, le
sujet
étant dans l'état d hypnose ou dans l'état passif
êt psychique' Cet effet sera réalisé soit en mettant mécaniquement le
sujet
dans l'impossibilité d'exécuter l'acte indiqué, s
uvres jusqu'à ce que l'image de l'arrêt soit fixée dans le cerveau du
sujet
. — Dans les cas où il s'agira de modifier un état
de réaliser les mêmes phénomènes avec la participation consciente du
sujet
. Enfin, le sujet étant complètement réveillé, i
mes phénomènes avec la participation consciente du sujet. Enfin, le
sujet
étant complètement réveillé, il n'y a plus qu'à s
'emploi de l'hypnose pour faire perdre la mémoire d'une scène dont le
sujet
aurait été témoin et se débarrasser ainsi du témo
témoin gênant d'une action coupable. 3° La possibilité d'obtenir du
sujet
en état d'hypnose des révélations ou des renseign
actes délictueux dans lesquels la personne hypnotisée peut devenir le
sujet
actif par le fait d'hallucinations suggérées. 2
on post-hypnotique. CONCLUSION Dans certaines circonstances, le
sujet
qui a subi un entraînement hypnotique suffisant,
utes les précautions nécessaires pour étudier à fond l'état mental du
sujet
qui lui est soumis, ne manque pas de données cert
'interprétation suivante: Pendant les premiers jours de son deuil, le
sujet
avait donné libre cours à sa douleur : il a favor
duite, elle aussi, à aller voir une somnambule pour la consulter à ce
sujet
, etc., etc. On a beau la détourner de ses idées,
é, le D' Luys fit de nombreuses et retentissantes expériences sur des
sujets
en état d'hypnose. Quelques-unes de ses recherc
nose. Quelques-unes de ses recherches et de ses publications sur le
sujet
furent jugées avec une critique trop sévère. II e
cement des Sciences a mis l'hypnotisme et la suggestion au nombre des
sujets
qui seront Irailés dans les Conférences de cet hi
uit, même à l'état de veille somnambulique, chez un certain nombre de
sujets
, et se révèle avec une intensité beaucoup plus gr
ifférentes parties du corps chez les personnes les plus sensibles. Le
sujet
, à qui on aura fermé les yeux depuis le commencem
omination qui lui convient beaucoup mieux. « Dès qu'on magnétise un
sujet
, dit le colonel Albert de Rochas, la sensibilité
étiseur ou une personne quelconque pince, pique ou caresse la peau du
sujet
, celui-ci ne sent rien ; mais si le magnétiseur f
i le magnétiseur fait les mêmes opérations sur la couche sensible, le
sujet
éprouve les sensations correspondantes. De plus,
de la peau, ne se perd pas, mais se trouve reportée à l'extérieur du
sujet
. Ce phénomène serait déjà assez remarquable tel
ises dont nous allons parler. Dans ces expériences, la sensibilité du
sujet
ne reste plus vaguement distribuée dans une couch
s une couche d'air, plus ou moins rapprochée de la surface cutanée du
sujet
, mais on peut la diriger à volonté et la fixer da
nature, la forme et la position de ces objets, ou en les éloignant du
sujet
, produire des expériences beaucoup plus concluant
un corps bien défini, absolument distinct et indépendant du corps du
sujet
, se charger de sa sensibilité, de telle sorte que
u corps du sujet, se charger de sa sensibilité, de telle sorte que le
sujet
ressentira d'une façon très nette et distincte to
ectement parties au contact de son propre corps à l'état normal. Le
sujet
qui a bien voulu se prêter à ses expériences, est
rmal. Le sujet qui a bien voulu se prêter à ses expériences, est un
sujet
très hypnotisable. La première fois que je l'hypn
ent à la léthargie pour le faire passer ensuite en somnambulisme. Mon
sujet
arrive très rapidement au somnambulisme du troisi
disparu ; enfin il sera amnésique à son réveil. Tel étant l'état du
sujet
, je constate d'abord son insensibilité absolue en
sie complète. Je place alors un verre rempli d'eau entre les mains du
sujet
, tandis qu'une personne, placée derrière, lui tie
ne épingle la surface de l'eau contenue dans le verre et aussitôt mon
sujet
, par l'expression de sa physionomie et par un mou
on épingle sur la paroi extérieure du verre, no touchant pas Peau, le
sujet
n'exprime aucune sensation ; j'enfonce de nouveau
pingle dans l'eau sans toucher le verre en aucune façon ; aussitôt le
sujet
me répète : « Vous me piquez la main gauche. » L'
t répétée à plusieurs reprises; chaque fois que je pique le verre, le
sujet
ne sent rien ; quand au contraire je pique l'eau
je pique le verre, j'appuie mon épingle assez fort sur ses parois, le
sujet
peut donc ressentir dans les mains un certain ébr
i encore que, la première fois que j'ai fait cette expérience avec ce
sujet
, je n'avais prévenu ni le sujet ni les assistants
ue j'ai fait cette expérience avec ce sujet, je n'avais prévenu ni le
sujet
ni les assistants do ce que j'allais faire, et ce
risation de la sensibilité ne m'était venue que lorsque j'avais vu le
sujet
arriver si facilement au plus haut degré de somna
exécution sans rien dire. Dans une expérience, après avoir placé le
sujet
dans le même état de somnambulisme et lui avoir d
sensibilité, je pris moi-même le verre et le tins moi-même devant le
sujet
à une petite distance, mais sans qu'il y ait aucu
peu moins forte. Le verre d'eau placé ensuite sur une table devant le
sujet
, les résultats furent identiques. Dans cette mê
s doigts ainsi placés, je les serrai vivement l'un contre l'autre. Le
sujet
témoigna comme précédemment qu'il ressentait une
e charger différentes substances autres que Peau de la sensibilité du
sujet
en expérience. J'ai pris d'abord une petite plaqu
d'abord une petite plaque de verre que j'ai recouverte de velours. Le
sujet
étant mis comme précédemment en état de somnambul
enté, il ne m'a pas semblé se charger facilement de la sensibilité du
sujet
. Le bois s'est montré plus favorable à cette ex
es planchettes mises pendant quelques instants au contact du corps du
sujet
se sont chargées de la sensibilité, de telle faço
avec une boule de mastic à laquelle j'ai donné vaguement la forme du
sujet
en la fixant sur une plaque de verre. J'ai sensib
aque de verre. J'ai sensibilisé le mastic en l'approchant du corps du
sujet
auquel je faisais tenir la plaque de verre entre
instants, tenant moi-même la plaque de verre à une petite distance du
sujet
, celui-ci ressentait, soit dans la tête, soit dan
différentes parties du corps. Ayant ensuite coupé quelques cheveux du
sujet
pendant son sommeil, et les ayant implantés dans
. Pour me rendre compte de la manière dont la sensation arrivait au
sujet
, et de la rapidité avec laquelle elle était perçu
aquelle elle était perçue, j'instituai l'expérience suivante : Le
sujet
rais en somnambulisme, le verre d'eau fut placé e
ais la surface de l'eau avec l'épingle, et celui où la physionomie du
sujet
exprimait la sensation de douleur. Aucun temps ap
t de la main gauche et qui de la main droite tenait la main gauche du
sujet
. On peut alors constater qu'il s'écoulait une fra
t où je piquai l'eau avec l'épingle et l'instant où la physionomie du
sujet
exprima la sensation. Faisant alors une chaîne de
ux, trois personnes, se tenant par la main entre le verre d'eau et le
sujet
, je constatai un retard progressif de la sensatio
it la surface de l'eau et l'instant où le mouvement de physionomie du
sujet
indiquait qu'il éprouvait la sensation. J'arriv
xpérience plus curieuse encore que celle que je viens de raconter. Le
sujet
étant endormi et placé comme d'habitude en somnam
out à fait normale et celle-ci prend dans ses deux mains les mains du
sujet
endormi, de façon que sa main droite tenait la ma
u sujet endormi, de façon que sa main droite tenait la main gauche du
sujet
et sa main gauche la main droite du sujet endormi
te tenait la main gauche du sujet et sa main gauche la main droite du
sujet
endormi. Les choses étant ainsi disposées, je fai
nt ainsi disposées, je fais, par suggestion, passer la sensibilité du
sujet
dans la personne placée devant lui, c'est-à-dire
et dans la personne placée devant lui, c'est-à-dire que je suggère au
sujet
, qui ne ressent plus rien lui-même, qu'il ressent
avec une épingle la jambe droite de la personne en état de veille, le
sujet
me dit aussitôt : Vous me piquez à la jambe gauch
e gauche. C'est, en effet, celle qui se trouve en regard. Je pique le
sujet
éveillé au bras gauche, le sujet endormi me dit :
qui se trouve en regard. Je pique le sujet éveillé au bras gauche, le
sujet
endormi me dit : Vous me piquez au bras droit. Je
e piquez au bras droit. Je pique la personne éveillée à l'oreille, le
sujet
me dit: Vous me piquez à la tête; je fais alors c
re, la personne en état de veille fait un mouvement involontaire ; le
sujet
endor- mi ressent, par l'intermédiaire du con
our un instant, cette hypothèse, comment pourra-t-on expliquer que le
sujet
différencie la piqûre faite au bras droit ou à la
ements inconscients de la personne à l'état de veille, communiqués au
sujet
endormi, c'était d'interrompre toute communicatio
jet endormi, c'était d'interrompre toute communication entre les deux
sujets
. C'est ce que j'ai fait dans les expériences suiv
les expériences suivantes. Après avoir fait passer la sensibilité du
sujet
en état de somnambulisme au sujet à l'état de vei
avoir fait passer la sensibilité du sujet en état de somnambulisme au
sujet
à l'état de veille, je fis lâcher les mains du su
somnambulisme au sujet à l'état de veille, je fis lâcher les mains du
sujet
endormi. Les deux sujets se trouvaient ainsi comp
l'état de veille, je fis lâcher les mains du sujet endormi. Les deux
sujets
se trouvaient ainsi complètement séparés l'un de
act matériel. Je piquai alors les membres de la personne éveillée, le
sujet
ressentit les piqûres dans les membres correspond
à la tête. Si au lieu de piquer il m'arrivait de pincer un membre, le
sujet
faisait très bien la différence entre les deux se
une expérience qui a été aussi bien intéressante. Après avoir mis mon
sujet
en état de somnambulisme, je le conduisis devant
par son ombre sur le mur. Je piquai alors le mur autour de l'ombre du
sujet
en différents points, il ne bougea pas et n'expri
aucune sensation. Je piquai alors sur l'ombre elle-même, aussitôt le
sujet
fit un mouvement brusque et se plaignit vivement.
ment. Je recommençai en différents points, en dehors de son ombre, le
sujet
ne sentait absolument rien, mais dès que l'ombre
sation parut plus vive que dans la plupart des autres expériences. Le
sujet
se plaignait de la tête lorsque je piquai l'ombre
e, soit qu'il ne se témoigne que dans un état d'hypnose auquel peu de
sujets
sont succeptibles d'arriver ; soit plutôt qu'il c
spéciales encore peu connues plus ou moins développées chez certains
sujets
, mais qui n'atteignent un très haut degré que dan
n'hésite pas à me rattacher à cette dernière hypothèse; en effet, le
sujet
que j'ai observé présente ce phénomène dans le tr
s toujours avec la même intensité. Chaque fois que j'ai opéré avec ce
sujet
, j'ai toujours obtenu l'extériorisation de sa sen
à la main gauche. Dans d'autres expériences, c'était à la tête que le
sujet
ressentait les piqûres et les impressions qui éta
ui était fait à la tête et à la partie supérieure du corps de l'autre
sujet
, et au corps tout ce qui était fait au tronc et a
ue les sensations étaient vagues et mal localisées, si j'éveillais le
sujet
et si je l'hypnotisais de nouveau, j'obtenais
ion d'une précision remarquable. Dans certains cas, en affirmant au
sujet
, par suggestion, que sa sensibilité a disparu et
xpériences, et l'on a soin, au moment sérieux des expériences, que le
sujet
ne puisse être prévenu des différents mouvements
uvent garder aucun doute à cet égard. La connivence inconsciente du
sujet
serait une objection plus sérieuse. On sait que l
nsciente du sujet serait une objection plus sérieuse. On sait que les
sujets
en somnambulisme jouissent d'une acuité extrême d
en somnambulisme jouissent d'une acuité extrême de tous les sens, le
sujet
pourrait voir à travers les paupières, il pourrai
jection de connivence inconsciente et d'auto-suggestion de la part du
sujet
peut se réunir en une seule et les arguments que
1° Je rappellerai que dans la première expérience que j'ai faite, le
sujet
ne pouvait pas savoir ce que j'allais faire, puis
out autre mouvement à la suite auquel il ne réagit pas. 3° Quand le
sujet
tient le verre d'eau entre les mains, si je pique
erre d'eau entre les mains, si je pique parmi les parois du verre, le
sujet
éprouve certainement une sensation de contact. S'
pique à la tête, je vous pique au bras, je vous pique à la jambe. Le
sujet
éprouvait évidemment toutes les sensations qui lu
e pareilles manoeuvres. Personne n'a jamais nié que l'on peut, à un
sujet
hypnotisé, suggérer une sensation de piqûre, de b
au contraire, nous prenons toutes les précautions voulues pour que le
sujet
ne soit prévenu en aucune façon du moment oû l'on
xpérience du verre, où l'on pique les parois du vase ; et pourtant le
sujet
, sans être prévenu manifeste clairement qu'il épr
onsciemment une suggestion mentale qui était reçue et comprise par le
sujet
hypnotisé. Cette hypothèse rendrait compte en eff
hypnotisé. Cette hypothèse rendrait compte en effet de ce fait que le
sujet
éprouve et distingue les différents genres de sen
ou telle partie du corps, quand ces sensations sont éprouvées par un
sujet
placé en face de lui ; et même, dans ce cas,
même, dans ce cas, la suggestion mentale pourrait venir aussi bien du
sujet
impressionné que de l'opérateur. Cette hypothès
déterminés, un retard régulier et progressif de la sensation chez le
sujet
hypnotisé. Que le verre d'eau soit tenu parle suj
sensation chez le sujet hypnotisé. Que le verre d'eau soit tenu parle
sujet
lui-même, ou qu'il soit tenu par trois, quatre ou
oit tenu par trois, quatre ou cinq personnes en communication avec le
sujet
, la sensation devrait être aussi rapidement perçu
e veux dire la rupture complète, totale, absolue du souvenir, ohez le
sujet
, qu'on ramène à la vie normale, en le tirant du s
Delbœuf irait beaucoup plus loin qu'il ne parait s'en douter. Si nos
sujets
, si tous les sujets mis en expérience, jouent tou
oup plus loin qu'il ne parait s'en douter. Si nos sujets, si tous les
sujets
mis en expérience, jouent toujours la comédie, da
ement : « Je me tourne, parce qu'il y a du monde ! » Et c'est à des
sujets
présentant de telles facilités à la suggestion, à
déductions subtiles auxquels vous avez, vous, M. Delbœuf, habitué vos
sujets
, et, en particulier, J... et sa sœur! La réponse
n'a nulle intention de nier la possibilité de faire réaliser, par des
sujets
, un sommeil artificiel ; il ne veut pas nier dava
e dans cet état de sommeil provoqué, on puisse faire exécuter par les
sujets
les actes qu'on leur suggère ; il ne nie enfin au
n'est que l'idée du sommeil, plus ou moins fidèlement réalisée par le
sujet
, comme les mouvements ou les émotions suggérés so
me les mouvements ou les émotions suggérés sont la réalisation par le
sujet
des idées de mouvements ou d'émotions. Il n'y a
a quelques jours encore: à savoir, que pour suggérer le sommeil à un
sujet
, il faut avant tout que celui-ci soit suggestible
t exaltée chez le dormeur. Mais ce fait n'est pas toujours vrai et un
sujet
n'est pas nécessairement plus suggestible en état
n pourra, aussi bien que par le sommeil, exalter la suggestibilité du
sujet
. Liébcault, au début de ses recherches, utili
ui-ci que pour produire secondairement le sommeil. Ils fascinaient le
sujet
d'abord, ils l'endormaient ensuite. Pendant le so
nations, rires, pleurs, etc. Ils faisaient ainsi passer l'esprit du
sujet
par une série d'états, dont la réalisation de cha
tout aussi facile de renverser l'ordre des phénomènes, de prendre le
sujet
éveillé, do lui suggérer d'abord les pleurs, puis
provoqué, je n'ai pas à l'étudier ici. Je dirai seulement que chaque
sujet
réalise à sa façon l'idée de dormir qui lui est s
Bérillon parait enfin reprocher à M. Bernheim, en n'endormant pas ses
sujets
, de n'obtenir que des phénomènes superlicicls. Or
llucinations) n'apparaissaient dans toute leur intensité que chez les
sujets
qui ont été préalablement endormis. C'est ainsi q
tion d'un point brillant, fascination, sommeil spécial dans lequel le
sujet
est susceptible de réaliser divers phénomènes dit
on n'était, justifiée par la production d'aucun fait nouveau, le même
sujet
ayant été épuisé jusqu'à ta corde en 1892, au Con
isme. Ce sont les procédés de l'anarchie appliqués à la science. A ce
sujet
, on nous permettra bien de rééditer avec une légè
r. — M. Bernheim et son élève savent aussi bien que moi qu'il est des
sujets
, hommes, femmes ou enfants qui dans l'état de som
ysique qui favorise la suggestion en augmentant la suggestibilité des
sujets
, et sur ce point, M. Bernheim est assurément de m
e facilement. Nous proposons de ne pas garder dans « notre service ce
sujet
qui n'est pas aliéné. » « La Préfecture de Poli
, de la manière la plus certaine, le dédoublement de la personnalité.
Sujette
à des accès de somnambulisme, a périodicité régul
uvait leur rester des doutes quand ils eurent pu se convaincre que le
sujet
, en état de somnambulisme provoqué, était, lorsqu
le de M. Tison dans VActualîté médicale du 15 Décembre traite le même
sujet
d'après des notes qui lui ont été remises par M.
ler à en Taire quelques-unes, d'où il tirera cette conclusion que les
sujets
auxquels on fait des suggestions criminelles, ou
e dans laquelle l'argument avait été produit, ajoutait, en parlant du
sujet
: « M. Delhœuf n'était peut-être pas son Idéal I
out contraires? C'est que nous n'avons jamais expérimenté que sur des
sujets
que nous avions, au préalable, mis en somnambulis
esprit; je n'en ai rencontré que quatre ou cinq sur « cent, parmi les
sujets
que j'ai soumis à l'hypnotisation, sujets par « l
cinq sur « cent, parmi les sujets que j'ai soumis à l'hypnotisation,
sujets
par « l'intermédiaire desquele on aurait pu sûrem
. Mais ce sont là des cas « pathologiques très rares. Qu'il y ait des
sujets
qui, plongés dans le a somnambulisme artificiel,
ndre sa pensée que par la formule suivante : « On ne fera exécuter au
sujet
que les actes qu'il v lui arriverait d'exécuter e
temps, raconta, sans se douter acunement de la suggestion faite à son
sujet
, et en les trouvant fort étranges, les faits qui
« Pendant plusieurs années après cette condamnation, a dit, à ce «
sujet
, M. le D' Liébeault, j'en attribuai la cause, etj
ible l'observation subjective de l'état de conscience présent, car le
sujet
est un automate qui ne se rend compte ni de ce qu
es pendant le sommeil provoqué, — mais encore, pendant ce sommeil, le
sujet
n'est pas un automate et peut avoir pleinement co
t. Bien plus, à la faveur de l'hypnotisme, M. Vogt développe chez ses
sujets
, outre une exaltation de la suggestibililé, une c
t les états de veille systématique partielle ; puis, interrogeant ses
sujets
, il les amène à s'observer et à donner eux-mêmes
montpalIier; il a pris soin aussi, le môme jour, de nous présenter le
sujet
si dévoué sur lequel il expérimente d'ordinaire.
suggestion, mais l'exagère. Cette action est fréquente chez bien des
sujets
; c'est ainsi que les disciples exagèrent les prin
oupe de cellules facile à faire vibrer: ce sont les sentiments. Les
sujets
qui vibrent toujours de même sous le choc des sen
ère héréditaire est difficile à changer ; de même l'éducatif quand le
sujet
est âgé. Mais le médecin a toute puissance sur le
lité, 'à condition toutefois qu'il n'y ait pas résistance formelle du
sujet
à la volonté de l'opérateur. — Le globe hypnotiqu
té 1897-1S9S, son cours libre à l'Ecole pratique de la Faculté sur le
sujet
suivant : Psychologie physiologique et pathologiq
a eu recours à des écarteurs palpé-braux pour maintenir les yeux d'un
sujet
ouverts en regard d'une lampe au magnésium, etc.
fausses, des souvenirs illusoires, des faux témoignages, elc.(T). Ce
sujet
vit alors son rêve, il accepte sans contrôle et p
puis devient exclusive et tyrannique ; elle se maintient en dépit du
sujet
, lequel la subit et ne saurait s'en affranchir po
ccupera de la rééducation mentale, proprement dite, de manière que le
sujet
en arrive à prendre l'initiative de susciter libr
e sommeil peut être obtenu, d'après Liébeault, sur environ 96 '/• des
sujets
. Bernheim hypnotise presque tous ses malades, et
Bernheim (3), Philips et Charles Richet(*) ont montré que beaucoup de
sujets
étaient suggestibles à l'état de veille. Les anal
nts, les contractures et les paralysies peuvent être obtenus chez des
sujets
éveillés, raisonnables et volontaires. Ce sont
dre. C'est ainsi qu'entre sept et quatorze ans, Liébeault trouve 55,3
sujets
hypnotisantes pour 100. La suggestibilité, elle,
penseurs, les gens froids et les volontaires. Enfin, quand plusieurs
sujets
très suggeslibles sont réunis, il semble que la s
nt dans l'ordre suivant. Les idées religieuses sont communiquées à un
sujet
par la parole ou par le livre. Ce sujet peut les
ieuses sont communiquées à un sujet par la parole ou par le livre. Ce
sujet
peut les accepter d'emblée, s'il se trouve dans l
iverses, de l'état général et particulièrement de l'état nerveux d'un
sujet
, transformation au cours de laquelle sa suggestib
ce fait. Il me semble évident que, si M. Brouardel avait donné à son
sujet
une hallucination négative ; s'il lui avait dit,
raire, les sen« timents et les actes offerts par le magnétiseur à son
sujet
correspon-« dent aux sentiments intimes de celui-
ci en présence de la comédie qu'on nous reproche de faire jouer à nos
sujets
, mais bien plutôt d'une tragédie digne du génie d
livra avec grand succès à l'étude des maladies nerveuses qui font le
sujet
principal des travaux de notre Société. Dans ce
ons y démontraient l'existence delà double personnalité chez certains
sujets
. C'est avec un grand regret que nous avons appris
facilité on peut provoquer artificiellement ces contractures chez les
sujets
hystériques plongés dans l'état d'hypnotisme. Dan
a suite d'applications de la bande d'Esmarch, faites sur soixante-dix
sujets
hystériques, que la contracture provoquée est, da
lon les indications de M. Jules Bois les évocations du diable par les
sujets
de la clinique. La suggestion dans l'état d'hypno
s les frais. Le cercle magique est tracé, l'esprit qui existe pour le
sujet
et que le sujet construit selon son imagination e
cercle magique est tracé, l'esprit qui existe pour le sujet et que le
sujet
construit selon son imagination et sa mémoire app
pé d'une observation faite par son maître Gros : celui-ci avait vu un
sujet
endormi saigner du ne/, quand on le lui ordonnait
cination et de somnambulisme Dans cet état hypnotique, la volonté du(
sujet
disparaissait, on pouvait le sugestionner, lui in
de nous barrer la route. En effet, supposons tout d'abord que notre
sujet
dort profondément sans rêver à quoi que ce soit ;
r ce réveil malenconireux. Que va-t-il se passer si, d'autre part, le
sujet
dont il s'agit est en train de rêver? Dans ce cas
out à fait écartés. A ce moment, il ne subsiste plus guère chez notre
sujet
que la seule sensation auditive causée par le d
cet état de réceptivité et de malléabilité dont nous avons besoin; le
sujet
pourra donc être influencé comme s'il était plong
m'applique à les rendre synchrones aux mouvements respiratoires du
sujet
; en d'autres termes, chaque syllabe dor... est é
indirectement et comme à volonté sur les mouvements respiratoires du
sujet
, j'estime qu'il se trouve « à point » et que le m
c les suggestions spéciales, et même souvent avant ces dernières : le
sujet
, en effet, sera d'autant plus influencé par la th
t dans la Revue neurologique (1898, n* 1, p. 19). — Voyez aus^i. a ce
sujet
, l'étude si intéressante que m. Ch. Hicekt vient
Soit, dira-ton, les diverses syllabes deviendront conscientes pour le
sujet
en tant qu'unités distinctes et successives; mais
être complètement énoncée, un temps assez long, et qui sait si notre
sujet
sera capable de synthétiser dans son esprit tous
du contenu de la conscience, 3° l'intensité de l'énergie psychique du
sujet
. Les deux premiers sont ici, grâce à la suggestio
s allons nous efforcer d'agir, afin de le modifier utilement. Notre
sujet
se trouvant dans l'état décrit plus haut, n'est d
insistance, elle crée l'accoutumance et constitue pour l'attention du
sujet
un entraînement des plus efficace... Ne nous arrê
Il m'est arrivé, au cours de mes suggestions, de constater que mon
sujet
faisait mine de s'éveiller, parfois même de le vo
cune règle précise, car les conditions de l'intervention varient d'un
sujet
à l'autre L'appréciation de cetle durée sera donc
je renouvelais les suggestions antérieurement faites et auxquelles le
sujet
était déjà quelque peu habitué, puis j'en ajoutai
e et même Thypnose. Le tic-lac d'une montre sufiità endormir certains
sujets
. Toutes les religions ont mis en pratique cette p
me et l'intelligence. A. de Rochas obtint l'extase chez un de ses
sujets
en lui faisant répéter plusieurs fois une phrase
érieurement, « un quart de minute, — nous pouvions endormir un de nos
sujets
, « lui donner une suggestion d'actes et le réveil
ât de quinze secondes, pendant lesquelles « il se trouve seul avec un
sujet
hypnotlsable, pour lui inculquer une « idée, une
e vaut ce qui vient de Paris ! — On y annonçait tout haut, devant les
sujets
,ce qui allait se produire; on était persuadé gu'i
ne. » El répondant à l'objection, tirée de la comédie jouée par les
sujets
mis en expérience, objt-ction ressassée, nous l'a
ropos délibéré, se prêterait à une expérience i de ce genre, avec des
sujets
analogues à ceux que j'ai actuellement « dans mon
-delà duquel les suggestions resteraient inefficaces. Ajoutons que le
sujet
, mis alors en expérience, était précisément ce je
vons souvent employé, avec succès, en vue de prémunir nos meilleurs «
sujets
», contre l'abus qui aurait pu être fait de leur
ce que j'eus l'idée de réaliser. J'endormis, en quelques secondes, le
sujet
qui m'avait été présenté; je lui suggérai que per
uit, très rapidement. Donc, il est extrêmement facile d'empêcher un
sujet
très suggestible d'être mis, par n'importe qui el
qui se développe alors et est plus ou moins grande, il résulte que le
sujet
qui en est l'objet perd de son initiative, il s'i
us ou moins ralentie, et par cela même renforcée, se reporte chez les
sujets
sur les idées déjà déposées au cerveau pendant la
ltats qu'ils ont oblenus ainsi n'ont dû être bien marqués que sur des
sujets
qui tombent facilement en certains sommeils parti
même, mais seront-elles efficaces? Leur réalisation ne dépend pas du
sujet
lui-même et, dans le cas particulier de l'aliénat
pas uniforme pour tous les cas, mais, au contraire, variable avec les
sujets
et les circonstances; il faut donc que le médecin
ropique, février 1896.) — J'ai moi-même publié une petite brochuro au
sujet
d'un j'-imc h rame que j'ai traiiô do coûcort «ve
psycho-physiologique; peut-être trailerai-jo avec plus de détails ce
sujet
en lui-même dans un prochain numéro do la Revue.
toutes les phases de l'hypnose. Pour le prouver, il dit que, chez des
sujets
plongés apparemment dans une hypnose profonde, de
manifestations de conscience peuvent être obtenues si on stimule ces
sujets
par des questions, et qu'ensuite ils peuvent raco
décrit par Braid. Mais on peut observer, chez deux catégories de
sujets
, une amnésie que ne peuvent supprimer les hypnoti
la rapidité anormale de la guérison ; % Lorsqu'on suggère à un bon
sujet
de s'endormir profondément, et d'être inconscient
pas toujours raviver sa mémoire par la suggestion. Il est vrai que le
sujet
peut être excité par la parole de l'opérateur, ou
beault disait qu'on pouvait postuler comme un premier principe, qu'un
sujet
dans l'état de sommeil magnétique est à la merci
Liébeault et Liégeois affirment qu'il n'y a que 4 ou 5 pour cent des
sujets
auxquels on pourrait suggérer un crime avec certi
ment est d'accord avec ces idées, puisqu'en admettant que beaucoup de
sujets
peuvent résister aux suggestions criminelles, il
lisons, p. 8 : a Dans le somnambulisme profond, ou sixième degré, le
sujet
reste endormi, devenant un automate parfait, obéi
béissant à tous les commandements de l'opérateur ». — Page 29 : « Les
sujets
plus profondément influencés par l'hypnotisme pas
lonté de l'opérateur». — Page 125: « Le caractère le plus frappant du
sujet
hypnotisé est son automatisme. » Malgré leur co
est son automatisme. » Malgré leur confession que 95 pour cent des
sujets
peuvent repousser les suggestions criminelles, pl
ou moins caractéristiques de l'hypnose. Ainsi Forel maintient que le
sujet
doit être sous la domination de l'opérateur et av
s dépendent de l'affaiblissement de la volonté et de la dépendance du
sujet
. Le fait que plusieurs suggestions motrices irrés
i les crimes suggérés étaient reconnus comme expérimentaux par le
sujet
, ce fait détruirait entièrement l'hypnotisme. « E
son prochain ? Ne serait-il pas également justifié de supposer, qu'un
sujet
à l'état normal, qui à votre demande ferait de la
1° Ou bien un acte non criminel a été considéré comme criminel par le
sujet
, parce que l'opérateur l'avait suggéré; 2* Ou bie
el par le sujet, parce que l'opérateur l'avait suggéré; 2* Ou bien le
sujet
hypnotisé a donné un consentement qu'il aurait ég
de tous les crimes de laboratoire consiste en ce que l'état mental du
sujet
n'a pas été étudié par des questions pendant l'hy
té étudié par des questions pendant l'hypnose. Mes expériences sur ce
sujet
ont été décrites dans mon article sur l'évolution
897, p. 129.) Il suffira ici de dire que j'ai toujours trouvé que les
sujets
réalisaient la nature expérimentale des crimes su
des raisons logiques à leurs actions. Lorsque j'ai tenté de forcer un
sujet
à se soumettre à une expérience désagréable, la s
supposé être inconscient; M. Bernheim, lui-même, affirme que chez le
sujet
hypnotisé la conscience persiste, quelle que soit
oratoire • ne seront plus cités à l'appui de cette thèse, sans que le
sujet
ait été interrogé pendant l'hypnose, précaution g
ait tourmentée de la terreur de la mort. Agnès, fréquemment malade cl
sujette
aux congestions cérébrales, vivait dans la tr
lui qui a été désigné sous le nom de prise du regard. Chez certains
sujets
, on constate une disposition particulière à tombe
ngulier état de fixité. On dirait qu'il n'y a plus dans le cerveau du
sujet
qu'une idée fixe, celle de ne pas perdre de vue l
dre de vue les yeux de l'opérateur. En effet, si celui-ci se lève, le
sujet
se lève. Si l'hypnotiseur détourne la tète, le su
i-ci se lève, le sujet se lève. Si l'hypnotiseur détourne la tète, le
sujet
se penche et s'applique à ne point quitter de vue
ne seconde séance, nous fimes les suggestions nécessaires pour que le
sujet
pût continuer à peindre sans pouvoir toutefois po
oire visuelle. Cette observation nous confirme dans l'opinion que les
sujets
susceptibles d'entrer dans l'état de fascination
able que des phénomènes identiques pourraient être provoqués chez des
sujets
appartenant au type auditif en provoquant!'appel
nsentement du malade et à son insu; elle suppose que la conscience du
sujet
qui dort a pu être, au préalable, affranchie de t
ndra de Suspendre momentanément l'intervention toutes les fois que le
sujet
fera mine de s'éveiller ou que sa respiration dev
e voix traînante et monotone, Lorsque la suggestion sera terminée, le
sujet
devra continuer à dormir tout le restant de la nu
e à \ h. il). M. Ic Secrétaire général présente des observations au
sujet
du procès verbal do la précédente séance et la So
ratoire destiné à provoquer de l'inhibition auriculaire chez certains
sujets
. La séance est levée àUh. 10. Assemblée général
Ferrand, rat» de ce traitement ». C'était, en somme, dans l'esprit du
sujet
que résidait ici la vertu du a fluide électrique.
t les suivantes : 1° Choisir comme matière de l'expérimentation des
sujets
dont les conditions physiologiques et pathologiqu
. Depuis lors, l'Ecole de Nancy, en l'étendant à un grand nombre de
sujets
qui ne présentent aucun des stigmates de l'hystér
provoqué : 1° Ne jamais endormir qu'avec le consentement formel du
sujet
, et toujours en présence d'un tiers autorisé; 2
urs en présence d'un tiers autorisé; 2° S'enquérir auparavant si le
sujet
est atteint d'accidents nerveux et de la nature d
voir pris l'avis d'un médecin, compétent; 3° Faire bien sentir au
sujet
qu'il n'y a aucun danger et le rassurer d'une faç
asion; 4° Ne faire de suggestions qu'avec le consentement formel du
sujet
, et éviter toute suggestion triste, douloureuse,
perdre de vue que la première des manifestations de l'hypnose chez un
sujet
n'est souvent que le développement d'une aptitude
l'extrême facilité avec laquelle se fait l'éducation expérimentale du
sujet
. Dès la première séance, il est rare que l'expéri
a première séance, il est rare que l'expérimentateur n'imprime pas au
sujet
des habitudes et une allure spéciale qu'il conser
il réside bien moins dans la simulation consciente ou inconsciente du
sujet
, toujours facile à déjouer, que dans les idées pr
des images souvenirs suggérées de scènes et d'événements auxquels les
sujets
croient avoir assisté, bien que ces événements n'
que j'ai démontré et sur lequel je veux insister, c'est que certains
sujets
suggestibles peuvent, sans être hypnotisés, par s
la question de l'hypnotisme, je voulus, devant lui, expérimenter des
sujets
nouveaux. J'essayai sur V... et je trouvai en lui
une indépendamment de l'autre, dans des salles différentes: aucun des
sujets
n'avait assisté à une expérience semblable; il n'
ai faites avec douceur, le plus souvent sans chercher à en imposer au
sujet
, sans trop chercher à provoquer une réponse favor
de me fâcher contre eux. Le faux témoignage persistait, parce que les
sujets
voyaient : l'hallucination rétroactive était créé
ives qui s'imposent à ces aliénés comme des vérités. Semblables i nos
sujets
expérimentés, ils ne mentent pas ; ils sont indui
ur logis. On dira : « Quelle preuve avez-vous de la véracité de vos
sujets
? N'y mettaient-ils pas de la complaisance? » Je
ne preuve certaine, mais j'ai multiplié les expériences sur nombre de
sujets
différents; ces sujets, depuis quelque temps au s
s j'ai multiplié les expériences sur nombre de sujets différents; ces
sujets
, depuis quelque temps au service, je les connaiss
lucination en développant l'état de conscience spécial dans lequel le
sujet
la perçoit. 2° Le magistrat devra interroger le
sait-il qu'il est exposé, avec une effrayante facilité chez certains
sujets
, à faire de la suggestion à son insu et à leur in
nfirme, la question est par cela même jugée. 5° L'examen médical du
sujet
par un médecin bien au courant de la question per
uite de circonstances je fus amené à la faire. Toujours est-il que le
sujet
à qui je la proposai, une jeune fille très forte
étendue de trois centimètres de diamètre. Ce bras avait occasionné au
sujet
une légère douleur pendant la nuit. Pendant que
a s'étendant et empirant. Le jeudi, elle faisait beaucoup souffrir le
sujet
. J'appliquai alors la suggestion à ce bras. A p
urs de sa science et l'autorité de son expérience et de son nom. Le
sujet
consentit une seconde fois de bonne grâce. L'opér
affirmer sa complète guérison et la reprise fructueuse des affaires,
sujet
dont on l'entretiendrait en détail dés que la con
ent. Les uns rapportent tout à une disposition nerveuse spéciale du
sujet
, disposition qui le rend apte à recevoir des sugg
se, mais ils vont plus loin ; ils supposent que la suggestibilité des
sujets
n'est point un état permanent et qui leur soit sp
ont la conséquence, mais encore de produire sur le système nerveux du
sujet
des modifications spéciales à la nature de l'agen
consister à accumuler les observations en variant les méthodes et les
sujets
, de manière à mettre en évidence les points saill
on d'un de ses doigts comme réactif, il a reconnu que le corps de ses
sujets
se divisait en deux parties très nettement délimi
'une disposition qui pourrait n'être qu'exceptionnelle, même chez les
sujets
observés, et qui se serait maintenue par suite de
u'aux autres et, dans l'état rudimentaire de nos connaissances sur ce
sujet
délicat, chacun a le droit de défendre la valeur
our ma part, je ne suis point parvenu à reconnaître chez aucun de mes
sujets
la polarité indiquée par M. Baréty; j'ai toujours
publiée par le D' Baréiy,en 1881 ; je la relus et je reproduisis, le
sujet
étant réveillé, la plupart des phénomènes relatif
œil gauche négatif, de telle sorte qu'on contracturait la bouche d'un
sujet
simplement en la regardant en face. M. Dècle, à q
bservations du Dr Baréty dont j'ai pu reconnaître la justesse sur mes
sujets
, la plus curieuse est certainement celle qui a tr
que fois que le procédé opératoire influera sur le système nerveux du
sujet
, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mouvements
mené i dire que l'agent qui défait est le même que celui qui fait. Le
sujet
, étant dans un état détermine, juge inconsciemmen
es féminines, et c'est parmi eux que les pédérastes choisissent leurs
sujets
, leurs clercs; ainsi que le remarque Tardieu, ce
ention sur une même question. L'effort nécessaire pour approfondir un
sujet
leur fait défaut. Le maître emmagasine trop de ch
lade, employé à la Compagnie des chemins de fer du Midi, était un des
sujets
ordinaires à l'aide desquels M. Donato faisai
eaux, des séances publiques d'hypnotisme. Depuis cette époque, il est
sujet
à des crises de sommeil spontané pendant lesquell
s des pratiques d'hypnotisation inconsidérée et non scientifique. Les
sujets
hypnotisés sont des malades qu'il peut être parfo
tte interdiction est motivée par des accidents survenus chez quelques
sujet
* hypnotisés. A la suite de l'?rrête pris par
rieure), et J. RAMADIER, médecin adjoint (i). Le malade qui fait le
sujet
de ce court travail est bien connu. Il a été l'ob
uit: « Profitant de l'extrême hyperexcitabilité neuro-musculaire du
sujet
, M. Mabille. par l'excitation directe des muscles
rise ou modification nerveuse préalables. L'attaque est, chez notre
sujet
, comme la manifestation d'un état morbide pendant
ui en dépendent. L'imposition des mains, qui provoquait chez certains
sujets
un état où ils étaient susceptibles de re- (1)
autrui qui s'impose, a tel point que la cause efficiente des actes du
sujet
est, tout entière, dans la suggestion. Cependant,
imentateur ne pourra, dans aucun cas. suggérer des idées inconnues au
sujet
: en dépit de tous les efforts, un illettré ne sa
sonnelles. Toutefois, par suite d'une longue éducation hypnotique, le
sujet
peut recevoir un ordre contraire à ses conviction
, les conditions obligatoires de La responsabilité font défaut. Si le
sujet
avait, au moment d'agir, possédé la plénitude de
'est pas en conformité parfaite avec l'état moral qui est habituel au
sujet
, sa sanction pénale ne pourrait lui être appliqué
e fait appel à son concours. 11 faut, en pareil cas, s'assurer que le
sujet
ne simule pas; l'expérience ne saurait avoir la v
887. C'est devant un nombreux auditoire, attire par la nouveauté du
sujet
et qui n'a cessé de prêter au conférencier l'atte
édifiés. Il suffira de nous rappeler que, dans l'état hypnotique, le
sujet
obéit à la suggestion verbale. Donnez un ordre,
ntre l'état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet état, le
sujet
a le cerveau assez réveillé pour n'être pas sans
magnétisme. C'est dans le magnétisme seulement qu'il existe entre le
sujet
et l'expérimentateur un rapport complet, absolu,
quoi résulte le rapport : 1° D'une concentration de l'attention du
sujet
, dirigée uniquement vers le magnétiseur (c'est le
ême titre que la suggestion verbale, elle peut s'exercer, à l'insu du
sujet
, à distance, à échéance. Il faut; expliquer cette
te en dehors de son foyer en se transformant et va retrouver, dans un
sujet
réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion me
s opérations chirurgicales, sans douleur et sans chloroforme, sur les
sujets
prédisposés. » Une observation publiée le 16 av
t-elle aussi complète que celle qui lie, dans le sommeil provoqué, le
sujet
à celui qui l'a endormi ? Non! répondront sans
de l'influence des milieux et celles données par un magnétiseur à son
sujet
, il y a au moins une différence. Les unes sont re
l provoqué par le plus habile des hypnotiseurs sur le plus docile des
sujets
. C'est l'engourdissement léthargique dans lequel
sauf celle qu'il plaît à l'opérateur de provoquer. L'impassibilité du
sujet
le mieux préparé vis-à-vis du caprice de celui à
divers degrés de docilité rencontrés par les hypnotiseurs chez leurs
sujets
. Ceux-ci, comme le prouvent des milliers d'expé
eurs, soit de la nécessité, soit de la légitimité de ces actes. Les
sujets
hypnotisés par les milieux sociaux en arrivent à
ente et plus longue. On constate, d'après les mêmes tableaux, que les
sujets
hypno-tisables peuvent être classés en différente
DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES
SUJETS
EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LU
t pour objet la possibilité de solliciter expérimentalement, chez des
sujets
en état d'hypnotisme, des émotions variées, de jo
ar l'action de certaines substances agissant à distance sur les mêmes
sujets
hypnotisés. Pour bien limiter mon sujet et me t
t à distance sur les mêmes sujets hypnotisés. Pour bien limiter mon
sujet
et me tenir dans le champ d'études que je me suis
lles arrivent à dominer toute la scène et à dominer la vie mentale du
sujet
. — Qui de vous n'a présents à l'esprit ces cas si
mme un processus réflexe, sans la moindre participation consciente du
sujet
. A son réveil, il ne conserse aucune trace des ém
suivent avec un certain intérêt toutes les questions afférentes à ce
sujet
ne sont pas sans savoir que ces phénomènes nerveu
faire un diagnostic certain. Eh bien! lorsque après avoir plongé un
sujet
en période de léthargie tout d'abord et avoir mis
des émotions. On sait, en effet, combien dans cet état spécial les
sujets
sont aptes à conserver les attitudes expressives
dispose à son gré et les sollicite dans le sens qu'il lui plaît. Le
sujet
ayant par exemple les yeux ouverts, vient-on à lu
ond et se propagent dans tout son être. Quand on laisse, en effet, le
sujet
quelques minutes en présence de ces reproductions
e supercherie, témoignent comment on peut expérimentalement, chez les
sujets
hypnotisés, provoquer rien que par l'action périp
ée, par exemple ? on note les effets suivants. Si on prend la main du
sujet
, lequel est impassible et inerte comme un clavier
Il est curieux de constater à ce propos que lorsqu'on a affaire à un
sujet
hémianesthésique (ce qui est très fréquent chez l
acultés émotives sont pareillement susceptibles d'être dédoublées. Le
sujet
, par exemple, une fois en catalepsie, si on excit
DE MÉDECINE Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche,
sujet
à des attaques nerveuses hystériques, est plong
te), passer, par contact et par une sorte de transfusion, du corps du
sujet
ncurisateur ou magnétiseur, dans le corps du suje
usion, du corps du sujet ncurisateur ou magnétiseur, dans le corps du
sujet
qui sert d'intermédiaire, qu'il soit homme ou ani
a voyons encore passer par rayonnement direct ou réfléchi du corps du
sujet
neurisateur dans celui du sujet intermédiaire (ho
nement direct ou réfléchi du corps du sujet neurisateur dans celui du
sujet
intermédiaire (homme ou animal) ou dans la substa
par l'action de cette force, deviennent visibles et sensibles pour le
sujet
endormi, et peuvent, pendant le temps que se m in
uvent, pendant le temps que se m intient cette influence, agir sur le
sujet
neurisablc de la même manière qu'agirait sur lui
agir sur le sujet neurisablc de la même manière qu'agirait sur lui le
sujet
neurisateur lui-même. Cette force, qui réside e
ital, d'où le nom de rayons neuriques oculaires et digitaux. D'aucuns
sujets
très sensibles voient, dit-on. ces rayons: une de
très sensible a l'action du souffle buccal, comme l'étaient tout les
sujets
que j'ai étudiés et traités avant lui. Ainsi, qua
Je me demande tout d'abord si ce surmenage intellectuel des jeunes
sujets
est aussi réel et aussi nocif, considéré en lui-m
e 1,127 et «1,238, vous arrivez à cette conclusion qu'il y a certains
sujets
adolescents qui, avant l'âge de vingt ans. ont ac
. permettez-moi de faire passer encore sous vos yeux deux cerveaux de
sujets
masculins, d'âge différent, l'un de seize ans, l'
nt la marche régulière des études, il existe un contingent spécial de
sujets
impropres au service, faibles de complexion céréb
et, il faut bien le reconnaître, dans la grande majorité des cas, ces
sujets
-là ce sont des héréditaires, ou bien ils ont un p
a mis en rapport, d'une façon particulière, avec un certain nombre de
sujets
de cette catégorie. Ayant donné des soins aux pèr
ellement un relevé de vingt-quatre cas qui sont relatifs à des jeunes
sujets
de huit à vingt ans, la plupart fils de paralytiq
rt fils de paralytiques; eh bien, — j'ai constaté que chez ces jeunes
sujets
, la plupart du sexe masculin. le goût du travail
lents, facilement fatigués; ils se plaignent de céphalalgie, ils sont
sujets
à des insomnies, ils rêvent haut et deviennent so
pétée quinze jours après. Au point de vue des signes physiques, ces
sujets
-là se distinguent encore par les caractères suiva
nsversale au niveau de la partie culminante du vértex. Eh bien! ces
sujets
-là qui présentent des caractères somatiques et in
messieurs, je pense qu'il est indispensable de faire des réserves au
sujet
des rapports pathogéniques que notre collègue, M.
tuberculose me parait excessivement rare dans certaines catégories de
sujets
qui appartiennent au cadre de la pathologie menta
Il serait peut-être avantageux de varier le mode de présentation des
sujets
d'étude, de les rendre plus agréables et plus ass
livrèrent à une serie d expériences intéressantes. Plusieurs de leurs
sujets
, hypnotisés par la fixation d'une boule brillante
DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES
SUJETS
EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LU
ction rayonnante qu'exercent à distance certaines substances chez les
sujets
hypnotisés. Nos deux éminents confrères, profes
rs â l'Ecole de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les
sujets
en état d'hypnotisme, il se développe un tel état
yées pour déjouer toutes les tentatives de supercherie de la part des
sujets
en expérience. Ces détails feront l'objet d'une c
ontenterai seulement de dire, pour le présent, que j'ai opéré sur des
sujets
différents, pour vérifier les résultats les uns p
discutable les phases émotives par lesquelles passe inconsciemment un
sujet
hypnotisé, suivant qu'on le met en présence de te
ses ou loquaces. Dans la première série, suivant la constitution du
sujet
, suivant son impressionnabilité intime, la nature
bstance employée, les phénomènes réactionnels évoluent en silence. Le
sujet
étant maintenu dans l'état léthargique, tous les
èce. Dans la seconde série de faits, alors que la susceptibilité du
sujet
est plus exaltée ou que l'action de la substance
l'action de la substance employée a un lieu d'élection différent, le
sujet
ne reste pas à la période de léthargie ; il s'élè
ntellectuelles. I. — Dans la première série de faits, alors que les
sujets
en expérience restent cantonnés dans la phase de
éroté les tubes de verre contenant les substances actives à l'insu du
sujet
, on les place tout d'abord au lieu d'élection, su
dominent. Les émotions gaies sont plus rares à susciter. Chez les
sujets
dédoublés, elles sont souvent unilatérales, et la
mble avoir été tout d'abord influencé par l'incitation centripète. Le
sujet
devient rapidement anhèlant. Il accuse de l'anxié
igrammes, comme toutes les substances employées, mises en présence de
sujets
dédoublés, détermine des effets différents, suiva
icite presque immédiatement l'expression d'une très vive terreur : le
sujet
est (i) On comprend aisément qu'une expérience
néanmoins, j'ai pu prendre au vol en quelque sorte la photographie du
sujet
en expérience, qui est dans un état d'année compl
f devient progressif ; l'émotion terrifiante s'élève d'un degré et le
sujet
subit une réaction qui dénote un sentiment de déf
reste contracture. Il ne faudrait pas insister davantage pour voir le
sujet
, toujours silencieux, se lever précipitamment, se
l'on assiste alors à une transformation complète de la physionomie du
sujet
. Si les émotions précédemment suscitées étaient
graphie exprime en effet un état d'abandon et de sérénité parfait. Le
sujet
repose mollement sur le fauteuil, ses bras sont l
bilité des phénomènes émotifs que l'on est amené à constater chez les
sujets
hypnotisés. La description détaillée des effets p
ont une action presque constamment la même, non seulement sur le même
sujet
, mais encore sur des sujets différents. Ainsi
tamment la même, non seulement sur le même sujet, mais encore sur des
sujets
différents. Ainsi, le sulfate de strychnine à
les avec secousses convulsives et raideur du tronc. La physionomie du
sujet
avait l'expression mal caractérisée d'un violent
nse. Présenté alternativement soit du côté gauche ou du côté droit du
sujet
, il semble principalement frapper sur l'innervati
il semble principalement frapper sur l'innervation des muscles. Le
sujet
, ainsi qu'on peut le voir sur la figure photograp
umule, et il arrive un moment où la raideur du tronc se révèle, et le
sujet
demeure en proie à un véritable opistothonos. L
et l'impossibilité de se tenir debout. Ainsi, en 8 ou 10 minutes, le
sujet
en expérience, sous l'action d'une dose modérée d
transformée, embarras de la parole et délire approprié (i). Un autre
sujet
, dont j'ai reproduit également les phases ultimes
vec d'autres substances, que (t)Dans la plupart des expériences, le
sujet
E ne demeure pas cantonné dans la période de cata
e de temps qui a suffi à l'alcooliser à fond), on voit incontinent le
sujet
reprendre peu à peu l'usage de ses sens, expurger
estations expressives ont un tout autre caractère. — Dans ces cas. le
sujet
hypnotisé, au lieu d'évoluer sur place en période
algré la lucidité des réponses données, malgré la docilité extrême du
sujet
, qui peut accomplir tout ce qu'on lui demande, il
agne, alcools divers, etc. Le tableau des réactions personnelles du
sujet
est tout à fait différent des allures précédentes
s un automate qui s'agite, mais un automate parlant. On voit alors le
sujet
obéissant soit à des aptitudes naturelles, s'il e
ne, par exemple. Les impressions alors sont tristes et lugubres. Le
sujet
, par exemple, se croit dans un cimetière, il assi
pression d'une douleur profonde et intense s'est révélée chez le même
sujet
à plusieurs semaines et même après une année d'in
vélées et des scènes de véritable gaîté qui ont été reproduites. Le
sujet
, par exemple, qui adore le théâtre, se croit au m
ont des scènes de vol, de pillage, d'assassinat et d'évasion. Le même
sujet
, qui aime, en qualité d'hystérique, à se repaître
e telle— (i) MM. Bourru et Burot ont constaté, de leur côté, que le
sujet
sur lequel ils ont expérimente la valériane avait
de léthargique. J'ai obtenu des réactions semblables chez les mêmes
sujets
, en employant, comme je l'ai dit, des substances
dant en conclure Qu'une substance quelconque, qui a sollicité chez un
sujet
des scènes de vol et d'assassinat, soit apte à dé
, et appropriés au genre de vie et aux aptitudes propres à chacun des
sujets
mis en expérience. Voici maintenant une autre s
ité réactionnelle auquel est arrivé l'organisme humain. Tant que le
sujet
est en scène, tant qu'il faut qu'il parle, qu'il
interrompre subitement les courants d'incitation qui vont du tube au
sujet
; vient-on à éloigner tout d'un coup le tube stimu
uel on enlève tout d'un coup ses béquilles (i). Ces oscillations du
sujet
qui suivent ainsi à distance les stimulations viv
oter, dans ces circonstances, que de voir avec quelle indifférence le
sujet
subit ces alternatives de hausse et de baisse dan
, d'émotion ou de souffrance. Lorsque, suivant l'état des forces du
sujet
et suivant l'intensité des réactions auxquelles i
ubstance soit complètement éteinte. On s'assure de ce fait lorsque le
sujet
est revenu spontanément à la période de léthargie
son énergie dans les régions antibrachiales. Le réveil, lorsque les
sujets
sont lourds, peu impressionnables, est souvent lo
pas seulement de la question de ces suggestions - imposées à certains
sujets
qui éclatent après quinze, vingt jours, après plu
énomène naturel copié sur la marche régulière des étapes normales. Le
sujet
, par la privation de la substance stimulatrice, e
iences, de la prise du regard, par exemple, alors qu'on présente à un
sujet
en catalepsie un objet-brillant. 11 fixe cet obje
is vient-on a faire disparaître instantanément cet objet brillant: le
sujet
n'est plus soutenu par l'action inciiatrice de la
faire en présence de toutes ces questions multiples qui surgissent au
sujet
des pratiques de l'hypnotisme ? — Comment empêche
r seulement à l'extérieur. L'action locale des médicaments a été le
sujet
de nombreuses discus- ] sions entre les physiolog
tra du moins d'apprécier sans danger l'impressionnabilité de certains
sujets
aux substances médicamenteuses et toxiques. Quand
des effets aussi puissants que ceux qu'elle détermine sur deux de nos
sujets
, on peut comprendre l'effet que produiraient à -l
critique, discute, expérimente. C'est ainsi que les faits qui font le
sujet
de ce travail, si étonnants qu'ils tussent, ont e
s expérimentateurs ont pu croire a une éducation, un entraînement des
sujets
: nous avons fait justice de cette hypothèse par
pothèse par cette seule observation que c'est du premier coup que nos
sujets
atteignent leur maximum de sensibilité aux substa
mpossible est la suggestion, quand une substance inodore, inconnue du
sujet
, de l'expérimentateur, des assistants, présentée
é- (1) Nom avons reçu de M. le Dr Aug. Forel un travail sur le même
sujet
: que nous publierons dans notre prochain numéro.
en qu'elle ressorte de l'observation même des faits. Si l'on prend un
sujet
ayant le crâne régulièrement constitué, on pourra
é la déséquilibrai ion mentale que l'on trouve chez la plupart de ces
sujets
. Les gauchers ont fréquemment une hérédité nerv
cine. M. Andrieu fut appelé, il y a quelque temps, près d'un de ses
sujets
habi-tuels, le jeune C…, âgé de 16 ans, qu'il a d
de la foire il fut endormi par un saltimbanque, qui, le trouvant bon
sujet
pour ses expériences, lui proposa de l'accomp
t des substances toxiques. Les expériences ont pleinement réussi. Les
sujets
étaient des hystériques très sensibles à l'hypnot
eprend graduellement son cours normal. L'expérimentateur suggérait au
sujet
, pendant l'hypnose, la croyance certaine à sa guê
pour cela d'offrir un secours précieux a la thérapeutique. Un autre
sujet
présentait les mêmes troubles morbides; son mal é
a pu observer un cas de guérison de la chorée par ce traitement. Un
sujet
de 13 ans présentait, lors de son admission, des
es bains chauds et les douches d'éther sur la colonne verté-brale. Le
sujet
ne goûtait pas un instant de calme ; ses nuits ét
ives susceptibles de déterminer quelques affections mentales chez des
sujets
prédisposés par hérédité ou par tempérament. Le d
s craintes sérieuses pour sa vie. Cette jeune femme était fréquemment
sujette
à des pertes abondantes, mais celle-ci dépassait
les prochaines règles ne reviendraient qu'au bout d'un mois, mon
sujet
a été régis non pas au bout de vingt-huit ou ving
gence, mais en dépit de ses, indications et contre la volonté même du
sujet
. C'est une manie impulsive, On a porté sur cett
e plus léger; malgré tous les moyens employés a diverses reprises, le
sujet
n'arrivait même pas à fermer les yeux. Je me suis
éthodisée. 5° Elle agit en décuplant en quelque sorte la volonté du
sujet
, qui peut arriver peu a peu à modérer et à domine
ue d'une hallucination, d'un acte quelconque, reste sans effet, si le
sujet
est soumis à une action hétéronome ou à toute aut
cturante au moment fixé pour ion développement, et cela, parce que le
sujet
suggestionné ne peut, dons ce moment, par le fait
main de l'expérimentateur appliqués sur le buste ou sur un membre du
sujet
ne contractures en position isonome que lorsque l
es extrémités de l'aimant ou le bout des doigts regardent en haut (le
sujet
étant suppose dans la position verticale et les b
traversant une tige de laiton recourbée en fer à cheval placée sur le
sujet
en position isonome des pôles (fig. 1 et 4) donna
sent MM. Chazarain et Dècle. qui en ont répété un grand nombre sur un
sujet
devant les membres du Congrès. Mais les membres
e (fig. 1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même sens que celui du
sujet
(fig. 4, 5, 6), ils décontracturent ou ils esthés
r le côté droit du buste, parce qu'il est de sens inverse de celui du
sujet
: 2° qu'il est résolutif des contractures et des
sur le côté droit du buste, parce qu'il est de même sens que celui du
sujet
. Il résulte du travail de MM. Chazarain et Dècl
.1) (Fig. 2) (Fig 3). Le courant de direction inverse du courant du
sujet
. ENDORT [Fig.4) (Fig. 5) (Fig. 6 Le courant d
.7) (Fig. 8) (Fig. 9) Le courent de direction inverse du courant du
sujet
. endort parfois (Fig- 10) (Fig. 11) (Fig. 12)
ances, suivies chacune d'une démonstration expérimentale faite sur un
sujet
hypnotisé, Mme F... Dans celle du matin, il n'a é
les expériences ont parfaitement réussi et semblé prouver que sur le
sujet
présent, le sommeil, de même que l'anesthésie et
ons polaires isonomes et par les courants de sens inverse de celui du
sujet
; que le réveil, de même que l'esthésie, l'hyperes
act, en hétéronome et être rétablie par une application isonome. Le
sujet
avait été averti qu'elle serait incapable de dist
et l'achromatopsie par la fixation avec l'œil droit (-). Enfin, le
sujet
ayant été endormi de nouveau, a été réveillé aprè
ers la nuque a supprimé la vision, arrêté la conversation et rendu le
sujet
à son état normal. Observations d'onanisme guér
autres ; mais enfin, en présence d'une idée, d'un acte à exécuter, le
sujet
se trouve dans les mêmes conditions morales qu'en
ais la réalisation de cette idée dépend tout entière de la volonté du
sujet
. Si celui-ci est habituellement d'une volonté fai
it, mais la défense faite de se souvenir empêche toute révélation. Le
sujet
endormi est assailli par la pensée qu'il ne doit
'il existe un moyen de découvrir le secret. Si, au lieu d'endormir le
sujet
et de lui demander ce qui s'est passé, on lui app
pidement. Toutefois, de temps â autre, des douleurs survenaient et le
sujet
, habitué à être soulagé instantanément par le som
égale, et les résultats obtenus dépassèrent mes prévisions. Le même
sujet
endormi, on lui suggéra la pensée de commettre un
de quelques instants, sa main se détache et retombe naturellement. Le
sujet
don profondément; le sommeil dure deux minutes, c
me verrait et m'a défendu de me rappeler ce que j'aurai fait. » Le
sujet
donne le signalement exact de ce monsieur Durand
e rappelle. Des expériences identiques ont été faites sur plusieurs
sujets
en présence des témoins compétents, en prenan
qu'on avait surpris dans un hôpital de Bordeaux un de nos principaux
sujets
en flagrant délit de simulation. Or il se trouve
isément que ce farceur non seulement n'a pas été un de nos principaux
sujets
, mais encore qu'il a été considéré par nous-mêmes
iculté est de décider si tout se passe dans le cerveau inconscient du
sujet
, comme par suggestion, ou s'il y a une action phy
professeur au Collège de France. Procédé pour distinguer, chez les
sujets
hypnotisables, les effets dus à l'auto-suggestion
erche des lois qui régissent les phénomènes nerveux observés chez les
sujets
hypnotisables présente de très grandes difficulté
euvent se produire, dans un certain état, sous l'action du cerveau du
sujet
aussi bien que sous l'influence des agents extéri
comme si le frein de la volonté était déclanché. Ainsi, je mets un
sujet
en état de crédulité par une action quelconque qu
r les yeux, une application polaire en hétéronomie sur le cerveau, le
sujet
reviendra à son état normal. Il résulte de là q
la loi que j'indique. Je me suis borné à constater sur deux ou trois
sujets
que les contractures des membres dues à des actio
phénomènes d'émotivité spéciale que présentent au plus haut degré les
sujets
mis en état d'hypnotisme. — Les leçons clinique
decine de Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émotions chez les
sujets
en état d'hypnotisme. Etudes de psychologie expér
i exclue absolument la suggestion. Qu'on sache bien que chez certains
sujets
, il suffit d'une fissure bien étroite pour qu'ell
environ en place, grand fut son étonne-ment quand, avant réveillé le
sujet
, il constata chez elle tous les phénomènes de l'i
s le second; M. Focachon n'avait pas parlé pendant l'expérience, le
sujet
Ignorait le contenu du flacon. A son réveil seule
es, après avoir consigné tous les effets observés ou ressentis par le
sujet
, quant» celui-ci serait parti, que nous devions o
on n° 4 contenait du chlorhydrate de pilocarpine. 2° expérience. Le
sujet
est endormi à 2 heures 52; la disparition des sym
a respiration n'est pas accélérée, malgré l'oppression accusée par le
sujet
. Le flacon n° 1 contenait de l'émétique. 4° e
eures 56 ; les troubles précédents se dissipent par la suggestion. Le
sujet
a plusieurs quintes de toux qui continuent pendan
uste en produisant des coliques. Sur 7 substances expérimentées, le
sujet
a accusé des troubles divers; une fois seulement,
ugée, pour ce qui concerne l'action médicamenteuse à distance chez ce
sujet
. Comment expliquer les premiers résultats obten
Fo-cachon? Y a-t-il eu simple coïncidence entre l'auto-suggestion du
sujet
et l'action réelle de la substance ? Y a-t-il eu
de l'opérateur, tout en croyant qu'il conduisait la mienne. On dit au
sujet
: «Que sentez-vous ? » Elle répond vaguement, par
mplète. Je ne prétends pas que tous les faits observés sur d'autres
sujets
puissent s'interpréter par la suggestion. On me d
rpréter par la suggestion. On me dira que je ne suis pas tombé sur un
sujet
favorable ; je ne dis pas le contraire. Je dema
les noms des substances correspondant à chaque numéro. 3° Chez les
sujets
déjà soumis à ces expériences, employer autant qu
veloppe que lorsque les expériences seront toutes terminées et que le
sujet
sera parti. Si, dans ces conditions, les phénom
ant il y aurait d'inconvénients à pratiquer l'hypnotisme chez des
sujets
excellents, bien portants, autant il y aurait d'a
l y aurait d'avantages à l'appliquer comme moyen pédagogique chez des
sujets
mauvais, vicieux ou malades. Nous nous empression
La méthode à laquelle nous avons constamment recours pour mettre les
sujets
dans l'état d'hypnotisme est celle que les leçons
r lesquels on arrive à déterminer l'état d'hypnotisme chez les jeunes
sujets
soient d'une assez grande simplicité apparente, n
tention sont nécessaires pour discerner le degré de suggestibilité du
sujet
. Si, dans la majorité des cas, les enfants obéiss
à des suggestions faites avec" douceur, sans mise en scène, quelques
sujets
y sont rebelles. Il faut donc un certain esprit d
t se ferment. On peut maintenir pendant un instant les paupières du
sujet
fermées avec les doigts, en annonçant qu'elles so
s favorable pour faire les suggestions curatives. Si la plupart des
sujets
sont endormis dès la première séance, comme nous
Il ne faut pas oublier que tout ce qui se dit et se fait autour du
sujet
fait naître dans son cerveau des idées correspond
à celles qu'il Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune
sujet
(1). veut réaliser. Les personnes présentes s'a
, le détournait de l'idée de se laisser hypnotiser. Dans un autre, le
sujet
avait été frappé par l'opinion maintes fois expri
d'en convenir. Nous devons ajouter que la docilité avec laquelle le
sujet
accepte la suggestion n'est pas toujours en rappo
rapport avec la profondeur du sommeil. Et il faut savoir que certains
sujets
, chez lesquels on n'obtient jamais qu'un sommeil
que nous jugeons indispensable est la suivante : Avant d'éveiller le
sujet
, il faut toujours lui affirmer qu'à son réveil, i
l'Age variait de cinq ans à quinze ans. (Nous avons pu vérifier, à ce
sujet
, une constatation de M. le Dr Liébeault, c'est qu
er, à ce sujet, une constatation de M. le Dr Liébeault, c'est que les
sujets
les plus affectés, c'est-à-dire ceux qui urinent
hysiques et morales peuvent être déterminées. Sur des milliers de
sujets
hypnotisés nous n'avons jamais, a Nancy, obtenu l
que ses effets puissent être durables. Pour ma part, je crois que les
sujets
faciles à hypnotiser sont des malades ou des être
rchow. De l'hypnotisme. M. Moll. — Je me suis décidé a traiter ce
sujet
de l'hypnotisme en raison des nombreuses préventi
nator : « On peut donner le nom d'hvpnotisme aux cas dans lesquels un
sujet
devient un instrument passif visa-vis de celui qu
s. On donne le nom de suggestion aux actes que l'on peut commander au
sujet
en état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer
ander au sujet en état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un
sujet
en train de parler qu'il est devenu muet. Au mome
un sujet en train de parler qu'il est devenu muet. Au moment même, le
sujet
s'arrête et est incapable de continuer. Beaucou
rexcitabilité des nerfs et des muscles. Les paupières sont closes. Le
sujet
a l'apparence d'une personne qui dort. Pour obten
clinique M. Babinski. J ai vu la succession des trois phases chez les
sujets
hystériques se faire de la façon la plus classiqu
une suggestion. Je n'ai jamais pu personnellement déterminer chez les
sujets
en expérience la succession des trois stades. Je
res, tandis que j'ai obtenu des résultats très complets chez d'autres
sujets
qui ne présentaient aucune trace d'hystérie. A
t tout à fait accessoire; à Nancy, on n'y a pas recours. Dès que le
sujet
a les paupières closes, on commence les suggestio
s. En premier lieu, il arrive souvent de ne pas réussir à endormir le
sujet
au moins dans la première séance. Un insuccès de
s ecchymoses qui persistaient encore après trois mois. Chez le même
sujet
, MM. Bourru et Burot ont fait apparaître des épis
l'on suggère l'idée que l'on approche une bouteille d'ammoniaque, le
sujet
éternue ou produit un bruit analogue à l'éternuem
Constantin Paul. — On a fait tant de bruit, depuis quelque temps, au
sujet
des phénomènes de suggestion et surtout de la thé
nditions ont été faites les applications : j'ai fourni à M. Bourru un
sujet
très sensible, sur lequel il a pu agir en toute l
me cette hésitation dans la marche se produit généralement lorsque le
sujet
cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru conc
tive, le flacon a été appliqué derrière l'occiput, du côté droit ; le
sujet
a accusé un sentiment de satisfaction, de bien-êt
moire, dont la lecture a été suivie avec tout l'intérêt que mérite un
sujet
si important, il expose les résultats brillants o
rciements chaleureux de l'assemblée pour l'exposition scientifique du
sujet
qu'il vient de traiter. Il est assuré que l'hypno
Naturellement, une discussion ne pouvait manquer de s'engager sur ce
sujet
entièrement nouveau pour les médecins d'outre-Rhi
ir, il parle en rêvant, mais il ne se lève pas. » J'ai hypnotisé le
sujet
6 fois, toujours avec la même facilité et le même
ites, où tous les organes sont scientifiquement examinés, mais où les
sujets
sont des individus inconnus, qui sont venus pour
e qu'en reproduisant ici les paroles que Letourneau a prononcées à ce
sujet
sur la tombe même de Bertillon : « II y a quelq
ière facilité avec laquelle on peut hypnotiser l'immense majorité des
sujets
de tout âge, de tout sexe, de tout tempérament. I
e cette vérité si aisée à démontrer, sans la découvrir? » Parmi les
sujets
qu'on hypnotise, les uns tombent en sommeil profo
il; nous les appelons des somnambules. Un cinquième ou un sixième des
sujets
, d'après M. Liébeault, entre en som- (i) Notre
ggestion. Les mêmes phénomènes peuvent être déterminés chez ces mêmes
sujets
lorsqu'on réussit à se mettre en relation avec eu
oit spontanées, soit suggérées, restent passives, c'est-à-dire que le
sujet
demeure inerte comme dans le réve normal; elles n
dans le réve normal; elles ne deviennent actives, c'est-à-dire que le
sujet
se remue, marche, joue un rôle animé dans l'acte
s réalisées dans rétat hypnotique peuvent, je le répète, chez le même
sujet
, être réalisées les mêmes dans son sommeil nature
la suggestion de l'opérateur ou quelquefois à l'auto-suggestion d'un
sujet
particulièrement impressionnable dont l'imaginati
t des effets de suggestion. Constater que la très grande majorité des
sujets
est suggestible, c'est éliminer l'idée de névrose
a peut-être pas suffisamment saisi ma pensée. II est certain que tout
sujet
qui ne veut pas être hypnotisé et qui sait qu'il
e avec succès a toutes les tentatives. Il est vrai aussi que certains
sujets
ne peuvent pas résister, parce que leur volonté e
efort; je veux parler de l'action médicamenteuse à distance. Certains
sujets
hypnotisés ou même à l'état de veille auraient un
emières manifestations, trahissent leurs sentiments par la parole, le
sujet
entend chaque mot prononcé à voix basse et saisit
ance, pas même l'expérimentateur, ne connaît le contenu du flacon, le
sujet
, après quelques manifestations peu précises, reto
suspends donc mon jugement. Les faits que je n'ai pu produire sur mes
sujets
peuvent être réalisés sur d'autres. Les nier sans
nombre d'observations. J'ai cherché inutilement sur des centaines de
sujets
à produire la transmission de pensée; je n'ai rie
out simplement d'un sommeil provoqué. Bientôt il reconnaît en elle un
sujet
d'une sensibilité exquise aux pra-tiques de l'hyp
le docile aux [suggestions ? Il veut tenter une épreuve décisive à ce
sujet
. Sachant combien Mme Chas- sîn avait aimé son
et. Ils vous dirontqu'ils en sont arrives a suggérer des actes que le
sujet
doit accomplir seulement un mois, trois mois et m
bénéfice. Tout l'intérêt repose dans la réponse à cette question : Le
sujet
exécutera-t-il, ou non, la suggestion ? Dans Al
corrections, d'améliorations. Les discussions, les études sur de tels
sujets
sont donc nécessaires. Que ces -études, que ces d
aments pourraient exercer, même à une certaine distance, sur certains
sujets
, a voulu rechercher quel serait le mode d'action
ait le mode d'action de ces médicaments. Ayant à sa disposition des
sujets
très sensibles, il a institué une série d'expérie
endant que lorsqu'ils faisaient agir les médicaments à distance, leur
sujet
était à l'état de veille, tandis que le mien étai
» Or, cet état de veille, quel est-il ? Ils font remarquer que leur
sujet
se trouve dans un état où toute suggestion est im
s que nous avons appelés points d'inhibition. Dans ces conditions, le
sujet
ne voit plus, n'entend plus, ne sent plus. Il ne
upercherie et pour écarter toute idée de suggestion. On voit que le
sujet
n'est plus en état de veille, au contraire, quand
out à fait au début, mais il s'est endormi immédiatement après, et ce
sujet
qu'on croit dans d'excellentes conditions pour év
qui se sont occupés de cette question et il y a un doute absolu à ce
sujet
. On ne sait donc pas exactement si cette maladi
sais d'où, mais non point, pour sûr, de son service d'hôpital. Ce
sujet
était-il sensible à l'action à distance des médic
vertement: « Essayons toujours. Réussirons-nous ? Je l'ignore. » Le
sujet
mis en léthargie, je présentai, par derrière, un
derrière, un flacon enveloppé, dont j'ignorais le contenu. Bientôt le
sujet
se plaint de coliques et il se produit des contra
s de la Société, que cette titubation se produit toujours, lorsque le
sujet
son du sommeil hypnotique. M. C. Paul n'en dit ri
oisième flacon présenté! Je ne saurais dire au juste ce qu'éprouva le
sujet
, mais ce dont je suis certain, c'est que je décla
es. La République de l'Est publie sous ce titre le fait suivant, au
sujet
duquel plusieurs de nos lecteurs nous demandent n
dicule que certaines personnes pourraient faire retomber sur eux à ce
sujet
, bien à tort cependant. On me dira sans douta :
escence. Aussi M. Decroix a-t-il été bien inspiré eu choisissant ce
sujet
d'actualité pour texte de la conférence de cette
de la suggestion. Chaque observation devra faire connaître l'âge du
sujet
, depuis combien de temps il fumait, la quantité a
acl einopiné d'une attaque suffit à en provoquer les spasmes chez les
sujets
prédisposés. Il en est de même des traumatismes
ne intensité donnée, les résultats varieront singulièrement selon les
sujets
. C'est ainsi que chez un homme vigoureux, bien éq
membres de la Société de médecine de Rouen un jeune homme de 20 ans,
sujet
à des crises caractérisées par la sensation d'une
hypnotique. (Progr. Méd., 15oct.) Luys (J.): Les émotions chez les
sujets
en état d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Bail
mais au moins l'assentiment de quelques-uns. Toutefois, en un pareil
sujet
. l'incrédulité est si légitime et si naturelle qu
râce au bon vouloir de MM. Gibert et Janet, de renouveler sur le même
sujet
, Mme B..., ces expériences si importantes de somm
é tout le temps que vous marchiez, car vous y (1) Voyez sur le même
sujet
le chapitre IV, p. 118 à 144. de la Suggestion me
t. et il n'est pas douteux que Mme B... ne puisse, comme tous les
sujets
somnambuliques semblent le faire, ressentir les e
pas mis suffisamment en garde contre la perspicacité inconsciente du
sujet
et contre ma tendance à l'aider et à la faire réu
point de détail qui eût manqué malgré la perspicacité inconsciente du
sujet
, sa prévoyance eût été mise en défaut à tel ou te
u'il a faites sur Mme B..., depuis la publication de son mémoire à ce
sujet
. Ce sont des expériences inédites à ajouter à cel
tex. Ayant, au cours de l'expérience, présenté devant l'œil gauche du
sujet
un papier rouge, je fus très étonné de l'entendre
oite à gauche. Je plaçai alors, dans le plan vertical de la figure du
sujet
, un écran disposé de telle façon, que chacun de s
es sont faites de telle façon; mais ses doutes ne portent pas sur les
sujets
religieux. Jamais elle n'a compte les objets
un peu de trémulation des paupières, qui restent fermées, mais que le
sujet
arrive à ouvrir en faisant un effort. Pas de cata
Du côté gauche, aucun bruit n'est perçu à l'otoscope. En résumé, le
sujet
rapporte à gauche et sent à gauche un bruit manif
La syntaxe du sourd-muet. Nous extrayons d'un article publié sur ce
sujet
par la Revue internationale de l'enseignement des
goût, hémianesthésie cutanée, hémiplégie), et l'autre, âgé de 25 ans,
sujet
a vies attaques d'épilepsie, était atteint, en ou
manifestations hystériformes pour peu que, quel que soit le sexe, le
sujet
y soit prédisposé. Une observation émanant du ser
Tout le monde le sait, la femme est incomparablement plus que l'homme
sujette
à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c'est-à-d
peut soutenir que nous prenons ici la cause pour l'effet, et que ces
sujets
étaient fous déjà en grande partie, lorsqu'ils se
11 n'en est pas moins certain que l'action des émotions vives sur des
sujets
cérébraux, héréditaires, dont l'imagination s'exa
bulbe, leur terminaison est moins nette et paraît varier suivant les
sujets
: sur les uns, ces faisceaux se continuent en part
rite par les lignes isothermiques de — 5° et de — 15° lesquelles sont
sujettes
à de fortes ondulations. Boréale ou australe, l
nous apprend dans sa préface les motifs qui l'ont engagé à traiter ce
sujet
au point de vue de l'instruction populaire. C'est
ériences de Braid. Signalons un chapitre intéressant intitulé « Les
sujets
magnétiques ». Il s'en faut que tous les indivi
IX concerne le processus, la série des phases du magnétisme chez les
sujets
en expérience. Ce phénomène a été observé par les
onté de l'homme sain des aberrations exceptionnelles obtenues sur des
sujets
hypnotisés, c'est-à-dire soustraits à l'état norm
imentés dans l'art de manier la suggestion, savent les éviter à leurs
sujets
. Le litre de M. Morselli est intéressant a plus
produites : Ce genre de sommeil est connu depuis longtemps, mais le
sujet
n'avait jamais été traité qu'un peu sommairement.
mmeil pathologique. Pour en finir avec cette exposition sommaire du
sujet
, je vous dirai que le phénomène auquel vous assis
hoc local qu'est le point de départ de l'auto-suggestion qui, chez le
sujet
hypnotisé, prend une proportion considérable à ca
pières. II constate qu'au bout de trois minutes, les paupières du
sujet
se ferment, et qu'il tombe dans un profond sommei
l'entouraient qu'elle ne serait pas aussi facile i influencer que le
sujet
précédent. Braid la prie de tenir son regard fixé
quelle il convie tous les membres de l'Association. La nouveauté du
sujet
attire un public d'élite, i tel point que, faisan
otisme entreprises à la Salpétrière, dans le courant de 1878, sur des
sujets
atteints de grande hystérie. Les recherches de
s hystériques, tandis que l'école de Nancy a expérimenté sur tous les
sujets
qui se présentaient. Bien que le magnétisme ani
e foule d'accidents, il serait médicalement interdit d'hypnotiser des
sujets
,ne présentant pas les symptômes d'hystérie confir
tré que l'influence hypnotique s'obtient chez la presque totalité des
sujets
(92 à 95 0/0), et que l'hypnose maniée avec tact
somme. les patientes et longues études de MM. Fontan et Ségard sur ce
sujet
(leurs recherches datent de l'an dernier) permett
: je rechercherai l'explication de beaucoup de choses relatives à ce
sujet
... principalement des points suivants sur lesquel
es observations et à regarder comme essentiels les caractères que ses
sujets
présentent. Je lis, par exemple, dans le livre
nt de lourdeur dans la tête, — que le sommeil hypnotique fatigue le
sujet
, etc., etc. Or, dans le cours d'une pratique dé
je n'ai pas une seule fois observé ces phénomènes. Au contraire, mes
sujets
sont tout particulièrement tranquilles ; leur vis
- logie à l'Université de Liège, je fais des expériences sur deux
sujets
affectés de cécité partielle. Le premier, un jeun
ls somnambules, avec perte régulière de la mémoire, sont les premiers
sujets
que j'ai créés, lorsque j'étais persuadé que tout
vés par ma méthode. De là le singulier spectacle que présentent mes
sujets
, quand ils ne sont pas au repos. Il est impossibl
t retirer, au point de vue thérapeutique, de cette manière d'être des
sujets
. Ainsi, pour conclure, s'il y a encore des somn
im, c'est parce qu'ils le veulent bien. Il suffirait qu'ils disent au
sujet
, au moment de l'endormir pour la première foi
ndre l'état hypnotique à une trace imperceptible, par exemple, que le
sujet
, quand on ne lui adressera pas la parole, pensera
t-être de l'outrecuidance de ma part à aire que j'ai observé chez mes
sujets
les mêmes phénomènes que MM. Lié-beault et Bernhe
s preuves. Pour des motifs dont je rendrai compte un jour, il est des
sujets
que j'endors plusieurs nuits consécutives du somm
l. être tenue pour vraie. Et si MM. Fontan et Ségard imposent à leurs
sujets
un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute
ujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur premier
sujet
les aura entraînés dans cette mauvaise voie, et,
lire? — M arrive souvent, en effet, dans ce genre de séances, que les
sujets
mal réveillés ou réveilles sous une impression pé
on à la thérapeutique me fournit l'occasion de vous entretenir sur ce
sujet
, que j'ai depuis quelque temps étudié avec persév
cience est effectivement abolie si le sommeil est profond, mais si le
sujet
ne dort pas profondément, comme cela arrive dans
après les faits que je vous ai cités, beaucoup plus considérable ; le
sujet
de l'une de mes observations, que je n'ai pas p
Cela dépend, comme je l'ai dit, du degré du sommeil, parce que si le
sujet
s'endort plus profondément, il y a au contraire r
ieurs procédés, on peut de même réveiller de différentes manières les
sujets
endormis. J'ai un malade, nommé Sélim. qui, à la
t dans le sommeil narcotique, soit dans le somnambulisme naturel. Les
sujets
hystériques narcotisés par le chloral, la morphin
enir la même chose dans le sommeil vulgaire si l'on pouvait parler au
sujet
sans le réveiller, et le faire répondre, et j'ins
ur que la suggestion réussisse même dans l'hypnotisme, il faut que le
sujet
accepte la suggestion, et qu'il le déclare nettem
r l'action des médicaments à distance. Non seulement cet homme est un
sujet
historique, mais aussi un misérable. Voici, d'a
. Donc, chez mon malade, ce qui est encore vrai, c'est qu'il est un
sujet
historique. Cet homme est entre à l'hôpital, il
nt, sans entraînement préalable (cas relativement très rares chez les
sujets
très facilement hypnotisables), il nous semble qu
. De la sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les
sujets
en état d'hypnotisme. M. Dujardin-Beaumetz donn
a commission entendait diriger se recherches. M. Luys choisirait le
sujet
qu'il croirait le plus apte à reproduire devant l
vant la commission les effets qu'il avait observés et il placerait ce
sujet
dans les conditions les plus favorables pour mene
tique a celle que M. Luys avait suivie dans la première séance, et le
sujet
en expérience fut toujours le même. Ce qui frap
es placées à distance, c'est que la même substance amène chez le même
sujet
des phénomènes absolument différents. Dans les
ue les effets produits par des médicaments placés a distance chez des
sujets
hypnotisables, paraissaient dépendre plus des cap
issaient dépendre plus des caprices de la fantaisie et du souvenir du
sujet
mis en expérience que des substances médicamenteu
30 août 1887, au sujet de l'action des médicaments à distance sur les
sujets
hypnotisables. émet l'avis qu'aucun des effets co
ien aise de voir réparer : il s'agit de l'action du tube vide sur les
sujets
hypnotisés. » Lorsque la commission s'est réuni
tait à l'action de la lumière qu'étaient dues ces manifestations, les
sujets
étant très sensibles aux agents extérieurs : lumi
t il devient ainsi un foyer d'irradiations lumineuses pour la peau du
sujet
. De là des réactions, de là des convulsions local
on une démonstration peremptoire de ce que j'avance, en présentant au
sujet
en expérience un tube de verre noirci, Le tube, d
'hypnotisme entraine souvent des accidents graves à sa suite chez les
sujets
et chez les assistants, » Considérant que les r
Académie n'a pas été saisie de la question, aucune communication à ce
sujet
ne lui ayant été faite, ni par le gouvernement, n
e elle aurait puse manifester après toute autre peine morale chez ces
sujets
. » Originelle ou acquise, l'impressionnabilité
e chez ces sujets. » Originelle ou acquise, l'impressionnabilité du
sujet
est en effet la condition expresse d'activité de
nt le même, et ces malades n'ont pas un moment de sommeil. Certains
sujets
déclarent impossible à eux de s'endormir avant mi
lièrement bonne et même va grandissant avec le cours des études. A ce
sujet
, elle cite les paroles suivantes de M. Bascom, di
oration avec le Dr Chazarain, de l'élude des agents physiques sur les
sujets
mis en état d'hypnotisme. 11 avait publié plusieu
hénomènes d'anesthésie hystérique très nettement caractérisés. A ce
sujet
, nous devons remercier un érudit Oranais, M. Del-
mais les trois phases, léthargie, catalepsie, somnambulisme. Tous nos
sujets
sont susceptibles des phénomènes dits cataleptiqu
ue, en dehors de la suggestion. Nous obtenons ces phénomènes quand le
sujet
croit (par ce qu'il a entendu dire ou vu faire ch
le sujet croit (par ce qu'il a entendu dire ou vu faire chez d'autres
sujets
) qu'ils doivent se prodduire. II ne se cataleptis
ut seule le sortir de sa torpeur. La léthargie n'est qu'apparente; le
sujet
entend et a conscience pendant toute la durée de
les grandes hystériques. l'hypnose est ce qu'elle est chez les autres
sujets
. Les trois phases n existent pas chez elles, en d
ouvent, il faut une éducation suggestive, en général assez courte, du
sujet
, pour dégager, dans ces cas, l'hypnose du cortège
u cortège des symptômes accessoires surajoutés, variables avec chaque
sujet
, suivant les caprices de son individualité sugges
aturels et psychologiques : ils peuvent être obtenus chez beaucoup de
sujets
dans leur sommeil naturel. 5 L'état hypnotique
gestion d'actes posthypnotiques n'est pas absolument fatal ; certains
sujets
y résistent. (1) De la suggestion et de ses app
sommeil comme dans l'état de veille, l'individualité morale de chaque
sujet
persiste, avec son caractère, ses penchants, son
on impressionnabililé spéciale. L'hypnotisation ne coule pas tous les
sujets
dans un moule uniforme pour en faire des automate
vité volontaire. Mais celle-ci persiste dans une certaine mesure : le
sujet
pense, raisonne, discute, accepte plus aisément q
que chez un petit nombre de personnes, et quand elle réussit chez des
sujets
qui ne savent pas qu'on veut les endormir, c'est
nogènes n'existent pas, en dehors de la suggestion. J'endors tous mes
sujets
, souvent instantanément, en touchant un point arb
ils vont dormir, ou sans rien dire, pour peu qu'ils aient vu d'autres
sujets
hypnotisés par ce pro L'idéecédé. seule fait le s
xpériences, d'avoir vu hypnotiser ou même hypnotisé soi-même quelques
sujets
très hypnotisables, d'avoir fait de la catalepsie
et des hallucinations. II faut avoir expérimenté sur des centaines de
sujets
neufs : il faut avoir manié la suggestion, l'adap
estion. Si nous réussissons, à Nancy, a influencer presque tous nos
sujets
, c'est parce que nous savons manier la suggestion
et Liébeault à Nancv ? (M. Forel arrive à réussir chez 80 0/0 de ses
sujets
.) » Ewald prétend que le succès facile de l'hyp
périence personnelle, confirmer 1 Ecole de Nancy quand elle dit : Les
sujets
sains d'esprit et qui ont un sommeil normal, les
ces prières qu'ils prononcent, c'est une sorte de mélopée qui a pour
sujet
les mérites de leur fondateur, et dont le rythme
is que le magnétiseur est là comme le magicien antique, fascinant ses
sujets
et les faisant manœuvrer, ainsi qu'un dompteur fa
tantôt en nous basant sur l'observation des faits. Et que dire des
sujets
hypnotisés— Des anémiques, des chétifs, des névro
ne, et, sans aucune enquête, sans aucune sélection, il devient un
sujet
, d'hypnotisme; son cerveau, qui tient peut-être à
Je ne vois du moins que des recherches statistiques de Galton sur ce
sujet
qui l'aient précédée. Ce n'est pas tout: je crois
articles, recueils d'observations et d'expériences se suivent sur ce
sujet
avec tant de rapidité et d'abondance que les plus
aleptiques. Suivre de tels errements serait pernicieux. Entre les
sujets
atteints d'hystérie, une distinction s'impose. Le
est aucun qui se prête â des perversions plus étranges, même cher les
sujets
qui paraissent sous tous les autres points de vue
publiques d'hypnotisme, une importante discussion s'est ouverte à ce
sujet
dans le sein de cette assemblée. Avant de se pr
sans-gène avec lequel les magnétiseurs se jouent de la santé de leurs
sujets
. Depuis, M. le professeur Charcot a signalé l'app
uences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état mental de leurs
sujets
. Quelques-uns faisaient preuve d'une brutalité in
et augmentée, du Mémoire que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même
sujet
, à l' Académie des sciences morales et politiques
je viens de le dire, je trouvais souvent moins de résistance chez le
sujet
mis en expérience, quand je le laissais en cet ét
avait un certain changement d'étal psychologique à produire chez les
sujets
d'ailleurs très sensibles et antérieurement hypno
te tout ponctuellement. Lorsque nous étions ainsi convaincu que notre
sujet
était en état de suggestibilité hypnotique, nous
in, etc., nous ne reviendrons pas sur ce que nous avons déjà dit i ce
sujet
. Uniquement préoccupé de la nécessité de réunir u
rder une matière délicate et dangereuse : « Ne jamais hypnotiser un
sujet
qu'après avoir obtenu son assentiment formel ou l
fois l'hypnotiseur et l'hypnotisé. « S'enquérir au préalable si le
sujet
n'est pas atteint d'accidents nerveux ou de troub
on, ait entraîné souvent des accidents graves à sa suite, ni chez les
sujets
, ni chez les assistants. D'ailleurs, en mettant
faudrait se borner à donner au public des conseils hygiéniques sur ce
sujet
. Car, au point de vue de la morale publique, rien
de mer. peuvent contribuer à provo-quer la crise convulsive chez les
sujets
prédisposés. Le café lui-même n'a trouvé grâce ni
ésigne en médecine sous le nom de terreurs nocturnes. Or, les enfants
sujets
aux terreurs nocturnes à l'âge de six à huit
ur les expériences d'hypnotisme qui ont été pratiquées sur différents
sujets
, en presence de M. Charcot. » On sait que sous
t rien d'étonnant à ce qu'ils soient arrivés à produire chez certains
sujets
ces changements de personnalité, ces hallucinatio
nt thérapeutique en gynécologie, 223. Emotifs (phénomènes) chex les
sujets
en état d'hypnotisme par Luys. 75, 99. Enfants
e, 184. Sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les
sujets
en état d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. So
8; pl. 2, 149. Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune
sujet
, 174. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS
t les suivantes : 1° Choisir comme matière de l'expérimentation des
sujets
dont les conditions physiologiques et pathologiqu
. Depuis lors, l'Ecole de Nancy, en l'étendant à un grand nombre de
sujets
qui ne présentent aucun des stigmates de l'hystér
provoqué : 1° Ne jamais endormir qu'avec le consentement formel du
sujet
, et toujours en présence d'un tiers autorisé; 2
urs en présence d'un tiers autorisé; 2° S'enquérir auparavant si le
sujet
est atteint d'accidents nerveux et de la nature d
voir pris l'avis d'un médecin, compétent; 3° Faire bien sentir au
sujet
qu'il n'y a aucun danger et le rassurer d'une faç
asion; 4° Ne faire de suggestions qu'avec le consentement formel du
sujet
, et éviter toute suggestion triste, douloureuse,
perdre de vue que la première des manifestations de l'hypnose chez un
sujet
n'est souvent que le développement d'une aptitude
l'extrême facilité avec laquelle se fait l'éducation expérimentale du
sujet
. Dès la première séance, il est rare que l'expéri
a première séance, il est rare que l'expérimentateur n'imprime pas au
sujet
des habitudes et une allure spéciale qu'il conser
il réside bien moins dans la simulation consciente ou inconsciente du
sujet
, toujours facile à déjouer, que dans les idées pr
des images souvenirs suggérées de scènes et d'événements auxquels les
sujets
croient avoir assisté, bien que ces événements n'
que j'ai démontré et sur lequel je veux insister, c'est que certains
sujets
suggestibles peuvent, sans être hypnotisés, par s
la question de l'hypnotisme, je voulus, devant lui, expérimenter des
sujets
nouveaux. J'essayai sur V... et je trouvai en lui
une indépendamment de l'autre, dans des salles différentes: aucun des
sujets
n'avait assisté à une expérience semblable; il n'
ai faites avec douceur, le plus souvent sans chercher à en imposer au
sujet
, sans trop chercher à provoquer une réponse favor
de me fâcher contre eux. Le faux témoignage persistait, parce que les
sujets
voyaient : l'hallucination rétroactive était créé
ives qui s'imposent à ces aliénés comme des vérités. Semblables i nos
sujets
expérimentés, ils ne mentent pas ; ils sont indui
ur logis. On dira : « Quelle preuve avez-vous de la véracité de vos
sujets
? N'y mettaient-ils pas de la complaisance? » Je
ne preuve certaine, mais j'ai multiplié les expériences sur nombre de
sujets
différents; ces sujets, depuis quelque temps au s
s j'ai multiplié les expériences sur nombre de sujets différents; ces
sujets
, depuis quelque temps au service, je les connaiss
lucination en développant l'état de conscience spécial dans lequel le
sujet
la perçoit. 2° Le magistrat devra interroger le
sait-il qu'il est exposé, avec une effrayante facilité chez certains
sujets
, à faire de la suggestion à son insu et à leur in
nfirme, la question est par cela même jugée. 5° L'examen médical du
sujet
par un médecin bien au courant de la question per
uite de circonstances je fus amené à la faire. Toujours est-il que le
sujet
à qui je la proposai, une jeune fille très forte
étendue de trois centimètres de diamètre. Ce bras avait occasionné au
sujet
une légère douleur pendant la nuit. Pendant que
a s'étendant et empirant. Le jeudi, elle faisait beaucoup souffrir le
sujet
. J'appliquai alors la suggestion à ce bras. A p
urs de sa science et l'autorité de son expérience et de son nom. Le
sujet
consentit une seconde fois de bonne grâce. L'opér
affirmer sa complète guérison et la reprise fructueuse des affaires,
sujet
dont on l'entretiendrait en détail dés que la con
ent. Les uns rapportent tout à une disposition nerveuse spéciale du
sujet
, disposition qui le rend apte à recevoir des sugg
se, mais ils vont plus loin ; ils supposent que la suggestibilité des
sujets
n'est point un état permanent et qui leur soit sp
ont la conséquence, mais encore de produire sur le système nerveux du
sujet
des modifications spéciales à la nature de l'agen
consister à accumuler les observations en variant les méthodes et les
sujets
, de manière à mettre en évidence les points saill
on d'un de ses doigts comme réactif, il a reconnu que le corps de ses
sujets
se divisait en deux parties très nettement délimi
'une disposition qui pourrait n'être qu'exceptionnelle, même chez les
sujets
observés, et qui se serait maintenue par suite de
u'aux autres et, dans l'état rudimentaire de nos connaissances sur ce
sujet
délicat, chacun a le droit de défendre la valeur
our ma part, je ne suis point parvenu à reconnaître chez aucun de mes
sujets
la polarité indiquée par M. Baréty; j'ai toujours
publiée par le D' Baréiy,en 1881 ; je la relus et je reproduisis, le
sujet
étant réveillé, la plupart des phénomènes relatif
œil gauche négatif, de telle sorte qu'on contracturait la bouche d'un
sujet
simplement en la regardant en face. M. Dècle, à q
bservations du Dr Baréty dont j'ai pu reconnaître la justesse sur mes
sujets
, la plus curieuse est certainement celle qui a tr
que fois que le procédé opératoire influera sur le système nerveux du
sujet
, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mouvements
mené i dire que l'agent qui défait est le même que celui qui fait. Le
sujet
, étant dans un état détermine, juge inconsciemmen
es féminines, et c'est parmi eux que les pédérastes choisissent leurs
sujets
, leurs clercs; ainsi que le remarque Tardieu, ce
ention sur une même question. L'effort nécessaire pour approfondir un
sujet
leur fait défaut. Le maître emmagasine trop de ch
lade, employé à la Compagnie des chemins de fer du Midi, était un des
sujets
ordinaires à l'aide desquels M. Donato faisai
eaux, des séances publiques d'hypnotisme. Depuis cette époque, il est
sujet
à des crises de sommeil spontané pendant lesquell
s des pratiques d'hypnotisation inconsidérée et non scientifique. Les
sujets
hypnotisés sont des malades qu'il peut être parfo
tte interdiction est motivée par des accidents survenus chez quelques
sujet
* hypnotisés. A la suite de l'?rrête pris par
rieure), et J. RAMADIER, médecin adjoint (i). Le malade qui fait le
sujet
de ce court travail est bien connu. Il a été l'ob
uit: « Profitant de l'extrême hyperexcitabilité neuro-musculaire du
sujet
, M. Mabille. par l'excitation directe des muscles
rise ou modification nerveuse préalables. L'attaque est, chez notre
sujet
, comme la manifestation d'un état morbide pendant
ui en dépendent. L'imposition des mains, qui provoquait chez certains
sujets
un état où ils étaient susceptibles de re- (1)
autrui qui s'impose, a tel point que la cause efficiente des actes du
sujet
est, tout entière, dans la suggestion. Cependant,
imentateur ne pourra, dans aucun cas. suggérer des idées inconnues au
sujet
: en dépit de tous les efforts, un illettré ne sa
sonnelles. Toutefois, par suite d'une longue éducation hypnotique, le
sujet
peut recevoir un ordre contraire à ses conviction
, les conditions obligatoires de La responsabilité font défaut. Si le
sujet
avait, au moment d'agir, possédé la plénitude de
'est pas en conformité parfaite avec l'état moral qui est habituel au
sujet
, sa sanction pénale ne pourrait lui être appliqué
e fait appel à son concours. 11 faut, en pareil cas, s'assurer que le
sujet
ne simule pas; l'expérience ne saurait avoir la v
887. C'est devant un nombreux auditoire, attire par la nouveauté du
sujet
et qui n'a cessé de prêter au conférencier l'atte
édifiés. Il suffira de nous rappeler que, dans l'état hypnotique, le
sujet
obéit à la suggestion verbale. Donnez un ordre,
ntre l'état aïdéique et le monoïdéisme passif. Car, dans cet état, le
sujet
a le cerveau assez réveillé pour n'être pas sans
magnétisme. C'est dans le magnétisme seulement qu'il existe entre le
sujet
et l'expérimentateur un rapport complet, absolu,
quoi résulte le rapport : 1° D'une concentration de l'attention du
sujet
, dirigée uniquement vers le magnétiseur (c'est le
ême titre que la suggestion verbale, elle peut s'exercer, à l'insu du
sujet
, à distance, à échéance. Il faut; expliquer cette
te en dehors de son foyer en se transformant et va retrouver, dans un
sujet
réglé, sa forme primitive. C'est la suggestion me
s opérations chirurgicales, sans douleur et sans chloroforme, sur les
sujets
prédisposés. » Une observation publiée le 16 av
t-elle aussi complète que celle qui lie, dans le sommeil provoqué, le
sujet
à celui qui l'a endormi ? Non! répondront sans
de l'influence des milieux et celles données par un magnétiseur à son
sujet
, il y a au moins une différence. Les unes sont re
l provoqué par le plus habile des hypnotiseurs sur le plus docile des
sujets
. C'est l'engourdissement léthargique dans lequel
sauf celle qu'il plaît à l'opérateur de provoquer. L'impassibilité du
sujet
le mieux préparé vis-à-vis du caprice de celui à
divers degrés de docilité rencontrés par les hypnotiseurs chez leurs
sujets
. Ceux-ci, comme le prouvent des milliers d'expé
eurs, soit de la nécessité, soit de la légitimité de ces actes. Les
sujets
hypnotisés par les milieux sociaux en arrivent à
ente et plus longue. On constate, d'après les mêmes tableaux, que les
sujets
hypno-tisables peuvent être classés en différente
DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES
SUJETS
EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J, LU
t pour objet la possibilité de solliciter expérimentalement, chez des
sujets
en état d'hypnotisme, des émotions variées, de jo
ar l'action de certaines substances agissant à distance sur les mêmes
sujets
hypnotisés. Pour bien limiter mon sujet et me t
t à distance sur les mêmes sujets hypnotisés. Pour bien limiter mon
sujet
et me tenir dans le champ d'études que je me suis
lles arrivent à dominer toute la scène et à dominer la vie mentale du
sujet
. — Qui de vous n'a présents à l'esprit ces cas si
mme un processus réflexe, sans la moindre participation consciente du
sujet
. A son réveil, il ne conserse aucune trace des ém
suivent avec un certain intérêt toutes les questions afférentes à ce
sujet
ne sont pas sans savoir que ces phénomènes nerveu
faire un diagnostic certain. Eh bien! lorsque après avoir plongé un
sujet
en période de léthargie tout d'abord et avoir mis
des émotions. On sait, en effet, combien dans cet état spécial les
sujets
sont aptes à conserver les attitudes expressives
dispose à son gré et les sollicite dans le sens qu'il lui plaît. Le
sujet
ayant par exemple les yeux ouverts, vient-on à lu
ond et se propagent dans tout son être. Quand on laisse, en effet, le
sujet
quelques minutes en présence de ces reproductions
e supercherie, témoignent comment on peut expérimentalement, chez les
sujets
hypnotisés, provoquer rien que par l'action périp
ée, par exemple ? on note les effets suivants. Si on prend la main du
sujet
, lequel est impassible et inerte comme un clavier
Il est curieux de constater à ce propos que lorsqu'on a affaire à un
sujet
hémianesthésique (ce qui est très fréquent chez l
acultés émotives sont pareillement susceptibles d'être dédoublées. Le
sujet
, par exemple, une fois en catalepsie, si on excit
DE MÉDECINE Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche,
sujet
à des attaques nerveuses hystériques, est plong
te), passer, par contact et par une sorte de transfusion, du corps du
sujet
ncurisateur ou magnétiseur, dans le corps du suje
usion, du corps du sujet ncurisateur ou magnétiseur, dans le corps du
sujet
qui sert d'intermédiaire, qu'il soit homme ou ani
a voyons encore passer par rayonnement direct ou réfléchi du corps du
sujet
neurisateur dans celui du sujet intermédiaire (ho
nement direct ou réfléchi du corps du sujet neurisateur dans celui du
sujet
intermédiaire (homme ou animal) ou dans la substa
par l'action de cette force, deviennent visibles et sensibles pour le
sujet
endormi, et peuvent, pendant le temps que se m in
uvent, pendant le temps que se m intient cette influence, agir sur le
sujet
neurisablc de la même manière qu'agirait sur lui
agir sur le sujet neurisablc de la même manière qu'agirait sur lui le
sujet
neurisateur lui-même. Cette force, qui réside e
ital, d'où le nom de rayons neuriques oculaires et digitaux. D'aucuns
sujets
très sensibles voient, dit-on. ces rayons: une de
très sensible a l'action du souffle buccal, comme l'étaient tout les
sujets
que j'ai étudiés et traités avant lui. Ainsi, qua
Je me demande tout d'abord si ce surmenage intellectuel des jeunes
sujets
est aussi réel et aussi nocif, considéré en lui-m
e 1,127 et «1,238, vous arrivez à cette conclusion qu'il y a certains
sujets
adolescents qui, avant l'âge de vingt ans. ont ac
. permettez-moi de faire passer encore sous vos yeux deux cerveaux de
sujets
masculins, d'âge différent, l'un de seize ans, l'
nt la marche régulière des études, il existe un contingent spécial de
sujets
impropres au service, faibles de complexion céréb
et, il faut bien le reconnaître, dans la grande majorité des cas, ces
sujets
-là ce sont des héréditaires, ou bien ils ont un p
a mis en rapport, d'une façon particulière, avec un certain nombre de
sujets
de cette catégorie. Ayant donné des soins aux pèr
ellement un relevé de vingt-quatre cas qui sont relatifs à des jeunes
sujets
de huit à vingt ans, la plupart fils de paralytiq
rt fils de paralytiques; eh bien, — j'ai constaté que chez ces jeunes
sujets
, la plupart du sexe masculin. le goût du travail
lents, facilement fatigués; ils se plaignent de céphalalgie, ils sont
sujets
à des insomnies, ils rêvent haut et deviennent so
pétée quinze jours après. Au point de vue des signes physiques, ces
sujets
-là se distinguent encore par les caractères suiva
nsversale au niveau de la partie culminante du vértex. Eh bien! ces
sujets
-là qui présentent des caractères somatiques et in
messieurs, je pense qu'il est indispensable de faire des réserves au
sujet
des rapports pathogéniques que notre collègue, M.
tuberculose me parait excessivement rare dans certaines catégories de
sujets
qui appartiennent au cadre de la pathologie menta
Il serait peut-être avantageux de varier le mode de présentation des
sujets
d'étude, de les rendre plus agréables et plus ass
livrèrent à une serie d expériences intéressantes. Plusieurs de leurs
sujets
, hypnotisés par la fixation d'une boule brillante
DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOMÈNES ÉMOTIFS CHEZ LES
SUJETS
EN ÉTAT D'HYPNOTISME(1) Par M. le Docteur J. LU
ction rayonnante qu'exercent à distance certaines substances chez les
sujets
hypnotisés. Nos deux éminents confrères, profes
rs â l'Ecole de médecine de Rochefort, ont donc constaté que chez les
sujets
en état d'hypnotisme, il se développe un tel état
yées pour déjouer toutes les tentatives de supercherie de la part des
sujets
en expérience. Ces détails feront l'objet d'une c
ontenterai seulement de dire, pour le présent, que j'ai opéré sur des
sujets
différents, pour vérifier les résultats les uns p
discutable les phases émotives par lesquelles passe inconsciemment un
sujet
hypnotisé, suivant qu'on le met en présence de te
ses ou loquaces. Dans la première série, suivant la constitution du
sujet
, suivant son impressionnabilité intime, la nature
bstance employée, les phénomènes réactionnels évoluent en silence. Le
sujet
étant maintenu dans l'état léthargique, tous les
èce. Dans la seconde série de faits, alors que la susceptibilité du
sujet
est plus exaltée ou que l'action de la substance
l'action de la substance employée a un lieu d'élection différent, le
sujet
ne reste pas à la période de léthargie ; il s'élè
ntellectuelles. I. — Dans la première série de faits, alors que les
sujets
en expérience restent cantonnés dans la phase de
éroté les tubes de verre contenant les substances actives à l'insu du
sujet
, on les place tout d'abord au lieu d'élection, su
dominent. Les émotions gaies sont plus rares à susciter. Chez les
sujets
dédoublés, elles sont souvent unilatérales, et la
mble avoir été tout d'abord influencé par l'incitation centripète. Le
sujet
devient rapidement anhèlant. Il accuse de l'anxié
igrammes, comme toutes les substances employées, mises en présence de
sujets
dédoublés, détermine des effets différents, suiva
icite presque immédiatement l'expression d'une très vive terreur : le
sujet
est (i) On comprend aisément qu'une expérience
néanmoins, j'ai pu prendre au vol en quelque sorte la photographie du
sujet
en expérience, qui est dans un état d'année compl
f devient progressif ; l'émotion terrifiante s'élève d'un degré et le
sujet
subit une réaction qui dénote un sentiment de déf
reste contracture. Il ne faudrait pas insister davantage pour voir le
sujet
, toujours silencieux, se lever précipitamment, se
l'on assiste alors à une transformation complète de la physionomie du
sujet
. Si les émotions précédemment suscitées étaient
graphie exprime en effet un état d'abandon et de sérénité parfait. Le
sujet
repose mollement sur le fauteuil, ses bras sont l
bilité des phénomènes émotifs que l'on est amené à constater chez les
sujets
hypnotisés. La description détaillée des effets p
ont une action presque constamment la même, non seulement sur le même
sujet
, mais encore sur des sujets différents. Ainsi
tamment la même, non seulement sur le même sujet, mais encore sur des
sujets
différents. Ainsi, le sulfate de strychnine à
les avec secousses convulsives et raideur du tronc. La physionomie du
sujet
avait l'expression mal caractérisée d'un violent
nse. Présenté alternativement soit du côté gauche ou du côté droit du
sujet
, il semble principalement frapper sur l'innervati
il semble principalement frapper sur l'innervation des muscles. Le
sujet
, ainsi qu'on peut le voir sur la figure photograp
umule, et il arrive un moment où la raideur du tronc se révèle, et le
sujet
demeure en proie à un véritable opistothonos. L
et l'impossibilité de se tenir debout. Ainsi, en 8 ou 10 minutes, le
sujet
en expérience, sous l'action d'une dose modérée d
transformée, embarras de la parole et délire approprié (i). Un autre
sujet
, dont j'ai reproduit également les phases ultimes
vec d'autres substances, que (t)Dans la plupart des expériences, le
sujet
E ne demeure pas cantonné dans la période de cata
e de temps qui a suffi à l'alcooliser à fond), on voit incontinent le
sujet
reprendre peu à peu l'usage de ses sens, expurger
estations expressives ont un tout autre caractère. — Dans ces cas. le
sujet
hypnotisé, au lieu d'évoluer sur place en période
algré la lucidité des réponses données, malgré la docilité extrême du
sujet
, qui peut accomplir tout ce qu'on lui demande, il
agne, alcools divers, etc. Le tableau des réactions personnelles du
sujet
est tout à fait différent des allures précédentes
s un automate qui s'agite, mais un automate parlant. On voit alors le
sujet
obéissant soit à des aptitudes naturelles, s'il e
ne, par exemple. Les impressions alors sont tristes et lugubres. Le
sujet
, par exemple, se croit dans un cimetière, il assi
pression d'une douleur profonde et intense s'est révélée chez le même
sujet
à plusieurs semaines et même après une année d'in
vélées et des scènes de véritable gaîté qui ont été reproduites. Le
sujet
, par exemple, qui adore le théâtre, se croit au m
ont des scènes de vol, de pillage, d'assassinat et d'évasion. Le même
sujet
, qui aime, en qualité d'hystérique, à se repaître
e telle— (i) MM. Bourru et Burot ont constaté, de leur côté, que le
sujet
sur lequel ils ont expérimente la valériane avait
de léthargique. J'ai obtenu des réactions semblables chez les mêmes
sujets
, en employant, comme je l'ai dit, des substances
dant en conclure Qu'une substance quelconque, qui a sollicité chez un
sujet
des scènes de vol et d'assassinat, soit apte à dé
, et appropriés au genre de vie et aux aptitudes propres à chacun des
sujets
mis en expérience. Voici maintenant une autre s
ité réactionnelle auquel est arrivé l'organisme humain. Tant que le
sujet
est en scène, tant qu'il faut qu'il parle, qu'il
interrompre subitement les courants d'incitation qui vont du tube au
sujet
; vient-on à éloigner tout d'un coup le tube stimu
uel on enlève tout d'un coup ses béquilles (i). Ces oscillations du
sujet
qui suivent ainsi à distance les stimulations viv
oter, dans ces circonstances, que de voir avec quelle indifférence le
sujet
subit ces alternatives de hausse et de baisse dan
, d'émotion ou de souffrance. Lorsque, suivant l'état des forces du
sujet
et suivant l'intensité des réactions auxquelles i
ubstance soit complètement éteinte. On s'assure de ce fait lorsque le
sujet
est revenu spontanément à la période de léthargie
son énergie dans les régions antibrachiales. Le réveil, lorsque les
sujets
sont lourds, peu impressionnables, est souvent lo
pas seulement de la question de ces suggestions - imposées à certains
sujets
qui éclatent après quinze, vingt jours, après plu
énomène naturel copié sur la marche régulière des étapes normales. Le
sujet
, par la privation de la substance stimulatrice, e
iences, de la prise du regard, par exemple, alors qu'on présente à un
sujet
en catalepsie un objet-brillant. 11 fixe cet obje
is vient-on a faire disparaître instantanément cet objet brillant: le
sujet
n'est plus soutenu par l'action inciiatrice de la
faire en présence de toutes ces questions multiples qui surgissent au
sujet
des pratiques de l'hypnotisme ? — Comment empêche
r seulement à l'extérieur. L'action locale des médicaments a été le
sujet
de nombreuses discus- ] sions entre les physiolog
tra du moins d'apprécier sans danger l'impressionnabilité de certains
sujets
aux substances médicamenteuses et toxiques. Quand
des effets aussi puissants que ceux qu'elle détermine sur deux de nos
sujets
, on peut comprendre l'effet que produiraient à -l
critique, discute, expérimente. C'est ainsi que les faits qui font le
sujet
de ce travail, si étonnants qu'ils tussent, ont e
s expérimentateurs ont pu croire a une éducation, un entraînement des
sujets
: nous avons fait justice de cette hypothèse par
pothèse par cette seule observation que c'est du premier coup que nos
sujets
atteignent leur maximum de sensibilité aux substa
mpossible est la suggestion, quand une substance inodore, inconnue du
sujet
, de l'expérimentateur, des assistants, présentée
é- (1) Nom avons reçu de M. le Dr Aug. Forel un travail sur le même
sujet
: que nous publierons dans notre prochain numéro.
en qu'elle ressorte de l'observation même des faits. Si l'on prend un
sujet
ayant le crâne régulièrement constitué, on pourra
é la déséquilibrai ion mentale que l'on trouve chez la plupart de ces
sujets
. Les gauchers ont fréquemment une hérédité nerv
cine. M. Andrieu fut appelé, il y a quelque temps, près d'un de ses
sujets
habi-tuels, le jeune C…, âgé de 16 ans, qu'il a d
de la foire il fut endormi par un saltimbanque, qui, le trouvant bon
sujet
pour ses expériences, lui proposa de l'accomp
t des substances toxiques. Les expériences ont pleinement réussi. Les
sujets
étaient des hystériques très sensibles à l'hypnot
eprend graduellement son cours normal. L'expérimentateur suggérait au
sujet
, pendant l'hypnose, la croyance certaine à sa guê
pour cela d'offrir un secours précieux a la thérapeutique. Un autre
sujet
présentait les mêmes troubles morbides; son mal é
a pu observer un cas de guérison de la chorée par ce traitement. Un
sujet
de 13 ans présentait, lors de son admission, des
es bains chauds et les douches d'éther sur la colonne verté-brale. Le
sujet
ne goûtait pas un instant de calme ; ses nuits ét
ives susceptibles de déterminer quelques affections mentales chez des
sujets
prédisposés par hérédité ou par tempérament. Le d
s craintes sérieuses pour sa vie. Cette jeune femme était fréquemment
sujette
à des pertes abondantes, mais celle-ci dépassait
les prochaines règles ne reviendraient qu'au bout d'un mois, mon
sujet
a été régis non pas au bout de vingt-huit ou ving
gence, mais en dépit de ses, indications et contre la volonté même du
sujet
. C'est une manie impulsive, On a porté sur cett
e plus léger; malgré tous les moyens employés a diverses reprises, le
sujet
n'arrivait même pas à fermer les yeux. Je me suis
éthodisée. 5° Elle agit en décuplant en quelque sorte la volonté du
sujet
, qui peut arriver peu a peu à modérer et à domine
ue d'une hallucination, d'un acte quelconque, reste sans effet, si le
sujet
est soumis à une action hétéronome ou à toute aut
cturante au moment fixé pour ion développement, et cela, parce que le
sujet
suggestionné ne peut, dons ce moment, par le fait
main de l'expérimentateur appliqués sur le buste ou sur un membre du
sujet
ne contractures en position isonome que lorsque l
es extrémités de l'aimant ou le bout des doigts regardent en haut (le
sujet
étant suppose dans la position verticale et les b
traversant une tige de laiton recourbée en fer à cheval placée sur le
sujet
en position isonome des pôles (fig. 1 et 4) donna
sent MM. Chazarain et Dècle. qui en ont répété un grand nombre sur un
sujet
devant les membres du Congrès. Mais les membres
e (fig. 1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même sens que celui du
sujet
(fig. 4, 5, 6), ils décontracturent ou ils esthés
r le côté droit du buste, parce qu'il est de sens inverse de celui du
sujet
: 2° qu'il est résolutif des contractures et des
sur le côté droit du buste, parce qu'il est de même sens que celui du
sujet
. Il résulte du travail de MM. Chazarain et Dècl
.1) (Fig. 2) (Fig 3). Le courant de direction inverse du courant du
sujet
. ENDORT [Fig.4) (Fig. 5) (Fig. 6 Le courant d
.7) (Fig. 8) (Fig. 9) Le courent de direction inverse du courant du
sujet
. endort parfois (Fig- 10) (Fig. 11) (Fig. 12)
ances, suivies chacune d'une démonstration expérimentale faite sur un
sujet
hypnotisé, Mme F... Dans celle du matin, il n'a é
les expériences ont parfaitement réussi et semblé prouver que sur le
sujet
présent, le sommeil, de même que l'anesthésie et
ons polaires isonomes et par les courants de sens inverse de celui du
sujet
; que le réveil, de même que l'esthésie, l'hyperes
act, en hétéronome et être rétablie par une application isonome. Le
sujet
avait été averti qu'elle serait incapable de dist
et l'achromatopsie par la fixation avec l'œil droit (-). Enfin, le
sujet
ayant été endormi de nouveau, a été réveillé aprè
ers la nuque a supprimé la vision, arrêté la conversation et rendu le
sujet
à son état normal. Observations d'onanisme guér
autres ; mais enfin, en présence d'une idée, d'un acte à exécuter, le
sujet
se trouve dans les mêmes conditions morales qu'en
ais la réalisation de cette idée dépend tout entière de la volonté du
sujet
. Si celui-ci est habituellement d'une volonté fai
it, mais la défense faite de se souvenir empêche toute révélation. Le
sujet
endormi est assailli par la pensée qu'il ne doit
'il existe un moyen de découvrir le secret. Si, au lieu d'endormir le
sujet
et de lui demander ce qui s'est passé, on lui app
pidement. Toutefois, de temps â autre, des douleurs survenaient et le
sujet
, habitué à être soulagé instantanément par le som
égale, et les résultats obtenus dépassèrent mes prévisions. Le même
sujet
endormi, on lui suggéra la pensée de commettre un
de quelques instants, sa main se détache et retombe naturellement. Le
sujet
don profondément; le sommeil dure deux minutes, c
me verrait et m'a défendu de me rappeler ce que j'aurai fait. » Le
sujet
donne le signalement exact de ce monsieur Durand
e rappelle. Des expériences identiques ont été faites sur plusieurs
sujets
en présence des témoins compétents, en prenan
qu'on avait surpris dans un hôpital de Bordeaux un de nos principaux
sujets
en flagrant délit de simulation. Or il se trouve
isément que ce farceur non seulement n'a pas été un de nos principaux
sujets
, mais encore qu'il a été considéré par nous-mêmes
iculté est de décider si tout se passe dans le cerveau inconscient du
sujet
, comme par suggestion, ou s'il y a une action phy
professeur au Collège de France. Procédé pour distinguer, chez les
sujets
hypnotisables, les effets dus à l'auto-suggestion
erche des lois qui régissent les phénomènes nerveux observés chez les
sujets
hypnotisables présente de très grandes difficulté
euvent se produire, dans un certain état, sous l'action du cerveau du
sujet
aussi bien que sous l'influence des agents extéri
comme si le frein de la volonté était déclanché. Ainsi, je mets un
sujet
en état de crédulité par une action quelconque qu
r les yeux, une application polaire en hétéronomie sur le cerveau, le
sujet
reviendra à son état normal. Il résulte de là q
la loi que j'indique. Je me suis borné à constater sur deux ou trois
sujets
que les contractures des membres dues à des actio
phénomènes d'émotivité spéciale que présentent au plus haut degré les
sujets
mis en état d'hypnotisme. — Les leçons clinique
decine de Bordeaux, 1885, 1886. 1887.) Luys : Les émotions chez les
sujets
en état d'hypnotisme. Etudes de psychologie expér
i exclue absolument la suggestion. Qu'on sache bien que chez certains
sujets
, il suffit d'une fissure bien étroite pour qu'ell
environ en place, grand fut son étonne-ment quand, avant réveillé le
sujet
, il constata chez elle tous les phénomènes de l'i
s le second; M. Focachon n'avait pas parlé pendant l'expérience, le
sujet
Ignorait le contenu du flacon. A son réveil seule
es, après avoir consigné tous les effets observés ou ressentis par le
sujet
, quant» celui-ci serait parti, que nous devions o
on n° 4 contenait du chlorhydrate de pilocarpine. 2° expérience. Le
sujet
est endormi à 2 heures 52; la disparition des sym
a respiration n'est pas accélérée, malgré l'oppression accusée par le
sujet
. Le flacon n° 1 contenait de l'émétique. 4° e
eures 56 ; les troubles précédents se dissipent par la suggestion. Le
sujet
a plusieurs quintes de toux qui continuent pendan
uste en produisant des coliques. Sur 7 substances expérimentées, le
sujet
a accusé des troubles divers; une fois seulement,
ugée, pour ce qui concerne l'action médicamenteuse à distance chez ce
sujet
. Comment expliquer les premiers résultats obten
Fo-cachon? Y a-t-il eu simple coïncidence entre l'auto-suggestion du
sujet
et l'action réelle de la substance ? Y a-t-il eu
de l'opérateur, tout en croyant qu'il conduisait la mienne. On dit au
sujet
: «Que sentez-vous ? » Elle répond vaguement, par
mplète. Je ne prétends pas que tous les faits observés sur d'autres
sujets
puissent s'interpréter par la suggestion. On me d
rpréter par la suggestion. On me dira que je ne suis pas tombé sur un
sujet
favorable ; je ne dis pas le contraire. Je dema
les noms des substances correspondant à chaque numéro. 3° Chez les
sujets
déjà soumis à ces expériences, employer autant qu
veloppe que lorsque les expériences seront toutes terminées et que le
sujet
sera parti. Si, dans ces conditions, les phénom
ant il y aurait d'inconvénients à pratiquer l'hypnotisme chez des
sujets
excellents, bien portants, autant il y aurait d'a
l y aurait d'avantages à l'appliquer comme moyen pédagogique chez des
sujets
mauvais, vicieux ou malades. Nous nous empression
La méthode à laquelle nous avons constamment recours pour mettre les
sujets
dans l'état d'hypnotisme est celle que les leçons
r lesquels on arrive à déterminer l'état d'hypnotisme chez les jeunes
sujets
soient d'une assez grande simplicité apparente, n
tention sont nécessaires pour discerner le degré de suggestibilité du
sujet
. Si, dans la majorité des cas, les enfants obéiss
à des suggestions faites avec" douceur, sans mise en scène, quelques
sujets
y sont rebelles. Il faut donc un certain esprit d
t se ferment. On peut maintenir pendant un instant les paupières du
sujet
fermées avec les doigts, en annonçant qu'elles so
s favorable pour faire les suggestions curatives. Si la plupart des
sujets
sont endormis dès la première séance, comme nous
Il ne faut pas oublier que tout ce qui se dit et se fait autour du
sujet
fait naître dans son cerveau des idées correspond
à celles qu'il Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune
sujet
(1). veut réaliser. Les personnes présentes s'a
, le détournait de l'idée de se laisser hypnotiser. Dans un autre, le
sujet
avait été frappé par l'opinion maintes fois expri
d'en convenir. Nous devons ajouter que la docilité avec laquelle le
sujet
accepte la suggestion n'est pas toujours en rappo
rapport avec la profondeur du sommeil. Et il faut savoir que certains
sujets
, chez lesquels on n'obtient jamais qu'un sommeil
que nous jugeons indispensable est la suivante : Avant d'éveiller le
sujet
, il faut toujours lui affirmer qu'à son réveil, i
l'Age variait de cinq ans à quinze ans. (Nous avons pu vérifier, à ce
sujet
, une constatation de M. le Dr Liébeault, c'est qu
er, à ce sujet, une constatation de M. le Dr Liébeault, c'est que les
sujets
les plus affectés, c'est-à-dire ceux qui urinent
hysiques et morales peuvent être déterminées. Sur des milliers de
sujets
hypnotisés nous n'avons jamais, a Nancy, obtenu l
que ses effets puissent être durables. Pour ma part, je crois que les
sujets
faciles à hypnotiser sont des malades ou des être
rchow. De l'hypnotisme. M. Moll. — Je me suis décidé a traiter ce
sujet
de l'hypnotisme en raison des nombreuses préventi
nator : « On peut donner le nom d'hvpnotisme aux cas dans lesquels un
sujet
devient un instrument passif visa-vis de celui qu
s. On donne le nom de suggestion aux actes que l'on peut commander au
sujet
en état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer
ander au sujet en état d'hypnotisme. Ainsi, l'on peut suggérer a un
sujet
en train de parler qu'il est devenu muet. Au mome
un sujet en train de parler qu'il est devenu muet. Au moment même, le
sujet
s'arrête et est incapable de continuer. Beaucou
rexcitabilité des nerfs et des muscles. Les paupières sont closes. Le
sujet
a l'apparence d'une personne qui dort. Pour obten
clinique M. Babinski. J ai vu la succession des trois phases chez les
sujets
hystériques se faire de la façon la plus classiqu
une suggestion. Je n'ai jamais pu personnellement déterminer chez les
sujets
en expérience la succession des trois stades. Je
res, tandis que j'ai obtenu des résultats très complets chez d'autres
sujets
qui ne présentaient aucune trace d'hystérie. A
t tout à fait accessoire; à Nancy, on n'y a pas recours. Dès que le
sujet
a les paupières closes, on commence les suggestio
s. En premier lieu, il arrive souvent de ne pas réussir à endormir le
sujet
au moins dans la première séance. Un insuccès de
s ecchymoses qui persistaient encore après trois mois. Chez le même
sujet
, MM. Bourru et Burot ont fait apparaître des épis
l'on suggère l'idée que l'on approche une bouteille d'ammoniaque, le
sujet
éternue ou produit un bruit analogue à l'éternuem
Constantin Paul. — On a fait tant de bruit, depuis quelque temps, au
sujet
des phénomènes de suggestion et surtout de la thé
nditions ont été faites les applications : j'ai fourni à M. Bourru un
sujet
très sensible, sur lequel il a pu agir en toute l
me cette hésitation dans la marche se produit généralement lorsque le
sujet
cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru conc
tive, le flacon a été appliqué derrière l'occiput, du côté droit ; le
sujet
a accusé un sentiment de satisfaction, de bien-êt
moire, dont la lecture a été suivie avec tout l'intérêt que mérite un
sujet
si important, il expose les résultats brillants o
rciements chaleureux de l'assemblée pour l'exposition scientifique du
sujet
qu'il vient de traiter. Il est assuré que l'hypno
Naturellement, une discussion ne pouvait manquer de s'engager sur ce
sujet
entièrement nouveau pour les médecins d'outre-Rhi
ir, il parle en rêvant, mais il ne se lève pas. » J'ai hypnotisé le
sujet
6 fois, toujours avec la même facilité et le même
ites, où tous les organes sont scientifiquement examinés, mais où les
sujets
sont des individus inconnus, qui sont venus pour
e qu'en reproduisant ici les paroles que Letourneau a prononcées à ce
sujet
sur la tombe même de Bertillon : « II y a quelq
ière facilité avec laquelle on peut hypnotiser l'immense majorité des
sujets
de tout âge, de tout sexe, de tout tempérament. I
e cette vérité si aisée à démontrer, sans la découvrir? » Parmi les
sujets
qu'on hypnotise, les uns tombent en sommeil profo
il; nous les appelons des somnambules. Un cinquième ou un sixième des
sujets
, d'après M. Liébeault, entre en som- (i) Notre
ggestion. Les mêmes phénomènes peuvent être déterminés chez ces mêmes
sujets
lorsqu'on réussit à se mettre en relation avec eu
oit spontanées, soit suggérées, restent passives, c'est-à-dire que le
sujet
demeure inerte comme dans le réve normal; elles n
dans le réve normal; elles ne deviennent actives, c'est-à-dire que le
sujet
se remue, marche, joue un rôle animé dans l'acte
s réalisées dans rétat hypnotique peuvent, je le répète, chez le même
sujet
, être réalisées les mêmes dans son sommeil nature
la suggestion de l'opérateur ou quelquefois à l'auto-suggestion d'un
sujet
particulièrement impressionnable dont l'imaginati
t des effets de suggestion. Constater que la très grande majorité des
sujets
est suggestible, c'est éliminer l'idée de névrose
a peut-être pas suffisamment saisi ma pensée. II est certain que tout
sujet
qui ne veut pas être hypnotisé et qui sait qu'il
e avec succès a toutes les tentatives. Il est vrai aussi que certains
sujets
ne peuvent pas résister, parce que leur volonté e
efort; je veux parler de l'action médicamenteuse à distance. Certains
sujets
hypnotisés ou même à l'état de veille auraient un
emières manifestations, trahissent leurs sentiments par la parole, le
sujet
entend chaque mot prononcé à voix basse et saisit
ance, pas même l'expérimentateur, ne connaît le contenu du flacon, le
sujet
, après quelques manifestations peu précises, reto
suspends donc mon jugement. Les faits que je n'ai pu produire sur mes
sujets
peuvent être réalisés sur d'autres. Les nier sans
nombre d'observations. J'ai cherché inutilement sur des centaines de
sujets
à produire la transmission de pensée; je n'ai rie
out simplement d'un sommeil provoqué. Bientôt il reconnaît en elle un
sujet
d'une sensibilité exquise aux pra-tiques de l'hyp
le docile aux [suggestions ? Il veut tenter une épreuve décisive à ce
sujet
. Sachant combien Mme Chas- sîn avait aimé son
et. Ils vous dirontqu'ils en sont arrives a suggérer des actes que le
sujet
doit accomplir seulement un mois, trois mois et m
bénéfice. Tout l'intérêt repose dans la réponse à cette question : Le
sujet
exécutera-t-il, ou non, la suggestion ? Dans Al
corrections, d'améliorations. Les discussions, les études sur de tels
sujets
sont donc nécessaires. Que ces -études, que ces d
aments pourraient exercer, même à une certaine distance, sur certains
sujets
, a voulu rechercher quel serait le mode d'action
ait le mode d'action de ces médicaments. Ayant à sa disposition des
sujets
très sensibles, il a institué une série d'expérie
endant que lorsqu'ils faisaient agir les médicaments à distance, leur
sujet
était à l'état de veille, tandis que le mien étai
» Or, cet état de veille, quel est-il ? Ils font remarquer que leur
sujet
se trouve dans un état où toute suggestion est im
s que nous avons appelés points d'inhibition. Dans ces conditions, le
sujet
ne voit plus, n'entend plus, ne sent plus. Il ne
upercherie et pour écarter toute idée de suggestion. On voit que le
sujet
n'est plus en état de veille, au contraire, quand
out à fait au début, mais il s'est endormi immédiatement après, et ce
sujet
qu'on croit dans d'excellentes conditions pour év
qui se sont occupés de cette question et il y a un doute absolu à ce
sujet
. On ne sait donc pas exactement si cette maladi
sais d'où, mais non point, pour sûr, de son service d'hôpital. Ce
sujet
était-il sensible à l'action à distance des médic
vertement: « Essayons toujours. Réussirons-nous ? Je l'ignore. » Le
sujet
mis en léthargie, je présentai, par derrière, un
derrière, un flacon enveloppé, dont j'ignorais le contenu. Bientôt le
sujet
se plaint de coliques et il se produit des contra
s de la Société, que cette titubation se produit toujours, lorsque le
sujet
son du sommeil hypnotique. M. C. Paul n'en dit ri
oisième flacon présenté! Je ne saurais dire au juste ce qu'éprouva le
sujet
, mais ce dont je suis certain, c'est que je décla
es. La République de l'Est publie sous ce titre le fait suivant, au
sujet
duquel plusieurs de nos lecteurs nous demandent n
dicule que certaines personnes pourraient faire retomber sur eux à ce
sujet
, bien à tort cependant. On me dira sans douta :
escence. Aussi M. Decroix a-t-il été bien inspiré eu choisissant ce
sujet
d'actualité pour texte de la conférence de cette
de la suggestion. Chaque observation devra faire connaître l'âge du
sujet
, depuis combien de temps il fumait, la quantité a
acl einopiné d'une attaque suffit à en provoquer les spasmes chez les
sujets
prédisposés. Il en est de même des traumatismes
ne intensité donnée, les résultats varieront singulièrement selon les
sujets
. C'est ainsi que chez un homme vigoureux, bien éq
membres de la Société de médecine de Rouen un jeune homme de 20 ans,
sujet
à des crises caractérisées par la sensation d'une
hypnotique. (Progr. Méd., 15oct.) Luys (J.): Les émotions chez les
sujets
en état d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Bail
mais au moins l'assentiment de quelques-uns. Toutefois, en un pareil
sujet
. l'incrédulité est si légitime et si naturelle qu
râce au bon vouloir de MM. Gibert et Janet, de renouveler sur le même
sujet
, Mme B..., ces expériences si importantes de somm
é tout le temps que vous marchiez, car vous y (1) Voyez sur le même
sujet
le chapitre IV, p. 118 à 144. de la Suggestion me
t. et il n'est pas douteux que Mme B... ne puisse, comme tous les
sujets
somnambuliques semblent le faire, ressentir les e
pas mis suffisamment en garde contre la perspicacité inconsciente du
sujet
et contre ma tendance à l'aider et à la faire réu
point de détail qui eût manqué malgré la perspicacité inconsciente du
sujet
, sa prévoyance eût été mise en défaut à tel ou te
u'il a faites sur Mme B..., depuis la publication de son mémoire à ce
sujet
. Ce sont des expériences inédites à ajouter à cel
tex. Ayant, au cours de l'expérience, présenté devant l'œil gauche du
sujet
un papier rouge, je fus très étonné de l'entendre
oite à gauche. Je plaçai alors, dans le plan vertical de la figure du
sujet
, un écran disposé de telle façon, que chacun de s
es sont faites de telle façon; mais ses doutes ne portent pas sur les
sujets
religieux. Jamais elle n'a compte les objets
un peu de trémulation des paupières, qui restent fermées, mais que le
sujet
arrive à ouvrir en faisant un effort. Pas de cata
Du côté gauche, aucun bruit n'est perçu à l'otoscope. En résumé, le
sujet
rapporte à gauche et sent à gauche un bruit manif
La syntaxe du sourd-muet. Nous extrayons d'un article publié sur ce
sujet
par la Revue internationale de l'enseignement des
goût, hémianesthésie cutanée, hémiplégie), et l'autre, âgé de 25 ans,
sujet
a vies attaques d'épilepsie, était atteint, en ou
manifestations hystériformes pour peu que, quel que soit le sexe, le
sujet
y soit prédisposé. Une observation émanant du ser
Tout le monde le sait, la femme est incomparablement plus que l'homme
sujette
à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c'est-à-d
peut soutenir que nous prenons ici la cause pour l'effet, et que ces
sujets
étaient fous déjà en grande partie, lorsqu'ils se
11 n'en est pas moins certain que l'action des émotions vives sur des
sujets
cérébraux, héréditaires, dont l'imagination s'exa
bulbe, leur terminaison est moins nette et paraît varier suivant les
sujets
: sur les uns, ces faisceaux se continuent en part
rite par les lignes isothermiques de — 5° et de — 15° lesquelles sont
sujettes
à de fortes ondulations. Boréale ou australe, l
nous apprend dans sa préface les motifs qui l'ont engagé à traiter ce
sujet
au point de vue de l'instruction populaire. C'est
ériences de Braid. Signalons un chapitre intéressant intitulé « Les
sujets
magnétiques ». Il s'en faut que tous les indivi
IX concerne le processus, la série des phases du magnétisme chez les
sujets
en expérience. Ce phénomène a été observé par les
onté de l'homme sain des aberrations exceptionnelles obtenues sur des
sujets
hypnotisés, c'est-à-dire soustraits à l'état norm
imentés dans l'art de manier la suggestion, savent les éviter à leurs
sujets
. Le litre de M. Morselli est intéressant a plus
produites : Ce genre de sommeil est connu depuis longtemps, mais le
sujet
n'avait jamais été traité qu'un peu sommairement.
mmeil pathologique. Pour en finir avec cette exposition sommaire du
sujet
, je vous dirai que le phénomène auquel vous assis
hoc local qu'est le point de départ de l'auto-suggestion qui, chez le
sujet
hypnotisé, prend une proportion considérable à ca
pières. II constate qu'au bout de trois minutes, les paupières du
sujet
se ferment, et qu'il tombe dans un profond sommei
l'entouraient qu'elle ne serait pas aussi facile i influencer que le
sujet
précédent. Braid la prie de tenir son regard fixé
quelle il convie tous les membres de l'Association. La nouveauté du
sujet
attire un public d'élite, i tel point que, faisan
otisme entreprises à la Salpétrière, dans le courant de 1878, sur des
sujets
atteints de grande hystérie. Les recherches de
s hystériques, tandis que l'école de Nancy a expérimenté sur tous les
sujets
qui se présentaient. Bien que le magnétisme ani
e foule d'accidents, il serait médicalement interdit d'hypnotiser des
sujets
,ne présentant pas les symptômes d'hystérie confir
tré que l'influence hypnotique s'obtient chez la presque totalité des
sujets
(92 à 95 0/0), et que l'hypnose maniée avec tact
somme. les patientes et longues études de MM. Fontan et Ségard sur ce
sujet
(leurs recherches datent de l'an dernier) permett
: je rechercherai l'explication de beaucoup de choses relatives à ce
sujet
... principalement des points suivants sur lesquel
es observations et à regarder comme essentiels les caractères que ses
sujets
présentent. Je lis, par exemple, dans le livre
nt de lourdeur dans la tête, — que le sommeil hypnotique fatigue le
sujet
, etc., etc. Or, dans le cours d'une pratique dé
je n'ai pas une seule fois observé ces phénomènes. Au contraire, mes
sujets
sont tout particulièrement tranquilles ; leur vis
- logie à l'Université de Liège, je fais des expériences sur deux
sujets
affectés de cécité partielle. Le premier, un jeun
ls somnambules, avec perte régulière de la mémoire, sont les premiers
sujets
que j'ai créés, lorsque j'étais persuadé que tout
vés par ma méthode. De là le singulier spectacle que présentent mes
sujets
, quand ils ne sont pas au repos. Il est impossibl
t retirer, au point de vue thérapeutique, de cette manière d'être des
sujets
. Ainsi, pour conclure, s'il y a encore des somn
im, c'est parce qu'ils le veulent bien. Il suffirait qu'ils disent au
sujet
, au moment de l'endormir pour la première foi
ndre l'état hypnotique à une trace imperceptible, par exemple, que le
sujet
, quand on ne lui adressera pas la parole, pensera
t-être de l'outrecuidance de ma part à aire que j'ai observé chez mes
sujets
les mêmes phénomènes que MM. Lié-beault et Bernhe
s preuves. Pour des motifs dont je rendrai compte un jour, il est des
sujets
que j'endors plusieurs nuits consécutives du somm
l. être tenue pour vraie. Et si MM. Fontan et Ségard imposent à leurs
sujets
un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute
ujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur premier
sujet
les aura entraînés dans cette mauvaise voie, et,
lire? — M arrive souvent, en effet, dans ce genre de séances, que les
sujets
mal réveillés ou réveilles sous une impression pé
on à la thérapeutique me fournit l'occasion de vous entretenir sur ce
sujet
, que j'ai depuis quelque temps étudié avec persév
cience est effectivement abolie si le sommeil est profond, mais si le
sujet
ne dort pas profondément, comme cela arrive dans
après les faits que je vous ai cités, beaucoup plus considérable ; le
sujet
de l'une de mes observations, que je n'ai pas p
Cela dépend, comme je l'ai dit, du degré du sommeil, parce que si le
sujet
s'endort plus profondément, il y a au contraire r
ieurs procédés, on peut de même réveiller de différentes manières les
sujets
endormis. J'ai un malade, nommé Sélim. qui, à la
t dans le sommeil narcotique, soit dans le somnambulisme naturel. Les
sujets
hystériques narcotisés par le chloral, la morphin
enir la même chose dans le sommeil vulgaire si l'on pouvait parler au
sujet
sans le réveiller, et le faire répondre, et j'ins
ur que la suggestion réussisse même dans l'hypnotisme, il faut que le
sujet
accepte la suggestion, et qu'il le déclare nettem
r l'action des médicaments à distance. Non seulement cet homme est un
sujet
historique, mais aussi un misérable. Voici, d'a
. Donc, chez mon malade, ce qui est encore vrai, c'est qu'il est un
sujet
historique. Cet homme est entre à l'hôpital, il
nt, sans entraînement préalable (cas relativement très rares chez les
sujets
très facilement hypnotisables), il nous semble qu
. De la sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les
sujets
en état d'hypnotisme. M. Dujardin-Beaumetz donn
a commission entendait diriger se recherches. M. Luys choisirait le
sujet
qu'il croirait le plus apte à reproduire devant l
vant la commission les effets qu'il avait observés et il placerait ce
sujet
dans les conditions les plus favorables pour mene
tique a celle que M. Luys avait suivie dans la première séance, et le
sujet
en expérience fut toujours le même. Ce qui frap
es placées à distance, c'est que la même substance amène chez le même
sujet
des phénomènes absolument différents. Dans les
ue les effets produits par des médicaments placés a distance chez des
sujets
hypnotisables, paraissaient dépendre plus des cap
issaient dépendre plus des caprices de la fantaisie et du souvenir du
sujet
mis en expérience que des substances médicamenteu
30 août 1887, au sujet de l'action des médicaments à distance sur les
sujets
hypnotisables. émet l'avis qu'aucun des effets co
ien aise de voir réparer : il s'agit de l'action du tube vide sur les
sujets
hypnotisés. » Lorsque la commission s'est réuni
tait à l'action de la lumière qu'étaient dues ces manifestations, les
sujets
étant très sensibles aux agents extérieurs : lumi
t il devient ainsi un foyer d'irradiations lumineuses pour la peau du
sujet
. De là des réactions, de là des convulsions local
on une démonstration peremptoire de ce que j'avance, en présentant au
sujet
en expérience un tube de verre noirci, Le tube, d
'hypnotisme entraine souvent des accidents graves à sa suite chez les
sujets
et chez les assistants, » Considérant que les r
Académie n'a pas été saisie de la question, aucune communication à ce
sujet
ne lui ayant été faite, ni par le gouvernement, n
e elle aurait puse manifester après toute autre peine morale chez ces
sujets
. » Originelle ou acquise, l'impressionnabilité
e chez ces sujets. » Originelle ou acquise, l'impressionnabilité du
sujet
est en effet la condition expresse d'activité de
nt le même, et ces malades n'ont pas un moment de sommeil. Certains
sujets
déclarent impossible à eux de s'endormir avant mi
lièrement bonne et même va grandissant avec le cours des études. A ce
sujet
, elle cite les paroles suivantes de M. Bascom, di
oration avec le Dr Chazarain, de l'élude des agents physiques sur les
sujets
mis en état d'hypnotisme. 11 avait publié plusieu
hénomènes d'anesthésie hystérique très nettement caractérisés. A ce
sujet
, nous devons remercier un érudit Oranais, M. Del-
mais les trois phases, léthargie, catalepsie, somnambulisme. Tous nos
sujets
sont susceptibles des phénomènes dits cataleptiqu
ue, en dehors de la suggestion. Nous obtenons ces phénomènes quand le
sujet
croit (par ce qu'il a entendu dire ou vu faire ch
le sujet croit (par ce qu'il a entendu dire ou vu faire chez d'autres
sujets
) qu'ils doivent se prodduire. II ne se cataleptis
ut seule le sortir de sa torpeur. La léthargie n'est qu'apparente; le
sujet
entend et a conscience pendant toute la durée de
les grandes hystériques. l'hypnose est ce qu'elle est chez les autres
sujets
. Les trois phases n existent pas chez elles, en d
ouvent, il faut une éducation suggestive, en général assez courte, du
sujet
, pour dégager, dans ces cas, l'hypnose du cortège
u cortège des symptômes accessoires surajoutés, variables avec chaque
sujet
, suivant les caprices de son individualité sugges
aturels et psychologiques : ils peuvent être obtenus chez beaucoup de
sujets
dans leur sommeil naturel. 5 L'état hypnotique
gestion d'actes posthypnotiques n'est pas absolument fatal ; certains
sujets
y résistent. (1) De la suggestion et de ses app
sommeil comme dans l'état de veille, l'individualité morale de chaque
sujet
persiste, avec son caractère, ses penchants, son
on impressionnabililé spéciale. L'hypnotisation ne coule pas tous les
sujets
dans un moule uniforme pour en faire des automate
vité volontaire. Mais celle-ci persiste dans une certaine mesure : le
sujet
pense, raisonne, discute, accepte plus aisément q
que chez un petit nombre de personnes, et quand elle réussit chez des
sujets
qui ne savent pas qu'on veut les endormir, c'est
nogènes n'existent pas, en dehors de la suggestion. J'endors tous mes
sujets
, souvent instantanément, en touchant un point arb
ils vont dormir, ou sans rien dire, pour peu qu'ils aient vu d'autres
sujets
hypnotisés par ce pro L'idéecédé. seule fait le s
xpériences, d'avoir vu hypnotiser ou même hypnotisé soi-même quelques
sujets
très hypnotisables, d'avoir fait de la catalepsie
et des hallucinations. II faut avoir expérimenté sur des centaines de
sujets
neufs : il faut avoir manié la suggestion, l'adap
estion. Si nous réussissons, à Nancy, a influencer presque tous nos
sujets
, c'est parce que nous savons manier la suggestion
et Liébeault à Nancv ? (M. Forel arrive à réussir chez 80 0/0 de ses
sujets
.) » Ewald prétend que le succès facile de l'hyp
périence personnelle, confirmer 1 Ecole de Nancy quand elle dit : Les
sujets
sains d'esprit et qui ont un sommeil normal, les
ces prières qu'ils prononcent, c'est une sorte de mélopée qui a pour
sujet
les mérites de leur fondateur, et dont le rythme
is que le magnétiseur est là comme le magicien antique, fascinant ses
sujets
et les faisant manœuvrer, ainsi qu'un dompteur fa
tantôt en nous basant sur l'observation des faits. Et que dire des
sujets
hypnotisés— Des anémiques, des chétifs, des névro
ne, et, sans aucune enquête, sans aucune sélection, il devient un
sujet
, d'hypnotisme; son cerveau, qui tient peut-être à
Je ne vois du moins que des recherches statistiques de Galton sur ce
sujet
qui l'aient précédée. Ce n'est pas tout: je crois
articles, recueils d'observations et d'expériences se suivent sur ce
sujet
avec tant de rapidité et d'abondance que les plus
aleptiques. Suivre de tels errements serait pernicieux. Entre les
sujets
atteints d'hystérie, une distinction s'impose. Le
est aucun qui se prête â des perversions plus étranges, même cher les
sujets
qui paraissent sous tous les autres points de vue
publiques d'hypnotisme, une importante discussion s'est ouverte à ce
sujet
dans le sein de cette assemblée. Avant de se pr
sans-gène avec lequel les magnétiseurs se jouent de la santé de leurs
sujets
. Depuis, M. le professeur Charcot a signalé l'app
uences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état mental de leurs
sujets
. Quelques-uns faisaient preuve d'une brutalité in
et augmentée, du Mémoire que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même
sujet
, à l' Académie des sciences morales et politiques
je viens de le dire, je trouvais souvent moins de résistance chez le
sujet
mis en expérience, quand je le laissais en cet ét
avait un certain changement d'étal psychologique à produire chez les
sujets
d'ailleurs très sensibles et antérieurement hypno
te tout ponctuellement. Lorsque nous étions ainsi convaincu que notre
sujet
était en état de suggestibilité hypnotique, nous
in, etc., nous ne reviendrons pas sur ce que nous avons déjà dit i ce
sujet
. Uniquement préoccupé de la nécessité de réunir u
rder une matière délicate et dangereuse : « Ne jamais hypnotiser un
sujet
qu'après avoir obtenu son assentiment formel ou l
fois l'hypnotiseur et l'hypnotisé. « S'enquérir au préalable si le
sujet
n'est pas atteint d'accidents nerveux ou de troub
on, ait entraîné souvent des accidents graves à sa suite, ni chez les
sujets
, ni chez les assistants. D'ailleurs, en mettant
faudrait se borner à donner au public des conseils hygiéniques sur ce
sujet
. Car, au point de vue de la morale publique, rien
de mer. peuvent contribuer à provo-quer la crise convulsive chez les
sujets
prédisposés. Le café lui-même n'a trouvé grâce ni
ésigne en médecine sous le nom de terreurs nocturnes. Or, les enfants
sujets
aux terreurs nocturnes à l'âge de six à huit
ur les expériences d'hypnotisme qui ont été pratiquées sur différents
sujets
, en presence de M. Charcot. » On sait que sous
t rien d'étonnant à ce qu'ils soient arrivés à produire chez certains
sujets
ces changements de personnalité, ces hallucinatio
nt thérapeutique en gynécologie, 223. Emotifs (phénomènes) chex les
sujets
en état d'hypnotisme par Luys. 75, 99. Enfants
e, 184. Sollicitation expérimentale des phénomènes émotifs chez les
sujets
en état d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. So
8; pl. 2, 149. Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune
sujet
, 174. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS
dés variés et en particulier par la suggestion, de provoquer chez les
sujets
une série d'états nerveux spéciaux, essentielleme
seur, cet individu eut la malencontreuse idée de suggérer à plusieurs
sujets
que le feu venait de prendre au théâtre. Les suje
gérer à plusieurs sujets que le feu venait de prendre au théâtre. Les
sujets
affolés s'enfuirent à travers la foule avec une t
hors de doute ce double fait : l° Qu'on se trouve en présence d'un
sujet
chez qui le somnambulisme peut être provoqué ;
amnésie complète. Voici l'une des expériences que j*ai faites à ce
sujet
: Le 9 juin 1888, à la clinique de M. le Dr Lié
quelques instants, je rentrai dans la pièce où se trouvaient, avec le
sujet
mis en expérience, dix ou quinze consultants; à p
nterie; il lui offre un verre imaginaire contenant le spécifique ; le
sujet
le prend avec confiance, le boit avec conviction
ême explication, mutatis mutandis, s'appliquerait également bien « au
sujet
» de M. Bernheim. Je ne sais si je ne me fais i
d'un crime. Et je formulerai ainsi ma pensée: On pourra faire à un
sujet
hypnotique, relativement à « l'auteur quel qu'il
draient recourir à la suggestion pour faire accomplir un crime par un
sujet
hypnotisable. La justice reprend ses droits ; la
peut s'appliquer non seulement aux crimes ou aux délits imputés à des
sujets
hypnotiques, mais encore à ceux dont ils auraient
loquacité et de demi-sommeil, qui ont persisté et qui ont empêché le
sujet
de se livrer à ses occupations ordinaires pendant
ignalé l'aggravation de toutes sortes de maladies nerveuses, chez des
sujets
qui avaient été soumis aux manœuvres hypnotiques
détail. Le fait qui importe et qui n'est pas niable, c'est que des
sujets
prédisposés à l'hystérie ont eu leur première man
até par M. Pitres: « Un jeune employé de chemin » de fer était un des
sujets
ordinaires à l'aide desquels Donato faisait » der
rdeaux, des séances publiques d'hypnotisme. Depuis » cette époque, le
sujet
a des crises de sommeil spontané, pendant les-» q
e vrai, le » seul danger, et il est très sérieux, c'est d'asservir le
sujet
à l'expéri-» mentateur, de façon qu'une fois le p
émis la pensée que les séances publiques d'hypnotisme permettent aux
sujets
prédisposés de s'éclairer,—c'est, si je ne me tro
honorable préopinant; j'ai le regret de penser, au contraire, que ces
sujets
prédisposés ont particulièrement besoin d'être pr
e, qui diminue l'équilibre ou la résistance du système nerveux. Ces
sujets
prédisposés sont malheureusement les plus suscept
viations de la ligne droite auxquelles, les circonstances aidant, les
sujets
les mieux doués sont enclins. Ce n'est pas la r
seau (écrits où il est a peine consacré passim quelques lignes au
sujet
), J. Simon (1), Bourdin (2), Fournet (3), Dally (
otisme ne semble devoir réussir d'une façon durable que chez certains
sujets
très suggestibles- » J'ai dressé un petit table
nt un catalogue de tons les périodiques ayant quelque rapport avec le
sujet
qui occupe l'auteur. Cette liste ne comprend pas
ion à l'autre, chaque fois que le titre cité peut se rapporter à deux
sujets
d'études ou rentrer dans deux classes différentes
ble. Au cours de cette expérience, j'ai été amené à étudier l'état du
sujet
pendant que je réalise pour lui l'hallucination n
ne rendue invisible, ses paroles continuent à impressionner l'ouïe du
sujet
; mais il y a annulation de la sensation, qui n'es
pas perçue par l'intelligence, à cause de la suggestion même. « Le »
sujet
, dit M. Bernheim, voit tous les objets, à l'exclu
une illusion négative. » Enfin, parlant de la surdité suggérée à un
sujet
qui ne doit plus ni le voir ni l'entendre, M. Ber
rience me parut assez intéressante pour être renouvelée avec un autre
sujet
, et voici le résumé succinct des épreuves et des
ntendra plus, puis il me laisse expérimenter à ma guise. Réveillé, le
sujet
est en rapport avec tout le monde; seul, je n'exi
e s'il s'agissait d'une voix intérieure, exprimant des pensées que le
sujet
tirerait de son propre fonds. Et alors l'automati
que vous tenez là, qu'est-ce que c'est? » Je viens au secours de mon
sujet
, et je dis : « C'est un soulier que Camille doit
le docteur Dufay pour Mlle R... L... de Blois, et, pour divers autres
sujets
, plusieurs auteurs, parmi lesquels nous citerons
onne objet de l'hallucination négative peut entrer en rapport avec le
sujet
, aux yeux duquel on croyait l'avoir fait entièrem
ules ? Jusqu'ici, on a cru que la personne rendue invisible pour le
sujet
hypnotique n'était pas vue par lui ; qu'elle n'ét
ssiques, malgré l'Ecole de Nancy, qui ou bien n'a point opéré sur des
sujets
assez sensibles, ou bien n'a point pris toutes le
par exemple, la fixation du regard, qui cesse d'agir aussitôt que les
sujets
ont les yeux fermés. Suivant que ces sujets son
d'agir aussitôt que les sujets ont les yeux fermés. Suivant que ces
sujets
sont plus ou moins sensibles, on semble arriver d
te autre façon. A l'aide de fasses, ils prolongent leur action sur le
sujet
pendant un quart d'heure, une demi-heure et quelq
orsqu'ils ont reconnu, à l'aide de certains signes extérieurs, que le
sujet
a atteint le degré de lucidité qu'ils cherchent a
de commun. C'est une erreur. J'ai prié un magnétiseur d'agir sur son
sujet
suivant sa méthode ordinaire, à l'aide de laquell
eil au moment de la pause. Je suis parvenu à constater ainsi que le
sujet
passait par tous les états que j'ai décrits dans
ler une loi. Je vais d'abord décrire ce qui se passe avec celui des
sujets
sur lequel j'ai expérimenté le plus souvent et qu
e le terme consacré de léthargie pour designer un état dans lequel le
sujet
présente une apparence de prostration beaucoup pl
beaucoup d'autres phases de l'hypnose. Quand il est en léthargie, le
sujet
paraît insensible, ses membres retombent inertes,
montre au moment où il entre dans l'état de rapport. (1) Il y a des
sujets
facilement hypnotisables qui ne sont point sensib
ue dans mon livre sur Les forces non définies. Je n'ai étudié que ces
sujets
-là, chez lesquels l'influx nerveux présente une m
'est autre chose que le sommeil ordinaire(1) ; car si je surprends le
sujet
dans ce sommeil et que je diminue l'hypnose par l
eu près au même degré que dans l'état normal. ÉTAT DE RAPPORT. Le
sujet
n'est en rapport qu'avec le magnétiseur, quel qu'
at, comme la catalepsie, présente deux phases. Dans la première, le
sujet
perçoit encore les sensations provenant d'autres
ause un bouleversement par tout le corps. Dans la seconde phase, le
sujet
ne perçoit plus que le magnétiseur. Si celui-ci j
as, il suffit que le magnétiseur place ses doigts contre l'oreille du
sujet
de telle manière que le son passe par les doigts
de cette phase léthargique avec le sommeil ordinaire que sur un seul
sujet
, Benoist. (2) Dans un autre article, je traiter
né par un courant galvanique ou un effluve d'électricité statique, le
sujet
ne perçoit plus que les objets en contact avec l'
trodes ou en communication avec la machine électrique. La plupart des
sujets
voient le fluide de l'opérateur quand ils sont à
e reviendrai également sur ce phénomène. D'une façon générale, le
sujet
ne perçoit aucun objet, à moins qu'il ne soit en
lupart des cas, comment les anciens magnétiseurs trouvaient que leurs
sujets
étaient naturellement en rapport avec certaines p
t un sentiment de béatitude extrêmement caractérisé, manifesté par le
sujet
(fig. 2), qui résiste toujours si on veut le réve
voient que le magnétiseur ou les objets en contact avec lui; mais le
sujet
objective ses visions à l'extérieur, car il écart
puis vient l'état de sympathie. état de sympathie au contact. Le
sujet
continue a n'être en rapport qu'avec le magnétise
c'est qu'il suffit que le magnétiseur éprouve une douleur pour que le
sujet
en contact avec lui la perçoive. Si moi, magnét
rès l'état de sympathie vient encore une période de léthargie dont le
sujet
sort en état de lucidité. état de lucidité. L
rgie dont le sujet sort en état de lucidité. état de lucidité. Le
sujet
voit alors en plus les organes intérieurs de la p
et a recommandé des boissons rafraîchissantes. Dans cet état, le
sujet
acquiert une faculté nouvelle, c'est de reconnaît
nt toucher plusieurs objets par une personne, puis la personne par le
sujet
. Le sujet retrouve toujours l'objet touché. J'a
plusieurs objets par une personne, puis la personne par le sujet. Le
sujet
retrouve toujours l'objet touché. J'ai vainemen
ceux qui ont trait aux individualités, s'affaiblissent peu à peu. Le
sujet
ne conserve avec netteté que ceux des phénomènes
état suivant que j'appelle Etat de sympathie à distance, parce que le
sujet
n'a plus besoin de toucher l'opérateur pour perce
ggestion ne s'exécute pas.) J'ai expérimenté sur plusieurs autres
sujets
, mais, malheureusement, il ne m'a pas été possibl
te. Tout cela s'opérait avec un retard d'une ou deux minutes, et le
sujet
, interrogé sur la manière dont il percevait l'ord
la tête se renverse en arrière, mais les yeux ne s'ouvrent pas et le
sujet
raconte ses visions. que celles de l'aller ne
lle n'est point complètement éveillée (1). Chez quelques-uns de ces
sujets
, l'aptitude a la suggestibilité commence des la v
t : ici la sensation va du dehors au dedans, elle est passive dans le
sujet
sentant. Mais à peine ce premier phénomène est-il
ité de reconnaître que la plus grande partie de ses recherches sur ce
sujet
sont très consciencieuses et conduites avec une p
, des actes ou des phénomènes consécutifs. « C'est la conviction du
sujet
, écrit le P. de Bonniot, qui est ici le grand, l'
quelque chose de semblable a ce qui se passe lorsqu'on fait rougir un
sujet
très impressionnable en lui affirmant qu'il rougi
un point quelconque ou sur tous les points, ne cesse de raisonner. Le
sujet
, une fois endormi, ne s'inspire plus de son propr
e et d'attention soutenue pour arriver à produire, au début, chez les
sujets
non entraînés, les phénomènes de l'hypnose. Les
se. Les uns, à l'exemple de Braid, font miroiter devant les yeux du
sujet
un objet brillant, un bouchon de cristal, par exe
roduisent une série de sons articulés, et incitent, itérativement, le
sujet
à s'endormir ; tantôt ils ont recours soit aux vi
ne seraient pas aptes à produire chez l'homme, du moins chez certains
sujets
névrosiques, prédisposés, des actions similaires
isation. Ces instruments, d'après ce que j'ai vérifié, ont chez les
sujets
hypnotisa-bles, soii du sexe masculin, soit du se
les ataxîques, une action somnitcre des plus évidentes. Une fois le
sujet
placé devant un de ces appareils en mouvement, l'
mesure qu'on répète les séances de fascination, j'ai remarqué que les
sujets
, d'abord en catalepsie, sont aptes insensiblement
les premiers temps. Il est à noter qu'on peut grouper trois ou quatre
sujets
autour d'un appareil en rotation et qu'on peut ai
s hypnotiques, que l'on peut suivre ainsi simultanément sur plusieurs
sujets
à la fois. Dans la même série d'idées, j'ai eu
. Il faut partir de ceci : l'astuce est une des aptitudes notoires du
sujet
; l'astuce liée d'ordinaire à la vivacité de l'ima
démêlions un état mental particulier, un état mental qui, plaçant le
sujet
sur les limites de la maladie et de la santé, a é
la névrose convulsive n'attend que l'occasion pour éclater, chez les
sujets
qui forment le troisième, la prise de possession
érentes reprises. Quelques jours après le départ de Donato, il devint
sujet
à des attaques de sommeil spontané dans lesquelle
seur sur le théâtre. Pendant plus de six mois, ce pauvre garçon a été
sujet
à ces accidents; il est aujourd'hui complètement
aux dangers de l'hypnotisme extra-scientifique. J'ai même fait sur ce
sujet
, à la fin de l'année dernière, une leçon que j'ai
ulu vérifier la réalité de l'action médicamenteuse à distance sur les
sujets
les plus sensibles de leur service. M. Bernheim
e l'Ecole de Nancy, faciles àcontrôler. vérifiées sur des milliers de
sujets
par des médecins de tous les pays. ne courent plu
pinion du Journal des sciences médicales de Lille, lorsqu'il dit à ce
sujet
: « N'oublions pas qu'il n'y a de science que là
; qu'il y a des causes d'erreur qui tiennent à l'expérimentation, au
sujet
en expérience, au mode expérimental ; c'est faute
eur. Ce moyen consiste moins à se défier de la simulation possible du
sujet
, qu'à se souvenir du laconique conseil donné par
j'ai montré par l'expérience suivante : Deux brûlures faites au même
sujet
, a deux endroits symétriques (aux deux bras, aux
appuyer sur l'une ou l'autre expérience entreprise spécialement à son
sujet
; mais, dans une matière aussi neuve que l'hypnot
seulement au bout d'une grosse heure que nous revenons à nos premiers
sujets
, tous encore endormis d'un sommeil paisible. Nous
onnant ; mis sur le chemin du souvenir par son adroit hypnotiseur, le
sujet
répétait ponctuellement la leçon qui lui avait ét
rieux de connaître les différences que l'on pourrait trouver entre le
sujet
de cet épisode et le malheureux insensé donr parl
acilité surprenante avec laquelle la suggestion nouvelle agit sur des
sujets
déjà préparés par des suggestions antérieures. -
aire de faire intervenir les pratiques de l'hypnotisation. Il est des
sujets
de l'espèce, et peut-être sont-ils plus nombreux
ne aptitude qui domine entièrement la situation. la suggestibilité du
sujet
. Le terme sommeil hypnotique désigne donc un phén
e élément fondamental indispensable et nécessaire, la faculté pour le
sujet
d'obéir aux suggestions verbales ou sensorielles.
: sjt»is*ab!c : mais les meutes troubles se présentent aussi chez des
sujets
indemnes absolument de toute dîatnèse nerveuse ju
ait d'hypnotisme, tourne dans le même cercle vicieux. En prenant pour
sujets
exclusivement des hystériques confirmées, elle a
n'apparaissent qu'au moment où l'on prend pour champ d'observation un
sujet
capable de les présenter en dehors de toute influ
particulier, c'est la suggestibilité, c'est-i-dirc l'aptitude pour le
sujet
d'être influencé par la suggestion. L'hypnose e
r, et se perfectionnant par l'éducation, en ce sens qu'à mesure qu'un
sujet
est suggestionné, plus U devient facilement, dive
s avons constatées, et, comme le fait remarquer M. de Lausanne, leurs
sujets
brûlaient généralement les étapes constituées par
moitié cataleptiques, pendant cette crise. Les femmes n'y sont point
sujettes
, du moins je n'en ai point vu dans cet ciat-la. J
«'éteignit; elle nous dit avec beaucoup de peine que la malade était
sujette
au genre d'oppression que sa présence venait de l
isme animai en France. — Paris. 1826), Bertrand revient encore sur ce
sujet
: « Je crois, dit-il (p. 428), qu'il n'est person
La sensation des maladies d'une personne, par le simple contact du
sujet
magnétisé avec un objet ayant appartenu à la pers
té de sensations véritablement remarquable entre l'operateur et son
sujet
, phénomène qui pourrait être nommé d'une façon pl
ailleurs en ceci des expériences faites par ce dernier comité, que le
sujet
n'est pas dans son état normal, mais se trouve pl
r une chaise, les veux bandés, et M. Smith se tenait derrière lui. Le
sujet
fut endormi par M. Smith à l'aide de passes. Ce d
lque chose? » Cette question était prononcée par M. Smith, puisque le
sujet
paraissait ne pas entendre les autres personnes.
s la première série d'expériences, M. Smith tenait l'une des mains du
sujet
, mais cette précaution ayant été constamment trou
té constamment trouvée inutile, tout contact entre l'opérateur et son
sujet
a été rompu dans les expériences ultérieures (a).
quel j'avais fait quelques expériences relatives à la polarité, était
sujet
à des accès de somnambulisme naturel se reproduis
pabilité. V De tout ce qui précède, on doit conclure que certains
sujets
peuvent, dans certains états de l'hypnose, éprouv
on s'était donné un autre mandat; elle eut des défiances vis-à-vis du
sujet
; elle voulue, dans une deuxième séance, institue
ies en font foi. Il faut tenir •compte, en effet, et de la fatigue du
sujet
et des traces persistantes d'un ébranlement nerve
traces persistantes d'un ébranlement nerveux antérieur. Il laisse le
sujet
se reposer et oublier l'incita-*ion qu'il a reçue
précaution que nous avons prises. Mais il ne faut pas oublier que les
sujets
sont des hystériques et, partant, sujets à cautio
ne faut pas oublier que les sujets sont des hystériques et, partant,
sujets
à caution. Nous devions donc nous mettre en garde
. M. Gariel. — M. Luys nous dit que nous avons expérimentés sur des
sujets
fatigués. Mais la faute lui en revient, car nous
omatologie serait plutôt artribuable à l'état de maladie provoquée du
sujet
en expérience, qu'à l'action réelle de» médicamen
rveux périphérique est prédominant, plus la sensibilité hypnotique du
sujet
est torte. D'autre part, l'acquiescement du sujet
ilité hypnotique du sujet est torte. D'autre part, l'acquiescement du
sujet
est une circonstance favorable pour recevoir l'ac
veux. Lorsque avec des accès de chorée réelle alternent, chez le même
sujet
, des accès de chorée simulée, la question se comp
n des membres les plus actifs de la Society for psychical researches.
Sujet
à des insomnies fréquentes, il se traitait par le
ombard des sciences, lettres et arts à Milan. Nous constatons, à ce
sujet
, que dans les pays étrangers on semble dispose à
difficile de découvrir les coupables et atout hasard on questionna ce
sujet
, qui les dénonça en les nommant. Les deux coupabl
Cependant il prétendait toujours voir distinctement les personnes au
sujet
desquelles on l'interrogeait. Dans toutes les exp
t nous nous demandons encore sur quoi repose la légende édifiée à son
sujet
. 11 semble qu'en présence de ces déclarations,
mptomatologie est plutôt attribuable à l'état de maladie provoquée du
sujet
en expérience qu"à l'action réelle des médicament
onclusion que l'on pourrait arriver. En effet, quand on présente à un
sujet
de la valériane, par exemple, avec l'idée d'obten
de la Semaine médicale de 1888, le professeur Lépine a publié, sur un
sujet
analogue, un article que je vais tout d'abord rés
ls et se produisent malgré les indications des médecins et l'idée des
sujets
, au moins pour la première fois. Ce sont principa
é de cet avis. J'ai cru de prime abord que c'étaient surtout certains
sujets
, particulièrement prédisposés, qui étaient sensib
insi dire qu'un rien pour les subjuguer. Entre ces deux extrêmes, les
sujets
très peu prédisposés et les sujets offrant le max
guer. Entre ces deux extrêmes, les sujets très peu prédisposés et les
sujets
offrant le maximum de la sensibilité, vous pouvez
us occupons. On a prétendu, et l'on soutient encore que la volonté du
sujet
peut empêcher l'hypnotisation. c'est-à-dire l'inf
nd possible la production de ces phénomènes. Que l'acquiescement du
sujet
soit pour quelque chose dans la production de ces
act ; je dis, au contraire, que les hystériques sont, en général, les
sujets
qui sont le plus accessibles à l'action magnétiqu
c'est dans le champ de l'hystérie qu'on rencontre le plus souvent les
sujets
faciles a soumettre à cette action, qu'il est mêm
l'état ordinaire, et aux phénomènes du somnambulisme naturel chez les
sujets
prédisposés. Voilà pourquoi les actions ainsi pro
scientes, involontaires, et pourquoi elles échappent A la mémoire. Le
sujet
ne s'en sourient pas, parce que son intelligence,
ulisme est, au contraire, un état éminemment actif, pendant lequel le
sujet
sent bien et accomplit toutes sortes d'actes, par
rmal; et cela peut se prolonger pendant des semaines et des mois. Ces
sujets
dormaient-ils? Evidemment non: seulement, il y av
ium, du chloroforme, parce qu'un misérable peut profaner, outrager le
sujet
endormi : L'auteur nous dit encore : L'hypnotisme
endormi : L'auteur nous dit encore : L'hypnotisme fait naître dans le
sujet
magnétisé une passion pour le magnétiseur. Je r
de ce sommeil pour faire suggérer au malade une pensée mauvaise. — le
sujet
, ainsi endormi, cause quelquefois avec son chirur
s injections sous-cutanées de morphine, et je détermine ainsi dans le
sujet
un sommeil réparateur. A son réveil, le sujet est
détermine ainsi dans le sujet un sommeil réparateur. A son réveil, le
sujet
est en pleine et paisible possession de son intel
ndort son malade parles procédés hypnotiques ordinaires, connus. Le
sujet
ainsi endormi, ou hypnotisé, se réveille après qu
e la dignité humaine et de l'intégrité des faculté! morales, entre ce
sujet
hypnotisé et les sujets endormis par des somnifèr
de l'intégrité des faculté! morales, entre ce sujet hypnotisé et les
sujets
endormis par des somnifères, quand ils se réveill
té et provoque des désordres graves dans le corps et dans l'esprit du
sujet
endormi : il a encouru et mérite les condamnation
ses mains chaudes ou une plaque légèrement chauffée sur la tête d'un
sujet
névropathe endormi tranquillement dans son lit d'
parvient sans peine et refait les mêmes suggestions. i" avril. — Le
sujet
est encore plus fortement influencé. A son réveil
une persévérance réfléchie on a pu obtenir un sommeil profond chez un
sujet
paraissant au premier abord rebelle a toute influ
adies de la peau : chromhydrose, zona, pemphigus, etc.. que de jeunes
sujets
de douze à quinze ans n'aient artificiellement te
n face de l'une des deux éventualités que voici : Ou bien, c'est à un
sujet
à constitution psycho-cérébrale normale que l'on
jet à constitution psycho-cérébrale normale que l'on a; affaire, à un
sujet
qui n*a fait que céder à une incitation fortuite,
lui-même il rentre dans la voie de la sincérité. Ou bien, c'est à un
sujet
a constitution nerveuse; et alors, une question s
ion se pose : Est-ce un hystérique, c'est-à-dire un malade? Est-ce un
sujet
plus ou moins avancé sur le chemin de l'hvsiérie,
es efforts que dicte la mansuétude à laquelle a droit la jeunesse, le
sujet
résiste, alors Visolement s'impose comme le plus
és de l'hypnotisme, tandis que cet homme es: u l'état de veille. A ce
sujet
, M. Ballet a rappelé un fait qui montre combien l
Paris, 1888. luys : De la transmission à distance des émotions d'un
sujet
hypnotisé à un autre. Compt. rend. Soc. de biol
ificiellement, en dehors de toute suggestion. Du reste, quand des :
sujets
, jusque-là bien équilibrés, entrent directement e
euse. Aux yeux du professeur Atkînson ,3 ,qui vient de publier sur le
sujet
d'intéressantes observations, le plus souvent c'e
ressé d'initier la jeunesse. Qu'on se place, maintenant, en face de
sujets
primitivement doués d'une impressionnabilité exce
nouvellera, et. plus il se renouvellera, plus l'imprcssionnabilité du
sujet
s'exaltera, moins les écarts en seront compressib
lieu ci place du sentiment de crainte qui chaque nuit l'oppresse, le
sujet
étaii le fait est d'observation courante) pris de
périences de MM. Charcot, Haidenhain, etc.. expériences lûtes sur des
sujets
exceptionnellement sensibles: très souvent on men
ines et les faits médicaux, ne sort pas de son domaine en abordant ce
sujet
, sur lequel chacun a ou croit avoir un avis. C'es
les mniircs eux-mêmes ne possèdent pas. et c'est toujours pour eux un
sujet
de surprise et presque de scandale de constater q
n une substance, et à partir de ce moment l'observateur, ou plutôt le
sujet
, note impartialement, sans critique, tout ce qui
ombien, est imparfaite cette manière d'expérimenter, surtout chez Jes
sujets
prévenus, a imagination vive, dont la préoccupati
bstance employée, qui n'est pas toujours la même, ou à la dose ou aux
sujets
, qui ne sont pas tous également impressionnés.
on de Montyel a ensuite donné lecture d'un long mémoire sur le même
sujet
. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONAL (Depuis
objets qui n'existent pas; ces sensations. nées dans l'imagination du
sujet
, sont cxtóriorées par lui et matérialisées, pour
cxtóriorées par lui et matérialisées, pour ainsi dire, si bien que le
sujet
les croit réelles. II voi-, devant lui un chien q
ne pas concevoir des sensations correspondant 'ides objets réels. Le
sujet
ne voit pas une personne placée devant lui; c'est
ortical sensoriel ac la vision : là. la sensation est perçue. Mais le
sujet
peut ne pas avoir conscience de cette sensation p
ise, ou bien la conscience ignore la sensation réellement perçue : le
sujet
ne sait pas qu'il l'a perçue et la nie. Hffcî d
ceitc* perchique des auteurs, l'objet est vu, mais non interprété; le
sujet
ne sait plus ce qu'il voit; il a perdu la mémoire
z pas. D'ailleurs, vous ne me verrez pas ; je serai parti, o Quelques
sujets
arrivent ainsi, à la suite de cette suggestion dé
il les erTaçait,i et cela si complètement, que je pouvais torturer le
sujet
physiquement et moralement; elle ne me voyait pas
qui ne puisse se pro-: duire à l'état de veille ! Ne sommes-nous pas
sujets
, dans une cer-3 tainc mesure, à des phénomènes an
résent, comme le Dieu de U Fable, le suggestionneuragità sa guise; le
sujet
inconscient luq appartient. Mais ces actes^ ces i
ient luq appartient. Mais ces actes^ ces impressions produites sur le
sujet
, \ à son insu, laissent cependant une emprein
typhoïdes (:), à 4 ans et a 14 ans. Menstruation à 14 ans ; toujours
sujette
aux crampes d'estomac, des l'âge de 7 ans ; parfo
d'autres personne*, qui le répétèrent a la malade. « qu'elle était un
sujet
remarquable, et que si elle n'était pas mariée, i
t autre procédé. G... ne m'avait pendant quelque temps servi que de
sujet
à expériences, lorsqu'il vint un jour me consulte
t; il y a quelque temps, j'ai pu, par ce moyen, enlever, chez le même
sujet
, une dent et deux racines pour l'extraction desqu
s publiques données par des magnétiseurs. J'ai remarqué que les mêmes
sujets
, après quelques mois d'expériences consécutives,
t seulement 1 effet de la suggestion, par suite de l'éducation d>i
sujet
et de l'habitude prise dans ce genre d expérience
ne me propose pas d'entrer dans de longuet considérations ù propos du
sujet
très intéressant qui est maintenant discuté devan
eurs, la question de compétence. Il me semble qu'il s'est établi à ce
sujet
une confusion qu'il serait bon de faire disparaît
ainsi notamment dans les représentations publiques actuelles, où les
sujets
ne servent généralement qu'une fois, ou tout au p
nns-gêne avec lequel les magnétiseurs se jouent de 1*' santé de leurs
sujets
. Depuis. M. le professeur Charcot a signalé l'app
e pendant et après l'hypnotisât ion. Et il ajoute, sans soulever à ce
sujet
la moindre protestation, que des auteurs ont décr
s réglementer de manière qu'elles cessassent d'être nuisibles pour le
sujet
ou répugnantes pour les spectateurs, idée excelle
as d'un jeune homme de 18 ans par Hansen. a la suite de l'hypnose, le
sujet
se plaignit d'une sensation bien marquée de faibl
t, d'idiotisme. 11 décrit nota-nment une scène assez dramatique ou le
sujet
, qui n'avait jamais été malade, présenta, après s
it, ù diverses reprises, des accidents de ce. genre. Il ajoute que le
sujet
de cette observation, une fois calmé, ne se souve
onséquences que leurs manœuvres pouvaient avoir sur l'état mental des
sujets
. Quelques-uns faisaient preuve d'une brutalité in
ompter à l'avenir, qu'on ne pourra pas supprimer par un ukase, au
sujet
desquels toute personne pensante Toudra avoir une
l peut, a son gré, se jouer de la personnalité humaine. Il choisit un
sujet
, et. si !c choix lui semble bon. c'est sur ce suj
ne. Il choisit un sujet, et. si !c choix lui semble bon. c'est sur ce
sujet
seul qu'il répète, quelquefois très fréquemment,
s commencé leur»; manoeuvres, s'ils avaient su qui:*exposaient '.cars
sujets
à un danger sérieux; et, sous ce rapporr, la déci
sa leçon à exciter rhflarité de son auditoire en provoquant, chez les
sujets
qui veulent bien s'y prêter, des contorsions et d
'imiterai donc pas mes confrères qui se s..11 jusqu'ici occupés de-ce
sujet
, et je ne m'attacherai pas & démontrer qu: !e
Toutes tendent à une solution prochaine, et cette solution, chez les
sujets
bien constitues, est la guérison, qui se produira
ous préférons nous demander si le magnétiseur n'a pas trouvé dans son
sujet
une hypnotiseuse plus forte que lui. Tous ceux
de la Saxe, se basant sur les dangers qui existent, pour la santé du
sujets
hypnotisés. vient de défendre les séances publiqu
— Il a commencé une série de leçons sur la folie de la persé-cution,
sujet
qui emprunte une actualité toute spéciale aux déb
thologie mentale. Voici le programme du cours : Les vrais persécutés [
sujet
traite dans la première leçon); les persécutés
i hypnotique dans un but de moralisation et d'éducation sur quelques
sujets
plus ou moins mauvais des écoles primaires (r. Et
ticles, trop peu nombreux à mon gré, qui lui ont été communiqués à ce
sujet
, et dont les auteurs, après lui. sont : MM. FéSH
a. On a enfin . essayé de l'hypnotiser, mais en vain. — Consulté à ce
sujet
, j'ai, conseillé un procédé indirect de suggestio
, sur cette quantité de 22 personnes traitées, il y a3 catégories : 1
sujets
non malades. t3 (1, 4, 5, 6. 9, io. 11, 14. K;i6.
K;i6. 17, 18, 20). dont 3 guéris, 7 améliorés et ; nor. amélio-B; 2*
sujets
maladifs, 8(2, 3. 7, 8, i3, 19. 21, 22), dont 7 g
s, 8(2, 3. 7, 8, i3, 19. 21, 22), dont 7 guéris et 1 non amélioré: ;°
sujets
ayant toutes leurs facultés intellectuelles. 1 ;-
e, il a été obtenu 10 guénsons, 8 améliorations et 4 insuccès, sur 22
sujets
irai té > sans choix. C'est encourageant, sur-
ajouta¡s-je. o pour ne pas voir l'objet disparu, il faut bien que le
sujet
en expérience le voie. » S'il en est ainsi, il
jet en expérience le voie. » S'il en est ainsi, il est clair que le
sujet
ne fait que semblant de: ne pas voir l'objet, qu'
j'ai répétée nombre de fois et qui, à elle seule, est concluante. Le
sujet
à qui vous avez dit ( j'emprunte les termes mêmes
er, même quand vous le lui ordonnerez. ; Il est même possible ou'un
sujet
particulièrement logique (comme l'était celui que
tte conclusion; mais je n'ai jamais ob>ervé la chose. Toujours les
sujets
se sont réveillés à ma voix. Qu'ils voient l'ob
ans mes articles sur La prétendue veille som- (0 Voir tur le mé:r.c
sujet
, dans la Rtvue philosophique, un article etirémen
mbulique 'Revuephilosophique, 1886,lome XXIlI .desexpériences sur des
sujets
auxquels je faisais croire qu'ils avaient perdu l
m silence embarrassé. Mais voici qui montre bien la complaisance du
sujet
et son ingéniosité. Les scènes suivantes eurent
onner de preuve plus tangible de ce eue j'avance, à savoir que le
sujet
se prête à ce qu'on lui demande avec passivité, m
igence. Je ne doute pas que la même expérience, répétée avec un autre
sujet
, donnera heu à quelques différences. Il pourra se
d'hallucinations sont le résultat apparent de la volonté dirigée des
sujets
. LES RÉCENTES ACQUISITIONS OANS LE DOMAINE DE L
ance de la pensée, de la transposition des sens, grâce à laquelle les
sujets
hypnotisés seraient doués de la merveilleuse facu
leur esprit méthodique. Mais voici qu'en 1878, on constata chez les
sujets
hypnotisés des phénomènes d'un nouvel ordre, ceux
obtient, on le sait, en exerçant un léger frôlement sur le vertes des
sujets
en léthargie. Son caractère objectif principal co
cet ordre qui ont donné naissance aux appréhensions que l'on sait au
sujet
des dangers de l'hypnotisme. J'ai dit combien ces
citation d'une région anesthésique. quoique n'étant pas perçue par le
sujet
sous la forme d'une sensation tactile ou musculai
; cette image visuelle peut être recueillie sur unécran qu'on prie le
sujet
de regarder fixement; elle dure aussi longtemps q
citation d'une région insensible sont claires ou sombres, suivant les
sujets
; à mesure que ffexcitation se rapproche d'une r
quant, i l'aide de deux piqûres, deux points lumineux dont on prie le
sujet
de mesurer la distance sur l'écran. Enfin, les im
Si l'on marque sur l'écran un point destiné a fixer le regard du
sujet
, l'image visuelle déterminée par l'excitation d'u
es images visuelles provoquées n'est pas constamment comprise par les
sujets
; lorsqu'on imprime un mouvement passif au doigt
squ'on imprime un mouvement passif au doigt d'une main insensible, le
sujet
décrit parfois ce qu'il voit sur l'écran comme un
re. 11* Les images visuelles provoquées ne sont jamais mises par le
sujet
en rapport avec l'excitation de son membre anesth
le sujet en rapport avec l'excitation de son membre anesthésique; le
sujet
ne se doute pas des expériences qu'on pratique su
régions; si l'on place un objet familier dans la main insensible, le
sujet
voit cet objet sur l'écran; si l'on imprime un mo
cran; si l'on imprime un mouvement graphique à la main insensible, le
sujet
voit sur l'écran les lettres tracées. RECUEIL
vants et comprennent deux filles et un garçon. L'aînée des tilles est
sujette
& des attaques semblables * celles de la mère
C avril, soir. — Première tentative. Nous essayâmes d'endormir notre
sujet
par la fixité du regard, sans résultat. Nous plaç
capitale. Nous avons pu voir â la Salpctrièrc ce que devenaient lei
sujets
des magnétiseur:, qui, de simples névropathes che
seurs. Voici les renseignements qu'il a donnés à ses auditeurs sur ce
sujet
: | « Dans ce moment-ci, ce qui suscite peut-êt
s-je, donne lieu ainsi secondairement au phénomène de cons-Bence : le
sujet
voit et sait qu'il voit. Ceci est le second acte,
yau spinal du nerf optique, elle n'est pas perçue par le cerveau : le
sujet
ne voit pas ; la perception consciente et inconsc
d acte, psychique, est altéré: la perception n'est pas consciente. Le
sujet
ne sait pas qu'il voit. C'est là ce que j'appelle
ons, dit l'auteur, sont le résultat apparent de la volonté dirigée du
sujet
: il se prête à ce qu'on lui demande, avec passiv
conçoit, comme il l'interprète? » Mais quand M. Delbœuf dit « que le
sujet
ne fait que semblant de ne pas voir l'objet, qu'i
tement, je proteste absolument : je ne suis pas d'accord avec lui. Le
sujet
évoque son rôle, c'est vrai : mais le rôle évoqué
éelle, je le répète, que les hallucinations positives évoquées par le
sujet
. ¦ Envisageons le phénomène, tel qu'il se pro
ur le bon œil et plaçant un objet devant ce prisme )c constate que le
sujet
voit les deux images de l'objet, aussi distinctes
r l'œil qui est censé ne pas voir. Donc cet œil voit; et cependant le
sujet
ne voit pas de cet œil ; et il ne simule pas. La
st impressionnée : ie cerveau perçoit et voit ; mais l'imagination du
sujet
, à Ko insu, neutralise la vision. Quand par l'art
ation déroutée ne peut entrer en jeu, et agir d'une façon logique, ie
sujet
voit. Cela se passe comme s'il simulait. L'appare
énomène des hallucinations négatives Wggérées. Sans doute, il y a des
sujets
qui ne réalisent pas nettement le phénomène; il e
nt que la suggestion leur commande de simuler. |e ne prends que les
sujets
chez lesquels l'hallucination réussit nettement,
lus habile comédienne d'imiter. Non! ce n'est pas delà simulation. Le
sujet
ne me voyait pas; il n'avait pas conscience qu'il
iol eût été possible sans résistance aucune et sans complaisance ; le
sujet
eût été convaincu que rien d'anormal ne se passai
stériques, est celle-ci : L'acte est d'emblée psycho-sensoriel : le
sujet
voit, sent et entend. Mais l'imagination" actionn
nstant la sensation perçue ; el!e recouvre les sens d'un bandeau : le
sujet
voit sons voir, entend sans entendre. Je sais b
vement que possible la série des phénomènes morbides présentés par le
sujet
. L'observation détaillée se trouve dans le livre
oment pénible est venu ; quand, bon gré. mal gré, il faut aborder les
sujets
auxquels l'élève n'attache aucun intérêt par lui-
fin de chaque année, les étudiants devaient passer un examen sur les
sujets
qui avaient été enseignés pendant cette période s
boratoires spéciaux; puis ils font connaître à la Faculté quel est le
sujet
vers lequel ils ont plus spécialement dirigé leur
ail de grand mérite, qui suppose une connaissance très approfondie du
sujet
traité, jet sa préparation matérielle exige un tr
ut d'éludier l'enseignement de la Neurologie, et je me limiterai a ce
sujet
dans ce qui va suivre. Contrairement à ce qui s
ui précèdent ou accompagnent le sommeil. Je me bornerai à dire à ce
sujet
que, de même que dans toute inhibition, il existe
nouveau le contact entre eux. Ces diverses expériences sur l'ouïe, au
sujet
desquelles j'appelle de nouvelles recherches, et
nouvelles recherches, et dont la constatation toujours facile sur les
sujets
susceptibles de les produire repose sur l'étude c
nfluence hypnotique que l'expérimentateur exerce actuellement sur son
sujet
; qu'au moment même où il le domine de toute son
les yeux d'un assistant, â l'instant la concentration se fait, et le
sujet
, tout entier à son nouveau possesseur, ne voit pl
upières closes, qu'un assistant place sa main étendue sur le front du
sujet
et la laisse au contact im- médiat de sa peau
érimentateur, devenu aussitôt un étranger, une chose, un objet que le
sujet
ne connaît plus. Ces mutations faciles, indéfin
s, après avoir simulé de me mettre en communication fluidique avec le
sujet
choisi. — une personne quelconque, quelque scepti
muniquée par le « fluide » déposé inconsciemment sur la carte par mon
sujet
. Je passe la main, en effet, ou le nez sur chacun
tinuons donc l'expérience. Toutes choses étant en état, je prie mon
sujet
émerveillé, et encore quelque peu incrédule, de s
tise rien du tout, je m'abstiens même de toucher aucune des canes. Le
sujet
, rappelé, imite alors la recherche qu'il m'a vu f
, il l'éprouve, puisqu'il signale une cane. Il devient de la sorte le
sujet
d'une véritable hallucination, car il prétend res
raiment extraordinaire qu'atteignent ces hallucinations chez certains
sujets
, ceux particufièrement qui ont été soumis préalab
rs de ma mission, j'ai voulu connaître L'opinion des professeurs a ce
sujet
, et tous m'ont répondu que cette organisation éta
octeurs qui. ayant le grade de privai-docents, l'ont des cours sur un
sujet
, de neuropathologie, qu'ils choisissent eux-mêmes
a Paralysie alcoolique, par KorsakofX; ouvrage !e plus complet sur ce
sujet
, de 4*0 pages, édité en iSS;. Des lisions des m
ousse annoncée. A la question : « Etes—vous sûr de n'avoir pas été le
sujet
d'une erreur, d'une illusion? ¦> elles ont rép
i que nous l'avons déjà dit. alors qu'un premier essai a convaincu le
sujet
de la possibilité de reconnaître la carte magnéti
ême, l'hallucination se généralise: au lieu d'une simple secousse, le
sujet
éprouve une véritable commotion. En voici quelque
it pas été suggérée}. Le cas est intéressant à cause de la qualité du
sujet
. Il montre combien peut être grande la crédivité,
es qui me font craindre d'abuser de l'extrême sensibilité de certains
sujets
. Deuxième groupe. — 9; personnes auxquelles j'a
sais sous quel chef classer leur réponse. Ainsi, à ceux reprises, un
sujet
répondit qu'elle avait éprouvé « une singulière s
joue naturellement un grand rôle, la façon de sentir jenoncée par un
sujet
devient suggestive pour les sujets qui suivent nm
la façon de sentir jenoncée par un sujet devient suggestive pour les
sujets
qui suivent nmnèdiaiement. Ainsi, dans le cas où
sus, « un grand frisson dans le dos ». EUen W.... 18 ans. excellent
sujet
plusieurs fois hypnotisé, se renverse subitement
it mal. > Je passe maintenant au troisième groupe comprenant les
sujets
auxquels j'ai suggéré des hallucinations de la vu
D'odeur, il n'y en a pas. Mais, affirmant son existence, je convie le
sujet
à bien vouloir s'en assurer par lui-même. Je lui
d'être question. Üy a deux personnes ¦en présence, l'opérateur et le
sujet
. ? est avec raison qne M. Bcrnhcim a attribué une
plus haut, la croyance à la réalité de la sensation est telle chez le
sujet
, qu'il faut insister auprès de lui pour le convai
re question, en les variant et en les appliquant à un grand nombre de
sujets
. (0 Je dois avouer que je ne possède pas de doc
ne possède pas de documents sur les antécédents de la plupart de mes
sujets
. Il est fort possible que parmi eux il se soit re
est suggestion, a dit M. Bernheim; et, plus j'avance dans l'étude du
sujet
, plus je trouve qu'il a raison. Qu'est-ce que l
r lorsqu'elles lui sont propices. Une ibis habitué à l'hypnotisme, le
sujet
, complétant perpétuellement les suggestions reçue
t-hypnotiques réussissent, pour la même raison, chez tous ceux de mes
sujets
chez lesquels rhaliucina- tion hvpnotique réu
er consiste dans les auto-suggestion* contraiietoires que se font les
sujets
, et à ces au:o-suggestions se réduisent tous les
rises hystériques, de terreurs, etc., à leur racine même. Des qu'un
sujet
commence à montrer la moindre trace de pareille v
ôt on en a raison. Si. par contre, l'hypnotiseur a peur ou hésite, le
sujet
s'en aperçoit aussitôt, et son auto-suggestion se
enir un trouble nerveux. Si l'on ne se rend qu'à moitié maître de son
sujet
, on aura beaucoup moins facilement raison de ses
ucoup moins facilement raison de ses auto-suggestions. Il faut que le
sujet
soit imprégné de l'idée que la suggestion ne peut
e ce que veut l'hypnotiseur. De cette façon aussi on n'aura jamais de
sujets
qui se permettent de tomber spontanément en somme
ent hypnotiser par tout le monde, etc. Au contraire, on protégera ses
sujets
contre les dangers réels dus à un emploi malinten
us ne produisons en général pas d'effet très intense sur un point; le
sujet
perçoit en réalité tout d'une façon normale âcûté
imple. J'ai déjà fait arracher des dents chez un très grand nombre de
sujets
avec une réussite admirable; tous ont déclaré, ta
duit lanesthésie en pleine veille par un simple mot, et qu'on voit le
sujet
, d'ailleurs douillet, rire pendant qu'on arrache
ce dernier cas, il est certain que l'inhibition est complète, que le
sujet
n'a pas conscience de la douleur et, par conséque
e pas autant qu'il le semble, car je puis tout aussi bien suggérer au
sujet
le souvenir (halluciné ) de la douleur d'une dent
évidemment perçue consciemment et où l'on peut néanmoins persuader le
sujet
qu'il ne l'a pas ressentie. Ainsi, j'endors un in
même avec l'éclairage subjectif en plus ou en moins. Chez d'autres
sujets
je suggère la cécité. Un mot de moi les rend aveu
t, le second n'en a pas ou presque pas conscience. Mais chez d'autres
sujets
la cécité, l'inhibition s'irradie plus fortement
gnement des yeux cesse à l'approche des objets, et j'ai vu de pareils
sujets
entrer en terreur, se croyant réellement devenus
On voit donc qu'il importe peu que dans l'hallucination néga-tîve le
sujet
auquel on suggère, par exemple, qu'une porte de l
out dépend de la suggestion de veille ou de sommeil qu'on a donnée au
sujet
ou de l'auto-suggcstion de veille ou de sommeil q
lle ou de sommeil qu'il se fait lui-même. Lorsqu'on se méfie de son
sujet
et qu'on cherche à le prendre en défaut de simula
ervé moi-même. On lui a inconsciemment suggéré qu'il simulait. Un
sujet
dessuggestionné ainsi par un médecin méfiant, vin
artielles du miroir conscient ou des souvenirs conscients qui font au
sujet
1 Illusion de la réalisation des suggestions, alo
s enumeres par M. Delbceuf doc. cit.) ne prouvent rien de nouveau. Un
sujet
de M. Delbceuf auquel on a suggéré qu'il n'a plus
en erreur. Et dans l'hypnotisme, ce n'est pas seulement la volonté du
sujet
qui est tantôt plus, tantôt moins complètement di
e mois depuis sa dernière hypnotisa-tion et je n'avais pas prévenu le
sujet
que ic l'endormirais ; du reste, l'idée d'hypnoti
e qu'au moment même où celui-ci ferma les yeux. Je n'ai pas fixé le
sujet
, ni prononcé une seule parole pour induire le som
ent; par exemple, avec une suggestion convenable, on peut empêcher le
sujet
de percevoir visuellement une personne, tout en l
Janct (3); lorsqu'on supprime la perception d'une personne connue du
sujet
, il arrive parfois que le sujet, au réveil, voit
a perception d'une personne connue du sujet, il arrive parfois que le
sujet
, au réveil, voit la personne, mais ne la reconnaî
pprimée ne produit point une lacune dans le champ de la perception du
sujet
; le plus souvent, le sujet, par un phénomène d'au
e lacune dans le champ de la perception du sujet; le plus souvent, le
sujet
, par un phénomène d'auto-suggestion. croit contin
cher, par M. Féré et moi, et par M. Pierre Janct. 4° Il faut que le
sujet
reconnaisse l'objet invisible pour ne pas le voir
sible pour ne pas le voir. L'expérience le démontre, lorsqu'on dit au
sujet
endormi qu'il ne verra pas telle carte blanche co
emière en date est celle de M. Féré et de moi; la voici : on donne au
sujet
hystérique la suggestion qu'il ne verra pas la co
faite et le carré de papier retiré, on peut arriver, en aimantant le
sujet
, à lui donner le souvenir conscient de la couleur
en réserve. M. Pierre Janet a aussi constaté que, si on dédouble un
sujet
pendant qu'il a reçu la suggestion d'une anesthés
ce de M. Liégeois, la personne qui a été totalement supprimée pour le
sujet
n'est pas entendue de lui, si elle lui adresse di
ui adresse directement la parole ; mais quand cette personne parle du
sujet
à la troisième personne si elle dit par exemple :
e parle du sujet à la troisième personne si elle dit par exemple : le
sujet
se lève, marche, chante, etc.). elle peut produir
re des suggestions qui se réalisent. Cette expérience démontre que le
sujet
entend, sans en avoir conscience, la voix de la p
supprimée fait différents actes, prononce diverses paroles devant le
sujet
qui dit ne rien voir et ne rien entendre. Puis, o
rimée, et par une suggestion nouvelle on peut arriver à faire dire au
sujet
tout ce que cette personne a fait ou dît, ce qui
sujet tout ce que cette personne a fait ou dît, ce qui prouve que le
sujet
avait vu et entendu sans en avoir conscience (3).
l'hypnotisme, j'ai eu. à plusieurs reprises, l'occa-sion d'aborder ce
sujet
et de m'en occuper avec vous dans le service. B
les expériences intéressantes que nous a permis de réaliser F.... ce
sujet
si remarquable dont j'ai publié avec Brousse l'ob
son hémianesthésie. Je ne vous dissimulerai pas, Messieurs, que le
sujet
dont j'ai lait choix pour ces leçons n'a jamais c
scussions, faites en général sans suite, à bâtons rompus, à propos de
sujets
et avec des expressions qu'on n'a pas eu, au préa
nt au petit hypnotisme. Les développements donnés aux peux parties du
sujet
semblent dictés par l'adjectif qui qualifie la fo
ts nerveux compris sous le nom d'hypnotisme », M. Charcot définit son
sujet
en ces termes: * Les phénomènes si nombreux et si
s: * Les phénomènes si nombreux et si variés qui s'observent chez les
sujets
hypnotisés ne répondent pas à un seul et même éta
vec les phénomènes de même ordre qui surviennent spontanément chez un
sujet
(catalepsie, léthargie et somnambulisme spontanés
n coup de gong), une vive lumière brusquement placée sous les yeux du
sujet
, la fixation plus ou moins prolongée d'un objet,
là les anciens procédés du braidisme. On peut aussi faire passer un
sujet
de l'état de léthargie à l'état de catalepsie, en
constituer des termes de passage les uns par rapport aux autres. Un
sujet
en état de catalepsie est immobile, fasciné, les
C'est dans l'état de rigidité cataleptique que l'on peut maintenir un
sujet
étendu dans le vide, appuyé seulement, par l'inte
placé à une certaine distance. — On peut aussi le déterminer chez un
sujet
en état de catalepsie par l'occlusion des paupièr
'écume. Les caractères de l'état léthargique sont les suivants : le
sujet
a l'air profondément endormi ; il est dans la rés
citabilité neuro-musculaire. Voicî en quoi elle consiste: si, chez un
sujet
en léthargie, on exerce avec une pointe-mousse un
s de l'ancien magnétisme. On l'obtient aussi en exerçant, chez un
sujet
en état de catalepsie ou de léthargie, une fricti
ple pression sur le vertex. Le somnambule présente l'apparence d'un
sujet
endormi : ses yeux sont clos ou demi-clos, les pa
ats hypnotiques, qu'il est possible de faire passer successivement un
sujet
, grâce à certaines manœuvres, d'une phase dans un
ut, dans le môme ordre d'idées, dédoubler la personnalité physique du
sujet
et plonger, par exemple, une moitié de son corps
vive lumière, ou la pression du vertex. que l'on arrive à endormir le
sujet
; c'est parce q,ue, en pratiquant ces manœuvres,
sujet ; c'est parce q,ue, en pratiquant ces manœuvres, on a donné au
sujet
, d'abord l'idée du sommeil, puis l'ordre de s'end
ive. Au troisième degré, la sensibilité s'émousse. la personnalité du
sujet
s'affaiblit et on peut lut suggérer quelques mouv
dece qui s'est passé pendant l'hypnose. Suivant les dispositions du
sujet
, suivant son degré d'éducation, on arrive à un de
ique léger ou profond. Quant au mode de succession des symptômes, tel
sujet
parcourra, pour arriver à un stade avancé, la gam
'on obtient, par la suggestion, des aveux ou des actes que jamais les
sujets
n'eussent fait sciemment. Je vous ai cité l'an
ous-même constatés chez F... Peut-on raisonnablement admettre qu'un
sujet
ayant une volonté ferme, arrêtée, et contraire à
uve qu'il n'y a pas simulation dans ce cas. c'est que bien souvent le
sujet
hésite à accomplir l'ordre qu'on lui donne et il
des, sont fréquentes et souvent difficiles à éviter, surtout chez des
sujets
dont les sens sont, la plupart du temps, si éveil
s; il s'agit tout simplement de faits différents s'observant chez des
sujets
différents. Dans ma prochaine leçon, je complét
e, l'observation de la malade qui nous a inspiré l'idée de traiter ce
sujet
. Observation 1 (personnelle) Recueillie à l'asi
lus grands encore. Je vous ai raeonté cela plus d'une fois : c'est un
sujet
sur lequel il m'est pénible de revenir et dont je
re de con* naître de quelle forme d'aliénation mentale est atteint le
sujet
, s'il y a véritablement folie. Rappelons, en pa
sont des aliénés confirmés? Il faut établir à cet égarddeux classesde
sujets
: les uns conservent plus ou moins l'équilibre né
us nous permettons cependant de classer dans cette même catégorie les
sujets
qui forment la première partie des Individus atte
habileté, ce magnétiseur avait pu influencer assez profondément cinq
sujets
,dès le premier soir où il opérait au Cirque, pour
ons post-hypnotiques. A la fin de la séance, U avait donné à ses cinq
sujets
endormis les divers ordres suivants pour le lende
des deux côtés et de l'anes-thésie des deux sclérotiques. Elle est
sujette
d'une façon à peu près constante à des douleurs d
es a été. 1 fois, des attaques d'épilepsie auxquelles la malade était
sujette
depuis de longues années. CLINIQUE MÉDICALE D
Il existe, sous ce rapport, une différence très remarquable entre les
sujets
observés à Nancy et les malades de la Salpétrière
toutes des hystériques: à Nancy, au contraire, on expérimente sur des
sujets
quelconques, le plus souvent exempts d'hystérie.
un instant : Les hystériques sont-ils seuls hypnotisables ? tous les
sujets
hypnotisables sont-ils des hystériques? Je crois
rse me parait extrêmement fâcheuse. L'Ecole de Nancy soutient que les
sujets
sains soni hypnotisables, que la suggestibiliié e
la Salpêtrière, l'hypnotisme est du ressort de la pathologie, les
sujets
hypnotisables sont des malades et presque toujour
conclusion actuelle de la Sal-pêtrière : je ne crois pas que tous les
sujets
hypnotisables soient des hystériques, mais il me
ion puisse coexister avec l'exquise intégrité du système nerveux. Les
sujets
hypnotisables sont toujours des nerveux, des névr
partie de la famille névro-pathique. Nous pouvons donc diviser les
sujets
hypnotisables en deux catégories : ceux qui sont
qu'à la Salpêtrière, ainsi que le recommandent Binet et Féré ; notre
sujet
a été observé avant toute éducation hypnotique et
et antérieurs à toute tentative hvpnoiique. Tel était le cas chez ce
sujet
atteint d'hystérie avec astasie-abasie (n° 6, sal
la suggestion seule a eu sur elle quelque effet. Donc, si tous les
sujets
qui présentent le grand hypnotisme, et, d'une man
ent le grand hypnotisme, et, d'une manière plus générale, si tous les
sujets
hypnotisables à phénomènes somatiques fixes sont
ent chez des hystériques », je formulerai maintenant le suivant : Les
sujets
du petit hypnotisme peuvent être ou ne pas être d
s des nerveux ou des prédisposés. Si l'on considère la totalité des
sujets
hypnotisables, dans quelle proportion de fréquenc
ire que vous ne . pourrez guérir ou soulager par l'hypnotisme que les
sujets
chez . lesquels il vous sera possible de cfévelop
tat de veîlle et sans qu'il soit nécessaire ae chercher à endormir le
sujet
: il suffit que le malade soit suggestible en cet
aire (2 pages sur 65) et les développements relatifs donnés à ce même
sujet
dans le livre de Bernheim. Pourquoi Bernheim pr
ulté de vision dans Vitat de rapport, après avoir ouvert les yeux des
sujets
endormis. (Voyez l'article précité sur les Etat
ctre transformées en sensations lumineuses, à condition d'enfermer le
sujet
dans une chambre obscure.— Une obscurité parfaite
ne ? Enfin, si Ton veut se rendre compte du degré de sensitivité du
sujet
, il suffira de faire agir sur lui des passes à di
ttention sur ce point. Les épilcptiques sont, comme l'on sait, fort
sujets
à des mouvements de colère, en dehors de toute es
sion grave de l'însula et de son voisinage à droite ; de sorte que le
sujet
qui était ambidextre, et qui dans les premiers te
, ont été évidemment favorisés par la prédisposition névropathique du
sujet
, mais ils m'ont paru mériter d'être signalés. Bea
parfaitement que les accidents de ce genre ne sont pas rares cher des
sujets
parfaitement normaux ; M. d'Arsonval nous a signa
bien des circonstances on est en droit de douter de la sincérité du
sujet
qu'on est appelé à examiner. Voici par exemple,
ncapable de subvenir à ses besoins. L'expert chargé d'exa- miner ce
sujet
sera dans l'impossibilité d'émettre sur son état
rvateur et dans l'appréciation desquels il n'est plus à la merci du
sujet
qu'il exa- mine. Il faut toutefois remarquer qu
pendre exclusivement d'une disposition d'esprit, d'un état d'âme du
sujet
en observation ; il peut être le résultat d'une a
exemples la prépondérance de leur rôle. ' Vous êtes consulté par un
sujet
qui se plaint d'éprouver depuis quel- que temps
e habile, d'une enquête approfondie. Si, mainte- nant, examinant ce
sujet
à l'ophtalmoscope, vous constatez les signes ob
l'état normal, s'opèrent d'une manière synergique. Cette femme est
sujette
à de grandes crises manifestement hystériques ;
intégrité du moteur oculaire commun et nous permet d'établir que ce
sujet
est atteint de paralysie et non de spasme ; de pl
énomène dont la constatation nécessite l'intervention volontaire du
sujet
en observation, qui peut par des réponses menso
s renseignements utiles. Supposons qu'on se trouve en présence d'un
sujet
considéré comme un névropathe, un hystérique, q
rvateur l'impression que les réflexes sont exagérés; inversement un
sujet
, dont les réflexes rotuliens sont exagérés ou n
e banale facile à mettre enjeu. Admettez que vous ayez affaire à un
sujet
se plaignant de ressentir des douleurs violente
pas capable de reproduire ; si, par exemple, après avoir observé le
sujet
à nu, on a vu l'urine sortir sans jet, goutte à
ertise relative à un accident de travail s'il existe ou non chez le
sujet
en observation des désordres nerveux organiques ;
s signes objectifs ou du moins la plupart d'entre eux chez tous les
sujets
que vous serez appelés à examiner ou à soigner
ceux qui seraient méconnus de l'observateur sans l'intervention du
sujet
en obser- vation, sans les renseignements qu'il
uelques exemples de signes objectifs... Mais je m'éloigne un peu du
sujet
que je me proposais de traiter, car ce n'est pa
bien saisir ma pensée en reprenant quelques exem- ples. Voici trois
sujets
qui se plaignent d'éprouver de très vives douleur
aisée : INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 19 tel
sujet
atteint autrefois d'une névrite sciatique, n'épro
ropose de vous prouver, c'est que les renseignements fournis par un
sujet
de bonne foi peuvent être inexacts parce que les
hésie est devenue plus rare et a disparu. Voici, se rapportant à ce
sujet
, un passage d'une conférence que j'ai faite à l
méthode, je n'ai pas constaté un seul cas d'hémianesthésie chez des
sujets
qui, avant de me consulter, n'avaient jamais ét
ultat a été constamment négatif. Je n'en trouve plus, même chez des
sujets
qui ont « roulé » dans les hôpitaux de Paris ;
ou pithiatiques. Il n'était pas rare autrefois de voir des malades
sujettes
à de grandes attaques de longue durée, se renou
ur gauche est plus obtuse que du côté opposé. Cette jeune fille est
sujette
à des crises convulsives avec grands mouve- men
ons diverses. Certains d'entre vous se demanderont peut-être si les
sujets
dits hysté- riques ou pithiatiques, dont je vie
ns hystériques peuvent être reproduites volontairement par certains
sujets
. Toutefois, de l'observation de très nombreux h
qui est celle de la plupart des neurologistes, que beaucoup de ces
sujets
sont sincères au moins dans une certaine mesure..
es méthodes dites de contre-suggestion ne serait pas moindre si les
sujets
que nous avons en vue étaient absolument conscien
leurs, il n'y a pas de cloisons étanches. Il est bien évident qu'un
sujet
suggestionnable, susceptible d'être atteint d'u
aux cardiaques, les faux gastropathes et, d'une façon générale, les
sujets
se croyant à tort atteints d'une lésion du syst
rsonnes de leur entourage. C'est ainsi qu'on voit fréquem- ment des
sujets
qui se croient atteints d'une angine de poitrine,
ites dans la recherche des troubles subjectifs peuvent être dues au
sujet
en observation. Toutefois, le rôle du médecin d
enquêtes sur les troubles subjectifs, en vous comportant auprès des
sujets
en observation et en les interrogeant conformém
capables de mouvoir volontairement les orteils, comme aussi sur des
sujets
qui pouvaient encore faire exécuter aux orteils
es, en partie physiologiques. En voici des exemples : chez certains
sujets
, l'excitation de la plante du pied ne provoque d'
ction, et pour obtenir ce résultat il est bon de ne pas prévenir le
sujet
de l'expé- rience qu'on se propose de pratiquer
du pied. Ce dernier mode d'excitation est nécessaire chez certains
sujets
pour faire apparaître un mouvement réflexe des
utané plantaire à l'état physiologique. Voici maintenant quelques
sujets
chez lesquels on observe le phénomène des ortei
les deux premiers que dans les trois derniers orteils. Le second
sujet
est une femme présentant une hémiplégie gauche de
entes ; l'extension est très forte aux cinq orteils. Le cinquième
sujet
est un homme chez lequel vous pouvez constater
litique. Ici encore vous constaterez le phénomène des orteils. Le
sujet
que voici est atteint d'hémiparaplégie spinale av
s membres inférieurs sont, à la vérité, moins vigoureux que chez un
sujet
sain, mais que la faiblesse n'est pas très marq
ne hémiplégie de l'adulte ou à une hémiplégie infantile. Chez les
sujets
que je vous ai montrés il s'agissait d'hémiplégie
e ancienne. J'ai constaté aussi l'existence de ce signe chez deux
sujets
présentant une hémiplégie ancienne flasque avec
que de l'hémisphère droit avec dégé- nération secondaire. Le second
sujet
était une femme atteinte manifeste- ment de tab
u l'occasion de constater ce phé- nomène : il s'agissait d'un homme
sujet
à des crises d'épilepsie jackson- nienne, chez
des réflexes tendineux et de trépi- dation ëpileptoïde du pied. Le
sujet
empoisonné par la strychnine guérit rapidement
s constaté non plus dans la polio- myélite antérieure, sauf chez un
sujet
dont les fléchisseurs des orteils étaient compl
te du pied ne provoquait aucun mouvement des orteils. Chez l'un des
sujets
la lésion siégeait au niveau de la septième cer
usqu'à présent, je n'ai pas observé une seule fois ce signe chez un
sujet
dont le système pyramidal fut sûre- ment en éta
ielle, où les cylindraxes de ce faisceau étaient conservés, sur des
sujets
chez lesquels les lésions du faisceau pyramidal d
si observe-t-on fré- quemment la réunion de ces signes chez un môme
sujet
et c'est ce que vous avez pu constater chez la
al ainsi qu'à l'état pathologique (voir fig. t et 2). Mais chez les
sujets
sains il est rare, et quand il existe il est pe
st pas de faire un exposé complet de tout ce qui a été écrit sur ce
sujet
. Mon but est de mettre en lumière les faits qui
y arrivent. Pour atteindre le but visé, il faut obturer les yeux du
sujet
,, lui parler afin de détourner son attention, ou
supérieur, souvent difficiles à constater, il y a lieu d'inviter le
sujet
à fermer le poing du côté opposé. Quelquefois o
ées ; c'est une position difficile pour les gens corpulents : 2" Le
sujet
est assis ; les jambes font avec les cuisses un a
ose en flexion sur l'avant-bras gauche de l'obser- vateur. fin Le
sujet
est assis sur une table, les jambes pendantes.
j'ai indiquée et qui a été adoptée par tous les neurologistes : le
sujet
se met à genoux sur une chaise ; mais si, pour qu
le soutient de la main gauche au niveau du pli du coude, le bras du
sujet
formant un angle obtus avec l'avant-bras. Cette
'observateur, assis, fait appliquer à plat sur sa cuisse la main du
sujet
. Il est à noter que, dans ces conditions, l'ava
cussion de l'extrémité inférieure du cubitus provoque chez certains
sujets
, comme celle de l'extrémité inférieure du radiu
NORMAL A vrai dire, il n'est pas aisé de faire le départ précis des
sujets
nor- maux et des sujets anormaux. Un individu p
'est pas aisé de faire le départ précis des sujets nor- maux et des
sujets
anormaux. Un individu présentant toutes les appa-
ats qu'une investigation attentive fait découvrir; ce n'est plus un
sujet
normal. , Il faut nécessairement se contenter d
ividus normaux. Pour Berger, qui entreprit des recherches sur 1 loo
sujets
normaux et qui publia le résultat de ses investig
d'après cette technique, je n'ai trouvé ce réflexe absent chez les
sujets
normaux que très exceptionnellement. Je considè
de choisir uniquement les jeunes, on examine indis- tinctement des
sujets
de différents àges 0, on constate que la présence
4 ans ('). J'ajouterai que, même chez les vieillards, même chez des
sujets
très affaiblis, les réflexes existent ordinaire
car ces derniers sont loin d'avoir la même amplitude chez tous les
sujets
. Bien plus, à l'état normal, les réflexes osso-
istent entre eux. a) Le seuil de la contraction est atteint chez le
sujet
dont les réflexes sont forts à la suite d'un ch
nte pour déterminer une réaction chez l'autre. b) Chez le premier
sujet
, avec une même intensité de choc, le mouve- men
du territoire des réactions motrices est donc variable. d) Chez le
sujet
aux réflexes faibles, nous obtenons la flexion pa
mporte jamais en intensité sur le premier. Par exemple, si chez tel
sujet
normal, par la percussion de l'extrémité inférieu
ces successives. Ces caractères sont particulièrement nets quand le
sujet
a les yeux obturés. b) Dans l'exploration du
urs s'affai- blissent et disparaissent à leur tour chez beaucoup de
sujets
. Ordinai- rement alors les troubles suivent une
e (Goldflam, Jackson et Taylor, etc.). Nous aurons à revenir sur ce
sujet
quand nous nous occuperons de l'association des l
r vu les réflexes passagèrement abolis. Erb, interrogé par moi à ce
sujet
, m'a dit qu'il avait noté parfois de l'affaibli
ce d'un état pathologique, d'une surréflectivité tendineuse chez un
sujet
dont les réflexes sont normaux. C'est là une co
oncerai de la manière suivante : il y a surréflectivité lorsque, le
sujet
ne contrac- tant pas volontairement ses muscles
on que j'appelle fruste ('), phénomène banal qu'on observe chez des
sujets
dont il y a tout lieu de considérer le système
préalable, n'a pas provoqué de trépidation ; qu'on invite alors les
sujets
en expérience à étendre le pied sur la jambe et
leptoïde ne peut plus être provoquée. Mais admettons qu'un de ces
sujets
, après s'être exercé et avoir été pour ainsi di
eux. Si je suis entré dans des développements circonstanciés sur ce
sujet
c'est qu'il me paraît d'une grande importance p
pour la constatation de ce signe, de placer le membre supérieur du
sujet
en demi-flexion et pronation et d'immobiliser l
e peut être transitoire, mais le plus ordinaire- ment elle demeure,
sujette
parfois à des alternatives de diminution et d'a
par J. Babinski (Revue neurologique, igo6, p. 6g3). (2) Voir à ce
sujet
: Sur l'absence fréquente de la contracture perma
ulaire comme d'ailleurs les autres symptômes de cette affection est
sujette
à des fluctuations. Elle peut régresser après a
s superficielles. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 71 1 A ce
sujet
nous rappellerons une expérience de Westphal : il
rai, par parenthèse, que j'ai observé le réflexe paradoxal chez des
sujets
atteints d'hémiplégie sans association de lésions
avant-bras qui l'emporte sur celle des extenseurs. Revenons à notre
sujet
. Dans les exemples que nous avons choisis nous
ions radiculaires tabé- 72 SÉMIOLOGIE tiques apparaissent chez un
sujet
atteint déjà d'hémiplégie avec dégéné- ration d
n ser- vice par mon interne M. Gendron sur un assez grand nombre de
sujets
présentant l'inversion du réflexe du radius, on
ces réflexes, il y a des différences indi- viduelles. Chez certains
sujets
parfaitement sains, le réflexe abdominal et le
moyens propres à mettre en évidence cette surréflectivité. a) Le
sujet
étant assis et ses pieds reposant sur le parquet,
ise, en se plaçant dans les conditions que je viens d'indiquer, des
sujets
normaux, le pied reste généralement fixé au sol
artie d'un cortège de mouvements manifestement volontaires. b) Le
sujet
étant assis ou couché, on pince la peau de la fac
our déceler une exagération légère des réflexes de défense. r) Le
sujet
étant couché, on saisit avec la main l'extrémité
de d'smarcli, Revue Neurologique, 191 1. t. Il, p. t5 i) que chez des
sujets
atteints de paralysie avec contracture liée à d
Ozorio de Almeida(), @ confirmées par moi, ont montré que, chez des
sujets
présentant le signe des orteils, une compressio
précédente se trouvent résumées nos connais- sances relatives à ce
sujet
qui, d'ailleurs, n'est pas épuisé, qui nécessite
re, dans les exemples que nous avons choisis précédemment, est bien
sujette
à quelques fluctuations ; elle n'est pas toujours
e pas davantage sur ce point, pour ne pas sortir des limites de mon
sujet
. Après ces préliminaires, nous pouvons discuter
EXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 83 la forme précédente ; elle est
sujette
à des variations fréquentes qui résul- tent de
il relatif à cette question datant de t83(2). Je suis revenu sur ce
sujet
à maintes reprises, cherchant à démontrer l'inexa
re une surréflectivité générale. Si l'on compare un grand nombre de
sujets
, les uns en parfaite santé, les autres ayant des
rganiques : une paraplégie ou une hémiplégie survenait-elle chez un
sujet
jeune, non syphilitique, paraissant avoir un ap
e sont, d'une part, des expériences répétées sur un grand nombre de
sujets
hystériques, suggestionnables, hypnotisables. Ell
n opposition à les présenter. Voici comment je me suis exprimé à ce
sujet
en 1900 au Congrès international de médecine, à
Les années se succédèrent sans qu'il nous fût donné de voir un seul
sujet
de ce genre, et en 1908, lors de la discussion su
nous met- trait sous les yeux. « Qu'on présente, par exemple, un
sujet
atteint d'hémiplégie hystérique avec exa- gérat
rganique. Pareil dia- gnostic sera porté généralement, même chez un
sujet
jeune atteint d'hé- (') Leçon clinique faite à
une hémianesthésie hystérique se développe très volontiers chez 'un
sujet
atteint d'hémiplégie organique, pour saisir l'i
ces deux ordres de mouvements peuvent être troublés. (') Voir à ce
sujet
: « Association de l'hystérie avec les maladies o
eptible, ainsi qu'il est facile de le prévoir, de présenter chez un
sujet
paralysé deux sortes de modifi- cations ressort
ous, tant s'en faut. Il n'est pas rare, en effet, d'observer chez des
sujets
atteints d'hémiplégie depuis plusieurs années,
les malades, mais toujours d'une manière progressive et n'étant pas
sujets
à des alternatives en bien et en mal. Ai-je b
tions de Ballet (3) et de Chantemesse (4). Koening a produit sur ce
sujet
un travail intéressant (') et pour ma part j'ai
peaucier étant en partie innervé par le facial. J'ai observé deux
sujets
atteints d'hémiplégie organique chez lesquels l
ine spasmodique ; ces faits me paraissent exceptionnels. Chez les
sujets
atteints d'hémiplégie hystérique pure que j'ai ex
l'avant-bras. Je dois faire remarquer toutefois que, même chez des
sujets
sains, il peut y avoir à cet égard une légère dif
abinski. C. R. de la Soc. de biol., 1896, p. 17f. z (2) Voir à ce
sujet
: ce L'état des réflexes et la contracture dans l
uquel j'attache une grande valeur. On l'observe chez la plupart des
sujets
atteints d'hémiplégie organique. Lorsque, étend
ive. Ce serait en effet une erreur de croire que, dans cet acte, le
sujet
se borne à faire contracter les muscles qui inc
isation de la cuisse parait être plus ou moins parfaite suivant les
sujets
, ce qui, sans doute, est une des raisons pour l
PLÉGIE ORGANIQUE ET HÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE mn bassin ; mais chez des
sujets
normaux, quand ce dernier mouvement se produit,
accomplir l'acte commandé, ou bien il se met sur son séant comme un
sujet
normal, ou enfin il fait exécuter au tronc et a
teur que, quand on explore les réflexes rotuliens, on recommande au
sujet
en observation de fermer les yeux, de relâcher
laccidité, l'amélioration est progressive et la paralysie n'est pas
sujette
à des alternatives en bien et en mal. C'est ordin
s instants et qui éclairent le diagnostic. Voici par exemple deux
sujets
atteints, l'un d'hémiplégie organique, l'autre
ystériques peuvent être reproduites expérimentalement chez quelques
sujets
hypnotisés par la suggestion et l'identité de c
ale, la paralysie hystérique puisse être systématique, qu'elle soit
sujette
à des alternatives en bien et en mal et que mêm
issant exclusivement certains systèmes de mouvements et qu'un agent
sujet
à de brusques variations détermine des effets sou
riques. Comme je vous l'ai déjà dit, je ne puis m'appesantir sur ce
sujet
; je tiens toutefois à ajouter que les réflexion
ccidité ; l'amélioration est progressive ; la paralysie n'est pas
sujette
à des alternatives en bien et en mal. Hémiplé
ément touchées, ont cependant subi une perturbation notable. A ce
sujet
, je rappelle une observation publiée par M. Barat
on s'attacha à leur étude. La brièveté des mentions qu'on trouve au
sujet
des réflexes de défense dans les meilleurs trai
rons-nous comme type de notre description. Voici, par exemple, un
sujet
atteint de paraplégie par compression de la moe
lié récemment Q des faits qui confirment mon opinion. (') Voir à ce
sujet
: Rétlexes tendineux et réflexes osseux. Leçons f
rqués. Je rappelle les recherches de Schaefer et les miennes sur ce
sujet
. Ces réflexes ont été de nouveau étudiés par Clau
re. Qu'il me soit permis d'entrer dans quelques développements à ce
sujet
et de reproduire ici en partie ce que j'ai déjà
aine période de la maladie. Mais la contracture cutanéo-réflexe est
sujette
à des variations ; elle cède parfois en partie
tivité tendi- neuse est facile à faire ; or, j'ai pu, chez certains
sujets
se trouvant dans cet état, constater d'une mani
rès utile. RÉFLEXES DE DÉFENSE 127 Je ne veux pas soutenir que le
sujet
dont je me propose de vous entre- tenir soit en
cquiert le maximum d'intensité, mais il peut être très net chez des
sujets
encore assez valides. L'électrisation avec des
uvements que ceux qu'on observe à l'état pathologique. Mais chez le
sujet
normal, la contraction est rapide, de courte du
, l'absence pour ainsi dire constante de la flexion du pied chez le
sujet
normal (exception faite pour un cas de simulation
elle aussi l'Observation publiée par Pastine (') se rapportant à un
sujet
atteint de paraplégie motrice absolue avec troubl
e M. Ozorio de Almeida, confirmées par moi, ont montré que chez des
sujets
présentant le signe des orteils, une compres- s
le sur « les réflexes d'automatisme médullaire » (3), écrivent à ce
sujet
: « Nous avons, sur la plupart de ces points, p
able. Elle ne permet guère de comprendre ce fait noté chez certains
sujets
et que je rappelle : avant la compression, réfl
description des faits cliniques suffisante pour bien délimiter mon
sujet
. Je crois le moment venu de faire un historique
on s'attacha à leur étude. La brièveté des mentions qu'on trouve au
sujet
des réflexes de défense dans les meilleurs Trai
, avec mouvements d'adduction de la cuisse. » . Je reviens sur ce
sujet
dans un travail publié en igo4 à la Société de
p. 121), Pierre Marie et Foix publient leur premier travail sur ce
sujet
. Il est intitulé : « Sur le retrait du membre i
l'unissent aux réflexes de défense. En mai 1912, je reviens sur ce
sujet
(Revue Neuroloclique. t. XXIV, p. 77). , Nouv
énomènes. Voici maintenant l'indication de plusieurs travaux sur le
sujet
qui nous occupe qui sont l'oeuvre de neurologis
ivité tendineuse. Si j'ai bien compris ce qu'a écrit M. Walshe à ce
sujet
, il est d'avis que dans la paraplégie en flexio
pour plusieurs motifs d'attirer l'attention. « Tandis que, chez les
sujets
où la contracture en flexion estpermanente et a
moi. Mais il est de mon devoir de signaler un passage relatif à ce
sujet
que j'extrais de l'ouvrage de Duchenne de Boulo
bre inférieur, m'étant borné d'abord, afin de ne pas compliquer mon
sujet
, à décrire celles qui se produisent dans le mem
re, c'est que nous avons suivi très longtemps, Jarkowski et moi, un
sujet
atteint d'une paraplégie liée à des lésions spéci
in minutieux : Compression de la moelle de D : 1 à DG (il s'agit du
sujet
que vous verrez sur un des films et chez lequel
nte. Pour donner un aperçu exact des idées que j'ai exposées sur ce
sujet
, je pense que le mieux est d'extraire d'un travai
atteint guère le même degré que dans la forme précédente ; elle est
sujette
à des variations fréquentes qui résul- tent des
ment différentes des contractures en extension. « C'est en effet au
sujet
des paraplégies en flexion que M. Babinski a ét
n destructive suffit, en supprimant l'influence cérébrale. » A ce
sujet
, je rappellerai que dans mon travail de igi 1 sur
nce des réflexes d'extension croisée observés par eux chez certains
sujets
atteints de lésions de la voie pyramidale. Les
avons déjà insisté. On peut observer parfois, nous le rappelons des
sujets
atteints de lésions spinales qui, après avoir p
e que chez l'adulte on peut observer un réflexe en flexion chez des
sujets
atteints de lésions avérées de la voie pyramida
uvements conjugués aux membres inférieurs. Lorsque par exemple un
sujet
atteint d'une lésion de la voie pyramidale fléc
e les points d'insertion supérieurs de la longue portion z) Voir ce
sujet
l'article de MM. Pierre Marie et Ch. Foix. Revue
trépidation épileptoïde. ' Des expériences que j'ai faites sur des
sujets
atteints de paralysie avec contracture liée à d
agit en sens contraire et qui est prépondérante. De plus, chez des
sujets
atteints de paraplégie spasmodique en exten- si
ion se fonde principale- ment sur les renseignements fournis par le
sujet
en observation. Elle n'est pas pourtant impossi
ple, un trait le long de la ligne médiane du corps ; on prévient le
sujet
en expérience qu'on pratiquera des excitations di
encore plus grandes. Dans ces expériences l'effort d'attention du
sujet
en observation est identique à celui d'un simul
ée, une seule des deux excitations est perçue ; le 166 SÉMIOLOGIE
sujet
les perçoit, au contraire, toutes deux quand on a
i le fait sur lequel nous insistons avait été constaté chez un seul
sujet
; mais ce qui lui donne, selon nous, une valeur
côté opposé. (Nous croyons devoir rappeler à ce propos que tous les
sujets
que nous avons ici en vue présentaient un syndr
de réflexes peuvent coexister jusqu'à un certain point chez le même
sujet
. On pourrait déjà presque le prévoir a priori m
de l'intérêt à la relation de quelques faits nouveaux relatifs à ce
sujet
. Examinant une jeune femme sujette à des crises
ues faits nouveaux relatifs à ce sujet. Examinant une jeune femme
sujette
à des crises d'épilepsie et recher- chant chez
'écran, entre l'oeil et la lumière, puis, après avoir recommandé au
sujet
en observation de fixer un objet éloigné, on reti
é dans une pièce obscure, le réflexe, faible ou nul au moment où le
sujet
pénètre dans cette pièce, devient plus fort après
ment une inégalité pupillaire plus ou moins prononcée, suivant les
sujets
, suivant le degré de clarté du jour où l'expérien
a lumière, amène aussi la régénération du pourpre visuel (voir à ce
sujet
l'ouvrage de Parinaud, La Vision, Octave Doin,
aux, pas trace d'incoordination motrice. Chez la malade qui fait le
sujet
de l'observation I on constate que la pupille d
rveux cen- tral, presque sûrement d'origine syphilitique, et que le
sujet
chez qui on constate ce phénomène est un candid
n, par Antonelli, qui vient de nous faire connaître son avis sur ce
sujet
dans une lettre de laquelle nous extrayons le p
nce du 13 juillet 18qq. Voir aussi la Thèse de Char- pentier sur ce
sujet
. (Thèse de Paris, août 189g.) (3) On pupillary
aux deux autres malades, il a quelques troubles subjectifs : il est
sujet
depuis plusieurs mois à quelques douleurs lanci
aits sont assez communs (nous n'avons en vue, bien entendu, que les
sujets
chez lesquels le trouble pupillaire n'est pas ass
e le système nerveux central est atteint par la syphillis et que le
sujet
chez qui on le constate est un can- didat au ta
la nécropsie, d'affection cérébel- leuse chez la malade qui fait le
sujet
de l'observation II... ' 186 SÉMIOLOGIE Pour
supination ; mais il accomplit deux ou trois fois moins vite qu'un
sujet
sain l'acte complot, Le trouble devient surtout
ade de ne pas interrompre les mouvements. , Voici maintenant deux
sujets
atteints de sclérose multiloculaire avec plaque
upidation. ils se comportent exacte- ment de la même manière que le
sujet
précédent. Cette jeune fille que je vous présen
ut être considéré comme constitué que quand il se manifeste chez un
sujet
en mesure d'exécuter, avec la rapidité normale,
effet, sont de valeur discutable et nous ferons des réserves à leur
sujet
. Mais la plupart n'ont guère été observés jusqu'à
émité de l'index (droit ou gauche) au bout de son nez. Tandis qu'un
sujet
sain arrive aisé- ment, quelle que soit la vite
la même place sur le genou. Ce mouvement, simple et facile pour un
sujet
normal, n'est pas accompli correctement : l'ava
de votre nez, vite,' encore plus vite. Le doigt dépasse le but. Le
sujet
, dont la sensibilité est intacte a parfaitement
il est à remarquer que, lorsque l'affection est encore récente, les
sujets
ont de la peine à exécuter même avec lenteur les
ne s'arrêtant pas avec la précision 19ï SÉMIOLOGIE coutumière au
sujet
sain, décrit quelques oscillations en sens divers
il perd la stabilité ; il faut le retenir pour éviter une chute. Un
sujet
sain comparativement examiné peut, exécutant ce
ent au-dessus du sol, contraire- ment à ce que l'on observe chez un
sujet
normal et vigoureux. Sans doute, comme le fait
eux. Sans doute, comme le fait remarquer André Thomas, il y a des
sujets
normaux qui ne s'asseyent pas ou s'asseyent diffi
tération du faisceau pyramidal. On doit s'assurer par avance que le
sujet
dispose d'une force musculaire normale, ou en tou
être la conséquence indirecte de la dysmétrie. Dans le décubitus un
sujet
sain peut rapprocher le talon de la fesse en un
tielle nous relations l'asynergie du membre inférieur droit chez un
sujet
à l'autopsie duquel on découvrit une tumeur rem
s rappellerons en citant textuellement ce que nous avons écrit à ce
sujet
. Envisageons, pour commencer, la démarche dite
on que j'en avais donnée en citant un passage de mon travail sur ce
sujet
. Pour comprendre l'interprétation que je propos
te même de cette faculté qui nous en fait concevoir l'existence. Un
sujet
sain est capable d'exécuter isolément avec rapidi
supination ; mais il accomplit deux ou trois fois moins vite qu'un
sujet
sain l'acte complet constitué par la succession
ut être considéré comme constitué que quand il se manifeste chez un
sujet
en mesure d'exécuter avec la rapidité normale l
tons pas, ajoutions-nous, mais nous conservons quelques doutes à ce
sujet
, car la description que donne Bruns, dans laque
sie apparaît de la manière la plus frap- pante est la suivante : le
sujet
est couché sur le dos, les cuisses fléchies sur
cune secousse muscu- laire, contrairement à ce qui se voit chez les
sujets
les plus vigoureux que nous avons fait placer d
ieurs minutes, et le malade, contrairement à ce qui a lieu chez les
sujets
témoins, n'accuse presque aucune sensation de fat
ent d'être ques- tion. Nous avons vu avec Hallion, en comparant des
sujets
normaux à un malade atteint de catalepsie céréb
e ces signes, qui d'ailleurs sont rarement tous réunis chez un même
sujet
, peut être très net, d'intensité moyenne ou simpl
té, la ténacité des troubles cérébelleux. André Thomas, traitant ce
sujet
, rapporte un cas d'atrophie olivo- ponto-cérébe
apophyses mastoïdes, soit aux tempes, à la fermeture du courant le
sujet
en expérience éprouve, entre autres phénomènes, u
e vertige voltaïque. . En igoi date de mon premier travail sur ce
sujet
l'accord n'était pas fait sur le mécanisme de c
précise avec les galvanomètres que j'avais à ma disposition, et les
sujets
en expérience n'éprouvaient aucune sensation spéc
e, calorique ou giratoire : Déviation angulaire spontanée (3). - Le
sujet
étant placé debout, face à un point de directio
E cherche la déviation angulaire, elle apparaîtra très nette sur un
sujet
nor- mal, alors même que le nystagmus ne s'est
Après l'épreuve normale de dix tours en vingt secondes, dès que le
sujet
peut marcher, il présentera une déviation angulai
euille de papier fixée dans un cadre et présentée verticalement, le
sujet
un crayon à la main, les yeux fermés, trace de
sensibilité qui peut varier beaucoup même à l'état normal, et d'un
sujet
à l'autre, on observera soit une déviation en sen
illes de lunettes complètement opaques ; on fait fixer le regard du
sujet
vers ce point pen- dant l'épreuve de la déviati
t lente, paresseuse. L'électrode différente est placé comme chez le
sujet
précédent, avec 35 volts et 20 milliampères, le p
ecin électrise le malade et observe ce fait, qui frappe d'ailleurs le
sujet
lui-même, que les contractions obtenues avec le
incontestable que les troubles constatés chez le malade qui fait le
sujet
de l'observation I sont sous la dépendance d'une
on confirme cette idée. Chez les malades de ce genre, comme chez le
sujet
que je présente, le phénomène est des plus appa
t étaient devenues très violentes. Depuis plusieurs mois elle était
sujette
à des crises épileptiformes, et sa vue s'était no
Il a un aspect cachectique. Les vomissements auxquels il est encore
sujet
sont moins fréquents que précédemment. La céphalé
dépendaient de la syphilis. Nous fîmes cependant nos réserves à ce
sujet
, ayant observé autrefois des rémissions notable
l'hémisphère du côté sain ('). (') Un travail plus complet sur ce
sujet
, surtout au point de vue histologique, paraitra p
n'a pas subi de rachicentèse. Ordinairement on a affaire alors à un
sujet
qui affirme n'avoir pas eu la syphilis et qui n
une néoplasie syphilitique. Enfin, supposons qu'on ait affaire à un
sujet
qui n'a pas été soumis aux épreuves du mercure,
vent devenir familières à tous les cliniciens ('). (') Voir à ce
sujet
la thèse très documentée d'un de mes élèves, M. T
n de le faire dans une autre séance. Je me contenterai de dire à ce
sujet
que l'état du malade, entré tout récemment dans m
NIE ? ) Depuis igoi, j'ai eu l'occasion d'observer encore plusieurs
sujets
chez lesquels à un torticolis « mental » était
assis ou debout. Ce qui les modifie, c'est surtout l'état émotif du
sujet
: si celui-ci se sent observé, s'il pense simplem
au contraire aucune syncinésie du côté malade. Dans la marche, le
sujet
avance et lève l'épaule gauche et tous les muscle
ourtant et on les remarque dans les muscles de la cuisse lorsque le
sujet
est couché. Celui-ci se plaint du reste de cram
e gauche se porte à toute occasion en haut et en dehors. Lorsque le
sujet
ouvre la bouche et qu'il cherche à la maintenir
troubles subissent particulièrement l'influence de l'état émotif du
sujet
et ils disparaissent dans le sommeil. Ces caractè
ités, de laboratoire et des tests biologiques, auxquels fut soumis le
sujet
et qui donnèrent, pour la plupart, des résultat
cussion ont été discordants. Je désire revenir aujourd'hui sur ce
sujet
, ayant des faits nouveaux à relater. L'opinio
). J'extrais de ce travail le passage suivant : « Les deux autres
sujets
à section bilatérale paraissent, au contraire,
nce du 12 janvier igo ? ). Ai observé chez un assez grand nombre de
sujets
, atteints de chorée ) de Sydenham, la flexion c
on de notre malade, l'intelligence est parfaitement conservée et le
sujet
, incapable de parler, est en mesure d'écrire. C
IE PARADOXALE - MUTISME PARKINSONIEN 277 l'aisance avec laquelle le
sujet
répond à certaines questions et l'impossi- bili
taté à peu près semblable à ce qu'il est chez notre malade, chez un
sujet
vu par l'un de nous et par M. Souques et dont c
t être rapproché de celui que nous venons d'étudier. Il s'agit d'un
sujet
atteint aussi, selon toute probabilité, d'une lés
ntant aussi, pour la plupart, un syndrome parkin- sonien, Ce fut le
sujet
de la communication de M. J. Bériel à la séance
se d'apnée succède une expiration bruyante, soufflante, comme si le
sujet
voulait éteindre une bougie par le nez. La ma
pourrait être discuté, aujourd'hui surtout, pour le deuxième de nos
sujets
, est incontestable pour le premier. Si, d'autre p
ière malade, nous n'avons pas encore étudié à cet égard le deuxième
sujet
-, nous a déclaré qu'elle a pu, en plusieurs circ
raître sous l'influence de la persuasion seule. Nous rappelons à ce
sujet
que Charcot, étudiant les mouvements anormaux c
ol. Ces parti- cularités sont surtout nettes quand on recommande au
sujet
d'exécuter les mouve- ments avec lenteur. La
entuation natu- rellement vicieuse en raison de l'origine basque du
sujet
. ' - (Examen dans le décubitus.) -' Lorsque le
un peu plus prononcé du côté gauche que du côté droit. Quand le
sujet
est dans le décubitus et qu'il cherche à étendr
ns pourtant à gauche qu a droite (comparez fig. 13, l'attitude d'un
sujet
sain). (Examen dans la station.) - Il serait im
la situation assise à la station sans y être aidé. Dans cet acte le
sujet
titube, la partie supérieure du corps et la têt
que, pendant que la partie supérieure du corps oscille et que le
sujet
cherche à retrou- ver l'équilibre, lesjambes re
aisant effort pour se mettre sur son séant. Fig. 13. -titude d'un
sujet
sain faisant effort pour se mettre sur son séan
ière avant d'avoir fait atteindre au tronc le degré de courbure qu'un
sujet
sain peut obtenir sans qu'une chute s'en suive.
le tronc dans le même sens en forme d'arc. Fig. t5. Attitude d'un
sujet
sain dans la sta- tion debout, cherchant il por
t occuper si la marche était normale. Il faut bien remarquer que le
sujet
ne peut avancer que si les aides ont soin, tout e
vant. La marche est encore possible si un seul aide placé devant le
sujet
le tient par les deux mains et l'attire légèrem
le d'hôpital. Si, au contraire, les aides, placés de chaque côté du
sujet
, se contentent de soutenir la partie supérieure d
ai déjà présenté à la Société il y a plus de deux ans, et il a été le
sujet
principal d'un travail sur l'asynergie cérébell
contradiction avec ce que je viens de dire ; en effet, même chez un
sujet
dont la fonction de l'équilibre statique est no
aucune secousse musculaire, contrairement à ce qui se voit chez les
sujets
les plus vigoureux que nous avons fait placer dan
ieurs minutes, et le malade, contrairement à ce qui a lieu chez les
sujets
témoins, n'accuse presque aucune sensation de f
la nuque, ou sur les parties latérales du cou. On sait que chez un
sujet
normal, il se produit, sous l'influence d'une imp
ables, sui- vant certaines conditions physiologiques; mais, chez un
sujet
normal, quand les deux mains sont dans les même
t élévation relative de sa température superficielle. 3° Lorqu'un
sujet
sain est dans un milieu relativement froid, les v
eurs : ' Considérons-les d'abord au début de l'expérience, quand le
sujet
vient de pénétrer dans la pièce chaude. A ce mo
iner, par des expériences réalisées soit sur l'animal, soit sur des
sujets
sains, qu'on soumettra à des influences vaso- c
eur absolument décisive, je ne me crois pas en droit d'émettre à ce
sujet
une opinion ferme et je me contente, jusqu'à no
Il résulte que la disparition de phénomènes paralytiques, chez un
sujet
atteint de myélite, indique d'une façon presque c
le sommeil difficile. L'intelligence se trouble; la malade devient
sujette
à des accès d'agitation et présente par moments d
loge en refoulant (1) L'examen hislologique a été pratiqué chez ce
sujet
ainsi que chez les deux autres par mon collègue
ns. De l'âge de dix ans à celui de vingt-trois ans, elle aurait été
sujette
à des accès de noctambulisme. A vingt-deux aus,
à se mouvoir, des douleurs dans la région dorso-lombaire ; elle est
sujette
aussi à des crises de douleurs d'un quart d'heu
re avec flexion dans certains cas de paraplégie, s'est exprimé à ce
sujet
, dans une leçon sur la compres- sion lente de l
bres paralysés l'attitude de l'extension, mais tôt ou (') Voir à ce
sujet
le très intéressant travail du pr van Gehuchten s
gie organique ». Semaine médicale, 21 décembre 18go : . (2) Voir ce
sujet
: 1" Giehl, es eine primare Sklcrose der Seiten
ts nouveaux me conduit à préciser davantage ce qui est relatif à ce
sujet
. Je me propose donc de dégager une forme de par
qui, dans l'espèce, lui donne un cachet spécial, c'est qu'elle est
sujette
à des variations fréquentes qui résultent de cont
la fin; il en était ainsi, par exemple, chez la malade qui fait le
sujet
de l'observation I de mon premier travail, préc
ets aujourd'hui à l'examen de la SociétéQ et qui est, (') Voir à ce
sujet
le travail de l. Noïca, ayant pour titre : « Sur
s. Quant aux réflexes cutanés que l'on peut provoquer chez certains
sujets
par le pincement de la peau des jambes, des cui
tendineux à la contracture du tabes dorsal spasmodi- (') Voir à ce
sujet
un travail que j'ai publié en collaboration avec
esthésie peut faire complètement défaut ; elle existe chez certains
sujets
à un degré plus ou moins élevé et occupe les memb
es traits sont peu accentués. Habituellement, on l'observe chez des
sujets
atteints soit d'une sclérose spinale diffuse, s
n avait été très prononcée. Ces dégénérations existent parfois, les
sujets
chez lesquels je les ai trouvées n'avaient pré-
sultats des recherches que je poursuis déjà depuis longtemps sur ce
sujet
que je viens faire connaître aujourd'hui à la Soc
itique d'autant plus intéressants que le père de chacun de ces deux
sujets
est lui-même atteint de tabès. Le diagnostic
et, des signes caractéristiques de cette affection. La première est
sujette
à des douleurs lancinantes, ses réflexes rotulien
tion du réflexe rotulien et du réflexe du tendon d'Achille, qui est
sujet
à des crises de douleurs fulgurantes, et qui, par
1 ? AI)LÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE beaucoup souffrir. Elle est
sujette
depuis plusieurs années à des accès de douleurs
nt le moment où les réflexes de défense disparaissent (') Voir à ce
sujet
: Paraplégie spasmodique organique avec contractu
moi. Mais il est de mon devoir de signaler un passage relatif il ce
sujet
que j'extrais de l'ouvrage de Duchenne de Boulogn
t au bord externe du pied des deux côtés ('). Lorsque (') Voir à ce
sujet
: Remarques sur la persistance des zones sensible
ffisamment étudiées. Nous pensons que les notions classiques sur ce
sujet
méritent d'être revisées et à l'appui de cette al
repos elle était en mesure de repartir. A la même époque elle était
sujette
à de fréquentes migraines. Ces divers (') Séanc
On serait porté à l'expliquer par un effort variable d'attention du
sujet
. Mais ces « réveils de la sensibilité » sont d'
avec précision. Nous croyons qu'au milieu de ces données la plupart
sujettes
à des variations il en est une qui a une stabil
'une tumeur énucléable, il est encore bien des points relatifs à ce
sujet
, entre autres le diagnostic différentiel, qui o
sensitifs et paralytiques produits par des tumeurs vasculaires sont
sujets
à de grandes variations, qu'ils peuvent même di
-mérienne. Nous renvoyons le lecteur à ce que nous avons écrit à ce
sujet
dans un travail antérieur (2). Mais nous nous p
le diagnostic devait donc rester en suspens. Nous rappellerons à ce
sujet
que l'un de nous, à la séance de la Société de
généralement éloigné du siège de la lésion et dont l'intensité est
sujette
à des variations. Il est entendu que certains c
quelle est la nature de cette lésion ? Il est permis de faire à ce
sujet
deux hypothèses qui nous semblent également acc
été médicale des Hôpitaux, séance du 24 mars 18qq). (2) Voir à ce
sujet
le travail de M. Froin, interne de M. Widal : « I
cot-Bouchard, t. X, igoo (p. i ci zga. 'EST la première fois que ce
sujet
a été exposé d'une manière méthodique et détail
le malade dont je viens d'entretenir la Société, mais chez un autre
sujet
, atteint de la même affection, que j'ai pu soum
synergie paradoxale peuvent être reproduites avec rigueur chez les
sujets
normaux par l'électrisation de certains filets
ause ? Il est facile de la déterminer, en complétant l'examen de ce
sujet
chez qui on trouve un ensemble de signes qui cond
issaud, en effet, dont j'ai rappelé les intéressants travaux par le
sujet
qui m'occupe, s'exprime à cet égard de la maniè
occupe. J'ai eu récemment l'occasion d'examiner une femme qui était
sujette
à des crises d'épilepsie jacksonienne limitées
. MYOPATHIE PROGRESSIVE PRIMITIVE 441 Signalons spécialement à ce
sujet
la main, où les muscles interosseux, en particu
, qui a bien voulu mettre tous ses malades à notre disposition, dix
sujets
atteints de diverses formes de la myopathie. No
us allons aborder maintenant le point qui a été particulièrement le
sujet
de nos recherches. Quelle peut être la cause de
parents que dans les fibres adultes ou les fibres normales. Voir à ce
sujet
: Des modifications que présentent les muscles
s séances de l'Académie des sciences, 7 février 1884). (2) Voir, au
sujet
des muscles rouges et des muscles blancs : i° L
i de corrélation, mais il est légitime d'admettre que chez tous les
sujets
le développement n'est pas toujours identique,
Voici maintenant deux autres questions qui peuvent être posées au
sujet
des myopathies : i° Pourquoi la myopathie début
nt de la myopathie ? En quoi consiste la prédisposition de certains
sujets
, de certaines familles à cette affection ? Nous
que la prédisposition à la myo- pathie tient à ce que chez certains
sujets
le développement du système musculaire en génér
ur ces questions quel- ques données nouvelles. Nous présentons un
sujet
chez qui on peut constatertrès nettementles fai
es psychiques, de se succédersous différentes formes chez les mêmes
sujets
, qu'ils ne retentissent pas gravement sur la nutr
nerveux et de déterminer des troubles circulatoires graves chez les
sujets
atteints de lésions vasculaires ; c'est ainsi que
roduits par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
et de disparaître sous l'influence exclu- sive
le ou si la monopolégie brachiale est réalisée, on peut dire que le
sujet
en expé- rience a subi la suggestion, qu'il a é
mes d'attaques peuvent être reproduits par suggestion chez certains
sujets
, en particulier chez les grands hypnoti- ques ;
'hémiplégie faciale périphérique, la paralysie radiale vulgaire, le
sujet
en expérience, quelle que soit sa suggestibilit
semble a pri01'idevoir agir efficacement. Voici, par exem- ple, un
sujet
atteint de la maladie du doute bien caractérisée
nition que je propose : L'hystérie est un état psychique rendant le
sujet
(qui s'y trouve capable de s'auto-suggestionner
- duire par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
et de les faire disparaître sous l'influence ex
e les troubles qui sont l'objet de discussions, j'es- (') Voir à ce
sujet
: De l'atrophie musculaire dans les paralysies hy
la manière suivante : L'hypnotisme est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve susceptible de subir la suggestion
cette distinction est quelque peu artificielle, car généralement un
sujet
qui est susceptible de subir la suggestion d'autr
pnotisme diffère de la doctrine classique. Si mes - i. idées sur ce
sujet
sont connues de la plupart des neurologistes et a
tant la perception dou- loureuse et qu'il retire sa main. Parmi ces
sujets
, les uns refusent de se laisser électriser à no
dans l'hystérie ; j'agis avec la même cir- conspection, même si le
sujet
est en crise et en apparence inconscient. sacha
méthode, je n'ai pas constaté un seul cas d'hémianesthésie chez les
sujets
qui, avant de me consulter, n'avaient jamais ét
'un appareil appelé campimètre, que je fais placer devant vous ; le
sujet
met son menton sur l'échancrure du support spécia
s, la vision à la périphérie est moins nette qu'au milieu, certains
sujets
, d'ailleurs absolument normaux au point de vue
, de manière qu'il ne puisse être vu et, afin d'être certain que le
sujet
ne répond pas au hasard, je lui demande s'il le
es et de déterminer même des troubles circulatoires graves chez les
sujets
atteints de lésions vasculaires : ce caractère n'
stérique ? Il est impossible, il serait absurde de disserter sur ce
sujet
avant d'avoir au préalable déterminé le sens du
oduites par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
, et, d'autre part, celle de disparaître sous l'in
ation visuelle ou si la paralysie est réalisée, on peut dire que le
sujet
en expérience a été suggestionné. Au contraire,
sthésie, etc., peuvent être reproduits par suggestion chez certains
sujets
et la repro- duction est tellement fidèle qu'il
serait pas prendre : il lui suffirait d'interroger attentivement les
sujets
ainsi suggestionnés et, au besoin, de les suivr
en semble a priori devoir agir efficacement. Voici, par exemple, un
sujet
atteint de la maladie du doute bien caracté- ri
e. Je pourrais vous répondre que c'est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve susceptible d'être suggestionné
qu'il s'est agi d'une autosuggestion. Mais vous auriez (1) Voir ce
sujet
: De l'atrophie musculaire dans les paralysies hy
qu'il est possible de les repro- duire par suggestion chez certains
sujets
, avec une exactitude rigoureuse, et de les fair
subsister aucune obscurité, je crois bon de vous donner encore à ce
sujet
quelques éclaircissements complémentaires. Je r
l'action de la psychothérapie dans cette affection ? Choisissez un
sujet
type chez qui la maladie remonte à l'enfance, s'e
reproduire avec rigueur, des phénomènes identiques chez cer- tains
sujets
, parla suggestion. Mais faut-il en conclure que t
ski (Gazette des Hôpitaux, r octobre igo4). Ce travail se rapporte au
sujet
qui nous occupe. &78 llYSTÉl1.IE-PITHI,tTIS
e (2) qui n'est qu'une forme de cette exagération. Mes idées sur ce
sujet
sont déjà admises en grande partie par certains
duire par suggestion avec une exac- titude rigoureuse chez certains
sujets
et de les faire disparaître dans cer- tains cas
st pas ; pour ma part, j'ai tenté l'expérience en vain sur bien des
sujets
très sug- gestionnables, hypnotisables, et, à m
e démonstratives. On a, par exemple, publié des faits (') Voir à ce
sujet
: Diagnostic différentiel de l'hémiplégie organiq
à la Pitié (Gazette des Hôpitaux, 5 et 8 mai ]()0o). (2) Voir à ce
sujet
: De l'épilepsie spinale fruste, par J. Babinski
alysie de la 3e paire qu'on a qualifiée d'hystérique, parce que les
sujets
qui en étaient atteints étaient hystériques et qu
op prendre de précautions en cette matière, j'ai fait surveiller le
sujet
de très près. Eh bien, qua- rante-huit heures a
celles qui viennent d'être indiquées, ils obtiennent chez certains
sujets
des phlyctènes, des hémorragies, ou un oedème b
és « les mythomanes » et qu'on voit toujours s'éclipser dès que les
sujets
qui en sont atteints sont soumis à une surveillan
, mais aucune d'elles me parait convaincante ; ou bien il s'agit de
sujets
chez lesquels la température n'a pas été prise
ladies et, d'autre part, un diagnostic par exclu- sion est toujours
sujet
à caution. Pour démontrer que la fièvre puisse
iter et il faut avant tout être sur que le malade observé n'est pas
sujet
, dans d'autres circonstances, à des accès de fiè-
qui est aussi celle de tous les neurologistes, que beaucoup de ces
sujets
sont sincères et ne peuvent être considérés com
inis l'hypnotisme : « L'hypnotisme est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve susceptible de subir la suggesti
p- notisme au point de vue thérapeutique ? Je vais m'expliquer à ce
sujet
. Je suis d'avis, en effet, conformément à cette
tats remarquables dont je vais vous proposer une interprétation. Un
sujet
atteint, par exemple, d'une monoplégie brachiale
gie organique et que les caractères extrinsèques, tels que l'âge du
sujet
, la présence ou l'absence d'une affection cardi
e qui est la vérité. Je ne serais pas embarrassé pour présenter des
sujets
atteints d'hémiplégie manifestement organique q
la manière dont on procédait dans l'interrogatoire et l'examen des
sujets
, on obtenait des résultats tout dif- férents, e
t aisément faire naitre ces phénomènes chez un très grand nombre de
sujets
; qu'il est même particulièrement facile de les d
bjectifs que j'ai découverts depuis. Dans un premier travail sur ce
sujet
paru en 18c3, et ensuite à maintes reprises, da
ie. Il y avait alors, pour les raisons que je viens d'indiquer, des
sujets
atteints d'hémiplégie organique, que l'on considé
science de la nature de ses plaintes et de ses actes, tandis que le
sujet
suggestionné en est inconscient ou plutôt subcons
nière absolument rigoureuse et il est certain qu'un grand nombre de
sujets
, considérés comme des hystériques, se sont simp
ai observés, cette méthode ne s'est montrée inefficace que chez des
sujets
dont on avait de bonnes raisons de mettre la sinc
thermo- mètre ordinaire étalonné, et de surveiller attentivement le
sujet
en obser- vation au lieu de se contenter, comme
tions, des sphacèles, des oedèmes. La fraude consiste en ce que les
sujets
atteints de ces troubles prétendent qu'ils se s
re à cet égard une opinion personnelle choisiront de préférence des
sujets
pareils à ceux qu'on appelait autrefois de gran
ire de pratiquer des expériences de ce genre sur un grand nombre de
sujets
, car à ce point de vue, le champ d'action de la
acceptable qu'on lui soumet, ne peut être assimilé à la mentalité du
sujet
à qui l'on fait prendre « des vessies pour des
pital, il est plus difficile de l'invoquer quand on a affaire à des
sujets
qui vivent dans leur famille, ne sont pas en co
t pas oublier, en effet, qu'on a l'habitude d'affirmer à de pareils
sujets
qu'ils guériront, un jour ou l'autre, brusquement
ncore une autre interprétation à proposer. On peut soute- nir qu'un
sujet
atteint d'un trouble pithiatique joue en quelque
orme, l'intensité et la durée. Expérimentalement, je puis, chez des
sujets
suggestionnables, produire, par exemple, suivan
ns dire que ces recherches comparatives doivent être faites sur des
sujets
qui, sauf la présence ou l'absence de troubles
ée, leur forme, leur disparition, du milieu psychique où vivent les
sujets
suggestionnables dont la prédisposition maladiv
ent cette idée abondent. En voici un exemple banal : une hystérique
sujette
à des attaques est admise dans une salle d'hôpi
s capables de se guérir grâce à leur propre énergie. Je connais des
sujets
, depuis long- temps en parfaite-santé, qui, apr
ne le conteste certes pas, mais je crois pouvoir affirmer que jamais
sujet
atteint de la maladie du doute bien caractérisé
ans être nulle, n'est vraiment que bien faible. Ces phénomènes sont
sujets
à des alternatives en bien et en mal et se manife
l'on puisse faire disparaitre ainsi. Parfois, il est vrai, chez des
sujets
atteints de neurasthénie, de maladie du doute o
Cela me parait d'autant plus juste qu'un médecin en contact avec un
sujet
suggestionnable exercera inévitablement sur lui
essivement indiquer. i° Connaissant l'action qu'il exerce sur les
sujets
suggestionnables et le rôle qu'il est volontair
indiquées autre part, dans leurs grandes lignes. 2° Sachant qu'un
sujet
suggestionnable subit très facilement l'influence
ui ne sont pas pithiatiques. Il sera ainsi, moins que par le passé,
sujet
à méconnaître l'importance de préjudices causés p
ulation, il devra être sur ses gardes lors- qu'il aura affaire à un
sujet
présentant des troubles ayant les caractères qu
ert saura mieux orienter ses recherches, quand il aura affaire à un
sujet
se déclarant atteint, consécutivement à un accide
ps l'objet de controverses. Sans faire t l'historique complet de ce
sujet
et sans discuter les diverses ques- tions qu'il
omme « sommeil hypnotique ». Lorsque, après avoir fait fixer à un
sujet
un point brillant, ou après l'avoir regardé ave
variées, plus ou moins parfaites, plus ou moins frustes. Tantôt le
sujet
semble étran- ger à ce qui se passe autour de l
. Dans la salle où a lieu l'hypnotisation, on montre par exemple au
sujet
, sur le parquet, une corbeille de fleurs ima- g
hithéâtre dont les gradins regorgent d'assis- tants ? On affirme au
sujet
endormi qu'il n'y a personne dans la salle et q
e, rappellerait de bien loin l'état de mort, l'autre dans lequel le
sujet
endormi ou plutôt plongé, les yeux ouverts, dan
som- meil hypnotique, entre autres à cette forme très commune où le
sujet
, les yeux fermés, parle et répond aux questions
ulaire, la plasticité catalepti- que. Lorsque, suivant lui, chez un
sujet
en léthargie on excite par la pres- sion un mus
t cataleptique. Il suffit de provoquer un bruit violent auprès d'un
sujet
en léthargie ou bien d'ouvrir brusquement à la
r sans efforts les attitudes diverses où l'on place ses membres. Le
sujet
donne alors l'impression d'une poupée articulée.
fe cubitale ou la contraction des muscles de la face, surtout si le
sujet
en expérience est dépourvu de toute notion anat
ose d'un cachet de sincérité, de vérité. Dès lors, puisque chez les
sujets
qui se présentent sous cet aspect on peut mettr
de l'hypnotisme : par des procédés divers on provoque chez certains
sujets
une perturbation physique du sys- 5o8 Il YS Tl'
n, risque autrement d'induire en erreur. J'ai examiné de ces grands
sujets
, je les ai comparés à des individus qui, sur ma
u doute, d'un délire de persécution, d'un accès de mélanéolie : des
sujets
instruits, habiles, ayant des raisons majeures
e étude approfondie, se trouvent reproduites spontané- ment par des
sujets
dépourvus de toute notion médicale. Peut-on en
s médecins qui se sont occupés d'hypnotisme doit varier suivant les
sujets
auxquels ils ont eu affaire et leur propre tournu
'occasion de suivre pendant plus de vingt ans un certain nombre des
sujets
qui présentaient les caractères les plus parfaits
resque en permanence, réunis dans un même ser- vice, une dizaine de
sujets
sur lesquels on expérimentait. L'hypothèse d'un
e milieu, était pris au sérieux. J'ai cherché à confesser d'anciens
sujets
, à différentes reprises, longtemps après leur s
: a) L'hypnotisation pourrait être opérée parfois contre le gré du
sujet
. b) Le sujet hypnotisé ne se rappellerait plus,
tisation pourrait être opérée parfois contre le gré du sujet. b) Le
sujet
hypnotisé ne se rappellerait plus, au réveil, ce
et je citerai, à l'appui de mon opinion, un seul fait : ces grands
sujets
que nous maniions autrefois à la Salpêtrière avec
insignifiant. Je demeure convaincu qu'on ne peut pas hypnotiser un
sujet
sans son consentement. b) L'hypnotisé est-il su
tte manière de voir. En voici une, entre autres : je dis, devant un
sujet
hypnotisé, que tel mot français se traduit de tel
obtenir une réponse parfaite. c) Dans l'état dit léthargique, le
sujet
est-il inconscient ? A cette question je répond
est flasque, se raidira ». L'expérience réussit le plus souvent. Le
sujet
a donc entendu vos paroles, suivi attentivement
sortir spontanément de son sommeil. d) Dans 1 état somnambulique le
sujet
perd-il tout contrôle volontaire et se trouve-t
'esprit critique n'est pas aboli pendant le sommeil hypnotique ; le
sujet
ne devient pas passif et il fait le choix entre l
re les diverses suggestions. La volonté est si peu annihilée que le
sujet
hypnotisé a la faculté de garder des secrets, m
mêmes allures que l'hystérie avec laquelle il se confond ('). Les
sujets
hypnotisables et les hystériques sont susceptible
Abordons enfin le problème de l'hypnotisme en médecine légale. Des
sujets
qui, à l'état de veille, auraient repoussé des su
notique ? L'hypnotiseur serait-il en mesure de faire violence à son
sujet
? Aurait-il le pouvoir d'abuser d'une femme end
sera jamais en état d'affirmer la réalité de l'hypno- tisme chez le
sujet
soumis à son examen. Toutefois, comme je crois
Pour les motifs énoncés plus haut, je considérerais même un pareil
sujet
comme responsable de son acte. Pourtant, en invoq
n qui rend suggestionnable, et dans les circonstances sérieuses les
sujets
hypnotisés redeviennent maîtres de leurs action
5 troubler la spontanéité de leurs réponses ; or, chez aucun de ces
sujets
, dont le nombre s'élevait à plus de cent, je n'
les diverses causes qui ont pu y prendre part : les méditations du
sujet
; toute son expérience antérieure et ses croyanc
tifs. Quoique ses investigations aient porté sur plus de deux mille
sujets
, il ne lui a pas été donné, aussi- tôt après la
cipe de la simulation, dans une mesure d'ailleurs variable avec les
sujets
, et sui- vant les circonstances au milieu desqu
variés qui peuvent solliciter la volonté facile à influencer de ces
sujets
. Le rôle des éléments affectifs systématisés ap
brée », ont relaté, avec grands détails, l'observation d'une malade
sujette
à des crises de cata- lepsie auxquelles s'assoc
, au moins pour la plus grande part, indépendantes de la volonté du
sujet
, subies par lui, qu'elles résultent principalem
cidents susceptibles d'être reproduits par suggestion chez certains
sujets
avec une exactitude parfaite et de disparaître so
seule. L'observation long- temps poursuivie sur un grand nombre de
sujets
permet d'affirmer que des faits de ce genre exi
t d'authenticité. Dans la majorité des observations relatives à des
sujets
considérés comme hystériques et publiés à cette
ignent pas des miennes. Depuis des années, n'ayant pas rencontré de
sujets
présentant les stigmates en question, je n'ai pas
uel lorsqu'on explore l'état de la sensibilité et de la vision d'un
sujet
avec la préoccupation constante de s'abstenir, pe
es inopportuns capables d'entraver la spon- tanéité des réponses du
sujet
, de l'influencer d'une manière fâcheuse, de le
t souvent définitive, comme je l'ai constaté en particulier sur des
sujets
de ce genre, grandes hystériques que j'ai connues
tées, notamment celles qui ont trait au rôle joué par la volonté du
sujet
dans l'hétéro-suggestion, aux rapports entre la s
ar le professeur Chauffard qui, dans sa leçon inaugurale ayant pour
sujet
: « Stabilité et conditions de variation des es
fets de l'émotion. ' Nous extrayons des notes qu'il a prises sur ce
sujet
et qu'il nous a com- muniquées le passage suiva
ntres de neurologie de l'avant, spécialement destinés à retenir les
sujets
atteints de désordres de cette nature afin de l
à faire marcher le malade. Au cours d'une deuxième rachicenthèse le
sujet
est pris d'un spasme du membre supérieur dont o
assuré que ces accidents sont bénins. Au bout de quelques jours, le
sujet
se montre impatient de quitter l'hôpital ; il se
tourner au front. Il est intéressant de noter qu'il s'agissait d'un
sujet
vigoureux, bien équilibré, exempt de toute tare n
ils croient savoir de l'effet des diverses blessures de guerre, les
sujets
auxquels on a affaire ont été presque inévitabl
nt donc avec une fréquence très variable suivant l'observateur, les
sujets
observés et les conditions mêmes de l'observation
cès. Il ne faut cependant pas oublier qu'un même individu peut être
sujet
tantôt à des crises d'hystérie, tantôt à des cr
in, il est une dernière remarque que nous croyons devoir faire : le
sujet
, en pleine attaque d'hystérie et en apparence abs
les de sensibilité ne provoquent aucune gêne : on ne voit jamais un
sujet
qui les présente se brûler comme le fait un bless
mis. En outre, si après avoir soigneusement détourné l'attention du
sujet
, on saisissait à l'improviste le membre contrac
manque également. Remarquons enfin que l'on à eu affaire là, à des
sujets
traumatisés ; dans l'observation de G. Ballet,
on leur excite la plante du pied. Il n'est pas rare, du reste qu'un
sujet
qui a réagi à la première ou aux quelques premi
renseignements succincts qui nous sont parfois donnés, il s'agit de
sujets
ayant subi des traumatismes variés ; plaie du m
ner raison aux partisans de la doctrine ancienne ; chez de nombreux
sujets
atteints d'accidents qualifiés d'hystéro-trauma
me sympathique, d'ordre réflexe. En dehors de ces observations très
sujettes
à caution, aucun cas de trou- ble trophique hys
hystérique n'a été publié depuis le début de la guerre. Notons à ce
sujet
que d'après Cestan, Descomps et Euzière les altér
Cl. Vincent, qui a eu l'occasion de traiter un très grand nombre de
sujets
atteints de troubles pithiatiques, nous a décla
tations hystériques peuvent être réfractaires au traitement chez un
sujet
atteint d'affection mentale telle que l'hébéphré-
plus tenaces que lorsqu'il s'agit d'hystérie pure et ils sont plus
sujets
à la récidive. Il est évident que là c'est le f
l'arrière : on n'en est plus à compter, en effet, les très nombreux
sujets
atteints d'accidents hystériques-pithia- tiques
ns les hôpitaux et dans les dépôts régimentaires un grand nombre de
sujets
atteints de troubles pithiati- ques purs ou ass
ho-physiothérapie serait, on peut l'affirmer, efficace chez de tels
sujets
, si elle était pratiquée dans des services d'is
mettant d'établir un diagnostic précis, que l'on avait affaire à un
sujet
qui avait été considéré par quelques médecins c
s premières manifestations de la conscience. De plus, chez certains
sujets
, l'effort de réduction en pleine anesthésie et
de rendre plus ou moins longtemps inapte au service mili- taire les
sujets
qui en sont atteints. Si l'on prend en considér
ne s'agissait que d'un changement temporaire. En effet, lorsque le
sujet
est soustrait à l'action de la chaleur, la ther
VEUX D'ORDRE RÉFLEXE 563 Voici quelques chiffres constatés chez des
sujets
normaux ('). A l'humé- rale et à la fémorale :
pour 17°, 20" pour 16o. A la radiale et aux tibiales chez les mêmes
sujets
5" pour I", cy° pour 3", 8" pour 10", 8" pour 12°
avait été utilisé pour étudier l'amplitude des oscillations chez le
sujet
normal. C'est un détail qui mérite d'être souli
onnent pas toujours des oscillations d'égale amplitude chez un môme
sujet
et les spécimens actuellement mis en vento ont de
ôté sain ; quelquefois cependant il nous a semblé que, chez de tels
sujets
, la réfrigération du membre non traumatisé augm
- rature extérieure est basse, la contraction est souvent, chez les
sujets
dont nous nous occupons, d'une remarquable lent
rpentier (''), par Guillain et Barré (') et par Tinel(''). Chez les
sujets
atteints de contracture ou d'hypertonie réflexe d
il faut supposer une dose de volonté tout à fait surprenante chez des
sujets
décidés à ne pas se trahir au cours de ces diff
dentes, l'anesthésie est bien réelle, indépendante de la volonté du
sujet
, n'obéissant pas aux règles du pithia- tisme, q
les aussi présentent habituellement quelques altérations ; chez les
sujets
atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, leu
dant la phase d'excitation de la narcose chloroformique ; chez deux
sujets
atteints de contracture en flexion du coude ce ph
sons quelques extraits semble rentrer dans ce cadre. Il s'agit d'un
sujet
atteint, à la suite d'une blessure à la région
on des centres médullaires peuvent se trouver combinés chez un même
sujet
. « Même dans les cas de paralysie amyotrophique
eurs fois dans un but thérapeutique (opération de Leriche) chez des
sujets
atteints de causalgie et de troubles nerveux d'or
its les intéressantes observations faites par Monier-Vinard sur des
sujets
qui avaient été atteints de tétanos. Dans certain
s sont plus avides d'oxygène et de matériaux de réparation, partant
sujets
à périr plus faci- lement.... La robustesse et
ier 1898. Il a eu un chancre syphilitique à l'âge de 28 ans. Il est
sujet
depuis quatre ans à des douleurs lancinantes. Il
se n'est nullement dangereuse. J'ai traité ainsi un grand nombre de
sujets
atteints de vertiges, d'affai- blissement de l'
NT DES AFFECTIONS DE L'OREILLE 595 encore plus marquée que chez les
sujets
dont le labyrinthe est sain ; l'in- tensité du
onctionnels, ils peuvent également s'atténuer aus- sitôt ; quelques
sujets
m'ont déclaré séance tenante qu'ils se sentaient
'opération, il y a lieu de tenir compte de ce que la plupart de ces
sujets
étaient dans un mauvais état général et qu'à l'ép
émentaires, ce que je puis faire, n'ayant perdu de vue aucun de ces
sujets
. Dans un de ces trois cas (femme de 60 ans) qui
de la jambe gauche. L'asymétrie thermique persiste. En résumé, un
sujet
, après un grand traumatisme, est atteint de tro
- leurs pas semblables aux miens. Je présente maintenant un autre
sujet
atteint de paralysie spasmodique d'origine spin
t lieu la réapparition du réflexe achilléen. Toujours est-il que le
sujet
revu ces jours-ci, 4 ans après cette crise violen
du côté gauche. Depuis, elles n'ont pas cessé de s'accentuer et le
sujet
a été obligé d'aban- donner ses occupations.
ves dans la jambe gauche; la démarche est lente et défectueuse : le
sujet
porte le poids du corps sur la jambe saine. On co
vembre, il entre à l'hôpital, dans le service de l'un de nous. Le
sujet
se plaint de douleurs dans les reins, dans les de
éance, il se tient moins courbé. Le 15 février, après 7 séances, le
sujet
se tient tout à fait droit, sans se forcer : il
« Contribution à l'étude des gangrènes cutanées spontanées chez les
sujets
hystériques » (Nou- velle Iconographie de la Sa
uggestion n'est-elle pas l'art d'utiliser l'apli-tude que présente un
sujet
à transformer l'idée reçue en acte ? Et, d'autre
uivie d'effet, et les tentatives faites par d'autres pour endormir le
sujet
n'aboutissent plus désormais qu'à un insuccès.
s l'erreur de tous ceux qui no se sont adressés qu'à une catégorie de
sujets
. C'est ainsi que des médecins de marine ont décla
stibiiité est en rapport direct avec le développement intellectuel du
sujet
. L'expérience suivante, par la constance de ses r
tibiiité est une faculté normale, de modalité très variable selon les
sujets
. Chacun se présente avec sa suggestibiiité spécia
ont évidemment pas les mêmes, selon que l'on se trouve en présence de
sujets
appartenant au type visuel, au type auditif ou au
appartenant au type visuel, au type auditif ou au type moteur. Tel
sujet
résistera longtemps à la fatigue des yeux qui ser
estion parfois a des effets très accentués et très prolongés chez des
sujets
qui ont paru ne l'accepter d'abord qu'avec une ce
e lourdeur des paupières, une sorte d'engourdissement de l'esprit. Le
sujet
conserve une partie de sa conscience, mais il est
our renouveler les suggestions un peu plus longtemps. Chez certains
sujets
, le sommeil est obtenu après une ou plusieurs séa
ont des commentaires plausibles, capables d'impressionner vivement le
sujet
et de fixer son attention sur tel ou tel point. E
hose qu'appeler l'attention sur un organe et utiliser l'initiative du
sujet
pour remédier à un trouble fonctionnel. C'est ce
, surtout lorsqu'on ne néglige pas de procéder avec soin au réveil du
sujet
, le succès thérapeutique est la règle. On peut
timité ne sera contestée par personne : calmer l'éréthisme nerveux du
sujet
et faire l'éducation de ses centres d'arrêt psych
n sera toujours une résultante dont le naturel ou caractère propre du
sujet
sera nécessairement l'une des composantes; mais t
is avec une persévérance proportionnée à la résistance respective des
sujets
. Certains individus — quelle en est au juste la
'examiner avec toute l'attention que commande l'importance extrême du
sujet
, ainsi que le mérite de notre éminent contradicte
déclare incompréhensible que la suggestion puisse exciter en l'âme du
sujet
une passion violente contraire à ses sentiments n
f discutant l'expérience de M. Liégeois avec la demoiselle E... comme
sujet
, expérience dans laquelle la jeune fille, une foi
1894). broch. p. 14. c'est que, dans l'expérience en question, le
sujet
était tombé dans l'état d'hébétude hypnotique qui
la plus haute intelligence, et qui plus est d'un rare génie, ont été
sujets
aux hallucinations les plus caractérisées et les
t autant de degrés de sujétion suggestionnelle. Celui auquel les deux
sujets
de M. Liégeois avaient été poussés était, ainsi q
« excellente somnambule » dans sa cuisinière, Mme J...; il dit à ce
sujet
: «.....C'est elle qui, avec sa sœur, m'a servi
stionnée, ne donnait lieu à aucun phénomène inflammatoire. » (1) Un
sujet
chez qui une même blessure se comporte de deux ma
poursuit M. Delbœuf, il est incontestable que c'est là ce que fait le
sujet
. Lorsque, par exemple, on lui étend le bras et qu
sorte de contracture des muscles fléchisseurs des doigts. Donc si le
sujet
a la volonté bien arrêtée de surmonter la suggest
tion. Car, s'il s'était agi d'une sensation gustative désagréable, le
sujet
aurait reconnu les plats cuisinés au bourre o
cal. A ce titre, je terminerai en citant une observation inédite d'un
sujet
qui se nourrit seulement de lait pendant plusieur
et fit son temps de service ; depuis, sa philie n'a plus reparu. Ce
sujet
n'offrait aucune tare, aucun stigmate hystérique.
ssé un examen composé de deux épreuves : 1° une épreuve écrite sur un
sujet
d'hygiène ou d'anatomie élémentaire: 2° une épreu
ction. Je dis : les yeux vont se fermer. Ils ne se fermaient pas ; le
sujet
n'ayant plus assez d'initiative pour faire l'occl
dise : c'est fait. Il dort les yeux fermés. Vous voyez donc que ce
sujet
a pu être d'emblée mis en sommeil profond, en som
tion. Cette influence est cependant incontestable pour la plupart des
sujets
, la suggestion, chez eux, est plus facile, lorsqu
ouvent à côté. Ainsi il arrive souvent que, suggérant le sommeil à un
sujet
pour la première fois, comme nous l'avons fait à
cet enfant, aussitôt que vous dites : dormez, le premier mouvement du
sujet
est de fermer les yeux et de rester un instant im
conscience normale et résiste, sans savoir qu'il a été influencé. Ce
sujet
-est certainement suggestible. Si, maintenant ses
s à chaque instant dans les premières tentatives d'hypnose ; quelques
sujets
n'ont été influencés que par intermittences ; ils
ofond. Au réveil il ne se souviendra de rien. C'est, je le répète, un
sujet
vierge d'hypnotisations antérieures et qui n'en a
lui suggère une répugnance instinctive pour le mal ! Mais il est des
sujets
qui sont nés sans conscience morale ou avec une c
ant la suite inattendue de l'observation : Tout faisait espérer qu'un
sujet
si docile, si suggestible, que nous avons pu d'em
té je n'espérais plus ce résultat, et je vous ai dit, de façon que le
sujet
ne l'entende pas: Voici ce qui va arriver. Il évo
eulement de moi, mais aussi du degré d'impressionnabilité spéciale du
sujet
. Il importe aussi, vous le voyez, dans l'intérê
énie qui réalise la guérison ; elle a ses inconvénients, parce que le
sujet
suggestible par le médieum peut l'être aussi par
, neutraliser la douleur, tant qu'existait cet état. Mais aussitôt le
sujet
revenu à sa conscience normale, il nous échappait
augmenter son effet elle renforcer. Il appelle et fixe l'attention du
sujet
sur le point malade. En résumé : ces deux procé
de Nicole, fille d'un boucher de Vervins, visionnaire et possédée ?
Sujette
à l'épilepsie — les écrits contemporains en font
xe. On peut envisager actuellement trois séries de faits. Parmi ces
sujets
, les uns sont caractérisés par un besoin physique
is subdivisions: a) II y a d'abord l'impulsif conscient. C'est le
sujet
, par exemple, qui ù un moment donné, sans raison
ent avec ceux de Preyer. La mort apparente des fakirs indiens. Ce
sujet
vient de donner lieu à un intéressant rapport pré
Lourdes, entrepris sur mes conseils, j'avais cru reconnaître chez ce
sujet
l'existence de deux sortes de troubles, les uns p
e. Mais tous les cerveaux n'acceptent pas toutes les idées. Autant de
sujets
, autant d'individualités psychiques, autant de mo
ets thérapeutiques. J'ai guéri par des médications inertes, nombre de
sujets
affectés de douleurs, d'insomnie, d'aphonie nerve
r, devant ce parti pris inhérent à l'individualité psychique de notre
sujet
, que faire? Nous obstiner à faire de la suggestio
écises ne peuvent être promulguées par suite de la grande variété des
sujets
, chacun étant éminemment différent de son voisin.
dans un établissement. La plus grande circonspection est imposée, au
sujet
des aliénés qui, par leurs actes, leurs paroles o
yée dans un but thérapeutique ayant échoué, M. Tissié a créé chez les
sujets
des rêves curateurs. 11 suggère à un hydrophobe u
se présente l'exercice illégal et qu'il est préférable de laissera ce
sujet
la plus large appréciation aux tribunaux; que, da
t l'objet dc toutes les conversations. M. Bernheim, interviewé à ce
sujet
par un rédacteur de VImpartial de l'Est, a répond
s pas fixer un point brillant, je ne plonge pas mes yeux dans ceux du
sujet
, je me contente de mettre ma main sur son front,
M. S.-E. Peal rapporte dans la Nature une observation intéressante au
sujet
des instincts chez les jeunes faisans. Se promena
ent être dues à l'impressionnabilité ou à la réflectivité exagérée du
sujet
; ce sont des réflexes pathologiques qui ne sont
té d'ailleurs est variable à l'état physiologique chez les différents
sujets
. Tel avec une laryngo-bronchite et beaucoup de râ
les suggestions restent sans effet. Si l'on ouvre les paupières du
sujet
en état de léthargie, de façon qu'une vive lumièr
. Le caractère propre de l'état cataleptique c'est l'immobilité. Le
sujet
reste comme pétrifié dans l'attitude dans laquell
regard fixe, la physionomie impassible, toute communication entre le
sujet
et le monde extérieur est rompu, il ne donne aucu
i le séparent nettement des états léthargiques et cataleptiques. Le
sujet
placé dans l'état somnambulique a les yeux clos o
uel que soit le procédé employé pour provoquer l'hypnotisme. Puis, le
sujet
étant en léthargie, on peut le faire passer en ca
e insensibilité absolu, dans cette passivité complète qui fait que ce
sujet
frappé d'immobilité absolue est privé de toute co
t plus rien sur lui, à moins de retourner en arrière et de ramener le
sujet
en état léthargique. Le sujet en état de léthar
retourner en arrière et de ramener le sujet en état léthargique. Le
sujet
en état de léthargie peut encore passer dans l'ét
qui entrent dans leur combinaison. L'étude attentive de l'état des
sujets
que j'avais en observation me permit de constater
t, voici les procédés que j'emploie habituellement. Je fais placer le
sujet
debout devant moi et je lui fais bander les yeux
r aucune préoccupation. Je pose ensuite les deux mains sur la tête du
sujet
pendant quelques instants, puis je les passe lent
ant soin de les tenir écartées d'au moins dix à quinze centimètres du
sujet
, et, par conséquent, de ne jamais le toucher. A
s, on observe d'abord comme une détente complète de la physionomie du
sujet
qui devient absolument impassible; bientôt on peu
ui qui caractérise la léthargie. Dans l'attitude générale du corps du
sujet
, on observe bientôt de légères oscillations de to
a modifié sa position et si cette cause persiste. Dans cet état, le
sujet
n'est pas suggestionnable par la parole, ni par l
ère tout spécial qui sont ressenties de la façon la plus nette par le
sujet
qui y obéit. Ces impulsions sont données à volont
on a vu bien souvent répété et qui consiste â conduire par la main le
sujet
qui exécute un acte déterminé à l'avance. Pour ex
l'avance. Pour exécuter cette expérience, je faisais poser la main du
sujet
à plat sur la mienne également ouverte ; il n'y a
te façon, aucune compression, même inconsciente, qui puisse guider le
sujet
dans l'acte à accomplir. Mais il reste encore, da
uvent être transmis par le contact et les mouvements fibrillaires des
sujets
qui peuvent se communiquer de la main à la main.
est en effet très difficile, en faisant effort pour ne pas arrêter le
sujet
dans sa marche, de ne pas le précéder dans les mo
ypothèse en procédant de la manière suivante. Je me place derrière le
sujet
et je tiens les mains élevées latéralement de cha
oins une distance de quinze centimètres entre mes mains et la téte du
sujet
, il n'y a là absolument aucun point de contact, o
tement et à plusieurs reprises à une certaine distance d'un membre du
sujet
. Une particularité très remarquable dans ce phéno
ères généraux de l'état médianique passif, qu'un membre quelconque du
sujet
pris et soulevé avec la main retombe immédiatemen
vements de translation peuvent s'obtenir pour la totalité du corps du
sujet
, tout aussi bien que pour un membre en particulie
membre en particulier. Ainsi je me place à une certaine distance du
sujet
, et, par les mouvements de la main dirigée vers l
i les expériences que j'ai faites dans ce sens. Après avoir placé mon
sujet
dans l'état médianique passif, par les procédés q
à sa gauche. Me tenant absolument immobile, je fixai les yeux sur le
sujet
; au bout de peu d'instants, après quelques oscil
e je n'avais dit à personne la direction que j'allais faire suivre au
sujet
, et que ces différents mouvements étaient exactem
la craie, présentant les sinuosités les plus imprévues, je place mon
sujet
en état médianique passif à l'extrémité de la lig
tention, les yeux sur le chemin ainsi tracé à la craie, et je suis le
sujet
pas à pas : il parcourt ainsi très fidèlement tou
mait un angle plus ou moins aigu avec les lignes du parquet ; or, mon
sujet
s'arrêtait dans ces points et éprouvait une visib
résentait dans certains points des entrecroisements : l'hésitation du
sujet
se montrait à chaque intersection. Je fais cess
ntersection. Je fais cesser l'état médianique passif et je rends au
sujet
son état normal en passant plusieurs fois les mai
ins en travers devant son visage et en lui soufflant sur les yeux. Le
sujet
se souvient en général des actes qu'il a accompli
anique passif. Il était intéressant de connaître les impressions du
sujet
pendant cet état, et de savoir pourquoi et commen
j'ai pris soin, dans plusieurs expériences, d'éveiller brusquement le
sujet
après qu'il venait d'accomplir un acte déterminé.
ment le sujet après qu'il venait d'accomplir un acte déterminé. Les
sujets
sont unanimes à déclarer qu'ils ressentent une im
ement à l'esprit : premièrement, celle de la simulation de la part du
sujet
; deuxièmement, celle d'une trop grande bonne volo
lyser les phénomènes quelconques qui pourraient se produire. Avec des
sujets
intelligents et choisis de la sorte, parmi des je
viter toutes les causes possibles d'erreur. J'ai expérimenté avec des
sujets
des deux sexes, et j'ai obtenu des résultats abso
ianique actif ou inducteur est beaucoup plus difficile à obtenir, les
sujets
chez lesquels on le rencontre sont peu nombreux,
e donc de diviser méthodiquement cette étude et d'examiner d'abord le
sujet
chez lequel on peut le plus facilement l'observer
mènes particuliers que l'on peut observer pendant cette crise_. Les
sujets
chez lesquels nous avons observé le médianisme ac
nous avons observé le médianisme actif ne sont jamais, jusqu'ici, des
sujets
à l'état sain. Le plus souvent, ce sont des sujet
is, jusqu'ici, des sujets à l'état sain. Le plus souvent, ce sont des
sujets
du sexe féminin de 18 à 40 ans ; souvent ils prés
et de conscience. D'autres fois, quand on ne peut trouver chez ces
sujets
des traces certaines d'hystérie confirmée, on déc
à certains moments des crises de somnambulisme spontané. Ce sont des
sujets
d'un état névropathique poussé au plus haut degré
la prédominance très grande des phénomènes sensitifs. Tel étant le
sujet
, de quelle manière et par quels procédés se déter
ermine chez lui l'état médianique actif ou inducteur. Chez certains
sujets
, on le voit se développer spontanément et par sui
ue par les procédés habituels d'hypnotisation, puis on fait passer le
sujet
de l'état léthargique en état somnambulique, et l
de à l'état somnambulique. Je n'oserais, dans ces cas, affirmer si le
sujet
passe de l'état somnambulique dans l'état médiani
apparaissant brusquement produit des troubles profonds dans l'état du
sujet
, accélération de la respiration et palpita-lions,
extérieur, la caractéristique de l'état médianique actif est, pour le
sujet
, d'exercer une influence sur les êtres qui l'ento
naisons. Ie Sur les êtres animés, les personnes qui l'entourent, le
sujet
peut faire sentir son impulsion, ou, si l'on veut
'accompagnent d'un état de raideur et de forte tension des membres du
sujet
, de contractions presque convulsives des muscles
pidation de tout le corps. Quoique agissant à distance de l'objet, le
sujet
étend les membres vers cet objet, place son corps
le que celle qu'exige l'effet produit d'une manière normale ; 3° Le
sujet
peut encore agir sur les personnes qui l'entouren
des phénomènes beaucoup plus complexes. Après la crise, l'état du
sujet
change complètement, l'excitation est remplacée p
rveux, le visage prend une expression de souffrance et de fatigue, le
sujet
se montre d'une apathie complète, mais il a conse
plus ou moins long précède son retour à l'état normal. En général, le
sujet
a perdu tout souvenir de ce qui s'est passé penda
ctif ; et voici de quelle façon peut s'observer cette combinaison. Un
sujet
en état médianique actif influence un autre sujet
tte combinaison. Un sujet en état médianique actif influence un autre
sujet
qu'il place, d'une façon consciente ou inconscien
inconsciente, en état médianique passif. Les phénomènes que ces deux
sujets
peuvent ainsi obtenir l'un sur l'autre, sont d'un
dé usuel, consistant à fermer et à ouvrir alternativement les yeux du
sujet
, très rapidement, en lui suggérant chaque fois qu
pitaux de Paris, la phrase suivante : » Dans les recherches sur des
sujets
nouveaux, la valeur scientifique, le jugement, l'
moyen contre l'insomnie due à la perception de bruits. Beaucoup de
sujets
nerveux sont éveillés ou ne peuvent s'endormir pa
met à l'abri que des perceptions sonores, mais ne saurait empêcher le
sujet
de ressentir les ébranlements mécaniques qui acco
ur la réalité des effluves lumineuses magnétiques perçus par certains
sujets
. (Ann. de psychiat. et d'hypnol.) Paris, 1895. N.
re peu à peu, en raison de la puissance d'abstraction ou d'analyse du
sujet
, ainsi que de son développement physiologique.
-les parents que je commence le traitement et presque aussi contre le
sujet
qui s'y prête de mauvaise grâce. Aussi, dans une
lent guère capables de mieux faire celte fois-ci. Toutefois, ayant le
sujet
sous la main, je pourrai surveiller les choses, é
ré cela, le résultat est déjà commencé et assez satisfaisant, pour un
sujet
pareil. Il devient plus docile, commence à se dég
propriétés les plus remarquables du système nerveux. La volonté du
sujet
étant impuissante à réagir contre une habitude vi
éfinitive à l'impulsion par l'intervention de l'énergie volontaire du
sujet
. C'est ainsi que l'opération psychologique de l
ue si nous l'observons en nous-même ou si nous interrogeons à son
sujet
tel malade qui en est affecté, nous ayions affair
er la peur et aussi ne pas la provoquer. D'autre part, on peut être
sujet
à cette peur avec la plus grande facilité, et aus
bservé deux fois depuis nettement ce symptôme curieux ; l'identité du
sujet
n'était en quelque sorte fixée que par les opérat
ssent la même cause, la même origine, — l'excessive suggestibilité du
sujet
. Son cousin est médecin. Ayant aperçu une fois
ie a très efficacement et rapidement agi contre le symptôme, mais mon
sujet
conserve malheureusement son infirmité psychique,
voir recours à l'hypnotisme et de subs-« tituer sa volonté à celle du
sujet
pour le corriger d'un a défaut ? » Il s'agissai
nque. Tous les spécialistes penseront comme moi que, s'adressant à un
sujet
hypnotisé, l'affirmation suggestrice articulée pa
te donc d'arriver à la partie strictement médicale et pratique de mon
sujet
. Le cas proposé est celui « d'une jeune femme q
n tous cas des renseignements utiles sur les symptômes offerts par le
sujet
: « Je penche à croire, dit-il, que cette pauvr
Je crois devoir conter à ce propos une observation dont j'ai été le
sujet
. Il y a de cela trente ans, j'étais occupé depuis
que la fatigue, expérimentalement créée et poussée à l'excès chez des
sujets
sains et robustes, provoque des psychoses, j'ai é
nnelle à supporter l'effort prolongé. La fatigue arrive vite chez ces
sujets
; elle se manifeste par des troubles psychiques,
à la formation du jugement, de la volonté, etc., elle peut mettre le
sujet
en état hypnagogique. L'état de fatigue s'établ
érapie atténuées ou renforcées, selon l'état de réceptivité de chaque
sujet
. C'est ainsi qu'ayant voulu supprimer des tendanc
hâtiments, selon son moment psychique. Il faut permettre à chaque
sujet
de faire acte de libre arbitre ou du moins lui la
les, etc. Le traitement consiste à savoir se servir de tout ce que le
sujet
peut donner, c'est un protectorat qu'il faut étab
parfum renforce la suggestion à toute heure du jour sans gêne pour le
sujet
et pour son entourage, car on choisit pour cela l
ressionné, on n;a alors qu'à changer le parfum. Ainsi préparé, le
sujet
peut commencer le traitement physique. Ce trait
à l'état de veille qu'il faut savoir doser selon le moment de chaque
sujet
, il faut appliquer l'exercice d'après le coeffici
climatérique du milieu. Il ne faut pas oublier qu'on a affaire à des
sujets
dont la résistance nerveuse est peu élevée, qui d
e des états psychiques pathologiques. Rien n'est mobile comme de tels
sujets
qui dépendent de leur digestion, de leur sommeil,
L'hydrothérapie et le massage n'ont pas d'action sur la volonté ; le
sujet
subit, mais n'agit pas. On doit, toutes les fois
umerai donc cette étude dans les propositions suivantes : 1e Chaque
sujet
possède un coefficient de forces psycho-physiolog
end de l'âge, du sexe, de l'état physiologique et psychique de chaque
sujet
en même temps que de l'état climatérique du milie
t il oscille entre deux points proportionnellement constants chez les
sujets
sains, mais inconstant chez les sujets pathologiq
onnellement constants chez les sujets sains, mais inconstant chez les
sujets
pathologiques. 2° Les rêves jouent un rôle impo
la difficulté des exercices doivent être calculées d'après l'état du
sujet
au moment où il agit. La marche doit entrer dans
plus de prudence que le coefficient de force psycho-physiologique du
sujet
est moins élevé. D'autre part, tout travail int
qui avait duré huit jours. Nous ne nous appesantirons pas trop sur ce
sujet
. On sait aujourd'hui que, dans l'hystérie, l'appa
re durait généralement de cinq à dix minutes. Elle était aussi très
sujette
à ce phénomène que les Anglais appellent le givin
tout essai d'explication, me réservant de traiter cette partie de mon
sujet
dans une autre circonstance. Voici tout d'abord
t avec des personnes à l'état de veille. — Sans doute, la plupart des
sujets
avec lesquels j'expérimente ont été déjà hypnotis
is encore j'évite soigneusement de rien faire qui puisse endormir les
sujets
ou modifier leur état normal. 2° Mettre les suj
sse endormir les sujets ou modifier leur état normal. 2° Mettre les
sujets
, dès le début et pendant toute la durée des expér
e des lèvres. II en résulte, il est vrai, cet inconvénient que le
sujet
est forcé de ne respirer que par la bouche, mais
avec ses aides, il le fait toujours et uniquement par écrit. Seul le
sujet
est autorisé à parler pour dire, sans qu'on l'int
ne sont introduits dans la pièce où elles se passent qu'après que le
sujet
a eu les yeux bandés et sans qu'il en soit jamais
ait mention. 4° S'abstenir scrupuleuseument de tout contact avec le
sujet
. — Il ne faut pas que le sens du toucher puisse s
ujet. — Il ne faut pas que le sens du toucher puisse suppléer chez le
sujet
les sens de la vue et de l'ouie et lui permette d
le voit, toutes ces précautions ont pour but d'isoler complètement le
sujet
à la fois au point de vue physique et au point de
ile, les doigts allongés, vis-à-vis une partie quelconque du corps du
sujet
, à gauche ou à droite, devant ou derrière, épaule
e si, au contraire, certains autres individus, ceux qu'on appelle des
sujets
, étant mauvais conducteurs de cette influence, el
moins marqués. 3° La nature de ces effets varie avec les différents
sujets
: mais d'une part, chez tous les sujets suffisamm
ets varie avec les différents sujets : mais d'une part, chez tous les
sujets
suffisamment inpressionnables, il se produit touj
s, il se produit toujours quelque effet, et d'autre part, pour chaque
sujet
, la nature des effets produits est constante. 4
la production d'un effet est aussi variable selon les opérateurs, les
sujets
et les circonstances : dans les expériences que j
us souvent, d'ailleurs, les contractions ne sont accompagnées pour le
sujet
d'aucune sensation consciente ; 3° Tendance à la
l'opérateur. Ces mouvements se produisent spontanément chez certains
sujets
, même quand la main de l'opérateur reste immobile
nce quasi mathématique entre les mouvements de l'opérateur et ceux du
sujet
; 5° Sensation diverse que le sujet déclare éprou
vements de l'opérateur et ceux du sujet ; 5° Sensation diverse que le
sujet
déclare éprouver dans les parties visées et dont
, sensation de fourmillement et sensation d'engourdissement. Tous les
sujets
accusent la ressemblance de ces trois derniers ge
ues. En outre, certaines parties du corps ont, du moins chez certains
sujets
, leur mode particulier de réaction : en agissant
l'autre extrémité soit présentée à une partie quelconque du corps du
sujet
. 7° Chez certains sujets, peut-être aussi chez
ésentée à une partie quelconque du corps du sujet. 7° Chez certains
sujets
, peut-être aussi chez certains opérateurs, et
r que la pointe présentée vis-à-vis une partie quelconque du corps du
sujet
y produit les mêmes effets d'anesthésie, d'attrac
, j'en présente la pointe à l'une des parties quelconques du corps du
sujet
, même après 4 ou 5 minutes de présentation ; main
ion directe de la main, mais tantôt isolé du sol en même temps que le
sujet
par le moyen du verre, tantôt en communication av
périences n'ont encore été faites, et tout récemment, qu'avec un seul
sujet
, j'affirmerai la propriété isolante du verre avec
du cuivre, celle-ci ayant été vérifiée à plusieurs reprises avec des
sujets
différents. 10° Tous les individus ne possèdent
nt le procédé que j'emploie pour vérifier l'état de la sensibilité du
sujet
au cours de ces expériences. Supposons que la par
ujet au cours de ces expériences. Supposons que la partie du corps du
sujet
visée à distance par la main de l'opérateur soit
émoussée et dans un ordre quelconque différentes parties du corps du
sujet
en y intercalant la partie visée : le sujet annon
entes parties du corps du sujet en y intercalant la partie visée : le
sujet
annonce a haute voix les contacts ressentis; s'il
, mais avoir la patience d'expérimenter avec un assez grand nombre de
sujets
, soit personnellement, soit avec le concours d'au
dant à la réalisation de mon vœu. Vagabondage somnambulique chez un
sujet
non hypnotisable, mais suggestionnable Par M.
le Par M. le D' Verrier. L'hypnotisme pratiqué avec succès sur un
sujet
peut prouver l'état hystérique de ce sujet, mais
ratiqué avec succès sur un sujet peut prouver l'état hystérique de ce
sujet
, mais sa non réussite ne prouve pas que ce malade
e prouve pas que ce malade ne soit pas hystérique, si, d'ailleurs, le
sujet
est suggestionné à l'état de veille, non pas même
stration, s'adressa à M. le professeur Raymond à la Salpétrière. Le
sujet
examiné ne parait pas épileptique ; en l'absence
les deux névroses épilepsie et hystérie peuvent exister chez 2le même
sujet
. 2e OBservation Une observation courte, mais
tique depuis l'âge de sa formation, qui avait eu lieu à 10 ans, était
sujette
à des fugues de vagabondage ambulatoire. Ces fu
e vagabondage appartient plutôt à l'hystésie qu'à une épilepsie. Le
sujet
d'ailleurs présente les stigmates de l'hystérie,
de grandeur et persécuté auto-accusateur. Victime de la fatalité, ce
sujet
, pour redevenir heureux, se croit obligé de tuer
des micro-organismes pathogènes, sont souvent trouvés sur la peau de
sujets
même tout à fait sains. Il faut admettre que dans
héréditaire ni accidents nerveux, qui, pendant plusieurs mois, était
sujette
à des attaques de sommeil qui la prenaient tout d
les de la nuit suivante. Avant de terminer un livre où je traite ce
sujet
en détail, je me permettrai d'en donner ici un ré
'ai pas encore fini ces recherches, je ne traiterai pas en détails ce
sujet
. REVUE D'HYPNOLOGIE, DE NEUROLOGIE & DE PSY
ès le réveil. M. le Dr Escande de Meissières, qui vient de traiter ce
sujet
avec une grande compétence (1), montre en effet q
ne différence de degrés (1) Thèse de Bordeaux. entre le rêve du
sujet
normal, le délire de l'intoxiqué et le songe de l
é qu'elle était leur victime. Pas plus chez l'intoxiqué que chez le
sujet
normal on ne rencontre cette persistance du réve.
ances de Dumas en matière de médecine. Qui pouvait nous éclairer à ce
sujet
? « Si vous alliez trouver Dumontpallier, nous
s. Je lui avais enveloppé le bras avec une bandelette métallique : ce
sujet
était sensible au cuivre. Le résultat ne se produ
Fribourg, a essayé de résoudre la question par la chimie. Chez deux
sujets
, dont l'estomac était normal, il a analysé le con
9, à 10 h. 1/2 du soir. « Je m'abstiendrai de tout commentaire à ce
sujet
; je me bornerai à dire que le malade, qui était
la fois, que je finis par dire au père — je n'avais pas encore vu le
sujet
—de conduire sa fille chez M. le Dr Henrijean, alo
erte, qui se met à fonctionner ; bref, il n'était pas 7 heures que le
sujet
, réveillé, se servait de sa main et de son bras e
t pas. » il assista aux deux séances qui suivirent et où je rendis au
sujet
la faculté de descendre un escalier en posant d'a
ions les plus bizarres, y demeurent. Si j'applique l'un des pouces du
sujet
contre le bout du nez, l'autre pouce contre le pe
tend à continuer spontanément plus ou moins longtemps, comme chez les
sujets
hypnotisés. Il y a plus. J'ai observé plusieurs
. Il y a plus. J'ai observé plusieurs fois ceci: lorsque le bras du
sujet
est soulevé en l'air et reste ainsi cataleptisé,
secondes, les yeux clignotent et peuvent se fermer spontanément ; le
sujet
est endormi. C'est un véritable hypnotisme sponta
sont pas particuliers à la fièvre typhoïde; ils existent chez maints
sujets
dans d'autres états morbides, ou à l'état de
sychologiquement, sous l'influence d'états moraux spéciaux. Alors, le
sujet
garde l'attitude musculaire imprimée, parce qu'il
nomène est dominé par l'idée : il suflit que je m'éloigne pour que le
sujet
laisse retomber son bras, le cerveau n'étant plus
nt accrus quand la moelle est séparée du cerveau. Aussi, quand le
sujet
a perdu son initiative intellectuelle, quand le c
n présence d'actes accomplis inconsciemment, à appeler l'attention du
sujet
sur ses mouvements exécutés automatiquement, à év
per, en même temps que l'attention, le pouvoir d'arrêt qui permet aux
sujets
de résister à l'impulsion. J'ai eu l'occasion d
mparer des objets que je lui désignais ; j'établis ainsi chez mon
sujet
un cran d'arrêt involontaire dans le but de l'emp
impossibilité de lire ; c'est la cécité verbale. Si 1 est détruit, le
sujet
dit ; « Je ne vois pas. » Si 2 est détruit, il di
tion de l'œil et du nerf optique rend aveugle, mais si 1 persiste, le
sujet
peut avoir des rêves visuels et des hallucination
t l'impression, se transmettant à 3, éveille le mot « chapeau » si le
sujet
est un visuel. Si l'œil voit le mot chapeau écr
passage de 2 à 3 aboli, vous aurez une variété d'amnésie visuelle. Le
sujet
ne trouvera pas le mot en voyant l'objet; il le r
axes et être transitoire. Supposez le passage de 3 vers 2 aboli, le
sujet
lit bien, mais ne comprend pas ce qu'il lit, et p
. La destruction du nerf auditif rend sourd, mais si 1 persiste, le
sujet
peut entendre quand it rêve ou est halluciné. S
passage de 2 à 3 aboli, vous aurez une variété d'amnésie auditive. Le
sujet
ne trouvera pas le mot « cloche » par exemple, en
un mot général, « chose ». Supposez le passage de 3 à 1 aboli : le
sujet
entend le mot, répète le mot. mais sans le compre
imique. G peut envoyer un filet émissif vers A : d'où ce fait qu'un
sujet
qui ne peut lire si son conducteur 3 V— A est lés
issance de la volonté pour inhiber les accès d'épilepsie sur un jeune
sujet
. J'ai, dans mes notes, une observation confirmant
rais pas mentionné cette observation, si « elle n'était pas, comme le
sujet
du Dr Tissié », un exemple de la puissance inhibi
Dr Tissié », un exemple de la puissance inhibitoire de la volonté du
sujet
sur les attaques diurnes de cette névrose. X...
s même leur laisser l'éclair d'une pensée. Chez quelques-uns même, le
sujet
est poussé violemment en avant, se brisant la têt
ie d'un ardillon. L'aura débute-t-elle par l'estomac ou le ventre? le
sujet
avale du gros sel, respire fortement des sels ang
lie, d'où l'absence de réflexe palpébral, le myosis constaté chez les
sujets
soumis à l'action du chloroforme. La dernière p
roit d'application de l'excitant, le degré d'attention, de fatigue du
sujet
, et une foule d'autres circonstances » (idem, p.
es douleurs. Voici comment s'exprime M. le professeur Bernheim à ce
sujet
, dans son livre : « de la suggestion », 3e éditio
l'inspiration de M. X., elle a pris des déterminations très graves au
sujet
do ses affaires, et, depuis la rupture, elle est
n de l'amour en haine. Il s'agissait tout d'abord de savoir à quels
sujets
nous avions affaire, c'est-à-dire quel était l'ét
surtout quand vous avez affaire à une hystérique à forme erotique et
sujette
à des hallucinations, exigez d'avoir toujours et
nolisation, un témoin en qui vous puissiez avoir toute confiance. Ces
sujets
, en effet, peuvent avoir, malgré vous et même à v
ns ces cas plus encore que dans tous les autres, il faut mettre votre
sujet
à l'abri des hypnotisations ou suggestions coupab
aire que peut avoir le traitement hypnotique sur l'état mental de ces
sujets
et vous montre qu'il ne faut pas hésiter à l'empl
un phénomène naturel aux hibernants. Quelques espèces qui ne sont pas
sujettes
à cet état peuvent -le prendre en certaines occas
ermite ; Le croquemitaine ; L'homme ventru. Comme on le voit, les
sujets
d'effroi en usage chez les Arabes se rapprochent
bservations do ce genre pour vous communiquer un petit travail sur ce
sujet
. M. le Prof Delbœuf m'a fait me hâter. » La sug
r des Facultés à faire à la Faculté de médecine un cours libre sur le
sujet
suivant : Psychologie physiologique et pathologiq
s relatives à l'hypnotisme sont annoncées dans ces divers Congrès, au
sujet
desquels nous avons reçu divers documents que nou
nditions variables, selon tel ou tel organe des sens, selon l'état du
sujet
. C'est pourquoi telles excitations sont plus apte
le moment, renvoyant le lecteur à l'excellente page qu'a écrite à ce
sujet
le professeur Lëpixe de Lyon {Reçue de Médecine,
ou qu'ils existent seuls et constituent la maladie tout entière. Le
sujet
était immense, et il faut savoir gré à l'auteur,
troubles psychiques, M. le D' P. Hartenberg entre dans le vif de son
sujet
en recherchant tout d'abord quels sont les facteu
nant soin d'adapter toujours aux dispositions individuelles de chaque
sujet
, le procédé psychothérapique qui semblera devoir
e habituellement le Df Zaousailofï consiste simplement à ordonner aux
sujets
de fermer les yeux et leur dire, sans élever la v
s yeux. Dans un cas seulement, il mit dix minutes pour réveiller le
sujet
endormi. Avant de réveiller, il faut, dit l'auteu
e dc l'étude dc la vérité dans les mouvements. On remarque, parmi les
sujets
choisis, trois coureurs, des athlètes soulevant d
de, être autorisé, après avis du doyen,'k faire un cours libre sur un
sujet
dc son choix. Le conseil supérieur peut refuser l
tres scientifiques. 2° Une leçon orale faite par le candidat sur un
sujet
de son choix. L'examen serait subi individuelle
s actuellement par un cas physiologique assez curieux. Il s'agit d'un
sujet
, d'origine française, parait-il, qui mobilise à v
l de Mons. 11 déclara que ses expériences étaient simulées et que ses
sujets
jouaient la comédie ; il fut acquitté. Mais le mi
revint devant la Cour d'appel de Bruxelles. Dc nouveau Donato et ses
sujets
affirmèrent sous la foi du serment que ses expéri
e en ce que M. Delbœuf est appelé à répondre à celte question : ß Les
sujets
de Donato dorment-ils ou bien simulent-iis? » O
voir « ce que c'est qu'une personne hypnotisée... L'hypnotiseur et le
sujet
« sont devant le juge. L'un et l'autre soutiennen
Chargé du Cours des maladies mentales à la Faculté de Médecine. Le
sujet
que je désire présenter à la Société est un jeune
ulais aborder : l'influence des rêves sur les actes morbides de notre
sujet
. (I) H. Colin : Essai sur l'état mental des hys
t une sorte de monoïdéisme qui, à la façon d'une obsession, domine le
sujet
jusqu'à ce qu'il ait cédé et obéi. Tels sont les
éalisables. C'est sans doute ainsi que les choses ont lieu chez notre
sujet
, dont l'entraînement au vol, antérieur aux rêves,
gestive peuvent être bons ; ils sont variables d'ailleurs suivant les
sujets
. C'est ainsi que, chez notre malade, nous avons c
e importance particulière, en effet, dans le cas où, comme chez notre
sujet
, il s'agit d'actes délictueux. Supposez, ce qui
public, afin que les patrons, mieux éclairés, (I) 23 avril 1896. Le
sujet
est toujours en traitement hypnoihérapique entre
uggestion doive agir plus énergiquement et plus efficacement chez les
sujets
qui ne l'ont acceptée qu'après résistance que che
mmuniquer le texte même de la note particulière qu'il m'a remise à ce
sujet
, après un examen sérieux et complet du détenu.
'avait encore été publié. M. Liébeault, auquel nous avions annoncé le
sujet
de notre communication, avait bien voulu, en même
notre confrère Tissié. M. Régis a dit tout à l'heure que, pour des
sujets
tels que celui qu'il nous a présenté, il n'y a qu
c porté avait été celui .d'épilepsie larvée. J'observai longuement ce
sujet
à sa sortie de l'hôpital; je le fis loger chez mo
ves jouaient le principal rôle. Je créai la classe des cap (très. Mon
sujet
, impressionné à l'état de veille par le récit d'u
t, j'en ai cité de nombreux exemples dans mon Iivro Les Rêves', et le
sujet
si intéressant que. vient dc nous présenter M. Ré
ut autre acte à l'état second, c'est-à-dire dans un rêve éveillé. Ces
sujets
font acte de jugement et de volonté, mais jugemen
sommeil physiologique, déplace le jugement en aulo-suggestionnant le
sujet
en sa faveur. Albert X... voit une belle route bi
un dédoublement de la personnalité qui crée une vie seconde. De tels
sujets
possèdent deux * moi », ayant chacun sa vie propr
un remède à ses souffrances morales. En résumé, l'observation de ce
sujet
présente un double intérêt : 1° par la facilité a
uggestion. J'ajouterai qu'ayant le désir de présenter à la Société le
sujet
de cette observation, je lui ai suggéré, pendant
ns les séances incriminées il n'a point pratiqué l'hypnotisme, et des
sujets
appelés par lui à la barre affirment qu'ils ont j
s exhibées devant le public ont pu se produire sans hypnotisation des
sujets
, et dès lors la loi sur l'hypnotisme lui semblant
s périodiques. Doués dans une certaine mesure des mêmes facultés et
sujets
aux mêmes passions que les humains, les animaux s
lles [*) sont les plus connues des troubles mentaux observés chez les
sujets
des diverses espèces domestiques. Je ne m'arrêter
l) PiBRQum : /oc, cit„ t. II, p. 146. l'embonpoint est celui d'un
sujet
en bonne santé. L'inspection des différents appar
ez, chicanes de détail. Je n'ai point abordé le fond philosophique du
sujet
, qui ne se peut guère discuter à la volée dans un
M. Le Menant du Chesnais. — Faits de sommeil provoquées à l'insu des
sujets
. Congrès de psychologie de Munich. L'ouvertur
ecin inspecteur adjoint des asiles publics d'aliénés, avait pris pour
sujet
la question toute d'actualité de G/iypnoitsme et
, les suggestions post-hypnotiques, pratiquées sur un grand nombre de
sujets
, ont démontré l'action très puissante exercée par
(le ler Mai à l') par Y. B., 155. Vagabondage somnambulique chez un
sujet
non hypnotisable mais sugges-lionnable, par Verri
e peut se soustraire à l'obsession de penser constamment à un certain
sujet
, à une certaine question, souvent, du reste, sans
son symptôme principal. Ladame, dans sa communication faite sur ce
sujet
au Congrès de Berlin, a eu raison de dire que dan
à plusieurs reprises, des éludes assurément très intéressantes sur ce
sujet
. Jadis, en présence de cette terrible manie, le m
stion, et des résultats obtenus je conclus comme suit : Éant donné un
sujet
suffisamment suggcstible (au moins le 7me degré d
complète. Ce cas mérite d'être signalé pour un double motif : I° le
sujet
était ivrogne « fieffé » depuis plus de vingt ann
son adversaire s'est trouvé en présence d'une hystérie méconnue. Les
sujets
hypnotisés à Nancy ne seraient donc que des hysté
prouve péremptoirement qu'il s'agit bien d'hystériques, c'est que les
sujets
de Nancy présentent (I) Leçon faite à la Saipéu
quand on les examine de près, prouvent que cette névrose, chez leurs
sujets
, existe. Il n'accepte aucune des théories proposé
En effet, il s'est proposé de démontrer, par des expériences, que les
sujets
accomplissent l'acte suggéré avec d'autant moins
leurs idées personnelles. En effet, il a présenté aux auditeurs deux
sujets
qui ont accompli, après leur réveil, avec la plus
endant, malgré l'opinion de M. Ballet, qui avait affirmé qu'un de ses
sujets
aurait une violente attaque de nerfs avant de fra
nique avec une arme supposée, les spectateurs ont pu constater que le
sujet
a bien eu la crise de nerfs annoncée, mais seulem
des hypnotisés, c'est qu'il s'est borné à mettre dans la main de son
sujet
un simple morceau de carton, au lieu de lui confi
suggestion. Le fait peut tarder à se produire, d'abord parce que les
sujets
absolument automatiques sont rares, et que, comme
autorisés de l'École de Nancy, ainsi que M. Pitres, de Bordeaux, les
sujets
présentent souvent une résistance inattendue ; en
« numéros » que de la jonglerie et du compérage. Mais, parfois, des «
sujets
» improTÎsés, jeune- gens et jeunes filles, qui s
stance grise centrale ; l'examen microscopique lèvera les doutes à ce
sujet
. Les paralysies des muscles moteurs des yeux se
sme est. dans un grand nombre de ca«, nuisible à la santé mentale des
sujets
. Le Conseil municipal, conformément à cet avis, a
me fondamental du cette étrange maladie consi»le dans le fait que les
sujets
qui en sont atteints accomplissent des actes inse
tion irrésistible qui se manifestait quand on avait provoqué chez les
sujets
soit la colère, soit la frayeur. Dans ces cas-là,
e les particularités mentales que ne peut manquer de présenter un tel
sujet
. Société médico-légale de Hew-York. — Cette Soc
it en présence de mon collègue Swiderski. voici ce que je constatai :
sujet
d'une taille un peu au-dessus de la moyenne, sque
isent rarement, mais souvent par suite d'une inactivité prolongée, le
sujet
oublie comment il faut exécuter un mouvement comp
moi, corrobores par ma déposition verbale, affirmant la sincérité du
sujet
. C'est cette déposition que M. Masoin auaque. V
part de sa surprise devant ce singulier procédé de réveil ». Et a ce
sujet
, M. Masoin traite Deirez d'ignorant. Or tout hy
et quo tous reposent sur la suggestion, c'est à- dire la croyance du
sujet
. P. 230 et plus loin, p. 243. troisième preuve
à haute voix devant elle. Quand il n'y a pas eu défense spéciale, le
sujet
est en communication avec tout le monde. P. 243
ils doivent subir une opération chirurgicale. El nous connai'tons des
sujets
de Donato et de Léon qui ont su fort bien résiste
jours sur les théâtres, on donne à mâcher quelques grains d'aloès aux
sujets
, et, réveillés, ils montrent energiqueroent qu'il
je ne crois pas que l'on puisse raisonnablement soutenir que tous ces
sujets
étaient des hystériques. Cela reviendrait â dire
, se laisse plus facilement suggestionner et elle est plus facilement
sujette
i l'entraînement par imitation. Je ferai remarq
es. Dans le sommeil naturel, on peut quelquefois, sans réveiller le
sujet
, entrer en communication avec lui comme lorsqu'il
as, de provoquer chez lui des hallucinations comparables i celles des
sujets
hypnotisés ; ce sont des rêves provoqués, analogu
e, c'est que rien n'est facile comme de désuggestionner de semblables
sujets
. Bien souvent, en présence d'un sujet en proie à
désuggestionner de semblables sujets. Bien souvent, en présence d'un
sujet
en proie à la crise la plus violente, ayant de la
ent psychiques. L'impression est perçue, mais par auto-suggestion, le
sujet
neutralise ce qu'il voit. Il suffit de vous rappe
à ce propos certaines amblyopies unilatérales. A l'état habituel, le
sujet
ne voit que d'un œil, mais mettez-lui un prisme d
à un phéoomèue analogue à celui que j'obtiens lorsque je suggère à un
sujet
qu'il ne voit pas. En réalité, au moment de l'exp
ent piquant de son œil sau* qu'il fasse un mouvement. Et cependant ce
sujet
a perçu ce quo je lui faisais, puisque je peux pa
nassent suffisants pour démontrer ce que je disais tout à l'heure, au
sujet
des liens qui unissent l'hystérique au sujet hypn
isais tout à l'heure, au sujet des liens qui unissent l'hystérique au
sujet
hypnotisé. L'hystérique, comme l'hypnotisé, qui n
s deux ouvrages qu'il a publiés sur la matière, qu'un grand nombre de
sujets
, chez lesquels il parait ne pas avoir soupçonné l
tant affectés. Je reconnais parfaitement que l'on peut endormir des
sujets
n'ayant pas présenté jusque-là des stigmates hyst
plet, M. Bernheim arrive à se mettre suffisamment eu rapport avec son
sujet
pour provoquer chez lui les phénomènes de l'hynop
tisme, c'est précisément parce qu'il est arrivé à transformer chez ce
sujet
un sommeil naturel en un sommeil hypnotique. En d
un sommeil naturel en un sommeil hypnotique. En d'autres termes, les
sujets
chez lesquels on peut donner des hallucinations p
n peut donner des hallucinations pendant le sommeil naturel, sont des
sujets
hypnotisables, par conséquent, à mon sens, des hy
e dans l'élat conditionnel qui nous a déjà permis, sur quatre ou cinq
sujets
sur cent, de déterminer expérimentalement des hal
servation et d'expérimentation qu'ils pourraient posséder sur le même
sujet
. La suggestibilité des enfants. Par M. le V U
suivie d'effet et les tentatives faites par d'autres pour endormir le
sujet
n'aboutissent généralement qu'à un insuccès. 9°
ar l'état du malade, surtout lorsqu'on procède avec soin au réveil du
sujet
, le succès thérapeutique est la règle, l'insuccès
e pratiquer la suggestion directe, j'ai opéré par le transfert sur un
sujet
profondément hypnotisante. Instantanément, avec l
vec la rapidité du courant électrique, l'affection a été transmise au
sujet
, et les fillettes ont pu reprendre à l'instant mê
e son action est peut-être plus rapide et plus efficace, parce que le
sujet
est généralement plus vivement impressionné. Un a
ggestion a été mieux écartée. Si, par exemple, vous donnez l'ordre au
sujet
d'accomplir un acte qui ne soit pas en rapport av
oque une crise, comme on l'observe souvent à la Salpétrièïc, chez les
sujets
hystériques que l'on soumet aux exi»ériences hypn
s : l'individu ne doit point aliéner sa volonté... La « dépendance du
sujet
hypnotisé vis-à-vis du magnétiseur est plus compl
criminel, pervers, atroce même, qui no puisse être « exécuté par le
sujet
docile d'un magnétiseur. « Suivant une formule
bâton du voyageur appartient au voyageur. « Ailleurs, on a dit que le
sujet
hypnotisé devient comme l'argile entre les « main
t un agent qui peut mettre en péril la santé du magnétiseur, « de ses
sujets
et même des assistants. * El il disait : « De m
réveil, « est la règle habituelle; que cette amnésie force certains
sujets
a ignorer tou- « Jours qu'ils sont sont le coup
yant « cependant agir de leur propre initiative; qu'elle enlève aux
sujets
la possibilité « de remonter à l'origine des bi
e, à son tour, que l'hypnotisme « annihile en réalité la liberté du
sujet
. » « L'oubli au réveil et l'asservissement « de
; U l'interrogea et obtint des réponses d'autant plus sincères que le
sujet
, très léger, très insouciant, ne portail à celte
ilique et clinique très développé, et on voit qu'il connaît à fond le
sujet
qu'il traite. Aussi cet ouvrage ne se prête-il pa
Après lui, le professeur Preyer, fort de ses expériences sur le même
sujet
, est arrivé aussi à la même conclusion. Il a rema
crit lui-même sans réticence (I)? N'a-l-on pas vu ce pauvre halluciné
sujet
a des emportements maladifs au cours d'une discus
haute voix devant elle. Quand il n'y a pas eu de défense spéciale, le
sujet
est en communication avec tout le monde ». Repr
rd cette dernière affirmation doctrinale sur l'absence d'isolement du
sujet
endormi. M. Liébeault écrit : « Il esl d'observ
États anatoguet,p. 43. r De son côté, M. Beauois, expose « que le
sujet
n'est en rapport qu'avec la personne qui l'a mis
Il faut avouer que, si je me suis trompé, en invoquaul l'isolement du
sujet
hypnotisé, c'est en bonne compagnie. Mais voici
e par suggestion, dans l'autre une piqûre d'épingle faite a l'însu du
sujet
! 11 nous oppose les individus hypnotisés à qui To
assez grand nombre de résultats favorables chez des individus jeunes,
sujets
à des habitudes vicieuses ou des inclinations mau
re excessivement nerveuse, souffrant d'une mélancolie périodique, est
sujette
à une habitude qui donne beaucoup de chagrin à se
on cerveau l'idée de me donner la main ; j'ai fait une suggestion. Le
sujet
me donne la main : il transforme l'idée acceptée
ement ; la suggestion est réalisée. Elle peut ne pas se réaliser ; le
sujet
refuse de me donner la main : ce refus se traduit
par un acte : mouvement de recul de la main. Car c'est le cerveau du
sujet
, c'est son terrain psychique fécondé par une impr
respiration haletante, des cauchemars nocturnes, quand elle pousse le
sujet
à consulter le médecin, à se médicamenter à outra
l'esprit de la personne, il n'y a pas suggestion. Mais si l'esprit du
sujet
médite la phrase et se demande pourquoi je l'ai d
ouit à l'étranger. L'allusion à Carnot fait naître dans le cerveau du
sujet
l'idée que la correction, l'honnêteté, la sagesse
it inscrire par un tracé graphique tous les mouvements musculaires du
sujet
, on constaterait un tracé correspondant à une éba
lère, frayeur, tristesse, etc., réalisent, en dehors de la volonté du
sujet
, des mouvements, des contractions, des altitudes
réaliser. « Levez votre bras ! > J'évoque une image motrice que le
sujet
pourra facilement traduire en acte. Si je lui sug
n'est pas suivie d'effet. De même si je dis : « Voici un chien. » Le
sujet
croit un instant ; le cerveau cherche à ébaucher
lité objective, ou au moins non conforme aux perceptions actuelles du
sujet
». C'est méconnaître la nature psycholo- pique
le a été présentée, n'était pas conforme aux perceptions actuelles du
sujet
; elle l'est devenue par une suggestion habile.
à des actes violents, n'a-t-il pas modifié le dynamisme psychique des
sujets
auxquels il s'est adressé? N'est-ce pas de la sug
s l'influx nerveux destiné à le mouvoir. Or, la tentative même que le
sujet
fait pour vérifier si la paralysie existe, action
s le sommeil, une personne qui réussit à se mettre en rapport avec le
sujet
endormi, peut lui suggérer des actes, des sensati
ue d'avoir toute la plénitude de sou jeu. De là l'idée d'endormir les
sujets
pour créer artificiellement l'état de suggestibil
u contrôle cérébral et réaliser sans sommeil, ou du moins sans que le
sujet
ail conscience du sommeil, un état psychique qui
hère qui repose sur l'observation journalière des faits. 11 est des
sujets
, el plus nombreux qu'on ne s'imagine, chez qui la
is 1867 et je ne suis pas encore arrivé à me faire une opinion sur ce
sujet
. Je ne comprends pas comment mes confrères peuven
jamais obtenu que très peu de résultats chez un très petit nombre de
sujets
. Je ne crois pas à la réalité des faits d'hypnoti
n'a rien de commun avec l'bynoUsme, qui est un amusement plutôt qu'un
sujet
d'études sérieux. M. E. Habt (de Londres). — Je
llances ou les résistances de la volonté libre et dont cette liberté,
sujette
à l'erreur, mais susceptible de redressement, fai
es impulsions volontaires, sur l'influence magnétique à distance d'un
sujet
sur l'autre, que ces influences se transmettent p
ttent par l'air d'un cerveau à un autre, et plus facilement quand les
sujets
se touchent, etc., etc. Je ne m'arrêterai pas l
domination d'une certaine idée définie et bien conçue, pendant que le
sujet
se trouve dans un état à'attente intense de sa ré
ar suggestion un acte criminel, sans que l'on puisse faire dire à mon
sujet
qu'il a agi sous mon impulsion : 1° Personne ne r
'il a agi sous mon impulsion : 1° Personne ne réussira à endormir mon
sujet
; '2' si je veux qu'on l'endorme, il ne dira que c
en hypnotisme il n'y a pas de règle absolue. Ce qui est vrai chez tel
sujet
ne l'est plus chez un autre. On en rencontrera ce
ggestion criminelle n'ait pas su prendre ses précautions, soit que le
sujet
s'endorme et parle malgré la défense qui lui aura
e pouvait être un rêve ! Chez ces deux hommes, comme chez nombre de
sujets
, je puis d'ailleurs, à l'eut de veille, produire
se prononcer dans les cas douteux, se contentent de constater que le
sujet
n'a pas subi de manœuvres hypnotiques. Us oe save
in, et l'expérience apprend à le faire, la suggesti-bilité normale du
sujet
; ils devront s'assurer si on peut provoquer chez
culier est provoqué, qui exalte la sug-gestibilité; que chez certains
sujets
, la suggeslibilité est naturellement suffisante p
nt. Le degré de suggestibilité varie du reste notablement suivant les
sujets
auxquels on a affaire. Il en est qui se révoltent
umettre aux injonctions qui ne sont pas à leur convenance. Certains
sujets
, tout en paraissant plus crédules qui l'étal de v
tiques sont loin d'être succeptibles d'avoir, aussi facilement que le
sujet
type, des hallucinations sensorielles sous l'infl
e des doutes qu'il convient d'avoir bien souvent sur la sincérité des
sujets
en expérience. MM. Charcol et Richer ont en effet
ces derniers, ils sont subjectifs jusqu'à un certain point. Quand un
sujet
, dont je traverse les téguments avec une aiguille
ectiver en quelque sorte d'une façon indirecte; en voici un moyen. Le
sujet
en expérience prétend par exemple que sa peau est
e par suggestion, on est en droit d'affirmer que la suggestibilité du
sujet
en observation est exaltée. Jo ne crois pas pou
e. Jo ne crois pas pourtant qu'il faille exiger pour admettre qu'un
sujet
est hypnotisé ta réunion de tous les caractères s
sunce. j'avais toutes les raisons morales de croire à la sincérité du
sujet
en question, j'admettrais volontiers que j'ai aff
lus généralement, les phénomènes psychiques eux-mêmes sont vagues; le
sujet
est tout simplement dans un étal de torpeur qui p
compte de la simulation. Rien n'autorise à dire en ] arvil cas que le
sujet
est hypnotisé. — 6, Ou bien, ces cas du reste son
s te bénéfice des remarques précédentes, d'exiger pour admettre qu'un
sujet
est hypnotisé qu'il soit possible de faire appara
quelque-chose d'intéressant : L'une d'elles est épileplique et est
sujette
à de grandes attaques qui, survenant pendant le s
s deux et j'ai échoué dans trois; mes essais continuent. Le premier
sujet
est une dame de quarante-cinq ans, sujette à des
ais continuent. Le premier sujet est une dame de quarante-cinq ans,
sujette
à des obsessions de suicide et à de la céphalée,
lorsque l'excitation hallucinatoire et maniaque a cédé et lorsque les
sujets
ont été mis dans un état qui les rapproche le plu
usage que la disparition on la diminution notable des crises chex les
sujets
restant en puissance de la maladie, que ce serait
e indiscutable et comme prouvée, la possibilité d'obtenir de certains
sujets
la réalisation de suggestion criminelle, celle de
tout, à faire la démonstration de ce fait capital, c'est que certains
sujets
, hypnotisés ou plongés dans un état analogue, son
toire, c'est-à-dire faites dans des hôpitaux ou des cliniques sur des
sujets
habitués à être hypnotisés, ne prouvaient pas gra
C'est aussi mon avis. D'autant plus que lorsqu'on expérimente sur des
sujets
initiés aux secrets de la suggestion et de l'auto
ue l'expérimentateur accumule pour ainsi dire les causes d'erreur. Le
sujet
qui connaît la tournure d'esprit et les idées thé
nt lui sera pénible ou désagréable. Il faut savoir, en effet, qu'un
sujet
peut parfaitement résister à une suggestion lorsq
obtiendra une exécution passive de tout ce qu'il leur ordonnera. Ces
sujets
obéiront à toutes les suggestions, sans aucune ré
advenir dans le cours de ces expériences. Malgré cela cependant, ces
sujets
résistent parfois à certaines suggestions, souven
r un prédicateur éminent, le P. Didon. Après avoir constaté que les
sujets
sur lesquels nous avions expérimenté n'avaient pa
té, il nous dît : « Je ne suis pas surpris de cette résistance de vos
sujets
à certaines suggestions, car cette résistance me
ause d'erreur, c'est-à-dire la complaisance voulue ou inconsciente du
sujet
, il faut modifier les conditions de l'expérience
et faire inopinément l'expérience de la suggestion criminelle sur un
sujet
qu'on hypnotise pour la première fois, qui ne sai
, qu'il faut diriser les hypnotisés en plusieurs categorías: 1° Des
sujets
qu'on transforme en véritables impulsifs; ceux-là
mpulsif. 2° Ceux qui antérieurement n'ont pas de sens moral ; à ces
sujets
vous pourrez faire des suggestions criminelles; c
res et répéiéc», un état cérébral spécial. Il laul provoquer chez ces
sujets
une sorte de délire de persécution, et en s'appuy
ssibilité de la suggestion criminelle, se bornent à s'assurer que les
sujets
n'ont jamais élé soumis à des manœuvres d'hypnoti
gestion à l'état de veille et qu'il faut, avant tout, s'assurer si le
sujet
est ou non suggestionnable en dehors de l'hypnose
ble en dehors de l'hypnose. 11. DÉJsaixB. — 11 y a, à mon avis, des
sujets
auxquels on peut taire exécuter tout ce qu'on veu
el acte. Mes recherches personnelles me permettent d'affirmer que ces
sujets
agissent comme de véritables automates. La sugges
t de trois mois et sans aucune hésitation. J'ai dans mon service deux
sujets
qui ne permettent aucun doute à cet égard. M. B
vue pratique. M. Beruheim prétend qu'il peut exister chez certains
sujets
, en dehors de toute hypnolisation, une très grand
élrc vicieux vivant avec lui, sera-t-on en droit de demander pour ce
sujet
l'exonération de touie peine? Personne no l'admet
ompte pour mesurer la responsabilité des prévenus. Assurément, si les
sujets
sont 1res suggestibles, nous devrons les regarder
l'heure de la résistance que peuvent présenter dans certains cas des
sujets
hypnotisés et dont l'automatisme est cependant as
utume de ne pas prendre d'or le jour du sabbat. Cependant ces mêmes
sujets
eussent peut-être accompli sans résistance des ac
M- Dumontpallibr. — Tons ceux qui ont eu l'occasion d'observer des
sujets
très hypnotisables, sont arrivés à la conclusion
ujets très hypnotisables, sont arrivés à la conclusion que, parmi ces
sujets
, il y en a qoi deviendraient très facilement les
elbœuf, comprenant la portée de l'objection tirée de la dépendance du
sujet
à l'égard du magnétiseur, a soutenu que l'obéissa
e du sujet à l'égard du magnétiseur, a soutenu que l'obéissance de ce
sujet
ne va pas jusqu'à l'exécution d'actes contraires
e, une vingtième fois, si « l'on veut persister dans cette voie. Le
sujet
commencera par opposer une cer-« taine résistance
iques de l'hypnotisme peuvent agir défavorablement sur la santé c des
sujets
en expérience >. Seul, messieurs, l'honorabl
loin d'être nuisibles, seraient très utiles: elles permettraient aux
sujets
prédisposés, de s'éclairer sur les dangers do l'h
Et l'honorable rapporteur de la commision de l'Académie disait à ce
sujet
, dans le remarquable discours qu'il a prononcé, à
té produit chez elle par celui qui la donne en spectacle, soit que lu
sujet
ait été hypnotisé par un tiers. Cette disposition
ctacles publics, aux représentations d'hypnotisme, aux exhibitions de
sujets
magnétisés qui, sans pouvoir se justifier par auc
sur autrui à des pratiques dont il ne peut prévoir les suites sur le
sujet
auquel il les applique, et dont il serait dans l'
peut être permis à personne, en dehors des médecins, d'hypnotiser des
sujets
qui ne seraient pas en pleine possession de leurs
nce d'un individu s'exerce sur un autre. Il y a la. a-t-il ajouté, un
sujet
digne de nouvelles recherches, mais qui exige éga
Liège, je me mis à étudier cet état. J'en vins à me persuader que le
sujet
était réellement endormi, et que l'ordre de s'end
à la Salpètrière (2), je disais déjà ceci (p. 23} : « En réalité les
sujets
sont endormis, comme je le démontrerai un jour t.
n'a pas été mise dans le commerce. à un signe quelconque, chez mes
sujets
, l'état normal et l'état hypnotique, et & mes
e me mis immédiatement en rapport avec Léon. Celui-ci pensait qne les
sujets
gardaient leur conscience. Moi, fort de mes étude
is dans le Journal de Liège un article où je soutenais encore que ces
sujets
devaient perdre, au moins partiellement, leur con
les phénomènes de la veille somnambulique ne s'obtenaient qu'avec des
sujets
entraînés. Mais ayant eu à traiter des malades, j
rsation tomba sur l'hypnotisme. M. Kühne n'avait jamais approfondi ce
sujet
, parce que, disait-il, il ne le comprenait pas. E
domaine des distractions théâtrales, plutôt que dans la catégorie des
sujets
dignes d'études scientifiques. La nature des ph
aite ci-dessus il résulte, j'espère, qu'elles ne constituent point un
sujet
sérieux d'investigations scientifiques, et qu'ell
nt l'importance que l'on attache a cette question, qui a été aussi le
sujet
de discussions assez vives, sans qu'on ait pu arr
tre des phénomènes, surtout somatiques, fixes, constants et nullement
sujets
à ressentir aucune influence suggestive. D'aill
ne fait que reproduire les phénomènes de raccès hystérique auquel est
sujet
le malade. Ainsi les cas ne sont pas rares dans l
ui se vérifient dans l'hypnotisme peuvent varier à l'infini selon les
sujets
, c'est-à-dire selon qu'il s'agit de grande hystér
d'être toujours assea développée. Il importe au médecin de rendre son
sujet
suffisamment snggestible dans le sens voulu, de s
es nn peu des experts. — A la Cour do Lyon, M. Vialla avait pris pour
sujet
de son discours de rentrée : le projet de toi rel
ayant, de plus que celle-ci, souvent des racines dansl'ascen-dance du
sujet
. L'ivresse elle-même, quand elle revêt la forme e
tion a complètement disparu. De celte observation et de l'examen du
sujet
qui dort sous vos yeux, il nous parait résulter l
otisaiion, je me demandais, même en cas de réussite, quel bienfait le
sujet
en pourrait bien tirer. La suite a prouvé que j'a
te et l'est encore. C'était chez cet enfant un vice héréditaire. Le
sujet
de celte observation, au contraire, était un enfa
l'adjonction d'artifices variables, selon le degré d'intelligence du
sujet
, selon sa bonne volonté et aussi selon l'intensit
stériques; or, cela ne suffit pas, car la simple eoïneidence, chez un
sujet
, de l'hystérie et de perturbations de toute natur
dont il s'agit présente la plupart des stigmates hystériques; il est
sujet
à des attaques dans lesquelles la phase délirante
raitement que nous avons employée, si toutefois on a affaire & un
sujet
hypnotisable. La conclusion priucipale qui ress
otisme et d'en signaler les dangers et le* difficultés. La théorie du
sujet
a ele laissée de côté, l'auteur ne voulant pas em
conque sur les idées et les actions de celle-ci. est erronée; 8° Le
sujet
hypnotisé n'a pas à craindre, comme certaines gen
1° L'hypnotisme, dans les mains de personnes compétenles, n'expose le
sujet
à aucun danger physique, mental ni moral; l'intel
e l'hypnotisme et faire courir certains dangers d'ordre moral à leurs
sujets
; 13° Ces dangers peuvent être prévenus en restr
n travail qui sera mis au concours par ta Société d'hypnologie sur un
sujet
relatif à l'bypnoti*me ou à la psychologio physio
et des médecins célèbres l'ont énergiquement soutenu. Malgré cela, ce
sujet
n'a pas encore trouvé de place propre dans la sci
berby [2), Thomas Hedman (3) et beaucoup d'autres, dans lesquelles ce
sujet
a été traité avec beaucoup de soin et de critique
me fut possible quelques jours après de converser avec la mère sur ce
sujet
: elle me dit que, étant enceinte de deux mois, e
(2) émet cette opinion que toute la matière que nous possédons sur ce
sujet
devrait être réunie dans le but d'en tirer une co
du sommeil expérimental . De ces expériences, portant sur deux cents
sujets
des deux sexes, je pouvais déduire la conclusion
sujets des deux sexes, je pouvais déduire la conclusion que, sur dix
sujets
normaux de six à quinze ans. pris dans toutes les
hypnotisme ont constaté que les premiers phénomènes observés chez les
sujets
profondément hypnotisés consistent surtout dans l
peuvent être provoqués, à l'état de veille, chez un certain nombre de
sujets
, d'ailleurs fort suggestibles, n'avaient éveillé
eslibîlité excessive, qui permet d'influeucer k un tel degré certains
sujets
à l'état de veille, sans qu'ils aient été préalab
campagne. Depuis, noire collègue. M. Collineau (i), reprenant le même
sujet
, a observé que, si la droiture est, en général, l
en garde contre les dépositions souvent mensongères des enfants. A ce
sujet
, il formulait les instructions suivantes, qui n'o
me, et qui ont trait soit à la complaisance, soit à la simulation des
sujets
, nous nous sommes appliqués à nous mettre dans de
C'est ainsi que la plupart de nos expériences ont été faites sur des
sujets
qne nous voyions pour la première fois, qui n'ava
intention de provoquer. Il n'est pas admissible ;u'un grand nombre de
sujets
s'abandonnent sans résistance et sans discussion
influence sur le résultat de l'expérience, en faisant naître chez les
sujets
des phénomènes stomatiques fcontractures, anesthé
ants demande à l'enfant comment il se nomme, on peut observer chez le
sujet
un jeu de physionomie tout particulier. Il cherch
mentaux capables d'augmenter l'intensité de l'inQuence exercée sur le
sujet
. Ils s'apprennent par la pratique. En général,
remière expérience donne déjà la mesure du degré de suggeslibilité du
sujet
. Elle peut naturellement être variée à l'infini.
nous avons faites porte sur la possibilité de créer dans l'esprit de
sujets
endormis ou éveillés, des hallucinations de la mé
ple affirmation à l'état de veille, créer dans le cerveau de certains
sujets
les images de scènes et d'événements dont ils cro
éter ainsi : l'image d'une scène ayant été déposée dans le cerveau du
sujet
par suggestion, il ne peut lui-même se rendre com
eurs coofrères de leur montrer quelques faits d'hypnotisme. Parmi les
sujets
amenés par un habitant de la localité se trouvère
Erlenmeyer de Bendorf a bien montré, dans une discussion engagée à ce
sujet
avec M. Pihon, il y a quelques années, tout ce qu
uche, étouffements, sensation d'une boule posl-sternale. Elle était
sujette
à de 1res fréquentes attaques hystéro-épileplique
aux névropathies, comme le lyraphatisme prédispose à la scrofule. Tel
sujet
est impressionnable, ressent vivement les émotion
j'entends nerveux dans le sens qu'on attache d'habitude à ce mot. Tel
sujet
qui n'est pas impressionnable d'une façon général
ale, qui parait bien équilibré, calme physiquement et moralement, est
sujet
, par exemple, à des douleurs nerveuses abdominale
elle est partielle ou locale, et dans ce cas elle se développe sur un
sujet
nerveux ou bien sur un sujet qui, sans paraître n
et dans ce cas elle se développe sur un sujet nerveux ou bien sur un
sujet
qui, sans paraître nerveux, ne présente qu'une di
e impression se répète, exagérée par l'impressionnabilité maladive du
sujet
; ainsi naît la contre-suggestion qui détruit la c
hypnotique. On peut dire que, dans le somnambulisme hystérique, le
sujet
se laisse aller à ses idées délirantes et morbide
me hypnotique, la volonté de l'opérateur se substitue à la volonté du
sujet
, et comme toutes les idées suggérées ont un but c
s idées suggérées ont un but curateur, il ne peut en résulter pour le
sujet
qu'une heureuse modification de son éUt. Sur un
uter aux conclusions formulées dans le travail que j'ai publié sur ce
sujet
, et j'avoue que l'éloquente parole du professeur
mêmes; tous ne sont pas là, toujours présents à l'appel, chez le même
sujet
, mais toute la série labétique ou hystérique n'es
s lge que lui et dont il se reconnaissait cependant le disciple. A ce
sujet
, il prononça un discours empreint de ce grand cha
catégorie que l'on peut être appelé à examiner. Assez fréquemment, le
sujet
a perdu ses parents alors qu'il était en bas âge
mpléter en quelques points les observations du savant clinicien. Le
sujet
que je présente aux lecteurs de la Revue est la f
l'action de la volonté. Je voulus, en un mot, savoir si la volonté du
sujet
, exaltée par l'hypnose, pouvait agrandir, amoindr
vais formulé au moment même du tracé. Comme je viens de le dire, le
sujet
s'est montré incapable de modifier la marche ou l
l allait s'accentuant, il serait assez légitime de rattacher, chez ce
sujet
du moins, l'autographisme à l'urticaire, et de fa
9. Ce phénomène consiste dans l'apparition sur la peau, chez certains
sujets
, de saillies urticariennes succédant à un contact
e malade de son service de l'hOpital Saint-Antoine, et qui faisait le
sujet
de sa très intéressante observation. II (1) Bou
udrose, etc., conduire souvent à h mort, il y a quelques siècles, les
sujets
chez lesquels ces états se manifestaient « sous l
n Paul, Michelson, Robert Carapana, Renaut, etc., etc., mais chez des
sujets
souvent nrticariens. On appelait alors c« phénomè
le nom de femme-cliché, femme autographique (d'où autographisme), le
sujet
qu'il étudiait. MM. Barthélémy et Colson mentio
reux. Son père, bien portant, est cependant un migraineux; sa mère,
sujette
elle aussi aux migraines, est une nerveuse. Not
ant tous les soirs, à la même heure. Sous l'influfnce du grattage, le
sujet
s aperçoit que les ongles tracent sur la peau des
tion de chaleur légère. La pseudo-urticaire dermographique de notre
sujet
nous paraissant tenir à des influences multiples,
En effet, en dehors des cas ou le phénomène a été observé chez des
sujets
en bonne santé (\V. Gull, Vulpian, Axenfeld, Mich
y, Huchard, Zunker), chez les alcooliques (Paul Raymond). Or, notre
sujet
est à la fois nerveux, urticarien, ex-alcoolique;
uction de la pseudo-urticaire dermographique. • Que deviendra notre
sujet
? Le phénomène qu'il présente, considéré jusqu'
om de : Société d'hypnologie, de psychiatrie et de criminologie. A ce
sujet
, le DT Collineau fait observer que le mot psychia
re Société. Mécanisme des phénomènes hypnotiques provoqués chez des
sujets
hystériques, Par M. le D* BÊR1LLON. Tandis qu
tation* physiques sout très différents selon qu'on les applique à des
sujets
hystériques ou i des sujets normaux. En un mot, l
différents selon qu'on les applique à des sujets hystériques ou i des
sujets
normaux. En un mot, les hystériques seraient seul
et brillant, la compression dea globes oculaires, lorsqu'on soumet un
sujet
byslére-épitepuque à ces manœuvres, auraient pour
byslére-épitepuque à ces manœuvres, auraient pour effet de plonger ce
sujet
dans la iwriode de l'hypnotisme désignée sous le
à travers la peau, les muscles, les tendons ou les nerfs moteurs des
sujets
, on voit se produire des contractures intenses de
lles on les place. Le bit d'exercer une pression sur le vertex d'un
sujet
placé dans ??? des deux périodes précédentes aura
effet de provoquer la période dite de somnambulisme, dans laquelle le
sujet
reprend une partie de son activité intellectuelle
'abri de toutes les causes d'erreurs connues, nous avons choisi comme
sujets
des jeunes filles n'ayant jamais préalablement su
levés (bras et jambes) gardaient l'attitude qu'on leur donnait, et le
sujet
obéissait automatiquement à toutes les suggestion
ènes somatiques annoncés, et la malade réalisait le plus beau type de
sujet
, pré-senianl avec une netteté admirable les trois
ortant sur toute ? peau et toutes les muqueuses. Eu résumé, cher un
sujet
alteint de grande hystérie, très hypnoUsable, la
a main le geste d'un baiser. Actuellement, on peut constater que ce
sujet
peut être plongé dans les trois étals, et ce résu
u. II n'eu a plus été de même lorsque nous avons eu fait, devant le
sujet
, la description de ces états. Immédiatement rhypc
ymptôme apparaissent chez elle aussi nettement que chez les meilleurs
sujets
de la Pitié et de la dalpétrière. Ajoutons que
s peuvent en amener la production ; ainsi lorsque nous avons dit à un
sujet
qu'un bruit quelconque amènerait successivement l
os expériences se dégage pour nous l'impression suivante : Chez des
sujets
hystériques très hypnolisables, il est possible d
ncsihésies, contractures, paralysie. On peut aussi provoquer chez ces
sujets
des états différents, comme la léthargie, la cata
tainement en rapport avec le degré d'intelligence et d'imagination du
sujet
. Les agents physiques exercent sur les sujets d
ce et d'imagination du sujet. Les agents physiques exercent sur les
sujets
déjà entraînés et habitués à rbypnotisation ???
u par les conditions du milieu où se trouve l'hystéro-épileptique. Le
sujet
, dans ce dernier cas, s'aulnsuggeslionnerail, dan
notion de ces expériences ; 2° D'avoir grand soin de soustraire les
sujets
à l'influence de l'imitation, laquelle ne manquer
nfin à titre de démonstration scient i tique, il serait bon, chez les
sujets
à expériences, de prendre, au moyen d'appareils s
e quelles sont les différentes phases dans lesquelles se trouvent les
sujets
hypnotisés ; toute simulation en pareille circons
tée, puisque l'expérimentateur, en voyant le tracé et sans examen des
sujets
, peut dire dans quelle phase hypnotique Us se tro
estion de punir pour avoir hypnotisé si, dans l'espèce poursuivie, le
sujet
des expériences n'était pas en hypnose, n'était p
ettre gravement la santé; l'hypnotiseur malhonnête peut abuser de son
sujet
; l'hypnose affaiblit le corps, l'esprit et la vol
ent, et voici qu'un adepte des théories de la Salpéirière examine les
sujets
. Il les endort, puis ouvre les yeux, ensuite fa
ries de la Salpéirière dira, quand même il aurait, lui, obtenu sur le
sujet
des résultats conformes à ses idées scientifiques
s à ses idées scientifiques, que dans les expériences poursuivies, le
sujet
simulait ! Or, tous ceux qui ont assisté à des
provoquer l'état d'hypnose ; je ne sais s'il y a ou non simulation du
sujet
, qu'on examine s'il est hypnotisante », Et le tri
ientifique, et nos législateurs ne sont pas compétents sur de pareils
sujets
. Que la loi prend parti dans une discussion ent
liques sont dangereuses ou mauvaises. L'hypnotiseur ne soigne pas ses
sujets
, et les spectateurs impressionnables ressentent p
es causes de ce suicide. Les renseignements qui nous parviennent à ce
sujet
ne manquent pas de erarilé. c Le malheureux Gui
on intérieure (comme les hallucinations suggérées, quand on montre au
sujet
une mouche imaginaire sur un morceau de papier bl
s réelles se portent de la périphérie au centre. En effet, elles sont
sujettes
à ces modifications qui peuvent parvenir par le*m
posés; ainsi, nous avons essayé ne montrer une mouche imaginaire à un
sujet
hypnotisé et nous avons fait avancer et reculer c
s fait avancer et reculer cette image dans l'espace, et la pupille du
sujet
changeait comme si l'image avait été réelle: de p
l'image avait été réelle: de plus, la mouche imaginaire était par le
sujet
augmentée de grosseur, comme avec une lentille gr
fléchissait sur une troisième personne qui n'était ni l'acteur, ni le
sujet
, et n'avait pas été hypnotisée, comme du reste ce
névropathie, comme dans la crimina-logie, comme dans l'hypnotisme, le
sujet
plus que le phénomène, et nous en trouverons l'ex
mouvement respiratoire. Une pâleur particulière envahit le visage du
sujet
, sa tête était tombée de côté. Un instant je la c
ce qui fait la gravité du somnambulisme provoqué, c'est que, ici, le
sujet
est livré non plus aux divagations d'un rêve souv
conduite irréprochable. Le vol a été réalisé, malgré la résistance du
sujet
, qui a passé dîx-sept fois devant l'habitation où
malandrin qu'il fallait expulser au plus vite. Un autre jour, le même
sujet
, tireur ordinairement assez maladroit, a, par sug
n de la marine, a hypnotise quatre-vingt-dU-sept marins de la flotte,
sujets
parfaitement sains, et il conclut que • le ¦ ma
produisait de nouveau. Donc, il est exlrêment facile d'empêcher un
sujet
très suggeslible d'être mis, par n'importe qui, e
ils étaient très pauvres, ils ne consultèrent aucun spécialiste à ce
sujet
, et l'enfant, tout à fait revenue a la santé, con
e trouve. On constate que le sommeil est déjà assez profond et que le
sujet
présente un certain automatisme. Ainsi lorsqu'on
tive pour changer cette attitude. Si on fait tourner les deux bras du
sujet
l'un autour de l'autre, ce mouvement de rotation
au sommeil profond et de grande aptitude à l'hypnose, indique que le
sujet
dort bien. Ces phénomènes, qui n'ont pas été sugg
rés verbalement, sont évidemment le résultat d'une autosuggestion. Le
sujet
interprète l'acte de soulever son bras ou sa jamb
éanmoins l'anesthésie cutanée ne se manifeste pas; lorsqu'on pique le
sujet
avec une épingle, il sursaute, cependant il ne se
nomie revêt une expression de souffrance ressentie péniblement par le
sujet
sans qu'il ait l'initiative de s'y soustraire. No
gérer l'anesthésie, puisqu'elle ne nous entend pas. Pour plonger le
sujet
dans un état de sommeil plus profond, nous lui co
s, aucune contracture ne se produit. Nous ouvrons alors les yeux du
sujet
et nous ne constatons aucune modification dans l'
omie exprime un état de repos profond. Ne pouvant provoquer chez le
sujet
, par les procédés habituels, les signes caractéri
ferons devant elle, à l'état de veille, des expériences sur un autre
sujet
. Nous réveillons donc la jeune fille et devant
oite qui se soulève et enfin à la jambe gauche. Les quatre membres du
sujet
sont contractures. Pour défaire cette contracture
ion sur les mêmes muscles, la contracture se généralise comme chez le
sujet
précédent, les deux bras se soulevant successivem
ter dans l'état cataleptoTde, retombent comme cela se faisait chez le
sujet
éducateur. On avait constaté sur ce sujet de l'
e cela se faisait chez le sujet éducateur. On avait constaté sur ce
sujet
de l'anesthésie à la figure. Chez le second, l'an
. . Que peut-on déduire de ces expériences, faites inopinément sur un
sujet
qui ne se doutait pas de ce qu'on attendait de lu
ndait de lui, par des expérimentateurs qui ne pouvaient influencer le
sujet
par suggestion verbale, puisqu'il est complètemen
nt pas été provoqués par l'excitation directe des muscles tant que le
sujet
ignorait le but de l'excitation, ont apparu dès q
t accessible chez elle. Il y a donc dans l'imitation inconsciente des
sujets
, de môme que dans la suggestion inconsciente des
périences d'hypnotisme. Lorsque des expériences sont faites sur des
sujets
réunis en commun, comme cela arrive dans les serv
s résultats des expériences n'ont pas été influencés par l'action des
sujets
les uns sur les autres. L'expérience faite sur
la vue d'un phénomène hypnotique peut suffire pour en amener, chez un
sujet
sensible, la réalisation avec la même intensité,
qu'après les douleurs sont intolérables. Je l'ai expérimenté sur deux
sujets
que j'avais opérés avec les' anesthésiques ordina
et voici qu'un adepte des • théories de La Salpéirière examine les
sujets
. a II les endort, puis ouvre les yeux, ensuite
épassant loute mesure scientifique, se vantaient de réussir sur leurs
sujets
toute expérience de suggestion mentale. Ces exp
eut-être des rétrogrades; que nous impoitait, puisque devant nous les
sujets
évitaient de comparaître ou n'étaient plus aptes
directement suggeslible? Pour juger du degré de suggestibilité d'un
sujet
, et j'entends par là l'in-flueuce que l'imaginati
périences. II est très simple et ou peut compter sur sa Gdélité. Le
sujet
c«t debout; je me mets derrière lui et je place d
s derrière lui et je place directement les mains sur son dos avec des
sujets
très sensibles, il est même inutile de le faire).
qu'il va se sentir attiré en arrière, et vous pouvez observer quo le
sujet
se renverse et recule plus ou moins vite, suivant
taires. Mais je ne pus constater ce qui se passe dans la pupille d'un
sujet
sensible et qui ne trompe pas un œil exercé. J'ai
post-hypnotique faite par le tiers incriminé dans le but de rendre le
sujet
réfraclaire à toute autre tentative d'hypnotisati
elles, s'accordent a dire que l'expert devra d'abord s'assurer que le
sujet
est hypnotisable. Le conseil n'est |«s facile à s
chique ne triompherait pas de l'ébranlement physique. D'abord, tout
sujet
ne tombe pas en catalepsie ou en tout autre degré
'hypnose pour essayer la suggestion provient de l'aulo-suggestion des
sujets
. Un confrère avail fait appel à ma pratique pou
une grande hystérique (je relève le fait en passant) et qu'elle était
sujette
à des attaques de catalepsie et de somnambulisme
e. El je le répète, ce que la clinique médico-légale nous a appris su
sujet
des voleurs aux étalages, nous porte i supposer q
ividu sain. Discussion M. Aco. Voisin. — H La femme qui a fait le
sujet
de ma communication est d'une famille très honnêt
tant ce qu'elle vient de lire, de sorte qu'elle ne peut comprendre le
sujet
de sa lecture; si on lui fait faire une simple op
omment s'explique un de nos spirituels écrivains, M. Paul Foueher. au
sujet
des expériences de M. I.ombroso : Cet illustre
on, c'était que les phénomènes de l'hypnotisme ne doivent pas êlre un
sujet
d'amusement. Il y va de la dignité humaine el de
pectacle et qu'on s'en est amusé, qu'une personne hypnotisée a été le
sujet
, involontairement ou non, de la profanation à laq
ater un mal nerveox demeuré latent juique-là, de créer, chez certains
sujets
, un état névropathique durable et d'altérer, à la
ssion ou imitation. L'hypnotisme est une impression que se forme un
sujet
plus ou moins sensible, impression qui peut aller
il — puis la léthargie ou la catalepsie ou le somnambulisme. Quand le
sujet
est endormi, la conscience n'est plus en étal de
. Le 15 septembre 1609 on interrogea Pernette et sa fille Jehanne, au
sujet
des pratiques d'exorcisme et de divination dont e
qui rendent ces organes inaptes à leurs fonctions... L'étal moral du
sujet
facilite l'action démoniaque. Il y a même des poc
ques certaines crises rioleutes de la nature, ot qu'on a exorcisé des
sujets
atteints d'affections simplement morbide*... L'Eg
oire de W. Pitt. La Revue internationale de médecine analyse à ce
sujet
un curieux article du Médical Standard. — La gout
(le), 139. Mécanisme des phénomènes hypnotiques provoqués chez les
sujets
hys-riques, par Bérillon, 269. Méfait du somnam
rmées (les causes de), 128. Suicide provoqué chez un soldat, 286.
Sujets
hystériques (phénomènes hypnotiques chez les). 26
r celle habitude, il ne larde pas à constater chez un grand nombre de
sujets
des deux sexes et de tout âge. la déformation des
non moins intéressant. C'est en effet dans l'analyse psychologique du
sujet
que lions trouverons à la fois les indications ca
acquiert généralement son maximum d'intensité lorsque l'attention du
sujet
est absorbée par une préoc-ËU pat ion, un travail
e de dégénérescence, ou la dégénérescence que vous constatez chez les
sujets
n'est-elle pas plutôt la conséquence de l'habitud
de se ronger les ongles chez ces dégénérés inférieurs, il a fait à ce
sujet
d'intéressantes remarques. C'est habituellement q
ment trop manifeste pour être discutée. Si nous prenons maintenant le
sujet
luî-mème. la constatation des signes physiques n'
'être affligés d'un caractère difli-cile et nous pourrions citer à ce
sujet
un certain nombre île dictons populaires. Ce n'
E - GUERISON RAPIDE par la SUGGESTION HYPNOTIQUE. Vu des derniers
sujets
que nons atous eu â traiter nons a élé adressé pa
16 ans, il merare 1 m. 68. Plusieurs médecins ont élé consultés à son
sujet
; l'ail d'eux a dit que Ihahiludc de se ronger le
ier à l'usage de doigts en caoutchoue. Dès qu'ils étaient retirés, le
sujet
retombait dans sois habitude, t.a famille ne négl
senalion, en l'absence de niauifes- talions héréditaires chez, le
sujet
, nous croyons devoir reporter le développement de
ce de nioiivements accomplis inconsciemment, à appeler l'atteulion du
sujet
sur «'es mouvemeiits. à éveiller sa conscience; e
einte en a/Krception. Cela est tellement vrai qu'un certain nombre de
sujets
s»s guérissent d'eux-mèmes. dès que leur attentio
une excitation extérieure. Pour cela, il esl nécessaire de plonger le
sujet
dans le sommeil hypnotique et d'olfrir â l'automa
es suggestions destinées à élargir le champ de In coa- science du
sujet
, à développer son activité volontaire, à exercer
ent la tyrannie est vaincu. En résumé, dans leseas où la volonté du
sujet
est impuissante â réagir contre une habitude vici
éfinitive à l'impulsion par l'intervention de l'énergie volontaire du
sujet
. C'est ainsi que l'opération psychologique de l
elle, ou dut renoncer à la garder. Klle lit des mensonges graves au
sujet
des înlirmières. Ni voleuse, in gourmande, elle
t un envoûtement moderne. Dans cette troisième méthode. on prend un
sujet
hypnotisé dont le corps astral est dirigé vers l'
au point de vue pedagoqiue Une enquéte portant »ur un grand nombre de
sujets
appartenant à des milieux differents peut fournir
s . je m'aperçois que je n'ai traité qu'une bien faible partie de mou
sujet
! Au moins. l'ai-je fait sincèrement, et soucieux
ille. Mis au pied du mur. il ne voulut pas mettre sur les yeux de son
sujet
un autre hamlcau «pu- celui «pi d avait apporté e
on sujet un autre hamlcau «pu- celui «pi d avait apporté et «pu était
sujet
à caution. Pendant plusieurs séances, il se moipi
íit de la Crédulité et surtout de l'inexpérience du publie, offre aux
sujets
tels que Picknian, Zamora, l.ulli. qui se sont dé
ter à faire de nouveau une exploration de la |tartie. Il vint près du
sujet
, la tàta de nouveau à I articulation sans provoqu
es états passifs, le sommeil et tes rêves. S'il est homogène dans son
sujet
, il ne l'est pas autant dans les choses y ayant r
ui lui permettait d'éclairer ce champ, ("es faits de l'isolement îles
sujets
endormis, en tanl que cet isolement est seuleme
rveuse, continuent encore à se faire d'eux-mêmes avec liberté chez le
sujet
endormi, mais le plus souvent avec conscience et
t, en la seule dîirérenee d'idée qui est introduite dans l'esprit des
sujets
de ces deux catégories, consiste toute la dissemb
et en a conservé l'idée arrêtée. Je ne m étends pas davantage sur ce
sujet
. Je ferais d'autres expériences comparatives avec
le sommeil qu'aillant qu'on v ajoute en même temps dans l'esprit des
sujets
l'idée de se reposer plus ou moins longtemps, idé
le uiéiue nature que les rêves somnambu-liques ordinaires. Voici, m
sujet
de ces rêves du sommeil ordinaire, l'opinion de A
ens et île conceptions que pour ce qui rentre dans le cadre étroit du
sujet
qui les occupe : sous tous les autres rapports, l
ui c'est en rapport avec ceux qui «forment. 2° Automatisme complet du
sujet
endormi : il est impuissant de sa propre initiati
la nuit prochaine, elles auront un rêve dont je suggère a chacune le
sujet
, pour que ce rêve se développe selon le programme
s. M. le Docteur Raggi. de Bologne, a fait Uti ni assez cldidu sur ce
sujet
el M. le professeur Verga, de Milan, en fait l'
inution surtout prononcée à droite. Avant d'interroger ta malade au
sujet
île ses hallucinations, nous recueillons disa Ber
e garçon, est idiot cl le dernier enfant esl cellis fille qui fait le
sujet
de noire observation. D'un caractère facile, ré
use l'elida X... et beaucoup de mémoires fort intéressants sur divers
sujets
de psycho-physiologie, Un des plus importants et
uit prochaine l'esquisse d'un petit tableau dmit nous déterminâmes le
sujet
. l'heure et le temps à y consacrer. Il arriva qu'
riosité de faire naître le sommeil artificiel, à choisir d'abord pour
sujets
d'expérimentation des somnambules naturels : ils
qu'aux heures ordinaires, cl arriver par là encore à rendre certains
sujets
plus suggcsliblos qu'il-- ne relaient, et par con
sliblos qu'il-- ne relaient, et par conséquent plus guérissables, l.e
sujet
qui est endormi, et par suite isolé, ne peul plus
ntinue l'emploi ; mais encore je le continue parer qu'en plongeant ce
sujet
dans cet état, on favorise grandement les ell'cts
nt qu'il nous soit donné. Quand l'endornieur adresse la parole à un
sujet
qu'il a mis profondément dans le sommeil et qui.
qui. par suite, est devenu par les sens isolé de ce qui l'entoure, ce
sujet
reçoit el exécute sans résistance les suggestions
après suggestion, l'isolement et l'insensibilité relative des sens du
sujet
endormi n'a. hormis ce point. Changé nulle pari,
qué. L'automatisme existe de même dans ce qu'éprouvent et finit les
sujets
mis dans le sommeil léger. Ces dormeurs moins con
ènes automatiques appartenant au pôle d'inertie. En tout cas. que les
sujets
donnent profondément ou non. les phénomènes suggé
nd, niais aussi dans ceux du sommeil le plus léger. Mais si chez, les
sujets
qu'on vient d'endormir profondément, l'activité d
endant, d'après certaines inductions,que eo sont déjà celles qui sont
sujettes
à tomber dans les sommeil profond au plus haut de
piano et de la répugnance à jouer devant quclqu un. C'était un bon
sujet
hvpnotiquc mais non somnambule. Je 1 hypnotisai t
ie de la femme et celle de ses amis. Elle se montra un îles meilleurs
sujets
que j'aie jamais vus. A la suite de la première s
nce des autres. Ces habitudes qui disparaissent facilement chez des
sujets
normaux. se montrent d'une extrême ténacité c
e sur le cerveau du malade, a déterminé peu à peu l'idée homicide. Le
sujet
de l'observation est un propriétaire cultivateur,
amener la mort, mais bien à une véritable tentative d'homicide. I.e
sujet
est un dégénéré comme dans les cas précédents, il
de l'artiste lorsque, en ce qu'il fait il ne s'identifie pas avec son
sujet
; à celle du peintre sans foi qui représenterait
ce de ce qui les expose aux plus grandes émotions. — ce que prouve le
sujet
du rapport Devergie dont je viens de parler. — et
me je n'ai pas eu le temps de la lire, je fais toutes mes réserves au
sujet
des observations qui pourraient me viser dans cet
risation. Mais il appartient à M. Crocq. sénateur, d'interpeller à re
sujet
le Ministre, - s'il le juge convenable. M. Croc
ion. Voici comment M. le Ministre île la justice s'exprimait â ce
sujet
: « Deux ordres de considérations doivent prési
est un hypnotiseur habile. En ce qui concerne la clairvoyance «le son
sujet
, au point de vue de In découverte de certaines ma
ement en formant deux charbons brillants. Après avoir fait asseoir le
sujet
en face «le lui. le sorcier lui tient un long dis
appelé à rendre de grands services à tous ceux qui s'intéressent à ce
sujet
, à la fois pathologique et social, des enfants ar
ngue a l.a Haye, mais elle persista dans son refus de m'en révéler le
sujet
, prétendant qu'il lui était impossible de me fair
ster à certaines suggestions. Dans beaucoup de mes expériences sur ce
sujet
, j'ai observé quelque chose qui m'a toujours semb
étaient exécutées généralement sans aucune résistance, je voyais les
sujets
résister souvent à des suggestions beaucoup moins
liquer alors la réalisation des suggestions très désagréables pour le
sujet
, comme par exemple dans l'expérience suivante :
coup d'expériences du même genre, et j'ai trouvé que plusieurs de mes
sujets
réalisaient immédiatement les suggestions ; quelq
rès facilement et l'autre m'était impossible. Quand je suggère â un
sujet
qu'il lui est impossible de lever la main et qu'i
son, il est possible que la suggestion no soit pas réalisée et que le
sujet
n'exécute pas l'acte ou qu'il exécute l'acte sugg
es ne s'exécutent pas ou rencontrent énormément de résistance chez le
sujet
. J'ai essayé d'expliquer ce fait do la façon suiv
ntrer dans le cerveau où n'y entrent que très dîfficilement et que le
sujet
suit immédiatement la puissance impérative de la
suggestion, et exécute l'acte comme un automate. Si l'on suggère â un
sujet
un acte ordinaire, mais qui lui est désagréable e
écution îles actes suggérés ne dépendrait pas de la volonté propre du
sujet
, mais bien de l'état de conductibilité des voies
irent à Rochefort où le médecin diagnostiqua l'épilepsie, bien que le
sujet
eût le crâne très régulier, la face symétrique cl
dire des névropathes. Cependant, mon confrère a, lui aussi, connu un
sujet
de constitution enviable, d'un tempérament bien é
ophobie chez une hystérique de quarante ans; toute la famille y était
sujette
du reste, mais celle-là l'était depuis son enfanc
nche d'un opérateur suffit pour faire frissonner et évanouir certains
sujets
. On a vu un jeune homme, devenu aujourd'hui chiru
obscurité. Diagnostic. — On peut redouter l'hématophobie quand les
sujets
se sentent mal à l'aise a la vue du sang, mais on
e du sang, mais on ne peut la diagnostiquer réellement que lorsque le
sujet
perd connaissance et qu'on relie l'effet à la cau
grave ; il dépend surtout des conditions dans lesquelles se trouve le
sujet
, de la plus ou moins grande facilité à s'émotionn
bilîté excessive de fortiOeren même temps le moral et le physique des
sujets
parla gymnastique, l'hydrothérapie, le séjour à l
cè» pour la psychothérapie. Hypercsthésie de la sensibilité chez un
sujet
hypnotisé. Par M. le Dr Antoîne MawroukAKis.
lité particulière m'a fait penser que cette malade serait un très bon
sujet
pour vérifier la pseudoextériorisation de la
r la malade j'ai obtenu la sensation de la douleur: après j'ai dit au
sujet
: je vais vous piquer à la main gauche et vous se
Rochas. J ai pris un verre plein d'eau je l'ai placé dans la main du
sujet
. J'ai attendu dix minutes, j'ai piqué les parois
dix minutes, j'ai piqué les parois du verre sans faire de bruit et le
sujet
est resté insensible. Après cela je lui ai dit :
tout simplement la suggestion; car. si c'était le lluide. pourquoi le
sujet
ne sentait-il pas la douleur quand il n'entendait
riences, j'en a! fait d'autres: J'ai pris nue sonnette et j'ai dit au
sujet
: Au premier coup de sonnette vous sentirez une e
llucinations et toutes sortes île sensibilité et non seulement sur ce
sujet
mais encore sur d'autres et particulièrement sur
t d obtenir les résoluts cherchés ils ont. à leur insu, suggéré leurs
sujets
soit à l'état de veille, soit à l'état de sommeil
plement en leur faisant comprendre ce qu'ils voulaient obtenir cl les
sujets
, une fois endormis ont exécuté ce qu'ils axaient
e qu'ils axaient entendu ou compris. Je crois que celle malade est un
sujet
très intéressant à étudier miu tous les points de
sous le nom d'extériorisation de la sensibilité n'existe pas cher ce
sujet
, sans que pour cela on soït eu droit d'en nier l'
Hochas qui consiste, comme nu le sait, à transférer la sensibilité du
sujet
dans un verre d'eau; il est vrai que je n'ai peut
n'ai peut-être pris toutes les -'eau- lions voulues pour mettre mon
sujet
à l'abri de la suggestion. M. A. Voisin. — J'ai
de l'extériorisalion de la sensibilité. Je I ai mis en présence d'un
sujet
modèle en ne lui imposant comme condition que de
ettre que ce phénomène ne soit réalisable que chez un petit nombre de
sujets
; encore est-il que ces sujets devraient se rencon
réalisable que chez un petit nombre de sujets; encore est-il que ces
sujets
devraient se rencontrer et devraient présenter de
d'être édilié. M. DUMONTAPALLIER. — Il n'est pas douteux que si nos
sujets
pouvaient sentira distance avant le contact de l'
soin interpellé par un de ses collgues dans une précédente séance, nu
sujet
dis la première autorisation accordée à un profes
phique. Moricourt. — Nouveau procédé de métalloscopic à l'aide d'un
sujet
hypnotisé (Gazette des Hôpitaux. 10 juin 18U3.)
éthargie. Dès que le trouble livpnoliqtic s'csl produit, dès que le
sujet
largement entré dans la phase soinuamhulique a ce
aîno de l'hypnotiseur diriger l'exercice des facultés mentales de son
sujet
avec une autorité telle qu'il pourra les engourdi
églementera l'exécution a plus ou moins longue échéance, sans que son
sujet
en ait connaissance au réveil, alors qu'il en ret
par une simple projection d'air froid qu'il fera sur les yeux do son
sujet
. Tout autre est le somnambulisme spontané qui p
son sujet. Tout autre est le somnambulisme spontané qui procède du
sujet
lui-même et n'a point a compter avec les influenc
ns d'imprcssiimnnhilité. d'éniotivité.de nervosisme, observés chez le
sujet
comme prélude «le son apparition. La première man
ce devait s'accomplir dans le milieu le plus favorable, sinon pour le
sujet
, du moins pour l'expérience elle-même. Je vais ta
l'on analyse les actescommamlés — aussi exactement que possible. Le
sujet
, d'abord. C'est un garçon de vingt-deux à vingt-c
e M. X... et mettez-le dans la poche de M. Z....» La personne tin
sujet
et celle de l'opérateur sont exclus de l'expérien
poche. » Pourquoi? M. de Levita ne l'a pas dit. Voici exactement le
sujet
en action. On lui bande les yeux, non point que c
ce, d'où il ne sort que pour être mis en contact avec l'opérateur. Le
sujet
serre fortement les mains de l'opérateur, surtout
cachée dans une des branches d'un flambeau. Elle n'a point réussi. Le
sujet
a bien touché le flambeau, en a bien enlevé les b
e était tombée sans que ni lui ni l'opérateur s'en fussent aperçu. Le
sujet
continuait à chercher. On a considéré l'expérienc
de Levita ne connaissait pas). Elle a également a peu près réussi. Le
sujet
a pris la serviette, est allé faire lever le doct
che extérieure â sou veston. L'insuccès partiel n'est pas la faute du
sujet
. Mais la cinquième et dernière épreuve a complè
ettes et le déposer dans la poche du docteur S. H... Seulement, si le
sujet
y mettait autant de bonne volonté, l'opérateur se
ès important. Les expériences durant assez longtemps, ce n est pas le
sujet
, mais bien l'opérateur, qui paraissait être tombé
était machinalement tournée vers l'endroit où il voulait conduire le
sujet
. Il a paru, dès lors, qu'il serait facile de fa
mouvements musculaires, inconscients el imperceptibles — sauf pour un
sujet
exercé, dont tous les sens sont tendus à l'ex
plus énergique, le plus élevé, le plus bref, le plus analytique. 1-e
sujet
n'obéissait plus. « Mais, interrogeait-il, î-avez
nt la surexcitation nécessaire que si les spectateurs vibrent avec le
sujet
, multipliant autour de lui les mouvements inconsc
mble qu'il n'y ait pas de mouvement inconscient, intelligible pour le
sujet
, qui pût, physiologiqiieinent, transmettre sur ce
r le sujet, qui pût, physiologiqiieinent, transmettre sur ce point au
sujet
un ordre de l'opérateur. Faut-il avoir recours, l
le, demeurait insensible. Pour moi. je comparerais plus volontiers le
sujet
â un pigeon voyageur qui s'oriente, ou a un chien
n tout cas. ni somnambulisme, ni création de personnalité seconde. Le
sujet
n'a pas cessé une minute d'être M. de Lévita. U
'ai peut-être pas pri« toutes le» précautions voulues pour mettre mon
sujet
à l'abri de la suggestion, s Or. tout au contrair
uggestion, et c'est ainsi que je me suis gardé d'annoncer d'avance au
sujet
on à aucune des personne» préseutes le résultat q
c., etc. J'ajoute que les expériences ont été faites non avec un seul
sujet
, mais avec quatre sujets différents. Ce que j'a
s expériences ont été faites non avec un seul sujet, mais avec quatre
sujets
différents. Ce que j'ai pu dire, c'est qu'en pr
Société d'hypnologie un des membres présents à une discussion sur ce
sujet
s'étonnait qu'un fait aussi saillant n'ait pas ét
clairement exprimé par le nom de sensibilité â dislance de la part du
sujet
récepteur et d'influence nerveuse a distance de l
phénomènc se produit, même l'état devcille, chez un certain nombre de
sujets
, et se révèle avec une intensité beaucoup plus gr
ifférentes parties du corps chez les personnes les plus sensibles. Le
sujet
, à qui on aun fermé les yeux depuis le commenceme
uvons m présence d'une véritable exaltation de la sensibilité chez le
sujet
en observation. Ceci, remarquons le bien, n'es! ¡
serve également une exagération de l'acuité «les autres sens chez les
sujet
» hypnotises. L'on sait en effet que bien souvent
s chez les sujet» hypnotises. L'on sait en effet que bien souvent les
sujets
hypnotisés entendent parfaitement des bruits abso
qu'il exalte aussi la sensibilité du sens du toucher, au point que le
sujet
puisse ressentir l'influence d'un objet qui a été
ité â distance étant reconnu, et puisque celte sensibilité varie d'un
sujet
â un autre, il ne faut pas s'étonner que cette di
â un autre, il ne faut pas s'étonner que cette distance a laquelle le
sujet
est sensible et que javais trouvée, dans la moyen
beaucoup dépassée dans certains cas : soit que l'on ait affaire à des
sujets
exceptionnellement prédisposés, soît que les suje
ait affaire à des sujets exceptionnellement prédisposés, soît que les
sujets
aient subi un certain entraînement hvpnotique.
'expérimentateur dans la mise en jeu de cette sensibilité spéciale du
sujet
. Je croîs en effet que l'on peut démontrer que,
est le seul signe de dégénérescence le plus manifeste que présente le
sujet
. Tremblement nerveux des mains «le temps en temps
de mieux m'assurer qu'il n est pas toujours nécessaire d'endormir le
sujet
profondément pour obtenir une guérison. discuss
t les troubles nerveux les plus divers. J'ai eu à traiter beaucoup de
sujets
atteints de bégaiement. Sur une vingtaine de cas,
de cas, je n'ai noté que trois guérisons certaines. Chez beaucoup dr
sujets
, le bégaiement disparaît pendant le sommeil hypno
rt Ballet chez un malade présenté à la Société «les hôpitaux. Chez ce
sujet
la suggestion n'avait cependant donné aucun résul
l'étal de veille (par suggestion à l'état de veille, j'entends que le
sujet
â qui est faite la suggestion est éveillé et non
il y a quelques jours. Je n'étais pas sans quelque appréhension à son
sujet
. En effet, ces mois passé», les journaux étaient
onsidérable. L'éducation des éplleptiqnes. Dans un mémoire sur ce
sujet
, lu en présence de l'Association des sciences soc
s autres épilepliques; ; — il n'esl pas aliéné, mais il est malade et
sujet
à des périodes d'infirmité, d'impuissance, pendan
lui-même. — Trop souvent rêveur, soupçonneux, irritable, irrésolu, et
sujet
à de violents accès de mauvaise humeur quià rende
ons auditives, un peu intenses, se transforment immédiatement chez ce
sujet
en sensations colorées. Il a aussi imaginé des pr
i n'est autre chose que lui-même... Ainsi il est assez naturel que le
sujet
de tels changements psychiques dise qu'il veut l'
oitement a Ions les centres sensitîfs et moteurs... Nous voguons à ce
sujet
eu plusieurs hypothèses, saus aucune vraisemblanc
trajet que par suggestion hypnotique on leur avait marqué, ou que le
sujet
endormi s'était indiqué lui-même. Pendant l'état
ntait à s'y méprendre une femme couchée. Nous avons suggéré à notre
sujet
, pendant le sommeil provoqué, d'aller, à son réve
lui raconte. Cependant, au bout de trois jours, nous revoyons notre
sujet
; la malade était triste, sombre, le visage pâli,
s visions terri-liantes. Cette première expérience prouve que notre
sujet
qui a accompli, par suggestion, un acte criminel
la suggestion criminelle, est In meilleure preuve de la sincérité du
sujet
. Ce qui vient encore corroborercette idée delà si
é du sujet. Ce qui vient encore corroborercette idée delà sineérîtédu
sujet
, c'est la disparition de son anxiété après une no
les chagrins et les douleurs, de même aussi, on peut porter aussi le
sujet
à commettre des fraudes, des crimes el des actes
ns une autre expérience l'auteur place un verre d'eau dans la main du
sujet
, il lui dit : « Une partie de votre sensibilité v
ait aucune sensation, s'il louchait le verre en produisant un son, hs
sujet
ressentait la piqûre. Les expériences rapportée
avoir pas cru jusqu'ici â ces phénomènes, prouvent que. chez certains
sujets
spéciaux, il y a un semblant d'extériorisation de
précédemment aussi, si nous enlevons l'objet de la zone sensible, le
sujet
ne ressent pas les piqûres. Avec les plaques ph
hez u-'e seconde hystérique. Nous conclurons donc que chez certains
sujets
spéciaux on peut produire, pur suggestion, une ps
ion qu'en expérimentant à une distance de un centimètre de la peau du
sujet
, toutes les autres expériences rapportées par de
les plaques photographiques ne se sont chargées de la sensibilité du
sujet
, ce qui tend â prouver qu'il s'agit simplement de
uver qu'il s'agit simplement de phénomènes physiques ressentis par un
sujet
hypnotisé. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE Le somnambul
clarté, cette netteté de style inspirée» par une longue médilalinu du
sujet
traité, cet ouvrage portera la conviction dans l'
nerveux centrifuge capable de mettre enjeu les muscles. En ce cas le
sujet
peut vouloir mais il reste inactif comme s'il ne
s suggesliùle à l'état de veille et, peut-être, comme chez, plus d'un
sujet
que je pourrais nommer, la transition de l'êtat n
montrent quelles aggravations â leur état peuvent résulter, pour «les
sujets
atteints de phobies neurasthéniques, de certaines
les facultés intellectuelles de M. C... sont intactes. Sur tout autre
sujet
que sa phobie, il raisonne juste. Il peut même pa
Nord à sept heures du malin. A une question que nous lui posions à ce
sujet
, il nous a répondu : s Je vous garantis queje n'y
nt d'appréhension. Nous avons eu l'occasion d'observer un quatrième
sujet
chez. lequel l'anxiété neurasthénique s'était man
éraisonnables, on ne peut aucunement se lier à leurs récits: ils sont
sujets
à prendra des chimères pour des réalités, ils peu
position si particulièrement expressive des pieds du conducteur. Le
sujet
prrnd le contact avec son conducteur en appuyant
, en les décomposant, les phases de l'acte â accomplir. Sans cesse le
sujet
revient à son conducteur, l'attire, le place près
plus profonde que nous avons servi trois fois de guide et au choix du
sujet
— que notre pensée n'était point lue par lui mais
e des chances de trahison. « Pensez-vous assez fortement? » disait le
sujet
haletant. — Oui, mon ami, mais nous avons réduit
, d'autre part, ne parait-il pas cruellement injuste de condamner des
sujets
irresponsables d'actes qu'ils ont commis en état
l'être en réalité. Il sullira. pour se faire une sage conviction à ce
sujet
, de relire l'observâtion de Félida, rédigée par l
t importantes les questions de médecine légale qui se rapportent à ce
sujet
: avortements. substitution d'enfant, etc.. etc.
it le souvenir du traumatisme chirurgical. J'en ai assez dit sur ce
sujet
pour que ceux qui liront cet article soient désir
e consulter souvent cet ouvrage agréable à lire malgré la sévérité du
sujet
. L'Administrateur-Gérant : Emile BOURIOT 170, r
rconstances semblables. Opération fort difficile â la vérité. et fort
sujette
à caution, car autre chose est d'être effectiveme
part du temps à la suggestion que l'upérateur adresse directe ment au
sujet
, mais il y a quelques sujets très hypnotisa blés
n que l'upérateur adresse directe ment au sujet, mais il y a quelques
sujets
très hypnotisa blés et très suggestibles qui peuv
s le vouloir, sans s'en apercevoir et même plus, eu s'adressa ni à un
sujet
, il peut en influencer un autre qui se trouve â p
outes les particularités de la suggestibilité que présentent quelques
sujets
sont due» à la suggestion seule, je fus trappe du
é, il me vint à l'esprit de vérifier le degré de suggestibilité de ce
sujet
en lui faisant réaliser une série d'actes assez c
compliquée terminée, je sonne, ayant fixé toute mon attention sur mou
sujet
et je le vois exécuter la première partie de mon
ter la première partie de mon ordre, je sonne une seconde fois et mon
sujet
s'était levé pour accomplir la seconde parts
s étonne en me retour-nant de voir mrs suggestions exécutées pur deux
sujets
au lien d'un. Deux sujets.. Marie T... et Eugénie
de voir mrs suggestions exécutées pur deux sujets au lien d'un. Deux
sujets
.. Marie T... et Eugénie G..., accomplissant toute
mandé qu'à une seule. Marie T... Tout d'abord je crus que le second
sujet
avait accompli ces actes, pensant que je m adrrss
e qu'il n'en était pas ainsi. Ce n'était pas par erreur que le second
sujet
accomplissait les actes suggères au premier. Je l
ns l'état de passivité absolue dans lequel se trouvent la plupart des
sujets
hypnotisés, elle était incapable de réagir contre
it frapper son oreille. Elle le recevait en même temps que le premier
sujet
et le mettait à exécution d une façon inconscient
our vous faire faire toutes les grimaces possibles. Je réveille mon
sujet
et la suggestion réussît complètement. Dix minu
ggestion réussît complètement. Dix minutes après j'endors le second
sujet
et sans rien lui suggérer je le réveille au bout
présente les boules et j'obtiens le même résultat qu'avec le premier
sujet
. Ensuite les deux sujets étant réveillés, je m'
obtiens le même résultat qu'avec le premier sujet. Ensuite les deux
sujets
étant réveillés, je m'adresse à une tierce person
ces malades ils sentent une forte douleur. J endors ensuite mes deux
sujets
et j'aî été vraiment étonné en constatant chez Ml
elle est endormie. Dans une quatrième expérience, je place mes deux
sujets
, debout l'une endormie, l'autre. Mlle Eugénie G..
.. éveillée cl m'adressait a un assistant, je lui dis : Chez quelques
sujets
la suggestibililé motrice est très développée de
mouvement provoque un léger bruit ou déplace un courant d'air dont le
sujet
ail la sensation, on peut le faire reculer ou ava
estion verbale. Je fais ce geste et il fait avancer nu reculer le
sujet
endormi, j'endors l'autre, je répète la même opér
n et j'obtiens le même résultat- Huit jours après, je mets les deux
sujets
l'un à côté de l'autre et sans rien suggérer de n
r quelconque, la répétition de cet acte rappellera dans le cerveau du
sujet
l'idée qui s'v rattache et le sujet réalisera la
cte rappellera dans le cerveau du sujet l'idée qui s'v rattache et le
sujet
réalisera la sug-gestion automatiquement, comme m
pas qu'on rencontre cette aptitude à être impressionné cher ions les
sujets
hypnotîsables d'une façon austî nette que je l'ai
près son réveil, elle exécuta les suggestions faites. Les deux autres
sujets
se réveillèrent en même temps et tous les trois e
cela, après l'entraînement créé par 1rs premières expériences que les
sujet
sensibles â la suggestion indirecte, avaient une
aussi inattendue que puissante; il faut doue. lorsqu'on s' adresse un
sujet
hvpnolisé. ne lui dire que ce qui doit être enten
édulité. » Les hypnotiseurs savent bien qu'il est nécessaire que le
sujet
croie en eux ; aussi ne négligent-ils rien pour l
tait pas un homme folâtre — il s'en faut de beaucoup — a écrit sur ce
sujet
quelques lignes qu'il faut citer : « La gaieté, d
ous le controle du Comité français. Un avis ultérieur fournira à ce
sujet
tous les renseignements désirables. Au cours de c
on a la prétention d'être infaillible? Croit-il qu'on peut au premier
sujet
endormi laire une opération douloureuse sans doul
eur dans les jambes, impossibilitò d'ouvrir les pati-pièros. Quélques
sujets
se plaignaient de ne pas voir clair, etc. M est
ser ces esprits. Finalement, le réveil ne réussît plus du tout. Les
sujets
ne reviennent peut-être à eux qu'après plusieurs
nsition vers l'auto-hypnose, comme le montre d'une façon éclatante le
sujet
de l'observation 20 ». Tel est le noir tableau
sérieuse, etc..... » « Un autre danger réel est celui-ci : certains
sujets
, après «le nom hreuses hypuolisalioiis, après de
si elles sont faites avec réserve : répétées sans mesure sur le même
sujet
, elles peuvent devenir dangereuses, Et voici pl
rder sa conscience et son honneur professionnel. a Ne pas donner au
sujet
hypnotisé, sans son consentement d'au très sugges
faits commis. L'auteur, il est vrai, n'a pas procédé chez, tous ses
sujets
par hallucinations. A-t-il alors suivi la méthode
pas fixer un point brillant ; je ne plonge pas mes yeux dans ceux du
sujet
; je me contente d'appliquer la main sur son fron
au plus, le sommeil ou un état voisin du sommeil se manifeste. Si le
sujet
ne dort pas nu n'a pas conscience de dormir, je m
que l'hypnotisme par lui-même donne lieu à des accidents nerveux. Des
sujets
au réveil se plaignent de céphalalgie, de vertige
lit à produire ces manifestations. Tout cela est vrai pour certains
sujets
. Mais ces accidents sont dus à l'impressionnabili
remettre la séance a un autre jour, et attendre qu'il ait vu d'autres
sujets
traités par celte méthode et qu'il soit familiari
e et qu'il soit familiarisé avec l'idée d'hypnotisme. Il est d'autres
sujets
au contraire, très sceptiques et peu impressionna
ts, faussement attribués à l'hypnose, ne sont dus qu'à l'émotivité du
sujet
maladroitement actionnée par un hypnotiseur inexp
é cl du mode de la suggestion. Car l'hypnotisme ne coule pas tous les
sujets
dans un même moule ; il ne supprime pas l'individ
lequel on peut mettre ce que l'on veut. II ne suffit pas de dire à un
sujet
endormi : » Vous n'avez plus de douleur », pour q
diatement elle eut une névralgie faciale droite à laquelle elle était
sujette
: cl 2 heures après, une grande crise d'hystérie:
us; on réussit toujours, je puis l'affirmer, quand on sait manier son
sujet
: et pour cela, je le répète, il faut être quelque
et de la névropnthie. » A en juger par la facilité avec Inquelle les
sujets
traités par lui-même ont des svmptômes d'hvstérie
créer des symptômes d'hystérie, ce qu'il est facile de faire chez les
sujets
prédisposes, par suggestion consciente ou inconsc
conférences sur l'hypnotisme et le crime ; afin Je bien exposer ce
sujet
aux avocats. J'ai cru qu'il était indispensable J
ernières au contraire comportent de nombreuses exceptions. Quelques
sujets
se souviennent, en effet, à leur réveil de tout c
nheim de son côté professe comme une vérité indiscutable que certains
sujets
se rappellent spontanément au réveil les faits éc
me proposition est également trop exclusive, j'ai observé de nombreux
sujets
qui. plongés en somnambulisme ne se souviennent a
ulisme. Jusqu'ici nous avons envisagé l'élat de la mémoire chez des
sujets
endormis ou non. sans leur avoir rien suggéré rel
tention : j'ai vu M. Bernhcim faire des expériences nombreuses sur ce
sujet
et toujours avec un plein succès. I.e professeur
es cas. soît â l'élat de veille, soit à l'état de sommeil, obtenir du
sujet
la révélation de» faits et gestes de son hypnotis
au point de vue juridique une importance effrayante. Si, en effet, le
sujet
auquel l'hypnotiseur a suggéré l'amnésie est inca
jours rassurer l'impunité en osant de ce moven : si. au contraire. le
sujet
peut, malgré l'ordre de l'hvpnoliseur, se ressouv
liseur, se ressouvenir de certains faits, ou bien si. eu endormant ce
sujet
, on peut obtenir de lui la révélation de ces fait
uggestive n'en est que plus intéressante ; si elle se produit chez un
sujet
peu sensible aux suggestions, elle pourra d'autan
uggestions, elle pourra d'autant plus facilement se réaliser chez les
sujets
très suggestibles. D'ailleurs, dans les expérienc
nt à l'état de veille ce qui s'est passé pendant son sommeil. 2° Le
sujet
est interrogé en somnambulisme. On comprend a p
flet de règle, lorsque l'hvpnotiseur ne suggère pas l'amnésie, que le
sujet
ne se rappelle de rien au réveil, tandis qu'endor
d'une personne de l'entourage, peut faire renaître, dans l'esprit du
sujet
, le tableau complet de ce qui s'est passé pendant
ion, elle sera directe ou indirecte et agira presque toujours chez un
sujet
préparé, le plus souvent chez un héréditaire. Rar
on. Au siècle dernier. les magnétiseurs croyaient transmettre â leurs
sujets
des effluves d'une nature particulière qui soumet
succube (2) à celle de l' incube. Y a-t-il simplement réceptivité du
sujet
, ou bien y a-t-il réellement échange de fluide ma
mes idées, les mêmes défiances, les mêmes haines. Que l'un d'eux soit
sujet
a des hallucinations auditives par exemple, d'abo
te d'infection psychique, sous trois modes : 1° folie communiquée (un
sujet
B se laisse suggérer par un autre îles idees déli
délirantes, qui ferment dans sou cerveau troublé); folie imposée (un
sujet
B ne se laisse suggérer îles idée délirantes que
suggérer îles idée délirantes que de la part et au Contact d'un antre
sujet
A: sitôt qn'il est séparé do ce dernier, il échap
), presque toujours la transmission du trouble mental s'effectue d'un
sujet
à un parent plus ou moins proche. Elle suppose le
ne voit en cette multiplication très réelle des sorciers, autour d'un
sujet
ou d'un couple, que l'effet d'un zèle de converti
it désormais que deux examens oraux et une seule thèse écrite dont le
sujet
serait choisi par le candidat. Cette réforme al
des discussions n'ont pas pu prendre toute l'ampleur que méritait le
sujet
traité. A part quelques critiques de détail on pe
accidents hystériques, sur les phénomènes que j*ai observés chez les
sujets
auxquels, en état d'hypnose, on enlève et on rend
état de vigilambulisme plus ou moins profond. « Quand on plonge ces
sujets
dans un état d'hypnose profonde et qu'on leur ord
pour vous guérir sans médicaments. Et sans plus ample discussion à ce
sujet
, j'allais à elle et relevant un peu sa téte avec
oujours la plus effective, en n'excitant pas l'esprit d'opposition du
sujet
, et Jo leur dis : « Elle va se lever sans sentir
o à l'état de parfait automate : j'avais entre les mains un excellent
sujet
pour l'expérience projetée, c'est pourquoi je con
i-bilité. Or en étudiant attentivement les caractères de ces quatre
sujets
, j'ai constaté que seule la sœur de Mlle M... mon
analyse autorisée de tous les travaux de ce savant. Il n'est guère de
sujet
en physiologie qui n'ait été pour lui l'objet d'e
isparaître les troubles fonctionnels primilicement constatés. Aucun
sujet
d'étude se rapportant ù la physiologie, à la méde
ort à 55 ans d'apoplexie, cuit également sanguin, buvait sec et était
sujet
â des congestions, à des coups de sang, comme on
dont l'ainé, joyeux garçon, grand amateur de pêche et de chasse,
sujet
également aux contestions, est mort d'une pneumon
di. Cest surtout par les temps orageux et après les repas qu'il est
sujet
à ses accès narcolepliqucs. Il lui arrive souvent
cette névrose et je ne vois pas que les auteurs qui ont écrit sur ce
sujet
aient été plus heureux que mol. J'ai cru pruden
de guérir une maladie rebelle, peu nous chaut le moyen, pourvu que le
sujet
guérisse! Quand un chasseur tire, sans viser, ses
ations. L'activité est l'attribut fondamental et le plus général du
sujet
conscient, l'essence même de la vie psychique, ca
n leurs indications, mais le malade très sceptique n'était pas un bon
sujet
, croyant toujours à de simples coïncidences. Il
seignemements nouveaux fournis par un journal qui a interviewé sur ce
sujet
des chanteurs et des laryngologistes. Les can
toire inquiet, impatient, volage, il s'empresse d'engager de nouveaux
sujets
presque chaque jour ou chaque semaine (dans l'ann
es pseudophobies dont la seule pensée fait tressaillir à dislance les
sujets
qui en sont atteints. Quand ils les ressentent le
du traitement de l'incontinence nocturne d'urine par l'antipyrine, le
sujet
de sa thèse inaugurale. Sur vingt-neuf applicatio
, semble continuer à la surveiller tout en dormant. » Chez d'autres
sujets
, la suggestion qui amènera la guérison est différ
e suggestion, car l'expérimentateur ne doit pas manquer d'affirmer au
sujet
endormi que la préoccupation de se retenir d'urin
esse à l'esprit et dont le but est de tenir en éveil la conscience du
sujet
et de redresser une habitude nuisible. Il est b
aments correspondant à des indications fournies par l'état général du
sujet
atteint d'incontinence nocturne d'urine. SOCIÉT
ations. Elle n'est que l'expression d'un rapport d'influence entre le
sujet
et l'objet cl cette influence est toujours une mo
héorie générale de l'auteur et aussi parce que je n ai pas trouve, au
sujet
des attributs, de théorie nouvelle originale. L
vait fini par exercer un tel empire sur la volonté de certains jeunes
sujets
qu'on a dû prendre une mesure radicale et expulse
autres sécrétions, y compris lu sécrétion salivaire ; or, chez notre
sujet
, l'hypersalivaiion a toujours été exagérée mais n
iène des gens nerveux. 256. Hyperesthésie de la sensibilité chez un
sujet
hypnotisé, par Mavrouka- kis, 143 Hypnotisme en
ives et, aujourd'hui encore, les auteurs sont loin de s'entendre à ce
sujet
. Pour les uns, Charcot et ses élèves, « l'hypno
sommeil naturel. On l'obtient plus ou moins facilement chez tous les
sujets
. Point n'est besoin d'une tare névropathique. Il
particulièrement par Pitres, Gilles de la Tourette et Babinski. Les
sujets
hystériques sont seuls hypnotisables. Entre la lé
rs d'hystériques dans la circonstance. Par cela même qu'un malade est
sujet
à des attaques de léthargie, de catalepsie, de so
Pitres dans ce fait que tous les symptômes que l'on observe chez les
sujets
hypnotisés peuvent se rencontrer sur des hystériq
s manœuvres hypnogéniques ont pour effet de déterminer, chez certains
sujets
, l'apparition de phénomènes musculaires sensitifs
rofesseur Pitres, il n'y a aucune différence de nature. Hypnotiser un
sujet
, c'est lui donner artificiellement une attaque de
eurs les phénomènes hypnotiques peuvent varier à l'infini suivant les
sujets
, suivant qu'il s'agit d'hystériques, de névropath
ènes dits hypnotiques ; ils existent à l'état de veille chez certains
sujets
. Tous les sujets, sans exception, qui les réalise
ques ; ils existent à l'état de veille chez certains sujets. Tous les
sujets
, sans exception, qui les réalisent dans le sommei
y a pas d'état spécial méritant le nom d'hypnotisme, il n'y a que des
sujets
suggestibles plus ou moins auxquels peuvent être
ugges-tibilité, rhallucinabilité, etc., ducs à l'imagination seule du
sujet
. Liébeault remplaça l'hypnotisme de Braid par l
ne propriété normale du cerveau, plus ou moins développée suivant les
sujets
: la suggestibilité (')• Dansun travail très in
'une part l'impressionnabilité, de l'autre, la force de résistance du
sujet
. Pour l'auteur, la suggestibiîité hypnotique va
tion formelle avec une observation rigoureuse des faits. Les nombreux
sujets
hystériques sur lesquels il nous a été possible d
l'hypnotisme en dehors de toute espèce d'autosuggestion de la part du
sujet
, en dehors de toute espèce de suggestion de notre
é neuro-musculaire. Nous nous sommes adressé intentionnellement à des
sujets
hystériques très intelligents, nous leur avons fa
s obtenues de la sorte et les phénomènes que l'on a observés chez les
sujets
chez lesquels se montre l'hyperexcitabilité neuro
la sommation provoquée. Si nous avons quelquefois constaté sur des
sujets
en apparence sains une suggestibilité au-dessus d
par beaucoup d'auteurs. Dans les cas où il nous a semblé mettre les
sujets
en état apparent de sommeil nous avons conservé d
rmer l'existence. Peut-être avons-nous fait simplement accepter à ces
sujets
l'idée suggérée du sommeil. Dans le cas d'obser
jets l'idée suggérée du sommeil. Dans le cas d'observations sur des
sujets
sains ou soi-disant tels, il est réellement souve
t en dehors de toute expérimentation se montrent généralement sur des
sujets
hystériques et c'est encore sur les hystériques q
eil pathologique. Ici encore, soit dans les antécédents personnels du
sujet
, soit dans ceux de sa famille, on découvre toujou
et c'est encore ce même état qui existe plus ou moins latent chez les
sujets
impressionnables aux manoeuvres de l'hypnotisme (
e psychologique ou thérapeutique. L'irritabilité réflexe exagérée des
sujets
s'étend à la totalité de leur axe encéphalo-médul
ulièrement intéressantes 1 aussi sont les observations faites sur des
sujets
chez lesquels on produit simultanément deux des p
étude du grand hypnotisme chez la grande hystérique. Chez aucun autre
sujet
sain, ou soi-disant tel, ou même atteint d'une au
cette particularité sous le nom de « l'homme tronc ». Us comparent ce
sujet
à d'autres privés eux aussi de bras et de jambes,
tre côté la sensibilité était normale ou exagérée. EnGn chez d'autres
sujets
plus rares, on trouve sur la cornée du mémo œil u
en, je signalerai les diverses observations suivantes : Chez certains
sujets
j'ai constaté une anesthésié de toute une moitié
u se réalise. On me dira que la suggestion s'est exercée ici sur un
sujet
éminemment propice : je n'en disconviendrai pas.
itutrice, à tempérament débile, lymphatico-nerveux, au front déprimé,
sujette
à des migraines et à des névralgies diverses, men
ais une conférence ayant pour objet l'initiation mathématique (a). Le
sujet
dont je dois vous entretenir aujourd'hui, l'initi
e la main se formera, en même temps que l'attention se portera sur le
sujet
, avec une bien autre intensité que sur une leçon
ment élémentaire de l'histoire? Pour revenir plus directement à mon
sujet
, je dois accorder que les moyens si précieux sur
'ensemble du processus rappelait assez bien ce qu'on observe chez les
sujets
de l'espèce humaine dans les cas d'encéphalite no
re par l'emploi de procédés psycho-mécaniques divers. Par exemple, le
sujet
étant hypnotisé, je lui mets un verre dans la mai
nir à hypnotiser plus vite et plus facilement un plus grand nombre de
sujets
. C'est pour cela que de nombreux praticiens s'app
t très favorable de docilité, de malléabilité, de réceptivité ; notre
sujet
est devenu apte à être suggestionne : il pourra ê
je m'applique à les rendre synchrones aux mouvements respiratoires du
sujet
; en d'autres termes, chaque syllabe dor... est én
indirectement et comme à volonté sur les mouvements respiratoires du
sujet
, j'estime qu'il se trouve « à point » et que le m
cune règle précise, car les conditions de l'intervention varient d'un
sujet
à l'autre. L'appréciation de cette durée sera don
tant bien différents. Prenons des exemples. Imitation. — Certains
sujets
en état de fascination ou de somnambulisme, imite
s conservent le pouvoir de répéter ce que Tondît. Si on commande à un
sujet
a marche » et que ce sujet répète a marche » sans
répéter ce que Tondît. Si on commande à un sujet a marche » et que ce
sujet
répète a marche » sans bouger, cet acte d'i-milat
utomatisme. — Les pensées et les actes automatiques, nombreux chez le
sujet
normal, sont également fréquents à l'état hypnoti
t hypnotique qui rappelle celui du somnambule. Chez lui comme chez le
sujet
soumis aux expériences de Chevreul et de Cumberla
duire d'une façon inconsciente. Ces mouvements varient chez le môme
sujet
suivant les expériences ; ils sont d'autant plus
jet suivant les expériences ; ils sont d'autant plus constants que le
sujet
est plus jeune. Ces mouvements automatiques, ré
à un certain degré d'hypnose. Pour les produire, on prend les bras du
sujet
et on les fait tourner en cercle l'un autour de l
simples suggestions les réduiraient si facilement. Chez bon nombre de
sujets
nerveux, il ne faudrait recourir à une autre méde
On se demande si c'est au médecin ou bien au moraliste que de tels
sujets
doivent être adressés. Les cas de ce genre sont
un projet d'enquête sur l'état actuel des études psychologiques. A ce
sujet
une discussion scientifique s'est élevée au cours
cas où les expériences auraient eu pour effet d'ébranler la santé du
sujet
. Je pense que ce droit lui appartiendrait alors m
lus loin : j'estime qu'alors même que l'hypnotiseur aurait prévenu le
sujet
des troubles qui pourraient en résulter pour sa s
ne serait pas à l'abri d'une demande de dommages et intérêts, car le
sujet
aurait donné un consentement contraire à l'ordre
des actes ridicules ou contraires à la morale ou aux bonnes mœurs. Le
sujet
serait-il fondé à demander des dommages et intérê
dération ? Je crois qu'il y a surtout là une question de faits. Si le
sujet
a consenti par avance aux actes suggérés, je pens
consentis par' avance, et susceptibles de nuire à la considération du
sujet
, il me paraîtrait rationnel de décider qu'il
conséquent, nous ne saurions faire état du consentement donné par le
sujet
? Je répondrai que l'inégalité d'intelligence et d
rantie ; mais nous savons qu'il ne serait pas impossible d'obliger un
sujet
à se rendre chez un notaire, pour y dicter son te
enfin par simple suggestion à l'état de veille, et cela, sans que le
sujet
eût cessé de conserver l'apparence d'une personne
la signature avait été donnée en présence d'un notaire, et même si le
sujet
avait agi à l'état de veille. Il suffirait à mon
circonstances. Il y aura violence quand l'hypnotiseur aura endormi le
sujet
, soit malgré sa volonté, ce qui sera évidemment r
e des crimes ou prétendus crimes qu'un hypnotiseur peut suggérer à un
sujet
de commettre. La possibilité de semblables acte
e, mais que les suggestions échoueraient s'ils'agissaitd'imposcr à un
sujet
l'exécution d'un crime véritable. H ne m'appart
nous suffise de constater que la loi pénale n'est pas désarmée. Le
sujet
n'est, dans la perpétration du délit que l'instru
, les conditions obligatoires de la responsabilité font défaut. Si le
sujet
avait, au moment d'agir, possédé la plénitude de
st pas en conformité parfaite avec l'état moral qui est habituel au
sujet
, sa sanction pénale ne pourrait lui être appliqué
que l'hypnotiseur aura abusé de son influence pour se livrer sur son
sujet
à des actes attentatoires ou contraires aux bonne
nctionnelles profondes des centres cérébro-spinaux. Lors même que les
sujets
sont doués d'un certain développement intellectue
apport à l'habitude automatique dont ils sont atteints. En effet, ces
sujets
, tout en ayant conscience des dangers que leur fo
r imposer l'horreur de l'onanisme. Après deux ou trois séances, les
sujets
ne tardent pas à reconnaître qu'ils sont capables
la présence en un tel lieu cause avant tout un profond étonnement. Le
sujet
est cependant éminemment religieux, car il s'agit
reconnaître l'origine de l'extase et les symptômes que présentait le
sujet
dans l'intervalle des crises, ce qui est cependan
tes les précautions nécessaires et comme j'avais fait pour le premier
sujet
, je commençai très doucement, très bas, à lui sug
s à la chiite ('). Ce n'est pas un suicide à proprement parler ; le
sujet
n'en avait aucunement l'intention. 4° Il y a en
it peu à peu ses sens ; la séance était finie. *** « Ainsi, les
sujets
des marabouts, comme les malades de Braid, de Cli
où prédominent la fixation du regard et la monotonie des bruits. Les
sujets
des marabouts, comme les sujets de Char-cot, ont
egard et la monotonie des bruits. Les sujets des marabouts, comme les
sujets
de Char-cot, ont de l'anesthésie avec vaso-constr
t pas. Dès â présent il se croit fondé à formuler cet axiome : « Tout
sujet
hypnolisable est curable. » Les rapports présen
rations et 2 insuccès. Depuis cette époque, j'ai traité 44 nouveaux
sujets
dans les mêmes conditions ; 4 de ces malades ne s
t 2 insuccès. En combinant ces deux statistiques, on obtient sur 64
sujets
(37 garçons, 27 tilles) iio guérisons, 10 amélior
ques particularités psychologiques observées dans ma seconde série de
sujets
etde nature à confirmer mon hypothèse. Chez 17,
de ma première série, je relève dans la seconde, un certain nombre de
sujets
manifestement en puissance d'hystérie : stigmates
onirique intense, sorte de crise hystérique en miniature. Sur les 64
sujets
traités je trouve 7 hystériques à crises : 4 fill
rât à ces procédés que dans l'intérêt de la science ou de la santé du
sujet
. Mais où commencera le délit ? Frappera-t-on ceux
elle-même reconnaît le droit á l'expérimentation dès lors que le
sujet
est majeur et sain d'esprit. Mais elle se montre
point de vue de l'hygiène publique et de la santé des spectateurs ou
sujets
, des dangers suffisants pour entraîner l'interdic
ces de leurs actes et d'approprier leurs expériences au tempéramentdu
sujet
sans s'exposer à occasionner chez lui des trouble
venait indécent ou si l'opérateur profitait de l'empire acquis sur le
sujet
pour lui imposer des suggestions contraires à son
et de leur manque d'habitude, se livrant presque toujours sur le même
sujet
, à des expériences non plus isolées et accidentel
ins, en dehors de toute espèce de contrôle moral ou administratif. Le
sujet
est à la discrétion de l'opérateur et les pires s
loin d'être nuisibles, seraient très utiles; elles permettraient aux
sujets
prédisposés à la suggestibilité de s'éclairer sur
e la suggestion? Les idées se modifient sans effort, sans même que le
sujet
aitbesoin d'y songer; certaines idées s'effacent,
ns effort et l'esprit se les assimile parfaitement. Je citerai à ce
sujet
une observation bien caractéristique. On ne se fa
tique, ce qui fut accepté aussitôt. Heureusement j'avais à faire à un
sujet
d'une grande sensibilité hypnotique; je pus d'emb
c ne s'est plus représenté chez elle, elle est maintenant un des bons
sujets
de I'Opéra-Comique. Nous avons encore signalé,
vidus. La suggestion hypnotique peut faire accroître, chez certains
sujets
, l'étendue de la voix d'un ton ou d'un demi-ton,
connue même des musiciens, elle nous entraînerait trop loin de notre
sujet
, nous la réserverons pour l'approfondir dans une
Tous ceux qui pratiquent l'hypnotisme savent combien chez de pareils
sujets
l'influence suggestive est profonde. Si l'hypnose
Philippe d'Angennes, seigneur du Fargis, grand-père paternel du
sujet
qui fait l'objet de cette observation, épousa Jea
uve chez la masse de tous les criminels (40 %)¦ Le jeune âge de nos
sujets
ne peut pas diminuer la valeur de cette conclusio
res années, c'est-à-dire dans un âge inférieur à celui qu'avaient mes
sujets
. Cette conclusion signifie donc que sous le rap
articulièrement l'examen anamnésique, a confirmé chez tous mes jeunes
sujets
l'examen somatique. Ils ne descendent pas, au m
importante, delà suggestion hypnotique comme moyen pédagogique à des
sujets
mauvais, vicieux ou malades. Avec l'intuition d
l ; elle ne se souvient de rien. Je suis heureux d'avoir à faire à un
sujet
favorable. Le surlendemain, j'ai l'occasion de re
deuxième séance, mais quel n'est pas mon étonne-ment de voir le jeune
sujet
s'enfuir à mon approche, en criant qu'elle ne veu
offre aussi des avantages, puisqu'elle peut se passer du concours du
sujet
; elle est, d'autre part, aussi efficace que la su
r assurer et consolider la guérison. Il est évident que c'était là un
sujet
favorable, qu'on ne rencontre pas tous les jours,
x, dont la compréhension est bien un peu obtuse, à part chez quelques
sujets
spéciaux, éduqués, raffinés; malgré cela, elles p
atre ans et demi par une pleurésie purulente. Mais dans le second, le
sujet
continue à vivre depuis quatre ans et demi, presq
s se soumettre. C'est donc une ressource dans bien des cas chez des
sujets
pusillanimes, pour leur faire accepter les explor
e temps à ma disposition, je n'ai pas tenté d'autre expérience sur ce
sujet
. Je tiens à noter, pour terminer, un pointde dé
s, de toutes les impatiences et les colères auxquelles elle avoit été
sujette
par son naturel pendant qu'elle étoit dans le mon
ute sur ce dernier diagnostic puisque les évangiles spécifient que le
sujet
muet était possédé par un démon (Mat. IX, 32 et L
une maladie qui était fort commune autrefois, la lycanthro-pie : les
sujets
se croient transformés en animaux sauvages. Ceux
n degré aussi profond que possible. Pour arriver à ce résultat, si le
sujet
se montre réfractaire aux procédés suggestifs hab
destinées à modifier Vétat psychique. — Dans la plupart des cas, les
sujets
atteints de chorée, de tics, d'habitudes automati
ornerons à constater le fait et à l'utiliser ïhérapeuti-quement. Le
sujet
atteint de choréc ou de tics étant dans l'état d'
ouvements antagonistes. L'immobilité d'abord difficile à obtenir du
sujet
lui-même, lui sera imposée par l'opérateur qui s'
dement, des mouvements réguliers bien rythmés. L'état de passivité du
sujet
, développé par la production de l'hypnose, facili
om de la mémoire du neurone. Pour arriver à ce résultat, on invite le
sujet
à exécuter volontairement le mouvement musculaire
pparition d'un nouvel état de conscience en rapport avec le besoin du
sujet
et l'utilisation de cette nouvelle aptitude, de c
é des fonctions menstruelles, les rêves ou hallucinations laissant le
sujet
persuadé de l'authenticité des faits rêvés, en im
crainte de la maternité. Les deux observations suivantes sont à ce
sujet
très caractéristiques. La première est due au doc
n. Il est connu depuis des siècles. Par la méditation nous prenons un
sujet
et nous le développons dans notre pensée. La repr
ion prend* les idées et les fixe par le souvenir. Le développement du
sujet
à traiter se présente à l'esprit. Les pensées ass
que tout autre acte la puissance de l'autosuggestion involontaire. Le
sujet
contemple le vide, il a la représentation mentale
le veut. Au contraire, dans les cas que j'ai cités, non seulement le
sujet
ne veut pas se suicider, mais il n'a pas non plus
'un travail, alors que la fatigue se fait sentir, on détermine sur le
sujet
des phénomènes de suggestion motrice en exécutant
ses psychiques, de se succéder sous différentes formes chez les mêmes
sujets
, qu'ils ne retentissent pas gravement sur la nutr
s nerveux et de déterminer des troubles circulatoires graves chez les
sujets
atteints de lésions vascu-laires ; c'est ainsi qu
eproduits par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
et de disparaître sous l'influence exclusive de l
uelle ou si la monoplégie brachiale est réalisée, on peut dire que le
sujet
en expérience a subi la suggestion, qu'il a été s
ormes d'attaques peuvent être reproduits par suggestion chez certains
sujets
, en particulier chez les grands hypnotiques ; cet
l'hémiplégie faciale périphérique, la paralysie radiale vulgaire, lé
sujet
en expérience, quelle que soit sa suggestibilité
oyen semble a priori devoir agir efficacement. Voici, par exemple, un
sujet
atteintde la maladie du doute bien caractérisée e
i, et publiée en 1891 dans la Galette heàaomadaire. (1) Voir à ce
sujet
:. De ratrophie musculaire dans les paralysies hy
ition que je propose :¦ ? hystérie est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve capable de s'aulo-suggestionner.
eproduire par suggestion avec une exactitude rigoureuse che\ certains
sujets
et de les faire disparaître sous ï'influence excl
a manière suivante : .L'hypnotisme est un état psychique rendant te
sujet
qui s'y trouve susceptible de subir la suggestion
, celte distinction est quelque peu artificielle, car généralement un
sujet
qui est susceptible de subir la suggestion d'autr
t qu'il pourra marcher, mais qu'il emportera son lit. Pour certains
sujets
, il est préférable de ne pas donner d'ordre direc
estions peuvent môme aujourd'hui se réaliser facilement avec certains
sujets
prédisposés. Elles font comprendre la possibilité
ortés et je serais heureux que la Société voulût bien m'éclairer à ce
sujet
. Discussion M. Jules Voisin- — L'onanisme se
terme d'hypnotisme. Dans l'état actuel de nos connaissances sur ce
sujet
, la définition la moins mauvaise nous semble être
ositions suivantes : i° Choisir comme matière d'expérimentation des
sujets
dont les conditions physiologiques et pathologiqu
de vue expérimental, les hystéro-épileptiques resteront toujours les
sujets
sur lesquels il sera possible d'entreprendre les
savoir se mettre à l'abri de toute intervention active de la part du
sujet
, en un mot, de toute simulation. Et cependant n
par l'expérimentation clinique. Lorsqu'on soumet un grand nombre de
sujets
aux manœuvres hypnogéniques, on sait que, même ch
pparence contradictoires. L'aspect du malade endormi varie suivant le
sujet
, suivant aussi le procédé employé pour l'endormir
toutes les recherches véritablement scientifiques entreprises sur ce
sujet
. Les phénomènes si nombreux et si variés qui s'
et. Les phénomènes si nombreux et si variés qui s'observent sur les
sujets
hypnotisés ne répondent pas, dit Charcot, à un se
nt les caractères de ces divers états : ift Etat cataleptique. — Le
sujet
cataleptique est immobile, comme fasciné. Les yeu
e temps hyperacuité de certains sens spéciaux. La sugges-tibilité des
sujets
est des plus manifestes. Telle est dans ses gra
« Ainsi parlait ce jeune téméraire. Cinqjoursapres.il reparla du môme
sujet
avec ses compagnons, puis s'endormit dans le lieu
aveugles, des sourds ou des lépreux. De même Renan est bref sur ce
sujet
: « il est impossible desavoir si les circonstance
simples billevesées. Cette fois, cependant, il ne s'agit plus d'un
sujet
venu dans le but de faire pâmer d'admiration béat
ssionnent pour ces ques- lions et plusieurs invités de marque. Le
sujet
est entouré de quelques parents et amis ; un jour
nous sommes conviés. Il s'agit, nous dit-on, de faire accomplir au
sujet
un acte quelconque qui lui aura été ordonné menta
it prononcé une seule parole, sa pensée, nous dit-on, sera lue par le
sujet
et l'ordre mental sera effectué fidèlement. En
'ordre mental sera effectué fidèlement. En dehors de la présence du
sujet
, on convient de faire exécuter à celui-ci un acte
ire exécuter à celui-ci un acte analogue à ceux énoncés plus haut. Le
sujet
entre. Il prend une des mains de son « conducteur
siasme de quelques spectateurs et stupéfaction de quelques autres; le
sujet
et son entourage .manifestent une très légitime s
us conservons pleinement notre sang-froid. Il nous importe peu que le
sujet
obtienne des succès personnels ou qu'il subisse u
r, dans la circonstance, il y a contact permanent du conducteur et du
sujet
. S'il s'agissait véritablement de suggestion me
'on voudra, mais d'une manière cependant appréciable, pour que le
sujet
en soit impressionné et leur obéisse. Or, le su
ble, pour que le sujet en soit impressionné et leur obéisse. Or, le
sujet
est ici quelque chose de plus que le pendule iner
de Chevreul. Ce pendule ne fait que subir l'impulsion digitale. Notre
sujet
a une faculté perceptive très affinée : il est fo
toutes les phases successives d'un acte relativement compliqué ? Le
sujet
ne va pas droit à la personne désignée, il n'acco
ducteur, ne peuvent guère signifier que oui ou que non. C'est donc au
sujet
à varier et à multiplier ses sortes d'interrogati
érience, ces mêmes muscles donnent enfin une réponse affirmative ; le
sujet
la perçoit et la première partie de l'expérience
ssie. Reste l'acte à accomplir ou l'objet à saisir. Ici encore le
sujet
va tâtonner. Il touche successivement les cheveux
non et par oui à toutes les questions que n'a cessé de leur poser le
sujet
? Celui-ci opérera de même pour la suite de l'expé
r son adhésion aux nombreux essais que multiplie l'esprit inventif du
sujet
. Celui-ci, en effet, au risque d'échouer, doit sa
a porter sous le buvard sur lequel écrivait M. le Df Bérillon. Le
sujet
trouve facilement la personne, enlève l'épingle,
toutes ces nombreuses tentatives, le conducteur répondait non, si le
sujet
avait pensé k soulever le buvard, le conducteur s
ver le buvard, le conducteur se fût empressé de répondre oui. Mais le
sujet
n'y a pas pensé et le conducteur n'a pas pu lui s
re qu'elle est tout à fait fondée. Le conducteur ordinaire de notre
sujet
propose une expérience à laquelle celui-ci a été
corps, avec telle arme, parce que M. Y. a volé à Mm* Z. tel objet. Le
sujet
devra désigner Mw X. (l'assassin présumé), M. Y.,
s, le conducteur. Je ne propose pas de suggestionner mentalement le
sujet
, sans qu'il me touche en aucune manière: je suis
constance, de nous soumettre docilement au modusoperandi exigé par le
sujet
, libre à nous d'en faire la critique. ii s'obst
aussi inertes, aussi passifs .qu'il m'est possible ; j'avance, si le
sujet
m'entraîne ;je recule, s'il me fait reculer; je n
ute la force de mon vouloir, l'acte qu'il doit accomplir. Mais le
sujet
tâtonne, peine, presse nerveusement, ma main, app
. Loin de triompher insolemment, j'explique à l'auditoire que si le
sujet
a échoué, c'est que j'ai systématiquement supprim
r laissais leur libre développement, j'annonçais à l'auditoire que le
sujet
serait incapable de réussir ou qu'il allait réuss
Pas une fois, mes prévisions n'ont été démenties. ¦ * * 4 ¦ Les
sujets
qui pratiquent ces sortes d'expériences ne sont p
ience. Mais, au fur et à mesure qu'il multipliera ses expériences, ce
sujet
comprendra que tout ce qu'il peut apprendre du co
certains conducteurs sont à la fois sans défense et sans méûance, ce
sujet
sera tenté, non plus seulement d'enregistrer leur
r de celui-ci toutes les indications utiles. Arrivé à cette étape, le
sujet
n'est plus guère qu'un habile prestidigitateur.
sont capables, tel acte déterminé et, aux interrogations tactiles du
sujet
, ils ne manquent pas de répondre musculairemcnt p
plus catégoriques. Si enfin le conducteur est un parent ou un ami du
sujet
, s'il est une sorte de barnum, si l'on se trouve
fet que, par suite d'une convention établie entre le conducteur et le
sujet
, tel tressaillement musculaire signifie oui et te
culaire signifie oui et tel autre non ! Or nous avons vu que, pour un
sujet
intelligent, doué d'un esprit inventif, ces simpl
Si, au lieu de venir très sincèrement se soumettre à notre examen, le
sujet
avait envoyé de Salonique des relations de ses no
plus haut degré, mais, bien entendu, il n'a pas une double vue. au
sujet
lui-même ; car, en l'éclairant sur la valeur exac
sonnes étrangères les rapporte à lui-même. Je vous ai rapporté à ce
sujet
l'observation d'une dame qui se plaignait de trou
dirait jamais les états d'âme des infortunées créatures devenues les
sujets
d'expériences de ces chercheurs d'occasions chaud
gie contemporaine. « Qu'est-ce que le médium ? — Le plus souvent un
sujet
hypnotique, victime de ses propres suggestions et
ditliciles a réaliser, et pourquoi ne se manifestent-ils que sur des
sujets
privilégiés, sinon introuvables? 4* Quant à la
arrive en pareil cas, cette absorption intense et unique dans un seul
sujet
Ta amené à donner à ce sujet une importance exagé
bsorption intense et unique dans un seul sujet Ta amené à donner à ce
sujet
une importance exagérée. Toute sa métaphysique se
nt nous fait supposer qu'elle n'a une grande extension que chez ¦ des
sujets
exceptionnels. Ce n'est pas ainsi que l'entend M.
ir si nous sommes tous ou quelques-uns seulement ce qu'on appelle des
sujets
. Je n'ai pas du reste à faire ici de critique. J'
inexplicable de qualités personnelles à la fois de l'opérateur et du
sujet
. Nous examinerons donc: Io les faits qui sont p
xième sens que nous ne pouvons encore pas définir existerait chez les
sujets
Incides. II se passerait là ce qui s'est toujours
les contacts qui restent inaperçus par la conscience supraliminale du
sujet
sont perçus par sa conscience subliminale. Il doi
hypnotiseur, comme on le disait d'abord, la conscience subliminale du
sujet
s'applique à une surveillance spéciale qui s'ajou
on qu'établit M. Myers est-elle plutôt un procédé d'exposition de son
sujet
qu'une division existant bien réellement et nous
stions venant en partie de l'extérieur, en partie de l'imagination du
sujet
— d'un genre spontané mais morbide et arbitraire.
n forme de croix obtenues trois fois par le Dr Biggs de Lima, sur des
sujets
différents. Dans le second de ces derniers il y a
rut par suggestion mentale à l'insu de la conscience supraliminale du
sujet
. Il est à mon avis extrêmement important de not
vis extrêmement important de noter que dans les trois cas, la peau du
sujet
reçut l'impression d'une croix au moment de la su
es impressionnées. Notre cerveau sait situer ses impressions. Chez le
sujet
hypnotique, cette faculté acquiert une extrême pr
ndrassik et von Krafft-Ebing et observé à Gratz (Styrie). en 1888. Le
sujet
M"' lima S... avait des ampoules par suggestion a
ont l'être un jour, 11 faudra bien attribuer aux cerveaux de certains
sujets
un pouvoir idéo-plastique agissant marne à distan
tées surtout par les observateurs qui ont étudié l'hypnotisme sur des
sujets
sains ou soi-disant tels. L'hystérie de la Salp
t certain, en effet, qu'en matière d'hypnotisme, la susceptibilité du
sujet
s'accroît en raison directe du nombre des expérie
est loin d'être démontrée. Et tout d'abord, de part et d'autre, les
sujets
soumis à l'ob- (1) Cours professé à l'Ecole de
reste toujours la valeur de la première expérience. Dans celle-là, le
sujet
ne pouvait savoir ce que l'observateur attendait
u moyen d'une même excitation suffisamment prolongée, faire passer le
sujet
de l'état de -veille à l'état somnambulique, puis
m d'intensité. Or, ces expériences, M. Brémaud les a faites sur des
sujets
hommes et, en apparence au moins, parfaitement sa
loccasion d'expérimenter, comme ai la susceptibilité trop grande des
sujets
les avait fait tomber de suite dans un état plus
ite dans un état plus profond du sommeil provoqué. Et même chez les
sujets
masculins, les expériences étant multipliées, l'i
masculins, les expériences étant multipliées, l'impressionnabilité du
sujet
croissant, l'état de fascination disparaissait ;
isparaissait ; l'état établi d'emblée était la catalepsie. Chez les
sujets
hystéro-épileptiques même, la sensibilité aux
verses malades soumises à l'hypnotisation dépendent soit do l'état du
sujet
avant l'expérience, soit des moyens employés pour
ser par la phase cataleptique et cela surtout lorsqu'il s'agissait de
sujets
présentant quelque résistance aux manœuvres hypno
ression du vertex suffisamment prolongée, je pouvais faire passer mon
sujet
de l'état de veille à l'état som-nambulique, puis
d'emblée en léthargie par pression du vertex et comme d'une part, ce
sujet
était très sensible et que, d'autre part, la pres
cataleptique et alors seulement léthargique. J'avais donc, chez ce
sujet
, au moyen d'une même excitation produit succe
l'intensité, on continue l'excitation pendant un temps plus long, le
sujet
deviendra cataleptique. Mais ce passage du premie
ment on vient à supprimer l'action hypnogénique, on pourra laisser le
sujet
dans un état, arrêter le malade pour ainsi dire à
tant pour ainsi dire un degré dans les états intermédiaires. Certains
sujets
, rares il est vrai, en état parfait d'équilibre p
nt que s'ils le veulent bien. C'est effectivement pour moi le cas des
sujets
sains. Quelques autres descendront un peu plus ba
teurs, entre autres par Luys. Elle est conforme aux idées émises au
sujet
du somnambulisme spontané par Bail et Chambard et
quel elles se sont superposées par l'éducation et le développement du
sujet
. Les facultés les plus fraîchement acquises et pa
ltés critiques ou de contrôle, ceci se constate par la crédi-vité des
sujets
captés, ou se trouvant sous la forme la plus légè
t-hypnotique. Pans la phase plus profonde, celle du somnambulisme, le
sujet
a perdu outre les facultés critiques son initiati
sie, le fonctionnement psychique est borné aux réflexes seulement, le
sujet
cataleptisé est un automate qui ne répond réflect
érieurs. A un degré plus profond encore du sommeil hypnotique, le
sujet
a perdu jusqu'à ses réflexes et n'a conservé de l
iétés ; cela est d'autant plus important que, suivant le caractère du
sujet
hystérique ou'hypnotisé,un de ces moyens réussira
signalé les inconvénients. Dans une lettre qu'il nous écrivait à ce
sujet
, M. Liebeault disait excellemment : « Dire avec
onstaté, chez une personne quelconque ne remplissant pas le rôle de «
sujet
», est plus probante que les résultats artificiel
s proprement dits et les enfants en bas-âge. Inversement, ce sont les
sujets
les plus intelligents ou les plus compréhensifs q
eille, il nous parait intéressant de reproduire ici ce que pense à ce
sujet
l'illustre médecin et philosophe allemand Louis B
ortes : 1* l'hypothèse de Mesmer, du fluide passant de l'opérateur au
sujet
est abandonnée, bien qu'il y ait des preuves impo
e type central, et la suggestion extérieure une aide à la croyance du
sujet
. On sait qu'un malade qu'on a eu toutes les pei
u docteur. L'auto-suggestion est et sera de plus en plus enseignée au
sujet
. Il ne nous faut donc plus regarder les phénomè
e peut s'obtenir même avec la meilleure volontédu monde de la part du
sujet
. Mais chez celui qu'on appelle d'un mot fort malh
peine beaucoup plus grande qu'éprouve l'opérateur à faire exécuter au
sujet
une simple inconvenance, comme d'ôter ses soulier
état des centres encéphaliques. Aussi l'examen de la sensibilité du
sujet
avant l'expérience présente-t—il un intérêt tout
réussir quelquefois (au bout d'un temps très variable) à endormir le
sujet
en s'adressant à son côté anes-thésique. Cela tie
moindre qu'elle n'était lorsqu'elle n'occupait qu'une des moitiés du
sujet
. Dans le cas où l'état de la sensibilité est di
côté. Et cela est si viai que, sans avoir examiné la sensibilité du
sujet
avant l'expérience, on peut, presqu'à coup sûr, j
ent tenace, à une crainte, une appréhension, une répugnance, etc., le
sujet
peut trouver en lui assez de force de résistance
. D'autre part, l'amnésie au réveil est quelquefois regrettable. Le
sujet
ne connaît point la cause de l'état spécial dans
our ainsi dire, une science nouvelle, il en est une, observée sur des
sujets
à l'étal de' veille, et qui doit peut-être à sa b
qui nous occupe, elle est toujours fortuite. Bien que le nombre des
sujets
qui ont éprouvé cette manifestation soit considér
t isolée de pensée ('), de pressentiment, de sensations diverses, les
sujets
intéressés se trouvent, au moment où le phénomène
on que nous étudions spécialement ici, on peut toujours distinguer un
sujet
actif et l'autre passif, absolument inconscient d
antévision, voici pourquoi : Nous avons dit plus haut que, des deux
sujets
intéressés par le phénomène, un seul était actif
lors que les observations recueillies établissent qu'un seul des deux
sujets
l'aperçoit. Ajoutons que l'hypothèse de Flammar
tévision réciproque, évidemment possible, quoique inobservé. Les deux
sujets
se trouveraient alors respectivement dans le même
, encore fortement contestée, n'aurait été observée que chez certains
sujets
en état d'hypnose. D'ailleurs, dans l'antévision,
de carbone (') Par M. le professeur Raymond Voici un malade au
sujet
duquel on pourrait faire une grosse erreur •de di
prement dit, mais un état délirant avec accès de mélancolie, chez des
sujets
prédisposés par l'hérédité. Le phénomène sur le
le lieutenant-général de police, qui, chargé de faire un rapport à ce
sujet
, déclare que pour faire cesser tous ces scandales
ne impression, un ordre, dans la somnolence la mieux appropriée. Le
sujet
, pour se donner le mieux possible cette idée, cet
taine fatigue. Soit l'auto-suggestion avoir de bonnes idées, que le
sujet
veut se proposer. Le sujet se met d'abord dans la
o-suggestion avoir de bonnes idées, que le sujet veut se proposer. Le
sujet
se met d'abord dans la somnolence favorable. Puis
ront dans la mesure de l'intelligence et du développement cérébral du
sujet
. Il n'y a pas d'autre moyen connu pour faire prod
Ce résultat est obtenu par la suggestion et par l'autosuggestion. Le
sujet
agissant lui-même et sur lui-même. IV. — Premie
que ayant terminé les exercices d'auto-suggestion, on veut dormir. Le
sujet
répète mentalement : « Dormir ». Le matin, si l
Pour obvier à cette fatigue provenant de l'auto-suggestion unique, le
sujet
peut pratiquer plusieurs auto-suggestions. Il pou
s : 1° Avoir de bonnes idées. — 2* Ecrire. — 3° Avoir de VOrdre. Le
sujet
qui voudra se les proposer se mettra d'abord dans
eux minutes. Voilà comment il devra s'y prendre théoriquement. Le
sujet
répétera un ordre de dix à cinquante fois. Le nom
it régler le nombre de fois que l'idée est proposée mentalement. Le
sujet
choisit et reprend chaque idée un peu suivant son
ir de l'ordre, étant proposées moins souvent. Mais chaque fois que le
sujet
reviendra â une idée proposée, il devra se la rép
donnent aucun résultat. Cependant on peut tourner la difficulté. Le
sujet
pourra se proposer dans une séanca deux auto-sugg
court sera consacré aux auto-suggestions secondaires. De la sorte le
sujet
pourra se proposer plus de cinq auto-suggestions.
es idées. Ces auto-suggestions seront répétées aussi longtemps que le
sujet
le pourra, le temps sera limité par la fatigue se
voir de bonnes idées, sera obtenu. II faut ajouter que lorsque le
sujet
est bien entrainé à la pratique de l'autosuggesti
. II y a d'ailleurs longtemps que les physiologistes ont étudié des
sujets
qui pouvaient à volonté arrêter leur cœur. M. B
f diminue leur intérêt. Pour les connaître, il faudrait interroger le
sujet
, et cette interrogation interromprait forcément l
tionnels lui donne de précieuses indications sur la suggestibilité du
sujet
, sur son émoli-vité, sur ses dispositions aux tro
ers degrés du sommeil hypnotique et lui permet de pronostiquer que le
sujet
ne tardera pas à être plongé dans un état profond
ir et que le sang-froid de l'opérateur, ainsi que son autorité sur le
sujet
, était le meilleur moyen d'en limiter les effets
nt raison à M. le Dr Bérillon, qui pense qu'il y a là. de la part des
sujets
endormis, une opposition à l'influence exercée su
itent, les phrases se suivent avec rapidité, la malade parle sur tout
sujet
, elle cause à un être imaginaire, sans savoir ce
la conscience, il faut un rétrécissement de la mentalité. Pour qu'un
sujet
arrive à un état tel que celui de cette jeune fem
s femmes. Mercredi, à 9 h. — Salle des consultations spéciales — Même
sujet
. Vendredi, à 9 h. — Salle Monneret — Clinique gén
ologie, 49, rue Saint-Andrê-des-Arts, le jeudi 22 mai, à cinq heures.
Sujet
de la conférence : Le grand hypnotisme d'après le
malformations, des difformités et des maladies, soit acquises par le
sujet
, soit héritées de ses ancêtres. Mais est-il logiq
noir. Le nouvel « habitant » est conduit à la visite médicale. Si le
sujet
est jeune et si le médecin considère que ses musc
La même année il obtenait le prix Montyon pour un mémoire sur le même
sujet
. Nommé chef de clinique à la Faculté. Il collabor
oué par lui dans l'évolution de l'hypnotisme, s'exprimait ainsi à son
sujet
dans le Correspondant médical. Après avoir rappel
il établie trop rigoureuse sans tenir compte de l'infinie variété des
sujets
. Et quand de (1) Paris : Bataille, éditeur.
r qu'il s'agit ici de la suggestion qui s'adresse à l'intelligence du
sujet
sous forme de symboles ou signes représentatifs d
i sur la conviction qu'elle fait naltro dans la conscience ?ormale du
sujet
. » rapprocher de l'électricité et du magnétis
nt un petit objet brillant l'espace de quinze ou vingt minutes, et le
sujet
ayant subi par ce moyen une modification spéciale
n première une participation de la conscience et de l'intelligence du
sujet
; et ce qui met ce point hors de doute, c'est que
cé, ou les divers signes qui peuvent en tenir lieu, soient compris du
sujet
, et, secondement, qu'elle obtienne une certaine a
estion du mouvement incoercible ou de l'impuissance à se mouvoir, mon
sujet
conçoit une idée relativement claire et adéquate
-t-il donc, où s'aperçoit-il, ce concours, quand nous voyons certains
sujets
, à l'annonce d'une suggestion extravagante, se li
végétative pour objectif de mes suggestions perturbatrices, je dis au
sujet
, en lui faisant avaler un verre d'eau claire ou u
l n'aurait point été touché. Il est donc indispensable, pour que le
sujet
éprouve l'action de la suggestion purgative, que
trouvons également la preuve de Pentière abstention intellectuelle du
sujet
, soit dans la composition, soit dans le jeu de ce
se prépare et se déroule dans une obscurité noire. Vous dites à votre
sujet
: « Dans 365 jours, 6 heures et il minutes, toute
hématique. Maintenant, pour ce qui est de l'aide morale, comment le
sujet
contribuerait-il de sa foi, de sa créditivité et
* * * En pareilles circonstances, il existe évidemment, dans le
sujet
, une volonté et une intelligence cachées qui agis
nt les fidèles ministres, pendant que la volonté et l'intelligence du
sujet
. celles de son « moi » propre, font effort da
mplement une conscience distincte de la conscience proprement dite du
sujet
, n'est qu'une apparence" produite par le jeu d'un
are incapable de m'en sortir. Mais je détourne mon attention d'un tel
sujet
, je jette à ma plume la bride sur le cou, et la l
rant centrifuge est nul. Le contact de d"' avec M ne se fait plus. Le
sujet
veut, n'hésite pas, mais il ne peut. La raison es
acte ne se produit pas. A l'opposé de l'aboulie, les impulsions. Le
sujet
ne peut lutter contre le courant centrifuge qui p
ôt il est répété, habituel (tics nerveux, écolalie, manie). Si le
sujet
s'efforce de les arrêter, l'action d'arrêt persis
tant la décharge et analogue à celui désiré, mais moins grave. Tel ce
sujet
qui, pris d'envie de mordre la femme, la faisait
ue cela lui serait encore plus commode au réveil, et je réveillai mon
sujet
. « Eh bien ! êtes-vous convaincu ? lui dis-je.
t les hypnotiseurs publics ou inexpérimentés troublent celui de leurs
sujets
. Perversions psychiques de l'instinct de reprod
ypnotisme, qui, dit-il, ne peut avoir d'action effective que chez des
sujets
atteints d'une nervosité morbide exaltée. A mon a
logie avec toute l'ampleur qu'elles méritent. Ce qui s'est passé à ce
sujet
à Munich, justifie la décision prise dans la séan
ont vous paraissez m'attribuer l'idée. Permettez-moi de réclamer à ce
sujet
. Une « conscience normale » implique naturellem
ales en soi, et d'un autre côté la conscience suprême n'est pas moins
sujette
que celles-ci à s'exercer anormalement. Cette e
appui sur une conviction imprimée à la conscience proprement dite du
sujet
, à sa « superconscience » ou « conscience su-pral
on entendement, de même nature que celle de l'hypnotiseur sur sur ces
sujets
? C'est ici le nœud et le point délicat de la ques
ignage personnel. Si c'est celui d'un hypnotisé, il est par cela même
sujet
à caution; cependant il a en tout cas une valeur
able, venant d'un homme qui doit être intelligent et instruit. Or, le
sujet
de la suggestion supposée nous affirme n'avoir re
nique hypnotique, et par un inconcevable ascendant exercé à l'insu du
sujet
lui-même, ait pesé sur sa subconscience d'un poid
enfants à la mamelle (voir ma discussion avec le Dr Liébeault sur ce
sujet
dans le Merveilleux scientifique, pp. 249 et suiv
itions scientifiques, un livre sur les Peurs maladives ou phobies. Le
sujet
était sinon nouveau, du moins très peu connu, car
s, c'est-à-dire constituant à elles seules toute la maladie, chez des
sujets
qui ne présentent aucune espèce de tare. Ces phob
n d'hippophobie m'a été communiquée par un de mes compatriotes, et le
sujet
qui en a été l'objet, ou pour mieux dire la victi
te grave dérogation à son serment. Quoique l'armée fût un peu moins
sujette
qu'aujourd'hui à des bouleversements ennuyeux et
sonnement très sain, très droit et ne pêchent que sur un point : leur
sujet
de peur, très variable du reste, chacun ayant la
ontaire de la pupille. II s'agit d'une femme de 37 ans, névropathe,
sujette
aux palpitations, à des douleurs dans l'œil droit
elligence (1). Là, insistant sur la possibilité de provoquer chez les
sujets
plongés dans l'état de somnambulisme des variatio
ude de T'hypnotisme ont constaté que les phénomènes observés chez les
sujets
consistent surtout dans la possibilité de provoqu
eille, chez un certain nombre de personnes. En effet chez beaucoup de
sujets
, en particulier chez les enfants et chez les adol
danger des suggestions criminelles. En effet modifier l'identité d'un
sujet
, transformer sa personnalité à un degré tel qu'il
dividus malhonnêtes abuser de la suggestibilité excessive de certains
sujets
pour les pousser à l'accomplissement d'actes crim
our provoquer des faux témoignages. Tout le monde sait que, chez un
sujet
hypnotisable, il est extrêmement facile de provoq
ès la démonstration faite par M. le professeur Bernheim, que certains
sujets
suggestibles peuvent, sans être hypnotisés, par s
e scènes qu'ils racontent comme s'ils en avaient été les témoins, ces
sujets
agissent comme les aliénés qui, se figurant'avoir
adultes restait à élucider. A cet effet, nous avons institué chez des
sujets
âgés de plus de quinze ans, c'est-à-dire ayant la
sme et qui ont trait soit à la complaisance, soit à la simulation des
sujets
, nous nous sommes appliqués à nous mettre dans de
uses d'erreur. C'est ainsi que nos expériences étaient faites sur des
sujets
que nous voyons pour la première fois, qui n'avai
intention de provoquer. Il n'est pas admissible qu'un grand nombre de
sujets
(environ 20 pour 100) s'abandonnent sans résistan
uence sur le résultat de l'expérience, en faisant apparaître chez les
sujets
des phénomènes somatiques (contractures, anes
1° Des amnésies, c'est-à-dire l'oubli de faits ou de scènes dont les
sujets
avaient été réellement témoins. 2° Des déformat
ents réellement passés. 4° Des hallucinations négatives, rendant le
sujet
inconscient d'actes exécutés sous ses yeux. 5°
moignage pouvaient être expérimentalement obtenues chez plus de vingt
sujets
sur cent. De nos expériences sont résultées div
ons n'est nullement en rapport avec le développement intellectuel des
sujets
. Au contraire, il nous a paru que les sujets doué
ppement intellectuel des sujets. Au contraire, il nous a paru que les
sujets
doués d'une suggestibilité excessive étaient sens
sensiblement mieux doués au point de vue intellectuel que les autres
sujets
capables d'offrir une résistance plus grande aux
e veille, est en rapport direct avec le développement intellectuel du
sujet
. Ce ne sont donc pas les sujets peu intelligents
avec le développement intellectuel du sujet. Ce ne sont donc pas les
sujets
peu intelligents ou atteints de débilité mentale
Le degré de résistance aux diverses suggestions varie, chez le même
sujet
, selon que son intérêt personnel est plus ou moin
, selon que son intérêt personnel est plus ou moins en jeu. Ainsi tel
sujet
hésite ou résiste lorsqu'on lui a fait la suggest
ance aux suggestions varie aussi selon la valeur des motifs donnés au
sujet
comme commentaires à la suggestion. Par exemple,
me commentaires à la suggestion. Par exemple, je fais simplement à un
sujet
la suggestion de déclarer qu'il a vu telle person
es ou aux suggestions de mensonge, la résistance considérable que les
sujets
offrent souvent à des suggestions beaucoup moins
, le schéma reste toujours le même et peut se décomposer ainsi : Deux
sujets
concourent à l'accomplissement du phénomène, l'un
ourent à l'accomplissement du phénomène, l'un que nous appellerons le
sujet
actif, l'autre le sujet passif. Je me hâte de dir
nt du phénomène, l'un que nous appellerons le sujet actif, l'autre le
sujet
passif. Je me hâte de dire que si ces deux sujets
et actif, l'autre le sujet passif. Je me hâte de dire que si ces deux
sujets
peuvent se trouver réunis ou à une très petite di
nter de différentes façon : A- Dans un certain ordre de cas, les deux
sujets
étant éloignés l'un de l'autre, et de façon que l
e communication être averti de ce qui se passe auprès de l'autre ; le
sujet
actif éprouve un phénomène ouest soumis à une inf
une crise 'morbide, dans certains cas l'impression est volontaire. Le
sujet
passif éprouve au même moment un phénomène qui pe
t un phénomène qui peut être analogue à celui qui est ressenti par le
sujet
actif, ou, quoique différent, lui laisse une impr
impression profonde qui l'avertit de ce qui s'est passé pour l'autre
sujet
; souvent c'est une hallucination dans laquelle l
pour l'autre sujet ; souvent c'est une hallucination dans laquelle le
sujet
passif voit !c sujet actif, quelquefois avec des
souvent c'est une hallucination dans laquelle le sujet passif voit !c
sujet
actif, quelquefois avec des détails très nets sur
sur ce qu'il a éprouvé. B. Dans un second ordre de faits, les deux
sujets
sont en présence ou à proximité l'un de l'autre.
, les deux sujets sont en présence ou à proximité l'un de l'autre. Le
sujet
passif décrit des objets ou des faits qui ne sont
sujet passif décrit des objets ou des faits qui ne sont connus que du
sujet
actif. Les cas de cet ordre se subdivisent en deu
actif. Les cas de cet ordre se subdivisent en deux catégories ; 1° Le
sujet
actif a conscience de connaître les faits ou les
ience de connaître les faits ou les objets racontés ou décrits par le
sujet
passif ; 2° le sujet actif connaît les faits ou l
s faits ou les objets racontés ou décrits par le sujet passif ; 2° le
sujet
actif connaît les faits ou les objets en question
conscience de les connaître. C. Dans un troisième ordre de cas, le
sujet
passif annonce à l'avance un fait qui sera accomp
, le sujet passif annonce à l'avance un fait qui sera accompli par le
sujet
actif, ou du moins dans lequel celui-ci aura une
ns lequel celui-ci aura une part importante. Dans cet ordre, les deux
sujets
peuvent se trouver à une grande distance l'un de
e, ou tout au moins le projet de cet acte se trouve dans la pensée du
sujet
actif. Je tiens ici à bien faire remarquer que
trer qu'on peut très bien les expliquer par la coexistence, chez deux
sujets
différents, de l'état médianique actif et de l'ét
ctif et d'état médianique passif. Dans l'état médianique passif, le
sujet
est apte à recevoir des impulsions d'un caractère
anisme actif se caractérise en ce que : 1° Sur les êtres animés, le
sujet
peut faire sentir son impulsion, ou, si l'on veut
contact à distance. 2' Sur les objets inanimés qui l'entourent, le
sujet
peut faire manifester l'influence de ses impulsio
raction ou de répulsion, ou encore de soulèvement des objets. 3° Le
sujet
peut encore agir sur les personnes qui l'entouren
ne sont autre chose en réalité que de véritables hallucinations. Deux
sujets
concourent à ce phénomène; l'un, que nous avons a
s. Deux sujets concourent à ce phénomène; l'un, que nous avons appelé
sujet
actif, est sous le coup d'une impression vive, de
'en faut pas plus pour le placer en état de médianisme actif; l'autre
sujet
perçoit l'hallucination, et le rapprochement des
ent des faits démontre une relation entre le phénomène éprouvé par le
sujet
actif et l'hallucination observée par le sujet pa
énomène éprouvé par le sujet actif et l'hallucination observée par le
sujet
passif. II y a bien là une analogie frappante ave
c ce qui se passe dans les états médianiques, où nous avons vu un des
sujets
capable de provoquer une hallucination, et l'autr
s plus authentiques semble encore donner raison à notre pensée que le
sujet
qui reçoit l'hallucination est en état médianique
nations arrivent, pendant la nuit, ou dans un état de demi-sommeil du
sujet
; dans quelques cas, le sujet est en état de veill
nuit, ou dans un état de demi-sommeil du sujet; dans quelques cas, le
sujet
est en état de veille, mais il est formellement m
é dans une méditation profonde. Nous avons déjà démontré que certains
sujets
passent avec la plus grande facilité du sommeil n
hénomènes de cet ordre, qui se complique de cette circonstance que le
sujet
n'a pas conscience des faits qui sont gravés dans
surtout les états média-ni[ues, l'isolement dans lequel se trouve le
sujet
de toute influence extérieure autre que celle à l
est soumis, la concentration de l'idée vers un point unique donne au
sujet
un raisonnement beaucoup plus sur, une logique pl
eçu un commencement d'exécution au moment où ils sont annoncés par le
sujet
en état médianique. En effet, de toutes les obser
d'insister pour démontrer que si un acte est projeté dans l'esprit du
sujet
en état de médianisme passiF, il s'agit là d'une
'une simple transmission de la pensée. Je rappellerai enfin que les
sujets
peuvent passer de l'état normal à l'état médianiq
ianique actif et de l'état média-nique passif, qui s'observe quand le
sujet
en état de médianisme actif influence un sujet en
qui s'observe quand le sujet en état de médianisme actif influence un
sujet
en état de médianisme passif, multiplie pour ains
f, de Liège, intitulée: « Suggestion de résistance au sommeil chez un
sujet
trop hypnotisable. o 3° Une communication de M.
qu'elles se produisent, à l'influence d'une imagination exaltée; à ce
sujet
, M. le Dr Fiessinger ne nous apprend rien que nou
doit se poser, à moins de faire avec la loi mosaïque non le procès du
sujet
, mais le procès du fait quel qu'en ait été l'aute
au plus tôt remaniée afin de donner à la justice plus de sécurité au
sujet
des irresponsables qu'elle acquitte. —M. le Dr Au
e. A la suite d'un second accouchement normal, la même dame a été
sujette
à des crises d'asthme qui ont duré plusieurs mois
t et en connaissance de cause, sous la forme qui convient le mieux au
sujet
, m'a semblé donner, contrairement à l'opinion reç
quelconques, fournie, dans l'espèce, par l'arthritisme héréditaire du
sujet
, et, accessoirement, par une légère dyspepsie d'o
e est plus difficilement supporté que le roulis. Les femmes sont plus
sujettes
à la naupathie que les hommes, et les enfants en
. Comptes-rendus, par le Dr A. RiUi. Paris 1890, p. 437. « que le
sujet
parait ne pas entendre ce qu'on lui dit; impossib
tige des événements survenus du lundi soir au mercredi après-midi. Le
sujet
avoue qu'il se livre depuis longtemps à des excès
Sans doute, ce cas n'appartient pas au somnambulisme : l'apparence du
sujet
était loin d'être normale ; il était dans une sor
dant plusieurs années, morte dans un asile. Dès l'âge de 16 ans, le
sujet
s'est livré à la boisson. De temps à autre, il fa
tère, etc., ayant existé pendant l'état somnambulique. Sans doute, le
sujet
aurait révélé des désordres plus marquants encore
s formes du somnambulisme. Ceux qui ont eu l'occasion d'observer" des
sujets
en état de somnambulisme hypnotique auront été fr
contraire. On a la conscience d'avoir rêvé et comme une idée vague du
sujet
du rêve. Si Ton fixe son attention, si Ion recuei
lcoolique, c'est-à-dire un état provoqué par l'alcool, dans lequel le
sujet
agit dune façon apparemment normale, mais sans en
Bérillos Après une chute dans un escalier, M110 T..., qufa servi de
sujet
à nos recherches expérimentales, a été atteinte d
est la neurasthénie qu'il est le plus fréquent de rencontrer chez les
sujets
porteurs d'affections des voies génitales en géné
affectés d'adhérences préputiales, les inversions sexuelles chez les
sujets
porteurs d'anomalies préputiales ou clitoridienne
des troubles mentaux. Les mêmes observations seraient applicables aux
sujets
atteints de monor-chidie, criptorchidie, aux eunu
haine a pu être annoncée par l'arrêt de la fonction sexuelle chez des
sujets
en pleine activité génitale. Quelque fois aussi l
-spinaux que le chirurgien se propose de faire disparaître. Chez un
sujet
à ce point prédisposé, une simple cicatrice peut
gestion, c'est-à-dire de l'attente et de la conviction conscientes du
sujet
? Ou le mécanisme en est-il plus compliqué et plus
ée 1894. Au cours d'une de ces séances, je me disposais à éveiller le
sujet
à ma façon ordinaire, c'est-à-dire par la suggest
té particulière de cette sorte d'expériences, c'est qu'il faut que le
sujet
ne puisse soupçonner à aucun signe l'intention de
lle Reçue. — Comme ce genre d'expériences énervait très rapidement le
sujet
, je le réveillai et le laissai reposer, tout en c
e la suggestion verbale, car une minute ne s'était pas écoulée que le
sujet
poussait un profond soupir et s'éveillait. Quelqu
ez singulière, le lendemain de la séance que je viens de raconter. le
sujet
se plaignit à moi spontanément d'avoir éprouvé ce
le ; il ne suffit pas de penser une seule fois qu'on veut endormir le
sujet
, il faut se concentrer, se fixer dans cette pensé
rt, et dans ces derniers temps, j'arrivais à endormir mentalement mon
sujet
sans en éprouver une trop grande fatigue. J'ai
compagnon, je les priai de vouloir bien expérimenter à leur tour. Le
sujet
de M. W. fut immédiatement endormi par suggestion
on et celle de tous les assistanis était tournée sur M. W. et sur son
sujet
, j'ordonnai mentalement à mon sujet de dormir. Co
tait tournée sur M. W. et sur son sujet, j'ordonnai mentalement à mon
sujet
de dormir. Comme je l'ai observé dans tous les ca
tait endormi par imitation, par sympathie, en regardant le sommeil du
sujet
de M. W. Je leur fis comprendre par signes que j'
alement » ; puis, tandis que M. W. continuait à expérimenter avec son
sujet
, j'ordonnai mentalement à Gustave P de se réveill
duire une seconde fois devant eux. Voici comment elle se présenta. Le
sujet
de M. W. ne dormait que d'un demi-sommeil. M.W. l
t de curiosité chez Gustave P., dont les yeux vont alternativement du
sujet
à la pendule. Je préviens les assistants de mon i
e au point où je l'avais interrompu et, comme il s'attend à ce que le
sujet
de M. W. s'endorme profondément à dix heures, il
qu'au cours d'une séance déjà commencée, après avoir déjà endormi le
sujet
par d'autres procédés (le plus souvent par la pré
t un de ses amis ëtantvenus chez moi, commencèrent par interroger mon
sujet
sur ses antécédents, sur ses impressions, etc. Ta
séance était terminée, et l'on était passé au salon boire le thé. Mon
sujet
, fort entouré, causait dans un groupe ; j'étais à
attentif à ce que disait l'un de mes interlocuteurs, j'envoyai à mon
sujet
l'ordre mental de s'endormir; et j'entendis bient
es expériences qui précèdent, j'étais dans le même appartement que le
sujet
, à une courte distance, sans obstacle matériel qu
ne pour expérimenter entre eux, j'interrompis mes expériences; et mon
sujet
et moi nous finies désormais le rôle de spectateu
ntichambre, un long corridor, deux portes closes me séparaient de mon
sujet
. Je lui ordonnai mentalement de s'endormir. Une m
édiaires. On n'est donc pas autorisé à prétendre qu'il fallait que le
sujet
fût sous l'influence de cette idée préalable, qu'
ce. J'ai eu l'honneur de présenter, à la Société d'Ilypnologie, mon
sujet
, Gustave P. dans la séance annuelle de juillet de
s la volonté de provoquer le sommeil ; et. en moins d'une minute, mon
sujet
était endormi. Xotre président m'objecta qu'il av
rais dans la salle voisine et que, de là, j'essaierais d'endormir mon
sujet
à un moment fixé d'avance. Mais alors se produisi
intime. Tout d'abord, tandis que nous faisions ces arrangements, le
sujet
se réveilla spontanément, sans que je lui en euss
'écrivis sur un tableau : « Je vais le réveiller à distance » ; et le
sujet
que j'avais laissé seul sur sa chaise, endormi, à
ofesseur à l'Université de Liège, à qui des travaux nombreux, sur les
sujets
les plus divers, avaient valu une notoriété chaqu
ples pris dans tous les ordres du règne animal. Il revint sur le même
sujet
dans la leçon par laquelle il ouvrit, en 18893, s
'évolution de leurs phénomènes de développement, en font d'admirables
sujets
d'observation etd'expérience. Nombre de questions
e précédente k Y Académie royale de Belgique2. C'est le même et vaste
sujet
qu'il traitera encore dans trois (1) Voir, dans
istingue de la liberté morale, pour laisser celle-ci en dehors de son
sujet
— résulte de forces libres. Une force libre, une
lle-ci augmente quand l'acte perçu est reproduit avec exagération. Le
sujet
renchérit sur ce qu'il a perçu. Les actes d'exa
urs curables, tandis que la maladie des tics est tenace ; or, chez le
sujet
en question, par différents moyens de traitement,
des malades suffise à produire des guéri-sons miraculeuses. » A ce
sujet
nous avons reçu la lettre ci-jointe du Dr Fiessin
monté avec gravité dans sa chaire. Quand le professeur lui demanda le
sujet
de la leçon, il répondit qu'il voulait traiter «
t obtenu de redoubler cette année perdue. Il était né très nerveux et
sujet
à des accès de somnambulisme, dont s'amusaient se
des précautions élémentaires, par exemple de ne pas parler devant les
sujets
, qu'on annonçait tout haut ce qui allait se produ
ire, qu'au lieu d'opérer avec un électro-aimant, actionné à l'insu du
sujet
et de l'expérimentateur, celui-ci se contentait d
tre des grands hôpitaux de Paris — on annonçait tout haut, devant les
sujets
soumis aux expériences, tout ce qui allait se pro
capitale, car, contrairement à ce que l'on croyait alors à Paris, le
sujet
endormi, qui semble ne pas entendre, entend. Nous
es individuels, sinon purement accidentels, présentés par son premier
sujet
. Usant inconsciemment de la suggestion, il les au
il se sera attaché, toujours sans te savoir, à les obtenir des autres
sujets
, qui les auront reproduits par imitation, et ains
de réfuter sa réfutation. Celui-ci reviendra, en 1892, sur le même
sujet
dans : L'Hyp-nolisme devant les Chambres législat
ggestions criminelles. Comme Delbœuf est revenu plusieurs fois sur ce
sujet
, qui nous a toujours profondément séparés, — scie
primez ou atténuez, en grande partie, ces causes d'aggravation. Si le
sujet
blessé oublie sa blessure, le mal s'arrête et dis
entrepris d'améliorer, par suggestion, l'état de la vision, chez deux
sujets
devenus presque aveugles. Le résultat du traiteme
'Académie royale de Belgique2. J'ai déjà dit ci-dessus que c'était le
sujet
qui nous avait toujours le plus profondément divi
oit civil et le droit criminel ». J'ai ensuite repris et développé ce
sujet
dans un ouvrage plus 1. Mémoire cité, p. 36.
. Mais ce sont là des cas pathologiques très rares. « Qu'il y ait des
sujets
prédisposés qui, plongés dans le som-« nambulisme
ndre sa pensée que par la formule suivante : « On ne fera exécuter au
sujet
que les actes qu'il lui arriverait « d'exécuter e
le docteur Lloyd-Tuckey, de Londres. Il me semble qu'en traitant un
sujet
encore nouveau tel que l'hypnotisme, la première
rie et quelquefois des attaques de nature épileptique. C'était un bon
sujet
qui désirait ardemment guérir. Il fut soumis à mo
en saisir la psychologie sur le vif. Comme dans l'acte hypnotique, le
sujet
hésite, puis se décide brusquement sans autre rai
ent. Dans la première conférence, M. le Dr Bérillon avait pris pour
sujet
les applications de l'hypnotisme â la thérapeutiq
est, de plus, toujours naturel, c'est-à-dire conforme à la nature du
sujet
qui dort. On ne lire jamais du sommeil que les ré
s idées, la question médico-légale est de décider si l'état mental du
sujet
est suffisant pour rendre valable le testament.
substances végétales aptes à déterminer le sommeil hypnotique sur des
sujets
à eux inconnus. Ce chapitre intéressera, je crois
mieux, après avoir lu ce chapitre et celui que j'ai consacré au même
sujet
dans mes Bas-fonds de Constantinople, ouvrage édi
comporte des phases et des degrés, variables selon la résistance des
sujets
et selon les doses employées, qui permettent do c
— Pour contester la capacité civile d'un morphinomane, il faut que le
sujet
ait présenté dans le cours de sa vie des troubles
la dipsomanie alcoolique. Dans les deux cas, c'est l'idiosyncrasic du
sujet
qui crée le péril. Ne devient pas morphinomane qu
sorbe de la morphine par voie digestive ou par voie sous-cutanée soit
sujet
a un trouble mental qui entraîne son incapacité a
ant de huit ans, Louis Oh.., né à Paris d'un père alcoolique, brutal,
sujet
à des accès de dêlirium tremens et mort fou de bo
n accomplie en une semaine dans l'organisme et dans l'esprit du jeune
sujet
. La circoncision fut faite le mardi 30 juin, pa
Quoi qu'il en soit, l'opération, grâce à l'immobilité cataleptique du
sujet
, fut vite et bien fuite. Quand l'enfant fut remis
e d'être Je termine par une séance de suggestion destinée à mettre le
sujet
à l'abri du sommeil provoqué. Trois mois après,
es à l'Institut psycho-physiologique, sur lesquelles on peut voir des
sujets
dont la moitié de la face exprime un sentiment, t
le voir, la forme d'un cas de conscience. M. Boirac opérait sur un
sujet
, en qui il avait trouvé des dispositions remarqua
'occiput, et, coïncidence singulière, le lendemain de ces séances, le
sujet
se plaignait à mol spontanément d'avoir éprouvé c
expose ; et c'est son affaire, s'il aime mieux s'y exposer. Mais le
sujet
, lui, que lui reviendra-t-il des épreuves auxquel
telle façon que vos lecteurs ont dû me prendre pour un bourreau. Mon
sujet
avait, croyez-le bien, autre chose à faire qu'à m
ervalles de huit à dix jours : et les convenances personnelles du
sujet
ou les miennes ont plus d'une fois prolongé ces i
ochez de ne pas garder pour moi seul et d'imposer régulièrement à mon
sujet
chaque fois que je l'éprouve moi-même. Votre cœur
le droit de garder longtemps l'attention do ses lecteurs sur le même
sujet
, a clos le débat par un appel à la conciliation :
Boirac avoue qu'à la suite de ses expériences d'hypnotisme lui et son
sujet
sont très fatigués et qu'ils ont à l'occiput une
si bon vous semble ! Vous reconnaissez-vous le droit d'épuiser votre
sujet
? El j'ajoute : — Qu'en pensez-vous ? Là- d
le traumatisme invoqué paraît bien douteux ; si nous insistons sur ce
sujet
, c'est que Jeanne S... a paru fortement impressio
s envisagés comme adjuvants à la production de l'hypnose. — Choix des
sujets
réactifs. Mardi 16 Mars. — Etude psychologique
as de A. von Graefe, de Zehender, Seeligmüller ; voir, en outre, à ce
sujet
les travaux de Borel sur les affections hystériqu
et ne peut être remplacée que dans des cas exceptionnels et chez des
sujets
hystériques par la suggestion thérapeutique. Co
térêt d'un malade souvent incurable autrement, malgré l'opposition du
sujet
, de la famille parfois, de l'entourage souvent. Q
Leopold L.., âgé de 20 ans, exerçant la profession de brunisseur, est
sujet
, depuis cinq ans, à des attaques d'épilepsie, diu
epuis cette époque elle marche très difficilement; elle est, de plus,
sujette
à des crises nerveuses. Cette dame est allée à Am
ion. Cependant, autant que j'ai pu recueillir d'appréciations à son
sujet
, surtout par des conversations avec les hommes le
rs d'une autre qui eut lieu six jours après, il remarqua que l'un des
sujets
était dans l'impossibilité absolue d'ouvrir les y
termédiaire. Braid déterminait l'hypnotisme en faisant regarder à son
sujet
un objet brillant qu'il lui tenait au-dessus du f
qualifie tout à la fois d'hypnotiques, les phénomènes produits et les
sujets
sur lesquels ceux-ci sont provoqués ; on donne, e
yeux fixes et l'esprit et le corps en repos, il importait peu que le
sujet
fût dans l'obscurité et les yeux bandés ou en ple
lui; tandis qu'il obtiendra les résultats les plus favorables, si le
sujet
a l'imagination complètement prise par l'attente
itait douze cas dans lesquels il avait observé ces phénomènes sur des
sujets
qu'il croyait absolument ignorants de la phrénolo
s satisfait de ces résultats, pensant que la remarquable docilité des
sujets
hypnotiques, toujours désireux de satisfaire à ch
nt le sommeil nerveux, il existe un remarquable pouvoir d'exciter les
sujets
à manifester les passions. les émotions et certai
sculaire étaient quelquefois si remarquablement excités, que quelques
sujets
étaient capables d'écrire avec une grande exactit
n, durant le délire de la fièvre. Il remarqua qu'avec la majorité des
sujets
, il n'y avait aucune perte de conscience, ceux-ci
vie des époques pendant lesquelles vous y fûtes plus particulièrement
sujet
? 6. — D'une manière générale, votre mémoire es
le quelques particularités ? 8. — Aux époques où vous fûtes le plus
sujet
au phénomène de fausse reconnaissance, votre mémo
us, sans être liées à des fausses reconnaissances ? 35. — Etes vous
sujet
à des : Distractions ? Obsessions ? Phobies ?
, le mardi 9 mars, la huitième année de son cours. Il avait pris pour
sujet
: L'hypnotisme et ta psychologie expérimentale. C
— La bêtise humaine I — Le Dr Tokarski, de Moscou, s'est livré sur ce
sujet
, dont l'étendue est par définition infinie, à des
t profonde, . chacun le sait, tant chez la femme que chez l'homme. Le
sujet
le plus vigoureux et le mieux organisé pour les l
spirituelle, mais toute superficielle; dès qu'on entame avec elle un
sujet
un peu sérieux, on trouve le néant. Elle a toujou
pathe dégénérée, et en cela elles ont une importance capitale pour le
sujet
qui nous occupe. Je crois, en effet, la dégénéres
isser tatouer. Ils reconnaissent que ces camarades étaient de mauvais
sujets
, des vagabonds, qu'ils ont été l'objet de condamn
ration a été très peu douloureuse. Ce fait dénoterait chez les jeunes
sujets
un état d'insensibilité cutanée. Loin de faire de
de la psychologie suggestive. Pour rester dans les limites de notre
sujet
, nous nous bornerons à exprimer l'avis que ces ta
toute chance d'accident et l'on n'entrave même pas les occupations du
sujet
. Bien que les tatouages, chez les enfants déten
de la volontaire immobilité du colonel Townsend. II a rapporté, à ce
sujet
, le cas d'un fakir qui, après trois jours d'inhum
es de Braid. je crois bon de citer certaines opinions exprimées à son
sujet
par quelques écrivains, opinions qui démontrent c
trouve dans ce cas. Le terme hypnotisme est donc apte à confondre les
sujets
et à leur faire suspecter l'efficacité d'une scie
grands, que l'attention y est plus concentrée et que les facultés du
sujet
y sont devenues plus intenses, je crois expliquer
pressions mentales ou des idées dominantes excitées dans l'esprit des
sujets
(soit que celles-ci y existassent préalablement,,
ient, mais, dans certains cas, en opposition même avec la volonté. Le
sujet
hypnotisé perdant le pouvoir de neutraliser, les
machine, mettant, en action, les forces de la propre organisation du
sujet
, puis, les contrôlant et les dirigeant, conformém
atient, et de l'action physique réagissant à son tour sur l'esprit du
sujet
. Il affirmait que le changement de condition phys
n ni aucune action de l'opérateur. Il disait aussi que, chez certains
sujets
, ces mêmes changements pouvaient être amenés par
urologie éire incapable d'expliquer l'action du courant d'air sur les
sujets
hypnotisés ; mais, à une date plus reculée, ayant
. Notre éminent collaborateur M. Eugène Caustier avait choisi comme
sujet
de la conférence de psychologie comparée : l'Evol
gie comparée : l'Evolution de l'amour maternel dans la série animale,
sujet
qu'il a traité avec une rare érudition. les pup
sommeil nerveux, engendrent un état actif et concentré de l'esprit du
sujet
qui peut, dans quelques cas. permettre de l'excit
it Péther au premier rang des anesthésiques. « Il est, disait-il à ce
sujet
, un fait simple et notoire, c'est que les opérati
nstantanément. Une jeune fille souffrant d'une affection cardiaque;
sujet
faible, anémique, présentant en un mot tous les c
présenter quelque intérêt. Mlle C, âgée de 19 ans. Carie des dents.
Sujet
faible et anémique. L'hypnose et l'anesthésie fur
érentes de ces opérations furent pratiquées, quelques-uns étaient des
sujets
excessivement nerveux, et, par cela même, très se
culté et l'incertitude dans la production de la première hypnose, les
sujets
présentant un degré très variable de susceptibili
lades, mais depuis que ma clientèle se compose presque entièrement de
sujets
atteints d'affections nerveuses chroniques, j'obt
ainsi obtenue par l'inhibition de toutes les sensations possibles du
sujet
et précisément celles qui devraient lui être le p
ais ces moyens sont très aléatoires, très inconstants. Cela dépend du
sujet
sur lequel on opère. Il y a des malades chez lesq
faire disparaître. Le chloroforme produit le même effet chez certains
sujets
prédisposés. Le chlorhydrate de morphine, sous fo
yés contre l'accès paroxystique sont très inconstants ; chez certains
sujets
ils produisent de bons effets ; chez d'autres, un
urces et lire dans leur entier les remarquables travaux relatifs à ce
sujet
, nous nous faisons un devoir de donner les indica
t adoptée. Une question, posée par M. le Dr Pau de Saint-Martin, au
sujet
d'un érythème observé à la suite de l'imposition
fixée à Paris depuis une quinzaine d'années. Son père, emphysémateux,
sujet
à de violentes crises d'asthme, est mort de compl
des événements antérieurs bien faits pour laisser dans le cerveau du
sujet
une impression profonde et durable. Ainsi, c'es
la rue, il vit tomber un cheval et ne manifesta aucune frayeur ; à ce
sujet
, il dit à sa mère : * Tu vois, cela ne me fait pl
la guérison de l'émotivité morbide, chez les deux enfants qui font le
sujet
de ces observations, s'est montrée durable. Chez
aient un pouvoir particulier et étaient capables de produire, sur des
sujets
sensitifs, certains phénomènes tels que : désagré
saient invariablement lorsque ceux-ci avaient des idées préconçues du
sujets
ou lorsqu'ils étaient excités par les plus puissa
e mon ami à son comble en rendormant et en réveillant tour à tour son
sujet
par le seul fait d'appliquer successivement m
ents, sur quoi ceux-ci s'endormaient ; d'où il concluait que tous les
sujets
étaient des imposteurs. Braid niait ceci et il af
it les révolutions qui s'étaient produites à des temps différents, au
sujet
des estimations variables des vertus et des pouvo
inaire média ; « 2° La docilité et la sympathie qui distinguent les
sujets
et qui tendent à leur faire imiter les actions de
, à interpréter à tort, et suivant son propre désir, les répliques du
sujet
. — « Et, enfin, les déductions rapidement tirée
es du sujet. — « Et, enfin, les déductions rapidement tirées par le
sujet
des involontaires suggestions de l'opérateur. »
lles-ci, et il disait qu'il n'avait jamais rencontré aucun cas où les
sujets
pouvaient interpréter ses désirs non exprimés san
ation. En référence à l'allégation des pouvoirs intuitifs de certains
sujets
mesmériques. Braid arrêtait qu'ils étaient ordina
suffisait de toucher certaines parties de la téte pour exciter un
sujet
hypnotisé à différentes actions telles que : prie
uscles d'expression de condition mentale, excitant, dans l'esprit des
sujets
, les idées avec lesquelles ceux-ci étaient ordina
dement, cette expression physique suggère ou excite, dans l'esprit du
sujet
, l'idée correspondante à la (passion ou émotion)
1841, je signalais tout particulièrement la docilité excessive des
sujets
, durant l'hypnose, je mettais, par cela même, hor
et article que sont empruntés les traits principaux. rapportés ici au
sujet
d'Otto Pœhler. que vous révélez au jeune Otto
s ne parlent qu'avec terreur ? Et pourquoi non ? Il n'y est pas moins
sujet
qu'un autre. On prétend que cet enfant n'est ni
à Toulon, délégué du ministre de l'Instruction publique, a écrit à ce
sujet
un rapport dans lequel il expose en détail les op
s d'importance au rôle de la suggestion. Il disait que, chez certains
sujets
impressionnables, l'hypnose pouvait être causée p
it obtenir; et c'est ainsi qu'il en vint à trouver que, pour certains
sujets
, les dits résultats variaient suivant les différe
es phénomènes peuvent être réalisés avec la plus entière bonne foi du
sujet
et sans que celui-ci en conserve le moindre souve
'érotisme pouvaient se produire durant l'état d'éthérisalion chez des
sujets
de la plus haute respectabilité comme de la plus
ucun degré, sans la parfaite connaissance et l'entier consentement du
sujet
, ce qui place l'hypnotisme au-dessus de la médeci
s. Il espérait cependant que ses confrères étudieraient froidement le
sujet
avec l'honnête désir d'arriver à la vérité, tt Ay
u avoir trouvé. » Il insistait cependant sur le fait que différents
sujets
montraient de variables susceptibilités et que be
le sera libéralement ouverte à tous les auteurs qui publieront sur ce
sujet
des travaux inspirés par un esprit vraiment scien
us,—un irait bien significatif. Vous n'ignorez pas, en effet, que les
sujets
chez lesquels l'aphasie motrice reconnaît pour ca
e contraire qui arrive ; il semblerait même, le plus souvent, que les
sujets
sont rendus plus habiles et plus prompts à exprim
s le larynx n'a rien à voir dans l'articulation des mots, et si notre
sujet
n'était qu'aphone, elle aurait tout au moins cons
Examinons ce qui est relatif au second point : Y a-t-il chez notre
sujet
surdité verbale? Ceux qui en sont atteints, vous
t telles quelles pendant une période de temps variable qui,chez notre
sujet
, ne dépasse pas quelques minutes : on peut d'aill
ez le remarquer, d'un petit cas. Nous avons vu en effet chez d'autres
sujets
les attaques présentant ces mêmes caractères pers
fois de plus, que les pratiques d'hypnotisation ne sont pas, pour le
sujet
mis en jeu. toujours innocentes. Sans doute, elle
t que les accidents que nous signalons ne concernent pas seulement le
sujet
hypnotisé, mais qu'ils peuvent, dans les représen
e, par exemple, qui, dans de certaines circonstances et chez certains
sujets
, peuvent produire des effets fâcheux? Songc-t-on
é le sommeil. 11 m'arrive souvent, dans mon service, d'hypnotiser des
sujets
. A leur réveil, non seulement ils n'ont pas conse
sie rétroactive n'est pas un fait d'imitation résultant de ce que les
sujets
l'ont vue se produire chez d'autres. Elle peut se
résiste pas au défi d'abaisser son bras. La malade, comme beaucoup de
sujets
, par cela qu'elle m'entend, n'a pas conscience d'
nde quantité d'influx nerveux; d'où leur vivacité et leur netteté. Le
sujet
réveillé, toute l'activité nerveuse se diffuse de
rellement à la suite de perturbations psychiques intenses. Certains
sujets
, qui ont fait une fièvre typhoïde prolongée, avec
s que, l'intelligence et la conscience étaient conservées. Certains
sujets
, à la suite d'un accès de délire alcoolique, ne s
o-thérapeutique suggestive d'Amsterdam. — Statistique portant sur 500
sujets
. 2. M. le Dr Fontas (de Toulon». — Les effets d
brillant agrégé de philosophie, soutenait sa thèse de doctorat sur ee
sujet
tout a fait nouveau. Hâtons-nous de dire que le
édecins à assister à une opération qu'il se proposait de faire sur un
sujet
plongé dans l'état de somnambulisme. H s'agissa
sable,cela n'a rien qui puisse surprendre. Les rois sont, comme leurs
sujets
, accessibles à toutes les impressions qui peuvent
e cérébral s'imposait. Au résumé des travaux récemment publiés sur le
sujet
, fait suite une critique fortement motivée des pr
s il semble que notre littérature sera bientôt aussi nombreuse sur ce
sujet
que celle de la France. M. Moll n'est pas de ce
es résultats espérés et ne doivent pas s'étonner de l'insuccès. Si le
sujet
et l'opérateur se conforment à toutes les instruc
titudes personnelles, c'est en hypnotisant tous les jours de nouveaux
sujets
que certains hypnotiseurs sont arrivés à un tel d
és à un tel degré d'habileté, qu'ils ne rencontrent pas plus de vingt
sujets
réfractaires sur cent. C'est à force de suggestio
ur cent. C'est à force de suggestionner qu'on apprend à adapter à tel
sujet
, dans telles conditions déterminées, l'artifice s
pressionne fortement l'imagination, favorise singulièrement, chez les
sujets
prédisposés, l'apparition de l'hystérie. Il est
ur hystérique, etc.), est un paysan détraqué, excentrique et bizarre,
sujet
depuis l'âge de dix-sept ans a des attaques d'hys
urine pas pendant la crise. Telle est l'attaque à laquelle L... est
sujet
. Ajoutons, pour compléter le tableau, qu'il est h
entrer à Sainte-Anne dans le service du Dr Magnan, où il est toujours
sujet
aux mêmes attaques. Il est incontestable que la
atteinte de grande hystérie et lui-même, dans son enfance, avait été
sujet
jus-qu à 1 âge de dix ans à des troubles nerveux
à la diathèse névropa-thique. Les exemples fournis tour à tour, à ce
sujet
, par Jean, Hallo-peau, Rendu, Maréchal. Achard, v
articulièrement démonstratif observé par Rendu (a). Agé de 38 ans, le
sujet
avait joui jusqu'à 27 ans (époque i laquelle il p
a profession qui exigeait avec le mercure des contacts quotidiens, le
sujet
avait été atteint de rhumatisme articulaire. Or.
ion alcoolique, en tant que cause occasionnelle de l'hystérie chez un
sujet
héréditaire, elle serait moindre que celle de l'i
, d'ailleurs, il porte l'appréciation synthétique que voici : « Les
sujets
dont nous venons d'indiquer l'histoire sont-ils a
'influence des courants électriques. Ajoutons a cela l'état moral d;s
sujets
, leur caractère bizarre qui cadre bien avec celui
fant et son mari; n'a jamais eu de grandes crises nerveuses, mais est
sujette
à des crises de pleurs accompagnées de tremblemen
ho-thérapeutique suggestive d'Amsterdam. — Statistique ponant sur 500
sujets
. 2. M. le Dr Fontan (de Toulon). — Les effets d
médico-légales. 1. M. le Dr Semal, (de Mons). — La personnalité du
sujet
étant soit un obstacle, soit un auxiliaire a l'
— Observations d'hyperacuité visuelle, auditive et tactile chez un
sujet
hypnotisé. 4. M. le Dr Aug. Forel (de Zurich).
s conditions où se produisent d'ordinaire les hallucinations chez les
sujets
sains. Elle fait appel au concours et à la bonne
toutes les séances. Au Congrès de Psychologie physiologique, trois
sujets
collectifs ent surtout été l'objet de discussions
mal comitial se mènent de la partie et l'on se trouve en présence de
sujets
atteints, à la lois, d'épilepsie, d'hystérie et d
céphalée, c'est-a-dire, en raison de la constitution névropathique du
sujet
, l'hémiplégie revêtira le caractère hystérique.
esurer l'intensité, la durée; en commander le souvenir ou l'oubli aux
sujets
en expérience. Oui tout cela est troublant; mais
Notre client, en ciTet, a nous médecins, c'est le malade, c'est le
sujet
, c'est l'hypnotisé. l'homme lige obscur de brilla
e de sommeil hypnotique pendant une conférence que nous donnions a ce
sujet
. Ces jeunes gens avaient été hypnotisés quelques
ont les représentations furent interdites, lorsqu'il eût donné a ces.
sujets
des suggestions posthypnotiques de nature a troub
onc, qu'outre les accidents nerveux immédiats qui peuvent frapper les
sujets
ou les spectateurs, il faut considérer encore les
o-thérapeutique suggestive d'Amsterdam. — Statistique portant sur 414
sujets
Par les docteurs VAN RENTERGHEM ET VAN EEDEN d'
période d'entraînement par persuasion d'autant plus prolongée, que le
sujet
est plus intelligent. Le traitement a porté sur d
tions principales, les auteurs signalent la crainte in-surmoniable du
sujet
en traitement, certaines formes d'aliénation ment
onservateurs. Si un dictateur allait un jour mesurer le crânes de ses
sujets
pour établir se liste de proscriptions ! ! M. L
est un véritable phénomène pathologique plus fréquent chez !es jeunes
sujets
et qui survient, le plus souvent, dans le cours d
un signe, un indice quelconque, si peu explicite qu'il soit. Quand le
sujet
se le fournit â lui-même, c'est de l'auto-suggest
ale serait une suggestion où la personne qui suggère ne fournirait au
sujet
aucun indice appréciable, à nos sens et â nos fac
e, pour moi, j'ai toujours remarqué des tares profondes chez tous les
sujets
qui m'ont fait part de leurs hallucinations. Croy
et 2° que l'on soit plus large au point de vue de l'état de santé des
sujets
, tout en notant en regard de chacund'eux, l'affec
l ; c'est une représentation motrice, analogue a tous les autres. Les
sujets
complètement anesthésiques conservent bien entend
uvements. De l'audition colorée M. Grüber Roumanie), a observé un
sujet
qui présentait au plus haut degér les phénomènes
dies déjà par Nussbaümer. Bleuler et Legmann. consistent en ce que le
sujet
qui eaj est atteint, éprouve une sensation visuel
ue de la langue roumaine. Outre ces phénomènes d'audition colorée, le
sujet
présente encore des particularités du même ordre
s pour y examiner les détenus. D'après les déclarations faites a ce
sujet
par M. Herbette, nous pouvons dire que l'admini
intérieur, il serait a craindre que le condamné ne devint par trop un
sujet
d'étude pour le médecin et que, par suite, beauco
interdites par la police. Onoffroff, qui en réalité se nomme Onofry,
sujet
italien, devait a son maître de pension, demeuran
er que celte influence s'exerce surtout sur une certaine catégorie de
sujets
, chez les femmes présentant les symptômes de l'hy
que. Sommeil provoqué est une définition trop restreinte. Parmi les
sujets
hypnotisés, il en est un certain nombre seulement
et suggestibles à tous les degrés. D'autre part, si. en général, les
sujets
de la seconde catégorie : dormeurs avec souvenir
susceptibles d'analgesie, de catalepsie, d'hallucinations, etc. Les
sujets
des troisième et quatrième catégorie, qui n'ont c
sommeil une définition arbitraire, souvent contraire à l'idée que le
sujet
lui-même s'en tait. Le sommeil, quand il peut ê
eil. pour le démontrer, je procède parfois ainsi chez les très bons
sujets
, très suggestibles : Je commence l'hypnose, c'e
la suggestion, parle mouvement ou la sensibilité. Je mets les bras du
sujet
en l'air ; ils y restent et il ne peut les change
outes ces suggestions sont réalisées à l'état de veille parfaite ; le
sujet
en conserve le souvenir. Alors seulement, j'ajout
d effort fût nécessaire du côté des yeux et des paupières pour que le
sujet
regardât fixement l'objet. Il recommande au sujet
es, avec un mouvement vibratoire. M. Charles Richet fait asseoir le
sujet
, prend ses pouces dans chacune de ses mains et le
premier qui insista sur la suggestion verbale. Il faisait asseoir ses
sujets
, leur disant de penser au sommeil; de le regarder
es étaient spécialement faites dans ce but. Tout peut réussir chez un
sujet
, pour peu qu'il soit prévenu. C'est qu'un seul él
é, intervient dans tous ces procédés divers : c'est la suggestion. Le
sujet
s'endort (ou est hypnotisé i, lorsqu'il sait qu'i
t surtout le docteur Liébeault. Sans doute, Braid a pu endormir des
sujets
par la fixation d'un objet brillant, sans les pré
l'hypnose ne vient pas. J'ai maintes fois essayé ce procédé chez des
sujets
nouveaux, sans rien obtenir au bout de dix minute
ent, je le répète, que lorsqu'elles sont associées à l'idée donnée au
sujet
ou de-- vinée par lui qu'il doit dormir. Les pr
pnogènes n'existent pas. On peut les creer artificiellement chez tout
sujet
habitué à l'hypnose : je touche un point quelconq
rnant dans une pratique matérielle propre à concentrer l'attention du
sujet
. Tous ces procédés divers se réduisent donc en
réduisent donc en réalité à un seul : la suggestion. Impressionner le
sujet
et faire pénétrer l'idée du sommeil dans son cerv
rend que le moyen le plus simple et le meilleur pour impressionner le
sujet
, est la parole. Certains, c'est l'exception, mais
ait assisté à aucune expérience de ce genre, je lève le bras d'un tel
sujet
, et je lui dis : « Vous ne pouvez plus le baisser
ons conscientes ou inconscientes qu'ils trouvent sur leur chemin, ces
sujets
, souvent irresponsables, deviennent héros ou crim
n trouve des malades défiants qui se figurent qu'on veut en faire des
sujets
d'expérience. On se heurte alors à quelque résist
t en l'opérateur. Alors, en peu de temps, le terrain est prépare : le
sujet
se livre sans arrière-pensée. L'hypnose est en
se livre sans arrière-pensée. L'hypnose est en général facile ; le
sujet
est couché ou commodément assis sur un fauteuil,
gestif considérable, où l'autorité du médecin est plus grande, où les
sujets
plus dociles, moins raffinés, sont plus aisés à ê
onnés, cela se passe le plus souvent ainsi. Les 4/5 au moins de nos
sujets
tombent ainsi dans un sommeil profond avec amnési
ience qu'ils sont influencés. L'opérateur surprend dans l'attitude du
sujet
une certaine inquiétude ; quelquefois le sujet di
end dans l'attitude du sujet une certaine inquiétude ; quelquefois le
sujet
dit qu'il ne dort pas. qu'il ne peut dormir. J'in
uation douce, soit par autorité, suivant l'individualité psychique du
sujet
. Et je lève doucement le bras en l'air, j'obtiens
ve doucement le bras en l'air, j'obtiens souvent alors, même quand le
sujet
ne croit pas être influencé, une catalepsie sugge
cé de l'hypnose, sans sommeil proprement dit, ou du moins sans que ie
sujet
ait conscience du sommeil. Quelquefois dans la
r une assurance calme et froide, s'il hésite ou a l'air d'hésiter, le
sujet
peut suivre cette hésitation et en subir l'influe
e se donner beaucoup de peine, s'il sue sang et eau pour endormir son
sujet
, celui-ci peut se pénétrer de l'idée qu'il est di
e, se bissent influencer par des signes de conscience que présente le
sujet
, tels que rire, geste, ouverture des yeux, parole
prennent pour des complaisants. Et cependant je montre que les mêmes
sujets
sont analgésiques, hallucinables, amnésiques au r
moscopie. On n'est pas hypnotiseur quand on a hypnotisé deux ou trois
sujets
qui s'hypnotisent tout seuls. On l'est,quand dans
tal ou l'on a de l'autorité sur les malades, on influence huit a neuf
sujets
sur dix. Tant que ce résultat n'est pas obtenu, o
re réservé dans ses appréciations et se dire que son éducation sur le
sujet
n'est pas achevée. Un mot sur le réveil des hyp
nato, me racontait un jour qu'il ne pouvait s'expliquer ce fait : Des
sujets
hypnotisés par lui, dans les séances publiques, é
-œuvres par certaines personnes. Or, il arrivait parfois qu'un de ses
sujets
, après avoir été par elles, facilement hypnotisé,
mécanisme du phénomène. La personne inexpérimentée veut réveiller le
sujet
: celui-ci ne se réveille pas tout de suite. L'op
et témoigne son inquiétude; il frictionne, souffle, ouvre les yeux du
sujet
, s'acharne après lui. Celui-ci, témoin muet des e
nfiance ou qui agit simplement, avec assurance. J'ai vu a Nancy, un
sujet
hypnotisé par un magnétiseur de passage et qui to
ller qui suffit; c'est l'affirmation calme et sûre d'elle-même que le
sujet
va se réveiller. Si j'insiste sur ce fait, c'est
s à la guérison. La suggestion peut se faire sans hypnose. Chez les
sujets
rebelles aux phénomènes hypnotiques, on peut fair
symptô-mes. Cette suggestion doit être adaptée à l'individualité du
sujet
: la parole seule suffit chez quelques-uns. Chez
re répétée, appuyée sur des théories en rapport avec l'entendement du
sujet
, accompagnée de gestes, friction sur la partie ma
algies, rhumatisme, lumbago,aphonie nerveuse, etc., quand j'alarme au
sujet
que le symptôme doit disparaître par l'életrisati
elques heures seulement. Alors j'essaie la suggestion hypnotique ; le
sujet
arrive au second degré. Mais l'effet obtenu est m
lègue Spillmaum, a expérimenté la méthode sur un très grand nombre de
sujets
et obtenu des résultats heureux, non seulement ch
e ou d'élonga-lion nerveuse, j'ai essayé la pendaison horizontale. Le
sujet
est soulevé horizontalement par une ceinture fixé
rès des belles du moins ; nous n'oserions pourtant rien affirmer à ce
sujet
, car là aussi, il y a peut-être une question de m
ratiquer la chloroformisation pendant le sommeil naturel, sans que le
sujet
s'éveille ? Cette question, dont il est facile de
autres ont démontré la possibilité de faire passer sans secousses un
sujet
du sommeil naturel au sommeil chloroformique. S'i
naturel au sommeil chloroformique. S'il pouvait rester un doute a ce
sujet
, il disparaîtrait a la lecture de l'observation p
; sa religion sera un mysticisme plein d'exaltation. Prenez le même
sujet
et placez-le dans une prison, au milieu de gens t
i Mme B..., est-elle devenue tout-à- fait sédentaire. Elle est encore
sujette
à des migraines congestives et a des vertiges fré
t à peu près libre pendant une dizaine de jours. Quant aux jambes, le
sujet
put dès ce moment les déplacer dans son lit, et m
nce tenait à ce Sque je ne m'étais pas suffisamment rendu maître du
sujet
. J'avais beau lui dire: c ne criez plus, » comme
'on pourrait éviter l'emploi du chloroforme cher un certain nombre de
sujets
, et par conséquent les accidents qu'il peut déter
servation des plus intéressantes i l'Académie de Médecine sur le même
sujet
. Il s'agissait d'une opéra-tion pratiquée par M.
A une couric expérience d'hypnolisation. Voyant que j'ai affaire A un
sujet
hypnotisable, je lui promets de lui l'aire l'extr
Colombo, médecins italiens, présents a 1 opération, constatent que le
sujet
a perdu toute sensibilité et que ses muscles cons
e. OBSERVATIONS D'HYPER ACUITÉ VISUELLE AUDITIVE ET TACTILE CHEZ UN
SUJET
HYPNOTISÉ Par MM. POIRAULT et DRZEWIECKI (1)
llence ; je crois qu'il n'y a pas de contrée où l'on trouve autant de
sujets
suggestibles et hypnotisables. Le sujet sur leq
rée où l'on trouve autant de sujets suggestibles et hypnotisables. Le
sujet
sur lequel nous avons fait les expériences étai
avec beaucoup de facilité ; au point de vue hypnotique elle était un
sujet
remarquable; mais aussi à l'état de veille, il ét
ses sens acquéraient une hypéracuité extraordinaire. Je présentais au
sujet
un paquet de cartes en Bristol blanc, aussi unies
curieuse et plus difficile â comprendre était celle dans laquelle le
sujet
reconnaissait neuf fois sur dix, au toucher (sur
thermique suggérée. En général je puis dire que chez la plupart des
sujets
sur lesquels j'ai opéré en Russie, j'ai rencontré
ggestive de ma poignée de main. Cet exemple démontre que si la foi du
sujet
est nécessaire au succès, le médecin de son côté,
se de cette communication. M. Bernheim a bien voulu nous dire que ses
sujets
dormaient, mais il n'a oublié qu'un point : i sav
ésies, les phénomènes cataleptiques sont d'origine suggestive. Chaque
sujet
les produit â sa manière, sans règles, sans lois
ait toujours et d'une façon spontanée, indépendante de la volonté du
sujet
, ralentissement du pouls et de la respiration. Et
sé. M. Bernheim, cherchant a connaître la susceptibilité des divers
sujets
par l'hypnose, procède de diverses façons qu'il s
s, 15 névroses diverses, 3 névralgies ; et il vient nous dire que ses
sujets
ne sont pas des névropathes. C'est une singulière
, nous devrions dédaigner d'y répondre. Chez un grand nombre de nos
sujets
, l'anesthésie provoquée par suggestion est tellem
stion. Pour lui, lorsqu'il n'y a pas d'hypnotiseur en cause, c'est le
sujet
qui se suggestionne lui-même, c'est le sujet qui
iseur en cause, c'est le sujet qui se suggestionne lui-même, c'est le
sujet
qui fait de l'auto-suggestion : c'est encore le r
fit d'appliquer une main sur le ventre et l'autre sur le dos du petit
sujet
. M. Bernheim lui-même a dit qu'il avait réussi à
les agents physiques ont détermine le sommeil hypnotique sans que le
sujet
soit prévenu, sans qu'aucune suggestion soit en c
édecins eux-mêmes n'en sont pas exempts. On connaît bien des faits de
sujets
pourvus de quelque tare héréditaire et qui étaien
rbide au moment où on tentait sur eux les pratiques de l'hypnose. Ces
sujets
n'avaient eu antérieurement ni une attaque d'hyst
Si vous vous en tenez aux hvstériques. aux névropathes et 1 tous les
sujets
qui ont une tare du système nerveux, nous sommes
ouve donc qu'il existe des aptitude» métalliques spéciales A certains
sujets
et que l'expectante attention et la suggestion n
'ai eu connaissance, soitdans ma pratique, soit dans mes lectures, de
sujets
qui. sous l'influence d'une joie subite, sont tom
état de joie extrême. Après avoir parlé pendant quelque temps sur ce
sujet
, il se leva subitement et retourna à son bureau p
oient communs avec l'alcoolisme, cependant je n'ai ici en vue que des
sujets
qui n'ont tait aucun usage des spiritueux, ou qui
férent peut-il produire un tel enchaînement de phénomènes sans que le
sujet
présente d'ailleurs une condition pathologique, o
m. Grillet de Fleurette, sabstitut du procureur général, a prit pour
sujet
de discourt de rentrée de la cour et des tribunau
-suggestion. 12° Rives et auto-suggestion. Quelquefois on rêve du
sujet
pensé pendant l'auto-suggestion. J'ai rêvé que
ortionnée au travail effectué, etc. etc. Je ne veux pas développer ce
sujet
, je veux cependant faire connaître que ces accide
e l'appeler M. Forel). J'ai montré qu'on peut faire croire à certains
sujets
, très sug-gestibles, qu'ils ont vu tels événement
ut, il était ivre; il ne recommencerait plus. J'ajoute qu'aucun des
sujets
n'avait assisté encore à des expériences de ce ge
été maintes fois cette expérience de façons diverses avec de nouveaux
sujets
et toujours avec succès. Un jour, le docteur Sema
s, affirmaient avoir été là et vu M. Semai prendre la photographie du
sujet
en question. L'expérience ne réussit pas toujou
nts de la scène, celle-ci se représente à l'imagination. Et, comme le
sujet
n'en sait pas l'origine, ne sait pas que c'est un
i, sans aucun mandat soit médical, soit scientifique, opèrent sur des
sujets
très impressionnables, avec une grande bruialité
au cours d'un traitement régulier, par des accidents qui relèvent du
sujet
lui-même, par une sorte d'auto-suggestion. Certai
e. La cause est donc ailleurs ;elle est uniquement dans l'esprit du
sujet
qui a été trappe de différentes manières. D'abord
sibilité de ces accidents ; ils imposent l'obligation de préparer les
sujets
et de les mettre en garde contre les mauvaises im
un troisième est également atteint d'inversion sexuelle. Sa sœur est
sujette
à des attaques de convulsions A part les maladi
divers degrés de docilité rencontrés par les hypnotiseurs chez leurs
sujets
. « Ceux-ci, comme le prouvent des milliers d'ex
rs, soit de la nécessité, soit de la légitimité de ces actes. « Les
sujets
hypnotisés par les milieux sociaux en arrivent à
escence. Une éducation sévère et bien entendue, sans en faire de bons
sujets
, les préserverait peut-être de la prison en les e
mère est aveugle ; elle vivait collée avec un chauf- (1) Voyez à ce
sujet
, ma communication au Congrès international de l'h
re étape du crime chez la femme, je ne croirai pas trop sortir de mon
sujet
en demandant la permission de rapporter ici quelq
ées du nom pittoresque de " crimes expérimentaux " que. chez certains
sujets
, on peut produire, par des moyens très variés, un
porteur fait remarquer que ces conclusions sur l'irresponsabilité des
sujets
hypnotisables. ne s'appliquent. —on l'a parfois t
uteur de la suggestion criminelle a pu, il a du plutôt, suggérer au «
sujet
» dont il voulait faire l'instrument de ses vengea
Affaire D..., prévention d'outrages publics à la pudeur; le prévenu,
sujet
à des aceés de somnambulisme spontané avait été c
avec la disposition psychique qui caractérise l'état de médium. Ces
sujets
sont rares ce qui prouve qu'ils sont anormaux, et
RAPEUTIQUE L'HYPNOTISATION FORCÉE ET CONTRE LA VOLONTÉ ARRÊTÉE DU
SUJET
Par le docteur ABDON SANCHEZ HERRERO Professe
moyens hypno-gëniques, que ceux si connus, de la fixité du regard du
sujet
, soit dans le regard de l'opérateur, soit sur les
e plus incommodes ou fatigants, que la position ou la tranquillité du
sujet
, comme cela arrive toujours; en supposant même qu
venté un appareil hypnotisateur(1)qui.avec la seule condition .que le
sujet
ne soit point aveugle, et se soumette pour un tem
es résistances dans les conditions exprimées plus haut, quand même le
sujet
emploie toute l'énergie de la volontèe pour ne pa
sujet emploie toute l'énergie de la volontèe pour ne pas dormir. Le
sujet
peut être aveugle, trembleur ou coréique, et quan
llent ou non être hypnotisés. On doit distinguer trois classes de
sujets
parmi ceux qui ne veulent pas être hypnotisés et
istance à l'hypnotisme très faible. Pour les deux autres classes de
sujets
, et même pour celle citée, il y a en tout cas, tr
former en véritables hypnotisés. Ce moyen est peu applicable quand le
sujet
se doute qu'on va l'hypnotiser contre sa volonté
les bagnes; pour ma part, je doute qu'il donne des résultats sur des
sujets
résistants, sans provoquer des perturbations que
du chlorophorme. Je choisis et j'expérimentai successivement sur les
sujets
sur lesquels je pouvais en faire et qui présentai
i-heure de position, opérations et suggestions hypnogéniques. Sur six
sujets
qui furent tous soumis a cette épreuve, sur les s
l'hypnotisme somnambulique. Mais, il m'arriva que sur quatre de mes
sujets
, soit que j'eusse précipité l'inhalation chloroph
décidai à répéter la chlorophormisation. !e jour suivant sur deux des
sujets
, et après deux jours sur les deux autres, avec le
spirations de chlorophorme, je retirai l'appareil d'inhalation, et le
sujet
resta somnambule tout le temps que je voulus (deu
première occasion, obtenant les mêmes résultats. En résumé, quatre
sujets
résistants à l'hypnotisme, amenés facilement en ê
e soient les résistances inconscientes ou volontaires opposées par le
sujet
. ASPHYXIE LOCALE DES EXTRÉMITÉS CHEZ UN HYSTÉRI
s gauche. T31° Les expériences ont clé répétées plusieurs fois ; le
sujet
a été obser scrupuleusement et aucun doute ne peu
à produire l'asphyxie ; en cherchant la raison, je me rappelai que le
sujet
avait eu la veille au soir une crise assez violen
diverses excitations physiques, sans aucune idée de notre part ni du
sujet
. Quel est le mécanisme de l'asphyxie? Il n'est
t sur les parties découvertes. Comment se fait-il qu'en disant à un
sujet
, dans des conditions déterminées :« Votre main va
à faire beaucoup de sacrifices et de concessions pour contenir leurs
sujets
ou éviter l'hostilité de leurs voisins. En fait,
tes dont la volonté fut toute puissante sur les tribus ou les nations
sujettes
. On trouve un exemple frappant des effets ordin
de la loi n'existe pas, jouissant du droit de vie et de mort sur ses
sujets
, entouré de courtisans indignes et corrompus qui
e fureur, tantôt dans une léthargie stu-pide ; il tyrannise ses noirs
sujets
jusqu'à ce que ses excès l'emportent ou qu'il meu
caractère merveilleux des événements racontés puisse rendreson récit
sujet
à caution, la partie la plus incroyable de sa nar
nables, avec un oubli total des souffrances qu'il occasionnait à ses
sujets
. - Les résultats en furent plus malheureux que ce
rsonne sur qui il pût compter, et qu'il était déterminé à châtier ses
sujets
rebelles, quelles que pussent en être les conséqu
et probablement pénétré de sa propre importance, il serait cependant
sujet
à des excès d'extravagante humilité. II prodiguer
l cataleptique, et les fauves allaient, venaient, sautaient autour du
sujet
endormi. Dans une des séances précédentes, un d
, un des lions avait déjà blessé assez grièvement avec ses griffes le
sujet
endormi. Les expériences n'en furent pas moins co
, on a su qu'à différentes reprises. Gabrielle Bompart avait servi de
sujet
dans des expériences d'hypnotisme. M. G..., le
ndants, mais sans aucune modification. Par exemple : je montre a un
sujet
, sur le parquet absolument net, un serpent ou un
le professeur de la Salpétrière, est la crédulité sans bornes que le
sujet
met à accepter les dires de l'hypnotiseur. Si imp
otiseur. Si improbable que soit l'assertion exprimée par celui-ci, le
sujet
l'accepte et la fait sienne ; elle devient le cen
ulez-vous me la donner ?» « Afin de mieux imprimer dans l'esprit du
sujet
l'idée de ce portrait imaginaire, je lui indique
resque imperceptible, pour le reconnaître. Enfin, je livre le tout au
sujet
, en lui disant d'examiner ce paquet et de voir si
cy, dans son livre sur Le sommeil, et les états analogues. Quand un
sujet
, sur une injonction, continue après le réveil à v
'y aurait pas entre l'Ecole de Paris et celle de Nancy, à l'égard des
sujets
plongés dans un état réel d'hypnotisme, cette dif
point, que la suggestion hypnotique comporte essentiellement chez le
sujet
une tendance irrésistible à réaliser l'idée suggé
responsabilité. Pourtant, je dois l'avouer, j'ai observé chez divers
sujets
des dispositions vraiment extraordinaires à subir
d'un ton bienveillant où perce une volonté arrêtée a laquelle peu de
sujets
résistent. — En ce qui concerne personnellement
ous le savez peut-être, l'hystérie se présente assez souvent chez des
sujets
d'apparence très saine ; elle se manifeste alors
st peu probable, a moins que ce crime n'ait été commis pendant que le
sujet
était lui-même sous l'influence d'une suggestion.
nfluence que des suggestions criminelles peuvent exercer sur certains
sujets
suggestibles. Au congrès de l'hypnotisme, une i
Au congrès de l'hypnotisme, une importante discussion fut soulevée au
sujet
des conclusions du rapport de M. le professeur Li
érience réelle. Ils auraient pu constater à leurs dépens que certains
sujets
, beaucoup plus nombreux qu'on ne le croit, accomp
ssionnabilité excessive, Si l'Ecole de Nancy n'a pas à présenter de «
sujets
» ayant perpétré un meurtre par suggestion préala
n meurtre par suggestion préalable, elle n'en pense pas moins que ces
sujets
existent. Mainte expérience m'a prouvé que certai
and même et quelquefois avec plus de violence, dès que je touchais le
sujet
. Je dois ajouter que j'arrivais dans bien des c
ndus du Premier Congrès international de l'hypnotisme, 1889, p-228.
sujet
. Ce n'est point là une vue théorique, mais un fai
ndre compte de l'impression à laquelle vibre tout particulièrement le
sujet
et savoir utiliser son impres-sionnabilité pour d
e serait un état nerveux spécial, analogue au sommeil, dans lequel te
sujet
est susceptible d'entrer facilement en vibration.
ourir à l'anes-thésie hypnotique lorsqu'on se trouve en présence d'un
sujet
hypno-tisable. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ DE M
e est toujours la même, elle a toujours le même caractère. Quant au
sujet
dont vient de nous parler M. Motet, il va beaucou
t obtenu. I. — Sommeil léger. — Sentiment de fatigue- La volonté du
sujet
n'est pas abolie ou est un peu modifiée. L'imposs
L'impossibilité ou la difficulté d'ouvrir les yeu\ existe souvent. Le
sujet
réveillé se souvient de ce qui s'est passé dans l
pas eu la sensation de dormir. II — Sommeil profond — La volonté du
sujet
est supprimée complètement ou partiellement. Les
» jamais pratiquer l'hypnotisme A l'aventure, de le réserver pour des
sujets
» compromis par l'hystérie, la folie, l'état vi
e des outrages et des crimes-Dans un livre que je viens d'écrire A ce
sujet
, j'ai démontré qu'il y a eu bien peu de cas sur l
otique, il serait facile d'en découvrir l'auteur en ré-hypnotisant le
sujet
et en lui faisant divulguer le secret dans l'état
Bernheim dit dans son ouvrage qu'il lui est possible de garantir ses
sujets
sensibles contre l'hypnotisition par d'autres per
on nommé Milo de Meyer, ayant, dans une séance publique, suggéré a un
sujet
hypnotisé de voler une montre, ce sujet s'approch
séance publique, suggéré a un sujet hypnotisé de voler une montre, ce
sujet
s'approcha de son propre frère pour exécuter la s
. Mais ce dernier ayant voulu s'opposer A l'exécution de cet acte, le
sujet
le blessa grièvement d'un coup porté A la tète, p
titre de membres honoraires de cette société. Nous avons écrit A ce
sujet
A plusieurs de nos correspondants les plus autori
uvons dans le Bulletin médical, cette appréciation humouris-tique, au
sujet
d'un incident dont la presse parisienne s'est occ
oncé ce concours l'année dernière, dans la Revue de l'Hypno-tisme. Le
sujet
était : Histoire de l'Hypnotisme. Etude critique
tualités médicales et scientifiques- o. Doin. Paris 1889. Malgré le
sujet
un peu ardu de cette étude, le livre du docteur G
s à rencontrer d'ordinaire plus de précision de l'esprit, a dit, à ce
sujet
, que critiquer la circulaire ministérielle se ser
a faire une douce violence. Les crimes que nous faisons commettre aux
sujets
sont des crimes de laboratoires : Voilà une jeune
ns atteindre le fonds moral de notre être. De même si chez certains
sujets
hypnotisés, je provoque une hallucination émouvan
à l'un d'eux: «Voici un chien, il est méchant.il va vous mordre. » Le
sujet
voit le chien, éloigne son bras, met la main sur
t si j'insiste. On voit qu'aucune passion n'anime sa main. D'autres
sujets
résistent aux suggestions qu'on veut leur imposer
de Paris et de Liège. Maison a eu tort de généraliser. Si beaucoup de
sujets
savent résister aux suggestions désagréables, si
sont ces vols qui décélèrent l'existence du phénomène auquel il était
sujet
. Il servait comme garçon chez un coiffeur de Pari
fort que moi! » Je crois que la suggestion peut réaliser sur certains
sujets
un état psychique semblable, une impulsion instin
« A votre réveil, vous irez voler mon porte-monnaie sur la table.» Le
sujet
accepte l'idée tout de suite ou seulement après d
ée par la suggestion morale préexistante, elle a suggéré elle-même au
sujet
un souvenir illusoire rétroactif, à la faveur duq
duquel le vol devenait licite et la suggestion réalisable. Je dis au
sujet
endormi : « Voici un pistolet chargé. A votre rév
hallucination qui a fait le crime! Hallucination que l'imagination du
sujet
, docile à la suggestion, créé spontanément pour f
leurs cette hallucination, cette idée délirante nécessaire à certains
sujets
pour l'accomplissement du crime, je puis la créer
re honneur et vous le tuerez. » On comprend d'ailleurs que chez les
sujets
dont le sens moral est faible et la suggestibilit
n peut-elle directement affaiblir et pervertir le sens moral chez les
sujets
qui ont ce sens développé, et provoquer ainsi dir
nt à terme auraient pu motiver la grâce du pauvre diable. Quel beau
sujet
de roman, et combien vous trouveriez féconde l'im
alfl-Ebing, dans l'état 1, les fonctions psychiques sont normales, le
sujet
n'est malade à aucun point de vue. Elle est dans
s, à la suite d'une grande frayeur. A partir de ce moment, elle a été
sujette
à divers accidents nerveux. De plus, elle avait d
Mons, me faisait l'honneur d'assister à ma clinique. Je siggérai à un
sujet
endormi que mon confrère était photographe et qu'
r faire sa photographie et lui avait donné deux francs. Au réveil, le
sujet
était convaincu ; le docteur Semai était venu ave
ion, de leur faire ajouter des détails de leur propre cru. Certains
sujets
ont l'imagination si facile, qu'il suffit de la m
les deux exemples de procès criminels que j'ai relatés, il s'agit de
sujets
dépourvus de sens moral, offrant un terrain favor
n'eût jamais été à lui ! On sait avec quelle facilité chez certains
sujets
se constitue spontanément ce second état, qui n'e
és d'imagination, l'automatisme idéo-dynamique, dominent la scène. Le
sujet
n'est plus lui-même Voyez la somnambule Hélida,
ique que lorsqu'il y a amnésie complète de l'un à l'autre, lorsque le
sujet
ignore ce qu'il a fait pendant une certaine pério
s légers nous échappent et nous attribuons à l'humeur capricieuse des
sujets
ce qui peut être dû à un état maladif de la consc
insubordination, l'affection ou la haine. Les actes et les allures du
sujet
peuvent se conformer aux penchants psychiques sug
lle! auquel nulle question scientifique n'est étrangère, a compris ce
sujet
avec sa sagacité habi-tuelle : « L'état spontané
sonnes prédisposées. Ainsi nous suivons de près depuis trois ans deux
sujets
, un jeune homme et une femme, chez lesquels l'éta
ne sans lacune, sans la plus petite absence de mémoire et sans que le
sujet
manifeste le moindre étonnement. Ces transformati
s de la possibilité de développer les phénomènes hypnotiques chez les
sujets
normaux. En d'autres termes, la question de savoi
ne semble pas avoir tenu assez grand compte du substratum mental des
sujets
, de leurs antécédents héréditaires ; elle s'est p
. Pour un grand nombre d'observateurs, il n'est pas douteux que les
sujets
hypnotisables sont en grande majorité des nerveux
reliés entre eux par un lien commun : l'état de dégénérescence des
sujets
. Cette thèse trouve un point d'appui dans ce fait
hypnotique que de la suggestion à l'état de veille. Nul doute que les
sujets
les plus sugg;estibles ne soient ou les hystériqu
ièrement favorisée, et n'est même possible que grâce à l'émotivité du
sujet
observé, émotivité qui est un des caractères fond
caractères fondamentaux de son état mental. Ainsi donc, émotivité du
sujet
trouvant son explication dans l'existence d'une t
ué, dans la genèse de ses idées délirantes, l'émotivité habituelle du
sujet
, et la singulière faculté d'auto-suggestion dont
lie chez les dégénérés: on peut les résumer ainsi : 1° Jeune âge du
sujet
; 2° Cause première résidant dans l'état mental
eune âge du sujet; 2° Cause première résidant dans l'état mental du
sujet
, témoin de la tare héréditaire dont il est porteu
s consistent dans la production expérimentale sur la peau de certains
sujets
, de stigmates ayant une analogie apparente avec l
isme. Dixième Congrès médical international. Nous ayons reçu à ce
sujet
l'invitation suivante : « Conformément à la déc
conversation tomba sur la phrénologie. — C'est moi qui suis un bon
sujet
pour les phrenologues, dit M. Gladstone. Depuis v
t de la suggestion. Chaque observation devra faire connaître l'âge du
sujet
, depuis combien de temps il fumait, la quantité a
rvateurs ont entrepris dans cet derniers temps des études sur le même
sujet
. Malgré les nombreux encouragements qui ne leur o
nté fut assez bonne, bien que très nerveuse, très impressionnable, et
sujette
à des attaques d'hystérie de moyenne intensité ch
eût connaissance, nous apprîmes d'elle quelle était depuis longtemps
sujette
à des accès de somnambulisme spontané, qu'elle ma
: les digestions sont extrêmement pénibles ; après les repas, il est
sujet
à des éblouissements, des vertiges, à des éructat
de l'état normal. Quelque soit l'état de mal observé, le poids des
sujets
diminue journellement d'une quantité qui varie en
t être la trépanation. Entre autres faits, nous avons pu, chez deux
sujets
, établir chimiquement la cœxistence, à l'état iso
énomènes indépendants, à l'inverse des suggestions, de la volonté des
sujets
. Nous ajouterons que l'état dit second observé
us les auteurs qui se sont occupés de l'hypnotisme constatent que les
sujets
, hommes ou femmes, sont au début récalcitrants a
'inlïunencc de l'expérimentateur. Ce n'est que petit a petit que le
sujet
devient plus docile. On forme donc ces sujets,
e petit a petit que le sujet devient plus docile. On forme donc ces
sujets
, on cultive cette maladie en vue d'expériences pu
rbides. Mais les soldats qui sont confiés à nos soins ne sont pas des
sujets
à expériences et nous n'avons pas moralement le d
aincu, beaucoup plus fréquente. Ça pourrait nous mener loin, avec des
sujets
jeunes et réunis en masses plus ou moins considér
ottiers qni ne tarderaient pas, soyez-en surs, à devenir d'excellents
sujets
pour l'hypnotisme et le reste. « A elles seules
ations chirurgicales. En aucun cas les soldats ne doivent servir de
sujets
à expériences, cela est hors de discussion ; mais
eois qui n'est d'ailleurs que le développement du mémoire sur le même
sujet
qu'il fut admis à lire en 1884, devant l'Académie
rière, il admet avec Bernheim que le sommeil peut-être obtenu chéries
sujets
sains et non hystériques, et, se basant sur les s
ant sur les statistiques du Dr Liébeault, il déclare presque tous les
sujets
plus ou moins hypnotisables et accepte la théorie
tudier la responsabilité dans les états hypnotiques. II rappelle a ce
sujet
les divergences de l'école de Nancy et de l'école
école de Nancy et de l'école de la Salpétrière qui admet que tous les
sujets
hvpnotisables sont des névropathes ; il cite l'op
leur but comme la pierre qui tombe. Pour lui, les somnambules et les
sujets
en état de condition seconde ou de somnambulisme
des crimes, à voler. Un malfaiteur pourrait donc se servir de pareils
sujets
pour perpétrer ses mauvais desseins et échapper a
ion criminelle. Il met en garde contre les simulations fréquentes des
sujets
qui prétendent avoir été hypnotisés et avoir agi
e les moyens de les déjouer et montre comment on peut s'assurer si un
sujet
est ou non hypnotisable et par suite suggestionna
e professeur Bernheim, par des expériences concluantes faites sur des
sujets
éveillés ou hypnotisés, a démontré que la suggest
assistants, c'est la facilité avec laquelle, chez un grand nombre de
sujets
, on peut provoquer par suggestion l'accomplisseme
CHEZ HERRERO : L'hypnotisation forcée et contre la volonté arrêtée du
sujet
, (Compte rendus du Congrès de l'Hypnotisme. Par
fiques de la grande névrose ou bien par les antécédents personnels du
sujet
. Ainsi, chez une enfant de treize ans qui avait é
e. A ce propos. M. Charcot rappelle le mot d'un chirurgien anglais au
sujet
des affections chirurgicales du système nerveux:
l provoqué par le plus habile des hypnotiseurs sur le plus docile des
sujets
. C'est l'engourdissement léthargique dans lequel
és, les défiances et contre les suggestions contradictoires venues du
sujet
lui-même. VII L'homme intelligenl finit par a
s images que les perceptions correspondantes (2). A l'état normal, le
sujet
serait donc incapable de faire naître ces images
e série de sensations et d'images ordinairement absentes. Dès lors le
sujet
à (1) Il est cependant impossible de passer ent
, en même temps qu'il en contient en partie l'explication. Certains
sujets
présentent en même temps, — et non plus successiv
it sa part de lui-même et envahit tous les sens, — ce qui fait que le
sujet
se trouve en complet somnambulisme. 11 y aurait d
-être la rigueur extrême avec laquelle se doublent et s? triplent les
sujets
de M. Janet n'est-elle pas étrangère à sa propre
est reparquable à ce point de vue. C'est l'opérateur qui démontre au
sujet
la nécessité d'une seconde personnalité « Il faut
u'il y est quelqu'un qui m'entente et qui ensuite, malgré le refus du
sujet
, donne un nom à cette seconde personne. Or rien
fictive : témoin toute la mythologie. — Auparavant, au contraire, le
sujet
continuait à unifier son moi d'une manière très n
on appliquée à la thérapeutique. La tâche d'introduire devant vous ce
sujet
, que m'a gracieusement imposée notre bureau, s'en
ssèdent ainsi une personnalité triple,— toutes ces personnes sont des
sujets
rares, des névropathes décidés,ayant reçu une dre
ce nous apprend que la suggestion répétée exalte la suggestibilité du
sujet
. L'esprit s'accommode de plus en plus à accepte
images imposées; bientôt on peut se passer de l'état de sommeil et le
sujet
est devenu plus sug-gestible qu'auparavant même à
l faut de toutes les manières tâcher a augmenter la suggestibilité du
sujet
. Il me semble cependant peu avantageux de trans
ue, se présente aussi la difficulté pratique que la suggestibilité du
sujet
se trouve augmentée non seulement vis à vis la su
rais affirmer que d'augmenter la suggestibilité de l'hystérique ou du
sujet
prédisposé à l'hystérie n'est pas exempt de dange
vie psychique d'un hystérique, il peut supprimer la volonté malade du
sujet
et lui imposer sa volonté à lui. de sorte qu'en c
1* U se peut qu'un assujettissement puisse être obtenu chez tous les
sujets
; cependant dans plusieurs cas il faudra pour l'ob
e confiance absolue et qu'on pourrait restreindre la subordination du
sujet
exclusivement a cette personne. Voilà, Messieur
rmédiaire exclusif, tantôt il imposerait sa volonté propre à celle du
sujet
si cela lui semble permis, ou encore il cesserait
ue les opinions sont divisées. Forci avance que l'aliène constitue le
sujet
le moins propre a être hypnotise et que dans la f
r les médecins experts, ce en quoi il avait maladroitement éduqué son
sujet
, c'est en faisant se rencontrer chez lui à la foi
ypnose. Interrogé quant à la faculté toute spéciale que possède son
sujet
qai m'a jamais étudié la médecine) de reconnaître
nous empressons 3e faire la rectification qui nous est demandée à ce
sujet
. Mutisme hystérique et suggestion M. le docte
I :Observations d'hyperaculté visuelle, auditive et tactile chez un
sujet
hypnotisés. (Congrès de l'hypnotisme) RINGIER :
amaison,, 234. Hypnotisation forcée et contre la volonté arrêtée du
sujet
, par Herrero, 193. Hypnotisme au Conseil munici
verra avec quelle circonspection, M. Charcot a entrepris l'étude d'un
sujet
délaissé, discrédité depuis de longues années et
Y électricité statique, qui se rattache dans une certaine mesure aux
sujets
traités dans la précédente. lor novembre 1890.
mais les deux altérations se trouvent quelquefois réunies sur le même
sujet
, ce qui explique la coexistence, assez rare d'ail
la base de l'encéphale, ou rampent dans l'épaisseur des méninges. Ce
sujet
plus spécial a d'ailleurs été traité avec détails
uver et nous eûmes plusieurs fois l'occasion d'en rencontrer chez des
sujets
qui succombaient à des maladies autres que celles
en qu'ils soient d'autant plus fréquents qu'on les recherche chez des
sujets
plus âgés, nous pouvons affirmer au moins qu'ils
ableau statistique qui les résume. Nous reviendrons d'ailleurs sur ce
sujet
quand nous apprécierons l'influence de l'athérome
ntrée à des degrés divers, en même temps que les anévrysmes, chez des
sujets
qui présentaient des foyers récents ou anciens d'
névrysmes ; enfin, dans quelques cas, nous l'avons constatée dans des
sujets
qui n'avaient pas de foyers d'hémorrhagie et chez
ian. Handuc (Marie-Joséphine), 62 ans. — Cette femme, qui avait été
sujette
à quelques vertiges, est prise, le 14 septembre 1
, 9. — Charcot. Marazin (Victoire), 71 ans. - Cette femme qui était
sujette
à des étourdissements, mais qui était valide, bie
lie, 24. — Charcot. Sauné (Adèle), 50 ans. — Cette femme, qui était
sujette
à des maux de tète violents, eut il y a trois ans
lexandre, 18. —Charcot. Gresser (Marie-Marthe), 83ans. —Cette femme
sujette
à des étourdissements, est frappée d'apoplexie, l
complète avec légère rigidité musculaire ; elle était de plus devenue
sujette
à des accès de convulsions, du côté paralysé. A l
it seulement qu'elle était gâteuse, confinée au lit, et qu'elle était
sujette
à des crises épilepti-i'ormes. Elle meurt à ta su
de Blois à la Salpêtrière. Elle était hémiplégique du côté gauche et
sujette
à des accès épileptiformes. Elle meurt de gangrèn
compl. t. ix, Hémorragie cérébrale. 5 été observés par lui chez 16
sujets
et deux d'entre eux avaient succombé à l'hémorrha
r M. Hayem, peu de temps après nos premières communica tions sur ce
sujet
à cette même société. Le fait de M. Hayem, dont n
. Vulpian on les trouvait en certaine abondance dans l'encéphale d'un
sujet
qui présentait des anévrysmes assez volumineux su
peine dans le quart des cas. Il nous est donc permis de dire que les
sujets
qui meurent d'hémorrhagie cérébrale ont les artèr
réquence de l'intégrité apparente des artères de l'encéphale chez les
sujets
qui offrent des foyers sanguins anciens ou récent
oportion des cas ou l'athérome manque dans les artères cérébrales des
sujets
qui ont été frappés d'hémorrhagie du cerveau est
rée, qui a lieu fréquemment quelques jours après l'accident, chez les
sujets
dont la moelle épinière est lésée par le fait d'u
s est, en pareil cas, une cause de second ordre. (2) 1. Voir sur ce
sujet
: R. Lépine, Note sur deux cas d'hémorragie sous-
dicale, t. II, p. 12, 2e édition. VIII. Nouvelle note sur le même
sujet
(i). M. Charcot fait une communication ayant po
, et en grande partie opposées aux précédentes, ont été émises sur ce
sujet
dans ces dernières années, soit en France, soit e
lusieurs observations où ces produits ont été trouvés à l'autopsie de
sujets
morts de paralysie générale. Pour M. Brunet, les
admet après avoir discuté les opinions contradictoires émises sur ce
sujet
. Pour nous, nous pensons avec Kolliker que ce feu
euillet. M. Hasse a rencontré la pachyméningite à son début sur des
sujets
morts de maladies les plus diverses : dans des ca
M. Guido Weber (Arch. fur Phys. Heilkunde, 1860, 5e Heft) a traité le
sujet
qui nous occupe d'une façon complète au point de
utres les ont étudiées. M. Hasse a vu, et assez fréquemment, chez des
sujets
avancés en âge, des kystes séreux formés dans les
séminées en très grand nombre dans la pie-mère cérébrale de plusieurs
sujets
pris au hasard à l'amphithéâtre des hôpitaux, et
elle ont été conduits dans leurs intéressantes recherches sur le même
sujet
, MM. Heschl, Virchow (1) et les quelques autres
M. Cruveilhier, m'ont démontré que toutes les membranes séreuses sont
sujettes
à un mode d'inflammation qu'on peut appeler phleg
rdre, c'est que celles-ci et celles-là peuvent coexister chez un môme
sujet
: ainsi, chez un homme de cinquante et un ans, do
épendants de la pachyméningite et ne rentrent pas directement dans le
sujet
de cette étude. Le plus souvent au contraire, l'a
araclmoïdienne. On comprend, sans qu'il soit nécessaire d'entrer à ce
sujet
dans plus de détails, que ces symptômes varient s
ust a indiqué dans sa thèse d'agrégation quelques faits relatifs à ce
sujet
, qui lui ont été communiqués par M. Charcot. M.
irconstances, affectent les jointures des membres paralysés, chez les
sujets
frappés d'hémiplégie à la suite d'une lésion de l
cas, une complication sérieuse de l'ataxic locomotrice. (Voir sur ce
sujet
: G. De-lamarre, Des troubles gastriques dans l'at
c les mêmes caractères et dans les mêmes circonstances, chez d'autres
sujets
atteints de myélite sclé-reuse des cordons postér
ositions sérieuses. Elfe était comme plusieurs membres de sa famille,
sujette
à des accès de migraine, qui chez elle avaient dé
xante-seize ans, n'a jamais eu de maladies graves; il a été seulement
sujet
à des troubles gastriques d'une certaine intensit
nstances qui permettra de spécialiser cliniquement l'artrhopathie des
sujets
ataxiques, de la différencier de toutes autres es
udaine dans la cavité rachidienne du pus provenant d'un abcès chez un
sujet
atteint de mal vertébral, déterminer aussi la for
cutivement à une blessure de la moelle, on voit se développer chez ce
sujet
, en même temps qu'une eschare au siège, une affec
articulière des jointures des membres paralysés, survenant chez les
sujets
frappés d'hémiplégie, en conséquence d'une lésion
modification plus ou moins profonde, survenue dans l'état général du
sujet
(2). Au contraire, dans le cas d'hémiplégie, suit
u reste, MM. Dumontpallier, Luys, Charcot, font des recherches sur ce
sujet
; des physiciens ont été consultés et invités à fa
à aucun phénomène électrique de ce genre. J'ai interrogé M. Burq à ce
sujet
et il m'a dit que l'or pur n'éLait pas sans actio
Messieurs, Qu'est-ce que la métallothérapie 1 Je serai bref sur ce
sujet
, mais j'espère vous en dire assez pour vous faire
on se réduit à peu de chose ; car, je ne considère comme afférents au
sujet
ni les anneaux deParacelse, ni le perkinisme, etc
ut varier de quelques secondes à quinze ou vingt minutes, suivant les
sujets
, la malade vous avertit qu'elle sent son bras com
des phénomènes semblables à ceux de l'attaque hystérique. Lorsque le
sujet
est, en effet, sous le coup de cet état diathésiq
apport à la métallo thérapie interne et que d'ailleurs, je n'ai à son
sujet
aucune expérience personnelle. Autrefois, dans
amyosthénique du côté gauche. J'avais l'habitude de la prendre comme
sujet
pour démontrer aux élèves les phénomènes hystériq
rtenant au cadre de l'hystôro-épilepsie. Elle est hémianesthésique et
sujette
aux grandes attaques depuis trois ans. C'est touj
us faire part encore d'un épisode qui ne s'éloigne pas précisément du
sujet
principal de notre conférence, bien qu'il ne s'ag
-quatre ans, beaucoup plus docile que ne le sont pour la majorité les
sujets
de notre service à cet âge. J'aurais encore à v
algré les difficultés de toutes sortes que devait présenter un pareil
sujet
, M. Charcot n'a pas craint d'en aborder l'étude ;
le problème. Mais quels que soient les desiderata de la science à ce
sujet
, l'observateur enregistre les faits bien et dûmen
tations de l'hystérie. De 1780 à 1829, nous ne trouvons rien sur le
sujet
qui nous occupe. Aussi bien les physiciens délais
Academia dei Line ei (1873). Maggiorani expérimente d'abord sur des
sujets
sains : selon lui quelques-uns ont la sensibilité
montrer que cette expérience n'est pas faite avec ce qu'on appelle un
sujet
, je la répète avec une autre de nos hystériques.
dans le courant des dernières années, ont été poursuivies sur le même
sujet
, par un certain nombre de physiologistes (2) et d
s à la Salpètrière concernant l'hypnotisme ont toujours porté sur des
sujets
atteints de grande hystérie (hys-téro-épilepsie,
stérie (hys-téro-épilepsie, hysteria major). C'est d'ailleurs sur les
sujets
de cette catégorie surtout que les diverses états
e. Les phénomènes si nombreux et si variés qui s'observent chez les
sujets
hypnotisés ne répondent pas à un seul et même éta
ls peuvent encore, dans le cours d'une même observation, chez un même
sujet
, se produire successivement, dans tel ou tel ordr
u, d'une lumière vive placée sous le regard, ou encore, chez quelques
sujets
par la fixation plus ou moins prolongée des yeux
dans un lieu éclairé, découverts par l'élévation des paupières. — Le
sujet
cataleptisé est immobile ; il paraît comme fascin
vité sensorielle permet souvent d'impressionner de diverses façons le
sujet
cataleptique et de développer chez lui, par voie
hallucinations et des impulsions provoquées. Abandonné à lui-même, le
sujet
retombe bientôt dans l'état où il était placé au
cur. Fréquemment, au moment où il tombe dans l'état léthargique, le
sujet
fait entendre un bruit laryngé tout particulier,
; mais les diverses tentatives qu'on peut faire pour impressionner le
sujet
, par voie d'intimidation ou de suggestion, resten
sous l'influence de l'excitation des muscles antagonistes. Chez le
sujet
plongé dans l'état léthargique, on peut, ainsi qu
e provogué. — Cet état peut être déterminé directement, chez certains
sujets
, par la fixation du regard et aussi par diverses
qu'il est inutile d'énu mérer ici. On le produit a volonté chez Jes
sujets
plongés an préalable soit dans l'état léthargique
ontrent en généra] agitées de frémissements; abandonné à lui-même, le
sujet
paraît endormi, mais même alors, la résolution de
facile, par voie d'injonction ou de suggestion, de déterminer chez le
sujet
la mise en jeu d'actes automatiques très compliqu
scènes du somnambulisme artificiel proprement dit. Lorsque chez un
sujet
amené à l'état somnambulique, on exerce à l'aide
, lumière électrique, lampe au magnésium) est placé sous le regard du
sujet
et au bout d'un temps très court, en général, app
re brusquement le foyer lumineux, ou simplement de fermer les yeux du
sujet
catalepfisé en abaissant avec le doigt les paupiè
e, au contraire; mais il suffit dans ce cas de clore les paupières du
sujet
pour que la léthargie se produise. c) Influence
strument du même genre, a pour effet de produire, chez la plupart des
sujets
hystériques, un saisissement qui, fréquemment, es
met l'observateur à l'abri de foute intervention voulue de la part du
sujet
et exclut, en un mot, toute idée de simulation.
procédé de Duchenne (de Boulogne,) et l'on voit alors, chez certains
sujets
, les membres par des attitudes variées se mettre
— Au cours de l'état cataleptique, il suffit de clore un des yeux du
sujet
pour amener la résolution et, en môme temps, rhyp
rapide de ces contractures artificiellement produites, il suffit, le
sujet
étant de nouveau plongé dans l'état léthargique,
mportent pas comme les contractures artificielles ; alors môme que le
sujet
a été plongé dans l'état léthargique, elles résis
s provoquées. — Si une hallucination visuelle a été provoquée chez un
sujet
cataleptisô, celui-ci déclare que l'image est vue
aux lois physiques, suivant que le sommet du prisme est, à l'insu du
sujet
, dirigé vers la droite, la gauche, etc., etc. F
tc., etc. Faits à l'appui de la localisation de Broca. — Lorsque le
sujet
étant plongé dans l'état cataleptique, on lui sug
e paupière est relevée, et l'œil droit de nouveau mis à découvert, le
sujet
reprend immédiatement son énumérafion là où il l'
hoses se passent d'une façon analogue si, au lieu de faire compter le
sujet
cataleptisé, on lui enjoint d'écrire. — Expérienc
rofesseur Lépine (de Lyon) et répétée un grand nombre de fois sur des
sujets
différents (1). 1, La première partie cle ce tr
hent à ce qu'on appelle le magnétisme animal. La difficulté même du
sujet
impose à quiconque désire aborder l'étude de ces
elle a été la méthode qui a présidé au début de nos recherches sur ce
sujet
, entreprises à la Salpêtrière en 1878 (1). Grâce
de cetle môme année, l'un de nous (Gharcot) fit de ces recherches le
sujet
de plusieurs conférences cliniques, à l'hospice d
ot) à la Salpôtrière, a depuis fait paraître plusieurs travaux sur ce
sujet
: Revue scientifique, n° 13, 1881. Sommeil et som
atalepsie hystérique provoquée ; — le mode de succession chez un même
sujet
de ces deux états nerveux : léthargie provoquée e
ent des modifications susceptibles de quelques variations suivant les
sujets
, mais qui, malgré ces variétés individuelles, nou
procédés habituels, nous nous sommes servis dans nos recherches à ce
sujet
d'un marteau à percussion garni d'un petit coussi
ignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du
sujet
, retombe inerte dans la flexion. La percussion es
ignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du
sujet
retombe inerte en extension. Nous avons ainsi obt
ontracture. La diffusion des réflexes se rencontre souvent chez les
sujets
qui n'offrent pas très développé le phénomène de
on tendineuse par malaxation, friction ou simple pression, Chez les
sujets
peu sensibles nous avons vu parfois, alors que le
on a produit la contracture locale. Mais c'est principalement sur les
sujets
qui présentent à un haut degré l'hyperex-citabili
main dans la griffe cubitale. D'ailleurs la faradisation, chez des
sujets
sains, du nerf cubital à l'épitrochlée, ne nous a
ère de l'épitrochlée nous a donné des résultats variables suivant les
sujets
et aussi suivant le point exact d'application des
été loin de pouvoir la reproduire avec cette précision chez tous les
sujets
. Chez quelques-uns, cela nous a été complètement
nerf cubital, nous résumerons ce que la physiologie nous apprend à ce
sujet
dans le tableau suivant : Action partielle de c
suit l'excitation mécanique du muscle est facile à démontrer chez les
sujets
hypnotisés qui se trouvent dans les conditions re
hes (en 1878), et depuis répétée bien des fois sur un grand nombre de
sujets
. 11 suffit d'exercer une friction sur le corps du
cherchés empiriquement pour les bien connaître. Nous ajouterons qu'au
sujet
des points d'élection dont le siège paraît indiqu
allons résumer les nombreuses expériences que nous avons faites à ce
sujet
: 1° La localisation la plus exacte est obtenue
e nous poursuivons ces études, nous pouvons cependant citer plusieurs
sujets
(quatre au moins sur vingt environ) qui ont prése
des premières qui aient été tentées au début de nos recherches sur ce
sujet
, dès 1878. La malade sur laquelle nous avons ré
ur faire disparaître ces contractures, il faut endormir de nouveau le
sujet
, et, pendant l'état léthargique, procéder à l'exc
ées. Cependant on se tromperait également si l'on s'imaginait que les
sujets
sont rares, sur lesquels il est possible de répét
lades soumises à notre observation, à la Salpêtrière, sont toutes des
sujets
atteints de la névrose hystérique dans sa forme l
rfectionne. Nous avons pu constater le fait bien des fois. Il est des
sujets
qui présentent presque d'emblée, dès les première
uivantes : Dans les récentes expériences que nous avons faites à ce
sujet
, il nous a été donné de saisir en quelque sorte l
et l'on conçoit fort bien que, suivant les dispositions spéciales du
sujet
, le phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-muscul
uis tout d'un coup, pendant que l'on continue à piquer les membres du
sujet
, on s'aperçoit que la sensibilité a reparu partou
moindre effort. Les attitudes ainsi communiquées sont gardées par les
sujets
pendant fort longtemps et le massage ou la fricti
nt ces deux modes du sommeil nerveux peuvent se succéder chez un même
sujet
, ou même s'y montrer simultanément en n'affectant
signé sous le nom de catalepsie plastique. Elle permet d'imprimer aux
sujets
les attitudes les plus variées, susceptibles même
de attaque, il est parfois incohérent, d'autres fois il roule sur des
sujets
variés se rapportant aux incidents qui ont marqué
ainsi dire un degré inférieur de l'hypnotisme. Il se montre chez les
sujets
peu aptes à ce genre de recherches, ou bien s'il
eu aptes à ce genre de recherches, ou bien s'il se rencontre chez les
sujets
bien prédisposés, ce n'est que dans les premières
omènes réflexes ; mais, malgré les difficultés qui existent encore au
sujet
du mode de production de la contracture somnambul
que, appliqué sur un des côtés du cr/îne, provoque, sans réveiller le
sujet
, des secousses musculaires, souvent très énergiqu
é. Voici quelques détails relativement aux observations faites à ce
sujet
: La malade une fois plongée dans l'état de lét
l'état de veille. Chaque expérience a donc été répétée sur le même
sujet
, pendant la veille dans des conditions identiques
erchons pas même, du moins pour l'ins- 1. Aujourd'hui le nombre des
sujets
est de 5, tant, comment il se fait que le coura
10. Elles peuvent être ramenées à trois groupes. Sur quatre de ces
sujets
, la galvanisation d'une moitié du crâne, faite de
t. La même expérience, répétée dans l'état de veille, chez ces quatre
sujets
, a toujours donné un résultat négatif. Ces expéri
citabilité neuro-musculaire. Voici ce que nous avons observé chez les
sujets
de ce deuxième groupe, les conditions de l'expéri
de l'expérience étant exactement les mômes que ci-dessus. Sur un môme
sujet
, les résultats ont quelquefois varié d'une expéri
excitation galvanique était produite. J'ajouterai que, sur les quatre
sujets
de ce groupe, trois ont présenté, pendant l'état
n d'une moitié du crâne se produisent-elles chez un certain nombre de
sujets
du côté opposé du corps, tandis que, chez d'autre
t les expériences un grand nombre de fois et sur un certain nombre de
sujets
différents ; combien enfin, même en ce qui concer
met l'observateur à l'abri de toute intervention voulue de la part du
sujet
. Chez les malades que j'ai observées, les conditi
rvées, les conditions sont donc différentes de celles où se trouve le
sujet
présenté par M. Dumontpallier, bien qu'il s'agiss
fort important, de spécifier les caractères de l'état où se trouve le
sujet
chez lequel on relève une observation, car, sans
si que cela résulte de diverses communications que j'ai faites sur ce
sujet
, l'an passé, à la Société, en commun avec M. le d
écartant tout soupçon de supercherie ou de simulation de la part des
sujets
en expérience. I. L'hypnotisme, tel qu'il s'o
jets en expérience. I. L'hypnotisme, tel qu'il s'observe chez les
sujets
atteints de grande hystérie, et c'est sur de semb
ez les sujets atteints de grande hystérie, et c'est sur de semblables
sujets
qu'ont porté nos expériences, pourrait s'appeler
s nous ont amené à conclure que l'hypnotisme ainsi considéré chez les
sujets
atteints de grande hystérie, ou autrement dit, qu
u, d'une lumière vive placée sous le regard, ou encore, chez quelques
sujets
, en conséquence delà fixation plus ou moins prolo
llant de l'état cataleptique c'est, on peut le dire, l'immobilité. Le
sujet
calaleptisé, alors môme qu'on l'a placé debout da
rsistance de l'activité sensorielle permet souvent d'impressionner le
sujet
cataleptique et de susciter chez lui, par voie de
brièvement les expériences d'épreuve auxquelles nous avons soumis les
sujets
sur lesquels nous avons expérimenté (2). On cro
s nous avons expérimenté (2). On croit généralement que si, chez un
sujet
cataleptique, un bras est étendu horizontalement,
influence du geste sur l'expression de la physionomie. Pendant que le
sujet
est plongé dans l'état cataleptique, les yeux res
(Il nous faut dire que l'électrisation portée ainsi sur la face d'un
sujet
hypnotisé ne modifie en aucune façon l'état nerve
sie, et de même pour l'attitude et le geste qui l'ont accompagnée. Le
sujet
se trouve ainsi transformé en une sorte de statue
qu'elles ont été prises lors des premières expériences tentées sur ce
sujet
. La Figure 1 de la Planche X représente la mala
l. X). Une fois produite, cette attitude persiste indéfiniment, et le
sujet
toujours cataleptique ne quittera cette position
mer à la physionomie une expression de colère. Aussitôt que sur notre
sujet
cataleptique nous faisons contracter ce muscle, l
tracter, la douleur se peint sur la physionomie et dans les gestes du
sujet
. (Pl. XI, Fig. 4). De même pour le grand zygoma
à prévenir l'approche de l'objet qui cause l'effroi, Mais tous les
sujets
sur lesquels nous avons expérimenté n'ont pas pré
orps par son immobilité indifférente semble ne pas appartenir au même
sujet
. L'excitation est alors maintenue pendant quelque
s hystériques (1). Il n'est pas rare de pouvoir provoquer, chez les
sujets
hystériques, des contractures musculaires plus ou
étés de la contracture provoquée pendant l'hypnotisme, suivant que le
sujet
est plongé dans l'état léthargique ou dans l'état
nous renvoyons le lecteur à la note que nous avons fait paraître à ce
sujet
. Il nous suffit pour le moment d'attirer l'attent
militude entre nos tracés et ceux qu'il a pris lui-même chez d'autres
sujets
qui présentaient très nettement le phénomène de W
façon n'ont pas encore été précisées, et incontestablement, c'est un
sujet
qui réclame de nouvelles études. Le fait est qu
ette vue, c'est que la répétition des excitations musculaires chez un
sujet
disposé a pour effet de rendre la contracture de
que la section du faisceau pyramidal a pour effet d'exalter, chez un
sujet
normal, l'excitabilité réflexe spinale ; cela se
e, par exemple, qui, dans de certaines circonstances et chez certains
sujets
peuvent produire des effets fâcheux? Songe-t-on à
les contre-indications de l'hypnotisation clans l'hystérie : voilà un
sujet
qui nous occupera certainement quelque jour et qu
C'est qu'en effet les pratiques d'hypnotisafion ne sont pas, pour le
sujet
mis en jeu, tant s'en faut, toujours innocentes,
t préciser fes conditions où l'on peut agir sans inconvénient pour le
sujet
sur lequel on opère, et celles où, au contraire,
des espérances quelle avait fait naître. Je vous engage de lire à ce
sujet
le beau mémoire de Mauduyt (Mémoires de la Sociét
e, l'expérience nous l'a démontré, trop excitante pour la plupart des
sujets
névropathiques. Nous l'employons cependant, mais
ploi de l'électricité dans le traitement des indigents. Mais c'est un
sujet
qui mérite d'être étudié à part; j'aurai sans clo
s plus importants, bien qu'accusés à des degrés très divers selon les
sujets
. La pers-piration cutanée est augmentée ; cela n'
n 1483. On admit alors qu'il était possible de produire chez certains
sujets
prédisposés, un état nerveux spécial caractérisé
ervateurs. Celui-ci n'a point observé ce qu'a découvert celui-là. Les
sujets
de M. un tel n'ont pu produire aucun des résultat
el n'ont pu produire aucun des résultats qu'on a obtenus sur d'autres
sujets
. Rien de plus naturel que ces différences, lors
sait que les divers expérimentateurs n'emploient ni le même genre de
sujets
ni le même genre de méthodes. Mais on a cru qu'il
cassions, faites en général, sans suite, à bâtons rompus, à propos de
sujets
et avec des expressions qu'on n'a pas eu au préal
ta de parti pris et chercha à mettre premièrement en lumière chez les
sujets
en expérience, des phénomènes objectifs, c'est-à-
tabilité nerveuse ne peut être simulée, surtout lorsqu'il s'agit d'un
sujet
qui n'est pas très versé dans l'étude de l'ana-to
nt d'une contracture volontaire et qui permettent de s'assurer que le
sujet
ne simule pas. Des expériences de contrôle ont ét
jet ne simule pas. Des expériences de contrôle ont été faites sur des
sujets
sains et vigoureux, qui prenaient volontairement
Sous l'influence d'une traction continue, le membre contracture d'un
sujet
léthargique cède par degrés, comme le membre raid
chis par l'observateur ne sont le siège d'aucune résistance et que le
sujet
garde toutes les attitudes qu'on imprime à ses me
vait l'évidence de ces précieux symptômes, il constatait que chez les
sujets
qu'il avait sous les yeux, les phénomènes hynopti
s principaux passages de la communication que M. Charcot a faite à ce
sujet
à l'Académie (1). [Cette communication se trouv
i-léthargie et un hémi-somnambulisme. Il suffit, par exemple, chez un
sujet
en catalepsie, de fermer un œil pour voirie côté
e, et c'est elle qui doit servir de point de départ aux études sur ce
sujet
. Le grand hypnotisme peut se présenter dans son
développement dès la première tentative d'hypnotisation faite sur un
sujet
absolument neuf, et l'on peut dire que dès la pre
et l'on peut dire que dès la première épreuve, on peut décider si un
sujet
sera apte ou non à présenter les phénomènes du gr
ires énergique et prolongée pendant quelque temps, tandis que chez un
sujet
entraîné, l'apparition de ce phénomène, sous l'in
e, sous l'influence de la même manœuvre, est instantanée. Si, chez le
sujet
vierge, que nous supposons dans la léthargie, on
onie qui s'établit entre l'attitude corporelle qu'on l'ait prendre au
sujet
pendant la catalepsie, et l'expression de la phys
re au début très peu impressionnables à la suggestion. En un mot, les
sujets
se perfectionnent avec l'exercice. Dans d'autre
pe. La transformation peut être progressive. Voici, par exemple, un
sujet
chez lequel les trois périodes sont confondues pe
ènes somatiques. Le petit hypnotisme comprend donc deux catégories de
sujets
bien distinctes : à l'une appartiennent ceux qui
x assez fréquente. Les phénomènes psychiques qu'on observe chez ces
sujets
sont quelquefois aussi accentués que chez les hyp
ue chez les hypnotiques qui présentent des propriétés somatiques; ces
sujets
paraissent ètreparfois aussiimpressionnables àlas
uivantes : 1° Les caractères somatiques qu'on observe chez certains
sujets
dans l'hypnotisme ont une importance fondamentale
s, ou encore lorsqu'on entreprend d'obtenir expérimentalement chez un
sujet
donné des résultats sur lesquels on puisse compte
ique plutôt que pathologique. » Il ne faudrait pas croire (2) que les
sujets
impressionnés soient tous des névropathes, des ce
nstituent, même dans cette hypothèse,untémoignage de la sincérité des
sujets
auxquels on s'adresse, tandis qu'en leur absence,
être absolument fixé à cet égard. Si nous prenons, par exemple, un
sujet
qui présente cet état de torpeur qui caractérise
t sévère. Ce n'est pas que nous ayons l'intention de soutenir que les
sujets
appartenant à cette catégorie soient fatalement d
e nous sommes portés à admettre la bonne foi d'un grand nombre de ces
sujets
. Il ne faut pas perdre de vue, que dans cet ordre
ntestable, on peut du moins, dans chaque cas isolé, se demander si un
sujet
déterminé est réellement endormi d'un sommeil art
peuvent être amenés à un état d'hypnotisa-tion plus parfait. Mais ces
sujets
ne nous paraissent pas assez sûrs pour servir à d
re soumis à caution. Il est légitime de suspecter la sincérité de ces
sujets
, et il est dès lors impossible de tirer des obser
bre de phénomènes qu'il présente sont réels, qu'il ne s'agit pas d'un
sujet
quelconque, puisqu'il a des propriétés matérielle
on exclusivement susceptibles 1. Nous l'appellerons d'ailleurs à ce
sujet
qu'on observe chez la plupart des grandes hypnoti
s, ainsi que le grand hypnotisme, peuvent se développer chez certains
sujets
, sous l'influence de certaines manœuvres, sans l'
La suggestion est l'acte par lequel l'opérateur impose une idée à son
sujet
par la parole ou par des gestes ; un phénomène su
ère (i). On sait que par cette méthode, il est possible do donnera un
sujet
convenablement préparé des hallucinations, des or
tue la seule et unique cause de tous les phénomènes présentés par les
sujets
hypnotisés. Cette thèse appartient à l'École de N
organiques. On sait aujourd'hui qu'en employant la suggestion sur des
sujets
appropriés, on obtient des effets tout à fait rem
plusieurs formes différentes, qu'il n'a jamais pu reproduire chez ses
sujets
, sans le secours de la suggestion, les phénomènes
élèves se contentent de répondre avec avantage, croyons-nous, que les
sujets
sur lesquels on opère de part et d'autre étant di
l n'y pas lieu de s'étonner que les effets soient différents, que les
sujets
de la Salpêtrière, étant des hystériques, l'hypno
rie de symptômes caractéristiques qu'on ne retrouve pas chez d'autres
sujets
. Quoi qu'il en soit, la thèse de M. Bernheim, n
périence ait une valeur réelle. On commencerait par éliminer tous les
sujets
présentant, à un degré quelconque à l'état de vei
ec la suggestion seule, provoquer une contracture léthargique chez un
sujet
hyperexci table ; la suggestion ne fait dans ce c
fois à la contracture. Il faut aussi remarquer que l'élimination des
sujets
hyperexcitables devait être faite avec un soin et
dre, la suggestion est toujours là invisible et présente ; souvent le
sujet
, avec une complaisance d'autant plus remar quah
l'excitation périphérique. Nous reconnaissons même que chez certains
sujets
on peut, par la suggestion, amener le développeme
liquer en grande partie comment il se fait que, quelquefois, tous les
sujets
formés par un même expérimentateur se ressemblent
moins, et se trouvent modelés sur un même type, tandis que ces mêmes
sujets
diffèrent totalement de ceux qui sont dressés par
'uniformité des résultats peut être due à l'identité pathologique des
sujets
, à l'identité de la méthode employée, mais elle e
decine et n'a jamais assisté à aucune expérience sur l'hypnotisme. Ce
sujet
ainsi soumis à une première expérience, vierge pa
vierge par conséquent jusque-là de toute pratique d'hypnotisation, ce
sujet
, dis-je, dès qu'on est arrivé à l'hypnotiser, pré
phénomène est obtenu, alors que le médecin a évité d'éveiller chez le
sujet
par une parole, par un geste, l'idée de raideur,
opper par le fonctionnement. Nous avons vu aussi que chez, certains
sujets
, il n'existe pendant longtemps qu'une ou deux des
alade a été soumis à de nombreuses manipulations. Nous rappelons à ce
sujet
l'observation de C. G., citée plus haut. Cette ob
nner. « A Paris, dit M. Bernheim (1), j'ai vu dans trois hôpitaux des
sujets
hypnotisés devant moi, ils se comportaient tous c
des sujets hypnotisés devant moi, ils se comportaient tous comme nos
sujets
et les médecins des hôpitaux qui les traitaient o
Maira et David Benavente (2) qui, ayant expérimenté au Chili avec des
sujets
qui n'avaient sans doute jamais subi le conctact
Comme on pouvait très facilement provoquer des contractures chez mon
sujet
, soit à l'état de veille, soit pendant son sommei
ir de son projet, il pressa sur le tronc du nerf cubital au coude, le
sujet
étant hypnotisé, et nous vîmes apparaître la grif
pouvait être question dans ces expériences d'une suggestion donnée au
sujet
. » J'ai cité dans cet extrait ce qui se rapport
dans le phénomène du transfert, m'a poussé à sortir un instant de mon
sujet
. Je n'insisterai pas davantage sur ce point et
ine de tous les phénomènes hypnotiques. Or, ceux qui ont écrit sur ce
sujet
n'ont pas toujours procédé de la sorte. C'est a
aucun élément lui permettant de se faire une opinion bien fondée à ce
sujet
. Ce que nous disons là de M. Delbœuf peut facilem
cle se procurer sur commande pour un jour et une heure déterminés un
sujet
vierge de toute manœuvre hypnotique et réalisant
e de Belgique, 18 6, Bruxelles). tant d'éliminer la suggestion. Les
sujets
que l'on peut présenter à un moment donné à une p
de la Salpêtrière ne peuvent être naturellement, en général, que des
sujets
sur lesquels des expériences antérieures ont été
és, susceptibles d'être hypnotisés, si l'on veut fixer ses idées à ce
sujet
. Ces critiques ne peuvent évidemment s'applique
qui est un des médecins ayant expérimenté sur le plus grand nombre de
sujets
. Nous avons déjà dit plus haut que la différence
érimenté sur un terrain différent ; il n'a fait aucun choix parmi ses
sujets
, tandis qu'à la Salpêtrière toutes les expérience
elle infructueuse, on ne serait pas encore en droit d'affirmer que te
sujet
n'est pas hystérique. Ne sait-on pas que l'hystér
rase de l'ouvrage de M. Bernheim. « 11 ne faudrait pas croire que les
sujets
impressionnés soient tous des névropathes, des ce
in pour répondre à cette objection. » M. Bernheim, en présence d'un
sujet
mâle rejette donc à priori l'hypothèse d'hystérie
ose, il semble souvent, il est vrai, qu'il n'en soit pas de même. Les
sujets
qu'on observe peuvent être, en apparence au moins
s observations qu'on nous offre — nous soutiendrons, dis-je, que tout
sujet
qui se montre sensible à l'hypnose appartient de
ur à un travail récent de M. Max Dessoir, consacré exclusivement k ce
sujet
: Bibliographie des modernen Hgpnolismus von Max
coté paralysé), comparé au nerf correspondant du côté gauche, chez le
sujet
de l'obs. n" 1. — Le premier (ft) est manifesteme
et au ramollissement du cerveau... 91 VIII. Nouvelle note sur le même
sujet
.... ......"................ 94 IX. Sur les vari
serait pas moins clair que le rapport de modèle à copie, de maître à
sujet
, d'apôtre à néophyte, avant de devenir réciproque
milation et à vrai dire inso ciables, restent timides toute leur vie,
sujets
à demi réfractaires au somnambulisme: à l'inverse
solument incapable de penser à autre chose. Les images de fantaisie à
sujets
sexuels qui m'obsédaient à l'état de veille aussi
escence. Une éducation sévère et bien entendue, sans en faire de bons
sujets
, les préserverait peut-être de la prison en les e
re, de son propre avis, simplement pour jeter plus de lumière sur son
sujet
. Il consacre un chapitre aux mendiants et aux v
uivant la coutume, presque générale aujourd'hui, d'effleurer tous les
sujets
sans en approfondir aucun, ils ont cru pouvoir ém
st charmante, en raison même de cette facilité à passer vivement d'un
sujet
a l'autre. Mais l'hystérique est un peu moins cha
tre collaborateur M. le Dr Forel abordait, avec sa haute autorité, ce
sujet
interressant devant la Société de médecine de Zur
rait être en réalité, conservée. Alors même que, l'accès terminé, les
sujets
disent n'avoir aucun souvenir de ce qui s'est pas
s il se soumettait aux exigences actuelles de la guerre. On le disait
sujet
aux attaques de nerfs. A Dumdum il avait été plus
ette preuve sera fournie par une expérience d'hypnotisme. Mettez un
sujet
dans l'état de somnambulisme, les yeux ouverts, p
es heures comme elles; doivent marcher. » En opérant sur différents
sujets
, on obtient des résultats légèreme différents sui
nous semble peu vraisemblable que la dip-somanie se manifeste chez un
sujet
qui n'aurait pas eu l'occasion del contracter, da
nsulter, mais en même temps sa femme nous a appris qu'il était devenu
sujet
à des accès revenant tous les mois ou tous tes de
dans un terrain favorable par des habitudes alcooliques auxquelles le
sujet
n'attachait aucune importance. I1 était à prévo
ressources que la suggestion hypnotique fournie à la thérapeutique-Un
sujet
, homme, lui a servi" a démontrer expérimentalemen
leçon a été la suegestion de différentes maladies convutsives que le
sujet
avait eu occasion de" voir et qu'il a reproduit f
différence notable entre l'excitabilité des hyp- notisés et celle des
sujets
éveillés. Le docteur Moll. lui aussi, dans cent e
lés. Le docteur Moll. lui aussi, dans cent expériences faites sur des
sujets
différents, en excitant le cubital immédiatement
mêmes précautions, dans les périodes appropriées et surtout chez des
sujets
atteints de ce qu'il a appelé « le grand hypnotis
ttendre à rencontrer dans deux expériences faites sur un seul et même
sujet
. Les deux grandes hypnotisées présentées a la S
ent à la première. On a beaucoup réfléchi, on a beaucoup écrit sur ce
sujet
; l'hygiène scolaire a fait récemment de grands p
f dans la dipsomanie. MM. Auguste Voisin et Ladame. ont publié sur ce
sujet
, dans la Revue de l'Hypnotisme d'intéressantes ob
rigine héréditaire du mal ; néanmoins leur constatation chez certains
sujets
, qui ne sont pas épileptiques n'implique pas fata
ale y occupent également une place importante. L'auteur a repris à ce
sujet
une de ses thèses favorites si pleine de conséque
utenu par le docteur Lejou-bieux (3) une thèse digne d'intérêt sur ce
sujet
.. i Guison Les agents provocateurs de l'hystéri
en ce moment là). Sans hérédité névropathique. exempt d'alcoolisme,
sujet
seulement aux crampes, la nuit, et partant prédis
tare héréditaire en rapport direct avec les syndromes en question, le
sujet
ne s'en est pas moins montré essentiellement acce
ntes : 1° L'hypnotisme ne peut être appliqué qu'à un nombre limité de
sujets
(1); 2° Il laisse un trouble mental, une diminuti
peu naître subitement entre l'hypnotiseur et l'hypnotisé (1); 8° Des
sujets
hypnotisés ont été obligés de commettre des vols
nfiées à la garde de l'hypnotiseur. Quoiqu'on ne puisse hypnotiser un
sujet
contre sa volonté, néanmoins l'insistance d'un ét
Le Dr Hack Tuke (de Londres), dont la compétence est si grande sur le
sujet
, dit que l'hypnotisme doit être étudié sous deux
nes hypnotiques, exhibitions contraires à la morale et au respect des
sujets
hypnotisés. 2° Que l'hypnotisme soit étudié par
ne supportent pas la critique. La simulation est fréquente chez les
sujets
qu'on croit atteints de psychoses et de névroses
udrait qu'on tostituât des établissements spéciaux pour y etudier les
sujets
atteints de névrose traumatique et qui réclament
une espèce pathologique se traduisant par la répétition, chez un
sujet
à prédisposition latente, jusque-là sain d'esprit
ue à évolution systématique. Cette psychose frappe à l'âge adulte des
sujets
non dégénérés, sans tares herédi- taires, sans pa
trait à des enfants, mais plusieurs cas nouveaux se rapportent à des
sujets
âgés. Le plus souvent l'on constate de l'hérédi
e d'hystérie. M. Coste de Lagrave donne lecture d'un mémoire sur ce
sujet
, dont voici les conclusions : L'auto-suggestion
s'étaient montrées complètement réfractaires. Dans la statistique des
sujets
traités par lui, du mois d'août 1884 au mois de j
traités par lui, du mois d'août 1884 au mois de juillet 1885, sur 750
sujets
, il trouvait 60 réfractaires. M. le professeur
chothérapie suggestive d'Amsterdam. Leurs statistique portant sur 414
sujets
n'en notait que 15 qui eussent été complètement r
umontpallier. Burot, ont démontré qu'il était possible, chez certains
sujets
, de provoquer par suggestion hypnotique une éléva
suggestion n'est-elle pas l'art d'utiliser l'aptitude que présente un
sujet
à transformer l'idée reçue en acte ? Et, d'autre
CII.p .313. Oservation I. — Marie Ch..., âgée de vingt et un ans,
sujette
depuis son enfance à des accidents névropathiques
irconstances suivantes : Marguerite B..., âgée de vingt et un ans est
sujette
depuis l'âge de onze ans et demi A des attaques
dorment les yeux ouverts)à une distance plus grande. Supposons que le
sujet
puteompter les doigts à 1 m. 3 heures avant la sé
phénomènes hypnotiques sont contrai-res à la morale et au respect des
sujets
hypnotisés : 2°Il sera nommé au sein de l'assem
tielle sera donnée à cette question tandis qu'elle continue d'être un
sujet
d'étude pour les savants et les théologiens. D'
le salut et les bonnes mœurs. Par conséquent, les magnétiseurs, les
sujets
hypnotisés et les spec-tateurs pèchent contre les
e mise en doute. Au point où nous en sommes, tes discussions sur ce
sujet
ne peuvent avoir lieu que dans le camp scientifiq
n individu quel qu'il soit, ou s'il convient de n'y soumettre que les
sujets
hystériques. Quant au coté moral, bien que l'Eg
e dont la guérison se main-tient depuis de longues années. Les autres
sujets
que nous avons traités étaient des ivrognes que n
ommeil hypnotique a surtout pour but d'augmenter la suggestibilité du
sujet
, de le préparer A recevoir la suggestion -qui
ion hypnotique. Je n'ai pas personnellement assez d'expérience sur ce
sujet
pour en juger, mais je sais que d'excellents expé
ecousses. Le livre de M. Beaunis et celui M. Bernheim contienent a ce
sujet
les observations les plus caractéristiques. Les
le du mémoire de MM. Gilles de la Tourette et Cathelineuu sur le même
sujet
. Il est juste de iairc remarquer que, chez les
uu sur le même sujet. Il est juste de iairc remarquer que, chez les
sujets
de ces auteurs, le sommeil léthargique n'avait du
ie, vous aurez été surpris, assurément, d'y rencontrer, parmi tant de
sujets
d'une incontestable actualité, qui intéressent au
empare de lui et lui cause une impression très pénible. Chez certains
sujets
, le premier symptôme du morphinisme se traduit pa
'abord la difficulté très grande éprouvée au début pour c plonger les
sujets
en eut hypnotique, résistance qui n'a pu être vai
luence de la fascination dépend de la volonté ou de l'intelligence du
sujet
, tandis que par la puissance de l'éblouissement c
rises, c'est un moyen doux. Jamais je n'ai vu à la première séance un
sujet
être d'emblée en état complet d'insensib lité.
arfois de mettre en présence d'un miroir à alloucttcs en' rotation un
sujet
névropathique quelconque pour voir se développer
il spécial et progressif qui diffère du sommeil naturel en ce que les
sujets
tombent en catalepsie avec anesthésie du tégument
père d'une façon très simple: en soufflant légèrement sur les yeux du
sujet
. L'auteur rapporte à la même cause l'arrêt de l
on par la seule action vive cl brusque du regard de l'opérateur. « Le
sujet
est comme frappé de stupeur, sa volonté est paral
océdé pour hypnotiser est le suivant: l'opérateur se place en face Ju
sujet
couche et se sert de ses pouces pour produire ta
sur l'hypnotisme et la suggestion. Ce cours était le premier sur ce
sujet
dans Ics univérsités italiennes; il fait beaucoup
ux italiens un compte-rendu détaillé du cours de M. Morselli avec les
sujets
de ses leçons : 1re Leçon. — Aperçus historique
physio- psychologique sur les procèdes hypnotiques. Présentation de
sujets
. Expériences. IVe Leçon. — Elude des phénomènes
Preyer. Leçon. — Sur les dangers de j'hypnotisatioa répétée sur les
sujets
nerveux. Thérapeutique suggestive, ses avantages
ques de l'hypnotisme et une partie expérimentale avec présentation de
sujets
. Notons que c'est '..i première fois qu'on a fait
grossesse^ d'un état ncne-ix spéciale hystérique, où la suggestion du
sujet
désirant ardemme;:; :n enfant] avait fait tous le
se réduisent en réalité à un seul ; la suggestion. -Impressionner le
sujet
par la parole, le geste ou une pratique quelconqu
rer à Belzébuth qui y reste. (Réal Encyclopédie t. X). Passons à un
sujet
plus sérieux, etc. (Médecine moderne N" 11, 1890.
et font de la suggestion thérapeutique n'ont vu, sur des milliers de
sujets
, le moindre inconvénient sérieux en résulter. L
action irrésistible qu'une suggestion hypnotique exerce chez certains
sujets
n'a pas encore été faite d'une façon évidente. ^'
l est possible, dans certains cas, de faire commettre un crime par un
sujet
sans qu'il soit mu par aucun intérêt personnel, s
faire réaliser d'une façon inconsciente et irrésistible, parcertains
sujets
, des suggestions criminelles ou délictueuses ;
ggestions criminelles ou délictueuses ; 2" Ceux qui pensent que les
sujets
en accomplissant la suggestion cobv' servent dans
ie réelle. «Ce sont là. disent-ils, des crimes de laboratoire, que le
sujet
réalise parce qu'il a cofinance dans l'expériment
déjà une tendance violente à cette satisfaction et que la moralité du
sujet
n'était pas des meilleures. » . « On remarquera
s dangers qui pourraient résulter de suggestions faites chez certains
sujets
, dans un but délictueux ou criminel. Dans le de
ntéressante discussion s'établit à la suite de cette communication au
sujet
du diagnostic, et les membres qui y prirent part
tique, la notion de la personnalité est habituellement conservée. Les
sujets
savent en général qui ils sont ; ils se sentent e
d.-> intervalles plus ou moins éloignés et se partagent la vie du
sujet
; dans le troisième (reversion), lu personnalité q
rgit durant le sommeil n'est que la reproduction de celle qu'avait le
sujet
k une époque antérieure de son existence. Quelq
onnalité par aliénation. — 11 n'est pas très rare 1 de rencontrer des
sujets
qui, pendant les accès de somnambulisme spon- \ t
u démon. L'aliénation peut être provoquée artificiellement chez les
sujets
hypno-tisés et suggestibles. M. Ch. Richer (3) l'
ainsi que le fait remar-quer Lombroso, cette limite est variable d'un
sujet
à l'aune, et, chez un même sujet, elle varie avec
roso, cette limite est variable d'un sujet à l'aune, et, chez un même
sujet
, elle varie avec le degré de l'éducation hypnotiq
chologie biologique, séance de 22 février, 1826 démontré qu'un même
sujet
écrit d'une façon différentes quand on lui suggèr
s quu'on voit le traits de la pysionomie et les allure générales du
sujet
se modifier et se mettre en harmonie avec l'idée
n'apparaît pas. en pér.éral. chez les vieux criminels, mais chez des
sujets
d une conduite habituellement régulière ct a pros
e. Ces dernières nécessitent alorsleur séquestration, et dés lors ces
sujets
cherchent a tirer part, de leur étal de mélancoli
mp; 1 égard de leurs symptômes. La séquestration n'exerce pas sur ces
sujets
d'influence moralisatrice; aussi faut-il éviter d
Ayant été plusieurs fois commis a l'effet d'examiner l'état mental de
sujets
avant survécu a un double suicide auquel ils aviî
toute la littérature scientifique de l'Europe et de l'Amérique sur le
sujet
qu'il a traité, et ses études faites pcndanl plus
'occupait depuis longtemps de l'hypnotisme. Il a fait paraître sur ce
sujet
, à New-York, un livre qui aurait eu plusieurs édi
s que pour se rendre compte de l'aptitude que la baronne avait à être
sujet
. Son intention aurait été de renvoyer les bijoux
ât a es-; procèdes que dans l'intérêt de la science ou de la santé du
sujet
. Mais où commencera le îdélit? Frappera-t-on ceux
. Le. motif* de cette défense sont : le nul que fait l'hypnotisme aux
sujet
que l'on met à l'épreuve et le danger qu'il peut
udier pendant lesdites séances les moyens à emplyer pour endormir le*
sujets
et s'en servir plus tard dans un but immoral ou c
erronées, d'absurdités, d'illogismcs, de contradictions débitées à ce
sujet
. En spectateur impartial, nous allons nous efforc
t les expériences auxquelles ils se sont livres. Ils racontent que le
sujet
a présenté, au début de la séance, une attaque d'
de Paris considère l'hypnotisme comme une névrose, et voit dans tout
sujet
facilement et profondément hypnotisable un malade
e certaine satis-taction. N'ayant jamais prétendu que les milliers de
sujets
hypnotisés par elle fussent des êtres à part, pou
Variations de la personnalité par alternance. — Supposez une personne
sujette
à des accès de somnambulisme revenant périodiquem
, laborieuse, peu affectueuse, d'un caractère triste. Elle était déjà
sujette
à des accidents hystériques variés, mais elle se
e vulgaire. Ce serait plutôt un état analogue à celui dans lequel les
sujets
éveillés accomplissent les suggestions qu'on leur
et l'une des meilleures preuves qu'on en puisse donner, c'est que les
sujets
en état de veille somnambulique peuvent passer à
dans les états de condition première et de condition seconde, sur des
sujets
atteints d'amnésie périodique spontanée. M. Azam
té qui se rencontrent assez fréquemment chez les hypnotisés. Quelques
sujets
, en état de somnambulisme spontané ou provoqué, p
beaucoup de soin les détails de cette transformation de la volonté du
sujet
,_ don: U fut obligé de reconnaître la réalité apr
nt un aimant sur son bras droit paralysé. Quelques secondes après, le
sujet
est transformé : l'hémiplégie et l'bémianesthésie
Je l'aimant sur la nuque provoque une paraplégie avec contracture: le
Sujet
interrogé se croit a Saint-Urbain, il ne connaît
on attribue à la suggestioa, c'est-à-Jire l'influence de la pensée du
sujet
sur ses propres nerfs, il n'en faut pas moins, qu
ié en I887 : « Un voit, comme première conséquence de ces lois, qu'un
sujet
peut se donner à lui-même toute espèce d'hallucin
rsonne lui aurait données. — (Je rappelle nue le plus grand nombre de
sujets
présentent l'anestmHie cutanée, au moment où ils
le qui. vraisemblablement, un jour sera fort étendue; la nouveauté du
sujet
fera pardonnera ce volume ses imperfections. Co
ules aussi ardues, personne ne songea à entamer une discussion à leur
sujet
. Ce n'est que vingt ans après qu'on les retrouv
s suicides sous différentes forme.* et ù échéances diverses. Quelques
sujets
, sur rio're ordre, pendant l'état hypnotique, se
nous eûmes toutes les peines du monde à la dissuader. « a certains
sujets
nous avons fait tirer des coups de revolver sur «
t, dans ce cas, d'étudier l'état de l'esprit dans lequel se trouve le
sujet
lorsque l'ordre doit être accompli peu de temps a
i à une échéance assez longue plusieurs heures ou plusieurs jours; le
sujet
se rend compte de la gravité de l'action qu'il va
ent pas vouloir ». «Le fait suivant montrera jusqu'à quel point les
sujets
sont persuadés de leur propre responsabilité: L..
x témoignages, même par simple suggestion à l'état de veille, par des
sujets
très sensibles. Si nous avons tenu à citer, en
ire pour établir la possibilité de faire commettre des crimes par des
sujets
agissant sous l'influence d'une suggestion aussi
uni d'un revolver et de quelques cartouches. Je ne Toulais pas que le
sujet
mis en expérience, et que je pris au hasard parmi
ivrés, chacun de leur côté, à des recherches personnelles sur le même
sujet
, sont arrivés, malgré des divergences d'interprét
en quelques lignes concluantes (1) : - « En tous cas, même quand le
sujet
résiste, il est toujours possible, en insistant,
faire exécuter l'acte voulu. Au fond, l'automatisme est absolu et le
sujet
ne conserve de spontanéité et de volonté que ce q
médecin appelé1 à donner son avis sur le degré de responsabilité d'un
sujet
convaincu d'avoir accompli un acte délictueux ou
t en ayant été frappé de la facilité avec laquelle un grand nombre de
sujets
se trouvaient mis dans un état d'automatisme abso
phases. - « Dans l'état de somnambulisme, il provoqua aussi, chez ce
sujet
, un grand nombre de suggestions. Il lui suggéra,
r s'emparer de l'argent contenu dans la caisse de l'établissement. Le
sujet
, garçon d'une probité reconnue, n'hésita pas à se
nces sont rigoureuses et vraies; je m'engage à les reproduire sur des
sujets
nouveaux dans tous les hôpitaux. Je délie nos c
ous les hôpitaux. Je délie nos contradicteurs de reproduire sur des
sujets
nouveaux, dans des conditions telles que la sugge
ons, qu'on essaie donc de faire avec un gredin un honnête homme ! Les
sujets
ne manquent pas, et le but en vaut la peino. Qu
me rétroactive. On peut le prévenir infailliblement en annonçant au
sujet
qu'à son réveil il se trouvera très bien; et si o
le qu'il soit médecin ou fe fasse assister d'un médecin. Mais, à ce
sujet
, je ne puis assez recommander .à tous ceux qui hy
ns « militaires notre armée deviendrait hystérique, etc. Passons a un
sujet
« plus sérieux, etc. (Médecine moderne, n°11, 189
it aisément hypnotisable; qu'a plusieurs reprises elle avait servi de
sujet
à des expériences plus ou moins légitimes du magn
mnambulisme, périodes par lesquelles on fait passer successivement le
sujet
, à l'aide de certaines manœuvres. La catalepsie p
t par l'ouverture des yeux chez l'individu endormi. On fait passer le
sujet
de l'état précédent dans l'état de léthargie par
ion du regard ou une simple friction sur le vértex, on fait entrer le
sujet
dans la troisième période, la période somnambuliq
me n'est pas un état pathologique, mais s'observe aussi bien chez les
sujets
sains que chez les hystériques, et relève puremen
n'est certainement pas à une différence dans l'état psychologique des
sujets
sur lesquels on opère, car des observateurs tels
ent par la parole ou les gestes de l'expérimentateur, agissant sur un
sujet
en état de somnambulisme, c'est-à-dire dans un ét
dans n'importe quelle période, etc. En un mot, il est facile, chez un
sujet
très suggestible, de produire pour ainsi dire ce
r à cela que le fait de pouvoir produire ces phénomènes chez certains
sujets
, uniquement par la suggestion, ne prouve pas qu'o
rs, il ne m'a pas encore été donné d'observer ces phénomènes chez des
sujets
vierges de toute hypnotisation antérieure, bien q
un nombre déjà assez considérable d'expériences d'hypnotisme sur des
sujets
hystériques ou non, dont le résultat à cet -égard
gestion, toutes les phases précédemment décrites, et réalisé chez ces
sujets
le type complet du grand hypnotisme, parfois dès
plus considérable, suivant la suggestibilité plus ou moins grande du
sujet
. En un mot, dans ce dernier ordre de faits, les
ins grande du sujet. En un mot, dans ce dernier ordre de faits, les
sujets
reproduisaient à volonté, soit le type de l'École
ai jamais rien obtenu qui fût spontané, personnel pour ainsi dire, au
sujet
en expérience, rien qui, pour moi, ne relevât du
étudie la suggestibilité à l'état de veille, — que j'ai observé deux
sujets
n'ayant jamais été hypnotisés, qui étaient sugg
c la majorité des observateurs, les recherches q»e je poursuis sur ce
sujet
depuis plusieurs années me conduisent à formuler
selon moi, qu'il faut expliquer pourquoi on rencontre si souvent des
sujets
hypnotisables dans l'armée et dans la marine, et
e. L'École de Nancy, au contraire, admet que l'on peut, chez certains
sujets
, produire par suggestion, l'accomplissement d'act
suggestion. « Au jour fixé, à l'heure dite, l'acte s'accomplit et le
sujet
exécute mot pour mot ce qui lui a été suggéré; il
on se pose snr le terrain suivant: Peut-on. oui ou non, chez certains
sujets
, et A l'aide de la suggestion hypnotique, détruir
te, dant n'importe quel domaine, et je crois anssi. que chez certains
sujets
, très rares d'ailleurs, on peut obtenir des effet
de propos libere, se prêterait à une expérience de ce genre, avec des
sujets
analogues à ceux que j'ai actuellement dans mon s
'enlever chaque fois toutes les suggestions que l'on a faites chez le
sujet
hypnotisé. C'est en ne suivant pas ces préceptes,
ent, en effet, de laisser persister, pendant un certain temps chez un
sujet
, une contracture, une paralysie, une anesthésie.
arce qu'elles tendent à rectifier des opinions erronées émises sur ce
sujet
. On objecte fréquemment que si l'hypnotisme fait
abuser de ce traitement, et qne la trop fréquente hypnotisation de
sujets
hystériques on névropathes peut provoquer des tro
après avoir été soumise à l'hypnotisation. Il me semble que l'état de
sujets
hvpno-tisés au moins deux fois par jour par des m
t se garder de négliger les précautions que réclame la délicatesse du
sujet
. Le sensitif qui observe doit toujours s'affranch
co-légal, il existe un crime, le viol commis par l'hypnotiseur sur lo
sujet
endormi, ainsi que le démontrent péremptoirement
la porte des laboratoires. Violentez, si vous le pouvez, l'esprit du
sujet
endormi au point de lui faire accepter une sugges
era à la volonté de l'hypnotiseur. Car, il ne faut pas l'oublier, les
sujets
, chez lesquels il existe les stigmates insimu-lab
e sommeil provoqué ne diffère de l'état normal qu'en ce qu'il rend le
sujet
plus apte à recevoir la suggestion (1). La sugg
(1). La suggestion ! ce mot magique explique tout. Vous endormez un
sujet
malgré lui, en frappant un coup de gong à l'impro
(2), auto- (1)« Il ne faudrait pas croire, dit M. Bernheim.que les
sujets
impressionnés soient tous des névropathes, des ce
rapportées par M. Bernheim sont démonstratives et que la majorité des
sujets
qu'il endort ne sont pas des névropathes. Analyso
ruels, 2. Et M. Bernheim, après une telle énumérauon, affirme que ses
sujets
ne sont pas des névropathes, puisqu il veut bien
es ne sont pas des nerveux au premier chef? Que serait-ce donc si les
sujets
navaient pas été • choisis à dessein pour répondr
ût été une grande satisfaction que de guérir par suggestion plusieurs
sujets
dout l'état est resté stationnai» (3) Fontan et
er, sur l'affaire La Roncière Le Noury, Dlysse X., Emile D., tous les
sujets
hystériques agissant spontanément (4) dans une pé
se contenter des descriptions, plus ou moins vagues, données par les
sujets
; aujourd'hui on a, grâce aux dessins en quefiion,
ment ou l'on pourra en dégager une loi physique ou reconnaître quo le
sujet
est sous l'empire d'une hallucination persistante
e telles discordances entre les phénomènes décrits par les différents
sujets
, qu'il ne croit pas qu'on puisse encore formuler
par M. Bertrand, professeur à la Faculté des Lettres. Elle avait pour
sujet
: « Un précurseur lyonnais de l'hypnotisme ». M.
ittés une première fois, le» condamna, le 2 mai dernier : Sylvain, le
sujet
, à douze peines de quinze jours d'emprisonnement
l'École de la Salpètrière, ni au point de vue de l'Ecole de Nancy, le
sujet
ne présentait aucun caractère de l'état hypnotiqu
ae). Celte rapide nomenclature montre la quantité et la variété des
sujets
irailés; j'ajoute que la plupart de ces mémoires
d'hystérie, avec manifestations erotiques et dépravation morale, est
sujette
à des accès d'agitation maniaque pendant les péri
celle du mémoire de MM. Gilles de la Tourette et Cathelineau, que mes
sujets
ont dormi hypnotisées : 2 pendant 3 semaines de
t 3 semaines de suite, 1 pendant 1 semaine de suite, tandis que les
sujets
de ces deux observateurs n'ont dormi que une heur
ement chez des malades qui dorment de huit à vingt jours que chez des
sujets
dont le sommeil ne dure que une heure à huit heur
isse à l'influence d'une suggestion hypnotique ou post-hypnotique, le
sujet
.accomplit l'acte coupable avec la même irrésistib
Garnier, prouvaient qu'il est facile de faire commettre un vol par un
sujet
mis en état de somnambulisme, M. Mesnet acceptait
Presque tous les hommes qui ont eu l'occasion d'expérimenter sur des
sujets
très sensibles sont arrivés aux mêmes conclusions
modalités les plus variées de l'hypnose, l'idée qu'il considérait ces
sujets
tl) -iT'iir'i 'jènrialtt de Médecine, ("Trier 1
impressario (on ne nous dit pas de qui il s'agit) hypnotisait le même
sujet
et lui disait : « Demain, à midi, vous irez, 80,
rits; vingt personnes assistèrent à ce réveil et à la stupéfaction du
sujet
, s'éveillant au milieu d'un cabinet de travail et
représentants de l'Ecole de Nancy, c'est qu'au lieu de porter sur des
sujets
hystériques, elles étaient faites sur des sujets
eu de porter sur des sujets hystériques, elles étaient faites sur des
sujets
considérés comme normaux. En effet, dès 1883, M
le commentaire suivant : « L'hypnotique est donc bien dans ces cas le
sujet
de l'expérimentateur et sa responsabilité morale
lée obéira avec une précision mathématique. On pourra faire écrire au
sujet
des promesses, des reconnaissances de dettes, des
tre chose que des miniatures de crimes expérimentaux accomplis par un
sujet
inconscient, dirigé par un coupable resté inconnu
hésite à se prêter à ce genre d'expérience. On a également suggéré au
sujet
l'idée de dérober, par exemple, des photographies
nt d'une impulsion irrésistible avec conscience ; c'est-à-dire que le
sujet
parfaitement présent et ayant la conscience de so
e serait pas sensiblement différente; interrogé récemment sur le même
sujet
par des journalistes, il leur répondait en effet
ants, mais sans aucune modification. c Par exemple : je montre à un
sujet
, sur le parquet absolument net, un serpent ou un
ole de Nancy, qu'il est assez facile d'obtenir d'un certain nombre de
sujets
la réalisation de suggestions délictueuses ou cri
ait, personne même n'invoque l'argument d'une simulation possible des
sujets
. La division ne résidé donc que dans l'interpréta
ation des phénomènes. Tandis que les uns professent que chez certains
sujets
l'automatisme est absolu, que la conscience est c
irment que l'abolition de la liberté morale n'est que fictive, que le
sujet
discute la valeur et la gravité de l'acte suggéré
ffirme qu'il peul être obtenu, dans lous ses degrés, chez beaucoup de
sujets
absolument sains, nullement névropathes, aussi bi
e, qui est celle-ci : La suggestion hypnotique peut conduire certains
sujets
à des actes criminels. Ceci est admis par l'École
l'E:ole de la Saipêtrière, ni au point de vue de l'École de Nancy, le
sujet
ne présentait aucun caractère hypnotique. M. Del~
lisme provoqué, et, en outre. Je puis par sugfrestion produire sur ce
sujet
tous les signe caractéristiques invoquées par l'E
rofesseur à la Faculté de Droit de Nancy, après un examen sommaire du
sujet
et après plusieurs expériences faites par lui, s'
nes intéressées (1). Mais je vous donne volontiers mon opinion sur le
sujet
dit Vandevoir que le D' Carlier a soumis à mon ex
'un instrument irresponsable. Tel est, cher collègue, mon avis sor le
sujet
que j'ai vu. » Quant à moi, j'avais donné le 20
tupéfaction à l'égard des motifs invoqués par eux pour établir que le
sujet
en question simulait l'hypnose. Cest tout au plus
moi instantanément et j'ai acquis la plus complète conviction que le
sujet
était plongé dans l'hypnose. Il a suffi pour cela
. delbœuf , professeur à la même Université La patiente qui fait le
sujet
de cette intéressante communication est une femme
érées. On pourrait peut-être nous objecter que la femme qui fait le
sujet
de cette observation a ressenti toutes les douleu
ue. Cela exclut, me semble-1-il, tout idée de tromperie de la part du
sujet
. La conclusion du /> G. Chaigneau (1) et d'a
constances tout à fait exceptionnelles, comme quand on a affaire à un
sujet
très sensible, ou qui a subi antérieurement une s
ation soit perçu par la main sensitive, et comment il l'est, c'est un
sujet
que jadis j'ai développé déjà. Mais c'est aujourd
ons renforcer et affaiblir les effluves. Je faisais lever une main au
sujet
et, si je plaçais ensuite les doigts de ma propre
hauteur, elles n'étaient ni plus courtes, ni plus longues. — Chez un
sujet
réchauffé par la marche, les vapeurs des doigts s
a même hauteur, semblables à de la fumée. Plus on s'étendait sur ce
sujet
, plus on se rendait compte que toute activité vit
rapporter les précédents résultats au kilogramme d'individu saiu. Le
sujet
fut alors plongé en somnambulisme pendant trois p
aminé deux nouvelles malades, ce qui porte à trois le nombre de leurs
sujets
. Or, chez la première malade, il y à pendant le s
t c'est sur ces trois faits, aussi peu comparables entre eux chez des
sujets
qui, comme les n" 2 et 3, donnent à l'état de vei
disaient-ils, dans laquelle la suggestion était possible. De plus, le
sujet
ayant accusé de violents maux de tète, ils avaien
e. Les maux de tète furent rapidement combattus par la suggestion. Le
sujet
tombait dans un sommeil profond, il n'était pas h
e rester au lit au moins trois jours par semaine. De plus, elle était
sujette
à l'insomnie. En une seule séance do sommeil pr
». N'agirait-il pas plutôt eu diminuant la résistance involontaire du
sujet
? J'obtiens journellement, par application de l
o-thérapeute de la Salpétrièrc. Qu'il nous soit cependant permis à ce
sujet
, bien que nous n'ayons pas été oubliés, de faire
l'auteur a trouvé des minima perceptibles très différents suivant les
sujets
et suivant l'odeur, variant par exemple de 1/1000
uivant l'odeur, variant par exemple de 1/1000° de milligramme pour un
sujet
avec le Winter green à 2 milligrammes avec l'éihe
s nombres croissent avec le caractère agréable de l'odeur pour chaque
sujet
; à ce point de vue l'olfactomèlre est un explorat
CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Lettre de M. le professeur Masoin au
sujet
des guérisseurs de ? raine-le- Cnate au Mon che
. à l'École pratique de la Faculté de Médecine, un cours libre sur le
sujet
suivant: Psychologie physiologique et pathologiqu
lcoolisme en Horwège.-- - M. Dahl constate dans une brochure sur ce
sujet
, que dans ces dernières années le nombre des alié
s. Rien n'est plus erroné que cette conception. Sur des milliers de
sujets
que j'ai traités par suggestion, je n'ai pas obse
voient qu'elles sont difficiles. Fixer avec persévérance les yeux du
sujet
, faire des gestes, des manipulations, des passes.
y arriver. C'est une affaire de quelques secondes ponr la plupart des
sujets
, d'une minute on deux à peine pour quelques récal
nière de faire qui m'est devenue assez habituelle. En interrogeant le
sujet
, j'appelle son attention sur on symptôme spécial,
ont eu une hypnose fugitive qu'on n'a pas su maintenir, parce que le
sujet
, suivant dans cet état de conscience nouveau l'hé
longation de l'hypnose, n'arrive cependant pas toujours chez tous les
sujets
, dans les premiers essais. 11 faut chez eux une s
certaine brusquerie pour réprimer les velléités de résistance. Si le
sujet
cherche à se ressaisir, comme cela arrive, et rou
érience individuelle seule, je le répète, apprend à devenir maître du
sujet
. En procédant ainsi, j'arrive, à ma clinique, à
amnésie). Dans la pratique civile, lorsqu'on agit isolément sur des
sujets
qui n'ont pas été suggestionnés par l'exemple, et
(catalepsie suggestive, persistance du souvenir au réveil; souvent le
sujet
ne croit pas avoir dormi, mais il a été influencé
is, étudié l'hypnotisme sous la direction de Wetterstrand : Sur 209
sujets
soumis À l'hypnotisme, 16 arrivèrent à la somno
À l'hypnotisme, 16 arrivèrent à la somnolence (influence légère; le
sujet
peut encore, en appliquant son énergie, résister
la suggestion et ouvrir les yeux); 116 arrivèrent à l'hypotaxie (le
sujet
ne peut plus ouvrir les yeux; il obéit à une part
ue : La suggestibilitë hypnotique appartient à l'immense majorité des
sujets
; ce n'est pas un fait exceptionnel ; les réfract
onde lui cédât, s'entêtait dans des discussions interminables sur des
sujets
futiles, ressassant les mêmes histoires à quelque
t été faites par une personne agréable ». (2) Dans ces conditions, le
sujet
ne ferait que ce qu'il v«--ut bien faire, que ce
spirées par des expériences personnelles dans le cours desquelles les
sujets
n'ont pas exécuté avec le même automatisme toutes
es précis il s'exprimait : « Quand l'hypnotiseur veut exprimer à un
sujet
honnête un acte délictueux, il rencontre une rési
ête un acte délictueux, il rencontre une résistance invincible. Si le
sujet
obéit, c'est non point parce qu'il est dominé, c'
emain un hypnotisé était accusé d'avoir abusé de son influence sur un
sujet
pour lui faire commettre un crime,.M. Brouardel,
avaient été frappés de ce fait caractéristique que, alors même que le
sujet
accomplit l'acte suggéré d'une façon irrésistible
l'acte suggéré et surtout suivant l'état même du somnambule. Quand le
sujet
a été souvent hypnotisé et surtout qu'il l'a été
lutte apparente et sans tentative appréciable de résistance. « Les
sujets
ne se trouvent pas toujours, du reste, dans des c
e présente surtout quand on est resté quelques jours sans endormir le
sujet
; il semble, dans ce cas, que le rapport étroit qu
rtains cas. cette lutte intérieure peut durer très longtemps, mais le
sujet
finit toujours par céder. > « Ainsi, il a ob
lus longtemps, mais elle avait été certainement moins violente, et le
sujet
avait cédé encore cette fois; l'impulsion irrésis
Dans son étude sur les suggestions hypnotiques, à côté de certains
sujets
qui présentaient un automatisme absolu, M. Pitres
ou qui révoltait sa conscience. M. Beaunis a observé chez un de ses
sujets
un procédé de résistance tout différent : Lorsq
ormir. Nous avons nous-mêmes été témoin assez fréquemment, chez des
sujets
cependant très suggestibles, de résistances tout
mment par l'expérimentateur, il arrivait souvent que la résistance du
sujet
pour l'accomplissement de tel ou tel acte avait s
ns-nous pas entendu tenir, par certains expérimentateurs devant leurs
sujets
, les propos suivants ou d'autres analogues : « Te
res analogues : « Tenez, nous pouvons faire commettre facilement à ce
sujet
telle action, mais nous sommes impuissants à lui
r obtenir la réalisation d'une suggestion délicieuse, par exemple, le
sujet
tombera infailliblement en léthargie, ou bien il
ention, on voit que ses réponses sont un peu incomplètes sur certains
sujets
; elle a oublié son âge et ne sait plus où elle a
ait pour écarter toute idée de simulation, car il est impossible à un
sujet
normal de reproduire celte contracture. Les car
elle peut se résumer en quelques mots : son père était alcoolique et
sujet
à de grandes attaques hystériques ou épilepliques
. à l'Ecole pratique de la Faculté de Médecine, un cours libre sur le
sujet
suivant : Psychologie physiologique et pathologiq
mis de la religion ne seront-ils pas les premiers à regretter que des
sujets
scientifiques soient traités avec autant de légèr
l'alcoolisme Le prix Belhomme, djune valeur de 800 francs, avait pour
sujet
: « De la vision chez les idiots et les imbéciles
énéralement les malades veulent être guéris et non être pris pour des
sujets
d'expériences. Dans beaucoup de cas, les prescrip
va quelquefois à rencontre du but, en incarnant dans l'imagination du
sujet
l'idée qu'il s'agit d'une lésion organique diffic
adie. Remarquons, en terminant, l'intérêt que présentent de pareils
sujets
au point de vue physiologique. « lis réalisent, c
xpérimentale des suggestions criminelles. La question de savoir si un
sujet
peut commettre un crime ou un délit sous l'influe
t que des suggestions criminelles peuvent être réalisées par certains
sujets
, d'autres, au contraire, affirment que le sujet t
alisées par certains sujets, d'autres, au contraire, affirment que le
sujet
tombera toujours dans une attaque de nerfs ou de
lles, s'est rallié à l'École de Nancy. Il a seulement observé que les
sujets
pouvaient, dans certains cas, avoir la conscience
ats, d'un ordre élevé de La Cour de Paris, consistait à ordonner à un
sujet
d'aller, après son réveil, frapper d'un coup de c
Les magistrats, cachés derrière un rideau, virent, avec élonnemenl le
sujet
, qui ne soupçonnait pas leur présence, venir donn
t simplement un mannequin donnant l'illusion d'une malade couchée. Le
sujet
avait reçu La suggestion de ne pas se souvenir de
nom du complice qui l'avait suggéré. Cependant, trois jours après, le
sujet
revenait à la Salpélrière. Sa physionomie portait
de celle hallucination. Depuis, M. Voisin a fait exécuter, au même
sujet
, une suggestion criminelle d'un autre ordre. Il l
luante et qu'ils ne tenaient pas à la voir recommencer. Cette fois le
sujet
n'éprouva aucun remords de l'acte qu'il avait com
Salpêtrière le 31 mai, à dix heures, jour de l'ouverture du cours. Le
sujet
, qui habite Belleville, était arrivé a l'heure fi
lpêtrière. La suggestion se réalisa comme elle avait été indiquée. Le
sujet
, immédiatement après sou réveil, se leva comme mu
M. Voisin se croit autorisé a conclure qu'il n'est pas exact que les
sujets
aient toujours une crise de nerfs au moment d'acc
es moyens à employer pour hypnotiser, cela m'entraînerait hors de mon
sujet
; je me contenterai de renvoyer aux traités spécia
sont des odeurs suaves, et réciproquement. Eh bien ! suggérez à votre
sujet
que la fumée du tabac a une odeur répugnante ; di
êve chez des individus plongés dans le sommeil hypnotique. Le premier
sujet
sur lequel nous avons observé l'existence de rêve
ter que son rêve portait sur ses préoccupations journalières. Chez ce
sujet
, le rêve était tellement absorbant qu'il était tr
amusés a lui faire raconter diverses choses. Dès qu'il est mis sur ce
sujet
, il devient Intarissable. En un mol, grâce à cett
e : « Surtout, vous ne me ferez pas parler en dormant Chez les deux
sujets
que nous avons observés, le rêve ne survenait quo
re. Il nous reste à étudier les rêves que pourraient amener, chez ces
sujets
, diverses impressions sensorielles, indépendammen
i rapide. Des mouvements inconscients se produisent dans la main du
sujet
, et bien que très légers et à peine perceptibles,
re. Tardieu, dans une Étude médico-légale de la folie, traite le même
sujet
, mais moins profondément. De même Legrand du Saul
imal, un lion, par exemple ; sous l'influence de celte suggestion, le
sujet
, tout en discutant, tout en raisonnant les effets
xysme du transformisme vital, le haschischéen n'est plus un homme, un
sujet
: c'est l'être ou la chose qui, victorieusement, a
parler. Ainsi soumis à ce délire de son imagination, l'homme, ou le
sujet
, est-il endormi ? Est-il même dans cet état incon
frontière qui sépare la veille du sommeil profond ! Nullement. Le
sujet
est bien éveillé, complètement dans l'état de vei
te, j'en conviens volontiers, de ce qui se passe généralement chez le
sujet
soumis à l'influence des premien effets du haschi
vous donnera une juste idée de la puissance de la suggestion sur les
sujets
soumis aux effets de cette drogue orientale. Vo
appareil destiné à évoquer les Images motrices graphiqnes chez les
sujets
atteints de cécilé verbale ...Progrès médical, 18
le font les modifications de formules. Voici quelques exemples à ce
sujet
: M. et Mme K..., gens inquiets, tendus, à caus
oux, viennent me trouver : le mari endort souvent sa femme qui serait
sujette
à des crises extatiques. Pour faire une expérie
euse, sorte de transmission fluidique maladive. Je passe à un autre
sujet
. DE L'ÉLECTRICITÉ APPLIQUÉE SIMULTaNEMENT avec
decin italien, fort instruit et de parfaite bonne foi, a rencontré un
sujet
. B..., hystéro-épileptique, qui, dans ce qu'il no
t être, selon moi, qu'un cas d'auto-suggestion scientifique. 1 Le
sujet
est dans la phase de léthargie hypnotique provoqu
de récriture, c'est-à-dire sur le pied de la F2 Mais Rainaldi met son
sujet
en somnambulisme et, après l'avoir frappé d'agrap
s musculaires dans la face et dans les membres du côté opposé chez le
sujet
hystérique en léthargie. A l'état de veille, le m
nière d'un réactif puissant, en augmentant l'excitabilité réflexe des
sujets
. Si ces stigmates étaient restes latents, il les
it été tourmenté. C'est de l'auto-suggestion. Ce n'est pas tout. Un
sujet
peut développer chez lui une hallucination et la
ation et la provoquer par suggestion à l'état de veille chez un autre
sujet
facilement impressionnable et se trouvant dans le
emarquable par sa durée et par la concordance à peu près parfaite des
sujets
qui ont vu. Laure et Marie sont d'accord sur to
interprété, en véritable artiste, plusieurs œuvres charmantes dont le
sujet
avait trait à des scènes de la vie médicale et qu
e d'agir par le seul regard ou par la suggestion mentale sur certains
sujets
; que même de tels procédés, loin d'être d'une ent
de sérieuse. Tant au point de vue pathologique que thérapeutique, ces
sujets
ont été traités suffisamment pour arriver à se fa
rsque l'idée lui vint d'écrire son livre, mais surtout d'éclairer son
sujet
de la lumière de la suggestion. Grâce au nihili
que le cerveau accepte sans critique les idées suggérées, soit que le
sujet
se trouve à l'état de veille, soit qu'il dorme ou
ditaire, mariée et mère d'un enfant de sept ans, vint me consulter au
sujet
d'insomnies qui la tenaient éveillée pendant la m
les individus. On ne pouvait mettre en œuvre ce procédé que chez des
sujets
doués d'une prédisposition naturelle particulière
de bénéficier de l'hypnotisme, il fallait faire apparaître, chez les
sujets
en apparence réfractaires, certaines aptitudes hy
il écarte les appréhensions qui existaient encore dans le public à ce
sujet
. Le malade est soumis à l'influence de l'appareil
refuser d'accepter le premier quand il accepte le second. Chez les
sujets
indociles, chez lesquels il est difficile de fixe
plus sensible et H révèle les facultés hypnotiques latentes chez les
sujets
difficilement hypnotisables. Enfin chez les ali
. Enfin l'emploi exclusif des miroirs se trouve indiqué chez certains
sujets
et dans certains cas que l'habitude et l'expérien
du miroir hypnotique. On ne relève pas, chez la malade qui fait le
sujet
de cette obserration, d'antécédents héréditaires
Comment entrer en communication pendant le sommeil hypnotique arec un
sujet
absolument sourd, même aux bruits les plus éclata
uppression du sens de l'ouïe. Ces observations, qui portent sur des
sujets
assez variés, montrent une fois de plus tous les
te méthode et a la rendre applicable au plus grand nombre possible de
sujets
; c'est ce à quoi nous arrivons par l'emploi des
dans le détail desquels je ne veux pas entrer. Elle était en outre
sujette
à des bronchites faeiles et répétées ; elle avait
s l'abitraction (mathématiciens et. métaphysiciens). Il expose sur ce
sujet
quelques résultats provisoires. *** De la nat
suggérée, est parement psychique. Limage visuelle est perçue, mais le
sujet
la neutralise inconsciemment avec ton imagination
j'ai eus à traiter a l'aide du prisme et de l'appareil do Snellen. Le
sujet
se comporte comme on simulateur. mais ce n'est pa
s. L'oreille sourde entend, la main insensible sent, mais l'esprit du
sujet
fausse ou neutralise. La lésion ou le trouble q
s les résultats de la mémoire, mais la faculté même de la mémoire. L?
sujet
sent, entend, raisonne même, mais il perd complèt
Ces expériences, en effet, ne prouvaient qu'une chose, à savoir qu'un
sujet
hypnotisé était capable de réaliser un acte à une
oint de repire, l'écoulement du temps- Il l'a étudiée chez les deux
sujets
J... et M..., deux Jeunes campagnardes robustes e
noms reviennent souvent dans ses travaux sur l'hypnotisme. Ces deux
sujets
sont, on peut dire, incapables de réduire exactem
térieurement, mais bien intentionnllement, si je puis ainsi dire, les
sujets
ayant eu la velléité de les accomplir sans y donn
e aucune autre conclusion de son travail, si ce n'est qu'il y a là un
sujet
d'étude à explorer. Recherches sur la loi paral
tastrophe dont nie Maurice tient d'être la victime, avait choisi pour
sujet
: La puissance du système nerveux. Un grand nombr
e Charcot. Toutes ces choses sont des questions non comprises dans le
sujet
qui m'occupe. La doctrine de la suggestion, et
la fonction psychique sur la fonction physique, seuls relèvent de mon
sujet
. Ainsi, avant d'entrer en matière, je formule b
e réalité que l'âme, que la réalité de l'objet l'emporte sur celle du
sujet
, que le papier et l'encre d'un livre constituent
ent systématique, un exercice méthodique de la force de résistance du
sujet
; il faut lui apprendre à vaincre les influences
de l'existence de phénomènes spirites par Eusapia Paladius. étudie ce
sujet
maintenant avec ardeur. Un serait tenté de dire :
point de départ de ces phénomènes résidait dans la suggestibilité des
sujets
, suggestibilité très variable selon leur Individu
ion que tout est dans la suggestion. En agissant par la parole sur un
sujet
, nous ne faisons pas autre chose que d'exalter sa
estion thérapeutique ne consiste qu'à faire entrer dans le cerveau du
sujet
, endormi ou non, l'idée de la guérison ou de la d
hypnotisme, je ne saurais y souscrire davantage. Quand nous voyons un
sujet
privé de sa faculté de contrôle par des procédéd
e que précédemment. II y a un moment où la suggestion amène chez le
sujet
la suppression du pouvoir de contrôle; c'est à ce
de l'hypnotisme, en 1887. C'est en faisant naître dans l'esprit du
sujet
l'idée de la guérison que l'on l'obtient. Je rapp
u sujet l'idée de la guérison que l'on l'obtient. Je rappellerai h ce
sujet
mon expérience des brûlures ; deux brûlures faite
h ce sujet mon expérience des brûlures ; deux brûlures faites au même
sujet
, a deux endroits symétriques, dont l'une était so
iseur lui arrache son secret. Rappelons d'abord en quelques mots le
sujet
du drame, d'après un compte rendu fait en 1869 pa
, puisqu'il avait déjà, à cette époque, endormi plusieurs milliers de
sujets
. On savait, dans la région, que le savant médecin
m générique d'hypnotime, l'ensemble des phénomènes provoqués chez les
sujets
par l'effet d'une action purement psychique. La v
s. Lefevre, 1821, p. 149. bale dépend du degré de suggestibilité du
sujet
et de l'autorité personnelle de l'opérateur. Su
si en telles matières le plus honnête homme du monde n'est pas aussi
sujet
à l'erreur qu'aucun autre; logiquement, chacun ne
magination forte recevant, comme on l'a dit, des traces profondes des
sujets
qu'ils imaginent, ces traces sont naturellement s
e. Trois semaines après l'accident, l'anes-thésie avait disparu et le
sujet
pouvait porter sa cuillère à la bouche avec la ma
ne lésion de la colonne vertébrale. A son entrée dans mon service, le
sujet
avait l'attitude d'un individu atteint de mal de
la névrose, et qui sera la reproduction d'un accès analogue, dont le
sujet
aura été témoin cher un autre malade. Nous y aj
re absolument différente ; être un cachet propre à l'individualité du
sujet
de l'accès imité, ou dépendre absolument de circo
circonstances fortuites et indépendantes à la fois de la crise et du
sujet
. Quelle que soit leur nature, ils n'en seront p
bat arrive fatalement, indépendamment de tout effort de la volonté du
sujet
. La crise suit son cours, et le malade ne peut
l ne pourrait l'arrêter spontanément. Le tableau se déroule dans le
sujet
, malgré lui et i son insu. Bien d'étranger ne vie
'accès la scène change; la terminaison n'est pas livrée au caprice du
sujet
comme dans le premier cas. Spontanément et d'un
aire-ment dans celle de ces formes qui est la plus habituelle chez le
sujet
. Peu a peu, cette dernière a tout envahi et res
hystérie. Mme E. C..., âgée de vingt-cinq ans, est depuis longtemps
sujette
à des coliques hépatiques. Celles-ci ont été cons
e la crise traversée par sa sœur. Ce jeune homme, qui est le second
sujet
de notre observation, est d'un tempérament faible
vérité; car il oublie d'ajouter que ma première communication sur ce
sujet
a été faite en 1886 à l'Association pour l'avance
meil normal, que les phénomènes qu'on produit dans l'un chez certains
sujets
[catalepsie, anesihésie, hallucinations, etc.) pe
s une très courte formule synthétique, tout ce que j'ai à dire sur ce
sujet
. Si l'on s'endort sur un siège placé obliquemen
t en être rapprochés : 1° Le phénomène se produit seulement sur tes
sujets
sortant d'un profond sommeil; 2° li n'a lieu qu
tifs à ce point, d'autres documents ci une plus longue observation du
sujet
. Quoi qu'il en soit, Angélina a pu forger de to
d. La lecture attentive des divers travaux qui ont été publiés sur ce
sujet
depuis un demi-siècle cl dans ces dernières année
ssi par l'amnésie consécutive au traitement? Ne savons-nous pas qu'un
sujet
peut être profondément hypnotisé, tout en gardant
ier a fait à la Société de biologie une curieuse communication sur ce
sujet
. Le but de ceue note es: de signaler un phénomène
. 11 s'agit de gustation colorée, analogue à l'audition colorée. Le
sujet
chez lequel elle a été observée présentait du res
é possible, malheureusement, d'étudier ce malade plus complètement le
sujet
n'ayant été vu qu'une fois. Il s'agit d'un homm
qu'il mangeait. Mais, par contre, les éructations auxquelles il était
sujet
, comme tous les hypochondriaques, s'associaient à
et d'autres jaunes. La difficulté qu'on avait de le retenir sur ce
sujet
qui ne lui paraissait pas important, tandis qu'il
urs pieuses intentions; et comme rien ne nous a paru plus utile à nos
sujets
ny mériter davantage d'être appuyé de notre autho
qualité de mal l'exigera; voulons que ceux qui y auront manqué soient
sujets
aux peines portées par notre présente déclaration
les issues à tous et à toutes; sa réforme, il l'applique ,à tous les
sujets
, avec des degrés. (1) Jésus de Nazareth, au poi
ercutée en se grossissant encore dans les centres impressionnables du
sujet
, Heureusement, le médecin lui parle avec calme, l
les caractères d'une suggestion claire, motivée, de façon à rendre le
sujet
docile devant un auditoire qui lui inspire une ce
mment démontrée par la clinique et par les expériences faites sur des
sujets
en état d'hypnotisme. Rappelons le malade du prof
es caractères imprimés et l'écriture. La suggestion ayant réussi, les
sujets
se trouvaient atteints de cécité verbale pure. Ch
n appareil destiné à évoquer les images motrice graphiques chez les
sujets
atteints de cecité verbale. Application à le demo
i en soit investi. Toutes les manifestations hypnotiques sont dues au
sujet
et rien qu'au sujet. L'hypnotiseur n'intervient i
outes les manifestations hypnotiques sont dues au sujet et rien qu'au
sujet
. L'hypnotiseur n'intervient ici que pour lui donn
faire. Tout le charme de l'hypnotisme est dû à la conviction qu'a le
sujet
qu'il possède ce charme. Au fond, tout hypnotiseu
nato et Hansen. Quand donc l'hypnotiseur rabat les paupières de ses
sujets
en leur persuadant qu'ils dorment, ou leur lève u
ar la force; en un mot, il se donne le prestige. En résumé, c'est les
sujets
qui font tout, mais il leur arrivera d'en attribu
l, qu'il n'aura plus mal (1) — et la prédiction se réalise. Ici. le
sujet
croit que j'ai fait quelque chose. Pourtant, cett
uite jusqu'au 15 février. Du 15 février 1891 au la mai 1891, elle fut
sujette
à de nouvelles crises extrêmement violentes; elle
n'avait ici d'autre action que de préparer l'esprit et la volonté du
sujet
à se laisser diriger dans les voies que je lui tr
été celui d'un soutien, et ma force était la confiance, la foi que le
sujet
avait en moi. D'où cette proposition, en apparenc
cause des phénomènes de l'hypnotisme réside dans la suggestibilité du
sujet
; mais, d'autre part, l'art de l'hypnotiseur con
e son côté, en quelque sorte l'agent. J'aurais beaucoup à dire à ce
sujet
; j'y reviendrai un jour avec plus de développemen
logie de certaines formes de contracture hystérique dont j'ai fait le
sujet
de ma thèse inaugurale. Je veux parler de la scol
rien de bien précis chez la première. Chez la seconde, la mère est
sujette
à des attaques d'hystérie : et, il y a un point t
d souvent des circonstances, mais surtout de l'individualité. Or, tel
sujet
réalise parfaitement la suggestion du sommeil qui
ateur dont le rôle implique alors de mater la suggestion contraire du
sujet
et d'engourdir son contrôle cérébral, afin de lui
suggestion à lui. Il devra savoir exploiter la crédulité naturelle du
sujet
, ou bien encore faire appel à son amour-propre, à
incommodée d'une déchirure complète du périnée. Elle a consulte à ce
sujet
le Dr M. de L..., gynécologue renommé de celte vi
mporte comme l'amblyopie suggestive : elle est purement psychique. Le
sujet
voit avec sa rétine, il voit avec son cerveau. La
in devrait fournir une seule image, l'autre œil ne voyant pas. Or les
sujets
voient sans hésitation deux images également nett
l'un des verres est rouge et l'autre vert. A travers ces lunettes le
sujet
lit sur un cadre noir six lettres recouvertes de
ce même carré vert étant placé devant l'œil sain armé d'un prisme, le
sujet
voit deux carrés verts ; donc l'image fournie par
un œil ; le centre sensoriel voit la vraie couleur ; mais l'esprit du
sujet
ne la voit pas. Mon explication n'a pas été sai
» Mon explication sera plus claire, si je dis que l'imagination du
sujet
est altérée de façon à neutraliser involontaireme
s couleurs donne déjà lieu de penser que l'imagination capricieuse du
sujet
joue un rôle dans les résultats obtenus. L'expé
n, avec l'hémisphère droit seul. L'œil voit. lorsque l'imagination du
sujet
désorientée ne peut pas intervenir pour neutralis
é que l'œil gawhe ne peut pas lire, ni reconnaître les objets, dit au
sujet
que maintenant, il va lui choisir des lunettes, e
ce de trois pas déjà et au delà ; de plus près, le livre est gris. Le
sujet
à mal calculé la distance. Ces expériences cont
dentes, ne s'expliquent que par un caprice d'imagination. L'esprit du
sujet
, troublé par l'expérience, en face de l'échelle v
ystériques s'entendent pour simuler de mauvais foi ce symptôme. Notre
sujet
ne savait pas que l'hystérie est caractérisée par
s cette explication, je répète l'expérience, elle ne réussit plus. Le
sujet
, instruit par l'observation que j'avais faite, ne
hique bien dirigé de façon à lutter contre l'autosuggestion tenace du
sujet
a-t-il fini, au bout de trois semaines, par resta
té qu'il en est de même dans l'amblyopie suggérée. Si je suggère a un
sujet
hypnotisé qu'il ne voit pas de l'œil gauche ou pr
n. Pourquoi l'imagination des hystériques, créerait-elle, à l'insu du
sujet
, chez tous chez beaucoup, une hémianesthésie sens
s chez beaucoup, une hémianesthésie sensitivo-sensorielle gauche ? Le
sujet
ne peut pas se suggérer un phénomène dont il n'a
présente l'exercice illégal, et qu'il est préférable de laisser à ce
sujet
la plus large appréciation aux tribunaux ; que, d
naire sont a peu près muets à cet égard. La plupart des études sur ce
sujet
émanent de médecins qui ont le plus souvent appli
d'autant plus facilement chez les animaux qu'ils y sont spontanément
sujets
: les peurs morbides ne sont pas rares chez les c
s phénomènes observés sont sous la dépendance de la suggestibilité du
sujet
. Mais ce qui frappe surtout, ce sont les modalité
té. Très souvent des expérimentateurs ont déclaré à tort que certains
sujets
n'étaient pas suggestibles, parce qu'ils avaient
suggestion du sommeil. C'est ainsi que je viens d'observer plusieurs
sujets
chez lesquels la motilité s'est montrée éminemmen
sent été capables de résister au sommeil suggéré. Le premier de ces
sujets
, âgé de 32 ans, me fut envoyé par M. le Dr Dreu-m
diqué n'était pas écoulé que, malgré une résistance très évidente, le
sujet
est assis dans le fauteuil et que l'acte suggéré
ujet est assis dans le fauteuil et que l'acte suggéré est exécuté. Ce
sujet
, réfractaire au sommeil suggéré, cesse de pouvoir
sez influencé et plongé dans l'état de somnolence. Comme le précédent
sujet
, il se montre incapable de résister à la suggesti
mètres et qu'il reçoit l'injonction de le faire. Chez un troisième
sujet
, adjudaut de cavalerie, atteint d'ataxie locomotr
s lorsqu'il recevait la suggestion de tomber à genoux. Comme chez les
sujets
précédents, sa résistance aux suggestions s'adres
réalisées par nous, avec le même succès, sur un assez grand nombre de
sujets
des deux sexes, de tous les ages. Il nous a paru
montrer combien les modalités de la suggeslibilité varient selon les
sujets
II nous semble qu'on pourrait les rapprocher du c
modalité particulière de sa suggestibilité, quelque analogie avec les
sujets
dont nous venons de parler à la .Société. Nous pe
volontaires, et même dans une certaine mesure, inconscients. Chez nos
sujets
, le cerveau semble avoir perdu le pouvoir modérat
lité du sommeil provoqué était sensiblement augmentée. La plupart des
sujets
ayant acquis la certitude qu'une influenee était
ose, on la nomme post-hypnotique. Quand on suggère quelque chose à un
sujet
, à l'état de veille, avant la production de l'hyp
de ce qu'ils ont entendu. L'assertion de Pitres ( 1 ) que « Certains
sujets
ne sont pas susceptibles d'être influencés par le
par les suggestions pendant leur sommeil hypnotique, et que d'autres
sujets
acceptent les suggestions dans certaines phases d
a conclusion découle tout naturellement de ces prémisses es. Chez les
sujets
hystériques, l'influence de l'esprit sur le corps
s, sur leur organisme. Il ne faut jamais forcer l'hypnotisation si le
sujet
est rebelle chez tous les enfants il faut agir pe
elle, mais, parait-il, d'un caractère emporté et violent. Sa mère est
sujette
à des attaques de nerfs, autrefois très fréquente
n caractère fantasque, mais n'a pas de crises, t'a oncle paternel est
sujet
à des accès effrayants de colère folle. Le mala
permettre à l'observateur de suivre la série d'états de conscience du
sujet
à l'eut de veille, le sujet pouvant lui-même pren
suivre la série d'états de conscience du sujet à l'eut de veille, le
sujet
pouvant lui-même prendre note de ses sensations,
, l'auteur dit que devant les tribunaux, les témoignages de l'enfant,
sujet
à l'erreur et dominé par le mensonge, doivent êtr
as de trépidation des pieds provoquée par la flexion. La malade est
sujette
depuis deux ans à des attaques convolsives sembla
aux chrétiens adultes qui embrassent l'islsmisme. On peut lire A ce
sujet
ce que j'ai raconté dan* la Turquie officielle, r
un membre de sa famille est à ses yeux une maladie mortelle. L'un des
sujets
les plus constants de ses craintes, c'est le chol
pathique ? — de lutter contre certaines idées morbides, en forçant le
sujet
i s'en occuper. Agréez, mon cher directeur, etc
ypnologie de sérieuses difficultés: si l'on soumet un grand nombre de
sujets
au sommeil hypnotique, on constate, non seulement
n des réflexes tendineux et l'hyperexcitabilité neuro-musculaire; les
sujets
en léthargie paraissent endormis, ils ne peuvent
musculaire n'existe pas, la sensibilité est généralement absente. Le
sujet
ne comprend pas ce qu'on lui dit, mais il entend,
le sens musculaire est à ce point développé qu'il suffit de placer le
sujet
à genoux, les mains croisées, pour que «on visage
utanée, l'hyperexcitabilité de certains sens et la suggestibilité des
sujets
: l'individu en état de somnambulisme parait endo
existence. Voici ce que nous observons constamment à Nancy : Quand un
sujet
, hystérique ou non, est hypnotisé par n'importe q
esque toujours si on insiste et si on lui dit qu'il peut parler... Le
sujet
dans cet état est apte a manifester les phénomène
an membre en catalepsie, il n'est pas nécessaire d'ouvrir les yeux du
sujet
, ni de le soumettre à une vive lamiere ou à un br
uées marquent le développement progressif de cette suggestibilité. Un
sujet
environ sur six ou sept de ceux qu'on hypnotise a
oir cherché. J'ajoute qu'à Paris même j'ai vu dans trois hôpitaux des
sujets
hypnotisés devant moi; ils se comportaient tous
es sujets hypnotisés devant moi; ils se comportaient tous comme nos
sujets
..... Une seule fois j ai vu un sujet qui réalisai
e comportaient tous comme nos sujets..... Une seule fois j ai vu un
sujet
qui réalisait a la perfection les trois période
vise les états hypnotiques en neuf degrés : Dans le premier degré, le
sujet
dit n'avoir pas dormi et en effet, il a toutes le
ntanément. Dans le deuxième degré, l'apparence est la même, mais le
sujet
ne peut ouvrir les yeux spontanément ; dans le tr
nément ; dans le troisième degré, les yeux sont ouverts ou fermés, le
sujet
est susceptible de catalepsie suggestive, mais, s
ssibilité de changer l'attitude provoquée Dans le cinquième degré, le
sujet
peut être contracture par suggestion : on le défi
roduit pas d'emblée, elle résulte d'une suggestion; enlin toujours le
sujet
est suggestionnable, il entend son magnétiseur. C
thargie serait ainsi l'état le plus profond de l'hypnotisme. Certains
sujets
« brûlent les états somnambuliques et cataleptiqu
ées dans ses leçons cliniques à la Charité : il y montrait deux beaux
sujets
qui tombaient au commandement en état léthargique
la figure schématique très intéressante que M. Luys a fait faire à ce
sujet
. Richet (2) a appelé l'attention sur un état qu
e pureté parfaite. « On les rencontre de loin en loin chez quelques
sujets
, mais ils ne font pas partie de la clinique coura
tats cataleptoïdes diffèrent de la catalepsie véritable eu ce que les
sujets
répondent aux questions, ils obéissent aux ordres
catalepsie, se produit facilement en faisant de la musique devant les
sujets
en état cataleptique. Les états hypnotiques dér
partiennent aux deux états précédents. Dans l'état de fascination, le
sujet
imite servilement et automatiquement tous les ges
d'attitudes, de paroles en rapport avec les corruptions délirantes du
sujet
; l'état onéirique diffère du précédent parce que
roles; enfin l'état de veille somnambulique est celui dans lequel les
sujets
, paraissant éveillés, accomplissent les suggestio
états frustes de l'hypnotisme diffèrent A peine de l'état normal, le
sujet
est engourdi, somnolant mais non complètement end
conséquent, décrire les phénomènes qui ont présenté quelques-uns des
sujets
que nous avons hypnotisés. Afin de nous mettre à
ous mettre à l'abri de toute cause d'erreur, nous avons hypnotisé des
sujets
différents, les uns manifestement hystériques, le
les états somnambuliques nous ont été offerts par les quatre derniers
sujets
: ils s'accompagnent de la perte de la conscience
n suspend les moyens hypnogènes; les yeux sont fermés; si on défie le
sujet
d'ouvrir les yeux, il se réveille (observations I
n suspend les moyens hypnogènes; les yeux sont fermés: si on défie le
sujet
d'ouvrir les yeux, il fait de vains efforts (obse
uspend les moyens hypnogènes, les yeux sont fermés ; si on défie le
sujet
d'ouvrir les yeux, il fait de vains efforts. Si o
aractérisent par la perte de la conscience et rie la sensibilité : le
sujet
en état somnambuloïde n'exécutait pas l'ordre qui
° États somnambuloïdes sans perte de conscience ni de sensibilité, le
sujet
n'exécute pas les ordres contraires à sa volonté.
n suspend tes moyens hypnogènes; tes yeux sont fermés; si on défie te
sujet
d'ouvrir les yeux, il se réveille. c. Sommeil v
n suspend les moyens hypnogènes, les yeux sont fermés; si on défie te
sujet
d'ouvrir les yeux, il fait de vains efforts. d.
n suspend les moyens hypnogènes, les yeux sont fermés; si on défie le
sujet
d'ouvrir les yeux, il fait de vains efforts. Si o
et de catalepsie décrites par l'école de Paris et les trente premiers
sujets
que nous avons hypnotisés ne nous ont présenté qu
s décrites par Charcot existent réellement spontanément chez certains
sujets
. Voici trois faits à l'appui de cette manière de
. Il faut néanmoins remarquer que ces trois cas se rapportent à des
sujets
hystériques très caractérisées, dont les crises n
eptiques et léthargiques; nous n'avons pu obtenir ces phases chez des
sujets
ordinaires, ce qui semblerait prouver que ces éta
ques, les uns superficiels ou somnambuliques, se développant chez les
sujets
sains ou légèrement hystériques, les autres profo
riques, les autres profonds, se montrant seulement chez les individus
sujets
à des crises hystériques suivies de sommeil comat
es yeux fermés. b. Les yeux ouvert». Sans faire de distinction de
sujet
, nous admettons donc que le sommeil hypnotique pe
e premier ? Dans nos onze premières observations, nous avons eu des
sujets
de plusieurs catégories : les uns étaient très pe
s autres montrèrent le véritable sommeil somnambulique ; aucun de ces
sujets
n'a présenté ni la catalepsie, ni la léthargie. I
de présenter les phases cataleptiques et léthargiques ; ces derniers
sujets
passent, en général, d'abord par les états somnam
aits observés. Ils ne te génèrent pas pour exprimer leur opinion à ce
sujet
. La défense ne pouvait manquer une si belle occas
ement en formant deux charbons brillants. Après avoir fait asseoir le
sujet
en face de lui, le sorcier lui tient nn long disc
mmeil artificiel, soit de ramener brusquement à l'état de veille, les
sujets
préa-lablement hypnotisés ». Les zones hypnogèn
iée simple, les deux autres variétés ne se sont pas montrées chez nos
sujets
. Ce que nous pouvons certifier, et c'est là le
oblème intéressant est de se demander s'il est possible d'endormir le
sujet
sans qu'il le sache ou sans qu'il le veuille, en
t se convaincre que la pression des zones hypnogènes peut endormir le
sujet
sans qu'il le sache ou sans qu'il le veuille.
trois régions indiquées. Ceci prouve bien que l'on peut endormir un
sujet
sans qu'il le sache, mais peut-on l'endormir sans
clarer que la pression des zones hypnogènes est capable d'endormir le
sujet
sans qu'il le sache et sans qu'il le veuille. I
mémoire dans les états hypnotiques. L'étude de la mémoire chez les
sujets
hypnotisés a donné lieu à de nombreux travaux : B
ne peut être étudiée que dans les états hypnotiques dans lesquels le
sujet
entend, c'est-à-dire les état somnam-buloïdes, so
des. Dans les cas que nous avons eu l'occasion d'observer, lorsque le
sujet
hypnotisé entendait et répondait, il se rappelait
ire pour pouvoir démontrer la persistance de la mémoire, c'est que le
sujet
soit en communication avec l'extérieur et qu'il p
pnotiques, mais que nous ne pouvons nous en convaincre que lorsque le
sujet
nous répond. Examinons maintenant la deuxième p
jet nous répond. Examinons maintenant la deuxième proposition : les
sujets
ne conservent-ils au réveil aucun souvenir de ce
intermédiaires le reliant à l'état de veille; pour tous ces états, le
sujet
ne se rappelle-t-il pas au réveil de ce qui s'est
des faits écoulés pendant leur sommeil. Au contraire, tous les autres
sujets
, qui ont manifesté des états somnambuliques vérit
r les premiers, puisqu'il n'y a pas de perte de conscience et que les
sujets
se rappellent au réveil ce qui s'est passé pendan
le sommeil, il est évident que si l'on recommence l'hypnotisation, le
sujet
se rappellera ce qui s'est passé pendant son somm
omnambuliques véritables, ainsi que dans les états plus profonds, nos
sujets
n'ont généralement pas pu H rappeler des faits éc
tivement à la troisième proposition émise- à propos de la mémoire des
sujets
en état de sommeil hypnotique : d'après nos reche
es sujets en état de sommeil hypnotique : d'après nos recherches, les
sujets
en états somnambuloïdes sont les seuls qui se soi
PSEUDO-EXTÉRIORISATION DE LA SENSIBILITÉ. « Dès qu'on magnétise un
sujet
, dit le colonel Albert de Rochas (1), la sensibil
étiseur ou une personne quelconque pince, pique ou caresse la peau du
sujet
, celui-ci ne sent rien ; si le magnétiseur fait l
i le magnétiseur fait les mêmes opérations sur la couche sensible, le
sujet
éprouve les sensations correspondantes. « De pl
ssantes : lorsqu'il pique avec une aiguille l'atmosphère entourant le
sujet
, aussitôt celui-ci ressent une douleur, alors que
qu'il manifeste rien. Si l'on place un verre d'enu dans les mains du
sujet
et que l'on plonge une pointe dans le liquide, la
n la plaçant à la portée du bras de L... endormie et extériorisée. Le
sujet
étant réveillé, un aide a déterminé, a son insu,
un séjour de quelques instants en face et i une petite distance d'un
sujet
extériorisé, transmettait à ce sujet la sensation
ce et i une petite distance d'un sujet extériorisé, transmettait à ce
sujet
la sensation des piqûres dont je la perçais, vers
ans la tête de la figurine, une mèche de cheveux coupée à la nuque du
sujet
pendant son sommeil. « M. X... ayant alors empo
ainsi préparée, derrière an bureau où nous ne pouvions la voir, ni le
sujet
ni moi, je réveillai le sujet qui, sans quitter s
reau où nous ne pouvions la voir, ni le sujet ni moi, je réveillai le
sujet
qui, sans quitter sa place, se mit à causer jusqu
ne plaque photographique sur laquelle on reproduit ensuite l'image du
sujet
, chaque fois qu'on touche la photographie, l'indi
reil photographique, avait été fortement chargée de la sensibilité du
sujet
endormi et extériorisé, a donné une photographie
nsibilité avec lui. Chaque fois que M. de Rochas touchait l'image, le
sujet
endormi sentait le contact précisément au point d
ne épingle et égratigna deux fois la plaque sur l'image de la main du
sujet
: celui-ci s'évanouit, quand il fut réveillé, la
tes rouges. Nous avons essayé de reproduire ces phénomènes chez nos
sujets
: pour exposer les résultais obtenus, nous devons
, nous n'avons rien obtenu; celles-ci, étant appliquées au contact du
sujet
extériorisé et, reproduisant ensuite l'image de c
avoir pas cru jusqu'ici à ces phénomènes prouvant que, cites certains
sujets
spéciaux, il y a un semblant d'extériorisation de
le dire que l'extériorisation de !a sensibilité est la règle chez les
sujets
en état somnambulique. Quant à la possibilité de
ns l'admettre que lorsque nous serons parvenu à le reproduire chez un
sujet
non habitué aux manœuvres hypnotiques. Le doute p
précédemment aussi, si nous enlevons l'objet de la zone sensible, le
sujet
ne ressent pas les piqûres. Avec des plaques ph
rtificielle de la sensibilité n'a pu être reproduite chez aucun autre
sujet
, il faut donc admettre une particularité individu
o-extériorisation spontanée. Nous conclurons donc que chez certains
sujets
spéciaux on peut produire, par suggestion, une ps
aladie, dans un intérêt déterminé. La simulation, dans ce cas, est un
sujet
bien portant, ou tout au moins qui n'est pas atte
çu au milieu des caractères vrais de la maladie que peut présenter le
sujet
. La surdité, le mutisme, l'aphonie, l'amaurose se
uelconque frappent l'imagination, ou qui ont impressionné vivement le
sujet
lui-même, soit par un fait dont il a été témoin,
ans doute, il pourra se faire quelquefois qu'un iutérèi quelconque du
sujet
coïncide, plus ou moins exactement, avec ce que p
ontre souvent dans la grande névrose. L'examen le plus élémentaire du
sujet
démontrera qu'il est vraiment hystérique; mais pa
ple une hystérique qui simule la surdité. Nous pouvons prouver que le
sujet
est hystérique ; nous pouvons constater, autant
ensitivo-sensonilles des hystériques, elle est purement psychique. Le
sujet
voit avec sa rétine : il voit avec son cerveau ;
daient qu'il n'y avait dans l'hypnotisme que simulation de la part du
sujet
et duperie pour l'observateur. L'existence de p
de toute crainte de simulation et d'intervention active de la part du
sujet
. On voudra bien en effet, je pense, reconnaître q
d dans lequel l'observateur court risque de se laisser tromper par le
sujet
et serait livré aux caprices de la simulation.
de. Quand le neurasthénique a été une fois endormi, il devient un bon
sujet
, surtout au point de vue thérapeutique. Après c
ique. Après ces considérations générales, je vais vous présenter le
sujet
qui les a surtout inspirées : Le malade Jules J..
firmant à la famille que le lendemain il n'y paraitrait rien. « Mon
sujet
se coucha à deux heures du matin, se réveilla tre
tait passé. Il l'ignorera toujours. » M. le Dr Pujade ajoute que le
sujet
est peintre en bâtiments et qu'il n'est pas un mo
328 et suiv. Fig. 4, 5, 16, 17, 18, 19. 21. 22, 23. 24. 23, 26, 27. —
Sujets
plongés dans les divers états hypnotiques, 329
existence de la pratique régulière des injections de morphine chez un
sujet
qui, ainsi que cela arrive plus souvent qu'on ne
r le médecin en la tenant cachée. Mais il est temps d'en revenir au
sujet
que nous avons sous les yeux. J'affirme que le bâ
e toujours de les reconnaître pour ce qu'ils sont. Mais, chez notre
sujet
, nous ne rencontrerons même pas les difficultés a
uit ans, — elle a donc été fort précoce sous ce rapport, — elle a été
sujette
à des attaques de nerfs accompagnées de perte de
des moyens thérapeutiques. Pour le moment, les attaques, chez notre
sujet
,sont,en quelpue sorte, àl'état rudimentaire. Tout
e. Mais ce n'est pas tout : les stigmates permanents sont, chez notre
sujet
, parfaitement accentués et caractéristiques. Je m
lade dont je viens de vous conter l'histoire, je vais placer un autre
sujet
que quelques-uns d'entre vous connaissent très ce
t nous continuerons dans nos études, à ne nous adresser jamais qu'aux
sujets
susceptibles d'entrer dans le grand hypnotisme et
équent, toute possibilité d'une intervention volontaire de la part du
sujet
mis en expérience, peut être écartée. Si, messi
s comprendrez facilement que la présence, dans un pareil milieu, d'un
sujet
atteint de toux, d'aboiement ou de bâillement ner
es arthritique et nerveuse entrant en combinaison. Mais c'est là un
sujet
sur lequel je reviendrai, je pense, avec plus de
arder d'un peu près. Vous avez toutes chances, en poursuivant chez le
sujet
l'analyse dans une certaine direction, de relever
sés, en ce sens qu'ils reparaissaient toujours les mêmes chez un même
sujet
et de plus, fort souvent au moins, en les exagéra
distinguent profondément des gesticulations lentes et permanentes des
sujets
atteints de la chorée de Syden-ham. Oui, entre le
où l'exclamation est encore moins simple, moins brève que chez notre
sujet
d'aujourd'hui. La marquise de X..., dont Itard a
u tic convulsif, et l'on pourrait dire, par conséquent, que, chez ces
sujets
-là, le tic moteur est doublé d'un tic d'idées.
du Mardi 30 Octobre 1888 DEUXIÈME LEÇON 1er Malade. — Sur un même
sujet
: sciatique avec déformation spéciale du tronc; à
ire reconnaître chez notre homme, observée cette fois sur deux autres
sujets
atteint de la même affection (fig. 9 et fig. 10).
r tour. Mais le tout est de la voir une première fois. Vu de dos le
sujet
nous montre le tronc assez fortement incliné sur
sur laquelle j'aurai à revenir. Actuellement nous considérerons le
sujet
vu de face et nous constaterons l.M. le profess
e depuis longtemps remarqué l'attitude spéciale que prennent certains
sujets
atteints de sciatique, que d'ailleurs il existe,
solument ignorée de M. Gharcot lors de sa première observation sur ce
sujet
, laquelle date de septembre 1886. une fois de p
point malléolaire externe (f) ; le point dorsal du pied manque sur ce
sujet
. Ajoutons encore les traits suivants : quand le
ns les cas réguliers, classiques ; mais il y a à cet égard chez notre
sujet
, lieu de signaler une anomalie à laquelle j'ai fa
thognomoniques. Je terminerai ce qui concerne la sciatique de notre
sujet
, en vous faisant connaître quelques détails compl
s rêves que je viens de vous dire.» Nous mettons entre les mains du
sujet
qui ne présente aucune trace de paralysie soit da
que possible donne 18, 20 de la main droite, bien qu'il s'agisse d'un
sujet
admirablement musclé, autrefois fort vigoureux et
s ce sens ont pleinement justifié nos prévisions. Non seulement notre
sujet
, en conséquence du coup qu'il a reçu au front est
ajor, et épilepsie, mal comitial, de l'autre, coexistant chez un même
sujet
, on peut affirmer que le rétrécissement permanent
amp visuel, lorsqu'il appartient à l'hystérie, se présente chez notre
sujet
; je veux parler de la diplopie monoculaire ; cett
is trop vous engager, pour en apprendre plus long sur cet intéressant
sujet
de la chorée paralytique, à prendre connaissance
de compléter par quelques interrogations l'histoire clinique de notre
sujet
. A la mère : Votre enfant a-t-elle souffert de
ertains accidents principalement d'ordre nerveux auxquels se montrent
sujets
les ouvriers qui travaillent soit à la préparatio
n outre, la plupart des détails que nous allons vous développer à son
sujet
sont empruntés aune note que M. Marie va lire dan
à propos du cas d'aujourd'hui^ dans de nouveaux développements sur ce
sujet
. Certes, il existe chez notre homme une légère
vous relevez avec soin l'existence facilement appréciable chez notre
sujet
de petites secousses convulsives qui soulèvent de
prise aux mêmes doses, des effets fort différents chez les différents
sujets
. Celui-ci devient expansif et abonde en traits d'
ment plusieurs mois, plusieurs, années peut-être, quoiqu'on fasse. Le
sujet
n'est pas hypnotisable. — Oùva-t-on chercher que
Je vois dans les observations du groupe que j'ai parcourues, que les
sujets
ainsi frappés meurent huit jours'quinze jours, au
s ne devons pas nous attendre à rencontrer tous ces symptômes chez un
sujet
qui a survécu, a récupéré presque intrégra-lement
tique des phénomènes qui peuvent être actuellement relevés chez notre
sujet
: A. Côté gauche : 1° Il n'existe plus trace de
sait ici d'une de ces hémorragies névropathiques si communes chez les
sujets
hystériques: un examen du champ visuel qui signal
ne saurait ne pas tenir grand compte des antécédents héréditaires du
sujet
qui sont assez fortement accentués : son père en
nt interné à l'asile de Ville-Evrard ; sa grand'mère maternelle a été
sujette
à des attaques d'hystérie. Je ne me refuserai d
culièrement en décembre 1883 ; les leçons que j'ai faites alors à son
sujet
ont été publiées en italien par le regretté Dr Mi
développés d'en arrêter l'évolution, il arrive, clis-je, que chez ces
sujets
les points en question peuvent être utilisés soit
considérable qu'on serait tenté de le croire au premier abord. Sur ce
sujet
vous consulterez peut-être avec intérêtune leçon
ec 21.708 accès). Une malade de mon service, la nommée Habill... •est
sujette
à entrer de temps à autre dans ce genre d'état de
laquelle attaque d'ailleurs peut être provoquée parfois chez quelques
sujets
, par les mêmes manœuvres (pression des globes ocu
es deux cas la différence qu'on peut relever tout au moins chez notre
sujet
d'aujourd'hui c'est que, contrairement à ce qui a
en voilà assez pour aujourd'hui sur le sommeil hystérique : c'est un
sujet
sur lequel j'aurai certainement l'occasion de rev
s, sur l'histoire générale de ces amyotrophies articulaires. C'est un
sujet
d'ailleurs que j'ai traité dans maintes circonsta
e sens qu'elle montre qu'une arthrite même légère, peut chez certains
sujets
avoir pour effet de déterminer très rapidement la
rebelles. Je puis en parler en connaissance de cause car j'ai sur ce
sujet
quelque expérience et je puis citer en particulie
ille neuropathologique et y occupe un rang distingué. t. Voir, à ce
sujet
, dans un nouveau travail de M. Neumann : De la pr
et de son traitement par le sulfate de quinine. Si je reviens sur ce
sujet
fréquemment et avec insistance, c'est que je suis
ire comparaître, clans le but de l'étudier avec vous médicalement, un
sujet
fort singulier, fort original et qui, au point de
pied est ballant absolument dans l'articulation tibio-tarsienne et le
sujet
est impuissant à en opérer la flexion dorsale, ta
ies arsenicales ainsi que nous l'avons pu constater récemment chez un
sujet
qui nous a été adressé par MM. Brouardel et Marie
e béribéri sec ; souvent nous l'avons constaté en pareil cas chez des
sujets
venant du Brésil et aussi chez quelques personnes
tit fessier sont un peu atrophiés, surtout à droite. Il y a chez le
sujet
une ensellure lombaire assez prononcée. Nous si
e, je vous prierai de vous reporter à la leçon que j'ai donnée sur ce
sujet
, l'an passé (6 mars 1888). J'ai hâte maintenant
il s'agit seulement pour nous actuellement de bien montrer que notre
sujet
présente réellement un ensemble fort caractéristi
odes sans connexion mutuelle et réunis par le seul hasard sur un même
sujet
. Les lois d'une logique implacable régnent, au co
t de connaissance vulgaire et pour ne pas entrer actuellement, sur ce
sujet
, dans de longs développements, je vous renverrai
, surtout celle de l'homme adulte, et pour ce qui est spécialement du
sujet
que nous avons sous les yeux, je ne pense pas qu'
roid. La recherche des antécédents nerveux dans la famille ou chez le
sujet
lui-même est restée sans résultat. La paralysie e
nt à l'autre. Ce qui frappe tout d'abord, avec le mutisme absolu du
sujet
et l'expression de torpeur de ses traits, c'est l
éguments et surtout des extrémités et du nez ; la maigreur extrême du
sujet
survenue très rapidement, bien que l'alimentation
indiquer que les choses prennent une mauvaise tournure? On doit, à ce
sujet
, rappeler en premier lieu que, généralement, la c
de ces défervescences de « mauvais aloi » et je crains bien que notre
sujet
n'offre un nouvel exemple du genre. Quel est do
sibilité où je suis de vous dire quelque chose d'un peu précis sur ce
sujet
, je me bornerai à vous proposer une comparaison,
ion des « chorées sans complication terminées par la mort ». C'est un
sujet
sur lequel j'aurai malheureusement, sans doute, l
le : Je me suis plusieurs fois exprimé, je pense, très nettement,à ce
sujet
. A mon avis,permettez-moi de vous le rappeler en
rée et le rhumatisme articulaire coexistent souvent soit chez un même
sujet
, soit dans la famille, cela n'est nullement doute
ation, appuyée déjà sur la connaissance des antécédents personnels du
sujet
, va se trouver mieux justifiée encore, par l'étud
d'origine névropathique. Il n'est pas inutile de relever que notre
sujet
est comme on dit : «un Enfant du Siège » et qu'il
ne telle hérédité, on comprend aisément qu'A...el ait toujours été un
sujet
nerveux,singulier, bizarre, irritable et qu'à la
edouter pour bientôt une terminaison fatale. 2e Malade. Le second
sujet
dont je veux vous parler maintenant est une jeune
, chez notre malade. Ce sont de brusques mouvements cloniques qui, le
sujet
étant assis, les mains reposant sur le genou, élè
surtout au Dr Reynolds, de Londres, qu'on doit une étude régulière du
sujet
. (Epilepsy, London 1881, p. 63, clonic, spasm., s
seur Mierzeewski, de Saint-Pétersbourg,le Dr Finkelstein, a repris le
sujet
et il a insisté sur ce point que, dans l'épilepsi
Mardi 4 Décembre 1888 SEPTIÈME LEÇON 1° Relation de Fautopsie du
sujet
atteint de chorée présenté dans la dernière leç
édents personnels. Depuis l'âge de 6 ans,cette enfant s'est montrée
sujette
à des crises de colère, à des sortes d'accès de r
affinité et coexistent en conséquence très vulgairement chez un même
sujet
. J'ai nommé la neurasthénie d'une part et l'hysté
J'ai nommé la neurasthénie d'une part et l'hystérie de l'autre. Le
sujet
que vous avez sous les yeux offre ainsi que vous
e temps, plus ou moins longue, antérieurement à l'accident. Et à ce
sujet
, permettez-moi d'entrer dans une courte digressio
s en apparence. Ainsi, de parles symptômes céphaliques, voilà notre
sujet
nettement constitué comme neurasthénique : Céphal
si que je l'ai déclaré en commençant, l'hystérie se trouve chez notre
sujet
combinée àla neurasthénie. C'est là une assertion
20 ans, sont introduits dans la salle de cours). : Les deux jeunes
sujets
qui viennent d'être placés sous vos yeux, sont l'
d'entre vous qui sont au courant des questions qui se rattachent à ce
sujet
, si je leur annonce qu'il n'y a pas longtemps que
de cas, les lésions qu'on rencontre dans la moelle épinière, chez les
sujets
qui ont été atteints de paralysie infantile spina
us avons plusieurs fois retrouvée de la façon la plus réelle chez des
sujets
, qui frappés à l'âge d'élection, avaient atteint
ancé. C'est là sans doute la raison qui fait que quelquefois chez des
sujets
devenus infirmes par le fait de la paralysie infa
iculier une forme d'amyotrophie spinale progressive: mais c'est là un
sujet
dont je me réserve -de vous entretenir dans une a
occupe. J'ai été conduit par l'étude des antécédents héréditaires des
sujets
frappés de paralysie infantile, à penser que la m
eurs fois j'ai vu la paralysie générale progressive survenir chez des
sujets
qui dans l'enfance avaient été atteints de paraly
ière est, vous le savez par ce que nous avons dit maintes fois sur ce
sujet
, que les complexus noso-logiques dont il s'agit n
as plus longuement sur l'histoire de ces crises gastriques : c est un
sujet
qui mérite une étude toute spéciale et sur lequel
examen des diverses fonctions visuelles, voici quel a été, chez notre
sujet
, le résultat de l'examen : Io II existe une dim
n arbre généalogique, car sa mère, morte de phtisie pulmonaire, était
sujette
à des crises nerveuses, sans perte de connaissanc
notre malade se manifestent de bonne heure : étant petite,elle était
sujette
à de violentes crises de colère ; à la moindre co
le couleur qui soit perçue par l'œil gauche. Voici donc sur un même
sujet
un mélange, une intrication, si vous voulez, évid
utre dans des proportions et dans des relations diverses chez un même
sujet
. Incontestablement, d'après ce quej'ai vudumoins,
. Ici commence, messieurs, la seconde partie de l'histoire de notre
sujet
. Elle s'étend de 1870 à l'époque actuelle. Depu
ention de la strychnine donnée à contretemps. Ainsi, messieurs, les
sujets
qui paraissent guéris d'une paraplégie par compre
cas d'hémiplégie de cause cérébrale. point. C'est là, du reste, un
sujet
sur lequel j'ai plusieurs fois appelé l'attention
310 et suivanfes). Vous consulterez également avec fruit sur ce même
sujet
, un travail de M. Ch. Féré inséré dans le quatriè
pparition les parties centrales de la moelle. C'en est assez sur ce
sujet
pour le but que je me suis proposé d'atteindre et
régulières, se sont supprimées ; à partir de cette époque. B...ot est
sujette
à des malaises variés ; elle ressent souvent des
iques, dont nous venons de signaler la présence simultanée chez notre
sujet
, sont-ils restés absolument isolés l'un de l'autr
a prostration actuelle des forces, et aussila faiblesse originelle du
sujet
; voilà certes, des circonstances qui ne contredis
in que j'ai, pour permettre la comparaison, fait placer près de notre
sujet
et qui, le tronc dépouillé de vêtements, exécute
soit nécessaire d'insister plus, vous avez sûrement reconnu que notre
sujet
offre un assez bel exemple de ces « simulations h
quelques nouveaux traits. Je vous ai présenté déjà M...ier comme un
sujet
plutôt délicat, quoiqu'il s'agisse d'un paysan ém
que les organes où règne l'élément « infime », ne sont pas chez notre
sujet
aussi fortement excités qu'où pourrait le suppose
ysème et de l'artério-sclérose avec cœur forcé qui existaient chez ce
sujet
, on a essayé de remplacer la suspension par une t
as d'impuissance indépendants de la maladie tabétique, chez de jeunes
sujets
. Les résultats obtenus ont été généralement encou
r les points suivants: ne devront pas être soumis à la suspension les
sujets
qui sont atteints de maladies du cœur et des gros
a entreprises, depuis son retour de Russie, chez un certain nombre de
sujets
sains, jeunes et vigoureux. En outre de l'accélér
e les expériences soient tout à fait probantes puisqu'il s'est agi de
sujets
« sains, jeunes et vigoureux » qui, probablement
s lieux peu avouables chez « des affaiblis ou des anormaux». Voilà un
sujet
dont le médecin ne saurait certes pas se désintér
devra varier quelque peu suivant la grosseur de la tête et du cou du
sujet
. En ce qui regarde la grosseur de la tête, on f
pas un point d'appui suffisant. On devra donc, chez chaque nouveau
sujet
, procéder par tâtonnements, et, au bout de deux o
malades pesant de 60 à 70 kilo g., il n'en est plus de même chez des
sujets
qui pèsent 80, 90 kilog. et plus. Chez ces dernie
été depuis lors régulièrement poursuivies. Elles portent sur dix-huit
sujets
tabétiques ; quatre d'entre eux, qui n'ont pas
en la plupart des contre-indications relatives à la santé générale du
sujet
, qui doivent, dans certains cas, mettre en garde
gnorons d'autre part si, il n'y a pas à redouter encore chez certains
sujets
, sains en apparence, bien entendu en dehors du ta
que nous avons entreprises et de les étendre au plus grand nombre de
sujets
possible. Nous espérons pouvoir dans quelques moi
es urines. En dehors du tabès, la suspension a été appliquée à huit
sujets
atteints cle paralysie spasmodique, à trois sujet
é appliquée à huit sujets atteints cle paralysie spasmodique, à trois
sujets
affectés de la maladie de Friedreich, enfin à qua
est que, à l'inverse de ce qui s'était produit dans un cas antérieur (
sujet
atteint de sclérose en plaques signalé dans la le
rer, que c'est la goutte qui est ici en jeu. Notre malade est donc un
sujet
arthritique au premier chef; cela étant, nous pou
ous ont permis de réunir, pour vous être présentés actuellement, cinq
sujets
atteints de la maladie de Basedow, et qui, tous o
iquent au corps tout entier, ainsi qu'on peut s'en assurer lorsque le
sujet
étant debout, on place la main sur une de ses épa
és obtenus par l'application de la méthode graphique, d'abord chez un
sujet
atteint de tremblement mercuriel, puis chez notre
du tremblement spécial et de la tachycardie, nous constatons chez le
sujet
une exophthalmie très manifeste et une tuméfactio
uestion qui se présentera de nouveau un peu plus loin. IL Le second
sujet
du groupe est cette femme âgée de 26 ans nommée D
e vient de vous faire entendre, lui donne volontiers l'apparence d'un
sujet
atteint de tuberculose pulmonaire à évolution rap
eu quelques raisons de craindre que son futur mari ne fût un mauvais
sujet
, un ivrogne, et, sous l'influence de ces soupçons
eu d'en revenir à l'impression produite par la coexistence chez notre
sujet
, d'un certain nombre de symptômes qui viennent d'
malade sont morts de convulsions en bas âge ; une de ses sœurs a été
sujette
à des crises d'hystérie. Elle a été somnambule
bres inférieurs que nous avons rencontrée déjà chez nos deux premiers
sujets
à des degrés divers, et que nous retrouverons enc
La combinaison de l'hystérie avec la maladie de Basedow chez un même
sujet
n'est certes pas chose rare ; mais ce qu'il y a d
e paternel a eu des « idées noires » ; la grand'mère maternelle était
sujette
à des attaques de nerfs. Le père était vif, empor
cile de reconnaître que c'est l'ataxie tabétique qui est en jeu. Le
sujet
estun homme de 45 ans, nommé Mes... mann qui, il
, — un trait bien significatif. Vous n'ignorez pas, en effet, que les
sujets
chez lesquels l'aphasie motrice reconnaît pour ca
le contraire qui arrive ; il semblerait même, le plus souvent,que les
sujets
sont rendus plus habiles et plus prompts à exprim
is le larynx n'a rien à voir dans l'articulation des mots et si notre
sujet
n'était qu'aphone elle aurait tout au moins conse
. Examinons ce qui est relatif au second point: Y a-t-il chez notre
sujet
surdité verbale? Ceux qui en sont atteints vousle
telles quelles pendant une période de temps variable qui, chez notre
sujet
, ne dépasse pas quelques minutes: on peut d'aille
ez le remarquer, d'un petit cas. Nous avons vu en-effet chez d'autres
sujets
les attaques présentant ces mêmes caractères pers
e fois de plus, que les pratiques d'hypnotisation ne sont pas pour le
sujet
mis en jeu, toujours innocentes. Sans doute elles
t que les accidents que nous signalons ne concernent pas seulement le
sujet
hypnotisé, mais qu'ils peuvent, dans les représen
e, par exemple, qui, dans de certaines circonstances et chez certains
sujets
, peuvent produire des effets fâcheux, songe-t-on
es, faute de temps, seront renvoyés à la leçon prochaine. L'un de nos
sujets
représentera la maladie neurasthénique à Tétat de
générale. Je ne suis pas en mesure pour le moment de vous offrir à ce
sujet
une statistique en règle. Elle sera bien intéress
s, aboutissant à des émissions séminales prématurées. Ici, chez notre
sujet
, contrairement à ce qui a lieu dans la majorité d
malgré ces diversités d'origine, malgré ces différences relatives au
sujet
, le type morbide, à part quelques modifications d
core que nous soyions près de la fin. Il est remarquable que chez les
sujets
rustiques des classes ouvrières, les affections n
es choses égales d'ailleurs, plus graves et plus tenaces que chez les
sujets
plus délicats, plus impressionnables des classes
euse. colique en se jetant par la fenêtre. Le frère du malade est
sujet
à des attaques qualifiées d'hystériques ; il avai
s qualifiées d'hystériques ; il avait, jusqu'à l'âge de 14 ans, été •
sujet
à de violentes colères. On voit que le tableau
ans à peine et c'est pour la seconde fois seulement qu'elle dort. Le
sujet
du mois de novembre est au contraire âgée de 53 a
onnelles ; et ces diverses circonstances si bien dessinées chez notre
sujet
, sont de nature à justifier l'opinion que je sout
) qu'elle n'a guère cessé de ressentir depuis. Peu après elle devient
sujette
à des accès de raideur, « accès de contracture »
x, sont, toutes choses égales d'ailleurs, moins persistantes chez les
sujets
qui ont des attaques convulsives que chez ceux qu
cile à obtenir (1). 3e et 4e Malade. J'en reviens actuellement au
sujet
dont nous nous sommes occupés dans la seconde par
e ne me trompe, de l'étude comparée de nos quatre malades. Tous nos
sujets
appartiennent à la classe des travailleurs manuel
ar conséquent, dans un but d'étude, attirer à lui quelques-uns de ces
sujets
. Mais à l'hôpital Saint-Antoine, les conditions n
onfrères qui ont accès dans les maisons de refuge ou de réclusion, un
sujet
d'étude qui. me paraît digne d'exciter leur zèle,
cousin de la mort en 1886, à65ans. mère, âgé de 77 ans, Il était
sujet
à des cultivateur, bien por- étourdissements. M
s, nerveuse irritable, violentes colères, épilep-tique ou hystérique.
sujette
à des étour-dissements. Le malade l'a vue sans co
appelle « ses étourdissements » ou encore « ses vertiges ». Il y est
sujet
depuis deux mois environ,et ils se manifestent pr
plus accentué encore peut-être, si cela est possible, chez le dernier
sujet
qu'il nous reste à examiner, bien que chez lui il
à relever des différences vraiment capitales. Ainsi chez l'un de nos
sujets
, le n° 1, la maladie se développe en apparence sp
voit dans les'collisions de train ; mais que dire alors du quatrième
sujet
chez lequel tous les symptômes se manifestent san
ents nerveux analogues à celui qui nous le ramène aujourd'hui. Il est
sujet
à des accès consistant en ce que tout à coup (1),
ain nombre de faits analogues en ce sens que, comme dans le nôtre, le
sujet
exécute sans le savoir et sans le vouloir, c'est-
hysiology. 5e édition, p. 131. menant on en montant un escalier, le
sujet
conserve pour le moins celui des actes psychiques
ome, comme épisode, paraît être essentiellement le même chez les deux
sujets
; l'accès ne dure que cinq heures dans un cas ; d
des cas dans lesquels les accès d'inconscience ou de 1. Voir sur ce
sujet
Hughlings Jackson, West Riding Asylum Reports. Tr
me qui, jusque-là, n'avait jamais été un épileptique est resté depuis
sujet
à de véritables accès de vagabondage; il part, ma
ication de son absence. « Il s'est marié, et depuis il a encore été
sujet
à des fugues du même genre. L'une d'elles entre a
logique, il y aidentité entre eux, tant la fugue de Marseille chez le
sujet
de M. Motet, ressemble pour la durée comme pour l
sleep walking, etc.), il importe de remarquer tout d'abord que, à son
sujet
, nous en sommes encore à la période des informati
ma connaissance du moins, pareille chose ne s'est pas encore vue. Le
sujet
suggestionné en pareil cas, marcherait, sans dout
mplir, comme sous l'impulsion d'une force étrangère, irrésistible. Ce
sujet
là serait vraisemblablement un hystérique à stigm
lles les actes étaient coordonnés, méthodiques, dételle sorte que les
sujets
, bien qu'inconscients présentaient l'apparence ex
s-là, à l'exemple de ce qui a lieu dans le somnambulisme provoqué des
sujets
hypno-tisables, à imprimer aux membres des malade
il se substitue. C'en est assez sur ce point pour le moment; c'est un
sujet
qui demanderait à être étudié à part. Ce serait
tulée : Les Aliénés voyageurs (1). Dans un premier groupe de cas, les
sujets
ne sont pas inconscients ; ils ne le sont pas du
le travail de M. le Dr Delamarre, non plus que dans ceux, sur le même
sujet
, qui ont été publiés dans le cours des cinq ou si
aladies du système nerveux, t. ]I, 2e éclit., p. 35. 2. Voir sur ce
sujet
, après Sahli 1885, Simonin, thèse de Lyon, inspir
1887, n3 5, p. 433. sorte, pas de transition; délivré de son mal le
sujet
qui, il n'y a quun instant, ne pouvait supporter
ontinuant, à la vérité, leur évolution progressive ; et justement, le
sujet
que nous avons devant les yeux offre un exemple d
oce,— qui, pendant le cours des années 1829, 1830, 1831 et 1832 a été
sujet
à des crises douloureuses accompagnées de vomisse
Société médicale des hôpitaux (le 23 janvier 1889) est revenu sur ce
sujet
a propos du cas d'un forgeron âgé de 56 ans, qui
ce de ces symptômes de collapsus dont il a été question plus haut. Le
sujet
est algide, cyanose, ses traits sont tirés, il es
loc. cit., p. 207. 4fi âgé de 40 ans qui, depuis quinze ans était
sujet
à des douleurs fulgurantes. Il présentait, depuis
aux cas de ce genre (1). Un malade de M. le professeur Fournier était
sujet
à des crises durant environ six jours, qui se car
le Journal de médecine de Bordeaux appartient à la même série (2). Le
sujet
est unhomme de 50 ans chez lequel les crises gast
ommencement, joué un rôle important dans l'histoire clinique de notre
sujet
. Je fais allusion ici à une hyperesthésie très
tabès.On le trouve en effet,plus fiéquemment peut-être,chez certains
sujets
goutteux, atteints de laryngite chronique et auss
ne cause occasionnelle, en provoquant l'apparition d'un mal auquel le
sujet
était antérieurement disposé. C'est, Messieurs, j
ment, j'en viens de suite à la description des phénomènes morbides au
sujet
desquels il est venu nous consulter. Je vous le
savons déjà que ce n'est point de cela qu'il s'agit ici. Lorsque le
sujet
est ainsi lancé, il semble qu'il soit à chaque in
maintenant de la même façon sur l'autre; il semble à ce moment que le
sujet
serait condamné à l'immobilité, les membres infér
e nom, se manifestent en dehors de tout acte volontaire, alors que le
sujet
voudrait garder le repos, tandis que, chez notre
y a perte des images motrices graphiques, des lettres et des mots. Le
sujet
qui d'ailleurs a conservé dans les doigts de la m
convulsions statiques réflexes, lesquelles paraissent se rapporter au
sujet
qui nous occupe (5), e)t aussi un cas fort intére
ut au plus. Je rappellerai en premier lieu, l'absence chez tous les
sujets
où l'affection se présente dégagée de complicatio
n 1886 (1), —les mêmes faits se sont reproduits chez plusieurs autres
sujets
du même ordre que j'ai rencontrés depuis lors,— l
ne âge, entre 10 et 15 ans ; mais il peut se présenter aussi chez des
sujets
âgés de 22 à 25 ans, ou beaucoup plus tard, à l'â
affecté presque aussi fréquemment que le sexe féminin. La plupart des
sujets
atteints, qu'ils soient jeunes ou vieux, comptent
-être après l'accident qui a déterminé l'asphyxie, à une époque où le
sujet
paraissait avoir complètement récupéré sa santé.
it par exemple un traumatisme, la manifestation de la névrose chez un
sujet
prédisposé. Les amnésies, les paralysies en quest
fillettes qui ont survécu, âgée aujourd'hui de onze ans et demi, est
sujette
à des crises de nerfs, pendant lesquelles elle se
dies nerveuses diverses. À partir de l'âge de 14 ans, il est devenu
sujet
à des migraines qui le font beaucoup souffrir et
ce que le métier était trop dur pour lui et que, d'ailleurs, il était
sujet
à éprouver de terribles vertiges lorsque travaill
n'ont pas reparu depuis cette époque. Mais il est toujours resté fort
sujet
à ces accès de tristesse et à ces « petites crise
res névro pathiques fort accentuées ; les dispositions nerveuses du
sujet
se révèlent en conséquence dès l'enfance, par des
ques »,« dépendent on Idea» comme les appelle Reynolds, qui, chez les
sujets
doués des aptitudes morbides que confère la diath
elèverai d'ailleurs, et c'est par là que je terminerai, que, chez les
sujets
capables d'entrer dans le grand hypnotisme, on pe
n pareil cas l'injonction « tu ne peux plus marcher» suggère, chez le
sujet
, l'idée d'une impuissance motrice complète, porta
érescence chez l'homme. Messieurs, Je vous présente de nouveau le
sujet
atteint d'abasie trépidante, qui a fait l'objet d
leçon j'ins-sistais sur ce fait que, du moment où l'abasie chez notre
sujet
reconnaissait pour point de départ une cause psyc
nt adressée par notre collègue M. le docteur Briand, pour en faire le
sujet
d'une démonstration clinique. Donc, l'étude de
tances les plus diverses. Ainsi,on les voit se produire chez certains
sujets
, dans diverses paraplégies spasmodiques et en par
rence, la complication fibro-tendineuse se produit-elle chez certains
sujets
et non chez les autres ? Qu'ont donc de particuli
rtains sujets et non chez les autres ? Qu'ont donc de particulier les
sujets
chez lesquel elle se produit? S'agit-il là d'une
hésique, d'un élément rhumatismal, arthritique que présenteraient ces
sujets
? On sait que certaines rétractions fibreuses ind
,Messieurs,l'étude des troubles de la sensibilité présentés par notre
sujet
, va fournir à l'appui de notre thèse des argument
dans du feu », tels sont les termes dans lesquels elle s'exprime à ce
sujet
. Elles contribuent pour une bonne part à détermin
st peut-être — d'après quelques observations que j'ai faites chez des
sujets
venant du Brésil ou de l'isthme de Panama, —dans
ce côté-là qu'il faut attendre la lumière. Sans doute nous avons à ce
sujet
des renseignements absolument précis qui nous app
'état d'hébétude et d'amnésie dans lequel sont plongés la plupart des
sujets
de cette catégorie. Et justement, celui que nous
en soit, Messieurs, cette amnésie que je viens de relever chez notre
sujet
est, je le répète, un fait assez caractéristique
ins prononcés qu'ils ne l'étaient à l'époque où nous avons examiné le
sujet
pour la première fois. Au train dont vont les cho
s o3 peuvent y être brutalement tordues ou distendues sans que le
sujet
en ait la moindre notion. Il y a parésie des me
une amyotrophie généralisée,de forme progressive, développée chez un
sujet
qui, dans l'enfance, avait été frappé de paralysi
ns. Veuillez vous remettre en mémoire, Messieurs, la situation d'un
sujet
chez lequel, comme c'est la règle, la paralysie i
sieurs membres. L'anatomiste constaterait, vous le savez, chez un tel
sujet
, dans certaines régions de la moelle épinière, le
figure déjà dans la science deux fois, comme s'il s'agissait de deux
sujets
différents. Ainsi,le cas publié dans la Gazette m
ue temps elles ont notablement diminué de volume. On voit, surtout le
sujet
étant debout,toute la masse musculaire du triceps
re elle, on peut faire valoir en premier lieu l'existence, chez notre
sujet
, de secousses fibrillaires très intenses et génér
forme de tephro-myélite antérieure aiguë. Mais, par contre, chez les
sujets
qui portent en eux les reliquats ineffaçables de
l'apparition de l'amyotrophie a été plus tardive que chez les autres
sujets
. Il n'y a là en définitive qu'une question du plu
tera au contraire, dans la maladie de l'adulte. t. Voir sur le même
sujet
, E. Thomas. De l'atrophie musculaire progressive,
xposé, de ne pas reconnaître que l'apparition successive chez un même
sujet
, dans les circonstances indiquées plus haut, de l
son tour, secondairement, prendre part au processus morbide. Chez les
sujets
prédisposés, probablement par hérédité névropathi
la Morphinomanie. II En procédant à un examen méthodique de notre
sujet
, nous avons reconnu chez lui l'existence d'une an
l'observation d'un médecin attaché à la clinique d'Heidelberg, et le
sujet
un grenadier de l'armée allemande âgé de 23 ans,
ographient toutes les attitudes du malade Dans la première phase le
sujet
a les yeux fixes, c'est l'aura ; l'attaque va com
l'épilepsie n'est là que dans la forme. Dans une seconde phase, le
sujet
s'agite, se tord dans tous les sens, fait de gran
elles représentent la formule motrice. En bon militaire qu'il est, le
sujet
tire des coups de fusil, s'escrime à coups de baï
inomane à 30 centigrammes par jour. C'est la dose moyenne. Il est des
sujets
morphinomanes qui en prennent plus, beaucoup plus
n prennent beaucoup moins. Ladose, comme vous voyez varie suivant les
sujets
; mais, je le répète, une dose de 0, 30 centigram
ent les unes avec les autres, il n'y a pas de diagnostic à faire ; le
sujet
n'éprouve aucune souffrance marquée, aucune gêne,
it com^ muniquées, ne m'apprenaient rien non plus. En interrogeant le
sujet
dans tous les sens, je finis par découvrir une ch
s avec empressement l'occasion qui m'est offerte de vous présenter un
sujet
chez lequel nous pouvons étudier ensemble divers
ention. Mais, auparavant, je dois vous faire connaître ce qu'était le
sujet
avant l'accident du 7 mai. D... cy, c'est ainsi
, à part l'énurésie et les terreurs nocturnes auxquelles il est resté
sujet
dans l'enfance jusqu'à l'âge de 5 ans, il n'avait
le malade. — a, le fossé ; b, la route ; c, le baril lumineux ; d, le
Sujet
, e e' e", les nuages de fumée. de fumée grisâtr
esrenseignements contribuent évidemment à établir la valeur morale du
sujet
, source principale de nos informations.Maintenant
lgaire, dite en zig-zag. Il est certain, en effet, que la plupart des
sujets
frappés par cette espèce de foudre, quand ils ne
éral, il y a lieu déplacer la fulguration partielle, dans laquelle le
sujet
, même lorsqu'il est plus ou moins grièvement bles
,tant s'en faut, un argument décisif, car l'on sait que même chez les
sujets
tués sur le coup par fulguration ces marques peuv
rait enfin faire remarquer que la distance à laquelle, par rapport au
sujet
, a paru la masse lumineuse, deux mètres environ,
l'Institut météorologique de Velletri, M. le Prof. Galli qui, sur ce
sujet
de la foudre globulaire dont il a fait une étude
globulaire en particulier (1), déterminer la sidération, sans que le
sujet
, devenu inconscient aussitôt que frappé, en ait p
éressant inséré dans les archives de Virchow (2), sont revenus sur ce
sujet
. Il faut naturellement distinguer, dans ces expér
oin et de comparer entre elles les nombreuses relations concernant ce
sujet
qu'on trouve réunies et méthodiquement groupées,
isement, à l'insu du médecin en chef, de l'interne et bien entendu du
sujet
lui-même, dans le service où D .. cy a séjourné u
dernier point, mon opinion est qu'il y a eu véritablement chez notre
sujet
, au moment même où il dit avoir ressenti le coup,
ateurs. Itemettez-vous un instant devant l'esprit, l'état mental du
sujet
pendant la soirée et la nuit qui ont suivi l'acci
e. Trois cas, c'est peu; mais je dois avouer que mes recherches, à ce
sujet
, n'ont pas été très étendues ; d'ailleurs,j'en su
la Revue médicale française et étrangère, n° du 19 mars 1881 (1); Le
sujet
est un homme de 28 ans exerçant la profession d'i
néral, en ce sens qu'ils reparaissent toujours les mêmes chez un même
sujet
, et, de plus, ils reproduisent, en les exagérant
distinguent profondément des gesticulations lentes et permanentes des
sujets
atteints delà chorée deSydenham. Entre le tic et
ments involontaires, incessants, généralisés, que présentent les deux
sujets
, les analogies paraissent fort étroites entre les
du système nerveux.) vements involontaires de la tête chez les deux
sujets
. Le premier tracé A, montre bien la brusquerie, l
arche, les pavés sur lesquels elle pose les pieds. Elle est violente,
sujette
à des colères enfantines survenant pour les motif
issement réel des facultés intellectuelles. Les marques 1 Voir à ce
sujet
,les leçons du mardi, 1887-1888 — 17 et 24 juillet
l n'y a à cet égard rien de bien accentué. Sa mère est très nerveuse,
sujette
à des colères sans frein : elle a plusieurs fois,
elle, mort de chagrin àia suite de revers de fortune; elle a un frère
sujet
à de grands emportements. La chorée chronique ne
lement précédé d'une aura caractéristique, auxquelles il était devenu
sujet
depuis 8 ans : celle-ci dura environ 2 jours ; pe
ssi, vous le voyez, n à quatre pattes » à peu près comme le ferait un
sujet
normal. Enfin, étant assis sur une chaise, il peu
sister à nouveau , pour le moment. Je ne voudrais pas abandonner ce
sujet
de l'abasie paralytique sans vous signaler les di
e dans notre cas d'aujourd'hui, absolument impossibles, et lorsque le
sujet
, étant soutenu sous les aisselles, fait des effor
nfin fixé l'attention. Cette fois, comme dans l'exemple qui a fait le
sujet
de notre 16° leçon de la présente année c'est, da
devant de sa poitrine. Il s'agit donc là en quelque 1. Voir sur ce
sujet
de l'astasie cérébelleuse, Dreschfeld, Five Cases
ermains, du côté maternel, a été un grand buveur d'absinthe. Il était
sujet
à des accès « de manie furieuse ». Puis l'aliénat
Lui-même pendant son enfance, vers l'âge de 6 ou 7 ans, aurait été
sujet
à des hallucinations hypnagogiques terrifiantes ;
expliquer le développement. L'examen attentif que nous avons fait du
sujet
lors de son admission à l'hôpital nous a fait rec
démarche « à petits pas » bien connue comme s'observant chez certains
sujets
atteints de ramollissement cérébral en foyer, ave
e, ainsi que je vous l'ai annoncé,le syndrome abasie trépidante. Le
sujet
est ce brave homme, âgé de 75 ans, nommé Cr...t,
attes, tout cela s'exécute parfaitement, si ce n'est peut-être que le
sujet
,bien certainement en raison de son âge, se montre
les mouvements normaux et gêne singulièrement la progression ;puis le
sujet
, faisant effort, porte son tronc en avant; alors
d'elle-même, soit sous l'influence d'une légère impulsion imprimée au
sujet
, par exemple en le poussant par les épaules. A ce
ment signalé, dans l'exposé de l'observation, on ne rencontre chez le
sujet
, en dehors de l'incoordination abasique, aucun de
ce brave homme est,sans le savoir et sans le paraître, un névropathe,
sujet
comme tel à l'action des auto-suggestions, et c'e
particulier et lui impriment un cachet spécifique. Ainsi, voilà un
sujet
qui se présente avec les apparences de l'amyotrop
élie peut s'accompagner de lésions trophiques viscérales. En effet le
sujet
en question a succombé inopinément à une péritoni
ablement lente, il peut arriver qu'une fois la maladie constituée, le
sujet
reste de longues années sans que survienne la moi
ques ; et, en pareil cas , tantôt elle existe naturellement chez le
sujet
, tantôt elle a pu être déterminée chez lui, artif
hypnotique ; c'est ce que nous pouvons reconnaître chez les quelques
sujets
hystériques avec hémianesthésie que j'ai fait pla
deux fois la dissociation du type syringomyélique a été obtenue, les
sujets
étant hypnotisables, par voie de suggestion. Chez
its tourmentées par des rêves pénibles et il était devenu fréquemment
sujet
à des attaques de vertiges. Cette fois la sensi
verre pour le porter à sa bouche. « Si j'avais été à Lourdes, dit le
sujet
, en rappelant cet événement, j'aurais cru à un mi
ance, il a vécu à la campagne, travaillant aux champs. Il n'a pas été
sujet
à ces terreurs nocturnes, à ces hallucinations hy
parésie, le tremblement des membres du côté droit et les attaques. Le
sujet
a donc été pendant un certain temps seulement neu
chez le même malade, comme elles peuvent se montrer isolément sur des
sujets
différents. La présence de l'hystérie chez notr
ner, sous prétexte que dans « shock nerveux » il y a « shock », qu'un
sujet
qui devient hystéro-neurasthénique, par exemple,
Leçon 17 (2° Malade, pp. 381, 384). « Considéré en soi, le premier
sujet
sur lequel je vais appeler votre attention n'offr
clinique et publiée par le Bulletin médical ; mars 1887, p. 109. Le
sujet
dont il est traité dans cette leçon a été dévelop
d'hui. Je tiens à vous prévenir tout d'abord, messieurs, que les deux
sujets
que nous rapprocherons l'un de l'autre appartienn
ngite cervicale hypertrophique. Il s agit d'abord de démontrer que le
sujet
présent qui, depuis trois ans, a retrouvé complèt
our à l'état normal. Gela tient peut-être d'ailleurs aux habitudes du
sujet
. C'est une femme de 34 ans, cuisinière, qui a hab
ns certains cas, et non dans d'autres? Qu'ont donc de particulier les
sujets
chez lesquels elle se produit? S'agit-il là d'une
hésique, d'un élément rhumatismal, arthritique que présenteraient ces
sujets
? On sait que certaines rétractions fibreuses, ind
s trophiques sont chose vulgaire dans les membres inférieurs chez les
sujets
atteints de paralysie alcoolique, et c'est là une
lysie alcoolique. Mais je ne veux pas m'étendre plus longtemps sur ce
sujet
qui mériterait bien une étude approfondie et que
comittants.............. 13 DEUXIÈME LEÇON 1er malade. —Sur un même
sujet
: sciatique avec défor- mation spéciale du tronc
....... 12! SEPTIÈME LEÇON Pages. 1°. Relationale l'autopsie du
sujet
atteint de chorée présenté dans la dernière leç
e Médecine expé- rimentale (2 £ 1) un travail complémentaire sur ce
sujet
. Voici la description que j'ai donnée de ces fa
ERFS QUI S'Y RENDENT D'un travail (8) que j'ai fait paraître sur ce
sujet
en ]88, j'extrais les passages suivants : « J
Il, p. 329) émettent la même opinion. Voici ce qu'ils écrivent à ce
sujet
: « Le caractère dominant de toute lésion muscu
O11AT10N 1\ EC CTIAlIIII\) Voici les résultats de nos études sur ce
sujet
z) : La paralysie est produite par l'inoculatio
uelles. Il n'est peut-être pas sans intérêt de faire remarquer à ce
sujet
que certaines paralysies infectieuses observées
gique, mais non constant ; il et plus ou moins prononcé suivant les
sujets
; il est tantôt pur, tantôt associé à l'inclinati
esquelles il faut se placer pour mettre ce fait en évidence. « Le
sujet
en observation, après qu'on lui a clos un oeil he
ement une inégalité pupillaire plus ou moins prononcée, suivant les
sujets
, suivant le degré de RÉFLEXES PUPILLAIRES 23
a lumière, amène aussi la régénération du pourpre visuel (voir à ce
sujet
l'ouvrage de Parinaud, La Vision, Octave Doin, 18
contribué à établir les notions que l'on possède aujourd'hui sur ce
sujet
. J'ai perfectionné les méthodes d'exploration.
ainsi tracées, et en examinant systématiquement un grand nombre de
sujets
exempts de toute affection du système nerveux,
nt le mieux pour cette exploration est celle que j'ai indiquée : le
sujet
se met à genoux sur une chaise; mais si, pour q
léen, j'ai constaté qu'il ne manque pour ainsi dire jamais chez les
sujets
dont le système nerveux ' est intact. On verra
d'après cette technique, je n'ai trouvé ce réflexe absent chez les
sujets
normaux que très exceptionnellement... Je considè
le soutient de la main gauche au niveau du pli du coude, le bras du
sujet
formant un angle obtus avec l'avant-bras. La po
bserva- teur, assis, fait appliquer à plal sur sa cuisse la main du
sujet
. Il est à noter que, dans ces conditions, l'ava
au moins dans un grand nombre de cas. Voici ce que j'ai écrit à ce
sujet
: « Outre l'impression que l'on peut avoir au j
oncerai de la manière suivante : il y a surréjlectivité lorsque, le
sujet
ne contractant pas volontairement ses muscles, l'
dation que j'appelle fruste, phénomène banal qu'on observe chez des
sujets
dont il y a tout lieu de considérer le système
préalable, n'a pas provoqué de trépidation ; qu'on imite alors les
sujets
en expérience à étendre le pied sur la jambe et à
ptoïde ne peut plus être provoquée. « Mais admettons qu'un de ces
sujets
, après s'être exercé et avoir été pour ainsi di
enterai de noter ici que, dans une dis cussion qui a eu lieu sur ce
sujet
à la Société de Neurologie de Paris (séance du
es, en partie physiologiques. En voici des exemples : chez certains
sujets
, l'excitation de la plante du pied provoque l'e
ion, et pour obtenir ce résultat il est bon de ne pas pré- venir le
sujet
de l'expérience qu'on se propose de pratiquer et
du pied. Ce dernier mode d'excitation est nécessaire chez certains
sujets
pour faire appa- raître un mouvement réflexe de
hémiplégie de l'adulte ou à une hémiplégie infantile. « Chez les
sujets
que je vous ai montrés il s'agissait d'hémiplégie
e ancienne. « J'ai constaté aussi l'existence de ce signe chez deux
sujets
présen- tant une hémiplégie ancienne, flasque,
nique de l'hémisphère droit avec dégénération secondaire. Le second
sujet
était une femme atteinte manifestement de tabes
eu l'occasion de constater ce phénomène : il s'agissait d'un homme,
sujet
à des crises d'épilepsie jacksonienne, chez leq
des réflexes tendineux et de la trépidation épileptoïde du pied. Le
sujet
empoisonné par la strychnine guérit rapidement
le, où les cylindres-axes de ce faisceau étaient conservés, sur des
sujets
chez lesquels les lésions du faisceau pyramidal
ssi observe- t-on fréquemment la réunion de ces signes chez un même
sujet
et c'est ce que vous avez pu constater sur la p
'abolition du réflexe anal. Sa présence, pendant une crise. chez un
sujet
dont le réflexe plantaire est normal hors des cri
ment aura précédé l'attouchement ; par contre, quand l'attention du
sujet
aura été détournée, une excitation forte ne sera
s d'Ozorio de Almeida, confirmées par moi, ont montré que, chez des
sujets
présentant le signe des orteils, une compressio
par exemple, au réflexe antagoniste de Schaefer. J'ai écrit à ce
sujet
(56) : « Schaefer, dans le n" 22 de l'année 18c
teils », non plus que des diverses publications qui ont paru sur ce
sujet
en France et à l'étranger; autrement il eût été
, Bd. VIII, IIeft 2, igo8, S. 220). Voici le pas- sage relatif à ce
sujet
: « J'ai souvent recherché ce réflexe et je me
un complément du signe du gros orteil. Voici ce que j'ai écrit à ce
sujet
dans mon pre- mier travail (97). « L'excitati
normal ainsi qu'à l'état patholo- gique. Mais il est rare chez les
sujets
sains, et quand il existe il est peu prononcé,
Pour constater ce phénomène, voici Comment il faut procé- der : le
sujet
en observation doit se coucher sur le dos ; puis,
il me semble légitime de les étudier dans ce chapitre. C'est là un
sujet
sur lequel j'ai fourni quelques données nouvelles
tre moyen de reconnaître l'exagération des réflexes de défense : le
sujet
étant assis et ses pieds reposant sur le parque
aintient quelque temps dans cette attitude. Lorsqu'on électrise des
sujets
normaux, en se plaçant dans les con- ditions qu
par des segments médullaires sous-jacents à la lésion. C. Chez un
sujet
présentant un syndrome de Brown-Séquard par cou
ôpitaux (7{¡). Entre temps, j'avais examiné avec Nageotte plusieurs
sujets
présentant le signe d'Argyll et n'ayant, sauf c
sion du système nerveux central d'origine syphi- litique, et que le
sujet
chez qui on la constate est un candidat à la sy
méningée, en montrant la constance de la lymphocytose chez ces six
sujets
, prouve bien, grâce à ce symptôme anatomique, que
nnels où l'absence du réflexe à la lumière a été constatée chez des
sujets
qu'il y avait de bonnes raisons de considérer com
de l'intérêt à la relation de quelques faits nouveaux concernant ce
sujet
. « Examinant une jeune femme sujette à des cris
s faits nouveaux concernant ce sujet. « Examinant une jeune femme
sujette
à des crises d'épilepsie et recherchant chez el
é dans une pièce obscure, le réflexe, faible ou nul au moment où le
sujet
pénètre dans cette pièce, devient plus fort apr
d'écran, entre l'oeil et la lumière, puis, après avoir recommandé au
sujet
en obsenation de fixer un objet éloigné, on ret
rganique du système nerveux, qui depuis denombreuses années étaient
sujets
à des crampes spontanées ; celles-ci survenaient
e 200 pages environ sur les Névrites. C'est la première fois que ce
sujet
a été exposé d'une manière mé- thodique ci déta
ésentent seulement les altérations les plus apparentes » (voir à ce
sujet
p. 126). \I ? RT'fl; SCIATIQUE Scoliose sci
PLÉGIE SPASMODIQUE EN FLEXION Les notions que l'on possédait sur ce
sujet
étaient rudimentaires avant la publication de m
ement ou presque complètement abolie. La contracture en flexion est
sujette
à des variations fréquentes qui résultent de co
raplégie en flexion, dans laquelle, comme on l'a vu, la raideur est
sujette
à des variations fréquentes résultant de contra
ntermittentes, involontaires. Depuis ma deuxième publication sur ce
sujet
(177), plusieurs travaux confir- matifs ont par
nt pas à être vérifiés et parmi les pre- mières publications sur ce
sujet
, consécutives aux miennes, je mentionnerai celles
ieurs s'affaiblissent et disparaissent à leur tour chez beaucoup de
sujets
. Ordinairement, ainsi que,je l'ai fait ressortir,
ue des nerfs optiques. J'ai fait avec J. Chaillous une étude sur ce
sujet
(i32). En voici les conclusions : TABES 93
ur les extrémités osseuses ? a » Je citais aussi l'observation d'un
sujet
syphilitique chez qui s'était produite une frac
olore et s'était consolidée avec un cal énorme. Or, chez ce malade,
sujet
il est vrai à quelques douleurs lancinantes, il n
trôlée. Un de mes élèves, Barré, a fait un travail important sur ce
sujet
(Les osléo-arthropalhies du tabes. Étude critiq
'ai eu l'occasion d'observer une femme qui depuis . longtemps était
sujette
à des accès de douleurs gastriques très violent
ne présentait d'ailleurs aucun signe de tabes, était depuis six ans
sujet
à des crises gastriques identiques au point de
oute pour des raisons semblables à celles que je viens de donner au
sujet
du tabes conjugal, est plus commun qu'on ne le
avité du tabes. A l'occasion d'une communication de Brissaud sur ce
sujet
, à la Société de Neurologie, je fus amené à exp
t moi-même, il y a déjà quinze ans, j'ai communiqué une note sur ce
sujet
à la Société de Biologie (18). Mais, ce qui sem
oo tabétiques et sur ce nombre il n'y a pas plus d'une vingtaine de
sujets
franchement ataxiques. La maladie de Duchenne,
- domen et du tronc l'est beaucoup moins ; nous avons observé des
sujets
atteints d'une lésion spinale siégeant certaineme
28). Voici un extrait de mon travail sur ce cas : « En résumé, un
sujet
, après un grand traumatisme, est atteint de tro
HÉMORRAGIE MÉNINGÉE . J'ai publié avec Jumentié un travail sur ce
sujet
(195). Voici les quelques points que nous avons
nt-bras. Je dois faire remarquer tou- tefois que, même chez des
sujets
sains, il peut y avoir à cet égard une légère
e, le peaucier étant innervé par le facial. J'ai observé quelques
sujets
atteints d'hémiplégie organique chez lesquels l
peut être plus ou moins accentué que dans l'acte précédent quand le
sujet
, après s'être mis sur son séant, les bras toujo
e mouvement est prononcé. On observe ce signe chez la plupart des
sujets
atteints d'hémiplégie organique. Quel en est
e. Ce serait, en effet, une erreur de croire que, dans cet acte, le
sujet
se borne à faire con- tracter les muscles qui i
isation de la cuisse paraît être plus ou moins parfaite suivant les
sujets
, ce qui, sans doute, est une des raisons pour l
ment plus ou moins marqué de flexion sur le bassin ; mais, chez des
sujets
normaux, quand ce dernier mouvement se produit,
n observe dans les paralysies hystériques. Voici, par exemple, deux
sujets
atteints, l'un d'hémiplégie organique, l'autre d'
l'affection. J'ai publié (127) l'observation anatomo-clinique d'un
sujet
qui, atteint d'une tumeur cérébrale dont le poi
ance. La craniectomie, malgré les travaux parus à l'étranger sur ce
sujet
. ceux de I-Iorsley en particulier, malgré les t
cision de la dure-mère. Je terminais ainsi une communication sur ce
sujet
à l'Académie de Médecine (170). « En résumé,
e j'ai contribué à établir. Depuis 18gg, j'ai publié sur ces divers
sujets
plusieurs mémoires (55, 7o, 72, 80, 81, 85, 126
té de l'in- dex (droit ou gauche) au bout de son nez : tandis qu'un
sujet
sain arrive aisément, quelle que soit la vitess
a même place sur le genou. Ce mouvement, simple et facile pour un
sujet
normal, n'est pas accompli correctement : la main
démesurés cérébelleux : « Et d'abord, à l'état normal, comment un
sujet
procèdc-t-il pour exécuter un mouvement avec me
parvenue à ma connaissance qu'après ma première publication sur ce
sujet
, paraît avoir échappé à l'atten- tion des neuro
te même de cette faculté qui nous en fait concevoir l'existence. Un
sujet
sain est capable d'exécuter une succession rapide
upi- nation ; mais il accomplit deux ou trois fois moins vite qu'un
sujet
sain l'acte complet constitué par la succession
eut être considéré comme réalisé que lorsqu'il se manifeste chez un
sujet
en mesure d'exécuter avec prompti- tude les mou
l'interprétation que j'en ai donnée dans mon premier travail sur ce
sujet
: « Afin de comprendre l'adiadococinésie, il es
ce symptôme plusieurs fois et, entre autres, du côté gauche chez un
sujet
porteur d'un kyste de l'hémisphère gauche du ce
observé, entre autres symptômes, l'adiadococinésie à droite chez un
sujet
, à l'autopsie duquel il trouva un sarcome du ve
s international de médecine de Londres, ig 13) s'exprime ainsi à ce
sujet
: Il Il existe deux nouveaux signes qui correspon
s du sol (voir fig. 18), contrairement à ce qu'on observe chez un
sujet
normal et vigoureux. Voici un autre symptôme qu
ï2), j'ai noté de l'asyner- gie au membre inférieur droit chez un
sujet
à l'autopsie duquel on découvrit une tumeur rem
syndrome que j'ai décrit avec J. Nageotte Fie. y. - Attitude d'un
sujet
sain dans la station debout, cher- chant à po
on que j'en avais donnée en citant un passage de mon travail sur ce
sujet
» (voir p. 121). Dans les cas que nous consid
Laignel-Lavastine (Société de Neurologie, 6 février 1\)02), chez un
sujet
à l'autopsie duquel fut trouvée une lésion de l'h
et Baudouin, dans le cas précisé, notent que « en même temps que le
sujet
marche, le haut du corps tend à s'incliner en arr
epsie apparaît de la manière la plus frappante est la suivante : le
sujet
est couché sur le dos, les cuisses flé- chies s
rairement à ce qui se voit chez les 154 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE
sujets
les plus vigoureux que j'ai fait placer dans la m
aucune sensation de fatigue, à l'inverse de ce qui a lieu chez les
sujets
témoins. La méthode graphique fournit sur cet é
méthode graphique fournit sur cet état des données complé- FiG. 21.
Sujet
normal. Ilomme vigoureux de 2tel ans. Fic. axa.
hique du temps. mentaircs. J'ai vu avec Haillon. en comparant des
sujets
normaux à un malade atteint de catalepsie céréb
é opposé. (A l'époque où nous avons observé les malades qui font le
sujet
de ce travail, mon attention n'avait pas été en
s veines duraient plusieurs heures. Je m'étais demandé si chez le
sujet
en question il s'agissait d'hyper- thermie et d
eur absolument décisive, je ne me crois pas en droit d'émettre à ce
sujet
une opinion ferme et je me contente, jusqu'à no
Mann, qui ne semble connaître que ma première publica- tion sur ce
sujet
, celle de 1901, me prête à tort l'idée qu'une lés
ces troubles encore plus apparents. Il consiste à faire exécuter au
sujet
en obser- vation, alternativement, six pas en a
itation, l'électrisation voltaïque avec un dispositif permettant au
sujet
qu'on examine de marcher pendant le passage du
'est nullement dan- gereuse. J'ai traité ainsi un grand nombre de
sujets
atteints de vertiges, d'affaiblissement de l'ou
ance diminue souvent d'une manière encore plus marquée que chez les
sujets
dont le labyrinthe est sain ; l'intensité du co
fonctionnels, ils peuvent également s'atténuer aussitôt ; quelques
sujets
m'ont déclaré séance tenante qu'ils se sen- tai
n organique. Depuis, j'ai eu l'occasion d'observer plusieurs autres
sujets
chez lesquels à un torticolis « mental » était
i ce que j'ai écrit : « J'ai observé, chez un assez grand nombre de
sujets
atteints de cho- CHORÉE DE SYDENHAM 181 rée d
tre ce mémoire, il en a été publié un grand nombre dans lesquels le
sujet
qui nous occupe a été traité d'une manière plus
atteint un haut degré de violence. Depuis plusieurs mois elle était
sujette
à des crises épileptiformes, et sa vue s'était no
ome, détail sans importance. Mon travail serait le premier sur ce
sujet
, n'était celui de Pechkrantz. Cet auteur, en ef
e ou tout au moins légitime de soumettre au traitement spécifique les
sujets
atteints de lésions aortiques chez lesquels, en
vec li"e Toufesco deux observations de cyanose des rétines chez des
sujets
atteints de rétrécissement de l'artère pulmonaire
aut avant tout rappeler ce qu'étaient les opinions régnantes sur ce
sujet
il y a une vingtaine d'années, à l'époque où paru
e, une HYSTÉRIE. PiTfHATtSË 195 hémiplégie qui, survenant chez un
sujet
jeune, ni cardiaque, ni syphilitique, s'accompa
un individu atteint de paralysie hystérique aussi bien que chez un
sujet
sain, j'ai fourni le moyen d'éviter un écueil s
de mes élèves, Icndicini Bono, de procéder à une information sur ce
sujet
auprès d'un grand nombre de médecins chargés de
enseigné dans les traités classiques et les communications sur ce
sujet
abondaient. A partir de yogi, époque où a paru mo
nifestations peuvent encore être réfractaires au traitement chez un
sujet
atteint d'une affection mentale telle que l'héb
n sur eux. On m'a objecté la possibilité de provoquer chez certains
sujets
, presque au commandement, 202 HYSTÉRIE. PITH1AT
bles qu'il est possible de reproduire par suggestion, chez certains
sujets
, avec une exactitude parfaite et qui sont susce
e hystérique (ce procédé réussit surtout si on est en présence d'un
sujet
hypnotisé), à développer par la suggestion des sy
iques de l'hémiplégie facialo périphérique en montrant le malade au
sujet
hypnotisé ou en lui suggérant qu'une des commissu
pu troubler la spontanéité de leurs réponses; or, chez aucun de ces
sujets
, dont le nombre s'élevait à plus de cent, je n'
les diverses causes qui ont pu y prendre part : les méditations du
sujet
, toute son expérience antérieure et ses croyances
tifs. Quoique ses investigations aient porté sur plus de deux mille
sujets
, il ne lui a pas été donné, aussitôt après la c
pe de la simulation, dans une mesure d'ailleurs va- riable avec les
sujets
, et suivant les circonstances au milieu desquelle
riés qui peuvent solli- citer la volonté facile à influencer de ces
sujets
. Le rôle des éléments all'ectifs systématisés a
accroisse; il en constitue simplement une manifestation'. » « Les
sujets
hypnotisables et les hystériques sont susceptible
e. a. L'hypnotisation pourrait èlre opérée parfois contre le gré du
sujet
. 6. Le sujet hypnotisé ne se rappellerait plus,
tisation pourrait èlre opérée parfois contre le gré du sujet. 6. Le
sujet
hypnotisé ne se rappellerait plus, au réveil, ce
s particulier de déterminer avec certitude le degré de sincérité du
sujet
en présence duquel on se trouve; les circonstan
ue les troubles discrets HYSTERIE. - l'ITIIIATlS)IE ' 213 dont le
sujet
ne fait pas étalage sont au contraire ceux où sa
à simulation est impossible. » Dans sa leçon inaugurale, ayant pour
sujet
: « Stabilité et conditions de varia- tion des
Contribu- tion à l'étude des gangrènes cutanées spontanées chez les
sujets
hystériques» (Nou- velle Iconographie de la Sal
norance, de la faiblesse d'esprit, de l'humilité et de la docilité du
sujet
considéré. Elle est plus grande dans le sexe fémi
est facilitée par la similitude des terrains et l'intime contact des
sujets
. G0 Elle donne lieu à des foyers épidémiques et
les premiers degrés de l’hypnose, d’abord en fatiguant l'attention du
sujet
, celui-ci debout, les deux yeux fixés sur un poin
par suggestion. Que ces paralysies psychiques soient obtenues chez un
sujet
préalablement hypnotisé, cela n’a rien de surpren
t être provoquées dans l’état da veille apparente aussi bien chez des
sujets
qui ont déjà été endormis auparavantque chez d’au
ients ou inconscients. L’apparition de la paralysie psychique chez un
sujet
est un phénomène dont il a conscience. Il en est
que ces paralysies psychiques suggérées n’étonnent ni n'effraient le
sujet
chez lequel je viens de les créer. Discussion.
e l’année dernière, il y eut deux constatations de mort d'hommes à ce
sujet
. Un des cas était celui de Harold Fréderick qui a
s spasmodiques qu’elles sont plus vaines, et réciproquement. Quand le
sujet
connaît son mal, il le redoute, il est victime d'
i consiste la méthode psychologique expérimentale directe ? I. — Le
sujet
analyse les phénomènes qui se passent dans sa con
, au moment désiré et sous une forme déterminée dans la conscience du
sujet
(méthode expérimentale). III. — Dans certains c
influence aussi expérimentalement l’état général de la conscience du
sujet
. Ad. I. — Conditions que le sujet doit remplir:
’état général de la conscience du sujet. Ad. I. — Conditions que le
sujet
doit remplir: Il doit: 1. Vouloir s’observer
és du phénomène actuel, afin que, en les comparant & celui-ci, le
sujet
puisse le bien caractériser; 5. Ne doit jamais
mènes à analyser suffisamment exacts. Moins, pendant l’expérience, le
sujet
changera d’humeur, moins il sera distrait, moins
lation psycho-physique, » plus il remplira celte condition. Flus le
sujet
remplira toutes les conditions énoncées, — ce qui
ues (méthode expérimentale objective ou psycho-physique). 2. Par le
sujet
lui-même (méthode expérimentale subjective). Pl
ite. Ad. III. — On peut modifier l’état général de la conscience du
sujet
afin d’étudier l'influence de ces modifications s
l’introspection n'a-pas à en souffrir. Donc, ni l’existence chez le
sujet
d'une assez grande suggestibilité, ni le fait d’a
grande suggestibilité, ni le fait d’avoir donné des suggestions à ce
sujet
, ne rendent, a prioi'i, impossible l'emploi de la
le. Si l’on réussit à bien produire cet état, on constate chez le
sujet
les faits suivants : Le sujet : 1. Peut voulo
roduire cet état, on constate chez le sujet les faits suivants : Le
sujet
: 1. Peut vouloir s’observer ; 2. Est moins e
— Au maintien de la stabilité de la constellation psycho-physique du
sujet
; II. — A la production des phénomènes à analys
es phénomènes qui ont la tendance troublante d’attirer l’attention du
sujet
. 3. Supprimer les sensations de fatigue, qui, e
sont produits par des procédés psycho-physiques ou par la volonté du
sujet
, on peut en produire d’autres par la suggestion,
r la méthode objective ; 2. Difficiles à produire par la volonté du
sujet
et à cause de cela, incapables d’être en même tem
ux moments. Grâce aux nombreux et divers procédés de Yhypotaxie, le
sujet
est d’abord plongé dans un état de torpeur, d’ine
fois sensibilisée, peut être impressionnée par la lumière, de même le
sujet
hypotaxié est prêt à recevoir les empreintes de l
pourraient être saisies ni observées dans l’état de veille. Or, le
sujet
lui-méme peut prendre pleinement conscience de ce
ggestions privatives et les suggestions à ternie avec inconscience du
sujet
pendant l'intervalle. 3" Il fait revivre dans l
t par la mise en œuvre d'une espèce déterminée d’images, selon que le
sujet
est auditiT, moteur ou visuel. VIII Les aperç
que l’attitude donnée au malade est conservée. Vous élevez le bras du
sujet
, la sensation ainsi provoquée est perçue par le c
stent inconscientes. L’état cataleptique peut exister chez certains
sujets
en dehors de l'hypnotisme. Si, dans certaines mal
'hypnotisme. Si, dans certaines maladies nerveuses on lève le bras du
sujet
, il conserve cette altitude. Dans la léthargie,
a léthargie expérimentale explique la léthargie spontanée de certains
sujets
, notamment des fakirs de l'Inde : l’état, ainsi p
e l’hystérique, considérant l'hystérie comme une maladie qui rend les
sujets
plus particulièrement hrpnotisables. Nous pourr
sur la conscience : Panesthèsie étant due à un état d'inconscience du
sujet
. Les modifications et le dédoublement de la per
apable d’entraîner des modifications organiques ou psychiques chez le
sujet
, on n’aurait pas justifié sa libre pratique. Car
e leurs pratiques n’apportent pas do modifications organiques chez le
sujet
, bien au contraire, les médecins qui pratiquent l
l’hypnose n’est pas chose indifférente. Cet état s’accompagne chez le
sujet
de phénomènes réactionnels tels que le médecin se
ie absolue. On peut, en second lieu, provoquer un état dans lequel le
sujet
perd, à des degrés divers, sa volonté, son libre
le somnambulisme, l’hypnotiseur peut substituer sa volonté à celle du
sujet
, lui inspirer les idées, les sentiments, les sens
eut lui suggérer les actes de toute nature que, dans certains cas, le
sujet
accomplira automatiquement. fatalement, sans avoi
le fait du sommeil provoqué. Ces faits se rapporteront surtout à des
sujets
placés en état de léthargie ou de catalepsie, plu
rarement en somnambulisme. Dans une seconde catégorie de faits, le
sujet
agit par le fait d'une suggestion, le plus souven
s souvent involontaire ou d’une auto-suggestion. Nous trouvons là des
sujets
sur lesquels une personne, animée des meilleures
mnambulisme, on peut, au moyen de suggestions, faire accomplir par le
sujet
des actes non délictueux en eux-mêmes, mais qu’il
sa réputation. Enfin, dans le troisième degré de somnambulisme, le
sujet
, dépourvu de toute conscience et de toute liberté
njustes, retrouvera la vérité et la montrera à la justice. Certains
sujets
, doués d'une faculté que la science connaîtra mie
at normal. Pour que le sérum réussisse, ajoute-t-on, il faut que le
sujet
ne résiste en aucune manière au traitement; or en
de 22 ans, il a contracté une fièvre typhoïde et, depuis lors, il est
sujet
à des impulsions conscientes qui, par leur caract
de l'hypnotisme et même, chaque année, de 1876 à 1886, il (it sur ce
sujet
des conférences cliniques devant un nombreux Du
notisme accueille avec reconnaissance. Les principaux portent sur les
sujets
suivants : traitement de l'incontinence d’urine,
ommandations tout à fait précises touchant le local où l'on opère, le
sujet
, l’opérateur, la technique, le réveil ; il distin
té très précaire l’ont amenée à cette habitude. Elle s*- montra bon
sujet
hypnotique quoiqu’elle ne fut pas somnambule. EU«
-sept ans vigoureux et taillé en athlète. Ces deux se montrèrent bons
sujets
hypnotiques et acceptèrent la suggestion immédiat
entriloque, les descriptions des auteurs ne laissent aucun doute à ce
sujet
. L'illusion des fidèles est aussi complète que la
des malades soignés ou guéris par la psychothérapie et, en outre, des
sujets
d’un puissant intérêt, à l’aide desquels il a pu,
nambulisme artificiel, il fallait avant tout s’occuper de l'esprit du
sujet
, de ses pensées, de sa volonté. En rattachant ces
lesquelles l'éducateur et le pédagogue trouveraient à foison des
sujets
de méditation et des documents indispensables. A
d’hystérie, sans s’y arrêter un instant. Ce n'est pas un des moindres
sujets
de surprise pour le lecteur impartial de ces inno
dans lesquelles ils tiennent tour à tour le rôle d’hypnotiseur et de
sujet
. Le docteur Iluet n’est pas exclusif comme son
herches psychologiques directes et indirectes? Dans les premières, le
sujet
analyse, par l’introspcction, cc qui se passe dan
expressions de physionomie et actions volontaires ou involontaires du
sujet
, ce qui doit se passer en lui. Dans les cas où
ontaires du sujet, ce qui doit se passer en lui. Dans les cas où le
sujet
analyse les phénomènes au moment même où ils se p
, au moment désiré et sous une forme déterminée dans la conscience du
sujet
. De plus, dans certains cas, on influence aussi e
influence aussi expérimentalement l’état général de la conscience du
sujet
. Ainsi donc, dans la méthode psychologique direct
ience du sujet. Ainsi donc, dans la méthode psychologique directe, un
sujet
analyse, par l’introspection, des phénomènes qui
l’état général est aussi déterminé. Pour remplir ces conditions, le
sujet
lui-même doit : 1. Vouloir s'observer; 2. Ne
rochés du phénomène actuel, afin que, en les comparant à celui-ci, le
sujet
puisse le bien caractériser ; 6. Ne jamais sc d
des résultats comparables cnlre eux. Moins, pendant l’expérience, le
sujet
changera d’humeur, moins il sera distrait, moins
era capable de donner des analyses comparables entre elles. Plus le
sujet
remplira toutes les conditions énoncées — ce qui
méthode expérimentale objective ou psycho-physique); ou -2° Par le
sujet
lui-méme (il s'agit alors de la méthode expérimen
arfaite. Enfin, on peut modifier l’état général de la conscience du
sujet
, afin d’étudier l’influence de ces modifications
s savons que pour qu’une suggestion quelconque puisse se réaliser, le
sujet
doit présenter un certain degré de suggestibilité
r expérimentalement. Voici le résultat de toutes mes expériences à ce
sujet
: On peut, par la suggestion, produire des inhi
itique soit le moins du monde atteint Donc, ni l’existence, chez le
sujet
, d’une suggestibilité suffisante pour nos expérie
une suggestibilité suffisante pour nos expériences, ni le fait que ce
sujet
a reçu des suggestions, ne rendent, à priori, imp
nisme de l’introspection ; 2° En nous permettant de produire sur le
sujet
des effets spéciaux. Commençons par l’étude de
’étude de l’hypnose partielle et de sa valeur. Nous avons vu que le
sujet
a à remplir un grand nombre de conditions pour êt
ite que ces conditions sont si difficiles à remplir, que même de bons
sujets
, qui sont déjà très rares, sont encore loin de le
un tel état. Si l'on réussit à le bien produire, on constate chez le
sujet
les faits suivants : 1° L'inhibition n’est pas
sensations organiques, des idées intercurrentes ne troublent plus le
sujet
. Grâce à cette insensibilité du sujet à tout ce
urrentes ne troublent plus le sujet. Grâce à cette insensibilité du
sujet
à tout ce qui pourrait le distraire, celui-ci est
t d’hypnose partielle systématisée dont je parle. Dans cet état, le
sujet
peut, par exemple, supprimer complètement le subs
cela, le contenu actuel de sa conscience. En voici deux exemples : un
sujet
agit sous rinlluence d’une suggestion dont il ne
ter de ce fait pour la psychologie. J’ai fait, avec certains de mes
sujets
, des expériences sur les associations. Le sujet é
avec certains de mes sujets, des expériences sur les associations. Le
sujet
étant à l’état de veille, je lui dis un mot et il
i se présente à son esprit. Dans un cas, j’avais dit a poids o, et le
sujet
me répondit a mesure. » Après avoir réfléchi à l’
t me répondit a mesure. » Après avoir réfléchi à l’état de veille, le
sujet
m’expliqua son association ainsi : il s’agissait
, l’explication devint beaucoup plus détaillée : « J’ai eu n — dit le
sujet
—• « l’image visuelle très rapide de toute une sc
ieure. Voici un autre exemple : pendant une conversation, un de mes
sujets
me dit soudain : a Je viens d’avoir subitement l’
ience : Frei aufstei-gende Ideen. Plongé dans l’hypnose partielle, le
sujet
me donna les éclaircissements suivants : « Pendan
enue. J’ai pensé alors aux mêmes expériences quand M. J... servait de
sujet
. Tandis que tout ceci se passait très obscurément
influence sur la vie psychique ultérieure. Pour ne pas sortir de mon
sujet
, je ne parlerai pas de la valeur immense de cette
i mesuré autrefois le nombre des mots d’une catégorie spéciale que le
sujet
pouvait dire, dans un laps de temps déterminé, à
e dans son extension, se manifeste encore d’une autre façon : 5° Le
sujet
plongé dans cet état d’hypnose partielle n'a pas
hénomènes ; 0® Malgré cette circonscription de la vie psychique, le
sujet
ne perd rien de sa critique ; car, l'inhibition p
; car, l'inhibition produite est assez, peu profonde, pour que le
sujet
lui-même puisse tout de suite faire cesser l’inhi
en a besoin pour les opérations de l'analyse ; 7° Naturellement le
sujet
a gardé sa faculté de s'exprimer ; 8° Le sujet
7° Naturellement le sujet a gardé sa faculté de s'exprimer ; 8° Le
sujet
change moins d’humeur, est moins distrait, se fat
ue plus constante ; 9° Enfin, dans cet état d’hypnose partielle, le
sujet
est plus sugges-tible, si l’on veut encore employ
’ai montré à quelques psychologues. Ceux-ci se sont persuadés que mes
sujets
n'avaient pas perdu leur critique, objection qu'o
fait d'autres objections. On m’a dit, par exemple : certainement, vos
sujets
peuvent faire de très belles analyses, mais si vo
e sais pas à quels résultats peuvent arriver, à l’état de veille, des
sujets
que je n'ai pas examinés. Tout ce que je peux dir
examinés. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai travaillé avec des
sujets
qui, par leur éducation, leur instruction, et leu
on a besoin d’un acte volontaire correspondant. Or, si je plonge mes
sujets
dans l'hypnose partielle, ils disent, eux-mêmes,
é. Certainement, pour produire en eux l'état d'hypnose partielle, mes
sujets
aident par leur volonté, à la réalisation de ma s
térisant l'état d'hypnose partielle. Cet état, pris à un moment où le
sujet
n’a pas à faire d’analyses et comparé à l’état de
ant les différentes manières d’employer les suggestions spéciales, le
sujet
étant, soit à l’état de veille, soit à l'état d’h
ons nous en servir pour maintenir la constellation psycho-phvsique du
sujet
. Nous pouvons inhiber les phénomènes qui ont tend
qu’on produit par des procédés psycho-physiques ou par la volonté du
sujet
. Il s’agit tout particulièrement de ces phénomène
par la méthode objective; il. Difficiles à produire par la volonté du
sujet
, et à cause de cela, impossibles à être analyses
. Il en est de même pour ies impulsions et les actions. La volonté du
sujet
r.e suffit pas non plus ;i les produire et à les
s sous l’influence des excitation:: périphériques et de la volonté du
sujet
. Ainsi, par l'emploi de la suggestion, on augme
t alors comme interne M. Paul Berger, a entrepris des recherches à ce
sujet
(‘). Sur vingt-neuf expériences, dix fois il le
une de l’autre. Elles sont des signes de la dégénérescence mentale du
sujet
. Et leur présence simultanée chez la même personn
ent ; au milieu de sa besogne, elle s’en vient à penser à l’un de ces
sujets
de terreur, et la besogne n’avance plus... Sa vol
que fut sa longue et épineuse carrière. Ses travaux portent sur les
sujets
les plus divers : hypno-logie, psychologie, physi
la faculté d’imitation reprendra son intensité première. Tandis qu'un
sujet
normal ne fait qu’ébaucher l’acte perçu et que sa
profession lucrative pour les comédiens. L’aptitude varie suivant les
sujets
, tel qui est visuel prendra mieux le geste et la
fuite, la peur, l’agression, la colère... expriment des émotions. Le
sujet
qui les verra ne se bornera pas à imiter ces acti
ême peut être la source de suggestions. L'attitude communiquée au
sujet
hypnotisé éveille en lui les idées correspondante
le fournie par l’expérimentateur; tous les muscles étant relâchés, le
sujet
n’a plus conscience de l’eiïort causé par la cont
sensation ne parvient plus au cerveau. L’hypnose amène chez les bons
sujets
la perte de la conscience, de la sensibilité et l
a sensibilité et l’amnésie au réveil. En des cas moins favorables, le
sujet
possède une demi-conscience, il se souvient au ré
s engendrent les disputes et les querelles. 6° Opposition. Chez les
sujets
qui ont l’esprit d’opposition poussé au maximum,
ommeil et font le contraire de ce qu'on leur ordonne. Pourtant, ces
sujets
eux-mômes sont maniables pour un hypnotiseur exer
semble dire : je veux te convaincre, je veux que tu penses ainsi; le
sujet
se rebiffe. Pour convaincre, il faut avoir un ton
rmédiaire du sommeil suggéré (hypnose) l’imitation, la suggestion des
sujets
normaux ou malades (hystériques). Nous avons vu c
es sujets normaux ou malades (hystériques). Nous avons vu comment ces
sujets
réagissent parfois par des mouvements exagérés ou
° La léthargie est le degré le plus accentué du sommeil hypnotique-Le
sujet
n’est plus suggestionablc, car le cerveau est iso
que l’attitude donnée au malade est conservée. Vous élevez le bras du
sujet
, il reste dans cette attitude : la sensation ains
la contraction musculaire. L’état cataleptique existe chez certains
sujets
en dehors de l'état hypnotique : tel est l’état d
e l’hystérique, considérant l'hystérie comme une maladie qui rend les
sujets
plus particulièrement hypnotisables. Nous pourr
ur la conscience : l’anesthésie étant due à un état d’inconscience du
sujet
. Les modifications et le dédoublement de la per
ma part, j’ai quelquefois provoqué ces phénomènes en hypnotisant des
sujets
, mais il s’agissait de sujets profondément hystér
voqué ces phénomènes en hypnotisant des sujets, mais il s’agissait de
sujets
profondément hystériques, présentant des symptôme
usqu'aux limites les plus extrêmes. Nous avions obtenu, chez certains
sujets
, les manifestations de l’automatisme le plus inte
ourd'hui par l'emploi de la suggestion et des actions psychiques. Les
sujets
auxquels nous nous adressions étaient des hystéro
ls nous nous adressions étaient des hystéro-épileptiques qui sont des
sujets
de choix pour les recherches expérimentales. Or,
sonnes sur lesquelles j’opère sont, non pas des hystériques, mais des
sujets
normaux auxquels je fais subir un long entraineme
t toujours hystérique. M. Bérillon. — J'accorde à M. Vogt que des
sujets
normaux, s’ils sont sensibles et intelligents, pe
ts normaux, s’ils sont sensibles et intelligents, peuvent devenir des
sujets
excellents, mais ils ont besoin d’élrc entraînés
in d’élrc entraînés et cultivés. Si, au contraire, on s’adresse à des
sujets
prédisposés comme le sont les hystériques, il n’e
ffluves magnétiques et électriques et j'ai failli être victime de mes
sujets
, tant les expériences réussissaient bien. Mais l’
t en garde contre la sensibilité extraordinaire que peut acquérir son
sujet
et qui ne se rend pas toujours compte qu’un i
ividus éveillés, devient un signe de la plus haute importance pour le
sujet
endormi. Cette hyper-sensibilité et cette tenda
e de phénomènes névrosiques, il est préférable d’expérimenter sur des
sujets
normaux qui réalisent parfaitement des états appa
étudié l’hypnotisme sur des personnes saine3, au lieu de se servir de
sujets
hystériques, simulateurs et auto-suggestibles à l
l’hypnose, on doit, de toute rigueur, exclure de ses expériences les
sujets
hystériques. M. Paul Magnin*. — A mon avis, on
s, on répète trop facilement que Charcot s'est laisse tromper par ses
sujets
. Les conditions expérimentales dans lesquelles Ch
rimentale. Il est probable que d'autres n’auraient pas obtenu .de nos
sujets
les dissociations expérimentales et les réactions
aculté ont dû avouer leur impuissance. En outre, j'ai pu étudier ce
sujet
si grave du redressement moral des jeunes cerveau
ne pouvons reproduire tous ces détails. Signalons pourtant un de ces
sujets
qui ne sait pas et ne peut pas parler, mais dont
he continuellement sur la pointe des pieds, comme une danseuse. Etant
sujette
à des extases religieuses, elle se croit crucifié
ise dans l’embrasure d’une fenêtre. On fait cercle. Cette femme était
sujette
à des fugues inconscientes. Elle sortait le matin
pourraient être saisies ni observées dans l’état de veille. Or, le
sujet
lui-même peut prendre pleinement conscience de ce
uggestions privatives et les suggestions à terme avec inconscience du
sujet
pendant l’intervalle. 3° Il fait revivre dans l
t par la mise en œuvre d'une espèce déterminée d'images, selon que le
sujet
est auditif, moteur ou visuel. ¥ • L'évocatio
naturel, il convient de réaliser une hypotaxie préalable qui rende le
sujet
apte à être suggestionné. • * * A de nombre
sur ces questions, M. Parez m’a sollicité de prendre la parole sur ce
sujet
, afin de confirmer ou d’infirmer, s’il y a lieu,
s animaux à l’exclusion des autres. Certains animaux, qui ne sont pas
sujets
à la léthargie, peuvent y tomber accidentellement
t d'empêcher toute fraude. (I) Il convient de rappeler que certains
sujets
pcuvenl arrêter les :nouveraents du co?ur, d’autr
ple pression d’un point hypnogène artificiellement créé. Réveillé, ce
sujet
ne savait même pas qu’on l’avait endormi. Après l
avait endormi. Après l’avoir hypnotisé, j’ai pu faire revivre chez ce
sujet
le souvenir de ce qui s’élail passé pendant les s
n obstacle ou un empêchement au sommeil, triomphe de la résistance du
sujet
et favorise l’inhibition. D’une manière générale,
otions toute leur éloquence physique. Il suffisait donc d'endormir un
sujet
, de lui faire entendre de la musique et d’observe
nomie, l'harmonie entre les mouvements du corps et ceux du visage, le
sujet
de M. de Rochas est précieux pour les psychologue
ues et pour les arlistes, peintres, sculpteurs ou comédiens. D'aulres
sujets
répondent aux excitations musicales par des réact
eraient hésitantes et gauches elles resteraient instructives. Que ces
sujets
soient lents à se mouvoir, que leurs mouvements a
lieu d’un acteur, nous avons affaire à un spectateur. Cela dépend des
sujets
, de leur degré d’intelligence, de culture, de leu
nts sera en raison composée de la nature de l’excitant et de celle du
sujet
. De plus, les phénomènes de conscience échappent
mbre d’accidents que nous rapportons à cette seule maladie. « Si ce
sujet
était épineux, l'hypnotisme l’était bien davantag
il n’est question bien entendu ici que des miracles médicaux. « Ce
sujet
ne peut nous laisser indifférents, car le but ess
sensibilité, les dédoublements de la personnalité, etc., etc. A ce
sujet
, disons nettement que nous n’aurons d'autre préoc
e hypnotique est susceptible de se manifester. On sait que certains
sujets
présentent au sortir de maladies infectieuses, mê
n, d'une intoxica- lion, qui développent l’hystérie chez certains
sujets
prédisposés (!) ». Certes, une maladie infectie
ne hystérie antérieure ou immédiate. Et la preuve, c'est que tous les
sujets
, quels que soient leur sexe, leur âge, leur tempé
ement rétabli. 5° Enfin des plaies de tous genres. Sur ce dernier
sujet
, je veux rapporter une observation inédite prise
fait de diagnostic précis : or dans les recherches ultérieures sur ce
sujet
il importera d'établir au préalable un diagnostic
avaux, M. Paul Richer s’était révélé comme un véritable artiste. A ce
sujet
. M. le Dr Félix Regnault publiait récemment dans
es épileptiques; mais il faudrait admettre comme telle toute personne
sujette
à des accès de fureur. César avait de fréguenls
ence, petit mal épileptique. Cet état diffère de l’autre en ce que le
sujet
n’a plus aucune pensée ; c’est un vide cérébral c
affectifs* L'attention a toujours pour cause des états affectifs. Ace
sujet
, M. Ribot s’exprime ainsi : « L’homme, comme l’an
est pas naturellement. Cela revient à dire que vous n'obtiendrez d’un
sujet
une somme d’attention suffisante pour l’hypno-tis
, respect, reconnaissance, admiration) inspirés par l'opérateur à son
sujet
. Nous nous bornerons à donner les résultats génér
on sous la forme suivante : a Si vous voulez hypnotiser facilement un
sujet
, commencez par lui inspirer confiance. » Il résul
i constaté fréquemment que la présence d’une personne antipathique au
sujet
suffit pour neutraliser notre influence. 11 est d
ans l'assistance aucune personne dont la présence soit désagréable au
sujet
. Toutes ces considérations permettent donc d’af
s pas trouvé chez les auteurs d’exemples d’expériences analogues. Les
sujets
qui ont servi à nos expériences étaient des hysté
une hystérique hypnotisable, des sentiments affectifs existants. Le
sujet
, Mlle M. C., est plongé dans l'état de somnambuli
nc hystérique hypnotisable, de sentiments contraires simultanés. Le
sujet
, MH* M. C..., plongé dans l’état de somnambulisme
séparation, imposée par l’incompatibilité d’humeur, s’effectua. A ce
sujet
, nous ferons remarquer le soin avec lequel no
interventions d'ordre suggestif. Nous continuerons nos études sur ce
sujet
et nous ferons part ultérieurement à la Société d
. M. Ilachet-Souplet possédait un de ces singes, qui était évidemment
sujet
à des maux de dents; car, lorsqu'il avait mangé d
n durable des neurones de sensation, peuvent aussi déterminer chez le
sujet
normal une rétraction momentanée de ces neurones.
nt produire, chez l’hystérique, des anesthésies durables, et, chez le
sujet
normal, des engourdissements ou des anesthésies m
ire entrer un hystérique en état d’hypnose, provoquent aussi, chez le
sujet
normal, de Tassourdissemcnt et de la somnolence.
ie (anli, à l’opposè;paschein, souffrir)achèvera de nous éclairer. Un
sujet
A animé de l’esprit d’opposition, au lieu d'imite
t pas d’étre suggestionneur, il faut être psychologue. » Prenons un
sujet
endormi, il s’agitdelui communiquer une croyance.
poussée au maximum. Mais il ne suffit pas toujours, surtout quand le
sujet
n’est pas dressé, et il faut recourir à d’autres
t n’est pas dressé, et il faut recourir à d’autres moyens. 2° Si le
sujet
a l’esprit d’opposition, fréquent chez les hystér
eut; on éoiter&\& parole de commandement si efficace chez les
sujets
dressés à l’obéissance; on affirmera par des paro
n raisonnement plus ou moins serré, plus ou moins logique suivant les
sujets
: il faut les convaincre. Donc, bien que le suj
ique suivant les sujets : il faut les convaincre. Donc, bien que le
sujet
hypnotisé soit éminemment suggestionnable, il fau
s. Je lui dosai ses lectures; je lui fis faire des rédactions sur des
sujets
déterminés ; j’obtins qu’elle écrivit le résumé d
la fin du xvi® et du commencement du xvii* siècle avaient enseigné au
sujet
du fluide universel. Il existe, disaient-ils. u
, Georges lui a raconté qu'il avait vu un de sesoncles hypnotiser des
sujets
: ceux-ci sc mettaient à bavarder et à raconter l
re partie de cette période sera consacrée à l’examen psychologique du
sujet
. On procédera ensuite à l'entraînement hypno-sugg
r, mais surtout de la suggestibilité ou plutôt de l’émotionabilité du
sujet
. Ces règles me paraissent si sures qu’on peut,
Londres, 5 janvier 19(10. Une jeune institutrice de vingt-deux ans,
sujette
à des extinctions de voix passagères à la suite d
nésie hystérique intéresse fréquemment toute une période de la vie du
sujet
. Cela prouve que les empreintes recueillies dans
si les ondulationsdeladécharges'engagentsur les voies centrifuges, le
sujet
pourra exprimer le délire ecmnésique circonscrit
com-pagn ou non d’hallucinations, dont il vient d'être le théâtre. Un
sujet
du docteur Perrier {de Caen), Léonie, présenta un
uvent d'ailleurs se transformer les unes dans les autres chez un même
sujet
par suite de modifications dans la résistance et
erné à l’auteur de la meilleure thèse parue dans l'année sur l’un des
sujets
suivants : Ilypnologie, Psychothérapie, Pédagogie
sionnist', et de l’hystérique étudié par Sollier et Malapert (2). Ces
sujets
peuvent refouler leurs organes abdominaux dans le
rtain temps, avec quelqu’un qui était venu me voir pour un tou» autre
sujet
que la médecine, mais qui avait mis habilement la
lle malade. Il n'en est pas moins vrai que, si au lieu d’examiner mon
sujet
en psychologue, je m'étais borné à recourir bruta
dans un même moment, les images et les idées se rapportant à un même
sujet
. Et cela explique admirablement leur suggestibi
es inactifs ou fatigués, mais un nombre tel d’éléments nerveux que le
sujet
s’endort d’un sommeil particulier qui est l’hypno
la 11g. prccédcnlo. successivement à ces deux agrégats et que Je
sujet
vit alternativement deux vies. Si N et N’ sont
est beaucoup plus grand que N’, on dit, lorsque N fonctionne, que le
sujet
est éveillé (veille pathologique et incomplète, n
ue et incomplète, nous l’avons vu), et, lorsque N’ fonctionne, que le
sujet
est en état de somnambulisme. On comprend pourquo
e, que le sujet est en état de somnambulisme. On comprend pourquoi le
sujet
peut, lors de chaque nouvelle période d’état seco
des messages psychiques passent de l’un à l’autre. C’est alors que le
sujet
peut retrouver, à l’état de veille, des souvenirs
, x, d, ck, c'jmmc daas la Iig. précédente. rait alors N + N’, le
sujet
pourra exprimer des souvenirs de N et des souveni
t et en connaissance de cause, sous la forme qui convient le mieux au
sujet
, est une façon de l’isoler et qui donne,, contrai
personnes. Mais il n’en est rien et si cela est vrai pour ceriains
sujets
(hommes surtout), avec lesquels il faut beaucoup
petit à petit. Mémo le dormeur profond, le somnambule, n'est pas un
sujet
docile h la suggestion thérapeutique. Tant chez l
volume normal. Si, pendant l’opération, la rougeur monte aux joues du
sujet
, c’est d’un bon pronostic, on dit qu’il se rétabl
et de la physiologie, comme tous les autres remèdes. Pour rendre le
sujet
plus clair, l'auteur classe le cervelet, le gangl
e cerveau représente l’esprit volontaire. Si nous voulons mettre un
sujet
dans la condition de recevoir la suggestion, nous
logie et de Psychologie à l’auteur de la meilleure thèse sur l’un des
sujets
suivants : Hypnologie, Psychothérapie, Pédagogi
tions qui méritent bien d'être examinées. L'histoire nous offre, à ce
sujet
, une expérience toute faite, qui s'est prolongée
e se montre, sans qu'il y ait lésion des poumons ou du cœur? Chez les
sujets
qui ont succombé ra-pidement, dans le cours du rh
ue toujours de troubles morbides di-vers, qui peuvent déjà devenir un
sujet
de méditation pour le médecin. Mais l'expérimenta
e. Elle accélère ou paralyse à volonté les mou- 1. Consultez sur ce
sujet
le remarquable discours prononcé par mon ami le d
difficultés que présentent l'auscul-tation et la percussion chez les
sujets
âgés ; nous aurons plus tard l'occasion d'y reven
n autre ordre de laits, nous voyons le diabète se présenter, chez les
sujets
d'un âge avancé, avec des symptômes fort différen
te, et, sous ce rapport du moins, le vieillard ne le cède en rien aux
sujets
d'un autre âge. Mais cette rapidité de l'invasion
te son cours naturel, et se termine par la guérison. Mais c'est là un
sujet
sur lequel nous aurons sans doute à revenir plu
souvent dans un âge moins avancé. La défervescence, chez plusieurs
sujets
, est le signal des phénomènes critiques qui doive
de nouveaux services. Mais je ne veux point aborder aujourd'hui ce
sujet
: j'au-rai sans doute l'occasion, dans le cours de
goutte, la syphilis, ou l'intoxi-cation saturnine, il faut creuser le
sujet
jusqu'au fond; c'est ainsi du moins, qu'on peut e
tte articulaire, et paraît exister dès le premier accès. 2° Chez un
sujet
goutteux, les jointures qui ont été malades sont
ce rapport, et ils nous ont fourni quelques détails intéressants à ce
sujet
. Cependant d'une manière générale, on peut dire q
issent se rattacher à cette affection et qu'on a rencontrées chez des
sujets
atteints de goutte soit aiguë, soit chronique, lo
qui caractérisent la diathèse goutteuse. Mais, avant d'aban-donner ce
sujet
, je crois utile de vous placer sous les yeux cert
s à celles de la goutte. Aldrovandi nous apprend que les faucons sont
sujets
à présenter autour des doigts des tumeurs formées
si à la tradition uni-versellement acceptée. Mais, avant d'aborder ce
sujet
, il convient d'appeler votre attention sur un éta
ois avant l'apparition des phénomènes arti-culaires, et qui, chez les
sujets
déjà frappés de la goutte, remplit assez souvent
et du catarrhe bronchknie peuvent, en outre, se montrer chez certains
sujets
. Ces phénomènes, qui n'ont pas une grande importa
ernier ferme de cette progression morbide, de môme que chez cer-tains
sujets
la goutte se développe d'emblée; niais, en géné-r
'un premier accès de goutte aiguë soit sur le point d'éclater chez un
sujet
qui, jusqu'alors, n'avait jamais ressenti les att
quelquefois des phénomènes tout à fait insolites dans l'expérience du
sujet
; une angine, une douleur sciatique ou musculaire,
on qu'en a laissée Syden-ham, ou les pages éloquentes consacrées à ce
sujet
par M. le professeur Trousseau. Voyons maintena
oindrie; c'est ce qui se produit assez souvent chez les femmes et les
sujets
débilités. C'est alors la forme molle ou asfhéniq
trer deux ans après le début de la maladie; et deux ans plus tard, le
sujet
éprouvait des accidents épileptiformes et mourait
entraîner les conséquen-ces les plus regrettables. Il y a donc là un
sujet
qui mérite bien de nous arrêter quelque temps, d'
érence, l'étude de la goutte viscérale va maintenant nous occuper. Le
sujet
, comme je vous l'ai déjà fait observer, avait viv
où nous en sommes arrivés, de justifier àvos yeux l'importance de ce
sujet
, qui se recommande à votre attention sous un doub
e. Les acci-dents de la goutte viscérale peuvent-ils exister chez des
sujets
dont les jointures n'ont jamais été et ne seront
e ! Remarquons toutefois que ces phénomènes peuvent exister chez un
sujet
issu de parents goutteux, et dès lors manifesteme
on de cet état. B. Occupons-nous maintenant de la goutte gastrique,
sujet
que nous avons effleuré déjà, en vous parlant de
s avons effleuré déjà, en vous parlant de la dyspepsie habituelle aux
sujets
goutteux, ainsi que des accidents nerveux qui l'a
développer avant tout affection articulaire : chez un grand nombre de
sujets
, aussitôt que les jointures sont prises, les trou
maladie n'a pas été trop légèrement admise chez un certain nombre de
sujets
. Il est facile, en effet, de commettre ici des er
obable qu'il se produit à la longue des lé-sions permanentes chez les
sujets
atteints de ces manifestations en apparence purem
nfin, on a signalé la présence de Yarcus senilis (Canton), chez les
sujets
atteints de cette altération du tissu musculaire
s apoplexies. IV. 11 s'est opéré un changement dans nos idées, au
sujet
des connexions que présentent les arthropathies m
rampes douloureuses dans les masses musculaires des membres ; il sont
sujets
au lumbago, et peu-vent ressentir des douleurs tr
uriques. Il est certain qu'on rencontre souvent le psoriasis chez les
sujets
apparte-nant à des familles goutteuses, et qu'il
e rencontrent souvent, sinon chez le même individu, du moins chez des
sujets
appartenant à la môme famille. — Observations à l
aux de ses prédécesseurs, a eu le mérite d'appeler l'attention sur ce
sujet
, qui, avant lui, n'avait guère été étudié en Fran
armichael, MM. Rayer et Marchai (de Calvi), survient surtout chez les
sujets
débi-lités atteints de la forme chronique de la g
pirer d'assez vives inquiétudes au médecin. J'ai constaté que de tels
sujets
succombent, en général, à quelque inflammation vi
rds. H son (1), Lu syphilis, d'après Wells, est très grave chez les
sujets
atteints de goutte. Elle prend volontiers le cara
in, est une complication très grave du typhus. Je n'ai jamais » vu de
sujets
goutteux être atteints de typhus et guérir. » (Mu
plus promptement la salivation chez les goutteux que chez les autres
sujets
(3). J'ajouterai que Vopium ne doit être admi-nis
ue Vopium ne doit être admi-nistré qu'avec la plus grande réserve aux
sujets
atteints de goutte chronique, s'il existe chez eu
diabé-tique, dès l'année 1856. Il a publié plus tard un ouvrage où ce
sujet
est étudié avec un talent remarquable (1). D'ap
server les faits. Airisi Griesinger, qui a étudié le diabète chez des
sujets
appartenant à toutes les classes, n'a trouvé que
s faits dans lesquels la goutte se transforme en diabète chez le même
sujet
; il faut aussi, comme on l'a fait avec tant de su
épartition chez les divers membres d'une même famille. Chez le même
sujet
on voit rarement coexister la goutte et le diabèt
manifestation de cette diathèse, se rencontre assez souvent chez les
sujets
goutteux. La pa-renté qui réunit ces deux maladie
ter l'absence complète d'acide urique dans le sérum du sang, chez des
sujets
non goutteux qui rendaient habituelle-ment pendan
deux ordres de faits; loin de là, il est démontré que, chez certains
sujets
, la gravelle se rattache à l'existence d'un excès
ère abso-lue; mais il est vrai que la scrofule est fréquente chez les
sujets
atteints de rhumatisme noueux ; il est donc permi
e articulaire aigu (Wunderlich, Hamernjk) (2), est fréquente chez les
sujets
atteints de rhumatisme articulaire chronique. Che
is (2), prouve que ces deux affections peuvent se réunir chez le même
sujet
. 11 s'agit d'un cancer du pénis, avec noyaux canc
up changé. Voilà pourquoi, sans doute, les écrits qui ont paru sur ce
sujet
, depuis soixante ans, sont en si petit nombre ; c
s de cette espèce. Il y a donc dans la constitution même de cer-tains
sujets
des conditions favorables au développement de la
se montrer. Souvent elle se déclare à un âge déterminé chez tous les
sujets
d'une même famille. Garrod nous apprend que dans
a soixantième année. Garrod l'a cependant rencontrée une fois chez un
sujet
âgé de neuf ans, et une fois chez un jeune homme
respecte aucun tempérament, et peut se développer aussi bien chez les
sujets
affaiblis que chez les hommes vigou-reux; seuleme
anguins et pléthoriques ; la forme asthénique, chez les femmes et les
sujets
nerveux. B. — Influence des climats, de l'alime
issons peuvent exercer sous ce rapport. Passons maintenant à un autre
sujet
. R. — Intoxication saturnine. — Garrod avait co
recueil d'observations, établit que la goutte est fréquente chez les
sujets
atteints de paralysie saturnine; enfin Todd qui r
ens pléthoriques. Mais ïodd a prouvé qu'elle s'attaque volontiers aux
sujets
débilités. Nous consacrerons la prochaine séanc
Il nous suffira donc d'avoir présenté au lecteur une vue générale du
sujet
, sans nous arrêter à l'étude minutieuse des détai
elle qui est formée dans l'économie, ce qui est probable, puisque les
sujets
qui ont servi à établir ces résultats étaient en
tion locale. Tel est, messieurs, l'état de nos connaissances sur ce
sujet
. J'ai cru devoir me livrer une à discussion souve
utiques qu'on peut opposer à la goutte. Mais j'aime mieux reporter ce
sujet
au moment où nous aborderons le traitement du rhu
e affection. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce
sujet
. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatis
our le rhumatisme articulaire chronique, qui va maintenant devenir le
sujet
de nos leçons. Nous aurons sous ce rapport un g
qu'elles se rencontrent ; on voit survenir, chez quelques-uns de ces
sujets
, certaines formes d'asthme et d'affections cutané
oire, pour ren-contrer les premiers travaux qui se rapportent à notre
sujet
. Les médecins de l'antiquité, comme nous vous l
compa-triote de Colles, que nous devons les meilleures études sur ce
sujet
(1839-1857). En ce qui concerne l'examen à l'œil
ue aux autres arthropathies à lente évolution.Mais avant d'aborder ce
sujet
, nous voulons vous signaler les analogies qui rel
• D'interminables discussions ont eu lieu, à une certaine époque, au
sujet
des lésions du rhumatisme articulaire aigu. Cette
iques très prononcées se rencontraient en plusieurs points. Chez un
sujet
, mort le vingt-cinquième jour à la suite d'ac-cid
adies des articulations. Paris, 1845, t. I, p. 32 vestiges chez des
sujets
qui succombent à des affections orga-niques du cœ
s'expliquent de cette manière. J'ai pu constater ces lésions chez les
sujets
frappés depuis longtemps d'hémiplégie ou de parap
une fois décrit les rhumatismes, soit aigu, soit chro-nique, chez les
sujets
syphilitiques; car ces deux diatheses sont loin d
fection lo-cale? Rappelez-vous ce qui se passe, à cet égard, chez les
sujets
atteints de la goutte. Toujours est-il que, lor
; cepen-dant Garrod a vu ce symptôme se produire quelquefois chez les
sujets
cachectiques. Il n'y a pas de desquamation, quand
avons plu-sieurs fois constaté. Rappelons enfin que, chez plusieurs
sujets
, le rhumatisme paraît lié à la diathèse hémorrhag
ui sont l'une des causes les plus fréquentes des hémiplégies chez les
sujets
non encore parvenus à un âge avancé. Lors-que l'a
lésion se montra à la suite d'une affection rhumatismale du cœur. Le
sujet
était un homme de vingt-quatre ans, qui fut attei
aladies des reins sont des exemples de néphrite rhumatismale chez des
sujets
atteints d'une maladie du cœur. Les embolies ca
cas de rhumatisme articulaire aigu avec endo-cardite, dans lequel le
sujet
fut subitement pris, au quinzième jour, d'un accè
ttendre à rencontrer toujours des bruits de souffle évidents chez les
sujets
atteints de rhumatisme chronique; mais l'anatomie
valvules sigmoïdes de l'aorte. Le plus souvent, il y a eu, chez ces
sujets
, aune époque antérieure, une attaque de rhumatism
cas de pneumonie chronique chez les rhumatisants, mais c'étaient des
sujets
cachectiques. La congestion pulmonaire rhumatis
périodes avancées, d'après les recherches que j'ai entreprises sur ce
sujet
avec M. Cornil. Ces lésions, d'ailleurs, se renco
M. Cornil. Ces lésions, d'ailleurs, se rencontrent toujours chez des
sujets
profon-dément cachectiques. Les affections de l
l, mais d'une manière incomplète. assez fréquente, surtout chez les
sujets
depuis longtemps con-finés au lit. Appareil de
articulaires des affections spinales avec le rhu- 1. Consulter à ce
sujet
la thèse de M. le Dr Malherbe. Paris, 1866, p. 55
des arthrites. — Généra-lisation d'emblée, fréquente chez les jeunes
sujets
: marche progressive chez les sujets âgés. — Défo
mblée, fréquente chez les jeunes sujets : marche progressive chez les
sujets
âgés. — Déformation consécutive des membres. — De
cas où l'évolution de la ma-ladie se fait lentement. Chez les jeunes
sujets
de seize à trente ans, on voit souvent au contrai
ouvent au contraire cette affection se généraliser d'emblée: chez les
sujets
plus âgés, de quarante à soixante ans, elle suit
de ce travail morbide. Elles sont surtout prononcées chez les jeunes
sujets
, lorsqu'il existe des dou-leurs spasmodiques, et
vent envahies. Deux cas peuvent se présenter : a. Chez les jeunes
sujets
, la marche de la maladie est rapide, et les contr
tisme noueux ne convient guère aux cas de cette espèce. b. Chez les
sujets
plus âgés, la maladie suit une évolution plus len
ue la plupart des jointures peuvent être prises, chez un seul et même
sujet
, dans les cas de rhumatisme chro-nique généralisé
dans les jointures affectées. Je n'insisterai pas longuement sur ce
sujet
. Les arguments que j'ai autrefois exposés, renfor
ire chronique à évolution ra-pide, il s'agit habituellement de jeunes
sujets
, âgés de seize à trente ans ou de femmes en état
ans le rhumatisme chronique à évolution lente, il s'agiten général de
sujets
plus âgés, ayant de quarante à soixante ans: on r
gré la règle que nous avons formulée, il se rencontre chez les jeunes
sujets
des cas qui se comportent comme chez les vieillar
ne faudrait pas croire qu'elle ne se rencontre jamais chez de jeunes
sujets
; bien au contraire, on la constate souvent aux p
s aigus de cette maladie. Il n'est pas rare de le rencontrer chez des
sujets
atteints d'un cancer du sein, ou de tout autre or
trente ans et de quarante à soixante. — Sexe. — Les hommes sont plus
sujets
au rhumatisme articulaire aigu, les femmes au rhu
accidentelles, passa-gères, elles tiennent à la constitution même du
sujet
; nous le voyons bien pour la goutte. Les statis
cœur sont plus fré-quentes chez les jeunes rhumatisants que chez les
sujets
plus âgés. Nous axons ici une différence à sign
el, et surtout Y arthrite déformante, se rencontrent surtout chez des
sujets
avancés en âge ; on les ob-serve souvent dans l'â
e souvent dans l'âge moyen de la vie. C'est seulement chez les jeunes
sujets
que ces affections sont vraiment exception-nelles
dans l'âge sénile, elles peuvent se montrer cependant chez les jeunes
sujets
. IV. Sexe. — Les hommes, sont plus sujets que
pendant chez les jeunes sujets. IV. Sexe. — Les hommes, sont plus
sujets
que les femmes au rhumatisme articulaire aigu. Ce
t entière, ou peu s'en faut. Il est certain toutefois que, chez les
sujets
prédisposés, le froid jouit d'une grande puissanc
urs, telles sont les conditions qui se retrouvent chez la plupart des
sujets
atteints de rhumatisme chronique. En outre, la pl
il y a lopins souvent une période d'incu-bation, pendant laquelle les
sujets
n'éprouvent que des dou-leurs musculaires vagues.
sme chronique se développe à cette période de la vie. 1. Voyez à ce
sujet
la discussion qui a eu lieu à la Société médicale
excès. 3. La scrofule figure très souvent parmi les antécédents des
sujets
atteints de rhumatisme chronique progressif. Il e
de rhumatisme chronique progressif. Il est très fréquent de voir ces
sujets
présenter au cou des cicatrices spécifiques. Je p
isie se faisait remarquer par la lenteur de son évolution. — Chez les
sujets
atteints de rhumatisme aigu, la phtisie est rare
soit avec celui de l'utérus, n'est pas exceptionnelle. 1. Voir à ce
sujet
Baillou, t. IV, p. 315. — Est-ce là ce qui fait d
humatisme à la goutte. On les voit coexister quelquefois chez le même
sujet
, qui présente à la fois les lésions de la goutte
en parallèle avec celui du rhumatisme articulaire chronique. C'est ce
sujet
qui va nous occuper aujourd'hui. Traitement de
évolution régulière de la maladie. 11 déter-mine aussi, chez certains
sujets
, des effets hors de toute proportion avec les dos
in est applicable. Il est formellement contre-indiqué : 1° Chez les
sujets
d'un âge avancé ; 2° Chez ceux dont les reins,
néralement accréditée à cet égard. J'ai administré maintes fois à des
sujets
atteints de rhumatisme chronique le bicar-bonate
tc.), elles paraissent avantageuses, au début de la maladie, chez les
sujets
robustes, et surtout sur ceux qui portent des af-
lait donner une appréciation critique de tout ce qui a été écrit à ce
sujet
, soit par les partisans déclarés des eaux, soit p
a moindre piqûre, survenir un éry-sipôle de mauvaise nature, chez les
sujets
atteints d'affec-tions rénales et surtout diabéti
cet établissement, a bien voulu se livrer à l'analyse de l'urine des
sujets
que j'avais soumis à la la médication arsenicale,
fois prescrit avec suc-cès contre le rhumatisme chronique. Chez les
sujets
chlorotiques ou débilités, le fer, l'huile de foi
s réelles, et souvent presque insurmontables que pré-sentent chez les
sujets
âgés, l'auscultation et la percussion, il nous su
ici encore, peut être appelé à rendre de grands services. C'est là un
sujet
encore peu exploré, mais qui nous fournira toutef
er quelques détails impor-tants. I. Avant d'entrer dans le vif du
sujet
, nous devons établir quelques préliminaires. A.
lle, est. d'après les recherches très nombreuses que j'ai faites à ce
sujet
, la température normale du vieillard, jusqu'aux e
te température de 38° comme représentant l'état normal, môme chez des
sujets
parvenus aux dernières limites de l'âge sé-nile.
thermométrie rectale chez les vieillards. — Je ne saurais quitter le
sujet
sur lequel nous venons de nous arrêter sans vous
de préférence pour lieu de nos explorations thermométriques chez les
sujets
âgés. Nous vous devons de vous faire connaître le
us faire connaître les raisons qui, dès le début de nos études sur ce
sujet
, c'est-à-dire depuis près de 7 ans, nous ont déte
llaire et rectale, se rencontre très fréquemment dans la clinique des
sujets
âgés. Telle est la raison principale qui nous a
fébriles, entre l'adulte et le vieillard, j'entends ne parler que des
sujets
valides, ou autrement dit, libres de toute maladi
s de ce genre. Vous voyez comment ces deux tracés recueillis chez des
sujets
d'âge très différent sont cependant analogues sou
ois courbes que je vous présente actuellement sont rela-tives à trois
sujets
, dont l'un est un enfant de trois ans [Ziemssen),
inspection d'une courbe thermométrique, on .peut reconnaître l'âge du
sujet
en ce que dans l'âge avancé les maxima se tiennen
cte. Tout au plus pourraît-on reconnaître ainsi, qu'il s'est agi d'un
sujet
robuste, ou au contraire d'un individu préalablem
nce est fondé sur les nom-breuses observations que j'ai pu faire à ce
sujet
relativement à la pneumonie des vieillards ; mais
lysés ainsi que cela se voit généralement en pareil cas. Elle était
sujette
à des accès épileptiques. Après un accès plus int
? Wunderlich et Erb qui, les premiers ont appelé l'attention sur ce
sujet
, ont admis pour les besoins de la cause, que cert
et au bulbe, par la moelle épinière, puis se réflé- 1. Voyez sur ce
sujet
l'intéressant mémoire de M. A. Guérard : Sur les
fâcheuse. Ces pneumonies alcjides sont assez rares, même parmi les
sujets
profondément débilités que nous rencontrons en si
tum oscillait entre 36 et 37 degrés. Je suis loin d'avoir épuisé le
sujet
que je me suis proposé de traiter devant vous; ma
es thoraciques. Nous verrons que c'est principalement chez les jeunes
sujets
, dans les cas où la maladie a coïncidé avec la gr
es fourmillements qui la caractérisent. Nous aurons à re-venir sur ce
sujet
dans plusieurs points de ce travail, et, en parti
et de la hanche. Le ta-bleau suivant nous dispensera de donner sur ce
sujet
de plus amples détails ; Tableau, des jointures
ils trop minutieux peut-èlre, dans les-quels nous venons d'entrer, au
sujet
des déviations des mem-bres et de leurs extrémité
araît siéger dans les extrémités osseuses. 2° C'est chez les jeunes
sujets
, chez les femmes dont les jointures sont prises p
ment, et qui même peu-vent ne pas être envahies. En interrogeant à ce
sujet
41 in-firmes, voici ce que nous avons noté: les a
s observé dans la majorité des cas. Terminons ce qui est relatif à ce
sujet
, en faisant remarquer que, dans presque foutes no
cher à la maladie principale. Quelques infirmes, il est vrai, étaient
sujettes
à des douleurs d'estomac, et quelquefois même à d
c les douleurs articulaires ; ils étaient sur-tout prononcés chez les
sujets
chloro-anémiques. Les femmes dont nous avons fait
ît qu'à l'âge de 72 ans. Les résultats notés par Haygarth sur le même
sujet
sont à signaler : suivant cet auteur, ce serait p
ient plus de 41 ans. Voici le résultat de nos propres recherches à ce
sujet
: sur 41 cas, 4 malades ont été prises à l'âge de
ent ont pu nous donner des renseignements suffisam-ment précis sur ce
sujet
, et nous avons trouvé que quelque-fois l'affectio
'ont pas présenté d'altérations qui se rattachent directement à notre
sujet
. Ces lésions étaient toujours les mômes, sauf l
des femmes d'une 1. Nous avons trouvé de bons renseignements sur le
sujet
qui nous oeeupe dans les auteurs suivants : Por
ontraire, souvent assez ra-pide, les douleurs ont été vives, chez les
sujets
d'un âge moins avancé. Les déviations sont alors
e, et sont devenues plus marquées. Chez un certain nombre de jeunes
sujets
, la rétraction mus-culaire a singulièrement prédo
nt au fond les mêmes dans les deux cas. Mais pourquoi, chez cer-tains
sujets
, les arthrites sévissent-elles de préférence sur
uffisante ni dans le sexe, ni dans l'âge, ni dans la constitution des
sujets
affectés, ni enfin dans l'in-tensité ou la nature
ne seule oreille, ou occuper au contraire les deux oreilles d'un même
sujet
. Ce dernier cas semble être le plus rare. Leur si
ue les tophus goutteux articulaires ou abarliculaires. (Voyez, sur ce
sujet
, la note pu-bliée plus haut, p. 415). C'est, le
e des jointures, bien que l'oreille n'en présentât pas de traces. Les
sujets
chez lesquels on ren-contra des dépôts tophacés s
ez les goutteux. Parmi les lésions du rein trouvées à l'autopsie de
sujets
goutteux, les unes, bien que dépendantes de la go
ques mots, l'historique et l'état actuel de nos connaissances, sur ce
sujet
. se rencontrait parfois, dans l'urine des goutt
Archives de médecine en 1843 (3). A l'autopsie du malade qui fait le
sujet
de l'ob-servation remarquablement bien prise de M
es à leur surface, un seul, et encore est-il douteux, appartient à un
sujet
mort delà goutte. Sur 281 cas de reins granulés,
l'analyse des faits, il est vrai, peu nombreux, qui ont trait à notre
sujet
, nous croyons pouvoir conclure : I. Que chez un
n 1859, à la Société de biologie, les altérations des cartilages d'un
sujet
goutteux, déposé à l'École pratique (2). « Les ca
l'avait-vivement frappé, qu'une bonne partie, un quart au moins, des
sujets
goutteux admis dans son service d'hôpital avaient
e manière in-termittente, ainsi que cela a communément lieu, chez les
sujets
qui sont sous l'influence de la goutte. M. Garr
s malades d'âge moyen, d'ailleurs auparavant bien portants, sont très
sujets
à éprouver des accès de goutte dans les membres.
nary Organs, Lec. 15, on Gout, p. 400. London, 1857. 3. Voy. sur ce
sujet
: W. Budd, in The Library of Medicine, Ed. by A.
altération du sang par excès d'acide urique, rencontrée chez certains
sujets
atteints d'une affection saturnine. Sans doute, l
tion ouvrière, et vraisemblablement pour les mêmes causes. (Voy. à ce
sujet
Todd, Clinical Lectures on the Urinary Organs. Lo
bi autrefois l'intoxication satur-nine; si, d'un autre côté, chez les
sujets
actuellement soumis à cette intoxication, on ne v
inante de l'intoxi-cation saturnine. — Nous avons entrepris, sur le
sujet
qui nous occupe, une série de recherches que nous
es de la goutte sont, comme on voit, on ne peut mieux accusés chez ce
sujet
. Aiguë, du moins en apparence, à l'origine, et bo
malade de 54 ans qui, lui aussi non épileptique, se plaint de devenir
sujet
, depuis un an, à ce qu'il appelle des attaques. C
elles que coups, chocs, plaies, phlegmons, etc., font naître chez les
sujets
prédisposés, tantôt le rhumatisme articulaire aig
re (Traité de la goutte et du rhumatisme. Paris, 1823. t. I, p. 120).
Sujet
à la goutte, et auteur d'un intéressant travail s
étractée et pour ainsi dire sondée aux tissus sous-jacents (voir à ce
sujet
, un cas de goutte dont j'ai donné la description
principal dans la production des déviations. Il y a là un intéressant
sujet
d'étu-des sur lequel nous nous proposons de reven
érosité obtenue par l'application d'un vésicatoire, chez les nombreux
sujets
atteints de rhumatisme articulaire chro-nique que
urique, le sérum du sang et la sérosité de vésicatoires provenant de
sujets
non goutteux qui rendaient ha-bituellement en mêm
intervalles — avec les manifestations articulaires. Mais c'est là un
sujet
que nous devrons toucher encore dans une autre pa
). Diminution du phosphate et du carbonate de chaux dans les os des
sujets
goutteux. — Une analyse de Bramson (Zeitschr. fur
on considérable de la proportion des matières grasses dans les os des
sujets
gout-teux (p. 218). Réactions chimiques de la s
rmal, une réaction franchement alcaline. Il en est de même chez les
sujets
qui succombent pendant le cours du rhumatisme art
sact., 1861, p. 170) n'en a rencontré qu'un seul qui fut relatif à un
sujet
gout-teux, tandis que sur 281 cas de néphrite int
de l'acide urique dans les concrétions de l'aorte thoracique chez des
sujets
goutteux (p. 273-275). Plaques ostéiformes des
ation ouvrière, et vraisemblablement pour les mêmes causes (voy. à ce
sujet
Todd, Clinical lectures on the urinary organs. Lo
, mais encore parmi les résidents européens. — Voir aussi sur le même
sujet
: A. Hirsch; Hand-buch der historich-gcographisch
malades d'âge moyen, d'ail-leurs auparavant bien portants, sont très
sujets
à éprouver des accès de goutte dans les membres.
et la goutte. J'ai dans le temps entrepris quelques recherches sur ce
sujet
, et j'ai publié, in extenso, l'observation d'un i
(Or-nitholog., t. I, p. 456) avait remarqué déjà que les faucons sont
sujets
à présenter des tumeurs siégeant autour des doigt
a présence d'un excès d'acide urique dans le sang. » (p. 368). Même
sujet
. — Cette observation eût été plus démonstrative s
relativement à la susceptibilité particulière que présenteraient les
sujets
goutteux à l'écart des préparations mercurielles,
l'on apprit alors du malade que depuis huit ans, il avait été fort
sujet
à éprouver de semblables accès. (Medic. Times. 18
de l'opium dans les maladies des reins et dans la goutte. — Chez les
sujets
atteints d'une affection quelconque du paren-chym
d a rapporté, entre autres exemples du même genre, l'histoire de deux
sujets
goutteux chez qui les articulations des genoux fu
si que l'a reconnu lui-même M. Todd (On gout, loc. cit., p. 106), des
sujets
chez qui l'usage continu de petites doses de ce m
idérables de sels de soude, sans donner lieu à aucun trouble chez les
sujets
soumis à une semblable alimen-tation, tandis qu'i
dégénérescence graisseuse. Cheyne, Kennedy, Gairdner ont vu chez des
sujets
goutteux la mort survenir tout à coup dans ces ci
git peut-être ici en déterminant la crise cardiaque. Consultez à ce
sujet
Stokes, Traité des maladies du cœur, tra-duc. de
t liées à la diathèse urique et à ta goutte. II y a là un intéressant
sujet
de recher-ches. On sait que dans la maladie de Br
evoir reproduire in extenso : « On « observe, dit-il, chez les jeunes
sujets
du sexe masculin, des « palpitations peu graves,
, a été le point de départ de tous les accidents. — Consultez, sur ce
sujet
, Bail, Du rhumatisme viscéral. Paris, 1800, p. 88
-sibles ; on trouve assez souvent leurs caractères réunis sur un même
sujet
. Les différences qui les séparent sont dans l'exp
aît résulter des observations assez nombreuses que j'ai faites sur ce
sujet
, à l'hospice de la Salpêtrière. C'est surtout a
le rhumatisme articulaire chro-nique généralisé. Sur un total de neuf
sujets
atteints de cette dernière affection et dont l'au
eule, tantôt elle est compliquée d'endocardite. Depuis l'époque où ce
sujet
a fixé mon attention, j'ai vu plusieurs fois la p
u plusieurs fois la péri-cardite aiguë ou subaiguë coexister chez des
sujets
atteints de rhumatisme noueux avec les exacerbati
té invoqué par les trois quarts environ des ma-lades questionnés à ce
sujet
par M. Trastour et par moi, à l'hos-pice de la Sa
pparition de la maladie a lieu souvent plusieurs années après que les
sujets
ont cessé d'être soumis à cette influence (p. 625
s, succombent habituellement à la tuber-eulisation du poumon. Sur 119
sujets
affectés de rhumatisme goutteux, M. Füller (loa.c
de quarante à soixante ans. La maladie est rare chez les très jeunes
sujets
; je l'ai cependant observée chez un gar-çon âgé
eux et iritis. — J'ai vu trop souvent l'iriiis se développer chez des
sujets
atteints de rhumatisme noueux, et alterner avec l
xacerbations périodiques, se rencon-trent assez fréquemment, chez les
sujets
qui portent les nodosi-tés dont il s'agit. — Il e
ontré un fait du même genre. Peut-être ces calculs provenaient-ils de
sujets
goutteux. On n'a pas oublié que dans les expérien
ns arthritiques, communément appelées tophus, qui fut en même temps
sujet
aux calculs d'acide lithique. Ces concrétions son
ge 524. L'indication de plusieurs exemples d'urémie observée chez des
sujets
goutteux a été donnée à la page 275 (voy. la note
ts. Ainsi le profes-seur Griesinger, qui a étudié le diabète chez des
sujets
appar-tenant à toutes les classes, n'a rencontré
que et le diabète confirmé coexister dans le même temps, chez le même
sujet
, mais ces deux affections alternent ou se succède
e : il est donc important d'exami-ner de temps à autre les urines des
sujets
affectés de goutte ou de gravelle urique, afin d'
r à envisager les rapports entre la goutte et le diabète chez un même
sujet
; il faut les rechercher encore chez les divers me
i pré-sentera seulement les symptômes de la goutte; j'ai rencontré un
sujet
goutteux dont le père, diabétique, n'avait jamais
ux, d'après Prout, un ca-ractère adynamique. Il s'agit ici surtout de
sujets
atteints de goutte chronique et cachectiques. Dan
ctic ? Observations on Goût, London, 1834, p. 87^) est grave chez les
sujets
atteints de goutte ; elle prend volontiers le car
e et les os du bassin. On trouve presque toujours à l'autopsie de ces
sujets
, de nombreuses fractures de côtes, les une récent
cés en âge ; d'autre part, il se rencontre assez fréquemment chez des
sujets
dans l'âge mûr et même chez des adolescents (1).
e rencontrent souvent, sinon chez le même individu, du moins chez des
sujets
appartenant à la même famille. — Observations à l
affection. — Indication des premiers travaux qui se rapportent à ce
sujet
. Caractères fondamentaux de l'arthrite rhumatisma
n des arthrites. — Généralisation d'emblée, fréquente chez les jeunes
sujets
: marche progressive chez les sujets âgés. — Défo
mblée, fréquente chez les jeunes sujets : marche progressive chez les
sujets
âgés. — Défor-mation consécutive des membres. — D
trente ans et de quarante à soixante. — Sexe. — Les hommes sont plus
sujets
au rhumatisme articulaire aigu, les femmes au rhu
our à tour, un tableau, qui permette au lecteur de s'orienter dans le
sujet
. Ce tableau ne peut pas être complet, car les pro
t à l'impression reçue, j'affirme après les expériences faites sur ce
sujet
que l'on peut recevoir l'impression la plus appro
par l'examen de la malade. Elle a eu des attaques de nerfs, elle est
sujette
à des contractures dans les membres inférieurs, q
é amené aux mêmes conclusions. Le travail que j'ai entrepris sur ce
sujet
devant paraître au cours de cette année dans les
s que chez les individus sains. Sur le deuxième point (moralité des
sujets
), les auteurs Italiens admettent que les aliénés
dans cette catégorie des personnages entiers ou en buste, des fleurs,
sujets
erotiques, animaux, objets inanimés, emblèmes et
e. Dans cet ordre d'idée on peut distinguer : 1° Les images dont le
sujet
a été choisi par le tatoué qui les a désignées et
oulait avoir le dessin figuratif sur la peau. 2° Les images dont le
sujet
a été choisi d'un commun accord par le tatoueur e
euls tatouages intéres, sants sont les tatouages allégoriques dont le
sujet
a été choisi ou accepté de propos délibéré par le
u point de vue du choix des images, ces individus comprenaient : 32
sujets
qui avaient choisi les imagesde leurs tatouages (
nous entraînerait trop loin et qui du reste nous écarterait de notre
sujet
, nous dirons que nos 16 malades présentaient: 2
omme tel a tatoué autrefois alors qu'il avait 36 ans, des ostensoirs,
sujets
religieux, femmes nues, verges ailées sur le corp
rs, filles, femme, etc., Ses tatouages ont été exécutés alors que les
sujets
avaient de 15 à 40 ans ; il tatouait de préférenc
aurait tatoué également sur les cuisses d'une de ses belles-sœurs des
sujets
religieux (descente de croix). Ce malade est un d
tuer à elles seules, l'état de besoin. Ce qui le prouve, c'est que le
sujet
peut être calmé par des injections de solutions n
a ferme volonté, la guérison sera plus facilement obtenue que chez un
sujet
n'ayant pas les mêmes forces psychiques ou physiq
maladives. Le Dr Gélineau vient de faire paraître un ouvrage sur un
sujet
peu fouillé encore, les Phobies ou Peurs maladive
drie), ou arthritique ; 3° Les Phobies essentielles existant chez des
sujets
très sains, n'ayant aucune taxe physique ou psych
offrant l'attrait de la nouveauté, car, nous le répétons, c'est là un
sujet
peu étudié jusqu'à présent; ces observations démo
e livre est très attrayante et nullement pénible, malgré l'aridité du
sujet
. M. Gélineau a su, en effet, grâce à des recherch
'examen clinique résultent de l'instabilité môme de l'état mental des
sujets
. Alors qu'ils s'étendent avec complaisance sur un
ir les anxiétés neurasthéniques, lorsqu'elles se manifestent chez des
sujets
astreints au service militaire. Elles méritent
a production des. phobies. Les médecins savent à quoi s'en tenir à ce
sujet
. Combien d'entre eux, étant étudiants, ont été so
rations au point de vue de la prophylaxie de l'affection. Beaucoup de
sujets
ressentent déjà dans le cours de leurs études, le
nt de longue date les surprises occasionnées de temps à autre par les
sujets
mis en état hypnotique, je me méfiai cependant, e
pouls. Cette pâleur du reste se présente d'ordinaire chez beaucoup de
sujets
profondément hypnotisés. Une remarque bien impo
aujourd'hui bien prouvé que la peur suffit pour paralyser le meilleur
sujet
hypnotique, peur qui mettra un obstacle absolu au
e nous l'avons dit précédemment, que l'on étudiera bien auparavant le
sujet
au point de vue de ses aptitudes anes-thésiques e
réel état de cette anesthésie. On sait que tout le monde n'est pas
sujet
à être hypnotisé. Cependant si l'on n'a pas à fai
e temps auparavant. Car il n'est pas nécessaire souvent de plonger le
sujet
dans un sommeil profond, l'occlusion des paupière
Au réveil commandé par l'opérateur et qui se fait instantanément, le
sujet
affirme qu'il n'est pas fatigué, qu'il ne souffre
ombiné avec les passes descendantes. Cette méthode naturelle force le
sujet
à laisser tomber instinctivement les paupières da
récipite les choses en abaissant avec mes doigts les paupières de mes
sujets
, en comprimant en même temps les globes oculaires
mort de maladie inconnue, le troisième est bien portant. La mère est
sujette
à des crises nerveuses pendant ses grossesses.
me l'amener que tous les huit jours. J'endormis très facilement mon
sujet
en lui faisant regarder un objet brillant placé e
1894. De la reviviscence de la sensibilité du membre amputé chez un
sujet
en état hypnotique. M. J. Luys. — Je vous pré
ez un sujet en état hypnotique. M. J. Luys. — Je vous présente un
sujet
atteint de troubles de la sensibilité qui, à mon
reviviscence des impressions sensitives dans un membre amputé chez un
sujet
en état d'hypnotisation. Cet homme, âgé de vingt-
e du petit doigt de la main droite, à la suite d'un traumatisme. Ce
sujet
est entré dans mon service à la Charité pour des
sommeille dans les régions sensitives de l'écorce cérébrale de notre
sujet
, sous l'influence des perturbations de l'état hyp
vec succès. Voici le modus faciendi qu'il met en œuvre: Une fois le
sujet
préparé, c'est-à-dire mis dans un milieu où il co
au cerveau. Puis par voie de suggestion, on éveille dans l'esprit du
sujet
le besoin d'aller à la selle et l'impulsion qui d
ses affections ? 28° L'hypnotisme présente-t-il des dangers pour le
sujet
et pour la Société? 29° La suggestion mentale e
suivante : les impulsions dégénératives sont durables ; chez le même
sujet
elles revêtent une forme presque toujours la même
x idées fixes subconscientes. C'est là, à coup sûr, l'un des côtés du
sujet
sur lequel il est le plus intéressant de fixer l'
est le plus intéressant de fixer l'attention. Dans les attaques, le
sujet
se borne à rêver et à exprimer son rêve ; il ne p
its et sans connaissance de la récente littérature se rapportant à ce
sujet
, avec de violentes sorties personnelles et la glo
x de Cullerre m, Bon-jean n, Benedikt 3&, et Resse m, sur le même
sujet
. On peut regarder l'infection psychique comme un
stériques. (à suivre) Effets physiologiques de la musique sur des
sujets
en état d'hypnotisme. Un médecin américain, le
ns physiologiques du corps, il était préférable de mettre d'abord les
sujets
en état d'hypnotisme afin de mieux les abstraire
personnes et en tout cas aucun effet physiologique appréciable. Les
sujets
placés dans une chambre, à côté d'un piano, étaie
ous vous rappellerez les sensations que vous aurez éprouvées. » Les
sujets
ainsi préparés, on exécutait sur le piano un morc
battent l'air; le corps est couvert d'une sueur profuse. Réveillé, le
sujet
déclare qu'il n'a pas perçu la musique comme son,
ulsations, un abaissement de la tension. La sensation éprouvée par le
sujet
a été celle de « grandeur et de calme sublimes. »
it pâle et couverte d'une sueur froide. La sensation éprouvée par les
sujets
était celle de « mort » ; aucune impression préci
, le pouvoir des différents morceaux est assez variable. Ainsi un des
sujets
ne pouvait être hypnotisé que par le o Chœur des
ulièrement critiqués à ce point de vue spécial, ont provoqué chez les
sujets
hypnotisés des sensations de « désir », de « frén
sur autrui le sommeil provoqué. Nombre d'anciens hypnotiseurs., leurs
sujets
y consentant, n'employaient que ce procédé simple
ovoqué, que l'opérateur favorise l'accumulation de l'attention de ses
sujets
sur l'idée fixe de dormir,en leur suggérant, s'il
rt psychique établi dans le sommeil provoqué, entre l'opérateur et le
sujet
, la seule importante qui les différencie, et moin
nt, par cette idée fixe, le sommeil se prolonge, faute de la part des
sujets
endormis de pouvoir faire des efforts pour en sor
S'il n'y avait pas une telle polarisation dans l'action pensante des
sujets
endormis, on ne pourrait s'expliquer : ici, au pô
n'y avait encore une telle polarisation dans l'action pensante de ces
sujets
endormis, on ne pourrait, à l'opposé, au pôle res
us souvent à des époques indéterminées, c'est que, pour cet acte, les
sujets
endormis n'en ont pas reçu l'ordre ou ne s'en son
cheux. Il poussait seulement l'état hypnotique, jusqu'au point où les
sujets
savaient encore ce qui se passait autour d'eux. S
ngtemps prolongée, que nous regardons comme la raideur hypnotique. Au
sujet
du « double-mot »,Sommer remarque : « De même q
montrée réfractaire, tantis que 14 arrivèrent au somnambulisme. Au
sujet
des remarques pleines de doute de Binswanoer sur
'école de Nancy, présentent un intérêt particulier. Il prouve que les
sujets
des expériences de laboratoire conservent une ind
aginaire est ressenti d'une façon instructive ou inconsciente par les
sujets
en expérience, à de véritables crimes par suggest
vement et de la sensation. II suffit donc de provoquer l'idée chez le
sujet
, et !e phénomène que l'on se propose de faire naî
e sommeil. Partant de ce principe il est facile de comprendre qu'un
sujet
qui s'oppose énergiquement au sommeil, y tombe né
pose énergiquement au sommeil, y tombe néanmoins assez facilement. Ce
sujet
, rebelle à une suggestion directe, succombe à l'a
M. Julliot, quand il dit que l'hypnose ne peut réussir que_ chez les
sujets
qui se laissent imposer l'idée du sommeil. La dif
ce point de vue, le chloroforme me rend les plus grands services. Les
sujets
les plus rebelles à l'hypnose, les maniaques furi
toujours le résultat d'une suggestion. Il n'est pas rare de voir des
sujets
accessibles à l'hypnose être réfractaires à toute
fatigue est ici tout à fait secondaire. Ce qui empêche chez certains
sujets
la suggestion de réussir, c'est qu'elle se heurte
ggestion contraire : c'est pour cela qu'on ne peut jamais endormir un
sujet
qui est décidé d'avance à ne pas dormir. On se tr
lle Ella de Salomon se laissait très volontiers hypnotiser parce que,
sujette
à une maladie nerveuse, elle se trouvait mieux ap
nnaissances médicales, il n'aurait pas continué ses tentatives sur un
sujet
qui témoignait souffrir et il se serait ainsi évi
fait de l'état d'hypnotisme. « Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un
sujet
nerveux souffrant d'une affection cardiaque pourr
, capable de provoquer la mort. « Que cette émotion se produise, le
sujet
étant soit en état d'hypnotisme, soit en état de
jamais vu survenir le moindre accident. On soufflait sur les yeux du
sujet
et il se réveillait immédiatement. A la Pitié,
a soutenu avec une science et une verve remarquable une thèse sur ce
sujet
: o L'honneur au point de vue juridique. » M"c La
sont en germe, qu'ils soient naturels ou morbides. Il est d'autres
sujets
un peu moins inertes de volonté que les précédent
siologique dont je parle. Autrefois, lorsque je voulais savoir si les
sujets
que j'avais à traiter par la thérapeutique du som
ordres, il avait affaire à des impulsifs de la même catégorie que les
sujets
précédents. J'ai refait, il y a bien longtemps, c
t la fascination de Braid. On la fait naître le plus souvent chez des
sujets
qui, pour la plupart, sont très hyp-notisables. I
vue psychologique. Elle a surtout été employée empiriquement sur des
sujets
reconnus capables de devenir somnambules. Des art
la volonté, devenue comme paralysée, ne reprend sa puissance sur les
sujets
qui sont sous le joug des passions, que lorsqu'el
des passions, que lorsqu'elles sont amorties ; mais sous ce joug, ces
sujets
peuvent y retourner avec autant de facilité qu'il
egrés sur la route des formes morbides des états passifs. Dès que les
sujets
sont sous le coup d'une impression mentale, inten
ous le coup d'une impression mentale, intense ou prolongée, et si ces
sujets
appartiennent à la catégorie des personnes ayant
névropathie, comme dans la criminologie, comme dans l'hypnotisme, le
sujet
plus que le phénomène, et on en trouvera l'explic
explication de ces miracles. Almezeuil, qui a publié un traité sur ce
sujet
en 1866, prétend qu'on agit sur les animaux en le
s et d'animaux qu'il prend pour des apparitions d'esprits. Certains
sujets
très hystériques s'exercent à jeûner pour devenir
travail, qui sera mis au concours par la Société d'hypnologie, sur un
sujet
relatif à l'hypnotisme ou à la psychologie physio
variation plus ou moins permanente de l'état affectif et mental d'un
sujet
, à l'occasion de la réalisation — par la mise en
i se passent dans les suggestions post-hypnotiques. Quand on dit à un
sujet
endormi : « Tel jour, à telle heure, vous ferez t
ure, vous ferez telle chose », et qu'au jour et à l'heure indiqués ce
sujet
quitte brusquement ses occupations pour exécuter
instant et alla rendre grâce au Saint-Sacrement. (*) (1) Voyez à ce
sujet
: Auguste Gautier : Recherches historiques sur l'
avoir tous ses effets, bien qu'il reste ignoré par la conscience des
sujets
. Bien plus, ce rêve inconscient peut creuser dans
our conséquences des modifications dans les sentiments conscients des
sujets
à l'état de veille. Cette particularité fournit p
Eusapia a besoin d'une certaine culture préalable pour devenir un bon
sujet
de recherches scientifiques. » La connaissance
Voir Revue de l'Hypnotisme, 1893. Les instituteurs notent chez ces
sujets
une antipathie assez marquée pour les exercices p
malheureusement continuer mes expériences, soit à cause du manque de
sujets
, soit à cause de mes nouvelles fonctions de profe
iciel, ou tout au moins le produit de l'hystérie préexistante chez le
sujet
. Avec la suggestion l'on obtient tous les phéno
héologie, où il entra ensuite, on le considéra tout de suite comme un
sujet
exceptionnel au double point de vue de la science
e D' Pierre Erhardt, qui vient de réunir dix-sept observations sur ce
sujet
, montre dans sa thèse que cette polyurie occupe u
à la préparation de ses leçons, alors même qu'il avait à exposer des
sujets
dont il était imbu; parfois il se donnait la pein
ue dans l'enseignement libre organisé par lui à la Salpêtrière. A son
sujet
, M. le professeur Lépine faisait ainsi ressortir
ont fait i la Faculté qu'un enseignement très limité, portant sur des
sujets
anciennement connus. Leur rôle s'est surtout born
e : cette épreuve peut et doit consister en une leçon publique sur un
sujet
choisi par le candidat lui-même. ïl est à peine b
, Emile Zola, a d'ailleurs récemment donné un regain d'actualité à ce
sujet
, par la publication de son roman intitulé Lourdes
ntion. L'hypnose fut obtenue en moins de trois minutes en priant le
sujet
de fixer notre index gauche. La suggestion indiqu
ferts par vos amis ; le tabac vous dégoûtera. » Le lendemain, notre
sujet
nous annonçait, avec joie, qu'il n'avait pas fumé
é. » Notre séance eut lieu dans la matinée, et, l'après-midi, notre
sujet
voulut essayer de fumer. Il fut pris de nausées,
ge à Buda-Pesth, j'ai pu me procurer des renseignements certains à ce
sujet
, et je me fais un devoir de les publier. Disons,
indispensables ; mais elles doivent être faites à bon escient sur des
sujets
choisis, et elles doivent être conduites avec tou
e. Il est nécesaire de tenir compte des renseignements donnés par les
sujets
sur les sensations qu'ils éprouvent. Je suis pe
r combien vite ils succombent aux maladies. Ils sont particulièrement
sujets
aux rhumatismes, aux maux de dents, aux ophtalmie
trente ans j'eusse foi dans le magnétisme, — je crus fermement que le
sujet
devenait la chose du magnétiseur. Bien mieux, je
faisaient jour à tout propos et sous toutes les formes, de la part de
sujets
qu'on pouvait dire parfaits à tous égards, de suj
s, de la part de sujets qu'on pouvait dire parfaits à tous égards, de
sujets
tels que cette robuste et saine jeune fille dont
la difficulté, disons mieux, à l'impossibilité qu'il y a d'obtenir du
sujet
un asservissement absolu, tout en lui laissant l'
g, car, en pareille matière, le moindre détail a son importance. Le
sujet
est un grand diable, très suggestible, que sa mal
l'accompagne et rejoins le groupe des personnes restées à l'écart. Le
sujet
, me voyant partir, s'imagine que je ne songe plus
ai qu'il la fait suivre d'une petite leçon de morale. Mais comment le
sujet
a-t-il interprété cette leçon ? N'y a-t-il pas vu
? Et puis le raisonnement de mes contradicteurs est commode. Si le
sujet
résiste à la suggestion criminelle, c'est, disent
u pas vu, pas pris ; « Ce sont des farces, quoi ! » Conclusion : le
sujet
en question avait peut-être en lui le germe du vo
. Liégeois va dire : « Soit ! celte expérience a laissé à désirer. Le
sujet
n'était sans doute pas d'une moralité à toute épr
le regret me saisit. Quelle folie je venais de faire! Où accrocher ce
sujet
religieux? Si même je trouve une place, dans la c
. est un jeune et fort garçon de quinze ans, très intelligent, ancien
sujet
de Donato, excellent somnambule, ayant figuré dan
r, sinon, leur effroi seul aurait probablement suffi pour rappeler le
sujet
à la réalité. Et si même le meurtre se fût accomp
ns qu'on pouvait lui faire; que M. Bernheim ait bien recommandé à son
sujet
de commettre son vol à l'abri de tous les regards
it restée latente pendant onze ans. Je n'insiste pas davantage sur ce
sujet
qui m'entraînerait trop loin, et j'arrive au poin
nerveuses comme un écran intercepte les rayons de lumière. Le jeune
sujet
du Dr Quintard a été examiné par plusieurs médeci
Les médecins ont souvent reçu les plaintes des neurasténiques à ce
sujet
. Mais il faut alors distinguer. Certains ne dorme
atouage chez les prostituées et les criminels napolitains. Sur 4817
sujets
, M. Rossi a trouvé 236 tatoués. Les tatouages son
à l'Ecole pratique, pendant le semestre d'été, un cours libre sur le
sujet
suivant : Psychologie physiologique et pathologiq
'il n'est pas si facile que quelques-uns le pensent de transformer un
sujet
en automate assassin. J..., cette fille dont j'
convaincre le lecteur qu'il est impossible d'opérer avec un meilleur
sujet
. J'ai ailleurs (dans la Revue philosophique) raco
age déterminé. Or, il est incontestable que c'est là ce que fait le
sujet
. Lorsque, par exemple, on lui étend le bras et qu
rendre ma pensée que par la formule suivante : on ne fera exécuter au
sujet
que les actes qu'il lui arriverait d'exécuter en
e, pendant leur sommeil, ils soient ces personnages? Il y aurait à ce
sujet
une enquête sérieuse à faire. Et quand même on re
me état d'hypnose à s'emparer d'un porte-monnaie sans maître; que tel
sujet
qui s'allume sMmaginant être un quinquet, ou se l
hèse aujourd'hui supprimée. La thèse consistait en un travail dont le
sujet
donné par le jury était tiré au sort. On avait qu
ais en s'inspirant de son exemple. Donnons un aperçu des principaux
sujets
qu'il a traités. Le premier, il considéra la mo
présente l'exercice illégal, et qu'il est préférable de laisser à ce
sujet
« la plus large appréciation aux tribunaux; « Q
et vraiment jolie, d'une santé parfaite. Se montrèrent ensuite : un
sujet
reconnu à la Salpêtrière atteint de cécité par at
l'Ecole pratique, pendant le semestre d'été, un cours libre sur le
sujet
suivant : Psychologie physiologique et pathologiq
e, de la direction absolue des fonctions animales et végétatives d'un
sujet
quelconque, pour les calmer ou les surexciter, et
elconque, pour les calmer ou les surexciter, et pour rétablir chez ce
sujet
, s'il y a lieu, l'équilibre de la santé. » Aujour
s à peu près analogues à celles où il agissait suggestivement sur ses
sujets
d'expérimentations. Mêmes idées et mêmes actes ab
u Ministre de la Justice d'Espagne, pour lui exposer son opinion à ce
sujet
, lui offrit de se rendre à ses frais jusqu'en Gal
nosor, et entre la formation de Pétat de fascination où tombaient ses
sujets
d'expérimentation, lesquels croyaient, quoique en
ormaient d'ordinaire sous l'action auto-suggestive et inconsciente du
sujet
pensant, sur lui-même. Le lycanthrope Blanco et
de Grimm, pour l'Amérique (1). Elle consiste à concentrer les yeux du
sujet
vers un objet, pendant qu'on affirme la productio
ux du sujet vers un objet, pendant qu'on affirme la production sur ce
sujet
d'un phénomène psychique ou organique quelconque,
faire effort, par suite du dédoublement du travail de son esprit, ce
sujet
devenu plus ou moins sans volonté, reste à la mer
plus haut degré, ou au lieu d'être en rapport avec tout le monde, le
sujet
est isolé, inerte d'esprit, en monoïdéisme enfin
lus forte raison, pendant le sommeil, l'endormeur acquiert-il sur son
sujet
un pouvoir absolu ; incapable alors de remuer des
entration d'esprit ; je n'en ai rencontré que 4 à 5 sur 100 parmi les
sujets
que j'ai soumis à l'hypnotisation, sujets par l'i
que 4 à 5 sur 100 parmi les sujets que j'ai soumis à l'hypnotisation,
sujets
par l'intermédiaire desquels on aurait pu sûremen
termination homicide. Je m'en suis convaincu, bien des fois, chez des
sujets
mis au plus haut degré du sommeil : chez eux, il
mmeil profond, mais, d'après mes observations, seulement deux sur dix
sujets
vont au delà du 4e stade de la classification de
reposant sur les appuis du siège, je saisis la main et le poignet du
sujet
et je les maintiens solidement. Je m'adresse alor
vant de lui soumettre prochainement un travail d'ensemble sur le même
sujet
. Séance du 17 décembre 1895. — Présidence de M.
y a pas de bon psycho-thérapeute. Quel est donc l'état psychique du
sujet
dans les conditions spéciales qui nous occupent?
quand la concordance existe. Examinons dans ce sens le cas de notre
sujet
. Nous savons qu'il avait conscience de son état,
une volonté positive en concordance avec la personnalité psychique du
sujet
, qui s'est substitué à un arrêt, à un état de con
ntensif et prépondérant, à une volonté négative. C'est ainsi que le
sujet
pense maintenant agir volontairement, tandis qu'a
o-urinaires. Il faut aussi prendre en considération le sexe, l'âge du
sujet
et l'état de ses appareils cardio-pulmonaire et r
sujet et l'état de ses appareils cardio-pulmonaire et rénal. Chez un
sujet
non encore complètement développé, un abus du vél
les Malgaches sont, par le seul fait de leur naissance, d'excellents
sujets
pour les expérienses du Menabé. > a Mais voi
ne grande rapidité l'oreille gauche de celui que j'avais choisi comme
sujet
. Je fus très violemment étonné, car je n'avais co
auxquelles leur situation ou le hasard permettront de faire avec des
sujets
convenables ce que j'eusse souhaité de faire avec
t l'objet, tressaille, et par là, qu'il le veuille ou non, avertit le
sujet
. Les tressaillements souvent involontaires, culti
à voir l'établissement d'une communication cachée entre tel centre du
sujet
inducteur (celui qui transmet) et tel autre centr
centre du sujet inducteur (celui qui transmet) et tel autre centre du
sujet
induit (celui auquel est transmis). Nous suppos
se fait entre un des centres de l'inducteur et le centre identique du
sujet
induit. — Inductions, transmissions homogènes.
s homogènes. 2° Celles qui comporte l'induction d'un des centres du
sujet
par un centre autre de l'inducteur. — Inductions,
ouvre par exemple ; ou une carte à jouer (exemple souvent choisi). Le
sujet
induit i aperçoit mentalement le même monument :
asionnées sur le système nerveux par ce mouvement. Je dis moteurs les
sujets
pour lesquels ce phénomène est possible. Si vou
homogènes ; elles consisteraient dans l'induction d'un des centres du
sujet
par un centre autre de l'inducteur ; exemple: ind
centres inducteurs faisant vibrer l'ensemble identique de centres du
sujet
induit), des transmissions allogènes généralisées
ne tendez pas, n'exoi-tez pas vos centres auditifs, ou ceux de votre
sujet
, mais recommandez-lui de porter toutes les forces
vation s'impose : Quelle est la formule du langage intérieur de votre
sujet
? quelle est sa formule endo-physique ? On sait qu
ssait d'une suggestion motrice. Les auditifs, les visuels purs, les
sujets
dénués de toute mimique interne, en aucune façon
pas le fait; il est fort probable qu'ils constituent ces détestables
sujets
de transmission, dont (1) Le langage intérieur.
upposera-t-on que les centres de réaction (centres moteurs) sont plus
sujets
, plus aptes à la transmission que les centres de
est « être moteur » et ne parviennent pas à le comprendre. Avec les
sujets
prédisposés au contraire : verbo-moteurs, graphom
ainsi que je l'ai déjà dit, au moins quatre ou cinq fois sur cent des
sujets
que l'on hypnotise, ces deux états étant caractér
domaine elle manœuvre, mais le plus souvent avec subconscience : les
sujets
, ayant leur activité amoindrie, sentent encore et
. Aussi ne faut-il pas s'étonner s'ils ont rencontré dans ceux-ci des
sujets
désobéissants aux ordres donnés, du moment que ce
fascinateur faisait, suggestivement, tomber sur le sol une dizaine de
sujets
endormis se tenant par la main. Il y en avait que
d'un pilier contre lequel elle allait frapper. Evidemment, ce dernier
sujet
aurait pu être du nombre de ceux qui, dans leur s
en défendant à qui que ce soit qui endormirait l'un ou l'autre de nos
sujets
, de pouvoir leur dicter certaines suggestions hyp
6, j'écrivais : « L'endormeur est un véritable grand-prêtre. Tous ses
sujets
se façonnent sur sa personne : habitudes, langage
e un coup de pistolet, chargé en présence du somnambule, par un des
sujets
qui ont servi à MM. Liégeois et Beaunis dans leur
ts qui ont servi à MM. Liégeois et Beaunis dans leurs expériences, ce
sujet
endormi n'ayant été préalablement préparé à rien.
tte expérience de laboratoire, ainsi que dans d'autres semblables, le
sujet
n'a exécuté son vol que parce que c'était un jeu
eu plaisant de notre part; en admettant aussi l'hypothèse que le même
sujet
, sur lequel nous agissions, n'aurait cédé à la te
e chose de mauvais, mais de personnel. Plus avisé, vous demanderez un
sujet
à votre maître, ce sera meilleur, mais vous aurez
exercice puéril. En six semaines, il fallait écrire un traité sur un
sujet
donné. Le candidat réunissait ses amis, on se par
réquenter les buvettes. L'auteur endort — pas très profondément — ses
sujets
, leur suggère qu'ils ont une répugnance de plus e
Liège, Mercredi Médical, 3 Octobre 1894). L'observation qui fait le
sujet
de cette communication concerne un homme de 35 an
athésiomètre de Brown-Sequard. Le sommeil ne seproduitpas, mais le
sujet
est fort ému et, sur un commandement de M. Franco
'il est manié par un médecin expérimenté capable de prévenir chez les
sujets
nerveux l'émotion, qu'il faut rendre responsable
on a été faite par M. le Dr Bérillon. Le professeur avait choisi pour
sujet
de la leçon l'éducation des enfants arriérés. Apr
s visuelle, auditive. — Imagination; 3° Hallucinations. — Causes. —
Sujets
. — Hallucinations collectives: 4° Névroses. — H
édico-légale de l'hypnotisme et de la suggestion. — Attentats sur les
sujets
hypnotisés. — Suggestions criminelles. Responsabi
otion and sensation dependent of idea », 1869. Un travail sur le même
sujet
de Err, 1878. sur le traitement par l'isolement
dérivait de l'idée amoureuse, suivant que l'idée est acceptée par le
sujet
qui croit à la réalité extérieure ou qu'elle est
statés, les stigmates préalables, les idées fixes conscientes pour le
sujet
et conservées dans le souvenir, les accidents con
ubconsciente, l'émotion seule, la peur étant clairement perçue par le
sujet
. Observation III (suite). — On peut, en hypnoti
é concientes au début, avaient peu à peu cessé d'être connues par le-
sujet
. Elles ne se manifestaient plus que dans des rêve
1893, montrait les accidents que pouvaient produire des rêves dont le
sujet
n'avait aucun souvenir et dont il ne retrouvait l
'école cum-berlandiste. Ceux-là se font généralement poser la main du
sujet
sur le front, ou bien ils la prennent dans leur m
iques chez M. Wassilieff. En outre, ils devinent aussi les pensées du
sujet
sans avoir besoin de les décomposer en mouvements
je profite consciemment et constamment de la tendance inconsciente du
sujet
vers le'but du mouvement qui occupe sa pensée. Je
dire quelle est la nature des mouvements correspondant aux pensées du
sujet
guide et perçus par le médium liseur ; mais resta
n est un qui se communique au liseur à travers les parois du crâne du
sujet
ou la peau de son poignet. Allons jusqu'à forme
; mais j'ai, intentionnellement, écarté le liseur cumberlandiste des
sujets
qui me paraissent être ses inférieurs et ses supé
cience ; ce qui le guide c'est, il est vrai, l'état de l'attention du
sujet
, mais cet état il ne l'apprend qu'indirectement p
intes chîmériques et dit ne jamais avoir observé d'accidents chez les
sujets
qu'il a été assez heureux de débarrasser de l'hyp
çon très légère. J'ai fait d'ailleurs plusieurs expériences avec ce
sujet
. J'ai toujours pu facilement provoquer les phénom
commition médullaire. 3° Que cette paralysie peut survenir chez des
sujets
n'ayant présenté jusque-là aucun accident hystéri
ts n'ayant présenté jusque-là aucun accident hystérique. 4° Que les
sujets
atteints peuvent conserver l'intégrité cérébrale
ns l'état d'hypnotisme (à propos d'un cas de), 220. Musique sur les
sujets
en état d'hypnotisme (effets physiologiques de la
'Hypnotisme, 8e année, 1894, p. 60.) mentant la suggestibilité du
sujet
. Gardons donc Phypnotisme qui est un moyen, un pr
imentales susceptibles de mettre en jeu l'activité psycho-motrice des
sujets
. L'hypnotiseur devra se borner a provoquer l'appa
emps de l'expérience ne consiste-t-il pas a solliciter, de la part du
sujet
, la mise en jeu d'uu effort d'attention. Cela est
variera selon le degré plus ou moins accentué de la suggestibilité du
sujet
. (A suivre) A propos de quelques récentes pub
des suites de ses expériences ; il ne prend pas soin de réveiller le
sujet
avec l'art et la minutie qui conviennent. Qu'a de
pas manqué d'étiqueter ce cas : Mort causée par l'hypnotisme ! A ce
sujet
, encore un mot personnel. MM. Bazy et Deschamps
esical et a retenir son urine jusqu'au lever. Toutefois, il est des
sujets
chez lesquels, pour diverses raisons, le som-
té irrésistible et les hypnotisés peuvent se classer ainsi : Io Les
sujets
qu'on transforme en véritables impulsifs : ceux-l
, n'ont pas de sens moral. ; les suggestions criminelles faites à ces
sujets
ne rencontreront aucune résistance. Pour la sec
ur la seconde, l'abolition de la liberté morale n'est que fictive, le
sujet
pouvant discuter la valeur et la gravité de l'act
accomplir ou de résister à son gré. Brouardel soutenait même que le
sujet
ne fait que ce qu'il veut, que ce qui n'est pas e
rière. il affirme que le sommeil hypnotique peut être obtenu chez des
sujets
sains et non pas seulement chez les hystériques.
tériques. Une fois admis le principe de l'hypnotisation de tous les
sujets
. Liégeois se préoccupe alors de la suggestion. L'
succès du traitement. Ceci prouve, une fois de plus, que ce sont les
sujets
intelligents et qui comprennent bien ce que c'est
à fraiser. Avantage de temps. — Nous prenons toujours comme type le
sujet
consentant et préparé. La période pendant laquell
nquillité absolue, une période suggestive où, après avoir réveillé le
sujet
, on peut travailler. Voici le procédé que j'emplo
hésie locale ou générale, j'ai l'habitude de me livrer à un examen du
sujet
: et, si j'ai lieu de soupçonner la moindre lésio
e ne nous intéressent ici que parce qu'ils nous font présumer que des
sujets
aussi prédisposés a s'auto-hypnotiser ne pour
ns favorables ou contrariantes) ; 3° Prédisposition individuelle du
sujet
(propension à la réalisation facile du sommeil no
es de l'hypnotisme : consentement mental et consentement organique du
sujet
(1). 5° Immixtion de phénomènes d'ordre émotif
utilisation des procédés hypnogènes. Lorqu'on tente d'hypnotiser un
sujet
, on se heurte à une première difficulté, celle de
ais que la suggestion, faite par le médecin, n'acquiert chez certains
sujets
une telle intensité que parce qu'ils se sont spon
», je l'emploie fréquemment, car rien n'est plus facile de rendre aux
sujets
leur personnalité, grâce précisément ? la méthode
l'ai essayée, mais j'ai remarqué qu'elle était plutôt applicable aux
sujets
robustes voulant se débarrasser d'un défaut, -d'u
e ou deux •chaque jour, même des formules adaptées à l'état mental du
sujet
, pour voir disparaître les troubles psychiques ?
ur manque d'énergie. Si le médecin exerce une grande influence sur le
sujet
, très bien, mais même dans ce cas, la fatigue sur
. L'amélioration s'étant manifestée, j'ai fait bénéficier plusieurs
sujets
de cette méthode. De cette façon et à son insu,
olonté : 4° Le redressement d'erreurs de jugement fréquentes chez les
sujets
adonnés aux intoxications artificielles. La c
ire. Elle est très attentive à tout ce qui se dit autour d'elle à son
sujet
, aux avis et aux recommandations donnés à l'i
s vomissements, ne manquent pas de justifier les appréhensions de ces
sujets
impressionnables. Le médecin, lorsqu'il s'adres
e, l'anorexie des adolescents qui sévit presque exclusivement sur des
sujets
du sexe féminin, est une maladie spéciale aux enf
e d'une prédisposition héréditaire et d'une influence de milieu. A ce
sujet
, j'ai recueilli tant de renseignements probants q
erait. Cette intervention a souvent pour heureux effet d'intimider le
sujet
et de le déterminer à manger pour en éviter une n
mauvaises dispositions mentales chez les arriérés du jugement et les
sujets
dépourvus de discernement. FAITS CLINIQUES Op
érapeutiques à grands fracas et capables de vivement impressionner le
sujet
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Anthropologie Boliv
article (qui d'ailleurs ne signe pas) en serait assez exacte. Mais le
sujet
est si délicat qu'il faut se garder des généralis
geois ayant pendant toute sa vie, par modestie, gardé le silence à ce
sujet
. Plus tard, dans un cours à la Faculté de droit d
bien reconnu que la production de cet état a pour effet de rendre les
sujets
p!us accessibles à la direction de l'hypnotiseur.
oi de la suggestion à. une direction mentale imprimée à l'esprit d'un
sujet
hypnotisé. C'est ce (1) Binet : La suggestibill
tion n'aura d'efficacité eurative, qu'autant qu'elle s'adressera à un
sujet
préalablement hypnotisé ou. tout au moins, plongé
e la suggestion tirant toute sa valeur du fait qu'elle s'adresse à un
sujet
hypnotisé, ne saurait être envisagée que comme un
suggestion à l'état de veille, c'est-à-dire une parole exprimée à un
sujet
en pleine possession de ses facultés de contrôle,
nation de l'idée s'associe habituellement avec celui de Vignorance du
sujet
[ignoratio elenchi). Dans le cas qui nous occupe,
ces conditions-là : que toujours jusqu'ici le thaumaturge a choisi le
sujet
de l'expérience, choisi le milieu, choisi le publ
u Moyen-Age, qui croyaient que le firmament, cloué d'étoiles, n'était
sujet
à aucune vicissitude. Mais, réelle ou fictive, l'
es larmes » (Phèdre). Enfin nos contemporains si abondants sur le
sujet
: Peut-être devrions-nous réclamer pour l'Algom
e originalité acquise. Pathogénie et Traitement de l'Algomaxie Un
sujet
normal est capable d'une quantité égale de plaisi
être définitive, se transformer en Algoma-nie. et même s'exalter, le
sujet
s'entraînant par une sorte d'éducation de la sens
arriéré mental léger, fils- d'alcoolique, qui a uriné tard au Ht. est
sujet
a des impulsions brusques, violentes, précédées p
tation mérite surfont l'attention des pédagogues. Ils pourraient a ce
sujet
faire d'utiles réflexions sur les lacunes de l'éd
aibles, que Je seul fait de se trouver groupés en fonle transforme en
sujets
hypnotisés, et dont le cerveau, alors dépourvu de
ait spécialement de recourir pour obtenir des effets curatifs. A ce
sujet
, le logicien Agathon de Potter a démontré fort él
s, si on l'isole arbitrairement des améliorations que poursuivent les
sujets
dans l'étendue, semble uniforme et grossièrement
tées dans un même sens (1). Le peu que nous avons dit précédemment au
sujet
du mutuel concours que se prêtent la nature et le
ns le Journal des Praticiens dn 16 octobre 1909, on peut lire, sur ce
sujet
, les lignes suivantes : « Tel médecin Israélite
ous avons fait du chemin, depuis le moyen âge. Ce vieil oripeau. — au
sujet
duquel on a tant combattu, il y a quelques siècle
gogiques, écoles et asiles, doit être médicale et scientifique. Les
sujets
qui ont été en conflit avec la justice, les imbéc
riques, abordèrent l'étude expérimentale de l'hypnotisme. Plaçant les
sujets
clans des états d'hypnose beaucoup plus profonds
'est-à-dire ex abrupto et sans préparation ni adaptation préalable du
sujet
, les éléments d'une thérapeutique par l'esprit. E
. « A un récent congrès d'aliénistes.Gilbert Ballet provoqua sur ce
sujet
une discussion qui n'est point prêt d'être close.
onstante défiance contre les illusions d'ordre général auxquelles est
sujet
l'exercice de nos sens ou qu'entraînent avec soi
curiosité intense qui les portait à disperser leur attention sur des
sujets
multiples. M. Bérillon. — La paresse scolaire e
défend en négligeant ses études et en reportant son attention sur des
sujets
plus utiles. C'est ce qui a été observé chez un c
d'utilité, d'égoïsme que comportent le cas et l'état psychologique du
sujet
, ne pas se contenter de docilité résignée ou d'ob
era faite par M. Guilhermet. avocat à la Cour d'appel. Elle aura pour
sujet
: Les causes psychologiques de l'erreur judiciair
le lundi à cinq heures. Le programme de ces conférences comporte les
sujets
les plus variés se rapportant à la psychologie.
é pourra réaliser des effets physiologiques ou thérapeutiques chez un
sujet
préalablement plongé dans l'état d'hypnotisme. Ma
. Mais j'affirme que cette même suggestion, quand elle s'adresse a un
sujet
adulte, à l'état de veille, doué de son pouvoir h
s. 1. L'HYPXOTJSaiE FORTUIT Un cas d'hypnotisme survenant chez un
sujet
, à l'insu du médecin, après une tentative qui ava
r l'état d'hypnose le Dr Desplats n'eut qu'à souffler sur les yenx du
sujet
eu lui disant impérieusement : « Réveillez-vous »
it par les considérations suivantes : « Il est donc vrai que certains
sujets
peuvent être hypnotisés, sans qu'on s'en doute, p
fortuite, est beaucoup plus commune qu'on ne pense, surtout chez tes
sujets
entraînés; elle peut être l'occasion d'absences,
ion à l'état de veille, il n'est pas difficile de reconnaître que les
sujets
auxquels ils s'étaient adressés, avaient été préa
aujourd'hui pourra l'être le lendemain au plus haut degré, et que tel
sujet
qui sera réfractaire à l'influence d'un individu
pérative. » * Que des paralysies psychiques soient obtenues chez un
sujet
préalablement hypnotisé, cela n'a rien de surpren
t être provoquées dans l'état de veille apparente aussi bien chez des
sujets
qui ont été déjà endormis auparavant que chez d'a
e. En réalité, la puissance de la suggestion n'acquiert chez certains
sujets
une telle intensité que parce qu'ils se sont spon
science vraiment surprenante la preuve qu'ils avaient hypnotisé leurs
sujets
. Ainsi dans le numéro même de la Revue de l'hyp
ant près de trois quarts d'heure les mains appliquées sur le front du
sujet
. Durant tout ce temps je ne cessai d'affirmer la
après avoir eu recours aux procédés les plus capables d'hypnotiser un
sujet
, affirme cependant pour les besoins d'une mauvais
as jusqu'à considérer comme étant dans l'état de veille, les nombreux
sujets
chez lesquels le Dr Tournïer, de Lyon, avait obte
e sur ce point ; on s'adresse, dans ce cas. k la raison du malade. Le
sujet
discute encore les idées qu'on cherche à lui incu
de 1803-1804, pour tout compte rendu d'une conférence de Young sur ce
sujet
, on écrit : « Cette autre conférence du fécond et
. 31. Dacbiac rapporte l'observation d'un homme de 35 ans qui était
sujet
à des crises d'agoraphobie ; l'ingestion d'alcool
s de l'hypnotisation, afin qu'une autre fois vous n'ayez plus, à leur
sujet
, ni appréhension ni curiosité. Je vais vous entra
ur assurer le succès d'un phénomène suggéré, il est nécessaire que le
sujet
en expérience ait réellement éprouvé, au préalabl
enquèrent guère de l'existence antérieure d'images actives chez leurs
sujets
'? Les expérimentateurs peuvent aussi être victim
qui lui suggère involontairement l'idée d'une tige. Alors il parle au
sujet
en ces terme, par exemple : « Je tiens dans ma ma
nues. Cette pièce fut sortie clandestinement de sa poche alors que le
sujet
était déjà endormi. Quelques mois plus tard, je
tait pas enregistrée (3). Dans toutes les expériences précitées, le
sujet
se trouvait en somnambulisme complet (amnésie).
hypnotisme. Ces Messieurs approuvèrent mon plan, visant à isoler le
sujet
de toute possibilité de se provoquer des lésions
querait de rigueur si, après la suggestion hypnotique, on laissait le
sujet
retourner k son domicile, la partie influencée re
, Liass et Mme Matvéyéva qui. comme il a été dit. ne quittera plus le
sujet
. B.. se laisse plonger instantanément en un s
ne pièce de vingt kopeks (un franc environ). A l'autre suggestion, le
sujet
est touché avec le fond convexe de l'étui métalli
on de forme et de localisation voulues ? 4° Comment la fourberie du
sujet
pourrait-elle concorder miraculeusement avec les
l est impossible d'obtenu- par la suggestion une telle lésion chez un
sujet
, même hystérique, qui n'aurait jamais eu de brûlu
mentateurs furent incapables de comprendre le type psychique de leurs
sujets
et furent trompés par eux ? Voici maintenant le
plus favorable pour obtenir les phénomènes en question. 4° Chez les
sujets
particulièrement sensibles (suggestionnables). ce
sicule par brûlure imaginaire ne parait pouvoir se produire qne si le
sujet
a déjà eu une brûlure réelle de ce genre. 6° L'
En ce qui me concerne, je ne puis admettre de fraude de la part du
sujet
ni cette fois ni dans les expériences précédentes
ès ; je ne pus provoquer aucune trace de brûlure. Je dois dire que ce
sujet
ne put se rappeler avoir jamais présenté de brûlu
entôt. La suggestion, faite j'attends dix minutes pour réveiller le
sujet
car la réalisation des suggestions posthypnotique
rouve la lampe, j'y reste même un bon moment. Puis je reviens vers le
sujet
et je lui applique le bouton sur le bras non loin
t plus intense qne les autres fois. Interrogée pendant son sommeil le
sujet
répondit que le bras la brûlait douloureusement.
étaire général, le Dr Bérillon, m'a décidé à aborder, devant vous, un
sujet
d'ordre moins élevé que ceux habituellement étudi
e l'hypnotisme fortuit, est que habituellement l'on constate chez les
sujets
un état d'inhibition plus accentuée que lorsq
ineté avec laquelle, dans ce6 cas, s'exerce l'action hypnogénique. Le
sujet
, non prévenu, n'a ni l'idée ni le temps d'organis
d'un coup de tonnerre, ou est le résultat d'une émotion étreignant le
sujet
jusque dans les fibres les plus profondes de son
déjà relevé un assez grand nombre d'observations dans lesquelles les
sujets
se sont trouvés soudainement plongés dans un état
e l'auteur qualifie à tort « d'anesthésie par suggestion » puisque le
sujet
comme il le reconnaît lui-même par sa description
ommencée se poursuivit absolument dans les mémos conditions que si le
sujet
avait été réellement endormi au chloroforme. A pe
l'illusion d'avoir été réellement endormi. Quand tout fut terminé, le
sujet
se réveilla de lui-même sans présenter la phase d
le sommeil chloroformique. Examiné le lendemain de l'intervention, le
sujet
ne nous a paru présenter aucun antécédent névropa
dans les cas dont il vient d'être question, je ferai observer que les
sujets
avaient été soumis au procédé par lequel il est p
rsqu'ils les soumettent à des tentatives d'hypnose, demandent h leurs
sujets
de retenir leur respiration et de n'inspirer l'ai
tués. La conclusion de ce chapitre est que, chez un grand nombre de
sujets
doués d'une prédisposition particulière, l'hypnos
e d'hypnotisme était simulée et l'actrice chargée de jouer le rôle du
sujet
hyp-notisé n'avait d'hypnotisée que l'apparence.
st k quatre heures dn matin seulement qu'elle s'éveilla. » il) A ce
sujet
j'ajoutais les réflexions suivantes :« Ce cas d'h
isme. Cela expliquerait la difficulté qu'il a éprouvée a réveiller le
sujet
. » C'est un fait bien connu qu'un grand nombre
e la comparaison de leur état psychologique collectif avec celui d'un
sujet
hypnotisé s'impose nécessairement. Aussi, s'il es
s-réactions et dans ses manifestations, exactement comme le ferait un
sujet
plongé dans l'état d'hypnose. C'est qu'en réali
risé k admettre que le même état; pourra se reproduire chez ces mêmes
sujets
, pour peu que des conditions favorables à son dév
» ils auraient été amenés à se demander s'ils n'opéraient pas sur des
sujets
dans un état d'hypnotisme, qui pour être fortuit,
certain caractère de permanence et de continuité. Tel est le cas de
sujets
, plus nombreux qu'on ne croit, chez lesquels l'ét
ions ataviques, pathologiques, éducatives, psychologiques, propres au
sujet
qui les présente. L'observation de Lasègne. p
pas un sac pour tout l'or du monde. » Ces gens là ressemblent à des
sujets
qui resteraient livrés à eux-mêmes après avoir ét
e, tant que des suggestions ne sont pas faites. Quand on demande à un
sujet
placé dans le sommeil hypnotique — et j'ai fait c
ire; il n'y a certainement ni rêves ni pensées d'aucune sorte, caries
sujets
qni se rappellent si bien, une fois endormis de n
à laquelle on peut * s'adapter » au moyen du sommeil hivernal. » A ce
sujet
la Reçue Scientifique exprimait les réflexions su
ypnotisme et par suite à l'utilisation de la suggestion, c'est que le
sujet
se soumette à l'expérience étant rigoureusement à
résultat, en en diminuant l'activité intellectuelle, de rapprocher le
sujet
de l'état hypnoïde et d'augmenter sa suggestibili
lla contracture. MM. Tamburini et Righi de leurs expériences sur un
sujet
bytérïque hypnotisé, purent déduire qu'il fallait
est pas douteux que l'intervention de l'expérimentateur, indiquant au
sujet
hypnotisé le but qu'il vise, ne contribue à influ
, ne contribue à influencer fortement le résultat de l'expérience. Un
sujet
qui ne sera pas dirigé par l'intention arrêtée et
t, ne sollicite pas la manifestation de la susceptibilité nerveuse du
sujet
là où l'action esthésiogène doit se réaliser. Si
à où l'action esthésiogène doit se réaliser. Si l'opérateur laisse le
sujet
livré à lui-même, il restera dans son état léthar
nt scrupuleux dans ses expérimentations, m'a fait connaître un de ses
sujets
, M. Guglielmo Fedele Fedeli, âgé de vingt ans, su
ur cette raison, l'opérateur de s'éloigner et je restais seul avec le
sujet
sur lequel je n'avais aucune influence hypnotique
e ni de suggestion. Je mis l'aimant sur la région temporale gauche du
sujet
en lui disant en même temps qu'il était très dout
nt clos. Ayant vu survenu" uu treniblemeut accentué des muscles et le
sujet
ayant accusé une douleur dans le globe oculaire,
le de mes lèvres interrompit la contracture spasmodique et replaça le
sujet
à l'état normal. Dans cette expérience, ce qui
ce qui avait déjà essayé et obtenu M. le professeur Tamburini sur un
sujet
à l'état hypnotique : je pris comme sujet le même
professeur Tamburini sur un sujet à l'état hypnotique : je pris comme
sujet
le même M. Guglielmo F. Fedeli pour essayer le «
cture : phénomène déjà constaté aussi par MM. Charcot et Richer. Le
sujet
ayant déjà le membre supérieur gauche contracture
ifia pour les membres inférieurs. Mais craignant que par intuition le
sujet
pouvait comprendre le phénomène qui devait ou pou
pplication de l'aimant sur un muscle dont la fonction fut inconnue du
sujet
Je m'adressai donc au muscle sternocleïdo-mastoïd
muscle sternocleïdo-mastoïdien. Toici quel fut le résultat : 1° Le
sujet
étant à l'état de veille, présente une sensibilit
manifeste. 2° Je prie M. De Nicola, l'hypnotiseur, d'hypnotiser le
sujet
d'uuo façon plus accentuée qu'il le fait d'ordina
sfert » de l'anesthésie,"mais pas de la contracture initiale. 3° Le
sujet
étant plongé dans l'hypnose complète par la sugge
ax) ; la contracture étant obtenu, j'appuye l'aimant que je montre au
sujet
, mais sans qu'il le sache je le mets renversé, c'
ntion d'un acte volontaire ou par une direction de l'opérateur sur un
sujet
en léthargie hypnotique ou simplement hypnotisé.
mènes non suggérés qui accompagnent les phénomènes suggérés, chez les
sujets
hystériques, pendant l'hypnose, phénomènes qui, à
hypnose. Je ne veux pas insister davantage sur les observations des
sujets
au nombre de quatre, dont trois hystériques confi
des sujets au nombre de quatre, dont trois hystériques confirmés. Ces
sujets
ont été préalablement attentivement examinés par
ur remarque que, par exemple, suggérant pendant l'hypnose à un de ses
sujets
, un changement de fonction du domaine de la sensi
compris, je prends par exemple le premier cas, où il s'agit d'un
sujet
hystérique qui, pendant l'état de veille, présent
une égalité de sensibilité des deux cotés et, en vérité, examinant le
sujet
, l'auteur trouve que non seulement la sensibilité
L'idée d'autosuggestion doit être écartée, bien entendu, parce que le
sujet
ne connaissait pas la physiologie et ne pouvait s
nnelles (réflexes, dissociation de sensibilité, etc ) chez ses quatre
sujets
, a trois ou quatre jours d'intervalle ; U trouve
es, que ces phénomènes peuvent s'observer, quoique rarement, chez des
sujets
non hystériques et qu'enfin la relation qui exist
l'exagération, l'opposition et la volonté; il démontre aussi que les
sujets
réagissent parfois par des mouvements exagérés ou
la vérité bien moins nombreuse, où le phénomène inverse se produit Le
sujet
, nerveux comme tons les membres de la gent gastri
leur ; bientôt un impérieux besoin de sommeil reprend le dessus et le
sujet
se rendort. Un deuxième réveil survient, dans les
osition ou de style. Ce sont donc de véritables arriérés. Quant aux
sujets
atteints de « folie morale » leur attention volon
En effet, toujours portés à s'intéressera de nouveaux projets, ces
sujets
n'arrivent à en réaliser pratiquement aucun. Leur
é de l'hypnotisme envisagé comme créateur du pouvoir d'arrêt chez les
sujets
à tendances mentales incoordonnées ou impulsives.
t-ce l'application des .procédés de l'analyse quantitative à tous les
sujets
dont un homme d'Etat peut se préoccuper? Seraient
ns qui l'ont invité à venir exposer chez eux, pendant un semestre, le
sujet
qu'il a si longuement approfondi. COURS ET CO
ines sectes religieuses : Valgomame, — la manie de la souffrance. Les
sujets
atteints de cette névrose croient qu'ils seront a
t absolument la même chose dans la pratique, disait-il. de n'être pas
sujet
à l'erreur ou de ne pouvoir en être accusé. » Pou
jamais de retracer les innombrables méfaits de la parole. Je livre ce
sujet
aux méditations des professeurs de l'Ecoie de psy
t hypnoïde, par la seule constatation de la docilité avec laquelle le
sujet
réalise, automatiquement et sans contrôle, comme
essentiel que d'une façon habituelle, un des hémisphères cérébraux du
sujet
serait moins actif, c'est-à-dire moins éveillé qu
le », alors qu'ils s'adressaient, en réalité, aux plus hypnotisés des
sujets
. Charcot est le premier qui ait bien observé ce
façon plus expressive que dans le passage suivant : (2) c U est des
sujets
, et peut-être sont-ils plus nombreux qu'on ne le
x, ils ne font guère de différence. J'ai fait placer sous vos yeux un
sujet
de ce genre. Hab.., hystéro-épileptique, est atte
omnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se trouvent donc chez ce
sujet
en quelque sorte mélangés, coexistant au même mom
mmeil hypnotique. Or, je crois qu'il ne saurait y avoir de doute à ce
sujet
La meilleure preuve que je vous en puisse four ni
et par Pitres, pas plus que celles qui avaient été faites sur le même
sujet
par Dumontpallier, et par ses élèves Paul Magnin
du matin aurait souffert a ces moments là. J'ajoute que. si certains
sujets
éprouvent, un certain temps après leur réveil, de
iaques. Le troisième conférencier, M. le Dr Bérlllou avait pris comme
sujet
: La cure de psychothérapie : ses modes d'action
surtout insisté sur les magnifiques résultats qu'elle donne chez les
sujets
qu'il désigne sous les noms caractéristiques de f
is que la psychothérapie spiritualiste devra suffire pour traiter les
sujets
qui ne sont atteints d'aucune affection réelle, l
e Jules Voisin, de Bourru et Burot. de Dnfay. etc.. portaient sur des
sujets
qui présentaient spontanément, et au plus haut de
taines facultés. Mais contrairement ace qui se passe dans le rêve, le
sujet
a conservé le pouvoir de passer a la réalisation
des actions difficiles ou périlleuses, pour l'exécution desquelles un
sujet
éveillé se montrerait fort embarrassé. Les acte
tation de réconfort faite par un esprit bienveillant et énergique, le
sujet
en reçoit vingt qui, malgré d'excellentes intenti
de Paris 1887. le seul fait du choc résultant d'un accident, des
sujets
prédisposés pouvaient se trouver placés dans un é
Dans certains milieux spéciaux on désigne sous le nom de médiums, les
sujets
dont l'intervention est nécessaire pour l'apparit
xpectant attention et surtout de l'entraînement exercé par le médium,
sujet
prédisposé, chacun d'eux glisse plus on moins, se
e à l'étude de certains phénomènes hallucinatoires qui, chez certains
sujets
, accompagnent soit l'entrée dans le sommeil, soit
er que toutes les personnes qui les ont éprouvés comme lui, sont fort
sujettes
au maux de tète, tandis qu'on ne les observe jama
u cerveau, et dès lors, ne fournissent plus à l'esprit d'éléments, de
sujets
d'activité. C'est de la première de ces causes qu
es résulte la démonstration qu'elles ne se réalisent qu'autant que le
sujet
présente une certaine disposition à demeurer plus
et le sommeil. Celui qui les présente se comporte, en somme, comme nn
sujet
hypnotisé. Mais, tandis que dans l'expérience d'h
ndis que dans l'expérience d'hypnotisme les réactions que présente le
sujet
ont leur point de départ dans des suggestions de
ous allons commencer votre traitement, mais ne vous tourmentez pas au
sujet
des doses de morphine que je vais vous injecter,
volonté ». Et le traitement commence. Le malade nullement inquiet au
sujet
des malaises qu'entraîne la privation de morphine
Ensuite sa modestie naturelle la porte à exclure toute allusion à ce
sujet
, même si le médecin pense que les troubles ont le
ral ces conditions sont bien incapables de donner des avis sur ce
sujet
. La solution de cette difficulté ne peut être tro
es-Arls, un cours de psychologie médicale (à l'Ecole de psychologie).
Sujet
du cours : Les enfants anormaux; l'hgpnotisme et
ais le médecin parvient souvent à les faire disparaître en plaçant le
sujet
sous le charme d'une affectueuse persuasion. To
plus impressionnés. Jeanne d'Arc fut, dans le cours de sa jeunesse,
sujette
à de nombreuses hallucinations qui prirent une al
Scrîpturas, page 440). Les Bollandistes s'étendent encore plus sur ce
sujet
. CHAPITRE XXVIII des medicaments de la pharma
ladie a été précédée par un événement qui a fortement impressionné le
sujet
. Dans notre cas, rien. En second lieu il existe i
nts avec indifférence ; à présent, chacun d'eux lui apparaît comme un
sujet
avec qui elle pourrait vérifier le bien-fondé de
en cause. Elle consulte alors des gynécologues sans leur dévoiler le
sujet
de ses inquiétudes. On constate,en effet, chez el
'à son point sensible, et il se taira aussitôt, ou passera à un autre
sujet
; vous n'obtiendrez pas de réponse directe sans u
envahissant des idées fausses dont se trouvait farcie la tête de mon
sujet
. M'étant rendu compte que la faiblesse du résulta
st surtout ches les prêtres et les religieux que l'on a rencontré des
sujets
doués de mémoires très développées. Aux noms qu'i
Lo Czar Jileólas s'étant entretenu avoc lui, déclara qu'aucun de ses
sujets
ne parlait mieux le russe dans son empire. A coté
ux nations différentes, pouvait parler, dans leur langue, il tous les
sujets
. Il connaissait les noms de tons ses soldats. I
e sa demeure à des distances souvent très eonsidé-rables. C'est là un
sujet
de récriminations Incessantes de sa femme Klara,
isme. Weinhold et Heidenhain ont eu l'occasion d'hypnotiser plusieurs
sujets
en leur faisant entendre le tic-tac d'une montre
pnotisa-tion. U en décrit les effets qu'il en a obtenus snr un de ses
sujets
dans les termes suivants : c Jeanne étant assis
ême que les vibrations lumineuses, étaient susceptibles chez certains
sujets
, de provoquer l'apparition de contractures (2).
ilisés. Le plus souvent le diapason, placé devant une des oreilles du
sujet
est mis en action un certain nombre de fois, à in
e à chaque épreuve renouvelée. Un second mode d'emploi consiste, le
sujet
étant étendu dans le décubitus dorsal, les yeux f
apason dont le mouvement est entretenu par une bobine électrique. Les
sujets
ne tardent pas à tomber dans un engourdissement m
tée. C'est ce qui explique pourquoi on entend si souvent dire par des
sujets
très sensibles h l'inhibition hypnotique et dont
ois des élancements désagréables dans la région cardiaque et il était
sujet
à des accès de tristesse. Les accès surviennent
aliénistes et neurologistes. Marseille, IS99). Dr Raffegeau. — Les
sujets
à l'état hypnoïde doivent pouvoir être mis facile
intéresse les psychothérapeutes c'est que. dans l'état hypnoïde, les
sujets
se conduisent exactement comme s'ils étaient endo
rme et le professeur Beaunis sous celui de veille som/iambaliqae. Les
sujets
, avec toutes les apparences de la veille obéissen
) : nous avons été amené à entreprendre une série d'expériences sur 5
sujets
très hypnotisables de la clinique psycho-pédagogi
ée. Voilà la façon dont nous avons procédé. 1° Nous avons laissé le
sujet
à l'état de veille, en repos sur sa chaise, (1)
prolongé, pour l'habituer à la température de la chambre. 2° Sur le
sujet
à l'état de veille, nous avons observé et consign
bre des globules rouges et blancs. Cela fait, nous avons endormi le
sujet
, (qui a gardé continuellement la même attitude),
émotif leur nombre croit de 0 à 2.400, Enfin il faut ajouter que le
sujet
présente généralement, après un sommeil de 25' à
s de l'état psychique. 2° Que le sommeil hypnotique débarrassant le
sujet
de tout choc •émotif, moral, enfin de tout travai
frappé de ce fait, que la pâleur du visage et des muqueuses chez les
sujets
anémiques, peu d'instants après avoir été hypnoti
de la tension artérielle est venue confirmer-cette opinion. Chez les
sujets
en état d'hypotension, s'hypnotisme relève la ten
de sa fantaisie. Jusqu'ici il était admis que l'hystérique était le
sujet
que l'on hypnotise. Avec la Tarnowska, si l'on en
ures, 49, rue Saint-André-des-Arts, un cours de psychologie médicale.
Sujet
du cours : les enfants anormanx ; l'orthopédie me
rvention. D'après M. Bérlllon, cette résistance provient de ce que le
sujet
qu'on cherche A Influencer est laissé en état de
cal Society de Londres, avait choisi comme matière de son discours lo
sujet
suivant : L'autorité du médecin reconquise par un
es, nous croyons pouvoir mettre en première ligne sa façon de voir au
sujet
des deux phénomènes qu'il désigne par les termes
me, M. Piéron a renoncé pour le moment à. dire toute sa pensée sur ce
sujet
; car les premiers essais qu'il a tentés dans cet
les impressions et les sentiments qui dominent habituellement chez le
sujet
que nous étudions. Tout trait de l'écriture doi
résente maintenant, avec ces tendances, l'état physiologique de notre
sujet
. C'est hélas, un homme plutôt faible, nerveux et
e, qui avait été dépeint comme si doux et si calme, était un violent,
sujet
k de terribles accès de colère. On rappelle qu'
ation de l'enfance. Je viens encore aujourd'hui vous entretenir de ce
sujet
et vous montrer un des instruments dont se sert M
nt consciente et jouissant pleinement de sa volonté directrice — à un
sujet
mis en état de détente, de résolution, de quiétud
x que je viens de mentionner: il sera plus opportun de revenir sur ce
sujet
à l'occasion de l'étude des faits particuliers. I
le de cette région, prédominance qui varie à l'infini, selon l'âge du
sujet
et le jeu des passions habituelles, ce qui consti
re le problème, à la fois si difficile et si intéressant, qui fait le
sujet
du paragraphe précédent; elle m'a permis de voir
ie était au repos, où elle annonçait le calme intérieur; le regard du
sujet
était alors fixe et dirigé devant lui. .l'ai d'
t alternativement le front et le sourcil ; je la répétai sur d'autres
sujets
, et môme sur le cadavre encore irritable, et touj
la manufacture des Gobelins, et membre de l'Institut, a publié sur ce
sujet
un ouvrage d'un très grand mérite, et surtout d'u
contraction pour compléter l'expression. Je reviendrai bientôt sur ce
sujet
important. C. — Contractions partielles express
La sensibilité de la face est telle, que l'on ne peut épargner aux
sujets
soumis à ce genre d'expériences une sensation dés
es doutes qui pourraient surgir de cette objection, j'ai choisi, pour
sujet
principal de mes expériences, un homme chez leque
endant en présence des nombreuses expériences que j'ai faites sur des
sujets
récemment morts, chez lesquels la contraction des
, il ressort donc évidemment que, dans mes expériences faites sur des
sujets
sains, l'éleclrisa-tion musculaire localisée ne p
te avait de fréquentes occasions d'étudier le jeu des muscles sur des
sujets
qui possédaient à la fois la force, l'adresse et
nre d'étude ; car parmi les auteurs qui ont traité spécialement de ce
sujet
important, on en compte plusieurs dont le nom est
our donner une idée approximative du degré de la passion, de l'âge du
sujet
, etc. Les maîtres de l'art n'ont pas toujours s
mènes sont encore subordonnés au degré d'embonpoint ou de maigreur du
sujet
, et que le sexe exerce aussi sur leur mode de pro
ée par la permanence des traits propres aux sentiments habituels du
sujet
, à ses passions violentes, et cela en vertu de la
Los remarques judicieuses de Tôpffer sont parfaitement applicables au
sujet
scientifique et artistique dont j'ai à traiter. L
donnent naissance, suivant leur degré de contraction, selon l'âge du
sujet
et certaines conditions anatomiqucs; 3" de démont
PHYSIONOMIE HUMAINE I PRÉPARATIONS ANATOMQUES ET PORTRAITS DE
SUJETS
SOUMIS A DES EXPÉRIENCES ÉLECTRO-PHYSIOLOGIQUES.
tion. EXPLICATION DE LA LÉGENDE. L'individu que j'ai choisi comme
sujet
principal des expériences représentées par la pho
ce (les lignes fondamentales et secondaires). 2° La maigreur de mon
sujet
favorise le développement de ces lignes expressiv
une condition très favorable que je n'ai pas rencontrée chez d'autres
sujets
. — Tl est peu de personnes qui consentent à se so
es mouvements involontaires, la contorsion des traits du visage. — Ce
sujet
, lui, était peu sensible. 11 était atteint d'une
ncourir le geste à l'expression de mes figures, j'ai donné à tous mes
sujets
la même attitude. Malgré ces conditions désavan
le beau, au point de vue plastique. J'expérimenterai aussi sur des
sujets
de différents âges : sur un enfant (voy. fig. 5,
ificiellement sur sa face. Un hasard heureux m'a fait rencontrer un
sujet
qui, après un long exercice, en est arrivé à poss
résenterai l'action partielle obtenue par l'électrisation. Comme ce
sujet
est jeune, ces figures me serviront à montrer les
xpressives de la joie se seraient montrées incomplètes sur la face du
sujet
, telles qu'elles peuvent être produites sous l'in
ncontrez plus qu'un œil terne, qui représente l'état réel de l'âme du
sujet
. Il est donc de toute évidence que, dans notre ex
e cause extérieure; elles expriment Yattention. Mais on sent que le
sujet
éprouve une émotion évidemment plus grande dans l
ion, dans la seconde (fig. 7), la physionomie est plus tranquille; le
sujet
est seulement attentif. Ill MUSCLE DE LÀ RÉFL
ntaire, forte, des orbiculaires palpé-braux supérieurs, chez un jeune
sujet
(voy. son portrait photographié, fig. h) : médita
oment où l'expérience photographiée dans la figure 12 a été faite, le
sujet
regardait un objet situé en face de lui et sur le
s de la tête du sourcil droit, existe même quand la physionomie de ce
sujet
est au repos, ainsi qu'on le constate sur son por
ux figures dépendent uniquement des conditions individuelles des deux
sujets
qu'elles représentent, parmi lesquelles il faut m
deux physionomies différentes? On voit qu'à droite, l'attention du
sujet
vient d'être attirée par une cause extérieure. Te
eur. On pourrait objecter que le sourcil naturellement peu élevé du
sujet
soumis à ces expériences favorise singulièrement
ophores ayant été posés sur la racine du nez, on voit que, chez notre
sujet
, la peau de l'espace intersourcilier a été attiré
ée de ce muscle se dessiner d'une manière aussi prononcée que chez le
sujet
de la figure 16. Ainsi, chez le vieillard repré
de l'espace intersourcilier. J'ai déjà fait remarquer que, chez ce
sujet
, la peau de la partie médiane du front résiste à
sur son sourcil. Mais là s'est arrêté le pouvoir du pyramidal chez ce
sujet
. De quelque manière que je m'y sois pris, en tour
rieux et qui explique le précédent. J'ai déjà dit précédemment que le
sujet
dont il est ici question s'est exercé à mouvoir l
expression habituelle de son regard. Revenons à notre vieillard (le
sujet
habituel de nos expériences), dont le caractère d
physionomie est calme. La figure 18, où les deux pyramidaux du même
sujet
sont mis simultanément et énergiquement en contra
ur cette figure, on veut connaître exactement l'expression normale du
sujet
, on doit cacher ces déformations en couvrant le c
al, chez le même individu. (Au moment de l'expérience, le regard du
sujet
était dirigé en haut, et son front était sillonné
t appel à la mémoire. Fig. 22. — Destinée à démontrer, chez le même
sujet
, qu'au delà d'un certain degré de contraction, et
es propres à l'iiction du sourcilier à un degré modéré, chez un jeune
sujet
(représente dans les figures h, 15 et 16). Cont
n volontaire à un degré plus fort que dans la figure 23, chez le même
sujet
vu de face, et dont l'œil est tourné obliquement
hors, bouche entr'ouverte : douleur extrême jusqu'à l'épuisement ; le
sujet
parait succomber à la souffrance : tète de Christ
ur ou regard extatique. Fig. 25. — Destinée à montrer, chez le même
sujet
vu de profil, la contraction spasmodique du sourc
iquement ses deux sourciliers à la fois. C'est ce qui arrive chez les
sujets
âgés dont la peau est très fine ou a été exposée
ntraction plus ou moins énergique du sourcilier. Il est cependant des
sujets
chez lesquels le sourcilier, même à son maximum d
et qu'il en est le congénère pour le tiers interne. J'ai engagé mon
sujet
à plisser fortement la peau de son front, ce qu'i
par le muscle frontal. — Ce mouvement était exécuté par la volonté du
sujet
, et s'était produit, en conséquence, synergiqueme
r l'étude des lignes ou rides médianes douloureuses du front, chez un
sujet
d'un certain âge et dont la peau est très fine ou
excité des deux côtés à la fois. J'ai déjà dit que la physionomie du
sujet
soumis à ces expériences était au repos absolu au
Toutes les fois que j'ai répété publiquement cette expérience sur ce
sujet
, l'illusion a été telle, qu'il ne m'a pas été pos
ien grande, lorsqu'il me suffisait de leur cacher les sourcils de mon
sujet
pour faire retomber tous ces traits dans un calme
t spasme de ce muscle, produit, par exemple, par une vive lumière. Le
sujet
de la figure 22 a été photographié en plein solei
modique naturelle, dans la figure 25. J'avais dirigé le regard de mon
sujet
sur un mur éclairé par le soleil, et qui réfléchi
paupières : rire faux. Fig. 32. — Destinée à montrer, chez le même
sujet
, comparativement aux figures 30 et 31, que le rir
palpébral inférieur. Fig. 33. — Destinée à démontrer, chez le même
sujet
, que les rides rayonnantes de l'angle externe des
éable, de Vadmiration. Fig. 3zj. — Destinée à montrer, chez le même
sujet
, que la combinaison du muscle de la joie et de la
ent de chaque côté. J'en ai compté un plus grand nombre chez d'autres
sujets
. Les attaches et la direction du grand zygomati
s complètement, lorsqu'il est mis partiellement en action. Voyez le
sujet
représenté dans les figures 30 et 31 : ses grands
accusez pas l'exagération de ce rire ; car si je vous représentais le
sujet
souriant, la contraction partielle de ses grands
sans lignes secondaires, ainsi qu'on l'observe ordinairement chez les
sujets
de cet âge et dans les mômes conditions. Mais on
'étude de la contraction partielle du transverse du nez, chez le même
sujet
. Contraction du transverse du nez; ne se produi
sifs naturels ; représentant, en général, l'attitude du nez, chez les
sujets
d'un tempérament lascif ou aux habitudes lubrique
du nez, du grand zygomatique et du frontal : attention attirée par un
sujet
qui provoque des idées ou des désirs lascifs. Fig
e-deux ans, abruti par l'abus des boissons alcooliques ; le nez de ce
sujet
est aquilin. 11 doit servir, comme le procodent
e aux figures Al et A2. Fig. Al. — Destinée à montrer, chez le même
sujet
, le mouvement imprimé aux ailes du nez par le tra
produites par la contraction énergique du transverse du nez chez deux
sujets
dont la peau des parties latérales du nez se plis
des triangulaires des lèvres, au maximum de contraction, chez le même
sujet
. Contraction électrique très forte des triangul
la peau, et qui sont d'autant plus prononcés et plus nombreux, que le
sujet
est plus avancé en âge. B. — Expression. On s
en âge. B. — Expression. On sait que les commissures labiales du
sujet
sur lequel la plupart de mes expériences électro-
épris et de dégoût. La chute des commissures labiales, qui, chez le
sujet
dont la figure 3 représente la physionomie au rep
des commissures labiales que l'on observe dans la figure 20 donne au
sujet
un air de tristesse qui sied bien à l'expression
omatique et de l'élévateur propre delà lèvre supérieure, chez le même
sujet
. A gauche, excitation électrique du petit zygom
entielles du petit zygomatique et du grand zygoma-tique, chez le même
sujet
vu de face. A gauche, contraction électrique du
de l'association du petit zygomatique et du sourcilier, chez le même
sujet
. A gauche, excitation électrique du petit zygom
uvent obtenu en faisant contracter le petit zygomatique sur de jeunes
sujets
et môme sur des adultes, que je regrette de n'a
la narine de son côté, mais sans en agrandir l'ouverture. Chez les
sujets
jeunes et aux lèvres épaisses, ce muscle retrouss
gard du côté opposé. — J'avais provoqué cet air de résolution chez le
sujet
, en fixant son regard en face de lui et en lui fa
tenues, coulent de plus en plus abondamment dans la figure 47. Ici le
sujet
pleure franchement. Ce n'est pas que la contracti
rieure est contracté en même temps que le sphincter des paupières, le
sujet
semble s'abandonner plus entièrement à son émotio
imée sur le côté gauche de la figure Zi9, parce qu'ici on sent que le
sujet
doit être tourmenté par une douleur aiguë et prof
tion volontaire et modérée des sourcils : étonnement mal rendu par le
sujet
; expression ridicule et niaise. Fig. 50. — Dest
hié ou lorsqu'il a perdu son irritabilité. Aussi ai-je dû engager les
sujets
sur lesquels j'ai fait les expériences reproduite
cune émotion de l'âme. Mais on sent, à la vue de la figure 56, que le
sujet
qu'elle représente vient d'apprendre une nouvelle
e le degré d'ouverture de la bouche et d'élévation des sourcils. Le
sujet
d'après lequel j'ai photographié ces expériences
ion combinée, expressive, des peauciers et des frontaux, chez le même
sujet
. Contraction électrique combinée des peauciers
tal, associée à l'abaissement de la mâchoire intérieure, chez le même
sujet
. Contraction électrique des peauciers, des fron
énergie, alors même que les paupières sont rapprochées, chez le même
sujet
. Même combinaison musculaire que dans les figur
ers, associée à l'abaissement de la mâchoire inférieure, chez le même
sujet
. Contraction combinée des peauciers et des sour
rcent une action très faible sur la mâchoire inférieure. La bouche du
sujet
était en effet fermée lorsque j'ai fait contracte
t en action, en donne la démonstration. J'ai fait ouvrir la bouche au
sujet
, au moment où ses peauciers ont été électrisés; e
e du peaucier, que cette expression s'est dessinée sur la face de mon
sujet
. Sa physionomie était au repos, son regard calme
e de l'original dans la figure 68, peint parfaitement la situation du
sujet
. Mais l'artiste, comme l'affirme Zannoni, et ai
était consacré. ¦— La mort affreuse de Laocoon a fourni à Virgile le
sujet
d'un des plus beaux passages de VEnéide (liv. II,
..................... v I. Préparations anatomiques et portraits de
sujets
soumis à dès expériences électro-physiologiques s
physionomie humaine. Ces figures ont été photographiées d'après six
sujets
d'âge et de sexe différents. Chez plusieurs d'ent
s encore, on le sait, d'autres raisons pour donner la préférence à ce
sujet
; les voici en quelques mots. Sa face était insens
ituent l'expression, et en lignes secondaires, qui indiquent l'âge du
sujet
et les différents degrés du mouvement expressif;—
lectro-physiologique et la photographier. Après avoir fait prendre au
sujet
l'attitude en harmonie avec la scène à représente
t par son aide, dans la position qu'il doit occuper, sans déranger le
sujet
qu'il a déjà mis lui-même au point. Pour cela, il
vient quelquefois nuire aux scènes que ces figures représentent. A ce
sujet
, un mot d'explication. Il m'est quelquefois arriv
m'est quelquefois arrivé de ne pouvoir me tenir assez éloigné de mon
sujet
pour ne pas être pris dans le champ de la plaque,
dans ces études d'esthétique électro-physiologique. — Je donne à mon
sujet
la pose et le geste en harmonie avec les expressi
ôté, avec les caractères qui distinguent la différence d'âge des deux
sujets
(voyez, pour la description des lignes expressive
79, si l'on en cache l'œil gauche. Mais, dans la scène qui fait le
sujet
principal de la figure 79, l'expression est com
ière choquante avec l'expression de joie exlrême qu'il a donnée à son
sujet
( I ). (I) On me permettra encore de faire obse
ressort du rapprochement comparatif des fig. 81, 82 et 83. Tous les
sujets
ne conviennent pas également à l'étude électro-ph
a tête de son sourcil (voyez la fig. 9). La physionomie de ce dernier
sujet
prit alors, il est vrai, une expression de dureté
scle qui représente cette passion est aussi peu développé que chez le
sujet
représenté dans les figures h et 9. Ces nuances
es passions. — J'ai constaté ce même phénomène sur un grand nombre de
sujets
. —N'est-il pas permis d'en conclure que le muscle
ion est représentée sur la figure 48. — Lady Macbeth m'en a fourni le
sujet
. Apprenant l'arrivée du roi Duncan, elle a conçu
me est dans la tristesse. — Lorsque j'ai fait l'expérience qui est le
sujet
de la figure 84, mon modèle était de très mauvais
ssives secondaires qui n'apparaissent qu'à un certain âge ou chez des
sujets
très amaigris. Cette électrisation exacte du gr
inférieurs apparaît encore augmenté par le fait que le dos de notre
sujet
est uu peu voûté et qu'il présente une cyphose do
egments du corps de Michel : 4 BERTOLOTTI Examen somatique. Notre
sujet
présente une asymétrie faciale énorme, le côté
de Michel c'est la peau. En effet les téguments des mains de notre
sujet
présentent les caractères d'une véritable peau
phincters est normal. Avant de terminer l'examen somatique de notre
sujet
, il est bon d'insister sur l'aspect spécial des
iphysaires ont au contraire un aspect viril et acromégalique. Notre
sujet
ayant cessé de grandir depuis l'âge de 17 ans,
une double névrite oedémateuse très avancée. L'examen somatique du
sujet
fournissait les renseignements suivants : Haute
mégales, on avait constaté un retard d'ossifi- cation puisque notre
sujet
avait 19 ans et que, à l'état normal, l'ossificat
sont parfaitement conservés. Il faut remarquer tout de suite que ce
sujet
n'était nullement un géant, sa taille était à p
e à présent à étudier les signes acromégaliques présentés par notre
sujet
: ils ne sont pas douteux. Il suffit de se rappel
auteurs ont cru suffisant de relever que la glande thyroïde de leur
sujet
était difficilement palpable pour conclure à un
pourtant qu'ils n'ont fail aucune étude radiographique du crâne du
sujet
en question. L'étude des glandes à sécrétion, i
aire. Le mélange d'infantilisme et de gigantisme que présente notre
sujet
peut bien servir à démontrer que l'infantilisme
d'infantile. ' Dans mon mémoire, j'ai affirmé ma conviction à ce
sujet
, en modifiant à peine la définition acceptée pa
de la façon suivante : « l'infantilisme est la persistance chez un
sujet
déterminé, de caractères somatiques et psychiques
à un âge beaucoup moins avancé que l'âge réel (quel qu'il soit) du
sujet
en question ». Dans cette définition, nous trou
nécessairement un état plus ou moins athrepsique ou cachectique des
sujets
(et souvent, comme dans mes cas, ils ne le sont
out physique, il ne s'applique qu'à l'apparence exté- rieure de nos
sujets
, il n'évoque en rien leur état psychique, tandis
nvictions sur la question des'infantilismes dans mon mémoire sur ce
sujet
; je ne veux donc pas me répéter ici et je tiens
es derniers temps, je me sens obligé à résumer mes conclusions à ce
sujet
de la façon suivante : z I) Les infantiles du t
, définit ( l'infantilisme en général » : « la persistance, chez un
sujet
déterminé, de caractères somatiques et psychiques
un âge beaucoup moins avancé que l'âge réel - (quel qu'il soit) du
sujet
en question ». Il n'est point étonnant qu'apr
gré cette délimitation relative, ils avaient placé côte à côte et des
sujets
présentant vraiment'les caractères de l'enfance
des sujets présentant vraiment'les caractères de l'enfance, et des
sujets
malvenus, 1 retardataires, de petit esprit et d
, qui est celle de l'enfant. Or, d'après les définitions mêmes, les
sujets
qu'on disait infantiles du type Lorain se disti
ulté que, dans ce travail, M. E. Levi a formulé, à propos des trois
sujets
dont il rapporte l'histoire, des conclusions au
le caractère fondamental de l'enfance », et plus loin : « nos trois
sujets
, qui sont donc des infantiles vrais, n'ont aucu
de la première enfance... » - Il va de soi, à mon sens, que si les
sujets
en question « n'ont aucu- nement le type anthro
7. - 28 ' BAUER lisme. Il ne suffit pas d'avoir constaté chez ces
sujets
la non-soudure des épiphyses pour affirmer qu'i
cessaire- ment un état plus ou moins athrepsique ou cachectique des
sujets
». Les termes d'athrepsique et de cachectique d
lement le fait de l'infantilisme de Lorain. Sans doute, il y a des
sujets
chez lesquels on constate cette disproportion;
. Levi parait ne comprendre dans l'infanti- lisme de Lorain que les
sujets
le plus voisins des infantiles vrais ; c'est pe
e nom d'infantilisme de Lorain sont dispa- rates. « L'aspect de ces
sujets
, disions-nous dans noire travail précédent, est
out physique, il ne s'ap- plique qu'à l'apparence extérieure de nos
sujets
, il n'évoque en rien leur état psychique, tandi
e de chétivisme de ne s'appli- quer qu'à l'apparence extérieure des
sujets
. Les individus, dont le grou- pement constitue
Etant debout, au repos (V. Pl. V), les membres supérieurs de notre
sujet
tombent sans s'approcher du tronc, semblant nou
l'articulation du genou. Regardées de plus près, les mains de notre
sujet
(V. PI. V) présentent certaines particularités
le bras ou porter la cuisse sur l'abdomen. Les mouvements actifs du
sujet
sont généralement limités pour toutes les artic
brièveté des os. Les dimensions, en longueur, des membres de notre
sujet
sont les suivantes : bras 17 centimètres, avant
20 centimètres. * Tronc. Quoique moins frappant, le tronc de notre
sujet
présente pourtant certaines particularités : ce
longueur de la fourchette sternale au pubis est de 46 centimètres (un
sujet
normal mesure habituellement 51 cm.). La circon
ns essayé de photographier.aussi d'autres parties du corps de notre
sujet
. Ces deux radio- photographies mettent en évide
mettent en évidence la conformation générale des os longs de notre
sujet
. En regardant surtout la radiophotographie de la
istance du cartilage de conjugaison, restant non ossifié chez notre
sujet
. Etat mental. - Son intelligence est fort médio
ciété de Médecine de Nancy, 9889). Quant à l'état mental de notre
sujet
, caractérisé comme nous l'avons vu par un disce
ngueur totale du corps en deux parties égales. Cependant chez notre
sujet
la distance du pubis au sol = 37 centimètres et l
eloppement psychique de notre j malade, la réponse catégorique à ce
sujet
est embarrassante vu notre man- ! que de connaiss
e inférieur paralysé. Peut-être paraît-il inutile d'insister sur ce
sujet
de- puis que M. Babinski nous a donné toute une
s, il s'agit de paralysie et non d'atrophie musculaire.il s'agit de
sujets
jeunes qui n'avaient à aucun degré la main en gri
y Toulmin Smith et Paul Meyer (5), ont successivement consacré à ce
sujet
des notices d'importance inégale, mais qui en s
nettes. Cet examen a été entravé par les condi- tions psychiques du
sujet
, qui ne se prêtait pas docilement à l'examen, et
sants que l'on retrouve dans la symptomatologie très chargée de ces
sujets
. Il s'agit à n'en pas douter d'une maladie fami
myotrophie Charcot-Marie et les tableaux morbides présentés par les
sujets
de mes observations. Mais il y a encore plus ;
il y avait diminution des facultés intellec- tuelles chez un de ses
sujets
. Ensuite P. Sainton (6) insistait encore sur ce
rbale. La parole arti- culée est traînante, légèrement scandée ; le
sujet
éprouve de la difficulté à trou- ver ses mots.
éformations. Les facultés psychiques sont intactes. En résumé, un
sujet
, atteint de glycosurie intermittente, est victime
e il s'estécoulé une période de douze jc>urs pendant laquelle le
sujet
a pu s'occuper de ses affaires malgré une cépha
s symptômes s'atténuèrent lentement, finirent par disparaître et le
sujet
put être considéré comme guéri. La lésion céréb
'ailleurs les altérations que nous avons rencontrées chez plusieurs
sujets
atteints de troubles mentaux aigus. A cette inf
ues aussi localisés et aussi prononcés que ceux présentés par notre
sujet
. La forme des accidents rappelait celle de la s
accidents aigus. Dans l'observation de M. André (1), il s'agit d'un
sujet
qui,atteint de céphalée depuis plusieurs années
de désassimilation dosables. L'examen microscopique du cerveau des
sujets
expérimentés a pu cor- roborer parfois les noti
é dans un précédent mémoire, je me bornerai à un aperçu sommaire du
sujet
. Nous pouvons, d'ores et déjà, affirmer qu'il n
pourraitprévoirceque les recherches ultérieures nous révéleront au
sujet
des psychopathies, par exemple, et d'autres psy-
selon le degré de l'intensité de l'irritation locale. Outre ceci, le
sujet
présentait au plus haut degré les troubles vaso
rouge, celle de la dilatation. Mais où la chercher en présence d'un
sujet
qui présente le dermographisme sous ces deux form
squels on peut provoquer l'apparition des deux dermographismes sont
sujets
aussi aux troubles vaso-moteurs, tels que l'éta
en 1902 ( ! ). Les auteurs (2) qui ont écrit ultérieurement sur ce
sujet
, paraissent ignorer la coexistence des deux der
eux dermographismes et la possibilité de les provoquer chez le même
sujet
. (t) RouDNew, Le dermographisme rouge et blanc
n et cz7c guérissable. L'hystérie est dès lors un étal qui rend les
sujets
qui en sont atteints, capables de s'auto-sugges
e une manifestation. Je crois que tout le monde est d'ac- core à ce
sujet
, - ' L'hystérie traumatique, en ceci il faut ad
on- vulsifs, soubresauts, donnant immédiatement l'impression que le
sujet
se moque de son entourage. Simulation ? cela es
endineux : ils res- tent normaux dans la paralysie hystérique. A ce
sujet
cependant il faut s'expliquer.Non seulement dan
malade paraîtra donner tout son effort, lâchez brusquement; sur un
sujet
normal ou atteint de paralysie organique, le me
nante du côté sain. Les cordes seront égales des deux côtés chez un
sujet
sain ou un hystérique qui ignore ce point de ph
fléchisseurs de la jambe. Si ces muscles sont paralysés, lorsque le
sujet
essaye de s'asseoir, on voit tout le membre inf
t de physiologie musculaire se comporte dans cette épreuve comme un
sujet
non paralysé. Lorsque, étendu sur le dos, nous
Grasset,Gaussel). Pendant que vous faites faire ce mouve- ment à un
sujet
normal, placez votre main sous le talon du membre
erminer dans l'articulation douloureuse des mouvements, sans que le
sujet
s'en doute, par exemple, en portant son attention
; pour les membres inférieurs, le tremblement disparaît lorsque le
sujet
couché à plat ventre fléchit les' jambes à angle
ons donnés, c'est à dessein que nous avons répété cette phrase : le
sujet
se comporte comme un simulateur. Nous aurions pu
nt, que l'ceil, prétendu amaurotique, voit parfaitement, lorsque le
sujet
, les deux yeux ouverts, ignore ce qui doit être
e décrire, qu'il faut imaginer séance tenante, suivant les cas, les
sujets
, les circonstances, l'expert s'attachera à endorm
t d'inquiétude. Cet état psychique est à peu près constant chez les
sujets
intelligents et ayant reçu quelque instruction.
ll, médecin de l'hospice de Bicétre (1). Celte observation a été le
sujet
de la première étude des Psychoses lépreuses. E
Elle est discrète, ce n'est qu'une attitude vicieuse chez d'autres
sujets
: on dit qu'ils se tiennent mal, qu'ils ont les é
de et apprécient mal les valeurs morale, ou intellectuelle de leurs
sujets
, de leurs élèves. C'est réelle- ment un diagnos
développement vigoureux de leurs muscles n'a pas préservé ces trois
sujets
de la scoliose et com- battu ou partiellement g
science le sentiment subjectif de l'énergie et de l'effort. Chez le
sujet
aboulique, où ce sentiment fait défaut, j'ai to
que du syndrome, l'altération du caractère. En présence de quelques
sujets
porteurs de stigmates physiques, on pourrait se
s par l'anatomie. 2° Cette disposition innée, bonne ou mauvaise, le
sujet
en a pris de bonne heure une notion plus ou moi
ps thyroïde qui est aujourd'hui normal. Elle fut après sa formation
sujette
à de violentes migraines. Les grands-parents ma
mes morbides particulières. Il n'a pas été possible de savoir si le
sujet
a eu d'autres frères ou soeurs, si sa mère a eu
me on peut s'en rendre compte en se reportant à la photographie, le
sujet
constitue un cas typique d'achondro- plasie. La
de particulier, excepté le nez qui est un peu aplati chez tous les
sujets
. Le tronc est très développé,carré et de la lon
forte lordose, ainsi qu'on le voit sur les photographies des trois
sujets
. Le bassin est large, les mus- cles fessiers tr
rs très développés. Les organes génitaux sont normaux chez tous les
sujets
. Les mesurations [des extrémités donnent une micr
ent la forme en trident décrite par M. P. Marie, et chez le premier
sujet
les trois doigts moyens tendent à l'égalité.
trémités supérieures est très développée, de manière à donner à nos
sujets
l'aspect de petits athlètes. 264 GIUSEPPE FRANC
fait qui a été vérifié par M. le Dr Lévi à la main et au pied d'un
sujet
qu'il a dé- crit, et qu'il met en rapport avec
cette affection. Dans nos cas, ce fait ne se constatait que chez un
sujet
et seulement au pied droit. Il est cependant inté
donnée par exem- ple par une hydrocéphalie (Cette maladie, chez nos
sujets
, a pu être mise hors de cause a priori et par l
comme cela se trouve d'ordinaire chez les individus de l'âge de nos
sujets
. Quant au volume et à la conformation des divers
c'est que tandis qu'nn l'achi, tique est en général un être faible,
sujet
ci des maladies, les achondroplasi- ques au con
n de cette glande, font défaut.En effet, on ne constate pas chez le
sujet
une augmenta- tion de volume de la thyroïde ave
le, non signalé jusqu'à présent; nous voyons que du mariage de deux
sujets
achondroplasiques est née une enfant achondro-
i s'oppose à l'hypothèse d'une race achon- droplasique. En outre un
sujet
syphilitique, un sujet tuberculeux est géné- ra
e d'une race achon- droplasique. En outre un sujet syphilitique, un
sujet
tuberculeux est géné- ralement un être faible ;
t rare. L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 273 ils ne sont pas
sujets
à des maladies infectieuses ; en somme ce sont de
re familial de l'affection et sur l'intégrité absolue de leurs deux
sujets
. Cette « intégrité absolue » se présente dans n
orté) il n'y a jamais eu de mariage ou d'union manifeste entre deux
sujets
de ce genre ; en outre l'étroitesse de son bassin
roplasique des accouchements multiples ; enfin ces indi- vidus sont
sujets
à être éloignés et éparpillés dans la société hum
nce des cas héréditaires, des cas familiaux et l'inté- grité de nos
sujets
, qui, en dehors des altérations de leur squelette
re une fois, d'autant plus que deux importants mémoires sur ce même
sujet
ont paru, il y a à peine quelques mois, dans ce m
nous faut rappeler, parmi les premiers qui s'occupèrent le plus du
sujet
, Ileubner qui rapporte quelques-unes de ses pro
rtiennent et sur 290 autres cas recueillis dans la lit- térature du
sujet
, en arrive à cette conclusion, que les affections
asilaire. Mingazzini, dans un autre travail plus récent sur le même
sujet
, fit con- naître trois autres cas de syphilis c
e syphilis cérébrale précoce et maligne, observés durant la vie des
sujets
et fournis de données anatomo-pathologiques. La
, on trouva une méso-arlérite et une endo-artérite. Le jeune âge du
sujet
, l'absence de lésions de l'aorte, et l'inexiste
ilitique. A la suite d'un traitement mercuriel fait à l'hôpital, le
sujet
améliora, si bien qu'il voulut rentrer chez lui.
prendre du iodure. Il vint s'y ajouter le vertige qui empêchait le
sujet
de se tenir de- bout, et la paralysie complète
ie droite avec aphasie et symptômes de paralysie du nerf vague ; le
sujet
mourut. A l'autopsie, on trouva des altérations
sie des membres de droite, une parésie de l'abducteur de gauche. Le
sujet
mourut d'une pulmonie. L'autopsie permit de rel
douleur de la tête et des yeux et parfois de l'amblyopie. Chez .le
sujet
, fortement anémique, on constata de la névrite
résumerai brièvement les cas obser- vés seulement durant la vie des
sujets
. Gilles de la Tourette a fait connaître le cas
ool et dont le plus petit souffre de convul- sions épileptiques. Le
sujet
est né à terme, par accouchement régulier et il
aucune parésie ou paralysie. Mais depuis ce temps-là, le patient est
sujet
de 2 à 4 fois par mois, à des attaques convulsi
e également un résultat positif. Examen psychique. On relève sur le
sujet
les marques d'un affaiblisse- ment mental avec
s rare d'avoir des réponses précipitées, avec jugements erronés. Le
sujet
, d'ail- leurs, les corrige facilement et même s
qui rappellent de très près le rire et les larmes spasmodiques. Le
sujet
est habi- Fig. 2. Représente le même individu q
a eu dans le passé. De tuute manière, il faut remarquer combien le
sujet
est sale et qu'il se met même parfois à uriner
e recherche systématique n'a été établie jusqu'aujour- d'hui sur ce
sujet
. Lui, d'un autre côté, examinant minutieusement d
abes dorsal et paralysie progressive). Je m'éloignerais trop de mon
sujet
, si je voulais m'occupe ? aussi de ces dernière
l'on pense que Nonne lui-même, après une lon- gue discussion sur ce
sujet
, ajoute textuellement les mots suivants : « A c
ns le deuxième cas, où les lésions sont encore en activité, chez un
sujet
de 33 ans, nous trouvons la même ostéite condensa
umeur et d'autres causes inconn ues, estextrême- ment vulnérable et
sujette
à l'infection. Il est possible aussi que l'empl
l'hypnose par quelques médecins. Le malade, -depuis dix ans, est
sujet
des crises nerveuses à caractère épileptiforme
tesse avec larmes. - D, la joie. - 1 : , la douleur plnsique. V, le
sujet
à l'état normal. Masson & Cie, ]\hteurs.
é- cial. Mes recherches sont venues apporter quelque lumière sur ce
sujet
. J'ai constaté en effet que les lésions du segm
lobule para-central dépendent dans une certaine mesure de l'âge du
sujet
ainsi que du niveau où la mensuration a été pra
des nerfs périphériques. J'ai fait ma première communication sur ce
sujet
dans la séance du (1) Molli. Ueber Degeneralion
le ascendante et la partie antérieure du lobule paracentral. Chez les
sujets
qui peuvent marcher, mais qui ne peuvent pas fa
probablement de syphilis. La femme G... affirme que son mari était
sujet
à de fréquentes éruptions de papules qui laissaie
qui se déclaraient en dehors de toute question de nourriture. Notre
sujet
ne peut dire si ces douleurs qui n'étaient pas
l'apparition des douleurs en ceinture, la patiente commença à être
sujette
à des vertiges intenses quand elle montait ou des
EPPE BASCHIERI SALVADORt le long de l'urètre. Elle est pareillement
sujette
à des décharges diarrhéiques, qui se succèdent
XLIII). Cette anomalie, selon le récit de la malade interrogée à ce
sujet
, daterait seulement de l'époque où se sont mani
r, mort dans la suite, j'ai examiné les hémisphères cérébraux de ce
sujet
, en les coupant par séries horizontales et en l
he a pour résultat la flexion dorsale du gros orteil. (1) Car. à ce
sujet
: 13ASTIAN, Aphasia and ol/w' speech de/ecls, Lon
offre la morphologie de l'insula antérieure de l'homme. Comp. à ce
sujet
: S. SEaGl : Variasioni dei solchi dell'insula
'origine inconnue ; toutefois, il estime que celle-ci n'est chez ce
sujet
qu'une manifestation de la tendance générale à
si une pathogénie différente; dans nos précé- dents mémoires sur ce
sujet
, nous avons exposé nos convictions favora- bles
ies relatives à ce LA MICROSOM1E ESSENTIELLE HÊRÉDO-FAM1LIALE 523
sujet
nous trouvons la distinction de plusieurs formes
s la catégorie des myxoe- démateux avant tout, nous connaissons les
sujets
du type Brissaud qui ont été toujours et, à bon
cas purs. L'infantilisme est,à notre avis, la persistance, chez un
sujet
déterminé, des caractères somatiques et psychiq
à un âge beaucoup moins avancé que l'âge réel, quel qu'il soit, du
sujet
en question. Les nains, au contraire, sont, dan
LEVI présentants classiques du syndrome infantilisme, tels que les
sujets
du typeBrissaudou du type Lorain, car ces indiv
par leur développement somatique et psychique, très inférieurs aux
sujets
normaux du même âge, ne nous donnent jamais l'i
as publiés comme exemples de microsomie pure, sont au contraire des
sujets
enta- chés d'infantilisme, et qui, comme tels,
ce que cet auteur dit àpropos des caractères cliniques propres aux
sujets
appartenant à la catégorie de la nanosomia prim
ujours très difficile de savoir exacte- ment par les parents de nos
sujets
l'état véritable de ces individus à leur naissa
onsidérer ce fait comme constant car,dans le cas de notre troisième
sujet
, qui représente un exemplec lassique de microsomi
ue souvent l'infantilisme somatique peut être évident chez certains
sujets
chez lesquels les symptômes de la menta- lité i
ntile sont à peine constatâmes. Dans nos précédents mémoires sur ce
sujet
, nous avons montré comment les symptômes de retar
pte des conditions d'éducation et d'ambiance. Il est rare que des
sujets
somatiquement infantiles ne présentent pas quel
e d'une microsomie d'origine cérébrale. M. Pellizzi, s'exprime à ce
sujet
de la façon suivante : « En dehors des' deux fo
aille notablement inférieure à celle qui correspond à l'âge réel du
sujet
, et la diminution de la taille est régu- lière
ent les caractères cliniques. Voilà comme M. Launois s'exprime à ce
sujet
: . « 11 n'est pas jusqu'au système nerveux, le
du développement somatique (la microcéphalie est fréquente dans ces
sujets
). La sclérose cérébrale hypotrophique congénita
s des membres. En somme, il nous semble que dans cette catégorie de
sujets
, la mi- crosomie, qui est loin d'être constante
être constante, n'est jamais qu'un symptôme se- condaire ; tous ces
sujets
montrent des signes psychiques et physiques de
être prise en considération dans cette étude qui se rapporte à des
sujets
dont la physionomie clinique est donnée surtout
ussi la des- cription de plusieurs nains ; mais malheureusement ces
sujets
ont été considérés surtout à un point de vue an
érus de la mère, soit surtout par une ma- ladie atteignant le jeune
sujet
lui-même dans le cours de la vie em- bryonnaire
cartilages épiphysaires des os longs étaient persistants ; chez ce
sujet
on avait remarqué, à l'âge des 30 ans, une repris
, en somme, seulement parleur très petite taille. En dehors de deux
sujets
âgés respectivement de 20 et 25 ans, tous les a
présentaient de petites poussées d'accroissement. Chez deux de ces
sujets
de sexe féminin, âgées de 36 ans et hautes l'un
ans, en effet, leur croissance était complètement arrêtée. Ces deux
sujets
se différenciaient aussi de tous les autres indiv
la troupe étudiée par M. Joachimsthal, nous ne voyons donc que deux
sujets
(les deux naines de 36 ans) chez lesquels peut-êt
n avoir une, car nous avons constaté les mêmes symp- tômes chez nos
sujets
. Dobos présentait en effet quelques stigmates p
nez en lor- gnette ses fonctions végétatives étaient,comme chez nos
sujets
,normales, et comme chez eux, l'intelligence n'a
en d'infantile. Tout ce que nous venons de dire sur l'historique du
sujet
qui nous in- téresse prouve suffisamment, à not
crosomie et infanti- lisme que comme infantilisme pur. ' Le pelit
sujet
de M. De Sanclis, àgé de 27 ans, mesure 1 m. 140
s par la lecture de son beau mémoire,- nous vou- drions définir son
sujet
comme un exemple de microsomie compliquée d'inf
ton et Launois, indé- pendamment l'un de l'autre, ont publié sur ce
sujet
deux courtes notes fondées sur un examen nécess
ingue des autres par l'absence de toute tare physique. II s'agit de
sujets
ayant un développement minime avec har- monie c
nous dit que dans le village de Lilliput il n'aurait noté que deux
sujets
appartenant à cette catégorie, le petit mulâtre d
istence dequelques rares exemplaires de microsomie essentielle, des
sujets
qui enfin correspondent dans les grandes lignes
autorisés à formuler un jugement d'identification absolue avec nos
sujets
, car nous n'avons pu soumettre ces individus à
DO-2nMILIALE 541 mées de la troupe de Paris, étaient, en dehors des
sujets
observés par M. Sainton (la demi-mondaine et le
individus delà famille Maggi qui méritent, encore plus que les deux
sujets
ci-des- sus, d'être compris dans cette catégori
résentaient le moindre symptôme apparent de dysthyroïdie. Les trois
sujets
de la famille Maggi et la demi-mondaine avaient l
rophisme des poils et sur l'étal d'ossification du squelette chez ces
sujets
, nous ne sommes naturellement pas en condition
microsomes entachés d'infantilisme. Nous verrons en effet que nos
sujets
I et III sont de vrais microsomes, car chez eux
climatation, ceux qui, selon nous, correspondent probablement à nos
sujets
, sont les membres mâles de la famille Maggi don
ue valeur à l'étude que nous avons cherché à faire complète, de nos
sujets
, repré- sentants légitimes de la microsomie ess
il. 500. 'i Antécédents héréditaires. - Le père et la mère de notre
sujet
étaient des individus de taille absolument norm
s fait de fausses couches et avait mis au monde, en dehors de notre
sujet
, quatre autres enfants, de taille normale et d'
n symptôme morbide. Chez les ascendants et les collatéraux de notre
sujet
, il n'y a jamais eu aucun cas analogue de micro
pestres de l'Italie septentrionale. Antécédents personnels. - Notre
sujet
est né à terme, après une grossesse physiologiq
as fait attendre. Dès sa première enfance, et ultérieurement, notre
sujet
a été l'objet d'une grande popularité locale à
ui arrivant à peine à la taille Il Après la mort de sa femme, notre
sujet
n'a pas abandonné ses habitudes sexuelles et il
de donner notre jugement sur le dé- veloppement psychique de notre
sujet
, car nous pensons que le déficit psy- chique, t
n profil et nous ver- rons qu'ils se répètent chez le fils de notre
sujet
et chez un autre nain de la même catégorie appa
mées : les longueurs respectives des doigts sont telles que chez un
sujet
normal ; aucune apparence de main car- rée acho
III. l'1. L\1 1 MICROSOMIE ESSENTIELLE (Etlore Levi) Obs. II. -
Sujet
de 12 ans et 6 mois. Masson & Cn, Editeurs.
seront résumés comparativement aux autres relatifs aux deux autres
sujets
étudiés à ce point de vue. Observation II (PI.
poids du corps nu : 9 kil. 100. » Antécédents héréditaires. - Notre
sujet
est le premier fils du nain qui a fait l'objet
ous les détails sur la famille. Antécédents personnels. Notre petit
sujet
est né à terme après une gros- sesse et un acco
u tableau des mensurations sera suffisant à montrer que notre petit
sujet
, tout en étant âgé de 12 ans et 6 mois est soma
II4 R1.D0-FAlILIALR 551 552 ETTORE LEVI Crâne.- Le crâne de notre
sujet
est la reproduction parfaite en petites pro- po
a dentition correspond à celle d'un enfant d'à peu près 8 ans ; notre
sujet
a 20 dents de lait parfaitement conformées, et
rmaux. Les fonc- tions de la vie végétative parfaites ; notre petit
sujet
mange cependant très peu. Les réflexes abdomina
du sang n'a pu être fait, car nous ne pûmes persuader notre pe- tit
sujet
même à se laisser piquer le doigt ; sur ce point
ne connaît pas d'autres cas de nanisme, eu dehors du père de notre
sujet
; nous devons cependant faire remarquer que dan
étinisme myxoedémateux est endémique. Antécédents personnels. Notre
sujet
est venu au monde après une gros- sesse et un a
fait normal. A ce point de vue il est beaucoup plus typique que le
sujet
de notre première obser- vation, dont l'aspect
l'aspect drôlatique évoque tout de suite l'image d'un gnome. Notre
sujet
est au contraire un homme parfait à tout point de
ion de M. Meige nous paraît parfaite). Notre nain se différencie du
sujet
de notre première observation par les proportio
sont en- core plus développés et mieux dessinés que chez le premier
sujet
. Comme lui il présente des organes génitaux abs
ormation du nez qui rappelle le type eu lorgnette, et de même notre
sujet
a, comme le premier, les dernières phalanges des
-postérieur du crâne : l'os occipital est, comme chez notre premier
sujet
, très saillant en arrière et donne à la partie
re ; tous les muscles du tronc sont très développés et don- nent au
sujet
une agilité remarquable. L'examen des poumons e
sont vifs. Les érections se font normale- ment et fréquemment et le
sujet
a, avec sa femme, des contacts réguliers. On co
s membres plus minces qu'ils ne sont, cependant que chez ce dernier
sujet
, cette cause de manque d'harmonie somatique n'exi
r tonicité et leur énergie motrice sont absolument normales ; notre
sujet
exécute tout mouvement avec une grande agilité
IV. Alessandriua Gazzano, âgée de 22 mois, fille de notre troisième
sujet
. Nous parlerons très brièvement de ce cas, car
son as- pect est identique à celui que nons avons constaté chez le
sujet
de notre obser- vation II, un enfant chez leque
plète formation, le type que nous avons décrit chez tous nos autres
sujets
et qui est caractérisé par la prévalence du dia
d'Argyll-Robertson est encore très obscure, et nous possédons à ce
sujet
plus d'hypothèses que de faits positifs. La lésio
erfs ciliaires, et ce sont les résultats de ces examens qui font le
sujet
du présent travail. J'ai examiné également les ne
n s'impose. On a décrit parfois sous le nom d'achondroplasiques des
sujets
brachymèles mais assez différents des acbondrop
. (2) M. GANooLpnE et T. GAROURO, Enorme euchondrome costal chez un
sujet
exos- losique. Hev. d'orthop., 18e année, 1" ma
'on observe souvent après les ostéites des os longs chez les jeunes
sujets
, c'est- à-dire une ossification précoce d'un de
duisons les lignes suivantes, qui se rapportent étroitement à notre
sujet
: « Au pied droit, le quatrième orteil est plus p
. le Dr Lévi... Dans notre cas ce fait ne se constatait que chez un
sujet
et seulement au pied droit. Il est cependant in
bl., 1896, p. 1048. A'-QciER et ]MF.XDlc]Ki. - Myélomalacie chez un
sujet
opéré d'un néoplasme ulcéré de la verge. Rev. N
Beck (de Wallenstadt) un historique et une bonne monographie de ce
sujet
. Cette étude est devenue classique depuis que K
Mais comme il n'y a pas longtemps que l'attention est attirée sur ce
sujet
, L'AORTITE MOYENNE GOMMEUSE OU MÉSAORTITE GOMME
ns cru devoir donner une description détaillée et minutieuse de nos
sujets
, car nous avons établi, par l'étude delà littérat
observation détaillée de nos cas nous permettra d'être très bref au
sujet
du diagnostic différentiel ; il suffira, en effet
hies pour constater les différences essentielles présentées par nos
sujets
en comparaison des spécimens bien connus de nan
ions dont nous ne trou- vons pas la moindre trace chez aucun de nos
sujets
. La différenciation avec l'achondroplasie est a
ifférenciation avec l'achondroplasie est aussi très facile pour nos
sujets
: aucun d'eux, en effet, ne présente ce qui est s
ie totale ou rhizomélique, lesmains et les pieds carrés, etc. Nos
sujets
ne présentent pas non plus les déformations du cr
aphiquenous a enfin permis de constater qu'il n'existe pas chez nos
sujets
cette disproportion dans de l'accroissement relat
is des autres os homologues. Tous ces faits n'existent pas chez nos
sujets
; il n'y a donc aucun doute que nos nains ne son
uvent normale. Nous pouvons donc,en toute sûreté, éliminer pour nos
sujets
le diagnos- tic d'une forme soit totale, soit p
uste de nanisme achondro- plasique. En considérant nos différents
sujets
, nous devons cependant faire re- marquer les qu
e re- marquer les quelques différences qui existent entre eux. Le
sujet
de la première observation, tout en étant en géné
mie essentielle. nous nous bornerons à prendre en considération nos
sujets
adultes, car un diagnostic différentiel absolu
tent pas le moindre stigmate d'infantilisme psychique ; le premier
sujet
est un petit sauvage, complètement dépourvu de
ar les effets de l'intoxication éthylique chronique. Le troisième
sujet
, au contraire, plus,jeune,alcoolique aussi, mais
trop lisse, ni rugueuse, ni bouffie, ni relâchée ; chez le premier
sujet
,la rugosité du visage est absolument correspondan
nos deux nains d'une hernie inguinale bilatérale ; chez le premier
sujet
le testicule droit n'est pas complètement descend
il ETTORE LEVI la bourse. Nous verrons ensuite que chez le deuxième
sujet
, la cryptor- chidie est bilatérale. La foncti
est bilatérale. La fonction sexuelle s'est manifestée chez nos deux
sujets
normale- ment et précocement et se maintient ac
ue la débilité génitale initiale relative à son âge. Le troisième
sujet
est fils d'un nain qui, d'après ce qu'on nous dit
mère et le père de notre nain étaient de taille normale, mais notre
sujet
, qui a donné naissance à deux enfants certainem
femme de taille normale ; dans la seconde famille, le père de notre
sujet
était nain aussi, cependant que sa mère était n
sujet était nain aussi, cependant que sa mère était normale ; notre
sujet
enfin,qui a des enfants extrêmement petits et q
; nous avons trouvé une légère leu- cocylose existant chez les deux
sujets
adultes sans toutefois aucune modi- fication di
ère tendance aux putréfactions intestinales Chez les trois premiers
sujets
de nos observations nous avons prati- LA MICROS
; il nous semble, par conséquent, être autorisé à éliminer pour nos
sujets
l'influence pathogénique de la sy- philis héréd
ogénique de la sy- philis héréditaire ; nous ferons remarquer il ce
sujet
que nous avons eu le même résultat négatif dans
quelques caractères somatiques discor- dants chez nos deux premiers
sujets
, nous désirons exposer les quelques tares physi
or- maux et pathologiques) qui nous permettent d'attribuer nos deux
sujets
à la môme forme de microsomie, nous pouvons con
t;o ? ? </Me.Toutes les données que nous avons acquises chez nos
sujets
par le simple examen clinique'nous sont confirmée
squelette que nous avons pratiqué systématique- ment chez tous nos
sujets
; nous considérons en effet les résultats de 66
la microsomie. Aussi bien chez le premier que chez le second de nos
sujets
adultes, les radiographies des membres, du crân
rain (Nouvelle Acon. de la Salh., 9cJ08). Rien de pareil chez nos
sujets
! LA MICH0S0M1E ESSENTIELLE HKRËDO-FAM)HALE 667
ersistance anormale de cet organe glandulaire ; nos recherches à ce
sujet
ont été négatives soit par le simple examen physi
able, qu'on appelle généralement na- nisme myxoedéma teux. Nos deux
sujets
adultes ne sont certainement pas des infantiles
une aimable lettre que M. Meige a eu la boulé de nous adresser à ce
sujet
, nous trouvons avec plaisir affirmée la convictio
ltes. Il nous semble donc que parler d'infantilisme à propos de nos
sujets
adultes sérail vouloir engendrer une confusion
es nains goitreux, etc. (Meige). » Il est aisé de constater que nos
sujets
n'ont rien de commun avec le type de dystrophie
correct de définir ces indivi- dus comme des nains tout court. Ces
sujets
, en effet, présentent quelques caractères de mi
du syndrome microsomie au syndrome infantilisme. Pour conclure, nos
sujets
ne présentent le moindre symptôme soit d'infant
en effet, parlerions-nous de dysthyroïdie, même fruste, à propos de
sujets
normaux par leur intelligence/par le trophisme'de
ence absolue de tout symptôme de disfonc- tion glandulaire chez ces
sujets
, nous fait considérer comme improbable que le d
« L'infantilisme et le nanisme se combinent dans la série avec les
sujets
présentant le faciès lunaire, les mains en pale
symptômes d'infantilisme nous entraîne cependant à supposer que ces
sujets
étaient probablement des exemples d'association
tion de la microsomie à l'infantilisme, comme chez notre deu- xième
sujet
. Quant aux affirmations de M. Auguste Marie que
rt avec le myxoedème, même fruste ; tout ce que nous avons dit à ce
sujet
à propos de nos observations de microsomie,sans a
cet égard. De même nous avons appris par l'examen psychique de nos
sujets
que leur mentalité n'offrait le moindre caractè
ntalité n'offrait le moindre caractère de puérilisme ; le troisième
sujet
était un individu très intelligent et parfaitemen
us devons enfin faire quelques remarques aux idées exprimées sur ce
sujet
parM. Launois ? I.Launois admet que d'après leurs
ons l'appellatif de nains ;mais nous ajoutons à cette catégorie les
sujets
, non difformes, représentants de la microsomie
comme les représentants d'une forme pure de nanisme,mais comme des
sujets
chez lesquels la microsomie est compliquée d'infa
bropathie congén itale ou acquise, et alors nous trouverons que ces
sujets
, fondamentalement nains, sont psychiquement des
un état d'infériorité psychique et sexuelle, cependant que chez nos
sujets
adultes (microsomes vraiment purs, non infantiles
te titre, le nom d'infantilisme de Lorain. Dans nos mémoires sur ce
sujet
nous croyons avoir suffisamment prouvé que cett
ents à notre cause ; cet auteur nous donne les photographies de ses
sujets
, et d'après les photographies il nous semble po
nanisme (voir surtout le malade de l'observation X). A propos des
sujets
de cet auteur, nous devons en outre remarquer q
à ce seul point de vue,l'appellation de nanisme; qu'on en juge : le
sujet
de l'observation IX, âgé de 27 ans, mesure 1 m.
: le sujet de l'observation IX, âgé de 27 ans, mesure 1 m. 41 ; le
sujet
de l'observation X, âgé de 17 ans, mesure 1 m.
a- blemenl de nains anangioplasiques ni des nains mitraux parmi les
sujets
que nous éludions (nains du Jardin d'acclimalat
anangioplasie, mais toujours au contraire, d'infantilisme. , Nos
sujets
sont des microsomes à tout égard classiques, et c
s Hercules, ne montrent jamais. En discutant le diagnostic de nos
sujets
et leur attribution à l'une ou l'autre des gran
ment, nous nous sommes borné à prendre en considération ceux de nos
sujets
qui avaient déjà atteint l'âge adulte, car nous n
re ou essen- tielle est donc fondé exclusivement sur l'étude de nos
sujets
adultes et sur les rares cas analogues existant
ESSENTIELLE HÉR91)0-FAMILIALF 677 nos deux nains, et l'étude de ces
sujets
nous semble digne de beaucoup d'attention surto
aucoup d'attention surtout pour ce qui se rapporte à notre deuxième
sujet
, un enfant de 12 ans et demi, qui nous semble ê
22 mois nous retiendra beaucoup moins, car le très jeune âge de ce
sujet
ne nous a pas permis une étude clinique complèt
ne nous a pas permis une étude clinique complète. Notre deuxième
sujet
est un spécimen clinique à tout point de vue très
de très haut degré ! Il n'y a pas de doute,en effet,que notre petit
sujet
nous représente un type clinique différent de c
s quel- ques symptômes sûrs d'infantilisme. Ayant admis que notre
sujet
est non seulement un microsomien, mais aussi un
et l'infantilisme de Lorain. Pouvons-nous affirmer que notre petit
sujet
représente un spécimen de l'infantilisme dysthy
iniques propres à l'infantilisme de Brissaud font défaut chez notre
sujet
, qui en effet n'a, ni la facies lunaire, ni les
iagnostic d'infantilisme de Lorain ? - Non plus ! car notre petit
sujet
n'a pas les formes délicates et élancées du typ
gangue adipeuse, ni la voix d'un timbre élevé. ' En somme, notre
sujet
ne rentre exactement ni dans l'une ni dans l'au
r l'attribuer au type Brissaud qu'au type Lorain. Mais chez notre
sujet
la réduction de la taille est telle, l'infantilis
s le cas, et justement pour cela nous ne pou- vons poser chez notre
sujet
le diagnostic d'infantilisme de Brissaud. Avant
d'infantilisme de Brissaud. Avant tout l'examen psychique de notre
sujet
ne nous a pas permis de mettre en évidence cett
poussait son père à sesoumettre à nos recherches. En somme notre
sujet
non seulement n'est pas arriéré psychiquement,
en considération les radiographies des pieds et des mains de notre
sujet
, nous voyons que chez lui l'ossification est re
nstater la persistance anormaledefontauel- les.En somme, chez notre
sujet
, l'étude radiographique nous a permis de consta
ue la soudure complète interdia- physo-épiphysaire se fait chez les
sujets
normaux. En tous cas, même en admettant dans no
80 ETTORE LKVI ` connues d'infantilisme, car nous croyons que notre
sujet
est surtout un exemple de ? 7«c ? 'o. ! OM ? la
cause de l'anornzalité du tableau clinique qui nous est offert à ce
sujet
. Nous affirmons que noire sujet est surtout un
clinique qui nous est offert à ce sujet. Nous affirmons que noire
sujet
est surtout un exemple de microsomie essentiell
aveur de cette hypothèse, le fadeur héréditaire et familial ; notre
sujet
étant en effet fils d'un nain total (microsomie e
une autre fille naine aussi, dès sa naissance. En second lieu notre
sujet
est venu au monde en montrant des propor- tions
rmalement et la croissance s'arrête à t'age normal ; or, chez notre
sujet
l'ossification est très avancée, et nous avons
plète entre la 17e et la 208 année, c'est-à-dire qu'à cet âge notre
sujet
ne pré- sentera aucun symptôme d'infantilisme d
énital est représenté par la micro- somie. Ayant établi que notre
sujet
est, par certains points fondamentaux, - un mic
isme de Brissaud pur, ni pour l'infantilisme de Lorain pur. Notre
sujet
est un infantile partiel ; il est infantile surlo
nous ne pouvons pas du tout savoir si dans deux ou trois ans notre
sujet
ne présentera pas les symp- tômes caractéristiq
somie ne saurait être posé qu'à t'age adulte ; actuel- lement notre
sujet
est, selon nous, un exemple d'association de la m
ral du mot) ; nous n'avons pas le droit d'affirmer ici ce que notre
sujet
sera à Page adulte. L'état d'ossification de so
lui la dysthy- roïdie (si elle existe) soit grave. Si chez notre
sujet
, à l'âge pubéral, les poils pousseront normalemen
nt ainsi que les autres caractères sexuels secondaires, alors notre
sujet
deviendra, comme le père, unmicrosomien ; ce se
raire les symptômes d'infantilisme persistent à l'âge adulte, notre
sujet
restera ce qu'il est à présent, un exemple de mic
rareté est très grande. Nous ferons enfin remarquer que notre petit
sujet
présente quelques déformations du nez, de l'ore
xtérieur, le por- trait le plus frappant. Quant à notre quatrième
sujet
, tout jugement nous semble prématuré en vue de
égère du nez qui est si nette chez son père et chez nos deux autres
sujets
. Toute la conformation du crâne rappelle d'aill
omme l'est son père ou plutôt deviendra-t-elle comme notre deuxième
sujet
. un exemple de microsomiecombinée à l'infantili
par des difformités somatiques propres à chaque syndrome. Chez les
sujets
appartenant à ces différents syndromes, la rédu
nt somatique et psychique exprime, dans les cas purs, l'âge réel du
sujet
. III. L'infantilisme (dans toutes ses variétés
lasiques) est au contraire caractérisé par la persis- tence chez un
sujet
déterminé des caractères somatiques et psychiques
à un âge beaucoup moins avancé que l'âge réel, quel qu'il soit, du
sujet
, en question. La réduction de la taille n'est jam
ujet, en question. La réduction de la taille n'est jamais, chez ces
sujets
, au¡;i prononcée que chez les individus appartena
diographie n'a pu être faite. Se trouvent donc réunies chez uu même
sujet
trois malformations pour ainsi dire progressive
le est impressionnable. Notre malade, portée par une mère fatiguée,
sujette
aux étourdissements prolongés, naquit à terme s
nt un chapitre aux Morts ; mais, pour ne pas trop s'écarter de leur
sujet
, ils hornentleurs investiga- tions à la représe
e sur la question des -. A pro- pos d'une note de r11. Bauer sur ce
sujet
), par LEVI, 20. Lèpre, paralysies radiales, p
stion des infantilismes. A propos d'une note de 111. Bauer sur ce
sujet
, 20. Contribution à la connaissance de la mic
des yeux et des paupières. Au bout de trois minutes, les paupières du
sujet
se ferment, il tombe dans un profond sommeil. I
l'entouraient qu'elle ne serait pas aussi facile à influencer que le
sujet
précédent. Braid la prie de tenir son regard lixé
quelle il convie tous les membres de l'Association. La nouveauté du
sujet
attire un public d'élite, à tel point que, faisan
ui ne comprenne qu'il s'airit de la provocation expérimentale chez un
sujet
d'un état psychologique quelque peu différent de
on, le mot peut s'appliquer à des états présentés spontanément par le
sujet
en dehors de toute manœuvre expérimentale. Lors
t par la suggestion, ?auto-suggestion et ' les réactions analogues du
sujet
lui-même. » Cette définition de conciliation, a
me nerveux. C'est une névrose artificielle que l'on développe chez un
sujet
prédisposé, un pseudo-sommeil que l'on impose et
et prédisposé, un pseudo-sommeil que l'on impose et pendant lequel le
sujet
en expérience perd la notion de son existence pro
aturels et psychologiques ; ils peuvent être obtenus chez beaucoup de
sujets
dans leur sommeil naturel- 2e L'état hypnotique
ommeil, comme dans l'état de veille, l'individualité morale de chaque
sujet
persiste, avec son caractère, ses penchants, son
et incoercible. Si vous vous bornez à endormir puis à réveiller un
sujet
, vous ne sortez pas du domaine physiologique. Si
ique dans un état extra-physiologique. Lorsque Ton provoque chez un
sujet
hypnotisé une anesthé-sie assez profonde pour qu'
s de la Salpétrière, de la Charité et de la Pitié s'adressaient à des
sujets
manifestement hystériques, étudiant Yhrpnotisme h
ecours à l'action des agents physiques, ceux de Nancy observaient des
sujets
plutôt normaux; ne s'éloignaient guère des états
ication se fait dans une salle éclairée avec des flammes vertes. A ce
sujet
, M. Lumière a déclaré que si l'on avait adopté la
nombre de vos amis. » (1) Elle lisait encore les ouvrages cités au
sujet
du Réglement pour les enfants de Port-Royal./page
ncore les mettre en évidence au moyen d'un révélateur approprié. Le
sujet
réactif ou révélateur est tel, en raison de son i
re. M. Déjerlne, dans un de ses cours à ta Salpétrlérc, a montré a ce
sujet
tics CD3 typiques d'hémiplégie cérébrale Infantil
uggestionnablc qui fait ce que l'on veut, et M. 1··· ··.... montre un
sujet
très facilement hypnotisable auquel il a enlevé p
à tous les adhérents, afin de permettre la discussion approfondie des
sujets
mis à l'ordre du Jour./page> page n="41">
our le moment, c'est ce fait capital que l'acte initial par lequel un
sujet
est plongé dans l'état d'hypnotisme n'est que le
nerveux, mais l'application de l'aimant ne servirait qu'à imposer au
sujet
la suggestion de la guérison. Que l'on puisse o
a ne fait aucun doute. Tout le monde suit en effet que, chez certains
sujets
, on peut, même à l'état de veille, provoquer une
lle, comme toute autre modification de la sensibilité. Chez ces mêmes
sujets
, si une paralysie, une contracture ou un trouble
isolément les troubles de la motricité ou de la sensibilité chez les
sujets
très suggestionnâmes, on peut aussi provoquer sim
tenir par suggestion directe, on peut l'obtenir aussi, chez ces mêmes
sujets
, en provoquant une auto-suggestion ou en renforça
application quelconque qui n'a pour but que d'éveiller l'attention du
sujet
Je ne contesterai pas de 'ait que l'on ait obte
acé dans des conditions pouvant provoquer une auto-suggeslion chez le
sujet
, ou quand l'opérateur lui-même a pu même inconsci
soit émise, il faut qu'elle soit reçue et comprise par le cerveau du
sujet
· enfin, il faut qu'il la réalise. Or, un Tait d'
'il la réalise. Or, un Tait d'expérience très important, c'est que le
sujet
ne réalise une suggestion qu'autant qu'il l'a com
suggestion. Quand il y a auto-suggestion, l'idée est éveillée chez le
sujet
par le désir, la crainte, l'espérance d'un événem
ec un peu de soin et d'attention, éviter de faire une suggestion à un
sujet
, mais on no pourra dire qu'il n'y a pas d'auto* S
ï montré tout à l'heure, l'idée ne peut se trouver dans le cerveau du
sujet
, il ne peut donc la réaliser. Si donc, dans ces c
barrasser d'un appareil inutile? De ce que l'on peut, chez certains
sujets
, produire la guérison ou le transfert d'un troubl
n homme. Au bout de quelques minutes, on voit battre les paupières du
sujet
, elles s'alourdissent, le sujet s'endort. Je l'év
utes, on voit battre les paupières du sujet, elles s'alourdissent, le
sujet
s'endort. Je l'éveille en appliquant l'aimant du
Je l'éveille en appliquant l'aimant du côté droit. Plusieurs autres
sujets
accusent de la somnolence sous l'influence de l'a
inue l'application de l'aimant. Au bout de quelques minutes encore le
sujet
déclare que ses jambes se raidissent; on les voit
lace l'aimant du côté droit, et, en très peu de temps, les membres du
sujet
repassent par la période de paralysie et revienne
hors de toute suggestion. En effet, je n'ai fait aucune suggestion au
sujet
, car, en appliquant l'aimant, je n'avais pas pour
fin il ne pouvait pas non plus se produire d'auto-suggestion chez ces
sujets
, car il serait absurde de prétendre que l'un s'es
me de la paralysie, puis de la contracture. Pion plus, si le second
sujet
avait connaissance de la première expérience, il
tremblement, et au lieu de cela, il éprouve du sommeil. Le troisième
sujet
pouvait croire dans les mêmes circonstances qu'il
qu'autrefois. Dans les cas que je viens de citer, il s'agissait de
sujets
chez lesquels la suggestion avait peu de prise ou
plus de cinq ans, mes recherches sur cette question ont porté sur 36
sujets
âgés de i an à SO ans, et sur moi-même. Dans l'
an à SO ans, et sur moi-même. Dans l'extrême Di-jorité des cas, les
sujets
n'ont jnmaûi été au courant de mes recherches. En
urs propria visu les faits. Notro méthode consistait à surveiller les
sujets
toute la nuit, ou au moins une partie de la nuit,
ême que les rêves faits à haute voix et les rêves communiqués par les
sujets
n'oubliant jamais de déterminer la profondeur du
Michel-son. De temps en temps, dans certains cas, nous réveillons le
sujet
, en lui cachant toujours que son réveil avait été
jours que son réveil avait été provoqué par nous, et soit laissant le
sujet
à lui-même, soit on lui posant des questions, nou
e forme vertigineuse et il y a impossibilité d'attirer l'attention du
sujet
. Il se peut bien quo l'illusion persiste pendant
gie, qui passionnait alors l'Amérique, il suit des conférences sur ce
sujet
,, se passionne à son tour, cherche l'explication
c'est-à-dire ceux qui s'adressent uniquement aux facultés mentales du
sujet
sont: 1° La suggestion directe (Liébeault) ;
es, peuvent faciliter l'apparition de phénomènes hypnotiques chez des
sujets
réfractaires aux procédés habituels d'hypnotisati
s et il est facile de concevoir que les prédispositions naturelles du
sujet
â subir l'influence des excitations extérieures e
s diverses, agissant d'une façon variable selon la prédisposition des
sujets
. Les excitations d'ordre psychique susceptibles
itation, entraînement collectif); 4° Prédisposition individuelle du
sujet
(suggestibilité naturelle propension au sommeil n
comme tout le monde. Legrand du Saulle raconte l'histoire d'un homme
sujet
à ces manifestations d'automatisme ambulatoire et
es incidents de leur vie seconde; et j'ai vu plusieurs fois un de ces
sujets
qui, à diverses reprises, s'étaient rendu à une v
fficile et Je«j traités classiques sont muets de renseignements. A-ce
sujet
, je vous enseignerai donc nia pratique. Quand l
mbulatoire est de longue durée^ quand pendant la crise la conduite du
sujet
est correcte, le malade n'est point un comitial.
ne sans interruption du sommeil, avec morsure de la langue el dont le
sujet
n'a nulle notion, et qui lui laisse de l'accablem
llusions plutôt que des hallucinations proprement dites et souvent le
sujet
peut en faire la critique. La suggestion en est,
e; rien a noter dans son ascendance pas plus que chez ses enfants. Le
sujet
est de taille moyenne, bien musclé, sans obésité
sont lourdes de fatigue, qu'elles se ferment — les voilà fermées, le
sujet
dort. Le merveilleux surnaturel disparaissait fai
ait faisant place à la science. Et pendant le sommeil (hypnose), le
sujet
est merveilleusement plastique sous la main du mé
du passage de l'état de veille au sommeil qu'on observe chez certains
sujets
. Les différents états de l'hypnotisme résulteraie
, comme il convient, la critique des divers travaux déjà parus sur le
sujet
; il utilise cn outre les -fragments fournis par
-Unis) désireux de. renseigner ses adhérents sur un certain nombre de
sujets
relatifs ù la santé des enfants, a adressé à un c
nent collaborateur, M. le professeur Charles Richet avait choisi pour
sujet
de la Conférence: La vibration nerveuse. La façon
rence: La vibration nerveuse. La façon magistrale dont il a traité le
sujet
lui a valu un très vif succès. De pareilles manif
d l'hypnotisme et habile à manier la suggestion, ot en second lieu un
sujet
tellement sensible qu'il puisse être placé rapide
s dans l'état actuel de la science pour reconnaître l'inconscience du
sujet
et même le plus souvent, pour retrouver le coupab
cause antérieure quelconque, est faite et reçue à la fois par le même
sujet
. Ici les cas sont nombreux, on les rencontre su
eois que le jour de l'échéance tombait à une date déterminée comme du
sujet
. Dans ses propres expériences, Delbceuf disait au
inée comme du sujet. Dans ses propres expériences, Delbceuf disait au
sujet
d'accomplir un acte au bout d'un certain nombre d
cte fut accompli au moment indiqué. Dans ces cas, on supposait que le
sujet
calculait le moment auquel devait s'accomplir la
une sorte de réveille-matin, qui fonctionne au moment voulu. Mais les
sujets
de Delbceuf étaient incapable de calculer avec as
autres expériences, Gurney rapporte les suivantes : On suggère à un
sujet
hypnotisé d'accomplir tel acte à une certaine heu
e moment fixé. Ces réponses étaient tout à fait exactes. A un autre
sujet
on donne le 28 mars un ordre qui devra être exécu
ais donner ici le résumé de quelques-unes d'entre elles. Je pris pour
sujet
une jeune iille qui s'appelle C... qui est assez
tous les trois jours pendant un mois environ, en tout deux mois. Le
sujet
ne fume plus ci ne boit plus, il en a perdu tout
> page n="149"> à éloigner les occasions, de tenir enfin le
sujet
en surveillance le plus longtemps possible. II
urnir quelques observations {ne fût-ce que trois ou quatre) de jeunes
sujets
guéris de l'habitude de fumer par la suggestion h
Eglise. Pour en revenir à nos deux jeunes sœurs, l'aînée est encore
sujette
à des crises d'hystérie. Je la traite par la sugg
voie de la guérison qui est obtenue aujourd'hui. ? J'ai endormi un
sujet
hypnotisablc, puis je l'ai réveillé. Dans cet éta
imentalement que la concentration de la pensée localisée chez le même
sujet
sur une partie du corps pouvait y produire une hy
?a vérité, c'est-à-dire à des recueils singulièrement favorables aux
sujets
considérés, suffisent à se faire une idée du type
rguerite Périer de paraplégie, Jeanne Arnauld (la mère Agnès) était
sujette
aux congestions cérébrales Fiançoise de Sainte-Ma
Ces divers caractères psychiques se manifestent dansl'attitude de nos
sujets
, dans leur démarche, dans leurs gestes, dans leur
Magdeleine de Ligny et de Magdeleine Bochard. Pour leur costumenos
sujets
choisissent des étoffes sombres et grossières. Le
expériences ; j'ai perdu le résultat de l'une d'elles ; une fois, le
sujet
n'a pas bien compris ma suggestion mais l'a accom
cru comprendre ; 45 fois, l'ordre fut exécuté à la minute ; 8 fois le
sujet
écrivit l'heure à laquelle la suggestion arrivait
ne à cette force nerveuse qui s'est concentrée et accumulée. Quand le
sujet
s'éveille, cette concentration cesse d'exister et
is elle ne concorde pas avec les faits observés. Si je suggère à un
sujet
qu'au réveil il se souviendra des événements de l
ment, empêcher ce souvenir. En outre, la suggestion peut enlever au
sujet
hypnotisé le souvenir des événements qui se sont
férieurs. De plus, comme on peut simultanément évoquer chez un même
sujet
des phénomènes hypnotiques nombreux et variés, ce
ire pour la production du premier phénomène? Quant au fait que deux
sujets
à l'état d'hypnose ont déclaré que chacun d'eux a
es questions posées pendant de nouveaux états d'hypnose. Ainsi, des
sujets
qui avaient passé spontanément à l'état hypnotiqu
que, pour obtenir une suggestion efficace, il faille rencontrer* « un
sujet
. » Tout individu, de par sa qualité de patient, s
liquer deux fois, dans deux cas dont voici l'histoire. I M™ M...,
sujet
de la première observation, est une femme de 24 a
tre heures et les suites ont été des plus normales. II Mon second
sujet
n'est pas une primipare. Mm* D... a déjà eu un en
isqu'il consiste uniquement à appliquer une des mains sur les yeux du
sujet
qui ferme spontanément les paupières sous cette l
ependant'animant l'humanité vers plus de joie et plus d'énergie. Le
sujet
que j'ai traité est, par excellence, un duel de a
er, dans le Journal of Physiology, les résultats do leurs études à ce
sujet
. Ils en arrivent à cette conclusion que le trav
et Double Conscience; origine de leur étude et divers travaux sur des
sujets
analogizes, Paris, Alcan, 1893, in-8°, vn-375 pag
histoire de la célèbre Felida, dont l'observation a fourni .à Azam le
sujet
do tant de travaux psychologiques d'un s: puissan
rd que le criminel soit doublé d'un hypnotiseur habite pour amener un
sujet
à faire une fausse déposition k un moment qui est
ans les circonstances que nous supposons, que s'il a sous la main ur.
sujet
capable de subir les suggestions qu'il veut lui i
qu'il ne peut être question que d'une suggestion post-hypnoiique. Le
sujet
devrait exécuter la suggestion hors de la présenc
que cette suggestion est contraire aux idées morales, à la volonté du
sujet
, car, sans cela, il ne serait pas nécessaire de r
Il faut donc, pour obtenir de la sorte un faux témoignage suggéré, un
sujet
très hypnotisable et très sensible à la suggestio
ypnotiseur nous échappe tout d'abord, il est vrai, mais nous avons le
sujet
entre les mains. Dans ces conditions, un médecin
il est xcoupable du faux témoignage, et s'il s'agit d'une enquête au
sujet
d'un crime, il se trouvera, par le fait, complice
e. Nous avons dit tout à l'heure que Toxperî pourrait affirmer que le
sujet
a agi eous l'influence dîne suggestion; maintenan
ans un grand nombre de cas./page> page n="200"> au moyen du
sujet
qui lui est soumis, retrouver î'auteur de ?a sugg
sion venue du dehors, maïs eu réalité, Pauteur de la suggestion et le
sujet
qui la reçoit ne sont qu'un seul et même individu
u une affection, donne-t-elle un faux témoignage? Alors que, chez les
sujets
ordinaires, nous trouvons toujours un intérêt, un
ans doute, il pourra se faire quelquefois qu'un intérêt quelconque du
sujet
coïncide, plus ou moins exactement, avec ce qui p
gestion involontaire et incons-cïenlo. Ici encore le concours de deux
sujets
est nécessaire : l'un qui joue le rôle de suggest
te sur l'ensemble de sa déposition. Il faut encore noter ici que le
sujet
n'est pas malade, qu'il ne présente aucun signe d
z lui des symptômes spéciaux de son état nerveux. Ici au contraire le
sujet
ne se distingue en rien de toutes les personnes q
on la plus correcte. Nous avons prié une fois un avocat d'examiner un
sujet
qui a donné lieu à une des expériences que nous a
qu'il ne voyait aucun motif pour récuser son témoignage. De pareils
sujets
paraissent en effet absolument normaux à tous ceu
i l'en éloigne. Et une fois cette suggestion déposée dans l'esprit du
sujet
, plus l'interrogateur fait d'efforts pour s'assur
on d'un faux témoignage. Le même auteur a démontré aussi que chez des
sujets
âgés de plus de quinze ans c'est-à-dire ayant la
dd, docteur ca droit. Le Rire, ses causes, ses effets, tel a été le
sujet
d'un certain nombre d'écrits, depuis le traité d'
Allemagne, dissertaient en latin sur cette matière et y trouvaient le
sujet
d'une étude copieuse. L'un, le Français, en faisa
goûté en patriarche, aimé le bonheur domestique le plus Absolu* Quels
sujets
do regrets mais aussi de consolations pour tous c
page n="228"> On sait qu'il suffit de faire prendre â certains
sujets
, en état d'hypnose, certaines attitudes expressiv
si, d'ailleurs atténué, à l'état de veille et chez un grand nombre de
sujets
. Biaise Pascal semble l'avoir remarqué pour les s
s Par le D' Paul Joine (de Lille). (suite) Nous avons agi sur des
sujets
n'ayant jamais été hypnotisés, et en plaçant ces
s agi sur des sujets n'ayant jamais été hypnotisés, et en plaçant ces
sujets
dans les conditions exactes d'un témoin interrogé
s aucun appareil ou mise en scène capable d'impressionner l'esprit du
sujet
. Nous citerons quelques-unes de ces expériences
t, suit son cours, il n'y a plus qu'à interroger ou laisser parler le
sujet
, il donnera des détails sans qu'on les lui insinu
ous le reconnaître? — et brusquement, je présente une photographie au
sujet
en lui disant : Tenez, voiià la photographie de M
d'hui ». Comme on le voit, les questions que nous avons posées à ce
sujet
n'était ni plus affirmatives ni plus suggestives
un témoin qu'une simple conversation comme celle-ci. Et pourtant, ce
sujet
, qui présente toutes les rualités requises pour t
Dans une autre expérience, nous avons fait passer sous les yeux du
sujet
, toute une scène imaginaire de meurtre de la faço
et, toute une scène imaginaire de meurtre de la façon suivante ; Le
sujet
avait été, la veille, dans un café. Après l'avoir
monsieur d'un certain âge qui causait avec un jeune homme? R. — (Le
sujet
réfléchit et dit :) Non. Je ne me souviens pas bi
e j'avais vue dans le café, et pour être l'auteur de l'attentat. » Au
sujet
.de ces deux observations qui nous semblent typiqu
e interrogatoire pour qu'il devienne une véritable suggestion pour le
sujet
. 2° Le sujet parait quelquefois hésiter d'abord
e pour qu'il devienne une véritable suggestion pour le sujet. 2° Le
sujet
parait quelquefois hésiter d'abord mais il semble
age n="235"> 4„ Une fois l'idée suggérée entrée dans l'esprit du
sujet
, il n'çst plus besoin de ie pousseren aucune faço
ndanssesexpériencessur lessugges-tions criminelles a trouvé parmi les
sujets
qui se sont soumis à ses expériences environ 20 p
Celte idée me parait probable et démontrée par les faits. Car le
sujet
est d'abord placé dans un état d'hypnose légère,
bulisme hypnotique, phase qui peut être remplacée par lui, puisque le
sujet
, sans élher, s'y maintient assez longtemps. Il
stances conscientes ou inconscientes, volontaires ou involontaires du
sujet
; il estime donc que le chloroforme est un moyen
précisément d'agir par des agents psychiques. Si l'hypnotisation d'un
sujet
nous paraît longue et difJicilc, ne nous laissons
d'autres membres de sa famille, il divaguait. Comme je considérais ce
sujet
dangereux pour lut et sa famille, je le fis enfer
quelques semaines de repos, les troubles cérébraux s'amendèrent et le
sujet
revint au calme. Mais je pus constater alors des
aurait comparu en justice sans mou intervention. Quand j'examine le
sujet
, je constato immédiatement des lésions tuberculeu
placo la tuberculose : dans une famille de phtisiques, ou ne verra un
sujet
n'échapper au bacille de Koch que pour succomber
un délirant,de se préoccuper de son état thoracique, surtout quand le
sujet
maigrit, tousse ou a eu des hémoply-sies ou lorsq
e forces, elle tombe épuisée. On peut faire varier la personnalité du
sujet
en parlant de danse ou en imitant avec les doigts
l considéra le cas actuel comme justiciable de la suggestion. Mais le
sujet
étant d'intelligence bornée, il fallut renoncer à
UOu à \:t Sorbonne, un cours de psychologie et d'esthétique musicale:
Sujet
dr cours : Esthétique de Richard Wagner clans ses
voit son tableau avant de l'avoir commencé. Il y pense, il choisit le
sujet
, il voit les personnages. S'il veut peindre une k
sera intéressant. Les.plans seront bien disposés pour faire valoir le
sujet
. La couleur sera vive et gaie. « Je travaillera
nsée peuvent s'y prendre de façon différente. Les uns méditent leur
sujet
pendant des heures. C'est de l'auto-suggestion ex
fection chrétienne » (') dans toute sa famille. De même il est peu de
sujets
prédisposés à la dévotion qui eussent pu résister
nerveuse correspondante s'imprimera d'autant plus profondément que le
sujet
sera plus impressionnable, plus tendre ('). Mais
fortement à ceux que la foi et la charité nous doh'ent donner sur ce
sujet
». Et elle n'est pas loin de souhaiter la mort de
es. Or cela ne sera possible que dans les deux cas suivants : 1° Le
sujet
ne peut ou ne veut pas, soit par paresse, soit pa
été est un cultivateur, âgé de 31 ans, qui depuis quelques années est
sujet
à des crises dans lesquelles il se livre sur lui-
a tous les adhérents, «nu de permettre la discussion approfondie des
sujets
mis à l'ordre du jour./page> page n="286">
oumain, le français et l'allemand. Cette écriture est la mémo, que lo
sujet
écrive spontanément ou qu'il copie. L'écriture de
M. Marinesco rappelle qu'il a retrouvé l'écriture en miroir chez des
sujets
atteints d'hémiplégie droite avec ou sans aphasie
, dans deux cas de crampe des écrivains ou encore simplement chez des
sujets
normaux qu'on fait écrire de la main gauche. Ma
ée, et que l'encens en particulier détermine de la somnolence. Sur ce
sujet
, quelques expériences seraient à faire. Je term
ors au pharmacien de consulter ses registres et de me renseigner à ce
sujet
. Il me répond que la déviation était nettement de
ar M. le Dr Maurice Bloch. I! est indispensable, avant d'aborder le
sujet
de ma communication, de vous donner quelques déta
de quelques gouttes de sang, puisé dans les tissus sous-cutanés d'un
sujet
arthritique et transfusé à son congénère tubercul
le de la suggestion, j'appliquai cette méthode, en me servant du même
sujet
, sur une hystérique, atteinte principalement de t
t dans chaque état de ce qu'elle fait dans l'autre. En parlant de son
sujet
Felida, Azam disait :€ Elle parait avoir l eux *
se précipita sur les chiens et les volailles de la basse-cour. Notre
sujet
, effrayé, ubattil le chat (le jour même). Si-pt
ganisme humain. Une forme atténuée de l'extase est l'admiration ; les
sujets
d'admiration se rencontrent en grand nombre autou
eilhier) un cours libre de Psychologie physiologique et pathologique:
sujet
du cours: U hypnotisme expérimental et l'hypnotis
t de pensées. Voyons maintenant comment une pensée se transmet d'un
sujet
A à un sujet B. Cette transmission peut se fair
Voyons maintenant comment une pensée se transmet d'un sujet A à un
sujet
B. Cette transmission peut se faire de trois ma
le geste et par l'écriture. Dans ce cas, les ondulations nerveuses du
sujet
A, lancées sur ses voies nerveuses centrifuges se
à des ondulations lumineuses, lesquelles vont frapper les rétines du
sujet
B. 3° Par la parole. Dans ce cas, les ondulatio
ujet B. 3° Par la parole. Dans ce cas, les ondulations nerveuses du
sujet
A lancées sur ses voies centrifuges se transforme
ondulations sonores, lesquelles vont frapper les organes de Corti du
sujet
B. Dans un ouvrage en cours de publication ('),
blement atténué; même il peut souvent élre suspendu par la volonté du
sujet
et grâce à certains artifices de psycho-mécanique
pas moins tourmenté par la pensée de ce fer; mes préoccupations à son
sujet
, n'en deviendraient que plus grandes. » Que faire
hapelle. C'est le 29 décembre qu'il reprend conscience. Ayant, à ce
sujet
, obtenu un congé d'un an, il reste à P... pendant
vres intermittentes contractées au Gabon ont abaissé la résistance du
sujet
el l'ont frappé à son point faible qui, ici, élai
le sont ou soront de grands mathématiciens? Il y aurait là un curieux
sujet
d'enquêtes. En tous cas, voilà de quoi consoler c
e affection est une démence précoce qui évolue surtout chez de jeunes
sujets
, principalement au moment de la puberté. Ceux-ci
à tous les adhérents, afin de permettre la discussion approfondie des
sujets
mis à l'ordre du jour./page> page n="349">
ilhier) un cours libre de Psychologie physiologique et pathologique :
sujet
du cours : L'hypnotisme expérimental et l'hypnoti
hypnotisme expérimental. —Les états profonds de l'hypnose. —Choix des
sujets
réactifs. — Le diagnostic de la suggestibilité. —
. — L'induction psychique. — Action spécifique de la musique chez les
sujets
hypnotisés. Lundi 14 mai. — Etude psychologique
e et la tristesse suggérées.—Action spécifique de la musique chez les
sujets
hypnotisés. — Les maladies de la volonté. — Les a
et inférieur mesure le nombre des suggestions diverses qu'a subies le
sujet
qui en occupe le sommet, et, d'une façon générale
a suggestibilité de Biaise Pascal, à sa puissance de suggestion. Le
sujet
qui occupe le foyer du double triangle peut être
es. Pour les compléter, il faudra étudier en détail la biographie des
sujets
(1) C'est parce qu'en science Biaise Pascal sut
complète, ne seront-ils pas complets, car on ne pourra dénombrer les
sujets
suggestionnés par leurs œuvres. Toutefois plusieu
familles. Je l'ai constaté dans mon Histoire, non seulement entre les
sujets
susdits, mais entre Etienne et Biaise Pascal, ent
s phénomènes dits hypnotiques chez/page> page n="3671"> des
sujets
qui ne sont pas, le moins du monde endormis. Les
beault, qu'il est indispensable de préparer le terrain, de plonger le
sujet
dans un état qui ne comporte ni discussion ni rés
e traitement préventif. Le 30 du même mois, X..., âgé de vingt ans,
sujet
belge, demeurant chez son beau-père, était aussi
ine au-dessus de la moyenne : 37" 1. La respiration se fait bien ; le
sujet
boit facilement, bien qu'il soit étendu à plat. O
ravers lequel avait eu lieu la morsure. Notre confrère objecta que le
sujet
, ignorant, ne devait pas avoir eu connaissance du
r Mathieu, p. 90. Procédé pour produire l'hypnose profonde chez des
sujets
réfractaires, par Albert Charpentier, p. 236. P
tres : Goussy, Déviations de la colonne vertébrale, 1828; Loret, même
sujet
, 1829; Loir, Propositions d'anatomie, dephysioloç
urrente. Quand nos maladies chroniques se rencontrent chez de pareils
sujets
, il n'y a guère lieu d'espérer que leur terminais
pas nous arrêter. § II. — Diagnostic. Occupons-nous maintenant du
sujet
vivant, et cherchons à lui appliquer les données
nt deux lésions entièrement différentes. Cette colonne est celle d'un
sujet
dont les vertèbres n'ont jamais été mala des; c
n'observe jamais de collection ossi-fluente; c'est le fait du premier
sujet
. Chez le second, atteint du mal de Pott, existait
ur produite dans les efforts de redressement, par l'état général du
sujet
, etc., qu'il s'agissait d'un mal vertébral. 2°
lades ; elle diminue seulement. Que trouve-t-on sur le cadavre de ces
sujets
? La partie antérieure des corps vertébraux est pl
lement dans quelques circonstances encore mal connues. On trouve à ce
sujet
des distinctions peu fondées dans les auteurs. De
ique de la colonne vertébrale, et en ayant égard à la constitution du
sujet
. C. Abcès ganglionnaires. — Les abcès dorso-cer
a paralysie, et rarement on rencontre ces deux phénomènes sur le même
sujet
. C'est que les circonstances qui donnent naissanc
motricité volontaire. M. Nélaton dit l'avoir rencontrée chez quelques
sujets
qui étaient paralysés du sentiment et du mouvemen
vant confrère que je viens de citer ne parle que d'un petit nombre de
sujets
sur lesquels il aurait observé les phénomènes réf
possédons encore sur ce point que des connaissances peu étendues. Ces
sujets
sont à l'étude ; on ne s'occupe que depuis peu de
il est probable que l'altération nerveuse était peu profonde chez ce
sujet
. Suivant le siège de la lésion, la paralysie af
est un peu la faute de la constitution : la maladie survient chez des
sujets
trop faibles pour (i) Sulla cifosi paralitica,
'état général. En un mot, on agit ici dans l'unique but de placer les
sujets
ou de les maintenir dans les meilleures condition
L'exercice soulève une question délicate. Faut-il faire marcher les
sujets
atteints de mal vertébral? Le repos a été regardé
vous disais-je, une méthode curative. Baynton a écrit un livre sur ce
sujet
. Il fait remarquer que les malades de Pott étaien
es cas, les moyens mécaniques dans la position horizontale , chez les
sujets
atteints du mal vertébral. Si ces moyens sont emp
entraînent, surtout dans l'enfance, relativement à l'état général des
sujets
. Je puis appuyer ici le jugement que je porte r
e l'épine dorsale, avec ou sans paralysie. « Le plus grand nombre des
sujets
, dit-il, ont guéri sans l'emploi d'exutoires K et
; mais il en est d'autres prenant leur source dans l'état général des
sujets
, dans la douleur vive que cause le foyer. (1) S
le qu'on fait avec un trocart à dimensions égales. La plaie est moins
sujette
à s'enflammer, elle se cicatrise plus vite. Quand
er les clapiers qui pourraient se former, et à soutenir les forces du
sujet
. Abernethy a fait connaître un effet consécutif
ral, j'ai fait une omission que je veux réparer avant d'abandonner ce
sujet
. L'étiologie doit être toujours consultée dans
veilleux résultats du Prone system. o. Avant de passer à un autre
sujet
, je mets sous vos yeux une pièce provenant d'une
e des lésions mécaniques? Les chirurgiens sont divisés d'opinion à ce
sujet
. La plupart d'entre eux refusent d'admettre l'exi
la tête ; cependant elle aurait pu modifier quelque peu l'altitude du
sujet
. On l'a conseillée depuis dans le torticolis symp
d'une attitude vicieuse, et qui plus tard deviennent permanentes; le
sujet
ne peut plus alors rétablir la rectitude du tronc
ement pénible. II. Modifications des attitudes et des mouvements du
sujet
. — Nous allons les indiquer, en faisant passer so
e, la douleur et les modifications de l'attitude et des mouvements du
sujet
; je vous les ai fait connaître par des exemples.
cipital. On peut bien voir plusieurs attaques de synovite sur un même
sujet
; je vous ai cité l'exemple d'un enfant qui a été
rhythmi-que. Ces deux variétés sont quelquefois réunies chez le même
sujet
. Il s'agit de distinguer ces différents cas. J'
e vertébrale sont aussi un moyen de diagnostic. Si vous examinez le
sujet
vivant, vous voyez un muscle contracté d'une mani
avec les suites d'une maladie guérie dans le sein de la mère; il est
sujet
, dans cette période de son existence, à des infle
onquérant de l'Asie. M. Dechambre a écrit un mémoire important sur ce
sujet
. C'est lui qui, le premier, a étudié, au point de
ncienne, et le diagnostic serait alors difficile. Qui nous dit que le
sujet
représenté par ce buste n'ait point eu d'affectio
avez, en effet, qu'elles se trouvent fréquemment réunies chez le même
sujet
, et qu'il n'existe pas de moyen de les distinguer
dominance inflammatoire est rare; on peut l'observer surtout chez les
sujets
jeunes, vigoureux et sanguins; elle sera combattu
lette. Nous avons en effet, dans cet hôpital, une salle consacrée aux
sujets
scrofuleux; suivez la marche de leur maladie, et
des faits qui nous serviront de guide au milieu des obscurités de ce
sujet
. Je fondrai dans une description commune les dive
erai surtout sur celles qui sont congénitales. J'aborde l'étude de ce
sujet
en examinant une à une les parties qui concourent
'est une luxation pathologique. Pourquoi pas, en effet ? Le fœtus est
sujet
à des maladies dont le résultat peut être le même
ord la solidité. Les conditions d'équilibre dans la station, chez les
sujets
atteints de pseudarthrose congénitale, ne sont pl
nts de pseudarthrose congénitale, ne sont plus les mêmes que chez les
sujets
sains. Dans la station verticale et à l'état norm
cotyle. Sandifort a représenté sur les deux articulations d'un mêmr
sujet
un bel exemple d'une disposition semblable, qu'il
ns fémorales congénitales; le lecteur comprendra aisément pourquoi.
sujet
adulte, amener la tête du fémur sur la cavité cot
aissance. Vrolick a vu cette cavité considérablement rétrécie chez un
sujet
âgé de 8 ans; elle ne pouvait plus recevoir la tê
que nous rencontrons habituellement dans la pratique. Le bassin des
sujets
atteints de luxation congéniale du fémur présente
tail le tableau des signes de la luxation congénitale du fémur sur le
sujet
vivant. On ne peut lui reprocher que deux erreurs
ement ; il augmente en général d'une manière absolue, à mesure que le
sujet
se développe ; cela tient à ce que, dans l'enfanc
rs manières la diminution de longueur des membres abdominaux chez les
sujets
dont une des hanches se trouve luxée ; d'abord pa
tance (1) Douzième leçon, 3 août 1855. 8. qui les sépare. Si le
sujet
est couché, par exemple, on dispose le bassin de
ique par rapport à la ligne des épines iliaques. Si, au contraire, le
sujet
étant debout, ces différentes parties sont placée
ence osseuse se trouve séparée de la ligne médiane du corps, chez les
sujets
atteints de luxation congéniale, par une distance
arrêt de développement dont les effets se prononcent à mesure que le
sujet
avance en âge ; la circonférence et la longueur d
bien apprécier les attitudes, vous devrez examiner successivement les
sujets
debout et couchés; dans la station verticale, le
même écrit que cette amplitude est plus grande. L'adduction, chez les
sujets
atteints de pseudarthrose, est fort étendue ; ell
nt à l'opinion de Dupuytren. On se figure trop généralement que les
sujets
affectés de luxation congéniale présentent une gr
ule dans le sens latéral et s'abaisse à chaque pas du côté sain ; les
sujets
rejettent le corps du côté opposé ; la hanche d
l'inégalité de hauteur des deux rotules. Nous pouvons étudier sur ce
sujet
les autres caractères de la luxation : le galbe e
sous le rapport du diagnostic. Il faut que vous sachiez que certains
sujets
boitent fort peu. J'ai été consulté dernièrement
(1) J'ai fait passer sous vos yeux, dans la précédente séance, douze
sujets
affectés de luxation, parmi lesquels se trouvaien
t remarqué une plus forte proportion de femmes que d'hommes parmi les
sujets
boiteux dont il avait examiné les articulations d
e l'autre. Examinez alors avec soin l'articulation, l'état général du
sujet
. La déformation du fémur est ordinairement facile
rdinairement facile à reconnaître ; cependant je puis vous citer à ce
sujet
une erreur d'un de nos maîtres, du Dupuytren de M
ontpellier, de Delpech (1). Ce savant professeur décrit chez un jeune
sujet
tous les signes d'une luxation de la hanche, ense
de la luxation, si le commémoratif n'établit pas l'état antérieur du
sujet
. Cette pièce est un exemple de l'obscurité qui en
des cas de réduction obtenue à l'aide d'une extension lente chez des
sujets
affectés de luxation traumatique ancienne ; plus
quel point ces obstacles sont constants, soit par rapport à l'âge des
sujets
, soit par rapport aux variétés individuelles de c
dans un petit nombre de cas seulement, et presque toujours chez des
sujets
très-jeunes, les dimensions de la tête et du coty
l'anatomie pathologique. Voyons ce que nous apprend l'observation des
sujets
vivants. Je vais faire repasser sous vos yeux que
ste sa deuxième erreur, que je vous ai déjà indiquée, que, lorsque le
sujet
affecté de pseudarthrose est couché, pour peu qu'
que je crois avoir été un des premiers à signaler. Voici un premier
sujet
chez lequel la différence de longueur des deux me
ête dans la région ischiatique ; il y a là une amélioration. Sur deux
sujets
que j'ai examinés, je n'ai rien trouvé de semblab
de médecine. Paris, 1839, t. IV, p. 121. et surtout de l'examen des
sujets
prétendus guéris qu'il nous a été donné de voir à
rdinand Martin assure avoir produit de l'amélioration dans l'état des
sujets
qu'il a soumis à un traitement mécanique et à des
n'ai pu constater l'abaissement de la tête du fémur chez ceux de ces
sujets
qu'il a pu me montrer. Que produira l'avenir? J
désir, mais avec prudence. Il faut d'ailleurs examiner avec soin les
sujets
qu'on veut soumettre à des essais de réduction,
avorables au but qu'on se propose. Une dernière recommandation à ce
sujet
: il faut éviter les erreurs d'observation. Si vo
es cas, on peut, avec des moyens mécaniques, amé- liorer l'état des
sujets
, diminuer la claudication, accroître la liberté d
e ce que j'avance elativement à l'utilité des moyens palliatifs. Le
sujet
de cette observation est un garçon de quatorze an
vrait-on de cautères et de moxas l'articulation de la hanche chez des
sujets
affectés de pseudarthrose congénitale; Dupuytren
ît à peu près égal des deux côtés. IXe cas. — Ce jeune homme est un
sujet
des plus intéressants, en ce qu'il offre un exemp
forte douleur qn'il ait ressentie pendant l'opération. Chez quelques
sujets
dociles ou peu sensibles, les doigts suffisent po
it-elle le résultat d'attaques d'épilepsie auxquelles la malade a été
sujette
jusqu'à dix-neuf ans. Le 11 août 1841, je prati
leure à droite, et cette différence devient surtout sensible quand le
sujet
cherche à lire des caractères qu'on tient éloigné
e un pied bot. C'est ce qui arrive dans certaines claudications ; les
sujets
prennent l'habitude de marcher sur la pointe du p
elette du pied. Ainsi, sur ce pied de M. Lacour, qui appartenait à un
sujet
âgé, la tête de l'astragale est déprimée du côté
qu'un pied large, ou quand l'abduction n'est pas trop prononcée. Les
sujets
ont seulement parfois un peu moins de facilité à
, et la station est moins solide qu'à l'état normal, ce qui expose le
sujet
à des entorses, à des chutes, et l'empêche d'acco
ent une disposition différente. Elles proviennent des deux pieds d'un
sujet
âgé. La tête de l'astragale, au lieu de se partag
a suite de semblables altérations, les fonctions locomotrices. Si des
sujets
nés pieds bots marchent avec aisance, même dans l
cal'osités; les articulations s'enflamment souvent et condamnent les
sujets
à une immobilité absolue. On voit même des ulcère
t-picd est dirigé comme dans le varus. Le poids du corps est, chez ce
sujet
, la seule cause du renversement en dehors du calc
voyez un exemple sur ces deux moules qui représentent les jambes d'un
sujet
atteint de spina-bifida. Nous distinguerons tro
é de renversement du pied. Quand ce renversement est considérable, le
sujet
ne marche plus que sur le côté interne du calcané
sur l'astragale ; le talon est presque continuellement soulevé ; les
sujets
atteints de cette déviation ne peuvent pos*r le p
t, il n'y a pas paralysie du triceps. Voici trois moules provenant de
sujets
que j'ai connus moi-même; chez aucun d'eux, il n'
eur est en rapport avec la résistance des tissus et la sensibilité du
sujet
; l'indocilité est une conséquence de la douleur.
ou ses faces. Ces dessins, que j'ai fait faire d'après nature sur des
sujets
pieds bots, vous inspireront toute sécurité à cet
411 et suiv.) 46. Cependant il faut tenir compte ici de l'âge du
sujet
et des changements causés par la déviation. La
ole externe à l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien. Si le
sujet
est assez âgé pour comprendre le mouvement qu'on
t. Ier, p. 570, 2e édit. manifeste le long de cette ligne, quand le
sujet
porte fortement le pied dans l'adduction. Une dép
chaud, plus ou moins promptement après la section; plus lard chez les
sujets
paralytiques, à circulation faible. Dans les cas
ve de manière à accomplir le mécanisme de la progression, pour que le
sujet
retire de grands avantages de sa nouvelle conform
vous montrant d'abord une série de moules en plâtre pris, sur chaque
sujet
, avant et après le traitement; puis un certain no
marquables par leur origine : ils représentent les jambes de l'unique
sujet
opéré par Delpech, en 1816. Ce malade avait alors
it dessiner le pied trois ans après l'opération. J'ai pu retrouver le
sujet
vingt ans après, et c'est le moule fait à cette é
'exfolialion qui vint retarder la guérison. J'ai pu constater, sur le
sujet
, que la flexion du pied ne dépassait pas l'angle
jambe gauche, qui est normal. Voici des moules de plusieurs jeunes
sujets
atteints de varus compliqué d'équinisme, comme à
faut distinguer du rachitisme. — Nous devons, en effet, limiter notre
sujet
. La déviation latérale du rachis peut dépendre du
en distinguer ces deux cas. La consolidation des fractures chez les
sujets
rachitiques est subordonnée à la période, au degr
si les membres affectés de rachitisme présentent-ils, sur beaucoup de
sujets
, des dimensions en rapport avec l'âge auquel cett
s membraneuses, qui sont plus larges proportionnellement que dans les
sujets
sains. On a depuis longtemps signalé la largeur
rtures et les points transparents qui se voient sur ce crâne de jeune
sujet
. L'état d'imperfection des os du crâne peut all
le, en prenant l'une de ces colonnes, de dire qu'elle appartient à un
sujet
rachi-tique, si on ne voit pas en même temps les
en même temps les membres. Voici une colonne rachidienne d'un jeune
sujet
de deux ans et quatre mois, qui présente un cas f
congénital éburné, que vous avez vus dans la précédente séance, et le
sujet
dessiné de Chaussier, offraient des déformations
deux d'arrière en avant, vers le milieu de la fosse sous-épineuse. Le
sujet
était âgé, atteint de déviation vertébrale et pro
fle presque bronchique qui pourrait faire croire à une pneumonie. Les
sujets
sont exposés à de fréquentes affections de l'appa
espiratoire, maladies toujours graves, parce qu'elles portent sur des
sujets
débiles; les petits enfants rachitiques de cet hô
ères du rachitisme ; aussi les hypothèses n'ont-elles pas manqué à ce
sujet
. Il y a juste cent ans, le médecin Navier (2) s
s articulaires, la brièveté des membres, sont plus prononcés chez les
sujets
un peu plus âgés. IL Signes physiologiques. — L
nus. Pour moi, je ne pourrais me décider à ces opérations que chez un
sujet
assez âgé pour jouir de la plénitude de sa volont
IVe cas. — Voici un cas bien différent des précédents, par l'âge du
sujet
et par l'étendue de la déformation. C'est une fdl
que produit le mal vertébral. J'ajouterai donc ici peu de chose à ce
sujet
. Le siège spécial de cette cyphose rachitique e
et disparaître avec le retour des forces, le développement naturel du
sujet
, le changement de ses habitudes. Mais si les caus
oyens de redressement. Je ferai une dernière remarque générale à ce
sujet
. Ne vous (1) Gymnastique rationnelle. Genève, 1
oraire d'abord, devient plus tard permanente, surtout chez les jeunes
sujets
; il y a dans ce cas raccourcissement des ligament
core la concavité lombaire. Cette concavité est telle que, lorsque le
sujet
est couché sur le dos, un grand vide existe entre
ue la lordose, à un degré considérable, nuit à la démarche et rend le
sujet
peu agile dans ses mouvements. Ce vice de confo
préviendra cet inconvénient en observant attentivement l'attitude du
sujet
pendant les exercices, en examinant la région pos
ne bonne hygiène, par les médicaments appropriés à l'état général des
sujets
, par les forces de la nature et le développement
os, malgré la lordose qu'il produit, est manifestement étranger à mon
sujet
. (1) Houel, Manuel d'anatomiepathologique. Pari
ouvements bien dirigés, lorsqu'il s'agit de corriger, chez les jeunes
sujets
, les défauts de conformation du squelette. L'in
is je ne désespère pas de le voir encore se résorber. Pour revenir au
sujet
qui nous occupe, vous voyez que cet enfant présen
ur Duchenne (de Boulogne) la communication de faits intéressants à ce
sujet
. Je vous parlerai bientôt peut-être des paralys
es en général ; je me bornerai pour le moment à ce qui a trait à nion
sujet
. Les muscles abdominaux, principaux fléchisseur
tion essentielle à remplir dans cette forme de lordose. Ne laisser le
sujet
debout que le moins possible, le soutenir au beso
'autre lombo-sacré. On comprend d'ailleurs que, suivant la volonté du
sujet
ou d'autres circonstances, la flexion peut être p
res et de l'articulation lombo-sacrée. Il est facile, chez les jeunes
sujets
, de faire prédominer à volonté la courbure inféri
vient la plus basse ; son abaissement est même nécessaire pour que le
sujet
puisse prendre cette attitude. Les deux flancs pr
ce qu'elles constituent un fait anormal indépendant de la volonté du
sujet
. Nous retrouvons ici à peu près les mêmes disti
flexions latérales est de céder instantanément à de légers efforts du
sujet
ou d'une personne étrangère, sans laisser de conf
e longue et peu profonde, dont la concavité est du côté malade, si le
sujet
a peu de vigueur, ou du côté sain, comme l'a déjà
'une scoliose sympto-niatique d'une lésion des membres inférieurs. Le
sujet
se tient sur la pointe du pied pour compenser le
ou moins sensible et plus ou moins étendue, très-marquée en quelques
sujets
..., pendant qu'en d'autres il n'y avait qu'une so
de l'aorte sur les vertèbres; mais il dit avoir rencontré beaucoup de
sujets
chez qui elle n'existait pas, et se demande si el
abatier, malgré ce qu'elles laissent encore à désirer. J'ai repris ce
sujet
il y a une vingtaine d'années et, dans un travail
s à la dépression, bien que cela arrive à peu près constamment si les
sujets
vivent assez longtemps. La dépression se voit don
ur un gaucher (7). J'ai moi-même observé des cas semblables, mais les
sujets
n'étaient pas tous gauchers. Quand il existe pl
encore décrites , que je sache, et qui sont d'un grand intérêt poulie
sujet
dont nous nous occupons. Toutes les courbures q
s ou moins et présente moins d'épaisseur que le côté opposé. Chez les
sujets
un peu jeunes, et dans les courbures légères, les
ente ; aussi la courbure aortique n'existe-t-elle pas chez les jeunes
sujets
, où elle n'a pas encore eu le temps de se dévelop
ngtemps connue, ne comporte qu'un petit nombre d'exceptions. Certains
sujets
à muscles débiles ne parviennent pas à relever le
. Vous voyez, sur ces deux séries de côtes droites et gauches du même
sujet
, quelles remarquables différences s'établissent e
ent Shaw (U) a posé en principe que le bassin n'était vicié, chez les
sujets
gibbeux, que lorsqu'ils présentaient des courbure
einture osseuse formée par les trois os offre assez souvent, chez les
sujets
âgés, un resserrement antéro-postérieur du détroi
é régulier n'est abaissé d'un côté que dans la claudication, ou si le
sujet
a pris l'habitude de se hancher. J'ai vu aussi le
e des épines iliaques, de sorte que, dans la progression en avant, le
sujet
semble marcher de côté; mais cette apparence est
coliotique encore frais et pourvu de tous ses muscles, provenant d'un
sujet
d'environ vingt-cinq ans, non rachitique, je cher
auteurs ont attribué divers effets à leur compression chez les jeunes
sujets
. Les trous intervertébraux peuvent en effet deven
e aux nerfs. b. Poumons (1).—Ce que je vous ai dit du squelette des
sujets
gibbeux vous a déjà fait pressentir que, dans les
rs le cou dans les grands refoulements du diaphragme. J'ai vu, sur un
sujet
vivant, le demi-thorax gauche tellement resserré
rtie graisseux ; mais cet état ne m'a pas paru plus fréquent chez les
sujets
gibbeux que chez les autres. Les courbures dors
que suffisant pour se loger. C'est ce qui était arrivé chez les deux
sujets
dont je vous présente les dessins. L'un d'eux éta
dirigeant à droite, près de son passage derrière le foie (3). Deux
sujets
sur quatorze offrent une disposition de l'aorte a
tion déjà observée par M. Cruveilhier, qui toutefois ne dit pas si le
sujet
était bien ou mal conformé (1). f. Foie. — Le f
on, qui exige un grand nombre d'observations non-seu-» lement sur des
sujets
sains, mais encore sur des bossus, a été » ajouté
1), de ces anomalies et de celle du rachis, chez un certain nombre de
sujets
gibbeux, indique leur origine commune. Les asym
de la scarlatine, de la fièvre typhoïde. Cependant tous les jeunes
sujets
débiles ne deviennent pas gib-beux. Pourquoi cela
héréditaire et quelquefois favorisée par les attitudes habituelles du
sujet
. J'ai considéré, dans cet exposé, comme parfait
ultiples. Telle est la scoliose consécutive à la claudication chez un
sujet
rachitique ou placé sous l'empire d'une dispositi
xtérieurs de la difformité sont encore exagérés par les attitudes des
sujets
. Celles-ci sont un effet de la déviation, et il i
ns d'une grande partie du thorax, complètement défiguré. Jusque-là le
sujet
pouvait passer pour avoir seulement une épaule fo
ar les proportions et la forme des gibbosités. L'examen de nombreux
sujets
, gibbeux à divers degrés, va nous servir à complé
achitique à gauche. Deuxième période. Ve cas. — Garçon de sept ans,
sujet
rachitique. Il a eu une luxation de l'épaule gauc
. Troisième degré. Scoliose due à l'influence de plusieurs cause?. Le
sujet
a été atteint de rachitisme dans son enfance ; la
ents sur les courbures (1). — Nous n'avons encore considéré clans les
sujets
gibbeux que les formes extérieures sous lesquelle
n verticale, et vice versa, est surtout très-prononcé chez les jeunes
sujets
. On voit ainsi, dans certains cas, la même déviat
olontaires; elles résultent des tendances naturelles du rachis, et le
sujet
s'y abandonne parce qu'il les trouve plus commode
ttre en brèche un pareil système. Il suffit de changer la position du
sujet
, de le placer dans des conditions telles que son
éloignerez par trop leurs points d'attache, comme ils le font chez un
sujet
bien conformé; mais ils se tendront des deux côté
plètement déduite des effets ordinaires de cette contraction chez les
sujets
bien conformés. Je vous ai fait voir les formes d
ons latérales physiologiques. Or ces formes sont tout autres chez les
sujets
atteints de scoliose, déjà infléchis latéralement
elle n'introduit pas assez d'air pour les besoins de l'organisme. Les
sujets
y suppléent par une plus grande fréquence des ins
e. L'état habituel de la respiration et de la circulation, chez les
sujets
gibbeux, donne une physionomie spéciale à leurs a
à l'hémoptysie. Je n'ai pas vu toutefois que les bossus fussent plus
sujets
aux tubercules pulmonaires. La percussion, l'au
ions fonctionnelles de la moelle épinière ou même du cerveau chez les
sujets
gibbeux, d'engourdissements, de paralysies, de co
, une plus grande proportion d'intelligences supérieures que chez les
sujets
bien conformés. Je conviens qu'il y a eu quelques
u'on a eu occasion de pratiquer l'autopsie. Je pense toutefois que ce
sujet
réclamerait des recherches nouvelles. Une tradi
ffet, de singuliers développements des organes génitaux chez quelques
sujets
réduits par une difformité congéniale à un torse
eux effets dépendants d'une même cause, d'un état constitutionnel des
sujets
. Dugès et Delpech (1) ont déjà fait justice d'u
ité antérieure une figure triangulaire. De même que chez les autres
sujets
que nous avons observés, la respiration est court
re, ou si elle est due à une cause pathologique. Sans doute, quand le
sujet
se tient, sans cause connue, sur la pointe d'un p
bassin reste droit ou qu'un des genoux soit légèrement fléchi, si le
sujet
manifeste de la douleur et se contracte plus viol
érale très-sensible, est un commencement de déformation chez un jeune
sujet
: c'est une disposition normale chez un adulte.
s internes graves. Le médecin qui aura observé l'éiat fonctionnel des
sujets
gibbeux ne le confondra pas avec la phthisie pulm
ion des malades présentés, pour ne pas avoir besoin de revenir sur ce
sujet
. IV. Traitement de la scoliose. La scoliose e
es individus menacés de gibbosité. Vous entendrez plus d'une fois les
sujets
scoliotiques déplorer la confiance dans le temps
n de la scoliose, n'en favorisent pas moins le développement chez les
sujets
prédisposés. Deux écueils sont à éviter dans ce
e pendant une partie des heures de repos; on la met en usage chez les
sujets
débiles, quand on a de fortes raisons de craindre
s, justes au corps, ou au contraire amples et lâches, chez les jeunes
sujets
disposés à la courbure latérale de l'épine? Les m
èbres et de leurs ligaments; mais, d'un autre côté, l'observation des
sujets
vivants nous a montré que l'inclinaison des vertè
a. Moyens dynamiques. — La constitution généralement peu robuste des
sujets
atteints de courbure de l'épine, la part de la dé
leux dans les établissements qui réunissent un grand nombre de jeunes
sujets
scolioti-ques, et réciproquement, vous trouverez
horizontal, on élève la tête au moyen d'un coussin, surtout chez les
sujets
prédisposés aux congestions vers les parties supé
e ventre ou sur le côté. Dans les courbures uniques ou dominantes, le
sujet
pourra se coucher sur le côté répondant à la conc
e de Morgagni, manquait à Hippocrate et à Galien , des dissections de
sujets
scoliotiques. Est-ce que la déviation latérale du
ation du corps, peuvent, en prenant un point d'appui sur le bassin du
sujet
lui-même, soulager le rachis d'une partie du (1
perche horizontale, aussi longtemps qu'ils peuvent le supporter, les
sujets
atteints de.courbure de l'épine : c'est là le pri
enfant, et une autre atteinte de courbure rachitique, sont les seuls
sujets
scoliotiques que nous ayons trouvés parmi nos scr
eau, de velours. Le volume des supports sera proportionné à l'âge des
sujets
: trop gros, ils ne (1) Treizième leçon, 14 aoû
sses favorables au redressement des courbures, pendant les efforts du
sujet
pour en atteindre le haut. On comprend que rien n
ements passifs se combinent quelquefois avec les mouvements actifs du
sujet
. C'est ce qui a lieu, par exemple, dans le balanc
es les courbures, ce qui n'était pas aussi facile à obtenir quand les
sujets
étaient debout. Si la déviation est forte, à sa
e m'en sers que pour retenir sur le dos les enfants indociles, ou les
sujets
de tout âge pendant leur sommeil. On les dispose
guille double, qui permet de constater les plus grands efforts que le
sujet
a eus à suppor ter pendant une période de temps
urs subordonnée au degré de la déviation, ainsi qu'à la tolérance des
sujets
pour cette position. On habitue le malade par d
ement que par les extensions parallèles. Nous parvenons, sur certains
sujets
, à renverser ainsi la courbure des apophyses épin
ent de l'âge, de l'ancienneté de la déviation, etc. Chez les jeunes
sujets
, ces efforts perpendiculaires à l'axe du corps aj
ou moins larges, plus ou moins bombées ou excavées, suivant l'âge des
sujets
, la forme de la partie et son degré de sensibilit
ur du sein chez les filles. On n'applique cette bande que lorsque les
sujets
sont habi lues à la pression des pelotes produi
horax, sans détacher les pieds du sol ou le bassin du siège, quand le
sujet
est assis. Il en résulte un léger redressement; l
up plus désavantageusement contre l'action de la pesanteur. Sur les
sujets
souples , sur cette enfant, par exemple, on peut,
iques, quoique ayant un point d'appui hors du corps, accompagnent les
sujets
dans la progression. Les lisières, les chariots q
ces supports une hauteur convenable et non exagérée, en apprenant aux
sujets
à se souleyer sur les poignets, on évite de donne
, de proportionner leur force et leur poids à l'âge et à la force des
sujets
. Voici deux échantillons de ce que peut produire
peu près sans effet dans la position assise, et l'appareil est encore
sujet
à se déranger. Ces points d'appui pris sur le mem
émie de médecine, où se trouvent un ilfe-moire de M. Malgaigne sur ce
sujet
, un Rapport de. M. Velpeau sur ce mémoire, et la
s artificiels. L'usage des corsets est généralement indispensable aux
sujets
gib-beux des deux sexes. Un repos horizontal, pro
.:.......• • ib- IL Modification des attitudes et des mouvements du
sujet
. ... 80 III. Déformation......................
guide précieux pour les recherches que nous avons entreprises à ce
sujet
, et dans leur ensemble ont préparé le terrain à
si une main étrangère s'oppose au mou- vement de la main droite, le
sujet
en expérience sent bientôt des mouve- ments dan
ater. » Damsch a rapporté deux cas de mouvements associés, chez des
sujets
dont la motilité était intacte. Kônig (Daldor
elte amélio- ration est aussi en grande partie fonction de l'âge du
sujet
. Chez les enfants et chez les adultes dans la f
bservation attribuer la permanence de l'impotence à l'âge avancé du
sujet
, frappé à l'âge de 74 ans. B. Dégénérescences s
alement des fibres de projection, grâce aussi à la longue survie du
sujet
, on ne voit,pas de sclérose névro- glique sur l
cette dystrophie et cer- taines particularités relevées chez notre
sujet
nous engagent à faire con- naître l'histoire de
ainsi que l'oedème, qu'au-dessous du genou. f Examen. - (PI. IX) Le
sujet
est un vieillard, petit, bien portant pour son
position horizontale lait disparaître ce symptôme en une heure. Le
sujet
se plaint aussi d'une sensation de froid fréquent
tiers inférieur, une petite cica- trice pigmentée, déprimée, que le
sujet
attribue à un « clou » qu'il eut l'an dernier.
nes pathologiques ; il n'y a ni sucre ni albumine dans les urines, le
sujet
accuse de la polyurie nocturne. L'examen du s
ique au premier chef, puisqu'il dure. comme 72 COURTELLEMONT le
sujet
qui Je porte, depuis 83 ans ; il a été remarquabl
s trouvons en ef- fet 28 hommes contre 39 femmes sur un total de 67
sujets
). Au point de vue clinique, nous relevons les p
rtat-Jacob insistent sur l'existence de ces ca- ractères chez leurs
sujets
. On peut cependant constater dans cette mala- d
nsi ; mais cet accroissement vespéral est plus marqué depuis que le
sujet
a atteint t'age de la vieillesse. Meige, TIT01'
delà pesanteur. Cette explication s'applique d'autant mieux à notre
sujet
que nous trou- vons chez lui des conditions d'o
qui s'accompagnent de douleurs ou de paresthésies continuelles. Le
sujet
d'Etienne accusait de vives souffrances dans son
pidement de marcher. Nous insisterons surtout sur ce fait que notre
sujet
n'est réellement gêné par ses symptômes fonctio
la grande majorité des cas. On l'a trouvée abaissée chez plusieurs
sujets
(Prothon, obs. I de Rapin, deux observations de
ulement. Chez la nôtre, elle est permanente. Le gonflement de notre
sujet
porte en deux points, au-dessous du ge- nou et
analogie qui existe entre quelques-uns des symptômes anormaux de ce
sujet
et ceux d'une autre variété d'oedème nerveux, q
les deux cas, oedème dur, chaud, indolore dans le décubitus dorsal,
sujet
à des poussées de douleur et de rougeur et de g
e ses boutons, de ses colifichets. Une chose encore à considérer au
sujet
des ornements symboliques, c'est le temps de pe
r la nature ; il ne cherchait pas, il n'avait même aucune idée à ce
sujet
. Un malade comme celui qu'a décrit d'Or- mea (2
figure 1. Du reste, j'ai choisi,autant qu'il m'a été possible, des
sujets
malades de forme pure et c'est à celle-ci, en gén
rnement symbolique; quel procédé les faits nous présentent-ils a ce
sujet
? On dirait que l'agitation du mania- que, la h
ntifiques n'avait pas prévalu. D'un autre côté, en revenant à notre
sujet
, j'ai vu le dément des figures 14 et 16 changer
'une certaine façon de costume étrange, n'est jamais le propre d'un
sujet
ma- il) 111EIIKLIN, citato in E. Kraepelin, Psy
talement différent, comme cela arrivait à quelques époques chez les
sujets
des figures 2, 3, 7, 9, 10. En af- firmant que
e exactement les aptitudes psychiques spécifiques d'une infinité de
sujets
, avant même que la mala- de se déclare; déduire
ecueillies pour la formation de cet ornement, ne provienne pas d'un
sujet
maniaque. Et vice versa, facilement le maniaque p
deux degrés de manie est scolastique ; et qu'il est possible qu'un
sujet
qui commence une période de mal avec un peu de
ent un costume grotesque. Je dois faire observer quelque chose à ce
sujet
. La laideur de l'ornement est en rapport avec b
égularité de l'oeuvre est une chose beaucoup plus fréquente dans le
sujet
dément que dans le maniaque. 9° Le fatras, quan
provient aussi, en partie, de ce que l'on a examiné uniquement des
sujets
vivants, depuis que Pierre Marie a déterminé, e
crâne, une exploration exacte et détaillée est im- possible sur un
sujet
vivant ; l'examen radiographique même, auquel d
est aussi représentée la fissure des arcs vertébraux dorsaux du même
sujet
). Masson et Cie, Éditeurs Phototypie Dorthaud
adultes qui ont été mensurés jusqu'à ce jour (9) est 87,3. Chez les
sujets
vivants, la brachycéphalie est aussi la régie ; n
ait très enfoncée. On peut aisément reconnaître ces caractères sur le
sujet
vivant ; j'ai plusieurs fois observé que l'apop
) de la lacune, et j'ai pu sentir une formation analogue chez 3 des
sujets
vivants. En somme, j'ai pu vérifier l'existence
du crâne. Dans les cas que j'ai étudiés personnellement (crânes et
sujets
vi- vants), elle ne faisait jamais défaut. Mo
éanmoins j'ai toujours trouvé la région astérique enfoncée chez mes
sujets
vivants et, dans deux cas, j'ai cru sentir de pet
al. Les mensurations directes de la largeur bimastoïdienne chez les
sujets
vivants et des différentes dimensions trans- ve
à 66 (1). Il est bien évident que l'on ne saurait constater sur les
sujets
vivants la plupart des anomalies de la base du
dysostosiques une certaine ressemblance avec des oiseaux un de mes
sujets
avait reçu dans son enfance le surnom d' « oisi
toïde (deux caractères anatomiques faciles à observer aussi sur les
sujets
vivants) in- diquent que ces parties du crâne n
le crâne figuré planche XVI et qu'on rencontre fréquemment chez les
sujets
vivants, du moins chez les adultes, où le prognat
it accord avec mes observations antérieures et postérieures sur des
sujets
dysostosiques vivants. J'ai pu sentir, dans cer
.) assez voisine de la moyenne. L'arcade zygomatique était chez les
sujets
vivants (à une seule exception près) très peu d
rvée ne semble pas être un signe absolument constant. Chez tous mes
sujets
vivants, il en était ainsi ; mais 3 seule- ment
-être au fait que la majorité des crânes examinés appartenait à des
sujets
d'un âge avancé, ayant perdu presque toutes leu
la dysostose. Certains auteurs prétendent avoir observé chez des
sujets
dysostosiques « une fente, due à la non-soudure
latoschisis), et si, à vrai dire, j'ai quelquefois observé chez des
sujets
vivants un sillon assez profond sur la ligne mé
seconde (et à la troisième ? ) dentition. Dans plusieurs crânes de
sujets
dysostosiques très âgés, on a trouvé des dents,
est défectueux, mais je n'ai observé ni dans les crânes, ni sur les
sujets
vivants, de dents d'Hutchinson caractérisées. N
ériostaux sont éteints. Mêmes conclusions que pour le bras droit au
sujet
des troubles de la sensibilité. Les membres inf
Voici maintenant ce qu'on trouve dans la bibliographie médicale au
sujet
des lésions médullaires dans la polynévrite tuber
isinant celui dont le tendon a été percuté. Voilà ce qu'il dit à ce
sujet
(1) : « Par les expériences sur les animaux, où
és par le même nerf, mais sur des mécanismes musculaires ayant pour
sujet
la production de tel ou tel mouvement. » Il s'e
musculaires correspondant ci des mécanismes musculaires, ayant pour
sujet
la production de tel ou tel mouvement coordonné
cteur B. PAILHAS d'Albi. Dans les deux cas ici relatés, s'agit de
sujets
cultivés et pouvant, non seulement donner à cer
non, ce qui me donne l'immense avantage de pouvoir traiter tous les
sujets
, même les plus graves, sur un ton un peu moins
bien, une fois embelli, amplifié, détaillé, complété, devenir un vrai
sujet
de tableau, nous l'intitulerions simplement : M
e rien omettre de tout ce qui concerne la verve artistique de notre
sujet
, il eût été intéressant de montrer, à côté des cr
hiques inter- mittents. ' Si malgré la qualité intellectuelle des
sujets
et la relative valeur de leurs productions, ell
r aucune cause à l'oedème. Emily, comme son père et sa soeur, a été
sujette
à ce que nous avons appelé les « attaques aiguë
ant, est normal jusqu'ici en ce qui regarde ses jambes, mais il est
sujet
à des attaques d'épilepsie. Les enfants de Bess
s aiguës » auxquelles nombre des malades décrits ci- dessus ont été
sujets
. Il semble vraisemblable que la maladie de Raynau
ns propres. Il est noter que, en dehors des « attaques aiguës » nos
sujets
avaient un oedème des jam- bes absolument indol
la maladie dont certains membres de la famille ont été atteints (13
sujets
sur 42 personnes en 5 générations), son carac-
ie de Milroy. L'affection frappe aussi bien lessujets mâles que les
sujets
femelles et elle n'est pas par elle-même nuisib
stique est complète- ment aboli, si l'on met dans la main droite du
sujet
des objets bien connus de lui tels que sou, can
eléo-proléïde). 206 G LAIGXEL-LAVASTUNE E La thyréoglobuline des
sujets
qui ont absorbé de l'iode présente une teneur e
t symptômes fréquents,qu'ils soient isolés ou rangés en séries. Ces
sujets
présentent donc souvent ce que L. Lévi et Il. d
grande lassitudeaveccrain- tes, angoisses, phobies portant sur les
sujets
les plus divers. Le quatrième groupe comprend d
plégie hystérique, avec la méthode des empreintes, dit : lorsque le
sujet
se met en marche (supposant qu'il s'agit d'hémi
et en se penchant en avant que, à l'aide. des muscles du tronc, le
sujet
parviendra à faire progresser son membre inerte
ée. Les chirurgiens au contraire ont mieux fixé leur attention à ce
sujet
. Ainsi, M. Duplay, dans ses Leçons de clinique
alade l'affection est très évidente. Les cas choréiformes sont plus
sujets
à induire en erreur. Dans quel- ques-uns, il y
que toute une série de maladies organiques impriment à la marche de
sujets
qui en sont atteints des modifications telles q
tic, les affections hystériques au contraire M'MMjo ? 'MH6M< aux
sujets
qui en sont at- teints aucune démarche spéciale
Pasdegoitre ni d'exophtalmie.Végétations adénoïdiennesdupharynx. Ce
sujet
, d'une intelligence assez vive, habite une ville
du côté opposé, etc. Nous avons recherché chez un certain nombre de
sujets
l'existence d'un réflexe controlatéral plantair
t. V, p. 996. 272 KLIPPEL ET WEIL plantaire controlatéral, que 57
sujets
, actuellement en traitement dans le service (27
uvons entrer dans ces discussions qui nous mèneraient loin de notre
sujet
: bornons-nous à admettre que le réflexe plantair
e travail, les propositions suivantes : Chez un certain nombre de
sujets
indemnes d'affection avérée du sys- tème nerveu
eils des deux pieds, mouvements réflexes, et non de défense. Or ces
sujets
sont presque tous des tuberculeux avancés, c'es
vue étiologique sur l'exis- tence de bacillose pulmonaire chez mon
sujet
, on sait que, pour Poncet, la spondylose rhizom
n regarde attentivement les figures reproduites ici, on voit que le
sujet
représenté possède tous les attributs anthropolog
tains êtres avant le tombeau. On peut se demander pourquoi un tel
sujet
a été infibulé, alors qu'il est un véritable eu
beaucoup de données nouvelles ont été acquises à la science sur ce
sujet
, surtout grâce aux travaux de l'Ecole française q
tie du tableau le plus pur de l'infantilisme de Lorain. Un de mes
sujets
offre enfin un intérêt tout spécial, car il nous
rustes de la maladie familiale. Notre 3e observation a trait à un
sujet
cliniquement beaucoup moins intéressant et dont
cilement et se montre toute nue sans aucune gêne. Interrogée sur ce
sujet
, elle affirme qu'elle ne se déshabillerait que
DU SQUELETTE comparativement chez les trois malades qui onl fait le
sujet
des observations précédentes (1). Marguerite
isible du tout chez Adrienne ; à peine visible chez notre troisième
sujet
de 22 ans; très visible chez la soeur aînée nor
iographie de l'infirmière de 19 ans. ' La main de notre troisième
sujet
(PI. LV),le jeune homme de 22 ans,présenle à pe
onc. Pas de persistance du thymus. L'examen objectif de nos trois
sujets
dont nous avons voulu signaler tou- tes les par
probable des causes déterminantes delà maladie chez les différents
sujets
. Dans ce but nous ne ferons que tracer très rap
'un appareil à glisse- ment de Du Bois Reymond. On sait qu'avec des
sujets
normaux la contraction tétanique dure longtemps
é. Rien de remarquable quant à la mère, aux frères et aux soeurs du
sujet
. Antécédents personnels. L'anamnèse reculée est
lier. Les acromégaliques, outre qu'asthéniques, paraissent être des
sujets
en proie à une intoxication qui se manifeste pa
t leur sécrétion, au moins aux premiers temps de leur réaction, est
sujette
à des altérations par rapporta la qualité plus en
es articulations dans un cas typique d'os- téoarthropatllie chez un
sujet
atteint d'acromégalie,décrit par Beduschi (1).
tique. C'était d'autant plus admissible que dans un le cas, chez un
sujet
se maintenant en état satisfaisant malgré que la
rare et remarquable d'autant plus qu'ici il n'est pas question d'un
sujet
faible et (1) Fortschrt. auf. d. Geb. d. R. stm
asc. IV, 1907. ENCORE SUR L'ACROMKGAUE 339 cachectique, mais d'un
sujet
acromégalique depuis vingt ans, qui conti- nue
e appliqué à l'acro- mégalie a prouvé que l'énorme développement du
sujet
peut être en partie causé par l'accroissement d
2, 37 de Mg 0. L'étude des échanges de 6 jours, répétée sur le même
sujet
à deux ans d'intervalle, donna : un déficit mod
échanges que les malades ont un besoin de chaux plus grand que les
sujets
sains, et qu'ils ont par conséquent un plus grand
ient,il a passé au défaut opposé,en ne donnant 28 cal. par kg. à un
sujet
jeune et de plus atteint d'acromégalie, maladie d
s vers 13 ans. Mais avant cette époque et depuis l'âge de 3 ans, le
sujet
présentait des troubles de la vue progressifs don
600. 358 PIERRE MERLE une photographie d'un crâne typique chez un
sujet
dont l'histoire clinique n'a pu être reconstitu
spéciale des convulsions. Depuis la première crise, la malade fut
sujette
aux maux de tête, surtout la nuit ; elle ne peu
tificiels ; cependant il sera prudent de n'émettre une opinion à ce
sujet
que sur la base d'une expérience plus élendue.
longtemps avant son décès fournira peut- être des indications à ce
sujet
. Enfin M. Redlich n'est pas partisan de la théo
EFÈVRE de Bruxelles. La pathogénie des névroses est décidément un
sujet
qui me tient au coeur. En janvier 1904, les Arc
même périodique. Je me propose de reprendre encore une fois le même
sujet
, en le traitant non plus au point de vue physio
et la physiologie et, en donnant plus d'ampleur et de profondeur au
sujet
,elles facilitent la compréhension des déduction
s et sans faiblesse, ils sont logiques et naturels. Nous sommes les
sujets
et parfois les victimes des forces naturelles don
automatiquement il toutes les autres. Quand on place les bras d'un
sujet
hypnotisé dans l'attitude de l'adoration, les jam
ctes et si rigoureuses. Faisons simplement remarquer que chez notre
sujet
, les deux mains et les deux pieds sont tous qua
de plus, faible d'esprit. Le quatrième est celui de Pierre X......,
sujet
de l'observation ci-dessus. Il est vrai que Pie
lle, qui se mani- feste, avec ou sans cause occasionnelle, chez des
sujets
originairement et nettement dégénérés, constitu
rite, en dehors des intéressantes indi- cations déjà fournies à son
sujet
par divers auteurs, une brève description indiv
1 S La santé générale est parfaite ; l'intelligence est normale, le
sujet
, non seu- lement écrit, mais dessine assez bien
mécanique même faible agit avec une grande (1) Roherts a observé un
sujet
atteint d'absence congénitale du cubitus et des d
ir être bien peu efficace. Il n'en est pas toujours ainsi. Chez des
sujets
plus jeunes, surtout quand l'absence de radius
la masse [de l'individu que sur un appareil spécial : en un mot des
sujets
atteints d'une juvénilité persistante qui retarde
ont décrit des cas d'infantilisme par malaria chronique ; chez ces
sujets
aussi on est frappé par cette harmonie entre le
du ventre déformé par la spléno-hépatomégalie (Ferranini). Chez ces
sujets
l'infantilisme mental est moins grave. Lancer e
décrits par Lombroso,Ceni, Agostini ; ce dernier a observé chez ses
sujets
des symptômes dysthyroï- diens assez nets, symp
atique par lésion congénitale du pancréas, et 1l101'lat a étudié un
sujet
chez lequel l'infan- tilisme était d'origine su
aussi l'ossification des cartilages épiphysaires se ferait chez ses
sujets
en temps normal. Les fonctions intellectuelles
je devrai nécessairement comparer le tableau qui est offert par mes
sujets
à celui qu'on observe dans les formes frustes d
s qu'il n'observa que des lésions beaucoup moins apparentes chez un
sujet
qui-cependant réalisait de son vivant le tablea
thyroïde est hypolrophique : tous ces caractères manquent chez nos
sujets
. Tout ce que je viens de dire à propos des deux
sme rachitique qui formerait une entité clinique autonome. Sur ce
sujet
je m'accorde pleinement avec M. De Sanctis et je
articulière. Mais c'est n'examen radiographique du squelette de nos
sujets
que nous devons les observations les plus intér
tions les plus intéressantes. Nous avons vu en effet chez nos trois
sujets
sans exception, quoique à un degré différent, un
en outre remarqué, d'après la lecture des observations de nos trois
sujets
, que l'altération des processus normaux d'ossific
.encore par d'autres lésions non moins importantes. Chez les trois
sujets
en effet on observe partout que les proportions n
ISME DU TYPE LORAIN 433 qui est visible radiographiquement chez les
sujets
normaux (FÜrnrohr) dès la 9` ? ° année au côté
à peine appréciable sur la radiographie de la main de mon troisième
sujet
. Pour conclure, nos trois observations fourniss
que celle d'une lésion thyroïdienne exclusive. Il nous suffira à ce
sujet
, de citer l'intéressante observation de Rose qu
s. \XI ' - 3'J 434. - . ETTORE, LEVI h ,- . r™ » Chez nos trois
sujets
les causes déterminantes du syndrome infantilisme
A L'ÉTUDE DE l'iNFANTILISME DU TYPE LORAIN 435 Chez notre troisième
sujet
la détermination des causes pathogéniques' qui
riminer dans ce cas aucun autre organe, car nous avons vu que notre
sujet
a les poumons, les reins, etc.parfaitement sain
prévalenle des testicules. Nous avons donc établi pour nos trois
sujets
le diagnostic d'infantilisme de Lorain et déter
oyons pas pouvoir accepter aujourd'hui intégralement ses idées à ce
sujet
: nous ne croyons pas que nos cas et les quelques
définition suivante : « l'infantilisme est la persistance, chez un
sujet
déterminé, des caractères somatiques et psychi-
à un'âge beaucoup moins avancé que l'aine réel (quel qu'il soit) du
sujet
en question ),. Si telle est l'essence de l'inf
e l'infantilisme, nous devons nécessairement consi. dérer nos trois
sujets
comme des infantiles vuais,car la disproportion e
mais nous ferons remarquer il 1\1. lIal- iiiagi-aiid que nos trois
sujets
, qui sont donc des [infantiles vrais, n'ont auc
mment bien développé, nous ne voulons dire autre chose que chez nos
sujets
cette glande est visible et palpable et qu'elle
elligence dépose aussi en ce sens, car nous avons constaté chez nos
sujets
une réduction intellectuelle très limitée, telle
caractères existent d'une façon très évidente chez notre troisième
sujet
chez qui justement il y a prévalence d'infantilis
stant entre les différentes glandes à sécrétion in- terne et sur ce
sujet
nous acceptons complètement l'hypothèse de De S
s glandes séminales. L'expérience phy- siologique nous donne sur ce
sujet
vaste et compliqué des résultats non m'oins con
roïdisme chez la femme ; en effet avant la puberté, les femmes sont
sujettes
au myxoedème dans la même proportion que les homm
des fonctions sexuelles le rapport change et les femmes sont alors
sujettes
au myxoedème par rapport aux hommes dans la propo
minante. Nous avons vu ce que lla1'lmann et Basch ont démontré à ce
sujet
à propos de l'ablation expérimentale du thymus.
ose après l'ablation chez les chèvres d'une capsule surrénale. A ce
sujet
j'ai montré dans mon mémoire récent (Levi elStefa
ers de la dysthyroïdie. Je ne puis que m'associer complètement à ce
sujet
aux idées si bien exprimées par M. De Sanctis e
utant de ces cas d'infantilisme chez lesquels, comme chez nos trois
sujets
, même le moindre symptôme de myxoedème fruste m
s il trouve son déterminisme dans les dispositions héréditaires des
sujets
.et surtout dans les maladies constitutionnelles d
que général inférieur à celui qui de- vrait correspondre à l'âge du
sujet
; 2° Retard dans le développement ou développem
et en général tout le développement physique et intellectuel de ces
sujets
sont inférieurs à l'âge effectif du sujet, quel q
e et intellectuel de ces sujets sont inférieurs à l'âge effectif du
sujet
, quel que soit cet cïre. De cette définition dé
éséquilibre évident entre rage et les facultés intellectuelles d'un
sujet
déterminé. En général nous pouvons admettre que
elles tendent à rattacher toute manifestation intellectuelle de ces
sujets
à un type unique. De Sanctis par exemple peint
: infantilisme psychique dans le sens le plus strict du mot. Les
sujets
appartenant à ce groupe sont-des enfants mûrs et
falsifications des souvenirs sont exceptionnelles. Il arrive que le
sujet
avoue lui-même ne pas savoir,qu'il donne des ré
nt le champ ouvert au contrôle et à la correction individuelle. Ces
sujets
présentent en somme les lignes fondamentales d'un
ues, considérés, quantitativement ont des dimensions puériles : les
sujets
de ce groupe ont un psychisme en mi- niature ;
alité infantile, tandis qu'il n'est pas absolument démontré que des
sujets
typiquement infantiles, au point de vue soma- t
errons tout de suite combien il sera difficile de faire rentrer nos
sujets
dans une catégorie bien déterminée et limitée par
quelques caractères psy- chiques qui manquent complètement chez nos
sujets
(je me rapporte sur- tout aux deux soeurs Ser.
ets (je me rapporte sur- tout aux deux soeurs Ser. car le troisième
sujet
se refusa à toute analyse systématique) : ainsi
de nos malades le tableau symptomatique tracé par Gaspero pour les
sujets
de son pre- mier groupe, nous voyons qu'il ne p
groupe, nous voyons qu'il ne peut d'aucune façon s'appliquer à nos
sujets
qui ne présentent aucun symptôme de déficit bien
cile en général dans notre jugement des facultés intellectuelles de
sujets
de ce genre de faire abstraction de l'impression
moins facilement délimitable, qui ne peut être répétée pour chaque
sujet
dé la même façon et dont les résultats ne peuve
ndrome d'infantilisme qui nous est également présenté par nos trois
sujets
. Mais l'ainée des deux soeurs Ser. a présenté,
nes. Bien des erreurs diagnostiques très graves ont été faites à ce
sujet
: j'ai recueilli moi-même il y a deux ans dans
otal. C1ll'schin,q;¡ a décrit deux cas de cette nature ; le premier
sujet
, Max D. 456 ETTORE LEVI de 16 ans n'en parais
d'infantilisme il s'agissait dans son cas : mais la photographie du
sujet
témoigne nettement d'un in- fantilisme de Lorai
pas altérée pendant le développement du syndrome secondaire. Notre
sujet
nous a présenté au contraire deux symptômes qui s
eure s'associe à la méningite séreuse ventriculaire. Chez un de ses
sujets
il observa l'élargissement du crâne etdel'exoph-
is observations nous amène enfin aux conclu- suivantes. Nos trois
sujets
présentent, de par l'état de leur développement s
anti- lisme, et nous croyons que ce nom ne doit pas être refusé aux
sujets
du type Lorain qui peuvent être, dans les cas p
- Cité par Fürnrohr. JOFFROY. - Paralysie générale juvénile chez un
sujet
de 23 ans. Persistance des car- tilages épiphys
e ses pieds. La radiographie des mains m'a été communiquée par le «
sujet
» : elle est la reproduction d'un cliché recueill
n conformé et ayant les dimensions de l'ongle de l'auriculaire d'un
sujet
normal, ne présente pas d'incurvation latérale ;
le des mains, une grande force de résistance et ne peut, lorsque le
sujet
la contracte, être écartée par une traction éne
nisme ; ensuite les désordres physiques sont très mar- qués, car le
sujet
est incomplètement développé, l'essor sexuel s'ar
NTRIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES SPONTANÉES CHEZ LES
SUJETS
HYSTÉRIQUES. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA CL
a SALPÊTRIÈRE T. XXI. PI. LXIX GANGRÈNE CUTANÉE SPONTANÉE CHEZ UN
SUJET
HYSTÉRIQUE (J. Valobra.) Masson & Cie, Éd
à des argu- ments cliniques. 486 VALOBRA 1° Joséphine était un
sujet
hystérique. Pas de doute possible : l'aphonie q
st sans douleur et plus profonde, mais chacun de nous a observé des
sujets
qui présentaient des douleurs et des eschares sup
e la peau se produit-elle donc avec une certaine fréquence chez les
sujets
hystériques ? Puisque « ces cas ne courent pas
Cette péricardite urémique est caractérisée par l'état urémique du
sujet
, par le fait que ces frottements sont passagers
ais toujours associée à une autre maladie. Si au contraire, chez un
sujet
urémique on voit surgir une péricardite aiguë,
s d'une péricardite urémique, mais plutôt d'une péricardite chez un
sujet
urémique. On discute encore sur la pathogénie d
, mais d'une affection secondaire, dépendante de l'état urémique du
sujet
. Encore un exemple : nombre de sujets basedowie
pendante de l'état urémique du sujet. Encore un exemple : nombre de
sujets
basedowiens sont atteints d'une diarrhée rebell
basedowienne » ; et nous posons ce diagnostic parfois même lorsque le
sujet
est atteint d'une forme fruste de goitre exopht
d'une forme fruste de goitre exophtalmique. Si, au contraire, chez un
sujet
basedowien nous observons de la diarrhée qui s'
indépendante de toute émotion, nous parlons d'une diarrhée chez un
sujet
basedo- wien. ' 490 ' VALOBRA - d'investiga
s rien, elle est guérie ? , Avant d'arriver à une conclusion à ce
sujet
, je crois nécessaire d'ana- lyser un peu les fa
, ou bien d'une myélite transverse), on l'observe toujours chez les
sujets
hystériques. Dans la. littérature assez abondan
toute maladie organique démontrée) a été toujours observée chez les
sujets
atteints- d'hystérie. La discussion et le doute
s le produit d'une simula- tion consciente ou bien subconsciente du
sujet
. Tout médecin, et particulièrement tout médecin
articulièrement tout médecin neurologiste,connait la mythomanie des
sujets
hystériques. Chacun de nous a observé les ruses
tériques. Chacun de nous a observé les ruses extraordinaires de ces
sujets
pour nous démontrer l'existence réelle de certa
tions nous donnent la démonstration absolue et directe que chez les
sujets
hystériques les plaques de gangrène hystérique pe
t, chez le malade de M. Thibierge on trouve du nitrate d'argent; le
sujet
observé par M. Dieulafoy se servait delà potass
dermiques, nous sommes forcés à croire qu'il ne s'agit pas chez ces
sujets
d'une si- mulation. Qu'est-ce que nous devons s
la démonstration de la spontanéité possible de ces lésions chez les
sujets
hystériques ? La même malade a présenté de peti
ent de la production d'une nouvelle plaque escharotique. (2) Deux
sujets
(\eumann, Joseph) ne présentaient pas de phénomèn
adavérique avec le froid, la pâleur, l'insensibilité du cadavre. Ce
sujet
présentait des crises spontanées de main cadavéri
nique de ce syndrome parle pour une auto- suggestion. Chez tous les
sujets
qui ont présenté de la gangrène spontanée de la
ne cutanée, parle contre l'idée d'un caprice simu- lateur de chaque
sujet
, il plaide en faveur de l'idée qu'il s'agisse d'u
umatisme paraissent avoir une' influence sur le psychisme malade du
sujet
qui reproduit par auto-suggestion la lésion pri
ule suggestion ou persuasion ? Une question préliminaire : Chez les
sujets
hystériques, môme chez les sujets les plus inte
question préliminaire : Chez les sujets hystériques, môme chez les
sujets
les plus intelligents, je crois que la guérison d
telligente du médecin ; mais la guérison arrive plutôt parce que le
sujet
qui croit aux paroles de son méde- cin, reçoit
ion de coudre. Est-ce que la gangrène spontanée de la peau chez les
sujets
hystériques peut donc guérir rapidement sous l'
e de la peau se produit, dans l'énorme majo- rité des cas, chez les
sujets
hystériques à la suite d'un petit traumatisme i
s à la suite d'un petit traumatisme initial. Elle présente chez ces
sujets
une démarche clinique spéciale, telle qu'on ne
Mais est-ce que nous guérissons l'hystérisme par la suggestion ? Le
sujet
hystérique reste hystérique lorsque son aphonie a
ait part de la nature humaine, du moins pour la grande majorité des
sujets
. J'ai pratiqué l'expérience suivante : Chaque f
s. J'ai pratiqué l'expérience suivante : Chaque fois je trouvais un
sujet
qui n'avait jamais vu un tube de Crookes en fon
i montrer une expérience de Rôntgenoscopie. Lorsque j'étais avec le
sujet
dans la chambre noire, j'allumais le tube, je l
rais les os de la main, etc... Après quelques minutes je plaçais le
sujet
vis-à-vis du tube, à 3 mètres environ de distan
nt le tube vous ne sentez vraiment rien ? » Cinquante pour cent des
sujets
accusaient une sensation; nombre des sujets pré
Cinquante pour cent des sujets accusaient une sensation; nombre des
sujets
prétendaient sentir un léger souffle sur la pea
parlé d'une gêne spéciale dans la respiration ; un grand nombre de
sujets
accusent une légère céphalée frontale. Lorsque
nombre de sujets accusent une légère céphalée frontale. Lorsque le
sujet
me répondait : « Non, je ne sens rien », je lui d
ez un peu : tendez la main ouverte vers le tube ». Presque tous les
sujets
accusaient alors une sensation au bout des doig
: « Non, je ne sens rien, absolument rien ». Chez tous les autres
sujets
, après avoir allumé la lumière électrique, j'ex
ation avait été l'effet d'une auto- suggestion, j'affirmais que les
sujets
normaux ne sentent rien lorsqu'ils se trouvent
e tube avec les yeux fermés et qu'on suspend le courant à l'insu du
sujet
. Après cette explication, je répétais l'expérie
cation, je répétais l'expérience en pleine lumière. 80 pour 100 des
sujets
qui avaient éprouvé une sensation spéciale, n'é
une sensation spéciale, n'éprouvaient plus rien. Seulement quelque
sujet
, piqué d'avoir été induit en erreur, continuait
xtraordinaires. L'expérience a été faite avec plusieurs dizaines de
sujets
intelligents, presque tous médecins, ou bien ét
ticulièrement lorsqu'on ne parle pas des sensations subjectives des
sujets
, mais plutôt des phénomènes objectifs que ces sen
produire. M. Dejerine dit « Si après avoir usé de la crédulité d'un
sujet
pour lui mettre une idée quelconque en tête, on f
stérie ». Et il a parfaitement raison. Mais lorsque la crédulité du
sujet
s'accompagne d'un état mental spécial qui rende
gastrique, idée qui peut persister pendant des années; mais chez le
sujet
hystérique, cette idée se traduit souvent par des
qu'un phénomène objectif (ce qui diffère d'une simple sensation du
sujet
) qui présente ce double carac- tère de pouvoir
on dans cet étal spécial du psychisme et d'excitabilité physique du
sujet
. (1) A propos de l'influence de la suggestion s
influence de la suggestion sur les phénomènes vaso-moteurs chez les
sujets
hystériques, je me rappelle avoir observé une jeu
ez les neurasthéniques, ou bien chez des surmenés, ou bien chez des
sujets
simplement très émotifs, nous prouvent que, on tr
tre la crédulité des médecins qui sont trop souvent trompés par les
sujets
hystériques atteints de mythoma- nie, contre la
l nie tout ce qu'il n'a pas encore observé. Il oublie que pour un
sujet
hystérique donné, le médecin le moins doué d'ha
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES GANGRÈNES CUTANÉES , SPONTANÉES CHEZ~LES
SUJETS
HYSTÉRIQUES » . PAR J. BABINSKI. [Les récen
s par M. Valobra dans son arlicle Sur les gangrènes cutanées chez les
sujets
hystériques, article publié dans le présent fas
e la gangrène hystérique et il nous affirme « avoir observé chez un
sujet
hystérique la formation de plaques de gangrène
nhein, à qui je viens d'écrire pour avoir des éclaircissements à ce
sujet
, m'a répondu ceci. « Je n'ai jamais produit de br
; mais ce fait, je suis toujours à l'attendre (1)... (1) Voir à ce
sujet
l'enquête approfondie Sur les prétendus troubles
ans. Là encore, la paralysie générale et l'alcoolisme restèrent ses
sujets
de prédilection. Les travaux qu'il consacra à la
ntribution à l'étude des gan- grènes cutanées spontanées chez lès
sujets
hystériques (1 pl.), 481. · WEUEII. De quelques
juste de constater que lorsqu’un magné-tiste possède complètement un
sujet
, il peut en obtenir, sans magnétisation préalable
p intimes, .avec celui qui la magnétise, ce qui explique pourquoi les
sujets
les plus remarquables observés jusqu’à ce jour ap
constitution ? — 11 va réveiller la gastralgie à laquelle elle est
sujette
; car vous pourrez faire la remarque que sur dix
de la persistance un magnétiste peut toujours vaincre et dominer son
sujet
. Nous n’avons pas joui de ce privilège, car fréqu
son sujet. Nous n’avons pas joui de ce privilège, car fréquemment nos
sujets
nous ont échappé, et dans des circonstances où ma
s sujets nous ont échappé, et dans des circonstances où magnétiste et
sujet
eussent vivement désiré que le contre-temps n’eût
que le contre-temps n’eût pas lieu. Nous avons constaté sur tous nos
sujets
que les jours où ils n’étaient pas magnétisables,
été annoncée en somnambulisme. Nous avons observé fréquemment sur dos
sujets
les plus remarquables ces atteintes d’aliénation
au réveil, si le magnétiseur n’a pas eu la précaution de dégager son
sujet
de toute influence pernicieuse. Ayant négligé cet
u mauvaises de la personne qui aura porté ce vêtement. La lucidité du
sujet
se montrera plus développée s’il est mis en rappo
ne maladie et y trouver un remède. Nous avons présenté à nos divers
sujets
plus de deux mille malades, et jamais ils ne se s
e depuis quatre ans ; pour nous qui connaissions la moralité de notre
sujet
, et surtout la vacuité de sa bourse, nous ne pouv
n et qu’il la mette en pratique, et vous parviendrez à faire de votre
sujet
un honnête homme. Aussi terminerai-je cet article
et sur lui. M. de Rovère répond qu’il ne considère pas la foi chez le
sujet
à magnétiser comme indispensable au succès; il dé
es personnes si elles voulaient se laisser magnétiser. Trois nouveaux
sujets
se présentèrent, et alors il traça avec un morcea
n’en supporte que deux ou trois difficilement. On le citait comme un
sujet
précieux pour le magnétisme, et cela se conçoit;
eure malgré la peine que se donnait le magnétiseur pour l’apaiser. Le
sujet
paraissait souffrir extrêmement, car il frottait
s, chose étrange, les passes que M. de llovère faisait pour calmer le
sujet
sur lequel il exerçait une si terrible influence
sonne nous montra une grande clef qu’elle avait en poche. «Enfin ce
sujet
extraordinaire nous fit, par ses réponses et ses
nt de côté ceux qui n’ont qu’un, intérêt secondaire ou ne traitent ce
sujet
qu’à un point de vue spécial. Ce n’est pas seul
r les esprits ou agents spirituels, notre conviction est entière à ce
sujet
; ils peuvent aussi répondre à notre appel et nou
vail l’agent qui est en eux. Dans cet exposé je reste au-dessous du
sujet
que j’avais à peindre ; il faudrait sans doute pl
lie un feuilleton intitulé le Vieux neuf, qui a pour but de mettre ce
sujet
hors de doute. L’auteur, M. Édouard Foumier, aprè
tir d’au-« tant plus que celui qui l’emploie est placé plus près du «
sujet
sur lequel il veut agir et qu’il est mieux dispos
e fais le moindre geste pour m’aider à faire comprendre ma pensée, le
sujet
s’endort en faisant un mouvement comme s’il recev
isin, où tout le monde était en émoi. Sur un seul signe attractif, le
sujet
vint d’un bond se coller la poitrine à la mienne.
x nouveaux venus, incrédules autant qu’on peut l’être, j’endormis mon
sujet
et lui fis la question suivante : — Croyez-vous
e. Il fut convenu que cette personne donnerait la boite à examiner au
sujet
dans le cours de la soirée, ce qui eut lieu dans
un incrédule à convaincre. Après plusieurs expériences, je plaçai le
sujet
à l'extrémité opposée de la porte de la pièce où
ion fut si rapide et si violente, que je crus la porte enfoncée et le
sujet
blessé. Les spectateurs s’accordèrent à dire que
r, se précipita d’un seul bond. Dans une soirée du mois dernier, le
sujet
était endormi dans une petite chaise. Je lui magn
rées, je plaçai, par la pensée, un homme à califourchon sur le cou du
sujet
, avec la volonté que cette sensation persistât au
n. — N’avez-vous pas éprouvé bien des déceptions dans le choix de vos
sujets
? Savez-vous commander, diriger vos étincelles éle
tion (t. VIII, p. 582) comme représentant une scène de magnétisme. Le
sujet
est tiré Aeia.Jènisatnndfticrée (ch. xix). La f
ivine; et cet être immuable et simple, c’est l’àme (1). » lin autre
sujet
lucide nous affirmait encore que l’âme diffère es
médecine spiritna/is/c. Maintenant nous allons aborder directement ce
sujet
, en prévenant toutefois que ce n'est pas sans une
liquidité du sang étant un signe d'appauvrissement de ce liquide, les
sujets
alïai-blis seront mieux disposés à la concentrati
;vstème, par des émissions sanguin ' propoi imiit'i'.' aux forces d.i
sujet
, rendre somnambule celui qui n'aurait aucune tend
rs les procédés auxquels avait recours l’abbé Faria pour endormir ses
sujets
sont en opposition avec sa théorie. Après avoir f
t rester quelque temps visibles, quoiqu’on ait cessé de. s’occuper du
sujet
: le célèbre artiste sir Josué Reynolds, en sorta
urches, de la magic? M XIFFRE. Voici une autre lettre sur le même
sujet
, adressée également à M. du Potet par un opérateu
cipe de tout efTet magnétique. En devenant tour à tour opérateur et
sujet
, j’ai pu apprécier les différentes manières d’enl
D’un autre côte, M. IL..., qui a été tour à tour témoin, opérateur et
sujet
des premières expériences faites à Paris, chez M.
eurs usant chacun de la force de leur index pour soulever le corps du
sujet
, il est constant pour moi que le poids soulevé pa
catégories de médiums : n II y a maintenant environ cinq ans que ce
sujet
commença à attirer l’attention publique. Cependan
alors dégagée des milliers de maux auxquels notre vie matérielle est
sujette
.... IV. « 11 est encore démontré que nos plus s
ulisme, quand on 11e veille pas aux entraînements de l'imagination du
sujet
. « En général, disait un des somnambules de M.
ypothèse. Ainsi, l’aliénation mentale pourra se manifester chez les
sujets
impressionnables, toutes les fois qu’on dirigera
s que désapprouver les réclames dont M"' Roger a fait usage. Quand un
sujet
est bien lucide, il n’a pas besoin d’annonces ; s
der quelque chose d’analogue à Paris. Je vais publier mes vues sur ce
sujet
; et, si elles plaisent la philanthropie des magné
que j’ai pour la première fois constaté ce curieux phénomène chez les
sujets
chlo-rotiques ou chloro-anémiques, il ne s’est pa
illiers que je compte désormais les observations que j'ai faites à ce
sujet
. » M. Bouillaud est un des plus grands antagoni
souffle et la sensibilité magnétique, sachant par expérience que les
sujets
qui ont cette sensibilité sont plus susceptibles
gt ans; tempérament lymphatique; dit avoir le sang très-pauvre, est
sujette
aux pertes utérines; bruit de souffle à gauche, s
ient toutes insensibles au magnétisme. Au contraire, sur plus de cent
sujets
qui me l’ont présenté, deux seulement, la mère et
à une maladie de cœur. XV. — Il m’est arrivé souvent d’apprendre de
sujets
très-sensibles au magnétisme, qu’ils éprouvaient
onnaître les remarque' ingénieuses et pleines d’intérêt que fait à ce
sujet
M. Léger, dans une lettre qu’il m’a écrite, et qu
ilité magnétique, et qu’on rencontre sur un bien plus grand nombre de
sujets
que le précédent ; je veux parler de l’attraction
ques de cuivre sur la peau pour explorer la sensibilité magnétique du
sujet
. Le Dr Burq, qui a fait une étude toute spécial
ence : /s csl filins i/unn mtpliir ilcmonslrimt. Sans sortir de mon
sujet
, il est un fait sur lequel je crois nécessaire d’
gnétiseurs : ne peut-il pas se faire que la sensibilité magnétique du
sujet
lui ail élé transmise par sa nourrice, son père e
es membres, des douleurs de tête qui disparaissent souvent lorsque le
sujet
est couché. Il y a propension au sommeil et au re
borborvgmes, le teint est pâle et quelquefois jaunâtre. Chez certains
sujets
, la face est bouffie, et les paupières sont parfo
visage, des étourdissements, des bourdonnements d’oreilles: ils sont
sujets
aux défaillances, et plus ou moins disposés à la
, évêque d'Orléans. Mgr l’archevêque de Rouen, consulté sur le même
sujet
, a donné son avis dans les termes suivants : «
es recommandables, qui avaient cru pouvoir faire des expériences à ce
sujet
ou y assister, et, de tout cet ensemble d’é- «r
autres évêques se sont joints à lui et ont publié des mandements à ce
sujet
. «Or, il est évident que si ces savants prélats
viennent : c'est le moyen de parvenir à jeter quelque lumière sur un
sujet
si intéressant et encore si obscur. Je crois donc
ogique. Je demanderai aux fluidistes si, quand ils se donnent à leurs
sujets
pour faire leurs expériences, ils n’ont pas la Vo
retenait la santé par ses conseils. C’est là tout ce que je sais à ce
sujet
, sur lequel du reste il était fort discret. Mai
uilibre, voilà tout le secret, tout le magique de l’opération. 1 Le
sujet
, dit encore M. Bégué, malgré la force physique
résence d’un fluide ou d’une force vitale agissant directement sur le
sujet
. Cette manière de voir serait, d’après mes obse
. Il est vrai que les opérateurs ne sentent presque pas le poids du
sujet
; il est encore vrai que celui-ci sent à peine l’i
parfait, plus on opère vite, mieux l'équilibre se conserve et plus le
sujet
s’élève dans les airs avec légèreté ; mais si l’o
mille. La séance du dimanche précédent fut naturellement le principal
sujet
de la conversation. Je dis ce que j’en pensais :
rolongées finirent par produire le résultat désiré. Mais, soit que le
sujet
fût mal disposé, soit que le fluide eût été admin
agnétiseur, la rolonU’ impérativement exprimée, la mise en rapport du
sujet
par les mains, avec deux assistants, etc., etc.
e. On ne savait que faire pour ennuyer le public ; alors on a pris un
sujet
quelconque, on l’a déshabillé, et voilà une panto
l’irrésistible action du magnétiseur, « qui fait ce qu'il veut de ses
sujets
. » Six personnes se sont donc prêtées aux manipul
fait; il avait, du reste, manifesté plusieurs fois sa répugnance à ce
sujet
; comme Dcleuze, il ne voulait point d’expérienc
une manière sérieuse, les œuvres d’imagination se sont emparées de ce
sujet
qui, au point de vue de l'art, offre d'immenses r
sensibilité, suivant la puissance de l’opérateur et la sensibilité du
sujet
; ces effets s’obtiennent avec plus ou moins de fa
gard m’impose le devoir, au début de celle-ci, de vous en rappeler le
sujet
, car ces deux lettres sont sœurs. 11 s’agit de
préoccupent vivement l’attention publique. La nature particulière du
sujet
sur lequel nous désirons appeler l’attention de v
agent mystérieux. « 11 n’est pas hors de propos de mentionner à ce
sujet
les deux hypothèses générales par lesquelles on p
« Quoique nous ne puissions tomber d’accord avec ces derniers sur ce
sujet
, et quoique nous soyons arrivés honnêtement à des
même les désagréments qui peuvent en résulter. Je reviendrai sur ce
sujet
après la publication de mémoires et de pièces trè
n perdu de son mérite d'à-propos et même de nouveauté. En traitant un
sujet
qu’on aurait pu croire usé, tant il a été exploré
ire et l’imagination présentent des scènes confuses, fantastiques; le
sujet
11’en est pas moins incapable de se mettre en rap
e période de sommeil; mais dès que le somnambulisme est développé, le
sujet
entre dans un mode d’existence tout nouveau, qui
Noizet, comme l’indique le titre de la seconde partie, place dans le
sujet
la principale source des faits magnétiques , et s
egarde l’imagination ou, pour mieux dire, les dispositions morales du
sujet
, comme la cause d’un grand nombre de faits consid
magnétiseur a pu imprégner ces. objets de son fluide vital, et que le
sujet
peut le reconnaître, comme les chiens reconnaisse
un ange de lumière. Tous les auteurs qui ont récemment écrit sur ce
sujet
nous promettent le moyen de faire à coup sûr cett
uez les bons qui vous guident. « j. olivier. » Voici, sur le même
sujet
, une opinion analogue extraite de la Pairie du 10
ud, médecin électro-galvaniste, aux Batignolles, une communication au
sujet
des tables tournantes , des causes qui empêchent
nce même, s’est prolongée jusqu’à nos jours, et sera pour l’avenir un
sujet
de pénible étonnement. Trois quarts de siècle p
agic. En Amérique, cinq ou six journaux sont consacrés à ce curieux
sujet
; le Spiritual telcgrap/i se distingue particuliè
e plan du développement de ses idées et règle l’ordre d'évolution des
sujets
qu’il veut traiter. Ainsi se trouve évité le repr
lance de leurs titres ; et si l’on vient à les lire, on trouve que le
sujet
en est en effet semblable. Son thème est invariab
se et le somnambulisme. Mais à force de le rouler dans sa pensée, son
sujet
s’épuise, et il se trouve conduit à répéter, à so
euse en rayonnera, la vie semblera quitter les traits pallides de son
sujet
pour aller animer son âme. Cet état de veille de
e espèce de garçon épicier, qui se fait appeler docteur, magnétise le
sujet
, puis se retire discrètement. Alors la somnambule
idité, et, dépliant le paquet de cheveux blonds, elle lui dit que son
sujet
les a pris pour les cheveux d’un vieux général vê
respondants, exige des candidats absents l’envoi d'un mémoire, sur un
sujet
de leur choix, pour tenir lieu d’examen oral. C’e
es, le Journal du Magnétisme, ne se soit pas formellement prononcé au
sujet
des tables tournantes et des communications spiri
Journal .1 rendu compte de ce qui a été publié de plus saillant à ce
sujet
, c’est-à-dire qu’ouvert à la discussion, il a rem
officielle, doit, dans son journal, examiner ce qui a été publié à ce
sujet
par un académicien dont le nom fait autorité, M.
sé à en adopter une autre, si j’acquiers de nouvelles lumières sur le
sujet
ou si j’en trouve toute faite une plus sensée.
de ceux-là lui semblent probables, car il appelle l’expérience à leur
sujet
: « La volonté exprimée ou tacite d’un ou de pl
e que cette énergie est due à leur grande vitesse. Tout ce que dit ce
sujet
M. Babinet est fort ingénieux et fort intéressant
de crise, que lui avait donné Mesmer (1). Dans cet état de crise, le
sujet
n’est plus en possession complète de lui-même (mi
res, ses facultés sensitives peuvent aussi avoir été transformées. Le
sujet
peut être impressionné par la sensation d’autrui
ion , que certains mystiques nomment plus justement 1 abstraction, le
sujet
est plus ou moins étranger aux phénomènes extérie
ièce où elle se tenait. S‘ elle nenous eût pas trop écarté de notre
sujet
, cette rote, qui a déjà irop a étendue, eût pu fo
ême extension. L’idée conçue dans mon cerveau peut être perçue par le
sujet
avec lequel je suis en rapport, sans que je l’aie
és de magnétisme. Mais ceux-là savent aussi combien l’imagination des
sujets
soumis à cet état crisiaque est surexcitée, et qu
’état de crise provoqué par les procédés du magnétisme individuel, le
sujet
ne perçoit, le plus ordinairement, que les phénom
lui par la volonté provoque son attention, ou, comme on dit, mette le
sujet
en rapport avec les êtres animés ou les objets in
t avec les êtres animés ou les objets inanimés. On dit alors que le
sujet
est isolé. Plus rarement, le sujet reste en commu
ts inanimés. On dit alors que le sujet est isolé. Plus rarement, le
sujet
reste en communication plus ou moins complète ave
tte coïncidence de l’état crisiaque et de l’état normal. Lorsque le
sujet
est isolé, on observe qu’il perd la mémoire de to
rise, même des plié- nomènes qu’il a produits el perçus; lorsque le
sujet
n’est pas isolé ou lie l’est qu’imparfaitement, i
rconstance doit se présenter dans l’état de crise, où les facultés du
sujet
éprouvent toujours quelque perturbation. Remarq
t, du reste, reconnaître l’effet de la chaîne magnétique sur certains
sujets
, il faut débarrasser l’expérience du meuble qui e
ntrera, si l’on fait des expériences assez multipliées, en variant le
sujet
et en employant une chaîne éprouvée d’avance par
s, » lorsque les mains des opérateurs sont appliquées sur le torse du
sujet
, et celui-ci exécutera l’ordre dont il n’aura pas
ui-ci exécutera l’ordre dont il n’aura pas eu connaissance. Parmi ces
sujets
très-sensibles, les uns comprennent quel est l’ac
e la chaîne la consigne de faire embrasser l’un des opérateurs par le
sujet
. Après plusieurs mouvements de la tête vers l’opé
tête vers l’opérateur désigné, mais non suivis de l’effet demandé, le
sujet
lance ses bras autour du cou de l’individu, et l’
on ou la chaîne qui peuvent déterminer l’état crisiaque. Il y a des
sujets
qui entrent spontanément en crise (quelques-uns m
l’imagination suffit pour déterminer l’état crisiaque. Aussi certains
sujets
, une fois qu’ils ont pris part à une expérience d
genre d’oxpérienco porte avec lui beaucoup de dangers, surtout si le
sujet
veut opérer en l’absence de témoins. Rien ne diri
curieuse et que je regrette do n’avoir pas été il môme de répéter. Un
sujet
, trés-sen-sible aux attractions magnétiques, avai
rait nécessité, m'a-t-on dit, l’addition de près d'un kilog, ducôtédu
sujet
. Si l'expérience a été bien faite, l'action magné
l'expérience a été bien faite, l'action magnétique, du moins sur des
sujets
vivants, pourrait exercer sur eux des efforts méc
actions magnétiques avaient pour cause un mouvement déterminé chez le
sujet
par la volonté du magnétiseur. L'expérience est d
nce est d'ailleurs facile b répéter pour ceux qui ont sous la main un
sujet
sensible aux attractions. Je n'en ai pas à ma dis
nces de tables parlantes, comme toutes celles i|iii se rattachent aux
sujets
dans l’état de crise, donnent des résultats exces
s. Mais que l’on veuille bien li's comparer à ceux que présentent les
sujets
magnétiques, el. l’analogie incontestable des eff
former à l’usage, sans nous préoccuper de son sens étymologique — aux
sujets
très-impressionnables, dont la présence suffit po
s les expériences sur les tables. Cette nécessité de la présence d’un
sujet
facile à mettre en crise suffit à elle seule pour
l’auteur anonyme de Comment l'esprit vient aux tables, a donné sur ce
sujet
quelques conseils judicieux, que nous rapportons
t familières. On doit rechercher pour la formation de la chaîne les
sujets
qui ont la protubérance de la vénération développ
degré h' plus prononcé rappelle l’œil (le la gazelle, distingue les
sujets
très-impressionnables. Le regard incisif, et qu
semble par instants comme dardant une pointe, indique en général les
sujets
qui ont le plus d’action sur les autres. Nous n
’ils sont spéciaux à l’action magnétique individuelle. Or beaucoup de
sujets
susceptibles de la crise sont peu ou point sensib
un certain temps, si la chaîne est bien formée, et s’il s’y trouve un
sujet
sensitif de haut titre, ce sujet passe à un état
t bien formée, et s’il s’y trouve un sujet sensitif de haut titre, ce
sujet
passe à un état de crise voisin de l’extase (1).
cune de mes idées préconçues. Lorsque nous voyons, me disais-je, un
sujet
magnétisé lever le bras parce que nous voulons qu
ais non de même nature corporelle, puissent aussi avoir action sur un
sujet
dans l’état crisiaque. Ainsi, la communication av
gne son nom, soient, par cela seul, authentiques et avérées. Si les
sujets
crisiaques ont des facultés supérieures, ils sont
upe a reçu des communications fort intéressantes sur toutes sortes de
sujets
, entre autres des définitions des vices et des ve
estion qui nous occupe en ce moment. Sans formuler de conclusion au
sujet
des communications spirituelles, au point de vue
coups mystérieux, que l’opinion publique rattache de trop près à mon
sujet
pour que je n’en parle pas, quand ce ne serait qu
nne foi ne pourra répondre catégoriquement à ces questions. J’ai un
sujet
magnétique, somnambule ou non, mais d’une sensibi
bière. Hors de ma présence, sans que je cherche à l’influencer, le
sujet
goûte les quatre liquides. Pour lui, le premier e
e troisième du kirch, et le quatrième de la bière. Si, au lieu d’un
sujet
, j’en ai dix bien éduquês, et qu'on présente aux
(nyctalopes) qui perçoivent cette lumière propre des objets (1). Nos
sujets
magnétiques l’aperçoivent aussi. Pourquoi une mas
le récit. Nous avons parlé de l'illusion collective produite sur des
sujets
en crise, par la puissance imaginative du magnéti
aucoup d’écrivains magnétistes passent à l’état d’oracles, où trop de
sujets
magnétiques se posent en medium et trop de magnét
mbuUteur a Est un très-malhonnête homme, o J’ai pour moi, touchant ce
sujet
, n Plutarque et Bertrand, Plino et du Potot, «
de cent baudets un allégro N'eut à ce point-là troublé l’écho. Mon
Sujet
, sur son mémento, Riait à perdre haleine, lîn r
, lucides sans doute, mais non infaillibles? Il y a, dit Deleuze à ce
sujet
: « Une vérité sur laquelle je ne saurais trop
decine. Quand je vous visiterai, je vous ferai part de mes idées à ce
sujet
. Je suis reconnaissant qu’on ait pensé à me fai
t son cadavre près du pont Marie. On fit aussitôt des recherches à ce
sujet
, et l’on trouva, en effet, le corps d’un noyé à l
e bien préparer, et c’est par suite de précautions bien prises que le
sujet
peut rester environ une demi-minute suspendu au b
e sentiments entre les opérateurs et passivité complète de la part du
sujet
. Ce qui se passe pendant cette courte expérienc
ci pourquoi : le magnétiseur, après avoir énergiquement influencé son
sujet
, le domine entièrement; l’agent mystérieux, inouï
le, que se passe-t-il ? Absolumeut la même chose; seulement, comme le
sujet
n’est point dans les mêmes conditions, il est néc
e dans l’enlèvement simple vous pouvez opérer sans presque toucher le
sujet
. Mais pour en arriver à ce résultat, vous devez ê
eurs, que, toutes les fois qu’un opérateur se trouve en présence d’un
sujet
, il y a toujours émission fluidique plus ou moins
fit beaucoup de bruit. Bien des ques-' lions me furent adressées à ce
sujet
. Je suis prêt à donner toutes sortes de renseigne
sième. Avant de réclamer les soins de i\I. Houlet, cette dame était
sujette
à de fréquentes attaques de nerfs, depuis plusieu
tigation convenables ne pouvant Être employés pour nous éclairer à ce
sujet
. Cependant il est très-probable que le siège de c
de soulagement à une douleur vive et rhumatismale à laquelle elle est
sujette
, que lorsque 1 on pratique sur la partie malade u
. — MÉDIUMS. Nous avons reçu deux communications importantes sur un
sujet
qui préoccupe aujourd’hui les observateurs les pl
napé un peu éloigné du guéridon, un jeune garçon de quatorze ans, mon
sujet
d’électro-biologie, qui, endormi par influence bi
électro-biologie pour savoir ce qui faisait mouvoir la table, ce même
sujet
m’a dit voir une fois chez moi un homme ; une aut
uettes d’électro-biologie. Ce n’est pas seulement par la main de ce
sujet
que je fais écrire les réponses des esprits; j’ai
croire que tout n’est pas chimérique dans les phénomènes produits au
sujet
des tables parlantes, et que ces phénomènes, qu'u
qu’à y gagner. En effet, que prouvent tous les phénomènes produits au
sujet
des tables parlantes? Uniquement ceci: Que le flu
cependant, il y a dans le magnétisme assez de faits curieux, assez de
sujets
intéressants à prendre pour un auteur aussi ingén
che le côté magnétique du ballet, M“° Cerrito n’a pas assez étudié le
sujet
, et, à mon avis, M“» Rose Chéri, dans Irène, s ac
au sacerdoce, par une vocation divine, ceux de leurs enfants qui sont
sujets
aux convulsions et aux saignements de nez. « Le
tisme animal ? « Aucun journal de médecine n’a encore publié sur ce
sujet
que des négations ou des affirmations absolues. O
nts, et la. pré-sensation organique, ou la prédiction des maladies du
sujet
par lui-même. Quant à la rétrospection et à la pr
us avons de l’intelligence dans les idiots.... Souvent 011 trouve des
sujets
lu- cides dans des laveuses de vaisselle, dans
étisme physique. 11 y avait des difficultés énormes pour éveiller les
sujets
endormis ou plongés dans le coma : chacun avait s
erait-il pas logique de penser qu'un courant établi des extrémités du
sujet
dans l’espace le dégagerait? » L’expérience répon
cent personnes, quatre-vingt-dix-sept seront sensibles, et sur mille
sujets
sensibles, vous n’avez pas une somnambulisation l
ne craignent pas d’admettre d’énormes et indigestes digressions à son
sujet
. On va faire beaucoup de bruit autour de la quest
eure. Certes, il nous répugnait de prendre la plume et d’aborder ce
sujet
; car, nous le disons hautement, nous sommes chré
facile que soit la tâche, entamer aucune discussion ni critique à ce
sujet
; nous allons seulement essayer de démontrer que l
annoncait par un semblable phénomène : l’insensibilité des membres du
sujet
magnétisé 1 La somnambule ayant pris la main du
car, outre l’activité spirituelle et matérielle qui caractérise tout
sujet
en somnambulisme, le somnambule voyant l’intérieu
i que le remarque M. Rayer dans la note intéressante qu’il a lue à ce
sujet
à l’Académie, lorsque la gaine fibreuse dans laqu
même genre. Cette fin tragique de Steingel a fait, dans le temps, le
sujet
des conversations de toute l’armée d'Italie. «
avais jamais entendu parler de cette coutume, je n’avais rien lu à ce
sujet
, et je suis, je crois, le premier voyageur europé
ce, somnambule. Le fond de l’article est malveillant ; de ce que le
sujet
qu’il a eu sous les yeux n’a pas réussi, l’auteur
. Le sommeil automatique produit l’identification la plus complète du
sujet
avec l'individu qui lui donne la main. C’est une
e, c’est-à-dire à la télégraphie humaine. M. Louyet a en ce moment un
sujet
qui présente cette faculté au plus haut degré.
agnétisme et des réflexions judicieuses, des aperçus ingénieux sur ce
sujet
si vaste, où il y a tant à explorer. 1° Vue des
ons certifier que M. Napier ne fit aucune question propre à guider le
sujet
, qu’il se borna à dire de temps en temps : « Marc
de la lettre, me la remit cachetée, et me dit en sortant : « Voici un
sujet
d’expé-n rience. o Comme j’ai toujours préféré le
sée d’autrui est une des formes appartenant à cette espèce ; ainsi le
sujet
lucide, étant mis en rappoit avec quelqu'un par c
Il y a une autre variété de lucidité sympathique, c’est celle oit le
sujet
, au moyen du contact, perçoit et décrit avec une
ide. « 2° Clairvoyance directe. — La première forme est celle où le
sujet
, ayant les yeux fermés, voit la luminosité qui ém
as très-ordinaire. « La variété suivante est celle dans laquelle le
sujet
a connaissance de ce qui se passe autour de lui ;
arquera que ceci ne doit pas paraître plus merveilleux que lorsque le
sujet
voit la main placée au-dessus de sa tète ou une p
objet. Il dit que la boule l’aide matériellement. Malheureusement les
sujets
de ses visions ne sont pas de nature à être vérif
e vis cet effet, je fus naturellement désireux d’essayer sur d'autres
sujets
. Ayant essayé sur une jeune personne, il survint
survint un singulier obstacle : la contemplation de la boule jeta le
sujet
dans le sommeil mesmérique. Après un long interva
esmérique. Après un long intervalle, j’essayai de nouveau sur le même
sujet
; triais il en éprouva des effets aussi puissants
e troisième, Eugène Rollet, âgé de huit ans et demi, frère du premier
sujet
, a commencé à suivre les exercices à la lin de ma
se rattachent à une grande loi de physiologie. Je dirai seulement, au
sujet
des tables qui tournent... : L’impulsion involont
our moi, le mouvement des tables, l’électro-biologie, les visions des
sujets
non somnambulisés, la magie de M. du Potet, appar
-biologistes (nom singulier et impropre) avaient pensé à dire à leurs
sujets
éveillés, mais possédés (par eux), qu’une table s
incrédules. En admettant qu’il y ait eu sincérité parfaite chez les
sujets
de ces expériences, ce qui n’est pas démontré, je
mission de la pensée. Puisque je suis amené à vous entretenir de ce
sujet
, je profiterai de cette occasion pour confirmer l
u magnétisme. Des meetings fréquents et nombreux ont lieu sur le même
sujet
, et des sociétés se forment dans le but d’approfo
Morogues, d’électro-composés. L’auteur entre dans peu de détails à ce
sujet
; mais l’eau et les minerais paraissent rentrer d
vint enceinte pour la seconde fois. — Les deux affections qui font le
sujet
de cette observation ne se déclarèrent que huit m
t des discussions théologiques. Les esprits suivent méthodiquement un
sujet
et annoncent, une semaine d’avance, les matières
dans une mare des environs. (Presse.) — Une ouvrière couturière,
sujette
à des accès de somnambulisme, s’est, pendant son
par eux. Ce n’est pas ici le lieu de faire une dissertation sur ce
sujet
, il est trop vaste d’ailleurs pour être à notre p
a nôtre ! Nous considérerons la jeune fdle cataleptique qui fait le
sujet
de cette observation sous le double rapport du ph
vait surpassé l’attente des auditeurs et la sienne propre. A peine un
sujet
lui était donné, que les grandes pensées, les sen
ut apparaissait à la fois. C’était peu : on lui donnait deux ou trois
sujets
différents en même temps. L’improvisateur dictait
ett, en Calabre, ne pouvait être soulagé de spasmes auxquels il était
sujet
, qu’au moyen d’un manteau de toile cirée qui l’is
. Le coudrier, au contraire, la démagnétisait. L’élan est un animal
sujet
à l’épilepsie, et les anciens employaient son sab
ents près d’arriver, mais quand on l’exigeait d’elle, elle était plus
sujette
à erreur. Ces visions lui étaient d’ailleurs péni
un jour un garçon d’une douzaine d’années. Le docteur questionna à ce
sujet
la jeune personne, et, après avoir cherché dans s
mité, il peut se produire des modifications très-importantes, dont le
sujet
n’a pas môme conscience, et si un médecin 11’est
ile cirée et formant chaise longue, lorsqu’il convenait de donner aux
sujets
une attitude horizontale. Du reste, cette salle é
rivé ; quelques individus ont été mis en somnambulisme et ont été lès
sujets
d'expériences phrénologiques. Enfin, réunis une
es lisibles, puis des mots, des phrases et des pages entières sur des
sujets
dont je n’avais pas la moindre idée. J’étais abas
c encore moins de foi qucjVn avais apporté à l’écriture. Je pris pour
sujet
d’expérience un genou malade depuis environ dix a
étique ou vital, est purement spirituel. » Le correspondant cite cc
sujet
les cures étonnantes de l’irlandais Greatrake, et
festations intelligentes par l’alphabet. Des medium ont écrit sur des
sujets
dont ils n avaient pas connaissance, dans des lan
s cas où il est exactement impossible que les dispositions morales du
sujet
aient concouru à cette action : ainsi on magnétis
les diriger, de les régulariser, d’en tirer parti dans l’intérêt des
sujets
, de les maîtriser et de les faire' cesser, et de
observe les effets innombrables que détermine le magnétiseur sur son
sujet
, quand on le voit exciter, suspendre ou paralyser
ellanger s’est occupé particulièrement du somnambulisme ; c’est là le
sujet
qu’il traite avec le plus d’étendue. En dépit des
11 est fâcheux qu’il u’ait pas même soupçonné la gravité d’un pareil
sujet
. • Ce n’est sans doute que pour grossir son vol
remptoirement d’exister. I.a distinction qu’il cherche à établir à ce
sujet
n’a rien de logique, et nous lui opposerons ses p
es esprits qui les inspirent ou dont ils sont inspirés. On lit à ce
sujet
dans le Spiritual telegrapk .- k Un M. Patchia,
r les consultations des somnambules, etc., etc. 5” S'assurer si les
sujets
présentent le bruit de souffle, indiqué comme sig
r le somnambulisme et la clairvoyance qiu se présentent, soit pour le
sujet
lui-mème, soit pour quelqu un des autres malades,
et nous devons donc croire tout ce que l’histoire nous apprend sur ce
sujet
? — Pour nous, il est de la dernière évidence q
nos gentils adversaires nous fourniront l’occasion de revenir sur ce
sujet
; loin de reculer, nous irons au contraire de l’av
s rien à désirer. Dans l’ouvrage qu’il vient de publier, il traite ce
sujet
cxprofessô. 11 commence par poser la question,
; il écrase victorieusement ses contradicteurs. I.es difficultés du
sujet
s’accroissent d'une manière effrayante quand des
notre auteur, que je rappelle une distinction fondamentale. Certains
sujets
rentrent dans notre compétence; certains sujets n
ondamentale. Certains sujets rentrent dans notre compétence; certains
sujets
n’y rentrent pas. 11 est des choses que nous ne p
à toutes les époques. Ainsi, pour rentrer particulièrement dans notre
sujet
, SI. Foucault, attribuant un caractère immuable a
avec beaucoup de sagacité les faits du spiritualisme et répand sur ce
sujet
les lumières d’une critique fine et judicieuse. 1
ssède parfois des connaissances supérieures aux miennes, qui parle de
sujets
qui me sont étrangers, qui soutient des doctrines
utes ses méditations. Le maguétisme rentrait naturellement dans son
sujet
; il en parle très-avantageusement; il en considè
gton, elle alla lui faire visite pour prendre des renseignements à ce
sujet
. Elle apprit par là qu'il y avait eu effectivemen
on humaine. Le style en est simple, parfaitement correct et adapté au
sujet
. Le livre à pour objet le bien de l’humanité; il
magique. Toutes les fables égyptiennes et grecques contiennent sur ce
sujet
de précieux renseignements. La volonté de l’homme
aisé de voir par ces quelques lignes, que l’auteur comprend bien son
sujet
, et nous devons dire que la suite est traitée ave
oser une tâche des plus rudes; bien des auteurs se sont occupés de ce
sujet
intéressant et ont présenté des théories plus ou
ns oiseuses, comme on le fait trop souvent, on l’exerce à méditer des
sujets
scientifiques, on peut obtenir un concours précie
e la question spéciale du magnétisme. Suivant lui, le fluide vital du
sujet
est modifié par un fluide de même nature, supér
ossible en dehors des sens. L’influence énorme du magnétiseur sur son
sujet
serait due à la faculté qu’il acquiert de dispose
aculté qu’il acquiert de disposer de son propre fluide et de celui du
sujet
. 11 n’énumère pas les effets si variés dus à ce
ation n’existent plus. Le système nerveux est à demi paralysé chez le
sujet
; l’âme n'en reçoit plus de sensations, ou du moin
elles qu’on y fait naître volontairement par le fluide, sur lequel le
sujet
n’a pas perdu tout son empire, bien qu’il le part
’état ordinaire, s’arrête à la surface des objets, tandis que pour le
sujet
magnétisé, il pénètre l’intérieur des corps et fr
paralysés.... 11 est certain, bien que M. Garcin le conteste, que le
sujet
entend son magnétiseur et le plus souvent ne peut
ériode somnambulique, le magnétiseur parvient, du moins chez certains
sujets
, à en réveiller l’activité. Le prétendu isolement
r il en faut pour braver les sarcasmes qui, en France, accueillent ce
sujet
grandiose; mais nous regrettons que cette partie
dents. « Dans cette position, il vous sera facile d’endormir votre
sujet
du sommeil magnétique, avec un simple effort de v
ntenu pendant trois minutes environ. « Le sommeil une fois venu, le
sujet
acquiert une lucidité effrayante : il voit clai
. » Page 143, M"* d’Oberkirch donne de nouveaux détails sur le même
sujet
, et apprécie les facultés de cet homme étrange. A
i se passait dans ces réunions. Voici comment l’auteur s’exprime à ce
sujet
, page 212. « 31 janvier. — Nous allâmes le mati
rde comme un personnage surnaturel. « Ces messieurs obtiennent, des
sujets
qu’ils endorment, non-seulement la connaissance d
, comme dans les beaux jours de Paris. 11 rencontrait, disait-il, des
sujets
excellents parmi les jeunes filles des montagnes,
rs de son séiour à Paris,cet expérimentateur soumettait souvent ses
sujets
à l'influence de la musique et obtenait un état e
eur famille, des renseignements qui s'étaient pleinement vérifiés. Le
sujet
, après avoir fait, sans quitter sa place, le traj
ail à l’aiguille. C’est ce souvenir perdu à l’état de veille que le
sujet
a cependant retrouvé au bout de plus de deux ans,
eloppé par le jeu, doit suffire à mettre en crise imparfaite certains
sujets
; que les cartes maniées par un adversaire lui-mê
ont disposés comme pour une chaîne magnétique, doit donner à certains
sujets
quelque degré de lucidité. C’est, avec les jeux à
i : Permettez-moi de vous rapporter quelques faits qui ont rapport au
sujet
sur lequel nous discutons, et qui modifieront cer
eçus la visite de trois ecclésiastiques qui désiraient voir un de mes
sujets
en somnambulisme. Je m’empressai d’obtempérer à l
ion rapportée par M. l'abbé Gay, 166; - Observations critiques à ce
sujet
, par M. Vanderkam, 170. Somnambulisme magnétiqu
J. SÉGLAS, Médecin de l'hospice de Bicêtre. S'il est une question
sujette
, aujourd'hui encore, à bien des controverses, c
e l'obsession au délire confirmé. C'est cette évolution qui fera le
sujet
de ce travail, dans lequel je me bornerai à exp
ce), dont la note principale est d'être toujours mé- connues par le
sujet
. D'un autre côté, il convient de bien analyser
En effet, s'il est bien fréquent d'observer à la fois chez un même
sujet
des obsessions et d'autres symp- tômes délirant
r dans la matrice. Doutes incessants, interrogations réitérées à ce
sujet
, sans arriver à calmer l'angoisse. Lavages répé
avait lu le récit. Apre* une courte période de doute conscient à ce
sujet
, il en arriva à se croire véritablement coupabl
L'exécution de l'acte inconvenant ou immoral, tout en restant un
sujet
de scrupules, n'est plus alors une crainte, c'est
aux autres pensées. Dans certaines circonstances, comme lorsque le
sujet
cède à son obsession, cet envahissement devient
t une tâche singulièrement vaste que d'entreprendre de traiter le
sujet
en entier, de passer en revue toutes les maladies
pourtant, l'observation des effets produits par l'exercice chez les
sujets
normaux, enfants ou adultes, et l'analyse de ce
u'une mesure très imparfaite de la fonction correspondante, chez un
sujet
donné, l'état anatomique d'un organe restant le
e mémoire de la matière vivante. Mais ne nous écartons pas de notre
sujet
. Les médecins, avons-nous dit, n'ignoraient pas
, l'ont suivi dans la voie indiquée, publiant divers travaux sur ce
sujet
. Depuis lors, l'idée de rééducation s'est encor
ennent à parler avec leur cerveau droit, que les agraphiques ou les
sujets
atteints de crampe des écrivains arrivent à écr
t disparaître peu à peu l'appré- hension qui se manifeste chez tout
sujet
, sain ou malade, lorsqu'il s'agit pour lui d'ex
afin de tirer le meilleur parti possible des ressources de chaque
sujet
? . Enfin il n'est pas inutile de rappeler qu'e
, de l'état des forces, de l'intelligence et de la bonne volonté du
sujet
. Rééduquer un malade, c'est 64 THÉRAPEUTIQUE.
e progression. Si on relit les premières publications parues sur ce
sujet
, on est frappé, quelque justice qu'il convienne
fier l'exposé de ses procédés actuels. Sans traiter à fond ce vaste
sujet
, nous allons maintenant indiquer la ma- nière g
s tien- nent à l'état général, ce sont par exemple la cachexie du
sujet
, l'existence de troubles cardiaques ou une asthén
r le médecin lui-même. Faut-il au contraire soutenir l'attention du
sujet
, on s'appliquera alors à combiner des exercices
ti- tuent des encouragements utiles pour soutenir la confiance du
sujet
, mais, si l'on veut réellement juger la rééducati
sur des animaux de laboratoire. C'est à peine si l'on entend sur ce
sujet
quelques notes discordantes, quelques affirmati
c les différentes méthodes techniques en usage, sur le névraxe d'un
sujet
dont l'existence biologique a été décrite dans
a forme d'une immobilité presque complète. Ce sont généralement des
sujets
ayant fait des excès de bière et d'eau-de-vie m
et 1'auzoN. (Revue de médecine, septembre 1901.) Il s'agit de deux
sujets
syphilitiques chez qui des injections intramusc
resthéniques. Un traitement électrique institué amena chez l'un des
sujets
une amélioration rapide, mais chez le second le
s en état d'apoplexie peu de temps après l'ictus. Chez les quatre
sujets
il a trouvé très manifestement le signe de Babins
ne qu'au moins la limite supérieure de la thermo-analgésie chez son
sujet
(entre épaule et cou) ne soit pas segmentaire.
défaut d'assimilation musculaire. Ils ont trouvé dans l'urine d'un
sujet
un produit alcaloïdique nouveau qui donne avec l'
ur tout signe clinique que l'Argyll-ltobertson. M. Dejerine chez un
sujet
atteint de signe d'Argyll et de douleurs fulgur
iode pré- bacillaire s'accompagne de changements de caractère. A ce
sujet
, il faut distinguer le tuberculeux et le phtisi
20; M. Char- pentier, 26; M. Dromard, 29. Epreuve orale. (Sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système nerveux
rras, 29 sep- tembre. A la suite d'un accès de folie alcoolique, le
sujet
belge Welle, vingt-quatre ans, a frappé dans le
as d'un suicide, mais d'un accident. Le malheureux, en effet, était
sujet
à des crises terribles d'épilepsie. Hier matin mê
, celui de comprendre les nom- breuses observations publiées sur ce
sujet
et de donner un même point de départ aux différ
cette double conclusion : que dans les cas de folie multiple, le
sujet
actif ne communique au sujet passif que la folie
que dans les cas de folie multiple, le sujet actif ne communique au
sujet
passif que la folie à laquelle ce dernier est p
u point de vue clinique, par la per- sistance de la maladie chez le
sujet
passif dans cette der- nière- après la séparati
i la contagion est un fait physique résultant des variations que le
sujet
malade fait subir au sujet sain dans sa dépense
physique résultant des variations que le sujet malade fait subir au
sujet
sain dans sa dépense d'énergie : R. De- wey1 qu
ition qui se traduit par la plus ou moins grande suggestibilité des
sujets
réceptifs. Le trait d'union entre ces deux él
à deux éléments cliniques bien individualisés par les auteurs : un
sujet
actif, élément contagieux, un sujet passif, élé
vidualisés par les auteurs : un sujet actif, élément contagieux, un
sujet
passif, élément réceptif. Le sujet actif présen
actif, élément contagieux, un sujet passif, élément réceptif. Le
sujet
actif présente, en général, des facultés intellec
tuelles plus vives, une volonté et une énergie plus grandes que le
sujet
passif, il est en un mot plus suggestif. Cepen-
ence peut ne pas être supérieure et même être inférieure à celle du
sujet
passif, l'acuité des phéno- mènes délirants suf
té des phéno- mènes délirants suffit à créer l'état suggestif. Le
sujet
passif est un individu dont les facultés intellec
élire qui prendra un cachet tout personnel. Dans certains cas, le
sujet
passif peut agir sur le sujet actif ; mais cett
ut personnel. Dans certains cas, le sujet passif peut agir sur le
sujet
actif ; mais cette action est inconsciente, ell
grande qu'il offre aux idées déli- rantes suggestives émises par le
sujet
actif. Elle a comme résultat défaire évoluer pl
ultat défaire évoluer plusrapidementles conceptions déli- rantes du
sujet
actif; c'est ainsi que sous cette influence, da
disposition. La folie imposée est l'action incessante et répétée du
sujet
actif, élément morbide suggestif, sur l'élément
ujet actif, élément morbide suggestif, sur l'élément réceptif, le
sujet
passif doué d'une certaine résistance, c'est-à-di
n qui l'a identifiée, admet que ce qui la caractérise, c'est que le
sujet
passif n'est pas aliéné, qu'il n'est jamais hal
t jamais halluciné; il ne fait que partager les idées délirantes du
sujet
actif sans y collaborer par lui-même. Pour M. A
Arnaud, ce qui la différencie, c'est l'évolution du délire chez le
sujet
passif, une fois qu'il n'est plus sous l'influe
chez le sujet passif, une fois qu'il n'est plus sous l'influence du
sujet
actif. Enfin, M. Nina Rodriguès pense que dans
t avoir de véritables délires transitoires de peu,de durée chez les
sujets
passifs dégé- nérés. Notre manière de voir s'
tout sur le degré de prédisposition nécessaire que doit posséder le
sujet
passif. Ce qui caractérise pour nous la folie i
ssif. Ce qui caractérise pour nous la folie imposée, c'est que le
sujet
passif n'édifie jamais des phénomènes délirants q
nes délirants qui lui sontpropres, à côté de ceux que lui impose le
sujet
actif. Les troubles qu'il présente sont toujour
f. Les troubles qu'il présente sont toujours identiques à ceux du
sujet
actif, et d'autre part ont un caractère particuli
articulier : celui de disparaître lorsque l'influence suggestive du
sujet
actif disparaît. Jusqu'ici, nous sommes d'acc
s éloignons de sa manière de voir, c'est lorsqu'il considère que le
sujet
passif ne peut jamais avoir d'hallucinations et
allucinations et qu'il ne doit pas être regardé comme aliéné. Or le
sujet
passif est toujours un prédisposé suggestible,
éral une hallucination provoquée il est vrai, reproduisant celle du
sujet
actif et disparaissant par la séparation; maiss
du goût, de l'odorat et de la sensibilité générale », et devint le
sujet
actif d'une folie imposée. Le jeune homme légè-
enons simplement ceci : que la suggestion morbide peut aller sur le
sujet
passif jusqu'à l'hallucination provoquée et sur
avec M. Marandon, qu'il y a seu- lement erreur de l'esprit chez le
sujet
passif, et commentjuger les réactions de ce gen
ous semble que le fait même de l'imposition d'idées délirantes à un
sujet
le met dans un état suggestif, un état de dépen
l'influence sugges- tive. En résumé, dans les folies imposées, le
sujet
passif est celui qui emprunte tout ou une parti
celui qui emprunte tout ou une partie des phénomènes déli- rants du
sujet
actif, sans jamais rien créer par lui-même. Il
z deux prédisposés en contact. Il n'y a plus à proprement parler de
sujet
actif et de sujet passif; la suggestion morbide
en contact. Il n'y a plus à proprement parler de sujet actif et de
sujet
passif; la suggestion morbide agit surtout par
ifférencie d'une façon très nette de la folie imposée, c'est que le
sujet
passif, sous l'influence de la sug- gestion mor
que le sujet passif, sous l'influence de la sug- gestion morbide du
sujet
actif qui réveille sa puissance vésanique, édif
et dépendent de son terrain, à côté de celles que lui communique le
sujet
actif. Les deux facteurs cliniques sont ici en
sujet actif. Les deux facteurs cliniques sont ici en .présence. Le
sujet
actif aliéné qui agit lentement, mais d'une faç
morbide. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FOLIES PAR CONTAGION. 143 Le
sujet
passif, fortement prédisposé en général, qui reço
llent l'état vésanique latent qu'il avait en puissance et auquel le
sujet
imprime le cachet spécial de son terrain. Il
t cérébral qui correspond à l'accepta- tion des idées délirantes du
sujet
actif ; une deuxième période de réveil vésaniqu
ènes délirants vrais, comme les hallucinations, calqués sur ceux du
sujet
actif. Enfin une troisième période, se confon-
remiers. Il y a donc deux éléments à considérer dans le délire du
sujet
passif : les idées délirantes qui dépendent de l'
: les idées délirantes qui dépendent de l'in- fluence suggestive du
sujet
actif, et celles que le sujet pas- sif puise da
endent de l'in- fluence suggestive du sujet actif, et celles que le
sujet
pas- sif puise dans son propre 'fonds. Cette
- sif puise dans son propre 'fonds. Cette influence du terrain du
sujet
passif sur les phéno- mènes délirants peut fair
élirantes commu- niquées qui continuent à évoluer indépendamment du
sujet
actif et sous la simple impulsion que leur donn
ut ajouter celui que M. Marandon a publié en 1893, dans lequel le
sujet
actif atteint de folie multiple ne transmet au co
délire auquel ce dernier est prédisposé. Comme la prédisposition du
sujet
passif, un autre élé- ment, la continuité de la
ssif, un autre élé- ment, la continuité de la suggestion morbide du
sujet
actif, peut faire varier le tableau clinique of
du sujet actif, peut faire varier le tableau clinique offert par le
sujet
passif. Cette continuité de la suggestion agira
és, mais aussi et surtout elle augmentera la puissance vésanique du
sujet
144 ik CLINIQUE MENTALE. passif en l'activant
édation très nette dans l'acuité des manifestations délirantes du
sujet
passif; son délire continue à évoluer il est vrai
quées a donc sa nécessité. Dans le tableau clinique présenté par le
sujet
passif, trois éléments sont donc à distinguer :
phénomènes entretenus par la continuité de la suggestion morbide du
sujet
actif. En somme, la folie communiquée est carac
niquée est caractérisée par la transmission d'idées délirantes d'un
sujet
actif à un ou plu- sieurs sujets passifs ; tran
ransmission d'idées délirantes d'un sujet actif à un ou plu- sieurs
sujets
passifs ; transmission qui est le point de départ
int de départ et à l'occasion de laquelle la puissance vésanique du
sujet
passif prédisposé fait son éclosion. Sous cette
é de l'élé- ment contagieux. C'est un aliéné au même titre que le
sujet
actif. Pour les raisons que nous avons données,
se rappelle que sa mère pendant un certain temps la raisonnait à ce
sujet
, en lui disant de n'y pas faire attention. Si o
bles vaso- moteurs de la face et des mains. La malade qui fait le
sujet
de cette observation présente un délire de dégé
t qu'elle n'a jamais eu d'hallucinations de la vue. Elle devient le
sujet
actif d'une folie qu'elle com- munique après pl
l'évolution rapide du délire sous l'in- fluence de la résistance du
sujet
passif et son évolution ultérieure après la sép
ses pré- occupations. Le délire de Mm0 G. est copié sur celui du
sujet
actif; ce sont les mêmes idées de persécution,
avec sa fille, défont les lits. salissent leur eau etc. » Comme le
sujet
actif, elle conclut qu'elles ont affaire à une
rampser dont elle ne connaît pas la significa- tion est emprunté au
sujet
actif. Elle les a entendu aussi se vanter d'avo
de pavot réduits. » - A ces différents troubles calqués sur ceux du
sujet
actif viennent s'ajouter ceux qui dépendent de
is. En effet, c'est à partir du mois d'août, moment où le délire du
sujet
passif est entré dans lu ' CLINIQUE MENTALE.
if est entré dans lu ' CLINIQUE MENTALE. une phase active, que le
sujet
actif commence à réagir : il il va d'abord couc
fait acclimatée, parle moins de sa fille. Il faut l'interroger à ce
sujet
, elle n'en parle plus guère spontanément comme
cette affection. Il met en évidence l'influence réciproque des deux
sujets
et la néces- sité de leur séparation. Influen
es deux sujets et la néces- sité de leur séparation. Influence du
sujet
passif sur le sujet actif, qui par sa résistanc
néces- sité de leur séparation. Influence du sujet passif sur le
sujet
actif, qui par sa résistance augmente et fait é
résistance augmente et fait évoluer plus rapidement le délire du
sujet
actif. Influence du sujet actif sur l'agent pas
it évoluer plus rapidement le délire du sujet actif. Influence du
sujet
actif sur l'agent passif : 1° par le réveil de
if : 1° par le réveil de la prédisposition héréditaireet acquise du
sujet
passif, qui élabore, comme peut le faire un alc
frayeurs, etc.) ; 2° par la réviviscence des troubles délirants du
sujet
passif sous l'influence suggestive de l'élément a
l'influence suggestive morbide d'un aliéné sur un autre aliéné. Le
sujet
actif transmet ses conceptions déli- rantes, se
déli- rantes, ses hallucinations, ses réactions à un ou plusieurs
sujets
passifs déjà délirants. Le phénomène pathologique
a puissance de la prédispo- sition. Dans les folies imposées, les
sujets
passifs ne délirent que sous l'influence de la
ifs ne délirent que sous l'influence de la suggestivité morbide des
sujets
actifs. Leur séparation fera disparaître très r
stion. Dans les folies communiquées, bien qu'on ait à faire à des
sujets
passifs véritablement aliénés, et dont le délire
morbide quia, comme nous l'avons vu, de fâcheux résultats sur les
sujets
passifs. Quant aux folies simultanées, dont nou
dans le traitement des folies par contagion, soit de soustraire les
sujets
à leur influence morbide réciproque. VI. Sans
i demande à être appro- fondi. C'est la condition médico-légale des
sujets
passifs, dans les cas de folie imposée. Tous
mettre. Nous croyons, en effet, que dans les folies imposées, les
sujets
passifs doivent être considérés comme étant en ét
° il y a nécessité de considérer, au point de vue médico-légal, les
sujets
passifs des folies impo- sées comme étant en ét
s grande du cerveau, à la faveur, par exemple, d'un état spécial du
sujet
tel qu'un état d'émotivité, et qu'enfin en outr
lancolique ne s'expliqne que par le trouble moral auquel £ elle est
sujette
: se donner la mort alors qu'il n'existe nulle
et lui provoquait des crises répétées. Malgré tout, elle restait
sujette
à l'impulsion du vol. Le plus souvent, l'acte é
péciaux. L'idée obsé- dante est plus tenace, la lutte de la part du
sujet
est accrue par la volonté qui s'oppose avec une
le résistance ou' réflexion antérieure du 176 PATHOLOGIE MENTALE.
sujet
(seconde observation) ; dans la seconde, l'indivi
l'état normal. La réaction myasthénique de Jolly décelée chez cinq
sujets
sur les six examinés à cet égard, apparaît le m
ment de la manière de vivre, des occupa- tions, de la culture et du
sujet
, de sa complexion psychophysique générale. La d
nces médicales de Lyon, 27 février 1901.) M. Jacqueau présente deux
sujets
, la mère et l'enfant atteints de nystagmus cong
la persistance avec laquelle elles se reproduisent contre le gré du
sujet
, contre sa volonté même, et contre son raisonne
e; 2° son degré d'intensité; 3° le caractère et les dispositions du
sujet
; la folie du doute disparaît rarement; les phob
roit à une diminution de la puissance de résistance morale chez les
sujets
à hérédité névropathique, mais il déclare que c
vaient posé le diagnostic de sclé- rose en plaques, maladie dont le
sujet
présentait exactement les signes, mais dont les
s. L'intérêt de ce cas est de montrer la coexistence chez un même
sujet
, de tics toniques et cloniques avec des mouvement
M. Thomas. Cette diffusion de corps, granuleux dans la moelle, est
sujette
à caution ; elle ne caractérise pas une myélite
Nsi-,i obtient à volonté la trépidation épileptoïde du pied sur des
sujets
normaux par le moyen suivant : mettant le pied en
qu'on a plus ou moins excité le tendon. Il présente à l'appui deux
sujets
atteints de troubles névropathiques purement fo
e par lésion droite du cerveau. M. Joffroy montre les pièces d'un
sujet
chez lequel ces symp- tômes d'aphasie sensoriel
as de lésions droites ayant produit l'aphasie chez des gauchers. Le
sujet
dont il s'agit ici devrait être un gaucher rectif
téd., 17 juillet 1898) démon- trent suffisamment l'importance de ce
sujet
. Notre intention en revenant aujourd'hui sur ce
e de l'idéation seule. Quelques auteurs qui ont écrit depuis sur ce
sujet
ont cru devoir y ranger tous les troubles nerve
nt et définitivement établi, et tous les les cas survenus, chez des
sujets
indemnes de toute prédisposition héréditaire ou
oses d'ordre médical pur, dépendant d'une affection anté- rieure du
sujet
, ainsi que des délires toxiques et médica- ment
. Aucune mala- die d'enfance. Il y a une quinzaine d'années était
sujet
à des « étourdisse- mens », « le sang lui monta
émoire : Observation VI(communicluée par 11. le D' Dubouscluet). Le
sujet
de cette observation est Melle Marie V... appar
u plus mélancolique après avoir été opéré. Il est à remarquer, à ce
sujet
, que les affections des organes génito-urinaire
ous une amélioration nette plus ou moins considérable suivant les
sujets
, presque toujours cependant très marquée. Après c
éningite cérébro-spinale à streptocoque et à staphylocoques chez un
sujet
atteint du mal de Pott fistu- leux ; par GUI13.
THOLOGIE NERVEUSE. 273 3 gite cérébro-spinale entraîner la mort des
sujets
atteints de mal de Pott listuleux. A. Fenayrou.
oni- toires de la sénilité imminente précoce ou non. Il émet à ce
sujet
quelques conclusions relatives à la thérapeutique
appelle, à propos d'un cas personnel, les tra- vaux de Clark sur le
sujet
. XLIX. Du pronostic dans les affections du syst
) Recherches expérimentales faites à l'asile de Villejuif, sur un
sujet
mélancolique présentant par intervalles des états
ifs à des indigestions. Ces observations portent la plupart sur des
sujets
névropathes. 282 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
- tance, des parésies. L'indigestion peut aussi produire chez les
sujets
prédisposés des hallucinations, du délire, ou bie
e, tic de la phonation, et qui peut même faire défaut chez certains
sujets
, tic de sputation. Le tic peut donc être un tro
lisé le chronomètre d'Arsonval. Les recherches portèrent sur'quatre
sujets
. · Il résulte de leurs recherches que chez les
sociétés savantes. 293 dehors de tout trouble auditif. que chez les
sujets
normaux. Les temps de choix sont extrêmement lo
les sujets normaux. Les temps de choix sont extrêmement longs; les
sujets
ne paraissent pas pouvoir toujours faire une di
l'épilepsie, dans l'hystérie, dans la neurasthénie et même chez des
sujets
normaux. Dans les névroses elle n'est pas fonctio
de ces névroses, elle n'y a pas d'autre signification que chez les
sujets
normaux. En somme, elle n'a de valeur comme signe
ent sur l'enfant une sorte d'intimidation. Cela est si vrai que tel
sujet
qui n'est pas sug- geslionnable aujourd'hui pou
- SOCIÉTÉS SAVANTES. 29& Clique, il faut distinguer entre les
sujets
. Les enfants sont vicieux, indisciplinés, inatt
1° Epreuves d'admissibilité. Epreuve écrite de trois heures sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie ; 2° Epreuve définit
de famille ou autre, en possession de documents intéressants sur le
sujet
, notamment de ces faits si courants d'influence
n- firmité qui visiblement devoit durer toute sa vie i. « J'étois
sujette
, éci it-elle, à de grandes migraine ? et à des ma
e-ci se soit produite par autosuggestion. L'hysléro-neurasthénie du
sujet
, sa crainte d'avoir offensé Dieu, son ardent dé
2 juillet, il lui prit « une fort grande colique à quoi elle étoit
sujette
». Elle assista à Vêpres avec un visage de mort
de Port-Royal parle des « fréquentes maladies auxquelles elle était
sujette
3 ». « Quelque tems après ma profession (1660,
s), je me trouvai dans un accablement d'esprit épouvantable sur des
sujets
qui n'avoient rien de commun avec la signature. J
able. Les auteurs toutefois s'entendent pour admettre que, chez les
sujets
atteints de celte maladie, il existe une certai
périmentales conduites avec toute la prudence que réclame un pareil
sujet
. Une première tentative faite dans cet ordre d'
hé à démontrer la nature morbide du cas. Il reprend l'étude de ce
sujet
dans un travail des plus intéressants et des pl
hallucination est dite unilatérale lorsqu'elle est localisée par le
sujet
dans une seule des moitiés symétriques -d'un même
sens peuvent être affectés isolément ou simultanément chez le même
sujet
et dans ce cas l'ouïe et la vue sont intéressés d
riphérique, l'existence de sensations subjectives, l'état mental du
sujet
, et des divers facteurs psychiques qui peu- ven
dius, en passant par l'olécrane. Les explorations ont porté sur 4
sujets
: elles ont été faites dans le sens longitudina
contacts dissemblables que deux contacts semblables. Chez tous les
sujets
étudiés, et chez les quelques personnes examiné
SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 4° La sensibilité même de chaque région est
sujette
à des variations assez considérables : non pas
s ont compliqué les crises après l'échéance de la puberté. Ils sont
sujets
à des rêves érotiques coïncidant avec les série
la suite de recherches entreprises avec M. Vas- chide soit sur des
sujets
sains, soit sur des aliénés, au sujet du rôle d
c M. Vas- chide soit sur des sujets sains, soit sur des aliénés, au
sujet
du rôle de l'image motrice dans la vie sexuelle
e contemplation amou- reuse pure, toute idéale, et dans laquelle le
sujet
est tout sensibi- lité, consiste précisément da
des syllabes, des sons et des mots est sérieusement atteinte. Leurs
sujets
aphasiques n'avaient presque pas de mémoire imm
se fixer plus facile- ment dans la mémoire des aphasiques. Chez un
sujet
atteint d'aphasie traumatique la mémoire immédi
upérieurs forme la base de l'orientation dans la vie quotidienne du
sujet
. Deux groupes sont à distinguer, a : Sensations
pace angulaire. Dans le second, toute mesure est impos- sible et le
sujet
s'oriente à l'aide d'un système de plans définis
la méningite syphilitique (basilaire). Dr B. Mouravieff relate au
sujet
du cas du rapporteur un cas de méningite infect
ons trop approuver MM. Meige et 1<'ein(le] qui, envisageant leur
sujet
sous son double aspect somatique et men- tal, é
façon précise, à cause de la grande variabilité du phénomène d'un
sujet
à l'autre et chez le même sujet. Il en est de mêm
rande variabilité du phénomène d'un sujet à l'autre et chez le même
sujet
. Il en est de même de la des- cription des symp
passons maintenant à l'analyse du matériel clinique, qui a servi de
sujet
au travail actuel; nous nous sommes servis des
auditive; 2" Un état habituel d'attente anxieuse, dans lequel le
sujet
se sent sans cesse comme sous la menace d'un évén
d'angoisse et la neurasthénie se trouvaient présentes chez un même
sujet
, par une de ces associations morbides qui fréqu
nie et névrose anxieuse puissent évoluer parallèlement chez un même
sujet
; et voici une observation à titre d'exemple, où
de Kisch, dont j'ai résumé les observations dans mon travail sur ce
sujet
. Tout récemment, M. Pierre Janet, à propos just
, il se réveille aussitôt. Depuis novembre dernier, il est en outre
sujet
à des troubles intestinaux, crises de coliques,
e de ces hallucinations qui se transmettent par suggestion chez des
sujets
prédisposés. En 1661 (vingt-sept ans), Pierre T
st ce qui m'a conduit à choisir les religieuses de Port-Royal comme
sujets
d'observation. ' Recueil de pièces, etc,. Lettr
uer qu'elle ne pourrait être comparée qu'à la moyenne de la vie des
sujets
yant cléjU atteint Page où les reli- gteuses pr
, c'est leur fréquence et, pourrait-on dire, leur banalité. Trop de
sujets
ont eu des obsessions, faibles et éphé- mères,
op de sujets ont eu des obsessions, faibles et éphé- mères, trop de
sujets
ont de légères modifications morphologi- ques d
pendant le sommeil semble due chez l'individu' normal comme chez le
sujet
atteint de paralysie faciale, à un relâchement
rouble de l'attention et jette la distraction dans l'état mental du
sujet
{Revue neurologique, sept. 1902). E. B. XXXI. R
nt la mort. La physionomie pathologique s'est trouvée brisée et les
sujets
ont acquis la fonction parfaite de leurs mouvemen
ontre assez souvent ; celles qui les réunissent sont à coup sûr des
sujets
d'élite, et pourtant elles sont moins appréciées
25 dans une asiles d'aliénés. 467 salle d'aigus, de malades ou de
sujets
affaiblis, mais peut aller jusqu'à quarante dan
que en l'absence de tout autre signe d'hystérie. Ils demandent à ce
sujet
l'opinion de la Société. MM. IlAi31NsKi, Raym
llement par une série de modifica- tions dans le système nerveux du
sujet
. Ces modifications varient selon le degré de l'
jourd'hui pourra l'être le lendemain au plus haut degré, et que tel
sujet
qui sera réfractaire à l'influence - d'un indiv
En réalité, la puissance de la suggestion n'acquiert chez certains
sujets
une telle inten- sité que parce qu'ils se sont
après l'accouchement. Le com s des obsessions morbides est toujours
sujet
à des oscillations; les exa- cerbations et les
intéressantes au double point de vue clinique et psychologique. Les
sujets
qui en sont atteints vivent dans un état perman
ées. Les phobies systéma- tisées accidentelles surviennent chez des
sujets
moins dégénérés, à un âge plus avancé (de 30 à
rvalle, préoccupe plus ou moins, dans l'interparoxysme, l'esprit du
sujet
, ce qui arrive dans la majorité des cas. MM. Pi
etc. Il résulte des recherches des auteurs que les femmes sont plus
sujettes
que les hommes aux obsessions dans la proportio
iaute, rappelant l'enquête provoquée par la Revue de psychiatrie au
sujet
du maintien des alcoo- liques dans les asiles,
n asile d'aliénés n'était qu'un hôpital, où on ne devait garder les
sujets
que pendant qu'ils présentaient les troubles me
é mentale. Cependant il existe des circons- tances indépendantes du
sujet
qui peuvent jouer un rôle provocateur évident.
es convulsions à plusieurs reprises dans son enfance, et elle était
sujette
à des colères violentes dans lesquelles elle se
ar la vue des chiens, pendant toute sa vie sexuelle : et elle a été
sujette
à des rêves spéciaux, qui n'ont cessé que envir
provoqués par des causes psychiques; de se succéder chez les mêmes
sujets
; troubles ne retentis- sant pas gravement sur
roduite par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
et de dispa- raître sous l'influence exclusive
'étant pas susceptibles d'apparaître par suggestion chez certains
sujets
et de disparaître e2tièreme2G pa· e·sacasaon. 5
par leur définition : L'hystérie est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve capable de s'aulo-suggestionner,
a définition de l'hypnotisme : « C'est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve susceptible de subir la suggesti
nne de l'hystérique la définition suivante : Un hystérique est un
sujet
qui a un appareil hyslé ? -ogè ? 2e très développ
bilité de traiter facilement par les bains tièdes les agités et les
sujets
atteints d'eschares. Abondance des locaux pour
lon est, dans chaque division d'hommes et et de femmes, affecté aux
sujets
des catégories suivantes : 1° Tranquilles, pens
quilles ayant besoin d'une surveillance continue ; 3° Agités ; 4°
Sujets
à isoler. Aliénés criminels. Entre les deux gro
s susceptibles néanmoins d'être traités par le repos au lit, et aux
sujets
qui cherchent à s'évader. Ils ne sont pas complè-
ce cabinet médical '. Le premier étage du pavillon est destiné aux
sujets
plus tran- quilles qui ont besoin d'être survei
eurs), mais ne doivent pas être considérées comme des cellules pour
sujets
dangereux : les vitres sont d'ailleurs celles d
z spacieuse où l'on place les malades qui doivent garder le lit :
sujets
inconscients, paralysés dont on veut épargner la
t par suite de la centralisation des quartiers, on constate que les
sujets
tranquilles bénéficient de la suppression d'imp
de femmes : · 1° Salle de surveillance pour aliénés tranquilles et
sujets
à idées de suicide, avec surveillance continue
Les trois parties du sommier sont réunies entre elles afin que les
sujets
agités, qui arrachent et déchirent leur literie
s moyen, une couverture de laine et des draps. Les lits des malades
sujets
à des attaques convulsives peuvent être munis d
es de persécution se sont développées aussi. La débilité mentale du
sujet
est le facteur étiologique de tous ces troubles.
fixes, immuables comme on le voit, mais qu'elles sont au contraire
sujettes
à de grandes oscillations de leur état intensif
ki). h1. G. M : 1RINRSCO. -J'ai étudié le réflexe plantaire sur 190
sujets
, dont 130 atteints de maladie organique du syst
tème nerveux, 45 normaux adultes et la enfants nouveau-nés. Sur 100
sujets
atteints d'hémiplégie organique j'ai trouvé le
les autres cas. Je ne l'ai jamais trouvé à l'état normal sur les 45
sujets
que j'ai examinés, au moins avec les caractères
le lecteur comme ils ont trompé l'auLeur même. Hypnotisé par ses
sujets
, M. Trenga semble n'avoir plus rien vu d'autre au
de NissI, de Golzi) encombrant un cadre déjà trop restreint pour le
sujet
. Troisième partie : physiologie du cerveau. A n
ier ordre que chacun devrait avoir, et surtout devrait lire, car le
sujet
nous touche essentiellement et certes, cette le
rman en félicitant l'orateur, ce discours touche à une multitude de
sujets
, et par là, comme la plupart de ceux qui l'ont
e - cérébro- spinale à streptocoque et à sta- phylocoques chez un
sujet
atteint du mal de Polt fistuleux, par Gui- ba
alement allusion à ces événements dans son Histoire des animaux. A ce
sujet
, il s'exprime ainsi : « La femme n'a pas de poils
ujours au musée de Stuttgard, n'a pu obtenir aucun renseignement à ce
sujet
; ces portraits ont disparu. On craint qu'ils n'ai
leur amour du merveilleux, pourquoi vous ingénier à leur donner, à ce
sujet
, des explications qu'ils ne vous demandent pas ?
ladies nerveuses, l'épilepsie parfois, l'hystérie souvent. Lisez à ce
sujet
les statistiques des ouvrages de mé-decine, vous
« Sans être pour cela maladive, écrit M. Henri Lasserre, elle était a
sujette
aux oppressions d'un asthme qui la faisait souffr
yant de leur fournir quelques indications. Mais avant d'aborder mon
sujet
, je demanderai la permission de donner quelques d
es six cas possibles un seul amène le point 6. Voici maintenant, au
sujet
des épreuves répétées, une loi énoncée par Jacque
est affirmatif ou négatif, ils exécutent ou n'exécutent pas l'acte au
sujet
duquel ils restaient dans l'irrésolution. M. BÉ
incre. » Il devait aussi s'habituer à regarder la mort en face ; à ce
sujet
, un écrivain japonais Kinso, formule le précepte
présentations de femmes viriles ou d'amazones. Dans certains cas, les
sujets
empruntent leurs attributs aux deux sexes, comme
te monnaie de Magnésie de Sipyle où l'on trouve associés, sur le même
sujet
, de la barbe et des allures viriles, avec le cost
stume pourraient justifier l'opinion qu'on se trouve en présence d'un
sujet
féminin. Mais faute de preuves plus convaincantes
nous nous rallions aux prudentes réserves qui ont été formulées à ce
sujet
par M. Perrot. Un cerlain nombre des images vot
proviennent de l'art phénicien. Par l'arrangement de la coiffure, ce
sujet
peut être rapporté à une femme, mais par les trac
e très remarquable (Fig. 74.). Le décorateur de ce vase a donné à son
sujet
un corps dont l'aspect très féminin contraste ave
e qui tendent à prouver que les artistes anciens avaient la notion de
sujets
chez lesquels la sexualité féminine était compati
ses yeux le cercueil de son amant. Comme on le voit, chez ces deux
sujets
, une vision réelle avait été le point de départ d
avoir éprouvé un aura, ou même sans préliminaire bien appréciable, le
sujet
cesse de parler et demeure immobile II se trouve
s le pouls reste normal, si même il ne diminue pas de fréquence. Le
sujet
se réveille lentement, pousse un soupir, et parai
qu'aujourd'hui on peut faire à volonté et étudier facilement chez des
sujets
endormis. En effet, on peutà certains hypnotisé
la surface crânienne et le front sont presque toujours découverts et
sujets
à toutes les variations atmosphériques, on pourra
esque une communication préventive que je présente aujourd'hui sur ce
sujet
. Je me propose de la détailler lorsqu'une série d
ypnotiseur se sert souvent de sa main pour agir sur l'hypnotisé ou le
sujet
. II appuie sa main tantôt sur les épaules du suje
l'hypnotisé ou le sujet. II appuie sa main tantôt sur les épaules du
sujet
, tantôt sur son front ou ses yeux, tantôt sur un
veux de l'enfant Indiscipliné, et basée sur l'examen psychologique du
sujet
. Chaque cas doit être abordé comme un problème de
amille. Chaque circonstance, heureuse ou malheureuse, devenait à leur
sujet
, l'occasion d'une prière, d'un vœu ou d'une libat
dans leurs mains les mêmes symboles tutélaires. Vus de dos, les deux
sujets
représentent exactement deux sœurs jumelles (fig.
le moyen-âge, les idées superstitieuses se sont donné libre cours au
sujet
du diable et de ses influences pernicieuses. Heur
que l'enfant tombât en extase. De même que Charcot en donnant à un
sujet
hypnotisé l'attitude de la prière, les mains join
la prière, les mains jointes, à genoux, les yeux au ciel, mettait son
sujet
dans une crise d'extase ; de même il fallait que
il y a chez elle obnubilation des sensations : Que lisons-nous à ce
sujet
dans les livres précités? Un jour le commissaire
de douleur. M. Henri Lasserre et Mgr de Ségur crient au miracle à ce
sujet
: ils ont tort; l'insensibilité est de règle : l'
e. De môme, la perception de certaines odeurs entraine, chez certains
sujets
, des phénomènes nerveux des plus intenses. La pre
i consiste à ordonner de dormir, car il s'adresse à l'intelligence du
sujet
, et non plus seulement à ses sens matériels. Le
est des spectacles qui, suivant l'expression courante, hypnotisent le
sujet
, et le font passer, sans qu'il s'en puisse défend
nsmettre avec moins d'intensité leurs impressions à la conscience. Le
sujet
n'a plus conscience d'une légère douleur physique
avaient charmé même les gendarmes, que l'on prétend sans pitié. Le
sujet
se trouvant en hypotaxie, la pensée de l'auteur s
e passe chez le mélomane se passe avec une intensité moindre chez les
sujets
moins entraînés; mais il n'y a là qu'une question
eaucoup d'animaux, et c'est une de celles qui rencontrent le moins de
sujets
réfractaires. De l'influence des impressions
teneur. Depuis que les phénomènes de la suggestion sont devenus le
sujet
d'études approfondies, l'influence psychologique
nfants? Revue de l'Hypn., numéro 7, 1904. L'article russe sur le même
sujet
est publié dans les Travaux de la Société des Nat
e vis pour la première fois le "28 mai 1904 et le trouvai un fort bon
sujet
pour l'hypnotisme. Il devint somnambule, dès le c
nt » qui « légitime bien son travail ». Nous entrons dans le vif du
sujet
avec l'étude de l'écriture dans la paralysie géné
accusés sont trop concordants pour qu'il y ait le moindre doute â ce
sujet
. Indépendamment des actes d'abjuration, des bai
marquables par les figures idolâ-triques dont ils étaient ornés. A ce
sujet
, M. Babelon, le savant conservateur du Musée de m
Esteldorf, qui remonte à 1513. ainsi que les détails qui entourent le
sujet
principal, indiquent assez nettement que le culte
tte pleurait parce qu'elle voyait la figure de la Vierge attristée au
sujet
des pauvres pécheurs. Mais, lui-même, dans d'autr
e errait sur ses lèvres. Nous pouvons citer de nombreux textes à ce
sujet
: « Et les assistants virent deux grosses larme
surviennent souvent à la suite d'un accident qui a vivement frappé le
sujet
et déterminé chez lui un sentiment de crainte.
nettement objectives des phychasténiques. Les idées qui hantent ces
sujets
sont abstraites et générales. « Elles sont toujou
bit la force nerveuse extériorisée relativement à l'état de santé des
sujets
. Par M. le Dr Joire. Préside:.- de la Société Uni
variations qui indiquent la capacité personnelle d'extériorisation du
sujet
et qui peuvent aussi être influencées accidentell
entes influences qui s'exercent momentanément sur l'état psychique du
sujet
. Quoique ces chiffres n'aient donc pas une vale
ots à indiquer le caractère dominant chez chaque malade. Le premier
sujet
de cette catégorie est un homme de 45 ans, attein
30°, Main gauche -f- 25". La dernière formule est bien normale; le
sujet
ne présentant aucune affection nerveuse que la ne
sement), mais il est beaucoup plus considérable que chez les premiers
sujets
, et, chez tous, cela est dû à l'abaissement énorm
t dépassés, comme s'il se faisait une oscillation qui ramène enfin le
sujet
à une formule normale à la 5e épreuve. Nous avo
Bienvenu-Martin, s'est déclaré favorable à la proposition. Mais, à ce
sujet
, nous nous rappelons qu'une caisse de recherches
e a une époque très ancienne, ainsi qu'en témoigne le costume dont le
sujet
est revêtu (fig. 91). On a pu la voir à l'Exposit
re toute proche (1). Nous ne demandons ni enquête ni expertise à ce
sujet
: nous ne regrettons qu'une chose, c'est que, pou
it et malgré nos instances, elle ne voulut plus ouvrir la bouche à ce
sujet
. L'Avenir de Lourdes. — Depuis longtemps la pet
difficultés qui se présentent dans l'application de l'hypnotisme aux
sujets
qui se montrent plus ou moins rôfractaires. Dis
otis les travaux, nombreux et convaincants, présentés ici même sur ce
sujet
. Je rappelle que j'ai proposé de dénommer la sugg
ingulier qui s'exhibait dans les foires sous le nom d'homme-momie. Ce
sujet
, dont nous donnons ici deux photographies, fut ét
leçon d'ouverture sera faite par M. le Dr Paul Magnln. Elle aura pour
sujet
: La Psychothérapie. A cette occasion, voulant
autre une jeune femme au visage normal. Ce sont des dieux Lares. A ce
sujet
, nous émettions l'opinion que l'artiste avait pu
dation judiciaire définitive. C'est à ce moment que la mentalité du
sujet
, longuement suggestionnée se manifestera avec tou
trémité des doigts recourbés en crochet. Elle a pour but d'imposer au
sujet
dont on examine les réflexes rotuliens, un effort
faite par le Dr Bérillon, médecin-Inspecteur des asiles d'aliénés. Le
sujet
traité : La psychologie du courage et l'éducation
à partir du 13 janvier. Le programme de ces conférences comprend des
sujets
variés, se rapportant à toutes les questions de p
odiapolsky, président de la Société des naturalistes, avait pris pour
sujet
: La suggestion et les troubles vaso-moteurs cuta
tion des vivants, par Joseph de Ribéra ». Curieux et singulier par le
sujet
, ce tableau du grand Valencien n'offre pas, au po
rvation psychologique d'une rare puissance. Ribera, en peignant son
sujet
, a vu ce que nos nombreuses observations ont conf
de faiblesse ou d'infériorité. Témoins les quelques cas suivants, au
sujet
desquels j'ai été consulté. I. — Le jeune X, âg
lequel conseillera l'hypnotisme, à, titre d'adjuvant, pour obtenir du
sujet
l'assouplissement, la persévérance et la docilité
cheval. Mais jusqu'alors nous entendons par hypnotisme, la mise d'un
sujet
dans un sommeil relativement profond, or, vous no
ut aucun mal, lentement il captera sa confiance, il obtiendra que son
sujet
abandonne sa résistance naturelle, se résigne, se
s que soient leurs talents, d'imposer immédiatement leurs volontés au
sujet
qu'ils approchent et alors ils n'obtiennent aucun
décidé la création d'une Bibliothèque de l'Ecole de psychologie. A ce
sujet
, pour bien préciser l'idée qui nous a inspirés, j
s, Il est d'usage que, le jour de la réouverture de cette Ecole, le
sujet
traité devant vous soit d'ordre un peu général.
n importance. La simple énonciation d'une idée suffira pour que tel
sujet
l'adopte. Tel autre résistera davantage et il vou
e malade représente un terrain spécial ; lasug-gestibilité varie d'un
sujet
à l'autre. Nul ne ressemble complètement à son se
sain d'esprit possède une faculté de contrôle. Elle est, suivant les
sujets
, plus ou moins développée soit, mais elle est. On
de la suggestion ou de la persuasion, quand ce ne serait qu'avec ces
sujets
qui, à l'état de veille, ont une faculté de contr
irer de l'isolement dans le traitement de l'hystérie, chez les jeunes
sujets
principalement. Il nous a indiqué comment, à l'ai
moyen d'excitations mécaniques faibles et répétées aussi bien sur des
sujets
hypnotiques qu'en dehors de toute somniation prov
iable (de quelques secondes, à dix, vingt minutes et plus suivant les
sujets
), j'observais le retour de la sensibilité à la do
ions faibles et répétées. Le temps nécessaire variait seul suivant le
sujet
observé. Même résultat si, au lieu d'agir sur l
sensibilité spéciale. En dehors de l'auto-suggestion de la part du
sujet
et de la fixation de son attention, il faut, dans
ions frontales. En mars 1905, à la même société, il revenait sur ce
sujet
et faisait voir comment ce procédé permettait d'a
f sur le cerveau et aussi une sorte de dissociation de l'idée fixe du
sujet
qui le subit. On profite, dit M. Dubois (de Saujo
s, qui avaient lieu chaque semaine, dans le palais episcopal, sur des
sujets
imprimés et distribués à l'avance à tous les prêt
, se rappeler qu'à vouloir aller trop vite on n'obtient rien. Chez un
sujet
tel que Bernard, il faut procéder graduellement ;
d'impuissance. Elle existe fréquemment à l'état d'ébauche chez les
sujets
normaux qui présentent, ainsi que le fait observe
l'exprime si justement Oontet, imprègne tous les actes. Beaucoup de
sujets
ayant à faire un effort de quelque durée s'en déc
igué qu'en se mettant au lit. Ici l'idée de fatigue prédomine chez le
sujet
au moment de l'entrée en sommeil et cette autosug
igue suggérée se produit habituellement pendant l'effort. Lorsqu'un
sujet
suggestible prend part à un exercice collectif, l
lui u coupera les jambes ¦. Si, au contraire, il est en compagnie de
sujets
gais qui chantent ou tiennent des propos qui l'in
fatigue physiologique seule. Ces phénomènes déjà appréciables sur un
sujet
normal s'exagéreront considérablement chez un psy
ire que ces diversions ont donné, à proprement parler, des forces aux
sujets
en exercice, qu'elles ont produit instantanément
vraie », de fatigue physiologique, laquelle, malgré la conviction du
sujet
, est bien loin généralement d'avoir épuisé son ca
terminant par action réflexe des réactions qui peuvent être, selon le
sujet
, de l'énergie ou de la stupeur. (2) 1 vol. in-1
oadya et Hanna qui vit Jésus. Enfin, comparant entre eux ces divers
sujets
et rassemblant leurs traits communs, le Dr Binet-
du professeur Gros, dont il était l'interne, il avait pu observer un
sujet
chez lequel on pouvait provoquer des saignements
Manuel du M&gnêtiseur du Dr Teste, il essaya de plonger quelques
sujets
en état de catalepsie et de somnambulisme. A son
entendu et il eut bientôt à sa disposition un nombre considérable de
sujets
. Pendant quatre années, il soigna gratuitement
iété de Médecine de Nancy, revenue de ses préventions d'antan, quatre
sujets
sur lesquels il réalisa un certain nombre d'expér
llait attribuer la production du sommeil à l'effort que faisaient les
sujets
pour fixer leur attention sur ses yeux, et à leur
avec un accent convaincu, impriment progressivement dans l'esprit des
sujets
d'idée de dormir, idée qui ne tarde pas à se tran
le cours de ce sommeil provoqué, on détermine par suggestion, sur les
sujets
endormis, une foule de phénomènes psychiques et p
et physiologiques ; 3° Enfin, par l'injonction de se réveiller, les
sujets
sortent de l'état passifoùon les a mis. Pour Liéb
degrés de l'hypnotisme, basée sur les différences que présentent les
sujets
dans le pouvoir de faire des efforts d'attention
attention sur la possibilité d'obtenir, chez un assez grand nombre de
sujets
, l'état d'hypno-tisme fortuit, ce qui se rencontr
ment enfantines, décelant une profonde ignorance de la question. A ce
sujet
, le professeur Spehl disait : « Ces adversaires
difficiles à réaliser, et pourquoi ne se manifestent-ils que sur des
sujets
privilégiés, sinon introuvables ? Quant à la té
suggestion. Voici la manière de procéder qui peut être employée. Le
sujet
provoque chez lui l'idée de veille passive. Quand
lunté pour s'ordonner quelque chose, mais l'elTortest si petit que le
sujet
reste toujours à l'état de veille passive. Quand
ésultats. En général, j'ai toujours recherché quelle était chez mon
sujet
la mémoire la plus développée (visuelle, auditive
nts communiqués les images motrices qui semblent faire défaut chez le
sujet
. On emploiera concurremment avec les autres moyen
e M. le Professeur Brissaud, M. Dubois {de Saujon) ont développées au
sujet
du traitement des lies. Elles ont en effet un lie
ements et les mouvements d'immobilisation. D'une part, inculquer au
sujet
l'idée de la réalisation possible du repos absolu
ière appartiennent les actes conscients, volontaires, libres, dont le
sujet
est responsable; à la seconde, les actes inconsci
i seul un élément suggestif : par la suggestion à laquelle il rend le
sujet
sensible précisément en désagrégeant les deux psy
r l'hypnotiseur, dans les centres psychiques inférieurs désagrégés du
sujet
, d'une idée de guérison qui remplace l'idée de ma
rasset n'admet pas la suggestion vraie à l'état de veille complet. Le
sujet
suggestionné soi-disant éveillé est en réalité en
ale qui fait échec à la volonté. Mais il faut, pour le succès, que le
sujet
ait conservé une volonté saine et forte qui agit
de psychisme par l'hypnose, il faut s'adresser à l'autre psychisme du
sujet
et amener par des raisonnements, par des conseils
ordinairement la note dominante de l'état psychologique individuel du
sujet
. Il est un des fondements de sa personnalité. Dès
ments de sa personnalité. Dès l'enfance, on pouvait constater chez le
sujet
une tendance à l'apathie, à l'irrésolution, à la
é ne change pas son état mental. II obéit aux mômes incitations qu'un
sujet
normal à l'état de veille, il a simplement moins
cette suggestibilité peut devenir pathologique. Tel est le cas de ces
sujets
hyper-suggestibles, chez lesquels l'impressionnab
te sur ce point, on s'adresse, dans ce cas, à la raison du malade. Le
sujet
discute encore les idées qu'on cherche à lui incu
vous parler en terminant, de la suggestion impérative. C'est là un
sujet
familier à la plupart d'entre vous. M- Bérillon v
sont au nombre de six. Il faut : 1° Faire l'examen psychologique du
sujet
. 2- Faire le diagnostic de la suggestibilité.
érapeute à connaître la puissance d'attention dont pourra disposer le
sujet
sur lequel il expérimente. Ce premier temps de l'
r obtenir une transformation morale, la première condition est que le
sujet
soit hypnotisé. Quand il n'est pas hypnotisé, il
ace que celles qui ont été tentées par les divers éducateurs. 4* Le
sujet
étant hypnotisé, lui imposer la direction morale
'à ce que le cran d'arrêt soit gravé mécaniquement dans le cerveau du
sujet
. On déterminera la limite où doit se contenir son
ion. 6" Terminer l'opération psychologique par le réveil complet du
sujet
soumis a l'influence de l'hypnotisme. « Depuis
e, deviennent d'une efficacité remarquable lorsqu'ils le sont chez le
sujet
dans l'état d'hypnotisme. C'est sur cette constat
allait avoir soin de s'assurer du réveil très complet du malade. A ce
sujet
, laissez-moi vous faire en terminant une remarque
ontré les premiers que le mode d'excitation susceptible de plonger un
sujet
dans une des phases de l'hypnose peut aussi l'en
réalisation de l'expérience. En effet, la suggestibilité normale d'un
sujet
peut varier d'un moment à l'autre, sous l'influen
certain nombre d'observateurs ont été amenés à la réaliser, chez les
sujets
énervés et parcela même réfractaires à l'hypnose,
jection de trois ou quatre dixièmes de milligramme de scopolamine, le
sujet
est pris d'un besoin de dormir analogue à celui d
pnotique et il n'est plus nécessaire d'y recourir pour obtenir que le
sujet
se laisse hypnotiser avec la plus grande facilité
sychologie A titre d'épilogue, je désire vous dire quelques mots.au
sujet
d'un jeune virtuose dont je vous ai déjà entreten
M. X. est considéré par son professeur et par ses camarades comme un
sujet
très remarquable. A la classe ou dans l'intimité,
le qu'il serait bien facile de fausser ou de forcer. Il aurait été un
sujet
parfait pour un magnétiseur de cirques, qui aurai
iseur de cirques, qui aurait vite fait de le détraquer. Le second
sujet
appartient au môme Patronage. C'est un garçon de
malade à médecin; n'importe qui peut en faire autant. Je réveille le
sujet
, et je prie l'un des assistants de s'approcher, d
cette séance, que je vais le délivrer de cette infirmité. Voici le
sujet
endormi. Je lui ordonne de la façon la plus nette
roit et l'on répète communément que le traitement hypnotique prive le
sujet
de sa volonté et le met à la merci de tout endorm
es aliénés proprement dits, on rencontre des dégénérés, des individus
sujets
à des impulsions morbides momentanées, ou atteint
notisme, provoqué d'une manière involontaire et toute fortuite sur un
sujet
extrêmement hypnotisable. Celte conférence eut
sé. La seule différence entre l'état d'hypnotisalion réalisé sur un
sujet
par un hypnotiseur et celui qui apparaît chez l'h
aralysie dans les organes producteurs de l'énergie excito-motrice. Le
sujet
se trouve, pour peu que l'intimidation soit quelq
partielle, aux paralysies psychiques si faciles à provoquer chez les
sujets
plongés dans l'état d'hypnotisme. Ce qui justif
est la condition essentielle de la production de l'intimidation. Les
sujets
qui accusent de la timidité à un degré manifeste,
sentira profondément troublé et perdra contenance. Pour le timide,
sujet
toujours en instance d'hypnotisalion. le monde es
d'hypnotisation ne provoquent pas des effets identiques chez tous les
sujets
, de même les timides réagissent d'une façon diffé
ous sommes lentes de dire, de les déshypnoliser. Enfin, chez certains
sujets
, la timidité semble affec ter le passage à l'état
'étal admiratif est par cela même, déjà quelque peu fasciné. Tous les
sujets
hypnotisables, et Us sont légion, auxquels on off
surtout au point de vue professionnel. Après avoir constaté que ces
sujets
sont très hypnotisables. nous arrivons assez faci
arfois quelque chose là-dessus. Ceux qui émettent des opinions sur ce
sujet
possèdent rarement une expérience réelle. » C'e
s ajouteront leur poids à celles que nous rencontrerons en parlant du
sujet
principal de ce travail, c'est-à-dire des idées d
u ; elles dévoilent l'existence d'auto-suggestions tyranniques que le
sujet
oublie, une fois revenu à l'état normal, mais qui
lors d'une visite dans l'établissement de son propriétaire. Le jeune
sujet
placé dans un angle de la pièce, sur la tablette
ares à observer ; c'est surtout la race des caniches qui fourmille de
sujets
qui font l'étonnement des spectateurs. J'ai connu
Vigouroux et Juquelier (l), si l'initiative de la répétition vient du
sujet
de qui la manifestation est répétée ; et ils oppo
s opposent ainsi la suggestion à l'imitation où l'initiative vient du
sujet
qui répète cette manifestation et à la contagion
Us recouraient à : i° L'imitation quand ils commettaient devant le
sujet
l'acte qu'ils désiraient lui faire accomplir. 2
ersuasion et le raisonnement qu'ils variaient suivant le caractère du
sujet
. Car du fait de son engourdissement cérébral, l
é ne change pas son état mental, il obéit aux mêmes incitations qu'un
sujet
normal à l'état de veille, il a simplement moins
sset : s Cela est d'autant plus important que suivant le caractère du
sujet
hystérique ou hypnotisé, un de ces moyens réussir
e débile et deux personnes âgées tombées en enfance. C'étaient quatre
sujets
qu'on ne pouvait espérer influencer. La méthode
La méthode employée consistait presque invariablement à persuader aux
sujets
qu'ils allaient dormir, en employant comme adjuva
, la Psychopathologie du tube digestif et traitera successivement les
sujets
suivants : influence des phénomènes moraux sur l'
lecluelle, mais aussi par l'impuissance dans laquelle se trouvent les
sujets
à faire acte d'initiative. C'est exacle- (1) Le
où il s'est trouvé intimidé suffise pour réveiller à nouveau chez un
sujet
, tous les effets de l'émotion déjà ressentie. L'h
ation s'accompagne d'angoisse, de souffrances morales, si elle met le
sujet
dans l'impossibilité d'agir conformément à son in
stion doit être varié aussi et adopté à la suggestibilité spéciale du
sujet
. La simple parole ne suffit pas toujours à impose
douceur. Car dans l'état de sommeil, l'individualité morale de chaque
sujet
persiste avee son caractère, ses penchants et son
On le voit, M. Dubois a paraphrasé. Tout a été dit avant lui sur ce
sujet
. Et l'on peut considérer son livre comme une cont
traire à la page 260 : « Je me ferais fort d'immuniser la plupart des
sujets
contre toute influence suggestive (dans le sens r
. Examinons ces cas-là un peu en détail afin de ne pas revenir sur ce
sujet
en parlant des autres troubles du polygone ou de
use, qui pour un rien éprouvait des palpitations ; elle était souvent
sujette
à des crises de larmes. Au point de vue de la rec
ait la séance d'hypnose. Si l'on pouvait se fier aux impressions d'un
sujet
— et il s'agissait ici d'une personne très intell
evient le vomissement habituel, périodique ou incoercible, lorsque le
sujet
se laisse monoïdéiser par la sensation présente:
dès l'âge de 13 à 13 ans, moment où apparurent ses règles, elle était
sujette
à de petits accès dont elle a conservé un souveni
e dont j'ai la direction. Je vous demande la permission d'entrer à ce
sujet
dans quelques détails. J'y trouverai l'occasion d
urent en grand nombre, sous le titre d'incurables, admises à vie, des
sujets
de tout âge affectés de maladies chroniques de to
. Permettez-moi de vous rappeler l'opinion formellement exprimée à ce
sujet
par un physiologiste illustre entre tous, Claude
é de façon à tromper le médecin. On croit généralement que si chez un
sujet
cataleptique un bras est étendu horizontalement,
éflexes tendineux des membres inférieurs. Est-ce une particularité du
sujet
, ou bien y a-t-il un état morbide d'excitation ré
que la question n'est pas si simple que cela. En somme, le malade,
sujet
de la leçon de M. Charcot, nous a donné amplement
rminations diathésiques. — Contracture d'origine traumatique chez les
sujets
qui présentent la rigidité spasmodique à l'état l
e, ainsi que je l'ai depuis longtemps fait remarquer ; ainsi, chez un
sujet
goutteux, rien de plus commun que de voir surveni
racture dans les circonstances qui viennent d'être racontées, chez un
sujet
connu pour avoir été affecté d'hystérie à un haut
ique. Ainsi, un traumatisme banal amène une contracture chez un jeune
sujet
qui, jusqu'à ce jour, n'a présenté aucun phénomèn
ntracture chez les hystériques, et, en dehors de l'hystérie, chez les
sujets
prédisposés par certaines lésions organiques. Nou
s les choses d'un peu près. L'existence d'un blé-pharospasme chez des
sujets
nerveux, hystériques, n'est pas une chose rare, q
, mais encore ceux qui meuvent le genou et la hanche. Évidemment, h s
sujets
chez lesquels la contracture d'origine arthropath
la contracture d'origine arthropathique se généralise ainsi sont des
sujets
prédisposés, et, à cet égard, ils peuvent être ra
ils peuvent être rapprochés des hystériques. Pour en finir avec ce
sujet
, il me reste à vous montrer que, 1. Dubrueil. —
supérieur et inférieur du côté gauche ; cela date de l'enfance, le
sujet
est épileptique, mais il s'agit d'une épilepsie d
eux modes d'affection spinale peuvent se trouver combinés sur un même
sujet
. Ainsi, dans le rhumatisme noueux, par exemple,
pas aujourd'hui dans l'histoire de la migraine ophthalmique, c'est un
sujet
qui nous occupera d'une façon toute spéciale, que
des femmes hystériques que nous avons observées, mais encore chez les
sujets
mâles dont nous parlerons bientôt. Elle consiste
ce de conformation des organes génitaux. Depuis quelques mois, il est
sujet
à des attaques qui reviennent presque tous les jo
urs idiols épileptiques, et un enfant avec des instincts dépravés. Le
sujet
en question, au contraire, est doux etintelligent
ons, en outre des autres circonstances de l'observation, que ce jeune
sujet
est atteint d'une céphalée persistante, avec un p
ons d'énoncer. Ce genre d'expérimentation est assez difficile sur les
sujets
normaux, à cause des douleurs déterminées par la
fond. Ces mêmes faits sont plus facilement étudiés, encore chez les
sujets
que l'on veut plonger dans la léthargie hypnotiqu
profiter de Y hyper excitabilité neuro-musculaire dont sont doués ces
sujets
, pour provoquer les mêmes mouvements, en irritant
opposant dans la paume de la main. Je vous ferai remarquer que sur ce
sujet
hyperexcitable, la main contracturée en flexion,
e longtemps après que la plaie est guérie. Sans doute aussi, chez des
sujets
à lésions organiques (sclérose descendante cérébr
e mise en jeu par un traumatisme banal, est remarquable chez certains
sujets
. J'avais observé depuis longtemps que certaines h
. La jeune fille a été déjà l'objet d'une étude attentive. Quant au
sujet
mâle que nous n'avions pas pu vous présenter l'au
présente à l'esprit la possibilité de la simulation dans laquelle les
sujets
tantôt exagèrent des symptômes réels, tantôt même
icien expérimenté en ces matières,? On croit généralement que si un
sujet
cataleptique est placé le bras étendu horizonta
re jeune malade, nous pensons l'appliquer point pour point, au cas du
sujet
mâle que nous allons maintenant considérer partic
e ri t qu'on ne serait porté à le supposer au pre- mier abord. Ce
sujet
de l'hystérie mâle est un de ceux auxquels les mé
ne compte pas moins de cinq dissertations inaugurales relatives à ce
sujet
spécial présentées à la Faculté de Paris de 1875
rée. Mais vous ne devez pas vous attendre à trouver réunis, chez un
sujet
mâle, ce grand concours de phénomènes. La névrose
me capable de la maintenir pendant le sommeil profond. Or, chez notre
sujet
, celte altitude est conservée pendant le sommeil
marqué par un début brusque, de ceux qui appartiennent 1. Voir à ce
sujet
un intéressant article de M. le Dr Bouilly. In Ar
tique, qui nous a occupés dans les deux dernières leçons. C'est là un
sujet
dont l'intérêt pratique ne saurait vous échapper,
mamelle qu'il se développe. On peut le voir encore survenir chez des
sujets
atteints de cancer stomacal et dans d'autres circ
ase. 3° Quand il s'agit d'une névralgie intense et durable, chez un
sujet
à l'âge du cancer, cette persistance et cette int
iques, si les nerfs ne sont pas eux-mêmes atteints. II. Le deuxième
sujet
que je vous présente est un exemple d'une affecti
pût écrire couramment, il ne savait pas lire. Nous entrerons, sur ce
sujet
, dans de plus longs détails, dans un instant. P
ulement comme vraisemblable, dans l'état actuel de la science, sur ce
sujet
. Cette localisation, d'ailleurs, pourra nous re
illies elles-mêmes qu'avec réserve, la première en raison de l'âge du
sujet
, la seconde par ce fait qu'il n'existe aucune tra
magery de Galton 1) — formes et couleurs, survenue subitement chez un
sujet
, qui jouit, comme on le verra, même après l'accid
X. pourrait se passer de tout commentaire ; nous nous bornerons à son
sujet
, à de très courtes remarques. On a vu que la gr
onne progressive. Je me propose d'utiliser ces cas et d'entrer à leur
sujet
dans quelques développements relativement à cette
, brave homme d'ailleurs, mais dont les fréquentes incartades sont le
sujet
de vives querelles dans le ménage. On ne trouve
pressionne fortement l'imagination, favorise singulièrement, chez les
sujets
prédisposés, l'apparition de l'hystérie. Parmi to
enfin, elle vous indique clairement tout le danger, surtout, chez les
sujets
prédisposés, des pratiques superstitieuses, — les
nté en Allemagne et en Angleterre. Messieurs, Avant de revenir au
sujet
principal de nos études actuelles, je crois utile
ai l'intime con- viction que l'hystérie naissante, surtout chez les
sujets
jeunes, et particulièrement chez les mâles, pourr
uable de l'isolement dans le traitement de l'hystérie chez les jeunes
sujets
, y compris les jeunes filles nubiles, je pourrais
otre attention sur cette influence curatrice de l'isolement; c'est un
sujet
sur lequel j'aurai, d'ailleurs, l'occasion de rev
t complètement abolis : on pouvait impunément mettre sur la langue du
sujet
du sulfate de quinine ou de l'aloès, sans qu'il y
mille, car il n'y a rien de bien sombre dans tous ces l.Voir sur ce
sujet
: 1° ttourncville et Regnard, ¡conoqr.photogv.de
aujourd'hui de l'hystérie chez l'homme, et pour mieux circonscrire le
sujet
, nous considérerons l'hystérie mâle plus particul
et, nous considérerons l'hystérie mâle plus particulièrement chez les
sujets
adolescents ou de la force de l'âge en pleine mat
ie ou hysléro-épilepsie à crises mixtes. Si je me décide à aborder ce
sujet
, que j'ai touché bien des fois déjà, c'est que no
M. Batault qui prépare, dans noire service, un travail spécial sur ce
sujet
, a pu rassembler 218 cas du même genre dont 9 app
reconnaît que, suivant toute vraisemblance, il n'existe pas, chez ces
sujets
, de lésion organique. Yoilà donc des malades to
sorte, calqués sur le précédent, cela nous dispensera d'entrer à leur
sujet
dans de très longs développements. Obs. II. — L
e. Depuis son enfance, il a peur dans l'obscurité, et la nuit, il est
sujet
à des hallucinations hypnagogiques, à des cauchem
alpêtrière (service de M. Luys). Peu après l'admission, G... devint
sujet
à des accès fréquents de coliques abdominales et
e matériel d'hystériques mâles est loin d'être épuisé. Trois nouveaux
sujets
vont successivement passer sous vos yeux ; au fur
s plus importants que fournissent ces observations. • Obs. IV. — Le
sujet
qui va vous être présenté ne rentre pas tout à fa
, d'un caractère plutôt gai et n'a jamais été peureux ; mais il était
sujet
à des accès de colère très violents, allant, dans
uelques jours plongé dans une sorte d'hébétude. Il commença à devenir
sujet
, la nuit, à des cauchemars très pénibles qui le t
on et que nous avons déjà rencontré d'ailleurs chez le premier de nos
sujets
, le champ visuel du rouge est plus étendu que cel
t, de façon à constituer une série plus ou moins nombreuse. Chez ce
sujet
, je me bornerai à relever la permanence et, en qu
ce fut longue, et pendant plusieurs semaines, il resta très affaibli,
sujet
à ressentir des crampes dans les membres inférieu
r vient un relâchement complet sans stertor. Mais, en ce moment, le
sujet
semble tourmenté par des rêves pénibles. Il revoi
» (?) ; son père est alcoolique. Une de ses sœurs, âgée de 16 ans est
sujette
à de fréquentes attaques de nerfs. C'est un jeune
il n'a pas appris grand chose à l'école. D'ailleurs il était peureux,
sujet
à des terreurs nocturnes. Au point de vue moral c
ès l'origine, sur les antécédents héréditaires assez significatifs du
sujet
, sur son état psychique et sur ses mœurs, sur les
même à l'état de veille, — nous avions reconnu au préalable que le
sujet
n'était pas hypnotisable — on pourrait la reprodu
quelque sorte, un défaut naturel plus ou moins prononcé, suivant les
sujets
, que, dans l'état ordinaire, vient corriger le je
isphères cérébraux que la présence de l'insuffisance aorlique dont le
sujet
est atteint, rendait assez vraisemblable, et nous
chemin en apparence détourné : je reviendrai une fois de plus sur un
sujet
qui nous a occupés déjà1, je veux parler de ces p
chaînons intermédiaires restent dans l'ombre. Evidemment, c'est là un
sujet
qui gagnerait beaucoup en précision comme en clar
l'expérimentation dans les cas de ce genre. Nous savons que chez les
sujets
plongés dans l'état d'hypnotisme, il est possible
bsolue, en général, qu'il est impossible d'entrer en relation avec le
sujet
hypnotisé et de lui communiquer par quelque procé
du sens musculaire. Seuls le geste, l'attitude que nous imprimons au
sujet
lui suggèrent l'idée que nous voulons lui transme
les précieuses indications de Duchenne (de Boulogne). Si, chez notre
sujet
, nous déterminons, par exemple, la contraction de
uggestion devenir l'occasion d'une certaine résistance, de la part du
sujet
. Il cède, dans tous les cas, et se soumet, pour p
ni. Aussi ne vous étonne-rez-vous point de voir qu'en inculquant à un
sujet
somnambu-lisé l'idée d'un état morbide, par exemp
de cette espèce d'entraînement qui se produit d'ordinaire chez les
sujets
fréquemment hypnotisés. D'ailleurs, je puis affir
ères leçons, chez nos deux hommes hystériques, Porcz... 1. D'autres
sujets
se soumettent à la suggestion sans protester : il
la moindre contraction, quels que soient les efforts qu'y emploie le
sujet
, à notre sollicitation. D'un autre côté, la sen
tes, la paralysie ne se fait pas attendre, si bien qu'en ce moment le
sujet
ne peut plus mouvoir ni son épaule, ni son coude,
parer la disposition qu'affecte le territoire d'anesthésie chez notre
sujet
hypnotisé, à celle qu'il affecte chez le malade P
e aussi que ces faits ne sont pas accidentels, formant l'apanage d'un
sujet
unique dans son genre, mais qu'ils peuvent, tout
s vous présenter, si le temps me le permet tait. Toujours, chez les
sujets
de ce genre, la paralysie du membre non atteint d
pour cela, ainsi que nous l'avons vu plusieurs fois, de persuader au
sujet
, au moment même où a lieu la suggestion, que le m
cas, chez les hystériques non anes-thésiques. C'en est assez sur ce
sujet
; j'en reviens maintenant à l'objet principal de n
sorte que l'on peut arguer d'une différence d'impression-nabilité des
sujets
. Sans doute, ajouterai-je, ces deux hommes n'étai
quelque temps, n'équivaudrait pas, dans une certaine mesure, chez les
sujets
prédisposés comme l'étaient certainement Porcz...
nouveau fait qui me semble encore plaider en sa faveur. Il est des
sujets
, et peut-être sont-ils plus nombreux qu'on ne le
i. On sait qu'au réveil, pour peu que l'hypnose ait été profonde, les
sujets
hypnotisés paraissent le plus souvent ignorer abs
phénomènes qui, dans l'état de sommeil, ont été provoqués chez eux.
sujet
de ce genre : il s'agit d'une hystéro-épileplique
omnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se trouvent donc chez ce
sujet
en quelque sorte mélangés, coexistant, au môme mo
uter (Spencer); Sentiment d'innervation (Wundt, Meynert). Voir sur ce
sujet
: James Mill, Bain. Sens et intelligence, p. 411,
bras, surtout en arrière et à l'avant-bras, la tendance que, chez les
sujets
de ce genre, ont les plaques d'anesthésie à se li
plus souvent, à la suite d'une impression morale ; ou bien encore le
sujet
a des attaques con-vulsives, et c'est peut-être -
ce contraste entre les deux fesses dépend uniquement de l'attitude du
sujet
. Nous nous en sommes assurés en faisant placer à
açon catégorique. Mais je me réserve de revenir tout à l'heure sur ce
sujet
. Auparavant je veux examiner le malade à un aut
acée des parties, surtout prononcés au genou et à la jambe chez notre
sujet
. Insistons actuellement de nouveau sur le phéno
stion ont été, Messieurs, les suivantes : 1° 11 n'existe pas, chez ce
sujet
, de traces d'une affection organique de la jointu
t sur ce point, j'en ai dit assez, je crois, pour montrer que chez un
sujet
hystérique, lorsqu'une affection organique se dév
ue cette paralysie pouvait être reproduite de toutes pièces, chez des
sujets
plongés dans l'hypnotisme ; au moyen de la sugges
ur lui et ses sept enfants la plus horrible misère; aussi vit-il à ce
sujet
dans un état d'inquiétude perpétuelle, de dépress
un simple massage puisse produire des effets aussi accentués, chez un
sujet
quelconque; certes, nous savons qu'il peut, à la
e malade ? — Je crois pouvoir affirmer qu'ils sont dus à la nature du
sujet
, au terrain; c'est parce qu'il s'applique à un su
s à la nature du sujet, au terrain; c'est parce qu'il s'applique à un
sujet
hystérique que le massage a produit chez notre ho
a été assez profond, car, actuellement, il paraît exister, chez notre
sujet
, un certain degré d'amnésie portant principalemen
s avons minutieusement étudiés, dans les précédentes leçons, chez nos
sujets
masculins atteints de mono-plégie hystéro-traumat
XII. 2. Voir surtout la Leçon XXII. tant s'en faut, en propre aux
sujets
hystériques. Chez ces sujets-là, sans doute, ils
on XXII. tant s'en faut, en propre aux sujets hystériques. Chez ces
sujets
-là, sans doute, ils se produisent sous l'influenc
une façon très générale, que plus la contusion est légère et moins le
sujet
est névropathe, moins il est hystérique, si l'on
de la paralysie hystérique traumatique, et l'on comprend que chez un
sujet
prédisposé psychiquement, cette paralysie rudimen
comparable à celles que nous avons étudiées récemment, chez plusieurs
sujets
hystériques, en conséquence d'un traumatisme. A c
ngée peut produire, vous le savez, dans certains cas et chez certains
sujets
, une végétation conjonctive de la synoviale, une
arition bien constatée dans le cas actuel de toute rigidité, quand le
sujet
est placé sous l'influence du chloroforme, suffit
ainsi parler, une esquisse de rigidité cadavérique survenant chez le
sujet
vivant et qui, si l'expérience se prolongeait, ne
ermettre d'affirmer que la déformation du membre est bien, chez notre
sujet
, le résultat d'une contracture spasmodique; il no
isté, dans diverses circonstances, sur l'existence fréquente chez les
sujets
hystériques de contractures survenant sous l'infl
linique que nous venons d'étudier, nous ont convaincu que c'est là un
sujet
qui n'a pas encore été suffisamment mis en relief
ons pouvoir affirmer, après l'avoir recherchée sur un grand nombre de
sujets
, que la production artificielle de ces contractur
e chez les hystériques des deux sexes, inconnue au contraire chez les
sujets
sains, et qu'on peut trouver là, par conséquent,
stigmate qui, au même titre que le rétrécissement du 1. Voir sur ce
sujet
: Charcot, De l'influence des lésions traumatique
bande a été faite, dans le cours du dernier mois, sur un total de 70
sujets
hystériques (43 femmes et 27 hommes), les uns act
n'est pas nécessaire pour que la contracture s'y produise ; chez les
sujets
hémianesthésiés, la contracture s'obtient le plus
s du côté aneslhésié; elle peut se produire, toutefois, chez certains
sujets
également du côté resté sensible; en pareil cas,
sation de la constriction, que 1. Voir, pour plus de détails sur ce
sujet
: P. Berbès. Sur la diathèse de contracture et en
de contracture et en particulier sur la contracture produite sur les
sujets
hystériques (hommes et femmes), par l'application
beaucoup de discrétion. Je ne m'étendrai pas plus longtemps sur ce
sujet
, qui offre d'ailleurs en soi assez d'importance p
te singulière affection. C'est d'ailleurs là, je vous le rappelle, un
sujet
que nous avons déjà traité, en décembre dernier,
façon absolue, au point de ne pouvoir, comme cela se voit chez notre
sujet
, émettre qu'avec la plus grande difficulté le pet
ée. L'examen ultérieur vint la confirmer. Il existait chez ce jeune
sujet
une hémianesthésie avec tremblement choréiforme d
onsidérations précédemment annoncées et sur ce que m'a appris, sur ce
sujet
, une expérience déjà longue, je me crois autorisé
ne faut pas oublier toutefois que, si l'affection hystérique chez un
sujet
donné se montre le plus souvent polymorphe, elle
as comprendre davantage qu'auparavant. Il arrive alors que la voix du
sujet
baisse progressivement. L'aphonie au dernier te
elle, telle qu'une violente émotion, un traumatisme, etc. C'est là un
sujet
qui nous a occupé maintes fois, dans plusieurs de
rent de celui que donne Le Log... lui-même, quand on l'interroge à ce
sujet
. // s'est fait sur la façon dont l'accident a eu
s, on les abandonne à eux mêmes. La station debout est possible, le
sujet
étant soutenu par deux aides, mais il oscille et
es complètes, t. m, Système ?ierveux. 29 faites par M. Charcot à ce
sujet
, s'observe chez les hystériques hémianesthésiques
puissance motrice que de l'anesthésie, est le même, Or, quand chez le
sujet
somnambulisé on suggère par la parole ridée d'imp
I, pages ¦ 328, 340, 341 et la Leçon XXII, passim), on peut, chez les
sujets
hémianesthésiques hypnotisables, pendant la pério
ensitive, développée soit spontanément, soit accidentellement chez le
sujet
lui-même, de manière à constituer ce que l'on app
donnée, ces résultats varieront d'ailleurs singulièrement suivant les
sujets
. C'est ainsi que, chez un homme vigoureux, bien é
ous les autres. Il suffira donc de considérer, par exemple, le cas du
sujet
hypnotisé où les accidents sont portés au plus ha
ous-shock), inséparable de l'émotion, produira en pareil cas, chez un
sujet
prédisposé, la modification mentale qui rendra po
ébralion, dementation, d'idéation inconscientes ou subconscientes. Le
sujet
mis en cause constate •le résultat, mais il ne co
inventé inconsciemment, amplifiant tout ce qu'il a entendu dire à ce
sujet
. Même pour les faits antérieurs à l'accident, il
otrice puisse, ainsi qu'on l'a dit (p. 336), déterminer chez quelques
sujets
une paralysie motrice complète sans accompagnemen
n a appelé Inductions musculaires. — Yoici enfin comment, sur ce même
sujet
, s'exprime M. Février (Func-tions of the Brain, c
e proposée plus haut, on peut rappeler ce qui s'observe chez certains
sujets
, hystériques pour la plupart, qui, privés de tous
e nature, de même étendue et de même localisation puisse, chez divers
sujets
, se traduire par des phénomènes cliniques différe
d'une hémiplégie gauche à la suite d'une attaque d'apoplexie, et est
sujet
à de fréquents étourdissements. Sa mère et sa sœu
le le mérite ; c'est le mutisme. M. le professeur Charcot a traité ce
sujet
, dans ses leçons 2, à propos de quelques malades
rare. On le trouve à peine mentionné dans les travaux anciens sur ce
sujet
et dans un certain nombre d'observations plus réc
n (Philosoph. Transact., XIV). Une jeune femme était depuis longtemps
sujette
à de violentes convulsions fréquemment suivies de
qui a eu pendant longtemps dans son service l'hystérique qui fait le
sujet
de l'observation I, cherche dans une paralysie d'
elate longuement, en raison des détails intéressants de l'histoire du
sujet
et de l'examen qui en a été fait par nos confrère
x sœurs sont mortes de phtisie, à 24 et 26 ans. L'une d'elles était
sujette
à des crises de nerfs et à des attaques de sommei
ction des cordes vocales se font comme dans l'état normal, lorsque le
sujet
prononce les voyelles e, i; le seul acte qui manq
ourant d'air inspiratoire et expiratoire. Si, dans ces conditions, le
sujet
est invité à augmenter l'effort nécessaire pour p
ans. Antécédents héréditaires inconnus; a eu une enfance maladive,
sujet
à des angines fréquentes, à des épis-taxis ; une
gers. Obs. XII. — (Sevestre, ibid). — G... Léon, âgé de 25 ans, est
sujet
à des crises qu'on peut arrêter en comprimant le
du miroir. Leur caractère est typique; survenues subitement, chez des
sujets
nerveux, elles sont le plus souvent bilatérales e
Les muscles phonateurs ne fonctionnent pas ou fonctionnent mal et le
sujet
ne peut émettre un son ni parler haut, de façon à
voyelles, dans la voix chucholée. Je me serais moins étendu sur ce
sujet
si le professeur Revilliod n'avait cherché à expl
es muscles du larynx les troubles observés chez le malade qui fait le
sujet
de la première observation. Ch.. a passé plusieur
lligence est intacte. La réponse suif immédiatement la demande, si le
sujet
sait écrire. A la période de retour de la parole,
duire les points principaux de l'enseignement de notre maître, sur ce
sujet
. La malade dont il s'agit est une femme de 64 a
inations diathésiques. — Contracture d'origine traumatique chez les
sujets
qui présentent la rigidité spasmodique à l'état l
les suivants : 1° La production des phénomènes d'hypnotisme chez un
sujet
, c'est-à-dire la suspension ou l'augmentation de
de l'expérience est fixé par une entente résultant du consentement du
sujet
et de la volonté de l'expérimentateur. 3° L'act
limitées à des territoires nettement déterminés du système nerveux du
sujet
et à des fonctions influencées isolément. 4° La
es différences appréciables dans la respiration et la circulation des
sujets
hypnotisés, selon qu'ils étaient en léthargie ou
riations survenant dans la respiration costale et diaphragmatique des
sujets
plongés successivement dans des états différents
ontrent nettement l'influence de la suggestion sur la circulation des
sujets
hypnotisés. La plupart de nos expériences perso
tat normal, les modifications qui surviennent dans la circulation des
sujets
hypnotisés ne peuvent qu'être très limitées ; il
2° Aclion de l'hypnotisme et de la suggestion sur la circulation des
sujets
atteints de troubles cardiaques. La comparaison
sans que l'appareil ait quitté le pouls. Expérience. — Le pouls du
sujet
, pris à l'état de veille, marque 78 pulsations à
rmale. (ler tracé.) 1" tracé. — Klal do veille. 78 pulsaiions. Le
sujet
est endormi par la fixation des yeux. Le pouls co
a tension artérielles'estlégèrementélevée.fë'tracc.) On fait alors au
sujet
la suggestion qu'elle vient de courir. 3" tracé
acé. — Hypnose. Etat do calmo. 78 oulsations. Alors on s'adresse au
sujet
et on lui suggère qu'un chien vient d'entrer dans
cessivement un ralentissement, puis une accélération du pouls chez un
sujet
dont le cœur ne présentait aucun trouble. Cette e
énérale. 2° Modifications expérimentales de la circulation chez des
sujets
atteints de troubles cardiaques. Observation. —
sumé, la comparaison entre les expériences, la première faite chez un
sujet
dont le cœur est normal, l'autre chez un sujet at
première faite chez un sujet dont le cœur est normal, l'autre chez un
sujet
atteint de troubles cardiaques accentués, montre
que c'était un fait connu de tout le monde. Arrivons maintenant au
sujet
qui a trait à Thyperacuité visuelle. Les nègres
e la loi n'interdit pas aux sages-femmes, certaines interventions, au
sujet
desquelles la somme de connaissances qu'on leur d
et sans doute moins intelligent. Des frères et sœurs sont coléreux ou
sujets
à des migraines. Enfin il a une grand'mère matern
éreux ou sujets à des migraines. Enfin il a une grand'mère maternelle
sujette
à des crises nerveuses convulsives, un grand-père
cation, ils abondent, du moins dans certains milieux. Voici même à ce
sujet
un détail tout à fait actuel qui peint très bien
dans toute sa nudité ù la surface, et révéler ce qui était inconnu au
sujet
lui-même. logique entre les images au milieu
hypothèse extra-scientifique, ils me demandaient de leur donner à ce
sujet
une sorte de consultation psychologique. Je fus d
s de rêves constituent une véritable auto-suggestion; ils poussent le
sujet
, ils le déterminent; ils ne prédisent pas un acte
in nombre d'adeptes du merveilleux sont très fiers de passer pour des
sujets
privilégiés, doués d'une clairvoyance spéciale, c
t semblable. Tout d'abord, leurs actes doivent concorder: si l'un des
sujets
veut se déplacer, l'autre doit exécuter un mouvem
oins grande que Radica. Une faiblesse physique peut aussi rendre le
sujet
plus facile à suggestionner ou à persuader. L'h
réditaires et du milieu. Mais une différence dans la santé des deux
sujets
amène une différence de tempérament : le plus fai
s de ces prolongements chez les hystériques, qui nous prouvera que le
sujet
est hystérique parce que ces modifications existe
ne bien connu de l'hivernation, auquel un grand nombre d'animaux sont
sujets
. Par exemple, le Protoptère, curieux poison afric
mais surtout parce que très orgueilleux, il ne voulait pas servir de
sujet
de moquerie à ses maîtres, qui, parait-il, déjà à
s'en rendre compte d'après les épreuves que je vous fais passer. A ce
sujet
, je réclame votre indulgence, je suis un photogra
ramment par un attouchement quelconque, après avoir bandé les yeux du
sujet
. Gilbert (du Havre) les guérissait par intimidati
n- nent les spirites. — Les médiums devraient se contenter d'être des
sujets
. Un subtil adversaire du spiritisme, c'est M. L
e prendre pour des opérateurs ils consentiraient au modeste rôle de «
sujet
». Ce jour est encore lointain. Un médecin vita
é Fleury donne la note des préoccupations et des idées du clergé à ce
sujet
; en voici un passage : « La critique est nécessai
i perçoit; les hallucinations sont les verres peints représentant les
sujets
les plus variés. Le malade voit ces divers objets
space, comme on voit sur l'écran de toile les peintures sur verre; le
sujet
des tableaux varie suivant le caractère et les pr
t les spectateurs qui l'entourent : si, dans un couvent il montre des
sujets
religieux, dans une caserne il exhibe des sujets
ouvent il montre des sujets religieux, dans une caserne il exhibe des
sujets
de bataille et dans un village des animaux et des
er des faits semblables : de nombreuses thèses ont été écrites sur ce
sujet
. Comme on le voit, les hallucinations de Marie
assez pour permettre d'amener les personnages d'autrefois à l'état de
sujets
de clinique ». En fait, rien n'est plus vrai à
vateur et au psychologue. Marie-Anne de la Ville est véritablement un
sujet
de clinique rétrospective d'autant plus remarquab
couronné, i1 est piquant de rappeler ce qu'ils avaient annoncé à son
sujet
: Il sera proclamé Mais ne sera pas couronné.
mené à en modifier la technique, de façon à pouvoir mieux observer le
sujet
en expérience. Dans ce but, il s'asseoit en face
, en exerçant une pression modérée vers la colonne vertébrale. Sur 30
sujets
soumis à cette manœuvre, 5 seulement n'ont pas ré
, toutefois, de faire remarquer que les expériences ont porté sur des
sujets
exempts de toute affection du système vasculaire
taines sensations et surtout à l'aide de la parole, provoquer chez un
sujet
un certain nombre de phénomènes automatiques et l
ncipales opérations sont les suivantes : 1o Examen psychologique du
sujet
. — Cet examen, comme nous l'avons exposé dans une
t ordinairement caractéristique de l'état psychologique individuel du
sujet
. Il est un des fondements de sa personnalité. Dès
ments de sa personnalité. Dès l'enfance, on pouvait constater chez le
sujet
une tendance à l'apathie, à l'irrésolution, à la
état d'ivresse, même légère. Dans l'état d'excitation alcoolique, les
sujets
les plus suggestibles cessent d'être hypnotisable
d'Agamemnon : dans son Oreste et dans son Iphigénie en Tauride. Le
sujet
d'Oreste est celui même des Euménides, c'est-à-di
'époque, d'un crime de foule accompli par des femmes. On connaît le
sujet
d'Ajax de Sophocle. A la mort d'Achille, les Grec
siècles avant l'ère du Christ, cet art est arrivé, pour ce qui est du
sujet
qui nous occupe, à un rare degré de perfection :
pendant la convalescence des maladies infectieuses, surtout chez des
sujets
jeunes et prédisposés. Si c'eût été un médecin
logie et de Psychologie à l'auteur de la meilleure thèse sur l'un des
sujets
suivants : Hypnologie, Psychotérapie, Pédagogie
. 10 Décembre. — Suggestion post-hypnotique. Etat de conscience des
sujets
. Développement de la suggestion. 17 Décembre. — L
illon : Agoraphobie traitée avec succès par la psychothérapie chez un
sujet
hyper-hypnotisable, avec présentation du malade,
Agoraphobie traitée avec succès par la suggestion hypnotique, chez un
sujet
hyper-hypnotisable par le Dr Bérillon Médecin i
é hypnotique. Pour le moment, nous voulons simplement vous montrer un
sujet
qui réalise au plus haut degré l'état d'hyper-hyp
sur des faits très frappants. L'examen attentif des antécédents du
sujet
et des circonstances dans lesquels nous avons été
tion apparaissait déjà comme une défense naturelle fréquente chez les
sujets
hypnotisables. Il se souvient qu'à l'âge de quinz
uivant que les chansons pouvaient relâcher ou améliorer les mœurs des
sujets
. Au VIe siècle avant notre ère le grand législa
un mélancolique ? Nous devons distinguer deux hypothèses : a). Le
sujet
est hypnotisé. Il faudra faire entendre au sujet
ypothèses : a). Le sujet est hypnotisé. Il faudra faire entendre au
sujet
une tonalité mélancolique adéquate à son état men
tal et je partage absolument là-dessus l'opinion de Paul Petrucci. Le
sujet
devra d'abord être soumis à l'influence d'une ton
blir sera le temps de durée nécessaire pour chaque tonalité. b). Le
sujet
est à l'état de veille. C'est à ce cas que nous a
faudra, en renversant la proposition, commencer par faire entendre au
sujet
, à l'état de veille, puisque l'état d'hypnose ser
t atteinte de folie hystérique sans qu'aucun doute puisse naître à ce
sujet
, sans qu'aucune contradiction basée sur des raiso
octeur Crolas, professeur à la Faculté de médecine de Lyon prit comme
sujet
de thèse (1867) les Paralysies hystériques ; une
ien l'on pense ; alors il y eut un véritable tumulte à l'hôpital à ce
sujet
; on traita le corps médical de suppôts de Satan
die que les connaissances bornées ou nulles de l'époque, écrivit à ce
sujet
une lettre plus édifiante que savante, dans laque
e. Elle est très inquiète de ses yeux et, de plus, très tourmentée au
sujet
du procès toujours pendant. Elle a dans la tête d
dyspeptiques, dont la faim est exagérée, l'absence d'aliments rend le
sujet
incapable du moindre travail intellectuel et enge
otre collègue M. Caus-tier, professeur agrégé de l'Université, sur un
sujet
tout d'actualité : La méthode en psychologie zool
précédentes, par les conférences hebdomadaires du vendredi soir. Les
sujets
les plus variés, se rapportant à des questions de
cadavre, la bière était vide ! réalité dans la sous-conscience du
sujet
, pour réapparaître à un moment donné dans le doma
ge de l'appareil vibratoire sur le front, le crâne vibrait et que les
sujets
ainsi traités éprouvaient un besoin très marqué d
t pour la production du sommeil provoqué. Nous avons constaté que des
sujets
assez réfrac-laires à l'hypnose s'endormaient d'u
tschalk, à Paris. (1) Nous avons constaté les mêmes effets chez des
sujets
placés sur le tabouret de la machine statique et
truments vibratoires sur le front ou sur d'autres parties du crâne du
sujet
a provoqué constamment au bout de quelques minute
production de l'hypnotisme. Au point de vue thérapeutique, chez les
sujets
hypnotisés, les applications locales de la vibrat
misme, bien que très général, n'est d'ailleurs pas constant. Certains
sujets
neurasthéniques, mélancoliques, pessimistes voien
période prébacillaire s'accompagne de changements du caractère. A ce
sujet
, il faut distinguer le tuberculeux et le phtisiqu
, doit être attribué à cette forme d'aliénation. Avant d'aborder le
sujet
principal de ce mémoire, je vais citer l'observat
ots très bien entendus par elle ; il ne peut y avoir aucun doute à ce
sujet
, ajoute-t-elle. A un certain moment, les parent
sa maladie. Nous ne voulons pas nous étendre trop longuement sur ce
sujet
, en reproduisant le mémoire en son entier ; ce se
nt, nous voyons qu'elles sont de même nature; la personne qui fait le
sujet
du délire seule varie; c'est Jésus dans un cas ;
ut ce que l'activité des différentes passions auxquelles l'animal est
sujet
, comme la crainte, l'amour, apporte de modificati
toutes les belles et savantes dissertations qui ont été faites sur ce
sujet
n'ont guère fait avancer la solution. Il est inco
infaillible, sous prétexte qu'il n'y a nulle interpo-sition entre le
sujet
et l'objet. Les objets sur lesquels travaille l
odifier l'acte conscient, et que par suite l'observation intense sera
sujette
à des causes d'erreur aussi multiples et aussi gr
lesquels, (pour des raisons qui dépendent surtout de la mentalité du
sujet
), le sommeil ne peut être obtenu. Et, par surcroi
bout d'un temps variable, le réveil survient complet, instantané ; le
sujet
n'éprouve pas le moindre malaise, il recouvre d'e
claires ces notions, un peu arides dans leur forme synthétique. Un
sujet
lit à haute voix. S'il fait attention à ce qu'il
lygonal et avec 0 il peut penser à autre chose. Si on parle avec un
sujet
, ce sujet peut répondre consciemment et volontair
avec 0 il peut penser à autre chose. Si on parle avec un sujet, ce
sujet
peut répondre consciemment et volontairement et a
s psychiques supérieurs et les centres psychiques inférieurs, chez un
sujet
absolument normal et sans maladie. 3. II en est
êveur a un caractère fatal : c'est une impul-« sion » (Dechambre). Le
sujet
ne dirige pas volontairement « son rêve : « le rê
ns cas, les communications avec 0 sont complètement interrompues : le
sujet
n'a aucune conscience(1) du rêve que démontrent s
a « un glas funèbre qui sera celui d'un être aimé ou le vôtre »; à un
sujet
on chatouille avec une plume les lèvres, puis l'e
ctateur par des cris ou des mouvements) ne laissent aucun souvenir au
sujet
. Mais ces rêves oubliés au réveil peuvent avoir
ir laissé cependant leur trace dans la mémoire polygonale et alors le
sujet
les retrouve dans le cours d'un rêve subséquent :
). Le même auteur a décrit, de plus, ce fait encore plus curieux de
sujet
retrouvant dans le rêve des souvenirs déposés à l
eil permettent déjà de bien analyser à l'état physiologique, chez des
sujets
bien portants, apparaît encore plus nette et bien
en portants, apparaît encore plus nette et bien plus intense chez des
sujets
qui, sans être malades, ont leur centre 0 plus fa
à désagréger qu'à l'état normal. Ainsi le rêve peut, chez certains
sujets
, être porté à un très haut degré et devenir le ca
démonstrations et des applications de l'activité polygonale, chez des
sujets
qui, sans être dans un état absolument normal, ne
rs des travaux de Pierre Janet et de mes leçons de 1896, voir, sur ce
sujet
: Revue de Ihypnotisme,t. VI, 1892, p. 65, 101, 1
préférence les procédés dus à M.Liébeault (de Nancy) et j'invite mes
sujets
à s'étendre sur une chaise longue et à fermer les
fance, fille d'un père alcoolique et d'une mère nerveuse et qui était
sujette
, il y a un an à peine, à des crises d'hystéro-épi
un état d'inhibition, un état passif analogue à l'état d'hypnose. Tel
sujet
qui n'est pas suggestionnable aujourd'hui pourra
s l'emploi de la suggestion pédagogique, il faut distinguer entre les
sujets
. Les enfants sont vicieux, indisciplinés inattent
er un très grand rôle dans le traitement des maladies nerveuses., les
sujets
étant souvent fort débilités. Or, la suggestion d
— — internationaux. L'hiérosyncrotèmc familial type est formé de
sujets
ayant entre eux les rapports de parenté les plus
ction d'une paralysie psychique que Durand de Gros s'assurait que ses
sujets
étaient plongés dans l'état d'hypnose. Il les con
aujourd'hui pourra l'être le lendemain au plus haut degré, et que tel
sujet
qui sera réfractaire à l'influence d'un individu
n impérative. Que des paralysies psychiques soient obtenues chez un
sujet
préalablement hypnotisé, cela n*a rien de surpren
t être provoquées dans l'état de veille apparente aussi bien chez des
sujets
qui ont déjà été endormis auparavant que chez d'a
e. En réalité, la puissance de la suggestion n'acquiert chez certains
sujets
une telle intensité que parce qu'ils se sont
e je regar- dai comme pour bien les étudier, puis, fixant les yeux du
sujet
, je lui demandai à haute et forte voix : « Veux-t
ntané qui, dépendant de circonstances imprévues, se manifeste chez le
sujet
prédisposé. L'hypnotisme fortuit est d'une observ
les suivants: 1° La production des phénomènes d'hypnotisme chez un
sujet
, c'est-à-dire la suspension ou l'augmentation de
de l'expérience est fixé par une entente résultant du consentement du
sujet
et de la volonté de l'expérimentateur. 3° L'act
limitées à des territoires nettement déterminés du système nerveux du
sujet
et à des fonctions influencées isolément. 4° La
la prolongation exagérée de l'expérience, ou l'oubli de réveiller le
sujet
. L'HYPNOTISME ET LA SUGGESTION (1) (suite)
fixation du regard par exemple ou de toute autre manière, je place un
sujet
, bien disposé, en hypnose complète. En quoi con
ne trouverons pas cette caractéristique dans l'état de la motilité du
sujet
endormi. (1) Voir le n° de la Revue de l'Hypnot
ose (3). Il en est de même de l'état de la sensibilité. Beaucoup de
sujets
sont insensibles à toutes les excitations et ne p
e (1)». Il n'en est rien. Car, s'il y a en effet des hypnoses dont le
sujet
ne garde aucun souvenir, il y a aussi des hypnose
nt le sujet ne garde aucun souvenir, il y a aussi des hypnoses que le
sujet
se rappelle plus ou moins complètement, des hypno
si léger qu'on le confond avec l'état de veille. Et si la plupart des
sujets
n'ont pas conscience de leur hypnose, certains y
onstant, spécifique de l'hypnose, c'est l'état de suggestibilitè : un
sujet
en hypnose est, par définition, un sujet à qui on
'état de suggestibilitè : un sujet en hypnose est, par définition, un
sujet
à qui on peut faire des suggestions. Ce princip
t dans la suggestion, il y a bien, comme dit Claretie, captation d'un
sujet
par un autre. Mais la chose veut être psychologiq
chologique normal ». La distinction est si réelle que, même chez le
sujet
sugges-tible, tout n'est pas suggéré : on peut lu
ne marche souvent rapide, n'a pas le temps de changer le caractère du
sujet
. Ces jours-ci, mourait dans le service de M. Wida
démontré à l'aide de nombreux tracés sphygmographiques pris chez des
sujets
hypnotisés. La technique de cette psychothérapi
faculté de médecine, amphithéâtre Cruveilhier, un cours libre sur le
sujet
suivant : Psychologie normale et pathologique. Le
a divinité. Mahomet n'avait pas un système nerveux normal. Il était
sujet
à des attaques sur lesquelles nous reviendrons. C
discussion, la démonstration?... Dans tous ces cas, j'admets que le
sujet
obéit à l'injonction, suit l'impulsion, parfois m
rapidement. Mais dans tous les cas qui ne sont pas la suggestion, le
sujet
accepte l'injonction, il consent à obéir; il réfl
ue. Dans la suggestion, au contraire, il n'en est plus de même : le
sujet
obéit sans critiquer, sans réfléchir, sans raison
la dissociation suspolygonale, prouvée par ce fait que le centre 0 du
sujet
n'a plus d'action sur son polygone, les communica
ques et chez certains somnambules la suggestion est impossible et ces
sujets
ont bien cependant leur polygone soustrait à l'ac
e immédiate du polygone au centre 0 du magnétiseur. « Chez certains
sujets
, disait Charcot, il est possible de faire naître
e, dans l'hypnose, 0 de l'hypnotiseur prend possession du polygone du
sujet
, même dans des parties normalement soustraites à
lygone du sujet, même dans des parties normalement soustraites à O du
sujet
(Myers). L'hypnotisé est, à ce point de vue com
nt être conservées : de là, les variétés d'hypnose dans lesquelles le
sujet
a conscience de ses impressions et de ses actes p
lus haut : dans l'imitation, la persuasion, la démonstration..., 0 du
sujet
n'est pas annihilé ; c'est lui qui est influencé
de l'hypnotisé. Et même quand, sans hypnose, on donne un ordre à un
sujet
et que ce sujet l'exécute, ce ne sera pas de la s
Et même quand, sans hypnose, on donne un ordre à un sujet et que ce
sujet
l'exécute, ce ne sera pas de la suggestion, au se
suggestion, au sens vrai et scientifique du mot, parce que c'est 0 du
sujet
qui reçoit l'ordre et qui l'exécute. Il ne faut
l ne faut donc pas dire que la suggestion est un ordre accepté par le
sujet
. Au contraire, quand il y a acceptation, ce n'est
que quand il y a obéissance sans acceptation ni consentement de 0 du
sujet
. (1) Paul Sollier. Genèse et nature de l'hystér
aitement sensées. La différence c'est que, dans la persuasion, 0 du
sujet
intervient, accepte la chose, même quand elle est
me quand elle est déraisonnable; tandis que, dans là suggestion, 0 du
sujet
n'intervient pas du tout, il ne juge pas et son p
D'ailleurs Duprat déclare (p. 257) « que les fonctions mentales du
sujet
normal ne sont pas, comme celles du sujet malade,
e les fonctions mentales du sujet normal ne sont pas, comme celles du
sujet
malade, affranchies du contrôle de la volonté rai
faut tenir compte d'un élément particulier, assez mystérieux... : le
sujet
suggestionné n'est pas seulement une personne qui
appelé noire attention sur le fait important que très fréquemment les
sujets
atteints de psychoses, avaient des réves pendant
ues mots car il est assez peu connu et il touche" directement à notre
sujet
: Ce compositeur attendait vainement l'Inspirat
r l'incohérence du rêve. d) Il y a. enfin, les rêves suggérés à des
sujets
en état d'hypnose, mais nous n'en étudierons pas
l'étude de l'extase musicale à l'état de veille et des rêves chez les
sujets
malades. Le cerveau sain peut seul, en effet, s
pas de la même façon et l'on peut facilement les confondre. Chez le
sujet
sain, voyons donc les différentes origines des rê
onclusions logiques au point de vue des causes du rêve musical : Le
sujet
qui, à l'état de veille, n'aura pas cessé de voul
uront besoin de cette harmonie pour « nourrir » leur esprit ; ce même
sujet
, à l'état de rêve, pourra sentir cette appétition
lui dire qu'il ne semble pas avoir assez étudié la chronologie de son
sujet
. Ce n'est pas un reproche, et j'avoue que la mati
pas pour l'atteindre, toujours il faut examiner toutes les faces d'un
sujet
, le disséquer comme un botaniste sa plante. * *
d'hypno-tisme était simulée et l'actrice chargée de jouer le rôle du
sujet
hypno- tise n'avait d'hypnotisée que l'appare
isme. Cela expliquerait la difficulté qu'il a éprouvée à réveiller le
sujet
. NOUVELLES Cours d'hypnotisme a l'Ecole prati
faculté de médecine, amphithéâtre Cruveilhier, un cours libre sur le
sujet
suivant : Psychologie normale et pathologique. Le
iques, en y associant les médications indiquées par l'état général du
sujet
, amène des guérisons remarquables par leur durée.
la suggestion : la volonté de l'hypnotiseur se substituant a celle du
sujet
dans la direction de l'automatisme de ce dernier.
t à tour de rôle répondre aux questions et poser des demandes sur des
sujets
médicaux tirés au sort. Chacun devient donc tour
attirera plus ou moins d'élèves selon qu'il formera plus ou moins de
sujets
capables. Aussi les professeurs réunis en conse
Après la motiIité,la faculté la plus atteinte est la mémoire. Le
sujet
est en amnésie complète : amnésie des mots qui cè
astrologie et de la neurologie se touchent et se pénètrent. Les mêmes
sujets
nous appartiennent à tour de rôle ; il est bien r
de son pouvoir suprême, se fait écouter... Si on voulait mentir à ce
sujet
on dirait qu'on les entend avec les oreilles du c
cré-Cœur, et aucun prêtre, aucun évêque, vous êtes de notre avis à ce
sujet
n'est-ce pas Monsieur l'Abbé, n'oserait jamais l'
écrirons la marche de la maladie hystérique en général, et chez notre
sujet
en particulier. — En ce moment le temps nous manq
ieu, une fin, c'est une affection qui, lorsqu'elle s'est emparée d'un
sujet
, dure autant que le sujet lui-même, avec des inte
fection qui, lorsqu'elle s'est emparée d'un sujet, dure autant que le
sujet
lui-même, avec des intervalles d'accalmie qui dur
loyée parle magnétiseur, la dose de fluide émise et la sensibilité du
sujet
, le résultat se fera attendre, la cure d’un sembl
e s’écoula avant que la langue de ce pays ne possédât un livre sur ce
sujet
. Ce n’est pourtant pas que quelque chose eût été
es auxquels il enseignait les manipulations magnétiques sur les mêmes
sujets
qu'il avait employés dans ses soirées, et qui ne
secousses. « Je demandai à M. Regazzoni de nous amener son meilleur
sujet
; mais, dès que la fille vit mon faible électro-mo
ination effrayée du docteur. Et pour ce qui est de sa fanfaronnade au
sujet
du respect que l’on a dû avoir pour l’épée et les
gane le plus éminent de ces communications, et il s’exprime sur ce
sujet
avec l’enthousiasme du voyant. « La parole par
stant me vient à la pensée, et c’est lorsque déjà je suis loin de mon
sujet
qu’il me faut retourner sur mes pas. Je disais
oir fait entrevoir ce qu’il y a de profondément grave dans ce sublime
sujet
. Est-il au pouvoir de l’homme de pénétrer les sec
oute préoccupation personnelle et ne chercher de solution que sur des
sujets
qui ne nous affectent pas aussi profondément. Mai
conclut en ces termes, page 161 : « S’il m’est permis de faire à ce
sujet
ma profession de foi, je dirai que tout concourt
sage ! » Ceci me rappelle une conversation que j’avais un jour à ce
sujet
avec un brave curé de campagne, à qui je racontai
utre-Rhin. Richerand, dans sa physiologie, n’ose pas aborder le grave
sujet
de la puissance nerveuse. M. Adelon rappelle que
t de « froid aux extrémités est assez commun à toutes les personnes «
sujettes
aux maux de nerfs ; je l’ai surtout remarqué très
passage assez hostile au magnétisme (1). L’auteur, qui a écrit sur ce
sujet
d’après le rapport de MM. Dubois et Burdin, n’aur
emarquer, en rapportant l'opinion d’autres physiologistes sur le même
sujet
, que tout cet échafaudage d’objections ne repose
dra un problème difficile, un orateur fera un discours approprié à un
sujet
donné. Mais le défaut ordinaire des opérations co
avec un peu d’adresse, on pouvait la faire parler sur toute espèce de
sujets
, il suffisait de ménager graduellement les transi
r plusieurs des traits les plus spéciaux de l’état dont il s’agit. Le
sujet
était une jeune dame d’un tempérament très-nerveu
cevait rien de ce qui lui était dit sans avoir un rapport direct à ce
sujet
. Une fois, elle prit le mari de sa sœur pour le f
e cours; et comme elle était inaccessible à toutes les prières sur ce
sujet
, la force fut employée pour le lui Oter; mais ell
it très-voisin de la double conscience, très-curieuse affection où le
sujet
semble mener deux vies distinctes, A et B, l’une
vons nous-mêmes été témoins dans des expériences hypnotiques sur deux
sujets
, et nous nous sommes assuré que la vision ne four
avons été témoins de tous ces effets souvent reproduits sur nombre de
sujets
hypnotisés, mais il nous a été affirmé par un ami
vec la plus grande facilité, s’il le veut. Ainsi nous avons vu un des
sujets
hypnotises de M. Braid, un homme remarquable pour
isme peut être provoqué, non-seulement chez eux, mais encore chez des
sujets
qui n’y ont manifesté aucune prédisposition, par
ton impératif le mot : dormez, ce qui généralement produisait sur le
sujet
une impression assez forte pour donner une légère
cet état d’attente, concurremment avec l’immobilité de l’attitude. Le
sujet
en était une dame qui, précédemment, avait montré
l'état hypnotique a été ainsi provoqué un certain nombre de fois, le
sujet
peut d’ordinaire s’endormir lui-même facilement e
ens de la vue, car le même effet peut être produit de nuit ou sur des
sujets
aveugles si les yeux sont tenus dans une situatio
tait affirmé que le sommeil mesmérique avait été provoqué sans que le
sujet
eût aucune conscience de l’action qu’on voulait e
ES ET DES DIVERS PHÉNOMÈNES QUI s’y RATTACHENT (1). En prenant pour
sujet
de thèse le phénomène des tables tournantes, phén
t l’avait contraint d’obéir. Soumis à l’action magnétique, certains
sujets
éprouvent des effets identiques à ceux des tables
urs fois témoin de ce fait. Par exemple, on actionne un bras que le
sujet
tient hori- zontalement étendu sur une table. A
s réponses sont parfois justes, le plus souvent fausses. Dégagé, le
sujet
n’a pas souvenir tle ce qui s’est passé. Des mé
né d’une manière différente. J’ai évoqué dos êtres imaginaires, et le
sujet
s’est livré à. des mouvements extravagants. Bien
magnétisation étrangère, directe ou indirecte, tantôt la réaction du
sujet
sur lui-même ou au-tomagnétisation. 11 y a même d
ntait àses jambes que la table ne tournerait pas. Je débarrassai le
sujet
des fds de laiton, je nettoyai la table, et après
de ces mille contradictions dont fourmille son livre à mesure que le
sujet
devenant plus épineux pour son ancienne orthodoxi
its? je n’en sais rien, et j’attendrai, pour avoir une opinion à ce
sujet
, le résultat de vos dernières découvertes, Je f
e bêtise. J’aurai l’occasion de revenir bientôt sur cet intéressant
sujet
. Beaucoup de personnes attendent de moi quelques
r l’organisme humain. Ce mesinériseur italien a obtenu, sur plusieurs
sujets
endormis, la catalepsie, Xextase, Y insensibilité
ent que nous avons eu occasion de présenter dans notre polémique à ce
sujet
: « L’enseignement catholique sur les possessio
de l’écrivain et du moteur mystérieux de sa main. Nous observons à ce
sujet
que, d’après de nombreuses relations américaines,
l’extraction, elle accepta. Après m’être assuré de l’insensibilité du
sujet
, par des piqûres, je me mis à la besogne. L’opé
les magnétiseurs. J’ai également recueilli, de la part de certains
sujets
extrêmement lucides, des notions toutes nouvelles
e vais tâcher de préciser de la manière la plus claire possible. Le
sujet
, à son état normal, est placé dans la chambre où
8 heures), et que personne que moi n’a pu voir. J’ordonne alors au
sujet
, d’un ton très-ferme et qui veut l’obéissance, de
m’occupe plus de lui. La conversation s’engage dans l’appartement. Le
sujet
ÿ prend part. On cherche à la lui rendre intéress
fixée est encore éloignée ou qu’elle est depuis longtemps passée, le
sujet
tombe tout à coup comme foudroyé. La montre est c
pour qu’on puisse se dispenser de compter avec eux. L’un, qui fait le
sujet
de cet article, de M. Amédée Jacques; l’autre de
eux grands ouvriers de l’intelligence humaine, prendre également pour
sujet
de leurs études et de leurs écrits un fait ou une
nt non de la mauvaise foi, mais du manque d’études suffisantes de son
sujet
, et par suite de l’ignorance de certains faits ca
qui ne repose plus, dès lors, sur rien de sensible; et de l’homme,
sujet
qui seul peut fournir l’élément de cette étude co
dramatique et coloré qu’il en fait. « Voilà donc, comme on dit, le
sujet
disposé ; il attend, dans l’angoisse d’une inquié
résisté à des épreuves moins rudes ? 11 faut remarquer enfin que les
sujets
les plus accessibles à l’influence prétendue ma
ontanée le plus souvent, mais parfois aussi commandée, varie avec les
sujets
, se modifie suivant mille circonstances, et dispa
erveilleuse, le somnambule (et nous parlons ici seulement de certains
sujets
rares et privilégiés) se trouve pourvu d’un sens
t : M. Masson avait donné ses soins à la jeune personne qui fait le
sujet
de l’observation, et malgré les moyens le plus ju
ieu que la nuit; l’autre le jour comme la nuit, et que les actions du
sujet
ne sont pas les mêmes. « Le somnambulisme magné
as; le premier est artificiel et l’autre naturel. Dans le premier, le
sujet
est dépendant; dans le second, il s’appartient; v
germe d’un système tout entier. Mais nous avouons que, pour nous, ce
sujet
nous paraît sentir un peu trop le fagot, et bie
son XIVo chapitre, qui traite du magisme, et où, établissant que les
sujets
lucides sont les premiers instruments de prédicti
ménorrhée de six mois environ. Depuis ce temps, la menstruation resta
sujette
à des irrégularités quant au temps et quant à la
tisme ; elle accusait constamment des douleurs dans la tête, et était
sujette
à des congestions fréquentes vers cette cavité. L
rs dispositions. «J’ai évoqué, dit-il, des êtres imaginaires, et le
sujet
s’est livré à des mouvements extravagants. » Eh !
aux esprits... » Oui le même être peut agir différemment sur le même
sujet
. Quoi d’étonnant dans cette circonstance ? Les di
s nous sommes laissé aller, entraîné que nous étions par la nature du
sujet
? Nous avions d’abord l’intention de ne parler que
yrinthe où elle vous entraîne, et moins vous pouvez en sortir. Sur un
sujet
si grand, nos chaires d’enseignement sont muettes
ans ses souvenirs la force nécessaire pour continuer son œuvre. Aucun
sujet
ne peut être pour nous plus fécond en enseignemen
it pressentir le système auquel il doit donner son nom. Il prend pour
sujet
de thèse de l’influence des Planètes. Certes, apr
st la faute à Voltaire ; » A présent, nous dirons, quel que soit le
sujet
: « C'est la faute à Mesmer, la faute à du Pote
t chers collègues, En choisissant l’importante question qui fait le
sujet
de la thèse que je viens aujourd’hui soumettre à
pensée de Mesmer est la base de la proposition que j’ai énoncée comme
sujet
de cet essai, devrait me sembler suffisant lors
a portée de mon raisonnement, permettez-moi, messieurs, d’entrer à ce
sujet
dans quelques détails. Il est important de savo
it point trouvé jusque là chez les magnétiseurs précédents ? Que de
sujets
rebelles à deux, à trois, à dix magnétiseurs succ
lucide, je ne vous en parlerai pas, messieurs, convaincu que, sur ce
sujet
, votre expérience et vos lumières fourniraient à
parle Dr Hublier, de Provins, qui s’occupait lui-même d’études sur ce
sujet
. M. Frappai t avait à cette époque une somnambu
rrez qu’elles ne sont pas tout à fait inutiies à la conclusion de mon
sujet
, et vous corn- prendrez aisément les conséquenc
à ces quatre évêques qui ne partagent pas l’opinion de Mgr Sibour au
sujet
du somnambulisme, je n’ai autre chose à dire sino
ccompagné d'une rêverie vague. Dans d’autres circonstances, parmi les
sujets
magnétisés, les uns tombent en syncope, les autre
ement intellectuel. Cette détermination générale va recevoir, dans le
sujet
actuel, une application rigoureuse, quoique très-
imentation et la comparaison tend de plus en plus à confirmer. « Le
sujet
que nous avons éclarcir dépend entièrement de la
’homme endormi? Que dire quand le magnétisme est pratiqué à l’insu du
sujet
, en un mot? Nous n’aurions que l’embarras du choi
ions que l’embarras du choix parmi les millions de faits à citer à ce
sujet
. Prenons-en uu seul, celui de mademoiselle Samson
complet. M. Segond nous dira-t-il quelle était la préparation de ce
sujet
et comment les artifices du magnétiseur agissaien
ue, par le D' Louïet. L’état d’anesthésie complète dans lequel ce
sujet
est mis tous les soirs sous l’influence magnétiqu
e des phénomènes merveilleux obtenus par l’action du magnétisme. A ce
sujet
, nous avons engagé et soutenu contre un journal d
ports assez suivis; mais dans les cas réels d’extase, les réponses du
sujet
sont aussi vagues que celles de la sybille, et au
corps des médecins; même dans les petites villes, sont d’accord à ce
sujet
, et la Société de Paris étant la seule compagnie
aire l’apothéose d’une victime de l’Eglise. C’est un riche et curieux
sujet
d’étude pour la science, que la vie si étrange, s
ceux du diable, ou du moins, comme les prétendues règles posées à ce
sujet
sont arbitraires et capricieuses, il ne faut pas
détérminer les aberrations les plus étranges et les plus variées. Le
sujet
voit successivement se dérouler devant lui le spe
e se borner à un objet déterminé, s’étende à un plus grand nombre, le
sujet
tombe dans la folie. Que d’événements légendair
de classification du magnétisme. Le magnétisme, en agissant sur le
sujet
, modifie quelqu'une ou quelques-unes de ses fonct
lle porte principalement la modification ; mais, pour arriver à notre
sujet
, nous n’avons besoin que de la simple division en
parlé de son application au traitement des maladies; et, bien que le
sujet
soit loin d’être épuisé, nous ne voudrions pas le
rt, pour les employer, devrait d’abord reconnaître l’idiosyncrasie du
sujet
, ce que l’on ne sait pas encore faire. Puységur
i qu’ils cherchent, mais encore obtenir cet effet sur un autre que le
sujet
dont ils s’occupent. Y a-t-il en un mot, un art v
ndant fort longtemps, par suite d’une affection maladive, j’avais été
sujet
à des froids aux pieds subits, et sans cause appa
. — Et je* ne réussis, ni mieux, ni moins bien. J’ai vu souvent des
sujets
, habitués à mon action, se magnétiser à mes dépen
ains cas de magnétisation. Tout magnétiseur sait qu’une fois que le
sujet
est en crise, même imparfaite, sa faculté relativ
à l’extase. Tous ces procédés, et ceux du même genre, indiquent au
sujet
la volonté du magnétiseur, et rentrent par conséq
le bien ; car, ainsi que nous l’avons fait observer en classant notre
sujet
dans l’ordre des faits magnétiques, le magnétisme
ations, des faits bien propres à encourager dans cette voie- ¡\otre
sujet
nous conduira plus tard à nous occuper île ce mod
lus exact du mode d’action curative du magné-liseur. — Que l’on nomme
sujet
celui sur lequel on cherche à agir ; que l’on app
n cherche à agir ; que l’on appelle passes les gestes dirigés vers le
sujet
, cela abrégera le discours, rendra le langage plu
ité parfois si absolue et si terrible que le magnétiseur prend sur le
sujet
, — autorité acceptée par le magnétisé, — tous les
ttre, par un effort de la volonté, dans la situation d’esprit dont le
sujet
a besoin. C’est en effet là le point de départ
ssons des magnétiseurs qui emploient toujours la domination sur leurs
sujets
, qui les écrasent de l’autorité sans borne qu’ils
sur soi-même pour se mottre dans une situation d'esprit favorable au
sujet
, ne sont pas sans exercer une influence personnel
s de suggestions morales produite« par la réaction du geste imposé au
sujet
. Or le magnétiseur partage, dans de certaines l
partage, dans de certaines limites, cotte puissance d’imprimer à son
sujet
l’attrait pour ce qui lui convient. (¡’est donc p
onc par l’attrait (pie le magnétiseur doit diriger l’éducation de son
sujet
. D’ailleurs, c’est à titre familial, du moins ado
bien ! le principe familial, c’est l’affection. C’est en inondant le
sujet
d’effluves affectueuses qu’il faut vaincre toutes
re maître. Le magnétiseur ne doit pas absorber la personnalité de son
sujet
, l’anéantir pour le dominer. 11 doit au contraire
ue comme méthode d’instruction spéciale. Celle-ci suppose en effet le
sujet
arrivé au somnambulisme lucide — ce qui est l’exc
rente-cinq ans, d’un tempérament nerveux, très-impressionnable, a été
sujette
, depuis son mariage, à des maladies diverses pour
us croyons, et nous avons déjà eu l’occasion de nous prononcer sur ce
sujet
à propos des communications spirituelles (1). —No
du soulagement des malades, — en priant nous-inêmo et en engageant le
sujet
à prier, si nous l’en croyons capable. La prièr
e, t. XIII, page 2S5. Elle doit, parla même raison, exalter chez le
sujet
sa croyance à la guérison, et sa puissance de dés
lonté dans la magnétisation et nous entraîneraient en dehors de notre
sujet
. 11 nous suffira, pour préciser notre pensée à ce
re même dont la prière est amenée, il est facile de voir que, chez le
sujet
, l’acte d’espérance implique désir, et chez le ma
vir à nouer fortement la chaîne magnétique entre le magnétiseur et le
sujet
, par une espèce de communication de pensée, par u
tion de pensée, par une sorte de contact moral. J’ai supposé que le
sujet
avait la faculté de prier sans formules arrêtées
moins bonne au point de vue magnétique, en ce qu’elle exalte moins le
sujet
et le dispose moins à une crise favorable, a du m
de l’empêcher de vagabonder, ce qui soustrairait en grande partie le
sujet
à l’action de l’opérateur. Or cette valeur, que
s : « Dormez... » ou toutautre ordre qu’ils veulent faire exécuter au
sujet
, — du moins par le geste et l’expression physiono
e canne magnétisée par Pierre ou par Paul agit en son absence sur des
sujets
sensibles, pourquoi Elisée u’aurait-il pas envoyé
dire que, comme objet déjà magnétisé, elle agissait plus vite sur les
sujets
sensibles de la chaîne. suivit' lo la cicatiisa
vu opérer dont elle acceptait la bénédiction. Je l’ai interrogée à ce
sujet
; voici ce que j’ai reconnu : elle veut que le bé
XXI. — Du maléfice. Il faudrait, pour examiner toutes les faces du
sujet
, étudier l’action magnétique de mode subversif, c
lleurs ou bouilli, suivant le goût du juge ou la mode du moment. Le
sujet
vient d’être remis à l’ordre du jour par MM. de M
nce que la bénédiction agit en général avec le concours volontaire du
sujet
, et lors môme qu’elle a lieu à son iosu, son acti
emblées semblent fondés sur des visions plus ou moins lucides que les
sujets
auraient eues dans l'état de crise imparfaite.
es nas et les autres comme îles moyens de concentrer la pensée sur un
sujet
unique et île donner plus d’énergie à la volonté.
est évident qu’en principe l’opération a un but bienveillant pour le
sujet
qu’il s’agit de soulager ; mais que l’on considèr
peu d’hommes étaient capables d’ètre à la fois bienveillants pour le
sujet
et hostiles au démon à combattre. Aussi devait-il
èbres qui allumait son courroux, — on lui voyait calmer les crises du
sujet
, — ou bien les exalter ou bien les faire naître.
avoir fait une expérience qui lui semblait établir la possession des
sujets
magnétiques. Il était alors chapelain catholiqu
ences remarquables, — d’après sa déclaration, — l’une exigeait que le
sujet
de l'expérience, une somnambule, parcourût la sal
n'aimons pas d’ailleurs, — du foudroiement magnétique? Aussitôt le
sujet
, qu’il n’avait pas touché et qui n’avait pu voir
art des sujets soumis à l’exorcisme, les qualités qui distinguent les
sujets
sensibles au magnétisme ; ce sont généralement de
e. Généralement aussi, les faits qui font croire à la possession du
sujet
ou qui le font soupçonner, se présentent à la sui
ir; il va chercher à calmer ce trouble désorganisateur. — Point. — Le
sujet
de chair et d’os qu’il a devant ses yeux n’existe
ur la science. Il faut donc que les magnétistes étudient eux-mêmes ce
sujet
intéressant et y rapportent les produits de leurs
et je retrouvai parfaitement mes souvenirs, et les réflexions que ce
sujet
intéressant m’inspira nie conduisirent quelques c
sformation qui a lieu suivant la pente des aspirations habituelles du
sujet
ou dans le sens de ses préoccupations du moment.
ses chefs. « La nature des aberrations ne présente pas pour un même
sujet
et dans les mêmes circonstances une grande variét
crois, par le souvenir de perceptions analogues, auxquelles j'ai été
sujet
. « Pour mon compte personnel, reprend M. d'Esca
tout les fiévreux qui ont eu recours au sulfate de quinine ; les gens
sujets
aux bourdonnements d’oreilles. Des sons réels con
sance au ragle, a lieu suivant la pente des aspirations naturelles du
sujet
, ou dans le sens de ces préoccupations du moment.
pas pour cela du bon chemin. « Dans ce pays, les Arabes sont moins
sujets
au ragle que les hommes du nord. Ce sont des homm
s. On peut compulser l’ouvrage du Dr Mordu (de Toursl, qui donne à ce
sujet
des explications que je connais parfaitement, mai
tres n’y voient qu’un simple délit. Les nombreuses discussions que ce
sujet
a soulevées depuis quelques années n’ont guère ch
l eût sans doute été impossible d’attirer l’attention publique sur un
sujet
aussi suranné et dont l’énoncé n’aurait excité qu
rie ; il rend compte des ouvrages qui oirt para récemment sur le même
sujet
, et il répond aux objections qui lui ont été prés
et avait pris la place de leur libre arbitre. Nous demanderons à ce
sujet
s’il existe un critérium pour discerner les crime
bûchers. Il se défend de cette conséquence, et ses protestations à ce
sujet
font honneur à ses bons sentiments, sinon à sa lo
e cillants. Depuis la nais San ce du dernier, la dame Flowerday était
sujette
a des ac-cèsde fièvre, à des hémorrbagiespériodiq
nces dont nous allons essayer de donner une idée à nos lecteurs? Le
sujet
que M. Lecomte a soumis à l’influence du magnétis
ait suivre. M. Lecomte mit en état de catalepsie un des bras de son
sujet
, et, dans cette position, il nous fit voir combie
gré elles. Le rapport mystérieux établi entre le magnétiseur et son
sujet
a permis de faire de nouvelles expériences à une
te qui agit sur le système nerveux. « Jules X... est habituellement
sujet
à des migraines et à des palpitations depuis l’âg
taque. Celle-ci passée, l’intelligence reparaît insensiblement, et le
sujet
reprend la conversation au point où il l’a laissé
ts et sur les moyens mystérieux. Je suis loin d’être sceptique sur ce
sujet
; mais j’ignore complètement comment chez les autr
le sol et d’en tracer le cours. l/article que je vous ai adressé à ce
sujet
est le premier que j’ai fait paraître, et j’espèr
quelques années, j’ai réuni et mis en ordre tous mes matériaux sur ce
sujet
; il y avait de quoi former un petit volume; mais,
pléter son travail, à recueillir et publier tous les matériaux sur ce
sujet
important. Quant au second procédé, consistant
occulte, ou de ta Baguette divinatoire), etc. A diverses époques, des
sujets
remarquables, tels que le fameux Aymar, et, de no
me dans une même proscription. Et malheureusement il ne manque pas de
sujets
qui fournissent à profusion (Tes armes contre le
reux qui ne peuvent qu’altérer ses facultés. Enfin que, même avec les
sujets
les plus lucides, les indications soient soumises
magnétisme, et ses travaux contribueront à jeter de la lumière sur ce
sujet
si ardu, sur ces phénomènes si peu expliqués jusq
ateurs ne s’entendent point pour concentrer leurs pensées sur un même
sujet
; ils ont le plus souvent des opinions fort dissem
ce genre, et les effets qu’il se contentait d’annoncer simplement au
sujet
qu’il éprouverait étaient également par lui resse
é depuis sous la dénomination de méthode stupéfiante, en annonçant au
sujet
qui lui était soumis qu’il allait dormir, qu’il n
e, cette idée de résistance impossible se développer dans l’esprit du
sujet
, préparer ainsi la soumission immédiate, et lorsq
hallucinations variables suivant l’organisation et le tempérament du
sujet
, et, d’autre part, un développement inouidela sen
rante du toxique absorbé. Le rôle du haschich était-il de préparer le
sujet
à l’impression voulue et de le mettre physiquemen
ans les dispositions nécessaires à la recevoir? On a prononcé, à ce
sujet
et pour expliqueras faits, le mot de fanatisme co
ard du magnétisme et de ses partisans. Naguère elles ne traitaient ce
sujet
qu’avec dédain , malveillance ou déloyauté,; main
de nos collaborateurs a dernièrement relevé les contradictions. Là le
sujet
est plus approfondi, et l’auteur reconnaît pour v
qu'apparait l'intéressant travail de M. le docteur Segond sur le même
sujet
. Les lecteurs de la Gazelle hebdomadaire ne se pl
; je ne veux que faiie ressortir le point de départ des croyances au
sujet
des phénomènes qui nous paraissent extraordinaire
aissent extraordinaires, et avoir raison des erreurs de de Haën il ce
sujet
. ( Je passe donc au second fait. « Un ecclési
s pour nous occuper d’une autre discussion avec le même auteur sur un
sujet
moins obscur. Dans le même numéro de son journa
cipal intérêt que présentera ce travail. Quant à la clairvoyance du
sujet
, elle est tellement en défaut à chaque pas, que n
qui sont mis en jeu. Nous croyons, après un examen assez opiniâtre du
sujet
, que différer en pareille matière est le parti le
ts à connaître, les doctrines et toutes les idées émises sur ce vaste
sujet
. Les phénomènes de spiritualisme américain, les v
nèbres, et le travail qui déjà s’est fait dans l’esprit des masses au
sujet
du magnétisme animal, qui semble maintenant adopt
ainement partir sa main, sous des dictées et sur des écritures ou des
sujets
des plus disparates, d’époques multiples, d’une v
si difficile à faire accueillir qu’il soit. Voici ce qu’écrit à ce
sujet
M. le commandant : « Sans m’engager dans une an
d’un coin de l’enveloppe. Elle contenait une dissertation sur divers
sujets
scientifiques, et notamment sur la nature de l’ai
core de son père. Je dois l’avouer, ce qui m’avait été raconté à ce
sujet
était vrai de tous points. Oui, toutes les fois q
eul nom de religion. Voilà encore ce qui expliquerait les crises à ce
sujet
, comme aussi les brusqueries du père dans une cri
ance, à la société par la gratitude, éloigner de son imagination tout
sujet
de frayeur en la rassurant par l’idée logique, te
ais j’en ai soumis plusieurs à ce genre de recherches, j’ai pris pour
sujet
de mes observations des individus de différentes
a une année dans le château de Coperquin, livré à la contemplation et
sujet
à des accès irréguliers d’extase. 11 est probable
e résolues. Voilà plus de soixante-dix ans que le magnétisme est le
sujet
de vives discussions; les uns y ont une foi parfa
lge.) BIBLIOGRAPHIE. SECONDE LETTRE DE GROS-JEAN A SON ÉVÊQUE, au
sujet
des tables parlantes, des possessions, des sybill
é, et les explications plus ou moins ingénieuses qu’on a données à ce
sujet
, ne nous semblent nullement satisfaisantes. « L
e seul dans une situation d’indépendance (p. 9). » Si la volonté du
sujet
s’est séparée de son appareil physique, et que ce
étrangère... L’auteur suit les divers degrés du phénomène : « Le
sujet
n’a aucune connaissance interne de la réponse qui
nnalité, elle émane donc d’un second moi, d’une personne distincte du
sujet
; cette conséquence mène tout droit au système
qu’il discute, les histoires bien avérées de medium écrivant sur des
sujets
inconnus et parfois dans des langues qui leur son
i leur sont complètement étrangères ? On prétend que les organes du
sujet
sont mus par /’instinct. .Mais c’est se payer de
seconde personne, c’est-à-dire de la portion dissidente et exaltée du
sujet
, qui aperçoit des objets placés hors de la vue de
elui qui avait voulu l’arrêter. Elle prit une plume et écrivit sur un
sujet
général. « Comme nous n’avons pas vu ce documen
ncé, mais les marbrures ont disparu. Le somnambulisme se déclare ; le
sujet
est sensible à l’attraction, et je produis à volo
arriver une constatation sérieuse et probante? Ce serait d’agir à ce
sujet
comme on a fait quand on a voulu prouver rigoureu
fendre d’une tristesse continuelle, et lorsqu’on la questionnait à ce
sujet
, elle répondait toujours : « Que voulez-vous, c’e
. Le Gérant : I1ÊBEKT (de Garnay). AVIS A MES CONTRADICTEURS AU
SUJET
DU SPIRITUALISME. Oii va-t-il ce pauvre vieilla
le fait suivant, qui montre que les connaissances manifestées par le
sujet
ne lui appartenaient pas en propre et ne pouvaien
attendue pour M,ne Mitchell, qui, dans ce moment, ne pensait pas à ce
sujet
, mais songeait à son frère qui faisait le commerc
médium et des personnes présentes. Il devrait suffire pour fournir le
sujet
de recherches intéressantes et de bonne foi à ceu
t intéressantes; mais comme nous n’avions pas le loisir de faire à ce
sujet
des vérifications, nous demandâmes une autre séan
nfluence et les conséquences qui en résultaient sur l’état naturel du
sujet
. Aussitôt que le bandeau fut appliqué, le sujet f
sur l’état naturel du sujet. Aussitôt que le bandeau fut appliqué, le
sujet
fut en état de distinguer les objets. « On n'em
e pièce de trois cents. Puis la carte fut placée sous la table, et le
sujet
désigna immédiatement la pièce, et elle en indiqu
nt ces phases diverses, feront bien de laisser pleine liberté à leurs
sujets
en leur inculquant l’habitude de ne parler que qu
facultés qui n’ont souvent rien de commun avec celles de l’esprit du
sujet
, lequel ne se rappelle rien quand son esprit lui
-devant des demandes qui ne pouvaient manquer de lui être faites à ce
sujet
, en nous déclarant (t. Il, p. Qlt) que le magicie
traite du magnétisme en homme qui l’a étudié à fond; il présente à ce
sujet
des considérations pleines d’intérêt, particulièr
r M. A. S. Morin, 464. Seconde lettre de gros-Jean à son évêque, au
sujet
des tables parlantes, des possessions, des sybill
(le) et la médecine. Débat entre M. le Dr Schiff et M. Re gazzoni au
sujet
d'expériences physiologiques faites par le premie
ique, 462. Spiritualisme. Discussion entre MM. Ogier et Roustan, au
sujet
d’évocations et de migrations d’esprits, 242. F
tude en plusieurs chapitres correspondant aux divisions naturelles du
sujet
. Nous étudierons donc successivement : I. Les f
n de tout ce qu'il a trouvé de plus singulier. Le livre est rempli de
sujets
figurant des individus anormaux, des hommes doués
y sont traités par la suggestion hypnotique. Nous reviendrons sur ce
sujet
quand nous pourrons disposer de données plus nomb
fonctionnement nerveux parfaitement équilibré, et même chez certains
sujets
doués d'une grande énergie de la volonté. L'hyp
rt du médecin qui pratique l'hypnotisme est donc, vis-à-vis de chaque
sujet
, de trouver les moyens d'exciter la suggestibilit
ieux y contribuer. Mais la constatation d'une forte volonté chez un
sujet
ne doit pas, à clic seule, nous faire craindre d'
sme pourrait avoir d'utile dans la circonstance et, je l'avoue, si un
sujet
, doué d'une volonté aussi ferme, n'offrirait pas
n ordonnance. . Il n'y avait donc pas à reculer, surtout on face d'un
sujet
si bien pré- paré. Je me levai alors et, sans
sychique. N'est-ce pas, du reste, par cet état que passent tous les
sujets
qui s'endorment? Ce n'est plus véritablement l'ét
ois plus encore au concours des tantes qui avaient si bien préparé le
sujet
et qui, à chaque SUPPLÉMENT A LA REVUE DE L'H
ants : Je n'ai jamais pu rêver à volonté ni déterminer d'avance les
sujets
elles caractères de mes rêves. Jamais non plus je
ur ce qui concerne la parole, je renverrai aux rêves intellectuels.
Sujets
des Rùtes.— Mes réves portent tantôt sur des obje
s ne sont pas assez précis, je puis dire d'une façon générale que les
sujets
de mes rêveB ont varié suivant mes occupations ha
ées. A propos de l'influence des préoccupations habituelles sur les
sujets
des rêves, je mentionnerai les deux exceptions su
e, la guerre à laquelle j'assistais, jamais je n'en ai rôvé. Si les
sujets
de mes rêves ont varié, comme je l'ai dit plus ha
peuvent s'amalgamer dans le même rêve; 5a D'une façon générale, les
sujets
des rêves correspondent aux occupations habituell
ombreux travaux de médecine rétrospective. On peut donc considérer le
sujet
traité comme rentrant dans l'archéologie médicale
sibles; elle est caractérisée par l'impossibilité absolue, qu'ont les
sujets
bienendormis, de pouvoir évoquer, par un effort v
e, le médecin de Bologne adressa un questionnaire très détaillé n son
sujet
à un de ses amis. Gisbcrtus Veconlus, habitant à
Les termes mêmes dans lesquel le citoyen de Brescia s'exprimait au
sujet
d'Hélèna Antonia, qu'il appelle . « La nosfra Ele
eux. Oe qui justifierait ce jugement exprimé par Marcus Palavinus, au
sujet
des femmes à barbe, à savoir qu'en général elles
portant û la main son observation détaillée. Depuis trois ans il est
sujet
â de nombreuses pertes de connaissance : une sens
provoquer les résultats voulus de la brûlure imaginaire, c'est que le
sujet
ne possède pas l'image de la réaction qu'on veut
e reproduire la réaction de la brûlure par le fer rouge. En outre, le
sujet
qu'on endort doit pouvoir être plongé dans le som
it que l'hystérie se caractérise par des manifestations capricieuses,
sujettes
à des alternatives ensensopposé, paraissant et di
idérerons que les manifestations primitives, celles qui chez certains
sujets
et d'une manière rigoureuse sont suscepiiò/cs d'ê
que cette localisation est susceptible de varier par la suggestion du
sujet
. Ainsi, lorsque nous recher-chonslesstigmatcsd'an
en, par ses questions, par son insistance, le médecin suggestionne le
sujet
. C'est ce qui explique que, chez telle malade qui
s stigmates hystériques n'ont d'autre intérêt que de démontrer que le
sujet
est suggestionnable, mais la suggestio-nahililé e
s et Tut surpris du développement que présentait le système pileux du
sujet
examiné par lui. En 16n3, elle séjourna à Bâle. a
11 est arrivé très fréquemment en médecine que l'observation du même
sujet
soit prise par divers médecins, étudiant son état
oyen d'excitations mécaniques faibles et répétées, aussi bien sur des
sujets
hypnotiques qu'en dehors ds toute sommation provo
r de la sensibilité à la douleur, avec ou sans transfert, suivant les
sujets
. (1) p. v . v . — Etude cliniqueet expérimental
t répétées. Le temps nécessaire à ce réveil variait seul suivant le
sujet
observé. Mêmes résultats si au lieu d'agir sur
vue, les expériences étaient particulièrement démonstratives sur les
sujets
atteints d'achromntopslc ou de dyschro-matopsie.
ement chez les hémianesthésiques et particulièrement chez ceux de ces
sujets
sur lesquels se produisait le transfert, le retou
t à prévoir, la sensibilité s'est restaurée d'autant plus vite que le
sujet
voyait ce qu'on faisait et que son attention étai
mécanique en elle-même, en dehors de l'auto-suggestion de la part du
sujet
et de la fixation de son attention. J'ai d'aill
s la production des phénomènes hypnotiques. On endort facilement un
sujet
hypnotisable en lui disant sur un ton monotone do
coté anesthésique aussi bien qu'à leur côté sensible, mais, chez les
sujets
que j'ai observés, j'ai toujours vu, en y regarda
éger notre peine, renforcer notre action et diminuer la résistance du
sujet
, nous devrons, de plus en plus, posséder tout un
pétant sui- vant un rythme isochrone à celui de la respiration du
sujet
; et celui-ci s'endort, en vertu des lois psycho-
pement pileux. Nous avons cru devoir mentionner cette discussion au
sujet
du système dentaire de Julia Pastrana, nous réser
illie des mollets bien accentuée. Bien que le barnum prétende que son
sujet
â treize côtes et treize vertèbres dorsales, le b
fait bien portante. En quoi consiste la maladie présentée par notre
sujet
? Comme vous le savez, la question n'est pas en
é prolongée l'ha- bitudc médullaire est beaucoup moins solide, le
sujet
commence à craindre, il n'ose plus marcher ; un c
nifestement, elle lit et s'intéresse à son entourage. Elle est encore
sujette
à l'irritation, mais moins que par le passé. Les
, ce cas est instructif parce qu'il démontre avec quelle facilité les
sujets
hystériques se prêtent à l'hypnose; je n'avais en
, ou à bord, dès le départ. La réussite me semble être certaine si le
sujet
est bien suggestihle et surtout s'il est hypnotis
du moins, atténuer leur violence, selon la suggestibilité spéciale du
sujet
. Je n'ai jamais eu l'occasion de faire des essa
ditions et de la répéter pendant plusieurs jours de suite sur un même
sujet
avant l'embarquement. La plupart des personnes su
e mal de mer par la suggestion et d'en préserver tout à fait certains
sujets
en les débarrassant de leurs préoccupations et en
ente. Il ne faut pas s'attendre à réussir constamment; même chez un
sujet
suggcstible, car II faut compter avec los qualité
cessaires pour arriver à la guérison. Il en résultait que beaucoup de
sujets
bien intentionnés, ne pouvant inter- rompre l
modestie se révèle dans la façon fort spirituelle dont il aborda son
sujet
: Prévoyant l'objection qu'on ne manquerait pas d
aquelle je vois tant de personnes compétentes et tant de zélateurs du
sujet
que j'ai à traiter. » Après ce préambule, il Ht
aciliter une supercherie de cette nature, surtout lorsqu'il s'agit do
sujets
exhibés dans les foires ou dans les cirques. Auss
t d'un examen survenant après la mort. C'est ce qui arrive lorsque le
sujet
succombe dans un hôpital. Une autopsie minutieuse
e était orné de barbe. Des cas de cet ordre ont été observés chez des
sujets
mis en étal d'arrestation. La même vérification a
t pour le sexe masculin. Enfin Béclard concluait de son examen que le
sujet
était une femme. En effet, on découvrait chez ell
complets de cette séance anatomique. En voici quelques passages : Le
sujet
présente un certain embonpoint, exagéré par Flg
rant selon le rituel consacré par la pudeur anglaise, c'est-à-dire le
sujet
s'étant disposé pour la présentation à tergo, il
ntait aucune particularité anormale. Le D' Chowne, qui a étudié son
sujet
avec la plus grande conscience terminait so:i
correspondent si exactement qu'il ne saurait y avoir aucun doute à ce
sujet
. Il est dans la destinée de la plupart des femmes
dique, d'une certaine durée, sera nécessaire. * ¦ ¦ Chez tous ces
sujets
, l'intimidation qui résulte de la présence d'une
ée lors de mes séances d'hypnotisme n'avait pas disparu. C'est à ce
sujet
qu'elle revenait me consulter, avec l'espérance q
rveux, bien que mon attention ait depuis trois ans, été éveillée à ce
sujet
par l'observation de cette malade. De même dans
s mon intention n'est pas de soulever aujourd'hui une discussion à ce
sujet
, parce que j'aurai prochainement l'occasion, à pr
, et qu'il était son ministre sur la terre, lut un homme orgueilleux,
sujet
à violentes colères et a des impulsions morbides,
be. Ce fait est en rapport avec ce qui avait déjà été observé chez le
sujet
du D' Chownc. Quelques mois après la naissance, c
be ne se trouvait pas en rapport avec une impression maternelle. A ce
sujet
sa mère raconte que pendant sa grossesse elle a r
pour se détester. Il suffit de lire les études sincères faites sur ce
sujet
par les officiers de marine; le carré qui, au déb
délibérément à la prédisposition constitutionnelle, native, chez les
sujets
entachés d'hystérie, l'entière et complète respon
e. La folie se montre certainement plus fréquente dans les familles
sujettes
aux maladies du système nerveux ; mais la déviati
ssance, au berceau, pour continuer à l'école. Nous nous faisons, â ce
sujet
, de la profession d'instituteur une Idée particul
, de notre très-distingué confrère, M. le LV J. Héricourt. Tous les
sujets
que M. Janet appelle très justement des pstjchast
gorie nombreuse des aboulies précisément les plus fréquentes chez nos
sujets
de tous les genres. Ces états latents se dévoil
era Les dégénérés mystiques. M. Dlieck, avocat à la Cour, a pris pour
sujet
la question si actuelle de la Criminalité juvénil
temps spécialisé dans l'étude de la méthodologie, son cours aura pour
sujet
: De laméthode en psychologie. Les cours seront
à partir du 13 janvier. Le programme de ces conférences comprend des
sujets
variés, se rapportant à toutes les questions de p
nte de tuberculose. Elle éprouvait également des troubles nerveux, au
sujet
desquels elle me demanda une consultation. De plu
se résumer à quelques pratiques de magnétisme, d'hypnotisme avec des
sujets
entraînés et plus ou moins hystériques. Ces prati
ement intolérable et quelles aggravations peuventen résulter pour des
sujets
rigoureusement astreints à toutes les obligations
remède obligé d'un pareil état de phobie invincible, le transfert du
sujet
dans une arme à pied, mesure que vous savez presc
mait dans son cabinet, il se regardait en dedans, 11 était son propre
sujet
d'observation. C'était une méthode qui pouvait av
trouver le remède. Telle est l'idée qui m'a guidé dans le choix du
sujet
de cette leçon d'ouverture destinée à servir d'in
tats d'inhibition que les manoeuvres d'hypnotisme provoquent chez les
sujets
hystériques. La différence ne consiste que dans l
de cinq : 1* etudie!! préalablement la suggestibilité naturelle des
sujets
, c'est-à-dire de iaire le diagnostic de la slgo
rapeute1 à connaître la puissance d'attention dont pourra disposer le
sujet
sur lequel il expérimente. Ce premier temps de l'
our obtenir une transformation morale, la première condition estquele
sujet
soit hypnotisé. Quand il n'est pas hypnotisé, il
ace que celles qui ont été tentées par les divers éducateurs. 3* Le
sujet
étant hypnotisé, lui imposer la direction morale
d'arrêt psychique. Cet effet sera réalisé en mettant mécaniquement le
sujet
dans l'Impossibilité d'exécuter l'acte Indiqué, e
'à ce que ie cran d'arrêt soit gravé mécaniquement dans le cerveau du
sujet
. On déterminera ainsi la limite où doit se conten
ion. 5* Terminer l'opération psychologique par le réveil complet du
sujet
soumis a l'influence de l'htpnotisme. Depuis lo
e, deviennent d'une efficacité remarquable lorsqu'ils le sont chez le
sujet
plongé dans l'état d'hypno-tisme. C'est sur cette
, l'emploi de ces procédés spéciaux de dressage doit être réserve aux
sujets
chez lesquels les moyens habituels d'éducation se
ce et la matière. En lui-même, ce phénomène consiste en ceci : Un
sujet
, placé dans un état particulier, que nous appelon
e objet, sans contact, on pourra toujours admettre que, chez certains
sujets
et dans des circonstances particulières, cette fo
la main présentée, suivant les personnes, et peut même, avec certains
sujets
, se transformer en mouvement de répulsion. Quoi
ec l'état de santé des individus. Nous avons constaté chez quelques
sujets
, mais dans des circonstances rares, un déplacemen
'ouate était attiré par lui. Après ces constatations faites sur des
sujets
en état de santé, il était intéressant de recherc
sthénomètre. Les résultats constates furent les suivants : Chez les
sujets
dont le système nerveux est déprimé par une malad
t une diminution générale proportionnelle à la dépression nerveuse du
sujet
. Chez les hystériques, le sthénomètre nous donn
ette maladie, et du bien fondé de la théorie que nous avons émis à ce
sujet
. C'est ainsi que, quand un sujet hystérique prése
la théorie que nous avons émis à ce sujet. C'est ainsi que, quand un
sujet
hystérique présente une diminution de la sensibil
ieuse et qu'elle était une des caractéristiques de la personnalité du
sujet
. Un buveur est un individu extrêmement sensible
ement. Un beau jour, à notre grand étonnement, nous constatons que ce
sujet
, d'ordinaire si facile à hypnotiser sembk être de
à été faites par les personnes de l'entourage. Elles déclarent que le
sujet
, tant qu'il est à jeun, se montre parfaitement so
isonnement n'a plus de prise sur lui. I.a suggestibilité normale d'un
sujet
varie donc sous l'influence des divers excitants.
mpagnée de projections, a étudié la psychologie du courage ; & ce
sujet
, M. Huchard, membre de l'Académie de médecine, au
n avec la métaphysique. Voici d'ailleurs comment U s'est exprimé a ce
sujet
: — J'ai pensé que le mol de spiritisme ne pouv
e. Les Aryasdel'Aryane primitive étaient des Dieux en comparaison des
sujets
de Manon. Mais qu'est-ce que la Race brune de l
sain d'esprit possède une faculté de contrôle. Elle est, suivant les
sujets
, plus ou moins développée; soit, mais elle est. O
cette suggestibilité peut devenir pathologique. Tel est le cas de ces
sujets
hypersuggestibles chez lesquels l'impressionnabil
te sur ce point, on s'adresse, dans ce cas, à la raison du malade. Le
sujet
discute souvent encore les Idées qu'on cherche à
nte que réelle. La plupart de ceux qui viennent nous trouver sont des
sujets
à faculté de contrôle minimum, plus ou moins abou
des auteurs dramatiques ont puisé dans les cliniques d'hypnotisme le
sujet
de leurs pièces. C'est peut-être la première fois
scène de toute la grandeur du maitre psychologue. Voici d'ailleurs le
sujet
de la pièce : Le professeur Loindrc, auteur d'un
celle qu'il aime, démontrant ainsi l'inanité de ses théories. A ce
sujet
notre érudlt confrère le Dr Baudouin, l'homme le
érents sur les mêmes organes, et qui n'est guère possible que sur ces
sujets
spéciaux. 5. C'est à V'illejuif que notre camar
aence du bandeau frontal, a éprouver une amélioration manifeste. A ce
sujet
, nous rappellerons que les D» BériUon et Magnin o
pareil vibra teur destiné k faciliter la production de lavpnos*. A c«
sujet
, le D" Bérlllon s'exprimait ainsi : * L'applicati
trumente vibratoires tur le front ou sur d'autres parties du crâne da
sujet
a provoqué constamment, au bout de quelques minut
'aspect extérieur d'un homme. Berthe Akaira, tel était le nom de ce
sujet
, avait le menton barbu et portait de fortes moust
s en 1901, MM. Dupré et Duflos, ont présenté une communication sur ce
sujet
. Ayant comparé deux séries de mille femmes chacun
de la barbe, elle était essentiellement femme. Le Dr Mac Dowall au
sujet
des deux malades dont il a publié l'observation s
il y a quelques années ; on l'a toujours considéré comme un très bon
sujet
; Il a eu, successivement, la médaille de bronze
r l'assurance qui lui manque. Le père de notre jeune homme fait, à ce
sujet
, au fond de sa province, une enquête auprès des u
mer. Voulez-vous me permettre de vous raconter mes expériences à ce
sujet
. Pendant une traversée d'Angleterre en Amérique
de mer; cela se rencontre très rarement; aussi les passagers qui sont
sujets
au vertige naupathique devraient-ils se faire sug
par suggestion hypnotique, j'ai immunisé des personnes qui y étaient
sujettes
. Une fois, en chemin de fer, j'ai pu le juguler,
les peuvent exercer. Les recherches que nous avons entreprises à ce
sujet
nous ont révélé des faits que nous n'aurions jama
onomie de cette femme barbue indique qu'on se trouve en présence d'un
sujet
doué d'un état mental anormal. (1) William Hill
son livre figure le portrait d'une femme à barbe. Mais l'auteur, à ce
sujet
, se borne à formuler quelques généralités sur les
s considérations, le Dr Mercier n'ajoutait aucun renseignement sur le
sujet
qui en avait été l'occasion (Fig. 53). (I) Ch.
aduel, peuvent passer de l'une à l'autre. Plus loin, dans l'exposé du
sujet
, j'ai l'intention d'examiner en passant la psycho
r ne pas mécontenter celui qu'on féte. Par la suite, la résistance du
sujet
à l'alcool s'affaiblit de plus en plus et il boit
s bien des cas, impossible, de se borner à ces doses raisonnables, le
sujet
, sans s'en apercevoir, franchit certaines limites
nisme acquiert une certaine habitude de l'excitation alcoolique et le
sujet
commence à ressentir le besoin d'employer les spi
tu de l'habitude prise par l'organisme. C'est de cette manière que le
sujet
en arrive à boire par jour plusieurs bouteilles d
empruntent sur leurs vêtements. J'ai en traitement pour l'instant un
sujet
âgé de 27 ans qui boit depuis trois ans et qui ve
s excite l'appétit et améliore la digestion. On observe souvent qu'un
sujet
qui se contentait d'un verre d'eau-de-vie avant l
on intelligence s'afTaiblissent. Toutes ces considérations amènent le
sujet
à la ferme résolution de cesser complètement de b
e entre l'habitude déjà enracinée et le sentiment du devoir moral, le
sujet
renonce enfin à l'alcool. Mais, quoiqu'il éprouve
e, qui le poursuit encore, l'emportent sur la résolution prise par le
sujet
. Il cède. Il suffit qu'il boive deux, trois verre
contenu, puisque les centres d'arrêt sont paralysés par l'alcool. Le
sujet
boit plusque jamais. Le lendemain, au réveil, il
fois que cette crise dure trois mois. Pendant toute cette période, le
sujet
ne prend aucune nourriture, laquelle provoque che
l'irritation de l'œsophage et de l'estomac devient si intense, que le
sujet
vomit tout ce qu'il prend. L'alcool lui-même ne f
es quand la crise touche à sa fin. Dans cette période, le vin, que le
sujet
ne peut plus prendre et qu'il vomit, lui inspire
inspire du dégoût ; mats, peu à peu, il ne produit plus cet effet. Le
sujet
peut déjà penser tout à fait tranquillement à l'e
disparition de sa femme, abandonnant ses enfants. L'état psychique du
sujet
variera suivant les différentes circontances, qui
qui auront pourtant cela de commun, qu'elles bouleverseront l'âme du
sujet
; celui-ci se pose mille questions ; qu'adviendra-
idu. Laissant de côté l'hérédité alcoolique, nous aurons en vue les
sujets
présentant des symptômes de dégénérescence mental
se est déterminée par toute une série d'impressions n'ayant, selon le
sujet
, aucune importance, mais qui en se totalisant con
mais qui en se totalisant constituent cet état émotif. Cher, les
sujets
de cette catégorie, souvent des échocs insignifia
ité de lutter contre les circonstances. On peut dire a priori que les
sujets
de cette sorte présentent au développement de l'a
conclusions a priori sont confirmées par la pratique. Il suffit qu'un
sujet
souffrant d'une tristesse inexplicable boive un p
oéder à la tentation qui apaise les souffrances. Malheureusement les
sujets
, dont il est question, ne sont pas suffisamment d
gorie des alcooliques habituels ou périodiques. Par opposition au
sujet
que nous venons d'examiner, la crise alcoolique p
iquée; dans chaque cas particulier, elle dépend de l'individualité du
sujet
et de son milieu. II est impossible d'épuiser loi
plus tragique; elle voit ses enfants abandonnés et c'est pour elle un
sujet
de préoccupation, de tortures insupportables. Mai
u à peu prend corps et, à la fin, s'empare entièrement de l'esprit du
sujet
; elle recourt au vin et en boit jusqu'à l'ivresse
vuo juste sur les alcooliques. C'est en étudiant l'état psychique du
sujet
qu'on arrive à s'expliquer pourquoi telle et tell
olisme. Je m'empresse de faire observer que j'ai nullement en vue les
sujets
chez qui la crise alcoolique est un des symptômes
pratique dans la lutte contre l'alcoolisme. Si la nature psychique du
sujet
joue un si grand rôle dans le développement de l'
decins possèdent un moyen très puissant d'agir à volonté sur l'âme du
sujet
dans le sens voulu, suivant l'individualité de ch
s et les résultats que j'ai obtenus. Les alcooliques présentent des
sujets
qui sont très facilement suggestives. Tous les au
ypnotisme sur les alcooliques ont noté cette particularité. Sur 319
sujets
, il n'y en a eu qu'un chez qui les procédés habit
qu'il y a de grands inconvénients à pratiquer la suggestion avec des
sujets
ivres. Souvent le sujet n'est pas capable déconce
nvénients à pratiquer la suggestion avec des sujets ivres. Souvent le
sujet
n'est pas capable déconcentrer son attention, il
nt. C'est pourquoi j'ai complètement renoncé à faire la suggestion au
sujet
en état d'ivresse, je ne la fais que le jour où i
resse, je ne la fais que le jour où il n'a pas pris d'alcool. Si un
sujet
se présente chez moi, me priant de le traiter, j'
de faire dans le courant de l'année est de 12 h 15. L'individualité
sujet
et sa suggestibilité déterminent, bien entendu, l
decin doit prendre à tàclic de détruire toute ombre de doute chez des
sujets
de cette sorte. O'est chose facile à cause de la
éance; dans la pratique je n'ai eu que six cas de cette nature. Si le
sujet
continue à boire après la seconde séance, je cess
t tout-à-fait l'opinion du professeur Tokarsky qui pronostique mal du
sujet
continuant de boire après trois séances ou se rem
'ont démontré qu'on peut considérer comme d'une guérison douteuse les
sujets
qui après avoir cessé de boire sous l'effet de la
francs. nouvelles douleurs dans différentes parties du corps ; un
sujet
prétend souffrir au bras de douleurs sourdes ; il
sième ressent une oppression dans la poitrine, et ainsi de suite. Des
sujets
comme ccux-Iàont besoin d'être soumis à la survei
sa force, l' « orthopédie mentale » de M. Béril-lon. Presque tous les
sujets
cessent de boire après la première séance ; cela
n pourrait répartir le reste des patients de la manière suivante : 55
sujets
, c'est-à-dire un sixième du nombre total des alco
s les deux ont subi Ui mois de traitement. Par conséquent, sur 25
sujets
qui avaient suivi le traitement complet, je n'ai
n'y a pas lieu, je crois, de douter de la guérison dans le cas où le
sujet
est traité pendant un an. , J'ai des renseignem
c'est la suggestion. Pour parvenir à refaire l'état psychique du
sujet
, il faut une période de temps suffisamment prolon
. Nombre de fois, j'ai ainsi rendu très facilement hypnotisables des.
sujets
que, sans cet artifice, je n'aurais peut-être pas
rte et de tempérament nerveux. Dès sa plus tendre enfance, elle fut
sujette
à des accès de colère qui se terminaient par la p
on de l'ouïe; mais comme il s'agit pour moi d'un terrain vierge, d'un
sujet
à malléabilité inconnue, la crainte d'un premier
pour l'ensemencement. Du reste, il m'est facile de constater que mon
sujet
est d'une sensibilité et d'une émotivité extrêmes
Malgré le défaut d'un sommeil apparent, on ne peut contester que mon
sujet
se soit trouvé dans l'hypnose partielle de Wundt.
, par la simple parole, j'ai fait réapparaître et disparaître sur mon
sujet
, tour à tour et à plusieurs reprises, la cécité e
, tour à tour et à plusieurs reprises, la cécité et la paralysie. Mon
sujet
a manifesté une forte dose de réceptivité a la su
ont adressé des observations très intéressantes et présenteront leurs
sujets
au jury d'examen. Les résultats de l'enquête se
s rEiiiiBS a barbe contemporaines. Considérations m£dlco*Icgales au
sujet
des femmes à barbe. — Fanny Kubabs, la vagabonde.
ne tête semblable et en même temps de divers organes appartenant à un
sujet
du sexe féminin, il sera certainement porté à adm
mée. I3| PodlUg rjSUOSku D. r& Pfahl'a. proviennent de deux
sujets
de sexe différent. En effet, rien ne ressemble pl
dos observateurs allemands a supprimé la légende qui s'était créée au
sujet
do ce cheval. On connaissait déjà l'intensité de
m'avait adressé cette lettre. Au premier aspect il mapparut comme un
sujet
très impressionnable, très novice, doué d'une ext
assez rare de réunir les qualités indispensables pour bien traiter ce
sujet
: celles du musicien, celles du psychologue. Sans
court, ne dépassant jamais cinq à dix minutes ; il est très léger, le
sujet
se réveille au moindre contact, mais Communicat
ouvent la perte de cooscience n'est même pas absolue, et au réveil le
sujet
a conservé le souvenir de ce qui se passait autou
conséquences sociales assez graves. Elle s'était traduite pour notre
sujet
par son renvoi successif de chez divers patrons q
disposition sur toutes les catégories d'aliénés. Plus de deux cents
sujets
ont été examinés ; sur ce nombre nous n'avons r
ues-unes, des renseignements exacts et parfaitement concordants des
sujets
les plus difficiles. Les champs visuels ont tou
le champ visuel- type, nous avons déter- miné le champ de cinquante
sujets
absolument normaux, choisis parmi les infirmier
mp visuel cons- tant en haut (1). Il est parallèle à l'état même du
sujet
, et cesse d'exister avec le trouble. On le trou
E. Le tracé il pris le 15 septembre représente le champ normal du
sujet
, rétréci en haut (le sujet travaille). Le tracé
septembre représente le champ normal du sujet, rétréci en haut (le
sujet
travaille). Le tracé 12 pris le 28 sept. Le suj
tréci en haut (le sujet travaille). Le tracé 12 pris le 28 sept. Le
sujet
étant déprimé, le rétrécissement du champ visue
cé n° 13, pris le 3 septembre, représente le champ visuel normal du
sujet
. Le tracé n° 14, pris le 4 octobre, présente un
t globalement ; mais dans ces cas, la diminution de l'attention des
sujets
était telle que nous n'avons pas cru devoir en
entale, atteignant l'aliéné comme elles auraient atteint tout autre
sujet
. L'examen des pupilles a été fait à la chamhre
a possi- bilité d'examiner dans toutes ses parties la rétine d'un
sujet
indocile ou inconscient. Les aspects ophtalmosco-
ur obtenir ce réflexe, il faut faire intervenir l'in- telligence du
sujet
observé. A l'examen ophtalmoscopique on rencont
ut récemment que E. Schultze, Donalt et Heilbronner ont fait sur ce
sujet
des travaux d'ensemble.Ils répètent d'ailleurs,
er les travaux allemands, russes, etc., approchant plus ou moins du
sujet
que je traite. Je l'en remercie très vivement.
op facilement par les opi- nions du malade et de son entourage : le
sujet
, dit-on, a cherché dans l'alcool un remède à la
lcoolisme et les préjugés populaires ne facilitent sou- vent à leur
sujet
des diagnostics erronés. Peut-être s'agit- il i
e probable. Mais l'auteur s'est principalement attaché à étudier au
sujet
du bacillus botulinus. les faits d'association
. - Sur la continuité des cellules nerveuses et sur quelques autres
sujets
connexes; par John Turner (The Journal of Men-
à l'état normal du taux de l'indoxyl. Il n'est pas douteux que les
sujets
atteints de mélancolie souf- f- frent plus ou m
les familles en- tachées de folie ou d'épilepsie. Survenant chez un
sujet
atteint d'épilepsie, ce fait est intéressant, c
llelcn médical, n° 28, 1906.) Leçon clinique de l'hôpital Tenon. Un
sujet
présente de la para- lysie bilatérale des relev
s généraux des pseudo-esthésies, l'auteur relate l'observation d'un
sujet
chez lequel, depuis l'enfance, certaines parole
une augmentation de la sécrétion salivaire. En outre, lors- que ce
sujet
mange un aliment qui lui plaît, il prononce toujo
s) et Schmidt (de Molsheini). (Bulletin médical, n° 18, 1906.) Un
sujet
de 75 ans est depuis trois ans atteint de crises
tômes qu'il est le plus nécessaire de combattre parce que, chez les
sujets
sains, sa persistance peut devenir la cause d'u
. Maison sait que les crises sont souvent identiques chez un même
sujet
,de plus la crise laisse après elle des troubles d
ypersthésie. A noter aussi que dans un de ses états elle était très
sujette
aux maux de dents et que dans l'état suivant el
ux impressions plus indif- férentes ; 4° manière de se comporter du
sujet
; 5° caractère de l'acte, Les deux derniers poin
ystérie pour finir par la folie. Il est remarquable que beaucoup de
sujets
hystériques, en devenant définitivement aliénés
Médecine ; avril 190G.) Deux observations de paralytiques généraux
sujets
à des accès d'angoisse cessant à l'apparition d
ont été successivement préconisés pour les pervers. Selon lui, ces
sujets
qu'il considère à la fois comme des anormaux et
la maladie est encore relativement beaucoup plus fréquente chez les
sujets
mariés ou veufs ; 4° chez les hommes la profess
) Comme beaucoup de discours présidentiels, celui-ci touche à des
sujets
très variés et résume principalement l'oeuvre pra
mas Johnstone (The Jour- nal of mental Science, octobre 1905.) Le
sujet
a été à maintes reprises traité dans ce journal,
la tendan- ce aux rechutes chez les femmes, les délusions chez les
sujets
âgés et l'apparition de symptômes aigus chez qu
ar l'initiateur se comportaient comme des suggestions faites sur un
sujet
très hypnotisable. De là, la ténacité et la fix
la vie sexuelle, que dans un état de dégénérescence. 11 y a à ce
sujet
un exemple classique, c'est celui d'un jeune- h
eéducation de la volonté. Grâce à une discipline psycho-motrice, le
sujet
est entraîné à se décider et à agir énergiqueme
de : olgi étant complète- ment inefficace à faire la lumière sur ce
sujet
. La 4''leçon est consacrée aux' états psychopat
cas offrent à l'auteur la possibilité de se prononcer d'un côté au
sujet
du traitement des troubles hystériques et de l'au
estions répétées avec persistance peuvent créer à leur insu chez un
sujet
suggestible un syndrome caractéristique pour te
s comme suit : 1° Une com- position écrite, de trois heures, sur un
sujet
de pathologie médi- cale ou chirurgicale, à l'e
n sujet de pathologie médi- cale ou chirurgicale, à l'exception des
sujets
de pathologie spé- ciale. Il sera accordé trent
es places vacantes ; 2° Une épreuve orale, de quinze minutes sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système nerveux,
ent seul pénétrer dans les locaux réservés aux épreuves écrites. Le
sujet
de la composition écrite est le même pour tous
nts d'aliénés. Les art. 27 et 28 ne soulèvent aucune critique. Au
sujet
de l'article 29, relatif au séjour que doivent fa
rticulier et font partie en quel- que sorte de la mentalité même du
sujet
, l'absence de volonté et de moralité du malade
la perturbation qu'elles provo- quent dans les rapports sociaux des
sujets
, pousser à l'examen sérieux d'un malade jusque
é ». Ivresse légère. Fugues conscientes, mné- siques. répétées ; le
sujet
présente une véritable crise de mouvement inqui
duit qu'à la suite d'une desorientation éga- lement accidentelle du
sujet
. D'autre pari, chez tous les vrais spé- culaire
eau qui n'a pas (olé éd : 1qué pour l'écriture, puisque beaucoup de
sujets
écrivent spontanément mieux en miroir de la mai
es spéculaires et ceux-ci sont des anor- maux au même litre que les
sujets
qui sont incapables d'écrire en miroir lorsqu'o
elation avec des lésions dans la sphère du pneumogastrique chez des
sujets
at- teints de tuberculose : on les rencontre su
- namique d'origine émotive qui peut être provoquée chez certains
sujets
par certaines émotions spéciales agissant comme
auxquels on peut voir débùter la paralysie générale chez les jeunes
sujets
et chez les adultes étant respective- ment six
dégénérés obsédés étaient considérés par Falret commj J n'étant pas
sujets
aux hallucinations ; toutefois certains cas ac-
la maté- rialisation de l'idée obsédante, elle se manifeste chez le
sujet
avec un état toujours conscient ; elle ne lui a
at itléo-obsessif. Elles sont primitives, et n'apparaissent plus au
sujet
comme une image purement mentale. 3° Enfin il
- siiie. Les observations que rapporte l'auteur s'adressent à des
sujets
déjà âgés dont l'épilepsie débuta et continua à
rnal of mental Science, janvier 1904.) L'auteur n'ignore pas que le
sujet
qu'il traite n'est pas nouveau : mais il désire
pour apprécier ce qu'on ap- pelle le gain ou la perte de poids d'un
sujet
n'est ni la plus satis- faisante ni la plus pro
connaître que quatre mémoires ont été envoyés pour le, prix sur le
sujet
148 SOCIÉTÉS SAVANTES suivant : Valeur diagno
qui exprime la même idée. M. DENY répond qu'il ne suffit pas à un
sujet
de ne pas avoir la sensation de ses organes pou
; enlin, une mention très honorable est attribuée à M. Cornu. Le
sujet
du Prix Aubanel pour 1908 est le suivant : Des am
r les plus graves objections dans le monde aliéniste : c'est que le
sujet
en est d'un très grand intérêt actuel. et l'aut
séparer un organe de ses fonctions ? ) Et il ajoute : « Pour qu'un
sujet
soit médica- lement responsable d'un acte, il s
Dr Gilbcrt Ballet, de Paris. II. Communications originales sur des
sujets
de psychiatrie et de neurologie Présentations d
sont réglées comme suit : 1° épreuve écrite de trois heures sur un
sujet
d'anatomie et de pathologie in- terne ou extern
ve orale de quinze minutes après quinze minutes de réflexion sur un
sujet
d'anatomie et de pathologie in- terne ou extern
, le docteur Lélang avait présenté une excellente thèse sur le même
sujet
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE EN VENTE AUX BUREAU
ques ou psychiques, normaux ou anormaux. Les théories faites sur ce
sujet
et basées surtout sur l'observation de troubles
persistance de la conscience, de la connaissance temporaire,par le
sujet
,des résultats qu'il est question d'obtenir, et
en place, « l'expérimentateur fixe simultané- ment les deux yeux du
sujet
... l'action du regard est entière sur l'oeil li
ait que le regard agissait. d'une manière indéterminée, à l'insu du
sujet
. Séance du 16 décembre (voir l'index). C'est da
est dans cette séance que fut communiquée la fameuse observation du
sujet
dont chaque moitié de la face présentait une mi
ndance même relative des hémisphères cérébraux ; elles n'ont L à ce
sujet
pas plus de valeur que les hallucinations unilaté
note de la p. 788) : «Chez les 2 malades hystériques qui sont, les
sujets
de ces expériences, la sen- sibilité est répart
enfant,chez l'hypnotisé dans certains cas pathologiques et chez les
sujets
arrêtés de bonne heure dans leur développement
fasse mention- d'autres SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 191
sujets
que d'une facon accesscire et toujours erronée :
oisement optique a été la cause de tous les autres. Wundt fait à ce
sujet
une remarque qui constitue une grave objection
tation l'Auteur s'est contenté pour une partie si importante de son
sujet
, et combien il est ignorant des conditions habi
hacun des centres du cortex : on nous pardonne- ra de rappeler à ce
sujet
le travail d'ensemble de Wertheimer et la revue
me il en avait négligé l'origine phylogénique. (On peut voir sur ce
sujet
Wundt, 1902, I, p. 237 et p. 239 ; Cajal, 1906.
"ou avec les objets, enfin les' idées, sensations et objets avec le
sujet
même... Il vit sur un fond de notions, d'habitu
misphères contient la plupart des indi- cations essentielles sur ce
sujet
. Mais nous croyons utile d'insister ici, à prop
e soit pas reconnue par la loi, d'où les divergences de vues à ce
sujet
entre médecins. Il est certain que si la diminu
emme internée. Il y aurait peut-être quelques réserves à faire à ce
sujet
, de même que sur l'art. 49. Pour ce dernier, qu
rvosisme et d'arthritisme est fréquente. Il s'agit, dans ce cas, de
sujets
à la fois hypo et hyperthyroïdiens qu'on peut r
e montrent l'attention avec laquelle il faut chercher pour chaque
sujet
la dose convenable du médicament. Ils rendent com
bras et jam- bes, le rend en même temps très sensible. Parmi les
sujets
que nous avons soignés, nous citerons : Une fil
uivant l'ancienneté de l'épreuve et surtout suivant la cul- ture du
sujet
. J. S. XXI. Accommodations de l'oreillo à des b
une sorte d'en- sociétés savantes. 259 Lrée en matière, chez les
sujets
mal doués au point de vue de l'es- prit. Chez
des matières plus difficiles des programmes scolaires. Et chez les
sujets
de caractère faible, on trouverait dans l'accou
s d'inhibition légers dans lesquels la résis- tance pathologique du
sujet
sera éteinte, sans que soit abolie pour cela sa
e que ces tableaux soient dressés sur un type uniforme; voici, à ce
sujet
, les prescriptions qu'il conviendra de suivre.
es suivantes : 1° Une composi- 1101, écrite de trois heures, sur un
sujet
de pathologie externe 268 VARIA (médecine et
le des places vacantes. 2° Une épreuve écrite de deux heures sur un
sujet
d'anatomie etde physiologie du système nerveux.
par l'Administration et constatant leur admission au Concours. Le
sujet
des compositions écrite est le même pour tous les
ulé : « La douleur mo- rale est le résultat de la conscience que le
sujet
prend de son arrêt mental par suite du relèveme
e tristesse ait un motif et une cause,etc. » et M. Du- mas dit à ce
sujet
: « C'est un besoin interne de logique, une hor
série ou état de conscience est représenté par le sentiment que le
sujet
a de son identité personnelle depuis le début d
en soi mais solidement et exclusi- vement associée dans l'esprit du
sujet
à un état de conscience donné. On dit avec ra
joignent à la plupart de celles de l'état de veille, et,sans que le
sujet
s'en rende compte, elle influe puissamment sur sa
s, séries dont, le plus souvent, l'une est réglée d'avance.Chez les
sujets
à synthèse mentale insuffisante ou sujette à se
réglée d'avance.Chez les sujets à synthèse mentale insuffisante ou
sujette
à se restreindre, chaque groupe pourra devenir
rra devenir indépendant de l'autre, et alors, ou bien être connu du
sujet
alternativement avec cet autre, ou bien ne pas
née d'états de conscience, c'est-à-dire une personnalité. Ainsi, le
sujet
associe la représentation des mouvements de la
et qu'elles sont le plus souvent de pures créations de l'esprit du
sujet
. Une fois établi, ce groupement de représentati
deux à la fois. Qu'ils soient spontanés comme dans la catégorie des
sujets
tarés, dont les hystériques sont les mieux cara
graphie,d'origine manifes- tement psychique et non pas organique.le
sujet
associe,par exem- ple, les sensibilités tactile
laire, etc., mais déterminée parla représentation régionale que le
sujet
a de son propre corps. On connaît les différenc
hypothétique des représentations fonctionnelles dans l'esprit du
sujet
: rien non plus ne montre mieux l'absence de tout
la division anatomique du névraxe en deux moitiés symétri- ques. Le
sujet
ignore la localisation unilatérale des centres du
évidence leur origine inorganique. La représentation, l'idée que le
sujet
a de chaque fonction ne se borne pas à agir sur
née, est toujours basée sur l'idée,nécessairement incomplète,que le
sujet
s'est formée de la perception de cette cou- leu
ortuites et est gouvernée'pour ainsi dire par l'idée que se fait le
sujet
du fonction- nement des 'organes atteints-. Mai
trophiques etc. L'auteur rapproche tous ces faits observés chez des
sujets
indem- nes de toute névrose, de certains accide
nt la possibilité de trois per- sonnalités successives chez le même
sujet
: l'une d'elles (la normale, dit-il) étant cell
comme le somnambulisme est distinct de la veille. Léonie et Lucie (
sujets
longuement étudiés par l'auteur) onttrois perso
mettre que le nombre des personnalités que peut présenter un même
sujet
, chacune même à plusieurs reprises, théoriquement
et qui forment la base de la réprobation pour l'acte éprouvé par le
sujet
. En quoi celui-ci diffère- t-il alors de l'acte
ervation de tant de faits analogues. Le deuxième cas est celui d'un
sujet
qui « entretient en même temps deux conversatio
lesquels 30S PSYCHOLOGIE. \ se porte l'attention de l'Auteur, le
sujet
avait présenté une période de réveil des sentim
les frotte vive- ment l'une contre l'autre. « Ferme-t-on un oeil du
sujet
, le bras du même'côté retombe inerte, tandis qu
uteur rapporte encore, d'après l'ouvrage cité de Ribot, le cas d'un
sujet
en train de lire et dont la lecture est interro
e avec variantes par Charcot ou d'autres observateurs sur plusieurs
sujets
. Dans plusieurs cas, de certains détails (parol
en effet difficile à reproduire volontairement, du moins pour un
sujet
sain ; mais il n'en est pas de même pour l'hyst
uels se trouvent ainsi dissociés, dimidiés dans le cas actuel. Le
sujet
avait, comme les précédents, associé soit spontan
les yeux.On fixe alors dans le plan vertical médian de la figure du
sujet
un écran disposé de telle façon que chacun de s
PS. 113 ordinaire du sentiment de l'identité. Qu'il consulte à ce
sujet
deux livres classiques de tendances opposées : la
tout le reste du livre.l'Auteur paraît véri- tablement oublier son
sujet
, la démonstration, évidem- ment ardue, de l'ind
e insuffisante ; ces manifestations peuvent même être telles que le
sujet
ait oublié sa personnalité habituelle, et telle
chologique, il semble bien qu'il y ait même dualité de dualismes.Le
sujet
hypnotisé qui rit à droite et pleure à gauche..
unal peut demander une expertise contradictoire ; sa décision est
sujette
à l'appel (art. 11 ? ). Les dispositions concerna
Hughlings Jackson sur l'évolution nerveuse, et avec son opinion au
sujet
des centres représentatifs et re-représentatifs
t être constatée passagèrement sous l'influence de l'alcool chez un
sujet
sain. Le temps de réaction total à l'égard des
s limites physiologiques est pro- bablement très faible et pour les
sujets
à susceptibilité spéciale elle est presque insi
elle est presque insignifiante. L'étude de la thermogenèse chez les
sujets
permettrait de la préciser pour le cas particul
lise les faits cL çonstituc une synthèse de ce qui a été dit sur ce
sujet
. Toutes les variations des os faciaux sont étud
1905. M. Diaule entre dans des considérations très judicieuses au
sujet
des suicides, du martyrologue du personnel médica
rt de l'administration et do la justice. Opinion du Dr Chervin au
sujet
du maintien des INSTITU- TIONS DE sourds-muets
André-des-Arts) et le continuera les Jeudis suivants à cinq heures.
Sujet
du Cours : Les maladies nerveuses des enfants e
ncapacité de la représentation des mouvements, avec indifférence du
sujet
à cette paralysie. Comment les partisans de l'h
vont-ils l'ex- pliquer ? L'un dit : il y a paralysie parce que le
sujet
est anesthésie. Ne sentant plus son bras, ne pe
la perte de la conscience des sensations, car dans certains cas le
sujet
qui pré- tend ne pas percevoir les excitations
Avec cette dernière manière de voir, la paralysie tient à ce que le
sujet
a l'idée fixe que son bras est paralysé. On v
ment du moi. Mais si, par suite de cette désagrégation mentale,le
sujet
se trouve en possession de deux person- nalités
dit un neuvième. La cause de tout est dans la suggestibilité. Si le
sujet
est paralysé, c'est qu'il s'est auto-suggestion
sie est le fait d'une amnésie systématisée par exemple, pourquoi le
sujet
perd du même coup le sentiment de la propriété
par de l'aboulie, une autre encore par une idée fixe. Chez le même
sujet
nous voyons survenir également, à des époques d
conspect. Il faut se défier singulièrement de ne pas prê- ter à son
sujet
des explications qu'il ne trouverait pas lui-mê
t étonnantes de subtilité et d'ob- servation psychologique chez les
sujets
en cause. Suivant sa finesse d'esprit, ses conn
tion des mouvements ne se transmettant plus au centre inhibé, le
sujet
a l'air d'être paralysé par amnésie.Ad- mettons
tres centres continuent à fonctionner plus ou moins normalement. Le
sujet
a donc le sentiment que certaines parties de so
mplète, aucune perception même subcons- ciente ne se produisant, le
sujet
regarde son bras comme s'il ne lui appartenait
igi- lambules, ce n'est pas à ce point de vue qu'il présentait ce
sujet
. Il voulait montrer qu'il s'agissait là de dédoub
par une excitation br.usque, impérieuse, à la suite desquels des
sujets
se trouvèrent ramenés à plusieurs années en arr
nant de toutes les manifestations somatiques ou psychiques, que les
sujets
présentaient aux diverses phases de leur existe
ent où la régression de la personnalité ne se produit plus et où le
sujet
ne présente plus aucun stigmate ni ac- cident h
stigmate ni ac- cident hystérique. Cela correspond à l'époque où le
sujet
était normal et a commencé à s'engourdir, à tom
, la progression de la personnalité dans l'ordre' même de la vie du
sujet
, et cela ramène tous les 268 CLINIQUE NERVEUSE.
d'une cause unique. ' . - Enfin, quand le réveil est complet, le
sujet
neprésente plus aucun stigmate hystérique, et s
ter- miné,de prévoir quelles sont les sensations éprouvées par le
sujet
. Cette étude permet de comprendre à quoi tienne
rtiel, on voit souvent à leur suite reparaître des états anciens du
sujet
, s'il est complet, la guérison de tous les acci
s de ces trois consciences, rapports inconnus et rapports connus du
sujet
? L'impré- cision malheureusement augmente de p
cession soit possible et qu'une double et parfaite soudure donne au
sujet
l'il- lusion de la permanence et de l'identité
présidant à la volition, qui, à la rigueur, peuvent qtre connus du
sujet
et même d'autrui, il existe un grand nombre de
connaît d'au- tant plus clairement, et lorsque, l'acte accompli, le
sujet
considère le motif qu'il n'a pas suivi, il a d'
uivie d'effet, la ques- tion du libre arbitre ne se présente pas au
sujet
, à moins d'un re- tour en arrière : le sentimen
déjà modifiées jusqu'à un certain point ; dans le cas contraire le
sujet
verra dans l'acte le résultat d'une habitude. E
médecin en chef, il a pu, par expérience, se faire une opinion à ce
sujet
. Il a la conviction profonde que la réunion des
érations du cortex et les réactions psychopathiclues constatées. Le
sujet
que concerne cette observation, présentait en o
udier dans l'ordre suivant les différents points qui touchent à son
sujet
: 1° variations dans la marche de la maladie au
sions épileptiformes ; 7° pronostic chez les dégénérés comparés'aux
sujets
d'un développement supérieur ; t° caractères sp
oration. a) La possibilité de survie existe surtout chez les jeunes
sujets
; de 15 à 35 ans la durée de la maladie va régu
nulle sur la durée; 9) les dégénérés vivent plus longtemps que les
sujets
à organisa- 4'28 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
4'28 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion supérieure ; h) chez les
sujets
jeunes la maladie suit une mar- che longue et c
qui le pratique comme un adjuvant du travail. Chez la plu- part des
sujets
, l'alcool à doses modérées agit en effet comme
coup'moins facilement dans les cas de folie congénitale et chez les
sujets
dont la maladie mentale de- meure stationnaire.
ales et à la consultation des hôpitaux d'enfants. La littérature du
sujet
est maigre, et les descriptions du type peu uni
rdiction des ma- riages précoces et consanguins et des mariages des
sujets
dont la santé mentale est atteinte ; la créatio
e d'origine traumatique. )H1. OppERT et SCH;111ERGELD présentent un
sujet
de 23 ans, peintre, atteint, la suite d'une chu
e paralysie pseudo-bulbaire. Il. LAMY présente deux observations de
sujets
âgés, arté- rioscléreux, ayant fait sans doute
lement mercuriel. Présentation par JIM. GUILLAIN et LAROCHE de deux
sujets
âgés, anciens doreurs sur métaux, ayant quitté
onné des résultats analogues à MM. A. DELiLLEetC. VIN- cent chez un
sujet
de 21 ans atteint de myasthénie bulbo-spi- nale
fait dans le service du prof. Raymond ; après avoir trouvé chez les
sujets
atteints de maladie de Friedrcich diverses alté
iaires de projection. L'examen porta sur les deux hémisphères de 41
sujets
ayant de 3 mois à 97 ans, indemnes de lésion cé
rojection pour toute la face externe de chaque hémisphère de chaque
sujet
(tableau 2) : mêmes détails pour chacune des 12
- tion de chacune des 12 régions de chaque hémisphère pour les 41
sujets
: indispensable à l'anatomo-patholo¡ ! iste qui n
bliographie. apparaissent d'autant plus nettement que plusieurs des
sujets
examinés sont de même sexe, de même race, et à
és à faire ressortir les variations d'après l'âge : les âges des 41
sujets
examinés sont reportés sur l'abscisse, et les é
ste pas encore ; et tous les travaux que l'on peut consulter sur ce
sujet
ne sontétablis que sur des statistiques dressées
s dressées dans les services et asiles. Les Juifs semblent être peu
sujets
aux lé- sions organiques du cerveau et de la mo
l été procédé dans cette séance à la première épreuve écrite sur un
sujet
de pathologie interne et de pathologie externe
émur. I,e 17 avril, il 1ll'lé procédé à la oc épreuve écrite sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système nerveux
état d'inactivité présentant toute une gamme de degrés d'intensité,
sujet
à des aug- mentations et des diminutions sous d
indiqués ailleurs dans les plus grands détails (1). Par exemple, un
sujet
épuisé, amai- gri, comme les anorexiques, se ré
il des centres cérébraux. Mais quel est ce sommeil ? J'ai fait à ce
sujet
diver- ses hypothèses et je préfère avouer tout
meil. Je lui demande bien pardon ; on y a gagné qu'en réveillant le
sujet
de ce sommeil on fait disparaître les phénomène
il, mais que ce n'est pas le sommeil naturel. Lors- qu'on plonge un
sujet
dans le sommeil hypnotique il s'a- git bien aus
onsiste le sommeil naturel. Cela nous empêche-t-il de savoir que le
sujet
dort, et de savoir comment on le réveille ? J
res corticaux, il y a l'arrêt par inertie. D'autre part, chez des
sujets
prédisposés, le fait qu'un centre cesse d'être
se présentent dans un ordre et avec des caractères particuliers. Le
sujet
dit que le membre dont le nerf est ainsi engour
r mobilité, leur systématisation, leur dépendance de l'attention du
sujet
. Mais cette mobilité est-elle due au caprice ?
idée de passivité, l'idée d'un processus fatal sur lequel le moi du
sujet
ne peut avoir aucune prise. Com- ment dès lors
ions à cette théorie. On a dit que les réactions présentées par les
sujets
qui se réveillent étaient produites par suggest
903. 461 CLINIQUE NERVEUSE. fut une surprise pour moi de voir des
sujets
à qui je disais simplement en état d'hypnose «
e, sans inponctions, est-ce encore de la suggestion ? Lorsque des
sujets
soumis à la mécanothérapie active, à la gymnas-
uggestion ? On a dit encore : cette théorie s'applique aux grands
sujets
. Je ne sais pas quelle différence il y a entre un
Je ne sais pas quelle différence il y a entre un grand et un petit
sujet
, où est la limite qui les sépare, et je ne comp
il suffit pour cela d'observer d'un peu près les soi-disant petits
sujets
. On retrouve chez eux toutes les réactions obse
ans la sociologie en restreignant la portée de l'obser- vation : le
sujet
direct de l'observation ne saurait être autre q
sage dans la connaissance des phéno- mènes dont il fait lui-même le
sujet
de la sociologie et à propos desquels il critiq
nts à une absence de précision réellement étonnante vu la nature du
sujet
,conduisent l'Auteur à des contradictions im- pl
. 216 ) ; rature des centres de souvenir. L'hypothèse de Cajal à ce
sujet
(voir p. 217) est des plus plausible ; et, à s'
posé.' Cette tendance au transfert est d'autant plus marquée que le
sujet
a plus l'habitude des'mouvements symétriques...
e MUSGRAVE CLAY. YXXV.-Une réaction du sérum appparaissant chez des
sujets
en état d'infection ; par M. Lewis C. BRUCE. (T
; absence de tumeurs des nerfs. L'affection est congénitale chez ce
sujet
qui n'est ni un infantile, ni un hypothyroïdien
ie cérébelleuse z M. R. Voisin et D'1ACÉ DE LÉPINAY présentent cinq
sujets
de la même famille ; le début des accidents hér
de après ponction lombaire M. de LAPER SONNE lit l'observation d'un
sujet
de vingt-quatre SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 ans at
fois que ces explications devenaient nécessaires pour la clarté du
sujet
. La part de la pharmacie a été également consid
ordé une grande importance aux soins médicaux spéciaux à donner aux
sujets
at- teints de maladies infectieuses en insistan
ettons, de parler des soins spéciaux à donner aux aliénés. C'est un
sujet
qui mérite d'être traité minutieusement; aussi no
de la conception scientifique, l'histoire des Rougon-Macquart. Le
sujet
avait déjà tenté des spécialistes comme Toulouse
ificat d'études. Mais l'éducation spéciale visesuotouL à rendre ces
sujets
utiles à eux-mêmes et aux autres, à les rendre
ne simple mention en sera l'aile au procès-verbal. XIV. L'ordre des
sujets
qui seront Imités dans les séances des sections
C'est la première d'une série de leçons faites par l'auteur sur ce
sujet
à l'ordre du jour.Des chiffres qu'il cite,il résu
ellules. Sur la continuité des - nerveuses et sur quelques autres
sujets
connexes ; par Turner, p. 50. Sur les rapports
ire de ; p. 351. Sérum. Une réaction du ap- paraissant chez des
sujets
en état d'infection ; par Lewis et Bruce, p.
Conolly Norman, p. 144. Sourds-Muets. Opinion du Dr Chervin au
sujet
du maintien des institutions de au mi- nistèr
loi de l'économie animale. « Il faut lui apprendre, disait-il, que le
sujet
ne peut être influencé que d'après sa volonté et
dit encore que l'hypnotiseur le plus expert s'exercera en vain, si le
sujet
ne s'y attend pas et s'il ne s'y prête pas de cor
que la conséquence d'une entente préalable entre l'hypnotiseur et son
sujet
. Chaque jour, des faits probants viennent démon
tort, aucune violation de sa liberté morale. Dès qu'il convient au
sujet
le plus hypnotisable de cesser les séances, il en
pas rare, sous l'influence de la plus minime contrariété, de voir des
sujets
de la Salpétrière émigrer dans le service de Dumo
laborions aux expériences de Dumontpal-lier. de ne pouvoir décider un
sujet
, habituellement docile, à se laisser hypnotiser.
fois, et de la façon la plus évidente, que le consentement mental du
sujet
est la première des règles auxquelles il faut se
xpérimenta! . Cela ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de cas où un
sujet
ne se placera pas de lui-même dans un état analog
consiste à ne se livrera une tentative qu'après s'être assuré que le
sujet
ne formule aucune opposition à l'idée d'être endo
ue. Il leur suffit de constater qu'à aucun moment de la séance le
sujet
n'a accusé le moindre malaise. Elles ont pu égale
tion de l'hypnotisme ne résident pas tous dans l'état d'esprit du
sujet
; il faut -également les rechercher dans une mani
effet, une constatation qu'il m'est donné de faire journellement, "un
sujet
très hypnotisable, suit régulièrement son traitem
ement. Un beau jour, à notre grand étonnement, nous constatons que ce
sujet
, d'ordinaire si facile à hypnotiser, semble être
ent de remettre le traitement au lendemain. Il importe donc que les
sujets
se présentent à la consultation étant -à jeun de
à été faites par les personnes de l'entourage. Elles déclarent que le
sujet
, tant qu'il est à jeun, se montre parfaitement so
luence des divers excitants. Quand je reconnais dans l'haleine d'un
sujet
l'émanation sui generis, ¦qui caractérise le réce
ion de l'état d'hypnose, à des difficultés plus grandes que si le
sujet
est à jeun de cet excitant. ? y a beaucoup de méd
la production de l'hypnotisme, se traduit par la possibilité, pour le
sujet
, de mettre spontanément et volontairement les mus
, c'est seulement quand il se sera assuré chez son malade ou chez son
sujet
, non seulement de la validité de son consentement
e intermittent. C'est un fait bien connu que les alcooliques sont des
sujets
éminemment suggestibles et parmi lesquels on renc
Saratoff, une proportion de 56,5 % d'alcooliques somnambules (sur 420
sujets
traités, 238 somnambules). Les alcooliques de ce
cool du tout ». Je ne pus commencer le traitement aussi- tot : le
sujet
avait bu et avait eu la nuit précédente un sommei
mes raisons. C'était, contrairement à la majorité des alcooliques, un
sujet
très difficile à endormir. Pour obtenir le sommei
ure de l'alcoolisme par la suggestion exige le consentement mental du
sujet
. Les entêtés, les orgueilleux, les gens irréducti
e M. Wiazemsky, la suggestion a eu un résultat indéniable, puisque le
sujet
ne pouvait plus boire. Mais, de même que. dans be
il eut fallu, à mor sens, faire des suggestions spéciales pour que le
sujet
, guéri du fait de boire, acceptât de suivre le ré
approchés, pendant assez longtemps, afin d'accroître la résistance du
sujet
aux sollicitations couiumières ; 2° l'entourage d
, sortes de petits traumatismesqui faciliteraient une rechute ; 3» le
sujet
devra élre entraîné non pas à éluder avec limidil
Mythomanes et pathomimes Qu'il s'agisse d'enfants ou d'adultes, de
sujets
hystériques ou non hystériques, il est des gens c
es qui vont encore plus loin que les mythomanes : tel est lo cas d'un
sujet
dont M. le Pr. Dieulafoy a rapporté l'histoire a
lui les variations affectives ou émotionnelles que produisent sur les
sujets
hypnotisés les variations du timbre, de la mesure
ez les animaux. Nous allons examiner ce que nous avons observé à ce
sujet
chez les animaux. Animaux mâles. — Nous voyons
sion toute naturelle. L'homosexualité paraît se manifester chez des
sujets
vivants dans des conditions spéciales : adole
res, marins au cours de longs voyages, et encore et peut-être surtout
sujets
, hommes ou femmes, vivant dans un milieu particul
n'ait presque jamais à intervenir au point de vue disciplinaire à ce
sujet
. D'ailleurs une sanction disciplinaire ne serait
sance de rapports sexuels de ce genre, on se rend vite compte que les
sujets
qui s'y adonnent ont importé dans le milieu milit
faibles et atteints de débilité mentale ne soient pas les victimes de
sujets
pervertis. S'il est un fait regrettable c'est cel
être formulées sur le mode impératif. Il ne faut pas oublier que les
sujets
portés à l'homosexualité sont le plus souvent des
morations de perceptions olfactives, rien de pareil n'existe chez les
sujets
qui manifestent des dispositions marquées à l'inv
lfactive chez les homosexuels, j'ai acquis la certitude que ces mêmes
sujets
présentaient une prédominance des aptitudes visue
ant un tout factice ; car, pour le créer, il a pris dans une foule de
sujets
les qualités qui lui plaisent le plus, et ces qua
les sentiments que son œuvre fait naître dans l'âme humaine, dans un
sujet
mis dans un certain état d'hypnose. Dans cet ét
jet mis dans un certain état d'hypnose. Dans cet état, en effet, le
sujet
perçoit, d'une manière infiniment plus sensible,
eillent directement chez lui les sentiments correspondants. Chez ce
sujet
à l'état d'hypnose, il n'y a plus ni préjugés, ni
la prière. Puis, dans d'autres cas, nous avons déterminé chez le même
sujet
et au même instant, des sentiments complexes ; la
, dans l'expression du visage, le regard, le geste, l'attitude du
sujet
hypnotisé et souvent uniquement l'impulsion qui p
festation vraie et l'expression sincère des sentiments, c'est chez le
sujet
à l'état d'hypnose que l'artiste peut les provoqu
te peut les provoquer et les étudier à son gré. J'ajouterai que ces
sujets
ne sont pas les premiers venus et qu'il faut savo
s sentiments daus leur état le plus vrai et le plus naturel, chez les
sujets
en état d'hypnose. Un cas d'application de l'hy
l du passage appris. De temps en temps, on choisit de même quelques
sujets
de devoirs inspirés par les textes étudiés. Par e
les vers de Ronsard : h Quand vous serez bien vieille », suggèrent le
sujet
suivant : « Quand je serai vieille ». Cet exerc
troubles, lesquels-avaient ordinairement disparu en même temps que le
sujet
cessait de se ronger les ongles. Ainsi, telle mèr
tatouer a été déposée dans le cerveau d'un être hypersuggestible, le
sujet
n'a de cesse qu'il ne réalise la suggestion. Quan
tre bonnes ou mauvaises, et cela oblige la personne .qui surveille le
sujet
a la plus scrupuleuse attention. Elle doit préser
es de technique. H est très important de connaître les idées que le
sujet
se fait sur l'hypnotisation, car les représentati
eaucoup de force au début et vers la fin du sommeil hypnotique. Si le
sujet
craint d'avoir une syncope, ou des palpitations,
temps que le souvenir des émotions éprouvées, de la crainte, etc. Le
sujet
subira pendant un certain temps la double influen
nfin les idées préconçues peuvent aussi exercer une influence sur des
sujets
qui n'éprouvent pas de crainte proprement dite.
ait avoir d'autre cause que la connaissance de faits analogues que le
sujet
avait au préalable. Il serait trop long d'énumé
ntaux ; d'autres où l'hypnotiseur inexpérimenté ne peut réve lier son
sujet
. Et toujours il ne faut accuser que des fautes de
ille pas ! » Souvent dans ces cas il ne suffit plus pour réveiller le
sujet
de lui mouiller la tête d'eau froide, il faut rec
l'importance des suggestions volontaires et involontaires données au
sujet
et des autosuggestions qui peuvent s'introduire d
s cet ordre d'idées. Un hypnotiseur de profession produisait, chez un
sujet
, la catalepsie de la manière suivante : « Vous êt
vous exécute... Vous êtes mort ! » On ne saurait aller plus loin. Le
sujet
tressaillit, et se raidit dans l'état cataleptiqu
es amis me pria de l'hypnotiser pour un motif de caractère intime. Le
sujet
n'était pas hypnotisante par des procédés ordinai
inairement quelques gouttes suffisent pour vaincre la résistance d'un
sujet
réfractaire et permettre les pratiques purement h
ion était entre mes mains. Je restai tout le temps en rapport avec le
sujet
et je pus le tenir endormi à peu près une heure s
sentirez tomber et vous vous endormirez » Quant à moi j'ai dit à mon
sujet
dans l'état post-hypnotique : « cette sensation n
et de plus qu'il était nécessaire de les disjoindre dans la pensée du
sujet
. Car si l'on avait laissé libre jeu à ces sensati
. simple et claire ; elle doit être adaptée au niveau intellectuel du
sujet
. La personne qu'on chloroforme s'endort toujour
dait si cette décadence ne tenait pas à ce qu'on donne aux élèves des
sujets
de plus en plus difficiles, et non en rapport ave
t. Il se rend compte que môme en s'appliquent pendant des heures a un
sujet
ingrat, il en tirera peu de chose. Alors il bâcle
ement que possible et je ne veux pas m'étendre plue longuement sur ce
sujet
. Mais ce que je tiens à signaler, puisque j'ai
ts ou, au moins, à peine indiqués dans les travaux qui concernent les
sujets
atteints de cette toxicomanie. Je dirai même que
la collaboration de l'école et de la famille dans /'education. Sur ce
sujet
on entendit les rapports de Mlle Berthet. profess
e éducation des sens, et par dessus tout un exercice de la volonté du
sujet
; mais il convient d'associer traitement médical
Nancy. Comme tel, il a traité, dans de remarquables opuscules, des
sujets
qui Intéressent an même degré l'économiste et le
notisme, est celui de la prise da regard. Chez un certain nombre de
sujets
, on constate, en effet, une disposition particuli
ésignerai cet état sons le nom d'état de fascination. Le nombre des
sujets
présentant cette aptitude est relativement assez
indifférent à tout ce qui n'est pas l'objet de sa contemplation,' le
sujet
est manifestement sous la dépendance d'une action
cice constant. Le phénomène qui apparaît spontanément chez quelques
sujets
sous la simple influence de la fixation du regard
t, si l'hypnotiseur exécute lentement des balancements de la tête, le
sujet
l'imite, afin de pouvoir suivre le mouvement des
re le mouvement des yeux qu'il contemple. Si l'hypnotiseur recule, le
sujet
se rapproche ; s'il se retourne, le sujet se penc
Si l'hypnotiseur recule, le sujet se rapproche ; s'il se retourne, le
sujet
se penche en s'appliquant à ne pas lé perdre de v
'efforce de mettre obstacle à la satisfaction de la contemplation, le
sujet
témoigne souvent de la contrariété qu'il éprouve
ontrariété qu'il éprouve par des gestes de mauvaise humeur. ? est des
sujets
qui d'un mouvement brusque obligent l'hypnotiseur
a réalisation. La même expérience peut être provoquée sur plusieurs
sujets
à la fois. La lutte qui s'établit entre eux pour
se du regard dans l'état de fascination, je faisais remarquer que les
sujets
susceptibles d'entrer dans l'état de fascination
tude dont la satisfaction leur est naturellement agréable. Chez des
sujets
appartenant au type auditif, des phénomènes aualo
nomène fondamental de l'hypnotisme. L'odorat peut également, chez les
sujets
doués d'aptitudes olfactives très développées, et
terrain, sont perçues par ses centres olfactifs. A ce moment chez les
sujets
entraînés et exercés, on assiste à une véritable
te position. D demeure un ou deux membres en l'air comme le ferait un
sujet
humain soudainement plongé dans l'état de catalep
réalisant le monoïdéisme olfactif, analogue au monoïdéisme visuel du
sujet
mis en état de fascination. Cette systématisati
l a lui-même observée chez les cerfs, ainsi qne chez les chiens. A ce
sujet
, il relate une expérience qu'il fit avec un terri
'est là le principal motif invoqué pour les supprimer en France. A ce
sujet
on cite la (1) Conférence faite ft l'Ecole de p
ainsi les vues du gouvernement s'abstenant de mettre en évidence des
sujets
remarquablement doués et commençant l'œuvre de ni
centaine de réponses écrites ou orales, motivées. J'avais donné comme
sujet
de devoir : Que pensez-cous des distributions de
des promesses intéressées, ou bien ils l'entravent en critiquant les
sujets
donnés qu'ils jugent fort difficiles ou qu'ils en
e devoir suivant : « Il faut être content de son sort ». disant qu'un
sujet
pareil excluait toute idée de progrès et d'ambiti
es élèves s'en rapportent à la chance et préparent seulement quelques
sujets
. Il n'y a là encore que demi-mal s'ils savent cho
ment de la réflexion. De plus, il reste trop d'aléa dans le choix des
sujets
. — On remédierait à cela en donnant des questions
n laissant aux élèves, dans les classes élevées, le choix entre trois
sujets
(comme on le fait actuellement au baccalauréat. d
ugles On doit a M. Chalupeeky, de Prague, un Important iravall sur ce
sujet
. L'auteur a étudié ce problème sons un Jour tout
auline Lucca, vient de mourir. La i.Neue Freîe Presse » raconte à son
sujet
l'anecdote suivante : C'est par suggestion, dit
la suggestion hypnotique ponr corriger les mauvais penchants. A ce
sujet
M. Wallas fit ressortir le pouvoir do U suggestio
aitant que la méthode fut appliquée chez un certain nombre de-mauvais
sujets
de iu ville qu'il administre. Pour compléter ce
on sous le chloroforme. Avant de tenter la narcose chez de semblables
sujets
on devra se mettre en garde contre les excès de l
rtout par la suggestion, à inhiber ou diriger les états psychiques du
sujet
, tout comme on le fait pour l'hypnotisé. Les déta
ie cet état ne s'amende pas. Depuis déjà longtemps Madame X.... était
sujette
à des crises nerveuses à point de départ génital,
intelligence lente, ni sur les timides, les sensibles et les nerveux,
sujets
aux découragements profonds. - Une saine émulatio
aître les effets physiologiques et thérapeutiques de l'aimant sur les
sujets
sensibles. NOUVELLES Enseignement de l'hypnot
uront Heu les lundis à cinq heures. Comme les années précédentes, les
sujets
de ces conférences se rapporteront aux questions
iologie, ouvrage classique auquel tous ceux qui ont écrit sur le même
sujet
n'ont pu se dispenser de faire de larges emprunts
En 1830. Joseph Franck remarquait que l'invasion de l'amour, chez un
sujet
de santé normale, s'effectue souvent par l'orée n
ractéristiques de l'état d'amour. - > Des Courtïlz remarque à ce
sujet
que « eu appréciant le pouvoir de « l'olfaction,
e | hénomène provoqué expérimentalement par les hypnotiseurs chez les
sujets
visuels et désigné sons le nom de prise du regard
n procédé expérimental, mais d'une façon tonte fortuite, chez des
sujets
olfactifs une veritable prise de l'odorat. Des ex
a pas besoin d'être réfutée. Le même auteur prétend également que des
sujets
prédisposés sont devenus aliénés après dos essais
femme un délire dont avait déjà souffert la mère de la malade. A ce
sujet
M. Petit de la Villéon a fait remarquer que le ma
um, On peut expliquer l'absence de certains signée par ce fait que le
sujet
fume de l'extrait d'opium français, différent de
• interne >, psychique, M. Laufer a étudié les réactions chez des
sujets
normaux, mais ayant des préoccupations particuliè
e, entre mitres, dnns ce qu'on ? Hppellé le trne des artistes. A ce
sujet
, on nous permettra de rappeler qne dnns un ouvrag
expérimentateurs n'ont pu trouver mieux que de faire flairer à leurs
sujets
des solutions odorifé- rantes à doses progres
tions de forces très différentes, variant de 50 °/0, ils imitaient le
sujet
à reconstituer la série naturelle, en se guidant
des individus réfractaires ; comme on ne sait jamais a l'avance si un
sujet
sera facilement hypnotisable ou non. on doit touj
che si fréquent d'affaiblir la volonté. Àu contraire elle entraîne le
sujet
à s'imposer du calme et à exercer un utile empire
ation pratique, mais très simple dans sa conception), grace auquel le
sujet
obtient de très remarquables résultats. M. Axas
exuel était probablement aussi un masochiste ; c'était en tous cas un
sujet
admirable pour les maîtres chanteurs. Le rapport
ns fermes, capables de résoudre tous les problèmes qui se posent à ce
sujet
. C'est pénétré du sentiment de ces difficultés
lapins, etc.) L'hypnotiseur qui fait de la catalepsie, en plaçant son
sujet
raidi sur deux chaises, ne fait donc que forcer,
es les unes anx autres, en s'enfermant dans une vue trop incidente du
sujet
. Pour faire disparaître cet antagonisme et scelle
qu'ils tiennent à une prédisposition particulière et névropathique du
sujet
, à une certaine •> désagrégation » de son fais
défilé ! « Il m'a fait d'autant plus horreur, dit fort justement à ce
sujet
notre confrère le J)v Francis Holme, que c'est no
te ; ce petit chien n'avait jamais vu de loup. Comment donc, dit à ce
sujet
M. Ribot, expliquer cette terreur, sinon par une
hes sur la sensibilité des hystériques, nous avons constaté chez deux
sujets
hystériques une anosmie très complète. Elles
lles entraînent à leur suite une gêne très appréciable en imposant au
sujet
la perception des odeurs extrêmement désagréables
s marqué, à la Pitié dans le service de Dumontpallior. chez un de ses
sujets
, Marie C... Un matin, tors delà visite, elle décl
de lecture de pensée. Après quelques hésitations et tâtonnements, ce
sujet
désigne les personnes et les objets ou accomplit
périences ont, en effet, finalement très bien réussi. Toutefois si ce
sujet
lisait véritablement la pensée de son conducteur,
ces contractions musculaires, pour ainsi dire imperceptibles, que le
sujet
interprète ; c'est sur elles qu'il se guide ; l'o
re de conducteur n'est pas mental, il est musculaire ; dès lors notre
sujet
est non pas un ¦ liseur de pensée » mais un liseu
conducteur pense fortement à l'objet ; il suffit qu'il le regarde. Le
sujet
interprète non plus les contractions fibrillaires
elui-ci et enfin l'objet lui-même. Ainsi que vous avez pu le voir, le
sujet
a. par de très habiles déplacements, obligé son c
ifique. M. le Docteur Demoxchy. — En pénétrant dans cette salle, le
sujet
va dans la direction qu'il présume être la bonne,
n verre posé sur un tapis de table peut amener une convulsion chez un
sujet
très sensible, on ne peut pas nier de prime abord
urs du pasteur tout imprégné de vie spirituelle. Celui-ci prend comme
sujet
, soit un des plus grands problèmes métaphysiques,
ue des récits sur des cas se rapprochant du leur. Une malade nerveuse
sujette
aux migraines vient à la Cote-d'Azur, elle fait c
us de près ont exprimé la même opinion : consultez ce qu'ont dit à ce
sujet
plusieurs de vos Taillants officiers tels que les
Je me sou-viens que dans une entrevue concertée avec un vice-roi, au
sujet
d'une question de chemin de fer, je reçus de lui
eçus de lui l'accueil le plus aimable. Il aborda un certain nombre de
sujets
de littérature et me vanta longuement les charmes
s ne fumerez plus pendant un jour. » Il arrive assez souvent que le
sujet
, dans son sommeil, fait des objections ; qu'il ne
ggestion », selon les expressions de 31. Voisin. En se réveillant, le
sujet
ne se souvient plus de rien. Mais, semblable aux
exemple. Enfin, à une troisième ou quatrième suggestion, selon les
sujets
et selon les résultats obtenus précédemment, fair
lémentaire ne réussit pas, on a recours à l'hypnotisme ; on endort le
sujet
et, dans cet état de sommeil provoqué, on outille
isible, et..., peu après, la suggestion fut donnée et acceptée par le
sujet
; on le réveilla ensuite sans lui parler de cette
orce de volonté était restée impuissante, malgré la laryngite dont le
sujet
était affecté. M. le Dr Bérillon fit connaître,
he sur la passion tabagique, c'est la suggestion hypnotique, chez les
sujets
hypnotisables. « Si l'on tient compte de l'acti
sont des odeurs suaves et réciproquement. Eh bien ! suggérez à votre
sujet
que la fumée du tabac a une odeur répugnante : di
signe de la détente musculaire » s'effectue de la façon suivante : Le
sujet
étant debout, les bras étendus en croix, est invi
laire normal se révèle également par G instantanéité avec laquelle le
sujet
peut faire passer ses muscles volontaires de l'ét
é qu'autant qu'ils auront abouti, parla rééducation psycho-motrice du
sujet
, au retour et à la possibilité de la détente musc
ortance toute particulière. Ils permettent d'agir sur la mentalité du
sujet
, sur son caractère, en développant chez ¦ lui la
de longue date parce que l'habitude ancre le tic dans la mentalité du
sujet
. • Quand on constate la naissance d'un tic chez
s, présentant des encoches, des sortes d'échardes formant crochet. Un
sujet
nerveux ne tolérera pas, comme un apathique, ces
d'autres tics ; d'autre part il est nuisible ft la dentition, car le
sujet
n'hésite pas k s'user les dents même sur les subs
utomatique que l'on réalise le mieux la résistance à l'impulsion. Les
sujets
reconnaissent que cette courbature leur offre un
epuis le plus profond jusqu'au plus léger.' Et en effet si tous les
sujets
ne dorment pas de la même manière, de même aussi
ue moi. Je ne j.uis pas, en effet, je ne dois pas regarder tous les
sujets
qui se présentent pour être soignés, comme s'ils
qui se présentent pour être soignés, comme s'ils étaient toujours des
sujets
•éveillés qu'il faut endormir : je dois affirmer
du râtelier. Le marécbaldesLogis de l'infirmerie ayant reçu, à son
sujet
, quelques-observations, parce que le malade était
ontemporains les règles par lesquelles on peut donner naissance à des
sujets
sains, elle s'applique également k leur apprendre
don de charmer les narines des peuples exotiques. On pourrait k ce
sujet
rappeler la piquante anecdote suivante, racontée
e peine à distinguer. « H n'est personne qui n'ait remarqué, dit à ce
sujet
M. Albin Body, que les habitants du Boyaume-TJni,
à Madagascar, a interrogé des femmes hindoues et des femmes howas au
sujet
des impressions que leur causaient les Européens.
que l'on implante dans son cerveau des suggestions ? On agit sur le
sujet
dans l'intention de lui faire perdre des habitude
Au bout d'un certain temps, plus eu moins long, et pas avec tous les
sujets
, on peut arriver à ce résultat. En tout cas. les
ur soudaine vient éclairer son visage. Il se comporte exactement a ce
sujet
, comme le font les animaux. Les bruits exercent l
le centre cérébral dont la fonction serait de provoquer le réveil du
sujet
et ensuite de le maintenir, éveillé. * * Comm
é de fonctionner, l'étal de veille ne peut plu* >*tre maintenu. Le
sujet
reste alors dans un état de sommeil artificiel pa
les conséquences, on devrait s'attendre à ce que. dans les cas où un
sujet
présente pour principal symptôme un sommeil irrés
intéresser le centre du réveil. Bien que les faits recueillis a ce
sujet
par les anatouio-pathologistes soient peu nombreu
rieure sur un organe spécial, dont la fonction serait de maintenir le
sujet
dans cet état de veille. Dans ce cas, cette act
ès curieuse, si la facilité avec laquelle on peut hypnotiser certains
sujets
, avait vivement frappé le génial observateur qu'é
le laissent insouciant : un souffle sur les yeux rompt le charme ; le
sujet
se frotte los yeux et passe sans transition d'un
isif est toujours le même. » Le procédé qui consiste à réveiller le
sujet
hypnotisé par un souffle frais projoté sur le vis
entia cœundi ; bien au contraire. A part un nombre assez restreint de
sujets
qui se plaignent d'érections plus ou moins doulou
ion de vide, d'une brûlure, de régurgitations acides, etc. Chez les
sujets
qui ne souffrent pas d'une manière habituelle de
Rolland, etc. Nous avons obtenu a ?a suite d'une causerie sur ce
sujet
, de bons devoirs sous ce titre : « Fragment du jo
à la psychologie médicale. L'évolution opérée dans les esprits, à ce
sujet
, est si manifeste qu'on ne conçoit plus qu'un méd
ns, variables suivant les délits, varient aussi selon le caractère du
sujet
. On obtiendra souvent davantage en agissant sur l
rons probablement à lntter contre la résistance plus ou moins vive du
sujet
, qui y met visiblement de la malice et de la mau-
ar suite sans inconvénient. On se souviendra seulement, et les deux
sujets
que je présente en sont un exemple, que l'enfant,
es caractères froids. Elle devient assez considérable chez tous les
sujets
observés, si les ordres sont donnés dans un momen
e moment, à la division des hommes de l'asile de Ville-Evrard ', un
sujet
de trente- trois ans, nomméGeoresR..., atteintd
fs : il ne connaît dans sa famille ni buveur, ni aliéné, ni mauvais
sujet
, ni criminel. Antécédents personnels. Né à Pa
son ignorance : encore on en rencontre bien de plus graves chez des
sujets
plus intelligents et plus instruits. Nous n'avo
rtificielte. Voici les résul- tats de l'une de nos expériences à ce
sujet
: DBRMONEUROSE STERÉOGRAPUIQUE ET ERYTHRASMA. 1
mais beaucoup moins prononcés, s'observent sur la peau de certains
sujets
atteints de pyrexie, adyna- miques, telle que l
: la raie rouge que l'ou trace sur le ventre des typhiques et des
sujets
atteints de méningite est une expérience. class
é sous l'influence d'une friction légère sur les membres malades de
sujets
paraplégiques, hémi- plégiques ou même simpleme
symptôme; il se croyait sauvé, quand au bout de ce faible délai, le
sujet
est pris de paralysie subite et com- plète de s
431), énumère certaines particularités que l'on observe chez les
sujets
atteints de cachexie pachydermique prononcée. Ces
arités, nous les avons toutes rencontrées chez l'idiote qui fait le
sujet
de cette observation. Cette idiote n'est pas hosp
s plus livides encore qu'elles ne le sont à l'état normal, enfin le
sujet
serait souffrant et mangerait mal. Etat actue
d'un enfant difforme, bossu et à gros ventre (il. 1). La taille du
sujet
est de On,86, et le corps mesuré à partir de la
ies. Les digestions sont ordinairement bonnes, F... est cependant
sujette
à la diarrhée. Il est à propos de noter qu'elle a
près la naissance et qu'elle a provoqué l'arrêt de développement du
sujet
. L'idiotie est la conséquence, et de cet arrêt
45. On admit alors qu'il était pos- sible de produire chez certains
sujets
prédisposés, un état ner- veux spécial caractér
teurs. Celui-ci n'a point observé ce qu'a décou- vert celui-là. Les
sujets
de M. un tel n'ont pu produire aucun des résult
n'ont pu produire aucun des résultats qu'on a obtenus sur d'autres
sujets
. Rien de plus naturel que ces différences, lors
t que les divers expérimentateurs n'emploient ni le même genre de
sujets
ni le même genre de méthodes. Mais on a cru qu'
sions, faites en général, sans suite, à bâtons rompus, à propos des
sujets
et avec des expres- sions qu'on n'a pas eu au p
e parti pris et chercha à mettre pre- mièrement en lumière chez les
sujets
en expérience, des phé- nomènes objectifs, c'es
abilité nerveuse ne peut être simulée surtout lorsqu'il s'agit d'un
sujet
qui n'est pas très versé dans l'étude de l'anat
une contracture volontaire et qui per- mettent de s'assurer que le'
sujet
ne simule pas. Des expé- riences de contrôle on
ne simule pas. Des expé- riences de contrôle ont été faites sur des
sujets
sains et vigou- reux, qui prenaient volontairem
ous l'influence d'une traction continue, le membre contracture d'un
sujet
léthargique cède par degrés, comme le membre ra
is par l'observateur ne sont le siège d'aucune résistance et que le
sujet
garde toutes les attitudes qu'on'im- prime à se
it l'évidence de ces précieux symptômes, il constatait que chez les
sujets
qu'il avait sous les yeux les phénomènes hypnot
principaux passages de la communication que M. Charcot a faite à ce
sujet
à l'Académie. « Essai d'une distinction nosogra
e. Les phénomènes si nombreux et si variés qui s'observent chez les
sujets
hypno, tisés ne répondent pas à un seul et même
euvent encore, dans le cours d'une même obser- vation, chez un môme
sujet
, se produire successivement, dans tel ou tel or
d'une lumière vive placée sous le regard, ou encore chez quelques
sujets
par la fixation plus ou moins prolongée des yeux
es sujets par la fixation plus ou moins prolongée des yeux sur un
sujet
quelconque, etc.; b). Consécutivement à l'état
s un lieu éclairé, découverts par l'élévation des paupières. - Le
sujet
cataleptiso est immobile; il parait comme fasciné
té sensorielle permet souvent d'impressionner de diverses façons le
sujet
cataleptique et de développer chez lui, par voi
llucinations et des impulsions provoquées. Abandonné à lui-même, le
sujet
retombe bientôt dans l'état où il était placé a
cur. Fréquemment, au moment où il tombe dans l'état léthargique, le
sujet
fait entendre un bruit laryngé tout particulier
mais les diverses tentatives qu'on peut faire pour impressionner le
sujet
, par voie d'intimidation ou de suggestion, rest
eux clos ou demi-clos, et l'on observe habituellement un 1 Certains
sujets
pourtant sont, dans celte période, susceptibles d
e provoqué. Cet état peut être déterminé directement, chez certains
sujets
, par la fixation du regard et aussi par diverse
qu'il est inutile d'énumérer ici. On le produit à volonté chez les
sujets
plongés au préalable soit dans l'état léthargiq
trent en général agitées de frémissements; abandonné à lui-même, le
sujet
parait endormi, mais même alors la réso- lution
acile, par voie d'injection ou de suggestion, de déterminer chez Je
sujet
la mise en jeu d'actes automatiques très compli
léthargie et un hémi-somnambulisme. Il suffit, par exemple, chez un
sujet
en catalepsie, de fermer un oeil pour voir le côt
et c'est elle qui doit servir de point de départ aux études sur ce
sujet
. Le grand hypnotisme peut se présenter dans son
eloppement dès la première tentative d'hypnotisa- tion faite sur un
sujet
absolument neuf, et l'on peut dire que, dès la
l'on peut dire que, dès la première épreuve, on peut décider si un
sujet
sera apte ou non à présenter les phénomènes du
énergique et prolongée pen- dant quelque temps, tandis que chez un
sujet
entraîné, l'ap- parition de ce phénomène, sous
us l'influence de la même ma- noeuvre, est instantanée. Si, chez le
sujet
vierge, que nous supposons dans la léthargie, o
nie qui s'établit entre l'attitude corporelle qu'on fait prendre au
sujet
pendant la catalepsie, et l'expres- GRAND ET PE
u début très peu impres- sionnables à la suggestion. En un mot, les
sujet
se perfec- tionnent avec l'exercice. Dans'd'a
. La transformation peut être progressive. Voici, par exemple, un
sujet
chez lequel les trois périodes sont confondues pe
es somatiques. Le petit hypnotisme comprend donc deux catégories de
sujets
bien distinctes; à l'une appartiennent ceux qui
assez fréquente. Les phénomènes psychiques qu'on observe chez ces
sujets
sont quelquefois aussi accentués que chez les h
chez les hypnotiques qui présentent des propriétés somatiques ; ces
sujets
paraissent être parfois aussi impressionnables
vantes : 1° Les caractères somatiques qu'on observe chez certains
sujets
dans l'hypnotisme ont une importance fondamentale
u encore lorsqu'on entre- prend d'obtenir expérimentalement chez un
sujet
donné des résultats sur lesquels on puisse comp
logique plutôt que pathologique. Il ne faudrait pas croire' que les
sujets
impres- sionnés soient tous des névropathes, de
ent, même dans cette hypothèse, un té- moignage de la sincérité des
sujets
auxquels on s'adresse, tan- dis qu'en leur abse
tre absolument fixé à cet égard. Si nous prenons, par exemple, un
sujet
qui présente cet état de torpeur qui caractérise
sévère. Ce n'est pas que nous ayons l'intention de soutenir que les
sujets
appartenantà cette catégorie soientfatalementde
nous sommes portés à admettre la bonne foi d'un grand nombre de ces
sujets
. Il ne faut pas perdre de vue, que dans cet ord
estable, on peut du moins, dans chaque cas isolé, se demander si un
sujet
déterminé est réellement en- dormi d'un sommeil
vent être amenés à un état d'hypnotisation plus parfait. Mais ces
sujets
ne nous paraissent pas assez sûrs pour servir à d
soumis à caution. Il est légitime de suspecter la sincérité de ces
sujets
, et il est dès lors impossible de tirer des obser
es phénomènes qu'il présente sont réels, qu'il ne s'agit pas d'un
sujet
quelconque, puisqu'il a des propriétés matérielle
si la catalepsie, si la contrac- 4 Xous rappelerons d'ailleurs 1 ce
sujet
qu'on observe chez la plupart des grandes hypno
ainsi que le grand hypnotisme, peuvent.se développer chez certains
sujets
, sous l'influence de certaines manoeuvres, sans
ères et le poidsde l'eiicéplialo est, dans les conditions normales,
sujet
à des fluctuations très con- sidérables. Mais,
aques se rencontrent plus fréquemment chez les aliénés que chez les
sujets
sains d'esprit. 2° Cette augmentation de fréque
comtés dans lesquels le rapport du nombre des aliénés au nombre des
sujets
sains d'esprit est le plus élevé. 4° La distrib
e plus élevé. 4° La distribution des affections cardiaques chez les
sujets
sains d'esprit est réglée par la position géogr
ctions cardiaques chez les aliénés et ces mêmes affections chez les
sujets
sains d'esprit n'est pas considérable, si on pr
s tuniques artérielles ne paraît pas être plus précoce que chez les
sujets
sains d'esprit. Cependant, dans la paralysie géné
ôt par la durée de la maladie que par l'âge du malade. 11° Chez les
sujets
sains d'esprit, les affections cardiaques parai
es questions proposées par le comité ; 2" de communications sur des
sujets
étrangers au pro- gramme, mais relatifs à la pa
es questions du programme, ou faire des communications sur d'autres
sujets
, devront se faire inscrire au plus tard le 15 j
dre suffiraient rétablir l'équilibre. La cocaïne que s'injectait le
sujet
de M. Christian me rappelle ajoule-t-il, deux m
uissés les complexes symptomatiques les plus différents. Enfin, les
sujets
paraissent agités, maniaques et se font violent
hallucinations du goût, de l'ouïe, de l'odorat, de la vue,, de même
sujet
; il en arrive aux menaces, aux mauvais traite-
nis dans l'épilepsie. Est-ce que, par cela seul qu'un individu sera
sujet
de loin en loin à des attaques d'épilepsie, on po
dispositions déjà adoptées par l'admi- nistration pénitentiaire au
sujet
des épileptiques qui sont, sous le rapport de l
bien la portée de tous ses actes ; ou bien : C'est un homme qui est
sujet
à la colère ou à toute autre passion, à tel poi
t intéressant, écrit avec clarté et élé- gance, malgré la nature du
sujet
; ce n'est en effet qu'un travail de physiologie
be aux hypnotiseurs ayant déterminé des accidents graves chez leurs
sujets
; sur la question de savoir si les hypnotiseurs
suggestion qui les détermine. Si l'on presse le nerf cubi- tal d'un
sujet
endormi et qu'il se produise la griffe cubitale e
utre, c'est encore de la suggestion, car évidemment on a suggéré au
sujet
, inconsciemment ou non, de mettre en oeuvre, les
ous soit encore permis delui demander comment il reconnaît quand un
sujet
dort véritablement. C'est, nous répond-il, avec
calisée, piqûres ou pincements faits à l'improviste au moment où le
sujet
s'y attend le moins» ont aussi une valeur très
a été adoptée à la suite de re- marques présentées par M.Giraud, au
sujet
des inconvénients que peut présenter, pour le s
'innovation que de- mande l'avis du Conseil des inspecteurs. Sur ce
sujet
, la Commis- sion s'est arrêtée à la rédaction s
temps utile et recevront égale- ment les indications nécessaires au
sujet
du lieu où siégera le jury d'examen et de l'heu
pas de refroi- dissements. hialgré un interrogatoire minutieux, le
sujet
ne peut indiquer aucune cause héréditaire. Ob
as regardé l'abolition du réflexe rotulien, remarquée chez tous les
sujets
, comme un argument suffisant pour le diagnostic
t durestepresqueimpossible de répoudre de l'abstinence complète des
sujets
traités à l'hôpital), ni refroidissement; tandi
oquent, c'est le ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. '197 fait que les
sujets
pris dans ma clientèle privée ont nié toute hér
alité dans l'évo- lution du tabes. Eu examinant la littérature au
sujet
des tableaux étio- logiques dressés par divers
dans les statis- tiques ni les réflexions ni même une mention au
sujet
de la nationalité des individus examinés; et po
apportée dans ce choix, je n'ai pu prendre dans mon journal que 383
sujets
atteints d'affections nerveuses, se divisant en
a syphilis, il doit se Ot2 PATHOLOGIE NERVEUSE. trouver autant de
sujets
frappés de tabes que sur cent Russes qui se tro
ions si diverses ont été émises par les différents au- teurs, et le
sujet
est encore entouré d'une telle obscu- rité que,
rbale. Selon les recherches récentes de M. Charcot, qui a étudié ce
sujet
très minutieusement, il semblerait que dans l'h
ches sur cette branche obscure de la pathologie céré- brale soit
sujette
à contestations, on doit accorder que l'opinion
suggestion est l'acte par lequel l'opérateur impose une idée à son
sujet
, par la parole ou par des gestes ; un phénomène
ère'. On sait que par cette méthode, il est possible de donner à un
sujet
con- venablement préparé des hallucinations , d
e la seule et unique cause de tous les phénomènes présentés par les
sujets
hypnotisés. Cette thèse appartient à l'École de
ganiques. On sait aujourd'hui qu'en employant la suggestion sur des
sujets
appropriés, on obtient des effets tout à fait r
ieurs formes différentes, qu'il n'a jamais pu repro- duire chez ses
sujets
, sans le secours de la suggestion, les phénomèn
lèves se contentent de répondre avec avantage, croyons-nous, queles
sujets
surlesquels on opère de part et d'autre étant d
y a pas lieu de s'étonner que les effets soient différents, que les
sujets
de la Salpêtrière étant des hystériques, l'hypn
de symptômes caracté- ristiques qu'on ne retrouve pas chez d'autres
sujets
. Quoi qu'il en soit, la thèse de M. Bernheim no
rience ait une valeur réelle. On commencerait par éliminer tous les
sujets
présentant, à un degré quelconque à l'état de v
la suggestion seule, provoquer une contracture léthargique chez un
sujet
hyperexcitable; la suggestion ne fait dans ce c
ois à la contracture. Il faut aussi remarquer que l'élimination des
sujets
hyperexcitables devrait être faite avec un soin
re, la suggestion est toujours là invisible et présente; souvent le
sujet
, avec une complaisance d'autant plus remarquabl
i- tation périphérique. Nous reconnaissons même que chez certains
sujets
on peut, par la suggestion, amener le dévelop-
quer en grande partie comment il se fait que, quelquefois, tous les
sujets
formés par un même expérimentateur se ressemble
oins, et se trouvent modelés sur un même type, tandis que ces mêmes
sujets
diffèrent totalement de ceux qui sont dressés p
niformité des résultats peut être due à l'identité pathologique des
sujets
, à l'identité de la méthode employée, mais elle
cine et n'a jamais assisté à aucune expérience sur l'hypnotisme. Ce
sujet
ainsi soumis à une pre- mière expérience, vierg
erge par conséquent jusque-là de toute pratique d'hypnotisation, ce
sujet
, dis-je, dès qu'on est arrivé à l'hypnotiser, p
mène est obtenu, alors que le médecin a évité d'éveiller chez le
sujet
par une parole, par un geste, l'idée de raideur,
er par le fonc- tionnement. Nous avons vu aussi que chez certains
sujets
il n'existe pen- GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 261
ade a été soumis à de nombreuses manipulations. Nous rappelons à ce
sujet
l'observation de C. G., citée plus haut. Cette
nner. «A Paris, dit M. Beriiheim 1, j'ai vu dans trois hôpitaux des
sujets
hypnotisés devant moi, ils se com- portaient to
sujets hypnotisés devant moi, ils se com- portaient tous comme nos
sujets
et les médecins des hôpitaux qui les traitaient
Maira et David Benavente' qui, ayant expérimenté au Chili avec des
sujets
qui n'avaient sans doute jamais subi le contact
omme on pouvait très facilement provoquer des contractures chez mon
sujet
, soit à l'état de veille, soit pendant son som-
de son projet, il pressa sur le tronc du nerf cubital au coude, le
sujet
étant hypnotisé, et nous vîmes apparaître la gr
uvait être question dans ces expériences d'une suggestion donnée au
sujet
. » J'ai cité dans cet extrait ce qui se rapport
ns le phénomène du transfert, m'a poussé à sortir un instant de mon
sujet
. Je n'insisterai pas davantage sur ce point et
e de tous les phénomènes hypnotiques. Or, ceux qui ont écrit sur ce
sujet
n'ont pas tou- jours procédé de la sorte. C'e
n élément lui per- mettant de se faire une opinion bien fondée à ce
sujet
. Ce que 1 Delboeuf. Une visite à la Salpêtrière
se procurer sur commande pour un jour et une heure déter- minés un
sujet
vierge de toute manoeuvre hypnotique et réali-
ali- sant les conditions permettant d'éliminer la suggestion. Les
sujets
que l'on peut présenter à un moment donné à une p
e la Salpêtrière ne peuvent être naturellement, en général, que des
sujets
sur lesquels des expériences antérieures ont ét
, susceptibles d'être hypnotisés, si l'on veut fixer ses idées à ce
sujet
. Ces critiques ne peuvent évidemment s'applique
i est un des médecins ayant expérimenté sur le plus grand nombre de
sujets
. Nous avons déjà dit plus haut que la différenc
menté sur un terrain différent; il n'a fait aucun choix parmi ses
sujets
, tandis qu'à la Salpêtrière toutes les expérience
e infructueuse on ne serait pas encore en droit d'affir- mer que le
sujet
n'est pas hystérique. Ne sait-on pas que l'hyst
de l'ouvrage de M. Bernheim. « Il ne fau- drait pas croire que les
sujets
impressionnés soient tous des névropathes, des
in pour répondre à cette objection. » M. Bernheim, en présence d'un
sujet
mâle rejette donc a priori l'hypothèse d'hystér
il semble souvent, il est vrai, qu'il n'en soit pas de même. Les
sujets
qu'on observe peuvent être, en apparence au moins
s observations qu'on nous offre nous soutiendrons, dis-je, que tout
sujet
qui se montre sensible à l'hypnose appartient d
à un travail récent de NI. Max Dessoir, consacré exclusivement à ce
sujet
: Bibliographie des nzorlernetz Hypiiolisntits vo
che, puis empiétait sur la face interne de l'hémisphère. Le premier
sujet
, homme instruit et très intelligent, mort à vin
et organe et ses fonc- tions. Parmi les travaux qui existent sur ce
sujet
un des plus intéressants est le suivant : Le D'
ance. Le cas sur lequel est basé son travail, est le suivant : Un
sujet
était atteint de somnolence intense, sans maux de
ents expressifs des mêmes muscles. Le Di- Rosenbach a publié sur ce
sujet
une observation qui a été déjà analysée dans le
noff a constaté que les deux pupilles sont rarement égales. Sur 150
sujets
, il= trouvé l'inégalité 130 fois. Dans les deux
e M. Dagonet. M. l3nt.wo demande si le malade de M. Camuset était
sujet
à des attaques épileptiforme qui pourraient exp
, Maquaus, Ségalas et Vallon est nommée à l'élection; pour fixer le
sujet
du Concours Bellaonzrne. Des dangers de l'hypno
spectateurs. licite même des exemples de crimes et délits dont les
sujets
hypnotisés ou suggestionnés peuvent devenir les
ant qu'elle subisse, à son tour, les modifications de l'économie du
sujet
. M. THOMSEN. Oui, il existe des cas de folie sy
i n'est pas dans un état habituel d'aliénation, peut cependant être
sujet
à des accès de folie qui, en se renouvelant, pe
ssiper certaines confusions qui se sont établies dans son esprit au
sujet
de l'article 39 proposé par la commission. Qu
liénation. Cette préoccupation a amené la commission à limiter à ce
sujet
les pouvoirs attribués à la cour. Mais je crains
liques ; par le Dr F. Combeuale. Thèse de Montpellier, 1888. , Ce
sujet
, fort intéressant et tout à fait à l'ordre du jou
l'alcoolisme dans la race et l'espèce, où com- mence réellement le
sujet
du travail. M. Combemale nous montre au début l
ues en 1888 ou 1889 dans les facultés de médecine de France, sur un
sujet
de pathologie mentale et nprveuse.Ao<(t. Les
olypier, dont les éléments ont mêmes fonctions'. Précisément à ce
sujet
, M. le professeur Charcot écrivait, en 1876 : «
en en quelque sorte au faisceau de doctrines nées ou élaborées à ce
sujet
en Italie, depuis les recherches de Fritsch et
étude entière, ce ne peut être, à moins de briser l'unité de notre
sujet
, qu'à titre d'illus- trations, de corrections,
un tour philosophique, a retrouvé plus d'une fois cette verve. Le
sujet
qui l'inspire ici était bien fait pour l'exalte
ale. Nous aurons le loisir de la faire quand nous exposerons sur ce
sujet
les doctrines de l'Ecole de Vienne. Mais nous n
itons, cela se voit par la comparaison des données fournies par les
sujets
appartenant à la clientèle' privée, malades qui
s de grand poids, dans la statistique du tabes chez la race la plus
sujette
aux maladies nerveuses, mais par contre, la moi
e la plus sujette aux maladies nerveuses, mais par contre, la moins
sujette
à la syphilis. , Si le développement du tabès
int de vue. Aussi, tout en présentant à l'atten- tion du lecteur un
sujet
que j'observe actuellement, me hâté-je de dire
est-ce qui pourrait parler contre l'existence du tabes chez notre
sujet
? Naturellement, pas le fait que dans l'anamnèse
ns son manuel des affections nerveuses dit que dans un tiers de ses
sujets
il n'a pas trouvé de troubles des muscles ocula
mps, je ne puis considérer comme bien fondée la remarque faite a ce
sujet
par lui à mon adresse et à celle de M. Ballet, pa
, etc.; mais nous avons déjà parlé de cela en ce qui concerne notre
sujet
et nous y reviendrons encore. Ensuite, dans le
tout à fait nor- mal des yeux et de la sensibilité tactile. Notre
sujet
présente donc des analogies frappantes avec ceu
ès lente; de même que la syphilis, elle n'é- pargne aucun organe du
sujet
qu'elle frappe et, même après la disparition du
omplète du nerf auditif, la cophose, met fin à l'état effrayant des
sujets
en proie depuis longtemps à la maladie de Méniè
et parfois sanguinolente. Mais si les scaphan- driers qui font les
sujets
de nosobservations ont échappé à la mort, il n'
, qu'elle était devenue très mélancolique. Si on lui deman- dait le
sujet
de son chagrin, elle répondait qu'elle était damn
es sontsaines; bien des réflexions sont judicieuses sur beaucoup de
sujets
, mais à l'exception de ce qui se rapporte au dé
- charges d'électricité statique. M. Rejedestvensky a fait sur ce
sujet
plusieurs séries d'expériences. Dans une premiè
ie sur le système nerveux central. Des études ont été faites sur ce
sujet
par il. Kouznetzoff. A la première période de l
Grammatchikoff et Ossendowslcy ont publié le premier travail sur ce
sujet
. Leurs expériences ont porté sur cux-mcmes, et
des principes azotés ; 2° cet effet se produit rapidement chez les
sujets
non habitués à l'u- sage du tabac; 3° cet effet
l'usage du tabac, puis arrive à un état stable qui dure tant que le
sujet
continue à fumer. Influence de V antipyrine sur
ique. M. Korsakoff a publié un des traités les plus complets sur ce
sujet
. Le substratum t(il 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
système nerveux sympathique, ne diffèrent pas de ceux des autres
sujets
atteints de maladies mentales; ils ne sont plus f
système nerveux central, à l'hypnotisme .d'animaux non mutilés. Ses
sujets
étaient des grenouilles, tê- tards, écrevisses,
sumée plus haut. A Moscou, M. Minor nous a montré les pièces d'un
sujet
mort dans le cours du tabès spasmodique; les sy
hyperesthésie dont le moindre attouchement provoquait une crise. Ce
sujet
était suggestionnable à l'état de veille, et lors
t hémiplégique, une troisième, l'enfant cadet de la famille) est le
sujet
de cette communication. A la naissance, misa X.
L'ivrognerie est une maladie et une maladie guérissable, tel est le
sujet
de l'avant-propos. Dans le Jar chapitre : sympt
aut encore chercher à 11. Ribot une querelle préalable, dont est le
sujet
le titre même de son ouvrage. La volonté n'étant,
même que ceux qui désireront faire des communications sur d'autres
sujets
de méde- cine mentale, sont priés d'envoyer' au
la suggestion hypnotique, et la rapidité avec laquelle les premiers
sujets
soumis à ce traitement ont été débarrassés d'un
la débilité mentale. Dans les antécédents héréditaires de quinze
sujets
inconti- nents que contient la thèse de M. J. J
tine et des oreilles. Les troubles névropathiques auxquels ils sont
sujets
débutent sou- vent par les convulsions de l'enf
pe à l'action des causes occasion- nelles, car chez la majorité des
sujets
, elle existe dès la nais- sance. Elle apparaît
lt en cite plusieurs cas ; nous en présentons un nous- mème dans le
sujet
de l'observation XX. Ce jeune garçon est pris à
éoccupations urinaires. Il est évident, dit cet auteur, qu'un jeune
sujet
qui pisse au lit, a 1 Erhardt. De la polyurie h
inents nocturnes urinent sinon plus, du moins plus souvent, que les
sujets
normaux. Presque toujours ils ont des besoins f
lques-uns sont polydip,-m siques. Ce symptôme se rencontre chez les
sujets
des observai «- tions XI et XXIII ci-après. La
t cependant reconnu l'efficacité de la méthode suggestive. Des 24
sujets
que nous avons traités par la suggestion hyp- n
on hypnotique. Je rappellerai en deux mots le manuel opératoire. Le
sujet
est commodément installé dans un fauteuil ; on
une expression consacrée, car le degré d'hypnose où se trouve le
sujet
m'a paru de peu d'importance. La plupart, d'aille
le besoin d'uriner. Bientôt l'insomnie disparaît d'elle-même et le
sujet
, habitué à surveiller sa vessie, continue à le
ant grande et forte, d'aspect florissant, non réglée, névro- pathe,
sujette
aux migraines (céphalées accompagnées de vomis-
'est maintenue. Observation V. A Y..., garçon de onze ans (frère du
sujet
de l'observation précédente). Il pisse au lit d
lle et m'aurait été ramené vraisemblablement en cas de rechute. Les
sujets
de ces deux observations appartien- 16 THÉRAPEU
. Il convient de-remarquer encore ici l'extrême suggesti- bilité du
sujet
chez qui la suggestion fait disparaître successiv
lle-là l'origine psychique de l'incontinence. Plus on fait lever le
sujet
la nuit pour éviter l'accident, et plus il se p
milite en faveur de l'existence d'un état mental anormal. Chez ces
sujets
on voit au sur et à mesure que l'amélioration s
guéri par son maître qui ne le ramènera qu'en cas de rechute. Le
sujet
de l'observation précédente est un dégénéré de la
passivité cérébrale suffisante pour développer la suggestibilité du
sujet
. Observation XX. T. S..., quatorze ans. Aucun r
de le faire quand la chose sera possible. Revenons à notre jeune
sujet
; il a été promptement guéri de son incontinenc
es fixes relatives à la fonction urinaire. : 1 THÉRAPEUTIQUE. Les
sujets
qui en sont atteints appartiennent à des familles
ction involontaire. Ce phénomène à son tour frappe l'imagination du
sujet
, engendre des préoccupations constantes qui s'i
son dans au moins les trois quarts des cas. Le degré d'hyp- nose du
sujet
est sans grande importance. Un état de simple p
s âges, mais en général son effet parait d'autant plus sûr que le
sujet
est plus âgé. Même chez ceux qui ne guérissent
spondant de la Société ,¡¡Mico-Psychologlque. La malade qui fait le
sujet
de notre observation a, depuis son enfance, pré
me on a traité nos prisonniers au Tonkin, » Tout est pour X... un
sujet
de crainte. On remplit un réservoir, il dit qu'
voici les résultats des observations de l'auteur : sur les quarante
sujets
, pas un seul ne présentait à la fois une recti-
s, on constate que le rachis n'est réellement droit que chez deux
sujets
et que chez les trente-huit autres il présente un
ormation thoracique postérieure n'est symé- trique que chez un seul
sujet
, et que le plus souvent il existe une dépressio
sième lieu, que la hauteur des épaules est inégale chez trente-huit
sujets
sur quarante. Il n'y a pas de règle générale quan
czéma chronique, par exemple, examiner avec soin la sensibilité des
sujets
. Ayant donc étudié systématiquement, à ce point
symptômes relevés chez 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'enfant,
sujet
de l'observation. La conclusion est donc que le j
e deux caractères de la dernière importance : l'événement duquel le
sujet
a gardé le souvenir incon- scient, est une expé
la plus simple, ne sont pas autre chose que des repro- ches que le
sujet
s'adresse à cause de cette jouissance sexuelle an
e causes de l'épilepsie. En attendant un travail plus étendu sur ce
sujet
, l'auteur résume l'examen histologique des deux
.) Jeune garçon de douze ans, issu de mariage consanguin (parents
sujets
à des céphalalgies); onanisme, étude exagérée du
(onze femmes et cinq hommes), par la méthode de Flechsiu. Tous ces
sujets
avaient été soumis entièrement au traitement br
tion de l'opium les accès augmentèrent de fréquence chez qua- torze
sujets
; le poids du corps diminua chez neuf sujets et u
quence chez qua- torze sujets ; le poids du corps diminua chez neuf
sujets
et un mois après chez six autres. Les règles ce
ue Archives, 21 série, t. IL 5 66 SOCIÉTÉS SAVANTES. ceux où le
sujet
après avoir fait une chose se figure ne l'avoir z
circonstances tant extérieures qu'intérieures dans lesquelles le
sujet
s'est trouvé, un défaut de continuité dans ces so
ne saurait être incriminée dans ce cas, car, bien au contraire, le
sujet
apporte toute son attention à s'entourer de pré
our, les questions qu'il a SOCIÉTÉS SAVANTES. 67 déjà posées à ce
sujet
et auxquelles il n'a pas été répondu d'une mani
me publié ses « Souvenirs critiques ». Une discussion s'engage au
sujet
du procès intenté aux frères Alexianer. Ces rel
nctifs. Mais ce groupe est peu considérable si on n'y range que les
sujets
que caractérisent nettement leurs antécédents h
iminels instinctifs sont assez rarement réunis en bloc chez le même
sujet
. On les rencontre au contraire 7° SOCIÉTÉS SAVA
s . qui distinguent une grande partie, des criminels d'habitude des
sujets
normaux, paraissent congénitaux, sans cependant
out par les sentiments affectifs que les détenus se distinguent des
sujets
normaux; on observe aussi des anomalies aux point
ers temps il s'est répandu encore davantage dans cette catégorie de
sujets
. On rencontre en effet moins de tatouages chez
peut vraiment parler d'une tendance spécifique, du moins chez les
sujets
du sexe masculin, car chez les femmes le tatouage
out chez les prostituées. Sur 206 détenus, Lan- greuter a relevé 75
sujets
tatoués, c'est-à-dire une proportion de 36 p. 1
il y avait 126 réci- divistes, proportion énorme. La proportion des
sujets
tatoués était de 23 p. 100 chez les détenus con
é de 125 détenus tatoués observés par lui, l'auteur conclut que les
sujets
obscènes sont très fréquents, qu'il y a parfois
jets obscènes sont très fréquents, qu'il y a parfois combinaison de
sujets
religieux et érotiques, que les tatouages obser
tude, .24 criminels d'occasion et 32 criminels par passion. Chez 35
sujets
le tatouage avait été exécuté en prison. Trois
tre candidats suivants : MM. Deswarte, ! lIUS1N, Briche, SfKGER. Le
sujet
de l'épreuve écrite était le suivant : Cordon p
tions céré- brales, nerf pneumogastrique. L'épreuve orale a eu pour
sujet
: Erysipèle, symptômes et traitement. Les autre
re très remarquable, ainsi que sur l'interprétation à lui donner au
sujet
de l'ollgille de ses fibres, interprétation qui
, une émotion engendrent une céphalée grava- tive à laquelle il est
sujet
depuis des années et qu'exagère le moindre écar
té- rieur a montré l'endartérite des vaisseaux de la pie-mère. Le
sujet
ne faisait pas d'excès, n'était pas catégoriqueme
vieillards athéromateux, et trois autres plus intéressants chez des
sujets
relativement jeunes (vingt-six ans, trente-six
atrophie du cerveau, faiblissent et se laissent distendre; chez les
sujets
congestIfs c'est la pression artérielle continu
108 PHARMACOLOGIE. suffisamment enclines à la rupture chez notre
sujet
; je n'en veux pour preuve que l'hémorragie int
géné- rale à marche rapide avec ictus multiples, s'il y a quelque
sujet
d'hésitation étiologique ou clinique, il faut dan
e, l'ouïe est moins déve- loppée d'un côté que de l'autre, enfin le
sujet
rougit avec une faci- lité exirême. L'état ment
tôt apathique et déprimé. Il eut la fièvre typhoïde et depuis resta
sujet
aux maux de tète. Il présentait des parliculal
... étaient deux amis, mais ce jour-la ils eurent une discussion au
sujet
d'une affaire d'orgues. V... aurait vendu un orgu
n'approuve pas le terme d' « idées impératives D, chez beaucoup de
sujets
elles ne sont nullement impulsives et n'ont auc
on, nette, consciente, de suffisamment longue durée, et laissant au
sujet
le temps d'apercevoir les consé- quences de l'a
e de l'âme, une passion atteignant d'emblée son paroxysme chez un
sujet
prédisposé et le déterminant à des actes extrêmes
M. Féré rapporte l'observation d'une jeune fille de dix-huit ans,
sujette
à des absences qui, depuis deux ans, éprouve une
ù l'attention du personnel est occu- pée par les soins à donner aux
sujets
atteints de psychoses aiguës, où se trouvent de
ous les jours. Les malades tranquilles s'agitent, la guéri- son des
sujets
curables est compromise et souvent même rendue
signe du genou, dans des proportions déterminées; - 2° Parmi les
sujets
non paralytiques, c'est dans les psychoses à pr
alysie générale, il reste, après élimination des alcooliques et des
sujets
atteints de névrites, un certain nombre de pati
nérale tardive. On ne peut attribuer le signe de Westphall chez ces
sujets
à aucune altération anatomique connue, en raiso
urs. Mais ces lésions sont banales chez les vieillards et, chez les
sujets
en question, elles n'étaient pas très prononcées.
prétexte que ce signe peut se rencontrer assez fréquemment chez des
sujets
non paralytiques. Il faut tenir compte des cond
tantôt sur des malades au cours même de leur accès, tantôt sur des
sujets
en voie d'amélioration ou guéris. Il est fréque
d'examiner à différentes reprises l'état des réflexes chez un même
sujet
. Il répond à M. Smith qu'il connaît l'appareil de
ntale repose essentiellement sur les nombreuses réclamations de ces
sujets
; ces reproches ne sont pas fondés : aucun spéci
tout au plus une certaine facilité de langage quand ils parlent du
sujet
qui leur tient à coeur, mais avec cela ils sont
l'aliéniste qui connaît les tares héréditaires des quérulants, ces
sujets
seront toujours marqués d'une empreinte psychopat
que cette conception n'a pas été acceptée par le public. Il y a des
sujets
atteints de paranoïa dont les réclamations pren
té congénita- lement anormale et souvent aussi faible d'esprit. Ces
sujets
sont des imbéciles, des dégénérés dans le sens
de toute considération de fortune, d'argent, se rencontre chez des
sujets
quérulants », mais qui au point de vue légal ne p
upart des persécutés font porter leurs idées de persécution sur des
sujets
anciens et qu'il est bien difficile de constater
arcot, M. Ray- mond rassemble en un volume des plus instructifs les
sujets
de ses leçons, résumant une année d'enseignemen
point de départ. M. Raymond en profite pour étudier complètement ce
sujet
si négligé dans les traités classiques. Après u
sieurs mois déjà celle des garçons est au com- plet; elle compte 21
sujets
, dont 4 de la Charente-Inférieure; celle des fi
tions et contre-indications. En 1894, paraît un travail sur le même
sujet
du Dr Ostankoff 2, fait dans la clinique du pro
e mé- thode de traitement. Dans notre premier travail sur le même
sujet
nous avons insisté sur ce.fait, que tous les sy
ans sentir. Surtout leur anesthésie musculaire et articulaire est
sujette
à caution. Quant aux Friedreich's, ce ne sont pas
égard. Il y a quatre ans nous avons, dans notre travail sur le même
sujet
, appelé l'attention pour la première fois sur c
ur que la malade réapprenne à marcher. Toutes conditions égales des
sujets
jeunes, intelligents, avec un état général qui
et d'horripilations, avec dermographisme. * L'oedème, qui fait le
sujet
de notre première observation, est cet oedème b
hénomène subconscient mis à part à une véritable simulation chez un
sujet
très enclin à se rendre intéressant, s'il était
almaire est humide, gluante, également des deux côtés. Elles sont
sujettes
à des crises paroxystiques de sueurs, égale- me
sider dans l'appareil sensoriel lui-même ou se trouver en dehors du
sujet
dans le monde extérieur. D'où la division des h
'autres fois, la perception hallucinatoire n'intéresse, au dire des
sujets
, qu'une des moitiés symétriques du sens de l'ouïe
a maladie, mais n'est pas encore l'état pathologique. Jusque-là, le
sujet
se rend compte qu'il est facteur actif dans la
tériorisation de la représen- tation mentale, il faut encore que le
sujet
perde conscience de ce phénomène. Comme on le v
m de M. le Dr CLAUDE, d'une série d'expériences sur les animaux, au
sujet
des myélites consécutives à l'action de toxines
à présent peu nombreuses ; les auteurs sont loin d'être d'accord au
sujet
de la pathogénie de cette affection. Charcot la
ène hystérique vaso-moteur. On trouvera certes des cas atypiques au
sujet
desquels il sera difficile de se prononcer ; il
, dont un depuis dix ans. Un de mes an- ciens internes en a fait le
sujet
de sa thèse. Il serait très impor- tant de pouv
depuis six mois environ avec l'ange Gabriel. La malade, qui fait le
sujet
de cette observation, est atteinte de folie hys
e lésion organique. Il est impossible aujourd'hui de rien dire à ce
sujet
de bien scientifique. Le tremblement à forme vi
Le tremblement à forme vibratoire est extrêmement fréquent chez des
sujets
en apparence normaux. Peut-être est-on en droit d
r l'exis- tence des tremblements à l'état normal ; je crois que les
sujets
que l'on considère comme normaux et chez lesque
ur les malades en l'absence de courant et partant d'aimantation. Au
sujet
des malades signalés par M. A. Voisin et présen
r jusqu'à une sorte de claquement tendineux, M. Pitres rappelle les
sujets
analogues offrant ce phé- nomène susceptible d'
ologistes et d'aliénistes ; et, si l'on peut accorder qu'il est des
sujets
plus neufs, il faut dire aussi qu'il n'en est p
rait demander aux pouvoirs publics de voter un article de loi, à ce
sujet
. Dans une seconde partie relative à la substitu
ne pas tourner la loi, sans manquer à tout sentiment humain. - Au
sujet
de la vie des aliénés dans les asiles et des agré
malades, le plus grand nombre, et en exclure les autres. Enfin, au
sujet
du traitement des alcooliques aliénés, le Dr Ro
hôpital, les prescriptions légales accomplies. M. Garnier a fait au
sujet
des certificats des médecins, indispen- sables
ces derniers, il en est qui s'amusent des fous : c'est pour eux un
sujet
de distraction. On nous a raconté que cer- tain
x, ceux qui ont un pied dans le crime et un pied dans la folie, ces
sujets
dont les magistrats, pas plus que M. Garnier et
fondre dans un même asile de sûreté, dans un même asile-prison, des
sujets
aussi différents. La distinction que je réclame
M. Garnier. Nous avons sur la question des asiles-prisons et des
sujets
qu'il faut y placer, des lumières suffisantes pou
r, des lumières suffisantes pour nous dispenser d'aborder encore ce
sujet
. En somme l'ensemble de notre rapport a été ado
fait avant l'autopsie et une série de photographies représentant le
sujet
avant et après décès ainsi que les coupes osseu
(inappé- tence complète, alternant avec des accès de boulimie). Les
sujets
, par suite de leur appréhension de mal digérer,
diverses dyspepsies. Le seul traitement consiste à soustraire le
sujet
à l'influence de son entourage qui est le plus so
s physiques et psychiques identiques. Ce qui domine dans l'état des
sujets
, c'est que cette tendance à rougir les rend trè
n objet, s'abriter sous un parapluie, surtout boire). Quatre de nos
sujets
sur sept se livraient à la boisson, dans le dou
tre éminent maître, 1V. le D' lZanan, qui a bien voulu conserver ce
sujet
dans son service et nous aider de ses conseils,
culté d'attention, susceptible de s'exercer avec fruit sur certains
sujets
, est totalement dépourvue de résistance sur d'a
modifié et l'aspect du patient offre les apparences physiques d'un
sujet
soumis à un effort violent. En même temps que l
n est également des plus habituels et nombreux sont les exemples de
sujets
deve- nus bègues à la suite d'une vive émotion.
êmement rares, mais ils affectent un polymorphisme tel chez le même
sujet
, des variations individuelles si grandes qu'ils
actement sur son degré d'im- pressionnabilité ; il est d'autre part
sujet
à des colères impul- sives ; a des crises d'exa
i concerne les examens pour déterminer l'état mental et physique du
sujet
, l'enregistrement des entrées, les dis- positio
? 29. A quel degré se font les examens ophtalmoscopiques sur les
sujets
entrant à l'hôpital ? 30. Fait-on (et dans quel
firmiers; si oui, depuis quand, par qui est-il dirigé, son but, les
sujets
ensei- gnés et le temps d'étude exigé; y admet-
iques, les drogues, la haute température ou le tabac ? A-t-il été
sujet
aux céphalalgies ? Leur siège et leur genre ? ` ?
sujet aux céphalalgies ? Leur siège et leur genre ? ` ? A-t-il été
sujet
aux névralgies ? aux'trémulations musculaires ?
mais l'eau se refroidit par la pulvérisation et frappe le corps du
sujet
à une température très agréable, c'est-à-dire à
traumatismes du sein qui agissent en influençant l'état mental des
sujets
. On l'observe aussi assez fréquemment chez les
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 299 vue et qu'on néglige d'examiner les
sujets
nus ; il en résulte que bien des particularités
la paralysie agitante. C'est également la raison pour laquelle les
sujets
fléchissent les genoux. Les autres axes du corps
variés. La raison en est dans ce fait biologique qu'à mesure que le
sujet
avance en âge. les tissus se différencient de p
cas. La paralysie ciliaire, qui a pu échapper chez les très jeunes
sujets
, a été trouvée 56 fois; celle des membres infér
es symptômescérébraux puis peut simuler une psychose aiguë. Chez le
sujet
en question la tumeur existait dès le début des
Bern- hardt insiste sur l'allure enfantine et le langage puéril des
sujets
porteurs d'une tumeur de la région antérieure :
ïdes très volumineuses, sans qu'ils aient appartenu pour cela à des
sujets
avancés en âge, se rappelant en outre que ces a
- Mais aucune description ne saurait remplacer la photographie du
sujet
qui est jointe à l'article de M. Van Brero. C.
Psychiatrie, t. LU, f. l,p. 185-195.) Après le retour à la vie de
sujets
pendus on observe parfois des convulsions, de l
attaché à l'hystérie. L'auteur rapporte deux cas personnels. Un des
sujets
fut pris, après sa tentative de pendaison, de con
d'une altération mécanique subie par le cerveau. Pour le deuxième
sujet
, il n'en est pas de même. L'hystérie parait êtr
pas totale. Quant à l'épilepsie alcoolique elle peut, chez les deux
sujets
, être élimi- née. L'auteur pense que l'interp
u'elle ne porte que sur la tentative de suicide. Mais chez certains
sujets
la lacune de la mémoire a été plus consi- dérab
inte de six mois. Lecot, qui passe pour s'adonner à la boisson, est
sujet
à des crises d'épilepsie. » - On aurait évité c
ilure, et les infirmières viennent même de signer une pétition à ce
sujet
. L'enquête insiste sur l'ensemble des qualités qu
té est qu'on voit, de temps en temps, des cas sporadiques, chez des
sujets
dont les facultés digestives sont alté- rées au
à leurs effets immédiats. 11. On n'isolerait pas convenablement les
sujets
atteints de maladies infectieuses, négligence q
de mort. -En effet, on n'a pas toujours, faute de place, isolé des
sujets
atteints de phtisie pulmonaire. Le cas de mort se
classés en quatre groupes : 1° Confusion hallucinatoire chez des
sujets
âgés de trente à soixante ans ; 2° confusion si
les hallucinations ; le pronostic est favorable (psychoses chez des
sujets
alcooliques). Enfui le quatrième groupe compren
l'obscurité après l'opération. Or, ce patient, comme la plupart des
sujets
qui se présentent à la consultation des cliniqu
de la ville même ; le séjour à l'hôpital n'est pas, comme pour les
sujets
précédents, un brusque change- ment dans leur m
itre des délires séniles : Frankl-Hochwart les a observées chez des
sujets
jeunes; en outre il y a des différences au poin
Toujours en faute, tou- jours punis, ils passent vite pour mauvais
sujets
. Il faut que ces malheureux soient par hasard,
apprendre la manoeuvre du canon. Mou, paresseux, arrogant, mauvais
sujet
sans cesse puni. - Ce jeune homme présente de n
épourvu de jugement et de tout sens critique. En résumé, c'était un
sujet
inintelligent, paresseux, étourdi, querelleur.
l'auteur se demande s'il ne serait pas bon d'exclure de l'armée ces
sujets
atteints d'imbécillité lé- gère, mais qui ne so
éséquilibration mentale, d'où enfin le peu de responsabilité de ces
sujets
. Camuset. - 388 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1
de surmenage scolaire surtout. Plus tard, on voit souvent chez ces
sujets
survenir l'accès de folie sous des influences o
ssion et d'impuissance, et toujours ainsi. Ces deux malades étaient
sujets
, sous l'influence surtout des changements atmos
es soirées qui les précédaient), les antécédents hérédi- taires des
sujets
(l'un d'eux avaitson père atteint d'épilepsielarv
sentant des scènes de pratique chi- rurgicale. Limitant ensuite son
sujet
, il n'a gardé, de ces repro- ductions de l'art
onet', plusieurs genres de malades. , 1° Démonomanie externe. Les
sujets
ont avec le diable des rapports externes. Ce ne
s sombres, opposées, la lutte de Satan contre Dieu et publie sur ce
sujet
un poème de 300 vers. Un autre, cité par Sémeri
e a signalé des cas de ce genre (p. z153). Nous rappel- lerons à ce
sujet
une observation de M. le D'' Baratou, citée par
ministration royale. En effet, sollicité dès le 12 novembre 1791 au
sujet
d'une fille épileptique, le Directoire répond q
après constatation minutieuse de l'infirmité et de l'indigence du
sujet
, l'hospice étant uniquement destiné et 1'éservé a
ni prévu pour recevoir les aliénés et que leur présence y est même
sujette
à beaucoup d'inconvénients. » Le 13 juillet 1
arquer aussi que cette infirmité ne se rencontre guère que chez les
sujets
nerveux et souvent héréditaires. La théorie psy
gueur. On l'attache, par une de ses extrémités, à la main gauche du
sujet
, on lui fait longer le lit et sortir par la parti
50 grammes de sable sec, on produit ainsi une traction légère. Le
sujet
n'eut pendant la nuit qu'une seule miction involo
r. Le lendemain soir on mit 100 grammes de sable dans le sac, et le
sujet
se réveilla, dans la nuit, chaque fois qu'il eu
t possible un moment, mais très pénible ; si les yeux sont clos, le
sujet
oscille et tomberait. L'action de monter et de
d'hui résolue. Ils font l'historique des travaux effectués sur ce
sujet
et montrent que les expériences n'ontjamais porté
euse, l'apparition de la première attaque de céphalée, alors que le
sujet
ne pouvait avoir aucune appréhension ? Peut-on
on en faire un symptôme de la nostalgie ? Non, puisque les malades,
sujets
des observations précédentes, ne sont pas nostal-
es prédisposés aux affections nerveuses ne semblent pas y être plus
sujets
que les per- sonnes normales, indemnes de toute
e, ou au contraire avec un état byprémique de l'encéphale; et, à ce
sujet
, l'examen ophtalmoscopique aiderait à résoudre
éciale- ment cet organe chez un nombre déterminé de malades et de
sujets
sains. Sur 154 sujets sains, la luette ne fut tro
ane chez un nombre déterminé de malades et de sujets sains. Sur 154
sujets
sains, la luette ne fut trouvée anormale que da
s muscles de la luette se contractaient dans 73 cas p. 100 chez des
sujets
normaux et dans 47 p. 100 seulement chez les al
u faire ses classes, en outre il a eu des terreurs nocturnes et est
sujet
à des accès intermittents de mélancolie de cour
gni, 1895, n° de juillet.) Il s'agit d'une expertise très facile au
sujet
d'un cas d'épilepsie avec troubles mentaux cara
des principales propositions qui ont cours dans la science, sur ce
sujet
; et pourtant, encore une fois, le cas est des plu
de plus dans l'inversion véritable, c'est la complète frigidité du
sujet
à l'égard de l'autre sexe. Cette frigidité parait
e, et d'étudier expérimentalement, après l'opéra- tion sur ces deux
sujets
, les phénomènes psychiques dus à l'acqui- sitio
rt, les conditions psychologiques étaient mieux respectées, car les
sujets
n'étant pas avertis de ce qu'on attendait d'eux,
e du sens de la vue ne gêne pas autant qu'on pourrait le penser, le
sujet
atteint de cette affection, en rai- son de la s
e de physiologie de Gênes, sous la direction du Dr Il. Oddi. ' Ce
sujet
a déjà été étudié par d'autres physiologistes, ma
- nelles, les malformations du crâne seraient très rares chez les
sujets
nerveux. Il va sans dire qu'il distingue la nervo
ormités crâniennes présentées par M. Sommer proviennent toutes de
sujets
aliénés. M. Sommer. Fréquemment des individus,
gne parla vue, on fait des exercices pratiques ; on traite tous les
sujets
qui peuvent se présenter dans la clinique journal
n. M. Meschede. Le nombre des heures d'enseignement par semaine est
sujet
à de grandes variations. Le chiffre qui lui sem
mbrée, car il faut réserver des lits pour les aliénés entrants. Les
sujets
atteints de maladies inciden- tes sont traités
e quartier des infirmes. Les aliénés « inso- ciaux », ceux qui sont
sujets
à des accès d'agitation sous l'influence d'hall
type Gudden a donné jusqu'ici des ré- sultats satisfaisants. 2. Les
sujets
agités et atteints de maladies incidentes doive
e contre les sueurs fétides des pieds, à l'asile de Schwetz, sur 40
sujets
, dont 13 gravement atteints, et chez lesquels l
des cordons latéraux et pos- térieurs. Le second cas concerne un
sujet
atteint de paralysie générale traumatique, déve
. VARIA. Question de priorité. Rectification DE M. PAUL Richer au
SUJET
DE SON ARTICLE : NOTE SUR UNE DÉVIATION DE LA C
que M. le D'' Clozier (de Beauvais) avait lui aussi traité le même
sujet
, ou, tout au moins, un sujet analogue. Il en av
auvais) avait lui aussi traité le même sujet, ou, tout au moins, un
sujet
analogue. Il en avait même fait l'objet d'une c
e -vitale par différents corps actuellement et complètement isolés du
sujet
. Cette influence a incontestablement pour véhicul
des substances sur l’organisme, que l’expérience réussit, lorsque le
sujet
ignorerait quelles sont les substances qui l'infl
qui pourraient survenir. — « Ainsi, vous frappiez l’imagination du
sujet
; vous excitiez en lui des sentiments d'effroi, d
évelopper à un plus ou moins haut degré chez un assez grand nombre de
sujets
, l'imagination, par suite de l'espèce de sommeil
u la faculté de comparaison est plus ou moins altérée, suivant que le
sujet
est plus soumis ou plus crédule, — il y en a à qu
uit pas toujours que l’apâlissement. Nous autres, qui avons manié les
sujets
k l'état de charme, cette sorte d'état dont je vo
force, au moyen de la suggestion, nous produisons à volonté, sur les
sujets
idoines , des phénomènes physiologiques déterminé
e avec de la coloquinte.—Les drôles entendaientleur affaire.— Premier
sujet
: on mesure la rate, on administre un paquet ; de
et : on mesure la rate, on administre un paquet ; deuxième, troisième
sujet
, jusqu’à épuisement, mêmes opérations. Pour cette
océdés indépendants de toute hypothèse pour amener un grand nombre de
sujets
à cet état ; possibilité de diriger Timagination,
comme un effet d’imagination. Vous dites que dans cet état-là on est
sujet
à être crédule. Je suis peut-être dans une phase
vus. Sont-ils matériels? sont-ils spirituels? Qui le sait? Quel beau
sujet
d’études que tout cela et trop au-dessus de ma po
à indiquer où on peut la trouver. Mais c'est trop m’écarter de mon
sujet
; revenons-y. Naguère nous rappelions les souvenir
z, je vais me défendre et vous dire en deux mots ce que je pense à ce
sujet
. Mon imagination ne m’a point empêché, dans mes t
e comment le même docteur, répondant à M. Bouillaud, s’exprimait à ce
sujet
; ses arguments nous paraissent sans réplique ; il
« Mais celte digression nous conduirait trop loin ; revenons à notre
sujet
. « Je disais que parfois la lucidité de Mlle D.
xtraordinaires dont les somnambules naturels sont doués. Eh bien ! le
sujet
dont je vous entretiens les réunissait toutes ; c
à la longue, le magnétiseur n’acquiert une certaine influence sur son
sujet
, loin de là ; mais ce que je veux prouver, c’est
ne fut pas son étonnement, lorsqu’elle vit son expérience réussir; le
sujet
docile avait fermé les yeux d’abard, mais avec as
trentaine des principaux médicaments homæopathiques, en invitant ces
sujets
lucides à choisir les remèdes appropriés aux mala
ules. Si nous prêtions nous-mème quelque valeur à notre avis sur ce
sujet
, nous l’engagerions fortement à persévérer dans c
oser une sorte de fin île non rerevoir. Pour tout homme sensé, si des
sujets
magnétiques — même exceptionnels — reconnaissaien
t toujours les uns des autres , il serait démontré à la fois — que le
sujet
jouit de facultés exceptionnelles — et que les gl
cament devait être bien amer. La potion n’avait pas d’amertume, et le
sujet
n’en trouvait pas non plus ; mais il avait subi j
comme contraire aux principes et aux lois de la nature? Lisez sur ce
sujet
Laplace (Traité analytique du calcul des probabil
, le docteur Knoll, dont la relation mérite toute notre attention. Le
sujet
de ces observations était un jeune jardinier qui
e. Il est rapporté par M. Feder, professeur et conseiller aulique. Le
sujet
était un jeune étudiant qui, à la suite d’une ter
us ont dit des demoiselles Fox. La Reçue spirilualisle avait dit à ce
sujet
que nous n’avions nul besoin de ces célèbres thau
indigène. Et si l’Amérique veut bien nous envoyer quelques-uns de ses
sujets
sur lesquels ont été publiés des relations si éto
recteur du Journal du magnétisme qui provoque des observations sur ce
sujet
. 11 semble donc quele résultat du concours ouvert
d’Arago, qui n'avait pas lui-même de convictions bien arrêtées sur ce
sujet
. Aiffsi M. Lemoine nie l’existence du fluide ma
t indiqué. Aussi, lorsque nous voulons concentrer notre pensée sur un
sujet
de méditation, nous suspendons notre marche, nous
corps, la magnétisation à distance n’existerait pas. L’impression du
sujet
ne peut avoir lieu que parce que son fluide est f
endent pas ordinairement compte, leurs corps n’étant plus pour eux le
sujet
de la moindre préoccupation. Voilà à peu près
les songes (Paris, Delahavs, 1859). On y Irouvo de l'érudition sur un
sujet
intéressant, et mieux vaut à coup sûr ne pas rais
ue, et surtout éminemment pratique. Mais nous nous éloignons de notre
sujet
, hâtons-nous d’y rentrer. La communication des
plus souvent dans le vide , et quelques minutes plus tard, à peine le
sujet
tend-il à s’endormir, la pensée arrive insufflée
parle volontiers par tableaux qu’il fait passer devant le cerveau du
sujet
, devant les yeux de l’esprit, phénomène dont les
a quelque fondement, elle est au moins pleine d’incertitude. Après le
sujet
lui-même, un somnambule sera le meilleur interprè
d’un songe, il faut connaître les mœurs ordinaires, non-seulement du
sujet
particulier auquel on doit répondre, mais encore
une étrange erreur. Le meilleur conseil que l’on puisse donner sur ce
sujet
est celui-ci, déjà fort vieux au surplus : Tenez
urs fois en maguétisant de produire des secousses pareilles, el, 5 ce
sujet
, je me demande s'il n'y a pas quelque analogie en
sir de contrôler ses expériences. Je fis plusieurs tentatives sur ses
sujets
, et je vis apparaître les mêmes merveilles. Etonn
udier les ouvrages des auteurs les plus célèbres qui ont écrit sur ce
sujet
. Les œuvres de Puy-Bégur, Deleuse, Gauthier, Rost
tais, il y a quelques années, un jeune garçon de quinze à seize ans ,
sujet
à des attaques d’épilepsie presque journalières.
produisent. « Ce n’est pas ici le lieu de développer ma pensée à ce
sujet
: nous y reviendrons plus loin. Je ferai seulemen
é du magnétiseur a par elle-même le pouvoir d’agir sur les organes du
sujet
, de les faire mouvoir, de les modifier ; ou bien
ou bien le magnétiseur agit-il par voie de suggestion sur l’esprit du
sujet
, de manière que par l’influence du moral sur le p
manière que par l’influence du moral sur le physique, les organes du
sujet
soient ébranlés et impressionnés? C’est ce que M.
dit-il, que nous avons reconnu que la magnétisation peut agir sur un
sujet
jouissant de toute la plénitude de sa santé , nou
ables, il ne se trouve pas un homme raisonnable qui, en s'emparant du
sujet
, en donnant une direction salutaire à ses pensées
uvent servir d’instruments à (les Esprits bons ou mauvais, que le
sujet
alors ne s’appartient plus, que ses organes sont
sont passifs et servent à la manifestation des pensées d'autrui ; le
sujet
parle et écrit, mais c’est un Esprit qui parle pa
rit agit ainsi, même sans avoir été appelé, il règne en maître sur le
sujet
dont la personnalité est absorbée ; nous voilà do
homœo-«pathie et de la lucidité somnambulique. » Il admet que «si des
sujets
magnétiques reconnaissaient aux globules, « sans
iscernaient « les uns des autres, il serait démontré à la fois—que le
sujet
« jouit de facultés exceptionnelles — et que les
ant croire qu’on cherche sincèrement à recueillir des lumières sur un
sujet
douteux, et que tous les auteurs, quelle que soit
suffrages du public. L’auteur, M. le professeur Lemoine, a traité son
sujet
d'une manière remarquable et a pris rang parmi le
s sur le somnambulisme artificiel, elle a appelé la discussion sur ce
sujet
, elle a fait voir qu'elle en sentait la gravité,
re par le célèbre Franck (L), dont le témoignage, j’espère, n’est pas
sujet
à caution. — En parlant du somnambulisme (tom. Il
ulus pas prendre connaissance du contenu de la lettre. J'endormis mon
sujet
et lui remis la lettre entre les mains. Après l’a
ans toute sa vérité, le résultat de la séance. Après avoir éveillé le
sujet
, j’ai lu tout haut la lettre devant elle ; elle e
la forme, nous nous attendions à voir M. l’abbé Gratry revenir sur ce
sujet
, sur le chapitre de la volonté, et traiter des ef
son indignation contre le mauvais vouloir de la Compagnie , et, à ce
sujet
, rappelle avec amertume le sort des martyrs de la
ssieurs veuillent bien nous prouver notre erreur en nous montrant les
sujets
doués de cette faculté miraculeuse, et alors nous
A..., interrogée par M. le président, répondait qu’elle n’était qu’un
sujet
lucide dont se servait le docteur X... pour décou
e. Des expériences innombrables ont été faites sur toutes sortes de
sujets
et de questions, et le résultat a toujours été co
s l’état ordinaire et l’autre dans la crise. Dans ce dernier état, le
sujet
se nomme toujours à la troisième personne, comme
médium spiritualiste dans l’exercice de ses fonctions diffère peu du
sujet
sous la main du magnétiseur, et que le cercle emb
e écrit. Mais cette explication, qui paraît bien simple, est pourtant
sujette
à de graves difficultés. Elle suppose, en efTet,
de de bien des ruses et qui sait les déjouer, je puis affirmer que le
sujet
était incapable de faire usage de ses yeux. Ce fu
ante que nous fit Robert Houdin, dans l’entretien que nous eûmes à ce
sujet
. Les thaumaturges arabes, avant d’opérer, se livr
sommeil un pigeon femelle , avec lequel il croisait son regard ; à ce
sujet
, M. le docteur Verdier entra dans une dissertatio
e, de faire une improvisation à la course aux bouts ri-més, et sur le
sujet
donné : le magnétisme ; ce qu’il fit avec un merv
e l’émétique qui, à dose répétée, a une influence si fâcheuse sur les
sujets
de faible constitution. J’ai eu un égal succès da
eunes filles , qui1 appartiennentàunefamillëdepauvrespaysans, étaient
sujettes
à des accès d'épilepsic, d,’uue extrême violence,
alutaires. Un spirituel chroniqueur, M. Edouard Fournier, fait à ce
sujet
les réflexions suivantes (Patrie du 9 avril) :
et d'établir un rapport direct entre le cerveau du magnétiseur et du
sujet
de manière que celui-ci souvent acquiert la facul
m'isoler complètement ; à cet effet, j’ordonnais impérieusement à mon
sujet
de ne point lire dans ma pensée. Je suis heureux
agnétisme. « Un mot encore pour finir. Nul.n’iguore que, lorsque le
sujet
est dans un état de somnambulisme approchant de l
s, au lieu île dire : «Par un effet do transmission de pensée, le
sujet
percevra dans mon esprit l’ordre tacite que je fo
ule. « La consultante qui, seule avec moi, était en rapport avec le
sujet
, m’assura de la manière la plus formelle qu’elle
hysiques et des facultés morales que détermine le magnétisme chez les
sujets
les plus sensibles à son action , chez ceux qui a
désolé, messieurs les savants, de n'être pas avec vous d’accord à ce
sujet
; mais la cohésion, comme vous l’entendez , n’exi
ant, je m’arrête ici, de crainte d’anticiper sur ce qui doit faire le
sujet
du chapitre suivant. L’od, comme nous l’avons v
Encore cette fois, mauvaise humeur de M. Lassaigne, qui rappelle son
sujet
auprès de lui, et l’actionne de nouveau, pour lui
De môme la communication avec les morts est un fait réel, vrai, mais
sujet
à erreur, et alors môme qu’il y a identité dans l
acré parvis beaucoup de bons esprits. Le nombre des (1) Voir sur ce
sujet
l'expérience par nous rapportée dans ce journal,
ir à entretenir les premiers dans l’erreur , en leur donnant quelques
sujets
de triomphe sans importance, mais vrais. Et, ce q
lisme soient certains magnétiseurs. A ceux-là nous conseillons, comme
sujet
de méditation , la lecture du chapitre Xll, qui t
t , grand bruit de cette espèce de défi, il est bon de présenter à ce
sujet
quelques réflexions propres à dissiper des erreur
ussi nous concevons que beaucoup de magnétiseurs, pouvant disposer de
sujets
lucides, aient été rebutés par ses propositions d
publier la relation exacte des conférences qui auraient eu lieu à ce
sujet
, et alors le public, édifié sur la vérité, saurai
ommera une des personnes de la réunion, pourvu qu’elle soit connue du
sujet
comme bienveillante, ou qu’elle lui soit inconnue
ut ce qui aura lieu, sauf à discuter, à l’avance et en arrière du
sujet
, les conditions de l’expérience. En procédant a
toire et interpréterait le refus d’agir comme aveu d’impuissance. Les
sujets
lucides ne manquent pas. Des faits nombreux prouv
de Mesmer, il s’est lui-même livré à des recherches sérieuses sur ce
sujet
si vaste et encore si peu connu; et ses efforts o
-t-il pas être accompagné avant qu'il nous soit permis de voir sur ee
sujet
se dissiper complètement les ténèbres qui nous en
raitement j’avais à employer : aucun détail ne m’avant été donné à ce
sujet
. ‘ « J'appris toutefois en route que c’était au
rsonne de connaissance, Cependant, dès qu’on eut appris mon nom et le
sujet
de ma visite, chacun m’entoura, m’accabla de ques
ue j’avais à entreprendre, je reviens enfin à la question qui fait le
sujet
principal de cette lettre, et je demande si le po
aurions désiré que madame Mongruel, qui se proposait de donner sur ce
sujet
de nouvelles lumières , rapportât textuellement l
. — 25 Juia 1850. 12 refuse aux moyens de vérification, a quelque
sujet
de craindre que ses stratagèmes ne soient dévoilé
s avaient lieu continuellement et ne dépendaient pas de la volonté du
sujet
. M. Schiff, ayant eu à examiner de3 individus che
tisme, et que, par conséquent, toute adhésion de sa part ne peut être
sujette
à caution. C’est un acte de franchise , de loyaut
à même de constater comme moi les phénomènes remarquables qui font le
sujet
de mæ communication ; en outre, la famille que l’
prête à confirmer les faits que j’avance. « La maladie qui fait le
sujet
de mon observation est une jeune personne d’u
ne le suivrons pas sur ce terrain , seulement, pour l’intelligence du
sujet
, nous transcrirons quelques faits saillants. «
restait inaperçue. « D'abord, nous interrogeâmes la malade sur des
sujets
indifférents, et elle nous répondit toujours avec
ponses étaient beaucoup moins justes, quand on l’interrogeait sur des
sujets
que le magnétiseur ignorait lui-même. Mais elle m
i est dû à la plume du docteur Sotteau. La jeune personne qui fait le
sujet
de ce mémoire « peut être regardée comme entièrem
Goossens. DES MIROIRS MAGIQUES. Après tout ce qu’ont écrit sur ce
sujet
MM. le baron du Potet, Cahagnet, de Mirville, nou
Mirville, nous ne nous proposons point de traiter à nouveau ce vaste
sujet
, mais seulement d’ajouter quelques traits, ou, po
uelques traits, ou, pour parler plus simplement, de reproduire sur ce
sujet
quelques extraits puisés dans divers ouvrages.
s croyons qu'il y a évocation , vue à distance , rapport. L’esprit du
sujet
, attiré partiellement hors de son corps, devient
ptitudes à recevoir ces inspirations d’en haut. Tout ce qu'a dit à ce
sujet
Balzac, dans son roman le Cousin Pons, ch. XIII,
rcice fréquemment renouvelé altère essentiellement la constitution du
sujet
, et que s’il est vrai qu’il peut guérir les autre
ion que l'on sait. M. Mongruel n’avait pas sans doute sous la main de
sujet
exerçant l’art chorégraphique. Une histoire qui e
de vital, ses fonctions et ses applications: il a relevé l’aridité du
sujet
par des réflexions ingénieuses ; ses digressions
uefois, en désespoir de cause, après avoir provoqué le sommeil sur un
sujet
plutôt sain que malade, de chercher à développer
ous sous le nom de vue rétrospective. «Voyons d’abord quel est le
sujet
dont j'ai à parler, et ensuite comment il est tom
res. [ « Avant de parler du fait qui doit être et sera le principal
sujet
de cette lettre, j’en citerai deux qui, quoique s
. M. Mathieu, dans un entretien particulier que j’eus avec lui à ce
sujet
, avoua que les expériences n’étaient pas satisfai
k de prendre en pitié notre pénurie et de déterminer quelques-uns des
sujets
si communs dans son pays à traverser l’Atlantique
uit que l'homme indiqué était son voleur; et finalement il n’y eut au
sujet
du vol ni enquête ni certitude acquise. C’est à
ons pas de les discuter. Maisil nous semble opportun de traiter, à ce
sujet
, la question d'une manière générale. Dans l’éta
mbule qui, dans son cabinet, attend les clients, qui, consulté sur un
sujet
quelconque, cherche à découvrir par sa vue anorma
révenu consulté par une personne sur un objet perdu ou sur tout autre
sujet
inconnu, a fait au consultant une réponse présent
ble intitulé : le Magnétisme expliqué par lui-mfnie. Mlle Marie est
sujet
magnétique; elle est fréquemment mise en somn
on dit) donné des preuves nombreuses de lucidité. Elle est, en outre,
sujette
à des accès de noctambulisme, qui ont lieu princi
l’état de noctambulisme, une tapisserie dont elle exposa en détail le
sujet
: le château d’Amboise, uu paysage étendu avec mo
de sait quelle dextérité exige une tapisserie en soie représentant un
sujet
. Le défaut de lumière présentait déjà une grande
s paroles qu’elle prononce dans ce dernier état. On ne put faire à ce
sujet
d'expérience suivie, parce qu'on observa que, qua
le sommeil magnétique, elle discuta d'avance avec son magnétiseur le
sujet
et les détails du tableau qu’il s’agissait de
t pas de la faculté cataleptique ; dans la même espèce, on obtient un
sujet
parfait sur quatre. Le sujet soumis tout àfaitàso
que ; dans la même espèce, on obtient un sujet parfait sur quatre. Le
sujet
soumis tout àfaitàson action magnétique fera inst
IXE ÊTRE DÉMONTRÉE PAR LE MAGNÉTISME? « Monsieur le baron, , « Le
sujet
que nous allons aborder dans cette lettre, mais e
outer, car il faut bien le dire, que tout ce que nous avons lu sur ce
sujet
dans les magnétistes spiritualistes nous a paru s
lus grand génie ; mais craignant de nous écarter un peu trop de notre
sujet
, auquel nous allons revenir à l’instant, nous lai
désintéressement. C’est une lourde bévue; mais elle lui a procuré le
sujet
d’une tartine contre les sciences occultes, et av
t, ce qui n’empêche pas de renouveler les mêmes rodomontades... Et, à
sujet
, je rappelle au public ma souscription nationale
quand même cela n’arrive qu’une fois sur mille, ces docteurs qui sont
sujets
h en avoir des convulsions, probablement parce qu
mentaires sur Dioscoride, livre VI, chap. XL, rapporte ce qui suit au
sujet
des guérisseurs de morsures de serpents : .....
Je soumets seulement ces questions aux naturalistes et recommande ce
sujet
aux investigations futures des voyageurs. » Le
qu'on le mit en demeure de les modifier et qu’on pût lui présenter un
sujet
capable, sinon de réussir dans le genre spécial d
té est variable, et l'on est toujours exposé à un échec, même avec le
sujet
le plus brillant. Mais si l’on a cinq à six somna
quatre ou cinq.'Gomme oü serait muni, je le suppose.de quatre 00 cinq
sujets
ayant fait leurs preuves, jl serait presque impos
bre des magnétiseurs instruits se multiplierait, on formerait plus de
sujets
lucides, il s’établirait des centres de propagati
àTAcadémie de Médecine, les autres expériences sont presque toujours
sujettes
àdes embarras, à des difficultés, et peuvent, mêm
vue à travers les corps opaques. Nous ne comprendrions donc pas qu'un
sujet
jouissant réellement de cette faculté dédaignât,
d'un temps dont l'emploi est fructueux. Aussi devrait-on se munir de
sujets
de bonne volonté; il serait même bon de former de
es très-bien, nous ne désirons pas d’êae ailleurs, nous n’avons aucun
sujet
d’ennui, nos occupations, nos promenades,nos pare
niversité de Buffalo (Amérique), vient de publier une brochure sur ce
sujet
(1). Il raconte qu’il est allé plusieurs fois vis
s à ion examen. Mais que serait-il arrivé s’il avait eu affaire à ces
sujets
qui, d’après MM. Schiff, Jobert de Lamballe, etc.
sons des hommes dont la crédulité va jusqu’à la folie, ils n’ont pour
sujet
de leurs démonstrations que des fourbes et des im
as ! il est comme magnétisé lui-même. Maintenant comment réveiller le
sujet
? Ici commence la gravité de l’alTaire. Laissons d
nfluence de passes, d’attouchements, etc., et qui produirait chez les
sujets
influencés des effets parfois miraculeux. L’exi
à l’effet de savoir si tout ne s’expliquerait pas en admettant que le
sujet
préalablement somnambule aurait eu, le 15 août, u
lle, sœur du premier et une fille Soucaze, leur servante, étaient les
sujets
doués du sommeil lucide et du don de seconde vue.
et lorsque les deux premiers sont absents, Elisa, change de rôle, de
sujet
devient agent, et magnétise la servante. A côté d
ions nerveuses. Dans ce miroir vraiment magique, apparaissent pour le
sujet
soumis au somnambulisme tous les rêves de l’opium
d’un succès qui dépassa même mes espérances, car j’eus à la fois deux
sujets
doués à un assez haut degré de la clairvoyance qu
on de douze aus; il s’ensuivit le sommeil de celui-ci, qui depuis est
sujet
à de fréquentes attaques dans lesquelles il éprou
sme, loin de reculer devant un débat contradictoire, ont présenté des
sujets
, ont pris part à des expériences; il ignore le ra
n est parfaitement réelle, c’est l’art de tirer parti du néant, et le
sujet
qui a reçu ce néant peut éprouver les perturbatio
era pas perdue. A. S. Mobiw. Nous lisons en outre, et sur le même
sujet
, les réflexions suivantes, dans Y Indépendance be
de influence sur leurs contemporains, deviennent pour la postérité un
sujet
d’é-nigmeet semblent ne pouvoir ôtrejugés. Tels f
procédés propres à développet la lucidité. Voici ce que rapporte à ce
sujet
son historien : « 11 fit venir un enfant, fils d’
ifférent, l’essentiel étant de déterminer, n’importe comment, chez le
sujet
une certaine perturbation psychique propre à fair
l’abonnement est échu et dont elle ne connaît point les intentions au
sujet
du renouvellement. La régularité de sa comptabili
nt expérimenter eux-mêmes, et s’ils ont le bonheur d’obtenir sur leur
sujet
le somnambulisme, alors ils verront de leurs prop
magie des ronces qui en obstruent les abords ; il a déjà publié à ce
sujet
plusieurs ouvrages dont la lecture est des plus a
dant positive ou négative, suivant les surexcitations personnelles du
sujet
, tous les corps inertes soumis à son action et im
ses facultés, de celle par laquelle il est semblable à Dieu. Et, à ce
sujet
, nous rappellerons à M. Constant ce qui se pratiq
ichat, qui plus qu’aucun autre s’est imposé la tâche d’approfondir ce
sujet
, définit la vie « l’ensemble des fonctions qui ré
5, 10 mars, et le n. 58, 25 mai 1859. émettre notre pensée sur un
sujet
qui fait le désespoir de la science, nous dirions
re des battements du pouls a été démontrée par M. Guy. Il plaçait les
sujets
en expérience sur un plan qu'on pouvait incliner
est offensé, ébloui par la moindre lumière, etc. Je me souviens, à ce
sujet
, d’avoir entendu raconter au docteur Vernières l’
’heure. 11 suffirait, par exemple, disait ce médecin, de demander aux
sujets
qui s’attribuent le sommeil lucide, combien on a
je n’ai eu jusqu'ici l’occasion d’essayer que trois fois. Le premier
sujet
a six ans, le deuxième, quatre, et le troisième e
à 8 personnes exclusivement occupées à regarder le magnétiseur et son
sujet
. i Je l’avais vue combattre un sommeil naissa
« En effet, par quelques pusses, le magnétiseur achève d’endormir le
sujet
. « Comment vous trouvez-vous? lui demanda-t-il.
e a déjà été fréquemment magnétisée par son mari et par moi, c’est un
sujet
d’étude fort précieux. Quant à son mari, ile3tlàe
’on doit savoir gré à ceux qui, comme M. Goupy, ne considérant pas le
sujet
comme épuisé on indigne d’intérêt, cherchent cons
t arriver que le magnétiseur ne sache rien de plus que ce que sait le
sujet
, et soit par conséquent incapable de rien ajouter
onséquent incapable de rien ajouter à l’intelligence de celui-ci. Tel
sujet
, bien que magnétisé et somnambulisé, est encore t
, bien qu'offrant quelquefois des résultats admirables, est bornée et
sujette
à une multitude d'erreurs : elle n’appartient don
t un quart. Nous avons reçu quelques observations de nos abonnés au
sujet
du terme fixé pour l’extinction des primes du Jou
is les plus intimes lui faisaient de très-sérieuses observations à ce
sujet
, lui reprochaient son incürie, le traitaient môme
ette proposition détermina plusieurs écrivains de mérite à étudier ce
sujet
important, et fit entrer, pour la première fois,
s remarquables parmi ceux que fit éclore le concours. Il a traité son
sujet
en médecin et en philosophe. Il décrit avec beauc
ce. « J’éprouve en vérité, dit-il, une grande répugnance à aborder ce
sujet
. Lorsque l’Académie de Médecine a décidé, par un
ménorrhée de six mois environ. Depuis ce temps, la menstruation resta
sujette
à des irrégularités quant au temps et quant à la
tisme; elle accusait constamment des douleurs dans la tète , et était
sujette
à des congestions fréquentes vers la tète. La men
auses. Nous croyons utile de reproduire les explications données à ce
sujet
par M. le docteur Flint (1) : l’expérimentateur p
le Aew-York duily Tribune du 26 janvier 1851, une lettre sur le môme
sujet
; elle est reproduite dans la brochure dont il s'
eds de la table. La confusion et les erreurs où l’on est tombé sur ce
sujet
viennent, sans nul doute, de l’ignorance des lois
attribnésà un Esprit dont la manifestation éclatante aurait fourni le
sujet
d’une magnifique relation pour la Revue spirituul
e la vie, et en fait sur l'afflux au cerveau de la vitalité propre du
sujet
, parla concentration de son esprit. Cette sorte d
. Cette sorte d'abstraction amène un état particulier, dans lequel le
sujet
, tout ¿veillé et ayant conscience, éprouve tous l
luide dans le procédé usuel est ainsi évitée : tout l’effort vient du
sujet
. On pourrait dire que celui-ci a toute la peine e
la vue active et prolongée d’un seul objet, l’opérateur s’approche du
sujet
et le prie de fermer les yeux. Ce qui étant fait,
pressible n’existe pas ou est incomplet, M. Darling prend une main du
sujet
dans la sienne, et le regardé fixement dans les y
essais. Quand, par l’épreuve des yeux, M. Darling a reconnu que le
sujet
peut obéir à sa volonté exprimée verbalement, il
pervertit le tact et le goût, à tel point qu’un corps froid brûle le
sujet
ou le fait grelotter , qu’il prend l’eau pour du
e. Nous avons déjà cité la paralysie des bras : M. Darling défiant le
sujet
de lui donner un soufflet, sa main s’arrête contr
Le même empire s’exerce également sur la mémoire ; par exemple, le
sujet
oublie son nom, celui d’une autre personne, d’un
tabatière , une chaise pour un chien ; c’est l’illusion ; ou bien le
sujet
voit des choses qui n’existent pas, tels qu’un li
affectée ; et, comme dans les expériences magiques de M. du Potet, le
sujet
se croit être un personnage quelconque, et agit e
otions sont aussi profondément altérées que le reste des facultés. Le
sujet
supposé riant, l’opérateur l’arrête, le rend séri
est bientôt suivie de sourire , puis d’un rire incessant, sans que le
sujet
puisse indiquer plutôt la cause de sa tristesse q
ectrique. Ses procédés consistent aussi dans l’influence préalable du
sujet
par lui-mêmeau moyen également de la concentratio
nuer la vivacité des impressions lumineuses pour que presque tous les
sujets
fussent voyants? 0» sera entièrement de son avis,
x guérisons d’Esdaille. « Si Philipps, au lieu de faire loucher ses
sujets
sur un point rouge placé au centre d’un disque de
ualiste, dont je vous adresse un exemplaire. Contredit par moi à ce
sujet
, M. Morin a prétendu n'avoir rien articulé de sem
entendus chez elle. Faisant ses réserves, toutefois, il écrivait à ce
sujet
la phrase suivante : Il est prouvé que des bruits
celse et Van Helmont jusqu'à nos jours, 63. — Coup d’œil sur le même
sujet
, par M. Rossi, 372. Religion (la) et lo spiritu
lades, dans les prescriptions thérapeutiques. Discussion amicale à ce
sujet
entre un médecin et M. Petit d'Ormoy, 21. Magné
ger, 11. Magnétisme (Le) et la médecine. Lettres du Dr Frappart, au
sujet
des préventions du corps médical contre le ma
cre les incrédules de bonne foi, 271, 426. — Observations sur le même
sujet
, par M. X., 63. — Deux médecins, appelés comme ex
ur le nier, l'autre pour réserver son opinion, 470. — Réflexions à ce
sujet
, par M. Morin, 484; par M. Thé cel, 489. Somnam
omme experts dans un cas de médecine légale, 470. — Commentaires à ce
sujet
, par M. Morin, 484. Poésies diverses. Les bienf
rs, aux questions d'enseignement. Les travaux qu'il fit paraitre à ce
sujet
méritent d'être cités pour l'indépendance et la n
génieuses, on redressera parfois une infirmité psychique parce que le
sujet
appartiendra à une honnête famille, on apprendra
regrettable de constater qu'il est audacieux d'affirmer que chez ces
sujets
l'hypnotisme réussira lorsque la persuasion, la s
autant il y aurait d'inconvénients à pratiquer l'hypnotisme chez les
sujets
excellents et bien portants, autant il y aura ava
tant il y aura avantage à l'appli- quer comme moyen pédagogique à des
sujets
mauvais, vicieux ou malades ». Beaucoup de ces
incontestable pour la direction du traitement, mais pour l'avenir du
sujet
, elles seront d'une importance capitale tant au p
au point de - vue médico-légal. Quelle est la tare héréditaire ? Le
sujet
a-t-il appris facilement en classe ? Comment s'es
ico-légal ou lorsqu'il y aura lieu de statuer sur l'interdiction d'un
sujet
paraissant incapable de gérer ses biens. Dans l
une question complètement dédaignée. Personne ne s'en soucie et à ce
sujet
on peut affirmer que nous sommes moins avancés qu
s mon cours à l'Ecole de psychologie, j'ai signalé un grand nombre de
sujets
qui furent renvoyés des écoles comme crétins, inc
distinguer au premier aspect si l'enfant rentre dans la catégorie des
sujets
où l'intelligence a acquis un premier degré de dé
nt aucune parole, ne sont pas justiciables de l'opération. Chez ces
sujets
, il n'existe aucun éclair d'intelligence et de ce
d'obtenir quelque chose. D'ailleurs, il existe très souvent chez ses
sujets
des malformations cranio-cérébrates congénitales
, le malade tombe dans un sommeil qui dure depuis vingt-sept mois. Le
sujet
est dans l'immobilité complète, il ressemble à un
s sphincters ; le fond de l'œil reste normal. Dans les antécédents du
sujet
, une hérédité névro-pathique très prononcée ; dan
n l'avenir. Il y aurait encore bien des choses à dire sur un pareil
sujet
. Nous n'avons réuni pour le moment que quelques d
i s'occupent d'hypnologie sont trop nombreuses et trop connues sur ce
sujet
pour que nous nous y arrêtions longtemps. Ce sera
des causes de dégénérescence. De plus, toujours, nous verrons que ces
sujets
sont atteints d'une maladie de la volonté : ce so
ant un nombreux public, s'appliquait à désarmer la résis-tance de ses
sujets
par des manœuvres d'une certaine brutalité. Dans
s d'une certaine brutalité. Dans certains cas, il imprimait au cou du
sujet
un mouvement brusque, dans d'autres, il avait rec
choc donné sur le front ou sur le menton avec le paume de la main. Le
sujet
en était légèrement étourdi. Il perdait contenanc
Hansen ». Ces procédés de brusquerie, destinés à provoquer chez les
sujets
une secousse et surtout une émotion capable d
l'opérateur a manque son coup, il est inutile de le recommencer ; le
sujet
est sur la défensive et est à l'abri d'une nouvel
ces peuples orientaux et parce que les Malais n'aiment pas aborder ce
sujet
de peur du ridicule. Beaucoup de ces superstition
titieuses, nous donnons ici le passage de ses mémoires traitant de ce
sujet
. « Combien y a-t-il de mauvais esprits ? Je ne
un chirurgien qui a fait le plus grand honneur à sa profession. A ce
sujet
, nous ne pouvons mieux faire, pour indiquer la ha
; elle est écrite sur son visage. D'autre part, j'avais affaire à un
sujet
très hypnotisable ; vous voyez que je l'endors pr
chologie expérimentale ; elle se compose d'un questionnaire sur vingt
sujets
, chaque sujet présentant une graduation différent
mentale ; elle se compose d'un questionnaire sur vingt sujets, chaque
sujet
présentant une graduation différente suivant que
sous de 10 ans, de 13 ou de 16 ans. L'interrogatoire portant sur 20
sujets
, et expérimenté sur une série d'enfants normaux,
a constamment donné un maximum de (00 points, en appliquant à chaque
sujet
un coefficient de 1 à 5. Le maximum de 100 points
olonge outre mesure, efforcez-vous alors d'entrer en relation avec le
sujet
; tâchez de saisir son rêve et, bien souvent, vou
, des essais intempestifs d'hypnotisation ayant été parfois, chez des
sujets
prédisposés, l'occasion de l'explosion des premie
es diverses manifestations de la névrose, ont, cela va de soi, sur le
sujet
endormi, une action bien autrement puissante que
permettra bien souvent de dépister les idées fixes subconscientes du
sujet
, puisqu'aussi bien, dans cet état, il en garde le
us venons de voir comment il est possible, en entrant dans le rêve du
sujet
, ds transformer le délire de l'attaque en somnamb
e le malade " se livre sans cesse. M. Janet a été jusqu'à suggérer au
sujet
un accident réel, une contracture, par exemple, p
mettant le calme de la nuit, à réparer la santé physique et morale du
sujet
. Quand l'idée fixe est de date ancienne, sa rés
l faut attribuer les phobies nocturnes des jeunes enfants. Chez les
sujets
atteints de troubles cardiaques ou respiratoires,
ces récits agissent à la manière des suggestions, s'exerçant sur des
sujets
plongés dans l'état hypnotique. Les pratiques rel
Les communications, au nombre de quarante-neuf, portèrent sur divers
sujets
de neurologie, de psychiatrie, d'anatomle patholo
esponsabilité n'est pas du domaine médical ; en vous prononçant à son
sujet
, vous faites œuvre extra-médicale. » Et il réclam
dit la loi de Mahomet à propos de la pédagogie. Le Coran cite à ce
sujet
les conseils donnés par Lokam à son fils et les a
des fainéants Plus tard un grand nombre de savants ayant écrit à ce
sujet
d'importants ouvrages, la pédagogie se constitua
Longtemps on nia que les artistes grecs aient pris comme modèles des
sujets
difformes et malades : l'art grec, disait-on. évo
udié quelques nouveaux types. Mais tout se bornait à une quinzaine de
sujets
environ. II fallut arriver aux fouilles de Smyr
ait leur diversité : un grand nombre sont des têtes isolées, d'autres
sujets
furent entiers. Certaines figures offrent à leur
touchait enfin son œuvre au burin, d'où leur valeur artistique. , Les
sujets
trouves à Smyrne sont infiniment variés. Comme
n peut les voir à la loupe sur la reproduction. Le rire bestial de ce
sujet
prouve son état mental. (Fig. I). Comparons un
al de ce sujet prouve son état mental. (Fig. I). Comparons un autre
sujet
(fig. 2 et 3 ; qui, lui aussi, a le nez cassé. Ma
hystérique, c'est en quelque sorte le cachet, le sceau imprimé sur le
sujet
, mais ce n'est pas toute la maladie. Il n'est mêm
conserve la possibilité de s'alimenter avec des solides. On voit des
sujets
qui, ayant les mêmes difficultés pour toutes les
t bien ici d'une rétention d'urine de nature hystérique. En effet, le
sujet
est un grand hystérique et présenta plusieurs acc
même, à l'occasion, des cordes à violon ayant été en contact avec le
sujet
malade, et l'on accompagne le tout d'une prière.
ne responsabilité indépendante du libre arbitre. Vous citez même à ce
sujet
la conception de Tarde. Vous n'y avez rien compri
sy- -chologiquement tout a. fait certains, quoique ayant, sur le même
sujet
, des opinions discordantes ; et chaque homme, dan
est qu'un moyen plus ou moins théâtral d'engager la suggestlblllté du
sujet
; quant à la suggestion à l'état de veille, elle
utres que l'on pourrait citer ici, ne les ont vus sur les milliers de
sujets
auxquels ils se sont adressés. Ces pratiques ne p
expressive comme celle des dégénérés. La folle est fréquente chez les
sujets
qui subissent des déformations artificielles du c
plus souvent. On observe de tels types dans nos asiles. Tous les
sujets
à crâne déformé ne sont pas fous ; de nos jours d
'examiner en vue de leur passage possible dans l'école spéciale ou au
sujet
desquels maîtres et parents désireraient être écl
ront lieu les lundis à cinq heures. Comme les années précédentes, les
sujets
de ces conférences se rapporteront aux questions
nte, d'ailleurs, dans les conseils de revision, que la proportion des
sujets
impropres au service militaire est beaucoup plus
Nains des tombeaux. à faire fondre l'or dans les creusets sont des
sujets
normaux, de grandeur naturelle. - Ceci nous e
- Flg. 43. — La reine de Pouq- Cest une achondroplas* ; comparer au
sujet
vis-à-vis. droplase. Le fait est piquant si on
sulte l'indiscipline. En effet, la discipline ne peut exister chez un
sujet
qu'autant qu'il aura acquis le pouvoir de résiste
le pouvoir de résister à ses impulsions instinctives. Chez certains
sujets
, l'impulsivité est liée à des troubles du système
réflexe d'obéissance se manifeste, dans l'état d'hypnotisme, chez des
sujets
qui, à l'état de veille, en paraissaient dépourvu
r M. le Docteur Jules VoiSix médecin de la Salpétrière Il règne, au
sujet
des enfants anormaux et en particulier des idiots
nte. Au premier abord, on a peine à croire qu'il n'y ait pas chez ces
sujets
une intelligence assez développée et l'on est for
accompagnait l'envoi, enjanvier 1904, Wetterslrand spécifiait que le
sujet
avait été soumis à un contrôle absolu el qu'il n'
'autre ont été emmagasinés déjà dans l'acquis psyclw-physiologique du
sujet
. II. — Ce n'est pas dans les moments d'accalmie
ication sensorielle ne soit pas interrompue entre l'hypnotiseur et le
sujet
. Il y a là une question de mise au point en deç
ncubation, oserai-je dire, s'écoulent dans la journée, pendant que le
sujet
vaque à diverses occupations, il en résulte des d
matin au réveil, que sont apparus les troubles vaso-moteurs chez les
sujets
de M. Podiapolsky. En tout cas, si la suggestion
r déjouer toute fraude et dire comment ils ont procédé pour mettre le
sujet
dans l'impossibilité matérielle d'induire en erre
êmes, scrupuleusement, si nous avons l'occasion d'expérimenter sur ce
sujet
. Discussion M. Dbmonchy. — Est-ce que les aut
communiquer le cas à la société. M. Bérillon.—Delbceuf a fait, à ce
sujet
, des expériences tout à fait démonstratives. II f
ignons, on le sait, vous tire des larmes. Mais on ignore que certains
sujets
peuvent pleurer à volonté. J'en ai vu un exemple
nnées dans son service (section Esquirol et section Félix Voisin). Le
sujet
de son enseignement porte d'une façon générale su
e — plus sérieux et plus moral que nos étudiants d'Europe... » A ce
sujet
, je ne pourrais mieux faire, je pense, que de vou
s festivals ou des concours. Ces exercices sont exécutés soit par des
sujets
isolés, soit par des groupes de membres ; ce sont
lle au volume extérieur de la poitrine, ou périmètre thoracique ; tel
sujet
, qui semble avoir une poitrine étroite, a une cap
s gens pratiquant la gymnastique ancienne, on trouve certainement des
sujets
vigoureux et bien conformés. Mais ils ne le doive
t bien conformés. Mais ils ne le doivent pas à cette gymnastique. Des
sujets
semblables, se rencontrent même parmi les jeunes
on pour les exercices violents peut se donner libre carrière. Or, ces
sujets
, naturellement robustes et bien découplés, dévelo
sants. Ceux qui nous tiennent surtout à cœur, ce sont précisément les
sujets
moyens, les jeunes gens faibles, débiles (je ne p
rai le cas si connu de ce criminel condamné à mort, qu'on livra comme
sujet
d'expériences à des hommes de science. Ils lui di
nt cela dépend de nos suggestions mentales et de nos conceptions à ce
sujet
. Exemptes de centenaires : Le capitaine Godar
bservations ont été incomplètement faites. Il faudrait revenir sur ce
sujet
et ne pas classer des infanticides mal expliqués
é, ce qui nous parait être la vérité : sachant que tout chercheur est
sujet
à l'erreur, nous supportons avec une parfaite tol
ultan déposé, Mourad V, devenait de droit héritier du trône. Tous ses
sujets
, musulmans et non musulmans, à cause de ses idées
tangible (*). A ce Congrès, M. le prof. Ballet, chargé de traiter le
sujet
: « L'expertise médico-légale et la question de f
moi médecin je reconnais l'existence d'une tare dégénérative chez un
sujet
, fût-il criminel, je reconnais en lui un malade e
ccorder des circonstances atténuantes eu égard à l'état de maladie du
sujet
. En cas d'irresponsabilité, nous risquons l'envoi
maladie du sujet. En cas d'irresponsabilité, nous risquons l'envoi du
sujet
dans un asile au lieu d'une prison. La société a
ait en rapport avec la gravité des troubles nerveux présentés par les
sujets
. Je l'ai également observé dans plusieurs cas d'a
ivé,en particulier, pour les séances du médium Eusapia Paladino. A ce
sujet
, un fait (1) 1 vol. in-8. Félix Alcan. Paris 19
, ni la poésie, ni la musique, ni la science, n'admettant pas que ses
sujets
puissent s'adonner à des goûts artistiques ou lit
e et de la chimie sont absolument prohibées à Constantinoplc pour les
sujets
turcs. 11 n'y a pas de sort plus lamentable que c
ts humains, qu'on n'ait pas recours à des explications erronées. A ce
sujet
, l'opinion la plus courante sur les motifs qui on
ui résultent de la dangereuse fureur des princes et l'imbécillité des
sujets
. En effet, lorsque les rois sont atteints de déli
tie de ceux qui la dirigent, eu à subir les plus dures épreuves. A ce
sujet
, les orientaux n'ont donc rien à envier aux occid
tenait des prêtres d'Egypte des accès de délire furieux auquel était
sujet
Cambyse, roi de Perse. Le grand historien éprouve
monter simplement à l'origine juridique de la question. S'il est un
sujet
sur lequel les médecins légistes et les professeu
ine). De toutes ces circonstances, la seule qui se rattache à notre
sujet
est l'aliénation mentale. Elle est d'ailleurs
tient pour non responsables. Les jurisconsultes sont unanimes à ce
sujet
: ils assimilent, tous, Yinfans au fw riosus, au
ah et Jules Voisin. M. le Dr Bérillon fait une communication sur le
sujet
suivant : La psychothérapie graphique, mode d'act
pratique de l'onanisme, mais à un trouble de la nutrition. Sur douze
sujets
qu'ilaobservés, toutes étaient atteints de migrai
ejusque là en se plaçant sur le terrain de l'organicisme. C'est là un
sujet
sur lequel je me suis étendu assez longuement dan
psychique supérieure (actes conscients, volontaires, libres, dont le
sujet
est responsable) et des centres psychiques .infér
e bien extraordinaire ; ces troubles ne s'observent que chez quelques
sujets
et n'ont d'importance que dans des cas très spéci
e qu'il a publié avec-Breuer en 1893 ne peut laisser aucun doute à ce
sujet
; il n'était que juste de le rappeler. Toute op
rtus publiques et privées, et se sont conciliés l'admiration de leurs
sujets
. Je ne crains même pas d'affirmer que la proporti
ait eu l'idée bizarre de faire du jour la nuit et réciproquement. Ses
sujets
devaient, sous peine de mort, dormir pendant tout
rétracter cet arrêt, qui menaçait la vie de plus de la moitié de ses
sujets
. Il se livra à un grand nombre d'excentricités.
ccompagnant de rougeur de la face, quant à l'angoisse éprouvée par le
sujet
, elle n'apparaîtrait que secondairement. De ce
ir a été contestée parVaschide et Marchand. Considérant que, chez les
sujets
dont il s'agit, des troubles vasculo-nerveux, ave
Le malade ne se montra plus à ma consultation. On voit que les deux
sujets
dont j'ai esquissé l'histoire morbide sont entach
vec d'autres faits analogues, illustrant le lien qui existe, chez les
sujets
souffrant -d'une forme quelconque de phobie obséd
esseur Bekhterev, a eu, maintes fois, l'occasion de constater que les
sujets
présentant des crises intestinales ou vésicales,
s affaiblir sa volonté. Après avoir entendu mea explications à ce
sujet
, elle est tranquillisée. Je l'ai rencontrée récem
tion précipitée des cheveux a été maintes fois observée chez déjeunes
sujets
sous l'influence d'une frayeur subite, d'un, chag
o » surgît tout naturellement. Mais il n'est pas facile de trouver un
sujet
pour réaliser cette expérience, parce que, chez l
homme qui meurt en tombant d'un tel cheval (*). Le malade, Mourade,
sujet
de Boukhara, musulman, âgé de 45 ans, était attei
08 à l'Ecole de psychologie. et dans tous les pays, doit faire le
sujet
d'une étude de temps de paix avant de se manifest
adoptées, de nos jours, par M. Binet-Sanglé dont les travaux, sur ce
sujet
, font autorité. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE S
-André-des-Arts) et le continuera les jeudis suivants, à cinq heures.
Sujet
du cours : Les enfants et les adolescents anormau
surprenne un malade sans qu'il en ait été informé ». Consulté à ce
sujet
par le Dr Porcheron, de Marseille, le Dr Huchard
utume de dire aux malades, gravement atteints, qui m'interrogent à ce
sujet
: « Votre état est loin d'être désespéré ; mais,
t un réflexe émotif et rien de plus » et ce réflexe, exagéré chez les
sujets
hystérisables, peut se greffer sur toutes les
considérés jusqu'ici comme hystériques peuvent se rencontrer chez des
sujets
simplement impressionnables et manquer chez des s
ntrer chez des sujets simplement impressionnables et manquer chez des
sujets
hystérisables ; les stigmates sont le produit de
anisme qui distingue, toutes causes pathogènes égales d'ailleurs, les
sujets
à appareil symptom,atique hystérogène de ceux qui
e, est ainsi conçue : « L'hystérie est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve capable de s'auto-suggestionner.
eproduire par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
et de les faire disparaître sous l'influence excl
eproduire par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
et de les faire disparaître sous l'influence excl
de la suggestion ou de la persuasion. Quand ce ne serait qu'avec ces
sujets
qui ont une faculté de contrôle à peu près égale
ont souvent sous la dépendance d'une idée, il ne s'en suit pas que le
sujet
qui en est porteur en connaisse la raison et je v
nnables, avec un oubli total drs souffrances qu'il occasionnait à ses
sujets
. Les résultats en furent plus malheureux que ceux
uoique la singularité des événements racontés puisse rendre son récit
sujet
à caution, la partie la plus incroyable de sa nar
rtaient cette nouvelle, ordonna qu'ils fussent enterrés vivants, à ce
sujet
il déclara : « que puisqu'ils l'avaient enterré v
i qu'il n'avait aucun souci de la prospérité et de la sécurité de ses
sujets
. A mesure qu'il avançait en âge, il devenait de
ccomba aune indigestion. Pendant vingt-sept ans il avait soumis ses
sujets
à la plus odieuse et à la plus insupportable des
idées que les seules images visuelles étaient devenues, chez certains
sujets
, incapables d'évoquer ('). La psychothérapie gr
de collaborer au traitement par un effort personnel, il n'est plus un
sujet
purement passif sous la direction du médecin. (
un appareil destiné à évoquer les Images motrices graphiques chez des
sujets
atteints (le cécité verbale. Application à la dém
es formules plus ou moins évasives ou affirmatives, peut convenir aux
sujets
chez lesquels dominent les aptitudes auriculaires
rmé1 que le nombre des auditifs est de beaucoup inférieur à celui des
sujets
chez lesquels dominent les aptitudes visuelles.
ue de ceux qui sont basés sur des souvenirs auditifs ; ils sont moins
sujets
à Terreur. Or, malgré ces données, pas plus en
s frappantes de l'état d'hypnotisme pourra donc être utilisé chez les
sujets
dont les idées fixes et les obsessions sont profo
pliquer la dénomination d'hystériques. Simples épisodes chez certains
sujets
, ils peuvent être chez d'autres assez étendus, as
ganiques. Elle tire son caractère propre de la faculté qu'acquiert le
sujet
d'isoler d'une façon consciente ou inconsciente,
mes qui ne peuvent s'expliquer que par cette faculté spéciale qu'a le
sujet
d'isoler certaines perceptions ou certains concep
i l'on veut, de la sugges-tibilité. Quant au symptôme présenté par un
sujet
manifestement hystérique, il ne sera rattaché à l
uccéder sous différentes formes et à différentes époques chez le même
sujet
; d. de ne pas retentir gravement sur la nutritio
retentir gravement sur la nutrition générale et sur l'état mental des
sujets
qui en sont atteints. » Pour ancienne qu'elle soi
te titre qu'ils ont mérité l'admiration et la reconnaissance de leurs
sujets
. Chez neuf autres, les dispositions intellectuell
pendant, la réunion de la conférence de la Haye laisse entrevoir à ce
sujet
des horizons naguère inespérés. Il n'est plus tém
cice de ses fonctions. Le jour où elle serait saisie par un groupe de
sujets
notables, qualifiés par leur valeur morale et par
ion de ce but élevé. Je terminerai cette allocution, inspirée par les
sujets
qui viennent d'être traités, en félicitant les pr
éphalie, asymétrie frontale, etc. On a relevé également sur les mêmes
sujets
, du strabisme, du nystagmus, des tics divers, de
nsorielle. Les paresthésies pharyngées ne se rencontrent que chez les
sujets
présentant un état mental particulier, qui les pr
bilité du grand sympathique, qui fait que des"sensations qui, chez un
sujet
normal, sommeillenldans l'inconscient, envahissen
Le danger du grand bruit dans les villes Dans une discussion sur ce
sujet
, on est d'avis qu'on doit appeler l'attention sur
écanique, sans que l'âme y prête une attention délibérée. » Chez le
sujet
en distraction, on provoque des actes sur les-
on provoque des actes sur lesquels le contrôle libre et volontaire du
sujet
ne s'exerce pas. Toute la doctrine de l'École d
artie scientifique du spiritisme. Dans tous ces cas, le polygone du
sujet
se laisse, dans une certaine limite, diriger par
deux interlocuteurs communiquent l'un avec l'autre et le centre 0 du
sujet
contrôle toujours son polygone. Dans les cas dont
ne contrôle plus et 0 du voisin s'adresse directement au polygone du
sujet
qui obéit. Enfin il y a des états nettement pat
complète de ? comme dans la suggestion. Dans le cumberlandisme, le
sujet
conduit concentre toute l'attention de son centre
ps que toute son activité polygonale sur les excitations reçues et le
sujet
conducteur agit avec son polygone comme dans les
extérieur. Enfin dans l'hystérie non suggestible (ce qui existe) le
sujet
a son polygone nettement et obstinément aigui
e peut se développer sans aucun des caractères du sommeil naturel, le
sujet
présentant au contraire tous les signes de l'état
talepsie et en général avec les névroses connues et décrites. « Les
sujets
hystériques sont seuls hypnotisables, dit Paul Ma
es (3), dans ce fait que tous les symptômes que l'on observe chez les
sujets
hypnotisés peuvent se rencontrer sur des hystériq
, conclut Pitres, il n'y a aucune différence de nature. Hypnotiser un
sujet
, c'est lui donner artificiellement une attaque de
hystériques qui ne sont pas hypnotisables et il y a surtout bien des
sujets
hypnotisables chez lesquels on ne trouve pas ces
eproduire par suggestion avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
et de les faire disparaître sous l'influence excl
l'hémiplégie faciale périphérique, la paralysie radiale vulgaire, le
sujet
en expérience, quelle que soit sa suggestibilité
quels ce moyen semble à priori devoir agir efficacement » ; tels, des
sujets
atteints de la maladie du doute, tourmentés par d
tions ou leurs défenses sont toujours pour le public profane un grand
sujet
d'étonne-ment. Les sceptiques ne manquent jamais
. Il faut donc tenir grand compte de l'influence héréditaire chez ces
sujets
et veiller avec prudence sur leur éducation. Es
suggestion thérapeutique. On m'a fait l'objection suivante : « Les
sujets
que vous somnofor-misez sont dans un état analogu
lle comporte diffèrent suivant les doses employée*, le tempérament du
sujet
, la teneur des suggestions, la technique même sui
agues mouvantes d'une sorte de mer jaune, au-dessus de laquelle notre
sujet
plane, comme s'il était en ballon, entouré de nua
s que le moi supérieur fléchit et ne leur donne plus la chasse. Si le
sujet
est un mental, un obsédé, tout particulièrement,
êtements, — et cela trois séances de suite. • » * Au réveil, le
sujet
conserve, d'ordinaire, le soutenir de ses représe
puis de s'évanouir. Parfois, le souvenir du rêve est très vague; le
sujet
ne retrouve que quelques petits détails, et encor
n reconstitue le rêve à peu près dans son entier. D'autres fois, le
sujet
a la conscience très nette d'avoir révé, mais auc
t, ils m'entendent et comprennent ce qui s'est passé. Bon nombre de
sujets
, à peine réveillés, tout penauds, tout confus, me
hez moi et ils s'en excusent comme d'une indiscrétion. Celui de mes
sujets
qui fit plusieurs fois un rêve erotique est stupé
sert souvent quand je veux hypnoliser un malade. Or la plupart de mes
sujets
accomplissaient, d'une manière automatique, à ce
s, à la rigueur, peuvent être diversement interprétés. Celui de mes
sujets
qui s'imagine être chloroformisé pour la quatrièm
es paroles ; mais il est clair qu'à l'excitation auditive perçue, mon
sujet
a réagi au moins par un réflexe moteur d'articula
ns par un réflexe moteur d'articulation. Tout en dormant, un de mes
sujets
a l'impression d'avoir un casque sur la téte. — «
ent suspendue. Quoi qu'il en soit, dans cet état d'hypernarcose, le
sujet
est peu impressionnable, si môme il l'est d'une m
ourrait-on dire, (de même qu'on dit conscience subliminale); et notre
sujet
sera dans l'état que je vais décrire. Au point
bre, table rase est faite de tout ce qui s'oppose à la suggestion; le
sujet
se sent apte à être influencé; il n'a ni la volon
psychiques qui restent en activité sont décuplées. Et de tout cela le
sujet
est pleinement conscient. Il présente, tout d'a
tivité centrale n'est pas celle d'un simple appareil enregistreur. Le
sujet
ne subit point passivement la suggestion ; il la
Il y a plus. A entendre les paroles annonciatrices de la guerison, le
sujet
éprouve une joie intense, une sorte d'« ivresse p
st-à-dire environ cinq centimètres cubes. Si nous abandonnons notre
sujet
à lui-même, il ne tarde pas à présenter la narcos
à formuler la suggestion avant que la narcose ait pu s'installer, le
sujet
ne dépasse pas l'état d'hyponarcose aussi longtem
plication du masque jusqu'au réveil, la narcose ne survient pas et le
sujet
reste dans un continuel état d'hyponarcose. Il
is appliqué à transcrire fidèlement les termes mêmes par lesquels mes
sujets
traduisaient leur état. Loin de tromper l'espéran
lle-même. La conscience de soi est l'idée de nous-mêmes en qualité de
sujet
concevant, qui est en même temps objet de la conc
s objet de la conception. Il reste alors bien une différence entre le
sujet
et l'objet, mais ils s'identifient pourtant, parc
e font soigner. Voyons, en effet, ce que peut penser le malade à ce
sujet
. Mais, auparavant, faisons une distinction capi
menté, mais ce n'est pas ici le lieu de traiter cette autre partie du
sujet
, et mon intention était simplement d'appeler l'at
des concierges qui assaillent le médecin de questions indiscrètes au
sujet
du malade qu'il vient de visiter. M. Paul Magni
nnaliste de la médecine populaire, m'a faitl'honneur de m'écrire à ce
sujet
et de publier dans Monatschrift fur Volkkunde du
par ce malade peuvent être rapprochés de ceux qu'on observe chez les
sujets
qui ont subi une violente commotion physique ou m
nt rapidement. Depuis quelques jours la guérison se maintient chez ce
sujet
qui, depuis trois mois, avait huit crises par jou
toire, on réalise l'hypotaxie ; on développe la suggestionnabilité du
sujet
; on accroît sa réceptivité; on suspend ses résist
premier temps, celui de Phypotaxie. Une fois hypnotisé, en effet, le
sujet
devient tout à fait apte à être suggestionné. Mal
ut psychothérapeutique. sinon totale, au moins très accentuée. Le
sujet
paraît fermé au monde extérieur; il ne réalise au
ou inconscientes sont brisées; devenu éminemment suggestionnable, le
sujet
présente de l'hyperacuité auditive et de Phyperré
grand succès dans beaucoup de cas. En 1896, il a parlé sur le même
sujet
au Congrès de Psychologie à Munich. Beaucoup de
ont le scepticisme ne paraît pas douteux. Mais, pour être guéris, ces
sujets
n'en ont pas moins été malades. Ils ont été victi
11 enfants que Karl le Chauve eut de ses deux femmes, nous relevons 4
sujets
morts précocement, 1 bègue et 4 religieux, dont u
és. Ceux-là peuvent à l'occasion se sacrifier pour la religion. Ces
sujets
sont des sentimentaux; ils peuvent être parfaitem
t la phrase suivante digne d'être Après ce préambule, j'aborde le
sujet
de ma communication. Je crois qu'il n'est pas inu
steurs ; ils devraient être chassés honteusement du corps médical. Le
sujet
, c'est-à-dire la victime, c'est-à-dire le complic
ion, l'intelligence et une foule d'autres circonstances concernant le
sujet
. Que si on a affaire à un entêté, il faudra avo
ne mort subite, cette divulgation ne laisse pas de provoquer, sur les
sujets
atteints ou qui se croient atteints d'une maladie
n par trop délibérée. Toutefois, avant que d'aborder le fond de mon
sujet
, je crois qu'il ne sera pas inutile de vous prése
s; la description n'est guère celle d'une attaque de mal comitial; le
sujet
, par surcroît, est un soldat médiocre ou mal coté
t pas ou ne réussit guère, quand elle est refusée ou combattue par le
sujet
. Si les médecins ne l'Ignorent pas, peut-être o
es exhortations, la persévérance en un mot, finit par avoir raison du
sujet
; elle représente le facteur le plus important du
ans tout ce qui constitue une impression extérieure ou personnelle au
sujet
. L'examen des faits et l'étude do la question
le est le plus souvent, d'ailleurs, le seul stigmate présenté par les
sujets
dont nous nous occupons, nous en inférons tout au
s avisons de la situation un officier, un des supérieurs immédiats du
sujet
, en lui faisant comprendre qu'il devra pendant un
r esprit d'ordre et de discipline, devenir, pour tout un régiment, un
sujet
d'étonnement et de surprise. Ce changement, ce mi
te observation, si le cas ne m'avait paru capable d'entraîner pour le
sujet
des conséquences et personnelles et familiales.
phobie. Il ne s'agit évidemment pas là d'une phobie symptomatique, le
sujet
n'ayant présenté, jusqu'au jour où elle éclata, a
é la cause occasionnelle, et, en étudiant en détail la psychologie du
sujet
, j'ai cru pouvoir imputer à l'amour-propre excess
morbide, la création de cette phobie. En effet, la caractéristique du
sujet
a toujours été, avec un égoisme profond, l'idée c
ue familial, les conséquences de cette phobie peuvent être graves. Le
sujet
a vu naître ses craintes à l'occasion de son mari
r ? La phobie étant d'ordre physiologique, c'est à son médecin que le
sujet
fait part de toutes ses craintes, de toutes ses h
as à l'utilité d'une médication nerveuse ; en dehors de sa phobie, le
sujet
ne présente aucune affection ; tous ses appar
de 22 ans. L'une a mal au nez, l'autre à la langue. On a fait à leur
sujet
de grosses erreurs de diagnostic et on a failli l
qui sont purgés à peu de frais. Smetius rapporte le cas de plusieurs
sujets
qui étaient purgés par la seule odeur de la bouti
sion une fois créée, la vue de ses bras cedé-matiés éveillait chez le
sujet
le réflexe de vaso-motricité qui se maintenait pa
s, et, en général dans toute manifestation hystérique visible pour le
sujet
, l'enveloppement joue un rôle évident, l'hystériq
s deux ou trois jours avec persévérance et contentement de la part du
sujet
et à chacune le mieux se confirme et s'accentue r
le résultat, de plus en plus confirmé, parait complet. Notre jeune
sujet
n'a plus la même apparence, on voit qu'il se port
ulletin scolaire, entendant leurs doléances contre le « petit mauvais
sujet
» qui, comme un coupable, écoutait tout cela, dev
, elle se met à uriner au lit presque toutes les nuits. Consulté à ce
sujet
, j'entreprends de supprimer cette incontinence pa
'ils ont entendu raconter des effets de la suggestion hypnotique, ces
sujets
se trouvent placés dans un véritable état d'hypno
le. En réalité la puissance de la suggestion n'acquiert chez certains
sujets
une telle intensité que parce qu'ils se sont spon
t au lit ensuite, cet effet se continuait peut-être, chez notre jeune
sujet
, pendant le sommeil normal. Quoiqu'il en soit,
scène, quelle qu'elle soit, en tout ce qui frappe et impressionne le
sujet
, provoque chez lui l'inhibition du pouvoir de con
ire un véritable état d'hypnotisme. Toujours est-il que notre jeune
sujet
est tout-à-fait changé et que le résultat se main
z les gens, il faut d'abord que l'hypnotiseur ait la confiance de son
sujet
. L'année dernière, à l'Ecole de psychologie, je
avoir fascination, c'est-à-dire un certain degré d'hypnose, chez des
sujets
en apparence parfaitement éveillés, et chez lesqu
r le premier venu. Il ne faut pas oublier non plus que pour mettre un
sujet
en état d'hypnose, il n'est pas toujours besoin d
de la fixation des yeux, et qui lui réussissaient justement chez des
sujets
qui avaient la ferme intention de ne pas s'endorm
'ils se sont empressés d'utiliser pour procurer le sommeil à certains
sujets
réfractaires aux moyens ordinaires. Les observa
tingent, en grande partie nouveau dans la vie de l'espèce et connu du
sujet
seulement par voie d'abstraction. Il y a donc,
n perdait souvent de vue la variabilité extraordinaire à laquelle est
sujet
l'organisme de la grenouille pendant les différen
ges phénomènes et bientôt succédèrent de nombreuses recherches sur ce
sujet
. (1) J. Czeruak, Bcobûchtungen uni Versuche Obe
nt, et l'on n'en peut douter, il est intéressant de constater que les
sujets
aident puissamment à leur accomplissement. C'est
paraissent manifestement les effets de .la suggestion. Ainsi que le
sujet
conduit inconsciemment, au lieu de le suivre, le
e et il n'est pas peu curieux de considérer que cette suggestion d'un
sujet
à l'état de veille peut être pratiquée par une «
on s'est encore confirmée par la constatation que le plus souvent les
sujets
atteints de bégaiement sont des êtres extrême
Il se compose de plusieurs temps : i* Entrainement hypnotique. — Le
sujet
doit pendant plusieurs séances, être entraîné à t
ions concernant l'état psychologique. — Pendant l'état hypnotique, le
sujet
reçoit les suggestions destinées à modifier son i
ur obtenir la guerison. Lorsque nous avons négligé d'hypnotiser les
sujets
et que nous nous sommes bornés à faire des sugges
otablement la durée du traitement et de réaliser dans le caractère du
sujet
une transformation aussi complète que durable.
océdé de choix surtout chez l'enfant, conservant l'hypnotisa-tion aux
sujets
plus âgés. Observation IL — Quelques mois plus
est simple et à la portée de tous. Elle réussira d'autant plus que le
sujet
sera plus jeune et nous avons pu par nous-mème en
s. Les médecins sont quelquefois consultés pour donner leur avis au
sujet
d'un bégaiement ou de tout autre défaut de pronon
la Salpètrière, reprendra son cours le jeudi, 7 janvier, à 10 heures.
Sujet
du cours : l'Education des enfants assistés. Ce c
à partir du 15 janvier. Le programme de ces conférences comprend des
sujets
variés se rapportant à toutes les questions de ps
qui n'appuient pas les considérations de Czermak ni de Preyer sur ce
sujet
, Czermak déclare, en effet, que l'immobilité prov
de permet d'en construire un certain nombre. N'y sont compris que les
sujets
présentant entre eux les rapports de parenté les
rni tant de membres ayant fait acte de dévotion, est en effet que ces
sujets
évoluèrent dans une atmosphère psychique spéciale
de 23 ans vient me trouver le 15 décembre 1900. Elle se plaint d'être
sujette
, depuis l'âge de 12 ans, à des crises nerveuses a
mariée à un européen blanc. On a formulé diverses considérations au
sujet
des phénomènes télégo-niques. Par exemple, on a c
ouble effet qui fait naître dans l'organe et, par contrecoup, dans le
sujet
, le besoin de repos et, en dernier terme, le somm
la Salpétrière, reprendra son cours le jeudi, 7 janvier, à 10 heures.
Sujet
du cours : l'Education des enfants anormaux. Ce c
embres de la Société anglaise n'ont donné aucun résultat positif. Les
sujets
et les matériaux sur lesquels on comptait, ont fa
uration de l'Ecole de Psychologie, nous nous sommes exprimés ainsi au
sujet
des Recherches psychiques : t En abordant ces q
issances, toute systématisation serait prématurée. J'ai écarté de mon
sujet
les sommeils plus ou moins comateux qui survienne
ée entière, j'ai pu observer que la prédisposition pour l'hypnose est
sujette
à de grandes variations chez les mêmes individus,
inanition, après un jeûne prolongé de plusieurs mois, présentent des
sujets
excellents pour l'étude de l'hypnose. • Il y a
mesure que le printemps approche, on trouve un nombre grandissant de
sujets
hypnotisables. Les mêmes individus qu'on ne parve
pendant six à dix mois. De telles grenouilles deviennent d'excellents
sujets
. L'hypnose présente chez elles les mêmes signes e
ans sa clientèle. MM. Paul Magnin et Bérillon prennent la parole à ce
sujet
. Les communications portées à l'ordre du jour s
membres et à les étendre ; 2° l'état de catalepsie, pendant lequel le
sujet
est immobile et parait comme fasciné. Les membres
autre part il résulte de l'examen des tableaux de corrélation que les
sujets
frappés de préférence sont ceux qui sont unis par
érence sont ceux qui sont unis par des liens de parenté avec d'autres
sujets
présentant des signes de dégénérescence. De là
qu'un pas que mes études antérieures me permettent de franchir. Les
sujets
prédisposés à la dévotion sont en effet ceux que
très intenses : toujours elles se heurtent à l'obsession morbide. Le
sujet
sent bien qu'il ne sera guéri que s'il peut être
pétrière, estimait que l'hypnose était un état possible chez tous les
sujets
. Nous estimions, au contraire, que cet état n'éta
ystérie on l'avait un peu plus traitée, elle aurait pu guérir. A ce
sujet
nous rappellerons que le premier travail publié s
t observé pendant son internat dans le service de son maître Gros (un
sujet
endormi saignant du nez quand on le lui ordonnait
voqués, la suggestion, et l'anesthésie par suggestion. Il émit à leur
sujet
des idées originales dont on pouvait tirer des co
e. Sous ce nom, je comprends non seulement la dégradation physique du
sujet
, mais surtout sa dégénérescence mentale. Or, la d
nitié offre de résistance, plus sa défaite est rapide, et ce sont les
sujets
les plus faibles dont l'initié a le plus difficil
être encouragés et nourris, veut que les artistes ne traitent que les
sujets
qui sont de nature à susciter et à entretenir le
uvres d'art que les siècles ont accumulées et qui ne traitent que des
sujets
profanes. L'on ne pourrait céder à ce que veut To
l'artiste. Voilà comment il se fait que l'on apprécie grandement des
sujets
qui n'ont rien d'idéal ni d'élevé, pourvu que l'e
on se détournerait de ces scènes avec dégoût; mais la manière dont le
sujet
est traité, le rendement artistique de ces vilain
he dit quelque chose d'analogue delà poésie: a Au fond, dit-il, aucun
sujet
emprunté à la réalité ne manque de poésie, pourvu
ombe sur les talons. Tandis que, la course de vitesse étant brève, le
sujet
n'épargne pas sa fatigue ; dans celle de durée, i
du. b) A surveiller la progression. On ne laissera jamais partir le
sujet
â une allure rapide, mais il lui faut l'acquérir,
s jambes augmentent d'elles-mêmes et peu à peu la vitesse sans que le
sujet
s'en aperçoive. Au début, on va toujours trop vit
ldats entraînés. c) En graduant la durée de la course à la force du
sujet
, à son degré d'entraînement. Au début, quand le m
ne craindra pas d'ouvrir largement [abouche pour inspirer. d) Si le
sujet
ne peut respirer profondément, on se trouvera bie
le pique désagrablement les conjonctives ; celle obtenue chez le même
sujet
au hammam est fade et sans goût. Parmi les mala
uérison obtenus par la course en flexion. Je fais en ce moment sur ce
sujet
un travail en collaboration avec le Dr Burlureaux
rses formes de neurasthénie, mais il faut savoir la doser suivant les
sujets
. Les neurasthéniques à hypertension, arthritiqu
celle-ci débarrasse des idées maladives, la course, en-fortifiant le
sujet
, améliore le terrain et empêche le retour des pho
é portait une étiquette-image, d'en faire mention, avec indication du
sujet
sur les avis des colis-en-moins et sur les bullet
issant le but à atteindre, j'ai créé un répertoire de 500 images. Les
sujets
— choisis parmi les plus simples et les plus sugg
rogressivement à la guérison. Nous voulons seulement soulever à son
sujet
une question délicate de médecine légale. Supposo
sance suggestive du regard, de l'impassibilité et de la volonté. A ce
sujet
, il nous disait: « Pour hypnotiser autrui, ce qui
239. nement que l'art s'inspire de la nature et lui emprunte ses
sujets
et ses formes, sans quoi il tombe dans le factice
d'art qui ne pourraient pas nous plaire, parce qu'elles traitent des
sujets
qui, dans la réalité, ne nous plaisent aucunement
et cependant un bon portrait peint fait mieux connaître les traits du
sujet
que la meilleure photographie. Nous n'insisterons
ographiques sont peu propres à faire se manifester l'individualité du
sujet
; mais en outre il y a ce fait que l'appareil phot
entre elles. Il y a déjà quelque chose de personnel dans le choix des
sujets
traités, et il peut se trouver que ce sujet ne no
sonnel dans le choix des sujets traités, et il peut se trouver que ce
sujet
ne nous attire pas, et que pourtant l'œuvre d'art
que étroit entre l'œuvre et le spectateur. Sans doute, il faut que le
sujet
qui a produit l'impression d'où naît l'œuvre, dev
é uniquement en vue de l'effet, soit dans ce qui regarde le choix des
sujets
, soit dans les procédés d'exécution. Enfin, obs
Revue de l'hypnotisme on trouve encore quelques communications sur ce
sujet
. Par exemple : Dr Stembo (Vilna). Un cas de parap
la scoliose dorsale primitive droite, nous retrouvons, comme sur un
sujet
normal qui hancherait à gauche, une voussure th
e, et se produisant aussi bien à droite qu'à gauche, suivant que le
sujet
hanche de l'un ou de l'autre côté. Il s'ensuit
tude hanchée trop sou- vent répétée du même côté. Chez les jeunes
sujets
qui ont un membre inférieur plus court que l'au-
AMÉLIE. DESCRIPTION DU TYPE ET CONSIDÉRATIONS PATHOGÉNIQUES AU
SUJET
D'UN CAS NOUVEAU par z HENRI MEUNIER Chef d
l'attrait; et même si, pour un cas particulier, l'examen complet du
sujet
et de ses appareils ne permet 16 HENRI MEUNIER
'en rassemblant les documents bibliographiques concernant un pareil
sujet
, on n'est pas loin d'être édifié sur tous les c
teils. 18 HENRY MEUNIER Dans un premier groupe nous rangerons les
sujets
chez lesquels la dif- formité est, si l'on peut
de jambes ! Les trois phototypies de la Planche III représentent le
sujet
en question : les deux premières donnent l'aspe
sez comparables nous ont engagé à vérifier s'il existait chez notre
sujet
une atrophie analogue de ses centres médullaires.
augmentent. II RADIOGRAPHIE DES EXTRÉMITÉS D'UN SEXDIGITAIRE Un
sujet
, porteur de doigts surnuméraires, nous a permis d
ne du métacarpien. Telle est bien la disposition que présente notre
sujet
. Mais dans le cas de Morand les doigts suppléme
. des sciences, p. 13î, 1770. 44 A. LONDE ET HENRY MEIGE chez les
sujets
d'un certain âge, être reliés pas d'épaisses lame
pu se vanter de cures plus efficaces ni plus dignes.- (1) Voy. à ce
sujet
: Maurice Raynaud, Les médecins au temps de 31oli
ntrent de surprenantes analogies, non seule- ment dans le choix des
sujets
, mais dans l'agencement de la scène, le groupem
Teniers, et un nombre presque égal de la main de Brouwer, ont pour
sujet
des scènes de chirurgie populaire, véritables c
son Médecin, empirique examinant des urines, au musée des Offices,
sujet
si souvent reproduit par D. Teniers le Jeune.
rs que le maître hollan- dais ait choisi une scène de ce genre pour
sujet
d'un de ses tableaux. Nous avons de lui plusieu
un néoplasme qu'en vertu d'une cer- taine logique clinique toujours
sujette
à caution, nous n'arrivions pas à établir un di
observation qui présente beaucoup plus d'intérêt au point de vue du
sujet
qui nous occupe,c'est le travail de Remack, paru
syringomyélie je n'ai trouvé aucune donnée se rap- portant à notre
sujet
, mais cet auteur a bien indiqué un état scléroder
urtout la droite qui rappelle le geste du prédicateur. FIg. 13. -
SUJET
nr la ·rnolsli.nr observation. Mains dissemblab
ation des noyaux muscu- laires dans la moelle. Je reviendrai sur ce
sujet
dans la seconde partie de ce travail. Le delt
réalité. Bien entendu qu'on ne peut faire que des suppositions à ce
sujet
. Mais si par oedème, il faut entendre l'accumul
ma- ladie remonte à 45, 39 et 23 ans, il n'en est pas de môme du 4
sujet
, âgé de 25 ans, dont la maladie a eu son début
cularité que je voudrais mettre en évidence avant d'abandon- ner ce
sujet
, c'est ce fait paradoxal que les malades qui sont
analogues furent faites à propos des os du crâne, Inter- rogée à ce
sujet
, la malade disait que ses bonnets depuis un certa
croyons que troubles médullaires et osseux coïncident chez un même
sujet
. On peut se demander seulement le rôle que les
e l'école du maître de Haarlem dont il sut appliquer la méthode aux
sujets
de petite dimension. Il excelle dans les joyeus
cures. Nous connaissons de lui six peintures dont ils ont fourni le
sujet
(3). L'Etuve de village. (Pinacothèque de Mun
eau de Brouwer, conservé au musée de Vienne,et représentant le même
sujet
, à quelques variantes près. « Dans l'échoppe d'
être de la main du maître flamand, mais on conçoit aisément que le
sujet
en ait été' choisi par l'un de ses imitateurs,
e dans le do- maine thérapeutique : ce sont nos investigations à ce
sujet
, poursuivies depuis bientôt quatre ans, que nou
e, évidemment moindre encore lorsque la suspension est faite sur un
sujet
vivant, chez lequel les muscles périvertébraux
alement sur les vertèbres dorso-lombaires. Cet allongement, sur les
sujets
où nous l'avions mesuré, avait été considérable :
ent de 52 centimètres, 60 cent. 3 et 72 cent. 8. Chez notre premier
sujet
, sur 3 cent. 1 d'allon- gement, 8 millimètres é
12 aux 3 vertèbres suivantes, 7 aux 4 dernières ; chez notre second
sujet
, sur 3 cent. 5,1'allongement avait été respective
respective- ment de 6.6, 14 et 15 millimètres; chez notre troisième
sujet
sur si cent. 3, de 10.6, 15 et 12 millimètres.
nerveux intra-duraux eux-mêmes; ce que nous fîmes, alors, sur trois
sujets
et, depuis, sur deux autres ; soit, en totalité,
he- val. La part qui revient à la moelle ne varie que fort peu d'un
sujet
à l'au- tre. Au contraire la part qui revient à
uteur des premières paires lombaires : nous renonçons à donner à ce
sujet
nos me- sures millimétriques, qui, par suite de
t qu'une élonga- lion insignifiante de la moelle, sa flexion sur un
sujet
assis les jambes éten- dues produit une élongat
au comme donnant d'excellents résultats, sur- tout marqués chez les
sujets
qui ont des douleurs, de l'anesthésie, de la fa
inférieures, la plus petite qui doit être placée du côté gauche du
sujet
, est pourvue d'une boucle ; la plus grande passe
s anneaux, un peu plus haut, un peu plus bas, suivant la taille des
sujets
, se fixent les deux extrémités terminées en croch
A MOELLE 151 réfléchissant sur la poulie située entre les jambes du
sujet
, la traction d'horizontale devient verticale, c
t manoeuvré, à se courber, à fléchir le rachis (Fig. 3). Il est des
sujets
chez lesquels les disques inverlébraux sont assez
en deux comme une charnière à la façon de certains acrobates : ces
sujets
sont rares ; la flexion forcée du rachis, on le c
. CHIPAULT . Ce maximum n'est pas obtenu dès la première séance. Le
sujet
, forcé de se courber en avant, éprouve en effet
station- naire. D'autre part, lorsque la traction est exagérée, le
sujet
seul une tension dans les sciatiques des deux c
'appareil que nous venons de décrire, ont porté sur deux groupes de
sujets
. Nous avons d'abord expérimenté sur 10 individu
iées, troubles génitaux et vésicaux ; si l'on n'intervient pas, les
sujets
de cette catégorie sont fatalement voués à une
e description à D. S. Ramon y Cajal (1) qui vient de publier sur ce
sujet
un travail des pJus remarqua- bles. Les cellu
émisection de la moelle, siégeait à un niveau un peu plus élevé. Le
sujet
de cette obser- vation avait reçu un coup d'épé
core complètement disparu à droite. Enfin au bout de quatre ans, le
sujet
était de nouveau en état de travailler, comme a
rapidement à droite, beaucoup plus tardivement à gauche. Déplus, le
sujet
a présenté des arthropathies. B. Dans un second
'est notablement écartée du schéma du syndrome de Brown-Sequard. Le
sujet
avait été blessé d'un coup de couteau à 2 centi
tion d'urine et d'évacuations involontaires de matières fécales. Le
sujet
a été examiné, dix-huit mois après l'accident :
après l'accident, l'anes- thésie persistait dans le côté droit, le
sujet
pouvait faire d'assez longues courses, mais il
différents modes de la sensibilité et remontant jusqu'au mamelon le
sujet
a présenté peu de temps après l'attentat une at
eçons du mardi, a raconté en termes très pitto- resques le cas d'un
sujet
qui avait reçu un coup de couteau au voisinage de
embre du côté opposé, ainsi que de la rétention d'urine. Lorsque le
sujet
fut examiné par Charcot, huit an- nées s'étaien
é entre la Ire dorsale et la 7° cervicale. Je noie seulement que le
sujet
de l'observation de Bmresi a présenté, indépendam
ION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 113 veau un peu plus élevé que chez le
sujet
de l'observation précédente, c'est-à-dire à gau
transitoire. Témoin une observation pu- bliée par lIerhold (1) : Le
sujet
avait reçu un coup de couteau un peu à droite d
bliée il) a près de trente ans, par un auteur allemand, Richter. Le
sujet
avait reçu un coup de couteau dans nuque, entre
ns symptomatiques d'une paralysie du grand sympathique cervical. Le
sujet
avait reçu un coup de couteau dans la nuque, à
une élévation de la température superficielle du côté paralysé. Le
sujet
est mort le 4e jour ; l'autopsie a démontré l'exi
le, une faiblesse re- lative du pouls radial. Je note encore que le
sujet
de cette observation se plaignait beaucoup d'un
ité fonctionnelle. Il est vrai que cinq années après l'attentat, le
sujet
avait le membre supérieur droit atrophié, de mê
onvaincre sur la radio- graphie. Encore une particularité : si un
sujet
normal ferme complètement la main, on peut cons
onsidère le rhumatisme blennorrhagique comme l'apanage exclusif des
sujets
à ten- dance rhumatismale, la blennorrhagie ne
les races inférieures, et même dans les races supérieures chez les
sujets
qui n'ont point surchauffé leurs régions tempor
mêmes conditions de pose de distance et simultanément, la main d'un
sujet
mort depuis 30 heures environ et une main d'ind
lisations fixes qui représentent le dernier mot de la science sur ce
sujet
, mais de localisations dont le siège peut varie
trois types principaux. Voici du reste com- ment il s'exprime à ce
sujet
. Dans l'un, dit Blocq (1), le début se faisait
trouvera de nombreux exemples dans toutes les mo- nographies sur ce
sujet
, notamment dans le travail de Hoffmann, dans la
peu, sinon, pas décrit : le tic du colporteur. Analysons d'abord le
sujet
et tâchons de le classer au point de vue symp-
vation indispensable faite, il est assez facile d'établir que notre
sujet
n'appartient il aucune des trois maladies que je
ces trois mots, le sens symptomatologique et le sensnosologique. Un
sujet
peut très bien présen- ter un des trois symptôm
es myoclonies, p. 559. - TIC DU COLPORTEUR 223 présenté par notre
sujet
est de la famille des chorées, des myoclonies ou
roupe des chorées que se placera le mouvement pathologique de notre
sujet
. Ce classement (1) est résumé dans le tableau s
sés, en ce sens qu'ils reparaissent toujours les mêmes chez le même
sujet
; et, de plus (ceci est de Charcot), fort souven
conclusion est purement symptomatique. Il faut chercher à serrer le
sujet
de plus près en étudiant maintenant et en discuta
mes cloniques de la face : « je vous entretiendrai aujourd'hui d'un
sujet
sur lequel nos pathologies sont presque muettes
venir. Il y a un état de conscience ou de subconscience tel, que le
sujet
, averti, peut se maîtriser. L'inhibition est do
saud a finement analysé ces caractères que nous trouvons chez notre
sujet
. Ainsi il a nettement montré chez ses malades com
pas achever, tant il est fatigué. L'intervention de la volonté du
sujet
est représentée là par la différence notée de s
s et encore n'arriverait-il pas, si 0 était réellement malade. Le
sujet
atteint de vrai tic psychique ne peut pas, par le
'est pas non plus, pour cela, dans l'esprit môme. L'esprit de notre
sujet
, 0, n'est pas malade, puisqu'il lui suffit de vou
nous retrouvons encore la même que- relle à propos du tic de notre
sujet
. Brissaud veut en faire un tic mental, (1) Leço
te quand il manoeuvre le morse.... Or, rien de semblable chez notre
sujet
. Il n'a nullement son spasme il l'occasion de l
à contre-temps. C'est dans ce second groupe que se .classera hotre
sujet
et c'est pour cela que nous avons intitulé cett
nel chez un colporteur : celui-ci ne fera rien de ce que fait notre
sujet
; il ne pourra pas au contraire réaliser ce mou
itement ? C'est la rééducation. Il faut réapprendre à la volonté du
sujet
, à son 0, à reprendre la direction de son polyg
uardel à qui il doit d'avoir fait son chemin dans le m onde . Les
sujets
infantiles décrits par Lorain, par Brouardel et p
is avec certains attributs féminins qui frappent sur- tout chez les
sujets
mâles, bref ce que Lorain appelait le féminisme.
t ni le féminisme ni le masculisme s'observe quel- quefois chez les
sujets
restés enfants ou devenus infantiles à la suite d
com- binés. L'infantilisme se complique de gigantisme même chez des
sujets
dont le développement sexuel ne laisse rien à d
dans l'infantilisme myxoedémateux ; de telle sorte que beaucoup de
sujets
moyennement myxoedémateux ne sont par là même q
les accidents psychopathiques qui relè- vent de l'hystérie dont les
sujets
sont fréquemment atteints. » Cette description
tes, mais la motilité sera Fig. i.- Infantilisme myxoe- démateux.
Sujet
de 18 ans. DE L'INFANTILISME MYXOEDÉMATEUX 241
ttributs de l'in- fantilisme. Cela s'explique en somme, puisqu'un
sujet
adulte et resté infantile peut conser- ver sa
omande, 1 897. Fig. 2. - Infantilisme m3yoedémateux, t8 ans (même
sujet
que celui de la figure précédente). Faciès luna
mateux. Femme de 25 ans. Fig. 4. -Infantilisme myxoellé- mateux ;
sujet
de vingt-deux ans. Fig. 5. Infantilisme myced
sujet de vingt-deux ans. Fig. 5. Infantilisme mycede- malcux ,
sujet
de dix-neuf ans. DE L'INFANTILISME MYXOEDÉMAT
il l'appui de ses conclusions, conformes aux miennes, présentait un
sujet
infan- tile atteint d'atrophie thyroïdienne et
» sans myxoedème. A quoi M. Thi- bierge répondait par avance : « Le
sujet
, à la vérité, n'a du myxoedéma- teux ni le visa
6 mars 1897, p. 425. Fig. 8 et 9. Myxoedème et infantilisme chez un
sujet
de treize ans. (Observation de Marfan et L. Gui
? Tout le monde connaît, pour les avoir rencontrés dans la rue, des
sujets
généralement au- dessous de la moyenne, au tein
au juste : il ne nous a pas été donné d'exa- miner médicalement de
sujets
répondant au type que nous venons d'es- quisser
morbides. Or un fait bien plus important que la hauteur absolue du
sujet
, c'est la persistance, chez l'adulte, du rapport
l'extrait de glande thyroïde produit une croissance rapide chez les
sujets
non myxoedéma- teux, et cela jusqu'à )'age de 2
0 ans. (Anangioplasic.) DE L'INFANTILISME MYXOEDÉMATEUX 251. d'un
sujet
adulte. L'absence des fonctions sexuelles, dans l
dire ; arrêt de la croissance serait beaucoup plus juste car si le
sujet
cesse de grandir, c'est parce que les soudures
t-à-dire que le développe- ment s'achève en un temps plus court, le
sujet
devant rester plus petit. Les spécimens que vou
pas impossible. A ces causes d'ordres divers,mais indépendantes des
sujets
eux-mêmes, il en faut ajouter d'autres, celles-
- Fig. 14. infantilisme myxoedèmatèux et anangioplasique chez un
sujet
de 1S ans (le plus petit). 260 E. BRISSAUD 0
rition, soit un défaut de l'hématose, fixent la forme définitive du
sujet
comme en un moule de pelit calibre, le seul qui
cela peut-il se faire ? Une thyroïdectomie totale pratiquée sur un
sujet
jeune abolit du jour DE L'INFANTILISME MYXOEDÉM
st, comme son frère, intelligente et cultivée. Aucun de ces trois
sujets
, quoique myxoedémateux, ne présente la con- for
phie de cette intéressante question jusqu'en 1894, dans une note au
sujet
d'un cas remarquable que l'on retrouvera plus loi
eux 20 fois pour 100 tandis qu'elle n'existait que 2 fois chez des
sujets
normaux. Sur 152 épileptiques non déformés par
du maxillaire supé- rieur ne se trouvait bien marquée que chez dix
sujets
(6, 57 0/0). Ce mi- crognatisme coïncidait neuf
une exten- sibilité anormale de la peau du côté gauche car chez les
sujets
normaux la^déviation à droite est beaucoup plus
es ont été divisés en trois groupes. Dans le premier, comprenant 10
sujets
, l'atrophie se limitait à certaines régions du
membre inférieur restait in- demne. Dans le second, comprenant 7
sujets
, l'atrophie existait à la fois au membre supéri
e supérieur et au membre inférieur. Dans le troisième, comprenant 3
sujets
, l'atrophie musculaire n'existait pas. Examin
n peu de flaccidité musculaire sans atrophie vraie. Chez sept des
sujets
du premier groupe, l'atrophie portant sur le mem-
rencontre d'aussi volumineux ; mais ici le réalisme du peintre est
sujet
à caution. E. Mardi semble se préoccuper surtou
aphique d'une partie des petites tumeurs que porte sur le visage le
sujet
de la gravure répond bien à ce qui s'observe da
une partie de leur valeur par suite de leur existence chez le même
sujet
. « En d'autres termes, le diagnostic des deux f
e qui se dé- gage de cette notion : appelés à donner vos soins à un
sujet
atteint d'une blessure par instrument tranchant
, et un certain degré d'anesthésie galvanique. En somme, quoique le
sujet
fût redevenu à même de travailler de son métier
l ne présentait pas le moindre trouble intellectuel. Il n'était pas
sujet
aux douleurs, même à l'occasion des chan- gemen
érieurs et du tronc s'effectuaient avec une parfaite régularité. Le
sujet
pouvait faire des marches de deux heures, même
us avez été frappés, Messieurs, de ce que l'expression clinique est
sujette
à des variantes nom- breuses, qui peuvent s'éca
qu'il était paralysé des deux membres inférieurs. On consulta à son
sujet
toutes les célébrités médicales : Velpeau, Néla
remarque de M. Gilbert sur la fréquence de la tuberculose chez les
sujets
atteints de paralysie infantile (1). D'autres p
BRES INFERIEURS A. Dans un cas de paralysie infantile. B. Chez un
sujet
sain, de même âge. (Epreuves négative ? RADIO
em- bres supérieurs, l'un sain et l'autre malade, de notre deuxième
sujet
. Les photographies ont été obtenues par une pos
de 70 ans. Le père est rhumatisant. La mère a des cauchemars et est
sujette
à des attaques de paralysie matinale(engourdiss
de 4 ans à la suite d'une peur. - Depuis l'âge de 10 ans, il est
sujet
de temps en temps à des sensations sonnii. Tran
s de mélanodermie avec pigmentation de la muqueuse buccale chez des
sujets
atteints de phthiriase et ne présentant pas les
e inférieur du côté hémiplé- gique ne sert plus pour la marche, les
sujets
restent confinés au lit. Or, lorqu'on lit leurs
qu'on lit leurs observations on voit que tous présentent, comme les
sujets
du premier groupe, de l'amyotrophie du membre sup
s savons que les membres hémiplégies sbnt, du fait de la paralysie,
sujets
à des troubles trophiques : l'amaigrissement géné
rse de l'amaigrissement généralisé, elle n'existe pas chez tous les
sujets
hémiplégiques, et qu'en outre onpeut l'empêcher
d'arthrite. Si d'ailleurs nous faisons intervenir, en dehors des 20
sujets
étudiés d'un coup dans notre service, afin de r
l'amyotrophie et aussi des douleurs dans les membres paralysés des
sujets
hémiplégiques (ou monoplégiques) par lésion cér
R L'HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE LA POLYNÉVRITE 353 épinière chez dès
sujets
ayant subi l'amputation d'un membre inférieur.
lues pour l'abondance des sueurs. « Les petits enfans y sont fort
sujets
, à raison qu'ils crapulent et en- gendrent beau
ges -empruntés aux auteurs classiques d'alors qui avaient abordé ce
sujet
: « DES BESTES. Chapitre C. XIX. » - - DE PËD
car nous savons, depuis A. Paré, que « les petits enfans sont forts
sujets
aux poux, à raison qu'ils crapulent et engendrent
us répugnants. Le maître espagnol a emprunté aux poux de la tête le
sujet
d'un autre tableau. A la Pinacothèque de Munich
ie. Sans l'incurvation de la colonne vertébrale, la taille de notre
sujet
atteindrait 9. mètres. « Le développement exagé
sourcilières, l'épaississement du nez et des lèvres, qui donnent au
sujet
son « facies de brute », l'hypertrophie des extré
à appré- cier l'échelle des proportions, est celui de la main d'un
sujet
de taille légèrement au-dessus de la moyenne (1
mplète des observations est inutile. On trouve tous les éléments du
sujet
dans les mémoires partout cités de VIoucEOT (1),
u'on puisse en tirer une conclusion. Ainsi il n'y est pas dit quele
sujet
n'était ni tabétique, ni syringomyélique. 394
ns doute exagéré, car Scott Alison, cité par Charcot, trouva sur un
sujet
atteint d'hémiplégie droite, dans la plupart de
ble par la constance de son aspect extérieur, qui fait que tous les
sujets
at- teints de cette affection se ressemblent, e
). Ce n'est pas à dire que ce torticolis ne puisse survenir chez un
sujet
hystérique, ou neurasthénique, ou nerveux. Au c
e sens de la déviation est bien facile à déceler dans les cas où le
sujet
cherche à dissimuler le spasme, par une attitud
grâce à une manoeuvre par lui inventée, ce tic survenant, chez des
sujets
prédisposés, à l'occasion d'une cause déprimante
des des opérations sanglantes ; mais la plaie opératoire guérie, le
sujet
doit faire tous les jours, et plusieurs fois pa
les malgré leur longueur; quant aux séances de l'après-midi, que le
sujet
accomplit seul, elles furent régulièrement esca
ous les jours. Toutefois, nous n'étions pas sans in- quiétude à son
sujet
. Et cependant, nous avons appris avec plaisir q
s est variable. Au début, deux, quatre, six minutes, suivant que le
sujet
se fatigue plus ou moins rapidement ; plus lard
qu'il vaut mieux électriser un jour et masser le lendemain. V. Le
sujet
ne pourra être abandonné à lui-même que lorsque l
ux. Pour de semblables raisons enfin, dans les peintures ayant pour
sujet
les Sept OEuvres de la Miséricorde, les personnag
ées. Ces deux sortes d'accidents coexistent fréquemment sur le même
sujet
, constituant la forme mixte de la Lèpre, la plu
pour permettre d'en faire le diagnostic à la simple inspection d'un
sujet
. Aussi peut-on souvent reconnaître un Lépreux sur
t sympathique ni mieux faite pour tenter le pinceau d'un peintre de
sujets
religieux que celle de la bienfaisante reine de
eu connaissance par le professeur Küs, de Strasbourg, a émis à son
sujet
une opinion qui nous semble tout au moins discu
philis ? « Il est permis de croire aussi que le peintre a copié son
sujet
sur la na- ture même, car les lésions paraissen
ans le choix de la maladie qu'il désirait mettre en rapport avec le
sujet
de son tableau. N'y avait-il pas toute une série
nces paternelles, et souvent il eut l'occasion de traiter les mêmes
sujets
. Il existe de lui, au musée de Bâle, une import
des scènes religieuses. LA LÈPRE DANS L'ART 461 L'un d'eux a pour
sujet
Sainte Elisabeth de Hongrie faisant l'aumône à
t Evoque céré- moniant dans une église. Le volet de droite a pour
sujet
la distribution des aumônes aux pau- vres. Sur
inture en camaïeu gris, rehaussée de couleurs sur les chairs). Le
sujet
de cette peinture est encore la Charité de Saint
ient le plus frappés. Une des peintures les plus importantes sur ce
sujet
est de la main d'Al- bert Durer et se trouve au
Salon de 1878. Il est actuellement au musée d'Angers. (3) Voir à ce
sujet
le chapitre des pestiférés dans les Difformes et
Amélie. Description du type et considé- rations pathogéniques au
sujet
d'un cas nouveau, par HENRI Meunier (15 fi- g
). Amélie. Description du type et considérations pathogéniques au
sujet
d'un cas nouveau (15 figures et 1 planche), 15.
plement d'une vulgaire hystérique très facile à hypnotiser, et que ce
sujet
ne présentait aucune clairvoyance spéciale. La mi
ons pénales applicables à chaque espèce. Pourquoi veut-on que ce même
sujet
hypnotisé puisse ipso facto devenir capable de se
certaines modalités du caractère, mais, en aucun cas, elle ne dote le
sujet
hynoptisé des aptitudes et de la compétence que p
les psychopathies sexuelles acquises. M. Dubois est très sobre sur ce
sujet
et il traite la plupart de ces malades d'incurabl
igestions très pénibles accompagnées de battements de cœur fréquents.
Sujet
à la constipation, il reste parfois cinq jours sa
ns X sur la tuberculose ganglionnaire ; l'énergie créée par la foi du
sujet
est-elle semblable à celle là? Nous entrons ici d
variété, la solidité des articles qu'elle contient. Voulez-vous, à ce
sujet
, une confidence qui en dit long? Un professeur de
de l'individu, au contraire, il la disjoint et habitue le polygone du
sujet
à obéir plutôt au centre 0 de l'hypnotiseur qu'au
me et fit faire les expériences par un pharmacien qui hypnotisait des
sujets
maintes fois hypnotisés par Donato. Le Dr Ladame
tion péjorative? Il s'appuie dans son livre sur l'enquête de Crocq au
sujet
des dangers de l'hypnotisme et voyez la-contradic
gulièrement, mon premier sommeil était occupé par un rève, ayant pour
sujet
le théorème proposé, dont je voyais la démonstrat
e rêve, nos forces pensantes s'exercent toutes à la fois sur l'unique
sujet
qui nous préoccupe, absolument comme si toutes le
La question mise à l'ordre du jour de la première séance avait pour
sujet
l'importante question de l'éducation du caractère
on des procédés pédagogiques applicables aux enfants turbulents. A ce
sujet
, M. le docteur Feuillade s'inspirant des procédés
exemplaire, — que j'ai déjà commencé à lui infliger. C'est un mauvais
sujet
qui doit être mené tambour-ballant ; et je ne le
rès frappé de cette possibilité. Je songeai alors à questionner nos
sujets
. Malheureusement je ne pus joindre Mme Berthe que
uement M. Henri Rollet, s'occupe du sauvetage moral de deux genres de
sujets
bien distincts. La première catégorie comprend
n médicale, et notamment d'appliquer la méthode hypno-pédagogique aux
sujets
qui me paraîtraient susceptibles d'en tirer quelq
ve pouvait être utile. Ce n'étaient pas, naturellement, les meilleurs
sujets
de la bande ; la plupart avaient commis des vols,
des certificats constatant qu'il n'y avait plus eu de plaintes à son
sujet
, et qu'il n'y avait pas lieu de nous le renvoyer.
. Jules Voisin. — Elle sera d'autant plus féconde qu'on agira sur des
sujets
plus intelligents et. par conséquent, plus aptes
es fait une opinion sur leur valeur scientifique. Renseignez-moi à ce
sujet
en témoin impartial, et ne craignez pas de me dir
nément. Les expériences dans lesquelles nous avions provoqué chez des
sujets
hypnotisés des phénomènes de dualité cérébrale pr
l a voulu que ses meilleurs amis devinssent également les miens. A ce
sujet
, je lui disais : « Vous êtes un homme vraiment ex
lérant de cette savante institution. et des paupières pour que le
sujet
regarde fixement l'objet-II faut faire entendre a
it, en aucune sorte, modifier les symptômes déterminés. Chez certains
sujets
très impressionnables, les résultats dépendaient
tes toutes les fois qu'on le veut, mais seulement quand on trouve des
sujets
qui sont déjà des époptes naturels. » (S. L., p.
ngt ans traité il y a deux ans par l'hypnotisme pour neurasthénie. Ce
sujet
, à la moindre émotion, en conversant avec son méd
de leur travail est faite, la pipe ou la cigarette à la bouche. A ce
sujet
, M. Stuart Cumberland, le fameux liseur de pensée
rlain, l'ancien ministre anglais, et il trouvait que les idées de son
sujet
erraient au Heu de se lixer. Le pouvoir mental, l
land demanda à M. Chamberlain de concentrer toutes ses pensées sur un
sujet
. « C'est inutile, dit M. Chamberlain, mes pensées
onsistait à appliquer la mélhode à de la substance nerveuse de jeunes
sujets
ou de fœtus, où l'observation était plus facile à
s états hystériques. De nombreuses discussions ont été soulevées à ce
sujet
. En réalité, Ramon y Cajal est une des personna
ur l'a prononcé, le public l'a accueilli par des acclamations. A ce
sujet
, une question pouvait légitimement se poser. Pour
qui puissent être soulevées et nous serions heureux de recevoir à ce
sujet
l'opinion de nos lecteurs. BRAIDISM3 et FARnS
Masson, présente nn résumé complet et exact de mes recherches, sur un
sujet
si remarquable et si intéressant (1). » Nous al
icularité du sommeil provoqué, c'est le phénomène qui se manifeste au
sujet
des paupières. Tandis que, dans le sommeil ordina
er, et le magnétisme végétal de Puységur, voici ce que dit Faria à ce
sujet
: « ±-a supposition d'un fluide magnétique est to
rne » (p. 42), c'est-à-dire par la suggestion. 9) Veille : Certains
sujets
peuvent être gouvernés à l'état de veille. Brai
ment musculaire. Braid : « Je vais entrer, dans quelques détails an
sujet
de l'augmentation et de la diminution des mouveme
oire. Braid : «Mes expériences sur le contact du cuir chevelu et au
sujet
des phénomènes passionnels que provoquait ce cont
gt; p. 258.) Faria : Nous avons déjà cité l'opinion de Faria sur ce
sujet
scus le n° 9 de la Partie II, qui commence par le
par le fait d'avoir établi que sa méthode était applicable à tous les
sujets
, et procédait d'une loi générale de l'économie an
ontpallier. Ayant observé un nombre considérable de somnambules et de
sujets
hystériques et hypnolisables, ils n'ont jamais pu
s. Par contre, cette croyance en la lucidité des somnambules et des
sujets
hypnolisables est acceptée comme un article de fo
certaines modalités du caractère; mais en aucun cas, elle ne dote le
sujet
hypnotisé des attitudes et de la compétence que p
à distance se fait ordinairement par correspondance; nous écrivons au
sujet
les suggestions que nous voulons lui voir réalise
gestion hypnotique; et la première chose pour cela c'est de placer le
sujet
en état d'hypnose. Souvent il suffira de produire
p-Botiques et se rend compte de ce qu'est la suggestion. Pour qu'un
sujet
reçoive une suggestion, il faut évidemment qu'il
i ne se présente pas à l'état de veille normale. On peut persuader un
sujet
à l'état de veille ; on ne peut pas le suggestion
on. Et cela ce a'estpas parce que le fait suggéré est un fait dont le
sujet
ne pourrait pas être persuadé, mais bien parce qu
que la suggestionnabilité se développe, il faut nécessairement que le
sujet
passe de l'état de veille dans un état d'hypnose.
e une suggestion à distance, comment allons-nous faire pour placer le
sujet
en état d'hypnose. Tout d'abord il faut considé
hypnotisation antérieure la circonstance où nous aurions à traiter le
sujet
à distance, et si nous lui avons fait des suggest
ivant ce que l'on peut connaître du plus ou moins de suggestibilitédu
sujet
et suivant que l'on veut le mettre dans un état d
stances, ils ne sont pas indifférents, car ils produisent déjà sur le
sujet
une impression utile. Ceci bien établi on peut
ouvoir les varier suivant les circonstances. Si l'on a à faire à un
sujet
que Ton sait facile à hypnotiser et sensible à la
une suggestion qui se fixera dans l'esprit, s'imposera au cerveau du
sujet
, en même temps que l'état d'hypnose se produira e
l'autre simplement utile. Le premier effet sera de bien replacer le
sujet
dans son état normal et d'éviter les désagréments
duire un état d'hypnose plus profond, soit parce que l'on sait que le
sujet
n'est pas aussi facilement hypnotisable, on voudr
procédé, jugeant utile, en même temps que Ton provoque l'attention du
sujet
, d'agir sur un organe des sens. On peut d'abord
bien en face de lui, sur la table recouverte d'un tapis sombre. Le
sujet
tiendra à la main le carton ou le papier sur lequ
hait à regarder à son centre. Pendant les dix premières minutes, le
sujet
tiendra les regards fixés sur le même point, cela
donnés plus haut relativement aux prescriptions destinées à mettre le
sujet
en état d'hypnose. A cela j'avais ajouté, sur une
ose absurde ne se réalise pas. La lettre suivante nous renseigne à ce
sujet
. Un mois après l'envoi des secondes suggestions
ode voulue, dont je résume ainsi les principales règles : Placer le
sujet
dans de bonnes conditions pour être mis en état d
estion contre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au
sujet
du mal de mer. D'Bérillon : Technique du traite
ture sera faite par M. le Dr Binet-Sanglé, professeur. Elle aura pour
sujet
: Introduction ù ta psychologie de Jésus de Nazar
térinaire d'Alfort. Mesdames, Messieurs, Tout, dans l'exposé d'un
sujet
comme celui-ci doit être carré par la base et pos
euses. Je les empêche de s'égarer et de nous égarer nous-mêmes sur un
sujet
purement analytique où la Providence perd ses dro
un régime de discipline particulier. Si l'état mental dégénératif du
sujet
ne s'améliore pas, ou s'il s'aggrave, l'interneme
estion contre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au
sujet
du mal de mer. D' Bérillon : Technique du trait
pour apporter à la voyante un gilet de flanelle ou une chaussette du
sujet
. Ces deux voyages ont coûté plus de 115 francs à
e. — Les insuccès observés provenaient tous du manque de confiance du
sujet
ou du défaut de fixation... o On peut donc se dem
donc une hétéro et une auto-suggestion enjeu, et qui n'agit que si le
sujet
est confiant; le reste de la technique est une va
lleurs conformes à celles du docteur Bérillon, qui a constaté que les
sujets
les plus faciles à hypnotiser perdaient absolumen
ture sera faite par M. le Dr Binet-Sanglé, professeur. Elle aura pour
sujet
: Introduction à la psychologie de Jésus de Nazar
sera faite par notre collègue, M. le Dr Binet-Sanglé. Elle aura pour
sujet
: Introduction à la psychologie de Jésus de Nazar
à partir du 11 janvier. Le programme de ces conférences comprend les
sujets
les plus variés se rapportant tous à la psycholog
j'allais en être atteint si je ne leur demandais de choisir un autre
sujet
de conversation. Lorsque, faisant une traversée
Société d'Editions scientifiques. Depuis lors, j'ai recueilli sur ce
sujet
un nombre respec-» table de cas favorables, que j
tribut. Alors, au dernier moment, après bien des réflexions sur ce
sujet
, je m'engage sur la passerelle qui mène au bateau
lequel s'effectue la désagrégation des fonctions intellectuelles. Un
sujet
en pleine possession de ses facultés se trouve, t
eur ou de la pâleur. Ces modifications vaso-motrices indiquent que le
sujet
a subi une perturbation profonde dans sa circulat
rtant sur un grand nombre de malades, m'a appris que presque tous les
sujets
atteints de troubles hystériques et neurasthéniqu
thiques est liée d'une façon étroite a un fait d'intimidation dont le
sujet
a été la victime. C'est à cet événement que le ma
traitement de la timidité. Par des exercices spéciaux, j'entraîne le
sujet
à réagir contre les effets de l'intimidation. Les
dre la parole devant son père, ni de demander des explications sur un
sujet
quelconque. Immédiatement, on l'invite au silence
ettre en place de temps en temps pour éviter une posture ridicule. Le
sujet
conserve le tic bien que n'ayant plus ni coiffure
cérébropathie psycho-motrice » se développant exclusivement chez des
sujets
présentant un état mental spécial, un état d'infa
et animal s'observent de préférence et presque exclusivement chez les
sujets
présentant, si on peut ainsi parler, un état psyc
es de la Société anglaise n'ont donné aucun résultat positif. Les
sujets
et les matériaux sur lesquels on comptait, ont fa
uration de l'Ecole de psychologie, nous nous sommes exprimés ainsi au
sujet
des recherches psychiques : a En abordant ces q
es du développement des religions (*), j'ai montré d'une part que les
sujets
physiquement et mentalement bien constitués sont
maladies du système nerveux sont particulièrement fréquentes chez les
sujets
appelés au monastère par la vocation. Enfin, da
ndue et la variété de ses recherches. Ses professeurs s'attaquent aux
sujets
les plus graves, je dirai volontiers les plus dél
éthodes appropriées à leur état. Vous avez résolument abordé ce grave
sujet
et montré les distinctions nécessaires qu'il conv
a première sensation éprouvée avait été enregistrée par la mémoire du
sujet
initié avec une telle intensité que le souvenir d
illé que par des idées se rapportant à cette sensation. Il y a à ce
sujet
un exemple classique, c'est celui du jeune homme
mportent comme des suggestions faites, dans l'état d'hypnotisme, à un
sujet
très hypnotisable. De là, la ténacité et la fixit
erche, et par le fait même des occupations professionnelles, quand le
sujet
exerce un métier manuel exigeant des mouvements d
se reposer marquera la limite de sa résistance à la fatigue. Si le
sujet
exécute méthodiquement son exercice chaque jour,
fet, au bout de six semaines d'exercice persévérant et progressif, le
sujet
arrivera sûrement à déplacer un haltère deux fois
Comment s'explique ce résultat? Si nous examinons les bras de notre
sujet
après l'entrainement et que nous les comparions à
ue respiration, dépasse d'un tiers la quantité qu'y faisait entrer le
sujet
avant l'entraînement. D'autre part, on sait que l
observe des faits analogues dans tous les organes du corps, chez les
sujets
entraînés : partout les aptitudes fonctionnelles
fait est très évident dans l'appareil res- piratoire. J'ai vu des
sujets
entraînés, dont le poumon ne gagnait plus en volu
ue dans l'enseignement libre organisé par lui à la Salpêtrière. A son
sujet
, M. le professeur Lépine faisait ainsi ressortir
ingt ans, le jeune homme n'a pas le droit de prendre la parole sur un
sujet
quelconque devant le père, ou de demander des exp
ne savait pas faire la révérence. Elle le molestait constamment à ce
sujet
. Aussi, lorsqu'il arrivait des visites, l'enfant
rapport de cause à effet, elles ne sont pas toujours et chez tous les
sujets
en proportion l'une de l'autre. En un mot. la fat
nt. Dans l'état de surentraînement, les forces baissent sans que le
sujet
en ait conscience : il peut rester insensible à l
l'efficacité de l'exercice employé comme agent de réconfort chez les
sujets
affaiblis. L'impression vraie d'une petite augmen
neurs expérimentés recommandent-ils de ne pas épuiser les forces d'un
sujet
, par la répétition fréquente de l'effort maximum.
répétition quotidienne d'efforts moins importants. Il suffit que le
sujet
se soit prouvé à lui-même qu'il peut faire telle
l pourrait être utilisé comme une sorte d'entrée en matière, chez les
sujets
mal doués au point de vue de l'esprit. Chez les e
ui des matières plus difficiles des programmes scolaires. Et chez les
sujets
de caractère faible, on trouverait, dans l'accout
pement de la mémoire par M. le Docteur Daiioglou (du Caire). Le
sujet
de la communication que je désire faire ne m'est
estibilité et de par sa facilité à réagir en actes violents. Quand ce
sujet
se mettait en colère, au bout de quelques minutes
ccès somnambulique se produit d'abord et c'est alors seulement que le
sujet
exécute inconsciemment toute une série d'actes. A
e inconsciemment toute une série d'actes. Assimilons la conscience du
sujet
à un spectateur dans un théâtre, le rideau s'est
représentation, le spectateur ne voit rien ; au contraire, chez notre
sujet
, le rideau s'est abaissé au cours de la représent
n'a jamais eu aucun signe d'épilepsie; dans l'absence épileptique, le
sujet
reste un moment hébété et hors de lui, tandis que
un spectateur, si attentif qu'il soit, ne peut reconnaître chez notre
sujet
le passage du conscient à l'inconscient et le ret
le retour au conscient ; la pièce se continue normalement à l'insu du
sujet
. Dans les accès de fureur épileptique, le sujet c
rmalement à l'insu du sujet. Dans les accès de fureur épileptique, le
sujet
commet des actes souvent reprehensibles sans en a
l faut surtout reporter leur attention sur les choses. Il y a tant de
sujets
d'étude intéressants en dehors de soi ! Nous en
nine, donnera toujours lieu, aune dose suffisante et quel que soit le
sujet
, à des phénomènes convulsifs, étant donnés la mêm
on difficile, sinon impossible, elle réussit très rapidement chez les
sujets
qui ont atteint l'adolescence : on peut se demand
me d'attention consciente et de processus mentaux subsconscients d'un
sujet
sur une opération physiologique déterminée de son
llon en 1904, la suggestion réussit à tenir en éveil la conscience du
sujet
, à le rendre petit à petit capable de surveiller
ent morbide qui l'accompagne. Or, plus l'impressionnabilité chez un
sujet
à l'état de veille ou à l'état d'hypnose, est for
trices et trophiques dans les régions du corps à propos desquelles le
sujet
s'est autosuggestionné. On a endormi des sujets h
à propos desquelles le sujet s'est autosuggestionné. On a endormi des
sujets
hystériques d'une impressionnabilité extraordinai
pour leur système nerveux chez les hystériques, alors que les autres
sujets
normaux ou très rapprochés de la normale n'avaien
on est de famille, dit-elle, et guérit toujours. « Consulté donc au
sujet
des crises de toux et de dyspnée, nous déclarons
ait nullement cherché, notre attention n'ayant pas été attirée sur ce
sujet
. Depuis plus d'un an, laguérison se maintient...
. Ceci explique aussi en partie les nombreux échecs observés chez les
sujets
traités par ces moyens thérapeutiques ; d'autre p
e à opposer aux psycho-névroses est l'éducation de la sensibilité. Le
sujet
sent vivement, il faut lui apprendre à créer dans
cahoté par des impressions c.ui ne trouvent pas dans le psychisme du
sujet
une direction d'orientation ferme, devient inquie
moyen d'excitations mécaniques faibles et répétées aussi bien sur des
sujets
hypnotiques qu'en dehors de toute sommation provo
s nette ; mais la sensibilité se restaurait d'autant plus vite que le
sujet
voyait ce qu'on faisait et que son attention étai
ée, l'intensité du courant est progressivement diminuée et bientôt le
sujet
peut exécuter sans le secours de l'électricité, «
états d'inhibition légers dans lesquels la résistance pathologique du
sujet
est éteinte sans que soit abolie pour cela sa per
nerveux puissent résulter de la répétition. Telle est ma doctrine au
sujet
du mécanisme de la timidité. Les timides ont co
toujours les mêmes idées et les mêmes dispositions d'humeur ; il est
sujet
à des illusions de souvenirs et croit reconnaître
de se faire passer pour une manifestation de l'au-delà. Sincérité du
sujet
le plus souvent ; mais mensonge ou plutôt inventi
fixer. En dehors des professionnelles somnambules, hélas un peu trop
sujettes
à caution, nous savons, à n'en pouvoir douter, qu
s se manifeste te trac. Ainsi, il faut transporter par la pensée le
sujet
hypnotisé dans une salle remplie de nombreux audi
Au bout de quelque temps, ces émotions finissent par s'émousser et le
sujet
arrive à les traiter comme une quantité négligeab
iques, en y associant les médications indiquées par l'état général du
sujet
, amène des guérisons remarquables par leur durée.
suggestibilité et qui se réalise dans les conditions suivantes : Le
sujet
, debout, est invité à étendre ses bras en avant,
, puis vous faites entendre le bruit annoncé. Chez un grand nombre de
sujets
l'attraction en arrière que vous avez annoncée se
ecul. Si le bruit est renouvelé, à chaque choc perçu par l'oreille du
sujet
, le recul se reproduit et s'accentue, de telle fa
du sujet, le recul se reproduit et s'accentue, de telle façon que le
sujet
se rapproche de vous involontairement et d'une fa
ance à l'accentuation de ce mouvement de recul. Il se réalise chez le
sujet
comme une sorte d'accommodation à sa réalisation.
ns tous les cas, il est en rapport avec le degré de suggestibilité du
sujet
. Vous le constaterez lorsque vous tenterez de pra
our qu'il s'atténue ou môme s'abolisse complètement, il suffit que le
sujet
soit sous l'influence d'une excitation alcoolique
s ou moins accentuée. Quand on le recherchera de nouveau chez le même
sujet
, étudié celte fois dans l'état d'abstinence, le r
'injection de la plus petite quantité d'alcool pour supprimer chez un
sujet
auparavant très hypnotisable, l'aptitude à être p
litè nécessitant, pour sa réalisation, la participation consciente du
sujet
, se rattache par cela aux réflexes décrits par M.
ître les ressources que peut présenter la suggestibilitè naturelle du
sujet
. Dans une prochaine communication, nous reviendro
irons, toutefois, qu’on l’observe plus fréquemment chez les personnes
sujettes
à quelques désordres de l’innervation. Suivant
e le somnambulisme lucide se développe plus particulièrement chez les
sujets
dont l’esprit est tranquille et confiant, sous l’
vent accompagné d’un sommeil particulier, qui .suffit pour reposer le
sujet
des fatigues d’une intuition prolongée. Cette som
el Itard, p. 247. nambulisinc artificiel, à la grande aptitude d’un
sujet
à se saturer de fluide. Cette opinion n’est pas s
rop prolongées, etc., deviendront préjudiciables à la clairvoyance du
sujet
. Les somnambules qu’une imagination ardente éca
ontre les souvenirs de la veille. Dans la vision soimiambulique, le
sujet
distingue les organes et leurs principales modifi
’étudier les différents modes d’innervation, on choisira toujours les
sujets
les plus impressionnables ; de même que pour des
ette affectueuse bienveillance que l’on rencontre chez la plupart des
sujets
lucides qui savent si bien s’identifier aux souff
. *»* n’a pas eu une seule selle depuis un mois-, in- lerrogée à ce
sujet
pendant son sommeil, elle fait magnétiser un verr
rine; pendant la magnétisation habituelle, la malade, interrogée à ce
sujet
, dit : « Je cracherai encore du sang; depuis le
ée de la chambre. « Voilà, Monsieur, ce que j’ai pu recueillir à ce
sujet
. « Le géomètre croit aujourd’hui ce qu’il a vu
t regarder en face son débile adversaire! Oléda exerçait-il sur son
sujet
une influence magnétique? Portait-il sur lui, com
(1) Voyez t. VI, p. 169, le Rapport de M. Ad. de Benumonl sur le môme
sujet
. rible, il bondit de rage et tourna vers le cha
t’engage à venir faire quelques expériences à Cayenne ; entre autres
sujets
, je te promets de jolis serpents, de gracieux jag
’entremise du Dr Mottard, contiennent toute ma profession de foi à ce
sujet
, et, sous ce rapport, je me crois à l’abri de tou
a décision très-sage déjà donnée par la môme congrégation sur le même
sujet
, en réponse à quelques questions qui lui avaient
jours eues les gens qui ont fait du magnétisme ou qui ont écrit à son
sujet
, je suis prêt à soutenir thèse, pièces en main, d
e. J’eus alors avec Mgr Lambrus-cliini une assez longue conférence au
sujet
du phénomène de la double existence, c’est-à-dire
nambulisme ; je désirerais donc beaucoup connaître quelle était, à ce
sujet
, la pieuse croyance du Sacré-Collége, et je me fa
scuter mon opinion, la publication d’un assez gros livre, sur le même
sujet
, auquel je travaille assiduement depuis dix ans.
ROVERSES. CORRESPONDANCE ENTRE LE I)' DESPINE, ET M“ ALEXIS, AU
SUJET
DU MAGNÉTISME. (Suite.) A Monsieur le docteur
olique et médicale sur le magnétisme animal ; ma manière de voir à ce
sujet
se trouve tout entière contenue dans les lettres
en provoquant, comme elle peut l’entendre, auprès du gouvernement, au
sujet
du magnétisme animal, des mesures conservatrices
une lettre qui me fut écrite il y a plus de quatre ans, mais dont le
sujet
a le même intérêt que si elle était toute récente
du spectacle. Après cela l’électro-biologue va tâter chacun de ses
sujets
, en leur palpant la tête et leur faisant des pass
TROVERSES. CORRESPONDANCE ENTRE LE D' DESPINE, ET M« ALEXIS, AU
SUJET
DU MAGNÉTISME. (Suite.) A S. Em. Mgr l’archev
’autorité, en appelant directement l’attention du gouvernement sur un
sujet
qui, tôt ou tard, ne peut manquer de se montrer a
encouragement des sciences, lettres et arts de Milan, ont proposé des
sujets
de prix sur le magnétisme animal. Courage donc !
OVERSES. CORRESPONDAN CX ENTRE LE D' DESPINE, ET Mc* ALEXIS, AU
SUJET
DU MAGNÉTISME. (Fin.) A S. Em. Mgr l'archtviq
la vérité, qui réclament toute la portée actuelle de la science à ce
sujet
. Parmi les faits magnétiques qui agitent le mon
ux sont tous des agents puisés dans les produits de la nature, et les
sujets
sur qui nous les employons, l’homme et les animau
me peu d’académiciens ont été à même de voir tout ce que j’ai vu à ce
sujet
, et se sont trouvés à portée d’étudier les phénom
esté, dont j’ai l'honneur d’être, Sire, le très-humble et très-fidèle
sujet
. ✓ DARRICAU. Revue des Jtouruiin*. — Le Divan
uel il cite une brochure du 1> Guilmot, de Lille, relative au même
sujet
. D’après ce médecin. « On voit plus de femmes
tion. Enfin, me trouvant, au mois de novembre dernier, en face d’un
sujet
que je supposais sensible (c’est une dame de tren
années. Enfin tous les journaux allemands sont pleins d’articles à ce
sujet
, pleins de discussions pour ou contre le prétendu
habiter avec lui. Bien que les Esprits se contredisent sur d’autres
sujets
, tout comme les savants de ce monde, ils parais
croyants américains ; je dirai seulement en quittant cette partie du
sujet
, que plusieurs de ces médiums, les plus convaincu
eu !... je me garderai bien de hasarder la plus petite opinion sur ce
sujet
. Mais ce que je dirai hardiment, c’est qu’il faut
au moyen des mouvements usuels dans ces sortes d’expériences sur les
sujets
magnétisés ou sensibles au magnétisme. Je traçai
, qui se croyait bien malin et bien sûr aussi de dérouter l’esprit au
sujet
d’une bourse remplie de pfen-nings, et qu’il avai
s noms' grandes ombres, salut! La manière dont M. Léger a traité le
sujet
nous ferait regretter de ne pas le voir plus souv
e nouvelles luttes dans un avenir prochain ; non plus, cette fois, au
sujet
du magnétisme considéré connue force réelle, — c’
ant secrétaire, m’ayant refusé de la sabine qu’il croyait nuisible au
sujet
, j’en fis avec de l’eau, etj’ob-ins tous les effe
Hébert détermina, à l’aide d’un verre d’eau, des convulsions chez un
sujet
qu’il n’avait pu influencer directement. J’ai obt
alors un tableau assez complet de l’état de nos connaissances sur ce
sujet
trop négligé. Depuis lors une révolution s’est la
dans les aspirations du coîur humain. C’est au moyen de mediums, ou
sujets
doués d’un fluide nerveux plus pur, plus abondant
et les nôtres des liens dont la puissance des magnétiseurs sur leurs
sujets
ne peut donner qu’une faible idée ; se trouver
m’est pas démontrée. Je laisse donc les puissances s’exercer sur les
sujets
qui sont le plus empressés de se mettre à leurs o
nté. Ne vous scandalisez pas, je vous prie, de m’entendre parler du
sujet
qui a fait naître tant de sympathies, comme je pa
uissance. » Des dissertations curieuses sont faites par l’auteur au
sujet
du sidérique qui, selon lui, tient plus à la marc
n les plongeant dans cet universel somnambulisme, dont l'homme est le
sujet
et la victime dans son enfance, puisqu’il n’offre
M. du Potet est de très-bonne foi, nous n'en voulons pas douter, mais
sujet
à d’étranges illusions, quand il s’imagine, comme
orces magnétiques. La troisième condition, c’est d’avoir affaire à un
sujet
confiant et résigné. Enfin, il faut autant que po
norance ou de notre incapacité. Cicéron disait déjà de son temps à ce
sujet
: « Quelque phénomène qui se présente à vous, il
e la nature. » N’oubliez pas non plus que la plupart des savants sont
sujets
à une espèce d immobilité qui a sa source dans un
d’action, tombait comme mort. . « En prenant un meuble léger pour
sujet
d expériences, nous avions un but, celui de pouvo
et trop nombreuse des curieux qui cherchent toujours à entourer leurs
sujets
, peut empêcher l’opération. « Quand toutes les
eaux thermales de cet établissement. 11 soignait alors, entre autres
sujets
, une femme de vingt-deux ans, aussi douce que jol
nt passées à un point d’exaltation désordonnée. M""X*** était donc un
sujet
de prédilection pour les expériences magnétiques,
heureusement l’exercent. « On connaît la réponse qui a été faite au
sujet
d’une proposition déjà présentée à la congrégatio
mbule reste à l’entière disposition du magnétiseur. 11 arrive que des
sujets
, d’ailleurs fort délicats et sensibles, ne donnen
ppartient à notre sainte mère l’Église de juger et de décider sur des
sujets
d’une aussi haute importance pour la religion et
par cet autre état que l’on est convenu» d'appeler somnambulisme, le
sujet
se trouve ordinairement-doué d’une double faculté
ent étranger à ces surprenants elfets. Nous avions là, sans doute, un
sujet
d’une rare aptitude pour produire ces merveilleux
ne homme de vingt-huit ans, qui se glorifiait d’être sceptique à ce
sujet
, quoiqu’il eût été témoin de plusieurs faits asse
la ville, malgré les quatre pièces que quatre théâtres jouent sur ce
sujet
, en ce moment. Mais nous étions à la campagne,
ès avoir, en quelques instants et sans la moindre fatigue, réduit son
sujet
en état de somnambulisme , a su nous donner des p
ur le moins aussi pénibles au spectateur qu’elles le seraient pour le
sujet
dans son état ordinaire. Nous louons fort M. Guid
a danse des tables. a J’ai reçu d’Albi quelques communications à ce
sujet
; elles sont on ne peut plus satisfaisantes. Plusi
n nombre de fois sur le môme individu et par les mêmes opérateurs, le
sujet
, étant enlevé, peut être maintenu au-dessus des t
lmer. Maintenant tous sont tranquilles, et aussi dociles que d’autres
sujets
; ils jouissent également d’un sommeil naturel. E
lerie ? Des effets obtenus par les procédés magnétiques. — Quand un
sujet
a été soumis aux procédés des magnétiseurs, il pe
ontané n’est pas rare, il affecte surtout les femmes hystériques, Jes
sujets
cataleptiques, les sujets exaltés par la solitude
affecte surtout les femmes hystériques, Jes sujets cataleptiques, les
sujets
exaltés par la solitude, les veilles, les jeunes,
t aux pieds de son lit au moment où elle sortait d’un coma. Ce fut un
sujet
de trouble incroyable pour la famille ; la jeune
nt dans le domaine mythologique et n’étaient plus bons qu’à servir de
sujets
de ballade. Un savant, un lettré rougirait de dis
pourtant on était bien près d’une réaction qui allait ressusciter des
sujets
de discussion qu’on avait crus oubliés pour jamai
ou les lecteurs sauront gré à l’auteur de les avoir ini- liés it un
sujet
plein d’intérêt et trop peu connu, et rendront ho
magnétique modifie d’une manière plus ou moins considérable l’état du
sujet
, qui alors peut présenter des phénomènes plus ou
des choses, et n’auraient de valeur que comme opinions individuelles,
sujettes
à discussion ; mais heureusement nous n’avons rie
posteur. Je conserve le long entretien qu’il eut avec son père sur ce
sujet
; mais j’ai cru que le détail en serait ici tout
inaire, quelques données que nous ayons d’ailleurs sur la moralité du
sujet
, il est plus facile encore de croire à la jongler
es 503 à 574, ot t. XI, page 205. déterminer par suggestion sur des
sujets
faiblement magnétisés. On lit dans 1 'Akhbar du
sité du silence absolu pendant quelque temps, et les dispositions des
sujets
sur lesquels l’expérimentation a été faite, ont r
lus décisives encore pie les précédentes, les épreuves subies par les
sujets
qui s’y sont volontairement soumis, ont porté la
l’électro-biologie ? Seulement Mesmer et ses adeptes opèrent sur des
sujets
soumis au sommeil magnétique, et M. Philips agit
Passant à un ordre de faits supérieurs, il absorbe la personnalité du
sujet
et lui impose la sienne propre. En dépit d’une vo
mpose la sienne propre. En dépit d’une volonté contraire, il force ce
sujet
à le suivre; malgré les, obstacles dont on l’ento
spiration haletante , les ongles soumis à une tractibilité féline, le
sujet
était effrayant à voir, et le sang eût coulé si l
n’eût été suspendu par la volonté qui l’avait créé. h 11 ordonne au
sujet
d’oublier son nom, et, riant le premier de son ab
d’oublier son nom, et, riant le premier de son absence de mémoire, le
sujet
ne sait plus comment il s’appelle. « Enfin, il
normal, plus ou moins disposé. De là l’exclusion de quelques-uns des
sujets
qui se présentent. Si, après une épreuve préparat
e douzaine de personnes en état satisfaisant à son point de vue. Deux
sujets
seulement ont été expérimentés. O11 comprendra ce
expérimentés. O11 comprendra cette nécessité de borner le nombre des
sujets
présentés, quand on saura que l'influence augment
choses préliminaires. Mercredi, il y a eu une lutte ouverte entre un
sujet
et le professeur. « Le premier, bien connu à Al
première lettre de l’alphabet. «C’est étonnant!» disait tout haut le
sujet
, qui jouissait de ses facultés complètes, ce poin
n lui disant que c’est du champagne. « Non, c’est de l’eau , » dit le
sujet
. M. Philips le regarde fixement et lui répond ave
et lui répond avec force : « Non, c’est du champagne; buvez.... » Le
sujet
boit, et trouve le prétendu sillery cette fois dé
une corde qu’il lance au batelier resté dans l'eau. « Dès lors, le
sujet
était complètement dominé. M. Philips le conduit
e l’Amérique, et, en admirant le site, il voit des anthropophages; le
sujet
jes voit à son tour, demande des armes pour comba
au moyen d’un tronc d’arbre qui forme pont. Il fallait voir l’œil du
sujet
mesurant le vide, et croyant marcher sur un étroi
ien, poursuivi par des soldats qu’il frappe pour leur échapper (et le
sujet
frappait rudement sur ceux qui l’entouraient ; ex
rudement sur ceux qui l’entouraient ; expérience subie par les autres
sujets
présents, et qui n’était pas sur le programme). E
ur l’organe olfactif, M. Philips a fait respirer avec plaisir, par le
sujet
, un flacon d’essence de rose. L’odeur flattait te
ssion qu’on voudra désigner, les instincts anlliropophagiques sur des
sujets
pris pour ainsi dire au hasard. « Cette offre p
ux : en exprimant le nombre deux, les quatre opérateurs, ainsi que le
sujet
, font simultanément une forte aspiration, et ce d
sion est égale à la simultanéité de l’aspiration des opérateurs et du
sujet
. — 11 y a échec quand un des expérimentateurs n’a
ans un sens déterminé par la pensée ; au bout de quelques minutes, le
sujet
est sollicité par une force intérieure qui lui en
expérimentateur. Si celui-ci est doué d’une grande énergie, et que le
sujet
soit très-impressionnable, la rotation a lieu mêm
très-impressionnable, la rotation a lieu même malgré la résistance du
sujet
; j’ai vu des individus se roidir ainsi de toutes
aire, accélère ou ralentit le mouvement, ou le fait cesser, attire le
sujet
en arrière, le repousse en avant. Le sujet auquel
le fait cesser, attire le sujet en arrière, le repousse en avant. Le
sujet
auquel on demande compte de ce qu’il a éprouvé, d
de deux, trois ou quatre personnes, qui se tiennent debout autour du
sujet
, chacune appliquant sur lui ses deux mains, sans
ue, la plupart sont mis en mouvement par une chaîne. Une fois qu’un
sujet
est actionné, les expérimentateurs peuvent lui im
gestes qui forment un langage conventionnel. Par exemple, le corps du
sujet
se penche en arrière; deux battements indiquent o
donc la conversation établie. Avec qui ? C’est là le grand point. Le
sujet
est tout à fait neutre dans cet exercice, et n’es
pour les tables (1) : il y a là, en dehors des expérimentateurs et du
sujet
, une individualité qui se manifeste par des disco
s un grand nombre de réponses formant un système concordant. Comme le
sujet
paraît fatigué, nous mettons fin à ces exercices
atigué, nous mettons fin à ces exercices au bout d’une demi-heure. Le
sujet
est tout couvert de sueur et semble sortir d’un r
de somnambulisme, puisqu’il n’y a aucune lacune dans les souvenirs du
sujet
. De plus, les réponses écrites, aussi bien que
voir demandé à l'auteur des oscillations s’il écrivait par la main du
sujet
. Je ne suis arrivé qu’à des résultats moins étend
explication de ce phénomène fournie par un somnambule interrogé à ce
sujet
. Voici, dit la Patrie du 8 juin, les parties les
antes de cette explication, M. Robert, magnétiseur, ayant endormi son
sujet
, M. Charavet, le dialogue suivant s’établit entre
s’explique différemment la cause. De tous les écrits publiés sur ce
sujet
, celui qui a le plus fixé mon attention, est une
t l’œuvre du démon, le nom de Jésus, le signe de la (1) Voir sur ce
sujet
les savanles lettres de M. l’abbé Almignana. Tomc
vonne, chez d’autres hystériques, et notamment chez celle qui fait le
sujet
de l’observatiou 14" des Éludes pratiques sur l'h
s voulu s’occuper des « communications qui lui ont été adressées à ce
sujet
; elle les « a considérées comme non avenues. »
ouvera qu’il aurait dû se ménager, se respecter, se réserver pour des
sujets
plus sérieux ! Qu’importe? La défense du vrai n’e
de pardon de ce petit détail personnel, et je reviens bien vite à mon
sujet
. « Que ce soit par suite d’une cause ou d’une a
s dans une note ainsi conçue : ( De tout ce qui a été publié sur ce
sujet
, dans le même sens, ce travail est celui qui me s
est basée. Tout le monde, bien entendu, ne l’accepte pas; voici à ce
sujet
les objections faites par la Revue médicale : «
le-ci, ce qui est vérité ou erreur ; je n’essaierai pas de traiter un
sujet
aussi fécond, aussi inépuisable. « Je dirai seu
fermé, de décrire un appartement éloigné de cent lieues et inconnu du
sujet
, ce qui se fait tous les jours. « D’ailleurs, q
ouvements qu’elles étaient en voie d’exécuter. « Nous pouvons, à ce
sujet
, citer l’exemple d’une femme que nous avons eue d
cation d’un ouvrage sur les tables tournantes. Ce journal a reçu à ce
sujet
la réclamation suivante : Paris, 12 septembre 1
rable qui prouve clairement que le public se préoccupe beaucoup de ce
sujet
, et qu’on est sûr de se faire lire en l’en entret
s arguments, en un mot faire pénétrer plus avant ses lecteurs dans le
sujet
auquel il a voulu les initier. Venant après une f
que l’ouvrage paraît destiné à recommander une somnambule qui sert de
sujet
à M. Ségoin, dans des séances qui sont également
straction, il a laissé ses idées flotter à l’abandon. Et cependant le
sujet
qui ne peut lire dans sa pensée, et aux yeux duqu
rce, et elle pourra seule, et sans le secours des gestes, asservir le
sujet
à son empire. Ainsi l’opérateur agissant même à d
Sur un geste exprimant le désir d’un spectateur, il dirige vers le
sujet
les efforts de sa volonté, il l’attire , le repou
dans notre esprit qui ne se traduise par des symptômes corporels, le
sujet
dont la lucidité est développée par l’agent magné
ui retarde et amoindrit les effets. Au contraire, quand la volonté du
sujet
seconde celle du magnétiseur, les deux forces s’a
plus rapide et plus com- plet. Il n’est même pas nécessaire que le
sujet
ait une volonté active, il suffit qu’ayant l’imag
e lui, et le voie .accompli d’avance. Dans ce cas les dispositions du
sujet
peuvent prêter un concours tellement puissant qu’
es, mais dont la discussion nous entraînerait trop loin hors de notre
sujet
, prouvent la réalité des faits magnétiques, notam
sujet, prouvent la réalité des faits magnétiques, notamment quand le
sujet
ignore môme qu’on cherche à agir sur lui. Pour ex
ur imprimons des mouvements. Le premier ordre de phénomènes fait un
sujet
de thèse distinct du nôtre ; cette matière a été
agnétique, loi dont tout magnétiseur peut énumérer les effets. « Le
sujet
que vous soumettez à cette expérience se place
de 2 à 3 centimètres de hauteur. « L’opérateur se place en face du
sujet
, se tient sur une chaise basse ou un banc, afin d
n de reposer sans fatigue le pouce (le la main droite sur le crâne du
sujet
; il tient les doigts un peu écartés et à demi fl
e au creux de l’estomac, et, dans cette position, l’opérateur fixe le
sujet
durant un quart-d’heure au plus, en ne s’écartant
cartant jamais de sa volonté précise, de son désir formel. Bientôt le
sujet
éprouve un engourdissement général, une extrême p
ion. De cinq à dix minutes après (suivant la force ou la faiblesse du
sujet
), la rotation commence et l’on doit retirer le po
cela m’a paru exagéré. 11 faut, pour avoir quelques résultats, que le
sujet
soit très-sensible, et, malgré cela, la chose ne
ert de plus de mépris. Cette digression n’est point étrangère à mon
sujet
; elle indique qu’au moment où j’écris, nos grands
avec un mouvement convulsif. Arrivé chez moi, j’expérimentai sur les
sujets
sensibles, et le résultat fut celui de la magnéti
mentionné, en ce que c’est pour la première fois que le concours d’un
sujet
magnétisé aurait été d’un utile secours aux opéra
umis à la volonté du magnétiseur. Pendant le somnambulisme , quand le
sujet
avance, recule, prend telle attitude, la pose de
le dédain affecté des princes de la science, ce riche et intéressant
sujet
est tous les jours exploré par une foule d’hommes
e la discussion et à faire jaillir quelques nouvelles lumières sur un
sujet
enveloppé encore de tant de ténèbres. D’ailleurs
par la volonté que nous l’émettons, que nous en pénétrons le corps du
sujet
, que nous nous rendons maîtres de ses sens, puis
r notre intention par aucun signe extérieur, nous pouvons agir sur le
sujet
, même sans être vus de lui, le plonger dans le so
utant que des expérimentateurs habiles et puissants ont affaire à des
sujets
fort impressionnables; les séances de M. du Potet
très-puissante , et si en même temps il se trouve en rapport avec des
sujets
très-impressionnables, surtout si leurs dispositi
la volonté d’agir, on fasse des passes suivant le mode accoutumé, le
sujet
n’en éprouvera aucune impression ; ou même, qu’en
en pourra même résulter des accidents pour le magnétisé-De la part du
sujet
, le rôle de la volonté, quoique secondaire , n’en
ertions de M. Baragnon sont en contradiction avec l’expérience. Si le
sujet
veut résister à l’action, il pourra la neutralise
ssance anesthésique du magnétisme. M. Calame ayant fait asseoir son
sujet
, se mit à l’œuvre. Mais, hélas ! il avait compté
nversation la plus animée et la plus bruyante. La situation morale du
sujet
venant s’ajouter îi cette mauvaise condition, dev
i encore il avait compté sans les émotions, les préoccupations de sou
sujet
. Lorsque, sur un signe de lui, le chirurgien voul
jours. Dans la matinée du 20 courant, je m’étais transporté chez un
sujet
que je prépare pour quelques soirées que je désir
e prépare pour quelques soirées que je désire donner à des amis. Ce
sujet
est une femme d’une constitution grêle, mais très
A huit heures j’ai commencé h opérer ; après les premières passes, le
sujet
s’est plaint d’une grande fatigue, et m’a prié de
âmes à causer. Vers onze heures, au moment où nous allions partir, le
sujet
, qui était gai et riant, s’est plaint de douleurs
éaction inévitable des contractions pénibles que venait d’éprouver le
sujet
; mais elle n’a voulu répondre à personne. Je me s
de mes premières passes. Cependant il ne pouvait y avoir de doute, le
sujet
donnait. Durant trois quarts d’heure je l’ai qu
aient montées pour assister à cette scène étrange, et pas une fois le
sujet
ne s’est trouvé en défaut. J’avais laissé sur m
étaire une lettre inachevée, et, vu l’éloignement de mon domicile, le
sujet
n’en pouvait avoir connaissance; sur la question
ations 11e s’appliquent qu’à la simple rotation, et cette rotation si
sujette
à caution avec ses chaînes superflues de mains hu
e excellent Journal contient un article de M. le baron de Chabert, au
sujet
d’une petite brochure attribuée à M. le comte D.
us éminents ont apporté le tribut de leurs méditations sur ces graves
sujets
; la raison philosophique s’est efforcée de résoud
t malin; mais il serait trop long d’entrer dans une discussion sur ce
sujet
. Je reviens à mon passage de Van Helmont, extra
où vais-je? N’ai-je point à parler du diable? Je suis si plein de mou
sujet
, que l’on pourrait croire que je le vois partout
ie pouvaient se constater ; moi-même je n’avais pas d’autre idée à ce
sujet
, le diagnostique du médecin me paraissait fondé.
quelques temps, les journaux constatent des phénomènes surnaturels au
sujet
des tables tournantes et des tables parlantes. Ch
re. Une dame me remet une petite bourse en me priant de demander au
sujet
ce que j'ai dans la main. La réponse fut : —
— Il mange du pain et du fromage. C’était exact. Je réveillai le
sujet
. I- SCHMOLLE. 2° ENLÈVEMENT DES PERSONNES.
autier a fait connaître. Voici une lettre écrite à M. Hébert sur ce
sujet
: Quo les jeunes filles l'enlèvent, que les ros
roduisant dans des séances publiques, où chacun de nous a pu voir les
sujets
magnétisés, insensibles à la douleur, se laisser
et la connaissance du pouls. Le somnambulisme a aussi été pour eux le
sujet
de profondes méditations. Notre fameux docteur Ch
i doit se traduire par une émission fluidique intense entre eux et le
sujet
. Ce qui se passe pendant cette courte expérimenta
nu n’est dû qu’à la simultanéité de l’aspiration des opérateurs et du
sujet
. 11 y a donc dans cet ensemble quelque agent que
c dans cet ensemble quelque agent que l’on ne peut saisir, puisque le
sujet
, malgré la force physique qui paraît l’enlever, n
présence d’un fluide, d’une force vitale agissant directement sur le
sujet
par la volonté des opérateurs, ceux-ci se la comm
ion ou bien une réalité provenant de principes connus ou nouveaux, le
sujet
n’en mérite pas moins un examen approfondi. » T
Tel est, mon cher confrère, le résumé de mon opinion sur' ce nouveau
sujet
d’investigation ; libre à vous d’en faire ce que
on ne m’accusât de faire des paradoxes. Je reviens maintenant à mon
sujet
et je vais expliquer le titre de cet article. O
otre recueil, car il réunira l’uniformité de vues dans la variété des
sujets
traités. Nous n’avons pas la prétention d’être
ar M. Fcrd. Silas, sur un passage d'Ammien Marcellin traitant du même
sujet
, 635. — par H. Aug. Gathy, sur des expériences
usieurs personnes pour en manger la chair, 445. — Observations sur ce
sujet
par M. Philips, 528. Magie. Expériences par M.
s observés et rapportés par M. le Dr Encontre, 417. — Réflexions à ce
sujet
par M. Hébert (de Garnay), 433. — Fait puységuriq
é un aperçu des faits et des sources, qu’il y aurait à consulter à ce
sujet
et que personne n’a consultés. Comme nous le disi
on retrouve les phénomènes analogues à ceux dont nous avons parlé au
sujet
des sœurs Augustines du Quesnoy dans le n° du 25
bité par de3 sœurs de l’ordre de Sain*.-François. Nous allons à. ce
sujet
rapporter les faits dans l’ordre oii ils se sont
dition que vous venez de lire. Lors de son sommeil, cet intéressant
sujet
avait dit que moi seul pourrais faire cesser le p
46, fit défense que l’on continuât de nouveau toute information à son
sujet
(1). Peu de temps après, le Parlement de Rouen, a
augooi* assure que c'était un homme pieux et éclairé, et il cite à ce
sujet
des ouvrages qu'il avait écrits et dont l’un étai
le toucher à distance. Voulant un jour connaître l’impression qu’un
sujet
ressentait au contact de métaux divers, ce sujet
e l’impression qu’un sujet ressentait au contact de métaux divers, ce
sujet
me dit qu’il était inutile de lui apporter des ob
n bouton de cuivre à une porte donna une sensation désagréable, et le
sujet
se frotta la main sur ses habits comme pour la fa
rotta la main sur ses habits comme pour la faire cesser plus vite. Ce
sujet
m'affirma qu’il se transportait vers les objets q
vision à l’aide de miroirs magiques, semble amener l’image devant le
sujet
et ne paraît pas exiger de déplacement de sa part
qui nous occupe, c’est une autre opération. En suivant ce mode, le
sujet
n’est pas en somnambulisme, il se trouve dans l’é
s’y prendre avec adresse et ménagement ; il est bon d’attendre que le
sujet
commence la conversation, on lui donne la répliqu
oir le phénomène cesser subitement. Pendant la guerre de Crimée, un
sujet
se transporta sur la mer Noire et monta à bord de
lui procura un dérangement d’estomac pour toute la soirée. Le même
sujet
vit une flotte sur la mer Noire dans un miroir ma
de très-loin ; il n’en fut nullement incommodé. Etant éveillé, il est
sujet
au mal de mer quand il se trouve à bord d’un navi
je pourrais dire d’un pôle à l’autre. Dans les hautes latitudes, les
sujets
ne se contentent pas d’énoncer qu’il fait froid,
erté 1 oiseau charmant qui leur a emprunté son nom. A cet instant, le
sujet
éprouve un soubresaut nerveux, et le voici revenu
u tout le souvenir de ses impressions de voyage. line autrefois, un
sujet
se trouvera transporté au-dessus de la mer, m
ules, surtout en ce qui concerne la recherche des médicaments que- le
sujet
allait chercher et essayer chez tel ou tel pharma
ncipe, je ne fais pas d’expériences de voyages ou recherches avec des
sujets
doués de lucidité médicale. Abordons maintenant
enveloppe d'abord; puis les murailles deviennent transparentes et le
sujet
voit au travers , et quand il s’agit de voir ce q
s yeux , où l’on emploie des tampons et des masques qui étouffent les
sujets
et nuisent considérablement à leur lucidité. Pour
nne placée dans cette môme pièce ; l'adversaire resterait muet, et le
sujet
annoncerait à haute voix les cartes jouées par le
us prétendons que l'esprit d’une autre somnambule, ou plutôt d un
sujet
mis dans l’état de charme, s’est transporté, avec
de rêves toutes ces opérations intellectuelles des somnambules, et un
sujet
qui ne produirait que des rêveries creuses ne mér
êtes à peu près certain de n’avoir exercé aucune suggestion sur votre
sujet
, avec lequel vous ne vous êtes jamais livré à des
, mais je n'en ai jamais vus. 11 me semble que l'accord unanime des
sujets
est de quelque valeur. Comme on ne propose que de
qu’ils se trompassent toujours. L’homme, dans son état ordinaire, est
sujet
à l’erreur, et il n’est venu à l’esprit de person
e la longueur de cette lettre, mais vous reconnaîtrez avec moi que le
sujet
qu'elle traite comporte de plus longs développeme
e plus longs développements, et je suis bien certain, en faveur de ce
sujet
, d’être excusé par vous. Veuillez agréer, Monsi
part, s’était décidé, d’après le conseil de ce dernier, à étudier le
sujet
à l’égard duquel il avait commencé, comme tant d’
ience a familiarisé avec les caprices du somnambulisme. En effet, les
sujets
chez lesquels la lucidité telle que âme humaine e
le docteur Grégory ou quelque autre mesmériste expérimenté en fera le
sujet
de ses études. Traduit du Border Advertiser, pa
de lucidité. C’est là, comme on sait, l’écueil le plus ordinaire des
sujets
les plus vantés, et les magnétiseurs les plus pru
nt des ypes admirables où un artiste eût pu puiser les plus bril-ants
sujets
d’étude dans le ravissement religieux ; on croyai
cette ville, a un fils de dix-sept ans, qui, depuis son enfance était
sujet
à des convulsions quand il éprouvait quelqu contr
: du temps, au lieu de« pays. A.la 10* ligne du même alinéa : des
sujets
, au lieu de des esprits. A la ün du 4* alinéa d
e, est vulnérable sous plus d’un rapport. Nous nous permettrons, à ce
sujet
, d’adresser une question préala- e- H y a envir
u’elle n’était pas de nature à être publiée. Nous remarquerons à ce
sujet
qu’on désigne sous le nom de slave une famille no
-il, n’était pas la sienne. Mais qui ne voit que cette expérience est
sujette
aux mêmes illusions que celle de la clef et celle
hes historiques. L’intérêt, d’ailleurs, ne fait nullement défaut ; le
sujet
seul en fournissait surabondamment ; il suflisait
iennent plus d’un trait curieux sur lui-même, et qui se rapportent au
sujet
que nous étudions. En voici quelques-uns : Dans
vaux, sans le secours d'aucun moyen disciplinaire. Nous trouvons k ce
sujet
, dans le journal le Sport, la note suivante : «
quelques jours, un ma- gnétiseur de Lyon ayant endormi sa fille,
sujet
très-lucide, lui demanda ce qu'eLe voyait. — Pè
u moins hasardée. La lucidité somnambulique a lieu lorsque l’âme du
sujet
est dégagée à un degré suffisant de l’étreinte de
. 2° Madame Stella, me Chauveau-Lagarde, 12, était depuis longtemps
sujette
à des migraines qui la faisaient beaucoup souffri
et se rendort. Le Siècle du 11 janvier dernier raconte qu'une dame
sujette
à des attaques d*épilepsie, étant assise près de
euxième artile. Les expériences commencées à Paris par M. Rarey, au
sujet
(l’un nouveau mode de dressage des chevaux diffic
gagé sur l’honneur à ne rien divulguer. Un rapport sera présenté à ce
sujet
à l’empereur ou au ministre de l’agriculture , du
eilli par la presse périodique. Autrefois les journaux gardaient à ce
sujet
un dédaigneux silence, ou si par hasard ils en fa
nombre des sectateurs. Les journaux ne peuvent passer sous silence un
sujet
qui occupe aus3i vivement l’attention publique ;
environs de Bouthéon (Loire), un magnétiseur ayant endormi sa fille,
sujet
très-lucide, celle-ci vit un trésor enfoui sous u
emercions encore, car leurs diatribes, en appelant l’attention sor ce
sujet
, forceront leurs lecteurs à s’en occuper et dou»
etite quantité. Emerveillé d’un tel déploiement de facultés chez un
sujet
dès son entrée dans la sphère magnétique, je suiv
ec moi les phases futures de' la maladie qui doit encore peser sur le
sujet
pendant si* mois. En continuant mes observation
t. Je n’ai pas besoin d’ajouter que rien n’avait été préparé sur ce
sujet
et que ce fut seulement sur une pensée qui me vin
action magnélique est une sorte de mort anticipée. De là vient que le
sujet
sent ses forces vitales s’affaiblir et perd souve
tes. Ayez donc, je vous en conjure, la bonté de répondra à M. G... au
sujet
des obsessions que j’ai l'honnsur de vous signale
en comme puissance surnaturelle... ou comme mystificateur. Voici à ce
sujet
la version du journal que nous venons de citer :
leur prétendue force. Nous savions très-bien , ô ami d’Allah, que des
sujets
non magnétisés pouvaient, par l’effet de l’imagin
on en connaît maintenant pourrait jeter une lumière inattendue sur ce
sujet
; mais l’espace qui m’est réservé dans ces colonn
s principaux phénomènes dus à cet agent invisible qui sera bientôt le
sujet
d’une nouvelle science. Je ne dirai que quelque
us complètement de certaines maladies que le magnétisme, même sur les
sujets
les plus sensibles à l’action de cette force vive
che trésor de l'ancienne abhave d’Aulnes. Voici ce qu’on écrit à ce
sujet
, au Journal de Gand : « Comme vous savez, non l
urde pour tôtrte sa.vie. Je dois ajoater que mademoiselle Anna, son
sujet
magnétique, l’a beaucoup aidé dans cette guérison
muscles de l’avant-bras traversés par de longues épingles sans que le
sujet
manifeste la moindre douleur. 2° Paralysie de la
es à la cause du magnétisme, en traitant d’une manière élémentaire ce
sujet
ai vaste et si fécond. 11 s'est attaché d’abord à
rit positif. Mais les genspositifs ne sont pas, moins que les autres,
sujets
à se faire illusion. A peine le magnétisme avai
ice des fous. A force d'observer la bête, Ce savant, plein de son
sujet
, Un beau jour a perdu la tète ; Bète sur bète
rien de l’élément qui excite leur curiosité. Mais si je ne touche ce
sujet
qu'en passant, c’est qu’il ¡,e faut pas seulement
. Sous d’autres secrètes influences, charmantes et délicieuses, les
sujets
s'embel-tissant, leur leint revêt une fraîche bla
nnaître ; seulement comme je suis averti que j'ai affaire à un liomme
sujet
aux hallucinations, je me tiendrai sur mes gardes
baron du Potet et M. Cahagnet ont pu composer chacun un volume sur ce
sujet
: l’un a donné la Magie dévoilée , l’autre la Mag
qui produit l’extase; la preuve, pour lui, c’est l’insensibilité des
sujets
; dans ce ravissement ils voient à distance, d’où
en restituant au mot démon (1) Voirco que nous avons déjà dit à co
sujet
dans le Journal du ifa-gnétiimc, 1857, p. 505.
il y a intervention d’esprit. Nous aurons occasion de revenir sur ce
sujet
qui est, dans l’état actuel de la science, un des
ion. L. Lamothe. (1) Voir un excellent article de M. Morin sur co
sujet
clans ce journal. 857, p. 121. BIBLIOGRAPHIE.
ne ma- nière incidente, n’a pas jugé à propos de s’étendre sur ce
sujet
: i! ne semble avoir en vue que les mouvements av
maître de moi, je n’ai produit que des effets désastreux sur mes
sujets
. Aujourd'hui c'est tout le contraire, je calme sa
indication dont les magnétiseurs devront profiter : on leur offre un
sujet
d’études fort important et dont les résultats peu
s les corps opaques. S’il s’était donné la peine d’étu-dier un peu le
sujet
qu’il traite si légèrement, il aurait su que le m
siècles d’études, d’observations, de recherches, sont loin d’être un
sujet
épuisé. Voyez, par exemple, l’oreille. Un physici
au de papier, enfermé dans un carton scellé et lues à coup sûr par un
sujet
quelconque, dans les conditions choisies par les
que pour provoquer l’attention et les études de nos confrères, sur un
sujet
dont l’importance sera facilement appréciée. Po
gie. » Jusqu’à présent la justice a été trompée par les médecins au
sujet
du magnétisme. Tout en lui était charlatanisme ;
le but que vaste et complexe par l’ensemble et les détails, — car le
sujet
embrasse à la fois les plus hautes questions de p
plus nécessaires à l’homme. Quand les sciences profanes touchent aux
sujets
que la religion a marqués de son empreinte sacrée
s suffira d’avoir vu pour croire et pour le confesser hautement. au
sujet
des meubles parlants. Ainsi, je ne puis ni compre
la vérité avec l’ardeur d’un véritable apôtre. Cette perte sera un
sujet
de deuil pour tous les amis du magnétisme. Avis
New-York, un pompier nommé Brown , âgé de vingt-sept ans et qui était
sujet
à des accès de somnambulisme naturel, étant endor
ages qui désignent plus clairement les événements? Nous appelons à ce
sujet
l’attention des personnes qui pourront se procure
parait aujourd’hui un pur amusement, pourra être demain pour vous un
sujet
d’émotions profondes et db réflexions pénibles, »
el il reconnut Philippe, jadis célèbre prestidigitateur. Il fait à ce
sujet
les réflexions suivantes : « Les escamoteurs de
uivants : Après avoir donné l’un ou l'autre de ces signes, certains
sujets
tombent quelquefois dans un état particulier appe
lus intenses, les odeurs les plus fortes, ne font aucun effet sur ces
sujets
; le corps, en un mot, paraît tout à fait insensib
tant venu visiter le couvent, ils lui adressèrent leurs plaintes à ce
sujet
. Celui-ci, n’ayant pas de son côté confiance dans
’un des plus ardents promoteurs du spiritualisme ; il a publié sur ce
sujet
divers ouvrages fort estimés, notamment le traité
in, écoutons ce que le savant et judicieux archevêque de Reims dit au
sujet
des miracles : « Les efiets étonnants de l'électr
des somnambules électriques. Ainsi on voit, dans le premier cas, des
sujets
qui non-seulement parlent, marchent, montent sur
ience. Mon heureuse disposition d’esprit fut récompensée ; le premier
sujet
sur lequel j’expérimentai tomba en somnambulisme
tous les incrédules , mais chercheurs consciencieux de la vérité, Ce
sujet
a singulièrement facilité mes premiers pas dans l
chambre, et manifesta le désir de rentrer chez elle... Tout était un
sujet
d'étonnement pour moi, et les personnes qui avaie
mais nous disons aujourd’hui, en lisant des journaux français sur ce
sujet
, c’est d’un autre continent que la la lumière vie
ois enfants (elle en avait perd» trois autres nés avant ternie) était
sujette
à des crises épileptiques depuis neuf ans, depuis
s sa personne , à plusieurs de nos praticiens les plus distingués, un
sujet
dont la guérison eût été digne de leur savoir émi
toutes les ressources de la science allopathique. Tel était donc le
sujet
que je soumis au médium et à ses esprits. Le mé
urieux petit volume, les faits les plus saillants que présentent à ce
sujet
bien des auteurs. M. le docteur Brière de Boismon
’issue du jugement qui m'attend. — Général, faites « choix d’un autre
sujet
; je serais au désespoir si la ré-« ponse était m
hasard quelqu’un me lit, de ne pas y croire. On devine qu’elle fut le
sujet
de très-grands commentaires entre gens qui n’avai
nnait promptement un malheur commun ; et puis, quel horrible choix de
sujet
! dans quel lieu ! pour quelle circonstance ! Jus
etenait sans cesse. C’était pour la famille tout entière un véritable
sujet
de chagrin, et plus d’une fois la bonne harmonie
me et le spiritualisme, nous aurons donc l’occasion de revenir sur ce
sujet
et de faire des réflexions. On peut se persuader
er; un hoquet convulsif, ou bien encore l'extase ou le ravissement du
sujet
dont les yeux fixes et immobiles dirigés vers le
nctement parfois. Ainsi dirigeant une main, un doigt sur la main d’un
sujet
sensible, il court le long des nerfs du bras et v
ontestable que le doute n’est plus permis ; ainsi bandant les yeux du
sujet
et dirigeant la main sur un endroit quelconque, l
les yeux du sujet et dirigeant la main sur un endroit quelconque, le
sujet
nes’y trompe point, il avertit du point correspon
ciété du Mesmérisme, on se livra à diverses expériences sur plusieurs
sujets
. M. le docteur Guidon présenta une somnambule qu’
capable de voir sans le secours des yeux. On appliqua sur les yeux du
sujet
un bandeau, et elle parvint à lire couramment
urtout celui de la pudeur (p. 88). Si c’est là le portrait fidèle des
sujets
qu’il a formés, nous l’en félicitons et nous dési
n voyant des faits de lucidité, quelque enthousiasme qu’inspirent les
sujets
qu’on a formés, nous en appellerons à M. Rouget l
veille. On les réveille dans la crainte qu’ils n’abusent. Quel beau
sujet
d’études! quelle source de méditations! Pour moi,
bules ont une aptitude particulière plus ou moins prononcée, celle du
sujet
est de chercher et de découvrir les mines et tout
e et l’observation avaient constaté. Inutile de dire que le savoir du
sujet
, dans son état ordinaire, est nul ou à peu près.
ent de la même manière par le chimiste qui avait fait l’analyse. Le
sujet
est en relation avec des Esprits, à chaque séance
is le visiter et deux fois il l’a pincé au bras si violemment, que le
sujet
s’en est ressenti pendant plusieurs jours ; l’emp
e, souscrirait hardiment pour un dixième dans chaque entreprise. Le
sujet
, qui est un être très-ordinaire dans son état d’é
ntrons dans ces détails, c’est pour témoigner le degré de lucidité du
sujet
. On se rendit dans la forêt, et après six heures
on a trouvé tous les points indiqués et les distances ; trois fois le
sujet
est tombé en défaillance en s’approchant du premi
urrier vous fera lire, un de ces jours, une phrase bien curieuse à ce
sujet
; elle fut écrite et signée par l’un des hommes l
pas la première fois qu’un journaliste reçoit des lettres anonymes au
sujet
du magnétisme. Il est remarquable que tonte tenta
en un mot tous les défauts. Les Esprits même les plus éminents, étant
sujets
à l’erreur, leurs communications, quand même elle
vec exactitude tout «e qui aura lieu. Or, si des personnes, sans être
sujettes
à de pareils entraînements, sont en parfaite conf
re, au moment où je m’y attendais le moins, de venir témoigner ici au
sujet
du magnétisme, dont le procès, comme vous savez,
e salon pour trouver une somnambule de bonne volonté ; d’ordinaire le
sujet
qui se présente de lui-même est une personne en f
bles. Peut-être un jour aurai-je le loisir deifaire un travail sur ce
sujet
. » Ce travail est encore à faire, Georget mourut
e siècles d’études, d'observations, de recherches, sontloin d’être un
sujet
épuisé. Voyez, par exemple, l'oreille. Un physici
urait trop le redire, cette faculté étonnante est précaire, variable,
sujette
à de nombreuses erreurs ; le lucide se trompe trè
ès des oreilles des coups de pistolet, niais 011 no découvrit chez le
sujet
aucun symptôme annonçant qu’il eût conscience de
est à remarquer que , pendant qu’on opérait sur ce malade, le premier
sujet
qui était endormi fut agité de spasmes très-forts
vait eu l’intention de transporter les symptômes de chorée au premier
sujet
. Le docteur répondit qu’il n’avait point eu cette
mulés. « A la séance du 28 juin, i\I. Collyer opéra d’abord sur ses
sujets
avec plus ou moins de succès apparent. Un membre
va qu’il serait bien plus satisfaisant pour la commission d’avoir des
sujets
qui ne fussent pas connus de lui, et qui le lusse
fait de magnétisme, exprimèrent hautement leur estime pour ce nouveau
sujet
, vantèrent sa probité irréprochable, et ses conna
employa les procédés ordinaires pendant dix minutes ou environ, et le
sujet
s’endormit graduellement. Alors le magnétiseur di
lors le magnétiseur dirigea sa main sur son visage, et tout à coup le
sujet
remua la tête et les épaules et se réveilla ; il
dix secondes ; puis, M. Collyer lui ayant lancé un regard sévère, le
sujet
baissa la tête , et, au bout de dix autres second
pouvoirle faire, mais M. Collyer l’avant regardé fixement en face, le
sujet
retomba assis sur le fauteuil, comme s’il était t
M. Collyer qui, debout derrière lui, avait sur lui les yeux fixés. Le
sujet
essaya avec une certaine énergie d’expliquer ce q
trois pas. Le docteur cessa dès ce moment de s’occuper de lui, et le
sujet
put enfin s’exprimer d une manière suivie et avec
yer fit en conséquence une tentative. Les seuls effets obtenus sur ce
sujet
( dans cette circonstance) furent une grande pesa
une énorme fatigue, et une forte con -traction du petit doigt, que le
sujet
s'efforça , mais en vain, de faire cesser. « Co
basse du Temple. « Après une tentative infructueuse sur un nouveau
sujet
, M. Gollyer opéra sur M. Stone dont il a déjà été
lequel une partie de la réunion avait manifesté de la confiance. — Ce
sujet
étant debout, M. Gollyer fait des passes pendant
aux expériences de M. Gregerson. Celui-ci présente ensuite un nouveau
sujet
sur lequel il opère. Le docteur Storer et plusieu
nt comme incapable de. fraude. « La sous-commission constate que Je
sujet
a la peau moite, les mains froides, le pouls tran
6. il Commence à agir à h heures AO minutes.. Sept minute», après, le
sujet
paraît endormi. Le magnétiseur applique' ses; mai
t endormi. Le magnétiseur applique' ses; mains au-dessus de celles du
sujet
, comme pour l’attirer e» haut : alors les doigts
d’au moins un pouce. M. Collyer applique son autre main sur celle du
sujet
, et on voit se produire sur celle-ci les mêmes mo
de fer à cheval, ce qui détermine les mêmes effets. Il assure que le
sujet
est alors' dans un état de demi-somnambulisme. Qu
Quelques minute après, il fait «le nouvelles passes et demande au
sujet
: Me voyez-vous? — Oui. — Voyez-vous autre chose?
ez-vous autre chose? — Non. « Plusieurs personnes interpellent le
sujet
, quelques-unes ii très-haute voix, d’autres en im
s ii très-haute voix, d’autres en imitant la voix du magnétiseur : le
sujet
se retourne et ne répond rien. On produisit un gr
e pouls est toujours à 96 , comme avant l’opération. On chatouille le
sujet
au nez , aux oreilles , aux côtés et à d'autres e
re n’a pas varié depuis plus de dix minutes. — On envoie également le
sujet
en imagination à la salle basse du Temple, et il
. Collyer fait des passes pour le réveiller : deux minutes après , le
sujet
commence à remuer la tête; après deux autres minu
rès de ses oreilles, il y avait eu un léger mouvement de tète. « Le
sujet
ayant repris par degrés sa connaissance, déclara
rapporter à cequ’il avait vu dans son état de demi-somnambulisme. Le
sujet
rendant compte de ses/sensations, dit : En me rév
moin. Je regardo maintenant comme hors de doute que Mi... (le dernier
sujet
) était dans un état non naturel, et que cet état
yer. « Le docteur Lewis. — J’ai la même conviction quant aux autres
sujets
. « Le docteur Morrell exprime une opinion qui,
Le-docteur Adains. — Je suis obligé de reconnaître que le dernier
sujet
était dans un état nerveux fort étrange et qui n’
Stone. — Je n’hésite pas ¡1 reconnaître l’éUt non naturel du dernier
sujet
, d’autant plus que je l’avais observé deux fois a
fait ici toute l’affaire. — Vraiment, vous eu savez trop long sur ce
sujet
, et puisqu’il s’agit d’imagination, permettez-moi
l a prononcé papa et maman , il a dit loto; on admire la précocité du
sujet
. — Avez-vous lu ou entendu le superbe discours
en-sitif et ses rapports avec t’Od; puis , deux brochures sur le même
sujet
; enfin l'Ami des sciences, du 14 novembre , annon
nnaître les résultats de ses études à cet égard. N’y a-t-il pas là le
sujet
d’un reproche à faire aux mesméristes, plus série
répéter par des individus-isolés qui n’ont pas toujours des masses de
sujets
disponibles , sont cependant bien faciles pour de
ipiants n'y a pas été ellectuée. Une tendance naturelle à obtenir des
sujets
les phénomènes d'un ordre supérieur a toujours fa
pu mettre quelque principe hors do doute, (elles que l'action sur des
sujets
non prévenus; l'oction sans gestes apparents exer
ar une constance que nous ne trouvons pas dans les perceptions de nos
sujets
un phénomène d’ordre physique. Les physiciens, qu
ère condition pour contrôler les dires de l’auteur, c’est d’avoir des
sujets
sensitifs, nous avons, lors des lettres odiques,
s l’obscurité absolue difficile à réaliser, consistait en ceci : Le
sujet
soumis à l’exploration devait se placer à l'ombre
nsations indiquées par M. de Roi-chenbach. Je , qui suis le troisième
sujet
, n'ai pas subi d'impression constant«. Tantôt j'
ur les magnétiseurs, et surtout pour les groupes magnétiques, un beau
sujet
cl’étude, et si les phénomènes de sensitivité odi
maître, un cas que je crois bien intéressant, un curieux et excellent
sujet
d’étude pour les physiologistes ; mais, malheureu
la matière. Mais nous ne voulons point aujourd’hui traiter un pareil
sujet
; nous voulons seulement donner à nos lecteurs qu
homme si je lui en voyais faire autant, lin jour, rêvant à ce triste
sujet
, je m’exercais machinalement à lancer des pierres
s dont parlent les auteurs. Ces essais ont été faits, non sur des
sujets
mercenaires, mais sur des personnes du monde ou s
ssible de l’obtenir. Dans le sommeil magnétique, j’ai rencontré des
sujets
chez qui l’insensibilité était complète, d’autres
entour de cette partie, dès qu’on touchait une place démagnétisée, le
sujet
poussait des cris atroces. (1) Effets nuls, 5.
. Le somnambulisme lucide est, il faut l’avouer, bien rare : sur 50
sujets
je n’ai trouvé que 3 cas réellement remarquables
étistes : « Les bruits les plus intenses, dit l'auteur en parlant des
sujets
anesthésiés, les odeurs les plus fortes ne font a
s anesthésiés, les odeurs les plus fortes ne font aucun effet sur ces
sujets
; le corps, en un mot, paraît tout à fait insensi
ns que l’on soit autorisé à conclure de là à leur impossibilité ; les
sujets
, ainsi que les somnambules, peuvent être influenc
, de l'aveu des plus ardents magnétistes, est une faculté variable et
sujette
à beaucoup de mécomptes ; elle n’a même examiné q
mbres étaient très-hostiles au somnambulisme, s’étaient exprimés à ce
sujet
de la manière le plus méprisante, affectaient de
quement. Etude par M. Grirnaud de Caux, 365. — Coup d'œil sur lo mémo
sujet
, par M. l'abbé Caupert, 451. Fluide magnétique.
aut , 385 ; Paul Auguez. 524. — Réflexions philosophiques sur le même
sujet
, par M. du Potet, 217, 235. Vue à distance. Son
gnétiseur possède la toute-puissance physique et psychiqtio sur son
sujet
, et que c’est par pure incapacité qu’il se trouve
possède le magnétiseur d’enlever un vice et de donner une vertu à ses
sujets
; aussi, nous avons vu inspirer le goût du dessin
e lui donner. Le magister dixil ! en dit plus qu’il n’est long sur ce
sujet
. Ces légers aperçus suffisent pour faire entrev
s signes ont une valeur intrinsèque; ils tendent à faire des nerfs du
sujet
un prolongement immédiat de ceux du magnétiseur;
de ses ennemis. Cette longue digression n’est point étrangère à mon
sujet
, elle initie aux combats intérieurs que se livren
et celui-ci a eu l’obligeance de nous envoyer l'opuscule qui fait le
sujet
de cette notice, avec les notes qu’elle contient
e à comprendre : Joseph est un magnétiseur qui a pris son maître pour
sujet
, — Joseph endort son maître quinze fois par jou
gue TOME X. — N» 12 7. — FÉVRIER 1851. 2 persévérance môme chez les
sujets
les plus impressionnables. Loin de nier des cures
ont je crois ne m’èlrc jamais départi. On a bien voulu me donner à ce
sujet
, 11011 pas une leçon assurément, mais des conseil
: « Le mesmérisme fait d’étonnants progrès depuis six mois ; c’est le
sujet
de toutes les conversations et on l’admet général
ns rapports ; mais je n’osais point encore produire au grand jour des
sujets
rendus sensibles, je n’osais pas même faire quelq
e lorsqu’on verrait ce qu’on appelait des simagrées. J’expliquai à ce
sujet
ma pensée, et tout fut dit. Un borgne s’était f
ensant à de pareilles divulgations. Je me suis interrogé souvent à ce
sujet
, et me suis dit : Si, dans l’antiquité , les homm
n magnétisme, et parmi elles toutes, celle d’écrire était pour moi un
sujet
d’effroi. Cependant je m’y résolus^. ||,- Ma br
e scientifique sur le magnétisme animal. Deux livres seulement sur ce
sujet
, l’un de MM. Orioli et Coge-vina, imprimé à Corfo
ueux d’un père et d'une mère, adressent à leurs bien-aimés enfants et
sujets
quelque touchante exhortation ; ils leur vantent
e rédacteur du Boston Port qui raconte ce fait, ajoute : « C’est un
sujet
d’amusement, pour ceux qui vi-« sitent l’établiss
ait fails ont fini par lui devenir funestes, car c’csl précisément au
sujet
des opérations magiques auxquelles la fille Rosne
s allée aussi pour moi. M. le président. Pour la consulter sur quel
sujet
? Le témoin refuse de s’expliquer. la femme gr
LilJ. Mlle Clémence, donl ta lucidité extrême a fait un des premiers
sujets
en ce genre. Maladies invétérées, recherches, pré
t notez que ceci s’applique aux magnétiseurs les plus orthodoxes, aux
sujets
les mieux éprouvés, ceux qui, sans bruit et sans
du somnambulisme? » Toutejl’Académie' était disposée à admettre ce
sujet
; mais M. Lélut, à qui on en référa à cause de ses
ts, après avoir passé par le cerveau. J’appris que l’incrédulité du
sujet
magnétisé n’empêchait rien, qu’elle était simplem
eleuze et des Puységur. Je voyais ce qu’ils pouvaient faire sur leurs
sujets
, et tout ce qui leur était inconnu. Ils avaient b
’en rapporte exclusivement ù leur caractère intrinsèque. Le premier
sujet
traité par J. Davis est le thème de la création d
it d’une communication de ® peniéc. Sur ce chapitre, notre auteur est
sujet
à eau- tion. Nous n’avons pas oublié que le vér
etien dans lequel cet homme extraordinaire formula son opinion sur le
sujet
qui nous occupe : « 22 juillet 1816. » « L’em
Un passage du livre de M. Esquiros jette une lueur précieuse sur ce
sujet
; avec cet indice, on pourra remonter à la source
t, malgré son étendue , parce qu’il contient des appréciations sur le
sujet
desquelles nous n’aurons pas à revenir ailleurs.
ire, ayant nié le somnambulisme, nous sommes obligé de présenter à ce
sujet
quelques considérations générales. De tout temp
ou qu’il devrait être nécessaire de s’appesantir si longuement sur ce
sujet
? Tout le monde ne connaît-il pas la lucidité admi
ents, et qu’elle ne s’est jamais trouvée en défaut. On no peut, à son
sujet
, concevoir aucun soupçon de charlatanisme : M11*
bles jongleurs. Pendant longtemps, le magnétisme ne fut guère qu’un
sujet
d’expériences et de discussions pour les savants,
. L’instruction a recherché son passé, et n’y a pas trouvé le moindre
sujet
de blâme ; aucun des documents compris au dossier
pour son compte personnel, telle opinion que bon lui semblera sur ce
sujet
; mais, de ce qu’il so détermine pour la négation,
tout le monde se connaît, où le moindre événement devient aussitôt le
sujet
de toutes les conversations, un manège comme celu
constate les communications de ■naladi es par sympathie, et cite k ce
sujet
des faits remarquable», dans son Iwtruction pra-t
ercices puérils, dans le but d’amuser quelques oisifs ou de servir de
sujet
d’expérience à des malveillants ? On conçoit qu’e
rvations du ministère public , s’il avait reçu quelques plaintes à ce
sujet
; mais toutes les personnes qu’on a interrogées a
bûche au sieur Lassaigne, qui devait nécessairement y tomber avec son
sujet
. Vingt lettres furent écrites de part et d’autr
crire dans une boîte était pour lui chose très-facile ; mais tous les
sujets
ne jouissent pas de la même lucidité. La nouvel!»
de puissance qu’un magnétiseur qui veut, quel que soit Yisolement du
sujet
et la quantité du prétendu fluide dont on l’aura
ption. Ne voyons-nous pas d’ailleurs, dans les séances publiques, des
sujets
peu impressionnables repousser les effluves du ma
que. « Ils tendent, dit ce savant praticien (1), à faire des nerfs du
sujet
un prolongement immédiat de ceux du magnétiseur,
qu’ils prétendent devoir aux révélations des esprits, reçues par des
sujets
privilégiés plongés dans l’extase. Cela ne doit p
ui joue un rôle si important parmi les spiritualistes, et en faire un
sujet
d’étude d’un intérêt proportionné à l’importance
oignage de M. Bartlett, pasteur de Poughkeepsie, assez explicite à ce
sujet
, Davis possédait un esprit inquisiteur, aimait le
tôt commencer une série d’improvisations en forme de cours, sur des
sujets
scientifiques. Il choisit à cet effet le DrLyon,
t d’extase, voici comment il procédait : D’abord le magnétiseur et le
sujet
étaient assis commodément l’un devant l’autre. Le
comme serait celle produite par un choc électrique, indiquait que le
sujet
était suffisamment magnétisé. On lui bandait alor
e. M. Bush, le plus digne et le plus capable d’avoir une opinion à ce
sujet
, affirme l’avoir entendu, dans ses cours, citer d
force, de valeur, de réalité à la vision somnambulique que lorsque le
sujet
agit sur lui-même ( i ). Pour les phénomènes de l
ou désigner les différentes teintes d’une série de verres colorés, le
sujet
tenait constamment une des mains de son magnétise
re avec assurance, attendu que parfois, lorsqu’on l’interroge sur les
sujets
de ses révélations, Davis passe si promptement de
tive. Et pour qu’on ne trouve pas notre (1) Voici ce qu'on lit à ce
sujet
dans le Tableau de l’Egypte, pendant l’occupation
Davis dans ses révélations. Il dit : « Sa phraséologie n’est pas un
sujet
de direction intérieure , excepté quand de délica
que tous les esprits ne son! pas savants au même degré sur un parc il
sujet
? Mais lorsqu’on prétend posséder un instrument d
qu’il eût tout compris. C’est de la simple logique. Nous clorons ce
sujet
d’examen par une seule citation , tirée du même p
st vrai que le prodigieux développement que donne à l’intelligence du
sujet
la trance extatique, lui a permis de combiner, co
tamment, bien qu’à des degrés variés. Dans l’état extatique, l’œil du
sujet
devient clair, brillant, pénétrant; il s’illumine
oit être complètement inutile dans une pareille hypothèse; et que les
sujets
lucides, eux-mêmes, possèdent la vision sans le s
r un rapport sera inévitablement subordonné à l’impressionnabililé du
sujet
; quelques minutes suffisent habiluellement. Si
tion. Nous avons certainement réalisé des cures remarquables chez les
sujets
les plus robustes comme chez les plus faibles. L’
er. » Si nous rencontrions dans la pratique du magnétisme un de ces
sujets
dont l’absorption iluidique ne connaît pas de bor
à des crises fort douloureuses, et quelquefois dangereuses, chez les
sujets
affaiblis ou d’une grande susceptibilité nerveuse
ar le contact, et doivent être déterminées suivant les impressions du
sujet
. Le magnétiseur en fera souvent usage sur lui-mêm
tiseur effronté, Exalté, Entêté, Pratique sans loyauté; Plus d'un
sujet
éreinté Offre au public dérouté, Exploité, Hébé
s, et qu’ils arrêteraient le développement absolu des effets chez les
sujets
susceptibles. Mais cette fois encore la théorie f
te magnétisations sont faites dans la soirée, et le tiers environ des
sujets
accusent des effets magnétiques évidents. Voilà
imitative. 11 paraît que dans les séances où on magnétise peu, les
sujets
dont nous avons mentionné plus haut la propriété
ignemenl de ceux qui les éprouvent. Les femmes ont semblé y être plus
sujettes
que les hommes, mais avec bien moins d’intensité.
umain. Yoici, pour exemple de ce qui se dit dans celte enceinte, le
sujet
traité dans l’une des dernières séances : INFLU
rgique, tellement irrésistible , Messieurs , que sur presque tous les
sujets
magnétisés et mis en somnambulisme, un chant sout
ique et le dernier terme‘de l’expansion nerveuse. Alors le cerveau du
sujet
, sollicité par les vibrations musicales, s’isole
régions plus pures, sa physionomie prend un caractère séraphique; le
sujet
semble en contemplation devant le Créateur, ou bi
rvenu, «à l’aide de quelques motifs de danse, à exciter chez le jeune
sujet
toutes sortes de mouvements chorégraphiques, qui
t oublier, el fait d’un animal pensant ou un objet d’admiration ou un
sujet
de pitié et de larmes (1)? » Si la poussière de
nt que possible, bien entendu) ; ma main droite actionne le crâne, le
sujet
ferme les yeux, et au bout de deux minutes, à la
pendant qu’elle dormait, on pouvait l’interroger sur toutes sortes de
sujets
, elle répondait nettement; au réveil, elle ne se
n esprit de prudence bien légitime, tout ce qui pourrait rappeler les
sujets
irritants qui divisaient peut-être au dehors ceux
le signal de cette immense fédération. Voici ce que nous écrit, à ce
sujet
, M. Vallelon, noire correspondant : « Je vous d
e plus inattaquable sous ce rappor t : son iôIc se borne à plonger le
sujet
dans l'état somnambulique, et à l’en tirer. Comme
présence d’une assemblée un peu nombreuse , il est rare que plusieurs
sujets
n’y participent pas. C’est pour cela que les Roma
tile, il vous est acquis. A défaut de science, ils ont la pratique du
sujet
. J. B. [.'Ürh'iiHUtsdu 13 publiait cotte autr
é les savants dont je viens de parler. J’ai quelquefois rencontré des
sujets
si impressionnables, que la seule vue d’un objet
isait pour les plonger dans le somnambulisme. Arrivait-il que ce même
sujet
, tout impressionnable qu’il fût et quelque influe
eu à la moindre crise , et colles qui surviennent quelquefois chez un
sujet
malade disparaissent avec les symptômes de la mal
ts élat contre nature sont expliqués par la po sition particulière du
sujet
somnambule : il est soustrait au monde des sens e
puis ant de l’hé-morrhagic utérine arrivée à son dernier terme. A cc
sujet
, nous en avons conseillé l’administration à dose
ui est-ce qui a touché mes vêtements? » Saint Jean ne dit rien'sur ce
sujet
; saint Luc seul rapporte donc ces paroles tout à
sont entrés les deux champions, mais à ma connaissance imparfaite du
sujet
en question. L’homéopathie revendique comme sienn
ou six minutes de pression avec les doigts allongés sur les tempos du
sujet
suffisent pour le jeter dans un sommeil profond
is. La forme épistolaire, qu'il a choisie, lui a permis d’aborder les
sujets
les plus abstraits avec le langage ordinaire , co
les objets renfermés cl les rendre transparents et lisibles pour ses
sujets
. Vous y trouverez aussi un cas bien remarquable d
lesquels l’opérateur agit directement, par sa parole, sur l’esprit du
sujet
, il ne se trompe pas en disant que l’imagination
e la vie, et en fait sur l’afllux au cerveau de la vitalité propre du
sujet
, par la concentration de son esprit. Cette sorte
. Cette sorte d’abstraction amène un état particulier, dans lequel le
sujet
, tout éveillé et ayant conscience, éprouve tous l
luide dans le procédé usuel est ainsi évitée : tout l’effort vient du
sujet
. On pourrait dire que celui-ci a toute la peine e
la vue active et prolongée d’un seid objet, l’opérateur s’approche du
sujet
et le prie de fermer les yeux. Ce qui étant fait,
pressible n’existe pas ou est incomplet, M. Darling prend une main du
sujet
dans la sienne, et le regarde fixement dans les y
essais. Quand, par l’épreuve des yeux, M. Darling a reconnu que le
sujet
peut obéir à sa volonté exprimée verbalement, il
pervertit le tact et le goût, à tel point qu’un corps froid brûle le
sujet
ou le fait grelotter, qu’il prend l’eau pour du l
e. Nous avons déjà cité la paralysie des bras : M. Darling défiant le
sujet
de lui donner un soufflet, sa main s’arrête contr
. Le même empire s’exerce également sur la mémoire; par exemple, le
sujet
oublie son nom, celui d’une autre personne, d’un
une tabatière, une chaise pour un chien; c’est l'illusion; ou bien le
sujet
voit des choses qui n’existent pas, tels qu’un li
affectée ; et, comme dans les expériences magiques de M. du Potet, le
sujet
se croit être un personnage quelconque, et agit (
otions sont aussi profondément altérées que le reste des facultés. Le
sujet
supposé riant, 1 opérateur l’arrête, le rend sé
est bientôt suivie de sourire, puis d’un rire incessant, sans que le
sujet
puisse indiquer plutôt la cause de sa tristesse q
ectrique. Ses procédés consistent aussi dans l’influence préalable du
sujet
par lui-même au moyen également de la concentrati
nuer la vivacité des impressions lumineuses pour que presque tous les
sujets
fussent voyants. On sera entièrement de son avis,
airvoyance à l’état de veille et de conscience, en magnétisant non le
sujet
mais les objets. M. Buckley commence par se fai
ace s’illumine d’une lumière bleue bien visible, il en conclut que le
sujet
sera vraisemblablement voyant éveillé ; si au con
eillé ; si au contraire cette lumière est pâle ou à peine visible, le
sujet
ne verra qu’après avoir été endormi. Les person
ontinue, qui fut pour ainsi dire le prélude d’une maladie qui fait le
sujet
de cette observation. C’est, en effet, à dater de
ques observations. Le hasard m’ayant mis en rapport avec un ouvrier
sujet
à des allaques épileptiques, j’ai obtenu, au bout
rop gros en vous envoyant les journaux même. Vous y verrez un nouveau
sujet
de lecture de M. Fiske, car il a des théories à l
certains organes; il donne des secousses à vingt pas et renverse ses
sujets
, soit par un coup de poing, soit en le poussant v
right, » souvent en frappant violemment de la main sur les épaules du
sujet
. — A propos de ce ail right, je vous engage à lir
qui ne manque pas d’intérêt au point de vue de la propagation dont le
sujet
nous occupe en ce moment. Passons à une autre s
de leçons sur VElectro-biologie , science récemment découverte. — Le
sujet
de sa première leçon sera la puissante influence
pouvoir sur le mouvement de ses muscles. RI. Fiskc a commencé sur ce
sujet
un cours de lectures à 1'Arhiory-HaU ; il avance
re de personnes ont assisté à ses séances, et ses expériences sur des
sujets
en étal de veille oui un caractère merveilleux
t. Nos oreilles étaient attentives, dans l’attente de voir aborder ce
sujet
, mais en vain. Nous parlerons des expériences d
allons établir une enquête, dans le but de savoir pourquoi les mêmes
sujets
se trouvent amenés tous les soirs devant le publi
mouvements qu'olle doit oxhiber, et autres choses so rapportant à un
sujet
qui attire tant l’attention dans la Cité du Crois
ri. Parmi les illusions produites sur certaines personnes, plusieurs
sujets
avaient rapport il la mythologie classique. Dans
les côtés de la salle, à la consternation et à la grande surprise des
sujets
. Un Français ayant soif, voulut boire un verre d'
sonnes de bonne volonté, sorties des rangs dos spectateurs, scrunl le
sujet
do ces expériences, cl l'opérateur, sans rien leu
écanique. Dans le premier cas l’opérateur exerce une influence sur le
sujet
; dans le deuxième, c’est une impression qu’il lui
e il est nécessaire de produire d’abord le somnambulisme, pour que le
sujet
puisse être influencé ; tandis que les personnes
étiseur; en biologie, il n’en existe pas plus entre l’opérateur et le
sujet
qu’entre les deux premières personnes venues. Dan
ctro-biologie, mais par des impressions. En mesmérisme. la volonté du
sujet
est sous la dépendance absolue de celle du magnét
e dépende de l’opérateur; en électro-biologie c’est tout l’opposé, le
sujet
conserve le même empire sur sa volonté, et il peu
faitement indépendant de la volonté de l’opérateur. En mesmérisme, le
sujet
est totalement privé de la conscience de ce qui s
le procédé mesmérique que les expériences pourraient être faites. Mes
sujets
n’ont point été endormis, ils sont dans leur état
m’en rappelle que deux qui aient été sous l’influence mesmérique. Les
sujets
les plus sensibles à mon action étaient toujours,
procédé mesmérique, réussir à faire avec succès, sur quelqu’un des
sujets
sur lesquels j’ai opérédepuis mon arrivée ici, un
on ne peut plus affligeant, d’une personne qui était depuis longtemps
sujette
à des spasmes ou à des convulsions violentes, et
(Traduit du Cincinnati chronicle.) M. FISKE SUR L’ACQUISIVITÉ. — Le
sujet
de la leçon d’aujourd’hui, à Armory Hall, sera le
qu’elles le voudront, pour satisfaire leurs amis ou pour en faire un
sujet
d’amusement en société, ou pour en faire l'applic
à la Waich housc de la rue Baronne, pour voir s’il s’y trouverait un
sujet
convenable. Il n’y en avait pas; alors je parcour
t et le fis conduire à Annory Hall, où M. Fiske faisait son cours. Le
sujet
était tellement ivre, qu’il fallut quatre hommes
eut recours à la police pour me faire mettre à la porte ainsi que le
sujet
. Je me retirai, et le sujet fut descendu el dépos
r me faire mettre à la porte ainsi que le sujet. Je me retirai, et le
sujet
fut descendu el déposé sur un des côtés de la rou
. L'Abeille du 5, revenant sur cette curieuse affaire, en a fait le
sujet
d’un article charmant, dont la traduction suivant
ars en courses de cabriolet, et réussit enfin à mettre la main sur un
sujet
dont les idées sur la tempérance contrastaient si
savant professeur, dans la bienveillante intentionjde lui fournir un
sujet
parfait pour ses expériences. Cependant on le pri
te du fluide aqueux, 011 réussit à rendre en partie la sensibilité au
sujet
. Si parmi nos lecteurs, il s’en trouvait à qui il
s : c’est le coup de baguette d’arlequin. Ils ramènent tout à coup le
sujet
du monde idéal créé par le professeur, aux affair
obustes de cet enfant de la forêt à l’état d’impuissance : c’était un
sujet
parfait. La porte du Cercle cria sur ses gonds et
la Providence le lui a envoyé, elle a placé jusque sur son chemin le
sujet
d’un triomphe signalé. Maintenant, à l’œuvre, fai
rsh, et d’un pas rapide il s’approche de Rob. Il se met à examiner le
sujet
. AU right! s’écria Timothée dans son enthousiasme
elle pouvait être, et après avoir prononcé ces puissantes paroles, le
sujet
fut soumis à un certain contact de la science, qu
avait eu l’usage de ses sens, aurait pu récompenser avec intérêt; le
sujet
resta passif, Timothée redoublait d’efforts. AU r
nerre, et les coups recommencèrent déplus belle. Il saisit la lêle du
sujet
, la tourne et retourne de celle manière toute par
électro-biologie, qu’il faut rehausse* en frappant l’imagina tion du
sujet
, et en se donnant soi-même des contorsions plus o
ambulisme, etc... » Quel professeur !... Il était venu seul, sans
sujets
pour opérer, el il ne se trouvait pour lui que so
a morl était si prochaine, se mit donc à opérer électriquement sur le
sujet
, quant, au grand étonnement delà foule, et, après
e et d’endort-niais, méthode facile et abrégée de se débarrasser d’un
sujet
qui est au-dessus de la portée d’esprits superfic
préjugés et les idées préconçues. Ceux qui réfléchissent sur de tels
sujets
, ne peuvent manquer de comprendre les motifs qui
t, qui était son frère, et développer en lui tous les effets dont les
sujets
les plus impressionnables soient susceptibles. Le
nt complètement soumis au pouvoir de l’expérimentateur. Il privait le
sujet
du mouve- ment, ou le lui rendait irrégulier sc
nta à son imagination mille objets fanlasliques qui, dans l’esprit du
sujet
, se convertissaient en objets réels. Ces expérien
ette circonstance. La réputation de l’expérimentateur, le fait que le
sujet
était un enfant incapable de jouer un rôle qui eû
date du 22 mai i85o, un assez long article du Dr James S. Oleott, au
sujet
du procès du Dr Webster, condamné pour meurtre du
est pas permis d’en disposer. 11 faut convenir qu’il y a là un beau
sujet
de méditation ; nier absolument ce que dit le Dr
ent à l’homéopathie; en voici la suite. Nos propres réflexions sur le
sujet
de cet important débat viendront à la fin de l’ar
et, comme eux, appréciable seulement par ses effets. Comme eux il est
sujet
à des lois qui sont pour nous autant, de mystères
ielle) de la psychologie (science de l’esprit). Voici ce que dit à ce
sujet
le savant prêtre chrétien Loubert, dans son ouvra
doués d’une lucidité remarquable; aussi sera-t-il encore longtemps un
sujet
de discussion enlre MM. les docteurs Perrier, Ord
e dont nous noua consolâmes. « Mais le magnétiseur Marcillet et son
sujet
Alexis arrivèrent, ce dont nous nous applaudîmes.
it confiée. Voici ce que nous trouvons dans les livres anciens sur ce
sujet
. Ils contiennent presque tous la même formule.
ont sur le bord du précipice. D'où vient cette précaution d’Apulée au
sujet
des mystères des choses sacrées : « Je vous décou
, 11e sont ordinairement pas sensitifs; néanmoins quelques-uns de ces
sujets
ont été évidemment influencés, même ceux qui font
gueurs chroniques; sont également susceptibles de celte influence les
sujets
(pie les parfums incommodent; mais elle s’observe
, que plus de la moitié des maladies auxquelles la nature humaine est
sujette
, peut se guérir en une minute, sans douleur, sans
que vous ne pouvez faire naîlre dans l’organisme ou dans le moral du
sujet
. Ainsi je vous parlerai d’une même maladie, exist
oresque, où tout enfin est un objet d’admiration pour le touriste, un
sujet
de méditations pour le moraliste et le philanthro
-présidents, par le trésorier ou par trois membres du comité; mais le
sujet
de cette convocation devra être spécifié dans la
cun de ceux qui peuvent se trouver intéressés personnellement dans le
sujet
en délibération, n’aura droit de voter dans aucun
t ces lucides. Bien que nous admettions que la lucidité chez quelques
sujets
convenablement dirigés, puisse rendre d’immenses
parmi les témoins de ce fait extraordinaire, ayant été interrogé à ce
sujet
lors d’un voyage qu’il fil à Paris, en a certifié
l’énuméralion, car tel objet dont le contact est désagréable pour un
sujet
, sera propice pour un autre. Ainsi le fer et le v
être subordonné aux effets qu’on veut réaliser, à l’idiosyncrasie du
sujet
ou aux forces du magnétiseur. C’est particulièr
ais : qu’on y prenne garde dans les familles. Le magnétisme fait le
sujet
d’un grand procès que le public, et non les médec
andes et variées que soient leurs connaissances, qui se rattache à ce
sujet
et leur donne le droit de décider ex cathedra sur
est aussi capable de bien juger que tant de docteurs pour lesquels le
sujet
est également neuf et embarrassant. Quand les doc
peine d’examiner la pratique des autres , et soigneusement ¿tudié le
sujet
, le public ne pourra mieux faire que de les prend
entre les mains de ceux qui devraient seuls le pratiquer, car il est
sujet
:i d’énormes anus entre les mains des ignorants e
En i832,M. Fillas-sier, étudiant en médecine, prit le magnétisme pour
sujet
de sa thèse inaugurale, et les savants médecins q
s libraires. Le public sera de plus en plus excité à s’instruire à ce
sujet
par les récits qui lui viendront de toutes parts.
tants, étrangers au magnétisme, à s'approcher pour bander los yeux du
sujet
. Deux messieurs se présentèrent, et mirent sur ch
uelqu’un présenta une enveloppe cachetée, renfermant un mol écrit; le
sujet
lut, après quelques moments d’hésitation : « Adol
r phénomène du voyage en imagination. Un monsieur s’assit auprès du
sujet
, lui prit la main et s’imagina faire un voyage qu
bulisme ont éclaté, mais les poursuites n’atteignent encore aucun des
sujets
connus par une clairvoyancepositive et des relati
ue humain. Mode de son émission, 325. — Ses effets contagieux sur les
sujets
doués de propriétés absorbantes, 387. Fluide
tiques. Nous avons multiplié ces expériences sur plus de trois cen ts
sujets
, et presque toujours elles ont été concluantes. N
fféren tes histoires ou procès'de magie, de sorcellerie, d’exorcisme,
sujets
déjà si dramatiques par eux-mêmes. Une publicatio
tradiction, ils refusèrent de l’autoriser ; plusieurs ouvrages sur ce
sujet
sont mis à l’index avec la clause donec corrigatu
s dans cette voie mystérieuse ; les modifications remarquées chez les
sujets
tourneurs de tables ont conduit naturellement au
foi ont dû être arrêtés par les difficultés inhérentes à la nature du
sujet
et que nous ne devons pas dissimuler. Les scien
ut de plus tenir compte des dispositions morales de l’opérateur et du
sujet
, dispositions qui peuvent varier à l’infini, et p
nt de cette aptitude, la possèdent à des degrés très-inégaux. Le même
sujet
n’est jamais parfaitement semblable à lui-même, e
ut y avoir de compères, surtout quand il s’agit d’expériences que les
sujets
ne pouvaient évidemment prévoir et qu’ils auraien
ra clair pour tout le monde que tout cela ne peut être joué et que le
sujet
n’aurait, pas volontairement accepté un tel rôle.
d on opère devant des inconnus, le mieux est de 11e présenter que des
sujets
préparés, de ne faire que des expériences qui, so
re une expérience très-concluante, qu'on peut faire avec les nombreux
sujets
susceptibles d’attraction. Le magnétiseur est dan
susceptibles d’attraction. Le magnétiseur est dans une chambre et le
sujet
dans l’autre ; ils sont séparés par un mur, et pa
nes convenus au magnétiseur, qui successivement attire et repousse le
sujet
; si l’attraction et la répulsion concordent exac
ulsion concordent exactement avec les signaux , il est évident que le
sujet
aura obéi à une puissance étrangère aux lois ordi
cte perceptible aux sens. On peut encore, en cas d’insensibilité d’un
sujet
, inviter un des spectateurs à faire sur lui inopi
ment des épreuves qui n'aient pu être prévues ni du magnétiseur ni du
sujet
, et qui déconcerteraient les ruses d’un fourbe si
qui produit des effets tout différents du somnambulisme. Mais, sur ce
sujet
plus encore que sur tout autre, il n’y a rien de
et effet et qui était élevée de trois pieds au-dessus du parquet ; le
sujet
était ainsi en vue de toute l’assemblée. Voici co
xercer les droits de membre de la Société , traita fort longuement ce
sujet
qu’il a beaucoup étudié. Il commença par exprimer
le spectacle constant de l’infini ? Mais nous nous éloignons de notre
sujet
, revenons à la médecine. Il faut faire sortir d
crâne. Si, par exemple, on actionne la bosse de la combatti-vité, le
sujet
entre en fureur, cherche querelle à ceux qui lui
er des coups. Agit-on, au contraire, sur la bosse de la vMrution , le
sujet
exprime des sentiments religieux, sa physionomie
Agissez sur l’organe de la causticité pendant que vous désirez que le
sujet
se mette en colère, et vous verrez que , nonobsta
t se mette en colère, et vous verrez que , nonobstant votre désir, le
sujet
sera pris d’un rire homérique. « 3° Choisissez
e de la destructivité, vous ne réussissez pas à temps à dominer votre
sujet
. L’état d’effervescence et d’irritation dans lequ
is, mes connaissances , leurs chiens, leurs chats, tout me devint des
sujets
d’expérimentations. — J'en lis de très-belles à P
d il s’agit d'une fièvre intermittente simple et bénigne ; mais si le
sujet
est pris d’un accès pernicieux, caractérisé par u
que si les mouvements du cœur ne rétablissent pas la circulation, le
sujet
mourra infailliblement. Il faut donc tâcher de ré
ne volonté âpre le cerveau pour y attirer le peu de sang qui reste au
sujet
, afin que l’action réparatrice de l’innervation p
blesse, des tempéraments affaiblis par le jeûne ou la diète, chez les
sujets
exténués par une fièvre lente (ataxique) longtemp
olongée, etc. Mais lorsque la syncope se présente brusquement çhez un
sujet
vigoureux par suite d’une émotion morale ou d
aumatique, électrique ou thermique ; lorsque le sang abondant chez le
sujet
s’est retiré des extrémités, que la face est déco
rapeutique n’existe ni ne peut exister, et toutes les recherches à ce
sujet
seraient parfaitement chimériques. Quel sera donc
tions seront de simples renseignements, parfois utiles, mais toujours
sujets
à révision. Comme l’ensemble du travail de M. H
rtificats à ceux dont il aura constaté la lucidité, et qu'il aura des
sujets
lucides à la disposition des médecins. Nous le fé
rigine et sa destinée?,.. ■ Il serait intéressant d’entendre sur ce
sujet
un lucide aussi éminent qu’Alexis. Mais nous auri
livre, a eu une puissante influence sur la nature des pensées de son
sujet
. » Ce magnétiseur est une dame qu’on ne nomme pas
que, quant aux influences du magnétisme, il s’abstient de traiter ce
sujet
, dans la crainte de blesser a la juste susceptibi
lité de son ami Delaage qui ne le verrait pas avec plaisir traiter un
sujet
qu’il a plus étudié et qu’il sait mieux que perso
mbien la lucidité est précaire ; il affirme qu’il n’existe pas un
sujet
jouissant d’une lucidité constante, et il conseil
volonté , tout en regrettant l’inefficacité de ses efforts. Et, à ce
sujet
, il y a lieu de s’étonner qu’un catholique aussi
E FAMEUX MÉDIUM AMÉRICAIN, Articles de journaux et réflexions à son
sujet
; immortalité de l'âme. Le phénomène des tables
ns ici que pour la curiosité de nos lecteurs. — Voici, du reste, à ce
sujet
, deux articles de journaux : l’un est extrait des
rance, le second par le sarcasme. Ce rapprochement et ce contraste au
sujet
d’un même fait n'est pas un des traits les moins
à son tour, tant il vient à l’appui de ce que nous venons de dire au
sujet
des railleurs et des incrédules. M. Paul d’Ivoy
agnétisme n’est plus aujourd’hui un fait contestable. Qu’on lise à ce
sujet
tout ce qui a été écrit sur semblable matière, ou
nsée, et que sa volonté agissait sur moi. » Questionné plus tard à ce
sujet
, notre homme finit par faire un aveu conforme au
séances, dont le public se renouvelle à chaque fois. Il n’a point de
sujets
à lui, préparés à l'avance, de là, impossibilité
e causer aucun effet, mais, tandis qu’il multiplie ses efforts sur un
sujet
rebelle à son action, il se trouve que l’agent ma
tion. Les détails romanesques nuisent non seulement à l’ordonnance du
sujet
, mais ils peuvent même jeter quelque défaveur sur
et frappeurs d’Amérique n’ont guère rien appris au delà, et, dans un
sujet
où la certitude n’existera jamais, on doit reconn
omme ignorant de la science déclare-t-il absurdité et superstition le
sujet
que d'autres ont étudié pendant longues années, q
ces questions, et toutes celles que le Très-Haut nous « indique comme
sujet
d’observations : il n’y a ici d'autre n excuse qu
is ne nous exagérons pas l’utilité de l’enseignement théorique sur ce
sujet
. Les auteurs sont extrêmement divisés sur le choi
condamnées par la moralité ou les bienséances, n’ont point manqué de
sujets
complaisants, disposés à se prêter sans réserve à
se fasse une juste idée de la lucidité telle qu’elle existe chez les
sujets
où elle a pu être observée. Une foule de personne
cessé de rappeler que la lucidité était très-variable, même chez les
sujets
les plus éminents ; qu’il n’y avait ni pour ceux-
mettre à un contrôle sévère ; nous avons même cité dernièrement, à ce
sujet
, les aveux très-explicites du fameux Alexis et de
les derniers temps par le docteur Charles Summer, de Rochester. Le
sujet
était,upe jeune fille de dix-neuf ans, d’un tem-,
extraites fut de trois cent quatre-vingt-une. Cette jeune fille était
sujette
à des accès de som- nambulisme. Elle souffrai
re et aux Etats-Unis, la législation est beaucoup plus tolérante à ce
sujet
. Il est permis à tout le monde de traiter les mal
’étude du magnétisme animal, d’examiner si les races qui ont servi de
sujets
aux observations que nous venons de recueillir, e
entiment de la vénération religieuse, que nous reconnaissons dans les
sujets
magnétiques de haut titre. En ce moment où l’on
notre part été témoins d’aucun des phénomènes qu’on a racontés à son
sujet
. Nous avons eu sa promesse de nous faire assister
ccident comme étant la conséquence des actes incriminés. Voici à ce
sujet
des détails que nous empruntons au 20 Décembre, j
plus ou moins rares, soit parce qu’on ne les obtient que sur quelques
sujets
heureusement doués, soit parce qu’ils ont été fav
our tout le monde ; mais, malgré les erreurs palpables contenues à ce
sujet
dans les anciens auteurs, leur récit n’en doit pa
pourtant cet état si semblable à la mort n’est pas la mort ; et si le
sujet
recouvre la santé (comme il y en a de nombreux ex
ible alors d’alléguer l’objection banale de compérage île la part des
sujets
. On a cité particulièrement les expériences de M.
ts, le loup ne mangea ouaille de son troupeau. » L’auteur ajoute à ce
sujet
la note suivante : « Nul ne sait quel pourrait êt
moiselle et sur beaucoup d’autres personnes.' Un soir, je dis à mon
sujet
: Vous rêverez à votre futur mari. Le lendemain,
s seront donnés par vos enfants : ils verront pendant leur sommeil le
sujet
de vos recherches. Le lendemain, la mère question
uées de facultés exceptionnelles et appelées médiums. Ce que dit à ce
sujet
M. Barthet intéresse particulièrement les magnéti
nous apprend cette grave nouvelle, et tout ce qu’il nous raconte à ce
sujet
nous intéresse au plus haut degré. Ce sorcier, ré
ce aux esprits, au surnaturel, bien au contraire. Us n’ont fait, à ce
sujet
, que rire des faits les plus patents, les mieux p
M. de Maldigny, bien qu’elle ne traite pas nominalement de notre
sujet
, elle est trop dans la communion et le développem
val (Seine-Inférieure), que d’un jeune homme de dix-neuf ans, qui est
sujet
au somnambulisme naturel. Etant domestique à la P
s ceux qui s’occupent de magnétisme, nous croyons utile d’entrer à ce
sujet
dans quelques détails. Les faits de la cause so
nambulisme dans la pratique médicale ; plusieurs ont même publié à ce
sujet
des ouvrages recommandables dout nous avons rendu
Il y a des communications fort intéressantes et pleines d’onction. Un
sujet
s’est développé comme médium parlant, et il n’est
peur. Or, si l'on veut éviter cela, il faut complètement isoler le
sujet
, et magnétiser tous les instruments dans l'intent
c deux autres épreuves, d’obtenir les mêmes résultats-sur deux autres
sujets
sensibles; mais j’étais présent aux trois expérie
par lui-même, il n’était qu’une occasion d’influence-, il mettait le
sujet
en état d'absorption-, vous le magnétisiez à votr
nétique et sont ensuite soudainement guéris. (Nous avons publié, à ce
sujet
, dans ce journal, 185(5, page 18, la curieuse rel
ppelant à la raison son camarade en ivresse... « A peine le premier
sujet
fut-il à terre, qu’un autre prit sa place, sautan
faire d’expérience qui puisse mettre en danger la vie ou la santé des
sujets
. Seulement les expériences bien connues d’insensi
nal pour chacun de vous, et nous nous dispenserons de citer le nom du
sujet
de notre observation. C’est qu’il s’agit moin
ormuler d’une façon précise dans notre pensée, et à la communiquer au
sujet
par une sorte de pantomime que la parole remplace
isation générale de quelques minutes, comme si je voulais endormir le
sujet
. L’expérience m a démontré en effet que si le suj
ulais endormir le sujet. L’expérience m a démontré en effet que si le
sujet
était sensible, les actions, même locales, étaien
ouvements de l'épaule, devenait’un auxilaire, car il pouvait aider le
sujet
quand ses efforts se sont joints aux miens pour o
a séance en magnétisant toute la partie souffrante et en dégageant le
sujet
de l’état magnétique. Le lendemain , le sujet fai
ante et en dégageant le sujet de l’état magnétique. Le lendemain , le
sujet
faisait sans trop de peine ni de souffrance tous
nt de la môme façon, agissant moi-même pour déterminer l’imitation du
sujet
, aidant au besoin lorsque l’acte était pénible ,
e déterminer l’auto-magnétisa-tion , c’est-à-dire la magnétisation du
sujet
par lui-môme. On fait ainsi concourir harmonieuse
des corps bruts, on n’a pas à craindre l’imputation de compérage des
sujets
. L’accusation de jonglerie peut également être éc
ous donner les moyens de nous convaincre. Nous remarquerons, à ce
sujet
, que bien des ouvrages sur le magnétisme sont ple
C’est à ce double titre que j’ai voulu lui payer ma dette. Mais le
sujet
m’ayant entraîné plus loin que je ne le pensais,
pour s’être occupé de l’examen du somnambulisme, et s’être livré à ce
sujet
à d’intéressantes et instructives études; 3° A
ant d'un morceau de versification que j'avais autrefois essaye sur ce
sujet
, confessera mieux mes idées. L'homme, être faib
de mes essais, dans trois expériences de ce dernier genre, avec trois
sujets
étrangers l’un à l’autre, en des lieux éloignés e
itôt que j’eus connaissance de la discussion soulevée par ma thèse au
sujet
des syncopes (voir le Journal du Magnétisme, n° 3
s, remèdes qu’elle indiquait ensuite. L’observation de M. Louyet au
sujet
du traitement de la paralysie peut être très-rati
cteur Teste avait pour cliente une jeune fille de seize ans qui était
sujette
, depuis quelque temps, à des accès de folie. Elle
ncordance de tempérament qui doit exister entre le magnétiseur et son
sujet
. » Nous avons annoncé, dans notre numér«du 15 j
out à fait semblables à ceux des Américains. Ce savant a publié, à ce
sujet
, divers articles dont nous extrayons ce qui suit,
s l’intérêt de la science , à des recherches suivies pour élucider ce
sujet
. Il serait particulièrement curieux d’étudier les
omancie et à d’autres pratiques de magie, il y aurait encore un riche
sujet
d’instruction dans l’histoire du Tsiang-Tiense (o
communauté, la presque unanimité des dires anciens et nouveaux sur ce
sujet
, les lois de cette physiologie universelle ne sem
à fait étrangers à la pratique de la poésie. Je rentre ici dans mon
sujet
principal, et j’en reviens à notre Jullie. Aussi
déclarent nedéfer-miner qu’une illusion sur le goût ou l’odorat d’un
sujet
chez lequel ils opèrent la sensation d'une saveur
ots de fleurs. Après plusieurs heures de séjour, vous entendrez votre
sujet
dire des choses étonnantes : les fleurs sortiront
en tête, enfin redoutable comme un géant luisant. Faites regarder au
sujet
sa propre forme, un peu confuse, elle se trouvera
ès. Le mari de cette dame, très-bon mesmériste, avait en ce moment un
sujet
sous la main. Il le plonge en crise magnétique et
(1) Journal du Magniliime, mois de février, mars, avril 1856. Le
sujet
s approche de madame A..., mais en laissant entre
ipitées ou ralenties, plus retentissantes ou plus douces , suivant le
sujet
que traite l’orateur invisible. Au bout de troi
ue prudent. Il faut savoir, «n outre, convenablement réhabiliter le
sujet
après l’épreuve. dame P... s’assoupit graduel
ue-là tout mon temps, j’allais me livrer à l’étude de cet intéressant
sujet
avec toute l’attention et tout le loisir nécessai
personnes qui se sont engagées au secret. Il est très-réservé sur ce
sujet
, et il dit que les journaux qui en ont parlé, n’o
ient à leur cause le plus éminent service en envoyant à Paris quelque
sujet
éminent qui, loin de fuir les regards et de se ré
t des lumières qui chez eux surabondent. Chez nous, au contraire, les
sujets
sont peu nombreux et très-faibles, la plupart bor
le. D. — Sur la parole des hommes sérieux qui se sont occupés de ce
sujet
, si l’on n’écoute que la volonté de s’instruire a
t, par ses réponses, je devinais « le sens de ce qu’ilavaitentondu. L«
sujet
de sa conversation était si élevé, « et les expre
vou-« drail bien répondre à des questions. Il a répondu : Oui. — Quel
sujet
il « préférait? — Sciences. — Quelle partie? — Dé
ns, la voix revient au moribond, il parle et fait connaître qu’il est
sujet
à des accès de stupeur cataleptique pendant lesqu
imprime au système musculaire une raideur comme tétanique, donnant au
sujet
qui en est atteint toutes les apparences d’un mor
tait pas venu à la pensée de l’étudier, de fixer nos convictions à ce
sujet
. Non seulement nous étions sceptique, et, ce qui
qui nous disaient les avoir vues en œuvre, et qui nous citaient à ce
sujet
toutes les circonstances de temps et de lieu les
histoire, et nous arrivâmes à nous faire une conviction parfaite à ce
sujet
. Sur ces entrefaites, arriva à Paris M. Hume, l
'être pas séduits par des illusions ou des préventions. J’agis sur le
sujet
en élat de veille et qui ignorait ce dont il s'ag
pétaient à chaque seconde. Voici les procédés que j’ai employés. Le
sujet
étant mis en somnambulisme,, pour produire la cha
peut nier qu’il n’y ait déjà des résultats fort remarquables, et les
sujets
doués de pareilles facultés doivent nécessairemen
ud ou du froid. Pour l’électricité, je la démontrai sans écarter le
sujet
du plancher. Le sujet, interrogé sur l’utilité
’électricité, je la démontrai sans écarter le sujet du plancher. Le
sujet
, interrogé sur l’utilité de ces développements, r
pour eux, il s’agit d’une conquête définitive de la science, d’un des
sujets
les plus féconds et les plus grandioses sur lesqu
ivres sacrés que des ouvrages humains, toutes leurs assertions seront
sujettes
à vérification r comme celles du premier venu ; s
Que doit mettre à Bicètre un État bien réglé (2)1! (1) Voir à ce
sujet
la critiquc.qu’a faite le Siècle de la versificat
onté, un désir quelconque, les esprits à se manifester sur tel ou tel
sujet
donné et à l’Occasion de telle et telle circonsta
soit jamais trompé. Bien plus, ils ont tous reconnu la fragilité des
sujets
, même les plus éminents. Ainsi, MM. Marcillet et
voit juste. Il est donc bien évident que, même en s’adressant aux
sujets
les plus renommés par leur clairvoyance, on courr
teurs Teste, Louyet, Loger, Louis Séré, Huguet, etc., ont publié à ce
sujet
des relations pleines d’intérêt qui prouvent que
nce et de sagacité, et que les réponses des somnambules sont toujours
sujettes
à être contrôlées, soit qu'il s’agisse d'eux-même
bienfaisance. Le journal The suit, du 22 juin dernier , contient à ce
sujet
d’intéressants renseignements. La prospérité de c
cousine, et aussitôt le somnambulisme produit, je l’interrogeai à ce
sujet
. Après m’avoir décrit les effets que j’avais ress
ier mode, je me suis plus souvent servi du second. Mais d’abord, au
sujet
du premier mode, je dois ajouter quelques explica
position rapide et immédiate (1). Cette explication étant donnée au
sujet
du déplacement de l’â:ne des somnambules, je pass
ignée. Ces évocations, je les fais ordinairement (I) Sur ce dernier
sujet
, lisez la curieuse révélation d'Edgar Poe, la Vér
ants sont reconnues par plusieurs magnétiseurs. Voici ce que dit à ce
sujet
M. Allan Kardec (1) : « Une personne vivante évoq
cté de somnambulisme nocturne. La faculté de médecine, consultée à ce
sujet
, proposait de le purger à mort ou de le saigner à
hercher un médecin qui, après avoir, avec mille peines, débarrassé le
sujet
trop impressionnable du fluide magnétique dont el
lus grands désordres nerveux peuvent s’ensuivre. Nous ne pouvons à ce
sujet
que recommander encore l’étude assidue du magnéti
isme ; ne perdez jamais votre sang-froid et n’abandonnez jamais votre
sujet
lorsque vous l'aurez mis en crises, et surtout ne
st également passé près de Zante. Voici un extrait du rapport lu à ce
sujet
: « Ayant dépouillé entièrement le jeune Politi
corps se manifeste comme dans la vie ordinaire;, donc, pendant que le
sujet
observe des objets plus ou moins éloignés, il ne
i distinguent ainsi Yâme et Yesprit, loin de contribuer à éclairer ce
sujet
difficile, ne font que l’obscurcir davantage ; et
définitive n’expriment rien. Nous avons cru devoir insister sur ce
sujet
, parce que bon nombre de magnétiseurs sont encore
ntermédiaire , nous paraissent nécessiter une réfutation : ce sera le
sujet
d’un prochain article. A. S. MORIN. CORRESP
sciences de France reçut mission de décerner un prix de 25,000 fr. au
sujet
magnétique qui lirait les yeux bandés. Ici est l’
e le docteur retira trop tôt son prix, car, soit dit sans vanité, mon
sujet
Alexis l’eût gagné, si à cette époque il eût été
t à la sincérité de M. Marcilletetà la lucidité si remarquable de son
sujet
. Nous qui avons eu des somnambules qui lisaie
cette volonté ainsi qu’aux circonstances où elle s’exerce (voir à. ce
sujet
notre article du 2ô février 1857, n°4, du Journal
ux excursions de différents voyageurs dans le centre de l’Afrique. Au
sujet
d’un de ces voyageurs, la Presse raconte : « Un
out le monde peut magnétiser (bien que la puissance varie suivant les
sujets
). Qu’une personne pieuse, invoquant le nom de Die
us avons encore eue à discuter récemment. Nous nous bornerons, sur ce
sujet
, «à constu- ter qu'il est faux que les tables
me, du spiritualisme, sans toutefois nous appesantir sur aucun de ces
sujets
. Tout était grave clans cette maison ; le vide, d
ées de mes très-chers compatriotes soient devenues plus favorables au
sujet
que je médite. Les guérisons obtenues depuis la
es plus laborieux. Je pense que vous avez dû recevoir une lettre à ce
sujet
. Veuillez agréer, mon cber maître, avec mon att
e qui m’arriverait. J’espérais donc vous donner quelques détails au
sujet
d’une cure superbe et pleine d’attrait pour le ma
ement rendre compte de celles qui nous ont paru remarquables. 1° Le
sujet
est posé à terre, couché sur le dos ; on relève s
s gestes sans contact, exerce l’attraction sur le ventre, le corps du
sujet
quitte le sol et prend la position horizontale, n
is des incrédules. Si, par exemple, le magnétiseur se place devant le
sujet
et fait des gestes pour l’attirer, ou si, placé d
opéré à la Société du Mesmérisme pour prévenir cette objection. Le
sujet
étant endormi, le magnétiseur s’est retiré dans u
é dans une salle voisine, puis un des spectateurs a bandé les yeux au
sujet
, l'a fait tourner plusieurs fois sur lui- même, a
re d’agir ; le magnétiseur a fait des gestes en silence : aussitôt le
sujet
, qui tournait le dos au lieu d’où venait l’impuls
t il donne la description , et à l’aide de laquelle il produit sur le
sujet
des secousses très-légères. Il déclare avoir obte
its ne peuvent être attribués à l’action d’une volonté étrangère. Les
sujets
soumis à ces expériences s’étonnent de leur propr
blement au coin du feu. Après un quart d’heure de causerie sur divers
sujets
et sur le spiritualisme en particulier, un petit
t que manifestation physique du monde des esprits, puisque tel est le
sujet
spécial de cetle lettre. La nature de ces sons,
elle il était assis, ("est ce que je fis avec le plus grand soin. Mon
sujet
était fortement assujetti sur son siège, et ses p
ou à titre de client. Je consultai furtivement un de mes voisins à ce
sujet
: il m’apprit que nous étions chez un gentleman (
et, muni d’une bonne corde, j’assujettis fortement les mains d’un des
sujets
derrière le dos; je passe ensuite les deux bouts
s et les pieds. Je m’assure ensuite que les quatre membres de l’autre
sujet
ont été enlacés de façon à en rendre tout mouveme
ion du récit que j’ai à vous faire sur l’ex-étudiant de Cambridge, un
sujet
éminemment digne de notre intérêt. A vous, mon
ait l’heure que je magnétisais madame Bcrson. Je me suis rappelé à ce
sujet
pareille circonstance, mentionnée dans le Manuel
la complaisance qu’il avait mise à lui donner des explications sur un
sujet
nouveau pour lui, a dit qu’il les utiliserait plu
sprit cultivé, et leurs entretiens tournaient souvent aux plus graves
sujets
. Ils s’inquiétaient en particulier de la vie futu
n de commerce considérable de Philadelphie, Market-Street, et qui est
sujet
à des maux d’estomac, n’a trouvé rien de mieux po
s à celui qui, non seulement ne s’est pas donné la peine d’étudier un
sujet
, mais qui se fait un mérite d’y être étranger. Un
les, a pris la plume à son tour, a fait ressortir toute la gravité du
sujet
et a fait un appel aux hommes de bonne foi. Il
cuter, ce qui n’entrait pas dans son plan. Nous nous bornerons sur ce
sujet
à quelques observations. M. Millet déclare que
es de lucidité et qui le plus souvent voit juste. Sans doute, de tels
sujets
offriront le plus de chances de clairvoyance quan
somnambules, ont été beaucoup trop loin et ont ainsi donné une régie
sujette
à bien des dangers. On a cité des exemples de som
la faculté de prévision est excessivement rare, et que, même chez les
sujets
qui en sont doués, elle est très-précaire : comme
aitement spécial et peut-être des asiles particuliers. C’est un grave
sujet
de réflexion pour le philosophe , que cette faibl
es faits, par M. Piérart, 89, 197, 421, 449. — Réflexions sur le même
sujet
, par M. du Potet, 439. Thérapeutique magnétique
à propos d'une théorie du somnambule Alexis , 79. — Dissertation à ce
sujet
par MM. Guibert de Clelles, 433, 493 ; — La-mothe
ulose. Renseignements insuffisants sur le reste de la famille. Mère
sujette
à des céphalalgies . Un frère et une soeur, mor
la fenêtre, au dire de sa mère.- Digestion et respiration normales.
Sujette
à paresser. Sensibi- tité spéciale et générale
ès nuls sur sa famille. JHO'e, migraineuse. - Grand'mère maternelle
sujette
à des né- vralgies. Rien de particulier dans le
ies après la naissance du malade. Grand'mère pater- nelle nerveuse,
sujette
à de violentes colères et à des crises épilep-
s effets différents suivant que la valériane inter- vient, quand le
sujet
est reposé ou quand il est fatigué, indique la
Marandon de lontyel ? L'I'asile de Ville-Evrard, sur soixante- dix
sujets
atteints d'épilepsie générale, dite idiopathique,
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques'. ? -* 57 chez les
sujets
qui ont accompli un travail pénible, il n'est pas
ment rapportées aux organes qui les concernent. Les difficultés du
sujet
peuvent donc se résumer ainsi : 1° les sensations
manquait. b) Il ne semblait pas touché de ce qui se passait à son
sujet
, de ce qui lui arrivait ; jamais il ne parlait
UES. 61 sa vision ; jamais il n'a manifesté la moindre émotion à ce
sujet
. Son état morbide n'avait, semblait-il, pas pén
dité verbale fonctionnelle hystérique ni trau- matique, bien que le
sujet
ait reçu près de l'oreille, y a quelque . temps
vient de ce que l'auteur n'a pas suffisamment comparé entre eux les
sujets
groupés par lui sous le nom de retardataires' ; i
on peut aussi rétrocéder, et il n'est heureusement pas rare que des
sujets
qui étaient en bas- âge dans un état de déchéan
bservation personnelle et suffisante 1. Pour ne pas insister sur ce
sujet
trop longuement, déclarons que les autres chapi
demande même pourquoi il n'a pas cru devoir prendre sur les divers
sujets
qu'il a été à même d'exa- miner, les mensuratio
t les chairs tombaient en lambeaux. Comme cette malheureuse était
sujette
à des attaques d'épilepsie, on suppose qu'elle se
ntargis était urgente. Ce qui a été fait immédiatement. Terroux est
sujet
suisse, il est né à Genève le 18 juin 1864. Il
centre de gravité que l'on craint, à chaque instant, une chute du
sujet
. 6) La station verticale est aussi fort diffici
de Nystagmus dits Essentiels que nous observions au milieu d'autres
sujets
présentant du tremblement des yeux sympto- mati
est une petite fille de deux ans bien portante; le septième est le
sujet
. 1 La mère n'a jamais été malade, n'a jamais fa
i s'exagère par la vision dans les positions extrêmes de l'oeil. Le
sujet
incline naturellement la tête pour arriver à immo
ent les parents, sous l'influence du travail ou d'une émotion. Le
sujet
ne présente pas de modifications des réflexes pat
e présente à la consultation de l'hôpital civil le 11 juin 1901. Le
sujet
est venu à terme : il a présenté une ophtalmie
se serait surtout exagéré à partir de deux ans. Instinctivement le
sujet
porte la tête à droite et fixe dans la position d
Mais dans la position gauche extrême le nystagmus persiste. - Le
sujet
ne présente pas d'atrophies, il est bien conformé
tat de spasticité et de la trémuia- tion des mains. ' Ecriture du
sujet
à la date L'écriture du sujet est manifestement
ia- tion des mains. ' Ecriture du sujet à la date L'écriture du
sujet
est manifestement tremblée. Examen des yeux =V
t milieux 3 oculaires normaux. Réactions pupillaires normales. Le
sujet
fut soumis au traitement par l'autipyrine, le s
des observations qui précèdent méritent d'attirer l'attention : le
sujet
de l'observation 5 a été conçu à la suite d'une
upillaire,. avec conservation des réflexes iriens. En résumé, sur 4
sujets
, 3 présentent déjà des signes indéniables d'alt
ugineux (pro- toxalate de fer). Ne présente pas de nystagmus. 3° Le
sujet
. 4° Une petite fille de cinq ans. Tous ces enfa
e petite fille de cinq ans. Tous ces enfants sont intelligents ; le
sujet
serait le moins bien doué. Les parents sont b
tition légèrement défectueuse rappelant celle des adénoïdiens. Le
sujet
est d'une émotivité extrême ; elle a des phobies,
t tuberculeux. La mère, 3 soeurs et un frère sont bien portants. Le
sujet
ne peut fournir de rensei- gnements sur ses onc
ns pupillaires normales. Oscillations pendulaires de la tête . Le
sujet
ne présente pas de tremblement des mains. Il ne p
troubles de la sensibilité. Le nystagmus remonte à la naissance. Le
sujet
n'a jamais été malade. Dans l'une des observa
e nous a paru cependant indéniable. Devons-nous donc considérer ces
sujets
comme atteints de TREMBLEMENTS INFANTILES ET NY
infection profonde que l'on rencontre toujours dans l'histoire des
sujets
frappés de sclérose en plaques. Nous pensons do
r- vation IV. Il existe un frère dont les yeux ne bougent pas. Le
sujet
n'a jamais été malade. 11 a été réformé pour vari
es yeux. N'a jamais été malade. C'est un alcoolique ren- forcé. ,
Sujet
suffisamment.vigoureux, à dentition bonne, mais l
angue est bonne, l'appétit est bon, les digestions sont faciles. Le
sujet
ne présente pas de modifica- tions de la voix,
dix ans, cousin ger- main par la mère des deux enfants qui font le
sujet
des observa- ARCHIVES, 2 série, t. XIV. 8 114
ivant dans le même milieu, une tante, Marie Yv. Le Br..., soeur des
sujets
des observations VII et VIII, qui ne présente p
de retrou- ver ce malade, nous ont été fournis par les parents des
sujets
des observations V et VI qui vivent loin de cet
se retrouve ici fidèlement observée 3 : il semble que ces sortes de
sujets
aient leurs lésions calquées les unes sur les a
leau morbide : par exemple l'asymétrie faciale si inté- ressante du
sujet
de l'observation 3, ou bien l'exagération des r
ou bien l'exagération des réflexes avec tremblement épileptoïde du
sujet
de l'observa- tion 7. Nous ne saurions donc nou
ants dont l'aînée tremble des yeux depuis la naissance. 3 Voir à ce
sujet
le Préambule de la thèse de Londe, lléuédo-aldxie
morragies ponctiformes survenant au moment de la naissance chez des
sujets
prédisposés et ana- logues à celles qui accompa
ement longtemps compatibles avec la vie, et ce n'est que chez des
sujets
hospitalisés que l'on pourra quelque jour se rend
sse de notre hypothèse. Toutefois on peut se demander si de pareils
sujets
persisteront indéfiniment dans le type morbide
n somme légère préoccupe les personnes atteintes et certains de nos
sujets
sont venus consulter pour une cause étrangère à
s suites d'une affection cardiaque à cinquante-deux ans; elle était
sujette
à des tics de la face. Le malade est un homme d
médius de la main gauche. Cest à l'âge de vingt-trois ans que notre
sujet
semble avoir été pris de ses premières manifestat
à peine besoin d'ajouter que de par sa profession, cet homme était
sujet
à des habitudes alcooliques (excès de bière). E
vrose et de l'alcoolisation, J. Ch... devient triste, mélancolique,
sujet
à une insomnie fré- quente, à de violents maux
. Or, tous ces faits sont englo- bés dans l'amnésie que présente le
sujet
. Nous l'avons maintes fois interrogé sur'ces év
tant admis, comment expliquer qu'au cours de l'ac- cès comitial, le
sujet
ait accompli un acte revêtant toutes les appare
l'ac- complissement d'un acte logique eu égard à la situation du
sujet
, acte logique dont l'aboutissant a été l'internem
jamais on ne la vit se prévaloir de sa beauté ; elle fut longtemps
sujette
à de grandes, infirmités qui la firent beaucoup
stérie DE SAINTE THÉRÈSE L'hystérie. Nous connaissons maintenant le
sujet
, c'est-à-dire l'état physique et moral de Thérè
pour des raisons variées, les unes vraies, les autres fausses, les
sujets
alors prétendent être incapables soit de marche
e sous forme de : -. . io Boule hystérique : Thérèse nous dit, à ce
sujet
, que quelque chose lui montait des parties bass
e cause différente. Il s'agissait d'une jeune femme de la campagne,
sujette
à des attaques convulsives d'hystérie et qui, u
Mais l'examen attentif des faits et l'observation journa- lière des
sujets
ont conduit les auteurs à admettre que dans chaqu
la suite d'une excitation partie de la plante du pied. Chez le même
sujet
, l'auteur a également constaté, en même temps q
nds, indé- pendants des objets, sont produits par l'état maladif du
sujet
; ils naissent dans les affections des centres n
du même sexe et il montre que ce penchant ne s'observe que chez les
sujets
anormaux, dégénérés, ce dont il est facile de se
rébrale. C'est pour ce motif qu'ils sont d'autant plus rares que le
sujet
possède davantage la libre possession de lui-mê
xpliquer la variabilité si grande de ses manifestations suivant les
sujets
; elle rend compte aussi ses modifications qui se
ré(lo-sypliiiis, de légères défectuosités mentales mais beaucoup de
sujets
porteurs de cette maladie ont une vigueur menta
rnal of Mental Science, avril 1901.) Après un court historique du
sujet
l'auteur publie l'intéressante observation de s
i les observations de M. Philippe ont été toutes prises sur le même
sujet
. M. Philippe. J'ai étudié sept sujets appartena
té toutes prises sur le même sujet. M. Philippe. J'ai étudié sept
sujets
appartenant tous à un milieu assez élevé (étudi
pide des éléments logiques. Ai. J. Philippe a surtout observé des
sujets
visuels chez qui les éléments logiques intervie
s. Je ne sais pas s'ils sont signés du nom de leur auteur. Enfin le
sujet
conclut : Ce n'est pas ma - mémoire qui me sert
lan. Une autre mention avec 200 fr. ezt attribuée à M. Marchand. Le
sujet
que les candidats auront à traiter en 1904 est
; les médicaments hypnotiques, voilà quelques-uns des principaux
sujets
de discussion. La question du no-restraint; soule
taire, etc). - Ils ont retrouvé la plupart de ces signes chez des
sujets
présen- tant des troubles psychiques, intermitt
1° Celles où l'auto-intoxication d'origine hépatique a frappé un
sujet
anciennement alcoolique, bien qu'abstinent depuis
ut rentre dans l'ordre. Il ne persiste' qu'un léger tremblement. Le
sujet
a fait des excès alcooliques.- S'agit-il d'un c
t de la spermatogé- nèse. La puberté n'est pas fonction de l'âge du
sujet
mais d'un cer- tain degré de développement phys
s et demi à quatorze ans et demi. Pour décider de la puberté d'un
sujet
, le médecin légiste n'aura qu'une ressource : f
e, nous nous con- tenterons d'en donner une idée par la division du
sujet
. < 1 1° Folies idiopathiques (manie mélancol
hez les paralytiques femmes, on obtient des données con- cernant ce
sujet
un peu autres ; de 75 cas : 204 CLINIQUE MENTAL
nt semblé assimilables à celles qu'à présentées, en particulier, le
sujet
de notre quatrième obser- vation,-malade chez l
pathologique appré- ciables ; à tel point que, venant d'observer le
sujet
de l'ob- servation I, l'idée m'était venue que
ouloir, il faut, malgré soi, les écouter. Si on voulait mentir à ce
sujet
on dirait qu'on les entend avec les oreilles du
ons intérieures, raconte qu'elle était toujours dans la crainte, au
sujet
des paroles que le Seigneur lui faisait en- ten
ix grands serviteurs de Dieu, écrit-elle, s'étaient assemblés à mon
sujet
; je sus démon confesseur qu'ils s'accordaient à
que. « Au bout d'un mois que je priais toujours Dieu pour le même
sujet
, je vis un diable qui déchirait avec dépit des
ang des symptômes de l'anxiété; il y a des spasmes du coeur dont le
sujet
a conscience, donnant la sensation d'un malaise
256 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'avons dit, aboulique, il est impatient,
sujet
aux phobies, et par- fois aux philies (zoophili
es à deux points de vue. Il, L'obsession donne naissance au tic; le
sujet
est atteint de la peur de tiqueur, de l'obsessi
e mentale à la liste déjà si longue de celles qu'on relève chez ces
sujets
. J'ai seulement pro- posé une qualification qui
d'un corps étranger dans I'oeil. 11 est bien évident que lorsque le
sujet
victime de cet accident a porté pour la première
un moment donné, qu'elles restent presque complètement ignorées du
sujet
? De là son étonnement de voir le mouvement con
ifférents, préside à leur développe- ment. Bien plus, il existe des
sujets
chez lesquels les troubles qui donnent naissanc
dre compte delà gravité de leur mal. Et, chose curieuse ! ces mêmes
sujets
dont les' tics sont inhibés par la seule présen
ssions avec les tics, que de demander à nos collègues occupés de ce
sujet
si, dans une pro- portion déterminée ils ont tr
ts méthodiques ou des exercices respiratoires, en règle générale le
sujet
sera placé devant un miroir. Il faut qu'il puis
amment par un attouchement quelconque après avoir bandé les yeux du
sujet
. Gibert (du Havre) les guérissait par intimidatio
(idéoplastie), il faut réaliser l'hypotaxie, c'est-à-dire rendre le
sujet
apte à recevoir la suggestion. L'appareil très
imple que je vous présente facilite l'hypnotisation en désarmant le
sujet
et en brisant ses résistances. En outre, il met
s ceux qui s'intéressent à la question. On pourrait croire que le
sujet
est trop restreint pour fournir delà matière au
eintes de folie. » Il y a communication des idées délirantes d'un
sujet
à l'autre. Il faut pour cela : a. Qu'un individ
idu d'une autorité intellectuelle et morale incontestable. Aussi le
sujet
passif est-il le plus sou- vent un enfant, un f
point indispensable, pas plus que l'hérédité, chez l'un ou l'autre
sujet
; c. Que l'organe actif devenu aliéné communiqu
oir un caractère de vraisemblance qui s'impose. Mais entre ces deux
sujets
existe toujours une ligne de démarcation infran
y a non pas communication mais simultanéité du délire chez les deux
sujets
, sans que l'un soit actif, l'autre passif. Ces
, par exemple, il s'agit bien réellement d'un délire communiqué, le
sujet
passif peut ne pas rester un simple crédule, ma
E LA FOLIE COMMUNIQUÉE ET SIMULTANÉE 293 héréditaire ou acquise, du
sujet
passif qui sera tantôt un simple crédule bientô
duites. M. Régis lui- même la reconnaît : « Est-ce à dire qu'il (le
sujet
passif) ne puisse pas devenir aliéné et que cet
me milieu, soumis aux mêmes causes, il est impossible de trouver un
sujet
actif jouissant d'une supériorité intellectuell
ologique : aussi a-t-on vu des malades considérés tour à tour comme
sujets
actifs ou sujets passifs, suivant le médecin qu
a-t-on vu des malades considérés tour à tour comme sujets actifs ou
sujets
passifs, suivant le médecin qui les examine. Ce
yse attentive permet souvent de découvrir des différences entre les
sujets
, dont l'un, plus ' intelligent, sans être toute
est ce qu'a très bien exprimé M. Régis : « Il est rare que les deux
sujets
soient également héréditaires, également prédis
pation de vagabondage; elles eurent à passer devant un magistrat au
sujet
de leur dette envers le cocher, et au moment où
ur ridicule, et par la franchise de leurs explications sur tous les
sujets
, sauf sur un seul. Sur ce sujet même (leurs tou
de leurs explications sur tous les sujets, sauf sur un seul. Sur ce
sujet
même (leurs tourments communs), elles sem- blai
sans inquiélude. Mais si sa direction, en matière pécunière, était
sujette
à criti- ques, du moins sa présence au point de
uxième internement. Cette fois, pendant près d'un an, le malade fut
sujet
à des bouffées d'hallucinations visuelles, prof
demi-heure, jamais plus; il cesse brusquement ou peu à peu, mais le
sujet
con- serve la mémoire des visions, auditions et
its qui éclairent singulièrement le diagnostic de la maladie : au
sujet
de la crise convulsive, que lisons-nous dans nos
ve, que lisons-nous dans nos livres classiques ? Le plus souvent le
sujet
éprouve d'abord une vague aura, la boule hystér
ouvé un nombre d'éléments comparable à celui 'qu'on trouve chez les
sujets
sains. Mais les auteurs montrent qne ces trois
a présence des éléments n'a une valeur absolue. M. Arnaud a vu un
sujet
atteint de crampes des écrivains qui eut ensuit
ain degré de confusion mentale L'obsession une fois acceptée par le
sujet
peut devenir l'origine d'interprétations variab
onstitue l'indispensable introduction à l'histoire médico-légale du
sujet
, comprend l'étude analytique et descriptive, fo
ie clini- que, le terme auto-accusateur s'applique non seulement au
sujet
qui avoue avoir commis un crime déterminé, dont
ne signification beaucoup plus étroite : il s'applique seulement au
sujet
qui, délirant ou lucide, sincère ou menteur, ha
scutée. La nécessité de l'expertise médico-légale, en présence d'un
sujet
qui se dénonce, ressort de la nature très souve
iquées par une sage-femme dont elle donnait le nom. J'ai gardé à ce
sujet
le silence le plus absolu, et il me semble que
d sa place dans le champ d'une conscience maladivement éveillée, le
sujet
perd le souvenir de l'acte. M. Bey. J'ai reçu
ches microscopi- ques. Effectivement, le plus récent travail sur le
sujet
est celui de liezuilcow. Il est intitulé : « De
recherches nécroscopiques sont insuffisantes à nous renseigner à ce
sujet
, nos procédés actuels ne suffisant pas à déterm
qui président aux langages articulé et graphique. M. Arnaud a vu un
sujet
atteint de crampes des écrivains qui eut ensuit
te. Les ongles chez les aliénés. M. Pierhet (de Lyon) fait sur ce
sujet
une communication très intéressante que nous re
sthéniques, interprétation qui touche à tous les faits de la vie du
sujet
et qui a pour origine et base intellectuelle l'
définie. Des discussions intermidables surgissent constamment a1 ce
sujet
, la cause en est dans le fait que les auteurs a
rveuse, comment procéder pour éta- blir quelques connaissances à ce
sujet
? Si nous isolons quelque base du cerveau, même
lent, à divers moments des interprétations délirantes : d'abord, au
sujet
du juge d'instruction ; ensuite au sujet de l'a
racontars au commissaire, avaient eu des discussions avec lui au
sujet
d'un pot de fleurs tombé d'une fenêtre qui avait
véracité, et de l'instinct de propriété (mensonges et vols). ' ce
sujet
, il nous revient à la mémoire le cas d'un garçon
ue s'il n'y a pas eu de mensonge absolu, imaginé de toute pièce, au
sujet
du viol dont elle a porté plainte, il y a eu, p
du palais et produit le bruit connu. Ce tic. plus fréquent quand le
sujet
est ému, est extrê- mement pénible parce qu'il
r la nécropsie, d'affection cérébelleuse chez le malade qui fait le
sujet
de l'observation II. Pour bien comprendre la si
normalement élevée peut être encore inférieure à la moyenne chez un
sujet
donné ; 0° L'extrait surrénal ne parait devoir
nt pensé devoir les rechercher et ont appliqué cette méthode sur 16
sujets
. Un cas de guérison fut particulièrement net ch
sur 16 sujets. Un cas de guérison fut particulièrement net chez un
sujet
de dix-huit ans atteint depuis longtemps de cri
ive ; le mouvement se répétait environ toutes les cinq minutes : le
sujet
ne pouvait l'empêcher qu'avec peine pendant que
devoir être attribuée plutôt à la modification de l'état mental du
sujet
, de son état affectif fondamental, qu'à la prod
la suite de la réussite de ses premiers essais. L'état affectif du
sujet
marqué d'abord par la tristesse, la dépression,
haque année. Dans les nombreuses publications qu'il a faites sur ce
sujet
, le nom de Dagonet est cité à chaque ligne. Sch
isément due à l'excès d'émotivité, à l'émotivité patho- logique des
sujets
. Si le sympathique intervient il le fait second
vent, plusieurs phobies systématisées se suc- cèdent dans la vie du
sujet
, au hasard d'événements même sans importance, o
plupart des e1'eutophobes appartiennent aussi, à la caté- gorie des
sujets
atteints de phobie systématisée, constitution-
ervalle, préoccupe plus ou moins dans l'interparoxysme, l'esprit du
sujet
, alors par une pente toute naturelle, la mo- no
s peu à peu la préoccupation de cette infirmité envahit l'esprit du
sujet
, le domine, l'inquiète si bien qu'au seul sou-
lement.étant en quel- que sorte complet, l'obsession a créé chez le
sujet
une seconde vie à part automatique, à côté de l
à la chasser, mais qu'elle naît et s'établit de force, sans que le
sujet
ait à intervenir dans sa production. Mais ce de
elles se trouvent en contra- diction complète avec les tendances du
sujet
. Le plus souvent, il s'agit d'obsessions de for
injure grossière à la pensée ou à la bouche. -D'autres fois, les
sujets
sont poussés à se contredire, à dire juste le c
même durant les crises, lorsqu'elles ne sont pas trop intenses, les
sujets
peu- vent continuer de se livrer aux travaux de
es qui sont survenus au cours de la maladie, pendant la présence du
sujet
à l'asile public d'aliénés de Maréville. Nous r
le, étant donné l'amoindrissement considérable de la sensibilité du
sujet
. Le troisième et surtout le quatrième jour, l'a
xpectoration, ont manqué par suite de la très faible sensibilité du
sujet
. Les signes donnés par la percussion furent nég
urant lesquels il s'était tenu dans une réserve presque complète au
sujet
des événements qui tra- versèrent son existence
cause efficiente, nous ne pouvons . que faire des suppositions à ce
sujet
. Il faudrait d'abord savoir si T... s'est intro
défavorable à l'oeil placé le plus près de la fenêlre. C'est que le
sujet
est éclairé latéralement. Le place-t-on de faço
lité de la surface de la moelle a beaucoup diminué. 1 Voir sur ce
sujet
: Loye, La mort par la décapitation. Librairie du
ure qu'elles soient, alimentant sans discontinuité la conscience du
sujet
, et lui permettant de juger et de vérifier cons
et le vert : ensuite viennent le bleu et l'orange. Cllezquel- ques
sujets
l'évolution va plus loin et ils perçoivent dans l
, la dernière catégorie, et non la moins importante, com- prend les
sujets
moralement défectueux : mais ils sont héréditaire
rontaux seuls donnent des indications relatives à l'intelligence du
sujet
, et leur masse doit être appréciée par tous les
l moment après la maladie; elle se manifeste ordinairement chez des
sujets
présentant les causes ordinaires de prédispositio
invoquer l'in- fluence d'une toxine sur le système nerveux, chez un
sujet
déjà très déprimé par les'au très conséquences
sa réponse. Ce travail se termine par une bibliographie étendue du
sujet
. R. DE Musgrave-Clay. Archives, 2e série, t.
e tout âge, tandis que la population des asiles ne renferme que des
sujets
pris à peu près exclusivement dans certaines li
eption faite pour les idiots, on ne trouve guère dans les asiles de
sujets
âgés de moins de quinze ans, et les individus a
et ne saurait être acceptée : la population générale se compose de
sujets
en majorité bien por- tants, celle des asiles s
sujets en majorité bien por- tants, celle des asiles se compose de
sujets
affaiblis : la comparai- son est illégitime. Il
de médecine, 1899). Les troubles moteurs ont été observés chez 108
sujets
paraly- tiques aux deux premières périodes de l
ine, nov. 1901.) Quatre observations dont trois se rapportent à des
sujets
non hystériques, et ayant présenté une paralysi
s ont cédé facile- ment à un traitement psychothérapique. Comme les
sujets
n'étaient pas hystériques, il est peut-être pré
ne, mai 1903.) Il s'agit ici du trouble angoissant qu'éprouvent les
sujets
prédis- posés qui se trouvent élevés à une cert
t non un vertige proprement dit, mais une sorte de suggestion, le
sujet
finissant par éprouver la sensation réelle de chu
vêt le pubis. Un génu valgum gauche empêche depuis quelque temps le
sujet
d'exercer sa profession de phénomène forain. Les
ant dont ils n'avaient pas connu l'histoire. Il est probable que le
sujet
possède une glande pituitaire hypertrophiée. Ce
s atteint de tous les signes objectifs de la sclérose en plaques et
sujet
en outre, actuellement, à des crises d'asthme q
qui n'a pas été décrit jusqu'à présent et qui consiste en ce que le
sujet
qui en est atteint, tout en pouvant exé- cuter
nier, très souvent affaiblis intellectuellement, irritables et même
sujets
à des accès d'agitation.. Nous avons dû préciséme
ncer, que nous avons fait usage, pour ces observations, uniquement de
sujets
présentant ce qu'on appelle le grand hypnotisme,
res conditions pour éviter toute suggestion inconsciemment fournie au
sujet
par nous ou les autres malades. Nous étions seuls
de do la langue allemande, inconnue de nos trois malades. Les trois
sujets
sur lesquels nous avons expérimenté sont des femm
ensuite aux impressions olfactives, nous mettons sous les narines du
sujet
un morceau de camphre, qui provoque le sourire, u
n petit nombre. En présence de ces excitations, il est évident que le
sujet
réagit à sa manière, avec son propre fonds, dans
reint de réactions simples. Nous verrons au contraire notre troisième
sujet
, fille plus cultivée, plus intelligente, nous don
pas en détail la longue et fastidieuse liste de nos expériences à ce
sujet
, pour cette simple raison qu'elles ont toutes été
e la névrose hypnotique. Dans la léthargie, si elles sont perçues, le
sujet
ne donne aucune marque extérieure dénotant la réa
aire, les excitations sensorielles sont perçues et provoquent chez le
sujet
des suggestions dont il nous rend compte par une
ment appropriés. Enfin dans la phase somnam-bulique, dans laquelle le
sujet
, bien qu'à peu près inactif spontanément, est cep
e produisent que des sensations justes, justement interprétées par le
sujet
qui les ressent. Le fait dominant, au point de
i provoquées sont assez complexes et bien dessinées par la mimique du
sujet
, on parvient à com prendre le mécanisme de leur
ne dans le cours de son travail, M. Mesnet pouvait dire en parlant du
sujet
de son second mémoire : « On peut l'influencer, c
germe tous les détails des recherches que nous avons entreprises à ce
sujet
dans le délire de la phase passionnelle de l'atta
et s'aperçut que, par ce procédé, il pouvait influencer le délire du
sujet
, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter
o chaque crise survenait une période d'hallucinations avec délire. Le
sujet
de ce délire est toujours l'histoire de sa vie pe
pouvions tout d'abord contrôler les résultats obtenus chez le premier
sujet
et combler ensuite les lacunes qui existaient dan
2 mars 1890). Voir aussi (no* XXVIII et XXX) mes deux mémoires sur ce
sujet
, où la question est exposée en détails. (G. G.)
87. C'est ordinairement au milieu de la nuit qu'il se -dé-loppe. Le
sujet
s'est couché comme d'habitude, puis, après quelqu
conservé aucun souvenir de ce qu'il a fait pendant la nuit. Tel le
sujet
dont parle Voltaire, qui pendant son sommeil saut
evoirs, ouvriers s'occupant de leur travail journalier, etc. D'autres
sujets
ont des impulsions de caractère ambulatoire ; on
de ce sens que pourrait être attribuée la facilité avec laquelle ces
sujets
se tirent souvent avec succès d'exercices assez p
ce d'un rêvo, qui, en raison de son intensité ou do l'état spécial du
sujet
, passerait de l'idée à l'acte. A l'appui de cet
e diagnostiquer, si l'on tient compte de l'état tout à fait normal du
sujet
dans l'intervalle des accès, et du caractère noct
uniqué à cet observateur. Mais il est juste d'ajouter que beaucoup de
sujets
, ayant été somnambules dans leur jeunesse, n'offr
us les faits de somnambulisme naturel, le point capital reste que les
sujets
, en dehors de leurs accès nocturnes, ne souffrent
qui peut être considérée comme un type de ce genre. Cet homme c est
sujet
à des accès consistant en ce que, tout à coup, au
a varié de 2 heures à 6 jours. Dans la plus longue de ces fugues, le
sujet
, livreur de son état, se rappelle avoir fait la t
s, tristes, lubriques, terrifiantes, etc. Les tableaux animés que les
sujets
interprètent alors se recommencent généralement d
de, une succession de tableaux toujours les mêmes. C'est alors que le
sujet
est un vrai somnambule; il a les yeux ouverts, le
taque qu'on assiste, mais à une phase complètement isolée. A peine le
sujet
pré- (I) Voir plus haut no XXVI et plus loin n»
en ajouter de neuf toutefois, mais encore on provoque des réponses du
sujet
aux questions qu'on lui adresse (1). Cependant le
de l'attaque passionnelle normale, dans laquelle l'activité propre du
sujet
est exaltée, au somnambulisme hypnotique, où la p
tions, la passivité augmente et permet la suggestion. La passivité du
sujet
devient-elle en dernier lieu complète, il s'agit
thargie et de catalepsie, par de légers frottements sur le vertex. Le
sujet
paraît alors se réveiller; mais, en réalité, i n'
e de la puissance musculaire, et surtout des sens spéciaux. Enfin, le
sujet
n'a aucune activité, et il est passivement docile
é par M. Garnier (4) présente à tous égards un grand intérêt. Chez ce
sujet
il y avait : 1° des accès de somnambulisme sponta
de dans un desquels il avait commis et plus tard re- (1) Voir, h ce
sujet
: Chambard. Du somnambulisme en général. Th. Pari
récis, il devenait possible d'entrer en communication avec lui sur ce
sujet
étroitement limité. Ce sont bien là les caractère
ons dans ce délire, au suprême degré, cette sorte de concentration du
sujet
, mise en relief par M. Mesnet, que nous avions dé
insi que cela se pratique couramment pour produire l'hypnose chez les
sujets
susceptibles d'être hypnotisés. Il va entrer soit
ligence de l'observation qui va suivre. Chez le malade qui en fait le
sujet
, des personnes, non du métier, il est vrai, avaie
eurs, dont 3 sont bien portantes et la quatrième, âgée de 20 ans, est
sujette
à des attaques de sommeil. Elle en a eu deux à la
germe tous les détails des recherches que nous avons entreprises à ce
sujet
dans le somnambulisme hystérique (1). C'est, en e
s, et s'aperçut que par ce procédé il pouvait influencer le délire du
sujet
, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter
e et de ses diverses modalités pendant l'année 1890. Ses idées sur ce
sujet
furent exposées par lui dans plusieurs leçons cli
s, la plus jeune, 13 ans. La seconde, âgée de 23 ans, est nerveuse et
sujette
à des hallucinations (il y a quelques mois, elle
ne hémianesthésie sensitivo-sensorielle droite complète, est toujours
sujette
à des attaques d'hystérie. La phase passionnelle
ui est atteinte de tics convulsifs. Du côté paternel, on note un père
sujet
à de violents accès de colère, trois oncles, dont
tranger à la Salpêtrière? Dans cet ordre d'idée, nous (1) Voir à ce
sujet
les traités de MM. Eichhorst, Hii% la description
édecin qui Yhypnotisa et le montra aux officiers de la garnison comme
sujet
hypnotique, puis envoyé par lui à Montpellier où
ble et que dans les services hospitaliers où il a passé il a servi de
sujet
à diverses expériences. On Vhypnotisait à l'aide
voulions reproduire tous les documents que nous avons recueillis à ce
sujet
. La description ci-dessus est déjà bien suffisant
nambulique du grand hypnotisme (1). Nous lui en avons (1) Voir à ce
sujet
l'observation publiée dans un travail de M. Dunin
il était dans sa crise délirante, nous attirons son attention sur ce
sujet
en lui criant aux oreilles à diverses reprises :
t, au bout de ce temps, nous attirons de nouveau son attention sur ce
sujet
. Il prend la plume, numérote sans hésitation son
lus ou moins suivant le degré plus ou moins élevé de concentration du
sujet
. La caractéristique de ce délire consiste égaleme
de son amant, son délire roulait constamment et exclusivement sur ce
sujet
. Le délire ecmnésique deMM.PitresetBlanc-Fonten
Par une impression sensorielle plus ou moins complexe, suivant que le
sujet
est plus ou moins concentré, pouvant aller jusqu'
autant plus intenses et persistantes que le degré de concentration du
sujet
était moindre. Chez la nommée Schey..., qui était
gère à l'idée provoquée. Nous avons publié ailleurs un travail sur ce
sujet
et montré quels sont les caractères de ces halluc
au degré le plus profond de concentration du somnam- (1) Voir à ce
sujet
: P. Janet. L'automatisme psychologique, Paris, 1
malades, la nommée Schey..., qui était en même temps hypnotisable et
sujette
à des attaques de somnambulisme hystérique. Nous
ontanées ou provoquées ne permet pas, à cause du mode de réaction des
sujets
, de se faire une idée bien nette à ce point de vu
Mais il fallait, pour se rendre compte de cet important caractère, un
sujet
aussi merveilleusement approprié que le nommé de
mination de somnambules a déjà, depuis longtemps, été appliquée à ces
sujets
qui accomplissent, dans certains états seconds, d
le résultat que l'on obtient bien souvent en tentant d'hypnotiser un
sujet
, c'est de provoquer une attaque de nerfs. Le dout
pourra même, dans certains cas, comparer ces deux états chez le même
sujet
et voir encore mieux, par là, combien ils diffère
r se rendre compte de la réalité de ce somnambulisme, il hypnotise le
sujet
(il avait à faire sur elle un rapport médico-léga
va jusqu'à affirmer que les attaques spontanées sont dues à ce que le
sujet
s'auto-hypnotise. Nous n'entrerons point dans l
'en parle dans le troisième volume de mes leçons (3) : « Il est des
sujets
, et peut être sont-ils plus nombreux qu'on ne le
rable de beaucoup au terme « somnambulisme » appliqué à des cas où le
sujet
semble parfaitement éveillé. p2) Leçon ilù t dé
0, recueillie par M. Blocq. Voir plus loin (¹ XXX) mon mémoire sur ce
sujet
, où la question est traitée dans tous ses détails
ux ils ne font guère de différence. J'ai fait placer sous vos yeux un
sujet
de ce genre. Hab..., hystéro-épileptique, est att
omnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se trouvent donc chez ce
sujet
en quelque sorte mélangés, coexistant au même mom
ingt-dix pour cent, je ne le crois guère. On n'hypnotise pas tous les
sujets
indifféremment, et, dans le sommeil hypnotique, q
r exception, il persiste des vestiges de l'ancien moi, qui donnent au
sujet
l'idée d'une personnalité étrangère. Le deuxièm
oirait pas sur le passage d'un enterrement d'homme célèbre (voir à ce
sujet
, passim, les observations dans mon travail déjà c
t (3). Cette deuxième personne est mise en évidence par ce fait qu'un
sujet
distrait peut répondre automatiquement et sans s'
que. De plus, ce fait dont j'ai fourni un exemple (1), à savoir qu'un
sujet
peut dans l'hypnotisme se rappeler et raconter le
mnambule hystérique dans son délire peut varier considérablement d'un
sujet
à l'autre. Suivant les cas, on sera (1) Georges
en des cas que le malade n'attire pas spontanément l'attention sur ce
sujet
. Dans le dédoublement de la personnalité, tel q
ubstitue à l'état prime (état normal, condition première, état A), le
sujet
garde toujours quelques notions d'une grande impo
e femme de vingt-huit ans environ. Pendant son enfance elle avait été
sujette
à des accès de somnambulisme nocturne (1). Une nu
rrait ne s'apercevoir de rien, si Mlle R. L. ne chan- (1) Voir à ce
sujet
la note contenue dans mon précédent travail sur l
il forme, pour ainsi dire, la base et le fondement. (1) Voir, à ce
sujet
, Rouillard : Des amnésies, etc., th. Paris, 1885
pendant la nuit. Son mari, dont l'attention avait été attirée sur ce
sujet
, put s'apercevoir qu'elles se faisaient toujours
re qui s'était introduit à la Salpêtrière à la recherche de quelque «
sujet
» qu'il espérait y rencontrer et emmener avec lui
insi l'espèce de changement inconscient survenu chez elles. Voir à ce
sujet
Pierre Janet (l'Automatisme psychologique, p. 130
Charcot caractérisait en ces termes dans les leçons délivrées sur ce
sujet
(3) : Il est des gens qui, « passez-moi le mot,
de diiférence. J'ai fait placer sous vos yeux, à titre d'exemple, un
sujet
de ce genre: il s'agit d'une hystéro-épileptique
omnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se trouvent donc chez ce
sujet
en quelque sorte mélangés, coexistant au même mom
nterrogatoire dans l'état A nous réserve une singulière surprise à ce
sujet
. Dans cet état second, elle est sujette à des a
une singulière surprise à ce sujet. Dans cet état second, elle est
sujette
à des attaques d'hystérie vulgaires, classiques,
mauvaise tête. » Pendant son enfance, elle eut des convulsions et fut
sujette
à de violentes crises gastralgiques. En 1871, p
tiques. A cet égard, il y a des différences assez grandes suivant les
sujets
. Tous savent marcher, parler, dans la condition s
rcher, qui nous paraît si simple, continuerait d'être pour l'homme un
sujet
de préoccupation et d'étude pour toute sa vie. No
ns l'état actuel de nos connaissances, formuler de règle absolue à ce
sujet
. Dès que la notion acquise devient un peu complex
fications portent sur le caractère, les habitudes, l'état physique du
sujet
, le fonctionnement de ses organes et son état de
à son fiancé, ce qu'elle n'eût jamais fait à l'état normal. Chez les
sujets
de Verriest et d'Azam, on constatait la gaieté da
es phénomènes de l'hystérie qui constitue le fond de leur maladie. Le
sujet
de Verriest était aphone dans l'état normal provo
autre, hémiplégique dans un troisième, etc.. Je ne reviens pas sur le
sujet
de Verriest qui était aphone dans l'état prime et
, dans ses leçons, a émis l'idée que cet état vigilambulique chez des
sujets
hystériques n'est autre chose qu'un morceau d'att
boiements qui ne sont autre chose que de véritables convulsions. Le
sujet
de M. Vizioli tombe dans l'état vigilambulique à
rare exactitude. qu'elle ne m'a jamais vu si on la questionne, à ce
sujet
, en mon absence. En réalité, elle ne connaît da
criture ou même de la parole automatiques. Je n'insisterai pas sur ce
sujet
que M. Janet a traité d'une façon spéciale dans u
le abus de langage qui entraîne une confusion nuisible à la clarté du
sujet
et à l'interprétation des phénomènes morbides.
n3 ainsi que les divers auteurs qui se sont depuis lors occupés de ce
sujet
. Il est certain que la perte des réflexes rotulie
que revient le mérite d'avoir spécialement attiré l'attention sur ce
sujet
en rapportant une très remarquable observation. C
bien vous rappeler ce que je vous disais, il n'y a qu'un instant, au
sujet
des liens de parenté étroite qui relient les fami
ressive. Les deux familles sont dans ce cas représentées chez le même
sujet
, sans qu'il y ait combinaison véritable. Les deux
and-Fardel. — Traité pratique des maladies chroniques, Paris, 1868.
sujets
à des névroses et même à des névroses hystériques
rriérée. Mélancolie. (1) Ce tableau est celui du malade qui fait le
sujet
de la leçon déjà citée de M. Charcot sur la parap
t encore ici d'association dutabes vrai avec le diabète, chez un même
sujet
. Mais les deux maladies se sont succédées au lieu
, tantôt à une atrophie avec iridochoroïdite (Liebreich). Sur ce même
sujet
, MM. de Wecker et Landolt s'expriment ainsi : « R
ce qui a été observé par cet auteur, le contrôle de la vue chez deux
sujets
de notre famille corrige nettement l'incoordinati
les poumons ; rien au cœur. Nous n'avons pas fait d'examen précis au
sujet
du pouls pendant la première période de la maladi
réparations traitées par la méthode de Weigert (1). (1) Voir sur ce
sujet
: Bourneville et Isch-Wall. — Compte-rendu de Bicê
t été encore plus éclatante si on avait pu faire pour (1) Voir à ce
sujet
les cas à début facial tardif do MM. Landouzy et
rophié (Friedreich, Gradenigo, Landouzy et Dejerine, etc.. — Voira ce
sujet
: Pierre Marie et Georges Guinon, mémoire cité, p
ns une scarlatine, sans suites fâcheuses. Depuis l'année 1886, il est
sujet
à des attaques de coliques néphrétiques qui se so
dégénérescence. {Arch . géh. de méd., juillet 1891). (2) Voir à ce
sujet
: Charcot. Clinique des maladies du système nerve
(Extrait d'un mémoire de Georges Guinon et E. Parmentier, sur le même
sujet
). aspect extérieur) (1). Mais, si l'on considèr
n'était pas l'avis de M. Brissaud dans la conférence qu'il fit à son
sujet
à la Salpêtrière. En effet, le signe de l'orbic
enne, de Boulogne, ne l'avait point, qu'il existât ou (1) Voir à ce
sujet
: Landouzy et Dejerine, P. Marie et Georges Guino
que M. P. Marie et moi émettions dans notre précédent travail sur ce
sujet
, à savoir que dans la maladie myopathique le volu
ons, en aucun cas, constaté ce second élément de déformation chez les
sujets
qui n'étaient pas confinés au lit. Nous vous prés
e, chaque fois qu'un phénomène un peu spécial n'est pas noté chez nos
sujets
, c'est qu'il n'existait pas. Ces observations s'a
e définitif de cette guérison, nous ne saurions être affîrmatifs à ce
sujet
, n'ayant plus revu la malade six mois après la di
urdit. Depuis l'âge de 14 ans (apparition des règles) la malade est
sujette
à des attaques d'hystérie, précédées de l'aura hy
bservation XX. Lav... Louis, 15 ans, charretier. Père alcoolique,
sujet
à des crises de nerfs. Début à 14 ans, à la sui
26 ans, lingère. Mère nerveuse, migraineuse. Grand'mère maternelle
sujette
à des « faiblesses de cœur » (syncopes, attaques
vénériens; à cette époque il vivait avec une jeune femme hystérique,
sujette
à des attaques de somnambulisme. Début des accè
la lecture des livres classiques et les connaissances usuelles sur ce
sujet
n'auraient pas permis de prévoir. Si la présenc
, fabricant de fleurs. Père nerveux et violent. Mère très nerveuse,
sujette
à des accès d'étouffements. Une sœur également tr
si notre statistique avait porté sur un nombre aussi considérable de
sujets
que celle de M. Gowers, peut-être la proportion e
se recrutent la plupart du temps les malades intéressants qui font le
sujet
des leçons cliniques de M. Charcot, une fois qu'i
(1) Par Georges Guinon, chef de clinique (Inédit). (2) Voir à ce
sujet
la préface de M. Babinski, qui précède le premier
ns nerveuses, et nécessitant un diagnostic précis. Ainsi dans les 153
sujets
en question se trouvent de nombreux cas de vertig
es tumeurs cérébrales a été signalée (1) Voir en particulier sur ce
sujet
: Tome I de cet ouvrage, p. fi»5 et suivantes.
émission de chaque bruit et un peu auparavant, il se (1) Voir, à ce
sujet
, Sturges, OnChorea, p. 16, et Ziemssen's Handbuch
holst-liques. Je vous rappelle en deux mots en quoi cela consiste. Le
sujet
, pourvu qu'il soit surpris, non préparé, répète m
ns qu'il entend proférer près de lui. « Jette-le, » disait Beard à un
sujet
atteint de cette maladie qui tenait un couteau à
d'exemples qui démontrent que ces bruits peuvent se transmettre d'un
sujet
à un autre par une sorte de contagion nerveuse. O
ire invincible à s'extérioriser, à se réaliser par l'acte même. Notre
sujet
Gr...ard, placée justement dans les conditions me
réalisent, en effet, après une légère résistance, bientôt vaincue, du
sujet
, et l'imitation, vous le voyez, est à peu près pa
suspendu depuis longtemps ses occupations habituelles, il est encore
sujet
aux attaques convulsives. Si on voulait à toute f
e notre malade? Cela me paraît vraisemblable. Je pense que, chez un
sujet
prédisposé, l'hystérie peut être mise en jeu par
, mais le saturnisme détermine un trouble de nutrition qui, chez tels
sujets
prédisposés héréditairement ou par constitution,
gique, sont deux affections qui coïncident assez souvent chez un même
sujet
. Donc, dans notre cas particulier, c'est de l'h
is reconnu la nature hystérique de l'hémianesthésie observée chez des
sujets
saturnins. Tout récemment, un élève de M. Debove,
pontanées et provoquées dans le —, 156, 157; Etat de concentration du
sujet
dans le —, 155, Déviation conjuguée de la tête
térieures. Mais ces résultats négatifs de son expérience directe du
sujet
ne l'autorisent naturellement pas à nier, il le
IQUES DU TABES. 17 En dépit des objections qui ont été élevées à ce
sujet
, Redlich estime, de par l'anatomo-pathologie du
e à un malade mort dans le deuxième septénaire ; la deuxième à un
sujet
qui a succombé à la fin de la première semaine, e
es lésions suffiraient à elles seules à expliquer pourquoi nos deux
sujets
ont succombé; mais ces deux cas nous engagent à
si celui-ci doit être transféré à la clinique, ou s'il s'agit d'un
sujet
non aliéné (ivresse, excitation). A ce point de
s états psychopathiques sont rarement observés), qu'il soi- gne des
sujets
atteints de maladies nerveuses, car la psychiatri
e dans les établissements de ce genre le nombre des admissions de
sujets
curables est plus considérable que dans les asile
peuvent être traitées sans que l'internement soit nécessaire et ces
sujets
peuvent être présentés aux élèves ; les malades
ompte, dans l'aménagement des locaux, de ce chiffre considérable de
sujets
atteints de psy- choses aiguës. Notons que to
lance continue des mélancoliques à idées de suicide, ainsi que des
sujets
atteints de psychoses aiguës. Griesinger, en 1868
t des idées de suicide, les- agités, les paralysés, les gâteux, les
sujets
atteints d'affections somatiques et enfin tous le
e psychia- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 41 trique, le nombre des
sujets
justiciables du traitement par le lit ; la prop
n a adopté une pratique excellente que nous recommandons : tous les
sujets
entrants sans exception, après avoir été au bai
ultation, les chambres d'examen et une chambre d'isolement pour les
sujets
agités devant être présentés aux .élèves. A W
13. La troisième comprend le reste des 73 malades, c'est- à-dire 49
sujets
; il est vrai que 7 d'entre eux ont eu une rechut
d'entre eux ont eu une rechute après plus d'un an ; mais sur ces 7
sujets
4 ont de nouveau guéri. 4 sont morts depuis 189
gliome est une variété commune de tumeur cérébrale, et qu'il est
sujet
à des hémorragies qui se produisent à l'intérieur
re dans les lèvres. L'auteur est d'avis que les malades qui font le
sujet
de ces deux observations sont atteints de paral
die a changé d'aspect. Observation III. Femme de cinquante-six ans,
sujette
depuis son adolescence à des attaques récidivan
ue par une action nerveuse physiologique héritée ou excitée chez le
sujet
par la manière dont il s'y est volon- tairement
n- tairement abandonné. Ceci est presque prouvé par les cas où le
sujet
, ayant résisté à la tendance héréditaire, ne prés
rs, n'existe pas plus qu'un corps parfaitement sam. Mais il y a des
sujets
sur la folie desquels tout le monde est d'accor
ires n'étant naturellement pas toujours utilement applicables à des
sujets
dépourvus de raison. R. M.-C. 52 REVUE DE PAT
mparfait, en sorte que, après la cessation de l'acte automatique le
sujet
, ou bien n'en conserve nul souvenir, ou bien ne
importante est éliminée, la simulation de l'amnésie, avantageuse au
sujet
en cas de crime, inutile même en cas de survie
on essaie de leur donner à entendre toutes espèces de choses sur ce
sujet
, ils ont toutes sortes d'idées, de grandeur 62
une revue sommaire des lésions non tabétiques, il discute alors le
sujet
de l'ataxie aiguë, due aux lésions épinières, a
quant à la pathologie de la ma- ladie. L'auteur traite ensuite le
sujet
des lésions de la colonne posté- rieure dues au
nt de celles du tabes, mais la syphilis ayant précédé, ces cas sont
sujets
à caution. Vu leur analogie, je parlerai simult
luant vers la parastbénie, l'ataxie, la paraplégie, et emportant le
sujet
dans l'espace d'un an (cas de M"0 M..., rapporté
uelque peu malades. Discussion. M. Georges iUILL.11\ (de Paris). Au
sujet
des altérations médullaires consécutives aux né
esseur Raymond. Les modèles ont été naturellement choisis parmi les
sujets
qui présentaient les carac- tères les plus typi
myopathique. Puis deux statuettes reproduisent entièrement nus deux
sujets
atteints d'affections éminemment plastiques pou
il semble parfois ne pas reconnaître les objets usuels et qu'il est
sujet
à des bizarreries. On ne constate, le jour de s
e névrite des racines postérieures et peut se manifester chez des
sujets
dont les réflexes tendineux sont abolis Or, depui
ière par Pierre Marie, duquel j'accepte pleine- ment les idées à ce
sujet
. La nature infectieuse et toxique des myélites
la pro- duction du sommeil et l'on exalte la suggestionnabilité du
sujet
. M. BLRILLOQ. Le bruit fait par le métronome, l
delà face expriment particulièrement la douleur. surtout ' Voir ce
sujet
le livre de Charcot : La /b : qui guérit. 92 BI
e ce breuvage, sans avoir repris connaissance. La justice fait à ce
sujet
une enquête, pour découvrir les auteurs de cet
lles différences, en effet, tant au physique qu'au moral, entre les
sujets
dou- bles de ce genre tels que les frères Siamo
igine des racines postérieures ? Les réflexions qu'il a faites à ce
sujet
ne manqueraient point de portée au cas où la na
ayant examiné avec la méthode de Nissl une moelle tabétique dont le
sujet
avait présenté une atrophie muscu- ' Ch. Schaff
urait manqué à ses conclusions, la comparaison avec les cerveaux de
sujets
sains d'esprit Rien d'autre part dans les altér
elle les travaux de Sir John Batty Tuke et les siens propres sur ce
sujet
; et il termine son travail par quelques remarque
j. 1° Les pupilles se rétrécissent quand on attire l'atten- tion du
sujet
sur un objet brillant placé sur le côté de la lig
Haut); 2° les pupilles se dilatent quand on attire l'attention du
sujet
sur un objet sombre, placé sur le côté de la lign
ncep- tuels des pupilles). 1° Les pupilles se rétrécissent quand le
sujet
se représente mentalement une lumière ; 2° Elle
représente mentalement une lumière ; 2° Elles se dilatent quand le
sujet
se représente mentalement un objet sombre. P. Ker
que médico-pédago- gique, destinée à faire des enfants anormaux des
sujets
se rappro- chant le plus possible des individus
LÉo1\ (de Montevideo). Au commencement de la maladie la plupart des
sujets
préten- dent ressentir des sensations de chaleu
ique, comme l'hémiplégie organique, peut survenir à tout âge. Les
sujets
sont d'hérédité névropathique, et de tempérament
ire et Archives de Neurotogie. 1900. 160 SOCIÉTÉS SAVANTES. - Les
sujets
présentant une hémiplégie organique (les cas de t
ion du muscle. Or. il résulte de mes nom- breuses recherches sur ce
sujet
(v. C. R. du Congrès d'Électricité à Paris, 188
dans une leçon parue dans la Gazette des hôpitaux mes idées sur ce
sujet
d'une manière complète, je me contenterai aujou
ble qu'il dépende de l'hystérie. A l'occasion d'une discussion à ce
sujet
j'ai déjà demandé, il y a près d'un an, à mes c
observation n'est pas en contradiction avec ce que j'ai écrit à ce
sujet
. Je sais en effet que ce phénomène des orteils pe
n adhésive avec symptômes psy- chiques el amaurose complète chez un
sujet
ayant depuis trente ans une tumeur du cervelet;
soutien de la tête par une main, par un doigt, la volonté débile du
sujet
replace sa tête droite, alors que cette même vo
n état de fatigue douloureuse des muscles thoraciques. Il suffit au
sujet
d'être distrait, de se livrer à un travail quel
olloques à distance, écho de la pensée). D'abord accep- tées par le
sujet
, elles sont rapidement critiquées et disparaissen
appoint alcoolique et dans le mode d'activité mentale antérieure du
sujet
, habitué de longue date à une parole intérieure
rapporter, parce que l'idée de perécution reste im- muable chez le
sujet
, qui demeure irréductible dans son délire. Il v
également éprouvé des hallucinations terrifiantes et était en outre
sujette
à des impulsions' verbales. Une période de dout
e et prétend ne plus exister. M. M0501n fait ressortir que ces deux
sujets
, en apparence iden- tiques l'un à l'autre, diff
formule la même opinion et ajoute que si, au con- traire, un jeune
sujet
faisant en délire des négations ne guérit pas,
s la formule des suggestions, il faut faire intervenir l'intérêt du
sujet
, ajouter un motif d'agir. Souvent un médecin hy
corpions ; il relate les nombreuses expériences qu'il a faites à ce
sujet
tout récemment et rapproche ce suicide de celui
er cette singulière affection. Ayant eu l'occasion d'observer trois
sujets
frappés à la même époque et dans les mêmes cond
e elle-même n'être que transitoire puisqu'au moins chez l'un de nos
sujets
la guérison semble s'être faite d'une façon abs
âgé de soixante-trois ans, habitant les environs de, Landerneau. Le
sujet
ne-se souvient pas avoir jamais été malade au p
était encore boiteux au moment de son arrivée sous les drapeaux. Le
sujet
raconte que la paralysie qu'il a observée chez
quels : pendant tout ce temps, la jambe était « comme morte » et le
sujet
était dans l'impossibilité de la remuer. 'Le méde
e par le Dr Tanguy ; sans qu'il y ait eu.de fracture compliquée, le
sujet
présenta à son niveau desjdce- rations qui ont
présente un léger steppage de la jambe 'gauche. 'Au -surplus, le -
sujet
s'est aperçu lui-môme, que son pied gauche'frappe
es des orteils des deux côtés, qui sont striés, épais, friables. Le
sujet
dit encore qu'au moment de la paralysie, le gro
ertaine volubilité, mais ne présente aucun trouble de la parole. Le
sujet
ne parle que le breton. Il n'existe pas de trou
attaque de paralysie qu'il nous décrit. A l'âge de dix-neuf ans, le
sujet
étant cultivateur, coupait du blé dans les cham
es souffrances se prolongèrent cinq mois, puis disparurent. Mais le
sujet
conservait une boiterie de la jambe gauche qui
cident, la différence entre les deux membres était fort nette. Le
sujet
fait un métier pénible : il charge des tonneaux d
était facile, le pied ne frôlait plus le sol. 18 octobre 1899. -
Sujet
vigoureux, solide, bien constitué. Ne tousse pa
olide, bien constitué. Ne tousse pas d'ordinaire, a bon appétit. Le
sujet
étant vêtu, la mar- che se fait bien. Le thorax
a pas de modification dans la marche les yeux ouverts ou fermés, le
sujet
étant dévêtu. Légère mais très nette exagération
. La jambe gauche est manifestement plus petite que la droite. Le
sujet
accuse en outre en hiver une sensation de froid p
muscles de la jambe gauche. 11 n'y a pas de signe de Babinski. Le
sujet
étant dans le décubitus dorsal, le membre inférie
Il n'y a pas non plus de troubles de la sensibilité subjective. Le
sujet
se plaint seulement d'un peu de faiblesse de la
normal pour le blanc et les couleurs. Pas de scotome central. Le
sujet
est emmétrope des deux yeux. Les pupilles réagiss
ôté gauche se recouvre d'une rougeur manifeste, à ce que prétend le
sujet
. L'intelligence est moyenne, l'instruction rudi
on III. G ? Jean-Marie, âgé de vingt-cinq ans, habi- tant Brest. Le
sujet
est journalier et porte de lourdes charges de b
e sujet est journalier et porte de lourdes charges de bois : ' Le
sujet
ne se souvient pas avoir jamais été sérieusement
e une cicatrice oblique de haut en bas et de dehors en dedans. Le
sujet
nie tout excès alcoolique. Il ne présente- pas de
et, autant qu'il est possible de s'en assurer en faisant marcher le
sujet
comme alors, en steppant et en boitant un peu d
es étaient prises. Le malade steppait fortement des deux jambes (le
sujet
imite de lui-même la marche telle qu'elle exist
res inférieurs légèrement repliés sur eux-mêmes. 20 octobre 1899.
Sujet
suffisamment vigoureux, de petite taille, prése
, ce qui n'exis- terait pas d'ort'inaire - à ce qu'il prétend. Le
sujet
étant debout ne peut fléchir le pied sur la jambe
et d'extension se passent dans l'articulation tibio-tar- sienne, le
sujet
fléchit et étend le pied plutôt qu'il ne fait exé
ent est plus prononcé le long du bord interne du pied. Du reste, le
sujet
fait demi-tour sans hésitation. Il raconte enco
che, mais cette même douleur aurait existé de ce côté également. Le
sujet
sent bien le sol sous ses pieds. Membres supéri
un léger pied plat gauche qui ne gène pas la marche du malade. Le
sujet
prétend que ses pieds auraient diminué de volume,
ses annexes : poils, glandes, etc. Pas de troubles vaso-moteurs. Le
sujet
n'accuse qu'une fatigue pas très prononcée aprè
dur travail jour- nalier. Organes des sens. La vue est bonne, le
sujet
lit la. montre à trois mètres. 11 épèle à peine
as de troubles du goût. Il n'y a pas de troubles des sphincters. Le
sujet
a eu il y a quatre semaines une cholérine qui dur
holérine qui dure encore un peu. L'intelligence est assez bonne, le
sujet
s'exprime facilement. il lit avec peine. Il n'y
dans les douleurs provoquées ou spontanées ( ? ) ressenties par le
sujet
dans la cuisse gauche et dans la sensation de f
ant après elle qu'un reliquat insigni- fiant. Il semble bien que le
sujet
de l'observation irait été le pluspiofondément
e tout persistant neuf ans encore après le début de l'affection. Le
sujet
de l'observation lII'est au con-- traire à peu
t totalement guéri ; le seul signe présenté en commun par les trois
sujets
est une 204 CLINIQUE NERVEUSE. légère exquiss
sistions à la guérison progressive et régulière de nos malades, les
sujets
étudiés par M. Pitres ont vu leur maladie about
ant de penser que l'on puisse considérer comme s'y rattachant les
sujets
de nos observations. Il en est de même d'une hé
ent intacts. La durée des crises était de vingt-quatre heures. Le
sujet
fut amélioré mais non guéri par la quinine. Nous
sparu complètement, lorsque au mois d'août' de cette même année, le
sujet
présenta de nouveau les mêmes symptômes. Après
seule- ment les étudiants de nationalité étrangère, mais encore les
sujets
alle- mands nés en dehors de. l'État (Royaume,
s (10 ou 15). A Strasbourg, par exemple on reçoit non seulement les
sujets
placés d'office par. la police de la ville et d
lles réalisent dans les meilleures conditions l'hospitalisation des
sujets
atteints d'affection du cerveau, ces établissemen
secondaire; qu'ils ne se contentent plus la répugnance à placer les
sujets
atteints de maladies mentales dans les asiles o
cas peu fréquents d'épilepsie. Il ne doit être employé que chez des
sujets
somatiquement sains, jamais chez les malades dé
efois on sait le doser progressivement en explorant la tolérance du
sujet
. M. llamcr.. VI. L'hédonal; par J. Clans. (Biil
ter que ce cas est un de ceux qui démontrent une fois de plus qu'un
sujet
peut être porteur d'une néphrite interstitielle
sgrave CLAY. XII. L'atrophie musculaire progressive chez les jeunes
sujets
; par William L. S1'OVELL. (1'lce New Yoi k Médi
aractères particuliers que cette maladie pré- sente chez les jeunes
sujets
; chez l'adulte, elle débute presque toujours pa
es cas terminés par la mort l'autopsie a pu être faite : ce sera le
sujet
d'un mémoire ultérieur; toutefois l'auteur peut
ut savoir gré à l'auteur d'avoir donné une bonne biblio- graphie du
sujet
. R. DE MUSGRAVE CLAY. 252 ) REVUE DE PATHOLOG
saturnisme, ni l'alcoolisme ne pou- vant être mis en cause chez le
sujet
dont il s'agit, il faut admettre que la polynév
aitenent des aliénés; par le D'' Meunier (Thèse, Paris, 1900). Même
sujet
; par le De CAS-rrRS (Thèse de Lille, même année
national de 1900, des comptes rendus de recherches cliniques sur ce
sujet
ne pou- vaient manquer de venir préciser sur ce
ires qui, si fréquemment, ont pour conséquence la condamna- tion de
sujets
atteints de maladies mentales par les tribunaux
é par indiquer comme premier terrain d'investigation et d'étude, un
sujet
qui ne serait pas déplacé dans un traité de psy-
nôtre. En se reportant au texte même des auteurs il y aurait là le
sujet
d'une thèse sérieuse. Sommaire. Père, très inte
de l'os et, si l'on appuie, on détermine une vive douleur. Elle est
sujette
à des céphalalgies qui ont leur point de départ
a treize ans et qui ont provoqué une très grande anémie, elle a été
sujette
à des évanouissements fréquents, jusqu'à deux foi
tri- jumeau et l'acoustique. La nature de la lésion, vu l'àge du
sujet
et la présence d'une cicatrice suspecte de la l
axo. (Journal de Neurologie, 1900, 110 31.) La malade qui fait le
sujet
de cette observation, succomba avec tous les sy
te des désirs sexuels : fièvre légère. Le malade prend l'aspect des
sujets
porteurs de tumeurs malignes : il est obligé de s
urs ont entre eux des rapports plus étroits que jamais, et quand le
sujet
entre dans la période où les facultés intellect
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 313 On ne saurait abandonner ce
sujet
sans parler des recherches très soigneusement c
des prolongements protoplas- miques des cellules corticales chez le
sujet
sain d'esprit et chez l'aliéné, les auteurs ont
un mot, il est cette forme d'intelligence qui se manifeste chez un
sujet
hypnotique lorsqu'il est dans un état de somnam
ire les moyens déjà indiqués, suppose toujours une concentration du
sujet
et de l'opérateur, exige l'en- tière acceptatio
de l'opérateur, exige l'en- tière acceptation de l'opérateur par le
sujet
, l'oubli de toutes les choses extérieures; c'es
mmuné- ment employée : elle exige aussi la soumission consciente du
sujet
à la volonté objective de l'opérateur, et par l
ue de souffrances. Cstte forme ne détermine de fatigue ni chez le
sujet
ni chez l'opérateur, elle n'exige ni fixité ni te
sugges- tions orales ou mentales allant de l'opérateur dirigeant au
sujet
dirigé. Elle donne des résultats trù brillants
ailleurs, pour lancer utilement une suggestion thérapeutique que le
sujet
soit à portée de la voix et de la vue; il n'est
l'on ne doit pas compter sur l'intelligence normale et attentive du
sujet
, et que l'esprit objectif ne vient pas aider l'
travail qui soit parvenu à la connaissance de l'auteur sur le même
sujet
est celui du D'' Whitmore Sfeelle, qui considère
e, juillet 1898.) Le groupe des malades examinés se compose de 1014
sujets
, (507 hommes et 507 femmes) : ces recherches on
de folie paraissent être en somme à peu près de même nature que le
sujet
présente ou non une prédisposition héréditaire.
ment de comparaisan les données anthropologiques fournies par des
sujets
absolument sains d'esprit. R. de 111USGn.IVE-CLAY
lonies, homes, etc., et après un examen rapide, mais substantiel du
sujet
, il résume son opinion dans les conclusions sui
, non seulement des médecins, mais du public, Blumer arrive au vrai
sujet
de cet article : la supériorité de;fermes et jar-
use. M. SwiTALSKi présente des coupes provenant de la moelle d'un
sujet
atteint d'hérédo-ataxie cérébelleuse, on y voit u
influence de ces traumatis- mes, surtout pour le cas actuel dont le
sujet
syphilitique était en outre atteint d'attaques
scorpions; il relate les nombreuses expériences qu'il a faites à ce
sujet
tout récemment et rapproche ce suicide de celui
n de la maladie. Or, un accès de mélancolie survenant chez un jeune
sujet
doit toujours faire soupçonner la folie intermi
blis, malades à idées de suicide); la plus grande est réservée aux
sujets
tranquilles. Les chambres d'isolement, placées à
nt, dans cette voie d'étude expéri- mentale, on a pris d'abord pour
sujets
, des animaux supé- rieurs et en particulier cel
rmation dans ceux qu'on a obtenus ensuite, en expérimentant sur des
sujets
de notre espèce, trépanés. Messieurs, on ne s
rgery, 1896, vol. XXIV, p. 1286). Un homme de trente-neuf ans était
sujet
à des attaques convul- sives depuis l'âge de vi
entré à l'hôpital, le 0 juin 1892 : depuis dix-huit mois, il était
sujet
à des L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAI
occupations, et qu'au bout de trente mois environ il était redevenu
sujet
et ses atiaqucs. 2° Nancrède (The operative Tre
tique, au côté gauche du crâne. Deux ans plus tard, il était devenu
sujet
à des attaques d'épilepsie; à certaines époques
et les yeux se mirent à participer aux secousses. Le malade devint
sujet
à de véritables attaques d'épilepsie par- tiell
é sans connaissance un jour durant. Six années plus tard, il devint
sujet
à des attaques convulsives, d'abord pendant son
l Journal, 1890. T. 11, p. 1286). Un homme de quarante-un ans était
sujet
, depuis l'âge de vingt-cinq ans, à des attaques
nous a misa même de contrôler, par la voie expérimentale, sur des
sujets
de notre espèce, nos connaissances touchant la to
un peu trop négligés jusqu'à présent dans les publica- tions sur ce
sujet
. Quelques indications à cet égard seraient cepe
oire de M. llfeltzer se termine par une excellente bibliographie du
sujet
, qui ne comporte pas moins de 136 numéros. R. D
S. D. HoPFiNs. (77te New Yorlc Médical Journal, 26 août 1899.) Le
sujet
dont il s'agit avait été en parfaite santé jusqu'
le que Môbius REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 409 enseigne que tout
sujet
du sexe masculin qui présente brusque- ment du
thiques. L'auteur apporte deux observations, l'une d'un épileptique
sujet
à des vertiges et à des fausses réminiscences e
lcoolique. 11 faut noter d'ailleurs en passant que la résistance du
sujet
à l'action de l'alcool est extrêmement variable
t alors il est impossible d'apprécier la capacité intellectuelle du
sujet
. La cécité des mots s'accompagne généralement d
divers aspects de la question, et constate que bien que beaucoup de
sujets
au moment de leur entrée à l'asile soient atteint
ir si le mariage doit être permis soit à un aliéné guéri, soit à un
sujet
portant le poids d'une lourde hérédité mentale;
qui poussent les hommes à se donner la mort sont les mêmes, que le
sujet
soit sain ou aliéné : il se tue parce que la vie
uteurs. Quant à la langue, les auteurs sont généralement muets à ce
sujet
, et il n'y aque Pasquier et Marie qui donnent une
de cavités ; il ne peut donc pas adopter les vues de Wei- gert à ce
sujet
; 7° L'affirmation de quelques auteurs à savoir
, tirées des auteurs anciens et modernes de toutes nationalités. Le
sujet
est traité d'une façon neuve et originale. Epri
M. Grasset nous donne ici son opinion sur les théories émises au
sujet
des rapports du génie et d'un état morbide (folie
rritabilité, mais de résumer l'état actuel des connais- sances à ce
sujet
et aussi de déterminer avec soin quels sont les
gie et de Psychologie à l'auteur de la meilleure thèse sur l'un des
sujets
suivants : Hypnologie, Psy- chothérapie, Pédago
érale juvénile connu en France et le premier travail spécial sur le
sujet
1. Depuis j'ai succes- sivement observé et rapp
gné, serait en mesure de donner des renseignements plus précis à ce
sujet
. Pas d'antécédents cérébraux, vésaniques ou név
à sa mort, mais perdus de vue depuis cette époque. Victor, notre
sujet
, n'a jamais été sérieusement malade. Venu à Bor
e l'écriture. Il remonte à la date même de nos premiers examens. Le
sujet
a essayé dans les premières lignes, d'écrire se
rme exclusivement démente, sans aucun délire, de la maladie chez le
sujet
. - Il en est ainsi, la plupart du temps, dans l
sans en avoir jamais parlé, et sans laisser aucune publication à ce
sujet
. Il est ainsi décrit : « Ordonner à l'individu
- rales. Mais le bénéfice de cette méthode n'a pas été limité aux
sujets
en état d'imminence morbide, ou actuellement atte
rconstances) il importe d'obtenir le maximum de flexion ventrale du
sujet
. L'anesthésie est le plus souvent tout à fait i
pération. Les points de repère sont faciles à trouver sauf chez les
sujets
très gras ou très musclés : pour eux on se sou-
plexes et que, comme tous les autres troubles sensoriels elles sont
sujettes
à des rémissions et à des exacerbations et peuv
olie morale. Les limites de la folie sont encore évidentes chez les
sujets
qui pendant toute leur vie sont en proie à des
rare de voir des mala les ne pas perdre tout à fait le jugement au
sujet
de leurs hallucinations, surtout si ces erreurs s
lle lié rédo-syphililiquc ; par 11. L. Marchand et CL. Vurpas. Le
sujet
de l'observation, T..., est une jeune fille âgée
e momentané de la conscience. On peut alors se demander pourquoi le
sujet
remplit le temps d'inconscience par des actes e
ible de les connaître. Elle avait les oreilles mal ourlées et était
sujette
dans l'enfance à des crises hystérifotmes. M.
la suite machinal et irréfléchi en raison d'une prédispo- sition du
sujet
reconnaît le plus souvent comme cause provocatric
stérique ? 512 SOCIÉTÉS SAVANTES. Pour me former une opinion à ce
sujet
, je serais obligé d'étudier le malade avec soin
ent essentiel dit sénile n'a jamais été signalé chez un aussi jeune
sujet
. Dans la thèse de Bourgaret le malade atteint le
ut pas regarder en haut. " Les muscles masticateurs sont perdus, le
sujet
ne peut rappro- cher ses arcades dentaires et l
syphilis et qui présente de la rigidité pupillaire ; chez ces trois
sujets
le réflexe rotulien est intact. F. Boissirn. SO
titiques, abusait de boissons alcooliques dans sa jeunesse et était
sujet
aux petits accès épileptiques. En 1891, le malade
segmentaire et -, par van Gelluclaan, 'L>39.- chez les jeunes
sujets
, par Stowell, 211. Plessiun artérielle dans l ?
En résumé, un mal de Pott dorsal inférieur a donné lieu, chez le
sujet
, trois fois à de la paraplégie. La première par
nne. . 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. En résumé, il s'agit d'un
sujet
vigoureux fortement entaché d'alcoolisme, qui,
nt différente, la sténose artérielle ne se rencontrant que chez les
sujets
âgés à artères athéromateuses ou syphilitiques.
Iconogr. delà Salpêtrière, n° 4, 1900.) Développement, chez le même
sujet
, du gigantisme à la période de croissance et de
très justement de rassembler toutes les observations connues sur ce
sujet
, d'y ajouter quelques recherches expérimentales
hésie auto- suggérée ; les faits observés montrent que chez le même
sujet
on ne peut jamais la localiser d'une façon préc
e de Bruxelles, janvier 1900.) Affection s'étant développée chez un
sujet
atteint d'une tubercu- lose pulmonaire en voie
ont bien, tandis que le sentiment d'avoir la tête malade conduit le
sujet
à une hypocondrie passagère. 60 REVUE DE PATHOL
ctions des pupilles chez les malades à pupilles inertes et chez les
sujets
dont les pupilles réagissent bien ou faiblement
on ou la perte de la conscience propre à l'attaque d'épilepsie ; le
sujet
, tout à fait lucide pour le présent, oublie le pa
l, et que les émotifs et les névropathes sont plus particulièrement
sujets
à des perturbations de ce genre, nous ne pouvon
a castration et il aurait même amélioré les perversions de certains
sujets
, idiots, masturbateurs pervertis, etc. M. H.
a répondu avec rai- son qu'il n'y a pas responsabilité, dès que le
sujet
a perdu la direction de ses actes. L'auteur f
antérieures, quelques principes se dégagent déjà : examiner chaque
sujet
à son emprisonnement... Il arrive au con- trair
« L'hystérie est une affection psychique qui consiste en ce que le
sujet
qui en est atteint est susceptible de s'auto-sugg
tent d'être reproduits avec une exactitude rigoureuse chez certains
sujets
, et de disparaître sous l'influence exclusive de
s à faire sur le diagnostic de myopathie. ' M. Marie. En effet le
sujet
est trop paralysé et trop dépourvu de réflexes
à l'hys- térie, et apporte, dans la discussion encore ouverte à ce
sujet
, un appui à l'opinion de M. Babinski que l'hyst
type de Kernig. Les types 1, 2 et 3 peuvent coexister chez le même
sujet
. M. Babinski se défend d'avoir vu dans cette im
part à une enquête internatioale tendant à empêcher le mariage des
sujets
atteints d'états morbides capables d'engendrer
te quelques exemples de suicide par autosuggestion involontaire. Le
sujet
contemple le vide, il a la représentation menta
ompte d'une séance qui a été donnée à l'Ecole de Psychologie par un
sujet
originaire de Salonique. Il rapporte les expéri
pu démontrer qu'il ne s'agissait nullement de lecture de pensée; le
sujet
ne faisait qu'interpréter très habilement les mou
x enfants des écoles par leurs parents. M. Jules Voisin expose à ce
sujet
ce qui se passe à l'Ecole de réforme de la Salp
fants : un garçon âgé de dix-huit ans, atteint de tic de la face et
sujet
à des attaques d'hystérie, et deux filles en bonn
tique de la suspension, car nous considérons ce genre d'expériences
sujet
à discussion et quelle que soit la rigoureuse a
ar DOUCII.\UD. (Revue de médecine, novembre 1900.) Il s'agit d'un
sujet
qui présentait une paralysie complète des. quat
nnexions cesse. Mais pour vérifier cette cécité, faites regarder le
sujet
dans un appareil ou des miroirs ne lui permettant
oute affection nerveuse ou physique. Est, dès la première jeunesse,
sujet
à des accès de ptyalisme brusque : tout à coup
ue s'accompa- gnent habituellement de respiration accélérée ; 3° un
sujet
donné présente presque toujours les mêmes modif
aissance. On sait seulement de lui qu'il est depuis quelques années
sujet
à des attaques convulsives suivies de coma, attaq
es parasites et plusieurs échinocoques. Ce cas anormal par l'âge du
sujet
, par les dimensions et la localisa- tion du kys
: paralysie spinale à marche lente et progressive survenue chez un
sujet
ayant contracté la syphilis 38 ans auparavant.
1901.). Une observation d'hypertrichose très remarquable chez un
sujet
présentant un cortège touffu de stigmates physiqu
de développement à la 158 SOCIÉTÉS SAVANTES. maladie subie par le
sujet
à l'Age de trois ans et après laquelle apparure
e. M. BLOCH revient sur la récente communication qu'il a faite au
sujet
de l'auto-microsthésie. Il rapporte l'observation
ent pas compte du tempérament, des habitudes particulières à chaque
sujet
. Du reste, d'une façon générale, dans les expérie
ent sont trop sus- ceptibles de variation. L'expérimentateur et les
sujets
se fatiguent, t, et cette fatigue fausse certai
onnement, etc., toutes choses essentiellement variables avec chaque
sujet
. 11 est relevé comme une conclusion neuve, la c
é Ce traité est un des plus complets qui aient été publiés sur le
sujet
. Outre ces observations personnelles, M. Gélineau
l1' on E1'eulhophobie. Le moment nous paraît venu de revenir sur le
sujet
, non pas pour refaire notre descrip- tion à laq
D'une façon générale, ces nombreux travaux, qui montrent combien le
sujet
a suscité de l'intérêt, en France et à l'étrang
i est en jeu, s'était borné à reproduire l'auto-bio- graphie de son
sujet
, en concluant simplement, à la fin, qu'il s'agi
ces fonctions variait du tout au tout non seulement suivant que le
sujet
était dans le calme ou l'émotion, mais encore s
ais encore suivant les degrés de celle-ci. C'est ainsi que quand le
sujet
est ému à l'idée que quelqu'un va venir dans la
du pouls capillaire. Dans les deux cas, remarquent les auteurs, le
sujet
rougit et pour- tant on constate tantôt une vas
en tant qu'émotion, est bien d'origine céré- brale. « L'idéation du
sujet
provoque une association, qui à son tour suggèr
vait réaliser l'expérience en sens inverse, faire rougir d'abord un
sujet
, sans le faire penser, on ne provoquerait pas d
n lira avec grand inté- rêt ce qu'écrit à ce point de vue un de nos
sujets
dont nous rapportons plus loin l'histoire et qu
e Neurologie, un résumé de cette observation (obs. III). Depuis, le
sujet
nous a adressé ces pages, tellement intéres- sa
ible. Si je suis en compagnie, alors je parle, je m'étourdis. Si le
sujet
de conversation s'y prête, je m'emballe, je fei
avec une intensité variant du maximum à un minimum appréciable au
sujet
seul. Quelles sont les conséquences physiques e
toute sensation n'existe que lorsqu'elle est perçue (à preuve qu'un
sujet
endormi à qui j'enlève la sensibilité n'éprouve
alors que, plus tard, j'ai eu peur de rougir dès qu'on abordait le
sujet
. Semblablement pour toutes les circonstances qu
jamais observé le bizarre phénomène de l'alternance chez le même
sujet
, de la dermographié avec l'altération en moins ou
tion la plus fréquente est, avons-nous dit, si on embrasse tous les
sujets
, le simple affaiblissement de la réaction nor-
et Iypémaniaque, qui se succèdent. Comme nous n'avons eu que quatre
sujets
de cette catégorie, peut-être sommes-nous tombé
INIQUE MENTALE. paralysie générale et pour cela de suivre les mêmes
sujets
du début à la terminaison de la maladie. Nous n
à la troisième. On voit par là combien est limité le nombre de nos
sujets
. Néanmoins ceux qui sont toujours restés à la m
n- contrées aux trois périodes de la paralysie générale : soit 19
sujets
à la première, 20 à la seconde desquels 5 figuran
quent par rapport à la première de 45,1 p. 100 ! En outre, le seul
sujet
qui nous ait présenté de la dermographie excessiv
la phase intermédiaire et l'autre à la phase ultime; pas un des 19
sujets
de la phase initiale ne l'a présentée. - Nous a
ale ne l'a présentée. - Nous avons eu, malheureusement, trop peu de
sujets
à notre disposition pour étudier d'une façon co
s plus qu'un stigmate d'hystérie. Voilà donc vingt-cinq ans que mon
sujet
était malade : en moins d'une année j'arrive, g
e nature alcoolique ou épileptique...; l'auteur passe en revue à ce
sujet
ce qui a été décrit de l'amnésie rétrograde épi-
isséminée et ataxie locomotrice, sénilité, crises de manie chez des
sujets
ayant antérieurement quelque vice d'articulatio
- ) : : <2/, 1900, p. 515-521.) - C'est l'histoire d'un de ces
sujets
qui sont sur la limite de la folie, où le moind
t des laboratoires de psychologie qui y trouve- ront d'ailleurs des
sujets
d'étude. Colonies pour aliénés. Il ne suffit pa
lopper également une sorte d'entraînement moral. Péterson émet à ce
sujet
l'avis que le travail au milieu des fous serait
ter à l'une de ses périodes, mais son cours pendant toute la vie du
sujet
et son aboutissant final. La tendance essentiel
ewey rappelle plaisamment à ce 228 8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
sujet
qu'un auteur anglais a soutenu récemment que les
ême ordre que lorsqu'un microbe spécifique pénètre l'organisme d'un
sujet
. Ne pourrait-on pas dire que c'est l'oeuf humai
es sentiments (terrifiants, religieux ou gais), dont est affecté le
sujet
. L'imagination enfin joue un rôle dans les témo
ystérie ou de la neurasthénie, mais cependant très émotive, qui est
sujette
à des accès d'angoisse survenant sans cause app
. 04l-63.) C'est sur le peu d'épaisseur et la fragilité du crâne du
sujet
dont l'observation est rapportée dans cet artic
qui ont eu des troubles cutanés avec perte d'une narine, ces trois
sujets
présen- taient des signes de tabes sans être de
ze ans, ayant l'aspect et la mentalité d'une enfant de sept ans. Le
sujet
a eu sa première dent à deux ans, a marché à tr
quatrième étape et la rémission est définitive ou à peu près. Le
sujet
est alors plus un infirme qu'un malade. Cet infir
te assertion, l'observation d'une malade, âgée de vingt-huit ans et
sujette
depuis longue date à des accès d'hémicranie (hé
teurs s'expliquent par ce fait que les recherches ont porté sur des
sujets
de diverses races et de différentes conditions
as- sins ne sont pas des magnétiseurs de profession, parce que le
sujet
, hypnotisé, s'indigne inconsciemment contre ce qu
nscientes au sens moral du mot`1 Dans un cas, cité par M. Vires, un
sujet
ne voyait pas le professeur bibliographie. 231
l'absence lui fut suggérée pendant le sommeil. Dans un autre cas le
sujet
saluait le profes- seur Massé, alors que celui-
stérieux est encore peu élucidé, malgré les nombreux travaux sur le
sujet
de l'hypnotisme. - P. KOUINDJY. VI. Les Emotion
étermination reçoit son empreinte des inclinations propres à chaque
sujet
. Toute perception est essen- tiellement variabl
le cerveau, la moelle, les muscles et les autres organes, chez les
sujets
morts de convulsions- épileptiformes prolongées
on, et elle n'y existe qu'à l'état d'ébauche. Mais, chez certains
sujets
(psychasthéniques, neurasthé- niques, dégénérés
parce que la volonté est impuissante à les faire disparaître. Le
sujet
en a conscience, il les juge comme des faits morb
et et Courtier 1, Binet et Vaschide 2 - ils ont vu que, suivant les
sujets
, des émotions de même nature peuvent s'accompag
même un élément indis- pensable : il manque toujours, chez certains
sujets
à obsessions faibles; chez d'autres, il n'appar
ser d'une façon ininter- rompue les différentes phases de la vie du
sujet
, et nous comprendrons qu'elle ait droit à une b
yaient à peine les caractères. Mes pensées n'étaient pas du tout au
sujet
du livre que mon regard fixait sans comprendre,
enquête faite par ses parents démontre qu'il avait dit la vérité au
sujet
des 25 francs et de sa promenade à Choisy. Après
ien, dit M. Lannois, contre l'idée première : que l'intoxication du
sujet
, dans les maladies infectieuses, arrête les cri
d DEWEY. (The American Journal of lnsanity, 1901, p. 661-076.) Le
sujet
n'est pas nouveau, mais il faut sans cesse y reve
ent il comprend ce mode de traitement et quel secours il demande au
sujet
lui-même. Mais il y a encore beaucoup à faire d
e probablement héréditaire. Sans poser de conclusions fermes sur ce
sujet
, M. Lannois con- clut : « Le cacodylate de soud
s, me parait donc mériter d'être essayé sur un plus grand nombre de
sujets
pour juger de sa valeur thérapeutique dans la c
trale ; par A. ADAYKIÊWICZ, (Neurolog. Cenlralbl., XIX, 1900.) Même
sujet
, par H. SALOMONSOuN. (Ibid.) , M. Adamkiewicz
noms de nombre, les verbes auxi- liaires et beaucoup d'autres. Ces
sujets
ont généralement appris à parler tard ou ont lo
on alcoolique à 10 p. 100 de perchlorure de fer. On fait marcher le
sujet
sur une bande de papier blanc assujetti à l'aid
énomène . physiologique ; 3° on le peut produire, soit en priant le
sujet
de , fermer résolument les yeux et de les rouvr
, n'a pas la valeur qu'on lui a attribuée. On la rencontre chez des
sujets
nor- maux, sans raison appréciable, dans des né
écède parfois le début de la ' maladie. On peut l'observer chez des
sujets
normaux, des neuras- théniques, etc. L'hippus
ue les troubles pupillaires sont beau- coup plus fréquents chez les
sujets
présentant le signe de Westphal. La perte des r
er le même mouvement volontaire. Ces effets variant selon l'état du
sujet
, une excitation pénible et déprimante pouvant c
état du sujet, une excitation pénible et déprimante pouvant chez un
sujet
déprimé produire un effet excitant, il y avait li
oduire un effet excitant, il y avait lieu de rechercher si, chez un
sujet
préalablement excité, une excitation tonique po
prétations est et demeure iné- branlable. Parfois il arrive que ces
sujets
empruntent aux persé- cutés-persécuteurs les mo
s antéropostérieur. Les dcux pyramides ont disparu. La naissance du
sujet
a été pathologique, un ictus s'est produit au c
que je l'ai fait observer dans mes premières communications sur ce
sujet
. Vitiligo et Tubes. M. Souques présente un ho
31 un symptôme de syphilis et non un phénomène tabétique. Chez le
sujet
, la ponction lombaire a échoué, mais la tentative
deux manifestations diffé- rentes de syphilis réunies chez un même
sujet
. Topographie des troubles de la sensibilité dan
our viennent aussi à l'ap- pui de notre manière de voir. Mais, à ce
sujet
, je voudrais faire une remarque qui s'applique
question boni susceptibles de se développer aussi parfois chez des
sujets
qui n'ont pas été contaminés. Tel est l'avis de
de ces malades atteints de l'accident initial de la syphilis ; ces
sujets
sont tiès nombreux pourtant; pourquoi- donc jou
n chancre infectant chez un tabétique, un paralytique général ou un
sujet
présentant seulement le signe de llobertson. .
onique héréditaire et l'hérédité dans la ligne maternelle, chez les
sujets
du sexe féminin. De plus. L. Lortal-Jacob attire
e la radiographie n'avait pas trahie et dont l'ablation guérit le
sujet
. Depuis trois mois, aucune crise n'est survenue.
M. 13uaa.LOV. Quand ils passent de la veille au sommeil, certains
sujets
manifestent des phénomènes objectifs assez marqué
niques et les diverses expli- cations. M. HEGNAULT explique il ce
sujet
comment les Fakirs qu'il a étudiés dans l'Inde
à un sentiment intime, à une crainte ou à une appréhension, etc. le
sujet
peut trouver en lui assez de force de résistanc
uit ans, aux antécédents héréditaires tuberculeux, très nerveuse et
sujette
depuis l'àge de vint-cinq ans à des épistaxis f
ransitoires à la suite d'une infection syphilitique chez des jeunes
sujets
. Il est remarquable que dans les trois observat
quelle le travail de Krainsky n'a apporté aucune preuve qui ne soit
sujette
à critique. Pour avoir rendu compte de tous les
t sans effets. La dose quotidienne et d'ailleurs variable selon les
sujets
est de 3 à 4 grammes en moyenne, trop faible el
ur ses antécédents héréditaires. Depuis l'âge de huit ans, elle est
sujette
à des attaques convulsives qui se répètent géné
- plète les résultats des recherches antérieures de l'auteur sur ce
sujet
). 3 L'élévation de la température dans l'accès
d'hémimélie, forme dans laquelle rentre tout à fait celle de notre
sujet
. Elle est (loc. cil., t. I, p. 248) « carac- té
iquaient la tendance des tissus du bras à repousser. On trouve à ce
sujet
une précieuse observation présentée par Variot,
des jumeaux, et lui-même rapporte une observation dans laquelle les
sujets
, âgés de trente- trois ans, après avoir fait le
eulement au moment des règles. Le grand-père maternel fut longtemps
sujet
à des vertiges avec bourdonnements d'oreilles.
flexion de l'avant-bras sur le bras. J'en ai vu la preuve chez des
sujets
dont le biceps brachial, le bra- chial antérieu
lion tortueuse de la radiale et des artères du pied qui peut, si le
sujet
a moins de quarante ans et n'est ni alcoo- liqu
ent sem- blable dans ses résultats à celle que l'on observe chez un
sujet
qui gravit une montagne élevée ; il soutient qu
tion, à de grandes alti- tudes, de palpitations cardiaques chez des
sujets
nerveux ou nor- maux, palpitations qui sont évi
gnalé, et l'auteur commence son travail par un bon histo-- rique du
sujet
: cet historique est nécessairement court, puisqu
31.) 1° L'habitude de la morphine altère les facultés mentales du
sujet
, diminue son attention, pervertit sa conception d
rvertit sa conception du monde extérieur et son sens moral, le rend
sujet
aux impulsions... 2° En outre/besoin de plus en
s. L'immense majorité des aliénés des asiles se recrutent parmi des
sujets
à passé irréprochable, sans tares judiciaires, qu
cette catégorie peut porter le désordre dans tout un quartier. Ces
sujets
font des tenta- tives d'évasion ou de révolte,
es jeunes gens enfermés dans les maisons de correction, lorsque ces
sujets
ont présenté des signes d'aliénation mentale ou d
de reconnus dangereux, et cela, même lorsqu'il est démontré que ces
sujets
étaient aliénés avant de commettre l'acte crimine
Mentcal Science, avril 1901). Excellente et intéressante revue du
sujet
. Il. M. C. XX. Epilepsie et crime ; par John 13
es ou psychiques (intellectuelles ou émotives) suivant la nature du
sujet
chez lequel elles se mani- festent. » En se bas
re qu'un vol chez un para- lytique général, et même que si un homme
sujet
à des attaques fréquentes d'épilepsie commet un
Ces préliminaires posés, l'auteur aborde le côté statistique de son
sujet
, et le premier tableau qu'il donne (il est médeci
ur celui-ci comme pour les précédents, consacrés d'ailleurs au même
sujet
. Il rappelle qu'il a déjà traité la question tr
e traités de la même manière et punis avec la même sévérité que les
sujets
sains d'es- d'esprit ; mais il a toujours soute
t particu- lièrementles cellules pyramidales intacles même chez des
sujets
morts en état de mal. La névroglie au contraire
s muqueuses à l'anus, et de l'alopécie. Plus tard, elle est devenue
sujette
à des maux de tête, avec exacerbations vespéral
es immédiates appréciables. L'année suivante, la malade est devenue
sujette
à des scintillements et à des apparitions de fl
it progressivement, de chaque côté. En même temps, elle est devenue
sujette
à des sortes de vertiges épileptiformes : tout
comprend pas ce qu'on lui dit. D'autre part, d'A... est toujours
sujette
à des attaques d'épilepsie ordinaire; elles écl
est d'environ trois par an. Les vertiges épileptiques, auxquels est
sujette
la malade, sont plus fréquents. Je vous ai dit,
daires insignifiantes. Vers l'âge de trente-cinq ans, elle a été
sujette
à des accidents énigmatiques : pendant près deux
elle a débuté, il y a environ un an. A cette époque,C ? est devenue
sujette
à des douleursdans les jambes; elles revenaient
monyme double, qui persiste encore. En outre, la malade est devenue
sujette
à des accès de vertige gyratoire et à de l'amné
ù les lésions artério-scléreuses peuvent déjà se montrer chez les
sujets
prédisposés. Malgré ses trois attaques antécédent
. Ainsi, une hémianopsie bitemporale, si elle se présente chez un
sujet
acromégalique, entraînera presque forcément le di
e joue l'analyse mentale dans la vie psycho- logique des différents
sujets
à l'états soit normal, soit patho- logique est
tôt sur le milieu social, tantôt sur le monde cosmique, soit sur le
sujet
lui- ' N. Vaschide et Cl. Vurpas. Recherches su
de d'où peuvent venir ces idées. Par ses écrits et ses dires, notre
sujet
nous apprend qu'il se rend compte que ces idées
n désir moins pur et moins louable qu'elle le dési- rerait. Notre
sujet
regrette ce qu'elle considère comme une faute et
e analyse minutieuse de tous les actes de sa vie qui sont autant de
sujets
de regret pour elle. Elle reprend et ressasse a
aite ; le soupçon d'une faute se présente aussitôt à son esprit, au
sujet
d'un souvenir déterminé. L... se croit coupable,
nes qui causent en elle-même (ainsi qu'on l'a souvent noté chez des
sujets
présentant des hallu- cinations psycho-motrices
motrices), et L... leur répond. Un dialogue s'engage ainsi entre le
sujet
et des personnes qui causent. en lui-même. · '
Elles ont à ses yeux une véri- table origine exogène. Cependant le
sujet
tente parfois de se ressaisir. J C'est alors
et reconstruites au gré des fluc- tuations de la logique morbide du
sujet
. En réalité dans notre cas particulier les hall
siste pas moins. Ce sont des personnes qui parlent par la bouche du
sujet
, qui le font penser, qui ont pénétré dans son e
usqu'au délire, et provoquant par les découvertes qu'elle révèle au
sujet
un état émotif, qui achève de lui enlever ses p
dites psycho-motrices. Est-ce là une simple métapnore qu'emploie le
sujet
dans son langage ? Il y a cependant, semble-t-i
s qu'une simple métaphore. Car il y faut ajouter la croyance que le
sujet
attache à ses expressions ; pour lui, il s'agit
, invoquée ait quelque valeur il faut que l'examen psychologique du
sujet
ait été complet. Sinon le mécanisme apparent ri
quelconque, que lorsqu'on a sondé et pénétré à fond le caractère du
sujet
. VI 1 L'observation de ce sujet dont nous a
énétré à fond le caractère du sujet. VI 1 L'observation de ce
sujet
dont nous avons analysé et précisé la mentalité
e proposer et qui sem- ble sortir de son histoire. A notre avis, le
sujet
en question ne présente pas un caractère sympto
le intel- lectuelle, d'une analyse mentale qui échappe souvent au
sujet
qui interprète mal et trouve en lui-même quelques
éma- tisation ou dans la genèse d'un trouble psychopatique. Notre
sujet
ignorait sans doute, comme l'extrême majorité d
endre compte une ana- lyse assez délicate et bien orientée. Notre
sujet
, avec une pareille mentalité, s'aperçoit qu'en
ge intérieur qu'un écho de leurs propres états intellectuels. Notre
sujet
L..., et ici commence l'état pathologique disso
dépourvu de tout écho ou élaboration phonétique sub- consciente. Le
sujet
n'arrive pas à trouver des éléments de ressembl
tifs qui accompagnent les deux manifestations psychologi- ques du
sujet
et de l'objet de l'hallucination évoluant nor-
ances pathologiques, surtout quand un choc mental ou autre met le
sujet
sur la piste de la reconnaissance de son propre m
ausse route. En résumé, l'hallucination psychomotrice, chez notre
sujet
de même que les hallucinations psychomotrices e
'ils sont normalement. L'examen minutieux de l'état mental de notre
sujet
nous donne l'explication très nette de ce phé-
s contre les psycho- logues qui négligent « trop la vie mentale des
sujets
, champ d'exploration sur lequel l'attention doi
AVAL REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 499 XXX,XIII : Etat mental d'un
sujet
empoisonné par le gaz d'éclai- rage ; par WEYGA
ertains alié- nés dangereux. ' Il convient, qu'avant la sortie de
sujets
que leur passé doit faire ' considérer comme da
eiller provincial et l'autorité administrative du futur domicile du
sujet
n'aient été mis à même de donner leur avis. 1°
ls devenus aliénés dont la peine est expirée en tant que cés divers
sujets
auront commis un crime ou un acte délictueux ; 2°
classe des cultivateurs. Pour les hommes on donne la préférence aux
sujets
ayant accompli leur service militaire avec un b
faire durer longtemps le traitement. Tout ce que vient de dire à ce
sujet
M. Leredde n'est donc pas nouveau. Ce qui serai
les deux électrodes d'un appareil vol- taïque, on provoque chez le
sujet
en expérience, avec un courant de un ou de plus
tancs de la suture mélodique. Ce court résumé donne un aperçu des
sujets
variés traités dans ce très intéressant volume
ples. Le fait impor- tant qui lui a paru différencier nettement ces
sujets
a été le sui- vant : la démence précoce, telle
uit sans cesse. L'écholalie, l'échopraxie, si fréquentes chez ces
sujets
, peuvent être considérées comme des formes de l
s. Prophylaxie; par le Dr M. Champeaux. (Th. Lyon, 1900-1901.) Ce
sujet
est toujours plein d'actualité; M. Champeaux l'a
soit à l'aide de renseignements, soit enfin par la convocation des
sujets
eux-mêmes. Ces recherches ont fourni des résult
et hémorrhagie cérébrale, par Moulton, 239. Gaz. Etat mental d'un
sujet
empoi- i sonné par le- d'éclairage, par Wegan
digression ? Vous allez reconnaître qu’elle n’est pas étrangère à mon
sujet
. Ecoutez-moi donc, Messieurs , avec bienveillance
i répété à satiété l’expérience, j’ai varié les lieux, les temps, les
sujets
, et la nature, toujours constante lorsqu’on sait
es que je rappelle en passant seulement, parce qu’ils ont trait à mon
sujet
. Sachez-le, excepté quelques misérables, les vict
ne vieillissent jamais. Etonnez-vous donc de votre vie, et vous aurez
sujet
, car c’est là la plus grande des merveilles. Pour
’obtins. Sa mère était morte folle à la Salpêtrière ; elle-même était
sujette
depuis longtemps à un grand nombre d’accidents ne
mbre de dix, sont morts très-jeuues de convulsions. Cette femme est
sujette
elle-même à des accidents nerveux ; elle est de p
rtaines pièces de comédie où le magnétisme fournissait, sinon tout le
sujet
, du moins une bonne part de l’intrigue et des pér
à l’honneur et à la gloire de la lucidité somnambulique. Peut-être le
sujet
est-il un peu tiré par les cheveux, peut-être aus
blable à celle du lapin frappé surir nuque ; — (c’est l’expression du
sujet
que nous rapportons ic. textuellement; ses jambes
omène de l’attraction invincible (vers lui M. du Potet) sur un second
sujet
retenu en vain par quatre de ses camarades ; 3°
sans doute ï cette intention et placée sur la cheminée, le troisième
sujet
a subi une fascination telle que, malgré le bruit
e sent ni les piqûres, ni les brûlures. Dans cet état elle parle de
sujets
bien au-dessus de son intelligence ordinaire et q
is si des criminels s’asseyaient autour d’un guéridon, quel serait le
sujet
de la conversation ? — Ils parleraient crimes, vo
il ne s’écartera pas de la ligne sérieuse et mesurée qui convient aux
sujets
qu’il doit traiter. La Théorie du magnétisme anim
versé par la piqûre, à l’endroit désigné. — M. R*** confie ensuite au
sujet
une espèce de disque plat, plus large qu’une pièc
mnambules qui compromettent le magnétisme. Al. le président fait à ce
sujet
les réflexions suivantes : « Les magnétiseurs qui
volonté, dans la disposition d’esprit qu’ils veulent imprimer à leur
sujet
. On prendra donc part au rit des opérateurs, s’
s faciles à saisir qu’à énoncer : une espèce d’abattement tant que le
sujet
n’agit pas; quelques légers (1) Nous ne voulons
vateur se pénètre bien de ceci : c’est que, dans l’état de charme, le
sujet
cède à toutes les suggestions avec la plus grande
facilité. Il suffît, dans cet état, d’un geste pour décider l’acte du
sujet
; quelques-uns d’eux possèdent la communication d
mal connu jusqu’à ce jour, et en les habituant à considérer l’état du
sujet
abstraction faite des procédés du magnétisme, ce
mouvement des corps matériels sans contact ne de- (1) Chez certains
sujets
, il est, pour ainsi dire, impossible de distingue
un fait d'obsession. En voilà un d’autant plus remarquable — que le
sujet
n’avait pas été prévenu , et qu'aucun rôle ne peu
cette voie scientifique positive. Nous reviendrons d’ailleurs sur ce
sujet
, en nous occupant de l’impulsion que M. du Potet
xpériences, nous admettons la légitimité de la coquetterie , quand le
sujet
est une femme jeune et jolie) , pourrait servir à
éellement, ou s’il n’y a qu’une impression existant seulement pour le
sujet
. L'agitation des barbes de la plume devrait avoir
nomène, des caractères différents lorsque la voix se fait entendre au
sujet
ou lorsque la voix se tait. Dans chaque cas par
duction : voix mystérieuses , mouvements involontaires accusés par le
sujet
, changement d’organe dans la prononciation, écrit
on, de la suggestion , etc., nous en avons vu mille exemples dans les
sujets
magnétiques, et il n’est pas un des effets que no
preuve do forces au-delà de ce que comporte l’âge et la condition du
sujet
. Et autres choses de même sorte. (Traduit d:u
a plus palpable la puissance du magnétisme en endormant à distance le
sujet
, et en opérant dans les conditions imposées par l
nt les relations détaillées d’opérations chirurgicales faites sur des
sujets
rendus insensibles par le magnétisme ; nous citer
e des traits, mais la régularité du pouls, et la liberté d’esprit des
sujets
pendant toute la durée d’opérations longues et cr
qui, susceptibles de simulation , doivent être répétés en variant les
sujets
ou les expérimentateurs. (1) N’y a-t-il pas, da
t normal, et o’y avait-il pas diminution notable de la sensibilité du
sujet
? Sans être susceptibles de subir sans contractio
l'insensibilité magnétique. Quelques jours après—j’ai, lui dit-il, un
sujet
que j’amène à l’insensibilité la plus complète. T
oir vu. Le docteur accepte la proposition. A la séance, il propose au
sujet
éveillé de lui arracher sa dent. La dame manifest
manifeste un grand effroi. On n’insiste pas. Le magnétiseur endort le
sujet
, et, au bout de quelques instants, déclare que l’
lare que l’opérateur peut agir. Le docteur fait ouvrir la bouche du
sujet
, regarde la dent, monte lentement sa clef de Gare
l’opération, et affectant de passer l’instrument devant ses yeux (le
sujet
avait les yeux ouverts et l’incrédule ne se douta
ordinairement que deux ou trois secondes. Pendant tout ce temps, le
sujet
avait répondu avec calme à toutes les questions,
Je serais convaincu, si j’étais sûr de votre bonne foi et de celle du
sujet
; mais ils restent incrédules comme devant. Toute
t de raison de supposer que vous suspectiez ma bonne foi, ni celle du
sujet
. Mais mon but est de vous amener à une conviction
endre la conclusion indépendante de la bonne ou de la mauvaise foi du
sujet
etde l’opérateur, aussi bien que de leur conniven
crédulité réelle et presque toujours malveillante peut influencer les
sujets
magnétiques, combien n'y aurait-il pas d’avantage
apporter l’incrédulité la plus obstinée, aucun trouble n’affectera le
sujet
qui ne sera entouré que de volontés bienveillante
r masse, attendu qu’il devient impossible de supposer qu’une foule de
sujets
toujours variés soit tout entière composée de gen
ils constatent que, d’après la déclaration spontanée et publique des
sujets
qui se sont soumis aux expériences , les deux tie
effets marqués sont ou des hallucinés ou des menteurs. Quinze cents
sujets
par an passent sur les banquettes du Wauv-Hall po
agnétiseurs ont signalé des symptômes propres à faite reconnaître les
sujets
sensibles au magnétisme. La valeur scientifique d
ité publique ! Avec quelle facilité n'arriverait-on pas à trouver des
sujets
ofTrant toutes les facultés diverses, dans la qua
ui ! parce que l’examen du cerveau les guidera dans le choix de leurs
sujets
, et dans ce que l’on peut et doit attendre des di
n, sépare l'opérateur instruit des manipulateurs empiriques. (2) Un
sujet
mis en situation tétanique par son magnétiseur ce
appréciables, a-t-il perdu pour cela son identité personnelle, et ses
sujets
n’ont-ils plus la leur ? Enfin, pour nous rapproc
rices (créatrices subsidiaires), à l'image de la création divine. Vos
sujets
alors font ce que vous savez d’avance qu’ils vont
n effluve des limbes de la lumière diviae, comme il est facultatif au
sujet
maguétique de puiser de la force et du soutien au
; je ne fais que vous les transmettre ; car, moi, je ne sais rien du
sujet
sur lequel le docteur m’interroge. * Un soir, c
si correctes et aussi précises qu’il me sera possible, de l’important
sujet
qui nous occupe. Le monde habité par les esprits
son étendue nous empêche de la reproduire. Nous ferons seulement à ce
sujet
une petite réflexion. Ce ne sera pas la première
ire une idée de leur spontanéité d’éclosion , tout à fait imprévue du
sujet
aussi bien que des assistants. Vous le sa- (1)
xcitation encéphalique. Mais tout mon côté gauche, en rapport avec le
sujet
, fut frappé d’engourdissement et d’une profonde c
ue à cette hauteur d’inébranlabilité. M. A... venait d’endormir son
sujet
: — Attendez un peu ! Je suis triste ! soupire
ne nient la visibilité du fluide magnétique pour la voyance de leurs
sujets
. Revenons au spiritualisme. Les esprits, à ce
ont écrites, M. Hébert cl moi nous avons, de nouveau, conféré de leur
sujet
. Nous nous trouvons maintenant presque d’accord,
it pas voulu la soustraire, il l’aurait laissée vivre et servir fie
sujet
d’expérience : ce n’est pas la première fois que
les lésions des organes et indiquer les remèdes. Mais comme ils sont
sujets
à se tromper, la prudence commande de soumet- t
onde médical par des travaux du premier ordre, a traité exprofesso le
sujet
si vaste et si intéressant ties hallucinations, s
é exprofesso le sujet si vaste et si intéressant ties hallucinations,
sujet
qui se rattache à la physiologie, à la psychologi
re que son livre présente l'état le ¡»lus avancé de la science sur ce
sujet
. Et pourtant, malgré toutes ses recherches et ses
s lesquels il y a évidemment hallucination. Dans l’état de charme, le
sujet
, soit en contemplant le miroir magique ou la boul
astiques. Dans l’extase, les phénomènes sont encore plus marqués : le
sujet
s'élance de lui-même hors du monde réel, son imag
les impressions de la lumière, mais bien qu’il servirait à mettre le
sujet
eu rapport avec les objets extérieurs suivant des
blable à celles de l’optique. Les somnambules qu’on a interrogés à ce
sujet
n’ont pu fournir jusqu’ici d'explications suffisa
persévérantes parviendront sans doute à jeter quelque lumière sur ce
sujet
intéressant. A. S. MORIN. Le Gérant : HÉBERT
éâtres ? N’y aurait-il pas là quelque chose à étudier et serait-ce un
sujet
indigne des recherches sérieuses des magnétistes?
clinique quotidienne médico-magnétique, qu’en cherchant à obtenir des
sujets
d’une haute lucidité, et en étudiant avec toute l
océdés à employer pour réduire à l’état d’insensibilité magnétique un
sujet
qui devait être soumis à une opération chirurgica
rituelles qui faisaient tourner les tables, qui élevaient le corps du
sujet
en l’air, et d’autres faits remarquables qui se p
se ; nous l’entrevoyons déjà, et le prochain numéro contiendra sur ce
sujet
un intéressant mémoire dû a notre savant 'olla-bo
ables pratiques, et se trouvait être, sans s’en douter, un magnifique
sujet
. Je lui mis un crayon en main et glissai dessous
ence extrême ; tandis que sous le double effort moral et physique, le
sujet
s’affaissa sur lui-même, le bras toujours tendu v
onter encore aujourd’hui une histoire non moins étonnante sur le même
sujet
; histoire dont les phases se sont déroulées deva
t le travail va commencer. L’allocution suivante est prononcée par le
sujet
dans l’état somnambulique. « Je supplie les cro
ire au bas du tableau : Offert à S. M. l'impératrice pur son fidèle
sujet
Jules ***, Argcnlcuil, ce 25 mai 1856. Cette fo
maîtres pour mieux nous les cacher, et repeignant par-dessus d’autres
sujets
grossièrement faits. Dans Argenteuil, on fait p
nce et dans quelque lieu qu’elle se trouve. C. Les médiums sont des
sujets
magnétisables, et il y a beaucoup de rapports ent
e dame américaine d’une haute intelligence. Depuis longtemps elle est
sujette
à des crises, dans lesquelles elle parle avec bea
ité du médium, à son insu, et, ce qui est plus étonnant, à l’insu des
sujets
de l’expérience. Je crois que ce dernier phénomèn
et si le médium produit cet efTet, non pas seulement à l’insu de ses
sujets
, mais à son propre insu, ce qui se peut concevoir
ant l’hiver passé, une série de leçons à une société choisie, sur des
sujets
très-variés; la poésie, le théâtre, l’histoire na
ssieurs de la société, et l’un d’eux, M. Robert Chambers, a pris pour
sujet
les manifestations du spiritualisme aux Etats-Uni
a alors bien t omme. Parti,a de cette digression ; je reviens à mon
sujet
: 11 est matériellement impossible, chacun le s
sprits y auraient leur part. — Mais, pour dire toute ma pensée à ce
sujet
, il faudrait encore . — elione ([tii, peut-être
ns fruits, si mon idée germe et si vous la fécondez. Je reviens à mon
sujet
, car il est temps d en finir. No supposez pn* »
ssible dans l’esprit de nos lecteurs sur notre manière d’envisager le
sujet
de scs préoccupations et celui de plusieurs d’ent
que de l’invisible. Un autre esprit que l’on questionnera sur le même
sujet
n’en saura peut-être pas davantage, et pourtant i
ec une note, ayant été, lui aussi, présent à la séance qui en fait le
sujet
. « Phénoménal. — Dans la soirée du 16 février,
atrisation le laissèrent enfermé. pcpuis cette époque, celle-ci fut
sujette
à des douleurs de té te £t à des érysipèles qui f
itaire. Un de ses parents, qui en était affecté, est mort fou. « Le
sujet
offre beaucoup de sensibilité, mais le guérirons-
n'est pas ce qu’il a fait de mieux. » Nous ferions la même réponse au
sujet
des naturalistes; et nous n’approuvons en princip
enter régulièrement, puisque nous pouvons obtenir sur certains de nos
sujets
, et à volonté, la paralysie locale et restreinte,
léments varient d’un os à l’autre, et dans chaque os suivant l'âge du
sujet
. Le tibia, chez l’adulte, est un os fort dur et t
l’os est-il resté trop gélatineux (accident qui se présente chez les
sujets
rachitiques) , il suffit d’activer les fibrilles
senic un composé insoluble, sans action sur l’économie animale, votre
sujet
homœopathiquement traité mourra bel et bien. On
sensibilité interne. Mais comme il a besoin plus tard de supposer au
sujet
la mémoire détaillée de l’activité spécifique de
es Inconscients avec assez de détails, et M. Philips se trouve sur ce
sujet
parfaitement en accord avec ce que nous en avons
t un mois, mais pendant dix mois qu a . -vécu la poule qui servait de
sujet
à l'expérience. Mais aussi elle était privée seul
ur disposition des somnambules sensitifs fassent des expériences à ce
sujet
(car les sensitifs à l’état normal sont très-rare
n connu à Toulouse, M. Olivier, la dame D... était devenue bientôt un
sujet
magnétique remarquable. Non seulement elle receva
colorante des cheveux (2). (1) Nous avons été à même d'observer un
sujet
qui offrait, sous ce rapport, une singularité ass
méthode, c’est la suggestion, qui consiste à amener petit à petit le
sujet
à ses fins par une série d’affirmations très-vois
pas besoin d’avoir recours à des moyens préparatoires qui plongent le
sujet
dans cet état de stupeur, ou pour mieux dire de c
pnotisme). Une ligne de points, qui termine l’article consacré à ce
sujet
, nous ferait supposer que M. Philips se réserve l
nt soit comme endormie, et c'est surl'8bsence de raisonnement chez le
sujet
qu'est fondée la méthode de suggestion que nous a
talepsie peuvent être obtenus artificiellement et sans danger sur les
sujets
magnétiques, et c’est même là un des exercices le
complet, méthodique et substantiel de tout ce qui a été écrit sur ce
sujet
, en y joignant le résultat de ses propres observa
à regretter que M. Puel, obligé de se renfermer dans la spécialité du
sujet
proposé par l’Académie, n’ait pu s’occuper de cet
reçu les nouvelles de ce sinistre, on fit un essai pour obtenir à ce
sujet
une communication de ma fdle qui, 1 année précéde
dis : —Vous voyez , et vous pouvez juger par vous-même. Portez sur ce
sujet
la clarté de votre intelligence, et vous comprend
tifiées que pour les phénomènes physiques faisant depuis longtemps le
sujet
d’observations suivies, néanmoins on peut prése
uits. M. Petit d’Ormoy présente quelques considérations sur le même
sujet
. Quand un somnambule lucide palpe des cheveux ou
ais déjà. Seulement j’ai su qu’é-tant jeune, elle était hystérique et
sujette
à des visions. « Je suis, etc. a J. GAUTIER.
être pas d’autre exemple parmi les faits sérieusement constatés. Le
sujet
de ces observations est une jeune personne de Pal
parfaitement probantes, on avait soin de s'y prendre de façon que le
sujet
ne pût acquérir, par les moyens ordinaires, aucun
qu’il a réglé; L’examen de cet ouvrage nous écarterait trop de notre
sujet
: nous nous bornerons à, extraire de l’introducti
es d’ailleurs très-savants, mais qui n’ont pas suffisamment étudié le
sujet
, ne saurait être d’aucun poids. Des yeux pour voi
rès quelques instants, elle dit ne rien voir. « M. Ogier avait bien
sujet
de regretter de s’être ainsi avancé dans sa propo
abrégée et très-superficielle du magnétisme. Pour aborder un si vaste
sujet
, il faudrait avoir lu et médité les nombreux ouvr
tique; et pour qu’on pût s’engager avec lui dans une polémique sur ce
sujet
, il faudrait qu’il commençât par mieux formuler s
euse et morale ! Le journal la Lcce magnetiga,.de Turin, donne à ce
sujet
un article détaillé, que, pour l’édification de n
le docteur H... à essayer de les faire fléchir sans faire souffrir le
sujet
. 11 prit les bras et parvint, après beaucoup d'ef
s et parvint, après beaucoup d'efforts, à abaisser les bras ; mais le
sujet
manifesta une vive douleur et s’en plaignit haute
os, je les fis fléchir par ma volonté, sans effort ni douleur pour le
sujet
. « Pour vérifier l’insensibilité, le docteur al
octeur alluma un papier et le promena sous le nez et sur les mains du
sujet
qui ne donna aucun signe de sensibilité. «Je re
être chéri, lorsque l’on reconnaît dans la bouche de la somnambule le
sujet
déjà oublié de conversations anciennes, que l’on
est avec votre approbation que toute preuve évidente de ce qui est le
sujet
de mon mémoire ( le magnétisme ) est repoussée et
i correctes et aussi précises qu’il nie sera possible, de l’important
sujet
qui nous occupe. « Le inonde habité par les esp
une chemise: la somnambule, sans que personne l'ait questionnée à ce
sujet
, se mit à en parler, affirma que l'accusée était
France; je m’empresse aujourd’hui de vous payer mon petit tribut à ce
sujet
. « Les faits magnétiques furent fréquents à'tou
pour opérer beaucoup de miracles. Mais, plus célèbre encore fut à ce
sujet
la réputation de ses deux successeurs, les abbés
e femme, qui était d’une constitution mélanco-« lique et atrabilaire,
sujette
aux vapeurs et peut-être à l’é-« pilepsie (1 ). »
âge, de passer pour possédée du démon. Mais nous laissons parler à ce
sujet
l’annaliste du Hainaut au seizième siècle, Franço
sée au cercle qui en prit lecture. Ces lettres traitaient de divers
sujets
, quelques-unes étaient très-intéressantes et inst
mêmes particularités de forme et d'expression qui caractérisaient les
sujets
lorsqu’ils étaient encore de ce inonde...........
en raison des circonstances, je n’oserais donner une conclusion k ce
sujet
, peut-être, vous, Monsieur, beaucoup plus expérim
ui de présenter de solides arguments. Il est tellement pénétré de son
sujet
, qu’il ne paraît pas même s’inquiéter si ses asse
ait été investi d’un pouvoir magnétique. L’assertion de l’auteur à ce
sujet
est donc purement gratuite et ne repose sur aucun
l repousse l’affirmative comme un horrible blasphème, et il cite à ce
sujet
une déclamation ronflante de M. Delaage. Ces mess
otamment de la puissance de l’opérateur et de l’impressionnabilité du
sujet
. Les annales du magnétisme offrent de nombreux ex
d’un autre; c’est inoculer son essence vitale dans les membres de son
sujet
; chaque homme a un rayonnement spécialisé par son
e ses premières armes. Quand il aura étudié avec plus de maturité les
sujets
importants dont il a déjà entretenu le public, no
, malgré les témoignages nombreux et imposants qui ont eu lieu sur ce
sujet
. Quelques incrédules demandaient ce qu’il adviend
ur les faits étranges qui se passent dans votre château de Condes, au
sujet
des tables parlantes : je suis à même de vous sat
i la trouvèrent vierge. Il fut même décidé qu’elle n’était pas encore
sujette
aux incommodités ordinaires de son sexe, quoiqu'e
s d’artillerie, qui donneront à cette fête tout l’éclat que mérite le
sujet
. Observations. Nous avons cru devoir insérer ce
ts que le magnétisme ne parvient à faire éclore chez les plus heureux
sujets
qu’à l’aide de pénibles efforts : la vue à distan
tilement remplie, est-elle, pour le magnétiste particulièrement, un
sujet
d’études toujours fécond. Malgré le grand nombre
rir les détails ; et là où tant de poètes et d'artistes ont trouvé le
sujet
d’admirables compositions, une mine inépuisable r
rononce résolument pour l'affirmative, rappelle ce qu’enseigna sur ce
sujet
Pomponace ; puis il raconte la carrière merveille
par plusieurs brochures fort spirituelles et fort instructives sur ce
sujet
, a publié, en dernier lieu, une brochure intitulé
allucination pareille , qui a pris de telles proportions, est un beau
sujet
d’étude ; il faut chercher la cause et le remède.
diction d’un guéridon qu’elle avait eu l’imprudence de consulter à ce
sujet
plusieurs mois auparavant. Je ne dis pas que le g
rces ; et si je n’ai réussi à répandre qu’un intérêt médiocre sur mon
sujet
, je me rends du moins cette justice, que j’ai été
lte sur sa santé, sur le sort de personnes absentes ou sur tout autre
sujet
légitime, ne commet aucun acte répréhensible, mêm
habituel dtj somnambules ; mais s’ils ont la fantaisie de causer à ce
sujet
, nuig ne voyons pas qu’ils fassent plus de mal qu
des extatiques, etc. Si donc ces faciles ont pu éclore chez certains
sujets
sans lo concours Je personne et sous la seule inf
son pour faire intervenir des causes surnaturelles à l'égard d’autres
sujets
qui présentent des phénomènes amenés artificielle
à un très-haut point la faculté intuitive, et lorsque je rencontre un
sujet
docile, je la lui communique par l’émanation de l
teur en vogue, et l’on était curieux surtout de l'entendre traiter un
sujet
qui occupe l’attention générale. Le prédicateur m
eine les magnétiseurs ont-ils fait quelques passes, et la plupart des
sujets
dénotent les graves modifications produites dans
les sens, est maître de leurs actions, les dirige à son gré; certains
sujets
, cédant à une espèce d’imitation automatique, rép
ction d'un magnétiseur, surtout s il lui est inconnu, et deviendra un
sujet
très-sensible entre les mains d’un autre magnétis
qu’ils ont éprouvé. Ce qu’il ya de plus singulier, c’est de voir les
sujets
qui ont été somnambules, qui ont été attirés et p
posées de personnes prises au hasard, on en compose une troisième des
sujets
qui ont paru les plus remarquables, dont on dével
és. Nous manquerions aux devoirs d’une bonne confraternité si, à ce
sujet
,, nous ne rendions un tribut d’hommages aux trava
moindre idée de ce que vous êtes en état de faire pour lui. Quand les
sujets
viennent ensuite déclarer ce qu’ils ont éprouvé,
certain de produire des effets sensibles sur un plus grand nombre de
sujets
, de rendre ainsi palpable la puissance du magnéti
oient dangereux de se soumettre au magnétisme, et qui pensent que les
sujets
sont sous l’empire absolu du magnétiseur. Tout en
sant l’influence considérable de celui-ci, M. Allix est d’avis que le
sujet
conserve son libre arbitre, qu’on ne l’entraînera
uestion est grave et épineuse. Mais quelque opinion qu’on adopte à ce
sujet
, il faut reconnaître la sagesse des conseils de l
en plus restreintes, les vrais lucides sont extrêmement rares, et les
sujets
les plus éminents sont loin d’être toujours lucid
e n’est pas une tentative immorale en soi, et si nous rencontrons des
sujets
qui offrent de brillantes facultés, il ne nous se
promettre plus que nous ne pouvons tenir, et évitons de corrompre les
sujets
d'élite en exigeant d’eux une lucidité de tous
tions. Nous abrégeons à regret les considérations sur cet important
sujet
: nous nous bornerons à conclure que le somnambul
a une surexcitation nerveuse produite par le fluide vital et dont le
sujet
n’a pas conscience. Cette saturation du système n
ve de l’âme et fait que , sans somnambulisme et même sans sommeil, le
sujet
a une intuition, une faculté extraordinaire de pe
nétisme, nous craindrions de fatiguer les lecteurs en revenant sur ce
sujet
: nous ferons seulement remarquer que souvent le
empêcher de furmu-ler des ordonnances excentriques. Discussion sur ce
sujet
, au point du vue du bon sens , par M. A. S. Morin
337. RéponsepéremptoircdeM. du Potet, 354. — Observations sur le même
sujet
, par M. le docteur Charpignon, 393. Spiritualis
ux de la science nouvelle, 3, 57, 65, 113. — Questions soulevées à ce
sujet
, 337. — Réponse de M. du Potet, 354. Biogra
la nature de cette tumeur ; je ne puis insister aujourd'hui sur ce
sujet
, la discussion me mènerait trop loin. Je ferai
evés jusqu'à présent encore. Les opinions des auteurs concernant ce
sujet
peuvent être divisées en trois groupes : quelqu
8 CLINIQUE MENTALE. il il se trouve. Lorsqu'on le questionne sur le
sujet
, il répond « pour- quoi est-ce que je le sais »
Ainsi donc, dans le cas sus-décrit, il est difficile de disputer au
sujet
du diagnostic du symptôme-complexe de Kahlbaum.
r et sur l'état actuel du malade, nous nous comptons en droit, au
sujet
du diagnostic, d'écarter ici la démence consécuti
quelconques. Sur ce fait insiste surtout le Dr Serbsky, citant à ce
sujet
des observations analoges de Kandinsky. Nous ne
ansmission est surtout facilitée, tandis que dans d'autres elle est
sujette
à une inhibition nor- male. ' D'ici provient
alepsie). Vu l'état con- temporain des renseignements concernant ce
sujet
, nous ne pouvons pas donner de pathogénie génér
E DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. 39 chez un malade mental, il peut être
sujet
à une inhibition, par exemple à la suite d'une
e sont eux dont se doit développer, par abstrac- tion, la notion du
sujet
et celle de l'objet. La matière n'est qu'une ab
ures, de réactions motrices et sensibles qui caractérisent les deux
sujets
. li. C. XXIII. Un cas d'hémimélie du membre abd
ctions sensorielles s'étend aussi au sens de la douleur. Sur les 50
sujets
ayant servi à ces expériences, 3 se sont montré
e le patient discerne en quelle langue on lui parle. Après cela, le
sujet
arrive graduellement à lire sans comprendre-le se
et une hypertophie.du membre droit. Il existait en outre chez ce
sujet
une exagération des réflexes rotuliens et achillé
difficile à déterminer, mais encore leur interprétation peut donner
sujet
à discussion. Aussi doit-on colliger avec soin le
. D'autre part la tumeur est un adénome vrai de l'hypophyse ; or le
sujet
n'a eu ni gigantisme ni acromé- galie. Pour les
pièces d'un cas d'amyotrophie progressive du type Charcot-Marie; le
sujet
, une femme de cinquante ans, après trente ans d
r ce phénomène voici dans quelles conditions il faut se placer : le
sujet
en observation doit se cou- cher sur le dos, pu
et portées, pour éviter les causes d'erreur, à la tem- pérature du
sujet
. Pour la sensibilité thermique ils se servent' de
En réalité, les effets de la suggestion sont assez faibles chez les
sujets
dans l'état normal, car son action est neutrali
que l'idée délirante de grossesse ne se rencontrerait que chez des
sujets
pré- sentant une diminution sensible, définitiv
nnels ou empruntés à la très abondante littérature ayant trait'au z
sujet
(on trouvera à la fin du volume un riche index bi
port assez étroit avec la notion de la participation personnelle du
sujet
à l'acte oublié. Les conséquences médico-légale
les suivantes : 1° Une composi- tion écrite de trois heures, sur un
sujet
de pathologie interne et de pathologie externe
es places vacantes; z 2° Une épreuve orale de quinze minutes sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système nerveux
ar l'ad-1 ministration et constatant leur admission au concours. Le
sujet
de la composition écrite est le même pour tous
ont intéres- sés à cette affection ont lu tellement de redites à ce
sujet
qu'il serait abusif aujourd'hui de commencer un
ne observation surtout m'avait frappé, celle d'unejeune épileptique
sujette
à de fréquents accès convulsifs, toujours inert
ont beaucoup moins d'accès que les autres 1, qu'elles ne sont pas
sujettes
aux accès subintrants (état de mal) comme les a
vaisseaux blancs », épilepsie à laquelle seraient prédisposés « les
sujets
pâles, chlorotiques, rachitiques, scrofuleux »,
r; il reçoit une impulsion analogue à celle qui se produit chez les
sujets
sains; il en est de même dans la majorité des c
activité et son acuité intellectuelles parfois intenses sont aussi
sujettes
de fréquentes variations. A l'époque où les gla
Analyse de quelques faits ou observations. Epilepsie moins grave de
sujets
goitreux. Aggravation de l'épilepsie par ingest
lation épileptique était de 63 femmes et 52 hommes, que ce sont les
sujets
qui présentent le plus de signes apparents de d
, déjà, plusieurs années, dépassé l'âge critique; elles sont encore
sujettes
, la plupart, à une exaltation mélancolique de q
s utile de rappeler que l'hystérie est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve capable de s'aulo-suggestionner,
finir avec précision : L'hyp- nose est un état psychique rendant le
sujet
qui s'y trouve susceptible de subir la suggesti
claires ces notions, un peu arides dans leur forme synthétique : Un
sujet
lit à haute voix. S'il fait attention à ce qu'il
devant une raie blanche qu'elle est hypnotisée pour ce fait que les
sujets
humains hypno- tisés restent souvent immobiles.
1 commence par montrer, en analysant les signes pré- sentés par les
sujets
hypnotisés, que la caractéristique de l'hypnose
rieur, dit qu'il y a dissociation sus- polygonale. « Le polygone du
sujet
n'obéit plus iL son centre 0, parce que les com
cquerraient une large part de pro- babilité. Mais l'observation des
sujets
hypnotisés, leur psycholo- gie, amène, selon no
'étudier l'hypnose avec quel- ques détails. Lorsque l'on dit à un
sujet
parfaitement éveillé, assis en face de , soi, q
ogique et précis que Babinski a développé dans son travail 1. Si le
sujet
tombe dans cet état d'inertie apparente, peut-o
, et au contraire Grasset l'avoue plus loin lui-même il faut que le
sujet
veuille se laisser hypnotiser. On n'hyp- notise
un état du « moi » spécial, le même d'ailleurs qui caractérise les
sujets
hystériques. Mais cet état particulier, patholo
Grasset. Et la preuve en est que l'on peut faire accomplir par un
sujet
hypnotisé des actes éminemment délicats, subtils,
de cumberlandisme appelées à tort de double vue pratiquées avec des
sujets
hypnotisés prouvent que l'intelligence (le cent
guérir un malade hypnotisé sans succès auparavant. L'état mental du
sujet
hypnotisable, loin d'être inconscient (polygona
xact. Mais l'explication, selon nous, ne paraît pas impossible. Les
sujets
que l'on hypnotise sont généralement des malade
le. Tel hypnotiseur aura une grande influence de persuasion sur tel
sujet
et n'en aura qu'une très faible sur tel autre.
et n'en aura qu'une très faible sur tel autre. L'esprit des divers
sujets
n'est pas influençable par des procédés identiq
de le persuader. Mais alors, répondra Grasset, pourquoi certains
sujets
, atteints de manifestations particulières, ne s
us, par la puissance dont elle pare l'hypnotiseur dans la pensée du~
sujet
, est un moyen persuasif de premier ordre, et en
persuasif de premier ordre, et enfin il ne faut pas oublier que les
sujets
hypno- tisables ont un état mental spécial, car
larités du caractère. Ainsi, tandis que l'étude psychologique des
sujets
hypnotisés amène M. Grasset à penser que le moi
nose est un état mental particulier, dans lequel la personnalité du
sujet
se confie volontairement aux conseils persuasif
hologiques avec la réalité objective. Vous dites, par exemple, au
sujet
hypnotisé de saisir l'oiseau qui est perché sur
t hypnotisé de saisir l'oiseau qui est perché sur votre doigt et le
sujet
étend la main pour pren- dre une bête imaginair
storiquement intéressants, mais sans grande valeur cli- nique. Au
sujet
des procédés employés pour produire l'hypnose, no
le coup de gong de la Salpêtrière donne-t-il l'idée du sommeil à un
sujet
qui l'en- tend pour la première fois, il devrai
oujours par sugges- tion, de l'état hypnotique le plus complet. Tel
sujet
fait preuve seulement d'une docilité mentale su
tre répétées avec un contrôle rigoureux, Grasset pense que chez les
sujets
en hypnose paralysés d'un seul membre, - le dyn
l'extension des orteils. Est-il utile de répéter les mêmes idées au
sujet
des dissections anatomiques que la suggestion p
te avec tous les auteurs ayant étudié cette question, que l'oeil du
sujet
hypnotisé se comporte en tous points comme l'oe
eil du sujet hypnotisé se comporte en tous points comme l'oeil d'un
sujet
nor- mal : il obéit aux lois de l'optique. Et t
e. Et tandis que l'auteur cite des expériences où l'intelligence du
sujet
hypnotisé entre en jeu avec une finesse très gr
eu sérieuse, suffit ordinairement à faire apparaître sur la face du
sujet
des signes évidents de douleur. En persuadant à
es est plus apparent que réel. Il suffit d'exciter l'atten- tion du
sujet
sur les diverses phases par lesquelles son esprit
s. Chez l'hypnotique, au contraire, l'amnésie est superficielle, le
sujet
a tout entendu . avec son esprit et peut se rap
obscure, de l'aveu même de l'auteur. Pourquoi ne pas admettre qu'un
sujet
hypnotisé puisse jouer des personnages divers,
des personnages que son moi connait plus ou moins. Demandez à un
sujet
hypnotisé d'imiter un personnage qu'il ne connaît
ous n'avons obtenu un résultat différent de la contraction' chez le
sujet
normal1. De même, lorsque Grasset écrit « aucun
ile d'insister. Nous avons dit au début 'que la possibilité pour un
sujet
d'être hypno- tisé prouve précisément chez lui
estion ou persua- sion. 2° Dans l'hypnose comme dans l'hystérie, le
sujet
réalise seulement des phénomènes que la volonté
omènes morbides qui ont pu, par coïncidence, être observés chez des
sujets
hystériques ont été, à tort, dénommés hystériqu
k Médical Journal, 22 février 1902). Après un court historique du
sujet
, l'auteur aborde la question du traitement du c
dans l'enfance, mais aussi dans l'âge adulte (le malade qui fait le
sujet
de l'observation avait vingt-sept ans). 1 H . D
être rapportées à des faits réels, appartenant à la vie récente du
sujet
, faits qui naturel- lement sont exagérés, défor
ns unilatérales de l'ouïe, pourquoi voit-on apparaître chez le même
sujet
des hallucinations bilatérales de plusieurs aut
es délusions ou des hallucinations terrifiantes qui contraignent le
sujet
qui les éprouve à commettre des actes tragiques
inze et vingt-cinq ans. 148 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' Sur 80
sujets
qui en étaient atteints il n'y en avait pas un se
perversion sexuelle. Pour qu'il y ait presbyphilie, il faut que le
sujet
ressente un appétit exclusif ou du moins prédom
des poisons du système nerveux. Dépouillement des mémoires sur ce
sujet
. « Si les faits,mis en relief semblaient peu conv
psychique qui donne le coup de fouet à l'état mental. Dès lors le
sujet
s'observe en mangeant, appréhende d'avaler, éprou
ce dernier, cependant, ne contribuant à rendre paralytique que des
sujets
antérieurement syphilitiques. SIMON. XXXV. Di
euvent produire des dé- sordres semblables. Et la susceptibilité du
sujet
aux troubles men- taux est surtout fonction de
bien évident que l'état émotionnel n'est pas le même chez tous ces
sujets
et que c'est là qu'il faut chercher la cause dé
t pas d'hystéro-traumatisme. Je dirai plus : on peut voir le même
sujet
, à peu près à la même date, réagir différemment
ppliquée à des faits dont la lésion toute virtuelle ne rend pas les
sujets
tout à fait inéducables. Cette lésion, serait u
rès quelques réserves sur l'état plus ou moins i chatouilleux » des
sujets
se range au même avis et ajoute qu'on devrait é
s dénominations seraient innombrables. Ils réfutent les réserves au
sujet
du chatouillement, établissant que le réflexe est
uillement, établissant que le réflexe est d'autant plus fort qne le
sujet
est plus hypoesthésique. F. BOISSIER. SOCIÉTÉ
s çà et là, nous ne connaissons guère comme étude d'ensemble sur ce
sujet
que les articles de M. Cololian parus en 1898 d
de Mor- selli représentant un excellent travail d'ensemble, sur un
sujet
fréquemment étudié, mais qui a le mérite d'être
eux de ses prédécesseurs, le discours de M. \\'xTC touche à trop de
sujets
pour se prêter à l'analyse. R. M. C. FAITS DI
sains ou même inférieures à ce qu'elles sont en tout temps chez les
sujets
sains, originellement bien cons- titués. Ainsi
ésions organiques. D'autre part, l'intelligence des idiots qui sont
sujets
à des attaques d'épilepsie, subit des modificat
ERVEUSE. M. Bourneville a tiré les plus précieux enseignements au
sujet
de l'idiotie; elles montrent, comme s'efforce de
es effets identiquès, d'où l'explication facile des variations d'un
sujet
à un autre de l'intervalle et de l'intensité de
es alté- rations de la parathyroïde. Mais on n'a aucune donnée à ce
sujet
, aucune étude de la glande n'ayant encore été f
onstaté une résistance énergique à l'hypnotisme. L'organisme de ces
sujets
lutte opiniâtrement contre les affections dues au
on est parfois très longue, les grandes douleurs et le tassement du
sujet
font seuls soupçonner la maladie-; à cette péri
les symptômes. Elles précèdent le tassement et le rapetissement du
sujet
qui semble surtout se pro- duire chez les malad
eur n'entend pas s'occuper ici des grands centres, où le nombre des
sujets
congénitalement défectueux est assez considé- r
visagées à des points de vue différents suivant qu'ils'agit : 1° de
sujets
jeunes, capables d'une certaine éducation et d'
rite qu'on s'occupe spécialement de lui, car c'est parmi ces jeunes
sujets
que l'on obtiendra des résultats assez satisfai
1886, improprement appelée Loi sur les idiots, puisqu'elle vise des
sujets
qui ne sont pas idiots, mais atteints d'un degr
s peu avancées d'imbécillité ; toutefois chez les malades comme les
sujets
normaux il semble qu'une prédisposition soit né
ir à dix-huit ans, les cartilages s'étant soudés à ce moment là. Le
sujet
est un déséqui- libré. Il n'est pas acromégale
r âge et de leur intelligence. - l11 ? Déjerune. Il en est de ces
sujets
comme des enfants retar- dataires auxquels le m
1903 et en 1904, devant les facultés de médecine de France, sur un
sujet
de pathologie mentale ou nerveuse. - 7 ? KSeme/
Tripier, aux observations de Lépine... J'ai moi-même consacré à ce
sujet
plusieurs observations que vous trouverez dans
Ces deux modes d'action se combinent le plus souvent chez le même
sujet
, mais pas au point qu'on en puisse faire la par
u'elles sont variables dans leur expression anatomique, suivant les
sujets
, et qu'elles ne diffèrent en rien de celles que
s rien de particulier. Son père est mort accidentellement ; sa mère
sujette
aux rhuma- tismes a succombé à l'âge de cinquan
des autres signes de saturnisme et sur l'histoire du malade. Notre
sujet
en effet mettait en rouleaux des tissus teints
s plusieurs observations. Remarquons aussi que la guérison de notre
sujet
a été suffisante pour lui permettre de reprendr
le début de l'acte. Il réagit devant l'excitation, à l'instar d'un
sujet
qui est à demi éveillé ou très distrait. Le mal
vements automatiques, MM. Leclerc et Angiel concluent que chez leur
sujet
le neurone moteur périphériquefonc- tionne norm
t et Devic, ils montrent combien les opi- nions sont divergentes au
sujet
du mode de production de la téta- nie d'origine
laquelle les symptômes varient suivant la force de résistance du
sujet
, mais sans que l'on voie jamais manquer un certai
lcoolique chronique. L'auteur, après un résumé de la littérature du
sujet
, publie douze observations de cette maladie, qu
un délire absurde d'énormité, de grossesse et d'accouchement, est
sujette
à des hallucinations de l'ouïe et de la vue. Elle
ec l'hystérie. 1 Les pratiques exagérées du spiritisme attirent ces
sujets
. Elles peuvent contribuer à les précipiter dans
a examiné systématiquement et comparativement avec des ganglions de
sujets
indemnes de myélopathie des gan- glions rachidi
e trouve justifié le choix que j'ai fait de leur description, comme
sujet
de cette conférence. Je m'appuierai, pour cette
connaissance. Divers ordres de recherches entreprises soit sur des
sujets
sains, soit sur des aliénés nous ont montré un
s étroits, qui unissent l'impulsion motrice et l'acte sexuel. Les
sujets
, chez lesquels il nous a été donné de pour- sui
grandes lignes deux ou trois cas pris au hasard parmi les nombreux
sujets
que nous avons observés depuis que nous nous oc
recherche toutes les occasions de s'adonner à l'amour.. Un autre
sujet
G..., vingt-huit ans, dont l'histoire a été rep
it concentré sur une image motrice non définie, pour ainsi dire, le
sujet
exécutait toute une série de mouvements stéréot
utomatique greffé sur le cliché moteur de l'acte en exécu- tion, le
sujet
s'arrêtait au moment où le maximum de mou- 368
nt d'un précieux secours pour la connaissance de l'état mental d'un
sujet
. , Dans un précédent travail nous avons cru pou
de l'oeil qui elle-même n'est que la traduction de l'état mental du
sujet
« et par suite est l'expression de l'activité »
sorte d'inhibition sur les autres processus psychiques. Lorsque le
sujet
est revenu à l'état soi-disant normal, il en ré
se produire. Or, voici comment s'exprime le professeur Potain au
sujet
des rapports de l'activité motrice et de l'augmen
excitation sexuelle. X..., lemme âgée de vingt-cinq ans, servait de
sujet
d'expé- riences pour la mesure de la pression s
ue de certaines données psychologiques sur la musique. - Entre le
sujet
et l'expérimentateur, il y avait une sympathie
il y avait une sympathie mêlée d'une tendresse toute amicale. Le
sujet
, bl°1° X..., à la suite de circonstances dues san
L'expérimenta- teur parla de l'amour, de la sympathie, et finit, le
sujet
ayant tou- jours les mains dans le sphygmomanom
sphygmomanomètre de Hono, presque par une déclaration d'amour. Le
sujet
était très impressionné, et, à son dire, son émot
rer dans les recherches sur l'évolution de la pression du sang. Le-
sujet
avait le facies d'une personne très émue,il tre
ns génésiques et mo- trices sont variables et diffèrent avec chaque
sujet
. Il s'agit là de la nécessite d'un véritable em
myooedème s'obtient plus facilement chez les ataxiques que chez les
sujets
sains. Cette réaction n'est qu'une variété de c
minés. 2° Quand les actes mentaux sont de durée égale et coûtent au
sujet
un effort mental égal, la respiration prend aussi
d'autant plus accentuées que plus intense est la fatigue mentale du
sujet
. 5° La rapidité de l'inspiration est d'autant p
est pas la plusfavorable à l'extériorisation de la pensée et que le
sujet
tend inconsciemment à l'abréger. - 6° L'inspirati
écrire les chiffres obtenus. Quand durant un acte mental (A. M.) le
sujet
fait quelques respirations, les ins- pirations
nd elle existe, pour juger si, même durant une expiration brève, le
sujet
a travaillé. 12° La pause post-expira- toire es
avail mental n'est pas toujours constant. 19° Spécialement chez les
sujets
non fatigués encore, une augmentation de la pro-
puiser dans une pause plus ou moins longue, spéciale- ment quand le
sujet
concentre dans le calcul toute son attention et
saillie ostéogénique qui existe symétriquement. Le pied d'un des
sujets
présente un aspect particulier ; les os du gros
sur les épiphyses à exclusion des diaphyses. 1. Lanuois range ces
sujets
dans cette catégorie. Chez eux le tronc et la t
r les autres. M. Lannois fait remarquer que les parents de ses deux
sujets
sont de taille normale ; ils ont eu sept enfant
être décrite de la façon suivante : elle apparaît toujours chez des
sujets
à prédisposition héréditaire et vers la puberté :
ant la guérison se produit dans une certaine mesure : chez quelques
sujets
la maladie reste sta- tionnaire. L'auteur rappo
Science, juillet 1902). M. Clouston en ouvrant la discussion sur ce
sujet
, déclare qu'il serait important de définir la t
e ce médecin et une grande partie des recherches con- duites sur ce
sujet
sur le continent les paroles suivantes tirées d'u
'on puisse admettre l'unité du facteur étiologique. L'importance du
sujet
, l'autorité de l'au- teur nous ont fait résumer
que la plu- part des folies sont d'origine toxique et il entre à ce
sujet
dans quelques développements intéressants. Il t
II. MAILLE. Dans cet article sont rapportées quatre observations de
sujets
i 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. atteints du
marque que, malheu- reusement les cas de Bicêtre qui en ont été les
sujets
sont de vieux tabes sortis depuis longtemps de
lement à danser. ' Un cas d'écriture automatique. M. BERILLON. Le
sujet
de cette observation n'avait jamais pré- senté
ement en chapitres. Il ressort de la lecture de ces ouvrages qne le
sujet
tire ce qu'elle écrit de son propre fonds; on y
es, l'inanition, enfin et surtout par l'âge plus ou moins avancé du
sujet
. C'est ainsi qu'il expose le résultat de ses rech
nt depuis quelques mois du délire de la persécution et interné à ce
sujet
ces temps derniers à l'asile de Clermont, en ét
le médecin et le- psychologue; le médecin, parce qu'il s'agit d'un
sujet
normal et même d'une intelligence bril- lante j
e février jusqu'à l'époque actuelle (c'est-à-dire 'en août 1903) le
sujet
a vécu à la maison de santé de Ville-Evrard, ra
re néan- moins vraiment euphorique. Je l'interrogeai un jour sur ce
sujet
, en prenant bien soin de ne pas le suggestionne
at de vide cérébral qui lui est habituel. Expérimenter sur un tel
sujet
pour savoir ce qu'il pense habi- .tuellement, p
en ce moment : je me suis dit que le litre ne correspondait pas au
sujet
traité. » - Vous avez bien pensé cette chose au
nt cependant pas assez accentués pour que, par comparaison avec des
sujets
normaux, nous puis- sions en conclure un troubl
r ne pas tomber dens des redites, sur la richesse intellectuelle du
sujet
; nous avons vu que le vi le intellec- tuel éta
as qu'il serait ca- pable de conduire une enquête, de développer un
sujet
donné comme il le raisait autrefois. M N... p
ués même parfois qu'ils étonnent. J'ai déjà fait remarquer que le
sujet
ne comprenait pas toujours bien les questions q
lue à haute voix. J'ai répété très souvent cet exercice devant mon
sujet
. Le plus souvent M. N... n'a retenu que quelque
férents troubles qui concourent à l'amoindrissement intellectuel du
sujet
. Ce qui domine la symptomatologie de ce malade,
eurasthénique qui s'analyse sans cesse, recherchant et trouvant des
sujets
de craintes dans les moindres modifications de
bles morbides ? dans cet accès aigu, la pauvreté -intellectuelle du
sujet
et son inaction cérébrale se sont ma- nifestées
enir, du mutisme non motivé, quelques plaintes hypocondriaques. Les
sujets
d'Aschaffenburg étaient des paysannes que ces t
naires. Il est naturel qu'ils soient d'autant plus apparents que le
sujet
témoignait auparavant d'une intelligence plus d
de persécution systématisé. » Telles sont les idées exprimées à ce
sujet
par Magnan et Sérieux *. Dupré, in traité Patho
le 24 janvier 1904. Antécédents héréditaires. - Rien de précis à ce
sujet
. Père mort d'accident, mère en bonne santé. 4
conservée si l'on tient compte du manque complet d'instruc- tion du
sujet
. Si l'on pousse plus loin l'examen on découvre
ou alcoolique, ou bien des antécé- dents nets d'alcoolisme. Et à ce
sujet
, Truelle (Société me- dico-psych. 31 juillet 18
ngo- encéphalite localisée à tel ou tel centre sensoriel. Et à ce
sujet
on trouve dans les Annales ntédico psc7 ? n° Sept
ère reçu de solution. L'hypothèse de Wernicke et Bonhoffer', que le
sujet
plus prédisposé aux troubles sen- soriels optiq
onnel lui-même peut varier suivant l'état de santé ou de maladie du
sujet
, et suivant la qualité et la quantité du sang q
gue qui résulte de la concentration de l'attention, surtout sur des
sujets
variés. Chaque stimulus fait revivre du passé et
moelle épinière (avec projection des préparations). L.-S. Minor. Au
sujet
des préparations démontrées furent proposées qu
rie, t. XVII. 33 514 BIBLIOGRAPHIE. dissement cérébral tel que le
sujet
ne manifeste plus aucune activilé; immobile il
M. Masselon résumant très complètement les idées de Kræpelin sur ce
sujet
. Inutile d'in- sister sur l'importance fondamen
angues officielles du même ordre en ce qu'il est consacré à un seul
sujet
, l'hérédité. Après avoir rappelé en indiquant leu
uant il la fréquence relative de tel ou tel trouble mental chez les
sujets
à prédisposition héréditaire, c'est une question
exe. Voici près de vingt ans que Weismann a exposé ses idées sur ce
sujet
et l'énorme controverse qui s'est élevée sur ce
idées sur ce sujet et l'énorme controverse qui s'est élevée sur ce
sujet
n'a pas détruit 1 - varia. o19 ses assertions
rt), et il serait très important d'étendre nos connaissances sur ce
sujet
. Ou con- sulte souvent les aliénistes sur des m
enues la confirmer. Je n'accepte pas sans contrôle les intuitions des
sujets
qui m'ont donné des preuves indéniables de lucidi
aisait tenir son disque magique dans la main gauche. « Or, tous les
sujets
ne sont pas, comme tous les magné-tiseura le save
que je faisais alors mon coure de médecine. K Mais je reviens à mon
sujet
. « Une fois qu’un de mes malades, éveillé, dési
’agissais surl’ovsane voulu, organe, ilegtvrai, l)iendé\eIoppé en mQH
sujet
, mais sur lequel je n’ai jamais eu la pensée d’ag
ne réussissais pas toujours, c’est qu’il est diflicile de trouver des
sujets
assez sensibles pour cea sortea d’expériences. Ma
iix, il est vrai, il parvint aussi bieu que moi à (¡('Vflopper en mon
sujet
diiïérents sentiments dont je Ini nvais laissé le
nces ; et elle exerça ses facultés prophétiques sur différents autres
sujets
. Toutefois, on assure que les archevêques de Pari
’Académie des sciences est restée muette, depuis un mois, sur ce même
sujet
, et l'A-cadémie de médecine n’a pas manqué d’imit
l'enchantement, c’est-à-dire en se bornant à souffler sur les yeux du
sujet
endormi. M. Michéa a confirmé, par les expérience
de curiosité, magnétisent saos contact à une très-petite distance du
sujet
, ou tout au plus en se tenant dans une chambre vo
tenant dans une chambre voisine et en dirigeant leurs gestes vers le
sujet
dont la position est exactement connue. D'autres
action, même à une distance très-considérable, mais seulement sur les
sujets
habituels, accoutumés depuis longtemps à subir l’
le recommande surtout comme moyen de prévenir, par l’insensibilité du
sujet
, la douleur des opérations chirurgicales ; il com
urs fatales de nos antagonistes et seriût la vraie médecine. C’est un
sujet
grave à exanûner ; mais, quant à moi, je crois qu
de tenir constamment son attention fixée sur cet objet. Chez quelques
sujets
, après un temps dont la durée varie, le sommeil s
rdinaires sans doute , iháís nullement surnaturelles. ^ (I Certains
sujets
acquièrent, dans l’état de somnambulisme, une per
es yeux de ceux qui les pratiqueront avec la prudence que comporte le
sujet
, les phénomènes aujourd’hui connus des magnétiseu
uelques expériences qui me semblent, par leur nature, ne devoir Cti'e
sujettes
à aucune contradiction. Ainsi, Messieurs, ce n’
uait pas la comédie. Quant à celui qui m’av^t si vivement combattu au
sujet
du phénomène dont il était témoin, i) nedisait pl
phérie de l’organisme de l'opérateur ou nia-gnétiste pour agir sur le
sujet
magnétisé, et Yhypnotisme, qui a un tout autre mo
d’attacher un bouchon de liège, au moyen d'un ruban, sur le front du
sujet
, qui dut le regarder fixement pendant quelques mi
eut produire sur lui. De même, quand le m^néliseiir veut endormir son
sujet
, il lui dit ; bien, jw//■'/.r ,«i'r tes miens. Mo
second, celui de la vision. Ces deux organes sont, comme les autres,
sujets
aux erreurs et aux hallucinations; mais l'un rend
l la tête trop faible potir arrêter longtemps mes Idées sur un pareil
sujet
, je serais pris bien vite d’un accès de sommeii n
ques, je m’empresse de vous envoyer ce que ma mémoire me fournit à ce
sujet
. Mon début, qui fut aussi mon premier succès, v
constater la réalité de l’action magnétique et la seusibilité de mon
sujet
: lorsque j’approchais mes mains du malade , je d
rs du traiteotoiU et qui dura de huit à quinze jours, interrogée à CH
sujet
pendnnt son sommeil, elle répondit que qette dist
oeasion d’autant plus précieuse de compléter mes connaissances que le
sujet
était plus remarquable. Cependant, après otoq mo(
, ayant pris assez rapidement des proportions assez gnives, devint un
sujet
d’inquiéfude pour les parenls de la malade, lisse
de son lit. Je l’avais emporté avec moi et il avait déterminé chez un
sujet
sensible la production des mêmes accidenta que la
résoudre, nous entrerons dans quelques considérations motivées par lo
sujet
inèn‘e, en assurant les personnes qui voudront bi
de famille. A la fin du dessert, la conversation s'engagea sur divers
sujets
entre les convives ; M. Manlins Salles, vaincu pa
nt éveillé quand quelqu’un demanda à M. Manlius de faire, sur le même
sujet
, une expérience de lucidité somnambulique. M. ’**
erpositions de l’aubier traversées, nous allons pénétrer au cœur d’un
sujet
simplement équarri. H Une puissante terre végét
sur la vie à venir el la science se tait. Le magnétisme donne, sur ce
sujet
, des données saisissantes et remplies d’espérance
au courant de la plume, de quelques observations que m’a suggérées ce
sujet
. Ces observations ont, à mes yeux, une importance
de l’électricité (je mettais les incrédules en communication avec le
sujet
, et Je soumettais ce dernier b. un courant indire
nt indirect ou à de fortes commotions) i 2* je paralysais les bras du
sujet
en croix, je suspendais à chaque main un poids de
ui me paraissait le plus doué de forces physiques, à lutter contre le
sujet
, j'opérais alors f attraction à distance et, au b
eur du magnétisme que tous les adeptes de Mesmer qui ont écrit sur ce
sujet
jusqu’à ce jour. Quand il s’agit de science, les
r, il faut sans doute des précautions et de rhai)itu(le , mais sur un
sujet
déjà décomposé par la nature propre, il sufllt (t
er à une grande expérience de somnambulisme sur son valet de chambre,
sujet
très-lu-cide. Inutile de dire que la curiosité ét
t; ■nais lorsqu'un membre de l’institut ose prendre, le premier, pour
sujet
de ses méditations l’hypnotisme, qui n est autre
tre traduction est exacte, c’est celui de la sensation qu'éprouve son
sujet
quand l'inEensilidité est détruite et qu'il n'est
éer des regrets. Le jeune R. S., âgé de quatorze ans, fut le second
sujet
sur lequel je poursuivis mes expériences. 11 m’of
ne devais pas non plus dans les premières magnétisatioas demander au
sujet
s’il était magnétisé, sa réponse devant aussi êtr
ite ville, en le priant de faire toutes les recherches possibles à ce
sujet
. Nous laissons à penser avec quelle impatience
es suivants : 1° Le somnambulisme produit à dislance et à l'insu du
sujet
. 2® Le sommeil provoqué par un objet qui a élé
inconvénients graves, en ce sena qu’on ne peut réellement dégager un
sujet
qu’en réagissant directement sur lui, & l'aid
leau noir, je prends les mains d'une personne impressionnable on 4’un
sujet
déjii formé« et, tout en componuit mes bouts rimé
la transition est d’autant plus naturelle qu'elle me ramène en pl«iu
sujet
. LevaiUaot raconte que, sm'pris pas des cris plai
je crois que le magnétiseur prend une influence irrésistible sur le
sujet
qu’il magnétise, non-seulement lorsque le sujet e
irrésistible sur le sujet qu’il magnétise, non-seulement lorsque le
sujet
est endoi'oii, mais encore quand il est éveillé.
un réquisitoire contre nos versatilités humaines.,Qui de nous, sur 1e
sujet
si diflicile et, parfois, si captieux, qui révolt
le contact de l’air. Ajoutons que le savant Duméril, si incrédule au
sujet
des pluies de batraciens, a cité un exemple perso
tour qu’un fétichisme d'un autre genre... Mais nous abordons là un
sujet
que les bornes de cette lettre ne nous permettent
élevé. Voici, monsieurle baron, la continuation de mon récit : Le
sujet
, W. M., dans l’état magnétique, déclarait voir le
sement» disparaissaient et il éprouvait le plus grand bien-être. Ce
sujet
resta quarante ou cinquante jours dans l’état mag
prolongation de l'étatmagnétiqueaeudessuitesfAcheusesponr la santé du
sujet
; cependant je puis as^iurer que ni lui, ni moi
r de cette expérience. Je l’ai renouvelée maintes fois sur dilTérents
sujets
que je laissai ainsi, durant quatre on cinq jours
sentqu’à telle ou telle autre chose : j'ai fait ainsi sympathiser des
sujets
quiavaiententre eux une extrême antipathie, sans
ngement. Je ne fais que méditer sur la transcendance de ce fait. Le
sujet
D. C. est très-sensible à mon influence magné~ ti
e ses doigts: en même lemps celte main était devenue insensible. Ce
sujet
souifrait horriblement d’un mal de dents, et rien
ut oubUer : par là son somnambulisme s’améliora de plus en plus. Le
sujet
R. S., duquel j’ai parié dans ma preimère coinmui
aidiB'arMilel toil fU|lprisé às'iEtnovliij'4* suit : Je disais à ce
sujet
de toucher tel objet, pour être magnétisé, et tel
arait devoir être expliqué ainsi : Quand j’exprimais mon intention au
sujet
, il se produisait, daus le moment même, en dehors
quoi et comment ily était allé. Il y a peu de temps que, formant un
sujet
, sur lequel j’avais déjà produit cet état qui res
vingt ans, d’une très-grande sus-ceptibiliié ncmuse, a été le .second
sujet
sur lequel j'ai tenté le fluide magnétique. Dès l
par la foi produistvnJ; des reuvres où Dieu semble intervenir: vaste
sujet
de ïftéditation duquel notre temps nous éloigne.
gieusement (1) Malgré ces phénomènes, la catotopsie pcrsisle, ot lo
sujet
, tlèa qu'on l'tbondonue è tui-inémc, dciiiiuro da
l’observation et par l’expérience que le magnétisme est décidément le
sujet
de l'incrédulité générale et du mépris, conséquen
’ose guère, pour le moment, expi imer mon avis à cet égard ; c’est un
sujet
qui exige de plus longues études, d’autant plus q
tórieur decette Améritjue des somnambules lucides el mieux encore des
sujets
spiritualialcs Irès-iniiiiessanls pour nous. C’es
s-tianisme. Poète et prosateur, il composait des odes et traitait des
sujets
graves sur la tendance des Romains à se livrer au
acré à écrire sur la science, ait publié un ouvrage volumineux sur un
sujet
que la science officielle a toujours repoussé (2)
xorciste et la possédée, uous allions dire entre le magnétiseur et le
sujet
. £a voici une oti l’exorciste n’intervient pas
le pas croire que la communication de penstic entre ¡’opérateur et le
sujet
, que dans la conclusion sur le ma^étisme il flétr
n enfance, à moins qu’il n'exerce sans relâche son intelligence à dès
sujets
nouveaux, capables de captiver son éspnt. Cette
e se rendre compte de la transmission de la pensée du m:ignétiseur au
sujet
. Si, en face d’un piano ouvert, vous faites son
au voisin s'il ett passif, et lorsqu’un magnétiseur, en présence d’un
sujet
suDisamment sensible, suscite mentalement dans sa
te phrase ou cette pensée s’imprime instantanément dans le cerveau du
sujet
. Celui-ci a souvent la conscience de son inertie
it ûtre robuste, afin de communiquer un surcroît d’activité vitale au
sujet
(1) ; êlre capaiile d’uno grande netteté de pensé
es à chaque individu suffît, irais il n’opère pas aussi vite. 2' Le
sujet
, au contraire, doit être maladif, faible, d’une i
e à cau.!er des distractions. La solitude est avanu^cuse en ce que le
sujet
n’est pas exposé à subir l'iDilueDce de volontés
éantir toute initiative, toute volonté.Au bout d’un certaintemps, les
sujets
, quoique éveillés, devenaient tellement dociles a
ticle de M. Warlomont alinéa par alinéa, nous arrivons à l’âme, vaste
sujet
d’étude qui depuis vingt ans absorbe nos méditati
eu jadis, mais que le magnétisme nous a fait toucher du doigt. Sur ce
sujet
nous nous trouvons en complet désaccord avec M. W
re : si le magnétiseur le veut, tout va se retmcer dans le cerveau du
sujet
et le souvenir réparait. Ainsi, dans le som-nambu
le question : l'/zAcr et le mouvement de la multare. Mais c’est là un
sujet
de physique transcendante qui ne peut ôtrc traité
reçues, paralyse leurs facultés magnétiques. J’aborde maintenant le
sujet
principal de la question qui se débat entre mon c
nes suivants : 1® le sotn-nambntüme produit à distance et à l’insu du
sujet
; 2“ (e sommeil provoqué par un objet qui a été pr
appartement contigu, je faisais la contracliondirecle, et bientôt le
sujet
éprouvait une somnolence involontaire et insurmon
t se faisait ressentir chez moi par une espèce de choc en retour ; le
sujet
était dès lorsen communication directe avec moi :
ce méthodique, exacte. Connaissant le degré d’impressionnabilité d’un
sujet
, j’obtiens sur lui des résultats mathématiques. S
que : Que je soutire le fluide dont cet objet est imprégné et (jue le
sujet
soit mis Immédiatement en contact direct avec cet
u qu'il .sera propre absorber la masse du fluide qui existait chez le
sujet
. J’ai lieu de croire que M. Warlomont n’avait n
eur ; celui-ci se fatigue donc en pui'e perte, 4* EXPÉRIENCE. — üii
sujet
étant cataleptisé, je le suspenila par le milieu
stüuce en donnant d'abord et en retirant ensuite, je fais luouvoir le
sujet
dans le sens qui m’est indiqué. Je pose ensuite
uouvoir le sujet dans le sens qui m’est indiqué. Je pose ensuite le
sujet
ainsi cataleptisé« c'est-à-dire rigide comme un s
en quelque sorle perdu la conscieoce de son être, je pose, dis-je, le
sujet
sur le plateau d'une bascule, je pèse exactement
aler. Je vous en défie. Vous parviendrez, il est vrai, à réveiller uo
sujet
, car vous faites la conlraciion inverse sans vous
é magnétique. La première fois, je ne soumis que bien peu de temps le
sujet
à l’action électrique, el il ne s’y montra point
s, dont l’une avait une grande pratique en magnétisme ; celte fois le
sujet
parut ressentir légèrement l’action des courants
ine connaissais-je le magnétisme, que je me mis à expérimenter sur un
sujet
d’un tempérament nerveux, qui ne se laissait magn
r une mélhode plus efficace. J’acceplai avec gratitude, et avertis le
sujet
que je me rendrais chez lui avec cette personne.
e de oie montrer le mode de ujc^nétisation j avais vu en effet que le
sujet
n’avait rien ressenti. Voulant mettre à profit le
éussite des pius vifs. Je n'interrogeai qu’au bout d’un long-temps le
sujet
; cette fois il n’avait pas senti le moins du mon
n essai chaque jour pendant une demi-heure. J’essayai inutilement. Le
sujet
qui auparavant, malgré la chaleur, sentait si viv
’ilfùtpossible d’an- nih'iler l'inlliience d'un magttiseiir s^ur un
sujet
, el ma con-fiaiico clans le savoir el la loyauié
sonne avail, pour son expérience propre el comme essai, inagnélisé le
sujet
et l’avait rcnUu insi-nsiblc à mon influencp. Ain
e dc faire pénétrer son action, une autre personne dirige sur le même
sujet
son atiention dans un but opposé, en s’aidant sur
ande difll-cnlté dans le développement des phéaomèDes ; mais quand un
sujet
est soumis depuis longtemps à l’influnnce d'un ma
ariée, bien plus encore s’il était prévenu. Voici une expérience à ce
sujet
: J’avais devant moi une personne que je magnétis
l fut magnétisé sur-le-champ. Puis il essaya, avec le consentement du
sujet
, tle le faire e^itrer en souioambu-lisme contre m
ines ; le voici : Peutlanl qu’un magnétisfur achevait de mettre son
sujet
en somnambulisme, un autre magnélisnur qui en eut
égers, j’obtins d’assez bons résultats. Mais je rencontrai encore des
sujets
d'une insensibilité telle, que je fus obligé de p
lled'ini monde inconnu. Il est curieux de lire ce qu'ont écrit sur ce
sujet
les penseurs des siècles passés; c’est pourquoi n
nous sommes capables. \ quel nombre de punitions ne sommes-nous pas
sujets
? Dans la situation même la plus abondante, peut-
susceptibles de corrupiion, les êtres qui les habitent y doivent être
sujets
à proportion. « On sera curieux, sans doute, de
que ceux qui sont dessous l’éther, qui habitent les éléments et sont
sujets
à la vicissitude des temps. « Mais, dira-t-on,
e y subsister, fixe, éternel, sans avoir besoin de place et sans être
sujet
au détriment de la variation. C’est là que doiven
nepeuvent être regardées que comme des ombres, à cause qu'elles sont
sujettes
au temps et par conséquent d’une courte durée.
mal consiste dans l’art d’employer et de diriger la force vitale d’un
sujet
au profit de la santé d’un autre. Le phénomène le
faite, je reviens avec calme sur le terrain le plus ardent du double
sujet
de mes lettres. Maintenant, cher confrère, il f
de prime-abord, eussent élé i-épulés irréalisables. Maintenanl, au
sujet
du spiritualisme, appliquons l'enseignement de ce
es hypothèses de ses devanciers, ose à peine réduire ses calculs, ace
sujet
, aux limites de trois à quatre cent mille, n Char
ombre d'individus, ce qui montre clairement que le cerveau humain est
sujet
à des hallucinations. Alphonse Karr a émis quel
ule un corps complètement inodore et non corrosif jui soii inconnu du
sujet
et de toutes les personnes présentes à l'opératio
parties de fluide, et si vous prenez une substance quelconque dont le
sujet
ignore les propriétés de même que toutes les pers
ut obtenir des résultats exacts, ou doit opérer uni(jueiueiit sur des
sujets
qui n’oiii pas élé dressés à ce genre d’expérienc
gnes précitées. Je me permettrai de lui poser quelques questions à ce
sujet
, afin tVéclaircir autant que possible le point en
tous les phénomènes magnétiques commandés, à moins que le cei’veau du
sujet
ne travaille subjectivement ou objectivement sous
nce de l’homme armé de cette force diyijie, Je Caisais croire à mon
sujet
les choses les plus extravagantes ; je lui donnai
surtout devant une foule de gens qui sont toujours prêts à envoyer le
sujet
, au premier succès, dans les cinq parties du mond
e quelques essais. Voici, à peu près, ce que j'ai pu obtenir : Le
sujet
vit l'heure dans une montre fermée qu’on lui prés
Etephantiaiit, peut-être à cause de l'éléphant, qui paraissait y être
sujet
. En peu de temps cette nouvelle maladie, se propa
nétisme. On savait déjà (lue, ne me faisant point accompagner par des
sujets
sensibles, les expériences devaient se faire sur
mettre en rapport avec un somnambule naturel. Il se fera entendre du
sujet
, il dirigera ses actes, il le dominera entièremen
la fermeture des paupières. Transitiors. — Après ces prodromes, le
sujet
doit encore franchir deux {ran5t>«ofis bien di
e est entièrement voilée par l’orbite, l'iris est à peine visible, le
sujet
ne dort pas i mais, malgré toute sa force de volo
que un peu gèoée; les membres sont souples et fortement engourdis. Le
sujet
n’est ni isolé ni insensible-, il entend tout le
tous les caractères d’une syncope ou d'un évanouissement ; la face da
sujet
est décolorée ; la respiration libre, mais très-f
au toucher ; les membres sont dans un état de résolution complète. Le
sujet
a perdu la conscience de son être, il est, par co
mbulisme parfait est en quelque sorte l'image de la vie naturelle, le
sujet
ne croit pas dormir; il agit absolument comme s'i
mesmé-riqiies. Ln magnétiseurexpériiiiei)lé possède entièrement son
sujet
; il fait et défait à sa guise ; il obtient à son
iques. Ou évitera ainsi des suites fâcheuses, tant pour lasapté des
sujets
que pour ce qui regarde la responsabilité des exp
j'iences deit. Heichenbach et doses niuiimes propres. Je traiterai ce
sujet
à fond dans un chapitre spécial. fluitîe, rípav
plus ou moins. D'un autre côté, l’émotion natjirelle qu’éprouve le
sujet
paralyse jusqu’à un certaiu point le jeu des poum
x de l’organisine liu-uiftui sô trouvent contractés ; ceci àl’insu du
sujet
. Celte position irrégulière suffît pour détruir
que.àü coma,düsommmbulisme,delAcatahpsie, de l’extase, suivant que le
sujet
est plus ou moins impressionnable ou qu'il se tro
. Ainsi, si vous soumettez aux expériences hypnotiques une personne
sujette
à des spasmes nerveux, k des attaques d'épilepsie
procédés mesmériques. En effet, dans l'un et l’autre cas, on exige du
sujet
une passivité absolue, une immobilité complète ;
ouvement, il projette au dehors son propre fluide ; il en imprègne le
sujet
, si je puis m’exprimer ainsi; il le saiure ou le
de l’teil est en outre convulsé. Eh bien, malgré cet état anormal, le
sujet
possède la faculté de voir non-seulement au grand
en rien à la production du phénomène ; ipais il faut pour cela que le
sujet
n’ait point con- science de cet obstacle, car,
tention se ti'ouve concentrée. Mettez un livre entre les mains d'un
sujet
, et lorsqu’il sera en train de lirei interposei u
irectement sur le livre, c’est-à-dit^ là où tst portée l’attention du
sujet
, celui-ci s’interrompra aussitôt, et, avec un mou
en outre ce qui sepassë àl’intêrieurde leur corps. Par exemple, si un
sujet
est atteint d’une lésion organique ou bien d’un v
que tous indistinctement sont capables d'exécuter un (1) Voir à ce
sujet
mon arlicte intitulé : Le Spirituiu^i»« n Ra-Tio&
tel ijue lire, licrire, coudre, broder, enfiler une aiguille. Peu de
sujets
sont doués à ce point, surtout parmi les somnambu
ordonnée pour l’étendue et pour le degré de perfection à l’énergie du
sujet
, à ses facultés naturelles, e* à une foule de cau
nces qui ont traità la lucicUté sans s’assurer préalablement auprèsdu
sujet
s’il se sent ou non dans des dispositions favorab
es conditions avorteront nécessairement; tous les efforts que fera le
sujet
pour condescendre à vos désirs n’aboutiront qu’à
au somnambule, par exemple, écrire une lettre ou une narration sur un
sujet
donné, résoudre un problème d’algèbre, de géométr
du monde, vous ne devez pas insister, vous ne feriez que fatiguer le
sujet
inutilement ; vous vous exposeriez bénévolement a
ues. En 1858, j’habitais la campagne ; j’avais alors pour principal
sujet
une jeune paysanne qui était douée de facultés re
ains,- et, après l'avoir saturée de fluide, je la posai dans celle du
sujet
. Ici, je ilemanderai la permission de Inuiscrir
ncée. Madame B... se leva de dessi^sou siège; elle lâcha la main du
sujet
, le rapport était rompu. (]e fut le tour d’une
e que vous la voyez en ce moment ? — Oui. — Où est-elle? — Là, fit le
sujet
en indiquant la direction où se trouvait madame B
'exerce sans difficulté dans tous les sens. Point n’est besoin que le
sujet
soit mis en contacl immédiat avec les objets, il
ée, vers les sept heures, et non dans la soirée, comme l’avait dit le
sujet
. Quelques semaines après sa délivrance, madame
o», c'est-à-dire la révélation intime d'unfalt accidentel étranger au
sujet
, fait non ^core accompli. Exemple : Tel jour à te
phénomènes remarquables que j’ai été à môme d’observer, tant sur des
sujets
magnétique» que sur un somnambule naturel que j’a
gt on vingt et un jours il se produisit, chez la personne qui fait le
sujet
de cette élude, un somnambulisme l'emarquable par
rs les corps opaques, etc.). Les premières (observations que fit le
sujet
, dans cet état si nouveau pour elle, fut que le m
ffrayant, pour pouvoir fixer son esprit sur UQ seul point. C’est un
sujet
d’expérience et d’observation fort curieux que ce
la plus rationnelle, celle par laquelle ort recherche la nature. Le
sujet
ne connaissait pas même le m^hélistnè dé nom ; l’
xtase ou ravissement d’esprit, 197, 365. — Considérations sur Ie même
sujet
, au point de vue de l’histoire et de la philosoph
, par M. la Dr Liégey, 266; par M. Berjaud, 610. — Lettre sur le même
sujet
, adressée à M. Maury, de l'Institut, par M. du Po
rait d'un poëme de Marcel Pa lingène, 493. — Dissertation sur le même
sujet
, par M. le Dr Clever de Maldigny, dans le but do
Réviviscence. Transposition (de la) des sens. Questions posées à ce
sujet
par M. Péreyra, 150. Vampires. Suivant M. Jobar
que, ou som meil nerveux- Opérations chirurgicales effectuées sur des
sujets
hypnotisés, 36. — Expériences diverses pratiquées
ucidité. Voy. Clairvoyance. Magnétisation à distance et à l'insu du
sujet
, 95, 241, 316, 466, 473. Magnétisme expérimenta
ice professionnel en soit réservé aux médecins, 137. Romans dont le
sujet
repose sur des faits de somnambulisme« d'extase.
- renciation est aussi fonction des aptitudes et des tendances du
sujet
. Les hallucinations de divers ordres se combine
Mendel, dans son livre (1SS0), fait allusion à l'existence, chez un
sujet
atteint de paralysie générale (diagnostic con-
soit à cause de leur fugacité, soit à cause de l'état de démence du
sujet
; parfois aussi ces hal- lucinations psycho-mot
l'arc nerveux à la suite d'incitations venues des protoneurones. Le
sujet
se reconnaît alors objet de sensation et cause
la personnalité physique et le sens génital, car on trouvera des
sujets
chez lesquels ce sens passera successivement et a
ent et d'abolition sans que le délire du malade en soit modifié, le
sujet
continuant à avoir la même idée de lui-même que
en plus et les secondes, des altérations en moins. Sept de nos 108
sujets
ont eu un délire génital intense. Certes si on
nt en parlent. Or, avons-nous dit, tel fut le cas pour sept des 108
sujets
dont voici à cet égard les observa- tions résum
belles femmes de la terre. Ses conversations ne roulent que sur ce
sujet
. Il est à remarquer que toute sa vie il a été un
ns cet acte ; quoi qu'il en soit dans 184 de nos constatations, nos
sujets
se déshabillaient ainsi pour aller nus, or dans
aux seuls hommes puisque, quoique ayant un service immense, nos 108
sujets
étaient tous du sexe mas- culin. I. En suivan
abillaient, non pour déchirer, mais pour rester nus, et ce chez des
sujets
qui avaient parfois de l'exci- tation génitale
la chaleur, de l'électricité, de la pesanteur. Les expériences à ce
sujet
de I'feffer, d'Engel- mann, de Loeb, de Max Ver
convulsives, z / , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et chez certains
sujets
, sans que la conscience fitt profondément troub
1901, n° 9.) Observation d'une malade qui depuis sa jeunesse était
sujette
à des accès d'asthme avec faiblesse générale di
. de la Salpé- trière, n° G, 4900.) Les travaux antérieurs sur ce
sujet
permettent de diviser les paralysies congénital
teur indique ici les mensurations anthropométriques aux- quelles le
sujet
a été soumis, et leurs résultats, et en terminant
ontri- bueront par la à dissiper les préjugés qui règnent encore au
sujet
des asiles, et à faire comprendre au public qu'
légère, d'un cas dans lequel la dystrophie est peu marquée, de tels
sujets
peuvent facilement passer inaperçus et laissent
nir comme agent thérapeutique qu'après une très longue éducation du
sujet
. lin 1742. Sauvage de la Croix (de Montpellier)
au travail. On sent que l'homme qui l'a écrit, versé à fond dans le
sujet
qu'il traite l'a composé avec l'aisance d'une e
tion de ces objections : 1° Objection tirée de la prédisposition du
sujet
: en admettant que la folie puisse se développe
fluence d'une maladie infectieuse, cela n'arrivera qu'autant que le
sujet
sera prédisposé. Il y a ici un locus minorais r
février au 0 mars 1901.) Les réflexions que nous avons faites au
sujet
du départe- ment de l'Eure s'appliquent au dépa
une proportion de 96,72 p. 100 d'affections gynécologiques, deux
sujets
sur ce nombre étant indemnes. Dans notre mémoire
d'une intoxication aiguë; et notamment chez le malade qui a fait le
sujet
de sa seizième leçon (1888-'1889); il considère l
la fait rentrer dans le moi par un travail de synthèse, fait que le
sujet
a conscience de son souvenir en tant que souven
position, peut-être plus humoristique que vraie, nous écarterait du
sujet
. Il y a, en effet, bien des sortes de langage i
inger à répondre par l'affirmative. Des recherches spéciales sur ce
sujet
seraient pourtant fort utiles; on sait toutefoi
l'autre psycho-physiologique. Au début de la première il définit le
sujet
et les termes employés de la manière suivante : i
sensations. 2° Psychophysique. Passant à la seconde partie de son-
sujet
, l'auteur s'occupe de la méthode des recherches
és men- tales diffèrent chez des'sujets différents, ou chez un même
sujet
à des moments différents. Des causes extérieu
, la résonnance est si précise qu'elle absorbe toute l'attention du
sujet
. Tantôt les aliénés s'en plaignent, tantôt ils la
Chez eux, l'écriture en miroir est absolument impossible, car le
sujet
, mis dans la nécessité d'écrire desa main gauche,
te conclusion, il serait nécessaire d'étudier les réflexes chez les
sujets
non syphilitiques du même âge et de la même const
RA, (Iiivista C'1(iCÉI di clinica, 19JU, n° 21.) .) Lorsque chez un
sujet
normal on excite un muscle ou un nerf par un co
e 128 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. selon les
sujets
mais toujours assez long, 10 à 30 minutes, le m
tanos peut se reproduire par excitation du même point. - Chez les
sujets
au contraire, qu'on pourrait appeler électrique-
tenir le retour du tétanos qu'après un repos de quelques heures. Le
sujet
éprouve une sensation pénible de fatigue et d'i
yotonomètre deMosso, le degré de tonicité du triceps sural chez des
sujets
atteints de myélite transverse avec exagération
irectement et plus immédiatement lié aux condi- tions organiques du
sujet
. Si l'on passe du point de vue clinique et stat
troubles sont analogues entre eux, et cependant divers suivant les
sujets
, et que lorsque l'état mental normal se rétabli
souvent plus marqué et la chute de la voix plus accentuée quand le
sujet
est ému par la conscience d'une difficulté de l
incertitude la mesure dans laquelle les symptômes mentaux chez un
sujet
donné dépendent d'une maladie organique, mais il
e d'un contre-coup psychique, variable suivant la susceptibilité du
sujet
. R. DE uIUSGRAVE-CL.1YE. s - XI. Sur l'état
n régime mental, il réussit à éviter une nouvelle attaque, il resta
sujet
à des crises nerveuses intenses et demeura, pou
un de leurs offices. Aussi M. Ballet a-t-il atteint le fond de son
sujet
et trouvons-nous dans son livre tout ce que fut
causes finales, il eut pourtant des aperçus intéressants sur divers
sujets
et particulièrement sur le foie et le poumon et
après une chute sur la tète. Depuis une dizaine d'années, il serait
sujet
à des crises de rhumatisme. Pas de syphilis, pas
père maternel, boucher, est mort à soixante-quatorze ans : il était
sujet
il de fré- quentes crises d'asthme, avait un te
t sans qu'on puisse noter aucune exaltation particulière du côté du
sujet
. Le ·2 mai surviennent ses premières règles, qu
niveau des tempes : le passage du courant incommode forte- ment le
sujet
, mais n'entraîne pas plus de succès que les autre
et leur disparition n'a entraîné aucune modification dans l'état du
sujet
. Notons encore que ce même 6 février au soir, l
de cette recherche, rendue telle par les mou- vements incessants du
sujet
empli d'effroi, qu'il y a anesthésie de la muqu
ncre la résistance, et la flexion ne se produit pas ; cependant, le
sujet
reste absolument persuadé que ses doigts ont ob
sensation de blanc. En somme, l'expérience demeure négative, et le
sujet
conseive toujours les seules sensa- tions éléme
, le jaune ne sont distingués que par comparaison. Interrogée il ce
sujet
, Marthe répond que ces couleurs lui paraissent
res couleurs est un peu différente pour chacune d'elles, quoique le
sujet
semble les confondre. Enfin, la vision binocula
recherche de la vision binoculaire tendent à démon- trer chez notre
sujet
: 1° qu'en certains cas, la vision bino- culair
jours monoculaire, n'est généralement que mal ou pas perçue par le
sujet
, et que le médecin ne l'observe presque jamais
prisme (cas de Harlan), etc.; c'est ce qui arrive encore lorsque le
sujet
am- blyope, étant obligé de subir une opération
n de la vision est épisodique, in- termittente : elle montre que le
sujet
à un certain moment, ' Loc. cit., p. 231. « I
u point de vue anatomo-physiologique, peut n'être pas perçue par le
sujet
, nous savons que la sensation qui en résulte de
ésulte demeure alors inconsciente, qu'elle est exacte- ment pour le
sujet
comme si elle n'existait pas réellement, et qu'
correspondant est perdu (peu importe comment) pour la conscience du
sujet
, et ce dernier possède exclusivement la vision
vision monoculaire de l'oeil sain. 2° Dans le deuxième stade, le
sujet
peut récupérer tempo- rairement la conscience d
ccorder aux résultats, voici résumée brièvement l'histoire de notre
sujet
. G... CL, âgée de trente-huit ans, sans profess
ue, qui seul la rendait tranquille. Il arriva plusieurs fois que le
sujet
fut laissé n'étant pas complètement réveillé. L
ns le cas où il en serait ainsi. L'histoire pathologique de notre
sujet
a évolué avec l'âge. Les crises d'hystérie ont
tenace, surtout si l'on n'a pas soin de réveiller immédiatement le
sujet
. Car cette hallucination agit sur la phase de v
sordonnés que les paroles. Tant que durent les-. hallucinations, le
sujet
est en proie à1 une agitation intense, qui néce
u symptomatique, c'est en résumé l'état de distractions mentales du
sujet
joint à de l'agitation motrice, le désordre des
n mentale hallucinatoire. La connaissance de l'état mental de notre
sujet
, peut donc assez bien nous faire pénétrer, dans
u'il y occupe. Ce n'est qu'après ces efforts que la conscience du
sujet
est redevenue normale. VI En. d'autres termes
on sur unu synthèse normale préalablement prédis- posée. Chez notre
sujet
nous retrouvons les phénomènes qui se passent d
peu près la puissance d'attention, que l'on' retrouve chez tous les
sujets
normaux. Une image plus in- tense, une idéation
lles de temps qui séparent deux mouvements sont de cinq minutes, le
sujet
met deux fois plus de temps à se rappeler leurs
urs. Non pas que vos travaux nous laissent indifférents, ou que les
sujets
d'étude nous fassent défaut; mais, à vrai dire,
résultat d'une intoxication ou d'une infection, quelquefois chez le
sujet
qui la présente, plus fré- quemment chez ses as
une psy- chose préexistante. Il ne se développe jamais que chez des
sujets
dont le système nerveux a été affaibli soit hér
utumée; souvent, l'in- \ somnie est absolue. Pendant la veille, les
sujets
ont déjà des hal- ' lucinations terrifiantes; i
ide; un jour à peine - suffit pour qu'elle atteigne son apogée. Les
sujets
présentent l'as- pect du type maniaque avec phé
temps en Allemagne par Wagner, von Jauregg, par Boeck, Ernst. Au
sujet
du traitement du délire aigu, je dirai d'abord, a
s grand intérêt les travaux de Bianchi et de ses élèves sur le même
sujet
, sans me résoudre à considérer comme démontré l
ire aigu, on est encore frappé de la ressemblance des lésions. A ce
sujet
, l'auteur présente des coupes provenant du systèm
une maladie aiguë toxi-infectieuse et celle du système nerveux d'un
sujet
mort de délire aigu proprement dit. M. Crocq.
n sur la pré- disposition névropathique que l'on rencontre chez les
sujets
atteints de délire aigu. Cette prédisposition d
hémorrhagies diverses après les crises épilepliques, mais chez des
sujets
hémophiles. ' 4 M. BOURNEVILLE. - Les épileptiq
autre difficulté se présente lorsque l'état d'affaiblissement du
sujet
est tel qu'il est impossible de capter sa confian
nile. M. Devay. - La paralysie générale survenant chez les jeunes
sujets
longtemps méconnue, n'est plus contestée. Depuis
ressistes n'étaient pas sans une certaine inquiétude, au départ, au
sujet
des séances projetées à Saint- Priest, comme on
i sont de quelques années après l'infection, quel que soit l'âge du
sujet
. Elle peut, par exemple, se développer chez des
aractéristique rendant évident, indiscutable, l'état dégénératif du
sujet
observé. 11 ne faut donc pas, comme le fait rem
irment pleinement les recherches expérimentales faites sur 'le même
sujet
par MM. Tuffier et Ilallion ; 1° L'analgésie
ion de chaleur : il est toléré indéfiniment, alors que chez le même
sujet
, l'application d'un sinapisme sur une région no
rtrophie musculaire de quelques. muscles, de sorte que chez le même
sujet
, on trouve de l'hyper- trophie des muscles hype
se voit au-dessus de la zone hyperesthésiée n'existait pas chez ce
sujet
. P. XXXIII. Valeur des symptômes optiques et au
nt de l'excitation corticale physio- logique) se rencontre chez les
sujets
sains (l'esprit absorbé par une chose demeure i
USGRAVE-CLH. XXXVIII. L'hystérie et la neurasthénie chez les jeunes
sujets
; par Charles-L. de iIIERRTTT. (The New York Méd
du rapport de M. Crocq, mais je veux faire quelques remarques au
sujet
de la contracture, de la trépidation épileptoïde
réflexes patellaires étaient normaux, abolis ou exagérés ont été le
sujet
des expériences des auteurs. Un myographe appli
ion et le début t de la contraction musculaire varie suivant chaque
sujet
et semble augmenter chez notre hémiplégique à r
ien varie au c6nLl : ¡¡,ire'l : ièh : : I- coup chez les différents
sujets
. arie au </> , j g Le réflexe cutané plan
réflexes tendineux et les secousses musculaires chez les différents
sujets
tient peut-être à ce que dans le premier cas le
s perceptions visuelles d'un caractère équi- voque, auxquelles sont
sujets
des gens bien portants et raisonna- bles. Ce so
cher les causes, à édifier des théo- ries. Les anciens avaient à ce
sujet
une explication toute faite qui cadrait avec le
ticulièrement pénible. A dater de ce moment, toutes les fois que le
sujet
se retrouve dans la même circonstance ou dans l
j'ai observe le phénomène décrit par lI. Farez : pendant que mon
sujet
dormait, j'ai pu, à volonté, modifier son rythme
t toujours indépendante de la suggestion il l'état d'hypnose. Des
sujets
dont la suggestibilité à l'état de veille est min
usil. Le docteur , Leroy, de Navarre, pourra se servir de ce triste
sujet
à l'appui de sa campa'gne contre l'abus de l'al
se succèdent nécessairement suivant îa dose et sui- vant l'état du
sujet
; les excitants sensoriels fatiguent d'au- tant
mé- médiats peuvent s'expliquer par l'excitabilité différente des
sujets
en expérience, et il n'est guère douteux que l'al
d ont rapporté, le premier trois cas et le second un relatifs à des
sujets
vigoureux et exempts de tout nervosisme hérédit
recherches. Il en est résulté qu'il ne nous est plus resté que 291
sujets
. Nous avons toujours opéré le matin à la visite
esthésie superficielle ou profonde. D'un autre côté, aucun de nos
sujets
n'était atteint d'urticaire, d'eczéma, ni de, tou
t s'observer dans les degrés que présente la dermographie selon les
sujets
. Nous n'avons pas constaté au thermomètre le de
la peau, d'un état perma- nent et à ce propos ils rappellent que le
sujet
de Dujardin- Beaumetz, surnommé la femme cliché
et en ce qui concerne plus particulièrement la dermographie sur 62
sujets
qui présentèrent le phénomène et purent être su
e au moment des recrudescences de l'affection cutanée. Aucun de nos
sujets
n'ayant de manifestations du côté de la peau, n
immédiatement mais même au bout de trois et quatre heures chez des
sujets
qui, à l'état normal, ont de la dermographie tr
Je ne crois guère à cette parenté, car aucun de mes malades n'était
sujet
, ai-je déjà dit, ni à l'urticaire, ni à d'autre
ois en hiver. On voit dans les tableaux qui sui- vent que parmi les
sujets
qui n'avaient pas de dermographie il en est un
action altérée l'été, c'est ainsi avons-nous dit plus haut que 17
sujets
qui n'avaient pas de dermographie durant la saiso
avaient présenté que des réactions normales, qui, peut-être, si ces
sujets
avaient pu être examinés durant l'été, auraient
nstatations. Si nous opérons cette fusion nous trouvons que sur 359
sujets
M. Féré a relevé 94 cas de dermographie d'inten
poque un médecin spécial. Voici le tableau que fournissent nos 3112
sujets
. Mal- heureusement pour deux variétés mentales,
faisons la somme de ces trois catégories d'aliénés nous trouvons 92
sujets
qui ont présenté 12 cas de dermographie, soit u
, il a noté avec M. Lamy sept fois le phénomène très marqué sur 130
sujets
, soit la proportion de 5,3 p. 100 qui s'écarte
il n'est pas possible de les considérer comme plus particulièrement
sujets
aux altérations des réactions de la peau. Res
entrepris le traitement d'un idiot, et son pre- mier travail sur ce
sujet
date de 1838. C'est à lni que revient l'honneur
cumulée jusqu'à devenir encombrante et nuisible à l'instruction des
sujets
édu- cables. En 1886 une loi a été votée pour d
qui ne serait tiré que de la conscience des actes accomplis par le
sujet
. R. de lI1USGRAVE-CL,\ Y. XV. Le juif aliéné ;
alade et la prohibition absolue de l'alcool, et l'auteur entre à ce
sujet
dans des considérations étendues et intéressantes
driase alternant avec des réactions pupillaires nor- males, chez un
sujet
jeune (17 ans) probablement atteint d'affec- ti
r pendant des -années avec la réaction pupillaire normale chez un
sujet
atteint de lésion organique du cerveau. Enfin il
un asile. SI. BRIAND met en parallèle les plaintes de M. Taguet au
sujet
. du peu d'autorité qu'exercent les médecins sur
lades atteints d'affections intercurrentes. Mais la promiscuité des
sujets
séjournant au lit, les uns pour des maladies inci
s), des soins médicaux gra- tuits et de faciliter l'internement des
sujets
atteints de maladies mentales en temps opportun
aux, On voulait d'abord tenter un essai avec un nombre restreint de
sujets
et aussi faire l'éducation du personnel de survei
nt les suivantes : 1° une composition écrite de trois heures sur un
sujet
de pathologie interne et de pathologie externe
s places va- cantes ; 2° une épreuve orale de quinze minutes sur un
sujet
d'ana- tomie et de physiologie du système nerve
rde. Il sera accordé quinze points pour cette épreuve. ART. 9. Le
sujet
de la composition écrite est le même pour tous
encore sous le rapport de l'hospitalisation rapide, immédiate, des
sujets
atteints de maladies mentales, ces avantages on
oit pas être plus éloigné que les autres hôpitaux, le transport des
sujets
agités, sans connaissance, ou délirants, des ma
ues ne se prêtent pas au 442 ' BIBLIOGRAPHE. transfèrement de ces
sujets
, non plus que le fiacre, ce qu'il faut c'est un
c) Agités. Cette dernière section peut être petite et réservée aux
sujets
très agités ; on peut ainsi conserver pour l'hô
lons et adopter le « traitement libre », en traitant en malades les
sujets
qui ont conscience plus ou moins de leur état mal
chnique, qui rend si difficile à lire les ouvrages traitant le même
sujet
. Il se propose un but éminemment pratique : il
ds DES grandes VILLES; par BOUilOFFElL - L'examen a porté sur 400
sujets
de la ville de Breslau. 70 p. 100 d'entre eux a
e 6 p. 100; il s'agit surtout de paralysie générale. La plupart des
sujets
examinés sont des buveurs d'habitude ; dans 60
in psychopathique préexistant. Les époques de la vie auxquelles les
sujets
ont commencé à se livrer au vagabondage et à la m
les individus immigrés. Certaines différences existent entre les
sujets
suivant la période à laquelle ils ont adopté le
- tées dans l'ombre. Nos connaissances sont assez confuses sur ce
sujet
. Cela tient en grande partie à ce que l'on ne s
ants de chacune des nations de l'univers entier, soit à tout roi et
sujet
(ici quelques mots illisibles sur toutes les le
élirantes. » Alors qu'à cette période, survient la ruine mentale du
sujet
, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons clin
une sorte d'habitude involontaire, sans même attirer l'attention du
sujet
, ils sont en un mot devenus automa- tiques et s
ce de cer- taines conditions : émotions, bruits, etc. La volonté du
sujet
d'ailleurs amoindrie, est le plus souvent impui
cience personnelle. Elles ne sont pas exprimées, ni même connues du
sujet
qui ne com- prend et n'assimile que les actes,
ixe. Cette idée fixe, au contraire, reste subconsciente, ignorée du
sujet
.. Les considérations dans lesquelles nous somme
t en deux temps. Dans un premier temps une idée déterminée, dont le
sujet
a conscience provoque l'exécution d'un mouvemen
ts systématisés, qui reparaissent toujours les mêmes chez les mêmes
sujets
, et de plus fort souvent au moins, reproduisent
s livres du XVIe siècle ne nous offrent aucun fait intéressant à ce
sujet
, l'ouvrage d'Ambroise Paré, si riche en curiosi
nt. - On ne saurait trop admirer les ouvrages du Tout-Puissant au
sujet
du corps de l'homme ; car s'il est sujet à des ma
vrages du Tout-Puissant au sujet du corps de l'homme ; car s'il est
sujet
à des maladies nom- breuses et chroniques, Dieu
le, Algajer répondait à toutes les demandes et parlait sur tous les
sujets
avec netteté et préci- sion, il lisait même à h
merveilleuses de mutisme. 1 Une fille âgée de vingt-quatre ans est
sujette
depuis l'âge de seize ans à une extinction de v
et les psychoses à grosses affections en foyers, il nous reste pour
sujets
d'études des cas aigus qui représentent la plur
ger, Benhoelfer, ont insisté sur les résultats que peut donner à ce
sujet
la méthode de Marchi. IL-Pour apprécier comme i
actères histologiques permettant de diagnostiquer post mortem si le
sujet
dont provenait les pièces anatomiques jouis- sa
iculaire. Ce travail se termine par une excellente bibliographie du
sujet
. R. DE IUSGRAVE-CLAY. LVII. La perception psy
fonc- tionner le trembleur, mais sans faire passer le courant. Les
sujets
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
n° 14.) Voici un tableau comparatif de l'état des réflexes chez 13
sujets
sains et chez 13 sujets syphilitiques pris dans
u comparatif de l'état des réflexes chez 13 sujets sains et chez 13
sujets
syphilitiques pris dans les mêmes condi- tions
coli, généralement inoffensif, est susceptible de revêtir chez les
sujets
prédisposés des propriétés toxiques. Dans l'une
que ces souffrances sont réelles, bien que variables suivant les
sujets
. Le traitement n'est guère possible que dans des
u moins actiie du microbe, ou de résistance plus ou moins grande du
sujet
, sont un nouvel appoint à théorie infectieuse d
fil en graphite. En rapport avec le pôle positif de la machine, le
sujet
reçoit par l'électrode auriculaire, l'aigrette du
cervelet. M. Colin a observé un cas analogue chez une jeune fille,
sujette
à de violents maux de tête et à quelques accide
étiologie, par Mix, 304. L'- et la neuras- thénie chez les jeunes
sujets
, par de Merritt, 307. Diagnostic de 1 ? par B
ar Legrain, 539. Neurasthénie. L'hystérie et la - chez les jeunes
sujets
, par de Mer- rit, 307. La nature de la , par
mittente à type irré- gulier (Arnaud). Inversement, chez d'autres
sujets
, on voit la série des accès de mélancolie être
érance dépressive. « Une observation attentive desmalades, dit à ce
sujet
Rogues de Fursac, montre que la plupart des acc
pression du mélancolique existent à l'état d'ébauche chez tous les
sujets
. Comme l'a très finement fait observer Gilbert
ag- gravation. Quant au reste,l'état général est satisfaisant, le
sujet
est grand, fort, bien portant, quoique nerveux
occupé de la question et a fait des recherches expérimentales à ce
sujet
, pense que l'indication générale de la médicati
it, IX 1\)04.) .Mémoire il l'appui des travaux de Paul Farez sur ce
sujet
(Re- we de l'hypnotisme 1903.) 1, Gymnastique
plus ou moius fruste (Brissaud et Bernard). On la trouve chez les
sujets
porteurs de tumeurs médiaslines en relation avec
s et ils insistent sur la fragilité extraordinaire des neurones des
sujets
tarés chez qui on rencontre colle maladie. Cett
ue (ex- haustion paralysis dans l'épilepsie. -- Revue générale du
sujet
; p. L. PirRcF. (Clinical studies, Archives of Neu
atoire avec idées de persécution et de jalousie. A deux reprises.le
sujet
a présenté un « syndrome para- lytique fugace »
dont l'une, for- fuite et involontaire, est survenue chez un jeune
sujet
, indemnecle tout alcoolisme antérieur; l'autre
se rencontre et <lui sol- licite des recherches nouvelles. Au
sujet
des délires puerpéraux semblables au cas présenté
hie probable de 48 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'hypophyse chez les deux
sujets
, coïncidant avec la ménopause et comprimant le
ocalisations motrices médullaires . Mme 1)ar : atNr : présente à ce
sujet
un long mémoire à connaît- tre in extenso, un r
rtaines modalités du caractère; mais, en aucun cas, elle ne dole le
sujet
hypnotisé des aptitudes et de la compétence que
ypno-pédagogique. Les ressources de l'oeuvre étant trop limitées, 7
sujets
seulement ont pu être conservés au Patronage le
nu 5 guéri- sons compte tes, dont le maintien a été confirmé. Un G"
sujet
(voleur récidiviste), replacé dans le milieu où
. Jules Voisin. Elle sera d'autant plus féconde qu'on agira sur des
sujets
plus intelligents et, par conséquent, plus aptes
gles delà suggestion à éché- ance sont les suivantes : 1° placer le
sujet
dans de bonnes condi- tions pour être mis en ét
tion sénile, dont elle serait la conscience qu'en prennent certains
sujets
. Pour la description des symptômes, les états m
acun des hémisphères cérébraux ne peut d'ailleurs pas donner à ce
sujet
des indications précises : chez Des., en effet,
les garanties les plus rigoureuses pour une étude aussi délicate et
sujette
à des résultats aussi contradictoires de la par
tat, terminaison, division que nous avons adoptée pour la clarté du
sujet
, ne s'applique pas d'une façon absolue à la des
d'ailleurs en communiquant au Con- grès-quelques expériences sur ce
sujet
. Il demande à M, Dide s'il a eu l'occasion de r
sur la composition et les réactions du sang d'un certain nombre de
sujets
atteints d'affections du système nerveux (ménin
sang, lequel subit par contre, chez les aliénés comme chez d'autres
sujets
, des influences autre- ment puissantes. Il semb
e tréponème pâle dans le sang et au niveau des centres nerveux d'un
sujet
qui a succombé à une méningo- myélite ascendant
rtionnelà l'âge, il reste très souvent des cellules saines chez les
sujets
les plus âgés. L'atrophie cellulaire peut être
cune s'agrandit, lorsque toute- fois, comme ilarrivesurtout chez un
sujet
jeune, il n'y a pas une tendance à la limitatio
osé, le médecin légiste a deux points essen- tiels à envisager : le
sujet
en lui-même et les caractères par- ticuliers de
l'appréciation médico-légale. Il en est de même de la mentalité du
sujet
, révélée par sa vie entière. Ces considérations
à montrer que la responsabilité varie nécessairement t avec chaque
sujet
et qu'on ne peut guère appliquer à l'un les règ
délicat. Voici habi- tuellement comment les choses se présentent un
sujet
de conduite correcte, complètement lucide, comm
lité. Le rapport devra, toutefois, contenir un examen approfondi du
sujet
(antécédents héréditaires et per- 128 CONGRÈS
me faut dire, maintenant, quelques mots de la respon- sabilité des
sujets
chez lesquels l'hystérie est associée à d'autre
sponsabi- lité étant variable chez les dégénérés. La vie entière du
sujet
indique le degré de son déséquilibre, et ce dés
sables. Entre les deux, il y a place pour, une vaste catégorie de
sujets
, chez lesquels le fonctionnement psychique est in
ce crime ne mérite aucune indulgence, qu'il a été accompli par un
sujet
dont l'intégrité psychique est absolue ? Il en es
responsabilité, tantôt celui de l'irres- ponsabilité. En quoi le
sujet
à responsabilité atténuée diffi;re-t-il donc du
e, mettre en pri- son des malades et à enfermer dans les asiles des
sujets
dont ce n'est pas la place. Le rapporteur par
s sujets dont ce n'est pas la place. Le rapporteur parle enfin de
sujets
partiellement responsa- CONGRÈS DES MÉDECINS
à établir, car nous ne possédons aucun moyen sûr de mesurer chez le
sujet
suspect la valeur des constatations de la consc
t avec la main gauche est variable suivant que l'on a affaire à des
sujets
dont le système nerveux est déprimé, ou à des n
ations personnelles. Tous les cas d'ictus survenant chez des jeunes
sujets
en l'absence de toutes autres manifestations mo
lades atteints de psychoses aiguës a fait depuis quelques années le
sujet
d'un assez grand nombre de recherches : parmi l
ont la symptomatologie avait été modifiée par suite du bromisme des
sujets
. A ce propos, nous insisterons sur ce dernier d
n et, le 11 dé- cembre, l'abolition en était complète chez tous les
sujets
. (1) Jules VOIS[ ? Roger Voisix el A. Ilcyou.-I
eprendre un chemin qui leur paraissait impossi- ble. Enfin, le même
sujet
, qui semble se mouvoir à peu près CONGRES DES
on trouble. Les esprits non prévenus ne peuvent deviner pourquoi ce
sujet
,dont l'attitudeest d'ap- parence à peu près nor
ie. Ce symptôme avant-coureur est très important et j'ai réuni à ce
sujet
un certain nombre d'obser- vations qui seront t
résulte cependantd'une série de travaux allemands et anglais sur ce
sujet
, qu'il y a présomption de relation de cause àef
s considérables. Dans ces quinze dernières années, sur 644 décès de
sujets
aliénés, 9.78 % ont succombé à la tuber- culose
ours d un état de mal et que les diagnostics n'indiquent pas si les
sujets
sont tuberculeux. Nous avons donc examiné très
iné très complète- ment, au point de vue delà tuberculose, tous les
sujets
épi- leptiques des deux services de la Salpêtri
1898, l'un de nos élèves, M. Ballard, sur nos conseils, a pris pour
sujet
de sa thèse inaugurale : Comment meurent les ép
fficace toutes les fois que, le système ner- veux étant atteint, le
sujet
est devenu asthénique. G. Sée n'est guère parti
ultats ce qui m'a permis de me faire une opinion rationnelle sur ce
sujet
. Parmi les observations que j'ai eu l'honneur d
es. C'est ainsi qu'il suffit de donner de petites doses d'alcool au
sujet
pour re- lever la constante positive qui tradui
toire ; cependant on n'a jamais signalé la coïncidence chez un même
sujet
de l'éclampsie et de la fièvre puerpérale ; - c
es pathogéniques. conclue à l'incertitude de nos connaissances à ce
sujet
. Il y a lieu de tenir pour notable l'influence
emble aux auteurs que la race bretonne y soit tout particulièrement
sujette
. On en ignore encore actuellement l'anatomie pa
epsie (Ibidem). Les auteurs donnent les opinions des maîtres sur ce
sujet
: Les réflexes sont augmentés passagèrement apr
recevoir un grand nombre dans les institutions nationales et, à ce
sujet
, je vous rappelle que mon administration contin
récoce » toutes les folies dégé- 1/éra/ives qui, si elles sont très
sujettes
à rechute, sont aussi précisément parmi les plu
Ces trois conditions sont : 1° spontanéité du délire chez les deux
sujets
qui deviennent aliénés tout d'un coup sans aucu
osion des acci- dents en dehors de toute action de contact, car les
sujets
vivent non seulement séparés, mais encore très
fiée la nécessité de LA POLIE GÉMELLAIRE. 247 l'éloignement des
sujets
; il faut même qu'ils ne se voient pas du tout,
vé ce nom, la psychose éclate le même jour, alors même que l'un des
sujets
est à Gibaltrar et l'autre à Saint-Pétersbourg.
tte communauté des mêmes impressions la même vésanie. Si les deux
sujets
, sans vivre ensemble, se voient assez souvent e
t l'autre présentait la plus grande ressemblance, bien que les deux
sujets
n'eurent aucun rapport et furent isolés, l'un à
rs de la vie commune, disent-ils, on peut voir survenir chez deux
sujets
issus d'une grossesse gémellaire, des accidents
ts qui se manifestent au même instant, suivent chez l'un et l'autre
sujet
une marche absolument identique et sont caracté
ressant àconstaterque quand elles improvisaient des sermons sur des
sujets
religieux, l'incohérence maniaque reparaissait
, la plupart conduites personnellement par l'expé- rimentateur. Les
sujets
de ces expériences ont été des médecins et des
ue 40 minutes donc en moyenne 125 réactions chaque 10 minutes. Le
sujet
n° 1 présente des temps de réactions plus lon-
inale est de 1 < fois moindre que la moyenne initiale. Le second
sujet
, au contraire, mon- tre la tendance à une lente
270 étude critique. ne sait pas combien on doit en attribuer aux
sujets
, et combien aux défauts de la méthode. Les de
erches cor- respondantes sur les réactions avec choix. Un premier
sujet
montre une réduction des temps de réaction pro-
de l'influence du médicament, jusqu'à un maximum de 69s ; le second
sujet
au contraire, une augmentation progressive jusq
verbales,et presque pas pour les réactions avec choix. Le cas d'un
sujet
de Lcemald montre qu'il y a une tendance à l'ab
es recherches très contestables. Les 21 épreuves, réparties entre 5
sujets
, ont été accomplies par cette méthode qui consi
i servir comme une preuve complé- mentaire. Quoique le nombre des
sujets
et le temps de l'expé- rience ont été insuffisa
rience ont été insuffisants, on a procédé de cette manière : les
sujets
copient simplement des chiffres pen- dant une h
ation avec le maximum de l'action d'additionner, que les différents
sujets
ont atteint dans le cours de quatre jours, pend
leau IV du travail de Lcwald contient les don- nées des épreuves du
sujet
L.On y trouve tout d'abord le nombre des paires
ant 15 mi- nutes dans les 5 épreuves d'une heure et demie, par le
sujet
L, 3 normales et 2 avec du brome. Quant à l'in-
ée. D'après les résultats de N. I et N. III, il paraît que, pour Je
sujet
L, la fatigue pour les additions n'est pas très
eu une influence plus grosse que celle des 2 gr. Les épreuves des
sujets
G. et R. sont semblables dans leurs résultats a
s résultats avec ces deux premières. - Dans une preuve faite sur le
sujet
L. avec G gr. de brome, l'opération perdait en
commencement, une interruption de quelques secondes, pour que le
sujet
prenne le médicament, mais on n'en tient pas co
lication de ce fait n'est pas facile. Les deux épreuves normales du
sujet
lIo. et la seconde Archives, 2' série 1006 t. X
t tout autrement des épreuves avec du brome. Les deux épreuves du
sujet
Ho. ainsi que celle de I. sont très semblables
on- nes. Les résultats les plus nets sont ceux qu'on a obtenus du
sujet
Ru. La durée de chaque épreuve était d'une heur
pendant 5 minutes on a appris 13 syllabes à peu près, moins que les
sujets
de Qibrn. Au commencement on a travaillé avec u
i exige de la patience et de la maîtrise de soi- même de la part du
sujet
. Pour augmenter les difficultés, on doit détour
augmenter les difficultés, on doit détourner encore l'attention des
sujets
par des lectures à haute voix. Les épreuves o
groupe, mais cela doit être attribué à une mauvaise disposition des
sujets
. Il résulte aussi de l'examen des chiffres une
nution de l'opération. Au contraire, la disposi- tion psychique des
sujets
a été spécialement plus favo- rable, les B I et
tout d'abord. Mais on doit penser que, tout autre est l'attitude du
sujet
devant la mémo- risation de chiffres que celle
la consécration ofli- cielle de nombreux travaux individuels sur un
sujet
de- venu d'actualité et dont nous citerons les
ièrement faites, on trouverait fréquemment, des tubercules chez des
sujets
décèdes sous une autre éti- quette dans la prop
e-Ilongrie. Les cinquième et sixième thèmes généraux avaient pour
sujets
les ambulatoires et les sanatoriums populaires po
t la clinique psychiatrique et les soins spéciaux que réclament les
sujets
atteints de maladies men- tales. Elles ont enfi
u u annuellement au budget une prime d'augmentation à ceux de nos
sujets
les plus méritants qu'il y aurait un intérêt maje
ve. L'anesthésie psychique se produirait de la façon suivante. Un
sujet
a une diminution de la sensibilité, dans un membr
e par exemple, de cause organique ou dynamique ; l'imagination du
sujet
, actionnée par celle sensation d'engourdissement,
sthésie ou l'hypo-esthé- sie a pu disparaître, mais le psychisme du
sujet
, qui en aconservé l'image, le maintient. Dansée
. Ce sont des anesthésies psychiques, des illusions négatives. Le
sujet
perçoit la sensation ; elle entre dans le champ d
n ; elle entre dans le champ de la cons- cience et l'imagination du
sujet
l'efface. Dès lors, la sensation n'exista plus
les stigmates qu'on lui attri- bue existent chez un grand nombre de
sujets
non hystériques et manquent très souvent chez l
nombre de sujets non hystériques et manquent très souvent chez les
sujets
hystérisables. Dans le deuxième chapitre, il ét
près lui, on peut créer l'anesthésie psychi- que sur 63 pour 100 de
sujets
non hystériques. Après avoir net- bementdélini
sensation pénètre dans le champ delà conscience ; l'imagination du
sujet
, actionnée par l'idée (L'anesthésie, efface le ph
nnée par l'idée (L'anesthésie, efface le phénomène (inconscient. Le
sujet
s'en fait accroire avec les yeux de l'esprit. I
pays. Il est en ell'et contestable qu'il s'agisse, chez des jeunes
sujets
de 15 à j ans, de démence d'emblée : il est plu
e leur demandant de faire procédera une en- quête sur le nombre des
sujets
ou protégés russes hospitalisés gratuitement po
père est mort à 77 ans ; alcoolique, il était nerveux, irritable,
sujet
à de fréquentes colères, vite passées du reste. M
musie, cécité verbale, cécité psychique. Comme il s'agissait d'un
sujet
intelligent, lisant, écrivant couramment, habit
erçu du langage intérieur, puis de l'état mental provoqué chez le
sujet
par l'apparition de l'amnésie et de l'aphonie. On
ter au retour des souvenirs perdus. Actuellement (octobre 1906), ce
sujet
ne présente plus aucun des symptômes que l'on t
de regarder un point rapproché, il a quelque peine à le faire. Le
sujet
est hypermétrope. La cornée est à droite et à g
e. Du côté du larynx, l'examen pratiqué le 21 avril, alors que le
sujet
présentait une aphonie très marquée, permit de
bras reste stationnaire, lorsqu'une nuit, à la suite d'un rêve, le
sujet
s'éveille et constate que son bras peut se mouv
utisme absolu, cessant la nuit pendant le rêve; deux jours après le
sujet
, peut parler, mais il est aphone et amnésique.
'art et de la nature à leur guérison, préserver de la contagion les
sujets
indemnes, telles sont les mesures actuellement
au service militaire et à la plupart des services publics chez les
sujets
normaux. Mais, alors que chez ces derniers la r
n et de paralysie générale. Les signes basés sur les antécédents du
sujet
, son facies et son habitus extérieur, l'examen
déceler la nature tuberculeuse d'une entérite primi- tive chez des
sujets
sains au point de vue pulmonaire. Par un procéd
on a obtenu des réactions thermiques instruc- tives ; mais c'est un
sujet
à l'étude que nous ne pouvons que signaler. '
probants, d'abord à ses auteurs, qui en 1900, l'ont appliquée à 130
sujets
et ont eu des résultats positifs dans une propo
manque dans la plus grande partie des autres formes mentales. Au
sujet
des principes antitoxiques, l'auteur conclut que
s altérées. 11 faut noter en outre que la méthode employée est plus
sujette
aux altérations artificielles que d'autres dest
objet. (Quoiqu'il en soit, S. fait re- marquer que, chez les trois
sujets
examinés, les lésions étaient à la période de d
nc de l'état mental plus ou moins élevé, plus ou moins restreint du
sujet
. Donc,en- tre les cadres de la démence paranoid
le résumé très succinct des * expériences que j'ai instituées à ce
sujet
, expériences qui avaient pour but de vérifier l
duite par le travail musculaire est beaucoup moins forte quand le
sujet
a pris de l'alcool en petite quantité que quand i
ut de vérifier ma théorie du siège périphérique de la fa- tigue. Le
sujet
en expérience fournit une série de cour- bes er
jours rouges il fallait les « décoller chaque matin u. Etait très
sujette
aux rhumes. Caractère : l'enfant est caressante
cipal est d'être causé par un trouble de la volonté, si hien que le
sujet
, non seulement ne peul pas parler ni écrire, ma
nt se résumer par celle formule : ' Dans l'aphasie hystérique, le
sujet
ne peut pas parler, dans lo mutisme hystérique
tion publiée par les auteurs réside dans la coexistence sur le même
sujet
de deux lésions extrêmement 4C8 REVUE DE PATH
t par un traitement général surtout hygiénique.. Dans la seconde le
sujet
fut amélioré et progressivement guéri en quelqu
V1L Tachycardie paroxystique et pouls lent perma- nent chez le même
sujet
; par M. JOSSea.vNn. (Soc. des scien- ces méd.
l'atteinte du système nerveux. Quatre observations ont trait à des
sujets
atteints d'accidenls médullaires au cours d'un
equel s'effectue la désagrégation des fonctions intellectuelles. Un
sujet
est en pleine possession de ses facultés, tout
ou de la pâ- leur. Ces modifications vaso-motrices indiquent que le
sujet
a 474 SOCIÉTÉS SAVANTES. subi une perturbat
nt sur un grand nombre de malades m'a appris que pres- que tous les
sujets
atteints de troubles hystériques et neuras- thé
uesest liée d'une façon étroite avec un fait d'intimidation dont le
sujet
a été la victime. C'est à cet évènement qu'ils ra
te- ment de la timidité. Par des exercices spéciaux j'entraîne le
sujet
à réagir contre les effets de l'intimidation. Les
ue qui, de son côté, ne devra rien négliger pour se renseigner à ce
sujet
par les moyens ordinaires dont il dispose. Il e
, et bien que l'article 29 dela loi du 30 juin 1838 soit muet il ce
sujet
, il n'est pas douteux que le jugement intervenu e
ultats produits par ma circulaire du 18 juin 19011.- Veuille/, à ce
sujet
: 10 M'exposer sommairement les travaux de la c
er en désuétude ces dispositons tutélaires de la loi. J'ajoute à ce
sujet
que chaque fois qu'il y aura lieu, pour vous, d
té joue un rôle immense. Sous le nom de flirt, il nous semble, à ce
sujet
, que Forel comprend des formes d'excitation sex
e long chapitre les renseignements les plus utiles sur l'examen des
sujets
, les tests qu'on peut em- ployer, les réactions
de la loi de 1905, sur l'assistance obli- gatoire, ayant soulevé au
sujet
des dépôts de mendicité un cer- tain nombre de
\nnŒ paroxystique et pouls lents permanent chez le même
sujet
, par Josserand, p. 469. Température. Les osci
sque les faits arrivent en faisant incliner la raison. Ecoutez sur ce
sujet
le langage d’un homme profond; il vivait avant Me
vembre dernier : « Il y a prés d’un siècle que le magnétisme est le
sujet
d’observations fort curieuses, même pour les pers
ses effets et. ait cherché à s’en rendre compte. 11 plaça d’abord les
sujets
dans la direction des pôles nord et sud avant de
ec les mains ou à l’aide du regard seul. Lorsqu’il a endormi ainsi le
sujet
, il lui fait révéler les choses les plus surprena
déroulés dans la cause, nous avons, au contraire, dans notre ville un
sujet
des plus remarquables; il se nomme Husson, tourne
de la itins lucide de Paris. Il annonce qu’il va faire paraître à ce
sujet
une brochure intitulée : Confessions d’un magnéti
z, je n’ai pas encore envie de dormir. » Alors on essaya différents
sujets
de conversation qui s’épuisaient tous à la second
e dernier. « J’attends avec impatience la communication annoncée au
sujet
des relations à établir entre la société du Mes
s pas que l’on ait encore trouvé le moyen d’agir spontanément sur des
sujets
isolés par quoi que ce soit, et nous nous sommes
, etc. ~33 Les 3 hémiplégies, du côté gauche, appartiennent à des
sujets
de 18, 31 et GO ans. J’ai produit peu d’effets su
; I abattement général. Les 3 affections nerveuses concernent des
sujets
de 22, 35 et 40 ans. Les crises étaient des plu
35 et 40 ans. Les crises étaient des plus violentes sur le premier
sujet
, M",c R. D..., jeune mère de 22 ans, qui depuis
e cas, sans être plus curieux, m’a offert cette particularité, que le
sujet
M. A., jeune homme de 23 ans, qui n’avait des sel
x qui, par leurs pratiques, ont plus particulièrement rapport à notre
sujet
. Les mcw-lètvis ou dem’isches tourneurs sont d’un
dente philanthropie se manifeste en toute occasion, nous adresse à ce
sujet
la lettre qui suit. Très-cher Monsieur du Potet
comme il a été dit. On commencera le culte par un hymne relative au
sujet
et à la solemnité de la fête : il sera prononcé u
à la solemnité de la fête : il sera prononcé un discours sur le même
sujet
. Les nouvelles loix, s’il y en a, et les élection
tableau représentant une scène de somnambulisme. Le livret porte : un
sujet
lucide ; c’est un vieillard endormi, assis dans u
Dumas sur le somnambule Alexis serait bientôt contestée; que le même
sujet
fournirait matière à des assertions opposées, et
, fort augmentée. La connaissance que tous les magnétiseurs ont de ce
sujet
, partout le même, nous dispense d’analyser le liv
ense honoraire promise à ceux qui feront des découvertes utiles. A ce
sujet
je ferai observer que mon eau magnétisée a sur la
Il est une chose qui fait un tort immense au magnétisme, ce sont les
sujets
hallucinés qui ne s’appartiennent plus et ne voie
s’appartiennent plus et ne voient que ce que vous voyez; ce sont des
sujets
perdus, dévoyés, qu’on ne peutjamais rétablir sur
étifs et capricieux comme des chevaux surmenés; en un mot, les bons
sujets
en cela comme en autre chose sont très-rares. R
nce créatrice de la volonté divine. L’illustre orateur est entré à ce
sujet
dans des détails qui prouvent qu’à ses yeux le ma
reverrons..... » Nous causâmes longtemps ainsi, et toujours sur le
sujet
favori, sur le thème unique et mystérieux de cett
e, à quelque point de vue qu’on se place pour en juger l’auteur et le
sujet
. Un mot nous apprend que la Syrie renferme enco
opriétés. Elle écrit à M. Durieux de Cambrai une longue lettre sur ce
sujet
; nous en extrayons le passage suivant : u .....
essus, et sera enchanté de recevoir les nouveaux rapports sur le même
sujet
promis par l’école médicale. » Sa Seigneurie, e
icité; les connaissances anatomiques qu’exige l’appréciation d’un tel
sujet
nous imposent la retenue. Nous nous bornerons à s
oissons dits électriques. L’expérience principale, ayant le chat pour
sujet
, peut être aisément répétée; voici les conditions
mais des quadrupèdes et des volatiles. » Une poule fut mon premier
sujet
. Elle était à quelque dislance de moi, occupée à
de la consommation ou de l'exportation. Mais, comme ces règles sont
sujettes
à autant de modifications qu’il y a de possession
du magnétisme animal et sur plusieurs autres thèmes relatifs au même
sujet
est un travail de longue haleine, un travail qui
n aussi ne dédaigna pas cette forme dans l’exposition des plus graves
sujets
, il l’affectionna même d’une manière particulière
critique. Et cela était nécessaire pour procéder logiquement dans un
sujet
si difficile, pour séparer le vrai des chimères,
in de maître (1). Dans l’exposition du théosophisme, plus qu’en autre
sujet
peut-être, l’auteur s’est montré supérieur. 11 le
stractions s’entremêlent à la réalité, les spéculations profondes aux
sujets
pleins de charmes, le style le plus grave aux for
sans doute pas indignes de quelque intérêt. Les personnes qui font le
sujet
de ces remarques sont toutes fort honorablement c
besoin de vous dire combien j’ai été sceptique jusqu’à présent sur le
sujet
de l’immortalité de notre âme. Je ne puis pas vou
dant l’équilibre, il pourrait en résulter de graves accidents, car le
sujet
de l’expérience peut n’avoir l’usage d’aucun de s
r ou un autre les représentants du pays et la presse de s’occuper «lu
sujet
, bien saisir l'à-propos, serait, ce me semble, fa
c’est une propriété de transition nécessairement inhérente à quelques
sujets
. » Dans un autre endroit il dit, pour faire com
Il existe une secte de magnétistes qui, en procurant aux assoupis ou
sujets
magnétisés un sommeil factice, prétend leur donne
cace pour obtenir l’accord de 7% il reste à déterminer quels sont les
sujets
magnétisables ou susceptibles des influences que
usceptibles des influences que cette science prétend exercer. « Les
sujets
magnétisables ne peuvent être qu’en nombre de I /
pour le magnétiser, et prétendent opérer sur lui. Cependant, sur les
sujets
magnétisés, il doit s’en trouver à peu près les 7
l’on veut, par sa négligence d’établir des méthodes sur le choix des
sujets
à magnétiser, et d’estimer au juste le nombre de
choix des sujets à magnétiser, et d’estimer au juste le nombre de ces
sujets
, qui ne peut pas s’élever au delà de 1;8, et peut
rigants s’en emparent, la dénaturent et transforment en jonglerie tel
sujet
qui était peut-être 1111 germe de science très-ré
ne donne pas dans cet ouvrage moitié des notions à communiquer sur ce
sujet
. Du moment où la mort de l'inventeur ne laisserai
its dont chacun renverse le système de la veille, et qui cherchent un
sujet
, une matière sur laquelle on puisse faire des liv
systèmes de la veille, ne savent qu’embrouiller de plus en plus tout
sujet
qu’ils prétendent éclaircir. 2° Ils veulent fai
l aurait pu servir. « On objectera que mon principe, qui réduit les
sujets
magnétisables à 1/8, favoriserait encore mieux
ogrès, entre autres de la prétention d’appliquer le magnétisme à tous
sujets
indifféremment et de la négligence à déterminer l
sme à tous sujets indifféremment et de la négligence à déterminer les
sujets
susceptibles de cette impression. » C’est en 18
l’i-diosyncrasie; l’état sanitaire, physiologique et psychologique du
sujet
; le climat, la saison, la température; la puissan
étiseurs de son temps ; bien des hypothèses ont été hasii rdéessur ce
sujet
, mais qui oserait dire que telleou telle exprime
de ne pouvoir mettre dans mon récit la clarté et la précision que le
sujet
exige, faute des connaissances médicales dont je
ons fluides, qui sont harmoniques. Cependant, par exception, quelques
sujets
deviennent susceptibles de cette affinité dans qu
i en pareille opération, et ainsi dans toute maladie. » Nous sommes
sujets
, en pleine santé, à un efFet-d'engourdissement pa
té : j’en cite quatre : 1° On n’a aucune méthode pour discerner les
sujets
magnétisables; on ne sait pas cultiver en eux cel
e résumer ici les aperçus de Davis sur cet intéressant et inépuisable
sujet
. «.....La matière et le mouvement, dit-il, sont
magnétisme dans le royaume lombardo-vénitien, 21. — Réflexions sur ce
sujet
par M. du Potet, 24 ; Id. par M. Mermoud, 91. C
— de M. du Polet sur les Arcanes, 50. — de M. Cahagnet sur le même
sujet
, 52. — du dr Dugnani sur l'état du magnétisme à
tisme ne lui demanderait rien, elle aurait la mission d’éclairer à ce
sujet
l’opinion publique ou de guider la police de l’Et
e Vienne, ont fourni à leur tour des documents importants sur le même
sujet
: le premier, un rapport d'une commission de médec
Telle est la théorie générale présentéedans les anciens écrils surce
sujet
. Cela revient à dire que le magnétisme est une pu
bulisme, voici ce qu’il affirme. 11 ne donne pas le somnambulisme aux
sujets
qui ne l’ont pas reçu de la nature, mais il le co
ar non-seulement le magnétiseur a le privilège de conférer à certains
sujets
, en vertu de la puissance qu’il possède, un état
ujours, qu’il peut même très-rarement se conférer à lui-même, mais le
sujet
magnétisé par lui et obéissant à sa puissance, vo
t figuré dans un établissement de santé du baron de Reichenbach comme
sujet
dexpérimentation, et qui faisait sensation à Vien
onsacré vingt-deux séances et embrassé soit des questions, soit des
sujets
(malades ou somnambules) auxquels on n'avait pas
la commission, Léopoldine ne s’est trompée qu’une seule fois. Et à ce
sujet
la commission ajoute quelques mots dignes d’atten
e tous y ont trouvé une solution différente, suivant la diversité des
sujets
observés. Pourenregistrertous les documents propr
. Je lui montrais l’objet à deviner et moi seul faisais la demande au
sujet
, ou bien le jongleur devait se servir de la même
avoir vu l’objet il se bornait à agiter une sonnette pour prévenir le
sujet
de répondre. Dans ces divers cas je ne vois pas d
e langage possible. J’ai surpris ce même jongleur magnéti- sant son
sujet
, qui avait bien le faciès, l’œil fixe et vitreux
des antagonistes du magnétisme, et à laquelle je n’étais pas, ce même
sujet
bien éveillé, sautant, riant, se moquant de la cr
émoigner, un de ces anti-raagnétistesavec sa femme qui lui servait de
sujet
. C’était d'honnêtes ouvriers, qui, leur journée f
es. J’acceptai avec empressement cette occasion de m’instruire sur ce
sujet
alors nouveau et fort en vogue. La femme fut en
à la réalité du sommeil magnétique ou à sa simulation de la part des
sujets
examinés, la commission déclare que ce sommeil a
la bonne foi de M. d’Eisenstein, mais qu’à l’égard de celle de ses
sujets
, elle n’a pas la même certitude, et qu’évidemment
reste. Je ne parle pas du résultat d’autres conférences avec d'autres
sujets
, des idiosomnam-bules, conférences où l’imposture
tet, que les collaborateurs du Journal du Magnétisme présentent leurs
sujets
et leurs expériences à un comité composé de MM. A
rte d’intuition, à ces connaissances, ou bien consultaient-ils sur ce
sujet
des crisiaques, car il y en eut dans tous les tem
he, bien inférieure aux écrits des philosophes allemands, sur le même
sujet
. Ceux-ci sont plus riches en images, ils se disti
de l’intelligence. Notre ami Olivier possède un manuscrit sur le même
sujet
qu’il livrera bientôt à l’impression. M. Cahagnet
ci assez pour la part de la nature dans la médecine homœopathiquc; ce
sujet
serait riche à traiter, mais j’écrirais un volume
érimentai de manière à ne plus magnétiser les objets, les donnant aux
sujets
comme l’étant néanmoins, et les effets se reprodu
. — Monsieur, contre votre influence Vous trouverez, lui dis-je, un
sujet
bien armé. Je ne ressens pour vous que de l'ind
t ainsi que le magnétiseur porteur d’une affection, ne peut guérir le
sujet
qui souffre du même mal, et que celui dont la têt
guérir ou calmer une céphalalgie, qu’en appliquant la main gauche du
sujet
sur la partie de sa tète correspondant à celle qu
physique et thérapeutique, n’ayant pas l’intention de traiter ici ce
sujet
, et j’exami- nerai maintenant ce qu’est le SDro
ide et le néant de toutes ces accusations. Pour approfondir un pareil
sujet
il faudrait un traité spécial, cl toute une vie d
tisa sa somnambule. La plupart des Arabes parurent étonnés de voir le
sujet
succomber si promptement au sommeil, sous l’influ
mir voit, en souriant, qu’on prend la peine de matelasser les yeux du
sujet
, de comprimer les tampons, et de lui envelopper t
nce. » On demande à Abd-el-Kader comment il désire s’assurer que le
sujet
, dans un tel état, distingue les objets sur lesqu
lle du magnétiseur, qui se tenait silencieux et immobile derrière son
sujet
. A l’instant même, la somnambule se lève, travers
tiseur et des partisans avoués du magnétisme, d’en faire approcher le
sujet
, et de lui.demander d’indiquer, sans toucher aucu
la somnambule, et prit la volonté que le parquet se trouvât, pour le
sujet
, momentanément couvert de verre cassé. — Ah! fit
ait là une idée assez bizarre, idée de journaliste incrédule, mais le
sujet
n’y échoua point. Après avoir fait deux pas, la s
lieu d’une jeune femme, la soumit à une inhalation de chloroforme. Le
sujet
étant parfaitement endormi, l’opérateur procède à
ns égal; et il est impossible, lorsqu’on lit les enquêtes tenues à ce
sujet
, de ne pas sourire, en voyant des magistrats très
, j’en ai la conviction, et mon opinion ne saurait être douteuse à ce
sujet
, quoiqu’on ait abandonné ce local quelques jours
conversations journalières, et les observations qu’il me faisait à ce
sujet
ne laissaient planer en mon esprit aucune incerti
r mes scnsVD’aillcurs, si j’eusse conservé alors quelques doutes à ce
sujet
ils se seraient dissipés plus tard; car dans ses
mentales, d’où l’on déduirait la conséquence que j'étais halluciné ou
sujet
à des erreurs d’imagination. C’est ce même motif
éder cette déclaration par quelque conversation fort sérieuse sur des
sujets
scientifiques pour prévenir en ma faveur et prépa
base qu’il fait parcourir à ses lecteurs la chronologie médicale. Son
sujet
est trop étendu pour que nous le suivions pas à p
persévérance à atteindre le but proposé, il me tançait vertement à ce
sujet
, et ajoutait l’effet à la menace. C’est alors qu'
raison des nombreuses expériences et observations que j’ai faitesà ce
sujet
; pourtant je ne donne mes réflexions que comme de
influence ou du moins d’en adoucir les effets, car mou espérance à ce
sujet
était diminuée en raison de l’insuccès de ma prem
n magnétiseur. Il me fit observer qu’on m’avait induit en erreur à ce
sujet
, mais que sans s’occuper de la science magnétique
istribuer aux personnes qui s’intéressaient à moi. Mes démarches à ce
sujet
ont été jusqu’à ce jour sans résultat, et c’est à
eux ont insisté pour obtenir quelques éclaircissements. Voici à quel
sujet
. Plusieurs de ces Messieurs avaientjjde la pein
tiseur puisse en vaquant à scs occupations habituelles avoir avec son
sujet
des rapports aussi suivis que ceux dont j’ai donn
dont il a été fait mention, c’est le magnétiseur qui perçoit sur son
sujet
, et à un plus haut degré que lui les effets de vu
os procédés habituels de magnétisation, devient l’apanage exclusif du
sujet
. D’un autre côté, il faut bien observer que ces e
e peut percevoir en outre de ses propres sensations que celles de son
sujet
, il ne peut voir, entendre, toucher, sentir et go
vélations d’avenir. Mais les nombreuses erreurs auxquelles elles sont
sujettes
viennent contrebalancer en partie ces grandes qua
Si je me permets d’exprimer ici mon opinion sur ce nouvel état des
sujets
magnétisés, c’est que j'ai causé plus particulièr
e autre somnambule après avoir reconnu l’état d’agitation nerveuse du
sujet
, se trouvant embarrassée pour en déterminer la ca
ait agi sur lui de manière à lui enlever tout moyen de recherche à ce
sujet
, soit que son état d’agitation extrême ne lui ait
upa beaucoup de magnétisme, et on lui doit de nombreux travaux sur ce
sujet
. » Le Journal des Théâtres est dans l’erreur; t
r un avis, vrai ou prétendu, de M. Cruveillier, consulté par lui à ce
sujet
; il prétendait que le magnétisme devait être aban
médicale est assez fréquente chez les illuminés, les extatiques, les
sujets
adonnés à une vie contemplative ; chez quelques h
appelé Philadelphe, lequel, cette même nuit, avait eu un songe à mon
sujet
. 11 me le raconta. Philadelphe me le confirma lui
il soit peut-ctre téméraire à moi de chercher à approfondir un pareil
sujet
. J’ai reconnu souvent dans ma vie que certains
ms, selon le désir du malade. Vous aurez la bonté de me répondre à ce
sujet
. Le moyen que je vous indique est douteux, mais
es, des poses qui lui traduisent des pensées; si j’étais entré à ce
sujet
dans des détails circonstanciés, non seulement on
Si d’autre part j’avais exposé, toujours d’après les assertions du
sujet
, ses visions nocturnes, par lesquelles le mécanis
reconnaître son innocence? Et à quoi servirait de l'inlerrogcr à ce
sujet
? M. Guinand jeune, auquel vous en avez parlé dans
onsieur, tout ce que j’avais à vous communiquer sur notre intéressant
sujet
. S’il survenait quelque chose de nouveau, je m’em
ntuition somnambuliquc paraît se modifier suivant l’idiosyncralie des
sujets
. Je n’ai jamais rencontré ce mode de perception p
des que j’ai interrogés. 11 est difficile, en elTet, d’admettre qu’un
sujet
clairvoyant distingue nos organes ou nos maladies
intuition somnambuliquc au bout des doigts, particulièrement chez les
sujets
d’une bonne constitution. Quelquefois, enfin, plu
ont observé cette expansion animique que j’ai constatée sur plusieurs
sujets
, entre autres sur une somnambule de mon ami et co
le d'un grand perfectionnement par l’exercice. Elle est quelquefois
sujette
à beaucoup d’erreurs, qui, je crois, proviennent
alors que le magnétiseur doit soutenir et diriger l’attention de son
sujet
, en évitant toutefois de l’exposer à l’influence
vient à son état. Je né me suis jamais trouvé en présence d’un de mes
sujets
lucides, lorsque jetais souffrant, sans qu’il ne
ourg (t. III, p. 229. ) J’ai quelquefois trouvé réunis chez le même
sujet
la vision et l’instinct; mais alors ils ne m’ont
s limité. Ils n’auront probablement observé ce phénomène que chez des
sujets
malades. Je crois que l’on peut sans crainte pose
erfectionnement que pendant la santé? g VI. J’ai déjà dit que les
sujets
qui n’étaient doués que de la vision médicale éta
morbifiques. On évitera facilement les accidents de ce genre avec un
sujet
lucide, en prenant conseil de son intuition ; mai
ir le germe des maladies varie suivant leur organisation. J’ai vu des
sujets
lucides manifester la plus vive répulsion en prés
es d’un somnambule. Elle se rendit chez un magnétiseur qui possède un
sujet
du sexe masculin, doué, dit-on, de facultés exlra
sation dans un grand nombre de cas de maladies chirurgicales, font le
sujet
d’un chapitre entier, ainsi que l’étude des procé
cer le passé. « Zschokkée dit, dans son Autobiographie, qu’il était
sujet
à cette dernière faculté relativement aux personn
n agent électrique à l’aide duquel les magnétiseurs influencent leurs
sujets
; que, selon lui, le principal usage de cet agent
idérés comme des merveilles. « M. J.-C. Burrows dit, sur le dernier
sujet
, que, trompé par un ami médecin , il a avancé à t
rétendant que, conducteurs du fluide, ils seraient distingués par les
sujets
magnétisés. Mais quand Franklin alla les voir ils
l’un prêtre, l’autre médecin, le troisième bourgeois, à déterminer le
sujet
; et, s’il ne réussit pas, il promet de donner 20
ighton, et c’est parmi les habitants de cette ville qu'il prendra ses
sujets
. Si ce défi n’est pas accepté, il laissera l’asse
a été mêlée à une foule de choses étrangères. S’il a bien compris le
sujet
, il s’agissait d’entendre un discours sur le mesm
ologistes actuels. L’origine probable du fluide magnétique forme le
sujet
du second chapitre. M. Poeti cherche à démontrer
résumé à peu près complet de tout ce qui a été écrit en France sur le
sujet
. Le cinquième est intitulé : Histoire d'une é
histoire d’épilepsic, guérie par le magnétisme et l’homœo-pathie. Le
sujet
est un garçon de treize ans, en proie depuis sept
instance de ne pas me laisser ignorer les progrès que l’on fera à ce
sujet
tant à Lyon qu’à Paris. Je désire d’en être instr
lus magnétisé que moi, et fait d’aussi nombreuses expériences sur des
sujets
plus divers. Je ne sache pas pourtant avoir jamai
rit cessent d’en avoir; lorsqu’ils veulent établir une opinion sur ce
sujet
, ils prouvent bientôt leur faiblesse et leur impu
ehors de la nature. Si ma pensée pouvait s’exercer longtemps sur ce
sujet
, je le traiterais avec maturité, et en développer
e joie que nous enregistrerons leurs travaux. Nous reviendrons sur ce
sujet
, car il nous intéresse plus que tout autre : n’av
énomination qui nous semble convenir à de tels cas. L'importance du
sujet
auquel nos observations et notre critique se rap-
ités, soit enfin examinées sous l'aspect de cas pathologiques. Le
sujet
n'offre pas moins d'intérêt au point de vue artis
a phase réellement scientifique des sécrétions internes. (1) Cf. au
sujet
des types hermaphrodites antiques dans les représ
, choisies parmi les plus démonstratives que nous possédions sur le
sujet
, et dont nous avons exposé le plus grand nombre à
gue. Il y eut 10 enfants de cette union : 6 garçons et 4 filles, le
sujet
est né le troisième. Frères et soeurs se sont t
ns vers la trentaine, et ont ensuite blanchi très précocement. Le
sujet
a 1 m. 79 de hauteur et pèse 7o kilos. Grande ouv
oir quant aux maladies antérieures, tellement les infor- mations du
sujet
sont confuses et incomplètes. Stature moyenne.
x centimètres ; les testicules de la grosseur d'un grain de blé. Le
sujet
n'a jamais exercé les fonctions génitales, il aff
hysique, sans aucun des caractères de la cons- titution anormale du
sujet
, et ayant toujours joui d'une bonne santé. Ils on
un fils. Sauf une fille obèse, il n'y a rien de particulier à leur
sujet
au point de vue pathologique. Quelques-unes sont
libidineuses, ni d'avoir jamais eu de relations sexuelles. Comme le
sujet
se soumettait de mau- vaise volonté à notre exa
it normale. De trois enfants nés de cette union, les deux frères du
sujet
sont morts dans l'enfance. Il n'y a personne d'an
e cas d'obésité dans la famille, ni de type morphologique analogue au
sujet
. Chancre syphilitique à l'âge de 22 ans, suivi
consistance nor- maux. Il n'y a pas vestige du testicule gauche. Le
sujet
rapporte qu'il eut des rapports sexuels pour la
ois en mois. A 30 ans, la vigueur génitale s'évanouit, ce à quoi le
sujet
n'a jamais tenté de porter remède, étant née de
alvéo- laire du maxillaire inférieur, il y a quelques années. Le
sujet
est de haute taille, avec prédominance visible du
n vie, sains, normalement constitués, ainsi qu'un frère, le seul du
sujet
. Personne n'a dans la famille de caractères morph
ans le canal inguinal. Il n'a jamais eu de relations sexuelles ; le
sujet
montre une ignorance complète des fonctions gén
uvaises. Pénis de dimensions moindres qu'il n'est normal à l'âge du
sujet
. Testicules presque impalpables, comme deux gra
apparu depuis quelques années et qui s'aggravent. ' L'apparence du
sujet
est celle d'un-garçon de 12 ans. Hauteur : 1 m. 3
es ascarides, qui ont été éliminés grâce au traitement institué. Le
sujet
mesure 1 m. 32. Peau glabre. Voix enfantine. Un c
ylite hystérique et spondylite organique. Ce terme nous paraît être
sujet
à la critique, étant donné que sous le nom de s
épineuses lombaires, qui sont plus ou moins proéminentes suivant le
sujet
, ne présentent rien d'anormal. Au niveau de la nu
ale. On constate le même phéno- mène chez certains Parkinsoniens et
sujets
atteints de spondylose rhizo- mélique. Les mu
ns la station debout ou assise reste seul impossible. Chez quelques
sujets
, l'effort de redressement provoque un trembleme
du tronc. Cette hyper- extension est obtenue facilement lorsque les
sujets
sont couchés sur le ventre : il leur suffit de
gée a peu de chance de créer des attitudes fixes, car la volonté du
sujet
active et saine intervient de bonne heure et lu
forme en une véritable infirmité ; au lieu de s'en débarrasser, ces
sujets
s'adaptent à elle et la gardent indéfiniment. C
ue. Le milieu hospitalier avec son insouciance, en supprimant à ces
sujets
l'initiative de la vie active, ne fait que cultiv
rset plâtré, insiste sur la certitude de la guérison, et entoure le
sujet
d'une atmos- phère de suggestion. Cette thérape
s points ce que nous avions écrit dans notre premier travail sur ce
sujet
.- SUR LE ROLE DE LA DYSTONIE DANS LA DÉSORG
rochant plus ou moins de l'image de la maladie de Parkinson. Un des
sujets
est atteint d'une maladie familiale (2) ; il a
ieux renseigne- 46 ., , ';WOERKOM, , ., - ? , 1; » «- ments à ce,
sujet
. Cet auteur a pu étudie ! ! la différence entre l
'est pas toujours possible de comprimer les carotides chez tous les
sujets
. Chez des individus bien gras, à cou très court o
immobilité de la première phalange, il faut maintenir le poignet du
sujet
en demi-extension et lui demander d'étendre les
muscles épitrochléens dont la maigreur contraste notamment chez les
sujets
, robustes avec le fort relief que dessine sous la
s tendons des fléchisseurs n'est pas la même non plus chez tous les
sujets
, quoique la lésion siège au même point du nerf. I
le avoir été calquée sur celles des précédents pour la commodité du
sujet
et fut probablement hystérique. Au bout de cinq m
ne siège pas sur le trajet d'un rameau cubital important, et où le
sujet
présente en outre depuis cette blessure des troub
olontaire. Le membre garde l'attitude ci-dessus décrite sans que le
sujet
puisse la modifier sensiblement. Seule l'abductio
douloureuse du cubitus, au niveau du milieu de son bord interne. Le
sujet
tenait en bride des chevaux qui furent tués par
tes, c'est-à-dire que si l'on redresse cette main sans rien dire au
sujet
, on y parvient sans aucune résistance ; si au c
ce, son caractère profond et son peu d'acuité font se de- mander au
sujet
s'il n'a pas une maladie des os. 7. Réflectivit
adduction par rapport au corps.Au total, lorsqu'on fait étendre au
sujet
le bras en pronation et qu'on regarde le dos du
r blessure de l'index). B. 7roubles vaso-moteurs et thermiques. Nos
sujets
peuvent se répartir en trois groupes : 1° Hyp
leur sém Íologique des troubles vaso-moteurs. Il est vrai i que nos
sujets
furent examinés à des époques éloignées, et que l
r le rôle de l'immobilisation en position déclive, puisque l'un des
sujets
qui avait une cyanose des plus fortes est un hy
des antagonistes lui soit con- sécutive. F. Trophicité. Tous nos
sujets
n'eurent que des troubles peu marqués de la tro
dans X, I, V, IV, XI. Nous ne l'avons pas appliquée sur les autres
sujets
. D'ailleurs on sait 118 LAlG\EL-LAVASTINE ET PA
nfluence des aizeil4ésique généraux. - Devant le refus de plusieurs
sujets
, nous avons renoncé à cette épreuve. J. Trouble
VI et VIII. Mais il faut suspecter l'exac- titude des dires de nos
sujets
. Le point de vue évolutif ne nous apprend SEIZE
elle, lorsqu'elle persiste malgré le réchauffement du membre. Nos
sujets
ne réunissaient pas la totalité des éléments du s
tionnel qu'une lésion vasculaire eL nerveuse détermine chez le même
sujet
des troubles vaso-moteurs et trophiques semblable
s paralysies les plus incomplètes ou même comme chez la plupart des
sujets
normaux. Il y a aussi des sujets qui, physiolog
u même comme chez la plupart des sujets normaux. Il y a aussi des
sujets
qui, physiologiquement, présentent une hypo- to
int l'hypotonie peut être variable. Les figures D et E montrent des
sujets
qui n'avaient aucune paralysie radiale : on voi
elle paralysie radiale totale. En A, on a une attitude extrême ; le
sujet
avait été opéré six mois auparavant, à la suite
bres conjonctives que de fibres nerveuses. En D, il s'agissait d'un
sujet
qui présentait une paralysie du cubital, mais a
vir de comparaison, qu'il la simula. Enfin en E, il s'agissait d'un
sujet
qui simula de lui-même, et fort bien, une paral
de sorte qu'elle pouvait servir de terme de comparaison. Comment le
sujet
avait-il déterminé cette hypotonie ? Sans doute p
on songera que toute comparaison ne peu(êLre faite que sur le même
sujet
, aux différentes périodes de sa lésion ; toute
sujet, aux différentes périodes de sa lésion ; toute comparaison de
sujets
entre eux serait injustifiée et ne pourrait abo
e Bénisty, Revue neurologique, mai-juin 1915, p. 280. 134 LÉRI Le
sujet
, âgé de 22 ans, avait été blessé dix mois auparav
se trouvent d'ailleurs très ordi- nairement associées chez le même
sujet
. Parfois moins tardive, la rétraction de l'apon
rteils, ni du côté d'aucune autre articulation. En somme, chez un
sujet
relativement jeune (36 ans), sans aucune tare e
tribuent même pathogénie. Déplus, étant donné l'absence chez notre,
sujet
, en- core jeune, de toute infection antérieure
autres personnes atteintes de cette malformation, nous a paru à ce
sujet
digne d'être rapporté. Grâce à la radiographie,
nous possédons tous les renseignements anatomiques concernant notre
sujet
et son père. Observation (PI. XXXVI, XXXVII, XX
pas avoir un grand intérêt, puisque nous venons devoir que sur deux
sujets
qui semblaient présenter une malformation unila
. Il met son pouce gauche en subluxation. L'aîné Petrus est notre
sujet
: nous avons rapporté son histoire. De son mari
lieux mêmes, j'ai observé ce bizarre phénomène, déjà, chez quelques
sujets
, il n'existait qu'à un état moins rudimentaire.
, à se compléter ou au con- traire à décroître. Chevallier dit à ce
sujet
: « Sous une influence incon- nue, l'embryon év
,, qui est' capricieuse. L'exemple que nous avons rapporté est à ce
sujet
typique. Le premier en date a six doigts et six
entaire iconogra- phique. Elle pourra servir d'exemple aux nombreux
sujets
de la guerre actuelle, réséqués du coude, et qu
qui s'applique à tous les événements heureux ou malheureux pour le
sujet
, exprime admirable- ment la conception que leur
aître exactement la valeur des méthodes éducatives appliquées à ces
sujets
tout primitifs. Jusqu'à présent les. efforts éd
par ordre. Signé : FAYOLLE. » Une race capable de produire de tels
sujets
permet de fonder sur elle de grands espoirs. Au
is on apprécie bien (Pl. XLII) l'infiltration adipeuse qui donne au
sujet
un aspect différent de celui d'un jeune garçon
nfection, de même que des singes logés dans les mêmes cages que des
sujets
inoculés ne contractaient pas de myélite. Par c
le sur le virus des cavités muqueuses qui eût pu nous éclairer à ce
sujet
, pas plus d'ailleurs qu'avec le virus des centres
avec ce qu'il faut exiger pour la même conclusion, en traitant des
sujets
qui ont contracté une infection syphilitique un
smuth, Pierreson ont ensuite fait des monographies documentées à ce
sujet
. Déjerine cite un cas de paralysie faciale doub
hui classiques. Cependant, en matière tératologique, encore que les
sujets
appartiennent au même groupe générique, y a tou
us paraît donc pas inopportun de contribuer à la documenta- tion du
sujet
par les observations qui suivent. On verra par la
et publiés jusqu'alors, fournissant une vaste bibliographie sur ce
sujet
. Cf. aussi : E. HuET et CH. INFROIT : Description
s non encore consolidées, ce qui s'explique d'ailleurs par l'âge du
sujet
. Les uniques doigts existants sont l'annulaire
lie du membre inférieur droit, inapte à la fonction locomotrice, le
sujet
marchant appuyé sur sa béquille. L'inspection m
que l'examen met plus ou moins facilement en évidence sui- vant les
sujets
et leurs occupations habituelles. Le principal sy
s l'une comme l'autre relèvent de la cardioamyosthénie. L'aspect du
sujet
dans les états de stupeur ou as- thénie profond
morragie primaire ou secondaire. Pour arriver à une conclusion à ce
sujet
, les phénomènes symptomatiques doivent être bie
on lit, la nuque repliée en arrière. Est tout à fait désorientée au
sujet
du temps et de l'espace. Se plaint de douleurs
adjoints de la menstrualité. Un tel cas a été cité par Froin. A ce
sujet
, il faut mentionner dans mon observation 1 l'hé
maire ou secondaire (due à une hémorragie cérébrale primaire). A ce
sujet
, il faut étudier à fond 338 INGVAR . le table
iagnostique très difficile, lorsqu'il s'agit de distinguer chez les
sujets
âgés entre une hémorragie cérébrale pénétrée dans
que dé grandes difficultés diagnostiques peuvent se présenter à ce
sujet
. Bittorf a essayé de prouver dans son cas de «
-L.). - Des hémorragies méningées spontanées curables chez les jeunes
sujets
. Archiv. de méd. et pharmac. miitt. publiées pa
z., 54, 1916. - CLAI1HT· - L'hémorragie méningée curable des jeunes
sujets
. Arcli. de méd. et de pharm. mil., t. 63, 1914.
HEYREL. Hémorragies sous-arachnoidiennes spontanées chez les jeunes
sujets
. Gaz. des hôp. Paris, n, 39, 1910. Forssheim (A
orragie, suivie d'un état anémique, qui persista plusieurs mois. Le
sujet
, auquel on avait recommandé au début de ne fair
pitaux. Les progrès furent rapides, si bien qu'au bout d'un mois le
sujet
était capable de servir de moniteur de gymnasti
l'oeil sont conservés. Ces phénomènes étaient totalement ignorés du
sujet
, il en était de mémedcs phénomènes d'hyposudati
on de liquides abondants. ' Dans toutes ces conditions, le corps du
sujet
se couvre de sueur, sauf dans la. moitié droite
t normal, porte le globe en avant ; elle est peu marquée chez notre
sujet
en raison de son exophtalmie congénitale, mais ap
digitale l'hyperesthésie du tronc nerveux. On constate ainsi que le
sujet
est désa- gréablement impressionné par la press
e. Des recherches en cours de G. Bourguignon seront publiées sur ce
sujet
. (1) G. Bourguignon, loc. cil, 358 CHIRAY, BO
n véritable oedème de la région. Les poils, très développés chez ce
sujet
, se détachent avec une extrême facilité sur toute
la capote sur les épaules. Cette pression est si désagréable que le
sujet
préfère ne pas sortir. Nous avons indiqué que l
lement enroué. Comme on le voit dans ces observations, il s'agit de
sujets
portant, des blessures de la région cervicale,
t pour les raisons suivan- 376 COLLET ET PETZETAKIS tes. Tous ces
sujets
qui ont été vus en général un mois après leur ble
sée au médecin de la famille en vue d'obtenir des précisions sur ce
sujet
demeure actuellement sans réponse. Disons, pour
soudées par des ponts de subs- tance osseuse néoformée ; chez notre
sujet
au contraire les arthropathies sont restées hyd
s les premières manifestations articulaires. Disons de suite que le
sujet
ne présente actuellement aucun symptôme objectif
estent par- faitement indolores ; à aucun moment de l'évolution, le
sujet
n'a jamais pré- senté de douleurs spontanées. L
rable et rapide, sous l'influence du traitement spécifique, chez un
sujet
dont l'état s'aggravait depuis plusieurs années
s cette hypothèse ne saurait être soutenue, d'abord parce que notre
sujet
ne présente aucun signe objectif de tabes, ensu
ion exacte quant aux infections de cette époque. Il y a un mois, le
sujet
, en tombant, s'est fracturé l'avant-bras en son
et ridée sans vestiges de barbe. Dents mauvaises. Voix normale. Le
sujet
refusant absolument de se déshabiller pour l'ex
normal, bien qu'on n'ait pu préciser l'examen, à cause du refus du
sujet
. . Observation XVII (PI. LXIV). F... F., blan
de poils aux aisselles et à la région pubienne se vérifie quand le
sujet
atteint est une femme. Chez celle-ci, le dévelo
hiegénito-giandutaire, l'étatlympho- adénoïde est bien prononcé. Le
sujet
présente de la pâleur du tégument et une hypert
u dit chétivisme de Bauer. C'est de cet état que se rapprochent les
sujets
dystrophiques, chétifs, délicats, maigres, d'aspe
anomalie du développement caractérisée par la persistance, chez un
sujet
ayant atteint ou dépassé l'âge de la puberté, d
i régnaient au début sur la question de l'infantilisme, aujourd'hui
sujets
encore à controverse en pathologie, ont été en
nt de valeur pour la thèse que nous défen- dons. Il s'agissait d'un
sujet
présentant le syndrome clinique de l'infan- til
nous a fait connaître notre docte collègue le Dr Carlos Chagas, au
sujet
d'individus adultes attaqués par la maladie qu'
es caractéristiques (1). - Dans une autre publication sur le même
sujet
, c'est ainsi que s'expri- ment Cordier et Rebat
Nous ne sommes pas loin de souscrire à cette opinion de Pende, au
sujet
des cas où il a été tout à fait impossible de ret
n morphologique des individus castrats se présente, ce qui donne au
sujet
une apparence si particulière que le diagnoslic
de vieil- lard ou gérodermie, op. cit., loc..cit.). Et plus loin au
sujet
des castrats : « Rien donc qui rappelle ni la c
dées érotiques corrélatives. Néanmoins on a observé chez cer- tains
sujets
, au moins d'une manière transitoire, le désir sex
arquable également (1). ` (t) Depuis sa première publication sur ce
sujet
, ltummo a signé une altération morphologique du
génitales, mais aussi d'altérations hypophysaires. Ainsi dit-il, au
sujet
du type gérodermique (2) : « Nous trouvons ici de
onscience de son incapacité sexuelle, acquise de bonne heure par le
sujet
, détermine chez lui une constitution psychologiqu
que spéciale, ces individus évitant en général toute allusion à des
sujets
sexuels et se mon- trant d'ordinaire timides et
ses observations assurent la possibilité d'une taille élevée ; à ce
sujet
nous souscrivons inlotum ce que Falta écrit : « I
nvoquer aussi bien la sugges-. tion hystérique, pure et simple : le
sujet
a, pendant la phase initiale, le temps de médit
cité certaine et constante, etc. Dès les premières applications, le
sujet
cherche à échapper aux contacts qui sont plus o
accompagnée ou d'encouragements ou d'ordres énergiques suivant les
sujets
et les résultats obtenus. Au bout d'un laps de
geantes ou d'ordres énergiques, la volonté endormie se réveille. Le
sujet
néglige l'algie lombaire ou la peur de cette al
aillante s'éduque et se fortifie : la guérison est constatée par le
sujet
, par les camarades, par le personnel, et une at
Le réflexe plantaire se fait en flexion à droite et à gauche. Le
sujet
se plaint de quelques douleurs intermittentes dan
s, ni moteurs, ni anesthésiques, ni trophiques, ni vaso-moteurs. Le
sujet
se plaint de faiblesse des reins et de douleurs
ente une prédisposition névropathique : sa mère est très émotive et
sujette
à la colère. Lui-même a eu avant la guerre, penda
ation ne change pas pendant la marche. On n'arrive pas à redresser le
sujet
dans la station debout, mais on y parvient très
il fin, de 6 à 8 engainements : le courant est assez douloureux et le
sujet
se redresse complètement. A la suite de cette s
bassin, la tête demeurant en extension. Dans la station debout, le
sujet
peut se redresser un peu ; couché par terre, su
e mouvement le 434 SOUQUES ET MÉGEVAND, Miles NAIDITCH ET RATHAUS
sujet
éprouve dans la région dorso-lombairé une douleur
phie ou le seront bientôt dans sa thèse inaugurale. En résumé, 13
sujets
atteints de camptocormie ont été traités par l'él
peuvent empêcher la récidive qui est cependant possible, lorsque le
sujet
quitte l'hôpital et retourne à son dépôt.. Il
as, la récidive. Si malgré cela, arrivé au dépôt ou au régiment, le
sujet
récidivait, il serait aisé de le guérir,, soit su
i sont encore pour nous des mystères. ' J'ai recueilli jadis à ce
sujet
une série de documents figurés dont chacun, iso
oute que des bruits auriculaires tenaces et stridents dont certains
sujets
souffrent' réellement, ou bien que des hallucinat
u, répar- ties dans les deux hémisphères. La grande majorité de nos
sujets
est repré- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtri
aladie date de la première année de sa vie, au cours de laquelle le
sujet
présenta différentes crises convulsives pendant'
sam- ment étudiées. Nous pensons que les .notions classiques sur ce
sujet
mé- ritent d'être révisées et à l'appui de cell
repos elle était en mesure de repartir. A la même époque elle était
sujette
à de fréquentes migraines. Ces divers troubles
'extérieur et à l'intérieur de la cavité buccale. A l'extérieur, le
sujet
a de la difficulté à projeter en avant la langue,
n, la force est de 38 à droite et de 35 à gauche,au dynamomètre (le
sujet
est droitier). Sensibilité égale des deux côtés.
é il y avait pléocytose. Ce phénomène très prononcé, a déjà fait le
sujet
des observations de Nonne dans 6 cas de tumeur
ilibre pas immédiate- ment et définitivement, mais au contraire est
sujette
, pendant un certain temps encore, à des hésitat
introduite en séméiologie, permet une connaissance plus adéquate du
sujet
qui nous occupe. Afin de fixer les idées, nous
x troubles de la croissance, pour s'apercevoir immédiatement que le
sujet
est des plus confus et que les opinions des auteu
eloppement de l'organisme, c'est-à-dire par la persistance, chez un
sujet
ayant dépassé l'âge de la puberté, des principa
des mouvements myocloniques dans l'épilepsie. Je reviendrai sur ce
sujet
un peu plus loin, à propos de la classification
s secousses sont tellement vives et fréquentes que, d'ordinaire, le
sujet
doit renoncer à toute occupation. Parfois elles
lement citée, les metencore, mais après les dernières études sur ce
sujet
il n'y a pas de raison pour qu'on ne sépare pas
maladie a des désignations diffé- rentes. Nous avons déjà abordé ce
sujet
et nous l'aborderons encore tout à l'heure. I
-même a montré la difficulté dans un de ses derniers travaux sur ce
sujet
, à propos du diagnostic différentiel de sa maladi
tialité possibles, il nous semble permis de conclure que chez notre
sujet
, la production des troubles vasomoteurs ne saurai
st morte en juin 1910 d'un cancer du sein opéré deux fois, et était
sujette
à des pertes de connaissance avec gesticulation
s faits récents ou actuels. Il est attentif ; il passe souvent d'un
sujet
à un autre, mais il sait parfaitement reprendre
uvent d'un sujet à un autre, mais il sait parfaitement reprendre le
sujet
qu'il a abandonné. 11 a une notion précise du t
X 7 z il compte 9X4 = 36... 9 X 5 = 45... 78... Il passe à un autre
sujet
. Il dit : «M. Olivier est un métayer de la Cafi
osons en attendant de le démontrer à l'aide d'autres malades. Notre
sujet
, au cours de sa mélancolie, aurait présenté des p
ans les nerfs de la queue de cheval (Voir nos communications sur ce
sujet
dans la Revue neurologique tchèque et dans le N
re, nous paraît digne de remarque. L'un de nous vient d'en faire le
sujet
de sa thèse (2). A l'hôpital, rien n'est ingrat
aleur, en a cepen- dant hérité le caractère funèbre. La mort est le
sujet
préféré de ses entre- tiens. Il ne manquait p
ent dans le sens de leur axe transversal. Par suite l'aspect dé ces
sujets
est modifié d'une façon caractéristique. Us se
s fortement courbées. Voici encore d'autres caractéristiques de ces
sujets
; un certain degré de ma- crocéphalie, générale
Le développement musculaire est parfait ; on peut dire même que les
sujets
atteints d'achondroplasie sont des petits athlète
que je les ai trouvées dans la littérature vraiment copieuse sur ce
sujet
. Désormais les cas décrits, avec plus ou moins
mps depuis l'époque où j'ai commencé par fixer mon attention sur ce
sujet
, et tout en demeurant dans un cercle borné, j'ai
cette manière dépister des symptômes qui z permettent de ranger ces
sujets
parmi des types morbides dont ils repré- senten
r de la 7e année de vie, MM. Danlos, Apert et rlandin ont étudié un
sujet
atteint de micromélie congénitale limitée aux d
Des deux observations que je vais rapporter la première regarde un
sujet
de taille très réduite chez lequel le cadre de l'
ie, Editeurs ACHONDROPLASIE ET CHONDROHYPOPLASIE 163 Mon deuxième
sujet
, de stature moins, réduite, apparaissait d'abord
nguement, l'histoire el l'examen clinique au complet de mon premier
sujet
. Observation 1 \ Mario Ventisei, âgé de 24 an
amment, il e,st bon mangeur, buveur et fumeur. A tout prendre notre
sujet
paraît bien constitué, sa peau est blanche sur
dans le scrotum et de consistance et de dimensions normales. Notre
sujet
s'est masturbé et se masturbe encore quelquefoi
levé que le nez est aplati à sa racine, que dans son ensemble notre
sujet
a l'air un peu crétin, que les muscles et le ti
ain) il serait possible de classer la symptomatologie que présente ce
sujet
. Chez le nain rachitique le tronc est déformé,
arsien. Le type légèrement crétineux ne manque pas chez de nombreux
sujets
atteints de simple achondroplasie : c'est un as
n est complète, la thyroïde n'apparaît pas atro- phiée. Enfin notre
sujet
balbutie légèrement, et ses facultés psychiques n
si peu prononcés, qu'il faut faire un effort pour affirmer que ces
sujets
sonl atteints d'achondroplasie. Seulement un ex
rès diligent et précis peut permettre une juste classification de ces
sujets
qui autrement seraient inscrits parmi les micro
donné l'alcool à la suite de l'impression reçue de ses lectures au
sujet
du mal que cause l'alcoolisme. L'« Assommoir» d
eures. - En regardant simplement les diverses photogra- phies de ce
sujet
, un oeil exercé, non seulement relève une brièvet
détermine la micromélie par de nombreuses fractures auxquelles est
sujet
l'os rendu fragile par l'excessive résorption dia
en rapport avec d'autres signes de dystrophie relevables dans notre
sujet
. Parmi ceux-ci, outre le palais ogival, la peti-
ie. En examinant la littérature et les radiographies relatives à ce
sujet
, j'ai pu me convaincre que, quoiqu'il soit fréq
relevée aussi chez le père et la grand'mère en ligne paternelle du
sujet
étudié. Enfin dans ma première observation, comme
ies osseuses. Si nous appliquons ces conclusions à l'élude de noire
sujet
nous en in- férons que chez lui se trouvent des
n mesurant les membres et les différents segments du corps de notre
sujet
avec les données de l'homme normal. J'ai empr
s osseuses asymétriques. Il nous paraît donc juste de soustraire ce
sujet
à la catégorie des microsomes, et de le faire ren
l qu'un examen soigné fait, soit dans la littérature, soit chez les
sujets
de petite taille et sans déformations évidenles,
che le plus de cet idéal de beauté en proportions réduites c'est le
sujet
de la troisième observation de M. Lévi, bien qu'i
rium d'ensemble. En effet on peut noter que si Frassi, mon deuxième
sujet
, est, pour ce qui se rap- porte à la circonfére
Frassi les beaucoup plus courtes : toutefois le premier de ces deux
sujets
est atteint lui aussi de micromélie inférieure
et beaucoup d'autres moins importants, qui servent tous à donner au
sujet
un cachet net ; cependant aucun de ces symptôme
itations; une sensation d'étouffe- ment les accompagne et oblige le
sujet
à courir à la fenêtre pour mieux respi- rer.
té du périoste et sur le métabolisme dessubs- tances minérales. Les
sujets
atteints d'atéliose sont de petite taille, leur
é et l'hypoplasie génitale sont habituellement réunies chez un même
sujet
, mais chacune d'elles peut exister isolément. L
es, fragiles. - Si l'on suppose l'évolution simultanée chez un même
sujet
d'une dys- trophie pénostaie et d'une achondrop
diatement à la piqûre d'une épingle. On ne peut rien dire de sûr au
sujet
des sensibilités thermiques, tactiles et stéréo-
uelques symptômes permettaient cependant de ne pas être en doute au
sujet
des deux maladies. Chez mon malade, en somme, les
LIO CIUFF1NI exige plusieurs semaines de traitement, comme chez mon
sujet
, pour l' atteindre une évolution complète, mais
i ont pendant quelque temps souf- fert d'hydrocéphalie interne sont
sujets
à des rechutes de celte maladie, localisée dans
avoir clairement démontré de manière à n'admettre aucun doute à ce
sujet
, que dans certains cas très rares I 'hydroc pha
teur de la polyclinique J'eus, il a 9 ans, l'occasion d'observer un
sujet
dont les omoplates mon- traient une position an
Nouvelle Iconographie de la Salpê- trière. Ce cas s'appliquait à un
sujet
de 25 ans, qui s'adonnait avec succès à tous le
es a été découverte à l'occasion d'une revaccination. A l'examen du
sujet
au repos, on n'a observé aucune défor- mation a
mation appréciable. Pour provoquer la difformité, il a fallu que le
sujet
plaçât, son avant-bras fléchi à angle droit en
sé leur point fixe; normalement, il est sur le scapulum et, chez le
sujet
observé, il faut le chercher sur l'humérus. O
rceptible même iL travers des vêtements d'hiver. Dans la famille du
sujet
, ou ne trouve aucun antécédent héréditaire au poi
inégale, celle de droite s'abaisse jusqu'à 1 cen- timètre. Quand le
sujet
est au repos, l'angle inférieur de droite est lég
bres, mais capables d'une excursion extraordinaire, de sorte que le
sujet
peut projeter en arrière, à vo- lonté, les deux
rtement projeté en arrière. Ce phénomène est plus visible, quand le
sujet
fléchit les avant- bras en leur faisant exécute
rne, et en les maintenant réci- proquement. 22H HNATEK Quand le
sujet
lève les bras, nous constatons que la musculature
rémités supérieures, on reconnaît mieux que dans toute autre que le
sujet
est atteint d'une sco- liose sinistro-couvexe d
e par l'observateur. A l'épreuve dynamométrique, on constate que le
sujet
possède une vigueur remarquable. Sur les muscle
iles, douloureuses, thermiques électriques, sont bien per- çues. Le
sujet
n'a point de paresthésie des membres; sur la régi
circonstance la plus importante, selon moi, c'est que, depuis que le
sujet
est soumis à mon observation, c'est-à-dire, dep
ne se modifie ni n'empire. Appelé devant le conseil de révision, le
sujet
fut déclaré propre au service et envoyé dans l'
dire par là un sac - qui remettra votre dos au point. En effet, le
sujet
a supporté toutes les fatigues de la vie militair
lée » des omoplates, je suis obligé d'avouer que les antécédents du
sujet
ne me fournissent aucun indice capable de me rens
près tout ce qui vient d'être dit, et surtout après-la déclaration du
sujet
il me semble que la sensation de fourmillement
es par des myopathies primiti- ves progressives. En examinant des
sujets
de ce genre, on trouve souvent qu'il est possi-
sentent les dimensions des longs muscles dorsaux s'observe, chez le
sujet
, sur une partie du côté droit du thorax, qui es
iation rachi- dienne. La proéminence de l'omoplate droite, quand le
sujet
est au repos et que les extrémités supérieures
é opposé. Ce point de vue est bien fondé par la circonstance que le
sujet
il su atteindre une grande agilité dans l'inner
aternité. Les névrites puerpérales onl été observées el ont fait le
sujet
de plu. sieurs discussions dans les réunions de
aralyser et pen- dant longtemps, les seuls à l'être. Or, chez notre
sujet
nul doute qu'il ait été l'objet d'un surmenage
e musculaire : « le rôle du surmenage est hors de doute » ; et à ce
sujet
ils rappellent que la paralysie des tambours, d
tômes. On a publié jusqu'à présent si peu de travaux consacrés à ce
sujet
que nous nous sommes décidés à nous en occuper.
on Kulschitzky). Etant donnée la pénurie des travaux consacrés à ce
sujet
et la diversité de leurs résultats, nous avons
al et Clerc aient répugné à employer le mot d'infantilisme pour des
sujets
dont un des principaux caractères est la haute st
me pas, de lui-même, le symptôme clinique important que présente le
sujet
; 2° et surtout de ne pas marquer la pathogénie un
gueur quelque peu démesurée. Lorsqu'il est assis sur son lit, notre
sujet
parait absolument normal, mais dès qu'il se tie
leau ci-joint avec les chiffres que nous aurions dû trouver chez un
sujet
normal, de même taille. Longueur des os. GIGA
e et de la diaphyse de 18 à 22 ans, au plus tard à 24 ans, et notre
sujet
en a 31. Au contraire l'épiphyse inférieure du
ieur. Enfin on ne trouve pas d'hypertrophie des extrémités. Notre
sujet
, plutôt maigre, est d'un embonpoint normal. Aucun
ses parents ont péri dans la catastrophe de la Martinique. Notre
sujet
ignore la façon dont il a été nourri, ainsi que l
iés, et pourtant jamais l'atten- tion du malade ne fut attirée à ce
sujet
, soit spontanément, soit par des obser- vations
ent toute orchite et tout traumatisme. ' Histoire génitale. - Notre
sujet
ne fut certainement pas un de ces enfants préco
eu desquels il vit depuis lors, ne tardent pas à l'ins- truire à ce
sujet
, mais leurs propos n'excitent ni son imagination
par mois, apparaissent des pollutions nocturnes. A 22 ans, notre
sujet
est plus heureux dans ses tentatives. A quatre re
st absolument nor- male, et procure une certaine jouissance à notre
sujet
qui ne devient pas néan- moins très excité. Il
ement d'un produit de sécrétion prostatique. En somme, chez notre
sujet
aucun des caractères sexuels secondaires ne fai
a soudure devrait être com- plète au moins depuis 6 ou 7 ans, notre
sujet
étant actuellement âgé de 31 ans. Observation
oils. Il n'y a pas trace de myxoedème, de surcharge adipeuse. Notre
sujet
est maigre. On ne relève aucun des petits signe
rations effectuées comparées à celles qu'on devrait trouver chez un
sujet
normal de même taille. Longueur des os. GIGAN
e, les seuls troubles que nous avons pu mettre en évidence chez nos
sujets
sont absolument identiques dans leurs caractères
, est la seule que nous ayons trouvée de comparable aux nôtres. Son
sujet
est aussi un homme dont la haute stature (1 m. 86
urs s'étonnent de ne trouver ni infantilisme, ni féminisme, chez un
sujet
atteint d'atrophie testiculaire congénitale. Auss
uelques mensurations, car il est expressément noté que la taille du
sujet
est supérieure à la moyenne. Peut-être bien y a
s qu'avec l'observation attentive et l'interrogatoire minutieux des
sujets
présentant un développement exagéré des membres,
s que la sécrétion diastématique persiste absolument normale, et le
sujet
devient infécond, (t) MAGDINIBH, L'infantilisme
dentique à celui de l'homme complet. C'est par exemple le cas des
sujets
qui présentent une section opéra- toire ou une
nt ou non apparaître. Nous avons alors le gigantisme eunuchoïde. Le
sujet
n'a plus une taille normale. Les dimensions e
alité, un peu particulière, nous reste à envisager. C'est le cas de
sujets
dont le trouble testiculaire s'établit, non plus
sur les autres glandes à sécrétion interne. Si bien que de pareils
sujets
reprennent plus ou moins l'aspect infantile (infa
btenus avec le traitement thyroïdien chez un nombre considérable de
sujets
atteints de sclérodermie. Les cas de Basedow av
ient pas le résultat d'un môme mécanisme. Le fait que chez certains
sujets
il y a de l'hypersécrétion de la glande, tandis
xe pour l'extension de notre travail, et abordons directement notre
sujet
par l'élude clinique et radiologique d'un cas d
rt, elle est amaigrie un peu, l'appétit est conservé, mais elle est
sujette
à des crises intestinales dans les intervalles
fonctionne assez bien, bien que depuis quelque temps la malade soit
sujette
à des crises de diarrhée. Rien aux poumons, coe
l'hypophyse cérébrale. En 1902, Lafond (1) publia un mémoire sur ce
sujet
, en relatant plu- sieurs observations de scléro
maladie des pierres de la peau, on peut constater que plusieurs des
sujets
atteints par cette curieuse dystrophie ont prés
de la peau elle-même. La première observation qui ait rapport à ce
sujet
semble être celle de Trincavella qui professait
o aigu lié au développement d'une 11/ ! v/I{e yirthlzérique chez un
sujet
intoxiqué par l'essence de pétrole, Soc. de <l
asie démontre que la restauration du langage est très variable d'un
sujet
à l'autre, et que chez ceux qui ont été atteint
évolution (1). Les unes sont d'ordre individuel : ce sont t'age du
sujet
, son degré d'in- telligence et d'instruction, s
ontanée. Nul doute que celle-ci ne puisse survenir, surtout chez un
sujet
jeune, même si la lésion est très vasle, comme
bleaux cliniques complexes. Voici un exemple d'byperstbénie chez un
sujet
atteint d'idiotie. Observation. Résumé. Convu
ntôt fermés, tantôt ouverts. Le front se plisse par intervalles. Le
sujet
sourit, chante son chant monotone, fait claquer s
nts. Mais le diagnostic n'en est pas moins certain. L'excitation du
sujet
est de l'excitation joyeuse : il danse, saute, ri
d'ordre hypersthénique. Du reste la muscula- ture et l'ossature du
sujet
sont en rapport avec cette variété d'excitation,
es par le malade, et, quand elles sont intenses, d'être pour lui un
sujet
de gêne ; elles disparaissent généralement dans l
ture post-paralytique, et ana. logues à celles que provoque chez un
sujet
sain l'excitation du nerf facial par un courant
gique à la malade (acte qui s'accompagne chez elle, comme chez tout
sujet
normal d'ailleurs, d'abaissement des paupières su
A la réflexion, pareille constatation n'a rien de choquant. Chez un
sujet
normal, le clignement physiologique des pau- pi
et le clignement des paupières. Toutes les constatations, faites au
sujet
des contractions fibril- laires et que nous ven
s l'acte de gonfler les joues; mêmes remarques que précédemment, au
sujet
des plis faciaux. Dans cet acte, non seulement il
e contraction est toujours très apparente ; il est à remarquer à ce
sujet
que ces contractions se manifestent toujours à la
chidien, si l'on s'en tient aux règles formulées par Mestrezat à ce
sujet
, devait faire répondre non. Toutefois n'est-il pa
constatation n'aurait qu'un intérêt relatif s'il n'était paru à ce
sujet
, il y a trois ans, un travail d'ensemble sur lequ
de mai dernier elles reparaissent constamment, et comme la peau du
sujet
ne supporte plus guère les rayons X, il se déci
us raconte qu'elle a toujours été frappée par l'aspect infantile du
sujet
, contrastant avec l'aspect tout à fait normal de
remarqué que les testicules ne se sont jamais développés et que le
sujet
n'a jamais présenté aucun des carac- tères sexu
ès le premier abord d'un certain nombre de particularités. C'est un
sujet
de taille plutôt petite (1 m. 53) qui présente un
urines, mais cette res- triction était péniblement supportée par le
sujet
. Il y avait dans l'urine des traces légères d'a
oubles d.pstro- phiques encore assez discrets (étant donné l'âge du
sujet
) du squelette, des organes génitaux et du systè
Comme nous n'avons pas la prétention d'épuiser la bibliographie du
sujet
, nous nous contenterons des faits qui précèdent p
Hirschberg (28). Les travaux.des aliénistes et neurologistes sur ce
sujet
sont moins nom- breux, et cela pour deux raison
elle-même par une dystrophie lymphatique polyglandulaire. Tous les
sujets
qu'il examina étaient en effet porteurs, soit d
euses impressions digitales. Ces signes sont les mêmes que ceux des
sujets
de Bertolotti et sont, d'après cet auteur, path
s la plus difforme boite crânienne. Toutes les autres glandes de ce
sujet
ont un volume et un fonctionnement, normaux ; les
céphalie une défor- mation de la base crânienne que n'a pas l'autre
sujet
. BIBLIOGRAPHIE (1) Virchow, Ges. Abltandliing
avait appris qu'il était en retard de développement par rapport aux
sujets
du même âge, mais qu'il avait beaucoup grandi l
ose sénile. 2° Nous éliminerons également vite l'oxycéphalie. Notre
sujet
n'a ni les troubles fonctionnels ni les caractè
des pieds sans aucune déformation des os longs des membres ». Notre
sujet
a en effet de fortes mains, mais elles n'ont pa
arents achondroplasiques. 9° Si nous comparons le portrait de notre
sujet
à certaines figures de (lysosiose cléidn-crcîca
ssi, se transmet par hérédité comme la dystrophie qui atteint notre
sujet
. Mais, à côté des caractères communs, nous ne t
XVII) en dit plus que ne pourraient le faire des chiffres forcément
sujets
à quelque erreur. L'orifice des fosses nasales
s et les noirs sont moins marquées chez les pagétiques que chez les
sujets
normaux (Comparer les figures 2 et 3 avec la figu
pour ainsi dire, dans le crâne. Cet enfoncement est minime chez les
sujets
normaux, il devient plus prononcé et parfois co
normaux, il devient plus prononcé et parfois considérable chez les
sujets
dont les os sont particulièrement ramollis, et
pertrophie excessive des alvéoles dentaires détermine chez certains
sujets
une expul- sion spontanée des dents saines, com
illeurs, signaler que j'ai trouvé au cours de mes recher- ches à ce
sujet
d'autres observations, évidemment analogues au ca
xantochromie et la coagulation massive, les deux premiers chez deux
sujets
atteints de méningite sarcomateuse diffuse, les d
insistons plus loin. Enfin une question qui touche de près notre
sujet
est celle relevée par Sicard en France et par N
t elles se couvrent de néoproductions osseuses. Interroge-t-on le
sujet
, on apprend que la maladie évolue depuis de lon
et les troubles de certaines glandes à sécrétion interne chez notre
sujet
. ' Observation. Marguerite Cattelino, 39 ans,
ndantes aux troubles pro- fonds des valeurs anthropométriques de ce
sujet
. 20 BERTOLOTTI Diagnostic. Les symptômes card
sphénoïde : nous la développerons dans un travail à part dédié à ce
sujet
. Dans le cas actuel nous nous trouvons en prése
ale de la moitié droite du thorax, parfaitement analogue à celle du
sujet
étudié par Fumarola. Il se peut dans certains c
lument démonstratif. Nous rapportons à cet effet la photographie du
sujet
en question, où il est aisé de vérifier t'hémiatr
ui SUR LE SPASME A BASCULE DE L'ORBICULAIRE DES PAUPIÈRES 38 d'un
sujet
normal qui ferme volontairement un oeil. En effet
sujet normal qui ferme volontairement un oeil. En effet, lorsqu'un
sujet
normal fait ce mouvement, il soulève plus ou moin
s aux normaux, en en examinant un grand nombre. Or, si on invite un
sujet
sain à fermer un oeil et à s'opposer à la tenta
ce que la fermeture de l'oeil ouvert ne dépend pas de la Volonté du
sujet
et en aucune façon il peut l'empêcher. Nous ayo
que lorsqu'on écarte les paupières, on sent de la résistance. A ce
sujet
, il est bien d'observer que malheureusement nos p
che et les mouvements de la mastication, rarement observés chez les
sujets
normaux, ainsi que la fermeture de l'oeil quand
ès étroites. Un premier fait bien connu c'est qu'un grand nombre de
sujets
normaux ne peuvent pas fermer isolément les yeu
PATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DANS LES CENTRES NERVEUX ÉVOLUANT CHEZ DES
SUJETS
D'AGE MOYEN, PAR W. van WOERKOM (de Rotte
, mais après les premiers mots il s'arrête, parce qu'il a oublié le
sujet
dont il voulait causer. En voulant fumer une pi
ammatoires. Enfin nous remarquons que ces parties du cer- veau sont
sujettes
à un processus de désintégration, que nous voulon
'enfant, mais s'atténue généralement avec l'âge. Cependant certains
sujets
conservent un contour labial où se reconnaissent
e des dégénérescences secondaires. Les tra- vaux qui traitent de ce
sujet
proviennent pour la plupart d'expériences sur l
s elleurs terminaisons chez l'homme. Les travaux qui traitent de ce
sujet
ne sont pas très nombreux, car beaucoup d'exame
T DU LABORATOIRE DU D' SOUQUES PARAPLÉGIE « TYPE BABINSKI » CHEZ UN
SUJET
ATTEINT DE MALADIE DE RCCKLINGE1AUSLN. - ABSENC
; enfin, la langue n'est pas hypertrophiée. On ne relève chez ce
sujet
aucun trouble visuel ; l'examen pratiqué par no
Il n'y a, en outre, ni polyurie, ni glycosurie à mentionner chez ce
sujet
. L'élude radiographique du crâne met en lumière
si chétive, les organes génitaux ne présentent pas d'atrophie ; ce
sujet
dit accomplir normalement ses fonctions sexuelles
existe aucun déficit moteur appréciable. D'intelligence moyenne, ce
sujet
ne présente aucun symptôme parti- culier pouvan
XXVI et XXVII). Couché sur un plan rigoureusement horizontal, le
sujet
présente une prépondérance de longueur du membr
aussi diffuse, nous eûmes l'idée d'examiner à l'écran le thorax de ce
sujet
; nous avons été frappé par une prépondérance ma
définitive, il est difficile d'émettre une hypothèse étiologique au
sujet
d'un cas si curieux. XXVII '1 REC1181RCIILS D
ion pareille est juste pour des cas récents. En ce qui concerne les
sujets
qui ont été trouvés à l'hô- pilai, il est bien
nt, si insensée que puisse paraître à l'observateur la conduite des
sujets
porteurs de ce syndrome, elle n'est pas toujours
quelle se canalisent les mouvements où se cristallise l'attitude du
sujet
. Une interprétation analogue se présente, conce
bien qu'à l'heure actuelle l'examen le plus attentif de la peau du
sujet
ne décèle plus aucun vestige des piqûres dont ell
n'est pas rare dans la clémence. En effet, l'activité survivante du
sujet
, ne peut s'épuiser que dans l'incohérence ou da
tra-utérine ; l'attitude accroupie dont on ne peut désaccoutumer le
sujet
, ne serait alors que la réviviscence d'une habi
lui-même qui était ;la cause de la psychose; c'était la réaction du
sujet
à son égard, provenant de son état mental ; et
suite d'un accident ou d'un traumatisme. Il est très difficile aux
sujets
de ce' genre, ignorants de la structure du corp
a propre incapacité en est la conséquence inévitable. Ceci amène le
sujet
à se concentrer en lui-même, à cesser de s'intére
n train et avait été très meurtri. Contrairement à la plupart des
sujets
en pareil cas, il ne se plaignait ni de douleur
côté que d'un autre. Jeanselme s'exprime ainsi très à propos à ce
sujet
: « La paralysie faciale portant sur les deux b
tuation diagnostique ainsi que la marche avec les yeux fermés. A ce
sujet
je donne dans la figure 1G l'image d'un lépreux c
quelque chose de caractéristique notamment par la forme spéciale du
sujet
dans sa démarche et dans l'attitude singulière, q
t, nous devons nous occuper du système périphéri- que ; je crois ce
sujet
, les meilleurs types cliniques qui offrent le p
mier lieu, elles se développent dans les muscles a ntagon istes des
sujets
chez lesquels l'a troph ie est paraly- tique co
trophie de l'extrémité·cles doigts avec résorption osseuse. Voir ce
sujet
les mains des figures 2 et 31. Dans certains ca
ine que sur celle qui est déjà malade. La dispo- sition de quelques
sujets
est telle que, pendant tout le cours du mal, on
ur de l'innervation du pied par la régénération nerveuse (Voir à ce
sujet
la fig. 42). Mais si les conditions opératoires
gressif qui peuvent arriver jusqu'à la gangrène. ' (1) Voir il ce
sujet
mon travail sur la dégénéra lion et la régénérati
miques habituelles auxquelles les animaux elles personnes sont tous
sujets
dans leur vie de relation produisent, lorsque l'i
té terminale jusqu'à terminer en pointe comme un crochet. Voir à ce
sujet
le reste du premier métacar- pien dans la figur
illie par MM. Baudouin et Lantuejoul. 176 SOUQUES publiait sur ce
sujet
un intéressant mémoire intitulé : type péuonier r
membres supérieurs. Avec des mains extrêmement atrophiées, nos deux
sujets
peuvent écrire, et vous pouvez voir sur ces spé
urs ont voulu identifier avec l'amyotrophie Charcot-Marie. Voici un
sujet
atteint de cette variété de névrite ; vous allez
on veut bien comparer nos deux amyotrophiques Charcot-Marie avec ce
sujet
atteint de névrite hypertrophique, ils présentent
rès A. Kohler, les dimensions de la selle peuvent osciller chez les
sujets
sains de 8 à 16 millimètres. Ajoutons que, cl
ensions de la selle seraient dès lors fonction du moment auquel les
sujets
sont examinés. Il est d'ailleurs à noter que dans
neuse de 45 centimètres cubes de liquide céphalo rachidien de notre
sujet
(Ce liquide contenait 1 gr. 70 de sucre au litr
Franchini et Giglioli, on en a compté jusqu'à 7 millions ; chez un
sujet
observé par Leclerc et Magdinier (4), il y avai
essive. L'hypophysectomie seule serait susceptible d'offrir à notre
sujet
une guérison réelle et durable. Malheureusement,
poly-syndaclylie est héréditaire. La mère et la grand'mère de notre
sujet
étaient anormales; et d'une manière comparable à
er ce qui détermine les propriétés plasti- ques des images chez ces
sujets
. Quelle est la cause qui provoque la torpeur du
s souvent que la traduction somatique des émotions éprouvées parles
sujets
; c'est seule- ment par leur permanence qu'ils s
sont que la traduction somatique exagérée des idées conçues par le
sujet
. Même dans ce cas l'on remarque que les phénomè
stérogène, par l'habitude, etc. 3° La suggestibilité spéciale des
sujets
, se distinguant de la suggestibi- lité qu'on re
ndifférence, le désintéressement, l'udnptabilité que présentent les
sujets
à l'égard de leurs phénomènes , comme ceux-ci n
e avec les actes volon- (1) Une discussion très intéressante sur ce
sujet
a été faite dans la réunion annuelle de la Soci
ues, remonter à l'étude des actes volontaires et automatiques. A ce
sujet
, nous devons rappeler les études très impor- ta
ts involon- taires dans la même direction que la bille ; de même le
sujet
qui pense avec émotion à un mot qu'il a entendu
grès de Neurologie à Florence (5). J'ai cons- taté chez beaucoup de
sujets
sains, qu'après une contraction musculaire prol
e. On peut obtenir ce phénomène de la manière suivante : on prie le
sujet
de faire une abduction très énergique et prolon
temps qu'on oppose à ce mouvement une vive résistance ; lorsque le
sujet
est légèrement fatigué, on le prie de relâcher
effectue tout entier d'une manière automatique, c'est-à-dire que le
sujet
, indépendamment de sa volonté, élève son bras.
'extension de la tête. Ces examens pratiqués sur un grand nombre de
sujets
, sans les avertir préalablement de l'objet de m
tion, m'ont donné presque toujours un résultat positif. Beaucoup de
sujets
, et peut-être les plus impressionnables, les pl
staté l'absence de ce phénomène seu- lement chez un petit nombre de
sujets
; ceux-ci ont pourtant remarqué que les mouvemen
pas illogique que l'impulsion automatique, qu'on constate chez nos
sujets
, soit due au résidu des sensations musculaires,
qui présentait une vive impressionna- bi 1 i lé célleslhésique; ce
sujet
, chez lequel les mouvements automatiques susdéc
able importance à ces images pour comprendre l'impulsion du'ou( les
sujets
effectuer leurs actes morbides et pour expliquer
bre implique de même l'image cénesthésique fixe du mouvement que le
sujet
a accompli ; là catalepsie ne pourrait égalemen
ts antagonistes ; ce qui expliquerait parfaitement l'impuissance du
sujet
à faire les mouvements qui s'opposeraient à la
ives soient systématisées et fixées. Il en découle que, lorsque ces
sujets
, par leur hypersensibilité cénesthésique, ont u
Celte conception expliquerait non seulement t l'ad,1 plabi 1 i Lé des
sujets
vis-à-vis de leurs phénomènes, mais encore la p
t sans .doute leur plus forte opposition dans la résistance que les
sujets
peuvent leur opposer. Celle idée aurait une con
ctif, attirant toute l'énergie ner- veuse et l'attention interne du
sujet
, provoque la perle de la sensibilité cénesthési
res sensoriels, n'atteignent pas la conscience, la personnalité des
sujets
. Ainsi, l'hystérique atteint d'une anesthésie ou
e constriction des vaisseaux cutanés. Gerini a observé également un
sujet
chez lequel l'idée d'un stimulus électrique ent
ancée dans l'étude de celle réaction, à savoir que chez beaucoup de
sujets
et en parti- culier chez les hystériques, elle
es, elle est en rapport avec une hyperexcilabililé vaso-motrice des
sujets
. Or, cette réactivité vaso-motrice exagérée qu'
i- ques se déterminent d'autant plus facilement que l'émotivité des
sujets
est plus grande. L'image cénesthésique constitu
lement des précédents cénesthé- siques et se réalisent sans que les
sujets
aient l'idée ou la voionlé de les effectuer. '
'elle prend parfois une intensité hallucina- toire, de sorte que le
sujet
imagine voir ou entendre tout ce qui lui est su
oute suggestion, une impulsion aveugle à l'ac- tion aussitôt que le
sujet
a reçu certaines perceptions. En effet, l'imita-
gastriques ou pulmonai- res, même très légères, provoquent chez ces
sujets
des hématémèses ou des hémoptysies très fortes
gique, le satur- nisme, etc. L'hystérie, même infantile, chérit les
sujets
de faible constitu- tion, atteints d'intoxicati
grave perturbation des mouvements actifs, les réflexes (Il Voyez ce
sujet
l'article de GREGOR et Scuu.usn. Zeitschr. f. d.
ns lésions aiguës. 1 (1) Urne semble intéressant de rappeler à ce
sujet
les investigations d'ordre chi- mique de Peketh
5 novembre. Le 18 novembre, MmeX... se rend il Berne où elle est le
sujet
d'un examen minutieux des Drs Dubois et Schnyde
ose les symptômes observés ; il m'est dif- ficile d'admettre sur ce
sujet
l'hypothèse de mon ami Déjerine. Sans doute Mme
iques, cutanés et nerveux, avec localisations variables suivant les
sujets
, mais sans dif- férence de nature, dystrophie c
ête la mieux conduite ne permet de retrouver chez les ascendants du
sujet
aucun autre eclrodactyle. Rien 'non plus à nole
IL Ectrodactylie métacarpo-phalangienne (Pl. LVII). A. Les trois
sujets
suivants appartiennent à une forme un peu dif-
e point de vue. B. L'ectrodactylie est encore plus complète chez le
sujet
qui a fourni la radiographie de la Pl. LVIII, d
es faits semblent à bien des égards comparables chez le dernier des
sujets
dont il nous reste maintenant à parler ; mais nou
e nous ayant pas permis de pratiquer un examen radiographique. Le
sujet
en question est une femme âgée de 82 ans, ectroda
ernière avons-nous quelques renseignements ? L'interroga- toire des
sujets
ne nous a fourni aucune indication sur le passé d
publiées, il semble qu'il reste encore beaucoup il apprendre à son
sujet
et que de nouvelles recherches soient encore né
nous paraissent de nature à accroître nos connaissances. Chez le
sujet
qui va nous occuper, la syndactylie portait sur l
es deux doigts avaient une longueur proportionnelle normale chez un
sujet
dont l'index et l'an- nulaire seuls étaient uni
et s'ils trouvent des conformations analogues dans l'ascendance du
sujet
ob- servé, ils se déclarent satisfaits. Mais l'
l'hérédité a été observée. Nous n'avons pu la retrouver chez notre
sujet
, et il se peut que dans ce cas particulier elle
ue, bien que l'union des doigts soit limitée à leurs extrémités. Le
sujet
décrit par (1) DEGUISE, op. cit. (2) KIRMISSO
e ? Que représente-t-elle exac- tement ? l'auteur ne fournit à leur
sujet
que des renseignements insuffi- sants. A défaut
n. Telles sont les indications que fournit la radiographie de notre
sujet
. Elles sont importantes. Si nous ajoutons que r
tation de certaines apparences cicatricielles. Aspect extérieur. Le
sujet
de notre observation est une femme de 33 ans. N
accroît si on les compare aux dispositions constatées chez d'autres
sujets
. D'un sujet à l'autre, en effet, la similitude es
les compare aux dispositions constatées chez d'autres sujets. D'un
sujet
à l'autre, en effet, la similitude est tout a f
e. Et cette ressem- blance, se produisant individuellement chez des
sujets
étrangers les uns aux autres, évoque l'idée d'u
uence. Le processus et sa genèse. - Si nous comparons, en effet, le
sujet
que nous éludions aujourd'hui avec celui que no
tons une diffé- rence qui pourrait sembler essentielle : chez notre
sujet
actuel le moi- gnon antibrachial ne porte aucun
ement reconnaissable. Et non seulement la main fait défaut, chez lo
sujet
qui nous occupe, mais le moignon porte trois dépr
é de la question dans d'ex- cellentes conditions. Description. Le
sujet
est un homme de 25 ans, pupille de l'Assis- tan
e existant entre la flore intestinale des épileptiques et celle des
sujets
normaux est peu importante (Moore, Alexander) et
P. Marie, de la Tourelle, Binswanger et Redlich font remarquer à ce
sujet
que le champ de l'épilepsie essentielle se réduit
ils donnent lieu à des attaques épileptiques. Oppenheim dit . : ce
sujet
: « De nombreuses recherches prouvent qu'une affe
ttre que l'épilepsie essentielle peut aussi se dévelop- per chez un
sujet
atteint déjà d'une autre affection cérébrale quel
métabolisme et se déchargera pério- diquement par une attaque (à ce
sujet
, voir plus loin). Cela semble donc aussi étrang
e de l'épilepsie cérébrale ; i seule l'autopsie pouirait fournir ce
sujet
une parfaite certitude). Examinons encore ces o
entement chez les animaux privés de la glande thyroïde que chez les
sujets
normaux. Quelques auteurs pensent aussi que l'h
Bien connue est faction de la nucléase (d'après Sachs, qui fit à ce
sujet
les premières recherches, on doit parler d'un g
erminaient ensemble l'état parathyréoprive. V. Fiirth remarque à ce
sujet
que l'acidose est bien certaine dans les cas de l
le rapport existant entre l'épilepsie et la tétanie. Biedl dit à ce
sujet
: très importants sont les cas de tétanie PATHO
ques en cas de guérison de la tétanie. Redlich, qui a consacré à ce
sujet
. une étude très complète, est aussi convaincu du
s malades auparavant (par conséquent avant l'opération) avaient été
sujets
déjà à des attaques épileptiques. Pour lous les a
gne bien la condition d'infériorité, de myopragie aux- quelles sont
sujets
les individus en question. D'autres noms ont été
le groupe des psycho-névroti- ques. En partie, c'est la vérité. Ces
sujets
font partie fractionnairement des cénesthopathe
maladies ner- veuses, j'ai formulé la loi suivante, qui fournit le
sujet
à l'excellente thèse de mon élève Dr J. Pedrosa
peu exagéré et, jusqu'à un certain point, faux pour cette classe de
sujets
. N'importe lequel de nous peut se juger un débile
cé par des phéno- mènes de stupeur pendant plus d'uu mois. Enfin le
sujet
est revenu à son élal antérieur, c'est-i-dire à
Cirrhose hépatique avec altérations des centres nerveux chez des
sujets
d'âge moyen, par W. van Woerkom, 43. Corps st
ux (La cirrhose hépatique avec alté- rations des centres - chez des
sujets
d'âge moyen), par W. VAN WOERKOM, 43. périp
- IUEa, 125. Neurofibromatose (Paraplégie type Babinski chez un
sujet
atteint de maladie de Recklinghausen), par COTO
, par La SALLE Archambault, 188. Paraplégie type Babinski chez un
sujet
atteint de maladie de Recklinghausen" Absence
. COYON (Am.) et Barré (A.). Paraplégie " type Babinski » chez un
sujet
atteint de maladie de Recklinghausen. Absence d
hépatique avec altérations des centres nerveux évoluant chez des
sujets
d'âge moyen, 43. (de Rotterdam). Sur les trou
nes modifications atmosphériques, ou suivant l’imprcssionnabilité des
sujets
, 011 ne doit pas s’étonner de l'inconstance des p
les et qui parlent à toutes les intelligences. Je veux parler de deux
sujets
offrants des phénomènes physiques dans l’état de
els que la noisette, le pendule, le tamis, etc. ; celte élude sera le
sujet
d’un article spécial. épargné bien des labeurs
moi, des somnambules qui voyaient le fluide; et les expériences à ce
sujet
ont été répétées de mille manières. On nous répon
ité parfaite, le plus souvent une torpeur ou engourdissement chez les
sujets
soumis à mon action; un soulagement visible, et
ujours remarqué un effet quelconque. Voici une note relative à deux
sujets
d’ici. Je ne sais pas résister au désir de vous s
t ans, d’un tempérament lymphatique, et que je crois scrofuleuse, est
sujette
, depuis l’âge de dix ans, à de violentes fluxions
out reprend son niveau. Aujourd’hui elle est on ne peut mieux. Ce
sujet
promet une grande lucidité et mérite tout mon int
polémique existait naguère entre la Presse el l’Univers religieux, au
sujet
des sorciers. Les deux champions avaient choisi u
qu’ils se soient généralement contentés du simple témoignage de leurs
sujets
, lorsqu’ils pouvaient y ajouter les preuves les p
J’^opaipe, plus blanc et plus subtil. Les nuances de ceigirci éfaiept
sujettes
à varier, selonladisposition oùlecprps ^e tropvai
Mais je m’arrête, car je ne suis point préparé à traiter un semblable
sujet
. Le novateur osera pourtant on jour vous dire sa
a simple émission du fluide l'ordre est ponctuellement exécuté par le
sujet
. Même ponctp^Uté d’eyépHtion pppr la transforma
plutôt transmis à M. Lassaigne, que celui-ci dirige la main vers son
sujet
, et immédiatement la somnambule s’identifie avec
ar le geste et par la parole. En somme, Mme Prudence Bernard est un
sujet
précieux, surtout pour les transmissions de pensé
parait vou9 écouter, et suivre avec attention le fil de votre nouveau
sujet
de conversation; mais bientôt la dormeuse vous éc
X, ancien pharmacien. 11 q prédiction. — Les prophéties d’un pâtre,
sujet
ad somnambulisme, font beaucoup de sensation aux
au pçjnt de vi^e du confessionnal. Nous exposerons prochainement ce
sujet
avec datait 1 . , "v jnw-TOii i'/>b n Ki*>
l’enseignement constituent la gloire de Mesmer. Le silence, sur ce
sujet
, d’un homme aussi scientifique que Swedenborg est
ique» , s'il n’est pas d’accord dans ses dires avec la généralité des
sujets
somnambuli-que» les plu? renommés, nous répéteron
aux méditations des magnétistes spiritua-listes, aux yeux de qui les
sujets
lucides sont la loi et les prophètes. Ils verront
les esprits, causant avec mol, croyaient réelleiüent être les hommes,
sujets
de lapénéée. Comme hîèr’et iüjôürd’huiquelqu’un q
à nos lecteurs. Nous approuvons la polémique qui s’établirait sur un
sujet
aussi important que le fluide magnétique. Cette d
ez privilégié dès mes premiors pas dans la science, je rencontrai les
sujets
les plus remarquables sous le rapport de la lucid
ellement les interroger sur l’état anormal où je le» jetais. Tous mes
sujets
, tous, sans exception, se sont accordés pour me r
magnétistes qui y ont eu foi. Ils se disaient : Je vais imprégner mon
sujet
de fluide, et, ainsi préparé, je le soumettrai û
nir. L’exhibition avait lieu. Le magné-tiste fluidiste imprégnait son
sujet
, puis l’isolait, se disant : la machine est charg
entateur murmurait : Je n’y comprends plus rien : j’avais préparé mon
sujet
, qui se reconnaissait suffisamment magnétisé; je
que jouent les âmes dans le somnambulisme; il croyait, en isolant son
sujet
, le mettre à l’abri d’influences contraires. Il n
andais si, dans mes recherches, je n’élais pas tombé sur une série de
sujets
spécialement peu impressionnables à l’action du f
phénomènes que nous présentons. » ■ . 'i> Enfin, je rencontrai un
sujet
qui vint jeter un peu de jour sur la question et
paralysie, l’ivrésse, le délire, sans en* dormir préalâbleittertt mon
sujet
éu disant soûle-* hlfmuqft Mlpp.y?biacl .'.ni ; t
tte préface; nous aurons occasion de développer nos sentiments sur ce
sujet
si vaste; il le faut, d’ailleurs, car notre silen
, et, si c’était possible, avec quelques témoins. Si, par hasard , le
sujet
magnétique devenait somnambule, et que pendant so
sultai toutes les deux. Aucunc d'elles ne put seulenMHU .me dire le
sujet
qui m’amenait près d’elles. Désappointé par tan
incertain de la science, la clairvoyance somnambulique est donc trop
sujette
à s égarer dans ces sortes d’exercices, et nous n
donc faire d’actives recherches; mais, quand une fois on a trouvé un
sujet
doué de ces qualités, on sait que le travail en p
et de catalepsie sur le somnambuliste Au-gène. Puis elle invitait son
sujet
â chanter5 et» à la volonté du public, elle arrêt
t aved netteté l’effet que le fluide magnétique produisait ici sur lé
Sujet
. « Yous ne paralyses rien du tout ! » s’écria a
pit de nouveau la voix du fqnd de la salle. — Veuillez approcher du
sujet
, Monsieur, lui ré-r pondit la magnétiseuse ; on t
rès limitée. Nous aurons bieptôt de nouveaux détails à publier sur cç
sujet
. Physiologie. — L’Aca^mie des scjflpç^p. ayant'
u’ils venaient exécuter, mais qu’il ne fallait pas s’inquiéter à leur
sujet
. C’est alors que l’on a égorgé les trois animaux,
ientattiré beaucoup de monde, certainement à cause ae la nouveauté du
sujet
, et peut-être aussi parce que le nom du professeu
ue ce livre révèle serait trop long, et d’ailleurs en dehors de notre
sujet
; mais nous engageons tous nos amis â en prendre c
magnétistes; mais en confondant, faute d’une connaissance précise du
sujet
, les exagérations et la chailatanerie, avec les a
nous avons toiijotirs anribncéët affirmé que tiotre ëôrbp&re, ôii
sujet
, n’avait jamais élé et'n’était pas magnétisé. a
bien grande puissance magnétique, et il n’est pas étonnant que notre
sujet
soit danà l'impossibilité de répondre; car Vôtre
gné-tfsrhe, sans l’exploiter ; par des magnétiseur^ qui possèdent des
sujets
et les exploitent, par des personnes qui' s’occup
e puisse être témoin de la lecttire d’une lettré « cachée aux yeux du
sujet
et du professeur. J’ai vü « plus de cinquante Som
ement les discussions, et que chaque personne « est satisfaite si mon
sujet
devine tout ce qui peut « être présenté, je rte b
is certain dé votre indulgence, en cas « d’erreur de la part de mon
sujet
, je vhîs essayér de « vous satisfaire. » « On p
ême mot, et le mot là, par .exemple, qui est un mot d’indication; mon
sujet
n’hésitera pas un instant; et je commençai. On va
que je me contenterai de vous montrer; je demanderai moi-même à votre
sujet
la nature de cet objet. Est-ce possible, quoique,
la conviction qu’il n’hésitera pas ? — Retourne-toi, dis-je, à mon
sujet
. « — Vous ne direz rien, reprit le président.
is : Ah! faites, s’il vous platt, la çuettion, ver avait averti mon
sujet
, la chance nous servit et tout fut dit. î ..l «
Wf trouvé, sans intention de ma part, le maitre du magnétiseur e^ du
sujet
. Le magnétiseur était persuadé que mes expérience
apprécier les expériences en question ; il pensa, comme nous, que le
sujet
de M. Gandon était doué au plus haut degré de la
sme. « Yous voyez en moi la rivale d’Eugène dePradel; donnez-moi un
sujet
, et je vous improviserai autant de vers que vous
tait possible qu’elle en mourût, mais qu’il la ressusciterait. A ce
sujet
, le prévenu dit que l’on peut ressusciter par le
elle a rappelé le témoin Boulanger pour lui défendre de fumer. A ce
sujet
, Riéder prétend qu’il a magnétisé tous les objets
la dissidence d’opinion qui paraît exister aujourd’hui entre nous au
sujet
du fluide magnétique. Quant à la présence de ce
aladies. Permettez-moi maintenant de répondre aux objections de vos
sujets
, ce que vous auriez pu faire beaucoup mieux que m
é entraîner par un trop grand excès d’indulgence pour eux. Tous vos
sujets
, me dites-vous, tous, sans exception , se sont a
qu’elle doit faire; mais je ne puis comprendre comment lame de votre
sujet
découvrira un corps magnétisé , lorsque le magnét
e expérience dans les conditions où nous avions le soin de placer nos
sujets
, c’est-à-dire dan9 l’isolement le plus parfait de
ré pour vous mettre â l’abri des influence* de l'imagination de votre
sujet
, lorsque vous avez fait des expériences de cette
ne vous favorise pas davantage dans vos nouvelles investigations. Un
sujet
plus extatique encore s’offre à votre examen ; ap
jouent les « âmes dans le somnambulisme; il croyait, en isolant a son
sujet
, le mettre â l’abri d’influences contraires. * Il
a paralysie, l’ivresse, le délire, sans en-« dormir préalablement mon
sujet
, en disant seule-« ment : Je veux. » Comment co
tisation préalable, qu’en savez-vous? Sans endormir préalablement mon
sujet
. Qu'importe pour l’existence du fluide? Lorsque v
gnétisme n’était ni une imposture, ni une illusion ; que ses nouveaux
sujets
le considéraient au contraire comme une des vérit
aint d’en attester la vérité. Il sentit en philosophe l’importance du
sujet
par rapport aux facultés cérébrales et aux propri
la persévérance qui ont caractérisé ses recherches sur ce mystérieux
sujet
, désignent M. Esdaile comme un homme qui mérite l
mé d’une polémique entre l’abbé Loubert et VUnivers dit religieux, au
sujet
du magnétisme dans ses rapports avec le catholici
nu des allusions même les plus éloignées et les plus générales sur ce
sujet
; dans les entretiens particuliers, j’usai de la m
l'univers, qu’il ne connaissait pas non plus. Je le questionnai à ce
sujet
, dans son état mesmérique, cl ce qui est remarqua
its, comme nous l’avons expliqué dans notre chapitre qui traite de ce
sujet
. Ce que Swedenborg enseigne à cet égard favorise
d’avouer que, dans les questions de théologie et spécialement sur le
sujet
général de la Parole révélée, Davis va tout à fai
able à de l'eau qui a tout l'éclat du feu. N’est-ce pas ainsi que les
sujets
les plus lucides désignent généralement l’eau mag
ient parfaire la ressemblance de l’état de ces hommes, avec celui des
sujets
lucides. Nous savons tous que, revenus à l’état d
cune chose. Que si, par exemple, on les fait parler ou écrire sur des
sujets
qui dépassent leurs connaissances acquises, éveil
eilleuses à ses cinq commis? Mais comment dicter, en même temps, cinq
sujets
différents à cinq scribes doués de la plus grande
dans l’Esdras de notre chronique, qu’un magnétiseur agissant sur cinq
sujets
qu’il dirige, étant peut-être lui-même en extase
r. Pour le moment, nous ne citerons que celui de G. Bush, qui fait le
sujet
de notre présent examen, et dans lequel J. Davis
ter chacun selon sos nerfs. * Ce sont les nerfs, etc. D’après mon
sujet
je rac guide, ■ C’est par lui-même que j’appren
avait gardé un souvenir assez précis pour en écrire immédiatement le
sujet
. Ce morceau n'ayant d’autre mérite à ses yeux que
dissidence d’opinions qui pa-« raît exister aujourd’hui entre nous au
sujet
du « fluide magnétique. » Et plus loin : « Je
Que le magnétiseur met enjeu son âme, sa volonté, el ne pénètre le
sujet
qu’il magnétise d’aucun fluide. Que dans la mag
et ça n’apprend rien. Quand j’entendais des magnétiseurs dire à leur
sujet
: lîtes-vous trop chargé? Youlez-vous que je vous
c’est que si vous poussez le détachement à l’extrême, vous tuez votre
sujet
. Je sais que vous pouviez m’objecter que vous le
avoua que, voulant éprouver s’il aurait la même action que moi sur le
sujet
, il avait voulu que le somnambule s’arrêtât au ch
tout le monde fût â même de s’initier au magnétisme ! Vous verrez le
sujet
le plus extra-lucide qui ait jamais paru !.... »
t des inscriptions mystiques: Révélation du passé, du (1) Voir à ce
sujet
, page 73 et suiv. de ma Physiologie du Magnétisme
mission. C’est la première fois que cette tâche est à remplir ; si le
sujet
n’en était restreint, votre bienveillance me la r
e ayant fait retrouver les billets de banque volés; ayant dit vrai au
sujet
des trois étages de caves, et par là fait découvr
lu en donner d’abord la suite. Cette nouvelle affaire nous offre le
sujet
d’une remarque bien intéressante, et la confirmat
e poète préparait en secret pour M"* Rachel. Le but de l’auteur et le
sujet
de sa pièce auraient été ainsi divulgués. — Le
est entré en vogue de plaisanterie ; le Journal pour rire en fait le
sujet
de bouffonneries dans ses numéros des 4 mai ; ier
uide devrait endormir demain comme aujourd’hui, tandis qu’on voit des
sujets
rester insensibles à l’action qui la veille les a
e spontanéité : la volonté s’éteint. J’ai fait ces expériences, et le
sujet
succombait fatigué horriblement, faisant ce jour
e extrême, pour qu’on ne soit pas abusé, malgré toute la bonne foi du
sujet
. Les effets nerveux les plus simples, tels que
a science humaine, je ne saurais formuler un jugement sur l’important
sujet
dont s’occupent nos maîtres. Ma tâche doit se bor
l’extrême sensibilité physique. J’appuie sur ce dernier mot; car mon
sujet
n’a jamais éprouvé ni sommeil, ni hallucinations,
et d’une volonté fortement concentrée, j’ai fréquemment influencé mon
sujet
à son insu ; tantôt l’attirant et le collant à la
ne homme pût s’apercevoir de mon action). Un tressaillement marqué du
sujet
m’annonçait que l’ordre allait être exécuté. En e
cher un adolescent de lire de mauvais livres. Dans ce phénomène, le
sujet
n’a fait que traduire l’acte de ma volonté magnét
soudée. Dans cette expérience, je n’avais qu’un but : influencer le
sujet
d’une manière quelconque. Restée neutre après l’a
Avis. 11 faut toujours démagnétiser le siège où l’on a opéré sur un
sujet
d’une grande sensibilité physique; car celui-ci o
Je promène ma main en ligne droite sur le parquet. Je fais placer le
sujet
au point de départ : bientôt, si vive que soit sa
mprimé au fluide le repousse avec force. Attraction divergente. Mon
sujet
élant debout, je simule une ligne en avant, parla
Je trace un cercle avec la main, toujours sans intention arrêtée. Le
sujet
est placé au centre. Bientôt le haut du corps ond
cercle, acte que je n’accomplis qu’avec difficulté; car les pieds du
sujet
, en vertu de la force centripète, tendent obstiné
que du centre, le mouvement ondulatoire ne se produit plus ; mais le
sujet
attiré à la circonférence est forcé d’accomplir s
nchissable, au moins pendant un certain temps. Si, au contraire, le
sujet
était hors du cercle, et que je l’engageasse à y
rt, consulta trois de ces dames, dans la seule journée du 26, sur des
sujets
divers. Sa conviction fut faite à partir de ce jo
nous, même dans leurs manifestations les plus ordinaires, d’éternels
sujets
d’étonne-ment cl d’admiration ; et nous voudrions
soutenu avec vous la conversation, la discussion sur toutes sortes de
sujets
; il a éprouvé des émotions diverses, il a chanté,
actions calmantes, salutaires; ils se montrent ordinairement chez les
sujets
nerveux et mobiles, et ne paraissent être autre c
’exercice de sa profession de médecin. Le récit nous tentait; mais le
sujet
esl délicat, el l’histoire d’ailleurs aurait pu ê
nétisme, qui n’oseraient certainement pas écrire leur croyance sur ce
sujet
, tant il reste encore de préjugés à vaincre et d’
nétisme; la faute a jusqu'ici élé commune à ceux qui ont écrit sur ce
sujet
. Ils ont négligé un peu trop d'étudicr l’agent, c
D. Comment s’est manifestée chez elle la prescience?— R. Elle était
sujette
à des accidents nerveux, et avait été guérie par
ine universelle n’est autre chose que l’esprit vital renforcé dans un
sujet
convenable— Celui qui connaît l’esprit universel,
, qui est le plus souvent observée dans les hôpitaux. Chez tous les
sujets
soumis à notre examen (malades d'asile, par con
ativement très rares. De plus il ne suffit pas de constater chez un
sujet
, d'une part des troubles psychiques, d'autre pa
là &t<p<'7;'t'e, 11 décembre 1890. 4 CLINIQUE NERVEUSE.
sujets
du troisième groupe rentrent dans le cadre de not
, tous ces troubles psychiques d'origine toxique qui frappent des
sujets
prédisposés, par leur hérédité ou leurs antécéden
Cet état aigu ne dura que quelques jours, mais depuis le malade est
sujet
à la céphalée et aux étourdissements. II a remarq
es détails sur son état de santé anté- rieur. Il nous dit qu'il est
sujet
aux maux de tête, aux etourdisse- ments, et qu'
t de mesurer avec précision le niveau mental et l'ins- truction des
sujets
, la durée et l'intensité des réactions psychiques
patients puisse avoir lieu sans retard; 3° En cas d'admission de
sujets
pour lesquels il n'y a pas de certificat d'inte
ante au point de vue de l'étude de l'évolution des psychoses. Les
sujets
de nationalité hessoise mis en liberté peuvent êt
la policlinique a traité 10 malades, parmi lesquels 48 nerveux, 37
sujets
atteints d'affections organi- ques du système n
mmes, aux 3/4 , et pour les femmes, aux 2/3 de la population. Les
sujets
admis peuvent être classés ainsi au point de vue
et relatant les faits qui motivent cette opinion. S'il s'agit d'un
sujet
dangeieux pour la sécurité publique, le maire t
née par le Directeur. Peuvent être mis en liberté non seulement les
sujets
guéris ou améliorés, mais encore les malades no
in d'être traités dans un établissement spécial. §23. La sortie des
sujets
Hessois est toujours une sortie provisoire, dan
t psychia- trique. On pourra, en effet, présenter aux étudiants des
sujets
atteints de maladies mentales chroniques et non
ui commence à verser dans la démence sénile. Les pa- rents de notre
sujet
sont morts, savoir : la mère, le 23 décembre 18
NANISME. 37 nature rachitique des déformations décrites chez notre
sujet
. Toutefois la cause en reste plus qu'obscure, m
e encore à l'intérêt qu'il pré- sente. Nota. Les photographies du
sujet
ont été exécutées par M. Guillot, étudiant de l
jour de sortie, il l'invective et bougonne toute la jour- née à ce
sujet
. Dans une promenade, si l'on ne revient pas par l
aires : il reste pendant celles-ci une empreinte sub- consciente du
sujet
de l'enseignement précédent, évidemment due aux
fai- blement agissent les idées dérivatrices. Levez l'autre bras du
sujet
, ou persuadez lui que la position qu'il a-est a
sur l'amnésie en général, et conclut que chez le malade qui fait le
sujet
de l'observation, la perte de la mémoire est ne
brales. M. Déjerine, a pratiqué dans sa carrière trois autopsies de
sujets
atteints du syndrome de Little. Un de ces sujet
trois autopsies de sujets atteints du syndrome de Little. Un de ces
sujets
présentait les lésions cérébrales classiques. U
concierges, qui assaillent le médecin de questions indis- crètes au
sujet
du malade qu'il vient de visiter. 11. PAUL AIag
isation brise les résistances conscientes on inconscientes chez les
sujets
peu ou pas du touthypnotisables; eile les rend
exaltation de l'émotivité et delà sugges- tionnabilité. Suivant les
sujets
et suivant leur cas pathologique, c'est l'une o
une aptitude echopraxique notablement plus développées que chez les
sujets
sains. Je ne crois pas que l'on puisse considérer
comme propres aux tiqueurs. On les observe, en effet, chez d'autres
sujets
, mais peut-être avec une moins grande fré- quen
tive dans l'exécution des actes comman- dés : l'écorce cérébrale du
sujet
doit intervenir à tout instant. La discipline p
ortée. ' 84 SOCIÉTÉS SAVANTES. La même méthode est applicable aux
sujets
atteints d'affections paralytiques. Rien ne sau
ents. La discipline psycho-motrice n'est pas moins profitable aux
sujets
, qui, par suite d'un trouble mental, se croient d
urs; mais elle exige aussi la répétition des efforts volontaires du
sujet
en vue d'exécuter l'acte prescrit. Lorsque le méd
e se base pas sur des formules préétablies : elle varie suivant les
sujets
. La meilleure psychothérapie est constituée par
ommaire. Père tuberculeux ( ? ). Oncle maternel paralysé, aliéné et
sujet
probablement à des accès d'épilepsie. Frère et
récisément une cause importante de son augmentation. Or, chez notre
sujet
, cette saillie gla- bellaire fait défaut, ce qu
esait 1245 grammes. Et n'oublions pas (ce qui est important) que le
sujet
n'avait qu'un mètre cinq cen- timètres de taill
subissent au sur et à mesure une transformation osseuse. Chez notre
sujet
le retard de l'ossifi- cation a laissé persisle
ertébrale qu'on a décrite dans l'observation prise durant la vie du
sujet
. Nous donnons néanmoins quelques mensurations,
rapide, la mort survint au com- mencement de septembre sans que le
sujet
ait cessé, malgré les médi- caments calmants, d
l'amélioration des accidents morbides ; six cas concer- naient des
sujets
affectés d'épilepsie depuis 10 à 20 ans. On vit
ût et détermine un état extrêmement pénible. Néanmoins le premier
sujet
n'avait plus du tout d'attaques le 5 juillet; les
r où la pression artérielle s'élève et d'augmenter la dose quand le
sujet
se trouve particulièrement abattu. 11<. LE12
montré que le type mélancolique se rencontre ordinairement chez des
sujets
qui ont dépassé l'âge moyen d'apparition de la
délusions. Le plus souvent ces malades sont bruyantes, obscènes et
sujettes
à des paroxysmes de violence. La manie est souv
pas jusqu'ici attiré l'attention qu'il mérite; la littérature de ce
sujet
est très maigre. Les registres de Broadmoor rel
onc. L'anesthésie bulbo-spinale s'observe principalement chez des
sujets
jeunes, sans causes tangibles. Les manifestations
tion qu'entre l'alcoolique et l'al- coolisé. Le morphinomane est un
sujet
chez lequel on ne peut supprimer la morphine sa
Médicale, 16 avril 1902). Sur les coupes de l'écorce du cerveau des
sujets
ayant succombé aux affections les plus diverses
rte qu'un crime peut être commis pendant une crise psychique par un
sujet
qui ne présente à ce moment aucun des symptômes
on extrêmement pauvre; elle est nulle dans la majorité des cas. Les
sujets
ne trou- vent aucune image dans la sphère corre
polarisent pas, elles nese déplacent et ne se mobilisent guère. Les
sujets
ne peuvent pas tirer aucun parti des contiguïté
arthriques et les traumatiques se com- portent a peu près comme les
sujets
normaux. La neurofibromatose. M. CESTAN. Prés
périeur. Abduction des orteils. M. l3amns ? montre' sur plusieurs
sujets
que le frottement de la plante du pied avec une
MM. Dufouii et Cnllx demandent l'avis des membres de la société au
sujet
d'une femme hémiparétique gauche dont les signe
a colonne verlébrale. MM. Léui et Mocquot présentent la moelle d'un
sujet
atteint de mal de Pott il y a huit ans et chez
enchaînent étroitement les unes aux autres, convergent vers un même
sujet
186 BIBLIOGRAPHIE. dont l'étude est envisagée
d'espace ne nous permet pas de passer en revue, dans le détail, les
sujets
traités dans les onze autres leçons. Nous ne 18
justifie par la compétence toute spéciale de celui qui traitait ce
sujet
, magistrat très expert doublé d'un médecin très
l; par exemple, par moment elle se tourmentait et s'inquiétait au
sujet
de cela qu'elle pensait qu'on lui avait changé so
uiet, une personnalité morale très bien conservée et les remords au
sujet
des désa- gréments qu'elle cause à son entourag
par exemple, la mère, possédant un caractère scru- pulo-inquiet et
sujette
à des phobies, craint d'une manière outrée le r
e, quarante-huit ans, ménagère, tempérament nerveux, caractère vif,
sujette
à des céphalalgies, ne paraissant pas de nature
n mort à vingt-quatre ans, de tuberculose pulmonaire; 3" une fille,
sujet
de l'observation. Antécédents personnels. Notre
nt toujours d'un mot grossier, ce qui était pour les élèves un vrai
sujet
de distraction ; on se rappelle entre autre ce
le, comme le dit le D1' Sérieux, « nous pou- vons classer nombre de
sujets
, longtemps considérés comme at- teints de psych
facteurs étiologiques fai- saient défaut, ceux où il s'agissait de
sujets
normaux, bien doués intellectuellement avant l'
es troubles mentaux, ou au 222 ), SOCIÉTÉS SAVANTES. contraire de
sujets
originaux, excentriques ou considérés comme fai
n certain nombre d'observations dans lesquelles les antécédents des
sujets
seront soigneusement recueillis en même temps q
en recher- chant dans les antécédents personnels et héréditaires du
sujet
quelle pouvait être la cause de cette affection
mme le produit de l'automatisme céré- bral. Chez deux catégories de
sujets
, en effet, ces troubles moteurs revêtent les mê
aites, des mouvements de peu d'étendue, qui s'exécutent à l'insu du
sujet
, qui n'ont aucune signification et durent parfo
sensation de fatigue ? L'origine et la permanence de tics, chez des
sujets
pour le reste normaux, s'explique, comme l'a mont
intérêt à rechercher l'existence de ces phénomènes chez tous les
sujets
, de même qu'on explore aujourd'hui l'état de la r
surtout, si l'on retire brusquement les mains, on voit les bras du
sujet
tomber, suivant la loi delà chute des corps, avec
u quatre oscilla- tions d'amplitude décroissante. , Chez certains
sujets
, les choses ne se passent pas ainsi. D'abord le
mêmes conditions, donne en outre des indications sur l'aptitude du
sujet
à répéter inopportunément la même contraction mus
nservent leur inertie lorsqu'on cesse de les mouvoir. Chez certains
sujets
au contraire (en général les mêmes que précédem
s la moelle des paralytiques. Toutefois, je suis plus exigeant à ce
sujet
que les auteurs classiques et je ne veux pas co
de multiples stigmates de dégénérescence. Enfin, l'idiotie de nos
sujets
rachitiques s'était développée après une inlect
. P. JOIRE (Lille) définit le trac; une phobie qui se manifeste, au
sujet
de l'accomplissement d'un acte extérieur, sous l'
rieur, sous l'influence de la présence d'individualités diverses.
Sujet
. La maladie évolue sur un terrain prédisposé (hys
orité vis-à-vis d'un public dont toute l'attention est fixée sur le
sujet
. Objet. - L'objet du 1 iac est repré- senté par
ées, restent indéfiniment stationnaires, sans que l'état général du
sujet
s'altère, et sans qu'il apparaisse de nouveaux tr
e partie des muscles des membres in- férieurs. Il en résulte que le
sujet
, tout en conservant sa santé, mar- che avec les
éliorer dans des proportions si considérables que la vie sociale du
sujet
est totalement changée. Pour cela, il faut une
chaque année, pour cause de bégaiement, elle porte donc sur 50.000
sujets
environ. Il résulte du travail de M. Chervin qu
sont clos, mais il est alors plus difficilement appréciable. Sur un
sujet
qui dirige au commandement ses yeux en haut et
écrivains MM. E. Brissaud, L. Hallion et H. Neige (de Paris). - Un
sujet
atteint de crampe des écrivains présente en mêm
de la chaleur se fait sentir beaucoup plus tardivement que chez un
sujet
normal. On peut interpréter de trois façons la
ie a fait connaître depuis long- temps les troubles vao-moteurs des
sujets
porteurs d'une lésion exclusivement corticale (
dance d'un trouble corti- cal. Le deséquilibre psychique évident du
sujet
ne peut que confir- mer cette hypothèse. Tics
es d'épiderme soulevé provoquent une sensation désa- gréable que le
sujet
cherche à faire di-paraitre par un frottement d
qui nous ont paru être en rapport avec l'état du tonus. i° Chez les
sujets
sains et pour un muscle déterminé, le nombre de
nécessaires a toujours été notablement supérieur à la moyenne des
sujets
sains. Deux cas seulement faisaient exception, ma
uvés ont tou- jours été faibles, un peu inférieurs à la moyenne des
sujets
sains. De ces faits nous sommes amenés à conclu
des de fa;on à permettre l'élimination totale de la fatigue chez le
sujet
normal. Dans ces conditions, sur un individu sa
ues, au contraire, après le tracé d'épuisement, analogue à celui du
sujet
sain, t'ergogramme de Maggiora (contractions espa
lentement et dont les extrémités soient interchangeables, selon les
sujets
et leur dentition, tantôt minces, tantôt larges
débute à l'époque de la naissance. Nous avons constaté que les deux
sujets
nés après terme et vivants (l'un d'eux a même véc
'ont ni moelle, ni cerveau, et de ceux qui n'ont qu'une moelle, aux
sujets
qui possèdent un bulbe et que nous proposons de
es de persécution se sont développées aussi. La débilité mentale du
sujet
est le facteur étiologique de tous ces troubles
le trac des artistes par la suggestion hypnotique. J'applique à ce
sujet
une méthode rigoureuse dont voici les temps pri
udedePetikan)et des effets bien connus, et variant suivant l'âge du
sujet
, de la castration chirurgicale, telle qu'on la
tions. Enfin il peut provoquer l'éclosion de cette névrose chez des
sujets
jusqu'alors indemnes, qui sont des prédisposés
plus néfaste car elle serait capable de créer la névrose chez des
sujets
qui n'en étaient point atteints. Comme pour les
ciale à la vieillesse. Cette neurasthénie sénile peut atteindre des
sujets
ayant eu antérieurement des accès de la ma- lad
er sur un fauteuil dans le cabi- net médical prétendant qu'il était
sujet
à des attaques à la suite desquelles il restait
rieux de connaître mon appréciation sur son compte, il me pose à ce
sujet
les questions les plus diverses; tantôt en se m
ns préju- dice des craintes d'évasion que l'on a constamment à leur
sujet
. A défaut des asiles-prisons 1, réforme admise
ds, Bourneville, Iluglilings Jackson et Gowers, etc., ont traité ce
sujet
et les vues bien connues de Hughiings Jackson s
ue, l'opinion publique s'était évi- demment peu à peu formée sur ce
sujet
, puisque, eu 1897, le docteur Rhodes et M. Me D
t des soins spéciaux. La colonie est actuelle- ment habitée par 172
sujets
, la maison de convalescence et la maison spécia
les autres enfants. Il ne devrait donc pas être permis aux enfants
sujets
à de violentes attaques de fréquenter l'école.
l'instruction des enfants faibles d'esprit et épileptiques, sur les
sujets
sui- vants : lecture, écriture, arithmétique, c
s, 1902. 320 0 SOCIÉTÉS SAVANTES. donné quelques indications a ce
sujet
. On peut admettre avec lui dans l'insomnie des
ar une dimi- nution de deux onces par rapport au poids antérieur du
sujet
. En rapport avec cette augmentation de poids ex
articulière en raison de l'application que nous pouvons en faire au
sujet
qui nous occupe. Il est loisible d'ad- mettre q
n action ; et c'est presque une superfétation que d'in- sister à ce
sujet
. Le chloral est un hypnotique pur et n'a pas d'em
tiques sans ses inconvé- nients. Le plus grand désaccord règne au
sujet
du e/ot'afmMf. Les SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 uns
être mieux éclairci, 'et il serait utile de faire une enquête à ce
sujet
, ainsi que sur les autres points de la question
ts. Il en fait ressortir l'imperfection de nos connaissances sur le
sujet
qui est encore à réétudier pres- que tout entie
n est la fonction la plus intimement liée au sommeil. Chez tous les
sujets
à nutrition retardante, la nécessité 330 SOCIÉT
la scopolamine, car il a eu l'occasion de consta- ter que, chez les
sujets
déprimés, cet alcaloïde était plus nuisible qu'
par simple persuasion. Citons encore un vieillard artérioscléreux,
sujet
à des crises ver- tigineuses, avec défaillance,
s périodiques peuvent survenir à heure fixe la nuit et réveiller le
sujet
en plein sommeil. C'est que le sommeil n'est pas
consciemment; mais c'est un autre état de conscience. Réveillé, le
sujet
ne se rappelle pas qu'il a pensé. On s'endort a
s applications thérapeutiques, 2° édition, page 213). De même, le
sujet
qui est habitué à avoir une douleur ou une autr
tre part, parce que l'amyotrophie a débuté, chez presque tous les
sujets
, dans un délai de sept à quinze ans après le chan
st occupé par un travail intellectuel intense, comme aussi chez les
sujets
distraits, on observe fréquemment des mouve- me
ns signification spéciale ; ils s'exécu- tent également à l'insu du
sujet
et pourraient durer parfois pen- SOCIÉTÉS SAVAN
sensation de fatigue. L'origine et la permanence des tics, chez des
sujets
pour le reste normaux, s'accordent également av
que l'action de lécher devient per- manente, involontaire, chez des
sujets
prédisposés par un état psy- chopathique spécia
s grand succès dans beaucoup de cas. En 1896 il a parlé sur le même
sujet
au Congrès de Psychologie à Munich. Beaucoup de
i, toutefois, reste souvent inefficace, parce qu'il s'adresse à des
sujets
qu'on n'a pas, au préalable, rendus aptes à être
alaise ; il peut être administré avant ou après les repas, chez des
sujets
jeunes ou vieux, assis ou couchés,'dégrafTés ou
inconscientes sont bri- sées. Devenu éminemment suggestionnabie, le
sujet
présente de l'hyperacuité auditive, de 1'liyper
oit spontanément, soit à la suite de sollicitations suggestives, le
sujet
confesse au médecin des obsessions, des pho- bi
longévité qui auraient fait défaut dans la vie libre; en effet, tel
sujet
demeuré libre aurait versé dans les excès de la
roupe d'études soit constitué pour en établir le relevé exact. A ce
sujet
il rappelle que les sui- cides en Angleterre av
est surtout indispensa- ble de savoir que les hystériques sont plus
sujettes
que les autres névropathes à s'habituer à la mo
iques n'est pas seulement une faute thérapeutique, c'est exposer le
sujet
à une maladie qui peut devenir une infirmité in
nécessitée l'ablation d'un fibrome utérin. Comme on le devine, le
sujet
était une hystérique qui, à la suite du traumat
ableau clinique est soumis à des variations individuelles. Selon le
sujet
, selon l'ancienneté de l'affection, selon l'inten
accidents convulsifs du spasme facial se présentent chez cer- tains
sujets
avec les allures de ceux qu'on a coutume de ratta
ne morbide porte toujours le cachet des réactions per- sonnelles du
sujet
qui en est atteint. De lit tant de variantes indi
queuse qui présente la structure de la muqueuse olfactive d'un, k,
sujet
de cet Age Elle est siinpleiiierit un peu iiioiti
ues précis, dans des conditions déter- minées. L'auteur examine les
sujets
de 10 heures à midi, api es le petit déjeuner,
r le nerf malade, elle s'élève de 25 et de 30 millimètres. Chez les
sujets
sains, le pince- ment douloureux de la peau pro
F. de SOELDER. (iyell- rolog. Centrctlblatt XXI, 1902). Priez le
sujet
d'ouvrir légèrement la bouche, tirez la lèvre inf
e, l'amplitude même des ondes respiratoires est diminuée ; quand le
sujet
passe de l'état de veille à l'état hyp- notique
in, le sommeil ne cesse d'avoir un aspect naturel, à voir dormir le
sujet
, on se serait cru en présence d'une personne acca
des canaux déférents, qu'il a pratiqué quarante-deux fois chez des
sujets
dont l'âge variait de dix-sept à vingt-cinq ans,
la tendance mégalomaniaque du moi ; par une certaine lucidité : le
sujet
a quelque conscience de son état mor- bide et,
orins, infirmière en chef 175 à 225 florins. Ces salaires, pour les
sujets
qui le méritent, augmentent chaque année de 10 fl
1 et 2, 1899 480 CLINIQUE MENTALE. mulalion, les réticences du
sujet
; avec les modifications qui résultent dans un
ela », déclare la malade, lorsqu'on l'interroge au moment même à ce
sujet
. Les autres, elle les a entendues, mais elle nie
la parole entendue, telou tel fait qui se passe devant les yeux du
sujet
devient, le point de départ d'un monologue qui
ucinations unilatérales (Encéphale, 1881, n° 4). 1 J'élimine de mon
sujet
les lésions corticales unilatérales, dont le rô
r Joffroy : la prédisposition : « C'est l'état llallucinogénique du
sujet
et non la lésion cérébrale qui a fait l'halluci
f produira non pas une hallucination, mais une inler- prétation. Le
sujet
n'entend pas de voix, mais il atlribue aux bour
allucinations de l'ouïe sont variables suivant la prédisposition du
sujet
et selon l'influence exercée par la lésion sur
occupa- tions morbides, si son attention vient à être fixée sur des
sujets
différents, la tête reprend immédiatement son a
urnal of Mental Science. Avril 1902 ) Dans un mémoire sur le même
sujet
publié par l'auteur en 1899 en collaboration av
la Seine dans les asiles des autres départe- ments, cette thèse est
sujette
à caution. (U.) 5t6 asiles d'aliénés. les mal
ots, des maniaques en état de récidive, des fous circulai ! es, des
sujets
à la maladie organique desquels s'ajoutent quel
ait pas devoir dépasser 25 dans une salle d'aigus, de malades ou de
sujets
affaiblis, mais peut aller jusqu'à quarante dan
l 1902). Dans ce travail, pourtant assez court, l'auteur aborde des
sujets
nombreux et divers : il s'occupe successivement
bulboprotubérazatielle. MM. Léopold Lévi et Melloizel présentent un
sujet
de trente ans victime d'un accident du travail
es accessoires l'hémianesthésie droite et le pleurer spasmodique du
sujet
. M. 13ABi.NsKi à l'appui des conclusions de M.
ental des aphasiques ne ressemble guère à l'automatisme normal. Des
sujets
n'ont pas à leur disposition cette ressource ri
L'automatisme mental des aphasiques se polarise faci- lement ; les
sujets
sont comme intoxiqués par un mot, par une image
é pathologique progressive. Voilà le but de mes recherches sur ce
sujet
que ]'ai entreprises ' il y a déjà quelques ann
ules d'épiderme soulevé provoquent une sensation désagréable que le
sujet
cherche à faire disparaître par un frottement d
r l'étude méthodi- que et comparée de six moelles appartenant à des
sujets
morts à un âge adulte, et n'ayant présenté pend
absolu- ment normales. Pas de troubles trophiques; rien à noter au
sujet
des troncs nerveux. Le thorax ne présente rie
de deux cas étudiés dans mon laboratoire. Dans la névrose des deux
sujets
la sclérose leur a paru bien différente de celle
certaine nervosité psychique et physique. Impressionnable, émotive,
sujette
à un tremblement oscillatoire, rhythmique, laté
aphique qui donne toutes les sources auxquelles on peut puiser sur ce
sujet
jusqu'en 1895. Le tabes métatraumatique a donné
llaire et par des symptômes en rapport avec l'impressionnabilité du
sujet
. Ainsi présentée, nous arrivons, je crois, sans
est très apparent. On le recherche en faisant par exemple exécuter au
sujet
une série de mouvements rapides de pronation et
gistes (Pau, août 1904). \.\.111 4 50 LAMY j'avais réunies à ce
sujet
(1). Il a pensé qu'elles avaient quelque intérêt
almier, a sa limite su- périeure à une hauteur variable suivant les
sujets
(de la 6° à la 2' côte) ; il donne naissance à
pas moins distincts et forment deux reliefs séparés chez cer- tains
sujets
. Superficiels dans leur partie lombaire et dorsal
sciences naturelles, 1872j t. 51 série. 52 LAMY P. Richer, à ce
sujet
, dit, après avoir décrit les contractions muscula
E CHEZ L'HOMME 53 région à ce moment, ni l'inspection du nu sur les
sujets
maigres n'y révè- lent de contraction. Quant à
ès nombreux ; et il faut tenir compte de ce fait dans le choix d'un
sujet
d'expérience. En ce qui concerne la contraction
artie inférieure. Elle est cependant assez caractéristique chez les
sujets
maigres pour nous renseigner sur l'état de la mas
ombaire. On trouvera dans le livre de M. P. Richer des détails à ce
sujet
(1). (1) P. I;ICII6a, loc. cil., p. Ill. On tro
itiés sont symétriques, sa forme varie seulement un peu suivant les
sujets
. Chez les individus peu muscles ou gras, les de
qui, selon lui, indiquent le relâchement du muscle sous-jacent. Le
sujet
vient-il a cambrer le tronc en arrière, la masse
ns maintenant ce qui se passe dans le pas, en faisant marcher noire
sujet
« une laçon un peu blil. un pian Horizontal . rre
est le côté oscillant, quel est le côté portant, à condition que le
sujet
d'expérience soit maigre et bien musclé, el que
nu, sur la comparaison de photographies instantanées en série d'un
sujet
mar- chant, vu de face. C'est évidemment la m
aboutit est un argument pé- remptoire contre l'opinion de Gerdy au
sujet
du rôle de la masse sacro- lombaire pendant la
er, loc. cil., p. 253. Voir le schéma très explicite qu'il donne à ce
sujet
, p. 251. 58 LAMY bilatérale, qui parait avo
aucoup plus fréquente que la vraie maladie de Paget. Il s'agit de
sujets
dont l'âge varie de 70 à 80 ans au plus. Ce qui f
alons. (Voir PI. IX et X, spécialement A et B, E et F) (1). Chez un
sujet
bien con- formé, lorsque les talons et les mall
des trochanters fait une saillie plus prononcée que l'autre. Les
sujets
observés étaient tous des vieillards de 70 à 80 a
urs déformations. Dans ce but nous avons procédé sur une dizaine de
sujets
aux mensurations habituelles en anthropométrie. N
e la taille ne peut d'ailleurs nous fournir aucune donnée, tous les
sujets
étant plus ou moins cyphotiques. Pour la même r
le, beaucoup de ces cy- phoses sont apparues longtemps après que le
sujet
eût cessé tout travail fati- gant. -Nous pouv
s appétits, du langage, des gestes, etc., modification telle que le
sujet
semble transformé, pour un temps plus ou moins lo
tient proprement au Médecin. On sait assez ce qui est arrivé sur ce
sujet
, sans que je m'étende davantage ou à répondre à l
momie ». C'est à cette occasion que Paré écrivit son mémoire sur ce
sujet
. La poudre en ques- tion était administrée aux
crois pas vous être désagréable en n'insistant pas davantage sur ce
sujet
. Le traitement des bubons est supérieur à tout
aux bras les fers avec lesquels on avait coutume d'immobiliser les
sujets
à grands paroxysmes (3). Ceux qui avaient « l'e
prédicateur et thaumaturge, il s'arrêta au retour de (1) Voir à ce
sujet
, M. l'abbé J. FAivnz, Vie de Saint Dizier tirée d
me, comme à Gheel, une tentative d'assistance familiale. « Quand un
sujet
était admis au traitement, dit t M. P. J. Talio
s ai présenté un cas classique de ma- ladie de Friedreich, et, à ce
sujet
, j'ai étudié devant vous l'histoire déjà longue
des variations importantes de cette anatomie pathologique suivant les
sujets
et, surtout, suivant les familles. Mais, ce q
s faits, les examens ont été plus complets et je me permettrai à ce
sujet
de relater les constatations (1) L'autopsie du
ivers symp- tomes ayant été suivis jour par jour jusqu'à la mort du
sujet
. Magl.... Lorenzo, tailleur de pierres, âgé de
question le problème du diagnostic topographique qui se pose à leur
sujet
, est beaucoup plus difficile. C'est que nous ne s
ernières années, une nouvelle forme d'oedème a été décrite chez les
sujets
qui, comme ceux affectés par la maladie de Quinke
parut dans le Wrnlch un second tra vail du même auteur sur le même
sujet
. Dans ces deux articles l'auteur indi- que pour
liose croisée. Ce qui est digne de remarque, c'est la façon dont le
sujet
fait passer son tronc d'une position à l'autre.
acement est insignifiant par rapport à celui qui se produit chez un
sujet
normal .inclinant son tronc alternativement à d
peu 1 fréquente. , Quant à la manoeuvre très spéciale que fait le
sujet
pour passer d'une position à l'autre, l'interpr
sychique à ces déformations. 1 J'ai vu, pour ma pari, chez certains
sujets
atteints de torticolis mental, des déformations
nd des observateurs également consciencieux aboutissent sur un même
sujet
à des opinions contradictoires, plutôt que de pen
es contributions nouvelles. De plus, la possibilité de sacrifier le
sujet
au moment opportun et de fixer les pièces d'une m
ire remarquer que l'examen histologique du système nerveux de notre
sujet
montre que les lésions observées sont comparables
iques est bien connue au point de vue cli- nique et reste encore un
sujet
de discussion au point de vue pathogé- nique.
fection ; nous avons pu faire sa nécropsie et son observation fait le
sujet
de notre travail. Les observations jusqu'ici
comme c'est le cas fréquent pour les maladies qui sai- sissent les
sujets
de cette classe, peuvent se présenter avec un car
t se souvenir que le trophoedème chronique peut être simulé par des
sujets
hystériques par la ligature prolongée du membre
a- tions, la fréquence de l'association des deux formes sur le même
sujet
nous donne la persuasion qui nous fait repousse
on toute récente de MM. Monro et Gregor (41) suivie d'autopsie : un
sujet
présenta des éruptions d'urticaire, des poussée
peuvent même très souvent se trouver associées sur la peau du même
sujet
comme des nuances d'un seul phénomène. Nous a
: LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 261 Chez certains
sujets
l'oedème de Quinke avec ses caractères classiques
eur avait été précédé par un oedème passager. Enfin dans certains
sujets
l'oedème s'établit en ayant tout d'abord un car
ariété de la ma- ladie de Quinke qui peut se présenter chez le même
sujet
, ou bien dans la même famille (Blau), ne présen
que les deux formes peuvent se présenter simultanément sur le même
sujet
(troisième observation d'llertoglae). Et pour l
observations de trophoedème familial de Mil1'oy (68) (6 obs. sur 22
sujets
de la même famille), de Meige (57) (8 obs. sur
s), de Lannoy (59) il obs. dans 3 générations), de Tobssen ( ? ) (4
sujets
de la même famille) (69). Au point de vue du te
icaire, oedème de Quinke, trophoedème de Meige se montrent chez des
sujets
d'une constitution semblable, sous l'influence
tes ces formes peuvent se présenter dans le même temps chez le même
sujet
, ou bien se succéder les unes aux autres. Pour ce
siques. Lorsque nous glissons le manche du marteau sur la peau d'un
sujet
neurasthénique, nous pro- duisons une poussée l
gustative d'une substance douce ou aigre était suffisante ; pour le
sujet
de Levis (78), le simple toucher de certaines g
du côté hémiplégique. En outre,dans les antécédents familiaux des
sujets
, avec les oedèmes de Quinke nous trouvons très
e. Dans le dermographisme on peut observer sur la peau des di- vers
sujets
, ou même du même sujet une ligne rouge plate ou b
e on peut observer sur la peau des di- vers sujets, ou même du même
sujet
une ligne rouge plate ou bien une ligne pâle po
sur la pathogénie des oedèmes. Un jour Heidenhain ayant observé un
sujet
qui avait pré- senté des oedèmes de la moitié g
la physiogénie de la lymphe et de l'oe- dème en général. Chez un
sujet
qui présentait depuis quinze jours des oedèmes de
on lymphatique soit normale. Ces centres présentent t dans certains
sujets
une labilité spéciale qui se manifeste par une te
lles sous l'influence des intoxications. Dans une deuxième série de
sujets
les mêmes désordres fonctionnels se présentent
ons anesthé- tiques [Schlesinger (47). Le même auteur a observé des
sujets
affectés de syringomyélie qui ont présenté des
Il s'agit évidemment dans ces cas d'une urticaire vulgaire chez des
sujets
chez lesquels les centres ou les voies dont nous
ails si précis confirment le diagnostic de maladie de Paget chez un
sujet
qui avait l'at- titude caractéristique, les jam
26 mai 1905. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS UNE FAMILLE DE QUATRE
SUJETS
ATTEINTS DE DYSOSTOSE CLÉÏDO-CRANOENNË HÉRÉDITA
ayant constaté l'anomalie qui nous occupe, dès la naissance de notre
sujet
, l'a recherchée de parti-pris sans la retrouver
és du sternum un fragment interne de clavicule, asymétrique chez ce
sujet
et mesurant 3 centimètres à ,droite, et 4 centimè
rrière (distance interacromiale); il y a donc comme chez les autres
sujets
une projection des épaules en bas et en avant.
l semble de plus qu'aucun mouvement normal ne soit entravé chez ces
sujets
; ils peuvent se hisser à la force des poignets,
no- tre ami M. le Dr Couvelaire, ontbien voulu nous procurer sur ce
sujet
des documents et des renseignements précieux do
ctères particuliers de la face et l'hérédité proba- ble, le père du
sujet
ayant présenté le même crâne et les mêmes trouble
il existe deux fragments, parasternal et paracromial comme chez nos
sujets
; ce dernier, conique ou de forme normale, est fo
s touchés. Nous avons vu plus haut que l'examen électrique de notre
sujet
n° 2 n'a pas montré de grandes perturbations da
nos observations ainsi que celles de notre tableau montrent que les
sujets
peuvent être très vigoureux et très habiles. Da
pas porter long- temps son enfant sur les bras. Par contre tous ces
sujets
présentent une mobilité anormale et bizarre de
de ; il est impossible de la produire nettement chez la mère de nos
sujets
dont l'anomalie est unilatérale et chez le mala
norme à l'âge de 2 ans. Il n'y a aucun rapport en- tre l'<ige du
sujet
et le degré de persistance des fontanelles : dans
pparents chez le malade n° 1 de Pierre Marie et Sainton et chez nos
sujets
; ils concordent avec les recherches anatomique
tz et Louste entr'au- tres mentionnent la ressemblance frappante du
sujet
avec son père et concluent cependant à une dyso
éconnue par cet au- teur. Carpenter invoque chez les parents de ses
sujets
les courbures exa- gérées des clavicules et les
ires, preuves de l'atteinte générale du squelette. Presque tous les
sujets
sont de petite taille ; il suffit de parcourir no
vec le retrait du massif facial. Signalons la netteté chez tous nos
sujets
de la voûte ogivale et de l'irrégularité de la de
anomalie aurait pu passer inaperçue à la vue chez la plupart de nos
sujets
si le toucher n'était venu confirmer le dia- gn
vocat (6). Ce qui frappe,dès l'abord, c'est le bon état général des
sujets
; l'embonpoint, noté par tous les auteurs, corr
ition squelettique que nous retrou- verons tout à l'heure. Chez les
sujets
adipeux à l'excès, cette disposition du cou amè
, chez l'un des foetus communiqués par M. le professeur Prenant. Ce
sujet
ne présentait ni engonce- ment de la tête, ni p
ticularités intéressantes à noter. C'est ainsi que chez l'un de mes
sujets
(fig. 2), la tumeur correspondait, extérieurement
plète d'adhérences, céphaliques ou autres, chez l'un quelconque des
sujets
que j'ai examinés. Les adhérences, on le sait l
e placenta. Je n'ai observé rien de tel après examen attentif de 12
sujets
. II. LE SQUELETTE. La description du squelett
es dispositions squelettiques, que pour trancher certains points au
sujet
desquels les différents travaux apportent des s
n'existe aucune trace de la voûte ; corrélativement, l'exorbitisme du
sujet
est moins accusé. Mais il n'existe aucune aut
et celles que j'ai pu relever dans les publications relatives à ce
sujet
, il s'agit d'une cyphose. Dans ces conditions,
d'une déviation latérale, quej'ai trouvée à gauche chez l'un de mes
sujets
, mais qui doit évidemment pouvoir se faire auss
ituation, soit accompagnée de mo- difications articulaires. Sur les
sujets
soumis à mon observation, j'ai constaté quelque
st pas rare, je l'ai observé une fois (PI. XLIV-B) ; chez un de mes
sujets
, le nez présentait un seul orifice (PI. XLIV-A)
ue. D'autre part, il ne m'a pas été possible de discerner, chez les
sujets
dont j'ai disposé, autre chose qu'une tumeur en
ulement, pour l'ins- tant, que le bulbe existe encore chez certains
sujets
. Le fait est du reste sans importance appréciab
nerveux. L'examen histologique nous renseignera plus amplement son
sujet
. Chez les individus à canal rachidien ouvert, l
ntrairement à ce que l'on trouve dans la plupart des travaux sur ce
sujet
, ce côté de la question ne sera pas abordé ici.
lle, com- mence à apparaître un processus, peu marqué chez certains
sujets
, beaucoup plus net chez d'autres : ce sont des
vue, divers cas par- ticuliers. C'est ainsi que, chez l'un de nos
sujets
, l'inflammation descendait jusqu'à la pointe la
demi-canaux nettement séparés l'un de l'autre. Or, chez l'un de mes
sujets
, on observe que ces deux parties disjointes de
peuvent être parfois ménagées ; même il est probable que, chez les
sujets
dont moelle et cerveau ont disparu, la propagat
ute ; la comparaison des coupes pré- levées sur l'un quelconque des
sujets
ne révèle aucune différence essentielle. C'est
, nous l'avons également observé dans la tumeur cérébrale de certains
sujets
; il s'agit donc d'un processus général, grâce
plus curieux et les plus instructifs. En particulier, Pur des deux
sujets
que j'ai observés nous sera d'un grand appui pour
à la Société de Neurologie, séance du 2 mars 1905. Ils ont fait le
sujet
d'une leçon clinique du dimanche (Hôtel-Dieu, a
u nystagmus nous dispenseront de nous appesan- tir davantage sur ce
sujet
. La notion de la sclérose en plaques familiale ou
le malade dont je viens d'entretenir la'Société, mais chez un autre
sujet
, atteint de la même affection, que j'ai pu soum
synergie paradoxale peuvent être reproduites avec rigueur chez les
sujets
normaux par l'électrisation de certains filets du
ause ? Il est facile de la déterminer, en complétant l'examen de ce
sujet
chez qui on trouve un ensemble de signes qui con-
issaud, en effet, dont j'ai rappelé les intéressants travaux sur le
sujet
qui m'occupe, s'exprime à cet égard de la maniè
cupe. J'ai eu récem- ment l'occasion d'examiner une femme qui était
sujette
à des crises d'épi- lepsie jacksonienne limitée
s « 'synergiques pa- radoxales ». C'est ce qui avait^lieu chez un
sujet
d'une soixantaine d'années que j'observe actuel
e veux insister ici. , La paralysie ne se traduit au repos, chez ce
sujet
, que par une légère déviation en bas de la comm
ure, chez un malade atteint de cette maladie. ' En outre, le même
sujet
(l'aîné), se fait remarquer par un autre phéno-
ces deux variétés, il faut reconnaître que les idées exactes sur ce
sujet
ne datent guère que de la dernière moitié du si
. Enfin il est assez fréquent d'apprendre que l'enfant est ou a été
sujet
aux convulsions, qu'il a des terreurs nocturnes,
iagnostic précis : 9 Leur reproduction par suggestion chez certains
sujets
; 2° Leur disparition sous l'influence exclusiv
ntracture pendant l'examen du malade. Plus on attire l'attention du
sujet
sur sa déformation, plus elle s'accentue ; plus
cherche à la redresser, et plus les muscles se raidissent, plus le
sujet
se plaint de souffrir. Par contre, on peut assi
ter à son atténuation ou même à une disparition passagère, quand le
sujet
songe à autre chose. Le sommeil, sous l'influence
de constater dans l'observation II. La mère fut très explicite à ce
sujet
; la tête de l'enfant, tout à fait droite pendan
a- raît s'être constituée très vite. Il semble que parfois, chez un
sujet
hysté- rique, un petit point d'ostéite tubercul
, bonne santé générale. L'enfant avait bon appétit, il n'était plus
sujet
à la toux, et aujourd'hui son développement peut
contre-extension. Cet appareil semble causer de grandes douleurs au
sujet
qui se lamente horriblement. Le lendemain mercr
le avait paraît-il, craché à plusieurs reprises du sang, elle était
sujette
aux bronchites. Pas d'autre enfant. Comme ant
lication. Depuis cette époque, santé excellente, l'enfant n'est pas
sujette
aux rhumes l'hiver, elle ne tousse jamais. Elle f
escrit la suspension : celle-ci, en apparence fort désa- gréable au
sujet
, amenait, en effet, comme je vous l'ai dit, une c
rs que le bassin,par conséquent, était horizontal. En outre, sur le
sujet
couché nous trouvâmes les membres tout à fait é
ompte. Que l'on cherche à redresser manuellement la courbure, et le
sujet
se raidit ; mais qu'on lui fasse exécuter quelq
nisme de la station debout ; sur le membre opposé, au contraire, le
sujet
se laisse aller, pliant les lombes et baissant l'
: mais on a déjà vu des cliniciens avisés traiter d'hystériques des
sujets
auxquels on a trouvé, quelques mois plus tard,
her et de se tenir debout, avec intégrité de la mobilité lorsque le
sujet
est couché. Au reste, nous n'insisterons point
e diagnostic est fait tardive- ment : ce n'est pas impunément qu'un
sujet
, surtout s'il est jeune, a pré- senté une attit
-Suaire. Cette guérison fit quelque bruit dans le pays et devint un
sujet
de conversation pour les habitants de Morzine,
tissu osseux. Toutefois, malgré les travaux multiples parus sur ce
sujet
, un grand nombre de ces dystrophies nous sont enc
s, épais et boudinés ; par leurs fractu- res multiples leurs petits
sujets
paraissent rentrer dans la catégorie des pseudo-
page (190'). Enfin, la Société obstétricale de France inscrivait ce
sujet
à l'ordre du jour de sa séance annuelle de 1905
outir une race par suite de l'état d'infériorité où se trouvent ces
sujets
, et surlout des difficultés de l'ac- couchement
ouve chez ces malades plus ou moins abaissée et répondait, chez les
sujets
d'Apert, environ au tiers de la hau- teur total
me est parfois excessif, sans qu'il y ait hydrocéphalie. 'l'ourolT,
sujet
décrit par Apert, ne pouvant trouver chez les c
âge, la plupart montrent une intelligence au moins égale celle des
sujets
normaux. La malade de Porak avait de l'à- propo
t chez l'enfant de 12 ans de lliéry et Labbé. Joachimsthal, chez un
sujet
de Il ans, note que l'épiphyse est encore très
âne achondroplasique de femme adulte (Musée de la Maternité). (Même
sujet
que la lig. 6). Circonférence maxima 53 centimè
lurs, que l'on en ait relevé parfois plusieurs dizaines sur le même
sujet
et même plus de 100, tant anciennes que récentes,
s au lieu de 40. Ces détails, à vrai dire, sont très variables d'un
sujet
à l'autre, même à l'état normal. La ligne d'oss
as le cancer à la tuberculose parce qu'ils coïncident chez quelques
sujets
. Il doit en être de même pour ces deux dystroph
diagnostic histologique que nous avons constatés chez l'homme. Les
sujets
ne font pas défaut. Nous nous proposons d'en re
férieurs sont souvent trop dé- veloppés relativement à la taille du
sujet
. Ces nains, qui prennent rapidement les signes
se basant sur l'hérédité, les cas familiaux, l'intégrité rela- deux
sujets
observés par eux, pensent que certains achondropl
qui se rapproche de l'achondroplasie. Verneau, qui a consacré à ce
sujet
une intéressante étude critique, conclut égalem
taille, comme tous les autres, peuvent, il est vrai, présenter des
sujets
atteints de déformations rachitiques, impaludiq
s rapports de l'achondroplasie et du rachitisme congénital ont été le
sujet
d'un curieux mouvement de va-et-vient, aussi ex
tres nerveux des achondroplasiques n'avaient jamais été,jusqu'ici, le
sujet
de recherches histologiques. Les lésions médull
de reproduire ici les diverses hypothèses qui ont été avancées à ce
sujet
et qui ne sont que des paraphrases de l'idée de m
s eu la bonne chance d'étudier (Pl. LVII). Le premier (D. Lépadatu)
sujet
, nous l'avons observé dans une foire où il étai
te persuasion. Nous observons dans la morphologie des membres de ce
sujet
des altérations congénitales multiples, de sort
rente. Nous verrons que le fait de les trouver réunies chez un même
sujet
, plaide pour l'hypothèse d'une cause unique. En
se nourrissent assez bien et ils sont cultivateurs de leur état. Le
sujet
a trois frères et deux soeurs mariées et mères de
i donna la possibilité de jouir de l'usage de deux doigts (1). Le
sujet
est alcoolique, et il s'adonne volontiers aux pla
utiles pour notre étude. Etat actuel, août 1904. - En examinant le
sujet
dans son ensemble, nous voyons que la tête et l
e l'idée d'une patte, et qui est la cause de l'espèce de nanisme du
sujet
même. Il mesure 1 m. 17 : son poids est de 42 k
n sixième métacarpien. Taruffi a fait la même remarque à propos des
sujets
qui présentaient 778 doigts. Pophan (31) observa
incipales déformations des extrémités distales des membres de notre
sujet
, nous permettra à présent de nous orienter dans
générale qui auraient laissé des traces sur l'organisme entier. Le
sujet
, fils de paysans sains, frère de paysans sains, p
té- rations du membre inférieur. On ne peut non plus comparer notre
sujet
à l'observation de Jameson (62) qui présentait
itement au niveau du nombril à l'époque de sa naissance. Dans notre
sujet
il ne s'agit pas d'une simple'aplasie. L'expl
que complet ou bien dans le défaut partiel de l'os. Mais dans notre
sujet
, il 1 ne s'agit pas de ces deux variétés. Il y
ni (83) ; Kummel (84)]. Le phénomène peut être observé dans le même
sujet
dans le membre supérieur [Dreiblaol (85) ; Meld
fémur, quoiqu'il ne forme pas une articulation complète. Chez notre
sujet
la force externe qui comprimait t le membre de
emiers segments du membre et qui ont produit l'espèce de nanisme du
sujet
. Nous comprenons à présent que le pied développ
d développé dans ces conditions qui sont très difficiles à nier, et
sujet
à une compression très énergique pendant l'époq
doigts (1). (1) Pour ce qui concerne le membre inférieur droit, le
sujet
affirme qu'il avait la .conformation identique
la même famille la façon de se comporter de la polydactylie. Sur 43
sujets
, 2a étaient affectés d'hyper- dactylie, mais le
oigts (de six à neuf à chaque extrémité) fut toujours variable d'un
sujet
à l'autre. Chez les uns les doigts surnu- mérai
dicale des hôpitaux, en 1893, une importante commu- nication sur ce
sujet
. Se basant sur deux cas personnels dont un avec a
ou, Vizioli (1) cita cependant un cas où la syphilis, prise par son
sujet
à 20 ans, lui paraissait la cause de l'altéra-
eu pour conséquence l'atrophie avec douleurs et paresthésies. A ce
sujet
, Raichline rappela que l'année précé- dente il
c a été contrôlé par l'étude directe de l'articulation. Or, sur les
sujets
soumis à mon examen, j'ai fréquemment constaté
taléon. » Dans les archives de la paroisse on trouve en effet, à ce
sujet
, quelques renseignements dus au même auteur : «
ille d'amphithéâ- tre faite par Pierret, l'histoire pathologique du
sujet
fait complètement dé- faut. On a pu seulement d
les observations antérieures, les exostoses siégeaient, chez notre
sujet
, de préférence au voisinage des cartilages de c
ide revue, que je ne prétends pas complète, sur la litté- rature du
sujet
, je commence la description de mes cas ; je ferai
ette. Ces deux tumeurs n'ont pas, jusqu'à présent, causé d'ennui au
sujet
; elles montrent une tendance bien nette à l'ac
érangements mécaniques, sont en faveur de l'enchondrome ; l'âge des
sujets
, le développement surtout de la tumeur, s'opposen
ans laquelle, toutefois, nous trouvons chez l'aïeule maternelle des
sujets
exostosiques décédée, comme nous avons dit, par
ncidents, suivie d'un accouchement à terme, d'une fille qui fait le
sujet
de l'observation IV. La malade donne dès l'abor
lé, à ce point de vue tant par l'anamnèse que par l'examen même des
sujets
. Pour ce qui est de la syphilis en particulier
e trois enfants sains et bien constitués. Antécédents personnels.
Sujet
très fort, à la musculature puissante, M.... a
ecouvré toute sa vigueur. Le registre d'incorporation indique à son
sujet
, à la date du 20 octobre 1900 : taille 1 m. 76,
s exi- geant une véritable dislocation des épaules et permettant au
sujet
des actes et attitudes interdits à ses camarade
om d'omoplates ailées. Cette anomalie fonctionnelle est signalée au
sujet
par un voisin dans les termes suivants : « Ce n
Description DE l'anomalie FONCTIONNELLE (PI. LiVII). - L'examen du
sujet
au repos, lorsque les bras sont pendants naturell
la saillie qu'ils déterminent n'est guère plus marquée que chez un
sujet
ordinaire et s'explique suffisamment par la muscu
inaire et s'explique suffisamment par la muscula- ture puissante du
sujet
. L'angle et le bord spinal semblent plus accusés
s accusés à droite qu'à gauche. Les photographies représentent le
sujet
: l'une, les bras au corps, avant-bras en flexi
photographies reproduisent une disposition intéressante. Lorsque le
sujet
place les avant-bras en rotation interne et qu'il
l'amplitude de l'excursion de l'angle du scapulum, fait paraître le
sujet
ailé. Les omoplates sont ailées. Chaque scapulu
s les mouvements de l'épaule se font avec une souplesse extrême. Le
sujet
est arrivé, par l'exercice pro- longé de la gym
la force musculaire est très grande. A l'épreuve dynamométrique, le
sujet
fait parvenir l'aiguille à l'extrémité de l'échel
on des épaules ailées date de deux ans environ et nous observons le
sujet
depuis dix mois sans qu'aucune modi- fication s
ais cette disposition morpho- logique se rencontre parfois chez les
sujets
jeunes, et même chez beaucoup d'enfants peu mus
qu'à l'occasion de mouvements volontaires. Sur la photo- graphie du
sujet
au repos, les omoplates ne sont pas ailées ; elle
pas ailées ; elles sont à peine un peu plus saillantes que chez un
sujet
normal, et beaucoup d'es- crimeurs présentent c
és également dans les atrophies névritiques sont absents chez notre
sujet
. S'agirait-il d'une amyotrophie très limitée, i
e, par la tension des tendons scapulaires, l'attitude spé- ciale du
sujet
. Les mouvements de l'omoplate redeviennent normau
stantes, et pour ma part, je n'en ai relevé aucune sur la série des
sujets
dont l'étude fait l'objet de ce travail. Ces an
écoce de l'embryon ; la maladie peut évidemment intervenir chez des
sujets
préalablement affectés d'une anomalie de la moell
hale (1) et le genre iniencéphale (2) ont été créés après examen de
sujets
qui étaient peut-être anormaux,mais surement mé
alie externe, mais qui possédait un bulbe et une moelle intacts. Ce
sujet
ainsi décérébré a pu vivre 20 jours, durée infini
, est-il besoin de le dire, jai abordé la question en n'ayant à son
sujet
aucune idée préconçue. SUR QUATRE COMPOSITIONS
un ennemi inexistant. A ses pieds, à droite, un roi hébété et sans
sujets
couronné de cartes à jouer, tient son sceptre r
Dysostose cléido-crânienne et héréditaire (Une famille de quatre
sujets
atteints de) (5 pl., 3 fig.), par VILLARET et F
ux (2 pl.), 201. VILLARET et Louis Franco/. Une famille de quatre
sujets
atteints de dysostose ctëido-cranienne hérédita
TIQUES ; Par E. BIUSSAUD. L'histoire de la sciatique n'est pas un
sujet
épuisé. jf Il y a un an environ, M. le professe
otre connaissance relatent les modifications de ce réflexe chez les
sujets
atteints de sciatique. Elles sont fréquentes ce
ints de sciatique. Elles sont fréquentes cependant. Mais elles sont
sujettes
avarier suivant les cas et parfois, dans le mêm
près l'exposé très exact qu'en fait M. Babinski. Chez beaucoup de
sujets
atteints de sciatique, on peut constater que le
egré de la courbure rachidienne. C'est surtout dans les cas où le
sujet
est pourvu d'un fort embonpoint, principalement
dans l'atti- tude de la jambe et du pied du côté malade chez les
sujets
atteints de déviation rachidienne. Selon M. Ba-
e faire surgir des difficultés. On conçoit tout d'abord que chez un
sujet
atteint de sciatique, l'existence d'une déviati
e sacro-vertébrale, par exemple, est capable de réunir chez le même
sujet
les deux choses, sans qu'il existe entre elles
sfait, ou peu s'en faut, à toutes les données du problème. , . Un
sujet
sain qui se tient debout, 'tout droit, les jamb
entre ses talons, à égale distance de l'un et de l'autre. Chez un
sujet
atteint de sciatique, il en est tout différemme
e des deux j ambe s est tout à fait exceptionnelle. On sait que les
sujets
atteints de sciatique cherchent toujours à fléc
s cigognes s'accommodent à merveille, est interdite à l'homme. Le
sujet
arrive donc insensiblement à appliquer sur Fig,
urs est endolori, quelle que soit la cause de l'endolorissement, le
sujet
évite de s'appuyer sur le pied du côté qui souf
mécanisme de l'attitude du tronc et des membres inférieurs chez les
sujets
atteints de sciatique. On n'y trouve, en résu
st à dire de maladies capables de produire une boiterie. Quand le
sujet
commence à marcher, l'attitude s'ac- cuse davan
nt donné, l'attitude hanchée. Alors même qu'il ne souffre pas, un
sujet
qui aune jambe plus courte que l'autre, incline
rès simple, provoquer l'atti- tude de la scoliose sciatique chez un
sujet
sain. Le procédé consiste à augmenter la longue
u côté de la seule jambe dont on se sert. Si, au lieu de sauter, le
sujet
marche alternati- vement sur le pied déchaussé
sciatique : le pied garni de la semelle étant celui sur lequel le
sujet
s'appuie, puisque c'est le côté de la jambe la
curieux que l'attitude voulue et en quelque sorte raisonnée d'un
sujet
atteint de sciatique, alors même qu'il ne souff
rose. Fallait-il donc admettre une sciatique rhumatismale chez un
sujet
en imminence de rhumatisme articulaire aigu ou
ntracture hémiplégique n'empê- chant pas les malades de marcher. Un
sujet
atteint d'hémiplégie spasmodique, présente pres
gauche qui porte le seau, c'est surtout sur la jambe droite que le
sujet
s'appuie. S'il s'appuyait à gauche, il serait e
-sciatique spasmodique gauche, la marche est presque impossible, le
sujet
évitant toujours de s'appuyer sur son pied gauc
embre inférieur, le rapprochement costo-iliaque s'effectue quand le
sujet
prend son point d'appui sur une seule jambe : c
e encore davantage l'intervalle costo- iliaque du côté malade. Le
sujet
penche du côté malade, il ne peut s'appuyer sur
toujours reçu, dans son service de clinique, où l'on trouve tant de
sujets
d'études qui, sous la haute direction du maître
faits de Leyden sont relatifs à des embolies capillaires chez des
sujets
atteints et morts d'endocardite ulcéreuse. Un a
e du facial inférieur' et du membre supérieur du malade qui fait le
sujet
de ]'ÜnsEuvATION XLVIIL Archives, t. XIX. 5 6
cette explication. Nous avons pu constater sur le chien qui fait le
sujet
de ['Expérience VI une oblitération gazeuse de
tion si rapide). Quant à expliquer pourquoi le malade qui fait le
sujet
de l'OBSERVATION LI ne pouvait plus continuer son
s et conduites avec une méthode jusqu'ici bien rare en ce difficile
sujet
, ces études peuvent être citées comme un modèle
PHYSIOLOGIE. la chaleur, de la lumière, du son, etc. ' : la tête du
sujet
une hystéro-épileptique de vingt-six ans, mais
pas la théorie des localisations cérébrales ». Sans doute, tous les
sujets
hystériques ne réagiront pas avec la même sûret
chant. 1889. Décembre. -Il n'est plus peureux, mais il est toujours
sujet
à se mettre en colère. Parfois il rêve et cause
pas de cauchemars, pas de céphalalgies, pas de nouvelles attaques.
Sujet
à se mettre en colère. -Traitement : bromure de
; les phénomènes de l'aura se manifestaient du même côté; il était
sujet
à des attaques et à des vertiges. Ceux-ci, quel
Virchow. Le 116 REVUE D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE.
sujet
de cette curieuse observation était une femme épi
ent d'une réaction très notablement entra- vée. Chez la plupart des
sujets
présentant de l'immobilité de la pupille, l'exc
uillet 18S i .) Voici le résumé des observations de l'auteur sur ce
sujet
: Dans la paralysie générale, la voracité des m
l'influence d'lialluci- nations ou d'idées délirantes. Les jeunes
sujets
qui s'adonnent à la mastuibation ont ordinai- r
. SCHUELE résume à ce propos la discussion qui eut lieu sur le même
sujet
au congrès de la Société des aliénistes alleman
critiques portées à la tribune par M. le ministre de l'intérieur au
sujet
du paragraphe de cet article qui propose l'étab
ce dernier parvient à ranimer entièrement et à remettre sur pied le
sujet
par trop sensible. Les jeunes gens qui avaient
'énumérer les différentes catégories de mdlades qui constituent les
sujets
atteints d'aliénation mentale dangereuse; 6° le
outrages aux moeurs ou des attentats il. la pudeur font rentrer les
sujets
qui s'en rendent coupables dans la catégorie de
tiques en BELGIQUE. L'académie de médecine de Bruxelles a voté à ce
sujet
les conclusions suivantes qui lui avaient été p
médicale dit tenir de source rare que le projet de loi relatif à ce
sujet
, déposé depuis longtemps au Parlement, viendra en
dversaire d'ailleurs des doctrines de Golgi, Koelliker, a écrit, au
sujet
des méthodes de coloration des éléments anatomi
un examen nouveau les doc- trines reçues de Meynert et de Betz à ce
sujet
que Golgi a étudié deux circonvolulions cérébra
ses critiques, je ne sais pourquoi, puisque les idées de Wundt à ce
sujet
ne sont guère que celles de Meynert. Les élémen
du cerveau humain. Conti a institué de nouvelles recherches sur ce
sujet
. A cet effet, il a divisé chaque hémisphère en
dépassé la valeur ab- solue de la substance blanche chez les jeunes
sujets
, la substance grise décroit d'une quantité abso
Après Colombo et Pizza', le savant médecin de Turin a publié sur ce
sujet
les travaux les plus étendus et les plus solide
auxquelles nous adhérons absolument, étant aussi étrangère à notre
sujet
que celle des doctrines de la psychiatrie en It
nés, de crânes symé- triques que chez 3 p. 100 environ, et, sur 100
sujets
sains, que dans la proportion de 1G p. 100. Fré
ATION. - Père tuberculeux ( ? ). Oncle maternel paralysé, aliéné et
sujet
probablement à des accès d'épilepsie. - Frère et
famille. Antécédents. - Père, ouvrier dans une fabrique de toile,
sujet
à des hémoptysies; grand, fort, brun, sobre, d'
ans, d'une maladie d'in- testins, journalière à la campagne, sobre,
sujette
à des maux de tête. Elle était d'une taille moy
t des idées tristes, croyait toujours qu'il allait mourir, il était
sujet
à des attaques de nerfs avec chute, danslesquelle
sque seul, à condition qu'on lui coupe sa viande. 11 a toujours été
sujet
à la constipation et reste quelquefois six semain
la présidence du Dr Ord, dans le but de faire des recherches sur ce
sujet
, et il a été admis par tous ceux qui y ont prêt
cette occasion pour rectifier les idées qui m'ont été attribuées au
sujet
du rapport de la glande thyroïde avec la format
folie ; cette alternance se reproduisait régulièrement chez le même
sujet
. Il a constaté aussi la fré- quence de l'asthme
le mémoire deux cas concernant : l'un, une hystérique, l'autre un
sujet
indemne de syphilis et de tuberculose), on voit g
maladie parait avoir résidé dans une émotion vive ressentie par le
sujet
, à propos d'un événement public qui n'avait rie
cuté simple ; la forme anormale de la maladie tient au jeune àge du
sujet
et aux périodes de rémission qu'elle a présenté
le sur l'évolution même du délire, sans parler de l'hérédité de son
sujet
. M. IIIARANDON DE Montyel demande si le malade
la suggestion à laquelle sont plus particulièrement accessibles les
sujets
hypnotisés, nous la consta- tons aussi à l'état
périmenté l'hypnotisme que chez des aliénés. J'ai trouvé que les
sujets
les plus accessibles sont ceux qui avaient été at
ibilité articulaire et du sens muscu- laire des mains; cependant le
sujet
ne présentait nulle trace d'ataxie ni dans ses
e, qu'à comparer les modèles écrits par un 260 sociétés savantes.
sujet
sain et par un ataxique atteints tous deux du mêm
ns témoignant des lésions anatomiques de la paralysie infantile; le
sujet
de l'obser- vation mourut à 25 ans. Les débris
esthésies locales ne prouvent pas davantage, car quel est celui des
sujets
qui ne pensera pas à accuser une anomalie quelc
lliatif, tantôt radicalement curatif. '2. En choisissant bien les
sujets
[et en agissant avec circonspection, en se gard
engourdissement (à forme hémiplégique), tremblements ' Voyez sur ce
sujet
Archives de Neurologie, XVIII,, p. 456, et Cong
e dépourvu de raison.» Il n'aime pas d'ailleurs à être amené sur ce
sujet
. Il ne demande cependant guère sa sortie, reste
deviennent plus rares à mesure que la paralysie générale des mêmes
sujets
se montre plus fréquente; c'est une opinion que
ques pour le piano, nous a montré qu'il était capable d'aborder des
sujets
plus larges. Dans l'ouverture, ainsi que dans l
d'abord l'assertion de la duchesse qui affirma que son fiancé étant
sujet
à des hallucinations, avait cru voir des faits
pour Richard Wagner, VARIA. 291 et nous ne reviendrons pas sur ce
sujet
; on sait comment il faisait jouer pour lui seul
uel l'Eléctl'uthémpie, sans compter de nombreux mémoires sur divers
sujets
de pathologie nerveuse. M. le Dr DANis, médecin
adies de la moelle, à la paralysie générale des aliénés et à divers
sujets
de pathologie nerveuse; il a décrit le premier l'
-même, j'entrerai, si vous le voulez bien, dans quelques détails au
sujet
des relations qui exis- tent entre certaines af
tre certaines affections du système nerveux et le diabète. C'est un
sujet
très compliqué, sur lequel Mar- chai (de Calvi)
ique ou mieux paraplégique et plus précisément ataxique. Voyez à ce
sujet
le travail de M. Leval- Picquechef sur les pseu
suicidé à 71 ans. Il buvait beaucoup et quand il avait bu, il était
sujet
à des crampes. - Mère, morte hydropique, pas ne
chites et une fluxion de poitrine; étant plus jeune il était déjà
sujet
aux rhumes; pas de syphilis ; pas d'alcoolisme; r
bien vous rappeler ce que je vous disais il n'y a qu'un instant au
sujet
des liens de parenté étroite qui relient les fa
ssive. Les deux familles sont dans ce cas représentées chez le même
sujet
sans qu'il y ait combinaison véritable. Les deu
s mois, et à propos duquel je suis entré dans quelques détails au
sujet
de la paraplégie diabétique ou de cause diabé-
ai décrite autrefois chez les paralytiques alccooliques, chez les
sujets
atteints de béribéri, de paraplégie arse- nical
ction à ce point de vue. La raison de notre ignorance relative à ce
sujet
réside dans la pénurie des documents nécroscopi
ette revue en 1887, et qui fournit ultérieurement à M. Charcot le
sujet
d'une de ses leçons cliniques. Les pièces prove
ie est celle qui servira de base à notre travail. Elle a trait à un
sujet
dont l'un de nous a également rapporté l'histoi
s utiliser non plus que la nouvelle communication faite sur le même
sujet
par MM. Déjerine et Letulle (7 mars). ' Gille
uvent elle parle haut. Cependant, elle-même ne se rappelle pas être
sujette
à avoir des rêves. Elle a fréquem- ment des mau
'état actuel de la science en question. Aussi, avant d'aborder le
sujet
de notre étude, nous croyons qu'il est utile de
issement est le temps minimum d'une réaction simple. L'attention du
sujet
étant tournée vers le mouvement qu'il doit prod
, pour l'étude métho- dique de la perception, l'homme normal est un
sujet
trop délicat et trop complexe. Par contre, l'ho
avec la précision voulue. Dans cet état pathologique, bien que le
sujet
n'ait pas conscience d'une excitation périphéri
chez l'homme normal. Si, par suggestion, on dirige la volonté du
sujet
vers la recherche de la nature de cette excitat
- Ihésié. Dans la première série d'expériences, l'attention des
sujets
a été portée sur l'excitation, et, dans la second
consciente est moins longue que la durée de ce temps mesuré sur les
sujets
normaux ou sur les hystériques du côté non anes
réger ce temps le plus possible, c'est-à-dire quand l'attention des
sujets
est concentrée tout entière sur la nature du mo
de nos expériences. DE LA PERCEPTION INCONSCIENTE. 373 Devant un
sujet
normal et intelligent on fait passer, avec la v
rit un mot de 3 ou 4 let- tres que l'on se propose de faire lire au
sujet
en expé- rience. Disons d'abord que ce n'est pa
res, la façon de les écrire, le nombre de lettres, l'état mental du
sujet
, etc.). L'expérience a un tout autre but; elle
; elle consiste à montrer que le mot passé devant les yeux, dont le
sujet
n'a pas connais- sance et dont la lecture ne lu
le domaine de la conscience. L'analogie entre la perception d'un
sujet
atteint de l'anesthésie et la perception incons
es deux côtés. C'est l'anesthésie hystérique qui nous a fourni le
sujet
de notre étude, et nous ne pouvons nous dispen-
ience ; leurs éléments, du moins, doivent être conscients; quand le
sujet
se sug- gestionne, il le fait consciemment ; ma
plégie avec son anesthésie ait préexiste dans la cons- cience du
sujet
, soit; mais celle du spasme et de l'anes- thési
e d'erreur qui a vicié la plupart des recherches entreprises sur ce
sujet
; le plus souventen eifet, on a relevé le nombre
es, à cerveau instable, qui habitent les frontières de la folie, au
sujet
desquelles la statistique demeure naturellement
à peu près toutes les recherches utiles faites en Angleterre sur ce
sujet
. L'auteur conclut qu'à notre époque, alors que
mentales auxquelles s'applique ce mode de traitement. Je puis il ce
sujet
renseigner sur vingt malades confiés depuis deu
qu'il devienne presque impossible de les remplacer par de nouveaux
sujets
au moment critique. On avait espéré décharger
nd sur un cadre de bois simple une feuille de papier ; on invite le
sujet
en expérience à écrire ; derrière cette toile d
iennent les mots que l'on a l'habitude d'écrire ; si pendant que le
sujet
en expérience écrit un mot, on lui en dicte un
staller qui exposent à une foule d'erreurs. Mieux vaut proposer aux
sujets
à examiner des tâches uniformes bien définies e
acité de travail, il faut déter- miner la disposition momentanée du
sujet
en expérience, et, dam ce but, préluder aux obs
eptions. Pendant plu- sieurs jours de suite, il a provoqué chez des
sujets
des associations d'idées par l'articulation de
e délire asthénique aigu. Prenons un exemple, un cas simple, mais
sujet
à des diagnostics multiples : Voici une jeune f
corps de délire qui constitue le moteur de la sensibilité morale du
sujet
; c'est à lui qu'il con- vient de réserver le te
evenue chronique. M. Kirn propose de continuer la discussion sur ce
sujet
la pre- chaine fois et de nommer deux rapporteu
ification de l'écorce cérébrale sera d'autant plus accentuée que le
sujet
était plus jeune au moment où la lésion périphéri
de la suggestion. Chaque observation devra faire connaître l'âge du
sujet
, depuis combien de lemps il fumait, la quantité
s curés. En somme, la seule certitude que puisse donner l'Avenir au
sujet
de 0 : la Jeûneuse », c'est qu'elle est stricte
Depuissa sortie de l'hôpital de Pont-Saint-Esprit, le malade était
sujet
à des bourdonnements dans l'oreille gauche, acc
ubles divers qu'il- a présentés depuis. Voici ce qu'il raconte à ce
sujet
: au mois de mars 1873, il était un jour occupé
e, mais on ne saurait, somme toute, être absolument affirmatif à ce
sujet
. Que l'on veuille bien remarquer cependant combie
les formes de l'écorché. Et ceci se produit non seulement chez les
sujets
doués d'embonpoint dont les formes disparaissen
vant les régions et suivant les individus.' Il existe chez tous les
sujets
, même 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
effet considérables. : Des mensurations, faites sur une vingtaine de
sujets
dont les trois quarts appartenaient à la catégo
DE LA SALP1 : TRIRU. l'élasticité que l'on observe chez les jeunes
sujets
. Son développement exagéré constitue la stéatop
antiques, est musculeux en avant et graisseux en arrière. Chez les
sujets
qui commencent à avoir un peu d'embonpoint, le
s graisseux de la partie supérieure et externe de la cuisse chez doux
sujets
européens. DU ROLE DE LA GRAISSE. 25 du flanc
. Il est bien moins important que le pannicule adipeux et, chez les
sujets
gras, n'augmente jamais dans la proportion de c
époque de l'apparition de leur tremblement, ne peuvent fournir à ce
sujet
aucune indication précise. Mais ce mode de dé
qu'elle se soit accompagnée ou non de perte de la connaissance, le
sujet
s'aperçoit, au sortir de la crise, eh se levant
si chez 32 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SaLP);TI211.II1 ? certains
sujets
comme l'accident hystérique initial auquel viendr
se montrent pas dissemblables d'un cas à un autre, mais que le même
sujet
peut présenter simultanément ou successivement de
lques hystériques du service de la Clinique. Par contre, il y a des
sujets
chez lesquels ce tremblement persiste, sans int
omme cela arrive à la suite des attaques (V. Obs. I), ou lorsque le
sujet
est sous le coup d'une émotion un peu vive', le
t l'aspect bien connu que présentent parfois les alcooliques et les
sujets
atteints de paralysie générale. Mais on n'obser
, le tremblement semble localisé aux seules extrémités. L'aspect du
sujet
est alors tout à fait comparable à celui qu'on
tranquillement sur ses genoux ou sur une table. Si l'on ordonne au
sujet
d'étendre les bras dans l'attitude dite du serm
ents de flexion et d'extension de l'articulation du genou. Quand le
sujet
est assis, et, dans les moments où le trembleme
fois des mouvements rhythmiques analogues à ceux que présentent les
sujets
atteints de paralysie spas- modique lorsque le
ude, mais le dérobe- ment des genoux continuait à se produire et le
sujet
demandait in- stamment à s'asseoir. Pendant l
res inférieurs (astasie choréiforme) et très souvent aussi chez les
sujets
atteints de maladie de Basedow où il peut se mo
se; voici cette observation : « Éléonore L... âgée de dix-huit ans,
sujette
depuis trois ans à des attaques convulsives tou
e posée sur une table. Le second a été obtenu la main et le bras du
sujet
étant placés dans l'attitude dite du serment. 1
ne manière générale, les oscillations sont plus étendues lorsque le
sujet
tient sa main dans car l'amplitude des oscillat
fin que sa lumière soit sensiblement ponctiforme. Puis, on placo le
sujet
en face de l'objectif photographique derrière leq
un degré tel que la main de l'observateur posée sur l'avant-bras du
sujet
(celui-ci tenant son bras horizontalement étend
ratif des tracés obtenus en plaçant dans la paume de la main de ses
sujets
une poire en caoutchouc communiquant avec le ta
s les symptômes d'un état neurasthénique des mieux caractérisés. Ce
sujet
, le nommé V..., a été présenté à la Policlinique
épineuses. Cette conformation particulière est très marquée chez le
sujet
représenté sur la figure 28. Quelquefois le coc
ngueur des poils aurait été de trois pieds anglais, et telle que le
sujet
était obligé de les couper à. cause de la gêne
en médecine, été nuisible à la bonne observation et il règne à leur
sujet
des opinions un peu particulières. Lorsqu'on le
e des ecchymoses, premier degré de l'hémorragie. On consultera à ce
sujet
, avec le plus grand profit, les observations de
ider cette question nous nous sommes livré à l'étude atten- tive de
sujets
nettement hystériques de par leurs stigmates phys
plus bizarre, heurté, que l'hys- térique elle-même ne trouve aucun
sujet
à sa tristesse, aucune cause à sa joie. Nous, s
puis plusieurs années, qui, il ce point de vue, est un' merveilleux
sujet
d'étude. Son étal d'esprit est tel, qu'à l'état
f pourra parfois, en constatant le changement de l'état mental d'un
sujet
, prédire, ou tout au moins prévoir, la guérison d
avons chemin faisant emprunté nos exemples aux trois catégories de
sujets
. Il nous reste cependant il compléter notre des
Pour ces raisons, nous serons bref en ce qui concerne les enfants,
sujets
à cerveau en voie d'évolution chez lesquels l'hys
nt enfin en cour d'assises en compagnie d'êtres de leur espèce; ces
sujets
, disons-nous, peuvent bien avoir des attaques d
chent souvent une vigueur tout ;f fait ordinaire1. A part cela bons
sujets
, quand la 1. Charcot. Leçons du mardi, (lue. ri
lendemain, lors d'un interrogatoire par le maitre lui-même que le
sujet
avait oublié tout ou partie de ce que nous avions
l'hôpital. - Depuis qu'elle a pris le lit ou le fauteuil, elle est
sujette
de temps en temps à des troubles vésicaux consi
complètement; le dérobement des jambes cesse de se pro- duire et le
sujet
reprend sa marche ordinaire. 2° Le tremblement
les périodes de calme il ne gêne que peu ou point les mouvements du
sujet
, il apporte alors un trouble notable dans l'accom
ement Brauwer fit avec quelques variantes deux tableaux sur le même
sujet
. Le premier fait- nous supposons que c'est celu
s est de date récente, car nous ne connaissons aucun travail sur ce
sujet
avant la Leçon du mardi, 23 octo- bre 1888, dan
are de la' névrose. A ce titre, ces phénomènes méritaient d'être le
sujet
d'un travail d'ensemble dans lequel nous rappor
utres phénomènes ne laissant aucun doute sur l'état pathologique du
sujet
. Ces manifestations antérieures peuvent être fo
é paternel. - Son père est atteint t d'une maladie de coeur. Il est
sujet
à de violentes colères. Son grand- I père est m
cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident. Elle était nerveuse,
sujette
à des colères violentes. La grand'mère maternel
nseigné par elle sur la nature de ces douleurs. Elle a toujours été
sujette
à des flucurs blanches très abondantes. Depuis
tellement qu'il semble que ce soit le mode habituel de respirer des
sujets
(fig. 39). Nous noterons aussi que les bâilleme
présentent une certaine raideur comparable à celle d'un membre d'un
sujet
normal soumis volontairement à la même expérien
nce que celle qu'on éprouverait en opérant la même manoeuvre sur un
sujet
normal qui s'y prêterait en faisant, comme on d
si l'on considère que c'est l'exception de rencontrer chez un même
sujet
tous les symptômes de l'affection dont il est att
paru surtout se montrer, - les cardiaques étant éliminés, chez les
sujets
jeunes, pâles, anémiques, chez lesquels la susp
en éveil. On lui parlera, on attirera son attention sur tel ou tel
sujet
; puis on l'avertira qu'on l'élève un peu plus d
pare au membre droit demeuré 'sain. Le sexe et l'aspect barbu du
sujet
ne sont plus aujourd'hui pour nous faire hésiter.
ici sur les considérations dans lesquelles nous sommes entrés à ce
sujet
. Nous nous bornons à signaler le présent docume
M. de Lapersonne. Etat actuel. -Il suffit de jeter les yeux sur le
sujet
(Pl.lXIV, XXV) pour être immédiatement frappé d
reste à terminer l'exposé des autres signes rencontrés chez notre
sujet
. La tête penchée en avant repose sur un cou trè
t grave, un peu enrouée, masculine. La vue diminuée au point que le
sujet
a besoin d'un guide. L'examen ophthalmoscopique
ACROMËGALLE A DÉBUT PRÉCOCE. 153 L'état général reste bon, mais le
sujet
affligé de sa cécité rapide devient mélancoliqu
est notable- ment accentuée et ne se manifestant au début, pour le
sujet
, que par un peu de céphalalgie et l'obligation
éristique essentielle de la maladie de Marie se manifestant chez un
sujet
dont le squelette est encore en voie de formation
le développement accéléré des tumeurs de tout ordre chez les jeunes
sujets
. La haute importance qui s'attache en la matièr
ment un oeil ; mais lorsque les deux yeux sont ouverts, beaucoup de
sujets
sont inca- pables d'exagérer l'ouverture d'un s
ente rien de particulier; mais le clignement est rare et lorsque le
sujet
dirige son oeil en bas, la paupière supérieure
marché qu'à trois ans. Jusqu'à sept ans, elle a été continuellement
sujette
à des troubles digestifs, vomissant tout ce qu'
ncle. Pendant ce temps elle resta bien portante, sauf qu'elle était
sujette
de temps en temps à des étouffements produits p
e face qu'elle présente aujourd'hui. Elle est très affirmative à ce
sujet
. Presque juste neuf mois après son mariage, elle
avec les dents de la mâchoire supérieure. Autrefois la malade était
sujette
de temps en temps à quelques maux de tête, à qu
électrique, pratiqué par M. le Dr Vigoureux, est resté négatif à ce
sujet
. Il a fait voir d'autre part qu'il n'existait p
rvation ultérieure de cette malade peut seule me donner raison à ce
sujet
. Malgré tout cependant, on ne peut nier qu'il exi
et hémichorée. Cette figure montre que, malgré sa bonne volonté, le
sujet
est incapable de faire un mouvement simultané d
é en escalier) se retrouve dans l'exploration dynamographique des
sujets
normaux dans la fatigue, chez quelques hystérique
ervations que nous avons recueillies sur ces diverses catégories de
sujets
; mais, aupa- ravant, nous nous arrêterons sur q
et la stabilité de la position acquise ou le tremblement. Chez les
sujets
normaux, la propulsion de la langue s'inscrit par
LATION. 173 Fie. 48. - Courbe de la propulsion de la langue chez un
sujet
normal. I 1 4D. - Courbe de la propulsion de la
e des affections pulmonaires avec l'habi- tude du narghilé chez ces
sujets
. J'ai voulu examiner la chose sur une large éch
e qu'il y avait la nécessité de connaître les antécédents de chaque
sujet
, il fallait encore prendre en considération la
ter toutes ces complications, j'ai pré- féré me borner à l'étude de
sujets
possédant une position plus ou moins aisée et n
ctasie. On peut voir etétudier toutes ces phases évolutives sur des
sujets
aux différents âges ou différentes époques, pou
nt. Eh bien, ces sortes de phénomènes s'observent surtout parmi les
sujets
qui ont l'habitude de fumcr leurs narghilés dans
r une action particulière. Pour terminer ce que je viens de dire au
sujet
du narghilé, j'expo- serai ici le tableau qui c
nt mes observations. Elles sont réparties comme il suit : 1° Cent
sujets
, âgés de vingt-cinq à trente-cinq ans, fumant de
ans. A l'examen extérieur de la poitrine, rien d'anormal. Sur 23
sujets
, la percussion trahissait une sonorité sourde et
ARGHILÉ ET SES FUMEURS EN ORIENT. 183 ajouter que, sur le reste des
sujets
, je n'ai pas pu constater l'existence d'une lés
E L'OPIiTIIAL1V10PLÉGIE EXTERNE. 189 ment par l'état cachectique du
sujet
, ayant frappé tout particulièrement les nerfs d
ciliaire à la paralysie labio-glosso-laryngée. Dans sa leçon sur le
sujet
qui nous occupe, M. Charcot insistait aussi sur
lète et originale. Dès lors, l'attention se trouvant attirée sur ce
sujet
, on vit selon a coutume surgir des réclamations
ument ignorée de M. Charcot, lors de sa première observation sur ce
sujet
, laquelle date, ainsi que nous l'avons déjà dit
é, Schudel, élève de Kocher, dans un travail publié en z1888 sur ce
sujet
, réclame la priorité pour son maître. Massalong
règle générale, et de nouvelles observations sont nécessaires à ce
sujet
. Nous ne croyons pourtant pas que la durée et l
le pronostic. En dehors de toutes ces considérations, y a-t-il des
sujets
prédisposés à cette terminaison heureuse ? Chez
ns nous ranger. Cependant, en raison de l'état psychique spécial du
sujet
, de sa tare héréditaire, il ne serait pas impos
Il serait peut-être intéressant de rechercher à l'avenir, chez les
sujets
atteints de sciatique déformante, l'existence de
également par.un artiste flamand Deoda Pelmont quia traité le même
sujet
. La composition est divisée en deux parties ou
nt en général, en dehors de la prédisposition aux dartres, chez les
sujets
qui souffrent il un certain degré de troubles g
la figure 741 nous dispenseront d'entrer dans de longs détails à ce
sujet
; elles parleront mieux aux sens qu'une descrip-
, qui a bien voulu nous remettre les notes qu'il avait prises à son
sujet
. Ons. XX111 (communiquée par MM. Charcot et Tro
s nos connais- sances les plus précises et les plus étendues sur ce
sujet
. Ayant entrepris, en effet, cette étude avec un
C'est le résultat des recher- ches, que nous avons entreprises à ce
sujet
, qui fait l'objet principal de cette étude. M
elle n'a jamais eu de crises d'hystérie. Depuis longtemps elle est
sujette
à de violentes migraines; plus tard elle est de
'est servi d'un chronomètre pour étudier les mouvements d'un de ses
sujets
. Chez un autre il a compté en une minute 33 mou
ux résultats obtenus, car celle rapidité varie beaucoup suivant les
sujets
d'un moment à l'autre. Les impressions morales,
r les contractures permanen- tes. Nous reviendrons plus loin sur ce
sujet
. Les caractères généraux de la démarche des ath
Nous avons remarqué en parlant de la démarche spasmodique que les
sujets
, atteints d'athétose double, cambrent leur région
ulaire dans les dé- formations du rhumatisme noueux. (1) Voira ce
sujet
, Ilallion, thèse de Paris, 1892, 78 NOUVELLE IC
ssez grand nombre, savent parfaitement lire et même écrire ». Les
sujets
en effet, ne sont pas plus des agraphiques que de
t d'articulation des mois). On peut en effet; en s'adressant il des
sujets
légèrement touchés, surprendre la façon sa NOUV
ues années, on interroge toujours l'écriture, lorsqu'il s'agit d'un
sujet
atteint d'une affection nerveuse avec des trouble
eur état d'isolement. Je vais du reste vous citer des exemples : un
sujet
se présente à vous se plaignant d'un affaibliss
m'a été indiqué autrefois par Duchenne (de Boulogne). Il s'agit de
sujets
dont la sensibilité de la peau de la face est émo
hanche. Avant d'examiner les arthropathies coxo-fémorales de notre
sujet
, je vous rappellerai que j'ai déjà eu l'oècasio
douleur obtuse localisée clans la région inguinale, pendant que le
sujet
était à son travail. Nous fûmes frappé dès l'ab
our. Examinons maintenant les articulations coxo-fémorales de notre
sujet
. Lorsqu'il est couché en décubitus dorsal on pe
C PL, CD 3 -T1" "S. c«" B' ^ ' CD s-" £ * O L) Fig. 18.
Sujet
normal. Fig. 19. - Malade : vue antérieure. Fig.
trochantérienne, qui doit passer par son sommet, traverse chez notre
sujet
les fossettes lombaires latérales inférieures q
i-même et par les chapitres qui secondairement s'y ratta- chent, le
sujet
n'est pas sans intérêt. Nous avons entendu il plu
près avoir rappelé ce dernier cas, ajoute qu'il a vu lui- même « un
sujet
atteint d'une scoliose très prononcée, qui était
nuit. son apparition vers 10 heures du matin, c'est-à-dire quand le
sujet
est demeuré debout pendant quelques heures, et
bien subir un arrêt, ou bien continuer à s'accroître comme chez le
sujet
précédent. L'un et l'autre malade ont fait l'ob
dans le triceps crural du môme côté. Scoliose. II existe.chez ce
sujet
une scoliose très légère. Le tronc en tota- lit
e symptôme avait d'abord échappé, porta ses investiga- tions sur ce
sujet
, et, réexaminant 12 des 18 malades qu'il avait an
r des manoeuvres appropriées, redresser notablement le thorax. Le
sujet
étant couché sur le ventre, les modifications des
distance des crêtes iliaques aux épaules, étant donnée la taille du
sujet
, devrait être de 38 à 40 ceutimétie ; or elle est
te du segment thoracique à partir de la 10'' vertèbre dorsale. « Le
sujet
étant couché sur le côté, on s'aperçoit eu cherch
les; rétroversion et concavité légèrement exagérée du sacrum.. Le
sujet
se lient incliné en avant, la moitié droite du th
e vertical. Pas d'autres anomalies du rachis lombaire. La taille du
sujet
quand il était militaire atteignait 170 cent. 8;
colonne lombaire est assez imparfait, même sous le chloroforme, le
sujet
ayant quelque embonpoint. On sent néanmoins ;i
lésion rachidienne. Le début est brusque. Presque su- bitement, le
sujet
s'aperçoit qu'il est devenu bossu (Pitres). Ou bi
tude va s'exagérer par la suite. Particularité bien remarquable, le
sujet
n'éprouve aucune douleur, ou c'est une douleur
, et fut jusqu'à un certain point réellement curatif. Auparavant ce
sujet
ne pouvait, sans bâton, se tenir debout ni marc
tes. Elles prouvent qu'on doit examiner attentivement le rachis des
sujets
atteints de sclérose en plaques. Il est probabl
, qui en a observé et décrit plusieurs cas, ne dit pas que chez ses
sujets
l'hystérie fût en cause, mais il note que les mal
el disparaître dans la position couchée, ou du moins, comme chez le
sujet
de Grancher, diminuer beaucoup p dans celle pos
e, attribuée par l'auteur il des contractures. Il s'agit d'un jeune
sujet
affecté depuis 4 ans de mouvements choréiformes
baires. On y adjoindra le traitement mécanique ; on fera asseoir le
sujet
sur un siège dont une moitié est plus élevée que
Salpètrière, qui, en 1888, attire l'attention des cliniciens sur ce
sujet
. Des revendicalions de priorité s'élevèrent de
irigé nos recherches dans ce sens pour pouvoir rien af- firmer à ce
sujet
. Mais, à propos des secousses d'ouverture, nous r
vomissements opiniâtres, qui ont nécessité une cure à Carlsbad). Le
sujet
de Pollak avait, parait-il, une soif extrême. A
ne assez longue survie. Mais elle compromet l'existence sociale des
sujets
par suite du ridicule qu'on attri- bue souvent
e- ments plus exagérés. Il faut donc autant que possible mettre les
sujets
at- teints de l'athétose double, au repos et au
E SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 195 muscles de la face surtout lorsque les
sujets
parlent. Quand les malades sont au repos, les c
e la Tou- rette (1) a désigné sous le nom de capl'olalie, les mêmes
sujets
sont quel- quefois portés à répéter involontair
des autres maladies avec tremblements ; ce qui serait sortir de notre
sujet
. Le fait seul de se trouver en présence d'un tr
le Dr Bredius, l'émi- nent directeur du Musée Royal de la Haye. Le
sujet
qu'il .représente est - également fait pour int
issement du champ vi- suel, etc. ; il ne peut y,avoir de doute à ce
sujet
, l'examen ayant été fait par M. Gilles .de. la
centimètres au-dessus- du sol ; le malade vu de dos ressemble à un
sujet
atteint de coxalgie hystérique. Ainsi donc, l
vue du diagnostic entre les deux variétés de scoliose sciatique. Un
sujet
entre dans le service de la clinique dans le co
statique sont fort comparables chez les hémiplé- giques et chez les
sujets
atteints de sciatique. Ceux-ci évitent de porter
on plus ou moins marquée du membre inférieur malade. C'est chez les
sujets
affectés d'hémiplégie depuis plusieurs années et
à l'attitude hanchée du soldat au repos. Supposons maintenant qu'un
sujet
hanche de cette manière ait à s'incliner vers le
es -pendant des an- nées, elles peuvent entraîner, surtout chez les
sujets
demeurés relative- ment actifs, des déviations
té assez prononcée du côté sain ». Nous avons examiné plus de vingt
sujets
atteints de l'hémiplégie infan- tile, appartena
dans le décubitus. Tel est le type habituel. Cependant, chez deux
sujets
frappés d'une atrophie très manifeste d'un memb
t beaucoup d'autres auteurs (G) ont produit des travaux sur le même
sujet
. Bien que les observations fournies ne soient pas
. 213 (Ollivier d'Angers, Charcot), ensellure qui parfois, chez les
sujets
atteints d'athétose double, s'observe même en d
individus nullement scoliotiques. Ajoutons qu'il existait, chez le
sujet
en question, une gracilité excessive de tous le
pé- remptoire. On a dit : la scoliose des adolescents frappe des
sujets
dont le système musculaire est faiblement dével
ies. On a remarqué que la scoliose vulgaire frappait volontiers les
sujets
chargés de tares nerveuses héréditaires. Landoi
uelques mois, d'observer à la Salpêtrière, un assez grand nombre de
sujets
atteints de maladie de Parkinson, nous en avons
physionomie est immobile et comme couverte d'un masque qui donne au
sujet
un air de tristesse, les sourcils sont tirés en h
le professeur Charcot l'a présenté concurremment avec deux au- tres
sujets
atteints de la même affection, bien que présentan
ent alors que celles de NF restent encore assez fortes. Sur le même
sujet
nous avons obtenu, sur d'autres tracés, encore de
oire, que l'on a donné à cette forme de chorée. D'autres fois, le
sujet
frappe à coups répétés sur un objet imaginaire,
rieurs disparaît parfois suffisamment. Déplus un certain nombre des
sujets
ainsi frappés ont même pu se marier et avoir de
accouchements prématurés et difficiles. Depuis, les travaux sur ce
sujet
se sont multipliés, et on pourrait citer nombre
très marquée, pouvant se prolonger de 8 à 20 minu- tes suivant les
sujets
: « La même expérience tentée, dit-il, sur différ
nance et l'on éprouve une sensation toute particulière que certains
sujets
compa- (1) Traitement de la douleur par los vib
S SUR LA MÉDECINE VIBRATOIRE. 269 n'eut pas de peine à recruter des
sujets
d'expérience parmi les malades de mon service e
nt été interrom- pues. Celles-ci ont porté jusqu'à présent sur huit
sujets
, six hommes et deux femmes. Malheureusement, il
mes et deux femmes. Malheureusement, il s'agit, pour la plupart, de
sujets
n'appartenant pas au service, et plusieurs, pou
nombre de ma- lades, plus d'un quart d'heure à 20 minutes à chaque
sujet
. Nous espérons pouvoir bientôt combler ces desi
très simple les lames de ce casque emboîtent exactement la tête du
sujet
en expérience. Le casque est surmonté d'un plat
un procédé de réglage fort simple. L'appareil posé sur la tète d'un
sujet
sain est parfaitement toléré et sa marche ne ca
t notablement les propor- tions moyennes ; comparées aux mains d'un
sujet
sain de même taille, de même âge et cle profess
re. A l'é- tat normal, leur coloration est rose pâle comme chez les
sujets
sains, mais sous l'influence du froid, de la po
donne 29°6 (pour une température extérieure de 19°) tandis que deux
sujets
sains donnaient au même moment 33°5 et 33°. Qua
le siège et la nature, faute de renseignements précis donnés par le
sujet
. Les pieds sont très grands et très gros (PI. X
moment un accroissement très manifeste. La marche est pénible et le
sujet
se fatigue très vite. Les réflexes tendineux so
ce qu'on peut dire d'une manière générale, c'est qu'il s'agit d'un
sujet
hystérique malformé (scoliose, hypertrophie des
e dans son canon que nous pouvons considérer comme résumant, sur ce
sujet
, l'état actuel de la science. Il a été composé, e
n effet, que grâce à un artifice qui consiste à placer les pieds du
sujet
sur un plan incliné qui en abaisse la pointe. Il
ar suite, plus petite dans les grandes. L'accord règne également au
sujet
des proportions relatives du tronc et des membr
(1) Les renseignements les plus complets que nous possédions sur ce
sujet
sont ceux de Scliadow (Polyclète ou Théorie des
ste belge que nous trouvons les renseignements les plus précis à ce
sujet
. D'une façon générale on peut dire que les part
ig. 41). Appendice. Procédés pour établir la comparaison entre un
sujet
quelconque et le type moyen figuré par le canon
e canon de sept têtes et demie. . Pour comparer entre eux plusieurs
sujets
au point de vue des propor- tions relatives des
vent du côté opposé rame- nées à sa taille égale à 100. Pour chaque
sujet
l'instrument devra donc être réglé à nouveau. M
fondées sur les découvertes scientifiques : tels sont les principaux
sujets
dont elle entre- tient le public. Elle fait a
ous est venue l'idée de cette thèse. Il fallait des limites à notre
sujet
. En nous bornant déjà à étudier chez les enfant
ns même sont à peine ébauchés. Les observations nous manquaient, le
sujet
était encore trop vaste. Embrassant en effet
en tramerions d'autres certainement dans l'im- portance pratique du
sujet
et dans l'intérêt qui s'attache pour tout méde-
e même très sincèrement : nous n'oserions rien écrire sur un pareil
sujet
, après les savantes recherches que lui a consacré
hystérie chez l'homme et sur- tout chez l'enfant, en reprenant à ce
sujet
les idées de Ch. Lepois et de Sydenham, auxquel
avoir écourtées pour entrer plus franchement dans le coeur de notre
sujet
. C'est en effet des enfants que nous nous occup
e (1880, 1881, 1883, 1889), l'ouvrage de M. Paul Richer sur le même
sujet
(1885) et la thèse de Peugniez, parue la même a
lui qui, dès 1880, inspire les thèses de Paris et de Guiraud sur ce
sujet
; il le re- prend ensuite pour son compte et en
rmant l'hystérie « dès l'enfance tendre », ne nous fournissent à ce
sujet
que des renseignements trop vagues et par consé
dans un {¡on nombre de cas, les symptômes sont identiques chez des
sujets
d'âges très différents. « En résumé, l'hystérie e
ves des ob- servations forcément incomplètes ou mal taillées sur le
sujet
qui nous oc- cupe. En fin de compte, le parti l
En fin de compte, le parti le plus sage est encore de considérer ce
sujet
comme neuf ou peu s'en faut, ce qui augmente séri
utre est la simulation que nous avons en vue ; celle-ci s'impose au
sujet
comme une maladie et il ne saurait la forger de t
enfants, et en- core, nous ne saurions prétendre à tout dire sur un
sujet
aussi vaste. Nous aurions voulu parler ensuite
unique d'hystérie simula- trice du syndrome de Weber chez un jeune
sujet
. Nous n'oserions rien ajouter après cet illustr
du syst. nerv. G. Guinon, 1892, t. 1, p. 283. (3) Voir sur le même
sujet
: Babinski, Soc. biologie, 1886. - Brissaud, Arch
wski, Élude sur l'athétose double. Thèse Paris, 1892. (5) Voir à ce
sujet
: Rendu, Soc. médic. hôpit., avril 1888. -Idem, j
e avec l'hystérie et sur la transforma- tion possible, chez un même
sujet
hystérique, de la chorée de Sydenham en chorée
(7), ainsi que les le- çons de M. le professeur Pitres sur le même
sujet
(8). « L'histoire des trem- blements hystérique
ée, puisque nous n'avons pu les observer. Mais l'enfant qui fait le
sujet
de cette observation a vécu quelque temps auprè
onvulsions à 16 mois ; le quatrième, âgé mainte- nant de 7 ans, est
sujet
depuis quelque temps il des accès de terreurs noc
us, car ils peuvent varier suivant le moment et les dispositions du
sujet
. En plus de ces modifications dans le nombre et
eindre le plus facilement) doit être douloureuse et pénible pour le
sujet
qui s'y soumet, en irritant les nerfs sensibles
rrités ou trop irritables (comme cela se rencontre surtout chez les
sujets
nerveux). Un rhéophore peut être placé au point c
du grand saphène situé sur la cuisse. J'ai vu en 1889, beaucoup de
sujets
atteints par J'influenza qui se plaignaient de do
couragé par le résultat, j'ai répété cette manoeuvre chez plusieurs
sujets
qui souf- furent de céphalalgie causée par l'hy
er que le courant atteintle grand symphatique ? Mes recherches à ce
sujet
ont été faites avec mon ami Dobrot- vorsky chez
nière et les restes du tympan étaient considérablement injectés. Le
sujet
ayant un cou remar- quablement long on ne pouva
ger. Le pouls est ordinairement plus fréquent qu'au repos. Quelques
sujets
accusent des an- goisses qu'il faut attribuer p
s postérieurs de la moelle. Mais l'ataxie peut être pas- sagère. Un
sujet
qui offrait tous les symptômes du tabes dorsal fu
s douleurs disparurent pour toujours après une série de séances. Le
sujet
mourut 7 ans après à la suite d'une intoxication.
t nous avons trouvé, entre les oeuvres des anciens statuaires et le
sujet
que nous avions sous les yeux, des analogies frap
ention de rappeler ici tout ce que l'art antique a pro- duit sur ce
sujet
, nous allons passer en revue quelques-unes des st
'existe aucune malformation, et, de par les organes génitaux, notre
sujet
appartient évidemment au sexe mâle. Mais d'un a
aux étaient atrophiés. Leurs fonctions sont réduites à néant. Notre
sujet
présente le type de la frigidité la plus complè
sommeil d'une forme spéciale et nons ne saurions mieux faire, à ce
sujet
, que de renvoyer à l'intéressant mémoire de M.
s les connaissances de son siècle, il exerçait sa pensée sur tous les
sujets
. Doué de facaltés perceptives et réflectives très
, je regarde comme un devoir de rectifier ce que M. Roger a dit à ce
sujet
. La position d’agrégé à la Faculté de Médecine do
ore. Sans doute ce résultat merveilleux ne s’obtient pas sur tous les
sujets
magnétisés, et, sous ce rapport, le magnétisme ne
s eût instruits du magnétisme lui-même. Qu’a-t-on appris d’eux sur ce
sujet
? Rien de positif; le progrès opéré l’a été par la
e seraient point habités; les rois octroyeraient des chartes pour des
sujets
qui n’existeraient point, et le général rangerait
ue je donne, prise en plus ou moins grande quantité, ne trouve pas de
sujets
ré-fraclaires. Je me fonde surtout sur ce que j’a
lle ici ce que j’ai pris la liberté de vous demander dans le temps au
sujet
du Jury magnétique , afin d’encouragement. Je cro
lgent pour les fautes que je pourrai commettre dans l’appréciation du
sujet
délicat dont vous avez désiré si ardemment me ren
ails de narration inutiles, la mention de circonstances étrangères au
sujet
, de trop fréquentes répétitions, etc., sans que v
existent entre les réponses des divers lucides interrogés sur le même
sujet
. Vos commentaires placés à la suite, en observati
allucinations, etc., auxquelles les somnambules les plus lucides sont
sujets
, et qu’ils donnent sans scrupule pour des réalité
doit être mesmérisé tous les jours pendant une heure. Du 8. 11 est
sujet
à la ficvre deux fois par mois, et il en éprouvai
risé jusqu’au i5, à cause d’une fièvre périodique à laquelle il a été
sujet
. Le i3. Ses bras étaient flexibles et on les se
ne grosseur. Ses deux jambes sont affectées d’éléphantiasis; il a été
sujet
à la fièvre périodiquo ordinaire, venant deux foi
main droite, ou toutes les deux ensemble, de la droite à la gauche du
sujet
, en descendant du sommet de la tête, par la joue
ux, de ces crispations qui se rencontrent si souvent dans de certains
sujets
très-sensibles à cause d’une magnétisation moins
tirer son fluide : c’est comme la décharge d’un corps électrique ; le
sujet
reste parfaitement réveillé. M. Coddé appuie cett
pilepsie. Du .27 janvier. Mme Goodall, âgée de trente-huit ans, est
sujette
à des attaques d’épilepsie depuis dix-neuf ans. S
toujours nos visiteurs, nos élèves et nos abonnés qui nous servent de
sujets
. C'est sur des gens connus que nous développons l
uffit de vouloir.......... Si j’osais faire une plaisanterie sur un
sujet
aussi grave, je dirais à l’auteur : Pourquoi va-t
science a révélé. En somme, M. Gentil nous paraît être rempli de son
sujet
; ce qui lui manque , c’est l’esprit qui systémati
ées ridicules et superstitieuses qui n’offre aucun rapport avec notre
sujet
. Quant aux guérisons attestées par les écrivains
ans influence apparente de la puissance magnétique, sera pour nous un
sujet
d’études beaucoup plus attrayant. On appelait g
a santé de riches vieillards. Rétif de la bretonne a tiré parti de ce
sujet
pour la composition d’un de ses ouvrages (i). 1
a contagion des maladies. Nous pourrons traiter un jour in extenso ce
sujet
d’un intérêt si puissant pour l’humanité, si les
eut dégénérer en une aflêction quelconque, suivant l’idiosyncrasie du
sujet
, soit enfin le germe d’une maladie chronique qui
en l’une : celle de l’état de veille; et tous les humains sont sur ce
sujet
aussi avancés que les savants. Les rouages de la
ons , soit qu’elles viennent du magnétiseur, qui peut exercer sur son
sujet
une influence considérable, soit qu’elles résulte
ges, il vous sera presque impossible de conserver votre empire sur le
sujet
. Ne soyez point ému vous-même, car vous deviendri
pathologie du système nerveux ; mais je n’ai poiut ¡voulu traiter un
sujet
aussi en litige que l’est le magnétisme animal. L
tion nous font vivement désirer que l’auteur poursuive; car si chaque
sujet
était traité de la sorte, la science se formerait
la vision saisit à l’exclusion des qualités matérielles. Lorsque le
sujet
de l’aperception n’appartient pas au monde matéri
mier état de l’extase, celui où des substances matérielles servent de
sujet
, de véhicule à l’aperception extatique , nous a é
entrait quelques parcelles de terre provenant du sol de Naples ; Le
sujet
de cette expérience se plaignit du malaise que lu
olmen, ou tombeau druidique. Le deuxième état, celui qui dévoile au
sujet
la perception du monde animique, s’est manifesté
erculanum, une Muse antique, Mel-pomène, en un mot. Voilà 1 état du
sujet
dans ses rapports avec son semblable, dans ses ra
n’étaient rien pour elle. Le troisième état extatique , celui où le
sujet
n’ayant ou n’acceptant aucun rapport avec le mond
ce, maintient le corps dans des poses presque impossibles, et que vos
sujets
ne peuvent, pour ainsi dire, qu’escamolet. Et v
ns qu’il ait fini pour résumer les idées qu’il a émises sur ce double
sujet
. — On vient de trouver à Paris un manuscrit du
des centaines de personnes appuieraient au besoin mon témoignage. Les
sujets
soumis aux épreuves sont-ils malades et en proie
soit mes idées sur la magie. J’éloigne même toute conversation sur ce
sujet
. Le dimanche vient. Après quelques expériences
à la suite d’une magnétisation dosée sur la disposition naturelle du
sujet
. L’organisme de celui-ci se montre-t-il rebelle
édiats, reposant sur des facultés intermittentes, éphémères, toujours
sujettes
à l’erreur, souvent faussées par l’intérêt, la va
ns de raison que de curiosité superstitieuse. A part quelques rares
sujets
privilégiés de Dieu et de la nature, joignant une
s pour les magnétistes sérieux. Ce livre renferme encore différents
sujets
que notre cadre nous obligea laisser dans l’ombre
e. J'ai vu, dans les journaux, Prôner \ilus d’un fluide; De ces
sujets
nouveaux Le sonimell est perfide : Eli non, non
'est jamais bon. Sur |a foi d’un journal, Je fus chez LÉonidu :
Sujet
pyramidal ! Lucidité splendide!..... Eh non,
Eh non, non , non, Elle n'est pas lucide; Eli non, non, non, Le
sujet
n’est pas bon. ( Parlé : ) Consultation de Mme
, Vous n'êtes pas lucide ! ( A part : ) Eli non, non , non, Ix
sujet
n’est pas bon I Malgré maint détracteur, Mesm
non, Vous n’ètes pas lucide I ( A part : ) Eli non, non, non, Le
sujet
n’est pas bon I Pour connaître la loi Qui règle
n . Vous n’ôtes pas lucide 1 ( A part : ) Eh non , non, non, Iæ
sujet
n’est pas lion ! Que fait le blond Lindor Avec
Eh non, non, non, Vous n’ôles pas lucide ! Eli non , non, non, Le
sujet
n'est pas bon i Et tous ces travailleurs Qu’on
on , non , non, Vous n’êtes pas lucide! Eli non, non , non , Le
sujet
n’est pas bon ! Pendant uno heure ou deux , La
h non , non, non , Elle n’est pas lucide, Eh non , non, non, Le
sujet
n’est pas bon. Je vois avec douleur Le néophyte
ables. Je fais taire en moi toute idée qui ne se rapporte point à mon
sujet
même, et je n’envisage que le terme, qui toujours
pouvez refuser votre croyance a ia réalité de ce qui fait le fond du
sujet
que nous traitons. Effacez de vos archives, de vo
muscle qui se contractait. M. Duvernoy, prenant la parole sur le même
sujet
, raconta qu’il avait plusieurs fois observé et dé
te-rendu de cette séance. Plus tard de nouveaux détails sur le même
sujet
parvinrent à l’Académie, et le mode d’expérimen-t
mai, MM. Despretz et Becquerel vinrent lire chacun un mémoire sur ce
sujet
. Tous les deux avaient répété l’expérience de M.
cependant il nous reste encore quelque chose de général à dire sur ce
sujet
, que nous ne voulons pas remettre à une autre foi
teurs d’en connaître la substance. Ceux qui voudraient approfondir le
sujet
pourront toujours recourir à l’original, que nous
fait. Sixième Observation. Shamchunder Dutt, âgé de quarante ans,
sujet
à fièvre périodique deux fois par mois, a depuis
les particularités de l’état mcsmérique, ont souvent observé que ses
sujets
montrent, dans tout ce qui sort de leurs lèvres p
est plus rien dutout(i). » « Son extrême ignorance sur la plupart des
sujets
de nos connaissances, était accompagnée de la vai
singulièrement opposées aux vue9 matérielles qu’il avait sur tous les
sujets
, quand il était éveillé. Une fois , il me querell
erte, l’entraînèrent naturellement à interroger un somnambule sur les
sujets
relatifs à la vie future. Afin que ce monsieur pû
e, elle était belle, elle était semblable à une inspiration. Le jeune
sujet
parla de la nature immortelle de l’âme, de sa béa
sur quelques expériences remarquables ces phénomènes merveilleux. Le
sujet
qu’il choisit fut une négresse, par la raison qu’
aussi facilement attribués à l’imagination. Dans le but de rendre son
sujet
aussi sensible que possible, le docteur le mes-
es. Il fut magnétisé par les procédés ordinaires et fut trouvé un bon
sujet
; déplus, il ignorait complètement les intentions
rsiston fut convaincu qu’il avait acquis un pouvoir suilisant sur son
sujet
, il actionna l’organe supposé du calorique; et, à
on de corps très-froids. Un gros morceau de glace mis dans la main du
sujet
y fondit promp-toment, sans que celui-ci parût en
e et à la grande frayeur des assistants, s’empara de tout le corps du
sujet
et en fit descendre la température jusqu’à 4°° Fa
si rapidement absorbée, rendue latente et sans action. Les pieds du
sujet
furent ensuite placés dans un seau d’eau chaude;
de fer chauffée au rouge, et l’approcha à un demi pouce de la joue du
sujet
; et là, ne remarquant aucune, apparence de douleu
s attendu, vu l'organisation incomplète du tube capillaire) ; mais le
sujet
ne s’émût pas ; sa peau ne fut pas du tout brûlée
articulière. Après que ces expériences hardies furent terminées, le
sujet
fut rendu à son étaf normal et ne se plaignit de
e découverte de la localité de l’organe. L’état de l’électricité du
sujet
fut trouvé négatif, et cela est fort intéressant
Le magnétisme dit animal sembla d’abord répandre quelque jour sur ce
sujet
énigmatique. On crut que le frottement d’un homme
ensée, faculté passive qui devient souvent active par la volonté du
sujet
, ils n’en ont point cité d’autres. Cet oubli, cet
de la volonté, de l’âme du rnesmériseur sur la volonté , sur l’âme du
sujet
. La nature, la variété, les développements de c
ue des rapports animiques qui existent entre l’expérimentateur et son
sujet
; c’est-à-dire, ceux qui résultent d’une volonté f
en dirigeant un regard soutenu sur celui qui devait être le principal
sujet
de cette expérience ; jeune homme d’une vingtaine
cate. Ce regard du maître, regard magnétique, attira et fixa celui du
sujet
, qu’on vit peu à peu s’animer, s’agrandir et bril
ne intention préméditée, sur l’autre personne. A ce moment, on vit le
sujet
de l’épreuve diriger alternativement et vivement
la seconde personne à feindre de lever une canne contre lui. Alors le
sujet
, arrivé au paroxysme de la colère, se lève avec f
ue le maître, en regardant la seconde personne n’agissait plus sur le
sujet
, et que, néanmoins, ce fut pendant ce temps que l
pas seulement son âme qu’il a le pouvoir de loger dans le corps d’un
sujet
, après avoir expulsé celle qui l’animait; il y in
ur. Au moment de produire ces phénomènes psychiques, en face de scs
sujets
, M. du Potet semble dire, comme le statuaire du b
ant lui; après l'avoir dominé du regard pendant quelques instants, le
sujet
, les yeux restés ouverts, exécuta tous les mouvem
tanéité du courant électrique. Tellement que, lorsque le maître et le
sujet
gesticulaient, on aurait pu penser que le moteur
horizontalement, puis traça avec ses pas une marche circulaire : son
sujet
l’imita aussitôt. Mais voilà qu’un autre jeune ho
e avait été envisagée par la science psychologique. N’est-ce pas un
sujet
de bien légitime élude, que celui qui doit nécess
saires d’une nouvelle analyse et d’une nouvelle synthèse. Quel beau
sujet
d’étude pour nos philosophes ! Et que font-ils, c
e pour les bêtes comme pour les personnes? Ce serait là , certes , un
sujet
précieux d’études et d’expériences. (Revue brit
en en concisant l'expression. Voici seulement les réflexions que le
sujet
nous inspire. N’ayant nul penchant pour les con
drocèle du côté droit, qui fut percé il y a environ six ans. Il était
sujet
à la fièvre périodique deux fois par mois. Dès
de magnétisation (les courants), que je n’avais osé employer chez un
sujet
aussi affaibli. Cette méthode ne tarda pas à me r
cularité mérite d’être signalée ici. Quand Mm' *** improviso sur un
sujet
composé de plusieurs quatrain», ceux-ci no se pro
e la surface totale du corps, qui duraient depuis quatre mois chez un
sujet
de cinquante-six ans, ont disparu après dix-huit
en douze magnétisations d’une heure. il0 Un épileptique, qui était
sujet
à un accès tous les cinq ou six jours, magnétisé
on peut être réduite en art, et conduite par « une méthode, sur des
sujets
qui ont la foi.......» Page 15 : « L’inten- « t
é elle6 n’avaient pris qu’une substance parfaitement inerte; et, à ce
sujet
, nous citerons l’observation suivante, dont nous
uérir ces maladies lorsque la confiance et la foi ont abandonné leurs
sujets
, (1) MeaJ. opéra, i. Il, p. 327. (2) Philosop
ion est non seulement contagieuse, mais aussi fort puissante dans les
sujets
où elle est fort vive, il est arrivé que des chos
isputer scs propriétés ; il y eut alors de violentes discussions à ce
sujet
entre les membres de l’Académie de médecine. Dy
ite dans sa Dissertation tous les ouvrages qui ont été publiés sur ce
sujet
. L’auteur de la Philosophie mosaiqile, Robert F
s-nous nous courber au souffle des ouragans, sans prévoir leur venue?
Sujets
à tant de maladies, continuerons-nous de laisser
ut-il, messieurs, que la vérité rencontre tant d’obstacles? Quel beau
sujet
d’études ! Apportée par un homme inspiré, la véri
’écho ; car, après la lecture de toutes les pièces qui traitent de ce
sujet
, nous restons parfaitement convaincu que tous les
ouvelle ordonnance, datée du 17 février 1761 , défendit aux personnes
sujettes
à ces convulsions de s’exposer en spectacle, et a
. Nous étudierons plus tard cette intéressante question, étrangère au
sujet
dont nous nous occupons aujourd’hui. Nous termi
les erreurs involontaires que nous avons pu commettre eu traitant un
sujet
aussi épineux. D' Alfhf.d PERKIER. (Le chapit
à l’aide de laquelle il a obtenu l’insensibilité sur presque tous les
sujets
. L’eflicacité de ce procédé est telle, que, dans
il agit sur les faibles. » Tandis que je prendrai les plus forts pour
sujets
de mes épreuves. « Ce n’est rien, diront-ils enco
vas nous offrir l’image et le dérèglement naissant de l’ivresse. » Le
sujet
sourit, me regarde, et doute, non de la sincérité
caractères se montre dans tout son jour. Dans le premier exemple, le
sujet
est triste et morose; dans le second, il reste jo
l qu’elle ne tourne point contre l’humanité! Mais essayons, dans un
sujet
viril, de faire naître la décrépitude. Que la vie
s assez heureux de le trouver chez lui. Je m’empressai de lui dire le
sujet
de ma visite, et enfin je le priai instamment de
uveraine, parce qu’elle est la raison même. Mais je m’écarte de mon
sujet
; je vais y revenir par des descriptions exemptes
ète, et je suis forcé de renvoyer à ce que j’ai dit sur cet important
sujet
dans la deuxième édition de ma Physiologie du Mag
l'apposition des mains (les passes), avec un discours physique sur ce
sujet
, précédé de cette épigraphe : Non ideb negari deb
t pas ne pas être. Nous suivrons le développement de ses idées sur ce
sujet
. Ses leçons ont lieu le vendredi, à l’Athénée, ru
Ce qui donne du poids à celte probabilité, c’est que les rapports des
sujets
lucides, lorsqu’ils ont pour objet les merveilles
lement en degrés avec celles qui sont fréquemment faites par d’autres
sujets
, moins favorisés, mais cependant, non moins vérit
nt, au moyen de certaines opérations manuelles et mentales, laisse le
sujet
, après qu’elle est passée, dans l’oubli le plus c
aucoup d’autres magnétistes, il ne s'est pas tout simplement servi de
sujets
lucides ou extatiques, pour arriver à ses révélat
ommes obligé de lui refuser; tout en convenant qu’il est rare que des
sujets
extatiques aient quelque souvenir de leurs vision
— bien que sous une autre dénomination — fournit à notre critique le
sujet
d’un sérieux examen, et par déduction, d’une atta
être connues de personne. Mais des épreuves réitérées, sur plusieurs
sujets
, me faj miliarisèrent bientôt avec ce prodigieux
’un certain esprit m'accosta et me dit, en peu de mots, quel était le
sujet
de mes pensées. Je fus bien étonné qu’un esprit p
pas penser une chose, quils ne la connussent aussitôt. Cela devint un
sujet
de tourment pour moi; mais après une habitude de
e ma part, le phénomène le plus merveilleux des temps modernes, et le
sujet
le plus précieux, tant pour l’humanité souffrante
ire ; par M. du Potet, 140, 182, 211. 257, 327. — Aperçus sur le même
sujet
, par M. Alph. Chocarne, 237, 393. — Phénomènes ps
nce. Compte-rendu, par M. Gilbert Govi, 343. — Continuation du même
sujet
, avec notes scientifiques, 462. — Réflexions, p
e palatine, mais il ne fait jamais savoir si le rhinopharynx de ses
sujets
a été examiné. Par contre les rhinologistes ont
n'ont pas cherché à individualiser l'oxycéphalie parmi la foule des
sujets
adénoï- diens. A ce propos, je rapporterai ic
e la base du crâne déce- lables par la radiographie, tandis que les
sujets
oxycéphales qui n'ont pas de semblables altérat
iquer les altérations névriti- ques du fond de l'oeil chez certains
sujets
oxycéphales; de plus, ils peu- vent donner quel
il était atrep- siqne, avec un ventre énorme et ballonné; il était
sujet
à des troubles gastro- intestinaux continuels,
n ÉTUDE DU SYNDROME OXYCEPHALIQUE 9 gouttière qui existe chez les
sujets
normaux, se trouve un méplat qui supprime la pa
I) pour saisir les anomalies rachitiques présentées par notre petit
sujet
. Les membres supérieurs minces et grêles parais
nt'que très peu de renseignements sur les antécédents personnels du
sujet
, je me suis adressé directement à ses parents, do
. Etat présent. - A. Maccagno est peut-être le plus intéressant des
sujets
atteints d'oxycéphalie que nous étudions ici. E
anomalies qui sont encore bien moins évidentes que chez les autres
sujets
dont nous avons relaté l'histoire. Nul doute qu
0/20). Conformation du squelette. Ici encore, comme chez les autres
sujets
oxycéphales nous trouvons des signes certains d
ar exemple, c'est tout à fait le cas contraire : on trouve chez ces
sujets
dysostosiques une cyphose basilaire. Je regrett
ir stric- tement aux faits observés sans édifier des hypothèses, le
sujet
ne se prêtant pas à être traité par des vues ap
ropologique de mon regretté maître Lombroso (1) se rapportant à des
sujets
myxoedémateux ou idiots, mais toutes mes recherch
vivant, etqui fut suivie par l'examen du crâne à l'autopsie du même
sujet
, mort après une poussée d'hydrocé- phalie aigué
du liquide intraventriculaire est tout autre alors qu'il s'agit de
sujets
chez qui la synostose des os de la calotte n'est
de sang, hypothèse confirmée par le fait que chez plusieurs de ces
sujets
l'on a pu constater, soit à la région temporale,
uestion, et il a constaté la dialhèse rachitique chez 85 0/0 de ses
sujets
. Il admet, lui aussi, que la synostose doit êtr
l'hydrocéphalie, soit par la méningite séreuse. Il admet, chez ses
sujets
, l'existence d'une méningite séreuse localisée à
lieu de se demander si, par hasard, l'on pourrait trouver chez les
sujets
oxycéphales quelques traces notions nouvelles q
système cérébelleux. De plus, en outre de l'existence, chez le même
sujet
, de symptômes de l'une et de l'autre, on a cité
apparition dans l'enfance des troubles de l'équilibre chez certains
sujets
atteints de ces syndromes, ce qui prouve que de t
ces conditions, indiscutable : combien de fois, en effet, chez des
sujets
en apparence indemnes de toute lésion nerveuse,
d'abord, des recherches cl'0. Berger (1) (de Breslau), que certains
sujets
absolument sains présentent normalement une aboli
proportion de 1,56 pour 100 ; ces recher- ches ont porté sur 1.409
sujets
sains; les 22 individus qui, sur ce nom- bre, m
Chicago) montre que le réflexe palellaire fait défaut 2 fois sur 36
sujets
sains examinés ; mais ces statistiques ne prése
sion de la zone d'entrée des racines qui expliquerait chez certains
sujets
absolument bien portants l'abolition des réflexes
a se passe dans le cas d'une section. . Enfin, pour revenir à notre
sujet
et terminer ces considérations ana- tomiques, n
- mène du genou aptes qu'il a été trouvé aboli. Sans apporter, à ce
sujet
, aucune considération tirée de notre cas, il es
paraître une réflectivité,jusque-la pour ainsi dire la- tente. A ce
sujet
, un rapprochement est à faire entre l'interprétat
atellaire réapparaître après plusieurs années d'a- bolition chez un
sujet
atteint de tabes arrêté par la cécité (3). « Ce f
aroxystiques ne sont autre chose que des crises gastriques chez des
sujets
présentant à un degré minimum des si- gnes de t
; ceux de Graup- ner (1) furent effectués sur le sympathique d'un'
sujet
atteint de sclérose combinée des cordons postér
ndication et l'analyse des prin- cipaux travaux qui ont paru sur ce
sujet
et une revue critique de MM. To- lol et Froment
on de la zone d'entrée des racines qui explique- rait chez certains
sujets
absolument bien portants l'abolition des réflexes
ion, pensent que l'hyperchlorhydrie n'atteint ce degré que chez les
sujets
à labes latent. En tous cas, les gastropatlies,
structure anatomique de la blessure ne donne aucune indication à ce
sujet
. A l'aide du crâniomèlre de Kocher, nous nous s
LLAIS Nous sommes d'autre part frappés par la mauvaise dentition du
sujet
, par la taille un peu forte du nez, par ['exagé
gna- lée. . Plusieurs auteurs citent uniquement t'anaphrodisie du
sujet
qu'ils ob- servent, tels sont les cas décrits p
fJ\'J11é(i("a 'grossesse qui devait aboutir la nais- sance de notre
sujet
, qui }iif3 ? lll eA1mailloté, mal soigné ( ? )
s'en rendre compte, il est nécessaire de raser les cheveux de notre
sujet
. Tronc. - Il est normal et correspondrait à une
. Du reste, l'observation de l'état intellectuel et mental de notre
sujet
était difficile, non seulement en raison de cet é
tationnaire depuis longtemps. Mais tout ceci reste imprécis et très
sujet
à caution car le malade n'y attache aucune impo
daires par décoloration centrale des zones byperpigmentées (et à ce
sujet
notre malade ne peut nous fournir aucun renseig
ski, qui a bien voulu venir dans mes diverses casernes examiner les
sujets
présentant des ano- malies et que je tiens à re
. Ils exécutent obligatoirement un service assez pénible. L'âge des
sujets
observés varie de 22 à 54 ans; mais la muitié d
Celte absence du réflexe achilléen ou du réflexe rotulien chez des
sujets
indemnes de tout autre trouble nerveux est mal co
re trouble nerveux est mal connue. Les sta- tistiques publiées à ce
sujet
sont très divergentes. Albert Charpentier, en 1
s. hollarils n'a jamais trouvé le réflexe rotulien absent sur 1.000
sujets
; Glorieux l'a trouvé ab- sent une fois sur 00
l'état normal quand on le recherche en faisant mettre il genoux le
sujet
examiné. Au Congrès de neurologie de Limoges (a
érait encore le réflexe achilléen com- me manquant souvent chez les
sujets
sains. La technique de Babinski est rapidement
rouvé le réflexe achilléen nul à l'examen de plusieurs centaines de
sujets
. D'après Chadzinski (même technique), ce réflex
exe achilléen : entre 40 et 50 ans réflexe toujours existant sur 28
sujets
, entre 50 et GO ans réflexe absent 5 fois sur 4
tant sur 28 sujets, entre 50 et GO ans réflexe absent 5 fois sur 42
sujets
, entre 60 et 70 ans ré- flexe absent 28 fois su
s sur 42 sujets, entre 60 et 70 ans ré- flexe absent 28 fois sur 80
sujets
, entre 70 et 80 ans réflexe absent 4 fois sur 6
fois sur 80 sujets, entre 70 et 80 ans réflexe absent 4 fois sur 65
sujets
, au dessus de 80 ans réflexe absent 1'2 fois sur
s sur 65 sujets, au dessus de 80 ans réflexe absent 1'2 fois sur 15
sujets
. L'absence des réflexes acllilléens oudes réfle
ue de ce travail, qui a l'avantage de porter sur un grand nombre de
sujets
tous soumis aux mêmes conditions bien détermi-
nosymplomatique. · Cette absence d'un ou plusieurs réflexes chez un
sujet
indemne de tout autre symptôme nerveux peut êtr
nerveux peut être qualifiée absence monosymploma- tique; l'étal du
sujet
peut être dénommé il'ré/lectÍ1'ité 111ollosym}Jto
CIiILI.ÉI;N. //réflectivité associée à d'autres symptômes. - Chez i
sujets
le réflexe achilléen a élé trouvé nul des deux
'examen du système nerveux a décelé un tabès jusqu'alors ignoré. Un
sujet
présentait une abolition bi- latérale dépendant
on bi- latérale dépendant d'une névrite scarlatineuse ignorée. Deux
sujets
présen- taient une aholition unilatérale, liée
ée chez l'un, à une sciatique incomplètement guérie chez l'autre. 7
sujets
au total présentaient donc une abolition du réf
ès de 1 0/0. hréflectivité 1110llOs ! }/Ilptomatique, - Sur 2.304
sujets
examinés, 59 avaient le réflexe achilléen nul,
tique du réflexe achilléen compa- rativement dans la cavalerie (479
sujets
) et dans l'infanterie t.895 sujets). La proport
rativement dans la cavalerie (479 sujets) et dans l'infanterie t.895
sujets
). La proportion globale est un peu plus forte d
flexe achilléen. h réflectivité 1n911OsyrnjJtomalir¡ne. - Sur 23û\'
sujets
examinés, l'ab- sence bilatérale ou unilatérale
oissement notable qu'après 40 ans (comparer les graphiques). Sur 11
sujets
présentant de Graphique Il. - Réflexe rotulien.
fréquemment avec conservation du réflexe rotulien (52 fois sur 2304
sujets
) et souvent avec intégrité de ce réflexe ; l'abse
nellement avec eonseï- valion du réflexe achilléen (4 fois sur 2304
sujets
) et plus exceptionnelle- ment encore avec intég
e irréllectivité mono- symptomatique " ? ' Doit-on considérer les
sujets
qui présentent cette absence comme des hommes n
les faits observés. Celte abolition est constatée souvent chez des
sujets
très vigoureux et n'ayant aucun signe do \ vieill
éterminé ; dans un court laps de temps,ils frappent la totalité des
sujets
à de très rares excep- tions près ; ces caractè
uelques années, la proportion de chacun de ces phénomènes pour ! 00
sujets
oh servés passe brusquement de 0 à 100 0/0 ou p
ce à apparaître au moins à 25 ans, n'a pas encore atteint 6 0/0 des
sujets
il ai0 ans ! Les phénomènes normalement liés ré
rréflectivité monosymplomalique, I in- terrogatoire et l'examen des
sujets
mettent en évidence une cause patho- logique po
DE L'ABSENCE DES BÉFLEXLS ACHILLUENS Er ROTULIENS 167 chez le même
sujet
, ont été relevées. -Dans les 59 observations d'ab
bius, examinant 56 malades âgés do plus de 80 ans, c'est-à-dire des
sujets
ayant accumulé les causes pathologiques, trouve
nts dans une proportion d'autant plus élevée qu'ils observaient des
sujets
plus âgés et appartenant à un milieu plus palholo
lexes. L'irréflectivité, seule ou associée à des trou- bles dont le
sujet
ne songe pas à se plaindre, peut révéler une affe
et radiculites graves et du tabès. Sa recherche systématique chez les
sujet
s paraissant bien portants, mais âgés de plus d
W3 SAIN'('UPI··Lr'UAliIVA\-t3U U \' KKL'l' ses hypothèses émises au
sujet
des fonctions de la glande pinéale. Happe- lons
its pathologiques rares mais significatifs, ont été recueillis à ce
sujet
et des cas de tumeurs~de la glande pinéale ont
a peut-être à sou- lever le voile qui recouvre encore ces sortes de
sujets
. Cette ignorance, cette difficulté d'expliquer
si. complexe des rapports de l'homme et des animaux. Il est peu de
sujets
aussi passionnants que celui qui concerne notre o
aux d'ensemble ont été publiés, des thèses ont été soutenues sur ce
sujet
(4). Le malade dont nous rapportons l'observati
ille de notre malade. Nous l'avons interrogé tout spécialement à ce
sujet
, et sur aucun de ses parents, nous n'avons re-
rons pas sur les autres organes qui n'offrent aucun intérêt pour le
sujet
qui nous occupe et qui semblent avoir leur situat
Voici, d'ailleurs, ce que nous écrit le Dr Ledouble (de Tours) à ce
sujet
: « Les apophyses lombaires en antéversion de v
comptons que 12 vertèbres bien différenciées, au lieu de 24 sur un
sujet
normal. Nous trouvons de bas en haut : 4 vert
ôt il' y aurait une augmentation numérique de ces segments chez les
sujets
qui plus lard devront avoir un plus grand nombr
a fontanelle antérieure n'était pas encore fermée. Le second est le
sujet
de la seconde observation. Le malade présentait
au. Ils croyaient que cette malformation n'avait pas encore fait le
sujet
d'aucune description. Dans la discussion qui
pose qui l'empêchait de les porter en contact. Trois sur les quatre
sujets
étudiés par Marie et Sainton étaient atteints d
t de susciter l'apparition de nouveaux et importants travaux sur ce
sujet
, et nous pouvons citer à ce propos ceux de Couv
(9) en France. A l'étranger, des observations se rapportant au même
sujet
furent publiées par Ilult- Kranlz (10), Schorsl
2 mars 1903. S. VILLARET et FRAI>C07., - Une famille de quatre
sujets
atteints de dysostose cléido- crânienne hérédit
suite l'affec- tion de laquelle il s'agit. C'est pour cela que ce
sujet
a fourni tant de travaux intéressants. Mais si
éférence pour la famille, elle parais- sait peu encline discuter ce
sujet
. Lorsque, le 3 avril 1908, la gouvernante entra
proches déclarent qu'elle ne faisait jamais de questions directes au
sujet
du passé, ni concernant sa maladie ou les affai
e, ni concernant quoi que ce fût ; et pourtant, questionnée sur ces
sujets
, elle répondait toujours qu'elle ne se rappelait
enirs étaient plus riches, mais pas plus qu'ils ne.le sont chez des
sujets
normaux ; elle avait des souvenirs nets des membr
tendu rien d'extraordinaire. Lorsque la conversation tombait sur ce
sujet
, Caroline paraissait plus renfermée et moins affi
nt et était, dans le pays, considéré comme « matois ». L'amnésie au
sujet
du temps où il avait été malade persistait, il af
aposition de deux modalités cliniques dans une môme famille. Un des
sujets
est atteint dans la première enfance d'une atroph
souvent dans l'enfance, ou avant la vingtième année ; chez d'autres
sujets
à 30 ou 40 ans ; les muscles de la main étaient
ureux. Les contractions fibrillaires n'ont été observées que sur un
sujet
. Les membres inférieurs étaient indemnes et les
s conservés. Il fant rappeler aussi les cas de Heveroch (3), quatre
sujets
frères et soeurs, atrophiés aux extrémités des
les obser- vations particulièrement démonstratives sont celles des
sujets
d'une même famille montrant ces deux modalités
SCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 301 mas (1) concernent deux
sujets
, frère et soeur, chez lesquels la symptomato- l
minée par un avortement. Elle n'est pas buveuse. Les deux soeurs du
sujet
jouissent d'une santé excellente. Rien d'intére
éressant à remarquer chez ses collatéraux. Lors de la conception du
sujet
, son père avait 38 ans et sa mère 28. Il est né à
l n'en a pas eu d'autres qui fussent dignes d'être remarquées. Le
sujet
commença à marcher à l'âge de 10 mois, et à parle
e la fatigue dans le tronc. Ces troubles se sont manifestés chez le
sujet
jusqu'à aujourd'hui sans chan- gement (avril 19
, aucune. Lorsque, par quelque expédieut, on arrive à faire rire le
sujet
, on voit que la partie gauche du visage se modi
droite du visage, elle reste complète- ment inerte (PI. XLV). Le
sujet
peut tirer la langue et la mouvoir dans tous les
s'esquissent à peine. On ne sent ni troubles ni difficultés chez le
sujet
lorsqu'il parle. Il prononce bien toutes les co
veloppé ; au toucher l'on n'arrive pas à sentir celui de droite. Le
sujet
ne peut contracter le peaucier ni à droite ni à g
à gauche. Aucun trouble dans les mouvements passifs de la tète. Le
sujet
est en me- sure de bien accomplir le mouvement
t vers la gauche ne se font pas complètement. Pour les exécuter, le
sujet
s'aide en haussant les épaules. Les fosses sus-
izontale à la position assise, lorsqu'il est étendu sur son lit, le
sujet
n'y arrive qu'en s'aidant des membres supérieurs,
ncom- plets. 324 MINGAZZINI Membres supérieurs. - Tandis que le
sujet
arrive facilement à soulever l'épaule gauche bi
e bras se tourne en dehors et la main a une tendance à tomber. Le
sujet
peut soulever le membre supérieur droit tout enti
est de même des sentiments éthiques qui le sont presque autant. Le
sujet
s'intéresse à son état dans une juste mesure, il
ctif a permis de faire ressortir que l'atrophie des muscles chez le
sujet
est d'autant plus grave qu'elle date de plus long
e supérieur droit, côté de l'atrophie. Or, si l'on considère que le
sujet
n'a jamais eu de paresthésies,que chez lui aucu
que les différences cliniques entre cette maladie et celle de notre
sujet
sont assez claires et nombreuses. Au contraire,
manière dont se présente la fente palpébrale de droite, lorsque le
sujet
essaie de fermer les yeux ; le lagophtalmus ; l
type Landouzy-Dejerine, et dans lequel la face fut prise lorsque le
sujet
avait 6 ans. A 12 ans, c'était le tour des memb
minué. Malgré les recherches que j'ai faites dans la littérature du
sujet
, je ne suis pas arrivé à y découvrir un seul ca
« one side may,suffer some time before the other », mais, chez mon
sujet
, il s'agit d'une dystrophie musculaire progressiv
tent la même explication. Quelques faits signalés dans l'examen du
sujet
se trouvent pleinement en harmonie avec la théo
les mains tombantes arrivent à peu près à mi-cuisses comme chez un
sujet
normal et non, comme chez les grands pagétiques,
tent même seulement que le traumatisme a pu attirer l'attention des
sujets
sur des déformations dont ils ne s'étaient pas
prit de l'observateur, frappé des antécédents qu'il observe chez le
sujet
qui s'est présenté à lui, a une tendance nature
alement en rapport avec les troubles psycho- sensoriels. Lorsque le
sujet
était en proie aux hallucinations, son attentio
gie de ces troubles psych o-sensoriels Nous sommes en présence d'un
sujet
prédisposé, à lourde hérédité, assez mal développ
ans lequel il pose le diagnostic de poliomyélite, et. M. Muet, à ce
sujet
, témoigne avoir vu des cas analogues où le diag
isons que nous avons cru devoir pu- blier l'observation qui fait le
sujet
de ce travail. Elle est susceptible d'ap- porte
r resté latent jusque-là ? La notion des antécédents et de l'âge du
sujet
, de la gravité et de la localisation du trauma,
pri- maires. Il montrait déjà un caractère vif et emporté et était
sujet
à de violents accès de colère. A l'âge de 12
cinq ans. Fréquemment, après ses crises convulsives, le malade était
sujet
à des impulsions dangereuses : il se mettait à
accentué. ÉPILEPSIE TAKD1VE ET TROUBLES MENTAUX 389 En résumé, un
sujet
, sans antécédent, vésaniques, névropathiques ou
par le violent traumatisme crânien survenu à Page de 12 ans. Notre
sujet
, dont les antécédents héréditaires et personnel
ngue échéance nous parait assez comparable à celui observé chez les
sujets
ayant présenté durant leur enfance des méningit
que démontrent jusqu'à un certain point ce fait que si du vivant du
sujet
le tableau clinique peut don- ner des symptômes
eur, chaleur) dans la moitié externe du bras et de l'avant-bras. Le
sujet
ne se trompe presque jamais pour le froid et le
a main gauche et dans les trois doigts correspondants engourdis. Le
sujet
ne distingue pas les deux pointes il 2 centimètre
our évoquer encore une fois les controverses soulevées autour de ce
sujet
. Observation (Pl. LIX). , lIIUe Az..., 66 ans
ement à retenir de cette observation : I. Le fait qu'il s'agit d'un
sujet
du sexe féminin, ce qui constitue une rareté cl
e ou moins bien nourri ? Il est évidemment inutile de faire ai ce
sujet
des hypothèses sans fonde- ment, mais le fait e
ve spmale syphilitique. -Revue Neurologique; 1909, p. 817. - Même
sujet
, 1910, p. 1429. Mosnv et Carat. Atrophie muscul
inées des doigts, les membres ne sont pas sensiblement allongés, le
sujet
étant de grande taille. Il n'y a aucune défor
préciser la nature de la tumeur. Cette observation est pour nous le
sujet
de divers ordres de réflexions, les unes compre
ent, ce fait peut être expliqué parce qu'il s'agit assez souvent de
sujets
âgés, mais cependant il y a ta peut-être plus qu'
si on oppose à ceci cette autre remarque qu'il existait sur le même
sujet
d'autres méga ! opathies; le côlon distendu, depu
esse par- ticulièrement à la question, doit faire de cette étude le
sujet
d'un prochain travail. Il est certain que l'i
s; les ré- flexions auxquelles nous étions amenés tout à l'heure au
sujet
des chiffres paradoxaux révélés par l'analyse c
Notre malade n'aurait pas eu la syphilis (mais cette information est
sujette
à caution). Elle a fait grand usage d'alcool. E
ences médicales. Prenant autant que possible, pour base, la nature du
sujet
traité, nous les avons groupés en cinq parties :
litaires et bourgeois, citadins et campagnards, etc., etc.; tous sont
sujets
à cette maladie ; le jeune âge et la circonstance
ignements (comme cela nous arrive tant de fois à Paris, môme pour les
sujets
atleints de varioles ou de ioute autre affection
n de ia maladie par contagion. Les documents les plus précieux sur ce
sujet
ont été présentés par MM. Bretonneau, Gendron, Pi
nant d'ailleurs à renvoyer aux sources où l'on pourra trouver, sur ce
sujet
important, des détails plus complets. PRONOSTIC
er, parfois complètement, ces indica-tions. L'âge, la constitution du
sujet
sont, évidemment aussi des circonstances dont il
avoir recours aux émissions sanguines générales. Une, ou même, si le
sujet
est robuste, deux saignées de 300 à 400 grammes s
coup, formule qu'il modifie suivant la gravité des cas, la force des
sujets
, et qui ne peut être mise en œuvre qu'au début de
ur les phénomènes inflammatoires. (Voyez, pour plus de détails sur ce
sujet
: Bouillaud, Nosographîe mé-dicale, t. IIF, art.
raitement des fièvres typhoïdes et, dans un rapport lu en 1837 sur ce
sujet
par M. Andral, à l'Académie de médecine, on trouv
ariboisière, dans le service de M. Hérard, appelle l'attention sur un
sujet
peu connu en France et pourtant très digne d'inté
ions laryngées, il ne les avait rencontré que deux fois sur cinquante
sujets
*. Ces observa-tions, bien qu'elles aient été con
icule biliaire ; l'un de nous l'a rencon-trée plusieurs fois chez des
sujet
qui avaient succombé à une période avancée de la
onné trois fois par une laryn-gite nécrosique. Chez les deux derniers
sujets
, le point de départ de l'infiltration est resté d
decins étrangers accordent aujourd'hui une très sérieuse attention au
sujet
qui nous occupe ; et quel-ques-uns ont constaté s
Textor : 3 cas. Deux fois la trachée ne fut pas ouverte. Les trois
sujets
sont morts. Hein : 1 cas. Croup bronchique géné
des éléments provisoires de statistique. Nous en-gageons ceux que le
sujet
pourra tenter à consulter un tra-vail que nous n'
t les follicules agminés de l'iléon tu-méfiés et ulcérés. C'est là un
sujet
qui réclame encore, ce nous semble, de nombreuses
xanthème (Stewart, Corrigan) ; c'est, d'ailleurs, en général chez les
sujets
pauvres et affaiblis parles privations de nourrit
gmentation de volume et un ramollissement plus ou moins prononcé. Les
sujets
âgés de plus de cinquante ans paraissent seuls fa
rachnoïde a été constatée par le docteur Jenner, chez un huitième des
sujets
. La rigidité cadavérique paraît être ici plus hât
er avec tout l'ensemble des caractères qui lui sont propres, chez des
sujets
convales-cents du typhus fever, et réciproquement
'épidémie de 1818 et dans celle de 1825 (Stokes). A Edimbourg, de 132
sujets
morts de fièvre continue, et dont l'autopsie a ét
èvre typhoïde et les autres maladies aiguës. » Les hommes sont plus
sujets
à la maladie que les femmes. Les ouvriers adonnés
x mal entretenus, des rivières fangeuses, ou traversé par des fleuves
sujets
à des déborde-ments annuels. Dans les villes, on
in, et c'est là, sans contredit, un des points les plus importants du
sujet
qui nous occupe, les pestiférés transportés dans
rs à l'abri des réci-dives (Diemerbroeck, Chenot, Clot-Bey). Quelques
sujets
ont pu être atteints, dit-on, jusqu'à trois fois,
le degré le plus élevé de celles-là. Yoici comment s'exprime, sur ce
sujet
, l'un des auteurs les plus à même de l'étudier so
accès de fièvre simple se déclarer; quelquefois enfin, c'est chez un
sujet
plongé dans la cachexie paludéenne que la maladie
médecine, 18 t2, p. 1060) l'a également rencontrée sur cent cinquante
sujets
morts à la suite de la fièvre jaune qui a régné e
jaune des téguments. — Ecchymoses. — a. On trouve sur la plupart des
sujets
une coloration jaune plus ou moins foncée de la p
rs, que l'ictère par cholé-mie puisse se trouver combiné chez un même
sujet
à la colo-ration morbide que produit la stase san
sente pas d'autres altérations que celles qui se rencontrent dans les
sujets
qui ont eu des hématémèses ou des entéro-hémorrag
ns étendus ; ceci rappelle ce qu'on observe assez fréquemment sur les
sujets
morts à la suite du cloléra asiatique. (H. Bran
ns peut-être n'est vraiment caractéristique; mais réunies sur un même
sujet
, elles constituent un ensemble d'altérations qui
emiers jours; si les signes d'hyposlhénie sont bien marqués et que le
sujet
soit robuste, on peut employer les émissions sang
n, puisqu'elles ne s'adressent pas à l'essence du mal. Affaiblir le
sujet
, ce serait d'ailleurs le mettre dans de fort mauv
i a été, comme nous l'avons rappelé tout récemment (1857, p. 803), le
sujet
de plus d'une description de fantaisie. Il est no
édecine, 1842, p. 1060) l'a également rencontrée en 1838 sur tous les
sujets
, au nombre de 150, qui ont été ouverts. En-fin, l
. XXVIII, p. 121), qui se sont livrés à des études anatomiques sur ce
sujet
lors de l'épi-démie qui aravagé Philadelphie (185
LA MORT. n° l; n° 2 N° 3 n° 4 A G E ÉTAT ANTliR'EUR du
sujet
. 70 ans, Bien portante habi-tuellement. fil a
RMINÉS PAR LA MOUT. N° 5 N° 6 n1 7 AGE état an té! I ïur du
sujet
. EPOQUE DU DÉBUT del'affection cholérique.
ÉS PAR LA GUÉRISON. N° 8 N» 9 N° 10 AGE ÉTAT ANTÉRIEUR du
sujet
. 78 ans, Habituellement bien portante. 74 ans
e à 40°. L'examen microscopique a dé-montré qu'il n'existait, chez ce
sujet
, aucune complication inflammatoire pouvant expliq
forment fréquemment dans l'épaisseur du corps des vertèbres, chez les
sujets
atteints du cancer du sein. Ces dépôts secondaire
ersent les trous de conjugaison. (Voir une communication faite sur ce
sujet
, par M. Charcot, à la Société médicale des hôpita
e la Soc. de biologie, 1811, p. 43). Voici les réflexions faites à ce
sujet
par M. Charcot : « Je n'hésite pas un instant,
veau. Voici ce qu'il m'a paru renfermer de plus intéressant pour le
sujet
qui nous occupe : 1° le veau atteint d'ichthyose
-vres sérieuses.Sur ces six cas, il en est au moins un qui a trait au
sujet
qui nous occupe ; il est consigné dans l'obs. n°
dant la vie. Ici, le doute qui règne dans l'observation de Park, au
sujet
du véritable siège du kyste, dans l'ovaire ou dan
n kyste hydatique volumineux. 5° Enfin, et ceci est plus dans notre
sujet
, on rencontra au voisi nage de la vessie un sac à
a Société anatomique pour 1849 contien-nent une note relative au même
sujet
. M. Blondeau, interne, présente une pièce dans la
du volume d'une pomme d'apis, était accolée uu cœcum. Cet homme était
sujet
à la ré-tention d'urine ; lors de son entrée dans
hyme du cerveau et dans celui du poumon. Sur les 12 cas qui font le
sujet
de ce travail, 6 appartiennent à la femme, 5 à l'
e de cristaux semblables dans des kystes hydatiques qui, chez le môme
sujet
, étaient situés dans d'autres parties de la cavit
observation, dont nous allons faire ressortir quelques détails. Le
sujet
de cette observation était un jeune homme qui a r
ence que ces systèmes ont eue sur la prati-que de l'art. Un semblable
sujet
est, sans contredit, bien fait pour passionner. M
s relativement assez restreints. Mais ce qui sera longtemps encore un
sujet
de vives controverses, c'est le rôle véritable qu
de Berlin et de Leipzig. Les faits qui ont été recueillis déjà sur ce
sujet
promettent une ample moisson de résultats impor-t
ent ; mais nous n'y trouvons qu'un bien petit nombre d'articles où le
sujet
ait été traité d'une manière directe. C'est dans
ages, on possède de la même époque quelques dissertations sur le même
sujet
, parmi lesquelles on cite celles de Nebel et de W
lles de Nebel et de Wedel. En 1776, l'Académie de Dijon proposa, pour
sujet
d'un prix, la question suivante : Déterminer quel
é de l'Aca-démie et obtint l'accessit. C'est dans ses Mémoires que le
sujet
qui nous occupe fut, pour la première fois, trait
ca circa très quœstiones, etc. Avignon, 1778. épuisé les sources du
sujet
, si nous signalons les articles Agis-sante [Médec
ule point; elles ont, pour la plupart, dans la constitu-tion même des
sujets
, de profondes racines. C'est, en général, moins p
thèse, où l'on donne un résumé des principaux travaux publiés sur ce
sujet
(p. 45). 2. Ce n'est pas pour la pneumonie seul
aignée, qui n'a pas été pratiquée dans les 26 autres. Or, sur les 129
sujets
qui ont été saignés, 51 se sont rétablis et 78 so
guérisons est de 1 sur 2 i/2, celle des morts de 1 sur 1 2/3. Des 26
sujets
qui ne furent pas saignés, 18 survécurent et 8 mo
le rapport de 1 sur 1 1/2, et des morts dans celui de 1 sur 3 1/4. 84
sujets
furent saignés assez copieusement, et il y eut 28
pas été employée, et l'on doit supposer que chez un certain nombre de
sujets
on aura fait usage d'évacuants, en particulier d'
t respecter les gourmes, ou au contraire les combattre, est encore un
sujet
de controverse dont la solution doit être donnée,
traitement des teignes, p. 78, 1853. guérir. Raymond 1 en a fait le
sujet
d'un livre intéressant, mais où l'auteur montre,
l traitées, que parce qu'elles ont rencontré dans la constitution des
sujets
qu'elles ont atteints, des conditions particulièr
e maladies. — L'espèce humaine, disaient les an-ciens humoristes, est
sujette
à des maux variés dont l'origine est due en parti
re de cas d'une même affection au même de-gré, les uns relatifs à des
sujets
dont la maladie aura été aban-donnée à elle-même,
el que l'huile de ricin. Comparativement, il traita activement treize
sujets
atteints de pneumonies également bénignes. L'anal
traités sans qu'on ait pratiqué une seule saignée. Sur ce nombre, 681
sujets
ont guéri, savoir: 384 hommes et 297 femmes, 69 s
oins en abrègent beaucoup la durée. Des résultats importants sur le
sujet
qui nous occupe ont été obtenus par les auteurs s
'une manière expresse, et voici dans quels termes il s'exprime à ce
sujet
, dans l'article Arsenic du Dictionnaire de médeci
anes génitaux se déclarer pendant le cours de la médication, chez des
sujets
dans la force de l'âge, vigoureux, bien constitué
malades ; aussi sommes-nous à même, dès à présent, de fournir sur ce
sujet
des renseignements plus étendus. Il convient to
servi de point de départ à nos propres recherches. Une femme était
sujette
depuis quatre ans, aux époques menstruelles et so
es, (Union méd., 1861, p. 313.) Voici comment s'exprime M. Romberg au
sujet
du traitement du tabès dor-salis (c'est le nom so
éserve, l'inexorable ju-gement porté par M. Romberg, sur l'avenir des
sujets
affectés de tabès dorsalis. M. Wunderlich lui-mêm
; la dernière a eu lieu il y a deux ans. Deux en-fants : depuis lors,
sujette
à des congestions et des flux hémor-rhoïdaires. E
ière. Elle aurait été, dès son enfance, d'une faible santé ; elle est
sujette
à des accès nerveux hystéri-ques peu intenses. Ja
qui précède, combien il sera im-portant de catégoriser avec soin les
sujets
sur lesquels on voudrait instituer les essais que
rès fréquent. On conseillait aussi l'extrait de baies de genièvre aux
sujets
dont les intestins se trouvaient débilités par l'
, nous mentionnerons les principaux auteurs qui se sont occupés de ce
sujet
, à mesure que nous aborderons chacun des points p
ffisaient pour rendre l'animal à la santé. Lorsqu'on sacrifiait ces
sujets
pour procéder à l'autopsie, on trouvait la muqueu
xcellente et d'un appétit très prononcé. Nous avons gardé l'un de ces
sujets
pendant dix-huit mois : on lui administrait le ni
Après avoir pris du nitrate d'argent pendant deux ou trois mois, les
sujets
présentent des taches noirâtres sur la muqueuse g
muqueuse gingivale étaient plus marquées que chez aucun autre de nos
sujets
. Action physiologique des sels d'argent chez V
du reste, évident qu'il faut tenir compte de l'idio- syncrasie des
sujets
: c'est probablement à des dispositions particuli
propres recherches, nous paraît devoir être fixé à deux gram-mes, le
sujet
présente généralement un liseré bleu foncé au col
syncrasie par-ticulière, la stomatite qui peut se développer chez les
sujets
soumis à la médication argentique; M. Guipon (de
e des ongles. La coloration ardoisée persiste indéfiniment chez les
sujets
qui en sont une fois atteints. On prétend cepen
e des"résultats encore plus concluants. En examinant les organes d'un
sujet
qui avait pris pendant longtemps du nitrate d'arg
observateurs ont retrouvé des traces d'argent dans l'urine, chez les
sujets
longtemps soumis à ce genre de traitement, et M.
ne en pharmacie à la Salpêtrière, a publié quelques recherches sur ce
sujet
. 11 s'est assuré que, dans les pilules de, Bayle,
se, à l'état pilulaire ; tandis qu'il n'a presque jamais rencontré de
sujets
dont l'estomac pût en tolérer plus de 25 centigr.
aurait lieu, peut-être, de faire quelque nouvelles recherches sur ce
sujet
. C. Paralysie agitante. — Bans cette maladie, d
i du nitrate d'argent aug-mente la rigidité qui existe chez plusieurs
sujets
, aggrave sou-vent le tremblement, et cause bientô
uliers que présentait une de ces malades. Il s'agissait d'une femme
sujette
à des convulsions hystériques chez la-quelle il s
ar-gent. On ne pouvait admettre aucun doute sur le diagnostic chez ce
sujet
, qui présentait, de la manière la plus accusée, t
mmes loin de pré-tendre qu'on puisse espérer de réussir chez tous les
sujets
; mais nous possédons des faits dans lesquels l'ac
antité de nitrate d'argent qui sera admi-nistrée ; en effet, certains
sujets
sont plus réfractaires, d'autres plus sensibles à
de : on ne peut alors s'attendre à aucune amélioration dans l'état du
sujet
; tantôt, au contraire, il existe, à côté des élé
phus fever, 28 ; — pronostic, 28 ; — suivant l'âge, 28; — suivant les
sujets
, 28 ; — suivant certains symp-tômes, 29;— suivant
t, selon moi, par quelques auteurs. Mais, avant d'entrer au cœur du
sujet
, parlons en premier lieu de ces affections qui en
y-dermique ou myxcedème, n'a pas publié moins de cinq mémoires sur ce
sujet
du panaris analgésique, de 1883 à 1889. Tous ces
lui, et elles sont nombreuses. Parmi les autres travaux sur le même
sujet
et à la suite, je signalerai le cas de M. Broca (
e, dont la présence est constante, en pareil cas, pourraient être des
sujets
d'hésitation momentanée. Mais, tout d'abord, une
r ne considérer que les mutilations elles-mêmes, qui peuvent être ici
sujettes
à contestation, il n'existe pas chez les lépreux
epuis la publication de cette leçon, les idées se sont modifiées à ce
sujet
, grâce aux travaux de M. Joffroy. Voir plus loin
r. Depuis sa sortie de l'hôpital de Pont-St-Esprit, le malade était
sujet
à des bourdonnements dans l'oreille gauche accomp
ents. Messieurs, Je veux vous dire aujourd'hui quelques mots d'un
sujet
dont je vous ai déjà maintes fois entretenu, mais
lèves et moi, pour défendre nos idées déjà quelque peu anciennes à ce
sujet
, ces notions commencent à pénétrer peu à peu et à
ait rien connaître de bien intéressant, sauf ceci, à savoir qu'il est
sujet
depuis longtemps à des étourdisse-ments d'un genr
. Tout à coup il fut pris d'un de ces étourdissements auxquels il est
sujet
et sur lesquels nous reviendrons plus loin. Il ne
vant-bras. Le malade n'a jamais eu d'attaques de nerfs, mais il est
sujet
à de fréquents étourdissements qu'il décrit de la
sie classique en manche de veste. Je ne reviendrais donc pas sur ce
sujet
de la délimitation de l'anesthésie dans les monop
de M. Pitres, M. Dutil, mon interne, composait un travail sur le même
sujet
, travail fort intéressant, fondé surtout sur l'ét
iter. Vous n'oublierez jamais, Messieurs, que dans l'étude, chez un
sujet
donné, d'une manifestation hystérique quelconque,
du tremblement hystérique. Je n'ai en ce moment, sous la main, aucun
sujet
atteint d'une des formes localisées. Mais j'espèr
peut les y rencontrer cependant, à peu près au môme degré, chez les
sujets
où les symptômes habituels de paraplégie spasmodi
térique. En second lieu, nous relèverons la coexistence, chez notre
sujet
, de stigmates hystériques permanents très accentu
rer en combinaison avec la sclérose en plaques et se traduire chez le
sujet
ainsi affecté par la présence des stigmates. On p
réduisent à néant cette hypothèse. Nous avons déjà dit que chez notre
sujet
le tremblement, considéré abstractivement, n'est
d'hui, la ténacité des accidents de l'hystérie mâle, surtout chez les
sujets
de la classe ouvrière, est avec raison devenue pr
lles, autrefois, il était bien portant. » Dès qu'il commença à être
sujet
à ces crises, son caractère, qui auparavant était
absolument comme cela a lieu dans la sclérose en plaques. Quand le
sujet
est debout, les oscillations des membres inférieu
rique des diverses maladies du système nerveux (1). (I) Voir sur ce
sujet
l'intéressante thèse de M. Souques, interne médai
quelques détails relativement à un syndrome peu connu encore, mais au
sujet
duquel les faits depuis quelque temps tendent à s
de la description, je vais en quelques mots indiquer l'historique du
sujet
et signaler les principales sources où vous pourr
à droite que l'cphthalmoplégie se produit. L'ophthalmrplégie chez ce
sujet
n'a paru que dans un petit nombre d'accès. Ce c
'accès. Ce cas met en lumière le fait intéressant que chez quelques
sujets
la période douloureuse peut, dans certains accès,
u seulement à l'âge de 30 ans ; mafc il faut remarquer que chez notre
sujet
, de même que chez plusieurs autres, les accès ave
mais il y a quelques exceptions à la règle et, d'ailleurs, chez notre
sujet
, la maladie d'aujourd'hui a été précédée par des
otre observation, ce caractère, en l'absence de toute marque, chez le
sujet
, d'accidents syphilitiques héréditaires ou acquis
peine peut-on citer dans ces derniers temps, comme se rapportant à ce
sujet
, un cas de (1) Médecine pratique de Sydenham, a
ement (paralysies et contractures). Il s'agissait presque toujours de
sujets
marqués, par la présence des stigmates, au sceau
Il n'y avait à ce moment, les souvenirs de la malade sont précis à ce
sujet
, ni anesthésie, ni raideur. On appela un médeci
uté, il y a trois ans, par des vertiges auxquels il était fréquemment
sujet
. Puis, une nuit, pendant son sommeil, se développ
insi que je l'avais prévu dans la première période de sa maladie, est
sujet
à des grandes attaques d'hystérie classiques avec
t à laquelle s'est surajouté l'œdème bleu. Mais cela rentre dans un
sujet
que j'ai traité bien des fois devant vous. Nous e
tes que j'ai l'habitude de formuler (1). Il a observé chez des jeunes
sujets
plusieurs cas de contracture hystérique dans lesq
tentatives d'hypnotisation sur la jeune Marguerite Faf... qui fait le
sujet
de la première observation relatée dans cette leç
son ensemble (extenseurs et péroniers). Chez le malade qui fait le
sujet
de l'observation suivante, les conditions de prod
ciaux, dans aucun des travaux ou mémoires traitant spécialement de ce
sujet
, qui sont parvenus à notre connaissance, nous n'a
eux des malades dont nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le
sujet
d'une leçon clinique de M. le Pr Char-cot (2). A
uvements passifs de flexion sont des signes d'une valeur absolue à ce
sujet
. L'absence de réaction de dégénération permet peu
us avons rencontrés à l'état d'isolement chez les malades qui font le
sujet
des observations précédentes. Examinons d'autre
Salpêtrière, d'autant plus que l'examen de cette malade ayant été le
sujet
d'une des Leçons du Mardi (2) de M. le Pr Charcot
s l'association de l'hystérie a été constatée plusieurs fois chez les
sujets
atteints de sciatique grave et en particulier dan
. De saturnisme, il ne peut être question ici : sans compter que le
sujet
n'a jamais été exposé à cette intoxication, les n
pothèse semblait trouver sa confirmation dans l'aspect cachectique du
sujet
. Nous fûmes bientôt forcés de l'abandonner. Le ba
algies, sur lesquelles j'ai autrefois appelé l'atten- (1) Voir à ce
sujet
, plus haut, p. 138 et suivantes, le mémoire de MM
t. D'après Thornburn, à qui nous devons un intéressant mémoire sur ce
sujet
, les racines inférieures sont les plus affectées
uestion relativement neuve. Nous, médecins, nous connaissons moins ce
sujet
, bien qu'il nous intéresse spécialement, ainsi qu
, entre parenthèses: partial — partielle, parce qu'en (I) Voir à ce
sujet
le mémoire très complet de MM. Georges Guinon et
pneumogastrique, elles précipitent parfois la terminaison fatale. Les
sujets
qui offrent cette complication souffrent fréquemm
ites anomalies, nous rattacherons cliniquement l'amyotrophie de notre
sujet
au type Duchenne-Aran, et nous conclurons que, da
nosographiques et cliniques ne manqueront pas d'être soulevées à leur
sujet
; aussi ai-je saisi avec empressement l'occasion d
luence bien nette sur l'évolution de la maladie, qui était d'ailleurs
sujette
, presque d'un jour à l'autre, à des oscillations
cio-scapulo-humérale. L'ha-bitus extérieur est très frappant chez les
sujets
atteints de cette maladie. En ce qui concerne les
mouvements dans tous les sens. Ils ressemblent bien peu aux yeux des
sujets
atteints de polioencéphalite. Tandis que chez les
té par des examens anatomo-pathologiques. (1) Ces considérations au
sujet
dos réactions électriques dans la polioencéphalit
e des maladies nerveuses à la Salpêtrière. Nous en dirons autant au
sujet
des rétractions tendineuses. Chez l'un de nos m
qu'on attribue à la maladie de Morvan peuvent se trouver sur un même
sujet
, combinés de façon à former un mélange inextricab
vous est justement un exemple de ce genre. Il établit (1) Voir à ce
sujet
(¹ I, p. 17) la leçon sur la Maladie de Morvan, d
t Société médicale des hôpitaux, 27 février 1890. (2) Voir aussi au
sujet
des rapports entre les syndromes de Morvan et la
e plus pour compléter l'observation qu'à vous faire remarquer chez le
sujet
l'existence fort nette d'une scoliose. Vous n'ign
gomyélie classique qu'au type Morvan. _ (1) Il n'existe pas chez ce
sujet
de rétrécissement du champ visuel. (2) On a con
ui-même, j'entrerai, si vous le voulez bien, dans quelques détails au
sujet
des relations qui existent entre certaines affect
entre certaines affections du système nerveux et le diabète. C'est un
sujet
très compliqué, sur lequel Marchai (de Calvi) a l
ytique ou mieux paraplégique et plus précisément ataxique. Voyez à ce
sujet
le travail de M. Leval-Picquechef sur les pseudo-
t suicidé à 71 ans. Il buvait beaucoup et quand il avait bu, il était
sujet
à des crampes. — Mère, morte hydropique, pas nerv
bronchites et une fluxion de poitrine; étant plus jeune il était déjà
sujet
aux rhumes; pas de syphilis ; pas d'alcoolisme; r
ez bien vous rappeler ce que je vous disais il n'y a qu'un instant au
sujet
des liens de parenté étroite qui relient les fami
illes arthritique et 1 Voir plus loin, n° XXVII, mon travail sur ce
sujet
en collaboration avec M. Souques, interne du serv
ressive. Les deux familles sont dans ce cas représentées chez le même
sujet
sans qu'il y ait combinaison véritable. Les deux
ue j'ai décrite autrefois chez les paralytiques alcooliques, chez les
sujets
atteints de béribéri, de paraplégie arsenicale, e
je dois de le connaître et de pouvoir l'étudier avec vous. 1 Sur ce
sujet
, consulter les importantes revues critiques de M.
rassmann sous le titre d'hémiplégie faciale dans l'hystérie1. Chez ce
sujet
la langue est enroulée sur elle-même, la pointe f
t avoir eu une influence prépondérante. Tout d'abord il s'agit d'un
sujet
originairement nerveux. Pendant son enfance il ét
ent nerveux. Pendant son enfance il était d'un caractère difficile et
sujet
à des emportements violents. Pas de maladies cara
s'adonnait à la boisson. Sa mère irascible, nerveuse à l'excès, était
sujette
à des attaques de nerfs. Dans les dernières année
blances seraient, en raison de la localisation elle-même, de l'âge du
sujet
et de certaines circonstances de famille, en fave
stion délicate, s'il en fut, et difficile à résoudre. Interrogez à ce
sujet
les oculistes, vous n'obtiendrez le plus souvent
e ; on a surtout signalé la chute d'un lieu élevé. C'est ainsi que le
sujet
mentionné dans l'observation XXIII de la thèse de
l'histoire (observation XX de la thèse de Brühl)3 présente avec notre
sujet
des analogies frappantes. Les symptômes de la syr
st développée au cours de la maladie. J'ai fait marquer sur le dos du
sujet
la ligne des apophyses épineuses. Vous voyez à dr
nte-six cas. Le nystagmus a été parfois signalé, en pareil cas; notre
sujet
en est exempt. Il ne présente pas non plus le rét
vait fait l'accident primitif. Vous trouverez des renseignements à ce
sujet
dans un mémoire de MM. Tuffîer et Hallion, publié
, comme dans la syringomyélie, les localisations symp-tomatiques sont
sujettes
à varier ; que le type idéal de la maladie n'est
qu'on s'y arrête est relatif à l'apparition des deux panaris dont le
sujet
porte les cicatrices indélébiles. Faut-il considé
Nous disons doctrine, quoique ce mot soit bien gros pour un si petit
sujet
, parce qu'il s'applique en général assez bien aux
cérébrale qui veut. Quelques auteurs ont remarqué déjà que, parmi les
sujets
atteints de syphilis du cerveau, il en est un cer
ues, interne (médaille d'or) du service. (2) Nous rappellerons à ce
sujet
que, il y a un peu moins d'un an, M. Lemoine a pu
re, de celui qui survient, dans des circonstances analogues, chez les
sujets
atteints d'artériosclérose. L'unique différence e
ais ne vous ai-jepas dit que nous trouverions dans les antécédents du
sujet
, dans les prodromes de l'accident actuel, des car
, la palpation et la percussion du crâne ne nous ont rien appris à ce
sujet
. Voilà, certes, un épisode qui n'est pas banal,
mptomatologie oculaire des deux affections. Dans le tabes, même si le
sujet
est un syphilitique, la médication restera impuis
imprévus nous mirent sur une voie nouvelle et devinrent pour nous un
sujet
de méditations et de recherches. Il arrivait sans
type complet et classique. Mais on n'avait pas tardé à rencontrer des
sujets
— et j'en avais vu plusieurs pour ma part — qui n
ses anomalies. M. Oppenheim (3), la même année, relevait sur ce même
sujet
quelques points intéressants. 1° La mobilité de
Sclerose. (Berl. Klin. Woch., 1887, p. 904). — Voir aussi sur le même
sujet
Bruns de Hannover. Berl. Klin. Woch., 1888. (4)
trouble visuel ne trahit l'existence. Et l'auteur fait remarquer à ce
sujet
que la paraplégie spasmodique, combinée à une lés
ons inflammatoires persistantes du genre des scléroses ; cependant le
sujet
est jeune et il ri est pas impossible qu'avec le
d'hui sous les yeux, c'est, vieillie de quinze ans, celle qui fait le
sujet
de cette remarquable observation. Ainsi donc, sa
ues est de date récente, car nous ne connaissons aucun travail sur ce
sujet
avant la Leçon du mardi, 23 octobre 1888, dans la
, rare de la névrose. A ce titre, ces phénomènes méritaient d être le
sujet
d'un travail d'ensemble dans lequel nous rapporte
'autres phénomènes ne laissant aucun doute sur l'état pathologique du
sujet
. Ces manifestations anté- (1) Nouvelle Iconogra
Côlé paternel. — Son père est atteint d'une maladie de cœur. Il est
sujet
à de violentes colères. Son grand-père est mort f
s douze ans, elle eut une bronchite et, depuis cette époque, elle fut
sujette
à des crises nerveuses précédées d'é-tourdissemen
de cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident. Elle était nerveuse,
sujette
à des colères violentes. La grand'mère maternelle
nseigné par elle sur la nature de ces douleurs. Elle a toujours été
sujette
à des flueurs blanches très abondantes. Depuis
ne de timi- dité, de faiblesse, de féminisme. Parmi les individus
sujets
à rougir, il en est qui, sur le moment, sont pl
lle et, presque toujours aussi, des parents ou collatéraux émotifs,
sujets
à rougir. Ce qui caractérise ces sujets, c'est,
nts ou collatéraux émotifs, sujets à rougir. Ce qui caractérise ces
sujets
, c'est, d'une part, l'excessive disposition qu'
ée par eux-mêmes, l'histoire de deux frères, étudiants en médecine,
sujets
par tempérament à la rougeur émotive, avec préo
ion se traduisant par des afflux de larmes, sans rougeur. Mère très
sujette
à la rougeur dans sa jeu- nesse, mais sans obse
lle. L'OBSESSION DE la ROUGEUR. 5 Une soeur et un frère (P. X...)
sujets
également il rougir. a Rougit depuis l'âge de s
ividus qui, soit temporai- rment, soit d'une façon durable, étaient
sujets
à rougir et qui s'en tourmentaient plus ou moin
'une dame présen- tant d'ailleurs des particularités spéciales, nos
sujets
étaient tous des hommes, ce qui confirme ce que
éreutho- phobie, paraît surtout être spéciale à l'homme. Tous nos
sujets
étaient jeunes. Ils avaient de vingt à trente ans
es. Les malades sont unanimes à constater qu'ils sont plus ou moins
sujets
à rou- gir, suivant le temps. Par les froids se
ten- tion et celle des spectateurs est attirée ailleurs. Certains
sujets
de conversation, certains propos les font rougi
se prolonge guère au delà de quelques instants. - Dès le début, les
sujets
sont dans un état de trouble et d'an- goisse in
hénomènes concomitants disparaissent, la confusion se dissipe et le
sujet
reste partagé entre l'ennui d'avoir rougi si bê
mental de la crise ou du paroxysme, que nous venons d'indiquer, les
sujets
continuent, même dans l'intervalle, d'être préo
IE NERVEUSE. , à mâcher, à faire quelque' chose, comme celui de nos
sujets
, un ouvrier, qui plaçait une règle sur son épau
empêcher et pour cacher leur rougeur, c'est de boire. Quatre de nos
sujets
sur sept hommes se livraient à la boisson dans
e la rougeur est, en général, des plus tenaces. Chez aucun de nos
sujets
, malgré tout ce que nous avons pu tenter, nous n'
très intelligent, instable, pessi- miste, nerveux, impressionnable,
sujet
aux palpitations, est atteint d'éreuthophobie.
a ma première communion ? Parfait, au point de vue catho- lique. Au
sujet
des rapports que cela peut présenter avec ce qui
ppréhensions anxieuses de ce genre, ou d'interroger ceux qui y sont
sujets
, pour être con- vaincu que l'émotion apparait e
née , dans la rue, d'une personne impressionnante. Immédiatement le
sujet
éprouve un choc au coeur, comme un arrêt du san
nt les relations détaillées des extatiques, il y a lieu, pour notre
sujet
, d'établir deux catégories. Dans la première, l
un est obsédant. Evidement c'est encore la constitution générale du
sujet
qui est en cause. Et il ne s'agit point d'une v
ent en faveur du malade qui n'apparaît à son entourage que comme un
sujet
étrange, un fan- tasque, un rêveur. Tel ce mala
Etant donné le mélange de délire et de raison qui existe chez les
sujets
, il est difficile d'établir nettement s'ils sont
les phobies par l'absence de répu- gnance ou de peur de la part du
sujet
pour l'acte en question. Au contraire, ces indi
demande si, dans le cas où M. Toulouse aurait ren- contré chez son
sujet
une affection grave et ignorée, l'épilepsie par
s le premier cas je ne l'aurais dévoilée qu'avec l'assenti- ment du
sujet
; dans le second j'aurais sacrifié la curiosité sc
l'hérédité. Il y a encore peu de divergences dans les deux pays au
sujet
du délire aigu, de le paralysie générale, de la
létrissure sociale. Et, bien qu'elle soit mal établie pour quelques
sujets
, cette distinction des aliénés criminels en deux
que n'importe quel autre individu. Mais le seul fait qu'ils sont
sujets
à leurs accès les empêche de jouir des privilèg
pour la psychologie physiologique. C'est Kôlliker lui-même qui, au
sujet
des méthodes de coloration des éléments du syst
aucun des histologistes qui connaissent les travaux actuels sur ce
sujet
, j'entends sur la nature des parties chromatiques
nouveau les doc- trines alors reçues de Meynert et de Betz (1) à ce
sujet
que Golgi étudia deux circonvolutions cérébrale
veau... Cette différence d'intensité, d'où naît notre illusion à ce
sujet
, correspond, chez l'homme, àla masse prédominan
gée contre W. Wundt, dont les 110 PATHOLOGIE NERVEUSE. idées à ce
sujet
ne diffèrent guère de celles de Meynert. Les élé-
Berlin, 1890, p. 286.) Des expériences instituées spécialement à ce
sujet
par Munk il résulte que, lorsqu'on réussit à en
ure en miroir qu'il ne la trace. Il se trouve dans la situation des
sujets
atteints de cécité verbale qui conservent le po
Le président remercie M. Briaud de sa communication. Questions au
sujet
d'un cas de médecine légale en matière d'aliéna
éniste doit, ou peut, se charger d'une exper- tise médico-légale au
sujet
d'un de ses malades qui à sa sortie aurait comm
nous fait pas con- naître le rapport des experts qui ont examiné le
sujet
, et sur lequel il s'appuie pour nier l'irrespon
SSESSE; par DOBRUIL. Il est regrettable que l'auteur ait limité son
sujet
à la pseudo- grossesse nerveuse et en ait écart
LES HYSTÉRIQUES; par ESCANDE DE MESSIÈRES. 10 Les hystériques sont
sujets
à une foule derêves qui peuvent acqué- rir une
DES THÈSES DE BORDEAUX 149 ceux que l'on trouve dans les rêves des
sujets
normaux. Certains états, les délires des intoxi
, suggestibilité beaucoup plus marquée chez eux que chez les autres
sujets
. Bien que le sommeil des hystériques et leurs rêv
» emprunté à l'hystérie. Leur indé- pendance avec l'état général du
sujet
, leur distribution sans rela- tion anatomique n
après castration ; par Salles. Cette thèse, bien que traitant d'un
sujet
chirurgical, est à signaler ici parce qu'elle c
ue auxquels ils sont attachés. L'administration nous a demandé à ce
sujet
s'il n'y aurait pas lieu, à notre avis, d'ajout
sychoses comme hallucinations de caractère symbolique. Il y a des
sujets
qui se trouvent absolument dans l'impossibilité d
ction. Etant ni sourd ni muet, s'alcooliser suffit. Il y a donc des
sujets
qui, quoique normalement consti- tués, sont pri
ient avoir; elles exprimaient des idées comme elles le pouvaient le
sujet
ne jouissant ni de parole orale ni écrite. Mais
es psychoses des sourds-muets 1; 2° celui que, hors cette classe de
sujets
, quoique quelques hallucinations consistant dan
situation, manquant, d'une part, de malades qui puissent servir de
sujets
d'obser- vation, et, d'autre part, ne pouvant t
ns perçues pendant le rêve. C'est-à-dire que nous opérâmes avec des
sujets
convena- blement instruits. Nous n'avons pas
e à d'autres sourds-muets, c'est qu'il est incapable de composer un
sujet
quel- conque, quelque simple qu'il soit. Copier
e en rapidité une personne qui articule lentement. La mimique de ce
sujet
est de plus très expressive : sa face dit davan
Cependant quel- quefois, si ses frères ou ses condisciples sont les
sujets
de ses rêves, ils emploient le langage manuel e
isuelles et motrices de paroles. ltien de plus. Indubitablement les
sujets
observés par lui n'avaient pas complété leur inst
nsée, formulée intérieurement à l'aide de paroles, revêt, selon les
sujets
, l'une ou l'autre classe d'images verbales. Cec
P., très bon peintre lorsqu'il copie, est incapable de composer un
sujet
quelconque sur la toile. Mon estimé confrère M.
M. le D'' La Riva m'a fait part d'un cas semblable. Aucun de ces
sujets
n'était visuel. S'ils l'avaient été, s'ils avai
ableau formé par leurs représentations intérieures pour peindre des
sujets
originaux. D'autre part Stricker2, qui, il y a
ui dans ses rêves lisait les paroles sur les lèvres de son père. Ce
sujet
paraît davantage être visuel. La théorie souten
produit, ce n'est qu'au bout de longues années. Quelquefois même le
sujet
a toutes les apparences du dément, alors qu'il
(hémorragie, ramollissement, etc.). Une remarque intéressante à se
sujet
. A s'en rapporter à certains faits il semblerait
vant DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 181 même guérir. Au contraire les
sujets
à tares héréditaires moins profondes, coordonne
otre malade ; 3° une fille, quinze ans et demi, nerveuse, peureuse,
sujette
à des cauchemars, a eu des convulsions; elle est
ne telle qu'elle était à l'origine, ces malades n'en sont pas moins
sujets
à l'état de mal épileptique. Donc... nous en fo
ce sont d'abord les malades atteintes de folie puerpérale; puis les
sujets
musculairement faibles et profondément neurasth
d'eux il n'y a eu une amélioration digne d'être notée. Voir sur ce
sujet
notre communi- cation à la Sociélé anatomique (
; puis il définit l'hypnotisme et la suggestion et aborde enfin son
sujet
; la valeur thérapeutique de l'hypnotisme et de
mant et déterminant le langage en général. Sans insister ici sur ce
sujet
, nous rappellerons seulement que nous n'avons j
hn G. HAYELOCK. (The Journal of Mental Science, octobre 1896.) Le
sujet
de cette curieuse observation est un homme de cin
que la reproduction des opinions des auteurs ayant écrit sur ces
sujets
. R. DE ! \IUSGRAVE-CLAY. XLII. UN cas léger DE
à s'occuper dans ses prochaines études, et qui n'appartient pas au
sujet
seul mais à toute la famille, M. Toulouse s'abs
es motifs analogues à ceux qui déterminent les mêmes actes chez des
sujets
non aliénés. Dans ces cas, la maladie mentale jou
sens qu'elle anéantit ou diminue la résistance que peut opposer un
sujet
normal à de pareilles impulsions ; aussi voit-on
r que le médecin aliéniste n'a d'autre tâche que de déclarer si tel
sujet
est malade d'esprit ou non; les questions de resp
sées. Les juristes parlent de troubles psychiques partiels quand un
sujet
accomplit un certain nombre d'actes de nature m
les aliénistes consi- dèrent comme irresponsable et incapable tout
sujet
atteint d'une maladie mentale, celle-ci fût-ell
idérerait comme une faute de condamner un qué- rulent pour vol. Ces
sujets
sont pour l'aliéniste des aliénés, et non des i
les d'esprit, car l'inlerdition est la mesure la meilleure pour ces
sujets
. M. LoSSNrTZER, au contraire, n'est pas partisa
uestion de savoir si le nouveau code civil permettra au tuteur d'un
sujet
interdit pour ivrognerie habituelle de provoquer
es alcooliques ingérés qui importe, que la réaction individuelle du
sujet
. 6° séance : 17 octobre 1894. M. LuaanaNN. Su
des troubles profonds de la conscience chez les épilep- tiques, les
sujets
ayant subi des traumatismes cérébraux, et les d
Les juges devront faire examiner par un médecin compétent : a) les
sujets
qui auront subi de nombreuses condamnations pour
gens cultivés. Les buveurs d'habitude sont des malades, et non des
sujets
en proie à une passion comme les avares : l'abs
e la séance. M. WEBER présente un cas de crâne en forme de tour. Le
sujet
, un ingénieur civil, est âgé de quarante-deux a
nier ictus aphasique, est étonné de l'aggravation des symptômes. Le
sujet
avait alors une conscience parfaite de son état
le qui se trouve située entre le cervelet et le bulbe. Chez le même
sujet
on constatait en outre l'existence de nombreuses
dées délirantes éclatent sous l'influence d'une même cause chez des
sujets
vivant ensemble. Dans la première observation o
éterminées par le délire. Dans la seconde observation, il s'agit de
sujets
vivant isolés, en étroite communion d'idées et
le grand public, carac- térise la folie. Il était incontestablement
sujet
à des attaques de délire, qui, lorsqu'elles éta
colique. Ce même Manso qui le consi- dérait comme sain d'esprit, et
sujet
seulement à la mélancolie et de temps en temps
. Plusieurs indiquent la néces- sité d'un travail d'ensemble sur ce
sujet
. En prenant au hasard quelques traités classiqu
ns le tableau complet du malade quel- que particularité touchant le
sujet
qui nous occupe. Or ceci est à notre sens très
malades ayant tous les inconvénients du tabes, et n'ayant que trop
sujet
à se plaindre, il se range sur la même ligne qu
cause chez quelques tabétiques. Nous aurons à nous expliquer sur ce
sujet
un peu plus loin en parlant de la pathogénie. O
ce, la volonté intervenant dans cette sorte de grimace que font les
sujets
soumis à une sensation gustative extrêmement dé
astrique. Les malades les indiquaient dans les mêmes termes que les
sujets
atteints accidentellement de catarrhe gastrique
u se reproduisent si souvent qu'elles deviennent l'état habituel du
sujet
qui les subit. Il est intéressant, et surtout
effet, que les tabétiques alcooliques sont plus parti- culièrement
sujets
aux pervertions du goût et de l'odorat. 272 CLI
placés n'ont pas grande valeur. Nous n'avons donc rien à dire à ce
sujet
. Nerf trijumeau. Les ganglions de Gasser ont ét
urtout dans les noyaux des nerfs moteurs, ce qui est en dehors du
sujet
qui nous occupe, mais ce qui est intéressant à si
ijumeau et la perte de la sensa- tion des saveurs. Rappelons à ce
sujet
qu'au cours de ce mémoire nous avons Insisté su
oolique, c'est-à-dire un état provoqué par l'alcool, dans lequel le
sujet
agit d'une façon apparemment normale, mais sans
rée des idées »; il y a impossibilité de fixer son attention sur un
sujet
pendant un temps raisonnable : si le malade com
mps raisonnable : si le malade commence à parler ou à écrire sur un
sujet
, de nou- velles idées se précipitent, sous le t
dées se précipitent, sous le tumulte desquelles il ne reste rien du
sujet
primitif : les mouvements dirigés par les idées
e vue physique et psychique, actif, mais quelque peu irascible, est
sujet
, depuis plusieurs années, à des accès annuels de
ons de la névroglie ; il a pu mettre en évidence, dans la moelle de
sujets
adultes, l'existence de cellules identiques par l
ces foyers hémorragiques n'étaient pas aussi éten- dus que dans le
sujet
atteint d'ictère. L'intéressante observation d'
GÉNÉRALE; par G. MaRINESCO. L'auteur a examiné plusieurs moelles de
sujets
atteints de para- lysie générale et de tabes, p
e ingénieuse pour expliquer ce cas bizarre. Les deux hémisphères du
sujet
, habitués à fonctionner indépen- damment, serai
mme la base des maladies intercurrentes ayant déterminé la mort des
sujets
. On reconnaît aujourd'hui à l'origine des aorti
ptembre 1895, M. E.-S. Rey- nolds avait fait un article sur le même
sujet
: Des relations des maladies corporelles avec l
nt quatre-vingl-neuf cas nous n'en avons observé que trois chez des
sujets
de moins de trente ans. Des causes nuisibles, a
ibles, agissant pendant un temps prolongé sur la vie psychique d'un
sujet
, peuvent déterminer un accès de neu- rasthénie.
s avancé. On aura lieu de craindre la para- lysie générale chez les
sujets
qui ont présenté des troubles psychi- ques pour
t anté- rieurement été traité par la méthode de Flechsig. Chez deux
sujets
les injections déterminèrent des phénomènes d'e
eurs années après un traumatisme crânien. On n'a pu déceler chez ce
sujet
aucun autre facteur des troubles neurasthénique
ques- tion précédente, tirer, de l'examen physique et psychique du
sujet
, des indications qui démontrent l'existence de
bservation de 240 cas : '388 SOCIÉTÉS SAVANTES. Chez ces derniers
sujets
et aussi parfois chez les adultes. on observe d
ostic ? Les signes de dégé- nérescence sont plus fréquents chez ces
sujets
que chez les autres aliénés (53 p. 100), mais i
rminer de faux témoignages, des vols. L'irascibilité extrême de ces
sujets
, jointe à l'absence du pouvoir d'inhibition, le
ion, mélancolie, exagération de l'irascibilité ou de l'amnésie. Ces
sujets
peuvent abandonner brusquement leur service (dé
ces troubles psychiques. On cherchera si l'état mental habituel du
sujet
présente les caractères de la dégénérescence ps
crises. Dans ce der- nier cas, pour apprécier la responsabilité du
sujet
, on évaluera l'intensité de la dégénérescence p
tinuer au delà de cette période et faire partie des acquisitions du
sujet
revenu à l'état normal. Ces faits ont une impor
faille y voir une preuve de simulation. Il pense que chez certains
sujets
(dipso- manes, morphinomanes) affectés d'une fa
es cas dans lesquels on voit survenir un accès épileptique chez des
sujets
qui ont subi dans l'enfance un traumatisme crân
s manifestations motrices qui se rencontrent assez souvent chez les
sujets
atteints de psychoses fonctionnelles. Discussio
Il est égale- ment convaincu de l'inefficacité du bromure chez ces
sujets
. Le fait peut servir au diagnostic entre l'hyst
396 SOCIÉTÉS SAVANTES. particulièrement pour ce qui concerne les
sujets
atteints d'inversion sexuelle, il nie l'exactit
que ces dernières sont au contraire de nature à suppléer, chez les
sujets
en question'-à la diminution de l'inhibition volo
chez la femme. Dans 24 cas on observa une rémission; et sur ces 24
sujets
, 14 eurent une rechute. Les malades en rémissio
t le plus souvent dans les cinq ans qui suivirent la sortie. Sur 10
sujets
en rémission dont la famille a suivi et noté l'
tement normaux (irascibilité, allures affectées, bizarres). 3° Tout
sujet
qui a eu un accès de catatonie est très exposé à
rmier parce qu'il se marie. On perdrait ainsi souvent les meilleurs
sujets
. M. KRAEPELIN. La solution de cette question du
roubles psychiques. Au point de vue clinique, on a observé chez les
sujets
certaines manifestations habi- tuelles aux hyst
isante les cas dans lesquels l'analgésie du cubital existe chez des
sujets
non paralytiques. SOCIÉTÉS savantes. 409 D'ap
d'après Hillenberg et Goëbel, ils présenteraient une proportion de
sujets
analgésiques égale à celle des paralytiques. Su
z la femme. Mais la sensibilité à la pression disparaissait chez 12
sujets
, pendant les six ou douze heures consécutives à
sensibilité à la pression redevenait normale chez presque tous les
sujets
; seule, une femme présentait encore, après trente
n les fait porter aussi sur des épileptiques non aliénés et sur des
sujets
présentant des équivalents épileptiques (épilep
angers. M. Gasne, ne s'attaquant qu'a une petite partie de ce vaste
sujet
, vient d'étudier les localisations, sur l'axe spi
provoquer l'émulation des auteurs que l'Académie mit au concours le
sujet
de la morphinomanie et c'est à la suite de ce c
fin, plus que le contenu gastrique, le contenu intestinal se trouve
sujet
aux fermentations et aux putréfactions variées. L
rès sont autorisés à faire des communi- cations personnelles sur un
sujet
quelconque se rapportant à la Neurologie, il la
corresponde à une série exceptionnelle. J'ai déjà présenté sur ce
sujet
une note à la Société médico- psychologique, da
, riches en infirmiers. Sans insister plus qu'il ne convient sur ce
sujet
, je suis très convaincu que si l'on mettait fin
orme que les auteurs ont tracé de sa période finale : ' Voir à ce
sujet
, l'intéressante thèse de M. Trénel. Symptômes s
hôpital, quatre jours après le commencement de la maladie. C'est un
sujet
robuste, se plaignant de douleurs au tronc et a
suite d'une chute sur le dos, perdit subitement ses forces, devint
sujet
aux vertiges, se fatiguant à propos de rien, avec
i le surprenait même pendant ses occupations. Dans tout le reste le
sujet
en question était bien portant. Ces accès de somm
générale qu'on se fait [de la [folie s'est transformée; de nombreux
sujets
qui étaient auparavant recueillis dans les dépô
etagne et probablement dans les autres pays civilisés, le nombre de
sujets
atteints de folie ne varie pas, pour une même p
de de l'état mental des anarchistes montre qu'il faut grou- per ces
sujets
eu catégories distinctes. Citons d'abord les crim
des hallucinations repro- duisant les préoccupations habituelles du
sujet
. Ces hallucinations terrifiantes sont surtout v
ations- générales. Les lésions révélées par l'examen nécropsique du
sujet
de notre observation rentrent dans le cadre ord
toujours et éminemment variable des symptômes relevés chez un même
sujet
aux diverses phases évolutives de l'accident mé
mateux, se transformant plus tard seulement en coma absolu, parfois
sujet
à des régressions et à des améliorations transi
'observait dans les deux cas de son mémoire déjà cité. Chez notre
sujet
l'hémiplégie était llasque, mais dans les début
cteur. Mais ce n'est pas tout. 12 CLINIQUE NERVEUSE. Chez un même
sujet
on la voit subir du soir au matin ou d'un jour
variabilité d'un moment à l'autre du tableau clinique chez le même
sujet
, variabilité qui, jointe à la diffusion et à la
énérale. Ce travail, le troisième, est consacré au sens génital. Le
sujet
est délicat car pour le traitera fond, il est n
isites, elles reçoivent de leur homme, plus d'une confidence sur ce
sujet
. Il importe donc de choisir de préfé- rence com
ence sur ce sujet. Il importe donc de choisir de préfé- rence comme
sujets
d'observations, des paralytiques dans la force
hors d'eux, on peut constater une excitation génitale qui pousse le
sujet
à des excès vénériens, à l'onanisme. D'après M.
r recherché si les deux états ne se remplaceraient pas chez le même
sujet
et à des intervalles assez courts. D'un autre c
uivies du début à la termi- naison de la paralysie générale sur.108
sujets
nous apporte- ront des données précises et comp
s nous apporte- ront des données précises et comparables. Ces 108
sujets
que nous suivîmes ainsi pas à pas, recher- chan
E. est parfois perverti; mais sans indiquer comment. Chez nos 108
sujets
nous n'avons trouvé que des anomalies simples et
tait complète et accompagnée de frigidité; mais d'au- tres fois les
sujets
conservaient un vif désir de la femme qu'ils ét
niques ou asthé- nique ; nous les avons rencontrées tantôt chez des
sujets
impuissants, incapables de la moindre érection,
impuissants, incapables de la moindre érection, tantôt chez' des
sujets
qui cependant sacrifiaient souvent à Vénus; s'en-
t. Cette fréquence plus grande est confirmée par ce fait que chez 5
sujets
seulement l'excitation fut continue, chez les 3
tient à une observation incomplète qu'expliquent les difficultés du
sujet
; ces deux états sont l'impuissance avec libido
morts a cinq et seize mois, de coiiviil- sions, le tloisième est le
sujet
de l'observation. Antécédents personnels. La co
hérédosyphilis. Calcul volumineux trouvé dans la vessie qui fait le
sujet
d'une figure. A. M. IL Un cas de torticolis men
onséquences légales d'actes d'ailleurs délictueux, assimilent à des
sujets
réellement pervers. Et parmi les avantages des dé
trouve bien en présence d'un cas de folie aiguë chez un très jeune
sujet
'. IL 111. C. V. Chorée maniaque chez un adoles
i, par leur fixité, changent, du tout au tout, la vie psychique des
sujets
. Subitement, se manifeste une inconduite, surto
enaces et, parfois aussi, des plus bizarres, capable d'entrainer le
sujet
à toutes sortes de folies, de ridicules et de p
es mouvements forcés d'une part et la mise en jeu de l'attention du
sujet
d'autre part. Elle comporte eu outre des procéd
faut surtout se I)iéoccuper ; étudier les apti- tudes physiques du
sujet
pour le diriger dans une voie technique où il p
favoriser l'élimination du toxique et d'augmenter la résistance du
sujet
. Les diurétiques et les toniques constituent la
r suggestion. Que ces paralysies psychiques soient obtenues chez un
sujet
hypnotisé, cela n'a rien de surprenant. Ce qui
puissent être provoquées dans l'état de veille apparente, chez des
sujets
qui ont déjà été endormis auparavant ou qui même
ter que ces paralysies psychiques suggérées n'étonnent nullement le
sujet
chez lequel je viens de les créer. M. Paul Ma
e, ou tout au moins singulièrement exagérées par la neurasthénie du
sujet
. Des troubles oculaires, circulatoires, respira
montre le vague et la diversité de toutes les opinions émises à ce
sujet
, il montre aussi que de ce concert émane surtou
ndance à l'état de mal. Flechsig et ses élèves' sont revenus sur ce
sujet
dans dif- férentes publications, en insistant p
s, 2' série, t. X. 8 114 RECUEIL DR FAITS. Villejuif. Voici, à ce
sujet
, les renseignements qui nous ont été fournis pa
aliéné, est actuellement interné à l'Asile Clinique. Voici, à son
sujet
, les renseignements qui nous ont été fournis par
yé pour ces expériences était le dynamomètre ordinaire : tantôt les
sujets
se livraient à un tra- vail ininterrompu, tantô
ail interrompu. Les résultats obtenus ont varié avec les différents
sujets
: chez les uns, l'alcool détermine une excitati
plus les effets de l'alcool diffèrent de ce qu'on ohserve chez les
sujets
normaux : au lieu d'augmenter, le rendement du
. (Journal de Neurologie, 1900, n° 7.) En examinant le bulbe d'un
sujet
mort d'une hémorragie céré- brale qui avait dét
gération des reflexes tendineux aux 4 membres. Il parlait. Il était
sujet
à des attaques d'épilepsie qui finirent par le
if de l'hystérie, celui-ci doit varier selon l'âge et même selon le
sujet
et selon toutes soi tes de conditions; la. sug-
guérison; par J. Crocq. (Voum. de Neurologie, 1899, n° 23.) . Le
sujet
de cette observafion est une malade qui trois moi
lte est très obscure. Tout ce qui abaisse le taux de la vitalité du
sujet
agit comme cause prédisposante. Le rôle joué pa
t de la nourriture). M. Mumford a étudié quelques nouveau-nés il ce
sujet
, il demande que ces recherches soient complétée
puis sa jeunesse. Néanmoins, de temps à autre il est déprimé et est
sujet
à des obsessions avec idées de suicide indépend
t cousines). La forme mentale doit aussi être la même chez tous les
sujets
atteints. 11 n'a observé que 11 familles chez
déments ordinaires. Les maniaques et les épileptiques n'y sont pas
sujets
. Ils reçoivent cependant beaucoup de contusions.
vent être assez nombreux ni assez précis. Rapport médico-légal au
sujet
d'un persécuté persécuteur. - M. RAyNAUD commun
casion d'une occlu- sion énergique des paupières. Si l'on invite le
sujet
à fermer éner- giquement les yeux et à les ouvr
es fortement contractées. Ce symptôme se rencontre surtout chez les
sujets
dont les pupilles sont rigides, tels que les para
bserve un phénomène analogue mais non tout à fait ana- logue, si le
sujet
s'efforçant' de fermer les yeux, on s'oppose à
suggestion. De l'aveu même de ses auteurs, ce sérum échoue chez les
sujets
qui présentent des tares, qui sont névropathes
Les trente et une leçons que renferme ce volume touchent à tous les
sujets
de la neuropathologie; re- produisant chacune u
ccasion pour reprendre et exposer les travaux nouveaux parus sur le
sujet
. L'auteur revient ensuite sur un sujet qu'il av
ravaux nouveaux parus sur le sujet. L'auteur revient ensuite sur un
sujet
qu'il avait déjà longue- 174 bibliographie. m
la discussion des rapports, auront lieu les communications sur les
sujets
divers. Ces communications ne pourront avoir été
Dr Hartenberg (de Paris). Paralysie générale progressive chez un
sujet
ayant présenté, dix-huit ans auparavant, du délir
ètement ivre, dans son lit, et lui ayant fait des observations à ce
sujet
, elle prit un revolver sur la cheminée de la ch
ot pour toutes les questions d'hospitalisation et de traitement des
sujets
atteints de maladies mentales. Comme il arrive
de la psychiatrie contemporaine, et de permettre d'ap- pliquer aux
sujets
atteints de maladies du cerveau le traitement i
e pour l'enseignement, en outre des malades de la clinique, de 88
sujets
incurables (40 aliénés et 48 épileptiques), hospi
Julius. Le matériel clinique disponible est donc en réalité de 150
sujets
environ. Ajoutons que le « mouvcment » des entrée
en : tous ces locaux sont, en effet, situés au rez-de-chaussée. Les
sujets
traités par le repos au lit sont ainsi présenté
nombre considérable de cas aigus : d'où une proportion anormale de
sujets
agités ou de malades ayant besoin d'une surveil
illance est d'autant plus indispensable que ce sont précisément les
sujets
agités qui présentent, en général, le plus de c
out à l'heure est calme maintenant. Conclusion : l'isolement de ces
sujets
dans un quartier spécial doit être proscrit ; c
autres malades, de reléguer loin de la surveillance du médecin des
sujets
qui, par leur agitation, sont susceptibles de p
est réservée aux malades trauquillee ? G seconde aux agités et aux
sujets
à surveiller. La toit comprend : un vestibule o
nés. Le malade est conduit aux closets à heure fixe. S'agit-il d'un
sujet
bruyant ? La présence du médecin, les soins que
bien isolée de celle-ci au point de vue acoustique et affectée aux
sujets
bruyants ou agités'. Population de la cliniqu
alades de la consultation, mais à hospitaliser un certain nombre de
sujets
atteints de, maladies nerveuses. " Chaque div
chacune aux malades suivants : 1° tranquilles et pensionnaires ; 2°
sujets
tranquilles, mais ayant besoin d'une surveillan
lles, mais ayant besoin d'une surveillance continue; 3° agités ; 4°
sujets
à isoler, aliénés criminels. La première villa
bres d'isolement, une salle de bains et un cabinet de toilette. Les
sujets
les moins agités y sont logés. Le pavillon d'
té dans chaque pavillon ; on peut ainsi appliquer aux agités et aux
sujets
atteints d'eschares le traitement par les bains
but de mesurer avec précision le niveau mental et l'instruction des
sujets
, la durée et l'intensité des réac- tions psychi
lysies peuvent se transformer les unes dans les autres chez un même
sujet
; Quatrième LOI. Les diverses variétés de secous
de sciatique qu'il relate dans ce travail sur ce fait que les deux
sujets
qui en ont été atteints, en même temps que d'autr
s de cécité hystérique en trois classes : 1° Un certain nombre de
sujets
accusent la cécité dans le but de tromper. Leur
met cependant que le traumatisme peut faire éclore le tabès chez un
sujet
prédisposé. Ce point d'étiologip ' Espérons que
GIE- NERVEUSE. 223 a une grande importance médico-légale puisque le
sujet
a le droit de faire valoir que sans le traumati
i- rhintrii, n° 9, 1899.) Voir l'article de Bechterew sur le même
sujet
qui, précisément t a pour base les expériences
on, différentes et, partant, susceptibles de coexister chez un même
sujet
; cette hypothèse n'est, d'ailleurs, en contra-
r les mesures à prendre vis-à-vis de chaque cas particulier. A ce
sujet
, l'auteur déclare justement ne pas comprendre que
qués par une irritation cutanée quelle qu'en fût l'intensité, si le
sujet
ne portait pas déjà en lui l'aptitude , à produ
xique des troubles si variés ; c'est qu'à côté du poison, il y a le
sujet
avec ses qualités personnelles, ses différents
ux réa- lités du réveil. Mais si tel est l'accès alcoolique chez un
sujet
indemne de toute tare héréditaire, que de varié
les alcoolisés prédisposés redeviennent eux-mêmes, c'est-à-dire des
sujets
avec des degrés variables de prédisposition et
ains aliénés dits criminels, non point le paralytique général ou le
sujet
nettement aliéné qui a commis un crime ou un dé
uvertes pour les convalescents. Vous voyez, Messieurs, quels vastes
sujets
d'étude s'offrent devant nous, aussi bien au po
faut la chercher dans les antécédents héréditaires et persounels du
sujet
. Au terme de : folie pubérale, l'orateur préfère
r-Yon) a réuni 120 observations de psychoses de la puberté chez des
sujets
de quinze à dix-huit ans (53 garçons, 57 filles
met de les confondre, au point de vue du pronostic éloigné avec les
sujets
des groupes précé- dents. En résumé, les fait
tion anxieuse de la peur, liée à l'émo- tivité constitutionnelle du
sujet
, qui se fixe sur la rougeur pour en faire l'obj
ÉDECINE. et rester à l'état de maladie simple de la rougeur chez un
sujet
normal, tandis qu'elle donne lieu tantôt à la p
t moins hallucinatoire, moins intimement lié à la per- sonnalité du
sujet
. Fractures spontanées dans la paralysie général
aits rapportés se divisent en trois groupes : Le premier, celui des
sujets
morts dans le marasme, comprend seulement deux
eurasthénie et l'hystérie. Paralysie générale progressive chez un
sujet
ayant présenté dix-huit ans auparavant du délir
erais donc au plus élémentaire de mes devoirs si je risquais, à son
sujet
, un jugement hâtif. Laissez-moi seulement vous
iatrie. Cette séparation s'adresse, non pas aux personnes, mais aux
sujets
d'études, et M. Pierre Marie propose d'envoyer
ait nécessité à faire des indi- cations et contre-indications à son
sujet
. Enfin, qu'en se servant de ce régime, il n'y a
ntia prrccox » et l'application du repos au lit prolongé chez des
sujets
jeunes dans quelques hôpitaux. Ensuite, bien qu
'effet que ce régime produit sur les maladies psy- chiques chez les
sujets
jeunes pour que celles-ci deviennent chez eux i
es rosées, séro-diagnostic positif (21 octobre), Mère rhumatisante,
sujette
à des bouffées de chaleur : il dit avoir un onc
au commencement d'octobre 1899. En somme, il s'agit, chez un jeune
sujet
, de souche incon- testablement neuro-arthritiqu
originaire du département de la Loire, nous pourrions répéter à son
sujet
, ce que disait M. le profes- seur Charvot, dans
t M. le profes- seur Charvot, dans un cas de même origine' : « Le
sujet
est, comme dans nos autres observations de thyr
s yeux devinrent brillants, et, au moment où le fait fut publié, le
sujet
pré- sentait tous les signes de la maladie de B
n examen de 19 crânes de microcéphales : ci Il n'y a rien, dans ces
sujets
, qui nous autorise à dire que le développement
ssairement l'idiotie, car ce type de crâne a été rencontré chez des
sujets
d'intelligence nor- male, non seulement dans le
ttention soutenue et de contrôle sur soi-même. A l'autopsie de tels
sujets
, on a relevé des circonvolu- tions petites, fra
es, et altérations du crâne, lesquels ont été notés à l'autopsie de
sujets
atteints d'idiotie. Les tumeurs du cerveau sont
ide du clivus ci-dessus mentionné. Pour ceux qui s'intéressent à ce
sujet
, ils pourront trouver une description détail- l
pour peu que nous puissions formu- ler des conclusions fermes à ce
sujet
; 4° L'alitement n'enraye en rien la mortalité.
ent, on peut reproduire toutes les particularités relevées chez des
sujets
normaux ou'hystériques, en provoquant par suggest
l n'y a pas d'atrophie musculaire. Les phénomènes paralytiques sont
sujets
à de grandes variations et s'accentuent à la su
les uns aux autres tout à fait, il est impossible de se former à ce
sujet
une opinion positive. M. Flechsig cherche la de
organes de l'esprit et de la pensée. Les opinions avancées sur ce
sujet
par M. Flechsig paraissent pour le moment purem
estions et manifester leurs conceptions maladives. Parfois même les
sujets
ont une certaine conscience de la nature de leur
latéraux est plus grande que chez les parents. Un certain nombre de
sujets
étaient considérés comme des originaux, des inq
s s'élevait à 145 (75 hommes, 70 femmes); 25 lits sont réservés aux
sujets
atteints d'affections nerveuses. Le prix de r
) Les malades paisibles sont logés dans le bâtiment central : les
sujets
affaiblis au rez-de-chaussée ; les pensionnaires
e nous avons remarqués, nous citerons des lits pour épileptiques ou
sujets
agités et affaiblis. Ces lits, en forme de cais
inisme); 88 cas (83 hommes et 5 femmes) de délire alcoolique, et 40
sujets
(26 hommes et 14 femmes) non aliénés (maladies
tionalité, leur domicile de secours, leur situation de fortune. 200
sujets
ont été présentés aux élèves dans le cours de l
mière classe, 6 de deuxième classe, 73 de troisième classe, plus 20
sujets
atteints d'affections nerveuses, soit un total
té aménagé en vue du traitement par le lit : l'une est affectée aux
sujets
excités ou ayant besoin d'une surveillance perman
ins et de la salle des cours située dans le bâtiment principal. Les
sujets
nouvellement admis sont couchés dans celle des
: malades à surveiller, malades sou- mis au traitement par le lit,
sujets
atteints d'affections intercur- rentes. La moit
erficie et 2 î,5 mètres cubes d'air, proportion suffisante pour des
sujets
tranquilles et non alités. Les murs des salle
réalité de 10 à 12 malades chaque pour une population totale de 120
sujets
. Dans certaines cellules on a installé une sorte
l'année 1897, de : Entrées : 6cJ5 malades (395 hommes, 300 femmes).
Sujets
traités : 810 malades (461 hommes, 319 femmes).
e; il appelle de suite un étudiant qui vient s'installer en face du
sujet
et commence l'in- terrogatoire. Lorsque l'élève
re tout aussi bien audi- lives que motrices ou visuelles suivant le
sujet
et aussi suivant l'affection dont il est attein
ci commençaient à s'épuiser. Un écran placé entre le cylindre et le
sujet
en expérience empêchait celui-ci de suivre des ye
ection dans l'écorce cérébrale est inégal et varie beaucoup. Il est
sujet
à de grandes différences individuelles. Dans les
on trouve dans les observatoires astronomiques et, pour pailer d'un
sujet
qui nous est plus proche, je rappellerai la fon
a sensation d'innervation motrice dans un bras immobile tendu. Le
sujet
examiné tient le bras immobile horizontalement (e
trifurquant plus bas, supporte un petit plateau avec des poids. Le
sujet
a les yeux fermés et ne bouge pas. Un aide soulèv
ou un carton recouvert d'étoffe, jusqu'à la rencontre des poids. Le
sujet
doit signaler le moment précis de l'allégement.
est nulle (fil tenu entre les doigts). La sensation éprouvée par le
sujet
est donc, bien réelle- ment et exclusivement, l
hésiomèt1'e, Grasset a fait un certain nombre d'expérienceschez des
sujets
sains pour déterminer le seuil des poids capabl
très léger, il faut environ 10 grammes pour donnera la plupart des
sujets
la sensation mini- male d'allégement. G... mont
ulement dans le pas postérieur, tandis que dans le pas antérieur le
sujet
l'ait glisser son pied malade assez en avant po
usement inspirée eu mettant à l'ordre du jour de ses discussions ce
sujet
fort intéres- sant auquel de nombreux travaux,
e, t. X, 28 434 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. inhibitoire du
sujet
; l'impulsion est conditionnée d'ailleurs par le
ion. Ces faits sont fort importants à suivre, car ils touchent à un
sujet
encore très discuté. Un zona du tronc a repro
e observation ne permet pas de trancher la discussion en suspens au
sujet
du siège de la lésion anatomique du zona, et ma
neux, qu'il s'agisse des réflexes cutanés, les études faites à ce
sujet
sont encore bien loin d'avoir donné tous les résu
ous jetterons un rapide coup d'oeil sur les travaux déjà faits à ce
sujet
, en ne retenant que les conclusions aux- quelle
stique plus importante ; mais nous avons cru devoir éliminer, comme
sujets
d'observation, certains cas particuliers, pouva
quant aux seconds, ils sont* des idiots moraux, et comme tels, des
sujets
tout indi- qués pour les asiles-écoles. Les c
d'une question de priorité, je dois dire que mes recherches sur ce
sujet
paraissent notablement antérieures aux siennes,
. Dans le quartier de surveillance continue doivent être placés les
sujets
atteints de psychoses récentes, les malades à idé
ix pavillons séparés (Cottage-System), dont deux sont consacrés aux
sujets
ayant besoin d'une surveillance continue, aux a
n. La préoccupation de l'expert devra être de vérifier si l'état du
sujet
peut être juxta- posé à l'un des types connus d
trer des aliénés vésaniques, des hystériques, des épileptiques, des
sujets
atteints d'affections nerveuses de toute nature
se modifie par l'inlerposition de verres de couleur entre l'oeil du
sujet
et l'image caractérisée. Les hallucinations vis
0 à 300 tabétiques, et sur ce nombre je ne vois pas plus de 15 à 20
sujets
franchement ataxiques. J'ai, dans ma clientèle pr
ordons i)os- térieurs de la moelle ; par M. BRUCE (Edimbourg). Le
sujet
sera discuté en deux sections : 1. Anatomilj1 ! c
tages différents ce qui confirme ses conclusions antérieures sur ce
sujet
. Phénomène des orteils dans l'épilepsie. - M. C
point hypno- 524 VARIA. gène artificiellement créé. Réveillé, ce
sujet
ne sa\ait même pas qu'on l'avait endormi. Après
ait endormi. Après l'avoir hypnotisé, j'ai pu faire revivre chez ce
sujet
le souvenir de ce qui s'était passé pendant les s
alanne, 248. Période terminale de la - par Arnaud, 250. chez un
sujet
ayaut présenté dix-huit ans auparavant du délir
observations en cherchant à établir qu'il s'agit réelle- ment de
sujets
atteints de sciatique et que la défor- mation q
vaient les caractères suivants : elles étaient presque continues et
sujettes
à des exacerbations qui survenaient sous l'infl
nt trois mois de diarrhée avec coliques. Depuis cette époque il est
sujet
à des co- liques, surtout pendant l'automne. De
à propos de cette observation, que répéter ce que nous avons dit au
sujet
des deux observations précédentes. Pour des mot
dé- formation un peu moins accentuée. Chez la malade qui fait le
sujet
de l'OBSERVATION III, il en a été de même ; qui
Est-il possible de dire pourquoi cette déformation atteint certains
sujets
et épargne les autres ? On pour- rait répondre
ne même excitation, la réaction puisse être différente suivant le
sujet
, et que le tronc s'incline chez un indi- vidu,
ieuse. Enfin, on peut aussi très bien admettre que, chez certains
sujets
prédisposés, il se forme, après un laps de temp
n a fait à DE l'astasie ET DE l'abasie. 25 5 diverses reprises le
sujet
de ses leçons cliniques. Ce sont, du reste, ces
tion de - ' Voici un extrait, de la lettre que. nous a adressé a ce
sujet
I. Girard,' C'est L bien astasie (às-zcniz) eta
Cette affection atteint en particulier les enfants et les jeunes
sujets
et survient tout à coup, à l'occasion d'une émo
ment . Paris, 18G}, p. 653. 2b PATHOLOGIE NERVEUSE. cependant, le
sujet
couché a conservé l'intégrité de la force muscu
t favorable, le trouble disparaît lentement ou brus- quement et est
sujet
à des récidives. Il paraît en rela- tion avec l
à la station et à la marche'. En 1884, M. Charcot revient sur ce
sujet
dans plu- sieurs de ses Leçons, publiées par le
une hache à la main. L'épouvante saisit les jeunes écoliers; notre
sujet
, plus effrayé que les autres, se sauvait à tout
l'épreuve des mouvements communi- qués avec résistance dela part du
sujet
, les segments des membres ne se laissent pas dé
e-trois ans de fièvre typhoïde avec complications cérébrales, était
sujet
à des névralgies. - -Mère, actrice très im- pre
a été réglée à dix-sept ans. Depuis l'âge de dix-huit ans elle est
sujette
à des attaques de céphalalgie qui durent trois
nté. Elle n'est ni alcoolique, ni syphilitique. Elle n'a jamais été
sujette
à des crises de nerfs, ou à d'autres phé- nomèn
éphidrose faciale. Dans les recher- ches que nous avons faites à ce
sujet
, nous avons pu nous convaincre de l'obscurité q
drose est d'ordre réflexe. On la rencontre ordinairement chez des
sujets
hystériques, chez des nerveux. L'hyperexcita- b
Parfois même, il n'y a aucune cause occasionnelle appréciable : les
sujets
sont seulement des neurasthéniques. Tuke rapp
émoire est assez bien conservée; la parole est libre. Le malade est
sujet
à des périodes d'excitation violente après les
ECINE LÉGALE RAPPORT PRÉSENTÉ A M. LE MINISTRE IDE L'INTÉRIEUR AU
SUJET
DE L'ALIÉNÉ MISTRAL; ' Par -'DI. CHARCOT et P1E
. A ce propos, nous ne pouvons que placer au premier rang dans le
sujet
spécial qui nous occupe l'ouvrage si'pré-. cieu
ore sur la question. L'observation XI, dont la malade qui en est le
sujet
est encore à la Salpêtrière, poursuivie par M.
ard 3, inspirée par M. Debove, qui avait précédemment approfondi le
sujet
dans plusieurs publications ". Nous avons eu
t communiqué ces clichés. 100 REVUE CRITIQUE. M. B... qui fait le
sujet
de celte observation, bien que délicate pendant
e nous arrêterons que fort peu sur les antécédents héréditaires des
sujets
. L'hystérie, comme on le sait, appar- tient à l
ssion. Toutefois, en ce qui regarde les antécédents personnels du
sujet
nous devons préciser la date de l'apparition des
ent d'ordinaire avec le ma- lade et celles-ci lui apprennent que le
sujet
souffre ordinaire- ment d'attaques convulsives
l'évo- lution des phénomènes de la série hystérique chez un même
sujet
. Ces accidents nerveux antérieurs sont très var
la grande attaque. Or il est assez souvent donné d'observer chez le
sujet
les phénomènes des deux der- nières : attitudes
le symptôme de début des accidents de la série hystérique, chez le
sujet
qui les présente actuellement. Abordons mainten
sculin que le sexe féminin. Elle s'observe non seulement chez des
sujets
jeunes ou dans la force de l'àge, mais aussi, bie
Les premiers phénomènes de dypsomanie se sont manifestés chez notre
sujet
à l'âge de vingt-cinq ans; il avait été bien po
ar jour pendant six semaines. L'auteur l'a vu trois mois après : le
sujet
n'a pas d'accès de dypso- manie, il travaille e
ale. Il se sert du texte de leurs observations pour prouver que les
sujets
sur lesquels ils ont expérimenté n'étaient pas
éédition qu'en donna M. Luys à la Charité, et il a remarqué que les
sujets
étaient prévenus de supercherie, de l'action at
diverses impressions d'un autre ordre. Il s'agit là. en somme, d'un
sujet
chez lequel la plupart des réactions nerveuses
nibles, en second lieu, elles sont cons- cientes en ce sens, que le
sujet
ne s'abuse pas sur la réalité des voix qu'il en
rsonnes de manière à présenter au choix une plus grande quantité de
sujets
. Cette proposition, vous le voyez, messieurs, r
mpter avec les récidives : elles se sont produites chez deux de nos
sujets
. Ajoutons que la bénignité de cette affection n
applicable à tous les cas; il serait prématuré de décré- ter à ce
sujet
des règles absolues, et nous avons fait allusio
sion réflexe saltatoire (Saltatorisch Reflexkrampf). Il s'agit de
sujets
chez lesquels aussi les mouvements anor- maux n
ène connexe de la trépida- tion épileptoïde qui se produit chez les
sujets
atteints de paraplégie spasmodique par le redre
les qui n'acquièrent leur toute-puissance que parce qu'il s'agit de
sujets
pré- disposés ; la concomitance habituelle de s
inski a obtenu une guérison rapide par la méthode du transfert d'un
sujet
à l'autre de l'ai- mant, qu'il a imaginé. Enfin
r, à organiser et à régulariser ce mécanisme. Mais, à mesure que le
sujet
devient de plus en plus expert, ces phénomènes
onné n'est pas exécuté. - Dans l'état de nos con- naissances sur ce
sujet
, il serait actuellement témé- raire d'établir q
enser que l'injonction « Tu ne peux plus marcher » suggère chez ces
sujets
l'idée d'une impuissance motrice complète, rela
cette façon, du moins, que suivant notre expérience, la plupart des
sujets
inter- prètent ces deux modes de suggestion. Ma
ier, a régu- lièrement pour effet de produire chez la plupart des
sujets
une sorte de parésie avec ou sans tremblement d
de paralysie émotive peut dans certains cas, en particulier chez un
sujet
psychiquement pré- disposé, être le point de dé
pour la station et pour la marche se soit développée à l'insu du
sujet
, dans un rêve peut-être qui n'aurait pas laissé
ette idée, en raison de la prédisposition native ou accidentelle du
sujet
, ait pu acquérir assez d'intensité pour se réal
mporal du lobe occipital. Bien que cela nous écarte un peu de notre
sujet
, il est un point de l'histoire de ce malade que
thymus, même chez des adultes; nous consacrerons prochainement à ce
sujet
une note. ' DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 251 Le
t intermittente irrégulière, en même temps que la conscience i du
sujet
en proie à des hallucinations et des illusions se
ssoupissement dont il devient de plus en plus difficile de tirer le
sujet
. , Quoi qu'il en soit, et pour prendre le cas d
l a appelé la diathète de 268 REVUE CRITIQUE. contracture, et les
sujets
qui sont en proie aux attaques de sommeil ne di
oujours être absor- bés. La nutrition souffre d'autant moins que le
sujet
absorbe plusetlamalade de MM. Bourneville et He
début, d'une façon précise, on se garde bien de laisser de pareils
sujets
sans ali- mentation. Il faut donc se reporter a
at des sécrétions pendant les attaques de som- meil même lorsque le
sujet
est alimenté artificiellement. Mais cette étude
térique. Supposons toujours, pour un moment tout au moins, que le
sujet
est plongé dans le sommeil le plus profond et que
raison apparente et les recherches minutieuses que nous fimes à ce
sujet
sur la malade ne nouspermirentpas de déceler la
: « L'anesthésie de la surface cutanée et des muqueuses ' Voy. à ce
sujet
: Soew' Jeanne des Anges; loc. cit., p. 101. *
à ce sujet : Soew' Jeanne des Anges; loc. cit., p. 101. * Voy. à ce
sujet
: Lanuois : De l'action esthésiogène de la piloca
quelques-unes n'en avaient aucun souvenir. » Nous ne pouvons à ce
sujet
nous empêcher de rapporter une observation de P
oute de s'établir. Nous reviendrons, du reste, quelque peu sur ce
sujet
particulier en faisant ressortir l'intérêt que pr
le sommeil. Dans toute une série de faits étudiés par M. Achard, le
sujet
sort de son attaque hémiplégique et hémianesthé
ctique d'origine cérébrale, d'autant plus, qu'au sortir du coma, le
sujet
conser- vera bien souvent une hémiplégie. Or, s
nflement (Littré et Robin), on pourrait s'y tromper, car il est des
sujets
qui, à l'exemple du malade Gairdner, peuvent pr
e les faits de cet ordre soigneusement observés avaient trait à des
sujets
hysté- riques qui n'en étaient pas moins, du re
lcool favorisant singulièrement l'apparition de l'hystérie chez les
sujets
prédisposés. Nous nous en tenons donc à l'hémia
ue certains délirants hysté- riques (cas de Martinenq) peuvent être
sujets
à des attaques de sommeil. En 1869, M. Legran
publiait dans la Gazette des Hôpitaux un mémoire intéressant sur ce
sujet
encore à l'étude aujourd'hui. Il rapportait l'o
alysait à ce propos une brochure de Timermans 2, traitant du même
sujet
et, à la suite de laquelle, la question avait été
a note juste en disant qu' « une idée mélancolique fixe portait son
sujet
à une léthargie maniaque avec abstinence complè
stème nerveux chez le malade de Legrand du Saulle ; de même chez le
sujet
de Timermans. Toutefois, il en fut autre- ment
Racliel N..., ââée de vingt-huit ans, mariée, était depuis deux ans
sujette
à la catalepsie et fut traitée par un médecin trè
parait unique dans son genre, il nous sera permis de dire que le
sujet
n'était peut-être pas un simulateur. La léthargie
nsidérations métlico- légales sur les attaques de sommeil. C'est un
sujet
que nous avons déjà traité dans notre travail s
« La léthargie, dit Briquet (p. 707), qui était pour les anciens un
sujet
d'effroi, doit être abandonnée à elle-même, jamai
, qu'on peut employer sans aucun inconvénient l'hypnotisme chez les
sujets
qui s'y montrent ra- 302 revue DE thérapeutique
Vous sentez de la chaleur, cette chaleur aug- mente, etc... « Si le
sujet
est hypnotisable, il répond affirmative- ment e
tence chez les dégénérés. Il ajoute que dans les derniers temps son
sujet
avait des hallucinations de l'ouïe. Ai. Doutreb
. Cela ne laisse pas que d'étonner de rencontrer unies chez un même
sujet
ces formes morbides d'ordre si différent, délire
e terminer par la guérison parfaite. Je reviendrai plus tard sur ce
sujet
en commu- niquant à l'appui des observations fr
rteur. Lut. le Rapporteur. Messieurs, je demande à dire un mot au
sujet
de ce répertoire sur lequel M. de Gavardie vient
arlais tout à l'heure. L'aliénation mentale- est une mala- die très
sujette
aux rechutes et qui se trouve souvent intimement
service au point de vue mental. La magistrature est parfois à ce
sujet
dans un grand embarras et, en France, ce sont les
stion encore d'actualité. Les travaux publiés tout récemment sur ce
sujet
à divers autres points de vue en font foi. ,
prix de 500 francs au meilleur mémoire qui lui sera adressé sur un
sujet
se l'attachant ci la Biologie. Aucun sujet de p
lui sera adressé sur un sujet se l'attachant ci la Biologie. Aucun
sujet
de prix ne sera proposé. Dans le cas où, une an
a priori. Quelquefois, en effet, on rencon- trait, à l'autopsie de
sujets
qui n'avaient eu pendant leur vie aucun des sym
s l'époque où il 1 Quelquefois aussi on rencontrait à l'autopsie de
sujets
ayant pré- senté pendant la vie des symptômes p
des cordons postérieurs peuvent être rencontrées à l'autopsie de
sujets
n'ayant présenté pendant leur vie aucun des sig
uscles triceps donne lieu à une contraction brusque, comme chez les
sujets
sains. Il n'y a rien d'anormal dans les membres
malades atteints de paralysie générale, de sclérose en ' Voir à ce
sujet
: Westphal, Ueber eiize ? 7z dent Bilde dei, cere
d en particulier, sont, en apparence, chez un certain nom- bre de
sujets
, les seules influences étiologiques sai- sissab
lités, ce n'est pas dans les influences exté- rieures, mais dans le
sujet
lui-même, dans sa famille qu'il faut chercher l
porte alors de s'enquérir avec soin des anté- cédents personnels du
sujet
et de s'attacher aux moindres faits de son exis
uveau l'origine de la maladie. Le dossier des antécédents de chaque
sujet
se complète peu à peu et le dépouillement des o
t plus qu'un épisode nerveux en parfaite connexion avec le passé du
sujet
et intime- ment lié aux maladies de ses ascenda
USE. En dehors de la valeur que les antécédents hérédi- taires du
sujet
donnent à cette dernière observation, il convie
côté à l'âge de trente-sept ans; le second cas se rapportait à un
sujet
qui, en moins de trois ans, fut atteint de trois
postérieurs, mais ce n'est plus chez les ascen- dants, mais chez le
sujet
lui-même que nous retrou- vons le tabes. Voici
uestion de l'hérédité nerveuse s'y trouve parfaitement élucidée; le
sujet
est de souche névropathique, les affections vés
ce; nous pourrions en dire tout autant, quoique cela sorte de notre
sujet
, de l'action de la syphilis qui a trouvé les vo
ffection fortuite, accidentelle, pouvant surgir inopinément chez un
sujet
quelconque. Les choses ne se passent pas ainsi;
ale peut surgir à tout âge, elle est plus fréquente chez les jeunes
sujets
et en particulier de vingt à quarante ans, qu'à
en effet, se décomposer de la manière suivante : nombre total des
sujets
, 41 : femmes, 23 ; hommes, 18. Est-ce là une si
maladies relevées chez les ascen- dants ou chez les collatéraux des
sujets
atteints de paralysie de la septième paire, on
considéré les maladies des ascendants , nous regardons du côté des
sujets
eux-mêmes, nous rencontrons encore la chorée, p
cès, tout semble concorder pour dire à l'observateur que chez les
sujets
frappés de paralysie de la face, c'est le cer-
de vieillesse ( ? ) à l'âge de soixante-dix ans environ; elle était
sujette
à des maux de tête. Une soeur, soixante-quatre
ts du diaphragme est prouvée par nos expériences et tracés sur le
sujet
vivant {lapin) et sur les cadavres {chien).. Tr
folie de la puberté est très grave. Une discus- sion s'engage à ce
sujet
. Sander n'admet pas l'existence de l'hébéphréni
En somme nous rencontrons là, isolées ou même réunies chez le même
sujet
, à peu près toutes les perturbations possibles
ses leçons sur les para- lysies hystéro-traumatiques, a parlé d'un
sujet
hystérique qui préséntait à l'état de veille l'
, mais disparaissant si l'on fixe sur un autre point l'attention du
sujet
. C'est là un fait qui a été constaté sur un des
tationnaires dans l'athétose double. Nous croyons même que chez des
sujets
jeunes et soumis à des exercices méthodiques, i
e, n'en est pas moins fatalement progressive ' . ' Consulter sur ce
sujet
, Brousse : De l'ataxie héréditaire (maladie de
tions nous fourniront prochainement l'occasion de revenir sur ce
sujet
encore peu connu 2. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
iolence, mais revêt de temps à autre une intensité plus grande; les
sujets
succombent alors à la déchéance organique. Desc
folie des héréditaires ou dégénérés, c'est surtout l'état mental du
sujet
, les syndromes épisodiques dévelop- pés sur cet
ée à dix-sept ans et non à dix-huit ou vingt ans ; elle n'était pas
sujette
aux attaques de nerfs, comme on le prétend ; el
que. J'ai déjà eu l'occasion, l'année dernière, de m'expliquer à ce
sujet
dans une leçon publiée dane le Journal des Conn
onique. Cette espèce pathologique se développe seu- lement chez des
sujets
dont le niveau mental est assez élevé, aussi ne
), cet auteur fait entrer aussi dans le cadre de la mégalomanie des
sujets
qui d'emblée ont des hallucinations et des idée
ltés, nous avons un groupe clinique, la mégalomanie, qui réunit des
sujets
' A Foville. - Etude clinique de la folie avec
- tieuses tendent peu à peu à devenir prédominantes et donnent au
sujet
non seulement une personnalité nouvelle, mais aus
ou trente ans capables de causer raisonnablement t sur beaucoup de
sujets
étrangers à leur délire, il en est d'autres che
ations et ses transactions formèrent la première littérature sur le
sujet
. En 1877, fut fondé le Journal of hiebriety, or
par cet organe que furent publiées presque toutes les études sur ce
sujet
en Amérique. La curabilité de l'intempérance en
nce, qui ont donné une grande impulsionà l'étude scientifique de ce
sujet
. Le Dr Crother termine son article par les conc
côté, on trouvera le vrai remède contre le mal. On doit étudier le
sujet
en dehors de toule opinion ou théorie métaphysi
a éveillé aucun soupçon. Notre but est d'appeler l'attention sur ce
sujet
, en étudiant non pas la simulation hystérique d
tard en détail, il faudra sans cesse se rappeler que l'hystérie est
sujette
à des lois précises. « Rien n'est laisséau hasa
sseur Pitres2 publiait une série d'intéressantes leçons sur le même
sujet
. Et, au cours de la même année, notre collègue
neveu, père d'épileptiques ou d'aliénés, il est depuis dix-huit ans
sujet
à des crises convulsives qui tout d'abord 26 NO
utte qui porta sur les gros orteils et dura peu de temps, il devint
sujet
à des cauchemars, mais sans vomissements le matin
eçons fon- damentales 2. La thèse d'Athanassio 3 ne nous offre à ce
sujet
rien de particulier car elle ne fait que reprod
er, que nous avons fait usage, pour ces observations, uniquement de
sujets
présentant ce qu'on appelle le grand hypnotisme
conditions pour éviter toute suggestion inconsciem- ment fournie au
sujet
par nous ou les autres malades. Nous étions seu
de la langue allemande, inconnue à nos trois ma- lades. Les trois
sujets
sur lesquels nous avons expérimenté sont des femm
nsuite aux impressions olfactives, nous mettons sous les narines du
sujet
un morceau de camphre, qui provoque le sourire, u
tit nombre. En présence de ces exci- tations, il est évident que le
sujet
réagit à sa manière, avec son propre fonds, dan
int de réactions simples. Nous verrons au contraire notre troisième
sujet
, fille plus cultivée, plus intelligente, nous d
as en détailla longue et fastidieuse 'liste de nos expériences à ce
sujet
, pour cette simple raison qu'elles ont toutes é
la névrose hypnotique. Dans la léthargie, si elles sont perçues, le
sujet
ne donne aucune marque extérieure dénotant la r
, les excitations sensorielles sont perçues et pro- voquent chez le
sujet
des suggestions dont il nous rend compte par une
ent appropriés. Enfin dans la phase somnambulique, dans laquelle le
sujet
bien qu'à peu NOUVRILF ICONOGRAPHIE DF LA SALPT
produisent que des sensations justes, justement interprétées par le
sujet
qui les ressent. Le fait dominant, au point d
voquées sont assez complexes et bien dessinées par la mimique du
sujet
, on parvient à comprendre le mécanisme de leur pr
ent. Enfin il est incontestable que dans d'autres circonstances les
sujets
n'ont été frappés que tardivement et à un âge c
intra-utérine se montre avec évidence ; or un certain nombre de ces
sujets
sont souvent très arriérés intellectuellement,
ue de ! a paralysie générale de l'adulte; ce sont les encéphalites,
sujet
obscur et très embrouillé où les théories individ
examen minutieux du crâne. Pour le faire convenablement, la tête du
sujet
doit être rasée; on appréciera le volume du crâ
castré dans cette membrane et indépendant des os du crâne. Sur le
sujet
auquel j'ai pratiqué une craniectomie occipitale
de l'os. Trois fois, d'ailleurs, je l'ai réséqué et l'examen de ces
sujets
ne m'a pas paru présenter de différence avec ce
terminer dans cette formule : faire rentrer dans la vie commune des
sujets
voués à l'existence la plus misérable tant au p
oolique est plus considé- rable du côté qui a été contracturé. Le
sujet
peut reproduire la contracture aussi souvent qu'o
souples. En présence de ces phénomènes d'aspect spasmodique que le
sujet
nous montrait par curiosité, nous avons pensé d
it, le caractère spasmodique de la con- traction produite par notre
sujet
qui nous a fait songer aussitôt il l'hystérie c
le ne cesse avec l'instantanéité que nous avons observée chez notre
sujet
. On sait également que certains hystériques sug
mps et pour les produire et pour les faire disparaître. ,Chez notre
sujet
, il était également nécessaire d'un effort d'un
ndance à la généralisation de la contracture et si longtemps que le
sujet
la fit durer, les muscles du bras ne se prenaie
impossible de pouvoir parler, siffler, rire, comme le faisait notre
sujet
tout en maintenant cette immobilisation, et si
ve c'est pendant un temps très court. Rien de semblable 'chez notre
sujet
qui pouvait conserver cette situation antiphysi
es muscles de la face, des lèvres; en pareil cas, il communique aux
sujets
qui en sont atteints un habitus extérieur qui n
l'état de veille, il ne s'efface jamais complètement, même quand le
sujet
est au repos. Il ne s'accroît sous l'influence de
Par ses caractères, par l'apparence extérieure qu'il communique aux
sujets
qui en sont affectés, ce type de tremblement hyst
bservateur puisse aisément les dissocier. Si l'on examine un de ces
sujets
alors qu'il est assis sur une chaise, les pieds
re dans un état d'agitation violente, il tel point que, parfois, le
sujet
a peine à se tenir debout et menace de tomber.
t lés épaules oscil- lent dans le sens vertical (fig. 97). Quand le
sujet
se met en marche, le tremblement redouble encor
ndonnée, comme pour dormir, aussitôt le tremblement disparait et le
sujet
repose dans une immobilité complète. Mais qu'il
raitre, mais momentanément et pour de très courts instants quand le
sujet
repose dans cette dernière attitude. Il cesse t
laire, quand ils sont en mouvement. Sans compter que l'élocution du
sujet
, souvent embar- rassée et entrecoupée, rappelle
r immédiatement du tremblement de la sclérose en plaques. Lorsqu'un
sujet
atteint de sclérose en plaques s'est commodément
nsidérer que le symptôme tremblement, une erreur de diagnostic à ce
sujet
nous semblerait difficile à justifier. Parallèl
DE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 115 mulé son opinion à ce
sujet
dans les termes suivants : « Avant plus ample i
tôle, les membres et le corps tout entier sont 1 secoués, quand le
sujet
est debout ou assis, de saccades régulièrement
bres supérieurs. Qu'ils soient pendants le long du corps, ou que le
sujet
étant assis ils repo- sent sur ses genoux, les
rre est projeté de toutes parts. Les membres inférieurs, quand le
sujet
esl debout, sont animés de petits mouvements al
x le tremble- ment des membres inférieurs est celle que présente le
sujet
quand il est assis, les jambes étant fléchies i
malade ne saule pas en marchant. (Il a été impossible d'examiner le
sujet
dans le décubitus horizontal.) 124 NOUVELLE ICO
rique de rhythme moyen localisé aux membres inférieurs. L'aspect du
sujet
était très analogue il celui que présentent les
re, où il a été admis le 13 août dernier. Étal du malade (15 août).
Sujet
de taille moyenne, bien musclé, un peu amaigri.
arcot : « Vous n'oublierez jamais, dit-il, que dans l'étude chez un
sujet
donné d'une manifestation hystérique quelconque
t Haillon, Broca, vien- nent d'appeler à nouveau l'attention sur ce
sujet
, et notre collègue et ami Chipault' a essayé le
t, suivant le procédé de M. Charcot, les expériences suivantes : un
sujet
hystérique et hypnotisable est plongé artificiell
entourant de toutes les garanties possibles. Nous avons choisi des
sujets
« neufs », n'ayant jamais été soumis à des expéri
ence bien nette sur l'évolution de la maladie, qui était d'ailleurs
sujette
, presque d'un jour à l'autre, à des oscillations
gie nucléaire avec atrophie musculaire progressive (Rosenthal 1).
Sujet
de trente-huit ans, atteint cinq ans auparavant d
un traitement électrique, sans résultats du reste. Elle était assez
sujette
aux bronchites et aux névralgies dentaires. D
lle a aussi quelquefois peur de se jeter par la fenêtre, mais, à ce
sujet
, elle reprend vite le dessus. En somme, elle es
ce, il a vécu à la campagne, travaillant aux champs. Il n'a pas été
sujet
à ces ter- reurs nocturnes, à ces hallucination
de. Antécédents personnels. A l'âge de sept ou huit ans, elle a été
sujette
pendant quelques mois il des terreurs nocturnes
ans le service de la clinique. État du malade (le 10 juin 1889). Le
sujet
est de taille peu élevée, mais il est bien musc
les caractères de l'épilepsie. Mais il ne se produit que lorsque le
sujet
tient sa jambe étendue sur une chaise, ou appuy
ténuant parfois, et subissant à chaque nouvelle attaque qu'avait le
sujet
une recrudescence bien marquée. Depuis le 3 jui
loppement de la région frontale. Mais ce sont des mensurations bien
sujettes
à caution surtout la première, parce qu'elle va
Ce qui rend notre cas, autant que je connais la littérature sur ce
sujet
, absolument unique dans son genre, ce n'est pas s
LPÊTRIÈRE. humérale, L'habitus extérieur est très frappant chez les
sujets
atteints de cette maladie. En ce qui concerne l
ouvements dans tous les sens. Ils ressemblent bien peu aux yeux des
sujets
atteints de polioencéphalite. Tandis que chez les
légitimes contre l'origine centrale de la 1 . Ces considérations au
sujet
des réactions électriques dans la polioencéphalit
, par des examens anatomo-pathologiques. Nous en dirons autant au
sujet
des rétractions tendineuses. Chez l'un de nos m
breux pour qu'on soit auto- risé à formuler une règle générale à ce
sujet
. Tout ce qu'on peut dire, c'est que la polioenc
crits jus- qu'alors. L'an dernier' Westphal revint à nouveau sur ce
sujet
et décrivit les altérations suivantes comme app
S succédant aux contractures spasmodiques J'ai déjà publié sur ce
sujet
en 1888, dans la Nouvelle Iconographie de la Sa
embre 1890). FiG.52. Fie. 53. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. 257 ce
sujet
sont très incomplets : il ne sait rien de ses gra
n rhumatisme (à l'âge de deux ans), la coexistence chez un si jeune
sujet
de la forme noueuse et des nodosités d'IIeberde
EXAMEN MORPHOLOGIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 270 repère. Le
sujet
appuie la tête sur la tablette fixée au mur, et r
ognathisme. Les inconvénients de ce procédé sont que souvent, si le
sujet
est très brachycéphale ou bossu, la tête ne peu
a muraille sans dépla- cer le plan horizontal; en outre il exige du
sujet
une immobilité sou- vent difficile à obtenir de
es déformations de l'oreille que nous avons pu rencontrer sur 1,233
sujets
. C'est à ce travail que j'emprunte les document
rer que quelques variations d'obliquité. Leurs dimensions sont plus
sujettes
à varier : c'est alors leur exagé- ration qu'on
ort peu saillant et le fond de la conque paraît plan. Chez certains
sujets
, cette racine de l'hélix peut prendre un grand
la fossette scaphoïde et se fusionne avec l'anthélix. Chez certains
sujets
, le bord libre de l'hélix est comme dentelé et
s différentes anomalies, il est bien difficile de se prononcer à ce
sujet
; beaucoup d'entre elles se rencon- trent fréque
sont pas notablement plus fréquentes chez les aliénés que chez les
sujets
sains d'esprit. Aussi suis-je tout disposé à me m
ont pu l'accompagner. Cepen- dant l'examen actuel, surtout chez des
sujets
jeunes, peut vous rensei- gner sur des anomalie
ourni le principe sur lequel sont construits les anthropomètres. Le
sujet
est placé debout comme il a été dit pour la tête,
la hauteur du vertex au-dessus du sol dans l'atti- tude assise; le
sujet
est assis sur un banc de 15 à 20 centimètres dont
et le dos doivent être absolument appliqués contre le mur auquel le
sujet
est adossé. Diminuée de la par- tie sus-jacente
mètres : Grande envergure. De l'extrémité d'un médius à l'autre, le
sujet
appuyé contre un mur et les deux bras bien en c
ue leur développement relativement aux autres parties et à l'âge du
sujet
, la situation et la forme du méat, l'effacement
lis ; les cicatrices de tatouages dont l'importance chez cer- tains
sujets
tels que les fous moraux a été mise récemment en
u'elle est devenue aujourd'hui plus mal définie et plus que. jamais
sujette
à une foule d'interprétations différentes. C'est
érieurs n'a pas besoin d'un traumatisme pour se manifester. Chez un
sujet
prédisposé, un agent provocateur quelconque : i
lmonaire à l'âge de quarante-cinq ans. Sa mère vit encore, elle est
sujette
ala migraine. Le grand-père paternel est mort s
phosphates terreux. Depuis environ cinq ans, celle jeune fille est
sujette
à de véritables accès d'asthme; ces accès ne se
a jamais fait de maladies, mais elle était toujours chétive, frêle,
sujette
aux migraines, aux palpitations et aux bronchit
début et la marche. Démontrer dans ces conditions difficiles que le
sujet
est hystérique, c'est, du même coup, faire voir q
it même sans doute, mais ses souvenirs ne sont pas très précis à ce
sujet
. En somme, il a pensé sa guérison avant de la r
o-patholoidue de Gôttingen. On n'a que peu de renseignements sur le
sujet
porteur de cette mal- formation : on sait seule
de côté, commençant à 3 centimètres 5 1. Un moulage du thorax de ce
sujet
a été présenté par nous à la Société d'anthropolo
mment occasion de voir un nouveau cas de cette malformation chez un
sujet
atteint de maladie d'Addison dans le service de
etite, de 12 millim. (cette dernière chez un enfant). Chez les deux
sujets
d'Ebstein, l'en- tonnoir mesurait dans un cas 4
le thorax en entonnoir était congénital deux fois; chez deux autres
sujets
il s'était montré à deux ans et sept ans. Klemper
n signale bien l'existence d'un double souffle diastolique, mais le
sujet
pouvait mar- cher, courir, monter des escaliers
re transverse du thorax au niveau des mamelons, d'une part chez les
sujets
à poitrine en enton- noir, de l'autre chez des
et de 89; or Sappey adopte comme moyenne 80 à 84. Ebstein, chez les
sujets
qu'il a étudiés, a trouvé pour la circonférence
urs qui ont étudié la poitrine en entonnoir n'ont trouvé chez leurs
sujets
des signes de rachitisme, lundis qu'ils ont pu
nférieur est porté en avant. Beauchêne a cité un cas dans lequel un
sujet
réussit, par des pressions répétées sur le ster
'existence d'une déformation très marquée de la cage thoracique, le
sujet
est voûté, la partie antérieure de la poitrine es
onnoir avec d'autres anomalies; de l'autre, son apparition chez des
sujets
por- teurs de tares héréditaires plus ou moins
es du système nerveux central. En résumé, la coexistence chez les
sujets
porteurs du thorax en en- tonnoir d'autres malf
nt électrique des modifications intéressantes. Nous avons fait à ce
sujet
de nombreuses expériences dont je me contentera
des, les muscles électrisés se tétanisent, comme il arrive chez les
sujets
sains, mais chez l'hystérique on observe parfoi
scription graphique de la secousse musculaire montrent que chez les
sujets
prédisposés à la contracture on observe souvent u
même fort rare de les trouver tous également efficaces chez un même
sujet
. Du moins, c'est un fait que nous n'avons pas
ar Westphal sous le nom de contraction paradoxale=. Enfin sur des
sujets
récemment délivrés d'une contracture spontanée
se contracture. En même temps que cette affirmation impressionne le
sujet
, on voit les doigts de la main indiquée se fléc
urent sans efficacité contre la contracture du poing fermé de notre
sujet
. Enfin, le sujet est mis de nouveau en état de
té contre la contracture du poing fermé de notre sujet. Enfin, le
sujet
est mis de nouveau en état de catalepsie. On atti
ggestion est impuissante a résoudre cette contracture. Le regard du
sujet
a beau être attiré sur sa main fermée, on a bea
mant qui reste appliqué un quart d'heure. On hypnotise à nouveau le
sujet
. Pendant l'état léthargique, l'excitation mécaniq
gature élastique, M. Berbez a trouvé la proportion suivante. Sur 70
sujets
, dont 97 hommes et 43 femmes, la contracture s'
racture s'est manifestée sur 19 hommes et sur 33 femmes, soit sur z
sujets
. Alors que nous ne connaissions pas ce procédé, l
ous dirigeons, après avoir pris la précaution de fermer les yeux du
sujet
, le vent d'une feuille de papier légèrement agi
on- DIATHËSE DE CONTRACTURE. 353 fracture se produit, sans que le
sujet
ait même conscience du procédé employé. Nous
uble névropathique, ni aucune affection scrofuleuse, il n'était pas
sujet
aux engelures. Il n'a pas eu la syphilis.' nie
le domaine des probabilités. Il semble, étant donné le jeune âge du
sujet
et la fréquence relative des tubercules dans la
dut faire une saillie appréciable. Il n'en est rien, sauf chez les
sujets
très maigres, car toute la nuque et la partie s
este, l'anomalie morphologique n'avait jamais attiré l'attention du
sujet
. L'excès de longueur de l'apophyse peut, avons-
ent ces jours derniers de publier une remarquable leçon sur le même
sujet
. Notre mémoire, qui devait être remis le 15 oct
mberg, etc. Il n'en faut pas davantage ponr concevoir, chez un même
sujet
, une telle réunion de symptômes simulateurs que
eesl très affaiblie. Outre ces troubles sensoriels, le malade est
sujet
à des attaques spéciales. Il en a eu trois depu
peu d'ophthalmoplégie, mais on ne saurait être trop affirmatif à ce
sujet
, l'examen n'ayant pu être fait aussi complètement
al. Mais on sait que les réflexes rotuliens peuvent manquer chez un
sujet
sain, qu'ils peuvent être abolis dans l'hystéri
r, le 28 juin 1886, M. le professeur Charcot démontra que « chez un
sujet
396. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
s. D'autre pari, une malade qui présente de telles anomalies est un
sujet
émi- nemment prédisposé aux névropathies, un te
uet, etde citer le passage suivant : « L'hystérie peut affecter les
sujets
atteints de maladie de Friedreich au même titre,
mbres de la famille névropathique coexistent sou- vent chez un même
sujet
, soit que la lésion organique cérébro-spinale a
t suiv.), soit qu'il y ait simple coïncidence, la prédisposition du
sujet
se manifestant de deux manières différentes.
: les deux affections peuvent coexister en même temps chez le même
sujet
. M. le professeur Charcot, qui a mis en lumière
re est, vous le savez par ce que nous avons dit maintes fois sur ce
sujet
, que les com- plexus nosologiques dont il s'agi
la seconde ? Il faut distinguer. Si la névrose se développe chez un
sujet
déjà en puissance de tabes, il est démontré m. Ge
e, que l'hystérie et l'organopathie spinale coexistent chez un même
sujet
, les deux affections restent indé- pendantes, c
st proposé l'artiste lorsqu'il a entrepris de traiter de semblables
sujets
... , Le premier dessin (pi. XXXVIII) nous montr
uvelles observa- tions pourra tracer quelques règles générales a ce
sujet
. A priori, l'atrophie avec réaction dégénérativ
ux fois la disso- ciation du type syringomyélique a été obtenue, le
sujet
étant hynopti- sable, par voie de suggestion. C
à la Société de biologie, une importante communication sur ce même
sujet
. Dans un plus récent article de la Médecine mod
individu sain, d'après les divers auteurs qui se sont occupés de ce
sujet
, n'est nullement comparable. Ces auteurs ont obte
observateur, et encore à la condition qu'il ait déterminé chez des
sujets
sains les limites nor- males du champ visuel, e
r3 appelé l'attention. Au cours de cette année il est revenu sur ce
sujet
et, dans une de ses leçons, en a présenté trois c
venons de rappeler. On ne le rencontre guère du reste que chez des
sujets
franchement hystériques. 4° Les troubles trophi
tou- chant le front et le dos de la main, à droite et à gauche. Le
sujet
réagit dans les temps suivants : - L'audition
de la démographie1, qui est très manifeste à l'état normal chez ce
sujet
, est exagéré. L... accuse de lui-même une diffi
e au départ, le point blanc du curseur est bientôt perçu par le
sujet
. On note alors le degré de l'arc auquel corre
alogue comme forme aux schémas du champ visuel), est placé à ? 2 du
sujet
à examiner. . La tête de celui-ci, bien fixée,
ettres très fines), il des distances de plus en plus rapprochées du
sujet
en observation, muni des verres correcteurs de
ccommodation de l'oeil. Si le trouble apparaît à 50 centimètres, le
sujet
n'a pas 2 dioptries d'accommodation, s'il appar
ptries d'accommodation, s'il apparaît seulement à 25 centimètres le
sujet
n'a pas 4 dioptries d'accommodation. C'est un p
Iexc pupillail'c à la IUll11 ? c du jour. - -1" temps : les yeux du
sujet
, grands ouverts et dirigés vers la fenêtre d'où v
dépistée-, traitée et supprimée. . Mydriase physiologique. Certains
sujets
ont, il l'état en apparence normal, les pupille
x provoque un rétrécissement de la pupille qui se redilate quand le
sujet
ouvre les yeux. 2° Si on commande au malade de
de Brenner, de Erb, de Gradenigo, etc., ont montré que si, chez un
sujet
sain, il fallait 6 milliampères pour déterminer
s de paracousie. Il y a une paracousie de lieu qui se voit chez les
sujets
ayant perdu une oreille : ils rapportent tous l
ce fait que certains sourds entendent bien, beaucoup mieux que les
sujets
sains, lorsqu'ils sont dans le bruit (chemin de f
peut également atteindre le labyrinthe. S'il s'agit de très jeunes
sujets
on aura de la surdi-mutité; chez les enfants plus
crudescence des symptômes généraux et de la fièvre. Chez les jeunes
sujets
, la lésion des deux oreilles produit la surdi-m
ité pré- coce.reconnaît cette pathogénie. Ce serait sortir de mon
sujet
que d'étudier ici les diverses variétés de surd
n son, note musicale, voyelle ou son syllabique. Le plus souvent un
sujet
déterminé a toujours la même per- ception lumin
déterminera des phénomènes de cl]romcsthésie variés sur les divers
sujets
. Dans la grande majorité des cas, l'audition colo
ont nombreux : un des plus communs est la toux spasmodique. Chez un
sujet
sur cinq, la .simple introduction d'un spéculum
,teintictiteizl posl-}J1'andial que l'on voit revenir chez certains
sujets
après les repas, au début ou pendant le travail
araître se produire dans les sens les plus divers. Le plus souvent le
sujet
a l'impression qu'il tourne sur lui-même ou que
urtout pendant la marche ou la course, et diminue ou cesse quand le
sujet
s'asseoit ou se couche. Il est fréquemment prov
diminuer la sensation ; dans d'autres cas elle l'exagère ('). Le
sujet
a toujours, au moins au début du vertige, la noti
urtout chez des prédisposés, chez des névropathes, et, pour un même
sujet
, dans des conditions accidentelles défavorables
i- quement sur les deux tempes ou les deux apophyses mastoïdes d'un
sujet
normal les deux électrodes d'un courant continu
tallique, nystagmus : celte inclination se produit toujours chez le
sujet
normal du côté du pôle positif (). I. La sensat
e es ! toujours plus forte que l'inclination replie (Erb). Quand le
sujet
est debout, les talons joints, la r6aclion est. p
atteints à 5 milliampères; il serait particulièrement net. chez les
sujets
jeunes et pourrait être obtenu avec 1 où- 2 mil
otatoire peut être provoqué soit en faisant tourner rapi- dement le
sujet
autour de son axe vertical, soit au moyen de disp
mobile autour d'un axe vertical : on fait tourner le plan- cher, le
sujet
étant assis, les yeux bandés, le dos contre l'axe
tre l'axe et les pieds sur le bord du plancher. A l'état normal, le
sujet
a la notion de la rota- tion ; quand on arrête
vieillards et les enfants, on ne l'observe guère qu'au Japon où ces
sujets
sont aussi fré- quemment dans les étables que l
tiques, le début est brusque, apoplecti- forme, et survient chez un
sujet
dont l'audition est normale. Ce vertige est pré
s bourdonnements et une 'diminution progressive de l'ouïe, chez des
sujets
qui présentaient, déjà antérieurement des trouble
tténue avec le temps par des manoeuvres compensatrices, soit que le
sujet
s'habitue à n'em- ployer que I"oeil sain, soit
rtige du même genre. Ces £ vertiges s'observent uniquement chez les
sujets
névropathes. Certains vertiges du tabès seraien
action d'un renexe est fort probable, mais l'état. névropathique du
sujet
entre aussi en cause. Le vertige larvngé s'obse
ertige de l'ivresse alcoolique est une sensation de tournoiement du
sujet
on des objets environnants avec obscurcissement d
horizontal; aussi la première précaution à prendre est d'étendre un
sujet
pris de vertige; on évitera ainsi une chute pos
oit être ten- tée, sauf contre-indications spéciales, chez Ions les
sujets
qui ont. des troubles auriculaires réfractaires
ui. Il est donc avantageux de lui substituer le terme « ictus », au
sujet
duquel aucune amphibologie n'est encore intervenu
apoplec- tique), ou s'assoupit doucement (forme narcoleptique). Le
sujet
endormi ne ronfle pas. 11 demeure pâle, froid,
tigue ou quelque contrariété n'aient troublé l'équilibre nerveux du
sujet
. Au milieu de son sommeil, le dormeur marmotte,
niment les attitudes les plus fatigantes. Dans le somnambulisme, le
sujet
hypnotisé subit les différentes suggestions de
avec les occupations normales ou les préoccupations habituelles du
sujet
. L'absence peut durer plusieurs jours, plusieur
lue peut s'observer. Il en est ainsi chez les prurigineux, chez les
sujets
présentant une excitation génitale anormale, eh
ires plus ou moins marqués au moment de l'émission de la parole (le
sujet
veut parler pendant l'inspiration, ou bien il ue
endant un certain laps de temps (minutes, heures ou même jours), le
sujet
parlera sans bégayer, puis, sous l'influence d'un
assurée en effet par la comparaison entre les mots prononcés par le
sujet
et ceux qu'il entend autour de lui ((;lItZ- man
ropriés, et, chose curieuse, ce n'est pas une voix de ténor que les
sujets
retrouvent, mais le plus souvent une voix de ba
lecture et de la mimique. Ce qui intéresse le neurologiste il leur
sujet
se trouvera au chapitre de l'aphasie pour le calc
qui le constituent. Ces tests ne peuvent être employés que chez des
sujets
ayant n'eu une certaine instruction. Faire lire
déments, les paralytiques généraux. Le trouble s'atténue lorsque le
sujet
fixe son attention; .il augmente avec la comple
bolie tactile où. malgré la rigueur des définitions, l'ignorance du
sujet
dépend souvent et simultanément d'une diminutio
iste des hallucinations, rechercher les tendances réactionnelles du
sujet
. Des phrases très simples, telles que : « quel jo
e un rôle actif en dirigeant les idées exprimées, en provoquant les
sujets
de l'en- tretien, en faisant causer le malade,
nu un cas légitime d'aliénation mentale et déclaré sain d'esprit un
sujet
qui pourra être dangereux et pour lui- même et
mnésie de localisation certains troubles spéciaux de la mémoire. Le
sujet
atteint de paramnésie de certitude est convaincu
llement ou n'est pas sur d'un fait qui réellement s'est produit. Le
sujet
^atteint de paramnésie de localisation a des souv
tion se produit dans l'appareil sensoriel lui-même ou en dehors du,
sujet
dans le monde exté- rieur, les hallucinations p
s brûlants dans LES HALLUCINATIONS. 2;)\1 leur intestin. Certains
sujets
se croient en verre, en cire, en bois. Les hall
rices. Les hallucinations motrices on) été étudiées par Sellas; les
sujets
per- çoivent des mouvements imaginaires partiel
er- vent avec une grande; fréquence dans la paralysie générale; les
sujets
possèdent des pierres précieuses, des millions,
ades sur leur santé générale, sur 1 état de leurs organes. Certains
sujets
, comme les neurasthéniques, s occupent d'une fa
des notions religieuses, une série, de croyances dans lesquelles le
sujet
a été élevé ou dont il a simplement entendu parle
tique ont un délire mystique, tels les persécutés par le démon. Ces
sujets
ont de multiples hallucina- tions, ils voient l
e palingnoslique, ou délire de reconnaissance, est le délire de ces
sujets
qui croient avoir vu jadis et reconnaître des per
amille et sur les conclusions du procureur du roi. Elle ne sera pas
sujette
à l'appel. Arr. 55. Le tribunal, sur la demande
es. Les. crises peuvent se multiplier, et l'a déchéance, mentale du
sujet
s'accentue. - .. Hoffmann (Deutsche Zeilschrifl
lure, par exemple, sont des sensations perçues objectivement par le
sujet
, et l'étude de ces troubles sensitifs objectifs
leurs névralgiques, les engourdissements sont des sensations que le
sujet
perçoit spontanément, qu'il peut décrire et ana
tation et de réaction personnelles qui varient il l'infini avec les
sujets
, et cela d'autant plus '1 est privé de tout moy
un malade. Il faut également tenir compte de l'état intellectuel du
sujet
, souvent défectueux (chez un hémiplégique, par
? ;' ' '' - les réponses du malade; aussi lorsqu'on a affairé a un
sujet
-intelligent, suffit-il de lui expliquer au pré
rateur doit être à peu près de la même tem- pérature que la peau du
sujet
examiné. 11 est préférable de. se servir d'obje
diapason appliqué sur un os provoque une sensation spéciale que le
sujet
peut facilement analyser, et qu'il compare à un
précautions sont indispensables : '1 il faut obtenir de la part du
sujet
un relâchement musculaire complet, car la moind
on pour faire disparaître le souvenir de l'attitude passive, que le
sujet
peut conserver après la fermeture des yeux; 5"
oin, dans la flexion des phalanges, de ne pas prendre les doigts du
sujet
en plaçant plusieurs doigts sur la face dorsale d
. On fait tout d'abord l'expérience en tenant immobile le membre du
sujet
, ensuite on invite le malade à faire des mouvem
u'il doit reconnaître par la palpation. Une condition s'impose : le
sujet
doit posséder la faculté de palper, non seulement
(hémiplégie cérébrale infantile, paralysie obstétricale). Ici. les
sujets
, de par leur impotence motrice, n'ont jamais pu
LITÉ OBJECTIVE. 555 cela tantôt à gauche, tantôt à droite, et si le
sujet
ne me dit pas sponta- nément ce qu'il sent, je
mauvais, puisqu'il ne fait qu'exagérer l'état de suggestibilité du
sujet
. Leur durée. Leur durée est des plus variables.
ouve jamais (pas plus, du reste, que les autres stigmates) chez les
sujets
qui n'ont encore subi aucun examen médical. O
Les laisser persister, c'est augmenter l'état de suggestibitité du
sujet
, c'est aggraver son état 111;\Topathique. i don
t souvent entachés d'erreur, étant donné le déficit inlellectuel du
sujet
. La valeur séméiologique des troubles sensi- ti
fs d'une région déterminée. Dans les cas de douleurs viscérales, le
sujet
, chez lequel les viscères sont il l'état normal i
et de l'aider dans les renseignements qu'on veut obtenir de lui au
sujet
des sensations qu'il éprouve spontané- ment, et
la température, de l'humidité est évi- dente ; variable pour chaque
sujet
, cette action reste sensiblement la même pour l
certaines positions. Ces différentes notions, si variables avec les
sujets
, ne peuvent être que d'un faible secours pour l
- mipiegie aussi bien que de l'âge el du tempérament arthritique du
sujet
. 2° Douleurs d'origine centrale. .Moins fréquen
mettre un terme à leurs atroces souffrances. Dans d'autres cas, les
sujets
maigrissent, s'anémient, et l'on pourrait même
, utiles. On peut rapprocher des malades atteints de topoal¡.6e ces
sujets
, dont parle Brissaud, qui souffrent d'une doule
ilité d'une véritable obsession hallucinatoire douloureuse chez des
sujets
à cela près complètement indemnes. Du fait qu'il
es psychiques. C'est une variété d'algie centrale observée chez des
sujets
hystériques ou neurasthéniques. Dans certains c
t des radiculiles. Paul Camus (Thèse de Paris 1908) a consacré à ce
sujet
un travail très intéressant. Les radi- culalbie
latgie chez les cordeurs ou fileurs de crin végétal en Algérie. Ces
sujets
travaillent avec la main droite en supination,
s et de vomissements, elle dure plus ou moins longtemps suivant les
sujets
, de quelques heures à un ou deux jours et se te
l'alcool, du tabac, de l'intoxication par l'oxyde de carbone. A ce
sujet
, il faut tou- 131GIlt : 1LG11 : . 5'J9 jours
anifestations de cette névrose, très variables .chez les différents
sujets
. Certaines céphalées dépendent de lésions osseu
normale. La profondeur à atteindre est de il 4 centimètres chez les
sujets
maigres, de 7, 8 à 9 centimètres chez les sujets
ntimètres chez les sujets maigres, de 7, 8 à 9 centimètres chez les
sujets
obèses. On par- vient rarement d'emblée sur le
r obtenir Fig. 1. Exploration du réflexe ten- dineux rotulien, le
sujet
étant assis. (Blocq et Onanoff.) Fig. 2. Mart
nécessitent en effet une percussion beaucoup plus forte que chez un
sujet
normal. Telles sont les causes d'erreur qui peu
pas, comme le réflexe rotulien, un réflexe qui existe chez tous les
sujets
normaux : on ne l'y rencontre que dans une propor
a flexion forcée du pied persiste et peuvent apparaître sans que lé
sujet
fasse la moindre résistance. z Ces caractères
clonus du pied la fausse épilepsie spinale qu'on rencontre chez les
sujets
nerveux à réflexes un peu forts qui se raidisse
-dire se ramas- sent vers la plante du pied, mais, chez beaucoup de
sujets
, le réflexe rait totalement défaut à l'état nor
taires de défense. Eu effet, une excitation trop vive chez certains
sujets
chatouilleux amène un retrait brusque du pied a
exe inguinal. Ce réflexe crémastérien est très variable suivant les
sujets
: chez les névro- pathes il peut aller jusqu'à
astre pour le réflexe épigastrique. A l'état normal, suivant que le
sujet
est plus ou moins obèse, suivant que la paroi a
mps perdu de 50 il 5u millièmes de seconde a été constaté chez (les
sujets
atteints de paralysie spasmodique dont les réfl
lièrement vifs, tandis épie les temps mesurés par Brissaud chez des
sujets
normaux Fig. 1°1. CA, corne antérieure; Cl', co
Nous ne ferons donc pas l'historique des travaux qui touchent à ce
sujet
, nous nous contenterons de renvoyer aux travaux d
s analnnesticlues, sans les renseignements fournis par le malade au
sujet
d'une attaque de paralysie à telle ou telle épo
quand il est très net. On peut supposer en effet que, chez certains
sujets
normaux, il y aura inégalité dans les efforts d
en France ces recherches : elles se sont multipliées depuis sur ce
sujet
et nous nous baserons sur la thèse de Rog[et(19
li lin. med.) a trouvé le signe de Kernig chez un certain nombre de
sujets
. Amaducci a fait les mêmes constatations. M. Wi
ations. M. Wilson rencontre le signe de Kernig chez 20 pour '100 de
sujets
normaux. Il faut donc faire quelques ré- serves
du système nerveux, et plus rarement on a pu le constater chez des
sujets
normaux. Il a donc une très grande valeur séméi
nocb l'ont vu après deux mois et demi. Netter le rencontre chez des
sujets
convalescents ou guéris, et, suivant lui, il a un
le voit, le signe de Kernig peut s'observer très rarement chez des
sujets
normaux et être le plus souvent caractéristique d
s atteints. On complétera cet examen local par un examen général du
sujet
(troubles des membres supérieurs, état des yeux
lles sont donc, à l'heure actuelle, nos acquisitions indéniables au
sujet
des réflexes dans les paraplégies ? , ' Nous la
cte de l'alhétosç post-hémiplégique, est extrême- ment ralentie. Le
sujet
se livre il de multiples contorsions du tronc, du
, principa- lement d'après liouth, ce que l'on doit connaître il ce
sujet
. Tout d'abord la conception est possible chez u
araplé- gies. Les unes sont progressives et irrémédiables, d'autres
sujettes
à des rémissions imprévues, d'autres encore exp
ation de l'épaule. Haillon rappelle ainsi cette action : « Quand un
sujet
normal soulève un objet lourd avec l'avant-bras f
beaucoup d'auteurs attribuent au grand fessier. Toutefois, quand le
sujet
est assis. les jambes fléchies, les pieds repos
ine iliaque du côté qui ne porte pas s'abaisser, tandis que chez un
sujet
normal elle reste au même niveau que l'épine ilia
nt l'extension de la cuisse. Lorsque les muscles se contractent, le
sujet
étant assis, la jambe allongée, le talon reposa
nctionnels bien graves. Babinski a insisté sur ce point et dit à ce
sujet
: « Le sterno-mastoïdien est en quelque sorte un
otrices chez l'homme sont intéressantes à connaître spécialement au
sujet
des lésions irritatives qui se traduisent par d
runtée il Moral.) Fig. 3. Centres moteurs d'après l'observation des
sujets
trépanés (d'après J,31narr¡). ''.' TOPOGRAPHIE
(1890); 5° Les centres moteurs de l'homme d'après l'observation des
sujets
trépanés (d'après Lamacq) ; 4° La zone cortic
rès important, car l'on est arrivé il des conclusions identiques au
sujet
des localisations radiculaires sensi- tives. Fa
est longuement étudié dans une monographie que j ai publiée sur ce
sujet
avec Pierre lluval (P. Duval et G. Guillain. Le
'écriture. Cette difficulté tient à l'impossibilité où se trouve le
sujet
d'imprimer à son avant-bras fléchi sur la table
ersal. Dans cette éven- tualité l'écriture n'est possible que si le
sujet
à l'aide de sa main gauche déplace, sa main dro
beaucoup plus grave. Cela revient à la loi que nous avons posée au
sujet
des paralysies radiculaires traumatiqucs : le pro
é paralysé; ces troubles du goût existent d'ailleurs seule- ment au
sujet
des substances sucrées ou salées, car la gustatio
ntrac- tures. La paralysie faciale récidive parfois chez certains
sujets
, tantôt du côté malade, tantôt du côté sain.
ir une action sur l'origine de la para- lysie radiale chez certains
sujets
qui, par leur profession (chef d orches- tre),
ant de l'écorce au bulbe et inversement. Il suffit de rappeler à ce
sujet
les expériences bien connues de \nlpian : un an
ue Thaon a appelé la phonophobie. Ce symptôme est souvent tenace et
sujet
à récidive, mais au total de pronostic bénin. D
ndition qu'elles présentent une prédisposition névropathique. Les
sujets
qui en sont atteints respirent tout fait normalem
tableau symptomatique n'est pas toujours aussi accentué : certains
sujets
peuvent encore parler à voix moyenne ou chuchoter
à une des formes de la raucité vocale. Elle se voit chez de jeunes
sujets
et relève d'une prédisposition névropathique héré
e toujours défectueuse. C) Voix eunuchoïde. Elle s'observe chez les
sujets
dont la voix n'a pas mué au moment de l'adolesc
é aiguë qui la fait ressembler il la voix de fausset infantile. Ces
sujets
ont un larynx plutôt grand, comme celui des bar
ne insuffisance de l'accommodation vocale des muscles du larynx, le
sujet
ne faisant usage que d'une partie de son anche
é sain facilite beaucoup le dia- gnostic. Comme chez la plupart des
sujets
la presque totalité de la mus- culature de la m
ue le fonctionnement ne soit pas sensiblement altéré. Chez certains
sujets
, l'atrophie de quelques muscles est très pronon
nes d'altération nerveuse ont été signalés, isolés ou non, chez des
sujets
que l'on considérait comme myopathiques, il nous
lontiers sauter une génération; il semble que, dans ces formes, les
sujets
puissent rester pendant toute leur existence co
rans- former le plus volontiers : c'est ainsi qu'Erh cite plusieurs
sujets
atteints d'atrophie juvénile dont les enfants o
us large, c'est-à-dire qu'un myopathique peut donner naissance à un
sujet
qui se trouve atteint d'une autre variété de my
sur 4 malades, .\['ne Sacara n'a observé qu'une jeune fille sur 15
sujets
atteints de cette maladie (=). On voit assez so
ont fréquents. La transpiration est souvent abondante : chez les 15
sujets
atteints de paralysie pseudo-hypertrophique qu'
t du ventre », et c'est un spectacle bizarre de voir, chez certains
sujets
à membres d'araignée, un thorax plat et considé
, Menut, Pilliet, Spitzka, Mme Sacara (10 débiles et 1 idiot sur 15
sujets
), Bouveret, Londe et Meigc (8), Fabre (8 cas) (9)
rte. La bouche ne peut être que difficilement fermée et, quand le
sujet
veut faire toucher ses lèvres, il fait un effor
e pied ; quand il y a une forte luxation du pied en dedans, les
sujets
mar- chent les ïambes raides et un peu écartë
l'on constate fréquemment chez les emphysémateux et chez tous les
sujets
atteints d'une affection dyspnéisante chronique.
us physiologique, mais pathologique : on les observe alors chez des
sujets
atteints il ! utero de sclérose cérébrale et né
es mouvements continus auxquels sont soumis certains muscles de ces
sujets
en amènent plus ou moins précocement l'hypertro
ischer, etc.) : il s'agirait d'une hypertrophie physio- logique, le
sujet
n'ayant aucune autre altération, mais elle n'aura
es ; la difficulté se reproduit chaque fois que, après un arrêt, le
sujet
se remet en marche. Ces troubles de la contract
homsen peuvent évoluer simultanément ou successivement chez un même
sujet
ou alterner chez plusieurs sujets de la même fa
ent ou successivement chez un même sujet ou alterner chez plusieurs
sujets
de la même famille, enfin que l'hypertrophie pr
due; la myotonie a pu précéder ou suivre l'amyotrophie chez un même
sujet
, soit sur les mêmes muscles, soit sur des muscles
servation de Sicard est particulièrement à citer; il s'agissait d'lui
sujet
al.lcint d'hémiathétose, surtout prononcée au m
i- [A. LÉRI. ] Fig-. 19 ? Hypertrophie musculaire vraie chez un
sujet
qui nC11l'éseu- lait pas les réactions de la ma
te suppose : 1° l'intégrité des appareils sensitifs par lesquels le
sujet
se rend compte du degré de contraction de ses m
de la sensibilité objective; les quelques cas cités autrefois sont
sujets
à caution, car les troubles de. la sensibilité,
ent, notamment pour maintenir l'équilibre. On comprend que les deux
sujets
se comporteront très différemment dans leurs mou-
xantaine de cen- timètres au-dessus du pied et en avant du genou du
sujet
et lui ordonne de toucher cette main avec son p
lement dans ce mouvement le pied traîne sur le sol plus que chez un
sujet
normal, comme si le contact du sol était sa sauve
eur et les précautions feront reconnaître le défaut de stabilité du
sujet
(« signe de l'escalier » de Fournier) ; 3° Rech
que (saturnisme, paludisme, grippe, colite, etc.), surtout chez des
sujets
prédisposés. 5. Ataxie dans les pseudo-tabes pa
t par l'examen méthodique de certains mouvements commandés chez des
sujets
que l'on soupçonne atteints de lésion cérébelle
A) Grande asynergie : démarche asynergique-type. Pour marcher, un
sujet
normal doit à la fois exécuter le soulèvement et
t avancée, le cérébelleux soulève son pied, souvent plus haut qu'un
sujet
normal par suite d'une exagération de la flexio
le sol par toute la plante, à peu près au point où l'aurait posé un
sujet
sain. Mais pendant tous ces mouvements, successif
semblables peuvent être imaginées pour les membres supérieurs. Le
sujet
étant étendu, on le prie de fléchir un membre inf
e très loin en avant, niais le tronc n'avance pas en même temps; le
sujet
n'avancerait pas si les aides ne poussaient son
ment nota-. ble et sans notables oscillations latéra- les. Le
sujet
restant couché, on lui or- donne de croiser s
légère - ment ses jambes, et de chercher ainsi à s'asseoir. Un
sujet
normal maintien-' drait ses membres inférie
dessus du sol, et généralement ne pourra parvenir à s'asseoir. Le
sujet
étant assis, on lui ordonne de toucher avec le bo
6cL 7. Signe de la flexion combinée des cuisses et du bassin. - Le
sujet
étant couché, les bras croisés, on le prie de s
ne peut s'asseoir (figures de Babinski). 772 INCOORDINATIONS. un
sujet
normal, le cérébelleux fléchira d'abord la cuisse
de la cuisse, et frappera le sol par toute la plante du pied. Le
sujet
étant debout, on le prie de s'appuyer des deux ma
sant brusquement le genou, vient le cogner sur la chaise^ ," . Le
sujet
étant encore dans la station debout, on lui dit d
de porter la tête Fig. et 9. Signe-du renversement en arrière. J,e
sujet
étant debout, on le prie de renverser le tronc
utre. Aussi Babinski a surtout étudié la rapidité avec laquelle les
sujets
peuvent exécuter les mouvements alternatifs de
ucoup moins [A. LÉRI] - 774 ' ^COORDINATIONS-. - . vite que des
sujets
normaux ces mouvements successifs, il y a chez eu
z un cérébelleux asynergiquc ; B) Chez un tabétique ataxique. Les
sujets
sont couchés, les jambes levées et demi lléclüe
demi lléclües : la pose a été la même (15 secondes) chez les deux
sujets
. L'asynergique conserve très longtemps l'altitu
i). INCOORDINATION CÉRÉBELLEUSE. 775 pendant plus longtemps qu'un
sujet
normal; les attitudes peuvent donc être très lo
moindre dépla- cemcnt pendant au moins autant de temps que chez un
sujet
normal ; la titubation et la chute ne se produi
ste quand on observe des altitudes partielles du corps. Ainsi, si, le
sujet
étant couché sur le dos, on lui fléchit légèrem
e pourra être maintenue un temps souvent beaucoup moins long par un
sujet
normal, un temps nul ou presque nul par un ataxiq
ensemble de phénomènes, plus ou moins constants,. donne parfois aux
sujets
atteints de maladie de Friedreich un aspect spé
uivant la profession des malades; il sera superflu d'obte- nir d'un
sujet
une guérison absolue hors de proportion avec les
isance, mais dont la succession est oubliée très rapidement par des
sujets
depuis quelque temps alités. Il faut apprendre
e rééducation soit vraiment satisfaisante, il est nécessaire que le
sujet
puisse marcher en regardant en face de lui; cec
se marcher en regardant en face de lui; ceci est vrai pour tous les
sujets
, mais tout particulièrement pour les femmes que l
de variations dans le syndrome étudié : certaines formes, chez les
sujets
jeunes il antécédents spécifiques, pourraient,
la période épileptoïde. Puis, au milieu de cris, de soubresauts, le
sujet
entre dans la deuxième période, celle des conto
uelques phénomènes critiques : polyurie, pleurs, rires, hoquets. Le
sujet
se réveille et en est quitte pour un peu de fatig
le résultat de l'examen qu'il a pratiqué avec M. Pitres : sur 1000
sujets
il a observé, en dehors de tout état pathologique
xelles pense que ces tn'lI1h]eurs, en apparence nor- maux, sont des
sujets
pathologiques, et il pense, que le tremblement es
lement a une vitesse variable suivant les individus et pour un même
sujet
, il côté d'une uniformité de vitesse, il présen
onséquent du tremblement cloniforme qui peut se rencontrer chez les
sujets
nerveux sous certaines influences et en particu
comme lui, il existe au repos absolu, il existe néanmoins quand les
sujets
sont dans un mini- mum de contractions musculai
reste pas absolument lié à la sénilité, il peut apparaître chez des
sujets
jeunes. Cette opinion est soutenue par plu- sie
que). Il a fait l'objet d'une clinique de Rendu, et enfin il est le
sujet
de la thèse inau- [CROUZON.] ] su , TREMBLEME
autres cas, il persiste à l'état de repos. , - ' - Enfin- le même
sujet
peut présenter un tremblement qui varie de siège,
lt, son rythme est rapide, nul au repos complet, très net quand les
sujets
étendent les mains, il per- siste sans s'exagér
taux dans les modalités de la chorée qui y sont le plus fréquemment
sujettes
. Toutefois il convient dès maintenant de nous d
s pouvons cependant, d'après les travaux qui ont été publiés sur ce
sujet
, dire (') que la mort dans ce 1. Guillemet. Thè
été des chorées. La chorée varie d'aspect clinique suivant l'âge du
sujet
qui en est atteint, ou, pour mieux dire, la cho
s la proportion de deux pour un garçon. La chorée survient chez des
sujets
le plus souvent à la suite d'une des causes que
t Coyon. Triboulet, Coyon et Zadock aient constaté il l'autopsie de
sujets
morts de rhumatisme avec chorée, la présence d'
ns la chorée de Sydenham, il est revenu à plusieurs reprises sur ce
sujet
(Gazelle des Hôpitaux, .30 octobre 1900; Congrè
Celte chorée s'observe chez des dégénérés physiques et mentaux, les
sujets
présentent des stigmates physiques : infantilis
énération. Les descendants qui sont épargnés peuvent cependant être
sujets
à d'au- tres affections nerveuses sans que cepe
commune (dégénérescence héréditaire ou acquise). La plupart de ces
sujets
présentent des stigmates avérés de dégénérescen
ment bénigne en ce qui con- cerne la vie. Cependant l'évolution est
sujette
il des variations, les rémis- sions sont fréque
, 2° Syndrome de Kojewnikoff ou épilepsie partielle continue. Les
sujets
qui en sont atteints ont des crises d'épilepsie j
e, clans l'adolescence ou dans l'âge adulte; elle survient chez des
sujets
qui sont en général prédisposés à une affection
lus atteint, que le déséquilibre psychique porte plus rapidement le
sujet
a imiter ses propres gestes et à les caricature
- tions; mais les mêmes conditions produisent parfois chez certains
sujets
un effet absolument différent. Les indispositio
tre part, de nouveaux tics apparaissent, parce que l'état mental du
sujet
le prédispose aux tics, la répétition et a la d
néral, et les représentations motrices en particulier, ont chez ces
sujets
a une intensité et un éclat réellement morbides
hologique. « L'image d'un mouvement se présente il la conscience du
sujet
avec, une intensité et un éclat qui tendent il
te est celte représentation excessive des images motrices riiez des
sujets
qui présentent le déséquilibre de la volonté, d
antagonistes efficaces très variés, toujours les mêmes pour chaque
sujet
ou parfois variant à des époques différentes, n
as ; tics d'écartement. ou de rapprochement, tics de frappement (le
sujet
se donne un coup de poing) ; déterminés au débu
Ces muscles devront être maintenus immobiles d'abord pendant que le
sujet
sera au repos; on exigera cette immobilité l" p
iles pendant différents [A. LÉRI 1 8' TRAITEMENT. mouvements du
sujet
: passage de la position assise à la position cou
xercices, déplacer le malade en face d'un miroir; le miroir rend au
sujet
un compte parfait, « inexorable », tant de ses
ud. Voici les règles pratiques qu'appliquent Pitres et Cruchet : Le
sujet
est placé droit contre un mur. Pendant deux il
la région objectivement malade, qu'on agit le plus sur l'esprit- du
sujet
, qu'on le suggestionne le mieux. Mais les aut
tion du succès, le pronostic sera peu favorable quand la volonté du
sujet
sera très instable, très défavorable soit quand
volonté du sujet sera très instable, très défavorable soit quand le
sujet
sera indifférent il son tic, soit quand le tic
ou l'impossibilité d'écrire. Ils surviennent généralement chez les
sujets
qui par profession écrivent beaucoup (Lu- reauc
ures, qu'elles alternent ou s'entremêlent très souvent chez le même
sujet
, qu'elles atteignent chez les différents malades
es des écrivains qui se ressemblent. Dans la'forme spasmodique, le.
sujet
essaye d'écrire; il trace d'abord quelques mots
intéressants à étudier ; ils diffèrent tout autant chez les divers
sujets
que les réactions motrices elles-mêmes. Dans la
lent et progressif, on ne peut dire quand a commencé la crampe; le
sujet
ne s'aperçoit d'abord, quand il écrit, que d'un
con- tracture apparaisse. Bien plus, Jolfroy (') a signalé, chez un
sujet
névro- pathe, sous l'influence de la seule peur
sant et de crampe en écrivant ; Destarac('') a observé chez un même
sujet
la crampe des écrivains, le torticolis, un mouv
E CLINIQUE ET PATIIOGÉNIQUE. 90 ? tic du pied. HaskovccC) a vu deux
sujets
qui, atteints de crampe des écrivains de la mai
effacé. Certaines crampes aussi ne cessent pas brusquement quand le
sujet
renonce à écrire, ou reparaissent dans des acte
itée à l'acte fonctionnel qui lui a donné naissance. Chez les mêmes
sujets
, opticiens, horlogers, bacté- riologistes, on c
te notion ou expression de l'effort est par conséquent abolie. Le
sujet
examiné est souvent comateux, inconscient ou semi
iable pour qu'il soit utile de donner ici quelques indications à ce
sujet
. Toute adipose exagérée ne rentre pas en effe
s, n° 1690, Jacquet (d'après Lenglet). . TROUBLES TROPHIQUES. 927
sujets
, leur étude étant d'importance secondaire au poin
ste des varia- tions nombreuses physiologiques dues à l'attitude du
sujet
, à l'émotion, il l'exercice, à la digestion, à
respin). La tachycardie essentielle paroxystique s'observe chez les
sujets
jeunes : c'est une crise d'accélération des bat
tres névralgies tabétiques. Enfin on retrouve chez presque tous les
sujets
une prédisposition, une susceptibilité nerveuse
es sujets une prédisposition, une susceptibilité nerveuse. Tous les
sujets
ne sont pas entachés de névro- pathie, encore m
t foin d'être démontrée; on observe surtout ces névralgies chez les
sujets
prédisposés, les névropathes', les hystériques, h
! 15n .entre les mictions. La suggestion a donné des succès sur des
sujets
impressionnables. Quant au traitement barbare c
s injections epidurates. On les pratique de la manière suivante. Le
sujet
étant couché sur le côté gauche, on délimite au
8 et 10 ans. " En dehors de l'hystérie, les neurasthéniques sont
sujets
à de fré- quents accès de polyurie; rarement .c
proportions, considérables. Il faut reconnaître d'ailleurs que des
sujets
qui n'ont aucune tare ont parfois de. la polyur
d'une analyse d'urine, appa- raît et s'installe dans l'esprit d'un
sujet
l'idée d'un rétrécissement, d'un calcul vésical
'influence d'un rêve erotique l'éjaculation se produit, réveille le
sujet
pour lequel il n'en résulte aucune fatigue ni i
teurs, pendant la défécation par la pression du bol fécal, chez les
sujets
qui ont observé une continence prolongée et don
suintement. ¡Il .est bon de connaître ces détails pour rassurer des
sujets
toujours- timorés. Nous ferons la même réserv
peuvent déterminer une pollution, seulement, il est vrai, chez des
sujets
névropathes. C'est ex- clusivement dans ces cas
s que l'existence d'une spermatorrée diurne paraît réelle. Tous ces
sujets
ont une tare nerveuse héréditaire ou per- sonne
ucoup ont eu de l'incontinence d'urine nocturne infantile. D'autres
sujets
sont conduits de même à une spermatorrée imaginai
es- uns de ses éléments sont parfois entraînés par l'urine chez des
sujets
continents depuis longtemps,' ce qui constitue
e sonnerie électrique. Ellfin on agira surtout sur l'état mental du
sujet
, en lui démontrant la bénignité de son .affecti
l'i doit mettre sur le voie du diagnostic quand il apparaît chez des
sujets
qui, ne s'y livraient pas auparavant, surtout s
ui président à l'érection sont seuls atteints ; et dans ces cas les
sujets
peuvent conserver des désirs et même avoir de la
, d'impuissance psychique, le traitement visera surtout le moral du
sujet
; on modifiera ses conditions d'existence, on su
uent le syndrome. A ces crises manque la douleur épi- gastrique; le
sujet
souffre surtout sur les côtés, et le régime alill
araître subitement il propos d'une émotion. , Epilepsie. Certains
sujets
présentent des crises subites d'entéralgie; ils
On peut dépister cette simulation en faisant longuement souffler le
sujet
sur un objet, ou en le faisant rester suspendu un
une faim angoissante, cérébrale et non bulbaire, survenant chez des
sujets
tarés au point de vue nerveux. Le 1. I.iioi'oi.
obili- sation de la cage thoracique. Si ce besoin est contrarié, le
sujet
éprouve une souffrance comparable il celle de t
rtir de 55 ou 60 ans, surtout chez des hommes, fréquemment chez des
sujets
qui par profession ( corr9yem;s,.tanneurs, blan
s artificielles, toujours volon- taires quoique la volonté chez ces
sujets
soit plus ou moins consciente d'elle-même. Si c
nt épidérnique, la coïncidence chez le même malade ou chez d'autres
sujets
de formes convulsives, des signes généraux d'into
e pied-plat congénital n'est pas forcément pathologique; bien ? des
sujets
, notamment dans les campagnes où l'on marche sans
nier latéral détermine un pied-plat varus, qui devient valgus quand
sujet
est debout ou marche (par suite du glissement de
prolongé au lit; on constate seulement un peu d'équinisme quand le
sujet
reste couché depuis longtemps; exceptionnelleme
ime des mensurations directes, telles que nous les relevons sur le.
sujet
, -l'autre traduit les variations des formes par
normale. D'un autre côté, quand on compare la mesure relevée sur le
sujet
exa- miné aux moyennes, aux normales indiquées,
utre que les gra- duations demeurent exactes, Ics alllarcils étant,
sujets
il se fausser pour diverses causes. a Le ruba
ométrie n'étant pas encore une science imper- sonnelle. Examen du
sujet
. Il vaudra mieux commencer une série complète d
qui mesure son squelette. Pour pratiquer cet examen, on placera le
sujet
sur un siège de hauteur telle que l'on puisse c
a face au point de vue anthropologique. On fera ouvrir la bouche du
sujet
, de façon que le muscle temporal s'efface le plus
ichocéphalic ou, en tout cas, la faiblesse relative de l'indice des
sujets
de forte taille. Suivant le chiffre obtenu, on
forte taille. Suivant le chiffre obtenu, on classe comme suit les.
sujets
examinés. (Broca). ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE.
donne 68,8 sur le crâne, et Papillault 68,6 (IL) et 69.5 (F.) sur le
sujet
revêtu de parties molles. Il est intéressant à
qu'il est plus grand chez les hommes de stature élevée que chez les
sujets
de faible dimension. Indice frontal minimum-bim
n un mot. Par cela même que nous nous occupons de . pathologie, les
sujets
présenteront souvent des anomalies dont la présen
ement s'exagèrent sous l'influence de la transpiration fréquente du
sujet
chez l'adulte l'été, chez nombre d'enfants en t
ues sommaires étant présentes à l'esprit, procédons a l'exa- men du
sujet
. On peut l'examiner debout ou couché; dans ce d
lle; on l'obtient en abaissant l'équerre directement sur la tête du
sujet
, dont le conduit auditif et le plan sous-nasal do
doit pas supporter le poids du corps. Mensuration de la taille. Le
sujet
ayant la tète appuyée contre le mur, on abaisse
des doubles de linge, par exemple. Pour prendre la taille assis, le
sujet
sera placé sur un tabouret de 50 centimètres, l
l'asthénique. Il y a là de grosses causes de variations. Couché, le
sujet
peut gagner 17 millimètres et plus; une fatigue
e sommet du sacrum, soit avec la glissière, soit avec la toise sur le
sujet
assis, et appliqué autant que possible contre l
: . )078 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE. H convient de noter le poids du
sujet
. On peut suivre au ruban métrique les courbures
rmés par les apophyses épi- neuses et les omoplates, puis mettre le
sujet
derrière un quadrillé de lils, et le photograph
actérisé par une éléva- tion anormale de la taille relativement aux
sujets
de race et d'âge voisins, par une croissance pr
i- lisme on gigantisme infantile est le gigantisme observé chez les
sujets
adultes dont les épiphyses ne sont pas soudées.
androgynes sont ordinairement ou bien des hypospades s'il s'agit de
sujets
du sexe masculin, ou bien des femmes à clitoris a
vivacité de l'entendement. Il va de soi que d'emblée, la taille^ du
sujet
devra retenir l'attention. (Voir Gigantisme, IN
aucun individu n'étant à la fois de l'un et de l'autre sexe, et les
sujets
envisagés ont toujours tel ou tel appétit vénér
compté, pour toute appréciation de ces stigmates, de là culture du
sujet
examiné. Troubles sensoriels. Surdi-mutité, hyp
nt d'une multiplicité telle qu'il est à peu près impossible que les
sujets
les plus normaux n'en possèdent pas un ou plusi
tance des lésions, par suite de l'ignorance ou de l'indifférence du
sujet
: c'est dans ces cas que la recherche des stigmat
ppréciable est celui de la syphilis. L'hémiplégie survenant chez un
sujet
âgé de moins de 40 ans qui n'est pas cardiaque
ntécédents syphilitiques chez ces malades : nombre considérable des
sujets
syphilitiques qui deviennent paralytiques géné-
trique. Enfin celle lésion n'apparaît qu'à un certain âge; chez les
sujets
jeunes, l'échancrure n'existe pas au delà de l'ad
. Les stigmates dystrophiques n'impliquent pas la syphilis chez les
sujets
qui les por- tent, elles dénoncent une tare hér
s qui les por- tent, elles dénoncent une tare héréditaire, mais ces
sujets
peuvent être indemnes de syphilis puisqu'on a o
demnes de syphilis puisqu'on a observé la syphilis acquise chez des
sujets
présentant ces stigmates. Pour conclure, il fau
ravée. Toutefois il est difficile de se prononcer exactement sur ce
sujet
, car le traitement est très fréquemment commencé
s'emploie principalement au niveau du crâne. Nous pos- sédons à ce
sujet
quelques données fournies par les travaux de Mori
icité du choc, et percuter en veillant il l'occlusion de la bouche du
sujet
. Duret conseille de placer la bouche en positio
comateux. Sicard le préfère chez tous 'les malades. Dans ce cas, le
sujet
est mis dans la position en chien de fusil, on lu
tugno de 125 à 155. Cette quantité peut du reste varier suivant les
sujets
; elle semble plus considérable chez, les vieill
une par un pigment : serochrome, plus ou moins abondant suivant les
sujets
et qui est le témoin de la cholémie; on conçoit
ermet donc pas de faire le diagnos- tic de fracture du crâne sur un
sujet
plongé dans le coma. Ce signe n'a de valeur qu'
s résultats de la ponction lombaire dans l'hydrocéphalie des jeunes
sujets
. Molli a observé la guérison d'un cas de stupeur
légitimer l'expression d'apoplexie ventriculaire, séreuse. Un jeune
sujet
atteint d'otorrhec ou de fracture infectée du f
oscopie ne pourrait pas fournir quelques renseignements utiles à ce
sujet
. ~ Lorsqu'on se trouve en présence de ce syndro
rsenc), les cysticerques ont pu produire une céphalée continue mais
sujette
à des exaspérations paroxystiques, d'abord loca
émorragies rétiniennes, par sa prédilection pour les enfants et les
sujets
encore jeunes, par son début insidieux, son inten
nce inversement proportionnelle au degré de perfection cérébrale du
sujet
en expérience. Est-il bien nécessaire d'ajouter
ce mo- ment le chirurgien réappliquera l'appareil exactement sur le
sujet
en superposant ses contours aux traces du therm
s'écarter de plu- sieurs. millimètres, cela surtout chez de jeunes
sujets
(Oppel1heim et RADIODIAGNOSTIC. 1171 1 Krause
tic, mais nous manquons actuellement complètement de notions sur ce
sujet
. Nous n'avons non plus aucune notion sur l'aspe
ontanées ou des processus localisés d'ostéite apparaissant chez des
sujets
non plus à une période avancée du tabès, non pl
ens atrophique, et si l'on compare les radiographies il celles d'un
sujet
normal du même âge, deux termes peuvent caracté
tion et de raréfaction osseuses, remarquable au niveau des mains du
sujet
. Dans un cas de psoriasis al'tl/1'opathique, Belo
de Béclère (') sont par- ticulièrement précis et importants sur ce
sujet
. Posant en principe l'uti- lité constante de la
parfois physiologique : il existe des nains qui sont simplement des
sujets
normaux, mais très petits, des hommes ordinaire
eux peu- vent grandir il un oit la croissance est terminée chez les
sujets
normaux ou chez les nains des autres variétés,
n du poids spécifique du corps assez considérable pour que certains
sujets
deviennent plus légers ([ne l'eau. L'ostéocie s
sont les applications que l'on se propose de faire qui guideront ce
sujet
. Le vol/mètre, qui consiste en un galvanomètre
l'explora- tion pratiquée avec le métronome inverseur. Voir à ce
sujet
: Manuel de diagnostic médical de DEDOVE et Aciur
ité faradique ne peut être déter- miné que par comparaison avec des
sujets
différents C) ou par compa- raison avec le degr
évaluer la résistance en unités de mesure sont nombreux : tous sont
sujets
à des critiques et aucun ne permet une mesure a
seraient moins à redouter dans le cas d'embolie cérébrale, chez des
sujets
jeunes tout au moins. Avec l'électrisation statiq
ique, 1060. In- struments, 1061. Termes employés, 1062. Examen du
sujet
, 1065. Céphalométrie, 10G ? tlIensuration du
. Con- , comilance de plusieurs types de myopa- thie chez le même
sujet
, z Variétés topographiques, 682. - Pied hot,
conte, dans l'après-midi, que depuis quel- ques années, R.... était
sujet
à des attaques convulsives suivies de coma que
près lui les femmes qui vivent plus renfermées chez elles sont plus
sujettes
à l'infestation. 1 L'influence d'un milieu fa
vait failli mourir, mais ne peut fournir d'autre renseignement à ce
sujet
. , A son arrivée à Paris, elle souffrait de la
estif, et dans ce cas il y a, soit auto-infestation de la part d'un
sujet
porteur d'un toenia, soit pénétration, par l'inte
ts (végétaux qui ont été au contact de fumier, cohabitation avec un
sujet
porteur de ténia). Les oeufs qui pénètrent dans
y a huit ans, d'une attaque épileptiforme, était depuis deux années
sujet
à des crises convulsives périodiques suivies, d
d'un cas de surdité verbale, ou de surdité due à l'inattention d'un
sujet
en proie à un trouble assez accen- tué des idée
uïe. Le malade est habituellement - et plusieurs fois devant nous -
sujet
à des hallucinations de l'ouïe. Tout d'un coup, p
la vue. - Nous n'avons pu rechercher l'hémiopie. Rappe- lons que le
sujet
était porteur d'une lésion du cunéus gauche. Il r
us ces accidents pathologiques dont les membres inférieurs de notre
sujet
sont le siège, les fonctions de ceux-ci sont exce
s de Gérard Marchand) (3), il ne ressemble en rien à celui de notre
sujet
qui ne présente ni gêne de la flexion de la jambe
ifférence qui sépare ces deux groupes de faits : elle concernait un
sujet
qui présentait à la fois une subluxation volont
articulaire exagérée, aussi distincte de la déformation qui fait le
sujet
de cet exposé que de la subluxation trau- matiq
fois en 1895 par M. Campe- non (2). En 1899, M. Potel en faisait le
sujet
d'un article publié dans la Presse médicale (3)
a pu faire la guerre de 1870 dans le corps des francs-tireurs ; le
sujet
de M. Potel res- tait debout pendant la plus gr
phénomène qui n'a été ren- contré dans ces circonstances que sur le
sujet
de M. Potel : pendant la flexion de la jambe, l
58 1 GASNE ET COURTELLEMONT pourrait néanmoins discuter, sur notre
sujet
, le rôle joué par celui-ci, puisqu'il existe à
amené ce relâchement ligamenteux. Pour M. Campenon, le jeune âge du
sujet
et le mauvais état général qu'on observe au cours
le bassin. , Enfin le long intervalle qui s'est écoulé chez notre
sujet
et chez celui de M. Potel, entre la guérison de
« chez les Egyp- tiens, chez les Grecs et les Romains, ce fut là un
sujet
favori de méditation pour les philosophes, une
ant quelques fautes qui peuvent être reprochées à ce prince, dit au
sujet
d'Abisag : « Lorsque David à cause de sa vieill
s considérable pour l'ex- périence et le profond examen propre à ce
sujet
, je m'occupe maintenant d'un petit système de m
parce que l'objet dont elle s'occupe est extrêmement compliqué, et
sujet
à un nombre infini de variations. , Quelques
ur cette bizarre méthode d'arriver à la plus extrême vieillesse. Le
sujet
lui était familier puisque déjà il avait rappel
der de son expérience. UN CURIEUX MOYEN DE PROLONGER LA VIE 69 Le
sujet
était curieux et les amis deJ. H. Cohausen qui co
omposition, l'attitude des personnages, la couleur même pour chaque
sujet
donné. Il est bien entendu que tout cela se peign
es, à ma connaissance. Le compartiment reproduit PI. VI,E, a pour
sujet
la guérison du jeune homme aveugle. Jésus, debo
ur l'ornement. Un de ses nombreux compartiments (l'1. VI. I) a pour
sujet
la guérison de l'aveugle,et il est très intéressa
xorcistes de l'époque prétendaient faire sortir du corps de leurs «
sujets
». Et même, s'il faut en croire leurs écrits, il
les culs-de-jatte et les aveugles sont les plus intéressants. Le
sujet
d'ailleurs a été 'fi'é(Íu'elÍÍ1 ! èn ? prottspr l
- Paralysie spinale à marche lente et progressive, survenue chez un
sujet
ayant contracté la syphilis 38 ans au- paravant
et 2 (PI. XV) représentant deux attitudes qui sont familières à ce
sujet
. Les épaules et les bras dans leur partie supér
'état du squelette osseux. C'est ce que nous avons pu faire chez ce
sujet
à l'aide de diverses ra- diographies des membre
le du membre supérieur du côté droit (PI. XVI) . Elle a été prise, le
sujet
couché sur le dos, la plaque photographique pla
ue l'on voit l'image du squelette osseux dans une glace, la face du
sujet
tournée vers la glace, dans une situation se rapp
La figure 4, Pl. II, représente la radiographie du coude, prise lç
sujet
assis, la face postérieure de l'humérus appliqu
ut se figurer voir dans une glace l'image du squelette du coude, le
sujet
regardant la glace et lui présentant verticalemen
ans une glace du squelette du coude dans la position occupée par le
sujet
sur la photographie voisine - PI.XVII, N° 1). L
'ailleurs, l'énuméra- tion des enfants nés de ces grossesses : 1 le
sujet
de cette observation, âgé de 24 ans ; 2° une fi
C, de l'ouvrage cité) et repré- sentant les membres supérieurs d'un
sujet
de 9 ans, on pourrait croire être en présence d
de 9 ans, on pourrait croire être en présence des membres de notre
sujet
, si le doigt unique ne se trouvait pas à droite
est dans cette division que l'on peut faire rentrer le cas de notre
sujet
. Pour plus de clarté dans le groupement des cas
difformités dans le développement du corps. Nous avons vu que le
sujet
de notre observation avait acquis, malgré le dé
rcher quelle a pu être la cause des difformités pré- sentées par le
sujet
de notre observation. Comme nous l'avons dit, nou
atavique. Au premier abord l'aspect des membres supérieurs de notre
sujet
rappelle celui des membres antérieurs de certai
s de malformations ; cette symétrie existait no- tamment chez notre
sujet
. On peut facilement concevoir cependant que les
nexion avec les parties périphériques. Aussi lorsqu'à l'autopsie de
sujets
porteurs de difformités congénitales on trouve
ondre d'une façon précise. Pour les malformations con- génitales du
sujet
dont nous avons rapporté l'observation, une origi
a plupart d'entre eux : c'est là que résident tout l'intérêt de notre
sujet
et toute la difficulté du traitement. Ces troub
pourquoi l'observons-nous, en outre, plus particulièrement chez les
sujets
qui, par leurs fonctions, marchent beaucoup, co
ommis voyageurs. La raison peut en être donnée par ce fait, que ces
sujets
fatiguent spécialement les nerfs qui président
érale, elle s'accompagne d'un masque spécial, qui manque chez notre
sujet
. Enfin on peut remarquer que la main n'a plus q
ites à des moignons. Sans doute, en dehors de cette déformation, le
sujet
ne présente aucun stig- mate de lèpre, il n'a n
usité sous l'empire romain, - je veux parler de la mort de Sénèque,
sujet
maintes fois reproduit et sur lequel nous revie
titué à deux reprises, aux Quinze-Vingts et à ! 'Hôte ! -Dieu chez ce
sujet
, al- coolisé et profondément atteint dans sa ré
t2celle, et se traduit objectivement par : l'immobilité relative du
sujet
avec persistance des mouvements d'habitude, l'i
avons noté plus caractéristi- que chez d'autres malades, mais notre
sujet
en offrait un exemple évident. Il se manifestai
on et la descente des escaliers, ont longlemps constitué chez notre
sujet
un état particulier, plus ou moins analogue à une
plus ou moins analogue à une sorte de somnambulisme, dans lequel le
sujet
, hanté par son rêve, évolue avec ai- sance dans
e chromatique au sein du protoplasma. D'autre part, revenant sur ce
sujet
, il dit que c'est une « désagrégation », une dési
la chorée hystérique. La coïncidence des deux névroses chez le même
sujet
est d'ailleurs fréquente. M. Féré, dont on retr
il la connaissance du fils, de maladies aiguës graves. Mais il est
sujet
à de fréquentes attaques d'épilepsie. En effe
hangement dans la coloration des cuisses, phénomène remarqué par le
sujet
lui-même. On voit alors apparaître aux faces an
de l'état embryonnaire, de l'état de l'amibe, c'est- à-dire que le
sujet
est plus jeune. A mesure que celui-ci avance en â
plus rares. Les règles apparurent à 17 ans, époque à laquelle notre
sujet
commença à se mieux porter. Les menstrues furen
à 29 ans, sept mois après son mariage. L'examen physique de notre
sujet
nous permet de constater de l'asymétrie faciale
as faites réellement. Il est très difficile de fixer l'attention du
sujet
qui réagit à peine par un mouvement de défense
essentait les émotions qu'ils avaient selon elle dû éprouver. Notre
sujet
avait également des scrupules exagérés. Ainsi, lo
dé. Etant bien portante il venait à tout propos à l'esprit de notre
sujet
des idées étranges, mais ces pensées duraient p
u'il allait être guillotiné, parce qu'il ne devait pas faire un.bon
sujet
. Cette idée lui avait traversé l'es- prit. Mais
e croit avoir offensées. Voici un fragment de lettre écrite par notre
sujet
et qui indique bien cette tendance de l'esprit.
. d'avoir fait cette mauvaise pensée qu'il empochait de l'argent au
sujet
des centimes, faisait des gratifications et ce
ns de voir dans les quelques fragments de lettres écrites par notre
sujet
, qu'il se rend compte que ces idées prennent na
e, un désir moins pur et moins louable qu'elle le désirerait. Notre
sujet
regrette ce qu'elle considère comme une faute e
e analyse minutieuse de tous les actes de sa vie qui sont autant de
sujets
de re- gret pour elle. Elle reprend et ressasse
arfaite ; le soupçon d'une faute se présente aussitôt son esprit au
sujet
d'un souvenir déterminé. L... se croit coupable
ons audi- tives. La soeur de L... nous dit que l'entourage de notre
sujet
s'est aperçu de sa maladie à ses hallucinations
emble être une simple métaphore indiquant l'origine exogène que notre
sujet
attache aux pensées qui envahissent malgré sa v
ne jouent qu'un rôle se- condaire dans la genèse du délire de notre
sujet
. Elles ne sont pas la cause du délire, elles lu
raison des idées intérieures- qui semblent commander les actions du
sujet
et DÉLIRE PAR INTROSPECTION MENTALE 247 que L
es visuelles existent concurremment et c'est d'elles surtout que le
sujet
parle lorsqu'il raconte qu'il a vu les personnes
et aplatis ; les ongles étaient également froids et aplatis. Notre
sujet
en conclut que c'étaient les morts qu'elle avait
t malgré elle à suivre leur .évolution d'autant plus étrange que le
sujet
ignore la valeur, le sens et la portée d'une pe
psychologique prépondérant, mais encore et surtout parce que notre
sujet
est amené à l'étudier par étonnement, par peur, p
t et de la fin. Dans un délire par introspection mentale morbide le
sujet
, bien que dirigeant toute son activité sur son
titue à sa pensée et se confond avec elle. Cette confusion entre le
sujet
pensant et l'objet de sa pensée constitue ainsi
ent pas été envisagés à ce point de vue, car un examen attentif des
sujets
au- rait certainement révélé d'autres tares org
), les cas cités par M. Voisin (1) dans son livre sur l'idiotie, le
sujet
présenté en 1899 à la Société de méde- cine de
que l'exagération de la répartition habituelle des poils qui chez les
sujets
les plus normaux s'implantent plus nombreux et
présenté en 'septembre 1894 au IV- Congrès médical de Ham- bourg.
Sujet
frêle, délicat, présentant divers autres stigmate
a main du jeune peintre. Ici, non seulement, il a pris à Raphael le
sujet
, la manière de comprendre la scène, mais encore m
arité qui frappe tout d'abord, c'est la petitesse de la taille, ces
sujets
sont des nains ; le premier, Sicard, mesure 1 m.
d'année sans que j'aie rencontré dans les rues de Paris un ou deux
sujets
achondroplases. Le D' Henry Lacaille m'a communiq
e d'un nain rencontré par lui dans les rues de Grenade. Bien que le
sujet
soit habillé, la proportion minime de ses membres
ACHONDROPLASIQUE QUELQUES REMARQUES SUR L'ACnONDROPLASIE zizi nos
sujets
, la distance du pubis au vertex est de 85 et de 8
avant-bras de plus du tiers. Une disposition souvent notée chez ces
sujets
est l'écartement des doigts et l'égalité pres-
u près normales. L'affection est congénitale. A la naissance de ces
sujets
, ils sont déjà tels qu'ils seront plus tard. La
; C ? Editeurs QUELQUES REMARQUES SUR L'ACRONDROPLASIE 293 de nos
sujets
, calqués sur des radiographies que nous devons au
re plus que les mensura- tions, la vigueur'et l'adresse de ces deux
sujets
, c'est la profession qu'ils ont adoptée. Ils so
e. L'intelligence des achondroplases est au moins égale à celle des
sujets
normaux. Sicard est des plus amusants, non seul
on du rachitisme. Sur les radiographies (PI. XLI) ci-jointes de nos
sujets
, que nous devons également à l'obligeance du Dr
la santé générale et de l'intelligence se retrouvent chez tous les
sujets
. Il n'est pas jusqu'à certains détails en appar
s reçues par les auteurs qui ont eu la curiosité d'interroger leurs
sujets
à cet égard, la physiologie chez eux ne dément
c'est que d'une part, leur dissemblance trop considérable avec les
sujets
nor- maux, les met vis-à-vis de ceux-ci, dans u
ulaire. N. B. Le mari de la femme V... est un alcoolique, et serait
sujet
à des bron- chites, particulièrement au retour
pendant pas la règle : aussi, pour expliquer son existence chez des
sujets
nés de parents indemnes, les défenseurs de la t
es doigts on les voit, spasme à part, aussi immobiles que chez tout
sujet
.normal, faisant le même effort. · Mais ce tre
oque. Elle épouse, comme un voile très souple, les irrégularités du
sujet
qu'elle revêt. Même dans des conditions étiolog
nsorielles se montrent du reste très diffé- rents suivant l'état du
sujet
au moment où elles agissent. Dans la dépres- si
ante peut avoir un effet excitant. On pouvait se demander si sur un
sujet
préalablement ex- cité, une excitation ordinair
précédentes, sur la question du travail, c'est l'auteur qui est le
sujet
des expériences. On se sert de l'ergographe deM
dents plus graves : d'après Tissié les cour- tiers en musc seraient
sujets
à une sorte de démence précoce (3). En dehors d
enons de citer expriment le voeu que l'on institue une enquête à ce
sujet
. Arriverait-on à démontrer la constance de l'hy
ale, des toxines vivantes, empruntées à un néoplasme appartenant au
sujet
en expérience. Au point de vue de l'influence t
action naturelle à cette imprégnation mor- bifique, surtout chez un
sujet
prédisposé par l'alcoolisme à ce mode de lé- si
trouvées, à différen ts degrés d'évolution, sur l'écorce de no- tre
sujet
: dans un cas de coma diabétique, nous avons cons
lésions névritiques, constatées dans les tractus optiques de notre
sujet
, plaident en faveur d'une action toxique lente
ou adhésive avec symptômes psychiques et amaurose complète chez un
sujet
ayant depuis trente ans une tumeur du cer- vele
de traits communs. Bientôt après la leçon de M : P. Marie sur ce
sujet
publiée dans la Se- maine médicale en 1892, dif
ique du malade dont j'ai exa- miné le système nerveux a été déjà le
sujet
de plusieurs publications. Nous la trouvons dan
és. Malheureusement il est impossible d'avoir des renseignements au
sujet
du dé- but, le malade prétendant que ses mains
C SYSTEME NERVEUX D'UN ANENCEPHALE (Vaschide et Vurpas) A, A',
Sujet
anencéphale (face et profil) NOUVELLE Iconograp
t;Ir... DU SYSTÈME NERVEUX CUEZ UN ANE11CÉPIlALE 383 tent à notre
sujet
ne serait pas compatible avec une bonne méthodolo
ur,-saisies par les réactions de défense - étaient con- servées. Le
sujet
a vécu trente-neuf heures, présentant en même tem
mécanisme des mouvements spontanés ou associés observés chez notre
sujet
? ° Il semble qu'ici le faisceau pyramidal ait
s manifestations réelles durant les trente-neuf heures qu'a vécu le
sujet
, et nos considérations biologiques étaient form
illes actuellement âgées de 26 et 23 ans, bien portantes, mais très
sujettes
à des douleurs névral- giques très diverses (cé
peau, ayant le volume d'une petite manda- rine. Elle raconte à ce
sujet
que l'an passé (juin 1900), elle fit un séjour de
n ou extension. Nous n'avons malheureusement aucun renseignement au
sujet
des troubles sensitifs, tant objectifs que subj
après avoir longuement décrit les altérations médul- ]aires de son
sujet
, déclare n'y voir que des lésions séniles, d'ordr
nt accusée. Nous croyons donc que l'état bronzé de la peau de notre
sujet
s'explique très simplement et très suffisamment
OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 431 Paget s'étaient rencontrés chez des
sujets
atteints d'artériosclérose généra- lisée. On pe
ronique peut exister comme manifestation isolée, frap- pant un seul
sujet
dans une famille. Tels sont les cas récents de Vi
e dans la pathogénie des deux états, celui que présente notre jeune
sujet
et la paralysie infantile, existe une étroite S
trophie musculaire sympto- matique d'affections de la moelle est un
sujet
qui a été l'objet d'un tra- vail spécial du Dr
sidérable,. » La première observation du mémoire de Landouzy a pour
sujet
un homme de 65 ans, mort à la suite d'une hémip
482 E, HAPIN née. Telle serait, à notre sens, la situation du jeune
sujet
, objet de cette présentation. Dans le cas parti
ant de terminer, nous ferons une dernière observation concernant le
sujet
qui est l'objet de ce travail. Nous remarquerons
ypertrophie des membres, telle qu'elle se présente chez notre jeune
sujet
, pouvait, au même titre que les autres symptôme
lume pareille à celle que présente le membre inférieur chez le même
sujet
, est une curiosité pathologique infiniment plus r
tation du coeur ne révèle rien de particulier. Les antécédents du
sujet
comptent donc une maladie infectieuse, la variole
e aux mala- dies. Au moment d'envoyer ce travail à l'impression, le
sujet
de notre première obser- vation, Alice F..., a
symptômes variés et nombreux de dégénérescence que présen- tent les
sujets
et les membres de leur famille. Observation I (
graphique de la main, fait à cette époque, ne laissait aucun doute au
sujet
de la possibilité d'une reprise de croissance..
incontinence nocturne des urines, par exemple. Je reviendrai sur ce
sujet
dans un tra- vail ultérieur. Je désire simple
. Nous avons eu l'occasion de revoir la petite malade qui en est le
sujet
à un intervalle assez considérable, ce qui nous
'avons pu relever d'ailleurs aucune particularité intéressante à ce
sujet
: mais en terminant nous rappellerons la rétroces
descendent jusqu'à l'extrémité inférieure de la cuisse. Tel est le
sujet
dans la position debout. Lorsqu'on le fait marche
tout la cuisse sont très diminuées de longueur. La petite taille du
sujet
s'explique, non seulement par la courbure de sa
depuis longtemps être un symbole d'amitié. Mais le vase qui fait le
sujet
de cette note, représente des scènes très spécial
péciales qui en aug- mentent à nos yeux l'intérêt. Parmi les quatre
sujets
qui se déroulent sur ses flancs bombés, deux se
parce que le tact en est plus délicat ; il ne faut point qu'il soit
sujet
à boire de crainte qu'étant appelé la tête plei
harcot. Depuis 1898, les localisations spinales motrices ont été le
sujet
de re- cherches expérimentales remarquables de
édents. Ces expériences n'ont de valeur certaine que pour l'animal,
sujet
d'ex- périence, et il est hasardeux de conclure
ou d'un tube froid donnent des sensations aussi nettes que chez un
sujet
normal. Le sens musculaire et la no- tion de po
tion pouvant être redoutables, en raison de la faible résistance du
sujet
. Observation résumée. Début de l'atrophie muscu
it- elle défaut dans le cas actuel : le sternum est, comme chez les
sujets
nor- maux, sur un plan antérieur il celui des e
s des altérations menta- les ; voici comment Sainton s'exprime à ce
sujet
: « L'état psychique de ces « malades est en gé
a puissance génitale. Ce phénomène n'est bien apparent que chez les
sujets
du sexe masculin et il est en rapport avec unep
hies qui intéressent la substance grise cenlrale. D'autre part, les
sujets
atteints d'une simple affection de la queue de ch
on fut suhie d'une amélioration progressive. Au bout de 18 mois, le
sujet
, qui exerçait la profession de mineur, avait pu
réalisée, dans des cas d'affec- tion de la queue de cheval. 3° Le
sujet
n'a pas subi de traumatisme ; il n'est pas non pl
ussent se manifester d'une manière absolument différente et que les
sujets
dont la capsule interne z est atteinte restent
plus fréquemment ces lésions. Mais nous manquons de statistique ce
sujet
et nous ne signalons la chose que comme une hyp
e dont parlent MM. Dupré et Devaux. Malgré toutes nos recherches ce
sujet
nous ne l'avons pas rencontrée. Malheureusement c
caractère général que l'on retrouve dans tout l'organe chez le même
sujet
. C'est donc insensiblement que nous sommes sort
bibliographie de l'infantilisme, la liste des travaux relatifs à ce
sujet
qui fait suite à la Revue générale de II. Meioe s
te (de près de 2 cent.). Aussi est-il un peu plus élevé. Mais si le
sujet
change l'attitude de ses bras et les élève vert
écissement notables, sans apparence de hernie du poumon. Lorsque le
sujet
respire normalement, le doigt appliqué sur ces es
timètre environ. Cette différence tient sans doute à ce fait que le
sujet
est gaucher; elle ne dépend pas d'une amyo- tro
ïde (Flllghallt- bildun des auteurs allemands) qui s'étend, chez ce
sujet
, de la deuxième côte à la coulisse bicipitale d
is encore une fois, il faudrait faire des recherches spéciales à ce
sujet
et le profes- seur Van Gehuchten signale simple
hyxiée à la naissance, elle reprend normalement, et le 11e jour est
sujette
à des convulsions qui 142 CASTUX DANIEL augme
la moelle sont moins développés que dans le cas précédent, mais le
sujet
était plus jeune. Ici, rien encore du côté des
rtout s'ils sont douloureux, sont ins- tantanément localisés par le
sujet
souffrant et topographiquement définis, bien qu
ur prendre un exemple, la tactilité peut être très émoussée chez un
sujet
, au point qu'il ne se sente plus un contact con
ntinue de contacts, diversement localisés. On dira néanmoins que ce
sujet
ne perçoit plus le contact simple, mais qu'il p
pode dont le remarquable otocyste, comme je le faisais remarquer à ce
sujet
(1), n'a que de vagues sillons, des rudiments d
ts empiriques bien établis, l'édifice de leurs con- naissances à ce
sujet
ne reposait pas sur des bases bien solides, mais
peut-être un peu pos- térieure(XVICsiècle) et représentant le même
sujet
(fig. 2). Largement drapé dans sa longue robe q
- Il existe de DUBUCOURT (1755-1832) deux tableaux qui traitent des
sujets
analogues. Ils se font également pendant. L'un
t l'objet de ce chapitre, mais j'ai tenu en terminant à rappeler le
sujet
de ces tableaux qui s'y rattachent indirectemen
n portante ; pas d'enfants. Le malade dit avoir été de -longue date
sujet
aux migraines et aux névral- gies ; mais il a t
« vide dans la tête ». Dès le 20 septembre 1900, il commença à être
sujet
à des émissions invo- lontaires d'urines. Le
ppétit et digère bien, mais il présente une diarrhée rebelle et est
sujet
aux évacuations involontaires de ma- tières féc
lectuelles du malade baissent rapidement et progressivement. Il est
sujet
ri des bâillements répétés. Il perd ses urines
ébelleuse présente une forme en en- tonnoir ; nous y reviendrons au
sujet
du cervelet. Il n'y a pas de tente du cervelet
ond qui nous paraît tout à fait identique à notre malade et chez le
sujet
que nous vous présen- (1) Névroses et idées fix
humains, se sont contentés à peu près uniquement d'exami- ner leurs
sujets
au point de vue chirurgical, notant et relevant s
logiques sur les diverses modalités de la vie biologique (1) de ces
sujets
. II Il n'est pas dans notre intention de fair
-65. En dehors de quelques renseignements sur le passé clinique des
sujets
que nous avons nous-mêmes pu recueillir auprès
servé surtout au point de vue d'une intervention chi- rurgicale nos
sujets
. On trouve dans le travail cité les rapports et l
par la tête l'autre par les pieds, se faisant mutuellement face. Le
sujet
de gauche est celui qui s'est présenté le premier
nté le premier, la présentation étant l'extrémité céphalique. Les
sujets
ont actuellement quinze ans (2 janvier 1887). I
relève qu'une atteinte de petite vérole à l'âge de quatre ans chez le
sujet
de gauche (Liao-Sienne-Chen), dont on peut obse
aujourd'hui quelques traces sur le visage. En cette circonstance le
sujet
de droite (Liao-Toun-Chen) servation d'un nouve
Dr Witowski a publié un travail documentaire très intéressant sur ce
sujet
(Steinheil). xv 17 250 VASCIlIDE ET VURPAS
u grand pectoral droit de Liao-Toun-Chen. On constate chez les deux
sujets
l'existence de hernies inguinales, double chez
e voici les mesures que nous avons prises. Elles ont été prises les
sujets
étant debout. Fig. 1. Le xiphopage. Liao-Sienne
sujets étant debout. Fig. 1. Le xiphopage. Liao-Sienne-Chen est le
sujet
de gauche et Liao-Toun-Chen est le sujet de dro
e. Liao-Sienne-Chen est le sujet de gauche et Liao-Toun-Chen est le
sujet
de droite (sujets vus de face). La photographie e
en est le sujet de gauche et Liao-Toun-Chen est le sujet de droite (
sujets
vus de face). La photographie est une pose, les s
jet de droite (sujets vus de face). La photographie est une pose, les
sujets
étant en expérience; ils gardent les pneumograp
on. Il a trouvé 12 centimètres comme distance maxima entre les deux
sujets
et cela dans la position de la marche normale.
minima est pour lui, celle de 0 m. 05 qu'il a observée, lorsque les
sujets
étaient dans la situation face à face.. Nous n'
ce à face.. Nous n'avons pu prendre pendant le déplacement des deux
sujets
aucune mesure à la partie inférieure du pont d'
itement uni à la constatation du fait réel. 1. IV Chez les deux
sujets
le coeur est à gauche. L'examen du coeur donne le
statation radiogra- phique de M. Chapot-Prévost,d'après qui chez ce
sujet
le coeur est quelque peu dévié à droite. Chez L
SCHIDE ET VURPAS biologiques analogues, le temps pendant lequel ces
sujets
nous étaient accordés étant toujours rigoureuse
et précise amplement les deux modes de réactions vaso-motrices des
sujets
. Tandis que chez l'un, Liao- Sienne-Chen, le po
Types des courbes p[4tys'nographiques des deux sujels. Sur les deux
sujets
main droite. A. Courbe du pouls capillaire de L
ome à la seconde Les deux tracés sont pris dans la même séance, les
sujets
assis et à l'état de repos. On voitla différenc
ze jours après. Comme nous l'avons dit dans d'au- tres travaux, les
sujets
peuvent synchroniser rapidement leurs mouvements
a dépendance des deux respirations et, en outre, tandis que chez le
sujet
de gauche il existe une ins- piration profonde
sensible chez le droit ; une légère inspira- tion soutenue chez le
sujet
droit, en A, provoque des troubles sensibles dans
es sensibles dans sa respiration, troubles à peine visibles chez le
sujet
gauche. Les tracés ont été pris dans des condil
de la courbe, si l'on examine l'aspect des tracés respiratoires des
sujets
on remarque que généralement ils diffèrent, à tel
tude de la lecture des tracés, distinguer net- tement le tracé d'un
sujet
de celui de l'autre. Nous donnons ici un graphiqu
acé respiratoire où l'on re- marque qu'une occlusion des narines du
sujet
de droite provoque consécutivement et après un
oite provoque consécutivement et après un temps appréciable chez le
sujet
gauche des perturbations secondaires importante
fait est d'autant plus net que l'on compare la respiration des deux
sujets
avant l'occlusion pendant et après. Les physionom
la sorte un automatisme biologique, qui se développerait, sans que le
sujet
en ait conscience ; ,2° si si l'on provoque des
; ,2° si si l'on provoque des modifications perturbatrices chez un
sujet
, le second ne subit aucune influence dans certain
ce réciproque et mutuelle des respirations indivi- duelles des deux
sujets
devient notoire dans certains cas déterminés. Si
terminés. Si l'on provoque par exemple l'occlusion des narines d'un
sujet
; ou si l'un d'eux subit des modifications succ
si l'on peut s'exprimer ainsi des modifications respiratoires d'un
sujet
à l'autre (Gâ.6) ; 3° dans toutes ces multiples
lutôt une conséquence ou un écho d'un automatisme psychologique des
sujets
, dont le pilote serait Liao-Toun-Chen. Les trac
servations sont le résul- tat d'expériences, pendant lesquelles les
sujets
étaient séparés par un écran ; leurs respiratio
avec des plumes de longueur égale. Dans le seul cas de la fig. 7 les
sujets
suivaient de leurs yeux les déplacements des pl
de la sorte pour mieux saisir l'automatisme psycho-respiratoire du
sujet
et pour mieux nous documenter sur le sens et la s
e la phy- sionomie individuelle du tracé respiratoire de chacun des
sujets
. Les tracés ont été pris dans des conditions co
de longueurs égales. 11 faut lire le tracé de gauche à droite. Les
sujets
regardaient les plumes pendant l'expérience.
périence. 260 VASCIIIDE ET VURPAS Les capacités respiratoires des
sujets
ont été prises avec deux spiromètres de Verdin
s semblables. Voici en moyenne leur capacité pulmo- naire. Les deux
sujets
soufflaient en même temps et individuellement dan
eurs spiromètres respectifs ; un écran était intercalé entre les deux
sujets
afin de les isoler. LA VIE BIOLOGIQUE n'UN XI
semble y avoir là une influence de la position biologique des deux
sujets
. L'étude de la sensibilité thermique ré- vèle u
constater que la sensibilité thermi- que est plus aiguisée chez le
sujet
gauche. Il en est de même pour la sensibilité à
nois » nous nous en tenions non seulement aux réactions verbales du
sujet
mais encore à leur mimique et aux réflexes de l
ais encore à leur mimique et aux réflexes de leur physionomie ; les
sujets
n'étaient d'ailleurs pas au courant de ce que f
s nets et très catégoriques. L'examen de la sensibilité tactile des
sujets
pratiqué par des pressions tactiles, des pincemen
arfaite et grâce à une entente préalable dans leurs mouvements, les
sujets
peuvent exécuter des actes d'une souplesse ex-
ns (miction, défécation) peuvent s'accomplir séparément chez chaque
sujet
et il en est quelquefois effectivement ainsi. M
ces besoins se pro- duisent à peu près simultanément chez les deux
sujets
. Ces considérations sont d'ailleurs assez expli
e jour. Que fait-on autre chose ici que d'éveiller dans l'esprit du
sujet
des images mentales représentant une miction ou
généraux arrivent nécessairement à se présenter à la conscience des
sujets
à peu près simultanément et régulièrement, il n
nous révèle d'abord que, dans un parallélisme biolo- gique, chaque
sujet
a une vie biologique individuelle nettement délim
e 120, et battait même un certain temps à 146. 2° Liao-Toun-Chen (
sujet
droit) est plus vigoureux, au point de vue de l
é, dont la clef aurait pu être révélée dans une certaine mesure aux
sujets
; ceux-ci arriveraient à pren- dre connaissance
que ces deux vies organiques révèlent. Il est très facile aux deux
sujets
, précisément à cause de cette vie com- mune bio
ratoires un nombre considérable d'efforts communs surtout quand les
sujets
surveillaient les mouvements de leur cage thora-
t automatisme biologique, à ce parallélisme physiologique, les deux
sujets
gardent, phénomène bizarre, leur distinction et
s ectopié. Il est très rare devoir cette anomalie frapper plusieurs
sujets
de la même génération, à plus forte raison des
là l'un des caractè- res les moins singuliers de l'évolution de ce
sujet
, que le contraste étrange qui existe entre son
sécrétion interne était- elle suffisante, pour diminuer chez notre
sujet
les phénomènes de l'in- suffisance orchidienne.
t avec l'altération de la fonction de sécrétion interne suivant les
sujets
. - LES PIERRES DE VESSIE EN HOLLANDE PAR MM
ruhe, en 1897 (1), parurent deux communica- tions d'ensemble sur ce
sujet
, exprimant des idées quelque peu opposées. D'un
plus facilement d'une façon indirecte, sans entrer en lutte avec le
sujet
. A titre d'exemple, nous citerons le fait suiva
sion motrice et la perte presque complète de contrôle de la part du
sujet
sur ses propres actes (1) ». L'activité motri
des bacilles n'a pu être faite. En résumé, le malade, qui fait le
sujet
de cette observation, est un homme âgé de trent
o et la pièce de moeurs SewCt1llono, brodant le plus souvent sur un
sujet
passionnel. C'est seulement vers 1885, qu'un gr
açon générale, on peut rapprocher du no, le djiorouri aussi bien le
sujet
historique (djidaïnono) que la pièce de moeurs (s
és sont en usage dans la littérature dramatique chinoise. Voir à ce
sujet
MAURICE Courant, Le théâtre en Chine, Revue de Pa
fille sans difficulté (1). Il n'y a guère que les femmes qui soient
sujettes
à ce délire de posses- sion pour lequel une int
noms divers, mais encore imparfaitement connus. L'un a déjà fait le
sujet
d'un travail publié dans la Revue Neurologi- qu
it qu'après un temps de marche. M. Marie a fait la même remarque au
sujet
des troubles de la marche dans l'hérédo-ataxie.
c. Cil., p. 65 ; MAniE, Sem. méd., 27 sept. 1893. (3) Chez nos deux
sujets
, la difficulté a attiré l'attention à l'occasion
prend la situation fixe dès que le mouvement est accompli et que le
sujet
est suffisamment « calé ». Marie, loc. cil., p. 4
une période avancée de la maladie, le spasme persiste même quand le
sujet
est couché, mais à un moindre degré. il dispara
e qui surviennent par instants, parce que, sans doute, l'attention du
sujet
est tenue en éveil. La pointe du pied gauche
uliens abolis, même avec le procéde de Jendrassik. Rappelons à ce
sujet
que les cas de Friedreich avec conservation ou si
rticolis spasmodique, signalée par MM. Ceslanet Guillain chez trois
sujets
, peut encore être invoquée en faveur de notre o
térieure et du bout périphérique ; or les opinions des auteurs à ce
sujet
sont des plus discordantes ; , .. ainsi, d'aprè
expériences faites dans les mêmes conditions normales pour le même
sujet
(l'auteur), entre 143 et 150 kilogrammètres. La
tant, ce qui peut tenir à ce que, malgré les précautions prises, le
sujet
n'est pas toujours exactement dans les mêmes co
elle idée et je saisis l'occasion qui se présente de m'expliquer ce
sujet
. Le but principal de ma thèse étaitde montrer sou
à cet égard, où l'application des ventouses et l'uroscopie font le
sujet
unique du tableau, et ont été par le peintre gr
iveau de la colonne vertébrale, des douleurs vives, continues, mais
sujettes
il des exacerbations au cours desquelles la mal
a sensibilité, nous notons ce qui suit : le malade se plaint d'être
sujet
à des douleurs intermittentes ; elles lui parco
tre con- vaincus après ce que je vous ai dit, tout il l'heure, à ce
sujet
. -t La disposition unilatérale de la paralysie
s dans la nécessité de laisser dans l'ombre quelques côtés de notre
sujet
qui nous semblent intéressants. Cette étude e
servation tend, au contraire, à prouver que, au moins chez certains
sujets
, les fibres de différente origine se mé- langen
chez les vertébrés adultes et dans notre communication sur ce même
sujet
à la Société des Neurologistes et des Aliéniste
et des épaississe- ments et des gonflements à forme irrégulière. Au
sujet
des appendices collatéraux, comme nous l'avons
1 m. 48. Cinq enfants sont nés de cette union dont deux avant notre
sujet
: un garçon, est mort âgé seulement de quelques
exemples d'hérédité du gigantisme, basés sur le seul témoignage des
sujets
observés ; c'est ainsi que le frère de notre géan
millimètres en moins de la longueur des membres inférieurs de notre
sujet
. L'écart est ici assez mar- qué pour qu'on puis
résente la mensuration mathématiquement exacte de la taille chez un
sujet
quelconque. Ces difficultés et la variabilité d
du secours de ses béquilles. Tel quel, le chiffre de 2 m. 04, même
sujet
à l'erreur ou à des variations, d'ailleurs assez
niveau, tiennent à l'attitude lianchée, qu'est obligé de prendre le
sujet
pour maintenir son équi- libre. Le thorax est a
e en hauteur se produisant, sous des influences variables, chez des
sujets
adultes qui semblaient avoir atteint leur statu
criptions cliniques, il est assez difficile de déterminer l'âge des
sujets
auxquels ils appartiennent et on ne peut se fon
de Philadelphie, décrit soigneusement par Hins- dale (1) : « Sur le
sujet
dont je vais décrire le squelette, dit cet auteur
établir son identifica- tion... Aucun nom n'ayant été donné pour ce
sujet
, je l'appellerai le Géant Américain » (2). Et p
ies, que nous avons obtenues, démontrent précisément que chez notre
sujet
les jonctions épiphysaires ne se sont pas encor
ques,a rapproché et comparé les résultats que lui ont fournis quatre
sujets
qu'il a étudiés à l'aide des rayons de Röntgen
njugaison. Ceux-ci, au contraire, auront complètement disparu si le
sujet
présente des déformations acromégali- ques. » R
t susceptible de grandir encore. Chez le géant, comme chez le jeune
sujet
, dit J. Lucas-Champion- nière (1), l'accroissem
amené à consulter à l'hôpital. Le genu valgum, si accusé chez notre
sujet
, s'est développé tardive- ment : nous possédons
. On sait que lereaec valgum se produit d'ordinaire chez les jeunes
sujets
dont l'accroissement des membres inférieurs est t
meul tardif se caractérisent comme ceux du g'-l1ndissement des jeunes
sujets
(Bull- de l'Acad. de méd., 9 mai 1899, 3' série
ce« trois étals pathologiques. La croissance gigantesque chez notre
sujet
n'a pas porté également sur toutes les pièces d
aractéristiques de l'affection, Woods Hutchinson s'exprime ainsi au
sujet
des modifica- tions observées dans la sphère gé
leur accroissement et s'explique beaucoup mieux à leur égard qu'au
sujet
des nains. Il avait de plus con- staté que le p
s observations renferment des détails assez circons- tanciés sur ce
sujet
. Dana (3), par exemple, dans sa description du gé
énitale chez les géants pourraient être multipliés à l'infini : les
sujets
observés par Fritsche et KLens, SIRENA, CnsnL, d'
sante à signaler, c'est que l'infantilisme peut s'observer chez les
sujets
de taille élevée. Si le plus souvent l'infantilis
de la Bavière, concluait que « l'infantilisme se manifeste chez les
sujets
de toute taille, depuis les plus petits jusqu'a
loïtlieiz, don (Pipi 1 la u 11 en 1899 avait déjà noté, sur le même
sujet
, le développement progressif (3) et qu'il avait t
on mette en doute leur puissance, et voici ce que l'on m'a conté au
sujet
d'un fermier sceptique : à la veillée chez un v
ont presque toujours exagéré les propor- ,lions colossales de leurs
sujets
en les entourant d'individus de petite taille,
etc., etc. Et un certain nombre de sculptures inspirées par le même
sujet
. 594 HENRY MEIGE pourchassant ses minuscules
bon droit que l'on dit que la colère est une courte folie et les
sujets
bien équilibrés ne se laissent guère aller à se
nt aussi du domaine de la nervo- sité excessive et il n'y a que les
sujets
préparés qui en subissent les effets d'une mani
ations provoquées ne déterminent de troubles cérébraux que chez les
sujets
prédisposés : dans les expériences de M. Moreau
haschich, les troubles psychiques n'ont été observés que chez les
sujets
« éminemment prédisposés » ; et on peut dire av
congénitaux. Les troubles nerveux et mentaux, si fréquents chez les
sujets
dont la naissance a été irrégulière, n'ont peut
aractérisée. On trouve souvent parmi les ascendants des aliénés des
sujets
atteints d'un état habituel de surexcitation, d
phrénalgiques (Guislain), des anor- maux (Maudsley), ou encore des
sujets
atteints de maladies du système nerveux, et sur
excès de travail psychique, à des excès de boisson ne soient des
sujets
prédisposés héréditairement; quant à l'autre ca
is il n'est pas rare que les deux névroses coexistent sur le même
sujet
et se manifestent par des crises séparées (Char
te M. Charcot, et qui se traduit par un délire variable suivant les
sujets
, mais toujours identique, en ce sens qu'il a un
pas lui être attribuées. C'est seulement parce que chez certains
sujets
atteints de manie ou de mélancolie on retrouve
, 1883. 12 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. affections combinées chez le même
sujet
, comme le peuvent être l'épilepsie et l'hystéri
nels sont mo- ralement imbéciles3 (Moral idiocy 4). Beaucoup sont
sujets
à des explosions de violence, à des terreurs no
PATHOLOGIE GÉNÉRALE. là. » Que faut-il de plus pour caractériser un
sujet
atteint d'insanité morale, un alienus a se ? Le
ux qui ont pris une part active à l'insurrection de 1871, plusieurs
sujets
qui ont été traités coirme alié- nés et qui ava
voudrait rattacher à l'atavisme l'idiotie des microcéphales 6 : ces
sujets
pré- sentent le plus souvent en même temps que
os an- cêtres, dira-t-on aussi que l'infécondité commune chez ces
sujets
est la réapparition d'un caractère ancestral ?
vidence, grâce aux combinaisons qu'on les voit former soit chez les
sujets
eux-mêmes, soit dans leur famille. Nullum magnu
ue indécis n'est point mis en jeu par une excitation suffisante, le
sujet
reste ou hyper-, excitable ou phrénalgique, mai
perçoit point; ils sont dans une situation analogue à celle de ces
sujets
qui entendent le bruit, mais n'entendent point
influence'. » Gintrac 2 dit que les aliénés donnent naissance à des
sujets
qui peuvent offrir des sujets de toute espèce.
e les aliénés donnent naissance à des sujets qui peuvent offrir des
sujets
de toute espèce. Griesinger3, revenant sur ce m
ffrir des sujets de toute espèce. Griesinger3, revenant sur ce même
sujet
, reste aussi dans les géné- ralités. M. Doutreb
tre que ces sortes de causes n'agissent efficacement que chez les
sujets
prédisposés, c'est ce qui existe en effet. Le t
en rapport avec d'autres affections nerveuses existant soit chez le
sujet
lui-même, soit chez ses ascendants; qu'elle peu
articulier aux maladies mentales qui peuvent coexister chez le même
sujet
. Il en est de même des phénomènes épileptiforme
gine de poitrine, que l'on peut voir aussi coïncider chez le même
sujet
avec l'hystérie . 1 Ch. Féré. - Contribution a
s, le 22 mai 1 ? 2,) 30 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. M. Gallard a cité un
sujet
eczémateux atteint de la crampe des écrivains,
sions étant enfant, mais elle a été, dès l'âge de huit ou neuf ans,
sujette
à de violentes migraines. Il faut rapprocher de
c; on ne dit point qu'il s'agit d'une folie cancéreuse, mais que le
sujet
est à la fois cancéreux et vésanique. Les malad
utres affections du système nerveux. Duchenne (de Boulogne) cite un
sujet
dont le père fut atteint plus tard d'ataxie loc
oté un affaiblissement intellectuel et même l'imbécillité' chez les
sujets
atteints de paralysie pseudo-hypertrophique ; c
NÉVROPATHIQUE. 41 1 deux affections se sont développées sur le même
sujet
en raison d'une double prédisposition native. I
née analogue à celles que nous avons déjà citées. Citons enfin un
sujet
atteint de sclérose latérale amyotrophique dont
t que l'on rencontre pourtant assez fréquemment dans l'hérédité des
sujets
atteints de maladies nerveuses. Mais nous penso
ditaires est elle-même entravée par des obstacles sans nombre. Le
sujet
lui-même répond rarement d'une manière 42 ç PAT
s plus intimes sur les circonstances de la conception. Du reste, le
sujet
porte quelquefois la trace évidente d'une bizar
errain pro- pice, il faut encore une culture appropriée. Certains
sujets
peuvent rester en équilibre plus ou moins ins-
Mais peuvent-elles se combiner et se trouver réunies chez le même
sujet
? telle est la question à laquelle des observat
, par ce qui précède, qu'on ne saurait éta- blir de loi uniforme au
sujet
du tableau clinique que présentent des sclérose
à déterminer d'une façon générale, car elles varient sui- vant les
sujets
et même chez un seul sujet. L'apparition du mér
nérale, car elles varient sui- vant les sujets et même chez un seul
sujet
. L'apparition du mérycisme qui se fait tantôt q
uides (ans. VI, VII) ou même d'aliments solides flattant le goût du
sujet
. Cette dernière cause peut influer aussi sur le
vanche, elle peut être modifiée par la position que l'on donne au
sujet
. La majorité des mérycoles ruminent debout ou ass
ins qu'on ne veuille. la prolonger en faisant boire de nou- veau le
sujet
. Quant aux renseignements anatomo-pathologiques
nfin, les aliments loin de s'échapper au dehors, sont gardés par le
sujet
, qui, à l'instant où la gorgée remonte, s'empre
Il est un fait étrange observé chez certaines personnes qui sont
sujettes
non à ruminer, mais à vomir après les repas et
ement comme nous venons de le voir, et dans lequel, même lorsque le
sujet
semble pouvoir exercer une sorte de sélection s
mais ce n'était qu'après avoir été ruminés à plusieurs reprises. Le
sujet
de l'OBSERVA- TION XXII aurait pu donner lieu p
es fois (Ons. XVI) le mérycisme n'arrive qu'après une période où le
sujet
n'a que de simples régurgitations; quelquefois
ne compromettait nullement l'existence des individus qui y étaient
sujets
; nous avons vu enfin que, par- fois, si on cher
ertrophie compensatrice du lobe temporal annoncée par Munk. Dix des
sujets
en expérience présentaient en revanche, du côte
us avons déjà analysé les^ premières expériences de l'auteur sur ce
sujet
', ainsi que son mode de procéder, son système de
l n'était pas superflu d'attirer encore une fois l'attention sur ce
sujet
, d'autant plus que les auteurs les plus récents
son numéro du 10 mars dernier, présente quelques considérations au
sujet
des amende- ments à apporter à la législation d
rouvé dans The Brain (juillet 1882), un travail de Ross sur le même
sujet
. Le travail de Ross contient quelques faits nou
icules. Le phimosis congé- nital* se rencontre fréquemment chez les
sujets
at- teints de troubles mentaux ou hystériformes
f ' , j i J j 1 ' . tion et de la caducité des dents chez ces mêmes
sujets
(B' 'Il')' \11111 ,JI' . " , (Bourneville).
névroses. On le rencontre souvent à des degrés va- riables chez les
sujets
atteints d'affections nerveuses ou dans leurs f
rows, Griesinger, Mesnet), suivant la prédisposition spéciale du
sujet
. On peut en dire autant des localisa- tions méd
côté de la coexistence de l'épilepsie et de la goutte chez le même
sujet
, il faut citer la combinaison des deux maladies
absences dans sa jeunesse. De trente à trente-deux ans, elle a été
sujette
à des crises convulsives, surtout noc- turnes,
pathologie générale. il n'est pas rare pendant le sommeil chez les
sujets
nerveux, principalement les enfants. Nous avons
XXVII. M. J. G..., quarante-six ans, héré- dité névropathique (père
sujet
à de violentes colères ; mi- graineux, atteint
ticulaire. Il fait remarquer que les nerveux héréditaires sont plus
sujets
à ces sortes d'accidents, et il dit que quand l
s dix ans (tophus aux deux oreilles, déformation des mains ). Etait
sujet
à des accès qui se reproduisaient régulièrement
res inférieurs, mais il s'agissait d'arthrites déformantes chez des
sujets
âgés, et comme le fait remarquer M. Ollivier, l
qu'on ob- serve chez les goutteux. Nous ne reviendrons pas sur ce
sujet
que nous avons déjà traité dans les Archives av
ux qui se combinent avec la goutte ou le diabète, soit chez le même
sujet
soit dans une même famille, s'ils ne prouvent p
hypothèse, on aurait eu affaire aune pure coïncidence, chez le même
sujet
, d'un rhumatisme chronique et d'une DE 1,'H k,l
angler. - Une seconde tante paternelle est originale et parait être
sujette
à des accès d'alié- nation mentale; elle fuit d
père de Fauv..., âgé de cinquante-sept ans, est alcoolique; sa mère
sujette
à la migraine, laquelle ne s'accompagne ni de ver
s'agit là d'une simple concentration de l'urine, due à ce que ces
sujets
, pour éviter le mouvement, n'urinent en général q
plec- tique; mais elle n'est pas constante : un certain nombre de
sujets
ont conservé la sensibilité réflexe de la vessie
ctique. Lorsque les troubles paralytiques se localisent, lorsque le
sujet
devient hémiplégique, l'impuissance vésicale di
tion spasmo- dique peut se rencontrer b l'état d'isolement chez des
sujets
qui ont présenté d'autres phénomènes hystérique
le plus souvent c'est aux complications rénales que succombent les
sujets
atteints de maladies du système nerveux qui sou
ssion psychique, où toutes les fonctions s'exercent en l'absence du
sujet
pour ainsi dire, la miction est inconsciente ;
-névrose, sur laquelle Trousseau a insisté avec tant de raison. Les
sujets
qui en sont atteints sont souvent des enfants d
e trouble nerveux caractérisé contemporain ; mais fréquemmeut les
sujets
qui ont été atteints de cette névrose deviennent
n'est pas rare de voir, parmi les ascendants ou les collatéraux des
sujets
affectés d'incontinence nocturne, des personnes
ion est difficile à juger (Sandras, briquet, Valleix); les quelques
sujets
qui paraissent en avoir été at- teints étaient
sortes de para- plégies'se rencontrent assez souvent chez de jeunes
sujets
1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système
DES TROUBLES URINAIRES. 237 (Stephanini, Dieu, etc.) ou chez des
sujets
nerveux; il est per- mis de comparer quelques-u
variabi- lité de la sensation du besoin de la miction chez certains
sujets
. Si nous considérons l'anesthésie des voies uri
oment à l'autre. 2\0 REVUE CRITIQUE. 3° Chez un certain nombre de
sujets
, les phénomènes doulou- reux observés du côté d
il, quand la vessie est distendue, il s'écoule malgré la volonté du
sujet
quelques gouttes d'urine qui ne sont, en somme,
ne des plus fréquentes. Tout ce qu'on peut dire c'est qu'il est des
sujets
qui présentent des troubles de la miction dont
rai- tement, l'état dans lequel se présentait le malade à M. P... :
sujet
très irrité et impressionnable; le moindre brui
u danger des marches forcées ou des voyages. Dans l'observation, le
sujet
déjà fatigué marche néan- moins : il tombe au m
ent chancelante comme celle d'un homme en état d'ivresse : enfin le
sujet
ressent un impérieux 252 REVUE DE PATHOLOGIE NE
rands avantages, soit pour juger de l'état intellectuel de certains
sujets
qui se montrent si différents d'eux-mêmes suivant
jour à notre maison de santé et demande à voir un de nos malades au
sujet
d'une demande en interdiction. M. Mesnet et moi l
ffections localisées à la moelle ne figurent en effet au nombre des
sujets
qui font l'objet de vos préoccupations habituel
préoccupée du problème qui venait d'être soulevé, eut choisi pour
sujet
du prix Civrieux les « Recherches sur les causes
qui s'est ouverte et de l'exposé des idées de chacun de nous sur ce
sujet
sortira certainement quelque utile ex- plicatio
rovoquer. Voici quelques faits à l'appui de ma manière de voir à ce
sujet
. En 1880, M. D ? alcoolique, avec affaiblisseme
sortie d'un malade de mon service, de recevoir de la préfecture au
sujet
des 'actes qui avaient motivé sa séquestration
nation mentale, soit dans les rapports avec la criminalité, soit au
sujet
des faits ressortissant à la jurisprudence civi
entielle des sinus; celle-ci peut résulter d'un état de marasme des
sujets
très épuisés, ou bien elle est le prolongement
sionné la thrombose. C'est tout ce que j'ai pu recueillir sur ce
sujet
il est vrai que la littérature fait encore ment
ois encore ajouter qu'avant son entrée à l'hôpital, la malade était
sujette
à de fréquentes syncopes et présentait un affai
la bouche sans aucun effort, sans secousses, et presque à l'insu du
sujet
, qui ne s'aperçoit, le plus habituellement, des
tuberculeuse le long de la scissure de Sylvius. Hydrocé- phalie. Le
sujet
est un enfant de six mois ayant présenté pendant
ts des Annales mé- dico-psychologiques, sont muettes ou vagues à ce
sujet
. Pinel (1806), Trélat ( 15;i0), Marcé (-I 86 ?
e, mais elle en réfléchit, il n'y a donc rien d'étonnant de voir un
sujet
, affecté d'hyperesthésie de la vue, percevoir des
l de M. Billod sur la conduite à tenir quand on est consulté par un
sujet
qui se croit menacé de folie, parce qu'il est i
ture de M. Féré sur les hypnotiques hysté- riques considérées comme
sujets
d'expérience en médecine men- tale ; les commun
ar exemple la fièvre typhoïde. Puisque M. Voisin voulait aborder ce
sujet
, il aurait dû avertir M. Briand de ses intentions
e côté, qu'il faut agir, sans solliciter la réaction volontaire des
sujets
, sans exiger de ces derniers des efforts toujou
ncordant de M. Binswanger. Le Président n'a pas d'expérience sur ce
sujet
, mais il a eu l'oc- casion à Amsterdam, de voir
sco- piques. Et encore faut-il en éliminer deux, parce que l'un des
sujets
était buveur (décoloration unilatérale légère d
et à l'examen des garanties données aux sorties. Avant d'aborder ce
sujet
, M. Mesnet constate avec peine que la si- tuati
itablement de réveil du délire ; b) un second groupe comprenant les
sujets
qui n'ont jamais eu d'accidents cérébraux attribu
-pourri, prévient le lecteur qu'il y trouvera une grande variété de
sujets
d'instruction. Serait-il indiscret de demander
es de dissertation), 20 points. 20 Epreuve orale théorique sur un
sujet
de pathologie (20 minutes de réflexion; 20 minu
heure pour la rédaction), 20 points. 4° Composition écrite sur un
sujet
de pathologie (3 heures), 30 points. 5a Epreuve
rection générale des prisons, a résolu de mettre au concours les
sujets
suivants : Première thèse. [Prix : 2,000 francs
gens de petite taille, peut s'observer aussi non seulement chez les
sujets
de taille ordinaire, mais encore chez les individ
ats sont entourées d'obscurité. Nous avons profité de l'examen d'un
sujet
où le gigantisme, l'infantilis- me et l'acromég
le-ci ne saurait pas avoir une importance aussi grande que chez les
sujets
qui ont dépassé l'époque de la soudure normale de
ugaison. Ceux-ci, au con- traire, auront complètement disparu si le
sujet
présente des déformations acro- mégaliques (1).
iteurs. GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 19 Interrogé à ce
sujet
, notre géant prétend qu'il a toujours eu les main
us les points avec la cé- cité de l'oeil gauche et la céphalée ; le
sujet
les fait également remonter à ses premiers souv
ntisme est excessivement rare, niais on l'a cependant signalé. Un
sujet
étudié par Sacchi présentait* les premiers signes
it* les premiers signes de gigantisme à l'âge de 9 ans (1 m.43), un
sujet
rapporté par Meige et Brissaud à l'âge de 8 ans,
1 m.43), un sujet rapporté par Meige et Brissaud à l'âge de 8 ans, un
sujet
de Lambert à l'âge de 4 ans.Entin,Charles H...,
tout, il est très vraisem- blable et les renseignements donnés à ce
sujet
se trouvent ainsi être exacts il est très vrais
isant pour nous faire penser à une lésion de l'hypophyse chez notre
sujet
; mais nous avons bien d'autres raisons, et de
rcique. Mais l'hypophyse sera-t-elle aussi hypertrophiée chez notre
sujet
à la fois géant et acromégalique, ou fera-t-il
se' donnent rendez-vous, s'enchevêtrentetse confondent chez le même
sujet
, il y a parfois, à côté de quelques phénomènes
emagne du Nord ou ne se rencontrent qu'à l'étal sporadique chez des
sujets
déracinés. Tolat et Sarvonat en citant l'opinio
nt précéder d'une courte synthèse critique de la littérature sur ce
sujet
. Sous le nom de « subluxation spontanée de la m
contre 6 hommes seuls. L'âge de l'ap- (1) Pour la bibliographie du
sujet
en question jusqu'il l08, V. le travail de SlEORl
rapporter les images radiographiques. On doit noter que chez notre
sujet
la luxation prit probablement une ex- tension p
- ble de cette affection. En elle[ on n'est pas trop d'accord il ce
sujet
, pro- 78 QUADRONR bablement pour la raison tr
hés au contraire décrit deux cas de maladie de Madelung ë' chez des
sujets
âgés, consécutifs à des traumatismes survenus que
facteur pour ainsi dire mécanique dû à la profession exercée par le
sujet
. Ce dernier facteur évidemment n'a qu'un rôle s
erveuses ou mentales, ni alcoolisme, ni difformités quelconques. Le
sujet
est né à terme, par accouchement régu- lier. Hu
à l'hôpital pour une bron- chite d'influenza. - Objectivement, le
sujet
présente : le crâne ovoïde à contour régulier. Ch
, on sent qu'il est formé de deux petits os articulés entre eux. Le
sujet
ne réussit à imprimer activement aucun mouvement
Il s'agit donc d'un cas d'hexadactylie bilatérale des mains,' sur un
sujet
qui, du côté héréditaire, n'a rien de spécial e
ydactylie n'a cependant rien de cons- tant. Il existe en effet à ce
sujet
dans la littérature des cas où l'hérédité manqu
y a pas d'hé) édité directe. Il y a en effet dans la littérature du
sujet
des obser- vations (i'ortigliotti et autres) da
médecin comme à une altesse, et prépare de grands projets. Certains
sujets
prétendent voir des gens, des chiens, des chats
e mes malades racontait qu'elle venait de voir le bourgmestre, à ce
sujet
, et qu'il lui avait assuré que la coupable étai
lysies ou les ictus, sont très rares ; il s'agit presque toujours de
sujets
physi- quement robustes. » « Nous (1) observo
r les lacunes énormes de sa mémoire, ou de masquer son ignorance du
sujet
de la conversation ; ne se souvenant plus de so
ession s'ef- face presque aussitôt que perçue. La vie extérieure du
sujet
se rétrécit, dans le temps, par suite de cette
ticulièrement favorable au développement de /abtc- lation. Voici un
sujet
assez présent pour entendre les questions qu'on
a richesse est directement proportionnelle à l'activité mythique du
sujet
. Pour préciser davantage les conditions cliniqu
c'est le rêve. Dans le syndrome pwes6oph·é- nique, au contraire, le
sujet
est assez éveillé pour percevoir les images ex-
'est ainsi que, dans un état différent du rêve, dans la rêverie, le
sujet
, assez éveillé pour tenir compte du présent, n'
ie auto-psychique est exaltée dans ses processus automati- ques. Le
sujet
en état de rêverie associe ses idées avec abondan
le rêve de l'homme endormi. Dans certains cas, le presbyophrénique,
sujet
à de fréquents accès de somnoleuce, rumine et r
anachronique. Souvent même, il y a régression de la personnalité du
sujet
vers une époque déterminée de son existence, ve
sme de la fabulation, un autre élément, la mythomanie antérieure du
sujet
. La fabulation mythopathique consti- tutionnell
s, où, comme dans nos observations 1 et II, l'activité fabulante du
sujet
se relie à des anté- cédents mytliopathiques in
hèse, la confabulation à l'histoire psychologi- que tout entière du
sujet
; ils autorisent à concevoir le syndrome presbyo-
traits, se rapproche de la rêverie, en diffère par ce- lui là : le
sujet
, dans la rêverie, n'est pas dupe, en général, des
ès lors, la signification clinique du syndrome se trouve précisée. Le
sujet
1 est atteint, non seulement dans sa mémoire, m
tion du contrôle intellectuel. Elle se constate, en effet, chez les
sujets
troublés et affaiblis, Í c'est-à-dire chez les
affaiblissement, en quelque sorte, installé plus à demeure chez un
sujet
plus éveillé et chez qui l'erreur pathologique
clinique est d'autant plus intéressante que l'apparente activité du
sujet
, la conservation plus ou moins complète de cert
llucination ni de l'interprétation, mais de l'état mythopathique du
sujet
. Il s'agit alors d'un délire d'imagination. Dup
nfin la Presbyophrénie, par les illusions qu'elle entraîne chez des
sujets
dont la démence n'est pas toujours évidente, peut
elphi (4) signalent la présence de symptômes basedowiens chez leurs
sujets
. Dans le cas de fini Nain et Alquier (5) il exi
m, Mac Carthy et G. Bal- let (8). Taylor et Luce (9) ont observé un
sujet
atteint de névrite alcoo- lique chez lequel se
HAND ET NOUET également des symptômes de névrite alcoolique chez un
sujet
atteint de maladie de Dercum. Dans l'observat
scléreuses banales, comme il est fréquent d'en rencontrer chez des
sujets
qui n'ont présentéaucun troubled'insuffisancethyr
les erreurs. L'étude anatomique nous fournira quelques données à ce
sujet
. Nous observons assez fréquemment chez nos hémi
de l'organisme auquel il est destiné. Et de même que,chez certains
sujets
, l'intolérance digestive oblige à renoncer à l'
tant plus percepti- bles, que le nombre des libres homolatérales du
sujet
est plus consi- dérable. La motricité du côté
nts en faveur de celte opinion sont d'abord matériel- lement que le
sujet
, la forme et le style sont bien rabelaisiens (tel
mé en son honneur une pièce de vers sur le pendu qui avait servi de
sujet
pour ses leçons anatomiques (2). C'est même v
en restent ignorés, malgré les suppositions que fait Montaiglon au
sujet
du Triumphe. Le Triumphe est accompagné dans
et les Chevauchées de l'Asne exactement contem- porains. Or quel
sujet
mieux que la vérole se prêterait à une mascarade,
é droit; à la cavité axillaire le fait est surtout manifeste, et le
sujet
s'en aperçut dès le début de sa maladie. 212 Z
té de ce problème de diagnostic. Kroepelin lui-même a relevé à ce
sujet
, dans sa propre statistique, de nombreuses erre
pas en revue, toutes les théories pathogéniques qui ont été émises au
sujet
des noevi. Nous ferons seulement remarquer que
HEZ L'HOMME par Knud KRABBE. La glande pinéale est un organe au
sujet
duquel ont été formulées beaucoup d'hypothèses.
let (la Sainte-Anne de Copen- hague). Ensuite il y a des glandes de
sujets
n'ayant présenté aucune maladie du système céré
les. Il faut ajouter ici que nous avons trouvé quelquefois chez les
sujets
peu âgés de petits groupes de cellules qui diff
elation entre l'état delà a glande et la maladie qu'avaient eue les
sujets
; sauf que nous avons trouvé beaucoup de cellul
n'ont eu aucune maladie cérébrale les mêmes processus que chez les
sujets
atteints de différentes maladies mentales. Si l
ans d'anéantissement, conservât presque le même aspect que chez un
sujet
de 14 ans. Nous ne pensons pas qu'on pourra rés
de M. le Professeur Pierre Marie, il Bicêtre, la nécropsie de deux
sujets
atteints de paralysie spi- nale infantile de da
u ganglion et des capsules endothéliales). Avant d'entrer dans le
sujet
de cette étude, nous sommes heureux d'a- voir l
petits que les granulations fuchsinophiles du noyau tandis que, au
sujet
des corpuscules paranucléolaires, le même auteu
rigine nucléaire de la subs- tance chromatophile de Nissl, dit à ce
sujet
« ...quoique, nous penchions de préférence vers
ns, l'influence d'une action mécanique qui tend à le déplacer. A ce
sujet
, R. Collin (1) a lrès judicieusement écrit les
e liquide de Bouin ne peuvent nous fournir aucun renseignement à ce
sujet
. Sur les pièces ainsi fixées, le réseau de lini
e cette membrane est loin d'être connue et les opinions émises à ce
sujet
sont nombreuses et très différentes. Pfitzner, lt
corps thyroïde, la surrénale, interviennent-elles ? Enfin, chez ces
sujets
, les troubles res- tent-ils toujours à l'état d
321 t 322 aossn. Face. DÉFORMATIONS ACROMÉGALOÏDES 323 Notre
sujet
doit-il être considéré comme un géant ? Non, si l
incapable de se conduire bien et seul dans la vie. En résumé : Ce
sujet
n'est ni un acromégalique, ni un géant, ni un inf
bablement par des symptômes spéciaux qu'on n'observe point chez les
sujets
non acromégaliques. Aussi, serait-il très préci
equel je crois utile de publier une étude car, si la littérature du
sujet
est déjà abondante, le cas présente toutefois q
frère sont morts de maladies qu'il n'est pas facile de préciser. Le
sujet
est né à terme, d'un accouchement normal. Il dit
e difformité des doigts des mains ou des pieds. Objectivement, le
sujet
présente : un crâne-ovoïde, à contour régulier, r
avec celle de ces os chez des individus de taille moyenne comme le
sujet
, et n'ayant aucune dilformité quel- conque dans
rtout de celles que l'examen radiographique a permis de relever, le
sujet
est affecté (en plus de la légère hémiparésie s
nous trouvons. 332 FUMAROLA Avant tout, il faut remarquer que le
sujet
n'a pas d'antécédents héré- ditaires directs ou
ement légère- ment anormal du système pilifère. L'intelligencedemon
sujet
est d'ai lieurs normale. Prenant comme guide
us), il n'y a presque jamais de lésions du côté des os du carpe. Le
sujet
que j'ai étudié présente au contraire des anomali
as à justifier. Un autre fait qui doit encore être remarqué chez le
sujet
dontje m'occupe, c'est la légère atrophie de la
des difformités congénitales des extrémités, ont de la valeur à ce
sujet
, en tant qu'ils sont capables de produire des lés
mieux que de reproduire ici une de ses admirables pages. « Chez les
sujets
atteints d'ataxie locomotrice, les oscillations d
ps dans la ligne de gravité. J'ai constaté, en effet, que, lorsque le
sujet
oscille dans un sens, ce sont toujours les musc
perte du tonus musculaire. Voici comment cet auteur s'exprime à ce
sujet
dans son travail paru en 1863 (Die gratte Degen
par rap- port à la longueur des os. La simple inspection de notre
sujet
permet de porter le diagnostic d'achon- droplas
quant aux diaphyses, elles sont aussi larges que celles des os d'un
sujet
normal, et leur épaisseur est dispro- portionné
lare l'avoir constatée dans d'autres affections, notamment chez des
sujets
atteints d'exostoses ostéogéniques. C'est là la
ue, et Cbaumier et Taty ont constaté de la confusion mentale. Notre
sujet
présentait une intelligence plutôt au-dessous de
cune tare chez les parents el même chez les grands-parents de notre
sujet
qui se les rappelle très bien. Une soeur paraît a
importants à relever dans l'observation et dans l'histoire de notre
sujet
. Peuvent-ils nous permettre de décider à quelle
? Tout caractère héréditaire paraît devoir être éliminé chez notre
sujet
. Mais ce n'est pas un argument contre la concep
s prémalurés sont viables. A défaut de caractère héréditaire, notre
sujet
présente-t-il des stigmates de tuberculose, de
rossesse. La soudure complète diaphyso-épiphysaire doit, chez notre
sujet
, faire penser à un vice de développement plutôt
e nier la sclérose des cartilages de conjugaison. Sans doute, notre
sujet
jouit d'une santé excellente; ce n'est pas une ma
meilleurs arguments. Remarquons en passant que le fait que de tels
sujets
ont une bonne santé ne permet pas d'éliminer une
re de l'achondroplasie n'est pas encore résolu- On s'est posé à son
sujet
bien des questions, et toutes sont restées sans
nt de départ de notre étude ; nous entrerons ensuite dans le vif du
sujet
. Observation (1). B... Charles, âgé aujourd'h
vancée et les contradictions apparentes sont assez nombreuses à son
sujet
. Bien des auteurs estiment avec Souques que l'éta
rrhéiques, prompts à la répartie, amoureux de tout ce qui brille et
sujets
parfois à des crises d'excitation rappelant par q
d sur la présence d'accès de manie incontestables chez certains des
sujets
de ses observations, ensuite sur les ressemblan
les ressemblances existant entre les particularités psychiques des
sujets
atteints de la dystrophie en cause et celles des
érations endocrines dans la pathogénie des phénomènes dégénératifs,
sujet
sur lequel l'un de nuus a insisté dans un trava
s; leur développement moral a été normal, si l'on excepte un de nos
sujets
que sa vie de mousse excuse ; enfin, après leur
ire, ils ont travaillé physiquement et intellectuellement comme des
sujets
ordinaires. La vie sexuelle qu'ils ont pu avoir
sont bien plus souvent frappés. Bref, il est indispensable que les
sujets
aient eu un développement com- plet aux points
tions plus rares, le syndrome s'établit sans cause apparente, et le
sujet
ne sait exactement à quelle époque il s'est ape
raissent respectivement à 53, 48 et 41 ans, il s'agit tou- jours de
sujets
dans la force de )'age entre 20 et 30 ans, dans l
ce mémoire montre qu'il s'agit bien de véritable infantilisme. Les
sujets
onl repris cette gracilité des formes, cette mi
l'opposer il l'infantilisme qui resterait l'apanage du lotit jeune
sujet
(au dessous de 12 ans). On voil bien qu'en ce c
ni du type « féminisme » à seins exagérés. On notera enfin que ces
sujets
ne présentent pas de myxoedème. En un mot ils sem
ne. Mais il est à noter que ces derniers (cas de Gougerol) sont des
sujets
déjà âgés, qui ont eu plus de chemin à faire da
uées. Mais encore faut- il se défier des affirmations trompeuses de
sujets
qui, frappés par leur 412 CORDOER ET REBATTU
llec- tuelle conduit plutôt à l'apathie. Les réactions vives de nos
sujets
, leurs craintes excessivement exprimées à l'occ
cique est absolument normale à la radiographie (obs. XVII). Chez le
sujet
de l'obs. XVI qui eut à 18 ans et demi une orchit
; car la croissance s'est faite chez l'adulte et non chez le jeune
sujet
. Et d'autre part nous verrons dans un instant à q
e, avec des signes d'athyroïdie et de déchéance totale qu'aucun des
sujets
ici étudiés n'a présentés. Nous ne nions pas qu
de pathogénie. L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 417 Restent les
sujets
privés de leurs glandes sexuelles. Nous laisseron
eriche et Cotte en ont récemment rapporté un fort beau cas, et leur
sujet
, obéissant à la règle, a perdu ses fonctions gé
xagéré, diminué ou dévié ? On ne peut faire que des hypothèses à ce
sujet
, et l'on peut bien admettre l'atteinte primitiv
r en faveur de cette dernière. Il a pu faire l'autopsie d'un de ses
sujets
; or si les testicules étaient frappés, si les tu
ement secondaire. Bornons-nous à faire remarquer que c'est chez les
sujets
relativement jeunes (20 à 35 ans) que se produi
ans) que se produit la régression infantile, c'est-à-dire chez les
sujets
dont le fonctionnement des glandes génitales est
al, c'est une intervention peu fréquente; il s'agit en gé- néral de
sujets
âgés ou bien présentant des lésions graves,tumeur
es testicules, de la sensation d'amoindrisse- ment qui tourmente le
sujet
. Ces faits sont très bien notés dans l'observa-
et des caractères sexuels secondaires fait de l'individu atteint un
sujet
neutre. Cette disparition de la virilité produit
dans d'autres l'infantilisme. Il semble que c'est surtout chez les
sujets
encore jeunes, ayant moins de 30 ans, que se fo
t noter d'ailleurs que les conditions ne sont pas les mêmes chez le
sujet
castré et chez le sujet atteint d'une lésion test
es conditions ne sont pas les mêmes chez le sujet castré et chez le
sujet
atteint d'une lésion testiculaire : celui-là est
eu notam- ment dans un cas de MM. Widal et Lutier, ayant trait à un
sujet
pré- sentant une atrophie congénitale complète
.). Enfin la mentalité se modifie dans le sens du puérilisme, et le
sujet
, bien qu'ayant souvent atteint ou dépassé la tr
ste du système endocrine. On est réduit à faire des hypothèses à ce
sujet
. L'opothérapie n'a donné que des résultats disc
é, de manière à faire disparaître entièrement les deux testicules. Le
sujet
, d'abord d'une constitution très robuste, ayant
roubles de la mémoire pour tous les événements de la vie sociale du
sujet
qui se rattachent à celte dernière période de d
ier daus la précédente séance, j'ai revu trait pour trait plusieurs
sujets
dont l'observation est restée dans ma mémoire e
ouvenirs un cas bien plus indiscutable, puisque je connais- sais le
sujet
depuis l'enfance. A 35 ans, il fit une grippe don
e (2-3). La conception nouvelle a fait fortune : les travaux sur ce
sujet
se mul- tiplient chaque jour. Cette conception,
tiers de la longueur normale du segment de membre. = 3° Hauteur du
sujet
: 163 centimètres. 4° Distance d'une extrémité
différence avec ce qui vieut d'être décrit dans les autres cas. Le
sujet
montre bien le fait caractéristique du raccourc
auche 13. 4° Largeur de la main : 8 des deux côtés. La stature du
sujet
est de 164 centimètres ; sa grande envergure, d'u
il- lage de Komgopi, district du Nyassa occidental. La stature du
sujet
est basse. Les humérus présentent leur raccourcis
alie est congénitale ; ceci ressort d'abord de ce fait que tous les
sujets
, sans exception, ont déclaré qu'elle existait dep
unilatéralité, mais aussi parce que les auteurs mentionnent à leur
sujet
une histoire, soit de traumatisme soit de suppu
complications d'aucune sorte; mais aucune note n'a été prise à leur
sujet
. . xxiv 30 ].70 H. S. STANNUS ET S. A. K. WIL
ine du malade. « . Les enquêtes pratiquées dans les familles de nos
sujets
ont uniformé- ment donné des réponses négatives
l fut impossible d'exa- miner, sauf dans un cas, les parents de nos
sujets
, l'information ne sau- rait être donnée comme p
ce remarquable que l'on constate enlre l'habitus pré- senté par nos
sujets
et la photographie publiée par les observateurs q
tion. Toutefois un certain éclaircissement est peut-être apporté au
sujet
par une intéressante observation de Regnault. C
nous engage à publier les trois observations suivantes. Limites du
sujet
. Il ne s'agit pas dans nos observations de lésion
-patliologistes, d'un autre côté, trouvaient dans les autopsies des
sujets
morts de tabès, des lésions des mêmes cordons p
é est grande, à première vue. Le plexus brachial constitue un bon
sujet
d'étude; une dissection soignée, après injectio
en un point seulement, puisque les délirants chroniques sont des
sujets
normaux jusqu'au début de l'affection mentale (Ma
vec sa femme, s'occuper de son art, élever son enfant, il dira : Le
sujet
d'études (c'est lui) acquiert par de nombreuses
est; il n'existe rien, aucun symptôme quelconque, qui autorise à ce
sujet
une supposition plausible. d). PERSÉCUTÉS san
ncore ici d'association du tabes vrai avec le diabète, chez un même
sujet
. Mais les deux maladies se sont succédées au li
Les difficultés sont plus grandes quand il s'agit de * Voir sur ce
sujet
, Sturges, On Chorea, p. 16, et Ziemssen's Hand-
lwlaliques. Je vous rappelle en deux mots en quoi cela consiste. Le
sujet
, pourvu qu'il soit surpris, non préparé, répète
qu'il entend proférer près de lui : «Jette- le, » disait Beard à un
sujet
atteint de -cette maladie qui tenait un couteau
exemples qui démontrent que ces bruits peuvent se transmettre d'un.
sujet
à un autre par une sorte de contagion nerveuse.
vin- cible à s'extérioriser, à se réaliser par l'acte même. Notre
sujet
Gr...rd, placée justement dans les condi- tions
alisent, en effet, après une légère résistance, bientôt vaincue, du
sujet
, et l'imitation, vous le voyez, est à peu près
arrivé à son apogée. Depuis qu'elle est dans le service, Lamb. est
sujette
aussi à ses accès de hoquet, accompagnés de mou
e, impressions magnétiques) concentrent sur un point l'attention du
sujet
. Or que l'attention soit involontaire (sollicit
urs après le début d'une attaque d'influenza, la malade qui fait le
sujet
de cette observation présenta, comme troubles s
d'une hémorrhagie cérébrale ordinaire : ictus apoplectique chez un
sujet
jeune et sans lésions cardiaques, hémiplégie de l
sur cette forme se prononcent contre le carac- tère dégônératif de
sujets
atteints de cette affection mentale. Con- formé
Voici 144 aliénés de ce genre (l'auteur a examiné plus de 10 000
sujets
) se décomposant en : SOCIÉTÉS SAVANTES. 121 V
rmulés contre elle par ses adversaires. Les enquêtes entreprises au
sujet
des affaires dont M. Reinach s'est fait l'écho
mples de certains de ces asiles ne sont que trop démonstratifs à ce
sujet
en prouvant qu'un médecin en chef fonctionnant
andidats se sont fait ins- crire, 6 seulementont déposéune copie.
Sujet
de la composition écrite : chimie : sulfates miné
ie de la persécution est, pour tous les habitants de la contrée, un
sujet
de terreur. (Républicain Orléanais.) Cet Amiard
étrange, dirions-nous, s'il était absolument sans exem- ' Voir à ce
sujet
la leçon de M. le professeur Charcot parue dans l
e pouvoir constater la paralysie générale bien caractérisée chez un
sujet
à peine adolescent. Tel est le cas d'un jeune g
e des quatre membres ( ? ) pendant onze mois. Un cousin germain est
sujet
à « des dérangements du cerveau » qui durent de
nements que nous avons pu obtenir sur les antécédents de famille du
sujet
. Antécédents personnels. Dans son enfance, à l'
ispose à parler; 2° Un embarras de la parole très marqué lorsque le
sujet
est un CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE. 1
au repos. Il suffit pour le faire apparaitre de placer les bras du
sujet
dans l'attitude du ser- ment, la main ouverte e
écartés. L'écriture est troublée. Si on la compare à l'écriture du
sujet
antérieure au début de sa maladie, on voit que
déformé », suivant l'expression dont s'est servi le frère aîné du
sujet
. Cette dernière locution vise l'attitude et CAS
grand nombre des cas le développement physique et intellectuel des
sujets
avait suivi pendant leurs années d'enfance, son
rêt que subit la croissance, le déve- loppement physique des jeunes
sujets
que la maladie saisitàl'époquede la puberté. Il
ans une des observations rapportées par Clouston : enfin, chez le
sujet
observé par M. Ballet, les stigmates de la syph
e maladie. Depuis que l'attention des cliniciens s'est fixée sur ce
sujet
, les cas vont se multipliant et leur nombre s'a
la première manifestation déli- rante qui attire l'attention sur le
sujet
. Jusque-là, on ne le savait pas aliéné, il diss
mais moins souvent que parmi les persécutés du type Lasègue. Ces
sujets
sont naturellement envieux, soupçon- neux, orgu
mpulsion et l'acte soient incons- cients, ce dernier accompli, les -
sujets
n'en conser- vent pas le moindre souvenir. Tels
ent de diagnostiquer, sans beaucoup de difficulté, l'état mental du
sujet
. , , . '" ' ? ' ' , ? ? ' z . Les imbéciles e
'' tf'i'' 1 1 ( ? ¡ ' ' i Il. ! ' rl . L les aliénés homicides. Ces
sujets
sont le plus, souvent , , '.'< 1 f-dl ? l''t
irants, ordinairement passagers, auxquels ils sont particulièrement
sujets
. - Leur cas se confond -alors avec celui d'autr
hique. Mais des considérations de cet ordre sont étrangères à notre
sujet
, qui doit rester absolu- ment pratique, puisqu'
physique, en raison des stigmates physiques de dégénérescence) des
sujets
permet de déterminer l'état mental de ces derni
d'opium, ;dans ,les1 périodes .avancées de l'empoisonnement, ,sont,,
sujets
;-parfois, à des accès de fureur homicide.; Mais
ien il est difficile de s'entendre sur la responsabilité légale des
sujets
de cette catégorie. Ont-ils leur libre-arbitre,
que, on doit reconnaître comme bien établie cette notion, que les
sujets
qui sont entachés, de dégénérescence intël- lec
hérédité quelquefois, ne sont pas tou- jours des dégénérés, et des
sujets
nettement dégénérés ne comptent parfois, parmi
cide qu'à l'homicide. Mais, suicide ou homicide, l'acte, chez ces
sujets
, est pour ainsi dire réflexe, qu'il s'accompagne
délirent avec une facilité extrême; la moindre cause est, pour eux,
sujet
à hallucinations et à conceptions délirantes. C
ne dernière catégorie de faits très rares et très remarquables. Des
sujets
dégénérés intellectuels, non débiles mentaux, c
ise. Je ne pense pas devoir mentionner l'homicide com- mis parles
sujets
désignés sous la nom de fous moraux . La folie
hénomènes d'ordre foncièrement pathologique. Quels sont alors les
sujets
qui restent dans cette folie morale qu'on veut
observé que les fous moraux présentaient bien plus souvent que les
sujets
normaux, des stigmates. physiques et psychiques
t homicides en dehors de leurs accès de manie dite épileptique. Ces
sujets
agissent par suite d'une impulsion, d'unesorte
tantôt à une atrophie avec iridochoroïdite (Liebreich). Sur ce même
sujet
, MM. de Wecker et Landolt s'expriment ainsi : «
qui a été observé par cet auteur, le con- trôle de la vue chez deux
sujets
de notre famille corrige nettement l'incoordina
surtout, elle devient si indé- pendante et si inconsciente pour le
sujet
, qu'elle peut facile- ment passer à un examen s
suicides particulières, Elle voulait donner dix francs à un mauvais
sujet
pour qu'il la jette à l'eau. Elle voulait aussi q
e l'a pas donné. Vous voyez bien que j'ai lieu de m'inquiéter à son
sujet
. 11 n'est pas honnête, » . 27. Voici comment
ent parce que je suis un âne.. , Conversation mentale. J'étais un
sujet
préparé contre les idées. Une voix dit pour, l'
une voix intérieure puisqu'elle est tout à fait en rapport avec le
sujet
de sa conversation mentale. Cette malade a été
ions délirantes, car elle n'a jamais accusé à l'interrogatoire à ce
sujet
aucune sensation précise. ' (A suivre.) REVUE D
analogues, ce discours échappe à l'analyse par la multiplicité des
sujets
auxquels il touche et des questions de détail q
e manie et la chorée à l'état de débilité générale et d'ané- mie du
sujet
, doublement affaibli par l'habitude invétérée de
nt des habitudes et des acquisitions intellectuelles antérieures du
sujet
. On pourra noter en passant que cette habitude
en particulier chez les aliénés, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 231
sujets
de la part desquels on ne peut trouver que peu ou
n ce qui concerne les troubles intellectuels, qu'au ~ jeune âge des
sujets
qu'elle frappe * Pour l'auteur, la clef de voûte
... Il y a deux jours, le frère et la soeur eurent une querelle au
sujet
d'un jouet. La discussion s'envenima. Georges m
t consciencieuse comme toutes celles que l'auteur a consacrées à ce
sujet
ou à des sujets analogues; nous ne saurions tou
e comme toutes celles que l'auteur a consacrées à ce sujet ou à des
sujets
analogues; nous ne saurions toutefois l'analyse
(M. Minkowski). Académie royale DE MÉDECINE DE BELGIQUE. Parmi les
sujets
proposés aux concours se trouve : Histoire, ind
ont elle se rend très bien compte elle veut s'étrangler ! ... Ace
sujet
, elle discute avec calme, dans son som- meil so
acquises. En effet, à la suite d'affections aiguës chez les jeunes
sujets
, on observe des cas d'arrêt de l'intelligence e
es héré- ditaires dégénérés et sur l'axe cérébro-spinal de jeunes
sujets
en voie d'évolution, les résultats sont identique
ère enfance, avant que toute éduca- tion ait pu modifier ces jeunes
sujets
, se présentent avec des obsessions, des impulsi
ses atrophiques, des tumeurs, etc. Ces lésions offrent, suivant les
sujets
, des variétés infinies comme distribution et ét
rices. L'intégrité de quelques-uns de ces centres chez différents
sujets
explique comment certains idiots, certains imbé
t tellement nets, ils ont un tel air de famille chez les différents
sujets
, qu'il n'est pas possible qu'ils ne se rattache
es ou pleurs, qui surgit, en désaccord avec l'état cénesthésique du
sujet
. Elle riait aux éclats à l'enterrement de son g
ière et ne laissent pas d'image durable. En résumé, chez certains
sujets
dont l'intelligence est parfaite, l'état moral
lique. Son père est mort d'apoplexie et pendant sa vie il avait été
sujet
à des accidents épileptiques : c'étaient des ac
r un schéma célèbre que vous connaissez bien. Pour ne parler que du
sujet
qui doit nous occuper spécialement, vous savez
que par leur nature même, elles sont ren- fermées dans l'esprit du
sujet
et ne se manifestent guère à l'extérieur par de
ommeil hypnotique et à produire par des suggestions appropriées. Le
sujet
, par exemple, verra toutes les personnes de la
Cela est si vrai que le plus souvent, et c'est un point capital, le
sujet
ignore ses propres anesthésies '. Peut-être ne
ment donc la notion de cette position a-t-elle été appréciée par un
sujet
aussi insensible ? Le procédé précédent qui con
ie au moyen de ces sensations en apparence disparues de l'esprit du
sujet
m'a permis de reproduire ici une expérience ana
ils de revision. L'un de ces procédés consiste à faire regarder les
sujets
dans la boîte de Fiées ; c'est un petit instrum
ent, que vous voyez, très ingénieux : grâce à un jeu de miroirs, le
sujet
qui regarde dans la boîte en tenant les deux ye
Newton sur laquelle étaient peintes les sept couleurs du prisme, le
sujet
voyait se former une teinte blanc grisâtre, com
de les voir. J'ai même montré, ce qui est bien plus curieux, que le
sujet
garde le souvenir d'un objet uniquement montré
ine successivement chaque sens en atti- rant sur lui l'attention du
sujet
, on verra qu'il peut avoir la perception de tou
table et nous devons chercher maintenant ces manifestations sur les
sujets
que je vous ai présentés. ' Vous savez, sans qu
; eh bien, les sensations dont nous parlons même non senties par le
sujet
se manifestent par des mouvements souvent très
longue tige suspendue à la cardan et mobile dans tous les sens. Le
sujet
tient la tige par son milieu comme il tiendrait
et je suis avec la pointe un mot tracé sur le papier. La main du
sujet
, si elle était sensible, aurait senti tous les mo
ns la main droite complètement.insensible et je détourne la tête du
sujet
. Vous voyez d'abord les doigts, entourer le cra
mouvement délicat peut-il se faire, tandis que tout à l'heure le
sujet
ne pouvait pas remuer sans regarder ? Permettez-m
ations musculaires ont existé d'une manière quelconque, bien que le
sujet
n'en ait eu aucu- nement la perception personne
Cela ést encore exact. Je prends Berthe à part et je lui cause d'un
sujet
qui l'émeut beaucoup en ce moment, du bal de la
observation. M. A. Binet' les a reproduites également sur plusieurs
sujets
avec des variantes intéressantes. M. J. Onanoff
ntre ces sensations en apparence disparues et les autres pensées du
sujet
subsistent toutes, dans certains cas, malgré l'
thésie; il est possible, par exemple, de provoquer dans l'esprit du
sujet
telle ou telle pensée, rien que par les mouveme
gente de cette anesthésie, l'indifférence complète avec laquelle le
sujet
la supporte, la conservation des réflexes, etc.
dèrent comme rare et irrégulière dans son apparition chez les mêmes
sujets
. Richter7, Rabenau8, Karrer9, Christian'0, Mabi
hologique. âgée de seize ans. L'albumine manque d'ailleurs chez des
sujets
d'âge mur, elle existe au contraire chez de rob
uels survien- nent des manifestations accès ou vertiges suivant les
sujets
puis une période de calme de quatre, sept, huit
science. Mais le plus souvent, en étu- diant plus attentivement le
sujet
, on reconnaît que l'anomalie supposée n'existe
i sa femme ne peuvent, ou ne veulent, répondre catégoriquement à ce
sujet
. 1 Le soir, il rentrait chez lui. Plusieurs per
élire aigu, et malgré la résolutions.prise au début d'abandonner le
sujet
à lui-même, sans aucun traitement, afin de ne m
erveaux infirmes par hérédité morbide. On a parfois caractérisé les
sujets
de cette sorte en disant qu'ils étaient hérédit
adruple assas- sinat commis par l'accusé. Quelques mots encore au
sujet
du diagnostic de l'accès d'aliénation mentale p
ons dans la mélancolie, mais sans qu'il y ait rien de spécifié à ce
sujet
. Cependant, parmi les auteurs allemands Schuele
ur ». Aussi comprend-on facilement que les mélancoliques soient peu
sujets
à l'hallucination sensorielle; leurs préoccupat
tains mouvements chez une autre personne paraît être suivie chez le
sujet
qui observe d'une action sur les centres nerveu
les centres nerveux qui correspondent à ceux dont l'action chez le
sujet
observé a produit les mouvements visibles qui s
ues à séquestrations multiples et plus ou moins simula- teurs : ces
sujets
ne commencent à apparaître à Bicêtre qu'en 1838 ;
ts ne commencent à apparaître à Bicêtre qu'en 1838 ; avant 1825 les
sujets
à deux ou trois séquestrations sont très rares.
out et entassent les calomnies les unes sur les autres; ce sont les
sujets
dont les éva- sions sont les plus nombreuses et
sans domicile connu, à faux nom et sans profes- sion réelle. Ces
sujets
doivent être considérés conflue des vicieux et no
e M. Charpentier. Il ne nous donne pas d'ailleurs la preuve que les
sujets
dont il nous entretient appartiennent à cette c
L'étude des anamnestiques décèle l'évolution que voici : les petits
sujets
auraient été atteints dans la première ou dans le
xcitation locale d'un centre sensoriel, suivant les dispositions du
sujet
, produire l'hallu- cination et provoquer de nom
ssion (notée par erreur typo- graphique XXIX'), t. XXI, p. 292. *
Sujet
à l'ordre du jour en Europe. Consulter à ce piopo
n s'effec- tue, mais cela ne préjuge aucunement de l'avenir chez un
sujet
qui, à un âge si tendre, est affecté d'une si g
il acharné. On faisait de l'anatomie pathologique, en prenant comme
sujet
le.; apoplexies et ramollissements du cerveau,
lle part ail- leurs. Et ce n'est pas seulement parce que tous les
sujets
intéressants de la ville de Paris s'y donnent r
nuée ; mais nous ne pou- vons fournir de renseignements précis à ce
sujet
, l'acuité visuelle n'ayant pu être mesurée. L'o
NS L'ÉPILEPSIE. 21 lepsie aiguë. Or l'éclampsie puerpérale a été le
sujet
de très intéressantes recherches. Le professe
insi que dans le sang de ces malades. M. h'avre en étudiant le même
sujet
trouva un micro organisme qu'il appela « microc
; 3° que ces deux genres d'épilepsie peuvent alterner chez un même
sujet
; 4° que l'in- toxication peut, suivant les cas
ut, pour nous le signe capital différentiel est l'état gastrique du
sujet
accompagnant généralement les stig- mates de la
ccès et que sous l'inflence d'un écart de régime, l'épileptique est
sujet
à des accès convulsifs. Le vin pur, l'alcool sous
s donné ce médicament pendant deux ou trois mois. de suite chez des
sujets
qui prenaient depuis plusieurs années déjà du b
éditaire ou acquis, dans le développement de la morphinomanie. Un
sujet
non névropathe, après un an d'usage de la morphin
e de la base avec troubles intellectuels d'origine cérébrale, et au
sujet
duquel on asuccessivement diagnostiqué diverses
t deux affections différentes, elles peuvent coexister chez le même
sujet
, ce qui arrive rarement, mais c'est là une asso
présence d'un cas de neurasthénie traumatique, l'expert, lorsque le
sujet
exagère l'intensité de ses troubles morbides ou m
ccasionnelle, pour déter- miner l'apparition d'une psychose chez un
sujet
déjà prédisposé. Il n'existe pas de psychose tr
est un puissant agent provocateur d'actes impulsifs, même chez les
sujets
normaux, et a fortiori chez les dégénérés : il
ropathologiste français qui a reconnu la coexistence, chez le même
sujet
, des atrophies avec des pseudo-hypertrophies musc
ffection qui, depuis, n'a fait que progresser. A vingt-cinq ans, le
sujet
ne pouvait plus se livrer à aucune occu- pation
elles peuvent être multiples et bilatérales, les hommes y sont plus
sujets
que les femmes. Leur apparition est souvent pré
ordinaire est complète. Ces hydarthroses guérissent lentement, sont
sujettes
à revenir, et après chaque rechute l'impotence fo
on entre les troubles sensitifs et trophiques. Quand on sait que le
sujet
est syringomyélique, le diagnostic de ces arthr
lever les bras. Il existait une paralysie deltoïdienne double. Le
sujet
peut à peine esquisser le mouvement d'écartement
apeau de l'épaule, précisément dans la région sur laquelle, chez le
sujet
, on constate de J'hypoesthésie. Sur une préparati
us franche, autrement limitée, et parce qu'il n'existe pas, chez le
sujet
, de stigmate d'hys- térie. Traitement : courant
et du droit pénal. Lombroso, on le sait, affirme qu'une partie des
sujets
con- sidérés comme criminels par la justice, et
mplètement indépendante de celle de la première. Oui, il existe des
sujets
qui présentent, dès le plus jeune âge, des tend
préjuge en rien de la solution du problème du crime endogène. Les
sujets
atteints d'idiotie morale sont-ils bien réellemen
s symptômes un arrêt de développement congénital du sens moral. Les
sujets
qui, au cours SOCIÉTÉS SAVANTES. 7 \} de la v
ant eu pour conséquence l'arrêt de développement du sens moral, les
sujets
atteints de faiblesse psychique généralisée con
lamerait le droit de les soumettre à une détention perpétuelle; ces
sujets
n'en devraient pas moins être séquestrés dans d
irigé par un médecin. Sommer fait observer qu'il n'envisage que les
sujets
atteints d'un arrêt de développement psychique
ablissements de détention. Est-on cependant décidé à considérer les
sujets
chez lesquels des instincts antisociaux apparaiss
les psychopathies sur l'avantage ou le dommage qui résulte pour le
sujet
de son acte. Le fait que M.' Sommer reconnaît l
miner au vigilambulisme ; il en est de même de la folie hystérique,
sujet
si controversé qui, à aucun prix, ne doit être
alysie faciale systématique depuis le mémoire de M. Babinski sur ce
sujet
. Le pseudo-tabes hystérique, les associations h
le fruit que le professeur Charcot avait patiemment recueilli à ce
sujet
dans sa longue pratique. Outre les renseigne- m
devrait être la règle- (B.) , 86 asiles d'aliénés. La plupart des
sujets
signalés comme guéris ont pu être suivis pendan
26 (119 hommes et 7 femmes), c'est-à-dire du quart des entrées. Les
sujets
atteints de psychoses simples ont été au nombre
la période de vingt années qui va de 1871 1 à 1891, a porté sur des
sujets
âgés de plus de quarante-cinq ans, ce qui indiq
a proportion qui existe entre les cas de faiblesse mentale chez les
sujets
au-dessous de vingt-cinq ans et le chiffre tota
Normande.) - A la suite d'attaques'd'épilepsie, auxquelles il était
sujet
depuis quelque temps, un nommé Isidore Frère, â
âgée de vingt-deux ans, manouvrière à Saint- Hilaire-les-Andrésis,
sujette
à des attaques d'épilepsie, a été trouvée noyée
'expert en examine les auteurs, il se trouve parfois en présence de
sujets
lucides, d'apparence normale et présentant tout
du monde à la retenir. Voici ce qu'a bien voulu nous apprendre à ce
sujet
, le médecin qui l'a soignée : les os ne lui par
à un moven de varier le travail et de prévenir la lassitude chez le
sujet
. Ces exercices d'imitation porteront d'abord su
iers temps, Ferél a porté la dose jusqu'à 16 et 20 grammes chez des
sujets
où la moyenne de 4 à 6 grammes ne réussit pas,
be ; par Sommer. (Jah1'bÜch. f. Psychiat., XI ! , 3.) On place le
sujet
à examiner sur un banc bien plan; le genou dépa
le n'est pas la reproduction simple des doctrines classiques sur le
sujet
, elle est au contraire remplie d'aperçus person
ve en est par exemple dans le fait d'un autre malade du service. Ce
sujet
n'a qu'un seul moyen fessier atrophié, celui du
rents. Dans le tabes, les cor- dons postérieurs, seuls atteints, le
sujet
sent parfaitement les oscil- lations et cherche
e tabes, le nerf labyrinthique est aussi envahi par la sclérose, le
sujet
tombe sans même s'en douter, il n'a pas besoin
LECLERC., (Nouvelle iconog. de la Salpêtrière, 1894, . n° 4.) Le
sujet
est une femme appartenant à une famille nombreuse
cet égard; mais l'auteur, tenant compte de la belle constitution du
sujet
, de l'absence de tout arrêt de développement et
est parfois dif- ficile de reconnaître leur véritable sexe. De tels
sujets
, ordinaire- ment porteurs d'autres tares physiq
maphrodites antiques existent donc encore de nos jours, ce sont ces
sujets
que nous diagnostiquons atteints d'infantilisme
, mais aucune description ne peut rem- placer les photographies des
sujets
jointes à son texte. Il existe des collections
tant plus grandes, que la mélancolie a fait son apparition chez un
sujet
plus jeune, et, en règle générale, ces chances dé
chances décroissent dans la même proportion que s'accroit l'âge du
sujet
à l'apparition du trouble mental : toutefois, l
reau (de Tours). Prix BELHOMSE. - La Société décide de donner comme
sujet
à traiter pour le prix Belhomme, 1896 : Du lang
e du D'' Hack Tuke, écrite en mai 1879, se trouvent ces mots : « Le
sujet
a ma sympathie ardente et mon approbation Les m
t devenir l'agent de n'importe quelle communication ou appel sur ce
sujet
, je suis sûr que collabora- teurs, comme moi-mê
tre lettre intitulée Soin ultérieur, m'a profondément intéressé. Le
sujet
a beaucoup occupé mon esprit. » Au premier anni
s des autres tout en gardant la sienne, et sagesse dans le choix du
sujet
avant la réunion. On se souviendra longtemps de
iouville indique un progrès important dans nos connaissances sur ce
sujet
et Dujardin-Beaumetz a pu dire avec raison, dan
ent d'une façon caractéris- tique, quelque avancé que soit l'âge du
sujet
et sont facilement reconnaissables cliniquement
les base- dowiens ; mais ces lésions banales se retrouvent chez des
sujets
indemnes de tout symptôme de goitre exophtalmiq
e Breslau) dans la maladie de Basedow, l'ingestion de thymus. Notre
sujet
, prédisposée hérédi- taire, présentait outre le
témérité à vouloir formuler, à l'heure actuelle, une opinion sur un
sujet
si obscur et si controversé. Il me sera permis de
tomique sur la glande thyroïde et sur la glande hépatique d'un même
sujet
. Après la séance, M. le professeur J. RENAUT a
substitution et qui concernent des faits dans lesquels un individu
sujet
à des troubles mentaux divers, ne fussent-ils d'a
icu- larités qui seraient de nature à laisser planer un doute à son
sujet
., Ce diagnostic fait, les conséquences se dédui
sous le nom de fugue, il y a trois séries de faits : 1° Parmi ces
sujets
, les uns seront caractérisés par un besoin phys
faut faire trois subdivisions. a) Impulsifs conscients. - C'est le
sujet
qui, à un moment donné, sans raison suffisante, s
ou moins accusées. L'hypnose était en effet possible, parce que ces
sujets
étaient des hystériques. M. Vallon a, systémati
aires manquent rarement, mais elles peuvent être observées chez des
sujets
non paralytiques. En résumé, aucun de ces signe
dégénérescence athéroma- leuse du cerveau qui frappe en général des
sujets
d'un âge déjà avancé. On note chez eux un athér
en foyer multiples. Le diagnostic est souvent impossible : chez un
sujet
diagnostiqué paralytique général on a trouvé ci
partie postérieure du troisième ventricule). M. Men- del observe un
sujet
qui présente depuis quinze ans une immobilité .
endances hypocondriaques. L'humeur est mobile. Ce qui distingue ces
sujets
des paralytiques, c'est le calme, la conduite r
mune ne paraîtra pas possible. Le pa- ragraphe 150 spécifie que les
sujets
en état d'inconscience ou dont le libre arbitre
complexes, mais leur systémati- sation est lâche; leur contenu est
sujet
à se modifier. L'humeur est habituellement liée
ents étaient des héréditaires; la maladie s'est rencontrée chez des
sujets
jusque-là normaux. Parmi les facteurs éliologiq
e générale. Cette lacune s'explique sans doute par l'état mental du
sujet
et la difficulté qu'il éprouvait à s'exprimer a
des ictus apoplectiques suivis d'hémiplégies sont survenus chez des
sujets
atteints de blennorrhagie aiguë. Il se demanda
dans le détail des nombreux cas rapportés dans ce long travail. Le
sujet
est intéressant et parait préoccuper assez les
ns sont plus sensibles à l'action du corps thyroïde, tandis que les
sujets
dgés, dans les cas de M. Bourneville, paraissent
lculée sur le coefficient de forces psycho-physiologiques de chaque
sujet
. Ce coefficient est variable quotidiennement. L
ation capillaire; 2° Si pendant cette pratique on détermine chez le
sujet
en expé- rience une douleur (piqûre à la main a
phy- siologique. Ainsi donc, contrairement à ce qu'on voit chez un
sujet
normal, la circulation périphérique enregistrée
du xix°, on ne voit dans les individus atteints de folie que des
sujets
dangereux, et on les détient le plus souvent dans
uisibles ». C'était chose rare de voir un inquisiteur considérer un
sujet
inculpé de possession démo- niaque comme en pro
rait recueilli dans une section spéciale d'une léproserie, quelques
sujets
atteints de folie; mais il faut t arriver à la
règlements sont édictés en vue de pourvoir à l'hospitalisation des
sujets
atteints de maladies mentales. En -170, d'après u
n. Une fois celle-ci obtenue, le médecin délivre, sur la demande du
sujet
guéri ou des parents de ce dernier, un certi- f
per. A Wurzbourg, on procède, de 1785 à 1790, à la séparation des
sujets
curables et incurables. En 1798, un quartier spéc
. ,,\-. `, 1 \) ? > * * i· ? 1 J' ..... 3's'qii'alors, les
sujets
atteints de folie avaient été générale- " ment
mier « établissement de traitement x (/7e</a) ! a/<) pour les
sujets
atteints de maladies mentales curables. La renfer
les nouvelles tentatives de réforme, très coûteuses, que pour les
sujets
curables : « on organisa donc pour eux des. asile
dividuel que récla- ment, au même titre que les autres malades, les
sujets
atteints de psychoses,"d'importantes réformes f
que dans les établissements de ce genre le nombre des admissions de
sujets
curables est plus considérable que dans les asi
llance continue des mélancoliques à idées de suicide, ainsi que des
sujets
atteints de psychoses aiguës. Griesinger, en 18
1862, Damerow défend aussi cette thèse, qu'une forte proportion des
sujets
internés dans les asiles seraient mieuxà leur p
es invalides psy- chiques incapables de se diriger eux-mêmes. « Ces
sujets
peu- vent, gràce à l'influence favorable du tra
avantage d'un séjour prolongé dans un asile : le traitement de ces
sujets
dans des familles étrangères qui se chargent, m
e pour un certain nombre d'aliénés chroniques : en 1893, 209 de ces
sujets
étaient assistés dans leur propre famille, ou d
t des maladies mentales, et des colonies pour la vie en liberté des
sujets
convalescents et incurables 1. Une question s
les symptômes d'intoxication sous forme de convulsions, chez les
sujets
âgés ou atteints d'une maladie organique du cerve
hommes étaient des alcooli- ques. Le diploe a été examiné chez 31G
sujets
. Il était bien déve- loppé dans 78 cas, complèt
l'augmentation du nombre des paralysies générales, par rapport aux
sujets
atteints d'autres maladies men- tales. C'est à
ement (lecture, calcul, association des idées, etc.); chez certains
sujets
, cette action de ralentissement est parfois pré
ré à l'abus, sur l'impossibilité où l'on est de pronostiquer si tel
sujet
deviendra ou non un buveur d'habi- tude. Disc
Discussion. M. Furstner. L'admission dans les asiles d'aliénés des
sujets
alcoolisés augmentera les difficultés déjà consid
obtient des résultats très favorables pour combattre l'insomnie des
sujets
chez lesquels les bains et les narcotiques sont c
tives d'éva- sion. La thérapeutique est désarmée en présence de ces
sujets
à mauvais instincts : leur excitation ps3cho-mo
eptiques, les déments, les idiots. L'auteur l'a rencontrée chez des
sujets
atteints de confusion, de mélancolie chronique
d'Exner et de \issl, déceler aucune altération cellulaire chez des
sujets
atteints de démence secondaire consécutive à la p
es circonvo- SOCIÉTÉS SAVANTES. 4t5 lutions rolandiques; chez les
sujets
non paralytiques, l'atrophie des fibres de cett
, les représentants du type brun de l'Alle- magne du Sud, sont plus
sujets
aux états maniaques. L'auteur donne sur ce suje
du Sud, sont plus sujets aux états maniaques. L'auteur donne sur ce
sujet
une statistique documentée; il rappelle l'observa
évolution des idées délirantes, l'absence d'esprit critique chez un
sujet
borné. Amélioration possible par le changement
n elles-mêmes une manifestation maladive : on les constate chez des
sujets
sains comme chez des aliénés. Parfois on les voit
guer les persécuteurs et les processifs véritablement délirants des
sujets
qui poursuivent des revendications légitimes qu
un cas de folie à deux dans lequel la psychose se montrait chez le
sujet
contagionné sous une forme différente de celle
lusieurs jours au- dessus de sa chambre. : W... est évidemment un
sujet
névropathe, facilement irritable. Mais rien ne
acte commis sous l'influence d'un état comitial. M. STEINER a vu le
sujet
deux fois en 1892. Celui-ci était venu le consu
er que sa façon de se conduire, de travailler, il fait l'effet d'un
sujet
normal. Mais qu'on vienne à lui demander son op
l'unité allemande, des organes génito-urinaires et mélange tous ces
sujets
différents. IL s'occupe de la question de l'uni
e dans la formation des idées. ' Dans le second cas, il s'agit d'un
sujet
antérieurement condamné pour escroquerie. En 18
public médical constitue la première partie d'un ouvrage ayant.pour
sujet
les maladies de la moelle épinière et du bulbe. 1
quées. Les auteurs entrent dans des considérations intéressantes au
sujet
des lésions de la moelle consécutives 'aux ampu
diminue l'activité des substances toxiques. Les malades qui font le
sujet
de cette étude doivent être rangés BIBLIOGRAPHI
nt aussi ample que le cadre général de l'ouvrage le permettait. Les
sujets
traités par l'auteur sont les suivants : 1° T
également inspiré des récents et importants travaux publiés sur ce
sujet
par les médecins autrichiens, travaux grâce aux
M. le Dl' Boiteux, de la Faculté de Paris, ont bien voulu servir de
sujets
à M. Pickman. » - Ces messieurs seront évidemme
u minimum est nécessaire entre les lits, à cause de l'agitation des
sujets
. La literie n'offrira rien de spécial et des ob
eu de cette population turbulente et en même temps pour obliger les
sujets
à rester à table, mis qu'ils seront dans l'im-
res qui sont mobiles, ce qui permet de les abaisser pour coucher le
sujet
, puis de les relever pour l'empêcher de tom- be
et et deux urinoirs suffiront lar- gement avec une population de 50
sujets
et un cabinet dans deux dortoirs seulement sur
es agités avec lequel il a de fréquentes occasions d'échanger des
sujets
selon les dispositions plus ou moins exaltées dan
stitution sèche, nerveuse. Père bien portant; mère impressionnable,
sujette
depuis quelque temps à des douleurs articulaire
, elle est capable aussi de provoquer des troubles mentaux chez des
sujets
adultes. La forme de folie observée a élé dan
ectuel s'accompagne de la conscience de l'état maladif. On voit les
sujets
atteints de névrose traumatique conserver, même
myomes dans les parois musculaires des artérioles médullaires d'un
sujet
atteint de démence sénite. M. NEISSER (de Leubu
hia- trique de Heidelherg. Ces deux travaux roulaient sur le même
sujet
, à savoir l'action de l'alcool sur les phénomènes
influence alcoolique. Des doses plus fortes agissent encore sur le
sujet
à un moment où rien ne lui en révèle les effets
es, la réaction à la douleur a suivi la pression du cubital chez 35
sujets
; elle a fait défaut dans 58 cas. Résultat dout
mmes on a obtenu les chiffres suivants : 490 SOCIÉTÉS SAVANTES.
sujet
chez lequel il avait constaté l'existence, d'un s
rairement à ce qui a eu lieu pour Boedeker et Falkenberg. Parmi les
sujets
non para- lytiques qui ont été examinés par ces
nt une analyse même détaillée ne peut donner qu'une faible idée. Ce
sujet
difficile et complexe a dû nécessiter de la part
développement plus détaillé et plus précis de nos connaissances au
sujet
de la symptomatologie de la Maladie de Marie.
s, fils de Innocent et de Anna S. de Montenero (Campobasso), est le
sujet
de cette observation. Mère âgée de 32 ans, mari
erme sans aucun trouble ; l'enfant qui naquit heu- reusement est le
sujet
de cette observation. Celui-ci, dans les premiers
, leurs gestes précieux ou pédantesques, el leur igno- rance que le
sujet
même du tableau met souvent en évidence, montrent
intérieurs, dans les fan- taisies humoristiques, et jusque dans les
sujets
religieux. Les dolentes personnes que nous voyo
ales variétés topographiques. En revenant aujourd'hui encore sur ce
sujet
je n'ai pas l'intention de vous prouver l'exist
t fourni par la sclérodermie. Nous reviendrons un autre jour sur ce
sujet
qui comporte quelques développements; mais dès
tes les éruptions lichénoïdes apparaissent ex- clusivement chez les
sujets
entachés de névropathie. , V. - La disposition
lle est évidente, puisque la même dermatose réapparaît chez le même
sujet
à chaqne grossesse nouvelle. Selon Tenne- son e
le manifestation de l'état névropathique (héréditaire ou acquis) du
sujet
qui en est porteur, mais il doit toujours être
la suite d'engelures et, comme celles-ci, s'observe surtout sur les
sujets
ayant une tendance à présenter de l'asphyxie des
onstruosité (Fig. 15). Il est même inutile d'invoquer l'exemple des
sujets
amyélencéphales pour démontrer l'autonomie des
celles de l'appareil musculaire, relèvent d'un trouble FIA'. 15. -
Sujet
amyélencéphate, né à l'hôpital Saint-Antoine (ser
ise. Mais il est un autre fait qui touche de bien plus près à notre
sujet
. Fig. 16. Xérodermie pigmentaire chez une jeune
daux de laquelle dépend l'état spasmodique relaté dans l'enfance du
sujet
. Les faisceaux pyrami- daux qui n'avaient pas é
ale la 8e cervicale et la Ire dorsale sont aussi tiraillées et, si le
sujet
y est prédisposé, lésées quelquefois d'une faço
it trop longue et je n'en donnerai que les points intéressant notre
sujet
, c'est-à-dire le tabes laby- rinthique. Remar
situation dans notre milieu et par cette orientation réfléchie, le
sujet
qui oriente devient en même temps l'objet de l'or
ce moment se produit également les paupières fermées. Chez certains
sujets
, le globe de l'oeil met un grand retard à suivr
state alors que ce nystagmus de rotation n'est pas sensible chez le
sujet
sain et qu'il appartient donc surtout à la recher
E 153 trouvé 33 fois les oreilles intéressées. Morpurgo a relevé 43
sujets
durs d'oreille sur 55 tabétiques ; en revanche
mples de surdité unilatérale presque absolue, totalement ignorée du
sujet
. Pour avoir donc une idée suffisante de la cont
les, les cent irritations diverses qui éveilleront l'asthme chez un
sujet
dont le pneumogastrique est plus accessible et pl
e chez un sujet dont le pneumogastrique est plus accessible et plus
sujet
à cette réaction. L'asthme d'origine nasale peut
t pas de même de la surdité, que l'on constate fréquemment chez des
sujets
qui ne s'en doutaient nullement, même quand elle
rritation labyrinthique. Quatre cas pourront se présenter : 1° Le
sujet
n'éprouve aucune oscillation et n'a pas à rectifi
1895. LE TABES LABYRINTHIQUE 157 site entre certaines limites. Le
sujet
oscille, et oscille activement, réalisant volon
équilibre réel, elles s'impo- sent à la vigilance ampullaire, et le
sujet
qui ne savaitpas vouloir correc- tement l'équil
in- toxications ébrieuses, excès de tension des liquides, etc.), le
sujet
est en proie à des illusions du sens ampullaire
ectes, mais suggérées par des images d'attitudes fantaisistes et le
sujet
poursuit un fantôme d'équilibre qui se dérobe et
verticale. Le tabétique présente le signe de Romberg en qualité de
sujet
dont l'appareil ampullaire périphérique ou cent
ltanée du sens ampullaire et du sens des attitudes segmentaires, le
sujet
tombe sans le sentir. En résumé, dans le signe
nucléaire. Je ne rappellerai que l'observation de M. Dieulafoy, au
sujet
d'un tabétique syphilitique, qui présentait, en
n de provoquer le vertige labyrinthique, et dans tous les cas où le
sujet
voyait les objets tourner, je constatai un nys-
'adducteur, et ce mouvement de retour beaucoup plus lent, montre au
sujet
la série des objets que rencontre successivement
trouvons la grand'mère paternelle qui était nerveuse et le père qui,
sujet
à des crises d'épilepsie, se suicida au cours d
l ne fil pas de maladie pendant sa jeunesse et vivait tranquillement,
sujet
à quelques crises de temps en temps, quand huit
aujourd'hui disparu, qui n'était lui-même qu'une réplique libre du
sujet
de la gravure « le Doyen de Ronse ». On peut
es dites du grand dentelé. Mais ce sont là des faits discordants et
sujets
à critiques. « On a compris, dit Duchenne (6),
e, il est vrai, pense le contraire. Si on fait élever l'épaule à un
sujet
, dit-il, pendant qu'on pèse fortement sur le moig
soupçonner l'existence de celle grave affection musculaire chez les
sujets
représentés dans les figures'189 et 190, lorsqu'i
. J'ai eu l'occasion de constater les mêmes phénomènes sur d'autres
sujets
atteints de la paralysie du grand dentelé. » A
sur chaque épaule du PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 189
sujet
, en repoussant les deux épaules dans un sens oppo
ns très fortement musclés. Mais, dans un autre exemple de Bruns, le
sujet
était très bien musclé et cepen- dant l'élévati
e n'est pas sans présenter quel- que difficulté, vu le jeune âge du
sujet
. Si l'on avait eu affaire à un adulte, le diagn
ine à 7 ans. Antécédents personnels. - Toujours bien portante, mais
sujette
aux céphalées depuis deux ans. Vers la même épo
onne fortune d'observer dans le service de M. le Dr Pierre Marie un
sujet
atteint de cette affection. Nous avons pu examine
ente me confirmant dans cette opinion encore fort discutée, - si un
sujet
atteint de syphilis héréditaire est tellement i
as malheureux que nous venons de signaler provenaient de ce que les
sujets
avaient été traités avec trop de modéra- tion ;
il est facile de s'en rendre compte est, sur ce point très délicat,
sujette
à contestation et à discussion : elle n'en est po
hilis. La mère déclare seulement qu'ils étaient bien portants, mais
sujets
à la gourme. Pendant 15 ans elle eut à plusieurs
HEUECQUE, Le médecin h'rattt;ois Charitable, 1683. - Consulter à ce
sujet
une thèse récente, bien documentée et d'une lectu
d'aimer. Faut-il s'attendre à ce que la peinture ait osé aborder ce
sujet
délicat ? ... Qui sait ? ... Certain tableau de
ont fréquentes, dans l'école hollandaise, les répétitions d'un même
sujet
. Le goût de l'époque ayant affirmé le succès de
r, Schalken, ont,parallèle- ment ou postérieurement, traité le même
sujet
, que des élèves ou des copistes ont encore abor
ajouter encore cinq, qui, de près ou de loin, se rattachent au même
sujet
. ,\Il n -1 242 HENRY MEIGE Nous allons les
e favori et s'abandonne avec complaisance à son goût natif pour les
sujets
risqués. En entrant dans la galerie du baron
audaces ; on peut être certain que partout- où Jan Steen voyait un
sujet
de se divertir, il trouvait également le sujet
où Jan Steen voyait un sujet de se divertir, il trouvait également le
sujet
d'un tableau. Mais passons. L'hilarité que ca
re fille de son maître, la jolie Margarethe van Goyen, lui parut un
sujet
d'étude extrêmement séduisant. Il y consacra ta
avec le joyeux Steen. De là une conception toute différente du même
sujet
traité par les deux peintres. On peut aisément
toutes les qualités du maître hollandais : le choix judi- cieux du
sujet
,. la belle ordonnance des personnages, une grande
dans ses épisodes les plus insignifiants, suffit à lui fournir cent
sujets
de peinture. Et qu'il s'a- gisse d'un cabinet d
l. MAL D'AMOUR Tableau de GLRARD Dow, à Buckingham Palace. Même
sujet
par G. NETSC11ER, au Musée de Dresde. Masson et
que l'existence d'une plaque congestive au centre de la joue, si le
sujet
éprouve une sensation persistante de froid et s
de myxoedème. » Thibierge lui-même, en 1891 déjà, affirmait que les
sujets
restés infantiles par leurs proportions générales
s et trans- lucides. Je traite en même temps la cousine germaine du
sujet
: celle-ci est atteinte de myxoedème franc. L
anc; forme rhumatismale, avant le traitement. Fig. 3. - A... Même
sujet
; après le traitement. y a erreur et que le r
sorte de trouver des symptômes d'hypothyroïdie concomitants chez le
sujet
lui-même, chez ses ascendants et descendants. -
se rompre. Comme on le voit, c'est un cas de myxoedème très net. Le
sujet
est âgé de (1) 13USCII.\U (loc. cit.) mentionne
douleurs dans le dos. Elle a eu six enfants. L'aînée, une fille, est
sujette
il des ménorrhagies. Deux jeunes garçons ont eu
issance et l'idiotie crétinique, le diagnostic est sim- ple. - Le
sujet
qui doit nous servir d'exemple a déjà été présent
isement et détérioration grave de la constitution. Fig. il . - Même
sujet
que la fig. 10, après 2 ans et 9 mois de traiteme
e est morte d'albuminurie. Le traitement commence en avril 1895. Le
sujet
pèse 83 k. 930. Le 22 octobre de la même année,
lhyroïdie même la plus légère. xlc 19 278 E. HERTOGHE Les trois
sujets
que nous allons montrer sont des myxoedèmes franc
guérison. 20. Myxoedème avec lésions du système pileux. - 21. Même
sujet
, après guérison. DE L'HYPOTÜYR01DIE BÉNIGNE CnR
R01DIE BÉNIGNE CnRONIQUE 279 On remarquera que je présente tous ces
sujets
dans un ordre de gravité décroissante. Je le fa
'o- rigine hypothyroïdienne. Que l'on jette un coup d'oeil sur le
sujet
que nous montrons ici, avant et après le traite
aractères organiques et fonctionnels que présentent Fig. 23. - Même
sujet
, après le traitement thyroïdien. les parents de
de même. Vers 17 ou 18 ans, la menstruation apparaît, et de pareils
sujets
se marient et procréent dans des conditions app
mber sur la ligne médiane. La ligne s'élargit beaucoup, et chez les
sujets
à cheveux foncés, cette calvitie, surtout lors-
après chaque bout de phrase, faisant une inspiration bruyante. Ces
sujets
pas- sent pour franchement asthmatiques. Les de
du sang, ne tient pas ici. Il doit y avoir autre chose. Les jeunes
sujets
dont nous parlons, présentent, en réalité, d'au
a main, chez de jeu- DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 291 nes
sujets
, couvert de veines tortueuses, énormes), à la fac
l'existence de l'aorte. Appareil digestif. Ce que nous avons dit au
sujet
du foie dans la pre- mière partie de ce mémoire
ditions d'hygiène, et lorsque la maladie n'est pas trop avancée, le
sujet
finit par arriver au développement complet. Cel
ingestion d'une dose excessive de thyroïdine, même administrée à un
sujet
sain, tels que la douleur excruciante du dos à
enfants qui mâchent le tabac. Jamais on n'arrivera à rien chez des
sujets
qui persistent à en user. 4. La thyroïdine ne p
res après sa venue. La troi- sième est obèse ; la quatrième fera le
sujet
de l'observation suivante ; la cin- quième fill
férés. Une de ses soeurs est morte tuberculeuse. Ses deux frères sont
sujets
à la goutte. La digestion est en général labori
le est facile- ment oppressée en gravissant un escalier et elle est
sujette
à des palpitations de coeur, surtout la nuit. L
les car- tilages d'ossification sont loin d'être ossifiés et que le
sujet
peut encore beau- coup grandir. (Pl. XLIX, F.)
ts : d'abord une fille, âgée aujourd'hui de 23 ans. Cette fille est
sujette
à des saignements de nez fré- quents. Elle a le
rès fortement constipée. Le second enfant, un garçon de 21 ans, est
sujet
à de fréquentes migraines et très constipé. Le
jet à de fréquentes migraines et très constipé. Le troisième est le
sujet
que nous avons montré plus haut. Il y a deux
ration nasale est très gênée. La radiographie qui fut prise chez ce
sujet
de 20 ans, (PI. XLIX, G.) com- parée à celle du
prise chez ce sujet de 20 ans, (PI. XLIX, G.) com- parée à celle du
sujet
précédent, âgé de 17 ans, (PI. XLIX, F.) démontre
t au supplice ». La conformation du corps est la même que celle des
sujets
précédents ; seulement, les cuisses et le bas d
à 1 m. 674 (du 11 mars au 30 octobre 1898). Les renseignements au
sujet
des parents font défaut. OBs. V. XI... présente
énomène fréquent chez les paralytiques généraux (1) qui ne sont pas
sujets
à la trichotillomanie et il a survécu au tic chez
doit attribuera ces lésions dans la genèse de l'atrophie. C'est un
sujet
sur lequel nous n'oserions émettre d'opinion fo
Éditeurs. TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 331
sujette
à une extrême irrégularité, que cependant leur dé
ns décrire montrent cependant que Metzu n'a pas négligé ce genre de
sujet
. Il existe d'ailleurs un tableau de lui dans la
elle est fortement distraite par des interrogations sur un au- tre
sujet
. Il es), vrai que cette position normale ne dure
er à 24 ans par les muscles fatigués des. mains. Il est vrai que le
sujet
avait été, comme celui de l'observa- tion IV, a
sive avec la paralysie infantile ; nous insisterons.sur ce point au
sujet
de l'observation IV. III. - Modes DE début. D
duit de volume ; ces mus- - des semblent surtout atrophiés quand le
sujet
est vu de dos ; on croirait le bras constitué e
de ses mains pour l'action du maxillaire inférieur. Etat actuel. -
Sujet
fortement amaigri, de constitution primitivement
incu- rable souvent, parfois mortelle. (1) Le malade qui fait le
sujet
de cette observation a été présenté par M. le pro
che après l'accident et ne s'immobilise pas. Le malade qui fait le
sujet
de notre observation avait tous les mouvements
sans doute une observation de M. Klippel () qui, à l'autopsie d'un
sujet
tuberculeux atteint d'une arthrite du genou, a tr
aussi cette difformité, jointe à l'infé- riorité intellectuelle du
sujet
, rend la parole lente et embarrassée. Voici que
ternale dans la région thymique. Nous avons dit que le malade était
sujet
depuis l'enfance à des crises épileptiques. Ces
au Congrès de Nancy de 1896, concerne un acro- mégalique de 54 ans,
sujet
depuis 3 ans à des crises d'épilepsie partielle ;
roubles du caractère et de l'intelligence . Nous serons bref sur ce
sujet
, car la notion de ces troubles est devenue clas
façon ; mais peut-on con- sidérer comme « légitimement déprimé», le
sujet
observé par Brigidi [et dont l'observation est
sion mélancolique ». Un des malades d'Hccslrovec (12) est également
sujet
, la nuit surtout, à des accès de désespoir et d
e typique. Lors de ses deux séjours, il était violent, irrita- ble,
sujet
à des accès de vive agitation, de plus, halluciné
quand ils existent ils sont le plus souvent dissociés mais fugaces,
sujets
à des changements rapides, nulle part aussi TRO
e peintures que son fils, DAVID TENIERS LE Jeune, a consacrées à ce
sujet
. Ce sont en général des femmes d'un âge avancé,
nts d'Esther prêtentauxmémes remarques,ainsi qu'une longue suite de
sujets
bibliques ou historiques. Mais nous ne voulons
maladie ne fait qu'ajouter il l'émotion ressentie. (1) Voyez à ce
sujet
CHARCOT et PAUL Riciier, Les Difformes et les Mal
dans le 1er cas absolument à l'appui de l'hypothèse de M. Pitres au
sujet
du siège des lésions de l'aphasie amné- sique e
Tchirkolf a décrit en 1895 (3), des oedèmes observés par lui chez 7
sujets
du sexe masculin, âgés de 25 à 60 ans. La malad
es transitoires (2). (1) Séance du 15 juillet 1898. (2) Voy. à ce
sujet
: - Le Gendre, Ol;dèmes intermittents des extré
es (3). C'est l'histoire d'une femme de 58 ans, obèse, arthritique,
sujette
à la lithiase biliaire et il l'eczéma. Cette fe
otique, qui nous intéresse plus directement. Une femme de 42 ans,
sujette
dès l'âge de 20 ans à des « faiblesses, des per
ion personnelle publiée par Lourier a trait à une malade de 30 ans,
sujette
à des crises nerveuses, atteinte d'un oedème du m
de l'hérédité, et de l'hérédité dans la ligne maternelle, chez les
sujets
du sexe féminin, est particulièrement intéressant
Tebaldo Falcone rapportée par Lourier, il est question d'un enfant
sujet
à des poussées d'oedème aigu. Le père de l'enfant
de certaines amyotrophies a été indiquée par M. Brissaud. Voy. à ce
sujet
une récente observation de CROCQ, Un cas d'amyotr
à la fois. Enfin la dystrophie musculaire frappe souvent plusieurs
sujets
de la même famille; le trophædème héréditaire n
causes de cette singulière dystrophie. * . .. Un dernier mot au
sujet
des traitements appliqués au trophoedème chroni
atteint son maximum d'intensité; il diminue ensuite à mesure que le
sujet
avance en âge. Le père du malade qui vit encore n
urément non, s'il y avait une compression quelconque de ce nerf, le
sujet
ne pourrait pas replacer sa tête lui-même. C'est
nérescence. « Quand on va au fond des choses, quand on interroge le
sujet
soi- gneusement, on reconnaît que ce syndrome n
les auteurs : M. Féré (2) dit en effet : « que les dégénérés soient
sujets
à un spasme es- sentiel, mental par le seul fai
érescence, comme l'admet Bompaire, qui du reste ne signale chez ses
sujets
aucun caractère de dé- générescence soit physiq
douleur. H... fut contraint de cesser son métier. Il était de plus
sujet
à des trans- pirations abondantes de la tête, à
tiquées par comparaison avec des radiographies de mains normales de
sujets
du même âge dont un atteint de rhumatisme articul
n et du médius : 18 centimètres : syringomyélique; 17 centimètres :
sujets
normaux. Longueur totale du 1er métacarpien et
et du pouce : 12 centimètres : syringomyélique ; 10 centimètres 5 :
sujets
normaux. Hauteur maxima du carpe : 4 centimèt
axima du carpe : 4 centimètres 5 : syringomyélique; 4 centimètres :
sujets
normaux. Diamètre transverse maximum du carpe :
imum du carpe : 7 centimètres : syringomyétique ; 5 centimètres 5 :
sujets
normaux. Distance maxima de l'apophyse styloïde
ïde du radius : 6 centimètres 2 : syringomyétique ; 5 centimètres :
sujets
normaux. Aux avant-bras, atrophie musculaire in
s, décrite en France et nous ne connais- sions aucun travail sur ce
sujet
; c'est notre maître, 111. le professeur Charcot
assez semblable au nôtre; il s'agit d'un homme de vingt- huit ans
sujet
à des raideurs musculaires depuis sa plus tendr
inze ans, 31 cent. de mollet). Leyden, qui n'est pas prévenu sur ce
sujet
, puisque son observation est 20 CLINIQUE NERVEU
es les muscles ont un développement notable, mais, vu la stature du
sujet
on ne peut dire qu'ils soient hypertrophiés; c'
, p. 273. DU VERTIGE DE MHNIHRE. 25 médecin ausculte l'oreille du
sujet
pendant les pressions centripètes; celle-ci dif
arce qu'on obtient à la fois deux résultats : l'un fourni par le.
sujet
, l'autre par l'observateur ; c'est de la compa-
re provoquée au con- tact du diapason la 3 sur la bosse frontale du
sujet
. Ces procédés ont été exposés devant la Société
s, rémittence du son pour l'observateur, et nulle variation pour le
sujet
; ni bourdonnement, ni vertige provoqués. Après
jours de traitement, les variations deviennent très nettes pour le
sujet
, mais seulement si le diapason est posé sur le
être pour quoi que ce soit dans la genèse du seul phénomène dont le
sujet
se soit toujours plaint. Mais quelques bourdonn
de son audition. Observation XII. Demoiselle, seize ans.bienréglée;
sujette
aux affections de la gorge et du nez ; la voix
plus nettes, les variations les plus franches sont annoncées par le
sujet
à chaque poussée d'air, sans extinction du son,
nde pression, extinction nette du son du diapason indiquée par le
sujet
qui fait aussitôt la différence avecle côté sain.
plus tard ; les rémittences sonores sont identiques à celle que le
sujet
éprouve à droite, quoique plus affaiblies ; il
cation des accidents vertigineux reste long- temps facile ; mais le
sujet
u'a jamais eu de vertige spontané. (il suivre.)
ne jouit pas d'une bonne santé physique; elle est chlorotiqtic et
sujette
à de très abondantes pertes blanches. Observati
traces de nystagmus. Toutefois, la manière de parler, de scander du
sujet
en question ressemblait tellement aux troubles
Il n'accuse pas de syphilis, ni d'excès alcoo- lique; il n'est pas
sujet
aux migraines. II a trois enfants bien constitu
idérables, moins marquées que celles qu'on observe souvent chez des
sujets
sains. Dans certains autres cas, il est questio
sens moral, la crimi- nalité ; et ce ne n'est pas seulement sur les
sujets
coupables de crimes violents contre les personn
not 1 a signalé une disposition, qu'il croit particulière, chez des
sujets
auxquels on n'avait à reprocher que des méfaits
des anomalies cérébrales insignifiantes, il existe d'autre part des
sujets
qui, sans pouvoir être rangés dans cette catégo
n fout cas elle n'a pas été con- damnée. Elle était très irritable,
sujette
à des colères violentes ; mais ses douleurs ful
u cerveau (Bull. Soc. dzzat., 1876, p. 172 et 436.) Parmi ces trois
sujets
, un était idiot; les deux autres, un vieillard
ant et après les règles la malade est toujours plus irritable, plus
sujette
à ses attaques qui sont'alois plus violentes.
développement de ces manifestations hystériques. Car chez plusieurs
sujets
, il a vu les accidents disparaître aussitôt apr
1'liystéro-épilopsie dans laquelle il y a coexistence chez un même
sujet
des deux névroses hystérie et épilepsie, et qui
ion est toujours le même. Il néglige de citer nos recherches sur ce
sujet
; nous avons montré dans notre mémoire sur la ci
e travail est divisé en six chapitres, qui bien que portant sur des
sujets
très dissemblables en apparence, concourent à la
ques plus encore que l'épaisseur variable des téguments suivant les
sujets
ont empêché d'arriver à aucun résultat. 4° De
VEUSE. lût d'hypothèses pendantes'qui sont : ou avant la maladie le
sujet
avait une moelle trop petite comme dans les cas
106 SOCIÉTÉS SAVANTES. Il mentionne l'état de nos connaissances au
sujet
du cerve- let et de la protubérance, et aborde
iers, le ministre ayant été prévenu qu'un projet de loi sur le même
sujet
serait déposé prochainement à la Chambre, avant
z les enfants. M. Legrand du Saulle demande l'avis de la Société au
sujet
d'un individu Z..., autrefois enfermé à Sainte-
us éclaireront sur la res- SOCIÉTÉS SAVANTES. 115 J ponsabilitédu
sujet
, beaucoup mieux que l'interprétation du crime d
Le comité du prix Hammond (500 livres sterlings) avait proposé pour
sujet
: Fonctions de la couche optique chez l'homme. Un
homme. Un seul mémoire a concouru ; le prix n'est pas décerné et le
sujet
est main- tenu pour l'année prochaine. Le Dr
Contribution à l'étude de la myélite centrale, par M. PUTNAM. Le
sujet
de l'observation était une femme de vingt-deux an
m; c'est un appendice à son mémoire de l'année dernière sur le même
sujet
; il décrit les acci- dents observés à la suite
r éloigner le dia- gnostic de tumeur cérébrale. Il signale chez les
sujets
atteints de cette maladie une'susceptihilité au
e parllorton, puis est venue celle de Hammond dont le malade est le
sujet
de l'observation publiée antérieurement dans le
ssion, les lésions étaient peu marquées. M. Morton mentionne à ce
sujet
un cas semblable observé par Dariing à l'amphit
, et toutes ses habitudes étaient celles du sexe féminin. Le second
sujet
res- semblait à celui-ci; mais le développement
obtenu d'amélioration sérieuse. M. Amidon, qui prend la parole à ce
sujet
, refuse à l'électricité statique toute supérior
eil chez les Africains, avec des recherches bibliographiques sur ce
sujet
. Cette affection, particulière aux nègres d'Afriq
r trois observations d'aliénation mentale développée chez de jeunes
sujets
au cours de leurs études, l'orateur fait remarque
ant tout malentendu, trouver un écho à l'unisson de l'importance du
sujet
dans les réunions de professeurs. Une vive disc
Dittmar et Hundôgger confirment l'excellence de l'instrument. A ce
sujet
le Dr Dittmar communique à la So- ciété un moye
aite en chambre du conseil par le tribunal civil ; elle ne sera pas
sujette
1 l'appel. Elle devra être précédée de l'avis d
s de Landouzy et Grasset; mais on ne sait rien de bien positif à ce
sujet
. Signalons encore les expériences de Duval et L
ées répétées, purgatifs chaque jour, etc.). Depuis cet accident, le
sujet
est resté sourd et abasourdi, étourdi, incapabl
i battements, ni bourdonnement. La seule sensation qui tourmente le
sujet
, c'est la surdité, il n'en- tend pas la voix ar
oire : extinction du son nette, brusque, annoncée aussitôt par le
sujet
, sans que je le questionne. Ni bourdonnement ni v
du malade et note les modifications des sensations auditives que le
sujet
a éprouvées. J'ai cherché à les rendre percepti
rmé de l'otoscope ausculte l'oreille. Si l'on place sur le front du
sujet
le diapason en vibration, le son passe à traver
t la platine de l'étrier. Si, pendant les pressions centripètes, le
sujet
perçoit des variations dans l'intensité de ce s
l'appareil de transmission. Supposons que le son soit perçu par le
sujet
sans être modifié en rien, tandis que l'observa
poussée ; il y a désac- cord entre les sensations éprouvées par le
sujet
et par l'opérateur. Et l'on voit aussitôt l'i
. A l'état normal, il y a concordance complète entre ce que sent le
sujet
et ce qu'ausculte le médecin. Dans certains cas
ans certains cas, celui-ci sent le son s'éteindre, pendant que le
sujet
n'éprouve aucune variation ; d'autres fois, c'e
que du son du diapason posé sur le crâne, et nettement perçu par le
sujet
au- paravant. A mon sens, perception crânienne
ntôt le bourdonne- ment, tantôt le vertige; dans ce dernier cas, le
sujet
avait eu des vertiges spontanés ; l'audition pa
tre perçu, et aussitôt une sensation de vertige traverse la tête du
sujet
, et le rend hébété et étourdi. Cette sensation
ges spontanés devenaient plus rares, quand j'ai étudié l'oreille du
sujet
au moyen de cette nouvelle combinaison expérime
e du sujet au moyen de cette nouvelle combinaison expérimentale. Le
sujet
ne perçoit pas ou seulement d'une façon fort va
la suite, le son du diapason frontal arrive au nerf audi- tif du
sujet
, modifié comme l'est celui qui vient frap- per
parallèle, on doit conclure que l'état de la paroi labyrinthique du
sujet
, et de l'articulation de l'étrier dans la fenêt
tripètes pendant que le diapason vibrant est posé sur le front). Le
sujet
annonce ne sentir ni intermittences, ni variati
et bien concordantes avec les pressions de la poire à air ; mais le
sujet
ne perçoit rien de tel; il reste étranger à ce
vateur sont très fran- ches et très nettes, et pendant ce temps, le
sujet
est abasourdi par le bourdonnement et un léger
r reçoit l'impression variée suivant les pres- sions effectuées, le
sujet
n'éprouve rien de tel, ou tout au moins des sen
ir ; pas de variations senties à gauche, et à peine à droite par le
sujet
; tandis que l'observateur les perçoit en- tière
nfonçure extrême du tympan; l'enchi- frènement habituel de certains
sujets
les place dans des conditions expérimentales an
ige par l'action des pressions centri- pètes non seulement chez des
sujets
vertigineux, mais aussi chez quelques malades q
tige réflexe, celui que cause le bruit, les cris violents chez un
sujet
d'ailleurs atteint d'une lésion auriculaire tie
une lésion auriculaire tiennent déjà davantage à l'idiosyncrasie du
sujet
, à son tempérament spécial. Il en est aussi de
crasie, le tempérament, l'étal nerveux constitutionnel ou acquis du
sujet
, toutes ces condi- tions individuelles doivent
a sensibilité réflexe comme de la sensibilité acoustique : certains
sujets
la possèdent plus développée, et le vertige ser
ne excitabilité particulière ou maladive. Certains âges sont plus
sujets
au vertige spontané ab aure Icesa; c'est passé
in il y a concordance complète entre les sensations variées soit du
sujet
, soit de l'observateur. Tous les cas de vertige
peuvent se rencontrer sans qu'il y ait de vertige spontané chez le
sujet
. Le vertige reconnaît plusieurs causes : on a v
froides et l'hydrothérapie achèvent cer- taines guérisons. Certains
sujets
hyperesthésiés, impres- DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQ
résenté aucune lésion appréciable. En résumé, sur le cadavre d'un
sujet
dont l'histoire clinique 218 pathologie nerveus
uleuse cérébro-spinale ; mais nos recher- ches bibliographiques, au
sujet
du cas que nous publions, ont été jusqu'à prése
erculeuse développée pendant le cours d'une phthisie pulmonaire. Le
sujet
, déjà porteur de lésions avancées, a d'abord pr
forme bénigne. Une de ses soeurs, plus âgée qu'elle, est mariée et
sujette
à des accidents nerveux, se manifestant surtout
ion d'une attaque de grande hystérie, la part de l'imagination du
sujet
est restreinte. La malade puise dans les impressi
, p. 552-558.) M. Ayres avait déjà publié deux articles sur le même
sujet
dans les numéros de décembre 1880 et mars 1881.
rincipales. Ils ont REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2H pu sur leurs
sujets
reproduire expérimentalement l'état léthar- giq
comparables a des mouvements de métier. Ils ne cessent pas quand le
sujet
saisit un objet, augmentent d'un coup proportion-
distendre, mais disjoindre en leurs liens fibro-vascu- laires. Les
sujets
observés appartiennent a la seconde enfance, ép
il ne voit aucune raison pour que les enfants anglais soient moins
sujets
au mensonge que ne le sont les autres enfants.
lieu de maintenir ou sociétés savantes. 353 3 de faire sortir le
sujet
, comme cela se fait déjà dans certains cas, d'a
é, s'est adressé au ministère, et j'ai été délégué pour examiner le
sujet
. 11 n'offre aucune trace de délire, n'a plus d'
nscience partielle, suivie d'amnésie partielle, pendant lesquels le
sujet
exécutait des actes complexes et certaines pratiq
du cahier à droite. ' Sollicité parla discussion qui s'engage à ce
sujet
entre MM. Manx, SLilliug, Waldeyer et Jolly, M.
n-extenso sera l'objet d'une analyse. La discussion s'engage sur ce
sujet
. M. Wahrendorff constate que parmi ses paralyti
rganes protecteurs, ou qui avoisinent l'encéphale peuvent, chez des
sujets
hystériques, s développer ,des accidents d'appa-
tement, semblables dans /les diverses, expériences surile 1 1 même.
sujet
., Jusqu'à présent la pliy§iologie ne permet pas d
identique chez les divers'frr individus, ou-symétrique chez lermeme
sujet
, -et qu'elles'' ? donnent toujours une même pro
res nerveuses'' `' ont un.volume relatif très variable' suivant les
sujets
. 'Il résulte ' ` même des recherches "de M-1-Ad
ux différents nerfs offrent des volumes très différents suivant les
sujets
, mais il existe pour les origines de chaque ner
er. la solution do ? la question qui ''nous 'occupé. Ainsi, sur.un,
sujet
, nous,avons,t trouvé un tronc commun fourni par
uestion ? I. ( . JitMi#M,t u, ? > ? ? ? <>t t Sur quelques
sujets
, le médian ne recevait rien de la sixième 1, pa
.précis de leur évolution, le pourquoi de leur sé- lection chez tel
sujet
, ou de leur alternance chez certains indi- vidu
autres psychoses, car elle affecte, pour lui'principalement, les
sujets
résistants, exempts 'de prédispositions. Toutes c
uante ans, entaché d'hérédité et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 365
sujet
à des excès alcooliques et vénériens, fait en 18
Durée moyenne : dix-huit mois. Pendant ce laps de temps, le, jeune
sujet
a grandi de cinq centimètres et'a gagné en poid
manifeste spontanément chez REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 367 des
sujets
jusqu'alors bien portants. C'est a cette dernière
ie générale duc à la localisation morbide sur ces organes, chez des
sujets
prédispo- sés, mais qu'en aucun cas, la folie n
à 'l'autorité judiciaire l'irresponsabilité, au moins partielle des
sujets
en ques- tion. M. Kirn consacre- enfin quelques
aum;ii Tard ieù 1-1., Hofmdnn). 1 L'anomaliffl se montre- chez' des
sujets
ne présentant rien d'irré-ulier, dans les=orâârie
conduite ci tenir pour le médecin, quand il est consulté par un ' ·
sujet
qui se 'croit menacé de folie parce qu'il est' is
e d'observations entre 11\f. Dar,r,r, Motet et LEGRAND du SAULLE au
sujet
des aliénés placés volontairement, M. Ball rapp
simples conjectures. Pour mon compte, j'ai longtemps réfléchi il ce
sujet
, et je me suis convaincu de l'impossibilité de
(d'Andcrnaell)sont choisis comme secrétaires. Avant d'aborder les
sujets
scientifiques portés à l'ordre du jour, le prés
pénal trouve son application en ce sens qu'au lieu d'interner le «
sujet
en une maison de correction, on peutle faire entr
apporter les avantages d'une coopération active. Il fournira sur ce
sujet
à la Société un rapport, autant que possible lo
Rineelzer, modifiée par Sander ; savoir : ajournement à 1883 de ce
sujet
, et présentation à cette époque des documents n
t sépare la cage cérébrale du squelette facial. Il détermine sur le
sujet
l'élévation respective des extrémi- tés des dia
d'accorder désormais un temps limité aux orateurs. Discussion à ce
sujet
entre MM. Jehn, Loehr, l'elman, 111endel, Scbwa
iner s'il est possible que l'acte ait été raisonné, réfléchi, si le
sujet
a pu poursuivre un mode d'action sensé, et se liv
apport avec les progrès de la science et les idées nouvelles sur ce
sujet
. La lecture de la table des matières qui se tro
où hystérie et nymphomanie ont pu se trouver réunies sur un même
sujet
. Ici prennent place des observations intéressante
n BIBLIOGRAPHIE. 411 1 faut. M. Charcot, faisant une leçon sur ce
sujet
, n'en a trouvé que cinq cas à l'hospice de la S
ublié jusqu'à présent qu'un très petit nombre d'observations sur ce
sujet
; aussi est-il permis de faire quelques réserves
ent muettes sur ces symptômes, qui n'ont été constatés que chez des
sujets
dont l'autopsie n'est pas rapportée. Charpentie
c une phlegmanie difficile à constater à cause de l'exci- tation du
sujet
. A chaque chapitre est annexée une observation à
ch, les microzoaires, les bacilli, les bâtonnets constatés chez des
sujets
morts de fièvre typhoïde dans les plaques de Peye
nce des bains sulfureux. Depuis son enfance, notons qu'il est assez
sujet
à la cépha- lalgie. Il n'a jamais commis d'excè
ère morte à soixante-quatre ans, hémiplégique; ni migrai- neuse, ni
sujette
à des attaques de nerfs. Du côté des oncles et de
5 la régie, bien qu'il n'ait jamais commis la moindre erreur à ce
sujet
; il supporte difficilement la contradiction et se
aternelle de l'enfant, âgée de cinquante-sept ans, très ner- veuse,
sujette
autrefois à des attaques convulsives qui ont disp
in gauche. Ce cas est extrêmement intéres- sant, parce que l'âge du
sujet
et la présence d'altérations de l'appareil circ
ystérique. (Bull, de li Soc. des flJp., 13 août 18S6.) Achard. Même
sujet
, thèse de Paris, 1SS7. Archives, L. XXV. 4 50
is à la neurasthénie. Nous ne voulons pas aborder ici l'étude de ce
sujet
si difficile. Nous ferons remarquer seu- lement
aites pendant la période du délire nous montrent aussi qu'un malade
sujet
au délire doit être surveillé aussitôt que ses
d'où toutes les variétés de manifestations épileptiques chez les
sujets
. Il doit se passer là ce qui se passe chez les éc
parler d'hystérie, et avant de m'expliquer plus com- plètement à ce
sujet
, je répondrai par ce mot de Molière : « Je dis
ue, pour qu'elle trouve à s'exercer, il faut à la faith-healing des
sujets
spéciaux et des maladies spé- ciales, de celles
iés à une barre fixe. L'opérateur, age- nouillé derrière la tête du
sujet
, s'est préalablement muni d'une serviette pour
diatement cette traction d'un redressement brusque de la tête du
sujet
comme pour en porter la face au-devant des genoux
NTALE. ' 89 Deuxième temps. - Après quelques instans de repos, le
sujet
est placé debout, les pieds maintenus fixes et pa
ux, il se courbe en avant et il entraîne la co- lonne vertébrale du
sujet
dans ce mouvement exactement comme dans le seco
es qui ont porté sur les urines de 31 aliénés et d'une quinzaine de
sujets
normaux, les auteurs tirent les conclu- sions s
e exagération tout entière attribuable au mauvais état psychique du
sujet
, cette appétence induit ce dernier à certains a
s de mort subite relatés, la moitié environ s'est produite chez des
sujets
très jeunes, quelques-uns à peine sortis de l'a
gie. Mais cette distinction serait excessive, car, à part l'âge des
sujets
frappés, qui diffère dans les deux ordres de fa
que de l'enfant. Les opé- rations intellectuelles qui deviennent le
sujet
de ses expériences portent sur : la lecture de
sans analyse, etc., etc. On mesure le temps que demande chez chaque
sujet
ce travail mental à l'aide d'une montre à décla
le produit d'une em- preinte matérielle laissée par un objet sur un
sujet
, exactement comme la lumière laisse sa trace su
u'on peut ainsi résumer : 1° L'association fréquente chez un même
sujet
des trois formes de folie avec prépondérance d'
férant du type de Cotard. Dans ces cas, tantôt l'on a affaire à des
sujets
jeunes, ils ren- trent alors dans la classe si
uemment émoussée que chez les individus sains. Par contre, chez les
sujets
affectés de processus intra-craniens aigus, cet
vient de rechercher pour chaque individu (car il doit y avoir à ce
sujet
des variations personnelles), avec l'épicrâne et
e. Il y a un an fort traumatisme de la tête. La malade est toujours
sujette
à prendre froid ; la syphilis et l'uréthrite so
ceux qui voudraient se livrer à quelques études sur un des nombreux
sujets
qu'il contient. Charpentier. II. Cas de polio
e ces rapports que M. Féré a en- treprise dans le livre qui fait le
sujet
de cette analyse. Son but a été de déterminer a
nomès morbides qui tiennent plus à l'excitabilité pa- thologique du
sujet
qu'à la nature de l'excitant. Les excitations e
tiques ; aussi importe-t-il d'étudier avec soin l'état somatique du
sujet
pour chercher à découvrir d'abord s'il n'existe p
r tout ce qui concerne l'hygiène et le fonctionnemen t ' -Voir à ce
sujet
, Archives de Neurologie, t. XXI, p. 428 et suiv.
é mort dans un bateau de pêche voguant sur la Seine. Ce malheureux,
sujet
à de fréquents accès BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
is attaché dans la dernière leçon à vous faire reconnaître sur deux
sujets
appropriés et mis en pré- sence l'un de l'autre
possible de croire que ce soit là une mal- formation originelle. Le
sujet
a été militaire, il a été examiné à plusieurs r
que, envisageons cette hypothèse et poursui- vons l'examen de notre
sujet
. Si nous étudions l'état des différentes région
on enfance et jusqu'à l'âge de quatorze ans ou quinze ans, il a été
sujet
à des crises de nerfs très particulières, sorte
à une conversation, en un mot, de porter son attention sur un autre
sujet
que sur sa marche. C'est dans ce sens qu'il fau
oquer chez elle le grand hypnotisme avec sesphases classiques. A ce
sujet
, il a été plusieurs fois question d'elle en diver
rvé la cou- leur rouge foncée, que l'on est habitué à voir chez les
sujets
vigoureux ; ils paraissent même d'une apparence
ute le diagnostic et le pronostic portés; tandis que, chez d'autres
sujets
, les troubles auriculaires les plus persis- tan
quable, d'anxiété pénible, avec une faiblesse générale telle que le
sujet
se tient pendant des semaines cou- ché ; des su
on altérée à la suite de leurs attaques. Féré a récemment repris ce
sujet
. Le n° 275 qui entendait naguère la montre à 50
ère, cinquante et un ans, sculpteur sur bois, homme vif, em- porté,
sujet
à de fréquentes céphalalgies accompagnées d'épist
. éclamptique, ne reçut pas de coups, ne fit pas de chute, ne fut
sujette
ni aux vomissements, ni aux frayeurs, ni aux envi
siblement modifié. Ses tics conservent les mêmes caractères, il est
sujet
à de violents accès de colère contre ses camara
ry HERBEZ. (Gaz.hebd. deméd. et chil'" 1890.) Le malade qui fait le
sujet
de cette observation est un dégénéré héréditair
n dans les effets hypnotiques doit être un état mental personnel au
sujet
: par suite d'un trouble profond du mécanisme men
n auditive (temps d'aperception ; 3° le temps d'élection (on dit au
sujet
en expérience : vous ferez tel mouvement quand
e dans l'état de veille chez les mêmes individus. 3° Chez ces trois
sujets
, les opérations intellec- tuelles sus-désignées
le, avant l'hypnotisme. 5° Invariablement, quand l'état nerveux des
sujets
s'aggrave (accès d'hystérie antérieurs ou prodr
par le D' Ducamp. (Montp. mi., 1891, t. IL) L'ataxique qui fait le
sujet
de cette observation était malade de- puis dix
(Montpellier méd., 1891, t. II.) La dermographie présentait chez le
sujet
de cette observation les caractères suivants :
'âge parait diminuer la sensibilité galvanique. Chez la plupart des
sujets
, la première sensation lumineuse gal- vanique s
organes des sens. Pas d'acci- dents cérébraux. L'autopsie d'un des
sujets
a jusqu'ici démontré l'existence de l'atrophie
e de lire les comptes rendus et les publications quelconques sur ce
sujet
des religieux ou de leurs agents actuellement à l
à tel ou tel individu, et, inversement, l'entraînement des divers
sujets
, tout cela appartient au médecin. Ces asiles sero
p. 139.) Le Dr Giacomo a récemment publié des observations sur ce
sujet
. En voici le résumé. Le processus morbide détermi
e déduction géné- rale tirée de son examen de la littérature sur le
sujet
, et non par rapport au cas rapporté par le Dr T
opération. M. le Dr Tuholske termine la discussion en disant que le
sujet
n'était pas de son choix ; il ne se sentait pas
ousiasme pour la craniectomie linéaire; il a essayé de présenter ce
sujet
avec impartialité, montrant les bons résultats
s après l'opération, si on ne lui avait pas demandé d'écrire sur ce
sujet
. Il a pensé qu'il n'est pas question du diagnos
s Drs Bauduy et Bremer, et si l'o- rateur avait eu quelque doute au
sujet
du.diagnostic, il l'aurait exposé et se serait
qua que le Dr Tuholske avait été choisi pour lire un travail sur ce
sujet
, parce qu'il était le seul chirurgien de. cette
que et de ses interprétations. Pour mettre un peu de clarté dans un
sujet
si vaste il a commencé par dresser un tableau s
artie comprend l'étude des troubles du langage mimique. C'est là un
sujet
encore bien vague et où les recherches sont trè
et que, se trouvant endormi d'un sommeil magnétique, l'accusé était
sujet
à une sorte de manie homicide. Le docteur Gardn
, a hypnotisé Livernash et, pour prouver l'insensibilité absolue du
sujet
, a planté une longue épingle, successivement, d
monoplégies sans troubles de la sen- sibilité, mais en suggérant au
sujet
l'absence de ces troubles *. 1 . , ' 1 Nous p
our cela, ainsi que nous l'avons vu plusieurs fois, de persuader au
sujet
, au moment même où a lieu la suggestion, que le
genre. Mais, en somme, nous n'avons pu exa- miner encore qu'un seul
sujet
et nous ne voulons et ne pou- vons rien conclur
u système nerveux qu'on voit coexister le plus souvent chez un même
sujet
, et il est parfois difficile de sé- parer dans
plégie hystérique flasque. Sexe. Sur ces 31 cas, 23 ont trait à des
sujets
du sexe masculin et 8 à des féminins. Age. L'
ès grande qu'a présentée l'affection comme évolution chez les trois
sujets
qui ont déjà succombé. Elle a commencé à peu pr
ique pour être démontré aux étudiants; comme un cons- crit il était
sujet
à l'épreuve. L'individu d'une taille moyenne, d
des autre phé- nomènes et conduisent à une conception d'ensemble du
sujet
, ce sont : 1° le fonctionnement général des fac
re qu'ils restent à peu près invariables à toutes les périodes. Les
sujets
sont tou- jours des émotifs, des hésitants, des
Quand il y avait manie chronique simple et non démence maniaque, le
sujet
se montrait, pendant un certain temps, normal a
lose. On trouve à la fin de ce mémoire une bonne bibliographie du
sujets
R. 11.-C. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PS
tom- ber dans des considérations extra-scientifiques auxquelles ce
sujet
aurait pu le mener. La troisième partie, la p
ion ; se sont les suivantes; nous les.reproduisons ici parce que le
sujet
, en -traversant la Manche, ne perd rien de son
rotéger contre ce danger. Le livre qu'a écrit le Dr Prince sur ce
sujet
est à propos et con- tient des conseils de gran
ent sous différentes formes et à différentes époques chez les mêmes
sujets
; 50 ils n'ont habituellement pas sur la santé g
t habituellement pas sur la santé générale et sur l'état mental des
sujets
qui en sont atteints le retentissement profond
tile en résument les travaux qui ont été récemment publiés sur ce
sujet
par MM. Moebius', Oppenheim2, StrumpeIl3,Jolly",
ation verbale, ou bien unsimple choc qui éveillait dans l'esprit du
sujet
une idée et une émotion analogues produi- saien
ée se transforme en mouvement sans l'intermédiaire de la volonté du
sujet
. Ce fait est caractéris- tique et il a servi à
s ne semblent en relation avec au- cune idée, aucune imagination du
sujet
. Le malade, de quelque manière qu'on l'interrog
ent en examinant des tics ou des spasmes. Les uns ont lieu quand le
sujet
y pense, ils disparaissent quand le sujet est d
Les uns ont lieu quand le sujet y pense, ils disparaissent quand le
sujet
est distrait ou qu'il s'endort, ceux-là peuvent
e rattachés à une idée. Mais les autres se produisent même quand le
sujet
n'y pense pas ; le spasme persiste malgré la di
qui dépendent d'une représentation mentale. Au début, peut-être, le
sujet
a eu conscience d'une émotion, d'une idée plus
INITIONS RÉCENTES DE L'HYSTÉRIE. 427 sions, de cris, de paroles. Le
sujet
n'a pas dans l'esprit la repré- sentation de to
phénomène physique, car elles sont indé- pendantes de la pensée du
sujet
et il suffit quelquefois pour les provoquer non
ons pas davantage en présence d'une idée fixe, claire et simple. Le
sujet
ne sait pas ce qui se passe pendant son somnamb
peut être déterminé que par rapport à un autre moment de la vie du
sujet
, à l'état normal ou l'état de veille ». L'oubli
'oubli de tout ce qui s'est passé pendant le somnambulisme quand le
sujet
revient à l'état normal, malgré toutes les comp
me. Le plus souvent, les souvenirs perdus réap- paraissent quand le
sujet
se retrouve de nouveau dans l'état anormal et c
tes de la seconde existence. Certains délires même dans lesquels le
sujet
crie, injurie, semble jouer un rôle, ne sont ég
pagnés d'un grand nombre de symptômes appar- tenant à l'attaque. Le
sujet
continuait dans une attaque sui- vante les acte
ajouté quelques notions à cette étude faite a la Salpêtrière. Les
sujets
, disions-nous, passent très facilement d'un état
u corps aura été douloureux au moment d'une émotion, l'attention du
sujet
1 Charcot. Maul, du syst. nerveux, t. I, p. 417
que de convulsions, de même qu'il suffit d'appeler quelques-uns des
sujets
qui ont été décrits du nom que je leur ai donné
nt fois, ce sont toujours à peu près les mêmes actes chez les mêmes
sujets
. Enfin, on constate encore le même caractère da
e encore le même caractère dans les somnambulismes artificiels : le
sujet
a les mêmes aptitudes, les mêmes paroles, il ob
tat suivant qu'on le touche ici ou là. Si l'opérateur se trompe, le
sujet
ne se trompe jamais et il fonctionne très mal q
évidemment la reproduc- tion minutieuse d'un événement de la vie du
sujet
, identiques entièrement à la plupart des somnam
quer par les lois de l'émotion chaque atti- tude et chaque geste du
sujet
, mais nous pouvons supposer d'après bien des si
idées et les sen- timents qui envahissent régulièrement l'esprit du
sujet
avant l'attaque et qui le remplissent pendant l
t l'attaque et qui le remplissent pendant la crise. Et mettant le
sujet
en somnambulisme, en profitant du souvenir qu'il
qu'il y avait une certaine intelligence subsistant dans l'esprit du
sujet
à son insu, en dehors pour ainsi dire de sa con
de ce genre sont très nombreux; on les constate facilement quand le
sujet
est distrait et qu'on lui fait accomplir à son
dont nous avons pu vérifier l'exactitude, on peut provoquer chez le
sujet
non plus des mouvements, mais des hallucination
ui ont également leur origine dans des pensées subconscientes '. Le
sujet
, en fixant un mor- ceau de cristal, y verra des
ontrer cliniquement. Combien de fois n'avons-nous pas montré que le
sujet
par l'écriture automatique pendant la veille po
ces idées fixes ? Plus souvent encore, nous avons constaté que le
sujet
dans tel ou tel état hypnotique retrouvait complè
peuvent être arrê- tées dans leur développement par les efforts du
sujet
, parce qu'elles sont ignorées, qu'elles existen
pays chauds. Mais son mémoire est plutôt une intéressante revue du
sujet
qu'un exposé de ses vues personnelles. R. M.-C.
a de plus net c'est que, dans ces cas, il s'agis- sait toujours de
sujets
prédisposés. On a dit que l'influenza pouvait m
téro-épilepsie, et même, dans ces conditions, il admet que tous les
sujets
ne sont pas propres à la démonstration du grand
pense que les phéno- mènes hypnotiques varient beaucoup suivant le
sujet
sur lequel on opère. Il pense qu'en hypnotisant
que la forme légère de l'hypnotisme, telle qu'on l'observe chez les
sujets
sains, constitue un phénomène purement psychiqu
ont l'évolution est le plus rapide seront celles qui seront le plus
sujettes
à déchoir. 6° Dans les familles les plus progre
et Marie, médecins adjoints des asiles et co-auteurs du mémoire. Le
sujet
choisi pour Je prochain concours est le suivant
ce des aliénés atteints de tuberculose; des règles sont posées à ce
sujet
par JMM. GERLACH, 13essE et autres. La procha
morbide de la vie conceptuelle, d'une manière de sentir morbide au
sujet
des personnes et de la propre personne du sujet
e sentir morbide au sujet des personnes et de la propre personne du
sujet
. 11 en est ainsi de la plupart des malades qui
de la manière approfondie et complète, dont l'auteur a traité son
sujet
. . . Vingt planches très bien exécutées, six'ca
ongtemps, de leurs travaux traduits et commentés par ses pre- miers
sujets
, a bientôt énormément produit dans le sens que
tion, M. G.-R. LAU- RENT, interne à l'établissement, a écrit sur ce
sujet
sa thèse inaugurale ' qui a été récompensée par
mplement de consigner ici quelques considérations relatives à notre
sujet
. Quelle est la définition crue de l'idée fixe ?
s à la cons- cience. Tout au contraire, elle appelle le contrôle du
sujet
. Pour se hisser, par exemple, à la situation à
e cer- taine et sûre dans l'ensemble de l'existence antérieure du
sujet
qu'elle résume. Celui-ci, en pleine conscience, l
- tion, les études préalables ; tantôt c'est dans le caractère du
sujet
, dans le milieu où il a vécu, ou avec lequel il a
mmédiat prend donc le caractère délirant ou pathologique lorsque le
sujet
en estfaux et impos- sible par rapport à celui
sinon im- portante, au moins considérée comme telle. Nous autres,
sujets
sains, nous le dissipons par un examen attentif d
arguments con- traires, nous nous remettons, comme on dit. Chez le
sujet
transformé, comme nous l'avons indiqué, à son i
ées délirantes, concernant la personnalité physi- que et mentale du
sujet
, sont toutes accompagnées d'évalua- tions d'int
aison de l'idée fixe pathologique sont frappantes. La conscience du
sujet
l'admet l'idée FIXE. 45 malgré cela, ce qui p
égard d'une vieille fille, les reproches infructueux d'une femme au
sujet
d'une habitude insignifiante de son époux, le s
oir arriver à se prononcer d'après l'examen du motif invoqué par le
sujet
. Mais il n'a pas tardé à reconnaître que, dans
uelcon- que qui n'est pas forcément conforme à l'état d'esprit du
sujet
? Elle peut même être tout à fait étrangère aux a
it une idée vraie, sans que le patient en ail conscience. Non, le
sujet
la voit absurde, déraisonnable, criminelle, il ch
prend la forme d'accès, et toujours en provoquant la résistance du
sujet
qui sent ce qui se passe en lui. On a quelque
ces frap- pantes qui existent enlre l'obsession et l'idée fixe ? Le
sujet
en est très varié, la forme, multiple; ruminati
revêt ce caractère, plus le malade lutte en pro- testant contre le
sujet
de ces problèmes, de ces idées qui l'assiègent
urs sur l'ensemble des manières de voir et des croyances intimes du
sujet
. Elle modifie certainement pro- fondément les c
ystématisées vraies, c'est quand, malgré l'autophilie indéniable du
sujet
, elles ne se soudent point en un système délira
on des détails, sur lesquels, au début de l'accès, il semble que le
sujet
, qui en a parfaitement conscience, soit obligé
l'acceptent sans examen et sans que l'esprit ait à se préoccuper de
sujets
sou- vent abstraits, douteux ou insaisissables.
dans toutes les contrées protestantes, les dogmes religieux sont un
sujet
de libre examen et de discus- sions incessantes
'après Marcé, le culte dans lequel a été élevé ou que pro- fesse le
sujet
aurait une grande influence sur la forme du dél
l'épidémie première. ' Nos lecteurs consulteront avec fruit sur ce
sujet
, la très intéressante brochure de notre ami Tei
spontané), que, par suite d'une malformation congénitale, certains
sujets
naissent avec un corps thyroïde trop petit, ins
se accidentelle, les cas où, dans la même famille, il y a plusieurs
sujets
atteints d'affections d'origine thyroïdienne, p
viendraient eux-mêmes insuffisants, époque très variable, selon les
sujets
. A. FENAYROU. X. Névralgie paresthésique. Névri
on a cité, il y a quelques années, une observation qui a trait à ce
sujet
. Le Dr Piéchaud, au congrès des médecins aliéni
ière, au début de son travail, toute l'impor- tance pratique de son
sujet
, en affirmant avec l'autorité qui s'at- tache à
quelques semaines après son mariage, qui avait eu lieu en 1813. Le
sujet
de cette idée était qu'elle devait être fatalem
is plus tard cette idée lui revint et elle se mit à réfléchir à son
sujet
. Or, on peut se figurer les réflexions qui peuv
les buts qu'il se proposait. C'est un original, disait-on; il était
sujet
aux migraines, avait eu de la chorée de Sydcnha
'exercer une profession quelconque. Outre son originalité, il était
sujet
à des impulsions, commettant des fugues sans do
hallucinations de l'ouïe ont apparu, mais elles restent rares. Leur
sujet
correspond à celui de l'idée fixe première, et
e autrement équitable. Il est probable, dit-il, qu'il a fait sur ce
sujet
son examen de con- science et s'est trouvé coup
chés. 102 CLINIQUE MENTALE. Voici d'ailleurs ce qu'il écrit il ce
sujet
. ' « Asile d'Armentières, 5 mars 1898. (D'apr
constate entre eux toutes les transi- tions et on peut voir le même
sujet
passer de l'un à l'autre. L'insomnie n'est qu'u
urs en certains cas les trois phénomènes se présentent chez le même
sujet
il propos de la même idée fixe (P. JANET). 1
date de l'enfance, elle est très apparente ; mais la musculature du
sujet
étant vigoureuse, la gêne fonctionnelle n'est p
e, elle aggrave des ver- ti'ges et des défaillances auxquels il est
sujet
, et augmente un mal de tête qui se cantonne ave
un tableau les chiffres recueillis dans ses mensurations. Chez les
sujets
normaux, le rapport entre les longueurs du bras
aint-Pierre de Marseille, M. le ]Y Maunier nous a montré le malade,
sujet
de l'observation qui précède et que son interne
qu'il est bien difficile de définir d'une manière précise; certains
sujets
sont plus vulnérables que d'autre, maison ne pe
pe mortelle), et la démorphini- sation lente qui exigerait chez ces
sujets
une surveillance trop pro- longée et trop diffi
leur effort respectivement et toutes à la fois sur l'état mental du
sujet
, car un tic, simple ou complexe, et quelle que
irradiant la périphérie. Le dernier apparaît dans la conscience du
sujet
d'jjne façon qui l'étonne. I.e sujet ne peut sa
apparaît dans la conscience du sujet d'jjne façon qui l'étonne. I.e
sujet
ne peut saisir le mécanisme par lequel la sugge
ologiques, février iS9'J.) E. B. III. Consultation médico-légale au
sujet
d'un internement ; par le D'' Henry Bonnet. i
lgique, mars 1899.) Il faut distinguer, d'après l'auteur, parmi les
sujets
qui s'adon- nent à l'alcool : les buveurs d'hab
devra servir de guide pour apprécier le degré de responsabilité du
sujet
. Quant aux formes délirantes alcooliques elles
des états analogues, ' peut, même à l'état de veille chez certains
sujets
, se trouver en défaut, être diminuée et donner
simples, souvent d'une grande banalité, sous la forme desquels les
sujets
observés avaient emmagasiné dans leur mémoire l
stigmates congénitaux, maladie de Uecktinghausen, sont chez le même
sujet
confondus, engrenés. C'est qu'ils sont une seule
ions diverses des dents (en tout 204 anomalies den- taires chez 184
sujets
). Pourtant ces deux catégories d'anomalies ne c
dans le travail de Worobieff sur les particularités psychiques des
sujets
examinés. L. pense que la combi- naison des sti
et résister. Aussi n'y a-t-il pas d'accès paroxystiques, mais le
sujet
toujours prêt à s'exhiber succombe à la première
pure. M. Gilles de L1 TOUftETTE demande si ces deux malades sont
sujets
à la suggestion. M. RAYMOND. Ces malades n'ont
récemment, chez une malade atteinte de néoplasme intra- crânien et
sujette
à des actes caractérisés par quelques mouvements
space de temps d'une durée plus ou moins longue, chez les individus
sujets
à des crises d'épilepsie dite idiopathique, et
n résulte que la constatation de ce signe pendant une crise chez un
sujet
dont le réflexe cutané plantaire est normal en
iques, est toujours suivie de troubles trophiques, surtout chez les
sujets
jeunes '. m(;<omye'<<6 compliquant une
d'une suggestion faite par l'opérateur, ni d'une auto-suggestion du
sujet
. Sans doute, on peut, par suggestion, obtenir l
tionnelles profondes des centres cérébro-spinaux. Lors même que les
sujets
sont doués d'un certain développement intellect
port à l'habitude automatique dont ils sont atteints. En effet, ces
sujets
, tout en ayant conscience des dangers que leur
assez rapidement par l'application de la suggestion hypnotique. Les
sujets
ne tardent pas à recon- naître qu'ils sont capa
les réactions respiratoires prennent une importance telle que les
sujets
pourraient être classés en deux groupes réactionn
ent lieu à des réactions diverses selon le morceau et l'aptitude du
sujet
à la musique. 4° Lorsqu'il s'agit de phénomènes
ats neurasthéniques et hystériques, comme il peut aussi conduire le
sujet
soit à l'hystérie, soit à la neu- rasthénie. M.
, Quant au pronostic, il dépendra de l'état de santé habituel du
sujet
, de ses tendances pathologiques, de la fréquence
cation, diminue l'énervement. L'éducation sérieuse de la volonté du
sujet
sera aussi un excellent complément du traitemen
uit de l'observation concentrée, étude longue et profonde d'un même
sujet
qui présente un double danger : de dressage du su
onde d'un même sujet qui présente un double danger : de dressage du
sujet
par l'observateur, et... celui de l'observateur
age du sujet par l'observateur, et... celui de l'observateur par le
sujet
: plus l'observateur croit à l'importance d'un
l'importance d'un fait, d'un détail, plus ce détail grandit chez le
sujet
, et réciproquement, plus ce fait se montre avec
- taient de reviser les observations et doctrines anciennes il ce
sujet
. Nous étudierons successivement : 1° Le rôle de
n rôle oculo-moteur à l'écorce du lobe occipital. Nous avons à ce
sujet
un certain nombre de données expérimentales. Be
phtalmique constitue le signe de de Graefe. 2 Cette partie de notre
sujet
vient d'être étudiée d'une façon magis- trale p
deux centres oculo-moteurs ? Nous serons beaucoup plus réserve à ce
sujet
à cause de la rareté des faits et leur an- cien
tre cas que nous avons rapportés, il est possible que chez d'autres
sujets
, le centre uculo-motQUr postérieur puisse jouer
ndue de sa chambre, portant une bougie à la main ; comme elle était
sujette
à des attaques d'épilepsie, on suppose qu'elle
chacune des limites nécessaires : il ne peut qu'effleurer cet tains
sujets
. Aussi rencontre-t-on par endroits un manque de
nu une connaissance insuffisante d'un fait ou une idée fausse à son
sujet
. Pour prendre BIBLIOGRAPHIE. 2'il 1 des exemp
ques, il était intéressant de savoir s'ils étaient particulièrement
sujets
au rêve subconscient, et si oui quelle part ce su
L'obsession-inhibition est une lésion de la volonté d'action ; le
sujet
essaie vainement de transformer une idée en acte,
a le pouvoir de faire des précoces, il tous les points de vue, des
sujets
qu'elle atteint, aussi bien dans le domaine physi
cirende Erinnerungstaenschung de Iraepeliu) chez les aliénés et les
sujets
normaux. - Lévy (Paul-Émile). L'éducation ratio
d'aucune des causes déjà citées, et « survient sans fièvre chez des
sujets
qui ne sont ni des malades ni des intoxiqués ».
binée d'une série de causes d'ordre psy- chique ou physique sur des
sujets
prédisposés. L'action pathogène de ces causes n
encore bien des divergences d'opinion entre les aliénistes, sur ce
sujet
en général, et sur- tout sur l'importance relat
: Observation. Sommaire : Ligature de l'artère axillaire chez un
sujet
prédisposé à la folie par une hérédité alcoolique
ponse; la recherche de la solution attendue nécessite de la part du
sujet
un effort considérable, mais encore souvent ins
l des folies toxiques, les troubles psychiques constatés chez noire
sujet
, rentrent dans la catégorie des faux délires po
e ces facteurs est démontrée par ce fait que l'immense majorité des
sujets
atteints d'infection à la suite d'opérations ch
durée de la maladie, le symptôme fondamental de l'état psychique du
sujet
a consisté en une désorientation très pro- nonc
tour, suivant leur nature gaie ou triste, sur la manière d'être du
sujet
, ont provoqué une série d'alternatives irré- gu
écutifs à une distension de l'estomac. C'était une neu- rasthénique
sujette
depuis longtemps aux vertiges, aux céphalées et
n cesse de l'interroger, elle se met à délirer toujours sur le même
sujet
; elle raconte qu'une malade de la salle a placé
llontauban. Notre attention a été plusieurs fois appelée, chez les
sujets
atteints de psychoses diverses, sur la fréquenc
ervation cou- rante que toute modification psychique, même chez les
sujets
normaux, a un retentissement sur la sphère vaso
s sueurs, et jusqu'à l'angoisse précordiale. D'autre part, chez les
sujets
prédis- posés, la frayeur ou les chagrins produ
core si incomplète, nous réserve sans doute de grandes surprises au
sujet
des fibres incon- nues qui relient les divers c
absolument défaut sur les instincts et les tendances sexuelles du
sujet
. IV. Etat psychique. - Le vocabulaire de est tr
qu'il en soit, c'est à la caté- gorie périnéale qu'appartient notre
sujet
, puisque l'orifice uréthral est situé chez lui
ncurve alors la verge en bas. Rien de semblable n'existe chez notre
sujet
; mais la verge est très petite, très atrophiée;
st très complexe, et il n'y a pas à compter sur eux pour classer le
sujet
dans l'un ou l'autre sexe. C'est la glande géni
mpossible, par l'habi- tus général du corps, d'affirmer le sexe. Le
sujet
était mâle par la barbe, la voix, le larynx, pa
la présence de caractères fémi- nins chez un hypospade, chez notre
sujet
en particulier, n'est pas le fait d'une coïncid
issait chez M... dans la station accroupie, comme chez la femme; le
sujet
d'ailleurs s'était toujours considéré comme fem
patible avec ce degré d'hypospadias ; il y a lieu de remarquer à ce
sujet
le développement des testicules, qui ont tous d
donné lieu à des symptômes alarmants, a pu cependant débi- liter le
sujet
et précipiter le dénouement. A noter le poids d
existe une relation de cause à effet entre l'idiotie congénitale du
sujet
et l'hypospadias. La question est anologue à ce
i conseille aux médecins aliénistes et légistes de considérer les
sujets
de ce genre comme des dégénérés et de les traiter
est une des plus fréquentes : il a été trouvé dix-sept fois sur 260
sujets
, débiles, idiots ou épileptiques, alors qu'à l'
ns mélancoliques jusqu'au suicide, les autres maniaques. Chez notre
sujet
, il est remarquable de voir coïn- cider une idi
ivants : ou bien elle est objective et réelle, et dans ces cas, les
sujets
qui en sont atteints, présentant une imperméabili
st subjective ou fausse, le nez étant en réalité perméable, mais le
sujet
, par une illusion res- piratoire ou par interpr
la con- traction de l'iris. Mais on n'a point fait d'essais sur ce
sujet
chez l'homme, dans les paralysies de l'oculomot
nicité des muscles sains. Cela serait probable- ment possible si le
sujet
était plongé dans une profonde narcose chlorofo
dû, pour lui, à une lésion légère des téguments de la tempe chez un
sujet
prédisposé. P. KERAVAL. XL \11. Contribution à
- M. POSTOWSKY fait remarquer que la deuxième malade de P... était
sujette
à des hémorragies dès l'enfance. SOCIÉTÉS SAVAN
difiée par von Monakow. Ainsi, très variés, mais connexes, sont les
sujets
que l'auteur aborde dans son travail inaugural.
ées et précédées d'une revue générale de tout ce qui a été dit à ce
sujet
. Les enfants de paralytiques généraux meu- rent
l'hérédité congestive par opposi- tion à l'hérédité vésanique, ces
sujets
sont sous le coup de toutes es maladies avec ou
ère leçon d'ouverture à la chaire de pathologie men- tale aborda ce
sujet
; depuis, il y est revenu à plusieurs reprises.
uditif cortical. » Signalons encore la thèse de Marson3 sur le même
sujet
. Après l'étude d'ensemble des hallucinations ps
voue exceptionnels. D'ailleurs, l'un des malades de M. Vallon est
sujet
à critique, M. Vallon lui-même avoue que c'est un
sque tous nos malades ce fait observé déjà par les auteurs, que les
sujets
, au moment oit la voix intérieure se fait perce
par le médecin de la famille). - Père, négociant en vins, excellent
sujet
, mais à la suite de contrariétés, s'est mis à boi
st un véritable enfant; ce n'est pas un déséquilibré, mais c'est un
sujet
à cases vides. » 2° Garçon, mort d'une bronchit
sertions formulées par M. Van Gehuchten dans un travail sur le même
sujet
, publié dans le nu- méro dn 4 janvier 1899 de l
la pratique médicale courante, ne paraissent pas devoir éclairer le
sujet
qui nous intéresse. Le symbolisme suggestif qui
lents résultats : comme il avait en outre l'avantage d'utiliser des
sujets
considérés jusqu'alors comme des non-valeurs et d
ultiples et incontestables du travail. Quant aux aliénés aigus, aux
sujets
curables - les plus intéressants sans con- tred
aliénés, on distrait ces malades, on arrête leur attention sur des
sujets
raisonnables, on les amène à des habitudes d'ordr
é des maladies mentales; elle a fait perdre de vue la catégorie des
sujets
- ceux atteints de psychoses aiguës que la natu
l'asile considéré comme un dépôt de chroniques, d'incurables et de
sujets
dangereux ou, dans l'appréciation le plus favor
es (paralysie géné- rale, démences, délires systématisés, ètc). Les
sujets
atteints de ces affections doivent être considé
apeute, c'est l'état d'épuisement du cerveau et de l'organisme. Ces
sujets
sont des épuisés et des surmenés. Le surmenage
des maladies mentales, puisqu'il est appliqué précisément chez les
sujets
qui ne peuvent bénéficier des bienfaits du trav
repos, recommande'1'exercice chez tous les aliénés, sauf chez les
sujets
neurasthéniques, les vieillards et dans les cas d
de l'alitement. Comme on le voit, l'idée de soigner par le lit les
sujets
atteints de psychoses aiguës afait du chemin de
que. » L'autopsie du malade révéla quelques faits intéressants au
sujet
de la pathogénie de ses hallucinations psycho-mot
ps, enfin, par la présence des stigmates de dégénérescence chez les
sujets
atteints. Les trois observations publiées qui p
étant intacts, la miction est difficile, voire impossible quand le
sujet
n'est pas seul. Efforts multiples impuis- sants
gane; c'est que l'autre moitié peut la rem- placer totalement. A ce
sujet
, il est intéressant de noter : l'existence de c
rapporté les études de Liégeois, Beaunis, Bernheim, Garney, sur ce
sujet
, rapporte les nouvelles expériences faites par
thode à suivre pour le développer. M. Thulié connaissant il fond le
sujet
, dont il nous entretient, il serait désirable q
) Le nommé Edmond Chartier, trente-deux ans, de Pommartin (Aube),
sujet
à des accès de folie, a tué sa voisine, la femme
rapport sur son état mental, par Garnier, 137. Consultation au
sujet
d'un internementpar Bonnet, 138. Méningite. E
océdant ainsi, à reconnaître que des modifications constatées chez un
sujet
isolé, mais qui n'avaient rien de saillant par el
il faudra faire des épreuves instantanées, à cause de la mobilité du
sujet
. Comme celui-ci sera généralement nu, il ne saura
a été dressé par M. Louis Cousin, architecte. Nous lui adressons à ce
sujet
nos plus sincères remerciements. Fig. i. couc
us longues que d'habitude, et, d'autre part, l'immobilité complète du
sujet
est encore plus indispensable : cependant toutes
es qui peuvent avoir leur utilité pour un étudiant ou pour un médecin
sujet
à se déplacer, nous avons combiné un meuble à dév
suite, Fig. 8. Chambre double. deux images identiques de notre
sujet
(Jîg- 8). L'un des objectifs sert à photographier
se question dans n'importe quelle branche de la Photographie; dans le
sujet
qui nous occupe, il en sera de même. Quelles qual
te méthode, nous renvoyons le lecteur à ce que nous avons publié à ce
sujet
dans un Ouvrage antérieur (1 ). Second procédé.
ère. Nous faisons alors à la chambre noire deux instantanés d'un même
sujet
, en ayant soin de poser les deux plaques l'une ap
/ A. Plein soleil sur le sujet-. — B. Ciel bleu sans soleil sur le
sujet
. — C Ciel couvert et gris. — D. Ciel couvert et t
us la latitude de Paris, au niveau de la mer, par plein soleil sur le
sujet
, est prise pour unité. 2. Influence de l'object
dre de cet Ouvrage ne nous permettant pas d'insister davantage sur ce
sujet
. (') Londe, Traité pratique du développement. P
ble en ce sens qu'ils mettent sous les yeux de tous l'image fidèle du
sujet
étudié. L'étude du nu pathologique trouvera don
ie seulement de celui-ci, puis celles dans lesquelles le mouvement du
sujet
nécessite des dispositifs spéciaux. 1. Reproduc
n agrandissement comme nous l'indiquerons plus loin. L'éclairage du
sujet
devra être fait de façon à éviter les oppositions
p accentués, on lesatté nuera en augmentant la pose. Au contraire, le
sujet
manque-t-i d'oppositions, on obtiendra d'excellen
es diverses hypothèses sera conduil différemment. Nous renvoyons à ce
sujet
à ce que nous avon; dit dans le Chapitre II. Il
édecin qu'il appartiendra d'indiquer les positions dans lesquelles le
sujet
devra être reproduit. On obtiendra ainsi limage
'un malade présentant une anomalie quelconque. Voici, par exemple, un
sujet
atteint de déviation de la colonne vertébrale dan
re de la grande hystérie, est ordinairement passager, mais, chez le
sujet
en question, il a persisté pendant de longs mois.
i que l'on peut s'en rendre compte sur une autre photographie du même
sujet
faite dix ans auparavant et qui est jointe à l'ob
fort difficile de faire ces rapprochements si l'on n'a pas les divers
sujets
sous les yeux en même temps. Au contraire, les ép
ien d'anormal et ce n'est que par leur répétition constante, chez des
sujets
atteints de la même affection, qu'elles prennent
distance à laquelle on opère, il faudra une immobilité rigoureuse du
sujet
pendant Je temps reconnu nécessaire, temps qui dé
'iode faite huit jours auparavant et qui, absolument invisible sur le
sujet
comme nous l'avons vérifié et fait constater par
rale ou physique empêche d'exiger de lui ce que l'on demanderait à un
sujet
moins gravement atteint. Pour certains malades
croquis d'après nos photographies originales. Nous lui adressons à ce
sujet
tous nos remerciements. Voici, par exemple, une
trouvé la valeur clinique de cette attitude particulière chez chaque
sujet
, mais peut-être existe-t-elle, et à coup sûr, en
muscles de la face, ils ont répété ces expériences classiques sur des
sujets
cataleptiques. Les résultats différents ont été d
, les muscles de la face entraient seuls en action, tandis que sur un
sujet
cataleptique, l'action du nerf faradisé se transm
, d'après nos photographies représentant les mêmes attitudes, chez un
sujet
en état de léthargie (fig- 38). Là ne se bornen
la qualité des résultats et il est nécessaire de n'opérer que sur des
sujets
très actiniques : c'est ainsi que les modèles son
re, l'appareil fonctionne indéfiniment. Comme nous avons affaire à un
sujet
endormi et à des mouvements dont la durée totale
— Reproduction de certains tics à courte distance : les mouvements du
sujet
peuvent n'être pas très rapides, mais être effect
audra opérer dans de belles conditions de lumière et faire marcher le
sujet
sur une piste parallèle ou perpendiculaire à l'ob
plusieurs difficultés. Ils constituent tout d'abord la catégorie des
sujets
auxquels on ne saurait demander l'immobilité, à c
lus grande facilité de mettre au point en même temps que l'on vise le
sujet
à reproduire. Aussitôt ment décrits qui prennen
sin à l'obligeance de notre ami M. Martin, et nous lui adressons à ce
sujet
nos plus sincères remerciements. la nettelé obt
hèse, et elle se présentera fréquemment, dans laquelle la mobilité du
sujet
crée des difficultés spéciales; mais il n'en sera
mi M. le Dr Gartaz, l'éminent spécialiste, et nous lui adressons à ce
sujet
nos sincères remerciements. La reproduction pho
4. difficultés qui tiennent à la tolérance plus ou moins grande des
sujets
à examiner, à la difficulté d'éclairer fortement
nd speeck. Londres. (2) New-York med. Journ., 3i janvier 1891. et
sujet
d'examen M. Behnke, professeur de chant, très ver
rface plane pour réfléchir la lumière. Pour obtenir une épreuve, le
sujet
placé devant l'appareil photographique tient, dan
e miroir laryngé, éclairé par l'appareil électrique situé de côté. Le
sujet
se voit dans une petite glace attachée au volet d
iver à mieux encore, par le perfectionnement des appareils. Quant aux
sujets
dociles, faciles à examiner, ils se trouvent aisé
rend facilement d'autre part les dangers qui peuvent résulter pour le
sujet
d'un tel éclairage : aussi ces expériences ne doi
s à un chariot mobile coulissant dans la direction que doit suivre le
sujet
. Cette direction est perpendiculaire à l'axe de l
diqueront à chaque instant la position de la partie correspondante du
sujet
étudié. Mais ces trajectoires seraient incomplè
ig- 58). Fig. 58. Reproduction d'écritures. — Certains nerveux ou
sujets
atteints de crampes variées voient leur écriture
sque d'avoir une épreuve floue par suite de la surprise qu'éprouve le
sujet
photographié. Pour vérifier ce fait nous avons
minaison fatale, le rôle du médecin n'est pas terminé : l'autopsie du
sujet
est quelquefois nécessaire; il devra en effet iso
pourrions citer nombre de discussions entre savants sur tels ou tels
sujets
, qui ne provenaient que d'interprétations différe
des coupes peut entraîner beaucoup d'insuccès; aussi devons-nous à ce
sujet
faire une étude spéciale. Nous avons vu dans le
cessaires pour cette partie de notre travail. Nous lui adressons à ce
sujet
nos plus vifs remerciements. Mais, au point de
violente. Se procurer, si possible, une photographie antérieure du
sujet
. Le 6 décembre i8yi. Le Médecin, Charcot.
as attendre trop longtemps pour terminer les épreuves, car elles sont
sujettes
à s'altérer, et l'opération du virage se fait moi
de glycérine et l'on ajoutera quelque gouttes d'ammoniaque; pour les
sujets
délicats où il y a des finesses, on prendra ~ d'e
es auditeurs les malades dont il parle. Quand il ne pourra montrer le
sujet
lui-même, ce qui est a priori préférable, il pour
étrole. Ils seront suffisants dans bien des cas. (') Consulter à ee
sujet
la Pratique des projections, par H. Fourtier. Par
ar il permet de déterminer avec certitude la profession exercée parle
sujet
examiné. L'étude de ces lésions, de ces modific
ppareil compliqué des facultés dites supranor- males de son curieux
sujet
et en cataloguer les éléments maladifs, combien
tant et par la mauvaise influence qu'il imprime à la vie sociale du
sujet
en raison des actes extravagants auxquels celui
n pro- grès nouveau accompli pour la désorganisation psychique du
sujet
. Il peut même constituer le mode de terminaison
, p. 310. , 4 CLINIQUE MENTALE. entraînement spirite préalable du
sujet
. Une seule séance de table tournante suffit pou
séance, son oncle mourut et elle ne revint pas de longtemps sur ce
sujet
. Toujours lasse de son milieu et toujours plus
et nette; mais Cam... ne savait à qui l'attribuer, quand un nouveau
sujet
de rancoeur lui vint. M. Schtein, névropathe lu
une dame qui avait fait tourner des tables et qui l'entretint de ce
sujet
. L'envie la prit aussitôt d'essayer toute seule
vraisemblable,étant donnée l'allure toujours transcendantale de ses
sujets
de conversation habituels. En par- lant de son
fois le mot de Cambronne pour l'un de nous qui plai- santait à son
sujet
. Ces grossièretés sont monnaie courante en mati
développement. Si on compare les crânes des idiots à des crânes de
sujets
normaux, on constate une diminution des diamètr
n processus morbide. ' Nos observations portent sur les crânes de
sujets
porteurs d'hémisphères de poids et de volumes d
crânes comme nous l'avions fait avec un crâne de myxoedé- mateux au
sujet
duquel nous avons publié récemment quel- ques r
OLOGIQUE. peu accentuée d'autre part ceux qui appartenaient à des
sujets
peu avancés en âge. Dans le premier cas la base c
ndant à une moindre pression on a un aspect qui serait normal si le
sujet
était encore en bas âge. Par suite de cet aplat
gues à ceux que nous avons rencontrés chez les microcéphales et les
sujets
ayant un faible volume encéphalique. Il y a des
de tétanie in- termittente ne se rencontre pas communément chez un
sujet
tel que celui dont il s'agit. C'est un jeune ho
Elle n'en peut fabriquer que des contrefaçons mauvaises. Mais qu'un
sujet
, déjà hystérique, puisse être par surcroît atte
sements fécaloïdes avaient déjà été observés dans l'hystérie. Le
sujet
étudié dans ce travail est un homme de quarante-c
lles de La Tourette. M. Marie. A propos du procès-verbal. Chez un
sujet
atteint du syndrome que dans leur dernière comm
M. Déjerine a cependant depuis cette communication autopsié deux
sujets
atteints de ce syndrome et trouvé des lésions tha
t visuelle, ainsi que d'exalter la résistance physique et morale du
sujet
. M. Paul Fartez. - De nombreuses observations c
notre peine, ren- forcer notre action et diminuer la résistance du
sujet
, nous devrons, de plus en plus, posséder tout u
s intervalles isochrones, mais synchrones au rythme respiratoire du
sujet
. M. Paul MAGNIN. Il y a quelques jours, un mala
tème nerveux ; elle se constate chez les idiots, les imbéciles, les
sujets
atteints de débilité mentale accentuée ou d'ali
gique; elle se rencontre Si 1 SOCIÉTÉS SAVANTES. surtout chez les
sujets
dont l'intellectualité est très développée. Ceu
venin, régisseur du cirque Amato, installé à Chartres, et qui était
sujet
à des hallucinations. Il fut transporté à l'hôp
trophie des troncs nerveux périphériques, le tout survenant chez un
sujet
ayant séjourné dans un pays où la lèpre est end
-utérine. Comment maintenant se fait l'apport du bacille chez les
sujets
qui prennent la maladie ? Tout fait penser que le
de là ils seraient transportés accidentellement sur l'épiderme des
sujets
sains et pénétreraient dans l'épaisseur de la p
eus encore, faisant une révélation psychographique mécanique sur un
sujet
d'ordre général s'interrompra lui-même pour adr
ritisme auxquels elle se livre spontanément sans rien savoir sur ce
sujet
don telle a seulement eu fendu quelquefois pai 1e
ses conceptions et de quelques-uns des phénomènes dont elle est le
sujet
; elle comprend le danger qui la menace et accep
dans son cas la plupart des spécialités médianimiques que tous les
sujets
spirites ne possèdent pas toujours en aussi gra
rites ne possèdent pas toujours en aussi grand nombre. Elle a été
sujet
auditif, parlant, voyant, sensitif, psychographe
oup discuté la valeur des communi- cations diverses que beaucoup de
sujets
des séances courantes MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 14'
isme pur avec le mysticisme et la théoma- nie raisonnante. Tous les
sujets
atteints de semblable état ayant pu vivre de la
il a dû s'aliter et dormir longtemps, il a été à partir de ce jour
sujet
à des phobies incessantes et surtout à une agor
hobie d'une rare intensité. Peu causeur, concentré mais sans rêver,
sujet
à des superstitions de joueur, sa conduite a do
ent ses conseillers habituels et lui donnent des explications à son
sujet
. La vie désor- donnée qu'il mène afflige les si
constant. ment à l'état normal et échappe à l'influence mentale du
sujet
. L'os n'a rien à voir en l'espèce puisqu'on peu
hypertrophie osseuse. ' MM. GUILLAIN et COURTELLEMONT présentent un
sujet
atteint d'un noevus variqueux ostéo-hypertrophi
tion de la psychose par rapport au traumatisme initial. Examen du
sujet
au point de vue des stigmates dégénératifs persis
les familles de traumatisés aliénés ' demanderont des indemnités au
sujet
des troubles mentaux consécutifs. Ces trou- ble
mmuniquée : a) Relativement à la différence intellectuelle des deux
sujets
, la fille, organe actif, est inférieure à la mè
hvé lui parle et qu'il est son ministre sur la terre ; orgueilleux,
sujet
à de violentes colères et à des impulsione morb
lée et l'existence secondaire de ces noevi discutée. L'étude de 349
sujets
obser- vés de 1898 à t904, dans la première sec
, on observe très fréquemment des noevi acquis puisque, sur ces 349
sujets
dont les plus jeunes ont au moins'dix-huit ans,
els de la timidité consiste, on le sait 1, dans le souci qu'ont les
sujets
du jugement d'autrui sur leur apparence visible
La conséquence naturelle de ce malaise et de cette peur, est que le
sujet
s'efforcera de se soustraire le plus souvent à
, le moyen le plus simple est de baisser les paupières : ce que les
sujets
font le plus souvent. Mais lorsqu'ils sont obli
re. Mais parfois, elle s'installe à demeure dans la cons- cience du
sujet
comme une véritable obsession. Chez l'un d'eux
cas, la phobie du regard repose sur un fond de timidité : et les
sujets
présentent les grands symptômes ordinaires de cet
irmité sociale. Cette phobie du regard provient, d'après l'aveu des
sujets
, d'une étiologie assez complexe. En ce qui conc
ce qui sépare la phobie du regard de la phobie de la rougeur. Les
sujets
atteints d'éreuthophobie se cachent et souffrent
des facultés intellectuelles, qui atteint de préférence les jeunes
sujets
, s'accompagne presque toujours de troubles psyc
t. dans une simple docilité ou une sorte d'activité imilative des
sujets
, qui exécutent les actes les plus baroques qu'on
que, irraisonnée et inconsciente. La désagrégation psychique de ces
sujets
s'accuse encore par l'apparition des phé- nomèn
eurs ont constaté une exagé- ration des réflexes tendineux chez les
sujets
en état de stupeur ou de demi-stupeur. Par cont
momentanément masquée par des phénomènes délirants; ceux-ci sont
sujets
à des rémissions et peuvent même disparaître tout
de ces malades. 0 En réalité, la systématisation des idées chez ces
sujets
est loin 224 SOCIÉTÉS SAVANTES. d'être aussi
de délire systé- matisé chez des vieillards, c'est-à-dire chez des
sujets
dont le cer- veau est en voie de régression ath
e, à l'occa- sion de la statistique de M. Coulonjou (d'Alençon); le
sujet
n'est pas nouveau, mais les partisans de la civ
ultés inhérentes à toutes les déter- minations de sensibilité : les
sujets
hésitent, se contredisent et il z est le plus s
t cinq minutes et en les interrogeant sur leurs sensations. Sur 203
sujets
examinés (t 11 femmes et 192 hommes), la propor
it 77 p. 100 chez les femmes et 61 p. 100 chez les hommes. Chez les
sujets
hystériques, au contraire, les phéno- mènes de
s mots les résultats de nos recherches, prati. quées sur près de 80
sujets
normaux. La piqûre de.la cornée est ressentie,
nflits, crimes, attentats à l'inté- rieur, par là aussi modifié les
sujets
difficiles, vous vous trouvez cependant en prés
xpression de tendances particulières, inhérentes à la nature de ces
sujets
, tendances qui se manifestent à l'occasion de l
les. Cette cause réside dans le tempérament, la constitution de ces
sujets
. Cela étant, il est légitime d'avoir recours pour
bide, l'autre criminel, il existe une autre catégorie com- posée de
sujets
qui sont uniquement des malades, mais qui réa-
ument irréducti- bles. - M. Durai : . J'estime que, pour tous les
sujets
à criminalité pathologique, aliénés non déliran
me origine du poumon et du cerveau : le feuillet externe; 5° Chaque
sujet
nait avec un potentiel nerveux ; il peut l'élev
us le nom d'am- bulances anti-alcooliques, des consultations où les
sujets
sont traités par l'hypnotisme. Ces consultation
ovoquent l'habitude de boire sont très variées et la résistance des
sujets
à l'impulsion est très différente ; la cure du
ssaires pour arriver à la guérison. Il en résultait que beaucoup de
sujets
bien iutentionnés, ne pouvant interrompre leurs
suivants : 1° Etudier préalablement la suggestibilité naturelle du
sujet
, en un mot, faire le diagnostic de la suggestibi-
e, ou tout au moins un état de passivité qui s'en rapproche ; 3° Le
sujet
étant dans l'état d'hyp- . SOCIÉTÉS SAVANTES. 2
es impulsions ; 5° Après l'opération, procéder au réveil complet du
sujet
. Les impulsions irrésistibles ou les habitudes
tinence d'urine. La méthode ne donne de bons résultats que chez les
sujets
doués d'un certain développement intellectuel.
d'une innocuité absolue et ne comporte aucun inconvénient pour le
sujet
soumis au traitement. Documents figurés représe
s). A l'occasion de plu- sieurs cas de tics observés chez de jeunes
sujets
venus à la consul- tation de M. le professeur B
3° Les tics de frappement (coups de poing ou coups de pied que le
sujet
se donne à lui-même) sont des phénomènes de même
part une sensation anormale (démangeai- son, petite douleur) que le
sujet
cherche à atténuer. L'acte moteur passe, par ré
s sensations soient la conséquence même des mouvements nerveux, les
sujets
ont tou- jours tendance à croire l'inverse. Il
es fonctionnels SOCIÉTÉS SAVANTES. 275 viscéraux. Chez les jeunes
sujets
, une surveillance attentive des fonctions viscé
marche, présente des ressem- blances cliniques frappantes avec les
sujets
atteints d'hémiplégie progressive. i Le phéno
ant, quel est le côté oscillant, à condition qu'on ait affaire à un
sujet
maigre et musclé. Contribution à la thérapeutiq
u'elle y vienne, il serait peut- être bon de reprendre à nouveau ce
sujet
et de chercher à le solu- tionner d'une façon p
le début des accidents. Durant touté l'évolution de sa maladie, le
sujet
, homme d'ailleurs cultivé et assez intelligent,
'était tué. Voilà donc un cas où, à aucun moment avant le mal, le
sujet
n'a souffert d'une accumulation incomplètement sa
en plus, celle-ci au contraire disparut quand, sur mes conseils, le
sujet
resta un certain temps continent, et c'est alor
e. Voilà, par conséquent, un troisième cas où, à aucun moment, le
sujet
n'a souffert de la cause indiquée par M. Freud.
rne simplement à faire l'occlusion des yeux. Dans ce dernier cas le
sujet
est absolument rebelle, il se débat, crie, se p
cet équilibre soit détruit et deux cas se présen- tent : ou bien le
sujet
est éveillé et alors il à la perception nette,
les artères cérébelleuses moyenne et postérieure, qui sont le plus
sujettes
aux anomalies ; propor- tion : 52,6 p. 100. La'
circulation et des fonctions de cet organe qu'il faut faire sur ce
sujet
de nouvelles recherches, non seulement d'ana- t
oureux coup porté contre la moitié gauche du crâne, qui a laissé le
sujet
sans connaissance pendant quelques heures. Apha
i3ow. [Neurolog. Cen- lralbl. XX. 1 goy..) Pièces empruntées à un
sujet
, mort de tuberculose pulmonaire, ayant, par sui
tôt aboutissait à une kératite neuro- paralytique. La cornée de ces
sujets
, moins résistante, s'enflamme au moindre sujet
e. La cornée de ces sujets, moins résistante, s'enflamme au moindre
sujet
d'irritation (Hippel jeune, Senftleben, Eberth-
deux de ces cas, la rougeur émotive, devenue une obsession pour le
sujet
, avait engendré un état syn- revue d'anatomie E
e l'affection est survenue pendant la période de développe- ment du
sujet
. L'atrophie avec paralysie musculaire et ? 011
e étant épargnés, l'affection côtoie la myoclonie de Friedreich. Ce
sujet
a aussi pré- senté des contractions spasmodique
est évidemment un sentiment très digne, mais encore faut-il que le
sujet
qui en bénéficie soit véritablement intéressant,
onvénients, surtout au point de vue du traitement. Nous lisons à ce
sujet
dans les journaux politiques : « Trois hôpitaux
avec quelle facilité éclateront les convulsions infantiles chez un
sujet
né avec une tare épileptique et dont la nourric
avec une tare épileptique et dont la nourrice peut être exposée ou
sujette
elle-même à des troubles nerveux. Si la mère
existent chez ce malade dont l'estomac est dilaté, l'indocilité du
sujet
ne nous a malheureusement pas permis de nous en
e consécutive à des convulsions de l'enfance, elle était, en outre,
sujette
à de nombreuses attaques d'épilepsie. Ce n'est
'idiots des cas de paralysie générale juvénile, et surtout chez des
sujets
primitivement débiles. Doivent être rangés dans
mécaniques périphériques. ' ' Au moment où le réveil se produit, le
sujet
passe brusquement de l'état de personnalité où
ggestion ou à l'au- to-suggestion, les réactions présentées par les
sujets
qui se réveil- lent et il termine en signalaut
ongénitales ou acquises et sa conduite antisociale. Cent vingt-sept
sujets
, la plupart du sexe masculin; douze femmes seul
y aurait lieu de rechercher si certaines angoisses larvées dont le
sujet
n'a qu'une conscience vague, mais qui se manife
ntale, qui peut rester par ailleurs très bien ordonnée. Ce sont les
sujets
qu'on a appelé dégénérés supérieurs. en donnant
e autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'auteur décrit l'état mental des
sujets
obsédés. Il étudie les rapports de cet état mor
jours plus longtemps chez les paralytiques généraux que chez les
sujets
normaux. Cette lenteur de l'iris à revenir à so
Etude clinique basée sur 40 cas de démence précoce observés sur des
sujets
de douze à vingt-cinq ans. Sur ces 40 malades,
il s'en aperçoit aus- sitôt. t. De l'examen matériel et mental du
sujet
, l'auteur conclut à l'apraxie motrice par accès
it du magistrat. Et alors l'expert trouvera souvent dans l'étude du
sujet
des troubles plus ou moins profonds de l'intell
ère superficiel commun aux dégénérés; et d'autre part l'examen du
sujet
révèlera des anomalies somatiques, l'obtusion et
s cas délicats où le médecin peut être appelé à formuler un avis au
sujet
d'une syphilis transmise par des rapports conju
e qui a contracté la syphilis de son mari et qui désire en faire un
sujet
de divorce doit prouver : 1° qu'il a la syphilis
rtiers spéciaux des asiles de Mons et de Tournai, dans lesquels ces
sujets
sont actuellement colloqués. Cet asile-prison s
a été la cause déterminante et directe de la maladie. - Parmi les
sujets
du premier groupe, on trouve seulement des épil
fants à qui, jusqu'ici, la loi n'a pas été appliquée : ce sont les
sujets
qui, soit au pointdevue physique, soit au point
ariablement les mêmes paroles. Cette absence bien constatée de tout
sujet
de haine et de ven- geance, cet acharnement dan
se pro- duire. Les épileptiques hémiplégiques, comme Ham..., sont
sujets
à des états de mal épileptique, de même que les é
Lyon, 8 juif. 1903.) De l'étude des préparations portant sur huit
sujets
et compa- rables entre elles, et de Jeur compar
ieurs. Ces lésions sont variables d'étendue et de siège suivant les
sujets
et suivant la hauteur d'une même moelle. Sans l
colluur de la Silpêlricre. M 4. 1903.) L'observation chez un même
sujet
jeune fille de dix-huit ans des symptômes clini
rès, puis un troisième accompagné de manifestations convulsives. Le
sujet
pré- sente comme particularité intéressante, un
'lIIf1r- miers. Laboratoires (ilobertson : toute aliénation chez un
sujet
normal est conséquence d'une intoxication préex
quelles elle repose, un résumé des conclusions d'autrui sur le même
sujet
. ' Smox. XL. Des facteurs héréditaires dans l'é
ns une étude spéciale sur l'état de l'appareil circulatoire chez 31
sujets
atteints de démence pré- coce, ont noté chez la
nce organique vers laquelle évoluent plus ou moins rapide- ment les
sujets
atteints de démence précoce. Leur enquête leur
ès légère, circonscrite et stationnaire, compliquée en outre chez 4
sujets
d'un arrêt de développement considérable de l'o
bservation d'une vieille délirante chronique qui collectionnait les
sujets
les plus divers et les plus saugrenus, dans son
te cyanose locale, la vision ne souffre aucun trouble chez ce jeune
sujet
. L'hippas dans la chorée. M. CRUCHFT (de Bord
si, veux-je dire. Le roi notre Seigneur ne veut pas que ses fidèles
sujets
souffrent la faim. Ox, ox, guardaos. (Ho ! ho !
ment aux expériences successives de Latcha, mais bientôt ce nouveau
sujet
tombait en des crises d'hystérie répétées, avec
haux était plutôt prédisposé à l'hystérie. Il ajoute qu'au- cun des
sujets
qu'il a endormi n'a éprouvé le moindre trouble.
famille de nourriciers. Mais ce n'est pas le lieu d'insister sur ce
sujet
. Une autre leçon que nous enseignent les deux c
ux objections dès lors véhémentes de M. Bonne, faire le tour de mon
sujet
et obtenir un contrôle de mes idées. Je l'en av
nnelle des deux cerveaux. Je lui avouais ne connaître de lui sur ce
sujet
que deux ou trois passages de son Automatisme psy
es. Mais M. Bonne qui ne laisse rien passer,m'incrimine encore à ce
sujet
. Voici la phrase que M. Bonne me reproche; «L'in-
individus artificiels. M. Bonne aborde maintenant une autre face du
sujet
et s'atta- que à un de mes arguments : « Sous l
ursur mon ignorance, et après quelques variations fantaisistes à ce
sujet
, termine par cette phrase : « Est-il besoin d'ajo
ellules au stade VIII puis au stade X\'I.I1 Il termine ainsi : « Ce
sujet
devint une larve dont la queue avait la forme,
, XXI, 1906), que les résultats obtenus par Driesch et Campton sont
sujets
à cau- tion. Il ne manque pas d'espèces où la r
uire en psychologie. L'A. n'a pas répondu aux remarques faites à ce
sujet
(unité physiologi- que assurée par l'innervatio
de la même année. A noter qu'au cours de ce premier internement le
sujet
avait présenté des troubles vaso-moteurs caract
n plus ou moins nette des quatre derniers orteils. Chez plusieurs
sujets
atteints d'affections organiques du système nerve
binski fut né- gatif 48 fois, mais, dit l'auteur,un grand nombre de
sujets
ne pré- sentaient qu'une légère hémiparésie.
t, à savoir : que l'épilepsie est une maladie qui survient chez les
sujets
atteints d'une défectuosité du système nerveux,so
ertaines catégories d'in- dividus qui y paraissent particulièrement
sujets
, notamment les tailleurs et cordonniers de 15 à
absent dans la tétanie chronique; on peut le rencontrer chez des
sujets
sains, dans la neurasthénie, l'hystérie, l'épilep
suppose qu'une cause accessoire qui aurait échappé à l'attention du
sujet
(effort musculaire, refroidissement, infection) a
ain écrivait, à l'exclusion de tout autre intermédiaire : jamais le
sujet
n'aurait eu en même temps connais- sance des mo
ômes disparus. L'A. rappelle, d'après les déclarations mêmes de son
sujet
, cor- roborant la description de Séglas, les di
ues et l'écriture des médiums ou psycho- graphie : dans celle-ci le
sujet
se croit le simple instrument d'une volonté étr
fluence étrangère. La psychographie est réveillée par la volonté du
sujet
; l'hallucination se produit sans l'assentiment
cination se produit sans l'assentiment et même contre la volonté du
sujet
; son contenu arrive aussitôt à la conscience par
agues, péni- bles et ne laissaient aucun souvenir dans l'esprit des
sujets
. Il en était de même des hallucinations qui int
des aliénés difficiles. M. VIGOUROUX présente l'observation de deux
sujets
tour à tour considérés par les aliénistes comme
ccès intercalaires. L'involution reste donc évidente chez nombre de
sujets
, la manie mélancolie, mais évidente et non 84 s
ux points extrêmes de la vie complète de l'hom- me ; aussi certains
sujets
,normaux en apparence, sont-ils des cir- culaire
les insuffisances de la cellule cérébrale. Neuf observations à ce
sujet
sont présentées'par MM. RÉMONEL (de Metz) et VO
ent le penser ses collègues. Or le mouvement qui mène à l'asile des
sujets
qu'on mettait jadis en prison est la conséquenc
it préférable à la prison résulte de ce fait qu'on peut retenir ces
sujets
à l'asile jusqu'à preuve d'amendement et de qua
différents moyens par lesquels on pcut déceler la suggestibilité du
sujet
; il est indispensable d'a- voir diagnostiqué c
flexe d'obéissance se ma- nifeste dans l'état d'hypnotisme chez des
sujets
qui à l'état de veille en paraissaient dépourvu
i promptement que possible si l'enfant rentre dans la catégorie des
sujets
où l'intelligence a ac- quis un premier degré d
a to- nalité psychique et en diminuant la force de résistance des
sujets
(1). ' Quelle que soit l'opinion que l'on ait s
inéue, elle semble parfois accrue, élargie et forti- fiée. Certains
sujets
, dans l'état second ont une mémoire plus complè
Suivant l'usage, le président entretient ensuite l'as- semblée d'un
sujet
scientifique. Il expose ses idées et les résult
nsabilité ou la responsabilité et degré de la res- ponsabilité d'un
sujet
donné. 1. Il n'y a que deux responsabilités, di
e le magistrat quand il pose ses questions au médecin expert : ce
sujet
est-il ou non responsable médicalement ? C'est-à-
stion qu'il faut résoudre pour établir la responsabilité sociale du
sujet
. Le magistrat ne peut la poser qu'au médecin. L
ÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 119 au magistrat la maladie du
sujet
(s'il en a une) ; mais il doit dire l'influence
l'influence que cette maladie a sur la fonction responsa- bilité du
sujet
. Car, et c'est là un point sur lequel je me per
nous interrogent sur la respon- sabilité ou l'irresponsabilité d'un
sujet
, nous n'avons pas le droit de nous dérober et n
lité dans ses con- clusions et on doit dire ensuite nettement si le
sujet
examiné est responsable ou non. 2. Je passe à
abi- tude qu'ont les magistrats d'interroger les médecins sur les
sujets
suspects de folie : « De bonne foi, il n'est aucu
cin. Non. La société reste juge de la responsabilité sociale d'un
sujet
; mais elle ne peut l'apprécier qu'en demandant a
demandant au médecin son avis sur la responsabilité médicale de ce
sujet
. Si le médecin se refusait à l'éclairer sur ce
ier, ce ne sera pas un régime plus ou moins abondant que celui d'un
sujet
normal, ce sera un régime spécial. De même ce q
tténuation, l'estimer faible ou forte selon qu'il apparaîtra que le
sujet
se rapproche plus de la raison que de la folie.
, de la débilité mentale ont pu exercer sur les détermi- nations du
sujet
, sur sa résistance morale, son jugement ; or, t
nculpé qu'il ne considère ni comme un véritable malade, ni comme un
sujet
normal, ne formulât que des conclusions pro- vi
procès récent de Tiiaw, est l'une des plus déplorables phases du
sujet
. C'est nécessaire de considérer la question bien
président avait été autorisé à nommer un comité pour considérer le
sujet
dans son ensemble et toutes les communications
'autopsie, se font dans des conditions absolument défectueuses : le
sujet
autop- sié depuis un temps plus ou moins long,
se basant sur l'état constitutionnel et les aptitudes psychiques du
sujet
on peut donner de l'hystérie la définition suiv
taires. Elle lire son caractère propre de lu faculté qu'acquiert le
sujet
d'isoler, d'une façon consciente ou inconscient
aractères de pouvoir être reproduites par suggestion, chez certains
sujets
, avec une exactitude rigoureuse et d'être susce
DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 131 veuse. Les urines des
sujets
ne contenaient aucune substance pathologique ;
nfant dégénéré débile, catatonique. M. ARMAND DELILLE présente un
sujet
dont les membres ont l'attitude de la double pa
l un rapport entre ce symptôme et l'arriération in- tellectuelle du
sujet
? Discussion par MM. Dupré etDuFoUR, 166 SOCIÉT
es ; puis, les connexions des cellules à neurite corticifuge ; à ce
sujet
, est exa- minée la question du sens de la condu
icat. Cependant, en tenant compte non pas seulement des réponses du
sujet
, mais encore du jeu de sa physionomie et de ses
, les travaux français qui mentionnent les re- cherches faites à ce
sujet
,il convient de signaler le récent précis de Rég
ents auteurs et l'on n'a actuelle- ment aucune donnée certaine à ce
sujet
. Si laissant de côté les restrictions précédent
nitale ; anomalies du développement. Elles démon- treraient que le
sujet
était préalablement taré. 2° Lé- sions immédiat
tout autres si on examinait le liquide ' céphalo-rachidien chez des
sujets
atteints de confusion mentale aiguë. Lorsque
ique d'origine inflam- matoire ou toxique survenant chez les jeunes
sujets
, et une démence précoce constitutionnelle surve
et une démence précoce constitutionnelle survenant chez de jeunes
sujets
débiles ou ayant des tares héréditaires chargée
duré plus ou moins longtemps sont suivies, surtout chez les. jeunes
sujets
, d'un strabisme convergent qui présente tous le
vité exaltée, des tendances morbides du ca- ractère habituel de ces
sujets
, et ils disparaissent spontané- ment lorsqu'un
. Sans in- sister, puisqu'il fera une communication spéciale sur le
sujet
, il rappelle qu'avec M. H. de Rothschild, il a
r être écarté, pour expliquer l'origine de cette paraplégie chez ce
sujet
, l'étiquette de paraplégie familiale s'impose.
ose. Il faut noter l'apparition tardive de la maladie, sauf chez un
sujet
, dans la famille, et on peut se demander s'il s
plus spécialement à l'assistance familiale des aliénés, nom- bre de
sujets
furent mis à l'ordre du jour, qui de nouveau appe
nts débats ; car est-il besoin de le dire,ce sont quelques-uns des.
sujets
dont vous allez traiter qui,chez nous comme ail
y- sique de l'enfant criminel ou moralement abandonné forment des
sujets
de profond examen,et dont on tâche à se rendre un
t comprend sous le terme général de : demi-fous demi-responsables -
sujet
qui récemment entre les jurisconsultes Néerland
nt plus curieux encore : Pendant le développement de son délire, le
sujet
, non seule- lement ne croit rien, n'accepte rie
déjà le médecin de lady MACBETH ». Quand le délire se ter- mine le
sujet
revient à la vie normale et semble avoir complète
nous voyons des crises singulières de logorrhée dans lesquelles le
sujet
parle indéfiniment, à tort et à travers de tout
es d'idées fixes : on y retrouve les mêmes caractères négatifs : le
sujet
ne peut plus arrêter sa parole, mais ce qui est
soit dans les organes internes, soit dans la sensibilité cutanée du
sujet
. Si nous considérons l'état psychique des hysté
par un dispositif spécial dû à Mack de Wien. Normalement, lorsqu'un
sujet
est soumis à une rotation dans le plan horizont
- L32 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tation s'arrête, il semble au
sujet
qu'il tourne en sens inverse, ces états anesthé
u'il tourne en sens inverse,le nystagmus lui-même sera supprimé. Le
sujet
étant mis à tourner sinistrorsum, il n'a plus c
ar décompression brusque chez un scaphandrier pêcheur d'éponges. Le
sujet
qui fait l'objet de cette observation est un ho
méd. des hôp. de Layon, 30 juin 1905.) Rhumatisme cérébral chez un
sujet
de 33 ans, nerveux et sur- mené au décours d'un
ividus vivant dans des condi tions hygiéniques défectueuses n. Au
sujet
des modifications qu'il convient d'introduire dan
e, par des actes d'immoralité, de violence et de cruauté, donne des
sujets
de mécontentement très graves, le tribunal civi
sultation de la malade on était frappé de la voir se préoccuper des
sujets
et des tendances érotiques. Son costume etses m
même dans l'expression de sa physiono- mie, quand il parlait sur ce
sujet
. Pareillement la vue d'une femme demi-nue ou mê
i sont aussi, au commencement, très vagues et inexplicables pour le
sujet
même. Le malade dit que dans son enfance un je
sur les récits « du garrottage », sur les gravu- res concernant ce
sujet
, - sur les rencontres avec des gens garrottés o
Au commencement, no- tre malade se comportait de la même manière au
sujet
du garrottage; peu à peu le caractère sexuel de
qu'au point de vue sadistiqzce. Dans ce sens, le récit du malade au
sujet
d'un convoi de con- damnés près duquel passait
és de bottines vernies. En résumant tout ce que nous avons dit au
sujet
du fé- tichisme chez le malade, il faut noter q
à l'école, or, une aussi large liberté est dangereuse pour certains
sujets
, surtout PROJET DE LOI. 291 dans certaines ré
ouvements réflexes.' MM. CANTONNET et M. LANDOLT citent le cas d'un
sujet
de cinquante-quatre ans, hogdsonien, qui, à la
re ont été emma- gasinés déjà dans l'acquis psycho-physiologique du
sujet
; le trouble trophique que l'on voudra obtenir
ation sensorielle ne soit pas interrompue entre l'hypnotiseur et le
sujet
; enfin, il conviendra de prolonger le sommeil
ancement des Sciences (Reims, août 1907). Ces travaux ont trait aux
sujets
suivants ; paresse et mollesse chez les enfants
de médecine mentale de Iloueii,une première communica- tion sur ce
sujet
etj'y suis revenu au Congrès de dois. Depuis, l
primée à cette époque, mais néanmoins capable d'une bonne activité,
sujette
à des colères durables, plus que violentes, à d
. Ordinairement, dans les délires communiqués pro- prement dits, le
sujet
passif apporte pour quote-part l'aptitude morbi
st conférée peu à peu par la vie commune avec lesujet actif. Ici le
sujet
qui semble passif arrive au contact de l'actif
nce morbide. La genèse de l'état délirant s'est donc faite, chez le
sujet
passif, pour la plus grande part spontanément,
utre remarquer que l'idée délirante n'est pas tout le délire. Notre
sujet
, à demi-passif, nanti d'une idée déli- rante, y
secrets. Un procès a lieu en ce moment, on ne sait pas bien à quel
sujet
, mais l'ingénieur Briquet et le conseiller Prévos
vélé (preuve nouvelle d'une pré- paration déjà très avancée chez le
sujet
même le moins actif) ; l'idée de l'hostilité am
rlé. Seulement j'attends toujours le legs Piérantoni. » De même, au
sujet
des deux principaux persécuteurs : « Comment ?
s, cet état de doute. 8. Nous avons dit que le délire nous semble
sujet
à des rémittences spontanées, suivies d'une rep
e toutes les épreuves aux quelles on la soumettait. Interrogée à ce
sujet
, elle ne s'explique pas. En somme, voilà donc
urs (4 cas) des h. semblables ou iden- tiques aux h. habituelles du
sujet
, variant avec la qualité et la for- ce de l'exc
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. bien d'h. et non d'illusions ; les
sujets
perçurent normalement l'ex- citation causale ;
rimitive des ganglions lymphatiques, Mayer a rencontré chez un même
sujet
la maladie de Launois-Bensaude et un lipome pér
diminution importante de la capa- cité de travail, pouvant chez des
sujets
à tare névropathique, con- duire aux formes gra
ar CLAUDE. (L'Encéphale,1907, n° 7.) Le système nerveux de certains
sujets
hystériques est loin d'être normal, sans qu'il
cle de polémique assez virulent entre les deux savants mai- tres au
sujet
des questions relatives à la pathogènie de l'hyst
trou- bles vont en progression croissante et sont appréciés par le
sujet
lui-même avecune consciente suffisante. Il rapp
isse Romande, 1906, n° 9). L'auteur relate les observations de deux
sujets
, une femme de 26 ans et un homme de 28 ans, qui
ion (additions) et du travail musculaire (à l'ergographe) chez deux
sujets
atteints de névrose traumatique. Homme de 64
s. L'A. dit avoir observé les mêmes particularités chez sept autres
sujets
qu'il classe en deux groupes représentés chacun
étant placés dans le relâchement ; on doit détourner l'attention du
sujet
et · REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 377 compar
duelles : un même réflexe n'est pas d'intensité égale chez tous les
sujets
; 2° égalité bilatérale.Il est parfois impossible
mènes vaso-moteurs,thermiques, pupillaires et tro- phiques que sont
sujets
à transfert. Un de ses élèves, Lebard, a montré
lèves, Lebard, a montré qu'il existe tout particulièrement chez ces
sujets
des épis- taxis, et surtout des lésions cutanée
s auteurs citent une très intéressante observation dans laquelle un
sujet
paraissant t guéri mourut subitement. A l'autop
ies de certitude peuvent se présenter sous deux formes ; ou bien le
sujet
n'est pas sûr d'un fait qui s'est réellement pr
l'expert est aux prises avec de grandes difficultés afférentes à ce
sujet
. MM. Dromard et Levassort apportent à l'étude d
ntalité spéciale, faite de suggestibilité, d'automatisme, comme les
sujets
hypnotisés. Entre cet état d'hypnose et le mome
près,lorsque le ma- Inde est venu me demander des renseignements au
sujet
du trai- MmCL't d'été. D'après le récit du mala
empoisonnement. Dans la littérature médicale (1) nous trouvons au
sujet
d'intoxication par les homards, des indications t
'état mélan- colique. L'historique est très sommaire,notamment au
sujet
des raisons pour lesquelles Falret, Baillarger
et tranchant plus ou moins sur les autres éléments du caractère du
sujet
; il faudrait, semble-t-il : 1° par l'examen de
ur clarté, que les actes, mettent d'ailleurs en lu- mière ; mais le
sujet
en fait usage pour subordonner avec une certain
. L'auteur insiste particu- lièrement sur la forme très grave où le
sujet
n'est débarrassé de son angoisse qu'après avoir
es et délits, surtout sexuels). Il préconise pour le traitement des
sujets
améliorables un enseignement individuel basé su
lus graves (folie morale) aux plus légères, que puissent offrir ces
sujets
que les auteurs français appellent des déséquilib
risé à la prévoir que les trou- bles psychiques survenaient chez un
sujet
dont le père était syphi- litique et ayant prés
es auteurs apportent les observations très con- vaincantes de trois
sujets
chez lesquels la démence précoce, avant de s'af
très difficile de reconnaît ! e, car en dehors de leur délire, les
sujets
parais- sent normaux. Ce qui caractérise ces dé
on, il faut la prédisposition REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 461 du
sujet
, souvent réveillée par les auto-intoxications. Co
causé une semonce un peu vive adressée à un de ses camarades,est
sujet
à des crises consistant en un état d'inquiétude g
Communication sur le pemphigus hystérique. Faite par M. RAYMOND, au
sujet
d'une malade examinée par MM. Thiroloix et Babi
femmes de l'n51- le de Clermont, par Boiteux, p. 240. sur le même
sujet
(hommes), par Tllivet, p. 241. de l'asile d'a
nu; — enfin une fille, qui est dans un orphelinat, serait, paraît-il,
sujette
à des « faiblesses » (1879). Notre malade aurai
ns une maison où elle resta deux ans. Dès la première année, elle fut
sujette
à des accidents nerveux plus graves que ceux qu'e
ous ses aliments. Elle boit beaucoup, surtout après l'éther. Elle est
sujette
à des crampes d'estomac suivies quelquefois de na
on sous-mammaire donne les mêmes résultats. Sommeil. — Avant d'être
sujette
aux attaques d'hystéro-épilepsie, M... était très
BSERVATION V Sommaire. — Père et oncle paternel alcooliques. — Mère
sujette
aux migraines. — Cousin issu de germain idiot. —
il ne se produit pas d'attaques. OBSERVATION VII Sommaire. — Père
sujet
à des migraines. — Tante maternelle hystérique. —
hot. de la Salpétrière, t. II, p. 187. * Voir, entre autres, sur ce
sujet
, l'important article consacré à l'hystérie par M.
ensations plus voluptueuses que dans la réalité. Geneviève a été très
sujette
— et pendant longtemps — a des rêves de cette nat
e dans le service de notre maître, cela nous écarterait trop de notre
sujet
. Les accidents dus à la morphiomanie, causée par
arbares, inspirées par le fanatisme religieux. Certains idiots sont
sujets
à des insomnies prolongées. Gomme exemple, nous c
es. Une fois endormie, elle est obsédée par des rêves roulant sur des
sujets
sombres : « J'ai toujours de mauvaises aventures
bien qu'elle n'ait pas eu d'attaques ni pris de médicaments. Elle est
sujette
à ces accidents. — Règles du 17 au 22 nov. 17-2
bait de son lit. Puis, on a remarqué que, dans la journée, elle était
sujette
à des assoupissements qui duraient une ou deux he
teuses et huit de véritable léthargie1. 1 Les hommes seraient aussi
sujets
aux attaques de sommeil. Il paraîtrait que Derk K
k, van der Zee et van der Woort. « Non omnibus dormit, etc. ». — Même
sujet
, disposition différente. « Omnibus hand dormit »
Même sujet, disposition différente. « Omnibus hand dormit » ; — même
sujet
avec vues de Stolkwïjk, Rotterdam, Gonda, etc.; —
; — même sujet avec vues de Stolkwïjk, Rotterdam, Gonda, etc.; — même
sujet
; autre disposition ; gravure anon., grossière, av
comment on nourrissait la malade H..., qui, de temps en temps, était
sujette
à des vomissements. Le ventre est ballonné, bruya
ons relaté l'histoire, et bien connue sous le nom de Geneviève, a été
sujette
, et pendant longtemps, à des hallucinations génit
es les traditions, en méprisant toutes les craintes et en abordant le
sujet
en face. Nous avons, pour rédiger cet ouvrage,
ouvrage, lu à peu près tout ce qui a été écrit de raisonnable sur le
sujet
, et, ce qui nous a le plus vivement frappé, c'a
ue du manuel opératoire du magnétisme, ce serait donc sortir de notre
sujet
que de rester plus longtemps dans la question his
chirurgie pratiques. Braid se contentait de faire fixer les yeux du
sujet
sur les siens, ses successeurs éliminèrent encore
re temps, des moyens, qui, en agissant vivement sur l'imagination des
sujets
, permettent d'aller simplement un peu plus vite.
question, quand les expérimentateurs de la Salpêtrière en ont fait le
sujet
de leurs études. Voici ces quelques extraits :
l'épigastre n'est point indispensable; ce contact au contraire est un
sujet
de distraction et n'ajoute rien à l'efficacité du
imple peut-être : aussi ne conseillerai-] e de l'employer que sur des
sujets
accoutumés déjà au magnétisme, et susceptibles de
ront où vous les laissez indéfiniment, c'est-à-dire jusqu'à ce que le
sujet
soit endormi. Alors, vous faites des passes sur l
ne longue fixité; encore ne réussirait-t-il que fort rarement sur des
sujets
qu'on magnétiserait pour la première fois ; quoi
. Voici la manière de procéder : vous vous asseyez vis-à-vis de votre
sujet
; vous l'engagez à vous regarder le plus fixement
passes dérivatrices sur les membres inférieurs; mais encore, si votre
sujet
vous a offert de la résistance, aurez-vous de la
ont on se sert à la Salpêtrière. Il convient d'abord de choisir son
sujet
: il est peu de femmes que l'on ne puisse hypnotis
rd fixe et de cligner l'œil le moins possible. On tient les pouces du
sujet
dans ses doigts refermés uniquement pour les bien
Après deux ou trois minutes de cet état immobile, on voit les yeux du
sujet
rougir, s'injecter légèrement; les larmes viennen
lent sur ses joues: il faut persister à regarder fixement; souvent le
sujet
ferme de lui-même les yeux et tombe en arrière.
effet ne se produit pas spontanément, on laisse aller les mains du
sujet
et on lui applique les pouces sur les globes ocul
es paupières supérieures (Fig. 4). Le sommeil est alors immédiat ; le
sujet
tombe en arrière en poussant une suite Fig. 3.
s fixation préalable. Le moyen est même commode à employer avec les
sujets
un peu turbulents dont il est impossible d'arrête
jusqu'ici s'applique aux premières tentatives que l'on exécute sur un
sujet
donné. Mais quand on a déjà hypnotisé souvent une
le. Dans ces cas là, l'imagination est tout : tout se passe dans le
sujet
. Quelques exemples feront bien comprendre la chos
ette expérience est importante, car elle nous explique ces cas où des
sujets
s'endorment en buvant un verre d'eau magnétisée,
n lit dans les livres de magnétiseurs qu'ils ont réussi à endormir un
sujet
depuis leur appartement, à travers une porte, à t
à travers une porte, à travers l'espace. Ici encore tout est dans le
sujet
. Nous avons fait souvent l'expérience : on disait
avec la main pour les voir se contracter aussitôt. Je renvoie sur ce
sujet
le lecteur à tout ce qui en a été dit dans le cou
ême possible de tétaniser à ce point tous les muscles du corps que le
sujet
se raidisse absolument et puisse reposer suspen
s deux mains et de se retirer rapidement. Dans la plupart des cas, le
sujet
vous suit alors aussi loin que vous alliez, et se
lusieurs manières. La plus simple consiste encore à faire passer le
sujet
directement du sommeil hypnotique dans l'état cat
du sommeil hypnotique dans l'état cataleptique. En s'endormant, le
sujet
avait fermé les yeux, et, pendant toute la durée
aupières comme cela est représenté dans la Figure 9. Immédiatement le
sujet
présente les phénomènes caractéristiques qui ont
e le même effet. , Nos Planches XVII, XXII et XXXVII représentent des
sujets
placés devant une lumière oxydrique très brillant
nt une catalepsie instantanée. La chose ne se fait bien que sur des
sujets
déjà DES PHÉNOMÈNES D HYPNOTISME. 177 habitué
ut de ses doigts, puis on se recule lentement {Fig. 12.) Dès lors, le
sujet
vous suit partout, mais sans quitter vos yeux ; i
si vous vous retournez vous-même. Si vous vous avancez vivement, le
sujet
tombe en arrière, tout droit et d'une pièce. Cett
un aide ne la retenait. [Fig. 13). Dans cet état de fascination, le
sujet
hypnotisé appartient absolument au fascinateur et
nécessaires, et, comme disent les spécialistes, prendre le regard du
sujet
au moyen de ses yeux, en recommençant pour son pr
ençant pour son propre compte la fascination. Pour en finir avec ce
sujet
, nous devons dire quel ques mots de deux manœuv
e. Pour provoquer les hallucinations, il convient de se servir d'un
sujet
jeune et depuis longtemps hypnotisé. On le met en
nous arrêter, c'est la contracture réllexe qu'on peut obtenir sur les
sujets
hypnotisés. Si, par exemple, on place un sujet hy
peut obtenir sur les sujets hypnotisés. Si, par exemple, on place un
sujet
hypnotisé dans la position représentée (Fig. 16),
r, le corps penché et portant tout entier sur le bras, on voit que le
sujet
reste comme soudé au mur et ne peut plus le quitt
ratoire, dire quelques mots de l'hypnotisme chez les animaux. Mais ce
sujet
ne rentre pas dans les expériences de la Salpêtri
série de scènes qui en découlent assez naturellement. Que ce soit un
sujet
religieux ou profane, S... brode en quelque sorte
is pendant son séjour à la Salpêtrière. La jeune malade qui fait le
sujet
de cette observation nous offre, en quelque sorte
ussi à donner dans chacun de nos, numé- ros une étude concernant un
sujet
historique intéressant la mé- decine, avec docu
de leur siège central ou péri- phérique. Aujourd'hui, à propos du
sujet
que je vais vous présenter, je veux me borner à
tion actuelle de noire malade. Il s'agit, comme vous le voyez, d'un
sujet
de taille moyenne, très vigoureusement musclé.
pendant le repos musculaire, et ne peut être décelée que lorsque le
sujet
élève le bras, ou bien lorsqu'on provoque un mo
'écriture. Cette difficulté tient à l'impossibilité où se trouve le
sujet
d'imprimer, à son avant-bras fléchi sur la table,
riture ne de- vient possible que si, à l'aide de sa main gauche, le
sujet
déplace sa main droite, au sur et à mesure que
radiales, dites a frigorie, qui surviennent pendant le sommeil. Un
sujet
s'endort profondément, couché sur l'un des côtés,
ne le bord externe de cet humérus . En raison du profond sommeil du
sujet
, la compression, malgré la douleur qui en résul
ctères cliniques que nous avons relevés, chemin faisant, chez notre
sujet
, parlent contre une semblable supposition. En r
ittle. Comme la symptomatologie de cette affection est encore assez
sujette
à controverse, nous signalerons ce fait : que c
des muscles (difficile dans l'observation II, en raison de l'âge du
sujet
), n'a révélé aucune trace de réaction de dégénére
irer des deux observations. Insistons auparavant sur ce fait que le
sujet
de l'observation I était remarquablement intell
ne dans la rai- deur des membres. Les parents des enfants sont à ce
sujet
très affirmatifs, ils ajoutent même que les fri
.. Depuis lors, on n'a pas cessé de publier des faits relatifs à ce
sujet
, mais c'est en 1892 que la discussion soulevée
générale pouvaient parfois, quoique rarement, exister 'chez le môme
sujet
, il s'agissait là d'une association comme on en v
ans lesquels paralysie géné- rale et tabes s'associent chez le même
sujet
soit successivement, soit d'em- blée, pense que
s. Dans le courant de l'année 1893, j'ai eu l'occasion d'aborder ce
sujet
dans les leçons que j'ai faites sur la paralysi
nt moins sensibles à la douleur que la peau. Leur sensibililé est
sujette
à des grandes fluctuations. Ainsi : La surface
ICONOGR· DE LA SALPÊTRIÈRE ` ' T. VIII PL. X INFANTILISME Chez un
sujet
âgé de 10 dus. L BATTAILLE ET C" EDTT1;URS
PHOTOTYPE NhG. H. MEIGE. PHOTOCOL. DERTHAUD. FÉMINISME Chez un
sujet
âgé de 40 ans. L. BATTAILLE ET C" Éditeurs
on cor- porelle qu'on observe dans les cas de féminisme, chez des
sujets
de 15 à 20 ans (Pl. XIII). Chez les individus
Lévi, interne du service. Messieurs, / La malade, qui va faire le
sujet
de cette leçon et de celle qui suivra, est atte
est victime de l'hérédité neuropa- thique : deux de ses tantes sont
sujettes
à des crises convulsives ; un de ses cousins ge
thésie dont vous connaissez la signification. Cette jeune fille est
sujette
à des attaques convulsives. Tout cela joint à l'é
uel ils quittent le canal rachiden, vous (1) Consulter, sur ce même
sujet
, la communication dj1 Tr (sur la structure du f
é d'anatomie de M. Testut, qui les a recueillis sur le cadavre d'un
sujet
de 18 ans : Distances comprises entre l'émergen
venir. Môme quand elles sont continues, ce qui est rare, elles sont
sujettes
à des exacerbations plus ou moins violentes. Il
ie. Cette anesthésie est toujours circonscrite, et sa distribution,
sujette
à quelques variantes, offre cependant une assez
it que je porterai une attention spéciale à cette par- tie de notre
sujet
. Habituellement l'anesthésie envahit les membre
sont réduits les manifestations pa- thologiques, jusqu'à la mort du
sujet
. A l'autopsie, on a trouvé un foyer d'hématomyé
s, elle a été incriminée, dans une observation d'Eisenlohr. Chez le
sujet
de cette observation, une cure par les friction
s empêché la maladie de s'aggraver progressivement. A l'autopsie du
sujet
, on a trouvé une méningite spinale chronique de l
suivit une amélioration considérable. Au bout de dix-huit mois, le
sujet
avait repris ses occupations de mineur, et il p
la dure-mère. Elle a pu être enle- vée sans grande difficulté, elle
sujet
qui, depuis des mois, était en proie à des souf
és des maladies du sein. « Quelques jeunes femmes, dit-il (1), sont
sujettes
à une affection du sein présentant une grande r
l'organe. Le traumatisme local agit en influençant l'état mental du
sujet
tout disposé parfois à favoriser cette localisati
do-névralgie de la VIIIe racine, cervicale droite était, chez notre
sujet
, indiscutable. La pathogénie de cette pseudo-né
uvient sans doute que j'avais, dans mes pré- cédentes leçons sur ce
sujet
, dressé une sorte d'échelle symptomatique et ét
eo-g6nita)e. Les choses persistent dans cet état jusqu'à la mort du
sujet
. Savez-vous ce qu'on a trouvé à l'autopsie ? Un f
ans les deux cas. Je m'explique. Dans l'observation d'Oppenheim, le
sujet
a été victime d'un traumatisme qui a déterminé
s par la paralysie s'échappent du canal rachidien. L'autopsie de ce
sujet
fut pratiquée, sept ans plus tard, par Scllultze
s racines du nerf crural. Sdlllltzc (1) est revenu récemment sur ce
sujet
el a longuement insisté sur les signes qui permet
E LA COLONNE VE, lTÉ13liALIj SE RENCONTRANT CHEZ UN GLAND NOMBRE DE
SUJETS
BIEN PORTANTS. par PAUL RICHER ....... &g
paru intéressant de la signaler. - Mes recherches ont porté sur 40
sujets
tous parfaitement bien portants et choisis pour
ussi fort versé dans les exercices du corps. J'ai étudié tous ces
sujets
avec 'soin. Tous ont été photographiés dans des
arties molles qui le recouvrent. Nous avons donc recherché, sur nos
sujets
, si la cage thoracique en cet endroit t était l
eau ? Eh bien ! si nous comparons à ces divers points de vue les 40
sujets
dont nous avons parlé, voici les constatations
iveau. Si nous examinons séparément chacun de ces points sur nos 40
sujets
, nous ne sommes pas beaucoup plus heureux au po
z tous. Ainsi la colonne vertébrale n'est bien droite que chez deux
sujets
. Chez tous les autres, c'est-à-dire chez 38 sur
ulte incurvation esl plus ou moins accentuée. Elle esl minime sur 8
sujets
, sur tous les aulres elle est 1res nettement ac
ment situées à la même hauteur que deux fois. Sur tous les autres
sujets
il y avait inégalité entre le niveau des deux é
Z'I1 : G P. IZICHF71 INCURVATION DE LA COLONNE VERTÉBRALE CHEZ DES
SUJETS
SAINS NOTE SUR UNE DÉVIATION DE LA COLONNE VERT
hy- siologique droite n'existe pas chez le plus grand nombre de nos
sujets
. - Elle est en tous cas bien moins accentuée, c
ompensation de .notre scoliose dorso- lombaire gauche. Les quelques
sujets
qui nous ont paru la présenter avec le plus de
complété' les données qui précèdent en recherchant, chez les mêmes
sujets
, quelle était la direction du torse dans son ense
cune déviation latérale que dans la moitié 'des cas environ, sur 19
sujets
. Chez les 21 antres il est déjeté latéralement sa
fois el à droite 10 fois. Quant au bassin il est. horizontal sur 29
sujets
. Il incline à droite sur 7 sujets et à gauche s
bassin il est. horizontal sur 29 sujets. Il incline à droite sur 7
sujets
et à gauche sur si ? "* . , . . Je ne pense pas
e courbure vertébrale dorso-lombaire tellement fréquente que sur 40
sujets
bien por- tants et pris pour ainsi dire au hasa
x fois. Si l'on se rappelle les professions d'un certain nombre des
sujets
que nous avons observés, on peut se demander si
considéra- tion pour deux raisons. D'abord, si un bon nombre de nos
sujets
sont adonnés aux exercices violents, d'autres e
nces de pose, incapables d'aucun travail. En second lieu, parmi nos
sujets
habitués à un travail physique péni- ble ou à d
itions de travail ou d'existence si variées que nous présentent nos
sujets
. * Mais il est un point qui m'a frappé, c'est l
ns l'eczéma. Il est regrettable que l'auteur ait trop restreint son
sujet
, se bornant à rechercher le degré de , sensibil
ères, tous les tableaux, des maîtres hollandais ou llamands dont le
sujet
pouvait avoir un intérêt médical. De la plupa
eront, je l'espère, de ces oeuvres d'art un aperçu suffisant. Les
sujets
qui' peuvent intéresser le médecin sont très vari
ent reproduites par les peintres hollandais et dont chacune sera le
sujet
d'une étude par- ticulière. Presque toutes so
t ce document nouveau qui s'ajoute à ceux qu'on a recueillis sur ce
sujet
. Le tigottage du Convive indigne pourrait donc
ilité y paraît normale ; toutefois il faut noter que l'état mental du
sujet
ne se prête pas une étude convenable. Sur la li
s le mot ne figure même pas dans les Dictionnaires de médecine elle
sujet
n'a été jusqu'à ce jour l'objet d'aucune étude
e périmètre du bassin est sensiblement égal à celui des épaules. Le
sujet
est maigre; mais même chez les femmes maigres, le
es règles n'ont jamais paru. Cette femme-enfant était hystérique,
sujette
à des attaques assez fré- quentes. Son état m
es géni- taux a pu causer des équivoques sur la sexualité réelle du
sujet
. On ne dira pas qu'un individu est entaché de v
lière de leurs semblables suffisait le plus souvent à inspirer les
sujets
de leurs tableaux. Un buveur attablé, une vie
me esprit et aux mêmes époques, ils aient été séduits par les mêmes
sujets
. Les scènes médicales ne pouvaient les laisser
êt médical d'une oeuvre d'art réside, tantôt dans la nature même du
sujet
qu'elle représente, tantôt dans les détails de la
cènes de consultation de J. Steen, au musée de La Haye (1), dont le
sujet
reproduit franchement des épisodes de la vie mé
ou hollandaise, comme aussi la re- présentation du cadavre dont les
sujets
religieux contiennent des exem- ples d'un réali
lulent au milieu des plus inco- hérents paysages. Jusque dans les
sujets
religieux les plus graves, on retrouve les animau
ce, Callot s'est rendu célèbre par ses dessins inspirés des mê- mes
sujets
. Lui aussi, avait l'amour du fantastique, comme e
alé dans son fauteuil de bois, ne semble avoir aucune inquiétude au
sujet
du traitement qu'il va subir. Sa bonne grosse f
deux vers en vieux hollandais écrits en caractères gothiques. Le
sujet
est analogue. Un chirurgien, vêtu et coiffé de la
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE humoristes qui ont traité ce
sujet
, J. van Bosch, P. Brueghel, J. Steen, etc. Au C
u sous le nom de Pierre II Brueghel (avec un H) d'Enfer, peintre de
sujets
infernaux et dia- boliques, d'incendies, de mas
teur Jérôme Bosch, Pierre Bruegel le Vieux a des- siné ou peint des
sujets
religieux, des scènes rustiques, des allégories f
itique médicale. Le nombre des documents que j'ai recueil- lis à ce
sujet
est donc susceptible de s'accroître un jour ou l'
n outre, qu'en décrivant les attaques de la jeune femme qui fait le
sujet
de sa première observation, Dance n'hésitait pas
scription de ce syndrome. La tétanie est une affection paroxystique
sujette
à récidives. De la forme bénigne ou moyenne, Tr
aux recherches faites à la Salpêtrière, on verra que, chez certains
sujets
atteints de ce que M. Charcot appelait la diath
il n'a passé à la Salpètrière, dans le service de M. Charcot, aucun
sujet
atteint de tétanie non hystérique, si ce n'est la
; mais presque chaque nuit, d'aussi loin qu'il se souvienne, il est
sujet
à des cauchemars terrifiants ou professionnels. I
pose les tons, sans les mélanger. Nul nesaittraiterplus vivement un
sujet
, avec de larges touches qui, de près, font croire
sur le pied (1) chez un étuviste de village. Il a encore traité ce
sujet
dans un tableau du musée de Vienne. Le Pr Charcot
ntérieurs rustiques, semble avoir eu moins de prédilection pour les
sujets
médicaux. On lui attribue cependant un Dentiste
e succession de noces et de festins. Il a cependant abordé d'autres
sujets
; du moins s'est-il essayé dans pres- que tous
avec détails. L'artiste a d'ailleurs traité plusieurs fois ce môme
sujet
. Il faut encore signaler, comme contenant quelq
NOGRAPHIE DE LA SALPÉTR1ÈRE sins ou peintures l'artiste a traité ce
sujet
avec des détails caractéristiques, ce tableau d
liciter, puis- qu'il a su puiser dans ces agapes familières tant de
sujets
spirituels traités avec tant de talent. S'il mé
Parkinson est tellement caractéristique qu'il suffit d'avoir vu un
sujet
atteint de cette affection pour être en mesure
l'appliquer à presque tous les cas cliniques. Dans l'ensemble, les
sujets
atteints de maladie de Parkinson parais- sent s
eillesse. Elle-même n'a jamais eu de maladies; elle était seulement
sujette
aux migraines. Elle a eu onze enfants : neuf so
eurs revient en arrière (Fig. 69). Il en est tout autrement chez le
sujet
atteint de maladie-de Parkinson, dans les cas d
nds obliques. (1) PAUL Richer, Anatomie artistique. (2) Voir à ce
sujet
Paul Richer, Physiologie artistique, le chapitre
ali ». Nous nous sommes permis, quoiqu'elle s'éloigne fort de notre
sujet
, de reproduire ici cette planche, très réduite
nalons au moins la note qui le précède ; elle en fera comprendre le
sujet
, tout en donnant sur les moeurs des étudiants de
ion de la colonne vertébrale se rencontrant chez un grand nombre de
sujets
bien portants », paru dans le n° 3 de cette ann
note constate l'antériorité d'un travail de M. le Dr Clozier sur un
sujet
analogue, notre collaborateur nous demande de rép
par LE FILIATRE, 187. Déviation de la colonne vertébrale chez les
sujets
sains, par P. Richer, 158. Eczéma chronique. Ra
, 265. Richer (Paul). Déviation de la colonne vertébrale chez les
sujets
sains, 158. Forme du corps en mouvement, 121.
XII, XXXIII, XXXIV. Déviation de la colonne vertébrale chez les
sujets
sains, XXIII, XXIV et XXV. Epidémie Skin Diseas
e de Moczutkowski, 2. Déviation de la colonne vertébrale chez les
sujets
sains, 33. Eczéma chronique (rapport avec les t
qui nous nous adressâmes alors, voulut bien nous éclairer sur le
sujet
. Il nous apprit que cet état était assez fréquent
phatique; les oreilles sont habituelle- ment congestionnées; il est
sujet
aux engelures et a toujours les pieds et les ma
? 1 ? eiiqiiête, estrtoujours. difficile,. 'parfoisiimpossinle ? âu
sujet
"de'l ! hérédité; lafifamille, 'lés' parents 'se
ité, des cas^nous adoptons^ pleinement les.idées de,1-oreltsur, 1cQ(
sujet
.t)Tous, les,vésaniques, en efi'et, ,comme ,IIOU
ige- ^complicité de d'intelligence, etd'jn ! çonsçiejice absolue du
sujet
. ^représentation meritalé est) souvent automati
me-ou^sa physionomie est douce; dans d'autres, au contraire, il est
sujet
à des accès de colère difficiles à réprimer. Il
z -vifs, son attention est difficile à fixer. Ed...' est, en outre,
sujet
à des accès d'épilepsie, sur l'origine des- .'
ile, 1 si, malheureusement, lescrisesi nerveuses, auxquelles il'est
sujet
,- ne revenaient à de courts intervalles anéan-
uvelle hypothèse ajoutes celles qui ont été émises à plaisir sur ce
sujet
; mais, ."comme, il, nous arrivera forcément, dans
, nous tenons à donner dès maintenant une ! brève .explication à ce
sujet
. Certes, nous nous garderions bien, et pour cau
que nous avons omis de-citer dans notre thèse. Son mémoire,1 sur ce
sujet
nous étant inconnu à cette époque, M. Fcrnet a
' - '" >, ->l''l', I, T'1 ? >>' " ' ? ll.l'^.l ? lli r.
sujets
du même âge pris au hasard, les présentèrent avec
,1 Il',(' '"r¡ "1 "L'auteur rappelle les' travaux 'publiés sur 'ce'
sujet
? et 'les f points demeurésfôbscuisjmalâré leur
1 rt to'11 V ? .....Ir ''L'homme de quarante-neuf ans, qui fait le
sujet
de cette observa- lion, présente de la parésie
. Id.' 11111. i ! tt Les hypnotiques hystériques considérées comme
sujets
d'expérience en médecine mentale. (Illusions, \
l) ; ,par,Cb.t rt : nH ? L'état. mental ides hystériques al été (le
sujet
.d'études très importantes de la-ipart de.MM.iH
nsécutivement à 1 l'étal léthargique lorsque l'on ouvre les yeux du,
sujet
,dans,un')¡eu éclairé.iLe sujet, catalep- tique
gique lorsque l'on ouvre les yeux du,sujet,dans,un')¡eu éclairé.iLe
sujet
, catalep- tique est immobile, comme pétrifié. I
s en rapport avec l'hallucination ; quand la suggestion a cessé, le
sujet
redevient 'immobile.' ' 1 l' ->s ' 14· , t n
un 'bruit'laryngé spécial,' il vient unpeu'd'écume aux lèvres et le
sujet
s'affaisse- dans la résolution complète ? lés mem
let,rbien que' les gens conservent un certain degré d'activité, le
sujet
se prête peu en général aux 'suggestions.. Cet
ues (procédé de Faria, etc.). On le produit secondairement chez les
sujets
plongés, dans l'état cataleptique ou l'état lét
et- état de som- nambulisme provoqué, soit, en ouvrant les yeux, le
sujet
tombe alors en catalepsie, soit en, les fermant
et en comprimant légère- ment les globes oculaires pour plonger le
sujet
dans l'état léthar- gique. SOCIÉTÉS SAVANTES.
caractères de ces étais, ,il,est facile de les reconnaître sur un;
sujet
hypnotique quel-, conque, et, d'éviter, comme o
iner, à chaque instant et d'une^manière, précise, dans quel état le
sujet
se trouve sous, peine d'erreurs graves. Mainten
otalement abolie; il est en.général' impossible d'impressionner 'le
sujet
.aveé'assezd'inten= sité pour pouvoir communique
1>,11.1 .i Il., Dans la catalepsie, on peut communiquer avec le
sujet
par' des procédés très divers.- Et d'abord; par
celles de la catalepsie en général. eoj'i ? 1,1 wJq 4t·m, 1 ''Le
sujet
cataleptique' peut' encore 'être' impressionné pa
matique.' Un' fait intéressant' à noter,' c'est que, pendant que le
sujet
est ainsi'occupé à son tra- vail automatique,1'
dant l'activité' automatique ? il, reste possible' do'dédoubler' le
sujet
'(hémicatalepsie, hémi ! é-' thargie). ' 1 1 1
us l'influence de suggestions succès ? sives',et sans'lien pour, le
sujet
. Cependant, en prenant soin ,dc rectifier la po
té, générale de l : oe,it' est, profondément modifiée chez certains
sujets
;, en effet, dans l'éL1 ! -t, catalepLiqlle, I ! a
champ pupillaire,,sont en général insensibles.' Sur la plupart des
sujets
, on peut les loucher, avec un corps étran- gel'
exes parce que les sens sont plus facilement impressionnés ; et, le
sujet
répondant beaucoup mieux aux interpellations, i
- rat, du goût, de la vision, du toucher, qui persistent quand le
sujet
est réveillé. En ce qui concerne les hallucinatio
lequel son image a été suggérée soit toujours à la même distance du
sujet
. Ainsi, supposons que l'hypnotique étant conven
- Il peut devenir le siège de sensations erronées du même genre. Le
sujet
sentira, par exemple, qu'on lui envoie de mauva
nt. Si la suggestion porte sur le besoin d'uriner, etc., on voit le
sujet
à peine éveillé prendre une attitude embarrassé
indispensable, dans ces con- ditions, de n'être jamais seul avec le
sujet
. Si nous rapprochons de ce fait la possibilité
ue était fortement attirée à gauche, et se mouvaitdifficilement. Le
sujet
ne pouvait pas deviner que cette coïn- cidence,
orce de l'hémisphère gauche du cerveau. On pourra s'étonner que les
sujets
se réveillent ainsi avec une difformité grave o
n, mais ne peuvent pas vouloir 1 ». La réaction indivi- duelle ! du
sujet
est atténuée; c'est l'auteur de la suggestion qui
veut et il ne peut pas ne pas obéir. L'hypnotique est absolument le
sujet
de l'expérimentateur; sa responsabilité morale es
e chose que des miniatures de crimes expérimentaux accomplis par un
sujet
inconscient, dirigé par un coupable resté incon
o- mènes, qui permet de mieux comprendre ce qui se passe chez les
sujets
, regardés comme sains d'esprit, et qui subissent
l'idée de rai- sonnement, et qui rend compte de la mobilité de ces
sujets
. Chez l'hypnotique somnambulisée, la réaction i
eil somnambu- lique, l'expérimentateur exerce sur l'excitabilité du
sujet
une action inhibitoire qui se manifeste après l
ons de réaction. Lorsque des hystériques hypnotisables ont servi de
sujet
au même expérimentateur pendant plusieurs jours
uccube, telle autre sera tour- mentée, embrassée, etc. Si plusieurs
sujets
se trouvent réunis dans les mêmes conditions et
ine mentale peut trouver dans l'hystérique hypnotisahle un précieux
sujet
d'expérience. Mais la possibilité de l'expérime
crime que des faits récents prouvenl que l'expérimentation sur ces
sujets
n'est pas seulement pratiquée par des médecins
que, doit se tenir à Francfort- sur-le-llein une conférence sur ce,
sujet
; des invitations doivent être lancées par toute
ues sur 45,000,000 d'habitants. La maladie porte chez 70 p. 400 des
sujets
sur les âges au dessous de vingt et un ans, che
i ses collègues des collaborateurs compétents, à examiner à fond le
sujet
et à présenter un compte- rendu sur la question
administratives, hospitalières et pénales qui se ratta- chent à ce
sujet
En voici les conclusions : 10 Dans les asiles d
moire 'sur les sensations parce qu'il a déjà traité complètement le
sujet
ailleurs (réunion Kdes "'na- turalistes de cell
s mobiles et les raisons des '1 CiU ,' r- .' '' -1 J . z actes du
sujet
en question,, demande à M. Pohl si, pour lui, la
b1;' 4,b noj 1 G 9 s t ? Vc ( La discussion,¡qui'; s'engage,sur¡ ce
sujet
met en relief l'opinion contradictoire. de.Ripp
emplacée par des cris inarticulés en rapportravecrles sentiments du
sujet
. 11 n'est pas le moins du monde rare de rencont
eau de Calmeil : ceux-ci ne songent plus à « l'injustice de leurs
sujets
» ; du fond de la dégradation la plus abjecte,
ière enfance , mais aucun d'entre eux n'était plus particulièrement
sujet
à la céphalalgie. La marche de la maladie a été
s le service de M. le professeur Charcot. La température normale du
sujet
oscille de 37° à 37 ? 3 pour s'élever à 38°,5 e
seulement à signaler, ayant déjà exposé précédemment nos idées à ce
sujet
. Pour terminer nous rappellerons que Samuel Wil
é générale. Observation VIII. (Ducasse, Ibid.) -L'homme qui fait le
sujet
de cette observation parvint à l'âge de soixant
mparfaite comme le prouvait l'état de maigreur et de fai- blesse du
sujet
. Cependant, avec cette santé languissante, il véc
irons pas plus longtemps, actuelle- ment, sur cette partie de notre
sujet
et nous rapporterons les exemples suivants sans
nous avons pu recueillir, où la sobriété ait été constatée chez un
sujet
méry- cole. L'observation XIII rentre à ce poin
t de la même façon au bout de huit jours de mariage chez les deux
sujets
, vierges tous deux, à peu près vers le même âge.
thèse serait aussi applicable à l'OBSERVATION VIII dans laquelle le
sujet
, mort d'un squirrhe du pylore, ruminait moins b
hénomène est survenu à la suite d'une indiges- tion ou même chez un
sujet
déjà dyspeptique. Nous ferons remarquer aussi q
de la volonté; mais rejet consécutif des aliments en masse 1. - Le
sujet
est un homme de moyen âge, d'une assez bonne cons
rison sous l'influence d'un traitement approprié : de plus, chez le
sujet
actuel, la volonté était impuis- sante à reteni
une sorte de rumination partielle, mais d'un autre genre, car le
sujet
ramène tous ses aliments de sa bouche, pour n'en
est point commune avec tous les autres hommes ; tel était le cas du
sujet
observé par Armaingaud. Tel est aussi mon propre
r ce point; dans l'OBSERVATION XXVIII seulement, il est noté que le
sujet
était absolument privé de dents. Chez les idiot
nd parfaitement que, dans des cas semblables, malgré les efforts du
sujet
, la mastication est tou- jours incomplète, surt
ngt-trois observations où l'on a noté autant que possible l'âge des
sujets
au moment du début du mérycisme, on voit que qu
paru avant 15 ans; sept fois entre 20 et 32 ans; une seule fois, le
sujet
avait atteint 40 ans. Le sexe semble avoir une
erions pas trop affir- mer cette proposition : que l'homme est plus
sujet
à la rumi- nation que la femme. Nous nous conte
particulière de l'individu. Tous les auteurs qui se sont occupés du
sujet
n'hé- sitent pas à en placer le siège dans l'es
men- taire chargée d'élaborer le projet de loi sur le divorce, au
sujet
de l'opportunité d'un amendement tendant à compre
per- mettra de nous étonner de la précision qu'il apporte dans un
sujet
d'une appréciation si difficile. « Folie » est un
faire en est là. Laissez-moi, maintenant vous entretenir d'un autre
sujet
. Dans un procès récent, il m'a été posé une que
'est pas disposé de telle sorte qu'on soit en mesure de répondre du
sujet
que l'on vous confie, de s'assurer de l'auteur
onsabilité à l'égard de l'obligation de s'assurer de la personne du
sujet
qu'on lui impose. La discussion, à laquelle. pr
es et sur les grandes articula- tions. Elles ont été depuis lors le
sujet
de travaux impor- tants dus à MM. Ba112, Cliifo
troubles urinaires ; au moindre effort l'urine s'échappe. Elle est
sujette
à la constipation. Etat actuel (juillet 1882).
ux de nos connaissances et enfin ceux des Enfants-Trouvés, sont les
sujets
sur les- quels nous avons pratiqué nos observat
nce d'un délire épileptique et d'un délire vésanique chez le même
sujet
1. Il s'agit d'un forgeron, âgé de trente-quatr
t de façon différente aux in- citations différentes, si bien que le
sujet
peut se trou- ver cataleptique d'un côté, létha
personne lui dit à l'oreille gauche qu'il pleut. Du côté droit le
sujet
sourit, tandis qu'à gauche, l'abaissement de la
tération des faisceaux pyramidaux, on pouvait ob- server chez notre
sujet
quelques modifications, peu graves du reste de
hénomènes cliniques et anato- rnopathologiqucs que présentait notre
sujet
, nous sommes bien convaincu qu'il était atteint
ènes amyotrophiques n'apparurent que vers la fin de la vie de notre
sujet
et ne furent jamais très prononcées ; pendant l
u d'un adulte est com- plètement inconnue. En étudiant dans notre
sujet
cette direction, nous avons trouvé les données
a aussi notée. (Oris. I.) Dans l'autopsie de l'individu qui fait le
sujet
de I'Obseuvation XXIX on trouve que la grosse t
et le mode d'ingestion des ali- ments chez les individus qui y sont
sujets
. Du côté des voies digestives il n'y a rien de
rtains cas exceptionnels comme celui deRossier (OBs. XXVIII), où le
sujet
, déjà malade, avait encore vu son état s'aggrav
nation; mais cet intervalle est très variable, et cela chez le même
sujet
. Nous avons souvent observé le début de la rumi
ination s'opère : nous retrouverons la plupart d'entre eux chez les
sujets
que nous avons observés. Entre tous, le plus im
recherché l'inspiration initiale dont parlent quelques auteurs. Le
sujet
étant mis à nu, nous n'avons jamais vu le thora
t revenus dans la bouche. L'observation suivante nous donnera, à ce
sujet
, de nombreux renseignements : Observation XXX.
ion peut tenir à une foule de causes, et nous avons vu que, chez le
sujet
actuel, la rumination était plus lente à se produ
traîne presque toujours une dilatation pupillaire, excepté chez les
sujets
d'un certain âge (cinquante ans) où elle fait p
iations de conceptions; ce sont elles qui faussent la conscience du
sujet
et exercent sur la façon de sentir et les tendanc
mme indemne d'antécédents héréditaires et de tares organiques, mais
sujette
dès l'enfance à des accès de migraine. Durée : si
tude plus grande pendant la période clonique; le pouls ordinaire du
sujet
qui était tricrote devenait alors dicrote, et mêm
ndividus atteints de ramollissement ou d'hémorrhagie cérébrale, des
sujets
avec des tumeurs, les troubles de la parole son
entiques à celles du premier fait. Les ré- ponses et les allures du
sujet
au milieu même du drame et immé- diatement aprè
sent l'absorption du poison par l'économie, c'est-à-dire : chez les
sujets
gras, car l'iodoforme est soluble dans la grais
d'antidote contre l'iodoforme. Dans la discussion qui s'engage à ce
sujet
, MM. Eyselein, Richter, Eckelmann appuient les
furent constitués par un trouble profond dans la connaissance des
sujets
atteints, par une agitation motrice sans frein d'
par le calme et un changement complet et brusque dans l'humeur du
sujet
. C'est ainsi que tel paralytique général le matin
e chez des aveugles par accidents, etc...). M. Fuerstner limite son
sujet
à l'influence que des processus pathologiques a
raînent pas nécessaire- ment une psychose. M Jorr.v rappelle à ce
sujet
les expériences que le botaniste 1\aoegeli fit
errompre le traitement, et jamais il ne put obtenir l'assuétude des
sujets
; chaque injection était suivie des mêmes phénom
s avantages obtenus compensent largement la diminution de poids des
sujets
en traitement. M. de Rinecker rappelle, à ce pr
sychoses asthéniques. Il a été frappé, quand il s'occupait du. même
sujet
, de l'absence absolue de documents à l'appui de
gner à l'emploi des moyens de coercition. D'après ce qu'il a vu, au
sujet
des cellules capitonnées, surtout en Angleterre,
en même temps alcoolique et délirant chronique et que, chez un tel
sujet
, l'épilepsie, l'alcoo- lisme et la vésame peuve
s variétés sans nombre. a) Cet état est pathologique s'il s'agit de
sujets
qui sont en même temps alcooliques, délirants c
ques, délirants chroniques, impulsifs, etc. ; b) mais même chez des
sujets
sains, en dehors de l'épilepsie, l'état psychique
plète . La gravité du délire varie, on le comprend, suivant, que le
sujet
est sain d'esprit et qu'il n'a, par exemple, qu
de donner un exposé concis et complet des recherches faites sur le
sujet
et des discussions auxquelles il a donné lieu dep
tel organe, parce qu'il est le « locus minoris re- sistenlioe » du
sujet
(cerveau, testicule, poumon) et qui a des aspec
rrain où il prend naissance, il sera goutteux, nerveux, etc., si le
sujet
est goutteux ou nerveux. Les variétés tiendraie
e au milieu de ses variétés. « Cette unité de diabète est elle-même
sujette
à révision : il est possible qu'il y ait, non p
eurs des Achives de Neurologie, qui n'ont pas oublié une revue à ce
sujet
et à laquelle l'auteur a fait de nombreux emprunt
euve d'admissibilité : 1° Une épreuve écrite de trois heures sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système nerveux
Épreuve définitive : 2° Une épreuve orale de quinze minutes sur un
sujet
de pathologie interne et de pathologie externe, a
reuve écrite, trente points. Pour l'épreuve orale, vingt points. Le
sujet
de l'épreuve écrite est le même pour tous les can
es de l'), 426. H\ .1)110tit[LiCS liystéi-i(lues cousidétés comme
sujets
d'expérience en médecine mentale (illusions, ha
gles. A l'état normal, leur coloration est rose pâle comme chez les
sujets
sains ; mais sous l'influence du froid, de la pos
lades, présentant des symptômes in- dubitables d'hystérie. Chez ces
sujets
, l'acrocyanose se montra sans augmentation de v
Un autre est mort du croup à 13 mois. Une soeur, âgée de 20 ans est
sujette
à des crises nerveuses, depuis plusieurs années
a douleur. La sensibilité à la chaleur n'est pas altérée non plus. Le
sujet
per- çoit même des différences assez faibles.
la sensibilité tactile. Autant qu'il est permis de l'affirmer avec ce
sujet
dont l'état mental est évidemment un peu obtus,
x à la pression, qui se sont développés sans attirer l'attention du
sujet
et qui rappellent d'assez loin, des nodosités d
t à 5 h. 30, 32°9 ; à 5 h. lui5, 33°9 ; à 6 heures, 34°7. Chez un
sujet
normal, X..., 28 ans, dans les mêmes conditions,
les sensations de fourmillement, d'engourdissement l'inaptitude du
sujet
à accomplir un acte minutieux, à cause de la pa
affection procède par attaques successives. Or,au contraire, chez les
sujets
dont il est question ici, la cyanose est perman
ment publié par M. Souques (4); s'agit dans cette observation d'un
sujet
de 27 ans qui, depuis l'âge de 12 ans, disait p
rie, l'érythromélalgie et l'acromégalie. Ses trois cas concernent des
sujets
d'un âge relativement avancé (53 et 45 ans) don
ableau symptomatique que voici. En général, la maladie frappe des
sujets
relativement jeunes : l'dge moyen est de 30 ans
e : car souvent l'affection dure de plusieurs années déjà, quand le
sujet
sollicite un avis médical. Le sexe n'a pas une
et quatre hommes. La profession peut intervenir en ce sens que les
sujets
exerçant des métiers les contraignant à passer un
urs. Dans maints cas, les antécédents héréditaires ou personnels du
sujet
sont chargés au point de vue névropathique : le
fectés de migraines. Il y a une certaine constance à cet égard. Les
sujets
pré- sentent souvent eux-mêmes des manifestatio
d'abord intermittent, puis permanent, s'installe. Malgré cela, les
sujets
disent n'avoir pas d'engelures, ni de crevasses.
ose chronique hypertrophiante est constituée. Quand on examine un
sujet
atteint de cette affection depuis nombre d'anné
, sans qu'il soit possible d'établir des règles de topographie à ce
sujet
. Au reste, la teinte varie dans une certaine ga
ale montait, il est vrai, d'une façon très différente chez les deux
sujets
. y a probablement là des phénomènes de régulation
ent par ailleurs. La sensibilité est en général peu troublée. Les
sujets
sentent bien la piqûre, le contact, la chaleur,
La motilité est intéressée, mais à un degré relativement minime. Le
sujet
serre plus difficilement et le dynamomètre indiqu
des disent avoir constam- ment les mains humides. Fréquemment les
sujets
accusent des douleurs dans les poignets, les co
e vue vital, mais parce qu'elle est susceptible d'entraîner pour le
sujet
une incapacité fonctionnelle complète parfois;
esquelles l'examen viscéral est complètement relaté : c'est que les
sujets
étaient at- teints d'une maladie des voies resp
n détaillée. Voici, en outre, quelques renseignements concernant le
sujet
porteur de ces doigts hypertrophiés. C'est un
« ici et non là » pour que cette excitation soit localisée (par le
sujet
) ici et non là. Mais un phénomène objectif n'es
es,serait « nette et immédiate » (p. 146), ce qui est quel- que peu
sujet
à caution. Mais, comme ici le défaut de localisat
ntique à lui-même ; c'est une inférence, un acte, une réac- tion du
sujet
, et celle-ci varie suivant le mode employé à sa m
les de l'expérience acquise, et même des « trucs » employés par les
sujets
pour arriver à déterminer le lieu de tel point to
'est d'après ceux-ci, qui servent alors de points de repère, que le
sujet
cherche à situer les autres contacts, en faisan
ubles à Une distance bien inférieure à celle nécessaire pour que le
sujet
puisse indiquer dans quelle direction (longitudi-
me telles ne contiennent absolument rien pouvant nous renseigner au
sujet
du bras, de l'avant-bras, de leur position éten
Bon- nier connaît, sans doute, les expériences de Stratton (1) : le
sujet
s'était as- treint à porter devant les yeux un
. Tout d'abord, les objets vous parurent renversés, mais bientôt le
sujet
eut l'impression que le champ visuel n'était pa
en parle sans nous indiquer qu'il ait jamais fait d'expérience à ce
sujet
. Je me permets donc de le renvoyer à la (1) Str
ent le mouvement du membre, et comme n'impliquant pas de la part du
sujet
la connaissance des états qui ont varié, on pou
leau rappelle beaucoup celui que le même peintre a consacré au même
sujet
et qui se trouve actuellement au musée de Berli
cette main toutefois est un peu acromégale dans son ensemble et le
sujet
n'est pas gaucher. Aucun trouble fonctionnel
ans d'une affection cardiaque qu'elle aurait eue toute sa vie. Etait
sujette
à de fortes- migraines. Du côté paternel. Gra
u moins tardivement, pendant l'adolescence ou à l'âge mûr, chez des
sujets
manifestement hérédosyphilitiques. J. Babinsk
trueux en fourreau de sabre n'avait pas encore été signalé chez les
sujets
devenus tabétiques de par l'liérédo-s3;plilis.
sseur placée près de la tète de son lit. Il se pourrait même que le
sujet
de cette sanguine ait été inspiré par quelque gué
trouve une facile explication dans la conta- gion à laquelle notre
sujet
fut exposé pendant ses séjours répétés et plus
iements les plus sincères.) Dans l'examen de l'état mental de notre
sujet
nous nous sommes tou- jours souvenus de son âge
anomalies mentales très accentuées ; il est notablement arriéré. Le
sujet
l'a prouvé par sa conduite lors de nos in- vest
ités mentales. Au fond, on ne peut parler de vie mentale chez notre
sujet
; il est vrai qu'il possède des conceptions sur
elque autre chose. Il est impossible de maintenir son esprit sur un
sujet
et de le faire tenir en place (les radiogrammes n
vestigations ne peu- vent être effectuées que quand nous donnons au
sujet
un petit jouet, sinon il répugne à tout examen,
ent physique extraordinaire n'est ni originel, ni hérédi- taire. Le
sujet
était au moment de sa naissance de petite corpule
ganes génitaux, et l'état et l'influence de l'hypophyse. Age. Notre
sujet
peut, en tout cas, être qualifié de géant très pr
onsidèrent le gi- gantisme comme un désordre appartenant aux jeunes
sujets
; mais il n'est guère possible de démontrer par
de la puberté, et même plus tard. Exception faite cependant pour le
sujet
de Lamberg (1) qui, déjà à quatre ans, commença
g (1) qui, déjà à quatre ans, commença à se développer ; et pour un
sujet
de IL Meige et Brissaud (2), qui, à huit ans offr
vons donc, en nous en rapportant à la littérature, considérer notre
sujet
comme le plus jeune des géants. Les maladies ac
ent passagère et précède la croissance pathologique ; ainsi chez le
sujet
de Budaï et .Jancso (1) de seize dix-huit t ans
l'acromé- galie. Enfin nous rappellerons que Sacchi trouve chez son
sujet
précisé- ment la cause du gigantisme dans une t
isme. Il est hors de doute que l'état des organes génitaux de notre
sujet
va à l'encontre de l'idée d'atrophie, et que, si
ophyse analomiquement confirmés qui n'en provoquent pas. Chez notre
sujet
, des traces d'un corps similaire au sucre se so
redisent pas cette assertion. Les animaux qui ont été examinés à ce
sujet
ne présentent au- cune altération ; mais il s'a
mal- gré ses trente ans, les épiphyses ne sont pas ossifiées. Notre
sujet
est de même un géant, mais dont les organes gén
. HYPERTROPHIE CONGÉNITALE n'UNE MAIN . J 95 dans l'ichthyose. Le
sujet
raconte que tous les ans, en avril, il se produit
rs infortunés voisins Nantais. Une expédition de ce genre fait le
sujet
d'une vieille ballade bretonne de celle époque,
supérieures, les fonctions du réel, la volonté et l'atten- tion, le
sujet
est à la fois un faible et un agité. Au moment de
On voit survenir les névroses professionnelles et les tics chez des
sujets
atteints du même déséquilibre mental. » (1) Il
ndonnée. Les accidents ne se manifestent pas toutes les fois que le
sujet
essaie d'é- crire ; les troubles de l'écriture
es doigts différence dans l'amplitude du mouve- ment suivant que le
sujet
écrit sur une table basse ou debout au tableau
uvements d'immobilisation qui « tendent à régulariser les gestes du
sujet
» ont donné des résultats plus appréciables. Nous
tares psychopathiques n'existent que dans la famille paternelle du
sujet
. De plus, l'amélioration se fait progressivement
is. Elle raisonne dit sa mère, avec assez de justesse, appréciation
sujette
à caution, car la mémoire de la malade est souv
rouge bleuâ- tre » (2). Cette description pourrait s'appliquer à un
sujet
atteint de ma- ladie de Recklinghausen. Dans
e d'une vue d'ensemble. Nous n'insisterons point davantage ici à ce
sujet
; nous ne recherche- rons point où commence et
pports réciproques des processus formateurs du type téra- tologique
sujet
de cette observation, il resterait à rechercher l
ni acquises, ni dépendantes d'un processus morbide quelconque. Le
sujet
qui nous en offre l'exemple est un aliéné épilept
tiennent au tabes vrai : Klippel ajoute que dans les mouvements des
sujets
tabétiformes il y a un ensemble de caractères q
certaine analogie avec le leur. Il faut, à mon avis, revenir sur ce
sujet
en expliquant et en comparant nos deux conclusi
ond qui nous paraît tout à fait identique à notre malade et chez le
sujet
que nous vous présentons ? Un certain nombre de c
malades présumés possédés. La tapisserie peut fournir aussi de tels
sujets
, ainsi que l'ont montré également MM. Charcot e
de l'aliéné, ou portent des notes sur l'état psychique antérieur du
sujet
; d'autres renseignent sur le début et l'évolutio
1nuts ».- « Il semble hors de doute, écrivait à l'un de nous, à ce
sujet
, un des membres lesplus distingués de l'Académie
trales. Elle est caracté- risée, suivant l'âge et l'état général du
sujet
, tantôt par des altérations analogues à celles
s parfaite de nos coupes. L'observation que nous publions ici étant
sujette
à discussion, nous avons préféré avoir recours
t engagé sur la nature de la catatonie. On trouvera d'ailleurs à ce
sujet
dans le mémoire de Claus (3) des documents très
re trop courte pour me permettre d'affir- mer que tous les cas sont
sujets
à des variations, mais jusqu'à présent, j'ai vu
mment insisté sur la distinction très nette qui peut s'établir à ce
sujet
entre le syndrome de Dercum et, d'une part, les a
exclusivement les poils de leurs voisins, mais aussi et surtout les
sujets
qui passent la langue sur tous les objets qui les
ue si l'action de lécher devient permanente, involontaire, chez des
sujets
pré- disposés à ce défaut par un état spécial d
lèchement" Otl maladie du lécher des bovidés (2) étant muets sur ce
sujet
, nous avons examiné les chevaux lé- cheurs du 4
nt, les yeux demi-clos, la tête indifféremment t haute ou basse, le
sujet
sort et rentre alternativement la langue dans u
nce à l'écurie, au retour du travail (fait cons- taté chez tous nos
sujets
),, quelquefois sur la route, pendant les halles
et fait maga- sin. La durée des périodes de repos varie avec chaque
sujet
, mais tous nos chevaux présentent des accès quo
es psychiques. - Les stéréotypies de l'homme se produisent chez des
sujets
présentant un certain degré d'affaiblissement ou
décrits chez l'animal, il importait donc de rechercher si chez les
sujets
qui présentent ces désordres on pouvait retrouver
ts cutanés (Symbole, Nolus). L'impatience se traduit, chez quelques
sujets
, par des hochements de tête et du trépignement pe
t certaines répulsions se sont d'ail- leurs dissipées chez certains
sujets
, sous l'influence des bons traitements. Nos obs
e pur sang et les symptômes psychiques que nous avons noté chez les
sujets
atteints de tics ou de troubles psychomoteurs sim
es d'affais- sement, conserve du ressort dans les conditions où les
sujets
moins privi- légiés se montrent insuffisants, a
libre nerveux des clievaux ti- queurs atteints de stéréotypies. Les
sujets
que nous avons ohservésson t clas- sés indiffér
coup d'observations et l'un de nous l'a observé récem- ment chez un
sujet
atteint de tic tonique du membre supérieur droit
Notas, Symbole ; la comparaison a été faite avec un grand nombre de
sujets
non tiqueurs. Les anomalies de la bouche, cicat
station psycho-motrice parait indépendante de la valeur générale du
sujet
; Notus, Tunel et Mirabelle sont montures d'offic
ymbole, Tunel,Lai- ton et Rasoir, c'est-à-dire les trois quarts des
sujets
observés présentent des asymétries faciales, ou
tes, beaucoup de dents sont cariées. Il existe aussi, chez tous les
sujets
, sauf Symbole, une asymétrie des arcades dentaire
x qui lèclient exclusivement leurs voisins en sueur ne sont pas des
sujets
anormaux ; ils ne sont pas plus atteints d'un t
ntiel peut paraître délicat. N'observe-t-on pas, en effet, chez nos
sujets
, la réunion d'une anomalie motrice évidente à un
chevaux qui reçoivent du sucre ou du sel, et cependant bien peu de
sujets
présentent une habitude de lécher qui soit réelle
xpliquer que des gourmands passent la langue, non seulement sur des
sujets
sapides, sucrés ou salés, mais aussi sur des murs
t la recherche d'une satisfaction, dans l'espèce celle du goût. Les
sujets
normaux ne présentent pas d'autre ma- nifestati
ue. Au contraire, l'animal atteint de stéréotypie du léchage est un
sujet
nerveux, émotif, impatient, impressionnable ; i
85 favoriser l'éclosion du tic ou de la stéréotypie de léchage. Nos
sujets
offrent, pour la plupart, des cicatrices des ba
s un travail à pied pro- longé par la difficulté d'obtenir, chez ce
sujet
, les flexions de l'encolure. Et voici, en patho
ré l'affection, la dent cariée fut le siège de vives douleurs et le
sujet
évitait tout contact de la langue à cet endroit p
r une incision ancienne ; dépression assez marquée dans laquelle le
sujet
loge la langue. La première prémolaire ne présent
avec une prédilection et une exagération des plus marquées lorsque le
sujet
est absorbé par une occupation professionnelle.
dépendamment de la fatigue, lorsque la marche étant automatique, le
sujet
poursuit quelques rêvasseries. F... interrompt
ouleur, mais les mouvements se reproduisent sans le consentement du
sujet
qui ne va jamais à la recherche d'une sensation
ui involontairement, automatiquement. Un autre geste particulier du
sujet
consiste à passer alternativement la main gauch
ucune douleur ; de même, diminution de la sensibilité thermique. Le
sujet
éprouve néanmoins l'impression de doux et d'ame
des dentaires et la face interne des joues... de telle façon que le
sujet
a vraiment l'air de chiquer » (2). Il ressort d
ens. Actuellement, nous ne pouvons pas encore nous prononcer sur ce
sujet
; pour la solution de cette question il faut avo
sans doute beaucoup de voyageurs. Les voyageuses y trouveraient un
sujet
d'utiles méditations sur leur prochain rôle de
fréquents pour qu'on ne soit pas excusable d'en rapporter un : « Au
sujet
d'Alcmène, j'aurais dû vous dire qu'elle donner
ue : ne vaut-il pas mieux, en effet, 408 GENEVRIER reproduire les
sujets
pris aux divers âges de la peinture italienne que
s'apercevoir qu'un grand nombre de tableaux étaient consacrés à des
sujets
médicaux et qu'il a commencé de longue date un
ise en vente une oeuvre infiniment plus complète, consacrée au même
sujet
. Un remarquable volume du Dr Paul Ricber, tôt e
ns été amené à intercaler, entre les leçons, des mémoires relatifs au
sujet
traité dans ces leçons. Pour cette partie du volu
i sont transmis plus ou moins bénévolement, l'histoire clinique des
sujets
qui lui sont confiés. Ainsi se trouvent constitué
que nous commencerons la prochaine leçon. Nous serons entraînés, à ce
sujet
, dans des détails minutieux, d'une exposition dif
ai-sante. Les quelques recherches personnelles que j'ai dû faire à ce
sujet
, pour les besoins de cet enseignement, m'ont con-
d'études. Aujourd'hui, Messieurs, l'accord est à peu près fait sur ce
sujet
et l'existence du revêtement épithélial alvéo-
quelques observateurs qui ont développé les vues qu'il a émises à ce
sujet
, il y a une distinction fondamentale à éhiblir en
phases du processus morbide. Parmi les travaux récents publiés sur ce
sujet
, je citerai ceux de M. Friedlander (Berlin, 1873;
propos du rein, je puis le répéter, en quelque sorte mot pour mot, au
sujet
,du foie, en prenant pour exemple le groupe des i
gie infantile eurent bientôt montré que les vieillards sont à la fois
sujets
à la pneumonie lobaire et à la broncho-pneumonie.
s l'his-toire déjà si difGcile de cette maladie. Ayant à traiter un
sujet
encore à l'étude, nous nous sommes trouvés heureu
n'aurions pu d'ailleurs que répéter ici mot pour mot ce qu'a dit à ce
sujet
M. Raymond, dans sa dis-sertation inaugurale; pou
té d'aspect ob-servé. Dans les cas dont il s'agit, la constitution du
sujet
, la erase du sang, doivent avoir, on le conçoit à
t M. Grisolle a rap-porté un exemple de ce genre, suivre chez un même
sujet
, sur un même poumon toutes les transitions, toute
s et formaient un des traits do-minants de l'altération chez les deux
sujets
dont nous avons recueilli l'histoire, et qui sont
recherches. On doit au docteur Ileschl1 quelques travaux sur le même
sujet
, intéressants surtout pour ce qui concerne les de
on du petit nombre d'observations suffisantes que l'on possède sur ce
sujet
. D. Foyers gangreneux. — Abcès chronique. — Vom
peut se développer d'une manière transitoire, acciden-telle, chez un
sujet
qui aurait présenté auparavant des symp-tômes en
duré, par suite d'un travail d'inflammation lente 3. 1 Voyez sur ce
sujet
, Paget, Lectures on inflammation. — On ulcération
s suivent la partie malade dans son mouvement de retrait. C'est là un
sujet
de recherches. Diagnostic. — A moins qu'on n'ai
e voie cependant quel-quefois3, principalement, il est vrai, chez les
sujets
peu avan- 1 Gaz. hebdomad., 185C. 2 Ibidem.
sur la médication antiphlogistique; mais on peut faire remarquer à ce
sujet
que fort souvent, prin-cipalement dans ces derniè
c'est surtout, sans doute, parce qu'elle rencontre dansl'organisme du
sujet
qu'elle atteint des circons-tances particulières
monie aiguë à l'état chronique, on pourrait peut-être, les for-ces du
sujet
le permettant, tenter la médication antiphlogisti
du cœur. Ce lobe était parcouru de bronches notablement dilatées. Le
sujet
de cette observation était un enfant de trois ans
bord affecté.Le nombre des récurrences qui se produisent chez un même
sujet
est souvent des plus remarquables. Ainsi Andral a
pneumonie qui accompagne l'évolution de la tuberculose pulmonaire. Au
sujet
du rôle de cette pneumo-nie, nous rappellerons se
pension dans l'atmosphère ; mais il est préférable, pour la clarté du
sujet
, de n'envisager pour le moment que les seules par
et enfin dans les voies lymphatiques. Les renseignements pris à ce
sujet
firent connaître que cette malade avait été emplo
poumon augmente avec l'âge. Du reste, jamais on n'a trouvé, chez des
sujets
1 Meinel. — Dissertât. Erlangen, 1869. 2 Kuss
atières charbonneuse. Les auteurs ne s'expli-quent pas nettement à ce
sujet
: s'agit-il dans ce cas d'un pigment hémalique ou
tubercule miliaire. Voici en quelques mots ce qu'il a observé à ce
sujet
. Lors-que la phtisie chronique commence à se déve
Voici une disposition que l'on rencontre souvent dans les poumons des
sujets
qui, après avoir présenté les signes de la phtisi
it dans un tiers des cas. Cette phtisie fibroïde, à laquelle certains
sujets
tuberculeux semblent plus particulièrement prédis
traversée de toutes parts par les travées la part de M. Charcot, le
sujet
d'une démonstration, dans une des séan-ces du der
u'un rôle secondaire tout à fait effacé. Ce qui vient d'être dit au
sujet
des formes aiguës de la pneumonie caséeuse, on pe
rtuite. Si nous en jugeons d'après nos propres observations, chez les
sujets
qui succombent à la tuberculisation aiguë, surtou
conséquence du fait précédent, on rencontre en outre, chez ces mêmes
sujets
, dans la plupart des cavités séreuses, une certai
alis, avait l'habitude de faire remar-quer à ses élèves que, chez les
sujets
qui succombent par suite de l'atTection dont il s
t, les malades étaient restées dans l'état comateux. Encore chez un
sujet
atteint de cancer utérin, Xoblitération de lune d
veines pulmonaires, l'aorte ont été explorées avec soin chez tous les
sujets
dont il vient Têtre question ; il n'y existait au
existence si fréquente des concrétions san-guines veineuses, chez les
sujets
affaiblis par une maladie de longue durée. TROI
a Charité, dans le service de M. Rayer, par M. Leudet, et qui fait le
sujet
d'un travail historique et critique fort intéress
0. 8 beistehe Klinik, 1850. 50. Le travail de Planer1 sur le même
sujet
contient des observa-tions suivies d'autopsie. Ma
ritique, autant du moins que cela est possible, lorsqu'il s'agit d'un
sujet
sur lequel on ne possède aucune expérience person
point sur lequel s'accordent tous les auteurs qui se sont oc-cupés du
sujet
. On l'a bien quelquefois rencontrée dans des circ
herches des médecins modernes ; la plupart des auteurs qui ont, surce
sujet
, uneexpérience propre s'accordent à le re-connaît
épendante des accès de fièvre intermittente ; elle peut i Voir à ce
sujet
: Jacquot, Mémoire sur les fièvres comateuses, et
la précision qu'on exige, avec raison, aujourd'hui : c'est donc là un
sujet
qui réclame de nouvelles recherches. Si l'on vena
rerichs ont recueilli un certain nombre de faits qui 1 Voyez sur ce
sujet
: Néret, Archives générales de médecine, décembre
taux particuliers trouvés dans le sang et dans certains viscères d'un
sujet
leucémique, et sur d'autres faits nécroscopiques
date des premières publications de II. Ben-nett et de Virchow sur ce
sujet
. Les observations se sont multipliées ; on a péné
s reproduisons ici les formes. [Figure 41.) Obs. — Nécroscopie d'un
sujet
leucémique. — Cristaux particu-liers dans le sang
mbreux. Fig. -il. — Cristaux oclaédriques trouvés dans le sang d'un
sujet
leucémique, a, Cristaux et globules blancs représ
s un examen plus Fig. 42. — Concrétion fibrineuse expectorée par un
sujet
non leucémique et dans la-quelle on a trouvé des
ang de notre leucémique, ceux qui ont été vus dans le sang d'un autre
sujet
mort de la même maladie par l'un de nous et par M
substance était en très notable quantité dans l'éco-nomie entière des
sujets
chez lesquels on en a constaté la pré-sence. Ma
x devront-ils être considérés comme propres exclusivement au sang des
sujets
leucémiques? L'un de nous1 a eu l'occasion d'obse
euses expectorées dans un cas de catarrhe sec, avec emphysème, par un
sujet
de vingt ans. La figure 42 représente une partie
Afrique pendant trois ans; pendant tout ce temps, il ne cesse d'être
sujet
à la toux et aux oppressions, incommodités qui ne
es le plus souvent. Il ne donne pas d'observations particulières à ce
sujet
. (Voyez Hope, A Treatise on Diseuses of the Heart
ion de la fibrine. Je trouve la confirmation de mes recherches sur ce
sujet
dans les publications récentes de M. le professeu
idents si variés de l'ataxie, nous ferons cependant une remarque à ce
sujet
: les artères humérale et axillaire du membre con
pendant les derniers jours de la vie. à) Chez la malade qui fait le
sujet
de la deuxième observa-tion, notre attention a ét
on actuelle, elle est déjà dans le délire. Cependant elle assure être
sujette
à des rhumatismes et se plaint de douleurs fixes
Bd. 2 Abth. 2 haelfte, p. 323, 328 ; 1361. C'est là, néanmoins, un
sujet
encore incomplètement exploré et qui n'a pas atti
2, s. 152). 3 Rokitansky, loc. cit., t. II, p. 290. * Voir sur ce
sujet
, outre les auteurs déjà cités: Hodgkin et Jackson
a été invoquée à peu près par tous les auteurs qui se sont occupés du
sujet
. Nous ne feront que la mentionner tout en reconna
e remarquer que cette affection paraît se développer surtout chez des
sujets
débilités, principalement pendant l'état puerpéra
proprement dit où elle revêt parfois la forme ulcéreuse. Voir sur ce
sujet
: Virchow, Verkandl. der Gesell. fur Geburtskunde
nes qui continssent des abcès, qu'il n'y avait nulle part, chez notre
sujet
, de traces d'une phlébite suppurée, que les parti
a-tion de l'artère pulmonaire se rencontre assez fréquemment chez des
sujets
atteints d'affections rénales2, ont supposé que l
e ma-ladies chroniques, ou encore dans l'état puerpéral. Or, chez ces
sujets
, le sang présente souvent, comme on sait, une alt
aité des maladies des reins, vol. 111, p. 330 et suiv.). Voyez sur ce
sujet
Lendet, Note sur l'altération des veines rénales
professeur Virchow 1 d'avoir fait remarquer que, chez la plupart des
sujets
oùla coagulation du sang dans l'artère pulmonaire
232) comme ayant rapporté des observations qui se rattachent à notre
sujet
. Malheureusement il nous a été impossible de cons
ccidents formidables sem-blables à ceux qui se sont déclarés chez les
sujets
dont nous avons rapporté l'histoire. Faut-il voir
ut-on admettre que des caillots volumineux aient i Consulter sur ce
sujet
: Gulliver. Med. chir. Transad., 183 \ p. 144. — V
conjonctives), des poumons et du cerveau, qui se manifestent chez les
sujets
des expériences ; c'est ensuite la très petite qu
mais ce n'est qu'à une époque relativement voisine de la nôtre que ce
sujet
a commencé à fixer l'attention des auteurs. Les
ails sur cette partie de la question qui dépasse les limites de notre
sujet
. Rappelons-nous seulement que les parois aorti-qu
ait une longueur de 6 à 8 centimètres. Rokitansky fait observer, à ce
sujet
, que, lorsqu'on laisse macérer une aorte affectée
p. îï59-) Les ulcérations, les érosions qui occupent chez certains
sujets
une portion considérable de la surface interne de
longtemps signalée par M. Canton, peut se rencontrer parfois chez des
sujets
at-teints d'athéromes artériels. Quand de pareils
de l'aorte : il ne faut cependant jamais oublier que, chez plusieurs
sujets
, des lésions de ce genre, malgré leur étendue, ne
es, depuis quelques années, et la précision de nos connaissances à ce
sujet
laisse aujourd'hui peu de chose à désirer. En m
mesure, quelques particularités qui se rattachent directement à notre
sujet
. Ces données étant une fois établies, nous allons
morragies ayant été combattues par de nouveaux panse-ments, la vie du
sujet
fut prolongée pendant cinquante et un jours ; et
efois deux ou plusieurs tumeurs anévris-males de l'aorte chez le même
sujet
. Dans sa première statis-tique, Lebert a rassembl
ites aux dimensions que peuvent acquérir ces tumeurs, quand la vie du
sujet
se prolonge. Dans la cavité thoracique, on les vo
e semblables indications sont précieuses pour le diagnostic, chez les
sujets
qui présentent déjà les signes rationnels d'un an
itération complète du canal thoracique, sans amaigrissement, chez des
sujets
atteints d'anévrismes aortiques ; l'un de ces deu
et de l'aorte, ou dans d'autres parties de l'arbre artériel, chez les
sujets
qui présentent une dilata-tion anévrismale de ce
r l'anévrisme de ce vaisseau, elles surviennent, en général, chez des
sujets
hystériques, ou du moins très irritables, et s'ac
versellement reconnu qu'il ne convient pas indistinctement à tous les
sujets
, et qu'il ne faut jamais l'appliquer aux individu
re ; mais l'em-ploi trop fréquent de ce moyen ne tarde pas à jeter le
sujet
dans une prostration profonde, et finit à la long
s voies aériennes : on sait en effet que souvent la dyspnée, chez les
sujets
affectés d'un anévrisme de la crosse, est une con
épanchements se produire dans les grandes cavités séreuses, chez les
sujets
affectés d'anévrysmes aortiques. On peut les comb
logie. — L'anévrisme disséquant se développe habi-tuellement chez des
sujets
d'un âge avancé; la moyenne, d'après Peacock, ser
rare, d'après Laënnec, de trouver, surtout parmi les vieillards, des
sujets
de taille ordinaire chez lesquels l'aorte présent
ont les principaux indices d'un pareil état de choses ; chez quelques
sujets
, on entend un bruit de souffle doux sur le trajet
ssous du canal artériel. Quant aux oblitérations aorliques chez les
sujets
dont le canal artériel est resté perméable, on le
gne presque toujours ces rétrécissements, donnera lieu, chez quelques
sujets
, à des palpitations plus ou moins in-tenses. On a
riques feront soupçonner une sténose aorti-que, et les antécédents du
sujet
permettront de distinguer un rétrécissement congé
ralement que les affections du cœur m des poumons offriront, chez les
sujets
affectés de cette in-firmité, une gravité excepti
étrangère à ce vice de conformation. On doit donc recommander, aux
sujets
chez qui cette lé-sion pourrait être soupçonnée,
d'un rétrécissement congé-nital ; on les retrouve également chez les
sujets
atteints d'une obstruction accidentelle : mais il
intermittente dans le membre inférieur du même côté ; le malade était
sujet
à des accès de paralysie dou loureuse, provoqués
te. Au reste, le cours du sang se rétablit plus facilement chez les
sujets
atteints d'une obstruction accidentelle que chez
t dû être ballottée par le torrent circulatoire. Il existait, chez le
sujet
de cette observation, des dépôts fibrineux multip
gie foudroyante se déclare soit à l'extérieur, soit à l'intérieur; le
sujet
pâlit rapidement, perd connaissance et expire.
t à la cohésion intime des tuniques, qui est la règle chez les jeunes
sujets
et chez ceux dont l'aorte n'a point subi d'altéra
s lésion préalable des tuniques ; presque toujours, en pareil cas, le
sujet
était tombé d'un lieu élevé et la déchirure de l'
. Goubaux et H. Bouley, aux-quels on doit d'importants travaux sur ce
sujet
, ont plusieurs fois appelé l'attention de la Soci
tain temps, une grande partie de leur irritabilité. Le repos chez les
sujets
atteints de claudication, de même que l'ablation
fiés. Que deviendraient-ils si on les laissait vivre pour en faire un
sujet
d'études cliniques ? Quelques-uns, conservés dans
n a été faite, l'occa-sion de voir en consultation des malades (trois
sujets
mâles), atteints de claudication ischémique, chez
dans les intervalles des atta-ques, d'une bonne santé et n'a pas été
sujet
à des palpitations ou à quelque autre phénomène i
dans la trame des tissus qu'on avait affaire dans le cas qui fait le
sujet
de cet article? C'est ce que l'examen microscopiq
ui ont été trouvées à l'autopsie à celles qui se rencontrent chez les
sujets
qui succombent à la morve aiguë, à l'infection pu
rité la plus parfaite, par tous les auteurs qui ont eu à s'occuper du
sujet
. Cependant cette description, si remarquable pour
rches ultérieures. Parmi les travaux qui ont été écrits sur le même
sujet
, et que l'auteur passe en revue avant d'exposer s
anquer d'être utile aux médecins qui seraient conduits à reprendre ce
sujet
. II. Des pneumonies lobaires abortives. Dan
taux particuliers trouvés dans le sang et dans certains viscères d'un
sujet
leucémique et sur d'autres faits microscopiques o
leucémique et sur d'autres faits microscopiques observés sur le même
sujet
................... 348 QUATRIEME PARTIE Malad
auteurs ne recueillent jamais d'antécédents syphilitiques chez les
sujets
atteints, si ces antécédents font défaut dans t
éfaut dans tous les cas sans exception, cela doit être, puisque les
sujets
, en puissance de syphilis héréditaire, ne sauraie
cela porterait à cinq les cas de maladie de Paget observés chez des
sujets
ayant acquis la vérole. On a beaucoup insisté s
IPPEL ET PIERRE-WEIL ' seur Fournier, lorsqu'à l'occasion d'un même
sujet
on trouvera : « 1° une maladie de Paget typique
L\FONT. loc. cit. 22 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL 13 qui concernent des
sujets
exposés à l'intoxication des acides (blanchis-
ien des cas, la guérison f 1). HISTORIQUE Définition. Division DU
sujet
. On a donné le nom de crampes professionnelles,
de ce travail : M. le professeur agrégé Sicard qui m'en a inspiré le
sujet
; M. le professeur agrégé Claude ; M. le D' Meig
ent, il faut deux conditions : 1° une PREDISPOSITION congénitale DU
sujet
; 2° La répétition fréquente D'UN même acte fon
d'elles isolément n'est suffisante. ^prédisposition congénitale du
sujet
se retrouve dans toutes les observations si l'o
n fils atteint de la crampe des écrivains ; Gallard cite une malade
sujette
à la crampe des écrivains dont la soeur et la m
. Le surmenage professionnel, l'attention sou- tenue, concentrée du
sujet
, nuisent à la bonne exécution d'un travail habi
les autres actes de la vie courante. Dans certains cas, des malades
sujets
à la crampe des écrivains ont accusé pendant quel
enir leur verre, leur fourchette. Il s'agissait tou- jours, soit de
sujets
ayant une lésion locale, soit de malades s'observ
utre affection, et tous ses autres organes paraissaient normaux. Le
sujet
prenait depuis quelque temps de la trinitrine ;
malade écrivait vite ; les douleurs devenaient alors si fortes que le
sujet
était obligé de s'arrêter ; après quelques minu
nte des membres supérieurs n'a au contraire fait jusqu'à présent le
sujet
que d'un très petit nombre de travaux ; il est
a plume s'enfonçait dans le papier, les doigts se crispaient, et le
sujet
devait attendre quelques secondes pour recommen-
rminables, ou même complètement transformées et méconnaissables. Le
sujet
, cherchant cons- tamment par sa mimique et ses
raidissait sur le porte-plume,puis les doigts se crispaient, et le
sujet
devait interrompre son travail. Se frappant bea
ite, et que le malade a observée d'ailleurs spontanément. Or, si le
sujet
tient la plume comme tout le monde, les cra- qu
d'une crampe, qui se spécia- lise sur un terrain surmené et chez un
sujet
prédisposé. 3° Origine nerveuse : névralgies, n
ouvé de l'anesthésie sur le trajet du cubital et du médian chez des
sujets
atteints de crampe des écrivains. Duchenne (47)
deux à trois heures par jour. Il était d'un tempérament irritable,
sujet
à des colères brusques. Un jour il s'endormit à s
orticolis mental; c'est l'existence de mouvements associés chez des
sujets
atteints d'un spasme fonctionnel déterminé. Tou
qui eut une crampe des écrivains après avoir été jeté à l'eau. Un
sujet
, observé par Oppenheim (106), eut la même névrose
s avons déjà fait remarquer que, en rechercha ni avec soin chez les
sujets
atteints de crampes professionnelles, les stigmat
entrale de ces névroses ? . On peut également trouver chez certains
sujets
des crampes fonc- tionnelles successives simult
nces réunies que M. V. attribue sa maladie. Vers la fin de 1891, le
sujet
remarqua que sa main droite devenait malhabile à
prendre naissance et se coordonner en un délire sytématisé chez des
sujets
qui n'ont aucun stigmate physique ou psychique
pas toujours de la névrose ; on peut les voir se produire chez des
sujets
qui n'ont aucun des stigmates classiques de l'h
FAURE-BEAULIEU Plusieurs expérimentateurs ont abordé avant nous ce
sujet
: Danysz (1) introduit un tube de verre contena
x profondément modifiée. Par moments au contraire la physionomie du
sujet
se transforme, il a l'air ue vouloir retenir le r
légèrement contractées, surtout si l'on prolonge l'examen et si le
sujet
se sent observé. Lorsqu'il ne parle pas, le mal
dre leur maximum au bout de quelques minutes. Le matin au réveil le
sujet
peut prononcer quelques phrases comme tout le m
.Mais la déglutition proprement dite n'est pas troublée : jamais le
sujet
n'a eu de spasme pharyngien, ne s'engoue pas,les
. / Tous ces phénomènes spasmodiques sont absolument indolores. Le
sujet
accuse simplement une vague sensation de compre
position dite cadavérique. Les diverses fonctions se font bien. Le
sujet
accomplit sans peine son tra- vail de mineur.
culaire est démontrée aussi chez notre nain par le fait qu'il a été
sujet
à de très fréquentes luxations traumatiques des
notre patient physiologique : nous ne pouvons faire remarquer à ce
sujet
qu'un léger défaut dans la quantité des lymphoc
dans toutes leurs variétés d'autre part. J'ai largement traité ce
sujet
dans mon mémoire sur l'infantilisme de Loi'ain,
fonc- tion d'une part et l'état insuffisant de nos connaissances au
sujet
du fonction- nement du système nerveux d'autre
attente d'une durée plus ou moins longue suivant la diffi- culté du
sujet
, un précurseur du progrès ultime de la connaissan
ences fondées sur l'induction et la déduction. La première n'a pour
sujet
d'observation que des os fossilisés et quelques e
r autant qu'il nous soit possible de les apprécier. Mais, puisque les
sujets
qui, seuls, peuvent nous renseigner, nous décla
pement de la conscience et sans entrer dans aucune discussion à ce
sujet
, sans même signaler la théorie de Verworm qui r
as, dans les nombreuses réflexions auxquelles je me suis livré à ce
sujet
, avoir jamais surpris en défaut cette conceptio
lique parfaite- ment par le moyen du réflexe intellectuel. C'est un
sujet
qui prête à de longs développements que la desc
s un oubli, si pas une erreur, ce qui n'a rien d'é- tonnant dans un
sujet
aussi nouveau et aussi ardu, en ne signalant pas
s'ar - rêter. J'espère cependant m'être suffisamment étendu sur le
sujet
pour orien- ter les savants non prévenus vers l
nnelles avec mouvements associés. Les mouvements associés, chez les
sujets
normaux ont été décrits par Muïïer ; dans les m
chez lesquels existaient des mouvements associés. Chez l'un de ces
sujets
il y avait à la fois flexion du gros orteil droit
pierres de son métier, se mettait au travail. Chez les deux autres
sujets
, atteints de crampe des écrivains de la main dr
uilibration. » Il en est souvent de même, nous l'avons vu, chez les
sujets
atteints de crampes professionnelles. Le travail
l point surprenant de voir coïncider ces deux névroses chez le même
sujet
. Bonnet a rapporté un intéressant exemple de ce
e de crampes, lo- calisées par le surmenage professionnel, chez les
sujets
dont l'appareil moteur périphérique et central
ives d'une pseudo-occlusion intestinale ; pendant quelques mois, le
sujet
a remplacé la morphine par 0 gr. 30 d'héroïne en
les repos doivent être de plus en plus longs. C'est en vain que le
sujet
essaye des porte-plumes plus gros, triangulaire
ientôt dès que le malade prend le porte-plume. Souvent cependant le
sujet
peut continuer à écrire au crayon ; cela s'expliq
ion de la crampe des écrivains est des plus variables sui- vant les
sujets
, et l'on peut dire avec Meige qu'il n'y a pas deu
avec extension des deux autres. Tous ces spasmes cessent dès que le
sujet
renonce à écrire. Cependant, comme nous l'avons f
se produit soit lorsqu'il y a lésion périphérique, soit lorsque le
sujet
très nerveux s'étudie et craint d'avoir sa cram
ou bien (Brissaud, Hallion et Meige) la crampe disparaît lorsque le
sujet
est très préoccupé de l'idée qu'il va écrire, car
ques et cloniques. Kouindjy a bien montré que très souvent chez les
sujets
atteints de crampe des écrivains il y avait hyp
nées ; mais il semble persister une légère excitation éthylique. Le
sujet
s'inquiète de son infirmité ; dans la vie habitue
nostic des secondes se basera surtout sur l'état mental habituel du
sujet
, sur la concomitance d'autres spasmes ou d'autr
à son début, vierge de tout traitement, évoluant isolément chez un
sujet
confiant en son médecin et sans tares mentales
it examiner surtout avec le plus grand soin, c'est l'état mental du
sujet
, son passé pathologique, ses antécédents hérédita
e grande difficulté à écrire en présence d'une personne quelconque.
Sujet
mi- , Fic. 9. - Ecriture dans la chorée rythmée
journellement et avec excès de la machine à écrire, soit aussi bien
sujet
à une crampe professionnelle qu'un comptable pa
sont plus observées. Tous les troubles moteurs cessent lors- que le
sujet
quilte l'appareil télégraphique, et ne se manifes
ent de l'index, très rapide, était répété 3 à 4 heures par jour. Le
sujet
avait vu se manifester au bout de quel- que tem
166) ont observé chez un ciseleur, et qu'ils décrivaient ainsi : le
sujet
tenait de la main gauche son ciseau, et de la m
euse des muscles des mollets; cette crampe se. manifeste dès que le
sujet
veut exécuter son exercice, mais n'apparaît poi
mpe des musiciens à vent rentre au contraire tout à fait dans notre
sujet
; elle se manifeste par un spasme des muscles des
arler toute la - journée : depuis quelque temps, chaque fois que ce
sujet
devait crier les chiffres à haute voix, il avai
ronostic mauvais. Il faut tenir compte en outre de l'état mental du
sujet
: si le malade est un aboulique, un psychopathe
ne crampe sans lésion organique définie prise à ses débuts, chez un
sujet
n'ayant point d'autre névrose, et con- fiant en
tera tout d'abord une enquête minutieuse sur le genre de travail du
sujet
, sur les troubles que le ma- lade accuse, sur l
issaud sur les né- vroses traumatiques ont bien montré que certains
sujets
pouvaient, môme inconsciemment et sans vouloir
es stigmates dits hystéri- ques à la suggestionnabilité spéciale du
sujet
,et à la disparition sou- daine des accidents so
ique existe, il ne faudra point négliger l'étude de la mentalité du
sujet
qui seule peut expliquer la spécialisation de la
doit être imputée à la fragilité spéciale de l'os. Chez deux autres
sujets
, on constate une fracture de la rotule à la suite
r normale. Les épiphyses sont au moins correspondantes à celles des
sujets
normaux de même âge, et par la façon dont elles s
pare les radiographies de myopathiques avec celles obtenues chez un
sujet
sain adulte (PI. XXVI). Chez Borg... (no 1) (1)
e de la diminution de la résistance des os. Chez Dar... (n°6), le
sujet
de 21 ans, avec rétractions et ankyloses,plu- s
NS LA MYOPATHIE (Pierre Merle et Raulot-Lapointe). A. - Bras d'un
sujet
normal (12 ans). B. - Bras d'un myopathique de
les os normaux. La radiographie a été faite comparativement chez un
sujet
myopathique sans altération des masticateurs (B
ant plus remarquable que l'ombre du maxillaire z est donnée chez ce
sujet
, radiographié de profil, par la superposition des
les trabécules et les voûtes de renforcement qui existent chez les
sujets
sains; le tissu compact, seule- ment visible au
s sont d'autant plus considérables que la maladie a débuté chez des
sujets
plus jeunes ; ainsi il semble qu'il y ait non seu
S OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 239 graphies qui concernent les
sujets
jeunes donne bien l'impression que les lésions
les des muscles sous l'action d'une cause commune. Il convient à ce
sujet
de rappeler l'origine mésodermique commune des
e malarique ; depuis cette époque, de temps en temps, il est encore
sujet
à quelques accès de fièvre. A l'âge de 19 ans,
tivement assez bien. Bien que la difformité du squelette chez notre
sujet
ne soit pas encore trop avancée, l'on y peut dé
isans notamment en France où des thèses intéressantes ont paru à ce
sujet
. Nous avons soigneusement analysé les antécéden
ce au point de vue de la transmission héréditaire. Il s'agit d'un
sujet
de58 ans, dont le père a eu le doigt annulaire co
tés acquises, pouvant dans un certain degré modifier l'organisme du
sujet
, peuvent être transmises à la postérité. Mais q
ur la première fois, Dupuytren a remarqué en 1832 que chez certains
sujets
, par suite de la rétraction de i'aponévrose palma
su cellulaire sous-cutané. Cénas décrit, en 1884, un cas où chez un
sujet
, à la suite d'une blessure par arme à feu du nerf
is que le trophoedème est dur et non dépressible, l'oedème de notre
sujet
est géla- tineux ; il semble que la peau très h
lle- mont (2) a rapporté dernièrement un cas de ce genre ; chez son
sujet
la peau des régions oedématiées était rosée ;on
pendant serait-il sage d'interdire l'accès de ces professions a des
sujets
particulièrement prédisposés aux névroses, névr
seur du pouce chez un malade atteint de crampe des écrivains, et le
sujet
avait été guéri. Mais à sa suile, Langenhecl (9
sit pas davantage. Vaschide eut l'idée d'employer l'hypnotisme : le
sujet
était suggestionnable, mais on ne put l'endormir
sa main était laissée- légèrement engourdie. Il faut ajouter que le
sujet
ne présentait aucun trouble sensoriel. Au bout
jet ne présentait aucun trouble sensoriel. Au bout de deux mois, le
sujet
commença à écrire d'abord pendant le sommeil hy
avec cet appareil à quatre ou cinq mouvements d'extension. b) Le
sujet
tenant le bras tendu et la main en pronation, une
cés en des- sous, et l'index et le petit doigt passant sur elle. Le
sujet
reste ainsi quelques moments le bras tendu. Pui
papier est parallèle au bord antérieur de la table. L'avant-bras du
sujet
repose sur la table, parallèlement à ce bord anté
que la plume soit dirigée vers le bord de la table correspondant au
sujet
. , On commence par tracer d'abord des bâtons, e
elque temps la plume de ronde par la plume ordi- naire, et quand le
sujet
est parvenu à écrire facilement avec la main re
if de la feuille d'écriture droite (voir fig. 12). Pendant que le
sujet
écrit ainsi des deux mains, son attention se tr
circonstances où il prévoit qu'il sera obligé de se hâter ». c) Un
sujet
atteint de crampe des écrivains doit avoir une éc
ier ordre dans son trouble graphique. D'ailleurs, on a affaire à un
sujet
franchement nosophobique. Par exem- ple, l'an d
active dans l'exécution des actes commandés : l'écorce cérébrale du
sujet
doit intervenir à tout instant. La discipline psy
urs. Mais elle exige aussi la répétition des efforts volontaires du
sujet
en vue d'exécuter 316 MACÉ DE LÉPINAY l'acte
que la névrose est déjà ancienne, et s'est ancrée dans l'esprit du
sujet
; soit parce que le malade, névropathe avé- ré,
ent, il faut deux conditions : 1° une prédisposition congénitale du
sujet
; 2° La répétition fréquente d'un même acte fon
ssances actuelles ne nous permettent encore que des hypothèses à ce
sujet
. Dans tous les cas, intervient le psychisme par
s variétés peuvent d'ailleurs alterner ou s'entremêler chez le même
sujet
. Parmi les autres crampes professionnelles, cel
ce ou la succession de plusieurs névroses ; 3° Sur l'état mental du
sujet
; 4° Sur Y ancienneté de la maladie. Une cram
crampe, sans lésion organique définie, prise à ses débuts, chez un
sujet
n'ayant point d'autre névrose, et confiant en son
que, d'un autre côté par les recherches anatomiques faites sur les
sujets
morts peu après le début de la maladie. Dans ce
iles dans l'étude des symptômes initiaux de la maladie. Parmi les
sujets
que nous avons observés à la clinique, trois sont
s les trois le surlendemain de l'entrée à la clinique. Un quatrième
sujet
a heureusement traversé la première phase de la
des méninges, mais qu'en examinant les nerfs périphériques chez des
sujets
morts dans la phase aiguë de la mala- die, on n
ut-être atteint également quelques racines postérieures. Chez les
sujets
observés nous avons recherché si la présence des
'ombilic. Le symptôme de Lasègue existe encore des deux côtés et le
sujet
éprouve des douleurs quand on presse sur les de
voir aucun renseignement sur les causes de sa mort était, dit notre
sujet
, aussi grand et aussi fort que lui-même. Le s
e musculaire : il est seulement de 86 kilogr. L'aspect général du
sujet
vu de face est des plus remarquables. Les régio
mpagnant d'une légère incurvation latérale. , La gibbosité donne au
sujet
vu de profil un aspect de polichinelle assez pro-
ils n'ont été plus volumineux. D'ailleurs, de l'aveu même de notre
sujet
, les désirs sexuels ont toujours été, chez lui,
nce de varices, qui sont la cause de l'ulcère de jambe pour lequel le
sujet
est entré à l'hôpital. Otto éprouve rarement
nt l'adolescence de telle façon que notre patient devint bientôt un
sujet
d'admiration et de surprise pour tous les ci- t
l raconte avoir parlé une fois avec l'esprit d'un ami mort, et à ce
sujet
il reconnaît que personne ne peut le croire, mais
oses qui l'ont passionné,il ne s'enthousiasme que sur deux ou trois
sujets
: les soldats du grand duc de Toscane,ses cannes,
lus de précision anatomique : « Le gigantisme est l'acromégalie des
sujets
aux cartilages épiphysaires non ossifiés, quel qu
es rouge vif, poncti- formes, qui apparaissent tardivement chez les
sujets
scléreux. Certaines de ces malfornrations sont
0 ans ; sa grand'mère à 98 ans ; le père et la mère à 60 ans. Notre
sujet
était bien portant dans son enfance. Il a contrac
ques particularités qui n'avaient pas été notées à l'au- topsie des
sujets
morts de la maladie de Bechterew. Nous ne nous
tres causes déterminantes. Nous trouvons dans les antécédents de ce
sujet
un refroidissement de la colonne vertébrale. Peut
cutifs à un tabes dorsal. Je n'ai pu trouver que peu de chose, à ce
sujet
, dans la littérature médi- cale : je me bornera
chose assez facile : de telle façon qu'une minutieuse discussion au
sujet
du diagnostic différentiel serait complètement in
xique. SUR UN cas d'ostéo-arthropathie tabétique 523 Je note à ce
sujet
, sans vouloir en tirer aucune conclusion particul
vait remarqué la fréquence de la goutte dans les antécédents de ses
sujets
, Lancereaux (4) en France, suivi par Richard (2
ême membre, leur peu d'étendue la non- existence de varices chez le
sujet
, leur coloration, permettent d'éviter l'erreur
gée, des troubles vaso-moteurs ? Nous ne savons rien de précis à ce
sujet
. Le gâtisme et les mauvaises conditions hygiéni-
ctuel considérable. Il est calme en ce moment, mais parfois, il est
sujet
à des accès d'agitation violente accompagnés d'
ans et demi et l'étude de ces problèmes est assez difficile sur un
sujet
lie cet âge. Dans les cas XI, XVI et XXV, il a
n point faciliter la toux et l'expectoration. Chez nos deuxautres
sujets
atteints de poliomyélite qui sont morts pen- da
ni albumine, ni urobiline. Mis à la diète de viande et au lait, le
sujet
ne présenta plus dans son urine qu'une quantité
intestinales furent toujours très régulières et parfaites chez notre
sujet
pendant la période d'étude de l'échange matérie
rga- nisme, comme il s'en est produit les premiers jours chez notre
sujet
, il y a eu les jours suivants une tendance à la
urrait avoir quelque influence sur l'échange de la chaux. Or sur ce
sujet
nous sommes déjà documentés, car l'un de nous (Fr
it, s'appuyant sur les résultats de nombreux examens dans plusieurs
sujets
chez lesquels il a pu mettre en évidence la lev
ngénitale, l'autre à une mala- die de Banti qui provoqua la mort du
sujet
. Les déterminations par la méthod3 de Wasserman
i cependant est contraire à la théorie hypophysaire, reconnaît à ce
sujet
que l'étude des échanges matériaux dans l'acrom
s tous les cas un état mental spécial. S'il est vrai que certains
sujets
c'est la minorité s'adonnent au tatouage par cu
is je crois à leur petit nombre. Mes observations ont porté sur des
sujets
détenus dans les ate- liers de travaux publics
incipales ou les incidents dominants d'une vie. C'est ainsi que les
sujets
porteurs d'une inscription subversive ou d'un tat
chaîne a été tatouée vers la même époque. On peut affirmer que tout
sujet
porteur d'un dessin re- présentant une chaîne a
prisonné. Si le tatouage représente une chaîne brisée, c'est que le
sujet
en question a bénéficié d'une grâce ou d'une remi
travailleur, ha- bituellement de caractère plutôt paisible, il est
sujet
à de véritables accès de fureur qui lui font co
ui voisinent avec le portrait du roi d'Italie. T... se dit en effet
sujet
italien et prétend qu'on l'a incorporé à tort,
ptent réellement dans les rangs de l'armée du crime, tandis que les
sujets
précédents ne s'y en- rôleront peut-être jamais
de leur peine. Observation XIV. (Tatouages nos 14 et 15.) S...,
sujet
corse âgé de 24 ans, est pourvu du certificat d'é
et il en fit de remarquables. Il affectionnait particulièrement les
sujets
militaires. D... aflichait à tout propos des id
ntaire à 18 ans. A Toulon, il s'est rapidement lié avec les mauvais
sujets
de son régiment et on retrouve sur lui le mousq
t du travail. Il ne réussit qu'à faire la connais- sance de mauvais
sujets
qui l'exploitent et le volent. lise bat avec eux
(Tatouages nos 23 et 24.) Ces deux tatouages appartiennent au même
sujet
, détenu à l'atelier de tra- vaux publics, origi
(Tatouages n', 26 et 27.) Je ne possède aucun renseignement sur les
sujets
porteurs des tatouages 26 et 27. Nous sommes vr
26 et 27. Nous sommes vraisemblablement en présence d'un pédéraste (
sujet
tatoué sur les cuisses) et d'un corse. Ce derni
orte en effet le tatouage du bandit Bellacoscia que portait déjà le
sujet
qui fait l'objet de l'observation XIV. Je clora
e von Eiselsberg et l'observation de la jeune - fille qui a fait le
sujet
d'une communication et qui aétémenstruéepourla
mort. Elle a eu deux enfants, dont un est mort eu bas âge et notre
sujet
. Sa grand' mère maternelle présenta une difform
dérable. L'observation que nous rapportons aujourd'hui a trait à un
sujet
tout à fait semblable, atteint de brièveté cong
mérus sont rac- courcis. Dans tout le reste de son organisation, le
sujet
paraît absolument nor- mal ; la tête, le cou, l
ns sont de dimensions et de conformation tout à fait régulières. Le
sujet
est très fortement développé pour son âge ; il es
conformé de même, est absolument indemne de cicatrices.En outre,le
sujet
raconte que ses parents ont remarqué le raccour
ce médiodorsal, et la slernèbre à l'appendice médioventral. Chez le
sujet
que nous avons en vue l'atrophie est au maximum
ongueur de l'os. En somme l'atrophie des humérus coexiste chez ce
sujet
avec une atro- phie des portions appendiculaire
phologiques de cette maladie soient réunies au complet chez un même
sujet
. 688 DANLOS, APERT ET FLANDIN plasiques par l
rdres de faits. Pourquoi les humérus sont-ils aussi courts chez ces
sujets
, nous n'en savons rien, et la constatation, dan
rase de tout ce qui a été dit, défendu et prétendument démontré au
sujet
de la nature de l'espèce humaine, puisqu'il n'y a
s pitié les moins bien adaptés. Sans que je puisse m'étendre sur ce
sujet
qui sort un peu du cadre que je me suis tracé,
ceux que captive le fonctionnement de la machine humaine. C'est un
sujet
qui a fait couler beaucoup d'encre et donné lieu
ce dans cette étude, et j'espère apporter un peu de lumière dans ce
sujet
encore si obscur en descendant jusque dans les pr
impossibilité d'exprimer par aucun autre mot existant. Le premier
sujet
d'observation sur lequel se soit porté son esprit
même susceptible d'erreur. Plus éloignée des hommes, elle est moins
sujette
à subir leur influence et la répercussion de leur
t quelque temps dans un asile pour aliénation mentale; elle était
sujette
à des accès de colère violents, à la suite desque
'àge de quatre ans et demi. Antécédents personnels. - Le malade est
sujet
, depuis son enfance, à de violents accès de col
radi- cale qui en fasse-deux processus inconciliables sur le même
sujet
. On les suppose l'une parenchymateuse, l'autre
anesthésies, les douleurs fulgurantes et l'incoordina- tion chez un
sujet
présentant d'autre part le tableau clinique du
rables et desquelles on meurt. Mais en combien de temps mourra le
sujet
? Il y a des temps d'arrêt, même des rétrocessi
ec les eschares ou même la phtisie pulmonaire, qui emporteront le
sujet
? Toutes ces questions, et mille autres semblable
er les parties corticales qui échappent tout à fait à la volonté du
sujet
, et, ainsi isolées fonctionnent très longtemps,
ant le somnambulisme, on réussit aussi, en adressant des paroles au
sujet
, à produire des irri- tations restreintes dans
e restriction. Sans nous en apercevoir nous guidons le sommeil du
sujet
, et, si nous insistons à étudier les phénomènes
après des exercices souvent répétées; que, chez la plu- part des
sujets
, on n'arrive pas à produire ces phases; ni l'un
cer l'idée d'une origine purement mécanique, sans que la volonté du
sujet
fût entrée d'une façon bien manifeste dans l'ac
Nous insisterons en terminant sur le lieu d'élection, chez notre
sujet
, des hémorragies suggérées ou spontanées. Ces h
e des Incurables. (Gaz. méd. de Paris, 1884.) La malade qui fait le
sujet
de cette observation ne rentre pas REVUE DE PAT
attention. On mettra dans un quartier spécial les malades qui sont
sujets
à des impulsions dépres- sives, soit qu'ils pré
observation est surtout intéressante en raison du très jeune âge du
sujet
; on sait en effet que les cas de manie aiguë RE
e sclérose des cordons latéraux. A l'autopsie, on trouvait chez ces
sujets
plusieurs circonvolutions atrophiées, sans tout
lie impulsive. Il s'agit d'un jeune homme de dix-neuf ans, très bon
sujet
, n'ayant présenté jusques là que des troubles m
(état mixte de l'Obs. Il). Cette maladie, qui porte surtout sur des
sujets
de vingt à trente ans, se termine généralement pa
s ont indirectement engen- dré, par réaction sur la connaissance du
sujet
, des entités vésa- niques complexes » et, plus
-encéphalites pendant l'enfance. La physionomie des deux espèces de
sujets
est identique : saillie des arcades zygoma- tiq
en pleine guérison d'un long accès de manie 0,07 0,11 ? Les mêmes
sujets
mettront pour réagir et distinguer la valeur de l
ifeste l'influence de l'amylnitrite sur la volonté, chez différents
sujets
. Les recherches faites jusqu'à ce jour se divis
r la volonté ; le travail le plus important et le plus complet à ce
sujet
est celui de Dr Kroepelin, cité dans les « Elud
Cette action est attribuée aux vaso-moteurs. Les controverses au
sujet
de l'action des vasomoteurs ne nous arrêteront pa
subjectives. L'influence de l'amylnitrite est varia- ble selon les
sujets
; ses nombreuses observations s'étendent à des s
ble selon les sujets; ses nombreuses observations s'étendent à des
sujets
normaux, àdes sujets anormaux. Depuis longtemps,
; ses nombreuses observations s'étendent à des sujets normaux, àdes
sujets
anormaux. Depuis longtemps, on a constaté que c
en détournent avec horreur. La plus grande majorité, tant parmi les
sujets
normaux que les sujets malades nerveux ne s'opp
eur. La plus grande majorité, tant parmi les sujets normaux que les
sujets
malades nerveux ne s'oppose pas à l'inhalation
auche était plus irritée. -- Quant à la manière dont les différents
sujets
sont affectés par l'amylni- trite, elle est con
r- tent très bien. Il y a cependant de nombreuses exceptions. Les
sujets
normaux et les malades ne présentaient aucune dif
naient intenses, quand le sensoriel11 commençait à être affecté, le
sujet
en expérience nous le communiquait, et l'on pre
rapidité jusqu'à b; à 'ce point, on éloigne l'amylnitrite du nez du
sujet
, le tracé remonte immédiatement ; on rapproche
m tremens. Le tremblement avait disparu, mais on constatait chez ce
sujet
un phénomène dont il est ques- tion dans la pre
, tandis que les effets physiologiques sont les mêmes chez tous les
sujets
. Plusieurs personnes ont présenté des courbes a
. De plus, un phénomène intéres- sant, c'est l'effet produit sur le
sujet
atteint de lésion du crâne ; plusieurs savants
int de lésion du crâne ; plusieurs savants ont dû constater que des
sujets
atteints de lésions du crâne opposaient moins d
umide de la région dorsale, on constate chez le malade, qui fait le
sujet
de cette observation, de l'abattement, de l'inapp
t, mais il est en- core impossible de nettement se prononcer sur ce
sujet
. Intégrité des muscles des yeux. Affaiblissemen
doit-on être très réservé sur l'em- ploi des anesthésiques chez les
sujets
atteints d'affections rénales ou de diabète. CE
travaux pratiques, dans lesquels je reçus l'aide du Dr Taylor. Les
sujets
compris dans le cours étaient une esquisse géné
ulancière; il y avait, de temps en temps, des inteirogations sur le
sujet
de ces cours sous l'inspection d'une surveillan
n ? mel et Séglas. ont subi la première épreuve à la date fixée. Le
sujet
de la composition écrite était -.^Substance grise
eront les suivantes : -I° composition écrite de trois heures sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système ner- ve
du système ner- veux ; 2° l'épreuve orale de quinze minutes sur un
sujet
de pa- thologie interne et de pathologie extern
préparation. Il sera attribué 20 poiuls à cette épreuve. Art. S. Le
sujet
de la composition écrite est le même pour tous
culose pulmonaire, très intelligente, de taille assez élevée, était
sujette
aux migraines. - [Père ? Mère serait encore viv
avec goitre, les autres accompagnés de cachexie pachydermi- que. Le
sujet
de droife est Gr... - 148 CLINIQUE NERVEUSE.
n début, à la suite d'une vive émo- tion ; pendant ce temps, il est
sujet
à des attaques convulsives. A quarante-trois an
eresthésie tout le long de la colonne verté- brale, le malade était
sujet
à des crises pendant lesquelles les membres se
as du reste sur ces divers points n'intéressant qu'indirectement le
sujet
dont nous nous occupons. Nous devons maintenant
s'exprime en comparant l'attitude que présente dans la marche un
sujet
atteint d'hémiplégie organique et celle qu'offr
ns précédentes. OBSERVATION IV (résumée). Boin..., palefrenier, est
sujet
de- puis l'enfance à des maux de tête. A l'âge
ment du champ visuel. Le malade DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 171 est
sujet
à des attaques de dyspnée, de nature hystérique.
point. Les observations que nous avons rapportées ont trait à des
sujets
adultes et, par conséquent, ce n'est qu'à eux q
nfant, son évolution pourrait être diffé- rente à cause de l'âge du
sujet
. Il ne s'agit pas là, du reste, d'une simple vu
t défaut dans nos observations, en raison des con- ditions d'âge du
sujet
, dit M. Chauffard, la monoplé- gie, survenant e
'une médiocre impor- tance aux hypothèses que l'on peut soulever au
sujet
de cette amyotrophie. Nous avons tenu surtout à
voir, avant, de terminer, répondre à une objection qui peut, à ce
sujet
, se présenter tout naturellement l'esprit du le
faille chercher la cause du silence que les auteurs ont gardé à son
sujet
. Et, tout d'abord il faut remarquer que ce que
et. Et, tout d'abord il faut remarquer que ce que nous disons là au
sujet
de l'atrophie hystérique s'appliquerait tout au
stérie est fréquente chez l'homme. Or, que disait-on autrefois à ce
sujet
? L'hystérie, disait-on, est l'apanage presque
u professeur de Cracovie, résumant ses communica- tions sur le même
sujet
à l'académie de Vienne. D'après ses expériences
lacunes] [V. Die Rückenma1'ks-Schwindsuc'ht. Vienne, 1885.] Sur ce
sujet
, critiques et réponses acerbes. P. K. XXVIII. C
ème nerveux. Il s'agit d'un état congénital héréditaire; la mère du
sujet
en question vient de procréer un enfant actuell
mprisonnés étant, au fond, identiques aux formes observées chez les
sujets
qui jouissent de leur liberté, offrent souvent
étention, d'occupation, etc., qui convient le mieux à la nature des
sujets
. Le système, qui ne poursuit que l'idée de puni
r M. Truc, interne des hôpitaux. (Lyon méd., 1885, t. XLVIII.) Le
sujet
de cette observation est un prêtre, âgé de trente
us sommes bien près de nous entendre et une partie étiologique plus
sujette
à controverse. Après s'être étendu sur la quest
one Les parties constituant 1 Comparer avec les travaux sur le même
sujet
dans les Archives de Neurologie. -- 251 SOCIÉ
aux seront prêts, M. Guttstadt voudra bien écrire un rapport sur le
sujet
. La séance est levée à cinq heures et demie (Al
n, et l'hystérie chez les hommes adultes a été, plus d'une fois, le
sujet
de travaux intéressants. Il a été défendu cinq
e travaux intéressants. Il a été défendu cinq thèses traitant de ce
sujet
seul à l'École de médecine de Paris, dans l'int
l'hystérie. De même, il est impossible d'expliquer autrement que le
sujet
, 268 CLINIQUE NERVEUSE. privé de la faculté d
cette maladie sous l'influence de cer- taines émotions morales. Le
sujet
parait peu développé, d'une constitution fémini
po- sition névropathique héréditaire; sa soeur est hystérique. Le
sujet
est extrêmement enclin à se croire malade; ayant
e. Du 19 au 20 juillet, on observe une faiblesse du bras gauche; le
sujet
sent des fourmillements et des picotements. Du
durée, etune difficulté àavaler. Pendant l'accès du 29 décembre, le
sujet
, immobile jusque-là, sous l'in- fluence d'une h
sourde continuelle dans les jambes. L'anamnèse nous rapporte que le
sujet
était resté trois mois alité à la maison avec la
ui était déjà arrivée une fois. Le frère aîné du malade était aussi
sujet
aux mêmes contractures. Prescription : soluti
attaques; que, de toute sa famille, il n'a qu'une soeur de neuf ans
sujette
à ces convulsions. 11 n'a jamais fait aucun exc
yeux ouverts distinguent bien les couleurs. Macropie, comme chez le
sujet
n° 10. Abolition du goût; les muqueuses des yeu
des ver- tèbres lombaires, si bien qu'au moindre attouchement, le
sujet
se rejetait en arrière. Mais, en revanche, les
nts, sous la forme d'opisthotonus ou de pleurosthotonus, ou bien le
sujet
frappe le lit de la tête à plusieurs reprises,
ge parfois chez le même patient. Vers la fin du trouble, on voit le
sujet
en proie à des hallucinations il prononce des p
a exigé l'emploi prolongé d'un ca- théter. Le premier malade était
sujet
, en outre, aux vomissements et aux accès d'angi
elle n'est pas migraineuse, mais depuis, quelques années, elle est
sujette
à des céphalalgies qu'elle attribue aux chagrin
mmes parvenus à remplacer la robe par le pantalon (fig. 21). Il est
sujet
à être constipé et est très sensible au froid.
est redevenue distincte. Dans les dix dernières années, il a été
sujet
à des étourdissements l'obligeant à s'asseoir pen
rrespondent aux diverses mensurations prati- quées sur le crâne. Le
sujet
est manifestement dolichocéphale, contrairement
nt flasques et pendantes, et la nuque, très forte pour la taille du
sujet
, présente deux plis profonds séparés par un bou
- dier et de Mortillet ont fait observer avec juste raison que le
sujet
présenté ne ressemblait nullement à un crétin o
de la glande thyroïde paraît constante. Les quelques autopsies de
sujets
atteints de cachexie pachydermique sans accompa
1885, et le travail que \l..1. Re- verdir vient de présenter sur ce
sujet
au Congrès français de chirurgie. IDIOTIE AVEC
trouvés à l'autopsie et quelques symptômes obser- vés du vivant du
sujet
; nous avons pu constater que chez la plupart de
restées négatives. Un grand nombre d'hypothèses ont été émises au
sujet
de la nature du myxoedème ; chaque observateur
he de la mal servir auprès de nous. A plusieurs reprises, le même
sujet
est abordé, mais il est im- possible de la fair
par quelques-uns comme les règles de la chirurgie, je crois que le
sujet
sera mieux traité en décrivant avec détail le t
voyez devant vous et sur les animaux infé, rieurs qui ont servi de
sujet
aux expériences. Préparation du malade. - La ve
ndre les précautions les plus grandes. Les vues stéréotypées sur ce
sujet
ont sans doute entravé les progrès de la chirurgi
Londres, garantira mon opinion que l'idée généralement reçue sur ce
sujet
est sans fondement. Pour revenir à notre sujet,
alement reçue sur ce sujet est sans fondement. Pour revenir à notre
sujet
, à cause de ce fait que presque toutes les méth
suite, permettra à tout le monde d'avoir un opinion certaine sur ce
sujet
. Comme je ne suis pas de ceux qui considèrent q
t non la sensation occasionnée par le contact, mais le moment où le
sujet
réagit à la sensation réelle du chaud ou du fro
ne fait que passer sans les négliger et entre les faits récents, si
sujets
à discussion, difficiles à exposer et qui tous so
encore une reine intelligente, lorsqu'il fallut prendre un parti au
sujet
d'une belle-soeur impériale : aujourd'hui encore
refuser pendant des années ce qu'on accorderait au dernier de ses
sujets
, des secours médicaux, des soins appropriés et un
iente a respecté les actes non contrôlés du roi, jus- qu'à ce qu'un
sujet
d'excitation, les difficultés financières, eût
reuves comprenaient : une composition écrite de trois heures sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système ner- ve
oigné au dehors est ainsi conçu : « atteint Aedelirium tremens; est
sujet
à des accès pendant lesquels il s'échappe de sa
avec, un, certificat ainsi conçu : « Atteint de délirium tremens ;
sujet
a des crises d'excita- tion pendant lesquelles
n'est pas la seule, Il on1ple ? voit ? 1à- prendre le malade comme
sujet
d'observations psychologiques..... Jil l ^' 1l
P. Joseph, béné- dictin, qui l'avait exorcisée, avait déclaré à son
sujet
, qu'elle n'avait donné aucun signe de possessio
que ces choses horribles provenaient de l'obsession, il y eut grand
sujet
de croire qu'elles mirent à profit cette imprud
cisée. Il fut de même établi, à rencontre de ce qui était avancé au
sujet
des préten- dues possédées, que leurs forces ne
leurs exorcistes. La moralité des exorcistes eux-mêmes fut trouvée
sujette
caution, en dehors de leurs agissements au mona
tence d'une luxation coxo-fémorale double, sans réaction locale. Le
sujet
peut marcher un peu avec desibâtons, mais de ch
.Ÿla Si les troubles oculaires présentés par le malade qui fait le
sujet
de cette observation sont comparables, sous bea
note sont les. analyses chimiques des, os malades et de l'urine du
sujet
. La, seconde note est de M. H. Meunier,' intern
t, prise dans le service de M. Gombault. Le, malade qui en est le
sujet
est un homme de soixante-huit ans, il s'éloigne d
anciens repré- sentent des difformités humaines, copies exactes des
sujets
que leurs auteurs avaient devant les yeux. On s
plus avancée de leur processus évolutif. En effet; chez le premier
sujet
, 'la mort a interrompu le processus presque.au
utopsie montre des lésions autres que celles notées' chez' les deux
sujets
précédents.' Il y a un effet''pachy-méningite;
du bien. Les autres mobiles qui agissent dans le même sens chez les
sujets
nor- maux (sentiment du devoir, crainte du désh
? par" Clark' Bell ? ? ? lh C'est une vaste enquête entreprise au !
sujet
des arguments' pour ou contre le restraint' ain
quelques convalescents, ou encore, à titre prophylactique, chez les
sujets
"'à' hérédité vicieuse; 13° l'enveloppement.' par
us' fait à tous défaut* Les renseignements bibliographiques sont ce
sujet
épars' et "rares ; et encore' ne'les trouve-t-on'
ires ; mais à six ans, il a fait une chute grave, et de plus il est
sujet
à des étour- dissements. Un dimanche soir, il d
e boisson à la suite d'un de ces étourdissements auxquels il serait
sujet
. La ques- tion qui se pose est donc de savoir s
ouv. Iconogr. de la Salpëtrière, 4893, n 4.) Article à lire. - Le
sujet
était un jeune hystéro-épileptique dont l'affec
euse. En effet, il affirme que le diable a été mis dans le corps du
sujet
par une protestante, une voisine de la famille
ne s'agit pas ici de lésions purement cadavériques, puisque sur des
sujets
morts de différentes affec- tions on ne les ret
ant plus que d'après notre connais- sance elle ne fut pas encore le
sujet
d'une étude spéciale. Le paludisme larvé est tr
is neuf mois, me dit-il, il se sentait de temps en temps nerveux et
sujet
à des mauvaises humeurs; mais cet état passait vi
i nerveux, d'une constitution forte. Depuis un an et demi, elle est
sujette
à des maux de tête périodiques, accompagnés des
avec envie d'aller à la selle sans résultat. Chez une autre malade
sujette
à des accès -analogues, ces accès débutaient pa
sion ne paraît pas tout entière en faisant causer une fille sur des
sujets
de cette nature, et tant plus leur vengeance se
isement partiel des nerfs optiques. En plus, si on provoque chez ce
sujet
, par la suggestion, des anesthésies diverses, c
r si cette thérapeutique préalable rend plus facile l'éducation des
sujets
traités. (British med. Journ., juin 1894.) A. Mar
par le professeur M. Bombarda. Les faits d'observation qui font le
sujet
principal de cette élude REVUE DE PATHOLOGIE ME
uente chez les épileptiques et les auteurs l'ont rencontrée chez 26
sujets
sur 72, soit une proportion de 15, 11 p. 100. C
tion diffuse provoquée par des causes de nature dépressive chez des
sujets
dont le système nerveux est profondément débilité
u tabac l'a délivrée de tous les autres accidents. On fait venir le
sujet
. La fixation du regard provoque l'hypnose en qu
c'est-à-dire comme délire partiel exclusivement limité à un seul
sujet
; il a découvert la folie circulaire et la folie d
'est qu'il a servi de base à tout ce qui a été publié depuis sur ce
sujet
et que psychologues, physiologistes et cliniciens
thérapeutique et la médecine légale des alié- nés, sans oublier son
sujet
d'étude de prédilection, la paralysie générale.
doivent être traitées par de savants alié- nistes, plusieurs autres
sujets
intéressant l'aliénation mentale seront exposés
aux et récréa- tions de l'assemblée (séances où seront traités, les
sujets
proposés ; visites aux asile, hôpitaux, école,
excursion au Puy-de-Dôme, etc., etc.); 3° outre les trois grands
sujets
traités par les trois rapporteurs du Congrès, MM.
e Faculté, se sont fait [inscrire pour prendre la parole sur divers
sujets
: MM. Maurice de Fleury, de Paris; Charles Vall
nt les suivantes : 1° une composition écrite de trois heures sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système nerveux.
pour cette épreuve ; 2° une épreuve orale de quinze minutes sur un
sujet
de pathologie interne et de pathologie externe,
férentes positions que peuvent occuper la langue ou les membres des
sujets
observés. La solution nous l'avons trouvée en f
e façon très évidente lors- qu'on parvient à attirer l'attention du
sujet
et qu'on l'y maintient quelque temps sur l'acte
est tout de suite distraite, et, si on la maintient de force sur un
sujet
, elle accuse un mal de tête très pénible. Elle ne
océdé qui consiste à' mettre un crayon ou une plume dans la main du
sujet
, et, tout en le distrayant, à lui poser des que
le cerveau en déterminant une amnésie ? On ne peut que. faire à. ce
sujet
des. hypothèses invérifiables. Les effets patho
ent avec les appréciations bien connues de Montalembert sur le même
sujet
. Les amateurs d'histoires locales trou» veront
à la continuation de l'information et sa déclaration tant sur ce
sujet
que sur la sortie des religieuses du dict couvent
Q. Intéressante observation de tabes vrai coexistant chez le même
sujet
avec un diabète vrai, ayant produit une paraplégi
eudo-tabès. D'une part, l'ataxie locomotrice est af- firmée chez le
sujet
par les signes caractéristiques de la série tab
compagner d'agraphie. Dans cet ordre d'idées, le malade qui fait le
sujet
de l'observation, traçait facilement, correctemen
composi- tion des urines qui baignent les éléments anatomiqucs d'un
sujet
donné. Aussi, ne voyez-vous pas que la générati
fections puissent à un moment donné se trouver réunies chez le même
sujet
. mais l'hérédité morbide ne se traduit pas seul
érie), elle constituera une idée subconsciente, c'est-à-dire que le
sujet
en ignorera l'existence. Mais cette idée ne ser
état second au cours duquel l'individu présente les apparences d'un
sujet
normal ; il voit, entend, marche, parle, raisonne
i sépare la prédisposition hé- réditaire et la dégénérescence et le
sujet
qui a * une tendance à certaines formes de déli
c'est l'idée fixe. De plus, la manie hystérique s'observe chez des
sujets
jeunes; elle guérit vite, mais elle est sujette
e s'observe chez des sujets jeunes; elle guérit vite, mais elle est
sujette
à des rechutes. Et l'on voit fréquemment, après
me qu'il n'est pas possible de faire autrement quand on traite d'un
sujet
comme l'hystérie. La séance est levée. - Le s
é- rimentale appliquée à la clinique psychiatrique ; il montre à ce
sujet
la- possibilité de mensurations psychométriques
de la dégénérescence; l'hystérie, selon lui, peut exister chez des
sujets
indemnes de tout stigmate dégénératif. Ce n'est
ente, lorsqu'à la suite d'un trauma- tisme, par exemple, on voit un
sujet
jusque-là bien portant présenter des manifestat
es accidents hystériques. M. Pitres. Il n'est pas douteux que les
sujets
qui deviennent hystériques au moment de leur pu
copales, etc.; mais ces accidents n'autorisent pas à considérer ces
sujets
comme des dégénérés. Cette remarque s'applique
rve dans les délires toxiques; 20 sur l'état de semi-conscience des
sujets
^««"interpellation brusque suffit à les sortir
es. M. Babinski. L'histoire des névrites périphériques constitue un
sujet
fort complexe auquel se rattachent SOCIÉTÉS SAV
enter d'envisager seulement quelques-uns des côtés de cet important
sujet
. , Sous le nom de névrites périphériques, de po
ou moins prononcées. Ainsi donc, quand on trouve à l'autopsie d'un
sujet
qui a présenté pendant la vie des troubles nerv
on n'est pas à retours et qu'une névrite cardiaque vraie tuerait le
sujet
en quel- ques heures, ces auteurs, dis-je, ont
écial ? Nous savons qu'il y a une quantité d'individus qui sont des
sujets
prédisposés, chez qui l'alcool joue le rôle de ca
t toxique. M. Doutrebente (de Blois) manifeste quelques craintes au
sujet
de la qualité de l'alcool qui serait livré à la
pour la société. MM. Giraud, Charpentier prennent la parole sur le
sujet
ainsi que le Dr Bourneville qui propose de vote
imposants qui permettraient d'étudier avec fruit l'histoire de ces
sujets
éminemment suggestibles. Les renseignements fou
les plus nets, par une véritable altération de la personnalité, le
sujet
étant autre qu'à l'état de veille et perdant, l
onomanies en face de cette évolu- tion ? ' Mais voici un deuxième
sujet
. Celui-là, il est ambitieux, il n'a jamais été
ux ne délirent pas. Il y a à cela une raison majeure, c'est que ces
sujets
diathé- siques ont à délirer des titres qu'ils
TALE. A l'autre extrémité de la pathologie mentale se rangent les
sujets
que l'hérédité n'a presque pas atteints; faibleme
la période intercalaire, de l'ap- parition du premier accès chez un
sujet
de vingt-cinq à trente- cinq ans jusque-là sain
hronique et la dégénérescence mentale, c'est-à-dire la psychose des
sujets
préalablement normaux, et le vaste complexus où
ntres nerveux. Un accès aigu ou subaigu d'alcoolisme éclate chez un
sujet
pour la première fois; son délire actif, souven
llatérale, distincte de la précé- dente, une hérédité vésanique. Le
sujet
devient alors un être hybride, il peut se montr
quand cette lésion est étendue ou progresse, on peut dire que le
sujet
atteint est- un prédisposé. Dans son étude sur le
S SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES.. 283 délire systématisé chez des
sujets
atteints de lésions circons- crites. Dans sa th
de délire systématisé chez les vieillards, c'est-à-dire chez des
sujets
dont le cerveau est en voie de régression athérom
diverses formes de la mélancolie, surtout chez les femmes. Et à ce
sujet
, je noterai que certaines conceptions délirante
a folie alcoolique typique se dissipe souvent très vite, et que les
sujets
qui en sont atteints sont soignés chez eux ou d
uant à la paralysie générale, on a soigné en dix ans, à l'asile, 76
sujets
provenant du département atteints de cette affect
les considérations suivantes ' : * C'est cet arrest qui nous donne
sujet
de remonstrer à à Vostre Majesté que le crime d
quatrième août 1662 a esté donné avec tout l'examen que méritoit le
sujet
des accusations formées contre la soeur Buvée.
é adressées. « Ce qui seroit d'autant plus juste d'observer en ce
sujet
que le Parlement a pris des cognoissances que l
ion de l'arrest du quatrième août 1662 et cela estant, nous avons
sujet
d'espérer de faire cognoistre la vérité à Vostre
llogiques variaient plus ou moins, , BARBE BUVÉE. 509 suivant les
sujets
. Les attaques avec perte de connaissance, parfo
se rapprochant par bien des points des persécuteurs, qui sont assez
sujets
à des hallucina- ' tiens : je veux parler des d
conservé une hémianopsie latérale droite typique. En 1892, elle fut
sujette
à de courtes absences fréquemment répétées, qui s
mme obligés de nous borner à reproduire les réflexions faites à son
sujet
par M. le professeur J. Renaut. M.RENAUT(deLy
e progressive. L'auteur signale plusieurs faits observés par lui au
sujet
des physionomies des myopathiques : l'accentuat
l'École polytechnique, lauréat de l'Institut, lit une note pour le
sujet
ci- dessus. Position de la question. L'intérê
t enregistrées et conservées sinon dans la conscience principale du
sujet
, du moins dans une conscience secondaire, et pe
ici, puisque, de l'aveu même de M. Binet 2, les descriptions sur ce
sujet
font tout à fait défaut dans notre pays. 1° Y
instruments; ceux-ci opèrent ensemble et souvent se prennent comme
sujets
d'expériences. Nous reviendrons ultérieurement,
infection pratique, obligatoire et... gratuit. Je limite donc mon
sujet
aux ventes mobilières et je cons- tate que, dan
nce toutes les indications qu'on ' vou- drait bien nous donner à ce
sujet
et qui nous permettraient d'arriver au meilleur
s individus. Ainsi, le pincement de la peau, rouge pour beaucoup de
sujets
, est vert pour d'autres. Le spectre sera d'auta
ar la contemplation d'un verre plan, ne gênent pas l'orientation du
sujet
. Le fond de l'oeil reste normal, . Evidemment i
lors arriver, ainsi que l'a constaté M. Marandon de Montyel, que le
sujet
passif, se basant sur les phénomènes auxquels i
que devra avoir l'impression pour engen- drer l'aliénation chez un
sujet
sain. D'une manière générale, la contagion des
nts et les vieillards représentent pour la majorité des auteurs les
sujets
les plus contaminés, mais d'après les statistiq
, ce que l'on sait du mode d'action des narcotiques constituent les
sujets
traités. La guerre ne nous permet pas d'avoir d
ale et démence paralytique, injections hypodermiques, tels sont les
sujets
dont nous nous occupâmes. En 1872, nous nous
lus eu de modifications dans le fonctionnement ni dans le genre des
sujets
traités par notre Société. Si pendant trois ann
e système excel- lent a le seul désavantage d'être trop complexe et
sujet
à de fré- quents dérangements. Les distractions
e Saint-Robert (Isère). M. le Dr Truchon a été conduit à traiter ce
sujet
dans sa thèse inaugurale à la suite d'une obser
Epreuve d'admissibilité. 1" Une épreuve écrite de 3 heures sur un
sujet
d'anatomie et de physiologie du système nerveux.
Epreuve définitive. 21 Une épreuve orale de quinze minutes sur un
sujet
de pathologie interne et de pathologie externe, a
l'épreuve écrite, 30 points; pour l'épreuve orale, 20 points. Le
sujet
de l'épreuve écrite est le même pour tous les can
ême pour tous les can- didats qui sont appelés dans la séance. Le
sujet
de la composition écrite est le même pour tous le
s, l'équilibre psycho-moral s'est jusque-là montré parfait chez les
sujets
atteints. Ce sont d'honnêtes mères de famille,
'incuba- lion, ne s'offre pas avec des caractères bien tranchés. Le
sujet
, peu à peu envahi par un malaise qu'il ne peut
ues, ne tardent pas à se produire en dehors du courant des idées du
sujet
; si bien que celui-ci, pensant à autre chose, e
s en plus ; il fonctionne en quelque sorte automatique- ment, et le
sujet
assiste en auditeur étranger à des conversa- ti
alades qui se transforment, il plaça, sans les en dis- tinguer, des
sujets
qui sont d'emblée ambitieux et persécutés ou si
itieux et persécutés ou simplement ambitieux. Il ne vit pas que les
sujets
seuls qui ont progressivement évolué de l'idée
tions anciennes. Récemment M. le profes- seur Potain \ parlant d'un
sujet
polyurique qui avait reçu une blessure à la têt
polyurie. » De même il s'agit, dans un cas de M. A. Mathieu2, d'un
sujet
qui, ayant reçu des coups sur la tête, se mit à
de faire observer que plusieurs auteurs ont trouvé, à l'autopsie de
sujets
polyuriques, des tumeurs, des hémorrhagies et d
directe ou indirecte n'a pas été tentée, ne valent plus et restent
sujettes
à caution. Nous arrivons maintenant à l'étude
ble urinaire. Point n'est besoin d'insister sur ce chapitre. Que ce
sujet
devienne plus tard hystérique, cette idée fixe
- sécrétion urinaire. Cette réaction s'impose presque chez un tel
sujet
, étant donnée l'existence d'une idée fixée depuis
tinents nocturnes urinent sinon plus, du moins plus souvent que les
sujets
normaux. Presque toujours, ils ont des besoins
ie hystérique. Qui boit beaucoup urine plus et plus souvent qu'un
sujet
sobre. Il est logique de croire que cette hyperdi
la sécrétion ou de l'excrétion urinaire attire et fixe l'idée d'un
sujet
, cela se conçoit aisément. Il est moins aisé de
puisque la physiologie de la sécrétion urinaire normale est encore
sujette
à discussions. Quoi qu'il en soit, on peut déga
ette idée fixe a son origine dans l'exis- tence antérieure, chez le
sujet
, d'un trouble urinaire polla- kiurique ou hyper
e accueillis avec empressement par tous ceux qui s'intéressent à ce
sujet
. A-t-on même répondu victo- rieusement à cette
. Elles ont porté sur la partie clinique et analomo-pathologique du
sujet
. Enfin nous avons cherché à déterminer expérime
de la Verrücktheit. Buch confirme les travaux de Westphal sur ce
sujet
. Qu'on nous permette d'arrêter un instant cet h
es d'activité utile dans la vie. Il est impossible de don- ner à ce
sujet
tous les développements qu'il comporte. Un exempl
esquisser à grands traits les tableaux morbides; ses travaux sur ce
sujet
sont suffisamment importants pour fournir un ar
as de tétanie chez un soldat âgé de vingt-quatre ans consti- tue le
sujet
de la cinquième observation. Enfin, dans la der
OUSE. Paris, Jouve, 1891. Les vieillards et surtout les femmes sont
sujets
à une forme spé- ciale de mélancolie. Comme la
trouvent condensés et coordonnés les multiples travaux parus sur le
sujet
. Il serait superflu d'insister sur l'importance
n complète, on trouve l'analyse plus ou moins détaillée suivant les
sujets
des travaux médicaux et chirurgicaux de l'année
ère de voir qui a fini par prévaloir en Bavière. Il y eut même à ce
sujet
un long conflit entre le Ministère laïcisa- teu
sciatique et de névralgies faciales très rebelles au traitement, et
sujette
depuis la mort de son mari à des troubles intel
rès accusés, rappelant ceux qu'on observe dans les muscles chez les
sujets
atteints de sclérose en plaques. Tous les mouve
s affirma- tions de nos malades sont formelles sur ce point. A ce
sujet
, il est intéressant de rappeler que Cab... avait
se. Le premier caractère important, qui se retrouve chez tous nos
sujets
, c'est la lenteur de la parole. Ils traînent, i
ils se localisent dans les parties supérieures du corps, lorsque le
sujet
est debout. Or, chez notre malade, nous n'avons j
ison, à des mots toujours les mêmes qui ne riment nullement avec le
sujet
de conver- sation. Ces mots dont le malade est
nde avec leur éducation et leurs habitudes. Guinon rappelle, à ce
sujet
, l'histoire bien- typique et clas- sique, d'une
Quant à l'autre terme, écholalie, qui signifie la répétition par le
sujet
des mots prononcés en sa présence, je n'en appro-
lésie et qui consiste dans l'imitation des actes exécutés devant le
sujet
. Il a fait également défaut chez notre jeune fi
très variables d'aspect, qui semblent prouver que l'état mental du
sujet
n'est pas absolument normal. - Les troubles p
ifférences. A la vérité, le siège du mal est' le même chez les deux
sujets
: l'inflammation semble avoir eu son point de d
e aiguë possèdent des caractères anatomo-pathologiques spéciaux. Le
sujet
de la pre- mière observation est'tombé malade à
issus et en particulier la moelle, ne possédaient pas chez ces deux
sujets
les mêmes qualités. 11 n'est pas éton- nant qu'
l y a quelqueintérêtàindi- quer le tableau clinique présenté par le
sujet
atteint simulta- - nément de deux névropathies
ent, par un observateur sagace et érudit, M. Cullerre. (Voir sur ce
sujet
un travail de cet auteur dans les Annales médic
gnan et ses élèves l'ont démontré d'une façon évidente, que le même
sujet
peut pré- senter plusieurs sortes de délire en
ne simple coïn- cidence car on a observé cette même lésion chez des
sujets
qui n'ont présenté aucun de ces 'phénomènes. Po
, puis, étant devenue stationnaire. La précocité de l'affection (le
sujet
a actuel- lement vingt ans) permet de penser à
mes toxiques, la moelle épinière fut trouvée aussi normale chez les
sujets
empoisonnés que chez les individus conservés comm
a examiné 2,174 individus se décomposant en 1,174 aliénés et 1,000
sujets
sains d'esprit. Les aliénés comprenaient 267 fe
tabétiques, d'un vieillard de quatre-vingt-quatorze ans, et de deux
sujets
absolument bien portants. P. K. XXII. UN cas
rmement cru paralysé. Observation II. - G. M..., trente-huit ans,
sujet
depuis neuf ans à des attaques périodiques de p
tout le gyrus reclus ; il n'y a pas davantage de règle à établir au
sujet
des diverses couches de l'écorce atteintes par l'
intéressante observation, qui est accompagnée d'une planche : Le
sujet
dont il s'agitest une femme âgée de cinquante-six
en terminant si des mensura- tions rigoureuses, pratiquées chez des
sujets
sains, ne montreraient pas une légère prépondér
cas la maladie se limite à la neurasthénie; mais que, chez quelques
sujets
, la neurasthénie entre dans une seconde période
atious mentales qui succèdent parfois à la fièvre typhoïde chez les
sujets
sains d'esprits. Dans l'un des cas, il est à no
mentale. H..\1. C. V. Quelques cas DE tendance au suicide chez DES
sujets
atteints d'imbécillité congénitale; par C.-S, -
urs im- pulsive ; elle n'est jamais le résultat de la réflexion. Le
sujet
de la cinquième observation a 20 ans; ses tenta
gique n'est en ce cas que l'état mental ordinaire de la plupart des
sujets
de cet âge considérablement exagéré et déformé.
ATHOLOGIE MENTALE. sont souvent insupportables à l'asile : ils sont
sujets
à des re- chutes, quelquefois multiples, mais f
SAVANTES. J. Voisin, propose aux candidats pour le prix Belhomme le
sujet
' suivant : De la vision chez les idiots et les
bouet, Garnier, Scmelaigne et Vallon, conclut à l'adop- tion, comme
sujet
de concours pour le prix Aubanel, de la ques- t
venue. M. Bruns montre des préparations de moelle empruntées à un
sujet
présenté par M. NrcoL a la session de 1887 3. L'o
ires altérations valvulaires - néphrite chronique - emphysème). Nos
sujets
étaient des déments, et un hypochondriaque avec
dix-sept fois plus de chances de devenir paralytique général qu'un
sujet
non syphilitique. Donc, la certitude du terrain
ouveaux et d'attirer l'attention sur la manière originale, bien que
sujette
peut-être à discussiun, dont l'auteur envisage
,tué, 1889. Cet ouvrage est le plus complPt qui ait été fait sur ce
sujet
. Il expose toutes les méthodes et tous les inst
nvoyé la semaine dernière, de l'usine Vanoutryve, parce qu'il élait
sujet
à des attaques d'épilepsie, a tiré deux coups d
on ensemble (extenseurs et péroniers). Chez la malade qui fait le
sujet
de l'observation sui- vante, les conditions de
aux, dans aucun des travaux ou mémoires traitant spécialement de ce
sujet
, qui sont parvenus à notre connaissance, nous n
x des malades dont nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le
sujet
d'une leçon clinique de M. le professeur Charco
ments passifs de flexion sont des signes d'une valeur absolue à ce
sujet
. L'absence de réaction de dégéné- ration permet
avons rencontrés à l'état d'isolement chez les malades qui font le
sujet
des observations précé- dentes. Examinons d'a
vit encore, n'a jamais été malade; elle est nerveuse, mais, sur ce
sujet
encore, sa fille ne fournit que des renseigneme
ppée chez l'adulte, de la chorée de Sydenham. On peut, chez notre
sujet
, éliminer assez vite la chorée chronique. Certa
. Or, les oscillations qui traduisent l'état d'instabilité de notre
sujet
présentent une amplitude très réduite. Les gran
cle du Dictionnaire Encyclopédique, dû à Démange, qui a traité ce
sujet
difficile avec un talent incontesté. Mais il faut
utre, le tremblement de la paralysie agitante cesse aussitôt que le
sujet
veut accomplir un acte volontaire; celui-ci s'a
en âge; d'autre part, il se rencontre assez fré- quemment chez des
sujets
dans l'âge mûr, et même chez les adolescents. »
'une constante sympathie. La conduite de sa mère à son égard est le
sujet
de fréquentes récriminations. Je vous rappell
mpor- tantes leçons, en même temps que Rendu faisait sur 'le même
sujet
une intéressante communication à la Société médic
ments, organique et fonctionnel, peuvent se superposer chez un même
sujet
, apportant chacun le cortège de leurs symptômes
Bour- don', en 1843, a écrit le premier ouvrage d'ensemble sur ce
sujet
. Après lui, en France, il faut citer les thèses
localisée d'emblée ; mais ses caractères sont bien différents d'un
sujet
à l'autre. Chez l'un il y a de l'anesthésie, ch
ésion la plus caractéris- tique, celle que l'on a observée chez des
sujets
ayant eu des hémiplégies soit précoces, soit ta
et Klebs n'ont pas été plus heureux. Remar- quons, d'ailleurs, à ce
sujet
, que l'oxyde de carbone paraît se comporter com
tion rapide, les troubles de la sen- sibilité, l'âge peu avancé des
sujets
. Une autre fois, il s'agit d'un homme de vingt-
t certain que l'oxyde de carbone peut réveiller l'hystérie chez des
sujets
prédisposés. Telle est l'opi- nion de M. Charco
cot). L'observation clinique et surtout l'expérimentation sur les
sujets
en état de somnambulisme ont permis d'étudierle c
sible d'en faire un signe diagnostique différentiel, car il y a des
sujets
absolument sains dont l'épiderme présente la mê
ec un pôle; l'autre avec l'autre; de cette façon une des moitiés du
sujet
est soumise à l'action de la cathode, la second
du crâne; par M. Benedikt. (Neurol. Centralbl., 1S89.) Voyez sur ce
sujet
qui se rattache au cathétomètre optique cr<2ni
ment ses variations de volume à l'état normal, ni suivant l'âge des
sujets
. Quoi qu'il en soit, ils n'ont jamais ren- cont
logie connaissent quelques-uns des travaux de M. Bourneville sur ce
sujet
. Il trace un historique rapide de la question ;
est un trouble mental, incurable et chro- nique, survenant chez les
sujets
jeunes, régulièrement développés et n'ayant pré
ques de l'orateur qui résume les particularités des mémoires sur ce
sujet
: Neurolog. Centralbl, 9° année n° 4 (Pick) : - M
énérale par intoxication ne se produit pas, ou rarement, lorsque le
sujet
présente un état anémique du sang, un arrêt de
e tremblement n'était pas cons- tatable à cause de l'état mental du
sujet
, elle ne se plaignait pas de la chaleur et rest
gue, des parenthèses du cli- nicien, des répétitions inhérentes aux
sujets
traités par le profes- seur. Et quand on l'a lu
Séméiologie que lui a donné son auteur. Les mé- 1 Voir aussi sur ce
sujet
la thèse de A. Blondeau, faite avec les obser-
sur son existence et sa fré- fréquence, chose inattendue, chez des
sujets
primitifs, rudes, dépourvus de toute ' culture
us précise comment il faut procéder pour arriver à se faire, à ce
sujet
, dans un cas déterminé, une opinion fondée. Je
it évidemment établir une distinction fondamen- tale entre les deux
sujets
et là encore tout médecin admettra volontiers q
ce d'un mutisme identique dans son aspect symptomatique à celui des
sujets
précédents; mais l'accident n'a pas été précédé
ue de l'hémianesthésie ne sera pas contestée. Mais voici un autre
sujet
, qui n'a jamais présenté aucun phénomène hystér
hystérique (ce pro- cédé réussit surtout si on est en présence d'un
sujet
hypnotisé) à développer par la suggestion des s
de l'hémiplégie faciale périphérique, soit en montrant le malade au
sujet
hypnotisé, soit en lui suggérant qu'une des com
ue lors- qu'un syndrome peut être reproduit avec précision par un
sujet
hypnotisé, il y a lieu de supposer que l'hystér
dentes ne paraîtront pas déplacées, je le suppose, ni étrangères au
sujet
principal de ce travail. Il m'a semblé, en effe
l obtenir par suggestion la reproduction de manifestations chez des
sujets
hypnotisés, on s'est toujours adressé à des sujet
ileptiques présentant les caractères du grand hypnotisme. Voir à ce
sujet
: Grand et petit hypnotisme, par Babinski (Archiv
Charcot à l'occasion de l'examen qu'il fit du malade qui fait le
sujet
de 1' Observation 1 2. C'est cette thèse que je m
e et léger rétrécissement du champ visuel à droite. - La malade est
sujette
à des attaques constituées comme il suit : batt
dents héréditaires. Père original. Un oncle et un cousin fous. Mère
sujette
à de violents accès de migraine (pas ophthal- m
énomènes se produisent spontanément. Je crois utile d'insister à ce
sujet
sur ce que la première attaque s'est déve- lopp
tieuse des observations précédentes qu'il s'agit bien réellement de
sujets
atteints à la fois de migraine ophthalmique et
rgument n'a pas non plus une valeur incontestable. Ajoutons, à ce
sujet
, que nous avons cherché à reproduire par sugges
le nerf olfactif et son lobe. Lobes olfactifs. Avant d'aborder mon
sujet
, je veux dire quelques mots des renflements des
ication de l'image rétinienne pour l'un des deux yeux seulement, le
sujet
perçoit des différences plus faibles, et par co
it particulièrement remar- quer, il arrive très fréquemment que des
sujets
atteints de dischromatopsie ne perçoivent avec
ouver que par l'examen d'hystériques hypnotisables; chez de pareils
sujets
, la perceptibilité différentielle notablement a
core notablement multipliées, nous nous proposons de revenir sur ce
sujet
ultérieure- ment. Nous croyons utile de donne
e-ci puisse être éva- luée sans le moindre effort de l'attention du
sujet
exa- miné. Ce résultat s'obtiendra par une diff
le noir, le gris et le blanc.) Voici ce que nous pouvons dire à ce
sujet
: Wolffs- berg, a trouvé que l'acuité visuelle
- nique qu'au point de vue psychologique. . La malade qui fait le
sujet
de cette étude a été observée en commun par nou
en général à l'aide de points de repère, événements bien connus du
sujet
qu'il peut tou- jours rapporter à une date préc
ment même et la réponse qui la suivait pouvait nous renseigner à ce
sujet
. D'un autre côté, nous nous attachions à augmen
ue j'ai accepté cette lourde tâche avec hésitation, car, quoique le
sujet
que j'ai choisi est un de ceux qui ont attiré d
érant les nombreux travaux publiés dans ces dernières années sur ce
sujet
et les nombreux problèmes non encore résolus qu
les idées que j'ai 406 PHYSIOLOGIE pathologique. exposées sur ce
sujet
ailleurs et à différentes époques et qui sont b
doctrines qui jusqu'à une époque toute récente avaient cours sur ce
sujet
. Commençons par les poissons. Quand sur les poi
'après ses propres expériences, arrive à la même conclusion (sur ce
sujet
, voir plus bas). Les expériences de Blaschko 5,
mplète de l'oeil du côté opposé. Mais Muni ? lui-même a fait sur ce
sujet
un nombre considérable d'expériences. Il a trou
a perte de la parole confirmant ainsi les théories de Gall sur le
sujet
, Dax (1836) établit la relation spéciale entre l'
dmann. (Neurol. Centralbl., 1887.) L'auteur rappelle ses travaux au
sujet
du système des fibres propres de la zone limita
intoxication morphi- nique aggravée des antécédents héréditaires du
sujet
. Il est diffi- cile d'interpréter la raison de
les médecins experts, ce en quoi il avait maladroitement éduqué son
sujet
, c'est eu faisant se rencontrer chez lui à la f
ypnose. Interrogé quant à la faculté toute spéciale que possède son
sujet
(qui n'a jamais étudié la médecine) de reconnaî
r aux autres enfants par suite des im- pulsions auxquelles ils sont
sujets
: impulsions génitales, ho- micides, incendiair
iation médicale anglaise, qui s'est occupé pendant quelque temps du
sujet
; un comité est formé par la Société de charité
icielle- ment et recevront également les indications nécessaires au
sujet
du lieu où siégera le jury d'examen et de l'heu
s à favoriser le sauvetage des malades dans ces circonstances. A ce
sujet
, nous apprenons, par un Américain qui y a assis
thal est encore présent à l'esprit de nos lecteurs. L'importance du
sujet
suffirait à justifier les demandes des commissa
Les motifs de cette défense sont : le mal que fait l'hypnotisme aux
sujets
que l'on met à l'épreuve et le danger qu'il peu
er pendant lesdites séances les moyens à employer pour endormir les
sujets
et s'en servir plus tard dans un but immoral ou
taché en qualité de médecin, les Collections de la Faculté, les mille
sujets
que l'administration des hôpitaux livre chaque an
e figure s'explique d'elle-même, et qu'avec un peu de connaissance du
sujet
, le lecteur puisse dire de suite : voilà telle al
eur de la Faculté, des tumeurs qu'ils venaient de rencontrer sur leur
sujet
et au-devant de la colonne cervicale. M. Bérard c
a description qu'on vient de lire : i° que les ganglions nerveux sont
sujets
à une altération organique qu'on peut qualifier d
jours avant sa mort, hématurie très-abondante. Le malade raconte à ce
sujet
qu'il a éprouvé deux hémor-rhagies semblables à u
lluleux ou fibreux. J'aurai occasion de revenir plusieurs fois sur ce
sujet
. Je n'ai pu trouver aucune trace de la substanc
étude des déviations organiques nous présentera souvent, chez le même
sujet
, un grand nombre d'anomalies analogues ou hétérol
des arrêts dans le développement peut seule jeter quelque jour sur ce
sujet
en nous montrant une analogie frappante entre la
de mon très-honoré et savant collègue M. Duméril, qui m'a remis à ce
sujet
la Note suivante : « Dans les reptiles, les poumo
artie du » sang provenant de l'aorte, et les branches aortiques de ce
sujet
peuvent être considérées » comme les analogues de
ire en est entièrement formé. La fig. 4? cpri appartient à un autre
sujet
, nous présente une disposition non moins remarqua
a pas de détroit inférieur. Il n'y en aurait pas eu non plus chez ce
sujet
, si le sacrum n'avait pas ete renverse en arrière
i - grandeur ; les ligures 3,4? 6, 7 sont de grandeur naturelle. Le
sujet
de cette observation était une femme âgée de quar
La peau de la plante des pieds était ténue comme celle qui n'est pas
sujette
aux frottemens. L'aponévrose de la jambe était be
lle représente une série d'astragales et de scaphoïdes pris chez cinq
sujets
de différens âges. 1 astragale de nouveau-né, rep
2; 3 astragale d'un individu de dix-huit à vingt ans; 4 astragale du
sujet
de quarante-un ans, qui fait le sujet de la planc
uit à vingt ans; 4 astragale du sujet de quarante-un ans, qui fait le
sujet
de la planche 111 ; 5 astragale de vieillard repr
ures 1, 2', 3, 4', 5' représente les scaphoïdes appartenant aux mêmes
sujets
que les astragales précédemment décrits. On peut
u dans la même position. J'appelle l'attention des accoucheurs sur ce
sujet
. Il importerait qu'ils indiquassent dune manière
nformation du bassin? Cela pourrait être. Ainsi ayant été consulté au
sujet
du mariage d'une jeune demoiselle affectée de lux
pied-bot. Les os de la jambe sont généralement droits chez les jeunes
sujets
et même chez quelques sujets adultes : cependant,
sont généralement droits chez les jeunes sujets et même chez quelques
sujets
adultes : cependant, dans beaucoup de cas, ils so
ntrer ici dans l'examen comparatif des divers appareils imaginés à ce
sujet
, je me contenterai de rappeler que la machine ou
es ligamenteuses nouvelles, analogues à celles qui existaient chez le
sujet
représenté planche ni. Quant à la question de sav
point une maladie de première formation; 3° nous avons vu que chez le
sujet
adulte représenté planche ni, le ligament interne
cette opinion. Jetais tenté de rapprocher ce cas de celui qui fait le
sujet
de la figure 3; mais ici la région de la rate, pa
l'analyse chimique a constaté. Voici la note qui m'a été remise à ce
sujet
par M. Barruel, chef des travaux chimiques de la
it se rappeler que c'est tout-à-coup que périt la femme qui en est le
sujet
, et que rien n'avait porté à supposer dans le cer
de tumeur adipociriforme développée dans le mésocéphale. Elle a pour
sujet
un ancien militaire âgé de quarante ans, d'une fo
c'est au ramollissement qu'il faut attribuer la mort. Ce serait un
sujet
de recherches neuf et intéressant tout à la fois,
de divers ordres. Il m'a cité trois cas en particulier. Un cas a pour
sujet
uije dame affectée de carie de plusieurs vertèbre
s. Le poumon et le cerveau ne sont pas les seuls organes qui soient
sujets
à cette hémorrhagie spontanée. J'en ai rencontré
er dans la cavité thoracique. Tel est le cas de Corvisart, qui a pour
sujet
le docteur Fortassin, qu'on trouva mort dans son
ouls. Le malade raconte que depuis six ans, sans cause connue, il est
sujet
à des attaques d epilepsie qui se renouvellent to
à-fait analogue s'était rompue dans le péricarde, et comme chez notre
sujet
cette poche anévrysmale naissait d'une ampool© ov
ant du sternum une saillie deux fois plus considérable que chez notre
sujet
. La poche était mince, fibreuse, d'un brun marron
igastre, avec augmentation et diminution. Depuis cette époque, il est
sujet
tous les quinze jours, tous les mois, à des vomis
que indique une santé mal affermie, cependant le malade assure n'être
sujet
à aucune indisposition; c'est à peine s'il se sou
substance grise: la conséquence paraîtrait naturelle; car, chez notre
sujet
, la substance blanche était intacte, sinon dans l
ysées. J'ai fait tout récemment une expérience bien convaincante à ce
sujet
: je mis un chien dans l'état comateux, par l'inj
laissant intacte la substance blanche; c'est ce qui a eu lieu chez le
sujet
de notre observation (fîg. 3 et fig. 3'). Si l'ép
Ollivier, dans son excellente Monographie sur la moelle épinière, au
sujet
du fait de M. Gauthier, et j'attribue comme lui l
était même là le diagnostic que j'avais porté dans le cas qui fait le
sujet
de la planche vi. J'avais annoncé que nous trou
aine; cinquante-ans; vingt-huit ans de service; grêle, mais fort; est
sujet
depuis dix ans à des douleurs qu'il qualifie de r
boutissaient à un col et à un vagin communs et dans l'état normal. Le
sujet
de cette observation est une femme âgée de vingt-
de ce fait qu'il peut exister deux utérus et deux vagins chez le même
sujet
, mais bien que le volume de l'utérus représenté f
avité du col, qui contenait une assez grande quantité de mucosité. Le
sujet
de cette observation était une femme âgée de tren
fig. 1 et l'le prouve d'une manière évidente. La femme qui en fait le
sujet
était, m'a-t-on assuré, accouchée d'un enfant viv
s tous, la phlébite répondait à l'insertion du placenta. Chez notre
sujet
, le plus grand nombre des veines utérines présent
our ainsi dire inaperçu, le système capillaire pulmonaire de quelques
sujets
et se nicher plus spécialement dans le foie, la r
au de passage pour l'air dans l'acte de la respiration, le larynx est
sujet
à un grand nombre de lésions, dont l'effet commun
ve que du pus, et c'est là le cas de notre malade. Je dois faire à ce
sujet
une remarque qui me paraît importante. Lorsqu'une
éreuse ; jamais je n'ai mieux senti le vide des mots et des idées, au
sujet
du cancer. Il est certain que, si l'incurabilité
t maintenue jusqu'à soixante - quatre ans; à cette époque elle devint
sujette
à des vomissemens opiniâtres ; bientôt l'embonpoi
s, le cerveau, qui reçoit immédiatement les ordres de la volonté, est
sujet
à une foule rie lésions; et telles sont la délica
mba. Je me reprocherai toujours d'avoir commis cette grave méprise au
sujet
d'un jeune élève âgé de onze ans, naturellement p
aquelle nageait du pus concret à la manière de petits flocons. Sur ce
sujet
, j'ai voulu m'assurer de l'état des circonvolutio
'ailleurs elle ne se plaint de la tête que lorsqu'on l'interroge à ce
sujet
, et elle montre toujours la région frontale. Pend
( planche iv , vie livraison. ) Aucun organe n'est plus que le rein
sujet
à la transformation et à la production enkystées.
tit ganglion nerveux distinct du précédent. O Le malade qui fait le
sujet
de cette observation avait été amputé long-temps
ur la santé de la mère pendant la grossesse; j'ai déjà insisté sur ce
sujet
à l'occasion des kystes placentaires (*). Depuis
et dans un ouvrage ex-professo, qui vient d'être publié, sur le même
sujet
, par M. Louis, sous le titre affection typhoïde (
s degrés; ce sont ces formes diverses et ces degrés qui vont faire le
sujet
d'une série de planches. Je ferai (*) Recherche
ique en partie ce fait en montrant que, chez le plus grand nombre des
sujets
, les deux derniers pieds de l'intestin grêle, siè
té de l'altération et quelquefois aussi celle de la susceptibilité du
sujet
; quel quefois cependant un pouls presque nature
gistique. XLIII. Ce problème me parait résolu par l'état général du
sujet
; je m'explique : l'entérite folliculeuse aiguë se
u'on approche de la valvule iléo-cœcale; cela tient à ce que, chez ce
sujet
, les follicules agminés principaux n'occupaient p
lie de vin. — Quant aux autres altérations observées dans le reste du
sujet
, j'ai trouvé de la sérosité sous-arachnoïdienne d
des matières fécales. Ce passage ne paraît pas avoir eu lieu chez ce
sujet
. Entérite folliculeuse aiguë presque entièremen
ndividu. Il eût été curieux de pouvoir faire l'histoire médicale d'un
sujet
d'après l'état de ses organes. Ici l'altération
plet. M. Rostan, qui est l'historien de ce fait (1), mentionne à ce
sujet
deux faits d'étranglement interne. Dans le premie
ion entre les végétations osseuses et les végétations cancéreuses est
sujette
à beaucoup de variétés. La forme des végétations
e période, point de symptômes, au moins chez le plus grand nombre des
sujets
: le hasard seul m'a fait découvrir des tumeurs s
centre nerveux. D'après les observations que j'ai pu recueillir à ce
sujet
, les tumeurs cancéreuses qui occupent les circonv
our ainsi dire inaperçu, le système capillaire pulmonaire de quelques
sujets
, et se nicher plus spécialement dans le foie, la
cuse aucune douleur, bien qu'on l'interroge à plusieurs reprises à ce
sujet
. Le pouls est fréquent, plein et dur. Battement d
remblement de l'extrémité supérieure droite. Mort dans la journée. Le
sujet
de cette observation était grand buveur d'eau-de-
ronique, il me paraît démontré (*) que les deux opinions, émises à ce
sujet
, sont inexactes lorsqu'elles sont exclusives, et
es tubercules sont disséminés dans son épaisseur. Il existait chez ce
sujet
deux canaux déférens , l'un de calibre ordinaire
anaux éjaculateurs et la prostate. Tel est le fait suivant : Sur un
sujet
mort de je ne sais quelle maladie , l'un des test
t les cartilages articulaires. En outre , pour quelques articulations
sujettes
à supporter des chocs et des pressions extrêmemen
lle exécute, je crois devoir rappeler ici ce que j'ai dit ailleurs au
sujet
du mécanisme de l'articulation radio-carpienne :
'a pas été mon étonnement en lisant ce que les auteurs ont écrit à ce
sujet
! Voici de quelle manière s'explique sur l'articu
s parvenu. Luxation en arrière de Vavant-bras sur la main (*). Le
sujet
de cette observation est une femme adulte sur laq
'extrémité inférieure du radius. Ce point de doctrine vient d'être le
sujet
d'une dissertation soutenue à la Faculté. Comme j
ite cavité sygmoïde du cubitus. Cet avant-bras avait appartenu à un
sujet
adulte. L'extrémité correspondante était remarqua
a gauche, le détail d'une autopsie qui se rapporte parfaitement à mon
sujet
: « L'extrémité supérieure de chaque radius avait
nce qui ne serait point à dédaigner en médecine légale. Chez quelques
sujets
toutes les articulations, sans en excepter l'arti
était dans l'état naturel. Les articulations coxo-fémorales du même
sujet
n'étaient pas moins remarquables. Dans les cavité
rable que celle de Xarticulation temporo-maxillaire gauche de ce même
sujet
. Le condyle de l'os maxillaire inférieur n'exista
nter-articulaire. Je suis persuadé que la vieille femme qui fait le
sujet
de cette observation avait été tourmentée long-te
sa théorie, la digestion de l'estomac devrait se faire chez tous les
sujets
; la seule différence devrait résider dans le degr
, j'ai trouvé cette altération par toutes les températures et sur des
sujets
que j'ouvrais quinze heures après la mort. XI.
issement gélatiniforme par tous les auteurs qui se sont occupés de ce
sujet
; il l'a été par M. Carswell, il l'avait été égale
ment s'observe-t-il bien plus fréquemment en été qu'en hiver, sur les
sujets
qu'on ouvre vingt-quatre heures après la mort que
que la paroi antérieure soumise à l'influence de la pesanteur, car le
sujet
était placé en supination comme de coutume: mais,
e température froide, seize heures seulement après la mort, et que le
sujet
ne présentait pas la moindre trace de putréfactio
nouveaux faits recueillis chez les adultes peuvent seuls éclairer ce
sujet
difficile, et de plus longues réflexions seraient
ement se produit pendant la vie ou après la mort, et la difficulté du
sujet
sera mise dans tout son jour par la conclusion à
ilic, une tumeur dure qui paraissait superficielle, vu la maigreur du
sujet
, et qui se prolongeait jusqu'à lepigastre, où ell
de l'ulcère U, en sorte que le péritoine seul en forme le fond. Si ce
sujet
, sur lequel je n'ai aucun renseignement , avait v
le prouvent les développemens ultérieurs dans lesquels il entre à ce
sujet
. d'un fait; ce mot c'est celui de sympathie. Si
s degrés de cette altération sont assez souvent réunis dans les mêmes
sujets
. » « L'observation ne nous a point encore appri
u pied, ni de lésion externe qui pût rendre compte de la phlébite. Le
sujet
ne présenta aucune autre cause de mort. Réflexi
ves au niveau des fausses côtes gauches. La malade assure qu'elle est
sujette
à ce genre de douleurs, qui cèdent toujours à l'a
ait à se réunir en foyers à parois inégales. J'ai rencontré chez ce
sujet
une altération pathologique fort rare. Un lambeau
ause de métrite, de métro-péritonite. La malade dont l'utérus fait le
sujet
de ces réflexions, a succombé à une péritonite.
la douleur et à l'inanition. Le foie figure' Pl. 3, appartient à un
sujet
sur lequel je n'ai pu avoir aucun renseignement.
rapport clinique, suppléera aux renseignemens qui me manquent sur le
sujet
dont le foie est représente' Pl. 3. Symptômes v
reprises, je fis faire au malade l'histoire de sa vie : il avait été
sujet
aux épistaxis dès l'âge de vingt-quatre ans; à l'
arquable avec celle des calculs. Je n'ai aucuns renseignenlens sur le
sujet
auquel appartenait ce foie. On pourrait discuter
éduit à un petit volume. Bien que je n'aie aucun renseignement sur le
sujet
auquel avait appartenu ce foie, je puis affirmer
iques de l'organe. N'ayant pu retrouver l'observation relative à ce
sujet
, je la remplacerai par l'observation suivante qui
rpérale sporadique, j'ai cru faire une chose utile en publiant sur ce
sujet
des figures, où le talent accoutumé de M. Chazal
e, que sa présence dans les veines est rare. Le plus grand nombre des
sujets
qui ont succombé à la Maternité, depuis le mois d
temps, me parut mettre hors de doute l'absorption du pus : il a pour
sujet
une femme âgée de 55 ans, qui portait à la partie
présenta un caractère de gravité bien prononcé. La malade qui fait le
sujet
de cette observation, vint grossir le nombre des
plus remarquables d'expulsion de corps fibreux que j'aie vus, a pour
sujet
une jeune femme qui fut prise , dix-neuf jours ap
rquables cas de ce genre que j'aie en l'occasion d'observer, ont pour
sujet
deux femmes extrêmement âgées, mais d'une bonne c
ment, de barre ou bien de déchirement dans la poitrine. Chez certains
sujets
, ce sont les crampes qui constituent le principal
e, de tension abdominale, qu'il attribue à des vents, auxquels il est
sujet
. A quatre heures du matin, il est pris d'un besoi
nt encore bien plus prononcés dans l'observation suivante qui fait le
sujet
des planches. Choléra asphyxique. Angoisse exce
s le cœcum. La planche 4, fig. 1, qui appartient cependant à un autre
sujet
, représente parfaitement l'état de cet intestin;
qui éprouvait depuis deux jours un dévoiement auquel elle était assez
sujette
. Le cas parut si peu grave, que M. Clarens se bor
lire prouve que l'inflammation, suite du choléra, survenant chez des
sujets
qui présentent certaines conditions , peut deveni
instants de la vie du malade, est affaissé et flétri, comme chez les
sujets
de nos amphithéâtres, qui ont plusieurs jours d'a
nonde la peau pendant la dernière période du choléra : chez plusieurs
sujets
, au bout de dix-huit heures, la chaleur du tronc
asphyxie. La putréfaction du cadavre est lente, comme chez tous les
sujets
épuisés de sang, La putréfaction du canal aliment
aussi contractée que possible et complètement vide, au moins chez les
sujets
morts dans la période asphyxique. Elle contient d
opéens, de même que les médecins de l'Inde, qui se sont occupés de ce
sujet
, ont vainement cherché les causes du choléra dans
aire a été invoquée, et des tables très exactes ont été dressées à ce
sujet
par M. Orton. Tout notre système planétaire a été
nt infiltrées de pus concret. Les fig. 7 et 8 appartiennent au même
sujet
. Dans la fig. 7 on voit la rate, R; la capsule su
perte prématurée. Sur quinze cas qu'il a observés, huit avaient pour
sujet
des enfants de quatre à six jours; les autres des
é. Le soulèvement de la membrane devint plus considérable, lorsque le
sujet
fut placé dans une position verticale. Une poncti
e cette enfant avait l'habitude de la masturbation , et qu'elle était
sujette
à des convulsions épileptifbrmes. Ouverture du
te d'avoir le premier rassemblé les faits épars qui existaient sur ce
sujet
(Dictionnaire des Sciences médic, t. i\i). Désorm
M. Brachet de Lyon (Journ. général de Méd., 1828), a publié sur ce
sujet
, dans un très bon mémoire, dix observations intér
ts qui procédaient du centre à la circonférence. La femme qui fait le
sujet
de cette observation était accouchée heureusement
foyers sanguins placentaires. C'est ce mode d'altération qui fait le
sujet
de cette planche. EXPLICATION DES FIGURES. Le
cas de péricardite hémorrhagique. Je n'ai aucun renseignement sur le
sujet
de la fig, 1 : à l'égard du sujet de la fig. 2, j
Je n'ai aucun renseignement sur le sujet de la fig, 1 : à l'égard du
sujet
de la fig. 2, j'ai appris seulement qu'il n'avait
des fausses membranes incomplètement organisées. Ainsi, sur un jeune
sujet
de io àia ans destiné à mes dissections, j'ai tro
tails, mais beaucoup plus circonstanciés que la fig. 3' : elle a pour
sujet
un enfant affecté de spina bifida dont le corps f
La fig. 4 représente la moelle et une coupe du cerveau chez le même
sujet
: la moelle est en-gain ée dans une pseudo-membra
es parois de la poche aqueuse. Une remarque importante à faire à ce
sujet
, c'est que la surface ulcérée de la tumeur, prése
s cérébraux distendus par une certaine quantité de sérosité ; chez un
sujet
, les ventricules n'étaient pas plus dilatés que d
'ailleurs comme de coutume. La dissection la plus attentive de quatre
sujets
m'a démontré : i° que cette disposition était con
ervé; il est parfaitement indiqué dans une figure publiée sur le même
sujet
par M. J. Cloquet (i). Cet alongement porte pri
inférieure du sac formé par le vagin renversé. Je ferai observer à ce
sujet
qu'il existe des incontinences de matières fécale
physiol. , tom. VI, pag. 483), tous les faits connus avant lui sur ce
sujet
. Les plus remarquables sont ceux de Duverney ( OE
e, a été publié en 1826 par M. Ménière (Archiv. de Me'd.) : il a pour
sujet
un individu âgé de 25 ans, qui succomba à une mén
Les deux cas que je viens de citer ne ressemblent à celui qui fait le
sujet
de la planche VI, que sous le point de vue de la
d l'idée d'un kyste hydatique. C'est cette sixième espèce qui fait le
sujet
de la figure représentée pl. 1, 17e liv. (1) Id
le n'est qu'un prolongement. Voici comment s'exprime Vallisniéri à ce
sujet
(Ep. XLI, 19). « La prostate tuméfiée se trouvait
nduits éjaculateurs , portion dont l'épaisseur , variable suivant les
sujets
, va en diminuant d'arrière en avant. Mais, comme
hiée, qui avait de quatre à cinq fois son volume naturel. Elle a pour
sujet
un individu taillé par la méthode sus-pubienne. L
ait suivant, pour ne pas me donner de vives inquiétudes. Un malade,
sujet
depuis cinq ansà une hématurie plus ou moins abon
volumineuse fût substituée à la première. Astruc vécut encore 10 ans,
sujet
à des rétentions d'urine auxquelles Lafaye seul p
ndineuses. Résumé. Trois lésions bien distinctes existaient chez ce
sujet
: i° une péritonite avec inflammation des vaisseux
représentent le muscle extenseur des doigts de la malade qui fait le
sujet
de la dernière observation. F P, est un foyer pur
nte les parois du foyer vidées de pus. La fig. 4 a été prise sur un
sujet
destiné à mon cours, et sur le compte duquel je n
. Une lemme de la Salpêtrière, rachitique, àge'e de 75 ans environ,
sujette
depuis plusieurs années à des coliques très vives
iales, les autres accidentelles. Je regarde l'observation qui fait le
sujet
de la planche V, comme un exemple de hernie diaph
SURRÉNALES (CANCER). (XVIIIe livr., pl. I. ) Le rein qui fait le
sujet
de cette planche a été' trouvé chez un vieil inva
nétrée de toutes parts par l'injection artérielle. Certes, si chez le
sujet
dont il s'agit, on avait voulu injecter la veine
e qui environne le tubercule est ramollie. Je n'ai pu avoir sur les
sujets
de ces observations que des renseignements extrêm
l'Hôpital des enfants , suppléera aux détails qui me manquent sur le
sujet
des figures 5 et 3'. Céphalalgie occipitale. Pa
adulte. Je n'en ai jamais vu chez les vieillards, dont le cerveau est
sujet
à un si grand nombre d'autres lésions. Il résul
le Mémoire de Mecltel, qui a réuni la plupart des faits connus sur ce
sujet
{Journal complémentaire, tom. 4). 18e. Livraiso
assez cultivée pour qu'il ne soit pas permis d'élever des doutes à ce
sujet
. C'est dans l'utérus qu'on fixe le siège du fœt
st relaté sous le titre de fœtus extrà-utérin. La femme qui fait le
sujet
de cette observation , après plusieurs fausses co
nus. J'ai traité ailleurs avec quelque développpement cet intéressant
sujet
et j'y renvoie pour les considérations générales
calcanéenne de la plante du pied. (Cette tumeur appartient à un autre
sujet
). Fig. 4'. Coupe de la même tumeur qui était li
rcules mélaniques, qui est représenté fîg. i et 2, appartient au même
sujet
que la main représentée pl. 5. Dans la fîg. 1, on
nière des baies du cassis. Les fîg. 3 et 4 appartiennent à un autre
sujet
mort par suite d'un cancer mélanique aux grandes
s du cœur, bien que ces deux ordres d'altération appartiennent à deux
sujets
et à des organes différents. Ire Observation (1
Cancers. CANCER DES OS. (Planche i, xxe livraison.) Les os sont
sujets
à toutes les formes de cancer qui peuvent affecte
EXPLICATION DES FIGURES. Les fig. i, i et 4 appartiennent au même
sujet
: l'observation a été recueillie dans le service
mpte satisfaisant de la plupart de ces altérations. Le cervelet est
sujet
aux mêmes altérations que le cerveau, et les réfl
de M. Burnet (3), qui ont beaucoup d'analogie avec celle qui fait le
sujet
de la fig. 1, pl. 4? xxC Hvr- Dans Fun de ces cas
cette substance. N'ayant pas pu retrouver l'observation relative au
sujet
qui a servi à cette figure, j'y suppléerai par l'
irconvolutions, (i) Benoît, âgée de quatre-vingt-un ans, était très
sujette
aux étourdissemens avec douleur de tête et perte
petits foyers, c'est la paralysie de la face; je ferai observer à ce
sujet
que depuis les belles observations de Charles Bel
i eu occasion de voir la maladie se reproduire trois fois sur le même
sujet
à des intervalles de 2, 4 ans. La circonstance
as même en voie de cicatrisation ; je n'ai aucun renseignement sur le
sujet
auquel avait appartenu cet estomac. Hématémèse
moins dans les principaux recueils que nous avons pu consulter à ce
sujet
. C'est tout récemment (1884) que P.-J. Môbius a
à l'âge de dix-huit mois. L'autre de E. Clark, fille de douze ans,
sujette
à des migraines toutes les semaines le strabism
puis son enfance, tous les ans, d'une façon transitoire, elle était
sujette
au même accident. Le 14 octobre, de nouveau par
rance gastrique est signalée comme un phénomène habituel chez les
sujets
atteints de ramollissement cérébral. Observatio
ent originel remonte à une époque assez éloignée, ne 4 Citons, à ce
sujet
, pour mémoire, les expériences de l'iourens et
ne des modalités les moins fré- quentes de ce syndrome. Citons à ce
sujet
un travail de MM. Charcot et Magnan, paru dans
pour la troisième fois. Us ne sont heureux que quand ils causent de
sujets
légers, où les femmes entrent pour quelque chos
nt son séjour à l'asile, le même fait s'est reproduit. Interrogé ce
sujet
, G... répond qu'il éprouve à ces pratiques une
paux travaux qui méritent d'être plus spécialement consultés sur ce
sujet
. Prout. On stoinach and rénal diseases. Bence
quelle est-elle ? On peut ramener à trois les opinions émises à ce
sujet
: ou c'est l'acétone, ou c'est un corps voisin
ntoxiqué. Pour le chloroforme, par exemple, ne voit-on pas certains
sujets
rester sans danger pendant plusieurs heures sou
epen- dant aucune trace de paralysie proprement dite, bien que le
sujet
ait à peine la force de mouvoir ses membres : la
c'est la perte rapide des forces, c'est l'af- faissement général du
sujet
. Cet anéantissement qui, dès les premiers momen
s avons déjà dit que les observations de ce genre nous paraissaient
sujettes
.à caution, à moins qu'elles ne rentrent dans le
dans la pathogénie de l'affection. D'autre part, l'état général des
sujets
permet d'établir que le rhumatisme n'est nullem
es paralysies par les béquilles, et il ajoute quelques préceptes au
sujet
du traitement de la prophylaxie de cette affectio
rté à l'ouverture du service des hommes de l'asile de Villejuif. Le
sujet
était, pour la question écrite : Racines des ne
e que nous constatons chez B... ? Voici ce que nous apprennent à ce
sujet
les renseignements que nous avons pu recueillir
on étiologique qu'ils tendent à établir. Pour fixer le lecteur à ce
sujet
, l'observation sui- vante' suffira. Je traita
n dans un tra- vail de Westphal' (1875), consacré à un tout autre
sujet
: n°8. Prévost2 en publie une nouvelle en 1877 :
autopsies sont encore nécessaires pour éclaircir complètement ce
sujet
. De nouveaux travaux de Yestphal' commençaient
et Pick2 (n° 10) est de la même époque. Ces auteurs étudient, à ce
sujet
, les maladies systématisées combinées de la moe
ule prétention de forte- ment attirer l'attention sur cet important
sujet
. II. étiologie. Le dépouillement des observat
s . dans l'étiologie de la maladie. Ils peuvent du reste venir du
sujet
lui-même l'un et l'autre : tel sera le tabétiqu
vénériens considé- rables, ou bien l'un de ces éléments viendra du
sujet
, l'autre venant de l'hérédité : tels seront le
(n° 1), l'hérédité tuberculeuse ou la phtisie pulmonaire chez le
sujet
quatre fois (nous 8, 10, 22, 24), plus une fois
'a été alloué, je ne pourrai m'occuper que d'un ou deux points du
sujet
et je limiterai mes remarques au rapport qui exis
problèmes psycho-physiolo- giques. Ce qui m'a engagé à choisir ce
sujet
, c'est que l'hiver dernier, j'ai eu la bonne fo
ques sur le but de ce travail et indiquer brièvement les parties du
sujet
que je ne traiterai pas complè- tement. Premi
e New-York. Des couronnes de trépan furent faites sur le crâne d'un
sujet
mâle dans les points correspondant aux cicatric
presse et je ne pourrai traiter que très sommairement cet important
sujet
. Que nous enseignent les recherches physiologiq
vulsions externes par entozoaires; jusqu'à trente-six ans, elle fut
sujette
à des céphalées et à des névralgies dento-facia
yrlrch.... a deux soeurs : la première, âgée de vingt-sept ans, est
sujette
à des bronchites fréquentes et tenaces; elle a eu
environ quarante-cinq. Pen- dant ces cinq ans, elle était, de plus,
sujette
à des gastralgies lipothymies, sueurs, lesquell
lles nous venons de faire allusion et qui ont été dernièrement le
sujet
d'un très important mémoire : La Famille névropa-
serait, au moins exagéré de dire avec certains auteurs que tous les
sujets
chez lesquels l'épilepsie se montre entre dix et
it pas être poussée au-delà d'un certain temps, car, par contre, le
sujet
ne répondra plus au bout de six à neuf minutes,
Mémoire portant en sous-titre : Fragment du chapitre sur le même
sujet
, contenu dans le livre intitulé : Psychiatrie. Kl
qu'il sem- blait que la suite annoncée traiterait exclusivement ce
sujet
. Mais cette suite se redivise elle-même en deux
tteint son maximun lorsque « l'acte à accomplir est nouveau pour le
sujet
, et éveille, par con- « séquent, chez lui une c
Dr Rieger choisit un acte volontaire assez simple, pour que tout
sujet
en expérience puisse l'exécuter, c'est l'extensio
e chambre peu éclairée. Une épingle fixée sur un porte-plume que le
sujet
tient entre ses doigts, comme pour écrire, sert
bas qu'à son point de départ. Outre ces mouvements visibles que le
sujet
en expérience et l'expérimentateur peuvent cons
tion psychologique s'attache à cette méthode. Jusqu'à quel point le
sujet
en expérience peut-il se rendre compte du changem
s tracés fournis par des personnes apathiques et indolentes. Un des
sujets
avec lequel je fis des expériences répétées (su
olentes. Un des sujets avec lequel je fis des expériences répétées (
sujet
apathique et indolent), sans qu'il éprouvât de
ires même avaient peu d'influence. Les expériences répétées sur des
sujets
ordinaires finissent par produire de la fatigue ;
tion l'état relatif de repos ou de fatigue dans lequel on trouve le
sujet
avec lequel nous vou- lons expérimenter. Nous
es entre nos mains, des notes sur l'état dans lequel se trouvait le
sujet
au moment de l'expé- ience. A côté de la cour
ique, je place des courbes d'une irrégularité extrême, provenant de
sujets
faibles au point de vue intellectuel. La cour
de vue intellectuel. La courbe de la première planche provient d'un
sujet
physique- ment fort et bien musclé, mais d'une
stance à la pesanteur. Remarquons tout de suite que la courbe de ce
sujet
ne diffère en rien de celle d'un homme normal d
vient d'une jeune fille hystérique, elle sert de type pour tous les
sujets
de même nature. Ici nous ne voyons pas, comme d
a beau- coup d'analogue avec celle du n° 1 ; mais ici, au lieu d'un
sujet
apathique indolent, nous avons affaire à un jeu
au carac- tère et au tempérament d'un individu. Il est clair qu'un
sujet
agité nous donnera une courbe différente de cel
as parce que la pesanteur a pris le dessus, mais aussi parce que le
sujet
, à la suite d'un grand nombre d'ex- périences i
pas à lutter contre la fatigue mus- culaire, s'observe souvent. Le
sujet
a recours à toutes sortes de combinaisons de la
lorsque le coude est fléchi. Dans nos recherches, ces tendances du
sujet
à fléchir le bras ne peuvent être considérées q
peuvent être considérées que comme signe de faiblesse. Plu- sieurs
sujets
en expérience ne pouvaient lutter contre cette te
n attirait leur attention là-dessus. Ceci nous amène à examiner des
sujets
malades chez lesquels on observe souvent cette
malades chez lesquels on observe souvent cette position. Il y a des
sujets
qui ont des lésions du cerveau chez lesquels le
périphé- rique; inversement on peut transformer momentanément un
sujet
sain en neurasthénique, en lui faisant subir une
0, 0 et 2,8. Individualités très marquéesde la sensibilité des divers
sujets
; différences variant entre 1, 5 et M, 5. 2° Do
gauche et le côté droit, 0, 0 à 3, 4. Indivi- dualités suivant les
sujets
, 2,0 à 31, 0. L'écart entre la limite infé- rie
té ; il chante et tient des discours interminables. M. BRIAND. Ce
sujet
est des plus intéressants surtout, si l'on se p
NTES. 261 M. Charpentier ne tient pas au diagnostic d'idiot pourson
sujet
; il a surtout voulu présenter à la société un m
doit rester analytique; 9° il y a des contradictions nombreuses au
sujet
du caractère particulier des folies héréditaire
olonté du malade, puisse subir l'influence de cette .volonté, si le
sujet
a été hypnotisé, au point de faire avorter son
nés et la psychiatrie au Japon. Les Européens ne possèdent sur ce
sujet
aucune notion, parce que la langue et l'écriture
jASTHOWtTZ. Au sein même de cette société, Jung a parlé sur le même
sujet
. Evidemment l'influence de la syphilis constitue
encore monter rapidement les escaliers sans aide, mais causait à ce
sujet
, des frayeurs mortelles à sa femme. Depuis deux
se combine à la paralysie générale. Quant au processus qui fait le
sujet
de cette communication, il est le type des proc
ociation du complexus clinique en question et du tabès est du reste
sujette
à des variations. Ce mémoire sera publié in-ext
, des accidents, des malaises. Les troubles digestifs revêtent à ce
sujet
une fréquence toute spé- ciale; ce ne sont pas
: 334 FAITS DIVERS. Prix de la sociÉrf; MÉD)C\LE 1) ? NIIENS. Le
sujet
du prix pour l'année 1887 est : Influence de l'
ix biennal, destiné à récompenser le meilleur travail envoyé sur un
sujet
concernant l'anthropologie. La Société DE médec
montre aussi chez l'homme, et M. Gombault a pu l'observer chez des
sujets
atteints d'atrophie mus- culaire protopathique,
l'a rencontrée encore dans la paralysie diphthéritique et chez un
sujet
dont l'affection avait évolué clinique- ment so
IRE. 353 Sans faire ici mention des diverses théories émises à ce
sujet
, nous nous bornerons à rappeler que M. Dé- jeri
ration des racines et des nerfs une simple consé- quence. Chez un
sujet
atteint de paralysie diphthéritique, P. Meyer a
onné par MM. Charcot et Richer : que c'est principalement sur les
sujets
qui présentent à un haut degré l'hyperexci- tab
préoccupa pas. A treize ans les règles apparurent. Annette G... fut
sujette
à chaque retour des périodes menstruelles à des
t repris les apparences d'une santé meilleure. Mais elle est encore
sujette
à des syncopes, à des crises cataleptoïdes, ell
e des aliénées à B... où très affectée de sa situation, elle serait
sujette
à des crises très fréquentes (sept dans une nui
418 RECUEIL DE FAITS. CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES. autopsies de
sujets
morts d'affections variées que nous avons eu à
résistance moindre qu'on est autorisé à sup- poser exister chez les
sujets
prédisposés, et 'dont l'excitation, plus facile
nomenclature pathologique; et cependant chez le malade qui fait le
sujet
de cette observation, et qui a succombé à l'âge
éciser. ' - Un cas de ce genre doit suggérer quelques réflexions au
sujet
- du diagnostic et du traitement; peut-on' en f
ique quelconque. L'excitation purement périphérique de la peau d'un
sujet
sain (extenseurs et fléchisseurs du bras) entra
erfectionnement des moyens propln lactiques et curatil's. Un pareil
sujet
forçait l'orateur à toucher successivement à bi
e demande d'abord si le delirium tremens est plus fréquent chez les
sujets
névropathes que chez les personnes exemptes de
bles mentaux analogues sont plus aisément provoqués, soit chez les
sujets
à hérédité nerveuse, soit chez ceux qui sont deve
s qui sont à l'abri de ces motifs d'instabilité mentale. Chez les
sujets
nerveux, le delirium tremens peut ou suivre sa ma
itation épuiser le malade, et le conduire à la mort. Quelquefois le
sujet
refuse de manger ; il faut recourir sans hésita
u service, que même avant d'avoir contracté ces habitudes, il était
sujet
à des éblouis- sements et des étourdissements s
s épilep- tiques ou épileptiformes. En effet, le malade qui fait le
sujet
de cette observation n'était point entré à l'as
ve au travail d'Adam (Annales rnédico- psychol., juill. 1881)sur ce
sujet
. P. K. VI. Réflexions pratiques sur l'emploi DE
en complet désaccord avec M. Voisin. « Pour pouvoir hypnotiser un
sujet
quelconque, ne faut-il pas tout d'abord avoir' so
obtenir une attention contemplative, par un objet brillant, chez un
sujet
dont les facultés subjectives sont en perpétuel é
papier à une quantité d"autr'es tout semblables en appa- rence, le
sujet
le reconnaîtra toujours en disant que c'est son
ensation que donne ce carton blanc, toujours reconnaissable pour le
sujet
grâce à l'hyperesthésie de sa vue, une image im
t avec une glace qui reflète le papier faire voir deux portraits au
sujet
et ainsi de suite. L'hal- lucination hypnotique
let et Gaube y sont consignées. 2° partie. De l'Hypnotisme chez les
sujets
atteints de grande Hysléne ou grand Hypnotisme.
re Paris; toutes ces reproductions, qui ne sont pas seulement des
sujets
d'ornementation pour le livre, font bien comprend
. (Thèse de doctorat) ; par Théodore TATY. L'auteur a choisi pour
sujet
les aliénés héréditaires et non la folie hérédi
: Io la folie imposée (J. Falret et Lasègue), dans laquelle un seul
sujet
est aliéné et impose sa folie à l'autre qui est
e qui est débile; 2° la folie simultanée (Régis), dans laquelle des
sujets
prédisposés à des titres divers deviennent fous
la folie MmntM)M'<jfude(Marandon de Montyel),dans laquelle deux
sujets
également prédisposés tombent dans le même déli
ditaire. Cette forme ne se distingue de la première qu'en ce que le
sujet
passif est un prédisposé à l'aliénation, tandis
t de vue du BIBLIOGRAPHIE. 455 pronostic à'porter sur l'avenir du
sujet
passif ; 4° la folie trans- formée (Kiernan), d
bservations, l'auteur ne cite aucun cas de suicide accompli par des
sujets
dont l'état d'intégrité mentale soit nette- men
e. Il a rassemblé et analysé les principaux documents relatifs à ce
sujet
, et conclut que cette régénération chez l'homme
Par conséquent, la disparition de phéno- mènes paralytiques chez un
sujet
atteint de myélite indique d'une façon presque
lagement suivent l'émission du mot ou de la phrase. Chez tous ces
sujets
la conscience reste entière. Sur trois de nos m
pleurs involontaires, sans nul rapport avec l'état cénesthésique du
sujet
. Observation VIII. Dégénérescence mentale. Alte
s ou pleurs, qui surgit en désaccord avec l'état cénes- thésique du
sujet
. Elle riait aux éclats à l'enterrement de son g
tend qu'on lit dans sa pensée, puisque ses collègues s'emparent des
sujets
d'étude déjà choisis par lui. Dans la rue, on l
des faits divers surtout quand il s'agit de vols ou de meurtres; le
sujet
lui en revient fréquemment à l'esprit surtout p
énérale spinale diffuse subaiguë et voici comment il s'exprime à ce
sujette
Assurément, il y a des cas de myélopathies dans
r regorge- ment. Quant au sphincter anal, le malade questionné à ce
sujet
dit qu'il y a au moins dix jours qu'il n'a pas
du monde de votre bienveillant accueil, mais parce que je trouve le
sujet
de notre étude assez difficile et pour vous et
olongée dans le calme et l'isolement. Vous me direz alors : * Si ce
sujet
des amnésies hystériques est si diffi- cile à c
ques, internel du- service, me racontait avoir souvent éprouvé à ce
sujet
de singulières mésaventures. Il prenait un jour
uite dans l'esprit pour qu'elle soit par cela même appréciée par le
sujet
. Il faut, pour la conscience complète d'une sen
souvenir. Cela est bien net, chez elle : l'attention consciente du
sujet
loin de faciliter l'écriture, comme il arrivera
dire que cet oubli n'existe pas, qu'il n'est qu'une complaisance du
sujet
. Non, certainement non, cet oubli est très réel
on, certainement non, cet oubli est très réel, très pénible pour le
sujet
; c'est une petite lésion psychologique et ce n'
pus le vérifier. Mais dès que ce som- nambulisme changea et que le
sujet
entra dans l'état de veille ou dans un autre so
ation en quelque sorte inverse; si l'on suggère très fortement au
sujet
qu'il éprouve une certaine sensation tactile, un
anesthésique, il arrive parfois que la suggestion réussit et que le
sujet
se plaint d'éprouver le chatouillement. A ce mo
s modifications de la mémoire ; ce sont des états dans lesquels les
sujets
ont des souvenirs particuliers qu'ils ne retrou
s états supé- rieurs et les états inférieurs. Dans les premiers, le
sujet
a le souvenir de tous les autres, mais la récip
n peu long et délicat à produire. Cela dépend, comme vous savez des
sujets
et de leurs dispositions. L'un de ces messieurs
de la sensibilité et de la mémoire dont je vous ai parlé. Certains
sujets
ont donc des amnésies sous la dépendance de leu
mnésies sous la dépendance de leurs anesthésies, ou mieux, certains
sujets
ont des amnésies et des anesthésies insépa- rab
NIVEAU DE LA CICATRICE OSSEUSE. PAS DE MODIFICATION DANS L'ÉTAT DU
SUJET
; ..1.' 1 , '- . '1 . Par les Dors MAUNOURY et
nnent quelquefois, très rarement, à la suite des séries d'accès. Le
sujet
alors n'est pas réellement agressif, mais il trac
ours en s'aggra- vant et aujourd'hui, neuf ans après l'accident, le
sujet
est en démence épileptique et il a une quinzain
a prédisposition névropathique se retrouve en général chez tous les
sujets
atteints d'affections des centres nerveux, même
'automatisme que nous avons inscrit en tête de l'observation est-il
sujet
à critiques, mais nous l'avons fait pour assimi
s ascendants; sur quarante et un membres de cette famille, dix-neuf
sujets
sont atteints. Il s'agit d'un tremblement préco
du 25 avril 1892. - Présidence DE M. Christian. PI ix Belhomme. Le
sujet
de concours pour le prix Belhomme à décerner en
à fond la réforme de la législation des aliénés. J'ai écrit sur ce
sujet
un rapport qui a servi de base à. uue pétition.
um relatif à la néces- sité de faire entrer la psychiatrie dans les
sujets
d'examens. Les mo- tifs développés par l'orateu
e, il est souvent impossible de tra- cer des limites entre les deux
sujets
. Il est certain que c'est au spé- cialiste qu'a
mite la responsa- bilité, c'est de l'arbitraire. On s'est trompé de
sujet
. Ce n'est pas à graduer la responsabilité qu'il
n malheureux comme - SOCIÉTÉS SAVANTES. '108 aussi coupable qu'un
sujet
sain d'e'zprit qui aurait commis la même action
ntrôle médical des plus précis ; pleins pouvoirs seront donnés à ce
sujet
au médecin de l'établissement. M. ZINN n'a rien
ont déjà tuberculeux, car l'asile public conserve de préférence les
sujets
récemment affec- tés de vésanies. Par suite, to
'occupation des malades à l'air libre. L'étude des prisons est à ce
sujet
instructive. Les établissements pénitentiaires
ie, qui n'est guère curable, entre parenthèses, que chez les jeunes
sujets
. On avait, en pratique, essayé de guérir; ne guér
que l'a montré Charles Richet, de suggérer une idée délirante à un
sujet
, de lui faire croire qu'il change de personnali
conceptions originellement suggé- rées, modifient l'automatisme du
sujet
. Telle cette aliénée hysté- rique à laquelle, p
, a réussi chez nous au- · delà de toute espérance, si bien que les
sujets
s'hypnotisaient les uns les autres par un regar
dit-il, quand c'est le terrain mental, l'organisation cérébrale du
sujet
qui produit ces tendances vicieuses ou morbides
les phénomènes patho- logiques eux-mêmes, constituent de véritables
sujets
à hypnotiser; chez eux le terrain est tout prép
e neuropa- thologie, faut-il connaître à fond les particularités du
sujet
à trai- ter, pour faire de la thérapeutique sug
l'on peut guérir par la suggestion, à supposer bien entendu que le
sujet
soit hypnotisable, toutes les fois qu'on a affa
puis les dyspha- sies organiques, sur lesquelles il insiste peu, le
sujet
intéressant plutôt les neurologistes que les ps
du matin, quatrième séance : Communications et discussions sur des
sujets
en dehors du pro- gramme. B. A deux heures du s
psychologique. Elle n'a pas encore épuisé l'attention, car c'est un
sujet
fertile de recher- ches pour la psychologie cri
d'assis- tance publique, nous avons fait une communication sur ce
sujet
. Nous y sommes revenu il y a quelques semaines, l
surplus étant supporté par la Seine. Si j'ai tant insisté sur ce
sujet
avant de demander au Conseil général la même me
eil général de la Seine. L'occasion s'en présente dès maintenant au
sujet
d'un enfant, Marie Beyn..., hospitalisée à la F
ant au premier plan, efface tous les autres souvenirs et devient un
sujet
de conti- nuels tourments. Il est le premier à
thique ». Les urines sont toxiques de la même façon que celles des
sujets
sains. Elles provoquent du myosis, de l'accélérat
Plus souvent encore il y a le scintillement caractéristique. Les
sujets
qui savent bien observer leurs accès (par exemple
mple obscurcissement dans le champ visuel ; quel- quefois encore le
sujet
croit déjà l'attaque passée, lorsqu'elle n'est
même pour les autres formes d'amblyopie transitoire. ' - Chez les
sujets
déjà migraineux les accès peuvent présenter une
a appelées frustes (Féré, Charcot). D'autrepart, un grand nombre de
sujets
atteints de migraines périodiques n'ont jamais
n'ont jamais d'attaques d'amblyopie temporaire. Enfin, chez un même
sujet
, les accès de migraine et d'amblyo- pie tempora
ternel mort fou à cinquante ans. Une tante maternelle alcoolique et
sujette
à des crises ner- veuses. Des neuf frères et so
de péritonite tuberculeuse. Depuis l'âge de neuf ans, la malade est
sujette
à des engourdis- sements d'une moitié du corps,
iennent le plus souvent à un trouble de l'intelligence, qui rend au
sujet
les paroles correspondantes aux idées qu'il vou
ncore ils chan- gent de côté dans les accès consécutifs sur le même
sujet
. c). Les troubles moteurs seront indiqués de mê
Mardi un malade, qui avec d'autres observations a fait plus tard le
sujet
de l'inté- ressant mémoire de M. Babinski (43).
grande encore. Mais, si la migraine ophtalmique survient chez un
sujet
porteur de stigmates douteux, comment arrivera-t-
ansitoire (accompagnée ou non de migraine) à l'hystérie, puisque le
sujet
ne présente pas de stigmates hystériques et que
ion sur des zones hystéro- gènes, etc. Dans ce cas, et lorsque le
sujet
ne présente pas d'autres signes de névropathies
ux, la névrose rudimentaire qui affirme le tempérament nerveux du
sujet
. , 4. Rapports entre l'amblyopie transitoire et
autres stigmates nerveux, si ce n'est le caractère assez emporté du
sujet
. 5. Les rapports entre (amblyopie transitoire e
mple), ou habituellement sans cause appréciable, une des mains du
sujet
est prise d'un engourdissement qui monte dans le
dernière consti- tuant un syndrome bien évident, et pour lequel les
sujets
viennent bien plus souvent à la consultation.
seconde l'amblyopie transitoire. 229 de ces deux observations, le
sujet
avait été migraineux dans sa jeunesse, les atta
l- quefois introduites après la mort dans l'intérieur du crâne de
sujets
précédemment trépanés, pour leur servir de viatiq
umatisme du crâne ef au bout d'un an était devenu mélan- colique et
sujet
à des impulsions homicides. Avant son accident;
trice qui met en communication le sélénium avec la peau du front du
sujet
. On assure la communication parfaite de cet app
peau, en ayant soin de prendre au préalable le moulage du front du
sujet
auquel l'appareil est des- tiné ; on fabrique l
urol. Cen- tralbl., 1891 1.) Le travail de Lenhoessek sur le même
sujet
(Anat. Anzeig., 1880, n° 7) arrive à des résult
la méthode employée par l'au- teur pour apporter la lumière sur son
sujet
très compliqué, dont on n'avait pas encore abor
s convenables, mais considérés au point de vue de la littérature du
sujet
, les résultats des opéra- tions pour l'extirpat
resque la moitié sont de cette nature, spécialement chez les jeunes
sujets
), ils tendent à être multiples, et offrent en c
ze ans; époque à laquelle parut le premier mémoire de Cotard sur le
sujet
, on ne peut réunir sur la matière qu'un petit n
sez souvent des idées de négation isolées ou systématiques ; 8° les
sujets
destinés à devenir négateurs sont naturellement
ommes tous d'accord pour déplorer l'encombrement des asiles par des
sujets
incurables. J'ai consulté tous les médecins des
rables. J'ai consulté tous les médecins des asiles de la Seine à ce
sujet
: tous ont été unanimes à reconnaître qu'ils ét
s les plus propres à remédier à l'encombre- ment des asiles par les
sujets
incurables, elles ont été assez sou- vent discu
de Basedow peut réveiller simultanément les aptitudes délirantes du
sujet
. Dans certains cas, le goitre exophtalmique lui-m
terminer dans cette formule : Faire rentrer dans la vie commune des
sujets
voués à l'existence la plus misérable, tantau p
hez les microcéphales, chez les enfants arriérés et chez les jeunes
sujets
présentant, avec ou sans crises épileplifornaes,
il y a quelques jours, l'un de nos élèves, M. Tacquet, a pris pour
sujet
de thèse : De l'oblitération des satures du crâ
toutefois donner lieu à des réactions étrangères à la conscience du
sujet
, dépendant d'une conscience secondaire automati
l'administration des asiles d'aliénés. Une discussion s'engage à ce
sujet
entre MM. Samuel Garnier, Doutrebente, Mordret,
sidérablement diminué dans ces derniers temps. Il était égale- ment
sujet
à des accès de mélancolie apparente et d'agitatio
ow, non pas à propos de la généralité des idiots, mais seulement au
sujet
d'un groupe, les microcé- phales,,opinion qu'il
ent sur l'état des fontanelles des renseignements qui nous semblent
sujets
à caution. Les parents n'apportent en général,
ne ne se fait pas plus prématuré- ment chez les idiots que chez les
sujets
sains; que l'arrêt de déve- loppement du cervea
nces accordées seraient au moins de six semaines chaque année. Au
sujet
d'un médecin adjoint supplémentaire, le D'' Kirkb
dera deux médecins-adjoints. » Le Dr Arlidge dit à propos du même
sujet
: « On demande un médecin adjoint pour 300 ou 3
outait-il, de mes propres yeux vu ! » « Voici ce qu'on raconte à ce
sujet
. Le Sultan, qui travaille assez tard dans. son
t les divers phénomènes qu'elle éprouve, elle s'explique ainsi à ce
sujet
: « La douche m'impres- sionne encore beaucoup,
ngoisse. Archives, t. XXIV. 25 386 pathologie mentale. Chez les
sujets
dont le sommeil laisse à désirer, aux bromures
d'une manière méthodique et complète, tout ce qui se rapporte à ce
sujet
. Un travail de ce genre ne pourrait être que la r
au-dessus de nos forces. Nous avons voulu simplement apporter à ce
sujet
si intéressant une mo- deste contribution, en e
lle se trouvait mal placée, » de façon à ce que ses membres fussent
sujets
à une pression même peu pro- longée. A l'âge de
dans ses membres « lorsqu'ils étaient mal placés », de façon à être
sujets
à une compression même peu prolongée; d'autre p
otre cas elle frappât le bras gauche, lequel comme les jambes était
sujet
à un travail journalier très rude ? La raison d
e d'une violente émotion morale. Les céphalées, auxquelles il était
sujet
dès sa jeunesse, s'aggravent; de temps à autre
droit des phénomènes de bacillose '. Dès cette époque, Cha... est
sujet
très fréquemment à des sensations de défaillanc
s le bras pen- dant quelques heures. D'autres fois, le malade était
sujet
à des crises convulsives débutant par la main d
aladifs, ils présentent des engorgements glandulaires. Sa femme est
sujette
au moins une fois par mois à des crises nerveuses
dont j'ai pu prendre connaissance m'ont semblé insuffisantes sur ce
sujet
. Les opinions des différents auteurs sont mieux
aître que l'amblyopie transitoire survient le plus souvent chez des
sujets
déjà migraineux, et puisse se combiner ou s'al-
e malade plus facilement est amené à consulter. Mais, même chez les
sujets
qui sont à la fois migraineux et atteints d'amb
nification de liens étroits de cause à effet. - . Rappelons, à ce
sujet
, que le syndrôme migraineux peut s'attarder d'u
on nerveuses, de l'insomnie, etc., les petites souffrances de ces
sujets
, que l'on ne pourrait pourtant encore classer dan
vroses rudimentaires, pouvant rester les seuls stigmates nerveux du
sujet
, ou pouvant encore précéder ou accompagner d'au
on et de la rapporter à l'état ner- veux plus ou moins manifeste du
sujet
. Les accès d'amblyopie transitoire qui se renco
aine ophtalmique), une simple névrose, stigmate rudi- mentaire d'un
sujet
qui pourra plus tard entrer dans la caté- gorie
se prolonge assez long- temps et si l'on a l'occasion d'examiner le
sujet
pendant sa durée, on peut en contrôler au périm
., est trop grossier pour qu'il soit néces- saire d'insister sur ce
sujet
. Plus difficile, sans doute, est le pronostic,
r extrêmement, selon les différents individus et aussi chez le même
sujet
aux différentes époques de sa vie. Tantôt les a
rence de réalité, d'objectivité enfin qu'elles prennent aux yeux du
sujet
. On constate très souvent des phénomènes de ce
symptômes de l'aboulie, une des formes de la folie du doute, et les
sujets
dont vous rapportez les paroles sont des malade
étude sur la suggestibilité des hystériques. Je n'admets pas qu'un
sujet
comme Berthe, qui présente de la distraction et
statées à propos des anesthésies et des amnésies hystériques. 1° Le
sujet
a perdu le pouvoir d'exécuter consciemment les
aussi avait conservé le souvenir conscient des faits anciens. 3° Le
sujet
a conservé le pouvoir d'exécuter tous les actes
' ; 2° en même temps, vous voyez que l'anesthésie a disparu, que le
sujet
n'est plus ni distrait, ni amnésique, ni abouli
en parlant des amnésies. 1 M. Pitres a remarqué aussi que tous les
sujets
ne sont pas également suggestibles dans les dif
e morte à soixante-six ans de la même maladie. Cette dernière était
sujette
aux névralgies, < vive comme la poudre », se
térielles danslesquelles se fait en France l'hospitalisation de ces
sujets
laissent un peu à désirer : il est certain que
chir des conditions physiques qui l'entourent. 5° Le crime est un
sujet
d'études morales en dehors de ses rapports avec
rt que c'est par l'alcool, à l'aide de l'ivresse délirante, que ces
sujets
vicieux entrent dans les asiles. Le tableau dre
ne maladie, ne résistent pas à l'examen : faiblesse de volonté;-ces
sujets
savent être très sobres quand c'est leur intérêt
ait nécessaire pour calmer les accès de fureur auxquels ils étaienl
sujets
. M. LE Président. Il résulte de cette discucsio
le, préposées à leurs fonctions motrices. Ce sont elles qui font le
sujet
de celte communication. Dans l'intoxication a
rve jamais dans l'inversion génitale; en outre on constate chez ces
sujets
-là des troubles nerveux, de la neurasthénie, du
lité des nerfs et des muscles chez l'individu sain ou malade. Les
sujets
en expérience étant isolés ou non (en ce dernier
lectricité faradique. M. Jolly rappelle ses rapports de 1883 sur ce
sujet
('t; ! H'o<. Ccn- tralbl.). Il ne saurait re
une dame, Mra Ladd Francklin, présente une autre étude sur le même
sujet
. Le D'' E.-B. Titcbener, de Leipsig, montre les
ément dans l'analyse de certains phé- nomènes subconscients dont le
sujet
lui-même ne se rend pas compte. Les hallucinati
e, effet de l'- sur les nerfs et les muscles chez le malade et le
sujet
sain, par Bernhardt, 504. ELECTROPHTHALMIE, p
alpighi qu'il convient de faire remonter les premières notions sur ce
sujet
. Avant eux, on n'était pas fort difficile sur les
t. Permettez-moi, cependant, de vous dire encore quelques mots à leur
sujet
, en manière de conclusion. S'il s'agissait, dan
rtante, la bile est un liquide excrémentitiel. On peut assurer à ce
sujet
que, en sécrétant la bile, le foie exerce une act
ort peu avancée, en quelque sorte à l'état rudimentaire. Voici sur ce
sujet
, cepen-dant, quelques données qui, je l'espère, n
amère et par leur réaction spéciale. (Réaction de Pettenkofer.) Ce
sujet
a été étudié avec beaucoup de soin par M. RiUer(l
'observer cet état de la bile chez les oies gras-ses. M. Ritter, au
sujet
d'un malade qu'il a observé attentive-ment, relèv
auteurs qui, dans ces dernières an-nées, ont repris avec activité ce
sujet
intéressant sont, en An-gleterre^!. Parkes et M.
Salpêtrière l'occasion fréquente de l'étu-dier et de recueillir à son
sujet
quelques observations nou-velles qui ont été cons
tuméfaction permanente qu'il n'est pas très rare d'observer chez des
sujets
atteints de goutte chronique, ainsi que l'ont fai
ec raison comme un des phénomènes avant-coureurs de la goutte. A ce
sujet
, il n'est pas hors de propos d'insister sur ce fa
urique, le sérum du sang et la sérosité de vésicatoires prove-nant de
sujets
non goutteux, qui rendaient habituellement, en mê
du foie. A tout pren-dre, il n'y a pas lieu de le regretter. C'est un
sujet
, en effet, que renseignement de M. Cl. Bernard, l
qu'il peut être question d'une fonction glycogénique. (1) Voir à ce
sujet
: Segen. — Der Diabetes Mellitus, p. 12. Berlin, 1
decin dis-tingué des hôpitaux de Lyon, M. Colrat, a eu l'idée que les
sujets
, qui sont atteints de lésions diffuses graves du
r en quelque sorte expérimentalement ce diabète alimentaire, chez des
sujets
qu'on soupçonnait être affectés d'une lésion grav
es âgées. Le fait est que, d'après mes ob-servations conformes sur ce
sujet
à Cruveilhier, les calculs biliaires se voient tr
coïde desséché, formant le noyau d'un calcul. On trouva, chez le même
sujet
, trente autres ascarides dans les voies biliaires
aurions nous arrêter à cet aperçu sommaire ; nous devons entrer, à ce
sujet
, dans quelques détails circonstanciés. B. Nous
on analogue. Dans ces cas, on n'aurait eu aucun renseignement sur les
sujets
d'où pro-venaient les calculs. Il n'en a pas été
ce des calculs de cholestérine dans les voies urinaires ; c'est là un
sujet
que nous devrons examiner plus tard. b) Lorsqu'
Meckel. Pourquoi cette acidité ? Frericlis ne se prononce pas à ce
sujet
. Il admet seulement, avec Meckel, que cette modif
calcul. Je ne veux pas m'étendre plus longuement, Messieurs, sur un
sujet
dans lequel l'hypothèse se dresse à chaque pas et
complexe. Le temps ne me permettrait pas, quel que soit l'intérêt du
sujet
, de vous la présenter dans tous ces détails. Je d
que des sciences médicales (1). I. Avant d'entrer dans le cœur du
sujet
, je crois devoir vous rappeler quelques particula
; il est facile de s'assurer de la vérité de ce fait à l'autopsie des
sujets
ayant souffert autrefois de coliques hépatiques.
r. Lettson. Lect^p. 70. L'épaisseur de cette couche varie selon les
sujets
; néanmoins, elle est en général toujours très bi
aurait d'ailleurs, à cet égard, de très grandes variétés suivant les
sujets
. Les faisceaux musculaires peuvent faire complète
-ture des parois des canaux biliaires excréteurs chez une di-zaine de
sujets
d'âges divers. Chez plusieurs vieillards, il nous
parents, et même assez multipliés et assez puissants parfois chez les
sujets
adultes : par exemple, chez une femme aliénée de
lieu de noter sous ce rapport de très grandes variations suivant les
sujets
. On est porté à croire que chez les vieillards su
de la lithiase biliaire. C'est un fait bien établi que, chez certains
sujets
, l'expulsion définitive de calculs même relativem
des calculs reste tout à fait latente. Par opposition, chez d'autres
sujets
, le passage de calculs très pe-tits est marqué pa
colique hépatique ne révèle guère le passage des calculs que chez les
sujets
âgés de 25 à 35 ans ; après 60 ans, la lithiase b
. Je puis citer à l'appui un cas observé par M. Gerhardt (3). Chez un
sujet
qui avait suc-combé, dans le cours d'une colique
ux musculaires dans les parois de ce conduit au moins chez certains
sujets
, et aussi par les résultats des expé-riences fait
cas de fistule duodéno-cholédoque. M. Barth les a rencontrées chez un
sujet
qui, peu de temps avant la mort, avait présenté t
des pièces disposées par M. Gombault. Ces dernières provenaient d'un
sujet
qui avait succombé à l'oblitération calculeuse du
abcès métastatiques dans les viscères, les poumons, la rate, chez des
sujets
atteints de dilatation sacciforme des voies bilia
lsifs ou coma-teux qui, quelquefois, terminent brusquement la vie des
sujets
placés depuis longtemps sous le coup des effets d
'état fébrile, qu'elle qu'en puisse être la cause, surviendra chez un
sujet
atteint d'une lésion diffuse quelque peu profonde
ues ne se montreraient guère, d'après les obser-vations, que chez les
sujets
placés depuis longtemps déjà sous le coup d'une l
is trop insister, Messieurs, sur l'intérêt prati-que qui s'attache au
sujet
qui vient d'être exposé. Pour mieux fixer encore
ines maladies des voies urinaires. Vous n'ignorez pas que, chez les
sujets
irritables, l'intro-duction du cathéter dans l'ur
omme on l'appelle quelquefois (2), ne se manifeste guère que chez les
sujets
qui, déjà, présen-tent d'une façon plus ou moins
es, et d'un autre côté les lésions rénales se montrent à Fautopsie de
sujets
qui n'ont pas été atteints de fièvre uro-septique
existent entre la vésicule et les parties voisines. Vous trouverez ce
sujet
traité avec un grand soin dans l'ouvrage de M. Sa
veloppent primitivement, sur cette partie de l'appareil hépatique. Ce
sujet
a été négligé pendant longtemps et pourtant, il e
J'ajouterai que les processus inflammatoires que nous étu-dions sont
sujets
, si l'on peut ainsi dire, à des exagérations mome
dénomination à M. Hanot, auquel on doit la première mo-nographie à ce
sujet
(1). Je me réserve de traiter un peu plus tard la
tion des premiers symptômes. Une fois confirmée, l'hypertrophie est
sujette
à des oscilla-il) Archiv der Heilkunde, 1867, p.
s à la structure et aux fonctions du rein. Des travaux récents sur ce
sujet
ont porté en effet une atteinte grave aux descr
on peut même dire qu'aujourd'hui toutes les questions relatives à ce
sujet
ne sont point encore parfaitement élucidées. Du r
dans certains états pathologiques. Ainsi dans la scarlatine, chez des
sujets
ayant succombé rapidement par le fait de l'anurie
cylindres urinaires. J'au-rai, du reste, l'occasion de revenir sur ce
sujet
à propos de l'étude des diverses formes de la mal
llemands, les diverses altérations du rein observées à l'autopsie des
sujets
qui, pendant la vie, ont été atteints à la fois d
ière forme. — Etiologie. — La maladie se voit surfout chez les jeunes
sujets
, rarement à un âge avancé. Causes souvent inconnu
e crois de-voir la conserver. B. Deuxième forme. — Étiologie. — Les
sujets
succom-bent entre cinquante et soixante ans; cond
e comprenait pas, si cette hypothèse était fondée, que la plupart des
sujets
présentant un rein contracté échappassent, pendan
s médical. Depuis cette époque, plusieurs écrits ont paru sur le même
sujet
: nous nous bornerons à citer ceux qui suivent: L
tent dans leur état de parfait développement, par exemple, celui d'un
sujet
goutteux, rendant depuis plusieurs années de l'al
térations dans les premières périodes du mal. Nous possédons sur ce
sujet
peu de renseignements dignes d'être utilisés. Cel
de façon à en effacer complètement la cavité. Pour en finir avec ce
sujet
,- je dois rappeler que, par suite de raffaissemen
épond que les individus atteints de néphrite parenchymateuse sont des
sujets
débilités, chez lesquels, pour diverses raisons,
nterstitielle de la maladie de Briglit. A. — C'est surtout chez les
sujets
atteints dè la néphrite interstitielle qu'on voit
D'ailleurs, cette accumulation est d'autant plus considérable que le
sujet
atteint jouissait auparavant de tous les attribut
ner la production de l'urémie ; Bartels a examiné les urines chez des
sujets
atteints de néphrite inters-titielle, en proie à
recher-cher ce qui se passe relativement à Vacide urique. C'est là un
sujet
encore peu étudié ; toutefois, nous possédons que
insi, les urines claires et abondantes que rendent, en 24 heures, les
sujets
atteints de goutte chro- nique, contiennent en
, au moins pour une part, la raison des dépôts tophacés qui, chez les
sujets
atteints de goutte chronique, se forment en abond
ertaines substances odorantes ns passent pas dans les urines chez les
sujets
atteints de néphrite interstitielle. Une des prem
ns de ce genre est celle de Halm, citée par Guilbert ; il s'agit d'un
sujet
goutteux qui prenait des préparations de térébent
l'intolérance pour l'opium que présentent d'une façon si marquée les
sujets
atteints de né-phrite interstitielle : donné même
le. Plusieurs auteurs anglais ont aussi remar-qué que, chez les mêmes
sujets
, l'administration de petites closes de calomel es
es, les inflammations qui surviennent le plus habituellement chez ces
sujets
. Les inflammations viscérales sont fréquentes aus
es altérations des vaisseaux que l'on peut retrouver à l'autopsie des
sujets
qui ont succombé à cette affection. V endartéri
ériel est une des lésions que l'on rencontre le plus souvent chez ces
sujets
; c'est, dit-on, une conséquence de l'hypertrophie
a substance de Vencéphale. Il n'est pas dou-teux qu'un bon nombre des
sujets
atteints de néphrite inters-titielle succombent p
ans quelques cas d'hémorrhagies intra-encéphaliques survenues sur des
sujets
atteints de né-phrite interstitielle avec albumin
) Motley and tuberculated Appearance of the Kidncy. (2) Voir sur ce
sujet
: G. Johnson. — On the forms and stages of Bright'
nt variées qu'elles diffèrent pour ainsi dire, à peu près chez chaque
sujet
. Évidemment, il y a là de l'exagération ; il faut
° A l'inverse de ce qu'on observe dans le cas de rein con-tracté, les
sujets
atteints de néphrite parencbymaleuse devien-nent
produire ce résultat. Ces malades sont dyspeptiques, et deviennent
sujets
aux vomissements. Suivant MM. Fenwick (cité par G
eurs avec celle de la néphrite parenchyma-teuse. L'orsqu'on étudie ce
sujet
, non pas seulement en s'en rapportant aux dires d
e ferai seulement remarquer que, jusqu'ici, l'é-tude du sang chez les
sujets
atteints de l maladie lardacée, n'y a fait trouve
ïde ré-vèle seule la nature spéciale de l'affectio du rein. Ainsi, le
sujet
est phtliisique, atteint de suppuration prolongée
orez pas que quelques individus sains, ou considérés comme tels, sont
sujets
à une sorte d'albuminurie normale temporaire. Ain
aient passer dans les urines. Voici les expériences instituées à ce
sujet
par M. Slokvis. L'albumine d'un albuminurique est
mines connues du sérum du sang. On sait, par exemple, que, chez les
sujets
atteints du mal de Brigïit, les urines rendues ap
de celle de l'albuminurie vulgaire. Les recherches entreprises à ce
sujet
par M. Lépine ont démontré que l'albumine de l'ur
hématogène. On pourrait citer encore les urines albuminuriques des
sujets
atteints d'une maladie fébrile de quelque intensi
H E. BRISSAUD, Professeur à la Faculté de Médecine de Paris. Le
sujet
de l'infantilisme qui, depuis peu d'années, a fai
avec la chose. En effet, s'il convient à la raison d'admettre qu'un
sujet
infantile doive être petit par définition (c'est-
s'accom- z plissent d'autant plus vite et plus régulièrement que le
sujet
est plus jeune. Croire qu'un enfant qui a quato
anomalie du développement caractérisée par la persistance, chez un
sujet
ayant atteint ou dépassé t'age de la puberté, d
ement psychique. » - Détaillons le signalement de l'infantile. Le
sujet
infantile, eût-il dix-huit ans, vingt ans, même d
écorce, reste approximativement équiva- lente à celle de tel ou tel
sujet
dont l'âge réel correspond à tel ou tel âge app
ennent plus tard, par exemple à huit ou dix ans comme chez les deux
sujets
dont nous venons de parler, les transformations é
imi- litude rigoureuse des variétés de l'infantilisme chez tous les
sujets
dont l'arrêt de développement s'est produit au
ue me fait louchera il un des points les plus controversés de notre
sujet
. C'est M. Hertoghe (d'Anvers) qui a découvert l
eu la guérison de ces accidents s'effectue complète. Mais la malade
sujette
à des accès fébriles passagers, présente bientôt
devient grêle et monotone ; son tempérament est apathique. Elle est
sujette
à de fréquents maux de tête, à une sensation de
e de la fonction thyroïdienne. Pierre-Marie a démontré que certains
sujets
atteints pendant de longues années de goitre simp
en correct, affecteux le plus souvent, au moins dans la forme, mais
sujets
à des impulsions et sans ordre dans leur condui
ls. Il invoque à l'appui de cette opinion le fait d'une jeune fille
sujette
à des augmenta- tions et des diminutions éviden
ré, et une riche dentelle qu'il revêtait avec grâce était pour lui un
sujet
de satisfaction et de triomphe. Il l'essayait l
L'anthracose pulmonaire ne diffère pas de celle que présentent des
sujets
normaux du même âge. La plèvre est irrégulièr
rrénale est peut-être un peu inférieur à ce qu'il doit être chez un
sujet
normal. La pituitaire, dans sa partie nerveuse,
»(3) donne deux observations anatomo-cliniques importantes pour le
sujet
qui nous occupe. L'observation I (atrophie musc
ertrophie des nerfs quand elle existe est constatable même chez des
sujets
jeunes, ainsi qu'il le prouvait dans une nouvel
été trouvées plus tard par Sainton (3) à l'autopsie d'un autre des
sujets
de Charcot et Marie ; mais les lésions médullai
ons trouvé facilement les matériaux né- cessaires pour faire sur ce
sujet
une revue générale (2). Depuis lors elle s'est
latente qui se manifestera plus tard avec l'évolution ultérieure du
sujet
. Il suffira donc de résumer les données decette
iculier. Les maladies d'évolution, quand elles atteignent plusieurs
sujets
d'une même génération ou de plusieurs génératio
aire, frappe par sa réduction de volume : bien que le cervelet soit
sujet
à des variations individuelles assez fortes, il s
'autres cas ne permettent pas de tirer des conclusions décisives à ce
sujet
. Le fait que dans notre cas nous avons pu const
'extrémité inférieure du cubitus. Les articulations des doigts sont
sujettes
à des raideurs passagères et variables. Au co
part à la genèse de ces malformations osseuses ? Mentionnons à ce
sujet
que Gilles de la Tourette et Magdelaine, Gilles
ection. Le cadavre en faisait tous les frais. L'aspect extérieur du
sujet
? A quoi bon ? Tout pour l'organe : os, muscle,
telle ou telle apophyse, telle ou telle gouttière sous la peau d'un
sujet
en vie ? Non, jamais. L'enseignement de l'ostéo
les modifications de cette forme entrevue sous la peau, suivant les
sujets
, suivant les attitudes.... Néant. Et c'est avec
udes du repos, soit dans les divers mouvements. Je remarquerai à ce
sujet
que la détermination précise des saillies et de
orelles ; il en prenait note, réfléchissait, faisait venir un autre
sujet
, le comparait au précédent, en appelait un troisi
é " ('2). Etcela, non seulement chez les obèses, mais chez tous les
sujets
bien portants. Eu outre, ce pan- nicule est d'é
pportés aux formes extérieures suivant les attitudes et suivant les
sujets
. La Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière a p
deux notes 5m ? * une déviation de la colonne vertébrale, chez les
sujets
sains en rapports avec la station hanchée, qui do
mémoire. Elle doit être pratiquée par l'étudiant à l'hôpital chez les
sujets
qui se confient à ses soins. Il doit répéter tr
les parties du corps doit devenir précise et rapide, chez tous les
sujets
jeunes ou vieux, obèses ou maigres. Pour les dé
les sujets jeunes ou vieux, obèses ou maigres. Pour les débuts, le
sujet
de choix sera un adulte, musclé, mais un peu maig
vi, parce que j'ai cru qu'il était impossible de mieux faire sur le
sujet
».... Soyons indulgent pour François Tortebat e
un muscle plus ou moins schématique, mais bien les muscles mêmes du
sujet
qui pose devant eux, dans leur forme réelle et
t pas superflu d'en détailler les caractères morphologiques sur des
sujets
vivants,ou tout au moins sur des images photogr
ts qu'elle donne sur ses antécédents et le début de sa maladie sont
sujets
à caution ; car elle est d'une intelligence trè
A. Léri ont présenté à la Société de Neurologie (2 février 1905) un
sujet
tabétique, qui offrait, comme notre malade, une o
infantile et la paralysie spinale infantile coïncider chez le même
sujet
, et j'attends avec confiance la publication de ce
de la Salpêtrière avec une planche reproduisant la photographie du
sujet
(3). Il suffit donc d'en donner un bref résumé
t observés dans quelques cas. C'est ainsi que la malade qui fait le
sujet
de la deuxiè- 164 PARDON ET FLORIAN - me obse
le provenait de la vente d'un atelier. L'attitude préten- tieuse du
sujet
, appuyé sur une sorte de colonne, sa musculature
u flanc, les replis que l'on voit seraient peut-être exacts chez un
sujet
revêtu de peau et de graisse, mais ne corresponde
certain nombre des erreurs de l'écorché de Bouchardon, notamment au
sujet
du grand pectoral. Par contre, les bras et les
muscles fessiers ont même forme à droite et à gauche, alors que le
sujet
ne porte que sur une seule jambe ; et l'on sait c
nt curieux et intéressants à étudier. Ils ont été faits d'après des
sujets
d'une belle musculature et placés dans l'attitude
plir la statue d'écor- ché pour être vraiment utile. « D'abord le
sujet
est placé dans l'attitude droite, pure et simple,
181 des et les formes superficielles. Il suffirait pour cela que le
sujet
étant figuré dans une attitude absolument symét
remet- tre pour les besoins de la démonstration. Du côté droit, le
sujet
est enve- loppé de sa peau et de la graisse sou
graisse sous-jacente ayant l'épaisseur que l'on rencontre chez les
sujets
vigoureux en pleine santé.. Les muscles écorché
ils sont représentés avec la forme réelle qui correspond à la pose du
sujet
. Sur la tête, sont seuls indiqués les muscles q
ervé sa fonction nor- male. Le manque de renseignements précis à ce
sujet
dans l'observation clinique est regrettable, ca
que d'Athènes, 1906, j'ai fait une communication très sommaire à ce
sujet
. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX
s ne sont pas tombantes ; le fait tient peut-être à la gibbosité du
sujet
. Enfin, nous n'avons pu constater le tubercule
'image du cerveau. Ce cas serait donc unique jusqu'à ce jour. Notre
sujet
présente bien les principaux caractères assignés
Ce retard est très carac- téristique dans cette observation. Notre
sujet
, âgée de 16 ans, ne présente pas trace de début
causes les plus fréquentes des dystrophies de l'enfance. Chez notre
sujet
on relève deux des symptômes de la triade d'Ilu
eur malade. On nous permettra de faire une remarque importante à ce
sujet
. Les signes que tous les auteurs attribuent à l
iennent corroborer l'hypothèse d'hystérie. Nous savons que chez les
sujets
sains la mydriase maximale provoque une photoph
ssions, mégalomanies prophétiques) ; c'est le cas, semble-t-il, des
sujets
à dégénérescence héréditaire préalable ; d'autre
du cas. A l'admission tout malade de sexe masculin est interrogé au
sujet
du has- chich, et un rapport est dressé sur la
e l'état mental du malade s'améliore, il est interrogé à nouveau au
sujet
du haschich et, avant sa sortie, il est invité à
ptômes, très objectifs et qu'on peut les laisser échap- (t) V. à ce
sujet
F. Raymond et G. GUILLAIN, Syringobulbie. Syndrom
en mesure de nous renseigner d'une façon absolument rigoureuse à ce
sujet
(12), toutefois l'examen clinique combiné avec
lle était l'une des conclusions d'une précédente notice sur ce même
sujet
(1) ; aujourd'hui il m'est possible d'en donner
rovisoire à la Faculté. CHAPITRE PREMIER L'histoire clinique du
sujet
hémimèle dont nous publions ici la dissec- tion
n bicipitale. Le muscle brachial antérieur est plus gros que sur un
sujet
normal ; c'est le muscle le plus volumineux du
la grosseur d'une cuisse ordinaire, et en rapport avec l'obésité du
sujet
, permettant par leur mobilité au sujet de s'asseo
bithoracique. Soc. anat., Paris, 1856, p. 281-284. Dissection. -
Sujet
mâle mort à 2 mois. Les deux membres supérieurs
, Journal d'anatomie et de physiologie. Paris, 1877 (p. 371-390).
Sujet
masculin de 5 mois. Les 4 membres sont le siège d
médicales de Montpel- lier, 31 octobre 1885. ' Il s'agissait d'un
sujet
de 32 ans, mort de fluxion de poitrine bilieuse.
89, p. 53-r54. Il s'agit d'une pièce trouvée à l'Ecole Pratique. Le
sujet
, âgée de 55 ans, avait un moignon droit conique
opol. Paris, 1890, 4e s., I, 2° fascicule, p. 280-28S ; 489-492. Le
sujet
est un enfant mâle, de 3 ans. La monstruosité p
ale. Progrès médical, 28 octobre 1893, t. XVIII, 2' série, no 43.
Sujet
mâle, 39 ans. Le fémur se termine par une masse
ite appuie sur la malléole gauche. Au point de vue intellectuel, le
sujet
est un arrièré. Ici, l'hémimélie est réduite à
Paris, 1878. Observation PERSONNELLE Hémimélie thoracique gauche.
Sujet
de 4 ans 1/2, La radiographie montre que le cub
Soc. méd. Nancy, Compte rendu, 1899-1900, p. GUI (juillet 1900). Le
sujet
, jeune homme de 18 ans, avait le bras gauche norm
sur l'hémimélie. Nouv. Iconog. Salpêtr., Paris, 1901, p. 128-148.
Sujet
masculin, 24 ans. Les avant-bras et les mains ont
tiges de la main. Soc. anat. de Paris, février 1902, p. 153-154. Le
sujet
dont nous présentons la radiographie à la Société
, la radiographie. Nouv. Iconog. de la Salpêtre, p. 265-271. - Le
sujet
est une femme de 58 ans, malade du service du Pro
de phocomêlie et hémimélie. Nouv. Iconog. Salpêtr., 1903, p. 122.
Sujet
masculin, âgé de 16 ans, malade de l'hospice d'Iv
et le 58 ; ce dernier est double sur une partie de son trajet. Le
sujet
est mort de perforation interventriculaire. L'ano
us forme de mélancolie périodique se place en second lieu. Tous les
sujets
qui en étaient atteints entrèrent à l'hôpital a
été de courte durée et nous avons perdu de vue ces malades. Deux
sujets
souffrant de démence secondaire et deux de démenc
la température s'éleva tout à coup jusqu'à 39°-40°. Comme ces deux
sujets
appartenaient à une compagnie où il y avait eu
à fait calme si le bruit du canon cessait de retentir. Parmi les
sujets
atteints de confusion mentale (Amentia Meynerti-
es avec un état dépressif. L'influence (1) de la pleine mer sur ces
sujets
était différente, cela dé- pendait des formes d
e maladies mentales. Kiff, 1906, p. 144. 352 WLADYCZKO Chez les
sujets
non exposés au mal de mer en plein océan, on rema
ormale ; nous disons relativement normale parce que le cervelet des
sujets
qui ne sont que vieillis est un peu plus riche en
ont que vieillis est un peu plus riche en névro- glie que celui des
sujets
jeunes et normaux ; elle est encore bien pauvre,
ainsi qu'on rencontre des callosités à la base des doigts chez des
sujets
qui ne travaillent pas manuellement ; parfois l
r les cas qu'ils eurent l'occasion d'ob- server. M. P. Marie (2) au
sujet
d'un cas rapporté par lui insiste avec force su
tile. A côté de cette anomalie psychique grave on trouve chez notre
sujet
des malformations physiques diverses dont la pl
ard quelques mensurations pri- ses concurremment sur C... et sur un
sujet
du même âge présentant la même hauteur de tronc
un peu refoulé en dedans. 394 . CHARON, DEGOUY ET TISSOT Chez ce
sujet
, c'est la hanche gauche qui porte tout le poids d
s qu'on y peut faire sont presque identiques à celles prises sur le
sujet
témoin offrant la même hauteur de tronc (voir p
t existent, ceux du genou font défaut. En résumé, on trouve chez ce
sujet
un état de dégénérescence totale, atteignant le
st déjà segmenté, on a un hémimélien. L'incurvation des os de notre
sujet
et leurs déformations semblent bien prouver qu'
vique. Au pre- mier abord, l'aspect des membres supérieurs de notre
sujet
rappelle celui des membres antérieurs de certai
ondre d'une façon précise. Pour les malformations congé- nitales du
sujet
, une origine endogène est possible, mais une orig
ar rapport à l'autre, de l'écart que l'on constate souvent chez les
sujets
nor- malement développés. Les circonvolutions m
lles-ci sont l'ébauche des troubles que nous ob- servons chez notre
sujet
et qu'elles répondent peut-être à une cause pa-
pe- ment et les anomalies que nous a montrés la dissection de notre
sujet
,sont en rapport d'intensité pour les muscles et
sculaires ont le même volume que celle du muscle correspondant d'un
sujet
sain. 7) Conclusions tirées de l'examen microsc
dans l'en- fance. Atrophie numérique. Rev. de méd., mars 1893. Même
sujet
, Presse méd., 31 juillet 1891 ; Soc. de neurolo
s dans l'enfance. Atrophie numérique. Rev. de méd., mars 1893. Même
sujet
, Presse méd., 31 juillet 1897. Soc. de neurolog
. De la plus vaste à la plus modeste dimension il a traité tous les
sujets
, tantôt avec le fin pinceau de l'aqua- relliste
ondu que ses papiers de famille ne fournissent aucune indication au
sujet
des relations de son aïeul avec le docteur Mane
ade ne peut se livrer à aucun travail suivi. L'examen physique du
sujet
révèle un certain nomhre de particularités : la
st de 85 centimètres. La hauteur du tronc est de 52 centimètres (le
sujet
étant assis et le point de repère supérieur étant
ions. Ce qui frappe à première vue en dehors de la petite taille du
sujet
, c'est le vo- lume de la tête, qui est en quelq
e, et les petites dimensions des bras, surtout du bras gauche. A ce
sujet
il dit qu'il a toujours eu le bras gauche plus
ntre la coexistence possible de deux processus opposés chez un même
sujet
. Ne voyons-nous pas d'ailleurs dans les arthropal
de centres spéciaux, ces centres pouvant pré- senter chez certains
sujets
une excitabilité spéciale. Cette excitabilité m
cette pratique. Comme les épistaxis, l'urticaire frappe souvent les
sujets
jeunes dont les os en voie d'ossification font ap
s que l'exagération d'une disposition anatomique fréquente chez les
sujets
fortement musclés ; le sterno-mastoïdien gauche,
lui les particularités psychiques signalées chez un grand nombre de
sujets
. Il demeure convaincu que ses accidents convuls
nager son temps et son rôle est souvent ingrat. » Remarques. 1° Les
sujets
atteints de torticolis mental ont ceci de commu
dans ceux des jambes. 30 Il ne faut jamais prédire l'avenir d'un
sujet
atteint de torticolis mental. Si l'on ne peut l
s par le nerf oeuloiiiolorius. Pour étudier ce phénomène on prie le
sujet
de serrer les paupières, comme pour dormir ; et
en les maintenant ou à l'aide d'un écarteur. Chez la plupart des
sujets
le bulbe oculaire dévie vers l'extérieur quand
rement par l'ac- tion des muscles oculaires ; il suffit de prier le
sujet
de regarder un objet quelconque en même temps q
es yeux vers le haut était un phénomène actif. En effet, dès que le
sujet
baissait la pau- pière inférieure ou clignait,
irmant les résultats d'autres observateurs, en examinant l'oeil des
sujets
qui sont sur le point de s'endormir ; car dans ce
au-dessous de la paupière supérieure presque relâchée, comme si le
sujet
craignait d'éprouver des sensations lumineuses.
elle quand on tient les paupières serrées. En effet, en invitant un
sujet
atteint de paralysie faciale à fermer les paupi
agophtalmos consécutif à la paralysie faciale, et si l'on invite le
sujet
à fermer avec force les paupières. Si l'on fait f
e sujet à fermer avec force les paupières. Si l'on fait fer- mer au
sujet
les paupières du côté sain, comme s'il devait s'e
tandis que, si l'on fait fermer arec force les paupières, l'oeil du
sujet
se meut à l'inslant dans la direction connue, en
uniquement d'ordre physiologique, il s'observe chez la plupart des
sujets
. Il reste seulement un doute sur la manière don
e fait n'est pas certain selon moi et des recherches nouvelles à ce
sujet
sont nécessaires. En résumé, M. Bernhardt fut
u moment ou l'anesthésie de la cornée était complète j'invitais les
sujets
à fermer les yeux et à l'aide de deux doigts po
conduit à le soutenir, en outre de ce que nous avons déjà dit à ce
sujet
, pour ce fait que beaucoup d'animaux qui, dépou
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