travail sur le système nerveux central est con-sacrée à l'étude de la
substance
blanche et à celle des noyaux de substance grise;
con-sacrée à l'étude de la substance blanche et à celle des noyaux de
substance
grise; à la constitution et au mode de répartitio
tion des divers genres de fibres blanches; l'apparition des noyaux de
substance
grise, leur développement ou leur effacement prog
apports entre eux, ainsi qu'avec les faisceaux de fibres blanches, la
substance
grise des circonvolutions et la moelle épinière.
garantissent l'encéphale contre toute action susceptible d'altérer sa
substance
; pour établir l'uniformité de pression à sa sur
-posées d'éléments morphologiquement homologues, sont formés par deux
substances
diversement réparties, l'une blanche, l'autre gri
attributions spéciales et des éléments morphologiques différents. La
substance
grise est une ag-glomération de cellules nerveuse
La substance grise est une ag-glomération de cellules nerveuses ; la
substance
blanche est constituée par des fibres nerveuses,
Il importe donc de rechercher quel est le mode de répartition de la
substance
grise à la surface de l'encéphale, d'étudier la s
a terminaison de ces faisceaux de fibres nerveuses qui constituent la
substance
blanche. (1) E. Gavoy, Recherches sur l'amplitu
, 1885). DEUXIÈME PARTIE DESCRIPTION SPÉCIALE — RÉPARTITION DE LA
SUBSTANCE
GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE CHAPITRE I.
DESCRIPTION SPÉCIALE — RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA
SUBSTANCE
BLANCHE CHAPITRE I. — CERVEAU. Le cerveau est
interne. Chaque hémisphère est constitué par une écorce onduleuse de
substance
grise, dessinant un grand nombre de plis et repli
intérieurement par des faisceaux de fibres blanches, à deux noyaux de
substance
grise, principaux centres de l'ac-tivité encéphal
ipaux centres de l'ac-tivité encéphalique (Pl. I, 12). article i.
substance
grise du cerveau. La substance grise du cerveau
phalique (Pl. I, 12). article i. substance grise du cerveau. La
substance
grise du cerveau comprend par conséquent la subst
u cerveau. La substance grise du cerveau comprend par conséquent la
substance
grise pé-riphérique ou corticale des hémisphères
t la substance grise pé-riphérique ou corticale des hémisphères et la
substance
grise des noyaux centraux. § 1. — La substance
es hémisphères et la substance grise des noyaux centraux. § 1. — La
substance
grise périphérique du cerveau forme une couche on
es d'épaisseur, repliée régulièrement suivant un plan,constant. Cette
substance
grise est plus abondante à la partie postérieure
sur les circonvolutions de la face interne, il offre, au milieu de la
substance
corticale, l'aspect d'une bandelette blanche dési
om de ruban de Vicq-d'Azyr (Pl. IV, 1). La zone superficielle de la
substance
corticale est constituée par une série de cellule
ées, dont le sommet est tourné vers la périphérie, et la base vers la
substance
médullaire. Ces cellules sont disséminées dans un
avec les fibrilles d'une certaine catégorie de fibres irradiées de la
substance
médullaire dans l'écorce. Celles qui occupent l
donne naissance à un prolongement non ramifié, qui se dirige vers la
substance
médullaire des circonvolutions. Les cellules de
cylinder-axis des fibres ner-veuses. Le plan le plus profond de la
substance
corticale est séparé du plan superficiel par une
ions de l'étage inférieur du lobe occipital. La zone profonde de la
substance
grise corticale est formée par des cellules mince
Ch. Robin cellules volumineuses de la volition. Elles reçoivent de la
substance
médullaire des fibrilles d'une catégorie spéciale
s de cellules sont répartis, avec les vaisseaux capillaires, dans une
substance
unissante, la névroglie, composée de fibres de ti
es (Microphotographie, Pl. A, fig. I). Suivant quelques auteurs, la
substance
grise des circonvolutions ne serait pas formée d'
couche unique : Baillarger (1) dit qu'en examinant une coupe mince de
substance
corticale fraîche pressée entre deux lames de ver
e bandes successivement transparentes et opaques. Meynert divise la
substance
corticale en cinq couches régulièrement stratifié
e sous le nom de formation corticale de la corne dAmmon, parce que la
substance
corticale de la corne d'Ammon ne renferme que ces
elles sont placées suivant une direction tangente à l'écorce, dans la
substance
grise qui occupe le fond des sillons ou des sciss
e le fond des sillons ou des scissures. Meynert divise également la
substance
grise de l'écorce de la pointe du lobe occipital
e blanche médiane, nommée ruban de Vicq-d'Azyr. Ces divisions de la
substance
corticale en couches régulièrement stratifiées, d
llules fusiformes. Au point de vue de la structure histologique, la
substance
grise périphérique n'est pas composée des mêmes é
rences très notables, qui mé-ritent une étude particulière. Dans la
substance
corticale des circonvolutions frontale et pariéta
gnalé dans les cellules des cornes antérieures, qui se dirige vers la
substance
médullaire des circonvolutions où il se revêt de
andes cellules pyramidales sont en plus faible proportion que dans la
substance
corticale des régions antérieures du cerveau, tan
A, fig. II). * Les capillaires sanguins sont très nombreux dans la
substance
corticale des cir-convolutions. Ils y forment un
nt entourés chacun d'une gaine très mince et transparente (1). § 2.
Substance
grise des noyaux centraux — La substance grise fo
et transparente (1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La
substance
grise forme, dans la masse médullaire du cerveau
ont dues à la proéminence de deux petits noyaux gris contenus dans la
substance
de la couche optique et bien nettement circonscri
Luysii. M. Luys considère ces tubercules ou noyaux, isolés dans la
substance
grise de la couche optique, comme des centres de
environ; il a une forme sphéroïdale et l'aspect d'une petite masse de
substance
blanchâtre. Ces centres ou noyaux de la couche
rps strié {corpus striatum) (Pl. VI, 4) est une masse ellipsoïdale de
substance
grise rougeâtre, d'une couleur foncée, de peu de
igent en éventail vers la base. Ces fibres transversales donnent à la
substance
grise des segmenls interne et moyen un aspect bla
omplètement séparée de la tête du corps strié; de petites traînées de
substance
grise réunissent dans la partie inférieure ces de
vasculaires en séries linéaires et constitue à la base du cerveau la
substance
perforée antérieure de Vicq-d'Azyr (PJ. XXVIII, 6
11). En outre des noyaux centraux opto-striés, on aperçoit dans la
substance
mé-dullaire, en dehors du noyau lenticulaire, une
ubstance mé-dullaire, en dehors du noyau lenticulaire, une traînée de
substance
grise, étalée en arrière comme une lamelle vertic
e un millimètre environ d'épaisseur, qui porte le nom ¥ avant-mur. La
substance
grise de cette lamelle est formée des mêmes éléme
e grise de cette lamelle est formée des mêmes éléments nerveux que la
substance
grise du corps strié, dont elle paraît être une d
e paraît être une dépendance (Pl. XXII, 13 et XL, 6). ARTICLE II. —
SUBSTANCE
BLANCHE DU CERVEAU. La substance blanche du cer
XII, 13 et XL, 6). ARTICLE II. — SUBSTANCE BLANCHE DU CERVEAU. La
substance
blanche du cerveau est formée par des fibres nerv
ann ; ce sont les conductrices de l'influx nerveux des cellules de la
substance
grise avec lesquelles elles sont en connexion par
hes, quel que soit leur ordre, pénètrent suivant un même mode dans la
substance
grise. Les fibres nerveuses se réunissent en un f
ail, se séparent, se dissémi-nent isolément et abordent la base de la
substance
grise corticale. Chaque fibre à ce niveau s'aminc
uses paraissent s'amortir dans la couche la plus superfi-cielle de la
substance
corticale ; il est cependant difficile d'affirmer
firmer qu'elles atteignent cette couche. Les diverses régions de la
substance
grise périphérique sont en rapport immédiat l'une
es constituent un système d'association des cellules ner-veuses de la
substance
grise corticale d'un même hémisphère. Elles uniss
Ces anses sont généralement situées à la partie superficielle de la
substance
mé-dullaire, vers la limite de la substance grise
artie superficielle de la substance mé-dullaire, vers la limite de la
substance
grise. Ce système de fibres arciformes, indiqué s
volutions de l'insula, traverse l'avant-mur et forme une partie de la
substance
innommée (Pl. XXVIII, 4). La disposition de ces
par une méthode particulière qui permet de décliver les fibres de la
substance
médullaire, ainsi qu'on le ferait d'un faisceau d
leur portion médiane décrit une anse curviligne libre au milieu de la
substance
médullaire. La direction générale de ces fibres
nérale de ces fibres varie en raison de la situation des points de la
substance
corticale qu'elles conjuguent. Celles des régions
iquement en bas et en dehors, ce sont les fibres commissurantes de la
substance
grise des hippocampes et des corps godronnés; ell
x. : § 3. Les fibres convergentes émergent de tous les points de la
substance
corticale périphérique. Elles suivent d'abord le
ge des noyaux opto-striés, pour plonger en faisceaux rayonnes dans la
substance
grise de ces noyaux. En changeant de direction, c
oupes de fibres se juxtaposent en un gros faisceau qui plonge dans la
substance
grise du corps strié, la séparent en deux segment
couche optique; les fibres s'effilent, s'amincissent, tra-versent la
substance
grise sous l'aspect de filaments très déliés et s
qu'elle aborde par la face interne et supérieure, et pénètre dans sa
substance
sous l'apparence de filaments blanchâtres curvili
ieure du noyau lenticulaire sous forme de lamelles qui cloisonnent sa
substance
grise en plusieurs segments (Pl. XLIÏ, 2). Les
face externe du noyau lenticulaire n'a donc pas d'adhérences avec la
substance
médullaire environ-nante; elle peut être facileme
gentes des régions postérieures se détachent de tous les points de la
substance
grise des circonvolutions postérieures, se porten
; il croise les bandelettes optiques, qu'il contourne, passe entre la
substance
grise du corps genouillé interne et le corpus Luy
res nerveuses, qui met également en connexion les divers points de la
substance
grise périphérique avec le corps strié et le noya
ce plan général. Ce faisceau relie aux régions centrales la masse de
substance
corticale des circonvolutions de l'hippocampe.
, ainsi que l'a indiqué Santorini, puis chacun s'enroule autour de la
substance
grise du tubercule correspondant et s'épanouit da
Ce faisceau prend son origine dans les cellules mêmes que renferme la
substance
grise des tubercules mamillaires. Il est formé pa
yr relie par conséquent le centre antérieur de la couche optique à la
substance
grise des tubercules mamillaires et, indirectemen
illaires [corpus candicans) sont donc deux noyaux de ren-forcement de
substance
grise, recouverts d'une écorce blanchâtre, formée
e la couche optique, aborde la base du conarium et s'épanouit dans sa
substance
grise (Pl. II, 4; XXII, 20). Le conarium, décri
ple chez l'adulte, d'une couleur gris rougeâtre, un peu analogue à la
substance
corticale, d'un volume égal à celui d'un gros poi
om de glande pinéale; il est constitué par du tissu conjonctif, de la
substance
grise et des vaisseaux capillaires entourant une
(Pl. II, 5). Les pédoncules moyens se portent latéralement dans la
substance
grise de la couche optique, vers le centre médian
iel de Vicq-d'Azyr (sulcus horizontalis magnus), pénétrant jusqu'à la
substance
médullaire, partage la circonférence en deux port
du cerveau. Chaque lobe cérébelleux est constitué par une écorce de
substance
grise, reliée par des fibres nerveuses médullaire
se, reliée par des fibres nerveuses médullaires à un noyau central de
substance
grise. article i. - substance grise du cervelet
ses médullaires à un noyau central de substance grise. article i. -
substance
grise du cervelet. La substance grise du cervel
de substance grise. article i. - substance grise du cervelet. La
substance
grise du cervelet comprend, comme dans le cerveau
La substance grise du cervelet comprend, comme dans le cerveau, la
substance
grise corticale ou périphérique et la substance g
e dans le cerveau, la substance grise corticale ou périphérique et la
substance
grise du noyau central. § I. La substance grise
ale ou périphérique et la substance grise du noyau central. § I. La
substance
grise du cervelet forme à sa périphérie une couch
sont constituées par des éléments cellulaires identiques à ceux de la
substance
corticale du cerveau, mais ils s'en distinguent p
u, mais ils s'en distinguent par des caractères qui sont propres à la
substance
corticale du cervelet. La zone superficielle es
ers les couches sous-jacentes, en continuité avec les filaments de la
substance
médullaire. Les prolongements irradiés vers la pé
la périphérie se dichotomisent assez régulièrement, plongent dans la
substance
amorphe, s'anasto-mosent avec les mêmes prolongem
e, la plus interne, ou la couche des granulations, est formée par une
substance
granuleuse constituée par de petites cellules arr
par de petites cellules arrondies, pourvues de prolongements. § %.
Substance
grise du noyau central. — La substance grise form
rvues de prolongements. § %. Substance grise du noyau central. — La
substance
grise forme en outre à l'intérieur de chaque lobe
n grand nombre de fois en zigzag, circons-crivant un espace ovoïde de
substance
médullaire, dont l'ouverture ou goulot, tournée e
ces prolongements sont en continuité avec les fibres nerveuses de la
substance
blanche (Pl. VI, 17; XXVI, 25; XXXIII). La dime
poser qu'il préside à la coordination des mouvements. article ii. —
substance
blanche du cervelet. Au premier aspect, la subs
article ii. — substance blanche du cervelet. Au premier aspect, la
substance
médullaire du cervelet présente une disposition a
ui lui donne une physionomie toute particulière (Pl. II, 15). Cette
substance
médullaire est composée de fibres nerveuses de mê
cerveau, qui se comportent, par rapport aux cellules nerveuses de la
substance
grise, de la même manière que les fibres médullai
nt les fibres se dissocient, s'étalent et pénètrent isolément dans la
substance
grise. Ces fibres se dépouillent de leur gaine de
nts des grosses et des petites cellules. Les fibres nerveuses de la
substance
médullaire du cervelet peuvent être classées, com
ance médullaire du cervelet peuvent être classées, comme celles de la
substance
médullaire du cerveau, en trois systèmes de fibre
de chaque lamelle. Ce sont les analogues des fibres arciformes de la
substance
médullaire cérébrale. § 2. Le système des fibre
ntes est représenté par des groupes de fibres, qui se détachent de la
substance
corticale des régions supérieures au grand sillon
et gagnent le lobe médian. Ces deux groupes de fibres constituent la
substance
médullaire des Vermis superior et inferior ; elle
(Pl. XXVI). § 3. Les fibres convergentes, issues des cellules de la
substance
grise corticale, se groupent en un fascicule cent
. Ce fascicule s'accole à celui du foliole voisin et se porte vers la
substance
grise du corps rhomboïdal ; il suit une direction
décomposent en fascicules qui pénètrent dans les anfractuosités de la
substance
grise; les fibres se séparent de nouveau, s'épano
séparent de nouveau, s'épanouissent en fibrilles divergentes dans la
substance
grise, où elles entrent en connexion avec les cel
elle renferme. article 111. — fibres efférentes cérébelleuses. La
substance
grise du corps rhomboïdal reçoit, par les anfract
érie, les fibres convergentes qui naissent des diverses parties de la
substance
cor-ticale du cervelet. Elle émet, de tous les po
inférieurs vient aboutir, sous la forme d'un petit faisceau, dans la
substance
grise du noyau des cordons grêles (Pl. XXXVII).
es des faisceaux ascendants et vont s'amortir dans les cellules de la
substance
grise de la protubérance (Pl. VI, 19; XXXVIII, 20
ne la face externe des noyaux rouges et va s'amortir dans les amas de
substance
grise qui con-stituent le corpus Luysii et le loc
composé, ainsi que les deux autres segments de l'encéphale, par de la
substance
grise et par de la substance blanche. Ces éléme
utres segments de l'encéphale, par de la substance grise et par de la
substance
blanche. Ces éléments nerveux présentent dans l
osition spéciale et une structure qui leur est propre. article i. —
substance
grise du névraxe. La substance grise est dispos
qui leur est propre. article i. — substance grise du névraxe. La
substance
grise est disposée à l'intérieur du névraxe suiva
région terminale de la moelle épinière. Dans la moelle épinière, la
substance
grise est entourée d'une écorce blanche for-mée d
dons et les subdivisent en fascicules de différentes dimensions. La
substance
grise, que ces cordons entourent comme une coque,
orne postérieure. Son extrémité est revêtue d'une sorte de calotte de
substance
grise particulière nommée substance gélatineuse d
revêtue d'une sorte de calotte de substance grise particulière nommée
substance
gélatineuse de Rolando (Microphotographie, PL G,
e de la moelle, en suivant la ligne qui occupe l'axe de la colonne de
substance
grise. Sa paroi interne est tapissée par une memb
endyme, revêtue à sa face interne de cellules à cils vibrátiles. La
substance
grise de la moelle est composée par des cellules
lionnaires. Les cornes postérieures sont coiffées en arrière par la
substance
gélatineuse de Ro-lando qui se voit à découvert d
ignant la moelle, se fusionnent et disparaissent dans le réseau de la
substance
gé-latineuse. La substance grise donne naissanc
nt et disparaissent dans le réseau de la substance gé-latineuse. La
substance
grise donne naissance aux nerfs rachidiens ou spi
e, elles se réunis-sent aux racines postérieures. Les réseaux de la
substance
gélatineuse de Rolando qui terminent les cornes p
C'est te système nerveux périphérique. Ce plan morphologique de la
substance
grise reste le même dans toute l'étendue du névra
odification dans leur trajet et dans leurs rapports de contiguité; la
substance
grise refoulée, déplacée, dissociée, subit par su
sa forme; elle apparaît sous l'aspect d'agglomérations et d'îlots de
substance
grise, disséminés symétriquement de chaque côté d
en avant et en dedans. Dans ce mou-vement ils pénétrent à travers la
substance
grise des cornes antérieures [formation réticulée
on s'élève par des coupes successives, on retrouve ces mêmes amas «de
substance
grise. La base de la corne antérieure se prolonge
rminent dans la protubérance (Microphotographie, PL C, fig. IV). La
substance
grise centrale se condense ensuite autour de l'aq
me de deux lamelles grises qui revêtent la cloison transparente. La
substance
grise encéphalique du névraxe donne naissance, co
yaux d'origine des nerfs crâniens. — Au-dessus du collet du bulbe, la
substance
grise, dissociée et réduite en fragments, pénètre
s, ce qui lui a fait donner le nom de noyau supérieur du facial. La
substance
grise présente autour de l'aqueduc de Sylvius une
et les racines bulbaires du trijumeau, à l'extrémité d'une traînée de
substance
grise qui le rattache au noyau sensitif des nerfs
noyau antéro-latéral. Il est constitué par une formation réticulée de
substance
grise qui s'étend du noyau postérieur de l'hypogl
eure et latérale du bulbe, trois ou quatre îlots isolés et accolés de
substance
grise constituent le noyau inférieur ou noyau pro
cine bulbaire du trijumeau, et se continue, par de faibles tractus de
substance
grise, avec le noyau accessoire de l'hypoglosse.
protubérance, en arrière et en dedans de l'extrémité supérieure de la
substance
gé- (1) Mathias Duval, Recherches sur l'origine
ires enclavent, près du bord externe du corps resti-forme, un amas de
substance
grise présentant histologiquement une grande anal
u glosso-pharyngien, on voit une série de fibrilles se détacher de la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule, se réu
re le corps restiforme et la racine bulbaire du trijumeau, jusqu'à la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule appelée
le. Les racines moyennes du trijumeau prennent leur origine dans la
substance
grise des angles externes de la partie moyenne du
t un pigment brun et noir, d'où le nom de substantia ferruginea. La
substance
grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius renferme,
ieure constitue le tubercule cendré de Rolando; elle est formée parla
substance
gélatineuse qui coiffe les cornes postérieures. D
e Rolando, formé par la tête des cornes postérieures décapitées. La
substance
gélatineuse qui l'entoure émet une série de fibre
forme de croissant, dont la concavité, tournée en dedans, embrasse la
substance
gélatineuse, tandis que la partie convexe, d'abor
a racine bulbaire reçoit des fibres radiculaires d'un autre ordre; la
substance
gélatineuse n'est plus apparente au-dessus de cet
gélatineuse n'est plus apparente au-dessus de cette coupe. § 2. La
substance
grise de la moelle, qui est demeurée contiguë au
a ligne médiane ; ce sont les tubercules quadrijumeaux. Le noyau de
substance
grise du tubercule quadrijumeau supérieur est mal
olaires de 45 {* à 90 [/. de diamètre, à prolongements ramifiés. La
substance
grise se prolonge en avant de l'aqueduc de Sylviu
rand nombre de fibrilles qu'on voit se diriger en dehors à travers la
substance
grise de la couche optique. A la base du ventri
tance grise de la couche optique. A la base du ventricule moyen, la
substance
grise centrale s'épaissit, constitue une masse ce
qui gagnent directement le tronc du nerf optique correspondant. La
substance
grise du septum lucidum donnerait origine, d'aprè
ganglionnaires de la base de l'encéphale, il faut ajouter un noyau de
substance
grise enclavé seulement dans la substance cortica
il faut ajouter un noyau de substance grise enclavé seulement dans la
substance
corticale du lobe sphénoïdal. Ce noyau, désigné
fois par M. Luys sous le nom de ganglion olfactif [Y). Cet amas de
substance
grise a l'aspect d'un îlot du volume d'une noiset
e tsenia semi-circularis. § 4. En outre des ganglions olfactifs, la
substance
grise centrale du névraxe donne origine à une aut
nom de corps genouillés interne et externe. Ces deux petits amas de
substance
grise sont situés à la région postéro-inférieure
onographie photographique des centres nerveux. Paris, 1865. dans la
substance
grise du tubercule quadrijumeau postérieur, celui
tubercule quadrijumeau postérieur, celui du ganglion externe dans la
substance
grise du tubercule quadrijumeau antérieur (Pl. XX
les nerfs rachidiens : 1° une racine antérieure qui s'amortit dans la
substance
grise corticale du tuber cinereum; 2° une racine
e racine postérieure qui traverse un ganglion et va se rendre dans la
substance
grise centrale des tubercules quadrijumeaux. La
e dans la substance grise centrale des tubercules quadrijumeaux. La
substance
grise du névraxe forme par conséquent, depuis les
te la portion encéphalique. article ii. - formations accessoires de
substance
grise. Parmi les petites colonnes dissociées, f
qui établissent dans le bulbe et la protubérance la continuité de la
substance
grise centrale médullaire, on trouve dans la part
trouve dans la partie encéphalique du névraxe de véritables noyaux de
substance
grise, qui possèdent un système propre de fibres
En avant et en dedans de l'olive, on rencontre une lamelle coudée de
substance
grise de même nature. Cet amas forme le grand noy
Duval, qui nomment noyau juxta-olivaire externe la petite lamelle de
substance
grise, située en arrière et en dehors de l'olive
icroph., PL D, fig. III). A cette formation se rattache le noyau de
substance
grise qui sépare en haut, l'une de l'autre, les p
be. Sur le trajet des fibres du pédoncule cérébelleux inférieur, la
substance
grise forme une colonne allongée, mince, irréguli
. XXXVII) (Microph., Pl. G, fig. IV). § 2. Au-dessus des olives, la
substance
grise forme un amas ovoïde considérable dans la p
dans la partie antérieure de la protubérance. Ce volumineux noyau de
substance
grise est traversé par des fascicules de fibres d
IV, 20). Au-dessus du bord supérieur de la protubérance, un amas de
substance
grise forme, de chaque côté de la ligne médiane,
22). § 3. A ïextrémité supérieure de chaque pédoncule cérébral, la
substance
grise se réunit en un noyau de couleur rouge-brun
sorte de hile, tourné vers la ligne médiane et un peu en haut. Cette
substance
grise est composée de petites cellules ovoïdes, j
sous le nom de bandelette accessoire de lolive supérieure, un amas de
substance
grise situé dans l'intervalle compris entre l'ext
les grisâtres qui s'irradient en avant et en dehors. article iii. -
substance
blanche du névraxe. En traversant le collet du
les côtés de l'extrémité postérieure du raphé médian, au-dessus de la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule; un gra
lle que ces deux cordons laissent entre eux est occupé par un amas de
substance
grise entrecoupée de fibres transversales, qui s'
es fibres trans-versales, se placent entre la portion sensitive et la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule. En s
es longitudinales sont remplis par des agglomérats ou des traînées de
substance
grise, que sillonne, traverse, entrecoupe, émiett
avité de son croissant. Elle est séparée de la portion motrice par la
substance
grise du locus niger. Le pédoncule cérébral sembl
cavité de la portion sensitive; il est en con-tact en arrière avec la
substance
grise de la partie supérieure du plancher du qua-
pour entrer en connexion avec les cellules nerveuses que renferme la
substance
grise de ces noyaux. Les fibres les plus intern
stérieures du lobe frontal. Ce faisceau met en connexion immédiate la
substance
corticale de l'hémisphère et le pédoncule, sans t
te de la face inférieure de la couche optique, pénètrent à travers la
substance
grise de cette région et vont se distribuer aux c
ancher du quatrième ventricule, puis il longe le bord inférieur de la
substance
grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius, pénètre d
upérieure et interne, se porte en dehors et en bas, s'immerge dans la
substance
grise du ventricule moyen sous-jacente à la couch
nère, la commissure blanche postérieure, et se perd dans la couche de
substance
grise qui tapisse le troisième ventricule (PL XXX
r les pédoncules cérébelleux supérieurs. Ces fibres pénètrent dans la
substance
grise des noyaux en petits filaments parallèles,
idérable, se porte dans la tête du corps strié et s'éparpille dans sa
substance
. Un second groupe de fibres afférentes se recourb
térieurs du segment interne des noyaux jaunes et se distribue dans la
substance
grise du noyau lenticulaire (Pl. IV, 14, 15, 16;
sii, entre en connexion avec les cellules nerveuses contenues dans sa
substance
grise et en ressort par la face antéro-externe so
lus inférieur (Pl. XXVIII), aux cellules nerveuses qui constituent la
substance
grise de Sœmmering; les fibres efférentes, nées s
, croisent la direction des fibres spinales antérieures et gagnent la
substance
grise des noyaux jaunes, dans laquelle ces fibres
motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau central de la
substance
grise des lobes du cervelet. Les faisceaux de f
édian tavec les fibres congénères du côté opposé et disparaît dans la
substance
grise qui occupe les interstices. Ces fibres cons
upe les interstices. Ces fibres constituent un lien immédiat entre la
substance
grise de la protubérance et les cellules nerveuse
velles ont pris naissance dans les cellules nerveuses que renferme la
substance
grise de la protubérance; elles représentent les
tablissent un rapport entre les éléments nerveux du corps strié et la
substance
grise de la protubérance,déjà d'autre part en con
et avec les éléments nerveux de la moelle épinière. Ce gros amas de
substance
grise donne au névraxe une forme protubérancielle
ctivité propre, comme les centres nerveux du cerveau. Les colonnes de
substance
grise qui contiennent le lieu d'origine des nerfs
illimètre d'épaisseur. légende explicative Planche A. Fig. I. —
Substance
grise corticale du cerveau {circonvolution fronta
n). c. Névroglie, vaisseaux capillaires et myélocytes. Fig. II. —
Substance
grise corticale du cerveau [circonvolution du lob
s entre la zone super- ficielle et la zone profonde. Ces couches de
substance
grise sont formées de cellules arrondies, dissémi
ternes, commissur antes, unissant les deux bandelettes optiques. d.
Substance
grise du tuber cinereum. Planche B. Fig. I. —
a. Pilier antérieur du trigone. b. Faisceau de Vicq-d'Azyr. c.
Substance
grise du tubercule, renfermant des cellules fusif
ubstance grise du tubercule, renfermant des cellules fusiformes. d.
Substance
grise du plancher du ventricule moyen. Fig. II.
. b. Faisceau des fibres efférentes (faisceau de Vicq-d'Azyr). c.
Substance
grise du tubercule mamillaire. d. Substance gri
u de Vicq-d'Azyr). c. Substance grise du tubercule mamillaire. d.
Substance
grise du plancher du ventricule moyen. Fig. III
a. Faisceau de fibres afférentes (pilier antérieur du trigone). b.
Substance
grise du tubercule mamillaire. Fig. IV. — Subst
trigone). b. Substance grise du tubercule mamillaire. Fig. IV. —
Substance
grise corticale du cervelet. a. Zone profonde o
corticale du cervelet. a. Zone profonde ou couche granuleuse. b.
Substance
médullaire centrale axile de la circonvolution cé
pourtour de la base du corps de la cellule, adhérents à un amas de
substance
granuleuse, formée par de petites cellules rondes
llules rondes de 6 à 9 [/. de diamètre. Planche G. ¦* Fig. I. —
Substance
grise centrale de la moelle épinière (région dors
rsale). a. Corne postérieure. b. Canal central de la moelle. c.
Substance
médullaire. d. Racines antérieures des nerfs mo
ré-cédente). a. Groupes de cellules multipolaires. b. Trame de la
substance
grise centrale de la moelle épinière. c. Racine
. d. Section transversale des fibres nerveuses longitudinales de la
substance
médullaire, groupées en faisceaux par les cloison
méninges spinales. Fig. III. — Cellules multipolaires isolées de la
substance
grise de la corne antérieure. Ces cellules prés
ui donnent l'apparence d'une araignée. Fig. IV. — Répartition de la
substance
grise du névraxe dans le bulbe (coupe faite imméd
ulée de Deiters, due au passage des cordons posté-rieurs à travers la
substance
grise des cornes antérieures. Planche D. Fig.
se des cornes antérieures. Planche D. Fig. I. — Répartition de la
substance
grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de
s. /. Grand noyau pyramidal de Stilling ; sur les côtés apparaît la
substance
grise de l'olive bulbaire. k. Substance gélatin
; sur les côtés apparaît la substance grise de l'olive bulbaire. k.
Substance
gélatineuse de la corne postérieure. Fig. II. —
e gélatineuse de la corne postérieure. Fig. II. — Répartition de la
substance
grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de
au des pyramides postérieures. c. Noyau des corps restiformes. d.
Substance
gélatineuse de la corne postérieure. e. Vestige
ue). n. Apparition du noyau du pneumogastrique. Répartition de la
substance
grise du névraxe dans le bulbe [coupe au niveau d
donne naissance aux fibres radiculaires. d. Faisceau nerveux. e.
Substance
grise appartenant à l'acoustique. f. Corps rest
l. r. Noyau moteur du glosso-pharyngien. s. Fibres arciformes. t.
Substance
grise du plancher du quatrième ventricule. Fig.
t. Substance grise du plancher du quatrième ventricule. Fig. IV. —
Substance
grise de f olive bulbaire. a. Fibres efférentes
de f olive bulbaire. a. Fibres efférentes de la face interne de la
substance
grise de l'olive. b. Fibres afférentes à la fac
ance grise de l'olive. b. Fibres afférentes à la face externe de la
substance
grise de l'olive, désignées sous le nom de fibr
l'olive, désignées sous le nom de fibres arciformes du bulbe. c.
Substance
grise de Y olive bulbaire, contenant un grand nom
rière, l'occipital. Ces parois osseuses sont formées de deux lames de
substance
compacte, séparées par une substance spongieuse n
es sont formées de deux lames de substance compacte, séparées par une
substance
spongieuse nommée diploé. La lame externe ou tabl
dont la texture serrée et polie lui a valu le nom de lame vitrée. La
substance
spongieuse est composée par de petites lamelles o
et les veines extérieures. Sur certains points des os du crâne, cette
substance
spon-gieuse est résorbée et donne lieu ainsi à de
a cloison transparente ou septum lucidum est formée par deux lames de
substance
grisâtre juxtaposées verticalement dans la boucle
e de la couche optique se continue en bas et en avant avec un amas de
substance
grise, appelé tuber cinereum, en rapport avec le
ire, qui supporte la glande pituitaire ou hypophyse. En arrière, la
substance
grise, qui tapisse la face interne de la couche o
e la protubérance ; ils interceptent entre eux un espace angulaire de
substance
grise, appelé espace interpédonculaire, espace pe
mettant en évidence la disposition arbo-rescente des prolongements de
substance
blanche dans l'intérieur de la substance grise co
escente des prolongements de substance blanche dans l'intérieur de la
substance
grise corticale ; disposition qu'on désigne sous
ubérance annulaire ou pont de Varóle montrant, au milieu d'un amas de
substance
grise, les fibres transversales blanches apparten
bulbe rachidien présentant les fibres arciformes du raphé médian, la
substance
grise centrale du bulbe (18) et un faisceau blanc
ian antéro-postérieur vers la région externe de l'hémisphère.) La
substance
grise corticale des circonvolutions de la face in
isphère gauche est enlevée ; cette section, en mettant à découvert la
substance
médullaire des circonvolutions, rend plus apparen
apparaît nettement; elle est bordée inférieurement par une couche de
substance
corticale, séparée en haut des circonvolutions pr
il s'enroule et s'épanouit dans les cellules nerveuses qui forment la
substance
grise de ce petit noyau, d'où elles émergent ensu
a coupe de la bandelette optique (8, Pl. IV), qui semble sortir de la
substance
grise du tuber cinereum. La section antéro-post
grise du tuber cinereum. La section antéro-postérieure a enlevé la
substance
grisâtre de la couche optique qui forme la paroi
rcule postérieur, qui se présentent sous l'aspect de deux noyaux de
substance
grise ; le premier prend le nom de centre antérie
essous et en arrière du centre postérieur est la glande pinéale et la
substance
grise des tubercules quadrijumeaux ; entre les tu
eur entre-croise-ment sur la ligne médiane. En avant et en bas est la
substance
grise du locus niger, qui recouvre une couche de
bas est la substance grise du locus niger, qui recouvre une couche de
substance
blanche, formant l'écorce du pédoncule cérébral (
tegmentum). La protubérance annulaire a la forme d'un noyau ovoïde de
substance
grise, traversé horizontalement et verticalement
eure passant par le bord externe des tubercules mamillaires. 1. —
Substance
grise corticale des circonvolutions, circonscriva
laires. Aux lobulus cunéiforme, extremus de Ecker et lingualis, cette
substance
grise est parcourue par un petit liséré blanc nom
leux ; une gouttière profonde sépare le corps calleux de la couche de
substance
corticale qui borde inférieurement la circonvolut
ricules latéraux et la coupe du pilier posté-rieur du trigone. 5. —
Substance
grise du noyau intraventriculaire du corps strié,
ormant le plan inférieur des pédoncules cérébraux, recouvertes par la
substance
grise du locus niger de Sœmmering (19). 20. — S
rtes par la substance grise du locus niger de Sœmmering (19). 20. —
Substance
grise de la protubérance, sillonnée par les fibre
ibres radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes (21). 23. —
Substance
grise de Votive bulbaire en rapport avec les fibr
ormée par la section des pyramides postérieures (24). En avant est la
substance
grise centrale qui se continue avec la substance
24). En avant est la substance grise centrale qui se continue avec la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule (26).
la substance grise du plancher du quatrième ventricule (26). 27. —
Substance
grise des tubercules quadrijumeaux. En avant appa
e interne ; elle met à découvert dans le cerveau la disposition de la
substance
grise corticale, des fibres de la substance médul
veau la disposition de la substance grise corticale, des fibres de la
substance
médullaire, et le faisceau longitudinal supérieur
sent sur son bord supé-rieur et s'épanouissent dans l'intérieur de la
substance
grise du noyau intraventricu-laire en filaments b
nt des fibres blanches d'une autre source qui vont s'atténuer dans la
substance
grise de ces noyaux. La protubérance annulaire
es noyaux. La protubérance annulaire conserve sa forme en noyau. Sa
substance
grise est traversée verticalement parles fibres s
s, dans le pédoncule cérébral, des fibres spinales antérieures par la
substance
grise du locus niger. Dans le bulbe la substance
s antérieures par la substance grise du locus niger. Dans le bulbe la
substance
grise de l'olive s'interpose également entre ces
e l'olive s'interpose également entre ces deux ordres de fibres. La
substance
grise centrale du bulbe se continue nettement à c
nce grise centrale du bulbe se continue nettement à ce niveau avec la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule et cell
educ de Sylvius. La section du cervelet montre, à l'intérieur de la
substance
médullaire, la présence d'un noyau formé par une
substance médullaire, la présence d'un noyau formé par une lamelle de
substance
grise, plissée en zigzag, circonscri-vant un espa
illon intermédiaire de la couche optique et du corps strié. 1. — La
substance
grise corticale circonscrit la substance médullai
et du corps strié. 1. — La substance grise corticale circonscrit la
substance
médullaire des circon-volutions, pénètre dans la
essus de la couche optique, sous le nom de bandelette géminée. 4. —
Substance
grise du noyau intraventriculaire du corps strié,
en). 15. — Faisceau des fibres spinales antérieures émergeant de la
substance
grise de la protubérance annulaire (16); il se di
e dirige en haut, en avant du locus niger, et va s'épanouir dans la
substance
grise du noyau intraventriculaire du corps strié.
ise du noyau intraventriculaire du corps strié. 17. — Section de la
substance
grise corticale et des fibres convergentes médul-
adhérent au bourrelet par son bord interne (fibres de la lyre). La
substance
grise du noyau intraventriculaire du corps strié
triculaire. Les fibres convergentes pénètrent en serpentant dans la
substance
grise de la couche optique; elles s'épanouissent
st le dernier vestige du noyau rouge de Stilling(ll, Pl. VI) et de la
substance
grise de Sœmmering (13, Pl. VI). Les fibres spi
isposition convergente des fibres de la subs-tance médullaire vers la
substance
grise plissée du corps rhomboïdal, d'où part un g
son trajet pour constituer les fibres transversales qui dissocient la
substance
grise de la protubérance. Ces trois groupes de fi
'extrémité antérieure de la corne d'Ammon ou grand hippo-campe, et la
substance
grise du ganglion olfactif. Au-dessus est la coup
lement et au renversement d'une circonvolution, de telle sorte que la
substance
blanche se trouve envoloppée par la substance gri
, de telle sorte que la substance blanche se trouve envoloppée par la
substance
grise. En avant de l'ex-trémité antérieure de la
grise. En avant de l'ex-trémité antérieure de la corne d'Ammon est la
substance
grise du ganglion olfactif (7) ou noyau amygdalie
if (7) ou noyau amygdalien (nucleus amygdaleus de Mandelkern). 8. —
Substance
grise du noyau intra ventriculaire se terminant e
ures et inférieures (9) traversent sa masse et la séparent (10) de la
substance
grise du noyau lenticulaire, dont on aperçoit ici
aperçoit le mode de péné-tration (15) des fibres convergentes dans la
substance
grise de la couche optique, atteignant les segmen
(16) et du centre postérieur (17). Entre ces deux noyaux apparaît la
substance
grise du corps genouillé interne (18). 19. — Se
re de un millimètre d épaisseur, faite en dehors du plan médian. La
substance
grise corticale forme, à la périphérie de la coup
qui représente la section des circonvolutions de l'hémisphère. Cette
substance
cor-ticale recouvrant la surface des circonvoluti
le qui correspond à la périphérie de l'hémisphère. Les fibres de la
substance
médullaire ont toutes une direction convergente v
delà corne d'Ammon ou hippocampe, séparée, par un petit sillon, de la
substance
grise du ganglion olfactif. La voûte que forme
la région postérieure; à son extrémité antérieure est la coupe de la
substance
grise de l'hippocampe et du pi-lier postérieur du
one. La corne frontale descend moins bas et est presque effacée. La
substance
grise du noyau intra-ventriculaire est réduite à
rne de la couche optique et se dirigent vers le centre postérieur. La
substance
grise du corps genouillé interne (18, Pl. VIII) m
u cervelet montre la disposition arborescente des prolongements de la
substance
médullaire, un fragment du corps rhomboïdal, le m
antéro-postérieure passant par le bord externe du noyau caudé. 1. —
Substance
grise corticale des circonvolutions. Les fibres c
iques de Gratiolet ou fibres cortico-thalamiques postérieures. 5. —
Substance
grise du noyau caudé, s'étendant en arrière jusqu
e jusqu'au prolonge-ment occipital de la cavité ventriculaire. 6. —
Substance
grise du noyau extra-ventriculaire, ou lenticulai
ulvinar) en rapport avec les corps genouillés. La section traverse la
substance
grise du corps genouillé interne (9). En avant es
. 11. — Section de la commissure blanche antérieure au niveau de la
substance
grise du noyau lenticulaire. 12. — Dernier vest
la corne occipitale. A l'entrée du diverticulum est la section de la
substance
grise de l'hippocampe et du pilier du trigone. L'
li unciforme, présente sa coupe plus bas (13). Elle est contiguë à la
substance
grise du ganglion olfactif (14), qui reçoit les f
f olfactif. 16.— La section du lobe latéral du cervelet comprend la
substance
grise corticale et les faisceaux de fibres médull
re de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan médian. La
substance
grise corticale entoure les circonvolutions; quel
entoure les circonvolutions; quelques traînées dans l'intérieur de la
substance
médullaire indiquent l'affleurement de sillons pr
né sous le nom de pied de la couronne rayonnante, pes ou crusta. La
substance
grise du noyau lenticulaire du corps strié appara
occupent la région postérieure de la masse ganglionnaire centrale. La
substance
grise du corps genouillé externe, qui semble au p
ion renversée, ainsi que l'indique cette coupe longitudinale, dont la
substance
grise entoure la substance blanche. Le bord supér
indique cette coupe longitudinale, dont la substance grise entoure la
substance
blanche. Le bord supérieur et interne porte un ép
, Pl. X). En avant de la corne d'Ammon, séparée par un sillon, est la
substance
grise du ganglion olfactif (14, Pl. X). Les fibre
s du tœnia semi-circularis forment de fines traînées blanches dans sa
substance
. Le lobe sphenoidal est séparé du lobe frontal pa
e médullaire et ses ramifications très déliées dans l'intérieur de la
substance
grise corticale. XII. — Coupe verticale antéro-
assant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire. I. —
Substance
grise corticale de l'hémisphère. Le centre médull
éro-postérieure. Ces divers ordres de fibres convergentes abordent la
substance
grise des noyaux opto-striés suivant le sens de l
coupe longitu-dinale de la portion antérieure de la corne d'Ammon. La
substance
grise de l'hippo-campe est revêtue d'une écorce d
mmon. La substance grise de l'hippo-campe est revêtue d'une écorce de
substance
blanche et contient dans son intérieur également
stance blanche et contient dans son intérieur également une couche de
substance
blanche. Cette substance grise est pénétrée par l
t dans son intérieur également une couche de substance blanche. Cette
substance
grise est pénétrée par les filaments blancs appar
laments blancs appartenant au pilier postérieur du trigone. 8. — La
substance
grise du ganglion olfactif offre des dimensions m
ibres radiculaires externes du nerf olfactif (10). II. — Traînée de
substance
grise appartenant au corps strié, désignée sous l
circulaire. 13. — Section des artères lenticulo-striées. 14. — La
substance
grise du segment externe du noyau lenticulaire et
pénétrée par le système des fibres convergentes. 16. — Coupe de la
substance
corticale et de la substance médullaire du cervel
fibres convergentes. 16. — Coupe de la substance corticale et de la
substance
médullaire du cervelet. XIII. — Encéphale dont
re de un millimètre d épaisseur, faite en dehors du plan médian. La
substance
grise corticale forme des traînées grises dans la
ian. La substance grise corticale forme des traînées grises dans la
substance
médullaire. Elles sont dues aux régions profondes
dullaire apparaît la section de la partie antérieure et interne de la
substance
grise de la corne d'Ammon ou hippocampe. La sub
interne de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe. La
substance
grise du corps strié est réduite au segment exter
obe latéral du cervelet montre la disposition des prolongements de la
substance
médullaire dans l'épaisseur des lamelles de la su
ements de la substance médullaire dans l'épaisseur des lamelles de la
substance
grise corticale et leur mode de division dichotom
eure du corps calleux vers la base du cerveau.) 1. — La couche de
substance
grise corticale des deux hémisphères, placés dans
es, placés dans leur position normale respective, décrit autour de la
substance
médullaire une courbe ellipsoïde composée d'un gr
e ellipsoïde composée d'un grand nombre de replis. Elle forme avec la
substance
blanche une surface ovalaire, dont les dimensions
du lobe sphénoïdal pórtele nom de corne sphénoïdale, ou tapetum. La
substance
grise corticale des régions postérieures et inter
Fibres convergentes des régions moyennes du cerveau pénétrant dans la
substance
grise du noyau intra-ventriculaire (5) du corps s
du noyau intra-ventriculaire (5) du corps strié. 5. — Section de la
substance
grise du noyau intra-ventriculaire ou caudé, mont
fibres convergentes de ces mêmes régions. 11. — Liséré blanc de la
substance
grise corticale, désigné sous le nom de ruban de
paisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La
substance
grise corticale décrit de nombreux replis autour
La substance grise corticale décrit de nombreux replis autour de la
substance
médullaire; deux traînées grises s'annoncent dans
dirigent vers les noyaux opto-striés. Elles ont pénétré à travers la
substance
grise du noyau intra-ventriculaire jusqu'au bord
forme d'un cordon, nommé pilier antérieur du trigone, pénètre dans la
substance
grise de la couche optique et va aboutir aux tube
uche optique. A travers l'écartement de ces faisceaux, on aperçoit la
substance
grise du noyau lenticulaire du corps strié. 7.
se dirigeant vers la région postérieure de la couche optique. 8. —
Substance
grise de la couche optique pénétrée par des filam
ut, en avant et en bas. Ces lamelles sont recouvertes d'une couche de
substance
grise sur leurs deux faces : celle qui est en rap
é-raux. Son extrémité antérieure est en rapport avec un petit amas de
substance
grise, qui appartient à la portion terminale du n
es vers la base du cerveau. La multiplicité de replis que décrit la
substance
grise corticale montre que la super-ficie de cett
écrit la substance grise corticale montre que la super-ficie de cette
substance
est de beaucoup plus considérable que celle des d
ompu par la section qui met à découvert une plus grande portion de la
substance
grise du noyau lenticulaire que l'on aperçoit sur
médullaires. Les fibres convergentes antérieures pénètrent dans la
substance
grise du corps strié, qu'elles divisent en noyau
o-thalamiques ont déjà détaché le noyau caudé du reste de la masse de
substance
grise. Les fibres convergentes sectionnent par co
région antérieure et externe de la couche optique (6, Pl. XX). Cette
substance
blanche intermédiaire aux noyaux opto-striés port
en ce point à la région postérieure de la capsule interne. Entre la
substance
grise des circonvolutions de l'insula et le noyau
lutions de l'insula et le noyau lenticulaire ap-paraît une traînée de
substance
grise, appartenant au corps strié, appelée avant-
des fibres arciformes et convergentes que l'on désigne sous le nom de
substance
innominée. Gavoy. — Encéphale. 12 La section
m de substance innominée. Gavoy. — Encéphale. 12 La section de la
substance
grise de la couche optique montre le mode de péné
s laisse en avant la coupe des piliers antérieurs du trigone et de la
substance
grise du septum lucidum et, en arrière, celle des
internes des lobes postérieurs comprennent entre eux la section de la
substance
grise corticale du vermis superior. On remarque l
mis superior. On remarque la présence du ruban de Vicq d'Azyr dans la
substance
grise des lobes occipitaux. XX. — Coupe horizon
e fibres convergentes antérieures, cortico-striées, pénétrant dans la
substance
grise du corps strié et concourant à la formation
Cette portion du faisceau de fibres blanches, intermédiaire aux deux
substances
grises, est appelée région lenticulo-thalamique d
men. Il est séparé des circonvolutions de l'insula par une traînée de
substance
grise, l'avant-mur (3), qui appartient au corps s
, ayant l'aspect de cordons arrondis. 17. — Section des lamelles de
substance
blanche qui forment la cavité du septum lucidum ;
vec la cavité des ventricules latéraux est recouverte d'une couche de
substance
grise. Ces lamelles de substance blanche adhérent
éraux est recouverte d'une couche de substance grise. Ces lamelles de
substance
blanche adhérent au corps calleux et aux piliers
. 18. — Section du vermis superior montrant la disposition des deux
substances
dans la région supérieure du cervelet. XXI. — E
d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau.
Substance
grise corticale circonscrivant chacun des hémisph
des hémisphères ; les circonvo-lutions de l'insula décrivent dans la
substance
médullaire une traînée grise à trois ou quatre de
aire une traînée grise à trois ou quatre dentelures. En dedans est la
substance
grise de l'avant-mur, qui n'a aucun contact dans
erne : ces fibres pénètrent sous la forme de petits filaments dans la
substance
grise de ces noyaux; le centre antérieur présente
sa partie antérieure est le tœnia semi-circularis qui le sépare de la
substance
grise du noyau intra-ventriculaire. A égale dista
ps calleux. Fibres commissurantes pos-térieures. 3. — Section de la
substance
grise de la corne d'Ammon ou hippocampe, et des p
érieur se dirige en dedans, vers la paroi du ventricule moyen. 9. —
Substance
grise du noyau intra-ventriculaire de corps strié
Substance grise du noyau intra-ventriculaire de corps strié. 10. —
Substance
grise du segment externe du noyau extra-ventricul
nticulaire et s'épanouissent en filaments fins et très déliés dans la
substance
grise des trois segments : 13. —Avant-mur, diss
3. —Avant-mur, dissocié par les fibres arciformes occipito-frontales (
substance
innominée) et les fibres convergentes des circonv
tre les deux feuillets de la toile choroïdienne, constituée par de la
substance
grise à la surface, du tissu connectif et des vai
pédoncules antérieurs ou supé-rieurs cheminent dans l'épaisseur de la
substance
grise qui tapisse la paroi du ven-tricule moyen (
de la fente cérébrale de Bichat. Ils sont constitués par une masse de
substance
grise, recouverte d'une écorce de substance blanc
nstitués par une masse de substance grise, recouverte d'une écorce de
substance
blanche. Ils sont en connexion avec les corps gen
I. — AEPI. 22. — Sections des piliers antérieurs du trigone, de la
substance
grise et des la-melles (23) qui forment la cavité
a sub-stance grise corticale est beaucoup plus grande que celle de la
substance
médullaire. XXIII. — Encéphale dont on a détach
paisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La
substance
grise corticale des circonvolutions pénètre dans
de Sylvius jusqu'au lobule de l'insula, se continue en avant dans la
substance
médullaire et atteint le niveau de la portion réf
. XXII) présente ses trois segments : le segment externe formé par la
substance
grise, le segment moyen et le segment interne con
nce grise, le segment moyen et le segment interne consti-tués par une
substance
jaunâtre, plus pâle dans le segment interne. La d
coupe des tubercules quadrijumeaux antérieurs comprenant entre eux la
substance
grise de la valvule de Vieussens. Un faisceau bla
couches optiques ou pulvinar. Gavoy.— Encéphale. ^ La coupe de la
substance
grise de la corne d'Ammon ou hippocampe montre le
t de cette circonvolution et les rapports qu'ont entre elles ses deux
substances
. La lame blanche de la convexité a été appelée al
iculmn; le corps frangé, corps bordant ou bordé, forme la fimbria. La
substance
grise remplit l'espace compris par l'enroulement
aisceau de fibres convergentes antérieures divisant en deux noyaux la
substance
grise du corps strié. 4. — Faisceau formant la
rapports de contact avec la face externe du noyau lenticulaire et la
substance
grise de Pavant-mur (9). 5. — Section transvers
gions posté-rieures. 11 s'étend, en arrière du centre médian, vers la
substance
grise centrale de l'axe. 7. — Substance grise d
e du centre médian, vers la substance grise centrale de l'axe. 7. —
Substance
grise du noyau intra-ventriculaire du corps strié
inférieur du centre médian. Les fibres convergentes pénètrent dans la
substance
grise de la couche optique sous l'aspect de fibri
upes de faisceaux qui forment le genou de la capsule interne. 15. —
Substance
grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs. A
entre est l'aqueduc de Sylvius (16), qui se continue en avant avec la
substance
grise des parois du ventricule moyen (17) jusqu'a
18. — Section de la bandelette optique. En dehors est la coupe de la
substance
grise du corps genouillé externe, traversée obliq
ubercules quadrijumeaux postérieurs ; les fibres optiques ont dans sa
substance
grise une direction presque horizontale, qui diff
quent de celle qu'on observe dans le corps genouillé externe. 19. —
Substance
grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans la c
ncore libres dans la cavité des ventricules latéraux. En avant est la
substance
grise et la cavité de la cloison transpa-rente (2
d'épaisseur\ faite des régions supérieures vers la base du cerveau.
Substance
grise corticale circonscrivant les deux hémisphèr
bec du corps calleux. Ces deux prolongements bordent latéralement la
substance
grise de Y espace perforé antérieur, correspondan
ère un cordon grisâtre, la commissure blanche antérieure limite cette
substance
grise. Les fibres convergentes des régions anté
ieures forment quelques fascicules isolés, séparant incomplètement la
substance
grise du corps strié. Les fibres convergentes des
ens et les fibres radiculaires des nerfs pathétiques. En avant est la
substance
grise du plancher de l'aqueduc de Sylvius et des
celle des piliers antérieurs du trigone, après leur immersion dans la
substance
grise. Le corps strié occupe seul la région cen
es corps genouillés externe et interne. Au-dessous est la coupe de la
substance
grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pili
'éminence médiane inférieure, vermis inferior. Dans l'intérieur de la
substance
médullaire apparaît la substance grise plissée no
mis inferior. Dans l'intérieur de la substance médullaire apparaît la
substance
grise plissée nommée corps rhomboidal. XXVI. —
vergentes des régions antérieures et inférieures se dirigeant vers la
substance
grise du corps strié. Quelques fascicules isolés
lés, très fins, qui vont s'atténuer dans les cellules nerveuses de la
substance
grise et jaune du corps strié. 10. — Avant-mur.
ce grise et jaune du corps strié. 10. — Avant-mur. Cette traînée de
substance
grise appartient au corps strié. Elle n'a aucun c
tance grise appartient au corps strié. Elle n'a aucun contact avec la
substance
grise des circonvolutions de l'insula. Elle est d
aux rouges de Stilling, de forme sphérique, constitués par un amas de
substance
grise. Ces noyaux présentent un hile tourné en ha
upérieurs; elles s'enroulent autour du noyau rouge, pénètrent dans sa
substance
grise, où elles s'amortissent dans les cellules n
s s'amortissent dans les cellules nerveuses qu'elle renferme. 17. —
Substance
grise centrale étalée sur les parois du ventricul
transversale des piliers antérieurs du trigone dans l'intérieur de la
substance
grise. 20. — Section transversale de la partie
les de cette commissure. 21. — Section de la bandelette optique. La
substance
grise du corps genouillé interne est réduite à un
elle du corps genouillé externe est encore assez volumineuse. 22. —
Substance
grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pili
cervelet. Les fibres médullaires convergent, de la face interne de la
substance
grise corticale des lamelles, vers la face extern
d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau.
Substance
grise corticale circonscrivant la substance médul
ers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la
substance
médullaire. La région posté-rieure présente encor
fibres convergentes pénètrent par quelques fascicules isolés dans la
substance
grise du corps strié. Le faisceau qui forme la ca
édente. La corne sphénoïdale se continue et présente la section de la
substance
grise de la corne d'Ammon ou grand hippocampe et
ne du côté opposé. Ce fais-ceau ne contracte, dans son trajet dans la
substance
grise du corps strié, aucun rapport fibrillaire.
sure vers les lobes sphénoïdaux (plus nette en 10', Pl. XXVIII). La
substance
grise du locus niger de Sœmmering a fait son appa
VI). Gavoy. — Encéphalk. 14 La section du cervelet montre dans la
substance
médullaire la disposition de la membrane jaunâtre
t et en dedans. La disposition de cette membrane rappelle celle de la
substance
grise corticale autour des circonvolutions, des s
, dont le but paraît d'augmenter considérablement la superficie de la
substance
grise, c'est-à-dire la quantité des éléments nerv
se, c'est-à-dire la quantité des éléments nerveux. Les fibres de la
substance
médullaire convergent vers la périphérie du corps
s radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes ; en avant est la
substance
grise du plancher de l'aqueduc de Sylvius. XXVI
convergentes des régions antérieures et inférieures envoyant dans la
substance
grise du corps strié des fascicules fins isolés.
pito-frontales, dissociant, avec les fibres de la capsule externe, la
substance
grise de Pavant-mur. 5. — Faisceau de fibres co
et très grêles. 9. — Section des bandelettes optiques, montrant la
substance
grise du corps genouillé externe. Ces bandelettes
efférentes appartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. 16. —
Substance
grise centrale tapissant les parois du ventricule
icq-d'Azyr. 18 — Section des piliers antérieurs du. trigone dans la
substance
grise. 19. — Section de la substance grise de l
antérieurs du. trigone dans la substance grise. 19. — Section de la
substance
grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans l'in
d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau.
Substance
grise corticale circonscrivant la substance médul
ers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la
substance
médullaire du lobe sphénoïdal et du lobe frontal;
he antérieure. Les fibres arciformes occipito-frontales dissocient la
substance
grise de l'avant-mur et mettent en connexion le l
bandelette optique (9, Pl. XXVIII), portant le dernier vestige de la
substance
grise du corps genouillé externe. En dehors appar
ouissement des fibres du tœnia semi-circularis dans l'intérieur de sa
substance
grise. Ce ganglion, du volume d'une noisette, est
rise. Ce ganglion, du volume d'une noisette, est formé par un amas de
substance
grise enclavée chez l'homme dans la portion arron
on des fibres spinales anté-rieures ou étage inférieur, séparé par la
substance
grise du locus niger des fibres spinales postérie
trié (14. Pl. XXX). Entre ces deux segments est le raphé médian, la
substance
grise centrale de Taxe, qui se continue avec cell
de la région moyenne du cervelet montre la disposition centrale de la
substance
médullaire à l'intérieur de chacun des lobes céré
ssurantes. A l'intérieur apparaît le corps rhomboidal, recevant de la
substance
grise corticale les fibres afférentes, émettant d
u spinal. En dehors du corps strié, apparaît le dernier vestige de la
substance
grise de l'avant-mur, dissociée par diverses fibr
tte optique en avant des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXIX). 8. —
Substance
grise du ganglion olfactif. En dehors est le dern
ce grise du ganglion olfactif. En dehors est le dernier vestige de la
substance
grise de l'avant-mur ; elle est dissociée, comme
ullaires. 9. — Fibres du taenia semi-circularis à leur sortie de la
substance
grise du ganglion olfactif, elles se groupent en
n ou hippocampe dans la cavité sphénoïdale. Un sillon la sépare de la
substance
grise du ganglion olfactif. 11. — Substance gri
sillon la sépare de la substance grise du ganglion olfactif. 11. —
Substance
grise centrale du plancher du ventricule moyen, l
ro-interne des fibres spinales antérieures, allant s'épanouir dans la
substance
grise du corps strié. 15. — Substance grise du
es, allant s'épanouir dans la substance grise du corps strié. 15. —
Substance
grise du locus niger de Sœmmering. 16. — Fibres
appartenant à la région antérieure des pédoncules cérébraux. 18. —
Substance
grise interpédonculaire. 19. — Substance grise
oncules cérébraux. 18. — Substance grise interpédonculaire. 19. —
Substance
grise centrale du névraxe. 20. — Cavité du quat
i revêtent le plancher du quatrième ventricule. 22. — Section de la
substance
médullaire du cervelet. Les fibres convergentes s
aire du cervelet. Les fibres convergentes se portent de la base de la
substance
grise corticale à la périphérie du corps rhomboid
paisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La
substance
grise corticale circonscrit de toutes parts les d
es sphé-noïdaux elles se portent en avant, en dedans et en haut. La
substance
grise du corps strié est complètement détachée. O
se du corps strié est complètement détachée. On ne trouve plus que la
substance
grise du ganglion olfactif et celle de la corne d
es se réunissent Tune à l'autre sur la ligne médiane. En avant est la
substance
grise de l'espace perforé anté-rieur, en arrière
lum que forme le ventricule moyen. Ils sont constitués par un amas de
substance
grise, recouvert d'une écorce de substance blanch
constitués par un amas de substance grise, recouvert d'une écorce de
substance
blanche, formée en partie par les fibres des pili
ui vont ensuite s'amortir dans les cellules nerveuses que renferme la
substance
grise ; ces fibres émergent des cellules, se rapp
orps rhomboïdal; elles se dirigent directement en avant, entourent la
substance
grise de la protubérance annulaire, pénètrent dan
nnulaire, puis cette coupe est renversée sur sa face supérieure. La
substance
grise corticale décrit, dans la substance médulla
ur sa face supérieure. La substance grise corticale décrit, dans la
substance
médullaire des lobes frontaux, des sinuosités dét
LVI et Pl. XLVII). 5. — Tuber cinereum ou corps cendré. Cet amas de
substance
grise forme le plancher du ventricule moyen ; il
u ventricule moyen ; il constitue la portion la plus antérieure de la
substance
grise centrale de l'axe cérébro-spinal ounévraxe.
xe. 6. — Tubercules mamillaires. 7. — Espace interpédonculaire ou
substance
perforée de Vicq-d'Azyr. Cette lamelle de substan
erpédonculaire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. Cette lamelle de
substance
grise appartient au plancher du ventricule moyen
ent au plancher du ventricule moyen et fait partie constituante de la
substance
grise du névraxe. 8. — Tronc des nerfs moteurs
9. — Face inférieure des pédoncules cérébraux. 11. — Section de la
substance
grise de la corne d'Ammon (hippocampe) à l'extré-
é la plus antérieure de la cavité sphénoïdale. 12. — Vestiges de la
substance
grise du ganglion olfactif. 13. — Fibres des pé
ctif. 13. — Fibres des pédoncules cérébelleux moyens, dissociant la
substance
grise de la protubérance annulaire ; elles s'entr
moyennes se répandant sur le plancher du quatrième ventricule. 16.
Substance
grise du plancher du quatrième ventricule. 17.
trale, puis se dissocient. Les fibres convergentes se portent dans la
substance
grise des noyaux opto-striés ; celles des régions
sociation de ces deux systèmes de fibres détermine également, dans la
substance
médullaire du lobe sphénoïdal et du lobe occipita
a sillonnent. La coupe du cervelet présente une couche corticale de
substance
grise entourant les fibres nerveuses qui constitu
centres est formé de fibres convergentes qui partent de la base de la
substance
grise corticale et vont aboutir à la face externe
faisceau sur la série de planches horizontales), 6. — Section de la
substance
grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou
olution de la corne d'Ammon ou hippocampe, recouverte d'une écorce de
substance
blanche et de la coupe des piliers postérieurs du
antérieurs (nates). 9. — Section des lobes latéraux du cervelet. La
substance
médullaire envoie dans la substance grise cortica
es lobes latéraux du cervelet. La substance médullaire envoie dans la
substance
grise corticale des prolongements qui se subdivis
le nom d'arbre de vie. Les fibres médullaires, nées de la base de la
substance
grise, se portent sur la face externe du corps rh
e est formée par une couche de sub-stance grise en continuité avec la
substance
grise centrale du bulbe et de la moelle ; elle re
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale entoure les centres médullaires,
e postérieure de la scissure de Sylvius. Les fibres nerveuses de la
substance
médullaire se détachent de la base des circon-vol
eures sont sectionnées sur les bords de la cavité ventriculaire. La
substance
grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est secti
érieur de la couche optique, et montre le mode de pénétration dans sa
substance
des fibres convergentes des régions postérieures.
vule fte Vieussens. Cette valvule est formée par une mince lamelle de
substance
blanche et grise, tendue entre les deux pédoncule
e supérieur du quatrième ventricule ; elle se continue en bas avec la
substance
médullaire du vermis superior et, en haut, avec l
planche précédente). Les fibres nerveuses convergent de la base de la
substance
grise corticale vers le centre, puis se groupent
cule, calamus scriptorius, est atteint par la section; elle montre la
substance
grise des pyramides postérieures (16, Pl. XXXIV)
ées sur la face supérieure de la couche optique. 5. — Section de la
substance
grise de la corne d'Ammon et du pilier postérieur
gouttière qui sépare les tubercules quadrijumeaux antérieurs. 8. —
Substance
grise des tubercules quadrijumeaux antérieurs (na
ubstance grise des tubercules quadrijumeaux antérieurs (nates). 9. —
Substance
grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs (t
et en avant jusqu'au corps genouillé interne, où il aboutit. 10. —
Substance
grise de la valvule de Vieussens, enclavée entre
ux du cervelet. Les ramuscules et les rameaux, issus de la base de la
substance
grise corticale, se réunissent en un faisceau de
llaires des cordons médians postérieurs, limités sur les côtés par la
substance
grise centrale du bulbe (17). XXXVII. — Encépha
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale revêt de toute part le centre méd
coupe, sont sectionnées au niveau de leur point de dissociation. La
substance
grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou
périeure de la couche optique et le bord externe du corps calleux. La
substance
grise du noyau caudé se présente sous l'aspect d'
externe de la cavité des ventri-cules latéraux ; il est séparé de la
substance
grise de la couche optique par la section des fib
que; les fibres convergentes pénètrent en longs filaments, jusqu'à la
substance
nerveuse de ce centre, où elles s'épuisent. La co
bonate de chaux. L'entrée de l'aqueduc de Sylvius apparaît entre la
substance
grise des tubercules qua-drijumeaux. Au-dessous e
ne, une petite colonne blanchâtre, très nette, dessinant un V dans Ja
substance
grise centrale. Les fibres des cordons médians
ls s'amortissent. 5. — Fibres arciformes occipito-frontales. 6. —
Substance
grise de la corne d'Amnion ou hippocampe dans le
corne d'Amnion ou hippocampe dans le diverticulum sphenoidal. 7. —
Substance
grise des corps genouillés externe et interne. L'
u caudé au bord externe de la cavité des ventricules latéraux. 9. —
Substance
grise du noyau lenticulaire aperçue à travers l'é
filaments blancs (habenœ) qui se rendent à la glande pinéale. 15. —
Substance
grise prolongeant celle qui entoure l'aqueduc de
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale, après avoir circonscrit la périp
gros faisceau appelé capsule interne; elles pénètrent ensuite dans la
substance
grise de la couche optique, sous forme de petits
belleux supérieurs, après leur entre-croisement au raphé médian. La
substance
grise du locus niger de Sœmmering fait son appari
raux et les fibres spinales postérieures, qui descendent à travers la
substance
grise de la protubérance annulaire et les fibres
les cordons latéraux de la moelle ; ils sont séparés par un noyau de
substance
grise, situé sur les côtés du raphé. Volive bulba
grand diamètre vertical; cette membrane est recouverte de fibres de
substance
blanche, qui lui donnent extérieurement l'aspect
nce. Les fibres convergentes, après être entrées en connexion avec la
substance
grise du corps rhom-boïdal, en sortent en formant
ournent, traversent, sillonnent horizontalement la protubérance et la
substance
grise qu'elle renferme et s'entrelacent sur la li
s précédentes la région lenticulo-optique delà capsule interne. 5. —
Substance
grise du noyau lenticulaire ouputamen, séparée de
ceau de fibres qui forme la capsule externe (7). 8. — Section de la
substance
grise du corps genouillé externe. La substance gr
. 8. — Section de la substance grise du corps genouillé externe. La
substance
grise du corps genouillé interne, qui s'étend moi
ntale ou intra-ventriculaire du trigone, bande-lettes géminées. 16.
Substance
grise centrale du névraxe. 17. — Noyaux d'origi
17. — Noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs. 18. —
Substance
grise des noyaux rouges de Stilling. Les fibres a
ral (19) qui pénètre dans la capsule interne et va s'épanouir dans la
substance
grise du noyau lenticulaire et celle du corps str
cérébelleuses. 21. —Corpus Luysii (bandelette accessoire). 22. —
Substance
grise du locus niger de Sœmmering. 23. — Fibres
postérieures se portant dans la capsule interne pour pénétrer dans la
substance
grise de la couche optique. 24. — Section de la
par les coupes précédentes. Ces fibres parcourent transversalement la
substance
grise de la protubérance en croisant les fibres a
entre-croisement. Elles sont séparées supérieurement par un noyau de
substance
grise. 26. — Substance blanche corticale qui en
sont séparées supérieurement par un noyau de substance grise. 26. —
Substance
blanche corticale qui entoure les corps olivaires
n plan plus antérieur et supérieur. 29. — Cornes postérieures de la
substance
grise centrale de la moelle. 30. — Olives bulba
doncules cérébelleux inférieurs. Sur cette coupe apparaît une lame de
substance
grise, située entre l'olive et la portion sensiti
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale circonscrit les fibres médullaire
circonvolutions de l'insula, adossée dans la scissure de Sylvius à la
substance
grise des circonvolutions qui constituent la lèvr
ent la lèvre supérieure et la lèvre infé-rieure de cette scissure. La
substance
grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est secti
fibres nerveuses du faisceau cérébelleux supérieur. En dehors de la
substance
grise du locus niger sont les faisceaux des fibre
spinales postérieures ; elles se terminent en pointe effilée dans la
substance
grise de la protu-bérance que traversent les fibr
plus apparent ; les fibres etTérentes du corps olivaire traversent sa
substance
grise pour gagner sur la ligne médiane les fibres
s convergentes des régions externes et supérieures, plongeant dans la
substance
grise du corps strié, qu'elles divisent pour form
le cul-de-sac qui clôt la cavité sphénoïdale. 5. — Apparition de la
substance
grise du ganglion olfactif. 6. — Section de la
lion olfactif. 6. — Section de la bandelette optique en avant de la
substance
grise des corps genouillés. 7. — Substance gris
e optique en avant de la substance grise des corps genouillés. 7. —
Substance
grise du noyau lenticulaire, présentant ses trois
— Mode de pénétration des fibres convergentes dans l'intérieur de la
substance
grise de la couche optique. 11. — Centre antéri
orpus Luysii (bandelette accessoire). 17. — Derniers vestiges de la
substance
grise du locus niger de Sœmmerin'g. 18. — Secti
ande pinéale dans l'épaisseur des parois du ventricule moyen. 20. —
Substance
grise interpédonculaire ou substance perforée de
ois du ventricule moyen. 20. — Substance grise interpédonculaire ou
substance
perforée de Vicq-d'Azyr. 21. — Faisceau de fibr
nt en haut dans la couche optique ; elles se terminent en bas dans la
substance
grise de la protubérance annulaire. Ce renflement
e renflement, appelé aussi pont de Varole, est composé par un amas de
substance
grise que dissocie un groupe de fibres transversa
les et un groupe de fibres verticales. Il est entouré d'une écorce de
substance
blanche provenant en grande partie des pédoncules
s cordons antérieurs et des cordons postérieurs de la moelle. 26. —
Substance
grise centrale de la moelle (cornes postérieures)
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale enveloppe la substance blanche, e
e genou du corps calleux. La substance grise corticale enveloppe la
substance
blanche, et donne naissance par sa face interne a
tes se dirigent vers la capsule interne, puis se répartissent dans la
substance
grise des noyaux opto-striés. La substance gris
se répartissent dans la substance grise des noyaux opto-striés. La
substance
grise de la corne d'Ammon est épuisée par les cou
s ; on trouve, dans la région du lobe sphénoïdal qu'elle occupait, la
substance
grise du ganglion olfactif. Les fibres olfactives
t des fibres cérébelleuses qui traversent les derniers vestiges de la
substance
grise de Sœmmering. La substance grise interpédon
aversent les derniers vestiges de la substance grise de Sœmmering. La
substance
grise interpédonculaire occupe la ligne médiane a
en dehors pour gagner les trois segments du noyau lenticulaire et la
substance
grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la
ire et la substance grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la
substance
grise de la protubérance annulaire, croi-sent les
e éminence appliquée contre les pyramides antérieures. La membrane de
substance
grise est réduite à quelques replis dans lesquels
au niveau des arcades dans le noyau lenticulaire, serpentent dans la
substance
grise de la couche optique. 4. — Fibres converg
lse dirigeant vers la région inférieure de la capsule interne. h\ —
Substance
grise de l'avant-mur, dissociée par les faisceaux
re. 10. — Fibres olfactives radiculaires externes pénétrant dans la
substance
grise du ganglion olfactif. 11. — Substance gri
ernes pénétrant dans la substance grise du ganglion olfactif. 11. —
Substance
grise du noyau caudé, dans le plancher du bord ex
géminées. 14. — Mode de pénétration des fibres convergentes dans la
substance
grise de la couche optique. 15. — Centre antéri
(voir Pl. III). Ils mettent en connexion les cellules nerveuses de la
substance
grise du centre antérieur avec les cellules nerve
substance grise du centre antérieur avec les cellules nerveuses de la
substance
grise des tubercules mamillaires. 18. — Faiscea
tuées au-dessous du ventricule moyen, sont constituées par un amas de
substance
grise, entourée d'une écorce de substance blanche
constituées par un amas de substance grise, entourée d'une écorce de
substance
blanche, formée par l'enroulement des fibres des
pédoncules antérieurs du trigone avant leur épanouissement dans cette
substance
grise. 20. —Substance grise centrale, tuber cin
trigone avant leur épanouissement dans cette substance grise. 20. —
Substance
grise centrale, tuber cinereum. 21. — Fibres sp
uber cinereum. 21. — Fibres spinales antérieures se portant dans la
substance
grise du noyau caudé et du noyau lenticulaire. Un
au lenticulaire. Un fascicule traverse la capsule interne et gagne la
substance
grise corticale du lobe frontal (voir Pl. VII). L
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale forme autour du centre médullaire
et 6 Pl. XX). Les fibres convergentes antérieures pénè-trent dans la
substance
grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et de
és, ainsi que les tubercules mamillaires qui présentent une écorce de
substance
blanche entourant un petit amas de substance gris
présentent une écorce de substance blanche entourant un petit amas de
substance
grise, traversée de fibrilles blanches. Les bande
olfactives radiculaires externes, traversent la région externe de la
substance
grise des ganglions olfactifs (10 PL XLIV). La
ulaire est représentée par son segment antérieur ; il est com-posé de
substance
grise sillonnée de fibres transversales appartena
res (6; Pl. XX), croisant la direction des fibres précédentes. 5. —
Substance
grise de l'avant-mur. 6. — Fibres qui composent
latérales de la commissure blanche antérieure, en con-tiguïté avec la
substance
grise du noyau lenticulaire. 9. — Noyau lenticu
aisceau spinal antérieur, qui se terminent en pointe effilée. 10. —
Substance
grise du noyau caudé; occupant le plancher de la
ntre antérieur recevant les fibres du taenia semi-circularis. 15. —
Substance
grise des parois du ventricule moyen où vont s'am
r des groupes de fibrilles, issues des faisceaux convergents. 16. —
Substance
grise du tuber cinereum ou corps cendré. 17. —
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale entoure le centre médullaire, s'e
rtion antérieure du centre antérieur ; elle est limitée en bas par la
substance
grise centrale qui forme le plancher du ventricul
rs du trigone, qui plongent en bas, dans la couche optique et dans la
substance
grise centrale du plancher du ventricule moyen où
ricule moyen où ils sont atteints par la section (17, Pl. XLVI). La
substance
grise du ganglion olfactif est réduite à une coue
cédentes (voir Pl. X). 5. — Fascicule de la capsule externe. 6. —
Substance
grise de l'avant-mur dissociée par le faisceau de
serpentent et s'épuisent en pointe effilée dans leurs masses. 9. —
Substance
grise du noyau eau dé du corps strié. Elle occupe
ules latéraux. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. —
Substance
grise du plancher du ventricule moyen. 12. — Se
yen. 12. — Section des lamelles de la cloison transparente et de la
substance
grise qui les recouvre. 13. — Section des pilie
faite des régions postérieures vei^s le genou du corps calleux. La
substance
grise corlicale circonscrit chacun des hémisphère
i la constituent; ses rapports avec le putamen, les noyaux jaunes, la
substance
grise du quatrième ventricule et les piliers anté
es en indiquant les relations de ses branches latérales (10') avec la
substance
médullaire des lobes sphénoïdaux. Le faisceau r
éunion de deux ordres de fibrilles blanches : les unes émergent de la
substance
grise centrale, ce sont les racines blanches inte
ont les racines blanches externes ou longues; elles proviennent de la
substance
grise du ganglion olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLV
, qui résulte de la réunion de ces trois racines, est donc composé de
substance
blanche et de substance grise (voir Pl. Ll). L.
ion de ces trois racines, est donc composé de substance blanche et de
substance
grise (voir Pl. Ll). L. — Coupe verticale trans
ures et internes. 5. — Fascicule qui fórmela capsule externe. 6. —
Substance
grise de l'avant-mur. 7. — Fibres médullaires d
t moyen et du segment externe; le segment interne est épuisé. 10. —
Substance
grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du cor
12. — Cavité de la cloison transparente ou septum lucidum. 13. —
Substance
grise des parois du ventricule moyen. 14. — Sec
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La
substance
grise corticale enveloppe de toutes parts les hém
ngulaire de la coupe du tronc des nerfs olfactifs; on remarque que la
substance
grise occupe la région centrale et l'angle supéri
e grise occupe la région centrale et l'angle supérieur, tandis que la
substance
blanche l'entoure comme une écorce ; que l'arachn
s convergentes des régions supérieures et moyennes, plongeant dans la
substance
grise du corps strié. 4. — Fibres convergentes
es et internes. 5. — Fascicule qui forme la capsule externe. 6. —
Substance
grise de Pavant-mur dissociée par l'ensemble des
la boucle que forme le genou du corps calleux (voir Pl. II). 10. —
Substance
grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du cor
active, montrant sa forme triangulaire et la situation centrale de la
substance
grise. Gavoy. — Encéphale. 20 LUI. — Encéph
Cette portion de l'Encéphale ne comprend que les lobes frontaux. La
substance
grise qui forme la couche corticale est moins abo
ontact avec leurs congénères. Elles sont réunies par deux lamelles de
substance
médullaire, tendues verticalement comme une clois
ième ventricule. Ces lames sont tapissées sur leurs deux faces par la
substance
grise centrale qui s'étale, depuis l'aqueduc de S
ius, sur la région médiane de l'encéphale ; chacune de ces couches de
substance
grise est en outre recouverte par l'épendyme. L
e. Les fibres convergentes du centre médullaire se dirigent vers la
substance
grise du corps strié. Les fascicules stratifiés d
fibres convergentes des régions antérieures dissocient cette masse de
substance
grise ; les fibres convergentes des régions infé-
ilée. Le noyau extra-ventriculaire est réduit à une mince couche de
substance
grise du putamen ; il est séparé de l'avant-mur p
ntes des régions antérieure, moyenne et infé-rieure pénétrant dans la
substance
grise du corps strié. Ces fibres s'immergent dans
sse sous la forme de petits filaments très déliés et onduleux. 4. —
Substance
grise de l'avant-mur dissociée par l'ensemble des
Coupe du tronc du nerf olfactif, montrant la forme triangulaire et la
substance
grise située à la région centrale. LV. — Coupe
ire. Ces divers ordres de fibres prennent naissance à la base de la
substance
grise corti-cale, se dirigent vers l'extrémité de
iation des fibres convergentes, au moment où elles péné-trent dans la
substance
grise du corps strié. Cette cavité est close en a
..................... 3 Méninges............................... 4
Substance
blanche, substance grise.................... 5,
.. 3 Méninges............................... 4 Substance blanche,
substance
grise.................... 5, DEUXIÈME PARTIE. —
..... 5, DEUXIÈME PARTIE. — DESCRIPTION SPÉCIALE. RÉPARTITION DE LA
SUBSTANCE
GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE...............
— DESCRIPTION SPÉCIALE. RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA
SUBSTANCE
BLANCHE..................... 7 CHAPITRE PREMIER
APITRE PREMIER. — Cerveau..................... 7 Article premier. —
Substance
grise du cerveau................ 7 § 1. Substan
rticle premier. — Substance grise du cerveau................ 7 § 1.
Substance
grise du cerveau.................... 8 § 2. Sub
.... 7 § 1. Substance grise du cerveau.................... 8 § 2.
Substance
grise des noyaux centraux................. H a)
..... 12 b) corps strié.......................... 13 Article 2. —
Substance
blanche du cerveau................. 14 § 1. Fib
APITRE 11. — Cervelet........................ 22 Article premier. —
Substance
grise du cervelet................ 23 § 1. Subst
icle premier. — Substance grise du cervelet................ 23 § 1.
Substance
grise corticale des lamelles................. 23
1. Substance grise corticale des lamelles................. 23 § 2.
Substance
grise du noyau central.................. 24 Art
Substance grise du noyau central.................. 24 Article 2. —
Substance
blanche..................... 25 § 1. Fibres arc
HAPITRE III. — Névraxe....................... 28 Article premier. —
Substance
grise.................... 28 § 1. Noyaux d'orig
s........................ 37 Article 2. — Formations accessoires de
substance
grise............. 38 § 1. Olive bulbaire......
§ 3. Noyaux rouges de Stilling..................... 39 Article 3. —
Substance
blanche du névraxe................. 40 § 1. Ent
rés par la pie-mère. Lorsque cette dernière méninge a été enlevée, la
substance
cérébrale's'affaisse ou même se déchire du seul f
rvelet. Le couteau divise ainsi, à peu près par le milieu, un pont de
substance
blanche à fibres transversales : le pont de Varol
e du cerveau est fixée à la base du crâne par un prolongement de la
substance
grise centrale du névraxe, le tuber cinereum, don
rbitaires est recouverte par une bandelette blanche gaufrée (LMV), la
substance
réticulaire d'Arnold, mal arrêtée sur son bord ex
terne se perd insensiblement sur l'écorce, où elle se confond avec la
substance
réticulaire. La branche externe ou racine olfacti
l'espace perforé antérieur (EPÀ) et dans lequel s'étale une couche de
substance
grise (GS) désignée sous le nom de pyramide Sch
; OLI, racine olfactive interne; OLE, racine olfactive externe; LMY,
substance
réticulaire d'Arnold ; GS, pyramide grise de Sœmm
essus et en avant du chiasma (CH), dans une mince couche verticale de
substance
grise : la lame terminale (LAT). La bandelette di
en quelque sorte par les deux bandelettes optiques, est une masse de
substance
grise, bombée, terminée par une tige dont on ne v
le des deux convexités pédonculaires du pont : ces deux croissants de
substance
noire sont désignés, dans leur ensemble, sous le
ire sont désignés, dans leur ensemble, sous le nom de locus niger, ou
substance
noire de Sœmmering. Le locus niger (LN) divise
dernier étage est sous-jacent et antérieur à deux amas symétriques de
substance
grise, convexes en arrière, les tubercules cpiadr
s de la racine moyenne du nerf olfactif, disposées en éventail ; LAT,
substance
grise de la lame terminale, qui sera étudiée plus
ère figure). Plus profondément (deuxième et troisième figures), cette
substance
n'existe plus. Elle est donc toute superficielle;
superficiellement l'espace perforé, en favorisant l'élimination de la
substance
nerveuse à l'aide d'un filet d'eau, on s'aperçoit
iagonale n'est qu'un très mince ruban, en quelque sorte plaqué sur la
substance
blanche de l'espace perforé. Cette disposition a
erf olfactif; ces faisceaux radiculaires se perdent eux-mêmes dans la
substance
blanche de l'espace perforé. Ainsi, la pyramide d
yramide de Sœmmering, comme la bandelette diagonale, est accolée à la
substance
blanche de l'espace perforé; mais elle s'enfonce,
lé externe (GE, schéma 6).En arrière,elles se confon daient avec la
substance
blanche qui tapisse ce ganglion dans la cavité du
elles semblaient établir une connexion directe entre la rétine et la
substance
interpédonculaire. Il existe des communications s
8, B), on peut constater que le ventricule latéral est creusé dans la
substance
blanche qui forme la majeure partie de l'hémisphè
substance blanche qui forme la majeure partie de l'hémisphère. Cette
substance
blanche est désignée communément sous le nom de c
. Mais, brissaud. b au niveau des circonvolutions, l'écorce et la
substance
blanche sont, dans leur ensemble, appelés manteau
eau. Toute coupe qui n'est pas perpendiculaire à la surface entame la
substance
grise sur une étendue nécessairement plus considé
ente la partie supérieure du seuil. Le corps calleux est une voûte de
substance
blanche à fibres transversales, présentant sur le
étend, à la surface de l'écorce, une couche irrégulière et gaufrée de
substance
blanche, qui fait suite (nous l'avons déjà dit) a
qui fait suite (nous l'avons déjà dit) au nerf de Lancisi : c'est la
substance
réticulaire d'Arnold (LMV). Les fibres transver
B.O'i, rostrum; EPA, espace perforé antérieur; SO, nerf optique; LMV,
substance
réticulaire d'Arnold; Tlil, trigone cérébral ou v
, oblique en bas en arrière et un peu en dehors, il s'enfonce dans la
substance
grise qui revêt la paroi du ventricule moyen et v
t deux étages : l'étage supérieur, recouvert d'un mince revêtement de
substance
blanche ou stratum zonale ; il se compose de troi
oi plane et verticale du ventricule moyen. Il est constitué par de la
substance
grise; il n'est pas, comme l'étage supérieur, rev
u par la couche blanche du stratum zonale. Vers sa partie moyenne, la
substance
grise de la paroi du troisième ventricule est rel
du même ventricule par un petit pont cylindrique, également formé de
substance
grise : la commissure molle ou moyenne (CM). Cett
cidum ou pellucidum ou cloison transparente est le double feuillet de
substance
blanche qui réunit, sur la ligne médiane, la face
la racine externe du nerf olfactif se fusionne insensiblement avec la
substance
blanche de l'espace perforé, le pied du septum co
crochet. Là on le perd de vue ; une partie de ses fibres se mêle à la
substance
blanche de l'espace perforé ; l'autre partie se j
bstance blanche de l'espace perforé ; l'autre partie se jette dans la
substance
grise du lobe temporal, dans le voisinage du lobu
les sujets, et qu'en tout cas, cette bandelette se terminait dans la
substance
la plus superficielle de l'espace perforé, avant
(NO) ; une postérieure, grise, qui sur les côtés se continue avec la
substance
grise de l'infundibulum au-dessous du pilier desc
, Tf, tubercule du fascia dentata; BGI, bandelette de Giacomini; LMA,
substance
réticulaire d'Arnold; SH, sillon de l'hippocampe
e sillon n'esl représenté ici que par la ligne sinueuse qui sépare la
substance
réticulaire (LMA) et le fascia dentata (Fd) ; s/i
endue de celle-ci et parallèlement à sa direction, court un ourlet de
substance
grise, dont la largeur et les sinuosités vont en
rochet, il s'y épuise en s'amincissant encore et disparaît. LMA. La
substance
réticulaire d'Arnold est la couche gaufrée de sub
ît. LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche gaufrée de
substance
blanche qui revêt la circonvolution de l'hippocam
derrière le tœnia tecta (tec), où il est désigné par le signe sh. La
substance
réticulaire d'Arnold apparaît derrière le spleniu
crochet (Une), à la surface duquel elle disparaît. En dedans de la
substance
réticulaire d'Arnold, s'étend la circonvolution d
ontour circulaire, dont le fond est exclusivement constitué par de la
substance
grise. C'est l'espace perforé antérieur et la val
. C'est l'espace perforé antérieur et la vallée de Sylvius (S'). Delà
substance
grise qui tapisse cette fosse part un prolongemen
Delà substance grise qui tapisse cette fosse part un prolongement de
substance
blanche qui s'avance au-dessous de la région fron
insula (PI). Il est situé immédiatement en arrière de la languette de
substance
grise qui réunit le lobe frontal au pôle sphénoïd
Sylvius (S) : c'est le désert olfactif (DO), ainsi nommé parce que la
substance
grise de cette région, dépourvue d'accidents de t
nées, en d'autres termes, l'envers des plis du manteau ; que, dans la
substance
blanche où ils se cachent, tous ces plis et repli
lis, si l'on pouvait les dérouler, présenteraient un développement de
substance
grise bien plus considérable que ce qui se voit d
coces répondent, dans la profondeur de l'hémisphère, aux faisceaux de
substance
blanche dont le développement s'achève le plus pr
es sillons ne se montrent à la surface de l'hémisphère que lorsque la
substance
grise qui les double a contracté des connexions d
la corne frontale du ventricule latéral est tapissée par une masse de
substance
grise, renflée en avant, amincie en arrière, le n
rte en dedans par l'alveus (ALV) et surmontée par la fìmbria (FI). La
substance
grise de l'hippocampe, au-dessous de la fìmbria,
tte saillie, appelée Ergot de Morand, représente le refoulement de la
substance
blanche de l'hémisphère par le cul-dc-sac longitu
dirigé obliquement en bas 1. Quelques auteurs réservent ce nom à la
substance
blanche réticulaire d'Arnold, qui tapisse l'hippo
bique est revêtue tout entière de la sul)stance blanche qu'on appelle
substance
réticulaire d'Arnold et qui fait suite à la subst
e qu'on appelle substance réticulaire d'Arnold et qui fait suite à la
substance
blanche du rostrum. Cette substance blanche s'éte
e d'Arnold et qui fait suite à la substance blanche du rostrum. Cette
substance
blanche s'étend même jusque sur la première circo
t le procédé est, de beaucoup, le meilleur pour mettre en évidence la
substance
réticulairc d'Arnold qui revêt le pli de passage
du fascia dentata apparaît sous le splenium (SPL) comme une niasse de
substance
grise plus ou moins volumineuse, repliée quelquef
circonvolution, au voisinage du fascia dentata, est recouverte par la
substance
réticulée (ou réticulaire) d'Arnold (LMA). LMA.
par la substance réticulée (ou réticulaire) d'Arnold (LMA). LMA. La
substance
réticulaire d'Arnold commence a apparaître, en ar
(K). Le prolongement sphénoïdal passe sous la couche optique (NiC).
Substance
grise. NC. Le noyau caudé homogène a la forme d
r une coupe plus inférieure (fig. 2) sous le nom de pulvinar (Pul).
Substance
blanche. ce. Le corps calleux, dans le lobe fro
ique. Ce dernier prolongement se perd môme, en grande partie, dans la
substance
grise de la couche optique. CR. La couronne ray
ieur du putamen; mais sur les pièces durcies dans les bichromates, la
substance
grise de ce noyau n'occupe jamais une étendue aus
. On reconnaît à ce niveau la houppe vasculairc du plexus choroïde.
Substance
grise. NC. Le noyau caudé, convexe en dedans, n
dedans, n'est plus libre dans la corne frontale. Il est adjacent à la
substance
blanche qui est située au-dessous de la corne fro
dehors. En dedans et en arrière, le noyau caudé se confond avec la
substance
grise du septum lucidum (GSL). En dehors et en
la capsule interne (CIA), à laquelle il adhère intimement. GSL. La
substance
grise du septum lucidum est donc la continuation
de la commissure (CA). Sur la ligne médiane, la très mince couche de
substance
grise qui réunit ainsi les deux têtes des noyaux
s, fait partie de la lame terminale. Elle semble se confondre avec la
substance
grise du tubercule de jonction derrière la scissu
coupe, ont une teinte foncée difficile à différencier de celle de la
substance
grise. PUT. Le putamen est ce vaste noyau gris
(CL), sorte de cloison grise verticale; 3° le manteau de l'insula, ou
substance
innominée, qu'on a appelée encore capsula exirema
le thalamus forme une saillie à convexité interne, constituée par une
substance
grise homogène : c'est le pulvinar (Pul). Pul.
isceau bien décrit par Meynert sous le nom de fasciculus relroflex.
Substance
blanche. Le corps calleux s'enfonce dans le cen
ure de Sylvius (S') que par le pôle de l'insula (PI) et une couche de
substance
grise, que nous appelons l'isthme gris fronto-sph
ule de l'hippocampe (IIL), à la partie interne duquel on reconnaît la
substance
grise du noyau amygdalien (NA). Le lobule de l'hi
(FLI), repoussé en quelque sorte vers la cavité ventriculaire par la
substance
grise qui double le cul-de-sac du grand sillon oc
(Une), et en arrière par la face externe de la corne d'Ammon (Fd).
Substance
grise. La couche optique n'est plus intéressée
bule de l'hippocampe (IIL), semble se confondre de tous côtés avec la
substance
grise du crochet et de la région antérieure de l'
pocampe. Il semble môme se prolonger en avant et en dehors jusqu'à la
substance
grise de la vallée de Sylvius (IFS). Ce n'est là
a veine du corps strié. IFS. L'isthme gris fronto-sphénoïdal est la
substance
grise du gyrus falciforme. Il forme la paroi supé
se confond en dehors avec le pôle de l'insula (PI), en avant avec la
substance
grise de la troisième circonvolution frontale (F"
orizontale passant au plus près de la vallée de Sylvius. à travers la
substance
grise du gyrus falciforme. Nous lui avons donné c
parce qu'il apparaît très souvent sur les coupes comme une région de
substance
grise dont les connexions avec les parties voisin
de BUISSAUD. 6 l'hippocampe par une couche blanche, fenôtrée, la
substance
réticulaire d'Arnold (LMA). Il est recouvert en h
I), qui n'est autre que la fimbria ou pilier postérieur du trigone.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif qui, sur les
frontal. Dans le lobe frontal, il est toujours situé en dehors de la
substance
grise du sillon olfactif interne (soi). ' COUPE
seront facilement différenciés. Ils le sont, en réalité, jusqu'à la
substance
grise lorsque le ventricule se prolonge jusqu'à l
ux, c'est-à-dire suivant que la cavité du ventricule latéral, dans la
substance
blanche, s'étend plus ou moins loin vers le pôle
au. Les sillons ont une grande profondeur, et les invaginations de la
substance
grise s'enfoncent à une grande distance dans la s
us). Au-dessous du cuneus, la scissure calcarine (K) plonge dans la
substance
blanche. Elle n'a pas ici une grande profondeur.
(voy. Pl. I, fig. 1 et 2), s'enfonce à une grande profondeur dans la
substance
cérébrale ; la couche corticale qui le revêt arri
inférieur de l'hémisphère. A l'extrémité postérieure du cerveau, la
substance
blanche se compose surtout de fibres arquées, met
açon à empêcher toute connexion entre le faisceau sensitif (FS) et la
substance
grise du cuneus. La plus grande partie du faiscea
is elle en diffère par l'apparition d'une cavité au beau milieu de la
substance
blanche, entre le fond du sillon pariétal [p) et
— La cavité en question existe d'ailleurs, virtuellement, jusqu'à la
substance
grise de l'extrémité postérieure du cerveau; nous
s la forme d'un carré, elle est reconnaissable encore au milieu de la
substance
blanche, sous la forme d'une petite fente vertica
he, sous la forme d'une petite fente verticale à concavité interne.
Substance
blanche. L'apparition de la cavité ventriculair
et plus haute, tout en conservant sa forme régulière de rectangle.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif est plus épai
our aller se perdre, comme on l'a vu sur la coupe précédente, dans la
substance
grise de celui-ci. Le faisceau des fibres infér
e. Mais il n'est pas interrompu; rarement on observe le passage de la
substance
grise du gyrus lingual (0^) au gyrus fusiforme (0
ntclriqucs, applicables à tous les cas. Elles servent simplcnient à
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif s'isole plus
e grand sillon occipito-temporal (o^J reprend de la profondeur, et la
substance
grise qui le double se relève vers la paroi infér
ogressive du cerveau, de la partie postérieure à la partie moyenne.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif, toujours trè
(0^) et le fond du sillon du cuneus (sCu). Mais comme il fournit à la
substance
grise du cuneus la majeure partie de ses fibres,
s que les particularités nouvelles que présentent les faisceaux de la
substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif présente la m
es inférieures du forceps (FOi). Elles se jettent i en partie dans la
substance
grise du cuneus, où elles perdent la ! coloration
nse en fer à cheval. Elle rétrécit le passage de ce faisceau entre la
substance
grise et le ventricule. L'intervalle qui, à ce ni
e du prisme ventriculaire, réduit d'autant le calibre de la cavité.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif est nettement
ntenant dans le plan de la section. Il remonte en dedans, accolé à la
substance
grise du recessus, pour aller se porter en masse
ous la forme d'une strie foncée, antéro-postérieure, aplatie entre la
substance
grise du recessus et le faisceau moyen du forceps
| prolonger entre ces deux faisceaux, presque jusqu'au contact de la
substance
grise de l'incisure linguale, de telle sorte que
Cette disposition va s'accuser encore sur les coupes suivantes. i
Substance
blanche. i FS. Le faisceau sensitif, toujours c
oujours interposées entre le plancher de la corne ventriculaire et la
substance
grise du grand sillon occipito-temporal (o^J. F
graduellement, mais en conservant toujours sa forme quadrangulaire.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif (fig. 9, 11,1
celle-ci envoie dans la profondeur, de dedans en dehors, une bande de
substance
grise recouvrant le fond de la gouttière antérieu
er sillon temporal {t^). D'ailleurs on voit, sur la figure 15, que la
substance
grise qui enveloppe cette incisure rejoint, dans
ce grise qui enveloppe cette incisure rejoint, dans la profondeur, la
substance
grise du premier sillon temporal. ti^ est le pr
(FOi), le bord inférieur au faisceau longitudinal inférieur (FLI).
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif est moins com
me d'un petit faisceau compact (FLi), vertical, situé au milieu de la
substance
blanche du faisceau supérieur du forceps (FOs).
porte dans le gyrus lingual (0^'), où on les voit se terminer dans la
substance
grise. FDF. Faisceau diffus du fornix. — Un nou
donc dans le plan de la coupe et devient blanc; il se dirige vers la
substance
grise du lobe carré dans laquelle il se termine,
ce grise du lobe carré dans laquelle il se termine, ainsi que dans la
substance
grise de la scissure sous-pariétale (voy. fig. 14
icule jusqu'à son extrémité la plus postérieure et se jettent dans la
substance
grise du pôle occipital. Le changement de color
calleux, semble émerger du lobe carré; mais, en réalité, il laisse la
substance
blanche du lobe carré derrière lui ; il vient d'u
tale (sP) n'entame plus que très peu profondément le lobe carré. — La
substance
grise qui revêtait la gouttière antérieure de la
ssement latéral de la corne sphénoïdale dont nous avons déjà parlé.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif, peu compact
ongitudinal inférieur (FL2), sa surface de section s'avance dans la
substance
blanche de la quatrième circonvolution temporale
occipitale interne, se porte directement en dedans, maintenant que la
substance
grise de cette scissure a disparu. Il est donc da
ieure, Cin. Le cingulum, aplati entre la lame festonnée (LFE) et la
substance
grise du pli de passage temporo-limbique (xT), se
paroi interne du ventricule. C'est la corne d'Ammon qui, refoulant la
substance
blanche contre la paroi du ventricule, fait rentr
à leur partie supéro-interne Actuellement elles se confondent avec la
substance
blanche sous-jacenteà l'écorce de la circonvoluti
etit système de fibres arquées, absolument constant, est séparé de la
substance
grise de l'écorce par le cingulum, ainsi qu'on pe
sement, à angle très aigu, des fibres du faisceau moyen du forceps.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif garde les mêm
sceau moyen du forceps se confond en apparence, non seulement avec la
substance
blanche de la circonvolution lim-bique (C), mais
commencement de la saillie de la corne d'Ammon dans le ventricule.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif ne diffère ic
à concavité inférieure ; c'est un vaste faisceau arqué, réunissant la
substance
grise de la scissure limbique à l'écorce de la qu
re. Sa coloration est plus foncée. Il est plaqué exactement contre la
substance
grise du lobe carré (Q) au voisinage du sinus du
en dedans; c'est-à-dire qu'il redevient, là encore, indépendant de la
substance
blanche du lobe carré, avec laquelle il avait par
de. Ici, en effet, son extrémité supérieure ne se confond pas avec la
substance
blanche du centre ovale. Il se replie en dedans e
énavant ces deux faisceaux seront nettement isolés l'un de l'autre.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif, identique à
porale (T4). FCF. Le faisceau compact du fornix, en contact avec la
substance
grise du lobe carré, immédiatement au-dessous du
en avant. Il est placé au-dessus du cingulum (Gin), au-dessous de la
substance
grise de la scissure sous-pariétale (sP). En deho
e les deux angles supérieurs du ventricule entaillent profondément la
substance
blanche. La voûte ventriculaire cesse donc, sur c
ea, dont nous verrons plus loin les rapports, et elle se perd dans la
substance
grise de la circonvolution limbique (C). Fci. L
àia partie la plus postérieure du splcnium, où la coupe 17 entame sa
substance
grise. Cette tache grise représente donc la conve
le corps calleux (ce, voy. le schéma ci-dessus). La continuité de la
substance
grise est interrompue par la pénétration en dehor
la face supérieure du corps calleux. Déjà on peut constater que la
substance
grise entoure le fond du sinus,, en dessus comme
ent la direction des fibres du faisceau supérieur du forceps (FOs).
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif observe la mê
r, c'est-à-dire que beaucoup de ses fibres se sont déjà insérées à la
substance
grise de cette circonvolution. FCF. Le faisceau
à leur couleur foncée. L'extrémité supérieure de l'arc s'adosse à la
substance
grise de la partie la plus inférieure du gyrus fo
r les coupes précédentes. Fci. Fasciola cinerea. La petite masse de
substance
grise attenante à l'écorce du pli de passage temp
onde (sC), le sinus du corps calleux, qui n'est entouré que par de la
substance
grise. Le corps calleux (ce) présente une surfa
. Au-dessous comme au-dessus du splenium, le sillon s'enfonce dans la
substance
grise de l'écorce. Mais il est accompagné par que
delette cendrée (Fci) au contact de l'écorce. Cette faible portion de
substance
blanche est le manteau de la petite circonvolutio
e (Fci) n'est, d'autre part, en rien différente du corps godronné (ou
substance
grise du fascia dentata). Celui-ci ne devient net
porales. Mais ce sont toujours des plis profonds, et, en tout cas, la
substance
grise qui le double présente toujours les mômes r
; ce sera le pilier postérieur du trigone (pl. XVII, fîg. 42, TRp).
Substance
grise. Quoique la substance grise de la corne d
du trigone (pl. XVII, fîg. 42, TRp). Substance grise. Quoique la
substance
grise de la corne d'Ammon ne soit pas assimilable
ès apparente sur la coupe précédente (fîg. 22), cesse aussitôt que la
substance
grise devient reconnaissable. Donc, à ce moment p
25) pour se diriger, d'arrière en avant, au-dessous de cette nouvelle
substance
grise, dans une très grande étendue : on en peut
rises de la circonvolution godronnée sont complètement enveloppées de
substance
blanche. En arrière, en haut, en bas, à droite
isceau triangulaire qui s'insinue en bas et en avant, au-dessous delà
substance
grise godronnée. Sur la figure 24, ce faisceau s'
loin encore. La coupe vertico-transversale 23 entame trois l'ois la
substance
grise de la circonvolution godronnée; la coupe 24
xternes se confondent en une seule, par le fait de l'involution de la
substance
grise sur elle-même. 24 s'aplatir davantage,
si se mouler exactement sur la partie inférieure de cette dernière.
Substance
blanche. FS. Le faisceau sensitif présente la m
avité antérieure. Les trois extrémités supérieures se jettent dans la
substance
grise de la circonvolution limbique. Les trois ex
'apparition du pli de communication ne change rien aux rapports de la
substance
grise du sillon (o£4) avec le plancher du ventric
llon que nous connaissons bien (fig. 27, sC) et qui s'enfonce dans la
substance
grise de la circonvolution lim-bique : le sillon
sinus du corps calleux. Au-dessus et au-dessous du corps calleux, la
substance
grise appartient toujours à la circonvolution lim
'hippocampe (fig. 30, Hip). Le sillon qui continue son trajet dans la
substance
grise de cette circonvolution change lui-môme de
'un peu plus loin (fig. 51, sh), lorsqu'il dépasse une tubé-rosité de
substance
grise appartenant à la circonvolution limbique, e
nterne se montre de plus en plus proéminente, car l'enroulement de la
substance
grise de la corne d'Ammon (fig. 25, 27, 50, Fci)
en plus volumineux. La face inférieure, superposée médiatement à la
substance
grise du grand sillon occipito-temporal (oQ, form
; toujours situé au-dessous de la corne d'Ammon, il s'enfonce dans la
substance
blanche à une grande profondeur, presque jusqu'au
o-interne du ventricule peut être appelé sillon du subiculum (Dsu).
Substance
grise. La masse grise enveloppée par la substan
ubiculum (Dsu). Substance grise. La masse grise enveloppée par la
substance
blanche qui refoule la paroi interne du ventricul
cinerea; une lame blanche (fig. 26 et suiv. LMA), continuation de la
substance
blanche superficielle du corps calleux. Sur toute
0) est la base commune. D'autre part, on peut voir (fig. 28) que la
substance
grise sous-jacente au corps calleux et sus-jacent
ente au corps calleux et sus-jacente au sinus (sC) se rapproche de la
substance
grise de la corne d'Ammon. Sur la figure 50, ces
nce grise de la corne d'Ammon. Sur la figure 50, ces deux portions de
substance
grise se sont réunies. On reconnaît sans peine qu
llon du corps calleux (fig. 28, Fci) ne fait que se prolonger dans la
substance
grise de la corne d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'au
ance grise de la corne d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'autres termes, la
substance
grise de la corne d'Ammon n'est rien de plus que
e dedans en dehors, au-dessous du corps calleux, à la rencontre de la
substance
grise de la corne d'Ammon. Les ondulations de cet
t disposées de telle sorte, qu'au point de rencontre, une partie àe
substance
blanche reste à la périphérie d'une petite masse
ie àe substance blanche reste à la périphérie d'une petite masse de
substance
grise. La figure schématique ci-jointe explique
La figure schématique ci-jointe explique la raison d'être de cette
Substance
grise du fasciola cinerea, plusieurs fois replié
. 1 et 2). Les rapports de la masse grise de la corne d'Ammon avec la
substance
blanche centrale (LMA) s'expliqueront mieux sur l
mieux sur les planches suivantes. Mais on peut déjà comprendre que la
substance
blanche ou lame médullaire de la corne d?Ammon, o
e que la substance blanche ou lame médullaire de la corne d?Ammon, ou
substance
réticulée d'Arnold, ne reste pas enfermée dans la
Ammon, ou substance réticulée d'Arnold, ne reste pas enfermée dans la
substance
grise. Elle provient de la substance blanche du c
d, ne reste pas enfermée dans la substance grise. Elle provient de la
substance
blanche du corps calleux, réfléchie à la partie a
ct des coupes vertico-transver-sales (1, 2, 5) sur la planche XV. LMA
substance
réticulairc d'Arnold rejoignant la fìmbria (FI) a
à mesure que les sections intéressent des régions plus antérieures.
Substance
blanche. ce. Le corps calleux augmente d'épaiss
spect d'un croissant à concavité interne, embrassant le cul-de-sac de
substance
grise qui double le sinus du corps calleux (sC) ;
Au-dessous du corps calleux comme au-dessus, il reste adhérent à la
substance
grise de la circonvolution limbique (C). Et comme
ondément dans l'hémisphère, rétrécit encore davantage l'intervalle de
substance
blanche intercalé entre l'écorce et la face supér
Mais il n'en sera question que plus loin, à propos des rapports de la
substance
grise de la corne d'Ammon (32 Hip). Cavité ,ven
interne du croissant est le sillon du subiculum (Dsu, fig. 54, 56).
Substance
grise. Sur cette planche on voit surtout s'acco
nt de la bandelette cendrée (Fci), et une blanche, prolongement de la
substance
blanche du corps calleux (LMA). Ces deux parties
nt toujours être décrites l'une après l'autre. Sur la figure 51, la
substance
grise sous-jacente et accolée au corps calleux (F
la bandelette cendrée au-dessous du corps calleux, d'autre part à la
substance
grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip).
limbique sont une seule et même chose. Sur les figures 51 et 52 la
substance
blanche de la corne d'Ammon, avons-nous dit, corr
r (LMA) le sillon de l'hippocampe tout entier (sh), par conséquent la
substance
de la bandelette cendrée (Fci) et celle du tuberc
gures 32, 33, 54, elle semble séparer le fasciola cinérea (Fci) et la
substance
grise de l'hippocampe (Hip). En réalité elle ne l
es ondulations, et comme ces ondulations sont toujours revêtues de la
substance
blanche (LMA), celle-ci, sur les coupes verticale
re du fait en comparant les deux coupes 51 et 52. Sur la coupe 51, la
substance
grise du fasciola cinérea se continue avec une po
, fig. 51 et 52) ; et de là elle se répand et s'enfonce partout où la
substance
grise de la bandelette cendrée se replie sur elle
delette cendrée (Tf). Il paraît alors plongé au milieu d'une masse de
substance
blanche (LMA). Mais ce n'est qu'une apparence. La
substance blanche (LMA). Mais ce n'est qu'une apparence. La masse de
substance
blanche est tout simplement la lame médullaire de
îlots gris (Fd et Tf) représentent la partie la plus antérieure de la
substance
grise de la corne d'Ammon, tout à fait au voisina
e un ou deux coups de rasoir, et la section n'intéressera plus que la
substance
blanche qui revêt cette substance grise. Il s'a
a section n'intéressera plus que la substance blanche qui revêt cette
substance
grise. Il s'agit maintenant de préciser les rap
où il se continue avec le fascia dcnlata (Fd) et, plus loin, avec la
substance
grise ¦ de l'hippocampe (Bip). La substance rétic
d) et, plus loin, avec la substance grise ¦ de l'hippocampe (Bip). La
substance
réticulaire d'Arnold (LMA) établit un large trait
ties. 62. du fasciola cinerea (Tf). Cette lente est revêtue de la
substance
blanche de la corne d'Ammon (substance réticulair
Cette lente est revêtue de la substance blanche de la corne d'Ammon (
substance
réticulaire d'Arnold) (LMA). Déjà sur ces deux co
éjà sur ces deux coupes on voit, au-dessous du tubercule, un golfe de
substance
blanche, qui s'enfonce entre le tubercule et la c
rgement ouverte. Sur la coupe 35 en particulier, on s'aperçoit que la
substance
blanche qui enveloppe extérieurement l'écorce gri
liques ou simplement verticales qui n'intéressent pas un seul plan de
substance
blanche et de substance grise. Réfléchie sur la
ticales qui n'intéressent pas un seul plan de substance blanche et de
substance
grise. Réfléchie sur la circonvolution de l'hip
ubstance grise. Réfléchie sur la circonvolution de l'hippocampe, la
substance
réticulaire d'Arnold s'y étale horizontalement de
u'il faut en dire, à propos du faisceau inférieur du forceps (FOi).
Substance
blanche. ce. Le corps calleux, sur cette planch
égion du gyrus fusiforme T*. Dans la région limbique, aplati entre la
substance
corticale et le faisceau sensitif du centre ovale
t exclusivement représenté par une laine blanche, interposée entre la
substance
grise de l'hippocampe et le faisceau inférieur du
es fibres (FOi, fig. 52, 54): il s'enfonce d'arrière en avant sous la
substance
grise de l'hippocampe (Hip, fig. 54), et peu à pe
Om. Le faisceau moyen du forceps est réduit à une sorte de moignon de
substance
blanche, cassé irrégulièrement en dehors, et flot
écorce; leurs "angles d'incidence diffèrent selon l'inclinaison de la
substance
grise sur la partie blanche du manteau. 6. ma
cissure limbique (L, fig. 59, 40), le couteau a entamé un repli de la
substance
grise, qui appar tient en majeure partie à la p
e circonvolution frontale (F1). Puis, plus loin (fîg. 42), on voit la
substance
blanche pénétrer dans ce repli cortical ; c'est l
uis (fig. 42), la scissure elle-même pénétrant dans ce diverticule de
substance
grise. L'apparition de la scissure de Sylvius sur
toujours des modifications notables dans les rapports profonds de la
substance
blanche à son pourtour. Cavité ventriculaire.
re l'extrémité la plus antérieure du bulbe de la corne postérieure.
Substance
grise. Les figures de cette planche sont destin
es des parties constituantes de la corne d'Ammon (fig. 37). Fci. La
substance
grise du fasciola cinerea se porte en dehors vers
n de l'hippocampe (Hip, fig. 38). Sur la première coupe (fig. 57), la
substance
grise du fasciola cinerea (Fci) est réduite à une
nous allons revenir. Sur les coupes suivantes (59, 40, 41, 42), la
substance
grise du fasciola cinerea (Fci) se continue avec
te masse grise (Fd') ; celle-ci est la section d'un autre repli de la
substance
grise de la corne d'Ammon, situé sur une région a
intéresse le repli ou godron Fd et le go-dron suivant Fd'. LMA. La
substance
blanche de la corne d'Ammon (fig. 57), étalée au
, ces taches ont disparu parce que le couteau a passé au-devant de la
substance
grise. Mais la lame médullaire n'est pas pour cel
(fig. 41, 42), à partir du moment où la section passe au-devant de la
substance
grise de la bandelette cendrée. Alors on ne retro
ît encore (Fci) sous le corps calleux, mais ce n'est qu'une couche de
substance
grise d'une extrême minceur, représentant sa part
stater qu'elles ne se continuent pas, à la partie inférieure, avec la
substance
blanche qui recouvre la corne d'Ammon. Entre cell
imbria il y a une bandelette arquée, convexe en haut, qui recouvre la
substance
grise de la corne d'Ammon et qui fait suite à la
ncore ces fibres qui, dans leur ensemble, forment la mince cloison de
substance
blanche que nous avons appris à connaître sous le
foncé en dedans, clair en dehors. La portion interne foncée est la
substance
grise du pulvinar, ou portion la plus reculée du
la figure 42. Nous verrons ultérieurement le trajet de ces fibres.
Substance
blanche. ce. Le corps calleux augmente d'épaiss
eux (sC) est et continue d'être très apparent; la petite languette de
substance
grise qui, au-dessous de lui, s'étale sur la face
S') s'enfonce dans l'hémisphère, repoussant devant elle une couche de
substance
grise dont on reconnaît une tache aberrante au be
ance grise dont on reconnaît une tache aberrante au beau milieu de la
substance
blanche. Cette tache répond au fond même de la sc
rieur. C'est le point où sa cavité présente son maximum de hauteur.
Substance
grise. Les particularités relevées déjà à l'occ
t lui adhérant, on voit une tache blanche représentant la couche de
substance
médullaire qui tapisse le fasciola cinerea. Elle
us du fascia dentata (Fd) la lame médullaire de la corne d'Am-mon, ou
substance
réticulaire d'Arnold. En haut, elle forme le trac
46) un revêtement blanc, étalé horizontalement (LIA) au-dessus de la
substance
grise de l'hippocampe. La lame médullaire en ques
ocampe. La lame médullaire en question est appelée encore quelquefois
substance
réticulaire dArnold ; elle ne se présente pas en
ente par un séjour de 24 heures dans le bichromate d'ammoniaque. LMA,
substance
réticulaire; FI, fimbria; Fd, fascia dentata. S
sorte de treillis, de filet, dans les mailles duquel on reconnaît la
substance
grise sous-jacente, Il peut donc arriver que le
ailles grises au lieu de passer par le treillis blanc. Dans ce cas la
substance
réticulaire d'Arnold ou lame médullaire (LMA) sem
lame médullaire s'enfonce toujours ou envoie un prolongement entre la
substance
grise de l'hippocampe (LC, fig. 46) et le Coupe
Fd, fascia dentata de la corne d'Ammon. LC, lamina convoluta. LMA,
substance
réticulée d'Arnold. LST, stratum lacunosum. FI,
d). Ce prolongement n'est pas, du reste, un simple diverticulum de la
substance
réticulaire. C'est une véritable invagination, da
tre ces deux feuillets circulent des ramifications de la pie-mère. La
substance
blanche de la portion invaginéc s'appelle stral
ontrent, comme les précédentes, qu'il n'est que la continuation de la
substance
grise de l'hippocampe retournée sur elle-même, co
u corps calleux (sC, fig. 45), et qu'il y représentait un repli de la
substance
grise de la circonvolution limbique (C, fig. 45,
ne seule et même chose ; pour mieux dire, c'est la même bandelette de
substance
grise, présentant, suivant les points où on l'exa
s rapports que des rapports de contiguïté. Elle part, en avant, de la
substance
grise basilaire, s'enfonce sous la circonvolution
dentes et encore sur la figure 44 de la planche XV11I, accompagner la
substance
grise de l'hippocampe. Le tractus interne, au-des
ous du corps godronné il s'appelle lame médullaire de l'hippocampe ou
substance
réticu-laire d'Arnold (LMA). Mais c'est toujours
sidérer le taenia tecta et le corps godronné comme la réflexion de la
substance
grise corticale sur elle-même, aussi bien au-dess
l ne s'agit pas là seulement d'une comparaison. Cette réflexion de la
substance
grise corticale est un fait réel et constant, dan
ent le taenia tecta (tec) à la face supérieure du corps calleux. La
substance
réticulaire d'Arnold (LMA) devient le trac-tus de
be de l'hémisphère, c'est-à-dire à toute la portion de l'écorce où la
substance
grise s'arrête et est remplacée par de la substan
de l'écorce où la substance grise s'arrête et est remplacée par de la
substance
blanche. En haut, c'est le corps calleux (ce) ; e
au-dessus du fascia dentata (taenia tecta réfléchi). Au niveau où la
substance
grise de l'écorcc se réfléchit sur elle-même, o
, pour justifier son assimilation avec la scissure limbique. LC. La
substance
grise de la circonvolution de l'hippocampe, avant
horizontale, recouverte par la lame médullaire (LMA), est l'écorce ou
substance
grise du subiculum. Le subiculum a pour limite su
ippocampe, dont la face supérieure, ou subiculum, est tapissée par la
substance
réticulaire d'Arnold (LMA). La substance grise de
biculum, est tapissée par la substance réticulaire d'Arnold (LMA). La
substance
grise de l'hippocampe se réfléchit en bas et en d
et s'appelle d'ailleurs déjà — le hile du fascia dentata (hFd). La
substance
grise de la corne d'Ammon n'est donc qu'une sorte
grise de la corne d'Ammon n'est donc qu'une sorte d'enroulement de la
substance
grise de l'écorce de l'hippocampe, Schéma repré
cinerea et le taenia tecta), on reconnaîtra le même enroulement de la
substance
corticale sur le bord libre de ces dernières part
droit (45, 48). Th. Le thalamus ou couche optique (Th), composé de
substance
grise en dedans, de substance blanche en dehors (
amus ou couche optique (Th), composé de substance grise en dedans, de
substance
blanche en dehors (45, 44, 45) se présente ici co
t en arrière, et qui appartiennent au stratum zonale (ZS, fig. 46).
Substance
blanche. ce. Le corps calleux (44, 45, 47) cons
bercules quadrijumeaux (l'antérieur et le postérieur du même côté).
Substance
grise Fd. La corne d'Ammon, essentiellement con
e de la corne d'Ammon. Sur la coupe 54 on remarquera également que la
substance
réticulaire ou lame médullaire (LMA) divise en de
divise des parties plus antérieures, elle se réduit; un mince pont de
substance
blanche (fig. 51, 52, 55) établit encore line com
u corps bordé, corpus fimbriatum. G. Glande pinéale (49, 52). SG.
Substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. — Au pourtour de l
rtour de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 52) on distingue une masse de
substance
grise qui tapisse de toutes parts la cavité encép
qui tapisse de toutes parts la cavité encéphalo-médullaire. C'est la
substance
grise centrale, recouverte par la membrane épendy
e, complètement isolée encore des parties avoisinantes, est formée de
substance
grise homogène, plus foncée à sa partie interne,
en dedans par les bandes blanches du stratum zonale (ZS, fig. 52).
Substance
blanche ce. Le corps calleux recommence à augme
roi ventriculaire externe, une petite masse grise (NC) perdue dans la
substance
blanche du tapetum : c'est le noyau caudé, c'est
dans la circonvolution de l'hippocampe (fig. 52), se termine sous la
substance
grise du subiculum avec les fibres les plus antér
urface môme du pul-vinar. Il en est séparé toujours par une couche de
substance
grise. Et c'est pourquoi on ne le distinguait pas
aisceau sensitif externe (fig. 56, FSe), mais ne l'atteint jamais. La
substance
grise qui revêt le cul-de-sac ou gouttière de cet
LI) est toujours sous-jacent à ce sillon. Aq. Aqueduc de Sylvius.
Substance
grise. CAM. La corne d'Ammon ne présente rien d
ête représentée ici donne insertion à la toile choroïdienne. SG. La
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius (57, 58, 59) se con
marcation entre le noyau caudé et la couche optique (Tse, fig. 59).
Substance
blanche. ce. Le corps calleux fournit, au nivea
rie foncée, située immédiatement au-dessous et un peu en dehors de la
substance
grise (SG) de l'aqueduc de Syl-vius (fig. 58). Se
e; en arrière il se perd, au-dessous de l'aqueduc de Sylvius, dans la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule, au voi
st placé dans l'angle rentrant formé par le bord inféro-externe de la
substance
grise (SG, fig. 58) et le bord supéro-externe de
in représente ici l'expansion, dans le stratum zonale et même dans la
substance
grise du pulvinar, des fibres de la bandelette op
u longitudinal inférieur (FLI) et du cingulum (Cin), au contact de la
substance
grise de l'hippocampe. Mais ce mélange n'a lieu q
llon du subiculum (Dsu, fig. 58) se poursuit virtuellement jusqu'à la
substance
grise. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale
de l'hippocampe (Hip, fig. 66). Aq. Aqueduc de Sylvius (fig. 61).
Substance
grise. CAM. Corne d'Ammon (Voy. pl. XVII et XVI
stance grise. CAM. Corne d'Ammon (Voy. pl. XVII et XVIII). SG. La
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius (61, 62, 65), plus
arrêtée par le faisceau longitudinal pos-rieur (FLP). La teinte de la
substance
grise est toujours beaucoup plus claire que celle
s. On pourrait d'abord méconnaître, pour cette raison, l'existence de
substance
grise dans cette région et dans d'autres encore ;
e (voy. plus loin Laq). GI. Sur la figure 62, la coupe' a entamé la
substance
grise du corps genouillé interne. La coupe précéd
. Ce noyau, régulièrement ovoïde, est entouré de tous côtés par de la
substance
blanche, sauf toutefois à sa partie antérieure, a
e corps genouillé interne (GI) sont vus par transparence à travers la
substance
de la couche optique gauche; on reconnaît de cett
Schéma 94. CL. Le claustrum ou avant-mur (fig. 65, voy. pl. XXV).
Substance
blanche. PV. Le pont de Varole (61, 62, 65, 64)
mais, comme il reçoit des filets nombreux de la région latérale de la
substance
grise de l'aqueduc (SG), sa partie supérieure est
ammoniaque, les fibres supérieures semblent donc se confondre avec la
substance
grise de l'aqueduc. Aq, aqueduc de Sylvius. SG,
e avec la substance grise de l'aqueduc. Aq, aqueduc de Sylvius. SG,
substance
grise de l'aqueduc. Pcs, entre-croisement des péd
n totalité; elle suit son trajet direct d'arrière en avant jusqu'à la
substance
grise interpédoncu-laire, et même plus loin encor
nterne du thalamus; ZS, stratum zonale du ganglion de l'habénule; SG,
substance
grise de l'aqueduc de Sybïus; VD, racine descenda
Les faisceaux obliques sous-jacents à la glande pinéale recouvrent la
substance
grise (SG) de l'aqueduc de Sylvius. On reconnaît,
ractéristique, figurent, de chaque côté de la pointe inférieure de la
substance
grise, le faisceau longitudinal postérieur (FLP).
à concavité interne, passe, comme une voûte de pont, au-dessus de la
substance
grise de l'aqueduc (SG), franchit ainsi la ligne
remier, et franchit la ligne médiane en se mettant en contact avec la
substance
grise de l'aqueduc. Celle-ci, en effet, se prolon
diffère des précédentes en ceci, qu'elle ne passe pas au-dessus de la
substance
grise de l'aqueduc pour y subir une décussation.
ouges de la calotte ; immédiatement après, elles se terminent dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur, où un petit
ation claire. Le faisceau qu'elles constituent se mêle en partie à la
substance
grise du tubercule quadrijumeau antérieur (QA) ;
aisceau latéral de Reil (Laq); la concavité supérieure circonscrit la
substance
grise de l'aqueduc (SG) ; la concavité inférieure
mais c'est un faisceau qui est parsemé de tant d'amas superposés de
substance
grise qu'on peut le considérer aussi comme un noy
me de hache du faisceau du tegmentum (TEG). Laq, le laqueus ; SG,
substance
grise de l'aqueduc; l'es, pédoncule cérébelleux
orps genouillé interne est comme enveloppé dans sa totalité par de la
substance
blanche (GI, fig. 63) : en arrière par le stratum
dont nous allons parler immédiatement. En dehors il est hmité par la
substance
blanche qui revêt l'écorce de la fosse de Sylvius
la substance blanche qui revêt l'écorce de la fosse de Sylvius. Cette
substance
blanche est la capsule externe (CE, fig. 65). L
dont il se compose. CE. La capsule externe (fig. 65) est la lame de
substance
blanche qui double en dedans le claustrum (voy. p
esse d'exister immédiatement en avant de la commissure postérieure.
Substance
grise. CAM. Corne d'Ammon (voy. pl. XYII et XVI
C. Le noyau caudé (fig. 68) proémine dans la cavité ventriculaire. Sa
substance
grise, homogène, est tantôt libre dans cette cavi
core tout au voisinage de son extrémité postérieure, est une masse de
substance
grise, beaucoup plus claire et beaucoup moins hom
ovenant par conséquent des faisceaux sensitifs; ils pénètrent dans la
substance
grise en se confondant, à leur terminaison, avec
1). (Quoique, dans cette région postérieure du thalamus, toute la
substance
grise paraisse au premier abord confondue en une
étudierons plus loin. En dessous et en arrière de ces deux noyaux la
substance
grise pourrait être appelée noyau postérieur du t
couronne rayonnante (RGE, 71). Mais déjà l'on voit s'agglomérer de la
substance
grise au-dessus du sillon très profond qui sépara
ès profond qui séparait le pulvinar du corps genouillé interne. Cette
substance
grise sera le corps genouillé externe. Pul. Le
ganglion sera étudié à l'occasion des figures de la planche XXIII.
Substance
blanche. FV. Le pont de Varole (fig. 69, 71) pr
FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 69) sous-jacent à la
substance
grise de l'aqueduc (SG) se présente par places se
es et de libres qui s'entre-croisent au-dessous de l'aqueduc, dans la
substance
grise de celui-ci (SG), et spécialement au niveau
tablissant des connexions entre les diirérents étages ou noyaux de la
substance
grise de l'aqueduc. Lem. La couche de Reil ou l
comme faisant partie de la commissure postérieure toute la couche de
substance
blanche qui revêt les corps quadrijumeaux et qui
et se portant horizontalement en dehors où elles se ramifient dans la
substance
grise du thalamus, au-dessus des fibres les plus
s momentanément abandonnée, nous y voyons apparaître, en dehors de la
substance
grise de l'aqueduc, un nou- Profd de la région
e la lamina terminalis, en dedans du corps genouillé interne, vers la
substance
grise du thalamus. Elle ne doit pas d'ailleurs s'
ement progressif du fasciculus arcuatus (ARC, fig. 72), s'accole à la
substance
grise des circonvolutions pariétale inférieure (P
ions pariétale inférieure (P^) et pariétale ascendante (P), et à la
substance
grise de la frontale ascendante (F). Sur la figur
un faisceau très compact, très foncé, triangulaire, s'insérer sur la
substance
grise de la pariétale ascendante (P, fig. 67). Il
rents aux couches optiques par leur face externe et confondus avec la
substance
grise de la glande pinéale, au niveau de la par
-transversale (73) de la planche xxiu. pinéale. Sur la coupe 73, la
substance
grise du ganglion du côté droit se confond avec c
é interne est toujours à une certaine distance de la ligne médiane.
Substance
grise. CAM. La corne d'Ammon ne diffère ici, en
stratum lacu-nosum. On peut même constater, sur la figure 77, que la
substance
grise de la cireoiivoliition de l'hippocampe se
e elle-même cri deux lames superposées, entre lesquelles s'insinue la
substance
réticulaire adjacente à la lame inférieure. Déjà
icales, on voit se succéder d'avant en arrière deux agglomérations de
substance
grise qui, étudiées de près, sont suffisamment di
us savons que l'un et l'autre sont recouverts de tous côtés par de la
substance
médullaire. En haut et en dehors, il est séparé d
mus; UAB, habénule; M, KOuttière de Monro. tous côtés par de la
substance
blanche. En dehors et en arrière, il est limité p
ou frein du conarium (IlAB). On sait qu'au-dessous de l'habénule, la
substance
grise de la couche optique forme la paroi du troi
. Le fait que le ganglion de l'habénule est complètement enveloppé de
substance
lilanche, permet donc de le distinguer très facil
). 1° En J)as et en dedans : Aq, l'aqueduc de Sylvius, tapissé par sa
substance
grise (SG), et surmonté par la commissure postéri
bres postérieures de sa couronne rayonnante (RGE, fig. 74, 75, 78).
Substance
blanche. PV. Le pont de Varole (fig. 74, 75) s'
la couche de Reil au voisinage de la lamina medialis et destinée à la
substance
grise du pulvinar, du corps genouillé interne ou
il se confond insensiblement et sans démarcation appréciable avec la
substance
grise de l'aqueduc. Il est facile de s'expliquer
ncules cérébelleux supérieurs (Pcs). Il se confond maintenant avec la
substance
grise qui entoure l'aqueduc. Il est dirigé presqu
ment en haut et en dehors, contractant des connexions intimes avec-la
substance
grise sous-épendymaire, qui renferme les noyaux m
t en dehors, sous la couche optique, mais toujours au voisinage de la
substance
grise centrale; puis, (le nouveau, marche direc
de pinéale ; FLP, faisceau longitudinal postérieur au-dessous de la
substance
grise de l'aqueduc. Une coupe verticale (69) le
(fig. 75, ZGE) indique déjà la forme extérieure de ce noyau, dont la
substance
grise, située plus en avant, n'est pas encore ent
sceau de la commissure du côté opposé, se perd insensiblement dans la
substance
grise du thalamus (fig. 74, 76, 77), au-dessus du
, le faisceau de la décussation antérieure s'épuise en partie dans la
substance
grise de l'aqueduc, soit en avant de cette substa
n partie dans la substance grise de l'aqueduc, soit en avant de cette
substance
, soit à côté, c'csl-à-(liro au niveau de la rac
érieure CP. Tli, tlialainus ; GII, gang-lion de rhal)énule; SG,
substance
grise de l'aqueduc; FCP, faisceau de la commiss
oy. plus loin (ARC, pl. XXYI). LFS. La capsula extrema (fîg. 67) ou
substance
blanche innommée de Vinsula, ou moelle de finsula
ogive, dont l'arête correspond au sillon médian du corps genouillé.
Substance
grise. CAM. Corne d'Ammon. Nous retrouverons su
Celui-ci est entamé par le couteau à son sommet, qui est recouvert de
substance
blanche réticulaire, ainsi qu'on le constate sur
vile de l'hippocampe; Fd, corps godronné ou fascia dentata ; LMA,
substance
réticulairo d'Arnold ; Bul, bandelette de Giaco
sa partie postérieure. Mais déjà apparaît, en haut et en dehors de la
substance
blanche qui le recouvre, une masse grise qui ap
la plus reculée de la bandelette optique. Sur les coupes 80, 81, la
substance
grise devient plus homogène, en apparence plus co
e Tùrck-Meynert (FM, 83), déjà signalé. Plus en avant (fig. 82), la
substance
grise du corps genouillé est séparée de tous les
rmine. Or on s'aperçoit que, sur les coupes vertico-transversales, la
substance
grise du corps genouillé n'occupe que la moitié i
elleux supérieur ; VV, valvule de Vieussens. couche de Reil et la
substance
noire de Sœmmering. Une très faible distance sépa
locus niger. rieur (FP). Le locus niger est une bande lamellaire de
substance
grise pigmentée, dite quelquefois substance ferru
t une bande lamellaire de substance grise pigmentée, dite quelquefois
substance
ferrugineuse, qui semble isolée et comme perdue a
tance ferrugineuse, qui semble isolée et comme perdue au milieu de la
substance
blanche de l'isthme. Elle sépare absolument l'é
rtico-transversales n'intéressent d'abord que la partie externe de sa
substance
(fig. 79). Plus en avant (fig. 83), la surface de
ule cérébelleux supérieur abandonne quelques fibres au locus niger.
Substance
blanche. PV. Le pont de Varole (fig. 79, 83) pr
ouge, elles vont directement en avant, en dedans de ce noyau, vers la
substance
grise interpédonculaire ; dans ce trajet, elles s
glande pinéale. HAP. On sait que la glande pinéale est reliée à la
substance
grise des noyaux de l'hémisphère par trois petits
dent encore sur les sections suivantes, 84, 85. Il est entouré par la
substance
blanche du stratum zonale. Ce faisceau blanc (IIA
croisés de l'étage supérieur. S'il ne se perd pas en totalité dans la
substance
grise du thalamus, au-dessus et en avant du corps
. Sur la coupe 81 on le voit dans son ensemble se confondre avec la
substance
grise du thalamus; de môme, sur la coupe 82, où l
avec la substance grise du thalamus; de môme, sur la coupe 82, où la
substance
grise commune au thalamus et au faisceau de la ca
ur se répartir, sous la couche optique, AQ, aqueduc de Sylvius; SG,
substance
grise de l'aqueduc; GE, corps genouillé externe
t sur un certain nombre de coupes (83, LTE). La difïerenciation de la
substance
noire de Sœmmering et de ce faisceau est chose im
optique (LML, fig. 82, 83). Bientôt nous les perdrons de vue dans la
substance
grise du thalamus et dans la lame médullaire exte
iger paraît s'étendre jusqu'à la ligne médiane; il n'en est rien : la
substance
noire de Sœmmering s'arrête précisément à la lami
sort du corps genouillé par le stratum zonale (fig. 79, GE) et par la
substance
grise de ce noyau (fig. 80). Lorsque la coupe pas
et répond à la corne d'Ammon tapissée par l'alveus (ALV, fig. 88).
Substance
blanche. CAM. Corne d'Ammon. Des modifications
recessus antérieur du sillon de l'hippocampe (RÀH) est tapissé par la
substance
réticulée d'Arnold (LMA) fusionnée, en apparence,
11 se recourbe maintenant d'avant en arrière en se confondant avec la
substance
grise de l'uncus. L'uncus, en d'autres termes, es
par le sillon de l'hippocampe. De toutes parts il est tapissé par la
substance
blanche de la lame médullaire (LMA) et de la fimb
lle participe, de cette façon, à l'enveloppement du crochet par de la
substance
blanche. On peut constater en outre qu'elle tend
fimbria, d'autre part, émane du corps calleux. Ainsi la fimbria et la
substance
réticulaire sont partie intégrante de cette grand
dent aux terminaisons successives des faisceaux de la calotte dans la
substance
grise du thalamus. Ici (fig. 85), la strie médull
Le claustrum ou avant-mur (fig. 86. 87, 90) est une lame verticale de
substance
grise située entre la substance blanche de l'insu
86. 87, 90) est une lame verticale de substance grise située entre la
substance
blanche de l'insula (LES, 89) et la capsule exter
mple, le corps genouillé interne. Il serait constitué par une lame de
substance
grise repliée plusieurs fois sur elle-même dans u
-à-dire à sa face supérieure et à sa face inférieure, par une lame de
substance
blanche, l'accompagnant dans ses replis. Nous p
tre chose que la lame blanche supérieure de la couronne rayonnante.
Substance
blanche. PY, Le pont de Varole (fig. 87) ne pré
disposition spiroïde, tandis que les coupes 86 et 88 intéressent la
substance
grise du noyau rouge. Ces coupes font donc voir é
té ventriculaire. 11 n'en est séparé que par une couche très mince de
substance
grise. Sur certaines coupes cette couche paraît f
-n" -SG Schéma représentant les noyaux superposés (n, n'n") de la
substance
-n' grise (SG) de l'aqueduc et de la gouttièr
d'étage en étage, au niveau des noyaux échelonnés à la surface de la
substance
grise du troisième ventricule, au fond de la gout
e grise du troisième ventricule, au fond de la gouttière de Monro. La
substance
grise qui tapisse à la fois la gouttière de Monro
bas jusqu'à la gouttière de Monro, s'épanouit en rayonnant dans la
substance
grise de la couche optique : ses fibres postérieu
ntact de la ligne médiane, insensiblement confondue en dehors avec la
substance
noire de Sœmmering (LN, fig. 85). TEG. Le faisc
sceaux. LFS. La capsula extrema (fig. 89) ou moelle de l'insula, ou
substance
blanche innominée, est cette petite bande de subs
e l'insula, ou substance blanche innominée, est cette petite bande de
substance
médullaire qui sépare le claustrum de l'écorce de
interrompue par un élargissement gris du claustrum (CL, fig. 90). La
substance
grise du claustrum cependant n'est pas plus épais
e volume assez notables, suivant que la section l'intéresse en pleine
substance
grise ou dans le plan d'un des faisceaux de sa co
pe commence à entamer {f\, 86, 87, 88). On voit qu'il est accolé à la
substance
grise qui double ce sillon. Mais il conserve touj
ure de la bandelette optique (BO) et la face supérieure de l'uncus.
Substance
grise. CAM. La corne d'Ammon (fig. 91) présente
'y a bientôt plus aucun intervalle entre le fascia dentata (Fd) et la
substance
grise du crochet (fig. 96). A partir de la coupe
n (Une). Une, crochet de l'hippocampe {Uncus). Fi, fimbria; LMA
substance
réticulée d'.4r-nold. Schéma 154. recourbée e
])lanche s'eflace, mais elle est remplacée par une crête semblable de
substance
grise (fig. 95, 96) qui n'est que la continuation
l'uncus ou crochet est, d'autre part, la continuation immédiate de la
substance
grise corticale. Nous verrons plus loin apparaîtr
nous ne prétendons pas pour cela qu'il y ait entre ce faisceau et la
substance
grise de la couche optique plus qu'un rapport ana
1, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte, enveloppé d'une couche de
substance
blanche appartenant aux fibres les plus extérieur
ne reste plus guère, sur la coupe 91, qu'une très faible quantité de
substance
noire de Sœmmering. Le locus niger est traversé e
verticale externe (MLE). D'autres enfin pénètrent directement dans la
substance
grise du putamen ; elles forment sa couronne rayo
planches suivantes. CL. Le claustrum, ou avant-mur (fig. 95, 94).
Substance
blanche. PV. Le pont de Varole esL sectionné ic
sceau en lame horizontale, dirigé d'arrière en avant; il émerge de la
substance
grise de la calotte, et va se jeter dans la couch
diane et se termine un peu plus en avant (pl. XXVR, fig. 101) dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur et dans le g
st ce faisceau qui limite en dehors l'espace perforé postérieur et la
substance
grise du tuber cinerum. On s'expliquera à l'aide
ne, où elles se terminent dans les noyaux de la protubérance et de la
substance
grise interpédonculaire. Le faisceau géniculé,
sceau, encore très foncées, se confondent avec la teinte foncée de la
substance
grise du putamen. Ce qui est certain, c'est que l
fig. 96). CE. La capsule externe (fig. 94) est la lame verticale de
substance
blanche qui est interposée comme une cloison d'ép
sert d'anastomose entre le centre ovale du lobe pariéto-frontal et la
substance
médullaire du lobe temporo-sphénoïdal. Elle renfe
essous de l'insula, ses fibres les plus externes se mélangent avec la
substance
grise du claustrum (CL, fig. 93, 94). Et comme
g. 102), et par la bandelette optique sus-jacente à l'un-cus (Une).
Substance
grise. GAM. La corne d'Ammon (CAM) et Viincus o
d'Ammon (CAM) et Viincus ou crochet (Une) se mélangent intimement. La
substance
grise et la substance blanche de la corne d'Ammon
us ou crochet (Une) se mélangent intimement. La substance grise et la
substance
blanche de la corne d'Ammon se continuent, sans a
e de la corne d'Ammon se continuent, sans aucune démarcation, avec la
substance
grise et avec la substance blanche de Vvncus,{{ig
ntinuent, sans aucune démarcation, avec la substance grise et avec la
substance
blanche de Vvncus,{{ig. 97, 102); on se rend comp
rconvolution de l'hippocampe (Hip), recouvert par une mince couche de
substance
blanche (LMA). Celle-ci est la substance réti-cul
vert par une mince couche de substance blanche (LMA). Celle-ci est la
substance
réti-culaire d'Arnold, qui s'est réfléchie au fon
, est une masse grise bien isolée, enveloppée de tous côtés par de la
substance
blanche et faisant saillie au-dessus et en dehors
horizontales, dirigées de dehors en dedans et qui se perdent dans la
substance
grise du puta-lïien. La plupart s'y ramifient. Ja
horizontal. Le discus lentiformis n'est relié par aucune traînée de
substance
grise avec la couche optique, ni môme avec le noy
ilieu des faisceaux de la calotte et du pédoncule. La seule région de
substance
grise avec laquelle il puisse avoir des connexion
mis a valu à cette couche de fibres le nom de zona incerta (Forel).
Substance
blanche. Ici le tronçon protubérantiel n'est pa
. On remarquera seulement qu'il n'est pas en contact immédiat avec la
substance
grise de la couche optique. Il en est séparé par
calotte. se terminer au-dessus et en dedans du trou borgne dans la
substance
grise du ganglion inter-pédonculaire (vov. pl. XX
essous de ce ganglion, la lamina tegnicnti (LTE), qui pénètre dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur. MF. Le fa
eau du sillon parallèle; il prend ses insertions postérieures dans la
substance
grise qui double ce sillon. ARC. Le faisceau ar
ve plus jusqu'à la surface : la bandelette de Giacomini (BGI) avec la
substance
grise sous-jacente, ferme en dedans le recessus a
émité antérieure de la corne d'Ammon, qu'on reconnaît encore ici à la
substance
blanche du recessus antérieur de l'hippocampe (RA
avant, les faisceaux blancs du pédoncule se placent au contact de la
substance
grise du tuber cinercum (SG, fig. 108); et, en de
rolongement inférieur est le recessus sub snbiculo (Dsu, fig. 108).
Substance
grise. CAM. La corne d'Ammon (CAM, fig. 104) ne
5, 106) est toujours tapissé, en haut comme en bas, par une couche de
substance
blanche, qui est la continuation de la lame médul
t dépassé, en avant, et où il n'est plus représenté (RAII) que par la
substance
réticulaire d'Arnold qui le recouvre : sur ces de
iculaire d'Arnold qui le recouvre : sur ces deux dernières coupes, la
substance
grise affecte une forme ovalaire. La portion inte
Fd). Mais on voit à quel point la fusion est intime. ALV. L'alveus,
substance
blanche (fig. 108), enveloppe de toutes parts la
de toutes parts la lamina convoluta, sauf à sa partie interne, où la
substance
grise se confond avec celle de l'écorcc. BGI. L
La bandelette de Giacomini, à partir de la coupe 103, est un pont de
substance
grise qui réunit la crête de l'uncus avec la régi
nt distinct (fig. 104, 105). En dedans il paraît se confondre avec la
substance
grise du lobule de l'hippocampe. Enfin, en haut,
es de la commissure antérieure. Sur les coupes 107 et 108, on voit la
substance
grise du putamcn se prolonger de dehors en deda
nse du noyau lenticulaire, et va rejoindre, en dedans et en avant, la
substance
grise du tuber cinereum. Nous décrirons plus tard
e, qui lui a déjà été attribué, et qui est très préférable à celui de
substance
grise innominëe (voy. GAP). GLP. Le globus pall
rpédonculaire est une masse ganglionnaire (figure 105) située dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 1
nu, attendu que sa coloration ne diffère pas beaucoup de celle de la
substance
grise au milieu de laquelle il est noyé, on peut
es masses grises se composent. La plupart du temps ils enveloppent la
substance
grise, de manière à constituer autour d'elle une
as jusqu'à l'écorce cérébrale elle-même (sorte d'épanouissement de la
substance
grise centrale) qui ne présente cette stratificat
substance grise centrale) qui ne présente cette stratification de la
substance
blanche, dans toute son étendue, c'est-à-dire par
roflex y pénètrent. On observe en général deux zones concentriques de
substance
blanche : là, la zone interne reçoit selon toute
eçoit les fibres de la lamina tegmenti (voy. plus loin LTE). SG. La
substance
grise interpédonculaire (fig. 104, 105, 106) ou s
). SG. La substance grise interpédonculaire (fig. 104, 105, 106) ou
substance
grise basilaire fait suite, d'arrière en avant, a
capsulaire (MF, 104, 105, 106) qui vient y épuiser ses fibres). Cette
substance
grise intcrpédonculaire correspond, par sa surfac
ps de Luys (DL) ; il abandonne une certaine partie de ses fibres à la
substance
grise de l'espace perforé postérieur (SG), en ava
upe ici encore toute la région du fond de l'insula (voy. pl. XXIX).
Substance
blanche. BO. Bandelette optique (104, 105, 106,
08), où l'on reconnaît deux étages : l'étage supérieur, occupé par la
substance
grise intcrpédonculaire (SG), correspondant à l'e
lanche que nous étudions actuellement, on devrait le chercher dans la
substance
grise qui recouvre, en dedans, le faisceau tegmen
ncore (fig. 105, 105) poursuivre son trajet postéro-antérieur dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur, où elle se
admettre toutefois qu'il est constitué par les lames concentriques de
substance
blanche qui enveloppent le ganglion interpédoncul
es coupes 104 et 105, alors qu'elle chemine à la partie externe de la
substance
grise centrale de l'espace perforé postérieur (SG
ubercules mamillaires (TM) deux petites masses grises perdues dans la
substance
grise de l'espace PV, pont de Varole ; TM, tube
aboutir, en diminuant progressivement de largeur, aux renflements de
substance
grise qui représentent les ganglions interpédoncu
auche, au pied du pédoncule. Elles sont grisâtres, parce qu'un peu de
substance
ganglionnaire les recouvre; mais on ne peut nier
nt pas un long trajet. Presque immédiatement elles s'épuisent dans la
substance
grise centrale, soit de chaque coté de la ligne m
é de la ligne médiane, soit, plus en dehors, dans la portion de cette
substance
qui fait corps avec le pédoncule (voy. SG, pl. XX
font foi d'autre part, que ce faisceau, avant de se terminer dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur, glisse en d
n spiroïde qui indique qu'il revient sur lui-même pour entrer dans la
substance
grise du globus media-lis, comme s'il avait dépas
e dans la capsule interne. Elle se place, en dedans, au contact de la
substance
grise de l'espace perforé (SG), sans entrer en co
lame médullaire externe du thalamus (fig. 106) et en hauteur vers la
substance
grise de la couche optique. Sur la coupe 108, le
es internes de la lamina tegrnenti se terminent manifestement dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur. Celte hypot
antérieures et internes du faisceau capsulairc (MF) se jeter dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur (pl. XXIX, f
(Pcs); le faisceau rubro-thalamiquc (NL); YM. ventricule moyen; SG,
substance
grise du ventricule moyen; Tes, pédoncule cérébel
nvisagée comme un noyau presque absolument isolé par des faisceaux de
substance
blanche étalés en lames à sa surface; et elle n'e
he étalés en lames à sa surface; et elle n'est, en effet, reliée à la
substance
grise centrale (SG) que par un isthme de substanc
effet, reliée à la substance grise centrale (SG) que par un isthme de
substance
grise sus-jacent au noyau rouge de la calotte.
ennent de l'écorcc frontale; elles se jettent et se terminent dans la
substance
grise du noyau externe de la couche optique (NeC,
térieures du faisceau de Vicq-d'Azyr, en s'épuisant peu à peu dans la
substance
grise du les deux suivantes (107, 108) la profo
enfonce d'arrière en avant dans la capsule externe et se perd dans la
substance
grise du claustrum même. On peut reconnaître ici
Sur les coupes précédentes (103 à 106) il était encore adhérent à la
substance
grise du putamen; il en est séparé maintenant (fi
ntes : le segment inférieur de la capsule interne se prolonge dans la
substance
médullaire du lobe teniporo-sphénoïdal jusqu'à l'
du noyau lenticulaire (MLE), se dirigent de dedans en dehors, dans la
substance
grise du putamen (PUT), comme l'indique le schéma
à peu leur teinte sombre; elles s'épuisent donc, à leur tour, dans la
substance
grise. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig.
vers le tubercule antérieur de la couche optique (NaC), séparé de la
substance
grise intra-ventriculaire (Th), par les fibres an
Il n'est séparé de la cavité ventriculaire que par une mince lame de
substance
grise. Il est, sur cette coupe, dirigé en haut et
ans, le faisceau de Vicq-d'Azyr semble naître par deux origines de la
substance
grise du troisième ventricule (fig. 108). Il exis
deux origines à ce faisceau, mais la double origine n'est pas dans la
substance
grise ventriculaire ; elle est dans le tubercule
r antérieur du trigone (DF). Le faisceau d'origine externe naît de la
substance
grise dans une petite masse ganglionnaire qu'on a
eure de ce ganglion. Un grand nombre d'entre elles se perdent dans la
substance
grise du troisième ventricule; un plus grand nomb
étudiant les faisceaux blancs de cette région (voy. BSO, pl. XXIX).
Substance
grise. CAM. La corne d'Ammon n'est plus représe
Dans l'étendue du noyau amygdalien, on reconnaît sur le fond de la
substance
grise des taches plus claires, évidemment formées
de la substance grise des taches plus claires, évidemment formées de
substance
blanche, et qui, sur toutes les coupes en série,
e externe (LML, fig. 112); toutes ces fibres s'entre-croisent dans la
substance
du noyau externe, de telle façon que la lame médu
es de la racine inférieure du thalamus (ThI, 109, 110, 114). SG. La
substance
grise de l'espace interpédonculaire (fig. 109 111
d'un pois de petit calibre, tranchent par leur couleur blanche sur la
substance
grise de la base du cerveau à la surface de laque
ypothèse de Vicq-d'Azyr. TM. le tubercule mamillaire, adjacent à la
substance
grise de la base du cerveau (SG), recevrait le pi
térieur du trigone se contournait comme un 8 dans la profondeur de la
substance
grise basilaire, de façon que le ventre inférieur
çon que le ventre inférieur de ce 8 vînt proéminer à la surface de la
substance
grise (schéma 170). Le faisceau remontant (FVA) e
térieur'de la couche optique; 2, pilier antérieur du trigone; 5, 5,
substance
grise basilaire; i, noyau interne et antérieur du
bres du pilier (2). Ces fibres (7) se jetteraient directement dans la
substance
grise qui constitue la plus grande masse du tuber
pilier, s'infléchiraient sur elles-mêmes (6) pour se porter dans la
substance
grise du tubercule antérieur de la couche optique
bas et en dehors, vers le lubcrcine-reum, et qui se perdrait dans la
substance
grise de l'espace perforé antérieur. Ce dernier f
anse pédonculaire. — En avant du crochet, la bandelette repose sur la
substance
grise du tuber cinereuin, et l'anse est encore à
la subdivision de l'anse pédonculaire en deux couches principales de
substance
blanche séparées par une lame de substance grise.
eux couches principales de substance blanche séparées par une lame de
substance
grise. Mais la difficulté ne réside pas seuleme
à la région de l'espace perforé antérieur (schéma 172). Quant à la
substance
grise qui forme la couche intermédiaire, elle est
e l'anse pédonculaire a été désignée par les Allemands sous le nom de
substance
innominée. Puis on a réservé ce nom à la couche g
cette couche grise que nous allons étudier maintenant (GAP). GxlP.
Substance
innominée. Les anatomistes d'ailleurs ne sont pas
d sur ses rapports avec les parties voisines. On peut se figurer la
substance
grise innominée comme une lame horizontale de sub
se figurer la substance grise innominée comme une lame horizontale de
substance
grise, en continuité immédiate avec la substance
lame horizontale de substance grise, en continuité immédiate avec la
substance
grise du troisième ventricule (TC, schéma 173). C
3). Cette couche horizontale n'est que l'expansion transversale de la
substance
grise interpédonculaire, partie du tuber cinereum
medialis (GLM), et va, gagnant la ligne médiane, se confondre avec la
substance
grise du tuber cinereum (TC). C'est cette lamelle
C'est cette lamelle, émanée de la base du putamen, qui a été appelée
substance
grise innominée. l'étudié que sur des coupes ve
fond aussi, virtuellement, avec celle du côté opposé, au niveau de la
substance
grise du tuber cinereum, on a considéré les lamel
ssure antérieure, il atteint la ligne médiane, il la franchit dans la
substance
grise du tuber cinereum avec laquelle il se confo
tuber cinereum et la lame terminale. CL. Le claustrum (fîg. 114).
Substance
blanche. BO. La bandelette optique (lig. 110, 1
mamillaire. Mais elle en est séparée toujours par un petit espace de
substance
grise parcouru d'avant en arrière et de haut en b
ans avoir traversé le discus lentiformis), prennent naissance dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur (SG, fig. 11
es passent devant le faisceau de Vicq-d'Azyr et vont se jeter dans la
substance
grise du troisième ventricule au-dessus du tuberc
ntage et dire que le faisceau d'Arnold aboutit très probablement à la
substance
grise des circonvolutions frontales, plus spécial
issance dans la capsule blanche de ce tubercule (fig. 109) et dans la
substance
grise (fig. 111) du ganglion lui-même. Dans la pr
croise, en se plaçant au-devant de lui, pour aller se jeter dans la
substance
grise du troisième ventricule (AR, fig. 113, 114)
leur trajet, séparées des trois segments du noyau lenticulaire par la
substance
grise de Vanse (GAP, fig. 114); à leur partie e
en contact intime; et même elles suivent la même direction, depuis la
substance
grise de l'anse (GAP, fig. 112, 114) jusque dans
l (fig. 114) n'est plus relié au corps calleux que par le pédicule de
substance
blanche (PEL) qui représente la cloison gauche du
ant, non seulement dans le putamen proprement dit, mais aussi dans la
substance
grise qui prolonge ce noyau vers la région basila
le est toujours constituée par la face inférieure du corps calleux.
Substance
grise. . NaC. Le noyau antérieur du thalamus (f
férieure du thalamus (ThI). En dedans il se confond en partie avec la
substance
grise du tuber cinereum (TC, fig. 119, 120), à
120), à laquelle est accolée la bandelette optique (BO, fig. 120).
Substance
blanche. BO. La bandelette optique se rapproche
se divisant en deux faisceaux, un antérieur et un postérieur dans la
substance
grise de la couche optique. AR, faisceau d'Arnold
au d'Arnold, encore très compact sur la coupe 115, où il contourne la
substance
grise du tubercule mamillaire de dedans en dehors
r descendant de la voûte (fig. 116,117,118 et suiv.) apparaît dans la
substance
grise du troisième ventricule (SG, fig. 116, 117)
t en dedans, au-dessus du noyau amygdalien (NA), qu'elle sépare de la
substance
grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip),
ansversalement sous la forme d'une mince lamelle (fig. 117), entre la
substance
grise de l'hippocampe (Hip) et le noyau amygdalie
érieur. On reconnaît l'espace perforé aux incisures vasculaires de la
substance
cérébrale, en dehors de la bandelette optique (BO
nse lenticulaire (GAP), sur cette figure, n'atteint plus en dedans la
substance
grise de la racine optique moyenne ; la racine in
vise en deux lames : une profonde récurrente, qui s'enfonce dans la
substance
grise du thalamus ; une superficielle qui va à la
fig. 120) du pilier descendant (DF), qui se continue avec lui dans la
substance
grise du troisième ventricule (schéma 186). Tae
gitudinal continue, plus loin encore, toujours nettement séparé de la
substance
blanche sus-jacente au diverticule, et qui n'est
st séparée de l'espace perforé qnc par une mince bande horizontale de
substance
grise : l'isthme gris fronto-sphénoïdal. A la f
stratum zonale (ZS, fig. 124), et, au devant du stratum zonalc, la
substance
grise du septum luci-dum (GSL, fig. 125). Nous ve
e du septum luci-dum (GSL, fig. 125). Nous verrons que cette masse de
substance
grise n'est que le prolongement du noyau caudé ve
est que le prolongement du noyau caudé vers la base de l'encéphale.
Substance
grise NC. Le noyau caudé (fig. 125), en avant d
u taenia (Tse, fig. 125) se prolonge donc en bas et en dedans avec la
substance
grise du septum lucidum (GSL, 125). Il augmente e
zontal, étendu de dehors en dedans, entre le putamen (PUT, 121) et la
substance
grise du tuber cinereum (SG). A sa partie externe
e la ligne médiane au-dessus et en arrière du chiasma (CH). GSL. La
substance
grise du septum lucidum (fig. 125) est le prolong
ace externe de celte cloison. Il n'existe aucune démarcation entre la
substance
grise de la tête du noyau caudé et celle du septu
taenia. Mais en réalité, la continuité est parfaite. D'autre part la
substance
.grise du seplum lucicum se continue, au devant de
stence même est virtuelle. Au-dessous de la commissure antérieure, la
substance
grise du septum change de nom : c'est la substanc
ure antérieure, la substance grise du septum change de nom : c'est la
substance
grise de la lame terminale. Mais, en fait, c'est
de la lame terminale. Mais, en fait, c'est toujours la même masse de
substance
nerveuse, en continuité avec la masse du tuber ci
reum, en d'autres termes, avec la paroi grise de l'infundibulum. La
substance
grise du septum ne remonte pas, sur la paroi exte
les fibres du pilier descendant de la voûte (DE, 124, 125, 126). La
substance
grise centrale du cul-de-sac antérieur du troisiè
adhérente à la face supérieure du chiasma, est cette mince couche de
substance
grise qui se laisse perforer si facilement, au-de
fig. 125,126), laquelle se confond, autour de la commissure, avec la
substance
grise du septum (GSL). CL. Le claustrum ou avan
GSL). CL. Le claustrum ou avant-mur (fig. 121) est cette cloison de
substance
grise, dont nous avons eu déjà l'occasion d'indiq
des couches plus superficielles, mais faisant partie réellement de la
substance
grise de la fosse de Sylvius. On alla plus loin :
ant-mur. L'avant-mur est une expansion lamellaire, verticale, de la
substance
grise de l'isthme fronto-sphénoïdal (IFS, fig. 12
erforé antérieur (EPA), on voit l'avant-mur (CL) se confondre avec la
substance
grise du lobe sphénoïdal. Cette substance grise e
r (CL) se confondre avec la substance grise du lobe sphénoïdal. Cette
substance
grise est celle qui recouvre la partie la plus an
le 121 de la planche XXXI, la continuité de l'avant-mur (CL) et de la
substance
grise de l'hippocampe est très apparente; elle ne
lui-même une surface dont le développement a pour point de départ la
substance
grise de l'isthme. C'est exactement à l'extrémité
if externe. LAT. La lame terminale (fig. 125, 126), voy. FSL, SG,
Substance
blanche. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (fig
même façon, les fibres de l'anse du noyau caudé sont fournies par la
substance
grise de la tête du noyau caudé, dans la région i
étalée à sa base, c'est que ces fibres pénètrent directement dans sa
substance
(ou en émergent), parmi les faisceaux de la capsu
. DF. Le pilier descendant de la voûte (fig. 121) s'enfonce dans la
substance
grise du troisième ventricule (SG) qui va bientôt
nt est libre dans la cavité ventriculaire avant de s'enfoncer dans la
substance
grise. En haut il se confond avec la voûte (TRI,
cine antérieure du thalamus (ThA). En avant, elle est bornée par la
substance
grise du septum lucidum (GSL), qu'elle ne dépasse
ste au-dessus de la pénétration des artères lenticulo-striées dans la
substance
cérébrale. A ce niveau, d'autre part, la capsule
tries lcnticulo-caudées, dirigées en bas et en dehors au milieu de la
substance
foncée de la racine tha-lamique antérieure (ThA,
t de la voûte (DF). Cette région intermédiaire (GSL, fîg. 125) est la
substance
grise du septum lucidum. Nous savons qu'elle fa
ncule sans traverser le noyau lenticulaire. Celles qui émergent de la
substance
grise du septum sont de ce nombre. Il est aisé de
dessous de la racine antérieure du thalamus (ThA) et au-dessous de la
substance
grise du septum. Elle traverse en partie la racin
e la racine antérieure du thalamus. Elle sort du noyau caudé et de la
substance
grise du septum, immédiatement en avant des fibre
ssocié par places, si bien que la capsule paraît se confondre avec la
substance
blanche de l'espace perforé antérieur; cela tient
Chiasma optique (fig. 122, 125) adhère par sa face supérieure avec la
substance
grise de la lame terminale (LAT, fig. 125) OLC.
ar un faisceau bien compact et dirigé d'avant en arrière, traverse la
substance
grise de l'espace perforé antérieur, puis se port
ré antérieur, puis se porte obliquement en haut et en dedans, vers la
substance
grise de la lame terminale où elle s'épuise (OLM,
portion orbi-taire de la troisième frontale une grande presqu'île de
substance
grise correspondant au cap de cette circonvolutio
tum lucidum (PEL, fig. 130) et la face supérieure du rostrum (ROS).
Substance
grise. NC. Le noyau caudé (fig. 128, 129, 130 e
usionne en bas et en dedans : de cette fusion résulte la gouttière de
substance
grise homogène, au fond de laquelle s'enfonce la
ulaire (ANL, 127, 128) se continue ici, en haut et en dedans, avec la
substance
grise du septum (GSL, fig. 127). Puis, lorsque le
ent limité par la capsule externe (CE, fig. 127, 128, 129). GSL. La
substance
grise du septum (fig. 127) monte sur la paroi ext
127), blanche sur la ligne médiane, foncée en dehors, reçoit dans sa
substance
grise les fibres de la racine olfactive moyenne (
rise de Sœmmering (fig. 127) est un noyau confondu en arrière avec la
substance
grise de la lame terminale; on le distingue diffi
on ne le distingue plus sur la coupe 129. Il est comme perdu dans la
substance
grise du troisième ventricule, à la base de la la
ule, à la base de la lame terminale (LAT) ; il fait même partie de la
substance
grise de la lame terminale : ce qu'on appelle lam
lame terminale : ce qu'on appelle lame terminale étant un feuillet de
substance
grise recouvert, en avant, d'un feuillet commissu
de substance grise recouvert, en avant, d'un feuillet commissural de
substance
blanche. Substance blanche. OLM. La racine ol
ecouvert, en avant, d'un feuillet commissural de substance blanche.
Substance
blanche. OLM. La racine olfactive moyenne (fig.
OLM. La racine olfactive moyenne (fig. 127,128) se termine dans la
substance
grise de la lame terminale (LAT) au-dessus du gan
. 132), la racine antérieure du thalamus se confond en dehors avec la
substance
blanche de la capsule externe ; mais elle conserv
e (fig. 127), s'étend verticalement entre le corps calleux (ce) et la
substance
grise du septum (GSL). On sait qu'il se compose d
se compose de deux parties : une inférieure, volumineuse et toute de
substance
grise (GSL) ; une supérieure, mince et formée de
t toute de substance grise (GSL) ; une supérieure, mince et formée de
substance
blanche (PEL). La substance grise, sur la coupe s
GSL) ; une supérieure, mince et formée de substance blanche (PEL). La
substance
grise, sur la coupe suivante (128), a reçu la pet
tibuli, recouvert à sa partie postérieure par la couche blanche de la
substance
réliculaire; psp, pédoncule du septum lucidum.
SPL, splenium : ROS, roslrum ; TM, tubercule ma-millaire ; GSL.
substance
grise du septum lucidum ; LMV, substance ré-tic
rcule ma-millaire ; GSL. substance grise du septum lucidum ; LMV,
substance
ré-ticulaire du carrefour ; psp, pied du septum
le pied du septum lucidum (psp, schéma 197); la concavité embrasse la
substance
réticulaire du carrefour (LMV) avec laquelle elle
par un sillon tout à fait superficiel. Nous savons, du reste, que la
substance
réticulaire du carrefour, tout le voit sur le s
fait suite à la face supérieure du corps calleux) se confond avec la
substance
réticulaii'e du carrefour (qui fait suite aux ner
ls rapports qu'il ait avec la surface sont ceux qu'il affecte avec la
substance
réticulaire du carrefour (LMY). Le schéma précéde
n divergeant à droite et à gauche, s'épuisant progressivement dans la
substance
grise du lobule orbi-taire; les plus internes von
erne (soi, fig. 129, 130); les plus externes vont se perdre dans la
substance
grise du pôle de l'insula (PI, 127, 128, 132). Ma
'arrière en avant, mais d'avant en arrière. 11 s'épuise ainsi dans la
substance
grise -qui enveloppe le sillon olfactif interne {
e cette planche. Mais déjà à partir de la figure 136, où l'on voit la
substance
grise du cap se fusionner dans la profondeur avec
(RNC, 155, 155) et par des fibres issues du corps calleux lui-même.
Substance
grise. NC. La tête du noyau caudé (fig. 154), d
ibre dans la cavité ventriculaire. Son pôle antérieur se perd dans la
substance
blanche qui l'enveloppe de tous côtés. Mais sa fa
insensiblement avec les faisceaux de cette couronne qui en émanent.
Substance
blanche. ce. Le corps calleux (fig. 155), étalé
iant entre elles les différentes parties de l'insula, se perd dans la
substance
grise du pôle (PI) et dans l'écorce du lobule orb
d de la scissure limbique (L), abandonnant peu à peu ses fibres, à la
substance
grise de la première frontale et surtout à la por
e qu'il faut remarquer surtout sur ces dernières coupes, c'est que la
substance
blanche qui forme le manteau du carrefour garde p
ci est divisée horizontalement, au plus près de la face inférieure.
Substance
grise. NR. Le noyau rouge de la calotte occupe
ité postérieure et s'enfoncer, en avant en dehors et en haut, dans la
substance
grise de la base du cerveau. NC. Le noyau caudé
e section passe par la partie la plus inférieure du noyau caudé, — la
substance
grise n'est pas libre dans la cavité ventriculair
st pas libre dans la cavité ventriculaire; elle est adjacente à de la
substance
blanche (OLl). Les fibres qui s'interposent ainsi
Les fibres qui s'interposent ainsi entre la tête du noyau caudé et la
substance
grise du tubercule de jonction, proviennent de la
étendue depuis la partie inférieure et interne du putamen jusqu'à la
substance
grise du troisième ventricule; ce ganglion se con
rise du troisième ventricule; ce ganglion se confond en avant avec la
substance
grise du septum lucidum GSL (fig. 2 et 3) au deva
au devant du faisceau de Vicq d'Azyr (FVII), et, en arrière, avec la
substance
grise du tuber cine-reum, au devant du tubercule
cine-reum, au devant du tubercule mamillaire (TM, fig. 1). GSL. La
substance
grise du septum lucidum (fig. 2 et 3) se confond
La substance grise du septum lucidum (fig. 2 et 3) se confond avec la
substance
grise de la base, au devant du faisceau de Yicq d
M. La corne d'Ammon (fig. 2 et 3) se présente comme un enroulement de
substance
grise qui fait suite à l'écorce du cap du lobe ca
ubstance grise qui fait suite à l'écorce du cap du lobe carré (CQ).
Substance
blanche. PP. Le pied du pédoncule aborde l'hémi
al postérieur sous-jacent à l'aqueduc de Sylvius (AQ) remonte vers la
substance
grise de l'espace interpédonculaire, en dedans du
dessus du noyau de l'anse (GAP), se porte de dehors en dedans vers la
substance
grise du tuber cinereum ; puis (fig. 2 et 3) elle
if externe provient, en grande partie, de la capsula extrema (LFS) ou
substance
blanche qui double l'écorce de l'insula (IN, fijx
ndelette optique a disparu. Cin. Le cingulum(fig. 3), adjacent à la
substance
grise du tubercule de jonction (TJ), se termine a
ion (TJ), se termine au niveau de l'espace perforé antérieur, dans la
substance
réticulaire d'Arnold, juste en avant du pied du s
act du fornix, au contraire, se reconnaît facifement (fig. 3) dans la
substance
blanche du lobe carré, en avant de la scissure oc
ZONTALES PASSANT IMMÉDIATEMENT AU-DESSUS DE LA RÉGION DE LA CALOTTE
Substance
grise. NR. Le noyau rouge de la calotte n'est v
e. Sur la figure 5 il n'existe plus; on ne voit que la proéminence de
substance
grise qui le réunit au ganglion de l'habénule.
représente la moitié de la gouttière de Monro (M), se confond avec la
substance
ganglionnaire de cette gouttière; cette substance
se confond avec la substance ganglionnaire de cette gouttière; cette
substance
uniformément grise tapisse la paroi du troisième
Azyr (fig. l), sorti du tubercule mainillaire (TM), s'enfonce dans la
substance
grise de la base (fig. 2), puis, de là, dans la c
es. DF. Le pilier descendant de la voûte (fig. 3) est perdu dans la
substance
grise du septum lucidum (GSL). , coupe 6, le ga
faisceau d'Arnold (AR), se continue sans démarcation tranchée avec la
substance
grise du septum lucidum (GSL). On voit encore à s
où émerge la couronne rayonnante du thalamus (Rlh, fig. 5). GSL. La
substance
grise du septum lucidum se confond non seulement
non seulement avec la partie postérieure du noyau caudé, mais avec la
substance
grise basilaire qui enveloppe la commissure antér
teinte claire qui donne l'idée exacte de leur direction. Dans cette
substance
grise du septum lucidum, on voit la section du pi
niveau, est en réalité derrière le septum; seulement, on sait que la
substance
grise du septum se confond, en arrière et au-dess
CAM. La corne d'Ammon semble n'être qu'un simple enroulement de la
substance
grise de l'écorce sur la coupe la plus inférieure
artie du splenium, la plus petite et la plus antérieure, enveloppe la
substance
grise de la corne d'Amnmn : c'est l'alveus (ALV);
mn : c'est l'alveus (ALV); elle se continue avec la fim-bria (FI). La
substance
grise elle-même présente un prolongement tronqué
f) qui correspond à la section du tubercule du fascia dentata (ïf).
Substance
blanche. CID. Le segment postérieur de la capsu
portent en avant et se terminent, au moins en grande partie, dans la
substance
grise de la fente de Monro; les fibres externes,
UPERIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE, c'eST-A-DIRE AU-DESSUS DE l'hABÉNULE
Substance
grise. Sur ces trois coupes la masse opto-strié
e latéral {VF, fig. 7), et se confond en arrière et en dedans avec la
substance
grise du septum lucidum (GSL). Il est parcouru d'
é, à mesure que le niveau de la surface de section s'élève. GSL. La
substance
grise du septum lucidum (fig. 7) occupe exclusive
-cxterne du septum. Elle n'est que la réflexion, sur le septum, de la
substance
même du noyau caudé. Tout à fait en arrière, elle
mmon, puisque sur la coupe 9 on ne distingue plus que des vestiges de
substance
grise accolée à la lyre du trigone (LY). FI. La
du tubercule du fascia dentata pour se continuer avec la lyre (LY).
Substance
blanche. ce. Le corps calleux, sectionné en ava
érieur du trigone. Comme ce dernier, c'est là qu'il se perd dans la
substance
grise du tuber cinereum. — En arrière, le lœnia s
. Là, le taenia passe sous le noyau amygdalien et \a se jeter dans la
substance
grise de la base, en dedans du lobule de l'hippoc
t; la figure 12 représente le plan de section du segment inférieur.
Substance
grise. NaC. Le noyau antérieur du thalamus [cor
horizontales et sont divisées suivant le plan môme de la coupe. I
Substance
blanche. TRp. Le pilier postérieur du trigone (
, dirigées d'arrière en avant. Il ne renferme plus trace des îlots de
substance
grise qui, sur la coupe précédente (pl. XXXVl, fi
e faisceau arqué vient précisément de l'opercule; transversal dans la
substance
blanche de l'opercule, il devient vertical au voi
re dont elle n'est séparée que par la lame festonnée (LFE). LMA. La
substance
réticulaire d'Arnold est la couche de substance b
nnée (LFE). LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche de
substance
blanche qui tapisse le fasciola cinerea (Fci), au
bas, deviendra le sillon de l'hippocampe. Ce sillon est séparé de la
substance
réticulaire par un nodule gris (tec), représentan
sous-calleuses. 1. Voy. pl. XLII, fig. 1. Leur continuité avec la
substance
grise de la corne d'Ammon, bien mise en évidence
are le noyau caudé (NC) des fibres profondes du corps calleux (ce).
Substance
grise. NC. Le noyau caudé, en arrière et en ded
se. NC. Le noyau caudé, en arrière et en dedans, se confond avec la
substance
grise de la lame terminale (LAT). LAT. La lame
A) ; elle se continue en dehors avec le noyau caudé (NC) et avec la
substance
grise de la base du cerveau, qui s'arrête au nive
te en avant de la commissure postérieure (CP), on distingue l'amas de
substance
grise du ganglion de l'habénule (GH). Substance
distingue l'amas de substance grise du ganglion de l'habénule (GH).
Substance
blanche CA. La commissure antérieure, coupée su
ntérieure, coupée sur la ligne médiane, s'enfonce obliquement sous la
substance
grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure po
nterne, s'enfonce obliquement en arrière, en dedans et en bas vers la
substance
grise du troisième ventricule, au-dessous des noy
de l'étage supérieur de la calotte; la couche interne, adjacente à la
substance
grise du thalamus, est formée par les fibres de l
ion a donc lieu juste au niveau du pli de passage temporo-limbique.
Substance
grise. NC. Le noyau caudé, confondu en dedans e
grise. NC. Le noyau caudé, confondu en dedans et en arrière avec la
substance
grise de la lame terminale (LAT), est strié par d
é supérieure du noyau rouge (NR) et le ganglion de l'habénule (GH).
Substance
blanche. Tout ce qui est relatif à la commissur
) et devant la commissure antérieure (CA) ; 5" La pénétration de la
substance
réticulaire d'Arnold (fig. 3, LMV)' dans la subst
nétration de la substance réticulaire d'Arnold (fig. 3, LMV)' dans la
substance
blanche de l'hémisphère, au niveau du tubercule d
couche s'étend de dedans en dehors, 1. On Fa appelée, à ce niveau,
substance
blanche corticale ou réticulée du tubercule olfac
ale ou réticulée du tubercule olfactif; mais ce n'est en somme que la
substance
réticulée d'Arnold. Il n'est pas exact, comme on
nnaît en avant le lobule orbitaire, avec son sillon au devant de la
substance
grise du septum lucidum (GSL, fig. 5), puis se co
i) ; 6" La continuité du noyau de l'anse (GAP, fig. 3 et 4) avec la
substance
grise qui limite en dehors la bandelette optique
uche, qui lui forme une sorte de capsule, le sépare, en dedans, de la
substance
grise corticale; et c'est efl'ectivement d'une vé
que. La figure 4 fait voir sous un nouvel aspect la disposition de la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (EPA). Ici la
lfactif interne [soi) et que, de toutes parts, elle est enveloppée de
substance
blanche. La traînée claire qui la limite en arriè
diagonale. La milice couche lilauche qui la limite en avant est la
substance
réticulaire d'Arnold. En arrière, cette figure
(Fd), d'une part, avec le tœnia tecta (tec), et d'autre part avec la
substance
grise! du pli de passage temporo-limbique (tïT).
C'est là aussi que commence ou se termine, en arrière du splenium, la
substance
réticulaire d'Arnold (LMA). Cette couche blanche
du gyrus lingual ou cinquième occipitale. Elle est recouverte par la
substance
réticulaire (LMA), qui semble présenter une épais
sceau ou fibres du centre ovale. COL Commissure inférieure (dans la
substance
grise du tuber cinereum) . CP. Commissure posté
Ct. Coniniissure terminale. CÏE. Faisceau du tegmentum allant à la
substance
grise du troisième ventricule, fascicidi marginal
édonculaire, prolongement temporal du noyau lenlieulaire (VVernicke),
substance
innominée sous-lenticulaire. GAQ. Substance gri
nlieulaire (VVernicke), substance innominée sous-lenticulaire. GAQ.
Substance
grise de l'aqueduc. GBO. Ganglion basai optique
n sous-frontale. GSf. Deuxième circonvolution sous-frontale. GSL.
Substance
grise du septum lucidum. GVE. Gyrus veslihuU.
tal. LFE. Lame festonnée. LES. Capsula exlrema, moelle de l'insula,
substance
blanche innominée de l'insula. Lm. Lamina media
na ad, pedunculum. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réticulaire d'Arnold. LMA'. La même lame sur un
médullaire externe ou latérale du thalamus. LMV. Lame médullaire ou
substance
réticulaire du carrefour frontal (terminaison ant
tal (terminaison antérieure des nerfs de Lancisi). LN. Locus niger,
substance
noire de Sœmmering. LO. Lobe occipital. LP. L
cipitale interne. RR. Ruban de Reil. RSG. Couronne rayonnante de la
substance
grise centrale. RSP. Repli du splenium. Rth. Ra
F. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire. SU. Sillon de l'
......... 108 Faisceau du tegmentum allant se jeter en haut dans la
substance
grise du troisième ventricule au niveau de l'orif
)................ 172 Subiculum (SIJB)..................... lxxxi
Substance
ferrugineuse (LN)................. 261 Substanc
.......... lxxxi Substance ferrugineuse (LN)................. 261
Substance
grise basilaire.................. 333 Substance
............. 261 Substance grise basilaire.................. 333
Substance
grise centrale sous-épendymaire (SG)......... 355
. 333 Substance grise centrale sous-épendymaire (SG)......... 355
Substance
grise de l'aqueduc de Sylvius (SG).......... 188
.. 355 Substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SG).......... 188
Substance
grise du septum lucidum (GSL).......... 74, 592
... 188 Substance grise du septum lucidum (GSL).......... 74, 592
Substance
innominée de l'insula (LFS)............. 255 Su
.. 74, 592 Substance innominée de l'insula (LFS)............. 255
Substance
grise innominée sous-lenticulaire (GAP)..... 551,
5 Substance grise innominée sous-lenticulaire (GAP)..... 551, 563
Substance
noire de Sœmmering (LN)............viii, 261 Su
. 551, 563 Substance noire de Sœmmering (LN)............viii, 261
Substance
réticulaire d'Arnold (LMA)........xvm, 145, 171
ii, 261 Substance réticulaire d'Arnold (LMA)........xvm, 145, 171
Substance
réticulaire du carrefour frontal (LMY)......... 4
ules unipolaires du renflement ganglionnaire. Ces col- entourent la
substance
ponctuée centrale de Leydig à laquelle leur prolo
(D'après G. Retzius.) 4 .k ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX....... 1
Substance
ponc- tuée de Leydig. Neurones périphé- riq
es périphéri- ques ; elles forment dans l'intérieur du ganglion une
substance
finement granuleuse, véritable feutrage de fibr
nt granuleuse, véritable feutrage de fibrilles nerveuses : c'est la
substance
ponctuée centrale de Leydig, le netrropilème de
, Vicq d'.\zir avait reconnu la ligne brisée, formée par la lame de
substance
blanche que nous désignons depuis Reil sous le
amidaux avec la protubérance annulaire, avec les jambes et loute la
substance
médullaire moyenne du cerveau ». C'est avec des
en 1824, eût pratiqué pour la première fois des coupes minces de la
substance
cérébrale, et que Remak et Ehrenberg eussent déco
ier. Sous l'action de l'imprégnation chromique, les faisceaux de la
substance
blanche apparaissent en effet avec uu ? tHciO a
consistant à sectionner horizontalement et de dedans en dehors, la
substance
blanche de chaque hémisphère par une série de c
chromates, mais encore imprégnées dans toute leur épaisseur par une
substance
solidifiable. Un très grand progrès fut réalisé d
lieu du collodion d'hôpital, on peut employer la celloïdine. Cette
substance
se trouve dans le commerce sous forme de plaques
Inclusion à la paraffine. Pour imbiber de paraffine, un fragment de
substance
nerveuse préalablement durcie dans les bichromate
de racornir la pièce, n'est applicable qu'à de petits fragments de
substance
nerveuse, et ne peut être employé pour des coup
oit dans le collo- dion, mais de préférence dans la première de ces
substances
. Les coupes pratiquées au microtome, sont ensui
n sectionne, à l'aide d'un rasoir très tranchant, tics fragments de
substance
nerveuse de 3 à il millimètres d'épaisseur que
eurs et antéro-latéraux, se développent au sur et à mesure que la
substance
grise em- bryonnaire s'accroît. Les cordons ant
prolongement postérieur effilé du : anal central. L'évolution de la
substance
gri- se et de la substance blanche de la moel
é du : anal central. L'évolution de la substance gri- se et de la
substance
blanche de la moelle s'effectue de haut en bas;
poglosse. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche grise de la .
substance
réticulée. Faisceau longitu- dinal postérieur
érance, donne en outre naissance à la couche grise disséminée de la
substance
réticulée. Les fibres qui naissent de cette c
oncourent à former une partie des fibres longitudi- nales de la
substance
réticulée, ainsi que - les fibres a°cifornzes
ntérieur de là moelle. Au sur et à mesure que la couche grise de la
substance
réti- culée s'accroît, le cordon antérieur prim
lon latéral du .le ventricule. - sli, sillon labial interne. - S/l,
substance
réticulée. 88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L
et viennent se placer en avant de la couche grise disséminée de la
substance
réticulée et du noyau d'origine du grand-hypogl
aux des cordons latéraux, aux noyaux arqués des para- mides et à la
substance
gélatineuse de Rolando. Les fibres de ces cellule
sillon latéral du 4e ventricule. sli, sillon labial interne. - SR,
substance
réticulée. X, pneumo-gastrique. - XII, grand-hy
antielle, la lèvre rhomboïdale fournil l'olive protubérantielle, la
substance
gélatineuse de Rolando, les fibres arciformes i
du trijumeau apparaît plus tardivement, elle forme au niveau de la
substance
gélatineuse de Iiolando, un second faisceau ova
ieure ou bulbaire. - r, raphé. - RCL, restes du cordon latéral. - SR,
substance
ré- ticulée. - Vs, racine spinale du trijumeau.
en outre la mince lamelle interpédonculaire, connue sous le nom de
substance
per- forée postérieure et qui fait partie du pl
43, 44). Le segment postérieur ou mamillaire, donne naissance à la
substance
perforée posté- - rieure, aux tubercules mamill
ncher du cerveau antérieur, de même que la plus grande partie de la
substance
perforée postérieure, appartient au plancher du
ercule médian en deux tubercules latéraux; ceux-ci se recouvrent de
substance
blanche, lors du développement du pilier antéri
avant de l'embouchure du pédicule oculaire, et donne naissance à la
substance
perforée antérieure ou espace quadrilatère de F
ères, où il se confond avec l'area trapaxoïdes de His (fig. 49). La
substance
perforée antérieure s'unit intimement à la base d
séparée toutefois en arrière, chez l'adulte, par une mince lame de
substance
blanche. Quant à la bandelette diagonale de Broca
factives. i j f 3 3 1 l Lobe olfactif posa térieur.
Substance
parfordoi Substancoperforce antérieure. ' '
pare toutelois chez l'adulte, par une petite lamelle irrégulière de
substance
blanche. Jusqu'au deuxième mois de la vie intra
oncule. - Le corps strié^&forme au début, qu'une seule masse de
substance
grise que segmentent frienfot1' des fibres blan
que nous l'avons vu plus haut, avec le lobe olfactif postérieur ou
substance
perforée antérieure. L'extrémité postérieure ou
noyau caudé est en effet réuni au putamen par de nombreux ponts de
substance
grise. L'union de ces parties est encore plus i
lenticulaire, Y avant-mur, le noyau <HMyy6/MM, ainsi qu'avec la
substance
grise de l'espace perforé anté- rieur. Les fi
u corps du trigone, elles entraînent avec elles une mince couche de
substance
grise, l'induseunz griseum, puis se soudent d'a
du tronc et du genou du corps calleux, à une très mince lamelle de
substance
grise, l'indusellm ,fj1'iseum, qui recouvre la
médianes. qui forment les nerfs de Lancisi et des amas latéraux de
substance
grise qui forment les tienia tecta. En avant du
forment le pédoncule du corps calleux et traversent en diagonale la
substance
perforée antérieure, où ils sont désignés sous
des parties grises de l'hé- . misphère (circonvolution du crochet,
substance
perforée antérieure), ce qui ne s'observe dans
ois zones; elle représente le tissu de soutènement primordial de la
substance
grise. La zone des colonnes présente un dévelop
nsidé- rable, et constitue le tissu de soutènement primordial de la
substance
blanche. Les cellules germinatives, sont touj
ransformation des ;ellules épithéliales spongioblastes,. t La
substance
fi- rillaire forme la 6uche des colonnes. L
t La substance fi- rillaire forme la 6uche des colonnes. La
substance
claire rme le voile mar- mat. Disposition r
pu le constater chez de très jeunes embryons de re- quin, en une
substance
trouble, d'aspect fibril- laire, et en une subs
quin, en une substance trouble, d'aspect fibril- laire, et en une
substance
claire, homogène et transparente (fig. 75). La
et en une substance claire, homogène et transparente (fig. 75). La
substance
fibril- laire s'imprègne facilement par les réa
llaire forme un fin reticulum, dans les mailles duquel on trouve la
substance
claire, homogène et transparente. A ce stade,
Le voile marginal i représente le tissu de 1. soutènement de la
substance
blanche. .1 (His), chaque cellule porte en de
marginal, qui formera le tissu de soutènement pri- mordial de la
substance
blanche, constitue un véri- table filtre, qui
core aisément la disposition radiaire du tissu de soutènement de la
substance
blanche. Le tissu de soutènement, ou îîiyelosl)
a corne antérieure; la partie postérieure, don- nera naissance à la
substance
grise de la corne postérieure, et la mince pièce
s du trijzc- meau, forment des îlots situés dans des territoires de
substance
grise (future formation réticulée de l'isthme d
rébro-rachidiens, par des arborisations libres dans des îlots de
substance
grise plus ou moins net- tement circonscrits.
à la cou- che sous-pie-mérienne. Il se divise en général dans la
substance
blanche, en deux ou trois rameaux qui s'écar- t
des premiers neuroblastes, que l'on constate leur présence dans la
substance
grise de la moelle, et ce n'est que beaucoup pl
us tard, vers le quatrième mois (Vignal), qu'elles émigrent dans la
substance
blanche. Chez l'embryon humain, elles apparaissen
uivent la voie tracée par les fibres épendymaires, tra- versent les
substances
grise et blanche du névraxe, et atteignent la pér
rniers vers la périphérie de la moelle. Tant qu'ils siègent dans la
substance
grise, les prolongements primordiaux sont recou
ements primordiaux sont recouverts de très fins ramuscules; dans la
substance
blanche ils deviennent lisses, unis, se réuniss
es cellules voisines et à ceux des cellules névrogliques, qui de la
substance
grise ont émigré dans la substance blanche, et
cellules névrogliques, qui de la substance grise ont émigré dans la
substance
blanche, et forment les septa névrogliques, consi
oglique, l'enveloppe névroglique de Gierke. Très nombreuses dans la
substance
grise embryonnaire, les cellules de la névrogli
bryonnaire, les cellules de la névroglie émigrent peu à peu dans la
substance
blanche, et on les dis- tingue alors, en cellul
usieurs types. a. Les cellules araignées géantes, situées dans la
substance
gélatineuse centrale, et caractérisées par les
ceux des cellules pré- cédentes. 8. Les cellules araignées de la
substance
gélatineuse de Rolando pré- sentent un chevelu
présentent des aspects très variables suivant les régions. Dans la
substance
blanche de la moelle, un petit nombre se rattac
nombre se rattache, d'après v. Lenhossek, au type cellulaire de la
substance
grise. La plupart présentent un aspect particulie
t volumineux, se réunissent en pinceaux, puis se diri- gent vers la
substance
grise dans laquelle ils pénètrent quelquefois jus
a névroglie. (D'après v. Gehuchten.) Cellules de la névroglie de la
substance
blanche (b, d) et de la substance grise (a, c) de
.) Cellules de la névroglie de la substance blanche (b, d) et de la
substance
grise (a, c) de la moelle d'un embryon do vache
ériphériques : Les cel- lules nerveuses centrales siègent dans la
substance
grise de l'axe encéphalo- médullaire, qu'elles
sures antérieure et pos- térieure et pénètrent profondément dans la
substance
blanche (fig. 103). Golgi a eu le grand mérite
e l'écorce cérébrale, dans le lobe optique des oi- seaux, dans la
substance
gélatineuse de' Rolando (Cajal). Les cellules d
ISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 160 libres, à l'intérieur même de la
substance
grise où siège la cellule. Consi- dérées à tort
ostérieure, mais se trouvent disséminées dans toute l'étendue de la
substance
grise et jouent, d'après Cajal, le rôle de cell
la majorité des cellules qui envoient leurs cylindres-axes dans la
substance
blanche de l'axe cérébro-spinal (fig. 109). La
s cellules nerveuses et les fibres nerveuses, entre le volume de la
substance
grise et celui de la substance blanche. Le mode
res nerveuses, entre le volume de la substance grise et celui de la
substance
blanche. Le mode d'origine des dendrites imprim
rkinje, donnent naissance a un cynnare- axe qui pénètre dans la
substance
blanche, émet quelques collatérales à di- rec
rules olfactifs des Vertébrés inférieurs, etc.; que toute région de
substance
grise pourvue de fibres nerveuses terminales po
ales est également dépourvu d'arborisations dendri- tiques. Dans la
substance
blanche du cerveau et de la moelle, on rencontre
ntes cellules nerveuses, réseau destiné à établir une continuité de
substance
, entre les divers éléments du système nerveux.
u moins dense, c'est-à-dire par contiguité et non par continuité de
substance
. En 1889, Cajal eut le mérite d'apporter la pre
s de contact, de contiguïté, jamais des connexions de continuité de
substance
. Ce principe du contact sert de base à toutes nos
limètres de long. (D'après W. Vignal.) a, fibrilles noyées dans une
substance
homogène. b, cellules con- nectives embryonnair
CHAPITRE IV HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE
Substance
grise et substance blanche du système ncrveux
OGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE Substance grise et
substance
blanche du système ncrveux cen- tral. Subst
ance grise et substance blanche du système ncrveux cen- tral.
Substance
grise. i Différences de co- loration de la
loration de la sulls- tance grise suivant t les régions. Ili
Substance
blan- che, sa coloration et sa consistance.
cro- scopique, le système nerveux est essentiellement formé de deux
substances
qui diffèrent par leur aspect, leur consistance
leur consistance, leur structure et leurs fonc- tions. L'une de ces
substances
présente une couleur grise, l'autre une cou- le
ances présente une couleur grise, l'autre une cou- leur blanche. La
substance
grise représente la substance active par excel-
se, l'autre une cou- leur blanche. La substance grise représente la
substance
active par excel- lence, le véritable foyer d'i
tance active par excel- lence, le véritable foyer d'innervation; la
substance
blanche, au contraire, est passive au point de
ve au point de vue de ses fonctions et entièrement subordonnée à la
substance
grise. La substance grise, riche en cellules et
ses fonctions et entièrement subordonnée à la substance grise. La
substance
grise, riche en cellules et en fibres nerveuses,
t translucide, quelquefois même transparente, comme au niveau de la
substance
gélatineuse centrale et de la substance gélatin
ente, comme au niveau de la substance gélatineuse centrale et de la
substance
gélatineuse de Rolando ; sa couleur varie du gris
couche optique, le gris rouge des noyaux rouges de Stilling, de la
substance
ferrugineuse du quatrième ventricule, etc. Ces
fférences de coloration tiennent, non seulement à l'abondance de la
substance
grise en vaisseaux sanguins, mais surtout il la
s considérable de ses cellules en granulations pig- mentaires. La
substance
blanche est constituée presque exclusivement de f
riques ainsi que les deux tiers de l'axe encéphalo-médullaire. La
substance
grise, bien que très molle, présente cependant un
ès molle, présente cependant un degré de fermeté que n'offre pas la
substance
blanche. Cette dernière, de moin- dre consistan
te de pulpe, de là le nom de pulpe cérébrale. La consistance de ces
substances
varie suivant que l'on considère les différente
les nerfs et les ganglions périphériques, la consistance soit de la
substance
blanche, soit de la substance grise, est augmen
iphériques, la consistance soit de la substance blanche, soit de la
substance
grise, est augmentée; partout où le tissu conjonc
faible. Dans le système nerveux central, le mode de répartition des
substances
" blanche et grise varie selon les segments que
selon les segments que l'on considère. Dans la moelle épinière, la
substance
blanche occupe la périphérie et entoure complète-
substance blanche occupe la périphérie et entoure complète- ment la
substance
grise. Dans l'encéphale, la substance grise entou
et entoure complète- ment la substance grise. Dans l'encéphale, la
substance
grise entoure les cavités ventriculaires, recou
sa périphérie et forme des amas disséminés dans son épaisseur. La
substance
grise centrale se présente sous l'aspect d'une lo
former la commissure molle. Au niveau des ventricules latéraux, la
substance
grise se réduit à une très mince couche, qui ne
antérieure et postérieure de ses cornes frontale et occipitale. La
substance
grise périphérique revêt la forme d'une couche ir
Elle représente à peu près les 9 dixièmes de la masse totale de la
substance
grise de l'axe encéphalo-médullaire. La substan
se totale de la substance grise de l'axe encéphalo-médullaire. La
substance
grise, qui est située dans l'épaisseur de l'encép
imités; ils forment, dans ce cas, des nappes mal circon- scrites de
substance
grise, qui s'infiltrent dans les interstices de l
rites de substance grise, qui s'infiltrent dans les interstices de la
substance
t Il Modcdercparti- tion des substances
les interstices de la substance t Il Modcdercparti- tion des
substances
blanche et grise, dansicsystëmoner- veux ce
substances blanche et grise, dansicsystëmoner- veux central.
Substance
grise centrale. 1 Substance grise périphé
dansicsystëmoner- veux central. Substance grise centrale. 1
Substance
grise périphérique. Ganglions eCl'é- lraux
ues, ou noyaux cen- traux. 192 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La
substance
blan- che est formée do li- bres jouant le rô
oyaux gris de l'étage antérieur de la protubérance, etc., etc. La
substance
blanche est essentiellement formée de conducteurs
s, de fibres, qui relient entre elles les différentes parties de la
substance
grise. Elle occupe la périphérie de la moelle é
le et cérébelleuse aux ganglions encéphaliques et ces derniers à la
substance
grise centrale. L'ensemble des fibres qui rel
L'ensemble des fibres qui relient les ganglions encéphaliques à la
substance
grise centrale con- stitue le système de projec
ériphériques, c'est-à-dire par l'ensemble des fibres qui relient la
substance
grise centrale, aux organes de la périphérie du
phalo-médullaire. A côté des fibres rayon- nantes on trouve dans la
substance
blanche des hémisphères cérébraux et cérébelleu
blanche des hémisphères cérébraux et cérébelleux, ainsi que dans la
substance
blanche de la moelle, d'autres faisceaux de fib
3° La cellule nerveuse adulte ; 4° La fibre nerveuse adulte de la
substance
blanche; 5° Les éléments non nerveux, tels que
, Retzius, Sala et Kolliker, au voisinage du canal central, dans la
substance
grise sous-épendymaire, par une extrémité libre
ules de la névroglie, qui se montrent dans toutes les parties de la
substance
grise et de la substance blanche du névraxe, repr
se montrent dans toutes les parties de la substance grise et de la
substance
blanche du névraxe, représentent, grâce à leurs
qui s'enche- vêtre avec le chevelu des-cellules névrogliques de la
substance
blanche et de la substance grise. La névroglie
chevelu des-cellules névrogliques de la substance blanche et de la
substance
grise. La névroglie existe à l'état de pureté aut
granuleux et mesure en général de 8 it 10 u. de diamètre. - Dans la
substance
blanche de la moelle, du cervelet ou du cerveau
constituée par un délicat réseau de fibrilles, noyées au sein d'une
substance
homogène intermédiaire, laquelle se colore fai-
laire l'aspect granuleux spécial signalé par tous les auteurs. La
substance
homogène intermédiaire aux fibrilles est de natur
e toute formation nucléaire, par un réseau de chromatine et par une
substance
intermédiaire molle ou liquide, le ka1' ? foplasm
oppe propre; elles sont simplement limitées par le tissu même de la
substance
grise environnante, c'est-à-dire par la névroglie
rétractée, elle occupe toute la place qui lui est réservée dans la
substance
grise et s'imprègne en général faible- ment par
zone claire, qui correspond à l'espace qu'elle a abandonné dans la
substance
grise. Ces différences d'imprégnation que prése
s ci myéline constituent l'immense majorité des tubes nerveux de la
substance
blanche du névraxe, mais elles sillonnent égaleme
la substance blanche du névraxe, mais elles sillonnent également la
substance
grise, ainsi qu'il est facile de s'en convaincre
de gaine de Schwann est constante dans tous les tubes nerveux de la
substance
nerveuse centrale. Ranvier a montré, en effet, qu
lo-médullaires émettent de nombreuses branches, qui forment dans la
substance
blanche des réseaux capillaires, dont les maill
ailles allongées suivent la direction des fibres nerveuses. Dans la
substance
grise, le réseau capillaire, d'une extrême riches
D'après Flemming, le corps cellulaire est formé, d'une part, d'une
substance
inter- médiaire homogène et fluide contenant qu
se protoplasmique, à striation nettement fibrillaire et d'une
substance
granuleuse intermédiaire . Les fibrilles prot
le ganglion une masse granuleuse, comparable au premier abord à la
substance
ponctuée, décrite par Leydig dans les ganglions n
axe est formé d'un faisceau de w$ fibrilles, plongées au sein d'une
substance
intermédiaire qui l'entoure d'une mince couche,
ne de Schwann. La plupart des auteurs admettent cependant que cette
substance
intermédiaire, le 1wuroplasma de Kolliker, l'ax
admettent que chez les Invertébrés le cylindre-axe est formé d'une
substance
de soutènement finement réticulée, le spol/giopla
ance de soutènement finement réticulée, le spol/gioplasma, et d'une
substance
fluide et homogène, l ? <i ! /o ? a.fH ! o', q
e, l ? <i ! /o ? a.fH ! o', qui jouerait le rôle de la véritable
substance
nerveuse conductrice. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SY
lles sont privées de myéline, ou que si elles en contiennent, cette
substance
n'est pas en quantité assez grande pour donner
: noyaux vaginaux de Ranvier; les au- tres enfin appartiennent à la
substance
gra- nuleuse fondamentale de l'éminence : noy
ntôt rubanées (fig. 145). Ces plaques terminales, dépourvues de
substance
granuleuse, reçoiventles arborisations termin
ibres musculaires sur les fibres tendineuses; ils sont formés d'une
substance
granuleuse, et d'une enveloppe il plusieurs couch
lame capsulaire est formée de fibres connectives, séparées par une
substance
amorphe et disposées en deux couches, l'une inter
au. Il faut prendre en considération l'étendue et l'épaisseur de la
substance
grise, sa richesse en cellules ganglionnaires,
pte de Galien, que, sous le rapport des fonctions, la qualité de la
substance
céré- brale est bien au-dessus de la quantité.
s Danilewski, la densité totale du cerveau est de 1041, celle de la
substance
blanche étant de 1043 et celle de la substance
de 1041, celle de la substance blanche étant de 1043 et celle de la
substance
grise de 1038. Les rapports pondéraux de ces de
e de la substance grise de 1038. Les rapports pondéraux de ces deux
substances
seraient d'après le même auteur de 61 p. 100 pour
teur de 61 p. 100 pour la sub- stance blanche et de 39 p. 100 de la
substance
grise. Bischoff, Dos Hil'11gewicht des Menschen
antérieure de la vallée de Sylvius, et se termine, au niveau de la
substance
perforée antérieure, par un bord tranchant, longé
7ci-1, 7ci-l', plis rétro-limbiques. R, scissure de Rolando.- sbll,
substance
blanche de la circonvolution de l'hippocampe. sec
ndeur de la scissure calcarine. 300 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Substance
blanche réticulée d'Arnold, Sillon de l'hippo
et d'une partie blanche centrale, et reçoivent les radiations de la
substance
blanche du subiculum (fig. 181, 182) (sbll). Les
s en général. Elle est re- couverte par une couche assez épaisse de
substance
blanche d'aspect réti- culé, la blanche réticul
limbiques. 7utl, pli temporo-limbiquc. - R, scissure de Rolande. H,
substance
blanche de la corne d'Ammon. - sec, [sinus du cor
ncit considérablement, et se réduit à l'état d'une mince lamelle de
substance
grise, qui se soude à celle du côté opposé au niv
acine » olfactive interne (Roli) recouverte par une mince couche de
substance
grise est plus petite, moins constante, moins lon
s, comme le bord supérieur du pé- doncule olfactif, par une lame de
substance
grise, en connexion avec l'écorce grise du lobe
tfCt1rÍnterne ;('elle est traversée en dia- gonale par une lame de
substance
blanche, la bandelette diagonale de Broca (bd),
illie à la base du cerveau où il n'est recouvert par aucune lame de
substance
grise, le globus pallidus et le 3" segment du n
- Si, vallée de Sylvius. - Sih, scissure inter-hemispherique. Spp,
substance
perforée pos- térieure. T,, T2, première et deu
deux circonvolutions interceptent un petit espace trian- gulaire de
substance
grise, l'espace perforé antérieur. Chez quelques
actif d ebroca. CB (3 Lobule olfactif postérieur.. Lolp Espace ou
substance
perfo- Epa rée antérieure.... ou Spa Bandelet
. du troisième ventricule ; son bord postérieur se continue avec la
substance
grise du tuber cirzermcnz, son bord antérieur a
d antérieur avec la lame sus-optique. Cette dernière, forme avec la
substance
grise qui recouvre la face supérieure du chiasm
cule, un bord inférieur libre et un bord supé- rieur adhérent il la
substance
innommée de Reichert qui recouvre le globus pal
trajet mais dont elle est constamment séparée par une mince lame de
substance
grise, elle se carac- térise chez l'homme par l
- ceau du tuber cillel'ell1n et dont les fibres s'irradient dans la
substance
grise située entre le pilier antérieur du trigo
ndibulum. p, étage inférieur du pédoncule. - Po, protubérance ? pp,
substance
perforée postrieure.-Tc, tuber cinereum. - Tm,
ise de la base et se continue en avant, par l'intermé- diaire de la
substance
grise qui tapisse la face supérieure du chiasma e
us-optique et les espaces perforés anté- rieurs, en arrière avec la
substance
grise qui tapisse la face supérieure des tuberc
t l'espace inter-pédonculaire. Le tuber cinereum, fait partie de la
substance
grise centrale du troisième ventricule qu'il ferm
pleine, sur le corps pituitaire. Elle est formée par une lamelle de
substance
grise, qui se con- tinue avec la substance gris
ormée par une lamelle de substance grise, qui se con- tinue avec la
substance
grise du tuber cinereum et entourée d'une couche
eure du troisième ventricule. Ils sont essentiellement formés d'une
substance
blanche périphérique, provenant en grande parti
d'Azyr, et d'un noyau gris central, qui se continue en haut avec la
substance
grise centrale, qui tapisse le fond du ventricule
et la région des tuber- ? \Ug¡'-ifuai{¡'3jumeaux, et se perd dans la
substance
grise de l'aqueduc de s&r.1'¥.11 ft ! . Il
ue en avant et en dehors, dans le fond duquel on aperçoit un peu de
substance
noirâtre, et le long duquel émerge le nerf oc2c
ent un sillon longitudinal, dans le fond duquel on trouve un peu de
substance
noirâtre; c'est le sillon latéral de l'isthme d
avité du cerveau moyen; 2° de chaque côté, on trouve une traînée de
substance
noi- râtre, toujours très visible, le locus nig
e Reil latéral. Rm, ruban de Reil médian. Tpo, toenia pontis. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Syl- vius. - si, sillon l
de l'aqueduc de Syl- vius. - si, sillon latéral de l'isthme. - SR,
substance
réticulée. - Vc, racine encéphalique ou petite
upe toujours une situation profonde et se trouve en- globée dans la
substance
grise de la commissure grise de la base. Mais sur
lle apparaît dans l'espace inter-pédonculaire, de chaque côté de la
substance
perforée posté- rieure, sous la forme d'un peti
stance perforée posté- rieure, sous la forme d'un petit faisceau de
substance
blanche, le péclota- cule du tubercule mamillai
avant, les tubercules cltraclrijo- meaux en arrière, le raphé et la
substance
perforée postérieure en dedans, région dont la
ailles desquelles on trouve des amas plus ou moins considérables de
substance
grise (fig. 189, 193). Cette substance réticulé
us ou moins considérables de substance grise (fig. 189, 193). Cette
substance
réticulée occupe dans la calotte les parties an
à la couche optique. Constitution de la calotte du pédoncule.
Substance
réticulée. Xoyau rouge de Stilling. Pédoncu
t it l'entre-croisement de Meynert. Rm, ruban de Reil médian. - SgAq,
substance
1 grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli, substan
l médian. - SgAq, substance 1 grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli,
substance
réticulée. - Stri, stratum intermedium du pied
émisphère comprend : en haut, le corps calleux (Ce), vaste voûte de
substance
blanche à libres transversales, qutaIrecte lWorme
me ventricule (V1) et, de chaque côté, deux volumineux ganglions de
substance
grise, la couche optique (Th) en dedans, et le
culaire ou membrane épendymaire, qui repose sur une mince couche de
substance
grise; ils sont complètement indépendants l'un
face externe de la couche optique, sont en rapport avec une lame de
substance
blanche fort importante, la capsule interne de
sépare la couche optique et le noyau caudé d'un troisième noyau de
substance
grise,, de forme triangulaire, qui n'est en con
(NL3) est intimement uni . au noyau caudé par de nombreux ponts de
substance
grise qui traversent la capsule interne ; il pr
n trouve, appliquées de dedans en dehors, d'abord une mince lame de
substance
blanche, la capsule externe (Ce), puis une traî
de substance blanche, la capsule externe (Ce), puis une traînée de
substance
grise, Y avant-mur (AM), enfin la substance bla
e), puis une traînée de substance grise, Y avant-mur (AM), enfin la
substance
blanche qui double l'écorce grise des circonvol
e Sylvius. - Sexv, .surface extra-ventriculaire du thalamus. - Sgc,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épend
ra-ventriculaire du thalamus. - Sgc, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épendymairc. Si, septum lucidum. SJI
rés de l'écorce grise des circonvolutions, par une vaste étendue de
substance
blanche, désignée sous le nom de centre ovale d
se par la face supérieure du corps calleux; elle n'intéresse que la
substance
blanche des hémisphères circonscrite par l'écor
alleux. - sol, sillon de Monro. - sp, scissure sous-pariétale. - Spp,
substance
perforée postérieure. - Te, tuber cincreum. - T
les du corps calleux, en arrière et en dehors, et se perdent sur la
substance
perforée antérieure. En arrière, les nerfs de L
inuent soit avec le fasciola cinerea (Fc) (fig. 1 i.9) soit avec la
substance
blanche réticulée de la circonvo- lution de l'h
lleux (Cc[r]). Le som- nuit du bec se réduit à une mince lamelle de
substance
blanche, la commis- sure blanche de la base de
du troisième ventricule (V3), et comme telle est recouverte par la
substance
grise centrale (Sgc), et par l'épendyme ventricul
um, passent en avant de la commissure antérieure et se rendent à la
substance
perforée anté- rieure. Ces fibres constituent l
d'Ammon. Lins, lame médul- laire superficielle de la corne d'Ammon (
substance
réticulée d'Arnold). NC', lueue du noyau caudé.
uban de Reil médian. Rp, partie pédonculaire du ruban de Reil. -SR,
substance
réticulée. T,gp, pilier postérieur du trigone. Th
orne d'Ammon. Lms, lame médullaire superficielle de la corne d'Ammon (
substance
réticulée d'Arnold). Ln, locus niger. - Nu, que
corps calleux. - SM, sillon de Monro. SI', septum lucidum. - Spp,
substance
perforée postérieure. STh, région sous-optique.
s plus irrégulières. La couche externe ou blanche, l'analogue de la
substance
blanche, reçoit, en arrière, les fibres longitu
l'adulte par un épithélium pavimenteux qui repose sur une couche de
substance
grise riche en névroglie. L'épaisseur de cette
couche de substance grise riche en névroglie. L'épaisseur de cette
substance
grise sous-épendymaire (Sge), est insignifiante
termi- nale d'Aeby (vt), tapissé par l'épendyme ventriculaire et la
substance
grise sous-épendymaire (fig. 177). Le ventric
nt convexe de la couche optique (Th), revêtue d'une mince couche de
substance
grise, la substance grise centrale (Sgc); la ré
che optique (Th), revêtue d'une mince couche de substance grise, la
substance
grise centrale (Sgc); la région inférieure, ou ré
issure grise de la base (losange opto-pédonculaire, tuber cinereum,
substance
perforée postérieure, etc.), en arrière et en deh
n arrière et en dehors par la région sous-optique. Une lamelle de
substance
grise, la commissure molle ou grise (com), situ
ssure de Rolande. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sgc,
substance
grise centrale. Sge, substance grise sous-épend
xtra-ventriculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - S
des pédoncules cérébraux (fig. 213); plus en avant se trou- vent la
substance
perforée postérieure et le tuber cinereum (te).
corpora striata média qui correspondraient d'après Vicq d'Azyr, à la
substance
grise des pédoncules cérébraux, et d'après Burd
circulaire (yeminzem centi-itin semi-cinczclccre),une bandelette de
substance
blanche située entre les corps striés et la cou
i caudatus, lentiformis et tseniaformis, séparés par trois lames de
substance
blanche, les capsules interne, externe et extrê
sule extrême. Le nucléus tseniaformis, mince bandelette dentelée de
substance
grise, a été signalé et figuré pour la première f
ans le ventricule latéral; par sa face inférieure, il repose sur la
substance
blanche des lobes frontal ou temporal, et appa-
j'orr' antérieur. Sa face interne répond à la couche optique, à la
substance
grise sous-épendymaire du ventricule latéral, a
pports qu'il affecte avec la capsule interne ; celle-ci traverse sa
substance
sous forme de stries ou de gros faisceaux blanc
omplète, ils sont en effet intimement unis par de nombreux ponts de
substance
grise; et au niveau de l'extrémité antérieure d
lenticu- ... laire) et de son union avec le noyau amygdalien et la
substance
perforée antérieure. Le noyau caudé est coloré
t avec la masse blanche des circonvolutions orbitaires. p, ponts de
substance
grise reliant le noyau caudé au noyau lenticula
dont la face supérieure lui est parallèle, de nombreuses travées de
substance
grise qui traversent la capsule interne, et établ
1 372 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses rapports avec . la
substance
grise sous-opendymaire et le faisceau occipit
egment du noyau lenticulaire, dont elle est séparée par une zone de
substance
blanche comprenant la .couronne rayon- nante du
spond, à l'angle externe du ventricule latéral. Il est coiffé de la
substance
grise sous- FiG. 215. Paroi inférieure de l'éta
ventricule latéral, où elle est recouverte par une mince couche de
substance
blanche facile à enlever par un grattage léger
aisseaux artériels et vei- neux, parallèles entre eux, émanés de la
substance
perforée antérieure et dont la direction est ve
einterne. Elle est reliée au noyau caudé par de nom- breux ponts de
substance
grise. La face inférieure, presque horizontale, e
eure recourbée de la queue du noyau caudé (NC"), par une lamelle de
substance
grise volumineuse et constante connue sous le n
per- foré antérieur (Spa) par l'anse pédonculaire de Gratiolet, ou
substance
inno- minée de Reichert (Sti) qui contient troi
ois segments concentriques, nette- ment délimités par deux lames de
substance
blanche, les lames médullaires externe et inter
couche optique ou thalamus (Th) constitue une masse volumineuse de
substance
e grise, irrégulièrement ovoïde, dont la grosse
paroi latérale du troisième ventricule; elle est recouverte par la
substance
grise centrale (Sgc) et tapissée par l'épendyme
rapports suivants : par sa partie antérieure, elle pénètre dans la
substance
grise qui tapisse le plancher du troisième vent
mus. j| Son pédoncule an- térieur. i gone, et repose sur la
substance
innominée de Reichert (Sti), zone de sub- - sta
ubstattia iniioi21111(ita (Sti) (fig. 230 et 231). En arrière de la
substance
innominée, la face inférieure, plus large, de l
thalamique de Forel (fig. 247 à 252). Cette région s'étend de la
substance
innominée de Reichcrt au locus niger de Soernme
forment un véritable réseau, dont les mailles sont remplies par la
substance
grise. .Celle disposition donne à la face exter
externe est séparé des noyaux antérieur et interne par une lame de
substance
blanche, la lame médullaire interne du thalamus (
rieur; en arrière, il se continue ainsi que Luys l'a montré avec la
substance
du pulvinar. Nettement limité en de- dans par l
n'intéressent que les noyaux externe et antérieur. Recouvert par la
substance
grise du troisième ventricule au niveau de la c
Depuis Reil, on désigne sous le nom de capsule interne une lame de
substance
blanche comprise entre le noyau lenticulaire d'un
e et striée, celle qui se continuait en avant et en arrière avec la
substance
blanche des hémisphères, en haut avec le centre o
ales (fig. 241 à 252), elle se présente sous la forme d'une lame de
substance
blanche dirigée obliquement de haut en bas et d
- quemment interrompu, surtout en bas et en avant, par les ponts de
substance
grise qui relient la tète du noyau caudé au put
r le bichromate de potasse produit un état de différenciation de la
substance
blanche du système nerveux, bien connu depuis lon
t laquelle sont sectionnées les fibres de tel ou tel faisceau de la
substance
blanche, mais encore il l'angle d'incidence des
uation et des rapports des noyaux gris soit entre eux, soit avec la
substance
blanche, et nous permet de suivre, dans une par
la première circonvolution limbique (L,). Elle n'intéresse que la
substance
blanche de l'hémisphère, entourée par les circo
la première ! tt circonvolution occipitale (0,) et du cunéus (C). ,
Substance
blanche. Dans la masse blanche de l'hémisphère, i
tecta (tec) qui représente le véri- table limbe de l'hémisphère.
Substance
blanche. - Le corps calleux (Ce) est sectionné da
gue par ses contours assez nets. Il est séparé du ventricule par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge), réduite au niveau d
ment au microscope. En arrière (Sge') et surtout en avant (Sge), la
substance
grise sous-épendymaire aug- - 1 ? 1% : , F3, pr
ure de la scissure de Sylvius. scc, sinus du corps calleux. - Sc/e,
substance
grise sous-épendymaire de la corne frontale. -
Sc/e, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé,
substance
grise sous-épendymaire de la corne occipitale. -
ités - , antérieure et postérieure du ventricule latéral (VI). La
substance
grise sous-épendymaire (Sge, Sé), est embrassée p
après la fermeture antérieure du ventricule on le retrouve entre la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et le pied de la cou
228). En arrière, le faisceau occipito-frontal recouvre de môme la
substance
grise sous-épendymaire qui coiffe le carrefour ve
s perpendiculairement ou obliquement, sillonnée de prolongements de
substance
grise, que lui envoie le noyau caudé. Les fibre
I) est assez étendu, son extrémité antérieure est en- tourée par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et par le faisceau o
rémité postérieure par une couche beaucoup plus mince de cette même
substance
grise sous-épendymaire (Sgé), et par le corps cal
au milieu des- quelles, on trouve disséminées des petites masses de
substance
grise, appartenant au putamen (NL3) et quelques
grise, appartenant au putamen (NL3) et quelques prolongements de la
substance
grise de la 1(t( ! du noyau caudé. La capsule i
Th) et l'extrémité supérieure du putamen (NL : ,). L'écorce et la
substance
blanche sous-jacente ne différent de celles de la
lleux pénètrent dans le lobe frontal entre le cingulum (Cing) et la
substance
grise sU/ls-l;pl'nd ! l1/wirl ! (Sge) coiffée du
en dedans le carrefour ventriculaire (VI) dont il est séparé par la
substance
grise sous-épendymaire (Sâ), réduite il une mince
sur coupe précédente, elle envoie - ' au putamen (NL.,) un pont de
substance
grise assez large, qui traverse le segment anté
do la scissure de Syivius. sec, sinus du corps calleux. - Sge, Sgé,
substance
grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - s
ACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 397 sur la coupe précédente, les îlots de
substance
grise appartenant au putamen. (NL3) sont cepend
eux. Sexv, surface extra- .. ventriculaire du thalamus. - Sge, Sgé,
substance
grise sous-ilxnds-maire. - SI, septum luci- dum
ou du corps calleux (Ce) et le pilier antérieur du trigone (ta). La
substance
grise sous-r;pendY1nail'e (Sge) n'est apparente
leux. - - .xu, surface extra-ventriculairc de la couche optique. Sge,
substance
grise centrale. - SI, septum lucidum. - l ? 1·.
putamen (NL3) par trois couches, une blanche externe, formée par la
substance
blanche de l'insula ou capsule extrême (Cex), u
sulaire postérieure est en rapport avec Yopercule rolandique (OpR).
Substance
blanche. La masse blanche sous-jacente à l'écorce
al. Au niveau de la corne frontale, on trouve comme précédemment la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occ
du noyau lenticulaire ou putamen (NL3), est relié par des ponts de
substance
grise, il la tête du noyau caudé (NC), et à la po
ux. - Sexe, surface extra-ventriculaire de la couche optique. S,ge,
substance
grise sous-épendymaire de la corne frontale. SI,
. .S'e.Et', surface eztra-ventriculairc de la couche optique. -Sye,
substance
grise sous-épendçntaire de la corne frontale. -
ntricule latéral (Voc), dont elle n'est séparée que par une lame de
substance
blanche qui double en dedans la corne occipital
re ou profonde du lobe limbique (L, ), est recouverte par une lame de
substance
blanche, la substance réticulée d'Arnold (Lms),
imbique (L, ), est recouverte par une lame de substance blanche, la
substance
réticulée d'Arnold (Lms), formée aux dépens d'un
e l'hippocampe à la face externe du lobe limbique et constituant la
substance
réticulée ou lame médullaire superficielle d'Arno
). La partie adhérente du trigone concourt à formel* l'alvéus ou la
substance
blanche intra-ventriculaire de la corne < ? tx
genou du corps calleux (Cc[g]); son angle externe est coiffé par la
substance
grise sous-épendymaine du ventricule latéral (Sge
aires sont simplement accolées dans cette région, et entourées par la
substance
grise sous-épendymaire, qui double le fond de l
l'écorce de la région, entourée d'une couche mince mais complexe de
substance
blanche. (Voy. Coupes vel'tico-tl'ansvel'salcs 11
Coupes vel'tico-tl'ansvel'salcs 116 et 1 ° ? ? , fig, 63 et G 1. )
Substance
blanche. - Cette substance diffère peu ici de ce
salcs 116 et 1 ° ? ? , fig, 63 et G 1. ) Substance blanche. - Cette
substance
diffère peu ici de ce qu'elle est sur les coupe
rieure de la scissure de Sylvius. sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise centrale. Sge, substance grise sous-epend
sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge,
substance
grise sous-ependymaire. - T,, T3, première et deu
troisième segment, du noyau lenticulaire (NL) par quelques ponts de
substance
grise, elle en est séparée par le segment antérie
il divise en deux parties. La partie antérieure est tapissée par la
substance
grise centrale (Sgc) du troisième ventricule (V
rapport au niveau de l'angle antéro-externe du ventricule, avec la
substance
grise soo.s-r·pendyrzaire (Sge) et le faisceau
u du fond de la scissure calcarine (K), on trouve une lame mince de
substance
blanche, que les sels de chrome, et surtout les
le de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - S7c,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise' sous-ép
ec, sinus du corps calleux. - S7c, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise' sous-épendymaire. Sih, scissure inter-hémi
adrijumeau antérieur. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sge,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épend
ions optiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épendymairc. T, , ? 2, T3, première,
corne d'Ammon (CA) surmontée du pilier postérieur du trigone (Tgp),
Substance
blanche. Le cingulum (Cing) est sectionné en avan
de la corne frontale, et conserve, en dehors, ses rapports avec la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et le fais- ¡;eau
t de la lame terminale embryonnaire (lt) où elle se confond avec la
substance
grise, qui forme à la face inférieure du cer- v
ur. - RC, radiations de la calotte. -- RTh, radiations optiques. SAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance
ions optiques. SAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen-
se de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épen- dymaire. - so, sillon sus-orbi
t plus prononcée que l'on considère des coupes plus inférieures. La
substance
grise de la corne d'.41/1.11lon se continue avec
d'arrêt de l'écorce cérébrale. .É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Substance
blanche. - La masse blanche du lobe occipital est
e l'hippocampe (H) et se dilate dans certains cas pathologiques. La
substance
blanche de l'hippocampe le contourne, et forme
isparu, mais on retrouve toujours, coiffant le noyau caudé (NC), la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) qui se dis- tingue
nférieure du globus pallidus dans la région désignée sous le nom de
substance
innominée de Ileichel'l (Stil ou d'anse pédoncu
cérébral. , . On trouve dans cette région limitée en dedans par la
substance
grise centrale (Sge) du troisième ventricule (V
avant et en dedans, par l'anse du noyau lenticulaire (Al). Dans la
substance
grise centrale (Sge), on trouve la section perp
en arrière et en dedans. Il est nettement délimité en avant par la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius (SAq) qui fait su
a substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SAq) qui fait suite à la
substance
grise centrale (Sge) du troisième ventricule.
uve le corps genouillé externe (Cge), réduit à une mince lamelle de
substance
grise, dans laquelle s'irradient les fibres du'se
dente (lignes 70 des Ji-. 217 et 218). , Cette coupe passe par la
substance
innommée de Reichert (Sti) et la partie supérie
lanches qui appartiennent en partie au faisceau, uncinalus (Fuj. La
substance
grise .eou.e-nlrcnclynaai>v (Sge) et les fibre
olet. - S (a), branche antérieure de la scissure de Sylvius. - Sq Aq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance g
de Sylvius. - Sq Aq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - Sti, substance innommée
l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sti,
substance
innommée, de Reichert. so, sillon sus-orbitaire
e, on trouve la section de l'aqueduc de Sylvius (Aq), entouré de sa
substance
grise, et coiffé du tubercule quadrijumeau antéri
ve une couche blanche, intermédiaire entre le globus pallidus et la
substance
grise de l'espace perforé antérieur. C'est la s
lidus et la substance grise de l'espace perforé antérieur. C'est la
substance
innominée de Reichert (Sti), l'anse pédonculaire
troisième paire, avec le faisceau longitudinal postérieur (Flp). La
substance
innommée de Reichert (Sti) est limitée, en avant
l- loso-marginal. Elle intéresse la base du cerveau au niveau de la
substance
perforée antérieure (Spa) et le pied du pédoncu
omplètement séparés ; ils sont réunis et fusionnés entre eux par la
substance
innommée de Reichert (Sti) et par la substance gr
nés entre eux par la substance innommée de Reichert (Sti) et par la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Spa) ; ils
(coa). Dans l'espace compris entre la tête du noyau caudé (NC), la
substance
inno- minée (Sti) et le pu/amen (NL.,), on trou
ou quatre rangées, et qui correspondent il la partie externe de la
substance
perforée antérieure de la base. La couche grise s
edans des orifices vasculaires correspond à la partie interne de la
substance
perforée antérieure (Spa), et relie la substanc
rtie interne de la substance perforée antérieure (Spa), et relie la
substance
innominée (Sti) au noyau caudé (NC) ; elle est
audé (NC) ; elle est limitée en dedans par le dernier vestige de la
substance
grise centrale (Sgc), qui entre déjà dans la co
(Te) et de la partie profonde du tubercule mamillaire (Tm). Dans la
substance
perforée antérieure (Spa) on trouve les dernièr
en avant par la lame terminale embryonnaire (It), en arrière par la
substance
perforée postérieure (Spp). En arrière du troisiè
laquelle il n'est relié que par sa partie antérieure, au niveau de la
substance
perforée antérieure. Dans le pédoncule (P) on
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la région précédente par une bande de
substance
grise très colorée, le locus niger de Sommering
ijumeaux (qu), limitée en avant par l'aqueduc de Sylvius (Aq) et la
substance
grise centrale de l'aqueduc (SgAq). Le pied du
n'est pas intéressé sur la coupe, et la bandelette se perd dans la
substance
grise du tuber cinereum (Te). Dans ce triangle gr
de Reil médian. - RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - Sge,
substance
grise centrale. -Sge, substance grise sous-épendy
ns thalamiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. -Sge,
substance
grise sous-épendymaire. so, sillon sus-orbitaire
e grise sous-épendymaire. so, sillon sus-orbitaire de Broca. - Spa,
substance
perforée antérieure. - Spp, substance perforée po
us-orbitaire de Broca. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp,
substance
perforée postérieure. - SR, substance réticulée
e perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. - SR,
substance
réticulée. - Sti, substance innominée de Reichert
, substance perforée postérieure. - SR, substance réticulée. - Sti,
substance
innominée de Reichert. - 7 ? 1 ? T3, première,
RVEAU. 429 bandelette optique (II), on trouve la couche grise de la
substance
perforée anlé- rieure (Spa), séparée de la band
ère circonvolution limbique (L,) se continue insensiblement avec la
substance
grise de l'espace perforé antérieur et le noyau
Sa queue (NC') se fusionne avec le noyau amygdalien (NA) et avec la
substance
innommée de Reichert (Sti). En dehors de ces noya
m, ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge,
substance
grise sous-pendymaire. - Spa, substance perforé
l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise sous-pendymaire. - Spa,
substance
perforée antérieure. - Spp, substance perforée
grise sous-pendymaire. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp,
substance
perforée postérieure. - Sti, substance innommée d
perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. - Sti,
substance
innommée de Reichert. - T,, Ts, T3, première, d
atiolet. S(a), branche antérieure de la scissure de Sylvius. - Spa,
substance
perforée antérieure. - T,, 7's, T ? première, d
mpe on trouve : la circonvolution de l'hippocampe (H) revêtue de la
substance
réticulée d'Arnold (Lms), puis le lobule fusiform
ernière se continue au niveau du sillon de l'hippocampe (h) avec la
substance
réticulée d'Arnold (Lms) qui représente la couche
es d'association et de projection. Sur la coupe n° 37 (fig. 239) la
substance
grise est réduite il la couche sous- épendymair
- tec, toenia tecta. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 439 de la
substance
grise sous-épcndyntaire (Sge) ; celle-ci se rédui
n (coupes nos 43 et 46, fig. 2ho2), il est relié par des ponts de
substance
grise au troisième segment du noyau lenticula
interne (Cia), s'insinuent dans les intervalles de ces ponts de
substance
grise. La coupe n° 46 et les suivantes démontrent
dé, l'autre externe, exlra- ventriculaire, ou noyau lenticulaire.
Substance
blanche. Dans la masse blanche de cette série de
de la scissure de Syl- vius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. -le, tænia tecta. J'L,
de la scissure de Sylvius. -- sec, sinus du corps calleux. - - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. TA, Ts, première et deu
calleux (Foa) et sur les coupes nOS 33 et 37 (fiez. 238-239), de la
substance
grise sous-épendynwil'e (Sge) qui double la cor
t du noyau lenticulaire (NL3), et qui est traversé par les ponts de
substance
grise qui relient ces deux noyaux. Le système
cale de la scis- sure de Sylvius. Sec, sinus du corps calleux. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. T,, 7 ? première et deu
lon prérolandique inférieur. - Sec, sillon du corps calleux. - Sge,
substance
grise centrale. SrJ), S(v), brandies postérieur
bord externe du ventricule latéral (VL), dont il est séparé par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge), tandis que le pie
t d'autant plus longues, qu'elles appartiennent à des régions de la
substance
blanche plus rapprochées du centre ovale (CO). Né
convolution frontale. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. SI, Sep- tum lucidum. -
et troisième sillons temporaux. - 17, ventricule latéral. \, pont de
substance
grise unissant la partie inférieure des noyaux
enticulo-cauclues). - pri, sillon prérolandique infé- rieur. - Syc,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épcnd
prérolandique infé- rieur. - Syc, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épcndymaire. - SI, sep- tum lucidum.
lucidum. S (y), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Spa,
substance
perforée antérieure. - 7·,, 7·,, 1 ? première,
de la circonvolution du crochet (U) se confond insensiblement avec la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Epa), ains
oyenne, située en dedans et en bas, est formée par un large pont de
substance
grise (X) qui réunit la tête du noyau caudé (NC
(VI). Sa face profonde envoie au putamen (NL3) de nombreux ponts de
substance
grise, séparés par les fibres du segment antérieu
ieure par le corps calleux (Ce). Son bord externe est entouré de la
substance
grise sous-épen- dymaire (Sge) qui le sépare du
inférieur du ventricule latéral, on trouve, en effet, une couche de
substance
grise, la substance grise centrale (S-c), dans la
ule latéral, on trouve, en effet, une couche de substance grise, la
substance
grise centrale (S-c), dans laquelle 29 lie 2t
e la scissure de Sylvius. - Sge, subs- tance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-vpendymaire. - Spa, substance perforée
tance grise centrale. - Sge, substance grise sous-vpendymaire. - Spa,
substance
perforée antérieure. - SI, septum lucidum. - tu
, fig. 245) l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Cette
substance
grise, qui recouvre la commissure antérieure (coa
u ventricule latéral (VI), le noyau caudé (NC) est recouvert par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occ
iveau de l'angle inférieur du ventricule, il est en rapport avec la
substance
grise centrale (Sge). Sa face profonde envoie au
e (Sge). Sa face profonde envoie au putamen (NL3) quelques ponts de
substance
grise et de nombreux faisceaux blancs, constitu
r la lame mé- dullaire externe (lme) du noyau lenticulaire et de la
substance
grise centrale (Sge) par le segment antérieur d
e blanche et nacrée. Par son extrémité interne, elle plonge dans la
substance
grise centrale (Sgc), tandis que son extrémité ex
(NL3) et du segment externe du globus pallidus (NL2) repose sur la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Spa). Au-des
pondent aux artères lenticulo-striées, et à la partie externe de la
substance
perforée anté- rieure.(Spa). Cette coupe n° 60
(NC) est relié au noyau lenticulaire (NL3' 2' 1)' par des ponts de
substance
grise et par les fibres lenticulo-striées. Il e
es fibres lenticulo-striées. Il est toujours recouvert en haut par la
substance
grise sous" : épendymaÎ7'e (Sge) et le faisceau
hors (NL3), le globus pallidus (NL2, 1) en dedans. Il repose sur la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Spa), dont
re de Sylvius. Se ? surface extra"ven- triculaire du thalamus. Sgc,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épend
"ven- triculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épendy maire. SI, septum lucidum. -
ous-épendy maire. SI, septum lucidum. - sM, sillon de Monro. - Sti,
substance
innominée de Rei- chert. 7\, T2, T, première, d
obus pallidus (NL2;1) est réunie au noyau anzygda- lien (NA) par la
substance
grise de l'espace perforé antérieur. De cette sub
n (NA) par la substance grise de l'espace perforé antérieur. De cette
substance
grise et des noyaux environnants, partent des f
e temps les plus internes, se recourbent en haut, pénètrent dans la
substance
grise centrale (Sge) et se terminent dans les r
ue (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) sont plongés dans la
substance
grise de l'espace perforé antérieur et forment,
ment, dans leur ensemble, l'anse pédonculaire de Gra- tiolet, ou la
substance
innominée de Reichert (Sti), mal délimitée dans s
A la face inférieure du cerveau entre le tuber cinereum (Te) et la
substance
per- forée antérieure, on trouve labandelette o
orée antérieure, on trouve labandelette optique (II) enclavée dans la
substance
grise de la base du cerveau. Le troisième ventr
onvolu- tion limbique (L,dont l'écorce se confond en dehors avec la
substance
grise du noyau, amygdalien (NA). Cavités vent
nante de la couche optique (Thi. Son bord externe est coiffé par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau 454
ampe Sa face libre ou intra-ventriculaire est revêtue d'une lame de
substance
blanche, l'alvéus (Alv) qui envoie de petits pr
e, l'alvéus (Alv) qui envoie de petits prolongements blancs dans la
substance
grise de la corne d' : trzmmon. Entre ces prolo
t a l'acllu/-11/.UI' (AM), et envoie en bas une petite languette de
substance
grise, qui le relie il l'extrémité antérieure rec
(1,Tiiia En dedans, le putamen (NI : ! ) envoie un prolongement de
substance
semi-circularis). En dedans, le putamen (nul3)
i-circularis). En dedans, le putamen (nul3) envoie un prolongement de
substance
grise beaucoup plus considérable que le précéde
n'est adhérente que par sa face supérieure, où une mince lamelle de
substance
blanche la sépare du globus pallidus. La couche
ière; elle présente une face interne verti- cale, recouverte par la
substance
grise centrale (Sge) et qui concourt à former la
e de Sylvius. - Sexe, surface extra-vcntriculaire du thalamus. - Sge,
substance
grise centrale. - S,e, substance grise sous-epe
-vcntriculaire du thalamus. - Sge, substance grise centrale. - S,e,
substance
grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. -
a-ventriculaire du thalamus. - sec, sinus du corps calleux. - .S'c,
substance
grise centrale. Sge, substance grise sous-épendym
sec, sinus du corps calleux. - .S'c, substance grise centrale. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. sJl, sillon de de Monro
eau inférieur ou lenticulaire (FI), séparés par une mince couche de
substance
grise, la zona incerta du même auteur (Zi), qui
tinue en haut avec la zone réticulée (Zr). Limitée en dedans par la
substance
grise centrale (Sgc), la région sous-optique est
optique (Ni) est très peu accusé (fig. 248), il se confond avec la
substance
grise centrale (Sgc) et n'appa- raît, comme noy
Vsph). Sa face superficielle est recou- verte d'une mince couche de
substance
blanche, qui correspond à la substance, réticul
verte d'une mince couche de substance blanche, qui correspond à la
substance
, réticulée d'A l'IlIIld ou lame médullaire .suy
, réticulée d'A l'IlIIld ou lame médullaire .suyercin,lle (Lms). La
substance
blanche qui tapisse la face ventriculaire, de l
nue avec Yalvéus (Alvj. Sur la coupe n° 75 (fig. 248), la couche de
substance
grise inter- médiaire décrit quelques festons q
Les deux lèvres du sillon de l'hippocampe (h) sont tapissées par la
substance
blanche réticulée d'Arnold, désignée encore sou
corps calleux.Se.ff, surface extra-ventriculaire du thalamus.- Sage,
substance
grise sous- épendymaire. sM, sillon de Monro. -
ations optiques de Gratiolet. sec, sinus du corps calleux. - S',ge,
substance
grise sous-épendymaire. 1'l, T ? 73. première,
atiolet. - S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. Sge,
substance
grise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 p
a (Gh) qui se trouve sectionné sur la coupe n° 86 (fig. 253). ' ,
Substance
blanche. - Le corps calleux (Ce) et les longs fai
aire (NL3), n'est plus repré- senté que par des îlots disséminés de
substance
grise, situés sur le trajet d'une COUPES MACROS
re de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge.
substance
grise sous-épendymaire, - sM, sillon de Monro. T,
olet. S (pu), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge,
substance
grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro.
ge, substance grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. - S/i,
substance
réticulée. - 7'l, 7'i, T3, première, deuxième et
de la scissure de Syl- vius. - sec, sinus du corps calleux, - Sge,
substance
grise sous-épendymaire ? SR, sub- stance réticu
Se.vv, surface extra-ventricu- l;tire de la couche optique. - Syc,
substance
grise sous-épendymaire. SR, substance réti- cul
re de la couche optique. - Syc, substance grise sous-épendymaire. SR,
substance
réti- culée. - slr, stratum zonale. - T,, T., T
oncule. On trouve en dedans l'aqueduc de Sylvius (Aq) entouré de la
substance
grise, en haut la commissure postérieure (cop)
ance grise, en haut la commissure postérieure (cop) et en dehors la
substance
réticulée (SR), bordée Dar le ruban de Ileil la
corps calleux. - Sexe, surface cxtra-vcntriculairc du thalamus. Sge,
substance
grise sous- épendymaire. - Spl, bourrelet du co
eure; le pilier ptostérieur (Tgp) forme sur ces coupes la couche de
substance
blaiielie qui recouvre la circonvolution, godro
plus saillante de l'arc décrit par la queue du noyau caudé (\1G').
Substance
blanche. La situation du corps ««//eux (Ce) par r
266) passe en arrière de la cavité ventriculaire, elle intéresse la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) qui double le ventri
extrémité postérieure en est éloignée peu près trois centimètres.
Substance
blanche. - Les fibres calleuses sont sectionnées
alc. - PrC, précunéus.-RTh, radiations optiques de Gratiolet. S'ye,
substance
grise sons-epcndymaire. Tap, tapetum. - t ? bra
Gr]), qui .en arrière semble se con- fondre directement avec la
substance
grise de la tête du noyau caudé (NC). En avan
inférieure de l'hémisphère avec la lame médullaire superficielle ou
substance
blanche réticulée d'Arnold, qui recouvre la circo
. Sa face inférieure donne insertion 11 des lambeaux irréguliers de
substance
grise, qui appartiennent 488' ANATOMIE DES-CE
m. - so, sillon sus-orbitaire. - sp, scissure sous-pariétale - Spa,
substance
perforée antérieure. - Spp, substance perforée
scissure sous-pariétale - Spa, substance perforée antérieure. - Spp,
substance
perforée postérieure. SR, substance réticulée.
nce perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. SR,
substance
réticulée. tec, ttenia tecta. Tg, triuryr ? cmyli
t la masse commune concourt il former il la base de l'hémisphère la
substance
perforée antérieure (Spa) qui se confond avec l
le champ de Foret (F). En arrière du noyau rouge, nous trouvons la
substance
réticulée de la calotte (SR) et les fibres du p
mant la racine olfactive supérieure de Broca et en arrière avec la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Spa), qui
me, occupe la partie inférieure du corps strié; il est séparé de la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Spa) par une
us l'aspect d'un faisceau ovalaire très foncé; elle est entourée de
substance
grise qui correspond à la première ébauche du glo
- R, scissure de Ro- lando. - scc, sinus du corps calleux. - Sfle,
substance
grise centrale. si, sillon opto-strié. - sa, si
centrale. si, sillon opto-strié. - sa, sillon sus-orbitaire. - Spa,
substance
perforée antérieure. SR, substance réticulée. -
- sa, sillon sus-orbitaire. - Spa, substance perforée antérieure. SR,
substance
réticulée. - slrz, stratum zonale. - tee, teiii
vant par l'anse du noyau lell- ticulaire (Al), qui le sépare de la.
substance
grise centrale (Sgc). Au-dessous du corps de Lu
e du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa); ce triangle renferme la
substance
réticulée (SR) de la calotte du pédoncule. Au-des
sillon calloso-marginal n'est plus représenté que par deux îlots de
substance
grise situés en a et en , et la masse blanche du
pallidus est situé au-dessus de la bandelette optique (II) et de la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Spa), en ava
re de Sylvius. Sen', surface cxtra-vcntt'iculairc du thalamus. Sge,
substance
grise sous-ependymaire. si, sillon intermédiair
rise sous-ependymaire. si, sillon intermédiaire ou opto-strié. Spa,
substance
perforée antérieure. slra, stratum zonale. Tg,
t la surface de section n'est encore représentée que par un îlot de
substance
grise, séparé du pli iiibi (j lie par le sillon
vre supérieure de la vallée de Sylvius (VS), elle est formée par la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Spa) et la p
elle-même, recou- verte du côté du venlricule par une mince lame de
substance
blanche, Valve us (Alv) et du côté du sillon de
campe (h), par une lame blanche, festonnée, qui se continue avec la
substance
blanche réticulée d'Arnold ou lame médullaire s
ne (Tgp), une seconde fois en arrière de la corne 6.iM ? Mf (CA).
Substance
blanche. - Le ventricule latéral est recouvert pa
nche. - Le ventricule latéral est recouvert par une mince couche de
substance
grise, la substance grise, sous-épcndymaire (Sge)
e latéral est recouvert par une mince couche de substance grise, la
substance
grise, sous-épcndymaire (Sge), qui s'épais- sit
gueur; il est réuni en avant au putamen (NL,) par des languettes de
substance
grise. Dans la concavité que décrivent ces deux p
, pulvinar. w/, pli rétro-linibique. R, scissure de llolando - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. Spa, sub- stance perfor
ôté de la fente céré- In'ale de liiehat, sa base est adhérente à la
substance
grise de l'espace perforé anté- rieure (Spa) et
x (Cc), une surface ovalaire, légèrement teintée, qui correspond la
substance
grise sous-(; (Sge) qui tapisse l'angle externe d
'uswpiques, fig. 240 il 35<j.) Au-dessus du bord supérieur de la
substance
grise sous-épendymaire, on trouve les dernières
rtie supérieure de sa tête (NC), où il est réduit à quelques îlots de
substance
grise, situés sur la ligne de limite inférieure
de substance grise, situés sur la ligne de limite inférieure de la
substance
grise sous-élzendy- maire (Sge). Des ponts inco
substance grise sous-élzendy- maire (Sge). Des ponts incomplets de
substance
grise le relient au putamen (NL3) qui a augment
en arrière. Ses faces ventriculaires sont tapissées par une lame de
substance
blanche, l'alvéu.s (Alv) qui se continue au niv
1)J'ale de Bichat (B) avec le pilier postérieur du. trigone (Tgp). La
substance
grise de la corne d'Ammon est subdivisée en deu
l'une inférieure, l'autre supé- rieure, par une couche festonnée de
substance
blanche, connue sous le nom de lame médullaire
. pulvinar. il, scissure de Rolande. S, scissure de Sylvius. - Sge,
substance
grise sous-èpendymaire. - sa, substance innommée
scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-èpendymaire. - sa,
substance
innommée de Rei- chert. - T'a, deuxième circonv
caudé ont disparu, et ne sont plus représentés que par les ponts de
substance
grise qui cloisonnent le segment postérieur de
orne sphé- ? wïdale(Vsph), où elle envoie au putamen (NL3) un pont de
substance
grise, qui embrasse dans sa concavité la commis
volume, son bord supérieur donne naissance à de nombreux ponts, de
substance
grise (NL3) qui s'irradient pour se porter en d
lisses, sa moitié postérieure donne naissance il des languettes de
substance
grise qui se dirigent en haut et en arrière ver
s de l'insula de la coupe suivante (fig. 276), on trouve un amas de
substance
grise, d'aspect ovalaire, qui se prolonge en ba
éresse les circonvo- lutions de l'insula (la, Ip). L'écorce et la
substance
blanche occupent ici une surface beaucoup moins
branches antérieure et verticale de la scissure de Sylvius. Sg Vsph,
substance
grise sous- épendymaire de la corne sphénoïdale
e, sous la forme d'une dépression irrégulière, recouverte par de la
substance
grise sous-épendymaire (SgVsph) et entourée par
), la région sous-thalamique de la capsule interne (coupe D), et la
substance
innominée de Roichert (coupe E). Elles montrent
e externe, s'unit au faisceau longitudinal inférieur et dissocie la
substance
grise de l'avant-mur, pour s'irradier dans la fac
Meynert, du petit faisceau du tuber cillercllln de Gudden et de la
substance
innominée de Rciohcrt ou anse pédonculaire de Gra
ux et de la corne frontale du ventricule latéral. Elle intéresse la
substance
grise OM ? CM<7y- maire (Sge) les fibres cal
de la branche transversale de l' incisure en H de Broca (f.,)'. La
substance
grise sous-épendymaire (Sge), autour de laquelle
522 ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. ganglions centraux. Autour de la
substance
grise sous-épendymaire, on trouve un faisceau v
calleuses (Ce). Très épais il la partie interne et supérieure de la
substance
grise sous-épendymaÍ1'e (Sge), il est formé en
circonvolution frontale. - IiCc, radiations du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous- ependymaire. COUPES MICROSCOPIQUE
xterne de ce même ventricule. Les fibres calleuses, qui limitent la
substance
grise sous-épendymaire en haut, se portent tran
). On les voit très nettement contourner la partie supérieure de la
substance
grise s01ls-épendymail'e (Sge) et se réunir à l
libres sectionnées perpendiculairement à leur axe, qui limite cette
substance
en dehors. Cette couche appartient encore au syst
s du lobe frontal (Voy. fig. 395). Entre ces fibres calleuses et la
substance
grise sous- épendymaire, on trouve la section t
es par la coloration moins foncée de ses fibres. Au-dessous de la
substance
grise s01ls-épendymaire, les fibres calleuses inf
e (1,), présente une très belle irradiation de fibres. Venues de la
substance
blanche, elles s'épanouissent dans la couche pr
les se placent en dehors du faisceau occipito-for7tal (OF) et de la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) très épaisse à ce
- volution frontale.- lice, radiations du corps calleux. Sge, Sge',
substance
grise sous-épen- dymaire. lec, tec', ténia tect
colorées par l'hé iiiitox-1 ine -Il est en contact immédiat avec la
substance
grise sous-épendymaire (Sge), assez épaisse au
u de la paroi interne, l'épendyme se réduit à une mince lamelle. La
substance
grise sous-csloendynzaire contient comme sur la
Ils sont réunis il leur partie inféro-interne par un large pont de
substance
grise et affectent la forme d'un U oblique en hau
. Au-dessous du ventricule latéral, le noyau caudé est séparé de la
substance
grise du septum lucidum par des fibres riches en
u caudé (NC) et le putamen (NL3) sont formés par une seule masse de
substance
grise, réunie'parde nombreux ponts et présentant
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;i29 en pointe en dehors de la
substance
grise sous-épendymaire et du faisceau occi- pit
ns la concavité de laquelle se logent les fibres calleuses (Ce), la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occip
ylvius. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius.-Sge,
substance
grise sous-pcndynurirc. SI, scl>tum lucidum.
men, l'avant-mur (AM') se présente sous l'aspect de petits îlots de
substance
grise, morcelée par des libres fortement coloré
u occipito-frontal, situé entre le pied de la couronne rayonnante, la
substance
grise sous-épendymaÎl'e(Sge) et les fibres call
occupent la partie interne. Ce sont elles qui forment la traînée de
substance
claire, comprise entre les fibres calleuses et
e antérieure (coa), le segment externe du globus pallidus (NL,), la
substance
perforée an- térieure et le pilier antérieur du
egment exlerne du globus pallidus. Quoique celte coupe passe par la
substance
perforée antérieure, le corps strié n'apparaît
'extérieur; sa face inférieure est doublée en effet par une lame de
substance
grise riche en libres, la substance innominée de
oublée en effet par une lame de substance grise riche en libres, la
substance
innominée de lipichei-1 (Sti), qui se continue
ce innominée de lipichei-1 (Sti), qui se continue en dedans avec la
substance
grise du tubel' cÙlel'enlit (Te) et en dehors a
iffé au niveau de l'angle externe du ventricule laléoal (VI) par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge, Sgé). Celle-ci est
septum lucidum (SI) et la face inférieure du corps calleux (Ce). La
substance
grise qui coiffe externe du ventricule latéral
fibres myéline; celles-ci font presque complètement défaut dans la
substance
grise qui recouvre le pilier antérieur du trigo
ontal (OF), le pied de la couronne rayonnante (pCl3.), ainsi que la
substance
blanche de la première circonvolution frontale
ne. Elles sont groupées en gros fascicules séparés par les pouls de
substance
grise qui relient le noyau caudé (XC) au putame
re du faisceau uncinalus (Fu) est disso- ciée par des languettes de
substance
grise, qui appartiennent à l'écorce de la parti
(Voy. coupe F, fig. 298). Au-dessous du globus pallidus et de la
substance
grise sous-épendymaire qui double le bord infér
calleux, chap. IV). Au-dessous de la commissure antérieure, dans la
substance
grise de l'espace perforé antérieur, qui doit ê
ieur, qui doit être considéré comme le prolongement antérieur de la
substance
innominée de Reichert (Sti), on voit un certain n
S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - S,ge, S,ge',
substance
grise sous-épendymaire. SI, septum lucidum.- Sti,
- tionnées, en dehors du pilier antérieur du trigone (Tga) et de la
substance
grise centrale (Sge) qui tapisse le troisième v
rne. Au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire, on trouve, dans la
substance
grise du tuba cinereum (Te), la commissure de Mey
la bandelette optique (II) de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La
substance
grise centrale (Sgc), qui tapisse le troisième ve
e (Sgc), qui tapisse le troisième ventricule et se continue avec la
substance
grise du tuber cinereum (Te), est divisée en deux
du corps du tri- yone (Tg). Au-dessus du sillon de Monro (sM), la
substance
grise centrale (Sgc) est très réduite, elle rec
uncinatus (Fn) et qui se con- fond en dedans avec des languettes de
substance
grise appartenant au pédoncule du putamen (PNL,
orme la lèvre supérieure du diverlicule du subiculum. Tapissée par la
substance
.grise SI1tls ? pendYlllllire, la corne sphénoï
ne. se por- tent en haut et en dedans et séparent les languettes de
substance
grise qui relient le pédoncule du putamen (PNL.
ations optiques de Gratiolet. - scc, sinus du corps cal- leux. .Sc,
substance
grise centrale. Sge, substance grise sous-épendym
scc, sinus du corps cal- leux. .Sc, substance grise centrale. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - sM, sillon de Monro.
tre suivies depuis l'anse du noyau lenticulaire (Al) jusque dans la
substance
blanche du lobe temporal. Le reste du lobe tem-
ule latéral (Vsph). Le tronc du noyau, caudé (NC), recouvert par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge), émet des fibres de
myu- dalien (NA), dont il est séparé parles derniers vestiges de la
substance
innominée de Reichert. Le segment interne (NL,)
gment postérieur de la capsule interne, on trouve une mince lame de
substance
grise, la zone réticulée de la couche optique o
re, séparés l'un de l'autre par une lamelle grise appartenant il la
substance
, perforée postérieure. Sa moitié supérieure, com-
re. Sa moitié supérieure, com- prise entre le sillon de Monro et la
substance
perforée postérieure, fait partie du troisième
erf oculo-moleur dans lequel apparaît le locus lIif71'I' (Ln) et la
substance
perforée postérieure. La région sous-optique se
leux. S(p), branche postérieure de la, scissure de Sylvius. - S,qe,
substance
grise sous-pendy-nmirc. - strz, stratum zonale.
e. d'Arnold (Zr). Le champ de Forel (F) est limité en dedans par la
substance
grise qui tapisse le troisième ventricule. Sur
i se portent en dedans, traversent la ligne médiane au niveau de la
substance
perforée postérieure, et constituent le petit fai
eure de la scissure de Sylvius.- sec, sinus du corps calleux. S,gc,
substance
grise centrale. Sge, substance grise sous-épend
s.- sec, sinus du corps calleux. S,gc, substance grise centrale. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. strz, stratum zonalc.-1
fortement colorées, qui le divisent en un certain nombre d'îlots de
substance
grise : ces fibres appartiennent aux confins du
que le faisceau 1"i[I'o(le : CI ? de Meynert (FM), recouvert par la
substance
grise centrale (sage) qui tapisse le troisième ve
ations optiques de Gratiolct. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise snus-épend
ec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise snus-épendymaire. z , Sgl'o, substance gr
grise centrale. - Sge, substance grise snus-épendymaire. z , Sgl'o,
substance
grise de la protubérance. strz, stratum zonale. T
amen cl,) qui n'est plus formé sur cette coupe que par des ilots de
substance
grise échelonnés entre les surfaces de sections
s sont limitées en dedans par les fibres du tapetum (Tap) et par la
substance
grise sous-épendymaire riche en libres il myéline
JII'lIt 1(1)1;- rance et sont dissociées en gros fascicules par la
substance
grise; et par les fibres transversales de l'éta
oa). Dans la calotte du pédoncule, l'aqueduc de Sylvius^ (Aq) et la
substance
grise centrale de l'aqueduc divisent cette régi
les de fibres. Entre le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et la
substance
grise de l'aqueduc qui se porte un peu en avant
radiculaires de la troisième paire (Ill), qui limitent en avant la
substance
réticulée (SR). Entre le pédoncule cérébelleux su
edans et s'insinuent entre le pédoncule cérébelleux supérieur et la
substance
grise postérieure de la protubérance. Au-dessus d
(cop), dont les fibres se portent en avant, délimitent nettement la
substance
grise de l'aqueduc et forment dans les couches
niveau de leur partie postérieure. Le ventricule est tapissé par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) qui recouvre la face
l'angle externe du ventricule latéral et peut être suivie, jusqu'à la
substance
grise sous-épendymaire (Sge), où elle se termin
A la paroi externe du ventricule latéral on trouve, au-dessous de la
substance
grise sous-ohendyzuaine; une couche de fibres s
re, on trouve la couche des fibres du tapetum (Tap) incisure. Sage,
substance
grise sous-épcndvmairc. - ni, T3, deuxième et tro
de ce point jusqu'au lobule lingual (Lg), on observe une traînée de
substance
grise sO/ls-éjil ! /I- dymaire (Sgé), qui indiq
s'épaissit au niveau de la partie postérieure de ce diverticule. La
substance
blan- che du lobe lemporo-oecipilal ne présente
t rétro-lenticulaire de la capsule interne, dissocient les ponts de
substance
grise (NL,,) qui relient le putamen (NL ? I il la
pas une direction sagittale. Placées immédialement au-dessous de la
substance
grise sous épendymaire (Sge'), elles sont nette
eux. Sexv, surface cxtra-veniriculaire de la couche optique. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sg
ijumeau postérieur. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAr/,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance gri
de Gratiolet. SgAr/, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge,
substance
grise centrale. Sge, sub- stance grise sous-épe
e, sub- stance grise sous-épendymaire de 'la corne frontale. 81'.1,
substance
réticulée d'Arnold ou lame médullaire superfici
la circonvolution de (11), les fibres tangentielles qui forment la
substance
réticulée d'Arnold (SrA) ou lame médullaire super
médullaire superficielle, sont parli- culièrement développées. La
substance
blanche de cette circonvolution présente deux cou
lorées, disposées en gros fascicules et en contact immédiat avec la
substance
grise sous-épendymaire (Sge). Une partie des fi
)ranches verticale et postérieure de la scis- sure de Sylvius. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. SI, scptum lucidum. so,
en avant du sillon olfactif au niveau des der- niers vestiges de la
substance
grise sous-épendymaire (Sge); elles entourent cet
n les voit s'entre- croiser avec la masse de fibres qui occupent la
substance
innominée de Reichert (Sti), mais on ne les voi
F, [Gr]) se con- tinue avec celle du tubercule olfactif (Toi) et la
substance
grise de l'espace perforé antérieur (Epa). On v
pour concourir il former la racine olfactive externe (Rôle). De la
substance
blanche du fond du tubercule olfactif (Toi) se dé
at. RC,radiations de la calotte.-S, scissure de Sylvius. S.')'<y,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance g
e Sylvius. S.')'<y,substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge,
substance
grise sous-6lendymairc.- Sli, substance innominée
l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-6lendymairc.- Sli,
substance
innominée de Reichert. - T,, T ? première et de
dans les coupes plus inférieures pour traverser d'avant en arrière la
substance
perforée antérieure (Epa). En dehors de ces r
de ces radiations olfactives profondes (Rolm) on trouve des amas de
substance
grise, limités en avant par les orifices vasculai
), faciles à reconnaître grâce il leur faible coloration. Dans la
substance
grise du tuber cinereum (Te), on trouve en arrièr
- sB, strie externe de Baillarger. - SI, seuil de l'insula. - Sli,
substance
innominée de Reichert. - Stri, stratum intermed
ues (RTh) on trouve les derniers vestiges du tapetum (Tap) et de la
substance
grise sous-é}iCl1dymaire (Sge). Celle dernière
noyau amygdalien. - RTh, radiations thalamiques de Gratiolct. - Sge,
substance
grise suus-chendymairc. - sa, stratum lacunosum
R, scissure de Rolando. - RCc, radiations du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. 580 ANATOMIE DES CENTRE
r se porter en arrière et en dedans. L'espace clair correspond à la
substance
grise .s'OM.'f-c/</ ? H6t ! )'e (Sge) qui tapi
end pourquoi sur cette coupe, tangente à la voûte du ventricule, la
substance
grise sozt.c-r%per7cl,znaire (Sge) n'est intére
érieure, limitant en dedans les radiations cal le lises (RCc) et la
substance
! Jl'ise sOlls-l;pwdymaÏ/'e(Sge). Au sur et à mes
, passant par la ligne 2 de la ligure 299. Cette coupe passe par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) qui tapisse l'angl
radiations du corps calleux. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. tec, taenia tecta. 582
tés antérieure et postérieure. En dehors elles sont limitées par la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) qui a augmenté de vo
me. En avant et en arrière, les radiations calleuses contournent la
substance
grise Il-(' et s'infléchissent en dehors et en
le est séparée des radiations calleuses par toute l'épaisseur de la
substance
grise sous-éjiendymaire (Sge). En arrière, elle
(pCK) présente un aspect particulier. Immédiatement en dehors de la
substance
grise sous-épen- dymaire (Sge), on trouve de gr
re de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - Srlé, substance grise
du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Srlé,
substance
grise sous-épendymaire, au niveau de l'angle post
antérieure du ventricule laté)al(VI), immédiatement en avant de la
substance
grise s01ts-épcndymail'e (Sge). Le noyau caudé
ité, en avant et en arrière, par une sorte de capuchon formé par la
substance
grise .MM.<-e) ! 6/))ta ? e (Sge) qui double l
gulière, et donne naissance il un certain nombre de promontoires de
substance
grise, dont les dimensions s'accentueront sur les
écédentes, les radiations calleuses ())Cc') contournent en avant la
substance
grise sous-épendymaire du ventricule latéral (S
tète et la queue du noyau caudé sont recouvertes par une couche de
substance
grise sous-I}¡iend ! Jlnail'e (Sge), particulière
t la capsule interne z (Cia, Cip), pour se rendre dans les îlots de
substance
grise qui relient le noyau caudé (NC, NC') au n
optique (ThLa couche optique est limitée en dehors par des îlots de
substance
grise, qui appartiennent à la zone réticulée ou g
psule externe (Ce). Elle est sillonnée d'un grand nombre d'îlots de
substance
grise, étroits et lancéolés, qui se dirigent tr
igent transversalement en dehors, et qui appartiennent aux ponts de
substance
grise, qui relient la face inférieure du noyau
dées (FIe) et qui se trouvent souvent accolées le long des ponts de
substance
grise. Mais, à côté de ces fibres nettement tra
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous-epcndymairc. Sgé, substance grise sous
nus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-epcndymairc. Sgé,
substance
grise sous-épendymaire, au niveau de l'angle po
Gratiolet. - Sexv, surface extra- vcntriculairo du thalamus. - Sge,
substance
grise sous-pendy-maire. -si, sillon opto-strié. -
ce ventriculaire du corps calleux sont recouverts par une couche de
substance
grise sous-épendymaire (Sge), qui donne insertion
veau de l'angle antéro-externe du vell- tricule latéral (VI) par la
substance
grise slHl.HlpelldYl/1,flÎ1'e (Sge) et par le fai
e du noyau caudé (nu, NC), donnent naissance à de nombreux ponts de
substance
grise, qui sillonnent les segments antérieur et
). Quelques îlots se groupent, pour former une masse irrégulière de
substance
grise, nettement délimitée en dehors par une li
'écorce des circon- volutions de l'insula, on trouve une lamelle de
substance
grise, étroite et feston- née, Y avant-mur (AM)
nd des sillons. Cette couche de fibres est limitée en dedans par la
substance
grise de l'avant-mur (AM), qui suit très exacteme
ontales plus intensivement colorées, qui traversent par endroits la
substance
grise de l'avant-mur (AM), pour se confondre avec
t volumineux, et un très grand nombre de pools minces et étroits de
substance
grise, qui sillonnent tout le segment antérieur d
il est relié il la queue du noyau caudé (NC') par quelques ilôts de
substance
grise, situés dans le segment rétro-lenticulaire
caudé (NC) par un large pont de 596 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
substance
grise qui interrompt le segment antérieur de la c
édullaire externe du noyau lenticulaire (Ime). Les étroits ponts de
substance
grise, si nombreux sur la coupe précédente ne 6
ro-lenticulaire de la capsule (Cirl), se trouvent de petits amas de
substance
grise, faisant partie du corps strié et reliant l
rétréci, et n'envoie pas il la tête du noyau caudé (NC) un pont de
substance
grise qui traverse le segment antérieur de la c
re. Le troisième segment (pulamen) (NL¡) est pâle, surtout formé de
substance
grise, dans laquelle apparaissent de gros faiscea
e cérébral. En avant et un peu au-dessous du genou (Ci[g]), dans la
substance
grise sous- épendymaire qui double le sillon in
u en d'autres termes, entre la queue du noyau caudé et la couche de
substance
blanche appar- tenant au pilier postérieur du t
circonvolution de la corne d'Ammon (CA), et constitue la couche de
substance
blanche qui recouvre la face ventriculaire de c
llllla (Gh). Ce ganglion esl formé par la réunion de petits amas de
substance
grise qui consti- tuent de véritables petits ni
s du faisceau, longitudinal inférieur entourent les amas ou nids de
substance
grise; sur les coupes suivantes, elles se porte
rce de la région insulaire postérieure (Ip) commence à s'unir fv la
substance
grise de 1'(ivaiit-niui, (AM), à l'aide de nombre
ce grise de 1'(ivaiit-niui, (AM), à l'aide de nombreuses travées de
substance
grise. La capsule extrême (Cex) est réduite aux f
3) est réuni à la tête du noyau caudé (NC) par deux larges ponts de
substance
grise'. La substance grise sous-"pen- dymaÍ1'e
e du noyau caudé (NC) par deux larges ponts de substance grise'. La
substance
grise sous-"pen- dymaÍ1'e recouvre la tête du n
avant du genou de la capsule (Ci[g]), avant de se confondre avec la
substance
grise qui entoure le pilier antérieur du trigon
rieure est tapissée par une épaisse couche de sub- stance grise, la
substance
grise centrale (Sgc); elle fait partie du troisiè
de Gratiolel. - Sexv, surface extra-vcntriculaire du thalamus. S{le,
substance
grise centrale. si, sillon opto-strié. Si, sept
u trigone (Tga). Vers la partie moyenne du troisième ventricule, la
substance
grise centrale envoie à la paroi interne du côté
constitué, en effet, par des lamelles alternativement imbriquées de
substance
grise et de substance blanche, et sillonné par
ar des lamelles alternativement imbriquées de substance grise et de
substance
blanche, et sillonné par de nombreuses fibres r
udé (NC) et le putamen (NL.,) ne sont qu'une seule et même masse de
substance
grise, incomplètement divisée en deux segments,
CROSCOPIQUES DU CERVEAU. 613 de Forel (FI), par une lame étroite de
substance
grise, contenant de nombreuses fibres horizonta
érieur (Qa) a augmenté de volume ; il est recouvert d'une couche de
substance
grise superficielle; dans sa partie centrale, on
ban de Reil ntdiau. - R1·h· raclialinns optiques de Gratiolet. Sgc,
substance
grise centrale. SI, septum lucidum. T,, première
ité du segment postérieur de la capsule interne, se loge un amas de
substance
grise très nettement limité, ayant la forme d'une
rps, découvert par Luys et bien étudié par Forel (CL), est formé de
substance
grise, sillonnée par de nombreuses fibres et co
ruban de Reil médian. lIT/¡, radiations optiques de Gratiolet. Sge,
substance
grise sous-epcndymaire. SI : , substance innommée
optiques de Gratiolet. Sge, substance grise sous-epcndymaire. SI : ,
substance
innommée de Reichert. Tap, tapetum. Tga, pilier
aire de Forel (FI) et du corps de Luys (CL) par une étroite lame de
substance
grise riche en fibres il myéline, la zona incer
(II). L'avant-mur (AM) s'est étalé et élargi. De nombreux ponts de
substance
blanche le relient à la circonvolution postérie
enticulaire (NL,) va disparaître, et sera remplacé par une masse de
substance
grise, la substance innominée de Reichert (Sti),
disparaître, et sera remplacé par une masse de substance grise, la
substance
innominée de Reichert (Sti), déjà visible ici o
longement sphénoïdal du ventricule latéral (Vsph). C'est dans cette
substance
grise qu'apparaîtra le noyau amygdaliell (NA). Ce
cette substance grise qu'apparaîtra le noyau amygdaliell (NA). Cette
substance
in- nominée de Reichert constitue le soi-disant
atiolet. Nous tenons àfaire remarquer qu'il s'agit ici d'une masse de
substance
grise diffuse, non réunie en noyau, qui se conf
diations de la calotte RTh, radiations optiques de Gratiolet. S,gc,
substance
grise centrale. Sge, substance grise sous-cpcndym
iations optiques de Gratiolet. S,gc, substance grise centrale. Sge,
substance
grise sous-cpcndymairc. - Sih, scissure inter-h
e grise sous-cpcndymairc. - Sih, scissure inter-hcmispherique. Sti,
substance
innominée de Reichert. Tap, tapetum. 7'n, pilie
le corps de Luys (CL), les postérieures se perdent dans la zone de
substance
grise qui fait suite à la zona in- cala. De l
le faisceau lenticulaire de Forel (FI), le corps de Luys (CL) et la
substance
grise qui limite en dedans le ruban de Reil1lu'-
cu- laire de Forel (FI) et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), puis la
substance
grise du troisième ventricule (V.,). Au nivea
argeur; un petit îlot de sub- stance grise qui appartient déjà à la
substance
grise de l'aqueduc de, Sylvius, la divise en de
tète du noyau caudé (NC) est en rapport en arrière avee une lame de
substance
grise, sillonnée par des fibres à direction obl
En avant, la tète -Au noyau caudé (NC) est coiffée par une laine de
substance
grise, la substance grise sous-épcndymaire (Sge),
u noyau caudé (NC) est coiffée par une laine de substance grise, la
substance
grise sous-épcndymaire (Sge), qui double la cor
ve l'extrémité postérieure du putamen (\`L.i), unie, en dedans à la
substance
inno- minée de Reichert, (Sti) et séparée en ar
partie temporale de la commissure antérieure (Coa) et mor- celle la
substance
grise de l'avant-1Jwl' (AM). Le segment rétro-l
ban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. '1</,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. Sgc, substance gri
e Gratiolet. '1</, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sgc,
substance
grise centrale. Sue, sub- stance grise sous-épc
tance grise centrale. Sue, sub- stance grise sous-épcndymaire. Sli,
substance
innominée de Reichert. T,, première circon- vol
rébral en dedans. En avant, elle se creuse un passage il travers la
substance
innominée (Sti), dont la sépare la commissure d
). En arrière et en dedans du noyau rouge apparaît, à l'union de la
substance
grise centrale du troisième ventricule (Sgc) av
e la substance grise centrale du troisième ventricule (Sgc) avec la
substance
grise de l'aqueduc de 8yl- J,ius (SgAqj, un pet
ieur (BrQa) est sectionné dans presque toute son étendue. Dans la
substance
grise du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) on
passant par la ligne 14 de la figure 299. Cette coupe passe par la
substance
innominée de Reichert (Sti) et la partie supéri
- dérablement réduite, et s'unit en dehors par de nombreux ponts de
substance
grise aux parties morcelées de l'/luanl-11wI' (
fonde est en rapport avec les fibres à direction transversale de la
substance
innominée (Stil. Ces fibres, qui appartien- nen
t en dehors, côtoient le corps strié (nez NC) et se perdent dans la
substance
innominée de Reichert (Sti), en s'entre-croisant
ptique (Pith). Elles appartiennent aux couches superficielles de la
substance
perforée antérieure et font, dans l'espace quad
noyau. Quelques fibres de l'unse lenticu- laire s'irradient dans la
substance
réticulée de la calotte du pédoncule cérébral, qu
n" 15 (ti ? il ! 4). Le locus niger envoie de nombreuses pointes de
substance
grise dans Vêlage inférieur du pédoncule ; il e
. Dans cette région, la bandelette optique (II) adhère encore il la
substance
inno- minée de Reichert (Sti); en avant et en d
ns d'elle on trouve les fibres de la commissure de Meynert (CM). La
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius (SgAq) se continu
s sectionnées parallèlement, qui s'irradient dans un petit noyau de
substance
grise, le ganglion du tubercule, (Iii(idi-i.].i
ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti,
substance
innominée de Reichert ou anse pédonculaire de Gra
i occupe sa partie centrale, et autour duquel se réfléchissent t la
substance
blanche et la substance grise de la circonvolutio
ale, et autour duquel se réfléchissent t la substance blanche et la
substance
grise de la circonvolution de l'hippocampe (II).
uverte par une, couche plus ou moins épaisse de fibres blanches, la
substance
réticulée d'1r>rold, ou lame mÚlul- luire su
ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
es de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR,
substance
réticulée. Tt + Ip, union de la première circon
12 (fig. 310, 311), nous l'avons déjà vu envoyer de nombreux ponts de
substance
grise à la circonvolution postérieure de l'insu
gie, p. 110). Le corps strié (NC) est réduit il une petite masse de
substance
grise, sillon- née par les dernières fibres du
e une petite saillie grise, le colliculus du noyau caudé (ceci). La
substance
innominée de Reichert a disparu sur celle coupe,
me. Le faisceau rétroflexe de Meynert (FM) s'est porté en avant. La
substance
réticulée (SR) de la région de la calotte est c
e troisième ventricule (V3), il est entouré d'une couche épaisse de
substance
grise (SgAq). En un mot, sur cette coupe, le pé
s de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge,
substance
grise centrale. s<) ? stratum zonale. T,, pr
anglion, de l'habénula (Gh). Ce dernier forme, un petit triangle de
substance
grise situé entre les parties extra et intm-ven
u terzia thalami (tth), sa partie anté- rieure présente des nids de
substance
grise, dans lesquels nous verrons naître sur le
ient à l'anse du noyau lenticulaire (Al). En dedans de lui, dans la
substance
grise centrale (Sgc), du troisième ventricule (V3
de Gratiolet. Sexv, surface cstra-vcntri- culaire du thalamus. Sge,
substance
grise centrale. Sti, substance innominée de Rei-
ra-vcntri- culaire du thalamus. Sge, substance grise centrale. Sti,
substance
innominée de Rei- chcrt. strz, stratum zonale.
a ligure : 31 : i. Cette coupe intéresse la partie supérieure de la
substance
parorée pos- térieure (Spp), la commissure post
s de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Spp,
substance
perforée postérieure. Sti, substance innominée
entriculaire du thalamus. Spp, substance perforée postérieure. Sti,
substance
innominée de Reichert. strz, stratum zonale. Tga,
ticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
substance
grise, qui relient incomplètement la dit noyau ca
ntre cette tête et l'ccnse du noyau lenticulaire (Al), on trouve la
substance
innominée de Reichert (anse pédonculaire de Gra
rie de coupes n'est pas, comme la série précédente, parallèle Il la
substance
innominée de Reichert (Sti), aussi, ne verrons-no
e assez éloigné du pilier antérieur du trigone (Tga), situé dans la
substance
grise du troisième ventricule (.,). En arrière
pa, espace perforé antérieur. Spp, espace perforé postérieur. Sufi,
substance
innominée de Reichert. strz, stratum zonale. Tga,
re du noyau rouge (NR) et par la commis- sure de Meynert (CM). La
substance
perforée postérieure (Spp) s'est élargie. Le troi
lotte (1C). Les deux noyaux rouges (NR) sont reliés au niveau de la
substance
perforée postérieure (Spp), par des fibres comm
e. Le diverticule sous-pinéal a'disparu; à sa place on trouve de la
substance
grise qui appartient à la substance grise de l'
aru; à sa place on trouve de la substance grise qui appartient à la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. L'espace triangula
ombre de fibres fines, qui se portent vers la ligne médiane dans la
substance
grise de l'espace perforé postérieur (Spp), en
re latéral (PTml). Le tubercule mamillaire (Tm) est englobé dans la
substance
grise du tuber cinereum (Tc); il reçoit en avan
elle du côté opposé, en avant du troisième ventricule (V3), dans la
substance
grise du tuber cinereum (Te). En arrière, de la
médiane, on trouve un petit faisceau de fibres qui se perd dans la
substance
grise, du tuber cinereum (Te); il a été décrit
11, recessus pinealis. IiTh, radiations optiques de Gratiolet. Sgc,
substance
grise centrale. Spa, substance perforée antérie
diations optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. Spa,
substance
perforée antérieure. Spp, substance perforée post
substance grise centrale. Spa, substance perforée antérieure. Spp,
substance
perforée postérieure. Sti, substance innominée
stance perforée antérieure. Spp, substance perforée postérieure. Sti,
substance
innominée de Reichert. strz, stratum zonale. Tc
ffet formée de fibres réunies en fascicules espacés et séparés par la
substance
grise du tuber cinereum (Te); la bandelette opt
nticulaire (NL,, ¡') en arrière, ni la ligne médiane en avant. La
substance
perforée antérieure (Spa) est intéressée dans ses
de Broca (bd), l'autre antérieure, formée presque exclusivement de
substance
grise et contenant de nombreux orifices vasculair
substance grise et contenant de nombreux orifices vasculaires. Cette
substance
grise correspond à la partie inférieure de la t
ylvius (Aq) présente une section triangulaire; il est entouré de la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius, qui s'in- sinue
aisceaux longitudinaux postérieurs (Flp), pour se confondre avec la
substance
grise de l'espace perforé postérieur. La substanc
onfondre avec la substance grise de l'espace perforé postérieur. La
substance
grise de l'aqueduc est nettement limitée en arr
commissure postérieure des coupes précédentes. Elles contournent la
substance
grise de l'aqueduc, et sur les coupes suivantes s
e olfactive externe. RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. SI(,
substance
réticulée. Sti, substance innominée de Reichert.
radiations thalamiques de Gratiolet. SI(, substance réticulée. Sti,
substance
innominée de Reichert. strz, stratum zonale. - T,
ane, entouré d'une mince couche de fibres blanches, et logé dans la
substance
grise du tuber cinereum (Te). En avant et en de
dehors, la région sous-thalamique de la capsule est limitée par la
substance
innominée de Reichert (Sti) et le troisième segme
rouve la surface de section de la commissure antérieure (coa). La
substance
perforée antérieure a fait place il l'espace perf
re par la bandelette optique (II), en avant par une mince, bande de
substance
grise en connexion avec la tête du zzoyzcrc caudé
le). Plus en dehors on trouve l'aval/l-lIW1' (AM), formé d'îlots de
substance
grise, dissociés par des libres peu colorées, obl
quadrijumeau antérieur. RTh,, radiations optiques de Gratiolet. SR,
substance
réticulée. - SU, substance innominée de Reichert.
,, radiations optiques de Gratiolet. SR, substance réticulée. - SU,
substance
innominée de Reichert. strz, stratum zonale. T,
ormer le chiasma des nerfs optiques (xll), adhérent en arrière à la
substance
grise du tuber cinereum (Te). L'entre-croisemen
Tm), qui ne sont reliés à la base du cerveau que par un mince pont de
substance
grise, au niveau de l'angle interne du pied du
eau longitudinal posléJoiew' (Flp) a augmenté de volume, et dans la
substance
grise de l'aqueduc (Aq) qui sépare ces deux faisc
ulaires : l'un est situé assez en avant dans la partie rétrécie de la
substance
grise de. l'aqueduc (Aq), au voisinage de l'ext
l), et qui s'irradient dans le pulvinar (Pul). Une mince lamelle de
substance
grise sépare Cc. 324. - Coupe n° 9 x, passant p
uadrijumeau antérieur. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. Th, thalamus, co
aubenkreuzung) (xM, fig. 323.) Dans le prolongement antérieur de la
substance
grise de l'aqueduc (SgAq), on retrouve les diff
oncule cérébral. Le putamen (NL3) est réduit il une petite bande de
substance
grise comprise entre le faisceau de l'iirclc (F
ieure du pédoncule cérébral, où il forme un petit noyau ovalaire de
substance
grise, entouré d'une capsule de libres formée a
ar la commissure de Meynert (CM) et par la partie postérieure de la
substance
innominée de Reichert (Sti). Le segment rétro-l
la partie antérieure du lobe temporal destinées au pulvinar. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
ées au pulvinar. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR,
substance
réticulée. Sti, substance inno- minée de Reiche
ubstance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée. Sti,
substance
inno- minée de Reichert. strz, stratum zonale.
quement d'avant en arrière et de dehors en dedans, et traversent la
substance
innominée de Reichert (Sti). Ces fibres (RTht) pr
avec le noyau amygdalien (NA) et l'avant-11tw' (AM), et la masse de
substance
grise formée par ces trois noyaux se confond av
Celle dernière s'effile, et donne naissance à une mince lamelle de
substance
grise, le voile terminal d'Aeby (vt), qui borde
irl), tandis qu'elles sont recouvertes en dedans et en avant par la
substance
grise sous-épendgmaire qui double le prolongement
(\L.,). Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'un tout petit segment de
substance
grise, qui coiffe le corps genouillé externe (C
te en avant, et décrit, une courbe à concavité interne autour de la
substance
grise de l'aqueduc de Syl- vius (SgAq). , Apr
s COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Gj7 -1 libres traversent la
substance
réticulée (SR), et se portent très obliquement en
ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
es de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR,
substance
réticulée. strz, stratum zonale. Tgp, pilier po
faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement avec la
substance
réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR
avec la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR),
substance
l'di- culée qui va prendre sur les coupes suiva
s entre-croisement sur la ligne médiane, dans la constitution de la
substance
réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR
ns la région des tubercules quadri jumeaux antérieurs, passent par la
substance
réticulée de la calotte et entrent dans la cons
, tubercule quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil médian. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
de Reil médian. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR,
substance
réticulée. Vc, racine encéphalique ou petite ra
pes précédentes . Ces derniers sont constitués, en effet, par de la
substance
grise diffuse, et par trois couches de fibres s
ans les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), au contraire, la
substance
grise se groupe en un noyau ovalaire, le ganglion
eau postérieur (NQp). Mal délimité en dedans, où il se perd dans la
substance
grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (SgAq), ce
le verrons sur les coupes suivantes (voy. t. II), en arrière de la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius, pour émerger dans
dinal postérieur se confond insensiblement avec les faisceaux de la
substance
réticulée de la calotte (SR). Dans la zone claire
réticulée de la calotte (SR). Dans la zone claire qui sépare cette
substance
'réticulée du ruban de Reil médian (Rm), on trouv
on constate que chaque circonvolution cérébrale est formée de deux
substances
, l'une blanche en continuité directe avec le ce
l'une blanche en continuité directe avec le centre ovale, c'est la
substance
blanche ou médullaire dont la forme déter- mine
- mine celle de la circonvolution correspondante, l'autre grise, la
substance
grise, cendrée ou corticale, qui se moule très
ce grise, cendrée ou corticale, qui se moule très exactement sur la
substance
blanche, l'entoure de toutes parts et forme l'é
rontale ou de la circonvolution frontale ascendante, on voit que la
substance
grise n'est pas homogène; en allant de la surfa
moyenne de coloration blanche. Cette dernière, très facile à déli-
Substance
blanche et substance grise des circonvolution
blanche. Cette dernière, très facile à déli- Substance blanche et
substance
grise des circonvolutions. Ecorce cérébrale.
(fig. 223 à 234 et 261 à 266). Ces différences de coloration de la
substance
grise, suivant les régions que l'on examine, mo
t en fascicules, forment les fibres radiées, puis pénètrent dans la
substance
blanche. D'une manière générale, la direction d
n de Vicq d'Azyr, les stries interne et externe de Baillarger et la
substance
blanche sont colorés en rouge : 1\[, couche mol
carmin (fig. 329), la zone nzolé- culaire parait constituée par une
substance
fondamentale d'aspect granu- leux, dans laquell
les polymorphes, ramifications terminales de fibres nerveuses de la
substance
olanche des hémisphères) et constituent avec el
etites cellules pyramidales. cérébrale, pour se continuer dans la
substance
blanche, avec un tube ner- veux, appartenant so
petits mammifères que chez l'homme. Pendant son trajet à travers la
substance
grise, le cylindre-axe, émet dans la partie sup
des grandes pyra- mides. D, couche des corpuscules polymorphes. E,
substance
blanche. a, panaches épi- neux des cellules pyr
llules semblables mais plus petites. - h, ^cellule siégeant dans la
substance
blanche. i, cellule arrondie dont le cylindre-axe
es pyramidales descend à travers les couches sous-jacentes, dans la
substance
blanche où il se continue avec une fibre à myél
s nouveau-nés, Cajal est arrivé à suivre ces cylindres-axes dans la
substance
blanche jusqu'au corps strié, et il admet avec v.
e réseau nerveux continu, dont cet auteur admet l'existence dans la
substance
grise (Voy. p. 176). Chez l'homme et les grands
our constituer les faisceaux de libres radiées, puis arrive dans la
substance
blanche où il se continue en général avec une f
oncourt à former le corps calleux. Pendant leur trajet à travers la
substance
grise, les cylindres-axes des grandes cellules py
dendrites épaisses et descendantes, qui s'arborisent jusque dans la
substance
blanche. Le cylindre-axe des cellules polymorphes
ou se divisent en T et se continuent avec une fibre nerveuse de la
substance
blanche (Cajal). i Couche des cellules poly
ries cellules poly- morphes se continue avec une fibre de la
substance
blanche. Fil;. a : r0. -Cellule à cylindre-axe
es (Cajal). Cellules névrogliques. On trouve dans l'épaisseur de la
substance
grise et blanche de l'écorce cérébrale un grand
ithéliale, représentent des cellules épendymaires émigrées dans les
substances
blanche et grise. Les autres, développées aux d
t de projection, ; ainsi que les libres ! terminales venant de la
substance
blanche. ! 11 Ces faisceaux de libres radiées
s radiées augmentent de volume à mesure que l'on se rapproche de la
substance
blanche, et constituent des faisceaux - compact
résentent sous l'aspect de fibres parallèles entre elles qui, de la
substance
blanche, - montent dans la substance grise, où
allèles entre elles qui, de la substance blanche, - montent dans la
substance
grise, où elles s'épanouissent en un très élégant
e de Remak). . /7-f, fibres des quatrième et cinquième couches. Sb,
substance
blanche. 682 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fi
mais ils renferment en outre des fibres terminales provenant de la
substance
" blanche, qui viennent s'arboriser dans ce ter
âgée de 15 jours. On y a représenté les fibres grosses venant de la
substance
blanche et s'arborisant dans la substance grise
bres grosses venant de la substance blanche et s'arborisant dans la
substance
grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.)
ibres. e, grandes cellules pyramidales. f, éléments globu- leux. A,
substance
blanche. B, couche moléculaire. STRUCTURE DE L'
e de Martinotti; 4° Les collatérales des libres d'association de la
substance
blanche; 5° Les arborisations terminales des fi
e décrites par Martinotti (voy. p. 668) ; y, les collatérales de la
substance
blanche. Cette couche est nettement délimitée e
s-axes ascendants; y, les arborisations terminales des libres de la
substance
blanche (Cajal). Celte couche, qui a été l'obje
externe de Baillarger jusqu'aux courtes fibres d'association de la
substance
blanche ou fibres en U de Meynert,. Elles se co
la crète des circonvolutions, et quelquefois avec les fibres de la
substance
blanche (fig. 317). Connexions des cellules pyr
térales de la sub- stance blanche. G, cylindre-axe bifurqué dans la
substance
blanche. G88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
mènie la plus grande. Époque de la myélinisation des fibres de la
substance
blanè1fè ? hémisphères et des fibres tangentiel
ales (Vignal), tend à se différencier par sa colora- tion d'avec la
substance
médullaire sous-jacente; les contours de l'écorce
nettement, elle prend en outre une coloration grise, tandis que la
substance
médullaire présente une teinte grenat ou violacée
violacée. Vers la fin de la vie intra-utérine, apparaissent dans la
substance
médullaire des stries blanches, indices de la m
is- sance. Mais avant de prendre sa couleur laiteuse définitive, la
substance
médullaire conserve pendant un temps assez long
de moyenne dimensions, on trouve, en particulier au voisinage de la
substance
blanche, un certain nombre de cellules fusi- fo
forment une sorte de barrière, qui sépare l'écorce cérébrale de la
substance
blanche sous-jacente (Mondino). Cette disposi-
niveau du tiers inférieur de l'écorce, sans atteindre cependant la
substance
blanche. Entre ces cellules fusiformes verticales
(L2[), où elle porte le nom de lame médullaire superficielle ou de
substance
réticulée d'Arnold (Lms). Du reste, la structur
calleux. En réalité, elle recou- vre ces libres d'un mince voile de
substance
grise de 20 à 40 ;. d'épaisseur, connu sous le
lle ou moléculaire, une moyenne ou cellulaire et une profonde ou de
substance
blanche (fig. 318). La couche moyenne est compo
ourt trajet, se continue avec Fil;. 348. - Coupe transversale de la
substance
grise supra-calleuse du cerveau du lapin nouvea
701 1 ' une fibre à myéline, soit de la couche profonde, soit de la
substance
blanche. Parfois même, le cylindre-axe se divis
arrière elles se confondent ainsi que Honegger l'a montré, avec la
substance
réticulée d'Arnold ou lame médullaire superfici
ruban de Reil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SR,
substance
réticulée de la calotte du pédoncule cérébral.
nt des faisceaux de fibres radiées, qui des- cendent jusque dans la
substance
blanche de la circonvolution (fig. 350). Cette
este de l'é- corce. Ses libres taugcn- tielles constituent la
substance
réticulée d'Arnold. Couche des petites cell
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coucho des cellules polymorphes.
Substance
blancho du subiculum. Travaux de Ma- thias
ue guère de la couche semblable des autres régions de l'écorce. La.
substance
blanche du subiculum est épaisse et contient deux
e que forment, dans la cavité ventricu- laire, l'écorce grise et la
substance
blanche qui tapissent le fond du sillon de l'hi
des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- véus ou
substance
blanche. FiG. 353. Schéma de la struc- ture d
dix jours. Méthode double de , Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A,
substance
blanche. - B, couche des cellules polymorphes ou
du cobaye d'un mois. Méthode de Cox. (D'après Ramon y Cajal.) B,
substance
blanche. O, stratum oriens. P, couche des cellule
grandes cellules pyramidales. - ? line collatérale se rendant à la
substance
blanche. - g, collatérale venant des fibres de
de grosses collatérales nerveuses ascendantes /, collatérales de la
substance
blanche. - J, fibres terminales venant du subicul
ibres de l'alvéus et dont les plus profondes sont situées en pleine
substance
blanche (fig. 354, a, b); leurs dendrites se perd
longs et plus grêles, sont dirigés, parallèlement aux fibres de la
substance
blanche, et simulent des cylindres-axes ou des co
a corne d'Ammon.-Lcs fibres de la corne d'Ammon comprennent : 1° la
substance
blanche ou ah/Jus; 2° les nombreuses fibres Feu
ui occupent les différentes couches de la corne d'Ammon. 1° Alvéus (
Substance
blanche de la corne d'Ammon. Couche des fibres
des arbo- risations terminales des fibres et des collatérales de la
substance
blanche du subiculum (fig. 359) ; 2° des ramifi
la la- mina medullaris involuta de la corne d'Ammon, pour former la
substance
réticulée d'Arnold du subiculum (fig. z0 et 351
s formé par les cylindres-axes ascendants, les collaté- rales de la
substance
blanche et les arborisations terminales des cellu
ne de la région godronnée de la corne d'Ammon (Voy. fig. 351). La
substance
blanche de la circonvolution godronnée est représ
tée par l'alvéus et par le pilier postérieur du trigone, mais cette
substance
n'est pas en contact immédiat avec l'écorce de
llules polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- ' . 1 vous ou
substance
blanche. Fig. 362. Schéma de la struc- ture d
e grosses collatérales nerveuses ascendantes. /, collatérales de la
substance
blanche. - J, libres terminales venant de la circ
comprend le bulbe, le pédoncule, le trigone olfactif, ainsi que la
substance
perforée antérieure, est en relation intime avec
s tangentielles du pédoncule olfactif, du trigone olfactif et de la
substance
perforée ante- rieure, et se terminent toutes,
couche des cellules polymorphes et se continue avec une fibre de la
substance
blanche. Les grandes cellules sont fusiformes, tr
cellules polymorphes et se continue avec une fibre à myéline de la
substance
blanche. Les cellules des îlots olfactifs sont
e moléculaire, leur cylindre-axe se con- tinue avec une fibre de la
substance
blanche. A côté de ces fibres, on trouve des ce
ans l'écorce typique et des cellules du type II de 1 Golgi. 4° La
substance
blanche, simple condensation des faisceaux de la
au le pédoncule du septum lucidum. Elles traversent en diagonale la
substance
perforée antérieure, se terminent, soit dans la
rforée antérieure, se terminent, soit dans la couche grise de cette
substance
, soit dans l'extrémité antérieure de la cir- co
. Sobre la Ses libres tangen- tiellcs. Ses lier- vouscs. Sa
substance
Man- che. Faisceau olfactif de la corne d'A
et pathol., 1885. - Du même. Recherches sur le développement de la
substance
corticale du cerveau et du cervelet, même recue
kranken. Archiv. f. Psych. u. Nervenk. 4887. - . CHAPITRE V 0
SUBSTANCE
BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^fibres d
0 SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^fibres de la
substance
blanche comprennent des fi- bres d'associatio
convolu- tions. FIBRES D'ASSOCIATION ET FIBRES COMMISSURALES La
substance
blanche des hémisphères, qui atteint sa plus gran
), et s'entre-croisant fré- quemment les unes avec les autres. La
substance
blanche sous-jacente à n'importe quelle partie de
et qui se terminent également par des arborisations libres dans la
substance
grise de l'écorce cérébrale. Les fibres d'ass
.et de projection. Origine et termi- naison des libres de la
substance
blanche Fibres d'associa tion. Leur origine
me de la couronne rayonnante. - - Que l'on suppose par la pensée la
substance
grise étalée à la surface du cerveau, le systèm
pratiquées en différents sens. On constate alors facilement que la
substance
blanche des hémisphères, malgré les entre-crois
à la base des circonvolutions. S'il est vrai qu'il n'existe dans la
substance
blanche, pour ainsi dire, pas de faisceaux qui
ème d'association occupent les couches les plus périphériques dé la
substance
blanche; qu'elles sont d'autant plus courtes .q
erne du ventricule latéral. Origine et terminaison des fibres de la
substance
blanche. Chez l'homme et chez les grands mammif
la terminaison dans l'écorce de tel ou tel système de fibres de la
substance
blanche est impos- sible à établir par l'histol
t verticales, se détachent de la pre- mière et se terminent dans la
substance
grise de l'hémisphère du même coté. D'après l
blement sensitif et contribueraient à former le réseau diffus de la
substance
grise, dont cet auteur admet l'existence. Pour v.
s grosses de celles qui sillonnent l'écorce. Elles arrivent de la
substance
blanche, se coudent pour pénétrer dans l'écorce
ès grosses fibres à trajet oblique ou horizontal, qui sillonnent la
substance
grise dans les couches moyennes et inférieures de
âgée de 13 jours. On y a représenté les fibres grosses venant de la
substance
blanche cl, s'arborisant dans la substance gris
res grosses venant de la substance blanche cl, s'arborisant dans la
substance
grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.
- e, grandes cellules pyramidales. J', cellules poly- morphes. - A,
substance
blanche. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DE
ecta et au niveau de la circonvolution de l'hippocampe (H [L2]), la
substance
réticulée d'Arnold (Lms). Or, ces formations [ner
d'Arnold (Lms). Or, ces formations [nerfs de Lancisi, tænia tecta,
substance
réticulée) sont absolument distinctes du cingulum
le seuil de l'insula, où il s'étend dans le sens transversal, de la
substance
perforée antérieure à la capsule extrême. Comme
n faisceau irrégulicr, compris entre la capsule extrême (Ces) et la
substance
perforée antérieure (Spa). Situé en dehors de la
au uncifol'lne, se portent en avant, et en dedans, passent entre la
substance
perforée antérieure et la face inférieure du pu
les, la partie morcelée de l'avant-mur, le faisceau uncinatus et la
substance
innommée de Reichert. Méthode deyYeigert. 3/2 gra
- sB, strie externe de Baillarger. - SI, seuil de l'insula. - SI;,
substance
innommée de Reichert. - Slri, stratum intermedium
extrémité temporale, les libres du faisceau uncinatus morcellent la
substance
grise qui relie l'avant-mur (AM) au noyau amygdal
faisceau arqué. Son trajet. à l'écorce temporale au niveau de la
substance
perforée antérieure (fig. 283) ; , elles s'entr
corps calleux; il est séparé de la cavité ventriculaire par la
substance
grise sous- épendymaire. Ce fais- ceau, que n
tico-trans- versales. dans toute son étendue par l'épendyme et la
substance
grise sous-épen- dymaire, à laquelle il abandon
cule latéral. D'autres fibres (OF', fig. 391, p. 790) traversent la
substance
grise sous-épendymaire, ', s'entre-croisent, en
. S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Sge',
substance
grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. Sti
Sge', substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. Sti,
substance
innommée de Reichert. - TI, T2, T,, première, d
l'hémisphère, et ses libres dégénérées peuvent ètre suivies dans la
substance
grise sous-épendymaire. Nous en rapporterons de
ps calleux. sp, sp', scissure sous- pariétale et son incisure. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. y ? T3, deuxième et troi-
au amygdalien (NA), où il mor- celle avec le faisceau uncinatus, la
substance
grise qui relie l'avant-mur au noyau amygdalien
de fibres longues, dont la dégénérescence peut être suivie dans la
substance
blanche du lobe temporal. Les libres du faiscea
ment, avec les libres de projection et les fibres commissurales, la
substance
blanche de ce z19 Rapports de son bord supé
iatons optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sg
- Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sge',
substance
grise sous-épendymaire de la corne occipitale.
NA, noyau amygdalien. B7'A, radiations thalamiques de Gratiolet. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - Stl, stratum lacunosu
ations optiques (Gratiolet), lame des faisceaux optiques (Meynert),
substance
sa- yittccle du lobe occipital (Wernicke), fais
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sgc,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous- ép
sec, sinus du corps calleux. - Sgc, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous- épendymaire. SgPo, substance grise
nce grise centrale. - Sge, substance grise sous- épendymaire. SgPo,
substance
grise de la protubérance. - strz, stratum zonale.
e de la couche optique de Meynert, - dont les libres passent par la
substance
innominée de Reichert et se dirigent obli- quem
audé et autour de la FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 785
substance
grise sous-épendymaire (Sge) qui double la corne
rconvolution frontale. -RCc, radia- tions du corps calleux. - Sage,
substance
grise sous-épendymaire. 786 ANATOMIE DES CENTRE
fibres de projection et commissurales de la région. En avant de la
substance
grise sous-épendymaire, les couches de fibres 1..
a face infé- rieure est tapissée par l'épendyme ventriculaire et la
substance
grise sous- épcndymaire (Sge) particulièrement
ied de la couronne rayonnante du lobe frontal (pCR), par le pont de
substance
grise qui relie le putamen à la tête du noyau c
, branches verticale et postérieure de la scissure de Sylvius. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - SI, scptum lucidum. -
, qui est séparée de la cavité ventriculaire par l'épen- dyme et la
substance
grise sous-épendymaire, et qui est recouverte par
tes sont souvent très pro- fondes, détruisent une grande étendue de
substance
blanche, fusent sous la cavité ventriculaire, s
face postérieure de la commissure antérieure est tapis- sée par la
substance
grise centrale du troisième ventricule (Sgc), et
ure de sa partie moyenne. Ses parties latérales s'enfoncent dans la
substance
perforée antérieure, se dirigent d'abord en dehor
e la commissure antérieure. Eh avant, ce canal est compris entre la
substance
perforée antérieure et la tète du noyau caudé (ng
ogue à celle de la bandelette optique, dont elle est séparée par la
substance
perforée antérieure et par l'anse pédonculaire
stance perforée antérieure et par l'anse pédonculaire de GraLiolet (
substance
innommée de Reichert) (Sti). Mais la courbe que
ions de la calotte. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sgc,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épo
ions optiques de Gratiolet. - Sgc, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épondymaire. Sih, scissure inter-hemis
ance grise sous-épondymaire. Sih, scissure inter-hemisptieriquc. Sti,
substance
innommée de Rciclicrt. - Tap, tapetuiii. - Tga,
ans du corps strié (lig. 244), puis s'enfonce verticalement dans la
substance
perforée antérieure, se re- courbe en avant et
imbique (première et deuxième circonvolutions limbiques (L"L [II ),
substance
perforée anté- rieure, noyau amygdalien); pour
des circonvolutions de l'insula. D'autres fibres se rendent dans la
substance
grise des parties verticale ou morcelée de l'avan
ie pédonculaire, les unes s'arrêtent dans le locus niger (Ln) et la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance (Np
erne de ce centre ovale, partie que nous désignerons sous le nom de
substance
blanche non différenciée de l'hémisphère cérébral
du cerveau antérieur, en particulier avec le noyau amygdalien et la
substance
perforée antérieure(Voy. coupe sagittale, Fig.
e l'épendyme ventriculaire. Leur face externe est recouverte par la
substance
blanche non différenciée du centre ovale, beauc
erticale et branche pos- térieure de la scissure de Sytvius. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - Si, septum lucidum. s
ne l/Sge). OF, faisce au occipito-frontal formant le feutrage de la
substance
grise sous-épendymaire (se), se concentrant à la
nvolution frontale. - RCc, radiations du corps calleux. - Sue, S,gé ,
substance
grise sous-épendymaire. - tec, lee', taenia tec
resque paral- lèlement à leur axe et qui, traversant obliquement la
substance
blanche non différenciée du centre ovale, ne pé
ule du noyau caudé saillant dans l'espace perforé antérieur. - Spa,
substance
perforée antérieure. - V.I, noyau amygdalien. Le
118, p. 134). Dans ces différents cas, la zone dégénérée occupe la
substance
blanche non diffé- renciée de la région, le fai
al (OF) peut être suivie en partie - fibres d'association - dans la
substance
grise sous-épendymaire (Sge) et dans la capsule
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise centrale. Sge, substance grise sous-épend
- sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge,
substance
grise sous-épendymaire. Silo, substance grise d
stance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. Silo,
substance
grise de la protubérance. strz, stratum zonale.
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge,
substance
grise sous-épen- dymaire de la corne frontale.
e, substance grise sous-épen- dymaire de la corne frontale. - Sge',
substance
grise sous-épendymaire de la corne occi- pitale
, noyau amygdalien, RTh. radiations thalamiques de Gratiolet. - Sage,
substance
grise sou-ependyma.irc. Sll, stratum iacunosuui
n de Itcil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgAg,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius, - SR, substance ré
e Gratiolet. - SgAg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius, - SR,
substance
réticulée. - slrz, stratum zonale de la couche
anté- rieur du trigone. TgV, car- refour ventriculaire. - Sti,
substance
innommée sous- lenticulaire de Reichert. 24 A
. S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Spe,
substance
grise sous-épen- dymaire. SI, septum lucidum. -
Spe, substance grise sous-épen- dymaire. SI, septum lucidum. - Sli,
substance
innommée sous-lenticulaire de lteichert. Ti, Ts
W), est séparé du segment postérieur (Cip) par une mince lamelle de
substance
grise appartenant à la zone réticulée du thalam
issociées et entourées comme d'une gangue par les nombreux ponts de
substance
grise qui relient la tête du noyau caudé au put
diations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. Sge,
substance
grise centrale. - Soe, substance grise sous-épe
- sec, sinus du corps calleux. Sge, substance grise centrale. - Soe,
substance
grise sous-épendymaire. - sJI, sillon de Alonro
e Iteil médian. - Iil'h, radiations optiques de Gra- tiolet. - Sge,
substance
grise sous-ependym.nre. Sti, substance innominée
iques de Gra- tiolet. - Sge, substance grise sous-ependym.nre. Sti,
substance
innominée sous-lenlicu- laire de Reichert. - l'
rière, par le corps genouillé externe (Cge) et une mince lamelle de
substance
grise qui appartient il la zone réticulée du th
et profonde (3). - li1'lz, radiations optiques de Gratiolet. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius». - Th, tlialamus
ne (Cge) dont elles sont toujours séparées par l'étroite lamelle de
substance
grise apparte- nant à la zone réticulée du thal
ne couche continue, mais sont dissociés par les nom- breux ponts de
substance
grise qui relient le bord postérieur du putamen
e pulamen (NLJ), le globus pallidus (NL2, NLu/), el en avant par la
substance
innommée sous-lenticulaire de Heichert (Sti); son
alien.-i1'C'yueue du noyau caudé. - Rm, ruban de Iteil médian. Sti,
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert. - Tap,
s de la calotte. - lt1'le, radiations optiques de Gratolet. - Sole,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen-
ions optiques de Gratolet. - Sole, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épen- dymaire. - Sih, scissure inter
se sous-épen- dymaire. - Sih, scissure inter-hémisphérique. -- Sti.
substance
innominée sous-lenticu- laire de Reichert. - Ta
end les fibres du faisceau de Turck (FT) que l'on peut suivre de la
substance
blanche non différenciée du lobe temporal , et
tale interne du segment inférieur de la couronne rayonnante. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire de la corne spénoidale. -
eure de sa surface de section, enclavée entre le globus pallidus,la
substance
grise centrale du troisième ventricule et le co
e Reil médian. - RTh, radiations opti- . ques de Gratiolet. - SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance
e Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc,
substance
grise centrale. - Sge, substance grise sous-épe
e de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance grise centrale. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. Sli, substance innominée
tance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymaire. Sli,
substance
innominée sous- lenticulaire de Reichert. - T,,
ruban de Heil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR. Formation
ans leur ensemble une couche de lâches fascicules séparés par de la
substance
grise et connue sous le nom de stratum inter- m
an de Reil latéral. - NIIl, noyau du ruban de Reil latéral. - SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli, formation
53 la constitution de la pyramide bulbaire ou se terminent dans la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance.
fascicules arrondies appartiennent à la voie pédon- culaire. - Sgc,
substance
grise centrale. - qPo, substance grise de l'étage
t à la voie pédon- culaire. - Sgc, substance grise centrale. - qPo,
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance.
ban de Reil médian. - RgRm. région du ruban de Reil médian. - SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, formation ré
ne sorte de treil- lage dont les intervalles sont comblés par de la
substance
grise. De ce treillage, connu sous le nom de zo
trigone et appartenant à la grande fente cérébrale de Bichat. Srlq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. 62 ANATOMIE DES
la lame médullaire antérieu- re et les fibres ra- diées. Sge,
substance
grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étag
e et les fibres ra- diées. Sge, substance grise centrale. - SgPo,
substance
grise de l'étage antérieur de la protubé- rance
nce. - SR, formation réticulée de la calotte protubérantielle. - Sti,
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert. - tec,
cule inféra-interne du thalamus. - Coupe horizontale passant par la
substance
innommée sous-lenticulaire de Reichert et le pé
an de Reil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance i
de Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti,
substance
innommée sous-lenticulaire de Reichert contenan
cke ou zone de Wernicke (1TT), puis pénètrent et s'épuisent dans la
substance
grise du pulvinar dont elles forment les fibres
de l' avant-l1wl' (AM') (Fig. 23), parcourent en diagonale toute la
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert (Sti (F
. 44) et sont renforcées à ce niveau par des fibres provenant de la
substance
perforée antérieure et de la face externe du lo
ganglion de l'habenula (Gh) (Fig. 45). Dans son trajet à travers la
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert (Fig. 4
une coupe sagittale passant par le noyau antérieur du thalamus. La
substance
grise qui sépare le. pédoncule inféro-interne d
noyau de l'anse pédonculaire de Gra- tiolet ; elle appartient à la
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert. Méthod
bercule mamillaire. - Rolp, radiations olfactives profondes. - Spo.
substance
perforée antérieure ou aire olfactive. - Th, thal
Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. - S,gc,
substance
grise centrale. - si, sillon opto-strié. - SI, se
strie olfactive externe. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SR.
substance
réticulée. - Sli, substance innominée sous-lent
radiations optiques de Gratiolet. - SR. substance réticulée. - Sli,
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert. strz, st
- Zr, zone réticulée ou grillagée. - 11, bandelette optique. - x11,
substance
grise doublant le chiasma des nerfs optiques.
e d'une dégénérescence de la partie interne du locus niger et de la
substance
grise antérieure de la protubérance, ainsi que
érance. Le faisceau interne est limité en dedans par une traînée de
substance
grise qui appartient au locus niger, et conserv
sont disso- ciées par les fibres transversales et abandonnent à la
substance
grise an- 1(,'i,ieti2,e (noyaux politiques) de
ed du pédoncule cérébral, retentit à la fois sur le locus niger, la
substance
grise de la protubérance et la pyramide bulbair
méthode la dégénérescence de ce faisceau et sa terminaison dans la
substance
grise de la région supé- rieure de la protubéra
oncule cérébral est toujours accompagnée d'une dégénérescence de la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance.
se du cer- veau (corps opto-striés, tubercules quadrijumeaux) et la
substance
grise centrale (cornes médullaires et noyaux de
don latéral de la moelle et du bulbe. - Fp, cordon postérieur. - g,
substance
gélatineuse de Rolando,. - L, la partie antérieur
ème de projection de deuxième ordre qui unissait ces ganglions à la
substance
grise centrale croisée; de cette dernière paita
ibres striées (Cbr, Fig. : il, coupe 1),les unes s'arrêtaient dans la
substance
grise de la protubérance annulaire, les autres
dal fut définitivement admise. Charcot montra que les lésions de la
substance
grise corticale déterminent une sclérose du fai
pas un faisceau sensitif; il n'atteint pas le bulbe, mais relie la
substance
giise antérieure du pont à l'écorce occipito-te
de la couche dorsale ou profonde; elles aboutissent finalement à la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance,
4° les circonvolutions limbiques, en particulie- l'hippocampe et la
substance
perforée antérieure (sphère olfactive). Les zon
encéphalique, portant sur la totalité des faisceaux blancs et de la
substance
grise. Elle intéresse non seulement les faisceaux
fibres sont en outre plus ser- rées les unes contre les autres, la
substance
fondamentale étant atrophiée. Double coloration
s, plus serrés les uns contre les autres et séparés par très peu de
substance
grise. Méthode de Weigert-. Le trigone atrophié
nombreuses et de provenance fort variée : A leur origine et dans la
substance
blanche non différenciée de l'hémisphère, elles
ns corti- cales indirectes. jumeau antérieur; le locus niger ; la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance (
laire et thalamique de Forel, le faisceau rétroflexe de Meynert, la
substance
grise centrale du troisième ventricule ; dans le
9). La plaque jaune intéresse l'écorce et la partie adjacente de la
substance
blanche, mais respecte complètement les noyaux
tion de volume considérable du locus niger (Ln) (Fig. 71-74) et de la
substance
grise de l'étage antérieur de la pl'otuberanc«(
la Saïpêtrière 107 FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance, do
itudinal inférieur s'irradie dans l'écorce du lobe temporal dont la
substance
blanche est très dégénérée (fibres longues 110
Qa), des fibres superficielles et moyennes de ce tubercule et de la
substance
grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. FiG. 89
tudinal inférieur) (Fli), du faisceau occipital vertical (Ov), de la
substance
blanche non différenciée de la face externe du
ulier du faisceau longitudinal inférieur, a retenti en outre sur la
substance
blanche du lobe temporal; la première et la deu
thalamiques (RTh), du faisceau longitudinal inférieur (Fli), de la
substance
blanche des circonvolutions temporales, du segmen
gV). Dégénéres- cence légère du tapetum (Tap), dégénérescence de la
substance
blanche non diffé- renciée de la région temporo
région temporo-pariétale. Dégénérescence du forceps major et de la
substance
blanche non différenciée de la première circonvol
n a détruit, comme à l'emporte-pièce, l'écorce du pli courbe, et la
substance
blanche sous-jacente de la région, de telle sorte
cérébral. L'écorce du gyrus supra-marginalis est ratatinée, mais la
substance
blanche sous- jacente ne participe pas à la lés
cence ne va pas en diminuant d'intensité de dehors en dedans, de la
substance
blanche non différenciée àla la paroi ventricul
les radiations thalamiques, le faisceau longitudinal inférieur et la
substance
blanche non différenciée du lobe occipital; dég
halamique (Fig. 104). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. La
substance
blanche des circonvolutions première temporale (T
s apparente à l'extérieur, il existe toujours une destruction de la
substance
blanche sous-jacente; le lobule paracentral ne re
eau occipito-frontal (OF-1-Pr) et des fibres (OF) qui sillonnent la
substance
grise sous-épendymaire. Dégénérescence partielle
tion frontale (Fig. 11 7) et empiétant d'un centimètre environ sur la
substance
Fic. 117.-Cas Schweigoffer (Bicêtre,1801). Mo
éphalie acquise de l'operculerolan- dique détruisant l'écorce et la
substance
blanche sous-jacente, sans atteindre le fais-
rticulier, par la ligne B Il de la fig. 11 i). Dégénérescence de la
substance
blanche non différenciée des circon- volutions
e et pédonculaire. Dégénérescence du faisceau uncinatus (Fu), de la
substance
blanche de la pointe temporale, de l'insula (Fi
ble que les petites zones de dégéné- rescences qui existent dans la
substance
blanche non différenciées de la première circ
rieure du bulbe est intacte. La lésion intéressait l'écorce et la
substance
blanche sous-jacente du lobe temporal, mais ne
ième externe du pied du pédoncule cérébral) et s'épuisent dans la
substance
grise de la partie postéro-supéro- externe de
faisceau occipito-frontal intéresse non seulement les fibres de la
substance
grise sous-épendymaire, mais encore le faisceau
érébral (P) (Fig. 150) et s'épuisent dans le locus niger (Ln) et la
substance
grise antérieure de la protubérance. Le segment s
cielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Qla), des fibres de la
substance
grise centrale (Sgc (d) el. de la substance grise
(Qla), des fibres de la substance grise centrale (Sgc (d) el. de la
substance
grise de l'aqueduc de Syl- vius (Sg Aq (d). Dég
sceau de Turck s'épuise dans la partie supéro-postéro-externe de la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance.
ed du pédoncule cérébral (Fig. 150) se sont toutes épuisées dans la
substance
grise antérieure de la protubérance, aucune ne de
tite zone de sclé- rose (FPyc) qui longe la corne postérieure. La
substance
grise centrale contient un certain nombre de
ie en masse de toute la moitié gauche de la moelle portant sur la
substance
grise et l'ensemble des cor- dons blancs. Mét
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa) (Fig. 149) et des fibres de la
substance
grise centrale (Sgc) au voisinage de ce tubercule
pédoncule cérébral (P) (Fig. 150), une atrophie très accusée de la
substance
grise antérieure de la protubérance (Fig. 131)
fibres saines des tiers interne et moyen, s'épuisent toutes dans la
substance
grise antérieure de la protubérance et n'atteig
oit agénésié. lIémiatrophie de toute la moitié gauche de la moelle (
substance
grise et cordons blancs). Méthode de Itosin. 6/
lésée du noyau caudé ressemble à une coque, vide de son contenu de
substance
grise, que la membrane épendymaire FiG. 168. -
ielle du faisceau occipito- frontal, de la capsule externe et de la
substance
blanche des circonvolutions tem- porales. Dégén
usque dans la pointe occipitale; une dégénérescence partielle de la
substance
blanche des circonvolutions temporales, une dég
art le long de l'angle externe du ventricule latéral jusque dans la
substance
grise qui borde la corne frontale (Fig. 192 et 19
males. Le noyau caudé est relié au putamen par de nombreux ponts de
substance
grise; il en est séparé par les segments Moteurs
lètement myélinisées, et grâce à l'absence de la voie pédonculaire la
substance
grise antérieure du [pont paraît plus abondante
itutifs de la calotte pédonculaire et bulbo-protubérantielle, et la
substance
grise est abondante comme elle l'est à cet âge ch
lu- lion de l'hippocampe et l'espace perforé antérieur. La perte de
substance
aurait donc porté sur l'insula, l'opercule sylv
ormal la coupe dite de Meynert (T. 1 ? Fig. 3, p. 19). Si la perte de
substance
paraît si étendue, cela tient à ce que la subst
Si la perte de substance paraît si étendue, cela tient à ce que la
substance
blanche du centre ovale est excessi- cernent ré
coupes : 1° Que le manteau cérébral de cet hydrocéphale possède une
substance
blanche qui, bien que réduite, contient néanmoi
nouissent en éventail dans la crête des circonvolutions, forment la
substance
blanche non différen- ciée du centre ovale et s
c l'épendyme ventriculaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - Sge,
substance
grise sous-épen- dymaire. VI, ventricule latéra
, dans une ,région où il existe de nombreux îlots hétérotopiques de
substance
grise. La partie inférieure, basale du septum l
cette région contient un certain nombre d'amas hétéroto- piques de
substance
grise. Méthode de \\'cigert-Pal. 6/1 grandeur nat
veau normal et ne considérer comme tel que les libres qui occupent la
substance
grise sous-épendymaire et qui sont particulière
illon. Disposition radiée des circonvolutions autour de la perte de
substance
cratériforme, dont le sommet occupe la voûle du
. Dans ces deux cas, les lésions sous-corticales avaient détruit la
substance
blanche sous-jacente au tiers pos- térieur de l
profondes qui atteignent l'épendyme ventriculaire et détruisent la
substance
blanche sagittale sous-jacente. Lorsque les lés
tubercule quadrijumeau antérieur. - 7 ? ruban de Hell médian. - Spa,
substance
per- forée antérieure. - Ti, T'i, centre de Wer
lésion occipitale, intéressant plus particulièrement l'écorce et la
substance
blanche sous-jacente des scissures calcarine et
evait s'agir de lésions qui lèsent plutôt qu'elles ne détruisent la
substance
cérébrale. Le : mêmes réflexions s'appliquent à
tifs, et dans leur intervalle souvent fort .irrégulier on aperçoit la
substance
grise de cette circonvolution avortée. Au niv
s par un certain nombre de libres qui prennent leur origine dans la
substance
grise des lobes olfactifs antérieur et postérieur
tifs antérieur et postérieur. Les plus courtes se terminent dans la
substance
grise du pédoncule olfactif, du tubercule olfac
Les radiations olfactives profondes (1-'tolp)(Fig. 231) formenl la
substance
blanche profonde du pédoncule et du tubercule olf
toxylinique et séparés les uns des autres par des îlots allongés de
substance
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 265
érieur (partie inférieure et basale de la tête du noyau caudé (CNC)
substance
perforée antérieure, substance innominée sous-l
sale de la tête du noyau caudé (CNC) substance perforée antérieure,
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert). Elles
arrière du tubercule olfactif du noyau caudé (CNC) et comprenant la
substance
perforée antérieure et la sub- stance innominée
ascicules lâches et onduleux, l'aire olfactive, en particu- lier la
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert, et crois
re principal (I·'nah). - Fiel, faisceau longtlu- dinal dorsal de la
substance
grise centrale de Schutz. - F.11, faisceau rétrof
. Elles naissent des cellules pyramidales petites et moyennes de la
substance
grise du pédoncule et du tubercule olfactifs et
ubercule mamillaire. - Roll), radiations olfactives profondes. - tya,
substance
perforée antérieure. - Th, thalamus. Tma, tuber
nexions. En avant (Fig. 2G1), le taenia semicircularis émerge de la
substance
per- forée antérieure et de la partie adjacente
dinales, et contient dans son épaisseur un certain nombre d'amas de
substance
grise en continuité avec la substance grise sous-
r un certain nombre d'amas de substance grise en continuité avec la
substance
grise sous-épendymaire. Le taenia semicirculari
ncore, comme Foville le signalait, dans la partie postérieure de la
substance
perforée antérieure. , Nombreuses sont les opin
ez le lapin) dans le noyau lenticulaire, le noyau amygdalien. et la
substance
grise de la pointe de la corne sphénoïdale. Il
abandonnant des fibres soit à la commissure anté- rieure, soit à la
substance
grise qui entoure le chiasma des nerfs optiques,
io-thalamiques. - Th, thalamus. - tsc, tænia semicircularis. - Sgc,
substance
grise centrale. - Zr, zone réticulée. 272 ANATO
, soit aux régions basales du cerveau anté- rieur : septum lucidum,
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert, noyau
a partie antérieure du troisième ventricule, puis s'enfonce dans la
substance
grise du tuher cinereum et aborde le tubercule
- NR, noyau rouge. - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur. - SgAq,
substance
grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. - SI, sep
ereum de Gudden dont les fibres peuvent être suivies jusque dans la
substance
grise centrale du troisième ventricule. - Tg, c
le gyrus fornicatus et le septum lucidum, soit entre eux, soit 1 la
substance
perforée antérieure et au tubercule olfactif.
ure antérieure (Fig. 22, p. 32, et Fig. 263), s'en- foncent dans la
substance
grise centrale de la région sous-optique, puis
u thalamus (PiTh) qui se porte en bas et en avant, du thalamus à la
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert; 2° le
és les uns des autres par des inter- valles plus ou moins grands de
substance
grise, s'enchevêtrent les uns avec les autres e
ociation et de fibres de projection (Ol ? 1-l'r), le feutrage de la
substance
grise sous-épendymaire (OF) qui double l'angle
u faisceau occipito-frontal consécutive à une lésion en foyer de la
substance
blanche sous- jacente à la première circonvolut
meau antérieur. - Qp, tubercule quadri- jumeau postérieur. - Sg.lg,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - Te, tuber cine
nterne (Honegger, Cajal, Kôlliker, Vogt) de ce tubercule et dans la
substance
grise avoisinante (Kôlliker, Vogt). Le plus grand
hnoplhagen, V. Monakow, Vogt); quelques fibres se terminent dans la
substance
peiforée postérieure (Kôlliker, Vogt); d'autres
sième ventricule. 11 est séparé de la cavité ventricu- laire par la
substance
grise centrale, mince sur la ligne médiane et il
reum de Gudden. PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus. - Sr/c,
substance
grise centrale du troisième ventricule. Tga, pi
CE CÉRÉBRALE. 299 interne l'entoure complètement et le sépare de la
substance
grise cen- trale du troisième ventricule et du
uite oblique- ment en haut, en dehors et en arrière, et traverse la
substance
grise cen- trale du troisième ventricule au voi
bstance grise cen- trale du troisième ventricule au voisinage de la
substance
perforée posté- rieure, puis entre dans la régi
perficielle de la calotte, passe en dedans du locus niger, entre la
substance
perforée postérieure et le pied du pédoncule cé
en dedans, longent la face interne du noyau rouge et arrivent à la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius, en tra- versant
périeurs en concourant à former lesjibres antéro-postérieures de la
substance
réticulée de la calotte. Elles se terminent final
mation réticulée,lII°parlie). Le ganglion dorsal est situé dans la
substance
grise centrale du quatrième ventricule, en arri
émanent des fibres longitudinales qui traversent du haut en bas la
substance
grise centrale du quatrième ventricule en formant
lules nerveuses et des cellules névrogliques plongées au sein d'une
substance
fondamentale finement réticulée et se colorant
s. - Sexv, surface extra ventriculaire de la couche optique. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire.- Tap, Inpetum. - Tgp. p
oilde même pour les nom- breuses libres à myéline qui sillonnent la
substance
grise sous-épendymaire de l'angle externe du ve
anesthésie datant de 22 jours et relevant d'un ramollissement de la
substance
blanche sous-corticale placée sous la partie mo
'accompagne d'une dégéné- rescence très évidente et très fine de la
substance
grise antérieure de la protubérance. 2° Une dég
occupe les faisceaux radiés, la lame médullaire externe (Lme) et la
substance
grise fonda- mentale de la moitié postérieure d
age dégénérés. La dégénérescence du globus pallidus occupe toute la
substance
grise de ce noyau, elle est en outre par- ticul
fibres verticales de l'étage antérieur de la protubérance et de la
substance
grise avoisinante, de la pyramide antérieure du
interne (lmi). Il existe en outre une dégénérescence diffuse de la
substance
grise de toute la moitié posté- rieure du globu
ne partie des fibres dégénérées du globus pallidus s'épuise dans la
substance
grise de ce ganglion, une autre partie entre da
postérieure et sa lame médullaire des fibres qui s'épuisent dans sa
substance
grise; Le corps de Luys entre de même en connex
lenticulaire (Al). Il abandonne chemin faisant quelques fibres à la
substance
grise centrale du 3e ventricule et au champ de
la face inférieure du noyau lenticulaire (Fig. 23), appartient à la
substance
inno- minée sous-lenticulaire de Reichert et cr
isceau l'anse pédonculaire de Gratiolet c'est-à-dire cette bande de
substance
grise et blanche que l'on voit à l'oeil nu sur
l'anse pédonculaire sont séparés l'un de l'autre par une couche de
substance
grise riche en volu- mineuses cellules nerveuse
ise riche en volu- mineuses cellules nerveuses, qui appartient à la
substance
innominée sous-lenliculaire de Reichert et qui
d antéro- interne du segment postérieur de la capsule interne et la
substance
grise centrale du troisième ventricule ; elle e
se porte en arrière, abandonne chemin faisant quelques fibres à la
substance
grise centrale du troisième ventricule, puis pénè
e de Forel (FI) et envoient un petit fascicule (FI') dégénéré dans la
substance
grise centrale du troisième ventricule, au-dess
de Meynert (CM) (Fig. 297et298). Elles peuvent être suivies dans la
substance
grise centrale du troisième ventricule le long
e la couche optique. C'est un foyer de ramollissement avec perte de
substance
de la partie antéro-ventrale du noyau externe d
Forel, en particulier, le faisceau lenticulaire de Forel envoie à la
substance
grise centrale du 3e ventricule (FI') (Fig. 305
vrai, que dans la partie supérieure ou dorsale du noyau externe la
substance
grise prédomine et que la pénétration des fibre
t du noyau externe. Toutes ces cellules sont plongées au sein d'une
substance
fondamen- tale, finement granuleuse, qui se col
es cellules nerveuses volumineuses, ainsi que par la richesse de sa
substance
fondamentale en fibres à myéline. Le noyau acces-
e. Ses cellules sont très analogues à celles du noyau principal, la
substance
fondamentale seule se distingue par une moindre
rs par la lame médullaire interne (Lmi), recouvert en dedans par la
substance
grise centrale (Sgc) qui le sépare du troisième
one et appartenant il la grande fente cérébrale de Bichat. ? 7-'f ?
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. GANGLIONS INFRAC
c de Sylvius. GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc,
substance
grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étag
TICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise centrale. - SgPo,
substance
grise de l'étage antérieur de la protubé- rance
nce. - SR, formation réticulée de la calotte protubérantielle. - Sti,
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert. - lec,
amidales, très rappro- chées les unes des autres et entourées d'une
substance
fondamentale pauvre en fibres à myéline. Ces ce
nt plus petites que l'on examine des régions plus rapprochées de la
substance
grise centrale (v. Monakow). Le noyau interne
nt petites, triangulaires ou fusiformes; elles sont entourées d'une
substance
fondamentale très riche en fibres à myéline qui
lvinar (Pul). Elle se présente sous l'aspect d'une mince lamelle de
substance
grise qui recouvre toute la face externe du noy
de la couche optique. Les mailles de ce réseau sont remplies par la
substance
grise de la zone réticulée ou grillagée, laquel
an de Reil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sage,
substance
grise centrale du troisième ventricule. - SI, sep
ou grillagée, les cellules nerveuses sont petites, entourées d'une
substance
fondamentale abondante qui rem- plit toutes les
d'autant plus serrées les unes contre les autres et entourées d'une
substance
fondamentale d'autant plus intensivement coloré
t soit isolées, soit disposées en petits groupes et entourées d'une
substance
fondamentale riche en fibres à myéline. Ces fib
. - S(p), prolongement postérieur de la scissure de Sylvius. - Sge,
substance
grise sous-épendymaire. - Sge (Fli), couche sagit
nes du pulvinar et se disposent en petits groupes, entourés par une
substance
fondamentale se colorant intensivement par le c
ps genouillé externe. La base de ce ganglion est en rapport avec la
substance
grise du pulvinar (Fig. 313), et dans les régio
ites ramifiées et couvertes d'épines, et sont situées au sein d'une
substance
fondamentale finement granuleuse. Leurs cylindr
on seule- ment les fibres radiées du thalamus, mais encore toute la
substance
grise de ce ganglion qui est piqueté de grains
le putamen, et se terminent sur la coupe en s'épanouissant dans la
substance
grise très épaisse située au-dessous de l'épendym
nnexions très intimes entre la couche optique, le noyau rouge et la
substance
grise de la formation réticulée. Le complexus d
ct de deux faisceaux parallèles séparés l'un de l'autre soit par la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius, soit par le sill
e quadrijumeau antérieur. - 1'Sp, diverticule sus-pi- néal.- Sge,
substance
grise centrale. par les bras des tubercules q
ent leur origine moins de l'écorce temporale que des cellules de la
substance
innominée sous-lenticulaire qui constituent le
stituent le ganglion de l'anse pédon- culaire ou des cellules de la
substance
grise centrale qui tapisse la face interne du t
reuses fibres proviennent du septum lucidum et de l'aire olfactive (
substance
perforée antérieure, substance innominée sous-len
ptum lucidum et de l'aire olfactive (substance perforée antérieure,
substance
innominée sous-len- ticulaire, tubercule olfact
diations de la calotte. - RrIR, région du ruban de Reil médian ? Sgc,
substance
grise centrale. - sM, sillon de Monro. - Spp, s
dian ? Sgc, substance grise centrale. - sM, sillon de Monro. - Spp,
substance
perforée postérieure. - SI ri, stratum intermed
aine de myéline, il est fort probable qu'elles se terminent dans la
substance
perforée postérieure ou que, se comportant de l
ceau rétroflexe de Meynert et qui ne doit pas être confondu avec la
substance
perforée postérieure. Découvert par v. Gudden,
avec le bord supérieur de la commissure postérieure. Composée d'une
substance
grise molle, creusée d'une ou plusieurs cavités
er et du pied du pédoncule cérébral, entre la capsule inlerne et la
substance
grise centrale du troisième ventricule. Elle atte
ce grise centrale du troisième ventricule. Elle atteint en avant la
substance
perforée anlérieure et se continue en arrière et
ue de l'im- portante région de la calotte, région qui s'étend de la
substance
perforée antérieure au processus reticularis de
ION SOUS-OPTIQUE. 39 : 3 partie inférieure du globus pallidus et la
substance
innominée sous-lenti- culaire de Reichert, inté
faisceau rétroflexe de Meynert. La face interne est tapissée par la
substance
grise centrale dont la séparent incomplètement
adie avec elle dans l'extrémité anté- rieure du thalamus et dans la
substance
grise du tuber cinereum ; en arrière, il s'amin
couche optique, et sectionnant le pied du pédoncule cérébral et la
substance
innominée sous- lenticulaire de Reichert dans l
latéral ? M'f, la surface extravenlriculaire du thalamus. - Sr/l',
substance
grise centrale du 3° ventricule. - SI, seplum l
tance grise centrale du 3° ventricule. - SI, seplum lucidum. - Sti,
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert. - Strz,
partie antérieure de la capsule du noyau rouge. horizontale de
substance
grise, la zona incerla de Forel (Zi). Il s'agit i
Forel la face inférieure du thalamus et se perd en dedans, dans la
substance
grise centrale du troisième ventricule. La zona
e se réunissent en un faisceau volumineux qui occupe, le long de la
substance
grise centrale du troisième ventricule, la part
en deux parties : l'une interne, sus-mamillaire, qui s'adosse à la
substance
grise centrale du troisième ventricule; l'autre
ches sagittales du segment inférieur de la couronne rayonnante. Sfte,
substance
grise centrale. - SI, septum lucidum. - Slm, st
ne de la com- missure antérieure, sur les coupes qui intéressent la
substance
innominée sous-lenticulaire de Reichert, à la l
et le noyau caudé sont détruits. Il envoie quelques fibres dans la
substance
grise inter- pédonculaire et reçoit de la corti
ur à tour considérer le corps de Luys comme apparte- nant soif à la
substance
blanche, soit à la substance grise. Ce n'est qu
de Luys comme apparte- nant soif à la substance blanche, soit à la
substance
grise. Ce n'est qu'au voisinage de la circonfér
e, finement fibrillaire, qui ne diffère pas de celle di reste de la
substance
grise, el dans laquelle on trouve clairsemées ur
celles du noyau rouge ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV. -
SUBSTANCE
GRISE CENTRALE ET COMMISSURES DU PLANCHER DU TR
SE CENTRALE ET COMMISSURES DU PLANCHER DU TROISIÈME VENTRICULE La
substance
grise centrale tapisse les parois latérales et le
s trous de Monro et de l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius avec la
substance
grise sous-épen- dymaire des ventricules latéra
a substance grise sous-épen- dymaire des ventricules latéraux et la
substance
grise centrale du cerveau moyen. Elle fait défa
éale. Mince en haut où elle tapisse la face interne du thalamus, la
substance
Fisc centrale se fusionne incomplètement à ce n
rta en - recouvrant la face interne de la région sous-optique. La
substance
grise du plancher du troisième ventricule occupe
ndelette optique et per- forée de petits orifices vasculaires. La
substance
grise centrale est tapissée par les cellules cyli
décrit par Darkschewitsch. La méthode de Weigert-Pal révèle dans la
substance
grise cenlrale de nombreuses fibres fines, de moy
re de Forel ou com- missure sous-thalamique postérieure, et dans la
substance
grise qui double le chiasma et la bandelette op
. - Sexv, surface extra ventriculaire de' la couche optique. - Sge,
substance
grise centrale. - SI, septum lucidum. - Spp, la
se centrale. - SI, septum lucidum. - Spp, lame interpédonculaire ou
substance
perforée postérieure. - Strz, stra- tum zonale
ieure du faisceau longitudinal postérieur,longent de haut en bas la
substance
grise centrale, ainsi que nous l'avons figuré dan
t un faisceau formé de lâches fascicules de fibres enclavés dans la
substance
grise centrale, au-dessus du chiasma et des ban-
t le trajet et dont elle est toujours séparée par une mince lame de
substance
grise. Chez l'homme, elle occupe une situation
r la laque hématoxylinique, et séparés les uns des autres par de la
substance
grise. Elle occupe la partie supérieure et inte
n du faisceau du tuber cinereum; la commissure qu'il décrit dans la
substance
grise centrale occupe la partie antérieure de la
one, et se perdrait, d'après Darksche- witsch et Pribytkow, dans la
substance
grise centrale comprise entre le pilier antérie
gittales, nous avons pu suivre ce faisceau plus loin jusque dans la
substance
grise centrale de l'aqueduc deSylvius(fTc, Fig. 2
troisième ordrc. 2° Les centres olfactifs primaires comprennent la
substance
grise du pédoncule et du trigone olfactif, l'ai
illaire principal (Fmp). Fiel, faisceau longitudi- nal dorsal de la
substance
grise centrale de Schutz. 7'U, faisceau rétroflex
ieure (Rolp,') dont la plupart des fibres se terminent soit dans la
substance
grise du tubercule olfactif, soit au- tour des
ontournent les pédoncules cérébraux, adhèrent comme le chiasma à la
substance
grise de la base de l'encéphale, puis se divisent
le bras du tubercule quadrijumeau antérieur et se terminent dans la
substance
grise superficielle et moyenne de ce tubercule.
bercul quadrijumeau antérieur. - Ranz, ruban de Reil médian. - Spa,
substance
perforée anté rieure. - T,, T,' centre de Werni
l'écorce occi- pitale et se terminent par des arborisations dans la
substance
grise du corps genouillé externe, du pulvinar,
erne, du pulvinar, du tubercule quadrijumeau anté- rieur et dans la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. Les autres repré-
a bandelette optique, mais sont situées dans l'épaisseur même de la
substance
grise du tuber cinereum et persistent toujours
ne une atrophie com- pléte des deux bandelettes, c'est donc dans la
substance
grise centrale de la base du cerveau qu'il faut
tement colorées par la laque hématoxylinique, plongés au sein de la
substance
grise de la base du cerveau et que Schlagenhauf
d du sillon post-pyramidal. Les sillons profonds, qui atteignent la
substance
blanche centrale, subdivisent le cervelet en un
st rien. Les sillons du vermis, grâce au peu de développement de sa
substance
blanche cen- trale, sont en général plus profon
au voisinage du pédicule d'in- sertion du lobe postérieur sur la
substance
blanche centrale du cervelet, se continuent d
t reliée aux parties hémisphériques (II) par une mince lamelle de
substance
blanche, sorte de crête d'union ou de pédoncu
doncule, d'une crête d'union (c) plus ou moins étendue et formée de
substance
blanche incomplète- ment revêtue par l'écorce c
volumi- neux du cervelet. Trois sillons profonds qui atteignent la
substance
blanche centrale du cervelet le divisent en qua
y, pyramide antérieure du bulbe. - Rm, ruban de Reil médian. - Sbc,
substance
blanche centrale ou noyau blanc central du verm
vermis. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sgc,
substance
grise centrale du .4' ventricule. - Sgc', substan
d'Azyr. - Sgc, substance grise centrale du .4' ventricule. - Sgc',
substance
grise centrale péri-épendymaire. - spo, sillon
OMBENCÉPHALE. 453 dans le sillon marginal antérieur, d'atteindre la
substance
blanche cen- trale du cervelet, et d'être plus
che verticale (bv) de l'arbre de vie médian et qui atteint seule la
substance
blanche centrale du vermis (Fig. 336). Dans la
nterlobulaires gagnent rapidement en profondeur, atteignent tous la
substance
blanche centrale, et il résulte de cette dispos
la branche horizontale de l'arbre de vie médian, au voisinage de la
substance
blanche centrale du vermis (Fig. 336). La pyram
uement en arrière et en dedans; elle occupe la partie interne de la
substance
blanche centrale des hémisphères et empiète en av
33G) et s'implante par un mince pédicule à la face inférieure de la
substance
Fic.. 3M. - Le vermis inférieur, les nids d'hii
ief médian du versant supérieur du toit du 4' ventricule formé par la
substance
blanche de la lingula. z/e, nid d'hirondelle. -
uelle est reliée de chaque côté aux amygdales par une large lame de
substance
blanche, irrégulièrement quatrilatère, connue sou
ssous des ailes de la pyramide ; leur bord antérieur, adhérant à la
substance
blanche centrale du cervelet, se conti- nue ins
ituée en avant de la luette à la partie antéro-inférieure de la
substance
blanche cen- trale du vermis (Fig. 336, 31 ))
e diverticule angulaire du 4" ventricule et se réfléchissant sur la
substance
blanche et l'écorce de la face supérieure du no
du nodule (Fig. 315) se détachent deux minces voiles membraneux de
substance
blanche, que leur forme semi-lunaire a fait com
dont il se distingue par sa minceur et sa mobilité, et adhère à la
substance
blanche centrale du cervelet. Il forme avec la
'écorce cérébelleuse (voy. cas Vasseur, Chap. IV), ou détruisent la
substance
blanche centrale sous-jacente (voy. cas Drevel,
(Fig. 366, 367), on constate que l'olive est formée par une lame de
substance
grise plusieurs fois repliée sur elle-même, et
complètement les pyramides postérieu- res et atteint presque la
substance
grise centrale du bulbe. Au voisinage du collet
quatrième ventri- cule. Sa base est fixée sur la ligne médiane à la
substance
blanche du nodule (SbNo) et latéralement aux va
ansversaux du 4° ventricule : ils longent la valvule de Tarin et la
substance
blanche du nodule et se pro- longent de chaque
de chaque côte dans les diverticules latéraux du 4' ventricule. SbNo,
substance
blanche du nodule. - spe, sillon précentral. -
gle de réflexion correspond aux bords des valvules de Tarin et à la
substance
blanche du nodule, c'est-à-dire au bord supérie
laté- raux. Les plexus médians s'étendent du trou de Magendie à la
substance
blanche du nodule sous forme de deux minces tra
rt par le trou de Magendie. En haut, ils sont unis au-devant cle la
substance
blanche du nodule par un petit cordon transvers
iverticule angulaire, médian (fV;, Fig. 336), qui s'enfonce dans la
substance
blanche du cervelet, et de chaque côté deux div
. Arnold la désignait de ce fait sous le nom de locus cml'1lleus ou
substance
ferrugineuse (subslanlia ferruginea), nom génér
ins développées, profondes et recouvertes par une épaisse couche de
substance
grise centrale; quelquefois, elles ne sont appare
hors d'eux ; leur extrémité interne est dans ce cas couverte par la
substance
grise centrale. De leur ligne d'émergence qui p
riculaire. Il s'étend des tubercules quadrijumeaux postérieurs à la
substance
blanche centrale du vermis; sur la partie média
par deux sillons lon- gitudinaux. La bande médiane (ms) répond à la
substance
blanche de la liu- gula et à la valvule de Vieu
z10 un petit segment horizontal formé dans sa partie moyenne par la
substance
blanche du nodule, et dans ses parties latérales
'à la limite postérieure du nid d'hirondelle, de telle sorte que la
substance
blanche centrale du cervelet atteint dans cette
aire. Le cervelet est surtout composé d'une couche superficielle de
substance
grise, l'écorce cérébelleuse, et d'une substanc
e superficielle de substance grise, l'écorce cérébelleuse, et d'une
substance
blanche centrale relativement peu considérable.
let el se réfléchit dans le fond des sillons interlobulaires sur la
substance
blanche centrale du vermis et des hémisphères.
iane, elle correspond à l'insertion de la toile choroïdienne sur la
substance
blanche du nodule; de chaque côté elle décrit une
lle des hémisphères. Sur ces points, toujours . fort restreints, la
substance
blanche apparaît librement à la surface du cerv
de la plus grande partie de la face anlérieure du flocculus, où la
substance
blanche visible il l'extérieur constitue le péd
s lobes dé- pourvus d'écorce. 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Substance
blanche centrale. Ses prolongements périphé
centrale. Dimensions et as- pect. Préparation de Reil. La
substance
blanche, infiniment moins considérable que l'écor
'arbre de vie du cervelet (Fig. 358 et 339). Dans l'épaisseur de la
substance
blanche centrale, au voisinage du ver- sant sup
ires, le glo- Intle ou noyau sphérique et l'embole ou bouchon. 1.
SUBSTANCE
BLANCHE CENTRALE DU CERVELET. La Substance blan
l'embole ou bouchon. 1. SUBSTANCE BLANCHE CENTRALE DU CERVELET. La
Substance
blanche centrale du cervelet atteint ses plus g
e Vicq d'Azyr (scf) et à disséquer à l'aide du manche du scalpel la
substance
blanche du cervelet sur le prolongement de ce s
a préparation de Reil passe au-dessus d'elles et n'intéresse que la
substance
blanche cen- trale qui représente ainsi une sor
rties d'inégale épaisseur : l'une, supérieure, mince, comprenant la
substance
blanche immédiatement sous-jacente aux lobes du
eure, beaucoup plus épaisse, comprenant la plus grande partie de la
substance
blanche centrale du cervelet, les noyaux gris c
stance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris centraux et la
substance
blanche des lobes de la face infé- rieure du ce
he des lobes de la face infé- rieure du cervelet. Ainsi préparée la
substance
blanche centrale occupe toute la largeur du cer
(Fig. 357). Sur le segment inférieur de. la préparation de Reil, la
substance
blanche centrale est concave dans la région
e l'a1'b7 e de vie du vermis. Si la préparation de Reil montre la
substance
blanche centrale dans sa plus grande étendue, e
ittales au travers de cet organe. Elles permettent de distinguer la
substance
blanche centrale des hémisphères, de la substan
de distinguer la substance blanche centrale des hémisphères, de la
substance
blanche centrale du vermis. La substance blanch
e des hémisphères, de la substance blanche centrale du vermis. La
substance
blanche centrale des hémisphères forme sur les
stance blanche centrale des hémisphères forme sur les 1'ic.3î. - La
substance
blanche centrale du cervelet \ue sur une prépar
vie des lobes latérazcx du ce1't'elel. Dans la région du vermis, la
substance
blanche centrale (coupe SI, Fig. 336, p. 452) e
nsversaux du 't' ventricule. - Tub valv, tubercule valvulaire. - sue,
substance
blanche centrale du vermis. - sef, grand sillon
vermis. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azy-r. - Sge,
substance
grise centrale. - sil', sillon inférieur de Vicq
de l'arbre de vie médian se rac- courcissent et s'épaississent, la
substance
blanche centrale sè continue en haut et en avan
ablement augmenté de volume, perdent bientôt leur individualité; la
substance
blanche centrale tend à prendre une forme de plus
une véritable région de transi- tion, dans laquelle la figure de la
substance
blanche centrale rappelle par certains caractèr
s qui passent par la partie anté- rieure du cervelet (Fig. 316), la
substance
blanche centrale du vermis présente un aspect b
rsal, mince et étroit, légèrement concave en bas, qui unit les deux
substances
blanches centrales des hémisphères et correspond
les hémisphères. Noyau du toit (NL), nucleus /cc, nucleus fasligii,
substance
feilrit- giiiezise supérieure (v. IiGlliker). -
aque côté de la ligne mé- diane une partie assez considérable de la
substance
blanche centrale du vermis (coupe S2, Fig. 359)
s de la branche verticale de l'arbre de vie médian, au-dessus de la
substance
grise sous-épendymaire, qui tapisse le toit du
férieur. - scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - SyR,
substance
gélatineuse de Rolando,. - sil', sillon inférie
de pigeon ou d'hirondelle dont le sépare une lame assez épaisse de
substance
blanche tapissée par l'épendyme ventricu- laire
isphère cérébelleux et occupe la partie interne et inférieure de sa
substance
blanche centrale. Située au voisinage du vermis
'hirondelle, l'olive cérébelleuse est constituée par une lamelle de
substance
grise, de couleur jaunâtre ou gris rougeâtre, d
URE DU RHOMBENCÉPHALE.] 51 : i FiG. 361. - L'olive cérébelleuse, la
substance
blanche centrale des hémisphères céré- belleux
6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Hile de l'olive cé- roheticuso.
Substance
blanche intra-ciliaire. Toison ou sub- stan
gueur, sont séparés par de profondes incisures et pénètrent dans la
substance
blanche centrale des hémisphères; les plus longs
dentelée qui constitue l'olive céré- belleuse, il existe un amas de
substance
blanche dont la périphérie s'in- sinue dans tou
ntral dit corps dentelé (nucleus medul- laris corporis dentalæ), ou
substance
blanche intra-ciliaire (fie), constitué par un
trage de libres qui prennent leur origine ou se termi- nent dans la
substance
grise de l'olive cérébelleuse. Ces fibres ne se
e la lame festonnée et entrent dans la constitution de la toison ou
substance
blanche extra-ciliaire. La périphérie du corps
ve céré- belleuse sont entourées par contre d'une épaisse couche de
substance
blanche, dans laquelle on distingue trois zones
ns, les dentelures et les denticules, est la toison de Stilling, ou
substance
blanche exlra-ciliaire (fec), formée par un den
re (fec), formée par un dense feutrage de fibres, l'homologue de la
substance
- blanche intra-ciliaire. A la partie supérieur
et superficiel (fsme, Fig. 361), occupe la moitié supérieure de la
substance
blanche centrale des hémisphères et s'entre-cro
a base des lobes et lobules, et que nous désignerons sous le nom de
substance
blanche non différenciée du cervelet ou de feut
épais et volumineux qui se détachent de la partie antérieure de la
substance
blanche des hémisphères, apparaissent à l'extér
s épais et volumineux, séparés les uns des autres par une gangue de
substance
grise, connue sous le nom de Fig. 36 ? . - Les
érance avec ses fibres sagillales. Rm, ruban (lelleil médian. Sy/o,
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance. -
DU RHOMBENCÉPHALE. 5tJ noyaux pontiques (Np), de noyaux du pont, de
substance
grise antérieure de la protubérance (SgPo). Ces
ant des bourrelets pyramidaux. Sa face profonde est tapissée par la
substance
grise antérieure [du pont (noyaux pontiques antér
affecte un trajet descendant et ne se continue que plus bas avec la
substance
blanche des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 3
e antérieure de la région de la calotte; elle est cloisonnée par la
substance
grise antérieure de la protubérance (noyaux ponti
ulièrement arrondi, entouré par une couche plus ou moins épaisse de
substance
grise et limité en avant par les fibres protubé
ule de Tarin (coupe S 5, Fig. 360) en arrière par une mince lame de
substance
grise appartenant à l'olive cérébelleuse (Fig.
- RI, ruban de Reil latéral. - Orna, ruban de Reil médian. - SgAg,
substance
grise de l'aqueduc. - SR, for- mation réticulée
dans leurs parties antéro-externes apparaissent bientôt des amas de
substance
grise qui grandissent au sur et à mesure que l'on
(Fig. 25, p. 37, 26, p. 39) ; il se trouve limité en dedans par la
substance
grise centrale qui entoure l'aqueduc de Sylvius
, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil médian. SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. - SR, formation réticulée
acoustiques. - 1'11'" diverticule latéral du 4° ventricule. - SRIR,
substance
gélatineuse de Rolando. SRa, formation réticulé
erne du corps restiforme (coupe H9, Fig. 366), entre ce corps et la
substance
grise centrale du qua- trième ventricule, et pr
orme, mais un groupe de fascicules isolés, entourés d'une gangue de
substance
. grise, connue sous le nom de noyau de Deiters
aux cérébello-veslibulaires (fcv) (voy. Chap. IV). L'ensemble de la
substance
grise et des fascicules peut être désigné sous le
t de nombreuses fibres arciformes (fad) qui décrivent, autour de la
substance
grise cen- trale, des courbes incluses dans cel
ntiellement constituée, comme l'olive cérébelleuse, par une lame de
substance
grise irrégulièrement plis- sée et repliée sur
sente une lame grise sagit- tale, reliée à l'olive par des ponts de
substance
grise et dont le bord-anté- rieur atteint la py
nt au pédoncule cérébelleux moyen (p. 51'7); 3° Par une gangue de
substance
grise, les noyaux pontiques, qui enve- loppent
al en petits fascicules arrondis, séparés les uns des autres par la
substance
grise du locus niger (Ln) et plus bas par les n
. - Rl, ruban de Reil latéral. - Hum, ruban de Reil médian. - Sage,
substance
grise centrale. - SgPo, noyaux pontiques. - SR, f
rieur. - lil, ruban de Reil latéral. - rubin de Hei) médian. Sgl'o,
substance
grise antérieure du pont. - SR, formation rétic
eux tiers) des fibres de la voie pédon- culaire, s'épuisent dans la
substance
grise de l'étage antérieur de la pro- tubérance
com- pact, irrégulièrement arrondi, plongé au sein d'une gangue de
substance
grise, et qui n'est plus dissocié que par quelq
ule cérébral, retentit à la fois sur la pyramide bulbaire et sur la
substance
grise antérieure du pont. Au-dessous du sillon
xe, conserve encore des connexions, partielles il est vrai, avec la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance,
ide antérieure du bulbe. - xpin, entre-croisement piniforme. - SyR,
substance
gélatineuse de Rolando. - SRce (cio), couche inte
sence des noyaux rétro-pyramidaux (Nrp), petits amas irréguliers de
substance
grise qui bordent le faisceau pyramidal en arrièr
s et en arrière; ils traversent en fascicules lâches et onduleux la
substance
grise située en avant et en dehors du canal cen
lle, où les fascicules sont en outre séparés par une mince trame de
substance
grise, en continuité avec la formation réticulé
édoncule cérébelleux moyen (Pcm), des fibres transversales et de la
substance
grise antérieure du pont dans un cas d'atro- ph
n plus ou moins complète des cellules de Purkinje et atrophie de la
substance
grise antérieure de la protubérance (Atrophie o
sous forme d'un fais- ceau compact et arrondi, plongé au sein d'une
substance
grise riche en névroglie, pauvre en cellules ne
périeure (Fig. 379) et moyenne (Fig. 380). Dégé- nérescence de la
substance
grise antérieure du pont, du noyau arqué et d
C, 381 et 382. -. Dégénérescence de la voie pédonculaire et de la
substance
grise antérieure du pont, du pes lemniscus supe
donne parfois quelques fibres aberrantes ; elles descendent dans la
substance
grise centrale de la moelle, à la base de la corn
dans toute sa hauteur par une for- mation spéciale, la formation ou
substance
réticulée, essentielle- ment constituée par une
culée, essentielle- ment constituée par une série de colonnettes de
substance
grise, disposées sous forme de réseau, lequel e
croisées par des fibres arciformes et radiées. Les colon- nettes de
substance
grise portent le nom de processus reticulares de
toute la hauteur de la calotte, non toutefois sans abandonner à sa
substance
grise ou sans en recevoir un certain nombre de fi
les voies cérébelleuses et les noyaux gris qui en dépendent; 2° la
substance
grise centrale et les noyaux d'ori- gine el de
2° Voios cérdlhe (e1150s. 552 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 3n
Substance
grise centrale et ses no) aux de nerfs cra-
sceau cérébelleux direct, faisceau de Gowers) (voy. Chap. IV). La
substance
grise centrale tapisse la face postérieure de la
ison et d'origine des autres nerfs craniens sont situés non dans la
substance
grise centrale, mais dans l'épaisseur même de l
antielle, se prolonge dans la moelle cervicale, se continue avec la
substance
gélatineuse de Rolando de la corne postérieure, e
région sous-optique a la moelle cervicale supérieure, le réseau de
substance
grise de la formation réti- culée n'est pas dis
ur de la formation réticulée, un certain nombre d'agglomérations de
substance
grise très mal délimitées en général, et qui, à p
e9 à 450, p. go). Celte concentration irrégulière des trabécules de
substance
grise, contribue à donner à la formation réticu
petit champ triangulaire compris entre le noyau rouge en avant, la
substance
grise centrale en dedans et les irradiations de
la capsule de ce dernier et s'étend dans le sens transversal de la
substance
grise centrale de l'aqueduc de Sylvius au lnc.
- Tin : , ruban de Reil médian. RI, ruban de Reil latéral. - SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, for- matio
vité du ruban de Reil médian; elle est formée d'épais trabécules de
substance
grise (noyau innominé de Bechterew) traversés p
nombre et en volume et se concen- trent en avant et en dehors de la
substance
grise centrale de l'aqueduc, en un petit faisce
oute la largeur de la calotte, s'étend du ruban de Reil médian à la
substance
grise centrale; son enchevêtrement avec le pédo
située entre le bord postérieur de la commissure de Wernekink et la
substance
grise centrale de l'aqueduc et contient en dedans
Ill, ruban de Reil latéral. - 7 ! M : , ruban de Reil médian. - SgPo,
substance
grise de l'étage antérieur du pont. - SR, forma
éticulée, en avant dans le ruban de Reil mé- dian et jusque dans la
substance
grise de la protubérance. Il occupe la partie m
sinue entre les deux rubans de Reil médians (Rm) et qui at teint la
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance e
), l'olive supérieure (Os), le noyau d'origine du facial (NVII), la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR)dans laquelle se term
e, situé en arrière el en dehors de la formation réticulée, dans la
substance
grise centrale du le ventricule, en dedans du p
erticule latéral du 4° ventricule. Il»a, ruban de Reil médian. SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. - SgPo, noyaux pontiques.
ôté du raphé, un champ triangulaire à base antérieure, étendu de la
substance
grise centrale du le ventricule à la pyramide bul
restiforme et l'olive bulbaire. En arrière, ce champ s'adosse à la
substance
grise centrale du plancher du 4e ventricule; en
s restiforme (Crst) dont le séparent le noyau de Deiters (Cj) et la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR). La partie antéro-
masque le sillon olivaire interne (comparer avec la Fig. 383). - SgR,
substance
gélati- neuse de Rolando. - SRa, formation réti
rps avec le reste de la formation réticulée grise, et s'étend de la
substance
gélatineuse de Rolando et du noyau du cordon de
ortent t en dehors et en arrière, décrivent des arcs en avant de la
substance
grise centrale, traversent toute la formation r
, qui la sépare de la pyramide antérieure (Py) du bulbe, jusqu'à la
substance
gélatineuse de Rolando (SRg) et aux noyaux des co
t entre la formation réticulée, avec laquelle il se fusionne, el la
substance
gélatineuse de Rolando. 4° Dès que l'entre-croi
fascicules longitudinaux clairsemés, se confond en arrière avec la
substance
gélatineuse de Rolando et le noyau de Burdach, et
orme ou sensitif du bulbe. - l ? pyramide antérieure du bulbe. - SgR,
substance
géla- tineuse de Rolando. - SRa, formation réti
dentes diminue et s'effile; elle est bientôt séparée du reste de la
substance
grise centrale par le faisceau pyramidal croisé q
al une fois effectué, la corne antérieure est reliée au reste de la
substance
grise de la moelle par un col plus ou moins étr
) et dont la face antérieure se fusionne, de dehors en dedans, a la
substance
gélalinenes f ic. 402. - Les noyaux des cordons
ntre-croisement piniforme. - ? pyramide antérieure du bulbe. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. SRa (cio), formation réti
gR), à la partie postérieure de la formation réticulée (SR) et à la
substance
grise centrale (Sgc); la face postérieure irrégul
ar une mince couche de fibres longitudinales et qui est reliée à la
substance
grise centrale par un pédi- cule mince et étroi
nent sont uniformément dissémi- nées ; dans le noyau de Burdach, la
substance
grise se rassemble en îlots ar- rondis ou obloy
xylinique, qui se portent en avant, décrivent des arcs autour de la
substance
grise centrale et s'entre-croisent, à angle aig
sement s'étend en longueur, du fond du sillon médian antérieur à la
substance
grise centrale (Fig. 404), et en liauteur,del
Nrt), du faisceau central de la calotte (Fcc) et d'un petit amas de
substance
grise, oblong, souvent bilobé, situé en avant e
les trois pédoncules cérébelleux. Coupe horizontale passant par la
substance
blanche centrale du vermis au-dessus des noyaux
de Reil médian. Sbe, qtibstaiice blanche centmle du vermis. - Sgn,
substance
gélatineuse de Rolando. Slis, Slrc, Strp, couch
gré la voie pédonculaire, soit parce qu'ils se sont épuisés dans la
substance
grise voisine (Voy. p. 513). Au-dessus des noya
aré du ruban de Reil latéral (RI) par de petits amas irréguliers de
substance
grise, situés au voisinage du sillon latéral de
bres spinales des régions postérieures (Luys); bord supérieur de la
substance
réticulée (Henle); fasciculus longitudinal is med
nation avec le faisceau longitudinal dorsal de Scliütz, situé dans la
substance
grise centrale du 4e ventricule, en connexion a
ar la laque héma- toxylinique, très bien délimité en arrière par la
substance
grise centrale, en dedans par le raphé, mais qu
à l'absence presque complète entre ces derniers de tra- bécules de
substance
grise. Sur les coupes qui intéressent la commis
t la limite interne de la capsule du noyau rouge, la séparent de la
substance
grise qui double l'espace perforé postérieur, p
l cesse d'être trans- versal, se porte en arrière et envoie dans la
substance
grise centrale de l'aqueduc une fine saillie an
postérieure du faisceau longitudinal postérieur et le sépare de la
substance
grise centrale et du faisceau longitudinal dors
protubérantielle. - l'cs, pédon- cule cérébelleux supérieur. - Sge,
substance
grise centrale. - SR, formation réticulée. - sl
, le limitent en arrière et le séparent du genou du facial et de la
substance
grise centrale du quatrième ventricule. Au-de
Cette coupe rend bien compte du développement extrême que prend la
substance
grise du cervelet, de la profondeur des sillons q
ent, est occupé par le diver- ticule angulaire du to ventricule. La
substance
blanche centrale (Sbc), ou moyeu de cette roue,
e commune, la branche horizontale de l'arbre de vie médian (bh). La
substance
blanche centrale (Sbc) se réduit à une petite mas
ie antérieure par l'épendyme du toit du quatrième ventricule. De la
substance
blanche centrale du vermis (Sbc) se détachent,
u bulbe. - .rez, décussation pyramidale. - Rii, ruban de Reit. - Sbc,
substance
blanche centrale du vermis. - se/, grand sillon
se/, grand sillon circonférentiel du cervelet. - Sgc, Srlc', Spic",
substance
grise centrale du tronc encéphalique et de la par
(spop). Elle reçoit en outre, au voisinage de son implantation sur la
substance
blanche centrale, l'axe long, grêle et mince de
re branches de moindre dimension qui se détachent directement de la
substance
blanche centrale, deux sont supérieures et deux i
bas et en avant, et s'irradie dans le nodule. Au voisinage de la
substance
blanche centrale, l'écorce cérébelleuse de la f
ésente sur cette coupe SI bis la même forme que sur la coupe SI. La
substance
grise centrale (Sgc) qui tapisse le plancher es
érieure, fermée du bulbe, elle s'épaissit, puis se continue avec la
substance
grise cen- trale de la moelle épinière, sépa-
aux de la protubérance (Strs, Strp) ; en- tourés d'une gangue cle
substance
grise; ils se groupent en colonnes verticales
es, sépa- rées les unes des autres par des traînées verticales de
substance
grise, les noyaux pontiques (Np), dans lesque
niforme ou sensitif du bulbe. zur, fibres sagittales du raphe. Syc,
substance
grise centrale. - SIi, formation réticulée. -
es sagittales du mphé (1') qui s'étendent d'arrière en avant, de la
substance
grise centrale jusque dans la profondeur de l'é
ylinique, séparés les uns des autres par des traînées sagittales de
substance
grise en continuité directe avec le noyau arqué
se trouve la couche iiiterolivai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la
substance
grise centrale, le faisceau longitudinal postér
ulbaire (r). Les faisceaux obliques qui sillonnent la calotte et la
substance
grise centrale au-dessus de l'entre-croisement
postérieure est encore plus nette. Dans les traînées verticales de
substance
grise de la coupe précédente S 1 bis, ont apparu
dum (Strp), du faisceau longitudinal postérieur (Flp) adjacent à la
substance
grise centrale du quatrième ventricule (Sgc). L
entrale du quatrième ventricule (Sgc). Les petits amas irréguliers de
substance
grise situés à la limite supérieure de la coupe
antérieure le noyau juxta-olivaire interne (Noi), longue traînée de
substance
grise qui atteint en bas le collet du bulbe, et l
ndant à la section des dentelures avoisinant le hile de l'olive. La
substance
grise centrale (Sgc) du quatrième ventricule est
descendante du nerf glosso-pharyngien (IXd), et se continue avec la
substance
grise centrale de la partie fermée du bulbe (Sg
cordon postérieur : le noyau du cordon de Burdach (NCB) adossé à la
substance
grise, et duquel se détachent un grand nombre de
quantitatives ; elles consistent en un simple épaississement de la
substance
blanche centrale du vermis (Sbc) et de toutes s
e le noyau du toit (Nt) de Stilling. L'augmentation de volume de la
substance
blanche centrale, dans ses dimen- sions vertica
e de vie, qui se raccour- cissent et s'épaississent à mesure que la
substance
blanche centrale s'agrandit. L'extrémité postér
tance blanche centrale s'agrandit. L'extrémité postérieure de cette
substance
est épaisse et renflée; elle reçoit, de haut en
s une véritable branche principale qui se détache directement de la
substance
blanche centrale. L'axe de la luelle s'est racc
cule. l'y, pyramide anté- rieure. - Rm, ruban de Iteil médian. SGc,
substance
blanche centrale. scf, grand sillon circonféren
centrale. scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sge,
substance
grise centrale. - SgR, substance gélati- neuse
rconférentiel de Vicq d'Azyr. - Sge, substance grise centrale. - SgR,
substance
gélati- neuse de Hoiando. siV, sillon inférieur
ive bulbaire est séparée de la pyramide bulbaire par une traînée de
substance
grise qui appartient en haut aux noyaux rétro-pyr
érieure de l'olive bulbaire (Oi), sont très mani- festes. Dans la
substance
grise centrale du plancher du 4e ventricule se tr
stérieur (Cp) et le cordon latéral (CI) de la moelle, appartient à la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR). La substance gris
moelle, appartient à la substance gélatineuse de Rolando (SgR). La
substance
grise diffuse, située au-dessous de Biblictbiqu
ique, l'olive bulbaire, le noyau du facial, le noyau de Deiters et la
substance
gélatineuse de Rolando. - Coupe sagittale S 3 d
médian. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sage,
substance
grise centrale. - SgR, substance gélatineuse de
nférentiel de Vicq d'Azyr. - Sage, substance grise centrale. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. - SR, formation réticulée
aucoup plus marquée que sur la coupe précédente (S 2, Fig. 410). La
substance
blanche cen- trale s'est épaissie dans le sens
que la partie interne. Des parties supérieure et postérieure de la
substance
blanche centrale se détachent les différents ax
cérébelleux supérieur (Pes) et envoie un grêle et court axe dans la
substance
blanche sous-jacente. Le nodule n'est plus repr
odulaire et correspond à la partie postéro-externe de ce lobule; la
substance
blanche tapissée par l'épendyme ventriculaire se
nge en avant dans la valvule de Tarin (VT), de la même façon que la
substance
blanche de la lingula se continuait, sur la cou
e continue en haut avec la voie pédoncu- laire (VP). La gangue de
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance est
ux de fibres transversales. Dans le stratum superficiale (Strs), la
substance
grise n'affleure plus, comme sur la coupe S 2 2
; les inférieures, plus grêles, se détachent d'une haute colonne de
substance
grise, le noyau de Deiters (ND), à laquelle fait
quelle fait suite en bas le noyau de Burdach (NCB). La colonne de
substance
grise comprise entre la formation réticulée grise
e noyau de Deiters (ND),correspond à la section longitudinale de la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR), noyau de terminaiso
le trajet intracérébelleux du pédoncule cérébelleux supérieur. La
substance
blanche du vermis s'accroît rapidement dans cette
s différentes branches de l'arbre de vie médian el aux dépens de la
substance
blanche centrale, qui reçoit les pédoncules cér
tement (coupes S 8 et S9, Fig. 416 et 417) en se fusionnant avec la
substance
blanche centrale des hémisphères. Il en résulte
correspond à toute la moitié antérieure de la face supérieure de la
substance
blanche centrale des hémisphères (coupes S 8 et S
et s'implante par une base distincte de celle de l'amygdale sur la
substance
blanche centrale des hémisphères (Coupe S 7, Fi
rêle, de l'axe commun à la pyramide et à la luette, et imprime à la
substance
blanche centrale une apparence accidentée tout
é postérieure du lobe grêle s'implante sur la face inférieure de la
substance
blanche centrale, dont les dimensions ont consi
hes de l'arbre de vie médian, qui se raccourcissent à mesure que la
substance
blanche centrale grandit. Dans la région de tra
la région de transition (Coupes S 4, S 5, S 6, Fig. 412 à 414), la
substance
blanche centrale augmente subitement : 1° par l
disparu, les lobes de la face inférieure du cervelet envoient à la
substance
blanche des hémisphères un important contingent d
édiatement en dehors du nid d'hiron- delle(Coupe S 8, Fig. 416), la
substance
blanche centrale des hémisphères présente déjà
izontale (bh) de l'arbre de vie médian et par l'apparition, dans la
substance
blanche ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBEINCÉPHALE.
élargit considé- rablement, surtout à sa base d'implantation sur la
substance
blanche centrale (coupe S 4, Fig. 412). Sur les
insensiblement sur les coupes S 6 et S 7 (Fig. 414 et 415), avec la
substance
blanche centrale des hémisphères. Les sillons
ères. L'axe du lobe central ne s'implante plus direc- tement sur la
substance
blanche centrale, mais sur la brandie verticale (
e s'est épaissie et raccourcie, et se raccourcit d'autant plus que la
substance
blanche centrale des hémisphères augmente dans
xe de la pyramide, large et épais, peu ramifié, qui s'insère sur la
substance
blanche cen- trale au voisinage du noyau sphéri
compris entre le nid d'hirondelle (nh) et le lobe digastrique. La
substance
blanche considérablement élargie se continue dire
le de Tarin. ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. Goy Dans la
substance
blanche centrale, on trouve, au-dessus du nid d'h
re de l'étage antérieur de la protubérance, et sont entourés par la
substance
grise du pont. Dans la calotte protubérantielle
on trouve en arrière du noyau du facial la section partielle de la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR). Les fibres longitud
u, mais en grande partie aussi au corps juxta ? esti- forme dont la
substance
grise ou noyau de Deiters (ND) borde en avant la
ieur. - scf, grand sillon circon- férentiel de Vicq d'Azyr. Sgl ! ,
substance
gélatineuse de Rolando. - si Il, sillon inférieur
cérébelleux inférieur (Pci) et qui aborde en haut un petit amas de
substance
grise représentant la partie supérieure de la sub
tit amas de substance grise représentant la partie supérieure de la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR), désignée encore s
le mode d'émergence du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) de la
substance
blanche centrale du cervelet, au-dessus du quat
ème ventricule (rlV4) et le noyau du nerf cochléaire (NVIIIc). La
substance
blanche centrale des hémisphères ne présente pas
arge et épais pédicule; les sillons interlobu- laires atteignent la
substance
blanche centrale et leur profondeur égale celle
ent de même à leur base d'implantation, au sur et à me- sure que la
substance
blanche centrale augmente d'épaisseur. Les lobe
érieure du lobe grêle, s'implantent sur la partie postérieure de la
substance
blanche centrale par un pédicule d'insertion co
rêle est encore sur la coupe S6 (Fig. 414) sans con- nexion avec la
substance
blanche centrale; l'axe mince, long et grêle du l
concavité l'amygdale de plus en plus réduite de volume, et dont la
substance
blanche s'implante en arrière sur la crête de l
u tente, au diverticule latéral du 4e ventl'icule (l'IV 4). Dans la
substance
blanche centrale on trouve encore, sur la coupe S
moyen. Sur la coupe S 6, (Fig. 414), on trouve encore une gangue de
substance
grise entaillant les fasci- cules protubérantie
ue le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) dont les connexions avec la
substance
blanche centrale deviennent très manifestes sur
la coupe S 9 (Fig. 417) par l'émergence du nerf trijumeau (V). La
substance
blanche centrale des hémisphères augmente de volu
sertion de ces deux lobes se fait - grâce à l'ac- croissement de la
substance
blanche centrale - par deux bases d'implantation
rement radiée des axes des différents lobes et lobules autour d'une
substance
blanche centrale de forme ovalaire et de dimen-
lètement disparu et on trouve à sa place la partie inférieure de la
substance
blanche centrale, consi- dérablement augmentée
upes dans le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Tout le reste de la
substance
blanche centrale de l'hémisphère cérébelleux es
, il résulte de l'étude de cette série de coupes sagittales, que la
substance
blanche centrale du cervelet présente un aspect s
RI, ruban de Reil latéral. - noyau du ruban de Reil latéral. SgAq,
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, formation
en arrière en décrivant une courbe à concavité interne autour de la
substance
grise centrale de l'aqueduc de Sylvius (SgAq). Un
l médian (Rm) et latéral (Rl) en dehors, et par une étroite lame de
substance
grise, le noyau latéral (NI), qui sépare le ruban
nnés obliquement. La languette mé- diane si caractéristique, que la
substance
grise centrale de l'aqueduc (SgAq) envoie entre
rofonde du pied dupédoncule (coupe P2), s'entourent d'une gangue de
substance
grise qui appartient déjà aux noyaux pontiques, e
u moins z620 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. obtus, sillonnent la
substance
grise de la protubérance (SgPo), dissocient les f
appartiennent aux fibres aberrantes de la voie pédonculaire. - Sge,
substance
grise centrale. SgPo, substance grise de l'étag
antes de la voie pédonculaire. - Sge, substance grise centrale. SgPo,
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance.
- Rl, ruban de Ileil latéral. - Rm, ruban de Iteil médian. - Sgl'o,
substance
grise antérieure de la protubérance. - SR, format
es du faisceau central de la calotte (Fcc); en arrière, le long de la
substance
grise centrale du quatrième ventricule (Sgc), l
tude des dégénérescences secondaires (mé- thode de Marchi), dans la
substance
grise de l'étage antérieur du tiers supérieur d
ur. - Rl, ruban de Iteil latéral. - Rm, ruban de Reil médian. - SgPo,
substance
grise antérieure du pont. - SR, formation rétic
presque parallèles, séparés les uns des autres par des traînées de
substance
grise qui affleurent souvent la péri- phérie du
pédonculaire ; cette partie con- tient en outre des amas diffus de
substance
grise qui appartiennent à la formation réticulé
pe un faisceau épais et volumineux, sans con- nexion encore avec la
substance
blanche du cervelet. Il est traversé par les fibr
veloppement. Les noyaux pontiques (SgPo), c'est-à-dire la gangue de
substance
grise qui entoure les fascicules de la voie péd
cérébelleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - SgPo,
substance
grise antérieure du pont. - spo, sillon post-ce
), puis s'infléchit en avant et entoure un petit amas irrégulier de
substance
grise, qui occupe la partie externe du ruban de R
outre, comme sur la coupe précédente (coupe Hl), des amas diffus de
substance
grise, qui segmentent sa partie postérieure en pe
entation d'épaisseur de ses couches superficielles et profondes. La
substance
grise, ou noyaux pontiques (SgPo), est plus abon-
1', fihres sagittales du raphé. Rm, ruban de Reil médian. - Sgl'o,
substance
grise antérieure du pont. - SR, formation réticul
opposé. Les connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la
substance
blanche du cervelet sont très manifestes sur ce
ubérance (Fo) (voy. Fig. 349, p. 481) et ne s'infléchissent vers la
substance
blanche du cer- velet que plus bas, aii voisina
al postérieur (Flp) en arrière, et qui se fusionne en avant avec la
substance
grise de la protubérance (SgPo), et en dehors ave
aphé, où ses fascicules clairsemés plongent au sein d'une gangue de
substance
grise qui appartient au noyau réticulé (Nrt). En
el, les noyaux des cordons de Goll (NCG) et de Burdach (\C13) et la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR). Cette coupe intér
r, raphé. - riV" diverticules latéraux du quatrième ventricule. SgPo,
substance
grise de l'étage antérieur de la protubérance.
Po, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. - SR, formation réticul
aire carac- téristique ; elle se termine dans une colonne grise, la
substance
gélatineuse de Rolando, qui n'est que la contin
on du noyau sensitif du trijumeau et qui se fusionne en bas avec la
substance
gélatineuse de la corne postérieure de la moelle
dullaire, le faisceau de Gowers (FG), qui, originaire surtout de la
substance
grise de la moelle épinière du côté opposé, mon
laires du trijumeau. La moitié postérieure de la coupe sectionne la
substance
blanche centrale du cervelet au-dessus de l'oli
pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) forme la plus grande partie de la
substance
blanche centrale des hémisphères cérébelleux; sa
428. - La région protubérantielle moyenne et ses .connexions avec la
substance
blanche centrale du cervelet. - La voie pédoncu
, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil médian. Sbc,
substance
blanche centrale du vermis. - SgR, substance géla
n de Reil médian. Sbc, substance blanche centrale du vermis. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. - Sli, formation réticu
re augmenté de volume, et la dernière couche contient une gangue de
substance
grise plus abondante que sur la coupe précédente.
dans de la racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et de la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR), émergent dans la
cule cérébelleux supérieur (Pcs), il existe une zone irrégulière de
substance
grise, à laquelle aboutissent un certain nombre
lequel nous aurons à revenir dans cette série de coupes. Dans la
substance
blanche centrale du cervelet, on retrouve les tro
ux supérieur (Pcs). Dans la région du vermis, la coupe passe par la
substance
blanche centrale (Sbc) et intéresse la couche de
isement des noyaux du toit (xNt). A la partie postéro-externe de la
substance
blanche centrale des hémisphères, on Bibliothèq
égion de transition, mais divergent en dehors et se perdent dans la
substance
blanche non différenciée de l'hémisphère cérébe
septa névrogliques ; elles entourent en dedans un amas irrégulier de
substance
grise, la substance gélatineuse de Rolando (SgR
elles entourent en dedans un amas irrégulier de substance grise, la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR), située en dehors de
rvelet. Les connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la
substance
blanche centrale des hémisphères et la disposit
29. - La région protubérantielle inférieure et ses connexions avec la
substance
blanche centrale du cervelet. - Les trois pédon
inférieur, moyen et supérieur. - Rm, ruban de Jteil médian. - Sglt,
substance
gélatineuse de Rolando. - SI ! , formation réti
e partie des fibres semi-circulaires internes (fsmi) s'épuise dans la
substance
grise du C01'PS juxta-l'esti{01'me connue sous
ndum (Strp) du pont et sont en- tourées par une abondante gangue de
substance
grise (noyaux pontiques) (Np). Calotte. - La ca
par les fibres sagittales du raphé (r) et par une étroite bande de
substance
grise, le noyau du raphé, qui n'estqu'une dépen
y, faisceau pyramidal. - r, raphé. - Rm, ruban de Reil médian. SgR,
substance
gélatineuse de llolando. - SR, formation réticu
en arrière et en dehors de l'olive supérieure (Os), en dedans de la
substance
gélatineuse de Rolando (SR), forme sur cette coup
cette coupe un amas volumineux, d'aspect godronné, formé d'îlots de
substance
grise ; les fibres radiculaires du facial qui s
cial qui s'en détachent se portent en arrière et en dedans, vers la
substance
grise du [plancher du 4e ventricule; sur cette co
Une autre partie des fibres du nerf vestibulaire se termine dans la
substance
grise de l'angle latéral du 4e ventricule; une
'exiguïté relative de la subslance blanche, les connexions de cette
substance
avec le tronc encéphalique, la formation des pé
upe C 1 (Fig. 432) passe au-dessus de l'olive cérébelleuse et de la
substance
blanche centrale du vermis; elle sectionne en ava
sillon supérieur de Vicq d'A : YI' (ssV), est sans connexion avec la
substance
blanche ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE.
exions des axes du lobe quadrilatère antérieur et du culmen avec la
substance
blanche centrale du cervelet, sont seules manifes
isées dans tous les sens et qui constitue la masse principale de la
substance
blanche centrale des hémisphères. Les fibres du
ansversales de la protubérance, tandis qu'elles s'ef- FiG. 33. - La
substance
blanche du cervelet; ses fibres semi-circulaires
nées plus obliquement, elles n'occupent plus toute la largeur de la
substance
blanche centrale, mais sont rejetés en dehors e
nd des sillons hot et pré-centraux, immé- diatement au-dessus de la
substance
blanche centrale du vermis. Sur la moitié droit
es : l'un, externe (fsme), qui traverse la plus grande partie de la
substance
blanche centrale des hémisphères et se continue
ta-I'estiforme (Cj). Coupe C 3 (Fig. 434). Cette coupe passe par la
substance
blanche centrale du vermis au-dessus du noyau d
l'i, quatrième ven- tricule. - 177), quatrième segment du facial.
substance
blanche centrale des hémisphères. Les circonvolut
r la coupe C 1 (Fig, 432), des îlots entièrement indépendants de la
substance
blanche centrale des hémisphères et séparés du
et unissent les deux lobes quadrilatères postérieurs entre eux. La
substance
blanche centrale du vermis est très réduite dans
E TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 649' Fig. 435. - Le cervelet; sa
substance
blanche, ses noyaux gris centraux, ses connexions
postérieure, beaucoup plus réduite, est convexe et correspond à la
substance
blanche de la lingula. Les faces latérales sont c
coupe pré- cédente ; elle n'en diffère que par la disposition de la
substance
blanche centrale du vermis, dont les dimensions
croisement occupe avec les noyaux du toit la presque-totalité de la
substance
blanche centrale du vermis. Toutefois il existe
TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. ti ? 1 FiG. 43G. - Le ceivelet; sa
substance
blanche, ses libres semi-circulaires externes et
e supérieur; à droile ce dernier s'insère par un de ses axes sur la
substance
blanche centrale. Les lamelles cérébelleuses situ
elient les deux lobes quadrilatères postérieurs droit et gauche. La
substance
blanche centrale du vermis, intéressée il sa pa
re l'olive et l'écorce de la luelle, quelques amas irré- guliers de
substance
grise arrondis ou oblongs, très mal délimités, et
qui appar- tiennent au noyau sphérique ou globule (Ngl). Dans la
substance
blanche centrale, les fibres semi-circulaires ext
est limitée en dedans de chaque côté par deux minces languettes de
substance
grise, les valvules de Tarin (VT), reliées entr
la branche horizontale de l'arbre de vie. L'olive cérébelleuse, la
substance
blanche centiare des hémisphères, les pédoncule
inal antérieur du cervelet, du pédoncule cérébelleux moyen et de la
substance
blanche centrale du vermis. Elle intéresse la par
e de l'arbre de vie (bh) et le pédoncule du flocculus (PFloc). La
substance
blanche centrale des hémisphères se présente sur
d sillon circonférentiel (scf). Autour de l'extrémité externe de la
substance
blanche centrale, s'implantent les nombreux et
e inférieur; quant à la partie moyenne de la face postérieure de la
substance
blanche centrale des hémisphères, elle est tapi
ent réduit du bourgeon terminal (Bt) limité en avant par un pont de
substance
blanche correspondant à la section de la branche
le de l'arbre de vie (bh) - pont qui relie, en arrière des olives, la
substance
blanche centrale des deux hémisphères cérébelle
amide du vermis (Pyc) dont l'axe se fusionne de chaque côté avec la
substance
blanche centrale, le sillon prépyramidal (sprp)
u nid d'hirondelle, il est constitué à droite par une mince lame de
substance
grise qui tapisse le corps intra-ciliaire, par un
rieure de l'olive cérébelleuse, et qui se continue en avant avec la
substance
blanche centrale des hémisphères céré- belleux.
nid d'hirondelle est limitée comme à droite par une mince couche de
substance
grise en connexion avec l'écorce de la luette e
r, long et étroit, s'insinue entre la val- vule de Tarin (VT) et la
substance
blanche centrale et appartient au diverticule a
ié droite du bulbe est complète- ment séparée sur cette coupe de la
substance
blanche centrale du cervelet. Il n'en est pas d
rième ventricule, et où le corps restiforme (Crst) est séparé de la
substance
blanche centrale des hémisphères par les stries a
tiel. Les extrémités latérales du bulbe sont encore adhérentes a ]a
substance
blanche centrale du cervelet, la coupe passe en
, incorporé dans le tronc encéphalique et complètement séparé de la
substance
blanche du cervelet par le pédoncule du floccul
e latéral du quatrième ventricule. - Rm, ruban de Reil médian. S9R,
substance
gélati- neuse de Rolando. - SgPo, substance gri
an de Reil médian. S9R, substance gélati- neuse de Rolando. - SgPo,
substance
grise antérieure de la protubérance. - slac, stri
ar de nombreuses fibres transversales, séparées par des traînées de
substance
grise et qui appartiennent au stratum superficial
bulbe sa surface de section semi- lunaire et ses connexions avec la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR). En arrière d'elle
gélatineuse de Rolando (SgR). En arrière d'elle, au voisinage de la
substance
grise centrale qui tapisse le plancher du quatr
descendante du nerf vestibulaire ou racine de Roller. La gangue de
substance
grise qui entoure les fascicules du corps juxta
interne, longue et étroite, située le long du raphé, s'étend de la
substance
grise centrale du plancher du quatrième ventricul
postérieur, elle s'étend de la face postérieure de l'olive (Oi)à la
substance
grise centrale du quatrième ventricule. La form
raphé. - 1'11'" diverticule latéral du quatrième ventricule. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. - SRa, formation reticulé
délimité de l'olive bulbaire, dont le sépare un amas irrégulier de
substance
grise, le noyau rét/'opymmidal (Nrp). Dans cette
icu- laire, du corps restiforme (Crst). C'est une masse allongée de
substance
grise, sil- lonnée de fibres parallèles et hori
et aux stries acous- tiques. En avant des stries acoustiques, la
substance
grise centrale du quatrième ven- tricule contie
me la cavité en arrière et s'insère de chaque côté sur un éperon de
substance
grise formé par la substance grise centrale et
insère de chaque côté sur un éperon de substance grise formé par la
substance
grise centrale et connu sous le nom de ligula o
ricule, le corps juxta-restiforme (Cj) et la partie adjacente de la
substance
grise centrale occu- pent une situation superfi
tte coupe par un faisceau compact de fibres entourées d'une zone de
substance
grise. Les fascicules du corps juxta-restiforme
iforme (Cj) sont plus clairsemés que sur la coupe précédente, et la
substance
grise du noyau de Deiters particulièrement abon
trouve, en arrière et en dedans d'elle, deux lames indépendantes de
substance
grise présentant la même structure que l'olive, m
ourés de toute part parles fibres longitudinales; ce sont ces amas de
substance
grise, irréguliers dans leur forme et inconstan
fibres dans sa partie moyenne; à sa partie externe, en dedans de la
substance
gélatineuse de Rolando, (SgR), logé dans la con
noyau, ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 6-il situé dans la
substance
grise centrale du plancher du quatrième ventricul
on épaisseur et le long de sa face interne, de» amas irréguliers de
substance
grise connus sous le nom de noyaux du corps resti
n'existent qu'à la partie interne de cette formation, le long de la
substance
grise centrale du quatrième ventricule; sa subs
le long de la substance grise centrale du quatrième ventricule; sa
substance
grise, ou noyau de Deiters, s'est considérablemen
i, olive inférieure ou bulbaire. - puy, pyramide antérieure. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. - SRa, formation réticulé
OPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 673 forme s'accentuent encore et sa
substance
grise se transforme petit à petit en noyaux des
grise(Sllg). En dedans elle est toujours en rapport intime avec la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR) et traversée par les
la grosse racine descendante sensitive du trijumeau (Vsd) et de la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR) qui lui est annexée,
férieure ou bulbaire. - l'y, pyramide antérieure du bulbe. - Sf/li,
substance
gélatineuse de Rolando. - ·Ra,(cio), couche inier
nt du noyau de Deiters. En dehors du noyau de l'hypoglosse, dans la
substance
gris clair correspondant il l'aile grise, on trou
rrondi, mais par quatre à cinq petits, fascicules séparés par de la
substance
grise et par quelques fibres arciformes. La,subs-
- Oc. olive inférieure ou bulbaire. l'y, pyramide antérieure. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando,. - SRa (cio) couche int
be et passe par l'extrémité inférieure de l'olive bulbaire (Oi). La
substance
grise centrale entoure complètement le canal épen
aux, entourant des îlots ou des cylindres plus ou moins tortueux de
substance
grise, pauvres en libres et imprimant aux noyau
a formation réticulée grise (SRg). Une agglomération plus grande de
substance
grise permet de distinguer un noyau latéral pos
ulées (fir) fortement colorées, qui décrivent des arcs autour de la
substance
grise centrale, traversent les formations réticul
concentrent dans la partie interne, qui se trouve ainsi plus riche en
substance
grise et relativement pauvre en faisceaux longi
082 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. région, des amas irréguliers de
substance
grise mal délimités, et que l'on rat- tache en
a grosse racine sensitive descen- dante du trijumeau (Vsd) et de la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR), il existe toujour
- lièrement triangulaire, dont le sommet tronqué s'enfonce entre la
substance
gélatineuse de Rolando et la formation réticulé
lomérat de fibres se rencontre toujours à la base et en avant de la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR); cette dernière est
ide antérieure du bulbe. - spin, entre-croisement piniforme. - SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. -SRa, forma- tion rétic
noyau de Burdach (NB), s'insinue profondément entre ce noyau et la
substance
gélatineuse de Rolando (SgR) d'une part, entre le
s unis entre eux, qu'au niveau de leur base d'implanta- tion sur la
substance
grise centrale et sur la formation réticulée (SRg
de Goll, dont il se distingue par les ilois arrondis ou oblongs de
substance
grise limités parun feu- trage de fibres et par
cette coupe par trois ou quatre amas irréguliers et déchiquetés de
substance
grise Coupe H 18 (Fig. 448). Cette coupe passe
sous forme d'un entre-croi- sement épais et court, compris entre la
substance
grise centrale et le fond du sillon médian anté
seules des fibres arciformes interréticulées (fir) qui entourent la
substance
grise centrale et n'occupent que la partie adjace
it sur cette coupe appartient exclusivement au système sensitif. La
substance
grise de la formation réticulée (SRg) se conden
oelle (Ca). Toute la moitié externe du bulbe, située en avant de la
substance
gélatineuse de Rolando, est occupée par de nomb
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. antéro-latéral de la moelle (CI). La
substance
gélatineuse de Rolando revêt tous les caractère
ostérieure, mais d'une corne très volumineuse reliée au reste de la
substance
grise centrale par un pédoncule court et épais. L
onde parcourue par un dense et fin feutrage de fibres à myéline, la
substance
spongieuse de la corne postérieure. Les noyaux
nte une sorte de monticule qui s'implante par une large base sur la
substance
grise centrale, et du sommet duquel se détachen
occupent tout l'espace compris entre le sillon médian antérieur et la
substance
grise centrale, et s'y entre-croisent par large
ouronne de fibres arciformes (fir) qui entoure sur la coupe H 19 la
substance
grise centrale. Ces fibres appartiennent encore a
et leur connexion avec le noyau de Goll est des plus manifestes. La
substance
grise du bulbe n'atteint nulle part sur ces coupe
phérie du bulbe, dont la sépare une couche plus ou moins épaisse de
substance
blanche essentiellement constituée par des fibr
dinales. Nous n'avons pas à revenir sur la partie postérieure de la
substance
grise, sur les noyaux de Goll (NG) et de Burdac
21 et-H22) parmi les fibres croisées du faisceau pyramidal. Dans la
substance
grise centrale qui entoure le canal épendymaire
décapitée se relie sur une étendue plus ou moins considérable à la
substance
grise centrale. De là la multiplicité d'aspects,
rises relier la corne antérieure (Coa) à la partie antérieure de la
substance
grise centrale; ces travées sont plus épaisses
presque disparu, ou n'est représentée que par les minces travées de
substance
grise qui cloisonnent les gros fascicules du fais
Fig. 453), ]'e1l{¡'e-C¡'OlÚment pyramidal est terminé; à droite, la
substance
grise affecte la forme caractéristique propre à l
on y distingue une corne antérieure reliée par une large base à la
substance
grise centrale et une corne postérieure unie cett
ique de la région où s'effectue la décussation de ce faisceau. La
substance
grise centrale de la moitié postérieure du collet
es trois coupes H21, H22, H23, des particularités intéressantes. La
substance
grise centrale de la coupe H 21 présente, grâce à
rme un îlot gris, aplati, complète- ment indépendant du reste de la
substance
grise. Le faisceau pyramidal croisé en occupant
ituées (coupe H 21, Fig. 451) sur la même ligne transversale que la
substance
grise centrale, se rapprochent ainsi l'une de l
ainsi l'une de l'autre, en même temps que le bord postérieur de la
substance
grise centrale s'excave sur la ligne médiane et
re. Cp, cor- don postérieur. f ? c, faisceau pyramidal croisé. SgR,
substance
gélatineuse de ltolando. ,1'1' ! J. décussation
u granuleuse (cg), dont les éléments cellulaires em- piètent sur la
substance
blanche adjacente, de telle sorte qu'au niveau
melles, il est malaisé de reconnaître licitement la limite entre la
substance
grise et la substance blanche, tandis qu'on l'éta
de reconnaître licitement la limite entre la substance grise et la
substance
blanche, tandis qu'on l'établit facilement au v
couche des cellules de Purkinje disposées en une seule rangée. - Sbl,
substance
blanche des lames et lobules cérébelleux. STR
collatérale d'une fibre terminale (fl). - ft, fibres terminales de la
substance
blanche (sali s'arborisant dans la couche granu
dans la couche granuleuse. - as, cellule araignée ou astrocyte de la
substance
blanche. fi9r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
uche e granuleuse ou interne, puis entre dans la constitution de la
substance
blanche des lames et lamelles cérébelleuses F
la crête des circonvolutions; elle est en outre mal délimitée de la
substance
blanche sous-jacente, dans laquelle on ren- con
auteur de la couche gra- nuleuse et peul être suivie jusque dans la
substance
blanche. Les ramifi- cations cylindres-axiles e
souris et le chai nouveau-né, dans la couche granuleuse et dans la
substance
blanche, de volumineuses cellules étoilées qui
trian- gulaires, fusiformes ou étoilées, situées aux confins de la
substance
blanche (cellules marginales de Cajal), ou dans
laire, et décrivit la forme étoilée des cellules névrogliques de la
substance
blanche. Depuis, Ramon y Cajal, v. Gehuchten, v
s Cajal, 1893.) A, couche moléculaire. - B, couche granuleuse. - C,
substance
blanche de la lamelle cérébelleuse. - a, cellul
02 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les cellules arai- gnées de la
substance
blanche. Les libres à myé- line de l'écorce
à l'aide de la méthode de Weigert aucune fibre névroglique. Dans la
substance
blanche, par contre, il existe un feutrage névr
sont là, du reste, des caractères communs -IL la névroglie de toute
substance
blanche. Eibres de l'écorce cérébelleuse. Lorsq
rêmement dense, bien décrit par v. Kôlliker, qui s'étend jusqu'à la
substance
blanche sous-corticale et dont les mailles sont o
leuse, la cellule de Purkinje seule envoie son cylindre-axe dans la
substance
blanche. Les fibres cen- trifuges de l'écorce c
'un des stade : - de développement des libres terminales qui, de la
substance
blanche, traversent la couche granuleuse pour s'a
avons vu ces cylindres-axes, un peu flexueux. se diriger vers la
substance
blanche mlraciliaire, s'y couder et se continue
donné le trajet oblique et l'ex- trême intrication des fibres de la
substance
blanche inlraciliaire, très manifestes sur les
ions très riches de fibres terminales, dont les unes viennent de la
substance
blanche intraciliaire, et les autres de la tois
es à myéline qui traversent de pari en part le corps dentelé, de la
substance
blanche intraciliaire a la toison ou vice versa,
par la méthode de Golgi que sur un court trajet. 3° Fibres de la
substance
blanche du cervelet. - Les libres centri- fuges
e du centre ovale du cerveau que nous avons désignée sous le nom de
substance
blanche non différenciée du centre ovale de Vie
couvre. Le feutrage sous-lobaire (1 ? 1) occupe la périphérie de la
substance
blanche centrale du cervelet : il est recouvert
fneculus. Le feutrage sous- lobaire. Il est l'homologue de la
substance
blan- che non différenciée du contre ovale de
Fig. 463. - L'écorce cérébelleuse du lobe supérieur du cervelet et la
substance
blanche centrale avec : son feutrage sous-lobai
d'association des hémisphères cérébraux. S'il n'existe pas dans la
substance
blanche centrale du cervelet de longs faisceaux
as, même si la destruction est superficielle et n'im- plique pas la
substance
blanche centrale, - cle suivre, à l'aide de la
ignées des foyers primitifs. En dedans du feutrage sous-lobaire, la
substance
blanche centrale du cervelet présente deux syst
ibres. Les deux s\ ...lelllP"; do fibres dlllèrell- ciées do la
substance
blanche centrale du cervelet. 7m t) ANATOMI
correspond à la région du nid d'hi- rondelle, où une mince lame de
substance
grise sous-pie-mérienne, puis sous-épendymaire,
fibres semi-circulaires externes s'infléchissent en dedans vers la
substance
blanche centrale du vermis; (Coupes H4, Fig. li
des axes du lobe central (aLc) et de la lingula (aLig); 3° dans la
substance
blanche centrale du vermis (Fig. 465, p. 720). Un
es semi-circulaires externes n'occupent plus toute la largeur de la
substance
blanche centrale, mais sont rejetées en dehors et
il angle droit, puis se portent en dedans et s'entre-croisent dans la
substance
blanche centrale du vermis avec celle du côté o
on. (Voy. coupe horizontale C 4, Fig. 435, p. 649.) 1,'iG. 16. - La
substance
blanche centrale du vermis et le noyau du toit. L
fort complexe, je me limiterai au cerveau, c'est-à-dire à la masse de
substance
nerveuse, composée de deux hémisphères et située
'autre. Chacun d'eux est recouvert et comme enveloppé d'une couche de
substance
grise. La partie centrale est formée par une mass
tie corticale des hémi-sphères. Ils sont compris entre deux masses de
substance
grise, l'une interne et supérieure (0), l'autre i
s souvenez avoir vu, faisant saillie sur leur plancher deux masses de
substance
grise ; l'une antérieure et externe a la forme d'
yer hémorrhagique, — la cap-sule externe ou interne, les noyaux de la
substance
grise, le pied de la couronne rayonnante, etc., —
rrier, si l'on ignore la disposition des plis et des sillons sur la
substance
grise du lobe pariétal et des parties postérieure
du microscope, rechercher avec vous si l'élude de la structure di la
substance
grise corticale, faite comparativement dans les
lobe qui entourent la corne postérieure des ventricules latéraux, la
substance
grise n'a pas l'aspect à peu près uniforme qui lu
ffet, avait déjà observé que, dans ces parties du lobe occi-pital, la
substance
grise des circonvolutions est divisée très nettem
es. Notions Sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise de la moelle épinière (cellules motrices).
— type à cinq couches, [ mportance de l'examen de la structure de la
substance
grise corticale par circonvolution. — Division au
es du type normal ; mais dans l'étude régionale de la structure de la
substance
grise, il faudra tenir grand compte aussi des var
je fais allusion aux cellules ner-veuses des cornes antérieures de la
substance
grise de la moelle épinière, dites encore cellule
lules nerveuses, par la voie de ce prolongement, avec les tubes de la
substance
mé-dullaire, n'est donc pas douteuse. Tels sont
loyer l'expression usitée par M. Meynert, est toujours dirigé vers la
substance
médullaire des circonvolutions. Toutes ces expl
es prolongements enchevêtrés et cimentés par une certaine quantité de
substance
gélatineuse interposée entre eux, com-poseraient
s de Deiters), je me bornerai à dire que, très vrai-semblablement, la
substance
grise est faite, à cet égard, sur le même modèle
la substance grise est faite, à cet égard, sur le même modèle que la
substance
blanche. En d'autres ter-mes, la névroglie se rap
ncernant l'histoire individuelle des divers éléments qui composent la
substance
grise. Il convient d'examiner maintenant quel est
rapprochée des méninges, est presque exclusivement constituée par la
substance
con-jonctive. Les éléments nerveux y sont très ra
2, 3, 4, 5, dési-gnent l'ordre des couches de l'é-corce grise: m, la
substance
mé-dullaire. (1) Th. Meynert. — Vom Ge-hirne de
d'ap-précier l'intérêt que peut offrir l'examen de la structure de la
substance
grise corticale, fait par circonvolutions. On sai
par circonvolution les modifications de texture que peut présenter la
substance
grise. A ce point de vue, il y a lieu de distingu
eure d'une couche granuleuse très accentuée ; — 4° plus bas enfin, la
substance
médullaire (1). Si maintenant vous jetez un cou
e l'écorce grise du cerveau propre-ment dit, vous voyez par là que la
substance
grise corticale n'est point faite exactement sur
avez pas oublié, des lésions qui se bornent aux cornes antérieures de
substance
grise (Fig. 7, D, D). Ce sont dans le mode aigu,
prement parler, les vaisseaua. nourriciers de l'écorce grise et de la
substance
médullaire sous-jacente. Le second système est
dans chacun des trous de cet espace perforé lequel est formé par delà
substance
blanche. Ce sont là les artères des noyaux gris c
stingue des vaisseaux des ganglions centraux qui s'en-foncent dans la
substance
.blanche de la base du cerveau (espace perforé an
diculairement à la surface, on distingue d'abord,à la péri-phérie, la
substance
grise qui se montre sous la forme d'un feston a
feston ayant une épaisseur de 2 à 3 millimètres; puis, en de-dans, la
substance
médullaire composée de fibres rayonnantes et de f
e couche, c, les mailles deviennent plus larges ; 4° enfin, dans la
substance
nfédullaire, d, les mailles sont plus larges enco
s commis-surales de Gratiolet. — 2, 2, 2, Artères corticales ou de la
substance
grise. a, Réseau capillaire à mailles assez lar
au de transition à mailles plus larges. — cl, Réseau capillaire de la
substance
blanche. Des renseignements qui précèdent, il r
ampent dans la pie-mère. Ceux-ci sont-ils oblitérés sur un point ? La
substance
grise et la substance blanche souffriront simul-
e. Ceux-ci sont-ils oblitérés sur un point ? La substance grise et la
substance
blanche souffriront simul- tanémenl dans les pa
ment est ancien, c'est-à-dire s'il date déjà de quelques semaines, la
substance
grise paraît déprimée, en raison delà destruction
ion que ses éléments ont subie et de l'effondrement concomitant de la
substance
blanche sous-jacente. La partie superficielle d
e une plaque jaune. La coloration jaune appartient exclusivement à la
substance
grise, la substance blanche sous-jacente, ra-moll
La coloration jaune appartient exclusivement à la substance grise, la
substance
blanche sous-jacente, ra-mollie, étant seulement
Sur cet éventail, laissez-moi continuer la comparaison, les noyaux de
substance
grise sont disposés ainsi qu'il suit : en dedans
Le tiers antérieur, plus obtus et constitué par une masse uniforme de
substance
grise, se confond à son extrémité la plus antérie
intéressant de faire, consis'e à enlever avec soin successive-ment la
substance
grise des circonvolutions de l'insula, l'a-vant-m
lui aussi, virtuellement du moins, du côté de l'insula. Ces noyaux de
substance
grise forment donc comme un système distinct des
nticulaire. — B, portion basilaire du noyau caudé — I n, insula. — K,
substance
blanche intermédiaire à lïnsula et à Técorce gris
nglion optique. —A, commissure dans la cavité centrale de la masse de
substance
grise. — G, pilier descendant do la voûte. — Subs
de la masse de substance grise. — G, pilier descendant do la voûte. —
Substance
grise du troisième ventricule. G 0 L et G 0 E, pa
du noyau lenticulaire. — S Th, S ch 1 et Z, les quatre couches de la
substance
innominée. [Figure d'après M. Meynert.) A ces f
e manière à donner naissance à un lacis inextricable qu'on appelle la
substance
blanche centrale. Nous nous rendrons prochainemen
dérations anatomiques : Fibres pédonculaires directes se rendant à la
substance
corticale du lobe occipital; — leur rôle relative
, V, coupe des ventricules latéraux; — P, P, piliers du trigone; — 0,
substance
grise du troisième ventricule qui se con-tinue en
ion consiste à détruire successivement l'écorce grise de l'insula, la
substance
blanche sous-jacente, l'avant-mur et enfin la cap
lable complication. La bénignité relative des lésions limitées à la
substance
des noyaux gris tient sans doute pour une part à
ment limitées à ce tractus blanc, et qu'elles n'intéressent enrien la
substance
des noyaux gris, ces lésions dis-je, produisent l
ila-cération, soit par nécrose produisent dans ce tractusune perte de
substance
irréparable. Il importe de distinguer ce cas de c
trié. — D, faisceau de fibres pédoncu-laires directes se rendant à la
substance
cor-ticale du lobe occipital. Ce schéma est empru
nt pénètrent dans la couronne rayonnante sans s'être arrêtées dans la
substance
grise des masses centra-les ; c'est, de plus, ain
rt, on pourrait aisément en suivre le parcours dans l'épaisseur de la
substance
blanche du lobe occipital, immédiatement en dehor
ule latéral. Elles se termineraient finalement dans l'épaisseur de la
substance
grise corticale de ce lobe (1). B. Existe-t-il
tubercules quadrijumeaux postérieurs). Connexion entre les amas de
substance
grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceau
, avant de pénétrer dans le cerveau lui-même, un ou plusieurs amas de
substance
grise, qu'on est convenu d'appeler les noyaux d'o
frontale. — O, extrémité occipitale. — H, la corne d'Ammon. — RR, la
substance
grise corticale. — S ii, Sulcus hippocampi. — ll,
dre un détour et d'étudier ce qu'on sait relativement à ces noyaux de
substance
grise, où les nerfs optiques prennent leur premiè
lés internes et externes sont notoirement les deux premiers noyaux de
substance
grise avec lesquels les nerfs optiques entrent en
lés externes. Ces derniers consistent en des amas assez volumineux de
substance
grise, renfermant des cellules gan-glionnaires ét
de. 11 nous faut rechercher actuellement comment ces divers amas de
substance
grise qui viennent d'être énumérés sont mis en re
laire produite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de
substance
grise. Sclérose descendante consécutive à une l
-traction, en ce moment, des faisceaux de fibres qui s'étendent de la
substance
corticale aux noyaux gris des masses centrales.
uoi les hémiplégies résultant des lésions destructives, limitées à la
substance
des noyaux gris, en règle générale, sont passagèr
assagères, tandis que celles qui résultent des lésions intéressant la
substance
de la capsule interne sont , au contraire, de lon
rs de la capsule. Par contre, les lésions qui demeurent limitées à la
substance
des noyaux gris des masses cérébrales, à savoir :
op éloignés du pied de la couronne rayonnante. 3° Les lésions de la
substance
grise corticale des hémisphè-res, lorsqu'elles so
n surface et en profondeur, c'est-à-dire intéressant en même temps la
substance
grise et la substance médullaire sous-ja-cente, a
deur, c'est-à-dire intéressant en même temps la substance grise et la
substance
médullaire sous-ja-cente, ainsi qu'on le voit dan
es, soit les faisceaux blancs, soit surtout les cornes antérieures de
substance
grise, ce que ne fait pas, dans la règle, la sclé
lques cas on les trouve, en dedans, pour ainsi dire confondus avec la
substance
grise. On sait que celle-ci est régulièrement env
ix et envahisse dans la moelle des territoires voisins, les cornes de
substance
grise, par exemple : on comprend qu'en pareil cas
s masses centrales, et ne s'arrêteraient, par conséquent, que dans la
substance
grise cor-ticale. En outre des arguments déjà mis
ncontrer à MM. Carville et Duret (1), une lésion qui avait détruit la
substance
blanche de toutes les parties frontalesd'un lobe,
e dévelop-pent en conséquence des lésions étendues et profondes de la
substance
grise corticale. Ces fibres pédonculaires direc
moins étendues en largeur, intéressant plus ou moins profondément la
substance
blanche subjacente, et occupant les régions les p
les centres dits psycho-moteurs ; ce sont aussi ceux dans lesquels la
substance
grise corticale contient les cellules pyramidales
oupe transverse de la région cervicale inférieure fait voir un axe de
substance
grise et un manteau médullaire. Dans la subs-tanc
fonctions des divers faisceaux blancs et des diverses parties de la
substance
grise. Elle a distingué les propriétés des fais-c
elle des faisceaux pos-térieurs, celle des deux grandes régions de la
substance
grise, et elle n'est pas allée beaucoup au-delà.
faisceaux latéraux (Flechsig). Ajoutons que, en ce qui concerne la
substance
grise, il est toute une série de lésions, tant ai
tère de se localiser systématique ment dans les cornes antérieures de
substance
grise, où elles intéressent nécessairement l'appa
idaux, sur les faisceaux cunéiformes, sur les cornes antérieures de
substance
grise, et aussi suivant le mode, de la lésion qui
eau est un organe mou, d'une coloration grise, uni-forme, où les deux
substances
, la grise et la blanche, sontcon-fondues. Lorsqu'
un faisceau compact de forme trian-gulaire, touchant en arrière à la
substance
gélatineuse, tandis que. en dedans, un petit espa
, diri-gée en dehors, elle est séparée de la pie-mère par une zone de
substance
nerveuse lui formant une sorte de manteau et cons
également atteint leur développement; donc elles s'ar-rêtent dans la
substance
grise antérieure où elles entrent pro-bablement e
lumière de l'aqueduc de Sylvius autour duquel se développe un amas de
substance
grise, représentant les cor-nes spinales antérieu
rtie est nettement séparée du tegmentum par une bande transversale de
substance
grise qui n'est au- tre que le locus niger de S
cquis leur développement complet. Or, c'est précisément cet espace de
substance
opaque qui, d'après M. Flechsig, représente les p
conduit par ses observations, à émettre l'hypothèse que c'est dans la
substance
grise de l'écorce ou, autrement dit, dans les c
servés, est que les fibres pyramidales pren-draient naissance dans la
substance
corticale de la zone mo-trice ; là, commencerait
lles sont encore à l'état fœtal; ce n'est qu'au bout d'un mois que la
substance
du lobe occipital commencera à blanchir; et, qu
ait le premier par l'âge ; l'autre aurait son point de départ dans la
substance
grise des circonvolutions rolandiques, autrement
elle produise, dans le lieu où elle s'établit, une véritable perte de
substance
aux dépens des éléments nerveux. Aussi les ancien
(à moins de circonstances particulières que nous aurons à relever) la
substance
grise et les racines des nerfs périphériques deme
quadrilatère occupant la partie moyenne du pied, s'étendant depuis la
substance
grise de Scemmering, qui forme sa limite supérieu
d'un autre côté ce qu'on appelle quelquefois le manteau, à savoir la
substance
blanche semi-ovalaire et l'écorce de substance gr
e manteau, à savoir la substance blanche semi-ovalaire et l'écorce de
substance
grise qui les recouvre. 1° Arrêtons-nous en pre
produisent jamais lorsque la lésion, restant limitée dans le noyau de
substance
grise, quel qu'il soit, ne s'étend pas à la capsu
en est de plusvolii- mineuses, qui occupent la partie moyenne de la
substance
grise. Enfin, il existe des cellules pyramidales
gmoïde (région des circonvolutions à grandes cellules pyramidales).
substance
grise des circonvolutions frontale et pariétale a
itzig et Férrier sous le nom de centres moteurs, c'est-à-dire dans la
substance
grise des circonvolutions qui avoisinent le sulcu
n'est pas démontré encore que les lésions destructives limitées à la
substance
grise corticale de la région rolandique produisen
même peu étendues (1 à 2 centimètres cubes), intéressant à la fois la
substance
grise et la substance blanche adjacente, telles q
2 centimètres cubes), intéressant à la fois la substance grise et la
substance
blanche adjacente, telles que les plaques jaunes
hose que des rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la
substance
grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire
onnexion entre les fais-ceaux pyramidaux et les cornes antérieures de
substance
grise. Relativement au mode de terminaison de c
llules des cornes antérieures de la moelle.— E, E, F, Kéticulum de la
substance
grise où s'épuisent successivement les fibres ner
ification de structure, aucune diminution de volume appréciable. La
substance
grise de la corne antérieure elle-même, au voisin
escendante devra être con-sidérée comme l'obstacle qui arrête dans la
substance
grise le travail de dégénération et l'empêche de
e altérée. L'îlot de dégénération était, comme toujours, séparé de la
substance
grise par un tractus blanc ; en d'autres termes,
qui, partant du faisceau pyramidal, gagnent les cornes antérieures de
substance
grise. L'anatomie indique que cette relation s'ét
n destructive qui, dans la région lésée, porte indistinctement sur la
substance
grise et sur tous les faisceaux blancs tant antér
ns les dégénérations de cause cérébrale, à moins de complications, la
substance
grise et les racines antérieures restent indemnes
même profondes de la moelle épinière, quand elles sont limitées à la
substance
grise, ainsi que cela se voit, soit sous une form
opos du mode de terminaison des fibres du faisceau pyra-midal dans la
substance
grise. Je disais que la plupart de ces fibres s'a
0). — G, Canal central. — E, Revêtement épithé-lial de ce canal. — G,
Substance
grise postérieure. — V, Cordon antérieur. H, Gord
eure du cordon antérieur (ou cordon latéral). — E, Portion amincie de
substance
nerveuse fermant en arriè-re le canal central (d'
ns de Goll. — C A, Commissure antérieure. — V, Cordon antérieur. — G,
Substance
grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieu
érieure. — V, Cordon antérieur. — G, Substance grise antérieure. — G,
Substance
grise posté-rieure. — H, Cordon postérieur. Entre
ongues commissures qui mettent en rapport des étages très-éloignés de
substance
grise centrale. Par en haut, ce système de fibres
, au moment où elles abordent la moelle, plongent directement dans la
substance
grise des cornes postérieures ; les autres n'atte
substance grise des cornes postérieures ; les autres n'atteignent la
substance
grise que dans région du cou (cerviœ cornu poster
ux qui en émanent est dans la moelle épinière, « probablement dans la
substance
grise », disait Waller. Aujourd'hui, grâce aux tr
étendue du trajet intra-spinal des faisceaux radi-culaires jusqu'à la
substance
grise ; de telle sorte que le centre trophique, p
ervelet ; 2° les faisceaux de Goll dont le centre trophique occupe la
substance
grise des régions inférieures de la moelle et don
ieures de la moelle et dont les centres de terminaison répondent à la
substance
grise de la région bulbaire. Enfin, la même inter
de l'écorce, il existe dans le manteau une languette triangulaire de
substance
blanche qui relie la substance grise de l'écorce
manteau une languette triangulaire de substance blanche qui relie la
substance
grise de l'écorce à la capsule interne, et qui, a
ébelleux directs qui, par leur extrémité inférieure, plongent dans la
substance
grise où ils ont leurs centres trophiques, et, pa
ceaux latéraux à la région dorsale — les faisceaux posté-rieurs et la
substance
grise étant épargnés — abolit les mouve-ments vol
suivants. Au contraire, la section des faisceaux postérieurs et de la
substance
grise laisse persister les mouvements volontaires
rectement cérébrales, dans les faisceaux antérieurs (Fig. 77). 3°La
substance
grise peut être coupée dans toute son éten- Fig
ans les mouvements volontai-res. (Fig. 78). 4° Si, au contraire, la
substance
grise est intacte et que les faisceaux antéro-lat
embres postérieurs sont complètement paralysés. Ceci veut dire que la
substance
grise ne suffit pas à la transmission des incitat
dont elles se détachent perpendiculairement ; elles pénètrent dans la
substance
nerveuse au niveau de l'es-pace perforé antérieur
ui a lieu sur les vaisseaux artériels corticaux destinés à nourrir la
substance
grise et le manteau, les vais-seaux qui s'insinue
ve successivement l'écorce grise des cir-convolutions de l'insula, la
substance
blanche sous-jacente, l'avant-mur, enfin la capsu
excitation à la moelle lombaire. Cette excitation, portée jus-qu'à la
substance
grise par la voie des racines sensitives de la 6e
de la sorte que la paralysie atrophique résultant d'une lésion de la
substance
grise spinale entraîne, lorsqu'elle se déclare da
tention. A l'état nor-mal, les incitations volontaires, parties de la
substance
grise des hémisphères, sont transportés à la moel
e spinale dont il s'agit, sont vraisem-blablement représentés dans la
substance
grise par deux sys-tèmes diastaltiques distincts.
admise l'hypothèse de l'irritation des éléments ganglionnaires de la
substance
grise centrale, au contact des extrémités des fib
s'étend par une sorte de diffusion aux éléments ganglionnaires de la
substance
grise du côté non paralysé. Cette môme diffu-sion
, ici encore, invoquer l'affec-tion des éléments ganglionnaires de la
substance
grise. QUINZIÈME LEÇON Rôle physiologique du
aisceau pyramidal. La cause immédiate de la contracture est dans la
substance
grise elle-même. — Preuves fournies par la pathol
ue sépare l'analyse pathologique, paraissent être représentés dans la
substance
grise de la moelle épinière par autant de système
ans l'hypothèse proposée. à) Tous les éléments ganglionnaires de la
substance
grise spinale sont sans doute affectés simultaném
5. (2) Jastrowitz. — Berlin, klin. Woûhenseh., 1875. ébranlent la
substance
grise de la corne gauche, par exemple, retentisse
e donc se développer de bas en haut (1). L'altération retentit sur la
substance
grise des cornes antérieures de la moelle et sur
uscles où se rendent les nerfs émanant des régions ainsi lésées de la
substance
grise. Dans d'autres parties, c'estune simple lés
oduction delà contrac-ture, que par le fait de la participation de la
substance
grise. III. Veuillez considérer, Messieurs,qu
à que je terminerai, la cause immédiate de lacon-tracture est dans la
substance
grise et non dans le faisceau latéral lui-même. I
e syphilitique. Ici la lésion porte à la fois sur une des colonnes de
substance
grise, sur les faisceaux postérieurs et sur les f
accordent à reconnaître que ces fibres, venues d'une des cornes de la
substance
grise, franchissent la ligne médiane et vont fair
trent-elles dans les faisceaux antérieurs ou s'arrêtent-elles dans la
substance
grise? Passent-elles au con-traire, dans le cordo
côté l'atrophie musculaire qui s'observe également dans les cas où la
substance
grise est atteinte, et les symptômes tabé-tiques
PTIÈME LEÇON Des amyotrophies spinales et des localisations dans la
substance
grise de la moelle épinière. Sommaire. — Lésion
éder celle des lésions non systématisées. — Rôle physio-logique de la
substance
grise. — Transmission des impressions sensitives
sitives et des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la
substance
grise paraissent cantonnées dans la région des co
r de l'axe gris spinal, ou, comme on dit encore plus brièvement, delà
substance
grise. Inutile de faire ressortir à vos yeux qu
e occupe dans la moelle épinière un espace relativement restreint, la
substance
grise est cependant, au point de vue physiologiqu
le aujourd'hui péremptoirement dé-montré que toutes les parties de la
substance
grise ne sont pas indistinctement affectées à l'e
ement plusieurs régions bien distinctes. Ainsi, à ce point de vue, la
substance
grise centrale doit être distin-guée des cornes o
stance grise centrale doit être distin-guée des cornes ou colonnes de
substance
grise. La première seule, avec les cornes postéri
t des altérations qui affectent isolément certains départements de la
substance
grise. A. Or, Messieurs, ici se présente un fai
e un fait capital dans l'his-toire de ces lésions systématiques de la
substance
grise. C'est que les seules, méritant véritableme
pelés polio-myélites antérieures systématiques ; systématiques, caria
substance
grise antérieure peut être affectée incidemment,
ections systématiques de celles qui occupent, d'une façon diffuse, la
substance
grise; et ces dernières en outre des troubles d
gique capital, unique. Ici la lésion originelle est en dehors de la
substance
grise, en dehors du moins de la région des cornes
rter tout particulièrement votre attention sur ces alté-rations de la
substance
grise, d'où dérivent les symptômes d'amyotrophie.
e essentielle qui est le cylindre axile, n'est qu'une émanation de la
substance
même dè la cellule motrice. Aujourd'hui, l'on sai
us loin; il a fait voir que, sous le sarcolemme, c'est-à-dire dans la
substance
même du faisceau primitif, le monticule de Doyère
du faisceau primitif, le monticule de Doyère est formé par un amas de
substance
granuleuse dans lequel se termine le tube nerveux
, c'est justement cette connexité étroite du nerf centrifuge et de la
substance
des muscles. Ainsi, Messieurs, vous le voyez, i
forcer les choses, que la cellule spinale plonge directement dans la
substance
de la cellule muscu-laire par l'intermédiaire de
der avec fruit la topographie pathologique des diverses régions de la
substance
grise. APPENDICE Sclérose latérale amyotrophi
mbinée avec une altération dégénérative des cor-nes antérieures de la
substance
grise ({). Mais les faits de cette nature ne so
rale amyotrophique n'auraient rien de spécifique : l'altération de la
substance
blanche de la moelle porterait aussi bien sur les
robable que leur lésion a amené, à la partie antérieure des cornes de
substance
grise, cette altération légère du cordon antérieu
idal a des rapports très étroits avec l'altération dégénérative de la
substance
grise. Enfin, le desideratum qui manquait encor
es. Notions sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise de la moelle épimère (cellules motrices). —
— type à cinq couches. importance de l'examen de la structure de la
substance
grise corticale par circonvolution. — Division au
dérations anatomiques : Fibres pédonculaires directes se rendant à la
substance
corticale du lobe occipital; — leur rôle relative
, tubercules quadrijumeaux postérieurs) Connexion entre les amas de
substance
grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisce
laire produite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de
substance
grise. Sclérose descendante consécutive à une l
hose que des rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la
substance
grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire
aisceau pyramidal. La cause immédiate de la contracture est dans la
substance
grise elle-même. — Preuves fournies par la pathol
DIX-SEPTIÈME LEÇON. Des amyotrophies et des localisations dans la
substance
grisé de la moelle épin1èré. Sommaire. — Lésion
èdei' celle des lésions non systématisées. —Rôle physio-logique de la
substance
grise. — Transmission des impressions sensitives
sitives et des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la
substance
grise paraissent cantonnées dans la région des co
ulaires. — Espaces. — Localisation des lésions hépatiques. — Des deux
substances
du foie. Messieurs, Au moment où je viens, po
ructure et l'on se contentait de croire, avec Galien, que la chair ou
substance
du foie — pre-mier organe de la sanguification et
t des ramifications inter-lobulaires. Les coupes pratiquées dans la
substance
du foie, perpen-diculairement au grand axe des lo
rement ima-ginaires, effacés qu'ils sont par suite de la fusion de la
substance
des lobules voisins. Il n'en est pas de même des
psule conjonctive, et par conséquent adhért nt, de toutes parts, à la
substance
même du lobule. Ce sont là, messieurs, les premie
is de petites plaques rouge-brun, entourées d'un cercle formé par une
substance
claire-jaunâtre. Au centre des petits îlots rouge
vériques, des ca-pillaires qui appartiennent à la veine hépatique. La
substance
de la périphérie du lobule, avons-nous dit, est c
granulations graisseuses dans les régions cen-trales. Cette fois, la
substance
rouge occupe la périphérie du lobule (de Sinéty).
apparences qui avaient fait admettre l'existence dans le foie de deux
substances
, l'une rouge et l'autre jaune, et vous voyez que
e et l'autre jaune, et vous voyez que le siège de ces deux prétendues
substances
est variable. C'est encore à Kiernan surtout, que
iernan surtout, que nous devons la critique de cette théorie des deux
substances
du foie, théorie qui est com-plètement tombée en
ent environ la moitié de la masse totale. L'opinion de Buysch, que la
substance
du foie est à peu près exclusivement constituée p
conditions pathologiques. Le contenu des cellules est formé par une
substance
demi-liquide, grenue, offrant dans les conditions
s sous forme de goutelettes. Elle semble, par suite, consister en une
substance
molle, d'une consistance qui rappelle celle de la
platissement des cellules, en in-troduisant un corps étranger dans la
substance
du foie. C'est ce que démontrent les recherches d
r: 1° d'une transformation chimique qui s'est opérée aux dépens de la
substance
même du protoplasma; 2° oubien d'une sorte de sub
ue nous avons faite maintes fois, sur les préparations portant sur la
substance
des lobules, de petits calculs rameux constituant
dies du cœur, les espaces lymphatiques en ques-tion distendus par une
substance
riche en fibrine et se dissol-vant dans l'acide a
tices des cellules hépatiques et surtout ne pénétreraient pas dans la
substance
de ces éléments (1). IV. Jusqu'ici, Messieurs
t absolument enveloppé par une zone conjonctive, en même temps que la
substance
même du lobule tendait à se rétrécir de plus en p
es vaisseaux, après avoir pénétré dans le hile,, se répandent dans la
substance
du foie. Je serai très bref sur ces détails qui,
ellement riche que, quand une injection des artères,, faite, avec une
substance
rouge, a bien réussi, les pa-rois des canalicules
es interlobulaires et qui se distribuent en se capil-larisant dans la
substance
du lobule. Ce fait, contesté pen-dant longtemps,
ier chacun de ces éléments, en com-mençant par la cholestérine. Cette
substance
nous intéresse spécialement, car c'est elle qui f
u sein des organes, ayant subi des altérations pathologiques, est une
substance
nacrée blanche, sans goût, insoluble dans l'eau,
ol monoatomique, analogue à l'esprit-de-vin. 2° Dans la bile, cette
substance
existe, comme on l'a vu, en faible quantité, à l'
uis les recherches de M. Flint, on considère assez généralement cette
substance
comme un produit de désassimilation normale de la
que, soluble dans l'éther, est constituée par de la Choles-terine. La
substance
blanche en posséderait plus que la grise. Pour
rine et, généralisant cette vue, il met encore sur le compte de cette
substance
les accidents nerveux qui résultent de l'a-trophi
e ne l'est celui de la cholestérine. Mais, de même que cette dernière
substance
, le pigment entre dans la composition d'un très g
nts biliaires. En réalité, à l'état normal, on ne trouve qu'une seule
substance
méritant ce nom: c'est la bilirubine. Les autres
lement de provenance biliaire. En effet, trois grammes d'une pareille
substance
, s'il s'était agi réelle-ment d'un épanchement sa
que, en troisième lieu, des preuves d'ordre ex-périmental. Toutes les
substances
, qui ont la propriété de dé-truire les globules r
ns de croire que, dans l'intestin, elle se transforme en partie en me
substance
qu'on retrouve dans l'urine et qu'on a dénom-mée
acide cholique ou cholatique se change en acide choloïdique et en une
substance
qu'on appelle dyslysine. d) Les acides, les sel
érations de la bile, caractérisées par la présence dans ce liquide de
substances
qui sont étrangères à sa constitution normale. Le
urée et l'acide urique. En ce qui con-cerne, par exemple, la première
substance
, il paraît établi (1) Klebs, loc. cit., p. 481.
e apparaissaient dans les urines. On retrouva après la mort ces mêmes
substances
, dans le paren-chyme du foie, sous forme de crist
ne se produit qu'en proportion minime et, à sa place, il se forme des
substances
moins élevées dans la série, à savoir la leucine
sus ? Le fait est que, suivant les observations de M. Meissner, cette
substance
ne se trouve ni dans les muscles, ni dans les pou
remar-quables, si l'on tient compte de la grande solubilité de cette
substance
. Ainsi elle s'élevait à plusieurs centigrammes da
e foie. — Difficulté de sa constatation. — Rôle du foie à l'égard des
substances
amyloïdes et du sucre. — Du diabète alimen-taire.
ésassimilation azotée. Il convient de tenir compte de Y acide urique,
substance
qui appartient chi-miquement et physiologiquement
ce en quelque sorte celle de l'urée, que l'existence normale de cette
substance
, dans le foie, est le plus facile à démontrer. On
gne la pathologie, hépatique en ce qui concerne la formation de cette
substance
. J'invoquerai tout d'abord le cas accentué de l
e la glycogène, qu'on appelle encore zooa-myline ou hépatine, est une
substance
chimiquement analo-gue à l'amidon et. dont l'exis
s du dernier genre chezl'homme. Malheureusement, le glycogène est une
substance
qui, en ce qui concerne l'homme, n'arrive pas jus
ces les plus variées que le gly-cogène prend naissance aux dépens des
substances
albumi-noïdes fournies par la digestion ; mais il
foie. Le rôle du foie, d'après M. Cl. Bernard, en ce qui regarde les
substances
amy-loïdes et le sucre, est donc le suivant : « I
e ; — des acides biliaires; — des sels minéraux; — de la chaux; — des
substances
inorganiques (fer, cuivre, mercure). — Mucus et e
s calculs urinaires en ce qui concerne l'acide urique. Cette dernière
substance
, qui existe en très faible proportion dans l'urin
seconde. Nous n'avons tenu compte, dans cette ônumération, que des
substances
qui font partie de la bile normale ou des dérivés
s substances qui font partie de la bile normale ou des dérivés de ces
substances
. Dans la constitution des calculs biliaires, il p
que des traces de cholestérine ou que celle-ci n'existait pas. Cette
substance
, dans les 954 autres calculs, s'élevait à 64, 98
insi que l'a montré, en 1808, Rubini (de Vérone) (2), se recouvrir de
substances
étrangères à sa composition pri-mitive, à savoir
99. calcul dans l'intestin est nécessaire pour qu'une couche de ces
substances
puisse se déposer à sa périphérie. Voici une co
ires, est exclusivement composée de cholestérine pure, sans traces de
substances
cal-caires. J'aurai l'occasion de vous parler de
sels tiennent en dissolution la Choleste-rine et la bilirubine ; ces
substances
, après la destruction des sels biliaires, doivent
. Les dépôts de Cholesterine seront d'autant plus abondants que cette
substance
existera en plus forte propor- Charcot. Œuvres
n cas du même genre, Hardy avait, pendant la vie, rencontré ces mêmes
substances
dans les urines. Une observation de M. Hayem, p
Tantôt, il s'agit de petits abcès multiples disséminés dans toute la
substance
du foie et à sa surface. En raison de leurs dimen
lomé-rant constituent enfin de véritables abcès qui pénètrent dans la
substance
des lobules en refoulant les cellules hépatiques
-tières grasses, résultant de la digestion incomplète ou nulle de ces
substances
. Il paraît certain que la rétention biliaire est
des auteurs qui ont étudié d'un peu près la question, les abcès de la
substance
corticale du rein ne prennent pas naissance par e
emier degré de l'altéra-tion, la sclérose n'entame pas visiblement la
substance
du lobule. Cette particularité de structure a été
nts où la lésion est pour ainsi dire parvenue à son dernier terme, la
substance
parenchymateuse n'est plus représentée que par qu
principales entourent, à la manière d'un cercle continu, la masse de
substance
hépatique qui com-pose la granulation. De ces tra
es d'origine ; 2° par un troncule , 3° par des ramifica-tions dans la
substance
du foie ; — à moins, cependant que le troncule ne
s de troisième ordre se détachent des processus qui pénètrent dans la
substance
du lobule qu'ils divisent en plusieurs comparti-m
n des Mens-chen und der Saügethiere. Halle 1865, Taf. IV, f. 1), R,
substance
corticale. — Gr, zone limitante. — M, substance m
Taf. IV, f. 1), R, substance corticale. — Gr, zone limitante. — M,
substance
médullaire. 1,Capsule de Bowmann etglo-mérulede
ant commenl ces canalicules se groupent et s'agen-cent pour former la
substance
rénale et aussi quel est le mode de répar-tition
tingue dans le rein deux régions principales : l'une, la région ou la
substance
corticale, l'autre, la région ou la subst ance mé
bstance corticale, l'autre, la région ou la subst ance médullaire. La
substance
médullaire, constituée par la réunion des pyramid
ernativement pâles et colorés. Let rayons pâles se continuent dans la
substance
corticale sous Fig. 23. — Coupe horizontale du
— g, zone limitante. — r, couche cor-ticale. Les stries foncées de la
substance
médullaire (/^repré-sentent les fascicules des tu
ntent les fascicules des tubes urinifères ; ils se continuent dans la
substance
corticale où ils for-ment les rayons médullaires.
tze de Henle, Markstrahlen de Ludwig). Quant aux rayons colorés de la
substance
médul-laire, ils se continuent sans ligne de déma
ires, espaces que, dans la nomenclature adoptée par Henle, on appelle
substance
corticale proprement dite, et dans celle de Ludwi
sont séparés par une zone étroite qui n'est qu'un prolonge-ment de la
substance
du labyrinthe. Vous pouvez suivre tous les détail
aire, on trouve trois va- Fi/7. 26. —Coupe antéro-postérieure de la
substance
corticale d'un rein d'enfant (Henle). —A, Prolong
ux droits qu'est due surtout l'augmentation de volume que présente la
substance
médullaire dans cette région. C. Dans la substa
que présente la substance médullaire dans cette région. C. Dans la
substance
corti-cale, sur des coupes d'ensemble et en allan
le séparant les couches mé-dullaire et corticale, et envoyant dans la
substance
corticale les brandies ascendantes qui por-tent l
icules urinifères rectilignes formant les pyra-mides de Ferrein de la
substance
corticale. Les coupes longitudinales fournissen
r aperçu de la texture lobulaire du rein : chacun des lobules dans la
substance
corticale est représenté sur la surface de sectio
leisch). — Coupe ho- tubes contournés et Surtout ceux rizontale de la
substance
corticale. ., ., ,. . / 7I Les lobules rénaux s
et du hile ; — ils communi-quent avec les espaces lymphatiques de la
substance
corticale. Tissu conjonc-tif lamineux dans là rég
onc-tif lamineux dans là région papillaire. — Cellules étoilées de la
substance
corticale. — Tissu conjonctif des glomérules ; so
xistence d'une gangue conjonctive dans certaines par-ties du rein, la
substance
médullaire par exemple, n'a jamais été mise en do
été mise en doute ; il n'en est pas de même pour ce qui con-cerne la
substance
corticale. Goodsir avait avancé (1842) que les
ateur, les interstices des éléments sécréteurs et excré-teurs dans la
substance
corticale ne seraient séparés les uns des autres
e, lorsque, en 1850, M. Arnold Beer publia un travail intitulé : « La
substance
conjonctive du rein de l'homme dans l'état physio
e ; ce réseau, à son tour, communique avec des espaces situés dans la
substance
corticale du rein, entre les canalicules contourn
es lymphatiques sont peu nombreux. Ils sont plus rares encore dans la
substance
médullaire, où on ne les trouve que dans le voisi
ns le voisinage des vaisseaux droits. Les espaces lym-phatiques de la
substance
corticale du rein sont en communi-cation facile a
existe du tissu fibrillaire lami-neux dans la partie papillaire de la
substance
médullaire ; mais, dans la substance corticale, o
dans la partie papillaire de la substance médullaire ; mais, dans la
substance
corticale, on n'en trouve plus que des- (1) En
es pyramides, les fibrilles deviennent de plus en plus rares. Dans la
substance
corticale, le tissu conjonctif n'est plus représe
la plus autorisée. Les artères rénales, dans leur parcours entre la
substance
médullaire et la substance corticale, donnent nai
tères rénales, dans leur parcours entre la substance médullaire et la
substance
corticale, donnent naissance à deux ordres de vai
qui sont destinés, les uns à la subs-tance corticale, les autres à la
substance
médullaire. 1° Les artères de la substance cort
rticale, les autres à la substance médullaire. 1° Les artères de la
substance
corticale naissent perpendi-culairement à la dire
me nom, vont se jeter dans les veines rénales. 2° Les artères de la
substance
médullaire proviennent des vasa recta. Il y a deu
a, vaisseaux très allongés, venant de ceux des glomérules qui dans la
substance
corticale sont situés le plus bas, c'est-à-dire l
ce corticale sont situés le plus bas, c'est-à-dire le plus près de la
substance
médullaire. Ces vaisseaux, d'ori-gine diverse, do
ion de Ludwig, qui confirme celle de M. Virchow, la circulation de la
substance
médullaire serait, en partie, indépendante jusqu'
rait, en partie, indépendante jusqu'à un certain point de celle de la
substance
corticale. Cette vue est contraire à celle de Kol
tes les parties du rein; elle n'occupe qu'une partie de l'organe : la
substance
corticale. Une analyse mi-croscopique attentive p
as précédent, c'est-à-dire que la coloration existe seulement dans la
substance
corticale sur les épithéliums à bâtonnets. Enfi
ndantes aux parties cautérisées la coloration se répand dans les deux
substances
, on voit au contraire, dans celles qui répondent
contraire, dans celles qui répondent aux parties cautérisées, que la
substance
corticale est seule colo- rèe, l'examen microsc
dessinent sous la forme de petites stries d'un blanc crayeux dans la
substance
tubuleuse, et siègent principalement dans la régi
d'un kyste formé aux dépens des tubes urinifères et qui contient une
substance
colloïde, e, à lames concentri-ques et un amas gr
r la membrane fonda-mentale, le canal est complètement rempli par une
substance
colloïde, dans laquelle se trouve compris le cyli
i eux plusieurs groupes : 1° Les cylindres hyalins sont formés de
substance
a-, morphe colorés, peu réfrin-gents ; ils sont f
Le rein est volumineux, pe-sant, lisse à la surface ; à la coupe, la
substance
corticale pa-raît volumineuse, décolorée, privée
e petits kystes. A la coupe, on reconnaît que l'atrophie porte sur la
substance
corticale, qui peut être ré-duite à une mince lam
s vif. Les coupes montrent que l'atrophie porte principalement sur la
substance
corticale et beaucoup moins sur la substance médu
te principalement sur la substance corticale et beaucoup moins sur la
substance
médullaire. Par suite de la diminution de volume
trouve sur le gros rein blanc à la surface ou sur des coupes, dans la
substance
corticale, et dont la constitution est toute diff
s-titielle, principalement sur la région du labyrinthe. Toutefois, la
substance
médullaire n'a pas échappé complètement à l'al-
pas de granulations à sa surface, la capsule s'enlève aisément. La
substance
corticale est un peu tuméfiée ; elle offre une co
ne les voit pas sur le gros rein blanc. — Les CftuaiM droits, dans la
substance
médul-laire, au voisinage des papilles, se montre
, se montrent aussi quelquefois dilatés et tortueux. Les kystes de la
substance
médullaire sont souvent ovoïdes, allongés et plac
cha-pelet (Rmdfleisch, Dickinson.) — Enfin, on trouve encore dans la
substance
corticale une troisième variété de kystes, formés
e de Boxvmann est dilatée, plus ou moins remplie et distendue par une
substance
colloïde; ses parois sont épaissies; quant auglom
n goutteux: —? dans le rein saturnin. — Troubles de l'élimination des
substances
odorantes et des médicaments. Complications obs
noncée, en conséquence de ce que les vaisseaux sont comprimés dans la
substance
corticale ? A ceci, la théorie répond que les ind
rtériel du rein ; on sait, en effet, que sous une faible tension, les
substances
colloïdes ne traversent pas les membranes, tandis
ien se garder d'oublier. On a depuis longtemps remarqué que certaines
substances
odorantes ns passent pas dans les urines chez les
ntéressantes et les plus graves sont celles qui se produisent dans la
substance
de Vencéphale. Il n'est pas dou-teux qu'un bon no
us ou moins accusée ; cette coloration appar-tient exclusivement à la
substance
corticale du rein ; on la constate à la surface d
Sur des coupes, on reconnaît aussi la tuméfac-tion considérable de la
substance
corticale et la rareté des stries vasculaires.
e de la substance corticale et la rareté des stries vasculaires. La
substance
médullaire ne présente aucune altération ap-préci
de l'état normal et contraste plus ou moins vivement avec celle de la
substance
corticale. B. Etude histologique. — 1° Lorsque
rface du rein, mais également sur des coupes, dans l'épais-seur de la
substance
corticale. Ces granulations diffèrent, vous le vo
plus grossières (G. Johnson); elles existent dans la profondeur de la
substance
coriicale, aussi bien qu'à la surface; elles sont
e gouttelettes graisseuses dans les tubuli ; la teinte générale de la
substance
corticale est pâle et jaunâtre, peu vasculaire, e
l'hydropisie, qui est ici un phénomène habi-tuel; par l'anémie de la
substance
corticale du rein qui n'est pas, dans cet ordre d
t surtout les glomérules. De la dégénération amyloïde en général. —
Substance
amyloïde: — dans les parois vasculaires; — les él
de petites cellules dans l'épaisseur de la gangue conjonctive de la
substance
corticale; l'éplthélium était à peine altéré; en
u, de la façon la plus marquée, les apparences du gros rein blanc, la
substance
corticale étant très pâle et très épaissie. Les
pâleur du rein étaient dues à une infiltration presque générale de la
substance
corticale par une multitude de cellules rondes. C
tiré de la présence, au sein de certains éléments anatomiques, d'une
substance
douée de propriétés morphologiques et microchimi-
e douée de propriétés morphologiques et microchimi-ques spéciales. La
substance
en question est habituellement désignée sous le n
. La substance en question est habituellement désignée sous le nom de
substance
amyloïde, mais c'estbien à tort, car elle contien
et égard autant de la cellulose de l'amidon qu'elle se rap-proche des
substances
albuminoïdes. a) C'est dans les parois des arté
mes caractères ; les noyaux se fondent et disparaissent au sein de la
substance
vitreuse. Le résultat final est, en somme, un épa
e vue le suif aie d'indigo. Lorsque dans une faible solution de cette
substance
, on laisse plongé pendant quelque temps un fragme
D. Un mot maintenant relativement à la constitution chi-mique de la
substance
amyloïde. Je vous ai dit déjà qu'elle n'a rien de
a-lyses élémentaires de Kékulé, de Rudneff, de Schmidt, faites sur la
substance
amyloïde de rates profondément infiltrées, ont dé
Dickinson a essayé d'aller plus loin, et il a émis l'hypothèse que la
substance
amyloïde n'est autre chose que de la fibrine priv
aline ; ceci peut faire supposer déjà que la matière amyloïde est une
substance
albuminoïde privée d'alcali. Mais un dernier fa
t tendrait encore, toujours suivant M. Dickinson, à établir que cette
substance
n'est autre qu'une modification de la fibrine.
s'agit de la préparation artificielle, à l'aide de la fibrine, d'une
substance
qui présenterait les caractères optiques et chimi
on, mais privée d'alcali, et elle se montre alors sous la forme d'une
substance
de consistance gélatineuse qui offrirerait, de la
: s'agit-il réellement d'une infiltration des tissus affectés par une
substance
formée d'abord dans le sang, ou bien la matière a
maladie lardacée, n'y a fait trouver absolument rien qui rappelle la
substance
amyloïde. F. L'étude des conditions étiologique
t localisée, dans la couche corticale, sur les glomérules; et dans la
substance
médullaire, elle se montre sous forme de stries p
niers, d'abord sur ceux qui, partant duglomérule, descen-dent dans la
substance
tubuleuse sous le non de vaisseaux droits ; enfin
eurs est assez rare, les éléments épithéliaux. Sur des coupes de la
substance
corticale, faites perpendicu-lairement à la surfa
és par la dégénération amyloïde et parais-sant comme injectés par une
substance
étrangère. Les coupes de la substance médullair
s-sant comme injectés par une substance étrangère. Les coupes de la
substance
médullaire sont plus intéres-santes. Sur celles q
es que les anses de Henle. Sur les coupes faites au voisinage de la
substance
corticale, on trouve les vaisseaux droits altérés
sition générale des voies de la circulation vei-neuse. 1. Dans la
substance
corticale, les veinules qui proviennent du réseau
initive dans la voûte veineuse qui, dans la région intermédiaire à la
substance
médullaire et à la substance corticale (zone limi
e qui, dans la région intermédiaire à la substance médullaire et à la
substance
corticale (zone limi-tante), correspond à la voût
oûte artérielle. Les veines qui, de cette voûte, se rendent dans la
substance
médullaire méritent, vous allez le voir, une ment
re toute-fois peut augmenter notablement par l'injection de certaines
substances
, l'acide benzoïque, par exemple. Quoiqu'il en soi
donc admettre que le rein le forme de toutes pièces, aux dépens de
substances
préexistant dans le sang, mais dont la nature est
s conditions toujours patholo-giques, passe l'abumine du sérum, cette
substance
qui, lors-qu'elle se trouve dans l'urine, constit
u bien encore lorsque, chez un animal en expérience, on injecte cette
substance
dans le sang. L'albu-minurie ne se produit pas si
fibrine dissoute, la caséine du sérum, etc. Je rappellerai que cette
substance
n'existe pas seulement dans le sérum ; on la trou
le sang delà circu-lation générale contient dans son sérum certaines
substances
albuminoïdes, qu'on désigne sous le nom de pepton
uer une injection intraveineuse d'une solution d'urée, cette dernière
substance
, sécrétée par les tubuli contorli, entraîne avec
ar une masse amorphe, transparente, granuleuse, qui la distend. Cette
substance
pré-sente d'ailleurs tous les caractères de l'alb
l'hémoglobine qui se mêlait au sérum. Or, cette hémoglo-bine est une
substance
albuminoïde particulière qui filtre à (1) Journ
sition qui consiste probablement dans une qualité imparfaite de cette
substance
, a pour effet de dérober l'albu-mine à sa destina
inca-pable d'être assimilée doit être éliminée par le rein, comme une
substance
étrangère à l'organisme... ; en effet, il existe
erine normale, et de la dis-tinguer nettement de l'albumine de l'œuf,
substance
étran-gère au sang dans l'organisme sain. Pour
contrairement à ce que l'on a admis jusqu'ici, que la fillration des
substances
albuminoïdes et des émulsions, en général, est
est d'autant plus abondante que la pression à laquelle est soumise la
substance
à filtrer s'abaisse davantage. A la vérité, ces e
sse d'une coloration rouge sombre, violacée. Sur les coupes, les deux
substances
sont à peu près également colorées. L'exa-men au
ulaires. — Espaces. — Localisation des lésions hépatiques. — Des deux
substances
du t'oie.........................................
l'oie. — Difficulté de sa constatation. •- Rôle du foie à l'égard des
substances
amyloïdes et du sucre — Du diabète alimentaire...
— des acides biliaires.: —• des sels minéraux: — de la chaux.: — des
substances
inorganiques (fer, cuivre, mercure). — Mucus et e
et du hile : — ils communi-quent avec les espaces lymphatiques de la
substance
corticale. Tissu conjonc-tif lamineux dans la rég
nc-tif lamineux dans la région papillaire. —? Cellules étoilées de la
substance
corticale. — Tissu conjonctif des glomérules : so
in goutteux; — dans le rein saturnin. — Troubles de l'élimination des
substances
odorantes et des médicaments. Complications obs
t surtout les glomérules. De la dégéuération amyloïde en général. —
Substance
amyloïde : — dans les parois vasculaires; — les é
es, 175,185,2)8. — Pleu-rales cl pulmonaires, 21(1. Foie. (Les deux
substances
du), U. — Comparaison du — avec les autres glande
doque, 170. Steatorrhea, 191. Steatosis du foie. 84. Stercorine 67.
Substance
, corticale du rein, 291, 293,29i, 299. 301,331,34
ceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de
substance
grise : amyotrophie consécutive. I. Messieurs
mie macroscopique ne fournissait aucun renseignement sur l'état de la
substance
grise, sur la localisation exacte de la lésion, s
s l'aire des faisceaux blancs, ou dans les di-vers départements de la
substance
grise, quelle est l'étendue, la configuration, la
à fait distincts physiologiquement des faisceaux postérieurs. Dans la
substance
grise elle-même, il y a lieu,vousle savez, d'étab
yélite systématiquement confinée dans un tout petit département de la
substance
grise de la moelle : la région des cornes antérie
s cornes grises postérieures, en dehors, par des bandes minces, où la
substance
blanche a conservé les caractères de l'état norma
l a existé une anesthésie très accusée, les cornes postérieures de la
substance
grise sont à leur tour envahies par l'altération,
rsal, elle se fait, soit en dehors vers les cornes postérieures de la
substance
grise et les fais-ceaux latéraux, soit en dedans
ande partie disparu pour 1 Pierret (A). — Sur les altérations de la
substance
grise de la moelle épi-nière dans l'ataxie locomo
eaux radiculaires internes se dirigent vers les cornes antérieures de
substance
grise, et peuvent être suivis jusqu'à ce groupe e
s les cordons postérieurs, se sera propagé jusqu'aux extrémités de la
substance
grise antérieure, et y aura dé-terminé les lésion
erfs optiques se rapprochent, quant à la texture, beaucoup plus de la
substance
blanche des centres nerveux que tous les autres n
e l'arthropathie des ataxiques. — Lésion des cornes antérieures de la
substance
grise. — Desi-deratum. Messieurs, Je me propo
ons irritatives de la moelle épinière, celles surtout qui occupent la
substance
grise, retentissent quelquefois, vous le savez, à
ite aiguë ; 3° dans certains cas de tumeurs occupant primitivement la
substance
grise spinale (Gui) ; 4° dans certains cas d'alté
ire est évidemment liée à une altération des cornes antérieures de la
substance
grise, j'avais supposé que cette même région de s
eures de la substance grise, j'avais supposé que cette même région de
substance
grise pouvait être encore le point de départ de l
s, rap-pelant par leur coloration et tous leurs autres caractères, la
substance
grise des centres nerveux où, d'ailleurs, ils nai
res nombreux qui ne sont autres que des myélocites en-globés dans une
substance
amorphe finement granuleuse. Sous l'influence de
phe finement granuleuse. Sous l'influence de l'acide chromique, cette
substance
amorphe, intermédiaire se décompose, si l'on peut
ner une compression plus ou moins forte des cor-nes antérieures de la
substance
grise. un instant, parce qu'il s'agit là d'un p
rimé de la moelle, bien au-dessous du taux normal. J'ajouterai que la
substance
grise n'était plus représentée en ce point que pa
grise n'était plus représentée en ce point que par une des cornes de
substance
grise où l'on ne retrouvait qu'un petit nombre de
ue très difficilement à les calmer par l'emploi de doses élevées de
substances
narcotiques. Il y a lieu de faire remarquer dans
ue, dès l'origine, les conducteurs de la sensibilité, c'est-à-dire la
substance
grise, ont subi une modification pathologique imp
te ; car l'expérimentation montre que dans les conditions normales la
substance
grise ne provoque, sous l'influence des excitatio
en-sations rapportées à la périphérie et indiquant l'irritation de le
substance
grise (picotements, fourmillements, sentiment de
ême très sérieusement intéressée. Il semble que, placée au centre, la
substance
grise soit protégée contre les causes d'ir-ritati
du cerveau et proba-blement aussi par le fait de l'irritation dont la
substance
grise à son tour devient le siège, les propriétés
médian antéro-postérieur et qu'ils occupent la partie centrale de la
substance
grise au voisinage de la commissure. Voici mainte
postérieur, où ils occupent, de chaque côté, la partie centrale de la
substance
grise. 11 résulte de cette disposition qu'une lés
de la lésion en foyer et du même côté dans la corne antérieure de la
substance
grise. Alors, les membres, paralysés déjà et cont
'altération consécu-tive de divers points non encore déterminés de la
substance
grise, on peut voir les symptômes d'hémiplégie sp
'ob-serve lorsque la lésion systématique des cornes antérieures de la
substance
grise est limitée, dans une certaine étendue en h
s'étendrait principalement en avant de manière à affecter surtout la
substance
grise des cornes anté-rieures. Seulement, dans ce
donné, soit aux faisceaux blancs, soit aux régions postérieures de la
substance
grise, l'aspect des symptômes se montrerait néces
ransactions, t. XXXIII- 2 Ogle. — Fibrinous masses deposited in the
substance
of thehearts Walls ; Rernarkable Slowness of the
— Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la
substance
grise. Paralysie spinale infantile.— Elle sera
rédominante, sinon exclusive, certains éléments bien déterminés de la
substance
grise, à savoir : Yappareil des cellules nerveuse
les, comme vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la
substance
grise de la moelle épinière. Avant d'entrer dan
ccupe, dans la moelle épinière, un espace rela-tivement restreint, la
substance
grise centrale est cependant, au point de vue phy
re spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon central de
substance
grise est un lieu de passage obligé pour la trans
taires et réflexes doivent nécessairement, elles aussi, passer par la
substance
grise,— de telle sorte que, si cette voie était c
ble. Mais il semble aujourd'hui démontré que toutes les parties de la
substance
grise ne sont pas indistinctement affectées à l'e
Dans cet espace si limité, je le répèle, si circonscrit, qu'occupe la
substance
grise au centre de la moelle épinière, il y a lie
sépare physiologiquement, d'une façon très nette, ce qu'il appelle la
substance
grise cen-trale et les cornes de substance grise.
nette, ce qu'il appelle la substance grise cen-trale et les cornes de
substance
grise. La première aurait seule (avec les corne
is des altérations qui affectent isolément les diverses régions de la
substance
grise. C'est là justement le cas des affections
s étudierons bientôt et qui, comme les premières, peuvent affecter la
substance
grise centrale. Dans ces myélites centrales, la
rte indistinctement sur tous les points, sur toutes les régions de la
substance
grise, d'où il résulte que la sensibilité et le m
yé-lite aiguë centrale, c'est-à-dire localisée principalement dans la
substance
grise, y/iématomyélie, diverses formes de myélite
ons constaté l'exis-tence d'une atrophie des cornes antérieures de la
substance
grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans
istence de plusieurs foyers de désintégration sur divers points de la
substance
grise 2. Mais, si je ne me trompe, l'étude qui
t, et sur certains points exclusivement, les cornes antérieures de la
substance
grise (Fig. 8). Dans toutes les régions de la moe
les lésions de la né-vroglie envahissent la plus grande partie de la
substance
grise 1 Archives de physiologie, t. III, 1870.
et nullement propor-tionnées, quant à l'intensité, aux lésions de la
substance
grise. Il nous paraît évident, d'après tout ce
sie infantile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la
substance
grise. — Myélite aiguë centrale généralisée, héma
oite, systématique, des altérations dans les cornes antérieures de la
substance
grise et, plus précisément, dans la région de ces
troite de la lé-sion spinale dans l'aire des cornes antérieures de la
substance
grise. Il se produitlà, parle fait de la maladie,
en soit, elle occupe les régions centrales de la moelle épinière, la
substance
grise surtout, et tend à enva- 1 Les altération
ire seront atteintes simultanément dans toute leur lon-gueur. Dans la
substance
grise, elle intéresse les cornes grises antérieur
e loi bien connue, le long des faisceaux latéraux tandis que, dans la
substance
grise, ce sont les colonnes formées par les corne
s cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la
substance
grise. Étude de l'atrophie musculaire progressi
— Lésions de la moelle: altération limitée aux cornes antérieures de
substance
grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions
que fondamental du groupe : c'est la lésion des cornes antérieures de
substance
grise et plus expli-citement l'altération atrophi
ons spinales sont systématiquement limitées aux cornes antérieures de
substance
grise. Un type du même genre nous servira de guid
En effet, une lésion exactement limitée aux régions antérieures de la
substance
grise et laissant parfaite-ment indemnes tous les
ite-ment indemnes tous les autres départements de la moelle épinière,
substance
blanche et substance grise, tel est le sub-stratu
s les autres départements de la moelle épinière, substance blanche et
substance
grise, tel est le sub-stratum anatomique dans une
dans la moelle épinière, mais elle s'est dévelop-pée en dehors de la
substance
grise et ce n'est que secondai-rement, par extens
t susceptible, à un moment donné de son évolution, de retentir sur la
substance
grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des
consécutifs à une myélite chronique cen-trale. Quoi qu'il en soit, la
substance
grise des cornes anté-rieures peut, en pareille c
t étroits, qui, creusés pour la majeure partie dans l'épaisseur de la
substance
grise, parcouraient, parallè-lement au grand axe
t. Ces derniers canaux se trouvaient en grande partie comblés par une
substance
amorptie, transparente, finement grenue, qui, en
ou moins étendues, à con-tours plus ou moins irréguliers. Celte même
substance
, finement grenue, légèrement condensée, formait l
intraspi-nales (gliômes ou sarcomes), qui, développés au centre de la
substance
grise, dans la région cervicale, ont été le point
s. En général, dans les cas ordinaires relatifs à cette affection, la
substance
grise n'est pas profondément atteinte ; il est po
nalis, etc. In Virchovf s Archiv, 1869, 4 faeg. 8 Bd. rieures de la
substance
grise, et plus particulièrement sur les cellules
ns tous les cas qu'embrasse cette énumération, l'envahis-sement de la
substance
grise antérieure, ainsi que nous l'avons fait rem
son habituelle d'une lésion des faisceaux blancs avec la lésion de la
substance
grise, il est de règle qu'un de-gré plus ou moins
on nerveuse s'ajoute aux effets de l'amyotrophie protopa-thique où la
substance
grise est seule affectée. c) Un autre fait, dig
la névroglie est de nature inflammatoire ; ainsi les vaisseaux de la
substance
grise sont plus volumineux que de coutume et leur
r cas, que la limitation des altérations aux cornes antérieures de la
substance
grise a sa raison dans cette circonstance que les
eusement, dans les cas de M. L. Glarke et de M. Duménil, l'état de la
substance
blanche spinale n'est pas indiqué d'une façon exp
nerfs périphéri-ques sont affectés consécutivement à la lésion de la
substance
grise. Je vous rappellerai, à ce propos, que Ouve
, paraître tout à t'ait saine, alors que les cellules nerveuses de la
substance
grise ont subi cepen-dant les plus profondes alté
G.) cette atrophie serait rattachée quelque jour à une lésion de la
substance
grise *. Il importe de reconnaître que l'atroph
e destructive. Sans doute, dans les racines émanant des régions de la
substance
grise et plus pro-fondément altérées, on trouve h
ans la gaîne du sarcolemme de manière à la distendre et à refouler la
substance
musculaire. Celle-ci se segmente alors et prend l
nt dans leur évolution et tendent à s'atrophier, en même temps que la
substance
musculaire fragmentée se divise de plus en plus e
de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la
substance
grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), d
pro-gressive qui relève d'une lésion limitée systématiquement ci la,
substance
grise spinale antérieure ; le moment est venu d'e
ite, occupe dans la moelle, en outre des cornes antérieu-res, soit la
substance
grise postérieure, soit divers faisceaux blancs.
mbinaison, si l'on peut ainsi dire, de l'altération obligatoire de la
substance
grise antérieure avec une sclérose symétrique et
les pre-miers temps de sa formation, qu'un anneau incomplet formé de
substance
embryonnaire. Aussitôt que le canal central est f
antérieures [Fig. 12, a), et des cornes postérieures (Fig. 12, b) de
substance
grise. A chacune de ces parties est venue s'adjoi
rties est venue s'adjoindre, vers la tin du premier mois, une zone de
substance
blanche, laquelle est en connexion avec les racin
dans le sillon qui sépare encore latéralement les deux parties de la
substance
grise, sous l'aspect de deux petites masses ou
s. plus postérieure du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la
substance
blanche se distingue par une teinte grisâtre, app
gne en particulier, du moins dans la règle, d'aucune altération de la
substance
grise antérieure ou des racines spinales motrices
métrique primitive existe seule, sans complication d'une lésion de la
substance
grise antérieure ; le trait le plus saillant dans
M. Westphal. 2° Mais il arrive assez souvent qu'une altération de la
substance
grise s'associe à la sclérose symétrique des fais
xterne de la corne anté-rieure. En arrière, elle confine presque à la
substance
grise postérieure. En dehors, toutefois, elle est
e constam-ment de la couche corticéile de la moelle par un tractus de
substance
blanche restée intacte. {Fig. 16, A, A. —Voirauss
rap- l'isthme de l'encéphale ; — 2° des lésions concomitantes de la
substance
grise dans les mêmes départements des centres ner
là moelle dont elle n'est séparée que par une languette très mince de
substance
blanche in-tacte. c) Enfin, à la région lombair
rte de relever actuellement, Messieurs, celles qui appartiennent à la
substance
grise. Elles ne diffèrent en rien d'essentiel d
ruites. (Voir Pl. IV. Figi.) Il est de règle que l'altération de la
substance
grise ne dé-passe point l'aire des cornes antérie
la colonne de Clarke dans la région dorsale. a) L'altération de la
substance
grise spinale, dans tous les cas que j'ai observé
nt pas ou sont relativement peu atrophiés. b) Les altérations de la
substance
grise de la moelle épi- Il ne me reste plus qu'
dans cette partie des centres nerveux, un certain nombre de noyaux de
substance
grise que l'on considère comme les ana-logues des
sceaux latéraux ; les autres relèvent de la lésion concomitante de la
substance
grise. C'est ce que j'essaierai de démontrer dans
distinguer aisément de celui qui relève de l'altération limitée à la
substance
grise spinale antérieure. Il me sera facile aussi
et primitive des faisceaux la-téraux avec lésions concomitantes de la
substance
grise anté-rieure qui était en jeu. Un fait recue
érose latérale, dont elles relèvent, se produit avant la lésion de la
substance
grise antérieure à laquelle se rattache incontest
ncontesta-blement l'amyotrophie. Par quel mécanisme la lésion de la
substance
grise vient-elle se combiner à la lésion des fais
ion sont le siège gagnent très vite les parties correspondantes de la
substance
grise. après l'apparition des symptômes parétiq
la contracture, se mon-tre la première, tandis que l'altération de la
substance
grise antérieure, à laquelle se rattache l'atroph
La propagation de la lésion inflam-matoire des faisceaux blancs à la
substance
grise s'opère très vraisemblablement, ajoutais-je
bornerai à vous faire remarquer que la propagation des lésions à la
substance
grise dans les cas en question de sclérose latéra
dans quelques-uns de ces cas, l'autopsie a permis de s'assurer que la
substance
grise antérieure à laquelle il convient en pareil
connais-sent le même mécanisme bien que la réalité de la lésion de la
substance
grise, en pareil cas, n'ait pas été, que je sache
e, dans les scléroses spinales consécutives, le retentissement sur la
substance
grise est un fait exceptionnel tandis que, dans l
nique. E, Coupe des deux canaux de formation nouvelle creusée dans la
substance
grise. que, en effet, quand on ouvre, dans un c
rse, irrégulièrement disséminée et pouvant attaquer indifféremment la
substance
grise centrale ou les faisceaux blancs. c) Les
s internes, dont le trajet peut être anato-miquement suivi jusqu'à la
substance
grise antérieure1. Tout récemment M. Hayem est ve
in, 1866. H. 2, p. 191. et la sclérose des cornes antérieures de la
substance
grise, — auraient pu à la rigueur échapper aux in
ntéro-latéraux et postérieurs dans un état d'intégrité par-faite ; la
substance
grise, dont nous avons fait l'objet tout spécial
mité inférieure de la région lombaire. Les cornes antérieures de la
substance
grise étaient manifestement atro-phiées ; en outr
s noyaux qu'elle ren-ferme ne présentent d'altération, et, quant à la
substance
musculaire, on n'y observe aucune trace de la dég
existait dans la moelle épinière des altérations très profondes de la
substance
grise centrale et en particulier des cellules ner
dant à la région lésée de la moelle épinière. Pour ce qui est de la
substance
grise, on connaît mal les effets d'une lésion iso
fit reconnaître des lésions remar-quables occupant principalement la
substance
grise centrale, la substance blanche étant, au co
remar-quables occupant principalement la substance grise centrale, la
substance
blanche étant, au contraire, à peine affec-tée \
est propagé jusqu'à la moelle et suivant toute probabilité jusqu'à la
substance
grise centrale. En effet, dans la plupart de ces
n sent pas l'amertume à droite, tandis qu'elle la dé-nonce dès que la
substance
touche le côté gauche de la mu-queuse linguale. ,
ent sé-parés par des intervalles libres de tout symptôme permanent la
substance
grise cérébrale, au contact de la pie-mère altéré
trices. 11 se produi-rait, en pareil cas, suivant H. Jackson, dans la
substance
ner-veuse, en conséquence d'un processus irritali
pré-sentaient, çà et là, les cylindres axiles des tubes nerveux delà
substance
blanche, non seulement au niveau de la partie de
tat frais, de deux segments de la moelle, au voisinage de la perte de
substance
, dans l'étendue de deux centimètres environ, a do
ter aucune altération appréciable des éléments ner-veux, soit dans la
substance
blanche, soit dans la substance grise; pas de cor
e des éléments ner-veux, soit dans la substance blanche, soit dans la
substance
grise; pas de corps granuleux cellulaires ou non
e ne va guère au delà du chiffre normal. Les cellules nerveuses de la
substance
grise n'ont paru présenter au-cune altération app
— b, Cylindres axiles normaux mesurant 0 [ë, 0033. nombre, dans la
substance
grise et en particulier dans les cornes postérieu
sales permet de constater en outre ce qui suit : sur des points de la
substance
blanche très éloignés des parois du foyer sanguin
ment colossales que présentent, dans la corne antérieure gauche de la
substance
grise, au voisinage du foyer sanguin, les cellule
lologique. — Région cervicale. — La disseclion de petits fragments de
substance
, prise au niveau des cornes anté-rieures, permet
i à la destruction des cellules nerveuses. A la région lombaire, la
substance
des cornes antérieures est relativement saine ; l
rincipalement, elles sont manifes-tement épaissies. Des portions de
substance
blanche prise au centre des cordons latéraux à la
ait à laide de coupes après durcissement dans l'acide chromique. — La
substance
grise des cornes antérieures est pro-fondément al
ns tous les sens l'aire de la corne an-térieure. Il en résulte que la
substance
grise prend parle carmin une teinte beaucoup plus
pproche de la région lombaire. Au niveau du renflement lombaire, la
substance
grise a repris à peu près complètement les caract
-taines fibres sont remplies d'un contenu granuleuxet surd'autres, la
substance
musculaire est interrompue de distance en distanc
On a vu, du reste, que la lésion n'était pas exactement limitée à la
substance
des cornes antérieures ; elle avait, en passant p
ous avons ob-servé dans l'opposant du pouce droit. En dilacérant la
substance
musculaire avec les aiguilles sur le verre à prép
. Dans les fibres où nous avons observé cette di-vision, les blocs de
substance
musculaire étaient pressés les uns contre les aut
es; très accen-tuée pour d'autres ; o° la division en fragments de la
substance
musculaire ; 0° l'atrophie de certaines fibres mu
à tous ses degrés. Quelques-unes offraient la division en blocs de la
substance
musculaire. Dans l'intervalle de ces fibres, on a
é, leur fréquence et leur in-tensité. Les préparations faites avec la
substance
musculaire du sterno-cléido-mastoïdien gauche n'o
nes sur les faisceaux antéro-latéraux de la moelle, les autres sur la
substance
grise, en particulier sur les cornes antérieures
postérieurs ne présentaient aucune altération. Dans l'examen de la
substance
grise, le haut degré d'atrophie qu'ont subi, dans
uvertes parfois de nombreux noyaux. — Les cornes postérieures de la
substance
grise nous ont paru offrir toutes les conditions
n état d'anxiété extrême ; quel que soit le mode d'introduction de la
substance
alimentaire, son entrée dans l'œsophage paraît se
fférentes hauteurs de l'organe, permit de constater des lésions de la
substance
blanche et de la substance grise. 1° Substance
ane, permit de constater des lésions de la substance blanche et de la
substance
grise. 1° Substance grise. Les noyaux d'origine
er des lésions de la substance blanche et de la substance grise. 1°
Substance
grise. Les noyaux d'origine des nerfs bulbaires s
glosse. Les olives se montrent normales sur toutes les coupes. 2°
Substance
blanche. La lésion de la substance blanche occupe
rmales sur toutes les coupes. 2° Substance blanche. La lésion de la
substance
blanche occupe ici toute l'étendue des pyramides
es antérieures qui, à ce niveau, sont re-présentées par deux îlots de
substance
grise complètement isolés de la substance central
résentées par deux îlots de substance grise complètement isolés de la
substance
centrale contiennent une notable proportion de ce
fort étendues, qui portent à la fois sur les cornes antérieures de la
substance
grise et sur les cordons antéro-latéraux. Il est
tractus conjonctifs, qui de la périphé-rie de l'organe vont gagner la
substance
grise, sont épaissis. Les mailles du reticulum, c
corne antérieure, elle suit en dedans et en arrière le contour de la
substance
grise sans pénétrer dans son intérieur, tandis qu
e même pour les racines antérieu-res dans leur trajet intra-spinal.
Substance
grise. — Nous trouverons ici, exactement limitée
e. — Nous trouverons ici, exactement limitée à l'aire des cornes delà
substance
grise et symétriquement disposée dans les deux mo
ns pigmentaires, au sein d'un tissu parfaitement normal. Toutefois la
substance
grise a, sur certains points, été désorganisée da
e. Çà et là, on rencontrait quelques gaines du sarcolemme, vides de
substance
contractile et remplies par des amas de noyaux. C
nnent du centre gris vers la périphérie de la moelle. C'est dans la
substance
grise et plus spécialement dans l'aire des cornes
désagrégation se soit établi d'abord dans la trame conjonctive de la
substance
grise pour se propager ensuite jusqu'aux éléments
es noyaux qu'elle renferme ne présentent d'altération, et, quant à la
substance
musculaire, on n'y observe aucune trace de la dé-
d'autres enfin, — ceux-là, toujours du plus petit diamètre, — dont la
substance
muscu-laire paraît divisée en fragments où la str
hyalin avec dégénérescence granulo-graisseuse, la segmentation de la
substance
musculaire avec multiplication des noyaux du sar-
llules nerveuses motrices et la sclérose des cornes antérieures de la
substance
1 Verhhandlungen der Bevliner medicinischen Ges
ntéro-latéraux et postérieurs clans un état d'intégrité parfaite ; la
substance
grise dont nous avons fait l'objet tout spécial d
-mité inférieure de la région lombaire ; les cornes antérieures de la
substance
grise étaient manifestement atrophiés ; en ou-tre
ires 1 Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésion de la
substance
grise et des faisceaux antéro-latêraux de la moel
es complètes, t. ii. PLANCHE II mal de pott; paraplégie Pig. 1. —
Substance
blanche de la moelle au point comprimé chez un su
s. — h, Cylindre d'axe refoulé sur les parties latérales. Fig. 2. —
Substance
blanche de la moelle chez un sujet guéri de la pa
te qui après avoir été paralysé avait recouvré les mouvements. —a, a,
Substance
blanche du côté gauche, atrophiée et scie-rosée.
s latéraux. b, Pyramides antérieures. c, c, Cornes antérieures de
substance
grise. e, Entre-croisement des pyramides. p, p,
te. f, f, Foyers de désintégration occupant différents points de la
substance
grise antérieure. Fig. 4. — Elle représente les
larges faisceaux conjonctifs. Fig 6. — Petit vaisseau pris dtans la
substance
grise de la corne antérieure. —? a, Cellule tuméf
ceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de
substance
grise : amyotrophic consécutive.. 1 DEUXIÈME LE
l'arthropathie des ataxiques. — Lésions des cornes antérieures de la
substance
grise. — Desi-deratum............................
— Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la
substance
grise. Paralysie spinale infantile. — Elle sera
Roger). — Localisation des lésions dans les cornes antérieures de la
substance
grise. — Altérations secondaires : transformati
sie infantile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la
substance
grise. — Myélite aiguë centrale généralisée, héma
s cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la
substance
grise. Étude de l'atrophie musculaire progressi
— Lésions de la moelle : altération limitée aux cornes antérieures de
substance
grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions
de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la
substance
grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), d
opkique, 217, 241,249. — Lé-sions des cordons latéraux, 24(1. — De la
substance
grise, 214, 451. — Des racines antérieures, 245.
éolaire de la mâchoire supérieure a été fracturé, d'où une perte de
substance
. La bouche mesure quatre centi- mètres. Le bord
sique du rein d'enfant, avec les lobules rénaux bien dessinés et la
substance
corticale très développée ; on ne trouve pas de
largis ; les cellules névrogliques sont relativement abondantes. La
substance
blanche paraît parsemée de corps granuleux, mai
line dans la couche corticale, dans les faisceaux descendants do la
substance
grise, et dans la substance blanche, n'ont pu ê
e, dans les faisceaux descendants do la substance grise, et dans la
substance
blanche, n'ont pu être étudiées à cause du long
ien en chef de l'asile de Villejuif. Résultats pour cent grammes de
substance
(1) : 100 CLINIQUE. une arrière-grand'mère ma
CE II. Contribution à l'étude des lésions histolo- giques de la
substance
grise dans les encéphalites chroniques de l'enf
s, les fibres à myéline de la surface de l'écorce et celles de la
substance
grise ne sont plus décelables par les réactifs
donc faire l'étude des filets nerveux ; on est réduit à celle de la
substance
grise en général, que l'alcool fixe assez bien.
la cou- che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la
substance
grise, et s'accroît encore dans le lobe occi- p
peut facilement réunir en une; c'est la zone de transition entre la
substance
grise la substance blanche, assez difficile à d
r en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la
substance
blanche, assez difficile à débrouiller à cause
ller à cause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la
substance
blanche, qui s'écartent les uns des autres à ce
qui s'écartent les uns des autres à ce niveau pour pénétrer dans la
substance
grise. Elle renferme à sa partie supérieure de
a disposition normale des faisceaux de fibres qui montent dans la
substance
grise, et qui s'aperçoivent très suffisamment s
t autant de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la
substance
grise, qui, eux, s'organisent naturellement dan
disposition est plus marquée naturellement dans la profondeur de la
substance
grise, là où les faisceaux sont plus gros, et c
issement qui permette d'avoir sous l'oeil toute l'épaisseur de la
substance
grise, on la verra décomposé en un véri- table
ions peuvent servir à établir une transition entre l'atrophie de la
substance
grise que nous étudions et les états plus marqu
sance, montre un certain nombre de corps granuleux répandus dans la
substance
blanche et qni se colorent en noir sur une coup
ue. On voit aussi de fines gouttelettes graisseuses exister dans la
substance
grise. Sur des coupes colorées, on cons- tate q
amidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la
substance
grise ne présentent pas des lésions nettes; la
ches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la
substance
blanche offre des lésions de désintégration. Su
désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la
substance
blanche a le même aspect; les corps granuleux y
llonné par des bandes fibrillaires nombreuses qui rayonnent dans la
substance
grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont le
- gérée; les capillaires au lieu de s'enfoncer tout droit dans la
substance
grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect norm
il petits noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans la
substance
grise, mais le sont évi- demment dans la substa
tipliées dans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la
substance
blanche. La coupe d'une circonvolution du lobe
122 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. face externe de l'hémisphère montre la
substance
grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
vacuoles, d'espaces vides, qui constituent de véritables pertes de
substance
. Ces foyers interrompant la disposition des fib
t MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose cérébrale. Dans la
substance
blanche, il n'y a que peu ou pas de corps granule
e- mière frontale. Il existe des foyers de désintégration dans la
substance
grise, des amas considérables de corps granuleux
la couche des myélocytes, et un certain degré de fibrillation de la
substance
blanche, parsemée de corps gra- nuleux. il est
omènes observés et sont évidemment consécutives aux désordres de la
substance
grise. (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 18(
ont particulièrement énormes ; les capillaires qui plongent dans la
substance
cérébrale sont aussi très gonflés et parfaiteme
nflés et parfaitement visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la
substance
grise, la couche superficielle de névroglie a s
ie régulières, bout à bout, limitées par les fibres d'origine de la
substance
blanche, présente ces mêmes séries morcelées pa
développe- ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la
substance
grise et dans la subs- tance blanche, ce qui do
prenons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la
substance
blanche très vascularisée et présentant les fig
llules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la
substance
grise a été en partie enlevée avec les méninges
Sur une coupe du lobe occipital, une portion assez considérable de
substance
grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui en
ution portée à l'extrême des éléments pyramidaux. A la limite de la
substance
blanche, l'accumulation des noyaux petits et sp
C1'Vico-dol'sale. - Les cordons blancs sont symétri- ques ; dans la
substance
grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée
aspect tomenteux et irré- gulier ; une portion assez épaisse de la
substance
grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les l
LOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. Il -) -i parer le cône restreint de
substance
blanche qu'on voit sur les coupes de la circonv
ique. - Coupe d'une circonvolution prise dans le lobe frontal. - La
substance
grise est très mince ; on n'y retrouve qu'avec
e, groupés par quatre ou six, nom- breuses petites cellules dans la
substance
blanche; vascularisation relativement peu dével
le nettement triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la
substance
grise. - Coupe au niveau du lobule paracentral.
le centre se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de toute la
substance
grise par les élé- ments sphériques est netteme
n retrouve quelques nids, mais elles sont petites et effilées. La
substance
blanche est toute parsemée de corps granuleux;
s distingue à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la
substance
blanche. Le centre est occupé par un réseau 128
es, d'ailleurs l'épaisseur du revêtement gris est très faible. La
substance
blanche offre l'aspect d'une véritable émulsion d
dans la couche suivante. 11 existe quelques corps granuleux dans la
substance
blanche. La moelle cervicale ne présente pas d'
a moelle cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la
substance
blanche, les cornes prises sont régulières, leurs
n histologique. Coupes du lobe paracentral droit. Les couches de la
substance
grise ne sont pas distinctes les unes des autre
mais il n'y a pas d'accumulations de leucocytes dans les gaines. La
substance
blanche présente un très grand nombre de corps
nes est légèrement sclérosée, il n'y a rien de plus à noter dans la
substance
blanche que des espaces étoilés dépourvus de tu
rieures sont très rares. Le canal de l'épendyme est rempli par une
substance
grenue où se trouvent en assez grande abondance d
sont petits et entourés d'une gaine hyaline assez épaisse. Les deux
substances
sont parsemées de corps granuleux. Sur un fragm
caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches. La
substance
blanche présente une grande quantité de corps amy
ation rameuse très développée dans les couches superficielles de la
substance
grise ; beaucoup de foyers de désintégration as
s; les gaines infiltrées de corpus- cules de Glùge, surtout dans la
substance
blanche. Les cellules pyramidales ne sont serré
s que par place, elles sont peu nom- breuses et de petit volume. La
substance
blanche est toute infiltrée de petites cellules
tégration forment des taches grises occupant toute la hauteur de la
substance
grise dans les intervalles qu'ils laissent entr
tage au baume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la
substance
blanche. Il existe de véritables plaques à cont
es vaisseaux dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact de la
substance
blanche, où les noyaux sont abondants. Il exist
atrophie d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ments vers la
substance
blanche sont irréguliers. De là l'aspect chagri
isphère droit, coupe d'une cÍ1'con¡;o- Il/lion frontale. - Toute la
substance
grise est prise en nappe, toujours au même poin
comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la
substance
grise présente de place en place des lâches grise
tés du sillon et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine et la
substance
blanche présentent l'infiltration de corps gran
méningo-cncéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la
substance
grise se décortique en totalité sur quelques po
us fragile, est tombée en partie sur les coupes. La limite des deux
substances
et surtout la. substance blanche sont parsemées
partie sur les coupes. La limite des deux substances et surtout la.
substance
blanche sont parsemées de corps amyloïdes. L'in
nsition entre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la
substance
grise avec épaississement névrogliques, comme nou
dans le liquide de Muller. Cerveau droit. - Portions atrophiées.
Substance
grise. - Les membranes n'ont pas enlevé des porti
Substance grise. - Les membranes n'ont pas enlevé des portions de
substance
cérébrale en se délachant; la première couche de
de substance cérébrale en se délachant; la première couche de la
substance
grise est confondue avec la seconde; elle présent
s larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la
substance
grise, celle des petites cellules pyramidales. Ce
veuses arrondies, granuleuses et pigmentées; elles empiètent sur la
substance
grise des deux couches qui les contiennent par
chagriné qui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la
substance
grise et l'état kystique aréolaire qu'on observ
éries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la
substance
grise et la substance blanche sont chargées de
à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la
substance
blanche sont chargées de petites cellules ronde
upart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la
substance
grise où elle est morcelée par le vaisseau vasc
morcelée par le vaisseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la
substance
blanche, nombreux corps granuleux et blocs grai
iation dans les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la
substance
blanche. Dans le lobe occipital, on retrouve, à
'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la
substance
grise et on peut leur distinguer trois étapes :
bondantes encore. Elle est parsemée de curps granuleux ainsi que la
substance
blanche. Vaisseaux moyennement abondants, un pe
ppelant la forme des élémenls araignée et la paralysie générale. La
substance
blanche est infiltrée d'un grand nombre de noya
ant une vaste bande entre la première et la troisième couches de la
substance
grise, et comprenant ainsi la moitié environ de l
ce grise, et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la
substance
grise. Ces foyers sont caractérisés par la rare
coupe à ce niveau, on constate une dépres- sion en entonnoir de la
substance
grise, une perle de substance qui s'étend jusqu
e une dépres- sion en entonnoir de la substance grise, une perle de
substance
qui s'étend jusqu'à la subslance blanche et est
ar des filaments fibrillaires allant de la paroi superficielle à la
substance
grise restante. Cette paroi est composée de deh
êmes de la lésion et disparait dans la couche superfi- cielle de la
substance
grise normale. Au-dessous, apparaît une couche
e perdent successive- ment dans la couche externe névroglique de la
substance
grise; c'est donc entre cette couche externe et
érée la scissure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La
substance
grise qui forme les parois de l'entonnoir est r
différents : sur certains points, la sériation longitudinale de la
substance
grise est encore assez visible, mais ces séries
és aux points nodaux. Les mailles de ce tissu sont occupées par une
substance
inter- cellulaire qui a disparu des coupes. On
argement dilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la
substance
grise. Lésions de la substance blanche. - Dans
upart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la
substance
blanche. - Dans la substance blanche, il existe
lent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la
substance
blanche, il existe une large traînée descendant
existe une large traînée descendante, correspondant à la perte de
substance
, de la substance grise, et dans laquelle les fibr
e traînée descendante, correspondant à la perte de substance, de la
substance
grise, et dans laquelle les fibres n'existent t
mêmes tissus fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la
substance
grise au pourtour du foyer sont moins avancées, q
NCE GRISE. '[/t3 par où descendent les fibrilles qui vont former la
substance
grise, on voit, de plus que dans les couches pr
s interstitielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la
substance
blanche, on voit les mêmes lésions que dans les
ésions absolument semblables, mais la traînée des- cendante dans la
substance
blanche au-dessous du foyer, est très large et
d'une paroi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la
substance
grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la
lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la
substance
grise, la couche de névroglie est fibrillaire d
uche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la
substance
blanche, corps granuleux nombreux, aspect fibri
fibrillaire, grosses fibrilles anastomosées. Moelle cervicale. - La
substance
grise à des altérations cellu- laires important
s les plus profondes de la subslance grise, et même au milieu de la
substance
blanche, qu'on voyait la névroglie former des f
souvent des réactifs pour qu'on puisse s'y arrêter. Du côté de la
substance
blanche, il est facile de voir son atrophie; la
ntermédiaire, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la
substance
grise, enfin BOCH : OEVll.l.E, Bicêtre, 1889. 1
89. 10 146 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. les fibres descendantes de la
substance
blanche de- vaient nous échapper. C'est là une
iologie, p. 439, 1869. Herberl Mayor. - Lésions hislologiques de la
substance
grise, chez déments, etc. - West riding latizcc
. - Journal of mental Science, p. 532, 1883. Luys. - Structure delà
substance
grise. - L'Encéphale, p. 149, 1883. Ranvier.
eux, irrégulier, comprenant la seconde et la troisième couche de la
substance
grissc (A) et donnant à la surface de l'encépha
Coupe du lobule paracentral (Robèch...) au niveau de l'union de la
substance
grise et de la substance blanche, pour montrer
ral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la
substance
blanche, pour montrer la rareté des cellules py
11` ? o, Contribtttion t'étude des lésions histologiques - de la
substance
grise dans les encéphalites chroniques de l'enf
lus d'un millier de ces animaux, n'a jamais pu y trouver de traces de
substance
nerveuse réunie en filamens; les recherches de M.
imaux privés de système nerveux sont-ils pour cela dépourvus de toute
substance
nerveuse? M. Carus et avec lui plusieurs anatomis
s anatomistes ne le pensent pas; ils admettent, sans l'avoir vue, une
substance
médullaire sensible, uniformément répartie dans l
niformément répartie dans les tissus de l'animal (6). Qu'il y ait une
substance
sensible, cela n'est pas douteux, puisque les ani
tractent sous l'influence d'une irritation extérieure; mais que cette
substance
soit de nature médullaire, c'est ce qui ne devrai
rée, trad.. par Jourdan. Paris, 18 35, t. 3, p. 35. (7) Loc, cil.
substance
animale, dît M. Oken , a commencé par là masse ne
métamorphose du nerf. La gelée des polypes, des méduses, etc., est la
substance
nerveuse au plus bas degré, de laquelle n'ont enc
e au plus bas degré, de laquelle n'ont encore pu s'isoléi* les autres
substances
qui sont ou cachées dedans, ou fondues avec elle.
'albumine toute nerveuse; les animaux primaires ressemblent donc à la
substance
poncti- (i) Lehrbuch derNaturph'dosoplùe, 2e ed
qui constitue les premiers rudimens des animaux supérieurs. C'est une
substance
molle, nerveuse, qui se nourrit par imprégnation
gine. A quoi eussent servi des divisions et des subdivisions de cette
substance
nerveuse, puisqu'il n'y avait aucun organe, aucun
elte origine première de l'animal qui a porté M. Virey à assimiler la
substance
encore amorphe à la matière du sperme (1). » Cett
s et n'ayant pas même une cavité, un sac, pour contenir et digérer la
substance
nécessaire à leur nutrition; on croyait qu'ils re
ion spéciale, puisqu'il y a des yeux, il faut dans l'organisation une
substance
capable de recevoir l'impression. Pour agir, cell
tion une substance capable de recevoir l'impression. Pour agir, celle
substance
ne peut être isolée dans un organe, autrement la
Ainsi, chez les mollusques, on peut suivre chaque nerf jusque dans la
substance
du ganglion, voir si les filamens qui vont aux or
es du mouvement. Ces nerfs du mouvement , les fournit-il de sa propre
substance
, ou les reçoit-il du ganglion pédieux ou moteur,
ppeler fluide nerveux, réservant le nom de matière médullaire pour la
substance
qui forme les parois des tubes articulés et celle
nerfs qu'il fournit aux organes du mouvement naissent dans sa propre
substance
, et ne viennent pas, comme on aurait pu le suppos
e chaque côté le collier œsophagien, va se rendre directement dans la
substance
du ganglion, et c'est de celte même substance que
dre directement dans la substance du ganglion, et c'est de celte même
substance
que partent, chacun en son lieu, les nerfs moteur
cope, on y découvre des lignes parallèles, et entre ces lignes, une
substance
ponctuée, globuleuse. En comprimant le nerf ainsi
es nerveuses passant d'un côté à l'autre ; on y découvre en outre une
substance
granulée, globuleuse; or, la même substance se tr
n y découvre en outre une substance granulée, globuleuse; or, la même
substance
se trouve dans la moelle allongée des vertébrés ;
s n'ont pas l'analogue de l'encéphale ou de la moelle rachidienne. La
substance
du cerveau et celle de la moelle sont formées, di
a a lieu pour les racines des nerfs spinaux, chez les vertébrés. La
substance
de ces nerfs et de ces ganglions est blanche et o
lles des ganglions : on sait que Gall s'est efforcé de prouver que la
substance
blanche naît toujours de la substance grise, et q
s'est efforcé de prouver que la substance blanche naît toujours de la
substance
grise, et que les nerfs ont toujours pour point d
celles du cordon œsophagien, ont une extrémité qui s'épanouit dans la
substance
globuleuse ; toutes les fibres de la commissure s
ance globuleuse ; toutes les fibres de la commissure se rendent de la
substance
globuleuse d'un ganglion à la même substance du g
missure se rendent de la substance globuleuse d'un ganglion à la même
substance
du ganglion opposé. Le cordon œsophagien du ver
les nerfs émanant des ganglions , une sorte de commissure ; enfin une
substance
granulée. J'ai fait représenter (pl. lre) une por
s la moelle et cela dans l'endroit de cette moelle où se trouve de la
substance
globuleuse ; ce sont, comme dans l'écrevisse, dan
laires dans les espaces inter-ganglio-naires, mais venant aussi de la
substance
des ganglions. Chez le grillon domestique et ch
sé. , 5° Les ganglions nerveux des animaux articulés sont formés de
substance
globuleuse et de substance fibreuse. 6° Les cor
rveux des animaux articulés sont formés de substance globuleuse et de
substance
fibreuse. 6° Les cordons nerveux sont formés de
use et de substance fibreuse. 6° Les cordons nerveux sont formés de
substance
fibreuse seulement. 7° Les fibres nerveuses son
pattes, chez l'écrevisse, est pourvue d'un léger renflement formé de
substance
ganglionaire. Î28 ïî y a chez les articulés de
Quand ce dernier cas se présente, la matière globuleuse qui forme la
substance
caractéristique des ganglions, au lieu d'être agg
it sensitive par opposition avec l'âme de l'homme, regardée comme une
substance
incorporelle (2). La dignité de l'homme pouvait s
r les solidifier par la dessiccation. Les fourmis se nourrissent de
substances
végétales et de substances animales ; elles sont
siccation. Les fourmis se nourrissent de substances végétales et de
substances
animales ; elles sont très friandes de sucre et d
soient, ne profitent réellement qu'à ceux qui savent en soumettre la
substance
au contrôle de l'observation. (1) The structure
us considérables, ils ont toujours l'aspect blanc qui est propre à la
substance
médullaire. Chez les poissons osseux, ils sont to
sure, un tubercule aplati, bilobé, muni de deux longues appendices de
substance
médullaire d'un gris blanchâtre. Le tubercule bil
une commissure située en arrière des nerfs optiques. L'analogue de la
substance
grise formant ces tubercules, se retrouve dans la
gue de la substance grise formant ces tubercules, se retrouve dans la
substance
grise située précisément à l'endroit correspondan
ns un sillon profond qui se trouve entre le cervelet et la portion de
substance
cérébrale lobulée chez les poissons osseux, non l
lions que nous trouvons dans leur crâne, ou bien faut-il y joindre la
substance
grasse qui achève de remplir la cavité crânienne
ulière que l'exis* tence d'une quantité ordinairement considérable de
substance
oléagineuse dans la cavité crânienne. Supposera-t
stance oléagineuse dans la cavité crânienne. Supposera-t-on que cette
substance
n'ait d'autre usage que de combler un, vide, ou b
e, ou bien faudra-t-il admettre qu'elle ait un rapport direct avec la
substance
cérébrale? Elle est contenue dans un tissu dont l
s plus grosses, puis par des additions (1) Op. cit. p. ir. (2) La
substance
grasse, huileuse, dont il est ici question, n'exi
des autres vertébrés. successives, de larges plaques huileuses. La
substance
de plusieurs parties encéphaliques se comporte d'
les nerfs du squale-renard qui a par conséquent une masse relative de
substance
encéphalique plus que double de celle du brochet.
cartant les bords de ce sillon pour en découvrir le fond, on voit une
substance
médullaire qui, par le fait môme de l'écartement,
il existe des fibres longitudinales, des fibres transverses , et une
substance
granulée propre aux ganglions. Dans les renflemen
flemens de la moelle de l'anguille, aucune fibre transverse et pas de
substance
granulée en plus grande proportion qu'ailleurs. L
la moelle fût, extensible, élastique, ou qu'elle fût plissée. Or, la
substance
nerveuse n'est rien moins qu'élastique; molle et
précédent, parce qu'on ne les voit qu'en partie sans pénétrer dans la
substance
de ces organes, seront ici exposées de manière à
nt. Vers la fin du dix-septième siècle, Leeuwcnhoeck, ayant soumis la
substance
cérébrale à ses recherches microscopiques, annonc
c'est tant pis pour la science, car il raconte sur la structure de la
substance
cérébrale , des choses que l'expérience n'a pas d
rale , des choses que l'expérience n'a pas du tout confirmées (2). La
substance
nerveuse est pour Delia Torre, composée de globul
rfs où ils sont les plus petits de tous. Prochaska admet aussi que la
substance
nerveuse est formée de globules, et pour lui, ces
ck (2). Fontana qui vient après, fait un grand pas; il annonce que la
substance
nerveuse est formée de cylindres à parois très mi
hez l'homme, les mammifères, les oiseaux et les poissons : « Que la
substance
corticale et la substance médullaire du cerveau h
s, les oiseaux et les poissons : « Que la substance corticale et la
substance
médullaire du cerveau humain ; c Que la substan
e corticale et la substance médullaire du cerveau humain ; c Que la
substance
des ganglions qui sont dans l'intérieur du même c
des ganglions qui sont dans l'intérieur du même cerveau ; c Que la
substance
de la glande pinéale, de la moelle épinière et de
e la structure des muscles ; mais qu'elle en diffère seulement par la
substance
remplissant la forme (substantia formam implente)
diffèrent pas entre eux quant aux apparences, quant aux formes de la
substance
nerveuse, tandis que les frères Wenzel sont les s
et des recherches de M. Bauer, ce Si l'on met, dit-il, une portion de
substance
cérébrale dans l'eau, et qu'après l'y avoir laiss
r la surface du verre, on voit, entraînées par l'eau, des portions de
substance
médullaire qui consistent en une quantité in- (
roduction des fibres de Prochaska. Pour apercevoir la structure de la
substance
cérébrale, pourquoi recommander défaire macérer c
de la substance cérébrale, pourquoi recommander défaire macérer cette
substance
pendant quarante-huit heures? Est-ce donc qu'on n
de M. Bauer, et je n'ai rien vu de ce qu'il a annoncé. Des débris de
substance
cérébrale, affectant des formes très irrégulières
st tombé dans la même erreur que M. Bauer. Il n'a pas fait macérer la
substance
cérébrale avant de l'examiner, il s'est au contra
ux récemment tués, et après avoir enlevé une tranche très mince de la
substance
nerveuse, il Fa placée aussitôt sur une lame de v
e de recherches. A l'aide de ce moyen, il dit avoir vu qu'en effet la
substance
cérébrale est composée de globules, et il a fixé
s en séries parallèles, qu'il a vu formées les fibres nerveuses de la
substance
blanche et de la substance grise du cerveau, et c
il a vu formées les fibres nerveuses de la substance blanche et de la
substance
grise du cerveau, et celles de la moelle épinière
auteur a eu raison de faire choix de cerveaux frais, mais une lame de
substance
cérébrale, quelque mince qu'on la coupe, est touj
de M. Ehrenberg, observations dont j'ai, en partie; fait connaître la
substance
; et celle d'un autre anatomiste allemand, M. Lan
x publiés par M. Ehrenberg , j'ai dit que cet anatomiste admet que la
substance
blanche de l'encéphale et des nerfs est entièreme
es générales de médecine, Paris, 1823. t. ni, p. i83. enfin, que la
substance
grise contient en outre des globules arrondis, di
x autres un haut degré de certitude. M. Lan genbeck ayant placé de la
substance
cérébrale entre deux , lames de verre, y a trouve
dit-il, qu'ayant comprimé, entre deux lames de verre, une portion de
substance
cérébrale prise aux cuisses du cerveau de la carp
a carpe commune, il s'est écoulé, des tubes articulés composant cette
substance
, une matière gélatineuse très limpide; mais qu'ay
tème nerveux. On n'a jamais examiné que des portions séparées de la
substance
nerveuse, et il ne paraît pas que l'on ait songé
vu des fibres, des granules et des vaisseaux sanguins, partout où la
substance
examinée était transparente ou demi transparente.
er quels changemens s'opéreraient dans la moelle, et j'ai vu toute la
substance
devenir plus transparente, les fibres s'étaler da
e deux lames de verre, et qui, en effet, n'étaient autre chose qu'une
substance
grasse , fluide , provenant de la moelle. Quant a
seuses et les vaisseaux sanguins, sont restés dans le même état. La
substance
de la moelle ainsi étalée et rendue transparente,
Cela dépend de la manière dont M. Ehrenberg a opéré. Pour étudier la
substance
nerveuse, M. Ehrenberg l'écrase d'abord entre deu
ité se font parfois les théories : Gall et Spurzheim admettent que la
substance
grise de la moelle, est la matrice, l'organe géné
bstance grise de la moelle, est la matrice, l'organe générateur de la
substance
blanche (1), et l'un des argumens que l'on a oppo
éd., t. 2, p. 400) fait observer avec 12. rie, c'est le défaut de
substance
grise dans la moelle épinière des poissons, ce Un
y a pas l'opposition qu'y trouve M. Serres : d'abord, il existe de la
substance
grise dans la moelle épinière des poissons, en pl
ces animaux sont longitudinales, ne peuvent-elles pas provenir de la
substance
grise des ganglions encéphaliques, car ce qu'il f
Spurzheim, ce n'est pas que les fibres blanches soient enveloppées de
substance
grise, mais qu'une de leurs extrémités plonge dan
de substance grise, mais qu'une de leurs extrémités plonge dans cette
substance
. Eh bien, l'extrémité céphalique des fibres de la
halique des fibres de la moelle épinière des poissons, plonge dans la
substance
grise des ganglions encéphaliques. M. Cruveilhier
e grise des ganglions encéphaliques. M. Cruveilhier, raison, que la
substance
grise ne nourrit pas la substance blanche, car di
s. M. Cruveilhier, raison, que la substance grise ne nourrit pas la
substance
blanche, car dit-il, une substance solide ne peut
substance grise ne nourrit pas la substance blanche, car dit-il, une
substance
solide ne peut pas nourrir une autre substance so
anche, car dit-il, une substance solide ne peut pas nourrir une autre
substance
solide. Il n'y a pas en effet nutrition de l'une
lletSpurzheim sur ce point, prétend que ce chez tous les poissons, la
substance
grise manque, en sorte que la moelle est canalicu
st canaliculée » (1). Mais le canal de la moelle peut exister avec la
substance
grise, il n'y a là aucune contradiction. Et c'est
'y a là aucune contradiction. Et c'est en effet ce qui a lieu, car la
substance
grise forme en quelque sorte les parois du canal.
pé en effet plusieurs anato-mistes, c'est le mode de coloration de la
substance
appelée substance grise. Cette coloration me semb
urs anato-mistes, c'est le mode de coloration de la substance appelée
substance
grise. Cette coloration me semble une condition s
granulée mise en opposition avec la forme constamment fibreuse de la
substance
blanche. Mais pour apercevoir les granules qui la
moelle ; je ne saurais dire si elles allaient aussi se rendre dans la
substance
granulée, je n'ai pas pu m'assurer de ce fait, ma
s se sont détachées des fibres, et se sont répandues çà et là dans la
substance
médullaire. En aplatissant la substance de la m
répandues çà et là dans la substance médullaire. En aplatissant la
substance
de la moelle, à l'aide du compresseur, les fibres
nales s'enfoncent dans un espèce de sillon où elles rencontrent de la
substance
grise. La moelle épinière de l'homme offre celte
ens pénètrent dans la moelle par un sillon au fond duquel s'avance la
substance
grise, taudis que les racines antérieures se répa
tubercules postérieurs du cervelet s'y étalent ou se perdent dans la
substance
granulée dont ces organes sont en partie formés.
la lame optique, où il s'élargit un peu, puis rencontre une masse de
substance
granulée, un véritable ganglion (le corps strié)
acun de ces gan glions, le faisceau fulcral se perd au milieu de la
substance
granulée dont ils sont en grande partie composés.
tiformes et celles des pyramides postérieures, vont se perdre dans la
substance
de chacun des ganglions. Le croisement que l'on v
ptiques et les lobes olfactifs, des racines nerveuses , pour tous une
substance
granulée et des fibres. Je n'ai pu suivre de cont
en grande partie leurs racines sur les tubercules quadrijumeaux. La
substance
blanche des ganglions, comme celle de la moelle r
es ganglions, comme celle de la moelle rachidienne, est fibreuse ; la
substance
grise ou gris-rosé est en grande partie vasculair
ystème nerveux cérébro-spinal des poissons. Les fibres composant la
substance
blanche du système nerveux des poissons présenten
. J'ai constaté ce fait et j'en ai cherché la cause. Pour examiner la
substance
nerveuse, on l'écrase entre deux verres; j'ai dit
mais elle est légère et d'ailleurs le névrilème s'oppose à ce que la
substance
nerveuse s'élargisse beaucoup. Aussi, les fibres
ment avec les tubes articulés. Les tubes cylindriques contiennent une
substance
granulée que l'on en peut faire sortir à l'aide d
Op. «it. dans des tubes. En examinant au microscope une portion de
substance
prise aux masses du cerveau de la carpe et serrée
uve aussi dans les nerfs. Je n'ai jamais rien vu de semblable dans la
substance
médullaire de l'homme, du bœuf ou d'autres animau
eux. Le docteur Valentin a vu s'échapper des tubes nerveux formant la
substance
cérébrale, une liqueur limpide, lactescente, et c
ne sont pas, à proprement parler, des globules, mais des portions de
substance
molle, lactescente et oléagineuse. Ue expérienc
optique. Pas d'apparence défibres, ni rectilignes, ni articulées; la
substance
du nerf laisse échapper une infinité de globules
nerf optique. 10e expérience.— Moelle épinière. Anguille de mer. La
substance
blanche de cette moelle aplatie par le compresseu
enflemens; il y a, en outre, des taches blanches, irrégulières. Celte
substance
délayée dans un peu d'eau, comprimée, est placée
ent augmente peu-à-peu de volume et se détache de la fibre. C'est une
substance
lactescente, huileuse, analogue à celle que l'on
is se déchirent, c'est pour donner passage au fluide lactescent, à la
substance
grasse qu'elles contiennent. La substance blanche
au fluide lactescent, à la substance grasse qu'elles contiennent. La
substance
blanche contenue dans les fibres dites variqueuse
e ce sont bien des tubes et n'eussé-jeWew ou de sent hlahle dans la
substance
médullaire de lhomme, du bœuf et a"autres animaux
eux dans lequel se trouvent des globules ; chez les autres, c'est une
substance
homogène, blanche et qui, chez les poissons, a la
ulations et de vaisseaux sanguins. 2. Des granulations composent la
substance
grise, des fibres composent la substance blanche.
es granulations composent la substance grise, des fibres composent la
substance
blanche. 3. Toutes les fibres nerveuses, celles
calleux et dans le nerf optique. 8. Les ganglions sont composés de
substance
fibreuse et de substance granulée ; ils reçoivent
optique. 8. Les ganglions sont composés de substance fibreuse et de
substance
granulée ; ils reçoivent tous un prolongement de
certaine capacité intellectuelle correspond à un volume déterminé de
substance
encéphalique, et si chaque faculté spéciale corre
e correspond à une forme déterminée d'une portion quelconque de cette
substance
. J'ai déjà touché ce sujet à l'occasion des mollu
ces faits, c'est qu'il ne faut pas attribuer à la forme qu'affecte la
substance
nerveuse encéphalique, un très grande importance
mais la regarder comme pouvant servir à indiquer les attributs de la
substance
cérébrale, c'est s'exposer à de nombreux mécompte
es autres, une très grande différence. La comparaison du volume de la
substance
nerveuse encéphali- (i) Op. ttY.pl. l,fig. 5 et
(i) T. pl. II, les nerfs olfactifs de la grenouille. couleur de la
substance
des lobes cérébraux est d'un gris blanchâtre; cel
11° Couche optique. M. Carus décrit comme telle une petite portion de
substance
médullaire placée sur les pédoncules cérébraux du
avec celle de M. Carus. Bo-janus admet que la très petite saillie de
substance
blanche que l'on voit en dehors de Yinfundibulum,
nte à noter. C'est qu'elle s'étale en partie sur la petite saillie de
substance
blanche que Bojanus et M. Carus désignent sous le
de la moelle épinière est, comme chez tous les vertébrés, composé de
substance
blanche ; l'intérieur est composé de substance gr
vertébrés, composé de substance blanche ; l'intérieur est composé de
substance
grise qui s'y trouve en plus grande quantité que
s nerfs spinaux s'appliquent à la moelle ou plutôt s'insèrent dans la
substance
de cet organe, rend complètement inutiles les pré
e faisceaux, deux de chaque côté; elle a un canal central revêtu de
substance
grise. 11. Quand la moelle épinière des reptile
cérébro-spinal des reptiles. Avant de parler de la structure de la
substance
nerveuse, je consignerai ici un fait d'observatio
de monades, qu'il en existe également dans l'eau, où se trouvent des
substances
animales en putréfaction, je pensai que ces monad
l est facile de déterminer que le siège des fibres transverses est la
substance
grise de la moelle, car après avoir ouvert le can
e des pédoncules cérébraux, est l'analogue du corps calleux. Toute la
substance
des lames optiques est manifestement fibreuse, ma
un léger renflement où elles disparaissent. La presque totalité de la
substance
cérébrale, disposée en lame assez mince, est comp
substance cérébrale, disposée en lame assez mince, est composée d'une
substance
granulée et vasculaire, dans laquelle on découvre
nales. k. Les granulations et les ramuscules sanguins, composent la
substance
grise de laquelle émanent les fibres trans-verses
uelque peu aussi dans la lame optique. 8. Le cerveau est composé de
substance
granulée, vascu-laire, et de quelques fibres. 9
lques fibres. 9. La lame optique est entièrement fibreuse. 10. La
substance
du cervelet est fibreuse, analogue à celle des fi
écédens, et il entre dans sa composition une quantité très notable de
substance
grise ; chez les mammifères et chez l'homme , le
eau, qui leur servent comme de pédicule. Considérée à l'intérieur, la
substance
en est d'un gris rosé; on y voit des stries bla
lus saillante du lobe, jusque tout près de la pointe du cerveau. La
substance
cérébrale, vue à l'intérieur, ne se sépare pas en
couleur et parfaitement isolées ou plutôt délimitées; il n'y a pas de
substance
grise extérieure et de substance blanche intérieu
u plutôt délimitées; il n'y a pas de substance grise extérieure et de
substance
blanche intérieure comme chez les mammifères. La
eure et de substance blanche intérieure comme chez les mammifères. La
substance
blanche est distribuée en faisceaux qui sont ento
La substance blanche est distribuée en faisceaux qui sont entourés de
substance
d'un gris rosé, dans laquelle ils vont se répandr
vont se répandre. Le cervelet seul présente la délimitation des deux
substances
cérébrales, ainsi que je le dirai tout-à-l'heure.
x soit comme le corps strié des mammifères, formé en grande partie de
substance
grise, et que l'on trouve, en l'incisant, son int
interne des cuisses du cerveau, traversé par une petite bandelette de
substance
blanche, analogue à celle que l'on voit chez les
argit et augmente de volume par l'addition d'une certaine quantité de
substance
grise, et par celle des fibres de la commissure d
is de la moitié environ. U. Le lobe cérébral n'a pas de cavité, les
substances
grises et blanches n'y sont pas disposées par cou
et de fibrilles nerveuses transversales, d'un très petit diamètre. La
substance
blanche, recouvrant la substance grise, forme à l
rsales, d'un très petit diamètre. La substance blanche, recouvrant la
substance
grise, forme à la moelle une sorte d'enveloppe di
répété, que le cerveau des oiseaux est presque entièrement composé de
substance
blanche ; la substance grise s'y trouve au contra
des oiseaux est presque entièrement composé de substance blanche ; la
substance
grise s'y trouve au contraire en très grande prop
mammifères. Chaque lobe cérébral peut être considéré comme un amas de
substance
grise ou d'un gris rosé, dans lequel pénètrent, à
ns lequel pénètrent, à des profondeurs différentes, des expansions de
substance
blanche ou médullaire. Au microscope, la substanc
des expansions de substance blanche ou médullaire. Au microscope, la
substance
grise présente un aspect granulé, confus, quelque
articulées, et un nombre très considérable de vaisseaux sanguins. La
substance
blanche, au contraire, est formée de fibrilles tr
r vues se terminer par des anses dont la courbure correspondrait à la
substance
grise(1). Il se trouve de la substance grise en a
a courbure correspondrait à la substance grise(1). Il se trouve de la
substance
grise en arrière de la commissure des nerfs optiq
urface, et tout l'extérieur du cervelet en est formé. Au cervelet, la
substance
dont il est question, est séparée de la substance
mé. Au cervelet, la substance dont il est question, est séparée de la
substance
blanche d'une manière aussi tranchée que chez l'h
Valentin a fait figurer des anses nerveuses qui se rendraient dans^la
substance
jaune du cerveau du]pigeon. à laquelle n'atteig
s cérébraux de ces animaux. Dans la moelle allongée, il y aussi de la
substance
grise, mais elle y est disséminée, et n'y forme p
ole, placé en dedans de la moelle, et à la présence d'une quantité de
substance
grise plus considérable que celle dont la moelle
es soient dans des conditions analogues, il faut que la densité de la
substance
qui remplit ces organes, soit en rapport avec la
grand nombre de fibres transversales. 2. Le cerveau est composé de
substance
grisâtre, dans laquelle pénètrent et se ramifient
ce grisâtre, dans laquelle pénètrent et se ramifient des faisceaux de
substance
blanche venant de la moelle allongée. 3. Les fi
semblable à ce qui a lieu chez les poissons et les reptiles. k. La
substance
grise et la substance blanche, sont tout aussi di
lieu chez les poissons et les reptiles. k. La substance grise et la
substance
blanche, sont tout aussi distinctes l'une de l'au
ifères, oiseaux, reptiles ou poissons, quelques-uns mangent aussi des
substances
végé- (l) Les goélands et les canards sont plac
ure, il n'est pas vrai de dire qu'ils se nourrissent exclusivement de
substances
végétales, car ils mangent aussi des insectes, de
s que les fourmis et les abeilles, car s'ils amassent quelquefois des
substances
qui peuvent les nourrir, ils amassent aussi des o
tation. 13. Circonspection. 28. Comparaison. 14. Perception de la
substance
. 29.|Dùucéur. Tout cela sur le crâne d'une oie
hives générales de Médecine, 3e vol. 182?, p. 2 3o. (3) Note sur la
substance
blanche du lobule d'hippocampe, etc. Journal des
le à ce sillon qui circonscrit, surtout chez l'agouti, une portion de
substance
cérébrale dont l'aspect est, presque celui d'une
e chaque côté, une autre cavité qui se prolonge plus ou moins dans la
substance
même du lobe cérébral; c'est le ventricule latéra
moins grande que celles des circonvolutions; elles sont composées de
substance
blanche, tandis que les circonvolutions ne présen
tance blanche, tandis que les circonvolutions ne présentent que de la
substance
grise. Le prolongement antérieur de la moelle é
dans les ventricules latéraux sans faire subir aucune déchirure à la
substance
cérébrale. Ventricule latéral. Ce ventricule, f
té nouvelle, une sorte de loge supplémentaire qui se prolonge dans la
substance
postérieure du cerveau- Chacun des ventricules
trouvent le corps calleux ét le centre ovale de Vieussens ou amas de
substance
blanche que l'on met à découvert quand, par une c
sous du niveau du corps calleux, on enlève la partie supérieure de la
substance
cérébrale. Corps strié. Dans la corne antérieur
volumineux, pyriforme, ayant sa grosse extrémité en avant et formé de
substance
grise : c'est le corps strié, ainsi appelé parce
sure postérieure (c. p. pl. ix, cheval, fig. lrc), et les filamens de
substance
blanche qui, de la glande pinéale, se portent en
et à la voûte à trois piliers. Ses bords latéraux se réunissent à la
substance
blanche du centre ovale ; son extrémité antérieur
plus petite, située en arrière des premiers, est formée seulement de
substance
blanche, au moins à l'extérieur. Chez le chien, l
etite, embrassée par la paire postérieure el recouverte comme elle de
substance
blanche. Les herbivores se rapprochent généraleme
g. lre, v. v.), par une lamelle très mince et presque transparente de
substance
nerveuse qui sert de pont à la partie postérieure
oelle allongée. Deux petits sinus, un de chaque côté, creusés dans la
substance
même du cervelet, font partie de ce ventricule.
ures de la moelle allongée............. 0,002 1*1 "........ de la
substance
grise du corps strié . . 0,002 Id ........ de l
.. de la substance grise du corps strié . . 0,002 Id ........ de la
substance
blanche des circonvolutions .............. 0,002
tubercules quadrijumeaux postérieurs...... 0,003 ld ........ de la
substance
blanche du corps strié. 0,003 ld........ de la
.... de la substance blanche du corps strié. 0,003 ld........ de la
substance
grise périphérique du cerveau.............. 0,0
ise périphérique du cerveau.............. 0,003 ld......... de la
substance
grise du cervelet. . . . 0,00333 ld......... de
de la substance grise du cervelet. . . . 0,00333 ld......... de la
substance
blanche du même organe ............... 0,00333
corps resliforme.......... 0,0075 ld......... des circonvolutions (
substance
blanche) 0,0075 ld . .'...... rectiligne du ner
n. C. Tatou, oryete'rope, fourmilier, pangolin, omithorinque. Des
substances
végétales, des oiseaux et des insectes forment la
érentes, la chauve-souris vit surtout d'insectes, la roussette vit de
substances
végétales. 8. L'unau et l'aï sont phytivores, l
chat (pl. xcn), il place les facultés suivantes': Perception de la
substance
, Distance, Éventualité, Localités, Douceur, C
, sur le crâne d'un chien (pl. xcm), il place : La perception de la
substance
, La comparaison, L'éventualité, L'attachement pou
A quoi sert donc l'organe de la destruction aux animaux qui vivent de
substances
végétales? Il sert à la destruction des végétaux,
celui qui est fourni par les nerfs encéphaliques ; ils indiquent une
substance
cérébrale plus grande chez les animaux les plus i
mal est plus intelligent qu'un autre, d'après le volume relatif de la
substance
qui compose le centre nerveux céphalo-rachidien.
qui compose le centre nerveux céphalo-rachidien. La manière dont la
substance
cérébrale est répartie, soit en avant, soit en ar
es solipèdes et à tous les ruminans, animaux qui vivent uniquement de
substances
végétales; elles appartiennent à l'éléphant, qui
olutions séparées, en considérant que le cerveau de l'ours qui vit de
substances
végétales et de substances animales, a des circon
dérant que le cerveau de l'ours qui vit de substances végétales et de
substances
animales, a des circonvolutions dont les unes son
uses qui s'injectent à la manière des ganglions lymphatiques , 3° une
substance
grise éminemment vasculaire qui s'enlève comme un
t de nouvelles combinaisons, paraissent quelquefois se perdre dans la
substance
grise pour renaître de toutes pièces, et justifie
x, ils sont inaltérables; ce sont les vésicules ou cellules, c'est la
substance
grise; les nerfs proprement dits comprimés ont di
use existe le long du cordon du grand sympathique, qui contient de la
substance
grise, et nullement le long des filets de communi
t transformés en tissu fibreux, et ne contiennent plus un atome ni de
substance
grise, ni de tissu nerveux, il est clair que, si
a tumeur, j'ai détaché la membrane fibreuse : j'ai reconnu partout la
substance
du rein, mais altérée et ne conservant parfaiteme
e tissu granuleux et rougeâtre, mais à grains extrêmement fins, de la
substance
corticale SC; point de trace de substance tubuleu
ins extrêmement fins, de la substance corticale SC; point de trace de
substance
tubuleuse. Des poches fibreuses, remplies ici d'u
r du tissu, tandis qu'on n'en rencontre presque aucun au milieu de la
substance
tuberculeuse. La figure 2 donne une idée aussi ex
ès-bien rendus par la figure. L'altération était au reste bornée à la
substance
corticale qui avait été envahie dans sa totalité,
e qui avait été envahie dans sa totalité, en sorte qu'on voyait cette
substance
pultacée blanc-rougeâtre pénétrer dans l'interval
tre pénétrer dans l'intervalle des cônes décolorés, mais sains, de la
substance
tubuleuse. J'ai vainement cherché la disposition
nce tubuleuse. J'ai vainement cherché la disposition granuleuse de la
substance
corticale; je n'y ai trouvé qu'une masse celluleu
, qui se prolongeait jusqu'au niveau du pylore, qu'il comprimait ; sa
substance
était molle ; de petits foyers de suppuration se
ramassé en foyers qui pénétraient plus ou moins profondément dans la
substance
du rein. Dans quelques points, ce pus était concr
t une entaille I, quelque petite qu'elle fût, à l'un des points de la
substance
de ce rein, on exprimait, par la plus légère pres
eur du rein et remplissaient des foyers ou déchirures creusés dans sa
substance
. Il était aisé de reconnaître dans ces concrétion
t le 1VG LIVRAISON. 1 liquide à mesure, j'ai trouvé au lieu de la
substance
rouge, grenue du rein, un tissu spongieux TR, TRj
plusieurs fois sur ce sujet. Je n'ai pu trouver aucune trace de la
substance
tubuleuse, ou plutôt la substance corticale et la
n'ai pu trouver aucune trace de la substance tubuleuse, ou plutôt la
substance
corticale et la substance tubuleuse étaient confo
ace de la substance tubuleuse, ou plutôt la substance corticale et la
substance
tubuleuse étaient confondues : peut-être la subst
corticale et la substance tubuleuse étaient confondues : peut-être la
substance
tubuleuse était-elle atrophiée. A la place des ma
yait des excavations CC, dont le fond présentait l'aspect radié de la
substance
tubuleuse. Je pense donc que le rein représenté
breux lequel fournit une gaine aux réseaux artériels qui pénètrent la
substance
du rein. A côté de cette grappe artérielle est un
cès tout-à-fait semblables, sauf la consistance, à des tubercules. La
substance
du rein intermédiaire était molle, aréolaire , in
nomène de porosité, de capillarité; n'y a-t-il pas refus de certaines
substances
, admission de certaines autres ? Comme fait pat
uide. Les vaisseaux du foie étaient gorgés de sang, et cependant sa
substance
était pâle. Les organes contenus dans la cavité t
un grand nombre de tissus morbides; le brillant métallique que cette
substance
contracte par la cristallisation ; la faculté qu'
jusqu'à siccité, a laissé une trace de matière grasse fluide. « La
substance
qui n'a point été absorbée par le papier lors de
un enfoncement moulé sur la « partie la plus externe de la tumeur; sa
substance
dans ce point paraît légèrement ramollie, compara
ques indurés, et communiquait avec la trachée au moyen d'une perte de
substance
située au niveau de sa bifurcation. La portion du
té. Un tissu cellulaire filamenteux et lâche l'unissait au foie, à la
substance
duquel il ne tenait que par une foule de vaisseau
iés déployées en manière de ruban. Alors je vis (fig. 3 et 3') que la
substance
grise de la moelle avait été remplacée par du san
rmation de la cicatrice. Ces trois foyers apoplectiques occupent la
substance
grise de la moelle : un seul est circonscrit , le
t , les deux autres étaient comme diffus dans toute la longueur de la
substance
grise. On conçoit en effet que la substance grise
s toute la longueur de la substance grise. On conçoit en effet que la
substance
grise étant extrêmement vasculaire, c'est sur ell
e du cerveau; d'une autre part, la mollesse presque pulpeuse de cette
substance
grise explique pourquoi le sang épanché dans un p
le sang épanché dans un point s'infiltre dans toute la longueur. La
substance
blanche qui constitue commel'écorcede la moelle,
du sang au dehors. Cependant il peut se faire que la déchirure de la
substance
blanche ait lieu; c'est lorsque 1 épanchement san
eprésenté par la lame jaune-serin qui tapissait le canal formé par la
substance
blanche de la moelle. Enfin c'était les derniers
aux sur lequel j'ai beaucoup insisté dans mes leçons. A ce niveau, la
substance
grise disparaît, les faisceaux médullaires s'écar
vaisseaux très-déliés, mais extrêmement nombreux, pénètrent seuls sa
substance
grise. La substance grise a été seule malade, e
, mais extrêmement nombreux, pénètrent seuls sa substance grise. La
substance
grise a été seule malade, et cependant il y a eu
ade, et cependant il y a eu paralysie du sentiment et du mouvement La
substance
grise serait donc le principe du sentiment et du
n'être placés à la surface de la moelle que pour mieux protéger cette
substance
grise: la conséquence paraîtrait naturelle; car,
grise: la conséquence paraîtrait naturelle; car, chez notre sujet, la
substance
blanche était intacte, sinon dans la moitié gauch
t et de mouvement ne vient pas de la compression pure et simple de la
substance
blanche, ou bien encore du changement qui s'opère
ore du changement qui s'opère dans la circulation vasculaire de cette
substance
blanche, dont les vaisseaux ne lui arrivent, au m
ne lui arrivent, au moins en partie, qu'après qu'ils ont traversé la
substance
grise. Ainsi de ce qu'il y a paralysie dans le tr
, par une disposition toute mécanique, je veux dire la mollesse de la
substance
grise, s'infiltrer tout le long du canal médullai
s'infiltrer tout le long du canal médullaire, en laissant intacte la
substance
blanche; c'est ce qui a eu lieu chez le sujet de
(fîg. 3 et fig. 3'). Si l'épanchement est rapide, il doit détruire la
substance
blanche à son niveau, saillir sous la pie-merc, q
plexie de la moelle, mais foudroyante, tellement que non-seulement la
substance
grise, mais encore la substance blanche a été réd
yante, tellement que non-seulement la substance grise, mais encore la
substance
blanche a été réduite en bouillie et s'est comme
Il mourut le 21 avril, épuisé probablement par cette énorme perte de
substance
. A l'ouverture, nous avons trouvé la partie inf
ale complètement détruite, de la partie inférieure de la sixième ( la
substance
intervertébrale avait résisté) et des extrémités
s rencontrées dans l'épaisseur de la moelle, sur la disparition de la
substance
grise remplacée par du tissu cellulaire à larges
plus considérable qui avait détruit, en cet endroit, presque toute la
substance
médullaire « blanche et grise. Le caillot avait l
de nombreuses stries, qui, dans quelques « points, laissaient voir la
substance
osseuse à nu : dans d'autres points, cette couche
« ficielle : cette section a eu l'avantage de faire découvrir la même
substance
formant un noyau au centre « de la rotule, où ell
issu. Son volume égalait celui d'une noisette un « peu aplatie. Cette
substance
intérieure ne communiquait nullement avec celle e
ouche plus épaisse encore que du côté gauche ; on trouva sous elle la
substance
osseuse rugueuse et entamée. Aux articulations ti
taient détruits , les surfaces osseuses rugueuses et très-rouges : la
substance
spongieuse des extrémités osseuses était infiltré
ins dans l'articulation de la symphyse pubienne, dans l'épaisseur des
substances
intervertébrales.— Quelques plaques dans les arti
e nitrique et qu'on évapore jusqu'à siccité, de donner cette nouvelle
substance
connue sous le nom d acide purpurique. A cet effe
demi-transparent, grisâtre; j'ai vainement cherché au milieu de leur
substance
des filamens nerveux proprement dits ; ces filame
pratique, on appelle sarcocèle toute induration ou tuméfaction de la
substance
propre du testicule ou de l'épididyme, lorsqu'ell
diverse nature. La plus remarquable de ces matières contenues est une
substance
perlée, cohérente, sans adhérence avec les cellul
lle est l'espèce d'ile TA qu'on voit au milieu d'elles. Du reste , la
substance
propre du testicule n'avait pas participé à l'alt
l'atrophie s'explique à merveille par la compression qu'a éprouvée la
substance
propre du testicule. L'histoire de ce malade es
ale complètement détruite, de la partie inférieure de la sixième ( la
substance
intervertébrale avait résisté), et des extrémités
ouré d'un cercle rouge qui annonçait un travail extrêmement actif. La
substance
du testicule TT, TT a été refoulée à la surface,
inquième bulletin de la Société anatomique. « Dans quelques cas, la
substance
du testicule est convertie en un tissu spongieux
je viens d'indiquer; mais un examen attentif me permit de voir que la
substance
propre de « cet organe était refoulée sur un des
lamens nerveux, ronds, denses, qui semblent naître de ce qui reste de
substance
blanche dans les circonvolutions inférieures, éga
rps étranger. Ici le tissu cellulaire est très-dense, ce qui reste de
substance
cérébrale est également induré et porte les trace
ister dans la cavité cérébro-rachidienne. La structure fibreuse de la
substance
cérébrale n'a jamais peut-être été mieux démontré
ux démontrée que par ces filets nerveux très-denses qui, partant delà
substance
blanche des circonvolutions, se rendaient à d'aut
pour toute lésion, n'ont présenté qu'un endurcissement extrême de la
substance
cérébrale. Dans le cas actuel, c'est à l'atrophie
dans l'intérieur du ventricule latéral (figure 2), une bandelette de
substance
médullaire LM qui obturait en partie l'ouverture
es très-multipliés s'observent à sa surface et dans l'épaisseur de la
substance
grise. Le tissu cellulaire sous-arachnoïdien du c
été renversé, j'ai vu l'excavation médiane du cerveau remplie par une
substance
jaunâtre, dense, comme lardacée, qui se prolongea
noïde de la voûte; aussi les membranes adhèrent-elles intimement à la
substance
cérébrale. Quelques adhérences filamenteuses très
ue lorsqu'ils entraînent l'inflammation soit des méninges, soit de la
substance
cérébrale. Il est rare néanmoins que le travail m
) plusieurs tubercules TT qui paraissent logés dans l'épaisseur de la
substance
cérébrale ou formés aux dépens de la substance co
dans l'épaisseur de la substance cérébrale ou formés aux dépens de la
substance
corticale. Mais ayant séparé avec précaution les
ale. Mais ayant séparé avec précaution les méninges MG (fig. 5) de la
substance
cérébrale SC, tous ces tubercules T ont suivi les
u et s'étaient creusé autant de petites cavités dans lepaisseur de la
substance
corticale ; que ces tubercules, devenus corps irr
déterminé le ramollissement ponctué de rouge qu'on observait dans la
substance
cérébrale adjacente. La plupart de ces tubercules
ient réunis ; mais ils étaient remarquables par l'absence complète de
substance
grise \ en sorte que chaque cordon latéral était
rare chez les enfans nouveau-nés retardés dans leur développement. La
substance
grise ne commençait à paraître qu'au voisinage du
première (5) et pour les douzième et onzième vertèbres dorsales : une
substance
cartilagineuse remplissait l'intervalle. La compa
et, et se propage peu à peu jusque dans les calices ; les cônes de la
substance
tubu-lcuse comprimés s'affaissent et s'atrophient
et s'atrophient, une concavité remplace les saillies des mamelons. La
substance
corticale, comprimée à son tour, subit, comme la
la tubuleuse, la transformation fibreuse, en sorte que chaque cône de
substance
tubuleuse et de substance corticale est bientôt c
ation fibreuse, en sorte que chaque cône de substance tubuleuse et de
substance
corticale est bientôt converti en une poche fibre
tissu du rein, et il m'a semblé que c'était toujours au milieu de la
substance
corticale ou granuleuse. Aussi le plus grand nomb
de l'organe. On en rencontre sans doute bien souvent au niveau de la
substance
tubuleuse ; mais, qu'on y prenne garde, c'est que
de la substance tubuleuse ; mais, qu'on y prenne garde, c'est que la
substance
granuleuse envoie entre les cônes des prolongemen
comme partout; tantôt une granulation, dont la communication avec la
substance
tubuleuse est oblitérée, se distend par l'accumul
mêmes de petites cavités ou kystes à l'état rudimentaire. Bien que la
substance
du rein semble au premier abord avoir complètemen
aincu que la sécrétion urinaîre n'était pas entièrement suspendue. La
substance
tubuleuse était plus facile à reconnaître au mili
Les figures 1' et 2" ont pour but de montrer les radiations de cette
substance
tubuleuse. Dans la figure 2', les cônes sont étal
olliculeuse comprend encore l'étude de la cicatrisation des pertes de
substances
qui résultent de la plupart des altérations que j
atrisation suivait absolument les mêmes lois que celles des pertes de
substance
de la peau et de tous les autres organes. Forme
es, en partie détruites, fortement adhérentes ; au fond des pertes de
substance
qu'avaient subies ces escarres se voit la membran
e sang noir et maculés de sang à leur base; la rate volumineuse et la
substance
pulpeuse très-abondante masquait complètement sa
ment frangés de l'escarre sont coupés k pic, en sorte que la perte de
substance
est aussi considérable aux limites qu'au centre d
aient affaissés et rosés ; du fond d'un grand nombre de ces pertes de
substance
proéminaient des caroncules qui auraient servi pl
pait à l'altération. Un noyau osseux central irrégulier soutenait une
substance
de nature évidemment carcinomateuse. Dans l'autre
; la paralysie n'arrive que lorsque ces tumeurs ou l'altération de la
substance
cérébrale qu'elles déterminent atteignent soit le
t s'étendait dans l'épaisseur du diploé un peu au-delà de la perte de
substance
. Ainsi, aux végétations de la surface externe du
urface externe du crâne répondait, à la surface interne, une perte de
substance
, et les végétations extérieures étaient destinées
que des vestiges. D'ailleurs ces tumeurs n'adhéraient nullement à la
substance
cérébrale et s'enlevaient par une véritable énucl
utions (fig. 3) avaient disparu. Il ne restait qu'une couche mince de
substance
grise. La substance cérébrale ambiante SC, SC pré
ent disparu. Il ne restait qu'une couche mince de substance grise. La
substance
cérébrale ambiante SC, SC présente dans une gra
forme du cerveau. Une teinte jaunâtre la distinguait d'ailleurs de la
substance
cérébrale environnante. Des veines flexueuses, tr
mant des espèces de bouquets ou de pinceaux radiés qui traversent une
substance
jaunâtre et molle dont on peut exprimer un suc la
e la face interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la
substance
cérébrale n'offrait aucune altération, et l'arach
e la face interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la
substance
cérébrale n'offrait aucune altération, et l'arach
nd nombre de vaisseaux d'apparence veineuse. Elle était reçue dans la
substance
cérébrale déprimée et comme détruite à son niveau
La figure 4 donne une idée de la coupe de cette même tumeur et de la
substance
cérébrale environnante. Cette coupe, qui est tran
sieurs cellules d'inégale capacité qui contenaient de la sérosité. La
substance
cérébrale environnante offre le ramollissement ja
i déjà mentionné plusieurs fois. Il me fut facile d'exprimer de cette
substance
ramollie des gouttelettes de liquide poisseux. Le
s ecchymoses, épanchement sous-arachnoïdien avec ramollissement de la
substance
cérébrale des circonvolutions ; rupture des vaiss
ndus par un sang noir et adhérent j et on trouva dans l'épaisseur des
substances
grise et blanche une foule de petits caillots , d
os égalaient à peine en volume un bon pois à cautère. Tout autour, la
substance
cérébrale était très-légèrement ramollie et prése
érieur. existaient une foule de petits foyers apoplectiques dans la
substance
des hémisphères. Comment, sans la théorie de l'ap
vité des ventricules ne présentait aucune trace d'inflammation, et la
substance
cérébrale était d'ailleurs parfaitement saine.
tre les atrophies; les unes sont la suite de destruction, de perte de
substance
, ou d'une véritable transformation du tissu de l'
de la partie postérieure de l'hémisphère droit HD, une large perte de
substance
OP qui établit une communication entre le ventric
ine, surtout celui du côté droit et à leur niveau. Une large perte de
substance
OA, O'A' fait communiquer la cavité des ventricul
plus ou moins nombreux se manifestent çà et là dans l'épaisseur de la
substance
propre du testicule. Quelquefois l'affection tu
extrêmement facile d'enlever la tumeur cancéreuse par énucléation; la
substance
du testicule n'avait point encore subi les transf
décoloré,, mais sans odeur. Etait-ce un tissu encéphaloïde altéré? La
substance
du testicule, refoulée à la partie supérieure de
e d'une nouvelle production cancéreuse ; mais, ainsi qu'on l'a vu, la
substance
du testicule était moulée sur la poche, à laquell
use s'accumule en plus grande quantité, la compression exercée sur la
substance
testiculaire d'une part, d'autre part la fluxion
part, d'autre part la fluxion séreuse, suite de l'irritation de cette
substance
, entraînent la décoloration, l'atrophie et la dis
coloration, l'atrophie et la disparution plus ou moins complète de la
substance
du testicule lui-même. Or, il est extrêmement rar
épaisseur, du bord convexe vers le bord épididymaire. On voit que la
substance
propre du testicule SS est parfaitement saine; ma
cement. Ce n'est pas la première fois que des brûlures, avec perte de
substance
de la peau, ont entraîné de semblables déplacemen
e l'humérus. Cette végétation présente d'ailleurs plusieurs pertes de
substance
ou perforations à travers lesquelles on aperçoit
fîg. i présente une coupe verticale de l'articulation. On voit qu'une
substance
compacte A est interposée entre les deux surfaces
es caroncules rouges CC qui proéminent à travers de petites pertes de
substance
de la lame éburnée. J'indiquais à l'instant la mê
ré, l'ulcère simple chronique de l'estomac consiste dans une perte de
substance
spontanée, ordinairement circulaire, à bords coup
isines sont d'abord attirées pour diminuer le diamètre de la perte de
substance
, d'où le froncement du pourtour de l'ulcère. La s
la petite courbure, au voisinage de l'orifice cardiaque, une perte de
substance
ovalaire d'un pouce dans son plus grand diamètre.
complètement détruit à son niveau; le pancréas P remplit la perte de
substance
et sert de support à la cicatrice qui consiste da
ifesté aucune douleur, mouraient avec un grand nombre d'abcès dans la
substance
du foie. 3° Sans doute il existe un certain nombr
t lorsque dans les expériences sur les animaux vivans, l'injection de
substances
putrides dans les veines a été suivie de selles t
parois des vaisseaux. Plus bas, l'oblitération était produite par une
substance
noirâtre semblable à des caillots desséchés, dens
face postérieure, au voisinage du col, dans le point F, une perte de
substance
fermée par le péritoine seulement. Un stylet intr
le péritoine seulement. Un stylet introduit à travers cette perte de
substance
, et dirigé de haut en bas, sortait par l'orifice
Anat. patholog,, p. 385) que, dans la cyrrhose, il y a atrophie de la
substance
rouge, et hypertrophie de la substance jaune. Il
yrrhose, il y a atrophie de la substance rouge, et hypertrophie de la
substance
jaune. Il pense qu'en même temps que la substance
hypertrophie de la substance jaune. Il pense qu'en même temps que la
substance
jaune se développe de manière à donner naissance
jaune se développe de manière à donner naissance aux granulations, la
substance
rouge peut rester dans son état naturel, et qu'al
u'alors le foie est augmenté de volume; que, dans d'autres cas, cette
substance
rouge s'atrophie complètement et se transforme en
e jaune, ce qui a suggéré l'idée ingénieuse de l'atrophie de lune des
substances
, et de l'hypertrophie de l'autre. Mais, d'abord,
et de l'hypertrophie de l'autre. Mais, d'abord, il n'existe pas deux
substances
dans le foie, soit qu'on admette deux espèces de
ions, soit qu'on admette que chaque granulation est composée des deux
substances
à la fois. Ce qui a pu en imposer à cet égard, c'
t déposées au milieu d'un tissu parfaitement intact. On dirait que la
substance
propre du foie n'a pris aucune part à leur format
naturel, et même soit au-dessous de ce volume. Dans certains cas, la
substance
du foie était réduite au sixième et peut-être mêm
e ces tumeurs, on serait porté à croire qu'elles sont formées par une
substance
hétérogène déposée dans le tissu cellulaire inter
s amers, dits fondans, les pilules savoneuses, le carbonate de fer en
substance
, les toniques émollients, les bains de fauteuil,
use de la muqueuse buccale qui saigne par le plus léger contact ; les
substances
alimentaires les plus douces produisent un sentim
u'elles constituent de la moitié aux deux tiers du volume du foie. La
substance
intermédiaire aux tumeurs, est parfaitement saine
se-gastrique, permettent impunément le séjour long-temps continué des
substances
alimentaires et par conséquent la dilatation de l
kyste semblait formé dans l'épaisseur de la tumeur fibreuse, dont la
substance
ou trame était à nu dans l'intérieur du kyste. Le
des forces de la vie sur le canal intestinal, et de la déperdition de
substance
qui a lieu par les évacuations alvines, pour qu'i
ée artérielle. On a poussé la témérité jusqu'à l'injection directe de
substances
médicamenteuses et plus particulièrement de l'eau
la saignée. A l'aide de la respiration d'un air chargé de diverses
substances
aromatiques, on peut agir directement sur le poum
us par des caillots sanguins. Je n'ai jamais vu d'épanchement dans la
substance
même, soit du cerveau, soit du cervelet, bien que
cerveau, soit du cervelet, bien que dans certaines circonstances, la
substance
cérébrale tout entière fût tellement injectée, qu
u'elle est toujours exempte de foyers sanguins et de déchirures de la
substance
cérébrale. V. La cause de l'apoplexie des enfan
aire s'accompagne d'une hypertrophie plus ou moins considérable de la
substance
cérébrale. C'est dans des cas de cette espèce qu'
de nutrition, par une fluxion séreuse ou inflammatoire dirigée sur la
substance
cérébrale ; et si des circonstances étrangères au
actions minimes de masse encéphalique. Du reste, l'altération de la
substance
cérébrale dans l'hydrocéphalie, n'est nullement e
enne, deux litres au moins de sérosité' limpide, sans aucun débris de
substance
cérébrale ; un seul flocon albumineux. La fig.
t été déchiré; vers ces pédoncules, je trouvai deux petites masses de
substance
blanche, w isolées et comme détachées, ayant le v
ace de pont de Varole, sans qu'il y eût apparence de » déperdition de
substance
; les pyramides antérieures se terminaient dans le
lopper, à se rapprocher et à remplir, au moins en partie, la perte de
substance
. On ne saurait trop se rappeler que le spina bi
énieuse d'obtenir le rétrécissement du vagin, à l'aide d'une perte de
substance
faite aux parois de ce canal. Une lanière d'un po
i sur ce que je dois dire plus tard sur le ramollissement rouge de la
substance
grise des circonvolutions, sur la destruction de
e la substance grise des circonvolutions, sur la destruction de cette
substance
grise, sur l'apoplexie des circonvolutions, sur l
Une cinquième espèce d'atrophie est celle qui résulte de la perte de
substance
subie par les circonvolutions à la suite du ramol
face des circonvolutions, souvent toutes les deux, sont dépourvues de
substance
grise dans une étendue plus ou moins considérable
ns une étendue plus ou moins considérable. Les limites de la perte de
substance
sont marquées par une ligne irrégulière coupée à
ophiées, déformées et indurées comme celles de l'hémisphère droit. La
substance
grise godronnée, qui est située au-dessous de la
uvait en outre augmentée d'une sorte de lobe provenant » de sa propre
substance
glanduleuse, ayant la forme et le volume d'une no
vessie, et qui étaient du volume et de la forme des testicules. Leur
substance
était blanche et granuleuse. Ils étaient mobiles
répondait au centre phrénique. Le diaphragme avait subi une perte de
substance
correspondante au collet du sac ; partout ailleur
La fig, 2 représente une coupe du rein et de la capsule surrénale. La
substance
de l'un et de l'autre organe paraît transformée e
-même, qu'elle n'y avait pas pénétré du dehors à travers une perte de
substance
; et j'ai pu me rendre compte pourquoi l'injectio
e de la masse tuberculeuse du lobe droit LDG qui paraît formée par la
substance
même du cervelet, dont il ne reste que des débris
es concentriques qui lui donnent l'apparence d'un calcul urinaire. La
substance
médullaire qui environne le tubercule est ramolli
art, elles semblaient formées aux dépens des lamelles du cervelet. La
substance
du cervelet environnante n'était ni injectée ni r
u , on dirait au premier abord qu'ils occupent l'épaisseur même de la
substance
cérébrale. Ces tubercules peuvent être libres de
ux qui permet une énucléation facile. D'autres fois ils adhèrent à la
substance
cérébrale presque toujours altérée, ramollie, et
le. Il est assez rare de voir des tubercules occuper primitivement la
substance
blanche du cerveau. Les cas d'adhérence des tub
bstance blanche du cerveau. Les cas d'adhérence des tubercules à la
substance
cérébrale, doivent être bien distingués «3 de
ngués «3 de ceux où la matière tuberculeuse est infiltrée dans la
substance
cérébrale elle-même. Dans le cas d'infiltration
accidents que lorsque l'irritation qui les accompagne se propage à la
substance
cérébrale, ou lorsque par son accroissement la tu
c mesure : la mort est presque inévitable, et le ramollissement de la
substance
cérébrale environnante en est la cause la plus ha
par une section verticale, nous a présenté la presque totalité de sa
substance
médullaire convertie en une bouillie opaque, demi
non-seulement un os , mais encore la plus petite partie d'un os. La
substance
cornée S C , S C, emboîte une petite avance osseu
recouverte d'une croûte calcaire qui présente çà et là des pertes de
substance
plus ou moins considérables. Sous cette croûte ca
s après la conception. Le fœtus était couvert d'une couche mince de
substance
calcaire : il pesait 7 livres. Il ne restait rien
partie supérieure de la tumeur. On voit 1° la couleur ardoisée de la
substance
du foie F, 2° la membrane acéphalocyste jaune, 5°
'épaisseur du cerveau, mais ne paraissait pas formée aux dépens de sa
substance
. Cette tumeur qui était pénétrée de suc cancéreux
el le foie est farci de tumeurs marronnées noirâtres interposées à sa
substance
. (i) Analyse de M. Foy , dans le mémoire de MM.
es. Ainsi dans ce cas, le périoste, le tissu adipeux médullaire et la
substance
osseuse elle-même, avaient été envahis. Ce fait
dans un tampon d'apparence fibreuse T'C, qui remplissait une perte de
substance
circulaire des os du crâne, que cette tumeur soul
« capacité près, qui, ici, se trouvait accrue, n'être que celle de la
substance
diploïque. Les cellules conte-ce naient tantôt un
de cet hémisphère, et permet d'apprécier la profondeur de la perte de
substance
: on voit que la substance cérébrale est remplacé
t d'apprécier la profondeur de la perte de substance : on voit que la
substance
cérébrale est remplacée par une cellulosité jaune
ne certaine quantité de liquide trouble jaunâtre qui la pénétrait. La
substance
cérébrale qui environnait cette perte de substanc
i la pénétrait. La substance cérébrale qui environnait cette perte de
substance
était très saine. L'altération était parfaitement
ans l'épaisseur des circonvolutions malades se voit, à la place de la
substance
blanche, une cellulosité très dense, d'un jaune b
ense, d'un jaune brun diversement nuancé, contenu entre deux lames de
substance
corticale indurée, et presque toujours altérée da
ns un certain nombre de cas, l'altération est exactement limitée à la
substance
blanche. La substance grise est intacte. D'autres
e cas, l'altération est exactement limitée à la substance blanche. La
substance
grise est intacte. D'autres fois la substance gri
a substance blanche. La substance grise est intacte. D'autres fois la
substance
grise est plus ou moins altérée et dans sa couleu
ouleur et dans sa consistance; enfin elle peut être détruite comme la
substance
blanche. Ce ne sont pas là les seules lésions d
er avec ces points jaunes? XXe LIVRAISON. I Dans quelques cas, la
substance
grise des circonvolutions primitivement détruite
e par une pellicule jaunâtre, vasculaire et celluleuse. Sous elle, la
substance
blanche peut être intacte, ou bien convertie en c
la plus irrégulière : on voit en effet (CIC, CIC, CIC) des pertes de
substance
tantôt irrégulièrement circulaires, tantôt sous l
a forme de stries longues et anguleuses. Le pourtour de ces pertes de
substance
est comme froncé, festonné et coupé à pic. La cou
nal. Une lame celluleuse et fibreuse jaune-serin recouvre la perte de
substance
. Quelquefois, la circonvolution tout entière est
recouverte par une toile celluleuse jaunâtre fort mince. La perte de
substance
est tellement nette, qu'on dirait qu'elle a été f
ire. L'apoplexie capillaire affectant une grande prédilection pour la
substance
grise des circonvolutions, et respectant souvent
ne de la surface du cerveau et du cervelet ; cicatrices avec perte de
substance
des circonvolutions du cerveau et des lamelles
'aide d'un tissu celluleux de même couleur. Il n'y avait donc plus ni
substance
blanche, ni substance grise, mais une substance j
leux de même couleur. Il n'y avait donc plus ni substance blanche, ni
substance
grise, mais une substance jaune. Il a été bien
'y avait donc plus ni substance blanche, ni substance grise, mais une
substance
jaune. Il a été bien manifeste que l'apoplexie
plexie occupait le centre des circonvolutions; car dans plusieurs une
substance
cellulaire, d'un brun d'ocre, s'avançant jusqu'au
bord adhérent de la circonvolution, était recouverte par des lames de
substance
blanche. Dans quelques circonvolutions, c'était
eur place, toile celluleuse très dense, d'un jaune brunâtre foncé. La
substance
blanche des circonvolutions détruites était à nu,
lacée par cette toile celluleuse. Cicatrices colorées avec perte de
substance
des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
ente, à côté de la grande scissure médiane, une perte considérable de
substance
. On dirait que la moitié postérieure de cette cir
coupés à pic, comme dans les ulcérations intestinales cicatrisées. La
substance
corticale est seule détruite. A droite , au cen
on colorées, traversée par du tissu cellulaire rempli de sérosité; la
substance
blanche environnante est intacte. Deux petites ca
tre ; cette coloration est due à une membrane formée aux dépens de la
substance
grise, sous laquelle existe une couche mince de b
grise, sous laquelle existe une couche mince de bouillie jaunâtre. La
substance
blanche est intacte. Une circonvolution qui avois
ité de l'hémisphère, présente la même altération. Corps strié. — La
substance
grise, soit au dessus, soit au dessous des radiat
- - A la partie postérieure de l'hémisphère droit existe une perte de
substance
visible à travers les membranes, qui se présente
nâtre. Une section perpendiculaire montre qu'il y a destruction de la
substance
grise d'un grand nombre de lamelles; la substance
a destruction de la substance grise d'un grand nombre de lamelles; la
substance
blanche de quelques-unes paraît avoir subi la mêm
supérieur et des veines qui y aboutissent; apoplexie capillaire de la
substance
grise et d'une partie de la substance planche, (i
ent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la
substance
planche, (i) (Fig. i.) Une jeune fille, âgée de
une pulpe couleur lie-de-vin foncée AC, AC, qui tenait la place de la
substance
grise de ces circonvolutions, et qui s'étendait m
ces circonvolutions, et qui s'étendait même à la couche adjacente de
substance
blanche. Dans l'hémisphère droit, il y avait un r
cchymoses, un épanchement sous l'arachnoïde avec ramollissement de la
substance
grise ou blanche des circonvolutions, des apoplex
endus par un sang noir et adhérent; et on trouva dans l'épaisseur des
substances
grise et blanche, une foule de petits caillots, d
gros égalaient à peine en volume un pois de senteur. Tout autour, la
substance
cérébrale était très légèrement ramollie, et pi'é
ême temps existaient une foule de petits foyers apoplectiques dans la
substance
des hémisphères. Cette observation, considérée
1 représente le plus haut degré du ramollissement du cerveau, dont la
substance
est convertie en une bouillie lie-de-vin. Voici
aissance ; mort au bout de 48 heures; ramollissement lie-de-vin de la
substance
grise; ramollissement blanc de la substance blanc
issement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc de la
substance
blanche; ancienne cicatrice dans une circonvoluti
n, avec un râle bruyant. Ouverture du cadavre.—Ramollissement de la
substance
grise de plusieurs circonvolutions et anfractuo-s
e-de-vin, ou rouge-violet foncé, semblable à des fraises écrasées; la
substance
grise ramollie s'enlève avec les membranes, et re
ève avec les membranes, et reste attachée à la surface du cerveau. La
substance
blanche subjacente a été respectée dans quelques
ons qui avoisinent la grande scissure médiane présentait une perte de
substance
analogue à celle représentée pl. m, fig. 2. Cette
substance analogue à celle représentée pl. m, fig. 2. Cette perte de
substance
avait laissé à nu la substance blanche de cette c
résentée pl. m, fig. 2. Cette perte de substance avait laissé à nu la
substance
blanche de cette circonvolution que recouvrait un
nt lilas ou hortensia. Le ramollissement R est exactement limité à la
substance
grise; et on voit qu'il y a en quelque sorte péné
et on voit qu'il y a en quelque sorte pénétration du sang et de cette
substance
. N'ayant pas pu retrouver l'observation relativ
ent, et je me prononçai positivement avant l'ouverture du cadavre. La
substance
grise de toutes les circonvolutions et anfractuos
la couleur hortensia violacée, mais inégalement violacée. Cette même
substance
grise a subi un ramollissement mou, qui toutefois
aussi les méninges ont-elles pu être enlevées sans déchirement de la
substance
cérébrale ; mais le moindre contact, l'immersion
ns l'eau ont suffi pour détacher la couche superficielle ramollie. La
substance
grise du corps strié du même côté avait également
rié du même côté avait également subi le ramollissement violacé. La
substance
grise de trois ou quatre circonvolutions apparten
onvexité de l'hémisphère droit, avait éprouvé la même altération : la
substance
blanche qui est subjacente à la substance grise r
uvé la même altération : la substance blanche qui est subjacente à la
substance
grise ramollie, est plus abondamment pénétrée de
aire ne convient qu'à cette nuance de ramollissement dans laquelle la
substance
cérébrale se trouve combinée avec une certaine qu
aspect d'une pulpe molle qui s'enlève avec les membranes, comme si la
substance
cérébrale avait été broyée avec du sang noir. Le
es de coloration. Le ramollissement rouge occupe le plus souvent la
substance
grise, et plus particulièrement celle des circonv
elle des circonvolutions : il n'est pas rare de le rencontrer dans la
substance
grise des corps striés; sous elle, la substance b
le rencontrer dans la substance grise des corps striés; sous elle, la
substance
blanche se présente avec tous ses caractères de c
hémisphères. Dans certains cas, le ramollissement occupe à-la-fois la
substance
blanche et la substance grise et, alors, à côté d
ns cas, le ramollissement occupe à-la-fois la substance blanche et la
substance
grise et, alors, à côté du ramollissement rouge d
se et, alors, à côté du ramollissement rouge diversement nuancé de la
substance
grise, se voit le ramollissement blanc lilas ou b
substance grise, se voit le ramollissement blanc lilas ou blanc de la
substance
blanche. Dans quelques circonstances, la substa
s ou blanc de la substance blanche. Dans quelques circonstances, la
substance
grise des circonvolutions ou des corps striés est
que d'une manière très inégale les divers points de l'épaisseur de la
substance
grise, ce qui lui donne un aspect marbré. Quant
el toutes les circonvolutions antérieures d'un hémisphère et toute la
substance
blanche du lobe antérieur jusqu'à la membrane du
ne du ventricule étaient converties en bouillie; dans un autre cas la
substance
grise du plus grand nombre des circonvolutions de
, soit leurs faces, soit le fond des anfrac-tuosités. Il y a perte de
substance
dans tous les points jaunes : les circonvolutions
de ramollissement qui, d'une part, s'étendait dans l'épaisseur de la
substance
blanche jusqu'à la voiite du ventricule latéral,
xxe livraison. 3 Hémisphère droit.—Couleur rouge-amaranthe de la
substance
grise des circonvolutions postérieures. Poumon
équences de ce ramollissement ; 3° que le mode de cicatrisation de la
substance
blanche ramollie consiste quelquefois dans de la
ire à la manière du lait de chaux; que le mode de cicatrisation de la
substance
grise ramollie consiste dans des pertes de substa
atrisation de la substance grise ramollie consiste dans des pertes de
substance
avec cicatrice jaunâtre. Il me parait probable
ans coloration manifeste que l'on rencontre si souvent au milieu delà
substance
blanche, sont la suite du ramollissement du cerve
ouverture, une multitude de cicatrices ou cica-tricules avec perte de
substance
des circonvolutions avec coloration jaunâtre, bru
iplégie droite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des
substances
grise et blanche du lobe antérieur de l'hémisphèr
antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nombreuses avec perte de
substance
des circonvolutions, (i) Benoît, âgée de quatre
tacée sans changement notable de couleur du lobe antérieur gauche. La
substance
cérébrale est difïluente. L'altération s'étend ju
cicatrices couleur peau de daim plus ou moins étendues, avec perte de
substances
plus ou moins considérable. ( 1) Observation re
Réflexions. — Cette observation prouve : Qu'il est des lésions de la
substance
cérébrale trop circonscrites pour déterminer une
e connaissance; que ces altérations occupent le plus ordinairement la
substance
grise des circonvolutions : nous verrons ailleurs
convolutions : nous verrons ailleurs qu'elles occupent quelquefois la
substance
grise des corps striés, et dans d'autres cas la s
lquefois la substance grise des corps striés, et dans d'autres cas la
substance
blanche: il est cependant une paralysie qui peut
un petit foyer rempli de cellulosité brunâtre dans l'épaisseur de la
substance
grise du corps strié droit, au niveau de la parti
e; 3° un petit foyer également rempli de cellulosité brunâtre dans la
substance
grise du corps strié gauche, et au même niveau qu
plégie faciale. Les deux autres foyers étaient formés au dépens de la
substance
grise et n'avaient intéressé aucune radiation bla
e de progression dans les symptômes. Ramollissement hortensia de la
substance
grise d'un très grand nombre de circonvolutions e
d nombre de circonvolutions extérieures. Ramollissement pultacé de la
substance
grise et de la substance blanche des circonvoluti
ns extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise et de la
substance
blanche des circonvolutions antérieures. Cicatric
présente deux états bien distincts : il est exclusivement limité à la
substance
grise; il n'est, pas diffluenl; il n'est pas unif
e de cette scissure, on peut enlever les membranes sans intéresser la
substance
du cerveau. a° Les circonvolutions les plus posté
irconvolutions les plus postérieures sont beaucoup plus ramollies. La
substance
blanche et la substance grise ont également subi
postérieures sont beaucoup plus ramollies. La substance blanche et la
substance
grise ont également subi un ramollissement pultac
tantes, et par conséquent fragiles; on a dit à tort que les pertes de
substance
des membranes muqueuses étaient toujours remplacé
à la perforation et à l'hémorrhagie : la cicatrisation des pertes de
substance
de l'estomac, de même que celle des pertes de sub
des pertes de substance de l'estomac, de même que celle des pertes de
substances
de la peau, se fait de deux manières : i° par le
de la plaie; i° par la production d'un tissu fibreux : les pertes de
substance
peu considérables se guérissent exclusivement par
petit godet, avec froncement circulaire et plis radiés. Les pertes de
substance
considérables laissent une dépression circulaire
sa face antérieure, cet organe présente (fig. i, Pl. v) une perte de
substance
ovalaire ou plutôt une excavation en forme de zon
de largeur de son petit diamètre : la surface de cette vaste perte de
substance
est blanchâtre, lisse, d'apparence fibreuse et nu
actures du crâne, à des pertes de subs- tance des os, ou même de la
substance
cérébrale. D'autres ont vécu, gardant dans leur
traces extérieures, visibles, du traumatisme : cicatrices, perte de
substance
, etc. ; et on devra nécessairement conclure qu'
us ou moins profondes, plus ou moins étendues, exostoses, pertes de
substance
osseuse, ce sont là des faits d'une constatatio
. Bref, Panizza savait qu'une lésion unilatérale d'une partie de la
substance
cérébrale des lobes postérieurs produit, sur l'
, que le processus se limite à l'écorce céré- , brale (5 cas), à la
substance
blanche (2 cas), ou inté- resse à la fois l'éco
-dessous de cette région, les coupes transversales nous montrent la
substance
grise rouge : pointillé rouge à lacorne grise p
u-dessus de cette région on voit un aspect uniformément rouge de la
substance
grise. Pas de ramollisement de la substance bla
niformément rouge de la substance grise. Pas de ramollisement de la
substance
blanche. Le reste de la moelle est ferme; pas d
du cinquième mois que l'auteur a pu obtenir par l'excitation de la
substance
corticale du milieu des circonvolutions occipit
idérables pour cette région que pour la zone psychomotrice. Pour la
substance
blanche des lobes occipi- taux, les résultats d
occipi- taux, les résultats diffèrent. Ainsi, l'excitation de cette
substance
détermine à partir du second mois une déviation
noncée que l'on enfonce plus profondément les électrodes dans la
substance
blanche. Quand on produit une excitation bi-latér
les courants sont de force égale. Mais on pouvait se demander si la
substance
corticale de la région psychomotrice ne joue pa
t dans la production des phénomènes résultant de l'excitation de la
substance
blanche des lobes occipitaux : Dans ce but, l'e
e des lobes occipitaux : Dans ce but, l'expérimentateur excise la
substance
grise de la région psychomotrice et excite ensuit
a substance grise de la région psychomotrice et excite ensuite la
substance
blanche des lobes occipitaux : la déviation des y
ses caractères habituels. Elle apparaît encore lorsqu'on excite la
substance
blanche des lobes occipitaux après avoir fait une
ment à la scissure interhémisphérique. Enfin , quand on met à nu la
substance
blanche de la région psychomo- trice et quand o
être considérée comme exacte, car après la suppression totale de la
substance
grise, ces mouvements se produisent, avec une i
vec une identité parfaite, sous l'in- lluence de l'excilation de la
substance
blanche. Les résultais obtenus après les sectio
ersales et longitudinales de même qu'après l'enlèvement total de la
substance
grise montrent que les centres de la déviation
eure. Elles s'en vont transversalement ou obliquement, à travers la
substance
gélati- '150 ` SOCIÉTÉS savantes. lieuse, gag
endre, sans s'aboucher avec les fibres mêmes du pédoncule, ni de la
substance
ferrugineuse, de l'autre côté. 11 est probable ce
utions ascendantes. Toutes les fibres convergent sur un triangle de
substance
blanche, en dedans du noyau lenticulaire, pour
THOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA
SUBSTANCE
GRISE DANS LES ENCÉPHALITES CHRO- NIQUES DE L'E
s où la paralysie générale a son terme, une telle recherche DE LA
SUBSTANCE
GRISE. '1 ï9 serait impossible; la seconde, c'e
s, les fibres à myéline de la surface de l'écorce et celles de la
substance
ne sont plus décelables par les réactifs ordina
donc faire l'étude des filets nerveux; on est réduit à celle de la
substance
grise en général, que l'alcool fixe assez bien.
re de cinq, d'après le schéma donné il y a dix-huit ans par DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 181 t Meynert dans le manuel de Stricker
la cou- che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la
substance
grise, et s'accroît encore dans le lobe occi- p
peut facilement réunir en une; c'est la zone de transition entre la
substance
grise la substance blanche, assez difficile à d
r en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la
substance
blanche, assez difficile à débrouiller à cause
ller à cause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la
substance
blanche, qui s'écartent les uns des autres à ce
qui s'écartent les uns des autres à ce niveau pour pénétrer dans la
substance
grise. Elle renferme à sa partie supérieure de
a disposition normale des faisceaux de fibres qui montent dans la
substance
grise, et qui s'aperçoivent très suffisamment s
ment sur les pièces traitées par l'alcool. Ces faisceaux se DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 183 divisent, au niveau de la cinquième
t autant de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la
substance
grise, qui, eux, s'organisent naturellement dan
disposition est plus marquée naturellement dans la profondeur de la
substance
grise, là où les faisceaux sont plus gros, et c
issement qui permette d'avoir sous l'oeil toute l'épaisseur de la
substance
grise, on la verra décomposé en un véri- table
ions peuvent servir à établir une transition entre l'atrophie de la
substance
grise que nous étudions et les états plus marqu
de la fréquence de cette broncho-pneumonie, qui chez un autre DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 185 de nos malades mort dans le même cas
sance, montre un certain nombre de corps granuleux répandus dans la
substance
blanche et qni se colorent en noir sur une coup
. On voit aussi de fines gouttelettes graisseuses - exister dans la
substance
grise. Sur des coupes colorées, on cons- tate q
amidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la
substance
grise ne présentent pas des lésions nettes; la
ches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la
substance
blanche offre des lésions de désintégration. Su
désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la
substance
blanche a le même aspect; les corps granuleux y
llonné par des bandes fibrillaires nombreuses qui rayonnent dans la
substance
grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont le
gérée ;. les capillaires au lieu de s'enfoncer tout droit dans la
substance
grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect norm
à petits noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans la
substance
grise, mais le sont évi- demment dans la substa
tipliées dans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la
substance
blanche. 186 PATHOLOGIE MENTALE. La coupe d'u
u lobe occipital gauche à la face externe de l'hémisphère montre la
substance
grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
vacuoles, d'espaces vides, qui constituent de véritables pertes de
substance
. Ces foyers interrompant la disposition des fib
s interrompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la
substance
blanche, comprennent en général les trois premièr
t MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose cérébrale. Dans la
substance
blanche, il n'y a que peu ou pas de corps granule
e- mière frontale. Il existe des foyers de désintégration dans la
substance
grise, des amas considérables de corps granuleux
la couche des myélocytes, et un certain degré de fibrillation de la
substance
blanche, parsemée de corps gra- nuleux. Il est
nce un coup violent sur le pariétal gauche : fracture et perte de
substance
de l'os. Devenu militaire, il est effrayé une n
ont-ils laissé après eux des traces visibles (cicatrices, pertes de
substance
, para- lysies, atrophies,, etc.) ? 3° Y a-t-il
altération plus ou moins profonde, et plus ou moins étendue de la
substance
cérébrale. Traitement. Je n'ai rien à dire ici
ta que l'infiltration cuta- née et sous-cutanée consistait dans une
substance
gélatineuse appartenant par ses qualités physiq
souffrance, d'après Ord, consiste en un développement exagéré de la
substance
intracellulaire contenant la mucine, substance
pement exagéré de la substance intracellulaire contenant la mucine,
substance
se développant non seulement dans la peau et le
malies de la région psy- chique proviennent de l'accumulation de la
substance
muqueuse ' Ballet. Le Progr. médit, 1880. q 1
autres opinions, ces phénomènes étaient dus à une autre raison : la
substance
de la glande thyroïde passant dans le sang, par
celles d'Ewald' 1 font supposer que la glande thyroïde produit une
substance
indispensable à la nutrition du système nerveux
la mort des animaux opérés : ou bien la glande thyroïde produit une
substance
indispensable à la nutrition du système nerveux
eux central, donc après l'extirpation le cerveau est privé de cette
substance
, ou bien la glande thyroïde sert à neutraliser
des médecins russes, t. II, p. 22. 260 REVUE CRITIQUE. dans la
substance
corticale de la moelle allongée. Ce procès por-
Ce procès por- taitles symptômes d'une inflammation subaiguë de la
substance
cérébrale, ce qui expliquerait tous les phénomè
té exagérée vicariée du hypophysis-cerebri dans la production de la
substance
colloïde, d'où résulte la métamorphose colloïde
ligneuses a conduit l'auteur à penser que le malade accumulait ces
substances
dans sa bouche pour les avaler en même temps qu
d'introduire volontairement et de garder dans la cavité buccale des
substances
non alimentaires. R. M. C. IV. DES névroses e
uë : l'auteur admettrait plus volontiers l'irritation directe de la
substance
cérébrale par les parcelles de plomb entraînées
I ! OE ET DE L'HYOS- CINE CHEZ LES aliénés. La première de ces deux
substances
, à la dose de un demi àun milligramme, produit
rrêtent nettement au bord du trou dont le fond est constitué par la
substance
blanche. Quoique cette dernière soit souvent be
l'après-midi. M. J. JENSEN. - Observation de trois lacunes dans la
substance
céré- brale des lobes pariétal et frontal de l'
revenus provenant des impôts qui frappent ces faits divers. 317 ï
substances
. Malgré l'intervention de deu 'secrétaires d'Etat
tteinte. Ainsi, si pour une raison que nous ne saurions dé- DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 333 terminer, les lésions propres à la p
HOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS IIISTOLOGIQUES DE LA
SUBSTANCE
GRISE DANS LES ENCÉPHALITES CHRO- NIQUES DE L'E
omènes observés et sont évidemment consécutives aux désordres de la
substance
grise. (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 188
llules de la névroglie, nous nous bor- nons à les signaler. DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 335 Le rôle des vaisseaux dans ces lésio
sont particulièrement énormes; les capillaires qui plongent dans la
substance
cérébrale sont aussi très gonflés et parfaiteme
flés et parfaitement visibles,, quelques-uns sont rameux. Dans la
substance
grise, la couche superficielle de névroglie a s
ie régulières, bout à bout, limitées par les libres d'origine de la
substance
blanche, présente ces mêmes séries morcelées pa
développe- ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la
substance
grise et dans la subs- tance blanche, ce qui do
prenons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la
substance
blanche très vascularisée et présentant les fig
llules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la
substance
grise a été en partie enlevée avec les méninges
Sur une coupe du lobe occipital, une portion assez considérable de
substance
grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui, en
ution portée à l'extrême des éléments pyramidaux. A la limite de la
substance
blanche, l'accumulation des noyaux petits et sp
lus marquées sur les régions postérieures de l'hémis- LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 337 I phère et se composent toujours des
e cervico-dorsale. Les cordons blancs sont, symétri- ques ; dans la
substance
grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée
aspect tomenteux et irré- gulier ; une portion assez épaisse de la
substance
grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les l
rophie soit réelle; et il suffit de com- parer le cône restreint de
substance
blanche qu'on voit sur les coupes de la circonv
QUE. - Coupe d'une circonvolution prise dans le lobe frontal. - La
substance
grise est très mince ; on n'y retrouve qu'avec
e, groupés par quatre oa six, nom- breuses petites cellules dans la
substance
blanche; vascularisation relativement peu dével
le nettement triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la
substance
grise. - Coupe au niveau du lobule paracentral.
le centre se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de toute la
substance
grise par les élé- ments sphériques est netteme
n retrouve quelques nids, mais elles sont petites et effilées. La
substance
blanche est toute parsemée de corps granuleux;
s distingue à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la
substance
blanche. Le centre est occupé par un réseau à m
sur la coupe d'un zeste de citron ou d'orange, quand LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 3391 on pratique une section nette de la
es, d'ailleurs l'épaisseur dn revêtement gris est très faible. La
substance
blanche offre l'aspect d'une véritable émuision d
dans la couche suivante. Il existe quelques corps granuleux dans la
substance
blanche. La moelle cervicale ne présente pas d'
a moelle cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la
substance
blanche, les cornes prises sont régulières, leurs
ISTOLOGIQUE. -Coupes du lobe paracentral droit. - Les couches de la
substance
grise ne sont pas distinctes les unes des autre
mais il n'y a pas d'accumulations de leucocytes dans les gaines. La
substance
blanche présente un très grand nombre de corps
de la corne antérieure. Le ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 341 groupe antérieur de celte corne ains
nes est légèrement sclérosée, il n'y a rien de plus à noter dans la
substance
blanche que des espaces étoilés dépourvus de tu
rieures sont très rares. Le canal de l'épendyme est rempli par une
substance
grenue où se trouvent en assez grande abondance d
sont petits et entourés d'une gaine hyaline asez épaisse. Les deux
substances
sont parsemées de corps granuleux. Sur un fragm
caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches. La
substance
blanche présente une grande quantité de corps amy
ion rameuse très développée dans les . couches superficielles de la
substance
grise; beaucoup de foyer. : .de désintégration
es vaisseaux dans la partie profonde de l'écorce. Les LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE.- 33 3 espaces péri-vasculaires sont dila
s; les gaines infiltrées de corpui- cules de Gtuge, surtout dans la
substance
blanche. Les cellules pyramidales ne sont serré
s que par place, elles sont peu nom- breuses et de petit volume. La
substance
blanche est toute infiltrée de petites cellules
tégration forment des taches grises occupant toute la hauteur de la
substance
grise dans les intervalles qu'ils laissent entr
tage au baume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la
substance
blanche. Il existe de véritables plaques à cont
es vaisseaux dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact de la
substance
blanche, où les noyaux sont abondants. Il exist
entre la première et la troisième couche de l'écorce, LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE.. 345 en général , qu'il débute entre la
atrophie d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ments vers la
substance
blanche sont irréguliers. De ' là l'aspect chag
- Hémisphère droit, coupe d'une circonvo- lution frontale. Toute la
substance
grise est prise en nappe, toujours au même poin
comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la
substance
grise présente de place en place des taches grise
tés du sillon et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine et la
substance
blanche présentent l'infiltration de corps gran
méningo-encéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la
substance
grise se décortique en totalité sur quelques po
e quelques-uns de ces vaisseaux des foyers de désintégration, où la
substance
grise, rendue plus fragile, est tombée en parti
us fragile, est tombée en partie sur les coupes. La limite des deux
substances
et surtout la substance blanche sont parsemées
partie sur les coupes. La limite des deux substances et surtout la
substance
blanche sont parsemées de corps amyloïdes. L'in
ophie cérébrale, mais cette atrophie n'était point la LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 347 grande sclérose lobaire, c'était une
nsition entre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la
substance
grise avec épaississement névroglique, comme nous
tibstai2ce grise. - Les membranes n'o nt pas enlevé des portions de
substance
cérébrale en se détachant; la première couche de
s larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la
substance
grise, celle des petites cellules pyramidales. Ce
veuses arrondies, granuleuses et pigmentées; elles empiètent sur la
substance
grise des deux couches qui les contiennent par
chagriné qui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la
substance
grise et l'état kystique aréolaire qu'on observ
éries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la
substance
grise et la substance blanche sont chargées de
à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la
substance
blanche sont chargées de petites cellules ronde
upart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la
substance
grise où elle est morcelée par le vaisseau vasc
morcelée par le vaisseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la
substance
blanche, nombreux corps granuleux et blocs grai
droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 349 externe et couche des myélocytes nor
iation dans les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la
substance
blanche. Dans le lobe occipital, on retrouve, à
'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la
substance
grise et on peut leur distinguer trois étapes :
bondantes encore. Elle est parsemée de corps granuleux ainsi que la
substance
blanche. Vaisseaux moyennement abondants, un pe
nt comparables, mais beaucoup moins avancées. Au lieu LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
CRISE. 351 de former une bande continue, les po
ppelant la forme des éléments araignée et la paralysie générale. La
substance
blanche est infiltrée d'un grand nombre de noya
il existe une vascularisation anormale très prononcée dans toute la
substance
grise ; les vaisseaux sont ramifiés dans toutes
ant une vaste bande entre la première et la troisième couches de la
substance
grise, et comprenant ainsi la moitié environ de l
ce grise, et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la
substance
grise. Ces foyers sont caractérisés par la rare
s profondes sont allongées, gra- nuleuses et fortement colorées. La
substance
blanche offre une quantité considérable de peti
coupe à ce niveau, on constate une dépres- sion en entonnoir de la
substance
grise, une perte de substance qui s'étend jusqu
e une dépres- sion en entonnoir de la substance grise, une perte de
substance
qui s'étend jusqu'à la substance blanche et est
e la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la
substance
blanche et est recouverte par une paroi flottan
ar des filaments fibrillaires allant de la paroi superficielle à la
substance
grise restante. Cette paroi est composée de deh
êmes de la lésion et disparaît dans la couche superfi- cielle de la
substance
grise normale. Au-dessous, apparaît une couche
e perdent successive- ment dans la couche externe névroglique de la
substance
grise; c'est donc entre cette couche externe et
érée la scissure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La
substance
grise qui forme les parois de l'entonnoir est r
différents : sur certains points, la sériation longitudinale de la
substance
grise est encore assez visible, mais ces séries
bre. Autour de ce foyer, il ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 3Õ3 existe un certain nombre de taches o
és aux points nodaux. Les mailles de ce tissu sont occupées par une
substance
inter- cellulaire qui a disparu des coupes. On
argement dilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la
substance
grise. Lésions de la substance blanche. Dans la
upart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la
substance
blanche. Dans la substance blanche, il existe u
ellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. Dans la
substance
blanche, il existe une large traînée descendant
existe une large traînée descendante, correspondant à la perte de
substance
, de la substance grise, et dans laquelle les fibr
e traînée descendante, correspondant à la perte de substance, de la
substance
grise, et dans laquelle les fibres n'existent t
mêmes tissus fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la
substance
grise au pourtour du foyer sont moins avancées, q
IE PATHOLOGIQUE. par où descendent les fibrilles qui vont former la
substance
grise, on voit, de plus que dans les couches pr
s interstitielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la
substance
blanche, on voit les mêmes lésions que dans les
ésions absolument semblables, mais la traînée des- cendante dans la
substance
blanche au-dessous du foyer, est très large et
d'une paroi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la
substance
grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la
lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la
substance
grise, la couche de névroglie est fibrillaire d
uche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la
substance
blanche, corps granuleux nombreux, aspect fibri
fibrillaire, grosses fibrilles anastomosées. Moelle cervicale. - La
substance
grise à des altérations cellu- laires important
Moelle dorsale. - L'aspect est le même de tout point. LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 3bo- Moelle lombaires Les lésions sont l
ous venons de voir; c'est dans les couches les plus profondes de la
substance
grise, et même au milieu de la substance blanch
s les plus profondes de la substance grise, et même au milieu de la
substance
blanche, qu'on voyait la névroglie former des f
souvent des réactifs pour qu'on puisse s'y arrêter. Du côté de la
substance
blanche, il est facile de voir son atrophie; la
ntermédiaire, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la
substance
grise, enfin les fibres descendantes de la subs
profonde de la substance grise, enfin les fibres descendantes de la
substance
blanche de- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337
les fibres descendantes de la substance blanche de- LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 337 1 vaient nous échapper. C'est là une
ologie, p. 439, 1869. .Herbert Mayor. - Lésions histologiques de la
substance
grise, chez déments, etc. - lVest riding lunati
urnal of mrzztul Science, p. 532, 1883. ' o Luys, - Structure de la
substance
grise. - L'Encéphale, p. 149, 1883. Ranvier.
Marie. - Sclérose infantile. Progrès médical, 1885. LÉSIONS DE LA
SUBSTANCE
GRISE. 389 Obersteiuer. - Voies sanguines du ce
x, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la
substance
grise (A) et donnant il la surface de l'en- cép
Coupe du lobule paracentral (Robèch...) au niveau de l'union de la
substance
grise et de la substance blanche, pour montrer la
ral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la
substance
blanche, pour montrer la rareté des cellules py
re, mais on ignore si ces faisceaux sont en relation réelle avec la
substance
grise du cerveau (Flechsig, Wernicke, Gowers).
stérieurs de la moelle, et ceux qui résultent de l'excitation de la
substance
corticale du cerveau. Dans le premier cas, ce q
à Schiff les 1 Bechterew. - Physiologie de la région motrice de la
substance
corticale du cerveau. (Archives slaves de biolo
ements se produisent avec une parfaite identité lorsqu'on excite la
substance
blanche de ce lobe. Les lobes occipitaux dans l
e df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la région motrice de la
substance
.co1,ticale du cerveau. {Archives slaves de bio
centres voisins du point extirpé doi- vent avoir subi des pertes de
substance
trop peu éten- dues, relativement à ce qui eu r
s partielles ou totales de la zone motrice sur l'excitabilité de la
substance
* blanche du centre ovale, rappellent les noms d
ux excitations. « Les physiologistes italiens avaient montré que la
substance
blanche du centre ovale cesse d'être excitable
ussi, peut-être, arriver sous l'influence de l'accumu- lation d'une
substance
toxique inconnue, qui dans ce cas ne se filtre
eur tour pour cause une grave lésion cranio-cérébrale avec perte de
substance
. Ce premier cas se rattache donc de la façon la
e la compression de cet exsudat mais bien de l'action spécifique de
substances
chi- miques ou parasites, qu'il contient et qu'
er ou à altérer superficiellement, à l'aide d'aiguilles mousses, la
substance
de ces organes; il a rarement fait intervenir l
x, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la
substance
grise (A) et donnant à la surface de l'en- céph
Coupe du lobule 7aracezztul (Itobèch...) au niveau de l'union de la
substance
grise et de la substance 1>lancle, pour montre
ul (Itobèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la
substance
1>lancle, pour montrer la rareté des cellule
fémur, le corps du tibia, présentaient, sous une couche très mince de
substance
compacte, une cavité très considérable remplie de
u col du fémur ; que s'il y a union y elle se fait par le moyen d'une
substance
ligamenteuse. Il invoque à l'appui de cette doctr
ait que lorsque le travail inflammatoire a cessé, ou lorsque déjà une
substance
ligamenteuse sécrétée par la surface intérieure d
e la tête de l'os, et que s'il y a union, elle se fait au moyen d'une
substance
ligamenteuse. D'accord, au moins en partie, ave
du repli synovial, c'est celui qui consiste dans la production d'une
substance
fibreuse qui naît, non du tissu osseux lui-même,
e médullaire, laquelle tapisse les cellules du tissu spongieux. Cette
substance
fibreuse se présente sous l'aspect de faisceaux p
fémur. Cette moitié inférieure de la capsule présentait une perte de
substance
elliptique qui permettait le contact immédiat du
n arrière et à gauche une de ces érosions superficielles ou pertes de
substance
avec coloration brun-jaunâtre, que j'ai si souven
dans le premier sens, le débris de moelle était gris, sans vestige de
substance
blanche; dans le second sens, le débris de moelle
; dans le second sens, le débris de moelle contenait encore un peu de
substance
blanche. Les cordons postérieurs médians du bul
rdons postérieurs médians du bulbe rachidien étaient convertis en une
substance
grise. La coupe représentée figure 5 donne une
ïdiens étaient extrêmement affaiblis; leurs faisceaux séparés par une
substance
rougeâtre; ils permettaient à l'apophyse odontoid
pareot les deux extrémités osseuses. Presque toujours il y a perte de
substance
, et les deux extrémités osseuses réunies n'ont pa
résentait une double courbure latérale très forte. Un morceau de la
substance
du frontal ayant été mis dans l'eau chaude et pre
3° Indépendamment du tissu osseux, formé par la transformation de la
substance
compacte de l'humérus en substance spongieuse, il
formé par la transformation de la substance compacte de l'humérus en
substance
spongieuse, il entre dans l'épaisseur delà tumeur
r. Celle-ci était formée «par « une masse à-peu-près sphérique, d'une
substance
couleur de perle, élastique, dense, trans-« paren
L'enveloppe membra-« neuse de la tumeur étant enlevée avec soin , la
substance
de la masse restée à nu présentait « une structur
mou et « granulé, et, dans quelques points, après avoir entamé cette
substance
peu profondément, « on découvrait dans son épaiss
a forme et sa consi-« stance. Au niveau de la tumeur, les lames de la
substance
compacte s'étaient éloignées, « isolées, déviées
s eu filets de plus en plus déliés, « et avaient ainsi converti cette
substance
en un tissu aréolaire, surtout vers le centre de
entre elles. La plus grande partie de la tumeur était formée par « la
substance
cartilaginifbrme dont nous avons parlé, et qui av
urface: * elle en formait la périphérie. Dans plusieurs points, cette
substance
était altérée, ramollie, «¦ rouge et comparable,
résente des espèces de végétations qui s'enfoncent dans les pertes de
substance
des os du crâne. La même fig. 3 montre les os d
végétation osseuse, la surface externe présente, autour des pertes de
substance
, des productions osseuses très faciles à distingu
du crâne, et qui semblent destinées à réparer en partie les pertes de
substance
. Les tumeurs des autres parties du corps, soit
s sont réunis par leurs bords externes, mais seulement au moyen d'une
substance
membraneuse : les petits orteils distincts occupe
cette perforation, une cicatrice circulaire qui remplace une perte de
substance
de la peau. Cette cicatrice a un aspect muqueux.
et délayés dans une grande quantité de mucus et de salive. Le peu de
substance
alimentaire qui n'était pas rejeté par cette régu
de nutrition peu de jours après sa naissance, attendu que toutes les
substances
alimentaires soumises à la déglutition étaient im
e déglutition pendant « plusieurs années et ne pouvait avaler que des
substances
d'un très petit volume. » C'est d'après ce fait
taqué par sa surface libre. Je crois avoir démontré que la perte de
substance
des membranes muqueuses, ne guérit pas de la même
mbranes muqueuses, ne guérit pas de la même manière que les pertes de
substance
de la peau; que la membrane muqueuse ne se répare
risation, quelque complète qu'on la suppose, les bords de la perte de
substance
de la membrane muqueuse restent toujours distinct
subjacentes par une sorte de rainure; que la cicatrice des pertes de
substance
des membranes muqueuses est fibreuse, mais que la
de la matière noire s'étendait irrégulièrement autour de la perte de
substance
et quelquefois au loin, de manière à dépasser dan
rouges sont ceux qui ont le plus de consistance: ils ressemblent à la
substance
grise d'un cerveau un peu ferme. l,es autres , be
ges sont ceux qui ont le plus de consistance : ils « ressemblent à la
substance
grise d'un cerveau un peu ferme. Les autres, beau
considérable de cet organe, de T œsophage et du diaphragme.—Perte de
substance
de l'estomac remplacé par le pancréas, la rate et
c (voyez fig. 2) a présenté à sa face postérieure une grande perte de
substance
ULC : le pancréas remplaçait les parties détruite
inférieure de la rate concourait également à oblitérer cette perte de
substance
que circonscrit un rebord circulaire très saillan
ng de la grande courbure de l'estomac, obturait en partie la perte de
substance
de la face postérieure : elle offrait à sa surfac
it flétrie, et des matières stercorales s'échappaient par la perte de
substance
de l'intestin; ayant ouvert le ventre, nous trouv
écorce concrète de la tumeur, et on voit que l'intérieur renferme une
substance
qui se tire en filamens comme la substance du tes
e l'intérieur renferme une substance qui se tire en filamens comme la
substance
du testicule, et qui enveloppe un gros vaisseau,
'olive figée. Dans la cavité du crâne on ne rencontre aucune trace de
substance
cérébrale, mais on trouve une masse semblable à c
observée entre les os du crâne et la dure-mère. La totalité de cette
substance
peut être évaluée à 2 onces 1/2. L'analyse en a é
ctères physiques de la graisse humaine, et se composait ; comme cette
substance
, d'une partie solide et d'un liquide huileux anal
__ I La méthode de Dupuytren, qui consiste dans plusieurs pertes de
substance
faites à la peau lâche qui répond au pourtour de
e, naissant par une ligne de démarcation bien tranchée d'une perte de
substance
au moins apparente de la peau, faite comme avec u
donc trouvés exactement dans les conditions d'une plaie avec perte de
substance
, et l'absence de l'infundibulum, de cet intermédi
stin grêle qui avoisine la valvule iléo-cœcale, on voit des pertes de
substance
C, C, que je considère comme des cicatrices d'ulc
s d'ulcérations : on y remarque la forme irrégulière de ces pertes de
substance
; le défaut de reproduction de la muqueuse au nive
; le défaut de reproduction de la muqueuse au niveau de ces pertes de
substance
qui présentent un fond noir très foncé; et enfin
mbrane muqueuse. Sur la valvule iléo-cœcale se voient des pertes de
substance
tout-à-fait semblables. Et enfin, le long du gr
eyer ne constitue qu'un seul et même ulcère, mais encore, la perte de
substance
, débordant en tous sens les follicules agminés, p
pent toute la circonférence de l'intestin, et présentent une perte de
substance
plus ou moins régulièrement disposée en zone, d'o
, la cicatrisation est un écueil; tout le temps qu'existe la perte de
substance
, la vie et même quelquefois la santé se maintienn
épare jamais ; la cicatrice des solutions de continuité avec perte de
substance
des membranes muqueuses diffère donc essentiellem
s ce rapport des cicatrices des solutions de continuité avec perte de
substance
de la peau ; tandis, en effet, que, dans celles-c
oque, qu'il y avait eu attraction des parties voisines de la perte de
substance
. On ne saurait donc révoquer complètement en dout
ifférence de tissu; tandis que la cicatrice qui succède aux pertes de
substance
des membranes muqueuses ne se continue en aucune
s. J'ai été frappé de la disposition en sillon de certaines pertes de
substance
marquées SU, SU, qu'on voit à la partie inférieur
régulieres. Cette membrane muqueuse présentait en outre des pertes de
substance
linéaires, sinueuses, rameuses, fort irrégulières
surtout dans le rectum et l'S iliaque, qu'on rencontre les pertes de
substance
les plus considérables de la membrane muqueuse. Q
ait détruit la membrane muqueuse. Plusieurs ulcérations avec perte de
substance
, et en partie cicatrisées, se voyaient de distanc
rosité découle spumeuse et rouge des incisions qu'on pratique dans la
substance
du poumon. Phlébite pulmonaire caractérisée par d
au niveau de l'S iliaque du colon, la muqueuse présente des pertes de
substances
irrégulières. Les îles de membrane muqueuse qui o
ibres de toute conti- nuitéavec les parties voisines. Ces pertes de
substance
de la muqueuse occupaient une étendue de six pouc
vait pas sentir le fond. Il me sembla que cette ouverture ou perte de
substance
était dirigée horizontalement d'arrière en avant
s le résultat de la compression exercée sur le rectum, et la perle de
substance
un effort conservateur pour expulser les débris d
e par le doigt explorateur pour pénétrer dans l'ouverture ou perte de
substance
: en effet, porté en arrière, en haut, de l'un ou
t dans une direction horizontale, le doigt pénétrait dans la perte de
substance
. Mon diagnostic était donc celui-ci: dégénérati
Autour du rectum, d'ailleurs intact, il existait «ne grande amasse de
substance
de même nature. Cette dégénération n'avait donn
e adhérait à l'estomac, dont la grosse extrémité offrait une perte de
substance
qu'on croyait consécutive à l'abcès. L'examen att
nir, non à une véritable hypertrophie, mais bien au refoulement de la
substance
du lobe droit, en sorte que ce lobe gauche était
al. Les vaisseaux sous-péritonéaux étaient extrêmement développés. La
substance
du foie était saine, sa couleur un peu jaune. Le
s son épaisseur, j'ai été stupéfait à la vue de la petite quantité de
substance
hépatique proprement dite qui m'est restée après
tait en avant et à gauche, à coté de la fosse temporale, une perte de
substance
circulaire que remplissait une rondelle de masse
ue entre les deux lames compactes de l'os. Le pourtour de la perte de
substance
du frontal était rugueux ; tous les autres os éta
muniquant entre elles pour constituer des foyers multiloculaires ; la
substance
du foie qui avoisi-nait ces petits foyers n'était
base du cartilage aryténoïde droit est mise à nu. Une large perte de
substance
, suite probable de l'ouverture d'un abcès, condui
s avons vu sur la face postérieure du cartilage thyroïde une perte de
substance
circulaire de trois lignes de diamètre. Cette ouv
hérence intime, si bien que la séparation avait entraîné une perte de
substance
de la part du pharynx; en effet, la paroi postéri
nx; en effet, la paroi postérieure du pharynx présentait une perte de
substance
circulaire, et cette perte de substance était le
arynx présentait une perte de substance circulaire, et cette perte de
substance
était le résultat de la pression exercée par le b
postérieure du pharynx, par un goître volumineux; que cette perte de
substance
par pression serait bien plus fréquente, si le go
u bord postérieur de ce cartilage. Dans le cas qui précédera perte de
substance
occupait toute l'épaisseur du pharynx, et des adh
Dans les trois ou quatre autres cas que j'ai observés, la perte de
substance
n'avait pas envahi toute l'épaisseur des parois.
cas d'empyème circonscrit communiquant à l'extérieur par une perte de
substance
des muscles intercostaux : au reste, aucun de ces
tes frac-ce turées paraissaient n'avoir éprouvé aucune déperdition de
substance
. M. Leroux présume que l'ouver-ce ture existante
pneumocèle avoisine le sternum ST. La fig. 2 représente la perte de
substance
des parois thoraciques à travers laquelle lepoumo
une certaine étendue, alors le poumon s'insinue à travers la perte de
substance
, d'où le déplacement. Le (i) Quant à l'origine
tumeur également adhérente à la dure-mère était également entourée de
substance
cérébrale en bouillie. La troisième tumeur ou tum
les à l'œil nu. Ces trois tumeurs m'ont paru formées aux dépens de la
substance
cérébrale. Réflexions. Il est rare que la cache
hagique analogue à celle qui détermine l'injection dans les veines de
substances
irritantes. (i) Voyez Traité des maladies dé la
circonférence de ce vaisseau, qui semblerait avoir subi une perte de
substance
comme avec un emporte-pièce. 5° Du reste, ce fa
a poche anévrysmale et qui venait faire saillie à travers la perte de
substance
. Mais cette digue ne pouvait être que temporaire
fondes de la surface interne de la base du crâne. — Pénétration de la
substance
cérébrale dans les érosions ou petites excavation
en soulevant le cerveau cle bas en haut et d'avant en arrière, que la
substance
grise de •cet organe semblait sortir des fossette
n nécessaires pour l'ablation du cerveau suffisaient pour déchirer la
substance
cérébrale dont quelques petites portions restaien
tites excavations de la base du crâne, sans exception, s'enfonçait la
substance
cérébrale. La voûte du crâne m'a présenté des e
crâne. Cette poche était remplie par un liquide puriforme, et par la
substance
cérébrale qui s'engageait dans la cavité du pédic
hronique ou subaiguë, ayant pour effet une sorte de combinaison de la
substance
cérébrale avec la sérosité. C'est à ce ramollisse
'épa-nouissant de suite en une tumeur sphéroïdale qui présentait deux
substances
bien distinctes : i° une substance cartilagineuse
r sphéroïdale qui présentait deux substances bien distinctes : i° une
substance
cartilagineuse et osseuse qui constituait le tier
se et osseuse qui constituait le tiers inférieur de la tumeur; 2° une
substance
encéphaloïde, très molle, de consistance de bouil
pour de la matière encéphaloïde, mais qui pourrait bien n'être que la
substance
grise du cerveau, dont la pénétration dans des ce
capillaire. Plusieurs fois on m'a présenté comme ramollies dans leur
substance
grise, des moelles parfaitement saines, et récipr
s sur des ramollissemens de moelle, dans lesquelles il est dit que la
substance
blanche était saine et que la substance grise éta
lesquelles il est dit que la substance blanche était saine et que la
substance
grise était réduite en une pulpe molle, comme si
que la substance grise était réduite en une pulpe molle, comme si la
substance
grise ne se présentait pas dans l'état normal sou
ne erreur de même nature qui aurait fait admettre ce principe, que la
substance
grise de la moelle est plus sujette au ramollisse
ubstance grise de la moelle est plus sujette au ramollissement que la
substance
blanche. Quant aux ramollissemens produits par de
, lesquels refouleraient au-dessus et au-dessous du point comprimé la
substance
médullaire. La tumeur, examinée en elle-même es
uleuse, d'une couleur gris cendrée, assez analogue à la couleur de la
substance
corticale des corps striés: elle lui ressemble au
étaient remplies par une sorte de bouillie blanche, semblable à de la
substance
médullaire écrasée et délayée dans de la sérosité
qui a macéré dans l'alcool. Il y avait distinction parfaite des deux
substances
. Le volume de la moelle était d'ailleurs dans l'é
elle qui a macéré clans l'alcool concentré. L'atrophie a porté sur la
substance
grise encore plus que sur la substance blanche. C
tré. L'atrophie a porté sur la substance grise encore plus que sur la
substance
blanche. Cette substance grise a presque complète
ur la substance grise encore plus que sur la substance blanche. Cette
substance
grise a presque complètement disparu, et ce qui r
Plusieurs petites cicatrices de foyers anciens dans l'épaisseur de la
substance
médullaire. Ramollissement rouge amarante de pl
de plusieurs circonvolutions cérébrales : la rougeur est limitée à la
substance
grise; dans un certain nombre de points, le ramol
e, l'induration linéaire du pédoncule gauche, les petits foyers de la
substance
médullaire du cerveau, ne peuvent pas rendre comp
. Fausse paraplégie. — Cicatrices anciennes de ramollissement de la
substance
grise des circonvolutions. —Ramollissement réce
ces circonvolutions flétries. Infiltration séreuse et porosité de la
substance
cérébrale sous-jacente. L'infiltration séreuse ou
trouvé un ramollissement récent couleur hortensia foncé, limité à la
substance
grise et occupant un grand nombre de circonvoluti
de ce point, les cordons médians postérieurs sont transformés en une
substance
gris jaunâtre, et cette transformation a lieu de
ignait de ce point central, la matière gélatiniforme diminuait, et la
substance
médullaire augmentait. Les nerfs qui procèdent de
on analogue à celui qu'on observe dans les grands ramollisemens de la
substance
cérébrale, La tumeur de îa queue de cheval donn
on de la moelle. Quant à la conversion du cordon médian postérieur en
substance
gris jaunâtre, j'aurai occasion d'en parler au su
tion. Au niveau de ces îles gris rougeâtre , il y a destruction de la
substance
blanche, dont les fibres sont coupées net. La cou
uelle est la nature de ce tissu induré ? Est-ce la trace de pertes de
substance
, de ramollissemens spontanés , un mode particuli
orter cette transformation grise, gris jaunâtre, gris rougeâtre de la
substance
blanche ? Est-ce une atrophie? Est-ce la conséque
rise, excepté dans un point de sa surface où elle présente une île de
substance
blanche. Les corps restiformes présentent égaleme
pyramides antérieures: à deux pouces au dessous du bulbe, reparaît la
substance
blanche et plus bas la transformation grise. La p
et de gris; elle est comme gélatineuse, demi transparente: une île de
substance
grise T G se voit à la réunion des deux tiers sup
qui présente une très grande densité, une destruction partielle de la
substance
blanche, de telle manière qu'on voit alterner des
e qu'on voit alterner des îles blanches et des îles gris jaunâtre. La
substance
grise est très dense et les fibres blanches sembl
t les fibres blanches semblent avoir été détruites au niveau de cette
substance
. Les racines postérieures des nerfs spinaux ne so
grise T G, sauf dans quelques points où elle présente des vestiges de
substance
blanche disposées à la manière d'îles. Ces îles d
tiges de substance blanche disposées à la manière d'îles. Ces îles de
substance
blanche sont en léger relief. Leur circonférence
e dentelée. Il est donc probable que la couche superficielle de cette
substance
blanche a été détruite au niveau de la transforma
minué de volume; ses lamelles de divers ordres, les proportions de sa
substance
blanche et de sa substance grise étaient les même
es de divers ordres, les proportions de sa substance blanche et de sa
substance
grise étaient les mêmes: cette espèce d'indépenda
upes à la protubérance pour déterminer quelle était l'épaisseur de la
substance
ou mieux de la transformation grise; tout l'étage
qu'il y avait seulement destruction de la couche blanche qui revêt la
substance
grise. Le corps calleux a subi la transformatio
partout ailleurs, la ligne de démarcation est bien tranchée entre la
substance
blanche normale et la dégénération grise. J'ai
e la moelle et consiste dans une transformation de ces cordons en une
substance
gris jaunâtre, demi transparente. Cette dégénérat
de la moelle, antérieurs et latéraux, étaient parfaitement sains; la
substance
grise parfaitement saine. Réflexions. Dans le c
a fibrine,attendu qu'elle m'a présenté toutes les propriétés de cette
substance
. En effet, l'acide nitrique lui a fait prendre un
mais qui occupe une certaine profondeur, et au niveau de laquelle la
substance
blanche a complètement disparu. Ce tissu est dens
sa consistance accoutumée. Une remarque bien importante, c'est que la
substance
grise manquait complètement au niveau du rétrécis
tres faits que j'ai recueillis sur la compression de la moelle que la
substance
grise ait manqué complètement au niveau de cette
de cette compression. Il semble que cette compression ait refoulée la
substance
grise au-dessus et au-dessous du point comprimé ,
é gauche de cet organe. Ce foyer sanguin était formé aux dépens de la
substance
grise seulement. La couleur du sang était lie-de-
légèrement ochrée. Dans presque toute l'étendue de l'épanchement, la
substance
grise était remplacée par du tissu filamenteux. L
ment, la substance grise était remplacée par du tissu filamenteux. La
substance
blanche paraissait avoir moins d'épaisseur que de
et n'a fait irruption ni au dedans ni au dehors dans aucun point. La
substance
cérébrale, qui est en contact immédiat avec le sa
es deux hémisphères étaient parfaitement sains. Il nous a paru que la
substance
grise de quelques circonvolutions occupant la par
v.) est petite et déformée, et présente deux cicatrices avec perte de
substance
au voisinage de son bord inférieur. A droite, l'a
dois insister sur cette circonstance, que la cicatrice avec perte de
substance
de la moitié droite de cette protubérance était p
jaunâtre, infiltré de sérosité, remplissait l'une et l'autre perte de
substance
. La faux du cerveau présentait à droite une tum
outre plusieurs cicatrices des circonvolutions et plusieurs pertes de
substance
très petites au centre de l'hémisphère. Dans un
e droit du cerveau comme sillonnées par des cicatrices jaunâtres ; la
substance
blanche est, sous quelques cicatrices, ramollie e
au de manière à se creuser une cavité par le simple refoulement de la
substance
cérébrale ? Bien qu'il soit par fois difficile de
e; car s'il y avait eu simple dépression, on aurait trouvé vestige de
substance
grise, on aurait encore trouvé la pie-mère entre
tre la tumeur et le cerveau, et ici la tumeur plongeait au sein de la
substance
blanche. Il me paraît donc raisonnable d'admettre
mince qui la séparait des membranes a été atrophiée ou détruite. La
substance
blanche qui entourait la tumeur, et cela à une gr
ans le reste de son étendue, en était séparée par une couche mince de
substance
cérébrale. Les tubercules dont cette tumeur est h
bercules dont cette tumeur est hérissée s'enfonçaient au milieu de la
substance
blanche ramollie dont il était très difficile de
t très difficile de les séparer complètement. Le ramollissement de la
substance
cérébrale s'étendait à une assez grande distance;
s. La fig. 3 représente une tumeur que j'ai retirée du milieu de la
substance
blanche ramollie d'un cerveau : la section de cet
ir pour siège tantôt le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, tantôt la
substance
cérébrale elle-même. Je mentionnerai un fait dans
par une pseudo-membrane parcourue par des vaisseaux : tout autour la
substance
cérébrale était ramollie. L'autre abcès, plus con
ssion exercée par la tumeur, mais bien à une lésion consécutive de la
substance
cérébrale ambiante, et cette lésion peut être une
on de l'intelligence. A l'ouverture, ramollissement hortensia de la
substance
grise du plus grand nombre de circonvolutions de
un gros grain de raisin, logés dans les anfractuosités, adhérens à la
substance
grise qui paraissait intacte. La cavité dite digi
cules superficiels qui étaient en partie logés dans l'épaisseur de la
substance
grise : ces tubercules étaient enkystés. Le kyste
ie, et entraîner la mort par suite d'une lésion des méninges ou de la
substance
cérébrale. MALADIES DU CERVEAU. ygf livraison
es affectées sont converties en une espèce de pulpe semblable à de la
substance
cérébrale broyée avec du sang; 4° que des degrés
qu'à la fin, et ne résulte nullement de la combinaison du pus avec la
substance
cérébrale ; 6° que le ramollissement rouge et le
le ramollissement blanc ou sans couleur affectent le plus souvent la
substance
grise, si bien que, dans un très grand nombre de
rès grand nombre de cas, Faltération est exactement limitée par cette
substance
grise qu'on enlève à la manière d'une pulpe, la s
e par cette substance grise qu'on enlève à la manière d'une pulpe, la
substance
blanche subjacente étant parfaitement saine ; mai
ement (et plus particulièrement le ramollissement blanc) s'étend à la
substance
blanche , qu'il envahit plus ou moins profondémen
aires des circonvolutions affectent presque toujours exclusivement la
substance
grise. Il en résulte que, lorsque nous trouvons u
n résulte que, lorsque nous trouvons une circonvolution dépouillée de
substance
grise, laquelle est remplacée par une pellicule j
sous-arachnoidienne remplissait le vide qui résultait de la perte de
substance
. On voit qu'un grand nombre de circonvolutions
tance, se voyait une pellicule peau de daim remplaçant une portion de
substance
grise détruite. Hémisphère droit. Destruction d
rveau.—Hémisphère droit {coté opposé à la paralysie). Grande perte de
substance
des circonvolutions occipitales inférieures, qui
et par un tissu cellulaire lâche infiltré de sérosité. Cette perte de
substance
des circonvolutions s'étend à toute l'épaisseur
à toute l'épaisseur de la portion réfléchie du ventricule latéral. La
substance
grise de plusieurs circonvolutions est remplacée
lusieurs circonvolutions est remplacée par une pellicule jaunâtre. La
substance
blanche, qui forme le centre ou noyau du lobe occ
ait de chaux; 2° un ramollissement hortensia clair dans la portion de
substance
blanche qui avait, pour ainsi dire, échappé à cet
hère gauche. Trois circonvolutions occipitales présentent, au lieu de
substance
grise , des pellicules peau de chamois. Dans l'ép
siège du ramollissement. Lorsque le ramollissement est limité à la
substance
grise, les symptômes de paralysie sont rarement p
ctique occupant le centre d'une grande circonvolution, et étendu à la
substance
blanche subjacente. Des points rouges d'apoplexie
. Des points rouges d'apoplexie capillaire se voient çà et là dans la
substance
blanche, qui entoure le foyer. En même temps qu
, A C, caractérisée par des points rouges, disséminés au milieu de la
substance
grise, et même au milieu de îa substance blanche:
, disséminés au milieu de la substance grise, et même au milieu de îa
substance
blanche: ces points rouges sont quelquefois linéa
blanche: ces points rouges sont quelquefois linéairement disposés. La
substance
cérébrale n'a pas subi de ramollissement : c'est
illaire à foyers miliaires). Ces petits foyers occupent en général la
substance
grise, les uns la couche superficielle, les autre
s uns la couche superficielle, les autres la couche profonde de cette
substance
grise; les premiers sont à nu après l'ablation de
tion de la pie-mère ; ceux-ci sont recouverts par une couche mince de
substance
grise, et à leur niveau, la surface du cerveau pr
s à la surface du cerveau, quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la
substance
grise. Mais indépendamment de ces taches d'un rou
uge noir, on voyait à la surface du cerveau et dans l'épaisseur de la
substance
grise une foule de très petites granulations brun
u de chamois, que je considère comme la suite du ramollissement de la
substance
grise des circonvolutions. La surface de la protu
nulations miliaires et des cicatrices pelliculaires qui remplacent la
substance
grise détruite , établit l'affinité qui existe en
uperficielles, les autres étaient recouvertes par une couche mince de
substance
cérébrale à travers la transparence de laquelle o
uxta-posées par les ecchymoses qui occupaient toute l'épaisseur de la
substance
grise. En outre, il existait, dans l'épaisseur de
s circonvolutions. En effet, dans l'apoplexie, il y a déchirure de la
substance
cérébrale, comme dans la contusion, mais avec cet
n a enlevé la pie-mère; les autres recouverts par une couche mince de
substance
cérébrale. Ces petits foyers miliaires doivent êt
re disséminée envahit un très grand nombre de points à-la-fois, et la
substance
cérébrale intermédiaire est toujours dans l'état
un aspect rugueux, ou qui sont contenus dans l'épaisseur, soit de la
substance
grise, ce qui est plus commun, soit de la substan
sseur, soit de la substance grise, ce qui est plus commun, soit de la
substance
blanche, j'ai déjà dit que j'avais rencontré plus
face des plaques hémorrhagiques, formées par du sang infiltré dans la
substance
grise, qui a presque complètement disparu dans le
là un ramollissement rouge, qui résulte d'une sorte d'attrition de la
substance
grise mêlée au sang. Ailleurs ce sont de petites
par infiltration et par concrétions miliaires, qui occupe surtout la
substance
grise, mais non à l'exclusion de la substance bla
, qui occupe surtout la substance grise, mais non à l'exclusion de la
substance
blanche, est entourée d'un tissu cérébral jaune s
. Plusieurs foyers d'apoplexie capillaire existaient çà et là dans la
substance
grise du cerveau. L'hémisphère droit présentait à
t des ecchymoses , qui n'occupaient que la couche superficielle de la
substance
grise. Ces ecchymoses se voyaient le long des vei
l est des foyers qui occupent la couche superficielle seulement de la
substance
grise ; il en est qui occupent la moitié de l'épa
la moitié de l'épaisseur et d'autres enfin toute l'épaisseur de cette
substance
grise. Aucun ne la dépasse et ne s'étend jusqu'à
e cette substance grise. Aucun ne la dépasse et ne s'étend jusqu'à la
substance
blanche. Dans les points où l'extravasation ou
anguine n'est pas considérable, à peine y a-t-il ramollissement de la
substance
cérébrale. Quelques foyers de ramollissement semb
lissemens guéris ; de ces cicatrices les unes offrent des pertes de
substance
à bords coupés à pic, dentelés et recouverts par
onvolutions; l'hémiplégie produite par une apoplexie capillaire de la
substance
grise des circonvolutions, la couche optique et l
amollissement lie-de-vin très clair ou lilas dans la totalité de leur
substance
grise. Ces circonvolutions ont évidemment augment
capillaire la plus intense. Ce ramollissement est partout limité à la
substance
grise. 2" Dansl'hémisphèregauche, les circonvol
st peu considérable et les membranes s'enlèvent sans lacération de la
substance
cérébrale ; en aucun point la maladie n'a franchi
de la substance cérébrale ; en aucun point la maladie n'a franchi la
substance
grise. Le corps strié, vu du côté du ventricule,
ntricule, présente une légère dépression qui répondait à une perte de
substance
du corps strié, mais sans coloration particulière
es plaques lie-de-vin qui résultent de la combinaison du sang avec la
substance
cérébrale, on voit à la surface du cerveau des gl
sphères, établit que l'extravasadon sanguine n était pas limitée à la
substance
grise; qu'elle occupait encore la substance blanc
n était pas limitée à la substance grise; qu'elle occupait encore la
substance
blanche : elle montre les variétés de l'apoplexie
t comme gau-dronnés. On reconnaît aisément dans ces petites masses la
substance
cérébrale, mais indurée, d'une couleur brun-marro
ès amincies et très denses; on eût dit qu'elles étaient réduites à la
substance
corticale indurée. Il est à remarquer que ces cir
ait surtout remarquable à la dure-mère; au centre de la tumeur est la
substance
cérébrale. Il y avait donc encéphalocèle. La mass
ncontré de cysticerques qui fussent situés profondément au sein de la
substance
blanche. Les cysticerques sont d'ailleurs tantô
e kyste purulent peut être très aisément énu-cléé, mais une couche de
substance
cérébrale ramollie est restée adhérente à sa surf
ce veineuse semblent se détacher de, ces parois pour pénétrer dans la
substance
cérébrale. lie pus fétide, filant et grumeleux
ppé au dehors. Cette couche verdâtre n'occupait que l'épaisseur de la
substance
grise: toute la partie du cerveau qui était posté
l'irritation causée au cerveau et à ses membranes, inflammation de la
substance
cérébrale, formation d'un abcès enkysté. Plus tar
-mère extérieure à la pie-mère intérieure; et le ramollissement de la
substance
cérébrale peut être consécutif à l'inflammation d
es abcès enkystés du cerveau ne révèlent leur présence que lorsque la
substance
cérébrale qui les environne est le siège d'un tra
nde si la maladie a son siège dans la séreuse ven-triculaire, dans la
substance
cérébrale ou dans l'arachnoïde extérieure. Dans t
présence d'une collection de liquide au-dessous d'une couche mince de
substance
cérébrale; et, en effet, une ponction peu profond
e granulée et d'une couleur rosacée. Sa surface externe adhérait à la
substance
cérébrale ramollie. Cette membrane était composée
des vaisseaux déliés , qui pénétraient déjà la fausse membrane. La
substance
cérébrale qui environnait les kytes présentait,da
par suppuration avec enkystement et ramollissement blanc-manger de la
substance
cérébrale environnante. Nous ne trouvons nullem
e antérieur et sur le lobe postérieur de l'hémisphère gauche, dont la
substance
blanche, ramollie à la manière du blanc-manger, é
e sa hauteur. Les os du crâne correspondans présentaient une perte de
substance
aux dépens de leur table interne et du diploé. La
dante à la tumeur, depuis la convexité jusqu'à la base. A la base, la
substance
grise des circonvolutions avait seule été respect
au n'offrait aucune solution de continuité au niveau de la tumeur; la
substance
grise s'enfonçait dans toutes les anfractuosités.
volutions dédoublées, dont il ne restait, à proprement parler, que la
substance
grise, tapissée par une couche blanche analogue a
ans le foyer est coagulé, d'un noir brunâtre, tellement adhérent à la
substance
cérébrale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer s
phère droit, ont été détruites d'une manière irrégulière. La perte de
substance
est couverte d'une cicatrice brun jaunâtre, qui s
a face inférieure du lobe gauche du cervelet LG présente une perte de
substance
considérable, remplacée par une pellicule brun-ja
r une pellicule brun-jaunâtre C,C. La circonférence de cette perte de
substance
est irrégulièrement dentelée. La coupe fig. i' mo
pe fig. i' montre la ténuité de cette pellicule, et l'intégrité de la
substance
cérébrale sous-jacente. Une circonstance commun
brale sous-jacente. Une circonstance commune à toutes les pertes de
substance
du cervelet et du cerveau, c'est la présence d'un
s-arachnoïdienne, destinée à remplir les vides que laisse la perte de
substance
. Il y a d'ailleurs identité parfaite entre la p
ètement la forme primitive, il n'y avait plus de distinction entre la
substance
grise et la substance blanche : la substance gris
tive, il n'y avait plus de distinction entre la substance grise et la
substance
blanche : la substance grise était moins grise, l
de distinction entre la substance grise et la substance blanche : la
substance
grise était moins grise, la substance blanche moi
se et la substance blanche : la substance grise était moins grise, la
substance
blanche moins blanche, et les lobules atrophiés e
in. Cervelet. Dans son lobe droit, kyste apoplectique qui occupe la
substance
blanche au niveau de la grande circonférence de c
un quart de ligne de largeur, et l'altération peut être limitée à la
substance
grise. La couleur delà cicatrice est plus ou moin
, et que, par conséquent, elles occupent presque indifféremment et la
substance
grise et la substance blanche. Fig. 4. La fig
nt, elles occupent presque indifféremment et la substance grise et la
substance
blanche. Fig. 4. La fig. 4 a pour sujet un ce
dont l'origine a dû être la sécrétion d'une e liqueur morbifique. La
substance
de cette corne était dense, compacte et presque t
eds. ce Analyse. —• Une macération prolongée dans l'eau ramollit la
substance
des cornes, elle sépare les c fibres longitudinal
plus long séjour dans l'eau. ce L'eau froide n'enlève rien à cette
substance
: elle n'a pas plus d'action à la température de
autrement que l'eau à la température ce ordinaire. Ils dissolvent la
substance
à chaud, mais avec assez de difficulté et lorsque
de celle ce dont elle tire son origine. L'acide nitrique agit sur la
substance
de ces cornes comme sur la plupart c des matières
sorte d'apparence nacrée. Avec l'aide de la chaleur, la couleur de la
substance
devient orangée , « puis elle disparaît; la disso
et la liqueur restante présente « des traces d'acide oxalique. Cette
substance
brûle sans flamme et répand l'odeur désagréable q
doit à Hatchett, on reconnaîtra une assez grande analogie entre cette
substance
et « ce que ces savans ont vaguement désigné sous
uve qui éta-« blissent de grandes probabilités pour faire regarder la
substance
des cornes humaines comme de Falce bumine qui a é
re l'analyse. L'analyse chimique a démontré à M. Landouzy que cette
substance
cornée présente identiquement la même composition
ids de gélatine, ce qui le rapproche beaucoup plus des os. Quant à la
substance
qui constitue les productions cornées, ce n'est n
issent unis entre eux par une matière glutineuse. Plusieurs pertes de
substance
se remarquent au milieu de cette production et ti
il, la corne prenait naissance dans le crâne et se continuait avec la
substance
cérébrale. Ce fait me paraît expliquer la timid
ontournés et arrondis très régulièrement. Les suivantes offrirent une
substance
moins compacte et moins bien organisée. Le grand
urait dû servir à la nutrition de l'os s'était , dit-il, convertie en
substance
cornée par l'effet du contact de l'air et endurci
paraissaient avoir une racine analogue, quoique leur extrémité fût de
substance
cornée. Au bout de chaque doigt et de chaque orte
presque le volume du gland; en même temps, il acquit la dureté d'une
substance
cornée. On s'abstint de toute opération, à raison
nerfs, pratiquée dans la continuité des membres avec ou sans perte de
substance
, donne pour résultat des cicatrices ou très légèr
u, le tissu fut dissous avec le névrilème, et il ne resta plus que la
substance
nerveuse proprement dite, qui ne différait en rie
la substance nerveuse proprement dite, qui ne différait en rien de la
substance
nerveuse du nerf facial du côté sain. MALADIES
te : la paroi inférieure du canal de l'urètre présentait une perte de
substance
assez considérable au niveau de la partie antérie
x ; le bassinet et les calices étaient également très distendus et la
substance
des reins atrophiée. Le corps du testicule droi
aune, par l'absence de toute granulation et par la prédominance de la
substance
corticale sur la substance tubuleuse. Je n'ai auc
e granulation et par la prédominance de la substance corticale sur la
substance
tubuleuse. Je n'ai aucun renseignement sur le suj
petites circonvolutions qui le constituent semblaient amincies, et la
substance
grise parsemée de petits foyers d'apoplexie capil
plus voisine du lobule du corps strié avait elle-même été entamée. La
substance
blanche subjacente aux circonvolutions lacérées o
ente aux circonvolutions lacérées ou détruites était mise à nu. Cette
substance
blanche, parfaitement saine, n'offrait pas la lac
prime d'abord les mamelons des cônes du rein, qui s'effacent, puis la
substance
tubuleuse qui s'efface à son tour en s'éparpillan
ant par suite de la distension, et finit par disparaître ainsi que la
substance
granuleuse, de telle façon que chaque cône plein
i séparent les bases des cônes et les cellules, quelques traces de la
substance
propre. C'est sur deux fœtus mort-nés que j'ai ob
eprésentent des loupes graisseuses développées dans l'épaisseur de la
substance
corticale du rein. C'est la première fois que j'a
n représenté figure 3 m'a paru remarquable par le développement de la
substance
corticale et par l'atrophie de la substance tubul
ar le développement de la substance corticale et par l'atrophie de la
substance
tubuleuse. La nuance de sa couleur, qui tend au j
de cette couche superficielle, des alvéoles fibreuses remplies d'une
substance
gélatiniforme, demi transparente. Il a dès-lors é
ité lorsqu'on ouvrait les canaux dans lesquels il était contenu. La
substance
qui avoisinait la surface des mamelons était conv
gangrène, j'ai trouvé des cavités ou géodes irrégulières, remplies de
substance
caséeuse, jaunâtre, granulée à la manière du riz
répondent au kyste présentent un aspect lobuleux (voyez fig. i'). La
substance
de cette tumeur est partout pénétrée d'un liquide
figures 2 et 3 sont destinées à représenter les aspects divers de la
substance
de la tumeur. La fig. 3 donne une idée exacte de
ui a été envahie, on dirait que c'est au sein mais non dans la propre
substance
de la glande que la tumeur s'est produite. L'hi
aie profonde et adhérente. Une pellicule mince recouvrait la perte de
substance
qui ne fournissait que de loin à loin un suinteme
t enfoncée dans l'épaisseur du cerveau et adhérait à la pie-mère : la
substance
cérébrale ambiante avait subi, dans une grande ét
e nature encéphaloïde me paraît avoir été développée aux dépens de la
substance
cérébrale avec laquelle elle se continuait sans k
tumeur était molle, mais d'une mollesse bien supérieure à celle de la
substance
cérébrale ramollie qui l'environnait. Sa coupe pr
ence par un travail morbide de ramollissement ayant son siège dans la
substance
ambiante du cerveau. L'histoire de la maladie p
un ramollissement, ou plutôt une infiltration séreuse, dans lequel la
substance
cérébrale a perdu sa disposition linéaire et se c
tubercules calcaires d'un grain extrêmement dur, disséminés dans une
substance
fibreuse très dense. Les plus petites tumeurs c
on du sang avec le tissu cérébral. Cette altération était bornée à la
substance
grise des circonvolutions et anfractuosités qui l
et anfractuosités qui limitent en arrière la scissure de Sylvius. La
substance
blanche du voisinage était jaunâtre et comme infi
que l'hypertrophie de l'utérus masquait, pour ainsi dire, la perte de
substance
considérable qu'il avait essuyée, perte de substa
ire, la perte de substance considérable qu'il avait essuyée, perte de
substance
qui m'a paru comprendre, à peu de chose près, la
tincte de la fétidité du cancer; le toucher, qui établit une perte de
substance
sans ces épaississemens et végétations qui accomp
t infiltré de matière jaunâtre: on voit que l'altération porte sur la
substance
tubuleuse, non moins que sur la substance cortica
e l'altération porte sur la substance tubuleuse, non moins que sur la
substance
corticale ; qu'un grand nombre de mamelons ont ét
ont été détruits, si bien qu'au fond de plusieurs calices se voit la
substance
blanc jaunâtre jaspée dont j'ai parlé. En même
écoulement d'un ichor fétide et abondant, et au spéculum une perte de
substance
avec détritus gris-noirâtre, révèlent la présence
sseur du vagin avait été déjà détruite, et que le fond de la perte de
substance
ulcéreuse portait sur le tissu cellulaire induré.
. La poche utérine communiquait avec la vessie par une large perte de
substance
, si bien que la cavité utérine et la cavité vésic
liv.,pl. m,p./; 36eliv.,pl. m, iv, p. 4,3.—Apoplexie capillaire de la
substance
grise et d'une partie de la substance blanche du
4,3.—Apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la
substance
blanche du cerveau. 20e liv., pl. m,iv, p.4.— A q
capillaire? 20e liv., pl. ni, iv, p. 8. — Apoplexie capillaire de la
substance
grise. 24e liv., pl. 1,11,p. 40.— Apoplexie de la
c hy pertrophie considérable de l'œsophage et du diaphragme. Perte de
substance
de l'estomac remplacée par le pancréas, la rate e
tion celluleuse, atrophie avec induration du tissu cérébral, perte de
substance
, transformation d'une partie ou de la totalité de
une de la surface du cerveau et du cervelet; cicatrices avec perte de
substance
des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
velet. 20e liv., pl. m, rv, p. a. — Cicatrices colorées avec perle de
substance
des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
supérieur et des veines qui y aboutissent; apoplexie capillaire de la
substance
grise et d'une partie de la substance blanche. 20
ent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la
substance
blanche. 20e liv., pl. ni, iv, p. 4. — Ramollisse
Mort au bout de quarante-huit heures. Ramollissement lie-de-vin de la
substance
grise; ramollissement blanc delà substance blanch
lissement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc delà
substance
blanche; ancienne cicatrice dans une circonvoluti
iplégie droite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des
substances
grise et blanche du ANAT. PATHOL.--TABLE DES MATI
antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nombreuses avec perle de
substance
des circonvolutions. 20e liv., pl. ni, rv, p. 10.
olutions. 20e liv., pl. ni, rv, p. 10.—Ramollissement hortensia de la
substance
grise d'un 1res grand nombre de circonvolutions e
d nombre de circonvolutions extérieures. Ramollissement puliacé de la
substance
griseelde la substance blanche des circonvolution
ions extérieures. Ramollissement puliacé de la substance griseelde la
substance
blanche des circonvolutions antérieures. Cicatric
nvolutions cérébrales. 32e liv., pl. 1,11,p. tô.—Ramollissement de la
substance
grise des circonvolutions. = Influence des lésion
. Coloration jaune des lamelles du cervelet. Cicatrices avec perte de
substance
de la surface du cervelet. 20e liv., pl. m, p. 2.
ervelet. 20e liv., pl. m, p. 2. — Cicatrices colorées , avec perte de
substance
des lamelles du cervelet. 20e liv., pl. m, p. 3.
atrices du cerveau. 20e liv., pl. m, p. *. — Cicatrices avec perte de
substance
des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
cervelet. 20e liv., pl. ni, p. 2. — Cicatrices colorées avec perte de
substance
des circonvolutions du cerveau etdes lamelles du
u cervelet. 20e liv., pl. m,p. 3.—Cicatrices nombreuses avec perte de
substance
des circonvolutions. 20e liv., pl. m, iv, p. /0.—
. 37e liv., pl. v, p. 3. CICATRISATION. Cicatrisation des pertes de
substance
résultant des différentes formes d'entérites foll
aiguës. 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p. 6. —Mode de cicatrisation de la
substance
blanche ramollie. 20e liv., pl. m, iv, p. /0. — M
ie. 20e liv., pl. m, iv, p. /0. — Mode de cicatrisation des pertes de
substance
de l'estomac. 20e liv., pl. v, vi, p. /.— Mode de
rofondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la
substance
cérébrale dans les érosions ou petites excavation
leuse. 7e liv. , pl. 1, n, m, iv, p. 5. — Cicatrisation des perles de
substance
, résultant des différentes formes d'entérite foll
considérable de cet organe, de l'œsophage et du diaphragme. Perte de
substance
de l'estomac remplacé par le pancréas , la raie e
on. Fausse paraplégie. = Cicatrices anciennes de ramollissement de la
substance
grise des circonvolutions. Ramollissement récenl.
iplégie droite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des
substances
grise et blanche du lobe antérieur de l'hémisphèr
rieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nom- breuses avec perle de
substance
des circonvoluiions. 20e Iiv., pl. m, iv, p. 10.
luiions. 20e Iiv., pl. m, iv, p. 10. — Ramollissement hortensia de la
substance
grise d'un très grand nombre de circonvolutions e
d nombre de circonvolutions extérieures. Ramollissement pultacé de la
substance
grise elde la substance blanche des circonvolutio
ons extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise elde la
substance
blanche des circonvolutions antérieures. Cicatric
marante du cerveau. 32e liv, pl. 1, 11, p. i5. — Ramollissement de la
substance
grise des circonvolutions. 32e liv., pl. 1, 11, p
. v, p. /.— Productions graisseuses dans le rein; développement de la
substance
corticale et atrophie de la substance lubuleuse d
ns le rein; développement de la substance corticale et atrophie de la
substance
lubuleuse du rein. 36e liv., pl. v, p. 4. — Infla
rofondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la
substance
cérébrale dans les érosions ou petites excavation
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'HÉMIANOPSIE D'ORIGINE INTRA-CÉRÉBRALE 3
substance
blanche sous-jacente du lobe lingual est aussi pa
t interne du lobe lingual est détruite, la plus grande partie de la
substance
blanche dece lobule est conservée. Le lobe fusifo
surtout dans le coin antéro-supérieur, où la lésion s'étend sur la
substance
blanche, qui se trouve près du bord supérieur d
nche indique le siège de la sclérose.) 4 JOUKOWSKY couche de la
substance
nerveuse de la paroi interne de la corne postérie
lingual et le lobe fusiforme et que cette lésion pénélrait dans la
substance
blanche sous-jacente jusqu'à la paroi interne de
illon, qui sépare Pj de P2 jusqu'au sillon, qui sépare Ti de T2, la
substance
blanche est com- plètement détruite, présentant
e est com- plètement détruite, présentant l'aspect d'une éponge, la
substance
grise étant conservée et diminuée de volume. La
ée de volume. La dimension du foyer est celle d'une grosse noix. La
substance
blanche du gyrus marginalis est complètement détr
nt à deux centimètres du pôle occi- nital. on Deut remarquer : La
substance
blanche du coin, du lobe lingual et du lobe fus
u ramollis- sement sur la surface interne de l'hémi- sphère. La
substance
blanche qui se trouve près de la lésion est par
entimètres du pôle occi- pital, on trouve : Toute la partie de la
substance
blanche du coin, qui aboutit à la lèvre supérie
, est détruite par le ramollissement ; la partie supérieure de la
substance
blanche du coin est con- servée. Le foyer du ra
uutiic puoLCifcutc uc fctuucnc Il se sépare par une mince couche de
substance
nerveuse. L'écorce du coin, u se sépare par une
nce nerveuse. L'écorce du coin, u se sépare par une mince couche de
substance
nerveuse. L'écorce du coin, qui borne la lèvre
gual qui constitue la lèvre inférieure de la scissure calcarine. La
substance
blanche du lobe lingual est tout à fait détruit
foyer de la destruction ne se sépare que par une mince couche de la
substance
nerveuse de la corne postérieure. L'écorce de l
e fusiforme est aussi détruite. On peut voir sur les coupes dans la
substance
blanche, qui se trouve plus haut que la paroi s
convolution limbique, le lobe lingual et le lobe fusiforme, dont la
substance
blanche est détruite presque complètement. Fig.
imbique et du lobe lingual est con- servée avec une mince couche de
substance
blanche. Dans le lobe fusiforme reste seulement
pos- térieure, de laquelle il se sépare par une mince couche de la
substance
ner- veuse. La partie interne du corps calleu
r du ramol- lissement ne se sépare que par une mince couche de la
substance
nerveuse de la corne postérieure. Une partie de
es frontales, qui passent par la région du pli courbe, on voit : La
substance
blanche de la deuxième circonvolution temporale,d
upe la région de la deuxième pariétale, envahissant en ou- tre la
substance
blanche de la pre- mière pariétale et de la tro
ment qui était localisé dans l'hémisphère gauche et qui occupait la
substance
blanche du pli courbe et des parties voisines d
ramollissement en foyer dans l'hémisphère gauche, qui a détruit la
substance
blanche sous- jacente du pli courbe, où, d'aprè
blée. ' La malade nous affirme qu'elle ne distingue pas le goût des
substances
qu'elle ingère et en effet on peut toucher tout
bleau connu de la poliomyélite, que l'inflammation avait atteint la
substance
grise de bulbe ; on trouva autour des artères d
us ces trois cas des restes d'une inflammation guérie avec perte de
substance
. Le manque d'atrophie et de réaction de dégénéres
de Hoppe-Seyler prouvent, que le processus morbide avait dépassé la
substance
grise et atteint les voix centripètes, soit périp
propos, avec l'observation anatomique du parasite lui-même et de la
substance
nerveuse où il s'est développé, quelques consid
n de la dure-mère, une po- che se rompt faisant éclater la coque de
substance
cérébrale qui l'entoure et laissant échapper un
emporale. En avant et en bas au niveau de la première pariétale, la
substance
grise est refoulée et n'a plus qu'une épaisseur
ste de la vésicule proligère ; cette mem- brane limite une masse de
substance
granuleuse,-ovoïde, longue de 111 l., large de
r animal, des coupes transversales d'autres parasites mon- trent la
substance
granuleuse disposée autour d'une cavité en forme
KYSTES parasitaires DU cerveau 2t 1 L'examen microscopique de la
substance
cérébrale au voisinage du kyste ne nous a pas m
gros, de forme sphérique, globuleuse et l'on ne peut distinguer les
substances
chro- matiques ou achromatiques ; les prolongem
arasitaire. L'hydatide que nous avons examinée est comprise dans la
substance
cé- rébrale, alors que d'après la majorité des
e, avons- nous dit, d'en observer d'assez volumineux, logés dans la
substance
même du cerveau laissant celui-ci intact et ne
vé un kyste du volume d'une petite noix logé dans l'épaisseur de la
substance
sous-jacente à la circonvolution pariétale infé-
asite inoffensif. Comme traitement curateur on administre plusieurs
substances
médi- camenteuses. Lebert donnait du calomel ;
stes, à de très rares exceptions près, étaient i disséminés dans la
substance
grise du cerveau. C'est là un fai qu'on trouve ¡
considéra- ble de kystes qui sont tous venus se constituer dans la
substance
cérébrale. Comment expliquer que c'est la subst
stituer dans la substance cérébrale. Comment expliquer que c'est la
substance
grise qui est seule le siège de la cysticercose
eut-il, grâce à ses crochets, et chemine-t-il jusqu'au niveau de la
substance
grise, où il trouve un milieu beaucoup plus favor
la coupe préfrontale et au pôle frontal, un kyste développé dans la
substance
grise de Fi et de la grosseur d'une lentille ;
d d'un sillon et à la partie supérieure de F3, dont il intéresse la
substance
blanche et la substance grise, un kyste à conte
rtie supérieure de F3, dont il intéresse la substance blanche et la
substance
grise, un kyste à contenu solide, du volume d'u
li inférieur de F2 visible à l'extérieur, mais n'intéressant que la
substance
grise (sur une coupe intermédiaire à la préfronta
g. 1. - Face externe. Hémisphère droit. 44 SÉRIEUX ET MIGNOT sant
substance
blanche et substance grise, un kyste, également s
Hémisphère droit. 44 SÉRIEUX ET MIGNOT sant substance blanche et
substance
grise, un kyste, également solidifié, gros comm
postérieur, et se développant au dépens de Ti dont il intéressé la
substance
grise, un kyste gros comme un petitjpois (coute
ée à 1 cent.5 en avant de la coupe préfrontale, on trouve 1 dans la
substance
grise de F2 deux kystes du volume d'un pois sépar
e frontale, à la hauteur du pied de F2' développé à la fois dans la
substance
grise et la substance blanche de FA, un kyste dég
ur du pied de F2' développé à la fois dans la substance grise et la
substance
blanche de FA, un kyste dégénéré du vo- lume d'
LEXIE ET HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 45 lentille, n'intéressant que la
substance
grise, bien visible sur la coupe occipi- tale ;
eure de FI interne, kyste gros comme un pois n'intéres- sant que la
substance
grise (bien visible sur la coupe supplémentaire p
ils font saillie, mais se développant dans T2 dont ils creusent la
substance
grise, nous constatons ; 9° Un premier kyste de
ume d'un gros pois, visible seulement sur une coupe, et intéressant
substance
blanche et substance grise. 12° A la partie ant
isible seulement sur une coupe, et intéressant substance blanche et
substance
grise. 12° A la partie antérieure du 3" sillon
sa force et sa nature sur une matière extérieure. Non seulement des
substances
, mais encore des accidents actifs de la troisiè
s filles ne peuvent remplacer les aliments, ni se transformer en la
substance
des vieillards, elles servent seulement à excit
exa- men histologique des lésions des. tissus (méninges, vaisseaux,
substance
ner- veuse). I. - ETUDE topographique DES LÉS
aux présentent à ce niveau (fig. 9) le maximum des lésions. Dans la
substance
grise, la base de la corne postérieure gauche e
, et à côté d'eux des vaisseaux normaux, et ceci aussi bien dans la
substance
blanche que dans la substance grise. Il en est
x normaux, et ceci aussi bien dans la substance blanche que dans la
substance
grise. Il en est de même dans le sens vertical
ires. Gaz segment dorsal. 114 LONG ET WIKI petits vaisseaux de la
substance
blanche des corps globuleux, remplis de pig- me
ires, dues à une plus grande friabilité des conduits sanguins. 4.
Substance
nerveuse (axe gris et faisceaux blancs). - Le rel
nse de faire la nomencla- ture complète des lésions en foyers de la
substance
nerveuse. Il montre bien que les dégénérescence
g. 20. - Vaisseaux intra-médullaires. 6e segment dorsal. Fig. 21. -
Substance
grise du côté gauche. 6e segment dorsal. SUR l'
E la moelle épinière 115 Cette diffusion des lésions en foyer de la
substance
blanche se retrouve quand on passe à l'examen d
de la substance blanche se retrouve quand on passe à l'examen de la
substance
grise. Au niveau du 3° segment dorsal, cette de
orsaux, c'est à gauche qu'on retrouve des lésions analogues dans la
substance
grise : raréfaction du réseau fibrillaire, amaigr
ig. 21). L'apparition de ces foyers de lésions destructives dans la
substance
nerveuse - faisceaux blancs et substance grise -
sions destructives dans la substance nerveuse - faisceaux blancs et
substance
grise - coïncide toujours avec une augmentation
e la myélomalacie ; ce ne sont pas en effet de véritables pertes de
substance
. Tous les éléments histologiques normaux de la mo
à droite. Il en est de même des taches scléreuses trouvées dans la
substance
grise et qui ne constituent pas un foyer unique.
un foyer unique. Ces lésions limitées des faisceaux blancs et de la
substance
grise sont- elles le reliquat de petits foyers
l'examen histo- logique, soit par une dystrophie généralisée de la
substance
nerveuse (tissu parenchymateux et tissus inters
encontrent des deux côtés des zones pâles et fusiformes (partie de la
substance
gélatineuse de Rolando) ; de ce fait, et par co
t la surface antérieure des cordons posté- rieurs est augmentée. La
substance
gélatineuse de Rolando occupe le bord extrême d
s fibres verticales placées sur le bord de la moelle al- longée. La
substance
gélatineuse de Rolando, couvrant la partie dorsal
l'isthme, déplaçant les cordons postérieurs en dedans. En outre, la
substance
gélati- neuse de Rolando ne passe pas seulement
sont restés en arrière et situés dans la moelle allongée. Toute la
substance
entre la partie antérieure des cordons postérie
un réseau assez bien développé de fibres myéliniques. Reste pâle la
substance
gélatineuse de Rolando et le triangle autour du c
d'une lamelle assez étroite et foncée, se trouvent en arrière de la
substance
gélatineuse de Ro- lando ; maintenant elle ne v
ons postérieurs et prenant la direc- tion verticale. En avant de la
substance
gélatineuse de Rolando nous trouvons la racine
bres verticales, con- tinuation de cordons postérieurs, en avant la
substance
gélatineuse de Ro- lando, recouverte par la rac
er en arrière jusqu'aux cordons postérieurs. Un peu en dedans de la
substance
gélatineuse de Rolando, des deux côtés sont situé
nt situées des fibres ner- veuses qui traversent horizontalement la
substance
blanche du cordon latéral de la moelle épinière
on latéral de la moelle épinière sous forme d'un arc contournant la
substance
gélatineuse de Rolando dans l'isthme et dans la
En avant, existe la racine spinale du nerf trijumeau, en dedans la
substance
gélatineuse de Rolando qui est dispo- sée seule
inale du nerf triju- meau ; en dedans de ce faisceau on aperçoit la
substance
gélatineuse de Ro- lando, moins nettement indiq
les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs, qui ont formé la
substance
réticulaire blanche. Sur les côtés de la substanc
qui ont formé la substance réticulaire blanche. Sur les côtés de la
substance
réticulaire blanche, à la place de la corne ant
a racine descendante du nerf triju- meau, entourée en dehors par la
substance
gélatineuse de Rolando. Sur les côtés de la lig
t, sans entrer ici dans les détails, qu'une lésion irrilative de la
substance
grise cérébrale donne lieu à du spasme, qu'une de
à du spasme, qu'une destruction in- complète et partielle de cette
substance
donne lieu au tremblement mus- culaire, et qu'e
me une orange, d'une consistance demi-molle, analogue à celle de la
substance
cérébrale, d'une couleur gris-rosé, et nettement
le chiasma une languette de deux centimètres environ de large de la
substance
du lobe frontal ; en longueur, la tumeur s'étend
s et formés par les méninges molles, épaissies, qui l'isolent de la
substance
céré- brale et lui forment une capsule d'envelo
chent, par l'intermédiaire de la pie-mère et de ses vaisseaux, à la
substance
cérébrale. Le résultat des pesées est le suivan
ui-là ; la tumeur était, dans un accolement étroit, juxtaposée à la
substance
grise corticale, et non substituée à elle dans
coupes portant à la fois sur la périphérie et sur la portion de la
substance
cérébrale adjacente à la tumeur, la présence d'un
es. Virchow hésite à dire si ce sable procède des cellules ou de la
substance
intercellulaire. Pour Meyer (4), la transformat
les. Dans une première, ce sable serait dû à l'ossifi- cation de la
substance
nerveuse ; el dans une autre, il accuse la myélin
, d'après Robertson, l'envahissement des corps cellulaires, par une
substance
d'apparence ho- mogène et vitrée, nedonnantpas
Enfin on la ren- - contre aussi dans les corps concentriques. La
substance
qui envahit la cellule peut, dans quelques cas, s
atoxyline). Un peu plus tard, ces cellules présentent des grains de
substance
hyaline, puis les rejettent au dehors, en même
odification pathologique ; c'est une diminu- tion d'épaisseur de la
substance
grise; elle paraît tassée et comprimée par le 1
marquées qu'on s'écarte de la tumeur. Nous avons donc prélevé de la
substance
corticale sur différents points et nous avons rec
la tumeur ; sur certaines coupes où l'on trouve à la fois et de la
substance
néoplasique et de l'écorce, celles-ci sont telles
o (3) écrit que la chromatolyse est une véritable dissolution de la
substance
chromatique au sein du protoplasma. D'autre part,
ement. « La chromatolyse, dit-il, consiste en une dissolution de la
substance
chromatique au sein du protop ! asma. Cette disso
tion n'atteint pas tout l'élément chromatophile, mais simplement la
substance
chromatique qui imprègne à ce niveau les trabéc
points no- daux du réseau protoplasmique. Il s'ensuit que, quand la
substance
chro- matique est dissoute, persiste la partie
i à la généraliser à tous les éléments mésodermi- ques. - Dans la
substance
nerveuse, le même phénomène phagocytaire se cons-
fixer leur énergie dans les centres (transformation d'une certaine
substance
instable .r en une autre substance .r'), les autr
s (transformation d'une certaine substance instable .r en une autre
substance
.r'), les autres se réfléchissent immédiatement
celles qui résultent de la retransformation de la subs- tance x' en
substance
x). Or s'il arrive que les neuro-diélectriques em
eaux de Goll et de Burdach. En avant de ces faisceaux est placée la
substance
gélatineuse de Rolando. Encore plus en avant se t
postérieure (Phot. 20). En avant du cordon postérieur est placée la
substance
gélatineuse de Rolando et dans l'es- pace compr
sans changements. Au devant des cordons postérieurs on trouve : la
substance
gélatineuse de Rolando, entre laquelle et les c
iques, dans la partie abaissée de la moelle allongée, est placée la
substance
gélatineuse de Rolando, limitée par la périphér
dons postérieurs de la moelle épinière ont complètement disparu. La
substance
gélatineuse de Rolando a en grande partie passé d
ôtés de la ligne médiane. A côté de la moelle allongée se trouve la
substance
gélatineuse de Rolando, limitée en dehors par les
: les cordons postérieurs, la racine spinale du nerf trijumeau, la
substance
géla- tineuse de Rolando, le faisceau cérébelle
sont bien développés. En avant des cordons postérieurs se trouve la
substance
gélati- neuse de Rolando, entourée postérieurem
e. Du côté où les cordons postérieurs sont plus mal développés, 'la
substance
gélatineuse de Rolando a diminué de volume compar
fibres arciformes externes. Le long du bord antérieur est placée la
substance
gélatineuse de Rolando, in- diquée très faiblem
ng du bord antérieur, en arrière des fibres arciformes, apparaît la
substance
gélatineuse de Rolando, sous forme d'un corps a
encore remarquer dans la moelle épinière le non développement de la
substance
gélatineuse de Rolando du côté auquel touche la
l'extrémité de ce faisceau. Le long du bord antérieur se trouve la
substance
gélatineuse de Rolando, limitée d'un côté par l
as développés à un plus haut degré que dans la coupe précédente. La
substance
gélatineuse de Rolando, est d'un côté suffisamm
re moitié de la moelle épinière, à son extrémité même, se trouve la
substance
gélatineuse de Rolando ; encore plus en avant du
aisceau cérébelleux. Sur le côté opposé dans la moelle épinière, la
substance
gélatineuse de Rolando est absente, mais par co
de ces fibres myéliniques, au bord de la moelle, nous apercevons la
substance
gélatineuse de Rolando, beaucoup mieux indiquée q
ieur est placée la racine spinale du nerf trijumeau. Eu avant de la
substance
gélatineuse de Rolando est placé le faisceau céré
pas la même forme, et leur 'quantité est plus petite. Plus loin la
substance
gé- latineuse de Rolando est bien mieux dévelop
ves. Les cordons latéraux disparaissent et à leur place apparaît la
substance
réticu- laire. Les pyramides sont très en évide
s dans la partie abaissée du bulbe rachidien nous trouvons aussi la
substance
gélatineuse de Rolando, la racine spinale du ne
sé nous rencontrons toutes ces parties (les cordons postérieurs, la
substance
gélatineuse de Rolando, etc.) dans la moelle épi-
yéliniques. Des deux côtés des cordons postérieurs nous trouvons la
substance
gélatineuse de Rolando, qui est limitée en arri
racines postérieures ; avec les cordons postérieurs est reculée la
substance
gélatineuse de Rolando. Les côtés des cordons p
e, où nous voyons les cordons postérieurs, limités aux côtés par la
substance
gélatineuse de Rolando. Le tableau est tout il
ux. Des deux côtés des cordons postérieurs on aperçoit nettement la
substance
gélatineuse de Rolando limitée des côtés du comme
le canal central est déplacé dans la direction arrière et aussi la
substance
gélatineuse de Ro- lando, placée dans les coupe
dons latéraux sont diminués de volume et à leur place est située la
substance
réticulaire. A cause de la diminution des cordo
lle nous rencontrons les noyaux de Goll et de Burdach, en dehors la
substance
gélatineuse de Rolando, considé- rablement dimi
s autres constituant ainsi des cavités séparées par des colonnes de
substance
intercellulaire (rivulation), bientôt, les vais
ais une zone sériée. Le cartilage s'ossifie par calcification de la
substance
fondamentale, de telle sorte que l'on trouve soit
de l'achondroplasie. Si dans les deux' observations précédentes, la
substance
toxique semble provenir de l'organisme maternel
l'odorat qui ont paru les plus inoffensives. On peut reprocher aux
substances
odorantes de posséder en même temps que leurs p
veineuse et lymphatique de l'encéphale : c'est l'intoxication de la
substance
cérébrale par les poisons cellulaires d'origine n
toute masse néoplasi- que, cancéreuse ou inflammatoire, sécrète des
substances
toxiques. Cette sécrétion toxique, étant le rés
masse parasitaire sans cesse grandissante du néoplasme doit tuer la
substance
cérébrale. Ces considérations s'appli- quent li
a nutrition de cet organe. On sait d'ailleurs que le cerveau, et la
substance
grise, en particulier, représente le milieu org
eut déclarer que, vis-à- vis des poisons faibles, la réaction de la
substance
grise est une véritable pierre de touche de l'a
génique est l'intoxication de fence- phale, et principalement de la
substance
grise et des nerfs optiques, par les toxines is
es ou un réseau de fibrilles délicates. Sur les autres placards, la
substance
a l'aspect de matière caséeuse. Enfin, on trouve
ns les grandes cellules géantes. La congestion très marquée dans la
substance
grise atteint son maximum dans les couches ,de
cérébelleux où, par place, les fibres ont disparu complète- ment.
Substance
grise de la moelle. Elle aussi est altérée profon
e et lombaire de la moelle. Au microscope on constate dans toute la
substance
grise une diminution énorme du nombre des cellu
s pédoncules cérébraux (PI. XLVIII, C et D). , Les cellules de la
substance
grise de la protubérance paraissent être en nom-
couches granuleuse et moléculaire. Les méninges sont épaissies ; la
substance
blanche est plus mince. 11ÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELL
x cérébelleux directs, dans les faisceaux de Gowers. Atrophie de la
substance
grise de la moelle avec disparition des cellules.
uche granuleuse et la couche moléculaire. Réduction de volume de la
substance
blanche. Atrophie du nerf optique droit. Dans
ellules du noyau dentelé étaient en partie ratatinées. La couche de
substance
blanche entourant le corps dentelé était pauvre
rmal : 87 grammes au lieu de ho environ. Sur la coupe tandis que la
substance
blanche ne semble pas réduite, la substance grise
la coupe tandis que la substance blanche ne semble pas réduite, la
substance
grise au contraire est manifestement diminuée d
a moelle tandis que Menzel et nous, nous trouvons des lésions de la
substance
blanche et grise. Dans les deux cas les lésions
t beaucoup de ressemblance, quoique dans le nôtre les lésions de la
substance
blanche occupent plus les parties anté- rieures
bien conservées. Nous trouvons dans les deux cas des lésions de la
substance
grise. Les lésions du bulbe dans le cas de Menz
le semble avoir complètement disparu. Deux ou trois minces lames de
substance
uniformément colorée venant se souder en un point
vicale (I'iâ.4). Ce qui frappe ici c'est la disproportion entre les
substances
grises et blan- ches. La première semble avoir
développement insolite en compa- raison de la seconde ou plutôt la
substance
blanche semble réduite en certains endroits à d
é question dans un précédent travail) ? (1). Dans ces conditions la
substance
nerveuse aurait été détruite par une néoformation
Des éléments embryonnaires leur forment un manchon, envahissent la
substance
du ganglion et s'étendent dans les interstices
e la hauteur du né- vraxe, aussi bien dans les méninges que dans la
substance
nerveuse. Il semble cependant d'une façon génér
térieures. Remarquons aussi que sur toule la bailleur du névraxe la
substance
grise est sillonnée par des ramifications fines e
par un gros kyste urinaire. Il y a une atrophie considérable de la
substance
corticale, et la capsule ne se décortique pas. Le
, et on voit noté 21 0/0 de matières organi- ques, contre 79 0/0 de
substances
minérales, soit une perturbation toute diffé- r
t là des bandes de tissu con- jonctif adulte qui, pénétrant dans la
substance
corticale, lui donnent un aspect lobulé en isol
les vaisseaux, traversent tout l'organe et pénètrent jusque dans la
substance
médullaire, s'y terminant par un épanouissement
tissu scléreux qui remplace le stroma normalement très fin de cette
substance
médullaire. Cette gangue épaisse étouffe en certa
ale, les vaisseaux situés à sa face profonde sont normaux. Dans la'
substance
grise, les cellules ont le nom- bre et le volum
andus dans tout le protoplasma et jusque dans les prolongements, la
substance
fondamentale légèrement bleuie, le noyau central.
ux-ci sont entourés d'une zone étoilée de sclérose, surtout dans la
substance
blanche. Nous n'avons pas trouvé de corps amylo
nce blanche. Nous n'avons pas trouvé de corps amyloïdes, ni dans la
substance
grise, ni dans la substance blanche. Les artère
s trouvé de corps amyloïdes, ni dans la substance grise, ni dans la
substance
blanche. Les artères sont épaissies considérabl
cervicale, les coupes au Pal ne montrent pas de zones pâles dans la
substance
blanche. Au carmin, on note çà et là quelques gai
re le bord ex- terne du cordon postérieur, la zone spongieuse de la
substance
gélatineuse la corne postérieure et le cordon l
où siègent ces centres ? Vraisemblablement dans la moelle, dans la
substance
grise, au voisinage des centres trophiques des mu
médullaires massives, comprenant une certaine étendue en bloc de la
substance
grise. Ils paraissent être plutôt l'expression de
rent au bacille. » « Si l'on admet, poursuit Brissaud, l'action des
substances
toxiques sur certains éléments nerveux, à l'exc
s ; mort. On trouve à l'autopsie un foyer de ramollissement dans la
substance
blanche du lobe frontal droit, par thrombose pr
personnels, pas de plaie récente, pas d'urémie, pas d'ingestion de
substances
tétanogènes, mais dyspepsie intense depuis six
s des paralysies amyotro- phiques graves et diffuses, même quand la
substance
grise anté- rieure de la moelle et le système n
à droite. A l'au- topsie, tumeur grosse comme une noisette dans la
substance
blanche à la face externe du noyau lenticulaire
en question, de facilement reconnaître dans les granulations deux
substances
distinctes l'une de l'autre : une substance fonda
les granulations deux substances distinctes l'une de l'autre : une
substance
fondamentale qui prend dans le mélange colorant
tion, le protoplasma cellulaire se déco- lore totalement ; alors la
substance
fondamentale conserve une coloration très vive.
s vive. Continuez à décolorer, vous obtenez la décolo- ration de la
substance
fondamentale elle-même, mais, les fines granula
granulations apparaissent sous une masse colorante presque pure. La
substance
fondamentale prend en même temps que le reste du
ulations composan'. les fils chromatiques, ce qui veut dire que les
substances
de ces figures sont de l'acide nucléique. Les
urs des épileptiques morts en état de mal montrent ce qui suit : la
substance
fondamen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 6b ta
du protoplasma. Les granulations, au lieu d'être incluses dans la
substance
fondamentale, sont disséminées dans toute la cell
s dans toute la cellule. Il y a donc primitivement altération de la
substance
fondamentale qui libère les granulations, lesqu
e, ou ceux empoison- nés par l'arsenic. Les granulations sont des
substances
nutritives, les vectrices de tension, des réser
rmes, où d'assez grandes pyramides existent vers le périphérie ; 6°
substance
médullaire, où se trouvent encore nombre de cel
u descendant qui, peut-être indivis (Koschewnikow), pénètre dans la
substance
blanche. La direction des fibres des systèmes d
t du prolongement basilaire moyen qui descend directement dans la
substance
blanche (méthode à l'or), prolongement déjà assim
; celles qui ne se projettent pas, sous forme de radiations, de la
substance
blanche dans l'écorce, mais suivent d'autres di
lier cet élément aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la
substance
qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Sel
olgi, les caractères du protoplasma véritable faisaient défaut à la
substance
, de structure fibrillaire, du corps cellulaire,
, aussi bien qu'à celle des prolongements protoplas- miques ; cette
substance
n'était qu'une « formation secondaire du protap
eurs, car Sclmllze découvrit qu'entre les fibrilles il existait une
substance
finement granuleuse, contenant un pigment jaune
stance finement granuleuse, contenant un pigment jaune-brun ; cette
substance
granuleuse ou ces granulations interfibrillaire
bre peut s'élever de 3 à 20 et au delà, et dans lesquels circule la
substance
du corps cellulaire, sont désignés, quoiqu'un p
i, l'explication anatomique de l'origine des fibres nerveuses de la
substance
grise ? Comment s'établissent entre les cellule
n d'un réseau nerveux qui existerait dans toute l'épaisseur de la
substance
grise. Golgi incline à croire que ces innombrable
ont plutôt l'aspect des cel- lules des cornes postérieures et de la
substance
de Holando. Delà deux types de cellules nerveus
tendineux, etc., annexés à ses prolongements nerveux moteurs : « La
substance
grise et blanche du cerveau ne peut être compar
arborisant, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la
substance
grise centrale. Mais on n'a point le droit d'ap
t des physiologistes, l' « existence du réseau nerveux diffus de la
substance
grise des centres *. Ce réseau, « continu dans
second point, l'existence du réseau nerveux, qui envahit toute la
substance
grise centrale, moelle épinière, moelle allongée,
rieur, et G° la couche grillagée avec ses îlots cellulaires. ' La
substance
grise du corps genouillé externe est divisée par
que en se confondant avec les fibres des faisceaux pré- cédents. La
substance
innommée de Meynert fait partie de ce fais- cea
une dégénérescence incomplète et des processus atrophiques dans la
substance
grise de la protubérance dans la couche grise s
système d'assooiation occipito-temporal, qui est le faisceau de la
substance
blanche du cerveau le plus tôt revêtu de myélin
a circonvolution du corps calleux ; ces trousseaux arrivent dans la
substance
blanche du lobe frontal, jusqu'à 2 il 3 centimè
Contribution A la QUESTION DES dégénérescences secondaires dans la
substance
blanche DE la MOELLE, par SUITE de lésions DE l
queue de cheval sont de deux sortes. Les unes se terminent dans la
substance
grise du segment le plus inférieur de la moelle
upait distinctement le trajet des fibres radiculaires au sein de la
substance
de la moelle et portait seule- ment sur celles
stique de contenir des fibres qui, probablement pro- viennent de la
substance
grise, et qui subissent la dégénérescence desce
s les cordons postérieurs, pénètrent obliquement en avant dans la
substance
grise. Les dernières fibres se terminent dans la
nt, en décri- van une courbe (coupes longitudinales) pour gagner la
substance
grise déjà rare en cet endroit. Il est donc pro
, par le procédé des silhouettes. J. S. XV. DE l'action DE QUELQUES
substances
médicamenteuses SUR la circulation cérébrale; p
uke pense que dans ce dernier cas il existe un état congestif de la
substance
corticale, et il en donne des raisons histologi
RamonyCajal; aussi Obersteiner a-t-il pu dire avec raison que la
substance
grise est le terrain où s'opère l'association des
de la vie, le traitement thyroïdien fournit à l'organisme certaines
substances
qui lui sont nécessaires. R. M. C. XVI. LE TRAI
s de manie traumatique provoquée par une lacération partielle de la
substance
cérébrale qui s'est produite directement et par
lieu à un épaissisemeut des méninges et à une atrophie lente de la
substance
corticale. Dans le premier de ces deux cas la f
ujet on constatait en outre l'existence de nombreuses hernies de la
substance
cérébrale en dehors de la dure-mère, et d'une atr
auche, entre la frontale ascendante et les trois frontales. Dans la
substance
blanche contiguë à la tumeur se trouvaient troi
entait l'aspect d'un angiosarcome. Absence d'éléments nerveux et de
substance
névroglique. Les kystes avaient une couche uniq
. Autopsie (12 heures post mortem). Cerveau ; hémisphère droit : la
substance
blanche présente au niveau du gyrus angularis u
rs la troisième année de sa maladie. En se servant de différentes
substances
odorantes, de diffé- rentes substances amères o
En se servant de différentes substances odorantes, de diffé- rentes
substances
amères ou douces, il est facile de mesurer le d
ujets soumis à une sensation gustative extrêmement désagréable. Les
substances
sapides placées dans la bouche provoquent égale
rfs moteurs « dissociés en fibrilles » se mettre'en rapport avec la
substance
contractile du muscle : « Cette multiplication
s nerveux que beaucoup de cellules envoyaient, par exemple, dans la
substance
grise de la moelle épinière : mais la décharge
se des ganglions spinaux peut influencer tous les territoires de la
substance
grise que tra- verse son prolongement nerveux c
tracter des rapports, par leurs collatérales, avec presque toute la
substance
grise de la moelle épinière. Le riche plexus de f
pinière. Le riche plexus de fibres à myéline que l'on voit, dans la
substance
grise de la moelle épi- nière, autour des cellu
parations au Weigert- Pal, est constitué par les collatérales de la
substance
blanche; ce sont aussi des collatérales qui for
alés par Ramon y Cajal. Les collatérales constituent ainsi, dans la
substance
grise comme dans la substance blanche, une gran
llatérales constituent ainsi, dans la substance grise comme dans la
substance
blanche, une grande partie des commissures des
oplasmiques des cellules nerveuses se ter- minent librement dans la
substance
grise (Golgi); les prolonge- ments nerveux des
le corps protoplasmique seul de la cellule. III. Les cellules de
substance
grise de la moelle épinière sont de deux espèce
s des cordons donnent naissance d'ordinaire aux voies courtes de la
substance
blanche. D'après la situation topographique des
, envoient la branche centrale de leur prolongement nerveux dans la
substance
blanche de la moelle épinière, où son cône d'ac
ont les collatérales de ces branches qui, seules, pénètrent dans la
substance
grise où elles s'arborisent entre les éléments
stinées à la corne postérieure : celles-ci, après avoir traversé la
substance
de Rolando, s'arborisent autour des cellules de
xpansion proloplasmique basilaire, et se terminant, en bas, dans la
substance
blanche, où il devient une fibre nerveuse à myé
myéline du faisceau de projection. Mais, pendant son trajet dans la
substance
grise, le cylindraxe émet de fines collatérales
ultime se termine libre- ment, se bifurque souvent en arrivant à la
substance
blanche, four- nissant une grosse collatérale q
, ou par une division en T, avec une ou deux fibres nerveuses de la
substance
blanche. On distingue dans cette couche des cel
un que le cylindraxe naît et se termine dans l'épaisseur même de la
substance
grise : les cellules sensitives de Golgi, et le
nstituant une arborisation finale d'une très grande ampleur ». La
substance
blanche du cerveau antérieur est composée de quat
sociation; 4° fibres centripètes ou termi- nales, ramifiées dans la
substance
grise. Les fibres de projection provenant de to
fibres calleuses se détachent des collatérales qui montent dans la
substance
grise où elles se terminent. Les fibres d'assoc
émisphère. Chez l'homme et les grands mammifères, où la quantité de
substance
grise de l'écorce est indéfiniment multipliée p
d'association forment par leur abondance la masse principale de la
substance
blanche du cerveau. La quantité et la longueur
arborisent. D'autres collatérales, paraissant se ter- miner dans la
substance
blanche, semblent destinées à établir des conne
xpansions protoplasmiques des- cendantes qui se terminent en pleine
substance
blanche. Les fibres centripètes, dont les arbor
rdinaire, obliquement ou horizontalement, toute l'épais- seur de la
substance
grise jusqu'à la couche moléculaire. Cajal sign
ionnelle de ces innombrables neu- rones : 1° les collatérales de la
substance
blanche du cerveau; 2° les collatérales des fib
s bipolaires. Partout où s'arborisent des fibres nerveuses, dans la
substance
grise ou dans la substance blanche (Cajal), il
arborisent des fibres nerveuses, dans la substance grise ou dans la
substance
blanche (Cajal), il y a des ramifications proto
de bleu de méthylène et d'une certaine quantité de poudre de cette
substance
colorante. Les morceaux excisés sont après troi
e, peut-être en phénomène d'arrêt provoqué par la contraction de la
substance
basophile du proto- plasma. Cette substance, qu
ar la contraction de la substance basophile du proto- plasma. Cette
substance
, qui paraît n'avoir rien à faire avec la foncti
erveuses. L'hislologisle espagnol est porté à voir dans ces amas de
substance
baaophile, 1 Non seulement elle fait défaut dan
l'activité psychique, les formes des cellules de la névroglie de la
substance
grise du cerveau se modifient : tantôt rétracté
piques de Deiters.Selon Cajal on doit distinguer la névroglie de la
substance
blanche de la névroglie de la substance grise.
stinguer la névroglie de la substance blanche de la névroglie de la
substance
grise. Quant aux théories d'après lesquelles les
llules de la névroglie sont accumulées en très grand nombre dans la
substance
blanche des centres nerveux, qui a moins besoin
glie distin- guées par R. y Cajal. 1° Cellules de névroglie de la
substance
blanche. - Elles sont fixes, volumineuses, pouv
ur fonction parait être d'interposer entre les fibres nerveuses une
substance
nauvaise conductrice des courants qui circulent d
en- sité des processus psychiques. 3° Cellules de névroglie de la
substance
grise. Connues surtout depuis les travaux de Re
oit provoqué (narcotiques, hypnotisme). En somme la névroglie de la
substance
' Retzius. Die Neuroglia des Gehirns beii)t Men
res, se contractent : les capillaires, attirés en tous sens vers la
substance
grise ambiante, augmentés de diamètre, occupe-
e qui l'environne. Aini pourraient se produire deshyperhémies de la
substance
grise aussi limitées et localisées que l'exige
eules avec la coloration élective de Weigert, non le protoplasma ou
substance
cellulaire (Zellp1'Otoplasma) « d'où ces Archiv
stingue donc la fibre de névroglie, c'est qu'elle est à la fois une
substance
modifiée et émancipée du corps cel- lulaire pro
différentes au même résultat : du mésoderme, elle a dérivé comme
substance
de soutènement le tissu connectif; de l'ecloderme
soutènement le tissu connectif; de l'ecloderme, la névroglie, comme
substance
interstitielle et de liaison (Binde substanz).
les, dont elles sont émancipées, chez l'adulte, à l'état normal, la
substance
de ces éléments ne soit pas ner- veuse : 1" par
(conclusion per exclusioncm); 2" parce que ces fibres possèdent une
substance
modifiée, non plus protoplas- mique, et sont ém
t pathologique, tout à THÉORIE DES NEURONES. 307 i fait comme une
substance
connective, c'est-à-dire prolifèrent lorsque le
ophient, et ces anciennes cellules épithéliales, arrêtées en pleine
substance
blanche ou grise, se transforment en cellules e
eloppement, il n'existe, ontogéniquement et phylogéniquement, comme
substance
de soutènement, que des cellules épithéliales (
les sont les fonctions de la névroglie" ? Quel est le rôle de cette
substance
interstitielle ? Ces fonctions sont purement pas-
s de pression. En outre, ainsi que le dit Weigert, qui parle ici de
substance
de soutènement, les vaisseaux sont, pour le systè
solées de névroglie, et même aucune sur de vastes étendues. Dans la
substance
blanche du cerveau, au contraire, un abondant f
x central, c'est une règle que toute fibre nerveuse à myéline de la
substance
blanche est isolée des fibres voisines par des
voisines par des fibres de névroglie. Ainsi naît, dans toute cette
substance
, un feutrage à mailles plus ou moins larges. La
s exacts. Il est, par exemple, inexact que ce sont dans les amas de
substance
grise les plus pauvres en névroglie que les con
y est pourtant très abondante, beaucuup plus abondante que dans la
substance
blanche. Le rôle physiologique de substance iso
s abondante que dans la substance blanche. Le rôle physiologique de
substance
isolatrice des courants nerveux, attri- bué par
spagnols aux éléments de la névroglie, convient d'autant moins à la
substance
blanche des centres nerveux que les cylindraxes
, demande Weigert, une autre couche isolante de névroglie ? Dans la
substance
grise, au contraire, on pourrait admettre l'uti
substance grise, au contraire, on pourrait admettre l'utilité d'une
substance
isolatrice aux points où les terminaisons arbor
es prescrites et de faire fausse route. Aucune couche isolatrice de
substance
de névroglie ne doit donc être ici nécessaire. Et
lie ne doit donc être ici nécessaire. Et, s'il en est ainsi pour la
substance
grise, à plus forte raison en est-il de même po
plus forte raison en est-il de même pour les fibres à myéline de la
substance
blanche. D'ailleurs, les fibres de névroglie ne
ces maladies est due à une insuffisance et l'autre à un excès d'une
substance
capable d'agir à la façon d'un stimulant ou à l
croisent immédiatement à l'entrée se trouvent quelque part dans la
substance
blanche des colonnes latérales et en dehors des
ntérieures et aussi dans la base des cornes postérieures et dans la
substance
blanche limitant les cornes antérieures ; 1° les
; 1° les artères périphériques, plus petites, qui pénètrent dans la
substance
blanche et irriguent les parties non desservies
territoire des artères centrales qui s'étend rapidement à toute la
substance
grise. Ces différentes myélites se distinguent
ux. Dans la gaine adventice de nombreux vaisseaux, et aussi dans la
substance
corti- cale elle-même, il y a des hémorragies r
es généraux morts d'ictus, des hémorragies siégeant au niveau de la
substance
grise centrale; ces foyers hémorragiques n'étai
observation d'Alt sur l'existence de nombreuses hémorragies dans la
substance
grise centrale des épileptiques morts en état d
rganes nutritifs aux neurones, parce qu'ils consistent dans la même
substance
, dont est formé le corps du neurone, c'est-à-di
t et facilement aux irritations extérieures qui l'atteignent. Cette
substance
a la propriété de se contracter et de prendre u
plus tard que ses autres parties ; il consiste, évidemment, en une
substance
pro- toplasmique la moins stable, qui peut, dan
des impulsions centrales qui régularisent et donnent le tonus à la
substance
protoplas- mique des neurones périphériques. L'
ange colorant étant maintenu dans la pâte du papier, à l'aide d'une
substance
agglutinante, nous avons dû détruire la matière
connexion directe entre la zone motrice de l'écorce cérébrale et la
substance
grise de la corne antérieure de la moelle épini
e la zone granuleuse externe pour prendre part à la formation de la
substance
moléculaire; les cellules de Purkinje ont bien
olfactif et partie voi- sine de la circonvolution du corps calleux,
substance
perforée anté- rieure, repli unciforme et parti
es des membres ou du tronc. Lorsque, chez le pigeon, on enlève la
substance
corticale tout entière, presque tous les mouvemen
grande mesure. Le lapin marche après l'ablation de presque toute sa
substance
corticale. Après des opérations de même nature,
la région lombaire (douzième racine dorsale) où il se perd dans la
substance
grise au niveau du champ ovale de Flechsic- et
ns le cône terminal en se recourbant en avant pour pénétrer dans la
substance
grise. Or ce faisceau pouvait dans ce cas être po
le sillon ; 5° ses fibres se terminent en passant en avant dans la
substance
grise à la base de la corne postérieure du même
il s'agis- sait d'une dégénérescence hyaline des vaisseaux et de la
substance
voisine. Vorster présente des préparations, déc
de la dure-mère, au niveau du trou ovale gauche et ayant envahi la
substance
blanche du lobe temporal. 11 s'agissait d'un sa
. tumeur molle (glio-sarcome) de la grosseur d'une pomme, dans la
substance
blanche du lobe occipital. III. La troisième ob
spinaux, sans altérations de structure, une coloration légère de la
substance
habituellement non colorée des cellules motrice
ion artérioscléreuse. M. Nissl (IIeildell)ei--). Les rapports de la
substance
des cellu- les nerveuses avec les états de repo
ence, dans toutes les cellules nerveuses fixées par l'alcool, d'une
substance
qui se colore sous l'action de ces matières col
d'une autre subs- tance qui ne prend pas ces couleurs. La première
substance
est répartie d'une façon qui varie avec la natu
thode de Beckera montré que, au moins dans les éléments moteurs. la
substance
non chromato- phrle a une structure fibrillaire
'ailleurs pas résolue si, dans tous les autres éléments nerveux, la
substance
non chromatophile est com- posée en totalité -
seulement en partie de fibrilles. On a émis des vues variées sur la
substance
chromatophile : 1° Becker la considère comme co
on une subs- tance vivante et fonctionnante; 30. Benda pense que la
substance
chromalophile est constituée par la persistance
aires et des granulations; Lriedmann, Kronthal ont mëmeidentifié la
substance
chromatophile des cellules nerveuses motrices a
sédons actuellement ne nous permettent que de faire l'analyse de la
substance
des cellules nerveuses. INISSL a fait. depuis
s années, des recherches sur les mo- fidications structurales de la
substance
des cellules motrices par le repos, l'activité,
me du noyau, du corps cellulaire et, dans le noyau, il se forme une
substance
qui prend la couleur. Nissl considère que les d
t établis sont : 1° l'existence dans les cellules nerveuses d'une
substance
chromatophile et d'une substance non chromatophil
dans les cellules nerveuses d'une substance chromatophile et d'une
substance
non chromatophile ; 2° la substance non chromat
ubstance chromatophile et d'une substance non chromatophile ; 2° la
substance
non chromatophile a une structure fibrillaire (ap
(appa- reils de conductibilité pour l'excitation nerveuse) ; 3° la
substance
chromatophile offre de grandes variétés au poin
es actuellement connus 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui agissent sur la
substance
de la cellule nerveuse, déterminent d'abord une
de la cellule nerveuse, déterminent d'abord une modification de la
substance
chromatophile. La répa- ration de la lésion n'e
ment dans la région du vermis inférieur la tumeur pénétrait dans la
substance
du cervelet en forme d'un noeud isolé. Les aute
tions 420 bibliographie. introduit dans l'organisme de nombreuses
substances
toxiques et en permet l'élaboration. La bouch
neutralisations s'opèrent, l'épithélium amène des modifications des
substances
absorbées. Le foie, le corps thyroïde, les caps
E l\IUSGRAVE-CLAY. LVII. Fracture compliquée DU crâne avec PERTE DE
substance
CÉRÉ- BRALE : GUÉRISON; présentation du malade;
thermiques) peut être réalisée à la condition de l'intégrité de la
substance
grise centrale. Cette conclusion se trouve en b
rdance avec l'expérience géné- rale, à savoir que les lésions de la
substance
grise ont pour consé- quence constante des alté
cornes antérieures, et que par contre la plus grande partie de la
substance
blanche peut être dégénérée sans que la sensibili
le a partout sa consistance normale, et ne présente aucune perte de
substance
. A noter une teinte grisâtre de deux cordons post
use étude l'auteur conclut à l'existence de trois, facteurs : 1° La
substance
nerveuse est plus ou moins prédisposée à la par
nsations tac- tiles suivent les cordons postérieurs en dehors de la
substance
grise. Paralysie motrice, atrophie musculaire
laire accompagne la paralysie motrice quand la lésion siège dans la
substance
grise. Les troubles senitifs varient suivant le
tion des tumeurs à travers la pie-mère et par les racines dans la
substance
médullaire. Toute la moelle lombaire est transfor
xtra-dural. La dure-mère n'est pas déchirée et la pie-mère comme la
substance
médullaire ne sont pas atteintes par la tumeur.
e le deuxième segment dorsal en haut et le septième en bas. Cette
substance
est dissociée; on y trouve des foyers disséminés,
e membrane pareille à celle de Schwann; puis vient une couche d'une
substance
homogène ou granuleuse, avec une quantité consi
t d'un protoplasme granuleux. Dans la couche inférieure pénètre une
substance
homogène de fibres avec ses noyaux. La couche m
à fait inutile, pour la construction duquel se dépense une masse de
substance
nerveuse si précieuse pour l'organisme. Quelque
érébrale des deux hémisphères est amincie jusqu'à 5 millimètres; la
substance
grise et la substance blanche peuvent être dist
sphères est amincie jusqu'à 5 millimètres; la substance grise et la
substance
blanche peuvent être distinguées; épaississe- m
emi transparente. Dans la partie inférieure de la région dorsale la
substance
blanche est réduite, tandis que la substance gr
e la région dorsale la substance blanche est réduite, tandis que la
substance
grise est d'un aspect normal. Au-dessus, on aperç
ique, qui a pour base anatomique une gliose ou une gliomatose de la
substance
grise centrale, et que les cavités, si elles ne
d'autant plus que la gliomatose se localise principalement, dans la
substance
gélatineuse et, d'après l'avis de M. Roth, on p
uite pendant la vie, est du pus des abcès après l'autopsie et de la
substance
cérébrale autour de ces derniers indiqua que ce
fications pathologi- ques des -, par Tromner, 404. Rapports de la
substance
des - avec les états de repos d'acti- vité, e
sychoses - , par Rousseau, 153. Circulation. Action de quelques
substances
médicamenteuses sur la - cérébrale, par Giannel
- en forme de tour, par Weber,248. Fracture du - avec perte de
substance
cérébrale, par Smith, 458. CR.\'ECTO)iiE. Sur
choire des -, par Boody, 359. Dégénérescences secondaires de la
substance
blanche de la moelle par Darkschewitschsch, 132
de son angle droit, confine à la corne postérieure, au niveau de la
substance
de Rolando. Parlant de ce sommet, l'un des côtés
insinuant entre celle-ci et la zone scléreuse ci-dessus décrite. La
substance
grise ne parait pas altérée dans sa forme; mais i
nce granuleuse marquée. Le canal de l'épendyme est comblé par une
substance
hyaline avec de nombreux noyaux. Racines. Les r
ne et semblent correspondre à la bandelette externe de Pierret. -
Substance
grise. - A l'étage tout à fait inférieur de la mo
un côté que de l'autre. Les cordons antéro-latéraux sont sains. -
Substance
grise. L'asymétrie des cornes antérieures est peu
-postérieur, qui empiète sur la corne posté- rieure au niveau de la
substance
de liolando. Cette bandelette renferme très peu
eu d'absolument saines. Les cordons antéro-laté- raux sont sains.
Substance
grise. Les cornes antérieures sont saines. Les co
démyélinisation manifeste au niveau des traclus qui cloisonnent la
substance
de Rolanùo; on constate aussi une diminution du
aurait insister sur la démyélinisation des fibres qui atteignent la
substance
grise en général et la colonne de Clarke en 'pa
u moins dans son ensemble. Nous devons en trouver l'origine dans la
substance
grise constituée comme on sait par un nombre in
res Irophiques, que l'observation clinique permet de placer dans la
substance
grise entourant le canal central, et que, par s
se entourant le canal central, et que, par suite, les lésions de la
substance
grise peuvent aussi bien produire l'acromégalie
rieure, une hémorrhagie du volume d'un haricot qui siège dans la
substance
blanche au-dessous de l'écorce du pli courbe; tou
n foyers lenticulaires, mouchetés, punctiform.es, entre lesquels la
substance
nerveuse est livide gris-ardoisé; de même, dans
ellule, et ces vacuoles pro- duisent une destruction profonde de la
substance
achromatique. Le noyau prend la faculté de se c
n terminant, M. Mouratow émet l'opinion que l'étude de l'état de la
substance
chromatophile de la cellule n'a pas autant d'im
plus important est la faible pénétration de l'acide osmique dans la
substance
nerveuse. L'acide osmique est une com- position
e plus grand, nombre des cas, l'altéra- tion porte à la fois sur la
substance
blanche, sur la substance grise, sur le tissu d
as, l'altéra- tion porte à la fois sur la substance blanche, sur la
substance
grise, sur le tissu de soutènement, sur les env
s en notant la topographie et la nature de leur altération. a) La
substance
blanche. Nous l'avons vue altérée dans tous les
nt lombaire, elles sont diffuses et ne respectent que la portion de
substance
blanche voisine de la commissure grise et quelq
n. Celles qui longent immédiatement la corne postérieure jusqu'à la
substance
gélatineuse qui la coiffe, en arrière du renfle
névro- glie et les vaisseaux. 86 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. b) La
substance
grise. - Nous l'avons toujours vue altérée, à d
s à l'oeil nu, c'est la - déformation à peu près constante de cette
substance
grise. Les cornes sont atrophiées et leurs cont
n résulte que, dans la région dorsale et cervicale inférieure, la
substance
grise, située en avant des cornes postérieures, f
les rondes, particulièrement autour du canal de l'épendyme, dans la
substance
gélatineuse de Rolando et la colonne de Clarke.
R8 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellule; son nucléole disparaît et la
substance
homogène, résultant de la dissolution des granu
, elles paraissent raréfiées et atrophiées. Pour en finir avec la
substance
grise, notons une sclérose active autour de la
eure, au point où les fibres radiculaires courtes pénètrent dans la
substance
gélatineuse de Rolando. c) Enveloppes tissu d
e, se limite au segment postérieur. L'adhérence de la pie-mère à la
substance
blanche est très intime. Il se passe là quelque
cellules rondes qui obstruent le calibre du canal et infiltrent la
substance
grise à une assez grande distance de ses parois
s'y cantonne pas et nous la voyons pénétrer dans l'intérieur de la
substance
blanche en suivant les travées que l'on considé
vasculaires ne s'observent pas seulement à la périphérie et dans la
substance
blanche du segment posté- rieur. Elles sont trè
énètrent immédiatement dans la corne postérieure. A ce niveau de la
substance
grise, nous avons noté une sclé- rose plus acti
cordon postérieur était lui-même plus dégénéré. Les lésions de la
substance
grise sont encore bien moins faciles à interpré
nous montre ailleurs des pro- cessus analogues. Les lésions de la
substance
blanche se retrouvent dans les scléroses combin
esser tous les éléments constitutifs de l'axe médullaire. Dans la
substance
blanche, les fibres endogènes, c'est-à-dire celle
rement encore le faisceau de Gowers du cordon antéro-latéral.' La
substance
grise est modifiée dans sa forme générale et pr
-ci ne peut s'expliquer que par trois hypothèses : altération de la
substance
nerveuse qui trans- forme anormalement l'excita
pupillaire à la lumière comme à la convergence ; si l'écorce ou la
substance
blanche voisine était atteinte, la pupille rester
il n'y a pas lésion de cette partie de j'oculomoteur qui occupe la
substance
du pédoncule cérébral. Enfin, il faut noter un
s. Le professeur Ilamilton (d'Aberdeen) insiste sur l'étude de la
substance
colloïde, sur sa reproduction et sur son analyse.
ieure, le neurone vaso-moteur siégeant dans la partie moyenne de la
substance
grise, le neurone sensitif indi- rect siégeant
se trou- vent à la surface du cervelet des deux côtés du vermis. La
substance
du bulbe est excessivement ramollie, presque di
la queue de cheval, on voit un tissu néoformé, tantôt détruisant la
substance
médullaire, tantôt l'enve- loppant en forme de
es parties centrales imbi- bées de sang; à la coupe tranversale, la
substance
grise ne se dis- tingue que diffusément. Dans l
ransversales faites à cette hauteur ne laissent guère distinguer de
substance
médullaire; rien que le tissu néoformé, parsemé
épaisse; il suffit d'un faible grossissement pour constater que la
substance
médullaire est détruite presque complètement :
; plusieurs cellules en contiennent deux ou trois. Presque point de
substance
intercellulaire; par places, les cellules forme
UE NERVEUSE. affinité pour les colorants; il paraît que c'est de la
substance
hyaline. Dans la portion lombaire inférieure
aisceaux fibreux formant une ligne ondulée. Mais pas de vestiges de
substance
nerveuse dans l'espace limité par cette ligne;
re une lumière très rétrécie contenant des globules rouges et une
substance
granuleuse indistincte; ce sont des vaisseaux eu
ion. Le tissu paraît parsemé de petites gouttes ou de tractus d'une
substance
homogène, luisante, fortement colorée par 1'Iré
subi par les racines extramédullaires. Dans la partie centrale, la
substance
médullaire manque sur une grande étendue conséq
rés et des blocs 1 1 0 Ii Hyalins. Au centre on trouve un îlot de
substance
médullaire dont j cependant la teinte (coupes a
par des fibrilles nerveuses très fines res- semblant à celles de la
substance
grise; quelques blocs arrondis d'une masse gran
rritoires de forme irrégulière, presque incolores, constitués d'une
substance
colloïde amorphe ou finement granulée; elle par
on voit la subs- tance grise, bien pauvre en cellules nerveuses; la
substance
blanche n'est que comprimée, la myéline des cor
E DE LA MOELLE. 173 3 Iules sarcomateuses ne pénètrent plus dans la
substance
médul- faire, mais forment un anneau à son pour
s tubes nerveux sont distendus et remplis d'une matière amorphe, la
substance
grise paraît gonflée. Le tissu ner- veux ne pré
rales de la moelle sans pénétrer dans sa 174 CLINIQUE NERVEUSE.
substance
. Néanmoins les altérations du tissu médullaire at
lles très vastes, tantôt vides, tantôt contenant un détritus ou une
substance
amorphe. Pareil aspect présente la plus grande
uée. Le cordon de Burdach droit présente une structure analogue, sa
substance
étant toutefois moins raréfiée. Tout ce tissu e
le, ce qui a donné lieu à toute une série de trous et de manques de
substance
artificiels, localisés exclusivement dans la ré
es méninges, ni dans le tissu nerveux. Sur les coupes au Weigert la
substance
blanche a mal pris l'hématoxyline; le nombre de
asse les pyramides très écartées, sans toutefois pénétrer dans leur
substance
. Absolument identique est le caractère des méta
truit presque toutes les racines nerveuses, qu'elle avait envahi la
substance
médullaire. Les conditions étiologiques de cett
pper la moelle en forme de manchon et pénétrer par places dans sa
substance
; l'épaisseur de ce manchon qui s'étend jusqu'à
lonne est creuse : on y voit une cavité à parois conjonctives. La
substance
centrale de la moelle cervicale (au niveau des
néoformation enveloppait le cordon médullaire sans pénétrer dans sa
substance
(cas d'01- livier, de Coupland et Pasteur, de C
cependant discutée : Schultze, Richter, Hippet ont démontré que la
substance
médullaire pouvait aussi être atteinte; néanmoi
- tée à l'espace subdural : à plusieurs endroits elle a envahi la
substance
médullaire et, chose étrange, souvent c'est à ces
ie inférieure du canal rachi. dien devait, avant d'avoir détruit la
substance
médullaire. la comprimer au plus haut degré. Il
au-dessus de la région détruite par la néoformation on voit dans la
substance
médullaire de vastes territoires d'ex- sudat, t
soit par des microbes ou leurs produits de sécrétion, soit par des
substances
toxiques résultant de la formation exagérée ou
tranche par sa coloration gri- sâtre et sa consistance ferme sur la
substance
blanche. La lésion s'étend depuis le lobe front
equel la périaitère n'est atteinte que secondai- rement. t. - Les
substances
toxiques portent leur action sur tout le système
est plus nettement localisé. Cependant on peut admettre que si les
substances
toxiques ne produisent pas en général de réacti
'il est impossible de dire où finit l'un et où commence l'autre. La
substance
chromatique et la trame chromatique sont SOCI
aient con- servé leurs dimensions normales, leur épithélium et leur
substance
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 289 colloïd
s traces de desquamation épithéliale, des cristaux et des boules de
substance
hyaline; d'autres étaient étouffées par le déve
contenir l'axe nerveux médullaire; de fait, sur Il' les coupes, la
substance
médullaire faisait immédiatement hernie et form
e par Westphal « zone d'entrée des racines », située en avant de la
substance
gélatineuse, et dont la lésion détermine toujours
nerveuses centrales des lésions protoplasmiques qui portent sur la
substance
chromatique et sur la substance achromatique ;
protoplasmiques qui portent sur la substance chromatique et sur la
substance
achromatique ; leurs caractères 302 REVUE D'A
petites cellules de 6 à 9 fi, avec gros noyau, disséminées dans la
substance
céré- brale, placées sur le trajet des vaisseau
LIQUE ; par A. ADAlKIENICZ. (Neiwolog. Centralbl., XVI,,1891.) La
substance
nerveuse est compressible ; elle peut être compri
par les os du crâne. C'est ce que démontre du reste l'injection de
substances
colorantes dans la cavité crânienne ; elles pén
rien à voir avec le liquide cérébrospinal. Il y a compression de la
substance
cérébrale et non production de pression .cérébral
iences sont spécifiés à l'aide de figures. En voici le résumé. La
substance
blanche de la moelle est excitable à l'électricit
ices destinées aux parties du corps voisines ne sont pas loin de la
substance
grise des cornes antérieures, tandis que les fi
épandue, que les courtes fibres de la moelle se dirigent près de la
substance
grise, tandis que les fibres longues se servent
able de la division des arborisations terminales amyéliniques de la
substance
grise des centres nerveux et nous montre l'épai
es permet de croire que l'arrêt physiologique est dû à l'action des
substances
de régression physiologique, des produits toxiq
ètres de long sur deux de large, recouverte par une lame épaisse de
substance
grise. Cette excavation est située à la partie
hémisphère cérébral droit. Il y a peu d'hypérémie généralisée de la
substance
blanche du cerveau. Il Post mortes. Outre nos o
rs. 332 ) SOCIÉTÉS SAVANTES. sujet après douze ans de présence;
substance
cérébrale des deux hé- misphères très injectée;
isphère gauche. - Foyer hémorrhagique à la partie postéro- interne.
Substance
cérébrale des deux hémisphères très injectée. La
moyen, coloration jaunâtre de l'arachnoïde, de la pie-mère et de la
substance
grise dans une étendue de trois centimètres carré
de leur surface ventriculaire. Légère adhérence des membranes à la
substance
corticale ramollie dans les deux tiers antérieu
ace externe du cerveau. Cervelet. Arachnoïde et pie-mère jaunes (la
substance
cérébel- leuse ne l'est pas), à la face inférie
ne ; état d'idiotisme et de démence à peu près complet. Tel est, en
substance
, le certificat motivant l'admission. M. le Dr B
rales et la couche corticale qui est ramollie. La consistance de la
substance
blanche est normale. Cerveau très volumineux po
volution pariétale supérieure. Elles s'enlèvent facilement de la
substance
corticale du cerveau. Pas d'autres lésions encéph
ependant, sur les deux tiers du cerveau, elles adhèrent un peu à la
substance
corticale dans certains points. Cette substance
dhèrent un peu à la substance corticale dans certains points. Cette
substance
corticale est injectée; le cervelet, l'isthme d
cerveau dans trois cas (obs. 6, 8 et 12) ; ramollissement de cette
substance
corticale (obs. 6, 8 et J2); injection de la subs
ent de cette substance corticale (obs. 6, 8 et J2); injection de la
substance
blanche et de la substance grise du cerveau (ob
icale (obs. 6, 8 et J2); injection de la substance blanche et de la
substance
grise du cerveau (obs. 4, 5, 6 et 11); atrophie
ésions, principalement les adhérences de la pie-mère cérébrale à la
substance
corticale ramollie, diffèrent si peu de celles
antérieur du corps quadri- jumeau, contourne le bord latéral de la
substance
niger et rentre dans le fascicule longitudinal
édiaire, se répand dans la for- mation réticulaire au-dessous de la
substance
de Soemmering, où quelques-unes de ses fibres c
eau, dans la région du tuber cinereum et des corps mammillaires. La
substance
cérébrale et cérébelleuse est normale. Les orga
1310 grammes; la capsule est ridée, ratatinée et liés épaissie. La
substance
en est résistante à la coupe, qui apparait comm
e des régions cervicale et lombaire envoie des diverticuies dans la
substance
grise. La conclusion qui s'impose, c'est qu'il
l'examen bactériologique du sang, de la pulpe splé- nique et de la
substance
cérébrale resta négatif. (Revue neurolo- gique,
traîner la dégénérescence de ces cordons ou la désintégration de la
substance
grise ; voilà pourquoi ladite compression ne prod
jeun et rapidement absorbé, est allé imprégner et impressionner la
substance
corticale de ce jeune cerveau, donnant lieu à u
t nettement du tissu environnant. Ces traînées sont situées dans la
substance
grise et plus souvent entourent ou côtoient un
tion des foyers sus-mentionnés ainsi que ceux de la structure de la
substance
cérébrale en général, nous consta- tous que cel
autres ont dis-' paru sans laisser des traces reconnaissables. La
substance
fondamentale a perdu sa transparence habituelle.
e grands espaces vides, résultat du ratalinemeut pathologique de la
substance
fondamentale. Nulle part nous n'avons vu ces es
émarcation bien nette dans le tissu nerveux environnant, soit de la
substance
grise, soit de la substance blanclie. Elles son
e tissu nerveux environnant, soit de la substance grise, soit de la
substance
blanclie. Elles sont constituées par deux éléme
nous constatons que ces petits foyers sont formés d'une trame de
substance
fondamentale à mailles excessivement larges. Les
artout dans le foyer, on rencontre de nombreux leucocytes. Là où la
substance
fondamentale le permet, on voit très bien le mi
finement granuleux, mais ne contient jamais de myéline ou d'autres
substances
étrangères. Les noyaux de ces cellules sont trè
mode de production. ' Jusqu'à présent nous n'avons parlé que de la
substance
grise. En effet, toutes les trois formes de foy
précédemment décrits siègent dans la corticalité cérébrale. Mais la
substance
blanche n'est pas indemne d'altérations. Ces de
s sont d'autant plus prononcées que les foyers inflammatoires de la
substance
grise siègent plus près de la substance blanche
foyers inflammatoires de la substance grise siègent plus près de la
substance
blanche. Voici ce que l'on observe dans cette d
e dans cette dernière quand les foyers siègent à la limite des deux
substances
. Les vaisseaux présentent pour la plupart les m
aux présentent pour la plupart les mêmes altérations que ceux de la
substance
grise. Mais dans leur entourage on se trouve en
es ceilules s'observent à l'état isolé dans une large étendue de la
substance
blanche. L'endothéliulll des capillaires a prol
qu'à poursuivre ce qu'elles deviennent quand nous approchons de la
substance
grise. En effet, à mesure que nous montons vers
celte diffé- rence dans la coloration des cellules névrogliques des
substances
blanche et grise ? Il nous est impossible de no
très prononcée qui n'est plus nettement visible quand on examine la
substance
blanche des circonvolutions faiblement atrophié
altérations diffuses de la POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 441 J
substance
cérébrale des circonvolutions atteintes. Faisons
nous passerons rapide- ment en revue les faibles altérations de la
substance
grise loin des gros troncs vasculaires. C'est l
ang, et leur paroi des cristaux d'hématine. Autour des vaisseaux la
substance
fondamentale n'est nullement altérée. Mais le f
vancés. Ces derniers temps on a Lien étudié les modifications de la
substance
chroma- tophile des cellules nerveuses dans les
in des corps granuleux et des corps pig- mentaires apparaissent. La
substance
fondamentale éprouve des modifications profonde
ns la zone inflamma- toire continue longtemps après. Si la perte de
substance
cérébrale n'est pas très considérable, elle est
ussées d'encéphalite aiguë. 447 menteux quelquefois'. Peu ou pas de
substance
fondamen- tale. Les vaisseaux présentent de la
(cas n° 3) ou plus souvent nombreux. Ils siègent toujours dans la
substance
blanche. Le cas n° 3 siège bien dans la cor- ti
s cellules plus ou moins rondes, disséminées un peu partout dans la
substance
blanche du cerveau. Et cette lésion, qui d'aprè
sur Idinische Jlecl., 1891, XLVII. 448 PATHOLOGIE NERVEUSE. la
substance
grise, recouvrant le quatrième ventricule, l'aq
actérisée anatomiquement à peu près par les mêmes altérations de la
substance
cérébrale. Seulement les foyers de cette derniè
e cérébrale. Seulement les foyers de cette dernière siègent dans la
substance
blanche de n'importe quelle région de l'encépha
ve pas de corps granuleux. Les cellules nerveuses, la neuroglie, la
substance
fondamentale demeurent intactes. On n'a jamais
amais trouvé non plus de microbes patho- gènes. Macroscopiquementla
substance
blanche était humide. Mais la véritable caracté
dégénérescence rapide des cellules nerveuses, la dissolution de la
substance
fondamentale, mais surlout la formation de gros
les cellules nerveuses. poussées d'encéphalite aiguë. 453 La
substance
blanche répond très vivement au processus infla
leur apparition comme la conséquence d'une faible irritation de la
substance
blanche. Comme preuve de ce que nous avançons v
correspondant aux foyers inflammatoires ont disparu. Le reste de la
substance
blanche paraît normal. Donc dans notre cas, au
ue, loin des foyers inflammatoires, les cellules névrogliques de la
substance
blanche prolifèrent avec une grande intensité.
endre l'absence complète d'altérations des cellules nerveuses, delà
substance
fonda- mentale et des cellules névrogliques dan
), petit vaisseau à adventrice proliférée ; f r, dissolution de la
substance
fondamentale. Même grossissement. PSYCHOLOGIE.
érieure jusqu'a l'arête du manteau, mais c'est tout superficiel, la
substance
blanche est restée intacte. Il existe en même t
ons peu caracté- ristiques ; 2° la toxine diphtérique ne modifie la
substance
blanche de la moelle que dans des cas exception
ains de chromatine et le protoplasme consiste principalement en une
substance
achroma- tique ayant l'aspect d'un réseau (spon
psulaire et que cette suppression entraine l'accumulation rapide de
substances
toxiquesdans le sang; -, il reste à déterminer
réseau à mailles plus ou moins denses dans lesquelles il existe une
substance
fondamentale d'un- pouvoir tinctorial variable.
s, collatérales qui d'abord assez volumineuses pour laisser dans la
substance
grise des traces directes ou indirectes de leur d
Une dégénération aberrante et qui peut occuper tout le champ de la
substance
blanche. Elle se distingue de la première en ce
t, s'y modifient peut-être, et l'existence d'une grande quantité de
substance
chromatique est une consé- quence même de cette
di fren., 1897, fasc. I.) 1 LI. La signification pathogénique DES
substances
toxiques dans l'urine DES aliénés; par PELLEGRI
élevé que les urines contiennent une plus grande quantité de cette
substance
, dont l'augmentation dé- pend surtout des mauva
une section complète de la moelle cervico-dorsale chez le chien, la
substance
grise de la moelle lombo-sacrée ne reste pas inta
sectionné, sont envahies par la chromatolyse. Cette lésion de la
substance
grise de la moelle lombo-sacrée n'est cependant p
ue cas le nerf baigne une minute dans une solution au dixième de la
substance
essayée. Les corps étudiés dans cette nouvelle
aux, équivalent à un simple lavage du nerf d'essai pro- duit par la
substance
arrivant la seconde ; un antagonisme suc- cessi
ution est à 1 p. 100, l'immersion dure une minute. Certaines de ces
substances
n'ont permis aucune conclusion ferme, d'autres
l., XVI, 1897.) La partie des cordons latéraux blancs contigué à la
substance
grise, ou couche limitante de Flechsig, ne cont
ement en rapport avec les cellules des seg- ments postérieurs de la
substance
grise et constituées de fibres courtes. Or, l'o
n fond incolore ; on voit très bien les fibres les plus fines de la
substance
grise de la moelle, des lobes cérébelleux, de l
au bain-marie pendant une à deux heures. Presque tout de suite, la
substance
blanche de la moelle tranche sur la substance g
e tout de suite, la substance blanche de la moelle tranche sur la
substance
grise plus claire ; la couche blanche du cerveau
p. 100. On décolorera ainsi à son gré jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la
substance
blanche soit bleu-noir et la substance grise plus
jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance blanche soit bleu-noir et la
substance
grise plus ou moins incolore. Au microscope, le
gements ; le protoplasma en est jaune, le nucléole noir intense, la
substance
intermédiaire incolore. Dans les préparations c
avait affaire il une syringomyélie, ce qui prouve l'atteinte de la
substance
grise, et suppose vraisemblablement une hémato-
t. 1° Inanition avec conservation des liquides. Les dessins de la
substance
chromatique subsistent, mais les mottes chromatiq
- trent dans la partie périphérique du protoplasma ; entourées de
substance
chromatique vive, elles débutent par un tache pâl
cela prouve qu'il y a trouble de nutrition de la cellule, et que la
substance
chromatique est intimement en rapport avec la n
é du cerveau oscille assez généralement autour - de 1 030 et que la
substance
de cet organe se gonfle assez bien dans l'eau p
de ces fibres radiculaires forment les longues voies qui gagnent la
substance
grise du bulbe par le cordon postérieur jusqu'au
n REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. S07 î de la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius et, l'embrassant de
de Sylvius et, l'embrassant de dehors en dedans, projettent dans la
substance
grise de nombreux rayons collatéraux; après avo
rayons collatéraux; après avoir tourné autour du bord externe de la
substance
grise, après avoir contourné le noyau principal d
v, petit vaisseau à adventrice proliférée ; f r, dissolution de la
substance
fondamentale. Même grossissement. TA13L1 DES
1. Typhoïde. Fièvre chez les alié- nés, par Hyvert, 103. Urine.
Substances
toxiques de l' - des aliénés, par l'ellegrini,
que nous venons de décrire : l' Les faisceaux capsulaires; 2° La
substance
médullaire comprise entre les fais- ceaux et l'
ette dernière partie, il est bon de constater que les lésions de la
substance
grise qui tapisse le fond des scissures devront
sulaires frontales extra-nucléaires; 2" Loin de ce trajet, sur la
substance
blanche sous- corticale, sur l'écorce elle-même
bs. XXVIII de la thèse de M. Pitres (résumé). Aphasie. Lésion de la
substance
' blanche avoisinant la troisième circonvolutio
maladie du rein. Deux foyers transformés en kystes, confinant à la
substance
grise de la troisième circonvolution frontale g
GIQUE. taie gauche, méninges épaisses et adhérentes. En ce point,
substance
cérébrale déprimée et diminuée de consistance.
'extrémité antérieure du noyau ventriculaire du corps strié avec la
substance
médullaire du lobe frontal, la con- sistance du
rbée par l'étude des circonvolutions et de la subs- tance grise, la
substance
médullaire était négligée; c'était, avons-nous
LOGIQUE. et passive. Une légère diminution de consistance dans la
substance
médullaire, adjacente au noyau caudé, ne pouvai
s phénomènes pathologiques qui pouvaient provenir des lésions de la
substance
médullaire, a essayé d'en déterminer la topogra
nvo- lution frontale gauche. Ramollissement central, diffus de la
substance
blanche du lobe pariétal. Les bords mal limités
, corps granuleux que l'on constate au microscope, jusque dans la
substance
blanche du pied de la troisième circonvolution
ar les moyens ordinaires une légère diminution de consistance de la
substance
médullaire à côté du noyau caudé, et néanmoins,
éanmoins, le microscope lui fait découvrir dans l'intimité de cette
substance
la cause matérielle de la perte de la parole.
t n'accep- ter qu'avec réserve toute observation dans laquelle la
substance
médullaire confinant au bord externe du ventric
de l'embryon par une solution de pepsine chlorhydrique, on voit la
substance
fonda- mentale se digérer complètement, ce qui
conclut qu'il existe un rapport histogénique et chimique entre la
substance
myéiinique et la névroglie, partant, qu'il n'y a
e proli- fération de la névroglie. Ce qui prolifère, c'est la vraie
substance
conjonctive qui, elle, peut se transformer fina
ansformer finalement on tissu con- jonctif véritable. Mais alors la
substance
fondamentale disparaît et cède le pas à la néop
aval. 76 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. IL Recherches sur L1
substance
guise centrale DE la moelle 15PI- NIÈRE ET DE L
lques remarques au sujet du déve- loppement de la névroglie dans la
substance
grise de la moelle (substance poliosynectique).
- loppement de la névroglie dans la substance grise de la moelle (
substance
poliosynectique). Puis étudie les cellules gangli
oliosynectique). Puis étudie les cellules ganglion- naires de cette
substance
; parmi les figures qui sont jointes à son trav
ttribue la transparence plus grande des coupes de la moelle dans la
substance
grise à ce que le tissu synectique à ce niveau
niveau possède un indice de réfraction assez voisin de celui des
substances
employées pour le montage des pièces. Il étudie
ls renfermeraient, au niveau du bulbe, une assez grande quantité de
substance
grise sous forme de substance synectique, dans
bulbe, une assez grande quantité de substance grise sous forme de
substance
synectique, dans laquelle se trouveraient même à
t nette des éléments cellulaires, delà subs- tance nerveuseet de la
substance
conjonctive. - Pour isoler le fais- ceau non en
icale et dorsale (granulations obscures et grains pigmentaires delà
substance
grise), et l'inflammation parenchyma- teuse de
(Neurol. Centrttl6l., 1882.) Il s'agit d'une forme paraplégique. La
substance
grise antérieure de la moelle lombaire présente
e l'hémisphère. CH. F. XX. PÉNÉTRATION d'un FRAGMENT DE FER DANS LA
SUBSTANCE
CÉRÉBRALE; mort en quatre mois; autopsie; par B
es fibres épaisses qui commencent à se conglomérer en trousseaux de
substance
blanche. Ceci s'applique communément aux circon
tous calibres, parallèles à la surface, libres si prononcées que la
substance
fondamentale a disparu. C'est par le système de
, tantôt fait disparaître l'excitabilité de l'écorce, tandis que la
substance
blanche ne subit point de changement T. KAHN. I
amas de corpuscules arrondis, réunis par un enduit gélati- neux de
substance
amorphe ; le bacterium thermo, petit bâtonnet r
hénomènes ne peuvent s'expliquer que par une altération de toute la
substance
grise, ou par une méningite assez étendue pour
rs. Sous ces plaques de méningite adhérentes à l'écorce, on voit la
substance
des circonvolutions ramollie, diffluente, en- f
ingite tuberculeuse sont de nature inflammatoire aussi bien dans la
substance
blanche que dans la substance grise, mais ce n'
ture inflammatoire aussi bien dans la substance blanche que dans la
substance
grise, mais ce n'est pas de l'inflammation fran
et la deuxième circonvolution i frontalê;itin épaississement de. la
substance
.Igriseaavoisinantr : lesicentres moteurs, 'sans
pagné de'rhodiCicati'ons3de consistancedmais àson, : voisi- nage la
substance
bIahchéqbst'un : fpeutràh)oUien)'&) r2éxa7-
foyer hémorrha- gique dans le centre ovale limité en dedans par la
substance
grise du lobule paracentral, en haut et en deho
le et pariétale; en bas, il est séparé du corps strié par un lit de
substance
blanche de 1 centimètre d'épaisseur; en avant,
93 août.l8 ? 8; elle meurt le,16 septembre. -) il Autopsie. Dans la
substance
blanche de l'hémisphère gauche, au-dessus du ve
rieure de l'insula pour troubler par ses lésions les usages de la
substance
médullaire confinée à la partie antérieure du b
, avec de petits foyers purulents. L'altération est surtout dans la
substance
,1111 ? i-i ,'r-7,i .0 -.1 'I v, ,w > ? 'J ?
,'r-7,i .0 -.1 'I v, ,w > ? 'J ? 1» ? ./t't ? U/ . corticale; la
substance
médullaire ulfré des espèces C.0clo DES IRRADIA
du volume d'une noisette, facile- ment énueléale, siégeant sous la
substance
grise dans la "p'artie postérieure delà troisiè
est le même. Dans l'un comme -dans l'autre, elle se trouve dans la
substance
médullaire sous-corticale de la troisième front
rntatw e t)tauou '>eq un Cancer de deux pouces de long dans.. la
substance
médullaire dulobe trontat droit n atteignant, p
es cérébraux, et rapporter tousicesiderniers à. l'altération de la.
substance
grise corticaleRaisonnant; comme l'avait fait'B
ntraîné Ia : pêrte du lan-' gage; l'altération de l'écorce et de la
substance
blanche sous-corticale n'a été qu'une simple co
s l'épaisseur du lobule de l'insula droit ; entre l'avant-mur et la
substance
grise de l'insula droit il reste en- core une é
rejeté en dedans, il est séparé du foyer par une légère couche de
substance
blanche; hémiplégie gauche; membre supérieur co
Nous le croyons, et cette explication découle natu- rellemeut de la
substance
même de notre mémoire. On sait, en effet, que l
pendant de celui de l'écorce et de toute la portion latente de la
substance
médullaire correspondante. Il est donc probable
chargée d'artérialiser la tête du noyau caudé et la partie de la
substance
médullaire adjacente au bord externe du ventric
de la face convexe latérale, mais très souvent, ' dans la partie de
substance
nerveuse intermédiaire; existe un - sillon tran
cinquième couche. · En comparant une série de douze coupes de la
substance
corti- cale chez des paralytiques généraux et u
aralytiques généraux et une série de douze autres coupes de la même
substance
chez des sujets atteints d'autres affections me
en partie, de la corne descendante du ventricule latéral, par de la
substance
cérébrale. L'examen microscopique montra qu'il
blable, au point de vue de la couleur et de la consistance, à la
substance
corticale du rein. R. ill. G. XXIII. L'oiTUSION
à conclure que ce n'est point la quan- tité, mais la qualité de la
substance
nerveuse qui est imparfaite. De pareilles modif
ultant d'une sorte de viscosité des molé- cules constituantes de la
substance
nerveuse. Lorsqu'il est congénital, cet état pe
rontale gauche; ils occupaient les couches les plus profondes de la
substance
grise et la substance blanche immédiatement sit
cupaient les couches les plus profondes de la substance grise et la
substance
blanche immédiatement située au-dessous. Ils ét
rsora'sb ni J9 si Le cereau-pèsés4;170Jgramntes; : sbni',tissu La
substance
grise est réduite à l'état de sinlplé·I31üéllé su
irais a REVUEÏDE ^PATHOLOGIE .MENTALE. 213 un degré moindre ? La
substance
^ grise a-gauche,. étaiti assez, forte- ment inj
droit,quelqnes,l.3ïsteûde la grosseur d'unipois, contenant ' unej,
substance
, blanche, cireuse, colloïde. : Les" artères et'
chemin par911,1nle scrihlée.de l'ethmoïde, et qui, avait, creusé.Ja
substance
osseuse du -frontal.. Par ;sa, couleur, etj,sa
sons à "l'appui sont : la coïncidence" temporelle) pour) les .deux
substances
de pliases de' développement1 pleines d'importanc
comporte une période fondamentale dans laquelle se forme une riche
substance
intercellulaire. Ranvier fait provenir toute la
une riche substance intercellulaire. Ranvier fait provenir toute la
substance
finement granuleuse de la destruction des -fibr
assez, nombreuses pour permettre d'expliquer l'origine de toute la
substance
, moléculaire, et l'on ne saurait comprendre pou
n ne saurait comprendre pourquoi elles ne se détruisent que dans la
substance
grise. Enfin, cette théorie ne nous donne pas l
rie ne nous donne pas la clef de la grande différence qui sépare la
substance
blanche de la substance grise (aspect, réaction ;
clef de la grande différence qui sépare la substance blanche de la
substance
grise (aspect, réaction ; 'développement).Ranvi
la racine ascendante du glbsso-pharv ngien. Au bord in- terne de la
substance
gélatineuse de la' corne postérieure, on ren- c
l lui semble qu'il coupe une rave ou un morceau de charbon, que ces
substances
crient sous la dent, etc .. ; insomnie entreten
la pompe àfeu, J'eau cotitientencore trois à quatre millionièmes de
substances
organiques. Après la seconde, elle n'en a plus
EPSIE JACKSONNIEKNE. H07 forme d'une lamelle qui entraine un peu de
substance
nerveuse. Le foyer a une coloration jaunâtre gé
nâtre générale avec des ilôts rosés. (PL. VI). Il semblerait que la
substance
grise forme une sorte de voile mobile sur la cr
substance grise forme une sorte de voile mobile sur la crête de la
substance
blanche sous-jacente. Hémisphère droit. Face co
lte subs- tance soulevée avec la pince glissait sur le squelette de
substance
blanche comme une sorte de membrane : c'est la
uelette de substance blanche comme une sorte de membrane : c'est la
substance
grise déta- c/t';ede/(tt' : <6s<aHeeo<
halite ordinaire dans laquelle la pie-mère est si adlié- rente à la
substance
grise que, dans son ablation, on met à nu le sq
substance grise que, dans son ablation, on met à nu le squelette de
substance
blanche tandis que la substance grise, adhérent
lation, on met à nu le squelette de substance blanche tandis que la
substance
grise, adhérente à la pic-mère, offre les relie
arties n'a eu lieu qu'après macération du cerveau dans l'alcool; la
substance
grise des parties lésées s'est plissée, ridée s
; la substance grise des parties lésées s'est plissée, ridée sur la
substance
blanche et a pris une coloration légèrement jau
plus souvent séparé de la scissure callosomarginale par un pont de
substance
nerveuse, de sorte que l'on ne sau- rait dire q
e se relierait au lobule paracentral que par un pont très étroit de
substance
nerveuse situé à la lisière du manteau des circ
s un peu avant de la scissure pariéto-occipitale. P. Kérwal. IX. La
substance
DE soutènement du système nerveux central ; par
mme du tissu conjonctif. Elle se compose d'éléments fi- gurés et de
substance
amorphe. Cette dernière constitue, par exemple,
et de substance amorphe. Cette dernière constitue, par exemple, la
substance
fondamentale de la substance grise et des plus
te dernière constitue, par exemple, la substance fondamentale de la
substance
grise et des plus fortes travées de la substanc
fondamentale de la substance grise et des plus fortes travées de la
substance
blanche ; elle est molle, mais ferme, absolumen
des. -Au point de vue de la texture générale, la névroglie forme la
substance
de soutien et d'enveloppe des éléments nerveux;
nes des autres, directement sous la pie-mère. C'est surtout dans la
substance
blanche de la moelle qu'on en constate le mieux
nt office de gaines, sans constituer de vraies mem- branes. Dans la
substance
grise, la névroglie forme des ré- seaux cellula
orme des ré- seaux cellulaires dont les intervalles sont remplis de
substance
fondamentale. Ici prédomine la substance fondam
ntervalles sont remplis de substance fondamentale. Ici prédomine la
substance
fondamentale; c'est elle qui cimente le nombre
erveuses. Il y existe aussi des endroits tout entiers construits de
substance
de soutènement. Tels sont les traits généraux q
dant dire en terminant, que, parmi les vaisseaux sanguins, les uns (
substance
blanche de la moelle, du bulbe, du cerveau), po
lbe, du cerveau), possèdent une enveloppe de névroglie (cellules et
substance
fon- damentale), les autres (substance grise de
pe de névroglie (cellules et substance fon- damentale), les autres (
substance
grise de l'encéphale) courent, sans enveloppe v
able d'une partie de la commissure moyenne et du segment contigu de
substance
grise importe peu quant à la vue) ; le même opé
estruction de la couche optique, mais de la lésion simultanée de la
substance
grise centrale adjacente, qui entoure la partie
les viennent du nerf optique après que le chiasma a pénétré dans la
substance
de l'encéphale, et se rendent alors aux noyaux
vèle les alté- rations ordinaires de la méningo-périencéphalite; la
substance
cérébrale et la moelle sont dures et élastiques
ge d'un processus scléreux nettement caractérisé ; de plus entre la
substance
blanche et la couche corticale, on rencontre de
l'étude micrographique pure de deux faits. L'auteur établit que la
substance
grise contient un réseau à mailles fines consti
stance grise contient un réseau à mailles fines constitué par de la
substance
fondamentale conjonctive dont les travées solid
ratine bien plus que du tissu élastique. Les noyaux qui occupent la
substance
même de ce réseau appartiennent à des cellules
n voie de développement. M. Friedmann, admet, en ce qui concerne la
substance
blanche, les théories de Jastrowitz, Kuhne, Bol
des cellules, il y ait des fibres libres; nulle part on ne voit de
substance
granuleuse amorphe. Quant au processus scléreux
: 1'unelonte, traînante, engendrant la destruction graduelle de la
substance
nerveuse ; l'autre, à évolution rapide, dans la
rgner les départements les plus internes des cordons latéraux et la
substance
blanche con- ligué des cornes antérieures, ains
de la conductibilité sensitive émane toujours d'altérations de la
substance
grise de la moelle, cette opinion doit supporter
les cas d'extirpation des zones motrices de l'écorce du cerveau, la
substance
blanche fut trouvée lésée sur une étendue varia
r l'opération). On iencontra toujours, alors même que les pertes de
substance
étaient très superficielles, très limitées, une
férence d'avec l'état normal; quant aux fibres myéliniques c'est la
substance
intercellulaire épaissie qui masque un peu les dé
es les circonvolutions cérébrales, c'est d'abord à la lisière de la
substance
blanche qu'apparaissent les fibres nerveuses à
che, sans désemparer, du centre de la périphérie ; 2° La lisière de
substance
blanche de l'écorce du lobule paracen- tral et
e circonvolution frontale ne contiennent encore, dans la lisière de
substance
blanche, aucune fibre nerveuse à myé- line. P.
onvolutions du côté gauche sont plus petites qu'à l'état normal. La
substance
blanche des lobes antérieur et moyen est réduite
avancée. A la coupe, la subs- tance grise normale est convertie en
substance
presque blanche ; bien qu'avancée, la sclérose
es régions malades, par une sorte d'union des couches adjacentes de
substance
grise pure. Cet état, que l'auteur n'avait jama
nversion de l'instinct sexuel. P. M. XLV. SCLÉROSE DE la LISIÈRE DE
substance
blanche DU cerveau dans la démence paralytique;
ce tissu de corpuscules osseux qui, en fin de compte, ossifient la
substance
musculaire, mais en en atrophiant les éléments. U
hérents au squelette sous-jacent, ou bien ils se présentent dans la
substance
musculaire même sous la forme de lames larges ou
qu'on a séparé, qu'on a même détruit, à l'aide d'une cu- rette, la
substance
cérébrale d'un côté, ou dans les deux hémis- ph
a vue, alors qu'ici une lésion profonde jusqu'à l'irradiation de la
substance
blanche peut demeurer sans résultats, même dans
he, il serait à priori tout à fait improbable que l'énorme masse de
substance
cérébrale qui forme le lobe frontal de l'homme
e ce qui ne passe pas avec les vapeurs d'eau, est constitué par une
substance
résineuse qui, elle, possède des effets physiol
très prononcé et très étendu de l'artère sylvienne gauche, mais la
substance
cérébrale ne présentait aucun résidu anatomopat
u de la surface entière de l'encé- phale, à laquelle participait la
substance
grise elle-même enflam- mée ou atrophiée (exame
s certains faisceaux du même côté de la moelle, quand les pertes de
substance
sont étendues, a fait défaut ici après l'ablati
partiments à contenu jaune graisseux, et a détruit une partie de la
substance
corticale et médullaire de l'organe ; à la convex
citation nerveuse ; le mouvement ondulatoire gagne la cellule de la
substance
grise; cette cellule, en l'arrêtant, le transfo
e (étude sur la), par Chantemesse, 124. Moelle épinière (sur la
substance
grise de la et de la moelle al- longée), par
ichromate d'ammoniaque nous a toujours semblé supérieur à toute autre
substance
, même pour la facilité avec laquelle se colorent
le moment de procéder aux sections méthodiques, on s'expose à voir la
substance
cérébrale s'émietter sous le couteau en petits bl
le ou dans la capsule interne les trois ou quatre petits fragments de
substance
blanche, où l'on s'attend à trouver les corps gra
e colorante; et la qualité de la lumière réfléchie par cette nouvelle
substance
, dont le tissu nerveux est la charpente, varie, s
surfaces de section selon que le rayon lumineux éclaire un cercle de
substance
myélinique, ou une petite ellipse, ou une grande
x, on arrive à préciser l'incli-naison des faisceaux stratifiés de la
substance
médullaire et le trajet des fibres qui la compose
Le second inconvénient consiste dans la similitude de couleur de la
substance
blanche ou médullaire et de la substance grise ou
similitude de couleur de la substance blanche ou médullaire et de la
substance
grise ou ganglionnaire. Mais ce n'est là qu'un in
d'attention pour faire la différence entre les unes et les autres. La
substance
ganglionnaire est d'un vert ardoisé; la substance
s et les autres. La substance ganglionnaire est d'un vert ardoisé; la
substance
médullaire est d'un jaune brun. Comme ces deux te
afin que les vaisseaux entraînés par le couteau, entre la lame et la
substance
nerveuse, ne tracent pas de sillons sur la surfac
X. Par là seulement on se rend compte du trajet des faisceaux dans la
substance
blanche et de leurs terminaisons dans la substanc
faisceaux dans la substance blanche et de leurs terminaisons dans la
substance
grise; par là surtout on saisit, dans son ensembl
T. Lamina terminalis. Lem. Lemniscus. Lm. Lamina medialis. LMV.
Substance
réticulaire du carrefour frontal. M. Gouttière de
illon sous-frontal, 45, 45. sf. Deuxième sillon sous-frontal. Su.
Substance
grise centrale sous-épendymaire. si. Sillon du
eife des Allemands). LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réticulaire d'Arnold. M. Gouttière de Monro.
remier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. SG.
Substance
grise centrale sous-épenclymaire. si. Sillon du
edunculi, 61. K. Scissure calcarine. L. Scissure limbique. LMA.
Substance
réticulaire d'Arnold, 59. NaC. Noyau antérieur
ale, 68, 75. GSf. Deuxième circonvolution sous-frontale, 75. GSL.
Substance
grise du septum lucidum, 74. Hip. Circonvolutio
me festonnée, 140. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réti-culaire d'Arnold. olh. Quatrième sillon oc
ure limbique, 141. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réti-culaire d'Arnold, 144, 145. ot,t. Quatrièm
ure limbique, 156. LMÀ. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réticulairc d'Arnold, 151, 152. P. Circonvoluti
Scissure limbique. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réti-culaire d'Arnold, 165. o/,,. Quatrième sil
na convoluta, 178. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réti- culaire d'Arnold, 171, 175. LST. Stratum
re limbique. Laq. Laqueus, 162. LC. Lamina convoluta, 187. LMA.
Substance
réticulaire d'Arnold. LMA'. La môme substance sur
convoluta, 187. LMA. Substance réticulaire d'Arnold. LMA'. La môme
substance
sur un plan plus antérieur, 187. LST. Stratum lac
ure de la scissure de Sylvius, 185. sC. Sinus du corps calleux. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire, 188. T1. Premièr
l, 200. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 195. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire, 196. T1. Premièr
221, 222. S'. Rranche postérieure de la scissure de Sylvius, 204. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire, 205, 209, 216. T
térieure de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps calleux. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire, 227. T1. Premi
CP. Commissure postérieure. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la
substance
grise du troi-sième ventricule, 250. FCF. Faiscea
ina medialis, 251. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réti- culaire d'Arnold. Lmd. Lamina lateralis,
fibres du centre ovale, 269. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la
substance
grise du troisièm e ventricule, 267. F. Circonv
ontale de Reil, 516. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réticulaire d'Arnold. LMl. Lame médullaire in
stérieur, 555. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire, 555, 554. SE. Si
aisceau ou fibres du centre ovale. COL Commissure inférieure (dans la
substance
grise du tuber cine-reum). DF. Pilier descendan
icq-d'Azyr, 557, 559, 567, 568. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire,
substance
innominôe sous-lenticulaire, 560, 562. GLA. Globu
u putamen, 572. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 575. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire, 558, 566. T1.
ps calleux, 585. Cin. Cingulum. COI. Commissure inférieure (dans la
substance
grise du tuber cine-reum). DF. Pilier descendan
586, 587. Sr. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG.
Substance
grise centrale sous-épendymaire. Tse. Tsenia se
05. GUI. Globus medialis, 590, 595. GLP. Globus pallidus, 591. GSL.
Substance
grise du septum lucidum, 592, 598, 404. L. Scis
GR. Gyrus rectus, 412. GS. Pyramide grise de Sœmmering, 410. GSL.
Substance
grise du septum lucidum, 409. GVE. Gyrus vestib
ps genouillé interne, 429. G1P. Ganglion interpédonculaire. 429. GSL.
Substance
grise du septum lucidum, 450, 455. IN. Insula de
458. GLM. Globus medialis, 457. GLP. Globus pallidus, 457. GSL.
Substance
grise du septum lucidum, 456. 1IAB. Habena, hab
GMA. Gyrus métopique antérieur. GP. Lobule du pli courbe. GSL.
Substance
grise du septum lucidum, 441. 11AB. Ilabena, ha
e. LFE. Lame festonnée. LES. Capsula extrema, moelle de l'insula,
substance
blanche innommée de l'insula. LMI. Lame médulla
55. GLP. Globus pallidus, 455, 456. GR. Gyrus rectus, 449. GSL.
Substance
grise du septum lucidum. IN. Insula de Reil.
o-caudées, 455. LFE. Lame festonnée. LFS. Capsida extrema. LMA.
Substance
réticulaire d'Arnold, 450. LMI. Lame médullaire
l'habénule. GI. Corps genouillé interne. GR. Gyrus reclus. GSL.
Substance
grise du septum lucidum, 458. K. Scissure calcari
. Capsula exlrema. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réticulaire d'Arnold. LML Lame médullaire inter
old. LML Lame médullaire interne du thalamus. LMV. Lame médullaire ou
substance
réticulaire du carrefour frontal, 457. NA. No
a lamina convoluta LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réti- culaire d'Arnold. LST. Stratum lacunosum.
. Capsula extrema. LMA. Lame blanche corlicale de la corne d'Ammon,
substance
réti- culaire d'Arnold, 464, 465. LN. Locu* nig
. GH. Ganglion de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. GSL.
Substance
grise du septum lucidum. K. Scissure calcarine.
lenticulo-caudées. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon,
substance
réticulaire d'Arnold. LML. Lame médullaire exte
médullaire externe ou latérale du thalamus. LMV. Lame médullaire ou
substance
réticulaire dn carrefour frontal. LY. Lyre de D
il ressort que, par suite de la perméabilité variable des diverses
substances
précitées, les résultats obtenus par la photograp
opsie, on a trouvé une gliomatose qui intéressait principalement la
substance
grise centrale; mais par places elle empiétait
la substance grise centrale; mais par places elle empiétait sur la
substance
blanche. Voire que dans les cordons posté- rieu
4. d4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE myélite aiguë de la
substance
grise, survenue dans le cours d'une maladie inf
stérieure, en arrière du canal cen- tral, quelquefois aussi dans la
substance
gélatineuse de Rolando, ou sur le trajet de la
rajet de la racine ascendante du trijumeau. Elle envahit d'abord la
substance
grise centrale, puis la corne postérieure qu'elle
scendante. Enfin vous vous rappelez que dans le cas de Schuppel, la
substance
grise centrale et les cordons postérieurs manqu
tement les cordons postérieurs. ' La lésion est-elle limitée à la
substance
grise ? J'incline à croire que non. A en juger
, il est très vraisemblable, comme je viens de vous le dire, que la
substance
blanche des cordons pos- térieurs el même des c
mis en communication avec un tambour Vlarey par un tuyau de la même
substance
. ix 3 ' Fie. 3. - Le Clonographe. TRACÉS OB
e-mère, arachnoïde, pie-mère, vaisseaux, tumeurs, faisceaux blancs,
substance
grise, racines. I. Dure-mère. Généralement peu
eaux blancs voisins, sa limite est moins nette dans la région de la
substance
grise, vers la commissure par exemple, où l'inf
nt : on voit dans ces régions le tissu médullaire, quel qu'il soit,
substance
grise ou substance blanche, s'infiltrer peu à peu
es régions le tissu médullaire, quel qu'il soit, substance grise ou
substance
blanche, s'infiltrer peu à peu de petites cellu
ondation embryon- naire atteint d'abord les parties centrales de la
substance
grise, où elle disloque t'architectonique des t
issement. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 69 VII.
Substance
grise. Nous avons vu, en décrivant la topographie
s-ci. Aussi ne pouvons-nous décrire les lésions histologiques de la
substance
grise an- térieure que dans le voisinage des go
oins intense ; les petites cellules rondes parsèment diffusément la
substance
grise, formant çà et là des traî- nées périvasc
t continué sur le même type, atteignant son maximum au niveau de la
substance
grise des cornes antérieures. Cette localisatio
e plus riche, soit par une vulnérabilité plus grande du tissu de la
substance
grise ; on sait d'ailleurs que la thrombose de
andis que les premiers (tacti- les), après avoir fait étape dans la
substance
grise de ta cptpnneposténeure, gagnent les régi
enni- que et douloureux) paraissent constitués exclusivement par la
substance
grise elle-même. Or si nous rapprochons les sym
nt et l'étage de la lésion, et que le relai sensitif établi dans la
substance
grise était intéressé dans le pro- cessus. A ce
sensibilités thermique et douloureuse, dont les voies conductrices (
substance
grise) sont manifestement interrompues des deux
ongueurdi- minuée de volume, dure, sans trace de division entre les
substances
et tout à fait semblable à un tendon fibreux, s
t formée par du tissu lamineux, condensé, feutré et entremêlé d'une
substance
granuleuse abondante. L'examen des deux moelles
t rétiforme, de même il y avait de la tuméfaction du ré- seau de la
substance
grise. Çà et là, on trouvait dans la substance mé
on du ré- seau de la substance grise. Çà et là, on trouvait dans la
substance
médul- laire et autour des vaisseaux des sillon
profondeur du sillon, productions fibreuses s'éten- dant jusqu'à la
substance
grise, attaquant le canal central qui est entouré
a face interne de la dure-mère par de nombreux et forts tractus. La
substance
médullaire est grisâtre. La dure-mère est épaissi
es cordons postérieurs et dans les commissures blanche et grise. La
substance
blanche est atrophiée. Quelques groupes de fibres
t extrêmement grêles. Les tuniques des vaisseaux sont épaissies. La
substance
grise est disposée d'une façon asymétrique. Le
re des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la
substance
grise est très raréfiée avec atrophie des cellu
ure blanche du côté droit jusqu'à envahir, par un court tractus, la
substance
de la corne grise antérieure dans sa partie la
ogue, existe un diverticule beaucoup plus petit ne dépassant pas la
substance
de la commissure blanche. Les cordons de Burdac
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tain degré de résorption de la
substance
nerveuse et aussi de la névroglie. La substance
de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La
substance
des cornes grises est irrégulièrement disposée et
ulier. Légère hyper- calcification des centres d'ossification. La
substance
cérébrale ramollie ne permet de relever aucune lé
Le canal est revêtu de l'épithélium proliféré et est entouré d'une
substance
scléreuse. Dans la substance blanche, on trouve
thélium proliféré et est entouré d'une substance scléreuse. Dans la
substance
blanche, on trouve de très rares fibres nerveuses
s, dans la partie la plus périphérique des cordons de Burdach. La
substance
grise est diminuée de volume dans sa totalité, di
peu de fibres nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La
substance
grise des divers segments est dégénérée, les ce
dédoublement, le canal central est toujours revêtu d'épithélium, la
substance
nerveuse est réduite à une mince bande circulai
que l'ou trouve dans les cas d'anencé- phalie où, à la place de la
substance
cérébrale, il n'y a que du tissu conjonctif dis
et le canal central est déjà divisé en 2 parties par un tractus de
substance
nerveuse. Dans la région lombaire, sur une long
central et, dans chaque segment, il est impossible de distinguer la
substance
blanclie de la grise et réciproquement. On voit
urée par les méninges et offrant au microscope les caractères de la
substance
cartilagineuse. En résumé « Dégénérescence des
1889, Berlin. 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE sant la
substance
médullaire elle-même. Il existait, par places, de
és dans toute leur étendue. Les vaisseaux de la pie-mère et de la
substance
blanche, artères et veines, étaient altérés ; i
dul- laires étaient moins envahies que les artères cérébrales. La
substance
grise était saine, surtout au niveau des cornes a
e et ses vaisseaux, et in- téressant, de ce fait, secondairement la
substance
blanche, les cordons pos- térieurs en particuli
erne et une méningo-myélite très accentuée avec participation de la
substance
grise et blanche de la moelle. Les observatio
ce sont des érosions superficielles, des dépressions, des pertes de
substance
localisées, ordinai- rement consécutives à l'él
transformé en une vaste poche kys- tique à paroi mince et ridée, de
substance
conjonctive ; c'est la corne in- férieure dilat
sont restés intacts. 4° Tous les ventricules sont dilatés. 5° La
substance
blanche de la surface cérébrale saine en apparenc
ce blanche de la surface cérébrale saine en apparence, ainsi que la
substance
grise sont atrophiées. Deux coupes frontales de
une moindre part la cause doit être cherchée dans l'atrophie de la
substance
blanche et grise de l'écorce cérébrale. z On pe
icroscope, on peut constater les faits suivants : A. L'écorce et la
substance
blanche sous-jacente de l'hémisphère droit sont
andes. Dans la partie du' pédoncule cérébral située au-dessus de la
substance
grise de SoeMMMer, la « IIduGc des auteurs alle
utres anomalies. La masse de filets nerveux située au-dessous de la
substance
de Soem- mering, le pes pedunculi des auteurs,
Mais plus loin on y trouve cité que-la lésion s'est étendue dans la
substance
blanche de l'hémisphère jusqu'à la paroi extern
on tira une pierre encore plus grosse que les six précédentes, d'une
substance
extrêmement dure, d'une couleur brune et grisât
tem- bre 1748 et on tira à la fois deux pierres toujours de la même
substance
, figure et couleur que les autres. Le lendema
te, soit que le processus syphiliti- que ail pris naissance dans sa
substance
même, sans doute dans les sepla conjonctifs que
très caractéristique,-très frappante de celles colo- rées par cette
substance
. Il est inutile de décrire la gomme, ou le tiss
ngueur dimi- nuée de volume, dure, sans trace de division entre les
substances
et tout à fait .semblable à un cordon fibreux,
it formée par du tissu lamineux condensé, feutré et entremêlé d'une
substance
granuleuse abondante. « L'examen des deux moe
iminuées de nom- bre, il y avait de la, tuméfaction du réseau de la
substance
grise. Ça et là on trouvait dans la substance m
ction du réseau de la substance grise. Ça et là on trouvait dans la
substance
médullaire et autour des vaisseaux des sillons et
la profondeur du sillon, productions fibreuses s'étendant jusqu'à la
substance
grise, attaquant le canal central qui est entou
a face interne de la dure-mère par de nombreux et forts tractus. La
substance
médullaire est grisâtre. La dure-mère épaissie pr
t sur ce point, elles se rencontrent aussi dans les vaisseaux de la
substance
blanche, les vaisseaux de la substance grise sont
ssi dans les vaisseaux de la substance blanche, les vaisseaux de la
substance
grise sont intacts. A côté de vaisseaux totalem
envahies par la végétation (figures), mais celle-ci ne dépasse pas la
substance
blanche. Il faut remarquer que les cordons po
parties leurs lésions sont très minimes pro- portionnelleuieut. La
substance
grise qui a conservé un certain degré d'immu- 2
infiltrée de cellules rondes. Quant aux altérations spéciales de la
substance
nerveuse elle-même, elles sont de deux sortes.
possible de séparer le cylin- dre-axe des parties engainantes. La
substance
grise et surtout les cellules ganglionnaires et l
cordons postérieurs et dans les commissures blan- che et grise. La
substance
blanche est atrophiée. Quelques groupes de fibres
t extrêmement grêles. Les tuniques des vaisseaux sont épaissies. La
substance
grise est disposée d'une façon asymétrique. Le
re des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la
substance
grise est très raréfiée'aVec atrophie des cellu
ssure blanche du côté droit jusqu'à envahir par un court tractus la
substance
de la corne grise (1) Gangitano, Contribulo all
logue existe un diverticule beaucoup plus petit ne dépassant pas la
substance
de la commissure blanche. Les cordons de Burdac
tées et autour d'elles on note un certain degré de résorption de la
substance
nerveuse et aussi de la névroglie. La substance
de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La
substance
des cornes grises est irrégulièrement disposée et
Le canal est revêtu de l'épithélium proliféré et est entouré d'une
substance
scléreuse '. Dans la substance blanche, on trou
élium proliféré et est entouré d'une substance scléreuse '. Dans la
substance
blanche, on trouve de rares fibres nerveuses et d
s, dans la partie la plus périphérique des cordons de Burdach. Le
substance
grise est diminuée de volume dans sa totalité, di
peu de fibres nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La
substance
grise des divers segments est dégénérée, les ce
dédoublement le canal central est toujours revêtu (l'épithélium, la
substance
nerveuse est réduite il une mince bande circula
le canal central est déjà divisé en deux parties par un tractus de
substance
nerveuse. Dans la région lombaire, sur une long
l central et dans cbaque segment il est impossible de distinguer la
substance
blanche de la grise et réciproque- ment. On voi
urée par les méninges et offrant au microscope les caractères de la
substance
cartilagineuse. Voici comment railleur résume l
in de la né- vralgie. Les interstices entre les tubes nerveux de la
substance
blanche sont considérablement agrandis, surtout
la périphérie, leur sommet vers le canal central, passent entre la
substance
ner- veuse et la déplacent en partie pour occup
riphérie, tantôt s'avançant jusqu'à la commissure postérieure de la
substance
grise centrale ; d'autres encore pénètrent les
t des fibres névroglillues, mais il la limite entre les cônes et la
substance
nerveuse ces fibres prolifèrent abondamment et
de la néoformation, mais d'une conséquence de la disparition de la
substance
ner- veuse, des fibres blanches. Quant aux va
cordons, systémati- que. On trouve seulement éparses dans toute la
substance
blanche quelques fibres nerveuses plus ou moins
mal, ou se termine en massue volumineuse, d'aspect vitreux. Dans la
substance
grise les fibres sont épaisses, gonflées, surtout
avages, mais encore ils sont assez marqués. Signalons enfin dans la
substance
grise des cornes antérieures de petites hé- mor
nt que la rétraction due aux divers réactifs peut faire déchirer la
substance
nerveuse dont des lambeaux restent adhérents à la
upes de la moelle dorsale. Elle consiste dans l'envahissement de la
substance
blanche d'une des moitiés de la moelle par un néo
noyaux névro- gliques qui parsèment le reste de la coupe, mais une
substance
grenue, prenant mal les couleurs, infiltration
s qu'il y ait cependant d'hémorrhagie. La moelle aussi bien dans sa
substance
blanche que dans sa substance grise est parcour
rrhagie. La moelle aussi bien dans sa substance blanche que dans sa
substance
grise est parcourue par des vaisseaux énormémen
et la moelle, et entre l'arachnoïde et la pie-mère d'autre part. La
substance
nerveuse n'est pas refoulée du reste et paraît n'
irréguliers, frangés, il y a eu fonte en certains points, perte de
substance
, en d'autres au contraire la tumeur pousse des
4 jours. Très légèrement macéré. Viscères d'apparence normaux. La
substance
cérébrale est de consistance normale. Il y a une
notre ami et collègue Vauverts. Les viscères semblent normaux. La
substance
cérébrale, les méninges ont leur aspect habituel,
t, à l'éosine hématoxyline ils semblent normaux. Les cellules de la
substance
grise se colorent, à peu près, à ce niveau et son
ractus fibreux irréguliers le représentent, entourant vaguement une
substance
méconnaissable dans laquelle 314 NOUVELLE ICONO
étroite dans la moitié atrophiée de la moelle où elle est en pleine
substance
grise, tandis que du côté opposé elle déborde l
persistent,reconnaissables. Le cerveau droit présente une perte de
substance
considérable de tout son lobe postérieur, surto
a corne antérieure, la colonne de Clarke, la corne postérieure ; la
substance
blanche est réduite à quelques lambeaux bordant
ite qui coupant le col de la corne postérieure vient mourir dans la
substance
blanche de ce côté. Il n'y a plus trace du cana
blanc. Région lombaire supérieure. On reconnaît assez nettement la
substance
blanche et la substance grise avec les cellules
supérieure. On reconnaît assez nettement la substance blanche et la
substance
grise avec les cellules motrices, mais il est imp
est très atrophiée. Examinons chacun des éléments de la coupe : la
substance
grise se distingue nettement de la substance bl
léments de la coupe : la substance grise se distingue nettement de la
substance
blanche, mais on ne saurait y reconnaître les c
s pathologique ; du côté droit les deux cornes sont bien formées.
Substance
blanche. A droite à peu près normale, on remarque
ur. N Queue de cheval. Ici il redevient impossible de distinguer la
substance
blanche de la grise, la moelle est le siège de
ieur atteignent les dimen- sions du petit doigt d'un adulte. ' La
substance
cérébrale parait normale. Moelle. Tout est norm
ntent les coupes. Région cervicale. On distingue assez nettement la
substance
grise de la subs- tance blanche, les cellules d
noyau indistinct au lieu d'être clair est coloré en violet sale. La
substance
blanche présente son aspect normal 1 mais à la
is- tendus, une double rangée de cellules rondes les borde. Dans la
substance
grise les cellules se voient avec peine, ou les
st souvent invisible. Ici il n'y a plus de néoplasme envahissant la
substance
blanche, celle-ci est bien isolée dans ses cont
phérie, le centre du néo- plasme présente au contraire une perte de
substance
à contours irréguliers' comme craquelés, indiqu
araît encore plus atteinte, il est impossible de distinguer dans la
substance
grise une seule cellule nerveuse. Il existe des
ce sont disséminées sans ordre et un peu partout aussi bien dans la
substance
blanche que dans là substance grise. Queue de c
et un peu partout aussi bien dans la substance blanche que dans là
substance
grise. Queue de cheval. Le microscope montre au
proprement-dite présente des caractères normaux, aussi bien dans la
substance
grise où les cellules sont normales que dans les
Moelle. Région cervicale. La moelle proprement dite est normale, la
substance
grise présente des cellules bien colorée, la su
normale, la substance grise présente des cellules bien colorée, la
substance
blanche est seulement parcourue par des vaissea
régulier au centre de la moelle ; celle-ci pré- sente des pertes de
substance
multiples, elle est déchiquetée par endroits, c
, on reconnaît au centre le canal épendymaire à peu près normal, la
substance
grise laisse voir ses cellules des cornes antér
cellules des cornes antérieures, mais elle est craquelée, quant à la
substance
blanche elle est complètement dissociée, de vas
stance blanche elle est complètement dissociée, de vastes pertes de
substances
irrégu- lières déchiquètent sa périphérie. Peut
t. Il est il peu près moitié moindre que celui de l'olive droite.La
substance
grise qui constitue les volutes est très amincie;
l. NCB, noyau du cordon de Burdach. CB, cordon de Burdach. Sgc,
substance
grise centrale, périépendy- maire. SgR, subst
Burdach. Sgc, substance grise centrale, périépendy- maire. SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. cop, reste de la corne
(aplalie à gauche). Oia, olive inférieure gauche atrophiée. SgR,
substance
gélatineuse de Rolando. SR, formation réticulée
Pcsd, pédoncule cérébelleux supérieur dé- généré. Subs. ferr.,
substance
ferrugineuse (locus coeruleus). fMtY, fibres
droit, ainsi que dans le noyau terminal de KoelliJ.'e ! ' (dans la
substance
grise centrale) quelques cellules pigmentées et
diamètre est d'un tiers plus mince que celle de droite, de même la
substance
gélatineuse de Rolando à gauche est plus pauvre e
tie médiane du corps restiforme) (Voir PI. I, B). Cette région de
substance
grise que Gudden et Mingazzini ont appelée le n
aient pas comprimés à leur sortie du tronc cérébral (PI. 111). La
substance
grise du pont est très comprimée et atrophiée à g
he par suite de la compression (voir les figures). - Le noyau de la
substance
réticulée de la protubérance (nucleus reticularis
érance (nucleus reticularis pon- tis) est normal de chaque côté. La
substance
réticulée dans l'étage de la calotte présente u
ble de ses fibres, dans ses parties latérales (PI. III, E et F). La
substance
médullaire qui limite l'olive supérieure, y compr
i limite l'olive supérieure, y compris la par- tie dorsale de cette
substance
, est aussi très appauvrie en libres nerveuses.
e. Il n'en existe plus qu'un mince lacet de quelques millimètres de
substance
grise composée de restes trophiques de l'écorce c
ent ; on reconnaît les lobes quadrau- gulaire et semi-luuaire. Leur
substance
médullaire cependant se trouve en grande partie
oit ; son volume n'atteint pas le tiers de celui de droite. Mais la
substance
noire de Soemmering est égale des deux côtés. O
ue sur G2 coupes, tandis qu'a gauche il existe dans 72 coupes. La
substance
médullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa s
oupes. La substance médullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa
substance
mé- dullaire latérale, les radiations de la cal
quée dans les régions antérieures du corps de Luys, surtout dans la
substance
médullaire frontale du noyau rouge. Toutefois o
anguine dans les parties avoi- sinantes du troisième ventricule. La
substance
qui l'entoure est un peu sclé- rosée ; les vais
du vaisseau. Hémisphères cérébraux. Dans le centre ovale et dans la
substance
médul- laire des circonvolutions rolandiques et
onstate une atrophie des faisceaux de fibres et des lacunes dans la
substance
blanche au voisinage des vaisseaux, mais pas de l
puisse savoir de quelle partie de ce noyau il s'agit (noyau dorsal,
substance
gélatineuse ou noyau terminal deIilli- ker). On
correspondait à la dégénérescence des cellules ganglionnaires de la
substance
grise du pont à droite. Edinger a constaté aussi
nce à signaler entre son observation et la nôtre. Dans notre cas la
substance
grise était par- tiellement atrophiée et dégéné
roit était dégénéré, alors que l'on trouvait une dégénération de la
substance
grise du côté opposé, à gauche. Dans les deux c
stiforme. Mais le noyau dorsal du nerf vague n'a rien à faire avec la
substance
grise qui limite en dedans le corps restiforme.
bril- laire des noyaux sensibles du bulbe et de la protubérance. La
substance
gélatineuse du faisceau solitaire et celle de l
as de dégénéra lion, tout au plus un léger degré-d'atrophie. . La
substance
grise des noyaux de la couche optique à droite, d
e pédoncule cérébelleux supérieur gauche était réduit à un reste de
substance
extrêmement minime,et tout à fait dégé- nérée,
xistence dans ces . noyaux fibreux de corps volumineux polygonaux à
substance
granuleuse, avec quelques gouttes de graisse, c
tante, semi-tiquide.Ata coupe elle s'affaisse et laisse écouler une
substance
grenue semi-liquide laquelle parait emprisonnée
nicke. Cette région était comme l'on sait dans ces derniers cas, la
substance
grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (noyaux
qui entoure l'aqueduc de Sylvius (noyaux des 3e et 4° paires) et la
substance
du même type de la base du 3e ventricule. Or no
iveau des vertèbres ma-, lades, on ne trouve de cavités remplies de
substance
caséeuse ou de pus ni de tumeurs. La dure-mèr
és irrégulières, de fines canne- lures verticales sculptées dans la
substance
osseuse. Ces caractères pathologi- 128 JEAN ABA
de trous, de dé- pressions, de fines trabécules, sculptées dans la
substance
osseuse qui offre dès lors une apparence poreus
doigt. On suit leurs moindres divi- sions jusqu'à l'intérieur de la
substance
cérébrale qui paraît comme injectée. A la face
vers le milieu de son trajet, on trouve logé dans l'épaisseur de la
substance
grise et s'étendant au loin dans le centre oval
que si elle respi- rait de la narine droite de l'éther ou d'autres
substances
volatiles fortes, elle ne réagissait pas du tou
diminution, écrit- il, s'explique aisément par la destruction de la
substance
glandulaire, qui devient ainsi incapable de pro
cérébrale sous forme d'amas pulpeux et blanchâtres. Cette perte de
substance
est expressément signalée dans une observation de
eur constate une dépression très nette correspondant à une perte de
substance
du cerveau. Au même mo- ment, il se fait une hé
rès l'auteur, à la formation d'un caillot sanguin qui a comprimé la
substance
cérébrale. Cette interprétation est d'autant plus
evait occuper la deuxième prémolaire droite, se trouve une perte de
substance
mesurant 2 millimètres sur, faisant communiquer
oit. Il n'existe sur le milieu de la voûte palatine aucune perte de
substance
. Le rebord du maxillaire inférieur est à peu pr
iation sans inconvé- nient au moment voulu, c'est-à-dire lorsque la
substance
achromatique est complètement décolorée, ce qui
Gehuchten réserve son opinion en ce qui concerne la structure de la
substance
achromatique des cellules des ganglions.il s'ex-
9{4 (résumé critique du pré- cédent). il 310 CHARLES LADAME La
substance
achromatique forme également la trame de l'axone
moins foncée selon l'intensité des phénomènes de chromatolyse. La
substance
chromatique, appelée aussi substance tigroïde par
énomènes de chromatolyse. La substance chromatique, appelée aussi
substance
tigroïde par V. Len- hossek'est colorable par l
ces granulations constituent des blocs plus ou moins volumineux de
substance
chromatique, dont le nombre et la forme sont tr
est la forme spéciale sous laquelle s'y présente le plus souvent la
substance
chromatique (1). » 1 La substance chromatique j
s'y présente le plus souvent la substance chromatique (1). » 1 La
substance
chromatique joue le grand rôle, ou du moins le rô
« le rôle visible », car on ne peut savoir ce qui se passe dans la
substance
achromatique par les moyens techniques en usage a
mettre en évidence les phéno- mènes intimes qui se passent dans la
substance
achromatique pendant la chromatolyse. , L'org
isation des corpuscules de Nissl incrustés sur les trabécules de la
substance
achromatique dépend de la disposition de la trame
l'image cellulaire dépendra exclusi- vement de l'organisation de la
substance
chromatique rendue seule visi- ble par les colo
elle échappe encore à notre investigation. Pour Van Gehuchten, la
substance
achromatique représente la partie principale, e
matique représente la partie principale, essentielle du neurone, la
substance
chromatique n'étant que secondaire, nullement i
nullement indispensable à l'élément nerveux, c'est une « espèce de
substance
de réserve qui s'accurnule dans le protoplasma
rone est lésé dans son intégrité anatomique ou fonctionnelle. Cette
substance
chromatique n'existe d'ailleurs pas dans toute
; elle n'est donc pas indispensable à la vie du neurone » (1). La
substance
chromatique se trouve dans les cellules motrices
des cellules motrices à des degrés divers de la dissolution de leur
substance
chromatique rappelant avec une exactitude parfa
ongements protoplasmiques. Le protoplasma est également dépourvu de
substance
chromatique au point d'émergence de l'axone.
dit « cône d'origine de l'axone », est composé uniquement par de la
substance
achromatique. Toutes les cellules ganglionnaire
ntre de la cellule. . Le noyau est bordé d'une couronne de blocs de
substance
chromatophile groupés ou agglomérés. On ne pe
aitement clair et incolore, ce qui donne encore plus de relief à la
substance
chromatophile. A ce moment, le noyau est déplacé
la chromatolyse revien- nent à l'état normal en reconstituant leur
substance
chromatopUile. Elles sont représentées dans nos
s trois couches : la couche molé- culaire, la couche des grains, la
substance
blanche. Sur les coupes d'ensemble colorées par
-on même à un fort grossissement quelques fibres à myéline dans les
substances
blanches des lames et des lamelles. L'atrophie
on peut néanmoins constater l'existence de cellules nerveuses. C.
Substance
blanche du cervelet (PI. XLVII et XLVIII). 1° E
- Il a été dejà dit plus haut que la toison du corps dentelé et sa
substance
blanche centrale (bile) qui se continue avec le
t contri- buent à former les fibres semi-circulaires internes. 3°
Substance
blanche centrale du vermis. -- Arbre de vie. - ll
rale du vermis. -- Arbre de vie. - lllalâré cela, il existe dans la
substance
blanche centrale du vermis un confluent de fibres
s est réduit dans ses dimensions transversales et longitudinales.
Substance
blanche centrale des hémisphères (PI. XLVII et XL
s de dégénérescence, ni dans les faisceaux, ni dans les racines; la
substance
grise est normale ; les colonnes de 'Clarke, en
le, il y a deux particularités à relever : 1° Une hétérotopie de la
substance
grise : la corne antérieure d'un côté envoie en
ue totalement décoloré de .même que la couche la plus interne de la
substance
mé- dullaire péri-olivaire ; l'atrophie est plu
nt bien conservé ; et cette intégrité relative explique pourquoi la
substance
médullaire de l'olive est plus riche dans sa mo
sceau central est due peut-être à un certain degré d'atrophie de la
substance
réticulée de la calotte protubérantielle. Les n
le. Les noyaux arciformes du bulbe ou prépyramidaux ont disparu, la
substance
grise réticulée du bulbe et ses noyaux semblent
t de Bechterew. B. - Pédoncule cérébelleux moyen. - Protubérance. -
Substance
réticulée de la calotte (Pl. XLIX, H, I). La
é de la ligne médiane, en un gros faisceau unique, circulaire. La
substance
réticulée de la calotte paraît moins riche en cel
au du toit, noyau sphérique et bouchon ; 2° l'atrophie totale de la
substance
grise du pont et la dégénérescence totale du pé
semblent avoir débuté à la fois dans l'écorce du cervelet, dans la
substance
grise du pont et les olives inférieures ; les cel
rues, celles qui subsistent sont très altérées ; des cellules de la
substance
grise du pont il ne reste plus trace, le plus g
ellulaires ont eu comme conséquence l'atro- phie des cellules de la
substance
grise du pont, la dégénérescence du pédoncule c
atrophie dégénérative, mais avec ce ca- ractère particulier que la
substance
grise du pont et les olives inférieures sont le
on des lésions qui intéressent presque exclusivement les olives, la
substance
grise du pont et le cervelet (les noyaux gris c
nombreuses et celles qui per- sistent sont nettement altérées : la
substance
blanche présente liile légère N (1) Brissaud
J. DEJERINE ET A. THOMAS décoloration, mais en comparaison avec la
substance
grise, elle parait plu- tôt trop épaisse ; un e
lu- tôt trop épaisse ; un examen plus détaillé de l'écorce et de la
substance
blanche, du bulbe et de la protubérance, des di
la pie-mère qui le recouvre est très épaissie et très injectée, la
substance
blanche est ferme. Le pont, la moelle allongée
mmes ; comparées il celles d'un cervelet nor- mal, les fibres de la
substance
blanche et de ses ramifications dans les lames
les lames et lamelles laissent entre elles plus d'espace libre; la
substance
blanche et la substance grise sont également mo
aissent entre elles plus d'espace libre; la substance blanche et la
substance
grise sont également moins développées que chez u
e de l'écorce et des noyaux n'ont subi aucune modification. Dans la
substance
blan- che, il n'existe aucune trace de sclérose
quement par l'atro- phie de l'écorce, des olives bulbaires et de la
substance
grise du pont, par la dégénérescence totale du
parties qui l'avoisinent.Un fragment de l'écaillé s'enfonce dans la
substance
cérébrale. Suivant M. Monakow, de Zurich, il DE
erminer l'hémianopsie. D'ailleurs il suffit que les faisceaux de la
substance
blanche qui se rendent à la sphère visuelle soi
s ou les bords déchiquetés du fragment peuvent déchirer, lacérer la
substance
cérébrale, d'une manière directe. Mais ici inte
ul cas dans notre statistique. Ces traumatismes, même atteignant la
substance
cérébrale, n'entraînent pas la paralysie. Lépin
matique . Fie. XIV. Cerveau gauche, face antérieure de la coupo, la
substance
grise au fond de l'insula est atteinte, le trau
l- latérale, ou bien il y a une hémorrhagie sous-corticale, dans la
substance
cérébrale, du même côté que du traumatisme, et
ris sont de par le fait de la lésion plus fortement déchirés que la
substance
blanche en raison de sa plus riche vascularisatio
gonflement con- comitant de tout le crâne, l'autre une explosion de
substance
dans laquelle les parcelles du cerveau étaient
ient le montrer avec évidence, à cause de la consistance même de la
substance
nerveuse. Les choses sont d'autant plus obscure
es qu'en cas de lésion il se forme une sorte de magma de sang et de
substance
cérébrale. Mais, en s'aidant de l'observation c
entré par l'angle interne de l'oeil droit et était parvenu dans la
substance
cérébrale, déterminant une hémiparésie gauche d
à la partie antérieure de la scissure de Sylvius, elle suit dans la
substance
cérébrale la scissure parallèle au-dessus de la
. VI bis) que la bandelette optique est embrochée àsa sortie qui la
substance
de la corne sphénoïdale et que le pédoncule est t
ommence à la scissure interlobai1'e tempono-frontale et traverse la
substance
grise, la capsule interne, en ne s'éloignant qu
nt où les fibres des bandelettes optiques sortent en faisceau de la
substance
blanche, traversent^ ventricule latéral, les fibr
t^ ventricule latéral, les fibres commissurales et rentrent dans la
substance
cérébrale pour ne s'arrêter qu'aux environs du
veau également formolé : En L, grande lésion déchirant largement la
substance
grise et atteignant NC, le noyau caude; 1L, lo
, que la broche a atteint la partie antérieure du lobe temporal, la
substance
grise des noyaux centraux et principalement du no
390 RENÉ MARTIAL est traversée par le corps pénétrant ainsi que la
substance
grise située en haut du sillon de Rolando et un
inent parallèlement pendant un certain temps séparés par un pont de
substance
nerveuse de 2 centimètres. Le premier de ces cana
centrale postérieure......... le second va plus en arrière dans la
substance
et ne se termine qu'au droit de la 3e cir- conv
tre observations dans lesquelles elle a eu lieu même après perte de
substance
cérébrale. Cela s'est produit dans un cas de M.
ce Bourlier un jardinier guérit de sa paralysie malgré une perte de
substance
cérébrale très nette- 394 RENÉ MARTIAL ment a
igts en travers, et re- présentant un gros lombric en épaisseur. La
substance
de ce polype était molle et rouge. Elle empêcha
ules névrogliques imprégnées et de vais- seaux. Par places, dans la
substance
blanche surtout, les cellules de la névro- glie
bre considérable de cellules névrogliques, principa- lement dans la
substance
blanche sous-corticale; par places il y eu avait
très marquée des fibres myéliniques de la su tance blanche. Dans la
substance
grise il saute aux yeux que la plus grande^ tie
tence des é ments lymphoïdes, contenant des globules noirs. Dans la
substance
blam partout on peut voir une masse de grains e
arations, on rencontre dans l'écorce cérébrale elle-même et dans la
substance
blanche aussi de petits foyers de ramollissement,
taient observés plus souvent, de préférence ils se trouvaient dans la
substance
blanche et étaient de plus grande dimension. Pa
nde dimension. Par places, auprès des parois vas- .culaires dans la
substance
blanche on pouvait observer des cellules à forme
préparations obtenues de tous ces morceaux on pouvait voir dans la
substance
blanche une dégénérescence assez marquée dans l
de myéline en désagrégation. En outre, tout le champ de vue dans la
substance
blanche est parsemé d'une masse de points noirs
ce cérébrale. Concer- nant le tableau microscopique observé dans la
substance
blanche, il faut dire qu'elle a une grande ress
es par la méthode de Busch et prises de l'écorce cérébrale et de la
substance
blanche sous-jacente de diffé- rentes régions d
rice gauche diffèrent le plus des autres préparations. Ici, dans la
substance
blanche sous-corticale nous observons une dégénér
parlé plus haut. Ces points noirs, principalement observés dans la
substance
blanche de même que dans la substance grise, pe
incipalement observés dans la substance blanche de même que dans la
substance
grise, peuvent être contenus ou dans certaines fi
ontenus ou dans certaines fibres myéliniques, présentant par eux la
substance
myélinique modifiée, ou bien ce sont des globul
isseaux eux-mêmes, par exemple, dans leur enveloppe interne. III.
Substance
sous-corticale blanche et capsule interne du côté
e sous-corticale blanche et capsule interne du côté gauche. Dans la
substance
blanche sous-corticale auprès de la ligne médiane
ces on rencontre de petits foyers de ramollissement. L'examen de la
substance
blanche sous-corticale de la capsule interne et d
s noirs gros et menus sont parsemés çà et là par tout le long de la
substance
blanche et grise. Le long de certains vaisseaux,
lanche et grise. Le long de certains vaisseaux, qui passent dans la
substance
blanche, par places s'étendent des blocs noirs à
rées, parsemées çà et là, restent aussi dans d'autres régions de la
substance
blanche. V. Au niveau de la queue du cheval on
en des morceaux de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la
substance
sous-corticale de l'hémisphère gauche. Le faiscea
s de la corne antérieure et en général les cellules nerveuses de la
substance
grise de la moelle épinière par tout le long de
IQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 489 seaux. Dans la
substance
blanche, on observe une masse de points et de glo
ysmes. En comparant les préparations de l'écorce cérébrale et de la
substance
blan- che sous-corticale avec les préparations
es préparations de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la
substance
blanche sous-corticale du côté gauche, on obser
ière, et aussi à un degré moins grand dans les autres régions de la
substance
blanche et çà et là dans la substance grise. Les
dans les autres régions de la substance blanche et çà et là dans la
substance
grise. Les cellules de la corne antérieure cont
téraux, dans les cordons de Türck et dans les autres régions de' la
substance
blanche porte approximativement le même caractère
araît, en liaison avec un petit foyer de désagrégation locale de la
substance
nerveuse. Les cellules des cordons de Clarke co
e à un de- gré bien plus faible, existe dans d'autres régions de la
substance
blanche. La dégénérescence des cellules de la c
ingue plus la coloration plus foncée des éléments dont les blocs de
substance
chromatophite viennent d'être refaits et qui ca
ue, aux confins de la réaction : vont-elles réparer leurs pertes de
substance
chroma- tophyle ? ou s'atrophier et finalement
lules qui sont à la période de réparation ; elles réorganisent leur
substance
chromatique, qui est répandue dans le corps cel
tat normal ; d'autres (PI. LXXVII, b) ont également réorganisé leur
substance
chromatique, elles ne se distinguent des cellules
i en présence d'un ganglion qui a activement réparé ses per- tes de
substance
chromatique. Un bon nombre de cellules ont l'appa
réaction seulement; mais aussi lorsque la réparation des pertes de
substance
chromatique a déjà commencé à s'effectuer. Ce
illon de l'o- reille. Pendant les jours suivants, il y eut perte de
substance
cérébrale. Il conserva sa connaissance jusqu'au
onnaissance qui dura sept heures. Le traumatisme causa une perte de
substances
de la voûte du crâne par laquelle sortit de la su
perte de substances de la voûte du crâne par laquelle sortit de la
substance
cérébrale. Etat au 17 février : Cet homme grand
tte blessure, se trouve dans la coupe pariétale gauche une perte de
substance
de 1 cent. 5' de diamètre dont les bords sont d
nt déchiquetés et irréguliers. Au fond : des esquilles mélangées de
substance
cérébrale. Des deux blessures s'échappe une pet
it un trou dans le pariétal droit d'où sort du sang mélangé à de la
substance
cérébrale. Dans les parties molles on trouve pa
base et dans la partie la plus proche de la scissure de Sylvius. La
substance
cérébrale est livide, l'hémisphère droit dans ses
e ascendante qui a tendance il se localiser au-dessus du foyer à la
substance
grise. Dans toutes ces formes de myélite aiguë,
dil'lluente. Sur une section transversale elle est boursouflée, la
substance
grise injectée et même striée de sang. La lésion,
inflammation se présen- tant sous l'orme de foyer aréolaire dans la
substance
blanche. J'ai eu l'occasion d'examiner 6 cas de
en de véritables abcès et des foyers de myélite disséminée dans la
substance
blanche, plus rarement dans la substance grise,
myélite disséminée dans la substance blanche, plus rarement dans la
substance
grise, avec une méningite très caractéristique (f
llon an- térieur est moins touchée. Les cellules névrogliques de la
substance
blanche anté- rieure sont multipliées. 566 MA
es péricellulaires de la rage, Babès). La subs- tance blanche ou la
substance
grise sont parsemées de petits vaisseaux infilt
nnaires de nouvelle forma- tion constituant un riche réseau dans la
substance
grise. Lorsque la myélite aiguë a une marche fo
e cas que la précédente. Foyer de myélite aiguë déve- loppé dans la
substance
grise antérieure. Certains leucocytes situés dans
érations de la cellule nerveuse varient depuis la tuméfaction de la
substance
chromatique avec pâleur des éléments chromatophil
ts chromatophiles et chromatolyse, jusqu'à la désorganisation de la
substance
achromatique et - mutilation de la cellule. La
n des microbes dans le canal arachnoïdien. J'ai rencontré dans la
substance
blanche de la moelle une lésion assez caractéri
s névrogliques. J'ai constaté à plu- sieurs reprises que lorsque la
substance
achromatique de la cellule ner- veuse est altér
à la présence d'un coli-bacille et d'un streptocoque vi- rulent. La
substance
blanche antérieure latérale et postérieure est le
no- dule péri-nucléaire ; chromatolyse diffuse avec conservation de
substance
chromati- que informe, en croissant sur une par
les névrogli- ques multipliées ; ces nodules siègent tantôt dans la
substance
blanche, tantôt dans la substance grise. Dans d
es nodules siègent tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la
substance
grise. Dans deux de ces cas, j'ai retrouvé autour
les ne présentent plus de tra- ces d'éléments chromatophiles, et la
substance
achromatique devient for- tement acidophile. J'
i à la science. ` ? °La myélite a été produite dès le début par des
substances
toxiques, par de toxines. Malheureusement ces t
de leur existence est difficile à faire. Aussi, l'intervention des
substances
toxiques d'origine exogène ou endogène et qui n
des poudres inertes, telles que le lycopodium, dé- termine dans la
substance
grise surtout des foyers de ramollissement dans
e postérieure est également le siège d'un foyer semblable ; dans la
substance
grise du côté droit le foyer présente une topo-
aux embolies expérimentales, des foyers d'inflammation autour de la
substance
grise al- térée, foyers absolument semblables à
its sous le nom de blassiger Zustand. Ces lésions irritatives de la
substance
blanche ont été considé- rées par Lamy comme de
décrites sont purement des lésions dégénératives, soit celles de la
substance
grise, soit celle de la substance blanche, sans
dégénératives, soit celles de la substance grise, soit celle de la
substance
blanche, sans aucune réaction inflammatoire. Ceci
n'y avait qu'une légère in- filtration de la pie-mère, et dans la
substance
blanche atteinte de dégé- nérescence, quelques
imentale avec foyers disséminés dans la subs- tance blanche et la
substance
grise. Les foyers suivent le trajet des vaissea
mort six jours après. A droite de la figure on voit un foyer dans la
substance
grise intermédiaire. NATURE ET TRAITEMENT DE
accumulation dans la paroi des vais- seaux et probablement par les
substances
toxiques qu'ils sécrètent; 2° des microbes qui
imal a vécu 9 jours. Poliomyélite avec participation à droite de la
substance
blanche antérieure. i'io. 18 B. Le même cas que
cas que la figure précédente ; l'inflammation est limitée ici à la
substance
grise, substance blanche étant intacte. 586 MAR
e précédente ; l'inflammation est limitée ici à la substance grise,
substance
blanche étant intacte. 586 MARINESCO une myél
es myélites disséminées, des foyers ayant leur siège tantôt dans la
substance
blanche, tantôt dans la substance grise. Enfin,
s ayant leur siège tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la
substance
grise. Enfin, toujours avec le même mi- crobe,
autour de quelques fibres, et même pouvant aller plus loin dans la
substance
grise, et même pouvant pénétrer dans la cellule
cellule nerveuse. Je dois dire que la présence des microbes dans la
substance
grise au voisinage des cellules nerveuses dé- t
altérations c'est la raréfaction des éléments chro- matophiles, la
substance
fondamentale de la cellule est tantôt colorée,
dépendant tout simplement de Ja fusion plus ou moins complète de la
substance
chromatique, présente deux aspects variables suiv
bstance chromatique, présente deux aspects variables suivant que la
substance
fondamentale est colorée ou non colorée. Parfoi
a de la cellule ne contient plus d'éléments chromatophiles, dans la
substance
fondamentale colorée d'une façon uniforme, on v
atiques, ou même de petits bâtonnets disséminés. D'autres fois, ces
substances
cons- tituent une espèce de réseau chromatique,
iter les altérations de la myélite aiguë et leurs conséquences. Les
substances
antiseptiques, non plus injectées dans le canal a
vices réels dans le traitement de la myélite aiguë. Il n'y a pas de
substance
antiseptique idéale qui puisse être utilisée av
t périphérique. « La cellule motriceréagit par la dissolution de sa
substance
chromatique. Ce trouble cellulaire dure environ
sible- ment dans l'ordre et la cellule non seulement reconstitue la
substance
chromatique qu'elle a perdue, mais encore s'en
orphe. « La cellule sensitive réagit aussi par la dissolution de la
substance
chro- matique. Ce trouble cellulaire est même p
tre part le ganglion plexiforme répa- rait activement ses pertes de
substance
chromatique. Mais il y avait aussi bon nombre d
e ? On bien est-ce par le gonflement ou les autres troubles dans la
substance
achromatique que le noyau est expulsé passiveme
bles et dans les motrices. Le phénomène de réparation des pertes de
substance
chromatique suc- cèdeà celui de réaction. Il a
passer 654 CHAULES LADAME - par la phase de réorganisation de la
substance
chromatique comme c'est le cas pour le noyau do
de leurs éléments nerveux dont la moitié environ a disparu. 12. La
substance
chromatique joue un rôle accessoire dans le fonct
rescence totale ni inflammation. Les vaisseaux étaient tortueux; la
substance
corticale était plus épaisse qu'à l'état normal
rome. La pie-mère est mince et s'enlève pattout sans entraîner de
substance
corticale, sauf en quelques points très rares; su
rincipalement; le long de la grande scissure, on entraine un peu de
substance
grise; à l'extré- mité antérieure dela troisièm
ela troisième frontale, on trouve une ecchymose superficielle de la
substance
grise. L'aspect des circonvolutions est luisant
ve sur le lobule paracentral : elle se trouve isolée par un pont de
substance
nerveuse de l'incisure préovalaire (e), limitan
e en se basant sur ce qu'il n'a trouvé à l'autopsie ni sérosité, ni
substance
colloïde, mais simplement une épaisse couche de
ramides sont injectées de sang veineux. 84 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. La
substance
corticale est par-ci par-là trouble et gris jau-
des circonvolutions. Les ventricules latéraux sont peu dilatés. La
substance
cérébrale est légèrement hyperémiée sans autres
roïde joue un rôle dans la formation du sang, soit en éliminant des
substances
nuisibles, soit en produisant des substances né
soit en éliminant des substances nuisibles, soit en produisant des
substances
nécessaires à la nutrition du système nerveux.
ale ascendante droite où l'on en- traîne avec elle une partie de la
substance
grise. En- céphale : 1270 gr.Cerueau : hémisphè
rtains points, très mous sur certains autres, disséminés dans une
substance
rougeâtre et glutineuse. Le raclage de la tumeur
EXAMEN HISTOLOGIQUE. 119 des fibrilles abondantes, séparées par une
substance
inter- cellulaire qui a disparu sur les prépara
étrique, le côté gauche étant plus petit que le côté droit. Dans la
substance
blanche, on remarque une lésion descendante des
sclérose a respecté les faisceaux les plus internes, contigus à la
substance
grise; il y a une ligne de démarcation brusque
rouve sont tuméfiés. Le tissu scléreux est peu vascularisé. Dans la
substance
grise, on trouve une grande diminution de nombr
ort. Autopsie. Quelques granulations dans les méninges et dans la
substance
grise. On voit saillir dans l'espace interpédon-
e matière caséeuse, jaune verdàtre, ramollie au centre, entourée de
substance
nerveuse, ramollie et violacée par places. Une
lfactif ne peut se faire qu'en entraînant une assez forte couche de
substance
grise. -Autant qu'on peut le voir par suite de
es. Une, du volume d'un pots moyen, est enlevée, lais- sant dans la
substance
corticale une petite cavité, mais sans entraîne
un), petits, très pâles; la capsule se détache sans difficulté ; la
substance
corticale est très amincie, pas de tubercules a
rouve des adhérences delà pie-mère extrêmement pronon- cées avec la
substance
cérébrale qui est très molle. La dé- corticatio
La dé- cortication ne s'opère qu'en entraînant des morceaux de la
substance
cérébrale. Le cervelet se décortique avec faci-
sure parallèle, la pie-mère a em- porté avec elle une portion de la
substance
grise. La môme lésion se retrouve sur la pariét
mme déchiquetée, car presque partout une couche assez épaisse de la
substance
grise a été entraînée avec la pie-mère; nulle p
nce grise a été entraînée avec la pie-mère; nulle part cependant la
substance
blanche n'est mise à nu. - Les portions les moi
ont particulièrement énormes ; les capillaires qui plongent dans la
substance
cérébrale sont aussi très gonflés et parfaiteme
gonflés et parfaitement visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la
substance
grise, la couche superficielle de né- vroglie a
ies régulières, bout à bout, limitées parles fibres d'origine de la
substance
blanche, pré- sentent les mêmes séries morcelée
eur développement n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la
substance
grise et dans la substance blanche, ce qui domi
xcessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la
substance
blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des
enons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la
substance
blanche très vascularisée et présentant les figur
llules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la
substance
grise a été en partie enlevée avec les méninges,
ur une coupe du lobe occipital, une portion assez considé- rable de
substance
grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui en
ion portée à l'extrême des élé- ments pyramidaux. A la limite de la
substance
blanche, l'accu- mulation des noyaux petits et
le cervico-dorsale. Les cordons blancs sont symé- triques ; dans la
substance
grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée
tement lésées; celle- ci est réduite en bas à un squelette mince de
substance
blanche et au-dessus présente,sur une hauteur d
est, par ses autres parties, presque réduit à une simple coque do
substance
grise. Le pli de passage pariéto-temporal izfé-
on constate que cette coloration est superficielle ; en dessous, la
substance
cérébrale est fortement colorée en jaune ocreux
atatinement du cerveau, cette dimi- nution de volume, ces pertes de
substance
qui sont le ré- sultat d'un développement impar
un développement imparfait ou d'un long travail de résorption de la
substance
cérébrale, » On a yu, en ef- fet, que chez Ren.
tions quelques adhérences, la partie la plus superficielle de la
substance
grise a été enlevée avec la pie-mère. Ces adhér
nce, montre un cer- tain nombre de corps granuleux répandus dans la
substance
blanche et qui se colorent en noir sur une coup
es encéphalite; POROSE cérébrale. 175 graisseuses exister dans la
substance
grise. Sur des coupes colorées, on constate que
amidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la
substance
grise ne présentent pas de lésions nettes; la s
uches de la substance grise ne présentent pas de lésions nettes; la
substance
blanche offre des lésiuns de désintégration.
désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la
substance
blanche a le même aspect; les corps granuleux y
onné par des bandes fibrillaires nombreu- ses qui rayonnent dans la
substance
grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont le
exagérée; les capillaires, au lieu de s'enfoncer tout droit dans la
substance
grise s'y ramifient, la morcellent; l'as- pect
tipliées dans la subs- tance grise, mais le sont évidemment dans la
substance
blan- che. La coupe d'une circonvolution du l
face externe de l'hémisphère, au-dessus du corps calleux, montre la
substance
grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
vacuoles, d'espaces vides, qui constituent de véritables pertes de
substance
. Ces foyers inter- rompant la disposition des f
inter- rompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la
substance
blanche, comprennent en général les trois premièr
it MM. Bizzozero et Golgi, sous le nom de porose cérébrale. Dans la
substance
blanche, il n'y a que peu ou pas de corps granu
corps granuleux, mais toute la ligne de transition, entre les deux
substances
, est infiltrée d'une quantité considérable de p
érable de petites cellules interstitielles. Il y en a moins dans la
substance
blanche elle-même. 176 SCLÉROSE diffuse DE la M
première frontale; il existe des foyers de désintégration dans la
substance
grise, des amas considérables de corps granuleux
e la couche des myélocytes, et un certain degré de sclérose de la
substance
blanche, parsemée de corps granuleux. La moelle
ènes observés et sont évidem- ment consécutives aux désordres de la
substance
grise. IÎH IDIOTIE COMPLÈTE. VII. Idiotie c
leur ocreuse sur les circonvolutions ; lé- sions consécutives de la
substance
blanche ; lésions diffuses d'encéphalite chroni
d'encéphalite chronique ; lésions de la subs- tance grise et de la
substance
blanche de la moelle épi- nière. Portel....,
terne. Sur la face convexe, la pie-mère entraîne une partie de la
substance
grise qui se soulève par places comme une paroi
dans leur plus grand diamè- tre. Ils ne semblent intéresser que la
substance
grise. Ils siègent sur la partie postérieure de
il existe une vascularisation anormale très prononcée dans toute la
substance
grise ; les vaisseaux sont ramifiés dans toutes
nt une vaste bande entre la première et la troisième couche de la
substance
grise, et comprenant ainsi la moitié environ de l
ce grise, et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la
substance
grise. Ces foyers sont caractérisés par la rare
fondes sont allongées, granuleuses et très fortement colorées. La
substance
blanche offre une quantité 'considérable de petit
ne coupe à ce niveau, on constate une dépression en entonnoir do la
substance
grise, une perte de substance qui s'étend jusqu
e une dépression en entonnoir do la substance grise, une perte de
substance
qui s'étend jusqu'à la substance blanche et est
o la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la
substance
blanche et est recouverte par une paroi flottan
des filaments fibril- laires allant de la paroi superficielle à la
substance
grise res- tante. Cette paroi est composée, de
érée la scissure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La
substance
grise qui forme les parois de l'entonnoir est r
différents : sur certains points, la sériation longitudinale delà
substance
grise est encore assez visible, mais ces séries s
és aux points nodaux. Les mailles de ce tissu sont occupées par une
substance
intercellu- laire qui a disparu des coupes. On
argement dilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la
substance
grise. Lésions de la substance blanche. - Dans
upart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la
substance
blanche. - Dans la substance blan- che, il exis
lent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la
substance
blan- che, il existe une large traînée descenda
l existe une large traînée descendante, correspondant à la perte de
substance
, de la substance grise et dans laquelle les fib
e traînée descendante, correspondant à la perte de substance, de la
substance
grise et dans laquelle les fibres n'existent pa
lo même tissu fibrillaire que dans la précédente; les lésions de la
substance
grise au pourtour du foyer sont moins avancées,
les, espaces par où £ t descendent les fibrilles qui vont former la
substance
grise, on voit de plus que dans les couches pré
s interstitielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la
substance
blanche, on voit les mêmes lésions que dans les
d'une paroi fibrillaire nette. Mômes lésions que plus haut dans la
substance
grise. Cervelet, - Dans la substance grise, la
lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet, - Dans la
substance
grise, la couche de névroglie est fibrillairo d
uche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la
substance
blanche, corps granu- leux nombreux, aspect fib
illaire, grosses fibrilles anastomo- sées. Moelle cervicale. - La
substance
grise a des altérations cellulaires importantes
de montrer par quels élé- ments le processus morbide a débuté. La
substance
grise montre ses vaisseaux très ramifiés, mais
ne. Elle est constituée par la couche la plus superficielle de la
substance
grise, épaisse, feutrée, vascularisée. Le contenu
a pas été coagulé par l'alcool. La paroi profonde est formée par la
substance
grise dans laquelle les taches grises sont très
que foyer, existe une traînée de dégénérations descendantes dans la
substance
blanche ; enfin, dans quelques foyers, on trouv
après quoi, les débris de la cellule s'éliminent. Los lésions de la
substance
blanche, tant dans le cerveau que dans la moell
que dans la moelle, sont naturellement diffuses, comme celles de la
substance
grise qu'elles suivent. Nous ne re- viendrons p
lier des altérations des méninges, des adhérences entre elles et la
substance
grise. Notre hypothèse ne s'est pas réalisée ;
l n'y avait d'ailleurs aucune adhérence et, au moins àl'ocil nu, la
substance
grise n'of- frait pas d'altérations. En résumé,
BSESSION DENTAIRE. 15 gingivite. L'action du chaud et du froid, des
substances
salées ou sucrées, ne produit sur les dents auc
s actions réflexes suscitées par les im- pressions des sens dans la
substance
grise du cerveau, et qui constituent l'activité
ilatés, une irrigation sanguine plus active et plus abondante de la
substance
grise du cerveau. La circulation éveille et e
ments enregistreurs, sur un homme qui présentait une large perte de
substance
du crâne dans la région temporo-pariétale gauch
lation de l'élément nerveux vrai- ment actif ? Cette « partie de la
substance
nerveuse où l'activité s'exerce sous la forme p
nser què ce noyau, quoique né- cessaire peut-être au maintien de la
substance
cellu- laire, n'en partage point les qualités f
faudrait réduire, en ce cas, de 9/10, tout au moins, la quantité de
substance
cérébrale pensante. On peut admettre que les fa
'homme de génie, sont toujours immanentes à un poids très faible de
substance
cellulaire nerveuse. Les Principes de Newton, V
ont peut-être pas éte [élaborés dans plus d'un millimètre cube de
substance
vivante. » , Les physiologistes et les anatomis
me si les mouvements continuaient toujours après l'abla- tion de la
substance
grise, car l'excitation des fibres médullaires
d postérieur de la circonvolution parié- tale ascendante gauche; la
substance
grise seulement était désor- ganisée et sur le
on occipito-temporale et pénétrait de plusieurs millimètres dans la
substance
cérébrale divisant les fibres médul- laires qui
il n'y avait ni tumeur, ni kyste, ni abcès, ni ramollissement de la
substance
médullaire de la région occipitale ni une autre
faut enlever chez les chats entre 3",5 et 3 centimètres cubes de
substance
cérébrale et entre 4",5 et 6 centimètres cubes ch
les racines du nerf optique; le plan infé- rieur, les fibres de la
substance
blanche profonde; les libres des nerfs optiques
t répéter les travaux de Bellonci. Tous les vertébrés possèdent une
substance
blanche profonde du cerveau moyen ; chez tous,
celui du nerf optique. D'une manière générale, on peut dire que la
substance
blanche profonde émane de la substance grise du
énérale, on peut dire que la substance blanche profonde émane de la
substance
grise du toit; elle forme des tractus transvers
sons osseux et chez les sélaciens, les fibres entre- croisées de la
substance
blanche profonde sont côtoyées par des fibres d
oyen contient aussi une commissure de fibres fines appartenant a la
substance
blanche profonde. On l'a souvent confondue avec
souvent demandé ce que deviennent les fibres entre- croisées de la
substance
blanche profonde du toit du cerveau moyen chez
ui vont au pied du pédoncule; elles viennent de la calotte ou de la
substance
noire et descendent dans le pied pédonculaire.
de l'intelligence ; du mode de développement de cet organe dont la
substance
grise, loin de se former après la blanche, cent
datant de 1858, d'une induration speciale, non encore connue, de la
substance
blanche des circonvolutions comme l'une des lés
au, caractérisée par la séparation de la suhs- tance grise et de la
substance
blanche dans la paralysie générale. BIBLIOGRAPH
e ces deux mots convient le mieux, aux points d'application de la
substance
vésicante. Actuellement, les trois plaques de vit
emps on a admis que le plomb, aussi bien d'ailleurs que toute autre
substance
toxique, agissait sur les éléments nerveux - il
es de la moelle épinière. L'absence de toute lésion apparente de la
substance
grise, dans le plus grand nombre des cas observ
ont plus ou moins sensibles que d'autres à l'influence des diverses
substances
médicamen- teuses ou toxiques, encore faut-il q
n relativement récente, Oppenheim men- tionne des altérations de la
substance
grise, sur l'importance des- quelles on peut di
a pu être constatée, ni dans la forme ni dans la constitution de la
substance
grise, ni dans le nombre des grandes cellules,
pas probable que le même étage de l'axe mé- dullaire, irrité par la
substance
toxique, commande la réparti- tion symétrique d
es des lésions médullaires, caractérisées par la dimi- nution de la
substance
grise et un état trouble des cellules. Sharkey
'en veux venir est-il bien nécessaire que les éléments nobles de'la
substance
grise pré- sentent des lésions grossières pour
as, vulgaire s'il en fut, où ces modifications « dynamiques » de la
substance
grise exercent sur l'apparition des névrites pé
à celles de la téphromyélite. Eu d'autres termes, les lésions de la
substance
grise sont absolument subordonnés à la lésion d
- ques, il faut donc, coûte que coûte, invoquer l'influence de la
substance
grise interposée entre le faisceau pyramidal et l
s périphériques. Et si nous ne constatons pas d'altération de cette
substance
grise, de deux choses l'une : ou bien nos procé
un trouble de l'influence 12,o- phique des cellules motrices de la
substance
grise dans la ré- gion d'où ce nerf tire son or
doivent être légitime- ment rapportées à l'influence directe de la
substance
toxique sur les conducteurs nerveux, il en est
rte en dedans ; 2° Que cette gouttière est occupée par un amas de
substance
grise de teinte foncée, dont une partie, passan
libre, plus ou moins bosselée (corps godronné) ; 3° Que l'amas de
substance
grise compris dans la gouttière est entouré de
l'amas de substance grise compris dans la gouttière est entouré de
substance
médullaire, sauf dans sa partie libre ou godron
lobule. En somme, il y a là une circonvolution complète, avec sa
substance
grise et sa substance blanche. En raison de la
l y a là une circonvolution complète, avec sa substance grise et sa
substance
blanche. En raison de la forme particulière de
e- conde a également pris une forme peu ordinaire. La masse de la
substance
grise peut être comparée, en effet, à deux virg
tés effilées et dirigées en sens contraire, l'une en dehors dans la
substance
grise de la corne d'Ammon; l'autre en dedans su
ur la face supérieure du lobule. (Voir la ng. 16.) La forme de la
substance
blanche qui provient de la substance grise s'ex
r la ng. 16.) La forme de la substance blanche qui provient de la
substance
grise s'explique dès lors. L'écorce qui borde l
la lame bordante hippocampique. Le rattachement de ces lames à la
substance
grise godronnée est évident ; il ne fait pas de
uant à la lame bordante hippocampique, elle ne peut appartenir à la
substance
grise du lobule, car celui-ci ne saurait avoir
portent les différents éléments qui la composent. Commençons par la
substance
médullaire. Portion interne de la substance méd
nt. Commençons par la substance médullaire. Portion interne de la
substance
médullaire. Subi- culllm j Substance blanche ré
laire. Portion interne de la substance médullaire. Subi- culllm j
Substance
blanche réticulée; Laine bordante hippocampique
au bord inférieur du lobule, là où Broca plaçait la limite de la
substance
grise des circonvolutions, et l'ouverture de so
'heure la lame bordante crétée. Portion externe et supérieure de la
substance
médul- laire. Lame bordante ammonique, Cette po
ui rappelle celle des animaux dite osmotiques. Voyons maintenant la
substance
grise de la circonvolution. DE L'APPAREIL NERVE
L NERVEUX CENTRAL DE r.'01,FAÔ'PION. 189 Extrémité antérieure de la
substance
grise. En avant où on peut reconnaître sa parti
lacer sur la face juxta-pé- donculaire de ce dernier, par-dessus la
substance
blanche réticulée, et venir se terminer sur la
que l'on doit de constater son absence. Extrémité postérieure de la
substance
grise. - En ar- rière, la substance grise de la
. Extrémité postérieure de la substance grise. - En ar- rière, la
substance
grise de la formation godronnée, au point où le
s elle ne disparaît pas complètement, car c'est elle qui fournit la
substance
grise qui est signa- lée par quelques auteurs c
l. Sa lame réticulée, ou plutôt son ruban réticulé, recouvre la -
substance
grise de la circonvolution crétée dans toute la
gueur de celle-ci; seulement le ruban réticulé sera en dehors et la
substance
grise en dedans. Il y a donc au-dessus du corps
le fond du ventricule, un prolongement du corps go- dronné, avec
substance
grise et substance blanche, cette dernière prol
icule, un prolongement du corps go- dronné, avec substance grise et
substance
blanche, cette dernière prolongement de la lame
levée, la lame réticulée blanche dans le fond même du sillon, et sa
substance
grise tranchant par sa couleur différente sur l
trémité de la bande diagonale d'une autre part. A ce niveau, leur
substance
grise va se confondre avec celle de l'espace pe
a même région, on trouve d'un seul côté seulement une large lame de
substance
grise se continuant du même côté avec le tissus
sur le milieu de la face supérieure du corps calleux une traînée de
substance
grise, longue de 4 centimètres et appliquée sur
lée me semble suffire au sens de l'olfaction. Pour le restant de la
substance
grise ammonique, comme pour la substance grise
ion. Pour le restant de la substance grise ammonique, comme pour la
substance
grise des autres circonvolutions juxtaposées, p
'est en rapport direct qu'avec le volume des nerfs olfactifs; et la
substance
médullaire de son extrémité inférieure se con-
s loin, il dit : « Il (le centre) va se perdre dans la couche de la
substance
grise qui revêt l'origine du corps calleux... u
ntinuation de la lame blanche reticulée jusque sur l'uncus, pour la
substance
blanche ; et pour la substance grise, par une l
iculée jusque sur l'uncus, pour la substance blanche ; et pour la
substance
grise, par une languette émanant de la partie a
er à sa face supérieure et se continuer'avec cette petite couche de
substance
grise qui la recouvre ou avec les nerfs de Lanc
tion de l'ourlet, et double l'écorce grise d'une traînée blanche de
substance
mé- dullaire. » IiIACOMINI. « Les limbi medul
nges, par conséquent à la surface du cerveau, sans pénétrer dans la
substance
cérébrale elle-même, ainsi que dans les expérie
us fonctionnel provoqué par l'excitation se propageait à toute la
substance
corticale. Le manteau tout entier peut donc pre
mique ou de travail positif, un refroidis- sement appréciable de la
substance
du cerveau comme de celle du muscle, suivi, dan
es par le cautère. Où l'écorce n'é- tait pas absolument enlevée, la
substance
grise fut détruite avec les fibres médullaires
ns complètement, parce que dans un ou deux cas, un petit lambeau de
substance
grise appartenant à cette circonvolu- tion, a é
ement la lésion fut complète dans les six cas, quelques morceaux de
substance
grise dans les sillons avoisinants, étant tout
mporo-sphénoidales des deux hémis- phères. (Voir fig. 20 et 21). La
substance
grise des régions atro- phiées avait entièremen
adhérer à la pie-mère avec une cavité au-dessous aux dépens de la
substance
grise. Les autres nerfs crâniens étaient normaux
s limitées à la première circonvo- lution temporale, cependant leur
substance
grise et leurs fibres médullaires étaient attei
gauche et tout le cordon médian postérieur droit, de même que la
substance
grise à droite, et celle qui entoure le canal cen
que le trajet de la sensibi- lité est en relation immédiate avec la
substance
grise. Si le trajet sensitif entre en relation
grise. Si le trajet sensitif entre en relation continuelle avec la
substance
grise, cela rendrait compte de la non dégénéfes
es gaines périvsaculaires et dans les espaces péricellulaires de la
substance
grise. On constate, en outre, l'atrophie ou la
tieuse s'en mêla et enleva, de concert avec une myélite aiguë de la
substance
blanche, le malade en quinze jours. - - P. Ti.
nt le diagnostic de : lésions du lobule pariétal inférieur ou de la
substance
blanche correspon- dante. L'autopsie révèle : u
REVUE d'\NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 275 sions de la
substance
grise et de ses cellules, l'amyotrophie constatée
e l'action de la puissance. P. K. X. Observation DE TROIS PERTES de
substance
trouvées dans LES LOBES PARIÉTAL ET FRONTAL DE
même à l'hypoglosse. Il n'y a du reste pas d'interruption entre la
substance
grise des cornes antérieures représentée par les
possible de déterminer l'ordre de succession : la dé- chéance de la
substance
nerveuse - 1 hyperplasie du tissu con- jonctif.
; ces cordons unilatéraux occu- paient la limite postérieure de la
substance
réticulaire et la région 280 REVUE D'ANATOMIE E
'existence d'un ostéome au milieu du lobe frontal gauche, en pleine
substance
blanche, ostéome constitué par la névroglie mod
hie des cellules pyramidales et des autres cellules nerveuses de la
substance
grise des frontales y compris la frontale ascen
egment lombaire supérieur, foyers hémorrhagi- ques ayant détruit la
substance
nerveuse jusques et y compris le tiers antérieu
uche intermé- diaire des olives, et que, de là, il se rattache à la
substance
fonda- mentale de la couche de Reil dans la pro
gros ganglions. Encore moins abondante est celle des cellules de la
substance
blanche du cerveau, qui sont évidem- ment de na
éorie SPIROÎDE; par G. JELGERSM.1. (Neurol. Centralbl., 1890.) La
substance
grise, à la surface du cerveau, affecte une épais
cie est déterminée par deux facteurs : 1° la quantité absolue de la
substance
grise; 2° l'épaisseur qu'acquiert la substance
antité absolue de la substance grise; 2° l'épaisseur qu'acquiert la
substance
grise à la surface (épaisseur de l'écorce). La
cerveau lisse présentent les mêmes considérations. La quantité de
substance
blanche joue, elle aussi, un rôle dans la genès
i, un rôle dans la genèse des circonvolutions. Pour une quantité de
substance
grise 288 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pa
t plus faible. Normalement, il est fort probable que la quantité de
substance
blanche est égale à celle de substance grise ;
probable que la quantité de substance blanche est égale à celle de
substance
grise ; en anatomie comparée, cette équation ne
ution du volume. Il faut donc que la quantité à peu près normale de
substance
grise s'accommode à cette nouvelle condition. C
qui vont au cervelet - le cordon postérieur qui se termine dans la
substance
grise du noyau postérieur d'origine des faiscea
ions. Les tractus qui vont agir directement ou indirectement sur la
substance
grise de la couche optique ou du corps strié sont
Un grand nombre de cellules nerveuses (cellules multipolaires de la
substance
grise de la moelle- cellules pyramidales de l'é-
ieurs; il en existe aussi dans d'antres systèmes, notamment dans la
substance
grise; au niveau de la région supérieure de la
lles sont intactes; on constate encore des fibres tangentielles, la
substance
blanche est atrophiée; vais- seaux en nombre mo
rose descendante du faisceau pyramidal gauche. Pas de lésions de la
substance
grise de la moelle épinière; les auteurs disent
vant, par l'anatomie patho- logique, la sclérose de la lésion de la
substance
blanche, on peut direqu'il a été le précurseur
Du siège de quelques hémorrhagies méningées (1837). Sclérose de la
substance
blanche superficielle des circonvolutions du ce
Sur une altération du cerveau caractérisée par la séparation de la
substance
grise et de la substance blanche des circonvolu
rveau caractérisée par la séparation de la substance grise et de la
substance
blanche des circonvolutions de la paralysie gén
'elles unissent ces régions au cer- velet par l'intermédiaire de la
substance
grise de la protubérance, mais c'est là un poin
érieure. - Pspf, pédoncules epti pel- lucndn. - Slm, sulcus médias,
substance
perforée antérieure. - Ree, rostre du corps cal
, une supérieure et une moyenne en rapport res- pectivement avec la
substance
grise de la base du lobe frontal et du irigonum
nce grise de la base du lobe frontal et du irigonum olfactorium, ou
substance
grise de l'espace perforé antérieur, et une int
f olfactf. - rs, région subtha- lamique. - s, septum lucidum. - sa,
substance
blanche. - sp, pédoncules cérébel- leux supérie
one, la valériane, l'asa foetida, l'iodoforme et différentes autres
substances
, mais ils ont rarement alors refusé leur nourri-
uille manger des fruits ou d'autre nourriture saupoudres avec celte
substance
. J'ai donc presque exclusivement employé l'aloès
ent enlevée, sententleur nour- riture, découvrent immédiatement une
substance
odoriférante comme l'aloès ou l'asa foetida ave
z intacts pour permettre à l'animal de distinguer et de rejeter les
substances
pour lesquelles il avait du dégoût auparavant. Ai
c plaisir un morceau, qui n'avait été en contact avec aucune de ces
substances
, De même, il refusait de manger une e pomme sau
poudre d'aloès et il but une assiette de lait mélangée à la même
substance
que ses compagnons n'auraient pas touchée. Un tro
c pour qu'il n'y ait pas de doute sur la qualité odoriférante de la
substance
à l'essai. Cependant, il ne .se produisit aucun
raissait indifférent et ne manifesta aucun signe de dégoût. La même
substance
placée dans la bouche d'un de ses compagnons, p
s tentatives comiques qour enlever de ses lèvres et de sa langue la
substance
désagréable. Un aulre animal, qu'on n'avait pas
ces goûts et dégoûts dépendaient seulement du caractère sapide des
substances
. Les résultats généraux de mon expérience me por-
mité inférieure du lobe tempoial, il ne refusa pas de manger des
substances
dont le goût et l'odeur répugnent aux animaux nor
homme telles qu'elles détruisent et non pas compriment seulement la
substance
grise des centres respectifs, . produisent inva
tives, ils ont detruit dans un cas les couches superficielles de la
substance
grise au moyen du cautère actuel. « Malgré l'ob
s cependant, la table interne du crâne avait été en- foncée dans la
substance
cérébrale, produisant ainsi une hémi- plégie gé
e générale. Dans deux cas la lésion s'étendait profondément dans la
substance
blanche. Dans un cas, la lésion corticale était
misphère cérébelleux opposé indirectement par l'intermédiaire de la
substance
grise de la plolubérance. - Les lésions destruc
sous-jacentes, dans le second il y a une lésion des cellules de la
substance
grise, une véritable encéphalite superficielle.
), au sacrum (où les troubles trophiques ont déterminé une perte de
substance
de 12 à 13 centimètres de dia- mètre, à bords t
on remarque une plaque jaune avec diminution de consis- tance de la
substance
cérébrale, un ramollissement assez étendu sans
et qui tranche, par sa coloration gris-jaunâtre, sur le reste de la
substance
cérébrale. Les diverses coupes du cerveau (cent
foncée que les mêmes centres du lobe op- posé et que le reste de la
substance
grise; une partie delà substance blanche avoisi
obe op- posé et que le reste de la substance grise; une partie delà
substance
blanche avoisinante a, en avant, participé visi
de la scissure calloso-marginale. Dirigé en dehors, il intéresse la
substance
blanche au niveau du centre ovale de Vieussens,
iverticulum en haut et en dehors jusqu'à 4 centimètre environ de la
substance
grise corticale de la scissure de Rolando ; enf
de Rolando ; enfin, à sa partie inférieure, la lésion a détruit la
substance
cérébrale presque jusqu'à la membrane épendymaire
ou jusqu'au delà' du bourrelet de cette commissure, que la perte de
substance
dépasse de 1 centimètre en arrière. Le contenu
iège d'obstructions ! Userait inopportun d'insister sur la perte de
substance
des circonvolutions frontales gauches; notons s
ésion destructive d'une portion du noyau caudé ainsi que celle delà
substance
blanche sous-rolan- dique, d'une moitié du corp
niquement moteurs et nullement sensitifs. Bien mieux connus dans la
substance
blanche des hémi- sphères sont le trajet et le
'enfin la thèse de Pitres établit que les lésions, siégeant dans la
substance
1 E. Savoy. ? H '<HM<on ? e<opo)'a/t !
artie supérieure du noyau caudé \' C n, et une grande portion de la
substance
blanche sous-roiandique. Sy, scissure de Sylviu
ec des accidents acétonémiques, l'accumulation de glycogène dans la
substance
cérébrale'. On trouvait aussi du glycose dans l
organes. On pour- rait donc se demander si l'accumulation de cette
substance
dans les centres'nerveux ne joue pas un rôle da
'y rechercher l'acétone et d'attribuer à une intoxication par cette
substance
les phénomènes comateux qui terminent par-' foi
de l'urée en carbonate d'ammoniaque, puis successivement toutes les
substances
contenues dans l'urine. les matières extractive
iscuter la nature et le nom; mais le fait de l'interven- tion d'une
substance
toxique dans le développement des acci- dents n
'un simple collapsus, il s'agit d'un coma par intoxication. Cette
substance
toxique, quelle est-elle ? On peut ramener à tr
et toujours le même, et non de l'empoisonnement par une série de
substances
se métamorphosant et se détruisant au sur et à
écouvrir en raison de la rapidité des changements que subissent les
substances
de cette série, Frerichs reconnaît l'impossibil
s vraisemblable. Elle est peut-être vraie. Il est possible que la
substance
toxique soit en réalité l'éther, ou l'acide éthyl
ls dont on la rend res- ponsable. Mais l'acétone n'est-elle pas une
substance
volatile ! Une partie peut avoir disparu quand
tion de l'urine, que ce n'est qu'une voie accessoire.- L'acétone,
substance
volatile, s'élimine surtout par les poumons; peu
élimination acétonique par les deux émonctoires ordinaires de cette
substance
, les reins et les poumons, c'est donc qu'il n'y
urine où l'on soupçonne la présence de l'acétone pour mettre cette
substance
en évi- dence. On comprend que, suivant la quan
irritation gastro-intes- tinale sont le fait de l'élimination de la
substance
toxique par ia muqueuse digestive; le mécanisme
t des symptômes d'excitation qui résultent du premier contact de la
substance
toxique avec la matière nerveuse; les phénomène
G.Hoematot'/tttcAM, syringomyélie, structure anormale du manteau de
substance
blanche de la moelle épinière. Cas dans lequel
cent, rouge-noir; sa surface de section présente des adhérences, la
substance
nerveuse y est un peu tuméfiée, la portion infé
ÉTÉS SAVANTES. milieu du tissu aréolaire de la commissure grise. La
substance
blanche présente des anomalies uniques constitu
e peu ou point de sections transverses de fibres nerveuses, mais la
substance
blanche paraît constellée de fins rayons qui do
s libres nerveuses, généialement de fin calibre, qui, émanées de la
substance
grise, se dirigent sur une certaine étendue tra
A la hauteur exacte de 26 centimètres au-dessus du cône spinal, la
substance
blanche des cordons latéraux et postérieurs est
laires dont la convexité est, sans exception, tournée du côté de la
substance
grise ; ici existe une aire claire, sorte d'éve
des cordons de Goll souffre un certain arrêt dans la quantité de la
substance
; il en est de même des cordons antérieurs bien
é. Des lacunes très étendues s'accompagnent encore d'atrésies de la
substance
grise et en particulier, des cellules nerveuses
he pareille de la paralysie infantile spinale, qui, au lieu de la
substance
grise antérieure de la moe'le, n'atteint que l'éc
ale ou légè- rement émoussée. A l'autopsie, on trouve des pertes)de
substance
porancéplialiques dans le territoire cortical m
èrement atteint. Une fois j'ai rencontré une sclérose diffuse de la
substance
blanche. (.4%. Zeilschr. f. Psych. XLI, 4-5.) P
elle voisine du centre respi- ratoire. Car il est évident que cette
substance
grise sous-corticale doit subir un arrêt foncti
lité transversale, c'est-à-dire l'irradia- tion à l'intérieur de la
substance
grise du corps strié. Dans la chorée vraie de c
du corps strié qui doit entraîner l'arrêt de fonc- tionnement de la
substance
grise sous-corticale. Dans la chorée, en effet,
éro-postérieures d'encéphaiesdesinges. Onest frappé du volume de la
substance
grise contrastant avec la par- cimonie des cell
céphale à celui de l'homme. Ces faits prouvent que c'est non pas la
substance
fonda- mentale servant de lit aux cellules nerv
nsemble. 4. Les cas où l'hémianopsie était due à une lésion de la
substance
blanche du lobe occipital, au nombre de onze. 5
sie était due à des lésions de l'écorce cérébrale, seule ou avec la
substance
DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 1 SI blanche sous
extrémité antérieure était à 6 centimètres de la pointe du lobe. La
substance
blanche n'était que peu lésée. Il n'y avait pas
épaisseur de 2, 5 centimètres ensevelie presque entièrement dans la
substance
cérébrale. La base du lobe occipital n'était pa
ssu s'étend seulement à quelques millimètres dans l'intérieur de la
substance
blanche. L'état de la capsule interne, des couc
ésie, quelquefois de l'hémianesthésie seule. 3. Qu'une lésion de la
substance
blanche du lobe occipital, au niveau des fibres
marginale, du gyrus angularis, du lobule pariétal inférieur avec la
substance
blanche sous-jacente peut causer l'hémianopsie,
ie et l'hémiplégie. 6. Que les lésions du lobe occipital, écorce et
substance
DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 207 blanche sous-
trales chez l'homme : « Les fibres optiques réunies forment dans la
substance
blanche de la portion occipitale du cerveau un
ésiun du lobule pariétal inférieur et du gyrus angu- laris, avec la
substance
blanche sous-jacente, pénétrant assez profondém
ions 28, 29, 41 et 45, à la lésion du coin seul, ou du coin et delà
substance
griseimmédiatementenvironnante sur la face inte
ologie.) 234 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. leux. Dans cette
substance
molle existent des fibrilles droites sépa- rées
rées les unes des autres. La cellule nerveuse se compose de deux
substances
: l'une, disposée en réseau, se prolonge manifest
res nerveuses ; l'autre, homogène, se prolonge probablement-dans la
substance
intermédiaire aux mêmes fibrilles. Le noyau de
ionnement direct, sans l'inter- médiaire de l'influx nerveux, de la
substance
contractile qu'un excitant mécanique fort place
ielle. En ce qui le concerne, il a plusieurs fois rencontré dans la
substance
blanche de cerveaux d'enfants, des foyers symét
sances de l'opium. Les lois pénales, relatives au commerce de cette
substance
sont les suivantes : § 237. L'importation, la p
distillation. . On ignore où se forment dans l'organisme la ou les
substances
en question. IIoppe-Seyler,a, dans son cas d'in
endre à penser au tube intestinal, comme au lieu de formation de la
substance
qui donne l'acétone. Mais le produit de la dist
ude de réaction et de structure de la créatinine (Nobel, acétone et
substances
connexes. Arch. f. exper. Path. zend Pkarmokol.
is on en constatait dans l'urine de la sitiophobes. Maintenant la
substance
dont il s'agit est-elle de l'acétone ? Cela est
n en alté- rant la circulation, soit en agissant directement sur sa
substance
, provoque une réaction de l'organe, qui se révè
onvulsions. Désignant comme excitants les agents qui font réagir la
substance
nerveuse, nous devons dire que le nystagmus et
les mêmes réactions indiquées. Chaque exci- tant détermine dans la
substance
nerveuse un état anormal d'au- tant plus accusé
mal d'au- tant plus accusé que l'excitant est plus intense. Mais la
substance
nerveuse supportera cet état anormal jusqu'à un
e, plus vite cette limite sera atteinte ; à ce moment, l'état de la
substance
nerveuse change : d'actif il devient passif : a
abord par le sopor et le coma; finalement, quand l'altération de la
substance
ner- veuse est généralisée, par une paralysie g
némie cérébrale. On a supposé, en établissant cette doctrine que la
substance
nerveuse est incompressible. Or, expérimentalemen
s identiques qui résultent de l'excitation ou de la paralysie de la
substance
nerveuse. Ils n'ont pas d'autonomie propre. Mais
degré, la compression dépassela faculté de compressibilité de cette
substance
compatible avec son intégrité : troubles fonction
erveuses offrent une constitution normale ainsi que l'ensemble delà
substance
blanche et les cornes posté- rieures, mais les
contrer dans la partie inférieure de celle- ci au centre même de la
substance
grise, tandis que, lorsqu'on monte vers sa part
l'idée d'une affection des muscles; les altérations chimiques de la
substance
musculaire entrent en ligne de compte, ainsi qu
et probablement ausssi avec le cerveau par l'intermédiaire de la
substance
réticulée qui gagne les noyaux du côté opposé, et
omo- teurs communs sont en connexion avec des fibres issues de la
substance
blanche profonde des tubercules quadrijumeaux du
sceau longitudinal postérieur,ainsi qu'avec des fibres issues de la
substance
réticulaire du côté opposé. Le procédé de Weige
commun; dans ces cellules arrivent de nombreux tractus issus de la
substance
blanche profonde des tubercules quadrijumeaux;
cérations s'agrandit ultérieurement et tend à rejoindre la perte de
substance
voisine. 2t. -Des douleurs vives, contusives, p
t habituel et la névroglie n'est le siège d'aucune modification. La
substance
blanche est partout absolument saine. Nerfs p
ntôt elle conserve encore un certain calibre et semble contenir une
substance
amorphe, homogène, d'un jaune ambré dans laquel
ul- tanées des nerfs périphériques, des racines spinales et de la
substance
grise de la moelle, ces dernières uni- quement
t d'action (Thatigheitshemmung) des cellules ganglionnaires dans la
substance
corticale; cet arrêt serait produit par l'irrit
u en faisant s'en- fler l'inhibition. » Concernant ces arrêts, la
substance
de la question est celle que voici : on peut se
nt l'élude de l'aphasie a clairement démontré à quelle partie de la
substance
corticale est liée la faculté du langage. De
sont proprement dits que les phénomènes de l'activité réflexe de la
substance
corticale. Dans le sens le plus étendu du terme
l est bien connu qu'il y a des influences extérieures auxquelles la
substance
corticale réponde apparem- ment indépendamment
directions : elle peut être trans- mise par les fibres fines de la
substance
grise dans les cornes antérieures et de là dans
: c'est l'arc de réflexe du premier ordre; ou bien, passant par la
substance
blanche, elle peut monter à l'écorce grise du c
présent le réflexe du deuxième ordre. L'irritation arrivée dans la
substance
corticale a plusieurs voies (par les systèmes d
re aura d'autant plus de réaction qu'elle a moins d'étendue dans la
substance
corticale, donc le réflexe du deuxième ordre au
ans cet état l'irritation ne peut pas s'étendre normalement dans la
substance
corticale, elle reste restreinte à des limites
prouve que la suggestion n'a fait qu'ouvrir la voie par laquelle la
substance
corti- cale entretient le courant nerveux. On p
ommeil hypnotique procèdent d'une fonction, quoique modifiée, de la
substance
corticale. Je veux m'occuper de cette modificat
anie religieuse ; hallucinations. Au- topsie : ramollissement de la
substance
blanche nerveuse entourant les deux, cornes occ
e droit pèse 600 gr. Plusieurs taches purpurines à la surface de la
substance
corti- cale. Les circonvolutions présentent une
phères un ramollissement blanc, diffluent, crémeux, puriforme de la
substance
blanche entourant dans une étendue de 3 centim.
Cervelet : Les deux lobes du cervelet pèsent séparément 45 gr. La
substance
n'en parait pas ramollie. Les deux corps rhom-
lume. On ne remarque pas de différence dans la répartition des deux
substances
blanche et grise. La protubérance et le bulbe
rnes occipitales des deux ventricules latéraux. Tout le reste de la
substance
cérébrale, à part une consistance un peu moindr
cerveau, on trouve un ramollissement crémeux puriforme limité à la
substance
blanche périépendymaire du prolongement postéri
eur de la grosseur d'une noix et recouverte par une mince couche de
substance
cérébrale. Cette tumeur forme l'une des parois
mement une lésion manifeste et unique de 414 RECUEIL DE FAITS. la
substance
périépendymaire limitée à la corne occipitale du
ée à la corne occipitale du ventricule latéral gauche (à droite, la
substance
blanche qui entoure la corne occipitale paraît
itale, on observe un ra- mollissement crémeux avec diffluence de la
substance
blanche limitant l'extrémité occipitale de vent
e. Reins : le rein gauche présente une sclérose commençante de la
substance
des pyramides et de la substance corticale; kyste
nte une sclérose commençante de la substance des pyramides et de la
substance
corticale; kystes urineux nombreux à la surface
la suite de crises subintrantes. Autopsie : ramollisse- ment de la
substance
blanche nerveuse entourant le prolonge- ment po
occipital où il existe en ramollissement puriforme, ditfluent delà
substance
blanche ner- veuse entourant la corne occipital
rhomboidaux ont le même volume des deux côtés. La consistance de la
substance
grise et blanche est normale. - Le bulbe et l
points, plus vulnérables sont naturellement les régions formées de
substance
blanche ner- veuse qui entourent les prolongeme
s épileptoyènes, ou bien s'il y a seulement dans cette partie de la
substance
blanche un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 419
ore obscure, mais qu'elle laisse supposer dans cette partie de la
substance
blanche l'existence d'une zone épileptogene qu'il
s, notamment à la région cervicale; dans les poches ou tiouve une
substance
à demi coagulée grai-seuo qui s'échappe avec des
oplasme caverneux qui en prend toute la lon- gueur ; il émane de la
substance
grise, comprime la substance nerveuse et la tra
d toute la lon- gueur ; il émane de la substance grise, comprime la
substance
nerveuse et la transforme ça et là en kystes. D
es-axes dans les plaques de sclérose. La myéline, en effet, est une
substance
, pour ainsi.dire inerte, qui ne peut opposer de
a partie supérieure du noyau caudé NCa, et une grande portion de la
substance
blanche sous-rolandiquc Si/, scissure de Sylviu
t le point de départ est en réalité, dans certaines altérations de la
substance
grise de la moelle épi-nière. Multiplier ces ex
ensemble une masse représentant environ le volume d'une noisette. La
substance
cérébrale voisine, surtout auprès du cervelet, ét
es muscles : a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la
substance
grise que dans une très petite éten-due en hauteu
Charcot. Œuvres complètes, t. i H sent les cornes antérieures de la
substance
grise dans une certaine étendue en hauteur : Myél
ritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise avec ou sans participation des faisceaux bl
phie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminanl des lésions delà
substance
grise dans la production des troubles trophiques
rsuitede ladestruction desfilets ner-veux, ne peut plus porter sur la
substance
contractile elle-même. Mais, quoi qu'il en soit,
ions dans lesquelles lalésion initiale occupe plus parlieulièrementla
substance
grise, il est commun de voir se produire, comme l
t et se groupent sous forme de petits agrégats, en mê-me temps que la
substance
contractile offre à divers degrés les modificatio
t un caractère com-mun : toutes tendent à se limiter aux faisceaux de
substance
blanche, et si, parfois, l'axe gris est envahi, e
arcot et .Toffroy. — Deux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la
substance
grise et des faisceaux antéro-laléraux de la moel
ve-nait à s'étendre des faisceaux blancs aux cornes antérieures de la
substance
grise; alors on pourrait voir survenir, en con-sé
publié par un de mes élèves, M. Pierret. — Sur les altérations de la
substance
grise de la moelle épinière da?is Vataxie locomot
legmasique s'était étendu descordonspostérieursàlacorne antérieure de
substance
grise du côté droit en suivant la voie des faisce
sclérose fas-ciculée consécutive unilatérale peut, en s'étendant à la
substance
grise, déter-miner l'atrophie musculaire. Une f
arsemé de nombreux myélocytes. propagée à la corne antérieure de la
substance
grise du côté correspondant et y avait déterminé
ahi, vers le milieu de la région cervicale, la presque totalité de la
substance
grise de la moelle, dans une certaine étendue en
, qui intéréressent, dans une grande étendue en hauteur, à la fois la
substance
blanche et la sub-stance grise, mais prédominant
nsion concentrique du processus morbide, les cornes antérieures de la
substance
grise se trouvent intéressées, les lésions muscul
en effet, sont limitées d'une façon pour ainsi dire systématique à la
substance
grise des cornes antérieures dont elles envahisse
mes etnullement proportion-nées, quant àlintensité, aux lésions de la
substance
grise. Il paraitévident, d'après loutce qui précè
éro-laté-raux dans le voisinage immédiat des cornes antérieures de la
substance
grise (1 ). La paralysie infantile spinale est,
ralysie infantile spinale, avec lésions des cor-nes antérieures de la
substance
orise de la moelle épinière, in Archiv. de Phy-si
participation des faisceaux blancs et des cornes posté-rieures de la
substance
grise dans le développement des affec-tions muscu
ons postérieurs, avant de pénétrer dans les cornes postérieures de la
substance
grisé. Il ne paraît guère possible de rattacher
ngite spinale postérieure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la
substance
grise ; 4° lésions irri-tatives des ganglions spi
s soit aux cordons antéro-latéraux, soit aux cornes antérieures de la
substance
grise ; et quant au rôle que pourraient jouer à c
. Le lobe lui-même est ramolli à peu près dans toute son étendue ; la
substance
cérébrale présente-là une teinte grisâtre et, en
s, sont en général occa-sionnées par le contact répété et prolongé de
substances
irri-tantes telles queles urines ou les matières
us redoutables sont ceux que déterminent la dénudation, les pertes de
substance
du sacrum et du coccyx, la destruction du ligamen
ius et jusque dans les ventricules latéraux. Dans tous ces points, la
substance
cérébrale est teintée à sa surface et dans une ce
en somme, l'autre à droite, vers la partie moyenne du pariétal. La
substance
cérébrale faisait issue sous forme de champignon
rales de la moelle épinière, semble désigner tout particulièrement la
substance
grise comme jouant à cet égard, un rôle prédomina
autre côté, il est parfaitement établi que toutes les par-ties de la
substance
grise ne doivent pas être ici incriminées in- 1
pouvait invoquer une lésion des nerfs périphériques; c'est dans la
substance
grise des cornes antérieures de la moelle que nou
ication singulière de l'ataxie (1). Il n'est pas très rare de voir la
substance
grise spinale affectée dans l'ataxie locomotrice
copique de la moelle a été fait avec soin , les cornes antérieures de
substance
grise étaient, dans ces deux cas, remarquablement
le d'arthropathie du genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la
substance
grise des cordons antérieurs parais-sait exempte
it se demander si cette altération d'une des cornes antérieures de la
substance
grise spinale, révélée par l'examen microscopique
se produit 1. Voir Gharcot et Joffroy. — Note sur une lésion de la
substance
grise de la moelle épinière, observée dam un cas
he en proche, jusqu'à cer-taines régions des cornes antérieures de la
substance
grise, le processus inflammatoire, primitivement
résultent, elles aussi, de l'envahissement de ces mêmes régions de la
substance
grise de la moelle épinière. Dans le cas où il s'
ive ou secondaire, des cellules nerveuses descornes antérieures de la
substance
grise spinale, paraît être le point de départ de
parties du centre spinal et plus particulièrement, sans doute, de la
substance
grise. 1. Ollivier (d'Angers) avait déjà noté,
core peut-être que l'étiologie; car, jusqu'à ce jour, il n'est aucune
substance
, aucune méthode de médication à laquelle on puiss
ajouter ni dans sa couleur,,., car les plaques sont très rares sur la
substance
grise des circonvolu-tions. 11 n'en est plus de m
des plaques surtout sur les parois des ventricules (Pl. Vil), dans la
substance
blanche du centre ovale, le sept uni lucidum, le
dum, le corps calleux (Pl. VII) et enfin dans certaines régions de la
substance
grise (Couches optiques, corps striés. Pl. IV et
ents cordons, sans respecter les sillons et porlent aussi bien sur la
substance
grise que sur la substance blanche. (Pl. V et VI)
r les sillons et porlent aussi bien sur la substance grise que sur la
substance
blanche. (Pl. V et VI). Les nerfs eux-mêmes n'é
e de groupement qu'ils affectent pour constituer ce que l'on nomme la
substance
blanche et la substance grise. Nous nous proposon
ffectent pour constituer ce que l'on nomme la substance blanche et la
substance
grise. Nous nous proposons de concentrer votre at
préparations comme sur la planche, les parties qui appartiennent à la
substance
blanche de la moelle vousparai-sent sans doute, a
ontraire, plus ou moins nettement séparés les uns des autres, par une
substance
d'apparence homogène, que le carmin colore légère
t, tous les vides que les éléments ner-veux laissent entre eux. Cette
substance
n'est autre que la gangue conjonctive, comme nous
x, dont la base est à la périphérie et dont le sommet se perd dans la
substance
grise. 1. C. Frommann. — Vntersuch. ilber die n
elette con-jonctif persiste seul. Plus encore peut-être que dans la
substance
blanche, la né-vroglie joue, dans la substance gr
peut-être que dans la substance blanche, la né-vroglie joue, dans la
substance
grise, un rôle important ; il est, en effet, des
aussi dans cette partie des cornes postérieures connue sous le nom de
substance
gélatineuse de Rolando ; dans la commissure posté
qu'elle contient, est beaucoup moins affectée par le réactif. Dans la
substance
grise, d'ailleurs, de même que dans la substance
le réactif. Dans la substance grise, d'ailleurs, de même que dans la
substance
blanche, la névroglie présente la structure rétic
2).] Dans cette forme de tissu connectif. il n'existe que fort peu de
substance
amorphe dans les mailles du réticulum, et la subs
ue fort peu de substance amorphe dans les mailles du réticulum, et la
substance
intermédiaire fibrillaire, qui est l'un des carac
cellules entre elles. Il s'agira d'abord de ce que l'on voit dans la
substance
blanche. Les points du réticulum où plusieurs t
es fibrilles, qui font partie intégrante du tissu lamineux. Dans la
substance
grise, la névroglie est faite sur le même plan gé
nts où les éléments nerveux manquent, y sont plus serrées que dans la
substance
blanche et de là résulte l'aspect spongieux que n
ent plus nombreuses que partout ailleurs dans certaines régions de la
substance
grise et qu'elles sont parfois tellementdéveloppé
n est pas moins vrai que, même à l'état frais, les coupes fines de la
substance
blanche de la moelle, placées dans le sérum iodé
'est que les fibrilles nous ont semblé parfois prendre racine dans la
substance
des noyaux ou des cellules, et que ce fait, s'il
rès la section du nerf, il se produit une sorte de coagu-lation de la
substance
médullaire du tube nerveux, en petites masses plu
viebelehre, p. 10 et 20, 1866. 2. Suivant Robin, la myéline est une
substance
particulièrement riche en principes gras, et sous
alté-ration scléreuse en plaques disséminées est surtout relative àla
substance
blanche, mais ellepeuts'appliquer également, d'un
ellepeuts'appliquer également, d'une manière générale au moins, à la
substance
grise. Dans les deux substances, en effet, la név
d'une manière générale au moins, à la substance grise. Dans les deux
substances
, en effet, la névroglie est faite sur le même mod
les cellules nerveuses, lorsque, par suite de l'en-vahissement de la
substance
grise, elles se trouvent comprises dans l'aire d'
e dans l'état normal ; le noyau et le nucléole paraissentformés d'une
substance
d'aspect vitreux, brillante. Il en est de même du
ons de la moelle, aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise et ces cellules, en conséquence, avaient su
ng- et les urines, afin d'y déterminer la proportion de l'urée et des
substances
extrac-tives. Il serait possible, qu'àl'aide de c
e optic Thalamus, in London Hoipital Reports, 1806, l. III, p. 373.
substance
grise de la moelle. Le corps strié, lui, serait l
cette région,n'estplus réprésenté que par une toute petite masse de
substance
grise ; — au-dessous de lui, et en dedans, la cou
ptique, la capsule interne, formée princi-palement par des tractus de
substance
blanche qui ne sont autres que le prolongement de
m de Putamen. — Plus en dehors encore, se trouve une mince lamelle de
substance
blanche, la capsule externe, et, mfin une bandele
ule interne, la région correspondante de la couronne rayonnante et la
substance
blanche avoisinante du lobe postérieur. Il s'ag
Kais. Akademie der Wisscns-cbaften). Nous croyons utile de donner la
substance
de ce travail.Après avoir rappelé que d'ordinaire
touché. Le foyer avait détruit une longueur assez considérable de la
substance
blanche et les deux tiers externes du pied de la
Ils avaient de huit lignes à un pouce de longueur, atteignant dans la
substance
blanche jusqu'à deux pouces. Les régions lésées é
s régions étaient atï'ectées en même temps. Les fibres qui vont de la
substance
blanche de l'hémisphère dans la partie externe de
profondément lésés, mais que, en outre, les cornes anté-rieures de la
substance
grise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à
crite à son extrémité. — Cervelet, isthme, rien à noter. Moelle. La
substance
grise à l'œil nu paraît un peu déformée. Thorax
sains; pas d'ecchymoses. — Foie, non hypérémie. — Reins, anémie de la
substance
corticale;pyramides distinctes. — Verne, rien. —
ré devant l'auditoire dans quelques développement dont on trouvera la
substance
dans le Progrès médical (1878, n° S.) (B.). 1
) résultant de la coupe. a, Plaques de sclérose disséminées dans la
substance
blanche. 6, Plaque scléreuse ayant envahi le corp
scléreuses. e, Vaisseaux devenant de plus en plus apparents dans la
substance
blanche, à mesure que la coupe est laissée à l'ai
ment et laissant voir des îlots de sclérose dans différentes régions (
substance
blanche et substance grise). a, Plaques et îlot
des îlots de sclérose dans différentes régions (substance blanche et
substance
grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans le
ntriculaires). d, Ilots scléreux irrégulièrement disséminés dans la
substance
blanche des régions cérébrales postérieures ; que
scléreuses. f, X7aisseaux devenus de plus en plus apparents dans la
substance
blanche, qui paraît saine à mesure que la coupe e
t et. per-mettant devoir des îlots de sclérose dans d'autres régions (
substance
blanche et substance grise). a, Plaques et îlot
oir des îlots de sclérose dans d'autres régions (substance blanche et
substance
grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans le
ntérieures des ventricules latéraux- c, Plaques de sclérose dans la
substance
grise du noyau intraventriculaire du corps strié
les la-téraux. d, Ilots scléreux irrégulièrement disséminés dans la
substance
blanche des régions cérébrales postérieures. Quel
ès profonds. e, Vaisseaux devenus de plus en plus apparents dans la
substance
blanche sur des points sains en apparence, à mesu
x, leur répartition inégale, irrégulière, soit dans les cordons de la
substance
blanche où elles dominent, soit dans la substance
s les cordons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la
substance
grise. Toutes ces coupes, représentent l'état f
produites avec leur teinte natui-elle qui tranche si nettement sur la
substance
blanche et même sur la substance grise centrale.
elle qui tranche si nettement sur la substance blanche et même sur la
substance
grise centrale. I, Partie supérieure de la régi
ux, lew ré-partition inégale, irrégulière soit dans les cordons de la
substance
blanche où elles dominent, soit dans la substance
s les cordons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la
substance
grise. (Toutes ces coupes sont relatives à l'ét
t reproduites avec leur teinte naturelle qui tranche nettement sur la
substance
blanche et même sur la substance grise centrale).
turelle qui tranche nettement sur la substance blanche et même sur la
substance
grise centrale). 1, partie supérieure du renfle
es muscles : a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la
substance
grise que dans une très petite éten-due en hauteu
culées ou circonscrites qui intéres-sent les cornes antérieures de la
substance
grise dans une certaine étendue en hauteur : Myél
ritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise avec ou sans participation des faisceaux bl
phie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminant des lésions delà
substance
grise dans la production des troubles trophiques
sie, 447. Cellules nerveuses motrices des cor-nes antérieures de la
substance
grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules
lite spontanée, 106 ; — épo-que de son apparition, 106 ; — Rôle de la
substance
grise sur la production du—, 108. — Influence des
blable à un fil de cristal. M. Dujardin a si bien décrit cet état des
substances
animales primitives, que je ne saurais mieux fair
première observation est celle-ci : la tige médullaire est formée de
substance
blanche à la périphérie, et de substance grise à
ige médullaire est formée de substance blanche à la périphérie, et de
substance
grise à son centre. Cette observation est immédia
udinale. Rolando a le premier signalé dans ces deux tranchants deux
substances
grises d'aspect très-différent. La substance du t
es deux tranchants deux substances grises d'aspect très-différent. La
substance
du tranchant antérieur est rougeâtre et spongieus
longueur, et laissent entre eux de petits intervalles où s'engage la
substance
de l'axe gris, de manière à donner l'idée d'une s
de manière à donner l'idée d'une sorte de decussation entre les deux
substances
. Il faut remarquer, en outre, qu'en général la di
es faisceaux moyens, et dans le point qui sert de transition entre la
substance
spongieuse et la gélatineuse, un certain nombre d
t de soutien aux vaisseaux capillaires multipliés, qui nourrissent la
substance
nerveuse. Les axes gris ne présentent point, da
avons-nous dit, a signalé les différences d'aspect qui distinguent la
substance
de leurs cornes antérieures de celle de leurs cor
nnées ne sont point uniformément répandues dans tous les points de la
substance
spongieuse. Elles sont surtout abondantes dans le
« C'est une question importante de savoir si les gros globules de la
substance
« grise, dans le cerveau et dans les ganglions, s
nt dans les petites cellules multipolaires qui sont aux confins de la
substance
gélatineuse ; or comme ces cellules sont par leur
érieurs, d'autres prolongements se dirigent en arrière, traversent la
substance
des tranchants postérieurs de l'axe gris, et se c
ans celle de l'homme. Outre ces tractus rayonnants des cellules, la
substance
des (l) Séances de la société nhilumalhique, et
s que sont logés les cordons longitudinaux de la commissure (1). La
substance
gélatineuse qui constitue le tranchant postérieur
nstitue le tranchant postérieur des axes gris, diffère beaucoup de la
substance
spongieuse; elle est constituée par des granules
e gris; c'est dans les loges formées par ces lames qu'est comprise la
substance
gélatineuse. Toutes les fibres des cloisons sont
aux racines postérieures des nerfs spinaux. Outre les cellules de la
substance
gélatineuse, outre ces (1) On a eontesté la nat
ensitive des parties qu'elle anime. Il s'en faut de beaucoup que la
substance
grise soit, eu égard à la substance blanche, dans
Il s'en faut de beaucoup que la substance grise soit, eu égard à la
substance
blanche, dans les mêmes proportions dans toutes l
utes les régions de la moelle. Ainsi, le plus souvent, il y a plus de
substance
grise au renflement lombaire qu'au renflement cer
s du cerveau. Chaque pédoncule traverse d'abord un premier noyau de
substance
grise appelé couche optique ; puis un second noya
flement, ou, si l'on aime mieux, un développement de cette traînée de
substance
grise qui occupe dans toute la moelle le fond du
voit qu'elles sont immédiatement enveloppées par une couche mince de
substance
blanche formée de fibres transversales juxtaposée
tière, dont le fond est formé de fibres blanches mêlées à beaucoup de
substance
grise, loge la bandelette des nerfs optiques; ell
ve, et au fond de sa concavité existe la trace d'un sillon médian. La
substance
qui en forme le fond est d'un gris blanchâtre de
aire. « Elle est, suivant lui, composée de deux parties de différente
substance
dont l'une est de couleur cendrée et l'autre de c
le bord postérieur de celui-ci. « Il y a pendant toute la vie deux
substances
dans le lobe supérieur, l'une extérieure, rougeât
he épaisse de 2mm50 environ, et une intérieure blanche semblable à la
substance
médullaire du cerveau. Chacune de ces moitiés con
ouges, à laquelle aboutissent une multitude de canalicules remplis de
substance
rouge qui rayonnent du centre à la circonférence
oit où l'infundibulum communiqne avec le corps pituitaire. Quant a la
substance
du petit lobe elle est d'une seule couleur, tantô
térieurs sont plus grands que les postérieurs, et formés en entier de
substance
grise. Leur forme est celle de deux ellipsoïdes j
là des tubercules quadrijumeaux est, de chaque côté, un grand amas de
substance
grise. Ces deux amas, que nous désignerons l'un e
environ sept ou huit millimètres; sa largeur de quatre ou de cinq. Sa
substance
est d'un gris rougeâtre. Sa base renferme une pet
ue avec lui. Outre cette cavité, de petites cellules creusées dans la
substance
même du conarium, renferment des concrétions cris
e bande épaisse, formée de fibres blanches entremêlées de beaucoup de
substance
ganglionnaire, entoure le centre de la couche opt
te au noyau, elle s'en distingue bientôt sous forme d'un cordon où la
substance
blanche l'emporte de plus en plus sur la grise. C
ail recourbé du pédoncule; celle-ci est presque entièrement formée de
substance
grise ; elle commence en avant, par une extrémité
plus grands que les postérieurs. Ils sont presque en entier formés de
substance
ganglionnaire, et tranchent par leur couleur gris
générale de ces axes est celle-ci : chacun d'eux résulte d'un amas de
substance
grise compris sur les côtés du ventricule médian
iculté. Les axes gris sont évidemment représentés par cette couche de
substance
grise qui touche à la paroi antérieure du quatriè
cur; elle est dans l'homme singulièrement plissée et chiffonnée. Leur
substance
a pour éléments de petites cellules à noyaux, trè
homme un grand volume qu'augmente encore une assez grande quantité de
substance
grise interposée entre ces fibres (1). C'est ic
centre. stance des pyramides est d'un blanc nacré et tranche sur la
substance
grise à cette époque de la protubérance. C'est do
nscrit, au-dessous des tubercules quadrijumeaux, un cylindre épais de
substance
grise, au centre duquel est percé l'aqueduc de Sy
se ou d'étage inférieur du pédoncule cérébral. Un amas remarquable de
substance
grise, désigné sous le nom de locus niger, substa
ans les bandelettes optiques. Ces couches sont formées d'une bande de
substance
grise que parcourent, d'avant en arrière, une mul
arrière, une multitude de fibres blanches. Deux renflements de cette
substance
grise constituent les corps genouillés antérieurs
r leur structure. Les antérieurs sont presque exclusivement formés de
substance
grise, les postérieurs ont une écorce mince de fi
stérieurs ont une écorce mince de fibres blanches. Les cellules de la
substance
grise sont incolores et se distinguent par leur p
nches, occupant le centre de chaque hémisphère, a été nommé moelle ou
substance
médullaire, par opposition au nom d'écorce, donné
la pie-mère et des veines et artères qui pénètrent profondément leur
substance
: il sort de leur partie interne une fibre blanch
rs de ces petits corps transparents et tous blancs, de manière que la
substance
médullaire blanche du cerveau est apparemment un
de l'extrémité postérieure du cerveau dans l'épaisseur desquelles la
substance
blanche est distribuée en stries flexueuses à la
elet, absolument frais (1) Cf. Lclut. Note sur la disposition de la
substance
blanche à la surface du lobule de l'hippocampe da
ans son bel ouvrage, l'anatomie élémentaire d'une tranche mince de la
substance
corticale du cerveau. Cet anatomiste n'a distingu
présente est epithelial. Le second est formé de fibres entremêlées de
substance
grise qui proviennent de l'anneau du pédoncule, e
nt dits, et les faisceaux moyens, et se terminent, en partie, dans la
substance
grise qui forme le plancher de l'aqueduc de Sylvi
Un ou deux faisceaux bien distincts de ces fibres se portent dans la
substance
grise des couches optiques et des corps genouillé
econde rayonne en un éventail blanc dont les fibres cheminent dans la
substance
grise du plancher du quatrième ventricule jusqu'a
suffi. Gall, modifiant l'idée de Buffon, posait en principe que la
substance
grise engendre partout des fibres nerveuses, elle
ence, le sens dans lequel les fibres se développent étant indécis, la
substance
grise pourrait bien être terminaison aussi bien q
plus petit nerf; nous ne ferons d'ailleurs aucune supposition sur la
substance
grise des corps genouillés externes, et sur le ra
Questions, encore pour cette fois, insolubles ! Nous savons que cette
substance
qui conduit toutes les impressions, qui transmet
que par un peu moins de flexuosités dans les détails. Toutefois leur
substance
n'a point encore acquis ses apparences définitive
s de vaisseaux, d'où naissent les fines artères qui pénètrent dans la
substance
de la moelle ou du cerveau. Sa structure a été fo
u cerveau. M. Magendie, qui a vu ce liquide recevoir prompte-ment les
substances
qu'on introduit dans les veines, pense qu'il pour
qui pénètrent dans des parties blanches qui recouvrent des noyaux de
substance
grise, sont dans le même cas. Nous signalerons en
s les couches corticales, elles sont fort déliées et forment, dans la
substance
grise plus particulièrement, des réseaux très-fin
, qui s'ouvre dans le sinus caverneux. Vaisseaux lymphatiques. — La
substance
du cerveau paraît en être dépourvue, mais ils son
tiellement aux enveloppes du cerveau. Les artères et les veines de la
substance
cérébrale naissent directement des réseaux vascul
res de la pie-mère, et sont surtout abondantes dans l'épaisseur de la
substance
grise. La (1) Icônes, Analom. Fasc, I, Tab. 1 e
des, et dans ce cas les plis laisseront des empreintes, ou ce sera la
substance
cérébrale, et alors il ne s'en produira pas. L'ex
ent d'ossification des vertèbres céphaliques et l'accroissement de la
substance
cérébrale. En général, quand le cerveau est grand
croît, c'est sans qu'il y ait une augmentation notable du poids de la
substance
osseuse. Aussi, en général, le crâne des blancs c
du corps après la section des cordons postérieurs, en conclut que la
substance
grise transmet les impressions au cerveau. Fode
t après la section des cordons antérieurs. Il n'en conclut pas que la
substance
grise conduit le sentiment, loin de là, il combat
(1). M. Calmeil attaqua à son tour cette question. D'après lui, la
substance
grise suffit pour transmettre les impressions sen
rrière. D'après ces expériences, il admet le pouvoir conducteur de la
substance
grise. Van Deen a fort soigneusement distingué
ritable intérêt. Tout en accordant un grand pouvoir conducteur à la
substance
grise de la moelle, Van Deen ne déshérite pas les
dans les cordons postérieurs, et que toutes pénètrent d'abord dans la
substance
grise ; mais il pense que cette substance les tra
s pénètrent d'abord dans la substance grise ; mais il pense que cette
substance
les transmet aux cordons postérieurs, qui les con
elle de Bellingeri. M. Stilling en est si convaincu, qu'à ses yeux la
substance
grise est l'agent essentiel dans la moelle épiniè
nsmission des ordres de la volonté. Les cordons blancs, séparés de la
substance
grise, perdent toutes leurs propriétés (1). (1)
ibilité; mais les opinions varient beaucoup quant au rôle que joue la
substance
grise. On oublie trop facilement aujourd'hui ré
eur refusa absolument celui de conducteurs. La preuve, dit-il, que la
substance
grise n'a sur la sensibilité aucune influence, c'
rachidiens. Paris, 1841. attribuait son habile auteur. De ce que la
substance
grise est par elle-même insensible, il ne s'ensui
ling avaient depuis longtemps annoncé. Il dit en second lieu que la
substance
grise transmet les impressions sensitives, et se
en montrant par des expériences très-délicates qu'une couche mince de
substance
grise intermédiaire aux deux segments de la moell
tenir la sensibilité du segment postérieur. Si l'on enlève toute la
substance
grise de manière à découvrir la face profonde des
ns les animaux mammifères (2). Examinant enfin les propriétés de la
substance
grise, il trouve, comme M. Longet avant lui, qu'e
ble. Cependant elle conduit les impressions. 11 admet donc dans cette
substance
, des fibres particulières conductrices mais non e
érer l'hypothèse d'un entrecroisement à celle d'une conduction par la
substance
grise, l'une et l'autre hypothèse étant fondées à
vicale, on le rend absolument insensible. Ainsi la grande quantité de
substance
grise intermédiaire aux deux sections n'a aucun p
mann et Van Deen expliquent ce résultat, en disant que la quantité de
substance
grise intermédiaire suffisante dans le premier ca
iformes , mais seulement dans les faisceaux intermédiaires et dans la
substance
grise qui occupe le centre du bulbe. M. Van Dee
nouillés externes sont une dépendance ; 3° enfin son centre, noyau de
substance
grise que traversent en sens divers une prodigieu
na de les détruire par degrés. Tant que les lésions se bornaient à la
substance
grise de ces corps, les effets en étaient peu sen
non d'écrire l'histoire expérimentale de l'âme, mais d'en définir la
substance
. A cet égard les philosophes qui traitent de la m
la matière des corps ne sont pas beaucoup plus heureux. En effet, les
substances
ne tombent point sous les sens, nous les connaiss
'est-à-dire, par une voie indirecte, .oytsf$*f vôw (3). Or, moins les
substances
sont connues, et plus l'on s'épuise à raisonner s
ntpi 4'jxtti; xoffjAw xeu çuuioç JCs? a. |S. On appelle matière la
substance
qui se manifeste dans l'étendue par un certain en
és générales, ensemble qu'on désigne sous le nom de corps, et âme, la
substance
qui se manifeste dans la Pensée par la Pensée. Ce
la Pensée par la Pensée. Certains philosophes soutiennent que la même
substance
peut être à la fois le corps et la pensée. D'autr
n n'est pas assise sur des bases bien solides; l'âme, je veux dire la
substance
qui pense, est le sang pour les uns, pour les aut
lisé à sa manière ce vœu de Carnéades. Il y a, dit-il, deux ordres de
substances
, les simples et les composées. Celles-ci résulten
les composées. Celles-ci résultent de l'agrégation des simples. Les
substances
simples ou monades sont actives et dans un change
st une monade simple, et le corps un composé de monades. Dès lors, la
substance
est commune; tout est matière, tout est esprit.
« En effet, dit Plutarque, qu'enseigne Démocrite ? — Qu'il « y a des
substances
infinies en nombre, indivisibles, impas-« sibles,
grégation, de l'eau, « du feu, une plante ou un homme; que toutes ces
substances
« qu'il appelait atomes, à raison de leur solidit
, on ne peut faire une couleur de ce qui est sans cou-ce leur, ni une
substance
ou une âme de ce qui est sans âme ce et sans qual
la divisibilité indéfinie de la matière. Comme elle est, dit-il, une
substance
divisible composée de parties qui peuvent toujour
a un sentiment intérieur individuel, peut donc être, dit Collins, une
substance
matérielle. U ne resterait plus qu'à se faire une
posé n'existe point essentiellement. L'être absolu n'est que dans les
substances
élémentaires. Locke, qui a parlé de l'immatéria
nce, sinon d'une manière indirecte, c'est-à-dire, en tant que quelque
substance
capable de penser lui est unie. C'est là, il est
a pensée, qui la constitue, n'est possible que dans l'hypothèse d'une
substance
simple et indissoluble, ce qui n'est pas le cas d
sibles, semble n'avoir rien de commun avec les propriétés connues des
substances
matérielles. La pensée ne peut être non plus un s
s; on l'a donc considérée différente de la matière du monde, et cette
substance
, dont le propre est de penser, a été appelée Espr
nt en Dieu, au moment même où le corps périt en Dieu, considéré comme
substance
étendue, son idée meurt en même temps en lui, en
tance étendue, son idée meurt en même temps en lui, en tant qu'il est
substance
pensante, et ainsi l'âme cesse d'être avec le cor
e voir l'âme, mais de décider si la pensée suppose nécessairement une
substance
absolument indivisible et simple. S'il en est ain
s. Qui a jamais songé à prendre pour mesure un fil de caoutchouc? Les
substances
les plus inextensibles, les moins contractiles, l
ccession, de nombre et de temps, n'enferment en aucune façon celle de
substance
. Tout cela pourrait être dans l'âme sans qu'il y
nt génératrices des idées que nous avons des choses considérées comme
substances
. Une chose quelconque est avant tout un certain e
t tout un certain ensemble de propriétés ; si donc dans la réalité la
substance
emporte l'accident, dans l'ordre de l'acquisition
e suis convaincu de ce fait une nuit, à la suite de l'ingestion d'une
substance
narcotique. J'apercevais une foule remuante de pe
bnitz semble implicitement l'admettre, puisque, d'après lui, « chaque
substance
simple a des rapports qui expriment toutes les au
(3). « Dans l'extatique de Kaltern », dit un de ses historiens, » la
substance
physique participe à l'extase. En effet, quand el
lumière ayant figure humaine, d'une homogénéité parfaite, composée de
substance
spirituelle, cristalline et brillante (2). tl)
s procédés sont les mêmes. D'autres magiciens avaient recours à des
substances
narcotiques. Au temps de saint Augustin, c'étaien
pilote. Voilà ce que l'ivresse produit; voilà comment la plupart des
substances
narcotiques sont capables d'amener le délire; voi
al éprouve les effets de cet agent, et « c'est en s'insinuant dans la
substance
des nerfs qu'il les a affecte immédiatement. On r
us parle sur l'estomac. Mettait-on sur l'estomac de la malade quelque
substance
sapide, sa bouche goûtait et mâchait. On plaça su
d de la puissance créatrice de Dieu. Dieu seul, il est vrai, crée des
substances
, mais il a communiqué à l'homme seul le pouvoir d
leur fait distinguer avec tant de précision les aliments salubres des
substances
végétales nuisibles, compense son défaut d'étendu
les organes un sang difiluent et acide et un ramollissement dans la
substance
grise de la moelle, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI
surtout sont décolorés.irrégulière- ment en îlots blanchâtres ; la
substance
grise en apparence nor- male est nettement déli
es parties posté- rieures, il y a une régression granuleuse et leur
substance
paraît fragile. Les coupes transverses de cette
rine. Aucune coupe ne fait voir la destruction complète de toute la
substance
nerveuse, et par conséquent, il n'y a pas de myél
né- rées sont en grande partie endurcis à un degré très élevé. La
substance
grise de la région cervicale et lombaire est inta
eux ; au pour- tour de quelques vaisseaux plus grands se trouve une
substance
assez étendue et granuleuse, privée de cellules
hérente à la moelle épinière, était-elle coupée ou détachée, que la
substance
myélitique ramollie s'écoulait pour ainsi dire.
transversales de la moelle surtout à la région dorsale, on voit la
substance
blanche faire saillie dans DES ACCIDENTS PAR L'
coeur. Les reins plus grands, hypérhémiés, con- tiennent dans leur
substance
corticale un grand nombre de petits abcès, ayan
dans leur ensemble un même état fragile, bien que le reste de leur
substance
puisse se couper très bien. Ces enfoncements ci
amas de grandes cellules, étaient pour ainsi dire enfoncés dans la
substance
des cordons postérieurs et avaient séparé le ti
llules et dans quelques autres places pénétraient plus loin dans la
substance
blanche, de façon à altérer tous les cordons po
antérieurs çà et là des petits endroits de processus myélitique. La
substance
grise avec ses cellules, les racines antérieure
leur masse fait trèsfacilement saillie à la coupe. Le reste de leur
substance
et les cordons latéraux montrent une myélite pa
et de l'acide carbonique qui occasionnent des déchi- rures de la
substance
de la moelle. Je n'ai pas pu dé- couvrir ces «
hiens. Schultze, de son côté, n'a pas constaté ces déchirures de la
substance
myélitique. Pour moi, on peut parfaitement bien
rvoyants. Pendant des siècles, on a sectionné, excité, cautérisé la
substance
grise et la substance blanche du cerveau sans ê
ècles, on a sectionné, excité, cautérisé la substance grise et la
substance
blanche du cerveau sans être jamais par- venu,
S RADICULAIRES POSTÉRIEURES DANS LA MOELLE ET DE LA STRUCTURE DE LA
SUBSTANCE
BLANCHE DANS LE SEGMENT POS- TÉRIEUR DE LA MOEL
OS- TÉRIEUR DE LA MOELLE, AVEC ALTÉRATIONS PATHOLOGIQUES DE CETTE
substance
; par A. TAKACS. [Neurol. Centralbl., 1887.) Les
viseraient en deux portions : l'une qui pénètre directement dans la
substance
grise postérieure, l'autre qui gagne auparavant,
stérieure, l'autre qui gagne auparavant, en dedans et en dehors, la
substance
blanche, autour des cornes grises postérieures.
trent d'emblée dans les cornes grises postérieures, tra- versent la
substance
gélatineuse et peuvent être suivies ensuite dans
nnes de Clarke où elles semblent se terminer. Celles qui longent la
substance
blanche autour des cornes grises postérieures (fa
e longueur de trois racines et ne s'in- troduisent qu'après dans la
substance
de la corne. Des cellules de Clarke partent deu
ui deviendra la source du faisceau de Goll. Les autres, laissant la
substance
grise en dehors, s'enfoncent dans le segment po
des hauteurs plus ou moins distantes de cette entrée, pénètrent, la
substance
grise des cornes postérieures. - De là les prop
ui pénètrent toute l'épaisseur de l'écorce ou jusqu'à la lisière de
substance
blanche, voire dans la couronne rayonnante ; -
iles s'anastomosent avec les branches de fibres nerveuses qui de la
substance
blanche entrent dans la substance grise ; la co
s de fibres nerveuses qui de la substance blanche entrent dans la
substance
grise ; la contiguïté, oui ; la continuité non. E
ouillé ; quand on enlève l'oeil, il ne meurt de cet or- gane que la
substance
fondamentale gélatineuse. C'est parce que les f
trophie de la racine ascendante de ce nerf, mais les cellules de la
substance
gélatineuse et le sys- tème des fibres longitud
nnue; toutefois elle ne les conduit pas habituellement à avaler des
substances
non alimentaires ; il convient de mettre ces ma-
lèrent parfois, sans inconvénient, l'ingestion même à haute dose de
substances
toxiques ou simplement nuisibles. R, M. C. DE
es d'association manifestement autonomes en dedans de la lisière de
substance
blanche. Discussion. M. Flersiweh. Ces lésions
formée une cavité; dans le cas de M. Zacher, c'eatla lisière de la
substance
blanche qui s'est trouvée être le terrain génér
érescence vas- culaire occupait surtout les cordons postérieurs; la
substance
blanche et grise ne présentait pas le mode de r
anes- thésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso-moteurs (
substance
grise latèro-postérieure). Recueillies et publi
postérieur du côté gauche, se trouvant séparé de toutes parts de la
substance
grise par de la subs- tance blanche saine et co
lier cet élément aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la
substance
qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Sel
e, aussi bien qu'à celle des prolongements protoplasmiques; cette
substance
n'est qu'une « formation secondaire 170 0 PHYSI
t s'élever de trois à vingt et au delà, et dans lesquels circule la
substance
du corps allulaire, sont désignés, quoique un p
l'explication anatomique de l'ori- gine des fibres nerveuses de la
substance
grise ? Com- ment s'établit entre les cellules,
rmation d'un réseau nerveux qui existe dans toute l'épaisseur de la
substance
grise. Golgi i incline à croire, sans rien affi
i ont plutôt l'aspect des cellules des cornes postérieures et de la
substance
de Rolulldo. De là deux types de cellules nerve
orescentes, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la
substance
grise de l'écorce. Mais on n'a point le droit d
eur de l'extrémité fron- tale à la FA; le maximum d'épaisseur de la
substance
grise est au sommet des circonvolutions, le min
tation d'épaisseur de 0,1 à 0 ? n. Quant à l'âge, l'épaisseur de la
substance
grise du lobe pariétal serait plus grande sur l
la psychologie », est celle de. la détermination quantitative de la
substance
blanche et de la substance grise du cerveau hum
e. la détermination quantitative de la substance blanche et de la
substance
grise du cerveau humain. Conti a institué de no
mière de ces régions, les différences quantitatives de volume de la
substance
blanche et de la substance grise sont d'autant
ifférences quantitatives de volume de la substance blanche et de la
substance
grise sont d'autant plus fortes que les individ
tant plus fortes que les individus sont plus jeunes. Avec l'âge, la
substance
grise diminue naturellement sur toute l'écorce.
n préganglionnaire, après avoir dépassé la valeur ab- solue de la
substance
blanche chez les jeunes sujets, la substance gr
leur ab- solue de la substance blanche chez les jeunes sujets, la
substance
grise décroit d'une quantité absolument LES FON
quantité absolument LES FONCTIONS DU CERVEAU. 205 inférieure à la
substance
blanche chez les adultes et chez les vieillards
Dans la région postganglionnaire, elle augmente, relativement à la
substance
blanche, de la PA jusqu'à la scissure pariéto-o
iaire, Conti a trouvé une sorte d'équi- libre stable entre les deux
substances
grise et blanche. L'année même où paraissait ce
de l'encéphale humain et sur la détermination quanti- tative de la
substance
blanche et de la substance grisei. Exécutées à
ur la détermination quanti- tative de la substance blanche et de la
substance
grisei. Exécutées à l'Institut d'anatomie patho
la balance hydrostatique. Quant aux rapports quantitatifs des deux
substances
, le poids spécifique de la substance blanche de
ports quantitatifs des deux substances, le poids spécifique de la
substance
blanche des hémisphères dépasse tou- jours celu
la substance blanche des hémisphères dépasse tou- jours celui de la
substance
grise. La première repré- sente environ 74 p. 1
ncéphale. Au début de la seconde moitié de la vie intra-utérine, la
substance
grise subit un accroissement considérable, puis
et le développement ulté- rieur de l'organe a lieu au profit de la
substance
blanche. Chez le foetus à terme, l'épaisseur de
e la substance blanche. Chez le foetus à terme, l'épaisseur de la
substance
grise est peu inférieure à celle de l'adulte. 1
ent. di fren., 1884, X, p. 193. 206 6 PHYSIOLOGIE. Le poids de la
substance
blanche des hémisphères atteint son maximum de
s atteint son maximum de cinquante-un à soixante ans, celui de la
substance
grise de quarante à cinquante ans. Quant au sex
e la substance grise de quarante à cinquante ans. Quant au sexe, la
substance
grise est en plus grande quantité chez l'homme,
xe, la substance grise est en plus grande quantité chez l'homme, la
substance
blanche chez la femme. La diminution, avec l'âg
chez la femme. La diminution, avec l'âge, de la quan- tité de la
substance
grise, est manifeste. La quantité notablement p
ise, est manifeste. La quantité notablement plus considérable de la
substance
blanche en regard de la grise, le chiffre élevé
bserve chez les individus sains d'esprit. Le poids spécifique de la
substance
cérébrale est généralement plus élevé pour les
dans les aliéna- tions accompagnées de processus atrophiques de la
substance
cérébrale; médiocre dans les formes aiguës typi
chaleur à la peau, avec trouble fébrile passager, à la manière des
substances
excitantes telles que la cannelle et le poivre.
ollissement, d'origine probablement embolique, qui avait détruit la
substance
corticale des deux coins. On a constaté en même
es plus anté- rieures sont seules épargnées), et d'une partie de la
substance
grise (zone latérale intermédiaire aux cordons
la face interne de la circonvolution de l'hippocampe. A la base, la
substance
cérébrale intermédiaire à la bandelette optique e
l y a constaté de l'atrophie, une transformation granuleuse de la
substance
musculaire, la multiplication des noyaux. L'exame
ques) ; l'altération débute parla transformation d'une partie de la
substance
musculeuse en organites nucléaires autour desquel
même probable que les colonnes de Clarke participent, ainsi que la
substance
grise des cornes postérieures, à l'altération.
peintre de soixante-huit ans, affecté d'hémianopsie avec alexie. La
substance
blanche ressortissant au pli courbe, à la premi
econdaire du segment supérieur des fibres de Gra- tiolet jusqu'à la
substance
blanche latérale du pulvinar ; diminution consi
he ont subi un recoquillement considérable qui porte surtout sur la
substance
blanche. Dilatation extrême du ventricule latér
hésitation, lui remit. Cette lettre, signée du même nom, portait en
substance
que le docteur, se trouvant dans le quartier aupr
les particularités aiuilomo-patholo- giques. Chaque moitié de la
substance
blanche de la moelle est d'abord divisée par le
ral (Z M, 6) qui se trouve entre le faisceau pyramidal croisé et la
substance
grise. Le faisceau cérébelleux direct ou de Fle
ostérieure de Westphall (Z, W, 7) immédiatement appliquée contre la
substance
grise, formant la partie externe et antérieure
s qui la constituent seraient ascendantes et se jetteraient dans la
substance
gélatineuse. Autopsie I (personnelle). La malad
les cornes postérieures. (Zone de Westphal.) Les fibres fines de la
substance
spongieuse sont en grande partie détruites. La
rveuses. Le faisceau pyramidal présente un minimum d'altération. La
substance
grise est intacte ainsi que les racines antérie
ié inférieure du quatrième ventricule. Il n'y a pas de lésion de la
substance
grise de la moelle. - Atro- phie des racines po
itudinaux parallèles situés en grande partie dans l'épaisseur de la
substance
grise au point de réunion des cornes antérieures
ur les cordons postérieurs. Néanmoins, la région antérieure et la
substance
grise sont également amoindries. La sclérose po
E DE FRIEDREICH. 341, Î cordons postérieur ? , il existe encore une
substance
presque nor- male qui semble englobée dans les
cence quoique à un degré moindre que dans les cordons de Goll. La
substance
grise est intacte. Racines postérieures atteintes
yen on trouve seulement çà et là quelques fibres nerveuses dans une
substance
conjonctive fibril- laire. Dans les cordons p
ornes postérieures. Dans les cordons prismatiques il y a, à part la
substance
blanche en forme de bandelette bordant la corne
libres, tandis que dans les cordons latéraux aussi bien que dans la
substance
grise on ne voit plus de dégénérescence. La sur
don de Goll. Après ceux-c vient le cordon de Burdach. Bord mince de
substance
blanche conservé le long des cornes postérieure
le valeur nous est fourni par la limitation des altérations de la
substance
grise à la seule colonne de Clarke, dont non se
QUI SE RENCONTRENT COMMUNÉMENT AU VOISI- NAGE DE LA JONCTION DE LA
SUBSTANCE
BLANCHE ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLU
MENT AU VOISI- NAGE DE LA JONCTION DE LA SUBSTANCE BLANCHE ET DE LA
SUBSTANCE
GRISE DES CIRCONVOLUTIONS DANS LES CAS DE PARAL
ayonnent; elles se distinguent des fibrilles qui font corps avec la
substance
réticulaire ou la charpente. Les filaments de c
filiformes transversaux, Les unes se perdent en divergeant dans la
substance
408 SOCIÉTÉS savantes. réticulaire; les autre
ibrilles; ces pertuis permettent une communication directe entre la
substance
réticulaire intranucléaire et la substance réti
ication directe entre la substance réticulaire intranucléaire et la
substance
réticulaire extranucléaire. La membrane en ques
les à mailles étroites. Le pourtour du nucléole ou les noeuds de sa
substance
réticulaire émettent assez souvent des prolonge
les nerveuses entre elles, connexion des cellules nerveuses avec la
substance
grise, les cellules du tissu con- jonctif, et l
arent ces dernières, comme, de plus, la paroi des capillaires de la
substance
grise et les cellules nerveuses émettent des fi
ommann avait supposé qu'elles formaient entre les interstices de la
substance
grise un réseau ténu qui servait de connexion e
iles, les oiseaux, et les mammi- fères, incluses dans une couche de
substance
finement grenue. Les nerfs sensitifs se résolve
ents (alcool, thé) ; M. Kroepelin, en ce qui concerne ces dernières
substances
, a constaté qu'elles exercent sur l'interpréta-
malacie complète avec désintégration lacunaire très prononcée de la
substance
blanche et disparition à peu près complète de l
ée de la substance blanche et disparition à peu près complète de la
substance
grise (V. PI. I, fig. A). II. .Une femme de 58
étaient ralentis. Par ce fait, comme chez le malade de Hertoghe, la
substance
thy- roïdienne aurait pu peut-être provoquer un
ée de poils rares. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 71 La
substance
thyroïdienne a été également impuissante à modifi
difice s'élève. La glande thyroïde ne leur donne que bien peu de sa
substance
. C'est le sang qui fait les frais de tout ; et
- connaît bien l'odeur de la térébenthine, de la menthe et d'autres
substances
odo- nantes, que l'ouïe est parfaite, je finira
qui corres- pond avec l'âge. La spongiose paraît contenir moins de
substances
calcaires. Au radius vous pouvez reconnaître. f
'acromégalie. Mon confrère Wintler a trouvé un épaississement de la
substance
grise centrale dans un cas d'acromégalie, ce qu
après l'opération. Les expériences par lesquelles on a introduit la
substance
glandulaire soit par la bouche, soit sous la peau
pinion est admise par Wernicke (5) qui propose la dénomination de «
substance
sagittale du lobe occipital ». Sachs (6) fait
ne du noyau amygdalien où il morcelle avec le faisceau uncinatus la
substance
grise qui relie l'avant-mur au noyau amygda- li
ipital entraînent une dégé- nérescence qui peut être snivie dans la
substance
blanche du lobe temporal, mais souvent, à cause
quadrijumeau antérieur. Lorsqu'il s'agit de lésions intéressaut la
substance
profonde située en dehors du corps genouillé ex
armi ces dernières, il n'en est pas que l'on, puisse suivre dans la
substance
sous-corticale de la première circonvolution te
gent nettement appréciable aux circonvolutions dont il constitue la
substance
profonde. La partie dorsale de ce faisceau se c
s- phère droit (Pl. XXXII. 43,14,45,16. Schéma n° I) qui détruit la
substance
cor- ticale et sous-corticale des deuxième et t
ale ; à ce niveau la lésion respecte la corticalité mais atteint la
substance
profonde des deux tiers antérieurs des deuxième
lésions corticales du lobule fusiforme. Cette dégénérescence de la
substance
profonde porte sur les faisceaux de Sachs, de Via
nettement mais de multiples foyers occupent et la corticalité et la
substance
profonde et à l'exception des « fibrx proprio »
brx proprio » des lobules lingual et fusiforme, il n'existe plus de
substance
sous-corticale. Le ramollissement s'étend dans la
intéresse le carrefour ventriculaire. Une lésion récente détruit la
substance
profonde du gyrus supramarginalis et se rend ju
laire de la capsule interne. A part un foyer ré- cent situé dans la
substance
profonde de la circonvolution frontale ascendante
rand nombre de fibres d'association a donné lieu à une pâleur de la
substance
profonde des circonvolutions temporales. En dépit
er ne se présente au niveau du lobe temporal. La décoloration de la
substance
profonde diminue progressivement et la zone dég
du faisceau de Wernicke a déter- miné une pâleur appréciable de la
substance
profonde. Au niveau du carrefour ventriculaire
s fibres d'association a déterminé'un certain degré de pâleur de la
substance
profonde des circonvolutions latérales. L'exame
gittale externe, ce ramollissement n'inté- resse que l'écorce et la
substance
immédiatement sous-corticale ; les couches prof
ricule est grandement dégénérée. On remarque l'extrême pâleur de la
substance
profonde ; la lésion a entraîné la dégénérescen
ette et se poursuit même dans la circonvolution de l'hippocampe. La
substance
profonde des circonvo- lutions de la face exter
ure de Sylvius, la temporale profonde) et empiète légèrement sur la
substance
profonde de la deuxième circonvolution temporale.
rge bande très dégé- nérée, fortement arquée et qui occupe toute la
substance
profonde de la circon- volution de l'hippocampe
t des corps genouillés externe et interne. La lésion a abandonné la
substance
pro- fonde, mais détruit totalement l'écorce et
nné la substance pro- fonde, mais détruit totalement l'écorce et la
substance
sous-corticale de la pre- mière temporale et de
tre dans l'ordre et l'on n'observe qu'une légère décoloration de la
substance
profonde des circonvolutions latérales. Nous ve
s profonds, entre la paroi ventriculaire inférieure et l'écorce, la
substance
blanche est d'une extrême minceur (fig. 3) et nou
t. Or, quel parcours allons- nous accorder à ces fibres, puisque la
substance
profonde de cette région leur refuse le vaste c
rétrécissement de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, la
substance
profonde occupe un territoire de plus en plus v
e normale des racines ; nous verrons également qu'il existe dans la
substance
grise de la moelle, à l'état normal et à l'état
e croissance encapsulées dans les ganglions rachidiens et dans la
substance
grise de la moelle. La néoformation de fibres d
qui sont nées de la portion ex- tra-capsulaire de l'axone, dans la
substance
blanche du ganglion. Elles sont manifestement a
de la planche XXXVI ; la fibre se di- rige obliquement à travers la
substance
blanche, puis elle se recourbe pour se placer p
es, il ne m'a pas été possible d'y déceler de neurofibrilles ; leur
substance
paraît homogène ou granuleuse. Certaines d'entr
ntre elles sont muriformes et se F1G, 1. - Massues terminales de la
substance
blanche d'un ganglion, avec leurs capsules nucl
e certitude à cet égard. ' Massues des centres nerveux (cervelet et
substance
grise de la moelle). - Des massues terminant de
r d'elles. Ces formations se rencontrent dans toute l'étendue de la
substance
grise, mais elles s'accumulent particulièrement
lleurs ce caractère avec les boules norma- les du ganglion et de la
substance
grise de la moelle, dont nous aurons à nous occ
ation de fibres à myé- FiG. 2. - Fibres terminées en massue dans la
substance
grise de la moelle. Les mas- sues sans indicati
ôle supérieur des ganglions. Quant aux massues qui existent dans la
substance
grise de la moelle, on peut se demander si elle
moelle et leur accumulation en certains points à la. li- mite de la
substance
grise, tendent à prouver qu'il s'agit de fibres q
avant que ceux-ci soient détruits. xix 10 234 NAGEOTTE dans la
substance
grise de la moelle chez un paralytique général et
psulées de Cajal). ' On retrouve des formations analogues dans la
substance
grise de la moelle humaine à l'état normal et à
avril 1906. Note sur la présence de massues d'accroissement dans la
substance
grise de la moelle, et particulièrement' dans l
. Fig. 3. Obs. III (tabes incipiens). Photographie d'une portion de
substance
blan- che au pôle supérieur du 4" ganglion lomb
6. - Obs. III (tabes incipiens). Trois massues de croissance dans la
substance
blanche d'un ganglion sacré. L'une d'elles term
ans la subs- tance blanche du lobe frontal gauche, empiétant sur la
substance
grise de l'écorce de la partie orbitaire et int
e. Dans le pus, qui est d'odeur très fétide, nagent des détritus de
substance
cérébrale irrégulièrement dissociée. Rien d'app
e. Au plus fort grossissement (immersion 1/12, oc. 12), on voit une
substance
bleu pâle, dif- fuse, sur laquelle se détache e
nes pyramides ou sur les petits éléments de la troisième couche, la
substance
foncée dessine un réseau très irrégulier, à mai
rélation seules y donnent quelque valeur. Le gros de cette perte de
substance
est sur- DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉB
DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 249 venu aux dépens de la
substance
blanche et plus particulièrement des faisceaux
microscopiques et purement corticales ; 8 sont entièrement dans la
substance
blanche ; 3 intéressent les deux substances. Ce
8 sont entièrement dans la substance blanche ; 3 intéressent les deux
substances
. Ces 11 dernières atteignent en partie la grand
outes nettement délimitées ; elles ont disséqué en quelque sorte la
substance
cérébrale dans leur entourage, beaucoup plus qu
beaucoup plus qu'elles ne l'ont « mangée ». i Les métastases de la
substance
blanche sont seules régulièrement entourées d'u
s calleux les mêmes pinceaux de fibres que dans l'observation VI.
Substance
blanche. Rien de particulier à relever dans l'hém
s ou du sang. Bientôt il ne subsiste plus qu'une fine bandelette de
substance
blanche et le néoplasme émerge même complètemen
emées irrégulièrement, les mêmes « araignées » gonflées que dans la
substance
blanche. Enfin, où le néoplasme est contigu à l'é
ases, même les petites, à condition qu'elles soient situées dans la
substance
blanche, ne tardent pas à s'entourer d'une zone v
lles de l'observation VII. Ici, au contraire, les altérations de la
substance
blanche sont notablement plus étendues que là.
raît logique d'admettre que les néoplasmes se développant en pleine
substance
blanche, la disséquant en quelque sorte, sont par
Remarques générales. 1. L'écorce résiste mieux à la pression que la
substance
blanche. Sans doute que la nutrition y est plus
plissant toutes la gaine du sarcolemme et ne laissant plus voir la
substance
striée. L'infiltration adipeu'se est d'intens
résentant la forme des boules ovoïdes bosselées. La nature de cette
substance
nous est inconnue, l'acide osmique ne la colore
e graisse et remplissent les gaines sarcolemmatiques vides de toute
substance
contractile. Quoi qu'il en soit de cette interpré
ou moins serrés des vaisseaux nourriciers sans modifications de la
substance
noble, fait sur lequel M. Brault a tout particu
vaisseaux sanguins, mais aussi autour des cellules nerveuses de la
substance
grise. Cramer, Greiff et quelques autres ont tr
e la calotte, du ruban de Reil médian, de la toenia pontis et de la
substance
réticulée grise sauf une partie comprise entre
llules des noyaux centraux supérieurs, des noyaux latéraux et de la
substance
grise du pont sont presque complètement conservée
al- gré cela les cellules des noyaux de Goll et de Burdach et de la
substance
gélati- neuse de Rolando semblent en nombre nor
colorée avec la méthode de Weigert et Weigert-Pal. Les cornes de la
substance
grise sont encore bien reconnaissables grâce à
ner- veuse colorable avec la méthode de Weigert. Les cellules de la
substance
grise sont en grande partie conservées. Les fib
ement sous-olivaire, jusqu'à la 8° racine dorsale, presque toute la
substance
nerveuse, sauf quel- ques petits îlots dissémin
sculaire et au tissu avoisinant (fig. 11). Dans les vaisseaux de la
substance
médullaire transformée en plaques de sclérose,
etit amas de noyaux po- lymorphes de grandeur différente. Dans la
substance
médullaire, en dehors des plaques de sclérose, le
aisseaux du cervelet dans cette même région et un peu dans toute la
substance
blanche extraciliaire, présentent presque tous un
(fig. 13) ; parfois, au contraire, entre la paroi vasculaire et la
substance
ner- veuse, outre un nombre plus ou moins consi
est d'autant plus étroite que la paroi qui les limite du côté de la
substance
nerveuse est en général repré- sentée par un an
décrit, soit dans la moelle épinière son dans le cervelet, dans la
substance
nerveuse non encore transformée en plaques sclé
'une pièce de vingt centimes. L'apophyse clinoïde est branlante, la
substance
osseuse qui la compose n'existe presque plus et e
nt servi à l'examen microscopique. La selle turcique vidée de cette
substance
molle et fluente, on aperçoit dans le plancher
llaires interalvéolaires. Ces amas cellulaires ne renferment pas de
substance
colloïde apparente en amas. L'aspect général de
nstater des phénomènes de régéné- rescence du côté des fibres de la
substance
blanche. Beaucoup de fibres de nouvelle formati
ence double, l'une partie des racines postérieures et l'autre de la
substance
blanche de la moelle. L'un de nous (2) a décri
matoire, dans l'épaisseur de laquelle se terminent les fibres de la
substance
blanche et grise. Les bouts traumatisés des cor
entant des restes d'axones dégénérés. Les fibres persistantes de la
substance
blanche changent de direction au niveau de la cic
ntrent suivant Cajal, que les axones des racines postérieures et la
substance
blanche médullaire sont susceptibles de régénér
laire, et aussi bien l'absence de cellules capables de sécréter des
substances
chimiotaxidues qui puissent attirer les fibres
lation con- sidérable de leucocytes et de globules de sang. Dans la
substance
grise, même dans cette masse d'éléments émigrés
onstituant parfois une espèce de plexus irrégulier (Fig. 3). ,Dans la
substance
blanche latérale, on constate un grand nombre d
ilatations parfois considérables produites par l'accumulation d'une
substance
probablement albuminoïde sur le trajet des fibres
produit alors les cavités kystiques. On rencontre également dans la
substance
blanche latérale un certain nombre de fibres no
résistance que celle-ci leur oppose. Néanmoins, à la périphérie de la
substance
blanche, on voit quelques fibres descendant ver
reint, elles sont dégénérées et disséminées par ci, par là, dans la
substance
blanche. La partie moyenne de la cicatrice est
s de granulations noires. De dif- férents points de la région de la
substance
blanche partent des faisceaux et des FiG. 6. Co
zones nécrosées qui avoisinent les ré- gions mieux conservées de la
substance
blanche (Fig.6). Par conséquent, le tis- su de
dire (Fig. 8). Au contraire, les vaisseaux qui sont situés près de la
substance
grise et de la substance blanche fortement alté
, les vaisseaux qui sont situés près de la substance grise et de la
substance
blanche fortement altérée ne présentent pas de fi
é de la pie-mère et d'aspect très variable. Ici, il est formé d'une
substance
fondamentale dans les interstices de laquelle on
t aérolaire ou vasculaire à cause de la dilatation du réseau par la
substance
interfibrillaire. Ces grosses fibres à trajet irr
s presque inextricables autour des ma- crophages qui ont détruit la
substance
grise, or, il est certain qu'ils provien- nent
MINEA en rencontre rarement et isolées possédant une gaine de cette
substance
(Fig. 12). A ce propos il est fort probable que
3). Ils ne sont pas si volumineux que ceux de la cicatrice. Dans la
substance
grise et blanche située immédiatement au-dessus
ents sur leur trajet sont des fibres de nouvelle formation. Dans la
substance
grise située immédiatement au-dessus de la région
absolument normales ; elles ne présentent aucune altération de leur
substance
chromatique. 50 MOELI,E.- La moelle a été fixée
toluidine. - Dans l'ensemble, les lésions constatées portent sur la
substance
grise, tandis que l'intégrité des cordons blanc
ons blancs, il n'y existe aucun grain noir. Les altérations de la
substance
grise portent uniquement sur les cornes an- tér
le, gélatineuse, légèrement transparente et adhère intimement il la
substance
cérébrale voisine ; le tissu néoplasique se con
toute la fibre prend une coloration légèrement violette comme si la
substance
nucléaire s'était intimement mélangée à la fibre
vent mal colorés par l'hématoxyline, par des débris ou des blocs de
substance
muscu- laire : la fibre prend parfois à ce nive
ulaires et interstitielles sont plus ou moins dilatées. , Dans la
substance
grise les lésions sont moins considérable : les c
elle est nettement aplatie, avec élargissement et déformation de la
substance
grise : le volume total de la moelle est plutôt s
or- mation de plusieurs petits foyers de myélomalacie, limités à la
substance
blan- che du cordon latéral. Les vaisseaux sa
paisseur. Au niveau de cette dilatation, les parties voisines de la
substance
grise sont ra- réfiées ; la lumière du canal re
substance grise sont ra- réfiées ; la lumière du canal renferme une
substance
vaguement grenue se co- lorant en rose par l'éo
et 6° segments cervicaux, la moelle est léèrement compri- mée ; la
substance
grise est déjetée à droite. Elude histologique.
ESSEUR L. LANDOUZY. HÉHASYNERG1E DROITE PAR HÉ111ORRHAGIC DANS LA
SUBSTANCE
BLANCHE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBELLEUX DU MÊME COT
passant parles olives, montrait que la partie postéro-externe de la
substance
blanche de l'hémisphère céré- belleux droit éta
antérieure du pédoncule cérébelleux moyen et le tiers externe de la
substance
grise antérieure du pont. Il s'arrête sur la li
caillot organisé, où l'on distingue des leucocytes plongés dans une
substance
rouge amorphe. L'artère est entourée d'un mince
ces. Le foyer cérébelleux occupe la moitié postéro-inférieure de la
substance
blanche de l'hémisphère droit. Sur une coupe
r les olives, nous avons vu ses dimen- sions. ! 1 ne touche ni à la
substance
grise des lobes hémisphériques et du vermis, ni
que 3 petites hémorrhagies corticales parallèles à la surface de la
substance
grise, larges de 1 .millimètre, longues de 3 ou
C- li/, dont un prolongement occupe la partie postéro-externe de la
substance
blanche, on voit l'olive cérébelleuse centrant
e de la substance blanche, on voit l'olive cérébelleuse centrant la
substance
blanche limitée en dehors par le lobe semi-luna
ors de l'olive et une bande linéeuse antéro-postérieure séparant la
substance
blanche du lobe semi-lunaire supérieur et occupée
: 1° Le tiers postérieur du feutrage intra-ciliaire (FIC) ; 2° La
substance
blanche médiane immédiatement en avant de l'olive
. 547 Sur un coupe (fig. 7) passant au-dessous de la précédente, la
substance
blanche diminue proportionnellement au reste de
ire, l'autre dans le feutrage extra-ciliaire, et le dernier dans la
substance
blanche postérieure. Sur une coupe (fig. 8) plu
cas il s'agit d'une trophonévrose en rapport avec des lésions de la
substance
grise médullaire ; dans d'autres cas les plus n
les notions cliniques en constatant l'existence de lésions dans la
substance
grise médullaire; cependant, on ne peut considé
ont pas fait allusion à la possibilité d'une artério-sclérose de la
substance
grise centrale avec ce syndrome. Celte nouvelle
vasales, partent des gros septa conjonctifs qui s'enfoncent dans la
substance
médullaire. Les faisceaux postérieurs et latéraux
érosés avec diminution évidente des fibres. Par ci, par là, dans la
substance
grise on trouve de petites hémorragies périvasa
remière dorsale, aussi à droite, on voit une cavité creusée dans la
substance
grise tout autour d'un groupe de vaisseaux : on
eut faire aux autres : comment peut-on admettre qu'une lésion de la
substance
grise periépen- dymaire puisse donner lieu à la
nt on connait peu la structure et les fonctions, comme celles de la
substance
grise, il est très difficile de faire l'évaluat
e la maladie de Dupuytren serait donc unique : une altération de la
substance
grise spinale, qui dépend de cau- ses variées,
aires est bien souvent une raréfaction du reticulum fibrillaire des
substances
grises (Pighini, Beduschi et Jardini), le défau
ue d'avoir, dans le milieu, un vaisseau perméa- ble entouré par une
substance
amorphe et par des détritus, dans lesquels on p
r- réguliers des tissus sclérosés. Leur lieu de prédilection est la
substance
grise, et, dans mon cas, la substance grise pér
r lieu de prédilection est la substance grise, et, dans mon cas, la
substance
grise périépendymaire. Cet état pa- thologique
peut causer la maladie de Dupuytren quand elle se localise dans la
substance
grise centrale de la moelle. 2° La plupart des
adie de Du- puytren, non seulement par les lésions organiques de la
substance
médul- laire, mais aussi, et, peut-être, plus f
rne et la zone triangulaire de Wer- nicke ; et d'autre part dans la
substance
blanche du lobe temporal. A cet égard l'on nous
udinal inférieur s'ir- radie dans l'écorce du lobe temporal dont la
substance
blanche est très dégé- nérée (fibres longues d'
circonvolutions tem- porales. La lésion intéressait l'écorce et la
substance
blanche sous-jacente, mais ne sectionnait pas l
ou moins régulières. Elles sont séparées ça et là, par des îlots de
substance
grise qui se détachent de l'angle inférieur du
la configuration du pédoncule cérébral devient frappante lorsque la
substance
innominée le Reicliert sépare le globus pallidu
enouillé, que ce sont surtout le corps quadrijumeau antérieur et la
substance
grise de l'aqueduc de Sylvius qui représentent
l'angle supéro-interne de la corne occipitale, c'est-à-dire dans la
substance
blanche du cunéus. Il se fait donc un entrecroi
2. L,UG/OEL-LAV.\STINE. Hémiasynergie droite par hémorragie de la
substance
blanche de l'hémisphère cérébelleux du même c
en les soumettant à l'action des poisons, des virus, des venins, des
substances
putrides, etc. L'idée de produire ainsi des malad
ts se rencontrent: Io à la surface du rein, et dans l'épaisseur de la
substance
corticale ; 2° dans les mame-lons et les papilles
eaks) ; on les rencontre dans la subs-tance tubuleuse (jamais dans la
substance
corticale), et quel-quefois dans les mamelons; il
ts. Au premier degré, le rein conserve son volume ordinaire ; mais la
substance
1. Gharcot et Cornil. —Mém. de la Soc. de biol.
seuses ou protéiques. Au second degré, on trouve une atrophie de la
substance
corticale, et cet état granuleux du rein, qui app
e rein, diminué de volume, est ridé, grenu, ru-gueux à la surface. La
substance
corticale est notablement atrophiée. Jamais, dans
nts : 1° Les reins en présentent dans les tubules, mais non dans la
substance
corticale. Les uretères en renferment également.
de soude, on voit les liga-ments et les tendons s'imprégner de cette
substance
. Les symptômes de cet état de choses se confonden
nait naissance à une matière colorante très soluble : dès lors, cette
substance
, qui rentrait dans les termes de la loi de 1816,
fibreux, les matières albuminoïdes se trans-forment en géline ; cette
substance
se dédouble à son tour, par un travail de désassi
e simple hypothèse. Elle se fonde surtout sur la présence de ces deux
substances
dans le sang normal : mais on ne les y trouve qu'
sement de l'acide urique et de l'urée, mais surtout de cette dernière
substance
. Jusqu'ici, les déductions théoriques paraissen
égère-ment ; enfin le thé et le café diminuent la proportion de cette
substance
. Si l'on admet dans ces expériences que la quanti
ue dans le sang, soit en favorisant directement la formation de cette
substance
(repas copieux, abus de certaines boissons), soit
n du froid, qui réprime la sécrétion acide de la sueur, et l'usage de
substances
acides, le vinaigre, etc. On peut donc supposer
rmation de capsules secondaires ; le second est la segmentation de la
substance
fondamentale. Elle se divise en fibrilles qui dev
elles éprouvent la métamorphose colloïde. Quant aux fibrilles de la
substance
fondamentale du carti-lage, elles subissent la dé
anvier). a, Capsule primitive remplie de capsules secondaires. o,
Substance
fondamentale segmentée. Les capsules primitives v
r dans les espaces médullaires pour y dé- verser leur contenu. d.
Substance
osseuse. e. Moelle qui remplit les aréoles de l
e cartilage peut y participer aussi, suivant Forster; c'est tantôt la
substance
fondamentale qui subit cette transformation ; tan
Surface du cartilage des condyles du fémur (d'après M. Ranvier). La
substance
fondamentale est segmentée transversalement. Les
mitives de la surface contiennent plusieurs capsules secon-daires. La
substance
fondamentale est segmentée transversalement. Un l
at normal; mais à un degré plus élevé, il y a une segmen-tation de la
substance
fondamentale dans le sens horizontal; c'est une s
st produite par la transforma-tion des cellules épithéliales et de la
substance
fondamentale du cartilage. Ces altérations, qui
sule cartilagineuse normale, contiguë à des cristaux formés dans la
substance
fondamentale du cartilage. (Grossissement de 200
e lésion constante du cartilage. 11 n'y a point de segmentation de la
substance
fondamentale, et de proliféra-tion des cellules,
du pus, ce qui est rare ; mais on voit plus souvent se développer des
substances
délétères qui vont infecter au loin la masse du s
chique, et déterminer la mort sont des cas d'empoisonnement par cette
substance
(Potton). 3° Il ne faut point habituer le malad
s forte. Voyons donc quelle est l'action spéciale de chacune de ces
substances
prises séparément, et pour commencer parles deux
xiste, une affection hépatique, suivant Garrod (1). Mais il est une
substance
encore peu connue, la lithine, qui paraît l'empor
de Natrolithionquelle, et qui renferme une forte proportion de cette
substance
. L'analyse spectrale a permis à MM. Bunsen et K
ésence dans le lait et dans le sang de l'homme. Ce n'est donc pas une
substance
étrangère à l'organisme, et si la potasse existe
à l'inanition complète, à l'intoxication déterminée par de certaines
substances
, l'opium, l'ammoniaque, l'acide cyanhydrique, que
uls, les pupilles con- 1. Lu thèse récente du Dr Magnin renferme la
substance
de ces leçons. (De quelques accidents de la lithi
icamenteuse : sulfate de quinine, digitale, alcool, etc. — Action des
substances
putrides. — Septicémie avec fièvre. — Septicémie
pareil cas, cet abaissement de la tempéra-ture. Un grand nombre de
substances
, employées à titre de mé-dicaments, ont pour effe
st, par exemple, ce qui a lieu pour l'alcool (2). Lorsque ces mêmes
substances
sont prises à des doses toxi-ques, elles détermin
ue nous l'avons déjà fait remarquer, à dé-terminer la mort. Parmi les
substances
qui produisent ce résultat, nous citerons le chlo
e, a le pouvoir inverse. À peine pouvons-nous citer trois ou quatre
substances
, pos-sédant la propriété d'exalter la chaleur ani
ture produites par l'action sur l'organisme des poisons morbides, des
substances
animales ou végétales en voie de putréfaction. La
stances animales ou végétales en voie de putréfaction. La plupart des
substances
putrides introduites dans le sang, dans l'expérim
tais; et l'on détermine la fièvre non seulement par l'injection de
substances
putrides, mais encore par celle des produits de l
n grande abondance dans la circula-tion, et agissent à la manière des
substances
pyrogènes. Telle est, du moins, l'interprétation
Centralblatt, 1869, n° 2). Il paraît donc établi que la plupart des
substances
septiques, contenues dans les liquides pathologiq
erminer la fièvre. Mais il est également vrai qu'un certain nombre de
substances
du même genre, ont sur l'organisme une action rad
exemple, dans les expériences de Weber et de Billroth, l'injection de
substances
animales putréfiées, d'eau putride, a plusieurs
général rapidement. Il est difficile de prévoir, à coup sûr, quelle
substance
putride injectée dans le sang produira la fièvre,
est des plus variées. Il est au moins très vraisemblable qu'une môme
substance
, qui, prise à un moment donné de la fermentation
'iodure dans les urines. On ne saLirait douter, d'après cela, que les
substances
putrides des parties sphacé-lées ne puissent, ell
sueurs froides, pouls presque insensible, etc. Comment agissent les
substances
en question pour déter-miner si rapidement un aba
l est très vraisemblable qu'indépendamment de cette action, certaines
substances
affectent le cœur en paralysant ses mouvements. C
s, qu'elle reconnaît pour cause l'usage immodéré de vins généreux, de
substances
ali-mentaires abondantes et riches en matières az
ains points, des dépressions; d'au-tres fois, de véritables pertes de
substance
, des ulcérations dont le fond est rugueux. Déjà l
érations plus ou moins profondes, dont quelques-unes met-tent à nu la
substance
osseuse. Il semble, qu'en même temps, la texture
artilage lui-même ait changé de nature ; il paraît s'être ajouté à la
substance
cartilagineuse, du tissu fibreux qu'on enlève sou
viale ; mais, dans quelques articula-tions, on rencontre une sorte de
substance
blanche, albumi-neuse, un peu concrète, complètem
phe. On trouvait enfin, disséminés ça et là, dans l'épaisseur de la
substance
intermédiaire du cartilage, dans l'intervalle des
de cristaux siégeaient toujours exclusivement dans l'épaisseur de la
substance
intermédiaire du cartilage ; on ne les rencontrai
des mains au voisinage des articulations métaCarpo-phalangiennes. La
substance
blanche compacte ou friable, qui formait ces dépô
ration naturelle, ou laisser voir, an contraire, par transparence, la
substance
d'un blanc mat qui les compose. Dans la seconde f
que, à une belle coloration pourpre de murexide. Comme on le voit, la
substance
des concrétions de l'oreille ne diffère par aucun
ait jamais présenté aucun indice d'inflammation. Une petite perte de
substance
en forme de fossette, et représentant, en quelque
nces, être une précieuse ressource pour le diagnostic ; les pertes de
substance
ou les cicatrices que les concrétions laissent ap
es cristallines se dissolvaient ainsi que les urates contenus dans la
substance
fondamentale du cartilage en lais-sant les cellul
isseux ambiant. La capsule propre, épaissie, adhérait intimement à la
substance
corticale du rein. Celle-ci, atrophiée elle-même,
lement réduites à de très petites dimensions, de telle sorte que la
substance
propre du rein indurée et de consistance presque
breuse, est lisse, sans bosselures ou granulations. Sur une coupe, la
substance
corti-cale paraît manifestement épaissie; elle es
t de petits points rouges, visibles à la loupe ou môme à l'œil nu. La
substance
fabuleuse présente une coloration rouge-brun asse
llèles à la direction des tubuli, et qui se dessinent vivement sur la
substance
tubuleuse rouge et injectée. L'extrémité de quelq
des Vieillards. 28 Examen microscopique. Les tubes contournés de la
substance
corticale, examinés sur des coupes minces, à un f
n à un grossissement de 80 à 300 dia-mètres d'une tranche mince de la
substance
tubuleuse, dans les points où elle renferme des d
; le gauche, atrophié, présentait sa membrane fibreuse adhérente, la
substance
corticale réduite à 1 millimètre 1/2 d'épaisseur,
comme si elle avait une tendance à la transformation graisseuse ; la
substance
tubuleuse était remplacée par une masse graisseus
amorphes infiniment petites et toujours du même blanc éclatant. » La
substance
corticale n'en renfermait pas. Dans les réflexion
ulée. Sur une coupe, on voit que la diminution de volume porte sur la
substance
corticale, si étroite que les pyramides touchent
haque cône présentait de petits points blancs dus à cette matière. La
substance
corticale montrait aussi quelques-uns de ces dépô
/2 et cependant, la coupe de cet organe révéla, dans les cônes, de la
substance
tubuleuse des dépôts blancs d'urate de soude. L
e grosseur à peu près normale, de consistance molle. Sur la coupe, la
substance
corticale épaisse et de coloration gris jaunâtre
ncs, (PL. III. fig. !, À) linéaires, se déta-chaient vivement, sur la
substance
tubuleuse rouge et injec-tée. Examinée sur des co
n enveloppe graisseuse. Sa capsule fibreuse y adhérait intimement, la
substance
corticale atrophiée, était couverte de kystes. Su
orphe. On trouvait enfin, disséminés ça et là, dans l'épaisseur de la
substance
intermédiaire du cartilage, dans l'intervalle des
phases et voir que les cristaux et la masse amorphe contenus dans la
substance
intermédiaire du cartilage disparaissaient les pr
allines qui pénètrent entre les éléments anatomiques voisins, dans la
substance
intercellulaire. Sur les séreuses articulaires,
ein est pâteuse ; sur une surface de section, toute l'épaisseur de la
substance
corticale, y compris les pyramides de Bertin, pré
u'à droite. Il présente du reste à la surface et sur les coupes de la
substance
corticale des granulations jaunâtres, en tout sem
tions uratiques. Examen microscopique des reins. — Les coupes de la
substance
corticale nous ont donné les résultats suivants :
al (0mm044 à 0mm066 de diamètre). A côtéde cesîlotstrèsaltérésde la
substance
corticale qui constituent, dans ce cas particulie
, à la périphérie de ces masses, s'enfon-çaient de tous côtés dans la
substance
fondamentale du carti-lage, les minces cristaux s
n ce point, une incision est pratiquée, et il s'en écoule d'abord une
substance
demi-liquide d'un blanc mat, puis une substance d
en écoule d'abord une substance demi-liquide d'un blanc mat, puis une
substance
de même couleur, mais de consistance caséeuse. La
ertains points des dépressions, d'autres fois de véritables pertes de
substance
, des ulcérations dont le fond est rugueux. Déjà l
érations plus ou moins profondes, dont quel-ques-unes mettent à nu la
substance
osseuse. Il semble qu'en même temps, la texture d
artilage lui-même ait changé de na-ture; il paraît s'être ajouté à la
substance
cartilagineuse propre, du tissu fibreux qu'on enl
viale ; mais, dans quel-ques articulations, on rencontre une sorte de
substance
blanche albumineuse, un peu concrète, complètemen
ation qui s'accompa-gne souvent de l'adjonction de tissu fibreux à la
substance
cartilagineuse elle-même, et pendant ce temps, la
a viscosité plus grande, et, dans certains cas, par la présence d'une
substance
albumineuse plus ou moins opa-que ; pas de pus, p
petit pertuis. On prévoit aisément que la constatation des pertes de
substance
ou des petites tumeurs-kystiques que les concréti
'état physiologique ; enfin, il n'y a pas trace de segmentation de la
substance
fondamentale homogène. On peut toutefois observer
ns ce dernier cas, les nombreux cristaux aciculaires qui pénètrent la
substance
fondamentale du cartilage, paraissent implantés p
n. Les lésions anatomiques sont les suivantes : 1° à la surface de la
substance
corticale et quelquefois clans son épaisseur, on
de l'acide urique. Lorsque ces dépôts de sable sont considérables, la
substance
corticale, est plus ou moins altérée là où ils se
où ils se sont opérés ; 2° en outre des grains d'acide urique dans la
substance
corticale, on en voit quelquefois un plus grand n
s du métatarse et des doigts anté-rieurs, des tumeurs composées d'une
substance
blanche, plâ-treuse, qui, examinée au microscope
xtrémités antérieures, sur le péri-carde et sur le péritoine, dans la
substance
tubuleuse des reins. Des altérations, en tout sem
toujours le plus prononcées. Les canalicules urini-fères sont dans la
substance
tubuleuse, oblitérés et distendus par des amas d'
es amas d'urates à l'état concret; tandis que leurs origines, dans la
substance
corticale, sont, ainsi que les corpuscules de Mal
d'après le même auteur, s'assimilent dans l'acte de la nutrition les
substances
atburninoïdes, qui se changent en génile, partie
r inté-rieur, de nouvelles cellules cartilagineuses; en même temps la
substance
fondamentale homogène devient striée, se fen-dill
urs d'Utrecht. Rendues libres, par suite de cette désagrégation de la
substance
fondamentale, les capsules mères s'ouvrent et ver
ndroplastes avec proliféra-tion des cellules et la segmentation de la
substance
fondamen-tale dont il a été question à propos des
ches d'aspect crayeux A, sont des dépôts d'urate de soude occupant la
substance
tubuleusc, qui sont représentés à un grossis-seme
iamètres dans la figure 3. Fig. 2. — Tube urinifère contourné de la
substance
corticale, dont les cel-lules épithéliales B, gro
le dépôt visible à l'œil nu re-présenté en A, figure 1. (Coupe de la
substance
tubuleusc grossie 150 fois.) Fig. 4. — Cette fi
icamenteuse : sulfate de quinine, digitale, alcool, etc. — Action des
substances
putrides. —Septicémie avec fièvre. — Septicé-mie
bnormales, 319; — centres mo-dérateurs et régulateurs de la —, 329; —
substances
diminuant ou élevant la —, 934 — variations par l
tion expérimentale de la —, 310, 336; — élévation par l'injonction de
substances
putrides, 337; — abaissement par l'injonction de
nction de substances putrides, 337; — abaissement par l'injonction de
substances
chimiques, 336; — abaissement dans les affections
te, dans les faisceaux blancs ou dans les divers départements de la
substance
grise, quelle est l'étendue, la confi- guration
gré l'analogie de composition, sont tout à fait distinctes. Dans la
substance
grise elle-même il y a lieu, vous le savez, d'é
nes radiculaires antérieures; aujourd'hui, pour ne parler que de la
substance
blanche, nous aurions à énumérer en plus bien d
la division des faisceaux blancs et des parties différenciées de la
substance
grise de la moelle. Nous avons pensé qu'il sera
rations. Schéma 1. EXPLICATION DU SCHEMA A. Corne antérieure de
substance
grise. B. Corne postérieure de substance grise.
A A. Corne antérieure de substance grise. B. Corne postérieure de
substance
grise. B'. Substance gélatineuse de Rolando.
de substance grise. B. Corne postérieure de substance grise. B'.
Substance
gélatineuse de Rolando. C. Col de la corne post
térieure. Figure 2. MOELLE NORMALE. Cellules ganglionnaires de la
substance
grise de la corne antérieure. Coupe pratiquée d
es à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). A. Cavité du canal. D.
Substance
grise entourant le canal. B. Cellule cylindriqu
l'obj. 2, Vérick. A. Col de la corne. B. Réseau fibrillaire. C.
Substance
gélatineuse de Rolando. D. Fibres nerveuses se
Racine postérieure. G. Coupe transversale des tubes nerveux de la
substance
blanche coiiiiguë. PLANCHE V Figure 9. MOEL
Figure 12. MOELLE D'AMPUTÉ. - CELLULES de la corne antérieure de
substance
grise atrophiée. Coupe pratiquée dans la région
de Pall. Les lésions sont localisées dans la partie centrale de la
substance
grise des cornes antérieures, et consistent en
res indemnes. B. Cellule altérée. C.-C. Cavité pathologique. D.
Substance
fibrillaire du tissu altéré. E. Coupe de tubes
es presque symétriques. On reconnaît encore, mais peu distincte, la
substance
grise englobée dans la plaque scléreuse. A. Cor
es plaques de sclérose disséminées dans les cordons postérieurs, la
substance
grise, et la plus grande partie du cordon antéco-
rêmement intenses : seules les zones marginales et une partie de la
substance
fondamenlale des cordons antéro-latéraux sont res
ommissure grise. C-C. Tubes nerveux coupés transversalement de la
substance
blanche avoisinante. D. Cellule ganglionnaire r
elle se remarque aussi dans la région des cornes antérieures de la
substance
grise. A. Corne antérieure. - B. Corne postér
ceau latéral. I. Cavité pathologique. J. Paroi de la cavité. IL
Substance
du gliome. L. Faisceau pyramidal dégénéré. FI
YÉLIE GLIOMATEUSE. Gliome. La préparation représente un point de la
substance
gliomateuse autour de la cavité pathologique. O
quelle se distinguent quelques bourgeons gliomateux. Le reste de la
substance
médullaire forme les parois aplaties de celle cav
dégénéré. G-G. Cavité pathologique. 11. Bourgeon gliomateux. 1.
Substance
du gliome. J. Paroi de la cavité. FIGURE 80.
ecouverte d'une paroi ; la moelle est réduite à un mince manchon de
substance
nerveuse. A. Corne antérieure. B. Racine post
ntourée par le gliome qui a refoulé, en la détruisant en partie, la
substance
grise. Malgré retendue de la lésion, il n'y a pas
dans les faisceaux antéro-latéraux et qui ont relativement épargné la
substance
grise. A. Corne antérieure. B. Corne postérie
ostérieur sclérosé. H. Cavité centrale. /. Paroi du gliome. .1.
Substance
du gliome central. K-K. Masses gliomateuses sit
par le picrocarmin. La cavité centrale est entourée de très peu de
substance
gliomateuse, et il existe une sclérose remarqua
une cavité centrale avec paroi, et de plus un foyer cavitairc dans la
substance
grise gauche au niveau de la partie intermédiai
ux direct. n. Faisceau postérieur. Il. Cavité pathologique. 1".
Substance
du gliome. J. Foyer cutané delà substance grise
avité pathologique. 1". Substance du gliome. J. Foyer cutané delà
substance
grise Les pièces dont les figures de cette plan
située à la partie postérieure, d'un aspect cordiforme, gagnant la
substance
grise centrale. A -.1. Cornes antérieures, cell
MEUR DE LA MOELLE (FIBROME). La préparation montre une partie de la
substance
de la tumeur de la pièce précédente, colorée au
omposé de trousseaux fibreux ondulés en diverses directions. - 4.
Substance
interJ1hrjl\airc. li-li. Trousseaux fibreux cou
n voit que le fibrome occupe la partie centrale de la moelle, dont la
substance
tassée est considérablement réduite ; les diver
e la moelle et s'étend transversalement, absorbant presque toute la
substance
grise, dont il ne reste que les extrémités des co
plasie. On sait que, d'après Veissman, le plasma germinatif est une
substance
d'une grande complexilé, étant formée d'une qua
ar la méthode de Weigert montrent que le réseau fibrillaire dans la
substance
grise est partout normal. La substance blanche
e réseau fibrillaire dans la substance grise est partout normal. La
substance
blanche est également tout à fait normale. Dans
us ce rapport. La riche vascularisation est surtout visible dans la
substance
grise. Au niveau de renflement lombaire la subs
isible dans la substance grise. Au niveau de renflement lombaire la
substance
grise est tellement vascularisée qn'elle semble ê
ement des foyers des grandes cellules à gros noyaux vésiculeux sans
substance
inter- cellulaire. Ces foyers sont entourés des
ré, qu'au premier coup d'oeil on n'arrrive même pas à distinguer la
substance
blanche de la grise. Ce n'est qu'après un exame
réussit à reconnaître d'après les points caractéristiques les deux
substances
. On voit alors que la moitié gau- che est beauc
'étend vers le côté externe. Il est impossible d'y reconnaî- tre la
substance
grise excepté un petit reste dans la corue antéri
U . Quant à la configuration interne elle y est mieux conservée. La
substance
grise conserve la forme caractéristique d'un H,
s les modifications suivantes : Dans le premier segment cervical la
substance
blanche et la grise conservent leur configurati
re que la droite. La moitié gauche est plus large que la droite. La
substance
blanche et grise vient de pair avec cette épais
ec cette épaisseur inégale de la moelle. Le réseau myélinique de la
substance
grise est normal. Les cordons postérieurs de la s
que de la substance grise est normal. Les cordons postérieurs de la
substance
blanche sont sclérosés, surtout le faisceau de
moins atteint, le troisième par exemple ; ils sont disposés dans la
substance
blanche aussi bien que dans la grise, les plus no
s contours internes modifiés, c'est-à-dire que les limites entre la
substance
blanche et la suhstance grise disparaissent et le
a substance blanche et la suhstance grise disparaissent et les deux
substances
perdent leur structure normale. L'examen micros
men microscopique démontre ordi- nairement l'aspect aréolaire de la
substance
blanche. Le gonflement des gaines de myéline, l
sibles autour des vaisseaux et des cloisons névrogliques. Dans la
substance
grise il y a des lésions ana- logues (vaisseaux
uscules amyloïdes attirent notre attention. Ils occupent surtout la
substance
blanche. Dans la substance grise ils sont moins n
notre attention. Ils occupent surtout la substance blanche. Dans la
substance
grise ils sont moins nombreux et se localisent
toute la moelle, des lésions vas- culo-scléreuses diffuses dans la
substance
blanche et grise, plus évidentes dans la moelle
pues par le tissu bien conservé. Les raies ne pénètrent pas dans la
substance
grise, elles s'arrêtent à une certaine distance
rt de dégénérescence secon- daire. Dans les cloisons élargies de la
substance
blanche on voit des vaisseaux di- latés et souv
posés en petit nombre. Les vaisseaux ont augmenté de nombre dans la
substance
blanche aussi bien que dans la grise. Les vaiss
sont très dilatés et gorgés de sang. Parois non épaissies. ^Dans la
substance
grise le» cellules des cornes antérieures sont
postérieurs non loin de la périphérie). Le réseau myélinique de la
substance
grise est normalement dense ; les espaces péricel
là ils pénètrent dans la profondeur de la moelle et surtout dans la
substance
gélatineuse de Rolando des cornes postérieures.
tre les fibres et dans les espaces périvasculaires dilatés. Dans la
substance
grise ils sont tout à fait sporadiques dans la pé
ute la coupe de la moelle est un peu plus clair que normalement, la
substance
blan- che aussi bien que la'grise (il est pourt
u côté gauche de la moelle. Celle-ci est aplatie des deux côtés. La
substance
grise est pâle. Les cordons sont eu général pâl
est surtout marquée dans les cordons latéraux. En approchant de la
substance
grise on voit les fibres nerveuses plus pâles q
de la moelle. La configuration de la moelle est presque normale. La
substance
grise est clairsemée mais moins que sur les coupe
upes décrites ci-dessus. A côté de l'aspect clairsemé général de la
substance
blanche il y a deux foyers minuscules asymétriq
de la dure-mère. La coupe est mieux colorée déjà. Le réseau dans la
substance
grise est normal. Dans la substance blanche, les
colorée déjà. Le réseau dans la substance grise est normal. Dans la
substance
blanche, les cordons antéro-latéraux droits mon
e grise contient un réseau myélinique normal et les cordons dans la
substance
blanche sont tout à fait bien constitués. TUMEU
de la névroglie. - Nulle part de traces d'inflammation : ni dans la
substance
blanche ni dans la substance grise. Les coupe
de traces d'inflammation : ni dans la substance blanche ni dans la
substance
grise. Les coupes colorées par la méthode de Ni
uent pas suffisamment le tableau clinique et il pense que certaines
substances
toxiques produites par la tumeur causaient les
asses néoplasiques ou dans leur voisinage une lésion profonde de la
substance
grise sous forme d'une hémorragie (Bregman -8 t
les nouvelles méthodes techiques qui i permettent la coloration des
substances
de désintégration du protoplasma cellulaire, se
phatiques péricellulaires et périvasculaires. C'est qu'en effet ces
substances
a protagoïdes » ou lipoides » se dissolvent .au
preuves des altérations fines, plus ou moins consi- dérables, de la
substance
cérébrale, sous l'action d'agents toxiques tandis
ture mesurable ; 3) ils s'accompagnent d'une décomposition de la
substance
nerveuse, d'où proviennent des produits de désa
ité psychique s'accompagne de modifications physico-chimiques de la
substance
cérébrale ou qu'un trouble psychique est constamm
ne des phases de la désintégration du protoplasma cel- lulaire. Les
substances
produites sont appelées substances protagoïdes, l
du protoplasma cel- lulaire. Les substances produites sont appelées
substances
protagoïdes, li- poïdes ; elles témoignent d'un
guine des centres nerveux, soit par un agent physique, soit par une
substance
chimique, soit enfin par les poisons microbiens
l'épaisseur peut s'observer aussi au cubitus et au ra- dius, où la
substance
osseuse même est altérée, car en certains endroit
t des phalanges sont gros, lourds et très courts. Aux phalanges, la
substance
spongieuse est très abondante et sur plusieurs
rieur aux autres. Phalanges. Dans le corps des os on observe que la
substance
corticale est fort diminuée, et au contraire qu
présente deux saillies osseuses, à base large, constituées par une
substance
osseuse très transparente, presque sans structu
bservation, que du' tissu adipeux, avec çà et là, de petits amas de
substance
amorphe, dont il est difficile de pré- ciser la
l'interne est modifiée à tel point qu'on ne peut pas' distinguer la
substance
blanche de la grise ni les diffé- rents cordons
grise ni les diffé- rents cordons. Il s'est formé un mélange de la
substance
blanche avec des îlots disséminés de la substan
un mélange de la substance blanche avec des îlots disséminés de la
substance
grise. Partout on voit des hémorragies et surtout
ment leur conformation interne modifiée. On peut déjà distinguer la
substance
grise de la blanche, mais les cornes antérieure
ues. Dans quelques endroits on pouvait constater 1'liéLéroLopie. La
substance
blanche est modifiée. Les fibres nerveuses, a
ction déviée et tor- tueuse. Par place on voit de faux névromes (la
substance
blanche sort à tra- vers la pie-mère déchirée e
la périphérie de la moelle). Ii'y-a de grandes hémorragies dans la
substance
grise principale- ment,mais dans la blanche aus
es diminuent. Dans les segments dorsaux supérieurs, le rapport delà
substance
blanche à la grise est normal. Par contre on cons
ions par la méthode de Nissl. Eh ! hien, au niveau de la tumeur, la
substance
grise a perdu complè- tement ses contours norma
normaux. Çà et là on distingue des Ilots irréguliers et peu nets de
substance
grise. Même au sein de ces îlots, on ne distingue
st qu'au niveau des segments dorsaux supérieurs que la figure de la
substance
grise devient normale. Les cellules nerveuses y
eur), on voit des modifications notab'es de la configuration de la,
substance
grise et la disparition de ses cellules (hémorr
rtout du côté des cordons postérieurs). Dans la moelle lombaire, la
substance
grise reprend sa configura- tion normale, mais
ies existent même dans la région sacrée, surtout au centre, dans la
substance
grise. Résumé. Dans ce cas les douleurs furent
uer la sub- stance blanche de la grise. On voyait un mélange de ces
substances
et des hémorragies diffuses récentes. Il faut s
ration et que le trauma opératoire provoqua ces hémorragies dans la
substance
grise. Elles ont pu se produire même après l'op
tait un bon terrain pour les hémorragies. Comme il est de règle, la
substance
grise, plus vulnérable, fut le plus modifiée, et
lombo-sacrée. Au-dessus de la région correspondant à la tumeur, la
substance
grise reprend sa forme caractéristique. Dans les
me) des lésions si profondes qu'il est impossible d'y distinguer la
substance
grise et de s'orienter convenablement dans la t
nce grise et de s'orienter convenablement dans la topographie de la
substance
blanche. La moelle n'est plus qu'un étroit ruba
onfiguration interne de la moelle présente peu de modifications, la
substance
blanche et grise se laissent facilement reconna
moitié droite de la moelle le tissu nerveux est presque normal. La
substance
grise est sans modification. Dans les cordons p
de la moelle lombaire et sacrée. Le IIe segment lombaire montre la
substance
grise entourée d'une sorte d'auréole plus clair
ne distingue plus les contours de la cellule nerveuse, rien que la
substance
tigroïde indique l'endroit où il y avait une ce
à la périphérie de la coupe. On constate par place, surtout dans la
substance
grise, l'infil- tration cellulaire autour des v
moelle y avait la forme d'un ruban ; la configuration interne de la
substance
blanche et grise était devenue méconnaissable. Le
eur. Même au niveau du pôle inférieur et supérieur de la tumeur, la
substance
blanche et la grise commençaient à reprendre le
. Dans la moi- tié droite de la moelle on peut encore distinguer la
substance
blanche de la grise; dans la moitié gauche cela
e de la grise; dans la moitié gauche cela est devenu impossible. La
substance
grise dans la moitié droite de la moelle présen
dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses. Les faisceaux de la
substance
blanche présentent des mo- difications considér
ales). La moitié gauche de la moelle est tellement dégénérée que la
substance
grise est devenue méconnaissable ; quanta la su
nérée que la substance grise est devenue méconnaissable ; quanta la
substance
blanche, on y voit des masses plus ou moins gra
e 4 millimètres 334 FLATAU seulement. La mieux conservée est la
substance
blanche autour de la corne postérieure. Dans le
ôle inférieur de la tumeur la figure bien distincte dessinée par la
substance
grise et les contours sont bien- accentués (fig
zone assez large des cordons latéraux et antérieurs, tandis que la
substance
blanche qui entoure la grise est tout à fait bi
ion elliptique ressemblant à la coupe d'un oignon. Elle comprime la
substance
blanche et grise dans toutes les directions et
On.a aussi constaté l'augmentation du nombre des vaisseaux dans la
substance
grise aussi bien que dans la blanche, dans le voi
ésentent la configuration interne de la moelle presque normale : la
substance
grise dessine la figure habituelle et il n'y a
la coupe présente des lésions prononcées. La mieux conservée est la
substance
grise. Sa configuration est presque normale, le
n est presque normale, le réseau de fibres myéliniques abondant. La
substance
blanche est dégéné- rée dans tous ses cordons,
ent la mieux conservée. A côté de la dégénérescence on voit lans la
substance
blanche des raies claires. Ce sont des cloisons
ois vasculaires sont un peu épaissies. Le nombre de vaisseaux de la
substance
grise est augmenté. Méninges sans modifica- tio
lus marquée. Dans la moitié gauche il ne reste que des traces de la
substance
blanche dispersées çà et là en petits îlots. Le m
configuration extérieure de la moelle est normale. La figure de la
substance
grise et des cordons de la blanche est bien con
nté. Pas de lésion inflammatoire bien distincte. Les cellules de la
substance
grise (les coupes coloriées par la méthode V. Gie
à la tumeur,la moelle conservait sa forme et la configuration de la
substance
blanche et grise était normale. Mé- ninges et r
es cordons postérieurs. En outre une raréfaction des fibres dans la
substances
blanche (surtout dans les zones périphériques)
voisinage de la commis- sure postérieure). Le réseau au sein de la
substance
grise est raréfié. Les cloisons sont épaissies.
même présente peu de lésions. Faible raréfaction des fibres dans la
substance
blanche. La substance blanche est légèrement dé
ésions. Faible raréfaction des fibres dans la substance blanche. La
substance
blanche est légèrement dégénérée : à la périphé
si comment l'arachnoïde se glisse sous la tumeur, s'enfonce dans sa
substance
et disparaît. Dans les endroits où la gomme pén
'écorce cérébrale dans toute l'étendue et toute la profondeur de la
substance
grise. Après un temps, la paralysie motrice du
pas de limite tranchée entre la partie inférieure de l'écorce et la
substance
blanche, car les cellules fusiformes de la sixièm
lynévritique sont primitives ou secondaires. Après la section de la
substance
blanche sous corticale, il se produit une atrop
premier cas où un foyer cortical pro- fond détruisait également la
substance
blanche sous-jacente, tous les au- tres étaient
s cellules de Betz après les lésions de la capsule interne ou de la
substance
blanche sous-jacente à la zone rolandique, nous
es. Plusieurs foyers plus petits dans les différentes parties de la
substance
blanche du cerveau, dans les noyaux striés, dans
térieures de la moelle cervicale sans participation manifeste de la
substance
blanche. Aucune lésion dans les cellules géante
écorce fut enlevée sur une grande étendue et assez profondément, la
substance
grise était cependant conservée dans le fond de
ège d'un processus d'ossification par destruction progressive de la
substance
cartilagineuse et apports d'éléments conjonctif
fférentes. Dans la région correspondante à la partie centrale de la
substance
grise, on voit une masse compacte, jaune-brunâtre
vers le VIe segment cervical décèle dans la région ceu- trale de la
substance
grise une masse brunâtre, rond-ovalaire, de consi
sont tellement prononcées qu'il est fort difficile de distinguer la
substance
blanche de la grise (et cela de deux côtés ou -
II) ces lésions étaient moins prononcées et la distinction des deux
substances
était possible. Il semble que cette différenc
y constatait au niveau de la tumeur une masse difforme, mélange de
substance
blanche et grise, avec des hémorragies multiples
de l'insula de ce côté, excepté l'antérieur, sont convertis en une
substance
molle de couleur jaunâtre et s'écrasant facilemen
façon à mettre^à découvert les ventricules latéraux montre toute la
substance
grise et blanche des circonvolutions de l'insula,
la, à l'exception de la circonvolution antérieure, convertie en une
substance
molle de couleur jaunâtre ; et l'on trouve égal
de l'axe médullaire sont seules demeurées intactes, le reste de la
substance
de la même circonvolution a disparu. Le gyrus t
e fusil ; lecanal ainsi formé -pénétrait sous-corticalement dans la
substance
médullaire du lobe temporal et du lobe occipita
ccipital, au-dessous et en arrière du gyrus angularis, une perte de
substance
dont la coupe révéla le prolongement dans cette
e occipitale. Est dégénérée la partie dorsale et an- térieure de la
substance
médullaire du gyrus temporalis supremus ; sont dé
ul fait défaut. La commissure antérieure peut également manquer. La
substance
blanche du cerveau est réduite et la substance
galement manquer. La substance blanche du cerveau est réduite et la
substance
grise proportionnellement augmen- tée. Les vent
ou de celui-ci jusqu'à la lame terminale. Sous le microscope, cette
substance
avait tous les caractères du tissu adipeux et d
e est intimement uni à ce faisceau et est lui-même recouvert par la
substance
corticale delà face in- terne de l'hémisphère.
nt et en bas. Recouvert dans toute son étendue par l'épendyme et la
substance
grise sous-épendymaire, à (t) Analomie des cent
hémisphère, et ses fibres dégéné- rées peuvent être suivies dans la
substance
grise sous-épendymaire. Le faisceaux occipito-f
nt pas visibles. Les coupes sériées montrent en premier lieu que la
substance
grise est relativement augmentée et que la subs
er lieu que la substance grise est relativement augmentée et que la
substance
blanche est réduite au moins de moitié. La subs
ntée et que la substance blanche est réduite au moins de moitié. La
substance
grise centrale et périventriculaire, de même que
e dirige en arrière, est situé entre l'épendyme ventriculaire et la
substance
profonde de la première circonvolution lim- biq
gone est renforcé par un grand -nombre de fibres qui viennent de la
substance
profonde de ce lobe ainsi que du tapétum de la
s la profondeur du lobe occipital droit, on note plusieurs îlots do
substance
grise hétérotopique. Dans l'hémisphère droit, l
eux. SchrOder reproche à Dejerine, en premier lieu, de parler d'une
substance
grise sous-épendymaire ; il rappelle que Sachs a
corne occipitale. Les fibres du trigone pénètrent en avant dans la
substance
propre de la commissure calleuse et des fibres de
s hémorragiques minuscules au niveau de l'écorce et au niveau de la
substance
blanche profonde, ainsi qu'une prolifération né
ital. Le cervelet est le siège d'une hypoplasie très accentuée ; sa
substance
blanche est notablement réduite et ses circonvo
a- ques de sclérose arrondies qui paraissent être situées eu pleine
substance
blanche et indépendantes du ventricule. En séri
dans le lobe frontal. Ces petites pla- ques siègent toutes dans la
substance
blanche. Cervelet. Protubérance. - On ne trouve
elques cellules mûriformes. Parmi Ips plaques à distance, en pleine
substance
blanche, il en est quel- ques-unes qui, au lieu
ormées par un tissu névroglique lâche, faisant trou au milieu de la
substance
cérébrale avoisinante, sont formées par des fib
tement, sur de larges surfaces ; elles s'enfoncent ensuite dans la
substance
cérébrale dont elles sont séparées par une lign
gliques indiquant un léger processus réactionnel. Altérations de la
substance
cérébrale entourant les plaques de sclérose. No
aient nettes autour des plaques. Elles le sont d'autant plus que la
substance
cérébrale, à ce niveau est dense et forte- ment
ongitudinalement.Dans les plaques périvasculaires situées en pleine
substance
cérébrale, le réseau des cylindraxes est tout à f
ntérieure de ce lobe (fig. 1) est constituée par un amas d'îlots de
substance
grise dont la forme est régulièrement sphérique
e centre ovale été envahi de toutes parts par une hyperplasie de la
substance
grise corticale et que l'état réticulé qu'il pr
Il semble bien s'agir d'un degré peu ordinaire d'hétérotopie de la
substance
grise corticale. Le long de la convexité fronta
rontale, en sorte que la tête du noyau caudé se trouve accolée à la
substance
blanche profonde des circonvolutions frontales.
mal et dans laquelle se trouvent enclavés un bon nombre d'îlots de
substance
grise qui, ça et là, envahissent la lumière du
ient extrêmement dissociées et déviées de leur trajet normal par la
substance
grise hétérotopique, encore abondamment distrib
se divise d'abord transversalement en deux segments qui occupent la
substance
innominée de Reichert et peu à peu s'infléchissen
ère opposé, a été complètement dévié en dehors et incorporé dans la
substance
de l'hémisphère. Ainsi, sa face externe, qui à
normalement dirigée vers la toile choroïdienne, se confond avec la
substance
blanche profonde des cir- convolutions médianes
is pie-mériens, de vais- seaux oblitérés, de pigment sanguin, et de
substance
grise désorganisée, qui représentent incontesta
al extrêmement intense. Dans toute l'étendue du lobe pariétal, la
substance
profonde de la circonvo- lution limbique est oc
r, fortement développé, descend plus bas qu'à l'or- dinaire dans la
substance
blanche de la première circonvolution temporale.
n développement considérable et se confond encore en dehors avec la
substance
blanche profonde de la circonvolution limbique ;
l'état normal et est en grande partie profondément enclavé dans la
substance
du noyau médian de la couche optique. Ses rappo
leur tour à travers l'épaisseur du faisceau sagittal jusque dans la
substance
sous-corticale de la circonvolution limbique. I
rpendiculaire de Werniclie est relativement bien développé, mais la
substance
blanche sous-corticale voisine ne prend qu'une
nous paraît être plus logique de les considérer comme des îlots de
substance
grise hétérotopique analogues à ceux que nous a
rieur du trigone forme un fascicule nettement isolé au milieu de la
substance
grise centrale. 648 ARCIIAMBAULT Sur les coup
cloison fibreuse légèrement arquée qui sépare le noyau caudé de la
substance
profonde du lobe frontal. Plus haut cette clois
t en partie par un prolongement cor- tical qui relie celles-ci à la
substance
grise basilaire qui recouvre en dedans le genou
le présente toute une suite de nodosités et se trouve détaché de la
substance
blanche sous-jacente par des épanchements plus
CALLEUX 651 pie-mère. Il se confond en avant et en arrière avec la
substance
blanche pro- fonde de cette circonvolution où i
s des deux hémisphères. Ce fait suffit à expliquer également que la
substance
blan- che des circonvolutions se trouve appréci
t dans leurs diaphyses l'apparence d'un peu de ramollissement de la
substance
compacte des os. LITTÉRATURE MÉDICALE 1. Vasc
n peut noter tout an plus une légère diminution de la graisse de la
substance
corticale. La substance médullaire bien dévelop
s une légère diminution de la graisse de la substance corticale. La
substance
médullaire bien développée ne semble présenter ri
tologique des os montre surtout des grandes lacunes contenant de la
substance
médullaire et provenant de l'élargissement cons
provenant de l'élargissement considérable des canaux de Hawers. La
substance
osseuse (décalcifiée) avoisinant ces lacunes es
apsule se détache relativement facilement bien qu'avec un peu de la
substance
rénale. La substance corticale réduite à peu pr
ivement facilement bien qu'avec un peu de la substance rénale. La
substance
corticale réduite à peu près à la moitié. Les pyr
est rougeâtre, ce qui tient probablement à l'amincisse- ment de la
substance
compacte qui est devenue translucide, laissant vo
ccentuées à l'humérus et un peu moins aux os des avant-bras. Ici la
substance
compacte est devenue spongieuse, mais l'élargis
ges on rencontre de nouveau un amincissement très impor- tant de la
substance
compacte avec prolifération de la moelle qui élar
lorées de la mèrne façon que le colloïde. Dans certaines vésicules la
substance
colloïde est rétractée à la périphérie, en form
Les reins n'ont pas été examinés. La capsule surrénale. - Dans la
substance
glandulaire les noyaux cellu- laires sont bien
oyaux cellu- laires sont bien colorés. Par contre, les noyaux de la
substance
trabéculaire 42 MABINKSCO, PARHON ET MINEA so
s macrophages qui ont ingéré des restes de leucocytes ou d'au- tres
substances
. Il y a aussi des régions où on observe une qua
i contiennent parfois des cristaux de protagon. A la limite de la
substance
réticulée et trabéculaire on voit, par endroit, d
naux irrégu- liers qui ne permettent plus une délimitation de cette
substance
. Sur la surface de cette masse il existe des no
teux, on n'observe pas une phase de sclérose. En ce qui concerne la
substance
médullaire, nos coupes ne nous per- mettent pas
me CONTRIBUTION A L 1-'TUDII, DE f, '0qTl' O.NIALAC[r, 43 dont la
substance
contractile a disparu. La coloration au scharlach
trent l'élargissement des canaux de Hawers et l'amincissement de la
substance
compacte. Observation III (PI. VII et VIII).
scharlach montre une abondance extraordinaire de la graisse. Cette
substance
se trouve en grande abondance dans toutes les cel
'élargissement considérable du canal médullaire sur le compte de la
substance
compacte dont l'épaisseur est réduite à la moitié
u tiers de celle qu'elle présente sur l'os normal. Enfin cette même
substance
est transformée en une substance spongieuse et pa
sur l'os normal. Enfin cette même substance est transformée en une
substance
spongieuse et pauvre en sels miné- raux, ce qui
ses considérables consistant en une réduction très importante de la
substance
compacte du tissu osseux avec transforma- tion
compacte du tissu osseux avec transforma- tion de cette dernière en
substance
spongieuse et ensuite en un élargisse- ment not
u aurait eu beaucoup de peine à dire de quel organe il s'agit. La
substance
colloïde était dans ces régions complètement abse
sente, et en gé- néral les follicules étaient très pauvres en cette
substance
. Or la scoliose, quand elle ne peut pas s'expli
a l'examen anatomo-patllologiqué et trouva le cerveau très gros, la
substance
grise particulièrement rouge. Microscopiquement
tendons. Microscopiquement il y avait beaucoup de vaisseaux dans la
substance
cor- ticale des os, les canaux de Hawers étaien
t très min- ces, légers, spongieux et se coupaient facilement. La
substance
corticale était amincie et le diploë élargi. Les
du fémur se coupent au couteau avec la plus grande facilité,et leur
substance
spongieuse semble plus rouge que nor- malement.
bituel, mais les travées étaient minces. Dans le corps thyroïde, la
substance
colloïde remplit complètement les vési- cules d
s exacte- ment au niveau de l'ancien cartilage de conjugaison. La
substance
compacte était surtout atteinte, tandis que la su
gaison. La substance compacte était surtout atteinte, tandis que la
substance
spon- gieuse est très apparente. Au niveau de
os- sesse, les séparations osseuses se faisaient sans déficit de la
substance
osseuse et les os du bassin étaient, moins atte
ssif, car on assistait à la formation des calus bien que pauvres en
substance
osseuse. Le processus ne rappelle pas non plus
explication semble devoir être cherchée dans la dose trop grande de
substance
thyroïdienne. Nous reviendrons plus bas sur cette
de vue chimique Hegnard (153) a trouvé une diminution marquée de la
substance
minérale des os qui ne forme plus que 24 pour 1
me plus que 24 pour 100 au lieu de 66 pour 100, chiffre normal. Les
substances
organiques sont au contraire augmentées. La d
ue Isac Ott (163) est d'avis que les parathyroïdes neutralisent une
substance
albuminoïde toxique qui déterminerait les phéno
n° 1, 1904. 126. Malcolm. On the influence of llze pituilary gland
substance
on métabolisme. Journal of Physiologia, vol. 30
s, air confiné, électricité, etc.) ou des agents chimiques (alcool,
substances
alcaloïdes, essences, toxines mi- crobiennes, e
ment caractéristiques de la Presbyophrénie ; elles représentent des
substances
de désintégration (Abbaustoff) des tissus nerveux
e- mère est adhérente au cortex et présente des épaississements. La
substance
corticale est d'une épaisseur moindre que chez
une fève, sise dans la région de l'hypophyse, se continuait dans la
substance
osseuse de la selle turcique. En ne tenant co
uisent bien avant à la mort. Deux des 1 tumeurs sont très riches en
substance
colloïde; ce ne sont t point les plus grandes,
gue du gau- che. Les noyaux sont plus denses et plus grands dans la
substance
blanche, les vaisseaux y sont plus engorgés ; l
deux côtés et à droite dans la protubérance, entre les faisceaux de
substance
blanche. Ce sont des amas,de formes variées, ja
é à expliquer les formes paranoïdes par une lésion anatomique de la
substance
blanche (Rémond et Chevalier- Lavaur, Encéphale
doute est la dernière res- source, une fois les autres épuisées. La
substance
blanche en souffre plus que les masses grises.
e pris en considération avant d'affirmer la présence et l'action de
substances
toxiques sécrétées par les néoplasmes. Au point
s'opposent à son application. En étendant la dilution de certaines
substances
comme le chlorhydrate de,quinine, dont l'inject
ontraire pendant leur interruption. A l'heure actuelle, la perte de
substance
est complètement réparée. Au point de vue men
'est servi pour notre malade. Mais on ne saurait s'éton- ner qu'une
substance
inoffensive pour un organisme dont l'innervation
indre résistance et pour ces organes ainsi débilités l'injection de
substances
(1) Brissaud et Souques, Hémiplégie, ni Traité
ps calleux, on relève une petite hémorragie récente au niveau de la
substance
blanche du lobe occipital. Une coupe rasant le bo
iquent pas davantage avec les ventricules. Ils siègent tous dans la
substance
blanche des hémisphères et beaucoup sont sous-c
il la surface ; leur décortication est difficile. Sur une coupe, la
substance
corticale est très réduite. ' Le cerveau ne p
ntre un foyer volumineux (volume d'une grosse noix) détrui- sant la
substance
blanche de la première frontale (Pl. XXVII, IV) d
ière, en ' même temps que se montre un nouveau foyer, situé dans la
substance
blanche du lobe temporal (PI. XXVII, VI). Enfin
. XXVII, VI). Enfin la figure VII montre de nouveaux foyers dans la
substance
blanche de la partie postérieure du lobe pariétal
ont permis une longue survie. Comme siège, ces foyers occupent la
substance
blanche; la plupart sont immédiatement sous-cor
me d'anse. Les corpuscules et les lamelles osseuses, qui forment la
substance
fondamentale au point de vue anatomique, sont dis
es placées très près l'une contre l'autre et comme creusées dans la
substance
fondamentale; les capsules renfer- ment chacune
ux, les autres sont formés de faisceaux tendineux qui sortent de la
substance
fondamen- tale des parcelles cartilagineuses en
cartilage articulaire n'est pas visible et à sa place apparaît une
substance
osseuse ; tout le reste de la surface articulai
et 16y1), le cartilage hyaloïde est d'une épaisseur normale,mais la
substance
fondamentale n'est pas homogène com- me l'étal
illifère de la membrane synoviale présente au microscope une tendre
substance
conjonctive riche en larges vaisseaux aux paroi
rations n'ont démontré nulle part d'altérations pathologiques : les
substances
blanche et grise de l'encéphale et de la moelle
e à des pièces semblables, a montré une faible dégénérescence de la
substance
blanche et des racines anté- rieures et postéri
iques de ces cas montrent des foyers isolés de dégénérescence de la
substance
blanche de la moelle épi- nière et une dégénére
en cartilage fibreux. 2° Un processus d'atrophie idiopathique de la
substance
cartilagineuse. A la plus minutieuse analyse mi
e sécrétion. Nous avons essayé de faire une injection lente dans la
substance
de la glande avec de la gélatine colorée au ble
res névrogliques sont des produits du protoplasma, mais non pas une
substance
intercellulaire Donc faut modifier l'opinion d'
, mais jamais en grande quantité. Elle joue un moindre rôle que les
substances
lipoïdes. Nous n'avons jamais vu de libres musc
autres parties du cerveau, le deuxième groupe devant re- cevoir des
substances
albuminoïdes et le troisième groupe des substance
t re- cevoir des substances albuminoïdes et le troisième groupe des
substances
lipoïdes. Quant au premier groupe des cellule
hiles. basophiles etc... suivant leur affinité pour les différentes
substances
coloran- tes ; et b) une partie non figurée con
ant des techniques appropriées, on voit qu'il est constitué de deux
substances
à affinités tinctoriales différentes et qu'il p
eurs. En résumé, l'appareil nucléolaire est conslittté : 1° par une
substance
acidophile ou oxyphile, à structure granuleuse
bstance acidophile ou oxyphile, à structure granuleuse ; 2° par une
substance
baso- phile (basicltromaline de Zeu)') ; 3° par
ole des cellules ganglionnaires normales apparaît constitué de deux
substances
: l'une centrale, oxyphile, l'autre, périphériq
s : l'une centrale, oxyphile, l'autre, périphérique, basophile : la
substance
oxy- pbile, colorée en rouge, est absolument ho
onnaires à nucléoles hypertro- phiés, la structure granuleuse de la
substance
oxyphile apparaît très nettement et on peut voi
théliales de la capsule et présentant une altération profonde de la
substance
cllromatoplliledelVissl (désintégration granuleus
lement hypertrophié et poussant la membrane nucléaire du côté de la
substance
chromatophiie en état de désintégration granule
a situation périphérique du nucléole. En effet, dans les cellules à
substance
clarontatoplaile normale el également réparties
e se trouve toujours situé au centre du noyau ; dans les cellules à
substance
chromatophile altérée à l'état de désintégra- t
énérale, contre la membrane nucléaire et très souvent du côté de la
substance
chromatophile la moins altérée. Mais je ferai r
nerveuse ganglionnaire, survenant à la suite des altérations de la
substance
chromatophile. Dans les cellules à corps de Nis
même si des facteurs nocifs interviennent en agissant sur loute la
substance
chromalophile de la cellule, le nucléole n'est pa
git par un bour- geonnement intense. Mais, si l'altération de cette
substance
est partielle, désintégration granuleuse, parti
e et, le plus souvent, il se déplace vers la partie qui contient la
substance
chromatophile la moins altérée. Dans les deux p
tifs normaux (corres- pondant morphologiquement l'état normal de la
substance
chromato-- phile)et les échanges nutritifs perv
ellule (achromatose partielle), normaux ou dimi- nués dans l'autre (
substance
de Nissl normale ou en état de désintégra- tion
ite, le déplacement de celui-ci vers la partie la moins lésée de la
substance
chromatophiie. RECHERCHES CYTOPATHOLOGIQUES S
dire : déplacement périphé- rique en rapport avec les lésions de la
substance
chromatophile. Mais il faut remarquer que l'ana
aire, dans les cellules qui présentent une lésion généralisée de la
substance
chroma- tophile, dans les cellules des ganglion
comme nous l'avons vu, le plus souvent dans les cellules dont la
substance
chromatophile est partiellement altérée ou altéré
° Dans les cellules qui présentent une altération généralisée de la
substance
chromatophile, le nucléole garde sa position norm
JONNESCO ce déplacement a lieu vers la partie la moins lésée de la
substance
chl'o- matophile. Emigration de 1'(ipp(it,eil
mbrane jouit d'une perméabilité plus ou moins marquée à l'égard des
substances
dissoutes ou les élé- ments figurés. Henneguy (
se et la facilité avec laquelle cette membrane permet le passage de
substances
nutritives à l'intérieur du noyau. D'autre part
ment opposée au segment modifié de la membrane. Dans les cellules à
substance
chromatophile partielle- ment altérée, on voit
e la membrane modifiée dirigé vers la partie la moins altérée de la
substance
chromatophile et, au lieu de trou- ver le nuclé
les sphérules qui entrent dans sa constitution se séparent de leur
substance
unissante, s'invidualisent mais gardent encore
e des granulations esl la manière dont elles se comportent avec les
substances
colorantes. Ainsi elles se colorent toujours pa
ranulations du noyau se comportent de la même manière vis-à-vis des
substances
colorantes acides (méthode de Galleoti, triple
nues dans le noyau qui se comportent de la même manière en face des
substances
colorantes que celles du cyloplasma. Enfin, il
différentes positions du nucléole sont en rapport avec l'état de la
substance
chroma- tophile. Rares sont les noyaux en étal
s laisse apercevoir deux plaquettes de basichromatine adossées à la
substance
acidopliile, l'autre n'en laisse pas apercevoir
soire (1) Les granulations fuchsinophiles se comportent en face des
substances
colorantes de la même manière que les granulati
homogénéisation du noyau par la manière de se comporter en face des
substances
colorantes ; en effet dans les deux cas l'aspect
lorés en rouge. 2,) i JONNESCO Altérations DU CYTOPLASMA ET DE la
substance
Cnn011tATOP111LE de NISSL. Sur les cellules d
les, nous nous bornons simplement à signaler les faits observés. La
substance
chromatophile de ces cellules d'aspect vacuolaire
avec ces cellules nous devons ajoutai' que l'aspect vacuolaire avec
substance
chromatophile et noyaux altérés s'ob- serve sur
ules sont très rares on font complètement défaut. Altérations de la
substance
chromatophile. Dans la majorité des cellules ga
ôté d'une cellule en achromatose complète on observe des cellules à
substance
chromatophile en état de désintégration granule
tophiies. D'une façon générale dans ces catégories de cel- lules la
substance
chromatophile de la périphérie est la moins attei
on le plus souvent en forme de rosace se trouve dans les cellules à
substance
chromatophile en état d'achromatose ou de désin
hère se trouve entou- rée sur tout son pourtour d'une large zone de
substance
chromatophile d'aspectpoussiéreux. L'examen à u
nombre de petits gra- nules sphériques disséminés sur une sorte de
substance
fondamentale d'aspect pulvérulent ; quelquefois
mation décrite et en même temps de se rendre compte de l'état de la
substance
chromatophile. Par toutes ces méthodes de colora-
trouve entouré par la soi-disant plasmosphère. Dans les cellules à
substance
chro- matophile en état de désintégration granu
mation en question parait exister, car comme on le voit, plus cette
substance
est altérée, plus la formation s'accroît, s'ampli
nt pas a ! 'infini mais paraissent bien subordonnées à l'état de la
substance
chromatophile ; en effet dans les cellules en éta
lionnaires, qui ne serait visible que grâce à la chromatolyse de la
substance
chromatophile ? c'est l'hypothèse qui nous parait
ionnaires présentent les altérations du noyau du nucléole, et de la
substance
chro- matophile sur lesquelles nous nous sommes
plusieurs vacuoles. Planche XLIV. Fio. 1. Cellule ganglionnaire à
substance
chromatophile en état de désintégra- tion granu
aire. FiG. 2. Cellule ganglionnaire augmentée de volume avec en (a)
substance
chro- matophile d'apparence plus ou moins norma
vec nucléole consi- dérablement hypertrophié (d) et déplacé vers la
substance
chromatophile la moins altérée. Fie. 3. Cellu
disparu, le cytoplasme apparaît coloré en rouge, (b) large zone de
substance
chromatophile d'aspect poussiéreux, (p) plasmosph
méningite ancienne et de vas- tes foyers de ramollissement dans la
substance
blanche. y avait des ramol- lissements dans la
sement de 650 fois, nous comptons dans la partie périphérique de la
substance
blanche du cordon antérieur une moyenne de 70 à 8
ponto-cérébellense, etc.). Mais l'idée générale de l'atrophie de la
substance
nerveuse considérée en soi comme ayant sa réali
it constituer la cause nécessaire et suffisante de l'atrophie de la
substance
nerveuse que nous avons décrite. C'est à cette
; son élimination provoqua de vives douleurs et laissa une perte de
substance
intéressant toute l'épaisseur du pavillon. Au m
sous-jacent, car la chute des tissus nécrosés a laissé une perte de
substance
, véritable encoche, longue de vingt-cinq millim
ant plasmode. Il n'y a que peu ou pas de pyknose. On ne voit de
substance
colloïde ni dans les vaisseaux, ni entre les cell
veus ; 2° nous pouvons d'autre part porter notre attention sur la
substance
corticale, c'est-à-dire sur la circonvo- lution
n godronnée, le manteau de l'hémisphère est réduit à sa couche de
substance
blanche, formant ici un gros cor- don dont la c
pas un bord libre ; il se continue en effet en une mince lamelle de
substance
nerveuse qui s'in- curve en dehors, forme la pa
allant de la superficie à la profondeur : 1° D'abord une couche de
substance
blanche (0, /%'. ,8,) formée de fines fibres ne
r de ce sillon. 2° Au-dessous du subiculum est une couche formée de
substance
d'ap- parence amorphe, parsemée de petites cell
es étoilées ou fusiformes. 5° Enfin vient la couche médullaire de
substance
blanche. B. -Au niveau du sillon qui sépare la
c super- ficiel disparaît (a, lîq. 2). 2° La couche sous-jacente (
substance
amorphe avec cellules irrégulièrement dis- posé
ules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non plus que pour la couche de
substance
médullaire blanche (f, fig. 2) qui forme ici l'
couche au-dessous de la première. En effet : 1° La première couche (
substance
amorphe avec cellules irrégulièrement disposées
e cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la couche médullaire de
substance
blanche, laquelle se continue avec le corps bor
sphère est réduit à sa partie blanche médullaire sans revêtement de
substance
grise corticale. D. Enfin le sillon qui sépare
a- tion ammonique une masse unique dans laquelle la 8 ANATOMIE.
substance
corticale pénètre en s'enroulant et non deux ci
on qui sépare les deux circonvolutions, viennent se loger dans la
substance
superficielle de l'une d'elles, en résumé nous
trouve en allant de la superficie à la pro- fondeur : une couche de
substance
amorphe, une couche de cellules pyramidales (st
ns son entier, représente une nouvelle formation, surajoutée à la
substance
corticale; il n'est qu'une circonvolution ordin
ale; il n'est qu'une circonvolution ordinaire, une saillie de cette
substance
corticale. Il ne sera pas sans intérêt de rappr
» De même lorsque l'auteur décrit la manière dont se comporte la
substance
grise. « Au niveau de la circonvolution de la c
e. « Au niveau de la circonvolution de la corne d'Ammon, dit-il, la
substance
grise corti- cale paraît quitter la surface de
e pour devenir profonde... elle se recouvre d'une mince couche de
substance
blanche à laquelle est due la cou- leur particu
E D'AMMON. 11 paraître elle se met en rapport avec une traînée de
substance
grise qui en est une véritable dépendance ; cet
e cellules étoilées entre la couche des grandes pyra- mides et la
substance
médullaire blanche. Cette réserve faite, nous d
du crochet, un aspect tout particulier. Ici, en effet, des îlots de
substance
blanche sont entourés de subs- tance grise, d'o
ubstance blanche sont entourés de subs- tance grise, d'où le nom de
substance
réticulée blanche que lui a donné Arnold (subst
nche que lui a donné Arnold (substantiel reticularis alba). « Une
substance
réticulaire très développée recouvre toute la f
cellules irrégulières, ni cellules fusiformes. Il n'y a même pas de
substance
conjonctive ou de matière unissante interposée
blanche accompagnée de subs- tance grise et on reconnaît dans cette
substance
grise les diverses parties de la formation ammo
ez les ani- maux, on trouvait sous le corps calleux des replis de
substance
grise corticale qui pouvaient être consi- dérés
e (en e) le sillon qui sépare cette circonvolution du reste de la
substance
corticale, c'est-à-dire de la circonvo- lution
(e), elle n'est séparée en dehors par aucune limite du reste de la
substance
corticale de l'hémisphère. Nous voyons donc déj
isent le type des autres circonvolutions, si ce n'est que dans la
substance
grise de la corne d'Ammon on trouve une couche
artie la plus voisine de la fente de Monro ne donne lieu qu'à de la
substance
blanche, et nous aurons dès lors la formation a
m tadiatum; d, couches des cellules nerveuses étoilées ; couette de
substance
blanche médullaire. PLANCHE Il. l'ig. 3. Co
parcours, jusqu'au méat audi- tif interne, se trouvent des îlots de
substance
grise, contenant des cellules nerveuses. Pour
les nerveuses revêtues de membranes, ces îlots sont identiques à la
substance
grise de la moelle épinière, ainsi qu'aux gangl
sentèrent pour la plupart, à l'examen microsco- pique, des îlots de
substance
grise, avec des cellules ganglionnaires. Ce fai
RF AUDITIF. 45 rencontre dans chacune d'elles, qu'un seul îlot de
substance
grise (PL. V, fiq. 6). Mais il arrive quelque-
eux îlots dans une même préparation microsco- pique. Ces îlots de
substance
grise se perçoivent facile- ment, même à l'aide
s'assure qu'elle se compose d'un double ré- seau, à l'instar de la
substance
grise de la moelle épi- nière. L'un de ces rése
veuses très déliées que nous venons de mentionner. Chaque îlot de
substance
grise laisse échapper de longues traînées de ti
nées au microscope, ne présentent pas la moindre trace d'un îlot de
substance
grise, ni de cellules ganglionnaires. Chez d'au
ve ainsi à la conclusion, que la quantité et l'étendue des îlots de
substance
grise, avec leurs cellules ganglionnaires, cont
PATHOLOGIE MENTALE. 53 des tubes nerveux volumineux un îlot de la
substance
grise avec beau- coup de cellules ganglionnaire
up de cellules ganglionnaires vivement colorées. Il s'échappe de la
substance
grise des tabécules conjonctifs jusqu'au bord du
ransversale semblable de l'autre individu montrant deux ilôts de la
substance
grise avec des cellules ganglion- naires. Fig
n- naires. Fig. 8. 3/9 Hart ? Trois cellules ganglionnaires de la
substance
grise des ilôts mentionnés. On voit la membrane
mbreuses granulations sur le plancher ventriculaire. Atrophie de la
substance
grise oedé- matiée, brunâtre; congestion de la
phie de la substance grise oedé- matiée, brunâtre; congestion de la
substance
blanche ferme et dure; réduction de la couronne
ernier augmente et s'accom- pagnent alors de la prolifération de la
substance
gélatineuse centrale. Les cordons sont peu atte
ants déjà si nombreux, M. Ott vient proposer d'ajouter une nouvelle
substance
, l'extrait de piscidia qui aurait sur l'opium l
s.' On constatait prin- cipalement une vascularisation énorme de la
substance
grise, surtout dans les parties centrales^et. l
'élài-is 1 -et'"g'o'r-'és-'deq s(la'ng, leur adventice épaissie. La
substance
grise présentait des alté- rations qui étaient
manifeste^ au processus' pathologique. Dans" l'a"'méme,réal9'n'; la
substance
blanche .de^la moelle était vascularisée, son tis
n possible entre le domaine de la raison et de la folie, forment la
substance
des premières leçons. L'aliénation mentale est
d'un embar- ras gastrique, par exemple. Ils trouvent à toutes les
substances
ingérées un goût mauvais, atroce, et s'ima- gin
et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de
substance
blanche. Les circonvolutions du voisi- nage son
plement par un défaut relatif de 212 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
substance
corticale, tant pour l'ensemble des hémisphères q
sillon qui le limite en avant représente la scissure de Sylvius, la
substance
nerveuse en deçà ou au delà de celle-ci devant
cement au niveau d'un 216 REVUE DR P1TH()IO.IIs MENTALE. ruban de
substance
blanche qui précède la couche optique surle pla
ré dans le cerveau des points de sclérose miliairé, surtout dans la
substance
blanche. Dans un cas, il y avait de la pachymén
fermeture presque complète de ce dernier organe par un entonnoir de
substance
blanche, tandis que le cervelet réduit à un bou
nt sains. La pie-mère présente çà et là quelques adhérences avec la
substance
320 RECUEIL DE faits. corticale. Les ventricu
appréciable de la moitié gauche de la coupe. La corne antérieure de
substance
grise est d'un bon tiers moins volumineuse à ga
'y aperçoit pas de corps granuleux. Les commissures, les cordons de
substance
blanche, les cornes postérieures ne paraissent
altérations sont plus exactement limitées à la corne antérieure de
substance
grise. Il ne s'agit pas là d'un foyer de myélit
t. Autopsie : méningo-encépha- lite ; ablation presque totale de la
substance
grise. Dub... (Cliarles-Antonin), âgé de douze
ude, mais qui est finement vasculari- sée, on entraîne avec elle la
substance
grise ; après plusieurs essais, et malgré le pl
malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la couche de
substance
grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi ci nu
ce grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi ci nu le squelette de
substance
blanche des circonvolutions. Ceci se produit sur
ceîzt7-(tl, 1'tivait- coin, le coin, le lobe occipitahde toute leur
substance
grise, la- quelle ne résiste, mais incomplèteme
alleux, et sur la moitié antérieure du lobe temporo-occi- pital. La
substance
blanche, ainsi mise à nu, est indurée, ferme, et
n, une véritable coque résultant de la soudure de la pie-mère ci la
substance
grise, et reproduisant par ses reliefs et ses d
interne du lobe temporal. Mais on n'en- traîne que des fragments de
substance
grise et non la totalité comme du côté opposé.
oucher, friable, pèse 800 gr. ; la rate, 40 gr.; les reins, dont la
substance
corticale est décolorée, pèsent l'un 80 gr. et
des portions plus ou moins larges et plus ou moins profondes de la
substance
grise. Il en était de même sur le lobe temporo-
e droit, la pie-mère entraînait avec elle toute l'épais- S,WR DE la
substance
grise, mettant ainsi à nu le squelette de la su
S,WR DE la substance grise, mettant ainsi à nu le squelette de la
substance
blanche atrophiée et indurée. (Dans la Pal. VII,
il a trouvé la même lésion, caractérisée par la séparation de la
substance
grise et de la substance blanche 1. Mais, dans ce
sion, caractérisée par la séparation de la substance grise et de la
substance
blanche 1. Mais, dans ces trois cas, cette sépa
ur une altération du cerveau, caractérisée par la séparation de- la
substance
grise et de la substance blanche des circonvoluti
eau, caractérisée par la séparation de- la substance grise et de la
substance
blanche des circonvolutions. Voir aussi : Cabuo
du sillon de Rolando semble indi- quer que si les larges pertes de
substances
observées dans les faits de MM. Curschmann et W
res, très fines qui paraissent naître des cellules pigmentées de la
substance
de Soemmering et qui se rendent dans la partie
Luys), qui reçoit des fibres venant : 1° du noyau rouge, 2° de la
substance
de Soemmering, 3° du tubercule quadrijumeau pos
ces cas on essaie d'enlever les méninges, elles entraînent toute la
substance
grise qui est sous jacente aux points attérésetam
aux points attérésetamenent ainsi une véritable décortication de la
substance
blanche '. M. Dally fait ensuite une communicat
les contenaient au moment de l'autopsie 1100 grammes de liquide. La
substance
grise est amincie; tout le cerveau s'est étalé
de lésions analogues, on arrive à circonscrire un département de
substance
grise dont la lésion ne manque jamais dans tel ou
clinorhombiques (pro- fesseur Friedel, de l'Ecole des mines) de la
substance
La bibliogra- phie des premières recherches ins
radiatum; - z couches des cellules nerveuses étoilées; ? couche de
substance
blanche médullaire. 390 EXPLICATION' DES rLNC
supéiieur montrant parmi des tubes nerveux volumineux un îlot de la
substance
grise avec beau- coup de cellules ganglionnaire
up de cellules ganglionnaires vivement colotées. Il s'échappe de la
substance
grise des conjonctifs jusqu'au boni du nerf. 17
ransversale semblable de l'autre individu montrant deux îlots de la
substance
grise avec des cellules ganglion- 1 - naires.
- naires. rit. 8. 3/9 Hart. : Trois cellules ganglionnaires de la
substance
grise des îlots mentionnés. On voit la membrane
.llcainyo-eie : éphalile chronique gèncraliséc. Séparation de la
substance
(le la substance blandie sur toute la face conv
: éphalile chronique gèncraliséc. Séparation de la substance (le la
substance
blandie sur toute la face convexe de 1'liéiiiib
du réflexe tonus est dans les cellules des cornes antérieures de la
substance
grise. Les voies centripètes de ce réflexe sont
midaux ; peut-être faut-il aussi lui attribuer la destruction de la
substance
blanche depuis le point comprimé de la substance
destruction de la substance blanche depuis le point comprimé de la
substance
blanche jusqu'aux régions postérieures de l'éco
s ramifications de fibres ner- veuses de fort calibre montant de la
substance
blanche ; 3° des ramifications d'axones ascenda
le nombre des fibres ascendantes de fort calibre qui montent de la
substance
blanche pour se rami- fier horizontalement dans
dendrites basilaires frappe l'observateur ; l'axone descend dans la
substance
blanche après avoir envoyé deux ou trois collat
ramifier et envoie quelquefois un fin prolongement axile jusqu'à la
substance
blanche. Des colla- térales sortent aussi de ce
ou fusiformes, radialement orientées, dont l'axone pénètre dans la
substance
blanche ; ces derniers axones sont fort rares e
e ; ces derniers axones sont fort rares et gisent souvent en pleine
substance
blanche (8° couche). Dans le travail in caeM qu
part'des axones de ces derniers neurones descendent jusque dans la
substance
blanche. Il semble bien résulter de cette premi
endants, si longs qu'ils traversent presque toute l'épaisseur de la
substance
grise. Cajal a vu un véritable faisceau de fila
hinisation ; mais il faut aussi avoir soin de ne jamais laisser ces
substances
iL la disposition du malade, et en cesser l'emp
antérieures. Le corps des cellules parait homogène ou granuleux, la
substance
clrromatoplrile disparait souvent, à la périphé
me et de nombre variables. En outre on constate une hyperémie de la
substance
grise de la moelle. Les nerfs périphériques res
c- tives (Schoeffer) n'est pas nécessaire, car l'excitation de la
substance
blanche du lobe occipital produit les mêmes mou-
stati- que des yeux' se rencontre aussi bien dans la lésion de la
substance
blanche que de l'écorce. L'anatomie nous a en e
rontale ascendante. Dans la profondeur la lésion atteint à peine la
substance
blanche ». Ces deux observations sont extrêmeme
3 centimètres de haut sur 4 centimètres de long, ayant dilacéré la
substance
céré- brale et faisant saillie sous les méninge
ntérieure de l'hémisphère est creusée par un caillot qui a mangé la
substance
cérébrale depuis la partie antérieure de la tro
chiquetée, d'aspect sanglant. Un examen plus attentif montre que la
substance
cérébrale du pied de la frontale ascendante et du
faisant une légère saillie à l'extérieur puis s'enfun- çant dans la
substance
blanche sous forme d'une bande étroite qui n'at
eu de la frontale ascendante. Foyer hémorragique volumineux dans la
substance
blanche en avant de l'insula. Un deuxième foyer
ais l'hémorragie est séparée du noyau lenticulaire par une bande de
substance
blanche et se porte en avant à travers le pied de
ement qui reste séparé de la surface même du noyau par une bande de
substance
blanche et va en s'effilant sans dépasser son t
isphère droit ; ce dernier étant vidé, l'hémisphère s'aplatit et la
substance
cérébrale ramollie subit, au niveau de l'insula
appent de gros caillots noirs. La plus légère pression déchire la
substance
cérébrale, pour ainsi dire réduite en bouillie.
me distension qui les déplisse en forme de sac. En ces points, la
substance
cérébrale distendue est ramollie, se laisse très
ement sur le foyer hémorragique, à travers une très mince couche de
substance
cérébrale ramollie. Dans certains cas cependant
a frontale ascendante, une dila- cération à bords irréguliers de la
substance
cérébrale ; ces bords étaient distendus par un
surface externe du corps lenticulaire. Mais elle peut intéresser la
substance
blanche du pied de la couronne rayonnante en s'
de la capsule interne et venant former un foyer volumineux dans la
substance
blanche antérieure. Dans le cas III, l'hémorrag
morragie : le foyer principal siège en avant du corps strié dans la
substance
blanche, et il envoie deux prolongements, l'un
ne du corps lenticulaire, se fait en dehors, dans l'avant-mur et la
substance
blanche qui l'a- voisine ; elle n'atteint la su
nt-mur et la substance blanche qui l'a- voisine ; elle n'atteint la
substance
même du noyau lenticu- laire que tout il fait à
eaux rompus, et par la résistance légère opposée en ce point par la
substance
cérébrale à l'hémorragie. 214 PATHOLOGIE NERV
able, il n'y a en réalité ni rupture de fibres ou déchi- rure de la
substance
grise, ni compression violente de la substance
déchi- rure de la substance grise, ni compression violente de la
substance
cérébrale, phénomènes par lesquels on explique
uite, un chemin facile à l'hémorragie. La pression exercée sur la
substance
cérébrale par le sang extravasé est empêchée par
, et au voisinage de cavités empêchant une distension brusque de la
substance
cérébrale, telles sont les deux rai- sons essen
d'observations, l'hémorragie est tellement volumineuse que toute la
substance
qui sépare le DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE. 215
ong du corps strié, soit au niveau des houppes terminales en pleine
substance
blanche et au voisinage d'une des cornes ventri
rébral vessels. (Guy's IIospital Reports). Cas. II. Aneurism in the
substance
of the pons variolii; ingravescent apoplexy.
pas en rapport avec la localisation, dans un point précis, de la
substance
cérébrale. La cause de la progression est-elle en
te extravasation de sang pourrait se faire entre les fibres de la
substance
cérébrale, au lieu d'une issue brusque capable de
ique et à son ouverture par usure avec passage lent du sang dans la
substance
cérébrale au voi- sinage d'un point eompressibl
. 1); on constate : un aspect indécis des granulations de Nissl, la
substance
chromatophile périnucléaire étant plus colorée
ie plus ramollie et par- semée de taches incolores appartenant à la
substance
fibrillaire fondamentale - des tendances à la v
n nombre normal, on constate à peine quelque division diffuse de la
substance
chroma- tophile finement grenue, parfois accumu
es sont à peu près nor- males, il n'y a guère qu'un tassement de la
substance
chroma- tique des granulations de Nissl autour
at flou des granulations de Nissl, avec accumulation centrale de la
substance
chromatique et forma- tion de vacuoles au bout
suivent, tantôt il y a peu de déviation de la nor- male, tantôt la
substance
chromatique est complètement atrophiée, la cell
est tuméfiée quoique son noyau soit conservé, les vais- seaux de la
substance
grise sont très développés dans les quatorze à
eize jours suivants il y a peu de chose sauf la dispa- rition de la
substance
chromatique peu modifiée d'ailleurs. P. Keraval
se dirige à tra- vers la partie interne du corps restiforme dans la
substance
réti- culaire du bulbe, où il se dispose au-des
e, émigration des leucocytes dans les espaces périvasculaires de la
substance
blanche et grise médullaire. Les cellules des c
'alcool; mais l'imprégnation prolon- gée de son organisme par cette
substance
, a certainement produit dans son système nerveu
optique, les deux tiers postérieurs de l'avant-mur ' ! % ig. 5. a.
substance
grise; b, ,eulriculc5j c, lésions. 282 CLINIQUE
n développés ; ils offrent sur la coupe leur aspect ordinaire, avec
substance
fondamentale gris jaunâtre, adhérente à l'albug
iguant surtout la corne latérale et le groupe postéro-externe de la
substance
grise; on constatait aussi la présence de nodul
ans certains cas, une répercussion sur le centre, avant même que la
substance
toxique se soit propagée à la moelle. Si, au co
e grosseur, de disposition, de nombre des « granules et mottes de
substance
tigroïde » ainsi qu'à la variété de la constituti
substance tigroïde » ainsi qu'à la variété de la constitution de la
substance
fondamentale. 2° Examen de deux cas de tabes. A
fondamentale. 2° Examen de deux cas de tabes. Aucune anomalie de la
substance
chromatique (Schaffer) ou tigroïde (Lenhossek)
d'altérations des petits grains et agrégats de petits grains de la
substance
chromatique, il ne s'ensuit pas que la lésion du
ons de la vie. C'est pourquoi on n'y trouve pas d'altérations de la
substance
chromatique, qui ne sauraient résulter que de la
r réducteur normal de l'urine, dû probablement à l'augmentation des
substances
extrac- tives éliminées. R. C. XIV. Un cas de
s vésicules sont contenus dans une capsule fibreuse consistante. La
substance
cérébrale est hypérémiée et oedémateuse ; les v
méninges cérébrales et surtout médullaires, et une hypérémie de la
substance
grise médullaire avec parfois des hémorragies à
istologique. L'ensemen- cement du liquide rachidien,de parcelles de
substance
médullaire et bulbaire à diverses hauteurs est
diamètre en général, disséminées sans ordre dans les régions de la
substance
blanche, les plus voisines de l'axe gris ; quel
pas de lésions de leurs bouquets vasculaires ; les vaisseaux de la
substance
corticale sont fortement congestionnés. L'épith
des multipolaires cle la rétine. Avec les méthodes dites vitales la
substance
chro- matophile se présente sous un aspect chag
ent répartis et cachant complètement la structure fibrillaire de la
substance
fonda- mentale. Après l'action de l'alcool ces
ne motrice médullo-bulbaire, sans atteinte des vaisseaux ni de la
substance
blanche ni des nerfs. (Myélite ascendante anté-
lle épinière se terminent en s'arborisant autour des cellules de la
substance
grise, avec laquelle elles ont des points de co
ssus et au-dessous du plan d'implantation de chaque racine; 2° La
substance
grise qui reçoit les fibres centripètes des racin
surales et d'association. Parmi les fonctions qui incombent à cette
substance
grise, on doit comprendre la conduction de la s
elà du système des neurones périphériques on ne trouve pas, dans la
substance
grise et dans les faisceaux blancs des cen- tre
dales sont avancées. Le protoplasma de la cellule est transformé en
substance
jaunâtre, qu'on a appelée à tort pigment et qui
ses mottes qui ne possède pas sa couronne de mottes marginales ; la
substance
tigroïde représente des corps déchirés, floconn
guère de cel- lules nerveuses à considérer comme pathologiques. La
substance
chromatique et le noyau sont normaux ; même dan
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. forme anormale. La
substance
chromatique est normalement colorée. Jamais de
romatique est normalement colorée. Jamais de vacuoles. Peut-être la
substance
chromatique, dans le tabes au début, se colore-
érescence en virgule tiendrait, d'après les uns, à une lésion de la
substance
grise, d'après les autres, à une lésion radicul
e de la dégénérescence descendante consé- cutive à une lésion de la
substance
grise (Déjerine et Sottas, Gom- bault et l'hili
intramédullaire. Cela n'attaque pas l'opinion, d'après laquelle la
substance
grise donne naissance à des fibres destinées au
es rela- tives à la ligature de l'aorte, qui lèse principalement la
substance
grise, prouvent que les cordons postérieurs son
égénérescence (abstraction faite d'un très petit coin postérieur de
substance
nerveuse saine) est immédia- tement accolée à l
ortionnellement volumineux; à l'intérieur de ces mailles existe une
substance
un peu moins bleue, épaisse, vague, dont l'accu
bleu clair externe. La zone externe, proba- blement moins riche en
substance
tingible, incomparablement plus transparente, r
enue, les granules en sont très fins et paraissent cimentés par une
substance
intermédiaire qui les empêche de se distinguer
ES. ruche, sont remplis d'un neurohyaloplasme. Mais nulle part la
substance
fondamentale de la cellule n'est en rapport conti
'Apàthy et Bethe n'est pas davantage admissible. La structure de la
substance
fondamentale de la cellule est bien réti- forme
t une couche de cellules profondes qui fournissent des fibres de la
substance
blanche profonde ; ces fibres forment quelques
ilieu en un faisceau compact qui, en avant de l'angle externe de la
substance
grise des cavités centrales de l'isthme, s'inco
ractus isthinotectal. Les fibres originelles de ce faisceau dans la
substance
blanche profonde du lobe optique ne reçoivent pas
phalo-rachidien de l'homme, par la voie lombaire, des sérums ou des
substances
salines, en quantités relativement assez grande
usion, à travers toute la masse du liquide céphalo- rachidien , des
substances
injectées en petite quantité dans la cavité sou
cérébrale, s'opère lentement ; en règle générale, le maintien de la
substance
active au niveau des centres et des racines méd
tif), c'est que les petits foyers circons- crits, localisés dans la
substance
blanche du centre ovale, lorsqu'ils se montrent
es de filets complètement vides, la pie-mère n'est pas isolable, la
substance
grise n'est plus qu'un magma diffluent, qui se
agma diffluent, qui se laisse entraîner sous un filet d'eau avec la
substance
blanche sous-jacente. - Les deux lobes frontaux
ore quelques traces du système vasculaire surtout à gauche, mais la
substance
grise est ramollie, dissociée et se laisse entr
bifide en avant et s'éten- dant à toute la partie supérieure de la
substance
blanche. La partie postérieure de cette cavité
nce blanche. La partie postérieure de cette cavité vient jusqu'à la
substance
grise de la frontale ascendante (moitié supérie
supérieure) et ses deux extrémités antérieures s'évasent jusqu'à la
substance
grise de la partie la plus antérieure des circo
issement du centre ovale intéressant tout le lobe frontal droit. La
substance
grise corti- cale parait intacte. Tout le systè
n frontale, le tiers inférieur de la frontale ascendante, cortex cl
substance
blanche sons-jaccnle. Observation Vs - Femme de
oyer de ramollissement de la grosseur d'une noix et intéressant les
substances
grise et blanche de la partie la plus antérieur
ble que peuvent affecter les foyers de nécrobiose, intéres- sant la
substance
corticale de lobes entiers (obs. I), ou leur sy
ifs, aussi bien dans ceux où le ramollissement n'intéressait que la
substance
blanche que dans ceux où la substance grise éta
sement n'intéressait que la substance blanche que dans ceux où la
substance
grise était intéressée. Ces convulsions épilepti-
IE NERVEUSE. 419 et parsemée d'étoiles de Vereheyen. A la coupe, la
substance
corticale est réduite d'épaisseur et a subi la
pôt que normalement. Il semble y avoir oligoplasmie par pauvreté de
substances
fibrinogènes. En réalité, le sang récem- ment t
que dans cinquante cas d'hystérie et de neurasthénie, la teneur en
substances
fibrinogènes, leur t) ans-formation cl leur régén
t sont, comme le rapport de la quantité de fibrine à la quantité de
substances
fibrinogènes, constamment anormaux. Or que sont
é de substances fibrinogènes, constamment anormaux. Or que sont les
substances
fibrinogènes ? Ce sont des corps qui donnent au
dépôt spontané du sang indique des anomalies dans le quan- tum des
substances
fibrinogènes, c'est qu'il y a une anomalie dans
d'avant en arrière la circonvolution en question. s'enfonce dans sa
substance
blanche en se rapprochant de la base, ' pénètre
bliquement de haut en bas la seconde temporale, en pénètre aussi la
substance
blanche, et se termine à la limite de la substa
pénètre aussi la substance blanche, et se termine à la limite de la
substance
blanche et de l'écorce de la troisième temporale
e de la pointe antérieure du lobe temporale. L'hémorrhagie, dans la
substance
blanche des première et deuxième temporales, re
uée sous le milieu de l'écorce du lobe frontal paraît intéresser la
substance
blanche, du lobule orbitaire, la partie orbitai
ntraux et la capsule interne. Intégrité des ascendantes, et de leur
substance
blanche, excepté tout près des parties intérieu
bas, ainsi que les nerfs et vaisseaux sous-jacents. Intégrité de la
substance
grise. Observation IL - Fongus de la dure-mère
ibilité à la per- cussion sont en faveur d'une localisation dans la
substance
blanche du lobule pariétal supérieur. Les tro
atrophié la pie-mère et la plus grande paitie de l'écorce et de la
substance
blanche correspondante, a déplacé les parties v
iquide encéphalique. La pression intraventriculaire a comprimé la
substance
cérébrale contre les parois du crâne, barré les v
e la moelle ; généralement à la périphérie il existe une lisière de
substance
nerveuse saine. Des foyers qui avoisinent le ce
vont dans la zone intacte. Les foyers, ceux surtout qui occupent la
substance
grise, sont remplis de vaisseaux pleins à éclat
nt les foyers sont en rapport avec les vaisseaux, c'est pourquoi la
substance
grise est si atteinte, et qu'il y a eu mobilisa
qu'il y a eu infection puisqu'on a trouvé des pneumocoques dans la
substance
de la moelle. P. 11FR.1 ? 1L. LXXVII. Contrib
ation du poids du corps ; dans certains cas, cette économie sur les
substances
brûlées serait peut-être compensée par une dimi
ostérieures simulant la syringomyélie. L'auteur se demande si des
substances
toxiques ou microbiennes ne peuvent pas suivre
ait une lésion bulbaire placée dans la corne postérieure et dans la
substance
grise située en avant des noyaux de Goll et de
qui seront employés. La zone des fibres qui borde immédiatement la
substance
grise, cornes et commissure, a reçu les noms de
rne postérieure des faisceaux arrondis, séparés par un réticulum de
substance
grise, qui oc- cupent la corne postérieure dans
stérieure dans sa moitié ou ses deux tiers internes, en avant de la
substance
gélatineuse de Rolando. Ces faisceaux sont d'au-
-qu'il fût possible de voir s'il s'était développé aux dépens de la
substance
corticale ou de la substance médullaire. , Exam
'il s'était développé aux dépens de la substance corticale ou de la
substance
médullaire. , Examen de la moelle. Après un séj
on très pré- cise et très sûre des fibres à myéline les plus fines (
substance
grise) ; 3° la coloration des racines hors de l
ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 21 me calibre qui sortent de la
substance
grise, ou y rentrent, par toute la moitié antér
la forme de petits fascicules arrondis séparés par un réticulum de
substance
grise. Ces fibres endogènes de la zone cornu-comm
ent très peu en arrière ; on n'en trouve déjà plus au contact de la
substance
gélatineuse. 3° .Sacrée.- Le triangle médian en
d'en- trée de la racine postérieure immédiatement en arrière de la
substance
gélati- neuse de Rolando. Cette bande scléreuse
ssauer sont absolument intactes, de même.que les fibres fines de la
substance
grise. Le fait que dans un cas, même unique, ce
cette intégrité ne se comprendrait pas si certaines cellules de la
substance
grise avaient disparu ; en outre,ces cellules étu
ion ; on peut supposer que ces fibres sortent horizontalement de la
substance
grise pour se recourber ou se bifurquer lorsqu'
e part, le trajet de ces mêmes fibres lorsqu'elles rentrent dans la
substance
grise. Néan- ÉTUDE 1\A1'o\IIQf : C DES COUDONS
zontales. Ces fibres forment de petits fascicules qui sortent dé la
substance
grise, ou y rentrent, par la moitié antérieure
ppe ; ZLe, ZLi, zone de Lissauer, portions externe et interne ; G.R.,
substance
gélatineuse de Rolando ; SpR zone : spongieuse
.R., substance gélatineuse de Rolando ; SpR zone : spongieuse de la
substance
gélatineuse ; Spa, Spp, zones antérieure et pos
tance gélatineuse ; Spa, Spp, zones antérieure et postérieure de la
substance
spongieuse de la corne postérieure. On remarque
bien que ces zones qui à l'état normal tranchent sur le reste de la
substance
blanche par leur pâleur, se trouvent être ici bea
ieure du (1) Lnc. cit. (2) Guizé. Les parties constitutives de la
substance
blanche de la moelle épinière de ÉTUDE ANATOMIQ
dépassent jamais en arrière le niveau de la partie antérieure de la
substance
gélatineuse de Rolando, et dans toute la région l
base au présent mémoire. Avant dp passer aux fibres endogènes de la
substance
grise, je ferai remar- quer combien ces faits c
OTTE quantité de ces fibres endogènes, ni de préciser le lieu de la
substance
blanche où elles s'accumulent; la seule chose q
BRES ENDOGÈNES DANS LA CORNE POSTÉRIEURE Le réseau myélinique de la
substance
grise de la corne postérieure a été décrit avec
égion spongieuse postérieure, au contact de la zone de Lissauer, la
substance
gélatineuse de Rolando, la région spongieuse anté
nes. Les fibres grosses for- ment des fascicules qui contournent la
substance
gélatineuse ou qui abor- dent obliquement le bo
la corne antérieure; d'autres fascicules, traversent directement la
substance
gélatineuse; depluson trouve en avant de la sub
irectement la substance gélatineuse; depluson trouve en avant de la
substance
gélatineuse un amas transversal de fascicules arr
Les fihres fines forment un réseau très serré partout, sauf dans la
substance
de Ro- lando, qui est simplement traversée par
i est simplement traversée par de petits fascicules tendus entre la
substance
spongieuse postérieure et la substance spongieuse
s fascicules tendus entre la substance spongieuse postérieure et la
substance
spongieuse antérieure. Du bord interne de la co
ngieuse antérieure. Du bord interne de la corne s'échappent vers la
substance
blanche les fibres fines que j'ai décrites plus
endogènes fines horizontales des cordons postérieurs. Du côté de la
substance
grise les faisceaux qu'elles forment se perdent
a corne postérieure et le réticulum de la colonne de Clarke dans la
substance
grise. Les territoires radiculaires des cordons
ase répond au bord de la moelle et dont le sommet s'enfonce vers la
substance
grise. Au niveau de la moelle dorsale, de la 8e
ie postérieure du cordon postérieur entre le faisceau de Goll et la
substance
gélatineuse de Rolando. Dans les cordons latéraux
, un bord antérieur, un bord postérieur et une base qui répond à la
substance
grise.Le cordon postérieur est moins étendu dans
a base répond au bord du cordon et dont le sommet s'enfonce vers la
substance
grise (Voir fig. 4). Diverses hauteurs de la mo
de sclérose à base périphérique et dont le sommet s'enfonce vers la
substance
grise. Au niveau de la moelle lombaire, le cord
me valeur au point de vue de l'étude scientifique. Si on se sert de
substances
pulvérulentes qui adhèrent plus ou moins à la p
t à une distance presque égale l'une de l'autre, plus foncés que la
substance
intermédiaire ; sur ces ramifications on peut v
ayeux et elle ne tranche pas par la coloration de ses bords avec la
substance
blanche. Pas d'hémorragie autour. Elle présente u
faisant corps, de consistance moindre. Encastrée et isolée dans la
substance
blanche, cette tumeur occupe la pointe du noyau
x. Elle s'énuclée assez facilement, entraînant quelques lambeaux de
substance
blanche par sa face externe et de la substance
quelques lambeaux de substance blanche par sa face externe et de la
substance
grise par sa face interne ; elle apparaît comme u
s sentiments de reconnaissance. Fig. 2. - Coupe de la tumeur : 1,
substance
grise ; 2, coque fibreuse ; 3, tissu ostéoïne.
: Méninge très infiltrée. Infiltration leucocytaire intense de la
substance
blanche. Fig. 5. - Lobe cérébelleux gauche. F
irconvolution directement au-dessous de la tu- meur) (Fig. 3). La
substance
grise est diminuée d'épaisseur comparativement au
t (4) insiste à propos d'un cas de petit gliome développé en pleine
substance
blanche sur le ramollissement disproportionné qui
Dupré et Devaux éta- blissent qu'il y aurait une intoxication de la
substance
cérébrale par les poisons néoplasiques. Une tel
ganglion rachidien que. dans l'étude de l'écorce cérébrale ou de la
substance
grise de la moelle, et cela pour plusieurs rais
pect normal chez l'adulte ? Les altérations qui n'atteignent que la
substance
chromatique, indé- pendantes de toute autre alt
(fig. g). La moelle est aplatie dans le sens antéro-postérieur ; la
substance
grise est à peu près complètement détruite par
e est à peu près complètement détruite par l'hémorrhagie et dans la
substance
blanche deux foyers d'hématomyélie en forme de
is à travers le Il¡- segment cervical de la moelle. On voit dans la
substance
grise trois foyers hë- morrhagiques allongés, l
es à direction sagittale dans les deux cornes postérieures. Dans la
substance
blanche n'existe qu'une infiltration hémorrhagiqu
res sanglantes parallèles aux travées du tissu de soutien ; dans la
substance
grise, de petites taches hémorrhagiques disséminé
ule sanglante. Les petits foyers hémorrhagiques prédominent dans la
substance
grise qu'ils soulignent par leur confluence. Le
érieur, destruction à peu près complète par l'hémorrhagie de toute la
substance
grise, deux foyers d'hématomyélie en coin dans
rs le VIle segment cervical de la moelle. L'hémorrhagie infiltre la
substance
grise gauche. Le bord antérieur du cordon antér
es des cel- lules et des fibres. Augmentation des vaisseaux dans la
substance
grise, leur paroi est épaissie. Faisceau céré
s colonnes de Clarke, loin de former une saillie pénétrante dans la
substance
blanche des cordons postérieurs, est aplati, de
forte. C'est surtout les fibres fines qui paraissent faire défaut.
Substance
blanche de la moelle. - Ce qui frappe au premier
lanche de la moelle. - Ce qui frappe au premier coup d'oeil dans la
substance
blanche, c'est que même dans les régions qui para
'étendue des cordons postérieurs, sauf les parties avoisinantes, la
substance
grise et la périphérie, mais cette raréfaction es
aire moyenne, et faisant tout à fait défaut dans le voisinage de la
substance
grise. - La région D5 ne présente aucune lésion
hérique de ce fais- ceau, de même que les parties rapprochées de la
substance
grise, et une bande longeant le cordon de Goll
e de la moelle, et respecte complètement la partie rapprochée de la
substance
grise. Cette raréfac- tion s'élargit vis-à-vis
forme d'un triangle dont le sommet est dirigé vers le centre de la
substance
grise. La région lombaire inférieure ne présent
ect, longe de sa partie postérieure la corne postérieure jusqu'à la
substance
géla- tineuse. Dans les cordons antérieurs la d
faction dans le cordon antérieur se rapproche de plus en plus de la
substance
et de la commissure grise, de sorte que dans le
périphérie antérieure de la moelle tout en res- tant séparée de la
substance
grise par une mince bande de fibres saines. Vis
ulement dans la partie pé- riphérique, située un peu en avant de la
substance
gélatineuse du 5e ascend. qu'elle se présente s
e mieux conservées, n'ont pas l'air d'être tout à fait indemnes. La
substance
réticulaire apparaît dans toute son étendue forte
situé en arrière des olives. Dans la partie dorsale le repli et la
substance
réticulaire montrent une sclérose très nette, à l
dégénération bien accusée. Par contre dans sa partie antérieure la
substance
réticulaire, de même que les fibres intraolivai
tion des fibres arquées, la sclérose de la partie postérieure de la
substance
réticulaire et du raphé, les lésions des olives e
it une plaque \de dégénération située dans le bras horizontal de la
substance
blanche. Les cellules de Purkinje, de même que
es, surtout dans leurs parties posté- rieures et une sclérose de la
substance
réticulaire. Ainsi toutes les lésions principal
érieurs chez Louis Hand... et une raréfaction dans une partie de la
substance
blanche du cervelet ; ni cliez son frère ni chez
Von Michel, le processus serait une dégé- nérescence primaire de la
substance
nerveuse, sans prolifération conjonc- tive, aya
res. De l'examen histologique nous avons conclu que « des pertes de
substance
peuvent se creuser primitivement dans la moelle
u tissu conjonctif végétant détruisent les éléments cellulaires de la
substance
B. Poch... 3e Dorsale (Grossiss. : 110 D) Color
elle les faisceaux pyramidaux croisés sont dé- générés ; quant à la
substance
grise des cornes antérieures elle est en grande
en d'autres points existent seules, à l'exclusion de toute perte de
substance
et semblent même appartenir à un stade évolutif a
ire à l'existence d'une bande conjonctivo- vasculaire au sein de la
substance
grise postérieure. C'est en de tels points que
dé- couvre plus trace et aucune barrière ne sépare plus la perte de
substance
, des fibres nerveuses. L'hypertrophie de la név
SYRINGOMYÉLIE 385 que toute la corne postérieure, une partie de la
substance
grise antérieure, une partie des cordons blancs
re de fibres conjonc- tives et élastiques. Autour de cette perte de
substance
, à peu près vide, il n'y a nulle réaction névro
moins actif, à moitié éteint, qui réalise ici des vastes pertes de
substance
, et qui a détruit au moins les deux tiers de la
6e dor- sale la corne postérieure saine est creusée d'une perte de
substance
comme tail- lée à l'emporte-pièce et dont les b
lle la distribution spinale de certains systèmes artériels. Dans la
substance
grise elle affecte le trajet et la direction de
est toujours en relation avec l'émergence d'une artériole, Dans la
substance
blanche des cordons postérieurs, elle suit manife
conjonctivo-vasculaires déterminent-elles les fentes, les pertes de
substance
? De plusieurs façons sans doute (fig. 7 et PI. L
en un point et s'entourant de faisceaux conjonctifs, écar- tent la
substance
nerveuse et délimitent un espace qui pourra ultér
bande conjonctive va désagréger les tissus et isoler des portions de
substance
nerveuse appelées dès lors à disparaître : de m
tassées. Elles écartent le parenchyme nerveux créant des pertes de
substances
parallèles à leur direction ; au voisinage, on re
duit. C'est probablement le mécanisme de la formation des pertes de
substance
assez vastes de la région cervicale, les végéta
nce de troubles circulatoires ou autres. Les limites de la perte de
substance
primitivement constituée par une simple fissure
méthode de Weigert-Pal. La cavité médiane occupant presque toute la
substance
grise se continue au niveau de la corne pos- té
F..., il existe à la région cervicale une vaste cavité occupant la
substance
grise dont elle détruit la base des cornes postér
à des feuillets ou des membranes qui circons- crivent les pertes de
substance
. Ici, il n'y a aucune réaction névroglique appa-
par la communication constante du canal central avec les pertes de
substance
. Tous ces caractères semblent déno- ter la loca
és. Il est de notion banale qu'elles se développent surtout dans la
substance
grise (commissure grise, corne postérieure) et
tte localisation la trouvent dans « la richesse vasculaire de cette
substance
et en particulier dans l'existence de gros vais
ux de chaque côté du canal central ». Faisons remar- quer que si la
substance
grise est plus vascularisée elle est aussi plus f
'expansion du processus. Mais insistons surtout sur ce que, dans la
substance
grise ou dans la substance blanche, il est à son
is insistons surtout sur ce que, dans la substance grise ou dans la
substance
blanche, il est à son début très souvent systém
nvoquons plus particulièrement l'écartement, la dis- location de la
substance
nerveuse par des tractus végétants, le morcelleme
res nerveuses, et contribue puissamment à l'extension des pertes de
substance
. Elle n'est pas indispensable à les expliquer, ai
Baillarger a appelé l'atttention, qui atteignent par- fois toute la
substance
grise et mettent à nu, après décortication, les c
t à nu, après décortication, les cou- ches les plus profondes de la
substance
grise au niveau même de certaines localisations
n tissu lacunaire presque comblé par des amas nucléaires. Dans la
substance
blanche, dégénérescence de la zone radiculaire an
blanche, dégénérescence de la zone radiculaire antérieure depuis la
substance
grise jusqu'au voisinage du rebord de la moelle,
L'épendyme est obturé par un amas nucléaire. Les vaisseaux de la
substance
grise sont très nombreux, beaucoup parais- sent
entourés d'une gaîne dilatée et parfois d'un large espace clair. La
substance
blanche dans les parties postérieure et latérale
ures ; à ce niveau aussi la zone périphérique est moins colorée. La
substance
grise a une forme plus proche de la normale, mais
elques débris seulement des cellules de Clarke. Les vaisseaux de la
substance
grise ne présentent plus à leur pourtour les mê
t, prédominantes dans la production des foyers de destruction de la
substance
grise antérieure, cette irrégularité dans l'att
une iiiéningo-iiiy,lite syphilitique à prédominance au niveau de la
substance
grise des cornes antérieures, mais d'une polio-
ous. Les vaisseaux présentaient des gaines nucléées surtout dans la
substance
grise et à son voisinage, ces gaines diminuaient
e est partout altéré mais irrégulièrement : il est remplacé par une
substance
fibreuse, hyaline, rose, d'autant plus abondante
dinales, mais dans ces conditions nous avons vu souvent la masse de
substance
mus- culaire comme craquelée transversalement.
es couronnes, mais aussi dans le sein même des fibres. « Quand la
substance
musculaire diminue, quand la libre s'atrophie, ce
des fibres très petites qui ne présentent plus qu'un mince amas de
substance
mus- culaire semée de nombreux noyaux. Un degré
é extrême, il ne reste plus que de petits groupes de noyaux dans la
substance
hyaline fondamentale. Tous ces états voisinent
que quelquefois les noyaux musculaires isolés et encore entourés de
substance
musculaire sont très volumineux. » L'histoire d
observé dans toutes les régions de l'encéphale, aussi bien dans la
substance
grise que dans la substance blanche. Il s'y pré
ions de l'encéphale, aussi bien dans la substance grise que dans la
substance
blanche. Il s'y présente aussi sous l'aspect d'
turba- tions de la mastication et de la déglutition. L'ingestion de
substances
liquides se fait avec une grande difficulté. Lo
rtie correspondante de la capsule externe, de l'avant-mur, et de la
substance
profonde de l'insula de Reil. Ce foyer se trouv
i-même, puisqu'il y également lésion de la capsule externe et de la
substance
profonde de l'insula. Tout ce qu'il est permis
(côté atrophié). La sensibilité gustative a été déterminée pour les
substances
salées, sucrées, vinaigrées. Les morceaux de se
t que l'enfant étroi- tement surveillée jour et nuit n'avait aucune
substance
vicariante sa dis- position, la rapidité de la
g. 9. Même coupe que figure 5. Fio. 40. Section longitudinale de la
substance
blanche de la moelle épinière (Immersion). 13
entre ces deux réseaux (fig. 11). Si l'on compare les coupes de la
substance
blanche de la moelle épinière avec celles des n
yline ferrique de Ileidenhain. Quant aux éléments cellulaires de la
substance
blanche de la moelle épinière, les coupes longi
ne de Schwann ; par contre une telle régularité fait défaut dans la
substance
blanche de la moelle épinière. Les cellules de
LYSIE AGITANTE 133 ture anatomique des nerfs périphériques et de la
substance
blanche de la moelle épinière. Chaque fibre ner
a gaine médullaire des fibres nerveuses. Les fibres nerveuses de la
substance
blanche de la moelle épinière qui ne possèdent
ées parcourt toutes les directions. Les coupes longitudinales de la
substance
blanche du cerveau et du cer- velet offrent un
offrent un aspect semblable à celui des coupes longitudinales de la
substance
blanche de la moelle épinière. Les cylindraxes de
que les réseaux névro- gliques le long des fibres nerveuses dans la
substance
blanche du système nerveux central. Plusieurs
remier cas de paralysie agitante avec le réseau névroglique dans la
substance
blanche du système nerveux central a attiré (1)
tion d'après Alzheimer (3). Les coupes longitudinales de la moelle (
substance
blanche) colorées selon Ziveri offrent un aspec
ture du tissu névroglique dans le voisinage des cylindraxes dans la
substance
blanche, un aspect tout semblable à celui que n
vé, principa- lement dans les coupes longitudinales provenant de la
substance
blanche du cervelet, des parties de tissu névro
avec les auteurs qui attribuent une nature névro- glique à toute la
substance
du système nerveux central sauf aux éléments ne
e cérébrale d'après Eisath-Alzheim er, réseau nêvroglique. A droite
substance
blanche de la moelle épinière. Gieson. Réseau n
ALYSIE AGITANTE 139 la figure 29, excepté les fibres rigides, comme
substance
protoplasmatique, laquelle ne diffère du syncyt
substance protoplasmatique, laquelle ne diffère du syncytium de la
substance
fondamentale du tissu nêvroglique, chez un foet
écrire, nous les trouvons également le long des cylindraxes dans la
substance
blanche de la moelle épinière. Ces fibres se cr
i existe entre le réseau névrotique le long des cylindraxes dans la
substance
blanche du système nerveux central et les résea
tions impor- tantes. La coloration des gaines médullaires dans la
substance
blanche de la moelle épinière selon Weigert n'a
es gaines médullaires par l'arcade osmique et une raréfaction de la
substance
blan- che accompagnée de l'infiltration d'un ex
intracellulaire que du réseau extracellulaire. La raréfaction de la
substance
blanche dans la moelle épinière constatée par p
t une forme particulière des cellules névrogliques trouvées dans la
substance
blanche du système nerveux central dans six cas
follicules forment ainsi un réseau à mailles lâches remplies d'une
substance
colorée, dans les coupes traitées d'après van Gie
très marqué du réseau néaro- glique le long des cylindraxes dans la
substance
blanche du système nerveux central et le réseau
es réseaux inlramédullaires dans les nerfs périphériques el dans la
substance
blanche du système nerveux central dans la para
s et de constitution très robuste. Il faudrait donc admettre que la
substance
toxique, bien que circulante, se fût localisée
et même abuse d'alcool. Il prétend que dès petites quantités de ces
substances
ont sur lui une forte influence. Voici mainte
su cellulaire sous-cutané. Excepté ces îlots riches en lipoides ces
substances
ne sont pas très abondantes dans les cellules h
ution. On devra par exemple traiter des femel- les gravides par des
substances
ovariennes ou thyroïdiennes, ce dernier traitem
ctivité ostéogénique du périoste et à un trouble du métabolisme des
substances
calcaires et phosphatées. 2° Elle provoque di
ive de ces agents chez lui, la peau de ses mains aurait absorbé ces
substances
, dans l'exercice de sa profession. Mais elles n
ngements produits dans les nerfs périphériques par l'application de
substances
toxiques sur la peau ». Aussi ne devons-nous pas
i dans les cellules, ni dans les méninges, ni dans les racines. Les
substances
blanche et grise sont hyperémiées. Le faisceau py
amen microscopique. Segments cervicaux inférieurs : hyperémie de la
substance
médullaire et surtout de la substance grise. Les
inférieurs : hyperémie de la substance médullaire et surtout de la
substance
grise. Les espaces péri- vasculaires et péricel
voit une dilata- tion assez marquée des vaisseaux et surtout de la
substance
blanche. La plupart des vaisseaux sont thrombos
uvons les diviser en deux groupes : 1° modifications notées dans la
substance
médullaire proprement dite et 2° modifications du
dans sa forme, ni dans sa structure. En analysant les lésions de la
substance
médullaire, nous pouvons constater quej dans au
e.Dans les trois autres cas, rien d'anormal dans les cellules. La
substance
blanche de la moelle n'a présenté, dans aucun des
à ces cas on pouvait même observer un épanchement du sang entre la
substance
médullaire et la pie-mère, dû problablement à la
'autre part pénètre lui-même par les vaisseaux lymphatiques dans la
substance
médullaire ; d'où dilatation des espaces lympha
es lésions érosives un peu suin- tantes qui mettent à découvert une
substance
crétacée qui tombe en croûtes. Depuis deux ans
au des coudes, des genoux et des mains. L'analyse chimique de cette
substance
faite par M. le Dr Percival, a montré l'existen
a montré l'existence de sels de calcium (carbonates), mêlés à de la
substance
cornée. Examen électrique. - Au niveau des mu
u,,face dorsale des pieds), de petits nodules indurés remplis d'une
substance
sableuse et qui rappellent de très près les pro
sels de calcium et notamment de carbonate de calcium, mêlé à de la
substance
cornée. Le résultat de cet examen clinique est
s inférieures; dans les coupes les plus supérieures, l'écorce et la
substance
blanche de la région operculaire sont en grande
LANGAGE DANS L'APHASIE DE BROCA 339 dairement atrophiée Quant il la
substance
blanche, elle est très endommagée ; il persiste
ntérieur (PI. LI, a, b, c). Les lésions sous-corticales occupent la
substance
blanche de l'hémisphère et les noyaux gris cent
substance blanche de l'hémisphère et les noyaux gris centraux. La
substance
blanche de l'hémisphère a complètement disparu da
le externe et l'avant-mur comme n'exis- tant plus. ' Plus haut la
substance
blanche a été interrompue au-dessous des circonvo
passent au-dessus de la couronne rayonnante, la destruc- tion de la
substance
blanche s'étend depuis la 2e circonvolution front
olandiques. En ce qui concerne les circonvolutions temporales, leur
substance
médullaire a plus ou moins participé à la destr
a plus ou moins participé à la destruction de l'écorce, cependant la
substance
blanche non différenciée du lobe temporal a été
z sérieusement endommagés par les lésions ; il en est de même de la
substance
blanche sous-jacente. Ganglions centraux. - La
erne, par l'intermédiaire duquel ses libres se prolon- gent dans la
substance
blanche du lobe frontal. Plus bas la dégénéresc
pecté le pôle de l'insula. On ne suit pas sa dégénérescence dans la
substance
blanche du lobe orbitaire. Corps calleux. - On
uxième temporales, mais elle envoie un petit prolongement dans leur
substance
blanche, prolongement qui est limité en avant par
i. s'est effectuée au cours des manipulations. Peu à peu le pont de
substance
nerveuse, qui constitue le fond de la cavité se
térieure de la première circonvolution anté- rieure ; par contre la
substance
blanche de cette'circonvolution a été grave- me
cavité sont nettement tranchées ; cependaut, de même qu'en avant la
substance
blanche de la première circonvolution de l'insu
été en grande partie détruite,de même en est-il en arrière pour la
substance
blanche de la première et de la deuxième tempor
de ces cir- convolutions qui borde la cavité. Mais la lésion de la
substance
blanche ne se prolonge guère ni en avant ni en
réapparaître les circonvolutions, mais sur une certaine hauteur la
substance
blanche (aussi bien la substance blanche ra- di
, mais sur une certaine hauteur la substance blanche (aussi bien la
substance
blanche ra- diée que la substance blanche non d
substance blanche (aussi bien la substance blanche ra- diée que la
substance
blanche non différenciée) est détruite ou complèt
la dégénération de ses fibres qu'il faut attribuer la pâleur de la
substance
blanche dans le lobe frontal, dans le lobe pariét
tion partielle de. ce faisceau qu'il faut expliquer la pâleur de la
substance
blanche dans le lobe occipital, au niyeau de la
t été signalées sur le trajet des radiations thalamiques et dans la
substance
blanche du lobe pariéto-temporal. Les fibres du n
DE BROCA 353 coupes sériées permet d'évaluer la quantité énorme de
substance
cérébrale qui s'est écoulée à travers la brèche
es et tranchées, et les lésions s'arrêtent assez exactement dans la
substance
blanche au même niveau que sur l'écorce ; on ne t
veau que sur l'écorce ; on ne trouve dans le voisinage ni pertes de
substance
,, ni foyers lacunaires. C'est en somme une cavi
assés et recroque- villés, qui semblent indiquer qu'à ce niveau, la
substance
blanche a été plus éprouvée que l'écorce elle-m
même. Cette cavité s'est creusée très profondément aux dépens de la
substance
blanche et de l'insula, et s'est arrêtée très b
mur, de la capsule externe, se prolongeant en anière jusque dans la
substance
blanche de la 2' circonvolution temporale. Dégé
volutions frontale et pariétale ascendantes réapparaissent, mais leur
substance
blanche, sauf une partie des fibres en U. est c
iétale ascendantes. Dégénération de la couionne rayonnante et de la
substance
blanche non différenciée, se poursuivant en arr
la plus grande partie de l'insula. -Lésions des- tructives dans la
substance
blanche de la 2* circonvolution temporale. - Dégé
peu au-dessus de la précédente. Destruc- tion et dégénération de la
substance
blanche non difl'érenciée, de la substance blan-
tion et dégénération de la substance blanche non difl'érenciée, de la
substance
blan- che radiée des circonvolutions, s'étendan
che radiée des circonvolutions, s'étendant depuis F3 jusqu'à Pl. La
substance
blanche est complètement dégénérée jusqu'au bor
cette contracture tardive. Les muscles du côté paralysé, dit-il en
substance
, sont au début de la maladie flas- ques et iner
ine note-t-on un léger ponctué hémorragique disséminé dans toute la
substance
blanche. Dans le cervelet on sent une indurat
u de granulations dans son parenchyme. Il en est de même des reins (
substance
corticale et médullaire normale), qui pèsent, le
cellules géantes. Il y en a une dans la moelle elle-même, en pleine
substance
blanche, au voisinage de la corne antérieure.
e dans le liquide céphalo-rachidien (0.1 centigr.) montre que cette
substance
se trouve dans l'organisme à des doses normales
404 RAUZIER ET BAUMEL . niveau fut comprimée et corrodée, et que la
substance
médullaire fut atteinte par le processus tuberc
it se trouver le corps calleux, on voit qu'il subsiste une bande de
substance
blanche s'étendant le long de la paroi interne
t précédée d'ulcérations gingivales très douloureuses avec perte de
substance
. Les dents déchaussées tombaient une à une bien q
lobes temporaux les méninges étaient adhérentes entre elles et à la
substance
cérébrale sous-jacente, surtout sur l'hémisphère
vaisseaux. Dans certains endroits les adhérences des méninges à la
substance
cérébrale étaient si fortes qu'on ne pouvait pa
ableau nous ajouterons qu'on rencontre dans les méninges el dans la
substance
cérébrale des foyers microscopiques d'hé- morra
ssant à l'étude du tissu néuoglir¡1te, nous devons remarquer que la
substance
cérébrale de l'hémisphère présente ses modificati
forme ovoïde, sont assez gros, avec deux, trois nucléoles, ont une
substance
chromatique NOUVl : .1 LE ICONOGRAPHIE DE LA SA
qu'une certaine partie de fibrilles de la région donnée revêtue de
substance
collagène (fibres colla- gènes), rien de plus ;
u système général de fihres con- jonctives qui n'est pas revêtue de
substance
collagène. Pour cela nous em- ployons la méthod
es les fibrilles conjonctives d'un or- gane quelconque (revêtues de
substances
collagène on non), forment un seul réseau conti
cas que nous [examinons, où, grâce à l'adhérence des méninges à la
substance
cérébrale, on peut s'attendre à trouver un dévelo
yons comment les fibres collagènes se dirigent en faisceaux dans la
substance
cérébrale et là, en se débarrassant de la subst
isceaux dans la substance cérébrale et là, en se débarrassant de la
substance
collagène, se continuent en un réseau de fibril
s faisceaux conjonctifs collagènes, après s'être débarrassées de la
substance
collagène, se soudent pour ainsi dire en une fibr
llagènes des vieilles cellules conjonctives des méninges et dans la
substance
cérébrale par les membranes réticulaires des espa
s dans notre cas déjà on peut voir par places à la périphérie de la
substance
céré- brale, aux endroits représentés sur les f
Il faut croire que la nouvelle couverture de la fibre formée par la
substance
colla- gène vient du côté de ces fibres collagè
contraire dans ce cas d'un petit foyer très limité siégeant dans la
substance
grise et comparable à ceux que l'un de nous a o
l'hémorragie méningée. Les auteurs ont insisté sur la richesse des
substances
albumi- noïdes qu'on trouve dans le liquide obt
face médullaire, de sorte qu'on ne peut les enlever sans entamer la
substance
nerveuse. La consistance de la moelle est gélatin
petits îlots de matière blanche qui font un réel contraste avec la
substance
environnante. A la région médullaire terminale,
e résulte d'une action physique ou plutôt physico-chi- mique, de la
substance
employée sur les éléments conducteurs de l'influx
nous a été impossible de les séparer sans entamer en même temps la
substance
nerveuse. La consistance de la moelle, l'aspect
n médullaire de longue durée avec augmenta- tion de la quantité des
substances
albuminoïdes - c'est-à-dire obstacle (1) Jean T
celui qui se passe dans le sang après toute émission sanguine. Une
substance
albuminoïde du liquide (le fibrinogène) sous l'
question qui se pose est de savoir d'où vient l'énorme quantité de
substances
albuminoïdes et surtout du fibrinogène qu'on trou
l'indice presque certain d'un néoplasme rachidien (1). Parmi les
substances
albuminoïdes qui envahissent les espaces sous-
enflammées est caractérisé en première ligne par l'abon- dance des
substances
albuminoïdes et spécialement du fibrinogène, fait
st faible, et en tous cas ne correspond pas à la grande quantité de
substances
albuminoïdes épanchées. Comme nous l'avons vu,
circonvolution frontale. En profondeur, elle ne dépassait pas la
substance
blanche propre de la circonvolution frontale as
aissables. Les fibres à myéline sont plus clairsemées à ces places.
Substance
blanche sous- corticale. Le type du noyau clair e
myéline n'a pas diminué. Les couches optiques et les autres amas de
substance
grise, ont également un aspect normal ; il y a
C , où il occupe le fond du cordon latéral droit et empiète sur la
substance
grise adjacente. Ses limites sont nettes, en ap
6) envahis- sant à la fois, dans la moitié droite de la moelle, la
substance
grise (cornes antérieure et postérieure) et la
moelle, la substance grise (cornes antérieure et postérieure) et la
substance
blanche. Son développement maximum se trouve da
moitié droite de la moelle n'est plus représentée que par un peu de
substance
blanche, étalée la périphérie de la masse caséeus
ur est situé.dans la partie moyenne du seg- ment C7 où il occupe la
substance
grise intermédiaire aux cornes anté- rieure et
la figure B ne permet pas de conclure à la suppression de toute la
substance
blanche qui a perdu sa forme ou sa coloration n
trouve, au-dessus de la lésion, aucune imprégnation anormale de la
substance
nerveuse ; la vacuolisation et la diffusion des g
isceau py- ramidal croisé se massent dans la profondeur, près de la
substance
grise, celles qui occupent le faisceau fondamen
lus haut, dans les noyaux des cordons de Burdach et vont jusqu'à la
substance
grise placée entre le faisceau solitaire, le corp
suivi la dégénérescence ascendante du faisceau pyramidal jusqu'à la
substance
blanche sous-corti- cale ; ce résultat qui dema
idal, émet par sa face interne des fascicules qui pénètrent dans la
substance
grise bulbaire. Ces fibres sont nombreuses et r
s du faisceau la- téral du bulbe,occuper la partie antérieure de la
substance
réticulée grise et 70 LONG . ED. LONG P1.. XV
R) et sa racine descendante. Il pénètre transver- salement dans la
substance
réticulée grise (S Rg),dont il ne dépasse pas la
. 14) ; il se disperse dans une région qui con- tient, à la fois la
substance
grise annexée au corps restiforme (N Crst), le
), le corps juxtarestiforme (Cj) et la partie la plus reculée de la
substance
ré- ticulée grise, autour du noyau et de la rac
sal, passe derrière cette racine du trijumeau et se termine dans la
substance
grise qui entoure le noyau du glosso-pharyngien
hent. D'après nos coupes, le faisceau ou plexus dorsal aboutit à la
substance
grise, au-dessus des noyaux des cordons postéri
ndante latérale se sont arrêtées pour la plus grande partie dans la
substance
grise du bulbe ; il ne reste, en effet, et du c
nnellement le nombre des grains noirs. - Ce groupe occupe dans la
substance
réticulée (fig. 16) la zone limitée parle noyau
culaire, avec les tubercules quadrijumeaux posté- rieurs et avec la
substance
grise avoisinante (le terme de fibres spin[ ! -
térieur. RI, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil médian. SgAg,
substance
grise de l'aque- duc. Sgfi, substance grise de
, ruban de Reil médian. SgAg, substance grise de l'aque- duc. Sgfi,
substance
grise de Rolando. - SR, formation réticulée. SUa,
is absentes de ce côté. ' Se dorsale. Les différents éléments de la
substance
blanche et de la sub- stance grise vu au fort g
xiste une dégénération légère du cordon de Goll mais le reste de la
substance
blanche et la substance grise ont gardé leur état
égère du cordon de Goll mais le reste de la substance blanche et la
substance
grise ont gardé leur état normal. Sur le premie
hémiatrophie légère de la moitié gauche de la moelle portant sur la
substance
grise et sur le faisceau antérieur à partir du ni
la figure 53 qui se rapporte à une femme tabétique. - La perte de
substance
peut se présenter sous plusieurs aspects. En fo
cence et d'atrophie atteignant d'une façon plus ou moins globale la
substance
même de ce noyau. En général, ces réactions secon
upérieure du noyau rouge portant à la fois sur la capsule et sur la
substance
même de ce noyau. Nous ferons remarquer que,
du noyau rouge doit être attribuée plutôt à la dégénérescence de la
substance
médullaire centrale qu'à la disparition des élé
tteignait tout particulièrement la zone grise dorso médiane dont la
substance
moléculaire était notablement réduite et les ré
moyen une atrophie très marquée, laquelle intéres- sait surtout la
substance
médullaire centrale et la zone marginale grise
. Ici encore, il s'agissait essentiellement d'une raréfaction de la
substance
moléculaire, bien que, çà et là, la dégénérescenc
ente grise réticulée (gNlUen lialken de l'auteur), c'est-à-dire, la
substance
moléculaire et les éléments cellulaires de moin
dorso-médiane du noyau rouge et entrent en relation surlout avec la
substance
moléculaire et avec la charpente grise constitu
de ce noyau et se terminent, au niveau de son tiers moyen, dans la
substance
grise réticulée des zones latérale et centrale. I
e des zones latérale et centrale. Ici encore, c'est surtout avec la
substance
moléculaire que les fibres corticales affectent
ulaire, la lésion occupe le segment inférieur de l'hippocampe et la
substance
profonde de la moitié in- terne du lobule fusif
orsale ou supé- rieure du noyau rouge. En même temps on note que la
substance
médullaire de ce noyau n'est pas indemne et que
complètement disparu mais il persiste une décoloration notable de la
substance
profonde du lobule fusiforme et de la circonvol
parait fort mieux délimité. En revanche, la dégénéres- cence de la
substance
même de ce noyau devient encore plus évidente qu'
. On remarque aussitôt la décoloration intense et généralisée de la
substance
médullaire centrale du noyau rouge. En outre, l
poursuit sur un certain nombre de coupes et implique légèrement la
substance
sus-jacente de la circonvolution limbique. La p
ganglion. L'implication de la couronne rayonnante a rf-tenti sur la
substance
profonde de la circonvolution limbique et des c
montant le long du bord externe de ce noyan pour s'irradier dans sa
substance
médullaire supérieure, l'autre se portant en ba
e la couche optique, et, d'autre part, la couronne rayonnante et la
substance
profonde du lobe pariétal. Il existe quelques pet
t le pôle anté- rieur du noyau rouge. On remarque que tandis que la
substance
médullaire centrale de ce noyau est notablement
un petit foyer de ramollisse- 208 LA SALLE ARCHAMBAULT ment de la
substance
profonde du lobe pariétal, lequel siège au niveau
nullementrespon- sable de la décoloration si accentuée de toute la
substance
profonde avoisinante. Cette décoloration tient
mporal, la déco- loration partielle des couches sagittales et de la
substance
profonde est diffi. cile à constater. En dehors
a capsule interne, ain.ii qu'une décoloration assez accentuée de la
substance
profonde de la convexité pariétale-et de la capsu
éres- cence très marquée de la couronne rayonnante pariétale, de la
substance
pro- fonde avoisinante, de la capsule interne e
antérieur du nuyau rouge. On note la décoloration généralisée de la
substance
médullaire centrale de ce noyau ainsi que la ra
troisième circon- volution frontale gauche mais atteignant aussi la
substance
profonde des cir- convolutions voisines. Vu de
yonnante. A cet endroit, le ramollissement atteint di- rectement la
substance
profonde du pied de la deuxième circonvolution fr
nt. Cette lésion a déterminé une décoloration partielle de toute la
substance
profonde de la convexité pariétale et même de la
sant à l'égard de ce noyau, sauf une certaine pâleur relative de la
substance
médullaire centrale. La capsule frontale du noy
marginalis et de la première circonvolution temporale, ainsi que la
substance
profonde des deux tiers postérieurs de la deuxièm
uronne rayonnante, elle, envoie des prolongements linéaires dans la
substance
profonde de l'opercule rolandique et même dans la
ons de la calotte. La capsule externe est totalement incolore et la
substance
profonde du lobe pariétal est nettement dé- gén
able et forme un foyer rectangulaire, lequel détruit large- ment la
substance
profonde de l'opercule rolandique et atteint le b
oloration nette et géné- ralisée, mais peu intense toutefois, de sa
substance
médullaire centrale. A cet endroit, la capsule
ent dorsal ou supérieur de cette capsule, puis elle pénètre dans la
substance
même de ce noyau pour s'épuiser enfin dans les
bien que l'on observe assez souvent une certaine raréfaction de la
substance
médullaire centrale. Dans les lésions du bord s
yéline qui pénètrent à l'intérieur de ce noyau, la résorption de la
substance
moléculaire, l'atrophie et le tassement des éléme
lycosurie, l'action de centres régulateurs cérébraux placés dans la
substance
grise interpédonculaire 1>. Certes, le pro
ophie des premières. Les coupes d'après Van Gieson montrent dans la
substance
grise du noyau 282 VAN WOERKOM caudé et du no
de projection de la capsule interne, ce ne sont que les traînées de
substance
grise traversant la capsule interne qui sont en r
cules qui restent se sont rapprochés à cause de la diminution de la
substance
fondamentale. La lamina medullaris externa-est fo
re très dense, dans lequel ces fascicules ne sont pas retrouvés. La
substance
innominée avec ses fibres transversales, la ban
orrespon- dante du cerveau normal. Par la réduction des traînées de
substance
grise séparant les faisceaux de la capsule inte
général leurs noyaux sout bien conservés. C'est le même cas avec la
substance
grise de l'étage ventral : augmentation du pigmen
), une légère proliféra- tion de la névroglie est constatée dans la
substance
blanche sous-corticale ; surtout autour des vai
orce, la névroglie est à peine en voie de pro- lifération ; dans la
substance
blanche sous-corticale, le processus est plus a
tie antérieure de la base du noyau lenticulaire, il s'étend dans la
substance
innominée de Î3eiclrert et dans la base de l'av
s la clinique montre souvent la participation des méninges et de la
substance
blanche de la moelle : lymphocytose rachidienne
qu'il y a aussi des lésions méningées et des lésions diffuses de la
substance
blan- che. Dans le second cas, on pourrait se d
on trouve des lésions des cornes antérieures, des méninges et de la
substance
blanche, c'est-à-dire des lésions diffuses anal
ite. Car c'est au côté droit qu'il persiste encore un petit pont de
substance
médullaire ramollie qui réunit les parties du n
stion. Le contenu de ces noyaux devient plus clair aux dépens de la
substance
chromatique, de sorte qu'à la fin, il ne reste qu
enaient intacts, de nouveaux symptômes apparurent, indiquant que la
substance
grise centrale entrait en ligne. C'étaient des cr
blancs, puis, après les avoir libérés, s'être ensuite fixées sur la
substance
grise centrale qui, d'accord avec le grand sympal
la normale, aucun d'eux n'offre de trace d'une perte secondaire de
substance
. Outre la réduction, les phalangettes présenten
acer et, par conséquent, d'annihiler l'effet toxique des nombreuses
substances
toxiques ou nuisibles absorbées par la paroi in
ubstances toxiques ou nuisibles absorbées par la paroi intestinale,
substances
qui.lui sont apportées par le système delà vein
attaque. Il pensait aussi que l'acide urique ou plutôt une clo ses
substances
d'origine pourrait être l'agent toxique de l'ép
ses subs- tances que nous appelons lipoïdes ; comme on le sait, les
substances
antitryptiques du sang se composent de la combi
iraient déjà une démence secondaire) une augmentation évidente des
substances
antitryptiques dans le sang (Pour de plus amples
é que la thyréo- globuline, découverte par Oswald, soit vraiment la
substance
produite par la sécrétion interne de la glande
ombreuses hypothèses pour expliquer la nature et la composition des
substances
, produites par la glande thyroïde ; de beaucoup p
a quelque doute sur leur action fermentative, car toutes sortes de
substances
chi- miques peuvent exercer cette action de « f
intoxication ? Comme on ne sait encore que très peu de chose de ces
substances
elles-mêmes et encore moins de la manière dont
aussi encore complètement la nature et la composition chimique des
substances
, apportées dans la circulation par ces quatre o
orption sont aussi dimi- nués. Les suites se laissent deviner : des
substances
alimentaires, proba- blement surtout les albumi
des aminés et les bases aminées, sont transformés insuffisamment en
substances
inoffensives et assimilables : l'échange gazeux d
ches en toxines. Ils purent même montrer facilement in vitro que la
substance
cérébrale est très avide de toxines ; si l'on p
, ne sembla pas être la même dans les différentes parties, comme la
substance
grise et la substance blanche. Dans un cas d'em
a même dans les différentes parties, comme la substance grise et la
substance
blanche. Dans un cas d'empoisonnemenl par l'abs
t. cas, de son excès d'acide carbonique et peut-être aussi d'autres
substances
toxiques. Bien que les toxines de l'épilepsieesse
, les malades regardent aussi les attaques comme des déblayeuses de
substances
nuisibles : si leur sang et leur cortex cérébral
ranchi la ligne médiane, gagné la face postérieure de la moelle, la
substance
grise médiane, à mesure qu'elle libérait le faisc
és inférieu- res, segment dans lequel la sclérose envahit tantôt la
substance
grise ou les faisceaux blancs, tantôt se dissém
issant par compression que d'une hématomyélie qui aurait détruit la
substance
médullaire. En effet les sphincters quoique pares
sens anatomique, impliquant l'idée du retour à l'état normal de la
substance
médullaire ? C'est possible, nous savons que le
très superficiel, n'intéressant que la moitié de l'épaisseur de la
substance
grise et situé sur le lobule paracen- tral gauc
gèrement touchée. Dans la profondeur le ramollissement intéresse la
substance
blanche située au-dessous de la lr8 temporale e
porale et de la 2° pariétale,mais sans sec- tionner complètement la
substance
blanche sous-jacente à la 2" pariétale. Au-des-
-jacente à la 2" pariétale. Au-des- sous du foyer proprement dit la
substance
blanche est légèrement teintée en jaune,mais sa
la 2° temporale. Profondément la lésion dessine une vaste perte de
substance
approchant de la corne occipitale du ventricule l
indemne ainsi que le lobule lingual et fu- siforme. Profondément la
substance
blanche sous-jacente à la 2e occipitale est dét
périeur etd'unepartiedu faisceau occipital vertical deWernieke). La
substance
blanche du cuneus, du lobule lingual et du lobule
sions s'étendant vers les points du globe occipital (intéressant la
substance
blanche faisceau vertical occipital de Wernicke).
ssement ancien sur le gyrus angulaire (pli courbe) empiétant sur la
substance
grise de la portion postérieure de la première
rieure de la première temporale et s'enfonçant profondément dans la
substance
blanche jusqu'à la corne postérieure du ventric
bale. A l'autopsie : hémorragie ancienne à gau- che au niveau de la
substance
blanche du pli courbe et de l'insula avec par-
109 et vie de ces animaux : c'est qu'ils sont engendrés de quelque
substance
humide des pierres, laquelle-humidité putréfiée
s les faisceaux cérébelleux directs et les faisceaux de Gowers ; la
substance
grise de la moelle est atrophiée avec dispariti
n d'apparence. Par contre, la moelle présente des altérations de la
substance
grise (atrophie partielle ou disparition des cell
presque totale des cellules correspondantes), et des lésions de la
substance
blan- che (dégénération partielle des cordons p
ieurs chez Louis Haud... et « une raréfaction dans une partie de la
substance
blanche du cervelet ; ni chez son « frère, ni c
rieure ; à droite, il semble res- pecté sur toute son étendue. d)
Substance
grise. - La substance grise antérieure possède pa
semble res- pecté sur toute son étendue. d) Substance grise. - La
substance
grise antérieure possède partout un ré- seau my
s et en cellules, surtout au niveau des colonnes de Clarke et de la
substance
gélatineuse de Rolando. e) Méninges et vaisseau
dire absorbé et remplaeé les parties mentionnées du cortex et de la
substance
blanche, il est compréhensible que les phénomèn
la compression cérébrale aient presque complètement fait défaut. La
substance
blanche de la partie inféro-externe des coupes
se et il est difficile d'y reconnaître les éléments cellulaires. La
substance
blanche appa- raît criblée de petites lacunes,
Ils se manifestent par la formation de vacuoles au détriment de la
substance
blanche. Densité FIG. 1. Calc, calcarine. Cun,
face noueuse, recou- verte de grosses veines ; séparé partout de la
substance
cérébrale par un épais tégument de tissu conjon
profon- dément (Calc. Po. Ip.). Il ne reste pas de larges champs de
substance
blanche, contenant entr'autres les fibres court
c ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 143
substance
blanche qui a perdu en épaisseur ; Les masses gri
gorgés de sang. A proximité de la tumeur ou dans les endroits où la
substance
blanche a beaucoup perdu en épaisseur, ils appa
région. Là où l'écorce est le plus altérée, il en est de même de la
substance
blanche. On y voit, et cela de nouveau jusqu'au
acées de préférence entre les faisceaux blancs et les trabécules de
substance
grise qui relient N. C. et N. L. On les retrouv
anquent même pas à proximité immédiate de la tumeur, où pourtant la
substance
blan- che a une zone sclérosée. C'est dans le c
ion lymphatique se faisait mieux. . Mais en avant de cette coupe la
substance
blanche, malgré tous nos essais, n'a jamais pri
se étroite, elles font défaut à proximité immédiate de la tumeur.
Substance
blanche (Carmm et Weigert-fai). - vous y constato
s. En certams endroits où probablement il était très difficile à la
substance
cérébrale de faire place (p. ex. c. de la Pl. XXV
ellules arai- gnées » en grand nombre. En arrière du néoplasme la
substance
blanche a un aspect tout à fait nor- mal. ' E
s constaté partout les altérations décrites précédem- ment. Dans la
substance
grise des vacuoles autour des cellules nerveuses;
s ; par contre dilatation ventriculaire générale, raréfaction de la
substance
blanche par formation de vacuoles dans le tronc e
rose remarquable de l'épendyme, pénétrant même profondément dans la
substance
blanche. (fig. 11). Partout nous trouvons des
blé : les cellules sont perdues dans de larges espaces blancs. La
substance
blanche présente un aspect particulièrement dense
4). Nous avons trouvé des altérations beaucoup plus fortes dans la
substance
blanche que dans l'écorce. Nous tenons cela pour
l'écorce qui est lésée. Le siège de l'atrophie dans le cortex ou la
substance
blanche ne fournirait-il pas l'explication de c
rnirait-il pas l'explication de ces variétés de démence. 60 Dans la
substance
blanche les faisceaux d'association paraissent so
et de cel- lules détruites à savoir : la masse ganglionnaire de la
substance
grise de l'nque- 1 l<'lG. 1. Fio. 2. ?
ALOTTE PÉDONCULAIRE 167 duc et du tubercule quadrijumeau gauche, la
substance
réticulaire, la partie supérieure et interne du
ont la même dimension, on voit bien les cellules ner- veuses de la
substance
ganglionnaire des deux côtés. Dans une coupe en
un petit faisceau de fibres pâles et atrophiées. Les cellules de la
substance
grise du locus coerules à ce niveau sont très rar
es centres coordinateurs supra-nucléaires (tubercules quadrijumeaux,
substance
grise sous-épendymaire, etc.), tandis que Teill
e propageait en avant dans la calotte pédonculaire et touchait à la
substance
grise de l'a- queduc de Sylvius. Il y a encor
t que les symptômes oculo-moteurs ne sont pas dus à la lésion de la
substance
grise ganglionnaire des tubercules quadri- jume
s du pédoncule. Reinhold (2) place les centres vaso-moteurs dans la
substance
grise sous-épendymaire, tandis que cette locali
vement petits, des vésicules dont les unes contiennent encore de la
substance
colloïde plus ou moins modifiée comme le prouve
d'un processus d'hyperplasie glandulaire qui a bouleversé toute la
substance
cor- ticale (fig. 5). La capsule fibreuse, ép
igmenta- tion. En plus des adénomes, on remarque encore dans la
substance
corticale de petits amas cellulaires à noyaux t
normaux, ont quelques îlots inflammatoires en certains points de la
substance
corticale sous l'enveloppe fibreuse ; il reste
es muscles étaient très .volumineux, des gouttes de graisse dans la
substance
contractile,une pro- lifération des noyaux du s
entres professionnels. Erb localise le centre de l'écriture dans la
substance
grise de la moelle cervicale. Quelle que soit l
rité du professeur Erb, on devrait même trouver des lésions dans la
substance
grise de la moelle cervicale. Duchenne de Bou-
ramollissement superficiel ayant détruit la presque totalité de la
substance
grise. Au Nissl. Les cellules grandes pyramidal
ertaines coupes des hémorragies interstitielles qui ont dilacéré la
substance
grise. Les vais- seaux sont très congestionnés
u de l'émergence des racines antérieures. Pas d'infiltration .de la
substance
médullaire. Sclérose très dense et bien systémati
ère cranienne est épaisse, lactescente ; elle adhère fortement à la
substance
grise des circonvolu- tions, surtout des antéri
épaissie. Il n'y a pas d'altération appréciable des cellules de la
substance
grise. Les préparations par la méthode de Weigert
à la coupe, gras et conges- tionné. Les reins sont scléreux ; la
substance
corticale en est très atrophiée ; à la partie i
urtout de Weigert, per- mettent de se rendre compte de l'état de la
substance
blanche. Les cordons antéro-latéraux sont absol
endroits, elle semble former de véritables nodules infectieux. La
substance
médullaire est également enflammée ; on y trouve
pie-mère est fort épaisse et infiltrée. Dans l'intérieur même de la
substance
corticale les parois des vaisseaux sont infiltrée
es, des racines et des cordons postérieurs, périvascularite dans la
substance
grise moyenne et postérieure et légère infiltrati
chronique an- térieure et postérieure, de périvascularite dans les
substances
blanche et grise, sans systématisation, et d'in
llement adhérente qu'elle entraînait avec elle de larges plaques de
substance
grise ramollie. Pas d'athérome des artères de la
mérien- nes et de petits ramollissements superficiels détruisant la
substance
grise. Au Weigert, les libres de la couronne ra
elui des autres plus grosses qu'à l'état normal est frappante. La
substance
réticulée paraît également présenter une'diminuti
énorme endartérite ; les ra- cines sont infiltrées, de même que les
substances
blanche et grise où l'on voit des traînées de c
ocessus inflam- matoire à maximum au niveau de la pie-mère et de la
substance
nerveuse de la moelle dorsale. Enfin, il y a
ur et postérieur sont enflammés (péri-artérite et endartérite). Les
substances
blanche et grise de la moelle sont également infi
rononcée. Le tissu nerveux se colore mal, seulement au niveau de la
substance
grise. Il existe de la périartérite des artères
bite et de la périartérite assez accentuées. L'infiltration de la
substance
nerveuse prédomine dans la substance grise et s
centuées. L'infiltration de la substance nerveuse prédomine dans la
substance
grise et surtout au niveau des cornes antérieur
servé leur forme; on voit encore leurs grains chromatiques, mais la
substance
achromatique reste colorée en bleu. Weigert-Pal
les deux) se décortiquaient facile- ment ; pas de diminution de la
substance
corticale. Les capsules surrénales entourées de
en faire une lésion due à l'inflammation et à l'embolie locale des
substances
contenues, dans le sang, est complètement tombé
edèmes ; pour le malade d'Hugues (77), la sensation gustative d'une
substance
douce ou aigre était suffisante ; pour le sujet
ut phé- nomène vasomoteur. Cette expérience amena la découverte des
substances
lymphagogues. Nous ne voulons pas décrire toute
ous désirons seulement remarquer que cet auteur trouva une série de
substances
qu'il appela lymphagogues : ces substances inject
teur trouva une série de substances qu'il appela lymphagogues : ces
substances
injectées dans le sang augmentent la production
e la pression artérielle. Nous désirons seulement remarquer que les
substances
lymphagogues sans action vasomotrice étudiées p
dilatés : ils seraient dus à une action lymphagogue spécifique des
substances
dont nous avons vu le rôle étiologique. Nous avon
être provoqués pour une action sur le système nerveux de certaines
substances
, ou bien par voie réflexe à la suite d'excitati
s de la première catégorie (à laquelle appartient toute la série de
substances
dont l'absorption joue un rôle étiologique import
leurs l'oedème circonscrit qui amena Heidenhain à la découverte des
substances
lymphagogues, avait bien été produit certainement
nie qu'ils agissent en excitant une sécrétion. Selon sa théorie ces
substances
apportent une modification dans la composition
outtière crânienne ou crânio-spinale. Ce contenu n'est jamais de la
substance
cérébrale : dans la pseudencéphalie, c'est une
ermé dans une poche logée dans la gouttière crânienne représente la
substance
cérébrale. Il considère, en effet, cette eau co
ffet, cette eau comme une production primitive, car il admet que la
substance
cérébrale apparaît dès l'abord sous forme d'un
tervenir une hydrocéphalie foetale, sous l'influence de laquelle la
substance
cérébro-spinale serait secondairement détruite. E
erveau en un véritable kyste. Dans d'autres circonstances, toute la
substance
nerveuse est détruite, des faus- ses membranes,
ne, épais de 22 millimètres. Ce pédicule plein est en continuité de
substance
avec la partie libre sacciforme longue de 6 mil
tant de noter que le pied de la tumeur est continué en avant par la
substance
Fio. 2. Tumeur pseudencéphalique postérieure.
position de la tumeur ou, d'une façon plus générale, de la perte de
substance
crâuio-vertébrale, on observe un certain nombre
place. Le fait est fort possible; il se pourrait même que la perte de
substance
soit très étendue, comme il semble que cela ait
vait peut-être été plus considérable, car l'état d'altération de la
substance
osseuse indiquait une destructiou secon- daire.
end bien plus d'un étalement des arcs vertébraux que d'une perte de
substance
secon- daire. On constate, en effet, que le can
On ne constate d'ailleurs aucune disposition insolite, soit dans la
substance
grise, soit dans la substance blanche : ce segm
ne disposition insolite, soit dans la substance grise, soit dans la
substance
blanche : ce segment de la moelle est, en somme
jonctif embryonnaire prolifère et finit par constituer^une sorte de
substance
fondamentale séparant les uns des autres les tr
confondent en un tissu conjonctif qui constitue comme une sorte de
substance
fondamentale parsemée de vaisseaux. Il n'y a là
e degré de néo-formation vas- culaire devraient coïncider, avec une
substance
médullaire parfaitement re- connaissable. Même,
- même ; bien avant que la dégénérescence ait envahi et supprimé la
substance
blanche, les hémorragies intra-médullaires, la
uns des autres : tous, ou presque tous, se trouvent inclus dans une
substance
conjonctive fon- damentale constituant une mass
port de similitude avec le tissu médullaire. Il est clair que si la
substance
encéphalique des foetus qui nous occupent en cet
une part, comme de l'autre, ces vaisseaux semblent creusés dans une
substance
conjonctive très cohérente ; à de très rares ex
es- pondant aux cornes antérieures. Quant à la démarcation entre la
substance
grise et la substance blanche, elle ne peut êtr
antérieures. Quant à la démarcation entre la substance grise et la
substance
blanche, elle ne peut être indiquée en aucune faç
présente des parois forts minces, transparentes; il est relié à la
substance
intra-crunienne par un pédicule très court et trè
, il est continué, dans la région intra-crânienne, par une masse de
substance
compacte. Ces deux formes présentent les mêmes
rsister encore, dans la partie centrale, une cer- taine quantité de
substance
cérébrale ; mais elle est peu distincte et sa nat
s le bas. Ainsi, quelle que soit la disposition morphologique de la
substance
incluse dans le crâne ou le canal rachidien,- n
(2) Les tranches de cerveau ont alors une coloration gris de fer, la
substance
grise et la substance blanche se distinguant ne
veau ont alors une coloration gris de fer, la substance grise et la
substance
blanche se distinguant nettement l'une de l'autre
rie de points qui représentent la coupe des fibrilles. Moelle. La
substance
grise se détache en foncé sur le reste de la coup
y for- ment des plexus, et se portent ensuite plus loin.' Dans la
substance
grise les fibrilles sont plus fines et plus délié
is avec les cellules nerveuses que des rapports de contiguïté. La
substance
grise apparaît donc comme formée d'un plexus serr
s ramifié ! MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 403 Cerveau. Dans
substance
blanche on distingue, les noyaux et les cy- lin
rochés les uns des autres, mais séparés par une quantité notable de
substance
interstitielle parfaitement hyaline. b) Zone
rapprochées mois séparées, cependant, par de minces colonnettes de
substance
hyaline qui les limitent nettement et, vers le ba
t;K) ? ët' : os<<e. La couche ostéotçène est constituée par une
substance
fondamentale fibreuse et par des cellules spéci
diaphyse, les fibres s'imprègnent de sels calcaires-commeplus haut la
substance
fonda- mentale séparant les colonnes de cellule
sont disposées sans ordre et comme jetées au ha- sard au sein d'une
substance
interstitielle trop abondante qui tend elle-même
yses les plus altérées (Voy. c. PI. IX, fig. 14). A ce niveau, la
substance
interstitielle s'imprègne de sels calcaires qui c
t, sont nettement limités par une sorte de coque constituée par une
substance
interstitielle fibrillaire semée de minces cell
ité est encore exagérée, dans un sens par les placards calcifiés de
substance
interstitielle qui, pauvres en éléments encapsulé
olonnes cellulaires, régulièrement disposées, sont séparées par une
substance
interstitielle hyaline plus ' abondante que nor
rieure enferme encore de grosses cellules cartilagineuses. En b) la
substance
interstitielle se calcifié. Au-dessous se dessine
ut à ce niveau, mais la zone de rivulation est très irrégulière et sa
substance
fondamentale complètement calcifiée. Fio. 15.
s la profondeur, donnent naissance à l'os compact par apposition de
substance
os- seuse et inclusion successive, entre les la
les cellules sont parfois un peu plus espacées et séparées par une
substance
interstitielle dont l'homogénéité n'est pas par-
èrement, restent petites comme si il y avait défaut d'apposition de
substance
osseuse par les cellules médullaires (Stilling)
de l'entrée de la tête du péroné, sur le fémur il y a un cercle de
substance
osseuse néoformée, qui fait saillie sur la surf
ce même niveau moins nom- breuses que dans les autres parties de la
substance
grise du pont ; en tout 588 CATOLA cas elles
es sont bien moins colorables. Les noyaux réticulé et inférieur, la
substance
grise centrale, les stries acoustiques, la pyrami
- sent complètement normaux, sauf une petite zone très pâle dans la
substance
blanche des hémisphères cérébelleux. Le corps r
peu coloré par la laque hématoxylinique et qu'il se confond avec la
substance
réticulée grise et le corps juxtarestiforme. Le
t le feutrage sous-purkinjien sont assez denses et uniformes. De la
substance
blanche du cervelet nous en avons déjà parlé ;
les glan- dulaires, diminuées de volume, renferment cependant de la
substance
colloïde. L'étude histologique de l'hypophyse n
is creusé de cavités irrégulières. Les travées, qui représentent la
substance
fondamentale, ont fortement fixé l'hématoxyline.
groupes de cellules cartilagineuses qu'entoure une mince couche de
substance
hyaline. Toute la surface du massif exostosique
ndante d'une affection non pas encore localisée du système nerveux (
substance
grise de moelle) (1). Tordeus aussi, croit que
propriant des sels calcaires ; ils se transforment en partie en une
substance
fondamentale homogène, en par- tie en cellules
r laquelle dans les états d'irritation chronique, il se forme de la
substance
osseuse dans les tissus connectifs, qui d'ordin
cendante un peu d'athé- rome. Reins fortement hyperémiés ; les deux
substances
se distinguent mal, mais'la zone corticale n'es
calcarine par exemple il ya quelques points infil- trés (fig. 4).
Substance
blanche. Dans tout le pourtour des ventricules le
it un mince filet gris cerclant un zone légèrement teintée en gris.
Substance
grise. La substance grise corticale nous est appa
is cerclant un zone légèrement teintée en gris. Substance grise. La
substance
grise corticale nous est apparue normale. Cepen
a été impossible de re- chercher par exemple des altérations de la
substance
chromatique. Par contre dans la protubérance il
ule blanche d'infiltration, grand mononucléaire ou lymphocyte. La
substance
blanche elle aussi est semée de vacuoles et en ce
énales ne diffère nullement de la normale : on y distingue les deux
substances
, corticale et médullaire, dont l'état de différen
considéré ; la réduction porte simplement sur la quantité des deux
substances
; elle est proportionnelle pour chacune d'elle. S
, qu'elle est un agent, tandis qu'elle est simplement un état de la
substance
vivante dé- terminée par diverses conditions ex
u de petites dimensions, et l'on peut se demander si cette perte de
substance
ne résulte pas d'une erreur de technique. Le poin
e l'épendyme, l'ouverture du canal épendymaire, l'hétérotopie de la
substance
grise. On ne peut évidemment nier que la moelle
rdent pas à supprimer le cerveau, origine de toute une partie de la
substance
blanche de la moelle. Sous l'in- fluence de cet
02. (2) J'ai pu observer, chez l'adulte, un cas d'hétérotopie de la
substance
prise qui n'avait entraîné avec elle aucune con
e suivie de méningite, on de méningite provoquant l'exclusion de la
substance
cérébrale hors du crâne, la méningite n'eu rest
ouvert ; mais l'ouverture est un phénomène primitif, par défaut de
substance
; il est la con- séquence d'une anomalie de la
ppliquant d'ailleurs exactement à un rachis non fermé par défaut de
substance
, il conviendrait de désigner la disposition spéci
tissu ner- veux sous-épendymaire est infiltré dans ces endroits. La
substance
cérébrale et bulbaire prend aussi part à l'infl
olutions, mais on ne constate pas des foyers inflammatoires dans la
substance
cérébel- leuse même. Nous n'avons trouvé null
des méninges de la convexité se transmet aussi plus ou moins il la
substance
cérébrale. Ce fait a été vérifié par l'autopsie
ère donnant lieu à des symptômes en foyer. La participation de la
substance
cérébrale semble être moins intense et moins fr
lésions se cantonnent seulement à ces régions. Mais dans ces cas la
substance
épendymaire est toujours plus ou moins atteinte,
mbre des cellules de Purkinje fit nn certain degré d'atrophie de la
substance
blanche. Anatomiquement donc, comme cliniquemen
parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la
substance
gélatineuse fait un ressaut en dedans; en arriè
dans; en arrière par la périphérie de la moelle; en de- hors par la
substance
gélatineuse et le point de pénétration des racine
t des vomissements commencèrent. A ce moment, on constata que de la
substance
cérébrale sortait de la plaie. Moins d'une heure
aux bords déchiquetés et au fond de laquelle des esquil- les, de la
substance
cérébrale et des cheveux forment un magma. Dans l
t un magma. Dans le pan- sement provisoire une certaine quantité de
substance
cérébrale. Après l'admi- nistration de cordiaux
e changement de pansement, on trouva * une assez grande quantité de
substance
cérébrale tant dans le pansement qu'autour de l
ant dans le pansement qu'autour de la plaie ; la quantité totale de
substance
cérébrale perdue pourra approximativement être
puis lors. Durant la seconde semaine de la maladie, l'écoulement de
substance
céré- brale et de liquide céphalo-rachidien ces
atement, en un certain nombre de fragments lesquels forment avec la
substance
cérébrale et la dure-mère un magma enchevèti é
eu de la lésion, qui est en même temps l'endroit où l'écoulement de
substance
cérébrale se manifesta sur- 108 JOHANSSON ET Fn
à un trajet de 8 centimètres et nous donne un parcours à travers la
substance
cérébrale de 7 centimètres au maximum, le point
xième circonvo- lui ion occipitale ; en outre, par répercussion, la
substance
médullaire a dû être détruite jusqu'aux abords
es de la lésion crânienne, non seulement de grandes par- ties de la
substance
cérébrale ont été détruites, mais les parties cor
à classer parmi les exceptions rares lorsqu'il s'agit de pertes de
substance
cérébrale réelles. L'expérience clinique tend pro
ui est entre la superficie intérieure du cerveau et le milieu de sa
substance
, ils en pourront voir aussi à l'oeil assez d'indi
ans le cerveau ? Une partie servira à le nourrir, à « entretenir sa
substance
» (2) ; mais la plus grande partie en est employé
autour d'une certaine petite glande, située environ le milieu de la
substance
de ce cer- veau, tout à l'entrée de ses concavi
ès la mort, comme le courant des esprits animaux s'est arrêté, « la
substance
du cerveau étant molle et pliante » les pores s
e idée » ils pénètrent dans les luyaux nerveux qui consti- tuent la
substance
cérébrale et plus loin les nerfs.Ils ont la force
éale n'est reliée à aucun canal, qu'elle n'est pas libre, et que la
substance
qui la forme est continue avec la substance cér
st pas libre, et que la substance qui la forme est continue avec la
substance
cérébrale (5). . Nous n'entreprendrons pas de
s colloï- dal représenté par la cellule. En effet, la plupart des
substances
qui existent dans une cellule se trou- vent à l
es expériences restées célèbres, a montré qu'en opposition avec des
substances
cristalloïdes qui diffusent facilement et trave
versent les pores des membranes organiques, il y en a d'autres, les
substances
colloïdes, qui diffusent avec une extrême lente
s de transporter l'électricité et pré- sentent une dissociation des
substances
dissoutes en ions positifs et ions négatifs, ta
ctro-positifs et les colloïdes électro-négatifs. Presque toutes les
substances
entrant dans la constitution des corps vivants se
ux-ci un squelette alvéolaire dans les cavités duquel se trouve une
substance
liquide ; en d'autres mots, les gels sont constit
d'une dizaine de jours l'éltive à 54° C. On mélange intimement ces
substances
, et on obtient une bouillie bien homogène. Puis o
ient être considérées comme des granulations protéiques chargées de
substances
colorées. Les granulations colloïdales dont nou
es, ou les cellules fraîches des animaux nouveau-nés, par certaines
substances
colorantes. C'est ainsi que si on ajoute une go
on spécial au système ner- veux et il a pu réaliser, en traitant la
substance
cérébrale fraîche par le nitrate d'argent et la
s ou des particules ultramicroscopiques réunies entre elles par une
substance
incolorable et associées en colonies linéaires, s
nuleuse. En ce qui concerne l'état physique du hyaloplasma ou de la
substance
intergranulaire,il doit avoir une consistance m
une quantité assez considérable d'électrolytes qui maintiennent les
substances
protéiques en solution. La dilution réalisée pa
ement les résultats de nos expériences sur l'action des différentes
substances
en solutions isotoniques mises en contact avec
produites par l'urée et l'antipyrine, nous dirons seulement que ces
substances
pro- duisent tout d'abord une dissolution très
ut (fig. 18, Pl. XXVIII). On peut ralentir et diminuer l'action des
substances
dissolvantes si au lieu d'employer des solution
ions hypertoniques en utilisant comme véhicule de dissolution de la
substance
active non pas l'eau distillée, mais le sérum p
(fin. 19, l'I. XXVIII). Il est incontestable que dans l'action des
substances
alcalines nous de- vons distinguer trois catégo
nguer trois catégories de faits : Tout d'ahord, c'est la classe des
substances
détruisant l'édifice morphologique de la cellule
s cellules à cause de la rapidité de la cytolyse réalisée par cette
substance
. En ce qui concerne l'hydrate de soude (fig. 20)
dissolution et de la cytolyse totale de la cellule, l'action de la
substance
nocive se borne plus particulièrement à la périph
lvent en une masse diffluente granuleuse. Enfin pour finir avec les
substances
alcalines je dirai quelques mots de l'action du
lycérine 15 minutes, on dis- socie les cellules dans celle dernière
substance
, on constate en général que les cellules sont r
oroïdes attenant DU 'le ventricule, les vaisseaux, les noyaux de la
substance
glise, ni dans les faisceaux de la substance bl
eaux, les noyaux de la substance glise, ni dans les faisceaux de la
substance
blanche du bulbe. L'examen de la moelle a porté
s, vaisseaux, tissu con- jonctif), ni lésions parenchymateuses ; la
substance
blanche est indemne de tonte dégénérescence, le
rement myélini- sées. Il en est de même du réseau fibrillaire de la
substance
grise. Les cornes antérieures ne sont pas défor
es gaines de Schwann. En employant, pour l'étude de ces coupes, des
substances
(carmin, fuchsine acide) qui colorent les cylin-
urs de la moelle sont sclérosés (fibres nerveuses incluses dans une
substance
granuleuse à noyaux multiples), les cordons anl
granuleuse à noyaux multiples), les cordons anléro-latératix et la
substance
grise sont intacts. Les racines rachidiennes an
de contractions fibrillaires. Examen histologique : Dans la moelle,
substance
blan- (t) Zur Genre der spitalen-neuritischea b
raux; raré- faction des éléments cellulaires et des fibrilles de la
substance
grise avec sclérose névroglique ; prolifération
e ; prolifération en îlots de l'épendyme, parfois état criblé de la
substance
grise. Dans les ganglions spinaux, atrophie cellu
de poliomyélite dans les cornes antérieures sacrées ; hétérotopie de
substance
grise dans les cordons postérieurs à la région
dans lesquels non seulement l'axe gris de la moelle, mais aussi la
substance
blanche participaient à la dégénérescence. De mêm
s nerveux pé- riphériques et avec moins de gravité l'axe gris et la
substance
blanche de la moelle (2). Ainsi se fait, par l'
néoplasme (PI. XLI, fig. 4). Sur les coupes passant à ce niveau, la
substance
grise paraît intacte, les faisceaux des cordons a
t nettement sur la fig. 6 : elle est aplatie d'arrière en avant, la
substance
grise est tassée, son diamètre transversal cons
la corne postérieure et en par- ticulier la masse volumineuse de la
substance
gélatineuse de Rolando (gR.). A mesure que se f
A mesure que se forme ainsi la partie postérieure de la moelle, la
substance
grise de la corne antérieure droite, jusque-là
a moelle a disparu, les lésions de, myélomalacie ayant désagrégé la
substance
grise des cornes antérieures (fig. 13) et même
rieures (fig. 13) et même un peu de la corne postérieure gauche. La
substance
blanche est moins touchée, les cordons postérieur
rieur de ces racines. F) Au-dessus de ce point, les lésions de la
substance
grise s'atténuent pro- gressivement et cessent
segment lombaire et du 1er segment sacré, elles n'atteignent que la
substance
grise des cornes antérieures. Elles se localise
nu sur la face antérieure de la tumeur (fig. 2, v.). Dans toute la
substance
médullaire soumise à la compression et non détrui
ieures ou des postérieures ; les premières, venant de régions où la
substance
grise est détruite, sont complètement dégéné- r
c. a., reconstitution du cordon postérieur gauche c. o. p. et de la
substance
gelalineuse de Rolando g. Il. Ces racines antér
332 MINGAZZINl différencierait en cellules amiboïdes englobant la
substance
striée, Blocq et Marinesco (1) ont soutenu une
inflammatoire, ni de très importante prolifération névroglique. La
substance
blanche avoisinante est très sen- siblement nor
forment le réseau pie-mérien, et qui, de là, s'enfon- cent dans la
substance
blanche pour venir au niveau de la substance gris
s'enfon- cent dans la substance blanche pour venir au niveau de la
substance
grise s'anastomoser avec les artérioles provena
n'a pas été suivi de l'accolement parfait des bords de la perte de
substance
ainsi créée. Cette minuscule cavité n'a pas de pa
ES PETITS MUSCLES 359 triciel lâche et c'est cet effondrement de la
substance
grise qui, associé à la sclérose péri-vasculair
e volume et comme étriquée par rapport à celle du côté opposé. La
substance
gélatineuse de Rolando fait particulièrement défa
leurs n'expli- querait pas davantage la localisation exclusive à la
substance
grise. L'étude de la circulation médullaire fou
-être faut-il faire intervenir en outre la fragilité spéciale de la
substance
grise, mise en évidence expérimentalement par l
ure temporaire détermine un ramollissement limité de l'axe gris, la
substance
blanche demeurant saine). Il resterait à expl
ion dorsale. En Du on aperçoit déjà la partie la plus interne de la
substance
gélati- neuse et de la substance spongieuse à d
jà la partie la plus interne de la substance gélati- neuse et de la
substance
spongieuse à droite; au niveau de Dv les deux S
uteur. En Dyi la commissure antérieure fait défaut et aucun pont de
substance
nerveuse ou gliomateuse, n'est jeté entre les d
ie des diverticules latéraux ou postéro-latér3ux, qui segmentent la
substance
grise, les cornes postérieures ou les cordons lat
es-unes par coupe. Ils font défaut dans les parties saines, dans la
substance
grise, dans la dure-mère. Voici quelques exem
argeur permettait l'introduction du doigt dans la Lotie osseuse. La
substance
céré- brale venait faire hernie à travers cette
nière, se ramifie, provoque des lésions plus ou moin étendues de la
substance
blanche, occa- sionne une solution de continuit
upérieur du : leur segment-cervical la circonférence de la moelle, sa
substance
grise repren· Fig. 4. CARIE DES VEIUÈBRES 39U
eurs est un peu transparent (à part quelques endroits avoisinant la
substance
grise). Dans les racines postérieures des deux cô
taine raréfaction dans les voies'latérales, dans le voisinage de la
substance
grise, surtout à droite, ainsi que dans ces voi
ceaux posté- rieurs. Aussi bien dans les racines lésées que dans la
substance
médullaire, il y a augmentation des tissus névr
bstance médullaire, il y a augmentation des tissus névrogliques. La
substance
grise des cornes a une teinte très pâle et le r
davantage dans la région correspondant aux racines postérieures. La
substance
grise se trouve parsemée des deux côtés d'une p
sibilité d'une action exercée sur le processus pathologique par des
substances
toxiques produites par la décomposition des mas
'il s'agit plutôt d'une influence prépon- dérante de l'oedème de la
substance
nerveuse et des troubles circulatoires. Il y a
avait pas non plus de foyers de ramollissement ou d'hémorragie ; la
substance
grise était relativement indemne. Les méninges
elle droite (à gauche sur le dessin), la diminution du volume de la
substance
grise, portant à la fois sur les cornes anté- r
rieure de l'hémi-moelle droite, correspondant il l'effondrement de la
substance
grise. Dans l'ensemble l'hemi-moelle droite est
grise. Dans l'ensemble l'hemi-moelle droite est très atrophiée. La
substance
blanche est sensiblement indemne sauf en un poi
aieur modéree el diffuse des cordons postérieurs. Du côté gauche la
substance
grise est un peu diminuée de volume par rapport à
erne, petite cavité triangulaire sans gliomatose. Du côté gauche la
substance
grise a repris un aspect sensiblement normal. N
Noter toujours du côlé droit le sillon de la face antérieure. Dans la
substance
blanche, il reste dans le cordon antérieur quel
vaisseaux moins abondants et moins volumineux que du côté droit, la
substance
blanche paraît intacte. La destruction de la co
Vaisseaux moins abondants et moins volumineux que du côté droit. La
substance
blanche parait intacte sauf l'existence d'une d
ué de la face antérieure. Du côté droit (côté gauche du dessin), la
substance
grise est peut-être un peu diminuée de volume. La
ssin), la substance grise est peut-être un peu diminuée de volume. La
substance
blanche présente une sclérose modérée, mais net
orsal. Les cornes postérieures sont grêles et mal vascularisées. La
substance
blanche est indemne. Pas de lésions des cordons p
environnant uniformément blanchâtre et mou. On ne distingue plus ni
substance
médullaire, ni substance corticale. Rein gauche
blanchâtre et mou. On ne distingue plus ni substance médullaire, ni
substance
corticale. Rein gauche : la tranche de néphroto
surface on observe de petits nodules jaune orange appartenant à la
substance
corticale. La substance corticale et médullaire
petits nodules jaune orange appartenant à la substance corticale. La
substance
corticale et médullaire sur les coupes semble n
cu- les dont le contenu est hématoxylinophile ou des blocs de cette
substance
dans la masse de colloïde éosinophile.Dans un g
lé- rose. Nous n'avons pas trouvé de canaux lymphatiques remplis de
substance
colloïde. Les paralhijroides contiennent beau
paralhijroides contiennent beaucoup de vésicules adipeuses. Dans la
substance
parathyroïdienne elle-même, on trouve des cellule
mais volumineuses granulations colorables par le même colorant. La
substance
colloide dans les alvéoles est peu abondante, e
eins. Le corps thyroïde présentait des follicules dilatés riches en
substance
colloïde et dont un certain nombre présentaient
re pratiqué. En tout cas on nota macroscopi- quement l'abondance de
substances
lipoïdes. Les reins outre l'aspect vaso-paralyt
us ou moins évidentes des sécrétions internes et du métabolisme des
substances
de l'organisme. La thèse de l'un de nous dont c
ôt sur les enveloppes : boite crânienne et méninger ; tantôt sur la
substance
cérébrale elle-même ; tantôt enfin sur ses vais
euse,des lésions inflammatoires banales et de la sclérose ; dans la
substance
cérébrale encore des gommes, de l'infiltration
des artères agit presque uniquement en ischémiant ou ané- miant la
substance
cérébrale, c'est-à-dire en supprimant fonctionn
2° Artérites oblitérantes. Leur mode d'action est l'is- chémie ; la
substance
cérébrale reçoit moins de sang que normalement;
ar la formation d'un thrombus, et a produit un ramollissement de la
substance
cérébrale. Ou bien les parois infiltrées de l'a
onner des ramollis- sements très limités dans tous les points de la
substance
cérébrale. Le diagnostic de la cause se basera
spécial ,de la surface des coupes, et un état un peu poisseux de la
substance
cérébrale. Mais l'autopsie a été faite quarante
pect des gros reins blancs : volume doublé, aspect blanchâtre de la
substance
corticale par- semée de stries rouges. Dans c
- pectant la septième, n'ayant contracté aucune adhérence avec la
substance
cérébrale, ne paraissant pas exercer de compres-
e supérieure. 4° La destruction du terri- toire postéromédian de la
substance
gélatineuse à la même hauteur pourrait bien ent
pendant la période de dépression. L'azote de ces corps provient de
substances
qui contiennent de la nucléine; elles sont élim
issant, comme le veut Unverricht, un second entrecroisement dans la
substance
grise de la moelle dorsale et unissant les cent
vresse a duré assez longtemps, on a vu : 1° les fines mailles de la
substance
colorable remplacées par des granulations assez
is irrégulièrement disposées; 2° un ton légèrement bleuâtre dans la
substance
non colorié; 3° les lésions occupent soit toute
is déments séniles et d'un paralysé général. Ce déplacement , de la
substance
grise était REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
antérieure, qui est composée de trois parties distinctes : 1° une
substance
fondamentale achromatique contenant : 2° les élém
philes, constitués par des granulations réunies entre elles par une
substance
amorphe ; 3° une substance d'aspect fibrillaire
granulations réunies entre elles par une substance amorphe ; 3° une
substance
d'aspect fibrillaire ou strié dans les prolonge
nce. Au cours de ces deux phases se produit la désintégration de la
substance
chromatique qui commence au voisinage du cylind
rtout la gravite des lésions primitives, c'est l'altéra- tion de la
substance
achromatique, soit du protoplasma, soit du noya
lation et proba- blement une transformation chimique qui fait de la
substance
achromatique une masse incolore, d'aspect vitre
e aussi dans les lésions primitives, une colorabilité intense de la
substance
achromatique. Toutes les fois que la subs- tanc
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXX. LES longs tractus sensitifs DE la
substance
grise DE la £ MOELLE ET LEUR DÉGÉNÉRESCENCE EXP
ENTALE; par A. CIAGLINSII. (Neurolog. G'elatrnl6l., XV, 1896.) La
substance
grise de la moelle contient trois sortes de fibre
les dernières prennent naissance dans les cellules nerveuses de la
substance
grise et passent à divers endroits dans la subs
erveuses de la substance grise et passent à divers endroits dans la
substance
blanche. Les racines postérieures après leur en
bstance blanche. Les racines postérieures après leur entrée dans la
substance
de la moelle, dessinent un Y dont les deux bran
le, conséquemment parallèles au plan transversal, pénètrent dans la
substance
grise. Là, elles affectent quatre directions. Les
directions. Les unes tendent aux cornes postérieures et enlacent la
substance
de Rolando. Les autres se rendent aux colonnes
rtout des cellules des colonnes de Clarke, après être sorties de la
substance
grise par les cordons latéraux et antérieurs de
impossible de retrouver le trajet de ces fibres dégénérées dans la
substance
grise sur des coupes transverses (méth. de Marc
étroites, noires, qui, des cordons postérieurs, pénè- trent dans la
substance
grise ; aussi peu en remarque-t-on dans les cor
e ascendante d'un cordon de fibres nerveuses blanches occupant la
substance
grise entre les terminaisons antérieures du cordo
s le même traumatisme révèle, au-dessous de l'endroit lésé, dans la
substance
grise une petite cavité exactement localisée, e
cordons postérieurs, à côté de la ligne mé- diane, entrent dans la
substance
grise juste à la place qui cor- respond à la lo
ie expérimentale, que le cordon de fibres blanches qui passe par la
substance
grise de la moelle entre les terminaisons anté-
iégeait au niveau du premier segment dorsal et du 8° cervical de la
substance
grise, centre de l'innervation vaso-motrice des
es collatérales du centre de la corne posté- rieure. Atrophie de la
substance
gélalineus de Rolando. Atrophie des racines ant
elle ne peut faire partie de celle-ci. Et s'il en est ainsi pour la
substance
, il doit en être de même didacti- quement. -
llules névro- gliques, en un mot tous les éléments principaux de la
substance
nerveuse. A l'examen du bout périphérique chez
tre secondaires, propagées soit de la boîte cranienne, soit de la
substance
cérébrale : dans ce cas la méningite vient simple
lésions primitives des méninges peuvent secon- dairement envahir la
substance
cérébrale (le cas est fréquent pour la gomme ci
e. Celle-ci est blanche, épaissie, dure, .scléreuse, adhérente à la
substance
cérébrale. Il n'y a ni gommes, ni infiltrations
ue nacrée, résistante à la coupe, ne se laissant pas détacher de la
substance
cérébrale à laquelle elle adhère fortement. La dé
fin, qui appa- raît nettement comme un vaisseau s'enfonçant dans la
substance
cérébrale. Les hémisphères sont séparés; les
es horizontales, puis chacune des tranches en coupes verticales. La
substance
centrale surtout au niveau de la corticalité of
mémoire et de l'intelligence indiquaient l'intégrité relative de la
substance
cérébrale Nous donnons ici un tableau symptomat
s suivant les cas. Produits habituellement par la destruction de la
substance
cérébrale, quelquefois par la compression simpl
s zones où une gomme puisse impunément se développer, détruire la
substance
cérébrale, sans donner des phénomènes de, déficit
probablement aucun symptôme cérébral ; portant leur action sur une
substance
Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NE
n'assurant plus que d'une façon irrégu- lière l'apport de sang à la
substance
cérébrale. Furstner répartit en trois groupes l
s dont le protoplasma fait cependant partie. Ce protoplasma est une
substance
immortelle échappant à la finalité mortelle du
ps, étrangère à tout ce qu'acquiert le corps ; c'est pourquoi cette
substance
du germe qui seule a qualité pour hériter et tr
muYrbor.r Werziloff admettent dans ce cas une hémorrha- gie dans la
substance
grise de la moelle, ayant intéressé les cornes
ns une gaine qui s'enfonce par endroits dans l'intérieur même de la
substance
médullaire, s'amincit à mesure qu'elle remonte,
omateuse) et 2° la façon dont la tumeur se comporte vis-à-vis de la
substance
médullaire qu'elle a détruite même dans les end
littérature. La tumeur ayant évolué dans les méninges et dans la
substance
médullaire même, a provoqué une hypérémie (stase
roscopique. Il en conclut que les lésions portent aussi bien sur la
substance
grise de la moelle épi- nière que sur la blanch
rtie postérieure du cordon latéral gauche. Dans le second cas, la
substance
grise de la moelle présentait des foyers hémorr
s microscopiques ; elles siégeaient dans la partie centrale de la
substance
grise, en arrière des cornes antérieures au voisi
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 411 zones où la
substance
grise était granuleuse en partie, désorganisée
x cas forment un contraste frappant : l'un offrant une lésion de la
substance
blanche avec dégénérescence chronique, l'autre
nce blanche avec dégénérescence chronique, l'autre une lésion de la
substance
grise. Dans les deux cas les cellules nerveuses
Les lésoins se rencontrent dans les éléments de l'écorce et de la
substance
grise spéciale. Elles intéressent les prolongemen
les opinions principales qui ont été émises sur la structure de la
substance
achromatique de la cellule nerveuse. Cette substa
tructure de la substance achromatique de la cellule nerveuse. Cette
substance
n'est pas amorphe, comme on le croyait naguère
Il distingue dans cette cellule trois éléments essentiels : i° une
substance
chroma- tique nommée élément chromalophile; 2°
élément achromatique figuré; 3° un élément amorphe achromatique, la
substance
fonda- mentale. La substance achromatique figur
3° un élément amorphe achromatique, la substance fonda- mentale. La
substance
achromatique figurée est constituée par un tése
es d'une façon certaine. D'après l'étude de la texture intime de la
substance
achromatique 111, Marinesco croit pouvoir admet
léments chro- matophiles de petit volume. Dans le troisième type la
substance
achromatique organisée se présente sous forme d
cylindre-axe avec le spongioplasma, découle cette conclusion que la
substance
achromatique organisée sert à la conductibilité
rganisée sert à la conductibilité de l'influx nerveux. Quant à la
substance
chromatique, certains auteurs (Lugero,Cajal, va
s'efforce d'établir que les éléments chromatophiles constituent une
substance
fonctionnelle jouissant de propriétés chimiques
teur oculaire externe, du facial, de l'hypoglosse, du spinal, de la
substance
grise antérieure cervicale, ainsi que dans les
arinesco, chro- matolyse périnucléaire, diffuse ou périphérique. La
substance
achromatique présente dans certaines cellules u
en jaunâtre ; mais nulle part on ne voit de désintégration de cette
substance
, ni de rupture des prolonge- ments. Pas d'infla
ongés- 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion des vaisseaux de la
substance
blanche et de la substance grise médullaire, su
LOGIE NERVEUSE. tion des vaisseaux de la substance blanche et de la
substance
grise médullaire, surtout dans les cornes antér
ait des cellules rondes lymphatiques. Pas de dégénéres- cence de la
substance
blanche, Cellules de la corne postérieure intac
ieure de la corne frontale est fort altérée par l'arrachement de la
substance
grise adhérente à la pie-mère. F' et FI sont pa
aspect néoplasique; d'autres, au contraire, paraissent contenir une
substance
caséeuse. Les ganglions péribronchiques sont au
ogique et l'expéiimentalion démontrent la nature tuberculeuse de la
substance
caséeuse des ganglions et des capsules surrénal
sky absorbé par cette enfant, l'estomac étant à jeun, ait excité la
substance
grise corticale au point de produire cet état c
veux entre eux; au contraire. 1 » A l'hypothèse de la continuité de
substance
des réseaux protoplasmique ou cylin- d/axile, l
apparaître à une période où il n'existait pas de vaisseaux dans la
substance
nerveuse, et, après l'apparition de ceux-ci, il
ive là où se trouvent de grands amas de cellules nerveuses, dans la
substance
grise de l'écorce, que parcourt un si riche rés
ces cellules dont il énumère plusieurs types, deux éléments : la
substance
fondamentale, faiblement colorable, et, dans cell
ssék se rattache à l'opinion des auteurs qui ne croient pas que ces
substances
participent aux fonctions proprement ner- veuse
existent déjà chez les embryons. Relativement à la structure de la
substance
fondamentale des cel- lules des ganglions spina
nvaincre de l'existence des fibrilles que Flemming y a décrites. La
substance
fondamentale aurait une structure alvéolaire. E
les sortent et qui se terminent par de libres arborisations dans la
substance
grise. Ce sont des appareils d'émission des sti
arborisation ultime : il agit encore sur toutes les provinces de la
substance
grise mé- dullaire devant lesquelles il passe,
. V. Lenhossék écrit : Si les dendrites sont constitués par la même
substance
que le corps cellulaire de la cellule noveuse,
erveuse et de l'activité automatique ou de la fonction nerveuse; la
substance
du prolongement nerveux axile n'est qu'un organe
ce qu'il est difficile de dire. On est ainsi amené à penser que la
substance
du protoplasma cellulaire, y compris celle des
et cadavériques concomitantes. Formation de l'état criblé dans les
substances
nerveuses du cer- veau, du cervelet et du bulbe
n, de consistance très dure, avec épaississement des méninges. La
substance
grise est complètement atrophiée, la substance bl
ent des méninges. La substance grise est complètement atrophiée, la
substance
blanche est mieux conservée. Cette atrophie ne
ons blancs, particulièrement sur les cordons postérieurs, et sur la
substance
grise, spécialement sur les cellules des cornes
es cornes antérieures. Ces lésions paraissent détermi- nées par les
substances
toxiques qui circulent dans le sang de certains
, semble indiquer que les fibres courtes siègent surtout près de la
substance
grise et les fibres longues à la périphérie de
mun, que les fibres qui les composent proviennent de cellules de la
substance
grise et sont des fibres d'un court trajet. (Re
e principalement en direction caudale. Les cellules nerveuses de la
substance
grise qui avoisinent le bord interne de cette r
mie intense de l'écorce cérébrale, qui se détache facilement de la
substance
blanche sous-jacente, avec hémorragies ponctiform
s petits îlots disséminés d'encéphalite qui s'étend légèrement à la
substance
blanche sous- jacente. L'examen microscopique m
e de la pie-mère et de l'écorce ; hémorrhagies ponctiformes dans la
substance
cen- trale du quatrième ventricule. Les auteu
tamment une variété d'encéphalite, localisée principalement dans la
substance
de l'écorce cérébrale. Il est tou- tefois impos
anulations chromatophiles faisaient entièrement défaut, bien que la
substance
chromatophile se trouvât tout de même dans les
et latérales montrent une dégénération intense; les vaisseaux de la
substance
grise sont hypérémiés et infiltrés. Dans la rég
erveux (hydro et électrothérapie). Il y aurait lieu de chercher.une
substance
paralysant spécialement le sympathique; 2° en s
ement considérer que la néoplasie est née de la moitié gauche de la
substance
grise au niveau de la septième racine cervicale
s noyaux sont très abondants et très pressés; ils plongent dans une
substance
granuleuse, dans laquelle, après les manipulation
noyaux sont identiques, leur léaction aux colo- rants semblable, la
substance
granuleuse dans laquelle ils sont plongés ne di
- rants les réactions du tissu conjonctif, mais bien celles de la
substance
granuleuse dans laquelle partout ailleurs sont pl
du segment antérieur du noyau principal, s'éloigne peu à peu de la
substance
grise centrale et pénètre dans un noyau qui app
e tétanique (tuméfaction de la cel- lule ; coloration diffuse de la
substance
achromatique; raréfaction et modifications morp
ifié au bout de cinq jours, de la chromatolyse, un'état foncé de la
substance
achroma- tique, un noyau à contour vague et d'u
me avec la production des lésious qui exaltent l'excitabilité de la
substance
nerveuse. La phase silencieuse de l'intoxication
trijumeau à la hase, à l'endroit où le nerf vient d'entrer dans la
substance
cérébrale, on constate : a) La dégénérescence d
des racines spinales (Obersteiner), dont le noyau originel forme la
substance
gélatineuse de Rolando; les fibres dégénérées d
se de Rolando; les fibres dégénérées de ces racines entrent dans la
substance
gélatineuse, la suivent en plein jusqu'à la hau
dégénérescence des fibres qui du trijumeau vont au cervelet ou à la
substance
ferrugineuse de l'un ou l'autre côté. 2° La lésio
re cervieale, les fibres dégénérés pénètrent successivement dans la
substance
géla- tineuse comme lorsqu'on a lésé le tronc d
r de connexions du cervelet avec le trijumeau. 5° Les lésions de la
substance
cérébrale dans la région de la substance ferrug
au. 5° Les lésions de la substance cérébrale dans la région de la
substance
ferrugineuse ne révèle pas les fibres qui, d'aprè
eures, du faisceau radiculaire des cordons laté- raux, gagnerait la
substance
réticulaire et, côtoyant le noyau des pyramides
étérotopie de la - , parNagy, 56. Longs tractus sensi- tifs de la
substance
grise de la - , par Ciaglinski, 66. Lésions d
ile, puisque, .par ce, moyen, je,puis, débarrasser..mon estomac des
substances
quije fati- gueraient, et par l'élaboration, no
râl'ë'dtlllï81dcülfériculvrdeJla cloisontrausparente, le long de la
substance
perforée antérieuredont il ÇPN 19.YI'lm 1$bord
aris : ¡¡e >;s,e u clqlfillr,çlles,,qui;ëxisLer,dans"toutc cette
substance
? Ce'rescau lui-même est constitué : ,16'1 '¡jr
'iencës fort bien conçues, à nier complètement 1 excitabilité de la
substance
grise. 1".Áprès'avÓir'eit'{]es régions dttesmot
11/'1.' .'1 .¡ ? 1. ,.j abondante des noyaux du sarcolemne et de la
substance
contractile, cllé-mêmë; lép·ôQplâsniacjitrlés e
lution de l'hippocampe du côté droit, avec nom- breuses pertes' de -
substance
, dune diminution de^yolume con- sidérable des c
rtes de¡granulations graisseuses et ùel cel- lules granuleuses ; la
substance
blanche est sillonnée detractus de tissu conjon
du pédoÍ1cllle;' 'c'ést-à. : di;e le 'chaIl1p' 'des fibres motrices' (
substance
i : éliculfe) 1 et le domaine 'du' ruban' 1 de'
nce graisseuse des vaisseaux moyens de 1 écorce ainsi que, de la a'
substance
homologue de la corne d'Anrmon. Les expériences e
auJ.um.i ? '«y i.o. ,...J d'une poliomyélite antérieure ^ aiguë, la
substance
blanche - ayant,, participé aux lésions, notamm
que les aliments sont empoisonnés. Si on lui a suggéré l'idée d'une
substance
nauséeuse, la sensation pourra être assez inten
sible de suggérer l'idée d'une altération de struc- ture detoute la
substance
; l'hypnotique, par exemple, vase réveiller tout
de ses conclusions. Cette motion, dont les termes contien- nent la
substance
même des alinéas précédents, sera envoyée aux g
àutorité les" pharmaciens qui délivrent avec autant de facilité des
substances
toxiques. M. Berger, ayant obtenu'de bons résul
aux auteurs et douze qui lui sont personnelles, dans lesquelles la
substance
des hémisphères cérébraux se présente BIBLIOGRA
diaire des.circonvolutions vers le bord ou le centre de la perte de
substance
; on voit alors les circonvo- lutions, revêtues
elles sont suivies de dégénérescence descendante; 8° les défauts de
substance
congénitaux et acquis (précoces) peu- vent égal
esurant huit milli- mètres d'épaisseur est irrégulier, dentelé ; sa
substance
s'émiette et se détache par petits fragments. C
és remplies de protoplasma et de gouttelettes de volume variable de
substance
graisseuse colorée en brun-foncé par l'osmium.
e, molle, se fragmentant facilement et ren- fermant au milieu d'une
substance
gélatiniforme de petits amas caséeux dont quelq
le renflement lombaire, 4es cornes grises sont peu distinctes de la
substance
blanche, et il est évident, à l'oeil nu, qu'à c
cal- leux. En enlevant la pie-mère du côté droit, on endommage la
substance
cérébrale. Les circonvolutions sont tassées et pâ
de la coupe pédiculo-frontale, on trouve un épaississement de la
substance
grise qui se trouve au voisinage des centres mo-
e pas. On remarque un contrastes ¡ 220 RECUEIL DE FAITS. entre la
substance
grise des circonvolutions du côté droit et du c
des mensura- tions exactes de la partie épaissie de la couche de la
substance
grise qui tapisse le sillon entre les deux circ
ous avons pu constater les résultats suivants : L'épaisseur de la
substance
grise du fond du sillon entre les deux circonvo
font saillie de trois millimètres environ au-dessus du niveau de la
substance
blanche sous- jacente. Au contraire, sur l'hémi
contraire, sur l'hémisphère gauche, la surface de la coupe des deux
substances
(grise et blanche) ne présente pas de différenc
du reste, la différence existant entre l'épaisseur relative de la
substance
grise. La coupe de l'hémisphère lésé (droit) est
ace frontale à l'endroit le plus saillant de l'épaississement de la
substance
grise. (Fig. 1 et 2.) En re- montant vers la pé
de différence notable, quant à la largeur relative de la couche de
substance
grise. (Fig. 1 et 2.) Dans la direction frontal
la direction occipitale, la différence de lar- geur de la couche de
substance
grise, dans des endroits iden- tiques des deux
es deux hémisphères, est moins prononcée. La largeur relative de la
substance
grise, en d'autres points, ne présente pas de d
ibles à l'oeil nu; toutefois, le piqueté rouge de la coupe des deux
substances
(grise et blanche) est plus pro- noncé à droite
la lésion présente à l'examen macroscopique un épaississement de la
substance
grise, sans altération de consistance. Cet épai
que nous avons décrite, avec un petit foyer de ramollissement de la
substance
blanche sous-jacente de deux millimètres enviro
mensurations micro- métriques ont été faites avec 2/7 Verick. La
substance
grise de la partie lésée, examinée à l'état frais
hyl vert, l'acide osmique coloraient parfaitement les travées de la
substance
du proto- plasma non lésée encore, en laissant
e, dans l'intérieur duquel s'entrecroisent les minces travées de la
substance
non encore lésée (ce qui in- dique déjà un degr
é dans l'acide acétique avec insolubilité dans l'alcool). Dans la
substance
blanche, petit foyer de ramollissement offrant le
, ne nous ont présenté que des altérations analogues à celles de la
substance
blanche du foyer de ramol- lissement, sans épai
226 RECUEIL DE FAITS. tout le territoire de l'altération (les deux
substances
comprises, grise et blanche). En examinant ce
, qui les atteint indifféremment dans toutes les cinq couches de la
substance
grise. Les cellules - tuméfiées sont disposées
la région corticale, les cellules des couches superficielles de la
substance
grise sont encore faiblement tuméfiées, en pass
ulle dans les couches superficielles de la partie horizontale de la
substance
grise. La présence des cellules tuméfiées seule
ait surtout très marquée dans toute l'étendue du lobe frontal. La
substance
blanche des circonvolutions, ainsi que celle de
ts histologiques démontrent donc que, dans une partie limitée de la
substance
grise de la zone dite motrice de l'hémisphère d
RENCHYMATEUSE. 231 et qui sont limitées sur un certain espace de la
substance
grise corticale. ' M. le professeur Charcot,
e partielle, se présentent sous forme de foyers de sclérose de la
substance
grise des circonvolutions. Histologiquement, la n
onvolutions. Histologiquement, la né- vroglie est très épaissie. La
substance
grise, immédiatement sous la pie-mère, présente
dans l'épilepsie partielle, insiste sur ce point que c'est dans la
substance
grise du cerveau qu'il faut les chercher. Nos r
e véritable fons et origo mali, ainsi qu'il le dit en parlant de la
substance
grise en général. 236 RECUEIL DE FAITS. EXP
pe verticale par la partie tuméfiée à la base du sillon, près de la
substance
blanche. Double coloration à l'hémotoxyline et au
des vaisseaux. (Verick, 3/2.) Fig. 5. Coupe verticale à travers la
substance
grise du fond du sillon entre la première et de
Jnell1no- nie. - Mort. Autopsie : Adhérences de la pic-mère ci la
substance
grise. Décortication totale, par foyers, de la
mère ci la substance grise. Décortication totale, par foyers, de la
substance
grise. - Induration et atrophie de la substance
, par foyers, de la substance grise. - Induration et atrophie de la
substance
blanche sous-jacente. Différence de 120 grammes
u niveau de la 2, on enlève avec elle la couche superficielle de la
substance
grise dans la moitié de son étendue. La circonv
rtaines circonvolutions même, en dé- cortiquant, on enlève toute la
substance
grise et on met il nu le sque- lette de substan
n enlève toute la substance grise et on met il nu le sque- lette de
substance
blanche, laquelle est indurée et atrophiée. Ce fo
en un certain nombre de points une couche plus ou moins épaisse de
substance
grise, notamment : 4° sur toute la moitié posté
amment dans la bouche tan- dis que le jus reste dans l'estomac. Les
substances
médicamen- teuses restent toujours dans l'estom
és n'ont pas un goût désagréable. Il faut en excepter le thé et les
substances
grasses qui, parfois, reviennent à différentes re
sorte de rumination son manger dans sa bouche, d'où il rejetait les
substances
grasses qui n'avaient pu convenir à son estomac
rop peu ou trop cuits, les parties tendineuses, aponévrotiques, les
substances
facilement altérées par le suc gastrique, le la
coriaces; les corps gras, principalement la graisse de mouton ; les
substances
de mau- vaise qualité. Cette dernière cause ser
essus du plan des circonvolutions ou, par places, s'incorporer à la
substance
carvi- cale qu'elles amplifient du double. Le m
oir condensé en un petit espace nom- bre de cellules normales de la
substance
grise. C'est Je lobe frontal, à l'exception de
ns microscopiques qui pro- viennent de l'écorce du cerveau et de la
substance
blanche contiguë du malade' dont il a'parlé 'da
it en outre rechercher d'où provient la formation exagérée de cette
substance
et quelle est l'altération du sang qui résulte
le sommeil une lumière est approchée des yeux du dormeur, ou si des
substances
odorantes sont répan- dues auprès de lui, les c
raux avaient une teinte grisâtre qui les distinguait du reste de la
substance
blanche. La substance grise, dans la par- tie t
e grisâtre qui les distinguait du reste de la substance blanche. La
substance
grise, dans la par- tie thoracique, avait une t
utres parties de la moelle-fais- ceaux postérieurs et antérieurs et
substance
grise - il n'y en avait pas du tout ; mais dans
n-seitenstrang-hahnen de Flechsig) ; le sommet se dirigeait vers la
substance
grise, mais ne la touchait pas non plus ; le cô
corne postérieure ; sa par- tie interne était un peu distante de la
substance
grise; le côté antérieur du triangle ne se dess
it ici la périphérie de la moelle, le som- met étant tourné vers la
substance
grise, dont il était un peu séparé; du reste. d
s les cas de sclérose latérale amyo- trophique. Tout le reste de la
substance
blanche do la moelle (il sera question plus tar
la substance blanche do la moelle (il sera question plus tard de la
substance
grise) dans les fais- ceaux antérieurs et posté
dis qu'il n'y en avait ni dans la calotte (teymentzcna), ni dans la
substance
noire de Soëmmering. Même dans le pied du pédon
- clinant un peu du côté extérieur; sa base étroite touchait à la
substance
noire de Soëmmering, tandis que sa grande base
s dans différentes parties de chaque coupe de petits morceaux de la
substance
cérébrale et nous les soumîmes ¡¡l'examen micro
noyau caudé. Les corps granuleux qui ne se trou- vaient que dans la
substance
blanche, y occupaient une région voisine de la
volution. Nous n'avons pu trouver un seul corps granuleux dans la
substance
grise des circonvolutions, centrales ou autres; d
lques fibres très amincies; dans quelques-unes de ces dernières, la
substance
contractile avait un aspect granu- leux ; dans
colemme était rempli d'une grande quantité de noyaux, sans trace de
substance
contractile. Partout d'ailleurs, même dans les
prononcée et limitée à quelques fibres ner- veuses seulement. La
substance
grise de la moelle épinière a été très soigneu-
gnifiant relativement à celui des cellules normales. Le reste de la
substance
grise dans la portion cervicale était complètemen
était de même intacte. Dans les régions thoracique et lombaire, la
substance
grise de la moelle épinière n'était pas modifié
ues de cette dernière catégorie, c'est-à-dire les altérations de la
substance
grise de la moelle épinière, des racines antéri
u reste, en harmonie complète avec les manifestations cliniques. La
substance
grise du bulbe était de même tout à fait indemn
stituent les faisceaux pyramidaux et ne passe que plus tard dans la
substance
grise ; en effet, nous avons trouvé un procès l
avons trouvé un procès largement distribué et très prononcé dans la
substance
blanche des centres nerveux et de fort légères
uns atteignent, à peu près à la hauteur moyenne des hémisphères, la
substance
grise qui constitue le fond et les pa- rois lat
que probable que ces fibres, atteignant dans un certain endroit la
substance
corticale grise, s'y terminent, nous pouvons en
tronc et, en partie, des extrémités supérieures se trouvent dans la
substance
grise, qui recouvre la moitié supérieure des cir-
des fibres pyrami- dales des hémisphères rencontrent dès l'abord la
substance
grise qui constitue le fond et les parois du si
s'y terminent probablement; quelques autres seulement atteignent la
substance
grise qui recouvre la surface exté- rieure des
tumeurs de volume variable, pédiculées ou non et s'attachant sur la
substance
corticale ou dans l'intérieur des pyramides. Une
es et par les intestins, qui sont refoulés vers lui, réagit sur les
substances
qui le distendent, et une- masse alimentaire fo
n an, ce fait, jadis inconnu, se présente quelquefois. Toutes les
substances
ingérées sont ruminées. Néanmoins il en est que
ble favoriser et prolonger la rumination. Ce sont, d'ordinaire, les
substances
solides,les viandes, surtout les viandes rôties
ruminés de suite et ne remontent plus après l'ingestion des autres
substances
qui composent le repas. Parmi les liquides, c'est
une journée. Ce fait ne s'est montré que cette année. Toutes les
substances
ingérées sont également ruminées; ce- pendant c
, les sollicite à lutter contre les principes sociaux. Telle est la
substance
de la discussion psychologique de M. tioDoender
DES ARTÈRES DU CERVEAU ET PLUSIEURS FOYERS DE RAMOLLISSEMENT DE LA
SUBSTANCE
cervicale; par ERLITZKY. (Ibid.). Dans l'étio
complètement oblitérée et un petit foyer de ramollissement dans la
substance
grise et blanche correspondant à la partie nour
roscopique montre une forte hyperémie de tous les capillaires de la
substance
grise corticale dont les parois sont épaissies
dépression profonde et les hal- lucinations par 1'llyperéinie de la
substance
corticale due au foyer de ramollissement; l'aut
nvolution occipitale. Partout la lésion se borne exclusivement à la
substance
grise; elle n'occupe qu'une profondeur de 2 mil
chez les cardiaques et les rénaux, on ne saurait se passer de cette
substance
daus les cas de tuberculose chirurgicale. M.
les psychoses, 152. Encéphalite parenchymateuse limi- tée de la
substance
grise avec épilepsie partielle comme syn- dro
pe verticale par la partie tuméfiée à la base du sillon, près de la
substance
blanche. Double coloration à l'hémotoxyline et au
des vaisseaux. (Verick, 3/2.) Fig 5 ? Coupe verticale à travers la
substance
grise du fond du sillon entre la première et de
sur des coupes colorées par le picro-carmin, on dis- tingue dans la
substance
blanche, un certain nombre d'ilots irré- gulier
elle ne parait pas non plus nota- blement distendue par le sang.
Substance
blanche. - Autour de ces vaisseaux, dont un ou pl
utres renferment des cylindres-axes qui semblent plon- gés dans une
substance
homogène, d'apparence vitreuse; d'autres enfin,
atoxyJine selon Wei- gert ne diffère en rien de la coloration de la
substance
blanche normale. Elle présente de vastes maille
mbre sont atteints d'une tuméfaction irré-Lilière, -vari- queuse.
Substance
grise. - Dans son ensemble, l'aspect de la substa
ari- queuse. Substance grise. - Dans son ensemble, l'aspect de la
substance
grise est tout différent de l'état normal. Les
mal. Les vaisseaux y présentent les mêmes modifications que dans la
substance
blanche : ils sont modérément remplis de sang.
(voir fig. 9). Archives t. XX. 4 Fig. 9. - Masses vitreuses delà
substance
grise. 50 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Un certain n
ndue; à l'oeil nu, on voit que les différents foyers situés dans la
substance
blanche, persistent encore en des points corres
t leur plus haut degré d'intensité. A l'oeil nu, on remarque que la
substance
blanche, surtout celle des cordons latéraux et
L'examen microscopique fait constater une hypérémie intense dans la
substance
grise comme dans la substance blanche; les paro
nstater une hypérémie intense dans la substance grise comme dans la
substance
blanche; les parois vasculaires sont épaissies
s'est produit des extravasations sanguines. On reconnaît dans la
substance
blanche, l'existence de foyers morbides, offran
es cordons latéraux, affectant, par conséquent, à peu près toute la
substance
blanche. Au niveau de ces foyers, il existe un
ement tuméfiés dont quelques-uns ont un aspect granuleux. Dans la
substance
blanche aussi bien que dans la substance grise,
aspect granuleux. Dans la substance blanche aussi bien que dans la
substance
grise, il existe des corps amyloïdes assez abon
us avons constaté nous-même. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 53 La
substance
grise est également altérée : les cellules gan-
loïdes se rencontrent dans les deux subs- tances. Les lésions de la
substance
blanche sont peu prononcées : -. en certains po
hologique. 83 résulte ce qui suit. En ayant soin de ne léser que la
substance
grise du gyrus sigmoïde du chien , dont on a pr
respondants sont embryonnaires et que, dans certaines parties de la
substance
blanche, la myéline manque. Citons : le chien, le
qu'après que les fibres nerveuses de ces zones se sont revêtues de
substance
, de manchons de myéline. P. KÉRAVAL. VIII. DE l
chimique ; myéline et cylindre-axe se gonflent irrégulièrement, la
substance
blanche change de couleur, s'émiette, les conto
ion presque anguleuse, à travers le cordon latéral (ou à travers la
substance
de la corne postérieure), en de- hors (région d
près s'être encore une fois infléchies à. angle droit, à travers la
substance
blanche de la moelle, et arriver à la périphéri
gitudinal supérieur Le sys- tème dorsal représente les libres de la
substance
blanche profonde du tubercule quadrijumeau supé
des olives était absolument privé de myéline, en même temps que la
substance
blanche de la couche intermédiaire des olives c
à part le reste du corps restiforme primitif et secondaire, quatre
substances
grises avec leurs fibres correspondantes. Une sub
ance à des portions homologues des nerfs crâniens sensitifs - de la
substance
-élali- 92 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
PATHOLOGIQUE. neuse part la racine ascendante du trijumeau - d'une
substance
grise particulière part la racine ascendante co
res. Ainsi l'opercule est étroit, étroite aussi est la languette de
substance
grise qui des deux ascendantes se dirige vers l
s de leur genèse sont : l'irritation interne, dite spontanée, de la
substance
nerveuse, aux points terminaux des nerfs sensor
- des impressions de conceptions anciennement emmagasinées dans la
substance
corti- cale l'activité percevante de la connais
de la rétine (action vasculaire, processus nutritifs au sein de la
substance
nerveuse du nerf optique), modelés, perçus, const
tance nerveuse du nerf optique), modelés, perçus, construits par la
substance
corticale et la connaissance. P. KERAVAL. XXVII
mes ne manquaient pas pour révéler la propagation de la lésion à la
substance
grise : l'atrophie mus- culaire progressive et
diquaient une affection ir- ritative dea parties postérieures de la
substance
grise centrale. H. M. C. III. Folie du doute;
sorte d'arrêt de développement systématique; on constate dans la
substance
grise une myélite diffuse disséminée, ainsi qu'au
ononcée des libres nerveuses fines qui, parties de la lisière de la
substance
blanche, vont en se ramifiant à travers la couc
riodes de développement des fibres cérébelleuses. Parallèlement, la
substance
grise du cerveau antérieur a subi la même déché
s d'une encéphalite franchement aiguë avec atrophie partielle de la
substance
corticale. L'étiologie révèle : tares héréditai
légèrement sur la pie -mère, l'écorce tout entière se détache de la
substance
blanche. L'écorce est extrêmement ramollie; ell
on de Baillarger et Rey, ainsi que les altérations de la lisière de
substance
blanche décrites par Tuczek. Discussion. - M.
anesthésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso moteurs . (
Substance
grise latérale postérieure) ; par le professeur .
intégrité complète des nerfs, pas trace de névrite, mais dans la
substance
blanche de l'hémisphère droit, au niveau du lob
hie de la racine descendante du trijumeau, atrophie partielle de la
substance
ferrugineuse, alro- phie de la corne antérieure
x. Hyperplasie des cellules-araignées dans toutes les couches de la
substance
grise. Hyperplasie du tissu con- jonctif. Hyper
. f. Nervenheilk., 1888.) Deux tambours creux fermés, constitués de
substances
idio-élec- triques tournent l'un dans l'autre e
inconvénients d'engendrer des halluci- nations, on obtient de cette
substance
des effets utiles dans l'agi- tation violente a
D'ANATOMIE ET DU PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 267 DES hétérotopies DE
substance
GRISE dans la MOELLE; par P. KRONTEIAL. (Neurol
d'un saturnin chez lequel en outre de ces sortes de déplacements de
substance
grise au milieu de la substance blanche, on tro
re de ces sortes de déplacements de substance grise au milieu de la
substance
blanche, on trouva une sorte de seconde moelle
terminé l'atrophie du cervelet dans lequel on trouve des lacunes de
substance
blanche et un trou cons- titué aux dépens du ve
présente une lacune porencéphalique congé- nitale (intégrité de. la
substance
nerveuse même) qui comprend, sur la crête média
galement sur l'hémisphère droit. M. Dubuisson pense que la perte de
substance
est due à un trouble vasculaire ayant déter- mi
région de l'entrecroisement sen- sitif en avant et en dedans de la
substance
gélatineuse de la corne postérieure. Il forme e
s fibres myéliniques indépendantes des faisceaux ascen- dants de la
substance
blanche dans les couches interne et moyenne; on
che centripète et d'une branche centrifuge, soudées par une lame de
substance
336 ANATOMIE. grise. Cet appareil excitateur
e à la moelle : c'est l'arc direct. En résumé, les renflements de
substance
grise (cornes à la moelle), les corps opto-stri
à la moelle), les corps opto-striés (cornes inter- médiaires) et la
substance
grise des circonvolutions au niveau des vertèbr
brale, le nerf optique a été creusé d'une cavité et a contenu de la
substance
grise ; quant à sa texture, elle est cérébrale
eurs admettent que cette région est constituée par une lamelle de
substance
grise, dont les limites ne seraient autres que
r, à la bandelette optique; l'in. terne, plus ou moins excavé, à la
substance
grise qui recouvre les deux autres tiers de l'e
tance grise qui recouvre les deux autres tiers de l'espace. Cette
substance
grise est en quantité très variable : c'est une
cevoir de nombreuses variétés, qu'il n'est pas besoin de décrire.
Substance
grise de l'espace perforé. - Cette subs- tance
dans les barrières du qua- drilatère, il est si fréquent de voir la
substance
grise se continuer en dedans et en haut avec ce
omme une émanation de la formation go- dronnée. 348 ' ANATOMIE.
Substance
blanche de l'espace perforé.- En arra- chant la
- En arra- chant la pie-mère, on enlève le plus souvent le peu de
substance
grise qui se trouve être en dehors. Avec le man
sse; en dedans, nous avons vu qu'elle forme un relief comblé par la
substance
grise; nous verrons qu'une partie de son plan p
réquemment, on la retrouve 3SO ANATOMIE. après l'enlèvement de la
substance
grise; elle adhère dans ce cas, par sa terminai
elle existe à la superficie. En définitive, quand on a soulevé la
substance
grise qui revêt l'espace perforé, on constate l
formation pectinée est située au fond d'une cuvette remplie par la
substance
grise ; il faut enlever celle-ci pour apercevoi
e diagonale et la branche interne de l'arc olfactif. - L.S.G. Lame de
substance
grise accompagnant le pédoncule du corps calleu
e accompagnant le pédoncule du corps calleux et se continuant avec la
substance
grise qui recouvre les filets de la formation p
Ces deux circonvolutions ne seraient que les soulè- vements de la
substance
grise de l'espace perforé, qui au lieu d'être é
t espace se ramasserait sous cette forme. En effet, dans ce cas, la
substance
grise manque totalement ou est en minime propor
du corps godroné, absolument comme l'expansion plate, rubanée de la
substance
grise de l'espace perforé dont j'ai parlé plus
N. 353 qu'une variété des nombreuses dispositions que présente la
substance
grise de l'espace quadrilatère. En définitive,
e radiculaire aux différents étages de l'axé nerveux ; 2° l'amas de
substance
grise, qui constitue la racine grise des^nerfs
cette continuité insignifiante et en quelque sorte banale, que la
substance
grise extérieure établit entre toutes les parties
e plus ou moins anfractueuse mais ininterrompue de l'hémisphère. La
substance
grise fait bien réellement partie intégrante de
eu serrés les uns contre les autres, elle ne se distingue pas de la
substance
grise dans laquelle ses fibres cheminent. Il en
la bandelette optique, va se perdre après un court trajet, dans la
substance
grise de l'espace perforé sans atteindre le lob
é- rations il a enlevé une grande partie des deux hémisphères. La
substance
cérébrale détruite avec l'atrophie secondaire con
itions de l'excitabilité de l'écorce cérébrale. A l'état normal, la
substance
grise de l'écorce est entièrement ou presque en
êmes excitables. D'abor'd examinons l'excita- bilité relative de la
substance
grise et des fibres médullaires. C'est le poiut
citabilité sur le compte du shock ou de l'hémor- rhagie, puisque la
substance
grise environnante réagit comme avant. De plus,
expériences. Ces agents sans doute paralysent l'excitabilité de la
substance
grise. Fritsch et Hitzig ont noté dans leurs ex
1889). 426 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. une longue exposition de la
substance
grise, l'anode prédomine. Ces expériences indiq
et Heideubain est beaucoup plus élevé. Ce chiffre signifie que la
substance
grise de l'écorce ne se com- porte pas comme un
. KERAVAL. XLII. QUELQUES MOTS SUR LES processus dégénératifs DE la
substance
BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX; par M. FrIED
x au sujet du système des fibres propres de la zone limitante de la
substance
blanche (trousseau d'association directe de Mey
né- rescence limitée en foyer; 3° atrophie générale diffuse de la
substance
blanche; 4° atrophie diffuse simple de la substan
e diffuse de la substance blanche; 4° atrophie diffuse simple de la
substance
blanche. La première forme émane des lésions en
tions des fibres blanches quelles qu'elles soient de l'écorce ou la
substance
blanche constituent le noeud de a symptomatolog
r aux parties latérales du pédoncule fusionnent dans un triangle de
substance
blanche situé en dedans du noyau lenticu- laire
ue ou une lacune centrale suppose toujours une lésion, une perte de
substance
; se rappeler à cet égard que le centre de perce
tte, par Buchuolz. (arcs. f. Psychiat., XX, 3.) Le titre indique la
substance
du travail. P. K. LX. DE l'albuminurie ET DE la
qui tombe malade à son tour. Elles peuvent encore se transmettre en
substance
par l'implantation des idées délirantes ; c'est
; - après extirpation des régions motrices, par Ztcheu, 87; de la
substance
blanche, par Friedmann, 428 ; du pédon- cule
cordon antéro- latéral de la -, par Gowers, 89 ; hétérotopies de
substance
grise dans la-, par Krontllnl, 267; anatomie
u en voie de, destruction; dans l'autre, cette gaine existe, sa .
substance
est parfaitement homogène et ses contours nette
teintée en gris sous l'influence de l'acide osmique; de plus, sa
substance
n'est plus homogène et le réactif a coloré dans
HOLOGIQUE. lorsque celle-ci reconnaît pour cause une lésion de la
substance
grise de la moelle épinière, mais encore lors-
ces- mdd., p. 512.) INCOORDINATION DES ATAXIQUES. r4.> de la
substance
grise de la moelle, surlles,nerssmo, GVJ ? ? Q1
? , 1) Les circonvolutions cérébrales sont aplaties, étalées. La
substance
encéphalique est ramollie. ' Cerveau énorme, re
n. - Estomac, rate (25 grammes), foie, (440 gram- mes), sains. = La
substance
corticale des reins, qui pèsent chacun 50 gramm
nou- velles voies ne sont pas frayées par le segment intact de la
substance
grise, par ce tout petit segment qui peut échappe
tion collatérale. » Il cherche enfin à démontrer directement que la
substance
grise n'entre pour rien dans ces phénomènes de
la motilité et de la sensibilité, tue l'animal, et constate que la
substance
grise était parfaitement respectée. En dernier
n, l'animal est mis à mort et l'autopsie confirme l'intégrité de la
substance
grise. Ces faits semblent donc démontrer que la
à produire l'abolition de la sensibilité et de la motilité; que la
substance
grise ne joue aucun rôle dans la conduction cen
intéressé la partie frontale au point d'y déter- miner une perte de
substance
osseuse large comme la moitié d'une pièce de ci
en argent (un dollar mexicain). Par cette blessure était sortie la
substance
cérébrale en notable quantité. La petite malade
tion n'avait pas atteint la face. Du côté de la moelle épinière, la
substance
grise antérieure offre, seule, des lésions évid
é- vélé aucune lésion importante' du côté°'des méninges, ni de la
substance
rise. °1 ! t,.H" " " ni de la substance grise.,
é°'des méninges, ni de la substance rise. °1 ! t,.H" " " ni de la
substance
grise., ·, si - 'Li- 19f1'l1f..l ? 1.' 1 r ? J
.<Y I, l , , ,^ , ' " .'1''1' ^ r.,Wn9 el 2c<r ? ninges,et,la·
substance
grise. r ',] '.t, j IJ"¡ z il 11 , }" 't l, 1 J
se traduit anatomique- ment par aucune lésion des méninges ni de la
substance
grise appréciable à l'oeil nu. II. Observatio
vations de démence épileptique avec lé- sions des méninges et de la
substance
grise. Chez les malades dont nous allons parler
rfois très étendues, mais toujours profondes, des méninges et de la
substance
cérébrale. Observation III. Epilepsie. Mélanc
e-mère injectée et opaque par places. Décortication difficile. - La
substance
corticale, générale- ment ramollie, surtout à l
partie centrale du lobe occipital. Au niveau de ces adhérences, la
substance
corticale est entraînée avec les méninges. Les
ijue. Quand la pie-mère est enlevée dans les points adhé- rents, la
substance
grise reste comme érodée et présente une colora
ne du lobe sphénoïdal gauche, que la pie-mère est adhérente à la
substance
cérébrale sur une étendue de 4 ou 5 centimètres
tres cas, les lésions des méninges l'emportaient sur celles de la
substance
cérébrale; l'examen histologique, comme on le v
n le verra tout à l'heure, a démontré que c'était, au contraire, la
substance
cérébrale qui était la plus pro- fondément atte
stater les lésions à l'état frais, principalement les lésions de la
substance
grise, qui est assurément plus délicate que la
ions de la substance grise, qui est assurément plus délicate que la
substance
blanche, et dont les éléments s'altèrent avec u
leur évolution. Méninges. La pie-mère adhère assez fortement à la
substance
grise. Dans les points où la lésion n'est pas t
he la 16 242 ? CLINIQUE MENTALE. T ' plus superficielle de' la'
substance
'grise ; ici la' ,fusion de la circonvolution e
s' sous-jacentes. ' " ' ' ' , l ""1 tf' il " Il 1 t , 1 ti t i m;
Substance
grise.-Sur les points qui ne sont pas très alté
, on peut' s'assurer; à l'aide d'un faible grossis- sement, que la-
substance
grise a conservé presque tous ses caractères no
la forme d'une bande festonnée poussant dans la profondeur de la
substance
grise des prolongements plus ou moins saillants
s. longuement question. lorsque, nous décrirons les «^lésions de la
substance
blanche. ,, , . ? Les.yaisseaux sanguins sont évi
erment des globules sanguins. , 1" De, toutes les altérations de la
substance
grise, il est ^certain que cellesides cellules
les- retrouve presque . tous intacts, alors que les méninges et la
substance
blanche sont si profondément altérées. L'état
nts dont parlent Stricker et Unger, sont situés aux confins de la
substance
grise, et ceux auxquels nous faisons allti- sio
alr(jl n,ll 1 Jm.n r Irtjl' : h b' 9t .. les couches moyennes de la
substance
grise; et ensuite juloiin JJ'J)j ? nJ-' i - ! ,
1J1 <¡J'THun'IO') ? Tlil '1/1 ? 1. ç . plasma, l'existence de la
substance
granuleuse au - il il ')I...iJ ! IOJ)jlllllll 1
! , ? '' '1,,[fl `1 > ? 1 ? 1 - <S'M ? ? cc e ? C est dans la
substance
blanche - 9'j Ut, ', Il i -i . il | ' ' ri)f. ,
ns JL.ij ? t))' ' 1 1 -1' l , d »- 1 .i , z toute l'étendue de la
substance
blanche d une circon- GJ'\JI¡oLJ J .. 'if "tJ1
'agit assez loin de la -'} .4 .. .jm . 1 I , ! il. ^ A , 1 T 1 ,.
substance
grise pour qu on ne puisse être tente de les t&
me, la névroglie et les vaisseaux sanguins; et, de même que dans la
substance
grise, on y trouve des modifications qui rappel
évroglie est particulièrement intéres- sante. Il n'y a pas, dans la
substance
blanche, de colo- ? < ! i ,, 'H ! 1 t, 1. t 1
existence des cellules araignées dans la couche superficielle de la
substance
grise; mais ici, elles sont en beaucoup plus gr
oup plus grand' nombre et beau- coup plus faciles à étudier, car la
substance
blanche est plus transparente et moins condensé
a substance blanche est plus transparente et moins condensée que la
substance
corticale. 2t8 CLINIQUE MENTALE. o ? TII !
}9 9- ? h 1lD,.rf' ? o, 1=. "q'bl,t Ici JI1() ..II,J ? J1G Dans la
substance
blanche saine, les capillaires '5.. ? t1n nn·r
sion .atteint.surtout, et, d'abord la"coucheosuper..(kille, 4, la
substance
rise ? 1 1 dans ijag démence épileptique, j la
subs- tance, grise , et), intéresserait ? la^couche, contiguë^de ;
substance
, blanche, qui , ;à t.'oeil. nu, ,offre) une, colo
pe pratiquée dans un foyer d'encéphalite diffuse au voisinage de la
substance
grise. tl, Fig. 1. -A, A, cellules araignées
tentatives intéressantes en France et à l'étranger. On introduit la
substance
anesthésique dans l'éco- nomie, soit par la voi
oral et de la morphine, il croit avoir obtenu ce résultat. Ces deux
substances
sont administrées par la voie gastrique, sous f
ule sensitive principalement; ils déterminent une coagulation de la
substance
de cette cellule, coagulation qui ne serait pas
sur deux faits, expri- ment l'opinion que, dans la chorée grave, la
substance
blanche de la moelle subit des altérations qui
. , J1 llfl'll 'l'I .'> iy ij· i rn.il ? i · nez .... ainsi la
substance
hépatique se trouve divisée par un tissu ondulé
, tube digestif, par/ les diffé- rents procédés (moyens mécaniques,
substances
. excitantes, électricité, etc.) que lui offrait
phiés ; ce n'était plus, sur- tout à droite, que de minces lames de
substance
; et, à leur surface, se présentaient de nombre
si on l'admettait, on eût dû trouver, sur ce cerveau, une perte de
substance
procédant de dedans en dehors; et il en eût dû
e des ventricules, allant s'ouvrir au dehors. Mais on sait que la
substance
des hémisphères cérébraux, et notam- ment l'éco
n, ne peut donc s'expliquer que par une défectueuse évolution de la
substance
cérébrale : et cela, sans que l'hydrocéphalie y
au, l'arachnoïde et la pie-mère, adhérentes l'une à l'autre et à la
substance
grise, sont infiltrées d'un pus épais, crémeux
irconvolutions fron- tales. La pie-mère se détache en entraînant la
substance
ra- mollie. Outre cette lésion récente, nous
tilagineuse des circonvolutions frontales et princi- palement de la
substance
grise de ces circonvolutions. En 1875, M. d'Esp
e résultat d'examens anatomiques relatifs aux mo- difications de la
substance
cérébrale chez les idiots épileptiques. Dans un
portons ici, c'est la localisation des foyers de sclérose dans la
substance
grise, soit à la surface des circonvolutions, s
léments nerveux qu'il englobe. ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 411 i Dans la
substance
blanche, la lésion scléreuse, à part la différe
ons de la circonvolution malade qui devaient être occupées par la
substance
blanche ; peut-être est-il permis de supposer,
pposer, en raison de ce fait, que la sclérose névro- glique dans la
substance
blanche n'est que secondaire. Quant à la vascul
nt de départ réside dans la 412 CLINIQUE MENTALE. névroglie de la
substance
grise corticale, mais dont la localisation dans
en plaçant sur chaque moitié successivement une petite quantité de
substance
à sa- veur très franche, sel commun, coloquinte
La caisse du tympan prend plutôt naissance par la résorption de la
substance
fondamentale qui préside au développement de l'
t, on obtient des contractions manifestes en excitant la moelle. La
substance
grise perd son excitabilité avant la blanche. D
ociation qui réunit les unes aux autres les cellules motrices de la
substance
grise. Ainsi, la cause pro- vocatrice du spasme
et demi au-dessus du bord antérieur du trou occipital, une perte de
substance
arrondie ayant presque le diamètre d'un pois; d
t en même temps mal accusées; écorce étroite d'un brun jau- nâtre ;
substance
médullaire jaunâtre, molle, peu vasculaire. Gan-
, peu vasculaire. Gan- glions centraux uniformément atrophiés; leur
substance
grise est brunâtre. Pédoncules cérébraux normau
absence d'épaississe- ment. Moelle cervicale assez ferme, anémiée;
substance
blanche un peu grise; moelle dorsale très molle
, les membranes molles se trouvent intéres- sées de concert avec la
substance
du pont de Varole : la com- pression de la prot
adie des cellules à grand prolongement de la corne antérieure de la
substance
grise et de la moelle, qui remplissent à la foi
s épaissies au niveau de la tumeur. Reins granuleux à leur surface.
Substance
corticale décolorée. L'auteur après avoir discu
interhémisphérique; foyer formé par une masse jaunâtre demi-solide,
substance
blanche sous-ja- cente d'apparence granuleuse.
as de matière brunâtre, semblable àcelle qui s'est déjà écoulée. La
substance
grise était intacte dans les parties superficiell
s les parties superficielles, très altérée au niveau des sillons. -
Substance
cérébrale avoisinant la tumeur, jaunâtre et ram
x détruits ou altérés. On peut enfin supposer que, de même que la
substance
hépatique ou musculaire, qui est le siège d'une
e faisceau pyramidal et aug- mentant le pouvoir excito-moteur de la
substance
grise médul- laire ; c'est encore au processus
térieur du Ventricule, "mSis^encbfeYsépârâtiônf'cbmplète dé' cette"
substance
diavéc les qgantgli6n'silcérébrâuxJItLa3·'Cburo
.se trouve-placée, alorsientréj1'àyailt inur- (c/aMsMO ? et a la.)-
substance
, grise' des circonvolutions frontales,, i-^-joaga
asma : \ on y< retrouve Jbji, rc}i;s,e> djjpo- Fsitiom de. la
substance
grise, que osur,la, précédente, coupe jjivec t
pourtant,Trque, ,dan§j laj^partiej^jnférigurejde d'hémisphère,- la
substance
griserde^insulaq/a^ arrive à^hisur- -facë^ libr
si haut , cette^subjtajice.vaadjrec- ttementselcônfondre3 avec ila ;
substance
,grisej djiLÇSyâHiSâHâ ? ' Ne. Dans la partie su
l'intérieur de l'hémisphère, t.và directement se, confondre avec la
substance
, grise de Kavant- tmur,0. Près de là, prend» na
ant- tmur,0. Près de là, prend» naissance ^toute^ne^bandejette^de
substance
grise ? qui -.s'interpose aentre,le lobe pariétal
jveau. JDans^la.par- tie inférieure,} decla figure,31on démêle jjla^
substance
^grisjT'de S'insula,cla', l'avant-mur, ouclaustr
ance'grise`paraît assez r, égullz re (PLXIV, fg : 5). Les fibrë5·de
substance
blanche, qui parteiit du 1 be ari tal, o r t)'d
it composée de deux portions, 1 une quiproémiîle en''r`elief sur3la
substance
cérébrale' Ip, l'autr"' qui' s'enfon éé'i.'dan
laire interne et externe). 011trôûrvé sûilâ'PLt'-XIV;'fig : 'G); la
substance
grise del'insula, 'fjÇJof à un'niyeau plus1 éle
n,trouve normalement constitués les di- vers éléments propres de la
substance
grise,.Zmâiil'yjinânque - la disposition réguli
üsr,hâuii : s3ai silb.'c Il oBurile< erveaü'Jde notre^malade; la
substance
grise ! 9festrès'irrégu ! IèremeuU'distribuée : 3
jni-v^nliViuao 3')Iii'ij ), ij) D : ) 1 ? L 8bm 1-iiiil vraie de la
substance
nerveuse,, mais. bien de néofor- 891 9f101 911
Ô lui ? 9lbLeT'Si'1 8fTOl,irJlOVfI0110 eLes cas d'hétérbtopie de-la
substance
cérébi`ale; çl'ùlieq faç6nrénéral`e, 3nei'son`t
9P ? 1 . ·. m.,JJ ku jl atteint de paralysie agitante, un îlot de
substance
. griser, situé au milieu de la substance blauch
lysie agitante, un îlot de substance. griser, situé au milieu de la
substance
blauche du lobe occi- pilalndu ecôté droite et'
ure de l'insula que par une t rrm -ff.4, p - 'av - 'n "f bande de
substance
blanchee(c'entre8caudo-insulàirej'r .311,'OTAHê
'Y* If i ,^09^ '>. de faire remarquer qu une destruction de la.
substance
? t 1 1. ai -r -ol -il «U. : 2 9 ffof").-)2 j xii
n 1 1 1,1 r ? li.t 1-,) . .. ± suc l'avant-mur z Ces deux dépôts de
substance
grise dissocient les éléments, qui, dans la cou
s'traînées'de t ? ujjjt.t'ju qui mettent les deux noyaux en coin-
substance
grise qui mettent les deux noyaux en com- ai» o
ns les cornes antérieures, et d'une ma- nière générale par toute la
substance
grise ; les cellules du tissu conjonctif de la
r toute la substance grise ; les cellules du tissu conjonctif de la
substance
grise étaient plus nombreuses qu'à l'état norma
raient à la membrane externe de quelques vaisseaux. Les colonnes de
substance
blanche étaient parfaitement saines. , C. T.
ut moins lo- cales, qu'elles atteignent d'assez grandes étendues de
substance
grise tout en tendant à former foyer sur tel ou
sions toniques des' quatre membres. Les nodosités scléreuses' de la
substance
corticale que l'on découvre alors ne constituer
remarquables surtout en ce qui a trait au mode de répartition de la
substance
grise ou blanche : telle cette sclérose latéral
née d'affection bulbaire dans laquelle on rencontra au milieu de la
substance
grise une masse considérable de substance blanc
ncontra au milieu de la substance grise une masse considérable de
substance
blanche normale (renflement lombaire); telle enco
e générale des aliénés présentant une pénétra- tion identique de la
substance
blanche dans les couches grises (moelle dorso-l
l'épilepsie « une décharge accidentelle, soudaine et rapide de la
substance
grise d'une partie quelconque du cerveau ». Cette
ise par le nerf optique sera pervertie et il y aura illusion. Si la
substance
corticale est saine, cette illusion sera corrig
sion sera corrigée et regardée comme, une perception erronée; si la
substance
corticale est malade, l'illu- sion sera accepté
a pas de lésion des centres sensoriels intellectuels situés dans la
substance
corticale, et que la maladie est limitée entièr
rs.pédiculo-parlétauxsupérieurs, occipitaux et n'intéressant que la
substance
blanche. Une seconde tumeur identique siégeait
ations n'auraient au surplus que peu ou pas de tendance à envahirla
substance
grise de la moelle ou les cordons latéraux, mai
té- grité de la sensibilité par la suppléance physiologique de la
substance
grise, de même qu'inversement une partie de la
ue de la substance grise, de même qu'inversement une partie de la
substance
grise peut être incapable de fonction sans que la
pe pratiquée dans un foyer d'encéphalite diffuse au voisinage de la
substance
grise. Fig. 1. -A, A, cellules araignées à prol
noyau caudé. 0, avant-mur (claustrum). C e, corps calleux. Ca,
substance
grise de la circonvolution centrale antérieure, o
lle, qui sépare le ventricule latéral de la surface cérébrale. F a,
substance
grise des circonvolutions frontales, qui pénètre
ventricule latéral, et arrive directement sur le noyau caudé. la,
substance
grise de la portion antérieure de l'insula, dépri
antérieure de l'insula, déprimée, et pénétrant dans la masse de la
substance
blanche de la circonvolu- tion frontale. C, C
u chiasma des nerfs optiques. (C'est la face posté- rieure.) T p,
substance
grise de la circonvolution centrale postérieure,
va y for- mer la paroi supéro-exlerne. C c, corps calleux. 1 a,
substance
grise de la portion antérieure de l'insula, dépri
hémisphère gauche, tout contre le chiasma des nerfs optiques. l',
substance
blanche du lobe pariétal, arrivant à la capsule i
e cérébrale. la, portion antérieure de l'insula, en retrait. lp',
substance
grise de la portion saillante de l'insula, qui ar
a portion saillante de l'insula, qui arrive sur l'avant-mur. 1 a,
substance
grise de la poition déprimée de l'insula. E, Co
DES PLANCHES. ' C n, capsule interne, - C x, capsule externe. P,
substance
blanche du lobe pariétal, qui arrive sur la subst
e externe. P, substance blanche du lobe pariétal, qui arrive sur la
substance
blanche de la région cérébrale sous-jacente.
oupe précédente; elle sectionne le sillon pariéto- occipital. Ip,
substance
grise de la portion saillante de l'insula. U, C
concernent simplement les fibres nerveuses qui se distribuent à la
substance
grise (cornes postérieures, colonnes de Clarke,
cordon postérieur, une dégénérescence des libres se rendant à la
substance
grise de la moelle, avant tout, des collatérales
, avant tout, des collatérales réflexes qui s'arborisent dans cette
substance
grise. Nous rapporterons à la disparition de ce
, cette sommation des excitations dans les cellules nerveuses de la
substance
grise que nous percevons comme sen- sation de d
ieurs des fibres endogènes dont les cellules d'origine sont dans la
substance
grise, et que ces fibres sont - surtout rassemb
erritoire offre l'étendue la plus considérable précisément là où la
substance
grise possède, relativementet absolument, le pl
interne gauche un morcel- lement anormal des faisceaux blancs parla
substance
grise. Observation II. Maurice M..., âgé de dix
nstallation à la tête et au pied du lit de tablettes verticales, en
substance
mauvaise conductrice de la chaleur ; l'usage de
t à l'intérieur ou REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. · 47 autour de sa
substance
; il est probable qu'ici la lésion est plus anc
i injecté dans le nerf sciatique de chiens et de lapins vivants des
substances
pulvérulentes aseptiques (encre de Chine, bleu
u étudier à leurs principaux stades histologiques les lésions de la
substance
grise et de la substance blanche, en parti- cul
aux stades histologiques les lésions de la substance grise et de la
substance
blanche, en parti- culier les ulcérations des c
en parti- culier les ulcérations des cellules cordonales. Pour la
substance
grise il est nécessaire de distinguer chez l'ho
r- donales ou rétro-radiculaires occupant la partie moyenne de la
substance
grise. Etudiés par la méthode de Nissl, ces deux
Elle n'est nullement en rapport d'intensité avec les lésions de la
substance
grise. Cette discordance entre ces deux processus
longitudinal inférieur, sans lésions de l'écorce pariétale ni de la
substance
sous-corti- cale de l'hémisphère gauche. La dég
cet hémisphère, sans en atteindre ni les radiations optiques, ni la
substance
blanche sous-jacente à l'écorce de la scissure ca
casion d'ob- server une série de cas avec une lésion probable de la
substance
grise ou des racines des segments situés immédi
que faible; la sub- stance grise est moins résistante encore que la
substance
blanche. Il s'ensuit que les réactions inflamma
es autres vis- cères et qu'elles sont moins marquées encore dans la
substance
grise que dans la substance blanche. Il en résu
lles sont moins marquées encore dans la substance grise que dans la
substance
blanche. Il en résulte, d'autre part, que les i
ans la moelle que dans les autres organes et plus marqués dans la
substance
grise que dans la substance blanche. 3° D'après
autres organes et plus marqués dans la substance grise que dans la
substance
blanche. 3° D'après l'état actuel de nos connai
réactionnel de l'organisme contre une intoxication locale due à une
substance
soluble (Courmont). L'inflammation étant toujou
e plus nom- breuses ; Stoff admet que la douleur se transmet par la
substance
grise. Brown-Seguart admettait la transmission
grise. Brown-Seguart admettait la transmission delà douleur par la
substance
grise ; la région antérieure par le tact, la régi
, la dégénérescence des collatérales réflexes, affecte gravement la
substance
grise de ces régions dans le tabes. « La dégéné
unes qu'on puisse considérer comme décidément pathologiques. ' La
substance
chromatique, le substratum de la coloration de
aux se montrent avec leur forme normale, non seulement quant à leur
substance
chromatique, mais quant à leur noyau. Schaffer
cas) et dans le tabes naissant, Schaffer a bien l'impression que la
substance
chromatique se colore d'une manière plus intens
ve. L'opinion générale aujourd'hui est que la considération de la
substance
chromatique détermine la nature du jugement qu'on
dans des préparations provenant de deux cas de tabes, l'état de la
substance
chromatique ne différait en rien de celui des c
romatolyse dans ces cellules, « car, dit-il, la disso- lution de la
substance
chromatique est un indice anatomique du trouble
stesse de ce raisonnement ? Dans l'altération des granula, ou de la
substance
chromatique, les auteurs voient « une réaction de
ondition de la vie du neurone, on ne trouve aucune altération de la
substance
chromatique, altération dans laquelle les auteu
u névraxe. Quant à l'cdléralion essentielle que doit avoir subie la
substance
même, la substance fondamentale de la cellule,
l'cdléralion essentielle que doit avoir subie la substance même, la
substance
fondamentale de la cellule, et dont dépend sa fon
es d'origine endogène (Marie), lesquelles tirent leur origine de la
substance
grise de la moelle épinière. ' Marie. Leçons
circonvolutions est lisse, tan- dis que chez l'homme la surface de
substance
grise est considéra- blement augmentée par la q
ur le point dans un des tableaux qui accompagnent 'son travail. 1
Substance
chromophile. - En examinant la cellule fraîche, c
'qu'on n'avait pas fait auparavant, on acquiert la preuve que la
substance
chromophile existe bien réellement 'sous la forme
par les réactifs. Il n'est pas douteux que dans la cellule morte la
substance
chromophile prend' Í1¿ fOl'me et une dispositio
ce type cellulaire normal est la - dégénérescence granuleuse de la
substance
chromophile : la cel- ,Iule prend une forme plu
de devenir fragiles, se rapetissent et se dur- - clissent ; là, la
substance
granuleuse n'a aucune tendance à deve- .nir gra
mes et 45 femmes), il y en . avait 25 (8 hommes et 17 femmes) où la
substance
chromophile présentait la disposition que l'aut
le. Dans tous les cas, naturellement, il y avait des cellules où la
substance
était en état de dégénérescence; mais la majorité
t il termine son travail par quelques remarques sur la nature de la
substance
cbromatophile et ses rapports avec le fonctionn
gardant de formuler une opinion absolue sur le rôle précis que la
substance
chromatophile peut jouer dans le fonctionnement d
\111e Formakowska a intoxiqué un, certain nombre de lapins avec les
substances
précitées et examiné ensuite les cellules gangl
ges, mais ils appartiennent plutôt au processus de réparation de la
substance
nerveuse détruite. Celle-ci, trop hautement dif
s vasculaires par dilatation des espaces périvasculaires remplis de
substance
albumineuse et d'une énorme quantité de leucocy
D'ANATOMIE Er DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 145 - En outre, dans la
substance
blanche des lobes temporaux, pariétaux, occipit
Les kystes n'ont pas de paroi propre ; ils sont constitués par une
substance
morte déchue ; ceux qui ont un contenu sont for
ns) sert pendant ce temps à la formation du noyan de la cellule; la
substance
du filament qui entoure le corpuscule sert à la
s consécutives soit à un traumatisme, soit il l'administration de
substances
chimiques, soit à une modification des conditions
formés en deux vastes pseudo-kystes dont les parois sont formées de
substance
cérébrale atrophiée. Au point de vue clinique
et épaissie au moment de la décortication, a entraîné la couche de
substance
grise du cerveau et on trouve adhérents à la mé
demi-centimètre environ. L'hémi- sphère sous-jacent est réduit à la
substance
blanche; la forme générale des circonvolutions
nucléaire. L'appareil nllcléolai1'e est toujours constitué par deux
substances
, l'une acidophile, l'autre basophile, formant d
ares semblent bien ne pas secreter de la sueur, mais simplement une
substance
graisseuse. Notons, en effet, que les glandes s
ité, ou plutôt l'absence de développement de la quantité normale de
substance
osseuse avait été le résultat d'une ossificatio
émités inférieures dans la même maladie. Celle-ci, en effet, est en
substance
une analgésie, tandis que l'anesthésie du tronc
ar la pie-mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de
substance
cérébrale. La partie des poches qui répond aux lo
masse scléreuse, qui, à la pression, n'est qu'une petite couche de
substance
corticale. Les deux hémisphères sont réunis par
e la pie-mère qu'au voisinage de ceux des couches inférieures de la
substance
grise, mécanisme qu'il nous a été souvent donné
n observe les points (portion interne des lobes occi- pitaux) où la
substance
nerveuse est encore relativement conservée, on
sa périphérie par des libres myéliniques qui atteignent à peine la
substance
grise, où l'on voit encore quelques libres radi
asculaire importante. Ces capillaires néoformés pé- nètrent dans la
substance
grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la s
ent dans la substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la
substance
nerveuse se nécrose. Il s'agit là d'un cas rapide
n effet, aurait abouti à ce résultat, car tout autour de l'abcès la
substance
cérébrale était ramollie et, si l'on en croit'
'un homme âgé de vingt-un à trente ans est de 1 341 grammes '. La
substance
grise est molle et d'un rouge sombre, dans tous l
coupe, on observe le même phénomène sur la surface de section de la
substance
blanche. Les noyaux opto-slriés. un peu ramolli
la solution de Lugoi. Ils ne sont pas absolu- ment identiques à la
substance
amyloïde qu'on trouve eu d'autres points du cor
un cas de paralysie bulbaire. On ne les rencontre guère hors de la
substance
blanche. L'auteur pense que les corps qu'il a t
teinte, et la méthode de Marcha montre qu'elles sont remplies d'une
substance
qui ressemble à la graisse. On croit qu'elles pro
s de cellules : l'une qu'il appelle la cellule nerveuse, produit la
substance
transmetteuse ; l'autre, qu'il appelle la cellu
milieu des circonvolutions de l'hippocampe. Pour chaque région, la
substance
blanche et la substance grise ont été étudiées
ons de l'hippocampe. Pour chaque région, la substance blanche et la
substance
grise ont été étudiées pour chaque hémisphère.
dans leur ensemble, on trouve comme poids spécifique moyen, pour la
substance
grise 1037 et pour la substance blanche 1041. l
mme poids spécifique moyen, pour la substance grise 1037 et pour la
substance
blanche 1041. l.e poids spécifique de la substa
1037 et pour la substance blanche 1041. l.e poids spécifique de la
substance
blanche est le même dans les deux sexes, mais c
substance blanche est le même dans les deux sexes, mais celui de la
substance
grise est de 1039 pour les hommes et de 1032 po
: on trouve en outre que les différences les plus accusées entre la
substance
blanche et la substance grise se rencontrent da
les différences les plus accusées entre la substance blanche et la
substance
grise se rencontrent dans la région motrice, et
our les lobes frontaux et occipitaux. Dans les deux hémisphères, la
substance
blanche et la substance grise de la corne d'Amm
t occipitaux. Dans les deux hémisphères, la substance blanche et la
substance
grise de la corne d'Ammon ont exactement le mêm
que est absolument identique dans les deux hémisphères tant pour la
substance
blanche que pour la substance grise de chaque r
s les deux hémisphères tant pour la substance blanche que pour la
substance
grise de chaque région. Le maximum de différence
nce grise de chaque région. Le maximum de différence entre les deux
substances
se trouve chez l'homme à la région frontale, le
es circonvolutions occipitales, tandis que dans la corne d'Ammon la
substance
blanche de chaque hémisphère a un poids spécifi
hémisphère a un poids spécifique légèrement inférieur à celle de la
substance
grise. Chez la femme la seule région où la subs
celle de la substance grise. Chez la femme la seule région où la
substance
blanche et la substance grise aient le même poi
rise. Chez la femme la seule région où la substance blanche et la
substance
grise aient le même poids spécifique dans les deu
rconvolution pariétale ascendante. Les diffé- iences entre les deux
substances
sont sensiblement les mêmes tant dans les régio
l'hémisphère droit que dans le gauche. Le poids spécifique des deux
substance
^ dans la région de l'hippocampe est presque ide
des groupes cliniques énumérés plus haut, le poids spécifique de la
substance
grise et celui de la substance blanche : 1° Paral
plus haut, le poids spécifique de la substance grise et celui de la
substance
blanche : 1° Paralysie générale : S. G. 1 )40 S
le dans la dégénéres- cence graisseuse et recherche la nature de la
substance
jaune que l'on y constate. Il présente ensuite
er lieu aussi à la formation de corps concen- triques. En somme, la
substance
hyaline est très instable et pré- sente, quand
classes : 1° classe corticale, lésions limitées à l'écorce ou à la
substance
blanche sous-jacente ; 2° basale, lésions atteign
ntre moteur de la jambe, à l'aide de l'excita- teur électrique ; la
substance
corticale fut incisée à ce niveau, dans une éte
kystes, logés dans la cicatrice dure-mérienne. L'excitation de -la
substance
blanche sous-jacente a provoqué également des m
excisé a fait constater la présence d'un foyer déjà ancien, dans la
substance
grise, à côté de traces d'une leptoméningite de
ont pas dépourvus de mémoire. Ils ne possèdent pas, il est vrai, de
substance
corticale, mais c'est pro- bablement une questi
icielle de l'écorce que dans ses par- ties profondes et que dans la
substance
blanche. Des altérations des vaisseaux procède
x procède le développement du tissu conjonctif, et l'atrophie de la
substance
cérébrale, selon l'étendue du processus patholo
tliyroïdine de Howitz et Vermehren, l'iodo- thyrine de Baumann, la
substance
albuminoïde de Hutchinson ne constituent pas le
endant il semble plus que possible que la tumeur, primitive dans la
substance
cérébrale, ait pris naissance dans de l'épithél
rises antérieures, ou du moins les cellules ganglionnaires, mais la
substance
blanche et les nerfs moteurs efférents sont aussi
n microscopique. A l'examen chimique on trouve une augmentation des
substances
organiques, mais la quantité de graisse est dim
écorce et n'intéressaient légèrement que la couche limitrophe de la
substance
blanche. Ces observations justifient l'hypothès
sument dans une hyperplasie de la neuroglie, principalement dans la
substance
grise posté- rieure, sans trace de cavité ; il
s destinés à fournir le milieu nécessaire au fonc- tionnement de la
substance
protoplasiéesique. Etant donné ces considératio
on du nombre des cellules nerveuses, et lésions vasculaires dans la
substance
grise du lobe frontal. - On chercha immédiate
égions intra-hémisphériques. Si l'on admet la surexcitabilité de la
substance
ganglion- naire sous-corticale par une lésion q
ible, tandis que chez les malades attaqués de récidive, la perle de
substance
se trou- vait remplacée par une membrane résist
ive qu'une fois, chez les autres patients, il existait une perle de
substance
molle, laquelle faisait lieu de soupape. Il ter
important travail : 1° la glande thyroïde contient une ou plusieurs
substances
qui, médicalement administrées, sont capables d
se autour de la moelle, une néoformation vasculaire au niveau de la
substance
grise, de l'hyperproduction névrogliquc surtout
et la protubérance, cette tumeur n'est pas énucléable et envahit la
substance
du cervelet; elle empiète sur la protubérance;
nfiltration de grains fortement colorés en bleu dans l'écorce et la
substance
blanche centrale des circonvolutions. Us formen
sait Magnus Luss. On a conseillé de mêler à la boisson un amer, une
substance
nauséabonde telle que l'assa fœtida ou de la téré
des habitudes mauvaises et des vices, dans la lutte contre l'usage de
substances
délétères et, partant, contre les dégénérescences
erve le moindre souvenir, et cela, rien que par l'action de certaines
substances
agissant à distance sur les mêmes sujets hypnotis
Nous la voyons s.-propager le long de certains objets ou de certaines
substances
servant à . conducteurs. Nous la voyons encore pa
sateur dans celui du sujet intermédiaire (homme ou animal) ou dans la
substance
d'un objet quelconque. Ces corps intermédiaires
blication du livre de MM. Bourru et Burot sur l'action à distance des
substances
toxiques et médicamenteuses, a appelé, sur cette
sont relatives à l'action rayonnante qu'exercent à distance certaines
substances
chez les sujets hypnotisés. Nos deux éminents c
esthésic qu'ils deviennent impressionnables, en présence de certaines
substances
toxiques ou médicamenteuses tenues â distance, et
pour vérifier les résultats les uns par les autres, qu en présence de
substances
similaires j'ai obtenu des résultats similaires,
n sujet hypnotisé, suivant qu'on le met en présence de telle ou telle
substance
dont il ignore absolument la nature et les effets
ns produites sur l'organisme hypnotisé par les actions à distance des
substances
stimulatrices se présentent sous deux modalités b
tion du sujet, suivant son impressionnabilité intime, la nature de la
substance
employée, les phénomènes réactionnels évoluent en
que la susceptibilité du sujet est plus exaltée ou que l'action de la
substance
employée a un lieu d'élection différent, le sujet
gie, après avoir disposé et numéroté les tubes de verre contenant les
substances
actives à l'insu du sujet, on les place tout d'ab
arrivent immédiatement à leur maximum d'effet, tantôt l'action de la
substance
stimulatrice est lente à déterminer ses réactions
hez les sujets dédoublés, elles sont souvent unilatérales, et la même
substance
qui. du côté droit, détermine un état de souffran
'une grande intensité. Ainsi, sous l'action à distance de certaines
substances
, on voit incontinent les régions thyroïdienne et
hlorhydrate de morphine à la dose de 2 centigrammes, comme toutes les
substances
employées, mises en présence de sujets dédoublés,
er le tube ailleurs et à changer le champ d'action périphérique de la
substance
stimulatrice ? c'est un tout autre tableau qui va
escription détaillée des effets produits par un grand nombre d'autres
substances
appartenant soit au règne végétal, soit au règne
tention les réactions émotives produites sur l'organisme par quelques
substances
bien nettement déterminées, et qui ont une action
xpérimentale ne sont, comme les précédentes expériences avec d'autres
substances
, que (t)Dans la plupart des expériences, le suj
, une période de saturation et une période de décours, suivant que la
substance
alcoolique qui les a provoquées est présente ou a
ition naturelle, soit par le fait de spécialité d'action de certaines
substances
qui agissent principalement sur les régions intel
eur, à la tournure de ses désirs, et surtout, suivant la nature de la
substance
stimulatrice. exprimer avec une allure et une fra
dans ses lignes principales. Inversement, sous l'influence d'autres
substances
stimulatrices, le haschich, entre autres, ce sont
Dans d'autres circonstances, suivant qu'on a mis en œuvre d'autres
substances
, c'est tout un nouvel ordre d'émotions qui sont s
emblables chez les mêmes sujets, en employant, comme je l'ai dit, des
substances
semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en
nces semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en conclure Qu'une
substance
quelconque, qui a sollicité chez un sujet des scè
rticules de limaille de fer agglomérées dans sa sphère d'action. La
substance
stimulatrice incluse dans le tube est le souffle
et par étapes vers le réveil, en ayant bien soin, quand il s'agit de
substances
simulatrices employées comme agent d'excitation,
ur s'opérer d'eux-mêmes, afin que l'action simulatrice propre à telle
substance
soit complètement éteinte. On s'assure de ce fait
arche régulière des étapes normales. Le sujet, par la privation de la
substance
stimulatrice, est retombé d'emblée en période lét
out nouveau de questions médico-légales qui, à propos de l'action des
substances
médicamenteuses et toxiques, vient tout d'un coup
ci la question nouvelle qui se pose : On peut donc, à l'aide de ces
substances
, qui agissent d'une façon purement physique, prod
e si vaste des maladies du système nerveux. L'ACTION A DISTANCE DES
SUBSTANCES
TOXIQUES ET MEDICAMENTEUSES RESULTATS PRATIQUES
re métallique. Dans les eaux minérales, les doses pondérables de la
substance
médicamenteuse sont hors de toute proportion avec
cérine absorbée et retenue par une poudre inerte. La proportion de la
substance
active varie en général de 5o à 75 pour 100. Cell
ue extérieure. « Je fus frappé de la ressemblance d'action de cette
substance
avec le nitrite d'amyle, et je songeai à l'employ
s d'apprécier sans danger l'impressionnabilité de certains sujets aux
substances
médicamenteuses et toxiques. Quand on voit la gra
; Apprécier sans danger l'impressionnabilité individuelle aux mêmes
substances
; Codifier l'action, jusqu'ici empirique, de la
remier coup que nos sujets atteignent leur maximum de sensibilité aux
substances
présentées à l'extérieur. La plupart des critiq
qu'il y ait eu suggestion. Impossible est la suggestion, quand une
substance
inodore, inconnue du sujet, de l'expérimentateur,
s un flacon pour un autre. Impossible encore, quand il approche une
substance
dont les effets physiologiques sont inconnus !
uggestion écartée, force est donc d'admettre une action directe de la
substance
sur l'organisme, quelque chose comme une vibratio
érie médicamenteuse et toxique. Or, un médicament, un poison, est une
substance
qui a une influence intime et spéciale sur l'orga
ce qui a une influence intime et spéciale sur l'organisme vivant, une
substance
qui. diluée dans la masse du sang, emportée par l
a porter son action bienfaisante ou meurtrière. Ce sont justement ces
substances
qui, dans nos expériences, se sont montrées activ
cusant aussitôt par une contraction dite réflexe. S'il s'agit d'une
substance
ayant la propriété d'impressionner spécialement l
'organisme vivant, la vibration, le mouvement intime partant de cette
substance
se transmet encore par le nerf sensible; mais ici
intervient l'impression spéciale d'un organe déterminé pour lequel la
substance
se trouve avoir de l'affinité, et le mouvement ré
udorales, si c'est un sudorifique, et ainsi des autres. Pour d'autres
substances
, l'impression se transmet aux organes de l'intell
En résumé, dans cas actions de contact extérieur ou de voisinage, les
substances
qui ont, pour certaines parties de l'organisme vi
conséquences et des cas particuliers. Mais, de même que toutes les
substances
ne sont pas actives, tous les organismes ne sont
rations expérimentales sur l'action a distance des médicaments et des
substances
toxiques. Les expériences ont pleinement réussi.
S A LA REVUE De la suggestion mentale et de l'action à distance des
substances
toxiques et médicamenteuses, par MM. les professe
ne sont pas plus considérables que ceux qui résultent de l'emploi des
substances
médicamenteuses toxiques. On peut faire de l'hypn
la Charité, une série de démons-trations sur l'action 4 distance des
substances
toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de m
d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale faites à l'aide de
substances
médicamenteuses ou toxiques. (Encéphale, sept., o
i même déposé l'émétique directement sur la nuque, j'ai laissé chaque
substance
pendant près d'une demi-heure. Rien ne s'est prod
ante : J'avais fait préparer par M. Gault. pharmacien à Narcy, huit
substances
contenues dans des flacons fermés par un simple b
contenues dans des flacons fermés par un simple bouchon de liège; ces
substances
étaient: l'émetique. 0.10 en dissolution : l'eau
ool à 95V et la scammonèe, o.5o avec f gramme de sucre de lait. — Ces
substances
furent préparées par M. Gault ên mon absence : ch
une enveloppe cachetée, M. Gault inscrivit sûr un billet le nom de la
substance
correspondant à chaque numéro. Les flacons, enfer
qu'au moment de l'expérience. Nous ignorions ainsi !a nature de la
substance
expérimentée, et ce n'est qu'après toutes les exp
vrir l'enveloppe et inscrire à côté de chaque expérience le nom do la
substance
expérimentée. Ainsi fut fait. Mlle Joséphine D.
c; la scammonée seule tombe juste en produisant des coliques. Sur 7
substances
expérimentées, le sujet a accusé des troubles div
coïncidence entre l'auto-suggestion du sujet et l'action réelle de la
substance
? Y a-t-il eu de la part de l'opérateur trahison
une tierce personne qui n'assistera pas à l'expérience, une série de
substances
à actions nettement définies dans des flacons por
portant des numéros. 2° Mettre sous enveloppe cachetée les noms des
substances
correspondant à chaque numéro. 3° Chez les suje
ujets déjà soumis à ces expériences, employer autant que possible des
substances
n'ayant pas été expérimentées chez eux pour évite
ces conditions, les phénomènes observés concordent avec l'action des
substances
expérimentées, il faudra bien admettre qu'il y a
de veille auraient une aptitude singulière à être influencés par une
substance
contenue dans un flacon placé à côté d'eux et don
eux et dont ils ignorent le contenu, comme s'ils avaient ingéré cette
substance
. J'avoue n'avoir jamais réussi cette expérience
on veut obtenir d'eux. Sachant qu'ils doivent ressentir l'effet d'une
substance
contenue dans un flacon, ils commencent par se su
um, émétique, valériane, etc. Si parmi les assistants, connaissant la
substance
en question, il en est qui, frappés par ces premi
lages de ces 17 couches superposées. A l'état de ramollissement, la
substance
cérébrale est en effet devenue tellement maniable
conditions climatériques moins inclémentes. Pour les déperditions de
substance
, la réparation, également, est moins rapide. Se
t variables, ne sauraient donner par eux-mêmes les idées de cause, de
substance
, ni aucun des principes fondamentaux de la scienc
suivies bientôt du rejet d'une gorgée de liquide. Or, quelle était la
substance
médicamenteuse renier- mec dans ledit tube, à
a exactement les bases. Il fut en outre décidé que la préparation des
substances
médicamenteuses employées serait confiée à une pe
'y pouvait trouver de différence. Six autres tubes renfermaient des
substances
à l'état de poudre; ils étaient enveloppés de pap
sa communication M. Luys affirmait qu'il avait obtenu avec les mêmes
substances
médicamenteuses des résultats sensiblement simila
oordonnés, et les manifestations ne sont nullement en rapport avec la
substance
mise en expérience. Mais ce qui montre encore m
nge mobilité et l'extrême incertitude des phénomènes produits par les
substances
médicamenteuses placées à distance, c'est que la
les substances médicamenteuses placées à distance, c'est que la même
substance
amène chez le même sujet des phénomènes absolumen
ces de la fantaisie et du souvenir du sujet mis en expérience que des
substances
médicamenteuses renfermées dans les tubes employé
ffets constatés par la commission n'est en rapport avec la nature des
substances
mises en expérience et que, par conséquent, ni la
ndance contractée par habitude que présentent certaines parties de la
substance
grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles
de jeu, en punissant l'ivresse publique, en réglementant la vente des
substances
médicamenteuses et toxiques, de même leurs convic
Supposez qu'un explorateur revienne de l'Afrique centrale avec une
substance
mystérieuse et puissante qui priverait l'homme de
e démonstrations publiques; il ferait même des distributions de cette
substance
étrange, si bien qu'en sortant des représentation
vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrait bientôt, car cette
substance
serait à certains égards plus dangereuse que plus
es à des conditions précises? Supposez ensuite qu'il s'agisse d'une
substance
parfaitement connue et déterminée, soit le chloro
qui punit l'ivresse publique, qui réglemente l'usage et le débit des
substances
toxiques et médicamenteuses, qui détermine les co
ns le somnambulisme provoque, par Mesnet, 33. Action h distance des
substances
toxiques et medicamenteuses, par Bourru et Bu
sait Magnus Luss. On a conseillé de mêler à la boisson un amer, une
substance
nauséabonde telle que l'assa fœtida ou de la téré
des habitudes mauvaises et des vices, dans la lutte contre l'usage de
substances
délétères et, partant, contre les dégénérescences
erve le moindre souvenir, et cela, rien que par l'action de certaines
substances
agissant à distance sur les mêmes sujets hypnotis
Nous la voyons s.-propager le long de certains objets ou de certaines
substances
servant à . conducteurs. Nous la voyons encore pa
sateur dans celui du sujet intermédiaire (homme ou animal) ou dans la
substance
d'un objet quelconque. Ces corps intermédiaires
blication du livre de MM. Bourru et Burot sur l'action à distance des
substances
toxiques et médicamenteuses, a appelé, sur cette
sont relatives à l'action rayonnante qu'exercent à distance certaines
substances
chez les sujets hypnotisés. Nos deux éminents c
esthésic qu'ils deviennent impressionnables, en présence de certaines
substances
toxiques ou médicamenteuses tenues â distance, et
pour vérifier les résultats les uns par les autres, qu en présence de
substances
similaires j'ai obtenu des résultats similaires,
n sujet hypnotisé, suivant qu'on le met en présence de telle ou telle
substance
dont il ignore absolument la nature et les effets
ns produites sur l'organisme hypnotisé par les actions à distance des
substances
stimulatrices se présentent sous deux modalités b
tion du sujet, suivant son impressionnabilité intime, la nature de la
substance
employée, les phénomènes réactionnels évoluent en
que la susceptibilité du sujet est plus exaltée ou que l'action de la
substance
employée a un lieu d'élection différent, le sujet
gie, après avoir disposé et numéroté les tubes de verre contenant les
substances
actives à l'insu du sujet, on les place tout d'ab
arrivent immédiatement à leur maximum d'effet, tantôt l'action de la
substance
stimulatrice est lente à déterminer ses réactions
hez les sujets dédoublés, elles sont souvent unilatérales, et la même
substance
qui. du côté droit, détermine un état de souffran
'une grande intensité. Ainsi, sous l'action à distance de certaines
substances
, on voit incontinent les régions thyroïdienne et
hlorhydrate de morphine à la dose de 2 centigrammes, comme toutes les
substances
employées, mises en présence de sujets dédoublés,
er le tube ailleurs et à changer le champ d'action périphérique de la
substance
stimulatrice ? c'est un tout autre tableau qui va
escription détaillée des effets produits par un grand nombre d'autres
substances
appartenant soit au règne végétal, soit au règne
tention les réactions émotives produites sur l'organisme par quelques
substances
bien nettement déterminées, et qui ont une action
xpérimentale ne sont, comme les précédentes expériences avec d'autres
substances
, que (t)Dans la plupart des expériences, le suj
, une période de saturation et une période de décours, suivant que la
substance
alcoolique qui les a provoquées est présente ou a
ition naturelle, soit par le fait de spécialité d'action de certaines
substances
qui agissent principalement sur les régions intel
eur, à la tournure de ses désirs, et surtout, suivant la nature de la
substance
stimulatrice. exprimer avec une allure et une fra
dans ses lignes principales. Inversement, sous l'influence d'autres
substances
stimulatrices, le haschich, entre autres, ce sont
Dans d'autres circonstances, suivant qu'on a mis en œuvre d'autres
substances
, c'est tout un nouvel ordre d'émotions qui sont s
emblables chez les mêmes sujets, en employant, comme je l'ai dit, des
substances
semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en
nces semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en conclure Qu'une
substance
quelconque, qui a sollicité chez un sujet des scè
rticules de limaille de fer agglomérées dans sa sphère d'action. La
substance
stimulatrice incluse dans le tube est le souffle
et par étapes vers le réveil, en ayant bien soin, quand il s'agit de
substances
simulatrices employées comme agent d'excitation,
ur s'opérer d'eux-mêmes, afin que l'action simulatrice propre à telle
substance
soit complètement éteinte. On s'assure de ce fait
arche régulière des étapes normales. Le sujet, par la privation de la
substance
stimulatrice, est retombé d'emblée en période lét
out nouveau de questions médico-légales qui, à propos de l'action des
substances
médicamenteuses et toxiques, vient tout d'un coup
ci la question nouvelle qui se pose : On peut donc, à l'aide de ces
substances
, qui agissent d'une façon purement physique, prod
e si vaste des maladies du système nerveux. L'ACTION A DISTANCE DES
SUBSTANCES
TOXIQUES ET MEDICAMENTEUSES RESULTATS PRATIQUES
re métallique. Dans les eaux minérales, les doses pondérables de la
substance
médicamenteuse sont hors de toute proportion avec
cérine absorbée et retenue par une poudre inerte. La proportion de la
substance
active varie en général de 5o à 75 pour 100. Cell
ue extérieure. « Je fus frappé de la ressemblance d'action de cette
substance
avec le nitrite d'amyle, et je songeai à l'employ
s d'apprécier sans danger l'impressionnabilité de certains sujets aux
substances
médicamenteuses et toxiques. Quand on voit la gra
; Apprécier sans danger l'impressionnabilité individuelle aux mêmes
substances
; Codifier l'action, jusqu'ici empirique, de la
remier coup que nos sujets atteignent leur maximum de sensibilité aux
substances
présentées à l'extérieur. La plupart des critiq
qu'il y ait eu suggestion. Impossible est la suggestion, quand une
substance
inodore, inconnue du sujet, de l'expérimentateur,
s un flacon pour un autre. Impossible encore, quand il approche une
substance
dont les effets physiologiques sont inconnus !
uggestion écartée, force est donc d'admettre une action directe de la
substance
sur l'organisme, quelque chose comme une vibratio
érie médicamenteuse et toxique. Or, un médicament, un poison, est une
substance
qui a une influence intime et spéciale sur l'orga
ce qui a une influence intime et spéciale sur l'organisme vivant, une
substance
qui. diluée dans la masse du sang, emportée par l
a porter son action bienfaisante ou meurtrière. Ce sont justement ces
substances
qui, dans nos expériences, se sont montrées activ
cusant aussitôt par une contraction dite réflexe. S'il s'agit d'une
substance
ayant la propriété d'impressionner spécialement l
'organisme vivant, la vibration, le mouvement intime partant de cette
substance
se transmet encore par le nerf sensible; mais ici
intervient l'impression spéciale d'un organe déterminé pour lequel la
substance
se trouve avoir de l'affinité, et le mouvement ré
udorales, si c'est un sudorifique, et ainsi des autres. Pour d'autres
substances
, l'impression se transmet aux organes de l'intell
En résumé, dans cas actions de contact extérieur ou de voisinage, les
substances
qui ont, pour certaines parties de l'organisme vi
conséquences et des cas particuliers. Mais, de même que toutes les
substances
ne sont pas actives, tous les organismes ne sont
rations expérimentales sur l'action a distance des médicaments et des
substances
toxiques. Les expériences ont pleinement réussi.
S A LA REVUE De la suggestion mentale et de l'action à distance des
substances
toxiques et médicamenteuses, par MM. les professe
ne sont pas plus considérables que ceux qui résultent de l'emploi des
substances
médicamenteuses toxiques. On peut faire de l'hypn
la Charité, une série de démons-trations sur l'action 4 distance des
substances
toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de m
d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale faites à l'aide de
substances
médicamenteuses ou toxiques. (Encéphale, sept., o
i même déposé l'émétique directement sur la nuque, j'ai laissé chaque
substance
pendant près d'une demi-heure. Rien ne s'est prod
ante : J'avais fait préparer par M. Gault. pharmacien à Narcy, huit
substances
contenues dans des flacons fermés par un simple b
contenues dans des flacons fermés par un simple bouchon de liège; ces
substances
étaient: l'émetique. 0.10 en dissolution : l'eau
ool à 95V et la scammonèe, o.5o avec f gramme de sucre de lait. — Ces
substances
furent préparées par M. Gault ên mon absence : ch
une enveloppe cachetée, M. Gault inscrivit sûr un billet le nom de la
substance
correspondant à chaque numéro. Les flacons, enfer
qu'au moment de l'expérience. Nous ignorions ainsi !a nature de la
substance
expérimentée, et ce n'est qu'après toutes les exp
vrir l'enveloppe et inscrire à côté de chaque expérience le nom do la
substance
expérimentée. Ainsi fut fait. Mlle Joséphine D.
c; la scammonée seule tombe juste en produisant des coliques. Sur 7
substances
expérimentées, le sujet a accusé des troubles div
coïncidence entre l'auto-suggestion du sujet et l'action réelle de la
substance
? Y a-t-il eu de la part de l'opérateur trahison
une tierce personne qui n'assistera pas à l'expérience, une série de
substances
à actions nettement définies dans des flacons por
portant des numéros. 2° Mettre sous enveloppe cachetée les noms des
substances
correspondant à chaque numéro. 3° Chez les suje
ujets déjà soumis à ces expériences, employer autant que possible des
substances
n'ayant pas été expérimentées chez eux pour évite
ces conditions, les phénomènes observés concordent avec l'action des
substances
expérimentées, il faudra bien admettre qu'il y a
de veille auraient une aptitude singulière à être influencés par une
substance
contenue dans un flacon placé à côté d'eux et don
eux et dont ils ignorent le contenu, comme s'ils avaient ingéré cette
substance
. J'avoue n'avoir jamais réussi cette expérience
on veut obtenir d'eux. Sachant qu'ils doivent ressentir l'effet d'une
substance
contenue dans un flacon, ils commencent par se su
um, émétique, valériane, etc. Si parmi les assistants, connaissant la
substance
en question, il en est qui, frappés par ces premi
lages de ces 17 couches superposées. A l'état de ramollissement, la
substance
cérébrale est en effet devenue tellement maniable
conditions climatériques moins inclémentes. Pour les déperditions de
substance
, la réparation, également, est moins rapide. Se
t variables, ne sauraient donner par eux-mêmes les idées de cause, de
substance
, ni aucun des principes fondamentaux de la scienc
suivies bientôt du rejet d'une gorgée de liquide. Or, quelle était la
substance
médicamenteuse renier- mec dans ledit tube, à
a exactement les bases. Il fut en outre décidé que la préparation des
substances
médicamenteuses employées serait confiée à une pe
'y pouvait trouver de différence. Six autres tubes renfermaient des
substances
à l'état de poudre; ils étaient enveloppés de pap
sa communication M. Luys affirmait qu'il avait obtenu avec les mêmes
substances
médicamenteuses des résultats sensiblement simila
oordonnés, et les manifestations ne sont nullement en rapport avec la
substance
mise en expérience. Mais ce qui montre encore m
nge mobilité et l'extrême incertitude des phénomènes produits par les
substances
médicamenteuses placées à distance, c'est que la
les substances médicamenteuses placées à distance, c'est que la même
substance
amène chez le même sujet des phénomènes absolumen
ces de la fantaisie et du souvenir du sujet mis en expérience que des
substances
médicamenteuses renfermées dans les tubes employé
ffets constatés par la commission n'est en rapport avec la nature des
substances
mises en expérience et que, par conséquent, ni la
ndance contractée par habitude que présentent certaines parties de la
substance
grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles
de jeu, en punissant l'ivresse publique, en réglementant la vente des
substances
médicamenteuses et toxiques, de même leurs convic
Supposez qu'un explorateur revienne de l'Afrique centrale avec une
substance
mystérieuse et puissante qui priverait l'homme de
e démonstrations publiques; il ferait même des distributions de cette
substance
étrange, si bien qu'en sortant des représentation
vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrait bientôt, car cette
substance
serait à certains égards plus dangereuse que plus
es à des conditions précises? Supposez ensuite qu'il s'agisse d'une
substance
parfaitement connue et déterminée, soit le chloro
qui punit l'ivresse publique, qui réglemente l'usage et le débit des
substances
toxiques et médicamenteuses, qui détermine les co
ns le somnambulisme provoque, par Mesnet, 33. Action h distance des
substances
toxiques et medicamenteuses, par Bourru et Bu
La plupart sont mal formés, méconnaissables. Dans l'épaisseur de la
substance
corticale sclé- rosée, existent quelques corps
sont très petites, aplaties, tassées contre la paroi alvéolaire. La
substance
colloïde, plus abondante que d'habitude, se col
; il n'y a pas trace de chromatolyse. Rien à signaler du côté de la
substance
blanche. Les vaisseaux sont normaux. Enfin, pas
la poliomyélite antérieure chronique. Les cornes antérieures de la
substance
grise ont leur forme et leurs dimensions habitu
est de même pour le reste de la subs tance grise. Les fibres de la
substance
blanche, la pie-mère, le tissu conjonc- tif et
e avec les altérations des autres couches de l'écorce. En effet, la
substance
blanche qui se trouve à l'intérieur des lames e
la toison ne se distingue pas, par sa coloration plus foncée, de la
substance
blanche centrale du cervelet, comme dans les coup
, en arrière de ces noyaux, l'entrecroisement des noyaux du toit.
Substance
blanche centrale des hémisphères ; elle n'est pas
res exter- nes sont abondantes, se détachent bien sur le fond de la
substance
blanche centrale et on peut très bien les suivr
en coloré sur toute la hauteur de la protu- bérance et du bulbe. La
substance
réticulée de la calotte, la substance grise de
rotu- bérance et du bulbe. La substance réticulée de la calotte, la
substance
grise de la protubérance nous ont paru aussi co
ervé trace de multiplication nucléaire ni de sclérose, tant dans la
substance
grise que dans la blanche du bulbe et de la protu
oins nombreuses cellules de Purkinje. On peut encore ajouter que la
substance
grise seule présente des lésions d'a- trophie ;
fait légère du réseau myéliniquede la cou- che des grains et de la
substance
blanche placée au milieu des lamelles. La subst
grains et de la substance blanche placée au milieu des lamelles. La
substance
blanche centrale du cervelet, les noyaux gris cen
lleux moyen, du corps restiforme, à l'atrophie très prononcée de la
substance
grise du pont, de l'olive bul- baire et à une a
Clarke, des faisceaux de Gowers. A part déjà que dans notre cas la
substance
centrale du cervelet et les fibres arciformes e
trent comme le même processus morbide peut envahir en même temps la
substance
grise de l'écorce, du pont et des olives infé-
és, par le fait que l'atrophie se limite presque exclusivement à la
substance
grise de l'écorce, le noyau du pont, les olives
inution de nombre des cellules de Purkinje, à des altérations de la
substance
chromatique et des noyaux des cellules de Purkinj
cérébelleux dépendant de lésions primitives parenchymateuses de la
substance
grise de l'écorce cérébelleuse de même ordre qu
e du cervelet. Dans ces cas il n'existait pas de dégénération de la
substance
blanche malgré les lésions prononcées des cellu
urkinje. Même contraste particulier se retrouve dans notre cas : la
substance
blanche à l'intérieur des lamelles et des lames
reuse du cervelet on a signalé aussi cette intégrité relative de la
substance
blan- che contrastant avec les lésions fortes d
de la substance blan- che contrastant avec les lésions fortes de la
substance
grise de l'écorce. On peut toujours objecter qu
it pu avoir un aspect nor- mal, sans dégénération ni sclérose de la
substance
même, bien que celle-ci soit atrophiée, réduite
d'un processus inflammatoire aigu, systématisé et localisé dans la
substance
grise antérieure de la moelle,-il concluai t que
ARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE 133 la
substance
grise des circonvolutions motrices. D'où le nom d
e le même agent (peut-être infectieux), se localise -tantôt dans la
substance
grise de la corticalité motrice, tantôt dans la
t dans la substance grise de la corticalité motrice, tantôt dans la
substance
grise antérieure de la moelle. La preuve que
dans la substance grise antérieure de la moelle. La preuve que la
substance
grise de la zone motrice de l'encéphale est le
l'autre de ces deux affections d'une lésion pure et primitive de la
substance
grise de la corticalité motrice ou des cornes a
vasculaire, nul- lement systématisées, pouvant intéresser aussi la
substance
blanche. Contre la conception de Strümpell de l
poliencéphalite, en tant que processus anatomique systématisé à la
substance
grise, engendrant l'hé- miplégie cérébrale infa
que presque toujours ces lésions n'étaient pas sys- tématisées à la
substance
grise, mais qu'elles intéressaient aussi plus ou
substance grise, mais qu'elles intéressaient aussi plus ou moins la
substance
blanche. Même, l'hémiplégie cérébrale infantile p
légie cérébrale infantile pouvait être due à un foyer situé dans la
substance
blanche sous-corticale et même plus bas, au niv
motrice, mais que les cornes postérieures, la colonne de Clarhe, la
substance
grise autour du canal central, la substance blanc
a colonne de Clarhe, la substance grise autour du canal central, la
substance
blanche des cor- dons antéro-latéraux pouvaient
un deuxième travail, rejette l'idée d'une atteinte exclusive de la
substance
grise de la corticalité motrice et admet que le
et admet que le foyer inflammatoire peut aussi se localiser dans la
substance
blanche et dans d'autres régions du cerveau. Il
le, survenant par foyers. Si cette myélite atteint de préférence la
substance
grise des cornes antérieures, elle peut aussi p
rieures, elle peut aussi porter sur les cornes postérieures, sur la
substance
blanche de la moelle. (1) RoGER et Damaschino,
eure de Wernicke n'est pas une affection exclusivement limitée à la
substance
grise, que bien souvent la substance blanche pa
ion exclusivement limitée à la substance grise, que bien souvent la
substance
blanche participe au processus, parfois même d'un
où siègent ces centres ? Vraisemblablement dans la moelle, dans la
substance
grise, au voisinage des centres trophiques des mu
; les méninges ne sont pas épaissies et ne sont pas adhérentes à la
substance
cérébrale. Au niveau de la base du cerveau, on
llé interne presque en totalité. En dedans ce foyer s'étend dans la
substance
réticulée de la calotte dans il détruit une grand
en grande partie. La lésion détruit encore une grande partie de la
substance
réticulée de la calotte et pénètre en dedans entr
faite de sa portion la plus interne) et la région avoisinante de la
substance
réticulée. Elle s'avance en avant et en dedans
n (moins sa portion la plus interna) et la partie avoisinante de la
substance
réticulée de la calotte Sur la coupe représentée
l médian (moins sa portion tout interne) et une grande partie de la
substance
grise réticulée déjà calotte. En plus il pousse u
, le ruban de Reil médian (moins sa portion la plus interne), et la
substance
réticulée 'avoisinante de la calotte ; puis s'a
(fig. 3 et 4) une cavité allongée formée par une perte complète de
substance
et que l'étude histologique nous permet de cons
ban de Reil médian en presque totalité et la partie adjacente de la
substance
réticulée de la calotte. En dedans, il pousse u
uge étaient conservées) et une destruction d'une grande partie delà
substance
réticulée. On sait en effet, que dans les cas d
de Reil médian. ni. - - latéral. RTh. Radiations optiques. SgR.
Substance
gélatineuse de Rolando. SRa (Rm). Formation rét
e ruptures des vaisseaux et des hémorragies, pas de lésions dans la
substance
grise et les racines, pas d'altérations dans le
foyers nécrotiques multiples, des espaces vides disséminés dans la
substance
grise et blanche, dus à la résorption des élément
ro-tatéraux qui nais- sent du réseau périphérique pénètrent dans la
substance
blanche, y aban- donnent des branches collatéra
llatérales et vont se terminer dans les zones péri- phériques de la
substance
grise (1). Eh bien ! certains foyers nécrotiques
EN, Anatomie du système nerveux de l'homme. 212 ZOGRAPIDI Dans la
substance
grise on constate de petits foyers hémorragiques
substance grise on constate de petits foyers hémorragiques dans la
substance
même. Les cellules des cornes antérieures présent
supérieurs et l'absence des réflexes tendineux. Les vaisseaux de la
substance
grise et blanche sont dilatés, congestion- nés,
e leucocytes. Autour d'eux, dans les gaines lymphatiques et dans la
substance
voisine, on voit des leucocytes et des éléments
particulier. Ajoutons aussi que dans ""les parties nécrosées de la
substance
blanche on voitça et là de petits amas de globu
lieu d'être droit, à cause des pressions et de la résorption de la
substance
altérée, a une forme serpentine ; la partie pos
ensité et d'étendue, mais leur nature est toujours la même. Dans la
substance
grise on constate une prolifération des éléments
t des éléments névrogliques et des leucocytes en abondance. Dans la
substance
blanche on constate une destruction générale du t
he on constate une destruction générale du tissu. Une bandelette de
substance
blanche des cordons fondamentaux antéro- latéra
raphie vasculaire, des espaces vides à cause de la résorption de la
substance
altérée. Dans 4 cas sur 6 cas j'ai constaté les
es dilatations énormes, de vrais ané- vrysmes des vaisseaux dans la
substance
même. Les lésions anatomiques et les symptômes
très congestionné. Les reins pèsent 130 grammes, sont plutôt pâles,
substances
médullaire et corticale peu différenciées ; se
ules sont tapissées de cellules épithéliales normales et pleines de
substance
colloïde, parfois il y a prolifération de cellule
ns tous les climats et pour toules les races humaines il existe des
substances
, empruntées au règne végétal le plus souvent, à l
respiratoires que le plus souvent l'absorption se fait. L'emploi de
substances
chimiques et des voies hypodermiques est tout m
issures nombreuses, fron- tales et occipitales, se sont fermées, la
substance
blanche s'est tassée en augmentant la surface d
st normal au carrefour. Fig. 2. Vaisseaux faisant empreinte dans la
substance
cérébrale. Fig. 3. - Coupe du ventricule droit.
ts apparaissent de fines vacuoles et de petites hémorragies dans la
substance
blanche semée « d'araignées gonflées ». La répart
large zone d'araignées gonflées, semées très régulièrement dans la
substance
blanche. l'ig. 4. - Coupe 315. Fig. 5. Coupe
émianopsie fut donc en effet à distance. Ces lésions diffuses de la
substance
blanche méritent d'autant plus d'être relevées,
ont généralement bien conservées à droite et à gauche. Celles de la
substance
blanche sont gonflées et souvent variqueuses. L
fique, de dimensions relativement petites, mais péné- trant dans la
substance
blanche a produit des lésions dans tout l'encé-
ent évidemment du côté du néoplasme; elles concernent avant tout la
substance
blanche, beaucoup moins l'écorce et les masses
2° Il faut surtout se souvenir que tout néoplasme pénétrant dans la
substance
blanche produit des dérangements graves dans la c
i- quer avec le IVe ventricule et s'être développé aux dépens de la
substance
cérébelleuse ; en effet les bords en sont absol
les deux membres inférieurs. L'amoindrissement porte sur les deux
substances
de la moelle, mais surtout sur la substance gri
ent porte sur les deux substances de la moelle, mais surtout sur la
substance
grise. A un fort grossissement, on ne remarque
, il nous paraît qu'il s'agit surtout d'une atrophie en masse de la
substance
grise, sans pouvoir affirmer qu'il n'y ait pas
ui a fait nier par Weigert leur pré- sence dans cette zone. Dans la
substance
blanche il y a de gros aslrocytes, tout le mond
aractères distinctifs. Le travail de sclérose peut s'opérer dans la
substance
blanche, dans la couche des grains, dans la cou
e son épaisseur et s'étend de la zone des cellules de Purkinje à la
substance
blanche. Il est particulièrement intéressant de
en né- vroglie que Weigert l'en a considérée comme dépourvue. La
substance
blanche présente à considérer des lésions banales
ce qui reviendrait logiquement à un îlot de sclérose sénile dans la
substance
blanche, c'est qu'il nous a paru doublement instr
qu'il nous a paru doublement instructif. En effet la sclérose de la
substance
blanche qui s'y observe est parfaitement compar
très ancienne de sclérose tubéreuse dans la- quelle l'aspect de la
substance
blanche sclérosée est seul à ressembler à ce qu
. La lacune qui se forme au niveau de la couche des grains et de la
substance
blanche n'est que le résultat de NOUVELLE Icono
es sont situées, fré- quemment au fond des sillons, souvent dans la
substance
blanche autour du noyau dentelé. Ce sont les zo
u névroglique est particulièrement dense ; la zone des grains et la
substance
blanche se recon- ' (1) W c.noE, Société de Bio
plus comme un petit pois, sont irrégulièrement disséminées dans la
substance
blan- che des deux hémisphères et dans les noya
ito-frontal. Dans les noyaux gris centraux, elles siè- gent dans la
substance
grise du noyau lenticulaire et du thalamus, respe
est, dans la moelle, à peine touchée ; on trouve des lésions de la
substance
blan- che, légères, diffuses, analogues à celle
s n'avons pas constaté de processus de thrombose ni d'hémorragie.
Substance
grise. - Elle est parfaitement normale à la moell
chromatophiles, quelques-unes sans noyau. A la moelle lombaire, la
substance
grise est normale. ' Les cellules nerveuses des
inale que sur le compte de l'âge assez avancé du malade (61 ans).
Substance
blanche. - D'une manière générale, on peut dire q
versée; quelques vésicules dans la région hilaire contenaient de la
substance
colloïde. Le cas rapporté par Cesaris Demel nou
r que cette repullulation des extrémités, à la suite d'une perte de
substance
, était 1 conforme aux lois ordinaires de la nut
dans celle-ci où on note à la vue une dimi- nution de volume de la
substance
grise de la portion cervicale, que dans le cerv
ale in- férieure une diminution de volume d'environ un tiers, de la
substance
grise par rapport au côté sain. Sur les coupe
ie, on trouva un foyer de ramollissement très étendu, avec perte de
substance
sur le lobe temporo-occipital, formant une cavi
rapprocher de celui publié par Touche (1) qui observa une perte de
substance
du lobe pariélo-occiplial droit, due à l'oblité
de la scissure interbémisphénque ; au niveau de cette scissure, la
substance
céré- brale est complètement absente dans les d
be sphénoïdal, extrêmement aminci, il est réduit une simple lame de
substance
cérébrale épaisse de 2 centimètres environ et l
SI¡GLAS ET ANDRÉ BARBÉ spongieux, est circonscrite au niveau de la
substance
cérébrale à laquelle elle adhère par une petite
ci il semble que, par suite de l'absence plus complète de certaines
substances
, l'élaboration de cette lymphe est plus défectu
ion grave, irrémédiable, mais à un état irritatif particulier de la
substance
LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 469 ner
n individu soumis à la narcose géné- rale chloroformique ou d'autre
substance
anesthésique. ' L'art de la peinture nous a lai
le broie. Si l'engrenage pèche, la mouture s'en ressentira. Quelque
substance
qu'on emploie, elle sera inégale, grossière. Da
ns ses fonctions par' les éléments étrangers plus qu'altéré dans sa
substance
, les guérisons ne sont pas rares. On a vu, sous
fibres des cordons postérieurs jouent le rôle de commis- sures ; la
substance
grise est l'intermédiaire obligé entre ces comm
roprement parler l'axe conduc- teur ; 3° certaines parties de cette
substance
grise (cornes posté- rieures, surtout la base d
i qu'on pouvait tirer des colorations imprimées par le liquide à la
substance
cérébrale en vue de déterminer la direction des
quelques semaines. dans le bichromate en solution concentrée, la
substance
du centre ovale qui, à la coupe, est uniformément
é est assez prononcée pour rappeler, à s'y méprendre, celle de la
substance
grise des noyaux centraux ou des circonvolutions,
n que au premier aspect, on pourrait penser qu'on a affaire à de la
substance
grise plus ou moins diffuse dans le centre oval
itoire cortical préposé aux perceptions : ou bien il existe dans la
substance
grise, des centres corticaux isolés, destinés c
d'autres, comme Goltz, croient à l'homogénéité fonctionnelle de la
substance
grise. L'année dernière, au Congrès médical int
ces recherches, pratiquées à Solnveizerhof, ontportésur toutes les
substance
? ., sur tous les groupes chimiques que cette h
ue collapsus, pouls filiforme (impureté de la préparation ? ) Cette
substance
ne s'accumule pas ; la durée de ses effets n'a
térieure). LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 215 de
substance
à surface irrégulière mais non rugueuse, forme
et en haut tout près de la crête innominée, il existe une perte de
substance
d'un centimètre carré environ comprenant toute
âne pour en extraire des esquilles, des cheveux et des fragments de
substance
cérébrale ; puis il ramena l'oeil en place et l
re et non nécessaire. Pour le prouver, il a observé que certaines
substances
donnent des convulsions épileptiques en agissan
, les autres directement sur la moelle sans qu'il soit besoin de la
substance
corticale. - C'est ainsi qu'avec la cinchonidin
hez les volatiles, on applique les pôles d'un courant induit sur la
substance
corticale de la partie postérieure des hémisphè
ues, mais celles-ci ne méritent pas de la faire préférer à d'autres
substances
d'action analogue, si l'on considère les accide
par la pie-mère ; disparition absolue en cette circonvolution de la
substance
blanche. 11 s'agit par conséquent d'une lésion
dans les cas connus jusqu'à ce jour, on avait toujours trouvé la
substance
blanche concurremment lésée. Aux questions que lu
e mode d'en- trecroisement des fibres nerveuses; malheureusement la
substance
blanche du cerveau ivait été trop maltraitée pa
nt à l'h,tllu- cination (processus hallucinatoire). On en trouve la
substance
dans le Jahrbûcher fier Psychiatrie (III, 2 '.)
étaient absolument normales au point de vue de leun.rapport avec la
substance
médullaire et du nombre de leurs fibrilles, i,
n en fuseau de la moelle; la couche superficielle était composée de
substance
médullaire qui se confondait, et 'se,con tir nu
coupe transversale pratiquée au milieu de la tumeur/ on voyait une
substance
néoplasique, blanche, durcj'circulaire;1 qui se
;1 qui se distinguait par un contour très accentué du reste de- là'
substance
médullaire normale. C'était donc cette néoplasi
et accroissement de volume était dû, à une simple hyperptasie de la
substance
grise. Ce .n'est que plus bas (Fin. 2) que cett
. 4) et conti- inivîf 1.1 -171^1.111 m . i'i ? tij" m 1 ii , sur la
substance
grise, n^it^.enipiétjer de pb|s en plusçp dedan
a substance grise, n^it^.enipiétjer de pb|s en plusçp dedans sur la
substance
grise, en dehors, vers le bord de la' moelle.'
le.' Enfin ne' trouvant plus assez 4 ? ilP'ftrfîiien'riP ces £ 4eux
substances
, elle les refoulait complètement li e rs iiites
? ule sotait dé'lâ'snlistance grise, en bas, elle pénétrait dans la
substance
médullaire en comprimant ses ? >"n«'.i"1, t'i,
n bleu la subs- tance grise, (les fibres radiées qui traversent la'
substance
blanche' ainsi que les vaisseaux, et le tissu c
tissu conjonctif de la moelle ? J0'" 1 t Sur la coupe je trouvai la
substance
grise, 'lés' rayons blancs' ainsi que le tissu
rayons blancs' ainsi que le tissu de la tumeur colorés en bleu, la
substance
blanche seule avait la couleur violette. Lii'fi
su conjonctif, de la subs-' tance grise et des stries radiées de la
substance
blanche par le violet' j- ' ,. '" '' 'I ' U l i
organique. Les modifications que. la tumeur avait 'fait subir à la"
substance
blanche, et, grise de la,moelle érïmrôi nanié e
5). Tout ce que la tumeur, par son envahisse- ment, avait laissé de
substance
blanche et grise, était contenu dans cette faux
fraction minime le tissu médullaire par la compression. Les deux
substances
avaient en même temps souffert de cette réducti
substances avaient en même temps souffert de cette réduction. De la
substance
blanche c'est le cordon latéral qui avait le pl
om- parative de ces cordons des deux côtés de la moelle épinière.
Substance
blanche. (PL. V, i,g. 5.) * 1° Cordons antérieu
comparatif suivant donnera une idée' des perturba- tions que cette
substance
avait subies. . , Il . 1 il .1 i i /u- 1 - 1 Su
ns que cette substance avait subies. . , Il . 1 il .1 i i /u- 1 - 1
Substance
grise (PL. V,t fi; 5); .1 1 . .1 l, ji 330 RECU
de la moitié' droite de; la moelle. ! ' i Les modifications de la
substance
grise étaient encore bien plus curieuses que ce
substance grise étaient encore bien plus curieuses que celles de la
substance
blanche. J ) Dans les conditions normales les f
ieur et s'entrecroisent ! entre elles. - j ' ' Dans notre cas, la
substance
grise s'était transformée,' sous l'in-, fluence
al suit la même direc- tion que celui des fibres transformées de la
substance
grise et dont les noyaux ont, sans exception, l
e des rapports de la force à la masse souffre une exception pour la
substance
des ganglions. A cette exception nous pouvons e
stingue celles dont les éléments cellulaires; liés'cntr'eux par une
substance
interstitielle, se rapprochent le plus du tissu
ni des vaisseaux, mais très vraisemblablementde la névroglie de la
substance
grise. La .tumour,sne tenait à la,pie- mère que
glie.. - - t, I m. <) ' t Il Quand un .vrai sarcome surgit de la
substance
grise,, si riche en névroglie, cette/ névroglie
'ai très minutieusement décrite plus haut, prouveque cette dernière
substance
appartient au tissu conjonc- tif. En effet le v
t au tissu conjonc- tif. En effet le violet de gentiane a coloré la
substance
blan- che,,en,violet,tle tissu.du sarcome et la
coloré la substance blan- che,,en,violet,tle tissu.du sarcome et la
substance
grise, en bleu.t" , , résulte donc que la név
mme » '.publié récemment, j'ai fait constater que les travées de la
substance
blanche accompagnent les plus grandes ramificat
les plus grandes ramifications des vaisseaux de la moelle etque la
substance
grise est le siège des capillaires. Or, les tra
posées], de tissu conjonctif .ordinaire fibrillaires, tandis que la
substance
grise contient , surtout des névro- glies. Il
ui accompagne les gros vaisseaux, et, 2° une espèce particulière de
substance
do soutien dans le domaine des capillaires, c'e
des autppsies ; le dessèchement des tissus'et en particulier delà
substance
nerveuse (Ranke 3) peut le mieux expliquer les ph
inière c'est-à-dire des vaisseaux artériels qui pénètrent dans la
substance
nerveuse : nous signalions pour la première fois,
; nous indiquions la configuration des réseaux capillaires dans la
substance
grise et dans la substance blanche. Tels sont s
guration des réseaux capillaires dans la substance grise et dans la
substance
blanche. Tels sont sommairement les résultats p
aspect général de l'appareil vasculaire est le suivant : 1° dans la
substance
blanche, les rameaux artériels ou veineux, sur
, (voy. IP2*.q. II, IV et F de l'auteur).- L'as- pect général de la
substance
grise est le suivant. Sur des coupes horizontal
vre en vaisseaux ; ils sont parallèles à ses faisceaux nerveux ; la
substance
gélatineuse centrale en est tout à fait dépourv
eler que la richesse et la disposition' générale de ce réseau de la
substance
grise avait déjà été signalée par nous lorsque
diculaires postérieures. La corne postérieure offre au niveau de sa
substance
gélatineuse un beau réseau capillaire allongé d
l. Adamkiewicz. Mais poursuivons l'étude du réseau capillaire de la
substance
grise. Sur des coupes sagittales passant par la
ire de la substance grise. Sur des coupes sagittales passant par la
substance
grise des cornes postérieures on voit facilemen
ra- versent chaque moitié de la commissure pour se rendre dans la
substance
grise, iisparcourent une sorte de canal, où leurs
commissurales et vont par le trajet le plus court se jeter dans la
substance
grise de cette colonne qu'elles rem- plissent d
re sulco-commissurale montent et des- cendent verticalement dans la
substance
grise de la moelle de chaque côté du canal cent
des coupes vertico-sagittales (antéro-postérieures), faites dans la
substance
grise à quelque distance du canal central. (Voy
se dirige directement en avant, récurrente pour ainsi dire, vers la
substance
grise des cornes antérieures, où elle se distri
e d'anatomie. 363 rend dans un point diamétralement opposé, dans la
substance
grise des cornes postérieures ; la troisième br
veines terminales convergentes qui viennent des capillaires de la
substance
grise. Le deuxième système des vaisseaux de la
es moyennes sont surtout destinées à la corno postérieure et à la
substance
gélatineuse. Les artères externes passent entre l
ous avons aussi indiqué la disposition du réseau vasculaire dans la
substance
blanche : « Les capillaires des cordons blancs
s le second, par extension de la suppuration et destruction de la
substance
cérébrale. Dans l'abcès aigu, la maladie évolue
de l'écorce, prolifération nucléaire de l'épendyme, intégrité de la
substance
blanche. Les deux autres néoplasmes, du volume
TALE. 387 Les quatre seringues représentent 80 centigrammes de la
substance
active, équivalent à lui, et 5 grammes de quinine
s puissantes, si puissantes même qu'ils proposent de désigner cette
substance
sous le nom d'Hypnone, terme qui rappellerait e
avail, indiquer les résultats que nous a donnés l'emploi de cette
substance
chez l'aliéné agité et atteint d'insomnie. Quel
lle était administrée l'acétophénone; nous l'obtenions, que cette
substance
ait été introduite dans l'économie par le systè
raduit par la vacuité des vaisseaux sanguins et par la pâleur des
substances
blanches et grises, et qui tranche ainsi nettem
tophénone du côté des autres organes, prouve évi- demment que cette
substance
a une action toute particulière et primordiale
use plus impressionnable à l'action de l'acétophénone et cjàe cette
substance
produise dans ces conditions un véritable somme
c à rechercher si, chez l'homme malade et atteint d'insomnie, cette
substance
peut produire le sommeil; d'ailleurs, nous l'av
dans le domaine pathologique et étudié l'influence qu'exerce cette
substance
chez l'aliéné atteint d'in- 6 THÉRAPEUT1QUE.
succombait à l'injection sous-cutanée de 50 cen- tigrammes de cette
substance
, administraient celle-ci à l'homme à la dose de
l'action de l'acétophénone sur la nutrition nous a montré que cette
substance
, même administrée à des doses relativement' fai
'effet hyp- notique de l'acétophénone a été absolument nul. Cette
substance
n'a produit qu'un effet sédatif sur le sys- tèm
es, t. XIII. 2 18 THERAPEUTIQUE. DE L'ACÉTOPHÉNONE. pas que cette
substance
ait des propriétés hypnotiques directes et ils
ignement qui se dégage de tous les autres cas dans lesquels cette
substance
ne produit aucun effet de ce genre, ensei- gnem
dans beaucoup de cas, nous ont montré, sous l'in- fluence de cette
substance
, une diminution du chiffre de l'hémoglobine, ne
étés somnifères si puissantes qu'ils avaient cru trouver dans cette
substance
l'hypnotique par excellence, d'où le nom d'hypn
i entraînent après elles l'insomnie, et à cet égard peut-être cette
substance
mérite-t-elle d'être maintenue DE LA PYROMANIE.
ne pas être constante, n'en est pas moins assez générale, que cette
substance
exerce sur l'agitation musculaire. Dans la plup
èrement opalescente, cependant elle laisse voir par transparence la
substance
cérébrale étalée et lisse, comme turgescente pr
530 grammes. 56 RECUEIL DE FAITS. La pie-mère est adhérente à la
substance
corticale sur les deux tiers antérieurs des hém
us généralisées, la pie-mère entraîne avec elle une mince couche de
substance
grise, moins épaisse à la vérité que dans les c
au grand axe sur chaque hémis- phère permettent de constater que la
substance
grise des circon- volutions est bien développée
parations par des trainées de granulations jaunes réfrin- gentes de
substance
graisseuse ; tous sont vides de globules san- g
abondance de corps granuleux de toutes dimensions, indiquant que la
substance
cérébrale a subi un commencementderégression. D
ance cérébrale a subi un commencementderégression. Des fragments de
substance
cérébrale empruntés à la troisième frontale et
uves IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU. 57 photographiques, la
substance
est devenue extrêmement dure et très friable, e
m'a paru d'une évidence incontestable dans mes prépara- tions. La
substance
grise a pris sous l'influence du carmin une color
nt. On ne les rencontre qu'à la région moyenne. Tout le reste de la
substance
grise est occupé par des myélocites très abonda
rares noyaux. Enfin, on ren- contre, principalement aux confinsdes
substances
griseetbianche, une grande quantité de cellules
dire la rareté des circonvolutions, et l'énorme hypertrophie de la
substance
ner- veuse, surtout dans les lobes frontaux et
à la fois un arrêt de développement des éléments cellulaires de la
substance
grise, c'est-à-dire les caractères de l'idiotie
t surtout très marqué sur le tiers antérieur des faces externes; la
substance
corticale est plus colorée qu'à l'état normal,
nes; la substance corticale est plus colorée qu'à l'état normal, la
substance
blanche est très injectée; les rapports d'épais
substance blanche est très injectée; les rapports d'épaisseur de la
substance
corticale à la substance blanche sont les mêmes
injectée; les rapports d'épaisseur de la substance corticale à la
substance
blanche sont les mêmes qu'à l'état normal; pas de
sont adhérentes et entraînent en plu- sieurs points des portions de
substance
corticale très ramollie. Presque partout la sub
s portions de substance corticale très ramollie. Presque partout la
substance
grise est plus colorée qu'à l'état normal : « l
ce surtout à la superficie des circonvolutions et la présence d'une
substance
floconneuse jaunâtre, analogue à celle déjà déc
dach donnent des fibres qui, en s'arquant légèrement, traversent la
substance
grise, s'en- trecroisent en avant du canal cerv
aires, les faisceaux des cordons postérieurs tracent ils travers la
substance
grise, sous le nom de fibres ara formes, des cerc
ive du même côté, mais sans entrer en rappoi t avec elle ni avec la
substance
réticulaire : dans les olives et autour d'elles,
uleuses sur le trajet des faisceaux de Gratiolet depuis la perte de
substance
). En un mot, phénomènes tout-à-fait analogues à
- quer,' à la hauteur du tubercule quadrijumeau supérieur, sur la
substance
grise de la cavité encéphalo-médullaire, immédiat
conséquent du cordon central ; et se compose de fibres issues de la
substance
grise latérale du quatrième ventricule s'arquan
enticulaire forment un appareil continu ; dans les cas de pertes de
substance
congénitales et totales du cervelet, les giosse
erminer dans cette zone. . P. K. XIII. La réaction chimique DE la
substance
GRISE; par 0. LANGENDORFF (NeU2'01. Centrabl.,
soude (décomposition des com- posés phésphatiques organiques de la
substance
corticale). En tout cas, l'acidification représ
us non cadavérique mais biologique eu rapport avec l'activité de la
substance
grise au même titre que l'acide qui se forme qu
usé aucun phénomène en rapport avec l'action mé- dicamenteuse de la
substance
expérimentée; mais si, par hasard, je prononçai
lement insuf- fisance d'aliments et que l'aliéné consomme sa propre
substance
. - Dans maints cas, on maintiendra l'état des f
que les atrophies sus-indiquées ont déter- miné des déplacements de
substance
. L'énucléation des deux verte aux interprétatio
al et sa femme les observaient dans les plus petites choses. Aucune
substance
ni solide ni liquide n'était introduite dans le
rculation céré- brale ; les questions restées dans l'urne étaient :
Substance
grise de la moelle; Lobe cérébral antérieur. Qu
ériphérique, par voie centripète : dira-t-on, par exemple, que la
substance
grise de la moelle est le siège de la mémoire d
, avec la toile choroïdienne et les plexus choroïdes, sans léser la
substance
cérébrale à laquelle elle n'ad- hère pas; compr
des hémorrhagies nombreuses, des cellules rondes en abondance sans
substance
intermédiaire, des altéra- tions vasculaires (p
ération périphérique (pas de cellules granuleuses). Intégrité de la
substance
grise et de ses cellules. Hyperplasie interstit
e, absence de réflexe plantaire du même côté. Autopsie. Pertes de
substance
et épaississements ostéophy- tiques.du crâne, m
de verre. 11 devient possible, en marquant sur le crâne la perte de
substance
occasionnée par l'ablation du mor- ceau broyé p
iieidence nous parait seule évidente. Il semble plutôt que toute la
substance
soit atteinte en même temps. CH. F. XIII. Manue
plis de passage. A la coupe on constate de la fermeté notable de la
substance
cérébrale dans toute l'étendue. En pratiquant l
toute l'étendue. En pratiquant les coupes de Pitres on voit que la
substance
nerveuse est pâle dans tout son ensemble mais s
ptiques, intégrité des yeux, démence. Destruction des trousseaux de
substance
blanche qui contiennent les fibres de projectio
ement correspond à l'époque de l'ictus : il a dû commencer par la
substance
blanche, l'écorce s'étant longtemps après atrophi
de dégénérescence; atrophie extrême- ment faible à son début, de la
substance
blanche latérale du pulvinar et du corps genoui
zone marginale médiane et caudale, c'est-à-dire directement de la
substance
grise fondamentale (sens de Deiters) et indirecte
Deiters) et indirectement des cellules nerveuses ganglionnaires. La
substance
blanche zoniforme du pulvinar se compose mi-par
oportionnellement plus grand que chez les mammifères inférieurs. La
substance
blanche zoniforme et ventrale du corps genouill
ibres du nerf optique issues du corps genouillé externe occupent la
substance
grise grillagée (lacis de petites cellules gang
pédoncule. Dans le tubercule bijumeau antérieur prend naissance la
substance
grise superficielle des fibres du nerf optique (c
continuité avec le nerf optique, tandis que celles qui partent delà
substance
blanche superficielle sont, dans leur pluralité,
et de petit calibre), surtout ceux qui sont groupés serrés dans la
substance
grise treillagée (plan vertical et transversal)
niformes de la coiffe, qui proviennent des cellules nerveuses de la
substance
grise superficielle, gagnent la sphère visuelle
grise superficielle, gagnent la sphère visuelle aussi bien que la
substance
blanche moyenne des fibres de projection. L'ensem
conjonctives longues, qui, sur des coupes trausverses, occupent la
substance
grise et la région des racines nerveuses, qui, su
aucoup de globes granuleux, c'est-à-dire chargées de détritus de la
substance
blanche. Une des observations (Obs. I) montre q
e. Une des observations (Obs. I) montre que la multiplication de la
substance
intermédiaire est diffuse; on la rencontre loin
L'aspect des libres nerveuses atteintes varie du reste ; tantôt la
substance
blanche et le cylindraxe sont simul- tanément a
t cette tige. Jamais l'altération même du foyer, ne pénètre dans la
substance
myélinique. Quand le processus est arrivé à son
e se composerait de trois segments : io Une zone spongieuse dans la
substance
gélatineuse, contiguë à la zone mar- ginale, da
'épuiseraient principalement les fibres de la zone marginale; 2° la
substance
gélatineuse proprement dite, construite à peu p
bstance gélatineuse proprement dite, construite à peu près comme la
substance
spongieuse; on y trouve de grosses fibres issue
longements du treillis de la couche spongieuse postérieure; 3° la
substance
spongieuse qui va de la substance gélatineuse à l
che spongieuse postérieure; 3° la substance spongieuse qui va de la
substance
gélatineuse à la base delà corne postérieure, e
de grosses fibres qui vont directement en trousseaux jusque dans la
substance
spon- gieuse où elles prennent une autre direct
monte le long du cordon latéral; un autre se perd en partie dans la
substance
gélatineuse, en partie dans l'in- térieur des c
t des zones radiculaires, et manquent de bonne heure, tandis que la
substance
de la corne postérieure qu'elles traversent est
arke, le pre- mier-phénomène pathologique que l'on constate dans la
substance
grise. Les colonnes de Clarke sont constamment
lules nerveuses demeurent intactes; c'est très tardivement que la
substance
spongieuse environnante de la corne postérieure
que il a noté la vascularisation très grande des membranes et de la
substance
grise, des points de sclérose dans les cordons
t de la substance grise, des points de sclérose dans les cordons de
substance
blanche et des varia- tions de la composition d
e la moelle. Ces lésions sont caractérisées par la congestion de la
substance
mé- dullaire etsurtout par l'atrophie des cellu
substance mé- dullaire etsurtout par l'atrophie des cellules de la
substance
grise. Cette atrophie cellulaire s'accompagne e
use. La paralysie générale s'accompagne de lésions constantes de la
substance
blanche, et les mêmes phé- nomènes se présenten
cérébrales (<879); Corps strié (-1880); Pneumo-gaslrique (1884);
Substance
grise de la moelle épinière (1886). faits DIV
? 43, 416 ; psychiatrique de Berlin, 252; de tempé- rance, 467.
Substance
grise (réaction chi- nuque delà), parLanguedorf
qui, dans une autopsie minutieusement conduite, constata dans la
substance
blanche du cerveau l'existence de nombreux corp
on de la moelle fraîche montrent une congestion assez intense de la
substance
grise (coloration hor- tensia), et, en certains
ent pas d'une altération artificielle plus ou moins étendue de la
substance
nerveuse. Hémisphère droit. Circonvolution fr
se du faisceau pyramidal croisé et direct, il existe encore dans la
substance
blanche, au niveau de l'angle externe des corne
dant presque jusqu'à la périphérie de la moelle ; dans la région de
substance
blanche qui s'étend au-devant de la partie anté
tat normal. Les faisceaux cérébelleux directs sont intacts. Dans la
substance
grise il y a une diminution considérabledu nomb
e nombre tant dans les parois des vaisseaux que dans le tissu de la
substance
grise. Région dorsale. Mêmes lésions que pour l
érieure, de la corne antérieure; en dedans; elle se confond avec la
substance
grise, en dehors laisse libre le faisceau céréb
olonnes de Clarke sont bien conservées. Région Lombaire.- Dans la
substance
blanche, la sclérose est presque localisée étro
ux cylindre-axe, elles ont presque entièrement dis- paru. Dans la
substance
grise des cornes antérieures, le nombre des fib
ert). Dans la moelle lombaire, le nombre des fibres nerveuses de la
substance
grise semble normal. Les fibres nerveuses qui c
nombre des fibres nerveuses dans les cornes antérieures. Dans la
substance
blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, scl
proviennent, par conséquent, de points plus ou moins éloignés. La
substance
grise contient aussi des corps granuleux, quoiq
ussi des corps granuleux, quoique en bien moins grand nombre que la
substance
blanche; ils siègent, pour la plupart, dans les
ux ou trois seulement, un peu plus nombreux dans le voisinage de la
substance
grise qu'à la périphérie de la moelle. Au devan
ue des faisceaux antéro-latéraux et dans la partie antérieure de la
substance
grise, les corps granuleux sont assez abondants
ramifiés, d'autres n'en ont presque pas. Les fibres nerveuses de la
substance
grise paraissent aussi moins abondantes qu'à l'
e plus dans les espaces périvasculaires. Il y en a très peu dans la
substance
grise, beaucoup moins que dans les autres régio
m- breuses. Les corps granuleux n'ont pu être retrouvés dans la
substance
grise de l'écorce; dans la substance blanche, i
'ont pu être retrouvés dans la substance grise de l'écorce; dans la
substance
blanche, ils étaient, comme nous l'avons dit, t
quantité n'était d'ailleurs pas la même dans toute l'étendue de la
substance
blanche et, sur certaines coupes (suivant la di
rdons postérieurs et la- téraux était symétrique des deux côtés. La
substance
grise ne présentait rien d'anormal. Les cellule
de vacuoles. Région dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la
substance
grise des cornes postérieures et antérieures es
générale de la moitié opérée, tant des parties blanches que de la
substance
grise. La portion la plus atrophiée des fais- c
mesurées au 58 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. niveau des confins de la
substance
de Rolando, équi- vaut à 4mm 5, et même 5 milli
tique ; 2° De l'hypérémie et des hémorrhagies capillaires dans la
substance
grise, principalement dans les cornes postérieu
tate à la ré- gion cervicale des hémorrhagies capillaires dans la
substance
grise, des cornes postérieures et antérieures,
de l'acide phosphorique, nous avons étudié l'élimination de cette
substance
et celle de l'azote aux différentes heures de l
p. 232 et 360. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 77 - ces deux
substances
est à son minimum pendant les heures du matin;
ous l'influence du travail intellectuel dans l'élimination de cette
substance
. Par suite, cette diminution ne peut être ratta
ières albuminoïdes. Cette moindre décomposition provient-elle de la
substance
nerveuse ; lé travail intellectuel diminue-t-il
fs qui se passent dans les matières albuminoïdes que renferme cette
substance
? Cela me parait difficile à admettre à priori,
n dans les échanges nutritifs qui peuvent se passer au sein de la
substance
nerveuse. Cette diminution ne peut pas être davan
e le produit de la désassimilation des matières phosphorées de la
substance
nerveuse, il est certain que, dans les conditions
si, lorsque l'activité des échan- ges qui se passent au sein de la
substance
nerveuse est suffi- samment grande, cette dimin
apport entre l'acide phosphorique uni aux alcalis et cette dernière
substance
, plus augmente celui de l'acide phosphorique un
calis ; il y a comme un balancement entre l'élimination de ces deux
substances
. Les différents faits que nous venons de rappor
e entre elle et les échanges nutritifs qui se passent au sein de la
substance
nerveuse un rapport trop étroit pour qu'elle ne
s, sous l'in- fluence du travail intellectuel, sont absorbés par la
substance
nerveuse pour produire ce travail, et servent à
servent à compenser les pertes en cet acide que fait subir à celte
substance
les échanges nutritifs qui se passent dans son
nt séparées gaine médullaire, et enfin celles-ci se portent dans la
substance
médullaire tout en s'entre-croisant entre elles
mmédiat des racines sectionnées, indiquerait que l'altération de la
substance
grise est simplement l'effet de la séparation des
veuses au moven de leurs prolongements dans le réseau nerveux de la
substance
grise. Quant aux cordons de Goll et autres, l'i
er dans un liquide dont le poids spécifique est presque celui de sa
substance
. P. K. V. CONTRIBUTION A la connaissance DES NE
aire et du noyau caudé parce que, à l'époque où ils reçoivent de la
substance
blanche, la région subthalamique contient déjà
d'altérations artificielles, témoignent pré- cisément de pertes de
substances
dues à la fièvre typhoïde, à la tuberculose, à
totalement son excitabilité à l'égard des courants électriques; la
substance
blanche ne subit aucune modification fonctionne
de lésions macroscopiques de l'encéphale ni de la moelle. Seule, la
substance
cérébrale parait oedématiée. Quelquefois on tro
u graisseux est soit tout à fait atrophié, soit trans- formé en une
substance
jaunâtre, visqueuse, facile détacher. Au mi- cr
ngements, rétraction du corps cellulaire (bords dentelés), perte de
substance
de l'élément (sinuosités, va- cuoles) ; enfin l
rmée en un débris in- forme qui cède à l'éther des particules de sa
substance
. Il en est de même pour des cellules nerveuses
CIÉTÉS SAVANTES. sans altération de structure. Peu de chose dans la
substance
blanche du cerveau ou de la moelle; elle est ra
scopiques et mi- cl'oscopiques des méninges, des vaisseaux et de la
substance
cérébrale, qui ont été le plus souvent signalée
'existence de zones de propagation du processus inflammatoire de la
substance
grise à la substance blanche avoisinante. ,On p
e propagation du processus inflammatoire de la substance grise à la
substance
blanche avoisinante. ,On pourrait, il, est,vrai
minant joue dans la production de ce phénomène l'inflammation de la
substance
grise : d'une part cette extension de la scléro
la sclérose est surtout marquée immédiatement à la périphérie de la
substance
grise et surtout des cornes antérieures; d'autr
e de corps granuleux indiquant les relations de ces régions avec la
substance
grise enflammée; enfin à la région lombaire où
avec la substance grise enflammée; enfin à la région lombaire où la
substance
grise (grandes cellules nerveuses et fibres ner
u pro- cessus scléreux doit être rapportée à l'inflammation de la
substance
grise, semble d'ailleurs prévaloir aujourd'hui
ment disparu : .C'est donc bien là une preuve que dans la zone de
substance
blanche qui contient les faisceaux pyramidaux,'
les résultats de l'autopsie (lésions des cellules motrices de la
substance
grise et des faisceaux pyramidaux), se refuse à
a chercher dans le plus ou moins d'intensité du processus dans la
substance
grise; quant à la cause de ces variations dans
au niveau du lobule paracentral. Abondants corps granuleux dans li
substance
blanche. La partie située tout à fait à gauche ne
bilité dans l'espèce d'une lésion ou d'un trouble fonctionnel de la
substance
grise centrale du plancher du troisième ventric
l possible pendant les épisodes çpnvu}sifs et d'agir §ur Joute, Ig.
substance
de l',ç ? 1pmiJh par la ! 3lq&ip.n et }'6 ! n
scissure de Sylvius. Le corps calleux représente une mince lame de
substance
blanche. La troisième frontale ne présente ni à
trâctus'1 moteurs sont, condensés (capsule interne)'/ou encore à la
substance
-rise du` plancher'du troisième veiiTri'culé`(c
en n r"vidence l'existence^ d'Ull autre, centre qui, situé dans la
substance
de corps quadrijumeaux antérieurs au- dessous d
ique1 de la moelle épinière, fait par nous mêmes, nous donne : a)
Substance
blanche. Dans la région de l'origine apparente
e de Canada. 310 PATHOLOGIE NERVEUSE. large atteignant presque la
substance
grise. En avant, sur la bord extérieur elle n'a
sclérose atteint plus les parties anté rieures, mais non encore la
substance
grise. Dans la région de l'origine apparente de
ns les parties postérieures de cordons latéraux, où elle atteint la
substance
grise. La localisa- Fig. 7. -Coupe dans la part
ons latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉIMNIÈKE. 313 b)
Substance
grise. Dans la région cervicale de la moelle ép
a région cervicale de la moelle épinière on ne remarque pas dans la
substance
grise des changements visibles, même aux grands
plas- matiques qui pénètrent loin dans les parties voisines de la
substance
grise. Dans la région lombaire de la moelle épi
pathologiques mentionnés plus- haut disparaissent rapidement et la
substance
grise reprend ses qualités normales. Un coup d'
-mère et qu'elle diminue peu à peu, plus qu'elle s'approche de la
substance
grise. b) Dans la région où la sclérose n'attei
ement le plus grand développement du tissu conjonctif. e) Dans la
substance
grise, nous trouvons aussi les changements décr
plus évidents, spécialement dans la partie de la moelle où dans la
substance
blanche le processus pathologique atteint aussi
s cordons latéraux où la dégénérescence vers l'intérieur atteint la
substance
grise. Vers le devant elle n'atteignait pas les
cor- dons latéraux et postérieurs ne furent pas épargnés, même la
substance
grise. L'examen microscopique à un grand grossi
em- ment la destruction moléculaire; deuxième stade : issue de la
substance
hyaline, constituant des organites irréguliers, e
yaline des cellules de l'écorce englobant par places (ma- cules) la
substance
blanche. Observation de mélancolie grave : dégé
nt effectué ce désordre ; car la dure-mère est demeurée intacte, la
substance
cérébrale avec ses méninges molles s'est imprimée
es deux régions au cerveau; de là, des excitations inégales de la
substance
nerveuse. Dans les deux premiers cas, des trous d
e ces états nécroscoptques. Malheureusement on -n'a pas sou- mis la
substance
corticale projetée dans les fossettes anormales
econde partie intitulée Dégé- nérescence scléreuse de la lisière de
substance
blanche de certaines zones déterminées de l'éco
tèmes de fibres intracorticales; la dégénérescence des libres de la
substance
blanche pourrait bien n'être que secondaire, qu
au niveau du lobule paracentral. Abondants corps granuleux dans la
substance
blanche. La partie située tout à fait à gauche ne
rédominante, sinon exclusive, certains éléments bien déterminés de la
substance
grise, c'est-à-dire l'appareil des cellules nerve
es , comme vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la
substance
grise de la moelle épinière. Avant d'entrer dan
ccupe, dans la moelle épinière, un espace relati-vement restreint, la
substance
grise centrale est cependant, au 4e ANNÉE. 1
re spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon central de
substance
grise est un lieu de passage obligé pour la trans
taires et réflexes doivent nécessairement, elles aussi, passer par la
substance
grise, — de telle sorte que, si cette voie était
ble. Mais il semble aujourd'hui démontré que toutes les parties de la
substance
grise ne sont pas indistinctement affec-tées à l'
Dans cet espace si limité, je le répète, si circonscrit, qu'occupe la
substance
grise au centre de la moelle épinière, il y a lie
épare physiologi-quement, d'une façon très-nette, ce qu'il appelle la
substance
grise centrale et les cornes de substance grise.
-nette, ce qu'il appelle la substance grise centrale et les cornes de
substance
grise. La première aurait seule, avec les cornes
is des altérations qui affectent isolément ces diverses régions de la
substance
grise. C'est là justement le cas des affections
ons étudiées jusqu'ici et qui, comme les premières, ont pour siège la
substance
grise centrale. Dans ces myélites centrales, la
ourmillements, indi-quant une participation au moins temporaire de la
substance
grise centrale? Quelques observations faites par
du Hachisch dans le traitement de la chorée. Suivant Corri-gan, cette
substance
aurait même la propriété de conduire sans encom
inantes se seraient sphacélées et il s'est produit une vaste perte de
substance
qui, partant du voisinage de l'angle de la mâchoi
ons constaté l'existence d'une atrophie des cor-dons antérieurs de la
substance
grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans
istence de plusieurs foyers de desintégration sur divers points de la
substance
grisel. Mais, si je ne me trompe, l'étude qui a
nt, et sur certains points exclusivement, les cornes antérieures delà
substance
grise. Dans loutes les régions de la moelle, les
les lésions de la névroglie envahis-sent la plus grande partie de la
substance
, grise et s'étendent même parfois aux parties adj
et nullement proportionnées, quant à l'intensité, aux lé-sions de la
substance
grise. Il nous paraît évident,d'après tout ce q
difficultés, et, malgré des expériences nombreuses, l'action de cette
substance
reste sur bien des points obscure ou mal définie.
cela tenait, ainsi que nous avons pu nous en convaincre, à ce que la
substance
active appliquée à la surface d'une plaie au nive
s servis, à la sur-face d'une plaie, mais en injectant directement la
substance
dans le tube digestif. Dans une première série
ulcération aussi persistante après l'injection hypodermique d'autres
substances
(voy. Procee-dings Pathological Society, in Ameri
dermique est de nature conjonctive. Il est formé : 1° de faisceaux de
substance
conjonctive s'entre-croisant en tous sens, à la f
on, de la nécessité de l'expérience physiolo-gique pour découvrir ces
substances
dans un liquide. Il mentionne également les trava
ntionne également les travaux relatifs à la thérapeutique et dont ces
substances
ont fait l'objet. M. Laurent a divisé son mémoi
contraire, peut être employée sans inconvénients. A petite dose, ces
substances
sont utiles dans les cas d'incontinence d'urine,
alcoolisme, ceux qui sont dus à l'alcool pur et ceux qui relèvent des
substances
surajoutées à cet agent. Il établit que l'absinth
mais qui doivent se différencier par des sym-ptômes attribuables aux
substances
qui s'adjoignent à l'alcool dans les diverses boi
laire sont exposées dans les 288 pre-mières pages qui représentent la
substance
du Traite' des maladies des yeux de l'auteur. Il
ent d'une sérosité assez abondante accumulée entre les méninges et la
substance
cérébrale. Le fœtus, est mis alors dans l'alcool
ection des méninges est.ensuite achevée et on découvre le cerveau. La
substance
cérébrale est molle, un peu diffluente. La scissu
ligne médiane ; elle dévie ensuite légèrement à gauche. Cependant la
substance
de l'hémisphère gauche existe dans la tumeur en q
du reste nullement distendues. L'orifice par lequel fait hernie la
substance
nerveuse est formé aux dépens de l'occipital, des
ne paraît pas être la véritable cause, des hernies congeniales de la
substance
nerveuse. La méningo-encéphalocèle paraît donc êt
entent les cellules épithéliales, suivant qu'on les considère dans la
substance
corticale ou dans la substance médullaire. Dans l
s, suivant qu'on les considère dans la substance corticale ou dans la
substance
médullaire. Dans la première, les cellules sont g
lent plus ou moins à celles que l'on rencon-tre chez l'homme. Dans la
substance
médullaire, au contraire, les cellides sont plus
r échapper à toute falsification, mais il n'en est rien; d'abord, les
substances
achetées en poudre sont vendues le plus souvent p
orsque le pharmacien n'a pas lui-même préparé ses produits. Certaines
substances
ont été chauffées outre mesure pour faciliter leu
i dire du métier pour en comprendre toutes les difficultés. Certaines
substances
s'obtiennent difficilement à l'état de poudre fin
dicament aussi pur et aussi parfait que possible. « Non-seule-ment la
substance
prescrite peut avoir été falsitiée ou altérée, ma
ur répondre à l'opinion que s'en fait le médecin qui la prescrit. Des
substances
préparées par un procédé très-louable peuvent êtr
ordeaux, par déplacement, sans alcool, pour économiser celte dernière
substance
et obtiendront un pro-duit qui agit facilement, o
n était oblique, et laissait voir un amincissement considérable de la
substance
com-pacte à ce niveau. L'os fut scié, un peu au-d
ourgeons pâles et décolorés dont le point de départ se trouve dans la
substance
médullaire. Le périoste, à ce niveau, se décolle
la partie externe. On sent aussi très-bien avec le doigt des îlots de
substance
osseuse disséminés çà et là. Ces îlots affectent
même manière que les parois de cette même cavité en représentaient la
substance
compacte. On mit ainsi à découvert la surface i
élément fortement coloré est séparé de ses voisins par des espaces de
substance
hyaline circonscrits par des tractus colorés qui
r un noyau très-fortement coloré par le carmin. — Absence complète de
substance
fondamen-tale; les capsules sont serrées les unes
ints une coloration uniforme, et paraît com-plètement envahie par une
substance
jaunâtre. Cependant on dis-tingue des traclus bla
e, des tubes séminifères avec leur coloration normale, et en avant la
substance
envahie se présente, à la coupe, sous l'as-pect d
ne put l'enlever sans la déchirer ; sa couleur était très-brune ; sa
substance
semblait une pulpe noirâtre qui s'écoulait par la
sang et les urines afin d'y déterminer la proportion de l'urée et des
substances
extractives. Il serait possible, qu'à l'aide de c
s devenus symétriques sont normaux dans le reste de leur trajet. La
substance
du rein, au point de jonction, se continue sans t
ectés de la même néoplasie. Dans les points envahis par la tumeur, la
substance
de la rate a com-plètement disparu. On n'y retrou
t une incision qui a été pratiquée pour examiner la disposition de la
substance
rénale. 1 Les organisateurs du congrès ont fait
r, môme au point de vue pure-ment physique, il est formé par diverses
substances
, il renferme en lui des liquides décomposables, d
mposables, des tissus ayant des mouve-ments moléculaires propres, des
substances
ayant entre elles des combinaisons chimiques, et
ès-importanl, à savoir qu'il se forme partout et dans toute espèce de
substance
organique des courants électriques. En général, o
ment à ce que des courants électriques puissent être produits par des
substances
organiques coagulables. On oublie trop facilement
appareils ne sont autres que des cloisons membraneuses renfermant une
substance
albumineuse. C'est la condition anatomique de pre
est autre chose qu'un phénomène chimique, une série d'oxydations; les
substances
albuminoïdes brûlent dans les tissus, comme le mé
directe et une influence indirecte sur les combinaisons chimiques des
substances
organiques, ils pénètrent profondément dans les t
cères gorgés de sang ; circonvolutions postérieures un peu aplaties ;
substance
cérébrale un peu dure. Léger épaississement troub
ules rouges du sang avec quantité de corps granuleux, au milieu d'une
substance
muqueuse légèrement striée. Le raclage de la surf
tération graisseuse de leur masse. D'après cette donnée, l'emploi des
substances
stôatogènes, arsenic, phosphore, semblerait indiq
. Les bourgeons eux-mêmes présentent les modifications suivantes : la
substance
intercellulaire devient plus dure, striée, souven
utopsie. — Aucune lésion des méninges cérébrales et n ehi-diennes. La
substance
corticale du cerveau a l'aspect et porte les lési
cest-à-dire qu'elle occupe aussi bien les cordons posté-rieurs et la
substance
grise que les cordons antérieurs. Lorsque le ma
e: réduction considérable du volume delà moelle, état tourmenté de la
substance
blanche entraînée dans tous les sens par de vérit
ous les sens par de véritables tourbillons de sclérose, lésions de la
substance
grise dont les cornes sont atrophiées, refoulées,
spèces, les unes dues à la névrite, les autres a l'inflammation de la
substance
mse; 2° La paraplégie ne tarde pas à leur succé
lpeuse d'un blanc grisâtre et jaunâtre à la fois, ressemblant à de la
substance
encéphalique dégénérée par la macé-ration que le
uantité, car tous les sels réunis sont de 0gr,32 124 par litre. — Les
substances
invariables et prédominantes sont l'a-cide silici
us dans les matériaux solides, soit 255er,60, tandis qu'à Salins, les
substances
solides (d'après Dumas et Pelouze), ne s'élèvent
incipe défini, et elle con-stitue pour la thérapeutique à l'égard des
substances
médicamen-teuses, un certificat d'identité. — Dep
lui tend du pain il le saisit. Ne reconnaît ni les odeurs ni les
substances
sapides. Entend bien et voit bien. Il a un ti
ervical, on trouve une légère dilatation du canal de l'épendyme. La
substance
grise est normale. Il y a une dimi- nution des
du lobe temporal où elle entraîne, en la décor- tiquant, un peu de
substance
grise ainsi qu'au niveau de l'extrémité postéri
ar la pie-mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de
substance
cérébrale. La partie des poches qui répond aux lo
masse scléreuse, qui, à la pression, n'est qu'une petite couche de
substance
corticale. Les deux hémisphères sont réunis par
e la pie-mère qu'au voisinage de ceux des couches inférieures de la
substance
grise, mécanisme qu'il nous a été souvent donné
n observe les points (portion interne des lobes occi- pitaux) où la
substance
nerveuse est encore relativement conservée, on
sa périphérie par des fibres myéliniques qui atteignent à peine la
substance
grise, où l'on voit encore quelques fibres radi
asculaire importante. Ces capillaires néoformés pé- nètrent dans la
substance
grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la s
ent dans la substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la
substance
nerveuse se nécrose. Il s'agit là d'un cas rapide
tremblement de la pointe. L'enfant semble indifférente au goût dos
substances
qu'on lui introduit dans la bouche. La déglutit
hère droit. La décortication de la pie-mère en- traîne la couohe de
substance
grise. A la pie-mère restent adhérents les moul
sseur d'un demi-centimètre envi- ron. L'hémisphère est réduit il la
substance
blanche; la forme générale est conservée et on
mêmes lésions. La disposition des circonvolutions dépouillées de
substance
grise est normale et apparaît aussi nettement qu'
able, méningite légère. Les circonvolutions, très aplaties, ont une
substance
blanche et une substance grise considérablement
es circonvolutions, très aplaties, ont une substance blanche et une
substance
grise considérablement diminuées d'épais- seur.
d'épais- seur. Examen histologique. - Les libres nerveuses de la
substance
blanche sont naturellement refoulées et tassées
entricules qui leur donne des directions variables. Au milieu de la
substance
blanche, on voit un certain nombre de taches sc
Les fibres à myéline sont très nom- breuses, non seulemeut dans la
substance
blanche, mais en- core dans la substance grise.
ses, non seulemeut dans la substance blanche, mais en- core dans la
substance
grise. La strie de Baillarger apparaît très net
des de tissu fibreux se colorant en rouge très foncé. Dans toute la
substance
grise, au niveau de ses étages inférieurs, appa
lement dans cette zone assez vasculaire qui forme la limite de la
substance
grise et de la substance blanche de l'écorce. A
assez vasculaire qui forme la limite de la substance grise et de la
substance
blanche de l'écorce. Au début du processus cavi
s'envelopper d'une couche de libres denses qui forme il la perte de
substance
une véritable paroi. Les méninges sont adhérent
ne certaine mesure, (front loi). paracentral, cire, temporales). La
substance
blanche est très diminuée de volume, les fibres
normal ; elles sont un peu grêles. Lorsqu'elles pénètrent dans la
substance
grise, elles subis- sent une raréfaction consid
radiairc. Il y en a beaucoup au voisinage des vaisseaux et dans la
substance
corticale. La paroi des ventricules est at- tei
stantes, dévies en tous sens, sont très atrophiées. Au niveau de la
substance
grise, les fibres à myéline s'ar- rêtent et la
e, les fibres à myéline s'ar- rêtent et la zone inférieure de cette
substance
apparaît creusée de lacunes de dimensions varia
is en amas comme de véritables angiomes, des blocs déchiquetés de
substance
nerveuse. Les couches les plus externes de l'éc
lulaire. Les vaisseaux, qu'ils appartiennent aux méninges ou à la
substance
cérébrale, ont le même aspect ; leurs parois so
is avec peu de cellules rondes ; seulement en certains points de la
substance
blanche, on découvre dans leur gaine adventice
des manchons périvasculaires, ou encore des amas arrondis en pleine
substance
grise. 120 IDIOTIES. B. Lésions de l'écorce c
ù la méningite est symphysaire, présente de grosses altérations, sa
substance
grise est en train de se nécroser, car les élém
nt tout le tissu des points nécrosé,. - Dans certaines régions la
substance
cérébrale résiste mieux, puisqu'elle a des con-
nnect aux deux autres couches de l'écorce. Néanmoins, dans toute la
substance
cérébrale, existent de nombreuses altérations :
les très rares ou totalement absentes. . D'une façon générale, la
substance
grise est très démyé- linisée (peu ou uoint de
maire s'observe dans beaucoup de cas. - Du côté des vaisseaux de la
substance
blanche et de la portion inférieure de la subst
vaisseaux de la substance blanche et de la portion inférieure de la
substance
grise, notons l'épaississement de l'adventice e
correspondant aux Histologie. 1. in. 1 couches inférieures de la
substance
grise. A ce niveau, la masse névroglique se cre
alternant avec les ban- des scléreuses : les fibres radiaires de la
substance
gl i : se ont disparu, alors que persistent enc
sence de corps granuleux est constante du côté de l'écorce, dont la
substance
grise, aplatie, offre une diminution de ses cel
Dans certaines circonvolutions, nous avons pu noter des pertes de
substance
avec un processus cavitaire assez ana- logue à
. de Per... p. 81-96.) Elle montre les deux hémisphères ouverts, la
substance
cérébrale réduite à une mince couche, les ventr
Pie-mère de l'hémisphère droit. Elle est doublée de la couche de
substance
grise et montre le moule de toutes les circonvo
Se. p., scissure parallèle. Les circonvolutions sont réduites à la
substance
blanche, atrophiée. Un grand nombre de circonvo
viter, Colberg a pris le soin d'injecter les vaisseaux à l'aide d'une
substance
colorée, avant de réduire le poumon en tranches m
ration de M. Gombault, pré-parateur du cours. primitivement dans la
substance
des cellules de l'endolhélium pulmonaire. Celles
onsidérable du bassinet et un aplatissement complet de la papille. La
substance
rénale, dans son ensemble, est moins épaisse que
ar la papille : Rein droit, 6 mm. Rein gauche, 14 mm. Epaisseur de la
substance
corticale : Rein droit, 2 mm. Rein gauche, 5 mm.
n gauche, 5 mm. Les gros orifices vasculaires, situés à l'union de la
substance
corticale et de la substance tubuleuse, sont beau
ices vasculaires, situés à l'union de la substance corticale et de la
substance
tubuleuse, sont beau-coup moins visibles que ceux
e aux dépens de l'atmosphère adipeuse dont la graisse en a disparu.
Substance
médullaire. 1° Papille. Les gros canaux collecteu
est in-filtré d'un certain nombre d'éléments embryonnaires. Dans la
substance
médullaire proprement dite, les tubes sont dans l
uns des autres par des traînées de tissu conjonctif em-bryonnaire.
Substance
corticale (Fig. 25). — Comparons cette figure à l
ntent, d'une façon générale, les altérations signalées à propos de la
substance
médullaire. C'est dans le labyrinthe que les lési
euvent succédera la pénétration dans les voies aériennes de plusieurs
substances
étrangères, parcelles ali-mentaires, pus, liquide
arités que nous venons de signaler. Dans ce cas, M. Leberl1 trouva la
substance
pulmonaire infiltrée d'une matière d'exsudation f
ons sont effacées^ et la surface de section paraît lisse et plane. La
substance
exsudée est plus abondante que dans le cas précé-
lle au-jourd'hui induration grise : or ces auteurs admettaient que la
substance
du squirrhe pulmonaire peut se fondre en une ma-t
tière tuberculeuse dans les poumons. Déjà signalée par Laënnec, cette
substance
a été ensuite retrouvée par tous les bons au-teur
s par Yirchow, sous le nom de pigment-induration 1. L'existence d'une
substance
amorphe finement granulée et mêlée quelquefois à
Ce nom d'ulcère n'était employé de-puis Hunter que pour les pertes de
substance
des parties exposées (peau, membrane muqueuse). M
malement marbrés de noir. Cette apparence est due à la présence d'une
substance
infiltrée dans le parenchyme même de l'organe, su
e distribution régulière dont on verra tout à l'heure la description,
substance
qui, pour ne rien préjuger, a reçu le nom de mati
s ont été trouvés infiltrés de matière charbonneuse aussi bien que la
substance
propre du poumon. Pearson n'avait examiné le po
encontre : 1° dans l'intérieur des cellules épithéliales ; 2° dans la
substance
de la paroi alvéolaire elle-même, et là elle est
age bronchique (Koschlakoff)1. Au point de vue morphologique, cette
substance
noire se montre au microscope sous les aspects su
. Cl. Bernard dont les détails sont consignés dans ses Leçons sur les
substances
toxiques (1857, p. 64), expérience qui est peut-ê
ntaire du sang consécutive à l'intoxication palustre. Dans ce cas, la
substance
pigmentaire noire qui infiltre les cellules se
ion pourrait être résolue à l'aide des réactions chimiques, car cette
substance
se dissout dans les acides concentrés, ainsi que
t Zenker. — Deutsch. Arch., 1867. pigment pathologique, mais d'une
substance
étrangère venue du dehors. On pensa d'abord au mi
mes assez mal connus, mais voisins de ceux de la phtisie vulgaire. La
substance
étrangère pénètre par les voies respiratoires et
rface de section s'écoulait un liquide noir tachant les doigts. Cette
substance
noire ne s'éclaircissait pas par l'action de l'ac
e pulpe noire et conte-nant dans son intérieur un fragment détaché de
substance
pulmonaire noire, du volume d'une noisette. Le re
sma grenu, à prolongements périphériques qui semblent plonger dans la
substance
même du tubercule, et sur le bord de laquelle on
autres par une gangue intermédiaire. Celle-ci consiste tantôt en une
substance
molle, pro top lasmique. Tantôt il s'y dessine de
e du processus est la production d'une sorte d'infarctus, formé d'une
substance
homogène, pouvant attein-dre la consistance du fr
deux régions: 1° Région centrale; celle-ci paraît constituée par une
substance
homogène, translucide, d'apparence vitreuse, rapp
sont ramollies et comme tapissées d'une couche blanche, pultacée. La
substance
cérébrale blanche est partout ail-leurs d'une con
plus grosses encore, faciles à énucléer, et développées au sein de la
substance
spongieuse qui se montrait partout ramollie et fr
l'existence fréquente d'une coloration ardoisée toute spéciale de la
substance
corticale du cerveau, chez les individus qui succ
Billard3 et R. Bright4, avaient rencontré cette même coloration de la
substance
grise chez des individus morts à la suite d'accid
de 2 ou 3, ou même plus encore, et paraissent alors enveloppées d'une
substance
hyaline, transparente, soluble dans les alcalis e
tie bruns et noirs. Enfin, on les voit assez souvent enveloppés d'une
substance
hyaline qui forme à leur pourtour une sorte d'aré
l). Bailly et M. Maillot avaient, nous l'avons dit, remarqué que la
substance
corticale du cerveau présente souvent une teinte
les très petits vaisseaux1 qui composent le réseau capillaire, de la
substance
grise, d'une quantité plus ou moins considérable
des marbrures, ou bien encore un pointillé très fin et très serré. La
substance
blanche, à parties cas d'une intensité exceptionn
lés de la matière pigmentaire ; ils appartiennent donc à ce groupe de
substances
qui tirent leur origine de la dissolution, ou, co
esque subite. A l'autopsie, on trouve les vaisseaux capillaires de la
substance
grise du cerveau distendus par une quantité souve
, ainsi que l'auteur paraît disposé à l'admettre, d'une atrophie delà
substance
cor-ticale du cerveau consécutive à l'oblitératio
es à ceux qui existent dans le sang. L'altération pigmentaire de la
substance
corticale des reins peut elle être rangée parmi l
s de ceux dans lesquels l'obstruction des vaisseaux capillaires de la
substance
corticale du rein par des corpuscules de pigment
x que nous avons trouvés dans le sang nous pa-raissent formés par une
substance
organique. Les réactions que nous avons indiquées
nique. Les réactions que nous avons indiquées n'appartiennent pas aux
substances
minérales cristallisables qu'on pourrait rencontr
t à fait nécessaire, car nous n'hésitons pas à rapporter à celte même
substance
, et à rapprocher, par consé-quent, des cristaux d
écropsie, et, à plus forte raison, au bout de vingt-quatre heures. La
substance
qui forme ces cristaux est, eneffet, en dissoluti
résent, indiquer un de ces viscères comme le foyer de formation de la
substance
organique qui constitue ces cristaux. Quoi qu'il
e de ces cristaux dans le sang et dans les viscères indique que cette
substance
était en très notable quantité dans l'éco-nomie e
s le pédicule lui-même, qui est alors canaliculé et contient aussi la
substance
puriforme. Aucune trace d'injection, de vasculari
contiennent les kystes, on remarque qu'elle est com-posée : 1° d'une
substance
amorphe qui ne paraît être autre chose que de la
s deux sont légèrement hypertrophiés. Accroissement d'épaisseur de la
substance
corticale qui est d'un jaune orangé, d'aspect gra
isseux et ne contient pas de granulations. Atrophie commençante de la
substance
tubuleuse. Rate. — 13 centimètres de haut en ba
voir qu'il s'agis-sait là, non pas de pus véritable, mais bien d'une
substance
ayant tout simplement l'aspect physique du pus et
elles ont dans cer-tains points à peine un millimètre d'épaisseur; la
substance
qui les constitue a l'aspect de la fibrine coagul
ales épaissies et se prolongeant en dedans, dans la profon-deur de la
substance
cérébrale, jusqu'au voisinage de la partie an-tér
entraînées par le courant sanguin. Il se produit ainsi des pertes de
substance
dont le siège, la forme, l'étendue, tant en large
noyaux oblongs et des éléments fusiformes plus rares encore. Dans la
substance
fibrineuse se trouvent des granulations graisseus
entre les divers feuillets qui com-posent le caillot, des amas d'une
substance
semi-liquide, jaunâtre, puriforme. La coloration
le, ramolli par places, et présentant çà et là de petits foyers d'une
substance
puriforme; ces caractères sont très marqués, en p
pas de lésions notables. Le foie est volumineux. Les pyramides et la
substance
corticale du rein gau-che sont plus rouges que ce
é de volume. — Rein gauche d'un rouge plus foncé que le droit dans sa
substance
corticale et les pyra-mides. — Rien dans la matri
es autres consistants et décolorés; quelques-uns contenaient môme une
substance
grisâtre, grenue, d'aspect puru-lent. Le cœur dro
ture grenue, friable, formés de couches superposées, imprégnées d'une
substance
demi-liquide d'aspect puriforme, l'examen microsc
tentatives pour provoquer directement ce résultat par l'injection de
substances
irritantes dans les vais-seaux artériels, MM. Tro
e (Aiiflagernng) à la surface. D'abord hyaline et transparente, cette
substance
, formée de couches stratifiées, ne larde pas à
considéra-ble du point malade dans l'artère crurale par exemple; ces
substances
passent donc probablement dans le torrent circu-l
tement réprimée par l'application d'un tampon de charpie, imprégné de
substances
coagulantes. De nouvelles hémorragies ayant été c
ecins qui les ont em-ployés. C. Digitale. — Les propriétés de cette
substance
, qui jouit d'une si grande puissance pour ralenti
articulaire aigu; phénomènes comateux; hémiplégie; infiltration d'une
substance
plastique con-crète, contenant des globules pyoïd
blanchâtres ; mais en les enlevant on n'entraînait pas avec elles la
substance
cérébrale. Thorax. — Le cœur est un peu hypertr
muco-pus très épais, très cohérent, d'as-pect vraiment purulent. Une
substance
analogue et très abondante s'est écoulée par la t
rminerai en disant qu'en raclant la surface de section, on enlève une
substance
épaisse, crémeuse, analogue au produit plastique
violacée. Examinée attentivement, au niveau des tâches jaunâtres, la
substance
du rein paraît conservée, en ce sens qu'on y obse
out particulier que nous désigne-rons, faute de mieux, sous le nom de
substance
plastique concrète, contenant des globules pyoïde
tiples et de nombreux caillots hémorragiques, un ramollissement de la
substance
cérébrale au voisinage des couches optiques et du
cours, par suite de la pré-sence d'un obstacle purement mécanique. La
substance
d'aspect purulent, que renferment les cavités qui
is la paroi des vaisseaux sanguins de petit calibre qui traversent la
substance
du cerveau. Dittrich a constaté que, dans les cas
laire aigu ; phénomènes comateux : hémi- plégie; infiltration d'une
substance
plastique concrète, conte-nant des globules pyoïd
Prolifération cellulaire par scis-sion. 60, 65, 67. Protoplasmique (
substance
—), 267; — prolongements angioplasti-ques, 269.
a —,113, 192. Squirrhe du poumon, 138. Strongylus armatus, 565.
Substance
plastique concrète à globules pyoïdes du cerveau
es, les gommes et les infiltrations gommeuses des méninges et de la
substance
nerveuse, on en est arrivé à soupçonner, puis à
lement, mais à un degré moindre. Les méninges molles adhèrent à la
substance
cérébrale et en arrachent des lambeaux lors de
d'une lésion vasculaire diffuse, qui se continue d'ailleurs dans la
substance
blanche sous- jacente, mais à un moindre degré.
rréguliers sur l'adventice des capillaires, faisant saillie dans la
substance
cérébrale, et donnant par places l'aspect de gr
à celles de l'aire de ce vaisseau. A un plus fort grossissement, la
substance
fondamentale du cerveau laisse voir en ces poin
ints le réticulum névrotique bien plus nette- ment qu'ailleurs ; la
substance
interstitielle amorphe semble en avoir été chas
uide qui en distend les mailles ; au con- traire à la périphérie la
substance
semble condensée. Ce qui prouve bien qu'il s'ag
t les fibrilles de la névroglie ; il est tellement abondant dans la
substance
grise qu'il en cache presque tous les détails s
s ne sont pas altérées. ' Les reins pèsent ensemble 300 grammes; la
substance
rénale est légèrement réduite. L'un d'eux porte
rescence récente de l'épithélium des tubes contournés dans toute la
substance
corticale des deux reins. Cette lésion cellulai
a striation est uniforme et régulière, tandis qu'à la périphérie la
substance
fibreuse offre une stratification moins nette e
é se distingue par* la 'qualité du'corps* i cenlral ? Au lieu9d'une
substance
amorphe1 on< rencontre ici-" tantôt une cell
ur l'action des matières colorantes, il se refuse à voir dans cette
substance
des dépôts de mucine, ni même de cette matière
la cavité. Que cet équilibre vienne au contraire à se rompre, et la
substance
centrale disparaîtra par résorption. Si l'hyper
ner- veux, on sait qu'entre la , face profonde de la gaine et la
substance
. nerveuse il existé un, espcé t'rèsëxiâü, mais pa
par une sphérule hyaline pure à contours très nets (b). , , , La
substance
enveloppante présente déjà ici une certaine tenda
varia pathologie 'nerveuse/"2 at' 1a ? "`I ments irréguliers d'une
substance
qui se-colore fortement partiel carmin; la cell
êroede"la' gaineradventicè7et-fôiit ail lie PI'Utôt ? dans > lai
substance
i cérébrale rque ' dans l'espace'Iympliatique : C
on (.de« capillaires fins et moyens. La lésion se propage dans, la,
substance
blanche. lu. n aim "1 nu -·.dn un pro Toutes
ent la,même lésion ,vasculaire, Fig. 25 : - Vaisseaw pris- dans la'
substance
grise' de'la'circonvolution ^de- Broca; prolifé
bles -de l'odorat ; quelques malades ne peuvent apprécier certaines
substances
; quelques autres, lout en sentant, ne peuvent
ût, assez souvent affaibli, révèle aussi de la confusion dans les--
substances
sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° '" ? ' tp.K
vent être considérées comme l'effet de la rétention par le sang des
substances
toxiques, résultant du défaut de fonction de la
ollissement de la plus grande partie des deux ascen- dants et de la
substance
blanche sous-jacente ; interruption des communi
corps calleux au point où elles s'épanouissent dans le reste de la
substance
blanche de l'hémisphère gauche. Il y avait prob
er histologiste et de Lenhossek sur le myélospongium (épendyme et
substance
gélatineuse). ' ' · Abordant ensuite l'étude de
ur lès colonnes de Clarke. Observation V. Atrophie ayant atteint la
substance
grise pos- térieure et les cordons de Bunduch.
s antérieures, surtout dans le renflement cervical; intégrité de la
substance
grise, rien dans les racines antérieures et posté
occipital gauche; foyer de ramollissement ayant interrompu toute la
substance
blanche du lobe occipital gauche au niveau du b
t-fi.-dire` aux deux petites tumeurs décrites ! , ci-dessus. Là,ria
substance
cor- ticale est absolument'désorganisée/elle fo
s'éloigne du point central, on voit que la'désorganisation' dé1 la
substance
-rise,vaenidi,minuanti feramoDissemèntest'de moin
tumeurs dure-mériennes/pùis il s'est étendu'aux'méninges et à la
substance
nerveuse vôisine : a9 AT`ifïl .r , ·-9,· Ihl.g;D
tôxine. ou I poisou l'on doit com- prendre) unefgrande'quautité de
substances
morbidesy compris les produits d'une nutrition,
accès épileptiques,' la paralysie, malgré la large extirpation de'
substances
cérébrales ne s'acerlit, pas, mais même s'aniél
ode de diarrhée etde cachexie, contr'indiquerait une diète riche en
substances
a ! buminoïdes. Le lavage de l'estomac avec l'e
le' bord interne' d'un 'des'' lobes occipitaux et en même temps `la
substance
1 blanche .sous-jacente, ! le corps calleux et le
e partie, ainsi que le démontre l'expérimentation7proviehnent de la
substance
grise. En même temps "que' lé1 faisceau1 de'Gol
one marginale'de Lissauer participe à cette dégénérescence. Dans la
substance
gélatineuse, les fibres fines sont plus ou moin
out'à'fait'lésée; d'autres,, enfin; ? attribuent, u.-ie odeur à des
substances
qui n'en ont pas : ' Quelques faits témoignent
Qt' assezcsouvënti,affaibli; affaiblissement simple et confusion de
substances
ustatives : ·P.'K. ' f ' : .i r > ' '8t) 'TI
ite*1 ancienne* descendante du' côté gauche; il existe une perte de
substance
qui comprend' l'écorce et la substance blanche
uche; il existe une perte de substance qui comprend' l'écorce et la
substance
blanche delà pariétale jusqu'au lobule1 pàracentr
ensitif, s'en vont, après entre-croisement, gagner un territoire de
substance
blanche situé entre le pédoncule cérébelleux po
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXII. UN C.1S.D'HÉTÉROTOPIE DE la
SUBSTANCE
GRISE dans LES HÉMI- SPHÈRES cérébraux ;' par M
cunes.Or,au beau milieu du centre ovale deVieus- sens,' .existe une
substance
grise semblable à l'écorce, avec laquelle elle
corce, avec laquelle elle est en communication par des faisceaux de
substance
blanche. Cette substance grise incluse dans' la
est en communication par des faisceaux de substance blanche. Cette
substance
grise incluse dans' la substance blanche ordinair
sceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans' la
substance
blanche ordinaire a la même structure que 'la c
ées en substance'. grise pour remplir la place que laissait vide la
substance
blanche manquante, ou, si l'on préfère, il y a
s fibres blanches qui sont, par -suite, anormalement devenues de la
substance
grise. P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* '
Ja'syringo- myélie avec des lésions diffuses ou systématisées de la
substance
blanche : 1° processus gliomateux limité à la'
sées de la substance blanche : 1° processus gliomateux limité à la'
substance
grise' ou à la moitié de la 'substance1* grise
; 2° gliose atteignant les deux côtés de la moelle cervicale et la
substance
grise de la`moelle dorsale d'un"côté sur une1 lon
cérébelleux supérieur du côté opposé 40 par , l'intermédiaire déjà
substance
grise protubérantielle, un des hémi- sphères cé
ème et quatrième paires sacrées : en' cet endroit, il n'y a plus de
substance
nerveuse, les fibres radiculaires seules sont p
ue']aidélimitation exacte de certaines parties de l'écorce et de la
substance
blanche impose les coupes de Pitres et de Nothn
ioou'i 3uiiv 91 ,t &t3S"t xoBam). ^'XL. DE l'hétérotopie detlaI
substance
GRISE,DANS la< moelle; lu- , v ? u par P. KI
erfs< sacrés'îeL9 celles du ''nerf coccygien. Prédominance de la
substance
grise : organe très vascu- Jaire ne renfermant
cool à 75jplOÔ ? 'J '' ? On déshydrate ét'l'on induit' dans quelque
substance
que ce soit pour, pratiquer,, les, coupes. f Le
inution partielle des fibres du ruban de Reil du même côté et de la
substance
blanche profonde des tubercules quadrijumeaux a
aire. moyenne, de la zone marginale de Lissauer. Hyperplasie de la'
substance
! intermédiaire aux dépens des fibres nerveuses
e de duboisine chez les aliénés agités.'M. Massaut a employé, cette
substance
, chez vingt-quatre malades (dix-sept hommes et
hes ocreuses sous-épendymaires ou des dépressions profondes dans la
substance
grise du noyau caudé ou de la couche optique, i
t 1 1 ', ,trlrx r * Di.x'-r'nio'i's"'a-priè'S'i'Oéti6D,7]a-perté de^
substance
osseuse était réparée ;9lé'pourtour du crâne âv
use et répétée, aubesoin, sur le-côté ôppôsédûccànè ! rLa'lpérterde
substance
1 du périoste doit avoir là1 même' éténduèrque'
de la La lésion vasculaire porte'non-seullem les vaisseaux de la
substance
grise, niais aussi sur- ceux delà substance blanc
lem les vaisseaux de la substance grise, niais aussi sur- ceux delà
substance
blanche, dont la gaîne-adve itice contient un g
- · . ? % Il 'Pl," w4tt .. ' r n : a 4 1 phalite, ulcérations"de la
substance
corticale, granulaionsde . 41 ' , .. > ? >
r t t. trTJ ^DO·. o , a .trt t·mr· IRtlri n Irs'14t 4.ff : y de, la
substance
blanche, envahissement des.cellules pyrami- i t
né bilatérali de 'la' grosseur d'un oeuf de pigeon sous-jacent à la
substance
grise de l'insula et , , . ',) ? TH'\ .. '' -"
° ! Dans les parties des centres, nerveux ^désignées sous le nomade
substance
grise,; ou la surface. se,, trouve^en.) contact a
ur de la membrane sanguine. qui, pénètre de dehors en, dedans cette
substance
, que les replis de la membrane divisent en centre
ation 'et, agit à, la façon d'un organe indépendant^D'autre part la
substance
blanche est ]e, grand centre de réception, qui1
ette combustion, comme une bougie alimente sa* mèche .'^mais^ celte
substance
blanche fonctionne^en même* temps comme l'appar
vec quelques,mou- ,vements convulsifs. Enfin .s'il'se.chargeait de;
substances
^toxiques, les effets varieraient suivant la na
bstances ^toxiques, les effets varieraient suivant la nature de,ces
substances
? ) Jfl Altérations' de structurel Celte théori
mes. L'hémisphère gauche ne pèse que 197 grammes ; aux dépens de sa
substance
blanche s'est formé un pseudo-kyste; la perle d
ns de sa substance blanche s'est formé un pseudo-kyste; la perle de
substance
est considérable, car.la cavité pseudo-kystique
ial5ù " '' ? ? On peut se demander si normalement il existe dans la
substance
corticale une double modification' concomitante
ent les plus 'utilisés, mais'ils ont l'inconvénient' de détruire la
substance
des cellules ; de'plus^ils forment avec les manch
il faut avoir des microtomes immenses et très chers, parce que les
substances
d'inclusion ne donnent pas à la matière nerveus
l nous faut de meil- leures méthodes de durcissement,' de nouvelles
substances
d'inclusion lui de nouvelles couleurs électives
lions spinaux.- Son- corps cellulair6ousproto-, plasma possède deux
substances
. L'une, après un traitement préa- lableuài l'al
ntre v chaque ! nodule.comme entre chaque couche.de'noduiesihy a la
substance
» incolore. Le noyau lui-même possède- une; fine
snu-1 cléolesi et9souvent;-aussi dès i;ueléolesf accessoires,1) la"
substance
? propre dur iioyau 1 sel coin posantid'un isuc
prolongement della cellule prond'somorigine'dans un orba-1 niteide
substance
incolore placera. la périphérie de la-cellule (à.
ulaires de même construction apparente. Il est des régions de cette
substance
grise dont nous connaissons la-fonction. Ce son
% les- gan -lions' spinaxn des, c'ellules comi-Y posées de diverses
substances
; l'une de ces"substances : se colore, après le
n des, c'ellules comi-Y posées de diverses substances; l'une de ces"
substances
: se colore, après le traitement à l'alcool, pa
té de structure' dans les cellules,' mais bien à la pro- portion de
substance
colorable contenue dans 4 tu . Le courant farad
la proportion plus ou moins grande qu'elles pourraient contenir; de
substance
, colorable. Ce sont'là> des i cellules 'chromo
sous prétexté'de sortilège/par les habitants d'Auxonne ! disait en
substance
que lës prêtrés'rde' cette''ville*'avaient- expos
excitabilité du nerf; la' diminu- tion est moins prononcée pour les
substances
à saveur amère. , ? Les résultats obtenus.par l
et d'hémiplégie droite. Elle succombe à un glio-sarcôme occupant la
substance
blanche du lobe occipital droit allant jusqu'au
ue complète. Le tableau se complique de paraphasie ^prolapsus de*la
substance
cérébrale, écoulement de liquide céphalo-rachid
formé par une sphérule hyaline pure à contours très nets (b). La
substance
enveloppante présente déjà ici une certaine tenda
les cérébrales, par Dai-h-sclie-witsch, 222. IHÉ1'ÉROTOI'IB de la
substance
grise, dans les hémisphères cérébraux, par Ma
ce grise, dans les hémisphères cérébraux, par Matett, 208 ; de la
substance
' grise'de)a moelle; par Kronthal, '219." " -
IER. UN CAS DE SARCOME VOLUMINEUX DU CERVEAU AYANT DÉBUTÉ DANS LA
SUBSTANCE
BLANCHE DE LA RÉGION FRONTALE GAUCHE; OBSERVA
vé un volumineux sarcome du cerveau développé primitivement dans la
substance
blanche de la corne antérieure de l'hémisphère
s de l'observation. Mais ce n'est que tardivement qu'il a envahi la
substance
grise centrale, quoi qu'il fût sous-jacent à ce
a substance grise centrale, quoi qu'il fût sous-jacent à cette même
substance
grise sur une assez grande étendue. Les phéno
e nerveuse qui est bilatérale. Elle présente des adhérences avec la
substance
cérébrale. Ces adhérences siègent dans toute l'
e en ce point, sans entraîner en même. temps de petits fragments de
substance
cérébrale. Le cerveau enlevé et dépouillé de se
pect aréo- laire, blanchâtre, et occupant la portion centrale de la
substance
blanche. Tout autour du tissu néoplasique, on o
'est accrue princi- palement du côté de la convexité, et atteint la
substance
grise périphérique, sans l'intéresser cependant
et a pris une teinte rougeâtre, elle est toujours située contre la
substance
grise. Du côté interne on voit à côté de la tum
elle est le plus développée. Elle occupe près des deux tiers de la
substance
blanche, et à la partie inférieure et externe a
s grand nombre. Elle est, en quelque sorte, isolée du restant de la
substance
cérébrale par une zone assez large de ramollisse-
et ovoïde étant pos- térieure. Cette tumeur ne siégeait que dans la
substance
blanche de la partie antérieure du cerveau gauc
ans une grande par- tie de son étendue elle était sous-jacente à la
substance
grise, Fig. 3. Sixième coupe passant à 7 à 8 ce
ment. Enfin une zone de ramollissement la séparait du restant de la
substance
blanche. Pour donner une meilleure idée de la d
tre que les localisations exclusives des tumeurs cérébrales dans la
substance
blanche sont rares, puisqu'elles ont été observ
blement minces et diaphanes. Cependant il n'y avait pas de perte de
substance
osseuse. f. Enfin, et pour terminer, nous vou
été de biologie en 1883, 1885 et 1886 admet aussi la présence d'une
substance
toxique. Dans les cultures d'urine, il a pu iso
'on peut très bien concevoir que nos cellules puissent sécréter des
substances
toxiques dans cer- taines conditions tout comme
l croit que l'épilepsie résulte de modifications de nutrition de la
substance
nerveuse, et comme d'autre part il sait que les
du système nerveux, et dans l'épilepsie, il serait remplacé par des
substances
azotées. Nous avons employé ce moyen chez plusi
ut contre le pli courbe, qui plonge d'un centimètre et demi dans la
substance
blanche. Enfin dans le lobe occipital gauche un
base, les circonvolutions occipito- temporales et en avant, dans la
substance
blanche des pariétales, vient détruire le pulvi
cendantes, du lobe temporal et de l'insula. Çà et là atteinte de la
substance
blanche- et des cavités grises centrales jusqu'
issement chronique du cerveau par artério-sclérose ayant détruit la
substance
blanche avec dégénérescence des faisceaux posté
érose périvasculaire, moins prononcée dans les autres parties de la
substance
blanche, affectant la forme d'ilôts petits. La
mère présente un aspect louche, les sinus sont gorgés de sang, la
substance
cérébrale est dissociée et fortement injectée.
ux de Goll ont la périphérie de même coloration. Les contours de la
substance
grise sont très nets, et sauf quelques fentes qui
ng de ces tractus. L'arachnoïde est légèrement épaissie. Dans les
substances
blanche et grise on trouve les noyaux de névrog
seaux multipliés se propagent dans quelques endroits jusque vers la
substance
grise. La prolifé- ration de la névroglie est s
rées par la méthode de Pal, on remarque que la dégénérescence de la
substance
blanche est en rapport direct avec les infiltra
névrite remar- quable. Dans une coupe on voit se propager dans la
substance
nerveuse une infiltration allongée, en connexio
ou plus ou moins diffuses, qui ont entraîné la dégénérescence de la
substance
nerveuse. Dans le canal central et dans la pie-mè
onctifs dans l'intérieur de la moelle où elles peu- vent envahir la
substance
blanche et la substance grise. On a pu trouver
de la moelle où elles peu- vent envahir la substance blanche et la
substance
grise. On a pu trouver les cellules géantes non
gus, il y a aussi de petites hémorragies. La dégénérescence de la
substance
nerveuse reste localisée, en général, mais, dans
pie-mère est épais- sie, congestionnée, infiltrée; elle adhère à la
substance
ner- veuse. L'infiltration est surtout marquée
cale affectent une couleur blanche, tandis que l'autre partie de la
substance
blanche a la couleur blanc grisâtre. La substan
re partie de la substance blanche a la couleur blanc grisâtre. La
substance
grise est pâle. A l'endroit où la pie-mère adhère
rise est pâle. A l'endroit où la pie-mère adhère à la dure-mère, la
substance
nerveuse de la moelle se ramollit; par places s
reste encoie à la périphérie quelques fibres nerveuses intactes. La
substance
blanche, du reste est conservée. On trouve pour
ne partie sclérosée qui est nettement limitée du côté intérieur. La
substance
grise est normale. Sur quelques coupes, on trouve
un revirement complet de l'opinion : la glande thyroïde sécrète une
substance
toxique, et c'est cette subs-- tance qui exerce
e très nombreuses expériences, il se formerait dans l'organisme une
substance
toxique qui neutraliserait la sécrétion thyroïd
t l'accumulation dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 l'organisme de cette
substance
toxique non neutralisée : c'est la condition pa
tion thyroïdienne neu- tralisante, sans qu'il y ait suffisamment de
substance
toxique à neutraliser. Dans ces conditions ne p
de l'hyperthyroïdisation par l'injection d'une certaine quantité de
substance
toxique à neutraliser ? C'est ce que nous avons
e l'éosine ne'colore pas en rose. Ce contenu est représenté par une
substance
que j'appellerai thyromucoïne. A l'état adulte,
ne. A l'état adulte, le corps thyroïde sécrète par contre une autre
substance
que j'appellerai thyrocolloïne. C'est la thyrom
é à reporter le poison basedowien ou plutôt thyroïdien. C'est cette
substance
retirée du corps thyroïde foetal qui devrait serv
thèse la plus vraisemblable, il se,for- merait dans l'organisme une
substance
toxique neutralisée par le corps thyroïde norma
ion ou la destruction de la glande provoque l'accumulation de cette
substance
toxique non neutralisée dans l'organisme : c'es
raire, il y a plus de sécrétion thyroïdienne neutra- lisante que de
substance
toxique à neutraliser. Dans ces conditions, on
effets de l'hyperthyroïdisation, injecter une certaine quantité de
substance
toxique à neutraliser. Le sérum de chien éthyro
hyde est encore plus toxique (1,14). Le furfurol est, de toutes les
substances
expérimentées, le plus toxique; 24 centigrammes
s de lésions en foyer (l'auteur a observé un cas d'atro- phie de la
substance
blanche du lobe occipilal avec atrophie de la c
se décortiquent assez facilement, mais entraînent des fragments de
substance
cérébrale, surtout sur le lobe temporo- sphénoï
ement est assez lâche et ils sont séparés, pour la plupart, par une
substance
que l'on croi- rait amorphe au premier abord. E
ord. En employant de plus forts grossis- sements, on voit que cette
substance
qui forme des lignes ou de petits lacs entre le
nu sur les coupes colorées à l'hématoxyline. Les vaisseaux de la
substance
cérébrale sont extrêmement malades particulière
ccompagnent ceux-ci sur une certaine étendue et semblent envahir la
substance
médullaire. Cette disposition ne s'observe qu'a
ement infiltrée, mais sans trace d'endartérite. Les vaisseaux de la
substance
du bulbe et de la protubérance sont sains, sauf
- jours sur la pie-mère et l'arachnoïde, mais les vaisseaux de la
substance
médullaire elle-même sont plus ou moins atteints
sique. A l'autopsie on trouve un gros foyer de ramollissement de la
substance
blanche de la région de Broca (écorce indemne) et
cksonienne, et'lià , . la présence d'une altération localisée de la
substance
corticale, ? (Revue neurologique, mars 1895.) E
ar Charcot et Joffroy. Dans ce cas, les cavités développées dans la
substance
grise postérieure et antérieure sont secondaires
syringomyélie secondaire, dont les cavités sont creusées en pleine
substance
blanche, indiquée par M. Marinesco, dans les tu
son étendue reste proportionnelle à l'atrophie, des cellules de la
substance
grise. Elle respecte les faisceaux avoisinants
. « Ainsi dit l'auteur (page 144), les lésions constatées dans la
substance
blanche de nos cas de polyomyélite antérieure chr
les sensoriels, même visuels, malgré la propriété dont est douée la
substance
de déterminer la cécité psychologique. (An- nal
e n'est pas un sommeil analogue à celui que pro- duisent les autres
substances
hypnotiques : c'est un poison psy- chique, port
es dans l'encéphale par deux foyers hémorragiques; l'un sis dans la
substance
blanche profonde de l'insula du côté gauche; l'
uge des cylindraxes dans les fibres à myéline, -jaune intense de la
substance
blanche, - -violette tirant sur le rouge de la
on s'étend uniformément à une distance assez grande du vaisseau, la
substance
blanche est plus grenue, les cylindraxes formen
e, un dessin bizarre. A côté de l'ensemble des décompositions de la
substance
ner- veuse ; il y a aussi une régénération des
ion par un poison ayant une affinité élective parti- culière sur la
substance
cérébrale, dont il déterminerait peu à peu l'al
ieur à celui des noyaux de la névroglie, exemple les cellules de la
substance
gélatineuse de Rolando : : Type a. Couche de
diaires unissant les tuber- cules quadrijumeaux du côté gauche à la
substance
grise centrale; il y a deslructioll'parlielle d
osée de fibres à court trajet qui ne tardent pas à pénétrer dans la
substance
grise. Or, les altérations des cordons postérie
'altérations de la réaction élec- trique, et pas d'altération de la
substance
grise dans les régions inférieures de la moelle
t pas tenir seulement au rapport qui existe entre les quantités des
substances
nerveuses colorée et non colorée de la cellule.
tomie patho- logique de la moelle épinière. Les diverses lésions de
substance
blanche, de la substance grise et de la névrogl
a moelle épinière. Les diverses lésions de substance blanche, de la
substance
grise et de la névroglie sont indiquées. Les au
xpériences de Roger qui admet que le glucose diminue l'activité des
substances
toxiques. Les malades qui font le sujet de cett
nées, surtout de pathologie expérimentale, il est à retenir que les
substances
toxiques exercent une action directe sur les élém
on aboutit ainsi à l'in- toxication. Selon foute probabilité, les
substances
toxiques qui empoisonnent le sang et le système
: tantôt sur les fibres périphériques (polynévrite), tantôt sur la
substance
cérébrale (symptômes psychiques); quelquefois e
cé- dents neuro et psychopathiques) aient préparé le terrain. Les
substances
toxiques sont représentées soit par des pto- ma
fibres nerveuses destinées à relier entre elles les cellules de la
substance
corticale du cerveau. Parallèlement aux troub
nt les réflexes cutanés et tendineux représentés évidemment dans la
substance
grise spinale par deux systèmes diastaltiques d
occipital de l'hémisphère gauche et celle d'un second foyer dans la
substance
blanche de l'hémisphère droit. On peut explique
s de dégénéres- cence : l'un, gros comme un noyau de prune, dans la
substance
blan- che ; l'autre situé dans la partie sensit
a Charité. En outre des hémorragies habituellement observée dans la
substance
grise cen- trale, il existait un foyer de ramol
Burton, 164. Sarcome volumineux du cerveau, ayant débuté dans la
substance
blanche de la région frontale gau- che par Ga
stèmes au niveau d'une rondelle : tous les fais- ceaux blancs et la
substance
grise perdent leurs pro- priétés. Si même cette
s dont nous nous occupons par la cessation de la fonc- tion de la
substance
corticale et en conséquence de cette circonstan
dans leur extension normale. J'ai déjà parlé de la fonction de la
substance
corticale pendant l'état hypnotique; et, en com
sommeil hypnotique est donc un état d'équilibre des fonctions de la
substance
corticale dans lequel on parvient par des influ
mes en présence d'une trans- mission d'une certaine étendue dans la
substance
cor- ticale. En considérant cette circonstance,
- tations restreintes dans les parties les plus différentes de la
substance
corticale. Toutefois, l'extension de cette irri
et cicatrices surajoutées dans l'hémisphère gauche. Les pertes de
substance
porencéphaliques de droite affectent un trajet gé
ranglée des deux nerfs optiques, Hémor- rhagies capillaires dans la
substance
grise de la moelle. Dégéné- rescence secondaire
xiques; 2° celle de l'intoxication autochtone, autogène, ou par des
substances
pathogénétiques originaires de l'organisme même
rite sur le cerveau. Nous ignorons, dit-il, l'effet direct de cette
substance
sur le cerveau, c'est-à-dire son action chimi-
substance sur le cerveau, c'est-à-dire son action chimi- que sur la
substance
cérébrale. Nous ne connaissons que son effet su
mylnitrite, aussitôt l'on aperçoit l'augmen- tation de volume de la
substance
cérébrale ; ce phénomène dis- paraît quand l'on
à la suite d'un traumatisme, avait le crâne fendu, avec perte de
substance
osseuse, l'observation directe était impossible,
uis longtemps, on a constaté que certaines personnes inhalent cette
substance
volontiers, d'autres s'en détournent avec horre
arler de l'influence de l'amylnitrite, j'ai tenu à essayer d'autres
substances
pour voir si l'influence produite n'était pas d
s substances pour voir si l'influence produite n'était pas due à la
substance
odorante ; j'ai pris de l'eau de Cologne, du ca
(Forel) possède des faisceaux dont un premier se relie aux lacis de
substances
grises sis au-dessous du tubercule bijumeau inf
me côté, contiguës à la corne postérieure, pour se terminer dans la
substance
grise de la moelle épinière. La plus grande som
spinales qui ont trouvé dans la formation réticulaire des relais de
substance
grise (interrup- tion momentanée), les autres l
momentanée), les autres les tractus fournis par ces foyers gris. La
substance
grise de la formation réticulaire se compose d'
ées comme le probn- gemeutimll1édiat des fibres de la moelle. De la
substance
blanche spinale il n'y a que le faisceau radicu
s longitudinales issues, les unes de la couche limitantelatérale de
substance
grise spinale et peut-être également du système
tractus aboutissent peut-être finale- ment par l'intermédiare de la
substance
noire de Semmering au corps strié. P. K. Voy.
re vraie) descendent latéralement en côtoyant le bord externe de la
substance
grise du canal encéphalo-médul- laire, et en dé
une espèce de commissure nouvelle entrecroisée ( ? ) au sein de la
substance
grise du canal encéphalo-médullaire (ville vent
férieur de la commissure postérieure avec celles qui viennent de la
substance
blanche profonde du tubercule quadrijumeau supé
sement du vermis de Stillingj ; quelques fibres pénètrent dans la
substance
gélatineuse et la racine ascendante du trijumeau.
rvelet. La racine du nerf vestibulaire se termine sur- tout dans la
substance
grise qui occupe la paroi latérale du quatrième
stérieur du troisième ventricule n'avait dé- truit que d'un côté la
substance
grise de la cavité : l'oeil corres- pondant au
e ; un cas;-l'autopsie démontra plusieurs foyers disséminés dans la
substance
blanche du cerveau; on avait pendant la vie con
ions de la pression 128 VARIA. sanguine sous l'influence de cette
substance
. Quant à l'action physiologique générale, elle
épreuve à la date fixée. Le sujet de la composition écrite était -.^
Substance
grise de la moelle épinière. Maison nationale
de papier. Plusieurs circonvolutions sont atrophiées par place. La
substance
cérébrale est hypérémiée et présente un certain
escence totale ni inflammation. Les vaisseaux étaient tortueux ; la
substance
corticale elait plus épaisse qu'à l'état normal
dire d'une atrophie indépendante de toute lésion matérielle de là
substance
grise de la moelle et des nerfs périphéri- ques
être enfoncée sans efforts jusqu'à un centimètre, et davantage. La
substance
grise de la moelle dans la partie lombaire est
t à peine visibles. Dans la partie spinale de la moelle épinière la
substance
grise est d'une couleur jaunâtre et les cornes an
roscopiques, c'est la grosseur inégale des cornes antérieures de la
substance
grise. La corne antérieure gauche est plus petite
de quantité de pigment. Les cornes postérieures elles-mêmes de la
substance
grise ont diminué de volume et sont plus minces
lombaire). Fig. i. Cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise en voie de dégénération pigmentaire. Fi
es vaisseaux et les cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise. a, Corne gauche. b, Corne droite. MONO
tion des cordons de Türk. Sclérose des cordons postérieurs et de la
substance
grise des cornes posté- rieures envahissant une
serait indépen- dante de la sclérose postérieure et la lésion de la
substance
grise serait due à la sclérose des faisceaux et
avec elles, si bien que dès que la limite de compressibilité de la
substance
est dépassée, on voit successivement survenir d
olle qui pénètre à peine çà et là de quelques millimè- tres dans la
substance
blanche du cerveau ; le bourrelet de l'or- gane
colonnes de Clarke ; altération modérée des cordons postérieurs; la
substance
grise ne présente pas plus de lésion que dans l
rieur et le cordon latéral : ils montent ainsi et pénètrent dans la
substance
gélatineuse et dans les régions profondes de la
de l'oeil gauche. Double névrorétinite. L'autopsie révèle, dans la
substance
delà protubérance, la présence d'une tumeur qui
ventricule, que dans une partie de sa moi- tié gauche, a détruit la
substance
grise du segment supé- ' Voy. NotUnael : Maladi
e postérieure et du ganglion de l'habenula, mais sans en altérer la
substance
fondamentale, non plus que celle du pied des pé
ron- tal droit, existe une tumeur qui a principalement détruit la
substance
corticale des deux frontales supérieures, sauf le
es, sauf leurs parties antérieures et postérieures, qui a envahi la
substance
blanche de la même région (forme et volume d'un
les nerveuses, mais aucune trace de poliomyélite; çà et là, dans la
substance
grise intacte, cellules-araignées développées,
rome. La pie-mère est mince et s'enlève partout sans entrainer de
substance
corticale, sauf en quelques points très rares; su
rincipalement; Je long de la grande scissure, on entraine un peu de
substance
grise; à l'extré- mité antérieure delà troisièm
elà troisième frontale, on trouve une ecchymose superficielle de la
substance
grise. L'aspect des circonvolutions est luisant
ve sur le lobule paracentral : elle se trouve isolée par un pont de
substance
nerveuse de l'incisure préovalaire (e), limitan
e en se basant sur ce qu'il n'a trouvé à l'autopsie ni sérosité, ni
substance
colloïde, mais simplement une épaisse couche de
tées de sang veineux. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 357 La
substance
corticale est par-ci par-là trouble et gris jau-
des circonvolutions. Les ventricules latéraux sont peu dilatés. La
substance
cérébrale est légèrement hyperémiée sans autres
roïde joue un rôle dans la formation du sang, soit un éliminant des
substances
nuisibles, soit en produisant des substances né
soit un éliminant des substances nuisibles, soit en produisant des
substances
nécessaires à la nutrition du système nerveux.
e du cerveau et surtout de leur sillon, pour permettre d'enlever la
substance
cérébrale sous-jacente, pendant que en même tem
que l'on veut éviter. Sa principale résistance à la hernie de la
substance
cérébrale normale est faite autrement. (Voir Drai
près des bords de l'incision. Enfin les vieilles cicatrices dans la
substance
de l'écorce céré- brale, à l'exception de celle
uppuration et qui remplissent les cavités produites par la perte de
substance
, déplacent souvent les gros vaisseaux et donnen
qui trouvé une fracture en éclats, avec enfoncement, avec perte de
substance
cérébrale, à l'endroit indiqué plus bas. Les fr
paraissait large seulement de douze milli- mètres ; mais, comme la
substance
cérébrale qui l'entourait pa- raissait sombre e
u homogène, brillant, clair, subis- sant difficilement l'action des
substances
colorantes, altérations 402 SOCIÉTÉS SAVANTES.
ux latéraux qui se rendent au cervelet ; les cordons latéraux et la
substance
grise étaient de- meurés normaux. L'auteur n'a
suivi d'une revue complète sur les localisations fonctionnelles. La
substance
blanche des hémisphères et du centre ovale sont é
mbaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses îles cornes antérieures de la
substance
grise pu voie de dégénération pynen ! ;rire.
s vaisseaux et les cellules nerveuses îles cornes antérieures de là
substance
grise. a, Corne gauche, - b, Corne droite. 43
des foyers encéphaliques. , De plus, elle existe souvent dans la
substance
grise des para- lytiques généraux, principaleme
par Ballet et IIenriquez 1 dans la paralysie diphtérique. Dans la
substance
blanche, MM. Charcot, Joffroy, Ilayem, Gombault
ins, mais disséminés et éloignés les uns des autres; le reste de la
substance
nerveuse ayant disparu complètement. Notre co
dans la science, on a affaire, soit à des nodules sarcomateux de la
substance
nerveuse même et des enveloppes des organes cen
lui de la syphilis. P. K. 11 ? Observation DE myélite aiguë dans la
substance
blanche; par K. KilsTERMANN. (AI'chiv f. Psychi
et l'anesthésie ther- miqne. L'autopsie révèle une altération de la
substance
blanche (déchéance du parenchyme et proliférati
tion de la névroglie) de la périphérie au centre, sans atteindre la
substance
grise. Dégénéres- cence ascendante des faisceau
e occipital ne se bornait pas à l'écorce, mais portait aussi sur la
substance
blanche. Le ramollissement avait envahi aussi l
, intégrité de la sensibilité et des sphincters. L'atrophie de la
substance
musculaire est excessive; il y a sura- bondance
nes antérieures dans toute la hauteur de la moelle; intégrité de la
substance
blanche; dégénérescence très avancée des racine
observations concernent des lésions corticales et des lésions de la
substance
blanche sous-corticale, avec constante loca- li
ition du myxoedème. Quant au mode pharmaceutique de préparation, la
substance
tyroïdienne pulvérisée est aujoud'hui considéré
che; le crâne fut frac- turé, et une quantité assez considérable de
substance
cérébrale sortit par la plaie. Le malade demeur
résence prolongée d'un corps étranger (esquille ou tumeur), dans la
substance
cérébrale, donne lieu, dans le tissu nerveux pé
ciser les fonctions exactes des différents plans cellulaires de la
substance
grise corticale, dont chaque couche, ainsi que le
résistante, de nature fibreuse ; elle adhérait si étroitement à la
substance
grise qu'une petite partie de celle-ci suivit l
l'ouïe, la vue, audition colorée). Effets psychiques de certaines
substances
, temps de réaction, mesures des réactions végétat
à l'appel et 8 se sont retirés à la lecture de la question écrite :
Substance
goi,c de la moelle (anatomie et physiolo- gie).
à l'appui de la théorie de l'auteur en indiquant la présence d'une
substance
toxique dans le liquide céphalo-rachidien dont on
nctement dans la moelle épinière et elles atteignaient également la
substance
grise et la substance blanche. C'était Vierordt
e épinière et elles atteignaient également la substance grise et la
substance
blanche. C'était Vierordt', qui le premier avai
lisation très distincte des cellules des cornes antérieures de la
substance
grise. ' C'est M. le professeur Iiorsalcow3 qui
Sharkey observa la prolifération des noyaux des cellules dans la
substance
grise en général et la disparition des pro- lon
cornes antérieures et des cordons de Clarke et une altération de la
substance
blanche, surtout dans les cordons postérieurs,
ants : Cavité crazziezrze : Leptoméningite chronique très nette. La
substance
du cerveau est oedémateuse. Les ventricules du ce
des racines antérieures ainsi que des racines postérieures vers la
substance
grise des cornes correspondantes et traversent
ure. Les racines postérieures et antérieures tout aussi bien que la
substance
grise présentent les mêmes anomalies, qui sont
, les faisceaux de Goll ont nue autre coloration que le reste de la
substance
blanche. Outre cela, nous voyons dans la région
st remarquer que nous ne trouvâmes pas de lésion des cellules de la
substance
grise, ni sur les préparations colorées par le
e thyroïde semble agir en détruisant ou neutralisant les diverses
substances
toxiques, et que les phénomènes qui suivent la
ayroprotéine. M. Wermerhen a désigné sous le nom de tliyroïdine une
substance
amorphe qu'il croit être le principe actif de l
on précipite la thyroéidine. Notkine a retiré du corps thyroïde une
substance
à laquelle il a donné le nom de thyroprotéide ;
une substance à laquelle il a donné le nom de thyroprotéide ; cette
substance
serait, d'après l'auteur, la cause déterminante
de la scissure de Sylvius. A un pouce et demi de profondeur dans la
substance
cérébrale, un trocart explo- rateur rencontra u
une capsule résistante ayant détruit et remplaçant presque toute la
substance
blanche des deux tiers antérieurs et inférieurs
plus petit que le premier, également en- kysté, fut trouvé dans la
substance
blanche, immédiatement au- dessous de la portio
'écorce est de nuance foncée, et sa strialion manque de netteté. La
substance
blanche participe à l'atrophie superficielle; e
raitée par la méthode de Marchi, on remarque, dissé- minées dans la
substance
blanche, des fibres nerveuses en état de dégéné
résentent également des particularités intéressantes. Dans toute la
substance
blanche, mais surtout dans les régions qui sont
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. épaissies : dans la
substance
grise, il en est de même, et on note en outre l
aces laissés vides par la disparition de ces fibres sont remplis de
substance
et de débris III)ro-cel lu 1 aires, et en ou !
ale, hémorragies dans la subs- tance grise, dégénérescences dans la
substance
blanche, névrite de plusieurs nerfs rachidiens
ut de quelques jours. La section des cordons postérieurs et de la
substance
grise avec les cordons antérieurs ne donne pas d'
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 229 limitante de
substance
grise d'un côté ou de l'autre, reste sans résul
ns, des fils de telle ou telle composition. Les grosses portions de
substance
seront des corpuscules à désignation typique et
«Comme partout ailleurs, dit-il, les régions qui possèdent de la
substance
grise, sont bien plus riches en vaisseaux que cel
pathologiques. qui, presque exclusivement, sont occupées par de la
substance
blanche. Les parties qui sont sur la ligne médi
branches dans le sillon intercrural forment un cône qui pénètre la
substance
nerveuse où sur une étendue plus ou moins longu
achent sous un angle aigu se rendent : 1° à la partie médiane de la
substance
noire de Soemmering ; 2° aux pédoncules cérébel
raumatisme et qui sont la conséquence directe de la déchéance de la
substance
ner- veuse (sans hémorragies préalables), parle
ine, du borax, de l'acide osmique et de ses sels, des injections de
substance
nerveuse normale, du curare (dange- reux par so
lande pituitaire, cette suractivité se traduit par l'exagération de
substances
anormales dans l'organisme, qui aboutit à l'acc
e donc bien de l'hyper- nutrition, surtout de l'hyperproduction des
substances
qui, molé- cule'à molécule, forment de l'hyperp
LOGIE NERVEUSE. : Q81> les centres corticaux et les noyaux de la
substance
grise, jusqu'aux faisceaux isolés des muscles.
ire à 288 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. droite. L'intégrité de la
substance
blanche correspondant à ces régions dans la cap
s : les idées de persécution - (on électrise le malade, on mêle des
substances
nuisibles à ses ali- ments, etc.); les idées de
u corps de la cellule ne sont ni des granulations d'Ehrlich, ni une
substance
cellulaire à struc- ture particulière. Ils sont
lations basophiles; 2° ce neuroplasme se distingue nettement de la
substance
fibrillairc différenciée de la cellule, substance
e nettement de la substance fibrillairc différenciée de la cellule,
substance
développée, perfectionnée dans le prolongement
r les dégénérescences correspondantes également différenciées de la
substance
fibrillaire difficile à repré- senter, et perme
senter, et permettent de conclure à la disposition réelle de cette
substance
dans le corps de la cellule ; 4° le cylindraxe do
n sériaire ou filiforme du neuroplasme sont parsemées de tractus de
substance
fibrillaire intercalée entre les dessins struct
. Cent1"albl" XIV, 180 : ),) Etude spéciale des fibres issues de la
substance
grise même de la moelle, auxquelles il serait p
de la moelle dor- sale, en une couche ininterrompue qui entoure la
substance
grise (zone interne), plus large dans la partie
leux, ou bien est un prolongement de la raie médiane de Lancisi. La
substance
blanche du gyius subcallosus envoie alors une rac
ormer en cet endroit l'ancienne quatrième couche de Meynert dans la
substance
innominée. Et l'on en peut suivre des fibres de
ion d'un sarcome s'en distingue par l'exten- sion du processus à la
substance
nerveuse. - Telle myelo-ménin- gite spinale tub
qui tient à une diminution .de volume du cordon de Burdach et de la
substance
grise dans sa totalité. Le rapport du cordon cu
éparée de la commissure postérieure que par une mince bandelette de
substance
normale. La corne postérieure est plus étroite
moyenne manque et elle est séparée en deux tronçons. Dans toute la
substance
grise, diminution de l'élément fibrillaire; les
ssus de la lésion, dégénérescence des cordons et dissociation de la
substance
grise. A la partie moyenne de la moelle cervica
olition des réflexes est due à une action traumatique, que subit la
substance
grise par suite de la compression; une abolitio
e par suite de la compression; une abolition des fonctions de cette
substance
en est la conséquence. Plus tard, les muscles s
arcose) il faut supposer dans les centres nerveux l'existence d'une
substance
à haute tension chimique, c'est-à-dire d'une stru
ières croisées et non croisées, les secondes croisées seulement. La
substance
gélatineuse et la partie contiguë de la corne pos
désassimilation, ou comme ferment contribuant à l'assimilation des
substances
protéiques et enrayant l'accumulation de la muc
e ces cellules suivant les régions de la moelle, du cervelet, de la
substance
corticale du cerveau, sont des faits trop connu
seule fois. LES NEURONES. 435 La moelle comprend en outre dans sa
substance
grise un très grand nombre de neurones dont les
s- tituée par des maladies qui se localisent primitivement sur la
substance
grise de la moelle. Aussi, en pareils cas, la sub
que l'altération de tous les neurones et ils sont nombreux dans la
substance
grise de la moelle dont les dendrites se metten
ganglion intervertébral, mais au contraire dans les neurones de la
substance
grise de la moelle. Une telle manière de voir n
e noyau est en étroite relation, par un trousseau vertical, avec la
substance
grise de la protubérance ainsi qu'avec les fibr
dégéné- rescence cellulaire constitue du ramollissement aigu de la
substance
grise. Neuf jours après la ligature, la désagré
e de l3ellonci, d'autres enfin paraissent prendre naissance dans la
substance
grise de la paroi latérale du cerveau intermédi
igent oblique- ment au milieu et en avant, pour se terminer dans la
substance
blanche réticulaire qui, sur une coupe transver
d'autres poisons spéciaux, alcool, nicotine, etc ? ou peut-être des
substances
qui se produisent dans l'organismedébilitéparun
ent être cependant produites en partie directement par l'action des
substances
toxiques contenues dans le sang. Le pro- cessus
ous ses éléments constituants : à noter une certaine diminution des
substances
grasses et des globules, caractère qui du reste s
la compression, mais à la pénétration directe de la tumeur dans la
substance
blanche. M. Nicol présente un malade qui, en ju
uellement une cicatrice de 5 centimètres de diamètre, avec perte de
substance
du crâne. Quand le patient penche la tête à gau
lté musicale dans la folie, par Legre, 131. Myélite aigué dans la
substance
blanche, par Kustermann, 51. 1115oscEnes. Des
fente des membranes sectionnées sortait une masse blanchâtre de la
substance
moelleuse. L'opération terminée, les bords de l
, sur la coupe, à l'endroit t de la moitié gauche de la moelle - la
substance
blanche ainsi que les deux cornes grises du côt
e quantité de noyaux, et ça et des amas sans forme précise, d'une
substance
non colorée. - La moitié droite de la moelle ép
ification difffuse des éléments nerveux; des fibres nerveuses de la
substance
blan- che et grise, ainsi que l'atrophie et la
des résultats contradictoires à la théorie de la régénération de la
substance
de la moelle : l'auteur non seulement n'a pu dé-
bandelette optique; d'autres fois, j'ai rencontré comme un voile de
substance
blanche passant aussi par-dessus la bandelette
présenté par deux tractus tranchant par leur couleur blanche sur la
substance
grise du corps cendré. Il m'a suffi de couper les
taient très développées. 72 9 ANATOMIE. sillon qu'apparaissent la
substance
grise du locus niger et l'origine extérieure du
ux, entre-croisés entre eux et couverts, dans ce cas, d'un voile de
substance
grise. Pour en avoir une idée nette, il faut l'
corpus fimbrialuiu ; elle est seulement un peu plus élevée et leurs
substances
communiquent en plusieurs points ». Quant à son
tation pour les anatomistes. En avant, on la voit se perdre dans la
substance
grise de la couche optique. Son extrémité posté
o la portion réfléchie des ventricules et qui disparaissent dans la
substance
grise du crochet terminal de la circonvolution
s firnbriatum ; « elle est seulement un peu plus élevée et les deux
substances
communiquent en plu- sieurs points ». Gratiol
ortion réfléchie des ventricules » et la fait disparaître « dans la
substance
grise de l'uncus. Archives, t. XXII. 6 82 ' A
r, va, en suivant la face inférieure du tapetum, se termine dans la
substance
blanche de la corne d'Ammon et du crochet. Je
alleux viennent des pro- ductions du septum lucidum. » Luys. « La
substance
grise centrale forme d'avant en ar- rière plusi
tumescences qui méritent d'être signalées : . « 1° C'est d'abord la
substance
grise delà cloison, située sur les parois de la
ée dans quelques endroits de subs- tance grise, et dans d'autres de
substance
blanche. Différen- tes plaques ou stries, compo
ubstance blanche. Différen- tes plaques ou stries, composées de ces
substances
sont inter- rompues les unes par les autres....
effets dus au tissu fibreux cicatriciel rempla- çant les pertes de
substance
, apportait un grand nombre d'observations de tr
s qui, sans être eux-mêmes épileptiques, avaient subi des pertes de
substance
de l'écorce cérébrale. Chez d'autres animaux (c
ait cru pouvoir conclure de ses expériences sur des pigeons que ces
substances
déterminaient des accès d'épilepsie en agissant
nt primitivement, comme tant d'autres poisons de l'intelligence, la
substance
grise de l'écorce cérébrale, et en particulier
rale, consécutive à un processus de contraction vaso-motrice. Les
substances
qui abaissent l'excitabilité de l'écorce cérébral
de ces observations que, souvent exclusivement locali- sées dans la
substance
grise, elles peuvent aussi intéresser à la fois
dépend pas exclusivement d'un état de tension ou d'irritation de la
substance
grise du cerveau; l'écorce cérébrale, et en par
ctèredifférent des contrac- tions provoquées par l'excitation de la
substance
grise ou de la substance blanche. Cette observa
tions provoquées par l'excitation de la substance grise ou de la
substance
blanche. Cette observation est une brillante conf
al et les circonvolutions pariétales. Les lésions s'étendaienl à la
substance
blanche et atteignaient la paroi supé- rieure e
en s'intriquant, cons- tituaient de petites cavités remplies d'une
substance
semi-gélati- neuse. A l'examen microscopique, i
iné des anémies miliaires. P. KERAVAL. XIV. Des altérations DE la
substance
GRISE DE la MOELLE dans LES lésions DES cordons
rt) se reco- quiller, se tasser, jaunir, disparaître; finalement la
substance
intermédiaire s'éclipse; c'est en réalité l'alt
este la seule observation de gliomatose rigoureusement limitée à la
substance
grise de la moelle. P. K. XVII. DE L1 dégénér
a persistance des fentes foetales et, par suite, à une métastase do
substance
nerveuse. La moelle a pour ainsi dire tourné au
long de la moelle épinière jusqu'à la 1 ? racine cervicale, dans la
substance
grise comme dans la blanche. La maladie qui a d
elle épinière, non seulement par la propagation du processus sur la
substance
médullaire, mais d'une façon purement mécanique
qui s'explique, d'après l'auteur, par l'action des bichromates. La
substance
inter- médiaire entre les fibrilles constitutiv
s les cas où la maladie est entièrement déterminée par une perle de
substance
, l'hypnotisme est complètement impuissant. Dans
s cas mixtes, où à côté des phénomènes qui dépendent de la perte de
substance
se trouvent d'autres déterminés par une in- flu
sme, ramener les symptômes au cadre exigé seulement par la perte de
substance
. C'est ainsi qu'on peut expliquer la guérison d
dans les cas ex- ceptionnels où les malades sont intoxiqués par des
substances
convulsivantes. La forme la plus pure de l'alco
eau sur le sommet de la tète. Le crâne est fracturé, per- foré ; la
substance
cérébrale à nu. La plaie se trouve sur la sutur
laie aussi complet que possible. On aperçoit alors distinctement la
substance
cérébrale; elle semble avoir été attaquée, et o
attre l'artère dont on a parlé plus haut. On n'a pas retiré d'autre
substance
cérébrale. A quatre heures du soir même état gé
esquilles adhérentes au périoste. En haut, le stylet rencontre une
substance
dure qu'on retire avec une pince. C'est un frag
yons ici une section triangulaire de la cicatrice qui donne dans la
substance
blanche et grise de la moitié saine des bandes
cellules, une raréfaction du réseau des fibres ner- veuses dans la
substance
grise et en même temps on y remarque le dévelop
ce grise et en même temps on y remarque le développement dans cette
substance
et dans le cordon latéral voisin des bandes de
ractuosité de l'incus allait en s'amincissant, se confondre avec la
substance
grise du carrefour après avoir contourné le cro
constante pour la raison que j'ai donnée, et ensuite parce que la
substance
grise manque souvent en dehors du quadrilatère.
tater, c'est la continuité de la base de la bande diagonale avec la
substance
blanche réticulée' qui revêt la face juxta-pédo
ier le prolongement de la bande dont l'épaisseur fait relief sur la
substance
blanche réticulée. Quant à la racine externe du
f, elle se continue également avec ce prolongement en avant de la
substance
réticulée, que j'ai montré s'a- vançant d'autan
de rechercher les connexités de ce noyau avec certaine partie de la
substance
grise de l'uncus et le corps godronné. Voici
Il peut être démontré qu'une partie des fibres se continue avec la
substance
blanche réticulée et que l'autre partie se rend
- il dit : « On ne sait pas au juste si elle envoie des fibres à la
substance
réticulée, autrement dit à la corne d'Ammon ».
A l'ourlet, portion fibreuse, j'ai ajouté un prolongement de" la
substance
grise godronnée, et j'ai montré que cet ourlet
eau de l'espace perforé antérieur, forment, par l'étalement de leur
substance
grise et par l'irradiation de leurs fibres blan
le pouls devient petit : ce qui porte à ranger l'hyoscine parmi les
substances
qui ont une action cardioplégique très mani- fe
vant être faite la première. M. RENAUT montre des préparations de
substance
corticale céré- belleuse obtenue par coloration
moelle, un déplacement des colonnes de Clarke, l'hétérotopie de la
substance
grise. En outre, dégéné- rescence partielle des
des trousseaux qui vont à l'olive supérieure du même côté, dans la
substance
blanche de laquelle ils forment deux faisceaux
herche en psychiatrie. Mémoire publié. M. Sachs (de Breslau). De la
substance
blanche du lobe occipital dans le cerveau humain.
e ; la chromatine, à laquelle est due la striation, pâlit aussi, la
substance
intermédiaire aux raies devient plus obscure ; en
enne des suppléances de l'écorce grise des circon- volutions par la
substance
grise des ganglions opto-striés, rappe- lant le
sent aux nerfs périphéri- riques, et cela parce qu'on admet que ces
substances
toxiques atta- quent de préférence le système n
temps, Mendel a observé une diminution du nombre des cellules de la
substance
ferrugine du côté affecté. Ce der- nier fait no
'écorce en avant, en arrière et sur les côtés du cerveau; 2° que la
substance
encéphalique restante ne présentait pas de foye
r rapport à celui-ci, et occupe une situation plus profonde dans la
substance
nerveuse. Plus haut, ces deux faisceaux se rapp
nerf optique du : côté opposé une affection eu foyer qui détruit la
substance
blanche du même lobe (Obs. 111) détermine la dé
cordon autéro-latéral. H. La face supérieure (dorsale) de la même
substance
grise donne de fortes et nombreuses fibres blan
he. Puis, comme lésions récentes : une congestion généralisée de la
substance
blan- che avec ça et là, en arrière, de petits
tales et la frontale ascendante, ayant pour limite superficielle la
substance
corticale atrophiée d'ailleurs par places. On ne
s faites ci l'aide du chlorhydrate de Piperaidize (spermine). Cette
substance
extraite du liquide testiculaire est une double
cette atrophie, les grosses fibres myéliniques de l'écorce et de la
substance
blanche ont subi une dégénérescence parallèle,
es en question et l'intégrité des fibres fines, se poursuit dans la
substance
blanche du lobe gauche du cervelet. Le corps go
core atrophiés, le pédoncule cérébelleux moyen du côté malade et la
substance
grise de la protubérance du côté opposé. Atroph
sceaux pyramidaux sont, des deux côtés, dans le bulbe, étriqués. La
substance
blanche des hémisphères est dissociée en un gra
e, voies motrices de la-, par Rossolimo, 52, 189; - lésions de la
substance
grise de la - dans les lésions des cordons la
roit, par Eulenburg, 272. TUBERCULES quadrijumeaux, origine de la
substance
blanche des -, par Held. 401. Tumeurs cérébra
ux de Havers, en laissant, à leur pourtour un espace libre rem-pli de
substance
demi-molle, dans laquelle ils baignent complète-m
me avec le tissu osseux proprement dit. Partout ils baignent dans une
substance
particulière demi-molle, qui leur forme une vérit
r, rien. — Foie,sain; un calcul.— Heins, anémie assez prononcée de la
substance
corticale. — Muqueuse vésicale, arborisations, qu
manière générale, on voit que les uns sont exclusivement composés de
substances
animales, d'autres de substances végétales, et qu
s uns sont exclusivement composés de substances animales, d'autres de
substances
végétales, et que d'autres sont mixtes; enfin que
ont tassés avec ordre. Quelquefois il y a des couches alternatives de
substances
calculeuses et de poils. — Celte variété ne se re
corps striés et des couches optiques, s'observant aussi bien dans la
substance
blanche que dans la substance grise. Plèvres :
ptiques, s'observant aussi bien dans la substance blanche que dans la
substance
grise. Plèvres : adhérences anciennes, surtout
toire des arthro-pathies. Physiologie pathologique. « C'est dans la
substance
grise, dit M. Charcot, que nous croyons avoir tro
ur l'arthropathie du genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la
substance
grise des cornes antérieures était indemne. Cet
ait indemne. Cette altération de l'une des cornes antérieures de la
substance
grise n'est pas un résultat de l'inertie fonction
es avaient conservé des mouvements assez étendus ; 2° la lésion de la
substance
grise diffé-rait essentiellement de celle qui se
ffet, que, dans cette dernière affectionnes cornes anté-rieures de la
substance
grise présentent, entre autre lésions, une atroph
oelle du côté gauche, et la presque totalité, sinon la totalité de la
substance
grise du même cô'é. — D'après les symptômes rem
offroy, Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésions de la
substance
grise et des faisceaux anléro-latéraux de la moel
a môme , à savoir ; lésion des cellules de la partie antérieure de la
substance
grise. Le second groupe des lésions articulaire
distendues par du sang noir en partie fluide, en partie coagulé. — La
substance
corticale des reins est remarquablement pâle, jau
pas de calculs. — Rate, hypérémiée. — Vessie, normale. —• Reins : la
substance
corticale est un peu atro-phiée et considérableme
ante qu'à l'état sain. — Rein gauche, 145 gr., lobule à la sur-face ;
substance
corticale atrophiée et réduite à la moitié de son
aisseur. Rein droit, 125 gr., plus malade ; dans quelques endroits la
substance
corticale et la substance tubulaire ont tout à fa
r., plus malade ; dans quelques endroits la substance corticale et la
substance
tubulaire ont tout à fait dis-paru et les calices
ir, avaient une épaisseur variant d'une à deux lignes. Nulle trace de
substance
cor-ticale ou de pyramides. L'uretère gauche étai
également tapissé de néomem-branes, remplies de liquide purulent. La
substance
cbarnue du cœur est ecchymosée ; on y voit de pet
nd nombre de petits kystes. 11 y a une atrophie considérable des deux
substances
, qui sont confondues, pâles, jaunâtres (75 gramm.
gr.), saine. — Estomac, rien. — Rein gauche (155 gr.), surface lisse;
substance
corticale jaunâtre, paie; pyra-mides distinctes.—
ièrement en rapport avec l'atrophie des mus- cles sont celles de la
substance
grise. — Ce ne sont pas les altéra-tions destruct
ui, après avoir occupé primitivement les points les plus divers de la
substance
grise centrale, se propagent ensuite, princi-pale
profondément lésés, mais que, en outre, les cornes antérieures de la
substance
grise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à
ina en ma présence, et évacua en finissant environ 4 à 5 grains d'une
substance
dure, réunie par une très-petite quantité de mucu
ntité de mucus, don-nant à l'urine une couleur blanc de neige ; cette
substance
tomba au fond du vase, où elle adhéra comme le mu
lés, s'agglomèrent molé-cule à molécule sans l'intermédiaire d'aucune
substance
organique étrangère ; de là, pour moi, leur plus
niers auteurs ont joint à leur travail une ana-lyse élémentaire de la
substance
amyloïde de la rate, et ils ont montré qu'elle ap
tions où il se forme dans la rate, aux dépens du sang dé-composé, des
substances
noires que l'on retrouva dans le foie, dans le ce
; la plupart du temps plusieurs sont réunis en groupe au moyen d'une
substance
pâle, soluble dans l'acide acétique et dans les a
sont encore par le mode d'action des réactifs. La résistance que les
substances
noires opposent aux acides et aux alcalis caustiq
vaisseaux; dans les reins, le pigment s'arrête de préférence dans la
substance
corticale ; dans le cerveau, il se loge surtout d
la substance corticale ; dans le cerveau, il se loge surtout dans la
substance
grise. 2° Quelles sont les conséquences qu entr
ement sous l'aspect de taches rouges, se distinguant facilement de la
substance
environ-nante par leur moindre consistance, tout
centimètres de long sur un et demi à deux de large, péné-trant de la
substance
corticale dans la substance blanche. Les prin-cip
et demi à deux de large, péné-trant de la substance corticale dans la
substance
blanche. Les prin-cipales altérations siègent sur
prin-cipales altérations siègent sur le lobe temporal gauche, dont la
substance
grise, moins la première circonvolution limitant
ue le pus splé-nique rougeâtre, lie devin, contenait des débris de la
substance
ra-mollie de la rate, des fragments de fibrine, d
effets produits par le Hachisch et de l'usage que faisaient de celle
substance
les princes du Liban et notamment l'un d'eux» le
; mais le Hachisch s'y trouvait mélangé avec la jusquiame et d'autres
substances
de même nature. (De Medicina Egyptiorum, 1745.)
aire, qui contenait en outre du datura, de l'opium et quelques autres
substances
. Linné (Amœnitates academicce, 1762), décrit de
e dans l'histoire du Hachisch; il vulgarisa la connais-sance de cette
substance
, dont les effets n'avaient été jusqu'alors consid
de Gannabine, et sous celui de Hachischine par M. Gastinel. C'est une
substance
résineuse complexe, d'un brun noirâtre ou verdâtr
ine, on doit se de-mander quelle part d'action il faut attribuer à la
substance
rési-neuse. M. Gubler pense que les vertus du cha
loisons ni prolongements qui soient l'indice d'une segmentation de la
substance
même de la tumeur. La disposition lobulée superfi
onscrivent. Outre ces dépressions et ces saillies, la surface de la
substance
propre est régulièrement tapissée de petits lobub
colorés par le carmin, et la distance qui les sépare, remplie par une
substance
intermédiaire, beaucoup moins colorée, est sensib
le, ménagé au centre de leur calibre. Le stroma est constitué par une
substance
amorphe, renfermant, régulièrement espacées, des
nde, qui leur permettent de se procurer le hachisch facilement, cette
substance
a pu être étudiée et employée depuis longtemps.
à temps. » M. Aubert-Roche ajoute qu'il est loin de croire que cette
substance
puisse réussir toujours ; mais, se fondant sur le
re sur le traitement de celte terrible maladie par le hachisch. Cette
substance
avait été administrée à dix cholériquesj pendan
Seulement les quelques résultats favorables obtenus à l'aide de cette
substance
invitent à de nou-veaux essais et si, malheureuse
de ces zones de ramollissement jaune, qui ne se voient plus dans la
substance
blanche sous-corticale, les cellules nerveuses
t soignée. Il semble donc ici que la thérapeutique, utili- sant une
substance
active, réputée même dangereuse par quelques- u
? Oui, répondent MM. Lacassagne et Etienne Martin. En analysant la
substance
du foie d'un cadavre on peut donc savoir si la
égère dépression vers le bord supérieur de l'hémisphère. Un pont de
substance
cérébrale sépare d'abord com- plètement les deu
entrées de sublimé et d'acide picrique. Quant à la coloration de la
substance
tig-oïde des cellules ner- veuses (corps de Nis
de la granulation; 2° par les rapports différents d'épaisseur de la
substance
fonda- mentale, c'est-à-dire du protoplasma de
tale, c'est-à-dire du protoplasma de la cellule qui existe entre la
substance
tigroïde. La division de Marinesco, la chromophil
particules de nucléine type, riche en phosphore. La structure de la
substance
fondamentale, c'est-à-dire du proto- plasma des
- dente des couches marginales, une disposition réticulaire de la
substance
fondamentale à dessin soit plutôt granuleux, soit
tions favorables, le déve- loppement des lésions, l'extension de la
substance
de soutène- ment, les altérations primitives, d
de la substance de soutène- ment, les altérations primitives, de la
substance
blanche de la moelle. Il passe en revue le trem
er et de glycérine de Unna (Griibler), jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la
substance
blanche se dis- tingue de la substance grise (8
jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance blanche se dis- tingue de la
substance
grise (8, 15, 25 secondes; enlever l'excès; séc
ais néanmoins la coloration du fin réseau des fibres blanches de la
substance
grise n'est aussi belle que par les procédés de
ur s'éparpiller dans le réseau qui entoure la face antérieure de la
substance
noire de Soemmering et dans la REVUE D'ANATOMIE
et dans la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155
substance
noire même. On en retrouve plusieurs laisceaux ar
nt : 1° dans les tuber- cules quadrijumeaux postérieurs; 2° dans la
substance
noire de Soemmering; 3° dans le globus pallidus
: 1° une phase de réaction caracté- risée par la dissolution de la
substance
chromophile, le déplace- 156 REVUE D'ANATOMIE E
llule ont complète- ment disparu ou sont réduits à peu de chose. La
substance
achro- matique est parfois en même temps altéré
'il reste dans le proto- plasma cellulaire une certaine quantité de
substance
chromatique qui se laisse colorer en bleu. On s
substance chromatique qui se laisse colorer en bleu. On sait que la
substance
achroma- tique se compose d'une partie réticula
e compose d'une partie réticulaire, fibrillaire, organisée et d'une
substance
fondamentale amorphe ; c'est celle-ci qui, dans
régularités nutritives et notamment dalis celles de l'oxydation des
substances
azotées. Les troubles intestinaux pourraient bi
dront l'action destructive des crises convulsives jusqu'à ce que la
substance
toxique ait cessé d'agir ; et si comme cela par
OIV. J'ai étudié, de mon côté, à ma clinique, l'action de certaines
substances
comme adjuvants de la suggestion et, en particu
arcot, Exner, elle est née de la découverte de l'excitabilité de la
substance
cérébrale au moyen de l'électricité; elle date
prolongements protoplas- miques. Forel déclara que la continuité de
substance
n'était pas nécessaire pour expliquer la propag
ens l'existence d'une propriété iso- latrice de lanévroglie, simple
substance
de protection et de sou- . tien. Van Geliuchten
e la tumeur, en même temps qu'on pratiqua, une ablation large de la
substance
cérébrale, les suites immédiates de l'opération
ais déprimées au niveau de la saillie osseuse. A ce niveau aussi la
substance
cérébrale est déprimée, mais normale d'aspect.
u-nés; 5° ces appendices augmen- tent de beaucoup la quantité de la
substance
protoplasma- tique nerveuse. En passant dans
d'appendices collatéraux, de grandeur varia- ble, qui sontdela même
substance
protoplasmatique nerveuse que les dendrites ell
llatéraux, plus son activité est compliquée et plus elle réclame de
substance
nutritive. Nous ne pûmes nous convaincre de la
la capacité d'attirer et d'absorber le maté- riel nutritif, dont la
substance
chimique subit des modifi- cations profondes. C
e- ments protoplasmatiques de l'écorce eérébrale. Evidemment, les
substances
qui ont une affinité plus proche avec les élé-
tes éclipses, soit partielles, soit même totales, mais il existe en
substance
au fond de sa pensée la plus intime OBJETS DE P
uvelle formation. Dans le cas particulier, elles siégeaient dans la
substance
grise, et se développaient à la périphérie des
rritoire d'un nerf lésé. J. SÉGL4S. XL. Le poids spécifique de la
substance
blanche et de la subs- tance grise dans les dif
oids spécifique des diverses par- ties de l'écorce cérébrale, de la
substance
blanche, du cervelet ne s'éloigne pas d'une faç
spécifique élevé, tandis qu'il sera diminué dans d'autres. Pour la
substance
blanche, les variations de son poids spécifique
ns de son poids spécifique sont soumises aux mêmes lois que pour la
substance
grise. Il convient de noter l'abaissement consi
arations provient de la formation d'un sulfure de plomb, puisque la
substance
noire se dissout dans l'acide nitrique concentr
s cellules pyramidales de l'écorce (lapin), la couche externe de la
substance
corticale grise du cervelet, les prolongements
res de l'écorce du cerveau de l'homme, les cornes antérieures et la
substance
blanche de la moelle du lapin, les fines cellul
e blanche de la moelle du lapin, les fines cellules-araignées de la
substance
blanche cérébrale et cérébelleuse, enfin la moe
rable, tigroïde de Nissl) ; mais toute cellule possède à côté de la
substance
tigroïde, à côté des petites fibrilles qui serp
Sans doute elles servent à la conductibilité mais il y a aussi la
substance
inlerfibrillaire. Il est vrai que Bethe et Apâthy
ibres musculaires et les épi- théhums, dénudées, sans plus avoir de
substance
périfibrillaire. Bethe dit que les fibres myéli
rtébrés, au niveau de l'étranglement de lianvier sont dépourvues de
substance
inter- brillaire entre les fibrilles de leur cy
trouvée par Bethe et Mann, qui leur fait croire à l'existence d'une
substance
toute différente, prouve uniquement que la subs
n de Bethe qui est une allure spéciale physique ou chimique de la
substance
nerveuse, un ordonnancement particulier des moléc
. d'image complète d'un élément nerveux parce qu'elle incruste la
substance
dans laquelle sont incluses les neurofibrilles. O
cluses les neurofibrilles. Or, Apâthy et moi avons montré que cette
substance
n'accompagne générale- ment pas les fibrilles d
s sont très rares, car la coloration cesse généralement où cesse la
substance
périfibrillaire. Les préparations de neurofibri
"lombaire; à l'oeil nu on trouve une dépression ellipsoïde de la
substance
grise dont le diamètre longitudinal est nettement
e la corne postérieure, dont elle est séparée par une large raie de
substance
blanche normale, occupe le faisceau cunéiforme
rses zones corticales de Flechsig, leur forme définitive, et que la
substance
intermédiaire suit le mouvement d'adaptation qu
de tubercule quadrijumeau; un petit nombre de ses fibres va dans la
substance
noire; il ne parait pas certain que cette parti
uban de Reil s'en va, par-dessus le bord supérieur et interne de la
substance
noire et un peu en dehors, au hile de la couche
e faisceau qui doit être attribué au ruban.de Reil. Tout près de la
substance
noire se trouve le noyau subthalamique de Luys
ousseau qui va au noyau lenticulaire. Elles constituent une lame de
substance
blanche, en dehors du premier segment du globus
u trousseau se rend directement à la capsule interne par la lame de
substance
blanche et par le premier segment du globus pal
la vie chez le chat et le lapin il envoie de nombreuses fibres à la
substance
noire, qui, à peu près à la même époque reçoit
meaux. Ces fibres viennent surtout dans la partie postérieure de la
substance
noire; on trouve là de nombreuses cellules entr
les entre lesquelles des fibres myéliniques nombreuses en anses. La
substance
blanche moyenne du tubercule quadrijumeau supér
turel. La sugges- tion, en effet, ne puise ses éléments dans aucune
substance
, ne s'appuie sur aucune réalité, soit tangible,
L'enlèvement de la pie-mère détermine la séparation complète de la
substance
blanche et de la substance grise, celle-ci restan
e détermine la séparation complète de la substance blanche et de la
substance
grise, celle-ci restant adhérente à la méninge
ite par Baillarger en 18 ? et attribuée par lui à la sclérose de la
substance
blanche et au ramollissement de l'écorce). Ce
ités de inéningo-encéplialite (avec séparation de l'écorce et de la
substance
blanche) qui déterminent des symp- tômes releva
termédiaire desquelles elles irriguent les cornes antérieures de la
substance
grise. Ainsi s'expliquent les paralysies par en
, du bord latéral et antérieur de l'isthme, du bord antérieur de la
substance
grise encéphalomédullaire. Au point le plus rap
h et le champ de Goll, à extrémité plus épaisse, s'étend jusqu'à la
substance
grise; elle se prolonge en arrière sans atteind
lle dorsale, que la partie antérieure du cordon postérieur, vers la
substance
grise de la corne postérieure; elle disparaît p
uns contre les autres, certains étaient dilatés et contenaient une
substance
colloide. Un certain nombre des cellules qui en
de part en part sans ren- contrer de grands obstacles du côté de la
substance
osseuse. La ponction reste indolore. On traite
cutanée) qui peuvent rendre compte de troubles « trophiques » de la
substance
osseuse. Ont pris part à la discussion MM. KORNIL
d'une formation chimique complexe : on y reconnaît net- tement deux
substances
. L'une apparaît sur de diverses prépara- tions
. On peut considérer leur réac- tion comme étant acide. La deuxième
substance
ne retient que faiblement les substances colora
me étant acide. La deuxième substance ne retient que faiblement les
substances
colorantes, elle mérite par conséquent le nom d
ent les substances colorantes, elle mérite par conséquent le nom de
substance
(ichi-oinatophile ou basique. Elle se colore plus
tions de ce travail il y ait extension du processus destructif à la
substance
blanche. Enfin de quelques cas il ressort que l
plus ou moins considérables, si bien que dans certaines cellules la
substance
chro- matique se réduit à une bande plus ou moi
au contraire, c'est immédiatement autour du noyau que se trouve la
substance
chro- matique, le reste de la cellule étant gri
ments interposés entre les fibres de l'écorce et entre celles de la
substance
blanche ne sont pas également pour ces conducte
latéral et il existe, entre le foyer et le ventricule une couche de
substance
nerveuse ayant encore une certaine épaisseur. L
l'auriculaire; 2° de petites cellules contenant relativement peu de
substance
chroma- tique, qui, probablement, sont l'origin
au n'avait subi aucune déformation ni destruction apparente de sa
substance
. La compression avait cependant été suffisante po
tômes sont des (roubles oculo-pupillaires relevant de lésions de la
substance
blanche de la moelle. L'auteur développe un p
ore définitivement établie. Certaines autopsies ont démontré que la
substance
corticale n'était pas altérée et que le lobule
moyenne de l'hémisphère gauche et par la partie postérieure dans la
substance
blanche du lobe occipital. La tumeur n'est pas bi
bulbe, de la protubérance avec quelques altérations minimes de la
substance
corticale du cerveau. Les auteurs estiment que ce
t et en jarretière au milieu des membres. A l'autopsie on trouva la
substance
grise saine dans la moelle. Lésions de névrite
ièces sus-jacentes, la longue et la nodulaire, ne renferment pas de
substances
minérales, ne sont pas des os faits : ce sont d
elle d'un enfant présentant une hémimélie thoracique, a noté que la
substance
grise du côté correspondant à la malformation, ét
rqué dans la moelle de deux hémimèles une atrophie très nette de la
substance
grise cervicale, du côté du membre avorté. Ces
eil- leurs, croyait-on, étaient ceux qui nécessitaient l'emploi des
substances
les plus disparates et les plus fantaisistes, e
IIENRY MEIGE ' Mais rien n'affirme que ce Pédicure fait usage d'une
substance
cor- rosive ? La fiole qu'il tient à la main re
e et unique de l'épilepsie jacksonnienne est une irrita- tion de la
substance
grise corticale de la zone motrice, et particuliè
autre sur la face interne, reliées entre elles par un large pont de
substance
néoplasique. A la face externe, la tumeur s'éte
les adhérences de sa face profonde sont telles que la tumeur et la
substance
cérébrale semblent ne faire qu'un seul bloc ; c
de distinguer une séparation tranchée entre le tissu morbide et la
substance
cérébrale. La différenciation ne repose que sur
plus rouge.- Quant à distinguer, dans le cerveau lui-même, entre la
substance
grise et la substance blanche, cela est totalem
istinguer, dans le cerveau lui-même, entre la substance grise et la
substance
blanche, cela est totalement impossible. A l'oeil
E. BRISSAUD ET E. DE MASSARY tissu néoplasique semble remplacer la
substance
grise absente et en occuper exactement la place
ssu a la forme d'une bande d'un centimètre d'épaisseur environ ;.la
substance
cérébrale est refoulée, atrophiée ; une limite
. ' A sa face inférieure, la tumeur est étroitement juxtaposée à la
substance
cérébrale, mais la limite commune aux deux tiss
tissus est très nette. Les cou- ches les plus superficielles de la
substance
cérébrale sont formées par des bandes de névrog
sion mécanique. Les vaisseaux qui circulent dans cette partie de la
substance
cérébrale sont cependant profondément modifiés. O
ité de l'os, au niveau de la tumeur, un changement de densité de la
substance
osseuse qui DE LA MAIN SUCCULENTE 89 donne l'
est comme étiré ;i ce niveau et les deux bouts sont séparés par la
substance
osseuse de nouvelle formation ; ils ne sont pas
à ce sujet. Mais si par oedème, il faut entendre l'accumulation de
substances
liquides dans le tissu sous-cutané et qu'on peu
omyélie. Etant donné, dit cet auteur, que dans les affections de la
substance
grise antérieure, comme dans les poliomyélites,
enser que s'il existe dans la syringomyélie c'est à la lésion de la
substance
grise postérieure qui, comme on le sait, est alté
emak avait tiré de ses observations la conclusion que c'est dans la
substance
grise postérieure qu'il faut chercher l'explica
e Cajal, Len- hosék et Van Gebucbten, a montré qu'il existe dans la
substance
grise, un certain nombre de neurones qui envoie
n succulente ne sont que des équivalents des diverses lésions de la
substance
grise médiane el postérieure. Je ne veux pas di
romégalie par exemple, des modalités différentes de la lésion de la
substance
grise, modalités qui dépendent du siège de la l
dans la main succulente, que celle-ci relève de l'altération de la
substance
grise médiane et postérieure. Mais par quel méc
roglie détermine, comme tout corps étranger dans les cellules de la
substance
grise, de l'excitation, laquelle quand elle attei
. La capsule se décortique mal. Par places, existent des kystes. La
substance
corti- cale offre en certaines régions une appa
L'a rate a sa capsule épaissie. Il existe des hémorrhagies dans la
substance
. Le rein offre des lésions diffuses : altératio
minantes dans les faisceaux postéro-iatéraux. Pour ce qui est de la
substance
grise, les cellules des cornes antérieures sont
la rage des rues. Ils insistent sur l'ectasie des vais- seaux de la
substance
grise de la moelle et sur la présence de petites
r- veuses à l'aide de la méthode de Nissl. Dans la rage, on voit la
substance
chromatique, à la périphérie du corps cellulair
cilite l'é- tude des deux particularités suivantes du protoplasma :
substance
chroma- tique, réseau achromatique ou spongiopl
pongioplasma. Dans les cellules motrices de la corne antérieure, la
substance
chromatique est disposée sous forme de grumeaux
y Cajal). Au niveau des points où ces expansions se bifurquent, la
substance
chromatique a l'aspect d'un cône à base périphéri
ils sont englobés dans un réseau alvéolaire dont la trame répond la
substance
achromatique ou spongioplasma. Les diverses str
pes cellulaires ; c'est ainsi que dans les cellules nerveuses de la
substance
gélatineuse de Rolando, les granu- lations chro
pro- fondément l'aspect de l'élément : tantôt la disparition de la
substance
chromatique s'observe à la périphérie,en regard
rce dans l'espace qui sépare le noyau de la membrane (Fig. 6) et la
substance
chromophile ne persiste qu'excentriquement, en bo
ules à ce degré de dégéné- rescence. Dans les autres territoires de
substance
grise, le nombre de ces éléments mortifiés excè
veau des prolongements protoplasmiques. Cette désorganisation de la
substance
chromophile se poursuit le plus souvent de la pér
it sur ses cellules d'origine en provoquant une désagrégation de la
substance
chromophile au voisinage du cylindre-axe. Dans la
erveuses qui consomment, sans les réparer, les matières de réserve,
substances
génératrices de tension nerveuse (1), accumulées
n effet la corne postérieure possède peu de névroglie et surtout la
substance
gélatineuse qui a une con- sistance faible s'op
même que si, au contraire, la région spinale radiale est prise, la
substance
blanche voisine des cordons posté- rieurs sera
Joffroy, il existait « des canaux de néoformations creusés dans la
substance
grise ». L'enseignement qui nous semble découle
nter dans des cas de pa- chyméningite compliqués de cavités dans la
substance
grise; 2° que cetle (1) Deutsch. Arch. f. Klin.
ieure, le neurone vaso-moteur siégeant dans la partie moyenne de la
substance
grise, le neurone sensitif indirect siégeant surt
tement coordonnés et auto- matiques, dans la production desquels la
substance
corticale ne peutplus intervenir. Donc, notez
lulaire normale et, en même temps, en une formation excessive de la
substance
intersti- tielle du cartilage. Hofmeister propo
Or, une fois qu'elle a pénétré à une certaine profondeur de la
substance
blanche de la moelle, suivant une direction lég
e recourbe non loin de sa naissance, pour aller se perdre dans la
substance
grise; Soit qu'elle remonte jusque dans le bulb
MISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 315 Soit qu'elle pénètre dans la
substance
grise, à tout autre niveau compris entre ces po
ne antérieure. d) Enfin d'abondantes collatérales ramifiées dans la
substance
grise centrale et dans la partie interne de la
e à ces couleurs ; c'est pour cela que la première peut être nommée
substance
chromatique et la seconde substance achromatique.
ue la première peut être nommée substance chromatique et la seconde
substance
achromatique. La substance chromatique, ou chro
mmée substance chromatique et la seconde substance achromatique. La
substance
chromatique, ou chromatine, forme dans le corps d
observe toute une série de modifications dans la disposition de la
substance
chromatique ainsi que de sa quantité dans le pr
ériques qui se trouventaltérés dans la polynévrite, mais encore les
substances
blanche et grise du système nerveux central. Po
édul- laire des racines, que dans leur partie extramédullaire. La
substance
grise des deux cornes est pénétrée dans toutes le
s et latéraux, il n'y a qu'un petit nombre de fibres dégénérées. La
substance
grise surtout de la corne antérieure est traver
des lésions cellulaires par la disposition dans ces dernières de la
substance
chromatique, et, en outre, par l'endroit de la
arations on peut voir très nettement que dans certaines cellules la
substance
chroma- tique n'est pas distribuée également; c
es la substance chroma- tique n'est pas distribuée également; cette
substance
a disparu tantôt dans la partie centrale du cor
subs- tance chromatique. Dans les cellules, où la dissolution.de la
substance
chromatique a envahi la partie centrale du corp
raît comme reculé vers la périphé- rie avec les amas modifiés de la
substance
chromatique, qui entoure d'un cercle plus ou mo
é au centre de la cel- lule (Fig. 3). ) Plus la dissolution de la
substance
chromatique dans le centre de la cellule est gr
de la cellule une convexité. Dans la dissolution périphérique de la
substance
chromatique, -ce qui SUR l'histologie pathologi
cellulaire (Fig. 4). Les cellules avec modification centrale de la
substance
chromatique dif- fèrent par leur aspect extérie
s motrices de la corne an- térieure, une dissolution centrale de la
substance
chromatique avec la position périphérique du no
Nissl. Quelle est la signification de la dissolution centrale de la
substance
chromatique, accompagnée de l'émigration du noy
ocessus plus aigu que dans le second. La dissolution centrale de la
substance
chromatique avec le déplacement simultané du no
remarquer que les cellules gonflées, la dissolution centrale de la
substance
chromatique, le déplacement du noyau du centre du
tre cas de polynévrite, ou bien y avait-il aussi alté- ration de la
substance
achromatique ? Les modifications primitives,de
ines cellules nerveuses, semblaient subir une dissolu- tion dans la
substance
du trophoplasma (d'après la terminologie de M. Ma
petit nombre d'éléments nerveux on pouvait noter l'altération de la
substance
achromatique, grâce à l'apparition à l'in- téri
vec l'aspect des figurations authentiques de Lépreux. Les pertes de
substance
de la face, l'atrophie et la contracture des memb
e de l'être, si l'on admet qu'il s4agit d'un Lépreux. Ces pertes de
substance
osseuse et musculaire, que l'artiste a figurées
elle encore par ce fait que la lèvre supérieure a subi une perte de
substance
qui laisse voir les dents, pro- duisant ainsi u
s fines. De quelle manière cela se fait-il ? D'où vient la nouvelle
substance
? Nous pouvons supposer que les prolon- gements
diminue graduellement dans son volume. Il est plus probable, que la
substance
nerveuse a la faculté de produire de nouvelles
importance au fonctionnement régulier du mécanisme psychique. La
substance
protoplasmique des neurones est dans un état de
une extrême rapidité. L'exagération de l'onde moléculaire dans la
substance
pro- toplasmique est accompagnée d'une modifica
qu'à force d'être incitée par des impulsions extérieures, que la
substance
protoplasmique devient un mécanisme, capable de
la dendrite voisine d'un autre neurone. Nous savons déjà, que la
substance
protoplasmique demeure tranquille, en tant qu'e
rent dans l'écorce cérébrale exigent une plus forte vibration de la
substance
ner- veuse, que les procès inconscients. Il e
xtrêmes, notamment de facilité et de raideur de la mobi- lité de la
substance
protoplasmique, correspondent aux deux tempéram
le malade parviennent jusqu'à ses centres perceptifs conscients. La
substance
protoplasmique correspon- dante garde une certa
fibres cylindraxiles, se détruisent rapidement. Par conséquent, la
substance
nerveuse de l'individu donné se montra incapabl
les du cylindraxe. A cause de cela leur influence stimulante sur la
substance
proto- plasmique des dendrites devient plus fai
, du moins dans certains cas une altération de la structure de la
substance
protoplasmique. Il se peut, que les dendrites d
. Nous pouvons nous représenter ceci de la manière suivante : 1° la
substance
pro- toplasmique perd jusqu'à un certain degré
n certain degré la capacité de pro- duire de nouveaux liens ; 2° la
substance
protoplasmique en général, et celle des dendrit
les mélancolies, accompagnées d'un retard des procès psychiques, la
substance
protoplas- mique en général et celle des dendri
lysie labio- glosso-laryngée avec lésions strictement limitées à la
substance
grise d'un certain nombre de noyaux bulbaires s
'atrophie type Aran-Duchenne. En effet pour Charcot la lésion de la
substance
grise des cornes antérieures rendant compte de
de lésions en foyer de la zone psycho- motrice de l'écorce ou de la
substance
blanche sous-jacente; c'est une dégénérescence
mes : la première, dans la dure-mère et la seconde enfoncée dans la
substance
de la moelle épinière, qui était fortement comp
qui se localisait principale- ment, mais non exclusivement, dans la
substance
grise, qui entoure la cavité centrale. Outre ce
trique et élective du procès morbide (presque exclusivement dans la
substance
grise), et 3° à cause du tableau histologique.
s, adhérentes au moyen de tractus d'aspect gélatino-fibreux à de la
substance
blanche. La première et la deuxième temporale,
re avant cet enlèvement. Il s'enfonce en effet profondément dans la
substance
blanche sous la troisième et a deuxième frontal
t contient à ses deux extrémités seulement une couche très mince de
substance
grise. La troisième temporale est légèrement ra
spon- dantes de l'hémisphère droit peuvent suppléer à la perte de
substance
de l'hémisphère gauche, surtout si cette suppléan
repris spécialement dans le but de déterminer les altérations de la
substance
grise de l'encéphale par rapport aux centres di
st agglutinée à la surface, la circonvolution est très rétrécie, la
substance
grise est diminuée et irrégulière, un peu décol
pécialement affecté. La localisation des altérations graves dans la
substance
corticale du grand centre d'association frontal
'établir le type schématique des circonvolutions et scissures de la
substance
corticale en dehors de l'état pathologique. L'aut
me ovoïde de 2 pouces sur 1 1/4 parallèle à la F2 et inclus dans la
substance
blanche ; à droite, môme région, deux petits sa
et les parties adjacentes des colonnes postéro-médianes et aussi la
substance
gélatineuse de Rolando avec les parties voisine
re et simple jusqu'à l'ablation de la dure-mère ou d'une portion de
substance
cérébrale, ou jusqu'aux interventions portant s
es, hyperplasie névroglique, petits espaces ramollis entre les deux
substances
. Observation II. - Femme trente ans, épilepsie
renfermé dans une capsule propre. Son protoplasma est formé de deux
substances
, l'une chromatique, l'autre achromatique, de ré
même à pouvoir donner à tous des matelas en employant néanmoins des
substances
imperméables et l'on n'aura plus à se préoccupe
ondant de la corne, à peu près au niveau du réseau plexiforme de la
substance
grise, le corps même du croissant constitue une
rvicale. Les anciens auteurs désignaient sous ce nom un faisceau de
substance
blanche, individualisé à partir de la huitième
e côté; ses terminaisons principales fournissent à l'écorce et à la
substance
blanche du lobe occipital, de la pointe de celui-
posé 248. SOCIÉTÉS 'SAVANTES.. des mêmes éléments histologiquçs :
substance
blanche, substance grise, tubes nerveux, cellul
S 'SAVANTES.. des mêmes éléments histologiquçs : substance blanche,
substance
grise, tubes nerveux, cellules nerveuses, envel
élites systéma- tisées, c'est-àdire propres à un ordre déterminé de
substance
ner- veuse blanche ou grise (sclérose amyotropb
complète); 2° des péricéré- brites débutant par l'altération de la
substance
blanche ou des SOCIÉTÉS SAVANTES. ! 249 tubes
rébrites cellulaires, c'est-à-dire avec alté- ration initiale de la
substance
grise, reconnaissables au cachet démentiel de l
ications cutanées une dégénérescence accu- sée (désagrégation de la
substance
blanche complètement disparue en certains point
trou\(' ! : principalement chez ces derniers une dégénération de la
substance
blanche (faisceau de Burdach) avec raréfaction
et celles de la colonne de Clarke présentaient une diminution de la
substance
chromatophyle devenue homogène et fortement col
ière frontale. Ce cas démontre qu'un sujet peut vivre avec perte de
substance
et qu'il n'est pas besoin que la force motrice
llules pyramidales. Ces cellules se ren- contrent également dans la
substance
blanche sous-jacente. Elles sont pour la plupar
incipale de fibres connectives courtes. La plupart des fibres de la
substance
réticulaire grise ne contient non plus des voies
s de la tumeur, mais dans les parties extérieures (latérales) de la
substance
réticulaire grise se trouvent des fibres longue
est jus- tement le système de fibres fines, situées en dedans de la
substance
gélatineuse de la racine bulbaire (inférieure)
tite quantité de fibres, situées dans les régions extérieures de la
substance
réticulaire grise. Ces fibres, d'une dimension
elle mourut il cause de phénomènes bulbaires très aigus. Dans la
substance
blanche de l'hémisphère droit on constata un lo
qu'une hyper- plaxie très marquée de ses cellules (surtout dans la
substance
grise altérée) ; beaucoup de fibres nerveuses o
our suivant le malade mourut. Autopsie. Les parties centrales de la
substance
blanche, le corps calleux et la partie médiane
contours peu clairs, disparition des granules, transformation de la
substance
chromatique en une masse presque homogène, sa d
soires; les altérations de l'encéphale de la moelle allongée, de la
substance
blanche de la moelle épinière et des ganglions
ion primitive en forme de foyer causé par la dégéné- rescence de la
substance
cérébrale donna un tableau d'idiotisme paralyti
aluer d'une manière approximative la puissance toxique de ces mêmes
substances
dans l'intoxication chronique. Pour obtenir des
stitielles, des dégénérescences kyrtiques et surtout la fonte de la
substance
col- loïde interne. Le coeur est libre dans la
es capsules rénales se détachent bien et facile- ment sans perte de
substance
corticale du rein. Une section faite nous montr
yse, de leurs rapports fonctionnels, L'extension en surface de la
substance
grise corticale dépend également en premier lie
corce résulte des rap- ports existant entre celle-ci et la masse de
substance
blanche sous-jacente (Jelgersma). Or la quantit
e de substance blanche sous-jacente (Jelgersma). Or la quantité de.
substance
blanche est déterminée par le nombre, l'épaisse
et physiologiques, influent nécessaire- ment sur la quantité de la
substance
blanche et, partant, sur le nombre des fibres n
ce blanche et, partant, sur le nombre des fibres nerveuses de cette
substance
. Le volume ou calibre de ces fibres dépend de l
, entre autres, seraient résultés de l'énorme augmen-' talion de la
substance
blanche : il() l'extension de la cavité ventric
nismes et que, grâce au plissement de l'écorce, l'extension de la
substance
grise a tendu toujours davantage à s'adapter à
ubstance grise a tendu toujours davantage à s'adapter à celle de la
substance
blanche. La croissance du crâne a suivi seconda
plus circonvolutionné que le cerveau. L'indigence relative de la
substance
blanche du cervelet est due, nous l'avons dit, à
s par Chiarugi, qui ont demontré que la plus grande épaisseur de la
substance
grise est au sommet des plis de l'écorce circon
.cette structure . interne (Nissl, Lenhossek, Marinesco, etc.), la
substance
fonda- mentale ou achromatique de la cellule fu
a- mentale ou achromatique de la cellule fut considérée comme une
substance
amorphe. A cette époque, on s'occupa surtout de l
icile de trancher cette question. Quand la plus grande partie de la
substance
chro- matique est ainsi désintégrée, le centre
ont disséminées de fines granulations. Cette désintégration de la
substance
chromatique permet quel- quefois d'entrevoir da
le cytoplasma un réseau trabéculaire, qui n'est autre chose que la
substance
achromatique organisée, c'est- à-dire celle qui
iques. Pour que celui-ci soit atteint, il faut une altération de la
substance
achromatique, éventualité qui présente dans les c
rt, une coloration plus intense. Nous avons envisagé jusqu'ici la
substance
achromatique comme étant constituée par une mat
Flemming, Becker, Lévi, Lugaro et les miennes ont montré que cette
substance
est composée d'une partie orga- nisée, dont nou
nisée, dont nous allons éludier la texture, et d'autre part d'une
substance
fondamentale. La substance achromatique, dont l
dier la texture, et d'autre part d'une substance fondamentale. La
substance
achromatique, dont la véritable nature a donné
e striation, qui est assez évidente dans les grandes cellules de la
substance
réticulée du bulbe; mais, pour voir d'une façon
l'opinion que j'ai émise le premier, à savoir que les lésions de la
substance
achromatique entraînent la dégénérescence des p
du pays, elle quitta l'hôpital. En résumé, nous voyons que des deux
substances
toxiques, le mercure et l'arsenic, la première
estruction mécanique et désor- donnée (contusion, écrasement) de la
substance
médullaire. Dans quelques cas rares (suivis d'a
localisation est toujours la même ; le plus souvent elle occupe la
substance
grise centrale de la corne anté- rieure et post
le remontant à plus de deux ans. Le foyer de sang épanché en pleine
substance
grise, dans la moitié droite de la moelle qui n
e capsule qui, de proche en proche, a successivement empiété sur la
substance
grise et sur les divers cordons. Autour de ce k
paralysies amyotrophiques très graves et répandues, même lorsque la
substance
grise antérieure de la moelle épinière présente
nerveuses, puisqu'il s'agit de l'introduction dans l'or- ganisme de
substances
physiologiques ayant d'indubitables rap- ports
Opéré, en soulevant les ostéophytes qui, en s'introduisant dans la
substance
cérébrale, maintenaient l'horrible situation indi
voussure très marquée ; la pie-mère appa- rut très vascularisée; la
substance
célébrais fut trouvée notable- ment dure, comme
entent un certain degré de sclérose, la capsule est adhérente et la
substance
corticale diminuée d'épaisseur. 13) Examen hi
imant le cerveau à travers les méninges restées saines ainsi que la
substance
corticale. La guérison est complète. (Revista d
de, quel qu'en soit l'objet. 2° On a le droit de se demander si les
substances
antitoxiques dont le sérum doit, dans la pensée
t deux stades : la pénétration, la fixation de l'impression dans la
substance
nerveuse, et sa conservation. Dans la reproduct
n- dant la période d'administration de l'opium montrent que celte
substance
diminue très peu l'excitabilité corticale. Malg
e a été plus rapide et plus intense, elle s'est étendue en nappe de
substance
éburnée blanche et dure formant Fig. 5. - Face
n organique se rattachent à l'endémie goitro- crétineuse. » - Les
substances
minérales les plus justement incriminées seraient
potentielle des cellules motrices de la moelle est contenue dans la
substance
chroma- tique ; 2° l'activité de ces cellules s
gne d'altérations morphologiques exprimées par la déchéance de leur
substance
chromatique ; 3° le volume du corps de la cellu
tivité; l'épuisement de la cellule s'accompagne d'altérations de la
substance
chroma- tique et non chromatique étendues. Fr
n aspect finement grenu, et que, par conséquent, la déchéance de la
substance
chromatique est l'expression fondamentale de l'
e à cette dernière ne reste pas sans retentir sur la vitalité de la
substance
striée. Dans ces conditions, le rapport étroit
res inférieurs, le tout ayant pour substratum un état morbide de la
substance
nerveuse. La question de savoir si cet état mor
du pied du pédoncule vers ce dernier noyau. Après avoir traversé la
substance
de Soemmering, elles prennent une direction dor
TES. 169 le cingulum, dans la couche des fibres tangentielles de la
substance
grise sous-épendymaire, qui forme le toit du ve
Un certain nombre donnent des collatérales, qui se perdent dans la
substance
grise centrale. Une dégénérescence nettement vi
tral de la calotte de Forel, dans le stratum intermedium et dans la
substance
noire de Soemmering, une légère dégénérescence
ôté opposé était plus accentuée que celle-ci du même côté) et de la
substance
réticulée. F. BOIS,IR ! \, SOCIÉTÉ D'HYP10LOGIG
tion de la folie, les blessures à la tête, l'ingestion de certaines
substances
vénéneuses, l'inflammation des méninges, etc.,
teurs disposés en série. Selon Marinesco, leur trophoplasma est une
substance
à haute tension chimique. Pfluger, repre- nant
on se trouva en présence d'une vaste cavité remplie de liquide. La
substance
cérébrale était retombée à environ six centimèt
lque soin qu'on y mette, sans entrai- ner de véritables lambeaux de
substance
grise adhérant à la face interne de la pie-mère
idales grandes et géantes. La moelle est indemne aussi bien dans sa
substance
blanche que dans sa subs- tance grise, et en pa
nguins de la membrane pie-mérienne, transformés successivement en
substance
corticale et en substance médullaire. Il n'y a
e-mérienne, transformés successivement en substance corticale et en
substance
médullaire. Il n'y a donc pas lieu de s'étonner
e. Ils affirmaient que tous les nerfs prennent leur origine dans la
substance
grise. Ils soutenaient que la moelle n'est pas
si- dérait pas moins les hémisphères cérébraux comme une masse de
substance
nerveuse, homogène au point de vue fonctionnel. O
l'affaiblissement de leurs fonctions comme adéquat à la quantité de
substance
cérébrale, détruite ou anni- hilée. En 487U,
notamment la fièvre typhoïde, qui surexcitent la formation de cette
substance
amènent à la fois l'augmen- ' Garnier. La gla»c
it remarqué chez les idiots, de la sécheresse et de la dureté de la
substance
cérébrale. Bonnet et Haller, ensuite relatent d
côté des membres paralysés. Dans la forme acquise, il y a perte de
substance
nerveuse, par inflammation du cerveau ou de ses
ment elle est causée par une augmentation de la névroglie et de la
substance
blanche, mais encore la nutrition semble être mod
e les sulci sont obli- térés. La partie principalement lésée est la
substance
blanche des deux hémisphères. I.e poids du cerv
'est pas nettement circonscrite, et affecte à peu près également la
substance
médullaire et la substance grise. Les circonvol
rite, et affecte à peu près également la substance médullaire et la
substance
grise. Les circonvolutions particuliè- rement a
t former un groupe isolé, se trouvent les cerveaux dans lesquels la
substance
blanche des hémisphères cérébraux est très peu
des hémisphères cérébraux est très peu développée, tan- dis que la
substance
grise de l'écorce se distingue par son abon- da
cas que j'ai décrit de 16 à 4 millimètres. Dans ce dernier cas, la
substance
grise comprenait les deux tiers de la paroi des h
rise comprenait les deux tiers de la paroi des hémi- sphères, et la
substance
blanche un tiers seulement et parfois même moin
Ces cas sont de beaux exemples de l'exiguïté que peut atteindre la
substance
blanche des hémisphères, ils sont toujours accom-
pagnés de microcéphalie et de microgyrie. Dans les autres cas, la
substance
blanche des hémisphères est amoindrie dans des di
ent extrêmement minces dans le cas de llatell. L'insuffisance de la
substance
blanche des hémisphères se supplée par la subst
uffisance de la substance blanche des hémisphères se supplée par la
substance
grise qui se distingue par la richesse de son d
richesse de son développement et l'épaisseur énorme de l'écorce. La
substance
grise des circonvolutions se présente dans cert
- gements et les cellules géantes manquent. Ce qui caractérise la
substance
grise des hémisphères de pareils cerveaux, c'es
e d'éléments ganglionnaires ressemblant à la quatrième couche de la
substance
grise des circonvolutions (cas de Mate)), 316 C
éments ganglionnaires, les auteurs la nom- ment l'hétérotopie de la
substance
grise, quoique cette hétérotopie soit une hétér
sous la forme d'îlots de cellules ganglionnaires incrustés dans la
substance
blanche. Chez les microcéphales avec microgyrie
ents plus dé- veloppés, qui ressemblent à la quatrième couche de la
substance
grise de l'écorce (cellules polymorphes). Par
cerveau du micro- céphale qui se caractérise par la richesse de' la
substance
grise et le développement insuffisant de la sub
chesse de' la substance grise et le développement insuffisant de la
substance
blanche et qui s'ac- compagne de microgyrie. Ce
u nerveux des hémisphères, les proportions correspondantes entre la
substance
grise et la blanche sont conservées. - Après ce
e microcéphales, type représentant l'arrêt de développe- ment de la
substance
blanche des hémisphères cérébraux au degré le p
demi-microcé- phales ; chez lesquels l'arrêt de développement de la
substance
blanche atteint un degré moins grand et s'accom
and et s'accompagne de l'héléro- topie sous-corticale diffuse de la
substance
grise. Mais dans ces deux cas, le type reste le
este le même, et son caractère spécial consiste en ce que, entre la
substance
grise des hémisphères cérébraux et le centre se
dispersées, isolées et jamais agglomérées en forme d'ilots dans la
substance
blanche. En outre, dans la couche zonale de l'é
ues nous amène de prime abord à la conclusion que la richesse de la
substance
grise et l'abondance des cellules nerveuses peu
éléments et de leurs combinaisons récipro- ques. De manière que la
substance
blanche n'est que la continua- tion des prolong
indraxiles de ces cellules favorise le développement abondant de la
substance
blanche, et la pauvreté de ces ramifications re
s rend son développement insuffisant. Ainsi dans les cerveaux où la
substance
blanche est peu déve- loppée, les cellules nerv
ellules d'origine des neurones ou dans les voies conductrices de la
substance
blanche. En tenant compte des réalités clinique
s dénudées des altérations anatomiques intenses dans l'écorce et la
substance
blanche sous-jacente. Il s'en- suit donc que, s
32 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. séparations de l'écorce de la
substance
blanche sous-jacente. Tous les chiens ont été o
son voisinage, si enfin on pratique une coupe entre ce point et la
substance
blanche, dans la règle aucun trouble visuel ne se
lits sont munis à la tête et aux pieds d'une tablette verticale, en
substance
mauvaise conductrice de la chaleur (xylolithe),
celles des mouvements de la colonne vertébrale à l'énorme masse de
substance
cérébrale qui constitue les lobes frontaux de l
a semble poussé tout entier d'un côté de la cellule. l'intérieur la
substance
colorée est dissoute, et il se produit une plas
e : intense-, la.vacuolisation est fréquente et très prononcée ; la
substance
chromatique a-une tendance marquée à se séparer
les plus diverses tant dans sou volume que dans sa. posilion. et sa
substance
colorante. Le nucléole qui réoiste mieux, a une
e forment qu'une petite fraction de toute la masse des fibres de la
substance
médullaire limitante. Il existe en conséquence
isphères-. Du reste, il existe dans d'autres régions cérébrales (la
substance
grise centrale) des par tics, d'une moindre éte
d'association. Il est certain que l'arrangement des libres dans la
substance
blanche- du. cerveau ne se fait pas d'une maniè
préparations Weigert ou dans des imitations on ne distingue que la
substance
grise décolorée à côté de la substance blanche
tions on ne distingue que la substance grise décolorée à côté de la
substance
blanche qui est très foncée; la différenciation
substance blanche qui est très foncée; la différenciation entre la
substance
blanche et la substance grise était bien le but
st très foncée; la différenciation entre la substance blanche et la
substance
grise était bien le but de la méthode ; elle su
" Etat criblé du cerveau de Durand-Fardel, siégeant surtout dans la
substance
blanche du pôle temporal ; 3° Grosses dilatatio
in temps, que ceux-ci se trou- vent le plus souvent au niveau de la
substance
grise. Rapprochant cela du fait que dans la moe
dites myélites cavitaires affectionnent également les régions de
substance
grise médullaire, je pense que l'on peut admettre
dullaire, je pense que l'on peut admettre que la constitution de la
substance
grise nerveuse se prêle plus qu'aucune autre à
ies méningées traumatiques comme conséquence du contre-coup dans la
substance
blanche. M... pense que leur origine doit être
qu'il soit lacéré, brisé, souillé, brûlé, détruit parle feu ou des
substances
corrosives. De tels faits ont une importance mé
ais mouvements réflexes, dont la voie mène directement à travers la
substance
grise de la moelle, à la hauteur des deuxième e
es de la moelle cervicale ou dorsale est une preuve clinique que la
substance
grise de la moelle lombaire est aussi atteinte;
u pyramidal croisé au niveau du collet du bulbe, descendent dans la
substance
grise centrale de la moelle, puis réintègrent le
me qui interrompent la continuité des cordons, 3" les lésions de la
substance
grise. Faisceaux exogènes. La distinction entre
h. Ces lésions sont dues probablement à l'extension immédiate de la
substance
grise, et non pas à une dégénérescence secondaire
non pas à une dégénérescence secondaire qui tire son origine de la
substance
grise. La destruction de ces régions est apte c
rées. Ces auteurs attribuent la sclérose à l'action immédiate d'une
substance
toxique sur les fibres nerveuses. Elle est attr
ibres nerveuses. Elle est attribuée par Marie à une affection de la
substance
grise. Dans le paraplégie ataxique les lésions
décubitin avec oedème et état trouble de la pie-mère adhérente à la
substance
du cerveau ; collection liquide dans les ventricu
radioscopie montrait aux sommets des poumons un état pommelé de la
substance
qui fit conclure à une tuberculose; l'épreuve d
, émet l'hypothèse d'une syringo-encéphalie, d'une gliomatose de la
substance
grise périépen- dymaire bulbo-protubérantielle.
gauche est normale ; la postérieure se réduit à quelques tractus de
substance
grise, situés de chaque côté d'une grande fente q
au longitudinal postérieur du côté droit est nettement atrophié, la
substance
réticulée de la calotte fait presque entièrement
) A. Thomas, Recherches sur le faisceau longitudinal postérieur el la
substance
réticulée bulbo-protubérantielle, le faisceau c
xie lente. Infection tuberculeuse terminale. Autopsie. - Perte de
substance
crânienne. 111éningo-eocépholite fibreuse SYPHI
,l scissure de Sylvius, dont elle n'est séparée que par un pont de
substance
de 2 centimètres environ. De ce fait, le lobe o
cervelet, qu'ils recouvrent presque complètement, pénétrant dans la
substance
nerveuse à,quelques millimètres. Ils existent aus
onvexe appliqués à la surface de la circonvolution. A côté d'eux la
substance
nerveuse apparaît avec ses caractères normaux.
rès apparents suivent la gaine des vaisseaux ou pénètrent en pleine
substance
cérébrale, s'arrangeant en colon- nettes de une
n colon- nettes de une ou deux cellules de front. A la limite de la
substance
saine, ils se voient par petits groupes d'éléme
, ou, plus en avant encore, dans les gaines vas- culaires en pleine
substance
saine (PI. XXI, A). L'épaississement de la méni
tex vont en s'accentuant vers le centre du placard. A ce niveau, la
substance
cérébrale intacte apparaît légèrement tassée de
s analogues : partout la lésion méningée prédominante, pénétrant la
substance
nerveuse par les sillons et secondairement par
halite, faisant face à la perforation crânienne, le tassement de la
substance
nerveuse est extrême ; le tissu con- jonctif en
endant le bourgeon cellulaire infiltré tantôt refoule devant lui la
substance
grise, plus souvent envahit les différentes tun
térêt secondaire; nous envisageons pour le moment un type moyen. La
substance
grise a subi à peu près sur toute la hauteur une
quée, les vaisseaux sont nombreux, parfois sinueux et dilatés. La
substance
blanche subit aussi des déformations considérable
les jeunes. Dans les cordons postérieurs, on remarque des pertes de
substance
con- tenant quelques boules amorphes se coloran
nt il est séparé SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 91 1 par un pont de
substance
intacte ; autour de ces zones, il n'y a ni vaisse
vaisseaux ni cellules jeunes. Le long des septa pénètrent dans la
substance
blanche de très courtes colon- nettes cellulair
rmes et en continuité directe avec la méninge refoule devant lui la
substance
nerveuse et arrive presque au contact de la subst
devant lui la substance nerveuse et arrive presque au contact de la
substance
grise; l'autre partant également de la surface
es sont remplacées par une bande conjonctive, mince, adhérente à la
substance
médullaire contenant des lumières vasculaires nom
le cordon latéral, les fibres colorées se groupent encore contre la
substance
grise, mais en moins grande abondance et dispar
par un cordon fibreux, laissant subsister à peine quelques ilots de
substance
nerveuse, nous avons noté l'énorme déformation
se Paris, 1896. 96 BICHON des faits cités à l'envahissement de la
substance
blanche par des cônes de cellules jeunes, mais
ais aux compressions et rétractions venues de la péri- phérie. La
substance
grise subit en général peu de modifications struc
vérifier en raison du mode de fixation) l'intégrité relative de la
substance
grise, l'absence de nodules cellulaires, la dil
es vaisseaux annexes n'étaient pas lésés. Les modifications de la
substance
blanche, décrites par les observateurs, sont as
ns les masses nucléaires, qui constituent la lésion dominante de la
substance
blanche, soit qu'elles apparaissent au milieu des
eure. Nous avons vu toutes les masses néo-formées pénétrant dans la
substance
blanche, en relation directe avec les méninges
régions seulement, elles détruisaient un territoire assez étendu de
substance
blanche. Toutes étaient colorées avec-intensité;
la dernière période probablement, à la base de l'encéphale et à la
substance
blanche du cervelet. ' Nous croyons la nature s
t de membranes déterminant à sa surface des brides qui pénètrent la
substance
corticale (PI. XXII); la pie-mère très épaissie e
nom- breux foyers de ramollissement blanc et on n'y trouve plus de
substance
grise et de substance blanche saines. Sur la co
ramollissement blanc et on n'y trouve plus de substance grise et de
substance
blanche saines. Sur la coupe, on relève une certa
e blanche saines. Sur la coupe, on relève une certaine épaisseur de
substance
blanche au niveau des circonvolutions de la face
ude de cellules rondes se colorant fortement. A son contact avec la
substance
corticale, l'en- céphalite est très accusée ; l
- tions. Les capsules surrénales étaient bien développées, avec une
substance
corticale jaune, dure et une substance centrale
t bien développées, avec une substance corticale jaune, dure et une
substance
centrale noire et molle ; on sait (1) PELIZZI,
La tumeur a une coloration blanchâtre, plus blanche que celle de la
substance
médullaire normale; elle est recouverte par une
ement des tissus profonds. Dans la crainte de laisser écouler cette
substance
fluide, et d'en perdre les rapports avec les él
sse rien voir d'anormal sauf peut-être un léger élargissement de la
substance
grise de la moitié droite. La pie-mère est très n
ent changé à ce niveau ; on n'y reconnaît , plus la distribution en
substances
blanche et grise disposées symétriquement de ch
ns les régions centrales de la moelle et aux dépens surtout de la t
substance
grise. De la substance grise, dont il ne reste au
s de la moelle et aux dépens surtout de la t substance grise. De la
substance
grise, dont il ne reste aucun vestige apparent
) et les cordons postérieurs et postéro-latéraux. On distin- gue la
substance
blanche persistante, sous forme de zones périphér
te tu- meur, de telle sorte qu'il semble la limiter, pendant que la
substance
grise de la commissure, de la corne gauche, l'e
ne paraît pas considérablement modifié ; on distingue assez bien la
substance
grise et sa gaine de substance blanche. La pie-
modifié ; on distingue assez bien la substance grise et sa gaine de
substance
blanche. La pie-mère se voit nettement dessinée
n interne marquée par une cavité très petite située au milieu de la
substance
blanche du cordon postérieur gauche, au centre
es antérieures perdues au milieu du tissu de nouvelle formation. La
substance
blanche est également envahie, les tubes nerveux
hissement de la moelle se fait d'après le mode déjà analysé. , La
substance
grise est presque complètement infiltrée par les
es fibrilles et les cellules gliomateuses ; il eu est de même de la
substance
blanche. Il n'existe presque plus de tubes nerv
as touchées par le processus atrophique. Les fibres nerveuses de la
substance
blanche sont pour la plupart complètement dégén
rencier ces deux sortes de tumeurs d'après leurs connexions avec la
substance
environnante, que par des moyens histologiques.
a cellulaire. Reins. Il existe une sclérose nette au niveau de la
substance
médullaire ; elle se retrouve, mais plus légère
substance médullaire ; elle se retrouve, mais plus légère, dans la
substance
corticale, où elle semble plus marquée qu'elle
nt abondants dans l'endothélium et la lumière des capillaires de la
substance
corticale. Les artères, en collapsus, ne montrent
grains pigmentaires ; leurs noyaux ne sont pas visibles. Dans cette
substance
corticale on trouve des alvéoles remplies de cell
ême trois noyaux. Quelques alvéoles de ce genre se trouvent dans la
substance
médullaire, mais en très petit nombre. Les br
s-surrénales. - On note une grande dilatation des capillaires de la
substance
centrale. Les glomérules apparaissent très nets d
a substance centrale. Les glomérules apparaissent très nets dans la
substance
corticale ; leurs cellules, bien limitées, sont
thyroïde. - Les vésicules, assez larges, inégales, renfermant de la
substance
colloïde, ont leurs cellules en voie de fonte muq
certaines des préparations relatives à cette région on voit dans la
substance
blanche, en dehors de la corne postérieure, que
(lobe frontal) ont montré l'intégrité des circonvolutions et de la
substance
blanche. Considérations générales. Les résult
âne, s'était développée dans le ventricule latéral droit, en pleine
substance
blanche, remarquablement tolérante. Notons, enc
la possi- bilité d'une atrophie ou d'une absence de formation de la
substance
grise consécutivement à une anomalie ou à une m
r gauche et droit. Il s'élève, ensuite, perpendiculairement dans la
substance
médullaire (fibres transverse) qui constitue la
ns radiculaires postérieures dans le tabes. Pour ce qui concerne la
substance
grise de la moelle chez les paralytiques géné-
e tabes vrai on a pu démontrer plusieurs fois des altérations de la
substance
grise, mais on a pu remarquer, comme un des sig
du canal épendymaire sont détachées et séparées des parois par une
substance
fibrillaire qui semble de la fibrine. Plusieurs
rées surtout au niveau des cornes postérieures (PI. LV, D). Dans la
substance
blanche on constate une sclérose des cordons post
oulouse) soutiennent que la lésion des méninges précède celle de la
substance
ner- veuse. Or, quelle opinion devrait-on suivr
fibre normale (Voy. pl. LXIV, fig. J). Ils paraissent formés d'une
substance
non diffé- renciée pour laquelle nous n'avons p
en. periph. Nerven. (Arch. f. Psych., XXXIV, 1901). Biervliet. - La
substance
chromatophile pendant le cours du développement d
s abondant qu'il l'est normalement. Il existait de larges nappes de
substance
colloïde, plus grandes même qu'en aucun point d
une lésion des fibres d'entrée des racines postérieures puisque la
substance
grise confine à cette zone d'entrée. Mais cet arg
argument ne sau- rait s'appliquer aux troubles de la motilité : la
substance
grise de la corne antérieure est loin de la pér
à pourquoi on trouve une sorte de noyaux isolés dans la masse de la
substance
contractile (a, fig. 3) tantôt ils sont en déso
longitudinale. Les vaisseaux sont intacts. Les altérations de la
substance
interstitielle sont caractérisées par une infil-
érisée par une teinte blanchâtre et par un épuisement graduel de la
substance
de la striation parallèlement à la prolifération
affections névritiques,que dans les myélopalhies qui intéressent la
substance
grise cenlrale. D'autre part, les sujets attein
au laboratoire de Bicêtre et étu- dier l'anatomie de ces pertes de
substance
'cérébrale qui sont la cause la plus fréquente
nvironnés de toutes parts, en avant, en dehors et en arrière par la
substance
blanche qui double les circonvolutions. De plus
es noyaux cen- traux des hémisphères, on peut en rencontrer dans la
substance
blanche envi- ronnante : c'est là un fait presq
es, il y en a 87 dans les noyaux cen- traux et 13 seulement dans la
substance
blanche cérébrale. Il existe encore un centre n
uvent. Quoiqne parfois très volumineuses et entraînant une perte de
substance
con- sidérable dans cet organe, lieu de passage
st dans les noyaux gris du cerveau, dans la protubérance et dans la
substance
blanche du centre ovale. Jamais,dans aucun cas,
ente. Les corps granuleux, éléments de désintégration, envahissent la
substance
cérébrale Au centre, un vaisseau altéré, mais p
les aper- çoit. Mais à première vue la cavité paraît remplie d'une
substance
plus ou LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 107
e de volume moyen nous montre une cavité'anfractueuse contenant une
substance
variable, produit de la désintégration cérébrale
traire il y a 110 FERRAND une véritable cavité, un manque dans la
substance
cérébrale, lésion typique qui a donné son nom l
ant que la lésion occupe les noyaux gris ou qu'elle siège en pleine
substance
blanche ou dans la protubérance : ce se- ront t
uses. Dans les noyaux gris normaux du cerveau comme partout dans la
substance
nerveuse grise on constate la présence de volum
es parois lacunaires déchiquetées étaient gonflés et remplis de cette
substance
grenue et graisseuse qui en fait des corps gran
ité lacunaire, le tissu blanc étant moins riche en vaisseaux que la
substance
grise il s'épanche moins d'hématies dans la lac
pie-mère un peu louche, aucune lésion atrophique sur les coupes, la
substance
blanche et la substance grise sont bien délimit
aucune lésion atrophique sur les coupes, la substance blanche et la
substance
grise sont bien délimitées. La moelle ne donn
essile, qui à la surface et par ses bords paraît indépendante de la
substance
des hémisphères, fait cependant corps avec elle,
ersale passant par son milieu ; elle est absolument incluse dans la
substance
blanche, il n'y a pas trace de substance cortical
absolument incluse dans la substance blanche, il n'y a pas trace de
substance
corticale, la tumeur parait donc bien être cons
les limites de la néoplasie ne sont pas nettes, elle envoie dans la
substance
sous-jacente une série de pe- tits prolongement
ssent s'être formés de préférence autour des petits vaisseaux de la
substance
céré- brale. A un faible grossissement, sur des
air avec nucléole très coloré, un protoplasma contenant des amas de
substance
chroma- tophile, disséminés ou diversemeut cong
re en partie la po temporale. Cette tumeur n'est pas adhérente à la
substance
grise des hémisphères par ses bords. On peut le
peut constater que la tumeur paraît tout à fait indépendante de la
substance
cérébrale qui est simplement refoulée et comprimé
re. De l'étude de ce cas on peut donc tirer cette conclusion que la
substance
grise des circonvolutions peut être comprimée à
sant, c'est que le sarcome par sa situation, son indépendance de la
substance
des hémisphères, son adhérence aux méninges par
ions des hémis- phères nornaux,-dans laquelle on peut distinguer la
substance
grise avec ses cellules pyramidales et la subst
t distinguer la substance grise avec ses cellules pyramidales et la
substance
blanche avec ses fibres nerveuses, mais dans le
, mais elles pénètrent en travées péri-vas- culaires jusque dans la
substance
blanche. De plus, dans la substance grise, elle
-vas- culaires jusque dans la substance blanche. De plus, dans la
substance
grise, elles offrent une disposition très particu
tites cellules rondes ou ovalaires à noyau volumineux dans toute la
substance
corticale, et s'étendant même en certains point
bstance corticale, et s'étendant même en certains points jusqu'à la
substance
blanche. D'après l'examen des différents points
e avec amincissement, puis disparition presque totale de la lame de
substance
nerveuse. La bosse frontale droite existe, bien
ARE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE 231 sur les coupes du cerveau, une
substance
relativement transparente ne gênant nullement p
ssissant un peu à sa partie inférieure, se fondre avec un cordon de
substance
nerveuse qui représente la plus importante form
al inférieur parait normale; elle est celle de l'imprégnation de la
substance
cérébrale saine par le bichromate de potasse.
du tapetum, dont les plus internes s'appliquent (Fig. L) sur toute la
substance
grise du fond de la scissure calcarine. Masso
al ; qu'elle ne s'étend pas au fascia dentata ; qu'elle respecte la
substance
blanche immédiatement sous-jacente à l'écorce d
ution marginale supérieure,la lésion gagne en profondeur jusqu'à la
substance
blanche. Il y a, à ce niveau une large plaque de
pra-marginale. A ce niveau la lésion gagne en profondeur jusqu'à la
substance
blanche ; l'enlèvement de la pie-mère détermine
e la pie-mère détermine la séparation complète de l'écorce et de la
substance
blanche (altération décrite par Baillarger, Rey
tement circonscrits avec séparation complète de l'é- corce et de la
substance
blanche (lésion de Baillarger). Le connaissance
des). Ailleurs les fibres altérées sont plongées et noyées dans une
substance
grenue, anhyste plus ou moins abondante, qui es
t-être même de localiser le siège du processus pathologique dans la
substance
grise des cornes antérieures de la moelle. C'es
es recherches d'Albertoni, il diminue l'aptitude épileptogène de la
substance
corticale et le pouvoir excito-moteur bulbo-méd
ses pieds une servante agenouillée broie dans un mortier quel- que
substance
médicamenteuse. Derrière le médecin un homme âgé,
et du rectum. Donc, une lésion nucléaire, une lésion intéressant la
substance
grise de la moelle sacrale sur toute sa hauteur,
me. On conçoit difficilement une lésion nucléaire, une lésion de la
substance
grise de la portion la plus inférieure du névraxe
us inférieure du névraxe, strictement limitée à une moitié de cette
substance
, de façon à occasionner une anesthésie strictem
iomyélite infectieuse. Or, la poliomyélite, la myélite limitée à la
substance
grise de la moelle, peut revêtir un caractère f
es du plexus sacro-coccygien et dans la seule portion motrice de la
substance
grise. Vous aurez alors de quoi expliquer toute
e ou d'une myélite qui a désorganisé, dans une certaine étendue, la
substance
grise de la moelle ? De la révulsion sous forme
la moitié postérieure du ruban de Reil, les régions internes de la
substance
réticulée, quelques fascicules de l'hypoglosse; i
rouve des faisceaux dégénérés, en moins grand nombre, épars dans la
substance
réticulée et siégeant sur les côtés de la porti
- bre de ces fibres se recourbent dans la portion postérieure de la
substance
réticulée grise pour pénétrer dans le noyau de
calotte. Ce sont : 1° des fibres éparses dans toute l'étendue de la
substance
réticulée grise ; 2° des fibres groupées en fas
ins il faut remarquer que l'olive gauche seule est atteinte dans sa
substance
. Faut-il attribuer à cette lésion le tremblemen
sma il existe une petite plaque qui paraît surtout formée par de la
substance
grise et englobant les bandelettes optiques et la
les grains s'accumuler en files de chaque côté des capillaires delà
substance
médullaire. Fragment de l'un des hémisphères cé
, sauf pour l'augmentation très nette des grains névrogliques de la
substance
médullaire. Même disparition totale et absolue de
'offrent pas le moindre épaississement de leur adventice. Pour la
substance
cérébrale sous-jacente, elle offre les signes d'u
du pont. Et, par contre, les noyaux ronds deviennent rares dans la
substance
nerveuse immédiatement sous-jacente au plancher
vales ; cependant immédiatement sous l'épendyme du 4° ventricule la
substance
ner- veuse en offre très peu, et, par contre, c
roit. « Sur des coupes on voit cette sclérose porter surtout sur la
substance
grise, la substance blanche étant relativement
es on voit cette sclérose porter surtout sur la substance grise, la
substance
blanche étant relativement intacte : la substance
bstance grise, la substance blanche étant relativement intacte : la
substance
grise forme une sorte de petit feston mince, d'
s et humide du côté sain. On s'aperçoit cependant facilement que la
substance
grise n'est pas (1) Lannois et PAVIOT, Sur un c
ion est ici à son maximum. Si l'on part d'un des rares poinls où la
substance
grise est conservée, on voit brusquement, comme
n'y a ni tubérosités ni cavités porencéphaliques. Sur la coupe, la
substance
offre au couteau une résistance et une dureté a
la région des deux pariétales et de la pariétale ascen- dante. La
substance
blanche est très réduite de volume et les noyaux
quelques cellules pyramidales de moyenne dimension disséminées, la
substance
médullaire enfin immédiatement au-dessous. Au con
que l'on trouve dans les faisceaux médullaires ascendants, dans la
substance
grise de la moelle, dans la protubérance et le re
é proposé par Soukhanoff, la pénétration du liquide fixatif dans la
substance
grise de la moelle épinière est plus rapide. Da
den- drites n'en présentent pas de si nombreux. Par places dans la
substance
blanche, auprès de la substance grise, on voit
de si nombreux. Par places dans la substance blanche, auprès de la
substance
grise, on voit des cellules nerveuses dont les
voy. fig. 3). En poursuivant le trajet des dendrites, passant de la
substance
grise dans la substance blanche, nous avons pu
vant le trajet des dendrites, passant de la substance grise dans la
substance
blanche, nous avons pu facilement nous assurer
commencent à les perdre graduellement, quand ils pénètrent dans la
substance
blanche. Les contours des dendrites des cellule
x peuvent être observées là où elles doivent passer au milieu de la
substance
blanche. Nous avons pu voir plus d'une fois que l
rme variable, commence à perdre ces derniers, lorsqu'il passe de la
substance
grise dans la substance blanche. Nous avons obs
perdre ces derniers, lorsqu'il passe de la substance grise dans la
substance
blanche. Nous avons observé ces phénomènes dans
était située juste au milieu d'une masse de fibres nerveuses de la
substance
blanche. On a l'impression que les prolonge- me
On a l'impression que les prolonge- ments protoplasmiques, dans la
substance
blanche, ne peuvent avoir d'ap- pendices collat
lle du sous-clavier à la clavicule. Les os sont très légers, car la
substance
compacte corticale est anormalement mince ; en
dans les petits os, particulièrement ceux du tarse, au point que la
substance
corticale a une consistance parcheminée et garde
suivantes : 9) « Que l'âme ne réside pas dans toute l'étendue de la
substance
du cerveau, prise collectivement. » 2) « Elle
es corps cannelés, des couches des nerfs optiques... ni enfin de la
substance
cor- ticale du cerveau.... il paraît qu'on peut
supposait, divisée entre tous les centres corticaux, entre toute la
substance
grise du cerveau, qui joue le rôle de centre ps
s blessures pro- fondes des circonvolutions frontales avec perte de
substance
cérébrale et suppuration peuvent être guéries e
le coeur ? Dans cette se- conde manière d'envisager les choses, la
substance
grise médullaire serait encore la véritable mac
dans les fibres de ce faisceau qui correspondent aux centres de la
substance
grise, préposés à la contraction de tel ou tel
siste. » Il y a dansja théorie de M. Marie deux idées, l'une que la
substance
grise médullaire est une véritable machine motr
'excitation part de l'encéphale, et va mettre en activité l'ilot de
substance
grise de la moelle d'où naissent les fibres ner
ation est tout entière d'origine médullaire ; c'est de l'îlot de la
substance
grise mé- dulU ire, mis en activité par l'incit
ire, que part le stimulus qui va exciter les îlots homologues de la
substance
grise de l'autre moitié de la moelle... » * U
ÉGION ROLANDIQUE 39 superficielle et laisse subsister. des îlots de
substance
corticale au milieu des parties nécrosées. Elle
stent superficielles. et ne s'étendent pas au delà du cortex et de la
substance
blanche immédiatement sous-jacente. Cette dispo
e la face interne n'ont même pas pénétré assez profondément dans la
substance
blanche pour couper les fibres de projection qui
motrice correspondante soit limitée à l'écorce cé- rébrale et à la
substance
blanche immédiatement sous-jacente ; et ce pos-
le trajet exact des fibres mêmes au milieu des éléments sains de la
substance
blanche ou grise. Plus tard, lorsque la myéline e
issent puis disparaissent, en même temps qu'une grande partie de la
substance
blanche du centre ovale. Sur les coupes passant
t il son côté interne une bande de PORENCÉPHALIE CONGÉNITALE 49
substance
cérébrale composée : par l'écorce de la face inte
lleux Gc, par la voûte du ventricule latéral Ve et, en dehors de la
substance
grise épendymaire, par le pied de la couronne r
mation de l'hémisphère, déjà signalée plus haut ; l'énorme perte de
substance
qui s'est produite a été comblée en partie par
-dessus de la cavité kystique, les coupes horizontales montrent une
substance
blanche compacte, comprenant les fibres d'assoc
et au pied de la couronne rayonnante, il est réduit à une bande de
substance
blanche dont les fibres sont verticales ou obli
le. En même temps que cette diminution considérable de volume de la
substance
blanche, on constate (fig. 7) : ' 1° Qu'il n'
rs la partie adjacente de Ti,en avant le pied de F3 (PI. XVIII). La
substance
cérébrale voisine de la tumeur est de couleur j
reste, tout à fait indépendante et assez facilement énucléable. La
substance
cérébrale qui l'entoure a perdu sa forme normal
seaux sanguins sont très dilatés, la différenciation entre les deux
substances
de la moelle a presque complètement disparu. Da
eux substances de la moelle a presque complètement disparu. Dans la
substance
grise, les cellules nerveuses sont réduites à q
sque partout, disparition du noyau, mais sans pigmentation. Dans la
substance
blanche, on constate les lésions de « l'eedéme
tion complète du faisceau postérieur droit, sauf une mince bande de
substance
blanche immédiatement en contact avec le bord p
toute'.l'étendue des cordons postérieurs. Les grosses libres de la
substance
grise (faisceaux verticaux de la corne postérieur
e la racine dans son parcours extramédullaire et la structure de la
substance
blanche résulte encore d'une façon très évidente
), mais on ne voit pas se vérifier ce même fait à l'intérieur de la
substance
grise où les fibres myéliniques qui s'y trouvent,
che contient très peu de fibres nerveuses teintes en noir ; dans la
substance
grise il n'y en a que quelques-unes isolées. *
ment à ce qu'on a observé dans la moelle cervi- cale et dorsale, la
substance
grise contient à ce niveau un nombre assez remar-
une réaction positive dans les racines médullaires et aussi dans la
substance
blanche des différents cordons de la moelle, se
eau fibrillaire intracellulaire. Les cylindraxes des fibres de la
substance
blanche, ainsi que nous l'avons fait entendre i
Méthode de Weigert. En appliquant cette méthode on constate que la
substance
blanche se colore d'une façon uniforme et avec la
lora- tion des fibres myéliniques de la commissure blanche et de la
substance
grise est d'un violacé encore plus clair. Mét
le à la périphérie. Dans quelques cellules, en outre, les grains de
substance
chromatophile existent toujours, mais la différ
s, mais la différenciation fait défaut et ils se confondent avec la
substance
achromatique colorée elle aussi en bleuâtre.
oiqu'ils ne puissent souvent plus être différenciés nettement de la
substance
achromatique qui semble avoir été imbibée par'l
nt de la substance achromatique qui semble avoir été imbibée par'la
substance
chromatophile déjà au début de sa désagrégation.
eulement noter que certains noyaux de névroglie, aussi bien dans la
substance
blanche que dans la substance grise, sont plus
yaux de névroglie, aussi bien dans la substance blanche que dans la
substance
grise, sont plus larges que d'ordinaire et nous
ez prononcées et diffuses aussi bien à la subs- tance grise qu'à la
substance
blanche : mais ce qu'il y a de vraiment re- mar
ns morts de tuberculose des granulations noires assez fines dans la
substance
blanche de la moelle et dans les racines. Non
s petites boules noires disséminées irrégulière- ment dans toute la
substance
blanche médullaire, boules qui étaient très nom
(1898) ne put relever dans son observation aucune altération de la
substance
blanche, ni avec la méthode de Marchi ni avec cel
tous les tubes nerveux qui constituent les différents cordons de la
substance
blan- che. Il s'agit, évidemment, d'une modific
ologie, n° 4, p. 112, 1901. 72. Dopter et L.rr011GBE. - Action de
substances
microbiennes sur les nerfs périplzé- riques. Ar
de col- loïde. La colloïde, d'après Oswald, est constituée par deux
substances
: l'une contenant tout l'iode delà glande en co
tel point qu'on ne peut la sé- parer sans arracher des lambeaux de
substance
grise.Notre figure I montre la face convexe de
ur obtenue en développant l'écorce du côté droit. L'épaisseur de la
substance
grise et de la substance blanche est'diminuée à
l'écorce du côté droit. L'épaisseur de la substance grise et de la
substance
blanche est'diminuée à gauche. FiG. C. Coupe
e de démarcation qui les sépare. Sur certains points, des pertes de
substance
artificielle permettent d'apercevoir l'espace qui
particulièrement le premier des organes, destinés à neutraliser les
substances
toxiques qui circulent'dans l'organisme. Nous ver
on thyroïdienne, il se fait dans l'organisme une accumulation d'une
substance
toxique à l'égard du système nerveux; ce poison
ues faits cliniques ; j'ai dit que de l'intestin peuvent partir des
substances
nuisibles à l'organisme, lesquelles arrivent à af
erses glandes à sé- crétion interne, il n'est pas étonnant qu'à ces
substances
toxiques réagis- sent l'hypophyse et la thyroïd
ue les altérations glandulaires sont secondaires et causées par des
substances
toxiques qui pourraient tenir leur origine de l'i
es hématopoiétiques,(Ie la moelle osseuse etdu foie, causés par des
substances
toxiques qui agissent sur ces organes et les sti-
ne comportent pas de nombreuses explications. L'augmen- tation des
substances
minérales a pour effet une augmentation de l'alca
mégalie étudiés on a trouvé des altérations portant surtout sur les
substances
mi- nérales et les corps gras. Qu'elles soien
nce sur l'élimination de la chaux et sur les échanges nutritifs des
substances
or- ganiques et tout le monde connait la diminu
edow, etc. - Quant aux conséquences, il ne faut pas oublier que les
substances
miné- rales du sang, et dans les échanges en gé
um, car des travaux antérieurs m'avaient appris qu'à l'égard de ces
substances
il n'y avait que des altérations très petites.
s lésions hépatiques qu'avec une augmentation des putréfactions des
substances
albuminoïdes dans l'intestin. Je ne puis certai
345 et par conséquent à une irrégularité dans l'absorption de cette
substance
. Que les parois intestinales jouent un grand rô
ont démontré qu'avec un régime très abondant on a une rétention de
substances
minérales dans l'organisme ; pour obvier à un t
n, car on sait que si une diète abondante provoque une rétention de
substances
minérales, une diète insuffisante produit l'eff
ge inorganique est de beaucoup plus limité que l'organique, que les
substances
inorganiques se trouvent dans l'organisme dans un
coup plus petite que les organiques, et qu'un échange normal de ces
substances
est chose essentielle. La chaux, le phosphore,
l'une ou de l'autre glande. 3° Les altérations se rapportent aux
substances
inorganiques aussi bien qu'aux organiques, et m
es, elles ont une grande lumière ; elles se sont fait place dans la
substance
cérébrale. Il est pro- bable que la circulation
ant le fond des sillons, le sarcome s'est engagé bien avant dans la
substance
blanche. C'est là aussi le maximum de surface de
umeur le cortex a conservé une structure bien mieux dessinée que la
substance
blanche. Résumé. -IL s'agit d'un sarcome, sis i
n précoce des troubles moteurs. Plus tard la tumeur pénètre dans la
substance
blanche et y gêne la circulation lymphatique en
riculaire. Par l'angle externe du ventricule latéral, traversant la
substance
grise sous- épend., la tumeur s'est étendue dan
épaissies. Co ? I)es. - Hémisphère gauche. Dès le pôle frontal, la
substance
blanche est altérée ; elle prend mieux le carmi
que dans sa moitié antérieure. A la hauteur de la fig. 2, toute la
substance
blanche est occupée par des va- cuoles et des c
occasionne tout néoplasme qui se développe dans la profondeur de la
substance
blanche (Voir Iconogr., ne3, 1906). Il n'y a
'hématoxiline- éosine, ne sont nullement comparables à celles de la
substance
blanche. Les cellules satellites sont sans dout
me de la cellule et de son noyau sont bien conservées, alors que la
substance
blanche est grossière- ment lésée. On a pris
grossières, encore plus diffuses quoique moins bien étudiées de la
substance
blanche ? : ' Travail intellectuel estsynonyme
à un haut degré. S'il est vrai que les associations se font par la
substance
blanche, c'est dans la destruction de celle-ci
Lorsqu'on les arrache, on emporte avec elles de petits fragments de
substance
nerveuse et la surface des cir- convolutions pr
ce, en Italie, en Allemagne, en Angleterre, usent toutes de la même
substance
qui aurait la propriété spéciale de produire touj
dée est bonne, elle est juste, elle a toute l'apparence et toute la
substance
d'une idée logique ; mais si l'idée n'était pas
de sulfonal, comme hypnotique. Si on suspend la distribution de ces
substances
indifférentes, le lendemain tout le monde se pl
nent aux lésions cutanées provoquées par l'application de certaines
substances
chimiques, du phénol en particulier, qui, par p
quer qu'il suffit d'un instant pour appliquer sur les téguments une
substance
corrosive, et que la malade de 1\1. Valobra a p
lquefois aux risques et périls du patient. Or la mor- phine est une
substance
dangereuse, et le médecin n'est- il pas coupabl
lusion d'une fraction insigni- fiante de son segment antérieur ; la
substance
blanche configure est atteinte. Intégrité de la
sement limitée du noyau lenticulaire et de la partie contiguë de
substance
blanche qu'il faut rapporter les sensations fauss
à peine allongées*. Dans les produits artificiels-il semble que la
substance
blanche soit crevassée M. SPIEr.ncFVra dit que
males de la myéline. Ou bien dans les pro- cessus atrophiques de la
substance
nerveuse,ils représentent les éléments, transpo
rveuse,ils représentent les éléments, transportés à distance, de la
substance
blanche en voie de destruction. Dans les proces
ique à l'égard d'éléments cons- tituants déterminés préformés de la
substance
blanche nerveuse; c'est ce qui parait avoir lie
t rester dans la solution jusqu'à ce qu'à l'oeil nu on distingue la
substance
grise de la substance blanche. Celles qui ont é
ion jusqu'à ce qu'à l'oeil nu on distingue la substance grise de la
substance
blanche. Celles qui ont été fixées au liquide d
entre les fibrilles du tissu conjonctif avec nombreux noyaux. La
substance
contractile ne semble pas offrir des phénomènes d
le d'aniline (1 partie) et d'alcool à 90° (G p.), jusqu'à ce que la
substance
grise soit complètement décolorée, ce dont on s
s grands, munis de parois faci- les à voir qui, sillonnant toute la
substance
grise du cerveau, s'en vont aux cellules; en se
disparaît, ils ont alors l'aspect de drains qui garnissent toute la
substance
de la cellule et leur paroi est formée par le pro
s (figure). ' " Une seconde méthode est consacrée à l'étude de la
substance
chromatophile. Elle est basée sur la combinai
maline, d'acétone, avec ou sans éther. Quelle est la na- ture de la
substance
chromatophile Je tendrais, dit l'auteur, à pens
substance chromatophile Je tendrais, dit l'auteur, à penser que la
substance
de cimentation, autrement dit la subs- tance ch
sformer en grains ; en- tre les grains on voit encore des traces de
substance
chromato- phile qui se change à son tour en nou
on, et ceux qui forment le grain de la motte chromatophile. Donc la
substance
chromatophile se forme par les processus de mét
us de métamorphose régressive de la cellule nerveuse. Evidemment la
substance
chromatophile sécrétée par la cellule nerveuse,
is longtemps que les formes variées sous lesquelles se manifeste la
substance
chromatophile dépendent de la présence dans le
lymphe ; 3° un réseau formé aux dépens de la décomposition de la
substance
chromatophile ; ce ne sont pas des canaux ; ils
artition accidentelles de l'élément constitutif des cellules, de la
substance
chromato- phile, entre les parties fixes du pro
relcventdes noyaux arciformes ont pour caractère l'existence d'une
substance
fondamentale d'un bleu clair (méthode de \issl)
peuvent expliquer par un oedème stasique dû il la compression de la
substance
nerveuse ainsi qu'au barrage des voies sanguine
loureuses : racine postérieure, corne postérieure, commissure de la
substance
grise, cordon anLéro-laLral et finalement péri-
spinal ; celle du second (nommé également deutonourone) occupe la
substance
grise de la moitié opposée de la moelle. 7. Tou
e la moitié opposée de la moelle. 7. Toute lésion unilatérale de la
substance
grise de la moelle engendre : cc). Une thermo-a
b). une thermo analgésie croisée quand cette lésion a détruit la
substance
grise dans le voisinage de la corne antérieure, p
lgésie bilatérale quand la lésion a atteint les deux endroits de la
substance
grise. 8. Toute lésion limitée de la substance
eux endroits de la substance grise. 8. Toute lésion limitée de la
substance
grise ne donne jamais qu'une thermo-analgésie lim
de la thermo-analgésie homolaterale, produite par une lésion de la
substance
grise (ou de la corne postérieure) débute en gé
e la thermo-analgésie contralatérale, produite par une lésion de la
substance
grise (ou du voisinage) de la corne antérieure,
la thermo-analgésie totale croisée, produite par une lésion de la
substance
blanche ou du cordon latéral y compris le faiscea
tures. P. KERAVAL. XXV11. - De la nature et de la spécificité des
substances
toxiques contenues dans le sérum sanguin des ép
nts qui forment le poison épileptogène, notamment à l'excès de la
substance
sensible. b P. KERAVAL. 128 REVUE D'ANATOMIE ET
le système musculaire. 4. L'onde musculaire normale indique que la
substance
du muscle a son excitabilité et sa con- tractil
ropre, mais il y a lieu de tenir compte de la surchage du muscle en
substances
chimiques de dédoublement et de la cessation de
iolet, l'une a Irait à un jeune dégénéré qui à la suite de perte de
substance
de gland infligée par un chancre phagédénique r
entretiens avec celui-ci. Il faut rejeter absolument l'u- sage des
substances
empruntées à la matière médicale, car leurs eff
onvulsifs aux doses expérimen- tées et sans être associé à d'autres
substances
. Démence épileptique ; par l3ouRNEmLLE. (Sera p
contrent disséminés dans tous les espaces où ils ont accès. Dans la
substance
blanche comme dans la substance grise, on les o
s espaces où ils ont accès. Dans la substance blanche comme dans la
substance
grise, on les observe avec leurs caractères his
de ramollissement sons-cortical ayant amené la surdité verbale, la
substance
corticale qui recouvrait le foyer de ramollisse
s membres. Le sujet loca- lise très mal. Si, au lieu d'une perte de
substance
relati- vement minime et unilatérale, on avait
térieures. Remarquons aussi que sur toute la hauteur du névraxe, la
substance
grise est sillonnée par des ramifications fines
croire qu'il s'agisse d'une même poussée pathologique ayant dans la
substance
grise centrale af- fecté laforme dcsyringomyéli
physico-chimiques des urines, l'élimination des sels minéraux, des
substances
organiques, des substances anormales, la toxici
es, l'élimination des sels minéraux, des substances organiques, des
substances
anormales, la toxicité urinaire, l'examen du sa
ccompagnent d'une désassimilation excessive, sinon atypi- que de la
substance
albuminotde ; altération souvent décelable dès
tés médullaires : l'hypertrophie conjonctive refoule, disloque la
substance
nerveuse, dont elle compromet ainsi la nutrition
e interne et la pic-mère correspondante offre des adhérences à la
substance
grise. Hémisphère cérébral gauche. La pic-)nére
quantité de ce liquide, isolée on suivie de l'injection de diverses
substances
. Parmi les caractères physiques du 1 i(¡uide l'
- La méthode qui consiste à injecter après la ponction diver- ses
substances
dans le canal ricliiclien à part la rachicocaï-
on voit un réseau scléreux lihrillaire, très ténu, qui a envahi la
substance
blanche des différents, cordons. Les altérati
bres nerveuses se fait en foyers dans les par- tics centrales de la
substance
blanche. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE. La nouvelle
t des lésions analo- gues àcelles de Kahler pour ce qui concerne la
substance
blanche ; ils y ajoutent la description de fiss
n de fissures et de 'e petites cavités qu'ils rencontrèrent dans la
substance
grise et qu'ils interprètent, ainsi que les lés
bstance grise et qu'ils interprètent, ainsi que les lésions de la
substance
blanche, comme la conséquence de l'effusion de
de ses 20 cas, il a trouvé seulement dans les cas de forte perte en
substance
nerveuse une dilatation dans le domaine du syst
ventitiels) n'exerce pas. selonFicklcl', une action délétère sur la
substance
nerveuse; cette dilatation et cette stase initi
due à des processus de destruc- tion de la masse tumorale ou de la
substance
nerveuse même n'a pas été accueillie avec faveu
e dans les cas de Schmaus et Scarpatetti qu'il cite. Le fait que la
substance
grise dans ,la dégénération ischémique est mieu
conservée que la blanche s'expli- que, selon Fichier, parce que la
substance
grise a un ré- ticule capillaire beaucoup plus
tères spinales postérieures qui, elles principalement, irriguent la
substance
blanche. Une autre cause d'ischémie médullaire,
é mal de 1'ott, pour la production des faits dégéné- ratifs de ' la
substance
nerveuse ne laisse pas que d'être hypothétique
rossissement ne permet pas de reconnaître une différenciation de la
substance
grise d'avec la blanche, car de la partie centr
yu'à un failtle grossissement on a l'impression d'espaces vides. La
substance
blanche est encore discrètement conservée à la
ieur de sa circonférence par une profusion du tissu épidu- ral. La'
substance
grise se détache assez bien de la blanche ; cel
nombreux corps amyloïdes sont présents et disséminés dans toute la
substance
blanche. Les vaisseaux se comportent comme dans
lissement central : à la périphérie destruction moins forte de la
substance
blanche avec phénomènes de tuméfaction des élém
. Un distingue encore, bien que moins nettement que normalement, la
substance
grise de la blanche. Au Pal il apparaît déjà il
ce grise de la blanche. Au Pal il apparaît déjà il l'a-il nu que la
substance
blanche iL souder ! ; on la voit, en et)'et, dé
is remplissant des libres tu- méfiées en voie de dégénération. La
substance
grise semblé être raréfiée : on y rencontre aussi
iveau des segments L1,L ? . Au niveau des segments Ll, L2,L : î, la
substance
blanche présente des lésions diffuses pas systé
térieurs avecune bande plus ou moins large de tissu sain bordant la
substance
grise, la zone d'entrée des racines, la pie-mèr
platissement de la moelle (segm. Ll, L2) des lésions diffuses de la
substance
blanche constituées par une sim- ple diminution
de cet aplatissement, le fait que les lésions destructives de la
substance
blanche sont diffuses, non localisées au point
écanique directe sur le tissu nerveux. Les lésions diffuses de la
substance
blanche dans les segments supérieurs et infé- r
SUR LA LAUHOGLNIL DES ALTÉRATIONS MÉDULLAIRES. zigs Dans toute la
substance
blanche. dans les aerm.L3, L'i, Lu), déco- lora
plupart, des libres tuméfiées l'II'pll'il1l' dégénération : dans la
substance
grise de la moelle on voit aus-i de nombreuses !
ie cellulaire. Au niveau du 2e segm. lombaire la décoloration de la
substance
blanche est, dans le cordon anl¡"ro-Iatéral. li
térieur. Au niveau du [CI segm. lomhail et au-dl'su,la lésion de la
substance
blanche 1 t'I"'{'l'nle presque exclusivement le
sproportion enttc les éléments cellulaires du sang. Telle est, en
substance
, la très intéressante noie de M. le D' Sakorrap
QLTE6. VOi1' .SSIt(rr('P. De la nature et de la spécifi- cité des
substances
toxiques contenues dans le sérum san- guin de
rmaux, par Mac Car- thy, p. 41. Squelette. Voir Dé foi mat ion.
Substances
toxiques. Voir b ? 1- lcpt iq1 ! cs. Suggesti
dégénérescence du seul cordon latéral, sans partici- pation de la
substance
grise. La réalité d'une pareille association mo
des cordons antérieurs dans toute la hau- teur de la moelle. , c)
Substance
grise. L'étude des cornes antérieures et pos- t
cordons latéraux sans participation des faisceaux de Türck et de la
substance
grise; mais de ces trois observations deux au m
ouve d'autres fois. La sclérose, en tous cas, intéresse fort peu la
substance
grise. « Si l'on cherche à établir la géographi
rtout sous la dépendance de la lésion des cornes postérieures de la
substance
grise. Or, comme ces cornes n'étaient pas lésée
nt intacts. Dans la seconde période, qui partirait du moment où les
substances
qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les
t la première et laisse passer les seconds dont il n'a que peu de
substances
nutritives à extraire. Or, l'estomac étant le siè
urt après l'ingestion et ne re- viennent jamais après le repas. Ces
substances
, n'ayant besoin que d'une digestion stomacale t
terminé; ce cas se présente surtout si Delagr... n'a ingéré que des
substances
liquides (potages), ou s'il y a eu simultanémen
s très vite. ' L'intervalle des renvois varie suivant la nature des
substances
ingérées el suivant le moment de la rumination.
s gorgées qui remontent se succèdent presque sans interruption. Les
substances
solides ne sont pas ruminées; les aliments semi
e. Voilà donc des cas de mérycisme partiel ne portant que sur les
substances
liquides, boissons, potages, sans qu'il soit beso
: dans les cas particuliers, l'intervalle qui sépare le renvoi des
substances
ruminées au moment de l'ingestion est excessive
sque le sujet semble pouvoir exercer une sorte de sélection sur les
substances
qu'il veut ruminer, les aliments ne sont pas re
s décrits. Autre part (Ors. VII), nous avons vu que le thé et les
substances
grasses étaient rejetés; mais ce n'était qu'après
t pu donner lieu plutôt à une méprise, car il rejetait de suite les
substances
grasses; toutefois, il faut remar- quer qu'il r
amelle ou chez les gros mangeurs. Là, comme dans la rumination, les
substances
re- prennent le chemin de l'estomac ; les agent
lquefois à en produire de véritables. Mais, dans ces cas,jamais les
substances
solides ne sont soumises à une seconde masticat
es démontre l'accroisse- ment progressif du tissu connectif dans la
substance
nerveuse, à mesure qu'on descend l'échelle zool
passant dans le nerf optique derrière le chiasma, pénètrent dans la
substance
grise qui entoure la cavité du troisième ventri
les pupilles restent, sur toute leur éten- due, à l'intérieur de la
substance
grise centrale sans s'entrecroiser. Il 11 exist
qui passe par le nerf optique dans la moitié correspondante de la
substance
centrale, dans le noyau et le tronc du nerf moteu
coma semblait décidé- ment causé par une affection' directe de la.
substance
grise des hémisphères;, et; si cela. semblait,
preuve, de cinq minutes, a consisté dans la reconnaissance de vingt
substances
simples. La seconde, de dix minutes, aporté sur l
. La seconde, de dix minutes, aporté sur la recon- naissance de dix
substances
composées, avec dissertation sur l'une. Le jury
es, destinées à relier à la périphérie les centres contenus dans la
substance
grise des circonvo- lutions. Si ces fibres vien
on de Broca, sont saines. Des coupes multiples pratiquées dans la
substance
cérébrale amènent à l'extrémité postérieure des
; il a environ la grosseur d'une noisette, et empiète un peu sur la
substance
blanche; mais la couche optique est intacte.
en existe un autre, qui paraît à peu près de la même date, dans la
substance
blanche du lobe occipital, et dui afllue à la f
eure. Enfin, il existe un autre petit foyer, plus ancien, dans la
substance
blanche de la partie antérieure du lobe frontal
sein du tissu altéré se trou- vent encore quelques points sains. La
substance
grise est réduite à une mince couche qui est so
e celui de Magnus ; au lieu d'être cortical,, le foyer intéresse la
substance
blanche et occupe le segment externe du noyau l
able à l'oeil nu dans les pédon- cules. Ramollissement marqué de la
substance
blanche de la moelle, dans la région dorso-lomb
s, aucune lésion des cordons antéro-Iatéraux de la moelle, ni de la
substance
grise. Par contre, il y avait une dégénérescenc
sans affecter de rapports directs avec lui. Une seconde déprime la
substance
grise cOllicalesur le pied de la deuxième front
des éléments normaux qui les constituent, ou par l'appa- rition des
substances
qui ne s'y rencontrent point à l'état phy- siol
ne sorte de nécrose qui amènerait un trouble dans l'élimination des
substances
extractives et leur accu- mulation dans l'écono
t-être doit-on en chercher la cause dans la destruction des amas de
substance
, grise interposés entre les fibres motrices. 1
'AUTOPSIE, un petit foyer hémorrhagique avec ramollisse- ment de la
substance
environnante, au milieu du côté droit de la pro
st hypérémiée, trouble et oedémateuse et se sépare facilement de la
substance
cérébrale ; dans l'espace sous-arachnoïdien, on
scléreuses ; on sent un thrombus dans l'artère sylvienne droite. La
substance
du cerveau est flasque et oedémateuse; les vent
s termes, on observera dans les vaisseaux des enveloppes et dans la
substance
du cerveau, une stagnation du sang. Ce phénomèn
op s'attacher aux dires des malades, qui se souvien- nent mieux des
substances
très acides ou ayant un fort goût, mminées, que
égrité demeure toujours parfaite. Constance des altérations dans la
substance
grise des cornes postérieures, ainsi que de l'a
ransverse de l'organe central, assez uniformément répartis dans les
substances
blanche et grise : infiltration et tuméfaction
pointe cons- tatée ici confirmerait l'opinion du refoulement de la
substance
grise allégué comme cause de ce symptôme par Sc
'un oeuf de pigeon a détruit l'ecorce, les couches supé- rieures de
substance
blanche dans le domaine de la première frontale
ssion et qu'un petit nombre de professions où l'on manipu- lait des
substances
toxiques a fixé l'attention de Morel, Delasiauve,
bres myéliniques, dans la démence paralytique, sur la lisière de la
substance
blanche. Les mêmes régions sont le terrain de c
de l'écorce contient une grande quantité de cellules-araignées ; la
substance
blanche présente les mêmes caractères ; en un m
que chez des chiens, à la suite d'extirpations du lobe frontal. La
substance
grise de toutes les circonvolutions se détache
grise de toutes les circonvolutions se détache avec la pie-mère, la
substance
blanche crénelée demeurant sur l'organe. La rép
érations d'un genre particulier, qui ont déterminé l'atrophie de la
substance
nerveuse. 11 ne manque pas non plus de pièces o
de la substance nerveuse. 11 ne manque pas non plus de pièces où la
substance
nerveuse a été atrophiée primitivement, d'emblé
ne). On a peu constaté d'altérations des cellules nerveuses dans la
substance
grise. Tout ce qui regarde la décomposition , l
ganglionnaires. La moelle a aussi un rôle (irradiation à travers la
substance
grise). Les associations existent pour les plus
commémora- tive simple, est un complexus d'associations (rôle de la
substance
blanche du cerveau); mais sa différenciation d'
e paraisse. Les autres sont des pa- ralysies; les altérations de la
substance
grise en sont responsables. Ces modifications f
e intermédiaire. On y voit des faisceaux clairs s'infléchir dans la
substance
blanche de la capsule externe et pénétrer dans
-postérieures (sagittales). Le feuillet su- périeur viendrait de la
substance
grise du plancher du troisième ventricule et, s
ban de Reil latéral, montre que ce dernier est en connexion avec la
substance
grise : ses réserves sur les rapports anatomiqu
M. MENDEL voit dans le foyer du ruban de Reil de Ruller le noyau de
substance
grise décrit par lui ; les cellules n'en sont pas
, récipients à laver, etc.) peut être fa- briquée à l'aide de cette
substance
modelable et durable. M. Adt (de Forbach) en es
dans les interstices du tissu; il les avait dilatés en refoulant la
substance
nerveuse (fibres et cellules) atrophiée contre
en la présence d'une matière jaunâtre floconneuse, qui rappelle la
substance
décrite jadis par Mendel, chez les paralytiques
En tout cas il rejette l'hypothèse, qu'on aurait sous les yeux une
substance
artificielle produite par la technique employée
s utile, puisque, par ce moyen, je puis débarrasser mon estomac des
substances
qui le fati- gueraient, et par l'élaboration no
amment dans la bouche tan- dis que le jus reste dans l'estomac. Les
substances
médicamen- teuses restent toujours dans l'estom
és n'ont pas un goût désagréable. Il faut en excepter le thé et les
substances
grasses qui, parfois, reviennent à différentes re
sorte de rumination son manger dans sa bouche, d'où il rejetait les
substances
grasses qui n'avaient pu convenir à son estomac
rop peu ou trop cuits, les parties tendineuses, aponévrotiques, les
substances
facilement altérées par le suc gastrique, le la
coriaces; les corps gras, principalement la graisse de mouton; les
substances
de mau- vaise qualité. Cette dernière cause ser
tumeurs de volume variable, pédiculées ou non et s'attachant sur la
substance
corticale ou dans l'intérieur des pyramides. - Un
es et par les intestins, qui sont refoulés vers lui, réagit sur les
substance
» qui le distendent, et une masse alimentaire fo
n an, ce fait, jadis inconnu, se présente quelquefois. Toutes les
substances
ingérées sont ruminées. Néanmoins il en est que
ble favoriser et prolonger la rumination. Ce sont, d'ordinaire, les
substances
solides,les viandes, DU MÉRYCISME. 51 surtout
ruminés de suite et ne remontent plus après l'ingestion des autres
substances
qui composent le repas. Parmi les liquides, c'est
une journée. Ce fait ne s'est montré que cette année. Toutes les
substances
ingérées sont également ruminées ; ce- pendant
nt intacts. Dans la seconde période, qui partirait du moment où les
substances
qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les
t la première et laisse passer les seconds dont il n'a que peu de
substances
nutritives à extraire. Or, l'estomac étant le siè
urt après l'ingestion et ne re- viennent jamais après le repas. Ces
substances
, n'ayant besoin que d'une digestion stomacale t
t terminé; ce cas se présente surtout si Degr... n'a ingéré que des
substances
liquides (potages), ou s'il y a eu simultanémen
lés très vite. L'intervalle des renvois varie suivant la nature des
substances
ingérées et suivant le moment de la rumination.
s gorgées qui remontent se succèdent presque sans interruption. Les
substances
solides ne sont pas ruminées; les aliments semi
e. Voilà donc des cas de mérycisme partiel ne portant que sur les
substances
liquides, boissons, potages, sans qu'il soit beso
: dans les cas particuliers, l'intervalle qui sépare le renvoi des
substances
ruminées au moment de l'ingestion est excessive
sque le sujet semble pouvoir exercer une sorte de sélection sur les
substances
qu'il veut ruminer, les aliments ne sont pas re
s décrits. Autre part (OBs. VII), nous avons vu que le thé et les
substances
grasses étaient rejetés; mais ce n'était qu'après
t pu donner lieu plutôt à une méprise, car il rejetait de suite les
substances
grasses; toutefois, il faut remar- quer qu'il r
amelle ou chez les gros mangeurs. Là, comme dans la rumination, les
substances
re- prennent le chemin de l'estomac ; les agent
quefois à en produire de véritables. Mais, dans ces cas, jamais les
substances
solides ne sont soumises à une seconde masticat
op s'attacher aux dires des malades, qui se souvien- nent mieux des
substances
très acides ou ayant un fort goût, ruminées, qu
-pzezz- monie. - Mort. Autopsie : Adhérences de la pie-mère ci la
substance
grise. - Décortication totale, par foyers, de l
re ci la substance grise. - Décortication totale, par foyers, de la
substance
grise. - Induration et atrophie de la substance
, par foyers, de la substance grise. - Induration et atrophie de la
substance
blanche sous-jacente. Différence de 120 grammes
ès : 110 IDIOTIE ET EPILEPSIE. elle la couche superficielle de la
substance
grise dans la moitié de son étendue. La circonv
rtaines circonvolutions môme, en dé- cortiquant, on enlève toute la
substance
grise et on met ci nu le sque- lette de substan
n enlève toute la substance grise et on met ci nu le sque- lette de
substance
blanche, laquelle est indurée et atrophiée. Ce fo
en un certain nombre de points une couche plus ou moins épaisse de
substance
grise, notamment : 1°sur toute la moitié postér
s et sur une hauteur de plus de 2 cent. En un mot, il semble que la
substance
des hémisphères ait été, comme le cerveau tout
re cérébral gauche, dans la région qui correspond au lobe carré, la
substance
cérébrale est indurée et forme un noyau volumin
suit que, par places, on entraîne des lambeaux assez larges de la
substance
cérébrale. La face orbitaire des deux lobes fro
de l'occipi- tal. Le kyste contient aussi une petite portion de la
substance
cé- rébrale allongée. » Nous avons vu, en 186
allant vers la périphérie de la moelle. A l'hématoxyline-carmin, la
substance
grise est à peine recon- naissabte ; on trouve
rveux ; mais la moelle elle-même n'est pas faite exclusive- ment de
substance
grise et de faisceaux blancs; chaque racine (la
quant mal, surface chagrinée et irrégulière sans kyste. A la coupe,
substance
corticale pâle et mince. Hypertrophie concen- t
rincipaux symptômes furent surtout rénaux. Il apparaît déjà que des
substances
chimiques très voisines les unes des autres pro
lésion du cinquième au huitième segment de la moelle cervicale. La
substance
grise de cette région est le lieu de prédilecti
'hémorragie s'est même limitée ici aux segments antérieurs de cette
substance
. Mais il est à penser que la substance grise d'
segments antérieurs de cette substance. Mais il est à penser que la
substance
grise d'autres régions de la moelle a également
nde radiographie répond à l'abondante pro- duction, irrégulière, de
substance
osseuse, qui a lieu dans le cal osseux. P. KERA
rieures, nerfs spinaux, nerfs craniens sensitifs et moteurs, bulbe,
substance
cérébrale corticale et gan- glions sous-cortica
e, il est probable qu'il s'accu- mule dans l'organisme une certaine
substance
vénéneuse, dont dépendent et l'éclat spécial de
la suite d'acci- dents infectieux. A l'autopsie on constate dans la
substance
grise périphérique des hémisphères cérébraux (à
volume des vaisseaux du cerveau, de ses méninges, et surtout de la
substance
grise. « Dans la substance grise, dit M. Bogrof
rveau, de ses méninges, et surtout de la substance grise. « Dans la
substance
grise, dit M. Bogroff, les résultats microscopi
optique, le distingué savant russe l'explique par l'hyperhémiede la
substance
grise du voisinage des ventricules et de la sur
de constater la présence de petites hémorragies des méninges, de la
substance
grise, et dans un cas, de la moelle épinière. L
l'explique, comme nous l'avons vu plus haut, par l'hyperémie de la
substance
grise des circonvolu- tions et du voisinage des
et sacro-lombaire du cordon latéro-cérébelleux. Elimi- nation de la
substance
grise de la moelle sacro-lombaire au moyen de l
XIX, 1900.) Expérience caractérisée par une nécrose partielle de la
substance
grise malgré laquelle le chien survécut dix jou
roite pendant une heure. On constata une nécrose, par places, de la
substance
grise de la moelle lombo-sacrée, depuis la par-
rée : cette nécrose nulle part n'avait détruit la totalité de cette
substance
; elle avait épargné notam- ment invariablement
décroissent quand on s'élève vers la moelle lombaire supérieure. La
substance
blanche est certainement atteinte de dégénéresc
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. gauche est bien plus dégénéré, parce que la
substance
grise du côté gauche de la moelle sacrée a subi
orte abdominale du chien, à produire une destruction iso- lée de la
substance
grise de la moelle lombo-sacrée ; 2° l'élimina-
moelle lombo-sacrée ; 2° l'élimina- tion de parties étendues de la
substance
grise de la moelle sacrée supérieure et moyenne
ostérieurs restent indemnes, probablement parce que les segments de
substance
grise voisins du canal central sont conservés.
lcarine, ayant détruit les lobes lingual et fusiforme et pénétré la
substance
blanche jusqu'à la paroi interne de la corne po
isuel cortical et dans l'hémisphère gauche, un ramollissement de la
substance
blanche du pli courbe et des parties voisines des
la grosseur d'un oeuf de poule intéressant la partie moyenne de la
substance
blanche et dans laquelle on découvre des parasi
lle est l'origine, quelles sont les étapes du dévelop- pement de la
substance
chromatique et de la substance achroma- tique ?
les étapes du dévelop- pement de la substance chromatique et de la
substance
achroma- tique ? '1 La substance grise du bul
a substance chromatique et de la substance achroma- tique ? '1 La
substance
grise du bulbe et de la protubérance d'un foetus
m filamenteux peuplé de granulations très coloré également, par une
substance
intermédiaire clairsemée non colo- rable. En ce
trace de protoplasma. Ces cellules sont des noyaux, pourvues d'une
substance
filamenteuse et réti- forme chromatique, d'une
vues d'une substance filamenteuse et réti- forme chromatique, d'une
substance
uniforme indifférenciée. Quelques-uns de ces no
os nucléole (il y en a parfois deu.\), à fils chromatiques rares, à
substance
incolore constituant la plus grande partie de l
ité au bord convexe ou concave de l'élément, attire à elle toute la
substance
chromatique et se partage eu frag- ments isolés
ïde, pourvu d'un gros nucléole, de quelques petites granulations de
substance
chro- matique, et d'un léger réseau, est alors
a de la cellule, à 1 état, partie de mottes chromatiques, partie de
substance
achromatique indifférenciée : ce protoplasma co
e ; une couche très mince inférieure ou profonde, à la limite de la
substance
blanche; qui se compose d'éléments fort semblab
ule nerveuse a, comme la fibre, une origine pluricellulaire, et les
substances
qui la composent sont des éléments embryonnaire
omposent sont des éléments embryonnaires diversement développés. La
substance
chromatique n'est que le produit de la fusion d
s. La substance chromatique n'est que le produit de la fusion de la
substance
chromatique de plusieurs noyaux de cellules qui
e Gowers; par 0. Kohnstamm. (A'(;Uî-0109. Cen- « Les cellules de la
substance
grise de la moelle, écrit Edinger, sur laquelle
. On trouve, à la suite de la lésion de la partie postérieure de la
substance
grise au niveau de la portion supérieure de la mo
du ruban de Reil. Un nombre assez fort de fibres resterait dans la
substance
grise de la moelle, dans la formation réticulai
entrecroisées paraît être les régions moyennes et antérieures de la
substance
grise, ainsi que la base de la corne postérieur
Ziehen : ce dernier monte dans la couche limitrophe externe de la
substance
grise et dans les mailles de la formation réticul
de mettre en parallèle les fibres obliques cirzé7éôrzyes, qui de la
substance
grise d'un côté s'en vont au cordon antérieur de
commissure antérieure, avec les fibres transverses qui unissent la
substance
grise il la substance grise. Celles des fibres
, avec les fibres transverses qui unissent la substance grise il la
substance
grise. Celles des fibres ascendantes à court tr
possèdent vraiment des fibres croisées ascendantes qui unissent la
substance
grise de la moelle au cerveau moyen et au cerve
re admettrait aisément trois doigts, un drain est placé en pleine
substance
nerveuse. Au dixième jour, toute parai) sie,l tou
- tions locales de l'adventice des vaisseaux. Dans l'écorce et la
substance
blanche on constate des altérations très pronon
apillaires, infiltration lymphoïde de l'adventice (surtout dans la,
substance
blanche). Prolifération des noyaux de la subs
rtout dans la, substance blanche). Prolifération des noyaux de la
substance
névroglique dans les couches corticales profond
; ancien foyer hémorragique dans la partie postéro-externe de la
substance
blanche de l'hémisphère cérébelleux droit. La piè
ne alimentation simple, variée, mixte, dans laquelle on préfère les
substances
végétales, proscrivant les matières de conserve
e voir des fibres affectant la direction longitudinale à travers la
substance
grise qui provenaient, non pas du cordon postér
ent de la dure-mère adhérente à cet endroit aux os du crâne et à la
substance
cérébrale. L'opération eut un effet très heureux
la profondeur des circonvolutions; la plupart sont situées dans la
substance
grise et.sous l'écorce célébrale. La localisati
t encore prendre en considération les altérations secondaires de la
substance
cérébrale, provoquées par la présence du cystic
des fémurs et des tibias apparaissent très épaissies, tandis que la
substance
osseuse est par endroits raréfiée, et en partie
t endoar- tériite, L'infiltration syphilitique se rencontre dans la
substance
médullaire également. Altérations parenchymateu
vroglie. Dans la région dorsale moyenne, on voit s'enfoncer dans la
substance
médullaire une tumeur gommeuse qui occupe à peu
action convulsivante à l'acide urique et pense d'ailleurs que cette
substance
, loin de s'accumuler au moment des accès ne se
que qu'ils remplacent temporairement et ce sont en défi- nitive ces
substances
toxiques, parmi lesquelles le carbaminale d'amm
dissolvants de l'acide urique augmentassent l'élimination de cette
substance
. Si les médicaments donnés possèdent bien la ve
accès épileptique est maintenant appelé à se demander quelle est la
substance
qui se forme dans l'organisme à la place de l'aci
é avec l'agent de l'épilepsie; à cela on peut objecter que bien des
substances
toxi- ques s'éliminent fort vite. Enfin Krainsk
dehors) est sim- plement le produit de l'excitation mécanique de la
substance
mus- culaire : du reste on peut suivre les fais
réflexe au deltoïde et au biceps. En cet endroit, il n'y a pas de
substance
musculaire sur l'étendue d'une pièce de deux fran
marginale). - A ce niveau la lésion gagne en profondeur jusqu'à la
substance
blanche : l'enlèvement de la pie-mère détermine
e la pie-mère détermine la séparation complète de l'écorce et de la
substance
blanche (altération de liaillarger). Lésions à
abcès indépendants, de la grosseur de petites noix, situés dans la
substance
blanche du lobe frontal droit, au-dessus et en
sous- · SOCIÉTÉS SAVANTES. zizi jacent à la deuxième frontale. La
substance
grise n'est atteinte nulle part. Il n'y a aucun
Il pourrait - être dû à l'intoxication de la plaque musculaire; la
substance
toxique serait produite par les muscles en trav
e bandelette optique aboutir, en partie du moins, à trois amas de
substances
grises : au corps genouillé externe, au tu- be1
es du nerf optique viendraient se terminer dans les amas susdits de
substance
grise, et principalement dans le corps genouill
des couches optiques. ' Les autres pénétrant directement dans la
substance
blanche de l'axe cérébro-spinal se mêleraient a
ral. Il est séparé de ce ventricule par le tapetum, mince couche de
substance
blanche, formée par des fibres qui émanent du c
s grande partie de la scissure calcarine. Toutefois, l'écorce et la
substance
blanche sous-jacente de cette scissure étaient
es à une lésion, soit de l'écorce grise des hémisphères, soit de la
substance
blanche sous-jacente, qui nous fournit les preu
cale, c'est-à-dire en faveur d'un foyer hémorrhagique situé dans la
substance
blanche du centre uvale, qu'en faveur de lésion
la surface du lobe occipital, un foyer circons- crit, situé dans la
substance
blanche du centre ovale, pro- duira une hémiano
puisque la malade ne présenta aucun signe d'intoxication par cette
substance
. La malade présenta des signes de dégénération
e tissu scléreux. Même état, quoique moindre, des cordons latéraux.
Substance
grise très peu , altérée. Pie-mère épaissie. To
r moi, Considéré au point de vue de la philosophie, l’éther est une
substance
excessivement déliée, parfaitement distincte de l
t déliée, parfaitement distincte de la matière proprement dite. Cette
substance
peut être regardée comme une émanation essentiell
ces portaient principalement sur deux points fondamentaux. L’unité de
substance
que nous proclamons tous deux, c’est pour vous l’
magnétiseur laisse dans l’organisme du sujet une portion de sa propre
substance
, une certaine dose de fluide... Si l’influence ex
atures, puisque le fluide n’est qu’une émanation directe de sa propre
substance
. L’éther où on est non-seulement visible pour les
diminuent tant de praticiens actuels, n’en appartient pas moins à la
substance
du spiritualisme. A pareil jour, à pareille fête,
cration fatale à leur volonté mauvaise. « Ils forment un composé de
substances
qu’on ne peut se procurer sans crime et allier sa
si doué, de constater la présence, dans les corps de la nature, d’une
substance
dont l’importance est à peine soupçonnée des sava
minutieuse ne pourrait découvrir la plus légère modification. Cette
substance
qui se dégage des deux extrémités de l’aimant, in
s effets opposés de fraîcheur et de chaleur fait supposer déjà que la
substance
qui se dégage ainsi des corps est douée de polari
ce; puis, l’électricité ne se dégage pas sans excitant, tandis que la
substance
en question peut constamment être vue ou perçue.
La lumière ne saurait être perçue par le sens du tact. C’est donc une
substance
nouvelle, mais qui se rapproche de la chaleur, de
et que la différence de leurs effets ne permet point de confondre ces
substances
l’une avec l’autre. Que les deux extrémités d’u
indéniables, du baquet de Mesmer. Mélange confus de toutes sortes de
substances
organiques et inorganiques réagissant les unes su
ait être un immense foyer non d’électricité ou de galvanisme, mais de
substance
odique : la découverte de M. Reichenbach prouve q
açait dans l'espace même qu’il occupait, envelopper entièrement de sa
substance
lumineuse celui qui s’y trouvait, l’feflel, qui c
ource doivent, puisqu'il en est ainsi, dégager en grande abondance la
substance
odique. C’est ce que reconnaissent les sensitifs
à sont nombreuses; néanmoins elles ne se bornent pas là. L’od est une
substance
universelle; on la retrouve partout. Les corps am
e universelle; on la retrouve partout. Les corps amorphes, toutes les
substances
solides, liquides ou gazêiformes. la détiennent e
quantité; seulement la lueur odique est tou- jours rouge dans toile
substance
, bleue clans telle autre. En prenant pour point d
s impressions qu’il perçoit, la vivacité des lueurs produites par les
substances
, et les divisant en positives et négatives, le se
n du courant vol laïque : sous cette impulsion, on le sait, certaines
substances
se déposent sur la lame de zinc, ce sont celles q
eulement par l’intensité des phénomènes que le sensitif distingue les
substances
. L’od de chaque corps a une action qui se diversi
'une manière précise les impressions qu'elle recevait des différentes
substances
. Lorsqu’elle se trouvait au-dessus d’une mine de
e chose ici. Ne voit-on pas que la salive employée de nos jours comme
substance
préserva-tive ou curative date de temps immémoria
riseraient à penser que l’homme est une source riche et permanente de
substance
odique, si nous n’avions une raison supérieure de
s, ainsi que les fleurs, dégagent une lumière bleuâtre, tandis que la
substance
odique est rouge dans les autres parties du végét
ir aux deux pôles magnétiques de la terre une accumula tion énorme de
substance
odique. L’expérience suivante vient corroborer ce
ques devenus visibles pour tous, à cause de l’immense accumulation de
substance
. Aucune des explications d’ailleurs hasardées,—so
action sur le fer, le nickel, le cobalt, devient dans ce seul cas une
substance
extrêmement lumineuse; —soit par Biot, Humphry Da
u'elles habitent un corps, soit qu’elles en sortent, ont toujours une
substance
corporelle. » Saint Hilaire. « L’âme est une ma
qu’à présent. Ils ne pouvaient concevoir l’âme, sans concevoir « une
substance
, un mouvement, une diffusion. • Ces doctrines s
ience et de la raison.) D’après Spinosa : L’âme est un mode de la
substance
infinie. L'àme est identiquement conforme au co
intelligence de l’homme. « L’esprit est l’unité intelligente... Une
substance
simple, ayant conscience d’clle-ménie. » Ch. de H
esprit. » Hermès. Le Fluide(2), /luidut (de /luere, couler), est la
substance
des êtres et des choses dans ces états d’expansib
onstituants du fluide est donc positivement l’existence de toutes les
substances
, dans un état puissantiel supérieur de pénétratio
me (de /win, meule), est l'clat de condensation ou de massivité de la
substance
; ctat qui nous la rend ainsi vulgairement visible
rmès. tous les corps, et l’on désignait, sous le nom de matière, la
substance
saisissablc qui les composait. Cette matière, à p
raissait être la voix delà lumière. Ce verbe saint était porté sur la
substance
humide, d’où s’échappait alors un feu pur, qui mo
e acception, en l’employant seulement pour désigner dan3 les corps la
substance
saisissable. Cette dé- bouleversait; il en raco
une théorie de la santé, de la maladie et de la guérison. En voici la
substance
: la santé est le résultat d’une circulation bien
ceskè. (Lettres lur le Psychisme.) a Les idées ainsi revêtues d'une
substance
, agissent physiquement sur les êtres vivants par
imagine l'aspect de leurs vivantes phé-noménalités, sont formés d'une
substance
véritable ; attendu que, sans la réalité substant
llon, emblcme de l'âme chez les anciens), adjectif qualificatif de la
substance
en scs variétés fluidéides; soit qu'elle émane de
ouée d’une force plastique qui, lorsqu’elle a produit (au dehors) une
substance
, lui imprime une force et peut l’envoyer au loin
titue son ressort. En magnétisme, si nous n'avons de notions sur la
substance
et la constitution de l'âme, quelle idée pouvons-
nc avant de revenir aux objections de M. d’Arhaud. Qu'est-cc que la
substance
? La SmsTANCE, substantia, substratum (de aubsta
ée est une lumière dont notre volonté dispose. « La lumière est une
substance
. « Le mouvement est son essence. » Ciiardel.
ls sont, car tous les hommes n'en ont pas le jugement. » Hermès. La
substance
est donc l’esprit subtil, Ia type quintessentiel
ivrou. V esprit universel, l'éther de la planète, comprend toutes les
substances
dans son unité. Voilà comment et pourquoi la thér
és, pl. 9 et 12. jeune sœur de la Reine, « dont le mal a pénétré la
substance
, >■ ou suivant une variante, « sur les membres
tion montrera en outre que la connaissance du magnétisme, celle d’une
substance
universelle qui se modifie indéfiniment sous l’im
tations constantes, la cause de leurs profonds ravissements que cette
substance
universelle, qui du sein de l’unité allait ainsi
, la jeune sœur de la reine Neferou-Ra ; un mal a pénétré 1 dans sa
substance
; que ta Majesté veuille envoyer un homme connais-
re à produire de fortes commotions. Il faut réduire « les différentes
substances
en, poudre très-fine. » Le plus simple bon sens
re de /'rance). (3) Précis historique, p. 201. Mesmer répondit en
substance
« que son long séjour en « France ne pouvait lais
nétique humain. Observation par M. Henry André, 667. Unité (de l') de
substance
et de force, cause de tous les phénomènes vitaux
z, caractérisée par des lésions centrales consistant en fonte de la
substance
grise qui constitue la commissure grise de la m
bstance grise qui constitue la commissure grise de la moelle. Cette
substance
grise se transforme peu à peu en une matière an
le à l'oeil nu. Tout au plus existe-t-il un peu de congestion de la
substance
grise et une légère diminution de consistance d
ues altérations qui plus haut vont prendre de l'importance. Dans la
substance
blanche, les travées pie-mériennes qui conduise
traitées par l'acide osmique et montées dans la glycérine. Dans la
substance
grise, les cellules des cornes antérieures se col
es paraissent occuper l'espace périvasculaire des capillaires de la
substance
grise, dans les cornes antérieures et la commissu
ensité différente, nous les décrirons au niveau du foyer. Dans la
substance
grise, l'attention est attirée même à un faible g
ornes, surtout les antérieures : elles paraissent constituées par une
substance
vitreuse ou colloïde qui se serait infiltrée da
înes lymphatiques des vaisseaux ou entre les éléments propres de la
substance
grise : il est fréquent d'apercevoir la coupe t
ltérations du même genre, moins avancées. Quant aux vaisseaux de la
substance
grise, les modifications qu'ils présentent se r
le seulement que ce tissu ait perdu en partie son affinité pour les
substances
colorantes, au pourtour des lacs de substance col
on affinité pour les substances colorantes, au pourtour des lacs de
substance
colloïde dé- crits plus haut. Canal central obl
s cellules à gros noyau. On aperçoit enlin sur les coupes dans la
substance
grise, surtout au pourtour des infiltrations co
cules amyloïdes ; ceux-ci se trouvent non seulement au milieu de la
substance
même des cornes, mais aussi disséminés dans les
i disséminés dans les filets radiculaires qui en partent. Dans la
substance
blanche les lésions nerveuses sont réparties d'un
se. Il nous reste à ajouter, pour ce qui concerne les lésions de la
substance
hlan- che que les petits vaisseaux soûl altérés
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lement, et surtout dans le voisinage de la
substance
grise, les interstices des tubes nerveux sont o
tance grise, les interstices des tubes nerveux sont occupés par une
substance
colloïde teintée en rose par le carmin, qui par
nt identique il celle dont nous avons signalé la pré- sence dans la
substance
grise. Ici, comme dans la substance grise elle pa
s signalé la pré- sence dans la substance grise. Ici, comme dans la
substance
grise elle paraît avoir pour siège non seulemen
nt 9 diam. Obj. 00 variable Verick). A, A' exsudât colloide dans la
substance
grise. En A, cet exsudat occupe visible- ment l
ns la moelle dorsale ; la plupart sont situées sous la pie-mère. La
substance
grise est abso- lument intacte. Quant à l'inf
és les uns contre les autres en amas compacts sans interposition de
substance
intercellulaire; par places péné- trant la pie-
ropagation de l'infiltration méningée; elles sont évidentes dans la
substance
blanche au niveau des cordons postérieurs, à la
ndantes de l'infiltration méningée. Elles intéressent d'une part la
substance
grise centrale sur une hauteur de 5 à G racines
grise centrale sur une hauteur de 5 à G racines, et d'autre part la
substance
blanche des cordons latéraux sur une étendue un
e blanche des cordons latéraux sur une étendue un peu moindre. La
substance
grise, dans toute la moitié supérieure de la moel
rnes antérieures principalement (La présence de ces cavités dans la
substance
grise, soit dit en passant, est à mettre en reg
qu'il s'agit là d'un exsudai primitivement liquide, ayant envahi la
substance
grise cen- trale par le sillon médian antérieur
partie de la moelle. Cet exsudat se serait arrêté aux limites de la
substance
blanche, qui lui aurait opposé une barrière plu
ervé leur apparence normale). Par contre le tissu névroglique de la
substance
grise est à peine altéré : le tissu fon- dament
mais on n'y constate pas la moindre prolifération active. Dans la
substance
blanche, les lésions que nous avons décrites prés
plus nombreux) plus profonds, quelques-uns même au con- tact de la
substance
grise; et tous présentant dans leur direction, ce
les vaisseaux des méninges, les lésions vasculaires observées dans la
substance
blanche de la moelle semblent de peu d'importan
ires, de l'autre des altérations des éléments nerveux dans les deux
substances
de la moelle. Pour une part au moins, la myélit
eux. Restent à expliquer les altérations du cordon latéral et de la
substance
grise, en apparence indépendantes des lésions m
ns identiques à celles dont il est question. Pour ce qui regarde la
substance
grise, nous pensons que les altérations dont el
ision quelle est l'o- rigine de l'exsudat colloïde infiltré dans la
substance
des cornes antérieu- res et de la commissure gr
oppes molles, dans l'espace sous-arachnoïdien; elle peut envahir la
substance
médullaire, détruire ou comprimer les racines n
des vaisseaux qui forment autant de centres d'infiltration. Dans la
substance
grise, « le tissu, qui paraît raréfié est infiltr
une comhlée par celte matière amorphe qui sépare les éléments de la
substance
grise. » M. le professeur IIayem (1874) à propo
ngés, veines et artères, et des altérations dé- génératives dans la
substance
blanche de la moelle. La pie-mère offrait une m
à la surface de la moelle sont gorgés de sang. Sur les cou- pes, la
substance
grise a paru seulement congestionnée dans toute l
orne antérieure gauche est rétractée, atrophiée. Il existe, dans la
substance
blanche de larges territoires de sclérose, Fig.
même, les lésions sont considérables dans les deux subs- tances. La
substance
grise est tellement déformée qu'on a peine à reco
mais ne présente pas d'hémorihagies semblables. Les vaisseaux de la
substance
grise n'offrent pas d'alléralions de leurs parois
n ne constate pas la présence de véritables corps granuleux dans la
substance
grise : ceux-ci apparaissent seulement au voisina
ent seulement au voisinage des cordons blancs. La névroglie de la
substance
grise présente un état d'irritation très marquée
Ils se rencontrent également dans les 2 cornes. Nulle part, dans la
substance
blanche, on ne rencontre d'éléments semblables.
d'un brun sale. Dans cette partie centrale, il existe une perte de
substance
sur toutes les coupes. Le petit territoire dinu
che, et d'autant mieux systématisée que l'on descend plus bas. La
substance
grise reprend son apparence normale dans la moell
nnaire assez abon- dante qui se prolonge dans ce sillon. Enfin la
substance
grise est le siège de petites hémorrhagies sembla
ns la moelle dorsale supérieure, présente une sclérose diffuse delà
substance
blanche, dont l'origine méuingo-vascuiaire ne s
matoires étaient en ce point beau- coup moins accentués que dans la
substance
blanche. Tout porte donc à croire que, chez not
de la moelle. La forme de celle-ci est parfaitement conservée : la
substance
grise a sa configura- tion normale. Les cordons
méningite, et dont le sommet, très-aigu, va se prolonger jusqu'à la
substance
grise de la commissure. Le sillon médian postér
ninges, fibreuses, très épaissies sont étroitement adhérentes il la
substance
nerveuse. La pyramide correspondante est dégénéré
inférieur du facial). Les vaisseaux présentent d'ailleurs, dans la
substance
grise du 4° ventricule, une gaine lym- phatique
il n'est pas sans intérêt de mettre en regard des altérations de la
substance
grise rencontrées dans ce cas. Les réflexes ten
ature de la peau redevient normale. Bandage sec sans application de
substances
médicamenteuses. 10. Sur le côté externe de l'a
ds, est rapportée à la rupture d'anévrysmes des petites artères de la
substance
cérébrale. Ces anévrysmes, dont le rôle pathogéni
de aux hémorrliagies qui se font primitivement dans l'épaisseur de la
substance
encéphalique, laissant ainsi de côté un certain n
fracture du crâne avec enfoncement qui produit un épanchement dans la
substance
encéphalique n'exige pas assurément un pareil int
pelure d'oignon. Etudiée seule ment sur les petits vaisseaux de la
substance
cérébrale, cette artérite scléreuse, qui n'est pa
ve sur les artérioles de tout calibre qui sont dans l'épaisseur de la
substance
cérébrale, et intéressent par conséquent les deux
embrane, une épaisseur égale à la dimension du calibre vasculaire. Sa
substance
est striée longïtudinalement, à la façon d'un fai
gtemps; ils siégeaient soit à la surface, soit dans l'épaisseur de la
substance
grise, soit à la réunion de la substance blanche
soit dans l'épaisseur de la substance grise, soit à la réunion de la
substance
blanche a\Tec la couche corticale. Cette position
morrhagique. Quand les anévrysmes sont complètement plongés dans la
substance
grise des circonvolutions, il arrive souvent qu'o
ferme dans l'hémisphère gauche un vaste épanchernent qui a labouré la
substance
du centre ovale et dilacéré le corps strié. Un ép
aît à peu près sain. L'aorte présente quelques plaques calcifiées. La
substance
corticale des reins est très atrophiée. Obs. X.
ombreux anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les vaisseaux de la
substance
cérébrale présentent au microscope une multiplica
ues jaunes cl'athérome. Les reins pèsent ensemble 205 grammes et leur
substance
corticale paraît un peu atrophiée. Obs. XXIV. S
ite, un autre à la partie antérieure du ventricule droit, une dans la
substance
grise de l'une des circonvolutions frontales droi
un en arrière de la couche optique gauche, et un autre enfin dans la
substance
blanche du lobe occipital gauche. On trouve de pl
èsent ensemble 230 grammes et offrent un léger degré d'atrophie de la
substance
corticale. Foyers anciens sans hémorrhagie réce
es reins petits, grenus à la surface, pèsent ensembfe 180 grammes, la
substance
corticale est atrophiée, un certain nombre des tu
— Les reins sont très petits, ils pèsent ensemble 110 grammes. — Leur
substance
corticale est un peu atrophiée. Obs. LV1I. Salp
embre 1867. L'autopsie montre dans le corps strié gauche et dans la
substance
blanche de l'hémisphère droit, empiétant sur une
édicale de Lyon, 9 février 1868). et ses prolongements à travers la
substance
grise. Lespetitesartè-res des corps striés sont d
ensemble 205 gr. et présentent un état assez notable d'atrophie de la
substance
corticale avec aspect grenu de la surface. Obs.
s sigmoïcles présentent seulement quelques végétations en festons. La
substance
corticate des reins est uu peu atrophiée ; ces or
ccipitales, existe un autre anévrysme miliaire dans l'épaisseur de la
substance
grise. Obs. LXXV. Salpêtrière. — Charcot. Cro
reins pèsent ensemble 114 gr. et présentent un peu d'atrophie cle la
substance
corticale. Vaorte est à peu près saine. Obs. LX
s à la surface du cerveau, quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la
substance
grise. En outre de ces taches d'un rouge noir, on
rouge noir, on voit à la surface du cerceau et dans l'épaisseur de la
substance
grise, une foule de petites granulations brunes,
remarquait sur fe sac de l'anévrysme, avait donné issue au sang. — La
substance
cérébrate autour du foyer n'était point ramolfie.
a trouvé les anévrysmes en faisant macérer dans l'eau eten lavant la
substance
cérébrale ainsi ramollie. M. Schu-lhof dit à ce p
, pour tissu fondamental, du tissu conjonctif réparti au milieu d'une
substance
finement granuleuse, amorphe. Le tissu conjonctif
noyaux, d'un diamètre large, elliptiques, disséminés au milieu de la
substance
granuleuse. Quand on dilacere la préparation, on
ffre une configuration exactement semblable à la forme de la perte de
substance
du crâne; elle devait s'y appliquer, et s'y trouv
ment jusque dans les anfractuosités, se sépare assez facilement de la
substance
cérébrale, qui ne paraît point ramollie ù sa surf
; on n'y trouve rien d'anormal. Il n'y a point mémo d'injection de la
substance
cérébrale. Les parois des ventricules ne sont pas
t, d'ailleurs, séparées du foyer de ramollissement par des parties de
substance
nerveuse qui parurent être à l'état sain. La pièc
ent d'être indiquées. En désespoir de cause, de minces fragments de
substance
nerveuse, pris sur divers points de la troisième
ettre que les quelques altérations révélées par le microscope dans la
substance
nerveuse de la troisième circonvolution suffisent
out au moins l'appréciation de la valeur réelle des altérations de la
substance
nerveuse cérébrale. Sans aucun doute, cette obs
cas, le ramollissement résulte d'une transformation régressive de la
substance
nerveuse ; il n'est pas le fait d'un processus in
ires. Dans le ramollissement, l'infiltration granulo-graisseuse de la
substance
cérébrale est la première lésion appréciable. Ell
re : il s'agit dans ce cas d'un foyer hemorrhagique développé dans la
substance
grise du renflement lombaire ; une vaste eschare
t Wounds, Philadelphie. 1864, p. 84. lité, sinon la totalité, de la
substance
grise du même côté (1 ). Ainsi, consécutivement
circonvolution marginale postérieure. Le ramollissement s'étend à la
substance
blanche sous-jacente dans la profondeur de deux c
ofondeur de deux centimètres environ. Au pourtour de cette plaque, la
substance
grise de plusieurs circonvolutions est, dans une
est due à la présence d'une tumeur qui plonge dans l'épaisseur de la
substance
blanche, et est recouverte par une couche ex.trôm
e blanche, et est recouverte par une couche ex.trôme-ment mince de la
substance
grise de la circonvolution. Cette tumeur, qui a l
me les noyaux renfermés dans les cellules, portent des nucléoles. Une
substance
homogène, amorphe, cimente ces divers éléments. L
t substituées aux éléments cellulaires. Au voisinage de la tumeur, la
substance
grise, comme la substance blanche du cerveau, n'o
cellulaires. Au voisinage de la tumeur, la substance grise, comme la
substance
blanche du cerveau, n'ont offert aucune altératio
tération appréciable. — Toutefois, des préparations de cette dernière
substance
, colorées à l'aide du carmin, ont paru présenter
x circonvolutions ; il occupe , dans Fétendue d'une petite noix, ta
substance
blanche sous-jacente. La partie la plus antérie
iable à l'œil nu. Leur surface est réouverte d'une couche mince d'une
substance
glaireuse, transparente, qui s'enlève aisément av
érieure dn fémur gauche. — Ramollissement blanc, violacé, occupant la
substance
blanche du centre ovale et ayant envahi, la presq
turel qu'à des époques où l'on essayait, en thérapeutique, toutes les
substances
qui se rencontrent dans le monde minéral, cette m
sur les fibres tendineuses qui sont en rapport de continuité avec la
substance
musculaire, ou sur les rameaux nerveux moteurs do
xcitation des petits rameaux nerveux et de leurs terminaisons dans la
substance
du muscle ? La solution de ce problème ne saurait
n corps étranger dont le contact irrite la cornée. De même, certaines
substances
sont aussi efficaces que la peur pour provoquer u
é à un certain point de la moelle mais une lésion segmentaire de la
substance
grise des cornes postérieures et du renflement
ble pas jusqu'ici suffisamment justifiée. Nous pourrions répéter en
substance
à propos de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 68
lite parce qu'il désigne plus particulièrement l'inflammation de la
substance
grise située entre l'origine de la troisième pa
La maladie de Basedow est une affection centrale, siégeant, dans la
substance
grise du bulbe, à la hauteur du noyau du facial
ou plus exactement la zone d'entrée des fibres radiculaires dans la
substance
grise. Si l'on trace une ligne partant de l'ang
stance grise. Si l'on trace une ligne partant de l'angle qui, de la
substance
gélatineuse de Roland, s'avance vers le sillon
égie droite. Mort, autopsie : pâleur et augmentation de l'eau de la
substance
du corps opto-strié gauche, petit ramollissemen
e et les vaisseaux du cerveau, avec des signes de dénutrition de la
substance
blanche. (New-York médical Journal, 2 avril 188
OBs. I. Lésion de la surface des circonvolutions, pénétrant dans la
substance
médullaire et détruisant quelques-uns des pro-
as. V. Destruction d'une partie du lobe temporo-sphénoïda) et de la
substance
médullaire sous-jacente; cette destruction inté-
t détruit une partie du corps strié, de la capsule interne et de la
substance
médullaire du cerveau ; dé- générescence partie
isphère cérébral gauche. On peut se convaincre de l'énorme perte de
substance
, en palpant son crâne X; ainsi, au niveau de la
clairé ces faits d'un nouveau jour; d'après lui, la contusion de la
substance
mus- culaire est appréciée à sa juste valeur. M
présente quelques pièces de dégénérescence secondaire à travers la
substance
blanche de l'écorce, dégénérescence ayant été p
eut suivre une dégénérescence descendante très marquée allant de la
substance
blanche de l'écorce au centre ovale ; pour des
ros comme un pois, occupant la partie limite entre l'écorce et la
substance
blanche; dégénérescence secondaire peu étendue.
as : dégénérescence diffuse de fibres nerveuses à myé- line dans la
substance
blanche corticale, mais ayant plus ou moins res
part une dégénérescence secondaire de haut en bas; elle traverse la
substance
blanche de l'écorce et coupe la portion cortica
cerveau de ces dégé- nérescences diffuses de fibres nerveuses de la
substance
blanche, tandis que l'écorce offrait une atroph
it, de 1887, p. 73 : remarquable dégénérescence à l'intérieur de la
substance
blanche. Préparations de moelle témoignant d'un
lules à plusieurs noyaux, transformation finement granuleuse, de la
substance
cellulaire, sont incapables de décider de la qu
pper ultérieurement. SÉNAT. loi M. Krontiial. De l'hétérotopie de
substance
grise dans la moelle. Publiée itz extenso dans
es primitifs et constants de l'affection décrite se nichent dans la
substance
grise de la moelle épinière, '198 PATHOLOGIE NE
d'une localisation irrégulière du processus patho- logique dans la
substance
blanche, ils constituent plutôt une complicatio
naisons les plus variées, si le processus pathologique s'étend à la
substance
blanche de la moelle épinière, ce qui, à notre
er on remarque quelques traces d'adhérences ; la coloration de la
substance
cérébrale paraît à peu près normale. Le lobe oc
ie dans le liquide de Muiler. Cerveau droit. Portions atrophiées.
Substance
grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des porti
es. Substance grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des portions de
substance
cérébrale en se détachant; la première couche d
ns de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la
substance
grise est confondue avec la seconde; elle prése
larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la
substance
grise, celle des petites cellules pyramidales. Ce
ses arrondies, granu- leuses et pigmentées ; elles empiètent sur la
substance
grise des deux couches qui les contiennent par
dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première couche de
substance
grise est épaissie, fibrillaire et chargée de n
a- griné qui résulte de l'effondrement des couches moyennes de la
substance
grise et l'état kystique, aréolaire qu'on observe
éries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la
substance
grise et la substance blanche sont chargées de
à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la
substance
blanche sont chargées de petites cellules ronde
upart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la
substance
grise où elle est morcelée parle réseau vascula
est morcelée parle réseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la
substance
blanche, nombreux corps granuleux et blocs grai
iation dans les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la
substance
blanche. Dans le lobe occipital, on retrouve, à c
'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la
substance
grise et on peut leur distinguer de L'ÉPILEPSIE
éro-latéral ; ce noyau accessoire' parait être une dépendance de la
substance
grise du noyau antéro-latéral. Il présente ordi
par la mollesse de son tissu et par la couleur rouge intense de la
substance
grise dont les con- tours s'aperçoivent à l'oei
égénéralive partielle. Les deux sciatiques présentent des perles de
substance
du parenchyme probablement congénitales absolum
nes des pou- mons tuberculeux ont infecté les nerfs non pas de leur
substance
môme, mais de leurs produits de combustion orga
ériode embryonnaire emprisonnées dans les cordons postérieurs de la
substance
blanche, peuvent, par leur prolifération, donne
lie a pour siège primitif non seu- lement l'épendyme, mais aussi la
substance
gélatineuse de Rolando et celle de la racine as
opsies de Schultze, le processus mor- bide atteint de préférence la
substance
grise; les li- mites de ce processus coïncident
ascendante du nerf trijumeau, où s'hyperplasie la neuroglie de la
substance
gélatineuse. Mais, en outre, on observe comme u
lasie néoplastique, les parties des cordons latéraux adjacents à la
substance
grise. Toutes ces altérations de la substance b
raux adjacents à la substance grise. Toutes ces altérations de la
substance
blanche ne sont point du tout égales en lieu et
ère de l'altération pathologique dans les cornes postérieures et la
substance
grise pour trouver une explication toute prête
acines dans la moelle épinière et de leur marche ultérieure dans la
substance
blanche et grise. Au contraire, les cas de glio
- tions anatomiques. Nous les voyons dans la distribu- tion de la
substance
gélatineuse, qui se trouve autour du canal cent
trui- rait pour ainsi dire en bloc les parties avoisinantes de la
substance
grise. Il serait inutile de revenir sur cette s
ées aux parois de la ca- vité ; d'autres encore se trouvent dans la
substance
gliomateuse, uniforme en apparence. Quoi qu'il
t dans les conditions altérées du développement embryologique de la
substance
grise de la moelle épi- nière et que différente
n de parties de certains segments des colonnes postérieures de la
substance
grise de la moelle épinière et de la subs- tanc
ion, engendré l'élément clonique. Les excitations électriques de la
substance
blanche con- firment cet exposé, car une région
on corticale envisagée une fois enlevée, on produit, en excitant la
substance
blanche sous-jacente, des contractions toniques
ramollissement microscopiques de divers volumes dans l'écorce et la
substance
blanche de l'hémisphère cérébral gauche. P. li.
ns de méningite tuberculeuse cérébro-spinale avec destruction de la
substance
blanche de la moelle (phéno- mènes paralytiques
ument pure; atrophie, disparition presque totale des cellules de la
substance
fondamen- tale ; ces altérations, surtout marqu
Intégrité des cornes postérieures, des colonnes de Clarhe, de la
substance
blanche, des noyaux et des racines des nerfs, dég
ur externe. Les organes atteints sont : le tubercule de Rolando, la
substance
gélatineuse delà corne postérieure, les racines
Observation ayant son intérêt en ce que : 1° la tumeur occupait la
substance
même de la moelle sans léser les méninges; 21 le
et des bronches. Pie-mère congestionnée. Le cerveau pèse 1,350. La'
substance
SOCIÉTÉS SAVANTES. 457 cérébrale sèche, ferme
dales, soit dans l'écorce, soit dans la lisière de l'écorce vers la
substance
blanche. L'auteur a pris des moyennes. Il a tro
r), lar Amadei, 280.. v- Dégénérescence secondaire à travers la
substance
blanche cérébrale, par Zacher, 9. Délire aigu
édullaires des os longs; canaux aréo-Inires, sanguins et adipeux, des
substances
spongieuse etréticu-laire de tous les os. 2° Le
le canal médullaire des os longs que pour les canaux aréolaires delà
substance
spongieuse, composent un système de cavités commu
pourtant homogène, eu égard aux parties composantes. Les fibres de la
substance
compacte sont rayonnées dans les os larges, longi
xtrémités articulaires de ces derniers et dans les os courts. Dans la
substance
spongieuse, elles sont lamellaires ou filiformes.
erons quelle disposition prend le tissu fibreux dans l'épaisseur delà
substance
compacte des os, pour en former la trame prétendu
les grands amas de sang noir dont la pression aurait été funeste à la
substance
nerveuse.Enfin ecttemembrane s'entrouvre par auta
mes, elle forme des rides transversales qui ralentissent le cours des
substances
étrangères, et peuvent facilement former des culs
ns fait observer, à des degrés différens, suivant la densité des deux
substances
en action, d'une part les tissus, et de l'autre l
ori. Les expériences si exactes de M. Magen-die, sur l'absorption des
substances
liquides et gazeuses; celles encore plus original
anes qu'ils renferment ou qui les environnent. i° Altérations de la
substance
des os. Dans les affections morbides, encore peu
ste externe, circonscrivent la maladie au tissu malade lui-même. A la
substance
compacte appartiennent les maladies suivantes : (
nécrose, ou la gangrène par obstruction des canaux vasculaires de la
substance
compacte; véritable carie delà substance compacte
des canaux vasculaires de la substance compacte; véritable carie delà
substance
compacte ou l'affection du tissu vasculaire est m
ou l'affection du tissu vasculaire est masquée par l'abondance de la
substance
calcaire. On sait avec quelle netteté cette malad
eule qui se confonde en une masse commune avec les tissus voisins. La
substance
spongieuse, outre les maladies qui précèdent, est
raréfié, et qui n'offre des apparences si différentes de celle de la
substance
compacte, qu'en raison de l'extrême vascularité d
e et de la médecine. Mais s'il y a eu des esquilles qui aient lésé la
substance
du cerveau ou que cet organe ait subi un fort ébr
matières tuberculeuse et colloïdes, les graisses, les sels, et les
substances
colorantes, mélanose ou kirronose, qu'ils soient
, et lorsque leur présence irritera mécaniquement les tissus, que les
substances
solides donneront lieu à des complications dont l
isceaux vasculaires se transforment en agens conducteurs des diverses
substances
gazeuses, liquides ou solides; mais les effets va
lieu lorsque 1 epanchement gazeux est en petite quantité. Dès que la
substance
qui circule au travers des espaces celluleux pren
t elles sont les produits. Ainsi, on conçoit déjà en théorie, que les
substances
très perméables, les gaz et les fluides aqueux, t
s ce sens qu'il est bien rare que des fluides, le sang, le pus, ou la
substance
cérébrale amollie, excepté les cas de fracture av
ubstance cérébrale amollie, excepté les cas de fracture avec perte de
substance
, puissent se faire jour hors de la cavité du crân
ltration purulente à la partie déclive des plaies, même sans perte de
substance
. C'est à la même cause cpie se rattache la forme
eu de pratiquer la rhinoplastic, ou contraint à remplacer la perte de
substance
par un nez artificiel. B. Fosses nasales. i° Pe
ion , sont également disposées à part. Il faut y joindre les diverses
substances
employées dans l'hémostatique, des vases avec de
les lieux encombrés de malades ; enfin de faciliter l'application des
substances
médicamenteuses jugées nécessaires pour la guéris
Instrumens de ligature. i° Liens. On y emploie des fils de diverses
substances
très résistantes, le chanvre, le lin , la soie, l
let et les diverses sortes de serre-nœuds. Premier procédé. Fils de
substances
végétales ou animales. On fait, comme il a été ex
ides, le sang, la sérosité, le pus, dont l'humidité neutraliserait la
substance
caustique ou absorberait inutilement le calorique
ique ; 3° préserver de l'action chimique les parties voisines par des
substances
absorbantes, telles que le linge, la charpie, pou
tus de matière animale désorganisée et plus ou moins combinée avec la
substance
cautérisante. L'escharre varie de profondeur, de
prédomine sur les autres élémens. En théorie, la décomposition de la
substance
animale est produite par une véritable combustion
l'acide sulfurique concentré, s'emparent de l'eau que contiennent les
substances
animales ou des élémens qui forment l'eau ; l'aci
nt la profondeur de l'escharre et le mode d'action plus spécial de la
substance
cautérisante , le formation d'une aréole inflamma
chute, dans la plupart des cas, il reste une ulcération par perte de
substance
plus ou moins longue à guérir. Mais sous l'action
s, ou avec une pince à disséquer ou à anneaux que l'on trempe dans la
substance
cautérisante, et que l'on dépose sur la partie ma
r rendre cette pâte beaucoup plus active. M. Bureaud emploie les deux
substances
à proportions égales, et M. Velpeau double la pro
tiques pulvérulens, désignation sous laquelle s'employaient certaines
substances
, et en particulier des cendres très alcalines, le
ficulté à s'oxider et de sa grande capacité pour le calorique, est la
substance
métallique le plus généralement employée pour for
ux dépens des parties à travers lesquelles il pénètre, à une perte de
substance
en rapport avec sa forme; il convient lorsque l'a
rectum, etc., ou des trajets fistuleux que l'on veut entretenir. Les
substances
dont on se sert le plus habituellement comme moye
ons de continuité de forme irrégulière , consécutives à des pertes de
substance
, si un affrontement complet n'est pas possible, o
plication des sutures. io Nettoyer les lèvres tic la plaie de toute
substance
étrangère et des caillots sanguins, sans pourtant
lication des ligatures diffèrent suivant plusieurs conditions : i0 la
substance
qui forme le lien ; 2° les in- t. vi. strumen
s grosses artères ont fait tenter de nombreux essais sur la meilleure
substance
à employer en ligature. Jones, pour favoriser la
ui rappelle les lanières en cuir de Ruysch, a essayé des ligatures de
substance
animale; il s'est servi de minces lanières de pea
ables à être bouchée mécaniquement par un corps étranger. L'emploi de
substances
diverses simule autant de procédés. i° Cire. Co
t tout-à-fait insaisissable, on remplit mécaniquement sa cavité. 20
Substances
hygrométriques. On emploie dans cet objet soit un
. On emploie dans cet objet soit une bougie emplastique, ou mieux une
substance
animale , la corde à boyau , un fragment de peau
cevoir le sang, quoique non oblitéré. Le procédé d'introduction d'une
substance
étrangère a réussi à Dupuy-tren et à M. Roux, com
uéiïson, M. Mancc a tenté des expériences à ce sujet. D'après lui, la
substance
étrangère tombe en putrilage, et l'oblitération n
solution. Les plus usités sous forme pulvérulente sont l'alun et les
substances
végétales, noix de galle, écorce de chêne, racine
ive congestion. 4° Absorbans. Sous ce nom sont comprises toutes les
substances
molles, spongieuses, susceptibles de s'imbiber de
sines et en particulier la colophane, appartiennent à la seconde. Les
substances
de forme membraneuse peuvent être employées seule
et le bord de l'ongle encastré. Modification de Lafaye. La perte de
substance
à l'ongle étant opérée, pour faciliter le rapproc
gairement le tartre, est composé d'un mucus concrète mêlé de diverses
substances
étrangères qui revêt l'émail des dents, remplit l
on ou une cavité anguleuse dans lesquels séjournent et se vicient des
substances
étrangères. 2°. Carie, (c) Si la carie est supe
utôt pour les cas exceptionnels, lorsqu'il y a aux dents une perte de
substance
qui empêche l'emploi des autres instrumens. Le da
peuvent supporter. Action lente. Les cantharides en poudre sont la
substance
employée pour déterminer la vésication lente; cet
3" enfin, le trajet connu des gros vaisseaux et des nerfs. Diverses
substances
peuvent servira faire des moxas ; telles sont: le
ise, l'agaric de chêne. Le mode de combustion propre à chacune de ces
substances
constitue des moxas correspondant à des indicatio
e, et qu'il faisait ensuite sécher avec soin. — 4° Moxa chinois. La
substance
employée est le duvet que l'on obtient en pilant
moyen est indispensable. Dans la nécessité de remédier à la perte de
substance
qui rendrait la cicatrisation impossible dans cer
a forme et retendue convenables et que l'on applique sur la perte, de
substance
. Cet ingénieux artifice par lequel la chirurgie t
allie les deux modes indien et italien. Pour remédier à une perte de
substance
de l'aile du nez et de la partie supérieure de la
mbeau eurent été organisées, il le reprit pour en couvrir la perte de
substance
. Il est rare que l'on soit dans l'obligation d'
oins qui concernent le lambeau, on doit panser la plaie avec perte de
substance
, qui résulte de sa dissection. Pour faciliter le
-même un inconvénient; mais, en outre, les deux côtés de la perte cle
substance
se froncent et tendent à se rapprocher d'eux-même
même la plus simple, elle n'emprunte encore, pour réparer la perte de
substance
, que les tégumens voisins disséqués et alongés de
ompression graduée, Procédé de Chopart. Si la largeur delà perte de
substance
est très considérable, de telle sorte que la plai
rties a pu permettre détailler, presque au parallélisme delà perte de
substance
, le lambeau dont le déplacement s'effectue suivan
oire, le lambeau est pris sur une partie très éloignée de la perte de
substance
à réparer. Il s'agit donc cle rapprocher et de ma
emploie la méthode italienne sont plus particulièrement les pertes de
substance
à la face, et les régions dont ou emprunte le lam
est dû le phénomène cle la réunion spontanée des plaies avec perte de
substance
. Mais ce nouveau tissu étant privé d'élasticité,
à envahir sur tous les tissus voisins et à les convertir en sa propre
substance
. Dès qu'une excroissance de cette nature s'annonc
ère est l'ablation totale de la cicatrice, en suppléant à la perte de
substance
par l'autopla-stique déjà connue. La seconde est
é de l'enlever par dissection, c'est le cas de suppléer à la perte de
substance
au moyen de l'autoplastique , par l'une quelconqu
s congéniale pour ceux qui doivent journellement livrer passage à des
substances
étrangères, comme la bouche et l'anus. Ce genre d
employer les corps dilatans , les mèches, tubes ou sondes de diverses
substances
, dont on augmente graduellement le volume, et sur
at un allongement des muscles, soit qu'elles succèdent à une perte de
substance
ou à une simple solution de continuité; dans cell
ne remédie que par une opération offensive, à chaque l'ois, pour la
substance
cérébrale, et, par ses effets, seulement palliati
nt encore. On a conseillé, à cet effet, de les saupoudrer de diverses
substances
irritantes, le sel, la cendre, le tabac. Mais, po
r ne pas couper le vaisseau, donne le premier exemple de l'emploi des
substances
animales. Enfin le 18e siècle va étendre la sphèr
un bandage spiral qui montait d'abord jusqu'à la tumeur; un magma de
substances
résolutives était appliqué sur l'anévrisme, une c
riétés quant à la forme de la ligature elle-même et à la nature de la
substance
que Ton y emploie. Ligatures avec des substance
t à la nature de la substance que Ton y emploie. Ligatures avec des
substances
diverses. — (a) Fils de matière animale. Dans le
uvé que l'oblitération s'obtenait également avec des fils de diverses
substances
végétales ou animales ou avec des fils métallique
les faits relatés parM.Pécot,oncroit que les corps étrangers dont la
substance
est inaltérable s'enkystent dans les tissus et pe
ne de leurs extrémités : tels sont un éclat de bois ou de toute autre
substance
, une lame métallique, etc. Nous avons à indiquer
r d'un même coup la peau et le kyste ; le vider, par pression , de la
substance
cpi'il renferme, détacher ses parois de la peau d
r l'ossification de la paroi membraneuse d'un kyste et remplies d'une
substance
concrète ou pâteuse et demi-fluide. Nombre d'obse
tissus voisins qu'elles convertissent indistinctement en leur propre
substance
; 3° de repulluler très promptement, après l'extir
it tous les tissus, même les plus durs, et les convertit en sa propre
substance
. Mais à côté de ces trois faits malheureux quatre
matoire, conseille un autre procédé, qui consiste à racler d'abord la
substance
fibro-cartilagineuse qui recouvre les fragmens et
itielle ou point par point des petites lamelles et des filamens de la
substance
osseuse. Ces différences, qui ont leur raison pre
n première dans la texture, expliquent pourquoi la nécrose affecte la
substance
compacte ou la diaphyse des os, tandis que la car
e font que hâter son envahissement sur de nouvelles couches d'os. Les
substances
qui détruisent l'organisation, les véritables cau
bistouri à plus de trois centimètres (un pouce) de profondeur dans la
substance
même du cerveau. 5° Pansement. On a complètemen
les fractures du radius. La cicatrisation est en général rapide; une
substance
ostéo-fibreuse de nouvelle formation réunit les d
le cal-canéum s'unit au cuboïde. L'opération eut un plein succès; une
substance
ostéo-fibreuse combla le vide causé par l'ablatio
ans le vif, et de ménager des chairs pour recouvrir l'os, contient en
substance
tout ce qui est essentiel dans l'amputation consi
ION DU BRAS. ANATOMIE OPÉRATOIRE. Le Mémoire de Louis contient en
substance
tous les principes anatomiques qui dominent l'amp
ints du bras, d'obvier à la rétractilité avec la plus petite perte de
substance
possible; et nous ne pensons pas qu'une autre mét
, par laquelle on évite la saillie du cunéiforme, une grande perte de
substance
, la difficulté de l'opération et la presqu'imposs
êmes résultats par une marche aussi avantageuse, et sans une perte de
substance
aussi étendue. Mais nous ne saurions donner qu'un
t dans la tumeur). D. Portion de l'artère poplitée dégénérée en une
substance
pul- peuse, parsemée de petites concrétions cré
chement se fait directement à l'extérieur par les trous veineux de la
substance
compacte. (Voy. pour la texture normale t. IV. pa
bryonnaires disséminées soit dans la subs- tance grise soit dans la
substance
blanche le long des vais- seaux. Cette légère i
at grenu particulier qui n'existe pas dans les autres parties de la
substance
blanche ; de place en place, au point d'interse
ate une tuméfaction du cylindre-axe. Les cellules nerveuses de la
substance
grise sont nombreuses, présentent pour la plupa
sont plus larges, moins délicates que dans les autres parties de la
substance
blanche ; la vascularisation y est plus grande
Cellule de la névroglie, sans noyau; à prolongements multiples. c,
Substance
vaguement fibrillaire et pointillée, interposée e
l croisé. Fi(;. 4.- Celliles nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise en voie de dégénération granulo-graisseus
o.rtMM e< n;e- 1 Claucie Bei-tiar(l. - Leçons sur les effets des
substances
toxiques et naé- dicamenteuses; Paris, IS57, iv
cordons antéro-latéraux de la région cervicale de la moelle, de la
substance
noire du pédoncule et du noyau rouge de la calo
enferme effectivement l'histoire d'un ostéome vrai siégeant dans la
substance
même de l'hémisphère cérébelleux gauche; on y t
irmer que la lésion (gliomateuse) débute presque tou- jours dans la
substance
grise centrale, et qu'elle prend naissance à la
ur ne s'étendre que tardivement aux cor- dons blancs. Nulle part la
substance
grise n'est totalement anéan- tie, mais elle se
ôté du trijumeau, des symptômes cérébraux. Quant à l'atteinte de la
substance
blanche, elle est secondaire et le masque cliniqu
and on isole les uns des autres, par de profondes incisures dans la
substance
cérébrale, des départements corticaux voisins. En
ve dehauten bas tout autour d'eux une transformation chimique de la
substance
fondamentale névroidique consistant en aspect [
A d'autres pé- riodes, les corpuscules amyloïdes ont disparu, et la
substance
fon- damentale apparaît sous la forme d'un rése
distinguer de la sclérose, car la sclérose atteint de préférence la
substance
blanche, porte surla paroi vasculaire (épaissis
ances qui constituent autant de gibbosités; elles sont composées de
substance
blanche. La substance grise, surtout à la région
autant de gibbosités; elles sont composées de substance blanche. La
substance
grise, surtout à la région cer- vicale, est, da
et postérieures, interrompue dans sa continuité par des tractus de
substance
blanche, de quelque façon qu'on pratique des co
re de cette région, sur une étendue en hauteur peu considérable, la
substance
grise est réduite à des points. Nous laissons n
- nations, ainsi que pour les états en rapport avec des pertes de
substance
(paralysie générale au début). Il importe cependa
scinde en A, le tronc avec les ganglions de la base; B, le manteau (
substance
blanche et écorce des circonvolutions). Nous ap
l'on se propose d'administrer. Il y a donc à rechercher : 1° si la
substance
est réellement du curare; 2° quelle est l'activit
UE. encore de grandes variétés dans l'importance de cette lame de
substance
grise qui est désignée sous le nom de racine gris
me nerveux nous échappe encore à beaucoup d'égards, il est quelques
substances
que nous savons y jouer un grand rôle, et parmi
ide phosphoripue par les urines on puisse arriver à savoir si cette
substance
joue un rôle dans la nutrition du système nerve
, par exemple; mais ce sont surtout les urines qui renferment cette
substance
. Les recherches auxquelles nous nous sommes liv
ne. suppose pas néces- sairement un grand accroissement de la de la
substance
nerveuse; il se peut que la désassimilation des
la de la substance nerveuse; il se peut que la désassimilation des
substances
pliosphorées disséminées dans divers tissus de
o- rique de déchet, comme le résultat de la désassimilation de la
substance
nerveuse. 1 Mosler. l3eilrtie zur lCezzzzln7s.s
onclure que cet acide en excès provient de la désassimilation de la
substance
nerveuse. L'a- cide phosphorique, en effet, n'e
ide phosphorique et celle de l'azote ; si le rapport entre ces Jeux
substances
dépasse 17 p. 100, c'est une preuve de l'inter-
orique est plus augmenté que l'azote, mais parce que cette dernière
substance
est plus diminuée que la première, fait que ne
lapin les cellules du corps ge- nouillé externe et du pulvinar, la
substance
blanche moyenne du tubercule quadrijumeau antér
organes. Quant à l'atro- phie de la racine du nerf originaire de la
substance
blanche superficielle du tubercule bi-jumeau an
L'étude nécroscopique démontre qu'il s'agit d'une ré- duction delà
substance
nerveuse cérébrale, surtout au niveau de la tro
ellules granuio-graisseuses précèdent l'organisation des cordons de
substance
blanche ou de leur myéline, de même la mort de
entre en quesiion, la conservation des facultés intellectuelles, la
substance
corticale n'ayant pas subi de dommage. Le trava
droit en deux tronçons ne communiquant que par un pont étroit de
substance
nerveuse ; l'atrophie de la capsule interne, de l
e pourrait le faire supposer la connaissance du rôle que joue cette
substance
dans la constitution du système nerveux. Elles
permette de savoir si la folie modifie ou non le rendement de cette
substance
. Nous verrons en effet que si cette maladie mod
apital de l'action du travail mus- culaire sur l'élimination de ces
substances
. Cette action est donc inverse de celle du trav
intellectuel; celui-ci, en effet, diminue l'élimination de ces deux
substances
et augmente seu- lement le chiffre des phosphat
22 gr. 58. L'acide phospho- rique est diminué, le chiffre de cette
substance
peut descendre de 1 gr. 85 à 1 gr. 49. La dimin
ssion, augmente les échanges nutritifs qui se passent au sein de la
substance
nerveuse. D'où vient maintenant cette augmentat
se rattache pas aux échanges nutritifs qui se passent au sein de la
substance
nerveuse. En effet, elle n'existe plus dans l'é
a manie modifie LES échanges NUTRITIFS QUI SE passent au SEIN DE la
substance
nerveuse ; ELLE LES augmente ; 3° la manie rete
la nutrition générale influence dans le même sens ces diffé- rentes
substances
, on serait tenté de rattacher leur augmenta- ti
t les échanges en acide phosphorique qui se passaient au sein de la
substance
ner- veuse. B. Etal de mal épileptique. Sous
u près semblables, de sorte que les rapports qui existent entre ces
substances
et l'état ordinaire ne sont pas ou très peu mod
molles qui partout adhèrent à l'écorce de circonvolutions étroites;
substance
grise pâle ; anémie de tout l'encéphale; forte
tractus sensitifs, trophiques, vaso-moteurs; il est probable que la
substance
grise et, en particulier, ses segments postérieur
. Pourquoi maintenant l'écorce est elle seule ? lésée Pourquoi la
substance
blanche demeure-t-elle indemne dans tous les stad
ésulte de la différence de distribution des vaisseaux dans les deux
substances
. La substance grise renferme un système de cana
fférence de distribution des vaisseaux dans les deux substances. La
substance
grise renferme un système de canaux multiples t
vasculaire parcimonieux fourni par les extrémités artérielles de la
substance
blanche. Pourquoi, dans la pluralité des cas, l
obe pariétal, et celui-ci du lobe occipital. Une troisième perte de
substance
cicatricielle constitue une fente petite mais p
sont plus larges, moins délicates que dans les autres parties de la
substance
blanche ; la vascularisation y est plus grande
Cellule de la névroglie, sans noyau, à prolongements multiples. c,
Substance
vaguement fibrillaire et pointillés, interposée e
al croisé. FtG. 4.- Cellules nerveuses des cornes antérieures de la
substance
grise en voie de dégénération granulo-graisseus
véritable, par des lames de subs- tance ayant les caractères de la
substance
osseuse contenant des ostéoblastes et circonscr
us de l'endroit comprimé pren- nent naissance à la périphérie de la
substance
grise là où celle-ci confine aux cordons latéra
e partie de ces libres se perdent dans le treillis des libres de la
substance
grise sans qu'on puisse les suivre davantage. M
le névrome terminal ; ces névromes n'envoient pas de libres dans la
substance
grise. H Celle description est, d'après 31. Fic
le description est, d'après 31. Fickler, en faveur de l'idée que la
substance
des cordons latéraux a projeté des libres dans
que la substance des cordons latéraux a projeté des libres dans la
substance
grise sous-jacente il 1'I'IHll'oil comprimé alin
en réalité, partout dilaté, était le siège d'une hylterplasie de la
substance
gélatineuse centrale puricanaliculaire : celle-ci
remplacement, tantôt il y a d'emblée hypergenèse iri'itative de la
substance
de soutènement. Les relations des foyers avec l
titutive déterminée du cvlindraxe, qu'il appelle l'aoeostro¡I/(l,
substance
cimenlaire très analogue, au point de vuehislogé-
s anciens, les relations topographiques des fibres et des cellules (
substance
grise et. subs- tance blanche) semblent être ex
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 47 'eusc de la
substance
blanche des hémisphères de l'l'I11])I') on, On
our lui on ne sait encore exactement ce que l'on colore. Est-ce une
substance
que Kaplan nomme le myéloaxostroma, et que Stra
t tenté de croire, comme ce dernier auteur, qu'il s'agit, non de la
substance
périlihrillaire des fibres nerveuses il myéline
ce périlihrillaire des fibres nerveuses il myéline, mais bien d'une
substance
spéciale, et de la désigner sous le nom cl'avoc
onvaincu que dans la vraie sclérose en plaques, il y a lésion de la
substance
blanche cL de l'axochromatenine qui lui est lié
dégénérées dans la direction de ces noyaux. Après avoir franchi la
substance
de Soemmering, elles affectent un trajet postér
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 dans la couche tangentielle de la
substance
grise sous-épcndy- maire qui forme le toit du v
du tubercule quadrijumeau antérieur : la plupart vont jusqu'à la
substance
blanche profonde de cet organe ; quelques-unes pe
té et çà et là émettent des rameaux latéraux qui se perdent dans la
substance
grise du canal encé- ptialomédullaire. ' Il e
ale contiguë au corps calleux. Moelle plus dure que normalement :
substance
blanche des cordons postérieurs de la moelle dors
le inférieure : on remonte ainsi jusqu'à leurs noyaux bulbaires. La
substance
grise, celle surtout des cornes antérieures de
ns. Volume, du cerveau normal. . Le noyau dentelé du cervelet, la
substance
blanche cérébel- leuse, contiennent énormément
l'rèI1l'ale peut également avoir défruit une certaine portion de la
substance
du cerveau. Le novau du facial a été le plus at
les 1)I'IICPSlb 'aO-I1lf){l'UI'S pé- riphériques se trouve dans la
substance
grise cenfrateperiepen- dymaire qui constitue l
lieu de décrire en neuropathulogie médullaire le syndrome de celte
substance
grise, comme on décrit le syndrome des cornes a
e on décrit le syndrome des cornes antérieures et le syndrome de la
substance
grise centro-poslé- , Heure. En un mot, c'est l
ce grise centro-poslé- , Heure. En un mot, c'est l'altération de la
substance
grise péri- épendymaire qui donne lieu aux trou
Renie dans Ja tache jaune. L'.t/'oMftcc))'t(<t6'<'unUent une
substance
grenue accolée à la couche granuleuse externe;
est alors qu'à 5 heures du soir elle vomit plu- sieurs reprises des
substances
qui exhalent a plein nez l'odeur fécalt., et qu
t peut-être il la propriété, qui leur est commune, de dissoudre les
substances
graisseuses. (11. 31eyer.) 11. - 5niu aromatiqu
eau précis, lise peut que les allures de ces composé- à l'égard des
substances
grasses jouent aussi un rôle ]) ? chopat.hogcne
ir d'in- 68 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. truductiun v Iv recherche des
substances
de l'économie qui don- nent, naissance à bien d
'0 cPnligrammer partit) ? de l'urée à la dose de O¡2d par litre. La
substance
réductrice signalée par 31. Guerbel n'a pu être
d'association ; les libres dégénérées se di- rigent d'abord dans la
substance
blanche ; leurs prolongements arrivent ensuite
pose de territoires à fonc- tions psychiques distinctes, de même la
substance
du cervelet comprend des localités séparées aff
es en maintes régions des circonvolutions pariétales. La lisière de
substance
blanche présentait dans les deu\ hémisphères un
le patient, ; peut-être est-ce parce que le sérum est chargé de la
substance
active. Il n'a pas été constaté d'action favorabl
ons directement sous-corticales ; il pénètre profondément dans la
substance
blanche ((if]. 4.) portant atteinte aux faisceaux
er diminue, la dégénérescence secondaire se localise, tandis que la
substance
blanche reprend du reste son aspect normal. 11
udé aborde le corps genouillé externe par sa partie supérieure ; la
substance
blanche latérale inférieure de Fig. 10. 184 A
montrables sur nos coupes. On y peut constater égale- ment que la
substance
blanche latérale et inférieure de ' c. g. c. es
UES. phénomènes morbides des méningites. Il y a des lésions de la
substance
nerveuse elle-même déjà signalées parle Pr de Gro
-Liasliiie, Sitvestrini. II y a une diminution con- sidérable de la
substance
chromatique, des lésions diverses du noyau, de
dhère, en bas, il la tige du corps pituitaire et pénètre en haut la
substance
cé- rébrale, f C'est un kyste à plusieurs log
rétine ; par U. lOIINSTAl,1. (Netwol. Centmlblatt, 190'0.) De la
substance
blanche profonde du tubercule quadrijumeau anté
anche du fait (le leur présence sur les parties environnantes de la
substance
blanche respectées par la dégénérescence second
mme chez l'homme, abaisser la température du corps, ni éliminer les
substances
to- xiques, car elle est insignifiante et cesse
lle n'a jamais eu une composition normale ; 3° que l'absorption des
substances
azotées et phosphorées fut satisfaisante ; 4° q
e rétraction des aponévroses palmaires ou plantaires l'examen de la
substance
grise du renflement cervical ou lombaire parla
e surface de quelques millimètres et dont le voisinage est formé de
substances
amorphe (dégénérescence graisseuse des cellules
des doigts, en l'espèce, tient iL une simple décalcification de la
substance
osseuse fondamentale. Ce n'est pas de l'ostéoma
d'une métastase cancéreuse microscopi- ~que dans les méninges ou la
substance
du cerveau, -ou encore d'altérations que nos mé
ioreit'0 ! 'mes. En conséquence, on résèque de petits mor- ceaux de
substance
grise en (rois points de cette région de la fron-
ux individus qui se ressemblent Irait pour trait. Mais ces diverses
substances
ont des caractères com- 3GS PSYCHOLOGIE. lllu
'o'ut une action parallèle; les LA PSYCHOLOGIE DES DÉGÉNÉRÉS. 369
substances
correspondantes subiront un certain accroissement
sur le sang par les excréta qu'il y déverse. 1( L'addition de la
substance
nouvelle, dit Yves 1)clage, rend possible une n
de la division hétéro- gène, d'un protoplasma où une (ou quoique'')
substance
prédo- mine sur les autres, il est évident que,
substance prédo- mine sur les autres, il est évident que, grâce la
substance
nou- velle, une nouvelle catégorie de cellules
dément les neurones et, dans le spermato- zoïde ou dans l'ovule, la
substance
qui les représente. Aussi est-ce le système ner
eint chez les dégénérés alcooliques. J,' Tantôt une portion de la
substance
pronerveuse de l'oeuf est détruite, et un certa
dure-mérien, sous-aractmofdien et intra-ventriculaire en excès ; la
substance
nerveuse est mulle, il exisle des lésions infla
ux pyramides, les olives inférieures, la couche interolivaire et la
substance
arti- culée grise ; dans leur partie antérieure
ions congestives dominent la scène. ramollissement peu étendu de la
substance
grise (zone postérieure exceptée) surtout au ni
ulaires de la sensibilité permettent de localiser la lésion dans la
substance
grise médullaire entre G8 et DI. Le Brow n- Séq
une particularité qui mérite d'être mention- née. La fermeté de la
substance
blanche, l'atrésie des ventricules latéraux, l'
quelconque, et à plus forte raison dans un organisme malade, d'une
substance
médicamenteuse, peut donner à la nutrition une
seuses prédomine une subs- tance, physiologiquement homologue de la
substance
conjonctive, la subs- tance osseuse fondamental
u nombre des éléments cel- lulaires, écartés par la surabondance de
substance
interstitielle ». Pourrait-on, en s'engageant p
726. i POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 55 Or cette colonne de
substance
grise qui s'étend en bas jusque au cin- quième
l, fait part des cornes latérales et est parfaitement analogue à la
substance
grise des cornes antérieures : de telle façon que
sent qu'il existe dans ces cas un trouble de fonctionne- ment de la
substance
grise cérébrale : à un premier slade d'irritation
e grise cérébrale : à un premier slade d'irritation simple de cette
substance
correspondraient les spasmes ; à un deuxième, z
raxe présente surtout des lésions vasculaires : capillaires rompus,
substance
nerveuse « noyée dans le sang », sans alté- rat
, pour désigner un appareil radioactif, on note : 1* le poids de la
substance
radioactive exprimée en grammes, et 2° son activi
elles érodent à peine, les autres, disséminées en divers points des
substances
blanche et grise, sont localisées à la gaîne des
lombaire. Sur toutes les coupes, ellessont strictement limitées la
substance
grise et aux parties limitrophes de la substanc
tement limitées la substance grise et aux parties limitrophes de la
substance
blanche. On les trouve également sur toutes les c
pendyme, légèrement dilaté, contient des hématies déformées, et une
substance
amorphe, grenue, colorée en rose pâle par l'éosin
t d'application du radium). Nombreuses petites hémorrhagies dans la
substance
grise, intégrité des cellules nerveuses (colorati
olyse, et si, par le Marchi, apparaissent, dans la profondeur de la
substance
blanche, quelques gaines myéliniques plus forteme
on, de la faiblesse, de la maladie. Elle est modifiée par certaines
substances
: opium, alcool, chloro- . forme, etc. . Le f
rimitive doit se re- trouver sous la complexité actuelle. ' Cette
substance
vivante, cette cellule qui n'appartient encore ni
ité, une irrésistibilité, une fatalité d'autant plus grandes que la
substance
cérébrale se rapproche davantage de son état pr
es répandues, les usages, les coutumes, les rites vont atteindre la
substance
nerveuse sous forme d'équivalents mécaniques et
pas modifiées : « Il s'agit, dit l'auteur, d'une raréfaction de la
substance
spongieuse de presque tout le squelette avec di
a raréfaction de la subs- tance spongieuse apparaît par places ; la
substance
compacte est comme fibrillaire. Les altérations
r correspond à une diminution 'de l'espace médullaire tandis que la
substance
compacte n'a pas subi de modifications. Le dessin
e thermalité de ses eaux indéterminées, très riches en hélium et en
substances
radio- actives, Néris exerce sur tous les malad
des gaz émanés des sources chaudes, et captés au griffon même; les
substances
radio-actives, encore mal connues, contenues da
artie moyenne du néoplasme, il n'existe que quelques millimètres de
substance
nerveuse corticale effritée représentant les dé
tact, envahissant les deux ventricules latéraux et leurs parois, la
substance
cérébrale de l'hémisphère surtout dans la régio
e en bas, se soudant à la couche op- tique et se continuant avec la
substance
cérébrale de l'hémisphère comme dans notre cas.
que complètement dépourvu de blocs basophiles, ou s'il en reste, la
substance
basophile présente un aspect pulvérulent; le noya
U NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE PAR L. ALQUIER. Par quel mécanisme la
substance
nerveuse est-elle altérée dans la syphi- lis ?
fibres « oedémateuses » au milieu d'autres, à peu près intactes. La
substance
grise est également atteinte, le canal épendyma
Graaf. Dans l'un des ovaires existent deux petits kystes remplis de
substance
colloïde. Système nerveux central. Nous avons e
'épendyme et on voyait ces cellules pénétrer dans l'épaisseur de la
substance
blanche assez loin de la cavité cen- trale obli
une sclérose légère, offre tous les caractères du thymus normal. La
substance
corticale et la médullaire ne présentent aucune
cation. Cependant les corpuscules de IIassal assez nombreux dans la
substance
médullaire de certains lobules font dans d'autres
es à travers lesquelles il est possible de constater l'existence de
substance
colloïde. La paroi des vésicules les plus volum
ons histo-clii- miques ayant pour but de déceler le fer ou d'autres
substances
ne nous ont rien appris, ce qui peut tenir à la
riphériques, des racines spinales, des méninges, des cellules de la
substance
grise, n'a pas permis de déceler la moindre lés
iquide clair sous la dure-mère de la moelle épinière. Pie-mère pâle ;
substance
grise d'un gris-rose tranchant sur la substance
re. Pie-mère pâle ; substance grise d'un gris-rose tranchant sur la
substance
blanche. Crâne : 181/2 X 14 1/2 cent. ; os du c
olutions sont visiblement atrophiées ; les sillons sont élargis. La
substance
grise est d'un gris rose, amincie ; l'incision
t d'un gris rose, amincie ; l'incision des vaisseaux sanguins de la
substance
blanche fait tomber de grosses gouttes de sang.
iées, les sillons sont élargis et plus profonds que normalement. La
substance
grise de l'écorce céré- brale est manifestement
gis. Le nombre de noyaux qu'on y trouve d'habitude est augmenté. La
substance
grise contient un grand nombre de cellules en a
hyaline ou vacuolaire). Les espaces péri-cellulaires sont élargis. La
substance
blanche ne présente pas de lésions systématisée
de de Busch quelques éléments dégénérés, dissé- minés dans toute la
substance
blanche, mais surtout au niveau des faisceaux p
uelquefois, il peut être totalement résorbé et rem- placé par de la
substance
osseuse spongieuse. La capsule articulaire peut
rbés ; leur surface est rugueuse et irrégulière. Le droit montre sa
substance
compacte d'une plus grande épaisseur et son can
ar l'exa- men clinique : de plus on constate une condensation de la
substance
compacte de la diaphyse, de la substance spongi
ate une condensation de la substance compacte de la diaphyse, de la
substance
spongieuse de l'épiphyse frap- pées par le proc
let ou des autres maladies qui peuvent amener une compression de la
substance
du cerveau. Selon moi, nous ne pouvons rapporte
(Franchini) avait trouvé des altérations évidentes de ces diverses
substances
. En résumant les résultats obtenus, on trouve q
s diamines, etc.. Nous savons que la production'd'une partie de ces
substances
est en rapport étroit avec les fonctions hépati
gmentation des phosphates terreux pourrait résulter, plutôt que des
substances
introduites dans l'organisme, d'une altération
tréfaction intestinale : scatol, phénol et (en partie) indican. Ces
substances
donnèrent toujours des réactions si manifestes,
t aussi l'indican déri- vent de la putréfaction dans l'intestin des
substances
albuminoïdes sous l'action de bactéries protéol
. Nous préférons supposer qu'à des périodes d'accumulation de cette
substance
dans l'organisme succèdent des périodes de forte
ord entre eux ; les uns ont trouvé qu'il y a rétention de certaines
substances
cependant que les autres en ont constaté une pe
ffres très élevés. Légère rétention de la chaux. L'étude de cette
substance
n'a pas été faite dans le gigantisme. Examen
ouche moléculaire d'une part et d'autre part avec le feutrage de la
substance
blanche de la moelle. Les noyaux sont d'habitud
es boules graisseuses (vésicules adipeuses) dans les méninges. La
substance
blanche des lamelles est très réduite de volume ;
s parties, les fibres sont très diminuées de nombre, variqueuses.
Substance
blanche centrale des hémisphères. Dans la moitié
retrouve la lésion générale, c'est-à-dire l'atrophie en masse de la
substance
blanche, mais les fibres examinées au microscop
ache claire de trois millimètres sur deux. Ce foyer descend dans la
substance
blanche du lobe gauche et se trouve situé au-dess
rgule renversée, étendue transversalement, dont la tête affleure la
substance
gélatineuse de Bolando, la queue s'arrêtant à q
l'amygdale, etc. Il existe également une atrophie pro- noncée de la
substance
blanche centrale avec raréfaction des fibres myé-
meur, du volume d'une noisette, reliée par un pédicule rétréci à la
substance
nerveuse du bulbe. Ce n'est qu'à ce niveau que
considérable. La distension du cerveau est tellement grande que la
substance
cérébrale pénètre dans tous les orifices des os
un sac qu'on vient de vider. Les méninges ne sont pas épaisses. La
substance
cérébrale sur une section transversale parait trè
en con- servées. Leur volume est peut-être un peu réduit, mais leur
substance
chroma- tophile est intacte, elle semble même p
sont constitués par des follicules dilatés, vides ou remplis d'une
substance
exsudative incolore, albumineuse ; des autres, au
un arrêt de développement. Les capsules surrénales présentent une
substance
trabéculaire, presque libre de lipochrome, où o
ées dissé- minées, qui se rencontrent quelquefois également dans la
substance
médul- laire l'infiltration de la couche glomér
a couche glomérulaire est évidemment plus prononcée que celle de la
substance
trabéculaire. On y rencontre même des masses cris
es endroits où abonde également le lipochrome. L'infiltration de la
substance
glomérulaire n'est pas uniforme; à côté des rég
encore noter une dilatation considérable de petits vaisseaux de la
substance
corticale et médullaire. Dans le foie on n'obse
rammes. Les capsules surrénales sont petites, minces, claires, leur
substance
médul- laire, très peu développée, se distingue
arés les uns des autres par des septums conjonctifs minces. Dans la
substance
colloïdale qui remplit ces follicules, on voit
té et l'hypertro- phie musculaire en rapport avec les tumeurs de la
substance
corticale des capsules surrénales. Un autre f
n d'Askanazy que certains tératomes embryonnaires sécréteraient des
substances
chimi- ques qui influencent l'organisme materne
e s'est uni un processus infectieux chronique tuberculeux, dont les
substances
toxiques doivent avoir sans doute contribué non s
n'y a pas une destruction nette (keine besondene Destruction) de la
substance
du cerveau. En outre, ils décrivent deux cas de
e, c'est que les cornes antérieures (et, dans le bulbe, au moins la
substance
grise) sont constam- ment le siège préféré de l
s qui s'opèrent à son insu, qui lui sont imposées par la nature des
substances
dont il est formé et qu'il n'a ni désirées ni dem
nous voyons déjà poindre l'instinct. Mais la plus grande partie des
substances
qui entrent dans la composi- tion de tout repré
apportée par les aliments et l'oxygène, la lumière, la chaleur. Les
substances
ainsi introduites par l'assimilation sont emplo
ellule est adaptée à l'assimi- lation des aliments, c'est-à-dire de
substances
douées d'un pouvoirénergé- tique considérable;
un surhomme, notamment par l'adjonction d'une nouvelle quantité de
substance
nerveuse. Quand on voit les colosses de l'époque
dépouiller de ses préjugés. Les concep- tions qui imprègnent notre
substance
cérébrale et qui y ont été enchâs- sées par l'é
et même avec l'autre, elle frotte et cherche à se débarrasser de la
substance
irritante. C'est la sensation elle-même qui a mis
autre moyen. Ainsi, par exemple, le corps de l'embryon fabrique une
substance
hormonique qui, par l'intermédiaire du placenta,
ement exagérée. La chose parait d'autant plus vraisemblable que les
substances
chimiques contenues dans le sang doivent jouir lo
u nouveau-né est embryonnaire. Ce n'est qu'au bout d'un mois que la
substance
du lobe occipital commence à blanchir et, vers le
xtérieures de la vie a provoqué une série de différenciations de la
substance
vivante primitive,-pourarriver à produire, à tr
ur affirmer avec Gowers que l'épi- lepsie est une « maladie » de la
substance
grise de l'encéphale ; il n'est pas douteux qu'
e nous allons présenter apprend que les lésions très limitées de la
substance
grise corticale peuvent produire non seulement
hromique, montra que ce corps dur siégeait dans la profondeur de la
substance
corticale, au voisinage de la substance blanche.
it dans la profondeur de la substance corticale, au voisinage de la
substance
blanche. Il a refoulé légèrement la partie supe
es méninges ; vers sa partie profonde, il a égale- ment comprimé la
substance
blanche, dont les faisceaux étaient aplatis, ma
ation, on remarque,sur- tout vers la partie profonde attenante à la
substance
blanche, une pullu- latitin des noyaux de la né
5 consister en un petit tubercule enkysté : sa localisation dans la
substance
grise, son isolement, la réaction inflammatoire
pothèse, des attaques d'épilepsie provoquées par l'irritation de la
substance
grise de la zone motrice : et nous serions en règ
r irradiation la région rolandique, déterminant les décharges de la
substance
grise de cette région, dont le résultat est la
n ilots séparés, mais au contraire sillon- neraient en tous sens la
substance
grise des circonvolutions. La synthèse, -\ le r
association des fibres de projection, elles se con- fondent dans la
substance
blanche inséparable, seule l'étude des dégéné-
, de la partie voisine de la circonvolution du corps calleux, de la
substance
perforée antérieure, du repli cunéiforme et de
association déjà signalée sous les noms de ruban de Vicq d'Azir, de
substance
réticulaire d'Arnold. Enfin si l'on peut imagin
on note de l'épaississement de la pie-mère, de la congestion de la
substance
grise, des corpuscules amyloïdes, enfin des lésio
égrité de la zone d'entrée des racines (Westphal) comptise entre la
substance
gélatineuse de la corne postérieure, la périphéri
parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la
substance
gélatineuse fait un ressaut en dedans. MASSON &
parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la
substance
gélatineuse fait un ressaut en dedans ; en arrièr
taient devenus si denses qu'ils paraissaient . avoir été chargés en
substance
osseuse ; changement qui du reste ne fut pas cons
seaux. Les muscles sont repoussés les uns contre les au- tres, leur
substance
contractile est tout à fait intacte, on ne consta
dure et consistante. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 121 La
substance
librillaire est secondairement détruite. Au milie
s atrophiées, dont les noyaux et le sarcolemme se serrent contre la
substance
contractile. Les fibres musculaires sont-elles
voit passer à l'état de cellules cartilagineuses avec formation de
substance
hyaline. D'autres coupes nous monlrent, dans un
ffrent déjà de grandes analogies avec des bandelettes osseuses : La
substance
fondamentale est condensée, mais non calcifiée; l
le fémur et le tibia gauches sont solidement réunis par un pont de
substance
osseuse, siégeant il la région poplitée, en dedan
le cas de Munchmeyer, Mays a constaté une raréfaction notable de la
substance
osseuse des côtes avec des fractures multiples de
i admet dans la myosite ossifiante progressive un déplacement de la
substance
osseuse. Le tissu conjonctif est en général trè
h a comparé la structure de ces masses celle d'une vertèbre dont la
substance
médullaire très dure est limitée par une écorce
ure est limitée par une écorce de tissu compact. Les rapports de la
substance
spongieuse et corticale sont différents par pla
ON CHIMIQUE. i - Composition normale des-os, d'après Berzélius.
Substances
organiques : DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSI
'observe ci une période tardive, ré- duit le malade à se nourrir de
substances
liquides, et, lorsqu'il est très prononcé, à se
ne, vide antérieurement. Dans la fosse médiane on voit une portion de
substance
cérébrale recouverte d'une membrane qui se cont
velet. Dans la fosse médiane, il recouvre du côté droit un reste de
substance
cérébrale et du côté gauche ce prolongement s'ami
n voit une fosse à forme rhomboïde dont le fond est recouvert d'une
substance
cérébrale provenant de l'hémisphère droit. Les
cement in- fundibuliforme, d'où sortait un plexus vasculairc. Cette
substance
céré- brale pénétrait dans l'intérieur du cerve
iforme descend jusqu'à la base du crâne et recouvre ici un reste de
substance
cérébrale, situé dans la fosse médiane du crâne
aussi un reste de SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 1S9
substance
cérébrale, mais il est plus petit. Derrière le re
ts menus disposés autour du noyau. Dans une période plus avancée la
substance
chromatique commence aussi Fig. 6. - Cellule de
int de grains chromatiques ici, et la cellule ne consiste qu'en une
substance
chromatique avec vacuoles. Ainsi notre supposit
s de chromatine, et le protoplasme consiste principale- ment en une
substance
achromatique ayant l'aspect d'un réseau (spongio-
oncule cérébelleux inférieur, et qui va se terminer dans un amas de
substance
grise, qu'elle divise en deux noyaux : le noyau d
res au niveau du frontal ; le long de la suture sagittale, bande de
substance
osseuse granulée comme celle des bosses frontal
de fibres. Par ci par là on note sur quelques tubes à myéline de la
substance
blanche et grise, d'une façon diffuse et sans p
la myéline ont donné les résultats suivants, en ce qui concerne la
substance
blanche de la moelle. 1 Nous avons noté en géné
race de sclérose. Les différents groupes de fibres il myéline de la
substance
grise ne nous ont pas paru modifiés il droite.
u renflement lombaire du côté ankylosé. Il y avait diminution de la
substance
grise avec atrophie des cellules, et en outre d
ance grise avec atrophie des cellules, et en outre diminution de la
substance
blanche. Comment interpréter cette atrophie méd
rine et Mayor (4). Le plus souvent, il y a à la fois atrophie de la
substance
grise et de la substance blanche. On se souvien
s souvent, il y a à la fois atrophie de la substance grise et de la
substance
blanche. On se souvient d'ailleurs que, dans le
re ou son impotence amène à la longue l'atro- phie de la portion de
substance
corticale dévolue à ses mouvements. M. Landouzy
1758, douleur et tuméfaction au cou-de-pied droit avec formation de
substance
osseuse s'élevant jusqu'à la partie moyenne de la
, maux dentaires, par exemple, a pour résultat un dépôt passager de
substance
terreuse. Pas d'autopsie. Réflexions. - Nulle p
présentent de grandes analogies avec la structure d'une vertèbre :
substance
médullaire très rouge, limitée par une écorce de
rouge, limitée par une écorce de tissu compact. Les rapports de la
substance
corticale et médullaire sont diffé- rents par p
l ossifié. Bande- lettes osseuses au-dessus des omoplates. Perte de
substance
de la peau du dos en plusieurs endroits. Atro
bien développée. Fractures multiples des côtes et raréfaction de la
substance
osseuse. Déviations de la colonne : à gauche et
tat, ce qui nous légitimait à croire à une altération marquée de la
substance
musculaire. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIV
malformation est cependant augmenté de volume et déprime in situ la
substance
cérébrale. IIeumann attire l'attention sur la r
ocher droit est plus volumineux que le gauche et qu'à son niveau la
substance
cérébrale est déprimée. Il n'y a an- cune diffé
rer à travers la coquille, ou lorsqu'on introduit par injection des
substances
solubles dans l'albumine, ou bien lorsqu'on exe
'abord sous l'inflt de la compression, de sorte que l'épaisseur des
substances
grise et bl; n'atteint plus guère en beaucoup d
e centre de la fosse crânienne médiane qu'on aperçoit un restant de
substance
cérébrale, formant deux couches et ressemblant
ns ces deux cas, il n'existe pas d'anomalie dans la topographie des
substances
blanche et grise des parties lombaire et dorsale
affine, nous n'avons affaire qu'aux seuls tissus; il n'y a point de
substance
étrangère, qui vienne empêcher la coloration. Si
érantielles manquent ; au-dessous des noyaux rouges est disposée la
substance
noire de Soemmerin; cette dernière est entourée
l'absence de voies pyramidales ; 3° l'absence de fibres unissant la
substance
grise du pont de Varole avec le cerveau ; 4° l'
is chez eux aussi le degré de l'anomalie dé- pend de la quantité de
substance
cérébrale qui persiste. Moins était gros le res
e substance cérébrale qui persiste. Moins était gros le reste de la
substance
cérébrale, plus l'aspect des cellules était bi-
rtent du cordon de Burdach, s'entrecroisent et se terminent dans la
substance
réticulaire grise et blanche (PI. XLVI, d). On
'à l'heure de notre visite. Le fond et, si l'on peut ainsi dire, la
substance
même de ce délire, sont faits par une chaîne sans
is- seaux. Les muscles sont pressés les uns contre les autres, leur
substance
est . tout à fait intacte, on ne constate pas t
issant nerveux; la péri- phérie est pour ainsi dire projetée sur la
substance
grise delà moelle, point pour point, élément po
ux pattes postérieures, lésions inflam- matoires frappantes dans la
substance
grise d'une des cornes antérieures du renflemen
ie des cellules pyramidales. Epaississement de la névroglie dans la
substance
corticale et en- dartérite. p. K. IV. Contrib
. Le processus primitif est cons- titué par la dégénérescence de la
substance
nerveuse. Le nombre des observations existantes
donne lieu à la formation et à l'accumulation dans l'or- ganisme de
substances
toxiques spéciales. J. SÉGLAS. XII. DES SILLONS
n ou la cOl11preSSio'l des nerfs, par suite de l'excroissance de la
substance
osseuse autour des orifices. Il fait dépendre l'h
me doit être considérée comme une auto- intoxication causée par une
substance
dont l'élaboration par la glande thyroïde est e
e substance dont l'élaboration par la glande thyroïde est exagérée,
substance
ressemblant, par son action, à la cocaïne qui p
e pour une hernie étranglée et opérée^ 1840; Empoisonnement par les
substances
alimentaires altérées spontanément, 1840; Consul-
térieurs; au centre de ce tissu néoplasique, se trouve une perte de
substance
, de forme étoilée sur la coupe, qui est la cavi
re sous la forme d'une infiltration diffuse située en arrière de la
substance
grise centrale, au ni\eau du col de la corne post
res, très atrophiées, passent maintenant en dehors du néoplasme. La
substance
de Rolando est de nouveau complètement détruite
n dehors d'elle, on aperçoit quelques rares fibres radiculaires; la
substance
de Holando a complètement disparu a gauche. La
iable suivant les points; de plus, ce tissu est tout infiltré d'une
substance
, d'aspect hyalin, qui se colore faiblement par
en des points, et particulièrement aux environs de la cavité, cette
substance
interstitielle est formée de petites boules arron
ment on aperçoit encore les fibrilles, très fines, engluées par une
substance
interstitielle grenue. La tumeur infiltrée est
; elle se forme, par fonte du tissu a,é%rogiique et est remplie d'une
substance
homogène, faiblement colorée, qui est un coagul
de ramollissement, gros comme une noisette, occupe l'écorce et la.
substance
,blanche dans le dôlüaiuë du pli courbe. Endart
l'extrémité postérieure du corps calleux et ayant proliféré dans la
substance
du`lobe occipital droit/ D'avant t en airière,
a cicatrice qui avait rem- placé une portion assez importante de la
substance
cérébrale, ne 134 REVUEf'DE PATHOLOGIE NERVEUSE
ayant' eu., pour .'résultat immédiat; une destruction localisée de
substance
nerveuse, suivie de> méningite" chronique :
me, attaques d'épilepsie . corticale. A1'autopsie; altération de la
substance
blanche et de 'l'écorce \ des deux lobes tempor
10 maniaques et 14 lypémaniaques. Je dirai tout de suite que cette
substance
fut un merveilleux sédatif; peu ou prou elle ap
résentés par les trente-cinq sujets auxquels nous avons prescrit la
substance
à doses continues comme sédatif de leur agitati
duré onze jours durant lesquels on a prescrit 23 milligrammes de la
substance
. Observation XX. Jean Gaut..., vingt-cinq ans;
duré dix jours durant lesquels on a prescrit 27 milligrammes de la
substance
. Observation XXI. François Gaim..., dix-huit an
uré onze jours, durant lesquels on a prescrit 22 milligrammes de la
substance
. Action physiologique assez marquée avec les de
ré treize jours durant lesquels on a prescrit 26 milligrammes de la
substance
. Action phy- siologique : sécheresse de la gorg
duré onze jours durant lesquels on a prescrit 24 milligrammes de la
substance
. Action phy- siologique : sécheresse de la gorg
oubles dans la nutrition de l'organisme : 1° production anormale de
substances
toxiques; 2° transformation incomplète de celle
entielles de l'écorce du cerveau; dégéné- nescence des fibres de la
substance
blanche du lobe frontal gauche et du faisceau d
dans la circonvolution crètée, sa cavité. 278 CLINIQUE NERVEUSE.
substance
blanche : c'est un prolongement postérieur de la
ngement de couleur et de consistance indique la transition entre Ja
substance
saine et le néo- plasme ; il n'y a aucune trace
brilles fines, qui doivent un aspect grenu au dépôt d'une couche de
substance
interstitielle (fig. 17) ; traitées par la méth
ent leurs prolongements de manière à former un feutrage serré, sans
substance
interstitielle ni fibres névrogliques (rtg. 18 et
ferme pas de dégénérescence appréciable. A gauche, au contraire, la
substance
blanche présente des marques évidentes de dégén
ons frontales; plus en arrière elle s'éloigne graduelle- ment de la
substance
grise, de telle sorte que le pied des circon- v
tions frontales et la circonvolution rolandique antérieure ont leur
substance
blanche intacte. En bas, dans la portion qui est
us haut que la tumeur envoyait en arrière un prolon- gement dans la
substance
blanche de la circonvolution de l'ourlet. Ce pr
moins nombreuses à gauche qu'à droite. Ainsi donc, en résumé, la
substance
blanche du lobe frontal gauche a subi, autour d
ales où ses fibres s'entre-croisent avec les fibres irradiées de la
substance
blanche. Il nous faut étudier les lésions de ce
au fond des sillons; au niveau du pied des frontales l'aspect de la
substance
grise sur les faces latérales des circonvolutions
il.) UN CAS DE GL : OOE nl;Ulio-1GHJI1'l'11 07 petites tumeurs de
substance
grise, ordinairement multiples, dont le volume
onvolutions de l'écorce; elles coïncident souvent avec des îlots de
substance
grise dans l'épaisseur des lobes cérébraux, san
eut, au moyen des médicaments, et en modifiant le métabolisme des
substances
âlbumineuses contenues dans l'organisme, produire
' et Huguenin 2 qui fait passer par les olives et relayer dans leur
substance
grise, les fibres qui se rendent des corps rest
ication cocaïnique ont eu pour cause princi- pale l'emploi de cette
substance
, comme agent de substitution ou de transition,
orps calleux sont normales, en arrière, il y a dégénérescence de la
substance
blanche (blocs et boules de myéline en dissocia
stérieur, pour pénétrer, en dehors du tubercule acoustique, dans la
substance
blanche du cervelet dans le voisinage du lobule
un peu avant et gagnant directement la région la plus proche de la
substance
blanche du cervelet. Les stries médullaires pre
e. On ne peut pas bien saisir leurs rapports avec le raphé, avec la
substance
grise du raphé en relation avec la substance gr
avec le raphé, avec la substance grise du raphé en relation avec la
substance
grise de la protubérance. Mais on sait, à n'en
res myéliniques dans les couches spéciales de son écorce ni dans la
substance
blanche. On n'en trouve que dans la substance b
son écorce ni dans la substance blanche. On n'en trouve que dans la
substance
blanche de la frontale ascendante. 2° Il existe
econdaire part du point lésé du lobe occipital et se propage par la
substance
blanche antéro-postérieure aux segments corresp
n dedans par le sapetum. Ces irradiations optiques arrivent dans la
substance
blanche latérale du pulvinar et du corps genoui
ème va d'arrière en avant, en décrivant un cercle, irradier dans la
substance
grise du corps genouillé externe, prenant part
très riche en capillaires sanguins. Entre celte seconde couche etla
substance
blanche, en existe une troisième aux dépens de
réquente dans la mélancolie et dans la manie. Dans la mélancolie la
substance
corticale est souvent pâle, et, dans la manie,
chroniques, d'alié- nation mentale. L'adhérence des membranes à la
substance
corticale a été constatée avec sa fréquence ord
se montrent guère que dans le quart des cas. Les altérations de la
substance
médullaire ne dépassent pas la proportion de 25
hémisphères, dont cha- cun avait largement creusé sa place dans la
substance
blanche du lobe frontal correspondant. On put a
, étant donné la consommation toujours croissante de la gesse comme
substance
alimentaire au sud de la Russie ? 3. Dr DOURD
uer l'indifférence à l'aversion et lui permettre de manier ces deux
substances
sans se trouver indisposée ainsi que cela s'éta
. 1,000 chez le chien) abaissait visible- ment l'excitabilité de la
substance
corticale du cerveau et adou- cissait ou arrêta
sière de Baillarger sous-jacente's représeutent2 millimètres 25; la
substance
blanche marginale sous-jacente est.de 3 millimè
prenant la place du premier au niveau de la, partie, médiane de la
substance
grisë`centoale : 4'Au niveaulde l'extrémité sup
angentiels) et par un..tractus blanc spécial,qui,s'enfonçantidansla
substance
blanche du lobe olfactif et delà1 région- olfac
'une commissure de l'écorce de la corne d'Ammon. ? , v ' * ,. La.
substance
blanche de la région (Olfactive, celle notamment
e l'atrophie, des mêmes orâanésl,chezl'homme.`sUne portion, de la
substance
, blanche olfaeth e se poursuit en arrière et peut
éorie d'Adamkiewicz ; 3° à l'état, du fait de cette pression, de la
substance
blanche, de la substance grise, de la névroglie,
à l'état, du fait de cette pression, de la substance blanche, de la
substance
grise, de la névroglie, des vaisseaux et des mé
e des altérations de l'épen- dyme, des cellules épithéliales, de la
substance
grise sous-épen- dymaire, des vaisseaux, et de
nciation la plus tardive et la plus élevée dans les fonctions de la
substance
nerveuse, bien que, considérée en elle-même, el
ême, elle ne soit qu'une fonction plus ou moins latente de toute la
substance
nerveuse, dont le degré d'acti- vité varie simp
inhibition et l'action réflexe étant la propriété spéciale de toute
substance
nerveuse se rencontrent à des degrés divers du
à des degrés divers du haut en bas de l'échelle nerveuse, depuis la
substance
à organisation élevée de l'écorce, qui parait à
rtement colorés en bleu par la méthode de Nissl dans l'écorce et la
substance
blanche de la circonvolution, la couche molécul
s l'amputation. 3° ces lésions comportent des modifi- cations de la
substance
grise et de la substance blanche. 4° les lésion
sions comportent des modifi- cations de la substance grise et de la
substance
blanche. 4° les lésions de la substance blanche
la substance grise et de la substance blanche. 4° les lésions de la
substance
blanche paraissent consister en une atro- phie
conductrices et anastomotiques intra-spinales. 6° Les lésions de la
substance
grise semblent à peu près locali- sées dans les
aire sous-cutané, infiltration dont la consistance serait due à une
substance
inuci- noïde. On a, de plus, constaté-dans cert
brale non sans enlraitier toutefois eude nombreux points un peu de
substance
grise. Tandis que l'on enlève le cerveau, il s'
trophiées sont le siège de nombreuses érosions caractéristiques. La
substance
grise est légèrement ramollie suit out au nivea
rosseur d'une petite noix. A la coupe, on constate l'atrophie de la
substance
corticale. L'examen histologi(lite du cerveau c
aissies ; et celles-ci sont en voie de dégénérescence hyaline. La
substance
cérébrale est le siège d'une inflammation relativ
à la périphérie immédiatement au-dessous de la pie-mère. Dans la
substance
blanche se trouvent des espaces lacunaires au c
ie pas ; il reste pour chaque malade im- muable. Quelles sont les
substances
actives, contenues dans le sérum sanguin de l'é
umeur biologique, a pris contact avec le monde exté- rieur. Donc la
substance
stimulante en question, tout en circulant chez
nditions ordinaires, y circule à l'état d'inertie. Ce doit être une
substance
soluble qui demeure inactive et qui, normalemen
pourquoi l'épileptique ne peut s'immuniser lui-même, par sa propre
substance
, bien qu'il porte en lui à côté d'éléments toxi
produite par une lésion sous-corticale. L'examen histologique de la
substance
grise d'où provenaient les libres ramollies (pa
éthylène révèle : 1° un retard considérable dans l'apparition de la
substance
colorante et 2° une lenteur très grande de l'él
Tel n'est pas mon avis. La lésion des méninges précède celle de la
substance
nerveuse. La pacliyméningite,1'arach- noïdo-pie
que de la paralysie générale, je crois que les altérations de cette
substance
sont secondaires et acces- soires, et que le pr
ux lésions des fibres et des cellules nerveuses, engendrées par des
substances
toxiques dont la nature peut d'ailleurs varier.
aceutique serait celle qui, d'une part, respecterait au maximum les
substances
les plus instables du sang, et qui' d'autre par
dans les méninges, l'écorce grise (névroglie, cellules) et même la
substance
blanche par Philippe et Joués. Il faut aussi
à étudier. Pour les hypnotiques en particulier, la diversité des
substances
à examiner, et sur beaucoup desquelles il a été
ité élevée qui l'a fait abandonner. Beaucoup plus important que les
substances
précédentes est 324 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'hydr
t on a dit que les sul- fones ne sont pas des stupéfiants, mais des
substances
adjuvantes du besoin de sommeil. Ils sont à é
oupes de la moelle qui vont être projetées. Cette destruction de la
substance
grise est le plus accentuée au niveau du renfle-
entraîné un affaissement complet de la corne et un plissement de la
substance
blanche enveloppante. Dans les parties détruite
e veine profondément altérée. Elles sont le plus accentuées dans la
substance
grise, diminuent rapidement dans la substance b
us accentuées dans la substance grise, diminuent rapidement dans la
substance
blanche au point que, arrivées dans l'épaisseur
e. Nous croyons cependant que, dans notre cas, la destruction de la
substance
grise doit être attri- buée à des bémorrhagies
aque cellule ou fibre musculaire deux 'substances contractiles : la
substance
fibrillaire anisotrope (disques sombres), ancie
sarcoplasme possède des caractères d'excitabilité différents de la
substance
fibrillaire. Le sarcoplasme se contracte lentem
muscles lisses et muscles striés rouges, riches en sarcoplasme). La
substance
fibrillaire se contracte très rapidement (muscl
t (muscles striés pâles). Le sarcoplasme est moins excitable que la
substance
fibrillaire : il demande, pour réagir, non seul
ermeture et ouverture) agit comme un excitant principalement sur la
substance
fibrillaire anisotrope, tandis que le régime pe
s que le régime permanent agit comme excitant principalement sur la
substance
sarcoplasmatique. Ces faits étant établis, les
un retour à l'état em- bryonnaire : diminution ou disparition de la
substance
fibrillaire (perte de la striation) et développ
caractéristique du sarcoplasme, qui, étant moins différencié que la
substance
fibrillaire, n'est pas ' IOTEYI0. Etudes sur a
nstituent un faisceau de rayons ayant pour centre les confins de la
substance
grise centrale du canal encéphalomédullaire, en
ment de la calotte de Meynert. Telle est l'origine thalamique de la
substance
blanche profonde qui va au cordon antérieur, ou
dégénéres- cence descendante. Proviennent-elles des cellules de la
substance
grise ' ? Voici un fait de tabès dorsal dans
les osseuses (structure patho- logique), et à des altérations de la
substance
fondamentale orga- nique. On voit également p
e disparaît, les organes de l'économie subissent une atrophie de la
substance
active et la multiplication du tissu inteistiti
t, on monte au xylolcol- phane. Il semble que l'on colore ainsi une
substance
du cylin- draxe qui parait ne pas commencer imm
e sylvie2tite droite. Ces foyers pénètrent de 3 centimètres dans la
substance
blanche du lobule pariétal inférieur : de 2 cen
qu'il ne s'en sépare plus de flocons colorés, et jusqu'il ce que la
substance
grise tranche nettement par sa colora- tion rou
substance grise tranche nettement par sa colora- tion rouge sur la
substance
blanche jaune. Xylol, baume du Canada, couvre-o
s méninges cérébrales. Hyperémie très marquée des méninges et de la
substance
grise de la moelle. Néphrite double. Le pylore
chons. Dégénérescence myélinique irrégulièrement distri- buée de la
substance
blanche du nerveux central. Les cellules de la
es à la moitié postérieure de la moelle, et qu'elles épargnaient la
substance
grise ; plus tard on affirma que cette dernière
répétition de ce mouvement, de même l'impression pro- duite sur la
substance
nerveuse vivante au cours de la production de l
aucunement de reconnaître la SUBSL tance grise ou les cordons de la
substance
blaticlie. 1. ! i.. Les deux tiers de la prépar
, limitée aux tuniques, externe et moyenne. Dans cette région, la
substance
nerveuse n'a pas complètement disparu. Ainsi, s
nettement reconnais- sables malgré un certain degré d'atrophie. La
substance
grise n'est représentée que par une toute petit
aire plissée et mal colorée. A une petite distance de ce restant de
substance
grise, on distingue le sillon médian-antérieur, b
dans le cordon anléro-latéral. Toutefois, la presque totalité de la
substance
blanche continue à être démyélinisée comme préc
bstance blanche continue à être démyélinisée comme précédemment. La
substance
grise est représentée simple- ment par quelques
THOLOGIE NERVEUSE disséminés çà et là ; par contre les cornes de la
substance
grise ne sont représentées que par quelques élé
montre des cavités et des lacunes placées, pour la plupart, dans la
substance
gtise ; les grandes cavités n'ont pas de paroi
ogliques anciennes. D. Coupes au niveau de la 8° racine dorsale. La
substance
grise a repris sa configuration et sa structure
exercer profondément, jusqu'à l'axe gris central, car c'est dans la
substance
griae péri-épendymmre que siègent les centres de
tolérance du tissu nerveux pour le corps étranger implanté dans sa
substance
. Les altérations microscopiques démon- trent ic
trice, ou, peut-être, trophique, du moins que la racine issue de la
substance
ferrugineuse. Le facial et quel- 1 Cas publiés
e. Il existe un foyer dans le lobe temporal gauche ; l'écorce et la
substance
blanche des deux tiers postérieurs de la 1 re e
1 re et de la 2° temporale sont détruits; la partie profonde de la
substance
blanche du lobule pariétal inférieur est scléro
é ces dernières, s'inflé- chissent longitudinalement en avant de la
substance
gélatineuse, soit en montant, soit en descendan
n de Bechterew d'après laquelle les cordons de Goll rayonnent de la
substance
grise ou des colonnes de Clarke dans les cordon
s au milieu (entre la commissure postérieure et la périphérie de la
substance
blanche). Ces derniers trousseaux pénètrent dan
de la substance blanche). Ces derniers trousseaux pénètrent dans la
substance
grise jusqu'à la périphérie des cornes antérieure
rale, les fibres se perdent dans le fin réseau placé en avant de la
substance
gélatineuse d'où partent les fibres qui se rend
t à la commissure postérieure; à la couche limitante latérale de la
substance
grise des cordons latéraux, elles se confondent
sies et infiltrées; accumulation de cellules rondesjusque dans : la
substance
corticale. Conclusion : Tabes classique avec arth
les cordons postérieurs (intégrité du reste de ces organes et de la
substance
grise). Il ne s'établit pas de dégénéres- cence
e la moelle (encéphalite interstitielle de Juergens, myélites de la
substance
blanche) ; les dégénérescences descendantes et
ma, provoquent une inanition générale du système et encom- brent la
substance
nutritive, dont ils prennent finalement la place,
t la substance nutritive, dont ils prennent finalement la place, de
substances
impropres à la nutrition. Tel est le mécanisme
'est qu'apparente, car, si l'on compare deux volumes égaux des deux
substances
musculaires normales et hypertrophiées, ou des
rfs. La réaction myotomique tient à une modification chimique de la
substance
contractile du muscle, elle-même provoquée, dan
s les racines postérieures, mais se rencontraient également dans la
substance
grise, et se manifestaient au niveau des cloisons
u tissu conjonctif, celte prolifération a poussé une pointe dans la
substance
grise postérieure et dans les cornes postérieur
u gonflé et d'aspect velvétique permet de très bien distinguer la
substance
grise de la substance blanche. Au bout de quarant
velvétique permet de très bien distinguer la substance grise de la
substance
blanche. Au bout de quarante-huit heures on en
onte par le procédé que l'on désire. Le microscope révèle alors une
substance
jaune rouge dans laquelle les éléments nerveux so
essairement à cette période; il n'y a pas encore d'altération de la
substance
céré- brale ni des cellules nerveuses. P. K.
nt, dans les cordons postérieurs, principalement au voisinage de la
substance
grise, des fascicules .disséminés. On en a des
cérébello- latéral direct de la moelle, du trousseau limitrophe de
substance
grise, on constate, à la région qui sera plus t
e de palladium, procède à une dissec- tion méthodique. Il enlève la
substance
grise et suit pas à pas les faisceaux qui se pr
s sillons de l'écorce proviennent de ce que, en quelques points, la
substance
blanche cesse de progresser (en ces points se f
a perforé la dure- mère et les os, mais qui n'a pas pénétré dans la
substance
ner- veuse de plus de un centimètre et demi à d
la péri- artérite des plus petits vaisseaux de la pie-mère et de la
substance
cérébrale, et une infiltration nucléaire diffus
même chez les individus morts au début de la maladie, alors que la
substance
cérébrale ne pré- sente pas de signe de scléros
se ou localisée autour des petits vaisseaux de la pie-mère ou de la
substance
céré- brale. Dans certains cas de typhus pellag
marasme. Dans des cas plus rares, l'épaississement s'accentue et la
substance
céré- brale est atrophiée, indurée, les ventric
apport avec les cir- convolutions cérébrales. J. SÉGLAS. XXV. Les
substances
albuminoïdes phosphorées du cerveau ; par MM. D
ogique contemporaine-a établi solidement le rôle très important des
substances
albuminoïdes dans l'activité vitale des élément
es qui ont lieu dans les cellules existent, grâce à la présence des
substances
albuminoïdes. Il est donc très naturel, dans l'
du tissu céré- bral. MM. Danilevski et Oumikoff étudient surtout la
substance
grise du cerveau. Cette substance présente une
i et Oumikoff étudient surtout la substance grise du cerveau. Cette
substance
présente une composition plus compliquée que be
composition plus compliquée que beaucoup d'autres tissus. Outre les
substances
albuminoïdes elle contient une grande quantité
elle constitue une propriété exclusive du tissu cérébral. Ces trois
substances
présenlent une propriété caractéristique du proto
tivité vitale. Cependant, il ne faudrait pas conclure de là que ces
substances
non albuminoïdes de la masse cérébrale présente
es dans les éléments ner- veux. Mais dans tous ces cas, ce sont des
substances
albuminoïdes qui constituent la base matérielle
n seulement sur les combinaisons chi- miques non albuminoïdes de la
substance
grise, mais aussi et sur- tout sur les combinai
s combinaisons albuminoïdes. Tous les éléments consti- tutifs de la
substance
cérébrale peuvent être divisés en plusieuis gro
peuvent être divisés en plusieuis groupes naturels, notamment en :
substances
azotées albumi- noïdes, substances azotées non
groupes naturels, notamment en : substances azotées albumi- noïdes,
substances
azotées non albuminoïdes et substances inor- ga
nces azotées albumi- noïdes, substances azotées non albuminoïdes et
substances
inor- ganiques y compris H2o. La présence dans
des et substances inor- ganiques y compris H2o. La présence dans la
substance
cérébrale des combinaisons organiques contenant
ant du phosphore, donne lieu à la formation d'un groupe spécial des
substances
phosphorées, constituant des éléments constants
n albuminoïdes, les unes azotées, les autres non azotées. Parmi les
substances
albuminoïdes du tissu cérébral deux jusqu'à pré
la globuline et la stromine. Les recherches très-détaillées sur la
substance
grise y ont démontré d'une façon indiscutable l
elle du protoplasma nerveux. En même temps, on a remarqué que les
substances
albuminoïdes se trouvent non-seulement dans les c
les auteurs tirent l'hypothèse que la névrogie est par essence une
substance
purement nerveuse, un élément nerveux d'un ordr
iquer le genre d'ac- tivité qui lui soit propre. La globuline de la
substance
grise, qu'il s'agisse des cellules nerveuses ou
titution. La globuline phosphorée est une propriété exclusive de la
substance
grise du cerveau des vertébrés à sang' froid ou
côté gauche; l'écorce était amincie. Au-dessous de cette plaque, la
substance
blanche présentait une cavité de la grosseur d'un
ydatides du - avec hémorrhagie cérébrale, par Doenhardt, 405 ; ;-
substances
albuminoïdes phosphorées du -, par Danilewski
sez facilement, sauf sur cer- tains points où on entraine un peu de
substance
grise. Rien d'anormal. Protubérance et bulbe, s
celle d'une noisette, se distinguent à peine par leur couleur de la
substance
1% ig. 1. , : 48 Autopsie : Sarcomes DU cerye
que leur forme générale spit notablement modifiée. L'épaisseurde la
substance
cérébrale qui sépare la paroi ven- triculaire d
ment sur la surface du cervelet ou du bulbe sans pénétrer dans la
substance
nerveuse et sans l'altérer. Sur les bords laté-
des adhérences très prononcées et irrégulièrement réparties avec la
substance
corticale sous- jacente. La décortication des c
ifficulté et la pie-mère entraine avec elle une grande partie de la
substance
corticale des circonvolu- tions. Au niveau de l
es faces interne et externe des lobes tem- poraux et occipitaux. La
substance
corticale s'enlève presque complètement avec la
n pariétale et occipitale des hémis- phères. Après décortication la
substance
cérébrale est molle, déchiquetée ; elle présent
érents points, un petit piqueté hémorragique dans l'épaisseur de la
substance
Fig. 5. nILNI\GO-P\CPH : 1LIT. 61 1 cortica
trouve pas de leucocytes autour des vaisseaux qui pénètrent dans la
substance
cérébrale, En quelques points, peu nombreux il
istence de petits foyers hémorragiques dans la couche moyenne de la
substance
grise, apparaissant à l'examen macroscopique, s
part trouvé de foyers de sclérose superficiels ou profonds dans la
substance
corticale des hémisphères. L'épen- dyme des ven
re. On ne retrouve pas autour des vais- seaux qui pénètrent dans la
substance
corticale cette in- filtrationlencocytique dont
u mal de Pott, offre des lésions portant sur les enveloppes, sur la
substance
blanche et sur la substance grise. La pie-mèr
ions portant sur les enveloppes, sur la substance blanche et sur la
substance
grise. La pie-mère et les nerfs rachidiens appl
scence empiète même légèrement sur la zone radi- culaire. Dans la
substance
grise, il y a raréfaction notable des cellules,
z étendue qui comprend toute l'épaisseur des commissures. Dans la
substance
blanche, le cordon latéral est en partie dégéné
de la moelle dorsale, les enveloppes n'offrent rien de spécial; la
substance
grise présente des cor- nes anterieures presque
en cellules. Le sillon antérieur de la moelle est élargi. Dans la
substance
blanche on constate du premier coup d'oeil la d
ntité. La pic-mère de la base, très fine, s'enlève sans détacher de
substance
grise; celle de la convexité, plus épaisse, s'e
end aujourd'hui sous le nom de porencé- phalie toutes les pertes de
substance
étendues cle l'hémisphère ; il suffit qu'il y a
au contraire, qui a créé ce terme, ne considérait que les pertes de
substance
qui pénétraient jusqu'au ventricule latéral.
aussi dissemblables qu'un arrêt de développement et une perte de
substance
consécutive à un processus né- crobiotique quel
orencéphalie. Si l'on tient à conserver ce terme pour les pertes de
substance
par ramollissement ou autre cause, c'est de dés
illantes et rentrantes. A la partie inférieure se voit une masse de
substance
blanche, volumi- neuse, arrondie, qui paraît co
ois petits kystes d'aspect gélatiniforme, assez résistants, dans la
substance
médullaire près du bassinet. Rein droit : 42 gr
ue impossible, car on enlève avec la pie-mère de grands lambeaux de
substance
grise. Hémisphère gauche. Beaucoup plus petit q
un défaut de développement de certaines circonvolutions et de la
substance
blanche sous-jacente. Le fond du kyste est formé
he sous-jacente. Le fond du kyste est formé par une mince couche de
substance
blanche recouverte d'une mem- brane cclluleuse,
uleuse, très résistante, qui lui adhère intimement. Cette couche de
substance
cérébrale est continue et, en aucun point, il n
par un hyste volumineux, qui s'est creusé une loge aux dépens de la
substance
grise et blanche de l'hémisphère et qui a détru
vec la pie-mère, assez mince sur toute son étendue. Au niveau de la
substance
cérébrale, au contraire, cette membrane s'épais
le, au contraire, cette membrane s'épaissit, adhère intimement à la
substance
cérébrale dans les anfractuosités de laquelle e
formé par cette membrane lisse, et doublée d'une mince couche de la
substance
blanche qui la sépare du ventricule latéral et
que le processus nécrobiotique puisse détruire com- plètement la
substance
cérébrale jusqu'au ventricule latéral et établi
ieu d'être formées par les circonvolutions, sont constituées par la
substance
blanche recouverte par la membrane du pseudo-ky
hagriné, plisse- , ment des circonvolutions, sclérose cérébrale, la
substance
grise semble mobile sur la substance blanche. -
utions, sclérose cérébrale, la substance grise semble mobile sur la
substance
blanche. - Légère . dilatation du ventricule cé
fontanelles. Au niveau du parié- tal gauche se trouve une perte de
substance
à direction ancéro- (1) Voir llol)s4 complète d
mère ' n'adhère pas avec le crâne, même au niveau de la perte de
substance
. La suture métopique est soudée. La suture coro
e, de consistance ferme, ayant comme dimension celui de la perte de
substance
déjà décrite. OBS. XXI. Idiotie méningitique ;
ne ogivale, luette normale. Amygdales volumineuses. D..reconnaitles
substances
sucrées, salées, amères. Dents complètes ; les
t. Adhérences disséminées sur toute la face convexe; ou entraine la
substance
grise par petits îlots ; le maximum des lésions
éné- ralisées et ont entraîné en maints endroits presque toute la
substance
grise des circonvolutions ; quelques-uns des sill
base. Celle-ci est très large et se continue directe- ment avec la
substance
cérébrale. Elle est presque quadrila- tère et m
s men- tales, montre qu'elle est entièrement constituée par de la
substance
nerveuse analogue à celle du cerveau. Colorée au
le absolument celui d'une circonvolution cérébrale, au niveau de la
substance
grise, les cellules ayant l'aspect et la forme
nerveuse développée aux dépens des tubercules mamillaires et de la
substance
grise du troisième ventricule qui ne forment pl
at DE MAL ÉPILEPTIQUE. Température. 113 Les cas d'hétérotopie de la
substance
nerveuse paraissent être assez rares. Récemment
et dans lequel on trouva, au milieu du centre ovale, un noyau de
substance
grise semblable à l'écorce avec laquelle cette
noyau de substance grise semblable à l'écorce avec laquelle cette
substance
grise était en communication par des fais- ceau
tte substance grise était en communication par des fais- ceaux de
substance
blanche. Cette substance grise incluse dans la
it en communication par des fais- ceaux de substance blanche. Cette
substance
grise incluse dans la substance blanche ordinai
ceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans la
substance
blanche ordinaire a la même structure que la co
les cellules embryonnaires indifférentes se sont trans- formées en
substance
grise pour remplir la place que laissait vide l
rmées en substance grise pour remplir la place que laissait vide la
substance
blanche manquante, ou, si l'on préfère, il y a
des fibres blanches qui sont, par suite, normalement devenues de la
substance
grise. II. Outre cette anomalie cérébrale, on o
par une membrane lisser mince, surlaquelle on constate des îlots de
substance
cérébrale.; La suture 111te1·IIé)111SIV1'tllite
ermet pas de trouver la trace de la scissure de Sylviusa Un îlot de
substance
cérébrale de 5 centimètres carrés environ forme
niveau du lobe frontal qui, lui ? est représenté par une plaque de
substance
cérébrale offrant : ' l'aspect de circonvolutio
u lobe temporo-sphénoîdal. L'hémisphère droit offre encore moins de
substance
]cérébrale. Le lobe frontal y est représen- té p
base, il offre un aspect membraneux, recouvert de minces couches de
substance
cérébrale. On peut constater sur la base des dé
paroi de subs- tancecèrÚ/n'¿¡II' d'un millimètre d'épaisseur. Cette
substance
fait défaut au niveau de la scissure de Sylvius
erminé des adhérences assez fortes' pour amener l'arrachement de la
substance
grise de toute la région; lors de la décorticat
celles de la face interne sont réduits à une simple lamelle unie de
substance
cérébrale. - Les gal1 ! llions centraux, fortem
misphère. Notons cependant un aplatissement plus considérable de la
substance
cérébrale sur une bande allant verticalement de
énible. Les circonvolutions cérébrales sont aplaties, étalées. La
substance
encéphalique est ramollie. Cerveau énorme, remp
hypérémiés; le rein gauche contenait, au niveau de l'union des deux
substances
, un petit kyste de la grosseur d'un pois. Rien
ures sylviennes, sont les points d'accumulation de ce liquide. La
substance
nerveuse paraît lavée par le séjour dans ce liqui
e-mère adhère fortement partout et, en l'enlevant, on entraîne la
substance
grise des circonvolutions. Seules FA et PA, surto
celle d'une noisette, se distinguent à peine par la couleur de la
substance
nerveuse avec laquelle elles ne paraissent pourta
leur forme générale soit notablement modifiée. L'épaisseur de la
substance
cérébrale qui sépare la paroi ventriculaire de
s malades qui en font le sujet, nous avons vu se produire dans la
substance
intersuturale une prolifération de tissus, très
ne au point de faire disparaître ou de réduire à une mince paroi la
substance
cérébrale. Cette compression doit s'opérer très
creusa en pro- fondeur, et amena la formation d'une large perte de
substance
qui devint le siège d'une suppuration fétide. L
lus en arrière et séparée de la première par un petit intervalle de
substance
saine, il en existe une autre qui surplombe en
cette grande commissure du cerveau, l'existence de deux colonnes de
substance
grise bien délimitées sur l'hémisphère gauche;
ions pariétales, et à la scissure de Sylvius ; elles pénétraient la
substance
blanche dans le pied de la troisième frontale e
nication). Les particules gazeuses ou gazéiformes que rayonnent les
substances
odorantes, entrent dès lors en contact avec les
le mènent à cette conclusion que : les foyers de l'écorce et de la
substance
blanche qui n'atteignent pas le pied de la cour
tiers supé- rieur de la frontale ascendante : ramollissement de la
substance
blanche sous-jacente. Seconde tumeur de même na
volutions ascen- dantes dans leur tiers supérieur sans empiéter. La
substance
blanche du territoire de la capsule interne et
ncien sous-jacent, kystique, séparé du premier par un centimètre de
substance
blanche, normale et parfaitement isolé égalemen
Broca, celle-ci étant demeurée saine dans son écorce, alors que la
substance
blanche en est lésée. Non moins concluante sera
cylindroïde' ne se trouve que dans les cavernes qui siègent dans la
substance
grise et la commissure, jamais dans les caverne
d'affection combinée des cordons DE la moelle AVEC ALTÉRATION DE LA
SUBSTANCE
GRISE par SIOL1. (lrClc. f. Psych. te. Nervènk
aire cervicale, jusqu'au bas de la moelle sacrée ; l'ensemble de la
substance
grise des cornes antérieures est lésé dans la par
rs et latéraux (Westphal) et en même temps la proliféra- tion de la
substance
intermédiaire, ainsi que les lésions des partie
re, ainsi que les lésions des parties nettement différenciées de la
substance
grise. Il relie la dégénérescence des colonnes
e grise. Il relie la dégénérescence des colonnes de Clarke et de la
substance
grise des cornes antérieures à l'envahissement
e son mémoire par l'élude des lésions des hémisphères, tant dans la
substance
blanche produisant l'hé- miplégie, 1'liémiaiies
iplégie, 1'liémiaiiestliésie, l'hémichorée, l'athétose, que dans la
substance
corticale, avec tout leur cortège de troubles si
ue dans les cas où il s'agit d'évacuer promptement de l'estomac des
substances
toxiques, il suffit d'in- gérer une grande quan
ie de la première enfance, est causé par une lésion des noyaux de
substance
grise préposés aux mouvements associés binocula
r- ficielle ; elle ne dépasse pas eu profondeur les limites de la
substance
corticale. Masses centrales saines. Hémisphère
au de la région fronto-pariétale elle entraîne de gros fragments de
substance
cérébrale ramollie. Il existe, en effet, un lar
la scissure deSylvius. La pie-mère est injectée et adhé- rente à la
substance
cérébrale, sur plusieurs points des circonvo- l
r les artères de l'hexagone. Rien à signaler dans l'épaisseur de la
substance
cérébrale. Rien au cervelet, ni dans le bulbe.
s en présence d'un « produitde sécrétion », et il a expérimenté les
substances
qui agissent sur les sécrétions. L'atropine à f
aques. La putréfaction détruit le pourpre rétinien comme toutes les
substances
albuminoïdes ; son action peut être en- rayée e
poser, M. Ayres tire les conclusions suivantes : le pourpre est une
substance
albuminoïde, formée par les cellules de revête-
par les gros troncs nerveux de l'oeil. Nous ne connaissons pas de
substance
capable de la ralentir ou de l'arrêter, mais la p
pondante de la scissure de Sylvius. A son niveau, destruction de la
substance
cérébrale, réduite en masse rosée, avec petit f
iémorrltabie, lésions siégeant à droite et exactement limitées à la
substance
grise du lobule et à la substance blanche la sépa
roite et exactement limitées à la substance grise du lobule et à la
substance
blanche la séparant de l'avant-mur, les auteurs
t devant les alcalis. Un certain nombre de cellules contiennent des
substances
réfractaires, car en dépit de la pepsine et des
du corps rbombuidai du cervelet. En conséquence, la nucléine ou une
substance
semblable (composée comme elle d'acide pliospli
d'âge de ces éléments et que les variations dans les cellules d'une
substance
à structure moléculaire complexe sont en rappor
on cherche à la détacher, on constate qu'elle adhère fortement à la
substance
cérébrale, qui se laisse désa- gréger. Une co
tuberculeuse pénètre profondément la subs- tance grise et un peu la
substance
blanche, au niveau du lobule paracentral qui es
,.foyer tuberculeux, et, nous avons pu nous convaincre que ces deux
substances
étaient saines et ne renfermaient pas de corps
et rouge. , " . Le lobule paracentral a conservé sa forme, mais sa
substance
offre un aspect spongieux, un, peu rougeâtre, e
constituaient une sorte de'noyau qui semblait plonger aumilieude la
substance
cérébrale devenue, adhérente, ramollie et ^pigm
ubuleux a disparu, et'ilç`st-ù péùprès yilissivled,l ? délimiter la
substance
corticale de -la'' substance, médullaire. [ ? (
ù péùprès yilissivled,l ? délimiter la substance corticale de -la''
substance
, médullaire. [ ? ( Toute la tranche est. hériss
? ,, , 1 1 , ' L .4 ' 1 - l'n.illMHïl ? Il ° . »* ' T ' ' " de sa
substance
11 ont pu être- pris pour 1 çiamen llistologiduc
.-IM >|. VHI-, |... ? J. t. 1jh| ,nhi, ,. "h petit abcès dans la
substance
nerveuse, une zone de congestion, ' ? .r .I1 11 ?
in des cellules, en plein tissu nerveux, et cela aussi bien dans la
substance
blanche que dans la substance grise. 4° Enfin,
u nerveux, et cela aussi bien dans la substance blanche que dans la
substance
grise. 4° Enfin, en présence de l'acide osmique
2° les dégénérescences rénales chro- niques ou défectuosités de la
substance
des reins. Parmi les premières nous trouvons do
dans une -étendue de' quatre a cinq,centimètres. Asymétrie. de la-
substance
grise sur les,,coupes, du seâment,4lorsalinféri
les systèmes son purfaitement'dessi-1' nés ? unc,çouhe, é rpite,ae,
substance
,nervcuse sépare ce double' appareil. Buis le tr
ances laquelle vous m'avez depuis longtemps accoutumé. Teli est, en
substance
, le discours prononcé par M. Motet... n 'De la
énérale (adhérences, épaississement des méninges, ramollissement de
substance
grise, induration de substance blanche et des l
ment des méninges, ramollissement de substance grise, induration de
substance
blanche et des lésions athéromateuses (athérome
t jamais jusqu'à la suppuration ; un changement de coloration de la
substance
grise due à l'empilement des globules rouges da
liminer l'irrita- tion méningitiquecomme cause de l'injection de la
substance
grise, comme cause du délire ; après avoir exam
d'affection combinée des cordons de la - avec altéra- tion de la
substance
grise, par Sioli), 102 ; - (Compression de la
droit dura deux mois; pendant ces temps il dut s'alimenter avec des
substances
liquides puisque la mastication lui provoquait
laire. Ostéome de la dure-mère avec pachyméningite. Intégrité de la
substance
blanche et grise de la moelle, même au microsco
iologique, son importance dépend de larichesse de l'alimentation en
substances
azotées. La constatation d'une petite quantité
des adhérences généralisées, les cir- convolutions peu marquées; la
substance
grise est pâle, décolorée, la pulpe cérébrale r
, en puise de tube laryngien, et sentit la résistance vaincue de la
substance
molle, en pénétrant par l'ouverture de la glott
. P. K. XI. RECHERCHES anatomiques SUR la marche DES FIBRES DE la
SUBSTANCE
GRISE CENTRALE DES CAVITES CÉRÉBRALES ET LA DISPA
suit dans toute son étendue. Tant et si bien. qu'au niveau de la
substance
grise du troisième ventricule, on compte quatre t
occupe la région de l'infundibulum; 2° Les fibres qui occupent la
substance
grise centrale des cavités, se terminent dans l
du noyau lenticulaire ; 3° Le faisceau dorso-longiludinal occupe la
substance
principale de ces libres; , 4° D'autres fibre
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. C'est à l'atrophie des fibres de la
substance
grise des cavités qu'il faut rattacher les trou
lé externe, du bras antérieur des tubercules quadrijumeaux, de la
substance
blanche superficielle du tubercule quadrijumeau a
u même côté; la racine descendante, dans les grosses cellules de la
substance
grise centrale des ventricules, autour de l'aqued
nte du côté sain a déjà un notable volume. Les fibies émanent de la
substance
gélatineuse, ou plutôt de la partie latérale de
des paires cervicales postérieures; plus haut, vers les centres, la
substance
gélatineuse est encore le centre de formation des
hogénétique entre l'atrophie de la racine ascendante et celle de la
substance
gélatineuse; bien que le trijumeau ait été lésé
des deux organes. P. Klraval. XIV. DE l'atrophie DES fibres dans la
substance
grise ET des PRO- CESSUS DE division DES noyaux
des lésions suivantes. Tuméfaction et augmentation de volnme de la
substance
de soutènement; compression des tubes nerveux ;
ellules autour des vaisseaux, ni multiplication, ni néoplasie de la
substance
de soutènement. Et, somme toute, la dégénéresce
e toute, la dégénérescence secondaire demeure des mois limitée à la
substance
nerveuse, 'ce n'est qu'à une période avancée qu
émisection de la moelle provoque la myélomala- cie transverse de la
substance
grise et une dégénérescence secon- daire bilaté
i, il y à division des noyaux dans les cellules con jonctives de la
substance
blanche et de la substance grise. En multiplian
ux dans les cellules con jonctives de la substance blanche et de la
substance
grise. En multipliant les hémisections chez les
l'oeil ? Les optogrammes sont la résultante de la décomposition de
substances
explosibles qui lais- sent après la décharge, d
A. Fick, Chodin, Gscheidlen. Sczerbak, Max Schultze, Remak. Cette
substance
explosible emmagasinée dans l'enveloppe extérieur
ion interstitielle des plus accusées ; intégrité du plexus et de la
substance
grise. Discussion : M. B1NSZPdNGEIt traite un j
chement du nerf sciatique suivies de lésions des parties centrales (
substance
grise de la moelle) et pense que dans les expér
de dégénération consécutivement à une altération des cellules de la
substance
grise. M. le professeur KAJEWNIKOW. - Les reche
rétine; le faisceau de Flechsig (allant de l'entre-croisement à la
substance
grise centrale du troi- 136 SOCIÉTÉS SAVANTES.
l'action de la cocaïne ou de l'atropine, que l'auteur emploie comme
substances
excitant les fonctions du cerveau. Voilà le rés
caractères communs une lésion nécessaire des cornes antérieures de
substance
grise, évoluant suivant le mode chronique. A ce
ui occupant primitivement les faisceaux blancs ou les régions de la
substance
grise, autres que les cornes antérieures, ne pu
les cornes antérieures, ne puisse retentir sur cette partie de la
substance
grise et déterminer secondairement, acci- dente
diffuses prédominant dans le renflement cervical et intéressant la
substance
grise des cornes antérieures de cette région de
myélites diffuses, mais prédominant dans les cornes antérieures de
substance
grise et dont je vous parlais tout à l'heure ?
oupe de cylindre-axe. Entre la paroi de ces pseudo-cellules et leur
substance
chromatique, il n'existe aucune apparence proto
aucune apparence protoplasmique. Souvent on trouve autour de cette
substance
chromatique des granulations, mais ce sont des
l en résulte alors un aspect COl'olli(01'me. Il arrive aussi que la
substance
chromatique se dispose de telle façon qu'elle d
dyna- mique des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de
substance
grise de la moelle épinière, centres trophiques.d
10 sept. IS9` ? ; p. 324.) 208 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. pement. La
substance
contractile -- myoplasma s'entoure du plasma in
des faisceaux se différencie en cellules amiboïdes qui englobent la
substance
striée. Nous basant, quant à nous, sur le mode
- pect de la lèvre à ce moment. On voit qu'il existe une perte de
substance
assez considé- Anciuvus, L. XXV. iq Fig. 18.
es et naturellement la concavité est tournée en haut. La perte de
substance
s'est réparée rapidement ainsi que cela se voit
oi des petits vaisseaux, récentes hémorrhagies punctiformes dans la
substance
grise; hypertrophie du lobe moyen de la prostat
ue parallèle à la scissure de Romande. Sa présence avait détruit la
substance
cérébrale formant une cavité irrégulière de 55
n enlevait un kyste produisant dans l'hémisphère droit une perte de
substance
plus étendue. Actuellement, six mois après la d
e peut encore se livrer à ses occupations. Au niveau de la perte de
substance
, on sent sur le crâne une tumeur pulsalile fluctu
te normal jusqu'à la limite de l'anencéphalie. La formation de la
substance
corticale dans les cas extraordi- naires, en de
infantile, dans laquelle le progrès de l'inflammation enveloppe la
substance
corticale, et à laquelle on a donné le nom de Pol
nnée d'existence de la Société. M. Kronthal. De l'hétérotopie de la
substance
grise de la moelle de l'homme. - L'orateur prés
he corticale de ce lobe, mais avait pénétré si profondément dans la
substance
médullaire qu'elle avait rompu les trajets eux-
ew, 105; fibres de l'écorce du -, 1 par Kaes, 109; fibres de la
substance
grise des cavités du , par Schuetz, 109; lésion
NESTIIISIE cérébrale, par Vors- tel, 126. 111;'1 h1\OTOPU : de la
substance
grise de la moelle, par Krontlial, '3US. tabl
erveuses de la -, par Schaffer, 107 ; atro- phie des fibres de la
substance
grise de la -, par llinor et Kuo- blauch, 111
i arriver à faire prendre jusqu'à 25 centigrammes par jour de cette
substance
pour obtenir l'effet comulsivanl. On ob- serve,
, à mettre en évi- i- dence les altérations des cellules nerveuses (
substances
chroma- toltlmle et ncurolibrilles) sont les mé
s d'association qui s'élagent dans les cordons latéraux. Dans la
substance
grise on note l'atrophie avec, pigmentation des c
ormes, pyramidales,ovalaires, rondes, fusiformes, plongées dans une
substance
granuleuse. Ces nappes ne sont interrompues que
ssement de celte fonction si délicate. La présence du brome dans sa
substance
glandulaire, constatée par Paderi, rend l'1.l.i
le pédoncule cérébelleux moyen prend sa principale origine dans la
substance
grise du pont, du côté opposé à l'hémisphère cé
nd, mais contient aussi des fibres dont l'origine se trouve dans la
substance
grise du pont du même côté (l. c., p. 100). »
n est amené à désirer une simplification dans la nomen- clature des
substances
à allures diastasiques dont le nombre se multip
que deux réactions l'une, très forte, aboutit à la production d'une
substance
agissant sur les cellules dé- truites ; l'autre
bstance agissant sur les cellules dé- truites ; l'autre produit une
substance
agissant d'une façon diffuse sur un grand nombr
culaires, soit les cellules névrogliques qui interviennent quand la
substance
nerveuse est impliquée dans des inflam- mations
tés ventriculaires sont très dilatées par suite de l'atrophie de la
substance
cérébrale, les parois ventriculaires présentent
oyaux centraux parti- cipent à l'atrophie. D'une façon générale, la
substance
blanche de chaque circonvolution paraît beaucou
anche de chaque circonvolution paraît beaucoup plus diminuée que la
substance
grise. Des dilatations périvascu- laires (état
- nuées de nombre. Les fibres radiées sont très diminuées dans la
substance
blanche et dans là substance grise des circonvo
es radiées sont très diminuées dans la substance blanche et dans là
substance
grise des circonvolutions ; les fibres transver
arition des fibres myéliniques explique pour- quoi l'atrophie de la
substance
blanche paraît beaucoup plus considérable que c
substance blanche paraît beaucoup plus considérable que celle de la
substance
grise : la par- tie périphérique de la substanc
le que celle de la substance grise : la par- tie périphérique de la
substance
blanche devient grise par suite delà disparitio
dans l'extrémité libre des circon- volutions et ne dépasse guère la
substance
grise. Il re- connaît pour cause la prédominanc
nt isolée et indépendante ; ce n'est pas le résultat d'une porte de
substance
puisqu'elle est bien limitée par une pa- roi pr
lule nerveuse se développe aux dépens d'un neuroblaste unique. La
substance
chromatique commence à se former vers le 10e jo
abaissement de l'ex- citabilité corticale. Le phosphate bisodique,
substance
qui préci- pite le calcium, a une action antago
mation du crâne. Si l'ablation corticale est profonde et atteint la
substance
blanche, on a une atrophie de l'hémisphère céré
moins étendue de la voûte crânienne, sans léser en aucune laçon la
substance
corticale sous-jacente. Le résultat fut qu'il n'y
une partie correspondante de l'écorce, et tâchant de res- pecter la
substance
blanche sous-jacente ; il obtint ainsi une hé-
s fibrilles apparentes et le mince réseau de la cellule colorée. La
substance
chromatique non éliminée donne naissance à une
nt jusqu'à un certain point possible l'étude com- parée de ces doux
substances
..1. Séglas. XXI. Les méthodes de psychométrie p
ortion cervicale; une altération partielle dans le rapport entre la
substance
blan- che et la substance grise ; enfin, une di
ration partielle dans le rapport entre la substance blan- che et la
substance
grise ; enfin, une dissémination néoplasique so
hétérotopie complète, comprenant de la suh- stance blanche et de la
substance
grise. Ceci pourrait avoir une explication embr
xistence d'un pouvoir trophique de l'écorce, avec altérations de la
substance
grise spinale (Dorglierini). IX. Présence de ce
bres descendantes dégéné- rées de la cellule nerveuse, à travers la
substance
grise spinale, les nerfs et les fibres musculai
veux; dans une première phase, on assiste à la dissociation delà
substance
chromatique, et dans une phase plus avancée on ob
de cavité à proprement parler et il ne paraît pas y avoir perle de
substance
. La périphérie, non plus que le centre, ne sont i
lever la constante positive qui traduit l'action excitante de cette
substance
sur les centres nerveux. L'ingestion de sucre, qu
, tous les paramètres aug- mentent d'où l'on peut inférer que cette
substance
n'est pas un aliment, mais un excitant du systè
-dire préciser, dans les limites du possible, les e11'ets que cette
substance
entraîne dans les manifestations de la vie psyc
tructure du nucléole des cellules nerveuses. D'après l'auteur, deux
substances
, au moins, entrent dans la constitution de ce n
a OII..lamais ce liquide ne renferme d'ammoniaque, d'acétone, ni de
substances
capables de donner la diazoccaction. Sa toxicit
e il do- ses élevées, chez les diverses espèces d'animaux. '7" La
substance
toxique spécifique contenue dans le sérum du sa
t admettre que l'hypertoxicité de ce sérum est due à un excès de la
substance
sensibilisatrice ; 8° cette propriété hypertoxi
on pourrait en outre constater au début «un léger gonflement de la
substance
interlibrillaire ». Les rélicu- lums ligures pa
uggestion indirecte en faisant absorber quelques centigrammes d'une
substance
inerte ou anodine, dont je pro- clamais la gran
apisse le fond de la dépression ci-dessus décrite. A ce ni- veau la
substance
cérébrale présente une consistance plu- tôt mol
et isthme : 100 grs. Sur toute la surface, la pie-mère adhère à la
substance
nerveuse à des degrés variables. Moelle épinièr
autres plus petits disséminés dans tout l'organe ; le reste de la
substance
corticale paraît normale ; le rein droit pèse 85
ant en divers points des vési- cules thyroïdiennes renfermant de la
substance
colloïde. Ce qui frappe au premier examen, c'es
abcès du '01UIll3d'UIl oeuf de pigeon, contenu à l'intérieur de la
substance
cérébrale et paraissant siéger au niveau de la
ébrale moyenne, incision cru- rale de la dure-mère, ponctions de la
substance
cérébrale : li- quide céphalo-rachidien louche
perméables de dedans en dehors conservent ainsi longtemps certaines
substances
nocives qui baignent le système nerveux. Les
i-permanente. Dès lors, quoi d'étonnant à ce que la présence de ces
substances
anormales et toxiques dans le liquide céphalo-r
orme de noyaux arrondis, de volumes différents. Elles occupent la
substance
corticale; quelques-unes se montrent à la sur-
épaisses. L'une d'entre elles fait relief au dehors, et refoule la
substance
médullaire en dedans, sur une largeur de 1 cent
es transversales et verticales, limitées exactement à l'union de la
substance
grise avec la substance blanche. Hémisphère gau
icales, limitées exactement à l'union de la substance grise avec la
substance
blanche. Hémisphère gauche. a) Face convexe : I
il n'y avait pas de paralysie; 2° la limitation des lé- sions de la
substance
grise; la singulière disposition des lésions du
e sorte que l'ablation des méninges en- traînait toute la couche de
substance
grise et mettait à nu la substance blanche, atr
n- traînait toute la couche de substance grise et mettait à nu la
substance
blanche, atrophiée, indurée, des circonvolu- ti
. Autopsie : Mé7zizgo-ezcépha- lite ; ablation presque totale de la
substance
grise. Dub... (Charles Antonin), âgé de 12 ans,
malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la couche de
substance
grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi à nu
e grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi à nu le squelette de
substance
blanche des circonvolutions. Ceci se produit su
paracentral, l'avant-coin, le coin, le lobe occipital de toute leur
substance
grise, laquelle ne résiste, mais incomplètement
alleux, et sur la moitié antérieure du lobe temporo-occi- pital. La
substance
blanche, ainsi mise à nu, est indurée, ferme, e
in, une véritable coque résultant de la soudure de la pie-mère à la
substance
grise, et reproduisant par ses reliefs et ses d
interne du lobe temporal. Mais on n'entraîne que des fragments de
substance
grise et non la totalité comme du côté opposé. La
ucher, friable, pèse 800 gr. ; la rate, 40 gr. ; les reins, dont la
substance
corticale est décolorée, pèsent l'un 80 gr. et
s avec des délabrements considérables ; tous 26 DÉCORTICATION DE LA
SUBSTANCE
GRISE. ces accidents graves ont guéri. Mais, bi
ère droit, la pie-mère entraînait avec elle toute l'épaisseur DE la
substance
GRISE, mettant ainsi à nu le squelette de la su
isseur DE la substance GRISE, mettant ainsi à nu le squelette de la
substance
blanche atrophiée et indurée. (Dans la Planche
il a trouvé la même lésion, caractérisée par la sé- paration de la
substance
grise de la substance blanche. Voir aussi : Cal
ésion, caractérisée par la sé- paration de la substance grise de la
substance
blanche. Voir aussi : Calmeil, Traité des malad
et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de
substance
blanche. Les circonvo- lutions du voisinage son
terminerons en notant l'absence de lésions des méninges et de la
substance
grise chez une femme, vieille épilepti- que, at
le entraîne avec elle, par places, les couches superficielles de la
substance
grise. Les circonvolutions pariétale et frontal
en avant. De ce côté, comme de l'autre, les circonvolutions et la
substance
blanche forment encore une couche épaisse entre
I. JI éningo-encéphalite chronique généralisée. Séparation de la
substance
grise de la substance blanche sur toute la face
alite chronique généralisée. Séparation de la substance grise de la
substance
blanche sur toute la face convexe de l'hémisphè
as -de cette maladie que. parce, que les cornes antérieures de la
substance
grise ont été plus altérées dans ces cas que da
sus morbide uniquement cantonné dans les cor- nes antérieures de la
substance
grise. Cela n'empêche pas cet auteur d'admettre
es limites habituelles et se propager soit aux autres parties de la
substance
grise, soit même aux faisceaux de la substance
autres parties de la substance grise, soit même aux faisceaux de la
substance
blanche. La maladie perd alors, dit Vulpian, da
e atrophique indiquent') des lo- "- . calisations médullaires de la
substance
, grise;1 autant les secondes dénotent des altér
;1 autant les secondes dénotent des altérations diffuses de cette
substance
. En somme, il s'ait là d'une combinaison de lés
t là d'une combinaison de lésions systématiques et diffuses de (la.
substance
grise de la moelle. On est en droit en : effet
: effet 'de circonscrire la lésiollijusqu'à un certain point à -la
substance
grise seule, en notant l'absence de douleurs, l
ier terme que les cornes antérieures de la moelle et le reste de la
substance
grise sont largement inté- ressés. C'est, nous
loureux qui reflètent ordinairement les altérations tangibles de la
substance
blanche, d'autre part ; nous croyons que nous s
tiques des cornes antérieures avec les altérations dif- fuses de la
substance
grise, ainsi que l'ensemble, la distribution et
ncisé la méninge et réséqué au besoin la portion scIé : rosée de la
substance
corticale sous-jacente. L'absence de symptômes
elle eût fonctionné, eût-elle, comme on le prétend, neutralisé les
substances
nuisibles en cir- culation dans le sang. P. K.
e, voire plusieurs heures. 2° Troubles permanents par lésions de la
substance
cérébrale. a. hémianopsie homonyme bilaté- rale
maladie, mort par paralysie de diaphragme. Examen microsco- pique :
substance
grise : diminution et atrophie des cellules gan-
s cellules araignées de Deiters, hémorrhagies capillaires notables.
Substance
blanche : atrophie très nette des fibres de la
s atteindre le lobule de l'Insula. La pie-mère est adhé- rente à la
substance
cérébrale ramollie qui se laisse arracher avec
gauche est tout à fait superficiel et n'intéresse exactement que la
substance
grise. A une petite distance, dans la substance
e exactement que la substance grise. A une petite distance, dans la
substance
blanche, il n'y a pas de corps granuleux. Le fo
rps granuleux. Le foyer de l'hémisphère droit entame notablement la
substance
blanche sous-jacente. Aucune lésion daus les no
ains cas, le cerveau peut être traversé et subir une vaste perte en
substance
grise sans qu'aucun trouble s'en suive dans les s
ans une condition d'instabilité et d'irritation particulières de la
substance
grise de l'écorce cérébrale. Chez beaucoup d'
tion du foyer épileptogène. Tout en considérant l'instabilité de la
substance
grise de l'écorce comme la cause immédiate de l
Dans l'épilepsie traumatique provenant d'une lésion existante de la
substance
cérébrale, le tissu cicatriciel épileptogène a ét
mincie de moitié. Cela s'interprète ainsi, d'après M. Jelgersma. La
substance
grise n'avait pas diminué, mais elle s'étendait
is nécropsies montrent, au point de vue qui nous occupe. A. Dans la
substance
grise. - 1° Atrophie du noyau principal de 260
ien, de l'oculomoteur externe, de loculomoteur commun. B. Dans la
substance
blanche. 1° Sclérose du faisceau pyra- midal da
trouve : 1° la, réduplication et l'hétérotopie (congénitales de la
substance
grise. Voir description et figures) ; 2° les lé
moelle épinière, l'existence de cellules nerveuses est limitée à la
substance
grise et que, les quelques cellules nerveuses iso
se et que, les quelques cellules nerveuses isolées, qui occupent la
substance
blanche, avoisinent la substance grise et, morp
nerveuses isolées, qui occupent la substance blanche, avoisinent la
substance
grise et, morphologiquement, sont identiques au
ires descendants. Elles n'ont pas les caractères des cellules de la
substance
grise; grosses, ovales, par- fois plus grosses
s qu'en ces régions, on ne trouve pas de cellules nerveuses dans la
substance
blanche (il ne s'agit donc point d'une migratio
ez l'adulte les systèmes de fibres que l'on peut distin- guer de la
substance
grise du troisième ventricule. Ce sont : immé-
nov. 1890) et Korsakow. D'où la patho- génie. Intoxication par une
substance
d'origine externe ou interne luto-intoxication)
vail, à l'aide d'une analyse minutieuse d'un nombre considérable de
substances
appartenant à tous les règnes et dont une des p
, opium, tabac, cocaïne, etc.). Il a réservé son attention pour les
substances
moins connues, et dont l'histoire est éparse de
appartienne, a recherché, pour en faire usage, et souvent abus, les
substances
excitantes pour son système nerveux. Chaque peu
s le corps strié gauche, ancien foyer de ramollissement occupant la
substance
blanche de l'insula, la capsule externe, la bra
noyau leuticulaire, la tête du noyau caudé, une grande partie de la
substance
blanche de la troisième frontale. Foyer récent
iés, on trouve une diminution de volume des faisceaux primitifs; la
substance
inter- médiaire a proliféré, les noyaux se sont
Intégrité complète des organes sensoriels. En un mot, lésion de la
substance
grise du cerveau et de la moelle (cellules des co
ière aurait pour facteur la propagation des lésions corticales à la
substance
blanche (l'hémiplégie émanant de l'atteinte des f
llucinations désagréables de l'odorat. Disparition du goût pour les
substances
sucrées, salées, acides. Tel est l'ensemble sym
sesse, les accidents reparaissaient. Il croit que des lésions de la
substance
musculaire président à la paralysie, car l'impo
les avec altération primi- tive des grandes cellules motrices de la
substance
grise des cornes antérieures comme dans la para
minante à la région cervicale dans la corne antérieure gauche de la
substance
grise, on la rencontrait aussi, quoiqu'à un moind
asmodique des vais- seaux et une anémie momentanée et limitée de la
substance
- cérébrale, qui peut être suivie dans certains
favorable sans aucun doute à la localisation de l'affection dans la
substance
grise de l'écorce cérébrale. Le plus souvent,
tures pures de staphylo- coccus p3ogenes aureus; dissociation du la
substance
du même organe par l'huile; ligature de l'aorte
odosités fusiformes et bacilliformes. Entre ces éléments existe une
substance
inaccessible aux agents colorants ou peu colorabl
granulations en question ; en même temps elles s'arrondissent et la
substance
achromatique du corps de la cellule s'imprègne
ts colorants. Puis, chacune d'elles pâlit, s'émiette, tandis que la
substance
achromatique se constellent de granules d'une f
ions suivantes : le suc disparait, et la charpente se résout en une
substance
finement grenue, compacte, bien colorée, au mil
milieu de laquelle se voit le nucléole de plus en plus pâle. Cette
substance
granue n'est pas d'une égale épaisseur partout ;
ngements cellulaires se héris- sent de sortes de nodosités. Dans la
substance
achromatique qui reste incolore dans son ensemb
ès les recherches de Schuetz, il faut le rattacher aux noyaux de la
substance
grise centrale. En ce qui concerne le noyau de
ns un cas de maladie de Basedow a trouvé une légère rougeur dans la
substance
grise, rien de plus. M. GOLDSCIIEIDER a trouvé
rouve pas qu'il y ait atrophie. En effet, ce faisceau se compose de
substance
blanche et de substance grise dont les rapports e
rophie. En effet, ce faisceau se compose de substance blanche et de
substance
grise dont les rapports entre elles sont quanti
entre elles sont quantitativement très variables; si, d'un côté, la
substance
grise concomitante est plus développée, la méth
elle d'un grain de mil- à celle d'un haricot et qui contiennent une
substance
d'un blanc grisâtre, molle, d'aspect caséeux, s
s d'autres ilôts enfin, et ce sont ceux qui confinent aux pertes de
substance
que l'on voit à l'oeil nu sur la coupe du poumo
s à un faible grossissement, on constate des lésions portant sur la
substance
grise et sur là substance blanche. La substance
on constate des lésions portant sur la substance grise et sur là
substance
blanche. La substance grise est diminuée d'épais-
ions portant sur la substance grise et sur là substance blanche. La
substance
grise est diminuée d'épais- seur ; lapremière c
ut, en séries, séparées par les faisceaux des fibres qui gagnent la
substance
blanche, les cellules n'ont plus leur ordinatio
ont rendus plus évidents par la disparition des cellules. Dans la
substance
blanche on voit une quantité beaucoup plus consi-
a pourtant peu de corps granuleux dans les couches profondes de la
substance
grise. Les vais- seaux ne sont pas beaucoup plu
. De plus, on voit, espacés dans les parties superficielles de la
substance
grise, un certain nombre d'îlots, ou foyers com-
hes. Sur ces points, la disposition des fibres se dirigeant vers la
substance
est inter- rompue ; les cellules de névroglie s
oir une résistance beaucoup moindre que le reste du tissu, car leur
substance
est partie par endroits avec la pie- mère, et e
ine, au point de vue des cellules, des couches superficielles de la
substance
grise, sclérose raréfiante des (1) V. Pilliet.
oelle. Ici, les cellules sont raréfiées dans toute la hauteur de la
substance
grise, les colonnes de cellules qui la parcourent
bandes épaisses et foncées de tissu de sclérose ; enfin, dans la
substance
blanche, il existe une émulsion totale de la myél
manifestes et on peut mieux les étudier. On voit qu'à ce niveau, la
substance
intercellulaire est très abondante, des cellule
in de ces îlots. Ils s'étendent dans presque toute la hauteur de la
substance
grise, et leur tissu pa- raît extrêmement friab
au centre de chaque foyer, il existel)resque toujours une perte de
substance
qui s'estproc1uite pendant les manipulations, l
leur forme spéciale. Le cervelet présente ses quatre couches de la
substance
grise normales en apparence ; les cellules de P
xiste pourtant quelques corps granuleux, mais peu abondants dans la
substance
blanche. La moelle a été regardée seulement dan
r le carmin dans le cordon latéral de chaque côté, au contact de la
substance
grise et autour des racines postérieures. Il y
ue DE la lIWELLE, lésion, de la sclérose raréfiante, atrophique, la
substance
blanche étant prise d'une façon qui est toujour
ant prise d'une façon qui est toujours en rapport avec l'état de la
substance
grise, paraît l'être secondairement. C'est un c
des adhérences dure-mériennes signalées, où elle adhère aussi à la
substance
grise, non à la partie pos- térieure, mais à la
liquide absolumentincolore. Lacapsule s'enlève diflicile- ment ; la
substance
corticale est congestionnée, les pyramides un p
face bosselée lui donne l'aspect d'un rein kystique. A la coupe, sa
substance
apparaît tranformée en une vaste caverne tuberc
ace on ne trouve que des débris caséeux. A la péri- phérie, dans la
substance
corticale, se voient d'autres noyaux tuberculeu
rénale avait atteint en quelque sorte son maximum d'intensité. La
substance
corticale était parsemée de noyaux tuberculeux
rocédés. Au reste, si on ne peut toujours préve-nir l'introduction de
substances
étrangères, du moins, avant qu'elles s'épaississe
issent qu'en fracturant et ne peuvent produire nettement une perte de
substance
par l'ablation d'un disque de l'os. C'est ce qu'a
l'on se propose quant aux divers procédés est d'obtenir une perte de
substance
autant que possible sans fracture. Aucun n'y réus
peau par une cicatrice vicieuse ; cas plus rare , mais où la perte de
substance
rend la guérison plus difficile. Ectropion par
paupière entraîne une ouverture de l'œil proportionnée à la perte de
substance
et, après la cicatrice, la peau de la paupière el
ciseaux courbes. Ce procédé, qui offre l'inconvénient d'une perte de
substance
du bord cutané palpébral, convient moins que le p
r les vagues notions d'une science encore incertaine , comprit qu'une
substance
opaque dans l'œil pouvait être un obstacle à la v
des pinces oculaires. On a pour résultat une ouver-ture avec perte de
substance
, qui offre toutes les chances possibles de ne pas
I" OtOPLaSTIQUE. M. Dieffcnbach a imaginé de réparer les pertes de
substance
du pavillon de l'oreille en empruntant des lambea
de M. Dieffenbach. Tenté par lui avec succès dans un cas de perte de
substance
, siégeant à la partie postérieure du pavillon.
ui conservant une largeur deux fois plus considérable que la perte de
substance
. Peu à peu ce lambeau se rétracte, se durcit et p
ne ouverture permanente. Mais il est évidentqu'aucune perte réelle de
substance
n'étant produite, rien ne s'oppose à la cica-tris
alva), du sang coagulé (Morgagni), du mucus épaissi semblable à de la
substance
caséeuse (Itard), etc. B. Les lésions qui font
, qui est le plus parfait, il est très difficile de faire parvenir la
substance
injectée jusque dans le tympan. La muqueuse du co
les tégumens voisins un 1 ami eau convenable pour réparer la perte de
substance
de l'organe mutilé. Toutefois cette opération n'e
nouveau. Or deux cas peuvent se présenter: tantôt il y a une perte de
substance
réelle, compre-nant toute l'épaisseur des parois
fosses nasales. S'il existait sur un des côtés du nez une perte de
substance
très peu étendue, on pourrait encore, par le simp
rines et masquer ainsi la difformité en opérant une nouvelle perte de
substance
au lieu de réparer l'ancienne. valeur relative
les raccoutremens du nez, et n'est applicable qu'aux déper-ditions de
substance
peu considérables. Toutefois les circonstances
e voulue. Après l'action opérée, laver et absterger, pour éteindre la
substance
corrosive, et l'em-pêcher de se répandre sur les
faire une large ouverture, dirigée d'avant en arrière, avec perte de
substance
. Si cette échancrure ne suf-fisait pas pour extra
ttière labio-gingivale, clans une étendue proportionnée à la perte de
substance
nécessaire pour rétablir une conformation dési-ra
irconscrire un étroit lambeau horizon-tal qui doit former la perte de
substance
, et que l'on détache par une incision curviligne
e, au milieu, par l'ancien orifice et, sur les côtés, par la perte de
substance
qui a succédé à l'en-lèvement des deux petit lamb
erronée qu'il professait que la division étant toujours sans perte de
substance
, les parties molles étaient aussi toujours assez
fois la plupart des chirurgiens, précisément clans le cas de perte de
substance
, ont senti la nécessité d'avoir recours à un moye
. 1 et 2). Après avoir circonscrit entre trois incisions une perte de
substance
obligée qui, dans ce cas, se trouva de forme quad
glis-sement et sans torsion de pédicule, et l'appliqua à la perte de
substance
en tendant la lèvre inférieure pour reformer la b
nvénient de ne permettre qu'une réunion imparfaite, avec une perte de
substance
considérable de la lèvre dont la portion conservé
t 9). Rien n'est mieux combiné que la manière de ré-parer la perte de
substance
d'une grande partie de la légion buc-cale imaginé
terminées, et la maladie enlevée en entier, reste une large perte de
substance
de forme quadrilatère. Il ne s'agit plus que de d
ion parotidienne ou supérieure du canal. M. Zancj a recours à la même
substance
, mais il forme le trajet avec un trocart et gliss
r inflammation du trajet fistuleux. Les cathérétiques et les diverses
substances
irritantes peuvent y servir. C'est, quanta son ob
Le kyste ouvert, Paracelse et après lui Purmann y introduisaient des
substances
détersives. Ce moyen, qui provoque une inflammati
un lam-beau triangulaire. L'opération terminée, il reste une perte de
substance
en V, à deux côtés de longueur inégale. Les deux
r une incision semi-ellip-tique avec des ciseaux courbes. La perte de
substance
, très con-sidérable au moment de l'opération , se
se. Celle-ci, résultat d'une lésion traumatique avec ou sans perte de
substance
, peut offrir toute espèce de variétés quant à sa
point intéressée, la scissure ordinairement médiane, et sans perte de
substance
, gène les mouvemens de déglutition et l'articulat
forme en staphyloplasti-que et uranoplastique dans le cas de perte de
substance
. STAPHYLORAPHIE. (Pl. 22.) Historique. Quoiqu
parlé plus haut. STRAPTIYLOPLASTIQUE. Dans le cas où une perte de
substance
trop considérable rend impossible le rapprochemen
cautère l'emploi des escarrotiques ; mais le peu d'efficacité de ces
substances
, qui, sans détruire, ne font qu'a-jouter une nouv
omme il est naturel de le penser, le plus grand nombre appartient aux
substances
alimentaires : de petits os, des arêtes de poisso
lus superfi-cielle , nous paraît devoir être préféré. Telle est, en
substance
, l'opération de la trachéotomie. Ana-tomiquement,
pratiquer, comme le font les vé-térinaires , un orifice avec perte de
substance
, pour encastrer la canule, en excisant de chaque
as avoir pour conséquence la chute dans le larynx des boissons et des
substances
alimentaires, au moins pendant tout le temps néce
étalliques, mais plutôt des tiges flexibles de baleine ou de diverses
substances
, et sur-tout la grande sonde de gomme élastique,
soit de l'obstacle soit de la plaie, pour ingérer clans l'estomac des
substances
alimentaires liquides ou demi liquides. Il suffit
appropriées pour étendre la pâte chymeuse et diviser ou dissoudre les
substances
vénéneuses en cas d'empoisonnement. C'est une sim
icielle par la sonde, comme il a été dit plus haut. L'aspi-ration des
substances
contenues dans l'estomac exige une pompe ou serin
utition de liquides visqueux, huiles douces ou mucilages, ou celle de
substances
épaisses et onctueuses, comme une figue grasse; d
on, se rangent en deux classes. Les uns se résument en une boule de
substances
diverses portée à l'extrémité d'une tige flexible
La Faye par une mèche ou un tampon de filasse. Mais l'éponge a été la
substance
la plus em-ployée. Pour empêcher qu'elle ne se go
20 la nécessité de faire pénétrer par une ingestion artificielle des
substances
ali-mentaires dans l'estomac, afin de prolonger l
telle que l'on a peine à recouvrir la plaie. Si cependant la perte de
substance
est trop considérable pour permettre de rapproche
it, à l'exemple de M. Martinet (de la Creuse), suppléer à la perte de
substance
en excès par la méthode autoplastique, en emprunt
Sansón, qui prouvent que la lésion du péricarde, et même celle de la
substance
du cœur, ne sont pas nécessairement mortelles, le
t, c'est un in-convénient assez grave que la plaque soit formée d'une
substance
non altérable, car il serait possible qu'en parco
int, nous pen-sons qu'il conviendrait mieux de les fabriquer avec une
substance
assez solide pour rester en place tout le temps c
e , leur angle d'inclinaison varie en raison de l'étendue de perte de
substance
qu'a subie le tube intestinal; ainsi qu'une anse
sont mous et composés de cuir, de futaine, de toile ou de toute autre
substance
non métal-lique, ainsi que ceux qui, durs ou infl
mètres. On le garnit de bourse, de crin, de coton ou de toute autre
substance
molle et élastique, et on recouvre le tout de pea
ion suffisante avec ce moyen ; on a proposé aussi d'y intro-duire des
substances
astringentes , dans le but d'obtenir l'oblité-rat
ération. Plus tard, l'auteur crut voir que de simples ban-delettes de
substance
animale étaient suffisantes pour arriver au même
es deux bouts de l'intestin d'une étendue proportionnée à la perte de
substance
qu'il a subie. Il est facile, en introduisant le
ou moins mélangé de ma-tières stercorales, des vers ou des débris de
substances
réfractaires à la digestion et qui, naturellement
ques à la ligature en se servant pour la faire d'un cordon enduit, de
substances
escharotiques; mais en outre il avait hérité, de
Dans le cours des deux derniers siècles, on revient à l'emploi des
substances
détersives esebarotiques et caustiques sous toute
Saba-tier, le caustique est porté sur une tente ou un bourdonnet. Les
substances
employées de préférence sont en grand nombre, le
autre injection irritante. Incisions. Lorsque la majeure partie des
substances
contenues dans la tunique sont constituées par de
ladone, de camphre et d'onguent napolitain, se fondant sur ce que ces
substances
ont une ac-tion remarquable sur les artères, dont
é l'imagination des chi-rurgiens et leur a fait proposer une foule de
substances
pour la construction de ces sondes. YanHelmont vo
t aux évacuations sanguines, locales et géné-rales, et à l'emploi des
substances
émollientes qu'il faut avoir recours. Si, au li
ssu blanc qui peut se confondre avec les tissus voisins et former une
substance
susceptible d'acquérir la dureté et la consistanc
courtes pour les enfans. On a employé pour les confectionner diverses
substances
telles que le plomb seul ou uni avec l'étain ; ma
usquiame, le mer-cure, l'acétate de plomb, l'alun, et diverses autres
substances
caus-tiques, narcotiques , cathétériques , mêlées
on ne peut guérir d'une manière radicale qu'en subissant une perte de
substance
, tandis que si elle est simplement dilatée, elle
ns son intérieur certains instru-mens, bougies, ou autres, chargés de
substances
caustiques dans le point qu'on supposait devoir r
étaient : le vert-de-gris, le vitriol, la sabine, l'alun, mêlés à des
substances
emplastiques. Procédé dA. Paré. Partageant les
de l'urètre, comme dans les cas de brûlures de la peau avec perle de
substance
. Mais en se bornant à appliquer le caustique de m
nce entre leurs orifices est plus directe et plus courte, la perte de
substance
subie par l'urètre plus considérable, l'âge des m
de ces mêmes moyens, on peut tenter encore de réparer la perte de la
substance
aux dépens des tissus voisins . La méthode indi
ar anticipation, de celui dans lequel on voudrait combler la perte de
substance
au moyen d'un bouchon de peau. Mais si le procé
ntenir pro-visoirement à l'état de fistule une portion de la perte de
substance
ou à pratiquer au besoin, au périnée, l'opération
nférieure de l'urètre à partir du gland jusqu'au scrotum. La perte de
substance
avait été pro-duite par un amincissement et une m
itation qui aurait pro-bablement lieu si on avait employé toute autre
substance
qui se fût opposée à la sortie de l'urine. Chez l
la simple adhérence de la pierre par des brides qui pénètrent dans sa
substance
; on juge de cette circonstance par le jeu de la
els il croit pouvoir détruire le calcul. Si de nos jours l'énoncé des
substances
dont il faisait usage peut nous paraître ridicule
ues lithontriptiques. A partir de cette époque on voit employer mille
substances
plus ou moins insignifiantes: des cloportes, des
irmatif des expériences de MM. Woehler et Magendie sur le passage des
substances
solubles dans l'urine, il est certain que ce liqu
croissement progressif des accidens qu'elles provoquent. Tel est en
substance
aujourd'hui l'état de la lithodialysie. De nouvea
a surface de la plaie avec un pinceau imbibé d'eau de Rabel, ou d'une
substance
légèrement caustique, ou même la tamponner avec d
ou même la tamponner avec des bourdonnets de charpie imbibée de celte
substance
. M. Velpeau dit qu'on pourrait aussi porter dans
ucoup de fistules de celte nature surviennent à la suite de pertes de
substance
plus ou moins étendue de la cloison, et que celte
substance plus ou moins étendue de la cloison, et que celte perle de
substance
est encore augmentée par la nécessité où l'on se
t remplacé dans une partie ou dans la totalité de son étendue par une
substance
solide. Quelle que soit la cause de l'occlusion
e et récente, et non une ulcé-ration à bords calleux et avec perte de
substance
. La guérison spon-tanée peut encore survenir lors
s les cas où la fistule est grande et surtout accompagnée de perte de
substance
: c'est ordi-nairement par la cautérisation qu'on
es ont au-delà d'un demi-centimètre, pour peu qu'il y ait eu perte de
substance
dans la cloison, la cautérisation seule ne peut p
stuleux a plus de i centimètres d'éten-due, et résulte d'une perte de
substance
qui pourrait faire crain-dre que les lèvres de la
celles dans lesquelles la cloison vésico-vaginale a subi une perte de
substance
telle qu'on peut introduire avec facilité plusieu
etenir, tenir en place) s'ap-plique à des instrumens particuliers, de
substances
diverses et déformes variées, qu'on introduit dan
, de la laine, des éponges, des sachets remplis de tan , etc. , ou de
substances
diverses. Albucasis s'est servi, dans le même but
ent, le cuivre, le plomb et l'étain , ont été mis en usage. Parmi ces
substances
les unes étant trop lourdes , les autres trop fac
succès. Au lieu du forceps on pourrait enfoncer des crochets dans la
substance
du polype pour tirer dessus. Dans trois cas, M. V
t blesser les parties saines s'ils venaient à déchirer tout-à-coup la
substance
du polype dans laquelle ils sont enfoncés, on pou
nt de prendre garde , en étreignant le lien , de ne point dépasser la
substance
du polype; au reste, si la malade éprouvait des d
te crainte est fondée, puisque, dans quelques cas, l'absorption de la
substance
toxique a déterminé la mort. Pour appliquer le ca
ressions que dans les opérations subséquentes, il entame au besoin la
substance
de ces muscles. Enfin, il a eu connais-sance des
il divise les deux muscles et enlève une portion triangulaire de leur
substance
, dont la base correspond à la muqueuse; puis il f
nt être construits mécaniquement, de telle sorte ou composés de telle
substance
, qu'ils puissent se mouler exactement sur la form
M. Bou-vier à cet égard sont loin d'être aussi absolues. En voici la
substance
(i) : « Tantôt le faisceau sternal et le faisce
. —Fi-gure 10. Rapprochement par des sutures des bords de la perte de
substance
d'où résulte l'élévation forcée de la paupière et
vant le procédé de M. Lalle-mand, le bord le plus près de la perte de
substance
vient rejoindre l'angle de la plaie; tandis que l
Réunion du pédicule réappliqué au sommet de la plaie avec perte de
substance
. (h) Réunion, par des sutures, du pédicule du l
te du nez, vue de profil (Jîg.i), et de face [fig- 5). (i) Perte de
substance
formée sur le front par la taille du lambeau, (k)
t il a fallu pratiquer l'arra- chement. b. Surface de la perte de
substance
dont le lambeau a été enlevé. c. Lambeau taillé
). Des points de suture sont posés aux deux extrémités de la perte de
substance
pour commencer le rapprochement des bords de la p
ntre les deux bouts de l'intestin. Ce moyen donne lieu à une perte de
substance
dont la forme est celle du canal lui-même. FIGU
calme aussitôt la douleur des yeux, causée à l’improviste par quelque
substance
étrangère, moyennant l’application d’un mouchoir
paru d’abord. S’il n’y a aucun rapport réel entre les objets et cette
substance
spirituelle qui les aperçoit; si nos perceptions
sionnelles de la manifestation que Dieu veut bien faire à l’âme d’une
substance
où s’en trouvent tous les archétypes : la percept
icipe de sa vie. S’il croit en la vertu, en l’elli-eacité de certaine
substance
, il transmet sa pensée et des phénomènes se mond
l’aconit, la belladone, le stramoine, l’arnica, le chanvre et autres
substances
du règne végétal. » Ils prétendent que l’effet
filante, comme la pâte de guimauve. Dans d’autres cas, ou y mêle des
substances
excitantes, telles que cannelle, girolle, vanille
és intellectuelles, et il en conclut au danger d’user de ces diverses
substances
toxiques, douées d’action plus ou moins vive sur
ransitoire ordinairement, parfois durable et permanent. En effet, ces
substances
sont des poisons pour le cerveau, comme d’autres
xcitants qui a donné plus d’une névralgie à nos élégantes. » Si ces
substances
narcotiques ne nous mettent pas précisément en ra
nde de préjugés, de détailler, sans commentaire , la très-remarquable
substance
d’un dialogue qui eut lieu entre un somnambule et
organique, le monde extérieur touche le corps entier, — qui est d’une
substance
ayant quelque affinité avec le cerveau, comme je
ous n’avons pas une conception sui generis, adéquate, de l’expression
substance
en elle-même. Nous ne pouvons pas regarder cela c
feu composé et non pas bi-composé. 11 est seulement véhicule de deux
substances
, calorique et lumière, mais il n’a aucunement les
celui des nuances qui ne sont pas chaudes. » Quelles sout les deux
substances
dont l’arome solaire est composé? C’est ce qu’il
de celle du blanc solaire, ou blanc de lait, (pie cet astre donne aux
substances
. » Lorsque nos corps, après un raffinement de 1
pansion, fait revenir le sang vers le cœur. Le cerveau, composé d’une
substance
toute sensitive, est complètement attractif ou po
mpressions sont irrésistibles. Les nerfs sensitifs ont pour agent une
substance
éthérée qu’on peut appeler magnétisme, et les ner
de M. J. Mathieu sur le moyen d'empêcher la magnétisation à l'aide de
substances
absorbantes, 123. — Réponse de M. du Potet, 125.
05, 336. Somnambulisalion. — Définition, 279. Sorcellerie, 314.
Substances
anti-magnétiques, 124. Suppression menstruelle,
subtil que l’éther, ou ce fluide même enseigné par le célèbre Euler,
substance
très-com-municable, et essentiellement puissance
d’apprécier, par le simple toucher, les qualités d’un grand nombre de
substances
. Ce fait n’est pas constaté. Les sensitives, en a
ives, en appréciant dans des séances différentes un certain nombre de
substances
fournies par une pharmacie renommée, se sont donn
de la (I) L'homme est uno unité trinaire décomposable en : 1" Ame,
substance
essentiellement spirituelle et intelligente; î° F
certains médicaments, force la surexcitation à s'éteindre. Toutes les
substances
capables de produire cet effet sont dites hyposth
itale, la belladone, la jusquiame, les acides, l’émétique, etc. ; les
substances
agissant en sens contraire sont appelées hypersth
re pour que l’effet hyposlhénique soit produit; car, sans cela, telle
substance
qui est déprimante pourrait être excitante. Je
ion toute semblable, et si ce fait ne se répéterait pas pour d'autres
substances
capables aussi de développer des maladies. Hahn
ropriété d’ajouter aux efforts de la nature, c’est-à-dire, choisir la
substance
dont les effets sont les mêmes que les symptômes
t physiologiquement. Mais bientôt Hahnemann poussa la réduction des
substances
qu’il employait jusqu'à l’invisible et jusqu à l’
la manière de préparer toutes les teintures médicamenteuses. Pour les
substances
solides qui ne sont pas solubes, on procède par t
sont pas solubes, on procède par trituration. On mélange ungrain delà
substance
avec centgrains de sucre de lait, et on broie un
on prend un grain de ces cent grains, soit le centième de celui de la
substance
, et on agit de même avec cent autres de sucre de
On compare bien il est vrai, ce qui se passe, dans le broiement des
substances
au plaleau de verre frottécon-tredes coussins, et
plusieurs centaines de bocaux qui ne renferment que de l’érudition en
substance
pour le formuliste, de l’argent pour celui qui fa
nicieuse des systèmes, ne détruit pas la propriété médi-catrice des
substances
. J'ai une lièvre inflammatoire, ma tète est le
ps à un matras, dans lequel vous avez rassemblé un si grand nombre de
substances
dont vous connaissez peu le mode intrinsèque d’ag
dividus pour lesquels la croyance avait la valeur et la qualité de la
substance
. Je m’explique : en magnétisme on peut charger un
1) ! (1) Iles faits bien constatés prouvent cependant aussi que des
substances
magnétisées agissent réellement sur des personnes
tre à même de juger leurs moyens de défense, je vais en reproduire la
substance
. Voici ce que dit le docteur Jahr : « Quelque a
osait en principe que, plus on divisait les parties matérielles d’une
substance
, plus la vertu ou l'esprit du médicament se metta
dire : Si ce principe est vrai, un grain de la 30e atténuation d’une
substance
, dont un grain donne la mort, devra produire ce r
e l’homme des principes de géométrie et de physique. Les atomes d’une
substance
vont s étaler dans le corps,comme le sable sur la
cation trop variée, trop luxueuse et trop énergique par les doses des
substances
qu'elle administre dans îles affections qui guéri
t une continuité entre toutes les parties de ce grand univers. (Jette
substance
éihérée, loin d’être constamment uniforme et semb
ides d’un excitateur à travers une petite boite en verre pleine d’une
substance
odorante pulvérisée, il en dégage l’a-rorae d’une
théorie; il a tenté par voie électrique l’administration de diverses
substances
médicamenteuses telles que le soufre, l’iode et l
t des propriétés des milieux qu’il traverse et produit les effets des
substances
traversées. Celte théorie séduisit l’esprit de qu
magné-tistes. En vain leur objectait-on que, connaissant la vertu des
substances
qu’ils employaient, il y avait simplement transmi
ur leur identité; et de ce (pie celle-ci transporte les molécules des
substances
ils ont conclu que celui-là les transportterait a
ent avec ses principes, M. Raspail a composé sa médication avec les
substances
qui sont destructrices des animaux parasites de l
réunissait en lui les propriétés spécifiques reconnues dans quelques
substances
, il serait, à coup sûr, la base de toute thérapeu
té c’est la raison pour laquelle mon pauvre petit article, n'étant en
substance
(pie le type anticipé de celui qui vient de paraî
plus invétérées. «Gardez-vous bien, disait Socrate, de mépriser les
substances
invisibles; reconnaissez leur puissance par leurs
as de connexions avec la capsule. D'autre part, l'homogénéité de la
substance
grise des noyaux lenticulaire et caudé, en bas
r situation entre la bandelette optique (partie céré- brale), et la
substance
innommée de Reil ou anse pédonculaire de Gratio
du noyau lenticulaire et la queue réfléchie du noyau caudé. Cette
substance
blanche est formée principalement par les fibre
mmissure cérébrale antérieure, et en est séparé par une couche de
substance
grise de quelques millimètres d'épaisseur, subs
ne couche de substance grise de quelques millimètres d'épaisseur,
substance
grise servant à unir celles du septum luci- dum
nt au contraire nettement dans le bas. On les voit pénétrer dans la
substance
médullaire ou cen- tre ovale du pédicule sphéno
out le cerveau de l'animal. Meynert qui a étudié la structure de la
substance
blanche hémisphérique avec non moins de soin qu
ou un plus grand nombre de plis. Sur les centres lobulaires de la
substance
blanche il semble que les fibres de Gratiolet l
e que les auteurs sont loind'être dans le vrai, en considérant la
substance
corticale comme étendue à la façon d'une coiffe
ur les libres tendineuses qui sont en rapport de continuité avec la
substance
musculaire, ou sur les rameaux nerv ew moteurs
dictoires, sont ceux où on a obtenu des effets par l'application de
substances
réputées inertes. Il faut remarquerque ces subs
pplication de substances réputées inertes. Il faut remarquerque ces
substances
comme le caoutchouc durci, l'ivoire, la cire à
s 108 REVUE CRITIQUE. bien des circonstances on a appliqué, comme
substance
inerte, en vue d'expériences de contrôle, des s
iqué, comme substance inerte, en vue d'expériences de contrôle, des
substances
que leurs propriétés électriques rendaient au c
tre les solutions de sels métalliques et l'eau distillée, certaines
substances
médicamenteuses et au premier rang la pilocarpi
e, en superficie et en profondeur, avec la même régularité qu'une
substance
poreuse homogène selaisserait imbiber par un liqu
etrait de la surface encéphalique, observés dans le cas de perte de
substance
de la boîte crânienne, s'effectuent sous l'infl
ns furent la conséquence de ces muti- lations. La destruction de la
substance
blanche et son excita- tion dans les zones motr
otrices produisirent les manifestations bien connues, tandis que la
substance
grise des mêmes régions était incapable de réac
ande au Dr BEAcn s'il a trouvé chez les idiots l'hypertrophie de la
substance
grise qu'a signalée Mierze- jewsid. , Réponda
nérée, au delà de laquelle était un espace clair. -3°Il a trouvé la
substance
grise atrophiée, mais jamais hypertrophiée. Le
ce bord libre, on trouve sous le corps bordant une épaisse bande de
substance
grise présentant des alternatives de saillies e
lution temporo-occipitale), les auteurs sont amenés à décrire la
substance
grise de la corne d'Ammon, en partie, comme une
partie, comme une circonvolution retournée, c'est-à- dire dont la
substance
grise pénètre dans l'intérieur de l'hémisphère
e dont la substance grise pénètre dans l'intérieur de l'hémisphère (
substance
grise de la corne d'Ammon), et en partie comme
mmon), et en partie comme une formation nouvelle et sur- ajoutée (
substance
grise du corps godronné). Les principaux points
sseaux qu'il renferme, lesquels sont très serrés, empiètent dans la
substance
des couches les plus super- ficielles des deux
de fulmi-coton (par l'alcool et l'éther, sans ricin ni aucune autre
substance
); son LA CORNE D'AMMON. 169 séjour dans ce co
squ'il se durcit à l'air libre. La pièce est ainsi incluse dans une
substance
résistante, mais élastique, facile à couper, pr
r les mêmes caractères mécaniques que la moelle de sureau ; cette
substance
a pénétré dans toutes les an- fractuosités, dan
itation des petits rameaux nerveux et de leurs terminaisons dans la
substance
du muscle ? La solu- tion de ce problème ne sau
ciens caillots dans l'hémisphère gauche avec ramollissement 'de la
substance
cérébrale siégeant en dehors du ventricule laté-
, ou bien d'une lésion portant atteinte, plus profondément; dans la
substance
ner- veuse ? Je crois qu'il serait téméraire de
our lés relations ' établies entre'la corne'etle lobe occipital, la
substance
blanche^ du lobe sphénoïdal; l'écorcé grise dû
aractère propre d objectivité. )pUqtto3'ni I 3° Ce' souvenir et' la
substance
du délire intellectuel i n'exer ; 6entl qu'une
onnement et de l'examen réfléchi. Cen'estqu'en se concentrant que les
substances
acquièrent de la consis^ tance. Que les vapeurs q
rre avec du blanc d’Espagne, son bec étant aussi blanchi avec la môme
substance
et touchant à cette ligne. L’hypnotisme le plus c
e tête, si le ceiTeau est mis à nu, il suffit de la compression de la
substance
cérébale pour plonger le malade dans une léthat^i
rganismeétranger, ce fluide, qui est matière, peut-il agir sur l’âme,
substance
immatérielle 7 6* Comment l’âme, substance imma
peut-il agir sur l’âme, substance immatérielle 7 6* Comment l’âme,
substance
immatérielle, peut-elle être unie & la matièr
ous donc cequ’ilt en/enc'aienl? ) ; mai» ilâ indiquaient une certaine
substance
du inunde inférieur, anaUi^ue au soleil, douée d'
and (i leur volonté l'ordonne, sont mus par des vibrations de cette «
substance
spiritueuse. » Un savant moderne, M. Babinet, a
Je consultai l’ouvrage de Jahr, et j’enfermai dans un petit papier la
substance
que l’ouvrage indiquait; mais avant de la lui rem
gt inseusible, je ne sentirai aucune douleur, et avec l’aide de cette
substance
Loméopathique, je pense être guéri en moins dc si
terminée, en attirant sans cesse dans leur composition une partie des
substances
environnantes et en rendant aux éléments une port
s environnantes et en rendant aux éléments une portion de leur propre
substance
. Elle est l’apanage du règne végétal aussi bien q
erfs-réophores qa’un corps extérieur a impressionnés. L'aue est une
substance
immatérielle, l’mmwiréfe, imperfectible, immortel
très-évidemment agi, malgré le summum fabuleux dc l’attéuuation de la
substance
mòre. On objecte que, si ce n’est pas l’imagina
nce tle tuus les corps, entendre s qu'elle est répandue dans toute la
substance
du bi>is, dans les berbes, • dans les pierre
'indique) ue tendent qu'à sublimer, éthériser le gaz générateur de la
substance
médicative, est-il ratlonnei, bien que l’étroites
ple de Cabanis, à peu de modifications près. L’âme, dit-il, est une
substance
¡mmatérielle, mmnioble, imperfectible, immortelle
considère l’éther comme étant en même temps un agent fîuidique et une
substance
pondérable. Ce qui n’est rien moins qu’un non-sen
M. Dumas sur les équivalents chimif/ucs tendeut à faire admettre une
substance
unique comme base de tous les corps. On pniil d
l-môiiie l'œuvre sublime du C.réatenr : — Unité de forciî, usrrÈ de
substance
chimique. La vie et l’harmonie qui rôgneut dans
is, il faut des machines d’induction qui marchent sans acide, car ces
substances
ont une action médicamenteuse sur l'organisme qui
ta combinaison des acides, et pour la raagiictisaiion électrique ces
substances
ne doivent pas exister. Je fais faire en ce mom
est communément lorsque l'amorr est passé qu’il voit clair. Certaines
substances
, commo l’opium, le ciiaii-vre, etc., hypnotisenté
er ici : qu’il établit scienlifiquemenl l’existence irréfutable de la
substance
invisible ? Or, cette substance, pour avoir gén
emenl l’existence irréfutable de la substance invisible ? Or, cette
substance
, pour avoir généré notre terre et tout son mobili
ltraction, et l'on devine aisément quelle a dù être la finesse tle la
substance
qui la compose. En évaluant à 9 millions de mille
notre corps a les siennes actuellement. Leur configuration est d'une
substance
légtrc. Nos corps sont d'une nature épaisse. C'
en neuf mois le chemin suivi, pendant des milliers de sibcles, par la
substance
animale, pour arriver à produire notre espèce?
n somnambule en saturant ces parties de fluide, et si vous prenez une
substance
quelconque dont le sujet ignore les propriétés de
e somnambule ne pourra, en aucune façon, apprécier la saveur de cette
substance
. Donc, le sens du goût s’exerce bien et dûment
oclame, comme moi, ce principe fondamental : cnité DE FOBCE, üNiTÉ DE
SUBSTANCE
; c’cst concÎs, Catégorique 6t précis. L’unité d
ont engmdrés par lo mouvement, unité de force 1 et d’un. L’unité de
substance
, c’est l’étber-pantogène, seul corps simple. - Ai
l en fasse partie intégrante 1 et de deux. Unité de force, unité de
substance
, c’est-à-dire une force ET une substance. Or, dan
. Unité de force, unité de substance, c’est-à-dire une force ET une
substance
. Or, dans ses prémisses, il définit l’éther : I
d’un mouvement subjec-r tif; i> de sorte que l’éther est à la fois
substance
, force mo~ trice et phénomène ! et de trois. Ce
ciTet, plus Pour couronner l’œuvre, il nous annonce que l’unité de
substance
est, en fin dc compte, le fluide magnétique lui-m
considère l’éther comme étant en même temps un agent Huidlque et une
substance
pondérable; ce qui n’est rien moins qu’un non-sen
; fluide, ce qui coule, ce qui est à l’état de liberté moléculaire ;
substance
, ce qui constitue les divei s corps de la nature
e la nature (Bescherelle aîné). Un agent fluidique peut donc être une
substance
pondérable. Si le néant était à la disposition de
euses, en petits microcosmes entourés chacun d'une atmosphère de même
substance
non condensée; que du mode de groupement ou du no
réponds qu’il n’y a aucune confusion possible entre une force et une
substance
, et que je n’ai pas à définir un corps qui n’exis
¿68). Parbleu, il y a plus que cela, puisqu'il a proclamé l’unité tle
substance
; fluide vital, magnétique, électrique, éther, etc
ses. Malheureusement il confond sans cesse les notions de force et de
substance
, et c'est ce qui jette la perturbation dans ses i
ière, la chaleur et l’attraction sont des phénomènes dus à l’unité de
substance
mue par l’unité de fojxe. 4* expérience : J’ign
le malade a lait usage, et les propriétés dont on a gratifié bien des
substances
et des méthodes de traitement, ne sont pas réelle
rouüne qui continuent la veilu médicatrice de telle et telle plante,
substance
et méthode. Scrutez l’histoire des doctrines médi
la forme peut être détruite s.aiis que l'agent vital [tû eat dans la
substance
disparaisse. C’est ce principe vital que l'art
cette dose sans eflet appréciable. De même pour le mercure et autres
substances
. Or, ces globules vous les employez à la 30*, 200
onc il y a une médecine basée sur •opriétés matérielles de cei'taines
substances
, icamenteuses se prouvent facilement à l'ob-l'en
s fictives et seu-ales, ces effets sont dus k l'une des deux ées. Les
substances
de Tbomceopathie dites ont perdu toute trftce de
le iisagé et un néologisin« qui 0 votre |>eQSé«, tous dites : • La
substance
fvid*, ^ DQtre terre et tout sau mobilier, hofnio
ables, conduit aux spécifiques, et toutes les doctrines acceptent ces
substances
salutaires; et pour les virus, nous sommes aussi
faomme est âme,espritet corps, agit sur cette unité trinaire avec les
substances
que la nature a douées de certaines propriétés, a
tabli par le Créateur fui renversé, le rapport naturel entre les deux
substances
étantdérangé, la hiérarchie intervertie, le troub
les plexus nerveux, et par dessus tout dans le plexus solaire. L'âme,
substance
fluide, est expansible et coercible. Elle se conc
vivacité, de subtilité que le feu et la lumière, il parait être une ,
substance
corporelle, evpcAlt de t^ateuaultr, de se cuosoin
ctéristiques que les autres méthodes de coloration décèlent dans la
substance
grise et dans les cordons blancs. * Ces restric
ieurs, se colorent très bien et ne présentent pas d'altérations. La
substance
grise est normale au point de vue de la richesse
ce dernier. En aucun point la zone de dégénérescence ne touche a la
substance
grise dont elle demeure toujours séparée par une
aux dont le droit est plus malade que le gauche. Le chevelu de la
substance
grise parait partout normalement déve- loppé.
s cordons postérieurs sont partout parfaite- ment intactes. 5) La
substance
grise présente dans la région dorsale, une légère
mais celles que l'on voit semblent normales. 7) Le chevelu de la
substance
grise est, tant dans les cornes antérieures, qu
nte. Mais nous croyons plutôt qu'elle relève d'une altération de la
substance
grise, alté- ration légère caractérisée par une
des lacunes de la grosseur d'un grain de millet qui siègent dans la
substance
blanche, au niveau de la circonvolution frontal
par plusieurs métho- des. 1° Méthode de Nissl pour l'examen de la
substance
grise et des cellules nerveuses. 2° Méthode d
asses proviennent de la trans- formation lente et progressive de la
substance
chromatique du proloplas- ma. Quant au noyau et
e des fibres y est certainement inférieur à la normale. - Dans la
substance
grise, te réseau des fibrilles nerveuses, qui jus
s nerveuses, qui jusqu'alors était très bien conservé dans toute la
substance
grise, éprouve une raréfac- tion notable au niv
ntes. A l'examen microscopique on rencon- tre des altérations de la
substance
grise et des altérations des cordons. 1° Lésion
la substance grise et des altérations des cordons. 1° Lésions de la
substance
grise. - Il existe des lésions des cellules et
rinesco les attribue à la transformation lente et progressive de la
substance
chromatique du protoplasma. Le noyau et le nucléo
vées ; mais le réseau de fibrilles est atrophié. 2° Lésions de la
substance
blanche. I. - Dans le cas de Marinesco, la subs
Lésions de la substance blanche. I. - Dans le cas de Marinesco, la
substance
blanche antéro-latérale était intacte. Dans notre
esco les amas de pigments comme l'indice de la transformation de la
substance
chromatique de la cellule; plus du tiers des cell
onsistance normale. Reins. Pas de délimitation nette entre les deux
substances
corticale et centrale ; décortication difficile
me à un examen attentif. Les parties claires qui correspondent à la
substance
interfibrillaire sont amincies considérable- me
nution du volume du muscle dépend non pas d'une destruc- tion de la
substance
contractile, mais d'une atrophie de la substance
estruc- tion de la substance contractile, mais d'une atrophie de la
substance
inter- fibrillaire à laquelle le muscle est en
ugiiten, Külliker ont insisté sur la commissure protoplasmique delà
substance
grise. Les corps cellulaires des parties médianes
nt la commissure antérieure pour se ramifier et se terminer dans la
substance
grise delà moitié opposée delà moelle. Par ces
t dans les affections générales qui comportent une altération de la
substance
grise centrale. Toutefois dans la syringomyélie
la cause véritable dans la lésion des cordons médullaires et de la
substance
grise de la moelle. D'après les recherches de R
ique aidée par l'anatomie pathologique montre que les lésions de la
substance
blanche des cordons postérieurs se tradui- sent
i- sent surtout par de l'anesthésie tactile ; que les lésions de la
substance
grise centrale donnent habituellement naissance
l'expression d'une lésion intra- spinale qui intéresse à la fois la
substance
blanche des cordons postérieurs et la substance
éresse à la fois la substance blanche des cordons postérieurs et la
substance
grise centrale. En résumé, les troubles objecti
émisphère droit. /jfemo)' ? '/Mtp ancienne à ,gauche au niveau delà
substance
blanche du pli courbe, du lobule du pli courbe
i-jointe (Fig. 2). Nous verrons plus loin que cette intégrité de la
substance
grise n'est pas absolue, car il y a un petit fo
de la partie moyenne de l'insula jusqu'au pli courbe et limité à la
substance
blanche sauf dans le point cité plus haut. Le
e n'est pas lésé ; on en distingue les différentes couches. Dans la
substance
blanche de la partie supérieure du pli courbe,
rougeàtre indiquant la limite extrême du foyer hémorrha- gique. La
substance
corticale est indemne, le ventricule a les dimens
ntricule est déplus en plus large. L'hémorrhagie a détruit toute la
substance
blanche des circonvolu- tions pariétales dans l
r du ventri- cule, el étend des prolongements plus marqués clans la
substance
blanche de la circonvolution pariétale supérieu
II et Schéma 5). C'est le centre du foyer hémorrha- gique. Toute la
substance
blanche sous-jacente au lobule du pli courbe est
tance blanche sous-jacente au lobule du pli courbe est détruite. La
substance
grise n'en est pas touchée. Mais la face inféro-i
envahie par l'hémorrhagie. En bas le foyer s'arrête au niveau de la
substance
blanche de la 2e temporale. La coupe passe ici au
insula apparaît à ce niveau au fond de la scissure de Syl- vius, la
substance
grise est séparée du foyer hémorrhagique par une
e grise est séparée du foyer hémorrhagique par une mince couche cle
substance
blanche. La lésion a complètement détruit ou coup
on a complètement détruit ou coupé les faisceaux qui constituent la
substance
blanche de la 1" temporale, du lobule du pli co
e l'écorce de la pariétale ascendante, en bas, elle pénètre dans la
substance
blanche de la -1 r8 temporale. Un cons- tate un
apsule externe, elle laisse indemne à sa partie moyenne une zone de
substance
blanche qui tapisse l'insula (capsule extrême),
Elle a coupé toutes les fibres profondes de l'insula et atteint la
substance
blanche de la première temporale. La coupe 1
e de M. Déjerine, on y note la limitation précise de la lésion à la
substance
blanche. Le pointillé passe seulement en un poi
a substance blanche. Le pointillé passe seulement en un point de la
substance
grise qui, dans la réalité, n'est pas à ce nive
t pas à ce niveau englobé par la lésion : ceci pour rappeler que la
substance
grise est détruite dans un point limité de la pre
servation, si la limitation de la lésion presque exclusivement à la
substance
blanche confirme la nature sous-corticale de l'ap
le de l'aphasie am- nésique, l'étendue même de cette lésion dans la
substance
blanche ne per- met nullement de déterminer une
e ni l'oxyde de carbone, ni le plomb, ni l'arsenic, ni aucune autre
substance
toxique n'ont pu être mises en cause dans notre
de Sylvius). A cer- tains endroits, on produit des éraillures de la
substance
grise; c'est principalement sur l'hémisphère dr
tout en arrière. - CCCA assez simple, avec de nombreux points où la
substance
grise a été enlevée. - LP gros, avec encoche pr
ons inflammatoires chroniques très étendues de la pic-mère et de la
substance
grise d'un certain nombre de circonvolutions.
- Cavernes pulmonaires. - Lésions chroniques des méninges et de la
substance
grise des circonvolu- tions. Boucher... Ségui
elle de pie-mère sans entraîner une couche plus ou moins épaisse de
substance
grise. Les adhérences existent également sur
décortiqué. Face interne. La pie-mère est aisément séparée de la
substance
cérébrale. La circonvolution du corps calleux e
e facilement. En enlevant la pie-mère, on entraîne des fragments de
substance
cérébrale sur la circonvolution de l'hippocampe
e la décortication de la pie-mère avait mis à nu le squelette de la
substance
blanche. VI. Pseudo-porencéphalie : Hémiplégi
erture de la dure-mère, on aperçoit une vaste poche creusée dans la
substance
cérébrale que recouvre la pie- mère ; à l'ouver
convolutions sont déchi- quetées et considérablement atrophiées, la
substance
grise indurée ; la pie-mère, épaissie, est adhé
ec quelque soin l'enlever sans entraîner de frag- ments notables de
substance
cérébrale. La scissure de Syl- vius, par suite
cir- convolutions sont à peine saillantes, presque nulles, et la
substance
cérébrale sclérosée forme une coque mince et dé-
a corde myélocytiques du cervelet, et enfin par un centre réduit de
substance
blanche dans laquelle se trouvent des corps gra
sion de la myéline. On peut suivre les libres descendantes de cette
substance
dont l'étendue est du reste fort restreinte.
ière enfance. La couche de myélocytes qui constitue à elle seule la
substance
grise des circonvolutions se poursuit en diminu
: 1° Lobe frontal. On constate que la couche superficielle de la
substance
grise est intacte. Il n'y avait donc pas d'adhé-
leurs pro- longements. - Les faisceaux descendants qui vont à la
substance
blanche ne présentent pas de paquets de fibres
nce. Ses alvéoles sont considérablement élargis, distendus par la
substance
colloïde et sont sensiblement plus dilatés que
presque cartilagineuse de ces foyers d'encépha- lite. Voilà pour la
substance
grise. - Dans la subs- tance blanche, la lésion
res. 121 qui est la plus large. La membrane qui ferme la perte de
substance
est résistante surtout en arrière, où l'on trouve
sseux très net. La seconde craniectomie a laissé une vaste perte de
substance
antéro-postérieure, un peu oblique en bas et en
. Ici l'atrophie est très prononcée. Les dif- férentes couches delà
substance
grise, sauf la première, sont absolument confon
ait exister, mais le malade ne fournit aucune ex- plication sur les
substances
qu'on lui fait sentir. Pommettes saillantes, ma
nlèvement entraine avec elle une couche plus ou moins profonde de
substance
grise sur les circonvolutions suivantes : les tro
circonvolutions, l'enlèvement de la pie-mère entraî- nait toute la
substance
grise, laissant à nu la subs- tance blanche, fo
ue 7 du 1 ? avril au 30 sep- tembre 1889, temps durant lequel cette
substance
a été employée, tandis que durant la période co
pris des mesures inspirées par la prudence la plus élémentaire : les
substances
toxiques sont placées en des mains dignes de conf
ée de vérifier les expériences de M. Luys sur l'action à distance des
substances
médicamenteuses, s'est pleinement réalisé. La c
uand cette personne buvait. Elle reconnaissait toujours exactement la
substance
que je mettais dans ma bouche et distinguait parf
précautions. Elle fit placer dans un certain nombre de tubes diverses
substances
ayant un numéro d'ordre. Ces substances ignorées
tain nombre de tubes diverses substances ayant un numéro d'ordre. Ces
substances
ignorées de tous furent préparées par une tierce
M. le rapporteur constate encore des effets différent» pour les mêmes
substances
employées à divers jours d'intervalle. M. Luys ma
re la notion fondamentale relative su mode d'action physiologique des
substances
toxiques et médicamenteuses et la doctrine de leu
ions fonctionnelles caractéristiques de l'action physiologique de ces
substances
, tandis que, dans les observations de M. Luys ou
re la notion fondamentale relative au mode d'action physiologique des
substances
toxiques et médicamenteuses et les faits signalés
en présence des manifestations fonctionnelles caractéristiques de ces
substances
. Aussi ce même auteur émet l'avis que la svmptoma
ation s'étendrait, dans le cas où l'action contraire se produit, à la
substance
du corps strié, c'est-à-dire au centre thermique
e trouble en ces termes : « Si l'usage du chloroforme et des autres
substances
toxiques est licite, c'est que, leur action trans
pposant que sa vertu thérapeutique fût capable de remplacer celle des
substances
dont nous parlons. Mais les effets de l'hypnotism
gtemps d'insomnie, je l'endors par l'usage, a dose thérapeutique, des
substances
somnifères connues : éther, colorai, opium, ou pa
de Bruxelles, que l'usage de l'hypnotisme, comme l'usage de certaines
substances
toxiques, fût interdit au public et réservé aux m
la suppose définitivement établie. On administre à un homme sain une
substance
, et à partir de ce moment l'observateur, ou plutô
t ce qui se produit en lui. tout ce qu'il éprouve, et l'attribue à la
substance
administrée. Ou voit combien, est imparfaite cett
ifiques, un travail de contrôle. Les expérimentateurs se procurent la
substance
annoncée et l'administrent, a leur tour, à d'autr
encent, et on arrive à démontrer que ces différences tiennent ou à la
substance
employée, qui n'est pas toujours la même, ou à la
charlatans, il offrirait les mêmes dangers que présente l'emploi des
substances
toxiques, telles que la morphine, la digitale emp
de lait étant adoptés comme véhicules, on prend une partie de !a
substance
active et on la mêle à 99 parties de la substance
nd une partie de !a substance active et on la mêle à 99 parties de la
substance
inerte: eau, s'il s'agit d'une dilution ; sucre,
si jusqu'à la 10e, 20e, 30e dilution. Pour avoir une idée du peu de
substance
active qui reste dans les dilutions etendues, il
démontrer que les dilutions et les globules ne contiennent rien de la
substance
primitive, sans s'apercevoir que c'est la le but
émontrer que leurs granules contiennent des quantités appréciables de
substance
active; en apparence, quelques découvertes récent
ntale de l'action des doses infinitésimales et de la dynamisation des
substances
inertes par leur combinaison méthodique avec les
ation des substances inertes par leur combinaison méthodique avec les
substances
actives. Les faits étaient indéniables, et. pen
par l'intermédiaire de 'a circulation veineuse. M. Bona pease que les
substances
qui se forment et qui s'accumulent dans les muscl
s le torrent de la circtüagB générale et agissent sur les reins comme
substances
diurétiques. En flflM M. Bum a trouvé que l'augme
long des gaines des vaisseaux; un peu d'injection superficielle de la
substance
cérébrale. De 60 à 80 grammes de liquide céphalo-
le est moins dense dans le cordon latéral, mais elle englobe toute la
substance
grise de ce côté, se condense autour de l'épendym
ns le sixième tronçon (10 centimètres). la sclérose occupe surtout la
substance
grise a gauche. la région périépendymaire, le fon
uche. la région périépendymaire, le fond cordon de Turck droit, et la
substance
gélatineuse de Rolando des deux Côtés. Plus bas
ès, au milieu de la moelle dorsale, il n'y a plus de sclérose dan? la
substance
blanche ; seulement, la moitié gauche de la subst
clérose dan? la substance blanche ; seulement, la moitié gauche de la
substance
grise est comprimée, la tète étant mince et saill
artie inférieure, la moelle dorsale présente la même altération de la
substance
grise gauche, et, en outre, une nouvelle plaque d
que existe dans le plancher du quatrième ventricule. Elle occupe la
substance
grise de ce plancher, du côté gauche, entre l'cmi
eint tour à tour le cordon antéro-latéral. la zone radiculairc, et la
substance
grise elle-même. Puis elle disparait et les aut
cervical, et l'atrophie y atteint même les libres radiculaires et la
substance
grise à gauche. Les plaques disséminées dans les
minées dans les cordons 'droits sont partout plus circonscrites et la
substance
grise de ce côté n'est guère atteinte. Les princi
au premier venu du chlorolorme, de l'éther, du haschich. ou d'autres
substances
capables de produire le sommeil anesthésique ou d
ques rixe* de l'hypnotisme. (Arch. de Seurologie, iSSS. t. XIV.) La
substance
de ces leçons a fait l'objet d'une communication
rendait, peu de temps après avoir été gavée, la presque totalité des
substances
qu'on lui avait ingérées, elle ne tarda pas a dép
issent pas altérées. Sur les coupes on remarque la congestion de la
substance
grise, mais on ne note pas de dégénérescence gr
au pyramidal direct, les cornes antérieures et posté- rieures de la
substance
grise ne présentent aucune lésion. Les racines
ale les tractus péri-vasculaires sont plus épais, par- tout dans la
substance
nerveuse sclérosée que dans la coupe précédente.
ns la substance nerveuse sclérosée que dans la coupe précédente. La
substance
grise est- saine, sauf peut-être l'extrémité de l
ncore plus marqué sur le bord externe de la corne postérieure. La
substance
grise est le siège d'altérations importantes ; le
térieures et de la commissure postérieure on voit un large ruban de
substance
saine. " Les cordons antéro-latéraux, ainsi que
substance saine. " Les cordons antéro-latéraux, ainsi que toute la
substance
grise sont absolument sains. Il en est de mêm
paissies. Sous l'influence de l'atrophie cérébrale les noyaux de la
substance
blanche paraissent plus abondants. Dans celle
rs la zone claire périphé- rique. Ce sont peut-être des traînées de
substance
nucléaire qui ont échappé à la dégénération.
un aspect finement granuleux, plus prononcé au 4e ventricule. La
substance
blanche est pâle et légèrement oedématiée. Dans l
ortiquent très facilement. Leur surface est lisse. Sur la coupe, la
substance
corticale est assez large, relative- ment pâle,
rouble, traversée par des nombreuses stries blanches, jaunâtres. La
substance
médullaire est hyperémiée. La vessie est petite
nce de coloration entre le cordon laté- ral droit et le reste de la
substance
médullaire. Tandis que celle-ci avait par- tout
thode de Paal. Au microscope, on ne constata rien d'anormal dans la
substance
ner- veuse des cornes antérieures et postérieur
er- veuse des cornes antérieures et postérieures, ainsi que dans la
substance
bilan- che de la moelle, il l'exception de la p
ui déjà il l'oeil nu se distinguait par sa coloration du reste delà
substance
médullaire. Ici il existait une atrophie notabl
coloration, nous avons encore coloré les coupes avec de la nigrosine,
substance
surtout favorable pour l'orientation topographi
ranche d'une façon très nette sur le fond plus foncé du reste de la
substance
blanche. Celle altération existe surtout dans t
l, on constate que la zone radiculaire moyenne et toute la bande de
substance
blanche qui avoisine la corne postérieure et qu
que le tissu interstitiel est légèrement épaissi. Le triangle de
substance
saine qui avoisine la corne postérieure affecte
dans la région dorsale inférieure et moyenne, les deux triangles de
substance
saine s'avancent vers le sillon postérieur, tan-
s que dans la région dorsale inférieure et moyenne ces triangles de
substance
saine s'écartent et sont séparés par une bande de
ne et par le carmin, on cons- tate une injection considérable de la
substance
grise antérieure et posté- rieure etaussi de la
ble de la substance grise antérieure et posté- rieure etaussi de la
substance
blanche dans le domaine des vaisseaux du sillon
t de la folie, étaient attribuées à l'accumulation dans le crâne de
substances
nocives. En conséquence, toutes les opérations,
présent, indispensable à la solution du problème. Les voici donc en
substance
. Louis Th...., âgé de huit ans, a eu une premiè
e supérieure. Sur les coupes transversales, dans la même région, la
substance
grise tranche moins nettement qu'à l'état norma
, la substance grise tranche moins nettement qu'à l'état normal. La
substance
médullaire est assez fortement congestionnée. L
plus effilé en bas qu'en haut. La prédilection de la lésion pour la
substance
grise est évidente, mais au niveau de la tête d
act et on le distingue encore fort bien dans tout ce tissu. Dans la
substance
grise les cellules nerveuses sont encore conser
ectieux. L'extension plus considérable de la lésion au niveau de la
substance
grise, sa tendance manifeste à fuser le long de
tte disposition n'est pas en rapport avec la structure intime de la
substance
grise qui, ainsi qu'on le sait, permet 'facilem
configuration des foyers d'hématomyé- lie qui filent le long de la
substance
grise à une distance quelquefois considérable d
ie en suivant les cornes postérieures et en empiétant un peu sur la
substance
blanche avoisinante. Au niveau de la 1" dorsale
Au niveau de la 8e dorsale la tache de myélite n'occupe plus que la
substance
grise, dont elle dessine très bien la forme; elle
e dessine très bien la forme; elle empiète un peu en arrière sur la
substance
blanche ; par contre elle laisse sortir en avant
érieure par rapport l'extrémité supérieure, sa prédilection pour la
substance
grise, qu'elle abandonne la dernière ses deux ext
asse arrondie, munie de un ou plusieurs noyaux (I'L. LU). Dans la
substance
grise les cellules nerveuses ne sont pas détruite
Les noyaux d'origine sont complètement sains. Les vaisseaux de la
substance
nerveuse ne sont pas altérés, sauf les vei- nul
l, j'ai vu jusqu'à ce jour six hommes dont une notable partie de la
substance
du cerveau était sortie et qui sont gué- ris. A
de néphrite inters- titielle au début. Les membranes du cerveau, la
substance
grise et la substance blanche, les pédoncules,
tielle au début. Les membranes du cerveau, la substance grise et la
substance
blanche, les pédoncules, la protubérance et la
ié anté- rieure du lobe frontal; il a détruit moins l'écorce que la
substance
blanche de ce lobe des deux côtés. Le reste du
ésintégration cérébrale. On appelle du nom de lacunes les pertes de
substance
déter- minant une cavité plus ou moins volumine
érieures : atrophie musculaire spasmodique ; 6° le syn- drome de la
substance
grise centro-postérieur : dissociation, dite sy
somoteurs) ; 70 le syndrome associé des cornes antérieures et de la
substance
grise centro-postérieure (syndrome de l'entière
et de la substance grise centro-postérieure (syndrome de l'entière
substance
grise) ; atro- phie musculaire, dissociation di
anulations; elles possèdent un noyau volurtr·pûx ovalaire, riche en
substance
chromatine; ce noyau est placé'-t,6 jours à la
la première fois le papillome de la pie-mère et des vaisseaux... La
substance
de la tumeur était d'un gris rou- geâtre, trans
parties antérieures du cerveau n'ont été lésées, plusieurs fois la
substance
grise des circon- volutions a été atteinte dans
mpression de la moelle surtout des cordons antéro-latéraux et de la
substance
grise centrale. Suivent un certain nombre de co
fections des centres nerveux, surtout des cornes postérieures de la
substance
grise, et sont tantôt associés aux trou- bles o
arnit l'intérieur de la calotte de ouate, de gaze ou de toute autre
substance
soudée à l'os sur une surface grande comme la m
décortication détermine la séparation complète de l'écorce et de la
substance
blanche (Baillarger, Rey, Tuczek). L'examen m
tement circonscrits avec séparation complète de l'écorce et de la
substance
blanche. La connaissance de cette variété clini
dans les neurones inférieurs (ganglions et cornes antérieures de la
substance
grise), dans les premiers, neurones de relais (
ures de la substance grise), dans les premiers, neurones de relais (
substance
grise bulbo-médullaire), dans les deuxièmes neu
le grattent jusqu'à produire de profondes érosions et des pertes de
substance
très étendues. Une habitude assez curieuse est
de la frontale ascendante, adhérences profondes qui arrachent la
substance
grise sous-jacente. De ce centre la lésion va en
inges sont remplis de sang et leurs parois sont infiltrées. Dans la
substance
cérébrale, diapédèse abondante, infiltration du
de gliome des centres nerveux. Trois d'entre eux avaient envahi la
substance
blanche centrale d'un des hémisphères. Deux ava
he centrale d'un des hémisphères. Deux avaient également détruit la
substance
grise des circonvolutions, un autre avait envah
angers du cerveau et nullement d'aspect néoplasique. D'ailleurs, la
substance
nerveuse avoisinante est plu- tôt lentement ref
laires des sarcomes. En outre de cette .dégénérescence vitreuse, la
substance
fondamentale des gliomes subit des modifi- cati
e prolongements qui avaient bouleversé l'architecture normale de la
substance
grise. - Ce cas, rapproché des quelques observa
iagnostic clinique : , épaississement des méninges, adhérences à la
substance
grise, dilatation des ventricules. Au point de
e ; d'où la nécessité d'agir vite et de débarrasser l'organisme des
substances
qui l'intoxiquent. Ce ne sont ni les calmants, ni
ui était très mince. Prolifération névroglique très marquée dans la
substance
blanche cérébrale et médullaire. Cette observat
duites par des lésions organiques du cerveau. Les leucomdines de la
substance
nerveuse. M. LAB1TLTT. Vous entendiez, ces jour
le, je venais vous affirmer que les lécithines, qui entrent dans la
substance
nerveuse, contiennent, à l'état physiologique n
imitif de l'organisme, votre composé ne serait pas un toxique de la
substance
nerveuse, il en serait plu- tôt un aliment. »
t maintenant plus rien, pour]ainsi dire, sur lesleu- comaïnes de la
substance
nerveuse, comment procéder pour éta- blir quelq
. Ces points de comparaison étant établis, nous rechercherons si la
substance
nerveuse contient de tels composés. Pourquoi
ez, messieurs, avec quelle facilité les alcaloïdes se fixent sur la
substance
nerveuse en donnant des effets physiologiques r
aite, elle seule peut nous fixer sur la valeur thérapeutique de ces
substances
synthétiques. En vous faisant, messieurs, cette
localisé dans le premier ganglion dorso-spinal et ainsi affecté la
substance
grise de la moelle, comme dans une poliomyé- li
les membres inférieurs, se comprend si on admet que la lésion de la
substance
grise s'est étendue au cordon latéral. La dim
céphalite, surtout autour des artérioles et des capillaires de la
substance
cérébrale, mais aucune des altérations décrites c
ssède une action excitante mais.que comme tous les excitants, cette
substance
précipite l'accumulation de la fatigue, c'est-à
e céphalo- rachidien ; l'autre par injection sous-arachnoïdienne de
substances
diverses. Les périodiques de ces dernières anné
romatopliiles, à mesure que la cellule radiculaire se développe, la
substance
chro- matique apparaît aussi dans les régions p
, le corps cellulaire augmente d'une manière considé- rable, que la
substance
chromatique s'organise et e dépose de la surfac
t les différentes manifestations de l'invo- lution résident dans la
substance
amorphe fondamentale, à la- quelle il a donné l
s, des cellules qui formeront par leur dévelop- pement ultérieur la
substance
gélatineuse de tiolaitdo, comme celles qui ento
, comme celles qui entourent le canal central persistant forment la
substance
gélatineuse périépendymaire. B. La formation
de blocs dans la zone périphérique du protoplasma cellulaire. La
substance
chromopltile dissoute persiste jusqu'au moment de
ntrent, en outre, comme l'ont déjà avancé plusieurs auteurs, que la
substance
cromophyle n'est qu'une matière de réserve des-
ement loca- lisée aux grandes cellules des cornes antérieures de la
substance
grise de la moelle épinière. C'est la ptemière
rable, en nombre et en volume, au niveau des grandes cellules de la
substance
grise, avec lésions secondaires des racines ant
ULAIRES CORTICALES. Voir Troubles mentaux. LEUCOMAINES. Les de la
substance
nerveuse, par Labatut, 392. LOBE frontal. Ram
ningite de voisinage, symphyse méningée et infection définitive de la
substance
encéphalique. Telle est l'origine de la plupart d
érieure, il est séparé de la racine descendante du trijumeau et de la
substance
gélatineuse par ses propres fibres radiculaires q
pitaux. — Dans chaque lobe cérébral, on doit considérer séparément la
substance
grise corticale et la substance blanche. Substa
ral, on doit considérer séparément la substance grise corticale et la
substance
blanche. Substance grise : écorce cérébrale. —
er séparément la substance grise corticale et la substance blanche.
Substance
grise : écorce cérébrale. — D'après Ramon y Cajal
rquée des images directement détruites par la lésion. » (Mirallié.)
Substance
blanche. — La substance blanche est formée par l'
ment détruites par la lésion. » (Mirallié.) Substance blanche. — La
substance
blanche est formée par l'ensemble des fibres de p
obulaire enkystée, laquelle, à son tour, produirait l'infection de la
substance
cérébrale. Quoi qu'il en soit, le point essenti
répondent à la caisse, au labyrinthe et à l'antre, existe une zone de
substance
blanche encéphalique, allongée dans le sens antér
u cervelet. — Comme pour le cerveau, on doit considérer séparément la
substance
grise corticale, les noyaux gris centraux et la s
parément la substance grise corticale, les noyaux gris centraux et la
substance
blanche. Si l'on pratique une coupe vertico-tra
figurée sur la planche XVII, on remarque à la périphérie une zone de
substance
grise macroscopiquement plus importante que celle
nte que celle du cerveau, et, au centres des hémisphères, une zone de
substance
blanche, de forme plus ou moins triangulaire, et
sposition forme l'Arbre de vie des anciens anatomistes. Au sein de la
substance
blanche, et près de la ligne médiane, on aperçoit
çoit l'olive cérébelleuse ou corps dentelé. Au niveau du vermis, la
substance
blanche forme la commissure, réduite à l'état de
: entre les deux on rencontre les noyaux sphénques et les bouchons.
Substance
blanche. — Elle est formée de fibres de projectio
upent le trajet du faisceau vestibulo-cérébelleux, se placent dans la
substance
réticulée médiane et descendent dans le fondament
nférieure, le noyau réticulé de la calotte, le corps parabigéminé, la
substance
noire de Soemmering, le globidus pallidus et la p
ue, le faisceau central de la calotte qui descend des cellules cle la
substance
réticulée de la calotte. (Bechterew.) Le faisceau
du cervelet, la luette, le vermis supérieur et l'amygdale; 3" dans la
substance
blanche : le tapetum, le forceps du corps calleux
oyen, inférieur-postérieur et inférieur-moyen du cervelet; 3° dans la
substance
blanche : entre le ventricule latéral et l'écorce
ET ÉRYTHRASMA. 11 1 forme et de l'éther; mais sans reconnaître ces
substances
; il prend l'acide acétique pour de l'alcali et
et s'il commet quelques erreurs dans la reconnaissance de certaines
substances
sapides ou odorantes, d'ailleurs peu con- nues
Diapédèse et dissémination excessive de leuco- cytes envahissant la
substance
grise ; on en trouve partout, autour des vaisse
e encore un foyer apoplectique circonscrit; de véritables pertes de
substance
criblent les cordons postérieurs, et les cor- d
s sui eno, représentanls des produits de destruction, indemnes de
substance
amyloïde. P. K. IV. DES altérations PROGRESSIVE
ans les cellules nerveuses pyramidales. Dans l'in- flammatiou de la
substance
grise du cerveau, ce sont les cellules fondes d
cellules et les fibres de l'écorce out dis- paru ; intégrité de la
substance
blanche. Observation Il. Epilep- sie corticale.
, affection rare est due d'après Hokitansky à une augmentation delà
substance
iutereellu- laire ; elle est congénitale et se
de Goll ; la seconde partie de fibres forme avant sa jonction à la
substance
blanche la partie intégrante de la commissure p
n léger degré d'inflammation, et consécutivement des troubles de la
substance
grise, en rapport direct avec la lésion actuell
enlevée, pro- duisant là un vide d'étendue considérable, dans la
substance
du cerveau. Cette opération fut suivie d'un tro
corps étranger dont le contact irrite la cornée. De même, certaines
substances
sont tout aussi efficaces que la peur pour prov
koff; dans ces deux cas, cette scissure était coupée par un pont de
substance
blanche vers son tiers supérieur; au delà de ce
iewitzetBabès avaient décrit dans la moelle un corps appelé par eux
substance
chromoleptique, sans affirmer si c'était un cor
c'était un corps inconnu jusqu'alors. M. Dioniidofl a étudié cette
substance
en colorant des préparations par la safranine.
avec les fonctions.- A l'état pathologique on trouve aussi d'autres
substances
colorées par la safranine et les autres coloran
sécrétions inutiles ; à l'état patho- logique ce sont des pertes de
substances
produites soit par des agents extérieurs, soit
que est idiopathique ou secon- daire. Par endroits, surtout dans la
substance
grise qui est infiltrée d'un exsudat plastique
dans le lobe occipital. On trouve dans l'écorce et surtout dans la
substance
blanche de ces circonvolutions un grand' nombre
nstitué par les fibres de l'olive infé- rieure, se disperse dans la
substance
grise du corps dentelé. Systématisation des lés
udié le parcours et la terminaison des racines postérieures dans la
substance
grise de la moelle. Il a reconnu dans les rac
les cellules de la colonne de Clarke. Les autres pénètrent dans la
substance
gélatineuse de Rolando, et suivent un trajet ho
e gélatineuse de Rolando, et suivent un trajet horizontal dans la
substance
grise ; quelques-unes de ces fibres entrent en co
entrent en con- nexion avec les cellules de la région moyenne de la
substance
grise; d'autres arrivent à la corne antérieure;
éral de la corne anté- rieure ; les autres vont directement dans la
substance
gélati- neuse et se placent entre les grosses f
ieurs (douleurs névralgiques podaliques) : intégrité probable de la
substance
grise. Bons effets du fer rouge. Pas d'abcès pa
nerfs cervicaux gauches, gliome avec formation de cavités dans la
substance
grise centrale de la même région. Pas d'autopsie.
mentaire extrême descellules ner- veuses, avec transformation de la
substance
grise en un tissu spon- gieux constitué par des
moelle cervicale. D'ordinaire, même dans les colonnes de Clarke, la
substance
grise est normale (pré- paration à l'appui). An
faisceau longitudinal postérieur s'en- toure de très bonne heure de
substance
blanche. Ce n'est que plus tard que les autres
rieure et une racine antérieure séparées l'une de l'autre par de la
substance
grise. La racine antérieure envoie quelques fib
postérieure participe à la genèse d'un feu- trage de fibres dans la
substance
grise du toit ; de ce feutrage résultent des tr
le- ment, en formant des arcs, le long de la limite interne de la
substance
grise du toit, et donnent naissance à un système
al, il faut aussi faire la part des ramollisse- ments étendus de la
substance
blanche des deux lobes occipitaux, l'écorce éta
330 bibliographie. produit pas le sommeil; à dose plus forte cette
substance
donne lieu à un état de somnolence léger passag
t opaques; granuleuses. Dans 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la
substance
blanche, l'exsudat avait l'aspect de masses amor-
ils sont détruits. La myéline se désa- grège. Les altérations de la
substance
blanche sont les mêmes que dans les myélites ai
un chien, augmente l'excita- bilité électrique de l'écorce et de la
substance
blanche sous- jacente. Cette exagération persis
rale aiguë. Dans l'intoxication chronique, la lésion empiète sur la
substance
blanche. Dans l'intoxication aiguë, les nerfs p
prédominante est une inflammation parenchymateuse siégeant dans la
substance
grise. Les cellules sont granuleuses, opaques,
hal n'a jamais observé la présence de corpuscules étrangers dans la
substance
même des cellules. Les cellules sont très altér
tres nerveux . Les lésions observées sont strictement limitées à la
substance
grise, ce qui élimine l'idée d'un pro- cessus i
! < ? de MidijiewsÀ-y. 4° an., fasc. I, 1886. piomidolf. De la
substance
cliroinolepLique. Journal de Illier- jicivsky,
ynert, 303. Tabac (influence de l'usage du sur 1 assimilation des
substances
azotées), 402. Tabes (étiologie du), par lino
urs caractères, température. Autop- sie : séparation complète de la
substance
grise et de la substance blanche. Pu..., Geor
. Autop- sie : séparation complète de la substance grise et de la
substance
blanche. Pu..., Georges, âgé de cinq ans, est e
Hémisphère droit. - La pie-mère est partout très adhé- rente à la
substance
grise sur tout le lobe occipital, tout le lobe
a subs- tance grise, mettant ainsi à découvert le squelette de la
substance
blanche, en avant de la frontale ascendante, on
avant de la frontale ascendante, on n'enlève qu'une partie de cette
substance
, et des îlots de circonvolutions variant de 2 à
obule de l'izzst.cla sont presque entiè- rement dépouillées de leur
substance
grise, dont il reste pourtant une mince couche.
carré, le coin et le lobe occipital sont complètement dépouillés de
substance
grise par l'ablation de la pie- mère. Hémisph
la, sauf à sa partie la plus inférieure et antérieure, est dénué de
substance
grise. La face supérieure de la première tempor
saines et c'est toujours dans le fond des sillons. Le squelette de
substance
blanche a un aspect légèrement rosé sur lequel
s; cet aspect se rencontre sur les deux hémisphères cérébraux. La
substance
blanche n'est ni indurée ni atrophiée ; les bor
ntres moteurs . des membres. La séparation presque complète de la
substance
grise, et de la substance blanche des circonvol
s. La séparation presque complète de la substance grise, et de la
substance
blanche des circonvolutions a été .signalée che
i l'accompagne donne une excellente idéede l'aspect des lésions. La
substance
blanche était atrophiée, indurée, offrait des a
urer, la lésion était à une période relativement moins avancée ; la
substance
grise se séparait complètement, il est vrai, ma
rise se séparait complètement, il est vrai, mais le squelette de la
substance
blanche avait une coloration légèrement rosée ;
; les bords des circon- volutions étaient plus arrondis ; enfin la
substance
blan- che ne paraissait pas avoir perdu de son
disparu par la macération; les autres, plus anciennes et formées de
substance
osseuse, subsistent encore. Elles se présentent
nous avons observé, le bromure d'éthyle vien- drait se joindre aux
substances
dont l'usage continué assez longtemps occasionn
▲