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1 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
travail sur le système nerveux central est con-sacrée à l'étude de la substance blanche et à celle des noyaux de substance grise;
con-sacrée à l'étude de la substance blanche et à celle des noyaux de substance grise; à la constitution et au mode de répartitio
tion des divers genres de fibres blanches; l'apparition des noyaux de substance grise, leur développement ou leur effacement prog
apports entre eux, ainsi qu'avec les faisceaux de fibres blanches, la substance grise des circonvolutions et la moelle épinière.
garantissent l'encéphale contre toute action susceptible d'altérer sa substance ; pour établir l'uniformité de pression à sa sur
-posées d'éléments morphologiquement homologues, sont formés par deux substances diversement réparties, l'une blanche, l'autre gri
attributions spéciales et des éléments morphologiques différents. La substance grise est une ag-glomération de cellules nerveuse
La substance grise est une ag-glomération de cellules nerveuses ; la substance blanche est constituée par des fibres nerveuses,
Il importe donc de rechercher quel est le mode de répartition de la substance grise à la surface de l'encéphale, d'étudier la s
a terminaison de ces faisceaux de fibres nerveuses qui constituent la substance blanche. (1) E. Gavoy, Recherches sur l'amplitu
, 1885). DEUXIÈME PARTIE DESCRIPTION SPÉCIALE — RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE CHAPITRE I.
DESCRIPTION SPÉCIALE — RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE CHAPITRE I. — CERVEAU. Le cerveau est
interne. Chaque hémisphère est constitué par une écorce onduleuse de substance grise, dessinant un grand nombre de plis et repli
intérieurement par des faisceaux de fibres blanches, à deux noyaux de substance grise, principaux centres de l'ac-tivité encéphal
ipaux centres de l'ac-tivité encéphalique (Pl. I, 12). article i. substance grise du cerveau. La substance grise du cerveau
phalique (Pl. I, 12). article i. substance grise du cerveau. La substance grise du cerveau comprend par conséquent la subst
u cerveau. La substance grise du cerveau comprend par conséquent la substance grise pé-riphérique ou corticale des hémisphères
t la substance grise pé-riphérique ou corticale des hémisphères et la substance grise des noyaux centraux. § 1. — La substance
es hémisphères et la substance grise des noyaux centraux. § 1. — La substance grise périphérique du cerveau forme une couche on
es d'épaisseur, repliée régulièrement suivant un plan,constant. Cette substance grise est plus abondante à la partie postérieure
sur les circonvolutions de la face interne, il offre, au milieu de la substance corticale, l'aspect d'une bandelette blanche dési
om de ruban de Vicq-d'Azyr (Pl. IV, 1). La zone superficielle de la substance corticale est constituée par une série de cellule
ées, dont le sommet est tourné vers la périphérie, et la base vers la substance médullaire. Ces cellules sont disséminées dans un
avec les fibrilles d'une certaine catégorie de fibres irradiées de la substance médullaire dans l'écorce. Celles qui occupent l
donne naissance à un prolongement non ramifié, qui se dirige vers la substance médullaire des circonvolutions. Les cellules de
cylinder-axis des fibres ner-veuses. Le plan le plus profond de la substance corticale est séparé du plan superficiel par une
ions de l'étage inférieur du lobe occipital. La zone profonde de la substance grise corticale est formée par des cellules mince
Ch. Robin cellules volumineuses de la volition. Elles reçoivent de la substance médullaire des fibrilles d'une catégorie spéciale
s de cellules sont répartis, avec les vaisseaux capillaires, dans une substance unissante, la névroglie, composée de fibres de ti
es (Microphotographie, Pl. A, fig. I). Suivant quelques auteurs, la substance grise des circonvolutions ne serait pas formée d'
couche unique : Baillarger (1) dit qu'en examinant une coupe mince de substance corticale fraîche pressée entre deux lames de ver
e bandes successivement transparentes et opaques. Meynert divise la substance corticale en cinq couches régulièrement stratifié
e sous le nom de formation corticale de la corne dAmmon, parce que la substance corticale de la corne d'Ammon ne renferme que ces
elles sont placées suivant une direction tangente à l'écorce, dans la substance grise qui occupe le fond des sillons ou des sciss
e le fond des sillons ou des scissures. Meynert divise également la substance grise de l'écorce de la pointe du lobe occipital
e blanche médiane, nommée ruban de Vicq-d'Azyr. Ces divisions de la substance corticale en couches régulièrement stratifiées, d
llules fusiformes. Au point de vue de la structure histologique, la substance grise périphérique n'est pas composée des mêmes é
rences très notables, qui mé-ritent une étude particulière. Dans la substance corticale des circonvolutions frontale et pariéta
gnalé dans les cellules des cornes antérieures, qui se dirige vers la substance médullaire des circonvolutions où il se revêt de
andes cellules pyramidales sont en plus faible proportion que dans la substance corticale des régions antérieures du cerveau, tan
A, fig. II). * Les capillaires sanguins sont très nombreux dans la substance corticale des cir-convolutions. Ils y forment un
nt entourés chacun d'une gaine très mince et transparente (1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La substance grise fo
et transparente (1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La substance grise forme, dans la masse médullaire du cerveau
ont dues à la proéminence de deux petits noyaux gris contenus dans la substance de la couche optique et bien nettement circonscri
Luysii. M. Luys considère ces tubercules ou noyaux, isolés dans la substance grise de la couche optique, comme des centres de
environ; il a une forme sphéroïdale et l'aspect d'une petite masse de substance blanchâtre. Ces centres ou noyaux de la couche
rps strié {corpus striatum) (Pl. VI, 4) est une masse ellipsoïdale de substance grise rougeâtre, d'une couleur foncée, de peu de
igent en éventail vers la base. Ces fibres transversales donnent à la substance grise des segmenls interne et moyen un aspect bla
omplètement séparée de la tête du corps strié; de petites traînées de substance grise réunissent dans la partie inférieure ces de
vasculaires en séries linéaires et constitue à la base du cerveau la substance perforée antérieure de Vicq-d'Azyr (PJ. XXVIII, 6
11). En outre des noyaux centraux opto-striés, on aperçoit dans la substance mé-dullaire, en dehors du noyau lenticulaire, une
ubstance mé-dullaire, en dehors du noyau lenticulaire, une traînée de substance grise, étalée en arrière comme une lamelle vertic
e un millimètre environ d'épaisseur, qui porte le nom ¥ avant-mur. La substance grise de cette lamelle est formée des mêmes éléme
e grise de cette lamelle est formée des mêmes éléments nerveux que la substance grise du corps strié, dont elle paraît être une d
e paraît être une dépendance (Pl. XXII, 13 et XL, 6). ARTICLE II. — SUBSTANCE BLANCHE DU CERVEAU. La substance blanche du cer
XII, 13 et XL, 6). ARTICLE II. — SUBSTANCE BLANCHE DU CERVEAU. La substance blanche du cerveau est formée par des fibres nerv
ann ; ce sont les conductrices de l'influx nerveux des cellules de la substance grise avec lesquelles elles sont en connexion par
hes, quel que soit leur ordre, pénètrent suivant un même mode dans la substance grise. Les fibres nerveuses se réunissent en un f
ail, se séparent, se dissémi-nent isolément et abordent la base de la substance grise corticale. Chaque fibre à ce niveau s'aminc
uses paraissent s'amortir dans la couche la plus superfi-cielle de la substance corticale ; il est cependant difficile d'affirmer
firmer qu'elles atteignent cette couche. Les diverses régions de la substance grise périphérique sont en rapport immédiat l'une
es constituent un système d'association des cellules ner-veuses de la substance grise corticale d'un même hémisphère. Elles uniss
Ces anses sont généralement situées à la partie superficielle de la substance mé-dullaire, vers la limite de la substance grise
artie superficielle de la substance mé-dullaire, vers la limite de la substance grise. Ce système de fibres arciformes, indiqué s
volutions de l'insula, traverse l'avant-mur et forme une partie de la substance innommée (Pl. XXVIII, 4). La disposition de ces
par une méthode particulière qui permet de décliver les fibres de la substance médullaire, ainsi qu'on le ferait d'un faisceau d
leur portion médiane décrit une anse curviligne libre au milieu de la substance médullaire. La direction générale de ces fibres
nérale de ces fibres varie en raison de la situation des points de la substance corticale qu'elles conjuguent. Celles des régions
iquement en bas et en dehors, ce sont les fibres commissurantes de la substance grise des hippocampes et des corps godronnés; ell
x. : § 3. Les fibres convergentes émergent de tous les points de la substance corticale périphérique. Elles suivent d'abord le
ge des noyaux opto-striés, pour plonger en faisceaux rayonnes dans la substance grise de ces noyaux. En changeant de direction, c
oupes de fibres se juxtaposent en un gros faisceau qui plonge dans la substance grise du corps strié, la séparent en deux segment
couche optique; les fibres s'effilent, s'amincissent, tra-versent la substance grise sous l'aspect de filaments très déliés et s
qu'elle aborde par la face interne et supérieure, et pénètre dans sa substance sous l'apparence de filaments blanchâtres curvili
ieure du noyau lenticulaire sous forme de lamelles qui cloisonnent sa substance grise en plusieurs segments (Pl. XLIÏ, 2). Les
face externe du noyau lenticulaire n'a donc pas d'adhérences avec la substance médullaire environ-nante; elle peut être facileme
gentes des régions postérieures se détachent de tous les points de la substance grise des circonvolutions postérieures, se porten
; il croise les bandelettes optiques, qu'il contourne, passe entre la substance grise du corps genouillé interne et le corpus Luy
res nerveuses, qui met également en connexion les divers points de la substance grise périphérique avec le corps strié et le noya
ce plan général. Ce faisceau relie aux régions centrales la masse de substance corticale des circonvolutions de l'hippocampe.
, ainsi que l'a indiqué Santorini, puis chacun s'enroule autour de la substance grise du tubercule correspondant et s'épanouit da
Ce faisceau prend son origine dans les cellules mêmes que renferme la substance grise des tubercules mamillaires. Il est formé pa
yr relie par conséquent le centre antérieur de la couche optique à la substance grise des tubercules mamillaires et, indirectemen
illaires [corpus candicans) sont donc deux noyaux de ren-forcement de substance grise, recouverts d'une écorce blanchâtre, formée
e la couche optique, aborde la base du conarium et s'épanouit dans sa substance grise (Pl. II, 4; XXII, 20). Le conarium, décri
ple chez l'adulte, d'une couleur gris rougeâtre, un peu analogue à la substance corticale, d'un volume égal à celui d'un gros poi
om de glande pinéale; il est constitué par du tissu conjonctif, de la substance grise et des vaisseaux capillaires entourant une
(Pl. II, 5). Les pédoncules moyens se portent latéralement dans la substance grise de la couche optique, vers le centre médian
iel de Vicq-d'Azyr (sulcus horizontalis magnus), pénétrant jusqu'à la substance médullaire, partage la circonférence en deux port
du cerveau. Chaque lobe cérébelleux est constitué par une écorce de substance grise, reliée par des fibres nerveuses médullaire
se, reliée par des fibres nerveuses médullaires à un noyau central de substance grise. article i. - substance grise du cervelet
ses médullaires à un noyau central de substance grise. article i. - substance grise du cervelet. La substance grise du cervel
de substance grise. article i. - substance grise du cervelet. La substance grise du cervelet comprend, comme dans le cerveau
La substance grise du cervelet comprend, comme dans le cerveau, la substance grise corticale ou périphérique et la substance g
e dans le cerveau, la substance grise corticale ou périphérique et la substance grise du noyau central. § I. La substance grise
ale ou périphérique et la substance grise du noyau central. § I. La substance grise du cervelet forme à sa périphérie une couch
sont constituées par des éléments cellulaires identiques à ceux de la substance corticale du cerveau, mais ils s'en distinguent p
u, mais ils s'en distinguent par des caractères qui sont propres à la substance corticale du cervelet. La zone superficielle es
ers les couches sous-jacentes, en continuité avec les filaments de la substance médullaire. Les prolongements irradiés vers la pé
la périphérie se dichotomisent assez régulièrement, plongent dans la substance amorphe, s'anasto-mosent avec les mêmes prolongem
e, la plus interne, ou la couche des granulations, est formée par une substance granuleuse constituée par de petites cellules arr
par de petites cellules arrondies, pourvues de prolongements. § %. Substance grise du noyau central. — La substance grise form
rvues de prolongements. § %. Substance grise du noyau central. — La substance grise forme en outre à l'intérieur de chaque lobe
n grand nombre de fois en zigzag, circons-crivant un espace ovoïde de substance médullaire, dont l'ouverture ou goulot, tournée e
ces prolongements sont en continuité avec les fibres nerveuses de la substance blanche (Pl. VI, 17; XXVI, 25; XXXIII). La dime
poser qu'il préside à la coordination des mouvements. article ii. — substance blanche du cervelet. Au premier aspect, la subs
article ii. — substance blanche du cervelet. Au premier aspect, la substance médullaire du cervelet présente une disposition a
ui lui donne une physionomie toute particulière (Pl. II, 15). Cette substance médullaire est composée de fibres nerveuses de mê
cerveau, qui se comportent, par rapport aux cellules nerveuses de la substance grise, de la même manière que les fibres médullai
nt les fibres se dissocient, s'étalent et pénètrent isolément dans la substance grise. Ces fibres se dépouillent de leur gaine de
nts des grosses et des petites cellules. Les fibres nerveuses de la substance médullaire du cervelet peuvent être classées, com
ance médullaire du cervelet peuvent être classées, comme celles de la substance médullaire du cerveau, en trois systèmes de fibre
de chaque lamelle. Ce sont les analogues des fibres arciformes de la substance médullaire cérébrale. § 2. Le système des fibre
ntes est représenté par des groupes de fibres, qui se détachent de la substance corticale des régions supérieures au grand sillon
et gagnent le lobe médian. Ces deux groupes de fibres constituent la substance médullaire des Vermis superior et inferior ; elle
(Pl. XXVI). § 3. Les fibres convergentes, issues des cellules de la substance grise corticale, se groupent en un fascicule cent
. Ce fascicule s'accole à celui du foliole voisin et se porte vers la substance grise du corps rhomboïdal ; il suit une direction
décomposent en fascicules qui pénètrent dans les anfractuosités de la substance grise; les fibres se séparent de nouveau, s'épano
séparent de nouveau, s'épanouissent en fibrilles divergentes dans la substance grise, où elles entrent en connexion avec les cel
elle renferme. article 111. — fibres efférentes cérébelleuses. La substance grise du corps rhomboïdal reçoit, par les anfract
érie, les fibres convergentes qui naissent des diverses parties de la substance cor-ticale du cervelet. Elle émet, de tous les po
inférieurs vient aboutir, sous la forme d'un petit faisceau, dans la substance grise du noyau des cordons grêles (Pl. XXXVII).
es des faisceaux ascendants et vont s'amortir dans les cellules de la substance grise de la protubérance (Pl. VI, 19; XXXVIII, 20
ne la face externe des noyaux rouges et va s'amortir dans les amas de substance grise qui con-stituent le corpus Luysii et le loc
composé, ainsi que les deux autres segments de l'encéphale, par de la substance grise et par de la substance blanche. Ces éléme
utres segments de l'encéphale, par de la substance grise et par de la substance blanche. Ces éléments nerveux présentent dans l
osition spéciale et une structure qui leur est propre. article i. — substance grise du névraxe. La substance grise est dispos
qui leur est propre. article i. — substance grise du névraxe. La substance grise est disposée à l'intérieur du névraxe suiva
région terminale de la moelle épinière. Dans la moelle épinière, la substance grise est entourée d'une écorce blanche for-mée d
dons et les subdivisent en fascicules de différentes dimensions. La substance grise, que ces cordons entourent comme une coque,
orne postérieure. Son extrémité est revêtue d'une sorte de calotte de substance grise particulière nommée substance gélatineuse d
revêtue d'une sorte de calotte de substance grise particulière nommée substance gélatineuse de Rolando (Microphotographie, PL G,
e de la moelle, en suivant la ligne qui occupe l'axe de la colonne de substance grise. Sa paroi interne est tapissée par une memb
endyme, revêtue à sa face interne de cellules à cils vibrátiles. La substance grise de la moelle est composée par des cellules
lionnaires. Les cornes postérieures sont coiffées en arrière par la substance gélatineuse de Ro-lando qui se voit à découvert d
ignant la moelle, se fusionnent et disparaissent dans le réseau de la substance gé-latineuse. La substance grise donne naissanc
nt et disparaissent dans le réseau de la substance gé-latineuse. La substance grise donne naissance aux nerfs rachidiens ou spi
e, elles se réunis-sent aux racines postérieures. Les réseaux de la substance gélatineuse de Rolando qui terminent les cornes p
C'est te système nerveux périphérique. Ce plan morphologique de la substance grise reste le même dans toute l'étendue du névra
odification dans leur trajet et dans leurs rapports de contiguité; la substance grise refoulée, déplacée, dissociée, subit par su
sa forme; elle apparaît sous l'aspect d'agglomérations et d'îlots de substance grise, disséminés symétriquement de chaque côté d
en avant et en dedans. Dans ce mou-vement ils pénétrent à travers la substance grise des cornes antérieures [formation réticulée
on s'élève par des coupes successives, on retrouve ces mêmes amas «de substance grise. La base de la corne antérieure se prolonge
rminent dans la protubérance (Microphotographie, PL C, fig. IV). La substance grise centrale se condense ensuite autour de l'aq
me de deux lamelles grises qui revêtent la cloison transparente. La substance grise encéphalique du névraxe donne naissance, co
yaux d'origine des nerfs crâniens. — Au-dessus du collet du bulbe, la substance grise, dissociée et réduite en fragments, pénètre
s, ce qui lui a fait donner le nom de noyau supérieur du facial. La substance grise présente autour de l'aqueduc de Sylvius une
et les racines bulbaires du trijumeau, à l'extrémité d'une traînée de substance grise qui le rattache au noyau sensitif des nerfs
noyau antéro-latéral. Il est constitué par une formation réticulée de substance grise qui s'étend du noyau postérieur de l'hypogl
eure et latérale du bulbe, trois ou quatre îlots isolés et accolés de substance grise constituent le noyau inférieur ou noyau pro
cine bulbaire du trijumeau, et se continue, par de faibles tractus de substance grise, avec le noyau accessoire de l'hypoglosse.
protubérance, en arrière et en dedans de l'extrémité supérieure de la substance gé- (1) Mathias Duval, Recherches sur l'origine
ires enclavent, près du bord externe du corps resti-forme, un amas de substance grise présentant histologiquement une grande anal
u glosso-pharyngien, on voit une série de fibrilles se détacher de la substance grise du plancher du quatrième ventricule, se réu
re le corps restiforme et la racine bulbaire du trijumeau, jusqu'à la substance grise du plancher du quatrième ventricule appelée
le. Les racines moyennes du trijumeau prennent leur origine dans la substance grise des angles externes de la partie moyenne du
t un pigment brun et noir, d'où le nom de substantia ferruginea. La substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius renferme,
ieure constitue le tubercule cendré de Rolando; elle est formée parla substance gélatineuse qui coiffe les cornes postérieures. D
e Rolando, formé par la tête des cornes postérieures décapitées. La substance gélatineuse qui l'entoure émet une série de fibre
forme de croissant, dont la concavité, tournée en dedans, embrasse la substance gélatineuse, tandis que la partie convexe, d'abor
a racine bulbaire reçoit des fibres radiculaires d'un autre ordre; la substance gélatineuse n'est plus apparente au-dessus de cet
gélatineuse n'est plus apparente au-dessus de cette coupe. § 2. La substance grise de la moelle, qui est demeurée contiguë au
a ligne médiane ; ce sont les tubercules quadrijumeaux. Le noyau de substance grise du tubercule quadrijumeau supérieur est mal
olaires de 45 {* à 90 [/. de diamètre, à prolongements ramifiés. La substance grise se prolonge en avant de l'aqueduc de Sylviu
rand nombre de fibrilles qu'on voit se diriger en dehors à travers la substance grise de la couche optique. A la base du ventri
tance grise de la couche optique. A la base du ventricule moyen, la substance grise centrale s'épaissit, constitue une masse ce
qui gagnent directement le tronc du nerf optique correspondant. La substance grise du septum lucidum donnerait origine, d'aprè
ganglionnaires de la base de l'encéphale, il faut ajouter un noyau de substance grise enclavé seulement dans la substance cortica
il faut ajouter un noyau de substance grise enclavé seulement dans la substance corticale du lobe sphénoïdal. Ce noyau, désigné
fois par M. Luys sous le nom de ganglion olfactif [Y). Cet amas de substance grise a l'aspect d'un îlot du volume d'une noiset
e tsenia semi-circularis. § 4. En outre des ganglions olfactifs, la substance grise centrale du névraxe donne origine à une aut
nom de corps genouillés interne et externe. Ces deux petits amas de substance grise sont situés à la région postéro-inférieure
onographie photographique des centres nerveux. Paris, 1865. dans la substance grise du tubercule quadrijumeau postérieur, celui
tubercule quadrijumeau postérieur, celui du ganglion externe dans la substance grise du tubercule quadrijumeau antérieur (Pl. XX
les nerfs rachidiens : 1° une racine antérieure qui s'amortit dans la substance grise corticale du tuber cinereum; 2° une racine
e racine postérieure qui traverse un ganglion et va se rendre dans la substance grise centrale des tubercules quadrijumeaux. La
e dans la substance grise centrale des tubercules quadrijumeaux. La substance grise du névraxe forme par conséquent, depuis les
te la portion encéphalique. article ii. - formations accessoires de substance grise. Parmi les petites colonnes dissociées, f
qui établissent dans le bulbe et la protubérance la continuité de la substance grise centrale médullaire, on trouve dans la part
trouve dans la partie encéphalique du névraxe de véritables noyaux de substance grise, qui possèdent un système propre de fibres
En avant et en dedans de l'olive, on rencontre une lamelle coudée de substance grise de même nature. Cet amas forme le grand noy
Duval, qui nomment noyau juxta-olivaire externe la petite lamelle de substance grise, située en arrière et en dehors de l'olive
icroph., PL D, fig. III). A cette formation se rattache le noyau de substance grise qui sépare en haut, l'une de l'autre, les p
be. Sur le trajet des fibres du pédoncule cérébelleux inférieur, la substance grise forme une colonne allongée, mince, irréguli
. XXXVII) (Microph., Pl. G, fig. IV). § 2. Au-dessus des olives, la substance grise forme un amas ovoïde considérable dans la p
dans la partie antérieure de la protubérance. Ce volumineux noyau de substance grise est traversé par des fascicules de fibres d
IV, 20). Au-dessus du bord supérieur de la protubérance, un amas de substance grise forme, de chaque côté de la ligne médiane,
22). § 3. A ïextrémité supérieure de chaque pédoncule cérébral, la substance grise se réunit en un noyau de couleur rouge-brun
sorte de hile, tourné vers la ligne médiane et un peu en haut. Cette substance grise est composée de petites cellules ovoïdes, j
sous le nom de bandelette accessoire de lolive supérieure, un amas de substance grise situé dans l'intervalle compris entre l'ext
les grisâtres qui s'irradient en avant et en dehors. article iii. - substance blanche du névraxe. En traversant le collet du
les côtés de l'extrémité postérieure du raphé médian, au-dessus de la substance grise du plancher du quatrième ventricule; un gra
lle que ces deux cordons laissent entre eux est occupé par un amas de substance grise entrecoupée de fibres transversales, qui s'
es fibres trans-versales, se placent entre la portion sensitive et la substance grise du plancher du quatrième ventricule. En s
es longitudinales sont remplis par des agglomérats ou des traînées de substance grise, que sillonne, traverse, entrecoupe, émiett
avité de son croissant. Elle est séparée de la portion motrice par la substance grise du locus niger. Le pédoncule cérébral sembl
cavité de la portion sensitive; il est en con-tact en arrière avec la substance grise de la partie supérieure du plancher du qua-
pour entrer en connexion avec les cellules nerveuses que renferme la substance grise de ces noyaux. Les fibres les plus intern
stérieures du lobe frontal. Ce faisceau met en connexion immédiate la substance corticale de l'hémisphère et le pédoncule, sans t
te de la face inférieure de la couche optique, pénètrent à travers la substance grise de cette région et vont se distribuer aux c
ancher du quatrième ventricule, puis il longe le bord inférieur de la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius, pénètre d
upérieure et interne, se porte en dehors et en bas, s'immerge dans la substance grise du ventricule moyen sous-jacente à la couch
nère, la commissure blanche postérieure, et se perd dans la couche de substance grise qui tapisse le troisième ventricule (PL XXX
r les pédoncules cérébelleux supérieurs. Ces fibres pénètrent dans la substance grise des noyaux en petits filaments parallèles,
idérable, se porte dans la tête du corps strié et s'éparpille dans sa substance . Un second groupe de fibres afférentes se recourb
térieurs du segment interne des noyaux jaunes et se distribue dans la substance grise du noyau lenticulaire (Pl. IV, 14, 15, 16;
sii, entre en connexion avec les cellules nerveuses contenues dans sa substance grise et en ressort par la face antéro-externe so
lus inférieur (Pl. XXVIII), aux cellules nerveuses qui constituent la substance grise de Sœmmering; les fibres efférentes, nées s
, croisent la direction des fibres spinales antérieures et gagnent la substance grise des noyaux jaunes, dans laquelle ces fibres
motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau central de la substance grise des lobes du cervelet. Les faisceaux de f
édian tavec les fibres congénères du côté opposé et disparaît dans la substance grise qui occupe les interstices. Ces fibres cons
upe les interstices. Ces fibres constituent un lien immédiat entre la substance grise de la protubérance et les cellules nerveuse
velles ont pris naissance dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise de la protubérance; elles représentent les
tablissent un rapport entre les éléments nerveux du corps strié et la substance grise de la protubérance,déjà d'autre part en con
et avec les éléments nerveux de la moelle épinière. Ce gros amas de substance grise donne au névraxe une forme protubérancielle
ctivité propre, comme les centres nerveux du cerveau. Les colonnes de substance grise qui contiennent le lieu d'origine des nerfs
illimètre d'épaisseur. légende explicative Planche A. Fig. I. — Substance grise corticale du cerveau {circonvolution fronta
n). c. Névroglie, vaisseaux capillaires et myélocytes. Fig. II. — Substance grise corticale du cerveau [circonvolution du lob
s entre la zone super- ficielle et la zone profonde. Ces couches de substance grise sont formées de cellules arrondies, dissémi
ternes, commissur antes, unissant les deux bandelettes optiques. d. Substance grise du tuber cinereum. Planche B. Fig. I. —
a. Pilier antérieur du trigone. b. Faisceau de Vicq-d'Azyr. c. Substance grise du tubercule, renfermant des cellules fusif
ubstance grise du tubercule, renfermant des cellules fusiformes. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen. Fig. II.
. b. Faisceau des fibres efférentes (faisceau de Vicq-d'Azyr). c. Substance grise du tubercule mamillaire. d. Substance gri
u de Vicq-d'Azyr). c. Substance grise du tubercule mamillaire. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen. Fig. III
a. Faisceau de fibres afférentes (pilier antérieur du trigone). b. Substance grise du tubercule mamillaire. Fig. IV. — Subst
trigone). b. Substance grise du tubercule mamillaire. Fig. IV. — Substance grise corticale du cervelet. a. Zone profonde o
corticale du cervelet. a. Zone profonde ou couche granuleuse. b. Substance médullaire centrale axile de la circonvolution cé
pourtour de la base du corps de la cellule, adhérents à un amas de substance granuleuse, formée par de petites cellules rondes
llules rondes de 6 à 9 [/. de diamètre. Planche G. ¦* Fig. I. — Substance grise centrale de la moelle épinière (région dors
rsale). a. Corne postérieure. b. Canal central de la moelle. c. Substance médullaire. d. Racines antérieures des nerfs mo
ré-cédente). a. Groupes de cellules multipolaires. b. Trame de la substance grise centrale de la moelle épinière. c. Racine
. d. Section transversale des fibres nerveuses longitudinales de la substance médullaire, groupées en faisceaux par les cloison
méninges spinales. Fig. III. — Cellules multipolaires isolées de la substance grise de la corne antérieure. Ces cellules prés
ui donnent l'apparence d'une araignée. Fig. IV. — Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe (coupe faite imméd
ulée de Deiters, due au passage des cordons posté-rieurs à travers la substance grise des cornes antérieures. Planche D. Fig.
se des cornes antérieures. Planche D. Fig. I. — Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de
s. /. Grand noyau pyramidal de Stilling ; sur les côtés apparaît la substance grise de l'olive bulbaire. k. Substance gélatin
; sur les côtés apparaît la substance grise de l'olive bulbaire. k. Substance gélatineuse de la corne postérieure. Fig. II. —
e gélatineuse de la corne postérieure. Fig. II. — Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de
au des pyramides postérieures. c. Noyau des corps restiformes. d. Substance gélatineuse de la corne postérieure. e. Vestige
ue). n. Apparition du noyau du pneumogastrique. Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe au niveau d
donne naissance aux fibres radiculaires. d. Faisceau nerveux. e. Substance grise appartenant à l'acoustique. f. Corps rest
l. r. Noyau moteur du glosso-pharyngien. s. Fibres arciformes. t. Substance grise du plancher du quatrième ventricule. Fig.
t. Substance grise du plancher du quatrième ventricule. Fig. IV. — Substance grise de f olive bulbaire. a. Fibres efférentes
de f olive bulbaire. a. Fibres efférentes de la face interne de la substance grise de l'olive. b. Fibres afférentes à la fac
ance grise de l'olive. b. Fibres afférentes à la face externe de la substance grise de l'olive, désignées sous le nom de fibr
l'olive, désignées sous le nom de fibres arciformes du bulbe. c. Substance grise de Y olive bulbaire, contenant un grand nom
rière, l'occipital. Ces parois osseuses sont formées de deux lames de substance compacte, séparées par une substance spongieuse n
es sont formées de deux lames de substance compacte, séparées par une substance spongieuse nommée diploé. La lame externe ou tabl
dont la texture serrée et polie lui a valu le nom de lame vitrée. La substance spongieuse est composée par de petites lamelles o
et les veines extérieures. Sur certains points des os du crâne, cette substance spon-gieuse est résorbée et donne lieu ainsi à de
a cloison transparente ou septum lucidum est formée par deux lames de substance grisâtre juxtaposées verticalement dans la boucle
e de la couche optique se continue en bas et en avant avec un amas de substance grise, appelé tuber cinereum, en rapport avec le
ire, qui supporte la glande pituitaire ou hypophyse. En arrière, la substance grise, qui tapisse la face interne de la couche o
e la protubérance ; ils interceptent entre eux un espace angulaire de substance grise, appelé espace interpédonculaire, espace pe
mettant en évidence la disposition arbo-rescente des prolongements de substance blanche dans l'intérieur de la substance grise co
escente des prolongements de substance blanche dans l'intérieur de la substance grise corticale ; disposition qu'on désigne sous
ubérance annulaire ou pont de Varóle montrant, au milieu d'un amas de substance grise, les fibres transversales blanches apparten
bulbe rachidien présentant les fibres arciformes du raphé médian, la substance grise centrale du bulbe (18) et un faisceau blanc
ian antéro-postérieur vers la région externe de l'hémisphère.) La substance grise corticale des circonvolutions de la face in
isphère gauche est enlevée ; cette section, en mettant à découvert la substance médullaire des circonvolutions, rend plus apparen
apparaît nettement; elle est bordée inférieurement par une couche de substance corticale, séparée en haut des circonvolutions pr
il s'enroule et s'épanouit dans les cellules nerveuses qui forment la substance grise de ce petit noyau, d'où elles émergent ensu
a coupe de la bandelette optique (8, Pl. IV), qui semble sortir de la substance grise du tuber cinereum. La section antéro-post
grise du tuber cinereum. La section antéro-postérieure a enlevé la substance grisâtre de la couche optique qui forme la paroi
rcule postérieur, qui se présentent sous l'aspect de deux noyaux de substance grise ; le premier prend le nom de centre antérie
essous et en arrière du centre postérieur est la glande pinéale et la substance grise des tubercules quadrijumeaux ; entre les tu
eur entre-croise-ment sur la ligne médiane. En avant et en bas est la substance grise du locus niger, qui recouvre une couche de
bas est la substance grise du locus niger, qui recouvre une couche de substance blanche, formant l'écorce du pédoncule cérébral (
tegmentum). La protubérance annulaire a la forme d'un noyau ovoïde de substance grise, traversé horizontalement et verticalement
eure passant par le bord externe des tubercules mamillaires. 1. — Substance grise corticale des circonvolutions, circonscriva
laires. Aux lobulus cunéiforme, extremus de Ecker et lingualis, cette substance grise est parcourue par un petit liséré blanc nom
leux ; une gouttière profonde sépare le corps calleux de la couche de substance corticale qui borde inférieurement la circonvolut
ricules latéraux et la coupe du pilier posté-rieur du trigone. 5. — Substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié,
ormant le plan inférieur des pédoncules cérébraux, recouvertes par la substance grise du locus niger de Sœmmering (19). 20. — S
rtes par la substance grise du locus niger de Sœmmering (19). 20. — Substance grise de la protubérance, sillonnée par les fibre
ibres radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes (21). 23. — Substance grise de Votive bulbaire en rapport avec les fibr
ormée par la section des pyramides postérieures (24). En avant est la substance grise centrale qui se continue avec la substance
24). En avant est la substance grise centrale qui se continue avec la substance grise du plancher du quatrième ventricule (26).
la substance grise du plancher du quatrième ventricule (26). 27. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux. En avant appa
e interne ; elle met à découvert dans le cerveau la disposition de la substance grise corticale, des fibres de la substance médul
veau la disposition de la substance grise corticale, des fibres de la substance médullaire, et le faisceau longitudinal supérieur
sent sur son bord supé-rieur et s'épanouissent dans l'intérieur de la substance grise du noyau intraventricu-laire en filaments b
nt des fibres blanches d'une autre source qui vont s'atténuer dans la substance grise de ces noyaux. La protubérance annulaire
es noyaux. La protubérance annulaire conserve sa forme en noyau. Sa substance grise est traversée verticalement parles fibres s
s, dans le pédoncule cérébral, des fibres spinales antérieures par la substance grise du locus niger. Dans le bulbe la substance
s antérieures par la substance grise du locus niger. Dans le bulbe la substance grise de l'olive s'interpose également entre ces
e l'olive s'interpose également entre ces deux ordres de fibres. La substance grise centrale du bulbe se continue nettement à c
nce grise centrale du bulbe se continue nettement à ce niveau avec la substance grise du plancher du quatrième ventricule et cell
educ de Sylvius. La section du cervelet montre, à l'intérieur de la substance médullaire, la présence d'un noyau formé par une
substance médullaire, la présence d'un noyau formé par une lamelle de substance grise, plissée en zigzag, circonscri-vant un espa
illon intermédiaire de la couche optique et du corps strié. 1. — La substance grise corticale circonscrit la substance médullai
et du corps strié. 1. — La substance grise corticale circonscrit la substance médullaire des circon-volutions, pénètre dans la
essus de la couche optique, sous le nom de bandelette géminée. 4. — Substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié,
en). 15. — Faisceau des fibres spinales antérieures émergeant de la substance grise de la protubérance annulaire (16); il se di
e dirige en haut, en avant du locus niger, et va s'épanouir dans la substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié.
ise du noyau intraventriculaire du corps strié. 17. — Section de la substance grise corticale et des fibres convergentes médul-
adhérent au bourrelet par son bord interne (fibres de la lyre). La substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié
triculaire. Les fibres convergentes pénètrent en serpentant dans la substance grise de la couche optique; elles s'épanouissent
st le dernier vestige du noyau rouge de Stilling(ll, Pl. VI) et de la substance grise de Sœmmering (13, Pl. VI). Les fibres spi
isposition convergente des fibres de la subs-tance médullaire vers la substance grise plissée du corps rhomboïdal, d'où part un g
son trajet pour constituer les fibres transversales qui dissocient la substance grise de la protubérance. Ces trois groupes de fi
'extrémité antérieure de la corne d'Ammon ou grand hippo-campe, et la substance grise du ganglion olfactif. Au-dessus est la coup
lement et au renversement d'une circonvolution, de telle sorte que la substance blanche se trouve envoloppée par la substance gri
, de telle sorte que la substance blanche se trouve envoloppée par la substance grise. En avant de l'ex-trémité antérieure de la
grise. En avant de l'ex-trémité antérieure de la corne d'Ammon est la substance grise du ganglion olfactif (7) ou noyau amygdalie
if (7) ou noyau amygdalien (nucleus amygdaleus de Mandelkern). 8. — Substance grise du noyau intra ventriculaire se terminant e
ures et inférieures (9) traversent sa masse et la séparent (10) de la substance grise du noyau lenticulaire, dont on aperçoit ici
aperçoit le mode de péné-tration (15) des fibres convergentes dans la substance grise de la couche optique, atteignant les segmen
(16) et du centre postérieur (17). Entre ces deux noyaux apparaît la substance grise du corps genouillé interne (18). 19. — Se
re de un millimètre d épaisseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale forme, à la périphérie de la coup
qui représente la section des circonvolutions de l'hémisphère. Cette substance cor-ticale recouvrant la surface des circonvoluti
le qui correspond à la périphérie de l'hémisphère. Les fibres de la substance médullaire ont toutes une direction convergente v
delà corne d'Ammon ou hippocampe, séparée, par un petit sillon, de la substance grise du ganglion olfactif. La voûte que forme
la région postérieure; à son extrémité antérieure est la coupe de la substance grise de l'hippocampe et du pi-lier postérieur du
one. La corne frontale descend moins bas et est presque effacée. La substance grise du noyau intra-ventriculaire est réduite à
rne de la couche optique et se dirigent vers le centre postérieur. La substance grise du corps genouillé interne (18, Pl. VIII) m
u cervelet montre la disposition arborescente des prolongements de la substance médullaire, un fragment du corps rhomboïdal, le m
antéro-postérieure passant par le bord externe du noyau caudé. 1. — Substance grise corticale des circonvolutions. Les fibres c
iques de Gratiolet ou fibres cortico-thalamiques postérieures. 5. — Substance grise du noyau caudé, s'étendant en arrière jusqu
e jusqu'au prolonge-ment occipital de la cavité ventriculaire. 6. — Substance grise du noyau extra-ventriculaire, ou lenticulai
ulvinar) en rapport avec les corps genouillés. La section traverse la substance grise du corps genouillé interne (9). En avant es
. 11. — Section de la commissure blanche antérieure au niveau de la substance grise du noyau lenticulaire. 12. — Dernier vest
la corne occipitale. A l'entrée du diverticulum est la section de la substance grise de l'hippocampe et du pilier du trigone. L'
li unciforme, présente sa coupe plus bas (13). Elle est contiguë à la substance grise du ganglion olfactif (14), qui reçoit les f
f olfactif. 16.— La section du lobe latéral du cervelet comprend la substance grise corticale et les faisceaux de fibres médull
re de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale entoure les circonvolutions; quel
entoure les circonvolutions; quelques traînées dans l'intérieur de la substance médullaire indiquent l'affleurement de sillons pr
né sous le nom de pied de la couronne rayonnante, pes ou crusta. La substance grise du noyau lenticulaire du corps strié appara
occupent la région postérieure de la masse ganglionnaire centrale. La substance grise du corps genouillé externe, qui semble au p
ion renversée, ainsi que l'indique cette coupe longitudinale, dont la substance grise entoure la substance blanche. Le bord supér
indique cette coupe longitudinale, dont la substance grise entoure la substance blanche. Le bord supérieur et interne porte un ép
, Pl. X). En avant de la corne d'Ammon, séparée par un sillon, est la substance grise du ganglion olfactif (14, Pl. X). Les fibre
s du tœnia semi-circularis forment de fines traînées blanches dans sa substance . Le lobe sphenoidal est séparé du lobe frontal pa
e médullaire et ses ramifications très déliées dans l'intérieur de la substance grise corticale. XII. — Coupe verticale antéro-
assant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire. I. — Substance grise corticale de l'hémisphère. Le centre médull
éro-postérieure. Ces divers ordres de fibres convergentes abordent la substance grise des noyaux opto-striés suivant le sens de l
coupe longitu-dinale de la portion antérieure de la corne d'Ammon. La substance grise de l'hippo-campe est revêtue d'une écorce d
mmon. La substance grise de l'hippo-campe est revêtue d'une écorce de substance blanche et contient dans son intérieur également
stance blanche et contient dans son intérieur également une couche de substance blanche. Cette substance grise est pénétrée par l
t dans son intérieur également une couche de substance blanche. Cette substance grise est pénétrée par les filaments blancs appar
laments blancs appartenant au pilier postérieur du trigone. 8. — La substance grise du ganglion olfactif offre des dimensions m
ibres radiculaires externes du nerf olfactif (10). II. — Traînée de substance grise appartenant au corps strié, désignée sous l
circulaire. 13. — Section des artères lenticulo-striées. 14. — La substance grise du segment externe du noyau lenticulaire et
pénétrée par le système des fibres convergentes. 16. — Coupe de la substance corticale et de la substance médullaire du cervel
fibres convergentes. 16. — Coupe de la substance corticale et de la substance médullaire du cervelet. XIII. — Encéphale dont
re de un millimètre d épaisseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale forme des traînées grises dans la
ian. La substance grise corticale forme des traînées grises dans la substance médullaire. Elles sont dues aux régions profondes
dullaire apparaît la section de la partie antérieure et interne de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe. La sub
interne de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe. La substance grise du corps strié est réduite au segment exter
obe latéral du cervelet montre la disposition des prolongements de la substance médullaire dans l'épaisseur des lamelles de la su
ements de la substance médullaire dans l'épaisseur des lamelles de la substance grise corticale et leur mode de division dichotom
eure du corps calleux vers la base du cerveau.) 1. — La couche de substance grise corticale des deux hémisphères, placés dans
es, placés dans leur position normale respective, décrit autour de la substance médullaire une courbe ellipsoïde composée d'un gr
e ellipsoïde composée d'un grand nombre de replis. Elle forme avec la substance blanche une surface ovalaire, dont les dimensions
du lobe sphénoïdal pórtele nom de corne sphénoïdale, ou tapetum. La substance grise corticale des régions postérieures et inter
Fibres convergentes des régions moyennes du cerveau pénétrant dans la substance grise du noyau intra-ventriculaire (5) du corps s
du noyau intra-ventriculaire (5) du corps strié. 5. — Section de la substance grise du noyau intra-ventriculaire ou caudé, mont
fibres convergentes de ces mêmes régions. 11. — Liséré blanc de la substance grise corticale, désigné sous le nom de ruban de
paisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale décrit de nombreux replis autour
La substance grise corticale décrit de nombreux replis autour de la substance médullaire; deux traînées grises s'annoncent dans
dirigent vers les noyaux opto-striés. Elles ont pénétré à travers la substance grise du noyau intra-ventriculaire jusqu'au bord
forme d'un cordon, nommé pilier antérieur du trigone, pénètre dans la substance grise de la couche optique et va aboutir aux tube
uche optique. A travers l'écartement de ces faisceaux, on aperçoit la substance grise du noyau lenticulaire du corps strié. 7.
se dirigeant vers la région postérieure de la couche optique. 8. — Substance grise de la couche optique pénétrée par des filam
ut, en avant et en bas. Ces lamelles sont recouvertes d'une couche de substance grise sur leurs deux faces : celle qui est en rap
é-raux. Son extrémité antérieure est en rapport avec un petit amas de substance grise, qui appartient à la portion terminale du n
es vers la base du cerveau. La multiplicité de replis que décrit la substance grise corticale montre que la super-ficie de cett
écrit la substance grise corticale montre que la super-ficie de cette substance est de beaucoup plus considérable que celle des d
ompu par la section qui met à découvert une plus grande portion de la substance grise du noyau lenticulaire que l'on aperçoit sur
médullaires. Les fibres convergentes antérieures pénètrent dans la substance grise du corps strié, qu'elles divisent en noyau
o-thalamiques ont déjà détaché le noyau caudé du reste de la masse de substance grise. Les fibres convergentes sectionnent par co
région antérieure et externe de la couche optique (6, Pl. XX). Cette substance blanche intermédiaire aux noyaux opto-striés port
en ce point à la région postérieure de la capsule interne. Entre la substance grise des circonvolutions de l'insula et le noyau
lutions de l'insula et le noyau lenticulaire ap-paraît une traînée de substance grise, appartenant au corps strié, appelée avant-
des fibres arciformes et convergentes que l'on désigne sous le nom de substance innominée. Gavoy. — Encéphale. 12 La section
m de substance innominée. Gavoy. — Encéphale. 12 La section de la substance grise de la couche optique montre le mode de péné
s laisse en avant la coupe des piliers antérieurs du trigone et de la substance grise du septum lucidum et, en arrière, celle des
internes des lobes postérieurs comprennent entre eux la section de la substance grise corticale du vermis superior. On remarque l
mis superior. On remarque la présence du ruban de Vicq d'Azyr dans la substance grise des lobes occipitaux. XX. — Coupe horizon
e fibres convergentes antérieures, cortico-striées, pénétrant dans la substance grise du corps strié et concourant à la formation
Cette portion du faisceau de fibres blanches, intermédiaire aux deux substances grises, est appelée région lenticulo-thalamique d
men. Il est séparé des circonvolutions de l'insula par une traînée de substance grise, l'avant-mur (3), qui appartient au corps s
, ayant l'aspect de cordons arrondis. 17. — Section des lamelles de substance blanche qui forment la cavité du septum lucidum ;
vec la cavité des ventricules latéraux est recouverte d'une couche de substance grise. Ces lamelles de substance blanche adhérent
éraux est recouverte d'une couche de substance grise. Ces lamelles de substance blanche adhérent au corps calleux et aux piliers
. 18. — Section du vermis superior montrant la disposition des deux substances dans la région supérieure du cervelet. XXI. — E
d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant chacun des hémisph
des hémisphères ; les circonvo-lutions de l'insula décrivent dans la substance médullaire une traînée grise à trois ou quatre de
aire une traînée grise à trois ou quatre dentelures. En dedans est la substance grise de l'avant-mur, qui n'a aucun contact dans
erne : ces fibres pénètrent sous la forme de petits filaments dans la substance grise de ces noyaux; le centre antérieur présente
sa partie antérieure est le tœnia semi-circularis qui le sépare de la substance grise du noyau intra-ventriculaire. A égale dista
ps calleux. Fibres commissurantes pos-térieures. 3. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe, et des p
érieur se dirige en dedans, vers la paroi du ventricule moyen. 9. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire de corps strié
Substance grise du noyau intra-ventriculaire de corps strié. 10. — Substance grise du segment externe du noyau extra-ventricul
nticulaire et s'épanouissent en filaments fins et très déliés dans la substance grise des trois segments : 13. —Avant-mur, diss
3. —Avant-mur, dissocié par les fibres arciformes occipito-frontales ( substance innominée) et les fibres convergentes des circonv
tre les deux feuillets de la toile choroïdienne, constituée par de la substance grise à la surface, du tissu connectif et des vai
pédoncules antérieurs ou supé-rieurs cheminent dans l'épaisseur de la substance grise qui tapisse la paroi du ven-tricule moyen (
de la fente cérébrale de Bichat. Ils sont constitués par une masse de substance grise, recouverte d'une écorce de substance blanc
nstitués par une masse de substance grise, recouverte d'une écorce de substance blanche. Ils sont en connexion avec les corps gen
I. — AEPI. 22. — Sections des piliers antérieurs du trigone, de la substance grise et des la-melles (23) qui forment la cavité
a sub-stance grise corticale est beaucoup plus grande que celle de la substance médullaire. XXIII. — Encéphale dont on a détach
paisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale des circonvolutions pénètre dans
de Sylvius jusqu'au lobule de l'insula, se continue en avant dans la substance médullaire et atteint le niveau de la portion réf
. XXII) présente ses trois segments : le segment externe formé par la substance grise, le segment moyen et le segment interne con
nce grise, le segment moyen et le segment interne consti-tués par une substance jaunâtre, plus pâle dans le segment interne. La d
coupe des tubercules quadrijumeaux antérieurs comprenant entre eux la substance grise de la valvule de Vieussens. Un faisceau bla
couches optiques ou pulvinar. Gavoy.— Encéphale. ^ La coupe de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe montre le
t de cette circonvolution et les rapports qu'ont entre elles ses deux substances . La lame blanche de la convexité a été appelée al
iculmn; le corps frangé, corps bordant ou bordé, forme la fimbria. La substance grise remplit l'espace compris par l'enroulement
aisceau de fibres convergentes antérieures divisant en deux noyaux la substance grise du corps strié. 4. — Faisceau formant la
rapports de contact avec la face externe du noyau lenticulaire et la substance grise de Pavant-mur (9). 5. — Section transvers
gions posté-rieures. 11 s'étend, en arrière du centre médian, vers la substance grise centrale de l'axe. 7. — Substance grise d
e du centre médian, vers la substance grise centrale de l'axe. 7. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire du corps strié
inférieur du centre médian. Les fibres convergentes pénètrent dans la substance grise de la couche optique sous l'aspect de fibri
upes de faisceaux qui forment le genou de la capsule interne. 15. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs. A
entre est l'aqueduc de Sylvius (16), qui se continue en avant avec la substance grise des parois du ventricule moyen (17) jusqu'a
18. — Section de la bandelette optique. En dehors est la coupe de la substance grise du corps genouillé externe, traversée obliq
ubercules quadrijumeaux postérieurs ; les fibres optiques ont dans sa substance grise une direction presque horizontale, qui diff
quent de celle qu'on observe dans le corps genouillé externe. 19. — Substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans la c
ncore libres dans la cavité des ventricules latéraux. En avant est la substance grise et la cavité de la cloison transpa-rente (2
d'épaisseur\ faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant les deux hémisphèr
bec du corps calleux. Ces deux prolongements bordent latéralement la substance grise de Y espace perforé antérieur, correspondan
ère un cordon grisâtre, la commissure blanche antérieure limite cette substance grise. Les fibres convergentes des régions anté
ieures forment quelques fascicules isolés, séparant incomplètement la substance grise du corps strié. Les fibres convergentes des
ens et les fibres radiculaires des nerfs pathétiques. En avant est la substance grise du plancher de l'aqueduc de Sylvius et des
celle des piliers antérieurs du trigone, après leur immersion dans la substance grise. Le corps strié occupe seul la région cen
es corps genouillés externe et interne. Au-dessous est la coupe de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pili
'éminence médiane inférieure, vermis inferior. Dans l'intérieur de la substance médullaire apparaît la substance grise plissée no
mis inferior. Dans l'intérieur de la substance médullaire apparaît la substance grise plissée nommée corps rhomboidal. XXVI. —
vergentes des régions antérieures et inférieures se dirigeant vers la substance grise du corps strié. Quelques fascicules isolés
lés, très fins, qui vont s'atténuer dans les cellules nerveuses de la substance grise et jaune du corps strié. 10. — Avant-mur.
ce grise et jaune du corps strié. 10. — Avant-mur. Cette traînée de substance grise appartient au corps strié. Elle n'a aucun c
tance grise appartient au corps strié. Elle n'a aucun contact avec la substance grise des circonvolutions de l'insula. Elle est d
aux rouges de Stilling, de forme sphérique, constitués par un amas de substance grise. Ces noyaux présentent un hile tourné en ha
upérieurs; elles s'enroulent autour du noyau rouge, pénètrent dans sa substance grise, où elles s'amortissent dans les cellules n
s s'amortissent dans les cellules nerveuses qu'elle renferme. 17. — Substance grise centrale étalée sur les parois du ventricul
transversale des piliers antérieurs du trigone dans l'intérieur de la substance grise. 20. — Section transversale de la partie
les de cette commissure. 21. — Section de la bandelette optique. La substance grise du corps genouillé interne est réduite à un
elle du corps genouillé externe est encore assez volumineuse. 22. — Substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pili
cervelet. Les fibres médullaires convergent, de la face interne de la substance grise corticale des lamelles, vers la face extern
d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la substance médul
ers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la substance médullaire. La région posté-rieure présente encor
fibres convergentes pénètrent par quelques fascicules isolés dans la substance grise du corps strié. Le faisceau qui forme la ca
édente. La corne sphénoïdale se continue et présente la section de la substance grise de la corne d'Ammon ou grand hippocampe et
ne du côté opposé. Ce fais-ceau ne contracte, dans son trajet dans la substance grise du corps strié, aucun rapport fibrillaire.
sure vers les lobes sphénoïdaux (plus nette en 10', Pl. XXVIII). La substance grise du locus niger de Sœmmering a fait son appa
VI). Gavoy. — Encéphalk. 14 La section du cervelet montre dans la substance médullaire la disposition de la membrane jaunâtre
t et en dedans. La disposition de cette membrane rappelle celle de la substance grise corticale autour des circonvolutions, des s
, dont le but paraît d'augmenter considérablement la superficie de la substance grise, c'est-à-dire la quantité des éléments nerv
se, c'est-à-dire la quantité des éléments nerveux. Les fibres de la substance médullaire convergent vers la périphérie du corps
s radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes ; en avant est la substance grise du plancher de l'aqueduc de Sylvius. XXVI
convergentes des régions antérieures et inférieures envoyant dans la substance grise du corps strié des fascicules fins isolés.
pito-frontales, dissociant, avec les fibres de la capsule externe, la substance grise de Pavant-mur. 5. — Faisceau de fibres co
et très grêles. 9. — Section des bandelettes optiques, montrant la substance grise du corps genouillé externe. Ces bandelettes
efférentes appartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. 16. — Substance grise centrale tapissant les parois du ventricule
icq-d'Azyr. 18 — Section des piliers antérieurs du. trigone dans la substance grise. 19. — Section de la substance grise de l
antérieurs du. trigone dans la substance grise. 19. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans l'in
d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la substance médul
ers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la substance médullaire du lobe sphénoïdal et du lobe frontal;
he antérieure. Les fibres arciformes occipito-frontales dissocient la substance grise de l'avant-mur et mettent en connexion le l
bandelette optique (9, Pl. XXVIII), portant le dernier vestige de la substance grise du corps genouillé externe. En dehors appar
ouissement des fibres du tœnia semi-circularis dans l'intérieur de sa substance grise. Ce ganglion, du volume d'une noisette, est
rise. Ce ganglion, du volume d'une noisette, est formé par un amas de substance grise enclavée chez l'homme dans la portion arron
on des fibres spinales anté-rieures ou étage inférieur, séparé par la substance grise du locus niger des fibres spinales postérie
trié (14. Pl. XXX). Entre ces deux segments est le raphé médian, la substance grise centrale de Taxe, qui se continue avec cell
de la région moyenne du cervelet montre la disposition centrale de la substance médullaire à l'intérieur de chacun des lobes céré
ssurantes. A l'intérieur apparaît le corps rhomboidal, recevant de la substance grise corticale les fibres afférentes, émettant d
u spinal. En dehors du corps strié, apparaît le dernier vestige de la substance grise de l'avant-mur, dissociée par diverses fibr
tte optique en avant des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXIX). 8. — Substance grise du ganglion olfactif. En dehors est le dern
ce grise du ganglion olfactif. En dehors est le dernier vestige de la substance grise de l'avant-mur ; elle est dissociée, comme
ullaires. 9. — Fibres du taenia semi-circularis à leur sortie de la substance grise du ganglion olfactif, elles se groupent en
n ou hippocampe dans la cavité sphénoïdale. Un sillon la sépare de la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance gri
sillon la sépare de la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise centrale du plancher du ventricule moyen, l
ro-interne des fibres spinales antérieures, allant s'épanouir dans la substance grise du corps strié. 15. — Substance grise du
es, allant s'épanouir dans la substance grise du corps strié. 15. — Substance grise du locus niger de Sœmmering. 16. — Fibres
appartenant à la région antérieure des pédoncules cérébraux. 18. — Substance grise interpédonculaire. 19. — Substance grise
oncules cérébraux. 18. — Substance grise interpédonculaire. 19. — Substance grise centrale du névraxe. 20. — Cavité du quat
i revêtent le plancher du quatrième ventricule. 22. — Section de la substance médullaire du cervelet. Les fibres convergentes s
aire du cervelet. Les fibres convergentes se portent de la base de la substance grise corticale à la périphérie du corps rhomboid
paisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale circonscrit de toutes parts les d
es sphé-noïdaux elles se portent en avant, en dedans et en haut. La substance grise du corps strié est complètement détachée. O
se du corps strié est complètement détachée. On ne trouve plus que la substance grise du ganglion olfactif et celle de la corne d
es se réunissent Tune à l'autre sur la ligne médiane. En avant est la substance grise de l'espace perforé anté-rieur, en arrière
lum que forme le ventricule moyen. Ils sont constitués par un amas de substance grise, recouvert d'une écorce de substance blanch
constitués par un amas de substance grise, recouvert d'une écorce de substance blanche, formée en partie par les fibres des pili
ui vont ensuite s'amortir dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise ; ces fibres émergent des cellules, se rapp
orps rhomboïdal; elles se dirigent directement en avant, entourent la substance grise de la protubérance annulaire, pénètrent dan
nnulaire, puis cette coupe est renversée sur sa face supérieure. La substance grise corticale décrit, dans la substance médulla
ur sa face supérieure. La substance grise corticale décrit, dans la substance médullaire des lobes frontaux, des sinuosités dét
LVI et Pl. XLVII). 5. — Tuber cinereum ou corps cendré. Cet amas de substance grise forme le plancher du ventricule moyen ; il
u ventricule moyen ; il constitue la portion la plus antérieure de la substance grise centrale de l'axe cérébro-spinal ounévraxe.
xe. 6. — Tubercules mamillaires. 7. — Espace interpédonculaire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. Cette lamelle de substan
erpédonculaire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. Cette lamelle de substance grise appartient au plancher du ventricule moyen
ent au plancher du ventricule moyen et fait partie constituante de la substance grise du névraxe. 8. — Tronc des nerfs moteurs
9. — Face inférieure des pédoncules cérébraux. 11. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) à l'extré-
é la plus antérieure de la cavité sphénoïdale. 12. — Vestiges de la substance grise du ganglion olfactif. 13. — Fibres des pé
ctif. 13. — Fibres des pédoncules cérébelleux moyens, dissociant la substance grise de la protubérance annulaire ; elles s'entr
moyennes se répandant sur le plancher du quatrième ventricule. 16. Substance grise du plancher du quatrième ventricule. 17.
trale, puis se dissocient. Les fibres convergentes se portent dans la substance grise des noyaux opto-striés ; celles des régions
sociation de ces deux systèmes de fibres détermine également, dans la substance médullaire du lobe sphénoïdal et du lobe occipita
a sillonnent. La coupe du cervelet présente une couche corticale de substance grise entourant les fibres nerveuses qui constitu
centres est formé de fibres convergentes qui partent de la base de la substance grise corticale et vont aboutir à la face externe
faisceau sur la série de planches horizontales), 6. — Section de la substance grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou
olution de la corne d'Ammon ou hippocampe, recouverte d'une écorce de substance blanche et de la coupe des piliers postérieurs du
antérieurs (nates). 9. — Section des lobes latéraux du cervelet. La substance médullaire envoie dans la substance grise cortica
es lobes latéraux du cervelet. La substance médullaire envoie dans la substance grise corticale des prolongements qui se subdivis
le nom d'arbre de vie. Les fibres médullaires, nées de la base de la substance grise, se portent sur la face externe du corps rh
e est formée par une couche de sub-stance grise en continuité avec la substance grise centrale du bulbe et de la moelle ; elle re
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale entoure les centres médullaires,
e postérieure de la scissure de Sylvius. Les fibres nerveuses de la substance médullaire se détachent de la base des circon-vol
eures sont sectionnées sur les bords de la cavité ventriculaire. La substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est secti
érieur de la couche optique, et montre le mode de pénétration dans sa substance des fibres convergentes des régions postérieures.
vule fte Vieussens. Cette valvule est formée par une mince lamelle de substance blanche et grise, tendue entre les deux pédoncule
e supérieur du quatrième ventricule ; elle se continue en bas avec la substance médullaire du vermis superior et, en haut, avec l
planche précédente). Les fibres nerveuses convergent de la base de la substance grise corticale vers le centre, puis se groupent
cule, calamus scriptorius, est atteint par la section; elle montre la substance grise des pyramides postérieures (16, Pl. XXXIV)
ées sur la face supérieure de la couche optique. 5. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon et du pilier postérieur
gouttière qui sépare les tubercules quadrijumeaux antérieurs. 8. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux antérieurs (na
ubstance grise des tubercules quadrijumeaux antérieurs (nates). 9. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs (t
et en avant jusqu'au corps genouillé interne, où il aboutit. 10. — Substance grise de la valvule de Vieussens, enclavée entre
ux du cervelet. Les ramuscules et les rameaux, issus de la base de la substance grise corticale, se réunissent en un faisceau de
llaires des cordons médians postérieurs, limités sur les côtés par la substance grise centrale du bulbe (17). XXXVII. — Encépha
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale revêt de toute part le centre méd
coupe, sont sectionnées au niveau de leur point de dissociation. La substance grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou
périeure de la couche optique et le bord externe du corps calleux. La substance grise du noyau caudé se présente sous l'aspect d'
externe de la cavité des ventri-cules latéraux ; il est séparé de la substance grise de la couche optique par la section des fib
que; les fibres convergentes pénètrent en longs filaments, jusqu'à la substance nerveuse de ce centre, où elles s'épuisent. La co
bonate de chaux. L'entrée de l'aqueduc de Sylvius apparaît entre la substance grise des tubercules qua-drijumeaux. Au-dessous e
ne, une petite colonne blanchâtre, très nette, dessinant un V dans Ja substance grise centrale. Les fibres des cordons médians
ls s'amortissent. 5. — Fibres arciformes occipito-frontales. 6. — Substance grise de la corne d'Amnion ou hippocampe dans le
corne d'Amnion ou hippocampe dans le diverticulum sphenoidal. 7. — Substance grise des corps genouillés externe et interne. L'
u caudé au bord externe de la cavité des ventricules latéraux. 9. — Substance grise du noyau lenticulaire aperçue à travers l'é
filaments blancs (habenœ) qui se rendent à la glande pinéale. 15. — Substance grise prolongeant celle qui entoure l'aqueduc de
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale, après avoir circonscrit la périp
gros faisceau appelé capsule interne; elles pénètrent ensuite dans la substance grise de la couche optique, sous forme de petits
belleux supérieurs, après leur entre-croisement au raphé médian. La substance grise du locus niger de Sœmmering fait son appari
raux et les fibres spinales postérieures, qui descendent à travers la substance grise de la protubérance annulaire et les fibres
les cordons latéraux de la moelle ; ils sont séparés par un noyau de substance grise, situé sur les côtés du raphé. Volive bulba
grand diamètre vertical; cette membrane est recouverte de fibres de substance blanche, qui lui donnent extérieurement l'aspect
nce. Les fibres convergentes, après être entrées en connexion avec la substance grise du corps rhom-boïdal, en sortent en formant
ournent, traversent, sillonnent horizontalement la protubérance et la substance grise qu'elle renferme et s'entrelacent sur la li
s précédentes la région lenticulo-optique delà capsule interne. 5. — Substance grise du noyau lenticulaire ouputamen, séparée de
ceau de fibres qui forme la capsule externe (7). 8. — Section de la substance grise du corps genouillé externe. La substance gr
. 8. — Section de la substance grise du corps genouillé externe. La substance grise du corps genouillé interne, qui s'étend moi
ntale ou intra-ventriculaire du trigone, bande-lettes géminées. 16. Substance grise centrale du névraxe. 17. — Noyaux d'origi
17. — Noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs. 18. — Substance grise des noyaux rouges de Stilling. Les fibres a
ral (19) qui pénètre dans la capsule interne et va s'épanouir dans la substance grise du noyau lenticulaire et celle du corps str
cérébelleuses. 21. —Corpus Luysii (bandelette accessoire). 22. — Substance grise du locus niger de Sœmmering. 23. — Fibres
postérieures se portant dans la capsule interne pour pénétrer dans la substance grise de la couche optique. 24. — Section de la
par les coupes précédentes. Ces fibres parcourent transversalement la substance grise de la protubérance en croisant les fibres a
entre-croisement. Elles sont séparées supérieurement par un noyau de substance grise. 26. — Substance blanche corticale qui en
sont séparées supérieurement par un noyau de substance grise. 26. — Substance blanche corticale qui entoure les corps olivaires
n plan plus antérieur et supérieur. 29. — Cornes postérieures de la substance grise centrale de la moelle. 30. — Olives bulba
doncules cérébelleux inférieurs. Sur cette coupe apparaît une lame de substance grise, située entre l'olive et la portion sensiti
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale circonscrit les fibres médullaire
circonvolutions de l'insula, adossée dans la scissure de Sylvius à la substance grise des circonvolutions qui constituent la lèvr
ent la lèvre supérieure et la lèvre infé-rieure de cette scissure. La substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est secti
fibres nerveuses du faisceau cérébelleux supérieur. En dehors de la substance grise du locus niger sont les faisceaux des fibre
spinales postérieures ; elles se terminent en pointe effilée dans la substance grise de la protu-bérance que traversent les fibr
plus apparent ; les fibres etTérentes du corps olivaire traversent sa substance grise pour gagner sur la ligne médiane les fibres
s convergentes des régions externes et supérieures, plongeant dans la substance grise du corps strié, qu'elles divisent pour form
le cul-de-sac qui clôt la cavité sphénoïdale. 5. — Apparition de la substance grise du ganglion olfactif. 6. — Section de la
lion olfactif. 6. — Section de la bandelette optique en avant de la substance grise des corps genouillés. 7. — Substance gris
e optique en avant de la substance grise des corps genouillés. 7. — Substance grise du noyau lenticulaire, présentant ses trois
— Mode de pénétration des fibres convergentes dans l'intérieur de la substance grise de la couche optique. 11. — Centre antéri
orpus Luysii (bandelette accessoire). 17. — Derniers vestiges de la substance grise du locus niger de Sœmmerin'g. 18. — Secti
ande pinéale dans l'épaisseur des parois du ventricule moyen. 20. — Substance grise interpédonculaire ou substance perforée de
ois du ventricule moyen. 20. — Substance grise interpédonculaire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. 21. — Faisceau de fibr
nt en haut dans la couche optique ; elles se terminent en bas dans la substance grise de la protubérance annulaire. Ce renflement
e renflement, appelé aussi pont de Varole, est composé par un amas de substance grise que dissocie un groupe de fibres transversa
les et un groupe de fibres verticales. Il est entouré d'une écorce de substance blanche provenant en grande partie des pédoncules
s cordons antérieurs et des cordons postérieurs de la moelle. 26. — Substance grise centrale de la moelle (cornes postérieures)
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale enveloppe la substance blanche, e
e genou du corps calleux. La substance grise corticale enveloppe la substance blanche, et donne naissance par sa face interne a
tes se dirigent vers la capsule interne, puis se répartissent dans la substance grise des noyaux opto-striés. La substance gris
se répartissent dans la substance grise des noyaux opto-striés. La substance grise de la corne d'Ammon est épuisée par les cou
s ; on trouve, dans la région du lobe sphénoïdal qu'elle occupait, la substance grise du ganglion olfactif. Les fibres olfactives
t des fibres cérébelleuses qui traversent les derniers vestiges de la substance grise de Sœmmering. La substance grise interpédon
aversent les derniers vestiges de la substance grise de Sœmmering. La substance grise interpédonculaire occupe la ligne médiane a
en dehors pour gagner les trois segments du noyau lenticulaire et la substance grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la
ire et la substance grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la substance grise de la protubérance annulaire, croi-sent les
e éminence appliquée contre les pyramides antérieures. La membrane de substance grise est réduite à quelques replis dans lesquels
au niveau des arcades dans le noyau lenticulaire, serpentent dans la substance grise de la couche optique. 4. — Fibres converg
lse dirigeant vers la région inférieure de la capsule interne. h\ — Substance grise de l'avant-mur, dissociée par les faisceaux
re. 10. — Fibres olfactives radiculaires externes pénétrant dans la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance gri
ernes pénétrant dans la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise du noyau caudé, dans le plancher du bord ex
géminées. 14. — Mode de pénétration des fibres convergentes dans la substance grise de la couche optique. 15. — Centre antéri
(voir Pl. III). Ils mettent en connexion les cellules nerveuses de la substance grise du centre antérieur avec les cellules nerve
substance grise du centre antérieur avec les cellules nerveuses de la substance grise des tubercules mamillaires. 18. — Faiscea
tuées au-dessous du ventricule moyen, sont constituées par un amas de substance grise, entourée d'une écorce de substance blanche
constituées par un amas de substance grise, entourée d'une écorce de substance blanche, formée par l'enroulement des fibres des
pédoncules antérieurs du trigone avant leur épanouissement dans cette substance grise. 20. —Substance grise centrale, tuber cin
trigone avant leur épanouissement dans cette substance grise. 20. — Substance grise centrale, tuber cinereum. 21. — Fibres sp
uber cinereum. 21. — Fibres spinales antérieures se portant dans la substance grise du noyau caudé et du noyau lenticulaire. Un
au lenticulaire. Un fascicule traverse la capsule interne et gagne la substance grise corticale du lobe frontal (voir Pl. VII). L
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale forme autour du centre médullaire
et 6 Pl. XX). Les fibres convergentes antérieures pénè-trent dans la substance grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et de
és, ainsi que les tubercules mamillaires qui présentent une écorce de substance blanche entourant un petit amas de substance gris
présentent une écorce de substance blanche entourant un petit amas de substance grise, traversée de fibrilles blanches. Les bande
olfactives radiculaires externes, traversent la région externe de la substance grise des ganglions olfactifs (10 PL XLIV). La
ulaire est représentée par son segment antérieur ; il est com-posé de substance grise sillonnée de fibres transversales appartena
res (6; Pl. XX), croisant la direction des fibres précédentes. 5. — Substance grise de l'avant-mur. 6. — Fibres qui composent
latérales de la commissure blanche antérieure, en con-tiguïté avec la substance grise du noyau lenticulaire. 9. — Noyau lenticu
aisceau spinal antérieur, qui se terminent en pointe effilée. 10. — Substance grise du noyau caudé; occupant le plancher de la
ntre antérieur recevant les fibres du taenia semi-circularis. 15. — Substance grise des parois du ventricule moyen où vont s'am
r des groupes de fibrilles, issues des faisceaux convergents. 16. — Substance grise du tuber cinereum ou corps cendré. 17. —
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale entoure le centre médullaire, s'e
rtion antérieure du centre antérieur ; elle est limitée en bas par la substance grise centrale qui forme le plancher du ventricul
rs du trigone, qui plongent en bas, dans la couche optique et dans la substance grise centrale du plancher du ventricule moyen où
ricule moyen où ils sont atteints par la section (17, Pl. XLVI). La substance grise du ganglion olfactif est réduite à une coue
cédentes (voir Pl. X). 5. — Fascicule de la capsule externe. 6. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par le faisceau de
serpentent et s'épuisent en pointe effilée dans leurs masses. 9. — Substance grise du noyau eau dé du corps strié. Elle occupe
ules latéraux. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Substance grise du plancher du ventricule moyen. 12. — Se
yen. 12. — Section des lamelles de la cloison transparente et de la substance grise qui les recouvre. 13. — Section des pilie
faite des régions postérieures vei^s le genou du corps calleux. La substance grise corlicale circonscrit chacun des hémisphère
i la constituent; ses rapports avec le putamen, les noyaux jaunes, la substance grise du quatrième ventricule et les piliers anté
es en indiquant les relations de ses branches latérales (10') avec la substance médullaire des lobes sphénoïdaux. Le faisceau r
éunion de deux ordres de fibrilles blanches : les unes émergent de la substance grise centrale, ce sont les racines blanches inte
ont les racines blanches externes ou longues; elles proviennent de la substance grise du ganglion olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLV
, qui résulte de la réunion de ces trois racines, est donc composé de substance blanche et de substance grise (voir Pl. Ll). L.
ion de ces trois racines, est donc composé de substance blanche et de substance grise (voir Pl. Ll). L. — Coupe verticale trans
ures et internes. 5. — Fascicule qui fórmela capsule externe. 6. — Substance grise de l'avant-mur. 7. — Fibres médullaires d
t moyen et du segment externe; le segment interne est épuisé. 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du cor
12. — Cavité de la cloison transparente ou septum lucidum. 13. — Substance grise des parois du ventricule moyen. 14. — Sec
, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale enveloppe de toutes parts les hém
ngulaire de la coupe du tronc des nerfs olfactifs; on remarque que la substance grise occupe la région centrale et l'angle supéri
e grise occupe la région centrale et l'angle supérieur, tandis que la substance blanche l'entoure comme une écorce ; que l'arachn
s convergentes des régions supérieures et moyennes, plongeant dans la substance grise du corps strié. 4. — Fibres convergentes
es et internes. 5. — Fascicule qui forme la capsule externe. 6. — Substance grise de Pavant-mur dissociée par l'ensemble des
la boucle que forme le genou du corps calleux (voir Pl. II). 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du cor
active, montrant sa forme triangulaire et la situation centrale de la substance grise. Gavoy. — Encéphale. 20 LUI. — Encéph
Cette portion de l'Encéphale ne comprend que les lobes frontaux. La substance grise qui forme la couche corticale est moins abo
ontact avec leurs congénères. Elles sont réunies par deux lamelles de substance médullaire, tendues verticalement comme une clois
ième ventricule. Ces lames sont tapissées sur leurs deux faces par la substance grise centrale qui s'étale, depuis l'aqueduc de S
ius, sur la région médiane de l'encéphale ; chacune de ces couches de substance grise est en outre recouverte par l'épendyme. L
e. Les fibres convergentes du centre médullaire se dirigent vers la substance grise du corps strié. Les fascicules stratifiés d
fibres convergentes des régions antérieures dissocient cette masse de substance grise ; les fibres convergentes des régions infé-
ilée. Le noyau extra-ventriculaire est réduit à une mince couche de substance grise du putamen ; il est séparé de l'avant-mur p
ntes des régions antérieure, moyenne et infé-rieure pénétrant dans la substance grise du corps strié. Ces fibres s'immergent dans
sse sous la forme de petits filaments très déliés et onduleux. 4. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par l'ensemble des
Coupe du tronc du nerf olfactif, montrant la forme triangulaire et la substance grise située à la région centrale. LV. — Coupe
ire. Ces divers ordres de fibres prennent naissance à la base de la substance grise corti-cale, se dirigent vers l'extrémité de
iation des fibres convergentes, au moment où elles péné-trent dans la substance grise du corps strié. Cette cavité est close en a
..................... 3 Méninges............................... 4 Substance blanche, substance grise.................... 5,
.. 3 Méninges............................... 4 Substance blanche, substance grise.................... 5, DEUXIÈME PARTIE. —
..... 5, DEUXIÈME PARTIE. — DESCRIPTION SPÉCIALE. RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE...............
— DESCRIPTION SPÉCIALE. RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE..................... 7 CHAPITRE PREMIER
APITRE PREMIER. — Cerveau..................... 7 Article premier. — Substance grise du cerveau................ 7 § 1. Substan
rticle premier. — Substance grise du cerveau................ 7 § 1. Substance grise du cerveau.................... 8 § 2. Sub
.... 7 § 1. Substance grise du cerveau.................... 8 § 2. Substance grise des noyaux centraux................. H a)
..... 12 b) corps strié.......................... 13 Article 2. — Substance blanche du cerveau................. 14 § 1. Fib
APITRE 11. — Cervelet........................ 22 Article premier. — Substance grise du cervelet................ 23 § 1. Subst
icle premier. — Substance grise du cervelet................ 23 § 1. Substance grise corticale des lamelles................. 23
1. Substance grise corticale des lamelles................. 23 § 2. Substance grise du noyau central.................. 24 Art
Substance grise du noyau central.................. 24 Article 2. — Substance blanche..................... 25 § 1. Fibres arc
HAPITRE III. — Névraxe....................... 28 Article premier. — Substance grise.................... 28 § 1. Noyaux d'orig
s........................ 37 Article 2. — Formations accessoires de substance grise............. 38 § 1. Olive bulbaire......
§ 3. Noyaux rouges de Stilling..................... 39 Article 3. — Substance blanche du névraxe................. 40 § 1. Ent
2 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
rés par la pie-mère. Lorsque cette dernière méninge a été enlevée, la substance cérébrale's'affaisse ou même se déchire du seul f
rvelet. Le couteau divise ainsi, à peu près par le milieu, un pont de substance blanche à fibres transversales : le pont de Varol
e du cerveau est fixée à la base du crâne par un prolongement de la substance grise centrale du névraxe, le tuber cinereum, don
rbitaires est recouverte par une bandelette blanche gaufrée (LMV), la substance réticulaire d'Arnold, mal arrêtée sur son bord ex
terne se perd insensiblement sur l'écorce, où elle se confond avec la substance réticulaire. La branche externe ou racine olfacti
l'espace perforé antérieur (EPÀ) et dans lequel s'étale une couche de substance grise (GS) désignée sous le nom de pyramide Sch
; OLI, racine olfactive interne; OLE, racine olfactive externe; LMY, substance réticulaire d'Arnold ; GS, pyramide grise de Sœmm
essus et en avant du chiasma (CH), dans une mince couche verticale de substance grise : la lame terminale (LAT). La bandelette di
en quelque sorte par les deux bandelettes optiques, est une masse de substance grise, bombée, terminée par une tige dont on ne v
le des deux convexités pédonculaires du pont : ces deux croissants de substance noire sont désignés, dans leur ensemble, sous le
ire sont désignés, dans leur ensemble, sous le nom de locus niger, ou substance noire de Sœmmering. Le locus niger (LN) divise
dernier étage est sous-jacent et antérieur à deux amas symétriques de substance grise, convexes en arrière, les tubercules cpiadr
s de la racine moyenne du nerf olfactif, disposées en éventail ; LAT, substance grise de la lame terminale, qui sera étudiée plus
ère figure). Plus profondément (deuxième et troisième figures), cette substance n'existe plus. Elle est donc toute superficielle;
superficiellement l'espace perforé, en favorisant l'élimination de la substance nerveuse à l'aide d'un filet d'eau, on s'aperçoit
iagonale n'est qu'un très mince ruban, en quelque sorte plaqué sur la substance blanche de l'espace perforé. Cette disposition a
erf olfactif; ces faisceaux radiculaires se perdent eux-mêmes dans la substance blanche de l'espace perforé. Ainsi, la pyramide d
yramide de Sœmmering, comme la bandelette diagonale, est accolée à la substance blanche de l'espace perforé; mais elle s'enfonce,
lé externe (GE, schéma 6).En arrière,elles se confon daient avec la substance blanche qui tapisse ce ganglion dans la cavité du
elles semblaient établir une connexion directe entre la rétine et la substance interpédonculaire. Il existe des communications s
8, B), on peut constater que le ventricule latéral est creusé dans la substance blanche qui forme la majeure partie de l'hémisphè
substance blanche qui forme la majeure partie de l'hémisphère. Cette substance blanche est désignée communément sous le nom de c
. Mais, brissaud. b au niveau des circonvolutions, l'écorce et la substance blanche sont, dans leur ensemble, appelés manteau
eau. Toute coupe qui n'est pas perpendiculaire à la surface entame la substance grise sur une étendue nécessairement plus considé
ente la partie supérieure du seuil. Le corps calleux est une voûte de substance blanche à fibres transversales, présentant sur le
étend, à la surface de l'écorce, une couche irrégulière et gaufrée de substance blanche, qui fait suite (nous l'avons déjà dit) a
qui fait suite (nous l'avons déjà dit) au nerf de Lancisi : c'est la substance réticulaire d'Arnold (LMV). Les fibres transver
B.O'i, rostrum; EPA, espace perforé antérieur; SO, nerf optique; LMV, substance réticulaire d'Arnold; Tlil, trigone cérébral ou v
, oblique en bas en arrière et un peu en dehors, il s'enfonce dans la substance grise qui revêt la paroi du ventricule moyen et v
t deux étages : l'étage supérieur, recouvert d'un mince revêtement de substance blanche ou stratum zonale ; il se compose de troi
oi plane et verticale du ventricule moyen. Il est constitué par de la substance grise; il n'est pas, comme l'étage supérieur, rev
u par la couche blanche du stratum zonale. Vers sa partie moyenne, la substance grise de la paroi du troisième ventricule est rel
du même ventricule par un petit pont cylindrique, également formé de substance grise : la commissure molle ou moyenne (CM). Cett
cidum ou pellucidum ou cloison transparente est le double feuillet de substance blanche qui réunit, sur la ligne médiane, la face
la racine externe du nerf olfactif se fusionne insensiblement avec la substance blanche de l'espace perforé, le pied du septum co
crochet. Là on le perd de vue ; une partie de ses fibres se mêle à la substance blanche de l'espace perforé ; l'autre partie se j
bstance blanche de l'espace perforé ; l'autre partie se jette dans la substance grise du lobe temporal, dans le voisinage du lobu
les sujets, et qu'en tout cas, cette bandelette se terminait dans la substance la plus superficielle de l'espace perforé, avant
(NO) ; une postérieure, grise, qui sur les côtés se continue avec la substance grise de l'infundibulum au-dessous du pilier desc
, Tf, tubercule du fascia dentata; BGI, bandelette de Giacomini; LMA, substance réticulaire d'Arnold; SH, sillon de l'hippocampe
e sillon n'esl représenté ici que par la ligne sinueuse qui sépare la substance réticulaire (LMA) et le fascia dentata (Fd) ; s/i
endue de celle-ci et parallèlement à sa direction, court un ourlet de substance grise, dont la largeur et les sinuosités vont en
rochet, il s'y épuise en s'amincissant encore et disparaît. LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche gaufrée de sub
ît. LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche gaufrée de substance blanche qui revêt la circonvolution de l'hippocam
derrière le tœnia tecta (tec), où il est désigné par le signe sh. La substance réticulaire d'Arnold apparaît derrière le spleniu
crochet (Une), à la surface duquel elle disparaît. En dedans de la substance réticulaire d'Arnold, s'étend la circonvolution d
ontour circulaire, dont le fond est exclusivement constitué par de la substance grise. C'est l'espace perforé antérieur et la val
. C'est l'espace perforé antérieur et la vallée de Sylvius (S'). Delà substance grise qui tapisse cette fosse part un prolongemen
Delà substance grise qui tapisse cette fosse part un prolongement de substance blanche qui s'avance au-dessous de la région fron
insula (PI). Il est situé immédiatement en arrière de la languette de substance grise qui réunit le lobe frontal au pôle sphénoïd
Sylvius (S) : c'est le désert olfactif (DO), ainsi nommé parce que la substance grise de cette région, dépourvue d'accidents de t
nées, en d'autres termes, l'envers des plis du manteau ; que, dans la substance blanche où ils se cachent, tous ces plis et repli
lis, si l'on pouvait les dérouler, présenteraient un développement de substance grise bien plus considérable que ce qui se voit d
coces répondent, dans la profondeur de l'hémisphère, aux faisceaux de substance blanche dont le développement s'achève le plus pr
es sillons ne se montrent à la surface de l'hémisphère que lorsque la substance grise qui les double a contracté des connexions d
la corne frontale du ventricule latéral est tapissée par une masse de substance grise, renflée en avant, amincie en arrière, le n
rte en dedans par l'alveus (ALV) et surmontée par la fìmbria (FI). La substance grise de l'hippocampe, au-dessous de la fìmbria,
tte saillie, appelée Ergot de Morand, représente le refoulement de la substance blanche de l'hémisphère par le cul-dc-sac longitu
dirigé obliquement en bas 1. Quelques auteurs réservent ce nom à la substance blanche réticulaire d'Arnold, qui tapisse l'hippo
bique est revêtue tout entière de la sul)stance blanche qu'on appelle substance réticulaire d'Arnold et qui fait suite à la subst
e qu'on appelle substance réticulaire d'Arnold et qui fait suite à la substance blanche du rostrum. Cette substance blanche s'éte
e d'Arnold et qui fait suite à la substance blanche du rostrum. Cette substance blanche s'étend même jusque sur la première circo
t le procédé est, de beaucoup, le meilleur pour mettre en évidence la substance réticulairc d'Arnold qui revêt le pli de passage
du fascia dentata apparaît sous le splenium (SPL) comme une niasse de substance grise plus ou moins volumineuse, repliée quelquef
circonvolution, au voisinage du fascia dentata, est recouverte par la substance réticulée (ou réticulaire) d'Arnold (LMA). LMA.
par la substance réticulée (ou réticulaire) d'Arnold (LMA). LMA. La substance réticulaire d'Arnold commence a apparaître, en ar
(K). Le prolongement sphénoïdal passe sous la couche optique (NiC). Substance grise. NC. Le noyau caudé homogène a la forme d
r une coupe plus inférieure (fig. 2) sous le nom de pulvinar (Pul). Substance blanche. ce. Le corps calleux, dans le lobe fro
ique. Ce dernier prolongement se perd môme, en grande partie, dans la substance grise de la couche optique. CR. La couronne ray
ieur du putamen; mais sur les pièces durcies dans les bichromates, la substance grise de ce noyau n'occupe jamais une étendue aus
. On reconnaît à ce niveau la houppe vasculairc du plexus choroïde. Substance grise. NC. Le noyau caudé, convexe en dedans, n
dedans, n'est plus libre dans la corne frontale. Il est adjacent à la substance blanche qui est située au-dessous de la corne fro
dehors. En dedans et en arrière, le noyau caudé se confond avec la substance grise du septum lucidum (GSL). En dehors et en
la capsule interne (CIA), à laquelle il adhère intimement. GSL. La substance grise du septum lucidum est donc la continuation
de la commissure (CA). Sur la ligne médiane, la très mince couche de substance grise qui réunit ainsi les deux têtes des noyaux
s, fait partie de la lame terminale. Elle semble se confondre avec la substance grise du tubercule de jonction derrière la scissu
coupe, ont une teinte foncée difficile à différencier de celle de la substance grise. PUT. Le putamen est ce vaste noyau gris
(CL), sorte de cloison grise verticale; 3° le manteau de l'insula, ou substance innominée, qu'on a appelée encore capsula exirema
le thalamus forme une saillie à convexité interne, constituée par une substance grise homogène : c'est le pulvinar (Pul). Pul.
isceau bien décrit par Meynert sous le nom de fasciculus relroflex. Substance blanche. Le corps calleux s'enfonce dans le cen
ure de Sylvius (S') que par le pôle de l'insula (PI) et une couche de substance grise, que nous appelons l'isthme gris fronto-sph
ule de l'hippocampe (IIL), à la partie interne duquel on reconnaît la substance grise du noyau amygdalien (NA). Le lobule de l'hi
(FLI), repoussé en quelque sorte vers la cavité ventriculaire par la substance grise qui double le cul-de-sac du grand sillon oc
(Une), et en arrière par la face externe de la corne d'Ammon (Fd). Substance grise. La couche optique n'est plus intéressée
bule de l'hippocampe (IIL), semble se confondre de tous côtés avec la substance grise du crochet et de la région antérieure de l'
pocampe. Il semble môme se prolonger en avant et en dehors jusqu'à la substance grise de la vallée de Sylvius (IFS). Ce n'est là
a veine du corps strié. IFS. L'isthme gris fronto-sphénoïdal est la substance grise du gyrus falciforme. Il forme la paroi supé
se confond en dehors avec le pôle de l'insula (PI), en avant avec la substance grise de la troisième circonvolution frontale (F"
orizontale passant au plus près de la vallée de Sylvius. à travers la substance grise du gyrus falciforme. Nous lui avons donné c
parce qu'il apparaît très souvent sur les coupes comme une région de substance grise dont les connexions avec les parties voisin
de BUISSAUD. 6 l'hippocampe par une couche blanche, fenôtrée, la substance réticulaire d'Arnold (LMA). Il est recouvert en h
I), qui n'est autre que la fimbria ou pilier postérieur du trigone. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif qui, sur les
frontal. Dans le lobe frontal, il est toujours situé en dehors de la substance grise du sillon olfactif interne (soi). ' COUPE
seront facilement différenciés. Ils le sont, en réalité, jusqu'à la substance grise lorsque le ventricule se prolonge jusqu'à l
ux, c'est-à-dire suivant que la cavité du ventricule latéral, dans la substance blanche, s'étend plus ou moins loin vers le pôle
au. Les sillons ont une grande profondeur, et les invaginations de la substance grise s'enfoncent à une grande distance dans la s
us). Au-dessous du cuneus, la scissure calcarine (K) plonge dans la substance blanche. Elle n'a pas ici une grande profondeur.
(voy. Pl. I, fig. 1 et 2), s'enfonce à une grande profondeur dans la substance cérébrale ; la couche corticale qui le revêt arri
inférieur de l'hémisphère. A l'extrémité postérieure du cerveau, la substance blanche se compose surtout de fibres arquées, met
açon à empêcher toute connexion entre le faisceau sensitif (FS) et la substance grise du cuneus. La plus grande partie du faiscea
is elle en diffère par l'apparition d'une cavité au beau milieu de la substance blanche, entre le fond du sillon pariétal [p) et
— La cavité en question existe d'ailleurs, virtuellement, jusqu'à la substance grise de l'extrémité postérieure du cerveau; nous
s la forme d'un carré, elle est reconnaissable encore au milieu de la substance blanche, sous la forme d'une petite fente vertica
he, sous la forme d'une petite fente verticale à concavité interne. Substance blanche. L'apparition de la cavité ventriculair
et plus haute, tout en conservant sa forme régulière de rectangle. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif est plus épai
our aller se perdre, comme on l'a vu sur la coupe précédente, dans la substance grise de celui-ci. Le faisceau des fibres infér
e. Mais il n'est pas interrompu; rarement on observe le passage de la substance grise du gyrus lingual (0^) au gyrus fusiforme (0
ntclriqucs, applicables à tous les cas. Elles servent simplcnient à Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif s'isole plus
e grand sillon occipito-temporal (o^J reprend de la profondeur, et la substance grise qui le double se relève vers la paroi infér
ogressive du cerveau, de la partie postérieure à la partie moyenne. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif, toujours trè
(0^) et le fond du sillon du cuneus (sCu). Mais comme il fournit à la substance grise du cuneus la majeure partie de ses fibres,
s que les particularités nouvelles que présentent les faisceaux de la substance blanche. FS. Le faisceau sensitif présente la m
es inférieures du forceps (FOi). Elles se jettent i en partie dans la substance grise du cuneus, où elles perdent la ! coloration
nse en fer à cheval. Elle rétrécit le passage de ce faisceau entre la substance grise et le ventricule. L'intervalle qui, à ce ni
e du prisme ventriculaire, réduit d'autant le calibre de la cavité. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif est nettement
ntenant dans le plan de la section. Il remonte en dedans, accolé à la substance grise du recessus, pour aller se porter en masse
ous la forme d'une strie foncée, antéro-postérieure, aplatie entre la substance grise du recessus et le faisceau moyen du forceps
| prolonger entre ces deux faisceaux, presque jusqu'au contact de la substance grise de l'incisure linguale, de telle sorte que
Cette disposition va s'accuser encore sur les coupes suivantes. i Substance blanche. i FS. Le faisceau sensitif, toujours c
oujours interposées entre le plancher de la corne ventriculaire et la substance grise du grand sillon occipito-temporal (o^J. F
graduellement, mais en conservant toujours sa forme quadrangulaire. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif (fig. 9, 11,1
celle-ci envoie dans la profondeur, de dedans en dehors, une bande de substance grise recouvrant le fond de la gouttière antérieu
er sillon temporal {t^). D'ailleurs on voit, sur la figure 15, que la substance grise qui enveloppe cette incisure rejoint, dans
ce grise qui enveloppe cette incisure rejoint, dans la profondeur, la substance grise du premier sillon temporal. ti^ est le pr
(FOi), le bord inférieur au faisceau longitudinal inférieur (FLI). Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif est moins com
me d'un petit faisceau compact (FLi), vertical, situé au milieu de la substance blanche du faisceau supérieur du forceps (FOs).
porte dans le gyrus lingual (0^'), où on les voit se terminer dans la substance grise. FDF. Faisceau diffus du fornix. — Un nou
donc dans le plan de la coupe et devient blanc; il se dirige vers la substance grise du lobe carré dans laquelle il se termine,
ce grise du lobe carré dans laquelle il se termine, ainsi que dans la substance grise de la scissure sous-pariétale (voy. fig. 14
icule jusqu'à son extrémité la plus postérieure et se jettent dans la substance grise du pôle occipital. Le changement de color
calleux, semble émerger du lobe carré; mais, en réalité, il laisse la substance blanche du lobe carré derrière lui ; il vient d'u
tale (sP) n'entame plus que très peu profondément le lobe carré. — La substance grise qui revêtait la gouttière antérieure de la
ssement latéral de la corne sphénoïdale dont nous avons déjà parlé. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif, peu compact
ongitudinal inférieur (FL2), sa surface de section s'avance dans la substance blanche de la quatrième circonvolution temporale
occipitale interne, se porte directement en dedans, maintenant que la substance grise de cette scissure a disparu. Il est donc da
ieure, Cin. Le cingulum, aplati entre la lame festonnée (LFE) et la substance grise du pli de passage temporo-limbique (xT), se
paroi interne du ventricule. C'est la corne d'Ammon qui, refoulant la substance blanche contre la paroi du ventricule, fait rentr
à leur partie supéro-interne Actuellement elles se confondent avec la substance blanche sous-jacenteà l'écorce de la circonvoluti
etit système de fibres arquées, absolument constant, est séparé de la substance grise de l'écorce par le cingulum, ainsi qu'on pe
sement, à angle très aigu, des fibres du faisceau moyen du forceps. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif garde les mêm
sceau moyen du forceps se confond en apparence, non seulement avec la substance blanche de la circonvolution lim-bique (C), mais
commencement de la saillie de la corne d'Ammon dans le ventricule. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif ne diffère ic
à concavité inférieure ; c'est un vaste faisceau arqué, réunissant la substance grise de la scissure limbique à l'écorce de la qu
re. Sa coloration est plus foncée. Il est plaqué exactement contre la substance grise du lobe carré (Q) au voisinage du sinus du
en dedans; c'est-à-dire qu'il redevient, là encore, indépendant de la substance blanche du lobe carré, avec laquelle il avait par
de. Ici, en effet, son extrémité supérieure ne se confond pas avec la substance blanche du centre ovale. Il se replie en dedans e
énavant ces deux faisceaux seront nettement isolés l'un de l'autre. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif, identique à
porale (T4). FCF. Le faisceau compact du fornix, en contact avec la substance grise du lobe carré, immédiatement au-dessous du
en avant. Il est placé au-dessus du cingulum (Gin), au-dessous de la substance grise de la scissure sous-pariétale (sP). En deho
e les deux angles supérieurs du ventricule entaillent profondément la substance blanche. La voûte ventriculaire cesse donc, sur c
ea, dont nous verrons plus loin les rapports, et elle se perd dans la substance grise de la circonvolution limbique (C). Fci. L
àia partie la plus postérieure du splcnium, où la coupe 17 entame sa substance grise. Cette tache grise représente donc la conve
le corps calleux (ce, voy. le schéma ci-dessus). La continuité de la substance grise est interrompue par la pénétration en dehor
la face supérieure du corps calleux. Déjà on peut constater que la substance grise entoure le fond du sinus,, en dessus comme
ent la direction des fibres du faisceau supérieur du forceps (FOs). Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif observe la mê
r, c'est-à-dire que beaucoup de ses fibres se sont déjà insérées à la substance grise de cette circonvolution. FCF. Le faisceau
à leur couleur foncée. L'extrémité supérieure de l'arc s'adosse à la substance grise de la partie la plus inférieure du gyrus fo
r les coupes précédentes. Fci. Fasciola cinerea. La petite masse de substance grise attenante à l'écorce du pli de passage temp
onde (sC), le sinus du corps calleux, qui n'est entouré que par de la substance grise. Le corps calleux (ce) présente une surfa
. Au-dessous comme au-dessus du splenium, le sillon s'enfonce dans la substance grise de l'écorce. Mais il est accompagné par que
delette cendrée (Fci) au contact de l'écorce. Cette faible portion de substance blanche est le manteau de la petite circonvolutio
e (Fci) n'est, d'autre part, en rien différente du corps godronné (ou substance grise du fascia dentata). Celui-ci ne devient net
porales. Mais ce sont toujours des plis profonds, et, en tout cas, la substance grise qui le double présente toujours les mômes r
; ce sera le pilier postérieur du trigone (pl. XVII, fîg. 42, TRp). Substance grise. Quoique la substance grise de la corne d
du trigone (pl. XVII, fîg. 42, TRp). Substance grise. Quoique la substance grise de la corne d'Ammon ne soit pas assimilable
ès apparente sur la coupe précédente (fîg. 22), cesse aussitôt que la substance grise devient reconnaissable. Donc, à ce moment p
25) pour se diriger, d'arrière en avant, au-dessous de cette nouvelle substance grise, dans une très grande étendue : on en peut
rises de la circonvolution godronnée sont complètement enveloppées de substance blanche. En arrière, en haut, en bas, à droite
isceau triangulaire qui s'insinue en bas et en avant, au-dessous delà substance grise godronnée. Sur la figure 24, ce faisceau s'
loin encore. La coupe vertico-transversale 23 entame trois l'ois la substance grise de la circonvolution godronnée; la coupe 24
xternes se confondent en une seule, par le fait de l'involution de la substance grise sur elle-même. 24 s'aplatir davantage,
si se mouler exactement sur la partie inférieure de cette dernière. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif présente la m
avité antérieure. Les trois extrémités supérieures se jettent dans la substance grise de la circonvolution limbique. Les trois ex
'apparition du pli de communication ne change rien aux rapports de la substance grise du sillon (o£4) avec le plancher du ventric
llon que nous connaissons bien (fig. 27, sC) et qui s'enfonce dans la substance grise de la circonvolution lim-bique : le sillon
sinus du corps calleux. Au-dessus et au-dessous du corps calleux, la substance grise appartient toujours à la circonvolution lim
'hippocampe (fig. 30, Hip). Le sillon qui continue son trajet dans la substance grise de cette circonvolution change lui-môme de
'un peu plus loin (fig. 51, sh), lorsqu'il dépasse une tubé-rosité de substance grise appartenant à la circonvolution limbique, e
nterne se montre de plus en plus proéminente, car l'enroulement de la substance grise de la corne d'Ammon (fig. 25, 27, 50, Fci)
en plus volumineux. La face inférieure, superposée médiatement à la substance grise du grand sillon occipito-temporal (oQ, form
; toujours situé au-dessous de la corne d'Ammon, il s'enfonce dans la substance blanche à une grande profondeur, presque jusqu'au
o-interne du ventricule peut être appelé sillon du subiculum (Dsu). Substance grise. La masse grise enveloppée par la substan
ubiculum (Dsu). Substance grise. La masse grise enveloppée par la substance blanche qui refoule la paroi interne du ventricul
cinerea; une lame blanche (fig. 26 et suiv. LMA), continuation de la substance blanche superficielle du corps calleux. Sur toute
0) est la base commune. D'autre part, on peut voir (fig. 28) que la substance grise sous-jacente au corps calleux et sus-jacent
ente au corps calleux et sus-jacente au sinus (sC) se rapproche de la substance grise de la corne d'Ammon. Sur la figure 50, ces
nce grise de la corne d'Ammon. Sur la figure 50, ces deux portions de substance grise se sont réunies. On reconnaît sans peine qu
llon du corps calleux (fig. 28, Fci) ne fait que se prolonger dans la substance grise de la corne d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'au
ance grise de la corne d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'autres termes, la substance grise de la corne d'Ammon n'est rien de plus que
e dedans en dehors, au-dessous du corps calleux, à la rencontre de la substance grise de la corne d'Ammon. Les ondulations de cet
t disposées de telle sorte, qu'au point de rencontre, une partie àe substance blanche reste à la périphérie d'une petite masse
ie àe substance blanche reste à la périphérie d'une petite masse de substance grise. La figure schématique ci-jointe explique
La figure schématique ci-jointe explique la raison d'être de cette Substance grise du fasciola cinerea, plusieurs fois replié
. 1 et 2). Les rapports de la masse grise de la corne d'Ammon avec la substance blanche centrale (LMA) s'expliqueront mieux sur l
mieux sur les planches suivantes. Mais on peut déjà comprendre que la substance blanche ou lame médullaire de la corne d?Ammon, o
e que la substance blanche ou lame médullaire de la corne d?Ammon, ou substance réticulée d'Arnold, ne reste pas enfermée dans la
Ammon, ou substance réticulée d'Arnold, ne reste pas enfermée dans la substance grise. Elle provient de la substance blanche du c
d, ne reste pas enfermée dans la substance grise. Elle provient de la substance blanche du corps calleux, réfléchie à la partie a
ct des coupes vertico-transver-sales (1, 2, 5) sur la planche XV. LMA substance réticulairc d'Arnold rejoignant la fìmbria (FI) a
à mesure que les sections intéressent des régions plus antérieures. Substance blanche. ce. Le corps calleux augmente d'épaiss
spect d'un croissant à concavité interne, embrassant le cul-de-sac de substance grise qui double le sinus du corps calleux (sC) ;
Au-dessous du corps calleux comme au-dessus, il reste adhérent à la substance grise de la circonvolution limbique (C). Et comme
ondément dans l'hémisphère, rétrécit encore davantage l'intervalle de substance blanche intercalé entre l'écorce et la face supér
Mais il n'en sera question que plus loin, à propos des rapports de la substance grise de la corne d'Ammon (32 Hip). Cavité ,ven
interne du croissant est le sillon du subiculum (Dsu, fig. 54, 56). Substance grise. Sur cette planche on voit surtout s'acco
nt de la bandelette cendrée (Fci), et une blanche, prolongement de la substance blanche du corps calleux (LMA). Ces deux parties
nt toujours être décrites l'une après l'autre. Sur la figure 51, la substance grise sous-jacente et accolée au corps calleux (F
la bandelette cendrée au-dessous du corps calleux, d'autre part à la substance grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip).
limbique sont une seule et même chose. Sur les figures 51 et 52 la substance blanche de la corne d'Ammon, avons-nous dit, corr
r (LMA) le sillon de l'hippocampe tout entier (sh), par conséquent la substance de la bandelette cendrée (Fci) et celle du tuberc
gures 32, 33, 54, elle semble séparer le fasciola cinérea (Fci) et la substance grise de l'hippocampe (Hip). En réalité elle ne l
es ondulations, et comme ces ondulations sont toujours revêtues de la substance blanche (LMA), celle-ci, sur les coupes verticale
re du fait en comparant les deux coupes 51 et 52. Sur la coupe 51, la substance grise du fasciola cinérea se continue avec une po
, fig. 51 et 52) ; et de là elle se répand et s'enfonce partout où la substance grise de la bandelette cendrée se replie sur elle
delette cendrée (Tf). Il paraît alors plongé au milieu d'une masse de substance blanche (LMA). Mais ce n'est qu'une apparence. La
substance blanche (LMA). Mais ce n'est qu'une apparence. La masse de substance blanche est tout simplement la lame médullaire de
îlots gris (Fd et Tf) représentent la partie la plus antérieure de la substance grise de la corne d'Ammon, tout à fait au voisina
e un ou deux coups de rasoir, et la section n'intéressera plus que la substance blanche qui revêt cette substance grise. Il s'a
a section n'intéressera plus que la substance blanche qui revêt cette substance grise. Il s'agit maintenant de préciser les rap
où il se continue avec le fascia dcnlata (Fd) et, plus loin, avec la substance grise ¦ de l'hippocampe (Bip). La substance rétic
d) et, plus loin, avec la substance grise ¦ de l'hippocampe (Bip). La substance réticulaire d'Arnold (LMA) établit un large trait
ties. 62. du fasciola cinerea (Tf). Cette lente est revêtue de la substance blanche de la corne d'Ammon (substance réticulair
Cette lente est revêtue de la substance blanche de la corne d'Ammon ( substance réticulaire d'Arnold) (LMA). Déjà sur ces deux co
éjà sur ces deux coupes on voit, au-dessous du tubercule, un golfe de substance blanche, qui s'enfonce entre le tubercule et la c
rgement ouverte. Sur la coupe 35 en particulier, on s'aperçoit que la substance blanche qui enveloppe extérieurement l'écorce gri
liques ou simplement verticales qui n'intéressent pas un seul plan de substance blanche et de substance grise. Réfléchie sur la
ticales qui n'intéressent pas un seul plan de substance blanche et de substance grise. Réfléchie sur la circonvolution de l'hip
ubstance grise. Réfléchie sur la circonvolution de l'hippocampe, la substance réticulaire d'Arnold s'y étale horizontalement de
u'il faut en dire, à propos du faisceau inférieur du forceps (FOi). Substance blanche. ce. Le corps calleux, sur cette planch
égion du gyrus fusiforme T*. Dans la région limbique, aplati entre la substance corticale et le faisceau sensitif du centre ovale
t exclusivement représenté par une laine blanche, interposée entre la substance grise de l'hippocampe et le faisceau inférieur du
es fibres (FOi, fig. 52, 54): il s'enfonce d'arrière en avant sous la substance grise de l'hippocampe (Hip, fig. 54), et peu à pe
Om. Le faisceau moyen du forceps est réduit à une sorte de moignon de substance blanche, cassé irrégulièrement en dehors, et flot
écorce; leurs "angles d'incidence diffèrent selon l'inclinaison de la substance grise sur la partie blanche du manteau. 6. ma
cissure limbique (L, fig. 59, 40), le couteau a entamé un repli de la substance grise, qui appar tient en majeure partie à la p
e circonvolution frontale (F1). Puis, plus loin (fîg. 42), on voit la substance blanche pénétrer dans ce repli cortical ; c'est l
uis (fig. 42), la scissure elle-même pénétrant dans ce diverticule de substance grise. L'apparition de la scissure de Sylvius sur
toujours des modifications notables dans les rapports profonds de la substance blanche à son pourtour. Cavité ventriculaire.
re l'extrémité la plus antérieure du bulbe de la corne postérieure. Substance grise. Les figures de cette planche sont destin
es des parties constituantes de la corne d'Ammon (fig. 37). Fci. La substance grise du fasciola cinerea se porte en dehors vers
n de l'hippocampe (Hip, fig. 38). Sur la première coupe (fig. 57), la substance grise du fasciola cinerea (Fci) est réduite à une
nous allons revenir. Sur les coupes suivantes (59, 40, 41, 42), la substance grise du fasciola cinerea (Fci) se continue avec
te masse grise (Fd') ; celle-ci est la section d'un autre repli de la substance grise de la corne d'Ammon, situé sur une région a
intéresse le repli ou godron Fd et le go-dron suivant Fd'. LMA. La substance blanche de la corne d'Ammon (fig. 57), étalée au
, ces taches ont disparu parce que le couteau a passé au-devant de la substance grise. Mais la lame médullaire n'est pas pour cel
(fig. 41, 42), à partir du moment où la section passe au-devant de la substance grise de la bandelette cendrée. Alors on ne retro
ît encore (Fci) sous le corps calleux, mais ce n'est qu'une couche de substance grise d'une extrême minceur, représentant sa part
stater qu'elles ne se continuent pas, à la partie inférieure, avec la substance blanche qui recouvre la corne d'Ammon. Entre cell
imbria il y a une bandelette arquée, convexe en haut, qui recouvre la substance grise de la corne d'Ammon et qui fait suite à la
ncore ces fibres qui, dans leur ensemble, forment la mince cloison de substance blanche que nous avons appris à connaître sous le
foncé en dedans, clair en dehors. La portion interne foncée est la substance grise du pulvinar, ou portion la plus reculée du
la figure 42. Nous verrons ultérieurement le trajet de ces fibres. Substance blanche. ce. Le corps calleux augmente d'épaiss
eux (sC) est et continue d'être très apparent; la petite languette de substance grise qui, au-dessous de lui, s'étale sur la face
S') s'enfonce dans l'hémisphère, repoussant devant elle une couche de substance grise dont on reconnaît une tache aberrante au be
ance grise dont on reconnaît une tache aberrante au beau milieu de la substance blanche. Cette tache répond au fond même de la sc
rieur. C'est le point où sa cavité présente son maximum de hauteur. Substance grise. Les particularités relevées déjà à l'occ
t lui adhérant, on voit une tache blanche représentant la couche de substance médullaire qui tapisse le fasciola cinerea. Elle
us du fascia dentata (Fd) la lame médullaire de la corne d'Am-mon, ou substance réticulaire d'Arnold. En haut, elle forme le trac
46) un revêtement blanc, étalé horizontalement (LIA) au-dessus de la substance grise de l'hippocampe. La lame médullaire en ques
ocampe. La lame médullaire en question est appelée encore quelquefois substance réticulaire dArnold ; elle ne se présente pas en
ente par un séjour de 24 heures dans le bichromate d'ammoniaque. LMA, substance réticulaire; FI, fimbria; Fd, fascia dentata. S
sorte de treillis, de filet, dans les mailles duquel on reconnaît la substance grise sous-jacente, Il peut donc arriver que le
ailles grises au lieu de passer par le treillis blanc. Dans ce cas la substance réticulaire d'Arnold ou lame médullaire (LMA) sem
lame médullaire s'enfonce toujours ou envoie un prolongement entre la substance grise de l'hippocampe (LC, fig. 46) et le Coupe
Fd, fascia dentata de la corne d'Ammon. LC, lamina convoluta. LMA, substance réticulée d'Arnold. LST, stratum lacunosum. FI,
d). Ce prolongement n'est pas, du reste, un simple diverticulum de la substance réticulaire. C'est une véritable invagination, da
tre ces deux feuillets circulent des ramifications de la pie-mère. La substance blanche de la portion invaginéc s'appelle stral
ontrent, comme les précédentes, qu'il n'est que la continuation de la substance grise de l'hippocampe retournée sur elle-même, co
u corps calleux (sC, fig. 45), et qu'il y représentait un repli de la substance grise de la circonvolution limbique (C, fig. 45,
ne seule et même chose ; pour mieux dire, c'est la même bandelette de substance grise, présentant, suivant les points où on l'exa
s rapports que des rapports de contiguïté. Elle part, en avant, de la substance grise basilaire, s'enfonce sous la circonvolution
dentes et encore sur la figure 44 de la planche XV11I, accompagner la substance grise de l'hippocampe. Le tractus interne, au-des
ous du corps godronné il s'appelle lame médullaire de l'hippocampe ou substance réticu-laire d'Arnold (LMA). Mais c'est toujours
sidérer le taenia tecta et le corps godronné comme la réflexion de la substance grise corticale sur elle-même, aussi bien au-dess
l ne s'agit pas là seulement d'une comparaison. Cette réflexion de la substance grise corticale est un fait réel et constant, dan
ent le taenia tecta (tec) à la face supérieure du corps calleux. La substance réticulaire d'Arnold (LMA) devient le trac-tus de
be de l'hémisphère, c'est-à-dire à toute la portion de l'écorce où la substance grise s'arrête et est remplacée par de la substan
de l'écorce où la substance grise s'arrête et est remplacée par de la substance blanche. En haut, c'est le corps calleux (ce) ; e
au-dessus du fascia dentata (taenia tecta réfléchi). Au niveau où la substance grise de l'écorcc se réfléchit sur elle-même, o
, pour justifier son assimilation avec la scissure limbique. LC. La substance grise de la circonvolution de l'hippocampe, avant
horizontale, recouverte par la lame médullaire (LMA), est l'écorce ou substance grise du subiculum. Le subiculum a pour limite su
ippocampe, dont la face supérieure, ou subiculum, est tapissée par la substance réticulaire d'Arnold (LMA). La substance grise de
biculum, est tapissée par la substance réticulaire d'Arnold (LMA). La substance grise de l'hippocampe se réfléchit en bas et en d
et s'appelle d'ailleurs déjà — le hile du fascia dentata (hFd). La substance grise de la corne d'Ammon n'est donc qu'une sorte
grise de la corne d'Ammon n'est donc qu'une sorte d'enroulement de la substance grise de l'écorce de l'hippocampe, Schéma repré
cinerea et le taenia tecta), on reconnaîtra le même enroulement de la substance corticale sur le bord libre de ces dernières part
droit (45, 48). Th. Le thalamus ou couche optique (Th), composé de substance grise en dedans, de substance blanche en dehors (
amus ou couche optique (Th), composé de substance grise en dedans, de substance blanche en dehors (45, 44, 45) se présente ici co
t en arrière, et qui appartiennent au stratum zonale (ZS, fig. 46). Substance blanche. ce. Le corps calleux (44, 45, 47) cons
bercules quadrijumeaux (l'antérieur et le postérieur du même côté). Substance grise Fd. La corne d'Ammon, essentiellement con
e de la corne d'Ammon. Sur la coupe 54 on remarquera également que la substance réticulaire ou lame médullaire (LMA) divise en de
divise des parties plus antérieures, elle se réduit; un mince pont de substance blanche (fig. 51, 52, 55) établit encore line com
u corps bordé, corpus fimbriatum. G. Glande pinéale (49, 52). SG. Substance grise de l'aqueduc de Sylvius. — Au pourtour de l
rtour de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 52) on distingue une masse de substance grise qui tapisse de toutes parts la cavité encép
qui tapisse de toutes parts la cavité encéphalo-médullaire. C'est la substance grise centrale, recouverte par la membrane épendy
e, complètement isolée encore des parties avoisinantes, est formée de substance grise homogène, plus foncée à sa partie interne,
en dedans par les bandes blanches du stratum zonale (ZS, fig. 52). Substance blanche ce. Le corps calleux recommence à augme
roi ventriculaire externe, une petite masse grise (NC) perdue dans la substance blanche du tapetum : c'est le noyau caudé, c'est
dans la circonvolution de l'hippocampe (fig. 52), se termine sous la substance grise du subiculum avec les fibres les plus antér
urface môme du pul-vinar. Il en est séparé toujours par une couche de substance grise. Et c'est pourquoi on ne le distinguait pas
aisceau sensitif externe (fig. 56, FSe), mais ne l'atteint jamais. La substance grise qui revêt le cul-de-sac ou gouttière de cet
LI) est toujours sous-jacent à ce sillon. Aq. Aqueduc de Sylvius. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon ne présente rien d
ête représentée ici donne insertion à la toile choroïdienne. SG. La substance grise de l'aqueduc de Sylvius (57, 58, 59) se con
marcation entre le noyau caudé et la couche optique (Tse, fig. 59). Substance blanche. ce. Le corps calleux fournit, au nivea
rie foncée, située immédiatement au-dessous et un peu en dehors de la substance grise (SG) de l'aqueduc de Syl-vius (fig. 58). Se
e; en arrière il se perd, au-dessous de l'aqueduc de Sylvius, dans la substance grise du plancher du quatrième ventricule, au voi
st placé dans l'angle rentrant formé par le bord inféro-externe de la substance grise (SG, fig. 58) et le bord supéro-externe de
in représente ici l'expansion, dans le stratum zonale et même dans la substance grise du pulvinar, des fibres de la bandelette op
u longitudinal inférieur (FLI) et du cingulum (Cin), au contact de la substance grise de l'hippocampe. Mais ce mélange n'a lieu q
llon du subiculum (Dsu, fig. 58) se poursuit virtuellement jusqu'à la substance grise. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale
de l'hippocampe (Hip, fig. 66). Aq. Aqueduc de Sylvius (fig. 61). Substance grise. CAM. Corne d'Ammon (Voy. pl. XVII et XVI
stance grise. CAM. Corne d'Ammon (Voy. pl. XVII et XVIII). SG. La substance grise de l'aqueduc de Sylvius (61, 62, 65), plus
arrêtée par le faisceau longitudinal pos-rieur (FLP). La teinte de la substance grise est toujours beaucoup plus claire que celle
s. On pourrait d'abord méconnaître, pour cette raison, l'existence de substance grise dans cette région et dans d'autres encore ;
e (voy. plus loin Laq). GI. Sur la figure 62, la coupe' a entamé la substance grise du corps genouillé interne. La coupe précéd
. Ce noyau, régulièrement ovoïde, est entouré de tous côtés par de la substance blanche, sauf toutefois à sa partie antérieure, a
e corps genouillé interne (GI) sont vus par transparence à travers la substance de la couche optique gauche; on reconnaît de cett
Schéma 94. CL. Le claustrum ou avant-mur (fig. 65, voy. pl. XXV). Substance blanche. PV. Le pont de Varole (61, 62, 65, 64)
mais, comme il reçoit des filets nombreux de la région latérale de la substance grise de l'aqueduc (SG), sa partie supérieure est
ammoniaque, les fibres supérieures semblent donc se confondre avec la substance grise de l'aqueduc. Aq, aqueduc de Sylvius. SG,
e avec la substance grise de l'aqueduc. Aq, aqueduc de Sylvius. SG, substance grise de l'aqueduc. Pcs, entre-croisement des péd
n totalité; elle suit son trajet direct d'arrière en avant jusqu'à la substance grise interpédoncu-laire, et même plus loin encor
nterne du thalamus; ZS, stratum zonale du ganglion de l'habénule; SG, substance grise de l'aqueduc de Sybïus; VD, racine descenda
Les faisceaux obliques sous-jacents à la glande pinéale recouvrent la substance grise (SG) de l'aqueduc de Sylvius. On reconnaît,
ractéristique, figurent, de chaque côté de la pointe inférieure de la substance grise, le faisceau longitudinal postérieur (FLP).
à concavité interne, passe, comme une voûte de pont, au-dessus de la substance grise de l'aqueduc (SG), franchit ainsi la ligne
remier, et franchit la ligne médiane en se mettant en contact avec la substance grise de l'aqueduc. Celle-ci, en effet, se prolon
diffère des précédentes en ceci, qu'elle ne passe pas au-dessus de la substance grise de l'aqueduc pour y subir une décussation.
ouges de la calotte ; immédiatement après, elles se terminent dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, où un petit
ation claire. Le faisceau qu'elles constituent se mêle en partie à la substance grise du tubercule quadrijumeau antérieur (QA) ;
aisceau latéral de Reil (Laq); la concavité supérieure circonscrit la substance grise de l'aqueduc (SG) ; la concavité inférieure
mais c'est un faisceau qui est parsemé de tant d'amas superposés de substance grise qu'on peut le considérer aussi comme un noy
me de hache du faisceau du tegmentum (TEG). Laq, le laqueus ; SG, substance grise de l'aqueduc; l'es, pédoncule cérébelleux
orps genouillé interne est comme enveloppé dans sa totalité par de la substance blanche (GI, fig. 63) : en arrière par le stratum
dont nous allons parler immédiatement. En dehors il est hmité par la substance blanche qui revêt l'écorce de la fosse de Sylvius
la substance blanche qui revêt l'écorce de la fosse de Sylvius. Cette substance blanche est la capsule externe (CE, fig. 65). L
dont il se compose. CE. La capsule externe (fig. 65) est la lame de substance blanche qui double en dedans le claustrum (voy. p
esse d'exister immédiatement en avant de la commissure postérieure. Substance grise. CAM. Corne d'Ammon (voy. pl. XYII et XVI
C. Le noyau caudé (fig. 68) proémine dans la cavité ventriculaire. Sa substance grise, homogène, est tantôt libre dans cette cavi
core tout au voisinage de son extrémité postérieure, est une masse de substance grise, beaucoup plus claire et beaucoup moins hom
ovenant par conséquent des faisceaux sensitifs; ils pénètrent dans la substance grise en se confondant, à leur terminaison, avec
1). (Quoique, dans cette région postérieure du thalamus, toute la substance grise paraisse au premier abord confondue en une
étudierons plus loin. En dessous et en arrière de ces deux noyaux la substance grise pourrait être appelée noyau postérieur du t
couronne rayonnante (RGE, 71). Mais déjà l'on voit s'agglomérer de la substance grise au-dessus du sillon très profond qui sépara
ès profond qui séparait le pulvinar du corps genouillé interne. Cette substance grise sera le corps genouillé externe. Pul. Le
ganglion sera étudié à l'occasion des figures de la planche XXIII. Substance blanche. FV. Le pont de Varole (fig. 69, 71) pr
FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 69) sous-jacent à la substance grise de l'aqueduc (SG) se présente par places se
es et de libres qui s'entre-croisent au-dessous de l'aqueduc, dans la substance grise de celui-ci (SG), et spécialement au niveau
tablissant des connexions entre les diirérents étages ou noyaux de la substance grise de l'aqueduc. Lem. La couche de Reil ou l
comme faisant partie de la commissure postérieure toute la couche de substance blanche qui revêt les corps quadrijumeaux et qui
et se portant horizontalement en dehors où elles se ramifient dans la substance grise du thalamus, au-dessus des fibres les plus
s momentanément abandonnée, nous y voyons apparaître, en dehors de la substance grise de l'aqueduc, un nou- Profd de la région
e la lamina terminalis, en dedans du corps genouillé interne, vers la substance grise du thalamus. Elle ne doit pas d'ailleurs s'
ement progressif du fasciculus arcuatus (ARC, fig. 72), s'accole à la substance grise des circonvolutions pariétale inférieure (P
ions pariétale inférieure (P^) et pariétale ascendante (P), et à la substance grise de la frontale ascendante (F). Sur la figur
un faisceau très compact, très foncé, triangulaire, s'insérer sur la substance grise de la pariétale ascendante (P, fig. 67). Il
rents aux couches optiques par leur face externe et confondus avec la substance grise de la glande pinéale, au niveau de la par
-transversale (73) de la planche xxiu. pinéale. Sur la coupe 73, la substance grise du ganglion du côté droit se confond avec c
é interne est toujours à une certaine distance de la ligne médiane. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon ne diffère ici, en
stratum lacu-nosum. On peut même constater, sur la figure 77, que la substance grise de la cireoiivoliition de l'hippocampe se
e elle-même cri deux lames superposées, entre lesquelles s'insinue la substance réticulaire adjacente à la lame inférieure. Déjà
icales, on voit se succéder d'avant en arrière deux agglomérations de substance grise qui, étudiées de près, sont suffisamment di
us savons que l'un et l'autre sont recouverts de tous côtés par de la substance médullaire. En haut et en dehors, il est séparé d
mus; UAB, habénule; M, KOuttière de Monro. tous côtés par de la substance blanche. En dehors et en arrière, il est limité p
ou frein du conarium (IlAB). On sait qu'au-dessous de l'habénule, la substance grise de la couche optique forme la paroi du troi
. Le fait que le ganglion de l'habénule est complètement enveloppé de substance lilanche, permet donc de le distinguer très facil
). 1° En J)as et en dedans : Aq, l'aqueduc de Sylvius, tapissé par sa substance grise (SG), et surmonté par la commissure postéri
bres postérieures de sa couronne rayonnante (RGE, fig. 74, 75, 78). Substance blanche. PV. Le pont de Varole (fig. 74, 75) s'
la couche de Reil au voisinage de la lamina medialis et destinée à la substance grise du pulvinar, du corps genouillé interne ou
il se confond insensiblement et sans démarcation appréciable avec la substance grise de l'aqueduc. Il est facile de s'expliquer
ncules cérébelleux supérieurs (Pcs). Il se confond maintenant avec la substance grise qui entoure l'aqueduc. Il est dirigé presqu
ment en haut et en dehors, contractant des connexions intimes avec-la substance grise sous-épendymaire, qui renferme les noyaux m
t en dehors, sous la couche optique, mais toujours au voisinage de la substance grise centrale; puis, (le nouveau, marche direc
de pinéale ; FLP, faisceau longitudinal postérieur au-dessous de la substance grise de l'aqueduc. Une coupe verticale (69) le
(fig. 75, ZGE) indique déjà la forme extérieure de ce noyau, dont la substance grise, située plus en avant, n'est pas encore ent
sceau de la commissure du côté opposé, se perd insensiblement dans la substance grise du thalamus (fig. 74, 76, 77), au-dessus du
, le faisceau de la décussation antérieure s'épuise en partie dans la substance grise de l'aqueduc, soit en avant de cette substa
n partie dans la substance grise de l'aqueduc, soit en avant de cette substance , soit à côté, c'csl-à-(liro au niveau de la rac
érieure CP. Tli, tlialainus ; GII, gang-lion de rhal)énule; SG, substance grise de l'aqueduc; FCP, faisceau de la commiss
oy. plus loin (ARC, pl. XXYI). LFS. La capsula extrema (fîg. 67) ou substance blanche innommée de Vinsula, ou moelle de finsula
ogive, dont l'arête correspond au sillon médian du corps genouillé. Substance grise. CAM. Corne d'Ammon. Nous retrouverons su
Celui-ci est entamé par le couteau à son sommet, qui est recouvert de substance blanche réticulaire, ainsi qu'on le constate sur
vile de l'hippocampe; Fd, corps godronné ou fascia dentata ; LMA, substance réticulairo d'Arnold ; Bul, bandelette de Giaco
sa partie postérieure. Mais déjà apparaît, en haut et en dehors de la substance blanche qui le recouvre, une masse grise qui ap
la plus reculée de la bandelette optique. Sur les coupes 80, 81, la substance grise devient plus homogène, en apparence plus co
e Tùrck-Meynert (FM, 83), déjà signalé. Plus en avant (fig. 82), la substance grise du corps genouillé est séparée de tous les
rmine. Or on s'aperçoit que, sur les coupes vertico-transversales, la substance grise du corps genouillé n'occupe que la moitié i
elleux supérieur ; VV, valvule de Vieussens. couche de Reil et la substance noire de Sœmmering. Une très faible distance sépa
locus niger. rieur (FP). Le locus niger est une bande lamellaire de substance grise pigmentée, dite quelquefois substance ferru
t une bande lamellaire de substance grise pigmentée, dite quelquefois substance ferrugineuse, qui semble isolée et comme perdue a
tance ferrugineuse, qui semble isolée et comme perdue au milieu de la substance blanche de l'isthme. Elle sépare absolument l'é
rtico-transversales n'intéressent d'abord que la partie externe de sa substance (fig. 79). Plus en avant (fig. 83), la surface de
ule cérébelleux supérieur abandonne quelques fibres au locus niger. Substance blanche. PV. Le pont de Varole (fig. 79, 83) pr
ouge, elles vont directement en avant, en dedans de ce noyau, vers la substance grise interpédonculaire ; dans ce trajet, elles s
glande pinéale. HAP. On sait que la glande pinéale est reliée à la substance grise des noyaux de l'hémisphère par trois petits
dent encore sur les sections suivantes, 84, 85. Il est entouré par la substance blanche du stratum zonale. Ce faisceau blanc (IIA
croisés de l'étage supérieur. S'il ne se perd pas en totalité dans la substance grise du thalamus, au-dessus et en avant du corps
. Sur la coupe 81 on le voit dans son ensemble se confondre avec la substance grise du thalamus; de môme, sur la coupe 82, où l
avec la substance grise du thalamus; de môme, sur la coupe 82, où la substance grise commune au thalamus et au faisceau de la ca
ur se répartir, sous la couche optique, AQ, aqueduc de Sylvius; SG, substance grise de l'aqueduc; GE, corps genouillé externe
t sur un certain nombre de coupes (83, LTE). La difïerenciation de la substance noire de Sœmmering et de ce faisceau est chose im
optique (LML, fig. 82, 83). Bientôt nous les perdrons de vue dans la substance grise du thalamus et dans la lame médullaire exte
iger paraît s'étendre jusqu'à la ligne médiane; il n'en est rien : la substance noire de Sœmmering s'arrête précisément à la lami
sort du corps genouillé par le stratum zonale (fig. 79, GE) et par la substance grise de ce noyau (fig. 80). Lorsque la coupe pas
et répond à la corne d'Ammon tapissée par l'alveus (ALV, fig. 88). Substance blanche. CAM. Corne d'Ammon. Des modifications
recessus antérieur du sillon de l'hippocampe (RÀH) est tapissé par la substance réticulée d'Arnold (LMA) fusionnée, en apparence,
11 se recourbe maintenant d'avant en arrière en se confondant avec la substance grise de l'uncus. L'uncus, en d'autres termes, es
par le sillon de l'hippocampe. De toutes parts il est tapissé par la substance blanche de la lame médullaire (LMA) et de la fimb
lle participe, de cette façon, à l'enveloppement du crochet par de la substance blanche. On peut constater en outre qu'elle tend
fimbria, d'autre part, émane du corps calleux. Ainsi la fimbria et la substance réticulaire sont partie intégrante de cette grand
dent aux terminaisons successives des faisceaux de la calotte dans la substance grise du thalamus. Ici (fig. 85), la strie médull
Le claustrum ou avant-mur (fig. 86. 87, 90) est une lame verticale de substance grise située entre la substance blanche de l'insu
86. 87, 90) est une lame verticale de substance grise située entre la substance blanche de l'insula (LES, 89) et la capsule exter
mple, le corps genouillé interne. Il serait constitué par une lame de substance grise repliée plusieurs fois sur elle-même dans u
-à-dire à sa face supérieure et à sa face inférieure, par une lame de substance blanche, l'accompagnant dans ses replis. Nous p
tre chose que la lame blanche supérieure de la couronne rayonnante. Substance blanche. PY, Le pont de Varole (fig. 87) ne pré
disposition spiroïde, tandis que les coupes 86 et 88 intéressent la substance grise du noyau rouge. Ces coupes font donc voir é
té ventriculaire. 11 n'en est séparé que par une couche très mince de substance grise. Sur certaines coupes cette couche paraît f
-n" -SG Schéma représentant les noyaux superposés (n, n'n") de la substance -n' grise (SG) de l'aqueduc et de la gouttièr
d'étage en étage, au niveau des noyaux échelonnés à la surface de la substance grise du troisième ventricule, au fond de la gout
e grise du troisième ventricule, au fond de la gouttière de Monro. La substance grise qui tapisse à la fois la gouttière de Monro
bas jusqu'à la gouttière de Monro, s'épanouit en rayonnant dans la substance grise de la couche optique : ses fibres postérieu
ntact de la ligne médiane, insensiblement confondue en dehors avec la substance noire de Sœmmering (LN, fig. 85). TEG. Le faisc
sceaux. LFS. La capsula extrema (fig. 89) ou moelle de l'insula, ou substance blanche innominée, est cette petite bande de subs
e l'insula, ou substance blanche innominée, est cette petite bande de substance médullaire qui sépare le claustrum de l'écorce de
interrompue par un élargissement gris du claustrum (CL, fig. 90). La substance grise du claustrum cependant n'est pas plus épais
e volume assez notables, suivant que la section l'intéresse en pleine substance grise ou dans le plan d'un des faisceaux de sa co
pe commence à entamer {f\, 86, 87, 88). On voit qu'il est accolé à la substance grise qui double ce sillon. Mais il conserve touj
ure de la bandelette optique (BO) et la face supérieure de l'uncus. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon (fig. 91) présente
'y a bientôt plus aucun intervalle entre le fascia dentata (Fd) et la substance grise du crochet (fig. 96). A partir de la coupe
n (Une). Une, crochet de l'hippocampe {Uncus). Fi, fimbria; LMA substance réticulée d'.4r-nold. Schéma 154. recourbée e
])lanche s'eflace, mais elle est remplacée par une crête semblable de substance grise (fig. 95, 96) qui n'est que la continuation
l'uncus ou crochet est, d'autre part, la continuation immédiate de la substance grise corticale. Nous verrons plus loin apparaîtr
nous ne prétendons pas pour cela qu'il y ait entre ce faisceau et la substance grise de la couche optique plus qu'un rapport ana
1, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte, enveloppé d'une couche de substance blanche appartenant aux fibres les plus extérieur
ne reste plus guère, sur la coupe 91, qu'une très faible quantité de substance noire de Sœmmering. Le locus niger est traversé e
verticale externe (MLE). D'autres enfin pénètrent directement dans la substance grise du putamen ; elles forment sa couronne rayo
planches suivantes. CL. Le claustrum, ou avant-mur (fig. 95, 94). Substance blanche. PV. Le pont de Varole esL sectionné ic
sceau en lame horizontale, dirigé d'arrière en avant; il émerge de la substance grise de la calotte, et va se jeter dans la couch
diane et se termine un peu plus en avant (pl. XXVR, fig. 101) dans la substance grise de l'espace perforé postérieur et dans le g
st ce faisceau qui limite en dehors l'espace perforé postérieur et la substance grise du tuber cinerum. On s'expliquera à l'aide
ne, où elles se terminent dans les noyaux de la protubérance et de la substance grise interpédonculaire. Le faisceau géniculé,
sceau, encore très foncées, se confondent avec la teinte foncée de la substance grise du putamen. Ce qui est certain, c'est que l
fig. 96). CE. La capsule externe (fig. 94) est la lame verticale de substance blanche qui est interposée comme une cloison d'ép
sert d'anastomose entre le centre ovale du lobe pariéto-frontal et la substance médullaire du lobe temporo-sphénoïdal. Elle renfe
essous de l'insula, ses fibres les plus externes se mélangent avec la substance grise du claustrum (CL, fig. 93, 94). Et comme
g. 102), et par la bandelette optique sus-jacente à l'un-cus (Une). Substance grise. GAM. La corne d'Ammon (CAM) et Viincus o
d'Ammon (CAM) et Viincus ou crochet (Une) se mélangent intimement. La substance grise et la substance blanche de la corne d'Ammon
us ou crochet (Une) se mélangent intimement. La substance grise et la substance blanche de la corne d'Ammon se continuent, sans a
e de la corne d'Ammon se continuent, sans aucune démarcation, avec la substance grise et avec la substance blanche de Vvncus,{{ig
ntinuent, sans aucune démarcation, avec la substance grise et avec la substance blanche de Vvncus,{{ig. 97, 102); on se rend comp
rconvolution de l'hippocampe (Hip), recouvert par une mince couche de substance blanche (LMA). Celle-ci est la substance réti-cul
vert par une mince couche de substance blanche (LMA). Celle-ci est la substance réti-culaire d'Arnold, qui s'est réfléchie au fon
, est une masse grise bien isolée, enveloppée de tous côtés par de la substance blanche et faisant saillie au-dessus et en dehors
horizontales, dirigées de dehors en dedans et qui se perdent dans la substance grise du puta-lïien. La plupart s'y ramifient. Ja
horizontal. Le discus lentiformis n'est relié par aucune traînée de substance grise avec la couche optique, ni môme avec le noy
ilieu des faisceaux de la calotte et du pédoncule. La seule région de substance grise avec laquelle il puisse avoir des connexion
mis a valu à cette couche de fibres le nom de zona incerta (Forel). Substance blanche. Ici le tronçon protubérantiel n'est pa
. On remarquera seulement qu'il n'est pas en contact immédiat avec la substance grise de la couche optique. Il en est séparé par
calotte. se terminer au-dessus et en dedans du trou borgne dans la substance grise du ganglion inter-pédonculaire (vov. pl. XX
essous de ce ganglion, la lamina tegnicnti (LTE), qui pénètre dans la substance grise de l'espace perforé postérieur. MF. Le fa
eau du sillon parallèle; il prend ses insertions postérieures dans la substance grise qui double ce sillon. ARC. Le faisceau ar
ve plus jusqu'à la surface : la bandelette de Giacomini (BGI) avec la substance grise sous-jacente, ferme en dedans le recessus a
émité antérieure de la corne d'Ammon, qu'on reconnaît encore ici à la substance blanche du recessus antérieur de l'hippocampe (RA
avant, les faisceaux blancs du pédoncule se placent au contact de la substance grise du tuber cinercum (SG, fig. 108); et, en de
rolongement inférieur est le recessus sub snbiculo (Dsu, fig. 108). Substance grise. CAM. La corne d'Ammon (CAM, fig. 104) ne
5, 106) est toujours tapissé, en haut comme en bas, par une couche de substance blanche, qui est la continuation de la lame médul
t dépassé, en avant, et où il n'est plus représenté (RAII) que par la substance réticulaire d'Arnold qui le recouvre : sur ces de
iculaire d'Arnold qui le recouvre : sur ces deux dernières coupes, la substance grise affecte une forme ovalaire. La portion inte
Fd). Mais on voit à quel point la fusion est intime. ALV. L'alveus, substance blanche (fig. 108), enveloppe de toutes parts la
de toutes parts la lamina convoluta, sauf à sa partie interne, où la substance grise se confond avec celle de l'écorcc. BGI. L
La bandelette de Giacomini, à partir de la coupe 103, est un pont de substance grise qui réunit la crête de l'uncus avec la régi
nt distinct (fig. 104, 105). En dedans il paraît se confondre avec la substance grise du lobule de l'hippocampe. Enfin, en haut,
es de la commissure antérieure. Sur les coupes 107 et 108, on voit la substance grise du putamcn se prolonger de dehors en deda
nse du noyau lenticulaire, et va rejoindre, en dedans et en avant, la substance grise du tuber cinereum. Nous décrirons plus tard
e, qui lui a déjà été attribué, et qui est très préférable à celui de substance grise innominëe (voy. GAP). GLP. Le globus pall
rpédonculaire est une masse ganglionnaire (figure 105) située dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 1
nu, attendu que sa coloration ne diffère pas beaucoup de celle de la substance grise au milieu de laquelle il est noyé, on peut
es masses grises se composent. La plupart du temps ils enveloppent la substance grise, de manière à constituer autour d'elle une
as jusqu'à l'écorce cérébrale elle-même (sorte d'épanouissement de la substance grise centrale) qui ne présente cette stratificat
substance grise centrale) qui ne présente cette stratification de la substance blanche, dans toute son étendue, c'est-à-dire par
roflex y pénètrent. On observe en général deux zones concentriques de substance blanche : là, la zone interne reçoit selon toute
eçoit les fibres de la lamina tegmenti (voy. plus loin LTE). SG. La substance grise interpédonculaire (fig. 104, 105, 106) ou s
). SG. La substance grise interpédonculaire (fig. 104, 105, 106) ou substance grise basilaire fait suite, d'arrière en avant, a
capsulaire (MF, 104, 105, 106) qui vient y épuiser ses fibres). Cette substance grise intcrpédonculaire correspond, par sa surfac
ps de Luys (DL) ; il abandonne une certaine partie de ses fibres à la substance grise de l'espace perforé postérieur (SG), en ava
upe ici encore toute la région du fond de l'insula (voy. pl. XXIX). Substance blanche. BO. Bandelette optique (104, 105, 106,
08), où l'on reconnaît deux étages : l'étage supérieur, occupé par la substance grise intcrpédonculaire (SG), correspondant à l'e
lanche que nous étudions actuellement, on devrait le chercher dans la substance grise qui recouvre, en dedans, le faisceau tegmen
ncore (fig. 105, 105) poursuivre son trajet postéro-antérieur dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, où elle se
admettre toutefois qu'il est constitué par les lames concentriques de substance blanche qui enveloppent le ganglion interpédoncul
es coupes 104 et 105, alors qu'elle chemine à la partie externe de la substance grise centrale de l'espace perforé postérieur (SG
ubercules mamillaires (TM) deux petites masses grises perdues dans la substance grise de l'espace PV, pont de Varole ; TM, tube
aboutir, en diminuant progressivement de largeur, aux renflements de substance grise qui représentent les ganglions interpédoncu
auche, au pied du pédoncule. Elles sont grisâtres, parce qu'un peu de substance ganglionnaire les recouvre; mais on ne peut nier
nt pas un long trajet. Presque immédiatement elles s'épuisent dans la substance grise centrale, soit de chaque coté de la ligne m
é de la ligne médiane, soit, plus en dehors, dans la portion de cette substance qui fait corps avec le pédoncule (voy. SG, pl. XX
font foi d'autre part, que ce faisceau, avant de se terminer dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, glisse en d
n spiroïde qui indique qu'il revient sur lui-même pour entrer dans la substance grise du globus media-lis, comme s'il avait dépas
e dans la capsule interne. Elle se place, en dedans, au contact de la substance grise de l'espace perforé (SG), sans entrer en co
lame médullaire externe du thalamus (fig. 106) et en hauteur vers la substance grise de la couche optique. Sur la coupe 108, le
es internes de la lamina tegrnenti se terminent manifestement dans la substance grise de l'espace perforé postérieur. Celte hypot
antérieures et internes du faisceau capsulairc (MF) se jeter dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (pl. XXIX, f
(Pcs); le faisceau rubro-thalamiquc (NL); YM. ventricule moyen; SG, substance grise du ventricule moyen; Tes, pédoncule cérébel
nvisagée comme un noyau presque absolument isolé par des faisceaux de substance blanche étalés en lames à sa surface; et elle n'e
he étalés en lames à sa surface; et elle n'est, en effet, reliée à la substance grise centrale (SG) que par un isthme de substanc
effet, reliée à la substance grise centrale (SG) que par un isthme de substance grise sus-jacent au noyau rouge de la calotte.
ennent de l'écorcc frontale; elles se jettent et se terminent dans la substance grise du noyau externe de la couche optique (NeC,
térieures du faisceau de Vicq-d'Azyr, en s'épuisant peu à peu dans la substance grise du les deux suivantes (107, 108) la profo
enfonce d'arrière en avant dans la capsule externe et se perd dans la substance grise du claustrum même. On peut reconnaître ici
Sur les coupes précédentes (103 à 106) il était encore adhérent à la substance grise du putamen; il en est séparé maintenant (fi
ntes : le segment inférieur de la capsule interne se prolonge dans la substance médullaire du lobe teniporo-sphénoïdal jusqu'à l'
du noyau lenticulaire (MLE), se dirigent de dedans en dehors, dans la substance grise du putamen (PUT), comme l'indique le schéma
à peu leur teinte sombre; elles s'épuisent donc, à leur tour, dans la substance grise. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig.
vers le tubercule antérieur de la couche optique (NaC), séparé de la substance grise intra-ventriculaire (Th), par les fibres an
Il n'est séparé de la cavité ventriculaire que par une mince lame de substance grise. Il est, sur cette coupe, dirigé en haut et
ans, le faisceau de Vicq-d'Azyr semble naître par deux origines de la substance grise du troisième ventricule (fig. 108). Il exis
deux origines à ce faisceau, mais la double origine n'est pas dans la substance grise ventriculaire ; elle est dans le tubercule
r antérieur du trigone (DF). Le faisceau d'origine externe naît de la substance grise dans une petite masse ganglionnaire qu'on a
eure de ce ganglion. Un grand nombre d'entre elles se perdent dans la substance grise du troisième ventricule; un plus grand nomb
étudiant les faisceaux blancs de cette région (voy. BSO, pl. XXIX). Substance grise. CAM. La corne d'Ammon n'est plus représe
Dans l'étendue du noyau amygdalien, on reconnaît sur le fond de la substance grise des taches plus claires, évidemment formées
de la substance grise des taches plus claires, évidemment formées de substance blanche, et qui, sur toutes les coupes en série,
e externe (LML, fig. 112); toutes ces fibres s'entre-croisent dans la substance du noyau externe, de telle façon que la lame médu
es de la racine inférieure du thalamus (ThI, 109, 110, 114). SG. La substance grise de l'espace interpédonculaire (fig. 109 111
d'un pois de petit calibre, tranchent par leur couleur blanche sur la substance grise de la base du cerveau à la surface de laque
ypothèse de Vicq-d'Azyr. TM. le tubercule mamillaire, adjacent à la substance grise de la base du cerveau (SG), recevrait le pi
térieur du trigone se contournait comme un 8 dans la profondeur de la substance grise basilaire, de façon que le ventre inférieur
çon que le ventre inférieur de ce 8 vînt proéminer à la surface de la substance grise (schéma 170). Le faisceau remontant (FVA) e
térieur'de la couche optique; 2, pilier antérieur du trigone; 5, 5, substance grise basilaire; i, noyau interne et antérieur du
bres du pilier (2). Ces fibres (7) se jetteraient directement dans la substance grise qui constitue la plus grande masse du tuber
pilier, s'infléchiraient sur elles-mêmes (6) pour se porter dans la substance grise du tubercule antérieur de la couche optique
bas et en dehors, vers le lubcrcine-reum, et qui se perdrait dans la substance grise de l'espace perforé antérieur. Ce dernier f
anse pédonculaire. — En avant du crochet, la bandelette repose sur la substance grise du tuber cinereuin, et l'anse est encore à
la subdivision de l'anse pédonculaire en deux couches principales de substance blanche séparées par une lame de substance grise.
eux couches principales de substance blanche séparées par une lame de substance grise. Mais la difficulté ne réside pas seuleme
à la région de l'espace perforé antérieur (schéma 172). Quant à la substance grise qui forme la couche intermédiaire, elle est
e l'anse pédonculaire a été désignée par les Allemands sous le nom de substance innominée. Puis on a réservé ce nom à la couche g
cette couche grise que nous allons étudier maintenant (GAP). GxlP. Substance innominée. Les anatomistes d'ailleurs ne sont pas
d sur ses rapports avec les parties voisines. On peut se figurer la substance grise innominée comme une lame horizontale de sub
se figurer la substance grise innominée comme une lame horizontale de substance grise, en continuité immédiate avec la substance
lame horizontale de substance grise, en continuité immédiate avec la substance grise du troisième ventricule (TC, schéma 173). C
3). Cette couche horizontale n'est que l'expansion transversale de la substance grise interpédonculaire, partie du tuber cinereum
medialis (GLM), et va, gagnant la ligne médiane, se confondre avec la substance grise du tuber cinereum (TC). C'est cette lamelle
C'est cette lamelle, émanée de la base du putamen, qui a été appelée substance grise innominée. l'étudié que sur des coupes ve
fond aussi, virtuellement, avec celle du côté opposé, au niveau de la substance grise du tuber cinereum, on a considéré les lamel
ssure antérieure, il atteint la ligne médiane, il la franchit dans la substance grise du tuber cinereum avec laquelle il se confo
tuber cinereum et la lame terminale. CL. Le claustrum (fîg. 114). Substance blanche. BO. La bandelette optique (lig. 110, 1
mamillaire. Mais elle en est séparée toujours par un petit espace de substance grise parcouru d'avant en arrière et de haut en b
ans avoir traversé le discus lentiformis), prennent naissance dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (SG, fig. 11
es passent devant le faisceau de Vicq-d'Azyr et vont se jeter dans la substance grise du troisième ventricule au-dessus du tuberc
ntage et dire que le faisceau d'Arnold aboutit très probablement à la substance grise des circonvolutions frontales, plus spécial
issance dans la capsule blanche de ce tubercule (fig. 109) et dans la substance grise (fig. 111) du ganglion lui-même. Dans la pr
croise, en se plaçant au-devant de lui, pour aller se jeter dans la substance grise du troisième ventricule (AR, fig. 113, 114)
leur trajet, séparées des trois segments du noyau lenticulaire par la substance grise de Vanse (GAP, fig. 114); à leur partie e
en contact intime; et même elles suivent la même direction, depuis la substance grise de l'anse (GAP, fig. 112, 114) jusque dans
l (fig. 114) n'est plus relié au corps calleux que par le pédicule de substance blanche (PEL) qui représente la cloison gauche du
ant, non seulement dans le putamen proprement dit, mais aussi dans la substance grise qui prolonge ce noyau vers la région basila
le est toujours constituée par la face inférieure du corps calleux. Substance grise. . NaC. Le noyau antérieur du thalamus (f
férieure du thalamus (ThI). En dedans il se confond en partie avec la substance grise du tuber cinereum (TC, fig. 119, 120), à
120), à laquelle est accolée la bandelette optique (BO, fig. 120). Substance blanche. BO. La bandelette optique se rapproche
se divisant en deux faisceaux, un antérieur et un postérieur dans la substance grise de la couche optique. AR, faisceau d'Arnold
au d'Arnold, encore très compact sur la coupe 115, où il contourne la substance grise du tubercule mamillaire de dedans en dehors
r descendant de la voûte (fig. 116,117,118 et suiv.) apparaît dans la substance grise du troisième ventricule (SG, fig. 116, 117)
t en dedans, au-dessus du noyau amygdalien (NA), qu'elle sépare de la substance grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip),
ansversalement sous la forme d'une mince lamelle (fig. 117), entre la substance grise de l'hippocampe (Hip) et le noyau amygdalie
érieur. On reconnaît l'espace perforé aux incisures vasculaires de la substance cérébrale, en dehors de la bandelette optique (BO
nse lenticulaire (GAP), sur cette figure, n'atteint plus en dedans la substance grise de la racine optique moyenne ; la racine in
vise en deux lames : une profonde récurrente, qui s'enfonce dans la substance grise du thalamus ; une superficielle qui va à la
fig. 120) du pilier descendant (DF), qui se continue avec lui dans la substance grise du troisième ventricule (schéma 186). Tae
gitudinal continue, plus loin encore, toujours nettement séparé de la substance blanche sus-jacente au diverticule, et qui n'est
st séparée de l'espace perforé qnc par une mince bande horizontale de substance grise : l'isthme gris fronto-sphénoïdal. A la f
stratum zonale (ZS, fig. 124), et, au devant du stratum zonalc, la substance grise du septum luci-dum (GSL, fig. 125). Nous ve
e du septum luci-dum (GSL, fig. 125). Nous verrons que cette masse de substance grise n'est que le prolongement du noyau caudé ve
est que le prolongement du noyau caudé vers la base de l'encéphale. Substance grise NC. Le noyau caudé (fig. 125), en avant d
u taenia (Tse, fig. 125) se prolonge donc en bas et en dedans avec la substance grise du septum lucidum (GSL, 125). Il augmente e
zontal, étendu de dehors en dedans, entre le putamen (PUT, 121) et la substance grise du tuber cinereum (SG). A sa partie externe
e la ligne médiane au-dessus et en arrière du chiasma (CH). GSL. La substance grise du septum lucidum (fig. 125) est le prolong
ace externe de celte cloison. Il n'existe aucune démarcation entre la substance grise de la tête du noyau caudé et celle du septu
taenia. Mais en réalité, la continuité est parfaite. D'autre part la substance .grise du seplum lucicum se continue, au devant de
stence même est virtuelle. Au-dessous de la commissure antérieure, la substance grise du septum change de nom : c'est la substanc
ure antérieure, la substance grise du septum change de nom : c'est la substance grise de la lame terminale. Mais, en fait, c'est
de la lame terminale. Mais, en fait, c'est toujours la même masse de substance nerveuse, en continuité avec la masse du tuber ci
reum, en d'autres termes, avec la paroi grise de l'infundibulum. La substance grise du septum ne remonte pas, sur la paroi exte
les fibres du pilier descendant de la voûte (DE, 124, 125, 126). La substance grise centrale du cul-de-sac antérieur du troisiè
adhérente à la face supérieure du chiasma, est cette mince couche de substance grise qui se laisse perforer si facilement, au-de
fig. 125,126), laquelle se confond, autour de la commissure, avec la substance grise du septum (GSL). CL. Le claustrum ou avan
GSL). CL. Le claustrum ou avant-mur (fig. 121) est cette cloison de substance grise, dont nous avons eu déjà l'occasion d'indiq
des couches plus superficielles, mais faisant partie réellement de la substance grise de la fosse de Sylvius. On alla plus loin :
ant-mur. L'avant-mur est une expansion lamellaire, verticale, de la substance grise de l'isthme fronto-sphénoïdal (IFS, fig. 12
erforé antérieur (EPA), on voit l'avant-mur (CL) se confondre avec la substance grise du lobe sphénoïdal. Cette substance grise e
r (CL) se confondre avec la substance grise du lobe sphénoïdal. Cette substance grise est celle qui recouvre la partie la plus an
le 121 de la planche XXXI, la continuité de l'avant-mur (CL) et de la substance grise de l'hippocampe est très apparente; elle ne
lui-même une surface dont le développement a pour point de départ la substance grise de l'isthme. C'est exactement à l'extrémité
if externe. LAT. La lame terminale (fig. 125, 126), voy. FSL, SG, Substance blanche. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (fig
même façon, les fibres de l'anse du noyau caudé sont fournies par la substance grise de la tête du noyau caudé, dans la région i
étalée à sa base, c'est que ces fibres pénètrent directement dans sa substance (ou en émergent), parmi les faisceaux de la capsu
. DF. Le pilier descendant de la voûte (fig. 121) s'enfonce dans la substance grise du troisième ventricule (SG) qui va bientôt
nt est libre dans la cavité ventriculaire avant de s'enfoncer dans la substance grise. En haut il se confond avec la voûte (TRI,
cine antérieure du thalamus (ThA). En avant, elle est bornée par la substance grise du septum lucidum (GSL), qu'elle ne dépasse
ste au-dessus de la pénétration des artères lenticulo-striées dans la substance cérébrale. A ce niveau, d'autre part, la capsule
tries lcnticulo-caudées, dirigées en bas et en dehors au milieu de la substance foncée de la racine tha-lamique antérieure (ThA,
t de la voûte (DF). Cette région intermédiaire (GSL, fîg. 125) est la substance grise du septum lucidum. Nous savons qu'elle fa
ncule sans traverser le noyau lenticulaire. Celles qui émergent de la substance grise du septum sont de ce nombre. Il est aisé de
dessous de la racine antérieure du thalamus (ThA) et au-dessous de la substance grise du septum. Elle traverse en partie la racin
e la racine antérieure du thalamus. Elle sort du noyau caudé et de la substance grise du septum, immédiatement en avant des fibre
ssocié par places, si bien que la capsule paraît se confondre avec la substance blanche de l'espace perforé antérieur; cela tient
Chiasma optique (fig. 122, 125) adhère par sa face supérieure avec la substance grise de la lame terminale (LAT, fig. 125) OLC.
ar un faisceau bien compact et dirigé d'avant en arrière, traverse la substance grise de l'espace perforé antérieur, puis se port
ré antérieur, puis se porte obliquement en haut et en dedans, vers la substance grise de la lame terminale où elle s'épuise (OLM,
portion orbi-taire de la troisième frontale une grande presqu'île de substance grise correspondant au cap de cette circonvolutio
tum lucidum (PEL, fig. 130) et la face supérieure du rostrum (ROS). Substance grise. NC. Le noyau caudé (fig. 128, 129, 130 e
usionne en bas et en dedans : de cette fusion résulte la gouttière de substance grise homogène, au fond de laquelle s'enfonce la
ulaire (ANL, 127, 128) se continue ici, en haut et en dedans, avec la substance grise du septum (GSL, fig. 127). Puis, lorsque le
ent limité par la capsule externe (CE, fig. 127, 128, 129). GSL. La substance grise du septum (fig. 127) monte sur la paroi ext
127), blanche sur la ligne médiane, foncée en dehors, reçoit dans sa substance grise les fibres de la racine olfactive moyenne (
rise de Sœmmering (fig. 127) est un noyau confondu en arrière avec la substance grise de la lame terminale; on le distingue diffi
on ne le distingue plus sur la coupe 129. Il est comme perdu dans la substance grise du troisième ventricule, à la base de la la
ule, à la base de la lame terminale (LAT) ; il fait même partie de la substance grise de la lame terminale : ce qu'on appelle lam
lame terminale : ce qu'on appelle lame terminale étant un feuillet de substance grise recouvert, en avant, d'un feuillet commissu
de substance grise recouvert, en avant, d'un feuillet commissural de substance blanche. Substance blanche. OLM. La racine ol
ecouvert, en avant, d'un feuillet commissural de substance blanche. Substance blanche. OLM. La racine olfactive moyenne (fig.
OLM. La racine olfactive moyenne (fig. 127,128) se termine dans la substance grise de la lame terminale (LAT) au-dessus du gan
. 132), la racine antérieure du thalamus se confond en dehors avec la substance blanche de la capsule externe ; mais elle conserv
e (fig. 127), s'étend verticalement entre le corps calleux (ce) et la substance grise du septum (GSL). On sait qu'il se compose d
se compose de deux parties : une inférieure, volumineuse et toute de substance grise (GSL) ; une supérieure, mince et formée de
t toute de substance grise (GSL) ; une supérieure, mince et formée de substance blanche (PEL). La substance grise, sur la coupe s
GSL) ; une supérieure, mince et formée de substance blanche (PEL). La substance grise, sur la coupe suivante (128), a reçu la pet
tibuli, recouvert à sa partie postérieure par la couche blanche de la substance réliculaire; psp, pédoncule du septum lucidum.
SPL, splenium : ROS, roslrum ; TM, tubercule ma-millaire ; GSL. substance grise du septum lucidum ; LMV, substance ré-tic
rcule ma-millaire ; GSL. substance grise du septum lucidum ; LMV, substance ré-ticulaire du carrefour ; psp, pied du septum
le pied du septum lucidum (psp, schéma 197); la concavité embrasse la substance réticulaire du carrefour (LMV) avec laquelle elle
par un sillon tout à fait superficiel. Nous savons, du reste, que la substance réticulaire du carrefour, tout le voit sur le s
fait suite à la face supérieure du corps calleux) se confond avec la substance réticulaii'e du carrefour (qui fait suite aux ner
ls rapports qu'il ait avec la surface sont ceux qu'il affecte avec la substance réticulaire du carrefour (LMY). Le schéma précéde
n divergeant à droite et à gauche, s'épuisant progressivement dans la substance grise du lobule orbi-taire; les plus internes von
erne (soi, fig. 129, 130); les plus externes vont se perdre dans la substance grise du pôle de l'insula (PI, 127, 128, 132). Ma
'arrière en avant, mais d'avant en arrière. 11 s'épuise ainsi dans la substance grise -qui enveloppe le sillon olfactif interne {
e cette planche. Mais déjà à partir de la figure 136, où l'on voit la substance grise du cap se fusionner dans la profondeur avec
(RNC, 155, 155) et par des fibres issues du corps calleux lui-même. Substance grise. NC. La tête du noyau caudé (fig. 154), d
ibre dans la cavité ventriculaire. Son pôle antérieur se perd dans la substance blanche qui l'enveloppe de tous côtés. Mais sa fa
insensiblement avec les faisceaux de cette couronne qui en émanent. Substance blanche. ce. Le corps calleux (fig. 155), étalé
iant entre elles les différentes parties de l'insula, se perd dans la substance grise du pôle (PI) et dans l'écorce du lobule orb
d de la scissure limbique (L), abandonnant peu à peu ses fibres, à la substance grise de la première frontale et surtout à la por
e qu'il faut remarquer surtout sur ces dernières coupes, c'est que la substance blanche qui forme le manteau du carrefour garde p
ci est divisée horizontalement, au plus près de la face inférieure. Substance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte occupe
ité postérieure et s'enfoncer, en avant en dehors et en haut, dans la substance grise de la base du cerveau. NC. Le noyau caudé
e section passe par la partie la plus inférieure du noyau caudé, — la substance grise n'est pas libre dans la cavité ventriculair
st pas libre dans la cavité ventriculaire; elle est adjacente à de la substance blanche (OLl). Les fibres qui s'interposent ainsi
Les fibres qui s'interposent ainsi entre la tête du noyau caudé et la substance grise du tubercule de jonction, proviennent de la
étendue depuis la partie inférieure et interne du putamen jusqu'à la substance grise du troisième ventricule; ce ganglion se con
rise du troisième ventricule; ce ganglion se confond en avant avec la substance grise du septum lucidum GSL (fig. 2 et 3) au deva
au devant du faisceau de Vicq d'Azyr (FVII), et, en arrière, avec la substance grise du tuber cine-reum, au devant du tubercule
cine-reum, au devant du tubercule mamillaire (TM, fig. 1). GSL. La substance grise du septum lucidum (fig. 2 et 3) se confond
La substance grise du septum lucidum (fig. 2 et 3) se confond avec la substance grise de la base, au devant du faisceau de Yicq d
M. La corne d'Ammon (fig. 2 et 3) se présente comme un enroulement de substance grise qui fait suite à l'écorce du cap du lobe ca
ubstance grise qui fait suite à l'écorce du cap du lobe carré (CQ). Substance blanche. PP. Le pied du pédoncule aborde l'hémi
al postérieur sous-jacent à l'aqueduc de Sylvius (AQ) remonte vers la substance grise de l'espace interpédonculaire, en dedans du
dessus du noyau de l'anse (GAP), se porte de dehors en dedans vers la substance grise du tuber cinereum ; puis (fig. 2 et 3) elle
if externe provient, en grande partie, de la capsula extrema (LFS) ou substance blanche qui double l'écorce de l'insula (IN, fijx
ndelette optique a disparu. Cin. Le cingulum(fig. 3), adjacent à la substance grise du tubercule de jonction (TJ), se termine a
ion (TJ), se termine au niveau de l'espace perforé antérieur, dans la substance réticulaire d'Arnold, juste en avant du pied du s
act du fornix, au contraire, se reconnaît facifement (fig. 3) dans la substance blanche du lobe carré, en avant de la scissure oc
ZONTALES PASSANT IMMÉDIATEMENT AU-DESSUS DE LA RÉGION DE LA CALOTTE Substance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte n'est v
e. Sur la figure 5 il n'existe plus; on ne voit que la proéminence de substance grise qui le réunit au ganglion de l'habénule.
représente la moitié de la gouttière de Monro (M), se confond avec la substance ganglionnaire de cette gouttière; cette substance
se confond avec la substance ganglionnaire de cette gouttière; cette substance uniformément grise tapisse la paroi du troisième
Azyr (fig. l), sorti du tubercule mainillaire (TM), s'enfonce dans la substance grise de la base (fig. 2), puis, de là, dans la c
es. DF. Le pilier descendant de la voûte (fig. 3) est perdu dans la substance grise du septum lucidum (GSL). , coupe 6, le ga
faisceau d'Arnold (AR), se continue sans démarcation tranchée avec la substance grise du septum lucidum (GSL). On voit encore à s
où émerge la couronne rayonnante du thalamus (Rlh, fig. 5). GSL. La substance grise du septum lucidum se confond non seulement
non seulement avec la partie postérieure du noyau caudé, mais avec la substance grise basilaire qui enveloppe la commissure antér
teinte claire qui donne l'idée exacte de leur direction. Dans cette substance grise du septum lucidum, on voit la section du pi
niveau, est en réalité derrière le septum; seulement, on sait que la substance grise du septum se confond, en arrière et au-dess
CAM. La corne d'Ammon semble n'être qu'un simple enroulement de la substance grise de l'écorce sur la coupe la plus inférieure
artie du splenium, la plus petite et la plus antérieure, enveloppe la substance grise de la corne d'Amnmn : c'est l'alveus (ALV);
mn : c'est l'alveus (ALV); elle se continue avec la fim-bria (FI). La substance grise elle-même présente un prolongement tronqué
f) qui correspond à la section du tubercule du fascia dentata (ïf). Substance blanche. CID. Le segment postérieur de la capsu
portent en avant et se terminent, au moins en grande partie, dans la substance grise de la fente de Monro; les fibres externes,
UPERIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE, c'eST-A-DIRE AU-DESSUS DE l'hABÉNULE Substance grise. Sur ces trois coupes la masse opto-strié
e latéral {VF, fig. 7), et se confond en arrière et en dedans avec la substance grise du septum lucidum (GSL). Il est parcouru d'
é, à mesure que le niveau de la surface de section s'élève. GSL. La substance grise du septum lucidum (fig. 7) occupe exclusive
-cxterne du septum. Elle n'est que la réflexion, sur le septum, de la substance même du noyau caudé. Tout à fait en arrière, elle
mmon, puisque sur la coupe 9 on ne distingue plus que des vestiges de substance grise accolée à la lyre du trigone (LY). FI. La
du tubercule du fascia dentata pour se continuer avec la lyre (LY). Substance blanche. ce. Le corps calleux, sectionné en ava
érieur du trigone. Comme ce dernier, c'est là qu'il se perd dans la substance grise du tuber cinereum. — En arrière, le lœnia s
. Là, le taenia passe sous le noyau amygdalien et \a se jeter dans la substance grise de la base, en dedans du lobule de l'hippoc
t; la figure 12 représente le plan de section du segment inférieur. Substance grise. NaC. Le noyau antérieur du thalamus [cor
horizontales et sont divisées suivant le plan môme de la coupe. I Substance blanche. TRp. Le pilier postérieur du trigone (
, dirigées d'arrière en avant. Il ne renferme plus trace des îlots de substance grise qui, sur la coupe précédente (pl. XXXVl, fi
e faisceau arqué vient précisément de l'opercule; transversal dans la substance blanche de l'opercule, il devient vertical au voi
re dont elle n'est séparée que par la lame festonnée (LFE). LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche de substance b
nnée (LFE). LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche de substance blanche qui tapisse le fasciola cinerea (Fci), au
bas, deviendra le sillon de l'hippocampe. Ce sillon est séparé de la substance réticulaire par un nodule gris (tec), représentan
sous-calleuses. 1. Voy. pl. XLII, fig. 1. Leur continuité avec la substance grise de la corne d'Ammon, bien mise en évidence
are le noyau caudé (NC) des fibres profondes du corps calleux (ce). Substance grise. NC. Le noyau caudé, en arrière et en ded
se. NC. Le noyau caudé, en arrière et en dedans, se confond avec la substance grise de la lame terminale (LAT). LAT. La lame
A) ; elle se continue en dehors avec le noyau caudé (NC) et avec la substance grise de la base du cerveau, qui s'arrête au nive
te en avant de la commissure postérieure (CP), on distingue l'amas de substance grise du ganglion de l'habénule (GH). Substance
distingue l'amas de substance grise du ganglion de l'habénule (GH). Substance blanche CA. La commissure antérieure, coupée su
ntérieure, coupée sur la ligne médiane, s'enfonce obliquement sous la substance grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure po
nterne, s'enfonce obliquement en arrière, en dedans et en bas vers la substance grise du troisième ventricule, au-dessous des noy
de l'étage supérieur de la calotte; la couche interne, adjacente à la substance grise du thalamus, est formée par les fibres de l
ion a donc lieu juste au niveau du pli de passage temporo-limbique. Substance grise. NC. Le noyau caudé, confondu en dedans e
grise. NC. Le noyau caudé, confondu en dedans et en arrière avec la substance grise de la lame terminale (LAT), est strié par d
é supérieure du noyau rouge (NR) et le ganglion de l'habénule (GH). Substance blanche. Tout ce qui est relatif à la commissur
) et devant la commissure antérieure (CA) ; 5" La pénétration de la substance réticulaire d'Arnold (fig. 3, LMV)' dans la subst
nétration de la substance réticulaire d'Arnold (fig. 3, LMV)' dans la substance blanche de l'hémisphère, au niveau du tubercule d
couche s'étend de dedans en dehors, 1. On Fa appelée, à ce niveau, substance blanche corticale ou réticulée du tubercule olfac
ale ou réticulée du tubercule olfactif; mais ce n'est en somme que la substance réticulée d'Arnold. Il n'est pas exact, comme on
nnaît en avant le lobule orbitaire, avec son sillon au devant de la substance grise du septum lucidum (GSL, fig. 5), puis se co
i) ; 6" La continuité du noyau de l'anse (GAP, fig. 3 et 4) avec la substance grise qui limite en dehors la bandelette optique
uche, qui lui forme une sorte de capsule, le sépare, en dedans, de la substance grise corticale; et c'est efl'ectivement d'une vé
que. La figure 4 fait voir sous un nouvel aspect la disposition de la substance grise de l'espace perforé antérieur (EPA). Ici la
lfactif interne [soi) et que, de toutes parts, elle est enveloppée de substance blanche. La traînée claire qui la limite en arriè
diagonale. La milice couche lilauche qui la limite en avant est la substance réticulaire d'Arnold. En arrière, cette figure
(Fd), d'une part, avec le tœnia tecta (tec), et d'autre part avec la substance grise! du pli de passage temporo-limbique (tïT).
C'est là aussi que commence ou se termine, en arrière du splenium, la substance réticulaire d'Arnold (LMA). Cette couche blanche
du gyrus lingual ou cinquième occipitale. Elle est recouverte par la substance réticulaire (LMA), qui semble présenter une épais
sceau ou fibres du centre ovale. COL Commissure inférieure (dans la substance grise du tuber cinereum) . CP. Commissure posté
Ct. Coniniissure terminale. CÏE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du troisième ventricule, fascicidi marginal
édonculaire, prolongement temporal du noyau lenlieulaire (VVernicke), substance innominée sous-lenticulaire. GAQ. Substance gri
nlieulaire (VVernicke), substance innominée sous-lenticulaire. GAQ. Substance grise de l'aqueduc. GBO. Ganglion basai optique
n sous-frontale. GSf. Deuxième circonvolution sous-frontale. GSL. Substance grise du septum lucidum. GVE. Gyrus veslihuU.
tal. LFE. Lame festonnée. LES. Capsula exlrema, moelle de l'insula, substance blanche innominée de l'insula. Lm. Lamina media
na ad, pedunculum. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LMA'. La même lame sur un
médullaire externe ou latérale du thalamus. LMV. Lame médullaire ou substance réticulaire du carrefour frontal (terminaison ant
tal (terminaison antérieure des nerfs de Lancisi). LN. Locus niger, substance noire de Sœmmering. LO. Lobe occipital. LP. L
cipitale interne. RR. Ruban de Reil. RSG. Couronne rayonnante de la substance grise centrale. RSP. Repli du splenium. Rth. Ra
F. Premier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire. SU. Sillon de l'
......... 108 Faisceau du tegmentum allant se jeter en haut dans la substance grise du troisième ventricule au niveau de l'orif
)................ 172 Subiculum (SIJB)..................... lxxxi Substance ferrugineuse (LN)................. 261 Substanc
.......... lxxxi Substance ferrugineuse (LN)................. 261 Substance grise basilaire.................. 333 Substance
............. 261 Substance grise basilaire.................. 333 Substance grise centrale sous-épendymaire (SG)......... 355
. 333 Substance grise centrale sous-épendymaire (SG)......... 355 Substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SG).......... 188
.. 355 Substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SG).......... 188 Substance grise du septum lucidum (GSL).......... 74, 592
... 188 Substance grise du septum lucidum (GSL).......... 74, 592 Substance innominée de l'insula (LFS)............. 255 Su
.. 74, 592 Substance innominée de l'insula (LFS)............. 255 Substance grise innominée sous-lenticulaire (GAP)..... 551,
5 Substance grise innominée sous-lenticulaire (GAP)..... 551, 563 Substance noire de Sœmmering (LN)............viii, 261 Su
. 551, 563 Substance noire de Sœmmering (LN)............viii, 261 Substance réticulaire d'Arnold (LMA)........xvm, 145, 171
ii, 261 Substance réticulaire d'Arnold (LMA)........xvm, 145, 171 Substance réticulaire du carrefour frontal (LMY)......... 4
3 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
ules unipolaires du renflement ganglionnaire. Ces col- entourent la substance ponctuée centrale de Leydig à laquelle leur prolo
(D'après G. Retzius.) 4 .k ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX....... 1 Substance ponc- tuée de Leydig. Neurones périphé- riq
es périphéri- ques ; elles forment dans l'intérieur du ganglion une substance finement granuleuse, véritable feutrage de fibr
nt granuleuse, véritable feutrage de fibrilles nerveuses : c'est la substance ponctuée centrale de Leydig, le netrropilème de
, Vicq d'.\zir avait reconnu la ligne brisée, formée par la lame de substance blanche que nous désignons depuis Reil sous le
amidaux avec la protubérance annulaire, avec les jambes et loute la substance médullaire moyenne du cerveau ». C'est avec des
en 1824, eût pratiqué pour la première fois des coupes minces de la substance cérébrale, et que Remak et Ehrenberg eussent déco
ier. Sous l'action de l'imprégnation chromique, les faisceaux de la substance blanche apparaissent en effet avec uu ? tHciO a
consistant à sectionner horizontalement et de dedans en dehors, la substance blanche de chaque hémisphère par une série de c
chromates, mais encore imprégnées dans toute leur épaisseur par une substance solidifiable. Un très grand progrès fut réalisé d
lieu du collodion d'hôpital, on peut employer la celloïdine. Cette substance se trouve dans le commerce sous forme de plaques
Inclusion à la paraffine. Pour imbiber de paraffine, un fragment de substance nerveuse préalablement durcie dans les bichromate
de racornir la pièce, n'est applicable qu'à de petits fragments de substance nerveuse, et ne peut être employé pour des coup
oit dans le collo- dion, mais de préférence dans la première de ces substances . Les coupes pratiquées au microtome, sont ensui
n sectionne, à l'aide d'un rasoir très tranchant, tics fragments de substance nerveuse de 3 à il millimètres d'épaisseur que
eurs et antéro-latéraux, se développent au sur et à mesure que la substance grise em- bryonnaire s'accroît. Les cordons ant
prolongement postérieur effilé du : anal central. L'évolution de la substance gri- se et de la substance blanche de la moel
é du : anal central. L'évolution de la substance gri- se et de la substance blanche de la moelle s'effectue de haut en bas;
poglosse. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche grise de la . substance réticulée. Faisceau longitu- dinal postérieur
érance, donne en outre naissance à la couche grise disséminée de la substance réticulée. Les fibres qui naissent de cette c
oncourent à former une partie des fibres longitudi- nales de la substance réticulée, ainsi que - les fibres a°cifornzes
ntérieur de là moelle. Au sur et à mesure que la couche grise de la substance réti- culée s'accroît, le cordon antérieur prim
lon latéral du .le ventricule. - sli, sillon labial interne. - S/l, substance réticulée. 88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L
et viennent se placer en avant de la couche grise disséminée de la substance réticulée et du noyau d'origine du grand-hypogl
aux des cordons latéraux, aux noyaux arqués des para- mides et à la substance gélatineuse de Rolando. Les fibres de ces cellule
sillon latéral du 4e ventricule. sli, sillon labial interne. - SR, substance réticulée. X, pneumo-gastrique. - XII, grand-hy
antielle, la lèvre rhomboïdale fournil l'olive protubérantielle, la substance gélatineuse de Rolando, les fibres arciformes i
du trijumeau apparaît plus tardivement, elle forme au niveau de la substance gélatineuse de Iiolando, un second faisceau ova
ieure ou bulbaire. - r, raphé. - RCL, restes du cordon latéral. - SR, substance ré- ticulée. - Vs, racine spinale du trijumeau.
en outre la mince lamelle interpédonculaire, connue sous le nom de substance per- forée postérieure et qui fait partie du pl
43, 44). Le segment postérieur ou mamillaire, donne naissance à la substance perforée posté- - rieure, aux tubercules mamill
ncher du cerveau antérieur, de même que la plus grande partie de la substance perforée postérieure, appartient au plancher du
ercule médian en deux tubercules latéraux; ceux-ci se recouvrent de substance blanche, lors du développement du pilier antéri
avant de l'embouchure du pédicule oculaire, et donne naissance à la substance perforée antérieure ou espace quadrilatère de F
ères, où il se confond avec l'area trapaxoïdes de His (fig. 49). La substance perforée antérieure s'unit intimement à la base d
séparée toutefois en arrière, chez l'adulte, par une mince lame de substance blanche. Quant à la bandelette diagonale de Broca
factives. i j f 3 3 1 l Lobe olfactif posa térieur. Substance parfordoi Substancoperforce antérieure. ' '
pare toutelois chez l'adulte, par une petite lamelle irrégulière de substance blanche. Jusqu'au deuxième mois de la vie intra
oncule. - Le corps strié^&forme au début, qu'une seule masse de substance grise que segmentent frienfot1' des fibres blan
que nous l'avons vu plus haut, avec le lobe olfactif postérieur ou substance perforée antérieure. L'extrémité postérieure ou
noyau caudé est en effet réuni au putamen par de nombreux ponts de substance grise. L'union de ces parties est encore plus i
lenticulaire, Y avant-mur, le noyau <HMyy6/MM, ainsi qu'avec la substance grise de l'espace perforé anté- rieur. Les fi
u corps du trigone, elles entraînent avec elles une mince couche de substance grise, l'induseunz griseum, puis se soudent d'a
du tronc et du genou du corps calleux, à une très mince lamelle de substance grise, l'indusellm ,fj1'iseum, qui recouvre la
médianes. qui forment les nerfs de Lancisi et des amas latéraux de substance grise qui forment les tienia tecta. En avant du
forment le pédoncule du corps calleux et traversent en diagonale la substance perforée antérieure, où ils sont désignés sous
des parties grises de l'hé- . misphère (circonvolution du crochet, substance perforée antérieure), ce qui ne s'observe dans
ois zones; elle représente le tissu de soutènement primordial de la substance grise. La zone des colonnes présente un dévelop
nsidé- rable, et constitue le tissu de soutènement primordial de la substance blanche. Les cellules germinatives, sont touj
ransformation des ;ellules épithéliales spongioblastes,. t La substance fi- rillaire forme la 6uche des colonnes. L
t La substance fi- rillaire forme la 6uche des colonnes. La substance claire rme le voile mar- mat. Disposition r
pu le constater chez de très jeunes embryons de re- quin, en une substance trouble, d'aspect fibril- laire, et en une subs
quin, en une substance trouble, d'aspect fibril- laire, et en une substance claire, homogène et transparente (fig. 75). La
et en une substance claire, homogène et transparente (fig. 75). La substance fibril- laire s'imprègne facilement par les réa
llaire forme un fin reticulum, dans les mailles duquel on trouve la substance claire, homogène et transparente. A ce stade,
Le voile marginal i représente le tissu de 1. soutènement de la substance blanche. .1 (His), chaque cellule porte en de
marginal, qui formera le tissu de soutènement pri- mordial de la substance blanche, constitue un véri- table filtre, qui
core aisément la disposition radiaire du tissu de soutènement de la substance blanche. Le tissu de soutènement, ou îîiyelosl)
a corne antérieure; la partie postérieure, don- nera naissance à la substance grise de la corne postérieure, et la mince pièce
s du trijzc- meau, forment des îlots situés dans des territoires de substance grise (future formation réticulée de l'isthme d
rébro-rachidiens, par des arborisations libres dans des îlots de substance grise plus ou moins net- tement circonscrits.
à la cou- che sous-pie-mérienne. Il se divise en général dans la substance blanche, en deux ou trois rameaux qui s'écar- t
des premiers neuroblastes, que l'on constate leur présence dans la substance grise de la moelle, et ce n'est que beaucoup pl
us tard, vers le quatrième mois (Vignal), qu'elles émigrent dans la substance blanche. Chez l'embryon humain, elles apparaissen
uivent la voie tracée par les fibres épendymaires, tra- versent les substances grise et blanche du névraxe, et atteignent la pér
rniers vers la périphérie de la moelle. Tant qu'ils siègent dans la substance grise, les prolongements primordiaux sont recou
ements primordiaux sont recouverts de très fins ramuscules; dans la substance blanche ils deviennent lisses, unis, se réuniss
es cellules voisines et à ceux des cellules névrogliques, qui de la substance grise ont émigré dans la substance blanche, et
cellules névrogliques, qui de la substance grise ont émigré dans la substance blanche, et forment les septa névrogliques, consi
oglique, l'enveloppe névroglique de Gierke. Très nombreuses dans la substance grise embryonnaire, les cellules de la névrogli
bryonnaire, les cellules de la névroglie émigrent peu à peu dans la substance blanche, et on les dis- tingue alors, en cellul
usieurs types. a. Les cellules araignées géantes, situées dans la substance gélatineuse centrale, et caractérisées par les
ceux des cellules pré- cédentes. 8. Les cellules araignées de la substance gélatineuse de Rolando pré- sentent un chevelu
présentent des aspects très variables suivant les régions. Dans la substance blanche de la moelle, un petit nombre se rattac
nombre se rattache, d'après v. Lenhossek, au type cellulaire de la substance grise. La plupart présentent un aspect particulie
t volumineux, se réunissent en pinceaux, puis se diri- gent vers la substance grise dans laquelle ils pénètrent quelquefois jus
a névroglie. (D'après v. Gehuchten.) Cellules de la névroglie de la substance blanche (b, d) et de la substance grise (a, c) de
.) Cellules de la névroglie de la substance blanche (b, d) et de la substance grise (a, c) de la moelle d'un embryon do vache
ériphériques : Les cel- lules nerveuses centrales siègent dans la substance grise de l'axe encéphalo- médullaire, qu'elles
sures antérieure et pos- térieure et pénètrent profondément dans la substance blanche (fig. 103). Golgi a eu le grand mérite
e l'écorce cérébrale, dans le lobe optique des oi- seaux, dans la substance gélatineuse de' Rolando (Cajal). Les cellules d
ISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 160 libres, à l'intérieur même de la substance grise où siège la cellule. Consi- dérées à tort
ostérieure, mais se trouvent disséminées dans toute l'étendue de la substance grise et jouent, d'après Cajal, le rôle de cell
la majorité des cellules qui envoient leurs cylindres-axes dans la substance blanche de l'axe cérébro-spinal (fig. 109). La
s cellules nerveuses et les fibres nerveuses, entre le volume de la substance grise et celui de la substance blanche. Le mode
res nerveuses, entre le volume de la substance grise et celui de la substance blanche. Le mode d'origine des dendrites imprim
rkinje, donnent naissance a un cynnare- axe qui pénètre dans la substance blanche, émet quelques collatérales à di- rec
rules olfactifs des Vertébrés inférieurs, etc.; que toute région de substance grise pourvue de fibres nerveuses terminales po
ales est également dépourvu d'arborisations dendri- tiques. Dans la substance blanche du cerveau et de la moelle, on rencontre
ntes cellules nerveuses, réseau destiné à établir une continuité de substance , entre les divers éléments du système nerveux.
u moins dense, c'est-à-dire par contiguité et non par continuité de substance . En 1889, Cajal eut le mérite d'apporter la pre
s de contact, de contiguïté, jamais des connexions de continuité de substance . Ce principe du contact sert de base à toutes nos
limètres de long. (D'après W. Vignal.) a, fibrilles noyées dans une substance homogène. b, cellules con- nectives embryonnair
CHAPITRE IV HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE Substance grise et substance blanche du système ncrveux
OGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE Substance grise et substance blanche du système ncrveux cen- tral. Subst
ance grise et substance blanche du système ncrveux cen- tral. Substance grise. i Différences de co- loration de la
loration de la sulls- tance grise suivant t les régions. Ili Substance blan- che, sa coloration et sa consistance.
cro- scopique, le système nerveux est essentiellement formé de deux substances qui diffèrent par leur aspect, leur consistance
leur consistance, leur structure et leurs fonc- tions. L'une de ces substances présente une couleur grise, l'autre une cou- le
ances présente une couleur grise, l'autre une cou- leur blanche. La substance grise représente la substance active par excel-
se, l'autre une cou- leur blanche. La substance grise représente la substance active par excel- lence, le véritable foyer d'i
tance active par excel- lence, le véritable foyer d'innervation; la substance blanche, au contraire, est passive au point de
ve au point de vue de ses fonctions et entièrement subordonnée à la substance grise. La substance grise, riche en cellules et
ses fonctions et entièrement subordonnée à la substance grise. La substance grise, riche en cellules et en fibres nerveuses,
t translucide, quelquefois même transparente, comme au niveau de la substance gélatineuse centrale et de la substance gélatin
ente, comme au niveau de la substance gélatineuse centrale et de la substance gélatineuse de Rolando ; sa couleur varie du gris
couche optique, le gris rouge des noyaux rouges de Stilling, de la substance ferrugineuse du quatrième ventricule, etc. Ces
fférences de coloration tiennent, non seulement à l'abondance de la substance grise en vaisseaux sanguins, mais surtout il la
s considérable de ses cellules en granulations pig- mentaires. La substance blanche est constituée presque exclusivement de f
riques ainsi que les deux tiers de l'axe encéphalo-médullaire. La substance grise, bien que très molle, présente cependant un
ès molle, présente cependant un degré de fermeté que n'offre pas la substance blanche. Cette dernière, de moin- dre consistan
te de pulpe, de là le nom de pulpe cérébrale. La consistance de ces substances varie suivant que l'on considère les différente
les nerfs et les ganglions périphériques, la consistance soit de la substance blanche, soit de la substance grise, est augmen
iphériques, la consistance soit de la substance blanche, soit de la substance grise, est augmentée; partout où le tissu conjonc
faible. Dans le système nerveux central, le mode de répartition des substances " blanche et grise varie selon les segments que
selon les segments que l'on considère. Dans la moelle épinière, la substance blanche occupe la périphérie et entoure complète-
substance blanche occupe la périphérie et entoure complète- ment la substance grise. Dans l'encéphale, la substance grise entou
et entoure complète- ment la substance grise. Dans l'encéphale, la substance grise entoure les cavités ventriculaires, recou
sa périphérie et forme des amas disséminés dans son épaisseur. La substance grise centrale se présente sous l'aspect d'une lo
former la commissure molle. Au niveau des ventricules latéraux, la substance grise se réduit à une très mince couche, qui ne
antérieure et postérieure de ses cornes frontale et occipitale. La substance grise périphérique revêt la forme d'une couche ir
Elle représente à peu près les 9 dixièmes de la masse totale de la substance grise de l'axe encéphalo-médullaire. La substan
se totale de la substance grise de l'axe encéphalo-médullaire. La substance grise, qui est située dans l'épaisseur de l'encép
imités; ils forment, dans ce cas, des nappes mal circon- scrites de substance grise, qui s'infiltrent dans les interstices de l
rites de substance grise, qui s'infiltrent dans les interstices de la substance t Il Modcdercparti- tion des substances
les interstices de la substance t Il Modcdercparti- tion des substances blanche et grise, dansicsystëmoner- veux ce
substances blanche et grise, dansicsystëmoner- veux central. Substance grise centrale. 1 Substance grise périphé
dansicsystëmoner- veux central. Substance grise centrale. 1 Substance grise périphérique. Ganglions eCl'é- lraux
ues, ou noyaux cen- traux. 192 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La substance blan- che est formée do li- bres jouant le rô
oyaux gris de l'étage antérieur de la protubérance, etc., etc. La substance blanche est essentiellement formée de conducteurs
s, de fibres, qui relient entre elles les différentes parties de la substance grise. Elle occupe la périphérie de la moelle é
le et cérébelleuse aux ganglions encéphaliques et ces derniers à la substance grise centrale. L'ensemble des fibres qui rel
L'ensemble des fibres qui relient les ganglions encéphaliques à la substance grise centrale con- stitue le système de projec
ériphériques, c'est-à-dire par l'ensemble des fibres qui relient la substance grise centrale, aux organes de la périphérie du
phalo-médullaire. A côté des fibres rayon- nantes on trouve dans la substance blanche des hémisphères cérébraux et cérébelleu
blanche des hémisphères cérébraux et cérébelleux, ainsi que dans la substance blanche de la moelle, d'autres faisceaux de fib
3° La cellule nerveuse adulte ; 4° La fibre nerveuse adulte de la substance blanche; 5° Les éléments non nerveux, tels que
, Retzius, Sala et Kolliker, au voisinage du canal central, dans la substance grise sous-épendymaire, par une extrémité libre
ules de la névroglie, qui se montrent dans toutes les parties de la substance grise et de la substance blanche du névraxe, repr
se montrent dans toutes les parties de la substance grise et de la substance blanche du névraxe, représentent, grâce à leurs
qui s'enche- vêtre avec le chevelu des-cellules névrogliques de la substance blanche et de la substance grise. La névroglie
chevelu des-cellules névrogliques de la substance blanche et de la substance grise. La névroglie existe à l'état de pureté aut
granuleux et mesure en général de 8 it 10 u. de diamètre. - Dans la substance blanche de la moelle, du cervelet ou du cerveau
constituée par un délicat réseau de fibrilles, noyées au sein d'une substance homogène intermédiaire, laquelle se colore fai-
laire l'aspect granuleux spécial signalé par tous les auteurs. La substance homogène intermédiaire aux fibrilles est de natur
e toute formation nucléaire, par un réseau de chromatine et par une substance intermédiaire molle ou liquide, le ka1' ? foplasm
oppe propre; elles sont simplement limitées par le tissu même de la substance grise environnante, c'est-à-dire par la névroglie
rétractée, elle occupe toute la place qui lui est réservée dans la substance grise et s'imprègne en général faible- ment par
zone claire, qui correspond à l'espace qu'elle a abandonné dans la substance grise. Ces différences d'imprégnation que prése
s ci myéline constituent l'immense majorité des tubes nerveux de la substance blanche du névraxe, mais elles sillonnent égaleme
la substance blanche du névraxe, mais elles sillonnent également la substance grise, ainsi qu'il est facile de s'en convaincre
de gaine de Schwann est constante dans tous les tubes nerveux de la substance nerveuse centrale. Ranvier a montré, en effet, qu
lo-médullaires émettent de nombreuses branches, qui forment dans la substance blanche des réseaux capillaires, dont les maill
ailles allongées suivent la direction des fibres nerveuses. Dans la substance grise, le réseau capillaire, d'une extrême riches
D'après Flemming, le corps cellulaire est formé, d'une part, d'une substance inter- médiaire homogène et fluide contenant qu
se protoplasmique, à striation nettement fibrillaire et d'une substance granuleuse intermédiaire . Les fibrilles prot
le ganglion une masse granuleuse, comparable au premier abord à la substance ponctuée, décrite par Leydig dans les ganglions n
axe est formé d'un faisceau de w$ fibrilles, plongées au sein d'une substance intermédiaire qui l'entoure d'une mince couche,
ne de Schwann. La plupart des auteurs admettent cependant que cette substance intermédiaire, le 1wuroplasma de Kolliker, l'ax
admettent que chez les Invertébrés le cylindre-axe est formé d'une substance de soutènement finement réticulée, le spol/giopla
ance de soutènement finement réticulée, le spol/gioplasma, et d'une substance fluide et homogène, l ? <i ! /o ? a.fH ! o', q
e, l ? <i ! /o ? a.fH ! o', qui jouerait le rôle de la véritable substance nerveuse conductrice. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SY
lles sont privées de myéline, ou que si elles en contiennent, cette substance n'est pas en quantité assez grande pour donner
: noyaux vaginaux de Ranvier; les au- tres enfin appartiennent à la substance gra- nuleuse fondamentale de l'éminence : noy
ntôt rubanées (fig. 145). Ces plaques terminales, dépourvues de substance granuleuse, reçoiventles arborisations termin
ibres musculaires sur les fibres tendineuses; ils sont formés d'une substance granuleuse, et d'une enveloppe il plusieurs couch
lame capsulaire est formée de fibres connectives, séparées par une substance amorphe et disposées en deux couches, l'une inter
au. Il faut prendre en considération l'étendue et l'épaisseur de la substance grise, sa richesse en cellules ganglionnaires,
pte de Galien, que, sous le rapport des fonctions, la qualité de la substance céré- brale est bien au-dessus de la quantité.
s Danilewski, la densité totale du cerveau est de 1041, celle de la substance blanche étant de 1043 et celle de la substance
de 1041, celle de la substance blanche étant de 1043 et celle de la substance grise de 1038. Les rapports pondéraux de ces de
e de la substance grise de 1038. Les rapports pondéraux de ces deux substances seraient d'après le même auteur de 61 p. 100 pour
teur de 61 p. 100 pour la sub- stance blanche et de 39 p. 100 de la substance grise. Bischoff, Dos Hil'11gewicht des Menschen
antérieure de la vallée de Sylvius, et se termine, au niveau de la substance perforée antérieure, par un bord tranchant, longé
7ci-1, 7ci-l', plis rétro-limbiques. R, scissure de Rolando.- sbll, substance blanche de la circonvolution de l'hippocampe. sec
ndeur de la scissure calcarine. 300 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche réticulée d'Arnold, Sillon de l'hippo
et d'une partie blanche centrale, et reçoivent les radiations de la substance blanche du subiculum (fig. 181, 182) (sbll). Les
s en général. Elle est re- couverte par une couche assez épaisse de substance blanche d'aspect réti- culé, la blanche réticul
limbiques. 7utl, pli temporo-limbiquc. - R, scissure de Rolande. H, substance blanche de la corne d'Ammon. - sec, [sinus du cor
ncit considérablement, et se réduit à l'état d'une mince lamelle de substance grise, qui se soude à celle du côté opposé au niv
acine » olfactive interne (Roli) recouverte par une mince couche de substance grise est plus petite, moins constante, moins lon
s, comme le bord supérieur du pé- doncule olfactif, par une lame de substance grise, en connexion avec l'écorce grise du lobe
tfCt1rÍnterne ;('elle est traversée en dia- gonale par une lame de substance blanche, la bandelette diagonale de Broca (bd),
illie à la base du cerveau où il n'est recouvert par aucune lame de substance grise, le globus pallidus et le 3" segment du n
- Si, vallée de Sylvius. - Sih, scissure inter-hemispherique. Spp, substance perforée pos- térieure. T,, T2, première et deu
deux circonvolutions interceptent un petit espace trian- gulaire de substance grise, l'espace perforé antérieur. Chez quelques
actif d ebroca. CB (3 Lobule olfactif postérieur.. Lolp Espace ou substance perfo- Epa rée antérieure.... ou Spa Bandelet
. du troisième ventricule ; son bord postérieur se continue avec la substance grise du tuber cirzermcnz, son bord antérieur a
d antérieur avec la lame sus-optique. Cette dernière, forme avec la substance grise qui recouvre la face supérieure du chiasm
cule, un bord inférieur libre et un bord supé- rieur adhérent il la substance innommée de Reichert qui recouvre le globus pal
trajet mais dont elle est constamment séparée par une mince lame de substance grise, elle se carac- térise chez l'homme par l
- ceau du tuber cillel'ell1n et dont les fibres s'irradient dans la substance grise située entre le pilier antérieur du trigo
ndibulum. p, étage inférieur du pédoncule. - Po, protubérance ? pp, substance perforée postrieure.-Tc, tuber cinereum. - Tm,
ise de la base et se continue en avant, par l'intermé- diaire de la substance grise qui tapisse la face supérieure du chiasma e
us-optique et les espaces perforés anté- rieurs, en arrière avec la substance grise qui tapisse la face supérieure des tuberc
t l'espace inter-pédonculaire. Le tuber cinereum, fait partie de la substance grise centrale du troisième ventricule qu'il ferm
pleine, sur le corps pituitaire. Elle est formée par une lamelle de substance grise, qui se con- tinue avec la substance gris
ormée par une lamelle de substance grise, qui se con- tinue avec la substance grise du tuber cinereum et entourée d'une couche
eure du troisième ventricule. Ils sont essentiellement formés d'une substance blanche périphérique, provenant en grande parti
d'Azyr, et d'un noyau gris central, qui se continue en haut avec la substance grise centrale, qui tapisse le fond du ventricule
et la région des tuber- ? \Ug¡'-ifuai{¡'3jumeaux, et se perd dans la substance grise de l'aqueduc de s&r.1'¥.11 ft ! . Il
ue en avant et en dehors, dans le fond duquel on aperçoit un peu de substance noirâtre, et le long duquel émerge le nerf oc2c
ent un sillon longitudinal, dans le fond duquel on trouve un peu de substance noirâtre; c'est le sillon latéral de l'isthme d
avité du cerveau moyen; 2° de chaque côté, on trouve une traînée de substance noi- râtre, toujours très visible, le locus nig
e Reil latéral. Rm, ruban de Reil médian. Tpo, toenia pontis. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Syl- vius. - si, sillon l
de l'aqueduc de Syl- vius. - si, sillon latéral de l'isthme. - SR, substance réticulée. - Vc, racine encéphalique ou petite
upe toujours une situation profonde et se trouve en- globée dans la substance grise de la commissure grise de la base. Mais sur
lle apparaît dans l'espace inter-pédonculaire, de chaque côté de la substance perforée posté- rieure, sous la forme d'un peti
stance perforée posté- rieure, sous la forme d'un petit faisceau de substance blanche, le péclota- cule du tubercule mamillai
avant, les tubercules cltraclrijo- meaux en arrière, le raphé et la substance perforée postérieure en dedans, région dont la
ailles desquelles on trouve des amas plus ou moins considérables de substance grise (fig. 189, 193). Cette substance réticulé
us ou moins considérables de substance grise (fig. 189, 193). Cette substance réticulée occupe dans la calotte les parties an
à la couche optique. Constitution de la calotte du pédoncule. Substance réticulée. Xoyau rouge de Stilling. Pédoncu
t it l'entre-croisement de Meynert. Rm, ruban de Reil médian. - SgAq, substance 1 grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli, substan
l médian. - SgAq, substance 1 grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli, substance réticulée. - Stri, stratum intermedium du pied
émisphère comprend : en haut, le corps calleux (Ce), vaste voûte de substance blanche à libres transversales, qutaIrecte lWorme
me ventricule (V1) et, de chaque côté, deux volumineux ganglions de substance grise, la couche optique (Th) en dedans, et le
culaire ou membrane épendymaire, qui repose sur une mince couche de substance grise; ils sont complètement indépendants l'un
face externe de la couche optique, sont en rapport avec une lame de substance blanche fort importante, la capsule interne de
sépare la couche optique et le noyau caudé d'un troisième noyau de substance grise,, de forme triangulaire, qui n'est en con
(NL3) est intimement uni . au noyau caudé par de nombreux ponts de substance grise qui traversent la capsule interne ; il pr
n trouve, appliquées de dedans en dehors, d'abord une mince lame de substance blanche, la capsule externe (Ce), puis une traî
de substance blanche, la capsule externe (Ce), puis une traînée de substance grise, Y avant-mur (AM), enfin la substance bla
e), puis une traînée de substance grise, Y avant-mur (AM), enfin la substance blanche qui double l'écorce grise des circonvol
e Sylvius. - Sexv, .surface extra-ventriculaire du thalamus. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épend
ra-ventriculaire du thalamus. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc. Si, septum lucidum. SJI
rés de l'écorce grise des circonvolutions, par une vaste étendue de substance blanche, désignée sous le nom de centre ovale d
se par la face supérieure du corps calleux; elle n'intéresse que la substance blanche des hémisphères circonscrite par l'écor
alleux. - sol, sillon de Monro. - sp, scissure sous-pariétale. - Spp, substance perforée postérieure. - Te, tuber cincreum. - T
les du corps calleux, en arrière et en dehors, et se perdent sur la substance perforée antérieure. En arrière, les nerfs de L
inuent soit avec le fasciola cinerea (Fc) (fig. 1 i.9) soit avec la substance blanche réticulée de la circonvo- lution de l'h
lleux (Cc[r]). Le som- nuit du bec se réduit à une mince lamelle de substance blanche, la commis- sure blanche de la base de
du troisième ventricule (V3), et comme telle est recouverte par la substance grise centrale (Sgc), et par l'épendyme ventricul
um, passent en avant de la commissure antérieure et se rendent à la substance perforée anté- rieure. Ces fibres constituent l
d'Ammon. Lins, lame médul- laire superficielle de la corne d'Ammon ( substance réticulée d'Arnold). NC', lueue du noyau caudé.
uban de Reil médian. Rp, partie pédonculaire du ruban de Reil. -SR, substance réticulée. T,gp, pilier postérieur du trigone. Th
orne d'Ammon. Lms, lame médullaire superficielle de la corne d'Ammon ( substance réticulée d'Arnold). Ln, locus niger. - Nu, que
corps calleux. - SM, sillon de Monro. SI', septum lucidum. - Spp, substance perforée postérieure. STh, région sous-optique.
s plus irrégulières. La couche externe ou blanche, l'analogue de la substance blanche, reçoit, en arrière, les fibres longitu
l'adulte par un épithélium pavimenteux qui repose sur une couche de substance grise riche en névroglie. L'épaisseur de cette
couche de substance grise riche en névroglie. L'épaisseur de cette substance grise sous-épendymaire (Sge), est insignifiante
termi- nale d'Aeby (vt), tapissé par l'épendyme ventriculaire et la substance grise sous-épendymaire (fig. 177). Le ventric
nt convexe de la couche optique (Th), revêtue d'une mince couche de substance grise, la substance grise centrale (Sgc); la ré
che optique (Th), revêtue d'une mince couche de substance grise, la substance grise centrale (Sgc); la région inférieure, ou ré
issure grise de la base (losange opto-pédonculaire, tuber cinereum, substance perforée postérieure, etc.), en arrière et en deh
n arrière et en dehors par la région sous-optique. Une lamelle de substance grise, la commissure molle ou grise (com), situ
ssure de Rolande. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épend
xtra-ventriculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - S
des pédoncules cérébraux (fig. 213); plus en avant se trou- vent la substance perforée postérieure et le tuber cinereum (te).
corpora striata média qui correspondraient d'après Vicq d'Azyr, à la substance grise des pédoncules cérébraux, et d'après Burd
circulaire (yeminzem centi-itin semi-cinczclccre),une bandelette de substance blanche située entre les corps striés et la cou
i caudatus, lentiformis et tseniaformis, séparés par trois lames de substance blanche, les capsules interne, externe et extrê
sule extrême. Le nucléus tseniaformis, mince bandelette dentelée de substance grise, a été signalé et figuré pour la première f
ans le ventricule latéral; par sa face inférieure, il repose sur la substance blanche des lobes frontal ou temporal, et appa-
j'orr' antérieur. Sa face interne répond à la couche optique, à la substance grise sous-épendymaire du ventricule latéral, a
pports qu'il affecte avec la capsule interne ; celle-ci traverse sa substance sous forme de stries ou de gros faisceaux blanc
omplète, ils sont en effet intimement unis par de nombreux ponts de substance grise; et au niveau de l'extrémité antérieure d
lenticu- ... laire) et de son union avec le noyau amygdalien et la substance perforée antérieure. Le noyau caudé est coloré
t avec la masse blanche des circonvolutions orbitaires. p, ponts de substance grise reliant le noyau caudé au noyau lenticula
dont la face supérieure lui est parallèle, de nombreuses travées de substance grise qui traversent la capsule interne, et établ
1 372 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses rapports avec . la substance grise sous-opendymaire et le faisceau occipit
egment du noyau lenticulaire, dont elle est séparée par une zone de substance blanche comprenant la .couronne rayon- nante du
spond, à l'angle externe du ventricule latéral. Il est coiffé de la substance grise sous- FiG. 215. Paroi inférieure de l'éta
ventricule latéral, où elle est recouverte par une mince couche de substance blanche facile à enlever par un grattage léger
aisseaux artériels et vei- neux, parallèles entre eux, émanés de la substance perforée antérieure et dont la direction est ve
einterne. Elle est reliée au noyau caudé par de nom- breux ponts de substance grise. La face inférieure, presque horizontale, e
eure recourbée de la queue du noyau caudé (NC"), par une lamelle de substance grise volumineuse et constante connue sous le n
per- foré antérieur (Spa) par l'anse pédonculaire de Gratiolet, ou substance inno- minée de Reichert (Sti) qui contient troi
ois segments concentriques, nette- ment délimités par deux lames de substance blanche, les lames médullaires externe et inter
couche optique ou thalamus (Th) constitue une masse volumineuse de substance e grise, irrégulièrement ovoïde, dont la grosse
paroi latérale du troisième ventricule; elle est recouverte par la substance grise centrale (Sgc) et tapissée par l'épendyme
rapports suivants : par sa partie antérieure, elle pénètre dans la substance grise qui tapisse le plancher du troisième vent
mus. j| Son pédoncule an- térieur. i gone, et repose sur la substance innominée de Reichert (Sti), zone de sub- - sta
ubstattia iniioi21111(ita (Sti) (fig. 230 et 231). En arrière de la substance innominée, la face inférieure, plus large, de l
thalamique de Forel (fig. 247 à 252). Cette région s'étend de la substance innominée de Reichcrt au locus niger de Soernme
forment un véritable réseau, dont les mailles sont remplies par la substance grise. .Celle disposition donne à la face exter
externe est séparé des noyaux antérieur et interne par une lame de substance blanche, la lame médullaire interne du thalamus (
rieur; en arrière, il se continue ainsi que Luys l'a montré avec la substance du pulvinar. Nettement limité en de- dans par l
n'intéressent que les noyaux externe et antérieur. Recouvert par la substance grise du troisième ventricule au niveau de la c
Depuis Reil, on désigne sous le nom de capsule interne une lame de substance blanche comprise entre le noyau lenticulaire d'un
e et striée, celle qui se continuait en avant et en arrière avec la substance blanche des hémisphères, en haut avec le centre o
ales (fig. 241 à 252), elle se présente sous la forme d'une lame de substance blanche dirigée obliquement de haut en bas et d
- quemment interrompu, surtout en bas et en avant, par les ponts de substance grise qui relient la tète du noyau caudé au put
r le bichromate de potasse produit un état de différenciation de la substance blanche du système nerveux, bien connu depuis lon
t laquelle sont sectionnées les fibres de tel ou tel faisceau de la substance blanche, mais encore il l'angle d'incidence des
uation et des rapports des noyaux gris soit entre eux, soit avec la substance blanche, et nous permet de suivre, dans une par
la première circonvolution limbique (L,). Elle n'intéresse que la substance blanche de l'hémisphère, entourée par les circo
la première ! tt circonvolution occipitale (0,) et du cunéus (C). , Substance blanche. Dans la masse blanche de l'hémisphère, i
tecta (tec) qui représente le véri- table limbe de l'hémisphère. Substance blanche. - Le corps calleux (Ce) est sectionné da
gue par ses contours assez nets. Il est séparé du ventricule par la substance grise sous-épendymaire (Sge), réduite au niveau d
ment au microscope. En arrière (Sge') et surtout en avant (Sge), la substance grise sous-épendymaire aug- - 1 ? 1% : , F3, pr
ure de la scissure de Sylvius. scc, sinus du corps calleux. - Sc/e, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. -
Sc/e, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé, substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale. -
ités - , antérieure et postérieure du ventricule latéral (VI). La substance grise sous-épendymaire (Sge, Sé), est embrassée p
après la fermeture antérieure du ventricule on le retrouve entre la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le pied de la cou
228). En arrière, le faisceau occipito-frontal recouvre de môme la substance grise sous-épendymaire qui coiffe le carrefour ve
s perpendiculairement ou obliquement, sillonnée de prolongements de substance grise, que lui envoie le noyau caudé. Les fibre
I) est assez étendu, son extrémité antérieure est en- tourée par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et par le faisceau o
rémité postérieure par une couche beaucoup plus mince de cette même substance grise sous-épendymaire (Sgé), et par le corps cal
au milieu des- quelles, on trouve disséminées des petites masses de substance grise, appartenant au putamen (NL3) et quelques
grise, appartenant au putamen (NL3) et quelques prolongements de la substance grise de la 1(t( ! du noyau caudé. La capsule i
Th) et l'extrémité supérieure du putamen (NL : ,). L'écorce et la substance blanche sous-jacente ne différent de celles de la
lleux pénètrent dans le lobe frontal entre le cingulum (Cing) et la substance grise sU/ls-l;pl'nd ! l1/wirl ! (Sge) coiffée du
en dedans le carrefour ventriculaire (VI) dont il est séparé par la substance grise sous-épendymaire (Sâ), réduite il une mince
sur coupe précédente, elle envoie - ' au putamen (NL.,) un pont de substance grise assez large, qui traverse le segment anté
do la scissure de Syivius. sec, sinus du corps calleux. - Sge, Sgé, substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - s
ACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 397 sur la coupe précédente, les îlots de substance grise appartenant au putamen. (NL3) sont cepend
eux. Sexv, surface extra- .. ventriculaire du thalamus. - Sge, Sgé, substance grise sous-ilxnds-maire. - SI, septum luci- dum
ou du corps calleux (Ce) et le pilier antérieur du trigone (ta). La substance grise sous-r;pendY1nail'e (Sge) n'est apparente
leux. - - .xu, surface extra-ventriculairc de la couche optique. Sge, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - l ? 1·.
putamen (NL3) par trois couches, une blanche externe, formée par la substance blanche de l'insula ou capsule extrême (Cex), u
sulaire postérieure est en rapport avec Yopercule rolandique (OpR). Substance blanche. La masse blanche sous-jacente à l'écorce
al. Au niveau de la corne frontale, on trouve comme précédemment la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occ
du noyau lenticulaire ou putamen (NL3), est relié par des ponts de substance grise, il la tête du noyau caudé (NC), et à la po
ux. - Sexe, surface extra-ventriculaire de la couche optique. S,ge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. SI,
. .S'e.Et', surface eztra-ventriculairc de la couche optique. -Sye, substance grise sous-épendçntaire de la corne frontale. -
ntricule latéral (Voc), dont elle n'est séparée que par une lame de substance blanche qui double en dedans la corne occipital
re ou profonde du lobe limbique (L, ), est recouverte par une lame de substance blanche, la substance réticulée d'Arnold (Lms),
imbique (L, ), est recouverte par une lame de substance blanche, la substance réticulée d'Arnold (Lms), formée aux dépens d'un
e l'hippocampe à la face externe du lobe limbique et constituant la substance réticulée ou lame médullaire superficielle d'Arno
). La partie adhérente du trigone concourt à formel* l'alvéus ou la substance blanche intra-ventriculaire de la corne < ? tx
genou du corps calleux (Cc[g]); son angle externe est coiffé par la substance grise sous-épendymaine du ventricule latéral (Sge
aires sont simplement accolées dans cette région, et entourées par la substance grise sous-épendymaire, qui double le fond de l
l'écorce de la région, entourée d'une couche mince mais complexe de substance blanche. (Voy. Coupes vel'tico-tl'ansvel'salcs 11
Coupes vel'tico-tl'ansvel'salcs 116 et 1 ° ? ? , fig, 63 et G 1. ) Substance blanche. - Cette substance diffère peu ici de ce
salcs 116 et 1 ° ? ? , fig, 63 et G 1. ) Substance blanche. - Cette substance diffère peu ici de ce qu'elle est sur les coupe
rieure de la scissure de Sylvius. sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-epend
sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-ependymaire. - T,, T3, première et deu
troisième segment, du noyau lenticulaire (NL) par quelques ponts de substance grise, elle en est séparée par le segment antérie
il divise en deux parties. La partie antérieure est tapissée par la substance grise centrale (Sgc) du troisième ventricule (V
rapport au niveau de l'angle antéro-externe du ventricule, avec la substance grise soo.s-r·pendyrzaire (Sge) et le faisceau
u du fond de la scissure calcarine (K), on trouve une lame mince de substance blanche, que les sels de chrome, et surtout les
le de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - S7c, substance grise centrale. - Sge, substance grise' sous-ép
ec, sinus du corps calleux. - S7c, substance grise centrale. - Sge, substance grise' sous-épendymaire. Sih, scissure inter-hémi
adrijumeau antérieur. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épend
ions optiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc. T, , ? 2, T3, première,
corne d'Ammon (CA) surmontée du pilier postérieur du trigone (Tgp), Substance blanche. Le cingulum (Cing) est sectionné en avan
de la corne frontale, et conserve, en dehors, ses rapports avec la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le fais- ¡;eau
t de la lame terminale embryonnaire (lt) où elle se confond avec la substance grise, qui forme à la face inférieure du cer- v
ur. - RC, radiations de la calotte. -- RTh, radiations optiques. SAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance
ions optiques. SAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen-
se de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. - so, sillon sus-orbi
t plus prononcée que l'on considère des coupes plus inférieures. La substance grise de la corne d'.41/1.11lon se continue avec
d'arrêt de l'écorce cérébrale. .É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche. - La masse blanche du lobe occipital est
e l'hippocampe (H) et se dilate dans certains cas pathologiques. La substance blanche de l'hippocampe le contourne, et forme
isparu, mais on retrouve toujours, coiffant le noyau caudé (NC), la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui se dis- tingue
nférieure du globus pallidus dans la région désignée sous le nom de substance innominée de Ileichel'l (Stil ou d'anse pédoncu
cérébral. , . On trouve dans cette région limitée en dedans par la substance grise centrale (Sge) du troisième ventricule (V
avant et en dedans, par l'anse du noyau lenticulaire (Al). Dans la substance grise centrale (Sge), on trouve la section perp
en arrière et en dedans. Il est nettement délimité en avant par la substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SAq) qui fait su
a substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SAq) qui fait suite à la substance grise centrale (Sge) du troisième ventricule.
uve le corps genouillé externe (Cge), réduit à une mince lamelle de substance grise, dans laquelle s'irradient les fibres du'se
dente (lignes 70 des Ji-. 217 et 218). , Cette coupe passe par la substance innommée de Reichert (Sti) et la partie supérie
lanches qui appartiennent en partie au faisceau, uncinalus (Fuj. La substance grise .eou.e-nlrcnclynaai>v (Sge) et les fibre
olet. - S (a), branche antérieure de la scissure de Sylvius. - Sq Aq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance g
de Sylvius. - Sq Aq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sti, substance innommée
l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sti, substance innommée, de Reichert. so, sillon sus-orbitaire
e, on trouve la section de l'aqueduc de Sylvius (Aq), entouré de sa substance grise, et coiffé du tubercule quadrijumeau antéri
ve une couche blanche, intermédiaire entre le globus pallidus et la substance grise de l'espace perforé antérieur. C'est la s
lidus et la substance grise de l'espace perforé antérieur. C'est la substance innominée de Reichert (Sti), l'anse pédonculaire
troisième paire, avec le faisceau longitudinal postérieur (Flp). La substance innommée de Reichert (Sti) est limitée, en avant
l- loso-marginal. Elle intéresse la base du cerveau au niveau de la substance perforée antérieure (Spa) et le pied du pédoncu
omplètement séparés ; ils sont réunis et fusionnés entre eux par la substance innommée de Reichert (Sti) et par la substance gr
nés entre eux par la substance innommée de Reichert (Sti) et par la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) ; ils
(coa). Dans l'espace compris entre la tête du noyau caudé (NC), la substance inno- minée (Sti) et le pu/amen (NL.,), on trou
ou quatre rangées, et qui correspondent il la partie externe de la substance perforée antérieure de la base. La couche grise s
edans des orifices vasculaires correspond à la partie interne de la substance perforée antérieure (Spa), et relie la substanc
rtie interne de la substance perforée antérieure (Spa), et relie la substance innominée (Sti) au noyau caudé (NC) ; elle est
audé (NC) ; elle est limitée en dedans par le dernier vestige de la substance grise centrale (Sgc), qui entre déjà dans la co
(Te) et de la partie profonde du tubercule mamillaire (Tm). Dans la substance perforée antérieure (Spa) on trouve les dernièr
en avant par la lame terminale embryonnaire (It), en arrière par la substance perforée postérieure (Spp). En arrière du troisiè
laquelle il n'est relié que par sa partie antérieure, au niveau de la substance perforée antérieure. Dans le pédoncule (P) on
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la région précédente par une bande de substance grise très colorée, le locus niger de Sommering
ijumeaux (qu), limitée en avant par l'aqueduc de Sylvius (Aq) et la substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq). Le pied du
n'est pas intéressé sur la coupe, et la bandelette se perd dans la substance grise du tuber cinereum (Te). Dans ce triangle gr
de Reil médian. - RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. -Sge, substance grise sous-épendy
ns thalamiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. -Sge, substance grise sous-épendymaire. so, sillon sus-orbitaire
e grise sous-épendymaire. so, sillon sus-orbitaire de Broca. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée po
us-orbitaire de Broca. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. - SR, substance réticulée
e perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. - SR, substance réticulée. - Sti, substance innominée de Reichert
, substance perforée postérieure. - SR, substance réticulée. - Sti, substance innominée de Reichert. - 7 ? 1 ? T3, première,
RVEAU. 429 bandelette optique (II), on trouve la couche grise de la substance perforée anlé- rieure (Spa), séparée de la band
ère circonvolution limbique (L,) se continue insensiblement avec la substance grise de l'espace perforé antérieur et le noyau
Sa queue (NC') se fusionne avec le noyau amygdalien (NA) et avec la substance innommée de Reichert (Sti). En dehors de ces noya
m, ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise sous-pendymaire. - Spa, substance perforé
l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise sous-pendymaire. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée
grise sous-pendymaire. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. - Sti, substance innommée d
perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. - Sti, substance innommée de Reichert. - T,, Ts, T3, première, d
atiolet. S(a), branche antérieure de la scissure de Sylvius. - Spa, substance perforée antérieure. - T,, 7's, T ? première, d
mpe on trouve : la circonvolution de l'hippocampe (H) revêtue de la substance réticulée d'Arnold (Lms), puis le lobule fusiform
ernière se continue au niveau du sillon de l'hippocampe (h) avec la substance réticulée d'Arnold (Lms) qui représente la couche
es d'association et de projection. Sur la coupe n° 37 (fig. 239) la substance grise est réduite il la couche sous- épendymair
- tec, toenia tecta. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 439 de la substance grise sous-épcndyntaire (Sge) ; celle-ci se rédui
n (coupes nos 43 et 46, fig. 2ho2), il est relié par des ponts de substance grise au troisième segment du noyau lenticula
interne (Cia), s'insinuent dans les intervalles de ces ponts de substance grise. La coupe n° 46 et les suivantes démontrent
dé, l'autre externe, exlra- ventriculaire, ou noyau lenticulaire. Substance blanche. Dans la masse blanche de cette série de
de la scissure de Syl- vius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. -le, tænia tecta. J'L,
de la scissure de Sylvius. -- sec, sinus du corps calleux. - - Sge, substance grise sous-épendymaire. TA, Ts, première et deu
calleux (Foa) et sur les coupes nOS 33 et 37 (fiez. 238-239), de la substance grise sous-épendynwil'e (Sge) qui double la cor
t du noyau lenticulaire (NL3), et qui est traversé par les ponts de substance grise qui relient ces deux noyaux. Le système
cale de la scis- sure de Sylvius. Sec, sinus du corps calleux. Sge, substance grise sous-épendymaire. T,, 7 ? première et deu
lon prérolandique inférieur. - Sec, sillon du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. SrJ), S(v), brandies postérieur
bord externe du ventricule latéral (VL), dont il est séparé par la substance grise sous-épendymaire (Sge), tandis que le pie
t d'autant plus longues, qu'elles appartiennent à des régions de la substance blanche plus rapprochées du centre ovale (CO). Né
convolution frontale. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - Sge, substance grise sous-épendymaire. SI, Sep- tum lucidum. -
et troisième sillons temporaux. - 17, ventricule latéral. \, pont de substance grise unissant la partie inférieure des noyaux
enticulo-cauclues). - pri, sillon prérolandique infé- rieur. - Syc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épcnd
prérolandique infé- rieur. - Syc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épcndymaire. - SI, sep- tum lucidum.
lucidum. S (y), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Spa, substance perforée antérieure. - 7·,, 7·,, 1 ? première,
de la circonvolution du crochet (U) se confond insensiblement avec la substance grise de l'espace perforé antérieur (Epa), ains
oyenne, située en dedans et en bas, est formée par un large pont de substance grise (X) qui réunit la tête du noyau caudé (NC
(VI). Sa face profonde envoie au putamen (NL3) de nombreux ponts de substance grise, séparés par les fibres du segment antérieu
ieure par le corps calleux (Ce). Son bord externe est entouré de la substance grise sous-épen- dymaire (Sge) qui le sépare du
inférieur du ventricule latéral, on trouve, en effet, une couche de substance grise, la substance grise centrale (S-c), dans la
ule latéral, on trouve, en effet, une couche de substance grise, la substance grise centrale (S-c), dans laquelle 29 lie 2t
e la scissure de Sylvius. - Sge, subs- tance grise centrale. - Sge, substance grise sous-vpendymaire. - Spa, substance perforée
tance grise centrale. - Sge, substance grise sous-vpendymaire. - Spa, substance perforée antérieure. - SI, septum lucidum. - tu
, fig. 245) l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Cette substance grise, qui recouvre la commissure antérieure (coa
u ventricule latéral (VI), le noyau caudé (NC) est recouvert par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occ
iveau de l'angle inférieur du ventricule, il est en rapport avec la substance grise centrale (Sge). Sa face profonde envoie au
e (Sge). Sa face profonde envoie au putamen (NL3) quelques ponts de substance grise et de nombreux faisceaux blancs, constitu
r la lame mé- dullaire externe (lme) du noyau lenticulaire et de la substance grise centrale (Sge) par le segment antérieur d
e blanche et nacrée. Par son extrémité interne, elle plonge dans la substance grise centrale (Sgc), tandis que son extrémité ex
(NL3) et du segment externe du globus pallidus (NL2) repose sur la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa). Au-des
pondent aux artères lenticulo-striées, et à la partie externe de la substance perforée anté- rieure.(Spa). Cette coupe n° 60
(NC) est relié au noyau lenticulaire (NL3' 2' 1)' par des ponts de substance grise et par les fibres lenticulo-striées. Il e
es fibres lenticulo-striées. Il est toujours recouvert en haut par la substance grise sous" : épendymaÎ7'e (Sge) et le faisceau
hors (NL3), le globus pallidus (NL2, 1) en dedans. Il repose sur la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa), dont
re de Sylvius. Se ? surface extra"ven- triculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épend
"ven- triculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendy maire. SI, septum lucidum. -
ous-épendy maire. SI, septum lucidum. - sM, sillon de Monro. - Sti, substance innominée de Rei- chert. 7\, T2, T, première, d
obus pallidus (NL2;1) est réunie au noyau anzygda- lien (NA) par la substance grise de l'espace perforé antérieur. De cette sub
n (NA) par la substance grise de l'espace perforé antérieur. De cette substance grise et des noyaux environnants, partent des f
e temps les plus internes, se recourbent en haut, pénètrent dans la substance grise centrale (Sge) et se terminent dans les r
ue (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) sont plongés dans la substance grise de l'espace perforé antérieur et forment,
ment, dans leur ensemble, l'anse pédonculaire de Gra- tiolet, ou la substance innominée de Reichert (Sti), mal délimitée dans s
A la face inférieure du cerveau entre le tuber cinereum (Te) et la substance per- forée antérieure, on trouve labandelette o
orée antérieure, on trouve labandelette optique (II) enclavée dans la substance grise de la base du cerveau. Le troisième ventr
onvolu- tion limbique (L,dont l'écorce se confond en dehors avec la substance grise du noyau, amygdalien (NA). Cavités vent
nante de la couche optique (Thi. Son bord externe est coiffé par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau 454
ampe Sa face libre ou intra-ventriculaire est revêtue d'une lame de substance blanche, l'alvéus (Alv) qui envoie de petits pr
e, l'alvéus (Alv) qui envoie de petits prolongements blancs dans la substance grise de la corne d' : trzmmon. Entre ces prolo
t a l'acllu/-11/.UI' (AM), et envoie en bas une petite languette de substance grise, qui le relie il l'extrémité antérieure rec
(1,Tiiia En dedans, le putamen (NI : ! ) envoie un prolongement de substance semi-circularis). En dedans, le putamen (nul3)
i-circularis). En dedans, le putamen (nul3) envoie un prolongement de substance grise beaucoup plus considérable que le précéde
n'est adhérente que par sa face supérieure, où une mince lamelle de substance blanche la sépare du globus pallidus. La couche
ière; elle présente une face interne verti- cale, recouverte par la substance grise centrale (Sge) et qui concourt à former la
e de Sylvius. - Sexe, surface extra-vcntriculaire du thalamus. - Sge, substance grise centrale. - S,e, substance grise sous-epe
-vcntriculaire du thalamus. - Sge, substance grise centrale. - S,e, substance grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. -
a-ventriculaire du thalamus. - sec, sinus du corps calleux. - .S'c, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendym
sec, sinus du corps calleux. - .S'c, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. sJl, sillon de de Monro
eau inférieur ou lenticulaire (FI), séparés par une mince couche de substance grise, la zona incerta du même auteur (Zi), qui
tinue en haut avec la zone réticulée (Zr). Limitée en dedans par la substance grise centrale (Sgc), la région sous-optique est
optique (Ni) est très peu accusé (fig. 248), il se confond avec la substance grise centrale (Sgc) et n'appa- raît, comme noy
Vsph). Sa face superficielle est recou- verte d'une mince couche de substance blanche, qui correspond à la substance, réticul
verte d'une mince couche de substance blanche, qui correspond à la substance , réticulée d'A l'IlIIld ou lame médullaire .suy
, réticulée d'A l'IlIIld ou lame médullaire .suyercin,lle (Lms). La substance blanche qui tapisse la face ventriculaire, de l
nue avec Yalvéus (Alvj. Sur la coupe n° 75 (fig. 248), la couche de substance grise inter- médiaire décrit quelques festons q
Les deux lèvres du sillon de l'hippocampe (h) sont tapissées par la substance blanche réticulée d'Arnold, désignée encore sou
corps calleux.Se.ff, surface extra-ventriculaire du thalamus.- Sage, substance grise sous- épendymaire. sM, sillon de Monro. -
ations optiques de Gratiolet. sec, sinus du corps calleux. - S',ge, substance grise sous-épendymaire. 1'l, T ? 73. première,
atiolet. - S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 p
a (Gh) qui se trouve sectionné sur la coupe n° 86 (fig. 253). ' , Substance blanche. - Le corps calleux (Ce) et les longs fai
aire (NL3), n'est plus repré- senté que par des îlots disséminés de substance grise, situés sur le trajet d'une COUPES MACROS
re de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge. substance grise sous-épendymaire, - sM, sillon de Monro. T,
olet. S (pu), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro.
ge, substance grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. - S/i, substance réticulée. - 7'l, 7'i, T3, première, deuxième et
de la scissure de Syl- vius. - sec, sinus du corps calleux, - Sge, substance grise sous-épendymaire ? SR, sub- stance réticu
Se.vv, surface extra-ventricu- l;tire de la couche optique. - Syc, substance grise sous-épendymaire. SR, substance réti- cul
re de la couche optique. - Syc, substance grise sous-épendymaire. SR, substance réti- culée. - slr, stratum zonale. - T,, T., T
oncule. On trouve en dedans l'aqueduc de Sylvius (Aq) entouré de la substance grise, en haut la commissure postérieure (cop)
ance grise, en haut la commissure postérieure (cop) et en dehors la substance réticulée (SR), bordée Dar le ruban de Ileil la
corps calleux. - Sexe, surface cxtra-vcntriculairc du thalamus. Sge, substance grise sous- épendymaire. - Spl, bourrelet du co
eure; le pilier ptostérieur (Tgp) forme sur ces coupes la couche de substance blaiielie qui recouvre la circonvolution, godro
plus saillante de l'arc décrit par la queue du noyau caudé (\1G'). Substance blanche. La situation du corps ««//eux (Ce) par r
266) passe en arrière de la cavité ventriculaire, elle intéresse la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui double le ventri
extrémité postérieure en est éloignée peu près trois centimètres. Substance blanche. - Les fibres calleuses sont sectionnées
alc. - PrC, précunéus.-RTh, radiations optiques de Gratiolet. S'ye, substance grise sons-epcndymaire. Tap, tapetum. - t ? bra
Gr]), qui .en arrière semble se con- fondre directement avec la substance grise de la tête du noyau caudé (NC). En avan
inférieure de l'hémisphère avec la lame médullaire superficielle ou substance blanche réticulée d'Arnold, qui recouvre la circo
. Sa face inférieure donne insertion 11 des lambeaux irréguliers de substance grise, qui appartiennent 488' ANATOMIE DES-CE
m. - so, sillon sus-orbitaire. - sp, scissure sous-pariétale - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée
scissure sous-pariétale - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. SR, substance réticulée.
nce perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure. SR, substance réticulée. tec, ttenia tecta. Tg, triuryr ? cmyli
t la masse commune concourt il former il la base de l'hémisphère la substance perforée antérieure (Spa) qui se confond avec l
le champ de Foret (F). En arrière du noyau rouge, nous trouvons la substance réticulée de la calotte (SR) et les fibres du p
mant la racine olfactive supérieure de Broca et en arrière avec la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa), qui
me, occupe la partie inférieure du corps strié; il est séparé de la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) par une
us l'aspect d'un faisceau ovalaire très foncé; elle est entourée de substance grise qui correspond à la première ébauche du glo
- R, scissure de Ro- lando. - scc, sinus du corps calleux. - Sfle, substance grise centrale. si, sillon opto-strié. - sa, si
centrale. si, sillon opto-strié. - sa, sillon sus-orbitaire. - Spa, substance perforée antérieure. SR, substance réticulée. -
- sa, sillon sus-orbitaire. - Spa, substance perforée antérieure. SR, substance réticulée. - slrz, stratum zonale. - tee, teiii
vant par l'anse du noyau lell- ticulaire (Al), qui le sépare de la. substance grise centrale (Sgc). Au-dessous du corps de Lu
e du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa); ce triangle renferme la substance réticulée (SR) de la calotte du pédoncule. Au-des
sillon calloso-marginal n'est plus représenté que par deux îlots de substance grise situés en a et en , et la masse blanche du
pallidus est situé au-dessus de la bandelette optique (II) et de la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa), en ava
re de Sylvius. Sen', surface cxtra-vcntt'iculairc du thalamus. Sge, substance grise sous-ependymaire. si, sillon intermédiair
rise sous-ependymaire. si, sillon intermédiaire ou opto-strié. Spa, substance perforée antérieure. slra, stratum zonale. Tg,
t la surface de section n'est encore représentée que par un îlot de substance grise, séparé du pli iiibi (j lie par le sillon
vre supérieure de la vallée de Sylvius (VS), elle est formée par la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) et la p
elle-même, recou- verte du côté du venlricule par une mince lame de substance blanche, Valve us (Alv) et du côté du sillon de
campe (h), par une lame blanche, festonnée, qui se continue avec la substance blanche réticulée d'Arnold ou lame médullaire s
ne (Tgp), une seconde fois en arrière de la corne 6.iM ? Mf (CA). Substance blanche. - Le ventricule latéral est recouvert pa
nche. - Le ventricule latéral est recouvert par une mince couche de substance grise, la substance grise, sous-épcndymaire (Sge)
e latéral est recouvert par une mince couche de substance grise, la substance grise, sous-épcndymaire (Sge), qui s'épais- sit
gueur; il est réuni en avant au putamen (NL,) par des languettes de substance grise. Dans la concavité que décrivent ces deux p
, pulvinar. w/, pli rétro-linibique. R, scissure de llolando - Sge, substance grise sous-épendymaire. Spa, sub- stance perfor
ôté de la fente céré- In'ale de liiehat, sa base est adhérente à la substance grise de l'espace perforé anté- rieure (Spa) et
x (Cc), une surface ovalaire, légèrement teintée, qui correspond la substance grise sous-(; (Sge) qui tapisse l'angle externe d
'uswpiques, fig. 240 il 35<j.) Au-dessus du bord supérieur de la substance grise sous-épendymaire, on trouve les dernières
rtie supérieure de sa tête (NC), où il est réduit à quelques îlots de substance grise, situés sur la ligne de limite inférieure
de substance grise, situés sur la ligne de limite inférieure de la substance grise sous-élzendy- maire (Sge). Des ponts inco
substance grise sous-élzendy- maire (Sge). Des ponts incomplets de substance grise le relient au putamen (NL3) qui a augment
en arrière. Ses faces ventriculaires sont tapissées par une lame de substance blanche, l'alvéu.s (Alv) qui se continue au niv
1)J'ale de Bichat (B) avec le pilier postérieur du. trigone (Tgp). La substance grise de la corne d'Ammon est subdivisée en deu
l'une inférieure, l'autre supé- rieure, par une couche festonnée de substance blanche, connue sous le nom de lame médullaire
. pulvinar. il, scissure de Rolande. S, scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-èpendymaire. - sa, substance innommée
scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-èpendymaire. - sa, substance innommée de Rei- chert. - T'a, deuxième circonv
caudé ont disparu, et ne sont plus représentés que par les ponts de substance grise qui cloisonnent le segment postérieur de
orne sphé- ? wïdale(Vsph), où elle envoie au putamen (NL3) un pont de substance grise, qui embrasse dans sa concavité la commis
volume, son bord supérieur donne naissance à de nombreux ponts, de substance grise (NL3) qui s'irradient pour se porter en d
lisses, sa moitié postérieure donne naissance il des languettes de substance grise qui se dirigent en haut et en arrière ver
s de l'insula de la coupe suivante (fig. 276), on trouve un amas de substance grise, d'aspect ovalaire, qui se prolonge en ba
éresse les circonvo- lutions de l'insula (la, Ip). L'écorce et la substance blanche occupent ici une surface beaucoup moins
branches antérieure et verticale de la scissure de Sylvius. Sg Vsph, substance grise sous- épendymaire de la corne sphénoïdale
e, sous la forme d'une dépression irrégulière, recouverte par de la substance grise sous-épendymaire (SgVsph) et entourée par
), la région sous-thalamique de la capsule interne (coupe D), et la substance innominée de Roichert (coupe E). Elles montrent
e externe, s'unit au faisceau longitudinal inférieur et dissocie la substance grise de l'avant-mur, pour s'irradier dans la fac
Meynert, du petit faisceau du tuber cillercllln de Gudden et de la substance innominée de Rciohcrt ou anse pédonculaire de Gra
ux et de la corne frontale du ventricule latéral. Elle intéresse la substance grise OM ? CM<7y- maire (Sge) les fibres cal
de la branche transversale de l' incisure en H de Broca (f.,)'. La substance grise sous-épendymaire (Sge), autour de laquelle
522 ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. ganglions centraux. Autour de la substance grise sous-épendymaire, on trouve un faisceau v
calleuses (Ce). Très épais il la partie interne et supérieure de la substance grise sous-épendymaÍ1'e (Sge), il est formé en
circonvolution frontale. - IiCc, radiations du corps calleux. - Sge, substance grise sous- ependymaire. COUPES MICROSCOPIQUE
xterne de ce même ventricule. Les fibres calleuses, qui limitent la substance grise sous-épendymaire en haut, se portent tran
). On les voit très nettement contourner la partie supérieure de la substance grise s01ls-épendymail'e (Sge) et se réunir à l
libres sectionnées perpendiculairement à leur axe, qui limite cette substance en dehors. Cette couche appartient encore au syst
s du lobe frontal (Voy. fig. 395). Entre ces fibres calleuses et la substance grise sous- épendymaire, on trouve la section t
es par la coloration moins foncée de ses fibres. Au-dessous de la substance grise s01ls-épendymaire, les fibres calleuses inf
e (1,), présente une très belle irradiation de fibres. Venues de la substance blanche, elles s'épanouissent dans la couche pr
les se placent en dehors du faisceau occipito-for7tal (OF) et de la substance grise sous-épendymaire (Sge) très épaisse à ce
- volution frontale.- lice, radiations du corps calleux. Sge, Sge', substance grise sous-épen- dymaire. lec, tec', ténia tect
colorées par l'hé iiiitox-1 ine -Il est en contact immédiat avec la substance grise sous-épendymaire (Sge), assez épaisse au
u de la paroi interne, l'épendyme se réduit à une mince lamelle. La substance grise sous-csloendynzaire contient comme sur la
Ils sont réunis il leur partie inféro-interne par un large pont de substance grise et affectent la forme d'un U oblique en hau
. Au-dessous du ventricule latéral, le noyau caudé est séparé de la substance grise du septum lucidum par des fibres riches en
u caudé (NC) et le putamen (NL3) sont formés par une seule masse de substance grise, réunie'parde nombreux ponts et présentant
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;i29 en pointe en dehors de la substance grise sous-épendymaire et du faisceau occi- pit
ns la concavité de laquelle se logent les fibres calleuses (Ce), la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occip
ylvius. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius.-Sge, substance grise sous-pcndynurirc. SI, scl>tum lucidum.
men, l'avant-mur (AM') se présente sous l'aspect de petits îlots de substance grise, morcelée par des libres fortement coloré
u occipito-frontal, situé entre le pied de la couronne rayonnante, la substance grise sous-épendymaÎl'e(Sge) et les fibres call
occupent la partie interne. Ce sont elles qui forment la traînée de substance claire, comprise entre les fibres calleuses et
e antérieure (coa), le segment externe du globus pallidus (NL,), la substance perforée an- térieure et le pilier antérieur du
egment exlerne du globus pallidus. Quoique celte coupe passe par la substance perforée antérieure, le corps strié n'apparaît
'extérieur; sa face inférieure est doublée en effet par une lame de substance grise riche en libres, la substance innominée de
oublée en effet par une lame de substance grise riche en libres, la substance innominée de lipichei-1 (Sti), qui se continue
ce innominée de lipichei-1 (Sti), qui se continue en dedans avec la substance grise du tubel' cÙlel'enlit (Te) et en dehors a
iffé au niveau de l'angle externe du ventricule laléoal (VI) par la substance grise sous-épendymaire (Sge, Sgé). Celle-ci est
septum lucidum (SI) et la face inférieure du corps calleux (Ce). La substance grise qui coiffe externe du ventricule latéral
fibres myéline; celles-ci font presque complètement défaut dans la substance grise qui recouvre le pilier antérieur du trigo
ontal (OF), le pied de la couronne rayonnante (pCl3.), ainsi que la substance blanche de la première circonvolution frontale
ne. Elles sont groupées en gros fascicules séparés par les pouls de substance grise qui relient le noyau caudé (XC) au putame
re du faisceau uncinalus (Fu) est disso- ciée par des languettes de substance grise, qui appartiennent à l'écorce de la parti
(Voy. coupe F, fig. 298). Au-dessous du globus pallidus et de la substance grise sous-épendymaire qui double le bord infér
calleux, chap. IV). Au-dessous de la commissure antérieure, dans la substance grise de l'espace perforé antérieur, qui doit ê
ieur, qui doit être considéré comme le prolongement antérieur de la substance innominée de Reichert (Sti), on voit un certain n
S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - S,ge, S,ge', substance grise sous-épendymaire. SI, septum lucidum.- Sti,
- tionnées, en dehors du pilier antérieur du trigone (Tga) et de la substance grise centrale (Sge) qui tapisse le troisième v
rne. Au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire, on trouve, dans la substance grise du tuba cinereum (Te), la commissure de Mey
la bandelette optique (II) de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La substance grise centrale (Sgc), qui tapisse le troisième ve
e (Sgc), qui tapisse le troisième ventricule et se continue avec la substance grise du tuber cinereum (Te), est divisée en deux
du corps du tri- yone (Tg). Au-dessus du sillon de Monro (sM), la substance grise centrale (Sgc) est très réduite, elle rec
uncinatus (Fn) et qui se con- fond en dedans avec des languettes de substance grise appartenant au pédoncule du putamen (PNL,
orme la lèvre supérieure du diverlicule du subiculum. Tapissée par la substance .grise SI1tls ? pendYlllllire, la corne sphénoï
ne. se por- tent en haut et en dedans et séparent les languettes de substance grise qui relient le pédoncule du putamen (PNL.
ations optiques de Gratiolet. - scc, sinus du corps cal- leux. .Sc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendym
scc, sinus du corps cal- leux. .Sc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. - sM, sillon de Monro.
tre suivies depuis l'anse du noyau lenticulaire (Al) jusque dans la substance blanche du lobe temporal. Le reste du lobe tem-
ule latéral (Vsph). Le tronc du noyau, caudé (NC), recouvert par la substance grise sous-épendymaire (Sge), émet des fibres de
myu- dalien (NA), dont il est séparé parles derniers vestiges de la substance innominée de Reichert. Le segment interne (NL,)
gment postérieur de la capsule interne, on trouve une mince lame de substance grise, la zone réticulée de la couche optique o
re, séparés l'un de l'autre par une lamelle grise appartenant il la substance , perforée postérieure. Sa moitié supérieure, com-
re. Sa moitié supérieure, com- prise entre le sillon de Monro et la substance perforée postérieure, fait partie du troisième
erf oculo-moleur dans lequel apparaît le locus lIif71'I' (Ln) et la substance perforée postérieure. La région sous-optique se
leux. S(p), branche postérieure de la, scissure de Sylvius. - S,qe, substance grise sous-pendy-nmirc. - strz, stratum zonale.
e. d'Arnold (Zr). Le champ de Forel (F) est limité en dedans par la substance grise qui tapisse le troisième ventricule. Sur
i se portent en dedans, traversent la ligne médiane au niveau de la substance perforée postérieure, et constituent le petit fai
eure de la scissure de Sylvius.- sec, sinus du corps calleux. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épend
s.- sec, sinus du corps calleux. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. strz, stratum zonalc.-1
fortement colorées, qui le divisent en un certain nombre d'îlots de substance grise : ces fibres appartiennent aux confins du
que le faisceau 1"i[I'o(le : CI ? de Meynert (FM), recouvert par la substance grise centrale (sage) qui tapisse le troisième ve
ations optiques de Gratiolct. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise snus-épend
ec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise snus-épendymaire. z , Sgl'o, substance gr
grise centrale. - Sge, substance grise snus-épendymaire. z , Sgl'o, substance grise de la protubérance. strz, stratum zonale. T
amen cl,) qui n'est plus formé sur cette coupe que par des ilots de substance grise échelonnés entre les surfaces de sections
s sont limitées en dedans par les fibres du tapetum (Tap) et par la substance grise sous-épendymaire riche en libres il myéline
JII'lIt 1(1)1;- rance et sont dissociées en gros fascicules par la substance grise; et par les fibres transversales de l'éta
oa). Dans la calotte du pédoncule, l'aqueduc de Sylvius^ (Aq) et la substance grise centrale de l'aqueduc divisent cette régi
les de fibres. Entre le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et la substance grise de l'aqueduc qui se porte un peu en avant
radiculaires de la troisième paire (Ill), qui limitent en avant la substance réticulée (SR). Entre le pédoncule cérébelleux su
edans et s'insinuent entre le pédoncule cérébelleux supérieur et la substance grise postérieure de la protubérance. Au-dessus d
(cop), dont les fibres se portent en avant, délimitent nettement la substance grise de l'aqueduc et forment dans les couches
niveau de leur partie postérieure. Le ventricule est tapissé par la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui recouvre la face
l'angle externe du ventricule latéral et peut être suivie, jusqu'à la substance grise sous-épendymaire (Sge), où elle se termin
A la paroi externe du ventricule latéral on trouve, au-dessous de la substance grise sous-ohendyzuaine; une couche de fibres s
re, on trouve la couche des fibres du tapetum (Tap) incisure. Sage, substance grise sous-épcndvmairc. - ni, T3, deuxième et tro
de ce point jusqu'au lobule lingual (Lg), on observe une traînée de substance grise sO/ls-éjil ! /I- dymaire (Sgé), qui indiq
s'épaissit au niveau de la partie postérieure de ce diverticule. La substance blan- che du lobe lemporo-oecipilal ne présente
t rétro-lenticulaire de la capsule interne, dissocient les ponts de substance grise (NL,,) qui relient le putamen (NL ? I il la
pas une direction sagittale. Placées immédialement au-dessous de la substance grise sous épendymaire (Sge'), elles sont nette
eux. Sexv, surface cxtra-veniriculaire de la couche optique. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sg
ijumeau postérieur. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAr/, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance gri
de Gratiolet. SgAr/, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise centrale. Sge, sub- stance grise sous-épe
e, sub- stance grise sous-épendymaire de 'la corne frontale. 81'.1, substance réticulée d'Arnold ou lame médullaire superfici
la circonvolution de (11), les fibres tangentielles qui forment la substance réticulée d'Arnold (SrA) ou lame médullaire super
médullaire superficielle, sont parli- culièrement développées. La substance blanche de cette circonvolution présente deux cou
lorées, disposées en gros fascicules et en contact immédiat avec la substance grise sous-épendymaire (Sge). Une partie des fi
)ranches verticale et postérieure de la scis- sure de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. SI, scptum lucidum. so,
en avant du sillon olfactif au niveau des der- niers vestiges de la substance grise sous-épendymaire (Sge); elles entourent cet
n les voit s'entre- croiser avec la masse de fibres qui occupent la substance innominée de Reichert (Sti), mais on ne les voi
F, [Gr]) se con- tinue avec celle du tubercule olfactif (Toi) et la substance grise de l'espace perforé antérieur (Epa). On v
pour concourir il former la racine olfactive externe (Rôle). De la substance blanche du fond du tubercule olfactif (Toi) se dé
at. RC,radiations de la calotte.-S, scissure de Sylvius. S.')'<y, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance g
e Sylvius. S.')'<y,substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-6lendymairc.- Sli, substance innominée
l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-6lendymairc.- Sli, substance innominée de Reichert. - T,, T ? première et de
dans les coupes plus inférieures pour traverser d'avant en arrière la substance perforée antérieure (Epa). En dehors de ces r
de ces radiations olfactives profondes (Rolm) on trouve des amas de substance grise, limités en avant par les orifices vasculai
), faciles à reconnaître grâce il leur faible coloration. Dans la substance grise du tuber cinereum (Te), on trouve en arrièr
- sB, strie externe de Baillarger. - SI, seuil de l'insula. - Sli, substance innominée de Reichert. - Stri, stratum intermed
ues (RTh) on trouve les derniers vestiges du tapetum (Tap) et de la substance grise sous-é}iCl1dymaire (Sge). Celle dernière
noyau amygdalien. - RTh, radiations thalamiques de Gratiolct. - Sge, substance grise suus-chendymairc. - sa, stratum lacunosum
R, scissure de Rolando. - RCc, radiations du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. 580 ANATOMIE DES CENTRE
r se porter en arrière et en dedans. L'espace clair correspond à la substance grise .s'OM.'f-c/</ ? H6t ! )'e (Sge) qui tapi
end pourquoi sur cette coupe, tangente à la voûte du ventricule, la substance grise sozt.c-r%per7cl,znaire (Sge) n'est intére
érieure, limitant en dedans les radiations cal le lises (RCc) et la substance ! Jl'ise sOlls-l;pwdymaÏ/'e(Sge). Au sur et à mes
, passant par la ligne 2 de la ligure 299. Cette coupe passe par la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui tapisse l'angl
radiations du corps calleux. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. tec, taenia tecta. 582
tés antérieure et postérieure. En dehors elles sont limitées par la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui a augmenté de vo
me. En avant et en arrière, les radiations calleuses contournent la substance grise Il-(' et s'infléchissent en dehors et en
le est séparée des radiations calleuses par toute l'épaisseur de la substance grise sous-éjiendymaire (Sge). En arrière, elle
(pCK) présente un aspect particulier. Immédiatement en dehors de la substance grise sous-épen- dymaire (Sge), on trouve de gr
re de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Srlé, substance grise
du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Srlé, substance grise sous-épendymaire, au niveau de l'angle post
antérieure du ventricule laté)al(VI), immédiatement en avant de la substance grise s01ts-épcndymail'e (Sge). Le noyau caudé
ité, en avant et en arrière, par une sorte de capuchon formé par la substance grise .MM.<-e) ! 6/))ta ? e (Sge) qui double l
gulière, et donne naissance il un certain nombre de promontoires de substance grise, dont les dimensions s'accentueront sur les
écédentes, les radiations calleuses ())Cc') contournent en avant la substance grise sous-épendymaire du ventricule latéral (S
tète et la queue du noyau caudé sont recouvertes par une couche de substance grise sous-I}¡iend ! Jlnail'e (Sge), particulière
t la capsule interne z (Cia, Cip), pour se rendre dans les îlots de substance grise qui relient le noyau caudé (NC, NC') au n
optique (ThLa couche optique est limitée en dehors par des îlots de substance grise, qui appartiennent à la zone réticulée ou g
psule externe (Ce). Elle est sillonnée d'un grand nombre d'îlots de substance grise, étroits et lancéolés, qui se dirigent tr
igent transversalement en dehors, et qui appartiennent aux ponts de substance grise, qui relient la face inférieure du noyau
dées (FIe) et qui se trouvent souvent accolées le long des ponts de substance grise. Mais, à côté de ces fibres nettement tra
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-epcndymairc. Sgé, substance grise sous
nus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-epcndymairc. Sgé, substance grise sous-épendymaire, au niveau de l'angle po
Gratiolet. - Sexv, surface extra- vcntriculairo du thalamus. - Sge, substance grise sous-pendy-maire. -si, sillon opto-strié. -
ce ventriculaire du corps calleux sont recouverts par une couche de substance grise sous-épendymaire (Sge), qui donne insertion
veau de l'angle antéro-externe du vell- tricule latéral (VI) par la substance grise slHl.HlpelldYl/1,flÎ1'e (Sge) et par le fai
e du noyau caudé (nu, NC), donnent naissance à de nombreux ponts de substance grise, qui sillonnent les segments antérieur et
). Quelques îlots se groupent, pour former une masse irrégulière de substance grise, nettement délimitée en dehors par une li
'écorce des circon- volutions de l'insula, on trouve une lamelle de substance grise, étroite et feston- née, Y avant-mur (AM)
nd des sillons. Cette couche de fibres est limitée en dedans par la substance grise de l'avant-mur (AM), qui suit très exacteme
ontales plus intensivement colorées, qui traversent par endroits la substance grise de l'avant-mur (AM), pour se confondre avec
t volumineux, et un très grand nombre de pools minces et étroits de substance grise, qui sillonnent tout le segment antérieur d
il est relié il la queue du noyau caudé (NC') par quelques ilôts de substance grise, situés dans le segment rétro-lenticulaire
caudé (NC) par un large pont de 596 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. substance grise qui interrompt le segment antérieur de la c
édullaire externe du noyau lenticulaire (Ime). Les étroits ponts de substance grise, si nombreux sur la coupe précédente ne 6
ro-lenticulaire de la capsule (Cirl), se trouvent de petits amas de substance grise, faisant partie du corps strié et reliant l
rétréci, et n'envoie pas il la tête du noyau caudé (NC) un pont de substance grise qui traverse le segment antérieur de la c
re. Le troisième segment (pulamen) (NL¡) est pâle, surtout formé de substance grise, dans laquelle apparaissent de gros faiscea
e cérébral. En avant et un peu au-dessous du genou (Ci[g]), dans la substance grise sous- épendymaire qui double le sillon in
u en d'autres termes, entre la queue du noyau caudé et la couche de substance blanche appar- tenant au pilier postérieur du t
circonvolution de la corne d'Ammon (CA), et constitue la couche de substance blanche qui recouvre la face ventriculaire de c
llllla (Gh). Ce ganglion esl formé par la réunion de petits amas de substance grise qui consti- tuent de véritables petits ni
s du faisceau, longitudinal inférieur entourent les amas ou nids de substance grise; sur les coupes suivantes, elles se porte
rce de la région insulaire postérieure (Ip) commence à s'unir fv la substance grise de 1'(ivaiit-niui, (AM), à l'aide de nombre
ce grise de 1'(ivaiit-niui, (AM), à l'aide de nombreuses travées de substance grise. La capsule extrême (Cex) est réduite aux f
3) est réuni à la tête du noyau caudé (NC) par deux larges ponts de substance grise'. La substance grise sous-"pen- dymaÍ1'e
e du noyau caudé (NC) par deux larges ponts de substance grise'. La substance grise sous-"pen- dymaÍ1'e recouvre la tête du n
avant du genou de la capsule (Ci[g]), avant de se confondre avec la substance grise qui entoure le pilier antérieur du trigon
rieure est tapissée par une épaisse couche de sub- stance grise, la substance grise centrale (Sgc); elle fait partie du troisiè
de Gratiolel. - Sexv, surface extra-vcntriculaire du thalamus. S{le, substance grise centrale. si, sillon opto-strié. Si, sept
u trigone (Tga). Vers la partie moyenne du troisième ventricule, la substance grise centrale envoie à la paroi interne du côté
constitué, en effet, par des lamelles alternativement imbriquées de substance grise et de substance blanche, et sillonné par
ar des lamelles alternativement imbriquées de substance grise et de substance blanche, et sillonné par de nombreuses fibres r
udé (NC) et le putamen (NL.,) ne sont qu'une seule et même masse de substance grise, incomplètement divisée en deux segments,
CROSCOPIQUES DU CERVEAU. 613 de Forel (FI), par une lame étroite de substance grise, contenant de nombreuses fibres horizonta
érieur (Qa) a augmenté de volume ; il est recouvert d'une couche de substance grise superficielle; dans sa partie centrale, on
ban de Reil ntdiau. - R1·h· raclialinns optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. SI, septum lucidum. T,, première
ité du segment postérieur de la capsule interne, se loge un amas de substance grise très nettement limité, ayant la forme d'une
rps, découvert par Luys et bien étudié par Forel (CL), est formé de substance grise, sillonnée par de nombreuses fibres et co
ruban de Reil médian. lIT/¡, radiations optiques de Gratiolet. Sge, substance grise sous-epcndymaire. SI : , substance innommée
optiques de Gratiolet. Sge, substance grise sous-epcndymaire. SI : , substance innommée de Reichert. Tap, tapetum. Tga, pilier
aire de Forel (FI) et du corps de Luys (CL) par une étroite lame de substance grise riche en fibres il myéline, la zona incer
(II). L'avant-mur (AM) s'est étalé et élargi. De nombreux ponts de substance blanche le relient à la circonvolution postérie
enticulaire (NL,) va disparaître, et sera remplacé par une masse de substance grise, la substance innominée de Reichert (Sti),
disparaître, et sera remplacé par une masse de substance grise, la substance innominée de Reichert (Sti), déjà visible ici o
longement sphénoïdal du ventricule latéral (Vsph). C'est dans cette substance grise qu'apparaîtra le noyau amygdaliell (NA). Ce
cette substance grise qu'apparaîtra le noyau amygdaliell (NA). Cette substance in- nominée de Reichert constitue le soi-disant
atiolet. Nous tenons àfaire remarquer qu'il s'agit ici d'une masse de substance grise diffuse, non réunie en noyau, qui se conf
diations de la calotte RTh, radiations optiques de Gratiolet. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-cpcndym
iations optiques de Gratiolet. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-cpcndymairc. - Sih, scissure inter-h
e grise sous-cpcndymairc. - Sih, scissure inter-hcmispherique. Sti, substance innominée de Reichert. Tap, tapetum. 7'n, pilie
le corps de Luys (CL), les postérieures se perdent dans la zone de substance grise qui fait suite à la zona in- cala. De l
le faisceau lenticulaire de Forel (FI), le corps de Luys (CL) et la substance grise qui limite en dedans le ruban de Reil1lu'-
cu- laire de Forel (FI) et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), puis la substance grise du troisième ventricule (V.,). Au nivea
argeur; un petit îlot de sub- stance grise qui appartient déjà à la substance grise de l'aqueduc de, Sylvius, la divise en de
tète du noyau caudé (NC) est en rapport en arrière avee une lame de substance grise, sillonnée par des fibres à direction obl
En avant, la tète -Au noyau caudé (NC) est coiffée par une laine de substance grise, la substance grise sous-épcndymaire (Sge),
u noyau caudé (NC) est coiffée par une laine de substance grise, la substance grise sous-épcndymaire (Sge), qui double la cor
ve l'extrémité postérieure du putamen (\`L.i), unie, en dedans à la substance inno- minée de Reichert, (Sti) et séparée en ar
partie temporale de la commissure antérieure (Coa) et mor- celle la substance grise de l'avant-1Jwl' (AM). Le segment rétro-l
ban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. '1</, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sgc, substance gri
e Gratiolet. '1</, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sgc, substance grise centrale. Sue, sub- stance grise sous-épc
tance grise centrale. Sue, sub- stance grise sous-épcndymaire. Sli, substance innominée de Reichert. T,, première circon- vol
rébral en dedans. En avant, elle se creuse un passage il travers la substance innominée (Sti), dont la sépare la commissure d
). En arrière et en dedans du noyau rouge apparaît, à l'union de la substance grise centrale du troisième ventricule (Sgc) av
e la substance grise centrale du troisième ventricule (Sgc) avec la substance grise de l'aqueduc de 8yl- J,ius (SgAqj, un pet
ieur (BrQa) est sectionné dans presque toute son étendue. Dans la substance grise du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) on
passant par la ligne 14 de la figure 299. Cette coupe passe par la substance innominée de Reichert (Sti) et la partie supéri
- dérablement réduite, et s'unit en dehors par de nombreux ponts de substance grise aux parties morcelées de l'/luanl-11wI' (
fonde est en rapport avec les fibres à direction transversale de la substance innominée (Stil. Ces fibres, qui appartien- nen
t en dehors, côtoient le corps strié (nez NC) et se perdent dans la substance innominée de Reichert (Sti), en s'entre-croisant
ptique (Pith). Elles appartiennent aux couches superficielles de la substance perforée antérieure et font, dans l'espace quad
noyau. Quelques fibres de l'unse lenticu- laire s'irradient dans la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral, qu
n" 15 (ti ? il ! 4). Le locus niger envoie de nombreuses pointes de substance grise dans Vêlage inférieur du pédoncule ; il e
. Dans cette région, la bandelette optique (II) adhère encore il la substance inno- minée de Reichert (Sti); en avant et en d
ns d'elle on trouve les fibres de la commissure de Meynert (CM). La substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SgAq) se continu
s sectionnées parallèlement, qui s'irradient dans un petit noyau de substance grise, le ganglion du tubercule, (Iii(idi-i.].i
ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance
de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance innominée de Reichert ou anse pédonculaire de Gra
i occupe sa partie centrale, et autour duquel se réfléchissent t la substance blanche et la substance grise de la circonvolutio
ale, et autour duquel se réfléchissent t la substance blanche et la substance grise de la circonvolution de l'hippocampe (II).
uverte par une, couche plus ou moins épaisse de fibres blanches, la substance réticulée d'1r>rold, ou lame mÚlul- luire su
ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
es de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée. Tt + Ip, union de la première circon
12 (fig. 310, 311), nous l'avons déjà vu envoyer de nombreux ponts de substance grise à la circonvolution postérieure de l'insu
gie, p. 110). Le corps strié (NC) est réduit il une petite masse de substance grise, sillon- née par les dernières fibres du
e une petite saillie grise, le colliculus du noyau caudé (ceci). La substance innominée de Reichert a disparu sur celle coupe,
me. Le faisceau rétroflexe de Meynert (FM) s'est porté en avant. La substance réticulée (SR) de la région de la calotte est c
e troisième ventricule (V3), il est entouré d'une couche épaisse de substance grise (SgAq). En un mot, sur cette coupe, le pé
s de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge, substance grise centrale. s<) ? stratum zonale. T,, pr
anglion, de l'habénula (Gh). Ce dernier forme, un petit triangle de substance grise situé entre les parties extra et intm-ven
u terzia thalami (tth), sa partie anté- rieure présente des nids de substance grise, dans lesquels nous verrons naître sur le
ient à l'anse du noyau lenticulaire (Al). En dedans de lui, dans la substance grise centrale (Sgc), du troisième ventricule (V3
de Gratiolet. Sexv, surface cstra-vcntri- culaire du thalamus. Sge, substance grise centrale. Sti, substance innominée de Rei-
ra-vcntri- culaire du thalamus. Sge, substance grise centrale. Sti, substance innominée de Rei- chcrt. strz, stratum zonale.
a ligure : 31 : i. Cette coupe intéresse la partie supérieure de la substance parorée pos- térieure (Spp), la commissure post
s de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Spp, substance perforée postérieure. Sti, substance innominée
entriculaire du thalamus. Spp, substance perforée postérieure. Sti, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. Tga,
ticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. substance grise, qui relient incomplètement la dit noyau ca
ntre cette tête et l'ccnse du noyau lenticulaire (Al), on trouve la substance innominée de Reichert (anse pédonculaire de Gra
rie de coupes n'est pas, comme la série précédente, parallèle Il la substance innominée de Reichert (Sti), aussi, ne verrons-no
e assez éloigné du pilier antérieur du trigone (Tga), situé dans la substance grise du troisième ventricule (.,). En arrière
pa, espace perforé antérieur. Spp, espace perforé postérieur. Sufi, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. Tga,
re du noyau rouge (NR) et par la commis- sure de Meynert (CM). La substance perforée postérieure (Spp) s'est élargie. Le troi
lotte (1C). Les deux noyaux rouges (NR) sont reliés au niveau de la substance perforée postérieure (Spp), par des fibres comm
e. Le diverticule sous-pinéal a'disparu; à sa place on trouve de la substance grise qui appartient à la substance grise de l'
aru; à sa place on trouve de la substance grise qui appartient à la substance grise de l'aqueduc de Sylvius. L'espace triangula
ombre de fibres fines, qui se portent vers la ligne médiane dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (Spp), en
re latéral (PTml). Le tubercule mamillaire (Tm) est englobé dans la substance grise du tuber cinereum (Tc); il reçoit en avan
elle du côté opposé, en avant du troisième ventricule (V3), dans la substance grise du tuber cinereum (Te). En arrière, de la
médiane, on trouve un petit faisceau de fibres qui se perd dans la substance grise, du tuber cinereum (Te); il a été décrit
11, recessus pinealis. IiTh, radiations optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. Spa, substance perforée antérie
diations optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. Spa, substance perforée antérieure. Spp, substance perforée post
substance grise centrale. Spa, substance perforée antérieure. Spp, substance perforée postérieure. Sti, substance innominée
stance perforée antérieure. Spp, substance perforée postérieure. Sti, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. Tc
ffet formée de fibres réunies en fascicules espacés et séparés par la substance grise du tuber cinereum (Te); la bandelette opt
nticulaire (NL,, ¡') en arrière, ni la ligne médiane en avant. La substance perforée antérieure (Spa) est intéressée dans ses
de Broca (bd), l'autre antérieure, formée presque exclusivement de substance grise et contenant de nombreux orifices vasculair
substance grise et contenant de nombreux orifices vasculaires. Cette substance grise correspond à la partie inférieure de la t
ylvius (Aq) présente une section triangulaire; il est entouré de la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, qui s'in- sinue
aisceaux longitudinaux postérieurs (Flp), pour se confondre avec la substance grise de l'espace perforé postérieur. La substanc
onfondre avec la substance grise de l'espace perforé postérieur. La substance grise de l'aqueduc est nettement limitée en arr
commissure postérieure des coupes précédentes. Elles contournent la substance grise de l'aqueduc, et sur les coupes suivantes s
e olfactive externe. RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. SI(, substance réticulée. Sti, substance innominée de Reichert.
radiations thalamiques de Gratiolet. SI(, substance réticulée. Sti, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. - T,
ane, entouré d'une mince couche de fibres blanches, et logé dans la substance grise du tuber cinereum (Te). En avant et en de
dehors, la région sous-thalamique de la capsule est limitée par la substance innominée de Reichert (Sti) et le troisième segme
rouve la surface de section de la commissure antérieure (coa). La substance perforée antérieure a fait place il l'espace perf
re par la bandelette optique (II), en avant par une mince, bande de substance grise en connexion avec la tête du zzoyzcrc caudé
le). Plus en dehors on trouve l'aval/l-lIW1' (AM), formé d'îlots de substance grise, dissociés par des libres peu colorées, obl
quadrijumeau antérieur. RTh,, radiations optiques de Gratiolet. SR, substance réticulée. - SU, substance innominée de Reichert.
,, radiations optiques de Gratiolet. SR, substance réticulée. - SU, substance innominée de Reichert. strz, stratum zonale. T,
ormer le chiasma des nerfs optiques (xll), adhérent en arrière à la substance grise du tuber cinereum (Te). L'entre-croisemen
Tm), qui ne sont reliés à la base du cerveau que par un mince pont de substance grise, au niveau de l'angle interne du pied du
eau longitudinal posléJoiew' (Flp) a augmenté de volume, et dans la substance grise de l'aqueduc (Aq) qui sépare ces deux faisc
ulaires : l'un est situé assez en avant dans la partie rétrécie de la substance grise de. l'aqueduc (Aq), au voisinage de l'ext
l), et qui s'irradient dans le pulvinar (Pul). Une mince lamelle de substance grise sépare Cc. 324. - Coupe n° 9 x, passant p
uadrijumeau antérieur. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Th, thalamus, co
aubenkreuzung) (xM, fig. 323.) Dans le prolongement antérieur de la substance grise de l'aqueduc (SgAq), on retrouve les diff
oncule cérébral. Le putamen (NL3) est réduit il une petite bande de substance grise comprise entre le faisceau de l'iirclc (F
ieure du pédoncule cérébral, où il forme un petit noyau ovalaire de substance grise, entouré d'une capsule de libres formée a
ar la commissure de Meynert (CM) et par la partie postérieure de la substance innominée de Reichert (Sti). Le segment rétro-l
la partie antérieure du lobe temporal destinées au pulvinar. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
ées au pulvinar. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée. Sti, substance inno- minée de Reiche
ubstance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée. Sti, substance inno- minée de Reichert. strz, stratum zonale.
quement d'avant en arrière et de dehors en dedans, et traversent la substance innominée de Reichert (Sti). Ces fibres (RTht) pr
avec le noyau amygdalien (NA) et l'avant-11tw' (AM), et la masse de substance grise formée par ces trois noyaux se confond av
Celle dernière s'effile, et donne naissance à une mince lamelle de substance grise, le voile terminal d'Aeby (vt), qui borde
irl), tandis qu'elles sont recouvertes en dedans et en avant par la substance grise sous-épendgmaire qui double le prolongement
(\L.,). Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'un tout petit segment de substance grise, qui coiffe le corps genouillé externe (C
te en avant, et décrit, une courbe à concavité interne autour de la substance grise de l'aqueduc de Syl- vius (SgAq). , Apr
s COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Gj7 -1 libres traversent la substance réticulée (SR), et se portent très obliquement en
ruban de Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
es de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée. strz, stratum zonale. Tgp, pilier po
faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement avec la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR
avec la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR), substance l'di- culée qui va prendre sur les coupes suiva
s entre-croisement sur la ligne médiane, dans la constitution de la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR
ns la région des tubercules quadri jumeaux antérieurs, passent par la substance réticulée de la calotte et entrent dans la cons
, tubercule quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil médian. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réti
de Reil médian. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée. Vc, racine encéphalique ou petite ra
pes précédentes . Ces derniers sont constitués, en effet, par de la substance grise diffuse, et par trois couches de fibres s
ans les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), au contraire, la substance grise se groupe en un noyau ovalaire, le ganglion
eau postérieur (NQp). Mal délimité en dedans, où il se perd dans la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (SgAq), ce
le verrons sur les coupes suivantes (voy. t. II), en arrière de la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, pour émerger dans
dinal postérieur se confond insensiblement avec les faisceaux de la substance réticulée de la calotte (SR). Dans la zone claire
réticulée de la calotte (SR). Dans la zone claire qui sépare cette substance 'réticulée du ruban de Reil médian (Rm), on trouv
on constate que chaque circonvolution cérébrale est formée de deux substances , l'une blanche en continuité directe avec le ce
l'une blanche en continuité directe avec le centre ovale, c'est la substance blanche ou médullaire dont la forme déter- mine
- mine celle de la circonvolution correspondante, l'autre grise, la substance grise, cendrée ou corticale, qui se moule très
ce grise, cendrée ou corticale, qui se moule très exactement sur la substance blanche, l'entoure de toutes parts et forme l'é
rontale ou de la circonvolution frontale ascendante, on voit que la substance grise n'est pas homogène; en allant de la surfa
moyenne de coloration blanche. Cette dernière, très facile à déli- Substance blanche et substance grise des circonvolution
blanche. Cette dernière, très facile à déli- Substance blanche et substance grise des circonvolutions. Ecorce cérébrale.
(fig. 223 à 234 et 261 à 266). Ces différences de coloration de la substance grise, suivant les régions que l'on examine, mo
t en fascicules, forment les fibres radiées, puis pénètrent dans la substance blanche. D'une manière générale, la direction d
n de Vicq d'Azyr, les stries interne et externe de Baillarger et la substance blanche sont colorés en rouge : 1\[, couche mol
carmin (fig. 329), la zone nzolé- culaire parait constituée par une substance fondamentale d'aspect granu- leux, dans laquell
les polymorphes, ramifications terminales de fibres nerveuses de la substance olanche des hémisphères) et constituent avec el
etites cellules pyramidales. cérébrale, pour se continuer dans la substance blanche, avec un tube ner- veux, appartenant so
petits mammifères que chez l'homme. Pendant son trajet à travers la substance grise, le cylindre-axe, émet dans la partie sup
des grandes pyra- mides. D, couche des corpuscules polymorphes. E, substance blanche. a, panaches épi- neux des cellules pyr
llules semblables mais plus petites. - h, ^cellule siégeant dans la substance blanche. i, cellule arrondie dont le cylindre-axe
es pyramidales descend à travers les couches sous-jacentes, dans la substance blanche où il se continue avec une fibre à myél
s nouveau-nés, Cajal est arrivé à suivre ces cylindres-axes dans la substance blanche jusqu'au corps strié, et il admet avec v.
e réseau nerveux continu, dont cet auteur admet l'existence dans la substance grise (Voy. p. 176). Chez l'homme et les grands
our constituer les faisceaux de libres radiées, puis arrive dans la substance blanche où il se continue en général avec une f
oncourt à former le corps calleux. Pendant leur trajet à travers la substance grise, les cylindres-axes des grandes cellules py
dendrites épaisses et descendantes, qui s'arborisent jusque dans la substance blanche. Le cylindre-axe des cellules polymorphes
ou se divisent en T et se continuent avec une fibre nerveuse de la substance blanche (Cajal). i Couche des cellules poly
ries cellules poly- morphes se continue avec une fibre de la substance blanche. Fil;. a : r0. -Cellule à cylindre-axe
es (Cajal). Cellules névrogliques. On trouve dans l'épaisseur de la substance grise et blanche de l'écorce cérébrale un grand
ithéliale, représentent des cellules épendymaires émigrées dans les substances blanche et grise. Les autres, développées aux d
t de projection, ; ainsi que les libres ! terminales venant de la substance blanche. ! 11 Ces faisceaux de libres radiées
s radiées augmentent de volume à mesure que l'on se rapproche de la substance blanche, et constituent des faisceaux - compact
résentent sous l'aspect de fibres parallèles entre elles qui, de la substance blanche, - montent dans la substance grise, où
allèles entre elles qui, de la substance blanche, - montent dans la substance grise, où elles s'épanouissent en un très élégant
e de Remak). . /7-f, fibres des quatrième et cinquième couches. Sb, substance blanche. 682 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fi
mais ils renferment en outre des fibres terminales provenant de la substance " blanche, qui viennent s'arboriser dans ce ter
âgée de 15 jours. On y a représenté les fibres grosses venant de la substance blanche et s'arborisant dans la substance grise
bres grosses venant de la substance blanche et s'arborisant dans la substance grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.)
ibres. e, grandes cellules pyramidales. f, éléments globu- leux. A, substance blanche. B, couche moléculaire. STRUCTURE DE L'
e de Martinotti; 4° Les collatérales des libres d'association de la substance blanche; 5° Les arborisations terminales des fi
e décrites par Martinotti (voy. p. 668) ; y, les collatérales de la substance blanche. Cette couche est nettement délimitée e
s-axes ascendants; y, les arborisations terminales des libres de la substance blanche (Cajal). Celte couche, qui a été l'obje
externe de Baillarger jusqu'aux courtes fibres d'association de la substance blanche ou fibres en U de Meynert,. Elles se co
la crète des circonvolutions, et quelquefois avec les fibres de la substance blanche (fig. 317). Connexions des cellules pyr
térales de la sub- stance blanche. G, cylindre-axe bifurqué dans la substance blanche. G88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
mènie la plus grande. Époque de la myélinisation des fibres de la substance blanè1fè ? hémisphères et des fibres tangentiel
ales (Vignal), tend à se différencier par sa colora- tion d'avec la substance médullaire sous-jacente; les contours de l'écorce
nettement, elle prend en outre une coloration grise, tandis que la substance médullaire présente une teinte grenat ou violacée
violacée. Vers la fin de la vie intra-utérine, apparaissent dans la substance médullaire des stries blanches, indices de la m
is- sance. Mais avant de prendre sa couleur laiteuse définitive, la substance médullaire conserve pendant un temps assez long
de moyenne dimensions, on trouve, en particulier au voisinage de la substance blanche, un certain nombre de cellules fusi- fo
forment une sorte de barrière, qui sépare l'écorce cérébrale de la substance blanche sous-jacente (Mondino). Cette disposi-
niveau du tiers inférieur de l'écorce, sans atteindre cependant la substance blanche. Entre ces cellules fusiformes verticales
(L2[), où elle porte le nom de lame médullaire superficielle ou de substance réticulée d'Arnold (Lms). Du reste, la structur
calleux. En réalité, elle recou- vre ces libres d'un mince voile de substance grise de 20 à 40 ;. d'épaisseur, connu sous le
lle ou moléculaire, une moyenne ou cellulaire et une profonde ou de substance blanche (fig. 318). La couche moyenne est compo
ourt trajet, se continue avec Fil;. 348. - Coupe transversale de la substance grise supra-calleuse du cerveau du lapin nouvea
701 1 ' une fibre à myéline, soit de la couche profonde, soit de la substance blanche. Parfois même, le cylindre-axe se divis
arrière elles se confondent ainsi que Honegger l'a montré, avec la substance réticulée d'Arnold ou lame médullaire superfici
ruban de Reil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SR, substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral.
nt des faisceaux de fibres radiées, qui des- cendent jusque dans la substance blanche de la circonvolution (fig. 350). Cette
este de l'é- corce. Ses libres taugcn- tielles constituent la substance réticulée d'Arnold. Couche des petites cell
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coucho des cellules polymorphes. Substance blancho du subiculum. Travaux de Ma- thias
ue guère de la couche semblable des autres régions de l'écorce. La. substance blanche du subiculum est épaisse et contient deux
e que forment, dans la cavité ventricu- laire, l'écorce grise et la substance blanche qui tapissent le fond du sillon de l'hi
des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- véus ou substance blanche. FiG. 353. Schéma de la struc- ture d
dix jours. Méthode double de , Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, substance blanche. - B, couche des cellules polymorphes ou
du cobaye d'un mois. Méthode de Cox. (D'après Ramon y Cajal.) B, substance blanche. O, stratum oriens. P, couche des cellule
grandes cellules pyramidales. - ? line collatérale se rendant à la substance blanche. - g, collatérale venant des fibres de
de grosses collatérales nerveuses ascendantes /, collatérales de la substance blanche. - J, fibres terminales venant du subicul
ibres de l'alvéus et dont les plus profondes sont situées en pleine substance blanche (fig. 354, a, b); leurs dendrites se perd
longs et plus grêles, sont dirigés, parallèlement aux fibres de la substance blanche, et simulent des cylindres-axes ou des co
a corne d'Ammon.-Lcs fibres de la corne d'Ammon comprennent : 1° la substance blanche ou ah/Jus; 2° les nombreuses fibres Feu
ui occupent les différentes couches de la corne d'Ammon. 1° Alvéus ( Substance blanche de la corne d'Ammon. Couche des fibres
des arbo- risations terminales des fibres et des collatérales de la substance blanche du subiculum (fig. 359) ; 2° des ramifi
la la- mina medullaris involuta de la corne d'Ammon, pour former la substance réticulée d'Arnold du subiculum (fig. z0 et 351
s formé par les cylindres-axes ascendants, les collaté- rales de la substance blanche et les arborisations terminales des cellu
ne de la région godronnée de la corne d'Ammon (Voy. fig. 351). La substance blanche de la circonvolution godronnée est représ
tée par l'alvéus et par le pilier postérieur du trigone, mais cette substance n'est pas en contact immédiat avec l'écorce de
llules polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- ' . 1 vous ou substance blanche. Fig. 362. Schéma de la struc- ture d
e grosses collatérales nerveuses ascendantes. /, collatérales de la substance blanche. - J, libres terminales venant de la circ
comprend le bulbe, le pédoncule, le trigone olfactif, ainsi que la substance perforée antérieure, est en relation intime avec
s tangentielles du pédoncule olfactif, du trigone olfactif et de la substance perforée ante- rieure, et se terminent toutes,
couche des cellules polymorphes et se continue avec une fibre de la substance blanche. Les grandes cellules sont fusiformes, tr
cellules polymorphes et se continue avec une fibre à myéline de la substance blanche. Les cellules des îlots olfactifs sont
e moléculaire, leur cylindre-axe se con- tinue avec une fibre de la substance blanche. A côté de ces fibres, on trouve des ce
ans l'écorce typique et des cellules du type II de 1 Golgi. 4° La substance blanche, simple condensation des faisceaux de la
au le pédoncule du septum lucidum. Elles traversent en diagonale la substance perforée antérieure, se terminent, soit dans la
rforée antérieure, se terminent, soit dans la couche grise de cette substance , soit dans l'extrémité antérieure de la cir- co
. Sobre la Ses libres tangen- tiellcs. Ses lier- vouscs. Sa substance Man- che. Faisceau olfactif de la corne d'A
et pathol., 1885. - Du même. Recherches sur le développement de la substance corticale du cerveau et du cervelet, même recue
kranken. Archiv. f. Psych. u. Nervenk. 4887. - . CHAPITRE V 0 SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^fibres d
0 SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^fibres de la substance blanche comprennent des fi- bres d'associatio
convolu- tions. FIBRES D'ASSOCIATION ET FIBRES COMMISSURALES La substance blanche des hémisphères, qui atteint sa plus gran
), et s'entre-croisant fré- quemment les unes avec les autres. La substance blanche sous-jacente à n'importe quelle partie de
et qui se terminent également par des arborisations libres dans la substance grise de l'écorce cérébrale. Les fibres d'ass
.et de projection. Origine et termi- naison des libres de la substance blanche Fibres d'associa tion. Leur origine
me de la couronne rayonnante. - - Que l'on suppose par la pensée la substance grise étalée à la surface du cerveau, le systèm
pratiquées en différents sens. On constate alors facilement que la substance blanche des hémisphères, malgré les entre-crois
à la base des circonvolutions. S'il est vrai qu'il n'existe dans la substance blanche, pour ainsi dire, pas de faisceaux qui
ème d'association occupent les couches les plus périphériques dé la substance blanche; qu'elles sont d'autant plus courtes .q
erne du ventricule latéral. Origine et terminaison des fibres de la substance blanche. Chez l'homme et chez les grands mammif
la terminaison dans l'écorce de tel ou tel système de fibres de la substance blanche est impos- sible à établir par l'histol
t verticales, se détachent de la pre- mière et se terminent dans la substance grise de l'hémisphère du même coté. D'après l
blement sensitif et contribueraient à former le réseau diffus de la substance grise, dont cet auteur admet l'existence. Pour v.
s grosses de celles qui sillonnent l'écorce. Elles arrivent de la substance blanche, se coudent pour pénétrer dans l'écorce
ès grosses fibres à trajet oblique ou horizontal, qui sillonnent la substance grise dans les couches moyennes et inférieures de
âgée de 13 jours. On y a représenté les fibres grosses venant de la substance blanche cl, s'arborisant dans la substance gris
res grosses venant de la substance blanche cl, s'arborisant dans la substance grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.
- e, grandes cellules pyramidales. J', cellules poly- morphes. - A, substance blanche. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DE
ecta et au niveau de la circonvolution de l'hippocampe (H [L2]), la substance réticulée d'Arnold (Lms). Or, ces formations [ner
d'Arnold (Lms). Or, ces formations [nerfs de Lancisi, tænia tecta, substance réticulée) sont absolument distinctes du cingulum
le seuil de l'insula, où il s'étend dans le sens transversal, de la substance perforée antérieure à la capsule extrême. Comme
n faisceau irrégulicr, compris entre la capsule extrême (Ces) et la substance perforée antérieure (Spa). Situé en dehors de la
au uncifol'lne, se portent en avant, et en dedans, passent entre la substance perforée antérieure et la face inférieure du pu
les, la partie morcelée de l'avant-mur, le faisceau uncinatus et la substance innommée de Reichert. Méthode deyYeigert. 3/2 gra
- sB, strie externe de Baillarger. - SI, seuil de l'insula. - SI;, substance innommée de Reichert. - Slri, stratum intermedium
extrémité temporale, les libres du faisceau uncinatus morcellent la substance grise qui relie l'avant-mur (AM) au noyau amygdal
faisceau arqué. Son trajet. à l'écorce temporale au niveau de la substance perforée antérieure (fig. 283) ; , elles s'entr
corps calleux; il est séparé de la cavité ventriculaire par la substance grise sous- épendymaire. Ce fais- ceau, que n
tico-trans- versales. dans toute son étendue par l'épendyme et la substance grise sous-épen- dymaire, à laquelle il abandon
cule latéral. D'autres fibres (OF', fig. 391, p. 790) traversent la substance grise sous-épendymaire, ', s'entre-croisent, en
. S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Sge', substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. Sti
Sge', substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. Sti, substance innommée de Reichert. - TI, T2, T,, première, d
l'hémisphère, et ses libres dégénérées peuvent ètre suivies dans la substance grise sous-épendymaire. Nous en rapporterons de
ps calleux. sp, sp', scissure sous- pariétale et son incisure. Sge, substance grise sous-épendymaire. y ? T3, deuxième et troi-
au amygdalien (NA), où il mor- celle avec le faisceau uncinatus, la substance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygdalien
de fibres longues, dont la dégénérescence peut être suivie dans la substance blanche du lobe temporal. Les libres du faiscea
ment, avec les libres de projection et les fibres commissurales, la substance blanche de ce z19 Rapports de son bord supé
iatons optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sg
- Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale.
NA, noyau amygdalien. B7'A, radiations thalamiques de Gratiolet. Sge, substance grise sous-épendymaire. - Stl, stratum lacunosu
ations optiques (Gratiolet), lame des faisceaux optiques (Meynert), substance sa- yittccle du lobe occipital (Wernicke), fais
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous- ép
sec, sinus du corps calleux. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous- épendymaire. SgPo, substance grise
nce grise centrale. - Sge, substance grise sous- épendymaire. SgPo, substance grise de la protubérance. - strz, stratum zonale.
e de la couche optique de Meynert, - dont les libres passent par la substance innominée de Reichert et se dirigent obli- quem
audé et autour de la FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 785 substance grise sous-épendymaire (Sge) qui double la corne
rconvolution frontale. -RCc, radia- tions du corps calleux. - Sage, substance grise sous-épendymaire. 786 ANATOMIE DES CENTRE
fibres de projection et commissurales de la région. En avant de la substance grise sous-épendymaire, les couches de fibres 1..
a face infé- rieure est tapissée par l'épendyme ventriculaire et la substance grise sous- épcndymaire (Sge) particulièrement
ied de la couronne rayonnante du lobe frontal (pCR), par le pont de substance grise qui relie le putamen à la tête du noyau c
, branches verticale et postérieure de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. - SI, scptum lucidum. -
, qui est séparée de la cavité ventriculaire par l'épen- dyme et la substance grise sous-épendymaire, et qui est recouverte par
tes sont souvent très pro- fondes, détruisent une grande étendue de substance blanche, fusent sous la cavité ventriculaire, s
face postérieure de la commissure antérieure est tapis- sée par la substance grise centrale du troisième ventricule (Sgc), et
ure de sa partie moyenne. Ses parties latérales s'enfoncent dans la substance perforée antérieure, se dirigent d'abord en dehor
e la commissure antérieure. Eh avant, ce canal est compris entre la substance perforée antérieure et la tète du noyau caudé (ng
ogue à celle de la bandelette optique, dont elle est séparée par la substance perforée antérieure et par l'anse pédonculaire
stance perforée antérieure et par l'anse pédonculaire de GraLiolet ( substance innommée de Reichert) (Sti). Mais la courbe que
ions de la calotte. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épo
ions optiques de Gratiolet. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épondymaire. Sih, scissure inter-hemis
ance grise sous-épondymaire. Sih, scissure inter-hemisptieriquc. Sti, substance innommée de Rciclicrt. - Tap, tapetuiii. - Tga,
ans du corps strié (lig. 244), puis s'enfonce verticalement dans la substance perforée antérieure, se re- courbe en avant et
imbique (première et deuxième circonvolutions limbiques (L"L [II ), substance perforée anté- rieure, noyau amygdalien); pour
des circonvolutions de l'insula. D'autres fibres se rendent dans la substance grise des parties verticale ou morcelée de l'avan
4 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ie pédonculaire, les unes s'arrêtent dans le locus niger (Ln) et la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance (Np
erne de ce centre ovale, partie que nous désignerons sous le nom de substance blanche non différenciée de l'hémisphère cérébral
du cerveau antérieur, en particulier avec le noyau amygdalien et la substance perforée antérieure(Voy. coupe sagittale, Fig.
e l'épendyme ventriculaire. Leur face externe est recouverte par la substance blanche non différenciée du centre ovale, beauc
erticale et branche pos- térieure de la scissure de Sytvius. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Si, septum lucidum. s
ne l/Sge). OF, faisce au occipito-frontal formant le feutrage de la substance grise sous-épendymaire (se), se concentrant à la
nvolution frontale. - RCc, radiations du corps calleux. - Sue, S,gé , substance grise sous-épendymaire. - tec, lee', taenia tec
resque paral- lèlement à leur axe et qui, traversant obliquement la substance blanche non différenciée du centre ovale, ne pé
ule du noyau caudé saillant dans l'espace perforé antérieur. - Spa, substance perforée antérieure. - V.I, noyau amygdalien. Le
118, p. 134). Dans ces différents cas, la zone dégénérée occupe la substance blanche non diffé- renciée de la région, le fai
al (OF) peut être suivie en partie - fibres d'association - dans la substance grise sous-épendymaire (Sge) et dans la capsule
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épend
- sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. Silo, substance grise d
stance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. Silo, substance grise de la protubérance. strz, stratum zonale.
ations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire de la corne frontale.
e, substance grise sous-épen- dymaire de la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne occi- pitale
, noyau amygdalien, RTh. radiations thalamiques de Gratiolet. - Sage, substance grise sou-ependyma.irc. Sll, stratum iacunosuui
n de Itcil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgAg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius, - SR, substance ré
e Gratiolet. - SgAg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius, - SR, substance réticulée. - slrz, stratum zonale de la couche
anté- rieur du trigone. TgV, car- refour ventriculaire. - Sti, substance innommée sous- lenticulaire de Reichert. 24 A
. S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Spe, substance grise sous-épen- dymaire. SI, septum lucidum. -
Spe, substance grise sous-épen- dymaire. SI, septum lucidum. - Sli, substance innommée sous-lenticulaire de lteichert. Ti, Ts
W), est séparé du segment postérieur (Cip) par une mince lamelle de substance grise appartenant à la zone réticulée du thalam
issociées et entourées comme d'une gangue par les nombreux ponts de substance grise qui relient la tête du noyau caudé au put
diations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. Sge, substance grise centrale. - Soe, substance grise sous-épe
- sec, sinus du corps calleux. Sge, substance grise centrale. - Soe, substance grise sous-épendymaire. - sJI, sillon de Alonro
e Iteil médian. - Iil'h, radiations optiques de Gra- tiolet. - Sge, substance grise sous-ependym.nre. Sti, substance innominée
iques de Gra- tiolet. - Sge, substance grise sous-ependym.nre. Sti, substance innominée sous-lenlicu- laire de Reichert. - l'
rière, par le corps genouillé externe (Cge) et une mince lamelle de substance grise qui appartient il la zone réticulée du th
et profonde (3). - li1'lz, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius». - Th, tlialamus
ne (Cge) dont elles sont toujours séparées par l'étroite lamelle de substance grise apparte- nant à la zone réticulée du thal
ne couche continue, mais sont dissociés par les nom- breux ponts de substance grise qui relient le bord postérieur du putamen
e pulamen (NLJ), le globus pallidus (NL2, NLu/), el en avant par la substance innommée sous-lenticulaire de Heichert (Sti); son
alien.-i1'C'yueue du noyau caudé. - Rm, ruban de Iteil médian. Sti, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert. - Tap,
s de la calotte. - lt1'le, radiations optiques de Gratolet. - Sole, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen-
ions optiques de Gratolet. - Sole, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. - Sih, scissure inter
se sous-épen- dymaire. - Sih, scissure inter-hémisphérique. -- Sti. substance innominée sous-lenticu- laire de Reichert. - Ta
end les fibres du faisceau de Turck (FT) que l'on peut suivre de la substance blanche non différenciée du lobe temporal , et
tale interne du segment inférieur de la couronne rayonnante. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne spénoidale. -
eure de sa surface de section, enclavée entre le globus pallidus,la substance grise centrale du troisième ventricule et le co
e Reil médian. - RTh, radiations opti- . ques de Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance
e Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épe
e de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymaire. Sli, substance innominée
tance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymaire. Sli, substance innominée sous- lenticulaire de Reichert. - T,,
ruban de Heil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR. Formation
ans leur ensemble une couche de lâches fascicules séparés par de la substance grise et connue sous le nom de stratum inter- m
an de Reil latéral. - NIIl, noyau du ruban de Reil latéral. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli, formation
53 la constitution de la pyramide bulbaire ou se terminent dans la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance.
fascicules arrondies appartiennent à la voie pédon- culaire. - Sgc, substance grise centrale. - qPo, substance grise de l'étage
t à la voie pédon- culaire. - Sgc, substance grise centrale. - qPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance.
ban de Reil médian. - RgRm. région du ruban de Reil médian. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, formation ré
ne sorte de treil- lage dont les intervalles sont comblés par de la substance grise. De ce treillage, connu sous le nom de zo
trigone et appartenant à la grande fente cérébrale de Bichat. Srlq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. 62 ANATOMIE DES
la lame médullaire antérieu- re et les fibres ra- diées. Sge, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étag
e et les fibres ra- diées. Sge, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubé- rance
nce. - SR, formation réticulée de la calotte protubérantielle. - Sti, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert. - tec,
cule inféra-interne du thalamus. - Coupe horizontale passant par la substance innommée sous-lenticulaire de Reichert et le pé
an de Reil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance i
de Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance innommée sous-lenticulaire de Reichert contenan
cke ou zone de Wernicke (1TT), puis pénètrent et s'épuisent dans la substance grise du pulvinar dont elles forment les fibres
de l' avant-l1wl' (AM') (Fig. 23), parcourent en diagonale toute la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert (Sti (F
. 44) et sont renforcées à ce niveau par des fibres provenant de la substance perforée antérieure et de la face externe du lo
ganglion de l'habenula (Gh) (Fig. 45). Dans son trajet à travers la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert (Fig. 4
une coupe sagittale passant par le noyau antérieur du thalamus. La substance grise qui sépare le. pédoncule inféro-interne d
noyau de l'anse pédonculaire de Gra- tiolet ; elle appartient à la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert. Méthod
bercule mamillaire. - Rolp, radiations olfactives profondes. - Spo. substance perforée antérieure ou aire olfactive. - Th, thal
Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. - S,gc, substance grise centrale. - si, sillon opto-strié. - SI, se
strie olfactive externe. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SR. substance réticulée. - Sli, substance innominée sous-lent
radiations optiques de Gratiolet. - SR. substance réticulée. - Sli, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert. strz, st
- Zr, zone réticulée ou grillagée. - 11, bandelette optique. - x11, substance grise doublant le chiasma des nerfs optiques.
e d'une dégénérescence de la partie interne du locus niger et de la substance grise antérieure de la protubérance, ainsi que
érance. Le faisceau interne est limité en dedans par une traînée de substance grise qui appartient au locus niger, et conserv
sont disso- ciées par les fibres transversales et abandonnent à la substance grise an- 1(,'i,ieti2,e (noyaux politiques) de
ed du pédoncule cérébral, retentit à la fois sur le locus niger, la substance grise de la protubérance et la pyramide bulbair
méthode la dégénérescence de ce faisceau et sa terminaison dans la substance grise de la région supé- rieure de la protubéra
oncule cérébral est toujours accompagnée d'une dégénérescence de la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance.
se du cer- veau (corps opto-striés, tubercules quadrijumeaux) et la substance grise centrale (cornes médullaires et noyaux de
don latéral de la moelle et du bulbe. - Fp, cordon postérieur. - g, substance gélatineuse de Rolando,. - L, la partie antérieur
ème de projection de deuxième ordre qui unissait ces ganglions à la substance grise centrale croisée; de cette dernière paita
ibres striées (Cbr, Fig. : il, coupe 1),les unes s'arrêtaient dans la substance grise de la protubérance annulaire, les autres
dal fut définitivement admise. Charcot montra que les lésions de la substance grise corticale déterminent une sclérose du fai
pas un faisceau sensitif; il n'atteint pas le bulbe, mais relie la substance giise antérieure du pont à l'écorce occipito-te
de la couche dorsale ou profonde; elles aboutissent finalement à la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance,
4° les circonvolutions limbiques, en particulie- l'hippocampe et la substance perforée antérieure (sphère olfactive). Les zon
encéphalique, portant sur la totalité des faisceaux blancs et de la substance grise. Elle intéresse non seulement les faisceaux
fibres sont en outre plus ser- rées les unes contre les autres, la substance fondamentale étant atrophiée. Double coloration
s, plus serrés les uns contre les autres et séparés par très peu de substance grise. Méthode de Weigert-. Le trigone atrophié
nombreuses et de provenance fort variée : A leur origine et dans la substance blanche non différenciée de l'hémisphère, elles
ns corti- cales indirectes. jumeau antérieur; le locus niger ; la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance (
laire et thalamique de Forel, le faisceau rétroflexe de Meynert, la substance grise centrale du troisième ventricule ; dans le
9). La plaque jaune intéresse l'écorce et la partie adjacente de la substance blanche, mais respecte complètement les noyaux
tion de volume considérable du locus niger (Ln) (Fig. 71-74) et de la substance grise de l'étage antérieur de la pl'otuberanc«(
la Saïpêtrière 107 FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. substance grise de l'étage antérieur de la protubérance, do
itudinal inférieur s'irradie dans l'écorce du lobe temporal dont la substance blanche est très dégénérée (fibres longues 110
Qa), des fibres superficielles et moyennes de ce tubercule et de la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. FiG. 89
tudinal inférieur) (Fli), du faisceau occipital vertical (Ov), de la substance blanche non différenciée de la face externe du
ulier du faisceau longitudinal inférieur, a retenti en outre sur la substance blanche du lobe temporal; la première et la deu
thalamiques (RTh), du faisceau longitudinal inférieur (Fli), de la substance blanche des circonvolutions temporales, du segmen
gV). Dégénéres- cence légère du tapetum (Tap), dégénérescence de la substance blanche non diffé- renciée de la région temporo
région temporo-pariétale. Dégénérescence du forceps major et de la substance blanche non différenciée de la première circonvol
n a détruit, comme à l'emporte-pièce, l'écorce du pli courbe, et la substance blanche sous-jacente de la région, de telle sorte
cérébral. L'écorce du gyrus supra-marginalis est ratatinée, mais la substance blanche sous- jacente ne participe pas à la lés
cence ne va pas en diminuant d'intensité de dehors en dedans, de la substance blanche non différenciée àla la paroi ventricul
les radiations thalamiques, le faisceau longitudinal inférieur et la substance blanche non différenciée du lobe occipital; dég
halamique (Fig. 104). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. La substance blanche des circonvolutions première temporale (T
s apparente à l'extérieur, il existe toujours une destruction de la substance blanche sous-jacente; le lobule paracentral ne re
eau occipito-frontal (OF-1-Pr) et des fibres (OF) qui sillonnent la substance grise sous-épendymaire. Dégénérescence partielle
tion frontale (Fig. 11 7) et empiétant d'un centimètre environ sur la substance Fic. 117.-Cas Schweigoffer (Bicêtre,1801). Mo
éphalie acquise de l'operculerolan- dique détruisant l'écorce et la substance blanche sous-jacente, sans atteindre le fais-
rticulier, par la ligne B Il de la fig. 11 i). Dégénérescence de la substance blanche non différenciée des circon- volutions
e et pédonculaire. Dégénérescence du faisceau uncinatus (Fu), de la substance blanche de la pointe temporale, de l'insula (Fi
ble que les petites zones de dégéné- rescences qui existent dans la substance blanche non différenciées de la première circ
rieure du bulbe est intacte. La lésion intéressait l'écorce et la substance blanche sous-jacente du lobe temporal, mais ne
ième externe du pied du pédoncule cérébral) et s'épuisent dans la substance grise de la partie postéro-supéro- externe de
faisceau occipito-frontal intéresse non seulement les fibres de la substance grise sous-épendymaire, mais encore le faisceau
érébral (P) (Fig. 150) et s'épuisent dans le locus niger (Ln) et la substance grise antérieure de la protubérance. Le segment s
cielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Qla), des fibres de la substance grise centrale (Sgc (d) el. de la substance grise
(Qla), des fibres de la substance grise centrale (Sgc (d) el. de la substance grise de l'aqueduc de Syl- vius (Sg Aq (d). Dég
sceau de Turck s'épuise dans la partie supéro-postéro-externe de la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance.
ed du pédoncule cérébral (Fig. 150) se sont toutes épuisées dans la substance grise antérieure de la protubérance, aucune ne de
tite zone de sclé- rose (FPyc) qui longe la corne postérieure. La substance grise centrale contient un certain nombre de
ie en masse de toute la moitié gauche de la moelle portant sur la substance grise et l'ensemble des cor- dons blancs. Mét
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa) (Fig. 149) et des fibres de la substance grise centrale (Sgc) au voisinage de ce tubercule
pédoncule cérébral (P) (Fig. 150), une atrophie très accusée de la substance grise antérieure de la protubérance (Fig. 131)
fibres saines des tiers interne et moyen, s'épuisent toutes dans la substance grise antérieure de la protubérance et n'atteig
oit agénésié. lIémiatrophie de toute la moitié gauche de la moelle ( substance grise et cordons blancs). Méthode de Itosin. 6/
lésée du noyau caudé ressemble à une coque, vide de son contenu de substance grise, que la membrane épendymaire FiG. 168. -
ielle du faisceau occipito- frontal, de la capsule externe et de la substance blanche des circonvolutions tem- porales. Dégén
usque dans la pointe occipitale; une dégénérescence partielle de la substance blanche des circonvolutions temporales, une dég
art le long de l'angle externe du ventricule latéral jusque dans la substance grise qui borde la corne frontale (Fig. 192 et 19
males. Le noyau caudé est relié au putamen par de nombreux ponts de substance grise; il en est séparé par les segments Moteurs
lètement myélinisées, et grâce à l'absence de la voie pédonculaire la substance grise antérieure du [pont paraît plus abondante
itutifs de la calotte pédonculaire et bulbo-protubérantielle, et la substance grise est abondante comme elle l'est à cet âge ch
lu- lion de l'hippocampe et l'espace perforé antérieur. La perte de substance aurait donc porté sur l'insula, l'opercule sylv
ormal la coupe dite de Meynert (T. 1 ? Fig. 3, p. 19). Si la perte de substance paraît si étendue, cela tient à ce que la subst
Si la perte de substance paraît si étendue, cela tient à ce que la substance blanche du centre ovale est excessi- cernent ré
coupes : 1° Que le manteau cérébral de cet hydrocéphale possède une substance blanche qui, bien que réduite, contient néanmoi
nouissent en éventail dans la crête des circonvolutions, forment la substance blanche non différen- ciée du centre ovale et s
c l'épendyme ventriculaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. VI, ventricule latéra
, dans une ,région où il existe de nombreux îlots hétérotopiques de substance grise. La partie inférieure, basale du septum l
cette région contient un certain nombre d'amas hétéroto- piques de substance grise. Méthode de \\'cigert-Pal. 6/1 grandeur nat
veau normal et ne considérer comme tel que les libres qui occupent la substance grise sous-épendymaire et qui sont particulière
illon. Disposition radiée des circonvolutions autour de la perte de substance cratériforme, dont le sommet occupe la voûle du
. Dans ces deux cas, les lésions sous-corticales avaient détruit la substance blanche sous-jacente au tiers pos- térieur de l
profondes qui atteignent l'épendyme ventriculaire et détruisent la substance blanche sagittale sous-jacente. Lorsque les lés
tubercule quadrijumeau antérieur. - 7 ? ruban de Hell médian. - Spa, substance per- forée antérieure. - Ti, T'i, centre de Wer
lésion occipitale, intéressant plus particulièrement l'écorce et la substance blanche sous-jacente des scissures calcarine et
evait s'agir de lésions qui lèsent plutôt qu'elles ne détruisent la substance cérébrale. Le : mêmes réflexions s'appliquent à
tifs, et dans leur intervalle souvent fort .irrégulier on aperçoit la substance grise de cette circonvolution avortée. Au niv
s par un certain nombre de libres qui prennent leur origine dans la substance grise des lobes olfactifs antérieur et postérieur
tifs antérieur et postérieur. Les plus courtes se terminent dans la substance grise du pédoncule olfactif, du tubercule olfac
Les radiations olfactives profondes (1-'tolp)(Fig. 231) formenl la substance blanche profonde du pédoncule et du tubercule olf
toxylinique et séparés les uns des autres par des îlots allongés de substance FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 265
érieur (partie inférieure et basale de la tête du noyau caudé (CNC) substance perforée antérieure, substance innominée sous-l
sale de la tête du noyau caudé (CNC) substance perforée antérieure, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert). Elles
arrière du tubercule olfactif du noyau caudé (CNC) et comprenant la substance perforée antérieure et la sub- stance innominée
ascicules lâches et onduleux, l'aire olfactive, en particu- lier la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert, et crois
re principal (I·'nah). - Fiel, faisceau longtlu- dinal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. - F.11, faisceau rétrof
. Elles naissent des cellules pyramidales petites et moyennes de la substance grise du pédoncule et du tubercule olfactifs et
ubercule mamillaire. - Roll), radiations olfactives profondes. - tya, substance perforée antérieure. - Th, thalamus. Tma, tuber
nexions. En avant (Fig. 2G1), le taenia semicircularis émerge de la substance per- forée antérieure et de la partie adjacente
dinales, et contient dans son épaisseur un certain nombre d'amas de substance grise en continuité avec la substance grise sous-
r un certain nombre d'amas de substance grise en continuité avec la substance grise sous-épendymaire. Le taenia semicirculari
ncore, comme Foville le signalait, dans la partie postérieure de la substance perforée antérieure. , Nombreuses sont les opin
ez le lapin) dans le noyau lenticulaire, le noyau amygdalien. et la substance grise de la pointe de la corne sphénoïdale. Il
abandonnant des fibres soit à la commissure anté- rieure, soit à la substance grise qui entoure le chiasma des nerfs optiques,
io-thalamiques. - Th, thalamus. - tsc, tænia semicircularis. - Sgc, substance grise centrale. - Zr, zone réticulée. 272 ANATO
, soit aux régions basales du cerveau anté- rieur : septum lucidum, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert, noyau
a partie antérieure du troisième ventricule, puis s'enfonce dans la substance grise du tuher cinereum et aborde le tubercule
- NR, noyau rouge. - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur. - SgAq, substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. - SI, sep
ereum de Gudden dont les fibres peuvent être suivies jusque dans la substance grise centrale du troisième ventricule. - Tg, c
le gyrus fornicatus et le septum lucidum, soit entre eux, soit 1 la substance perforée antérieure et au tubercule olfactif.
ure antérieure (Fig. 22, p. 32, et Fig. 263), s'en- foncent dans la substance grise centrale de la région sous-optique, puis
u thalamus (PiTh) qui se porte en bas et en avant, du thalamus à la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert; 2° le
és les uns des autres par des inter- valles plus ou moins grands de substance grise, s'enchevêtrent les uns avec les autres e
ociation et de fibres de projection (Ol ? 1-l'r), le feutrage de la substance grise sous-épendymaire (OF) qui double l'angle
u faisceau occipito-frontal consécutive à une lésion en foyer de la substance blanche sous- jacente à la première circonvolut
meau antérieur. - Qp, tubercule quadri- jumeau postérieur. - Sg.lg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Te, tuber cine
nterne (Honegger, Cajal, Kôlliker, Vogt) de ce tubercule et dans la substance grise avoisinante (Kôlliker, Vogt). Le plus grand
hnoplhagen, V. Monakow, Vogt); quelques fibres se terminent dans la substance peiforée postérieure (Kôlliker, Vogt); d'autres
sième ventricule. 11 est séparé de la cavité ventricu- laire par la substance grise centrale, mince sur la ligne médiane et il
reum de Gudden. PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus. - Sr/c, substance grise centrale du troisième ventricule. Tga, pi
CE CÉRÉBRALE. 299 interne l'entoure complètement et le sépare de la substance grise cen- trale du troisième ventricule et du
uite oblique- ment en haut, en dehors et en arrière, et traverse la substance grise cen- trale du troisième ventricule au voi
bstance grise cen- trale du troisième ventricule au voisinage de la substance perforée posté- rieure, puis entre dans la régi
perficielle de la calotte, passe en dedans du locus niger, entre la substance perforée postérieure et le pied du pédoncule cé
en dedans, longent la face interne du noyau rouge et arrivent à la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, en tra- versant
périeurs en concourant à former lesjibres antéro-postérieures de la substance réticulée de la calotte. Elles se terminent final
mation réticulée,lII°parlie). Le ganglion dorsal est situé dans la substance grise centrale du quatrième ventricule, en arri
émanent des fibres longitudinales qui traversent du haut en bas la substance grise centrale du quatrième ventricule en formant
lules nerveuses et des cellules névrogliques plongées au sein d'une substance fondamentale finement réticulée et se colorant
s. - Sexv, surface extra ventriculaire de la couche optique. - Sge, substance grise sous-épendymaire.- Tap, Inpetum. - Tgp. p
oilde même pour les nom- breuses libres à myéline qui sillonnent la substance grise sous-épendymaire de l'angle externe du ve
anesthésie datant de 22 jours et relevant d'un ramollissement de la substance blanche sous-corticale placée sous la partie mo
'accompagne d'une dégéné- rescence très évidente et très fine de la substance grise antérieure de la protubérance. 2° Une dég
occupe les faisceaux radiés, la lame médullaire externe (Lme) et la substance grise fonda- mentale de la moitié postérieure d
age dégénérés. La dégénérescence du globus pallidus occupe toute la substance grise de ce noyau, elle est en outre par- ticul
fibres verticales de l'étage antérieur de la protubérance et de la substance grise avoisinante, de la pyramide antérieure du
interne (lmi). Il existe en outre une dégénérescence diffuse de la substance grise de toute la moitié posté- rieure du globu
ne partie des fibres dégénérées du globus pallidus s'épuise dans la substance grise de ce ganglion, une autre partie entre da
postérieure et sa lame médullaire des fibres qui s'épuisent dans sa substance grise; Le corps de Luys entre de même en connex
lenticulaire (Al). Il abandonne chemin faisant quelques fibres à la substance grise centrale du 3e ventricule et au champ de
la face inférieure du noyau lenticulaire (Fig. 23), appartient à la substance inno- minée sous-lenticulaire de Reichert et cr
isceau l'anse pédonculaire de Gratiolet c'est-à-dire cette bande de substance grise et blanche que l'on voit à l'oeil nu sur
l'anse pédonculaire sont séparés l'un de l'autre par une couche de substance grise riche en volu- mineuses cellules nerveuse
ise riche en volu- mineuses cellules nerveuses, qui appartient à la substance innominée sous-lenliculaire de Reichert et qui
d antéro- interne du segment postérieur de la capsule interne et la substance grise centrale du troisième ventricule ; elle e
se porte en arrière, abandonne chemin faisant quelques fibres à la substance grise centrale du troisième ventricule, puis pénè
e de Forel (FI) et envoient un petit fascicule (FI') dégénéré dans la substance grise centrale du troisième ventricule, au-dess
de Meynert (CM) (Fig. 297et298). Elles peuvent être suivies dans la substance grise centrale du troisième ventricule le long
e la couche optique. C'est un foyer de ramollissement avec perte de substance de la partie antéro-ventrale du noyau externe d
Forel, en particulier, le faisceau lenticulaire de Forel envoie à la substance grise centrale du 3e ventricule (FI') (Fig. 305
vrai, que dans la partie supérieure ou dorsale du noyau externe la substance grise prédomine et que la pénétration des fibre
t du noyau externe. Toutes ces cellules sont plongées au sein d'une substance fondamen- tale, finement granuleuse, qui se col
es cellules nerveuses volumineuses, ainsi que par la richesse de sa substance fondamentale en fibres à myéline. Le noyau acces-
e. Ses cellules sont très analogues à celles du noyau principal, la substance fondamentale seule se distingue par une moindre
rs par la lame médullaire interne (Lmi), recouvert en dedans par la substance grise centrale (Sgc) qui le sépare du troisième
one et appartenant il la grande fente cérébrale de Bichat. ? 7-'f ? substance grise de l'aqueduc de Sylvius. GANGLIONS INFRAC
c de Sylvius. GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étag
TICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubé- rance
nce. - SR, formation réticulée de la calotte protubérantielle. - Sti, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert. - lec,
amidales, très rappro- chées les unes des autres et entourées d'une substance fondamentale pauvre en fibres à myéline. Ces ce
nt plus petites que l'on examine des régions plus rapprochées de la substance grise centrale (v. Monakow). Le noyau interne
nt petites, triangulaires ou fusiformes; elles sont entourées d'une substance fondamentale très riche en fibres à myéline qui
lvinar (Pul). Elle se présente sous l'aspect d'une mince lamelle de substance grise qui recouvre toute la face externe du noy
de la couche optique. Les mailles de ce réseau sont remplies par la substance grise de la zone réticulée ou grillagée, laquel
an de Reil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sage, substance grise centrale du troisième ventricule. - SI, sep
ou grillagée, les cellules nerveuses sont petites, entourées d'une substance fondamentale abondante qui rem- plit toutes les
d'autant plus serrées les unes contre les autres et entourées d'une substance fondamentale d'autant plus intensivement coloré
t soit isolées, soit disposées en petits groupes et entourées d'une substance fondamentale riche en fibres à myéline. Ces fib
. - S(p), prolongement postérieur de la scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sge (Fli), couche sagit
nes du pulvinar et se disposent en petits groupes, entourés par une substance fondamentale se colorant intensivement par le c
ps genouillé externe. La base de ce ganglion est en rapport avec la substance grise du pulvinar (Fig. 313), et dans les régio
ites ramifiées et couvertes d'épines, et sont situées au sein d'une substance fondamentale finement granuleuse. Leurs cylindr
on seule- ment les fibres radiées du thalamus, mais encore toute la substance grise de ce ganglion qui est piqueté de grains
le putamen, et se terminent sur la coupe en s'épanouissant dans la substance grise très épaisse située au-dessous de l'épendym
nnexions très intimes entre la couche optique, le noyau rouge et la substance grise de la formation réticulée. Le complexus d
ct de deux faisceaux parallèles séparés l'un de l'autre soit par la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, soit par le sill
e quadrijumeau antérieur. - 1'Sp, diverticule sus-pi- néal.- Sge, substance grise centrale. par les bras des tubercules q
ent leur origine moins de l'écorce temporale que des cellules de la substance innominée sous-lenticulaire qui constituent le
stituent le ganglion de l'anse pédon- culaire ou des cellules de la substance grise centrale qui tapisse la face interne du t
reuses fibres proviennent du septum lucidum et de l'aire olfactive ( substance perforée antérieure, substance innominée sous-len
ptum lucidum et de l'aire olfactive (substance perforée antérieure, substance innominée sous-len- ticulaire, tubercule olfact
diations de la calotte. - RrIR, région du ruban de Reil médian ? Sgc, substance grise centrale. - sM, sillon de Monro. - Spp, s
dian ? Sgc, substance grise centrale. - sM, sillon de Monro. - Spp, substance perforée postérieure. - SI ri, stratum intermed
aine de myéline, il est fort probable qu'elles se terminent dans la substance perforée postérieure ou que, se comportant de l
ceau rétroflexe de Meynert et qui ne doit pas être confondu avec la substance perforée postérieure. Découvert par v. Gudden,
avec le bord supérieur de la commissure postérieure. Composée d'une substance grise molle, creusée d'une ou plusieurs cavités
er et du pied du pédoncule cérébral, entre la capsule inlerne et la substance grise centrale du troisième ventricule. Elle atte
ce grise centrale du troisième ventricule. Elle atteint en avant la substance perforée anlérieure et se continue en arrière et
ue de l'im- portante région de la calotte, région qui s'étend de la substance perforée antérieure au processus reticularis de
ION SOUS-OPTIQUE. 39 : 3 partie inférieure du globus pallidus et la substance innominée sous-lenti- culaire de Reichert, inté
faisceau rétroflexe de Meynert. La face interne est tapissée par la substance grise centrale dont la séparent incomplètement
adie avec elle dans l'extrémité anté- rieure du thalamus et dans la substance grise du tuber cinereum ; en arrière, il s'amin
couche optique, et sectionnant le pied du pédoncule cérébral et la substance innominée sous- lenticulaire de Reichert dans l
latéral ? M'f, la surface extravenlriculaire du thalamus. - Sr/l', substance grise centrale du 3° ventricule. - SI, seplum l
tance grise centrale du 3° ventricule. - SI, seplum lucidum. - Sti, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert. - Strz,
partie antérieure de la capsule du noyau rouge. horizontale de substance grise, la zona incerla de Forel (Zi). Il s'agit i
Forel la face inférieure du thalamus et se perd en dedans, dans la substance grise centrale du troisième ventricule. La zona
e se réunissent en un faisceau volumineux qui occupe, le long de la substance grise centrale du troisième ventricule, la part
en deux parties : l'une interne, sus-mamillaire, qui s'adosse à la substance grise centrale du troisième ventricule; l'autre
ches sagittales du segment inférieur de la couronne rayonnante. Sfte, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - Slm, st
ne de la com- missure antérieure, sur les coupes qui intéressent la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert, à la l
et le noyau caudé sont détruits. Il envoie quelques fibres dans la substance grise inter- pédonculaire et reçoit de la corti
ur à tour considérer le corps de Luys comme apparte- nant soif à la substance blanche, soit à la substance grise. Ce n'est qu
de Luys comme apparte- nant soif à la substance blanche, soit à la substance grise. Ce n'est qu'au voisinage de la circonfér
e, finement fibrillaire, qui ne diffère pas de celle di reste de la substance grise, el dans laquelle on trouve clairsemées ur
celles du noyau rouge ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV. - SUBSTANCE GRISE CENTRALE ET COMMISSURES DU PLANCHER DU TR
SE CENTRALE ET COMMISSURES DU PLANCHER DU TROISIÈME VENTRICULE La substance grise centrale tapisse les parois latérales et le
s trous de Monro et de l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius avec la substance grise sous-épen- dymaire des ventricules latéra
a substance grise sous-épen- dymaire des ventricules latéraux et la substance grise centrale du cerveau moyen. Elle fait défa
éale. Mince en haut où elle tapisse la face interne du thalamus, la substance Fisc centrale se fusionne incomplètement à ce n
rta en - recouvrant la face interne de la région sous-optique. La substance grise du plancher du troisième ventricule occupe
ndelette optique et per- forée de petits orifices vasculaires. La substance grise centrale est tapissée par les cellules cyli
décrit par Darkschewitsch. La méthode de Weigert-Pal révèle dans la substance grise cenlrale de nombreuses fibres fines, de moy
re de Forel ou com- missure sous-thalamique postérieure, et dans la substance grise qui double le chiasma et la bandelette op
. - Sexv, surface extra ventriculaire de' la couche optique. - Sge, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - Spp, la
se centrale. - SI, septum lucidum. - Spp, lame interpédonculaire ou substance perforée postérieure. - Strz, stra- tum zonale
ieure du faisceau longitudinal postérieur,longent de haut en bas la substance grise centrale, ainsi que nous l'avons figuré dan
t un faisceau formé de lâches fascicules de fibres enclavés dans la substance grise centrale, au-dessus du chiasma et des ban-
t le trajet et dont elle est toujours séparée par une mince lame de substance grise. Chez l'homme, elle occupe une situation
r la laque hématoxylinique, et séparés les uns des autres par de la substance grise. Elle occupe la partie supérieure et inte
n du faisceau du tuber cinereum; la commissure qu'il décrit dans la substance grise centrale occupe la partie antérieure de la
one, et se perdrait, d'après Darksche- witsch et Pribytkow, dans la substance grise centrale comprise entre le pilier antérie
gittales, nous avons pu suivre ce faisceau plus loin jusque dans la substance grise centrale de l'aqueduc deSylvius(fTc, Fig. 2
troisième ordrc. 2° Les centres olfactifs primaires comprennent la substance grise du pédoncule et du trigone olfactif, l'ai
illaire principal (Fmp). Fiel, faisceau longitudi- nal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. 7'U, faisceau rétroflex
ieure (Rolp,') dont la plupart des fibres se terminent soit dans la substance grise du tubercule olfactif, soit au- tour des
ontournent les pédoncules cérébraux, adhèrent comme le chiasma à la substance grise de la base de l'encéphale, puis se divisent
le bras du tubercule quadrijumeau antérieur et se terminent dans la substance grise superficielle et moyenne de ce tubercule.
bercul quadrijumeau antérieur. - Ranz, ruban de Reil médian. - Spa, substance perforée anté rieure. - T,, T,' centre de Werni
l'écorce occi- pitale et se terminent par des arborisations dans la substance grise du corps genouillé externe, du pulvinar,
erne, du pulvinar, du tubercule quadrijumeau anté- rieur et dans la substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Les autres repré-
a bandelette optique, mais sont situées dans l'épaisseur même de la substance grise du tuber cinereum et persistent toujours
ne une atrophie com- pléte des deux bandelettes, c'est donc dans la substance grise centrale de la base du cerveau qu'il faut
tement colorées par la laque hématoxylinique, plongés au sein de la substance grise de la base du cerveau et que Schlagenhauf
d du sillon post-pyramidal. Les sillons profonds, qui atteignent la substance blanche centrale, subdivisent le cervelet en un
st rien. Les sillons du vermis, grâce au peu de développement de sa substance blanche cen- trale, sont en général plus profon
au voisinage du pédicule d'in- sertion du lobe postérieur sur la substance blanche centrale du cervelet, se continuent d
t reliée aux parties hémisphériques (II) par une mince lamelle de substance blanche, sorte de crête d'union ou de pédoncu
doncule, d'une crête d'union (c) plus ou moins étendue et formée de substance blanche incomplète- ment revêtue par l'écorce c
volumi- neux du cervelet. Trois sillons profonds qui atteignent la substance blanche centrale du cervelet le divisent en qua
y, pyramide antérieure du bulbe. - Rm, ruban de Reil médian. - Sbc, substance blanche centrale ou noyau blanc central du verm
vermis. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sgc, substance grise centrale du .4' ventricule. - Sgc', substan
d'Azyr. - Sgc, substance grise centrale du .4' ventricule. - Sgc', substance grise centrale péri-épendymaire. - spo, sillon
OMBENCÉPHALE. 453 dans le sillon marginal antérieur, d'atteindre la substance blanche cen- trale du cervelet, et d'être plus
che verticale (bv) de l'arbre de vie médian et qui atteint seule la substance blanche centrale du vermis (Fig. 336). Dans la
nterlobulaires gagnent rapidement en profondeur, atteignent tous la substance blanche centrale, et il résulte de cette dispos
la branche horizontale de l'arbre de vie médian, au voisinage de la substance blanche centrale du vermis (Fig. 336). La pyram
uement en arrière et en dedans; elle occupe la partie interne de la substance blanche centrale des hémisphères et empiète en av
33G) et s'implante par un mince pédicule à la face inférieure de la substance Fic.. 3M. - Le vermis inférieur, les nids d'hii
ief médian du versant supérieur du toit du 4' ventricule formé par la substance blanche de la lingula. z/e, nid d'hirondelle. -
uelle est reliée de chaque côté aux amygdales par une large lame de substance blanche, irrégulièrement quatrilatère, connue sou
ssous des ailes de la pyramide ; leur bord antérieur, adhérant à la substance blanche centrale du cervelet, se conti- nue ins
ituée en avant de la luette à la partie antéro-inférieure de la substance blanche cen- trale du vermis (Fig. 336, 31 ))
e diverticule angulaire du 4" ventricule et se réfléchissant sur la substance blanche et l'écorce de la face supérieure du no
du nodule (Fig. 315) se détachent deux minces voiles membraneux de substance blanche, que leur forme semi-lunaire a fait com
dont il se distingue par sa minceur et sa mobilité, et adhère à la substance blanche centrale du cervelet. Il forme avec la
'écorce cérébelleuse (voy. cas Vasseur, Chap. IV), ou détruisent la substance blanche centrale sous-jacente (voy. cas Drevel,
(Fig. 366, 367), on constate que l'olive est formée par une lame de substance grise plusieurs fois repliée sur elle-même, et
complètement les pyramides postérieu- res et atteint presque la substance grise centrale du bulbe. Au voisinage du collet
quatrième ventri- cule. Sa base est fixée sur la ligne médiane à la substance blanche du nodule (SbNo) et latéralement aux va
ansversaux du 4° ventricule : ils longent la valvule de Tarin et la substance blanche du nodule et se pro- longent de chaque
de chaque côte dans les diverticules latéraux du 4' ventricule. SbNo, substance blanche du nodule. - spe, sillon précentral. -
gle de réflexion correspond aux bords des valvules de Tarin et à la substance blanche du nodule, c'est-à-dire au bord supérie
laté- raux. Les plexus médians s'étendent du trou de Magendie à la substance blanche du nodule sous forme de deux minces tra
rt par le trou de Magendie. En haut, ils sont unis au-devant cle la substance blanche du nodule par un petit cordon transvers
iverticule angulaire, médian (fV;, Fig. 336), qui s'enfonce dans la substance blanche du cervelet, et de chaque côté deux div
. Arnold la désignait de ce fait sous le nom de locus cml'1lleus ou substance ferrugineuse (subslanlia ferruginea), nom génér
ins développées, profondes et recouvertes par une épaisse couche de substance grise centrale; quelquefois, elles ne sont appare
hors d'eux ; leur extrémité interne est dans ce cas couverte par la substance grise centrale. De leur ligne d'émergence qui p
riculaire. Il s'étend des tubercules quadrijumeaux postérieurs à la substance blanche centrale du vermis; sur la partie média
par deux sillons lon- gitudinaux. La bande médiane (ms) répond à la substance blanche de la liu- gula et à la valvule de Vieu
z10 un petit segment horizontal formé dans sa partie moyenne par la substance blanche du nodule, et dans ses parties latérales
'à la limite postérieure du nid d'hirondelle, de telle sorte que la substance blanche centrale du cervelet atteint dans cette
aire. Le cervelet est surtout composé d'une couche superficielle de substance grise, l'écorce cérébelleuse, et d'une substanc
e superficielle de substance grise, l'écorce cérébelleuse, et d'une substance blanche centrale relativement peu considérable.
let el se réfléchit dans le fond des sillons interlobulaires sur la substance blanche centrale du vermis et des hémisphères.
iane, elle correspond à l'insertion de la toile choroïdienne sur la substance blanche du nodule; de chaque côté elle décrit une
lle des hémisphères. Sur ces points, toujours . fort restreints, la substance blanche apparaît librement à la surface du cerv
de la plus grande partie de la face anlérieure du flocculus, où la substance blanche visible il l'extérieur constitue le péd
s lobes dé- pourvus d'écorce. 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche centrale. Ses prolongements périphé
centrale. Dimensions et as- pect. Préparation de Reil. La substance blanche, infiniment moins considérable que l'écor
'arbre de vie du cervelet (Fig. 358 et 339). Dans l'épaisseur de la substance blanche centrale, au voisinage du ver- sant sup
ires, le glo- Intle ou noyau sphérique et l'embole ou bouchon. 1. SUBSTANCE BLANCHE CENTRALE DU CERVELET. La Substance blan
l'embole ou bouchon. 1. SUBSTANCE BLANCHE CENTRALE DU CERVELET. La Substance blanche centrale du cervelet atteint ses plus g
e Vicq d'Azyr (scf) et à disséquer à l'aide du manche du scalpel la substance blanche du cervelet sur le prolongement de ce s
a préparation de Reil passe au-dessus d'elles et n'intéresse que la substance blanche cen- trale qui représente ainsi une sor
rties d'inégale épaisseur : l'une, supérieure, mince, comprenant la substance blanche immédiatement sous-jacente aux lobes du
eure, beaucoup plus épaisse, comprenant la plus grande partie de la substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris c
stance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris centraux et la substance blanche des lobes de la face infé- rieure du ce
he des lobes de la face infé- rieure du cervelet. Ainsi préparée la substance blanche centrale occupe toute la largeur du cer
(Fig. 357). Sur le segment inférieur de. la préparation de Reil, la substance blanche centrale est concave dans la région
e l'a1'b7 e de vie du vermis. Si la préparation de Reil montre la substance blanche centrale dans sa plus grande étendue, e
ittales au travers de cet organe. Elles permettent de distinguer la substance blanche centrale des hémisphères, de la substan
de distinguer la substance blanche centrale des hémisphères, de la substance blanche centrale du vermis. La substance blanch
e des hémisphères, de la substance blanche centrale du vermis. La substance blanche centrale des hémisphères forme sur les
stance blanche centrale des hémisphères forme sur les 1'ic.3î. - La substance blanche centrale du cervelet \ue sur une prépar
vie des lobes latérazcx du ce1't'elel. Dans la région du vermis, la substance blanche centrale (coupe SI, Fig. 336, p. 452) e
nsversaux du 't' ventricule. - Tub valv, tubercule valvulaire. - sue, substance blanche centrale du vermis. - sef, grand sillon
vermis. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azy-r. - Sge, substance grise centrale. - sil', sillon inférieur de Vicq
de l'arbre de vie médian se rac- courcissent et s'épaississent, la substance blanche centrale sè continue en haut et en avan
ablement augmenté de volume, perdent bientôt leur individualité; la substance blanche centrale tend à prendre une forme de plus
une véritable région de transi- tion, dans laquelle la figure de la substance blanche centrale rappelle par certains caractèr
s qui passent par la partie anté- rieure du cervelet (Fig. 316), la substance blanche centrale du vermis présente un aspect b
rsal, mince et étroit, légèrement concave en bas, qui unit les deux substances blanches centrales des hémisphères et correspond
les hémisphères. Noyau du toit (NL), nucleus /cc, nucleus fasligii, substance feilrit- giiiezise supérieure (v. IiGlliker). -
aque côté de la ligne mé- diane une partie assez considérable de la substance blanche centrale du vermis (coupe S2, Fig. 359)
s de la branche verticale de l'arbre de vie médian, au-dessus de la substance grise sous-épendymaire, qui tapisse le toit du
férieur. - scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - SyR, substance gélatineuse de Rolando,. - sil', sillon inférie
de pigeon ou d'hirondelle dont le sépare une lame assez épaisse de substance blanche tapissée par l'épendyme ventricu- laire
isphère cérébelleux et occupe la partie interne et inférieure de sa substance blanche centrale. Située au voisinage du vermis
'hirondelle, l'olive cérébelleuse est constituée par une lamelle de substance grise, de couleur jaunâtre ou gris rougeâtre, d
URE DU RHOMBENCÉPHALE.] 51 : i FiG. 361. - L'olive cérébelleuse, la substance blanche centrale des hémisphères céré- belleux
6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Hile de l'olive cé- roheticuso. Substance blanche intra-ciliaire. Toison ou sub- stan
gueur, sont séparés par de profondes incisures et pénètrent dans la substance blanche centrale des hémisphères; les plus longs
dentelée qui constitue l'olive céré- belleuse, il existe un amas de substance blanche dont la périphérie s'in- sinue dans tou
ntral dit corps dentelé (nucleus medul- laris corporis dentalæ), ou substance blanche intra-ciliaire (fie), constitué par un
trage de libres qui prennent leur origine ou se termi- nent dans la substance grise de l'olive cérébelleuse. Ces fibres ne se
e la lame festonnée et entrent dans la constitution de la toison ou substance blanche extra-ciliaire. La périphérie du corps
ve céré- belleuse sont entourées par contre d'une épaisse couche de substance blanche, dans laquelle on distingue trois zones
ns, les dentelures et les denticules, est la toison de Stilling, ou substance blanche exlra-ciliaire (fec), formée par un den
re (fec), formée par un dense feutrage de fibres, l'homologue de la substance - blanche intra-ciliaire. A la partie supérieur
et superficiel (fsme, Fig. 361), occupe la moitié supérieure de la substance blanche centrale des hémisphères et s'entre-cro
a base des lobes et lobules, et que nous désignerons sous le nom de substance blanche non différenciée du cervelet ou de feut
épais et volumineux qui se détachent de la partie antérieure de la substance blanche des hémisphères, apparaissent à l'extér
s épais et volumineux, séparés les uns des autres par une gangue de substance grise, connue sous le nom de Fig. 36 ? . - Les
érance avec ses fibres sagillales. Rm, ruban (lelleil médian. Sy/o, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. -
DU RHOMBENCÉPHALE. 5tJ noyaux pontiques (Np), de noyaux du pont, de substance grise antérieure de la protubérance (SgPo). Ces
ant des bourrelets pyramidaux. Sa face profonde est tapissée par la substance grise antérieure [du pont (noyaux pontiques antér
affecte un trajet descendant et ne se continue que plus bas avec la substance blanche des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 3
e antérieure de la région de la calotte; elle est cloisonnée par la substance grise antérieure de la protubérance (noyaux ponti
ulièrement arrondi, entouré par une couche plus ou moins épaisse de substance grise et limité en avant par les fibres protubé
ule de Tarin (coupe S 5, Fig. 360) en arrière par une mince lame de substance grise appartenant à l'olive cérébelleuse (Fig.
- RI, ruban de Reil latéral. - Orna, ruban de Reil médian. - SgAg, substance grise de l'aqueduc. - SR, for- mation réticulée
dans leurs parties antéro-externes apparaissent bientôt des amas de substance grise qui grandissent au sur et à mesure que l'on
(Fig. 25, p. 37, 26, p. 39) ; il se trouve limité en dedans par la substance grise centrale qui entoure l'aqueduc de Sylvius
, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil médian. SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SR, formation réticulée
acoustiques. - 1'11'" diverticule latéral du 4° ventricule. - SRIR, substance gélatineuse de Rolando. SRa, formation réticulé
erne du corps restiforme (coupe H9, Fig. 366), entre ce corps et la substance grise centrale du qua- trième ventricule, et pr
orme, mais un groupe de fascicules isolés, entourés d'une gangue de substance . grise, connue sous le nom de noyau de Deiters
aux cérébello-veslibulaires (fcv) (voy. Chap. IV). L'ensemble de la substance grise et des fascicules peut être désigné sous le
t de nombreuses fibres arciformes (fad) qui décrivent, autour de la substance grise cen- trale, des courbes incluses dans cel
ntiellement constituée, comme l'olive cérébelleuse, par une lame de substance grise irrégulièrement plis- sée et repliée sur
sente une lame grise sagit- tale, reliée à l'olive par des ponts de substance grise et dont le bord-anté- rieur atteint la py
nt au pédoncule cérébelleux moyen (p. 51'7); 3° Par une gangue de substance grise, les noyaux pontiques, qui enve- loppent
al en petits fascicules arrondis, séparés les uns des autres par la substance grise du locus niger (Ln) et plus bas par les n
. - Rl, ruban de Reil latéral. - Hum, ruban de Reil médian. - Sage, substance grise centrale. - SgPo, noyaux pontiques. - SR, f
rieur. - lil, ruban de Reil latéral. - rubin de Hei) médian. Sgl'o, substance grise antérieure du pont. - SR, formation rétic
eux tiers) des fibres de la voie pédon- culaire, s'épuisent dans la substance grise de l'étage antérieur de la pro- tubérance
com- pact, irrégulièrement arrondi, plongé au sein d'une gangue de substance grise, et qui n'est plus dissocié que par quelq
ule cérébral, retentit à la fois sur la pyramide bulbaire et sur la substance grise antérieure du pont. Au-dessous du sillon
xe, conserve encore des connexions, partielles il est vrai, avec la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance,
ide antérieure du bulbe. - xpin, entre-croisement piniforme. - SyR, substance gélatineuse de Rolando. - SRce (cio), couche inte
sence des noyaux rétro-pyramidaux (Nrp), petits amas irréguliers de substance grise qui bordent le faisceau pyramidal en arrièr
s et en arrière; ils traversent en fascicules lâches et onduleux la substance grise située en avant et en dehors du canal cen
lle, où les fascicules sont en outre séparés par une mince trame de substance grise, en continuité avec la formation réticulé
édoncule cérébelleux moyen (Pcm), des fibres transversales et de la substance grise antérieure du pont dans un cas d'atro- ph
n plus ou moins complète des cellules de Purkinje et atrophie de la substance grise antérieure de la protubérance (Atrophie o
sous forme d'un fais- ceau compact et arrondi, plongé au sein d'une substance grise riche en névroglie, pauvre en cellules ne
périeure (Fig. 379) et moyenne (Fig. 380). Dégé- nérescence de la substance grise antérieure du pont, du noyau arqué et d
C, 381 et 382. -. Dégénérescence de la voie pédonculaire et de la substance grise antérieure du pont, du pes lemniscus supe
donne parfois quelques fibres aberrantes ; elles descendent dans la substance grise centrale de la moelle, à la base de la corn
dans toute sa hauteur par une for- mation spéciale, la formation ou substance réticulée, essentielle- ment constituée par une
culée, essentielle- ment constituée par une série de colonnettes de substance grise, disposées sous forme de réseau, lequel e
croisées par des fibres arciformes et radiées. Les colon- nettes de substance grise portent le nom de processus reticulares de
toute la hauteur de la calotte, non toutefois sans abandonner à sa substance grise ou sans en recevoir un certain nombre de fi
les voies cérébelleuses et les noyaux gris qui en dépendent; 2° la substance grise centrale et les noyaux d'ori- gine el de
2° Voios cérdlhe (e1150s. 552 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 3n Substance grise centrale et ses no) aux de nerfs cra-
sceau cérébelleux direct, faisceau de Gowers) (voy. Chap. IV). La substance grise centrale tapisse la face postérieure de la
ison et d'origine des autres nerfs craniens sont situés non dans la substance grise centrale, mais dans l'épaisseur même de l
antielle, se prolonge dans la moelle cervicale, se continue avec la substance gélatineuse de Rolando de la corne postérieure, e
région sous-optique a la moelle cervicale supérieure, le réseau de substance grise de la formation réti- culée n'est pas dis
ur de la formation réticulée, un certain nombre d'agglomérations de substance grise très mal délimitées en général, et qui, à p
e9 à 450, p. go). Celte concentration irrégulière des trabécules de substance grise, contribue à donner à la formation réticu
petit champ triangulaire compris entre le noyau rouge en avant, la substance grise centrale en dedans et les irradiations de
la capsule de ce dernier et s'étend dans le sens transversal de la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius au lnc.
- Tin : , ruban de Reil médian. RI, ruban de Reil latéral. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, for- matio
vité du ruban de Reil médian; elle est formée d'épais trabécules de substance grise (noyau innominé de Bechterew) traversés p
nombre et en volume et se concen- trent en avant et en dehors de la substance grise centrale de l'aqueduc, en un petit faisce
oute la largeur de la calotte, s'étend du ruban de Reil médian à la substance grise centrale; son enchevêtrement avec le pédo
située entre le bord postérieur de la commissure de Wernekink et la substance grise centrale de l'aqueduc et contient en dedans
Ill, ruban de Reil latéral. - 7 ! M : , ruban de Reil médian. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur du pont. - SR, forma
éticulée, en avant dans le ruban de Reil mé- dian et jusque dans la substance grise de la protubérance. Il occupe la partie m
sinue entre les deux rubans de Reil médians (Rm) et qui at teint la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance e
), l'olive supérieure (Os), le noyau d'origine du facial (NVII), la substance gélatineuse de Rolando (SgR)dans laquelle se term
e, situé en arrière el en dehors de la formation réticulée, dans la substance grise centrale du le ventricule, en dedans du p
erticule latéral du 4° ventricule. Il»a, ruban de Reil médian. SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SgPo, noyaux pontiques.
ôté du raphé, un champ triangulaire à base antérieure, étendu de la substance grise centrale du le ventricule à la pyramide bul
restiforme et l'olive bulbaire. En arrière, ce champ s'adosse à la substance grise centrale du plancher du 4e ventricule; en
s restiforme (Crst) dont le séparent le noyau de Deiters (Cj) et la substance gélatineuse de Rolando (SgR). La partie antéro-
masque le sillon olivaire interne (comparer avec la Fig. 383). - SgR, substance gélati- neuse de Rolando. - SRa, formation réti
rps avec le reste de la formation réticulée grise, et s'étend de la substance gélatineuse de Rolando et du noyau du cordon de
ortent t en dehors et en arrière, décrivent des arcs en avant de la substance grise centrale, traversent toute la formation r
, qui la sépare de la pyramide antérieure (Py) du bulbe, jusqu'à la substance gélatineuse de Rolando (SRg) et aux noyaux des co
t entre la formation réticulée, avec laquelle il se fusionne, el la substance gélatineuse de Rolando. 4° Dès que l'entre-croi
fascicules longitudinaux clairsemés, se confond en arrière avec la substance gélatineuse de Rolando et le noyau de Burdach, et
orme ou sensitif du bulbe. - l ? pyramide antérieure du bulbe. - SgR, substance géla- tineuse de Rolando. - SRa, formation réti
dentes diminue et s'effile; elle est bientôt séparée du reste de la substance grise centrale par le faisceau pyramidal croisé q
al une fois effectué, la corne antérieure est reliée au reste de la substance grise de la moelle par un col plus ou moins étr
) et dont la face antérieure se fusionne, de dehors en dedans, a la substance gélalinenes f ic. 402. - Les noyaux des cordons
ntre-croisement piniforme. - ? pyramide antérieure du bulbe. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. SRa (cio), formation réti
gR), à la partie postérieure de la formation réticulée (SR) et à la substance grise centrale (Sgc); la face postérieure irrégul
ar une mince couche de fibres longitudinales et qui est reliée à la substance grise centrale par un pédi- cule mince et étroi
nent sont uniformément dissémi- nées ; dans le noyau de Burdach, la substance grise se rassemble en îlots ar- rondis ou obloy
xylinique, qui se portent en avant, décrivent des arcs autour de la substance grise centrale et s'entre-croisent, à angle aig
sement s'étend en longueur, du fond du sillon médian antérieur à la substance grise centrale (Fig. 404), et en liauteur,del
Nrt), du faisceau central de la calotte (Fcc) et d'un petit amas de substance grise, oblong, souvent bilobé, situé en avant e
les trois pédoncules cérébelleux. Coupe horizontale passant par la substance blanche centrale du vermis au-dessus des noyaux
de Reil médian. Sbe, qtibstaiice blanche centmle du vermis. - Sgn, substance gélatineuse de Rolando. Slis, Slrc, Strp, couch
gré la voie pédonculaire, soit parce qu'ils se sont épuisés dans la substance grise voisine (Voy. p. 513). Au-dessus des noya
aré du ruban de Reil latéral (RI) par de petits amas irréguliers de substance grise, situés au voisinage du sillon latéral de
bres spinales des régions postérieures (Luys); bord supérieur de la substance réticulée (Henle); fasciculus longitudinal is med
nation avec le faisceau longitudinal dorsal de Scliütz, situé dans la substance grise centrale du 4e ventricule, en connexion a
ar la laque héma- toxylinique, très bien délimité en arrière par la substance grise centrale, en dedans par le raphé, mais qu
à l'absence presque complète entre ces derniers de tra- bécules de substance grise. Sur les coupes qui intéressent la commis
t la limite interne de la capsule du noyau rouge, la séparent de la substance grise qui double l'espace perforé postérieur, p
l cesse d'être trans- versal, se porte en arrière et envoie dans la substance grise centrale de l'aqueduc une fine saillie an
postérieure du faisceau longitudinal postérieur et le sépare de la substance grise centrale et du faisceau longitudinal dors
protubérantielle. - l'cs, pédon- cule cérébelleux supérieur. - Sge, substance grise centrale. - SR, formation réticulée. - sl
, le limitent en arrière et le séparent du genou du facial et de la substance grise centrale du quatrième ventricule. Au-de
Cette coupe rend bien compte du développement extrême que prend la substance grise du cervelet, de la profondeur des sillons q
ent, est occupé par le diver- ticule angulaire du to ventricule. La substance blanche centrale (Sbc), ou moyeu de cette roue,
e commune, la branche horizontale de l'arbre de vie médian (bh). La substance blanche centrale (Sbc) se réduit à une petite mas
ie antérieure par l'épendyme du toit du quatrième ventricule. De la substance blanche centrale du vermis (Sbc) se détachent,
u bulbe. - .rez, décussation pyramidale. - Rii, ruban de Reit. - Sbc, substance blanche centrale du vermis. - se/, grand sillon
se/, grand sillon circonférentiel du cervelet. - Sgc, Srlc', Spic", substance grise centrale du tronc encéphalique et de la par
(spop). Elle reçoit en outre, au voisinage de son implantation sur la substance blanche centrale, l'axe long, grêle et mince de
re branches de moindre dimension qui se détachent directement de la substance blanche centrale, deux sont supérieures et deux i
bas et en avant, et s'irradie dans le nodule. Au voisinage de la substance blanche centrale, l'écorce cérébelleuse de la f
ésente sur cette coupe SI bis la même forme que sur la coupe SI. La substance grise centrale (Sgc) qui tapisse le plancher es
érieure, fermée du bulbe, elle s'épaissit, puis se continue avec la substance grise cen- trale de la moelle épinière, sépa-
aux de la protubérance (Strs, Strp) ; en- tourés d'une gangue cle substance grise; ils se groupent en colonnes verticales
es, sépa- rées les unes des autres par des traînées verticales de substance grise, les noyaux pontiques (Np), dans lesque
niforme ou sensitif du bulbe. zur, fibres sagittales du raphe. Syc, substance grise centrale. - SIi, formation réticulée. -
es sagittales du mphé (1') qui s'étendent d'arrière en avant, de la substance grise centrale jusque dans la profondeur de l'é
ylinique, séparés les uns des autres par des traînées sagittales de substance grise en continuité directe avec le noyau arqué
se trouve la couche iiiterolivai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la substance grise centrale, le faisceau longitudinal postér
ulbaire (r). Les faisceaux obliques qui sillonnent la calotte et la substance grise centrale au-dessus de l'entre-croisement
postérieure est encore plus nette. Dans les traînées verticales de substance grise de la coupe précédente S 1 bis, ont apparu
dum (Strp), du faisceau longitudinal postérieur (Flp) adjacent à la substance grise centrale du quatrième ventricule (Sgc). L
entrale du quatrième ventricule (Sgc). Les petits amas irréguliers de substance grise situés à la limite supérieure de la coupe
antérieure le noyau juxta-olivaire interne (Noi), longue traînée de substance grise qui atteint en bas le collet du bulbe, et l
ndant à la section des dentelures avoisinant le hile de l'olive. La substance grise centrale (Sgc) du quatrième ventricule est
descendante du nerf glosso-pharyngien (IXd), et se continue avec la substance grise centrale de la partie fermée du bulbe (Sg
cordon postérieur : le noyau du cordon de Burdach (NCB) adossé à la substance grise, et duquel se détachent un grand nombre de
quantitatives ; elles consistent en un simple épaississement de la substance blanche centrale du vermis (Sbc) et de toutes s
e le noyau du toit (Nt) de Stilling. L'augmentation de volume de la substance blanche centrale, dans ses dimen- sions vertica
e de vie, qui se raccour- cissent et s'épaississent à mesure que la substance blanche centrale s'agrandit. L'extrémité postér
tance blanche centrale s'agrandit. L'extrémité postérieure de cette substance est épaisse et renflée; elle reçoit, de haut en
s une véritable branche principale qui se détache directement de la substance blanche centrale. L'axe de la luelle s'est racc
cule. l'y, pyramide anté- rieure. - Rm, ruban de Iteil médian. SGc, substance blanche centrale. scf, grand sillon circonféren
centrale. scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sge, substance grise centrale. - SgR, substance gélati- neuse
rconférentiel de Vicq d'Azyr. - Sge, substance grise centrale. - SgR, substance gélati- neuse de Hoiando. siV, sillon inférieur
ive bulbaire est séparée de la pyramide bulbaire par une traînée de substance grise qui appartient en haut aux noyaux rétro-pyr
érieure de l'olive bulbaire (Oi), sont très mani- festes. Dans la substance grise centrale du plancher du 4e ventricule se tr
stérieur (Cp) et le cordon latéral (CI) de la moelle, appartient à la substance gélatineuse de Rolando (SgR). La substance gris
moelle, appartient à la substance gélatineuse de Rolando (SgR). La substance grise diffuse, située au-dessous de Biblictbiqu
ique, l'olive bulbaire, le noyau du facial, le noyau de Deiters et la substance gélatineuse de Rolando. - Coupe sagittale S 3 d
médian. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sage, substance grise centrale. - SgR, substance gélatineuse de
nférentiel de Vicq d'Azyr. - Sage, substance grise centrale. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SR, formation réticulée
aucoup plus marquée que sur la coupe précédente (S 2, Fig. 410). La substance blanche cen- trale s'est épaissie dans le sens
que la partie interne. Des parties supérieure et postérieure de la substance blanche centrale se détachent les différents ax
cérébelleux supérieur (Pes) et envoie un grêle et court axe dans la substance blanche sous-jacente. Le nodule n'est plus repr
odulaire et correspond à la partie postéro-externe de ce lobule; la substance blanche tapissée par l'épendyme ventriculaire se
nge en avant dans la valvule de Tarin (VT), de la même façon que la substance blanche de la lingula se continuait, sur la cou
e continue en haut avec la voie pédoncu- laire (VP). La gangue de substance grise de l'étage antérieur de la protubérance est
ux de fibres transversales. Dans le stratum superficiale (Strs), la substance grise n'affleure plus, comme sur la coupe S 2 2
; les inférieures, plus grêles, se détachent d'une haute colonne de substance grise, le noyau de Deiters (ND), à laquelle fait
quelle fait suite en bas le noyau de Burdach (NCB). La colonne de substance grise comprise entre la formation réticulée grise
e noyau de Deiters (ND),correspond à la section longitudinale de la substance gélatineuse de Rolando (SgR), noyau de terminaiso
le trajet intracérébelleux du pédoncule cérébelleux supérieur. La substance blanche du vermis s'accroît rapidement dans cette
s différentes branches de l'arbre de vie médian el aux dépens de la substance blanche centrale, qui reçoit les pédoncules cér
tement (coupes S 8 et S9, Fig. 416 et 417) en se fusionnant avec la substance blanche centrale des hémisphères. Il en résulte
correspond à toute la moitié antérieure de la face supérieure de la substance blanche centrale des hémisphères (coupes S 8 et S
et s'implante par une base distincte de celle de l'amygdale sur la substance blanche centrale des hémisphères (Coupe S 7, Fi
rêle, de l'axe commun à la pyramide et à la luette, et imprime à la substance blanche centrale une apparence accidentée tout
é postérieure du lobe grêle s'implante sur la face inférieure de la substance blanche centrale, dont les dimensions ont consi
hes de l'arbre de vie médian, qui se raccourcissent à mesure que la substance blanche centrale grandit. Dans la région de tra
la région de transition (Coupes S 4, S 5, S 6, Fig. 412 à 414), la substance blanche centrale augmente subitement : 1° par l
disparu, les lobes de la face inférieure du cervelet envoient à la substance blanche des hémisphères un important contingent d
édiatement en dehors du nid d'hiron- delle(Coupe S 8, Fig. 416), la substance blanche centrale des hémisphères présente déjà
izontale (bh) de l'arbre de vie médian et par l'apparition, dans la substance blanche ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBEINCÉPHALE.
élargit considé- rablement, surtout à sa base d'implantation sur la substance blanche centrale (coupe S 4, Fig. 412). Sur les
insensiblement sur les coupes S 6 et S 7 (Fig. 414 et 415), avec la substance blanche centrale des hémisphères. Les sillons
ères. L'axe du lobe central ne s'implante plus direc- tement sur la substance blanche centrale, mais sur la brandie verticale (
e s'est épaissie et raccourcie, et se raccourcit d'autant plus que la substance blanche centrale des hémisphères augmente dans
xe de la pyramide, large et épais, peu ramifié, qui s'insère sur la substance blanche cen- trale au voisinage du noyau sphéri
compris entre le nid d'hirondelle (nh) et le lobe digastrique. La substance blanche considérablement élargie se continue dire
le de Tarin. ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. Goy Dans la substance blanche centrale, on trouve, au-dessus du nid d'h
re de l'étage antérieur de la protubérance, et sont entourés par la substance grise du pont. Dans la calotte protubérantielle
on trouve en arrière du noyau du facial la section partielle de la substance gélatineuse de Rolando (SgR). Les fibres longitud
u, mais en grande partie aussi au corps juxta ? esti- forme dont la substance grise ou noyau de Deiters (ND) borde en avant la
ieur. - scf, grand sillon circon- férentiel de Vicq d'Azyr. Sgl ! , substance gélatineuse de Rolando. - si Il, sillon inférieur
cérébelleux inférieur (Pci) et qui aborde en haut un petit amas de substance grise représentant la partie supérieure de la sub
tit amas de substance grise représentant la partie supérieure de la substance gélatineuse de Rolando (SgR), désignée encore s
le mode d'émergence du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) de la substance blanche centrale du cervelet, au-dessus du quat
ème ventricule (rlV4) et le noyau du nerf cochléaire (NVIIIc). La substance blanche centrale des hémisphères ne présente pas
arge et épais pédicule; les sillons interlobu- laires atteignent la substance blanche centrale et leur profondeur égale celle
ent de même à leur base d'implantation, au sur et à me- sure que la substance blanche centrale augmente d'épaisseur. Les lobe
érieure du lobe grêle, s'implantent sur la partie postérieure de la substance blanche centrale par un pédicule d'insertion co
rêle est encore sur la coupe S6 (Fig. 414) sans con- nexion avec la substance blanche centrale; l'axe mince, long et grêle du l
concavité l'amygdale de plus en plus réduite de volume, et dont la substance blanche s'implante en arrière sur la crête de l
u tente, au diverticule latéral du 4e ventl'icule (l'IV 4). Dans la substance blanche centrale on trouve encore, sur la coupe S
moyen. Sur la coupe S 6, (Fig. 414), on trouve encore une gangue de substance grise entaillant les fasci- cules protubérantie
ue le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) dont les connexions avec la substance blanche centrale deviennent très manifestes sur
la coupe S 9 (Fig. 417) par l'émergence du nerf trijumeau (V). La substance blanche centrale des hémisphères augmente de volu
sertion de ces deux lobes se fait - grâce à l'ac- croissement de la substance blanche centrale - par deux bases d'implantation
rement radiée des axes des différents lobes et lobules autour d'une substance blanche centrale de forme ovalaire et de dimen-
lètement disparu et on trouve à sa place la partie inférieure de la substance blanche centrale, consi- dérablement augmentée
upes dans le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Tout le reste de la substance blanche centrale de l'hémisphère cérébelleux es
, il résulte de l'étude de cette série de coupes sagittales, que la substance blanche centrale du cervelet présente un aspect s
RI, ruban de Reil latéral. - noyau du ruban de Reil latéral. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, formation
en arrière en décrivant une courbe à concavité interne autour de la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius (SgAq). Un
l médian (Rm) et latéral (Rl) en dehors, et par une étroite lame de substance grise, le noyau latéral (NI), qui sépare le ruban
nnés obliquement. La languette mé- diane si caractéristique, que la substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq) envoie entre
rofonde du pied dupédoncule (coupe P2), s'entourent d'une gangue de substance grise qui appartient déjà aux noyaux pontiques, e
u moins z620 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. obtus, sillonnent la substance grise de la protubérance (SgPo), dissocient les f
appartiennent aux fibres aberrantes de la voie pédonculaire. - Sge, substance grise centrale. SgPo, substance grise de l'étag
antes de la voie pédonculaire. - Sge, substance grise centrale. SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance.
- Rl, ruban de Ileil latéral. - Rm, ruban de Iteil médian. - Sgl'o, substance grise antérieure de la protubérance. - SR, format
es du faisceau central de la calotte (Fcc); en arrière, le long de la substance grise centrale du quatrième ventricule (Sgc), l
tude des dégénérescences secondaires (mé- thode de Marchi), dans la substance grise de l'étage antérieur du tiers supérieur d
ur. - Rl, ruban de Iteil latéral. - Rm, ruban de Reil médian. - SgPo, substance grise antérieure du pont. - SR, formation rétic
presque parallèles, séparés les uns des autres par des traînées de substance grise qui affleurent souvent la péri- phérie du
pédonculaire ; cette partie con- tient en outre des amas diffus de substance grise qui appartiennent à la formation réticulé
pe un faisceau épais et volumineux, sans con- nexion encore avec la substance blanche du cervelet. Il est traversé par les fibr
veloppement. Les noyaux pontiques (SgPo), c'est-à-dire la gangue de substance grise qui entoure les fascicules de la voie péd
cérébelleux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - SgPo, substance grise antérieure du pont. - spo, sillon post-ce
), puis s'infléchit en avant et entoure un petit amas irrégulier de substance grise, qui occupe la partie externe du ruban de R
outre, comme sur la coupe précédente (coupe Hl), des amas diffus de substance grise, qui segmentent sa partie postérieure en pe
entation d'épaisseur de ses couches superficielles et profondes. La substance grise, ou noyaux pontiques (SgPo), est plus abon-
1', fihres sagittales du raphé. Rm, ruban de Reil médian. - Sgl'o, substance grise antérieure du pont. - SR, formation réticul
opposé. Les connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la substance blanche du cervelet sont très manifestes sur ce
ubérance (Fo) (voy. Fig. 349, p. 481) et ne s'infléchissent vers la substance blanche du cer- velet que plus bas, aii voisina
al postérieur (Flp) en arrière, et qui se fusionne en avant avec la substance grise de la protubérance (SgPo), et en dehors ave
aphé, où ses fascicules clairsemés plongent au sein d'une gangue de substance grise qui appartient au noyau réticulé (Nrt). En
el, les noyaux des cordons de Goll (NCG) et de Burdach (\C13) et la substance gélatineuse de Rolando (SgR). Cette coupe intér
r, raphé. - riV" diverticules latéraux du quatrième ventricule. SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance.
Po, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SR, formation réticul
aire carac- téristique ; elle se termine dans une colonne grise, la substance gélatineuse de Rolando, qui n'est que la contin
on du noyau sensitif du trijumeau et qui se fusionne en bas avec la substance gélatineuse de la corne postérieure de la moelle
dullaire, le faisceau de Gowers (FG), qui, originaire surtout de la substance grise de la moelle épinière du côté opposé, mon
laires du trijumeau. La moitié postérieure de la coupe sectionne la substance blanche centrale du cervelet au-dessus de l'oli
pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) forme la plus grande partie de la substance blanche centrale des hémisphères cérébelleux; sa
428. - La région protubérantielle moyenne et ses .connexions avec la substance blanche centrale du cervelet. - La voie pédoncu
, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil médian. Sbc, substance blanche centrale du vermis. - SgR, substance géla
n de Reil médian. Sbc, substance blanche centrale du vermis. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - Sli, formation réticu
re augmenté de volume, et la dernière couche contient une gangue de substance grise plus abondante que sur la coupe précédente.
dans de la racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et de la substance gélatineuse de Rolando (SgR), émergent dans la
cule cérébelleux supérieur (Pcs), il existe une zone irrégulière de substance grise, à laquelle aboutissent un certain nombre
lequel nous aurons à revenir dans cette série de coupes. Dans la substance blanche centrale du cervelet, on retrouve les tro
ux supérieur (Pcs). Dans la région du vermis, la coupe passe par la substance blanche centrale (Sbc) et intéresse la couche de
isement des noyaux du toit (xNt). A la partie postéro-externe de la substance blanche centrale des hémisphères, on Bibliothèq
égion de transition, mais divergent en dehors et se perdent dans la substance blanche non différenciée de l'hémisphère cérébe
septa névrogliques ; elles entourent en dedans un amas irrégulier de substance grise, la substance gélatineuse de Rolando (SgR
elles entourent en dedans un amas irrégulier de substance grise, la substance gélatineuse de Rolando (SgR), située en dehors de
rvelet. Les connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la substance blanche centrale des hémisphères et la disposit
29. - La région protubérantielle inférieure et ses connexions avec la substance blanche centrale du cervelet. - Les trois pédon
inférieur, moyen et supérieur. - Rm, ruban de Jteil médian. - Sglt, substance gélatineuse de Rolando. - SI ! , formation réti
e partie des fibres semi-circulaires internes (fsmi) s'épuise dans la substance grise du C01'PS juxta-l'esti{01'me connue sous
ndum (Strp) du pont et sont en- tourées par une abondante gangue de substance grise (noyaux pontiques) (Np). Calotte. - La ca
par les fibres sagittales du raphé (r) et par une étroite bande de substance grise, le noyau du raphé, qui n'estqu'une dépen
y, faisceau pyramidal. - r, raphé. - Rm, ruban de Reil médian. SgR, substance gélatineuse de llolando. - SR, formation réticu
en arrière et en dehors de l'olive supérieure (Os), en dedans de la substance gélatineuse de Rolando (SR), forme sur cette coup
cette coupe un amas volumineux, d'aspect godronné, formé d'îlots de substance grise ; les fibres radiculaires du facial qui s
cial qui s'en détachent se portent en arrière et en dedans, vers la substance grise du [plancher du 4e ventricule; sur cette co
Une autre partie des fibres du nerf vestibulaire se termine dans la substance grise de l'angle latéral du 4e ventricule; une
'exiguïté relative de la subslance blanche, les connexions de cette substance avec le tronc encéphalique, la formation des pé
upe C 1 (Fig. 432) passe au-dessus de l'olive cérébelleuse et de la substance blanche centrale du vermis; elle sectionne en ava
sillon supérieur de Vicq d'A : YI' (ssV), est sans connexion avec la substance blanche ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE.
exions des axes du lobe quadrilatère antérieur et du culmen avec la substance blanche centrale du cervelet, sont seules manifes
isées dans tous les sens et qui constitue la masse principale de la substance blanche centrale des hémisphères. Les fibres du
ansversales de la protubérance, tandis qu'elles s'ef- FiG. 33. - La substance blanche du cervelet; ses fibres semi-circulaires
nées plus obliquement, elles n'occupent plus toute la largeur de la substance blanche centrale, mais sont rejetés en dehors e
nd des sillons hot et pré-centraux, immé- diatement au-dessus de la substance blanche centrale du vermis. Sur la moitié droit
es : l'un, externe (fsme), qui traverse la plus grande partie de la substance blanche centrale des hémisphères et se continue
ta-I'estiforme (Cj). Coupe C 3 (Fig. 434). Cette coupe passe par la substance blanche centrale du vermis au-dessus du noyau d
l'i, quatrième ven- tricule. - 177), quatrième segment du facial. substance blanche centrale des hémisphères. Les circonvolut
r la coupe C 1 (Fig, 432), des îlots entièrement indépendants de la substance blanche centrale des hémisphères et séparés du
et unissent les deux lobes quadrilatères postérieurs entre eux. La substance blanche centrale du vermis est très réduite dans
E TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 649' Fig. 435. - Le cervelet; sa substance blanche, ses noyaux gris centraux, ses connexions
postérieure, beaucoup plus réduite, est convexe et correspond à la substance blanche de la lingula. Les faces latérales sont c
coupe pré- cédente ; elle n'en diffère que par la disposition de la substance blanche centrale du vermis, dont les dimensions
croisement occupe avec les noyaux du toit la presque-totalité de la substance blanche centrale du vermis. Toutefois il existe
TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. ti ? 1 FiG. 43G. - Le ceivelet; sa substance blanche, ses libres semi-circulaires externes et
e supérieur; à droile ce dernier s'insère par un de ses axes sur la substance blanche centrale. Les lamelles cérébelleuses situ
elient les deux lobes quadrilatères postérieurs droit et gauche. La substance blanche centrale du vermis, intéressée il sa pa
re l'olive et l'écorce de la luelle, quelques amas irré- guliers de substance grise arrondis ou oblongs, très mal délimités, et
qui appar- tiennent au noyau sphérique ou globule (Ngl). Dans la substance blanche centrale, les fibres semi-circulaires ext
est limitée en dedans de chaque côté par deux minces languettes de substance grise, les valvules de Tarin (VT), reliées entr
la branche horizontale de l'arbre de vie. L'olive cérébelleuse, la substance blanche centiare des hémisphères, les pédoncule
inal antérieur du cervelet, du pédoncule cérébelleux moyen et de la substance blanche centrale du vermis. Elle intéresse la par
e de l'arbre de vie (bh) et le pédoncule du flocculus (PFloc). La substance blanche centrale des hémisphères se présente sur
d sillon circonférentiel (scf). Autour de l'extrémité externe de la substance blanche centrale, s'implantent les nombreux et
e inférieur; quant à la partie moyenne de la face postérieure de la substance blanche centrale des hémisphères, elle est tapi
ent réduit du bourgeon terminal (Bt) limité en avant par un pont de substance blanche correspondant à la section de la branche
le de l'arbre de vie (bh) - pont qui relie, en arrière des olives, la substance blanche centrale des deux hémisphères cérébelle
amide du vermis (Pyc) dont l'axe se fusionne de chaque côté avec la substance blanche centrale, le sillon prépyramidal (sprp)
u nid d'hirondelle, il est constitué à droite par une mince lame de substance grise qui tapisse le corps intra-ciliaire, par un
rieure de l'olive cérébelleuse, et qui se continue en avant avec la substance blanche centrale des hémisphères céré- belleux.
nid d'hirondelle est limitée comme à droite par une mince couche de substance grise en connexion avec l'écorce de la luette e
r, long et étroit, s'insinue entre la val- vule de Tarin (VT) et la substance blanche centrale et appartient au diverticule a
ié droite du bulbe est complète- ment séparée sur cette coupe de la substance blanche centrale du cervelet. Il n'en est pas d
rième ventricule, et où le corps restiforme (Crst) est séparé de la substance blanche centrale des hémisphères par les stries a
tiel. Les extrémités latérales du bulbe sont encore adhérentes a ]a substance blanche centrale du cervelet, la coupe passe en
, incorporé dans le tronc encéphalique et complètement séparé de la substance blanche du cervelet par le pédoncule du floccul
e latéral du quatrième ventricule. - Rm, ruban de Reil médian. S9R, substance gélati- neuse de Rolando. - SgPo, substance gri
an de Reil médian. S9R, substance gélati- neuse de Rolando. - SgPo, substance grise antérieure de la protubérance. - slac, stri
ar de nombreuses fibres transversales, séparées par des traînées de substance grise et qui appartiennent au stratum superficial
bulbe sa surface de section semi- lunaire et ses connexions avec la substance gélatineuse de Rolando (SgR). En arrière d'elle
gélatineuse de Rolando (SgR). En arrière d'elle, au voisinage de la substance grise centrale qui tapisse le plancher du quatr
descendante du nerf vestibulaire ou racine de Roller. La gangue de substance grise qui entoure les fascicules du corps juxta
interne, longue et étroite, située le long du raphé, s'étend de la substance grise centrale du plancher du quatrième ventricul
postérieur, elle s'étend de la face postérieure de l'olive (Oi)à la substance grise centrale du quatrième ventricule. La form
raphé. - 1'11'" diverticule latéral du quatrième ventricule. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SRa, formation reticulé
délimité de l'olive bulbaire, dont le sépare un amas irrégulier de substance grise, le noyau rét/'opymmidal (Nrp). Dans cette
icu- laire, du corps restiforme (Crst). C'est une masse allongée de substance grise, sil- lonnée de fibres parallèles et hori
et aux stries acous- tiques. En avant des stries acoustiques, la substance grise centrale du quatrième ven- tricule contie
me la cavité en arrière et s'insère de chaque côté sur un éperon de substance grise formé par la substance grise centrale et
insère de chaque côté sur un éperon de substance grise formé par la substance grise centrale et connu sous le nom de ligula o
ricule, le corps juxta-restiforme (Cj) et la partie adjacente de la substance grise centrale occu- pent une situation superfi
tte coupe par un faisceau compact de fibres entourées d'une zone de substance grise. Les fascicules du corps juxta-restiforme
iforme (Cj) sont plus clairsemés que sur la coupe précédente, et la substance grise du noyau de Deiters particulièrement abon
trouve, en arrière et en dedans d'elle, deux lames indépendantes de substance grise présentant la même structure que l'olive, m
ourés de toute part parles fibres longitudinales; ce sont ces amas de substance grise, irréguliers dans leur forme et inconstan
fibres dans sa partie moyenne; à sa partie externe, en dedans de la substance gélatineuse de Rolando, (SgR), logé dans la con
noyau, ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 6-il situé dans la substance grise centrale du plancher du quatrième ventricul
on épaisseur et le long de sa face interne, de» amas irréguliers de substance grise connus sous le nom de noyaux du corps resti
n'existent qu'à la partie interne de cette formation, le long de la substance grise centrale du quatrième ventricule; sa subs
le long de la substance grise centrale du quatrième ventricule; sa substance grise, ou noyau de Deiters, s'est considérablemen
i, olive inférieure ou bulbaire. - puy, pyramide antérieure. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SRa, formation réticulé
OPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 673 forme s'accentuent encore et sa substance grise se transforme petit à petit en noyaux des
grise(Sllg). En dedans elle est toujours en rapport intime avec la substance gélatineuse de Rolando (SgR) et traversée par les
la grosse racine descendante sensitive du trijumeau (Vsd) et de la substance gélatineuse de Rolando (SgR) qui lui est annexée,
férieure ou bulbaire. - l'y, pyramide antérieure du bulbe. - Sf/li, substance gélatineuse de Rolando. - ·Ra,(cio), couche inier
nt du noyau de Deiters. En dehors du noyau de l'hypoglosse, dans la substance gris clair correspondant il l'aile grise, on trou
rrondi, mais par quatre à cinq petits, fascicules séparés par de la substance grise et par quelques fibres arciformes. La,subs-
- Oc. olive inférieure ou bulbaire. l'y, pyramide antérieure. - SgR, substance gélatineuse de Rolando,. - SRa (cio) couche int
be et passe par l'extrémité inférieure de l'olive bulbaire (Oi). La substance grise centrale entoure complètement le canal épen
aux, entourant des îlots ou des cylindres plus ou moins tortueux de substance grise, pauvres en libres et imprimant aux noyau
a formation réticulée grise (SRg). Une agglomération plus grande de substance grise permet de distinguer un noyau latéral pos
ulées (fir) fortement colorées, qui décrivent des arcs autour de la substance grise centrale, traversent les formations réticul
concentrent dans la partie interne, qui se trouve ainsi plus riche en substance grise et relativement pauvre en faisceaux longi
082 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. région, des amas irréguliers de substance grise mal délimités, et que l'on rat- tache en
a grosse racine sensitive descen- dante du trijumeau (Vsd) et de la substance gélatineuse de Rolando (SgR), il existe toujour
- lièrement triangulaire, dont le sommet tronqué s'enfonce entre la substance gélatineuse de Rolando et la formation réticulé
lomérat de fibres se rencontre toujours à la base et en avant de la substance gélatineuse de Rolando (SgR); cette dernière est
ide antérieure du bulbe. - spin, entre-croisement piniforme. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. -SRa, forma- tion rétic
noyau de Burdach (NB), s'insinue profondément entre ce noyau et la substance gélatineuse de Rolando (SgR) d'une part, entre le
s unis entre eux, qu'au niveau de leur base d'implanta- tion sur la substance grise centrale et sur la formation réticulée (SRg
de Goll, dont il se distingue par les ilois arrondis ou oblongs de substance grise limités parun feu- trage de fibres et par
cette coupe par trois ou quatre amas irréguliers et déchiquetés de substance grise Coupe H 18 (Fig. 448). Cette coupe passe
sous forme d'un entre-croi- sement épais et court, compris entre la substance grise centrale et le fond du sillon médian anté
seules des fibres arciformes interréticulées (fir) qui entourent la substance grise centrale et n'occupent que la partie adjace
it sur cette coupe appartient exclusivement au système sensitif. La substance grise de la formation réticulée (SRg) se conden
oelle (Ca). Toute la moitié externe du bulbe, située en avant de la substance gélatineuse de Rolando, est occupée par de nomb
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. antéro-latéral de la moelle (CI). La substance gélatineuse de Rolando revêt tous les caractère
ostérieure, mais d'une corne très volumineuse reliée au reste de la substance grise centrale par un pédoncule court et épais. L
onde parcourue par un dense et fin feutrage de fibres à myéline, la substance spongieuse de la corne postérieure. Les noyaux
nte une sorte de monticule qui s'implante par une large base sur la substance grise centrale, et du sommet duquel se détachen
occupent tout l'espace compris entre le sillon médian antérieur et la substance grise centrale, et s'y entre-croisent par large
ouronne de fibres arciformes (fir) qui entoure sur la coupe H 19 la substance grise centrale. Ces fibres appartiennent encore a
et leur connexion avec le noyau de Goll est des plus manifestes. La substance grise du bulbe n'atteint nulle part sur ces coupe
phérie du bulbe, dont la sépare une couche plus ou moins épaisse de substance blanche essentiellement constituée par des fibr
dinales. Nous n'avons pas à revenir sur la partie postérieure de la substance grise, sur les noyaux de Goll (NG) et de Burdac
21 et-H22) parmi les fibres croisées du faisceau pyramidal. Dans la substance grise centrale qui entoure le canal épendymaire
décapitée se relie sur une étendue plus ou moins considérable à la substance grise centrale. De là la multiplicité d'aspects,
rises relier la corne antérieure (Coa) à la partie antérieure de la substance grise centrale; ces travées sont plus épaisses
presque disparu, ou n'est représentée que par les minces travées de substance grise qui cloisonnent les gros fascicules du fais
Fig. 453), ]'e1l{¡'e-C¡'OlÚment pyramidal est terminé; à droite, la substance grise affecte la forme caractéristique propre à l
on y distingue une corne antérieure reliée par une large base à la substance grise centrale et une corne postérieure unie cett
ique de la région où s'effectue la décussation de ce faisceau. La substance grise centrale de la moitié postérieure du collet
es trois coupes H21, H22, H23, des particularités intéressantes. La substance grise centrale de la coupe H 21 présente, grâce à
rme un îlot gris, aplati, complète- ment indépendant du reste de la substance grise. Le faisceau pyramidal croisé en occupant
ituées (coupe H 21, Fig. 451) sur la même ligne transversale que la substance grise centrale, se rapprochent ainsi l'une de l
ainsi l'une de l'autre, en même temps que le bord postérieur de la substance grise centrale s'excave sur la ligne médiane et
re. Cp, cor- don postérieur. f ? c, faisceau pyramidal croisé. SgR, substance gélatineuse de ltolando. ,1'1' ! J. décussation
u granuleuse (cg), dont les éléments cellulaires em- piètent sur la substance blanche adjacente, de telle sorte qu'au niveau
melles, il est malaisé de reconnaître licitement la limite entre la substance grise et la substance blanche, tandis qu'on l'éta
de reconnaître licitement la limite entre la substance grise et la substance blanche, tandis qu'on l'établit facilement au v
couche des cellules de Purkinje disposées en une seule rangée. - Sbl, substance blanche des lames et lobules cérébelleux. STR
collatérale d'une fibre terminale (fl). - ft, fibres terminales de la substance blanche (sali s'arborisant dans la couche granu
dans la couche granuleuse. - as, cellule araignée ou astrocyte de la substance blanche. fi9r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
uche e granuleuse ou interne, puis entre dans la constitution de la substance blanche des lames et lamelles cérébelleuses F
la crête des circonvolutions; elle est en outre mal délimitée de la substance blanche sous-jacente, dans laquelle on ren- con
auteur de la couche gra- nuleuse et peul être suivie jusque dans la substance blanche. Les ramifi- cations cylindres-axiles e
souris et le chai nouveau-né, dans la couche granuleuse et dans la substance blanche, de volumineuses cellules étoilées qui
trian- gulaires, fusiformes ou étoilées, situées aux confins de la substance blanche (cellules marginales de Cajal), ou dans
laire, et décrivit la forme étoilée des cellules névrogliques de la substance blanche. Depuis, Ramon y Cajal, v. Gehuchten, v
s Cajal, 1893.) A, couche moléculaire. - B, couche granuleuse. - C, substance blanche de la lamelle cérébelleuse. - a, cellul
02 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les cellules arai- gnées de la substance blanche. Les libres à myé- line de l'écorce
à l'aide de la méthode de Weigert aucune fibre névroglique. Dans la substance blanche, par contre, il existe un feutrage névr
sont là, du reste, des caractères communs -IL la névroglie de toute substance blanche. Eibres de l'écorce cérébelleuse. Lorsq
rêmement dense, bien décrit par v. Kôlliker, qui s'étend jusqu'à la substance blanche sous-corticale et dont les mailles sont o
leuse, la cellule de Purkinje seule envoie son cylindre-axe dans la substance blanche. Les fibres cen- trifuges de l'écorce c
'un des stade : - de développement des libres terminales qui, de la substance blanche, traversent la couche granuleuse pour s'a
avons vu ces cylindres-axes, un peu flexueux. se diriger vers la substance blanche mlraciliaire, s'y couder et se continue
donné le trajet oblique et l'ex- trême intrication des fibres de la substance blanche inlraciliaire, très manifestes sur les
ions très riches de fibres terminales, dont les unes viennent de la substance blanche intraciliaire, et les autres de la tois
es à myéline qui traversent de pari en part le corps dentelé, de la substance blanche intraciliaire a la toison ou vice versa,
par la méthode de Golgi que sur un court trajet. 3° Fibres de la substance blanche du cervelet. - Les libres centri- fuges
e du centre ovale du cerveau que nous avons désignée sous le nom de substance blanche non différenciée du centre ovale de Vie
couvre. Le feutrage sous-lobaire (1 ? 1) occupe la périphérie de la substance blanche centrale du cervelet : il est recouvert
fneculus. Le feutrage sous- lobaire. Il est l'homologue de la substance blan- che non différenciée du contre ovale de
Fig. 463. - L'écorce cérébelleuse du lobe supérieur du cervelet et la substance blanche centrale avec : son feutrage sous-lobai
d'association des hémisphères cérébraux. S'il n'existe pas dans la substance blanche centrale du cervelet de longs faisceaux
as, même si la destruction est superficielle et n'im- plique pas la substance blanche centrale, - cle suivre, à l'aide de la
ignées des foyers primitifs. En dedans du feutrage sous-lobaire, la substance blanche centrale du cervelet présente deux syst
ibres. Les deux s\ ...lelllP"; do fibres dlllèrell- ciées do la substance blanche centrale du cervelet. 7m t) ANATOMI
correspond à la région du nid d'hi- rondelle, où une mince lame de substance grise sous-pie-mérienne, puis sous-épendymaire,
fibres semi-circulaires externes s'infléchissent en dedans vers la substance blanche centrale du vermis; (Coupes H4, Fig. li
des axes du lobe central (aLc) et de la lingula (aLig); 3° dans la substance blanche centrale du vermis (Fig. 465, p. 720). Un
es semi-circulaires externes n'occupent plus toute la largeur de la substance blanche centrale, mais sont rejetées en dehors et
il angle droit, puis se portent en dedans et s'entre-croisent dans la substance blanche centrale du vermis avec celle du côté o
on. (Voy. coupe horizontale C 4, Fig. 435, p. 649.) 1,'iG. 16. - La substance blanche centrale du vermis et le noyau du toit. L
5 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
fort complexe, je me limiterai au cerveau, c'est-à-dire à la masse de substance nerveuse, composée de deux hémisphères et située
'autre. Chacun d'eux est recouvert et comme enveloppé d'une couche de substance grise. La partie centrale est formée par une mass
tie corticale des hémi-sphères. Ils sont compris entre deux masses de substance grise, l'une interne et supérieure (0), l'autre i
s souvenez avoir vu, faisant saillie sur leur plancher deux masses de substance grise ; l'une antérieure et externe a la forme d'
yer hémorrhagique, — la cap-sule externe ou interne, les noyaux de la substance grise, le pied de la couronne rayonnante, etc., —
rrier, si l'on ignore la disposition des plis et des sillons sur la substance grise du lobe pariétal et des parties postérieure
du microscope, rechercher avec vous si l'élude de la structure di la substance grise corticale, faite comparativement dans les
lobe qui entourent la corne postérieure des ventricules latéraux, la substance grise n'a pas l'aspect à peu près uniforme qui lu
ffet, avait déjà observé que, dans ces parties du lobe occi-pital, la substance grise des circonvolutions est divisée très nettem
es. Notions Sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière (cellules motrices).
— type à cinq couches, [ mportance de l'examen de la structure de la substance grise corticale par circonvolution. — Division au
es du type normal ; mais dans l'étude régionale de la structure de la substance grise, il faudra tenir grand compte aussi des var
je fais allusion aux cellules ner-veuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière, dites encore cellule
lules nerveuses, par la voie de ce prolongement, avec les tubes de la substance mé-dullaire, n'est donc pas douteuse. Tels sont
loyer l'expression usitée par M. Meynert, est toujours dirigé vers la substance médullaire des circonvolutions. Toutes ces expl
es prolongements enchevêtrés et cimentés par une certaine quantité de substance gélatineuse interposée entre eux, com-poseraient
s de Deiters), je me bornerai à dire que, très vrai-semblablement, la substance grise est faite, à cet égard, sur le même modèle
la substance grise est faite, à cet égard, sur le même modèle que la substance blanche. En d'autres ter-mes, la névroglie se rap
ncernant l'histoire individuelle des divers éléments qui composent la substance grise. Il convient d'examiner maintenant quel est
rapprochée des méninges, est presque exclusivement constituée par la substance con-jonctive. Les éléments nerveux y sont très ra
2, 3, 4, 5, dési-gnent l'ordre des couches de l'é-corce grise: m, la substance mé-dullaire. (1) Th. Meynert. — Vom Ge-hirne de
d'ap-précier l'intérêt que peut offrir l'examen de la structure de la substance grise corticale, fait par circonvolutions. On sai
par circonvolution les modifications de texture que peut présenter la substance grise. A ce point de vue, il y a lieu de distingu
eure d'une couche granuleuse très accentuée ; — 4° plus bas enfin, la substance médullaire (1). Si maintenant vous jetez un cou
e l'écorce grise du cerveau propre-ment dit, vous voyez par là que la substance grise corticale n'est point faite exactement sur
avez pas oublié, des lésions qui se bornent aux cornes antérieures de substance grise (Fig. 7, D, D). Ce sont dans le mode aigu,
prement parler, les vaisseaua. nourriciers de l'écorce grise et de la substance médullaire sous-jacente. Le second système est
dans chacun des trous de cet espace perforé lequel est formé par delà substance blanche. Ce sont là les artères des noyaux gris c
stingue des vaisseaux des ganglions centraux qui s'en-foncent dans la substance .blanche de la base du cerveau (espace perforé an
diculairement à la surface, on distingue d'abord,à la péri-phérie, la substance grise qui se montre sous la forme d'un feston a
feston ayant une épaisseur de 2 à 3 millimètres; puis, en de-dans, la substance médullaire composée de fibres rayonnantes et de f
e couche, c, les mailles deviennent plus larges ; 4° enfin, dans la substance nfédullaire, d, les mailles sont plus larges enco
s commis-surales de Gratiolet. — 2, 2, 2, Artères corticales ou de la substance grise. a, Réseau capillaire à mailles assez lar
au de transition à mailles plus larges. — cl, Réseau capillaire de la substance blanche. Des renseignements qui précèdent, il r
ampent dans la pie-mère. Ceux-ci sont-ils oblitérés sur un point ? La substance grise et la substance blanche souffriront simul-
e. Ceux-ci sont-ils oblitérés sur un point ? La substance grise et la substance blanche souffriront simul- tanémenl dans les pa
ment est ancien, c'est-à-dire s'il date déjà de quelques semaines, la substance grise paraît déprimée, en raison delà destruction
ion que ses éléments ont subie et de l'effondrement concomitant de la substance blanche sous-jacente. La partie superficielle d
e une plaque jaune. La coloration jaune appartient exclusivement à la substance grise, la substance blanche sous-jacente, ra-moll
La coloration jaune appartient exclusivement à la substance grise, la substance blanche sous-jacente, ra-mollie, étant seulement
Sur cet éventail, laissez-moi continuer la comparaison, les noyaux de substance grise sont disposés ainsi qu'il suit : en dedans
Le tiers antérieur, plus obtus et constitué par une masse uniforme de substance grise, se confond à son extrémité la plus antérie
intéressant de faire, consis'e à enlever avec soin successive-ment la substance grise des circonvolutions de l'insula, l'a-vant-m
lui aussi, virtuellement du moins, du côté de l'insula. Ces noyaux de substance grise forment donc comme un système distinct des
nticulaire. — B, portion basilaire du noyau caudé — I n, insula. — K, substance blanche intermédiaire à lïnsula et à Técorce gris
nglion optique. —A, commissure dans la cavité centrale de la masse de substance grise. — G, pilier descendant do la voûte. — Subs
de la masse de substance grise. — G, pilier descendant do la voûte. — Substance grise du troisième ventricule. G 0 L et G 0 E, pa
du noyau lenticulaire. — S Th, S ch 1 et Z, les quatre couches de la substance innominée. [Figure d'après M. Meynert.) A ces f
e manière à donner naissance à un lacis inextricable qu'on appelle la substance blanche centrale. Nous nous rendrons prochainemen
dérations anatomiques : Fibres pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du lobe occipital; — leur rôle relative
, V, coupe des ventricules latéraux; — P, P, piliers du trigone; — 0, substance grise du troisième ventricule qui se con-tinue en
ion consiste à détruire successivement l'écorce grise de l'insula, la substance blanche sous-jacente, l'avant-mur et enfin la cap
lable complication. La bénignité relative des lésions limitées à la substance des noyaux gris tient sans doute pour une part à
ment limitées à ce tractus blanc, et qu'elles n'intéressent enrien la substance des noyaux gris, ces lésions dis-je, produisent l
ila-cération, soit par nécrose produisent dans ce tractusune perte de substance irréparable. Il importe de distinguer ce cas de c
trié. — D, faisceau de fibres pédoncu-laires directes se rendant à la substance cor-ticale du lobe occipital. Ce schéma est empru
nt pénètrent dans la couronne rayonnante sans s'être arrêtées dans la substance grise des masses centra-les ; c'est, de plus, ain
rt, on pourrait aisément en suivre le parcours dans l'épaisseur de la substance blanche du lobe occipital, immédiatement en dehor
ule latéral. Elles se termineraient finalement dans l'épaisseur de la substance grise corticale de ce lobe (1). B. Existe-t-il
tubercules quadrijumeaux postérieurs). Connexion entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceau
, avant de pénétrer dans le cerveau lui-même, un ou plusieurs amas de substance grise, qu'on est convenu d'appeler les noyaux d'o
frontale. — O, extrémité occipitale. — H, la corne d'Ammon. — RR, la substance grise corticale. — S ii, Sulcus hippocampi. — ll,
dre un détour et d'étudier ce qu'on sait relativement à ces noyaux de substance grise, où les nerfs optiques prennent leur premiè
lés internes et externes sont notoirement les deux premiers noyaux de substance grise avec lesquels les nerfs optiques entrent en
lés externes. Ces derniers consistent en des amas assez volumineux de substance grise, renfermant des cellules gan-glionnaires ét
de. 11 nous faut rechercher actuellement comment ces divers amas de substance grise qui viennent d'être énumérés sont mis en re
laire produite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise. Sclérose descendante consécutive à une l
-traction, en ce moment, des faisceaux de fibres qui s'étendent de la substance corticale aux noyaux gris des masses centrales.
uoi les hémiplégies résultant des lésions destructives, limitées à la substance des noyaux gris, en règle générale, sont passagèr
assagères, tandis que celles qui résultent des lésions intéressant la substance de la capsule interne sont , au contraire, de lon
rs de la capsule. Par contre, les lésions qui demeurent limitées à la substance des noyaux gris des masses cérébrales, à savoir :
op éloignés du pied de la couronne rayonnante. 3° Les lésions de la substance grise corticale des hémisphè-res, lorsqu'elles so
n surface et en profondeur, c'est-à-dire intéressant en même temps la substance grise et la substance médullaire sous-ja-cente, a
deur, c'est-à-dire intéressant en même temps la substance grise et la substance médullaire sous-ja-cente, ainsi qu'on le voit dan
es, soit les faisceaux blancs, soit surtout les cornes antérieures de substance grise, ce que ne fait pas, dans la règle, la sclé
lques cas on les trouve, en dedans, pour ainsi dire confondus avec la substance grise. On sait que celle-ci est régulièrement env
ix et envahisse dans la moelle des territoires voisins, les cornes de substance grise, par exemple : on comprend qu'en pareil cas
s masses centrales, et ne s'arrêteraient, par conséquent, que dans la substance grise cor-ticale. En outre des arguments déjà mis
ncontrer à MM. Carville et Duret (1), une lésion qui avait détruit la substance blanche de toutes les parties frontalesd'un lobe,
e dévelop-pent en conséquence des lésions étendues et profondes de la substance grise corticale. Ces fibres pédonculaires direc
moins étendues en largeur, intéressant plus ou moins profondément la substance blanche subjacente, et occupant les régions les p
les centres dits psycho-moteurs ; ce sont aussi ceux dans lesquels la substance grise corticale contient les cellules pyramidales
oupe transverse de la région cervicale inférieure fait voir un axe de substance grise et un manteau médullaire. Dans la subs-tanc
fonctions des divers faisceaux blancs et des diverses parties de la substance grise. Elle a distingué les propriétés des fais-c
elle des faisceaux pos-térieurs, celle des deux grandes régions de la substance grise, et elle n'est pas allée beaucoup au-delà.
faisceaux latéraux (Flechsig). Ajoutons que, en ce qui concerne la substance grise, il est toute une série de lésions, tant ai
tère de se localiser systématique ment dans les cornes antérieures de substance grise, où elles intéressent nécessairement l'appa
idaux, sur les faisceaux cunéiformes, sur les cornes antérieures de substance grise, et aussi suivant le mode, de la lésion qui
eau est un organe mou, d'une coloration grise, uni-forme, où les deux substances , la grise et la blanche, sontcon-fondues. Lorsqu'
un faisceau compact de forme trian-gulaire, touchant en arrière à la substance gélatineuse, tandis que. en dedans, un petit espa
, diri-gée en dehors, elle est séparée de la pie-mère par une zone de substance nerveuse lui formant une sorte de manteau et cons
également atteint leur développement; donc elles s'ar-rêtent dans la substance grise antérieure où elles entrent pro-bablement e
lumière de l'aqueduc de Sylvius autour duquel se développe un amas de substance grise, représentant les cor-nes spinales antérieu
rtie est nettement séparée du tegmentum par une bande transversale de substance grise qui n'est au- tre que le locus niger de S
cquis leur développement complet. Or, c'est précisément cet espace de substance opaque qui, d'après M. Flechsig, représente les p
conduit par ses observations, à émettre l'hypothèse que c'est dans la substance grise de l'écorce ou, autrement dit, dans les c
servés, est que les fibres pyramidales pren-draient naissance dans la substance corticale de la zone mo-trice ; là, commencerait
lles sont encore à l'état fœtal; ce n'est qu'au bout d'un mois que la substance du lobe occipital commencera à blanchir; et, qu
ait le premier par l'âge ; l'autre aurait son point de départ dans la substance grise des circonvolutions rolandiques, autrement
elle produise, dans le lieu où elle s'établit, une véritable perte de substance aux dépens des éléments nerveux. Aussi les ancien
(à moins de circonstances particulières que nous aurons à relever) la substance grise et les racines des nerfs périphériques deme
quadrilatère occupant la partie moyenne du pied, s'étendant depuis la substance grise de Scemmering, qui forme sa limite supérieu
d'un autre côté ce qu'on appelle quelquefois le manteau, à savoir la substance blanche semi-ovalaire et l'écorce de substance gr
e manteau, à savoir la substance blanche semi-ovalaire et l'écorce de substance grise qui les recouvre. 1° Arrêtons-nous en pre
produisent jamais lorsque la lésion, restant limitée dans le noyau de substance grise, quel qu'il soit, ne s'étend pas à la capsu
en est de plusvolii- mineuses, qui occupent la partie moyenne de la substance grise. Enfin, il existe des cellules pyramidales
gmoïde (région des circonvolutions à grandes cellules pyramidales). substance grise des circonvolutions frontale et pariétale a
itzig et Férrier sous le nom de centres moteurs, c'est-à-dire dans la substance grise des circonvolutions qui avoisinent le sulcu
n'est pas démontré encore que les lésions destructives limitées à la substance grise corticale de la région rolandique produisen
même peu étendues (1 à 2 centimètres cubes), intéressant à la fois la substance grise et la substance blanche adjacente, telles q
2 centimètres cubes), intéressant à la fois la substance grise et la substance blanche adjacente, telles que les plaques jaunes
hose que des rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire
onnexion entre les fais-ceaux pyramidaux et les cornes antérieures de substance grise. Relativement au mode de terminaison de c
llules des cornes antérieures de la moelle.— E, E, F, Kéticulum de la substance grise où s'épuisent successivement les fibres ner
ification de structure, aucune diminution de volume appréciable. La substance grise de la corne antérieure elle-même, au voisin
escendante devra être con-sidérée comme l'obstacle qui arrête dans la substance grise le travail de dégénération et l'empêche de
e altérée. L'îlot de dégénération était, comme toujours, séparé de la substance grise par un tractus blanc ; en d'autres termes,
qui, partant du faisceau pyramidal, gagnent les cornes antérieures de substance grise. L'anatomie indique que cette relation s'ét
n destructive qui, dans la région lésée, porte indistinctement sur la substance grise et sur tous les faisceaux blancs tant antér
ns les dégénérations de cause cérébrale, à moins de complications, la substance grise et les racines antérieures restent indemnes
même profondes de la moelle épinière, quand elles sont limitées à la substance grise, ainsi que cela se voit, soit sous une form
opos du mode de terminaison des fibres du faisceau pyra-midal dans la substance grise. Je disais que la plupart de ces fibres s'a
0). — G, Canal central. — E, Revêtement épithé-lial de ce canal. — G, Substance grise postérieure. — V, Cordon antérieur. H, Gord
eure du cordon antérieur (ou cordon latéral). — E, Portion amincie de substance nerveuse fermant en arriè-re le canal central (d'
ns de Goll. — C A, Commissure antérieure. — V, Cordon antérieur. — G, Substance grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieu
érieure. — V, Cordon antérieur. — G, Substance grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieure. — H, Cordon postérieur. Entre
ongues commissures qui mettent en rapport des étages très-éloignés de substance grise centrale. Par en haut, ce système de fibres
, au moment où elles abordent la moelle, plongent directement dans la substance grise des cornes postérieures ; les autres n'atte
substance grise des cornes postérieures ; les autres n'atteignent la substance grise que dans région du cou (cerviœ cornu poster
ux qui en émanent est dans la moelle épinière, « probablement dans la substance grise », disait Waller. Aujourd'hui, grâce aux tr
étendue du trajet intra-spinal des faisceaux radi-culaires jusqu'à la substance grise ; de telle sorte que le centre trophique, p
ervelet ; 2° les faisceaux de Goll dont le centre trophique occupe la substance grise des régions inférieures de la moelle et don
ieures de la moelle et dont les centres de terminaison répondent à la substance grise de la région bulbaire. Enfin, la même inter
de l'écorce, il existe dans le manteau une languette triangulaire de substance blanche qui relie la substance grise de l'écorce
manteau une languette triangulaire de substance blanche qui relie la substance grise de l'écorce à la capsule interne, et qui, a
ébelleux directs qui, par leur extrémité inférieure, plongent dans la substance grise où ils ont leurs centres trophiques, et, pa
ceaux latéraux à la région dorsale — les faisceaux posté-rieurs et la substance grise étant épargnés — abolit les mouve-ments vol
suivants. Au contraire, la section des faisceaux postérieurs et de la substance grise laisse persister les mouvements volontaires
rectement cérébrales, dans les faisceaux antérieurs (Fig. 77). 3°La substance grise peut être coupée dans toute son éten- Fig
ans les mouvements volontai-res. (Fig. 78). 4° Si, au contraire, la substance grise est intacte et que les faisceaux antéro-lat
embres postérieurs sont complètement paralysés. Ceci veut dire que la substance grise ne suffit pas à la transmission des incitat
dont elles se détachent perpendiculairement ; elles pénètrent dans la substance nerveuse au niveau de l'es-pace perforé antérieur
ui a lieu sur les vaisseaux artériels corticaux destinés à nourrir la substance grise et le manteau, les vais-seaux qui s'insinue
ve successivement l'écorce grise des cir-convolutions de l'insula, la substance blanche sous-jacente, l'avant-mur, enfin la capsu
excitation à la moelle lombaire. Cette excitation, portée jus-qu'à la substance grise par la voie des racines sensitives de la 6e
de la sorte que la paralysie atrophique résultant d'une lésion de la substance grise spinale entraîne, lorsqu'elle se déclare da
tention. A l'état nor-mal, les incitations volontaires, parties de la substance grise des hémisphères, sont transportés à la moel
e spinale dont il s'agit, sont vraisem-blablement représentés dans la substance grise par deux sys-tèmes diastaltiques distincts.
admise l'hypothèse de l'irritation des éléments ganglionnaires de la substance grise centrale, au contact des extrémités des fib
s'étend par une sorte de diffusion aux éléments ganglionnaires de la substance grise du côté non paralysé. Cette môme diffu-sion
, ici encore, invoquer l'affec-tion des éléments ganglionnaires de la substance grise. QUINZIÈME LEÇON Rôle physiologique du
aisceau pyramidal. La cause immédiate de la contracture est dans la substance grise elle-même. — Preuves fournies par la pathol
ue sépare l'analyse pathologique, paraissent être représentés dans la substance grise de la moelle épinière par autant de système
ans l'hypothèse proposée. à) Tous les éléments ganglionnaires de la substance grise spinale sont sans doute affectés simultaném
5. (2) Jastrowitz. — Berlin, klin. Woûhenseh., 1875. ébranlent la substance grise de la corne gauche, par exemple, retentisse
e donc se développer de bas en haut (1). L'altération retentit sur la substance grise des cornes antérieures de la moelle et sur
uscles où se rendent les nerfs émanant des régions ainsi lésées de la substance grise. Dans d'autres parties, c'estune simple lés
oduction delà contrac-ture, que par le fait de la participation de la substance grise. III. Veuillez considérer, Messieurs,qu
à que je terminerai, la cause immédiate de lacon-tracture est dans la substance grise et non dans le faisceau latéral lui-même. I
e syphilitique. Ici la lésion porte à la fois sur une des colonnes de substance grise, sur les faisceaux postérieurs et sur les f
accordent à reconnaître que ces fibres, venues d'une des cornes de la substance grise, franchissent la ligne médiane et vont fair
trent-elles dans les faisceaux antérieurs ou s'arrêtent-elles dans la substance grise? Passent-elles au con-traire, dans le cordo
côté l'atrophie musculaire qui s'observe également dans les cas où la substance grise est atteinte, et les symptômes tabé-tiques
PTIÈME LEÇON Des amyotrophies spinales et des localisations dans la substance grise de la moelle épinière. Sommaire. — Lésion
éder celle des lésions non systématisées. — Rôle physio-logique de la substance grise. — Transmission des impressions sensitives
sitives et des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des co
r de l'axe gris spinal, ou, comme on dit encore plus brièvement, delà substance grise. Inutile de faire ressortir à vos yeux qu
e occupe dans la moelle épinière un espace relativement restreint, la substance grise est cependant, au point de vue physiologiqu
le aujourd'hui péremptoirement dé-montré que toutes les parties de la substance grise ne sont pas indistinctement affectées à l'e
ement plusieurs régions bien distinctes. Ainsi, à ce point de vue, la substance grise centrale doit être distin-guée des cornes o
stance grise centrale doit être distin-guée des cornes ou colonnes de substance grise. La première seule, avec les cornes postéri
t des altérations qui affectent isolément certains départements de la substance grise. A. Or, Messieurs, ici se présente un fai
e un fait capital dans l'his-toire de ces lésions systématiques de la substance grise. C'est que les seules, méritant véritableme
pelés polio-myélites antérieures systématiques ; systématiques, caria substance grise antérieure peut être affectée incidemment,
ections systématiques de celles qui occupent, d'une façon diffuse, la substance grise; et ces dernières en outre des troubles d
gique capital, unique. Ici la lésion originelle est en dehors de la substance grise, en dehors du moins de la région des cornes
rter tout particulièrement votre attention sur ces alté-rations de la substance grise, d'où dérivent les symptômes d'amyotrophie.
e essentielle qui est le cylindre axile, n'est qu'une émanation de la substance même dè la cellule motrice. Aujourd'hui, l'on sai
us loin; il a fait voir que, sous le sarcolemme, c'est-à-dire dans la substance même du faisceau primitif, le monticule de Doyère
du faisceau primitif, le monticule de Doyère est formé par un amas de substance granuleuse dans lequel se termine le tube nerveux
, c'est justement cette connexité étroite du nerf centrifuge et de la substance des muscles. Ainsi, Messieurs, vous le voyez, i
forcer les choses, que la cellule spinale plonge directement dans la substance de la cellule muscu-laire par l'intermédiaire de
der avec fruit la topographie pathologique des diverses régions de la substance grise. APPENDICE Sclérose latérale amyotrophi
mbinée avec une altération dégénérative des cor-nes antérieures de la substance grise ({). Mais les faits de cette nature ne so
rale amyotrophique n'auraient rien de spécifique : l'altération de la substance blanche de la moelle porterait aussi bien sur les
robable que leur lésion a amené, à la partie antérieure des cornes de substance grise, cette altération légère du cordon antérieu
idal a des rapports très étroits avec l'altération dégénérative de la substance grise. Enfin, le desideratum qui manquait encor
es. Notions sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épimère (cellules motrices). —
— type à cinq couches. importance de l'examen de la structure de la substance grise corticale par circonvolution. — Division au
dérations anatomiques : Fibres pédonculaires directes se rendant à la substance corticale du lobe occipital; — leur rôle relative
, tubercules quadrijumeaux postérieurs) Connexion entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisce
laire produite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise. Sclérose descendante consécutive à une l
hose que des rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire
aisceau pyramidal. La cause immédiate de la contracture est dans la substance grise elle-même. — Preuves fournies par la pathol
DIX-SEPTIÈME LEÇON. Des amyotrophies et des localisations dans la substance grisé de la moelle épin1èré. Sommaire. — Lésion
èdei' celle des lésions non systématisées. —Rôle physio-logique de la substance grise. — Transmission des impressions sensitives
sitives et des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des co
6 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
ulaires. — Espaces. — Localisation des lésions hépatiques. — Des deux substances du foie. Messieurs, Au moment où je viens, po
ructure et l'on se contentait de croire, avec Galien, que la chair ou substance du foie — pre-mier organe de la sanguification et
t des ramifications inter-lobulaires. Les coupes pratiquées dans la substance du foie, perpen-diculairement au grand axe des lo
rement ima-ginaires, effacés qu'ils sont par suite de la fusion de la substance des lobules voisins. Il n'en est pas de même des
psule conjonctive, et par conséquent adhért nt, de toutes parts, à la substance même du lobule. Ce sont là, messieurs, les premie
is de petites plaques rouge-brun, entourées d'un cercle formé par une substance claire-jaunâtre. Au centre des petits îlots rouge
vériques, des ca-pillaires qui appartiennent à la veine hépatique. La substance de la périphérie du lobule, avons-nous dit, est c
granulations graisseuses dans les régions cen-trales. Cette fois, la substance rouge occupe la périphérie du lobule (de Sinéty).
apparences qui avaient fait admettre l'existence dans le foie de deux substances , l'une rouge et l'autre jaune, et vous voyez que
e et l'autre jaune, et vous voyez que le siège de ces deux prétendues substances est variable. C'est encore à Kiernan surtout, que
iernan surtout, que nous devons la critique de cette théorie des deux substances du foie, théorie qui est com-plètement tombée en
ent environ la moitié de la masse totale. L'opinion de Buysch, que la substance du foie est à peu près exclusivement constituée p
conditions pathologiques. Le contenu des cellules est formé par une substance demi-liquide, grenue, offrant dans les conditions
s sous forme de goutelettes. Elle semble, par suite, consister en une substance molle, d'une consistance qui rappelle celle de la
platissement des cellules, en in-troduisant un corps étranger dans la substance du foie. C'est ce que démontrent les recherches d
r: 1° d'une transformation chimique qui s'est opérée aux dépens de la substance même du protoplasma; 2° oubien d'une sorte de sub
ue nous avons faite maintes fois, sur les préparations portant sur la substance des lobules, de petits calculs rameux constituant
dies du cœur, les espaces lymphatiques en ques-tion distendus par une substance riche en fibrine et se dissol-vant dans l'acide a
tices des cellules hépatiques et surtout ne pénétreraient pas dans la substance de ces éléments (1). IV. Jusqu'ici, Messieurs
t absolument enveloppé par une zone conjonctive, en même temps que la substance même du lobule tendait à se rétrécir de plus en p
es vaisseaux, après avoir pénétré dans le hile,, se répandent dans la substance du foie. Je serai très bref sur ces détails qui,
ellement riche que, quand une injection des artères,, faite, avec une substance rouge, a bien réussi, les pa-rois des canalicules
es interlobulaires et qui se distribuent en se capil-larisant dans la substance du lobule. Ce fait, contesté pen-dant longtemps,
ier chacun de ces éléments, en com-mençant par la cholestérine. Cette substance nous intéresse spécialement, car c'est elle qui f
u sein des organes, ayant subi des altérations pathologiques, est une substance nacrée blanche, sans goût, insoluble dans l'eau,
ol monoatomique, analogue à l'esprit-de-vin. 2° Dans la bile, cette substance existe, comme on l'a vu, en faible quantité, à l'
uis les recherches de M. Flint, on considère assez généralement cette substance comme un produit de désassimilation normale de la
que, soluble dans l'éther, est constituée par de la Choles-terine. La substance blanche en posséderait plus que la grise. Pour
rine et, généralisant cette vue, il met encore sur le compte de cette substance les accidents nerveux qui résultent de l'a-trophi
e ne l'est celui de la cholestérine. Mais, de même que cette dernière substance , le pigment entre dans la composition d'un très g
nts biliaires. En réalité, à l'état normal, on ne trouve qu'une seule substance méritant ce nom: c'est la bilirubine. Les autres
lement de provenance biliaire. En effet, trois grammes d'une pareille substance , s'il s'était agi réelle-ment d'un épanchement sa
que, en troisième lieu, des preuves d'ordre ex-périmental. Toutes les substances , qui ont la propriété de dé-truire les globules r
ns de croire que, dans l'intestin, elle se transforme en partie en me substance qu'on retrouve dans l'urine et qu'on a dénom-mée
acide cholique ou cholatique se change en acide choloïdique et en une substance qu'on appelle dyslysine. d) Les acides, les sel
érations de la bile, caractérisées par la présence dans ce liquide de substances qui sont étrangères à sa constitution normale. Le
urée et l'acide urique. En ce qui con-cerne, par exemple, la première substance , il paraît établi (1) Klebs, loc. cit., p. 481.
e apparaissaient dans les urines. On retrouva après la mort ces mêmes substances , dans le paren-chyme du foie, sous forme de crist
ne se produit qu'en proportion minime et, à sa place, il se forme des substances moins élevées dans la série, à savoir la leucine
sus ? Le fait est que, suivant les observations de M. Meissner, cette substance ne se trouve ni dans les muscles, ni dans les pou
remar-quables, si l'on tient compte de la grande solubilité de cette substance . Ainsi elle s'élevait à plusieurs centigrammes da
e foie. — Difficulté de sa constatation. — Rôle du foie à l'égard des substances amyloïdes et du sucre. — Du diabète alimen-taire.
ésassimilation azotée. Il convient de tenir compte de Y acide urique, substance qui appartient chi-miquement et physiologiquement
ce en quelque sorte celle de l'urée, que l'existence normale de cette substance , dans le foie, est le plus facile à démontrer. On
gne la pathologie, hépatique en ce qui concerne la formation de cette substance . J'invoquerai tout d'abord le cas accentué de l
e la glycogène, qu'on appelle encore zooa-myline ou hépatine, est une substance chimiquement analo-gue à l'amidon et. dont l'exis
s du dernier genre chezl'homme. Malheureusement, le glycogène est une substance qui, en ce qui concerne l'homme, n'arrive pas jus
ces les plus variées que le gly-cogène prend naissance aux dépens des substances albumi-noïdes fournies par la digestion ; mais il
foie. Le rôle du foie, d'après M. Cl. Bernard, en ce qui regarde les substances amy-loïdes et le sucre, est donc le suivant : « I
e ; — des acides biliaires; — des sels minéraux; — de la chaux; — des substances inorganiques (fer, cuivre, mercure). — Mucus et e
s calculs urinaires en ce qui concerne l'acide urique. Cette dernière substance , qui existe en très faible proportion dans l'urin
seconde. Nous n'avons tenu compte, dans cette ônumération, que des substances qui font partie de la bile normale ou des dérivés
s substances qui font partie de la bile normale ou des dérivés de ces substances . Dans la constitution des calculs biliaires, il p
que des traces de cholestérine ou que celle-ci n'existait pas. Cette substance , dans les 954 autres calculs, s'élevait à 64, 98
insi que l'a montré, en 1808, Rubini (de Vérone) (2), se recouvrir de substances étrangères à sa composition pri-mitive, à savoir
99. calcul dans l'intestin est nécessaire pour qu'une couche de ces substances puisse se déposer à sa périphérie. Voici une co
ires, est exclusivement composée de cholestérine pure, sans traces de substances cal-caires. J'aurai l'occasion de vous parler de
sels tiennent en dissolution la Choleste-rine et la bilirubine ; ces substances , après la destruction des sels biliaires, doivent
. Les dépôts de Cholesterine seront d'autant plus abondants que cette substance existera en plus forte propor- Charcot. Œuvres
n cas du même genre, Hardy avait, pendant la vie, rencontré ces mêmes substances dans les urines. Une observation de M. Hayem, p
Tantôt, il s'agit de petits abcès multiples disséminés dans toute la substance du foie et à sa surface. En raison de leurs dimen
lomé-rant constituent enfin de véritables abcès qui pénètrent dans la substance des lobules en refoulant les cellules hépatiques
-tières grasses, résultant de la digestion incomplète ou nulle de ces substances . Il paraît certain que la rétention biliaire est
des auteurs qui ont étudié d'un peu près la question, les abcès de la substance corticale du rein ne prennent pas naissance par e
emier degré de l'altéra-tion, la sclérose n'entame pas visiblement la substance du lobule. Cette particularité de structure a été
nts où la lésion est pour ainsi dire parvenue à son dernier terme, la substance parenchymateuse n'est plus représentée que par qu
principales entourent, à la manière d'un cercle continu, la masse de substance hépatique qui com-pose la granulation. De ces tra
es d'origine ; 2° par un troncule , 3° par des ramifica-tions dans la substance du foie ; — à moins, cependant que le troncule ne
s de troisième ordre se détachent des processus qui pénètrent dans la substance du lobule qu'ils divisent en plusieurs comparti-m
n des Mens-chen und der Saügethiere. Halle 1865, Taf. IV, f. 1), R, substance corticale. — Gr, zone limitante. — M, substance m
Taf. IV, f. 1), R, substance corticale. — Gr, zone limitante. — M, substance médullaire. 1,Capsule de Bowmann etglo-mérulede
ant commenl ces canalicules se groupent et s'agen-cent pour former la substance rénale et aussi quel est le mode de répar-tition
tingue dans le rein deux régions principales : l'une, la région ou la substance corticale, l'autre, la région ou la subst ance mé
bstance corticale, l'autre, la région ou la subst ance médullaire. La substance médullaire, constituée par la réunion des pyramid
ernativement pâles et colorés. Let rayons pâles se continuent dans la substance corticale sous Fig. 23. — Coupe horizontale du
— g, zone limitante. — r, couche cor-ticale. Les stries foncées de la substance médullaire (/^repré-sentent les fascicules des tu
ntent les fascicules des tubes urinifères ; ils se continuent dans la substance corticale où ils for-ment les rayons médullaires.
tze de Henle, Markstrahlen de Ludwig). Quant aux rayons colorés de la substance médul-laire, ils se continuent sans ligne de déma
ires, espaces que, dans la nomenclature adoptée par Henle, on appelle substance corticale proprement dite, et dans celle de Ludwi
sont séparés par une zone étroite qui n'est qu'un prolonge-ment de la substance du labyrinthe. Vous pouvez suivre tous les détail
aire, on trouve trois va- Fi/7. 26. —Coupe antéro-postérieure de la substance corticale d'un rein d'enfant (Henle). —A, Prolong
ux droits qu'est due surtout l'augmentation de volume que présente la substance médullaire dans cette région. C. Dans la substa
que présente la substance médullaire dans cette région. C. Dans la substance corti-cale, sur des coupes d'ensemble et en allan
le séparant les couches mé-dullaire et corticale, et envoyant dans la substance corticale les brandies ascendantes qui por-tent l
icules urinifères rectilignes formant les pyra-mides de Ferrein de la substance corticale. Les coupes longitudinales fournissen
r aperçu de la texture lobulaire du rein : chacun des lobules dans la substance corticale est représenté sur la surface de sectio
leisch). — Coupe ho- tubes contournés et Surtout ceux rizontale de la substance corticale. ., ., ,. . / 7I Les lobules rénaux s
et du hile ; — ils communi-quent avec les espaces lymphatiques de la substance corticale. Tissu conjonc-tif lamineux dans là rég
onc-tif lamineux dans là région papillaire. — Cellules étoilées de la substance corticale. — Tissu conjonctif des glomérules ; so
xistence d'une gangue conjonctive dans certaines par-ties du rein, la substance médullaire par exemple, n'a jamais été mise en do
été mise en doute ; il n'en est pas de même pour ce qui con-cerne la substance corticale. Goodsir avait avancé (1842) que les
ateur, les interstices des éléments sécréteurs et excré-teurs dans la substance corticale ne seraient séparés les uns des autres
e, lorsque, en 1850, M. Arnold Beer publia un travail intitulé : « La substance conjonctive du rein de l'homme dans l'état physio
e ; ce réseau, à son tour, communique avec des espaces situés dans la substance corticale du rein, entre les canalicules contourn
es lymphatiques sont peu nombreux. Ils sont plus rares encore dans la substance médullaire, où on ne les trouve que dans le voisi
ns le voisinage des vaisseaux droits. Les espaces lym-phatiques de la substance corticale du rein sont en communi-cation facile a
existe du tissu fibrillaire lami-neux dans la partie papillaire de la substance médullaire ; mais, dans la substance corticale, o
dans la partie papillaire de la substance médullaire ; mais, dans la substance corticale, on n'en trouve plus que des- (1) En
es pyramides, les fibrilles deviennent de plus en plus rares. Dans la substance corticale, le tissu conjonctif n'est plus représe
la plus autorisée. Les artères rénales, dans leur parcours entre la substance médullaire et la substance corticale, donnent nai
tères rénales, dans leur parcours entre la substance médullaire et la substance corticale, donnent naissance à deux ordres de vai
qui sont destinés, les uns à la subs-tance corticale, les autres à la substance médullaire. 1° Les artères de la substance cort
rticale, les autres à la substance médullaire. 1° Les artères de la substance corticale naissent perpendi-culairement à la dire
me nom, vont se jeter dans les veines rénales. 2° Les artères de la substance médullaire proviennent des vasa recta. Il y a deu
a, vaisseaux très allongés, venant de ceux des glomérules qui dans la substance corticale sont situés le plus bas, c'est-à-dire l
ce corticale sont situés le plus bas, c'est-à-dire le plus près de la substance médullaire. Ces vaisseaux, d'ori-gine diverse, do
ion de Ludwig, qui confirme celle de M. Virchow, la circulation de la substance médullaire serait, en partie, indépendante jusqu'
rait, en partie, indépendante jusqu'à un certain point de celle de la substance corticale. Cette vue est contraire à celle de Kol
tes les parties du rein; elle n'occupe qu'une partie de l'organe : la substance corticale. Une analyse mi-croscopique attentive p
as précédent, c'est-à-dire que la coloration existe seulement dans la substance corticale sur les épithéliums à bâtonnets. Enfi
ndantes aux parties cautérisées la coloration se répand dans les deux substances , on voit au contraire, dans celles qui répondent
contraire, dans celles qui répondent aux parties cautérisées, que la substance corticale est seule colo- rèe, l'examen microsc
dessinent sous la forme de petites stries d'un blanc crayeux dans la substance tubuleuse, et siègent principalement dans la régi
d'un kyste formé aux dépens des tubes urinifères et qui contient une substance colloïde, e, à lames concentri-ques et un amas gr
r la membrane fonda-mentale, le canal est complètement rempli par une substance colloïde, dans laquelle se trouve compris le cyli
i eux plusieurs groupes : 1° Les cylindres hyalins sont formés de substance a-, morphe colorés, peu réfrin-gents ; ils sont f
Le rein est volumineux, pe-sant, lisse à la surface ; à la coupe, la substance corticale pa-raît volumineuse, décolorée, privée
e petits kystes. A la coupe, on reconnaît que l'atrophie porte sur la substance corticale, qui peut être ré-duite à une mince lam
s vif. Les coupes montrent que l'atrophie porte principalement sur la substance corticale et beaucoup moins sur la substance médu
te principalement sur la substance corticale et beaucoup moins sur la substance médullaire. Par suite de la diminution de volume
trouve sur le gros rein blanc à la surface ou sur des coupes, dans la substance corticale, et dont la constitution est toute diff
s-titielle, principalement sur la région du labyrinthe. Toutefois, la substance médullaire n'a pas échappé complètement à l'al-
pas de granulations à sa surface, la capsule s'enlève aisément. La substance corticale est un peu tuméfiée ; elle offre une co
ne les voit pas sur le gros rein blanc. — Les CftuaiM droits, dans la substance médul-laire, au voisinage des papilles, se montre
, se montrent aussi quelquefois dilatés et tortueux. Les kystes de la substance médullaire sont souvent ovoïdes, allongés et plac
cha-pelet (Rmdfleisch, Dickinson.) — Enfin, on trouve encore dans la substance corticale une troisième variété de kystes, formés
e de Boxvmann est dilatée, plus ou moins remplie et distendue par une substance colloïde; ses parois sont épaissies; quant auglom
n goutteux: —? dans le rein saturnin. — Troubles de l'élimination des substances odorantes et des médicaments. Complications obs
noncée, en conséquence de ce que les vaisseaux sont comprimés dans la substance corticale ? A ceci, la théorie répond que les ind
rtériel du rein ; on sait, en effet, que sous une faible tension, les substances colloïdes ne traversent pas les membranes, tandis
ien se garder d'oublier. On a depuis longtemps remarqué que certaines substances odorantes ns passent pas dans les urines chez les
ntéressantes et les plus graves sont celles qui se produisent dans la substance de Vencéphale. Il n'est pas dou-teux qu'un bon no
us ou moins accusée ; cette coloration appar-tient exclusivement à la substance corticale du rein ; on la constate à la surface d
Sur des coupes, on reconnaît aussi la tuméfac-tion considérable de la substance corticale et la rareté des stries vasculaires.
e de la substance corticale et la rareté des stries vasculaires. La substance médullaire ne présente aucune altération ap-préci
de l'état normal et contraste plus ou moins vivement avec celle de la substance corticale. B. Etude histologique. — 1° Lorsque
rface du rein, mais également sur des coupes, dans l'épais-seur de la substance corticale. Ces granulations diffèrent, vous le vo
plus grossières (G. Johnson); elles existent dans la profondeur de la substance coriicale, aussi bien qu'à la surface; elles sont
e gouttelettes graisseuses dans les tubuli ; la teinte générale de la substance corticale est pâle et jaunâtre, peu vasculaire, e
l'hydropisie, qui est ici un phénomène habi-tuel; par l'anémie de la substance corticale du rein qui n'est pas, dans cet ordre d
t surtout les glomérules. De la dégénération amyloïde en général. — Substance amyloïde: — dans les parois vasculaires; — les él
de petites cellules dans l'épaisseur de la gangue conjonctive de la substance corticale; l'éplthélium était à peine altéré; en
u, de la façon la plus marquée, les apparences du gros rein blanc, la substance corticale étant très pâle et très épaissie. Les
pâleur du rein étaient dues à une infiltration presque générale de la substance corticale par une multitude de cellules rondes. C
tiré de la présence, au sein de certains éléments anatomiques, d'une substance douée de propriétés morphologiques et microchimi-
e douée de propriétés morphologiques et microchimi-ques spéciales. La substance en question est habituellement désignée sous le n
. La substance en question est habituellement désignée sous le nom de substance amyloïde, mais c'estbien à tort, car elle contien
et égard autant de la cellulose de l'amidon qu'elle se rap-proche des substances albuminoïdes. a) C'est dans les parois des arté
mes caractères ; les noyaux se fondent et disparaissent au sein de la substance vitreuse. Le résultat final est, en somme, un épa
e vue le suif aie d'indigo. Lorsque dans une faible solution de cette substance , on laisse plongé pendant quelque temps un fragme
D. Un mot maintenant relativement à la constitution chi-mique de la substance amyloïde. Je vous ai dit déjà qu'elle n'a rien de
a-lyses élémentaires de Kékulé, de Rudneff, de Schmidt, faites sur la substance amyloïde de rates profondément infiltrées, ont dé
Dickinson a essayé d'aller plus loin, et il a émis l'hypothèse que la substance amyloïde n'est autre chose que de la fibrine priv
aline ; ceci peut faire supposer déjà que la matière amyloïde est une substance albuminoïde privée d'alcali. Mais un dernier fa
t tendrait encore, toujours suivant M. Dickinson, à établir que cette substance n'est autre qu'une modification de la fibrine.
s'agit de la préparation artificielle, à l'aide de la fibrine, d'une substance qui présenterait les caractères optiques et chimi
on, mais privée d'alcali, et elle se montre alors sous la forme d'une substance de consistance gélatineuse qui offrirerait, de la
: s'agit-il réellement d'une infiltration des tissus affectés par une substance formée d'abord dans le sang, ou bien la matière a
maladie lardacée, n'y a fait trouver absolument rien qui rappelle la substance amyloïde. F. L'étude des conditions étiologique
t localisée, dans la couche corticale, sur les glomérules; et dans la substance médullaire, elle se montre sous forme de stries p
niers, d'abord sur ceux qui, partant duglomérule, descen-dent dans la substance tubuleuse sous le non de vaisseaux droits ; enfin
eurs est assez rare, les éléments épithéliaux. Sur des coupes de la substance corticale, faites perpendicu-lairement à la surfa
és par la dégénération amyloïde et parais-sant comme injectés par une substance étrangère. Les coupes de la substance médullair
s-sant comme injectés par une substance étrangère. Les coupes de la substance médullaire sont plus intéres-santes. Sur celles q
es que les anses de Henle. Sur les coupes faites au voisinage de la substance corticale, on trouve les vaisseaux droits altérés
sition générale des voies de la circulation vei-neuse. 1. Dans la substance corticale, les veinules qui proviennent du réseau
initive dans la voûte veineuse qui, dans la région intermédiaire à la substance médullaire et à la substance corticale (zone limi
e qui, dans la région intermédiaire à la substance médullaire et à la substance corticale (zone limi-tante), correspond à la voût
oûte artérielle. Les veines qui, de cette voûte, se rendent dans la substance médullaire méritent, vous allez le voir, une ment
re toute-fois peut augmenter notablement par l'injection de certaines substances , l'acide benzoïque, par exemple. Quoiqu'il en soi
donc admettre que le rein le forme de toutes pièces, aux dépens de substances préexistant dans le sang, mais dont la nature est
s conditions toujours patholo-giques, passe l'abumine du sérum, cette substance qui, lors-qu'elle se trouve dans l'urine, constit
u bien encore lorsque, chez un animal en expérience, on injecte cette substance dans le sang. L'albu-minurie ne se produit pas si
fibrine dissoute, la caséine du sérum, etc. Je rappellerai que cette substance n'existe pas seulement dans le sérum ; on la trou
le sang delà circu-lation générale contient dans son sérum certaines substances albuminoïdes, qu'on désigne sous le nom de pepton
uer une injection intraveineuse d'une solution d'urée, cette dernière substance , sécrétée par les tubuli contorli, entraîne avec
ar une masse amorphe, transparente, granuleuse, qui la distend. Cette substance pré-sente d'ailleurs tous les caractères de l'alb
l'hémoglobine qui se mêlait au sérum. Or, cette hémoglo-bine est une substance albuminoïde particulière qui filtre à (1) Journ
sition qui consiste probablement dans une qualité imparfaite de cette substance , a pour effet de dérober l'albu-mine à sa destina
inca-pable d'être assimilée doit être éliminée par le rein, comme une substance étrangère à l'organisme... ; en effet, il existe
erine normale, et de la dis-tinguer nettement de l'albumine de l'œuf, substance étran-gère au sang dans l'organisme sain. Pour
contrairement à ce que l'on a admis jusqu'ici, que la fillration des substances albuminoïdes et des émulsions, en général, est
est d'autant plus abondante que la pression à laquelle est soumise la substance à filtrer s'abaisse davantage. A la vérité, ces e
sse d'une coloration rouge sombre, violacée. Sur les coupes, les deux substances sont à peu près également colorées. L'exa-men au
ulaires. — Espaces. — Localisation des lésions hépatiques. — Des deux substances du t'oie.........................................
l'oie. — Difficulté de sa constatation. •- Rôle du foie à l'égard des substances amyloïdes et du sucre — Du diabète alimentaire...
— des acides biliaires.: —• des sels minéraux: — de la chaux.: — des substances inorganiques (fer, cuivre, mercure). — Mucus et e
et du hile : — ils communi-quent avec les espaces lymphatiques de la substance corticale. Tissu conjonc-tif lamineux dans la rég
nc-tif lamineux dans la région papillaire. —? Cellules étoilées de la substance corticale. — Tissu conjonctif des glomérules : so
in goutteux; — dans le rein saturnin. — Troubles de l'élimination des substances odorantes et des médicaments. Complications obs
t surtout les glomérules. De la dégéuération amyloïde en général. — Substance amyloïde : — dans les parois vasculaires; — les é
es, 175,185,2)8. — Pleu-rales cl pulmonaires, 21(1. Foie. (Les deux substances du), U. — Comparaison du — avec les autres glande
doque, 170. Steatorrhea, 191. Steatosis du foie. 84. Stercorine 67. Substance , corticale du rein, 291, 293,29i, 299. 301,331,34
7 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de substance grise : amyotrophie consécutive. I. Messieurs
mie macroscopique ne fournissait aucun renseignement sur l'état de la substance grise, sur la localisation exacte de la lésion, s
s l'aire des faisceaux blancs, ou dans les di-vers départements de la substance grise, quelle est l'étendue, la configuration, la
à fait distincts physiologiquement des faisceaux postérieurs. Dans la substance grise elle-même, il y a lieu,vousle savez, d'étab
yélite systématiquement confinée dans un tout petit département de la substance grise de la moelle : la région des cornes antérie
s cornes grises postérieures, en dehors, par des bandes minces, où la substance blanche a conservé les caractères de l'état norma
l a existé une anesthésie très accusée, les cornes postérieures de la substance grise sont à leur tour envahies par l'altération,
rsal, elle se fait, soit en dehors vers les cornes postérieures de la substance grise et les fais-ceaux latéraux, soit en dedans
ande partie disparu pour 1 Pierret (A). — Sur les altérations de la substance grise de la moelle épi-nière dans l'ataxie locomo
eaux radiculaires internes se dirigent vers les cornes antérieures de substance grise, et peuvent être suivis jusqu'à ce groupe e
s les cordons postérieurs, se sera propagé jusqu'aux extrémités de la substance grise antérieure, et y aura dé-terminé les lésion
erfs optiques se rapprochent, quant à la texture, beaucoup plus de la substance blanche des centres nerveux que tous les autres n
e l'arthropathie des ataxiques. — Lésion des cornes antérieures de la substance grise. — Desi-deratum. Messieurs, Je me propo
ons irritatives de la moelle épinière, celles surtout qui occupent la substance grise, retentissent quelquefois, vous le savez, à
ite aiguë ; 3° dans certains cas de tumeurs occupant primitivement la substance grise spinale (Gui) ; 4° dans certains cas d'alté
ire est évidemment liée à une altération des cornes antérieures de la substance grise, j'avais supposé que cette même région de s
eures de la substance grise, j'avais supposé que cette même région de substance grise pouvait être encore le point de départ de l
s, rap-pelant par leur coloration et tous leurs autres caractères, la substance grise des centres nerveux où, d'ailleurs, ils nai
res nombreux qui ne sont autres que des myélocites en-globés dans une substance amorphe finement granuleuse. Sous l'influence de
phe finement granuleuse. Sous l'influence de l'acide chromique, cette substance amorphe, intermédiaire se décompose, si l'on peut
ner une compression plus ou moins forte des cor-nes antérieures de la substance grise. un instant, parce qu'il s'agit là d'un p
rimé de la moelle, bien au-dessous du taux normal. J'ajouterai que la substance grise n'était plus représentée en ce point que pa
grise n'était plus représentée en ce point que par une des cornes de substance grise où l'on ne retrouvait qu'un petit nombre de
ue très difficilement à les calmer par l'emploi de doses élevées de substances narcotiques. Il y a lieu de faire remarquer dans
ue, dès l'origine, les conducteurs de la sensibilité, c'est-à-dire la substance grise, ont subi une modification pathologique imp
te ; car l'expérimentation montre que dans les conditions normales la substance grise ne provoque, sous l'influence des excitatio
en-sations rapportées à la périphérie et indiquant l'irritation de le substance grise (picotements, fourmillements, sentiment de
ême très sérieusement intéressée. Il semble que, placée au centre, la substance grise soit protégée contre les causes d'ir-ritati
du cerveau et proba-blement aussi par le fait de l'irritation dont la substance grise à son tour devient le siège, les propriétés
médian antéro-postérieur et qu'ils occupent la partie centrale de la substance grise au voisinage de la commissure. Voici mainte
postérieur, où ils occupent, de chaque côté, la partie centrale de la substance grise. 11 résulte de cette disposition qu'une lés
de la lésion en foyer et du même côté dans la corne antérieure de la substance grise. Alors, les membres, paralysés déjà et cont
'altération consécu-tive de divers points non encore déterminés de la substance grise, on peut voir les symptômes d'hémiplégie sp
'ob-serve lorsque la lésion systématique des cornes antérieures de la substance grise est limitée, dans une certaine étendue en h
s'étendrait principalement en avant de manière à affecter surtout la substance grise des cornes anté-rieures. Seulement, dans ce
donné, soit aux faisceaux blancs, soit aux régions postérieures de la substance grise, l'aspect des symptômes se montrerait néces
ransactions, t. XXXIII- 2 Ogle. — Fibrinous masses deposited in the substance of thehearts Walls ; Rernarkable Slowness of the
— Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise. Paralysie spinale infantile.— Elle sera
rédominante, sinon exclusive, certains éléments bien déterminés de la substance grise, à savoir : Yappareil des cellules nerveuse
les, comme vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière. Avant d'entrer dan
ccupe, dans la moelle épinière, un espace rela-tivement restreint, la substance grise centrale est cependant, au point de vue phy
re spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon central de substance grise est un lieu de passage obligé pour la trans
taires et réflexes doivent nécessairement, elles aussi, passer par la substance grise,— de telle sorte que, si cette voie était c
ble. Mais il semble aujourd'hui démontré que toutes les parties de la substance grise ne sont pas indistinctement affectées à l'e
Dans cet espace si limité, je le répèle, si circonscrit, qu'occupe la substance grise au centre de la moelle épinière, il y a lie
sépare physiologiquement, d'une façon très nette, ce qu'il appelle la substance grise cen-trale et les cornes de substance grise.
nette, ce qu'il appelle la substance grise cen-trale et les cornes de substance grise. La première aurait seule (avec les corne
is des altérations qui affectent isolément les diverses régions de la substance grise. C'est là justement le cas des affections
s étudierons bientôt et qui, comme les premières, peuvent affecter la substance grise centrale. Dans ces myélites centrales, la
rte indistinctement sur tous les points, sur toutes les régions de la substance grise, d'où il résulte que la sensibilité et le m
yé-lite aiguë centrale, c'est-à-dire localisée principalement dans la substance grise, y/iématomyélie, diverses formes de myélite
ons constaté l'exis-tence d'une atrophie des cornes antérieures de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans
istence de plusieurs foyers de désintégration sur divers points de la substance grise 2. Mais, si je ne me trompe, l'étude qui
t, et sur certains points exclusivement, les cornes antérieures de la substance grise (Fig. 8). Dans toutes les régions de la moe
les lésions de la né-vroglie envahissent la plus grande partie de la substance grise 1 Archives de physiologie, t. III, 1870.
et nullement propor-tionnées, quant à l'intensité, aux lésions de la substance grise. Il nous paraît évident, d'après tout ce
sie infantile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aiguë centrale généralisée, héma
oite, systématique, des altérations dans les cornes antérieures de la substance grise et, plus précisément, dans la région de ces
troite de la lé-sion spinale dans l'aire des cornes antérieures de la substance grise. Il se produitlà, parle fait de la maladie,
en soit, elle occupe les régions centrales de la moelle épinière, la substance grise surtout, et tend à enva- 1 Les altération
ire seront atteintes simultanément dans toute leur lon-gueur. Dans la substance grise, elle intéresse les cornes grises antérieur
e loi bien connue, le long des faisceaux latéraux tandis que, dans la substance grise, ce sont les colonnes formées par les corne
s cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'atrophie musculaire progressi
— Lésions de la moelle: altération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions
que fondamental du groupe : c'est la lésion des cornes antérieures de substance grise et plus expli-citement l'altération atrophi
ons spinales sont systématiquement limitées aux cornes antérieures de substance grise. Un type du même genre nous servira de guid
En effet, une lésion exactement limitée aux régions antérieures de la substance grise et laissant parfaite-ment indemnes tous les
ite-ment indemnes tous les autres départements de la moelle épinière, substance blanche et substance grise, tel est le sub-stratu
s les autres départements de la moelle épinière, substance blanche et substance grise, tel est le sub-stratum anatomique dans une
dans la moelle épinière, mais elle s'est dévelop-pée en dehors de la substance grise et ce n'est que secondai-rement, par extens
t susceptible, à un moment donné de son évolution, de retentir sur la substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des
consécutifs à une myélite chronique cen-trale. Quoi qu'il en soit, la substance grise des cornes anté-rieures peut, en pareille c
t étroits, qui, creusés pour la majeure partie dans l'épaisseur de la substance grise, parcouraient, parallè-lement au grand axe
t. Ces derniers canaux se trouvaient en grande partie comblés par une substance amorptie, transparente, finement grenue, qui, en
ou moins étendues, à con-tours plus ou moins irréguliers. Celte même substance , finement grenue, légèrement condensée, formait l
intraspi-nales (gliômes ou sarcomes), qui, développés au centre de la substance grise, dans la région cervicale, ont été le point
s. En général, dans les cas ordinaires relatifs à cette affection, la substance grise n'est pas profondément atteinte ; il est po
nalis, etc. In Virchovf s Archiv, 1869, 4 faeg. 8 Bd. rieures de la substance grise, et plus particulièrement sur les cellules
ns tous les cas qu'embrasse cette énumération, l'envahis-sement de la substance grise antérieure, ainsi que nous l'avons fait rem
son habituelle d'une lésion des faisceaux blancs avec la lésion de la substance grise, il est de règle qu'un de-gré plus ou moins
on nerveuse s'ajoute aux effets de l'amyotrophie protopa-thique où la substance grise est seule affectée. c) Un autre fait, dig
la névroglie est de nature inflammatoire ; ainsi les vaisseaux de la substance grise sont plus volumineux que de coutume et leur
r cas, que la limitation des altérations aux cornes antérieures de la substance grise a sa raison dans cette circonstance que les
eusement, dans les cas de M. L. Glarke et de M. Duménil, l'état de la substance blanche spinale n'est pas indiqué d'une façon exp
nerfs périphéri-ques sont affectés consécutivement à la lésion de la substance grise. Je vous rappellerai, à ce propos, que Ouve
, paraître tout à t'ait saine, alors que les cellules nerveuses de la substance grise ont subi cepen-dant les plus profondes alté
G.) cette atrophie serait rattachée quelque jour à une lésion de la substance grise *. Il importe de reconnaître que l'atroph
e destructive. Sans doute, dans les racines émanant des régions de la substance grise et plus pro-fondément altérées, on trouve h
ans la gaîne du sarcolemme de manière à la distendre et à refouler la substance musculaire. Celle-ci se segmente alors et prend l
nt dans leur évolution et tendent à s'atrophier, en même temps que la substance musculaire fragmentée se divise de plus en plus e
de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), d
pro-gressive qui relève d'une lésion limitée systématiquement ci la, substance grise spinale antérieure ; le moment est venu d'e
ite, occupe dans la moelle, en outre des cornes antérieu-res, soit la substance grise postérieure, soit divers faisceaux blancs.
mbinaison, si l'on peut ainsi dire, de l'altération obligatoire de la substance grise antérieure avec une sclérose symétrique et
les pre-miers temps de sa formation, qu'un anneau incomplet formé de substance embryonnaire. Aussitôt que le canal central est f
antérieures [Fig. 12, a), et des cornes postérieures (Fig. 12, b) de substance grise. A chacune de ces parties est venue s'adjoi
rties est venue s'adjoindre, vers la tin du premier mois, une zone de substance blanche, laquelle est en connexion avec les racin
dans le sillon qui sépare encore latéralement les deux parties de la substance grise, sous l'aspect de deux petites masses ou
s. plus postérieure du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la substance blanche se distingue par une teinte grisâtre, app
gne en particulier, du moins dans la règle, d'aucune altération de la substance grise antérieure ou des racines spinales motrices
métrique primitive existe seule, sans complication d'une lésion de la substance grise antérieure ; le trait le plus saillant dans
M. Westphal. 2° Mais il arrive assez souvent qu'une altération de la substance grise s'associe à la sclérose symétrique des fais
xterne de la corne anté-rieure. En arrière, elle confine presque à la substance grise postérieure. En dehors, toutefois, elle est
e constam-ment de la couche corticéile de la moelle par un tractus de substance blanche restée intacte. {Fig. 16, A, A. —Voirauss
rap- l'isthme de l'encéphale ; — 2° des lésions concomitantes de la substance grise dans les mêmes départements des centres ner
là moelle dont elle n'est séparée que par une languette très mince de substance blanche in-tacte. c) Enfin, à la région lombair
rte de relever actuellement, Messieurs, celles qui appartiennent à la substance grise. Elles ne diffèrent en rien d'essentiel d
ruites. (Voir Pl. IV. Figi.) Il est de règle que l'altération de la substance grise ne dé-passe point l'aire des cornes antérie
la colonne de Clarke dans la région dorsale. a) L'altération de la substance grise spinale, dans tous les cas que j'ai observé
nt pas ou sont relativement peu atrophiés. b) Les altérations de la substance grise de la moelle épi- Il ne me reste plus qu'
dans cette partie des centres nerveux, un certain nombre de noyaux de substance grise que l'on considère comme les ana-logues des
sceaux latéraux ; les autres relèvent de la lésion concomitante de la substance grise. C'est ce que j'essaierai de démontrer dans
distinguer aisément de celui qui relève de l'altération limitée à la substance grise spinale antérieure. Il me sera facile aussi
et primitive des faisceaux la-téraux avec lésions concomitantes de la substance grise anté-rieure qui était en jeu. Un fait recue
érose latérale, dont elles relèvent, se produit avant la lésion de la substance grise antérieure à laquelle se rattache incontest
ncontesta-blement l'amyotrophie. Par quel mécanisme la lésion de la substance grise vient-elle se combiner à la lésion des fais
ion sont le siège gagnent très vite les parties correspondantes de la substance grise. après l'apparition des symptômes parétiq
la contracture, se mon-tre la première, tandis que l'altération de la substance grise antérieure, à laquelle se rattache l'atroph
La propagation de la lésion inflam-matoire des faisceaux blancs à la substance grise s'opère très vraisemblablement, ajoutais-je
bornerai à vous faire remarquer que la propagation des lésions à la substance grise dans les cas en question de sclérose latéra
dans quelques-uns de ces cas, l'autopsie a permis de s'assurer que la substance grise antérieure à laquelle il convient en pareil
connais-sent le même mécanisme bien que la réalité de la lésion de la substance grise, en pareil cas, n'ait pas été, que je sache
e, dans les scléroses spinales consécutives, le retentissement sur la substance grise est un fait exceptionnel tandis que, dans l
nique. E, Coupe des deux canaux de formation nouvelle creusée dans la substance grise. que, en effet, quand on ouvre, dans un c
rse, irrégulièrement disséminée et pouvant attaquer indifféremment la substance grise centrale ou les faisceaux blancs. c) Les
s internes, dont le trajet peut être anato-miquement suivi jusqu'à la substance grise antérieure1. Tout récemment M. Hayem est ve
in, 1866. H. 2, p. 191. et la sclérose des cornes antérieures de la substance grise, — auraient pu à la rigueur échapper aux in
ntéro-latéraux et postérieurs dans un état d'intégrité par-faite ; la substance grise, dont nous avons fait l'objet tout spécial
mité inférieure de la région lombaire. Les cornes antérieures de la substance grise étaient manifestement atro-phiées ; en outr
s noyaux qu'elle ren-ferme ne présentent d'altération, et, quant à la substance musculaire, on n'y observe aucune trace de la dég
existait dans la moelle épinière des altérations très profondes de la substance grise centrale et en particulier des cellules ner
dant à la région lésée de la moelle épinière. Pour ce qui est de la substance grise, on connaît mal les effets d'une lésion iso
fit reconnaître des lésions remar-quables occupant principalement la substance grise centrale, la substance blanche étant, au co
remar-quables occupant principalement la substance grise centrale, la substance blanche étant, au contraire, à peine affec-tée \
est propagé jusqu'à la moelle et suivant toute probabilité jusqu'à la substance grise centrale. En effet, dans la plupart de ces
n sent pas l'amertume à droite, tandis qu'elle la dé-nonce dès que la substance touche le côté gauche de la mu-queuse linguale. ,
ent sé-parés par des intervalles libres de tout symptôme permanent la substance grise cérébrale, au contact de la pie-mère altéré
trices. 11 se produi-rait, en pareil cas, suivant H. Jackson, dans la substance ner-veuse, en conséquence d'un processus irritali
pré-sentaient, çà et là, les cylindres axiles des tubes nerveux delà substance blanche, non seulement au niveau de la partie de
tat frais, de deux segments de la moelle, au voisinage de la perte de substance , dans l'étendue de deux centimètres environ, a do
ter aucune altération appréciable des éléments ner-veux, soit dans la substance blanche, soit dans la substance grise; pas de cor
e des éléments ner-veux, soit dans la substance blanche, soit dans la substance grise; pas de corps granuleux cellulaires ou non
e ne va guère au delà du chiffre normal. Les cellules nerveuses de la substance grise n'ont paru présenter au-cune altération app
— b, Cylindres axiles normaux mesurant 0 [ë, 0033. nombre, dans la substance grise et en particulier dans les cornes postérieu
sales permet de constater en outre ce qui suit : sur des points de la substance blanche très éloignés des parois du foyer sanguin
ment colossales que présentent, dans la corne antérieure gauche de la substance grise, au voisinage du foyer sanguin, les cellule
lologique. — Région cervicale. — La disseclion de petits fragments de substance , prise au niveau des cornes anté-rieures, permet
i à la destruction des cellules nerveuses. A la région lombaire, la substance des cornes antérieures est relativement saine ; l
rincipalement, elles sont manifes-tement épaissies. Des portions de substance blanche prise au centre des cordons latéraux à la
ait à laide de coupes après durcissement dans l'acide chromique. — La substance grise des cornes antérieures est pro-fondément al
ns tous les sens l'aire de la corne an-térieure. Il en résulte que la substance grise prend parle carmin une teinte beaucoup plus
pproche de la région lombaire. Au niveau du renflement lombaire, la substance grise a repris à peu près complètement les caract
-taines fibres sont remplies d'un contenu granuleuxet surd'autres, la substance musculaire est interrompue de distance en distanc
On a vu, du reste, que la lésion n'était pas exactement limitée à la substance des cornes antérieures ; elle avait, en passant p
ous avons ob-servé dans l'opposant du pouce droit. En dilacérant la substance musculaire avec les aiguilles sur le verre à prép
. Dans les fibres où nous avons observé cette di-vision, les blocs de substance musculaire étaient pressés les uns contre les aut
es; très accen-tuée pour d'autres ; o° la division en fragments de la substance musculaire ; 0° l'atrophie de certaines fibres mu
à tous ses degrés. Quelques-unes offraient la division en blocs de la substance musculaire. Dans l'intervalle de ces fibres, on a
é, leur fréquence et leur in-tensité. Les préparations faites avec la substance musculaire du sterno-cléido-mastoïdien gauche n'o
nes sur les faisceaux antéro-latéraux de la moelle, les autres sur la substance grise, en particulier sur les cornes antérieures
postérieurs ne présentaient aucune altération. Dans l'examen de la substance grise, le haut degré d'atrophie qu'ont subi, dans
uvertes parfois de nombreux noyaux. — Les cornes postérieures de la substance grise nous ont paru offrir toutes les conditions
n état d'anxiété extrême ; quel que soit le mode d'introduction de la substance alimentaire, son entrée dans l'œsophage paraît se
fférentes hauteurs de l'organe, permit de constater des lésions de la substance blanche et de la substance grise. 1° Substance
ane, permit de constater des lésions de la substance blanche et de la substance grise. 1° Substance grise. Les noyaux d'origine
er des lésions de la substance blanche et de la substance grise. 1° Substance grise. Les noyaux d'origine des nerfs bulbaires s
glosse. Les olives se montrent normales sur toutes les coupes. 2° Substance blanche. La lésion de la substance blanche occupe
rmales sur toutes les coupes. 2° Substance blanche. La lésion de la substance blanche occupe ici toute l'étendue des pyramides
es antérieures qui, à ce niveau, sont re-présentées par deux îlots de substance grise complètement isolés de la substance central
résentées par deux îlots de substance grise complètement isolés de la substance centrale contiennent une notable proportion de ce
fort étendues, qui portent à la fois sur les cornes antérieures de la substance grise et sur les cordons antéro-latéraux. Il est
tractus conjonctifs, qui de la périphé-rie de l'organe vont gagner la substance grise, sont épaissis. Les mailles du reticulum, c
corne antérieure, elle suit en dedans et en arrière le contour de la substance grise sans pénétrer dans son intérieur, tandis qu
e même pour les racines antérieu-res dans leur trajet intra-spinal. Substance grise. — Nous trouverons ici, exactement limitée
e. — Nous trouverons ici, exactement limitée à l'aire des cornes delà substance grise et symétriquement disposée dans les deux mo
ns pigmentaires, au sein d'un tissu parfaitement normal. Toutefois la substance grise a, sur certains points, été désorganisée da
e. Çà et là, on rencontrait quelques gaines du sarcolemme, vides de substance contractile et remplies par des amas de noyaux. C
nnent du centre gris vers la périphérie de la moelle. C'est dans la substance grise et plus spécialement dans l'aire des cornes
désagrégation se soit établi d'abord dans la trame conjonctive de la substance grise pour se propager ensuite jusqu'aux éléments
es noyaux qu'elle renferme ne présentent d'altération, et, quant à la substance musculaire, on n'y observe aucune trace de la dé-
d'autres enfin, — ceux-là, toujours du plus petit diamètre, — dont la substance muscu-laire paraît divisée en fragments où la str
hyalin avec dégénérescence granulo-graisseuse, la segmentation de la substance musculaire avec multiplication des noyaux du sar-
llules nerveuses motrices et la sclérose des cornes antérieures de la substance 1 Verhhandlungen der Bevliner medicinischen Ges
ntéro-latéraux et postérieurs clans un état d'intégrité parfaite ; la substance grise dont nous avons fait l'objet tout spécial d
-mité inférieure de la région lombaire ; les cornes antérieures de la substance grise étaient manifestement atrophiés ; en ou-tre
ires 1 Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-latêraux de la moel
es complètes, t. ii. PLANCHE II mal de pott; paraplégie Pig. 1. — Substance blanche de la moelle au point comprimé chez un su
s. — h, Cylindre d'axe refoulé sur les parties latérales. Fig. 2. — Substance blanche de la moelle chez un sujet guéri de la pa
te qui après avoir été paralysé avait recouvré les mouvements. —a, a, Substance blanche du côté gauche, atrophiée et scie-rosée.
s latéraux. b, Pyramides antérieures. c, c, Cornes antérieures de substance grise. e, Entre-croisement des pyramides. p, p,
te. f, f, Foyers de désintégration occupant différents points de la substance grise antérieure. Fig. 4. — Elle représente les
larges faisceaux conjonctifs. Fig 6. — Petit vaisseau pris dtans la substance grise de la corne antérieure. —? a, Cellule tuméf
ceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de substance grise : amyotrophic consécutive.. 1 DEUXIÈME LE
l'arthropathie des ataxiques. — Lésions des cornes antérieures de la substance grise. — Desi-deratum............................
— Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise. Paralysie spinale infantile. — Elle sera
Roger). — Localisation des lésions dans les cornes antérieures de la substance grise. — Altérations secondaires : transformati
sie infantile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aiguë centrale généralisée, héma
s cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'atrophie musculaire progressi
— Lésions de la moelle : altération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions
de la lésion dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), d
opkique, 217, 241,249. — Lé-sions des cordons latéraux, 24(1. — De la substance grise, 214, 451. — Des racines antérieures, 245.
8 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
éolaire de la mâchoire supérieure a été fracturé, d'où une perte de substance . La bouche mesure quatre centi- mètres. Le bord
sique du rein d'enfant, avec les lobules rénaux bien dessinés et la substance corticale très développée ; on ne trouve pas de
largis ; les cellules névrogliques sont relativement abondantes. La substance blanche paraît parsemée de corps granuleux, mai
line dans la couche corticale, dans les faisceaux descendants do la substance grise, et dans la substance blanche, n'ont pu ê
e, dans les faisceaux descendants do la substance grise, et dans la substance blanche, n'ont pu être étudiées à cause du long
ien en chef de l'asile de Villejuif. Résultats pour cent grammes de substance (1) : 100 CLINIQUE. une arrière-grand'mère ma
CE II. Contribution à l'étude des lésions histolo- giques de la substance grise dans les encéphalites chroniques de l'enf
s, les fibres à myéline de la surface de l'écorce et celles de la substance grise ne sont plus décelables par les réactifs
donc faire l'étude des filets nerveux ; on est réduit à celle de la substance grise en général, que l'alcool fixe assez bien.
la cou- che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la substance grise, et s'accroît encore dans le lobe occi- p
peut facilement réunir en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la substance blanche, assez difficile à d
r en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la substance blanche, assez difficile à débrouiller à cause
ller à cause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la substance blanche, qui s'écartent les uns des autres à ce
qui s'écartent les uns des autres à ce niveau pour pénétrer dans la substance grise. Elle renferme à sa partie supérieure de
a disposition normale des faisceaux de fibres qui montent dans la substance grise, et qui s'aperçoivent très suffisamment s
t autant de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la substance grise, qui, eux, s'organisent naturellement dan
disposition est plus marquée naturellement dans la profondeur de la substance grise, là où les faisceaux sont plus gros, et c
issement qui permette d'avoir sous l'oeil toute l'épaisseur de la substance grise, on la verra décomposé en un véri- table
ions peuvent servir à établir une transition entre l'atrophie de la substance grise que nous étudions et les états plus marqu
sance, montre un certain nombre de corps granuleux répandus dans la substance blanche et qni se colorent en noir sur une coup
ue. On voit aussi de fines gouttelettes graisseuses exister dans la substance grise. Sur des coupes colorées, on cons- tate q
amidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la
ches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substance blanche offre des lésions de désintégration. Su
désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance blanche a le même aspect; les corps granuleux y
llonné par des bandes fibrillaires nombreuses qui rayonnent dans la substance grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont le
- gérée; les capillaires au lieu de s'enfoncer tout droit dans la substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect norm
il petits noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la substa
tipliées dans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la substance blanche. La coupe d'une circonvolution du lobe
122 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. face externe de l'hémisphère montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
vacuoles, d'espaces vides, qui constituent de véritables pertes de substance . Ces foyers interrompant la disposition des fib
t MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose cérébrale. Dans la substance blanche, il n'y a que peu ou pas de corps granule
e- mière frontale. Il existe des foyers de désintégration dans la substance grise, des amas considérables de corps granuleux
la couche des myélocytes, et un certain degré de fibrillation de la substance blanche, parsemée de corps gra- nuleux. il est
omènes observés et sont évidemment consécutives aux désordres de la substance grise. (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 18(
ont particulièrement énormes ; les capillaires qui plongent dans la substance cérébrale sont aussi très gonflés et parfaiteme
nflés et parfaitement visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la couche superficielle de névroglie a s
ie régulières, bout à bout, limitées par les fibres d'origine de la substance blanche, présente ces mêmes séries morcelées pa
développe- ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la subs- tance blanche, ce qui do
prenons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance blanche très vascularisée et présentant les fig
llules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en partie enlevée avec les méninges
Sur une coupe du lobe occipital, une portion assez considérable de substance grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui en
ution portée à l'extrême des éléments pyramidaux. A la limite de la substance blanche, l'accumulation des noyaux petits et sp
C1'Vico-dol'sale. - Les cordons blancs sont symétri- ques ; dans la substance grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée
aspect tomenteux et irré- gulier ; une portion assez épaisse de la substance grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les l
LOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. Il -) -i parer le cône restreint de substance blanche qu'on voit sur les coupes de la circonv
ique. - Coupe d'une circonvolution prise dans le lobe frontal. - La substance grise est très mince ; on n'y retrouve qu'avec
e, groupés par quatre ou six, nom- breuses petites cellules dans la substance blanche; vascularisation relativement peu dével
le nettement triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la substance grise. - Coupe au niveau du lobule paracentral.
le centre se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de toute la substance grise par les élé- ments sphériques est netteme
n retrouve quelques nids, mais elles sont petites et effilées. La substance blanche est toute parsemée de corps granuleux;
s distingue à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la substance blanche. Le centre est occupé par un réseau 128
es, d'ailleurs l'épaisseur du revêtement gris est très faible. La substance blanche offre l'aspect d'une véritable émulsion d
dans la couche suivante. 11 existe quelques corps granuleux dans la substance blanche. La moelle cervicale ne présente pas d'
a moelle cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance blanche, les cornes prises sont régulières, leurs
n histologique. Coupes du lobe paracentral droit. Les couches de la substance grise ne sont pas distinctes les unes des autre
mais il n'y a pas d'accumulations de leucocytes dans les gaines. La substance blanche présente un très grand nombre de corps
nes est légèrement sclérosée, il n'y a rien de plus à noter dans la substance blanche que des espaces étoilés dépourvus de tu
rieures sont très rares. Le canal de l'épendyme est rempli par une substance grenue où se trouvent en assez grande abondance d
sont petits et entourés d'une gaine hyaline assez épaisse. Les deux substances sont parsemées de corps granuleux. Sur un fragm
caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches. La substance blanche présente une grande quantité de corps amy
ation rameuse très développée dans les couches superficielles de la substance grise ; beaucoup de foyers de désintégration as
s; les gaines infiltrées de corpus- cules de Glùge, surtout dans la substance blanche. Les cellules pyramidales ne sont serré
s que par place, elles sont peu nom- breuses et de petit volume. La substance blanche est toute infiltrée de petites cellules
tégration forment des taches grises occupant toute la hauteur de la substance grise dans les intervalles qu'ils laissent entr
tage au baume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la substance blanche. Il existe de véritables plaques à cont
es vaisseaux dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact de la substance blanche, où les noyaux sont abondants. Il exist
atrophie d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ments vers la substance blanche sont irréguliers. De là l'aspect chagri
isphère droit, coupe d'une cÍ1'con¡;o- Il/lion frontale. - Toute la substance grise est prise en nappe, toujours au même poin
comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de place en place des lâches grise
tés du sillon et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine et la substance blanche présentent l'infiltration de corps gran
méningo-cncéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la substance grise se décortique en totalité sur quelques po
us fragile, est tombée en partie sur les coupes. La limite des deux substances et surtout la. substance blanche sont parsemées
partie sur les coupes. La limite des deux substances et surtout la. substance blanche sont parsemées de corps amyloïdes. L'in
nsition entre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la substance grise avec épaississement névrogliques, comme nou
dans le liquide de Muller. Cerveau droit. - Portions atrophiées. Substance grise. - Les membranes n'ont pas enlevé des porti
Substance grise. - Les membranes n'ont pas enlevé des portions de substance cérébrale en se délachant; la première couche de
de substance cérébrale en se délachant; la première couche de la substance grise est confondue avec la seconde; elle présent
s larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellules pyramidales. Ce
veuses arrondies, granuleuses et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par
chagriné qui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique aréolaire qu'on observ
éries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de
à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de petites cellules ronde
upart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée par le vaisseau vasc
morcelée par le vaisseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la substance blanche, nombreux corps granuleux et blocs grai
iation dans les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe occipital, on retrouve, à
'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer trois étapes :
bondantes encore. Elle est parsemée de curps granuleux ainsi que la substance blanche. Vaisseaux moyennement abondants, un pe
ppelant la forme des élémenls araignée et la paralysie générale. La substance blanche est infiltrée d'un grand nombre de noya
ant une vaste bande entre la première et la troisième couches de la substance grise, et comprenant ainsi la moitié environ de l
ce grise, et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la substance grise. Ces foyers sont caractérisés par la rare
coupe à ce niveau, on constate une dépres- sion en entonnoir de la substance grise, une perle de substance qui s'étend jusqu
e une dépres- sion en entonnoir de la substance grise, une perle de substance qui s'étend jusqu'à la subslance blanche et est
ar des filaments fibrillaires allant de la paroi superficielle à la substance grise restante. Cette paroi est composée de deh
êmes de la lésion et disparait dans la couche superfi- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une couche
e perdent successive- ment dans la couche externe névroglique de la substance grise; c'est donc entre cette couche externe et
érée la scissure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La substance grise qui forme les parois de l'entonnoir est r
différents : sur certains points, la sériation longitudinale de la substance grise est encore assez visible, mais ces séries
és aux points nodaux. Les mailles de ce tissu sont occupées par une substance inter- cellulaire qui a disparu des coupes. On
argement dilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans
upart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la substance blanche, il existe
lent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la substance blanche, il existe une large traînée descendant
existe une large traînée descendante, correspondant à la perte de substance , de la substance grise, et dans laquelle les fibr
e traînée descendante, correspondant à la perte de substance, de la substance grise, et dans laquelle les fibres n'existent t
mêmes tissus fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont moins avancées, q
NCE GRISE. '[/t3 par où descendent les fibrilles qui vont former la substance grise, on voit, de plus que dans les couches pr
s interstitielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la substance blanche, on voit les mêmes lésions que dans les
ésions absolument semblables, mais la traînée des- cendante dans la substance blanche au-dessous du foyer, est très large et
d'une paroi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la
lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la couche de névroglie est fibrillaire d
uche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la substance blanche, corps granuleux nombreux, aspect fibri
fibrillaire, grosses fibrilles anastomosées. Moelle cervicale. - La substance grise à des altérations cellu- laires important
s les plus profondes de la subslance grise, et même au milieu de la substance blanche, qu'on voyait la névroglie former des f
souvent des réactifs pour qu'on puisse s'y arrêter. Du côté de la substance blanche, il est facile de voir son atrophie; la
ntermédiaire, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la substance grise, enfin BOCH : OEVll.l.E, Bicêtre, 1889. 1
89. 10 146 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. les fibres descendantes de la substance blanche de- vaient nous échapper. C'est là une
iologie, p. 439, 1869. Herberl Mayor. - Lésions hislologiques de la substance grise, chez déments, etc. - West riding latizcc
. - Journal of mental Science, p. 532, 1883. Luys. - Structure delà substance grise. - L'Encéphale, p. 149, 1883. Ranvier.
eux, irrégulier, comprenant la seconde et la troisième couche de la substance grissc (A) et donnant à la surface de l'encépha
Coupe du lobule paracentral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance blanche, pour montrer
ral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance blanche, pour montrer la rareté des cellules py
11` ? o, Contribtttion t'étude des lésions histologiques - de la substance grise dans les encéphalites chroniques de l'enf
9 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
lus d'un millier de ces animaux, n'a jamais pu y trouver de traces de substance nerveuse réunie en filamens; les recherches de M.
imaux privés de système nerveux sont-ils pour cela dépourvus de toute substance nerveuse? M. Carus et avec lui plusieurs anatomis
s anatomistes ne le pensent pas; ils admettent, sans l'avoir vue, une substance médullaire sensible, uniformément répartie dans l
niformément répartie dans les tissus de l'animal (6). Qu'il y ait une substance sensible, cela n'est pas douteux, puisque les ani
tractent sous l'influence d'une irritation extérieure; mais que cette substance soit de nature médullaire, c'est ce qui ne devrai
rée, trad.. par Jourdan. Paris, 18 35, t. 3, p. 35. (7) Loc, cil. substance animale, dît M. Oken , a commencé par là masse ne
métamorphose du nerf. La gelée des polypes, des méduses, etc., est la substance nerveuse au plus bas degré, de laquelle n'ont enc
e au plus bas degré, de laquelle n'ont encore pu s'isoléi* les autres substances qui sont ou cachées dedans, ou fondues avec elle.
'albumine toute nerveuse; les animaux primaires ressemblent donc à la substance poncti- (i) Lehrbuch derNaturph'dosoplùe, 2e ed
qui constitue les premiers rudimens des animaux supérieurs. C'est une substance molle, nerveuse, qui se nourrit par imprégnation
gine. A quoi eussent servi des divisions et des subdivisions de cette substance nerveuse, puisqu'il n'y avait aucun organe, aucun
elte origine première de l'animal qui a porté M. Virey à assimiler la substance encore amorphe à la matière du sperme (1). » Cett
s et n'ayant pas même une cavité, un sac, pour contenir et digérer la substance nécessaire à leur nutrition; on croyait qu'ils re
ion spéciale, puisqu'il y a des yeux, il faut dans l'organisation une substance capable de recevoir l'impression. Pour agir, cell
tion une substance capable de recevoir l'impression. Pour agir, celle substance ne peut être isolée dans un organe, autrement la
Ainsi, chez les mollusques, on peut suivre chaque nerf jusque dans la substance du ganglion, voir si les filamens qui vont aux or
es du mouvement. Ces nerfs du mouvement , les fournit-il de sa propre substance , ou les reçoit-il du ganglion pédieux ou moteur,
ppeler fluide nerveux, réservant le nom de matière médullaire pour la substance qui forme les parois des tubes articulés et celle
nerfs qu'il fournit aux organes du mouvement naissent dans sa propre substance , et ne viennent pas, comme on aurait pu le suppos
e chaque côté le collier œsophagien, va se rendre directement dans la substance du ganglion, et c'est de celte même substance que
dre directement dans la substance du ganglion, et c'est de celte même substance que partent, chacun en son lieu, les nerfs moteur
cope, on y découvre des lignes parallèles, et entre ces lignes, une substance ponctuée, globuleuse. En comprimant le nerf ainsi
es nerveuses passant d'un côté à l'autre ; on y découvre en outre une substance granulée, globuleuse; or, la même substance se tr
n y découvre en outre une substance granulée, globuleuse; or, la même substance se trouve dans la moelle allongée des vertébrés ;
s n'ont pas l'analogue de l'encéphale ou de la moelle rachidienne. La substance du cerveau et celle de la moelle sont formées, di
a a lieu pour les racines des nerfs spinaux, chez les vertébrés. La substance de ces nerfs et de ces ganglions est blanche et o
lles des ganglions : on sait que Gall s'est efforcé de prouver que la substance blanche naît toujours de la substance grise, et q
s'est efforcé de prouver que la substance blanche naît toujours de la substance grise, et que les nerfs ont toujours pour point d
celles du cordon œsophagien, ont une extrémité qui s'épanouit dans la substance globuleuse ; toutes les fibres de la commissure s
ance globuleuse ; toutes les fibres de la commissure se rendent de la substance globuleuse d'un ganglion à la même substance du g
missure se rendent de la substance globuleuse d'un ganglion à la même substance du ganglion opposé. Le cordon œsophagien du ver
les nerfs émanant des ganglions , une sorte de commissure ; enfin une substance granulée. J'ai fait représenter (pl. lre) une por
s la moelle et cela dans l'endroit de cette moelle où se trouve de la substance globuleuse ; ce sont, comme dans l'écrevisse, dan
laires dans les espaces inter-ganglio-naires, mais venant aussi de la substance des ganglions. Chez le grillon domestique et ch
sé. , 5° Les ganglions nerveux des animaux articulés sont formés de substance globuleuse et de substance fibreuse. 6° Les cor
rveux des animaux articulés sont formés de substance globuleuse et de substance fibreuse. 6° Les cordons nerveux sont formés de
use et de substance fibreuse. 6° Les cordons nerveux sont formés de substance fibreuse seulement. 7° Les fibres nerveuses son
pattes, chez l'écrevisse, est pourvue d'un léger renflement formé de substance ganglionaire. Î28 ïî y a chez les articulés de
Quand ce dernier cas se présente, la matière globuleuse qui forme la substance caractéristique des ganglions, au lieu d'être agg
it sensitive par opposition avec l'âme de l'homme, regardée comme une substance incorporelle (2). La dignité de l'homme pouvait s
r les solidifier par la dessiccation. Les fourmis se nourrissent de substances végétales et de substances animales ; elles sont
siccation. Les fourmis se nourrissent de substances végétales et de substances animales ; elles sont très friandes de sucre et d
soient, ne profitent réellement qu'à ceux qui savent en soumettre la substance au contrôle de l'observation. (1) The structure
us considérables, ils ont toujours l'aspect blanc qui est propre à la substance médullaire. Chez les poissons osseux, ils sont to
sure, un tubercule aplati, bilobé, muni de deux longues appendices de substance médullaire d'un gris blanchâtre. Le tubercule bil
une commissure située en arrière des nerfs optiques. L'analogue de la substance grise formant ces tubercules, se retrouve dans la
gue de la substance grise formant ces tubercules, se retrouve dans la substance grise située précisément à l'endroit correspondan
ns un sillon profond qui se trouve entre le cervelet et la portion de substance cérébrale lobulée chez les poissons osseux, non l
lions que nous trouvons dans leur crâne, ou bien faut-il y joindre la substance grasse qui achève de remplir la cavité crânienne
ulière que l'exis* tence d'une quantité ordinairement considérable de substance oléagineuse dans la cavité crânienne. Supposera-t
stance oléagineuse dans la cavité crânienne. Supposera-t-on que cette substance n'ait d'autre usage que de combler un, vide, ou b
e, ou bien faudra-t-il admettre qu'elle ait un rapport direct avec la substance cérébrale? Elle est contenue dans un tissu dont l
s plus grosses, puis par des additions (1) Op. cit. p. ir. (2) La substance grasse, huileuse, dont il est ici question, n'exi
des autres vertébrés. successives, de larges plaques huileuses. La substance de plusieurs parties encéphaliques se comporte d'
les nerfs du squale-renard qui a par conséquent une masse relative de substance encéphalique plus que double de celle du brochet.
cartant les bords de ce sillon pour en découvrir le fond, on voit une substance médullaire qui, par le fait môme de l'écartement,
il existe des fibres longitudinales, des fibres transverses , et une substance granulée propre aux ganglions. Dans les renflemen
flemens de la moelle de l'anguille, aucune fibre transverse et pas de substance granulée en plus grande proportion qu'ailleurs. L
la moelle fût, extensible, élastique, ou qu'elle fût plissée. Or, la substance nerveuse n'est rien moins qu'élastique; molle et
précédent, parce qu'on ne les voit qu'en partie sans pénétrer dans la substance de ces organes, seront ici exposées de manière à
nt. Vers la fin du dix-septième siècle, Leeuwcnhoeck, ayant soumis la substance cérébrale à ses recherches microscopiques, annonc
c'est tant pis pour la science, car il raconte sur la structure de la substance cérébrale , des choses que l'expérience n'a pas d
rale , des choses que l'expérience n'a pas du tout confirmées (2). La substance nerveuse est pour Delia Torre, composée de globul
rfs où ils sont les plus petits de tous. Prochaska admet aussi que la substance nerveuse est formée de globules, et pour lui, ces
ck (2). Fontana qui vient après, fait un grand pas; il annonce que la substance nerveuse est formée de cylindres à parois très mi
hez l'homme, les mammifères, les oiseaux et les poissons : « Que la substance corticale et la substance médullaire du cerveau h
s, les oiseaux et les poissons : « Que la substance corticale et la substance médullaire du cerveau humain ; c Que la substan
e corticale et la substance médullaire du cerveau humain ; c Que la substance des ganglions qui sont dans l'intérieur du même c
des ganglions qui sont dans l'intérieur du même cerveau ; c Que la substance de la glande pinéale, de la moelle épinière et de
e la structure des muscles ; mais qu'elle en diffère seulement par la substance remplissant la forme (substantia formam implente)
diffèrent pas entre eux quant aux apparences, quant aux formes de la substance nerveuse, tandis que les frères Wenzel sont les s
et des recherches de M. Bauer, ce Si l'on met, dit-il, une portion de substance cérébrale dans l'eau, et qu'après l'y avoir laiss
r la surface du verre, on voit, entraînées par l'eau, des portions de substance médullaire qui consistent en une quantité in- (
roduction des fibres de Prochaska. Pour apercevoir la structure de la substance cérébrale, pourquoi recommander défaire macérer c
de la substance cérébrale, pourquoi recommander défaire macérer cette substance pendant quarante-huit heures? Est-ce donc qu'on n
de M. Bauer, et je n'ai rien vu de ce qu'il a annoncé. Des débris de substance cérébrale, affectant des formes très irrégulières
st tombé dans la même erreur que M. Bauer. Il n'a pas fait macérer la substance cérébrale avant de l'examiner, il s'est au contra
ux récemment tués, et après avoir enlevé une tranche très mince de la substance nerveuse, il Fa placée aussitôt sur une lame de v
e de recherches. A l'aide de ce moyen, il dit avoir vu qu'en effet la substance cérébrale est composée de globules, et il a fixé
s en séries parallèles, qu'il a vu formées les fibres nerveuses de la substance blanche et de la substance grise du cerveau, et c
il a vu formées les fibres nerveuses de la substance blanche et de la substance grise du cerveau, et celles de la moelle épinière
auteur a eu raison de faire choix de cerveaux frais, mais une lame de substance cérébrale, quelque mince qu'on la coupe, est touj
de M. Ehrenberg, observations dont j'ai, en partie; fait connaître la substance ; et celle d'un autre anatomiste allemand, M. Lan
x publiés par M. Ehrenberg , j'ai dit que cet anatomiste admet que la substance blanche de l'encéphale et des nerfs est entièreme
es générales de médecine, Paris, 1823. t. ni, p. i83. enfin, que la substance grise contient en outre des globules arrondis, di
x autres un haut degré de certitude. M. Lan genbeck ayant placé de la substance cérébrale entre deux , lames de verre, y a trouve
dit-il, qu'ayant comprimé, entre deux lames de verre, une portion de substance cérébrale prise aux cuisses du cerveau de la carp
a carpe commune, il s'est écoulé, des tubes articulés composant cette substance , une matière gélatineuse très limpide; mais qu'ay
tème nerveux. On n'a jamais examiné que des portions séparées de la substance nerveuse, et il ne paraît pas que l'on ait songé
vu des fibres, des granules et des vaisseaux sanguins, partout où la substance examinée était transparente ou demi transparente.
er quels changemens s'opéreraient dans la moelle, et j'ai vu toute la substance devenir plus transparente, les fibres s'étaler da
e deux lames de verre, et qui, en effet, n'étaient autre chose qu'une substance grasse , fluide , provenant de la moelle. Quant a
seuses et les vaisseaux sanguins, sont restés dans le même état. La substance de la moelle ainsi étalée et rendue transparente,
Cela dépend de la manière dont M. Ehrenberg a opéré. Pour étudier la substance nerveuse, M. Ehrenberg l'écrase d'abord entre deu
ité se font parfois les théories : Gall et Spurzheim admettent que la substance grise de la moelle, est la matrice, l'organe géné
bstance grise de la moelle, est la matrice, l'organe générateur de la substance blanche (1), et l'un des argumens que l'on a oppo
éd., t. 2, p. 400) fait observer avec 12. rie, c'est le défaut de substance grise dans la moelle épinière des poissons, ce Un
y a pas l'opposition qu'y trouve M. Serres : d'abord, il existe de la substance grise dans la moelle épinière des poissons, en pl
ces animaux sont longitudinales, ne peuvent-elles pas provenir de la substance grise des ganglions encéphaliques, car ce qu'il f
Spurzheim, ce n'est pas que les fibres blanches soient enveloppées de substance grise, mais qu'une de leurs extrémités plonge dan
de substance grise, mais qu'une de leurs extrémités plonge dans cette substance . Eh bien, l'extrémité céphalique des fibres de la
halique des fibres de la moelle épinière des poissons, plonge dans la substance grise des ganglions encéphaliques. M. Cruveilhier
e grise des ganglions encéphaliques. M. Cruveilhier, raison, que la substance grise ne nourrit pas la substance blanche, car di
s. M. Cruveilhier, raison, que la substance grise ne nourrit pas la substance blanche, car dit-il, une substance solide ne peut
substance grise ne nourrit pas la substance blanche, car dit-il, une substance solide ne peut pas nourrir une autre substance so
anche, car dit-il, une substance solide ne peut pas nourrir une autre substance solide. Il n'y a pas en effet nutrition de l'une
lletSpurzheim sur ce point, prétend que ce chez tous les poissons, la substance grise manque, en sorte que la moelle est canalicu
st canaliculée » (1). Mais le canal de la moelle peut exister avec la substance grise, il n'y a là aucune contradiction. Et c'est
'y a là aucune contradiction. Et c'est en effet ce qui a lieu, car la substance grise forme en quelque sorte les parois du canal.
pé en effet plusieurs anato-mistes, c'est le mode de coloration de la substance appelée substance grise. Cette coloration me semb
urs anato-mistes, c'est le mode de coloration de la substance appelée substance grise. Cette coloration me semble une condition s
granulée mise en opposition avec la forme constamment fibreuse de la substance blanche. Mais pour apercevoir les granules qui la
moelle ; je ne saurais dire si elles allaient aussi se rendre dans la substance granulée, je n'ai pas pu m'assurer de ce fait, ma
s se sont détachées des fibres, et se sont répandues çà et là dans la substance médullaire. En aplatissant la substance de la m
répandues çà et là dans la substance médullaire. En aplatissant la substance de la moelle, à l'aide du compresseur, les fibres
nales s'enfoncent dans un espèce de sillon où elles rencontrent de la substance grise. La moelle épinière de l'homme offre celte
ens pénètrent dans la moelle par un sillon au fond duquel s'avance la substance grise, taudis que les racines antérieures se répa
tubercules postérieurs du cervelet s'y étalent ou se perdent dans la substance granulée dont ces organes sont en partie formés.
la lame optique, où il s'élargit un peu, puis rencontre une masse de substance granulée, un véritable ganglion (le corps strié)
acun de ces gan glions, le faisceau fulcral se perd au milieu de la substance granulée dont ils sont en grande partie composés.
tiformes et celles des pyramides postérieures, vont se perdre dans la substance de chacun des ganglions. Le croisement que l'on v
ptiques et les lobes olfactifs, des racines nerveuses , pour tous une substance granulée et des fibres. Je n'ai pu suivre de cont
en grande partie leurs racines sur les tubercules quadrijumeaux. La substance blanche des ganglions, comme celle de la moelle r
es ganglions, comme celle de la moelle rachidienne, est fibreuse ; la substance grise ou gris-rosé est en grande partie vasculair
ystème nerveux cérébro-spinal des poissons. Les fibres composant la substance blanche du système nerveux des poissons présenten
. J'ai constaté ce fait et j'en ai cherché la cause. Pour examiner la substance nerveuse, on l'écrase entre deux verres; j'ai dit
mais elle est légère et d'ailleurs le névrilème s'oppose à ce que la substance nerveuse s'élargisse beaucoup. Aussi, les fibres
ment avec les tubes articulés. Les tubes cylindriques contiennent une substance granulée que l'on en peut faire sortir à l'aide d
Op. «it. dans des tubes. En examinant au microscope une portion de substance prise aux masses du cerveau de la carpe et serrée
uve aussi dans les nerfs. Je n'ai jamais rien vu de semblable dans la substance médullaire de l'homme, du bœuf ou d'autres animau
eux. Le docteur Valentin a vu s'échapper des tubes nerveux formant la substance cérébrale, une liqueur limpide, lactescente, et c
ne sont pas, à proprement parler, des globules, mais des portions de substance molle, lactescente et oléagineuse. Ue expérienc
optique. Pas d'apparence défibres, ni rectilignes, ni articulées; la substance du nerf laisse échapper une infinité de globules
nerf optique. 10e expérience.— Moelle épinière. Anguille de mer. La substance blanche de cette moelle aplatie par le compresseu
enflemens; il y a, en outre, des taches blanches, irrégulières. Celte substance délayée dans un peu d'eau, comprimée, est placée
ent augmente peu-à-peu de volume et se détache de la fibre. C'est une substance lactescente, huileuse, analogue à celle que l'on
is se déchirent, c'est pour donner passage au fluide lactescent, à la substance grasse qu'elles contiennent. La substance blanche
au fluide lactescent, à la substance grasse qu'elles contiennent. La substance blanche contenue dans les fibres dites variqueuse
e ce sont bien des tubes et n'eussé-jeWew ou de sent hlahle dans la substance médullaire de lhomme, du bœuf et a"autres animaux
eux dans lequel se trouvent des globules ; chez les autres, c'est une substance homogène, blanche et qui, chez les poissons, a la
ulations et de vaisseaux sanguins. 2. Des granulations composent la substance grise, des fibres composent la substance blanche.
es granulations composent la substance grise, des fibres composent la substance blanche. 3. Toutes les fibres nerveuses, celles
calleux et dans le nerf optique. 8. Les ganglions sont composés de substance fibreuse et de substance granulée ; ils reçoivent
optique. 8. Les ganglions sont composés de substance fibreuse et de substance granulée ; ils reçoivent tous un prolongement de
certaine capacité intellectuelle correspond à un volume déterminé de substance encéphalique, et si chaque faculté spéciale corre
e correspond à une forme déterminée d'une portion quelconque de cette substance . J'ai déjà touché ce sujet à l'occasion des mollu
ces faits, c'est qu'il ne faut pas attribuer à la forme qu'affecte la substance nerveuse encéphalique, un très grande importance
mais la regarder comme pouvant servir à indiquer les attributs de la substance cérébrale, c'est s'exposer à de nombreux mécompte
es autres, une très grande différence. La comparaison du volume de la substance nerveuse encéphali- (i) Op. ttY.pl. l,fig. 5 et
(i) T. pl. II, les nerfs olfactifs de la grenouille. couleur de la substance des lobes cérébraux est d'un gris blanchâtre; cel
11° Couche optique. M. Carus décrit comme telle une petite portion de substance médullaire placée sur les pédoncules cérébraux du
avec celle de M. Carus. Bo-janus admet que la très petite saillie de substance blanche que l'on voit en dehors de Yinfundibulum,
nte à noter. C'est qu'elle s'étale en partie sur la petite saillie de substance blanche que Bojanus et M. Carus désignent sous le
de la moelle épinière est, comme chez tous les vertébrés, composé de substance blanche ; l'intérieur est composé de substance gr
vertébrés, composé de substance blanche ; l'intérieur est composé de substance grise qui s'y trouve en plus grande quantité que
s nerfs spinaux s'appliquent à la moelle ou plutôt s'insèrent dans la substance de cet organe, rend complètement inutiles les pré
e faisceaux, deux de chaque côté; elle a un canal central revêtu de substance grise. 11. Quand la moelle épinière des reptile
cérébro-spinal des reptiles. Avant de parler de la structure de la substance nerveuse, je consignerai ici un fait d'observatio
de monades, qu'il en existe également dans l'eau, où se trouvent des substances animales en putréfaction, je pensai que ces monad
l est facile de déterminer que le siège des fibres transverses est la substance grise de la moelle, car après avoir ouvert le can
e des pédoncules cérébraux, est l'analogue du corps calleux. Toute la substance des lames optiques est manifestement fibreuse, ma
un léger renflement où elles disparaissent. La presque totalité de la substance cérébrale, disposée en lame assez mince, est comp
substance cérébrale, disposée en lame assez mince, est composée d'une substance granulée et vasculaire, dans laquelle on découvre
nales. k. Les granulations et les ramuscules sanguins, composent la substance grise de laquelle émanent les fibres trans-verses
uelque peu aussi dans la lame optique. 8. Le cerveau est composé de substance granulée, vascu-laire, et de quelques fibres. 9
lques fibres. 9. La lame optique est entièrement fibreuse. 10. La substance du cervelet est fibreuse, analogue à celle des fi
écédens, et il entre dans sa composition une quantité très notable de substance grise ; chez les mammifères et chez l'homme , le
eau, qui leur servent comme de pédicule. Considérée à l'intérieur, la substance en est d'un gris rosé; on y voit des stries bla
lus saillante du lobe, jusque tout près de la pointe du cerveau. La substance cérébrale, vue à l'intérieur, ne se sépare pas en
couleur et parfaitement isolées ou plutôt délimitées; il n'y a pas de substance grise extérieure et de substance blanche intérieu
u plutôt délimitées; il n'y a pas de substance grise extérieure et de substance blanche intérieure comme chez les mammifères. La
eure et de substance blanche intérieure comme chez les mammifères. La substance blanche est distribuée en faisceaux qui sont ento
La substance blanche est distribuée en faisceaux qui sont entourés de substance d'un gris rosé, dans laquelle ils vont se répandr
vont se répandre. Le cervelet seul présente la délimitation des deux substances cérébrales, ainsi que je le dirai tout-à-l'heure.
x soit comme le corps strié des mammifères, formé en grande partie de substance grise, et que l'on trouve, en l'incisant, son int
interne des cuisses du cerveau, traversé par une petite bandelette de substance blanche, analogue à celle que l'on voit chez les
argit et augmente de volume par l'addition d'une certaine quantité de substance grise, et par celle des fibres de la commissure d
is de la moitié environ. U. Le lobe cérébral n'a pas de cavité, les substances grises et blanches n'y sont pas disposées par cou
et de fibrilles nerveuses transversales, d'un très petit diamètre. La substance blanche, recouvrant la substance grise, forme à l
rsales, d'un très petit diamètre. La substance blanche, recouvrant la substance grise, forme à la moelle une sorte d'enveloppe di
répété, que le cerveau des oiseaux est presque entièrement composé de substance blanche ; la substance grise s'y trouve au contra
des oiseaux est presque entièrement composé de substance blanche ; la substance grise s'y trouve au contraire en très grande prop
mammifères. Chaque lobe cérébral peut être considéré comme un amas de substance grise ou d'un gris rosé, dans lequel pénètrent, à
ns lequel pénètrent, à des profondeurs différentes, des expansions de substance blanche ou médullaire. Au microscope, la substanc
des expansions de substance blanche ou médullaire. Au microscope, la substance grise présente un aspect granulé, confus, quelque
articulées, et un nombre très considérable de vaisseaux sanguins. La substance blanche, au contraire, est formée de fibrilles tr
r vues se terminer par des anses dont la courbure correspondrait à la substance grise(1). Il se trouve de la substance grise en a
a courbure correspondrait à la substance grise(1). Il se trouve de la substance grise en arrière de la commissure des nerfs optiq
urface, et tout l'extérieur du cervelet en est formé. Au cervelet, la substance dont il est question, est séparée de la substance
mé. Au cervelet, la substance dont il est question, est séparée de la substance blanche d'une manière aussi tranchée que chez l'h
Valentin a fait figurer des anses nerveuses qui se rendraient dans^la substance jaune du cerveau du]pigeon. à laquelle n'atteig
s cérébraux de ces animaux. Dans la moelle allongée, il y aussi de la substance grise, mais elle y est disséminée, et n'y forme p
ole, placé en dedans de la moelle, et à la présence d'une quantité de substance grise plus considérable que celle dont la moelle
es soient dans des conditions analogues, il faut que la densité de la substance qui remplit ces organes, soit en rapport avec la
grand nombre de fibres transversales. 2. Le cerveau est composé de substance grisâtre, dans laquelle pénètrent et se ramifient
ce grisâtre, dans laquelle pénètrent et se ramifient des faisceaux de substance blanche venant de la moelle allongée. 3. Les fi
semblable à ce qui a lieu chez les poissons et les reptiles. k. La substance grise et la substance blanche, sont tout aussi di
lieu chez les poissons et les reptiles. k. La substance grise et la substance blanche, sont tout aussi distinctes l'une de l'au
ifères, oiseaux, reptiles ou poissons, quelques-uns mangent aussi des substances végé- (l) Les goélands et les canards sont plac
ure, il n'est pas vrai de dire qu'ils se nourrissent exclusivement de substances végétales, car ils mangent aussi des insectes, de
s que les fourmis et les abeilles, car s'ils amassent quelquefois des substances qui peuvent les nourrir, ils amassent aussi des o
tation. 13. Circonspection. 28. Comparaison. 14. Perception de la substance . 29.|Dùucéur. Tout cela sur le crâne d'une oie
hives générales de Médecine, 3e vol. 182?, p. 2 3o. (3) Note sur la substance blanche du lobule d'hippocampe, etc. Journal des
le à ce sillon qui circonscrit, surtout chez l'agouti, une portion de substance cérébrale dont l'aspect est, presque celui d'une
e chaque côté, une autre cavité qui se prolonge plus ou moins dans la substance même du lobe cérébral; c'est le ventricule latéra
moins grande que celles des circonvolutions; elles sont composées de substance blanche, tandis que les circonvolutions ne présen
tance blanche, tandis que les circonvolutions ne présentent que de la substance grise. Le prolongement antérieur de la moelle é
dans les ventricules latéraux sans faire subir aucune déchirure à la substance cérébrale. Ventricule latéral. Ce ventricule, f
té nouvelle, une sorte de loge supplémentaire qui se prolonge dans la substance postérieure du cerveau- Chacun des ventricules
trouvent le corps calleux ét le centre ovale de Vieussens ou amas de substance blanche que l'on met à découvert quand, par une c
sous du niveau du corps calleux, on enlève la partie supérieure de la substance cérébrale. Corps strié. Dans la corne antérieur
volumineux, pyriforme, ayant sa grosse extrémité en avant et formé de substance grise : c'est le corps strié, ainsi appelé parce
sure postérieure (c. p. pl. ix, cheval, fig. lrc), et les filamens de substance blanche qui, de la glande pinéale, se portent en
et à la voûte à trois piliers. Ses bords latéraux se réunissent à la substance blanche du centre ovale ; son extrémité antérieur
plus petite, située en arrière des premiers, est formée seulement de substance blanche, au moins à l'extérieur. Chez le chien, l
etite, embrassée par la paire postérieure el recouverte comme elle de substance blanche. Les herbivores se rapprochent généraleme
g. lre, v. v.), par une lamelle très mince et presque transparente de substance nerveuse qui sert de pont à la partie postérieure
oelle allongée. Deux petits sinus, un de chaque côté, creusés dans la substance même du cervelet, font partie de ce ventricule.
ures de la moelle allongée............. 0,002 1*1 "........ de la substance grise du corps strié . . 0,002 Id ........ de l
.. de la substance grise du corps strié . . 0,002 Id ........ de la substance blanche des circonvolutions .............. 0,002
tubercules quadrijumeaux postérieurs...... 0,003 ld ........ de la substance blanche du corps strié. 0,003 ld........ de la
.... de la substance blanche du corps strié. 0,003 ld........ de la substance grise périphérique du cerveau.............. 0,0
ise périphérique du cerveau.............. 0,003 ld......... de la substance grise du cervelet. . . . 0,00333 ld......... de
de la substance grise du cervelet. . . . 0,00333 ld......... de la substance blanche du même organe ............... 0,00333
corps resliforme.......... 0,0075 ld......... des circonvolutions ( substance blanche) 0,0075 ld . .'...... rectiligne du ner
n. C. Tatou, oryete'rope, fourmilier, pangolin, omithorinque. Des substances végétales, des oiseaux et des insectes forment la
érentes, la chauve-souris vit surtout d'insectes, la roussette vit de substances végétales. 8. L'unau et l'aï sont phytivores, l
chat (pl. xcn), il place les facultés suivantes': Perception de la substance , Distance, Éventualité, Localités, Douceur, C
, sur le crâne d'un chien (pl. xcm), il place : La perception de la substance , La comparaison, L'éventualité, L'attachement pou
A quoi sert donc l'organe de la destruction aux animaux qui vivent de substances végétales? Il sert à la destruction des végétaux,
celui qui est fourni par les nerfs encéphaliques ; ils indiquent une substance cérébrale plus grande chez les animaux les plus i
mal est plus intelligent qu'un autre, d'après le volume relatif de la substance qui compose le centre nerveux céphalo-rachidien.
qui compose le centre nerveux céphalo-rachidien. La manière dont la substance cérébrale est répartie, soit en avant, soit en ar
es solipèdes et à tous les ruminans, animaux qui vivent uniquement de substances végétales; elles appartiennent à l'éléphant, qui
olutions séparées, en considérant que le cerveau de l'ours qui vit de substances végétales et de substances animales, a des circon
dérant que le cerveau de l'ours qui vit de substances végétales et de substances animales, a des circonvolutions dont les unes son
10 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
uses qui s'injectent à la manière des ganglions lymphatiques , 3° une substance grise éminemment vasculaire qui s'enlève comme un
t de nouvelles combinaisons, paraissent quelquefois se perdre dans la substance grise pour renaître de toutes pièces, et justifie
x, ils sont inaltérables; ce sont les vésicules ou cellules, c'est la substance grise; les nerfs proprement dits comprimés ont di
use existe le long du cordon du grand sympathique, qui contient de la substance grise, et nullement le long des filets de communi
t transformés en tissu fibreux, et ne contiennent plus un atome ni de substance grise, ni de tissu nerveux, il est clair que, si
a tumeur, j'ai détaché la membrane fibreuse : j'ai reconnu partout la substance du rein, mais altérée et ne conservant parfaiteme
e tissu granuleux et rougeâtre, mais à grains extrêmement fins, de la substance corticale SC; point de trace de substance tubuleu
ins extrêmement fins, de la substance corticale SC; point de trace de substance tubuleuse. Des poches fibreuses, remplies ici d'u
r du tissu, tandis qu'on n'en rencontre presque aucun au milieu de la substance tuberculeuse. La figure 2 donne une idée aussi ex
ès-bien rendus par la figure. L'altération était au reste bornée à la substance corticale qui avait été envahie dans sa totalité,
e qui avait été envahie dans sa totalité, en sorte qu'on voyait cette substance pultacée blanc-rougeâtre pénétrer dans l'interval
tre pénétrer dans l'intervalle des cônes décolorés, mais sains, de la substance tubuleuse. J'ai vainement cherché la disposition
nce tubuleuse. J'ai vainement cherché la disposition granuleuse de la substance corticale; je n'y ai trouvé qu'une masse celluleu
, qui se prolongeait jusqu'au niveau du pylore, qu'il comprimait ; sa substance était molle ; de petits foyers de suppuration se
ramassé en foyers qui pénétraient plus ou moins profondément dans la substance du rein. Dans quelques points, ce pus était concr
t une entaille I, quelque petite qu'elle fût, à l'un des points de la substance de ce rein, on exprimait, par la plus légère pres
eur du rein et remplissaient des foyers ou déchirures creusés dans sa substance . Il était aisé de reconnaître dans ces concrétion
t le 1VG LIVRAISON. 1 liquide à mesure, j'ai trouvé au lieu de la substance rouge, grenue du rein, un tissu spongieux TR, TRj
plusieurs fois sur ce sujet. Je n'ai pu trouver aucune trace de la substance tubuleuse, ou plutôt la substance corticale et la
n'ai pu trouver aucune trace de la substance tubuleuse, ou plutôt la substance corticale et la substance tubuleuse étaient confo
ace de la substance tubuleuse, ou plutôt la substance corticale et la substance tubuleuse étaient confondues : peut-être la subst
corticale et la substance tubuleuse étaient confondues : peut-être la substance tubuleuse était-elle atrophiée. A la place des ma
yait des excavations CC, dont le fond présentait l'aspect radié de la substance tubuleuse. Je pense donc que le rein représenté
breux lequel fournit une gaine aux réseaux artériels qui pénètrent la substance du rein. A côté de cette grappe artérielle est un
cès tout-à-fait semblables, sauf la consistance, à des tubercules. La substance du rein intermédiaire était molle, aréolaire , in
nomène de porosité, de capillarité; n'y a-t-il pas refus de certaines substances , admission de certaines autres ? Comme fait pat
uide. Les vaisseaux du foie étaient gorgés de sang, et cependant sa substance était pâle. Les organes contenus dans la cavité t
un grand nombre de tissus morbides; le brillant métallique que cette substance contracte par la cristallisation ; la faculté qu'
jusqu'à siccité, a laissé une trace de matière grasse fluide. « La substance qui n'a point été absorbée par le papier lors de
un enfoncement moulé sur la « partie la plus externe de la tumeur; sa substance dans ce point paraît légèrement ramollie, compara
ques indurés, et communiquait avec la trachée au moyen d'une perte de substance située au niveau de sa bifurcation. La portion du
té. Un tissu cellulaire filamenteux et lâche l'unissait au foie, à la substance duquel il ne tenait que par une foule de vaisseau
iés déployées en manière de ruban. Alors je vis (fig. 3 et 3') que la substance grise de la moelle avait été remplacée par du san
rmation de la cicatrice. Ces trois foyers apoplectiques occupent la substance grise de la moelle : un seul est circonscrit , le
t , les deux autres étaient comme diffus dans toute la longueur de la substance grise. On conçoit en effet que la substance grise
s toute la longueur de la substance grise. On conçoit en effet que la substance grise étant extrêmement vasculaire, c'est sur ell
e du cerveau; d'une autre part, la mollesse presque pulpeuse de cette substance grise explique pourquoi le sang épanché dans un p
le sang épanché dans un point s'infiltre dans toute la longueur. La substance blanche qui constitue commel'écorcede la moelle,
du sang au dehors. Cependant il peut se faire que la déchirure de la substance blanche ait lieu; c'est lorsque 1 épanchement san
eprésenté par la lame jaune-serin qui tapissait le canal formé par la substance blanche de la moelle. Enfin c'était les derniers
aux sur lequel j'ai beaucoup insisté dans mes leçons. A ce niveau, la substance grise disparaît, les faisceaux médullaires s'écar
vaisseaux très-déliés, mais extrêmement nombreux, pénètrent seuls sa substance grise. La substance grise a été seule malade, e
, mais extrêmement nombreux, pénètrent seuls sa substance grise. La substance grise a été seule malade, et cependant il y a eu
ade, et cependant il y a eu paralysie du sentiment et du mouvement La substance grise serait donc le principe du sentiment et du
n'être placés à la surface de la moelle que pour mieux protéger cette substance grise: la conséquence paraîtrait naturelle; car,
grise: la conséquence paraîtrait naturelle; car, chez notre sujet, la substance blanche était intacte, sinon dans la moitié gauch
t et de mouvement ne vient pas de la compression pure et simple de la substance blanche, ou bien encore du changement qui s'opère
ore du changement qui s'opère dans la circulation vasculaire de cette substance blanche, dont les vaisseaux ne lui arrivent, au m
ne lui arrivent, au moins en partie, qu'après qu'ils ont traversé la substance grise. Ainsi de ce qu'il y a paralysie dans le tr
, par une disposition toute mécanique, je veux dire la mollesse de la substance grise, s'infiltrer tout le long du canal médullai
s'infiltrer tout le long du canal médullaire, en laissant intacte la substance blanche; c'est ce qui a eu lieu chez le sujet de
(fîg. 3 et fig. 3'). Si l'épanchement est rapide, il doit détruire la substance blanche à son niveau, saillir sous la pie-merc, q
plexie de la moelle, mais foudroyante, tellement que non-seulement la substance grise, mais encore la substance blanche a été réd
yante, tellement que non-seulement la substance grise, mais encore la substance blanche a été réduite en bouillie et s'est comme
Il mourut le 21 avril, épuisé probablement par cette énorme perte de substance . A l'ouverture, nous avons trouvé la partie inf
ale complètement détruite, de la partie inférieure de la sixième ( la substance intervertébrale avait résisté) et des extrémités
s rencontrées dans l'épaisseur de la moelle, sur la disparition de la substance grise remplacée par du tissu cellulaire à larges
plus considérable qui avait détruit, en cet endroit, presque toute la substance médullaire « blanche et grise. Le caillot avait l
de nombreuses stries, qui, dans quelques « points, laissaient voir la substance osseuse à nu : dans d'autres points, cette couche
« ficielle : cette section a eu l'avantage de faire découvrir la même substance formant un noyau au centre « de la rotule, où ell
issu. Son volume égalait celui d'une noisette un « peu aplatie. Cette substance intérieure ne communiquait nullement avec celle e
ouche plus épaisse encore que du côté gauche ; on trouva sous elle la substance osseuse rugueuse et entamée. Aux articulations ti
taient détruits , les surfaces osseuses rugueuses et très-rouges : la substance spongieuse des extrémités osseuses était infiltré
ins dans l'articulation de la symphyse pubienne, dans l'épaisseur des substances intervertébrales.— Quelques plaques dans les arti
e nitrique et qu'on évapore jusqu'à siccité, de donner cette nouvelle substance connue sous le nom d acide purpurique. A cet effe
demi-transparent, grisâtre; j'ai vainement cherché au milieu de leur substance des filamens nerveux proprement dits ; ces filame
pratique, on appelle sarcocèle toute induration ou tuméfaction de la substance propre du testicule ou de l'épididyme, lorsqu'ell
diverse nature. La plus remarquable de ces matières contenues est une substance perlée, cohérente, sans adhérence avec les cellul
lle est l'espèce d'ile TA qu'on voit au milieu d'elles. Du reste , la substance propre du testicule n'avait pas participé à l'alt
l'atrophie s'explique à merveille par la compression qu'a éprouvée la substance propre du testicule. L'histoire de ce malade es
ale complètement détruite, de la partie inférieure de la sixième ( la substance intervertébrale avait résisté), et des extrémités
ouré d'un cercle rouge qui annonçait un travail extrêmement actif. La substance du testicule TT, TT a été refoulée à la surface,
inquième bulletin de la Société anatomique. « Dans quelques cas, la substance du testicule est convertie en un tissu spongieux
je viens d'indiquer; mais un examen attentif me permit de voir que la substance propre de « cet organe était refoulée sur un des
lamens nerveux, ronds, denses, qui semblent naître de ce qui reste de substance blanche dans les circonvolutions inférieures, éga
rps étranger. Ici le tissu cellulaire est très-dense, ce qui reste de substance cérébrale est également induré et porte les trace
ister dans la cavité cérébro-rachidienne. La structure fibreuse de la substance cérébrale n'a jamais peut-être été mieux démontré
ux démontrée que par ces filets nerveux très-denses qui, partant delà substance blanche des circonvolutions, se rendaient à d'aut
pour toute lésion, n'ont présenté qu'un endurcissement extrême de la substance cérébrale. Dans le cas actuel, c'est à l'atrophie
dans l'intérieur du ventricule latéral (figure 2), une bandelette de substance médullaire LM qui obturait en partie l'ouverture
es très-multipliés s'observent à sa surface et dans l'épaisseur de la substance grise. Le tissu cellulaire sous-arachnoïdien du c
été renversé, j'ai vu l'excavation médiane du cerveau remplie par une substance jaunâtre, dense, comme lardacée, qui se prolongea
noïde de la voûte; aussi les membranes adhèrent-elles intimement à la substance cérébrale. Quelques adhérences filamenteuses très
ue lorsqu'ils entraînent l'inflammation soit des méninges, soit de la substance cérébrale. Il est rare néanmoins que le travail m
) plusieurs tubercules TT qui paraissent logés dans l'épaisseur de la substance cérébrale ou formés aux dépens de la substance co
dans l'épaisseur de la substance cérébrale ou formés aux dépens de la substance corticale. Mais ayant séparé avec précaution les
ale. Mais ayant séparé avec précaution les méninges MG (fig. 5) de la substance cérébrale SC, tous ces tubercules T ont suivi les
u et s'étaient creusé autant de petites cavités dans lepaisseur de la substance corticale ; que ces tubercules, devenus corps irr
déterminé le ramollissement ponctué de rouge qu'on observait dans la substance cérébrale adjacente. La plupart de ces tubercules
ient réunis ; mais ils étaient remarquables par l'absence complète de substance grise \ en sorte que chaque cordon latéral était
rare chez les enfans nouveau-nés retardés dans leur développement. La substance grise ne commençait à paraître qu'au voisinage du
première (5) et pour les douzième et onzième vertèbres dorsales : une substance cartilagineuse remplissait l'intervalle. La compa
et, et se propage peu à peu jusque dans les calices ; les cônes de la substance tubu-lcuse comprimés s'affaissent et s'atrophient
et s'atrophient, une concavité remplace les saillies des mamelons. La substance corticale, comprimée à son tour, subit, comme la
la tubuleuse, la transformation fibreuse, en sorte que chaque cône de substance tubuleuse et de substance corticale est bientôt c
ation fibreuse, en sorte que chaque cône de substance tubuleuse et de substance corticale est bientôt converti en une poche fibre
tissu du rein, et il m'a semblé que c'était toujours au milieu de la substance corticale ou granuleuse. Aussi le plus grand nomb
de l'organe. On en rencontre sans doute bien souvent au niveau de la substance tubuleuse ; mais, qu'on y prenne garde, c'est que
de la substance tubuleuse ; mais, qu'on y prenne garde, c'est que la substance granuleuse envoie entre les cônes des prolongemen
comme partout; tantôt une granulation, dont la communication avec la substance tubuleuse est oblitérée, se distend par l'accumul
mêmes de petites cavités ou kystes à l'état rudimentaire. Bien que la substance du rein semble au premier abord avoir complètemen
aincu que la sécrétion urinaîre n'était pas entièrement suspendue. La substance tubuleuse était plus facile à reconnaître au mili
Les figures 1' et 2" ont pour but de montrer les radiations de cette substance tubuleuse. Dans la figure 2', les cônes sont étal
olliculeuse comprend encore l'étude de la cicatrisation des pertes de substances qui résultent de la plupart des altérations que j
atrisation suivait absolument les mêmes lois que celles des pertes de substance de la peau et de tous les autres organes. Forme
es, en partie détruites, fortement adhérentes ; au fond des pertes de substance qu'avaient subies ces escarres se voit la membran
e sang noir et maculés de sang à leur base; la rate volumineuse et la substance pulpeuse très-abondante masquait complètement sa
ment frangés de l'escarre sont coupés k pic, en sorte que la perte de substance est aussi considérable aux limites qu'au centre d
aient affaissés et rosés ; du fond d'un grand nombre de ces pertes de substance proéminaient des caroncules qui auraient servi pl
pait à l'altération. Un noyau osseux central irrégulier soutenait une substance de nature évidemment carcinomateuse. Dans l'autre
; la paralysie n'arrive que lorsque ces tumeurs ou l'altération de la substance cérébrale qu'elles déterminent atteignent soit le
t s'étendait dans l'épaisseur du diploé un peu au-delà de la perte de substance . Ainsi, aux végétations de la surface externe du
urface externe du crâne répondait, à la surface interne, une perte de substance , et les végétations extérieures étaient destinées
que des vestiges. D'ailleurs ces tumeurs n'adhéraient nullement à la substance cérébrale et s'enlevaient par une véritable énucl
utions (fig. 3) avaient disparu. Il ne restait qu'une couche mince de substance grise. La substance cérébrale ambiante SC, SC pré
ent disparu. Il ne restait qu'une couche mince de substance grise. La substance cérébrale ambiante SC, SC présente dans une gra
forme du cerveau. Une teinte jaunâtre la distinguait d'ailleurs de la substance cérébrale environnante. Des veines flexueuses, tr
mant des espèces de bouquets ou de pinceaux radiés qui traversent une substance jaunâtre et molle dont on peut exprimer un suc la
e la face interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la substance cérébrale n'offrait aucune altération, et l'arach
e la face interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la substance cérébrale n'offrait aucune altération, et l'arach
nd nombre de vaisseaux d'apparence veineuse. Elle était reçue dans la substance cérébrale déprimée et comme détruite à son niveau
La figure 4 donne une idée de la coupe de cette même tumeur et de la substance cérébrale environnante. Cette coupe, qui est tran
sieurs cellules d'inégale capacité qui contenaient de la sérosité. La substance cérébrale environnante offre le ramollissement ja
i déjà mentionné plusieurs fois. Il me fut facile d'exprimer de cette substance ramollie des gouttelettes de liquide poisseux. Le
s ecchymoses, épanchement sous-arachnoïdien avec ramollissement de la substance cérébrale des circonvolutions ; rupture des vaiss
ndus par un sang noir et adhérent j et on trouva dans l'épaisseur des substances grise et blanche une foule de petits caillots , d
os égalaient à peine en volume un bon pois à cautère. Tout autour, la substance cérébrale était très-légèrement ramollie et prése
érieur. existaient une foule de petits foyers apoplectiques dans la substance des hémisphères. Comment, sans la théorie de l'ap
vité des ventricules ne présentait aucune trace d'inflammation, et la substance cérébrale était d'ailleurs parfaitement saine.
tre les atrophies; les unes sont la suite de destruction, de perte de substance , ou d'une véritable transformation du tissu de l'
de la partie postérieure de l'hémisphère droit HD, une large perte de substance OP qui établit une communication entre le ventric
ine, surtout celui du côté droit et à leur niveau. Une large perte de substance OA, O'A' fait communiquer la cavité des ventricul
plus ou moins nombreux se manifestent çà et là dans l'épaisseur de la substance propre du testicule. Quelquefois l'affection tu
extrêmement facile d'enlever la tumeur cancéreuse par énucléation; la substance du testicule n'avait point encore subi les transf
décoloré,, mais sans odeur. Etait-ce un tissu encéphaloïde altéré? La substance du testicule, refoulée à la partie supérieure de
e d'une nouvelle production cancéreuse ; mais, ainsi qu'on l'a vu, la substance du testicule était moulée sur la poche, à laquell
use s'accumule en plus grande quantité, la compression exercée sur la substance testiculaire d'une part, d'autre part la fluxion
part, d'autre part la fluxion séreuse, suite de l'irritation de cette substance , entraînent la décoloration, l'atrophie et la dis
coloration, l'atrophie et la disparution plus ou moins complète de la substance du testicule lui-même. Or, il est extrêmement rar
épaisseur, du bord convexe vers le bord épididymaire. On voit que la substance propre du testicule SS est parfaitement saine; ma
cement. Ce n'est pas la première fois que des brûlures, avec perte de substance de la peau, ont entraîné de semblables déplacemen
e l'humérus. Cette végétation présente d'ailleurs plusieurs pertes de substance ou perforations à travers lesquelles on aperçoit
fîg. i présente une coupe verticale de l'articulation. On voit qu'une substance compacte A est interposée entre les deux surfaces
es caroncules rouges CC qui proéminent à travers de petites pertes de substance de la lame éburnée. J'indiquais à l'instant la mê
ré, l'ulcère simple chronique de l'estomac consiste dans une perte de substance spontanée, ordinairement circulaire, à bords coup
isines sont d'abord attirées pour diminuer le diamètre de la perte de substance , d'où le froncement du pourtour de l'ulcère. La s
la petite courbure, au voisinage de l'orifice cardiaque, une perte de substance ovalaire d'un pouce dans son plus grand diamètre.
complètement détruit à son niveau; le pancréas P remplit la perte de substance et sert de support à la cicatrice qui consiste da
ifesté aucune douleur, mouraient avec un grand nombre d'abcès dans la substance du foie. 3° Sans doute il existe un certain nombr
t lorsque dans les expériences sur les animaux vivans, l'injection de substances putrides dans les veines a été suivie de selles t
parois des vaisseaux. Plus bas, l'oblitération était produite par une substance noirâtre semblable à des caillots desséchés, dens
face postérieure, au voisinage du col, dans le point F, une perte de substance fermée par le péritoine seulement. Un stylet intr
le péritoine seulement. Un stylet introduit à travers cette perte de substance , et dirigé de haut en bas, sortait par l'orifice
Anat. patholog,, p. 385) que, dans la cyrrhose, il y a atrophie de la substance rouge, et hypertrophie de la substance jaune. Il
yrrhose, il y a atrophie de la substance rouge, et hypertrophie de la substance jaune. Il pense qu'en même temps que la substance
hypertrophie de la substance jaune. Il pense qu'en même temps que la substance jaune se développe de manière à donner naissance
jaune se développe de manière à donner naissance aux granulations, la substance rouge peut rester dans son état naturel, et qu'al
u'alors le foie est augmenté de volume; que, dans d'autres cas, cette substance rouge s'atrophie complètement et se transforme en
e jaune, ce qui a suggéré l'idée ingénieuse de l'atrophie de lune des substances , et de l'hypertrophie de l'autre. Mais, d'abord,
et de l'hypertrophie de l'autre. Mais, d'abord, il n'existe pas deux substances dans le foie, soit qu'on admette deux espèces de
ions, soit qu'on admette que chaque granulation est composée des deux substances à la fois. Ce qui a pu en imposer à cet égard, c'
t déposées au milieu d'un tissu parfaitement intact. On dirait que la substance propre du foie n'a pris aucune part à leur format
naturel, et même soit au-dessous de ce volume. Dans certains cas, la substance du foie était réduite au sixième et peut-être mêm
e ces tumeurs, on serait porté à croire qu'elles sont formées par une substance hétérogène déposée dans le tissu cellulaire inter
s amers, dits fondans, les pilules savoneuses, le carbonate de fer en substance , les toniques émollients, les bains de fauteuil,
use de la muqueuse buccale qui saigne par le plus léger contact ; les substances alimentaires les plus douces produisent un sentim
u'elles constituent de la moitié aux deux tiers du volume du foie. La substance intermédiaire aux tumeurs, est parfaitement saine
se-gastrique, permettent impunément le séjour long-temps continué des substances alimentaires et par conséquent la dilatation de l
kyste semblait formé dans l'épaisseur de la tumeur fibreuse, dont la substance ou trame était à nu dans l'intérieur du kyste. Le
des forces de la vie sur le canal intestinal, et de la déperdition de substance qui a lieu par les évacuations alvines, pour qu'i
ée artérielle. On a poussé la témérité jusqu'à l'injection directe de substances médicamenteuses et plus particulièrement de l'eau
la saignée. A l'aide de la respiration d'un air chargé de diverses substances aromatiques, on peut agir directement sur le poum
us par des caillots sanguins. Je n'ai jamais vu d'épanchement dans la substance même, soit du cerveau, soit du cervelet, bien que
cerveau, soit du cervelet, bien que dans certaines circonstances, la substance cérébrale tout entière fût tellement injectée, qu
u'elle est toujours exempte de foyers sanguins et de déchirures de la substance cérébrale. V. La cause de l'apoplexie des enfan
aire s'accompagne d'une hypertrophie plus ou moins considérable de la substance cérébrale. C'est dans des cas de cette espèce qu'
de nutrition, par une fluxion séreuse ou inflammatoire dirigée sur la substance cérébrale ; et si des circonstances étrangères au
actions minimes de masse encéphalique. Du reste, l'altération de la substance cérébrale dans l'hydrocéphalie, n'est nullement e
enne, deux litres au moins de sérosité' limpide, sans aucun débris de substance cérébrale ; un seul flocon albumineux. La fig.
t été déchiré; vers ces pédoncules, je trouvai deux petites masses de substance blanche, w isolées et comme détachées, ayant le v
ace de pont de Varole, sans qu'il y eût apparence de » déperdition de substance ; les pyramides antérieures se terminaient dans le
lopper, à se rapprocher et à remplir, au moins en partie, la perte de substance . On ne saurait trop se rappeler que le spina bi
énieuse d'obtenir le rétrécissement du vagin, à l'aide d'une perte de substance faite aux parois de ce canal. Une lanière d'un po
i sur ce que je dois dire plus tard sur le ramollissement rouge de la substance grise des circonvolutions, sur la destruction de
e la substance grise des circonvolutions, sur la destruction de cette substance grise, sur l'apoplexie des circonvolutions, sur l
Une cinquième espèce d'atrophie est celle qui résulte de la perte de substance subie par les circonvolutions à la suite du ramol
face des circonvolutions, souvent toutes les deux, sont dépourvues de substance grise dans une étendue plus ou moins considérable
ns une étendue plus ou moins considérable. Les limites de la perte de substance sont marquées par une ligne irrégulière coupée à
ophiées, déformées et indurées comme celles de l'hémisphère droit. La substance grise godronnée, qui est située au-dessous de la
uvait en outre augmentée d'une sorte de lobe provenant » de sa propre substance glanduleuse, ayant la forme et le volume d'une no
vessie, et qui étaient du volume et de la forme des testicules. Leur substance était blanche et granuleuse. Ils étaient mobiles
répondait au centre phrénique. Le diaphragme avait subi une perte de substance correspondante au collet du sac ; partout ailleur
La fig, 2 représente une coupe du rein et de la capsule surrénale. La substance de l'un et de l'autre organe paraît transformée e
-même, qu'elle n'y avait pas pénétré du dehors à travers une perte de substance ; et j'ai pu me rendre compte pourquoi l'injectio
e de la masse tuberculeuse du lobe droit LDG qui paraît formée par la substance même du cervelet, dont il ne reste que des débris
es concentriques qui lui donnent l'apparence d'un calcul urinaire. La substance médullaire qui environne le tubercule est ramolli
art, elles semblaient formées aux dépens des lamelles du cervelet. La substance du cervelet environnante n'était ni injectée ni r
u , on dirait au premier abord qu'ils occupent l'épaisseur même de la substance cérébrale. Ces tubercules peuvent être libres de
ux qui permet une énucléation facile. D'autres fois ils adhèrent à la substance cérébrale presque toujours altérée, ramollie, et
le. Il est assez rare de voir des tubercules occuper primitivement la substance blanche du cerveau. Les cas d'adhérence des tub
bstance blanche du cerveau. Les cas d'adhérence des tubercules à la substance cérébrale, doivent être bien distingués «3 de
ngués «3 de ceux où la matière tuberculeuse est infiltrée dans la substance cérébrale elle-même. Dans le cas d'infiltration
accidents que lorsque l'irritation qui les accompagne se propage à la substance cérébrale, ou lorsque par son accroissement la tu
c mesure : la mort est presque inévitable, et le ramollissement de la substance cérébrale environnante en est la cause la plus ha
par une section verticale, nous a présenté la presque totalité de sa substance médullaire convertie en une bouillie opaque, demi
non-seulement un os , mais encore la plus petite partie d'un os. La substance cornée S C , S C, emboîte une petite avance osseu
recouverte d'une croûte calcaire qui présente çà et là des pertes de substance plus ou moins considérables. Sous cette croûte ca
s après la conception. Le fœtus était couvert d'une couche mince de substance calcaire : il pesait 7 livres. Il ne restait rien
partie supérieure de la tumeur. On voit 1° la couleur ardoisée de la substance du foie F, 2° la membrane acéphalocyste jaune, 5°
'épaisseur du cerveau, mais ne paraissait pas formée aux dépens de sa substance . Cette tumeur qui était pénétrée de suc cancéreux
el le foie est farci de tumeurs marronnées noirâtres interposées à sa substance . (i) Analyse de M. Foy , dans le mémoire de MM.
es. Ainsi dans ce cas, le périoste, le tissu adipeux médullaire et la substance osseuse elle-même, avaient été envahis. Ce fait
dans un tampon d'apparence fibreuse T'C, qui remplissait une perte de substance circulaire des os du crâne, que cette tumeur soul
« capacité près, qui, ici, se trouvait accrue, n'être que celle de la substance diploïque. Les cellules conte-ce naient tantôt un
de cet hémisphère, et permet d'apprécier la profondeur de la perte de substance : on voit que la substance cérébrale est remplacé
t d'apprécier la profondeur de la perte de substance : on voit que la substance cérébrale est remplacée par une cellulosité jaune
ne certaine quantité de liquide trouble jaunâtre qui la pénétrait. La substance cérébrale qui environnait cette perte de substanc
i la pénétrait. La substance cérébrale qui environnait cette perte de substance était très saine. L'altération était parfaitement
ans l'épaisseur des circonvolutions malades se voit, à la place de la substance blanche, une cellulosité très dense, d'un jaune b
ense, d'un jaune brun diversement nuancé, contenu entre deux lames de substance corticale indurée, et presque toujours altérée da
ns un certain nombre de cas, l'altération est exactement limitée à la substance blanche. La substance grise est intacte. D'autres
e cas, l'altération est exactement limitée à la substance blanche. La substance grise est intacte. D'autres fois la substance gri
a substance blanche. La substance grise est intacte. D'autres fois la substance grise est plus ou moins altérée et dans sa couleu
ouleur et dans sa consistance; enfin elle peut être détruite comme la substance blanche. Ce ne sont pas là les seules lésions d
er avec ces points jaunes? XXe LIVRAISON. I Dans quelques cas, la substance grise des circonvolutions primitivement détruite
e par une pellicule jaunâtre, vasculaire et celluleuse. Sous elle, la substance blanche peut être intacte, ou bien convertie en c
la plus irrégulière : on voit en effet (CIC, CIC, CIC) des pertes de substance tantôt irrégulièrement circulaires, tantôt sous l
a forme de stries longues et anguleuses. Le pourtour de ces pertes de substance est comme froncé, festonné et coupé à pic. La cou
nal. Une lame celluleuse et fibreuse jaune-serin recouvre la perte de substance . Quelquefois, la circonvolution tout entière est
recouverte par une toile celluleuse jaunâtre fort mince. La perte de substance est tellement nette, qu'on dirait qu'elle a été f
ire. L'apoplexie capillaire affectant une grande prédilection pour la substance grise des circonvolutions, et respectant souvent
ne de la surface du cerveau et du cervelet ; cicatrices avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles
'aide d'un tissu celluleux de même couleur. Il n'y avait donc plus ni substance blanche, ni substance grise, mais une substance j
leux de même couleur. Il n'y avait donc plus ni substance blanche, ni substance grise, mais une substance jaune. Il a été bien
'y avait donc plus ni substance blanche, ni substance grise, mais une substance jaune. Il a été bien manifeste que l'apoplexie
plexie occupait le centre des circonvolutions; car dans plusieurs une substance cellulaire, d'un brun d'ocre, s'avançant jusqu'au
bord adhérent de la circonvolution, était recouverte par des lames de substance blanche. Dans quelques circonvolutions, c'était
eur place, toile celluleuse très dense, d'un jaune brunâtre foncé. La substance blanche des circonvolutions détruites était à nu,
lacée par cette toile celluleuse. Cicatrices colorées avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
ente, à côté de la grande scissure médiane, une perte considérable de substance . On dirait que la moitié postérieure de cette cir
coupés à pic, comme dans les ulcérations intestinales cicatrisées. La substance corticale est seule détruite. A droite , au cen
on colorées, traversée par du tissu cellulaire rempli de sérosité; la substance blanche environnante est intacte. Deux petites ca
tre ; cette coloration est due à une membrane formée aux dépens de la substance grise, sous laquelle existe une couche mince de b
grise, sous laquelle existe une couche mince de bouillie jaunâtre. La substance blanche est intacte. Une circonvolution qui avois
ité de l'hémisphère, présente la même altération. Corps strié. — La substance grise, soit au dessus, soit au dessous des radiat
- - A la partie postérieure de l'hémisphère droit existe une perte de substance visible à travers les membranes, qui se présente
nâtre. Une section perpendiculaire montre qu'il y a destruction de la substance grise d'un grand nombre de lamelles; la substance
a destruction de la substance grise d'un grand nombre de lamelles; la substance blanche de quelques-unes paraît avoir subi la mêm
supérieur et des veines qui y aboutissent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance planche, (i
ent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance planche, (i) (Fig. i.) Une jeune fille, âgée de
une pulpe couleur lie-de-vin foncée AC, AC, qui tenait la place de la substance grise de ces circonvolutions, et qui s'étendait m
ces circonvolutions, et qui s'étendait même à la couche adjacente de substance blanche. Dans l'hémisphère droit, il y avait un r
cchymoses, un épanchement sous l'arachnoïde avec ramollissement de la substance grise ou blanche des circonvolutions, des apoplex
endus par un sang noir et adhérent; et on trouva dans l'épaisseur des substances grise et blanche, une foule de petits caillots, d
gros égalaient à peine en volume un pois de senteur. Tout autour, la substance cérébrale était très légèrement ramollie, et pi'é
ême temps existaient une foule de petits foyers apoplectiques dans la substance des hémisphères. Cette observation, considérée
1 représente le plus haut degré du ramollissement du cerveau, dont la substance est convertie en une bouillie lie-de-vin. Voici
aissance ; mort au bout de 48 heures; ramollissement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc de la substance blanc
issement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc de la substance blanche; ancienne cicatrice dans une circonvoluti
n, avec un râle bruyant. Ouverture du cadavre.—Ramollissement de la substance grise de plusieurs circonvolutions et anfractuo-s
e-de-vin, ou rouge-violet foncé, semblable à des fraises écrasées; la substance grise ramollie s'enlève avec les membranes, et re
ève avec les membranes, et reste attachée à la surface du cerveau. La substance blanche subjacente a été respectée dans quelques
ons qui avoisinent la grande scissure médiane présentait une perte de substance analogue à celle représentée pl. m, fig. 2. Cette
substance analogue à celle représentée pl. m, fig. 2. Cette perte de substance avait laissé à nu la substance blanche de cette c
résentée pl. m, fig. 2. Cette perte de substance avait laissé à nu la substance blanche de cette circonvolution que recouvrait un
nt lilas ou hortensia. Le ramollissement R est exactement limité à la substance grise; et on voit qu'il y a en quelque sorte péné
et on voit qu'il y a en quelque sorte pénétration du sang et de cette substance . N'ayant pas pu retrouver l'observation relativ
ent, et je me prononçai positivement avant l'ouverture du cadavre. La substance grise de toutes les circonvolutions et anfractuos
la couleur hortensia violacée, mais inégalement violacée. Cette même substance grise a subi un ramollissement mou, qui toutefois
aussi les méninges ont-elles pu être enlevées sans déchirement de la substance cérébrale ; mais le moindre contact, l'immersion
ns l'eau ont suffi pour détacher la couche superficielle ramollie. La substance grise du corps strié du même côté avait également
rié du même côté avait également subi le ramollissement violacé. La substance grise de trois ou quatre circonvolutions apparten
onvexité de l'hémisphère droit, avait éprouvé la même altération : la substance blanche qui est subjacente à la substance grise r
uvé la même altération : la substance blanche qui est subjacente à la substance grise ramollie, est plus abondamment pénétrée de
aire ne convient qu'à cette nuance de ramollissement dans laquelle la substance cérébrale se trouve combinée avec une certaine qu
aspect d'une pulpe molle qui s'enlève avec les membranes, comme si la substance cérébrale avait été broyée avec du sang noir. Le
es de coloration. Le ramollissement rouge occupe le plus souvent la substance grise, et plus particulièrement celle des circonv
elle des circonvolutions : il n'est pas rare de le rencontrer dans la substance grise des corps striés; sous elle, la substance b
le rencontrer dans la substance grise des corps striés; sous elle, la substance blanche se présente avec tous ses caractères de c
hémisphères. Dans certains cas, le ramollissement occupe à-la-fois la substance blanche et la substance grise et, alors, à côté d
ns cas, le ramollissement occupe à-la-fois la substance blanche et la substance grise et, alors, à côté du ramollissement rouge d
se et, alors, à côté du ramollissement rouge diversement nuancé de la substance grise, se voit le ramollissement blanc lilas ou b
substance grise, se voit le ramollissement blanc lilas ou blanc de la substance blanche. Dans quelques circonstances, la substa
s ou blanc de la substance blanche. Dans quelques circonstances, la substance grise des circonvolutions ou des corps striés est
que d'une manière très inégale les divers points de l'épaisseur de la substance grise, ce qui lui donne un aspect marbré. Quant
el toutes les circonvolutions antérieures d'un hémisphère et toute la substance blanche du lobe antérieur jusqu'à la membrane du
ne du ventricule étaient converties en bouillie; dans un autre cas la substance grise du plus grand nombre des circonvolutions de
, soit leurs faces, soit le fond des anfrac-tuosités. Il y a perte de substance dans tous les points jaunes : les circonvolutions
de ramollissement qui, d'une part, s'étendait dans l'épaisseur de la substance blanche jusqu'à la voiite du ventricule latéral,
xxe livraison. 3 Hémisphère droit.—Couleur rouge-amaranthe de la substance grise des circonvolutions postérieures. Poumon
équences de ce ramollissement ; 3° que le mode de cicatrisation de la substance blanche ramollie consiste quelquefois dans de la
ire à la manière du lait de chaux; que le mode de cicatrisation de la substance grise ramollie consiste dans des pertes de substa
atrisation de la substance grise ramollie consiste dans des pertes de substance avec cicatrice jaunâtre. Il me parait probable
ans coloration manifeste que l'on rencontre si souvent au milieu delà substance blanche, sont la suite du ramollissement du cerve
ouverture, une multitude de cicatrices ou cica-tricules avec perte de substance des circonvolutions avec coloration jaunâtre, bru
iplégie droite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du lobe antérieur de l'hémisphèr
antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nombreuses avec perte de substance des circonvolutions, (i) Benoît, âgée de quatre
tacée sans changement notable de couleur du lobe antérieur gauche. La substance cérébrale est difïluente. L'altération s'étend ju
cicatrices couleur peau de daim plus ou moins étendues, avec perte de substances plus ou moins considérable. ( 1) Observation re
Réflexions. — Cette observation prouve : Qu'il est des lésions de la substance cérébrale trop circonscrites pour déterminer une
e connaissance; que ces altérations occupent le plus ordinairement la substance grise des circonvolutions : nous verrons ailleurs
convolutions : nous verrons ailleurs qu'elles occupent quelquefois la substance grise des corps striés, et dans d'autres cas la s
lquefois la substance grise des corps striés, et dans d'autres cas la substance blanche: il est cependant une paralysie qui peut
un petit foyer rempli de cellulosité brunâtre dans l'épaisseur de la substance grise du corps strié droit, au niveau de la parti
e; 3° un petit foyer également rempli de cellulosité brunâtre dans la substance grise du corps strié gauche, et au même niveau qu
plégie faciale. Les deux autres foyers étaient formés au dépens de la substance grise et n'avaient intéressé aucune radiation bla
e de progression dans les symptômes. Ramollissement hortensia de la substance grise d'un très grand nombre de circonvolutions e
d nombre de circonvolutions extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise et de la substance blanche des circonvoluti
ns extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise et de la substance blanche des circonvolutions antérieures. Cicatric
présente deux états bien distincts : il est exclusivement limité à la substance grise; il n'est, pas diffluenl; il n'est pas unif
e de cette scissure, on peut enlever les membranes sans intéresser la substance du cerveau. a° Les circonvolutions les plus posté
irconvolutions les plus postérieures sont beaucoup plus ramollies. La substance blanche et la substance grise ont également subi
postérieures sont beaucoup plus ramollies. La substance blanche et la substance grise ont également subi un ramollissement pultac
tantes, et par conséquent fragiles; on a dit à tort que les pertes de substance des membranes muqueuses étaient toujours remplacé
à la perforation et à l'hémorrhagie : la cicatrisation des pertes de substance de l'estomac, de même que celle des pertes de sub
des pertes de substance de l'estomac, de même que celle des pertes de substances de la peau, se fait de deux manières : i° par le
de la plaie; i° par la production d'un tissu fibreux : les pertes de substance peu considérables se guérissent exclusivement par
petit godet, avec froncement circulaire et plis radiés. Les pertes de substance considérables laissent une dépression circulaire
sa face antérieure, cet organe présente (fig. i, Pl. v) une perte de substance ovalaire ou plutôt une excavation en forme de zon
de largeur de son petit diamètre : la surface de cette vaste perte de substance est blanchâtre, lisse, d'apparence fibreuse et nu
11 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
actures du crâne, à des pertes de subs- tance des os, ou même de la substance cérébrale. D'autres ont vécu, gardant dans leur
traces extérieures, visibles, du traumatisme : cicatrices, perte de substance , etc. ; et on devra nécessairement conclure qu'
us ou moins profondes, plus ou moins étendues, exostoses, pertes de substance osseuse, ce sont là des faits d'une constatatio
. Bref, Panizza savait qu'une lésion unilatérale d'une partie de la substance cérébrale des lobes postérieurs produit, sur l'
, que le processus se limite à l'écorce céré- , brale (5 cas), à la substance blanche (2 cas), ou inté- resse à la fois l'éco
-dessous de cette région, les coupes transversales nous montrent la substance grise rouge : pointillé rouge à lacorne grise p
u-dessus de cette région on voit un aspect uniformément rouge de la substance grise. Pas de ramollisement de la substance bla
niformément rouge de la substance grise. Pas de ramollisement de la substance blanche. Le reste de la moelle est ferme; pas d
du cinquième mois que l'auteur a pu obtenir par l'excitation de la substance corticale du milieu des circonvolutions occipit
idérables pour cette région que pour la zone psychomotrice. Pour la substance blanche des lobes occipi- taux, les résultats d
occipi- taux, les résultats diffèrent. Ainsi, l'excitation de cette substance détermine à partir du second mois une déviation
noncée que l'on enfonce plus profondément les électrodes dans la substance blanche. Quand on produit une excitation bi-latér
les courants sont de force égale. Mais on pouvait se demander si la substance corticale de la région psychomotrice ne joue pa
t dans la production des phénomènes résultant de l'excitation de la substance blanche des lobes occipitaux : Dans ce but, l'e
e des lobes occipitaux : Dans ce but, l'expérimentateur excise la substance grise de la région psychomotrice et excite ensuit
a substance grise de la région psychomotrice et excite ensuite la substance blanche des lobes occipitaux : la déviation des y
ses caractères habituels. Elle apparaît encore lorsqu'on excite la substance blanche des lobes occipitaux après avoir fait une
ment à la scissure interhémisphérique. Enfin , quand on met à nu la substance blanche de la région psychomo- trice et quand o
être considérée comme exacte, car après la suppression totale de la substance grise, ces mouvements se produisent, avec une i
vec une identité parfaite, sous l'in- lluence de l'excilation de la substance blanche. Les résultais obtenus après les sectio
ersales et longitudinales de même qu'après l'enlèvement total de la substance grise montrent que les centres de la déviation
eure. Elles s'en vont transversalement ou obliquement, à travers la substance gélati- '150 ` SOCIÉTÉS savantes. lieuse, gag
endre, sans s'aboucher avec les fibres mêmes du pédoncule, ni de la substance ferrugineuse, de l'autre côté. 11 est probable ce
utions ascendantes. Toutes les fibres convergent sur un triangle de substance blanche, en dedans du noyau lenticulaire, pour
THOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE DANS LES ENCÉPHALITES CHRO- NIQUES DE L'E
s où la paralysie générale a son terme, une telle recherche DE LA SUBSTANCE GRISE. '1 ï9 serait impossible; la seconde, c'e
s, les fibres à myéline de la surface de l'écorce et celles de la substance ne sont plus décelables par les réactifs ordina
donc faire l'étude des filets nerveux; on est réduit à celle de la substance grise en général, que l'alcool fixe assez bien.
re de cinq, d'après le schéma donné il y a dix-huit ans par DE LA SUBSTANCE GRISE. 181 t Meynert dans le manuel de Stricker
la cou- che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la substance grise, et s'accroît encore dans le lobe occi- p
peut facilement réunir en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la substance blanche, assez difficile à d
r en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la substance blanche, assez difficile à débrouiller à cause
ller à cause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la substance blanche, qui s'écartent les uns des autres à ce
qui s'écartent les uns des autres à ce niveau pour pénétrer dans la substance grise. Elle renferme à sa partie supérieure de
a disposition normale des faisceaux de fibres qui montent dans la substance grise, et qui s'aperçoivent très suffisamment s
ment sur les pièces traitées par l'alcool. Ces faisceaux se DE LA SUBSTANCE GRISE. 183 divisent, au niveau de la cinquième
t autant de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la substance grise, qui, eux, s'organisent naturellement dan
disposition est plus marquée naturellement dans la profondeur de la substance grise, là où les faisceaux sont plus gros, et c
issement qui permette d'avoir sous l'oeil toute l'épaisseur de la substance grise, on la verra décomposé en un véri- table
ions peuvent servir à établir une transition entre l'atrophie de la substance grise que nous étudions et les états plus marqu
de la fréquence de cette broncho-pneumonie, qui chez un autre DE LA SUBSTANCE GRISE. 185 de nos malades mort dans le même cas
sance, montre un certain nombre de corps granuleux répandus dans la substance blanche et qni se colorent en noir sur une coup
. On voit aussi de fines gouttelettes graisseuses - exister dans la substance grise. Sur des coupes colorées, on cons- tate q
amidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la
ches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substance blanche offre des lésions de désintégration. Su
désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance blanche a le même aspect; les corps granuleux y
llonné par des bandes fibrillaires nombreuses qui rayonnent dans la substance grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont le
gérée ;. les capillaires au lieu de s'enfoncer tout droit dans la substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect norm
à petits noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la substa
tipliées dans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la substance blanche. 186 PATHOLOGIE MENTALE. La coupe d'u
u lobe occipital gauche à la face externe de l'hémisphère montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
vacuoles, d'espaces vides, qui constituent de véritables pertes de substance . Ces foyers interrompant la disposition des fib
s interrompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la substance blanche, comprennent en général les trois premièr
t MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose cérébrale. Dans la substance blanche, il n'y a que peu ou pas de corps granule
e- mière frontale. Il existe des foyers de désintégration dans la substance grise, des amas considérables de corps granuleux
la couche des myélocytes, et un certain degré de fibrillation de la substance blanche, parsemée de corps gra- nuleux. Il est
nce un coup violent sur le pariétal gauche : fracture et perte de substance de l'os. Devenu militaire, il est effrayé une n
ont-ils laissé après eux des traces visibles (cicatrices, pertes de substance , para- lysies, atrophies,, etc.) ? 3° Y a-t-il
altération plus ou moins profonde, et plus ou moins étendue de la substance cérébrale. Traitement. Je n'ai rien à dire ici
ta que l'infiltration cuta- née et sous-cutanée consistait dans une substance gélatineuse appartenant par ses qualités physiq
souffrance, d'après Ord, consiste en un développement exagéré de la substance intracellulaire contenant la mucine, substance
pement exagéré de la substance intracellulaire contenant la mucine, substance se développant non seulement dans la peau et le
malies de la région psy- chique proviennent de l'accumulation de la substance muqueuse ' Ballet. Le Progr. médit, 1880. q 1
autres opinions, ces phénomènes étaient dus à une autre raison : la substance de la glande thyroïde passant dans le sang, par
celles d'Ewald' 1 font supposer que la glande thyroïde produit une substance indispensable à la nutrition du système nerveux
la mort des animaux opérés : ou bien la glande thyroïde produit une substance indispensable à la nutrition du système nerveux
eux central, donc après l'extirpation le cerveau est privé de cette substance , ou bien la glande thyroïde sert à neutraliser
des médecins russes, t. II, p. 22. 260 REVUE CRITIQUE. dans la substance corticale de la moelle allongée. Ce procès por-
Ce procès por- taitles symptômes d'une inflammation subaiguë de la substance cérébrale, ce qui expliquerait tous les phénomè
té exagérée vicariée du hypophysis-cerebri dans la production de la substance colloïde, d'où résulte la métamorphose colloïde
ligneuses a conduit l'auteur à penser que le malade accumulait ces substances dans sa bouche pour les avaler en même temps qu
d'introduire volontairement et de garder dans la cavité buccale des substances non alimentaires. R. M. C. IV. DES névroses e
uë : l'auteur admettrait plus volontiers l'irritation directe de la substance cérébrale par les parcelles de plomb entraînées
I ! OE ET DE L'HYOS- CINE CHEZ LES aliénés. La première de ces deux substances , à la dose de un demi àun milligramme, produit
rrêtent nettement au bord du trou dont le fond est constitué par la substance blanche. Quoique cette dernière soit souvent be
l'après-midi. M. J. JENSEN. - Observation de trois lacunes dans la substance céré- brale des lobes pariétal et frontal de l'
revenus provenant des impôts qui frappent ces faits divers. 317 ï substances . Malgré l'intervention de deu 'secrétaires d'Etat
tteinte. Ainsi, si pour une raison que nous ne saurions dé- DE LA SUBSTANCE GRISE. 333 terminer, les lésions propres à la p
HOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS IIISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE DANS LES ENCÉPHALITES CHRO- NIQUES DE L'E
omènes observés et sont évidemment consécutives aux désordres de la substance grise. (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 188
llules de la névroglie, nous nous bor- nons à les signaler. DE LA SUBSTANCE GRISE. 335 Le rôle des vaisseaux dans ces lésio
sont particulièrement énormes; les capillaires qui plongent dans la substance cérébrale sont aussi très gonflés et parfaiteme
flés et parfaitement visibles,, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la couche superficielle de névroglie a s
ie régulières, bout à bout, limitées par les libres d'origine de la substance blanche, présente ces mêmes séries morcelées pa
développe- ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la subs- tance blanche, ce qui do
prenons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance blanche très vascularisée et présentant les fig
llules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en partie enlevée avec les méninges
Sur une coupe du lobe occipital, une portion assez considérable de substance grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui, en
ution portée à l'extrême des éléments pyramidaux. A la limite de la substance blanche, l'accumulation des noyaux petits et sp
lus marquées sur les régions postérieures de l'hémis- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337 I phère et se composent toujours des
e cervico-dorsale. Les cordons blancs sont, symétri- ques ; dans la substance grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée
aspect tomenteux et irré- gulier ; une portion assez épaisse de la substance grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les l
rophie soit réelle; et il suffit de com- parer le cône restreint de substance blanche qu'on voit sur les coupes de la circonv
QUE. - Coupe d'une circonvolution prise dans le lobe frontal. - La substance grise est très mince ; on n'y retrouve qu'avec
e, groupés par quatre oa six, nom- breuses petites cellules dans la substance blanche; vascularisation relativement peu dével
le nettement triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la substance grise. - Coupe au niveau du lobule paracentral.
le centre se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de toute la substance grise par les élé- ments sphériques est netteme
n retrouve quelques nids, mais elles sont petites et effilées. La substance blanche est toute parsemée de corps granuleux;
s distingue à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la substance blanche. Le centre est occupé par un réseau à m
sur la coupe d'un zeste de citron ou d'orange, quand LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3391 on pratique une section nette de la
es, d'ailleurs l'épaisseur dn revêtement gris est très faible. La substance blanche offre l'aspect d'une véritable émuision d
dans la couche suivante. Il existe quelques corps granuleux dans la substance blanche. La moelle cervicale ne présente pas d'
a moelle cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance blanche, les cornes prises sont régulières, leurs
ISTOLOGIQUE. -Coupes du lobe paracentral droit. - Les couches de la substance grise ne sont pas distinctes les unes des autre
mais il n'y a pas d'accumulations de leucocytes dans les gaines. La substance blanche présente un très grand nombre de corps
de la corne antérieure. Le ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 341 groupe antérieur de celte corne ains
nes est légèrement sclérosée, il n'y a rien de plus à noter dans la substance blanche que des espaces étoilés dépourvus de tu
rieures sont très rares. Le canal de l'épendyme est rempli par une substance grenue où se trouvent en assez grande abondance d
sont petits et entourés d'une gaine hyaline asez épaisse. Les deux substances sont parsemées de corps granuleux. Sur un fragm
caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches. La substance blanche présente une grande quantité de corps amy
ion rameuse très développée dans les . couches superficielles de la substance grise; beaucoup de foyer. : .de désintégration
es vaisseaux dans la partie profonde de l'écorce. Les LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.- 33 3 espaces péri-vasculaires sont dila
s; les gaines infiltrées de corpui- cules de Gtuge, surtout dans la substance blanche. Les cellules pyramidales ne sont serré
s que par place, elles sont peu nom- breuses et de petit volume. La substance blanche est toute infiltrée de petites cellules
tégration forment des taches grises occupant toute la hauteur de la substance grise dans les intervalles qu'ils laissent entr
tage au baume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la substance blanche. Il existe de véritables plaques à cont
es vaisseaux dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact de la substance blanche, où les noyaux sont abondants. Il exist
entre la première et la troisième couche de l'écorce, LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.. 345 en général , qu'il débute entre la
atrophie d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ments vers la substance blanche sont irréguliers. De ' là l'aspect chag
- Hémisphère droit, coupe d'une circonvo- lution frontale. Toute la substance grise est prise en nappe, toujours au même poin
comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de place en place des taches grise
tés du sillon et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine et la substance blanche présentent l'infiltration de corps gran
méningo-encéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la substance grise se décortique en totalité sur quelques po
e quelques-uns de ces vaisseaux des foyers de désintégration, où la substance grise, rendue plus fragile, est tombée en parti
us fragile, est tombée en partie sur les coupes. La limite des deux substances et surtout la substance blanche sont parsemées
partie sur les coupes. La limite des deux substances et surtout la substance blanche sont parsemées de corps amyloïdes. L'in
ophie cérébrale, mais cette atrophie n'était point la LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 347 grande sclérose lobaire, c'était une
nsition entre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la substance grise avec épaississement névroglique, comme nous
tibstai2ce grise. - Les membranes n'o nt pas enlevé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche de
s larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellules pyramidales. Ce
veuses arrondies, granuleuses et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par
chagriné qui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique aréolaire qu'on observ
éries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de
à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de petites cellules ronde
upart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée par le vaisseau vasc
morcelée par le vaisseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la substance blanche, nombreux corps granuleux et blocs grai
droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 349 externe et couche des myélocytes nor
iation dans les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe occipital, on retrouve, à
'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer trois étapes :
bondantes encore. Elle est parsemée de corps granuleux ainsi que la substance blanche. Vaisseaux moyennement abondants, un pe
nt comparables, mais beaucoup moins avancées. Au lieu LÉSIONS DE LA SUBSTANCE CRISE. 351 de former une bande continue, les po
ppelant la forme des éléments araignée et la paralysie générale. La substance blanche est infiltrée d'un grand nombre de noya
il existe une vascularisation anormale très prononcée dans toute la substance grise ; les vaisseaux sont ramifiés dans toutes
ant une vaste bande entre la première et la troisième couches de la substance grise, et comprenant ainsi la moitié environ de l
ce grise, et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la substance grise. Ces foyers sont caractérisés par la rare
s profondes sont allongées, gra- nuleuses et fortement colorées. La substance blanche offre une quantité considérable de peti
coupe à ce niveau, on constate une dépres- sion en entonnoir de la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu
e une dépres- sion en entonnoir de la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la substance blanche et est
e la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la substance blanche et est recouverte par une paroi flottan
ar des filaments fibrillaires allant de la paroi superficielle à la substance grise restante. Cette paroi est composée de deh
êmes de la lésion et disparaît dans la couche superfi- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une couche
e perdent successive- ment dans la couche externe névroglique de la substance grise; c'est donc entre cette couche externe et
érée la scissure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La substance grise qui forme les parois de l'entonnoir est r
différents : sur certains points, la sériation longitudinale de la substance grise est encore assez visible, mais ces séries
bre. Autour de ce foyer, il ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3Õ3 existe un certain nombre de taches o
és aux points nodaux. Les mailles de ce tissu sont occupées par une substance inter- cellulaire qui a disparu des coupes. On
argement dilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. Dans la
upart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. Dans la substance blanche, il existe u
ellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. Dans la substance blanche, il existe une large traînée descendant
existe une large traînée descendante, correspondant à la perte de substance , de la substance grise, et dans laquelle les fibr
e traînée descendante, correspondant à la perte de substance, de la substance grise, et dans laquelle les fibres n'existent t
mêmes tissus fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont moins avancées, q
IE PATHOLOGIQUE. par où descendent les fibrilles qui vont former la substance grise, on voit, de plus que dans les couches pr
s interstitielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la substance blanche, on voit les mêmes lésions que dans les
ésions absolument semblables, mais la traînée des- cendante dans la substance blanche au-dessous du foyer, est très large et
d'une paroi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la
lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la couche de névroglie est fibrillaire d
uche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la substance blanche, corps granuleux nombreux, aspect fibri
fibrillaire, grosses fibrilles anastomosées. Moelle cervicale. - La substance grise à des altérations cellu- laires important
Moelle dorsale. - L'aspect est le même de tout point. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3bo- Moelle lombaires Les lésions sont l
ous venons de voir; c'est dans les couches les plus profondes de la substance grise, et même au milieu de la substance blanch
s les plus profondes de la substance grise, et même au milieu de la substance blanche, qu'on voyait la névroglie former des f
souvent des réactifs pour qu'on puisse s'y arrêter. Du côté de la substance blanche, il est facile de voir son atrophie; la
ntermédiaire, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la substance grise, enfin les fibres descendantes de la subs
profonde de la substance grise, enfin les fibres descendantes de la substance blanche de- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337
les fibres descendantes de la substance blanche de- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337 1 vaient nous échapper. C'est là une
ologie, p. 439, 1869. .Herbert Mayor. - Lésions histologiques de la substance grise, chez déments, etc. - lVest riding lunati
urnal of mrzztul Science, p. 532, 1883. ' o Luys, - Structure de la substance grise. - L'Encéphale, p. 149, 1883. Ranvier.
Marie. - Sclérose infantile. Progrès médical, 1885. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 389 Obersteiuer. - Voies sanguines du ce
x, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la substance grise (A) et donnant il la surface de l'en- cép
Coupe du lobule paracentral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance blanche, pour montrer la
ral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance blanche, pour montrer la rareté des cellules py
re, mais on ignore si ces faisceaux sont en relation réelle avec la substance grise du cerveau (Flechsig, Wernicke, Gowers).
stérieurs de la moelle, et ceux qui résultent de l'excitation de la substance corticale du cerveau. Dans le premier cas, ce q
à Schiff les 1 Bechterew. - Physiologie de la région motrice de la substance corticale du cerveau. (Archives slaves de biolo
ements se produisent avec une parfaite identité lorsqu'on excite la substance blanche de ce lobe. Les lobes occipitaux dans l
e df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la région motrice de la substance .co1,ticale du cerveau. {Archives slaves de bio
centres voisins du point extirpé doi- vent avoir subi des pertes de substance trop peu éten- dues, relativement à ce qui eu r
s partielles ou totales de la zone motrice sur l'excitabilité de la substance * blanche du centre ovale, rappellent les noms d
ux excitations. « Les physiologistes italiens avaient montré que la substance blanche du centre ovale cesse d'être excitable
ussi, peut-être, arriver sous l'influence de l'accumu- lation d'une substance toxique inconnue, qui dans ce cas ne se filtre
eur tour pour cause une grave lésion cranio-cérébrale avec perte de substance . Ce premier cas se rattache donc de la façon la
e la compression de cet exsudat mais bien de l'action spécifique de substances chi- miques ou parasites, qu'il contient et qu'
er ou à altérer superficiellement, à l'aide d'aiguilles mousses, la substance de ces organes; il a rarement fait intervenir l
x, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la substance grise (A) et donnant à la surface de l'en- céph
Coupe du lobule 7aracezztul (Itobèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance 1>lancle, pour montre
ul (Itobèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance 1>lancle, pour montrer la rareté des cellule
12 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
fémur, le corps du tibia, présentaient, sous une couche très mince de substance compacte, une cavité très considérable remplie de
u col du fémur ; que s'il y a union y elle se fait par le moyen d'une substance ligamenteuse. Il invoque à l'appui de cette doctr
ait que lorsque le travail inflammatoire a cessé, ou lorsque déjà une substance ligamenteuse sécrétée par la surface intérieure d
e la tête de l'os, et que s'il y a union, elle se fait au moyen d'une substance ligamenteuse. D'accord, au moins en partie, ave
du repli synovial, c'est celui qui consiste dans la production d'une substance fibreuse qui naît, non du tissu osseux lui-même,
e médullaire, laquelle tapisse les cellules du tissu spongieux. Cette substance fibreuse se présente sous l'aspect de faisceaux p
fémur. Cette moitié inférieure de la capsule présentait une perte de substance elliptique qui permettait le contact immédiat du
n arrière et à gauche une de ces érosions superficielles ou pertes de substance avec coloration brun-jaunâtre, que j'ai si souven
dans le premier sens, le débris de moelle était gris, sans vestige de substance blanche; dans le second sens, le débris de moelle
; dans le second sens, le débris de moelle contenait encore un peu de substance blanche. Les cordons postérieurs médians du bul
rdons postérieurs médians du bulbe rachidien étaient convertis en une substance grise. La coupe représentée figure 5 donne une
ïdiens étaient extrêmement affaiblis; leurs faisceaux séparés par une substance rougeâtre; ils permettaient à l'apophyse odontoid
pareot les deux extrémités osseuses. Presque toujours il y a perte de substance , et les deux extrémités osseuses réunies n'ont pa
résentait une double courbure latérale très forte. Un morceau de la substance du frontal ayant été mis dans l'eau chaude et pre
3° Indépendamment du tissu osseux, formé par la transformation de la substance compacte de l'humérus en substance spongieuse, il
formé par la transformation de la substance compacte de l'humérus en substance spongieuse, il entre dans l'épaisseur delà tumeur
r. Celle-ci était formée «par « une masse à-peu-près sphérique, d'une substance couleur de perle, élastique, dense, trans-« paren
L'enveloppe membra-« neuse de la tumeur étant enlevée avec soin , la substance de la masse restée à nu présentait « une structur
mou et « granulé, et, dans quelques points, après avoir entamé cette substance peu profondément, « on découvrait dans son épaiss
a forme et sa consi-« stance. Au niveau de la tumeur, les lames de la substance compacte s'étaient éloignées, « isolées, déviées
s eu filets de plus en plus déliés, « et avaient ainsi converti cette substance en un tissu aréolaire, surtout vers le centre de
entre elles. La plus grande partie de la tumeur était formée par « la substance cartilaginifbrme dont nous avons parlé, et qui av
urface: * elle en formait la périphérie. Dans plusieurs points, cette substance était altérée, ramollie, «¦ rouge et comparable,
résente des espèces de végétations qui s'enfoncent dans les pertes de substance des os du crâne. La même fig. 3 montre les os d
végétation osseuse, la surface externe présente, autour des pertes de substance , des productions osseuses très faciles à distingu
du crâne, et qui semblent destinées à réparer en partie les pertes de substance . Les tumeurs des autres parties du corps, soit
s sont réunis par leurs bords externes, mais seulement au moyen d'une substance membraneuse : les petits orteils distincts occupe
cette perforation, une cicatrice circulaire qui remplace une perte de substance de la peau. Cette cicatrice a un aspect muqueux.
et délayés dans une grande quantité de mucus et de salive. Le peu de substance alimentaire qui n'était pas rejeté par cette régu
de nutrition peu de jours après sa naissance, attendu que toutes les substances alimentaires soumises à la déglutition étaient im
e déglutition pendant « plusieurs années et ne pouvait avaler que des substances d'un très petit volume. » C'est d'après ce fait
taqué par sa surface libre. Je crois avoir démontré que la perte de substance des membranes muqueuses, ne guérit pas de la même
mbranes muqueuses, ne guérit pas de la même manière que les pertes de substance de la peau; que la membrane muqueuse ne se répare
risation, quelque complète qu'on la suppose, les bords de la perte de substance de la membrane muqueuse restent toujours distinct
subjacentes par une sorte de rainure; que la cicatrice des pertes de substance des membranes muqueuses est fibreuse, mais que la
de la matière noire s'étendait irrégulièrement autour de la perte de substance et quelquefois au loin, de manière à dépasser dan
rouges sont ceux qui ont le plus de consistance: ils ressemblent à la substance grise d'un cerveau un peu ferme. l,es autres , be
ges sont ceux qui ont le plus de consistance : ils « ressemblent à la substance grise d'un cerveau un peu ferme. Les autres, beau
considérable de cet organe, de T œsophage et du diaphragme.—Perte de substance de l'estomac remplacé par le pancréas, la rate et
c (voyez fig. 2) a présenté à sa face postérieure une grande perte de substance ULC : le pancréas remplaçait les parties détruite
inférieure de la rate concourait également à oblitérer cette perte de substance que circonscrit un rebord circulaire très saillan
ng de la grande courbure de l'estomac, obturait en partie la perte de substance de la face postérieure : elle offrait à sa surfac
it flétrie, et des matières stercorales s'échappaient par la perte de substance de l'intestin; ayant ouvert le ventre, nous trouv
écorce concrète de la tumeur, et on voit que l'intérieur renferme une substance qui se tire en filamens comme la substance du tes
e l'intérieur renferme une substance qui se tire en filamens comme la substance du testicule, et qui enveloppe un gros vaisseau,
'olive figée. Dans la cavité du crâne on ne rencontre aucune trace de substance cérébrale, mais on trouve une masse semblable à c
observée entre les os du crâne et la dure-mère. La totalité de cette substance peut être évaluée à 2 onces 1/2. L'analyse en a é
ctères physiques de la graisse humaine, et se composait ; comme cette substance , d'une partie solide et d'un liquide huileux anal
__ I La méthode de Dupuytren, qui consiste dans plusieurs pertes de substance faites à la peau lâche qui répond au pourtour de
e, naissant par une ligne de démarcation bien tranchée d'une perte de substance au moins apparente de la peau, faite comme avec u
donc trouvés exactement dans les conditions d'une plaie avec perte de substance , et l'absence de l'infundibulum, de cet intermédi
stin grêle qui avoisine la valvule iléo-cœcale, on voit des pertes de substance C, C, que je considère comme des cicatrices d'ulc
s d'ulcérations : on y remarque la forme irrégulière de ces pertes de substance ; le défaut de reproduction de la muqueuse au nive
; le défaut de reproduction de la muqueuse au niveau de ces pertes de substance qui présentent un fond noir très foncé; et enfin
mbrane muqueuse. Sur la valvule iléo-cœcale se voient des pertes de substance tout-à-fait semblables. Et enfin, le long du gr
eyer ne constitue qu'un seul et même ulcère, mais encore, la perte de substance , débordant en tous sens les follicules agminés, p
pent toute la circonférence de l'intestin, et présentent une perte de substance plus ou moins régulièrement disposée en zone, d'o
, la cicatrisation est un écueil; tout le temps qu'existe la perte de substance , la vie et même quelquefois la santé se maintienn
épare jamais ; la cicatrice des solutions de continuité avec perte de substance des membranes muqueuses diffère donc essentiellem
s ce rapport des cicatrices des solutions de continuité avec perte de substance de la peau ; tandis, en effet, que, dans celles-c
oque, qu'il y avait eu attraction des parties voisines de la perte de substance . On ne saurait donc révoquer complètement en dout
ifférence de tissu; tandis que la cicatrice qui succède aux pertes de substance des membranes muqueuses ne se continue en aucune
s. J'ai été frappé de la disposition en sillon de certaines pertes de substance marquées SU, SU, qu'on voit à la partie inférieur
régulieres. Cette membrane muqueuse présentait en outre des pertes de substance linéaires, sinueuses, rameuses, fort irrégulières
surtout dans le rectum et l'S iliaque, qu'on rencontre les pertes de substance les plus considérables de la membrane muqueuse. Q
ait détruit la membrane muqueuse. Plusieurs ulcérations avec perte de substance , et en partie cicatrisées, se voyaient de distanc
rosité découle spumeuse et rouge des incisions qu'on pratique dans la substance du poumon. Phlébite pulmonaire caractérisée par d
au niveau de l'S iliaque du colon, la muqueuse présente des pertes de substances irrégulières. Les îles de membrane muqueuse qui o
ibres de toute conti- nuitéavec les parties voisines. Ces pertes de substance de la muqueuse occupaient une étendue de six pouc
vait pas sentir le fond. Il me sembla que cette ouverture ou perte de substance était dirigée horizontalement d'arrière en avant
s le résultat de la compression exercée sur le rectum, et la perle de substance un effort conservateur pour expulser les débris d
e par le doigt explorateur pour pénétrer dans l'ouverture ou perte de substance : en effet, porté en arrière, en haut, de l'un ou
t dans une direction horizontale, le doigt pénétrait dans la perte de substance . Mon diagnostic était donc celui-ci: dégénérati
Autour du rectum, d'ailleurs intact, il existait «ne grande amasse de substance de même nature. Cette dégénération n'avait donn
e adhérait à l'estomac, dont la grosse extrémité offrait une perte de substance qu'on croyait consécutive à l'abcès. L'examen att
nir, non à une véritable hypertrophie, mais bien au refoulement de la substance du lobe droit, en sorte que ce lobe gauche était
al. Les vaisseaux sous-péritonéaux étaient extrêmement développés. La substance du foie était saine, sa couleur un peu jaune. Le
s son épaisseur, j'ai été stupéfait à la vue de la petite quantité de substance hépatique proprement dite qui m'est restée après
tait en avant et à gauche, à coté de la fosse temporale, une perte de substance circulaire que remplissait une rondelle de masse
ue entre les deux lames compactes de l'os. Le pourtour de la perte de substance du frontal était rugueux ; tous les autres os éta
muniquant entre elles pour constituer des foyers multiloculaires ; la substance du foie qui avoisi-nait ces petits foyers n'était
base du cartilage aryténoïde droit est mise à nu. Une large perte de substance , suite probable de l'ouverture d'un abcès, condui
s avons vu sur la face postérieure du cartilage thyroïde une perte de substance circulaire de trois lignes de diamètre. Cette ouv
hérence intime, si bien que la séparation avait entraîné une perte de substance de la part du pharynx; en effet, la paroi postéri
nx; en effet, la paroi postérieure du pharynx présentait une perte de substance circulaire, et cette perte de substance était le
arynx présentait une perte de substance circulaire, et cette perte de substance était le résultat de la pression exercée par le b
postérieure du pharynx, par un goître volumineux; que cette perte de substance par pression serait bien plus fréquente, si le go
u bord postérieur de ce cartilage. Dans le cas qui précédera perte de substance occupait toute l'épaisseur du pharynx, et des adh
Dans les trois ou quatre autres cas que j'ai observés, la perte de substance n'avait pas envahi toute l'épaisseur des parois.
cas d'empyème circonscrit communiquant à l'extérieur par une perte de substance des muscles intercostaux : au reste, aucun de ces
tes frac-ce turées paraissaient n'avoir éprouvé aucune déperdition de substance . M. Leroux présume que l'ouver-ce ture existante
pneumocèle avoisine le sternum ST. La fig. 2 représente la perte de substance des parois thoraciques à travers laquelle lepoumo
une certaine étendue, alors le poumon s'insinue à travers la perte de substance , d'où le déplacement. Le (i) Quant à l'origine
tumeur également adhérente à la dure-mère était également entourée de substance cérébrale en bouillie. La troisième tumeur ou tum
les à l'œil nu. Ces trois tumeurs m'ont paru formées aux dépens de la substance cérébrale. Réflexions. Il est rare que la cache
hagique analogue à celle qui détermine l'injection dans les veines de substances irritantes. (i) Voyez Traité des maladies dé la
circonférence de ce vaisseau, qui semblerait avoir subi une perte de substance comme avec un emporte-pièce. 5° Du reste, ce fa
a poche anévrysmale et qui venait faire saillie à travers la perte de substance . Mais cette digue ne pouvait être que temporaire
fondes de la surface interne de la base du crâne. — Pénétration de la substance cérébrale dans les érosions ou petites excavation
en soulevant le cerveau cle bas en haut et d'avant en arrière, que la substance grise de •cet organe semblait sortir des fossette
n nécessaires pour l'ablation du cerveau suffisaient pour déchirer la substance cérébrale dont quelques petites portions restaien
tites excavations de la base du crâne, sans exception, s'enfonçait la substance cérébrale. La voûte du crâne m'a présenté des e
crâne. Cette poche était remplie par un liquide puriforme, et par la substance cérébrale qui s'engageait dans la cavité du pédic
hronique ou subaiguë, ayant pour effet une sorte de combinaison de la substance cérébrale avec la sérosité. C'est à ce ramollisse
'épa-nouissant de suite en une tumeur sphéroïdale qui présentait deux substances bien distinctes : i° une substance cartilagineuse
r sphéroïdale qui présentait deux substances bien distinctes : i° une substance cartilagineuse et osseuse qui constituait le tier
se et osseuse qui constituait le tiers inférieur de la tumeur; 2° une substance encéphaloïde, très molle, de consistance de bouil
pour de la matière encéphaloïde, mais qui pourrait bien n'être que la substance grise du cerveau, dont la pénétration dans des ce
capillaire. Plusieurs fois on m'a présenté comme ramollies dans leur substance grise, des moelles parfaitement saines, et récipr
s sur des ramollissemens de moelle, dans lesquelles il est dit que la substance blanche était saine et que la substance grise éta
lesquelles il est dit que la substance blanche était saine et que la substance grise était réduite en une pulpe molle, comme si
que la substance grise était réduite en une pulpe molle, comme si la substance grise ne se présentait pas dans l'état normal sou
ne erreur de même nature qui aurait fait admettre ce principe, que la substance grise de la moelle est plus sujette au ramollisse
ubstance grise de la moelle est plus sujette au ramollissement que la substance blanche. Quant aux ramollissemens produits par de
, lesquels refouleraient au-dessus et au-dessous du point comprimé la substance médullaire. La tumeur, examinée en elle-même es
uleuse, d'une couleur gris cendrée, assez analogue à la couleur de la substance corticale des corps striés: elle lui ressemble au
étaient remplies par une sorte de bouillie blanche, semblable à de la substance médullaire écrasée et délayée dans de la sérosité
qui a macéré dans l'alcool. Il y avait distinction parfaite des deux substances . Le volume de la moelle était d'ailleurs dans l'é
elle qui a macéré clans l'alcool concentré. L'atrophie a porté sur la substance grise encore plus que sur la substance blanche. C
tré. L'atrophie a porté sur la substance grise encore plus que sur la substance blanche. Cette substance grise a presque complète
ur la substance grise encore plus que sur la substance blanche. Cette substance grise a presque complètement disparu, et ce qui r
Plusieurs petites cicatrices de foyers anciens dans l'épaisseur de la substance médullaire. Ramollissement rouge amarante de pl
de plusieurs circonvolutions cérébrales : la rougeur est limitée à la substance grise; dans un certain nombre de points, le ramol
e, l'induration linéaire du pédoncule gauche, les petits foyers de la substance médullaire du cerveau, ne peuvent pas rendre comp
. Fausse paraplégie. — Cicatrices anciennes de ramollissement de la substance grise des circonvolutions. —Ramollissement réce
ces circonvolutions flétries. Infiltration séreuse et porosité de la substance cérébrale sous-jacente. L'infiltration séreuse ou
trouvé un ramollissement récent couleur hortensia foncé, limité à la substance grise et occupant un grand nombre de circonvoluti
de ce point, les cordons médians postérieurs sont transformés en une substance gris jaunâtre, et cette transformation a lieu de
ignait de ce point central, la matière gélatiniforme diminuait, et la substance médullaire augmentait. Les nerfs qui procèdent de
on analogue à celui qu'on observe dans les grands ramollisemens de la substance cérébrale, La tumeur de îa queue de cheval donn
on de la moelle. Quant à la conversion du cordon médian postérieur en substance gris jaunâtre, j'aurai occasion d'en parler au su
tion. Au niveau de ces îles gris rougeâtre , il y a destruction de la substance blanche, dont les fibres sont coupées net. La cou
uelle est la nature de ce tissu induré ? Est-ce la trace de pertes de substance , de ramollissemens spontanés , un mode particuli
orter cette transformation grise, gris jaunâtre, gris rougeâtre de la substance blanche ? Est-ce une atrophie? Est-ce la conséque
rise, excepté dans un point de sa surface où elle présente une île de substance blanche. Les corps restiformes présentent égaleme
pyramides antérieures: à deux pouces au dessous du bulbe, reparaît la substance blanche et plus bas la transformation grise. La p
et de gris; elle est comme gélatineuse, demi transparente: une île de substance grise T G se voit à la réunion des deux tiers sup
qui présente une très grande densité, une destruction partielle de la substance blanche, de telle manière qu'on voit alterner des
e qu'on voit alterner des îles blanches et des îles gris jaunâtre. La substance grise est très dense et les fibres blanches sembl
t les fibres blanches semblent avoir été détruites au niveau de cette substance . Les racines postérieures des nerfs spinaux ne so
grise T G, sauf dans quelques points où elle présente des vestiges de substance blanche disposées à la manière d'îles. Ces îles d
tiges de substance blanche disposées à la manière d'îles. Ces îles de substance blanche sont en léger relief. Leur circonférence
e dentelée. Il est donc probable que la couche superficielle de cette substance blanche a été détruite au niveau de la transforma
minué de volume; ses lamelles de divers ordres, les proportions de sa substance blanche et de sa substance grise étaient les même
es de divers ordres, les proportions de sa substance blanche et de sa substance grise étaient les mêmes: cette espèce d'indépenda
upes à la protubérance pour déterminer quelle était l'épaisseur de la substance ou mieux de la transformation grise; tout l'étage
qu'il y avait seulement destruction de la couche blanche qui revêt la substance grise. Le corps calleux a subi la transformatio
partout ailleurs, la ligne de démarcation est bien tranchée entre la substance blanche normale et la dégénération grise. J'ai
e la moelle et consiste dans une transformation de ces cordons en une substance gris jaunâtre, demi transparente. Cette dégénérat
de la moelle, antérieurs et latéraux, étaient parfaitement sains; la substance grise parfaitement saine. Réflexions. Dans le c
a fibrine,attendu qu'elle m'a présenté toutes les propriétés de cette substance . En effet, l'acide nitrique lui a fait prendre un
mais qui occupe une certaine profondeur, et au niveau de laquelle la substance blanche a complètement disparu. Ce tissu est dens
sa consistance accoutumée. Une remarque bien importante, c'est que la substance grise manquait complètement au niveau du rétrécis
tres faits que j'ai recueillis sur la compression de la moelle que la substance grise ait manqué complètement au niveau de cette
de cette compression. Il semble que cette compression ait refoulée la substance grise au-dessus et au-dessous du point comprimé ,
é gauche de cet organe. Ce foyer sanguin était formé aux dépens de la substance grise seulement. La couleur du sang était lie-de-
légèrement ochrée. Dans presque toute l'étendue de l'épanchement, la substance grise était remplacée par du tissu filamenteux. L
ment, la substance grise était remplacée par du tissu filamenteux. La substance blanche paraissait avoir moins d'épaisseur que de
et n'a fait irruption ni au dedans ni au dehors dans aucun point. La substance cérébrale, qui est en contact immédiat avec le sa
es deux hémisphères étaient parfaitement sains. Il nous a paru que la substance grise de quelques circonvolutions occupant la par
v.) est petite et déformée, et présente deux cicatrices avec perte de substance au voisinage de son bord inférieur. A droite, l'a
dois insister sur cette circonstance, que la cicatrice avec perte de substance de la moitié droite de cette protubérance était p
jaunâtre, infiltré de sérosité, remplissait l'une et l'autre perte de substance . La faux du cerveau présentait à droite une tum
outre plusieurs cicatrices des circonvolutions et plusieurs pertes de substance très petites au centre de l'hémisphère. Dans un
e droit du cerveau comme sillonnées par des cicatrices jaunâtres ; la substance blanche est, sous quelques cicatrices, ramollie e
au de manière à se creuser une cavité par le simple refoulement de la substance cérébrale ? Bien qu'il soit par fois difficile de
e; car s'il y avait eu simple dépression, on aurait trouvé vestige de substance grise, on aurait encore trouvé la pie-mère entre
tre la tumeur et le cerveau, et ici la tumeur plongeait au sein de la substance blanche. Il me paraît donc raisonnable d'admettre
mince qui la séparait des membranes a été atrophiée ou détruite. La substance blanche qui entourait la tumeur, et cela à une gr
ans le reste de son étendue, en était séparée par une couche mince de substance cérébrale. Les tubercules dont cette tumeur est h
bercules dont cette tumeur est hérissée s'enfonçaient au milieu de la substance blanche ramollie dont il était très difficile de
t très difficile de les séparer complètement. Le ramollissement de la substance cérébrale s'étendait à une assez grande distance;
s. La fig. 3 représente une tumeur que j'ai retirée du milieu de la substance blanche ramollie d'un cerveau : la section de cet
ir pour siège tantôt le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, tantôt la substance cérébrale elle-même. Je mentionnerai un fait dans
par une pseudo-membrane parcourue par des vaisseaux : tout autour la substance cérébrale était ramollie. L'autre abcès, plus con
ssion exercée par la tumeur, mais bien à une lésion consécutive de la substance cérébrale ambiante, et cette lésion peut être une
on de l'intelligence. A l'ouverture, ramollissement hortensia de la substance grise du plus grand nombre de circonvolutions de
un gros grain de raisin, logés dans les anfractuosités, adhérens à la substance grise qui paraissait intacte. La cavité dite digi
cules superficiels qui étaient en partie logés dans l'épaisseur de la substance grise : ces tubercules étaient enkystés. Le kyste
ie, et entraîner la mort par suite d'une lésion des méninges ou de la substance cérébrale. MALADIES DU CERVEAU. ygf livraison
es affectées sont converties en une espèce de pulpe semblable à de la substance cérébrale broyée avec du sang; 4° que des degrés
qu'à la fin, et ne résulte nullement de la combinaison du pus avec la substance cérébrale ; 6° que le ramollissement rouge et le
le ramollissement blanc ou sans couleur affectent le plus souvent la substance grise, si bien que, dans un très grand nombre de
rès grand nombre de cas, Faltération est exactement limitée par cette substance grise qu'on enlève à la manière d'une pulpe, la s
e par cette substance grise qu'on enlève à la manière d'une pulpe, la substance blanche subjacente étant parfaitement saine ; mai
ement (et plus particulièrement le ramollissement blanc) s'étend à la substance blanche , qu'il envahit plus ou moins profondémen
aires des circonvolutions affectent presque toujours exclusivement la substance grise. Il en résulte que, lorsque nous trouvons u
n résulte que, lorsque nous trouvons une circonvolution dépouillée de substance grise, laquelle est remplacée par une pellicule j
sous-arachnoidienne remplissait le vide qui résultait de la perte de substance . On voit qu'un grand nombre de circonvolutions
tance, se voyait une pellicule peau de daim remplaçant une portion de substance grise détruite. Hémisphère droit. Destruction d
rveau.—Hémisphère droit {coté opposé à la paralysie). Grande perte de substance des circonvolutions occipitales inférieures, qui
et par un tissu cellulaire lâche infiltré de sérosité. Cette perte de substance des circonvolutions s'étend à toute l'épaisseur
à toute l'épaisseur de la portion réfléchie du ventricule latéral. La substance grise de plusieurs circonvolutions est remplacée
lusieurs circonvolutions est remplacée par une pellicule jaunâtre. La substance blanche, qui forme le centre ou noyau du lobe occ
ait de chaux; 2° un ramollissement hortensia clair dans la portion de substance blanche qui avait, pour ainsi dire, échappé à cet
hère gauche. Trois circonvolutions occipitales présentent, au lieu de substance grise , des pellicules peau de chamois. Dans l'ép
siège du ramollissement. Lorsque le ramollissement est limité à la substance grise, les symptômes de paralysie sont rarement p
ctique occupant le centre d'une grande circonvolution, et étendu à la substance blanche subjacente. Des points rouges d'apoplexie
. Des points rouges d'apoplexie capillaire se voient çà et là dans la substance blanche, qui entoure le foyer. En même temps qu
, A C, caractérisée par des points rouges, disséminés au milieu de la substance grise, et même au milieu de îa substance blanche:
, disséminés au milieu de la substance grise, et même au milieu de îa substance blanche: ces points rouges sont quelquefois linéa
blanche: ces points rouges sont quelquefois linéairement disposés. La substance cérébrale n'a pas subi de ramollissement : c'est
illaire à foyers miliaires). Ces petits foyers occupent en général la substance grise, les uns la couche superficielle, les autre
s uns la couche superficielle, les autres la couche profonde de cette substance grise; les premiers sont à nu après l'ablation de
tion de la pie-mère ; ceux-ci sont recouverts par une couche mince de substance grise, et à leur niveau, la surface du cerveau pr
s à la surface du cerveau, quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la substance grise. Mais indépendamment de ces taches d'un rou
uge noir, on voyait à la surface du cerveau et dans l'épaisseur de la substance grise une foule de très petites granulations brun
u de chamois, que je considère comme la suite du ramollissement de la substance grise des circonvolutions. La surface de la protu
nulations miliaires et des cicatrices pelliculaires qui remplacent la substance grise détruite , établit l'affinité qui existe en
uperficielles, les autres étaient recouvertes par une couche mince de substance cérébrale à travers la transparence de laquelle o
uxta-posées par les ecchymoses qui occupaient toute l'épaisseur de la substance grise. En outre, il existait, dans l'épaisseur de
s circonvolutions. En effet, dans l'apoplexie, il y a déchirure de la substance cérébrale, comme dans la contusion, mais avec cet
n a enlevé la pie-mère; les autres recouverts par une couche mince de substance cérébrale. Ces petits foyers miliaires doivent êt
re disséminée envahit un très grand nombre de points à-la-fois, et la substance cérébrale intermédiaire est toujours dans l'état
un aspect rugueux, ou qui sont contenus dans l'épaisseur, soit de la substance grise, ce qui est plus commun, soit de la substan
sseur, soit de la substance grise, ce qui est plus commun, soit de la substance blanche, j'ai déjà dit que j'avais rencontré plus
face des plaques hémorrhagiques, formées par du sang infiltré dans la substance grise, qui a presque complètement disparu dans le
là un ramollissement rouge, qui résulte d'une sorte d'attrition de la substance grise mêlée au sang. Ailleurs ce sont de petites
par infiltration et par concrétions miliaires, qui occupe surtout la substance grise, mais non à l'exclusion de la substance bla
, qui occupe surtout la substance grise, mais non à l'exclusion de la substance blanche, est entourée d'un tissu cérébral jaune s
. Plusieurs foyers d'apoplexie capillaire existaient çà et là dans la substance grise du cerveau. L'hémisphère droit présentait à
t des ecchymoses , qui n'occupaient que la couche superficielle de la substance grise. Ces ecchymoses se voyaient le long des vei
l est des foyers qui occupent la couche superficielle seulement de la substance grise ; il en est qui occupent la moitié de l'épa
la moitié de l'épaisseur et d'autres enfin toute l'épaisseur de cette substance grise. Aucun ne la dépasse et ne s'étend jusqu'à
e cette substance grise. Aucun ne la dépasse et ne s'étend jusqu'à la substance blanche. Dans les points où l'extravasation ou
anguine n'est pas considérable, à peine y a-t-il ramollissement de la substance cérébrale. Quelques foyers de ramollissement semb
lissemens guéris ; de ces cicatrices les unes offrent des pertes de substance à bords coupés à pic, dentelés et recouverts par
onvolutions; l'hémiplégie produite par une apoplexie capillaire de la substance grise des circonvolutions, la couche optique et l
amollissement lie-de-vin très clair ou lilas dans la totalité de leur substance grise. Ces circonvolutions ont évidemment augment
capillaire la plus intense. Ce ramollissement est partout limité à la substance grise. 2" Dansl'hémisphèregauche, les circonvol
st peu considérable et les membranes s'enlèvent sans lacération de la substance cérébrale ; en aucun point la maladie n'a franchi
de la substance cérébrale ; en aucun point la maladie n'a franchi la substance grise. Le corps strié, vu du côté du ventricule,
ntricule, présente une légère dépression qui répondait à une perte de substance du corps strié, mais sans coloration particulière
es plaques lie-de-vin qui résultent de la combinaison du sang avec la substance cérébrale, on voit à la surface du cerveau des gl
sphères, établit que l'extravasadon sanguine n était pas limitée à la substance grise; qu'elle occupait encore la substance blanc
n était pas limitée à la substance grise; qu'elle occupait encore la substance blanche : elle montre les variétés de l'apoplexie
t comme gau-dronnés. On reconnaît aisément dans ces petites masses la substance cérébrale, mais indurée, d'une couleur brun-marro
ès amincies et très denses; on eût dit qu'elles étaient réduites à la substance corticale indurée. Il est à remarquer que ces cir
ait surtout remarquable à la dure-mère; au centre de la tumeur est la substance cérébrale. Il y avait donc encéphalocèle. La mass
ncontré de cysticerques qui fussent situés profondément au sein de la substance blanche. Les cysticerques sont d'ailleurs tantô
e kyste purulent peut être très aisément énu-cléé, mais une couche de substance cérébrale ramollie est restée adhérente à sa surf
ce veineuse semblent se détacher de, ces parois pour pénétrer dans la substance cérébrale. lie pus fétide, filant et grumeleux
ppé au dehors. Cette couche verdâtre n'occupait que l'épaisseur de la substance grise: toute la partie du cerveau qui était posté
l'irritation causée au cerveau et à ses membranes, inflammation de la substance cérébrale, formation d'un abcès enkysté. Plus tar
-mère extérieure à la pie-mère intérieure; et le ramollissement de la substance cérébrale peut être consécutif à l'inflammation d
es abcès enkystés du cerveau ne révèlent leur présence que lorsque la substance cérébrale qui les environne est le siège d'un tra
nde si la maladie a son siège dans la séreuse ven-triculaire, dans la substance cérébrale ou dans l'arachnoïde extérieure. Dans t
présence d'une collection de liquide au-dessous d'une couche mince de substance cérébrale; et, en effet, une ponction peu profond
e granulée et d'une couleur rosacée. Sa surface externe adhérait à la substance cérébrale ramollie. Cette membrane était composée
des vaisseaux déliés , qui pénétraient déjà la fausse membrane. La substance cérébrale qui environnait les kytes présentait,da
par suppuration avec enkystement et ramollissement blanc-manger de la substance cérébrale environnante. Nous ne trouvons nullem
e antérieur et sur le lobe postérieur de l'hémisphère gauche, dont la substance blanche, ramollie à la manière du blanc-manger, é
e sa hauteur. Les os du crâne correspondans présentaient une perte de substance aux dépens de leur table interne et du diploé. La
dante à la tumeur, depuis la convexité jusqu'à la base. A la base, la substance grise des circonvolutions avait seule été respect
au n'offrait aucune solution de continuité au niveau de la tumeur; la substance grise s'enfonçait dans toutes les anfractuosités.
volutions dédoublées, dont il ne restait, à proprement parler, que la substance grise, tapissée par une couche blanche analogue a
ans le foyer est coagulé, d'un noir brunâtre, tellement adhérent à la substance cérébrale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer s
phère droit, ont été détruites d'une manière irrégulière. La perte de substance est couverte d'une cicatrice brun jaunâtre, qui s
a face inférieure du lobe gauche du cervelet LG présente une perte de substance considérable, remplacée par une pellicule brun-ja
r une pellicule brun-jaunâtre C,C. La circonférence de cette perte de substance est irrégulièrement dentelée. La coupe fig. i' mo
pe fig. i' montre la ténuité de cette pellicule, et l'intégrité de la substance cérébrale sous-jacente. Une circonstance commun
brale sous-jacente. Une circonstance commune à toutes les pertes de substance du cervelet et du cerveau, c'est la présence d'un
s-arachnoïdienne, destinée à remplir les vides que laisse la perte de substance . Il y a d'ailleurs identité parfaite entre la p
ètement la forme primitive, il n'y avait plus de distinction entre la substance grise et la substance blanche : la substance gris
tive, il n'y avait plus de distinction entre la substance grise et la substance blanche : la substance grise était moins grise, l
de distinction entre la substance grise et la substance blanche : la substance grise était moins grise, la substance blanche moi
se et la substance blanche : la substance grise était moins grise, la substance blanche moins blanche, et les lobules atrophiés e
in. Cervelet. Dans son lobe droit, kyste apoplectique qui occupe la substance blanche au niveau de la grande circonférence de c
un quart de ligne de largeur, et l'altération peut être limitée à la substance grise. La couleur delà cicatrice est plus ou moin
, et que, par conséquent, elles occupent presque indifféremment et la substance grise et la substance blanche. Fig. 4. La fig
nt, elles occupent presque indifféremment et la substance grise et la substance blanche. Fig. 4. La fig. 4 a pour sujet un ce
dont l'origine a dû être la sécrétion d'une e liqueur morbifique. La substance de cette corne était dense, compacte et presque t
eds. ce Analyse. —• Une macération prolongée dans l'eau ramollit la substance des cornes, elle sépare les c fibres longitudinal
plus long séjour dans l'eau. ce L'eau froide n'enlève rien à cette substance : elle n'a pas plus d'action à la température de
autrement que l'eau à la température ce ordinaire. Ils dissolvent la substance à chaud, mais avec assez de difficulté et lorsque
de celle ce dont elle tire son origine. L'acide nitrique agit sur la substance de ces cornes comme sur la plupart c des matières
sorte d'apparence nacrée. Avec l'aide de la chaleur, la couleur de la substance devient orangée , « puis elle disparaît; la disso
et la liqueur restante présente « des traces d'acide oxalique. Cette substance brûle sans flamme et répand l'odeur désagréable q
doit à Hatchett, on reconnaîtra une assez grande analogie entre cette substance et « ce que ces savans ont vaguement désigné sous
uve qui éta-« blissent de grandes probabilités pour faire regarder la substance des cornes humaines comme de Falce bumine qui a é
re l'analyse. L'analyse chimique a démontré à M. Landouzy que cette substance cornée présente identiquement la même composition
ids de gélatine, ce qui le rapproche beaucoup plus des os. Quant à la substance qui constitue les productions cornées, ce n'est n
issent unis entre eux par une matière glutineuse. Plusieurs pertes de substance se remarquent au milieu de cette production et ti
il, la corne prenait naissance dans le crâne et se continuait avec la substance cérébrale. Ce fait me paraît expliquer la timid
ontournés et arrondis très régulièrement. Les suivantes offrirent une substance moins compacte et moins bien organisée. Le grand
urait dû servir à la nutrition de l'os s'était , dit-il, convertie en substance cornée par l'effet du contact de l'air et endurci
paraissaient avoir une racine analogue, quoique leur extrémité fût de substance cornée. Au bout de chaque doigt et de chaque orte
presque le volume du gland; en même temps, il acquit la dureté d'une substance cornée. On s'abstint de toute opération, à raison
nerfs, pratiquée dans la continuité des membres avec ou sans perte de substance , donne pour résultat des cicatrices ou très légèr
u, le tissu fut dissous avec le névrilème, et il ne resta plus que la substance nerveuse proprement dite, qui ne différait en rie
la substance nerveuse proprement dite, qui ne différait en rien de la substance nerveuse du nerf facial du côté sain. MALADIES
te : la paroi inférieure du canal de l'urètre présentait une perte de substance assez considérable au niveau de la partie antérie
x ; le bassinet et les calices étaient également très distendus et la substance des reins atrophiée. Le corps du testicule droi
aune, par l'absence de toute granulation et par la prédominance de la substance corticale sur la substance tubuleuse. Je n'ai auc
e granulation et par la prédominance de la substance corticale sur la substance tubuleuse. Je n'ai aucun renseignement sur le suj
petites circonvolutions qui le constituent semblaient amincies, et la substance grise parsemée de petits foyers d'apoplexie capil
plus voisine du lobule du corps strié avait elle-même été entamée. La substance blanche subjacente aux circonvolutions lacérées o
ente aux circonvolutions lacérées ou détruites était mise à nu. Cette substance blanche, parfaitement saine, n'offrait pas la lac
prime d'abord les mamelons des cônes du rein, qui s'effacent, puis la substance tubuleuse qui s'efface à son tour en s'éparpillan
ant par suite de la distension, et finit par disparaître ainsi que la substance granuleuse, de telle façon que chaque cône plein
i séparent les bases des cônes et les cellules, quelques traces de la substance propre. C'est sur deux fœtus mort-nés que j'ai ob
eprésentent des loupes graisseuses développées dans l'épaisseur de la substance corticale du rein. C'est la première fois que j'a
n représenté figure 3 m'a paru remarquable par le développement de la substance corticale et par l'atrophie de la substance tubul
ar le développement de la substance corticale et par l'atrophie de la substance tubuleuse. La nuance de sa couleur, qui tend au j
de cette couche superficielle, des alvéoles fibreuses remplies d'une substance gélatiniforme, demi transparente. Il a dès-lors é
ité lorsqu'on ouvrait les canaux dans lesquels il était contenu. La substance qui avoisinait la surface des mamelons était conv
gangrène, j'ai trouvé des cavités ou géodes irrégulières, remplies de substance caséeuse, jaunâtre, granulée à la manière du riz
répondent au kyste présentent un aspect lobuleux (voyez fig. i'). La substance de cette tumeur est partout pénétrée d'un liquide
figures 2 et 3 sont destinées à représenter les aspects divers de la substance de la tumeur. La fig. 3 donne une idée exacte de
ui a été envahie, on dirait que c'est au sein mais non dans la propre substance de la glande que la tumeur s'est produite. L'hi
aie profonde et adhérente. Une pellicule mince recouvrait la perte de substance qui ne fournissait que de loin à loin un suinteme
t enfoncée dans l'épaisseur du cerveau et adhérait à la pie-mère : la substance cérébrale ambiante avait subi, dans une grande ét
e nature encéphaloïde me paraît avoir été développée aux dépens de la substance cérébrale avec laquelle elle se continuait sans k
tumeur était molle, mais d'une mollesse bien supérieure à celle de la substance cérébrale ramollie qui l'environnait. Sa coupe pr
ence par un travail morbide de ramollissement ayant son siège dans la substance ambiante du cerveau. L'histoire de la maladie p
un ramollissement, ou plutôt une infiltration séreuse, dans lequel la substance cérébrale a perdu sa disposition linéaire et se c
tubercules calcaires d'un grain extrêmement dur, disséminés dans une substance fibreuse très dense. Les plus petites tumeurs c
on du sang avec le tissu cérébral. Cette altération était bornée à la substance grise des circonvolutions et anfractuosités qui l
et anfractuosités qui limitent en arrière la scissure de Sylvius. La substance blanche du voisinage était jaunâtre et comme infi
que l'hypertrophie de l'utérus masquait, pour ainsi dire, la perte de substance considérable qu'il avait essuyée, perte de substa
ire, la perte de substance considérable qu'il avait essuyée, perte de substance qui m'a paru comprendre, à peu de chose près, la
tincte de la fétidité du cancer; le toucher, qui établit une perte de substance sans ces épaississemens et végétations qui accomp
t infiltré de matière jaunâtre: on voit que l'altération porte sur la substance tubuleuse, non moins que sur la substance cortica
e l'altération porte sur la substance tubuleuse, non moins que sur la substance corticale ; qu'un grand nombre de mamelons ont ét
ont été détruits, si bien qu'au fond de plusieurs calices se voit la substance blanc jaunâtre jaspée dont j'ai parlé. En même
écoulement d'un ichor fétide et abondant, et au spéculum une perte de substance avec détritus gris-noirâtre, révèlent la présence
sseur du vagin avait été déjà détruite, et que le fond de la perte de substance ulcéreuse portait sur le tissu cellulaire induré.
. La poche utérine communiquait avec la vessie par une large perte de substance , si bien que la cavité utérine et la cavité vésic
liv.,pl. m,p./; 36eliv.,pl. m, iv, p. 4,3.—Apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance blanche du
4,3.—Apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance blanche du cerveau. 20e liv., pl. m,iv, p.4.— A q
capillaire? 20e liv., pl. ni, iv, p. 8. — Apoplexie capillaire de la substance grise. 24e liv., pl. 1,11,p. 40.— Apoplexie de la
c hy pertrophie considérable de l'œsophage et du diaphragme. Perte de substance de l'estomac remplacée par le pancréas, la rate e
tion celluleuse, atrophie avec induration du tissu cérébral, perte de substance , transformation d'une partie ou de la totalité de
une de la surface du cerveau et du cervelet; cicatrices avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
velet. 20e liv., pl. m, rv, p. a. — Cicatrices colorées avec perle de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
supérieur et des veines qui y aboutissent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance blanche. 20
ent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance blanche. 20e liv., pl. ni, iv, p. 4. — Ramollisse
Mort au bout de quarante-huit heures. Ramollissement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc delà substance blanch
lissement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc delà substance blanche; ancienne cicatrice dans une circonvoluti
iplégie droite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du ANAT. PATHOL.--TABLE DES MATI
antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nombreuses avec perle de substance des circonvolutions. 20e liv., pl. ni, rv, p. 10.
olutions. 20e liv., pl. ni, rv, p. 10.—Ramollissement hortensia de la substance grise d'un 1res grand nombre de circonvolutions e
d nombre de circonvolutions extérieures. Ramollissement puliacé de la substance griseelde la substance blanche des circonvolution
ions extérieures. Ramollissement puliacé de la substance griseelde la substance blanche des circonvolutions antérieures. Cicatric
nvolutions cérébrales. 32e liv., pl. 1,11,p. tô.—Ramollissement de la substance grise des circonvolutions. = Influence des lésion
. Coloration jaune des lamelles du cervelet. Cicatrices avec perte de substance de la surface du cervelet. 20e liv., pl. m, p. 2.
ervelet. 20e liv., pl. m, p. 2. — Cicatrices colorées , avec perte de substance des lamelles du cervelet. 20e liv., pl. m, p. 3.
atrices du cerveau. 20e liv., pl. m, p. *. — Cicatrices avec perte de substance des circonvolutions du cerveau et des lamelles du
cervelet. 20e liv., pl. ni, p. 2. — Cicatrices colorées avec perte de substance des circonvolutions du cerveau etdes lamelles du
u cervelet. 20e liv., pl. m,p. 3.—Cicatrices nombreuses avec perte de substance des circonvolutions. 20e liv., pl. m, iv, p. /0.—
. 37e liv., pl. v, p. 3. CICATRISATION. Cicatrisation des pertes de substance résultant des différentes formes d'entérites foll
aiguës. 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p. 6. —Mode de cicatrisation de la substance blanche ramollie. 20e liv., pl. m, iv, p. /0. — M
ie. 20e liv., pl. m, iv, p. /0. — Mode de cicatrisation des pertes de substance de l'estomac. 20e liv., pl. v, vi, p. /.— Mode de
rofondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance cérébrale dans les érosions ou petites excavation
leuse. 7e liv. , pl. 1, n, m, iv, p. 5. — Cicatrisation des perles de substance , résultant des différentes formes d'entérite foll
considérable de cet organe, de l'œsophage et du diaphragme. Perte de substance de l'estomac remplacé par le pancréas , la raie e
on. Fausse paraplégie. = Cicatrices anciennes de ramollissement de la substance grise des circonvolutions. Ramollissement récenl.
iplégie droite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du lobe antérieur de l'hémisphèr
rieur de l'hémisphère gauche. Cicatrices nom- breuses avec perle de substance des circonvoluiions. 20e Iiv., pl. m, iv, p. 10.
luiions. 20e Iiv., pl. m, iv, p. 10. — Ramollissement hortensia de la substance grise d'un très grand nombre de circonvolutions e
d nombre de circonvolutions extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise elde la substance blanche des circonvolutio
ons extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise elde la substance blanche des circonvolutions antérieures. Cicatric
marante du cerveau. 32e liv, pl. 1, 11, p. i5. — Ramollissement de la substance grise des circonvolutions. 32e liv., pl. 1, 11, p
. v, p. /.— Productions graisseuses dans le rein; développement de la substance corticale et atrophie de la substance lubuleuse d
ns le rein; développement de la substance corticale et atrophie de la substance lubuleuse du rein. 36e liv., pl. v, p. 4. — Infla
rofondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance cérébrale dans les érosions ou petites excavation
13 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'HÉMIANOPSIE D'ORIGINE INTRA-CÉRÉBRALE 3 substance blanche sous-jacente du lobe lingual est aussi pa
t interne du lobe lingual est détruite, la plus grande partie de la substance blanche dece lobule est conservée. Le lobe fusifo
surtout dans le coin antéro-supérieur, où la lésion s'étend sur la substance blanche, qui se trouve près du bord supérieur d
nche indique le siège de la sclérose.) 4 JOUKOWSKY couche de la substance nerveuse de la paroi interne de la corne postérie
lingual et le lobe fusiforme et que cette lésion pénélrait dans la substance blanche sous-jacente jusqu'à la paroi interne de
illon, qui sépare Pj de P2 jusqu'au sillon, qui sépare Ti de T2, la substance blanche est com- plètement détruite, présentant
e est com- plètement détruite, présentant l'aspect d'une éponge, la substance grise étant conservée et diminuée de volume. La
ée de volume. La dimension du foyer est celle d'une grosse noix. La substance blanche du gyrus marginalis est complètement détr
nt à deux centimètres du pôle occi- nital. on Deut remarquer : La substance blanche du coin, du lobe lingual et du lobe fus
u ramollis- sement sur la surface interne de l'hémi- sphère. La substance blanche qui se trouve près de la lésion est par
entimètres du pôle occi- pital, on trouve : Toute la partie de la substance blanche du coin, qui aboutit à la lèvre supérie
, est détruite par le ramollissement ; la partie supérieure de la substance blanche du coin est con- servée. Le foyer du ra
uutiic puoLCifcutc uc fctuucnc Il se sépare par une mince couche de substance nerveuse. L'écorce du coin, u se sépare par une
nce nerveuse. L'écorce du coin, u se sépare par une mince couche de substance nerveuse. L'écorce du coin, qui borne la lèvre
gual qui constitue la lèvre inférieure de la scissure calcarine. La substance blanche du lobe lingual est tout à fait détruit
foyer de la destruction ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure. L'écorce de l
e fusiforme est aussi détruite. On peut voir sur les coupes dans la substance blanche, qui se trouve plus haut que la paroi s
convolution limbique, le lobe lingual et le lobe fusiforme, dont la substance blanche est détruite presque complètement. Fig.
imbique et du lobe lingual est con- servée avec une mince couche de substance blanche. Dans le lobe fusiforme reste seulement
pos- térieure, de laquelle il se sépare par une mince couche de la substance ner- veuse. La partie interne du corps calleu
r du ramol- lissement ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure. Une partie de
es frontales, qui passent par la région du pli courbe, on voit : La substance blanche de la deuxième circonvolution temporale,d
upe la région de la deuxième pariétale, envahissant en ou- tre la substance blanche de la pre- mière pariétale et de la tro
ment qui était localisé dans l'hémisphère gauche et qui occupait la substance blanche du pli courbe et des parties voisines d
ramollissement en foyer dans l'hémisphère gauche, qui a détruit la substance blanche sous- jacente du pli courbe, où, d'aprè
blée. ' La malade nous affirme qu'elle ne distingue pas le goût des substances qu'elle ingère et en effet on peut toucher tout
bleau connu de la poliomyélite, que l'inflammation avait atteint la substance grise de bulbe ; on trouva autour des artères d
us ces trois cas des restes d'une inflammation guérie avec perte de substance . Le manque d'atrophie et de réaction de dégénéres
de Hoppe-Seyler prouvent, que le processus morbide avait dépassé la substance grise et atteint les voix centripètes, soit périp
propos, avec l'observation anatomique du parasite lui-même et de la substance nerveuse où il s'est développé, quelques consid
n de la dure-mère, une po- che se rompt faisant éclater la coque de substance cérébrale qui l'entoure et laissant échapper un
emporale. En avant et en bas au niveau de la première pariétale, la substance grise est refoulée et n'a plus qu'une épaisseur
ste de la vésicule proligère ; cette mem- brane limite une masse de substance granuleuse,-ovoïde, longue de 111 l., large de
r animal, des coupes transversales d'autres parasites mon- trent la substance granuleuse disposée autour d'une cavité en forme
KYSTES parasitaires DU cerveau 2t 1 L'examen microscopique de la substance cérébrale au voisinage du kyste ne nous a pas m
gros, de forme sphérique, globuleuse et l'on ne peut distinguer les substances chro- matiques ou achromatiques ; les prolongem
arasitaire. L'hydatide que nous avons examinée est comprise dans la substance cé- rébrale, alors que d'après la majorité des
e, avons- nous dit, d'en observer d'assez volumineux, logés dans la substance même du cerveau laissant celui-ci intact et ne
vé un kyste du volume d'une petite noix logé dans l'épaisseur de la substance sous-jacente à la circonvolution pariétale infé-
asite inoffensif. Comme traitement curateur on administre plusieurs substances médi- camenteuses. Lebert donnait du calomel ;
stes, à de très rares exceptions près, étaient i disséminés dans la substance grise du cerveau. C'est là un fai qu'on trouve ¡
considéra- ble de kystes qui sont tous venus se constituer dans la substance cérébrale. Comment expliquer que c'est la subst
stituer dans la substance cérébrale. Comment expliquer que c'est la substance grise qui est seule le siège de la cysticercose
eut-il, grâce à ses crochets, et chemine-t-il jusqu'au niveau de la substance grise, où il trouve un milieu beaucoup plus favor
la coupe préfrontale et au pôle frontal, un kyste développé dans la substance grise de Fi et de la grosseur d'une lentille ;
d d'un sillon et à la partie supérieure de F3, dont il intéresse la substance blanche et la substance grise, un kyste à conte
rtie supérieure de F3, dont il intéresse la substance blanche et la substance grise, un kyste à contenu solide, du volume d'u
li inférieur de F2 visible à l'extérieur, mais n'intéressant que la substance grise (sur une coupe intermédiaire à la préfronta
g. 1. - Face externe. Hémisphère droit. 44 SÉRIEUX ET MIGNOT sant substance blanche et substance grise, un kyste, également s
Hémisphère droit. 44 SÉRIEUX ET MIGNOT sant substance blanche et substance grise, un kyste, également solidifié, gros comm
postérieur, et se développant au dépens de Ti dont il intéressé la substance grise, un kyste gros comme un petitjpois (coute
ée à 1 cent.5 en avant de la coupe préfrontale, on trouve 1 dans la substance grise de F2 deux kystes du volume d'un pois sépar
e frontale, à la hauteur du pied de F2' développé à la fois dans la substance grise et la substance blanche de FA, un kyste dég
ur du pied de F2' développé à la fois dans la substance grise et la substance blanche de FA, un kyste dégénéré du vo- lume d'
LEXIE ET HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 45 lentille, n'intéressant que la substance grise, bien visible sur la coupe occipi- tale ;
eure de FI interne, kyste gros comme un pois n'intéres- sant que la substance grise (bien visible sur la coupe supplémentaire p
ils font saillie, mais se développant dans T2 dont ils creusent la substance grise, nous constatons ; 9° Un premier kyste de
ume d'un gros pois, visible seulement sur une coupe, et intéressant substance blanche et substance grise. 12° A la partie ant
isible seulement sur une coupe, et intéressant substance blanche et substance grise. 12° A la partie antérieure du 3" sillon
sa force et sa nature sur une matière extérieure. Non seulement des substances , mais encore des accidents actifs de la troisiè
s filles ne peuvent remplacer les aliments, ni se transformer en la substance des vieillards, elles servent seulement à excit
exa- men histologique des lésions des. tissus (méninges, vaisseaux, substance ner- veuse). I. - ETUDE topographique DES LÉS
aux présentent à ce niveau (fig. 9) le maximum des lésions. Dans la substance grise, la base de la corne postérieure gauche e
, et à côté d'eux des vaisseaux normaux, et ceci aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise. Il en est
x normaux, et ceci aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise. Il en est de même dans le sens vertical
ires. Gaz segment dorsal. 114 LONG ET WIKI petits vaisseaux de la substance blanche des corps globuleux, remplis de pig- me
ires, dues à une plus grande friabilité des conduits sanguins. 4. Substance nerveuse (axe gris et faisceaux blancs). - Le rel
nse de faire la nomencla- ture complète des lésions en foyers de la substance nerveuse. Il montre bien que les dégénérescence
g. 20. - Vaisseaux intra-médullaires. 6e segment dorsal. Fig. 21. - Substance grise du côté gauche. 6e segment dorsal. SUR l'
E la moelle épinière 115 Cette diffusion des lésions en foyer de la substance blanche se retrouve quand on passe à l'examen d
de la substance blanche se retrouve quand on passe à l'examen de la substance grise. Au niveau du 3° segment dorsal, cette de
orsaux, c'est à gauche qu'on retrouve des lésions analogues dans la substance grise : raréfaction du réseau fibrillaire, amaigr
ig. 21). L'apparition de ces foyers de lésions destructives dans la substance nerveuse - faisceaux blancs et substance grise -
sions destructives dans la substance nerveuse - faisceaux blancs et substance grise - coïncide toujours avec une augmentation
e la myélomalacie ; ce ne sont pas en effet de véritables pertes de substance . Tous les éléments histologiques normaux de la mo
à droite. Il en est de même des taches scléreuses trouvées dans la substance grise et qui ne constituent pas un foyer unique.
un foyer unique. Ces lésions limitées des faisceaux blancs et de la substance grise sont- elles le reliquat de petits foyers
l'examen histo- logique, soit par une dystrophie généralisée de la substance nerveuse (tissu parenchymateux et tissus inters
encontrent des deux côtés des zones pâles et fusiformes (partie de la substance gélatineuse de Rolando) ; de ce fait, et par co
t la surface antérieure des cordons posté- rieurs est augmentée. La substance gélatineuse de Rolando occupe le bord extrême d
s fibres verticales placées sur le bord de la moelle al- longée. La substance gélatineuse de Rolando, couvrant la partie dorsal
l'isthme, déplaçant les cordons postérieurs en dedans. En outre, la substance gélati- neuse de Rolando ne passe pas seulement
sont restés en arrière et situés dans la moelle allongée. Toute la substance entre la partie antérieure des cordons postérie
un réseau assez bien développé de fibres myéliniques. Reste pâle la substance gélatineuse de Rolando et le triangle autour du c
d'une lamelle assez étroite et foncée, se trouvent en arrière de la substance gélatineuse de Ro- lando ; maintenant elle ne v
ons postérieurs et prenant la direc- tion verticale. En avant de la substance gélatineuse de Rolando nous trouvons la racine
bres verticales, con- tinuation de cordons postérieurs, en avant la substance gélatineuse de Ro- lando, recouverte par la rac
er en arrière jusqu'aux cordons postérieurs. Un peu en dedans de la substance gélatineuse de Rolando, des deux côtés sont situé
nt situées des fibres ner- veuses qui traversent horizontalement la substance blanche du cordon latéral de la moelle épinière
on latéral de la moelle épinière sous forme d'un arc contournant la substance gélatineuse de Rolando dans l'isthme et dans la
En avant, existe la racine spinale du nerf trijumeau, en dedans la substance gélatineuse de Rolando qui est dispo- sée seule
inale du nerf triju- meau ; en dedans de ce faisceau on aperçoit la substance gélatineuse de Ro- lando, moins nettement indiq
les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs, qui ont formé la substance réticulaire blanche. Sur les côtés de la substanc
qui ont formé la substance réticulaire blanche. Sur les côtés de la substance réticulaire blanche, à la place de la corne ant
a racine descendante du nerf triju- meau, entourée en dehors par la substance gélatineuse de Rolando. Sur les côtés de la lig
t, sans entrer ici dans les détails, qu'une lésion irrilative de la substance grise cérébrale donne lieu à du spasme, qu'une de
à du spasme, qu'une destruction in- complète et partielle de cette substance donne lieu au tremblement mus- culaire, et qu'e
me une orange, d'une consistance demi-molle, analogue à celle de la substance cérébrale, d'une couleur gris-rosé, et nettement
le chiasma une languette de deux centimètres environ de large de la substance du lobe frontal ; en longueur, la tumeur s'étend
s et formés par les méninges molles, épaissies, qui l'isolent de la substance céré- brale et lui forment une capsule d'envelo
chent, par l'intermédiaire de la pie-mère et de ses vaisseaux, à la substance cérébrale. Le résultat des pesées est le suivan
ui-là ; la tumeur était, dans un accolement étroit, juxtaposée à la substance grise corticale, et non substituée à elle dans
coupes portant à la fois sur la périphérie et sur la portion de la substance cérébrale adjacente à la tumeur, la présence d'un
es. Virchow hésite à dire si ce sable procède des cellules ou de la substance intercellulaire. Pour Meyer (4), la transformat
les. Dans une première, ce sable serait dû à l'ossifi- cation de la substance nerveuse ; el dans une autre, il accuse la myélin
, d'après Robertson, l'envahissement des corps cellulaires, par une substance d'apparence ho- mogène et vitrée, nedonnantpas
Enfin on la ren- - contre aussi dans les corps concentriques. La substance qui envahit la cellule peut, dans quelques cas, s
atoxyline). Un peu plus tard, ces cellules présentent des grains de substance hyaline, puis les rejettent au dehors, en même
odification pathologique ; c'est une diminu- tion d'épaisseur de la substance grise; elle paraît tassée et comprimée par le 1
marquées qu'on s'écarte de la tumeur. Nous avons donc prélevé de la substance corticale sur différents points et nous avons rec
la tumeur ; sur certaines coupes où l'on trouve à la fois et de la substance néoplasique et de l'écorce, celles-ci sont telles
o (3) écrit que la chromatolyse est une véritable dissolution de la substance chromatique au sein du protoplasma. D'autre part,
ement. « La chromatolyse, dit-il, consiste en une dissolution de la substance chromatique au sein du protop ! asma. Cette disso
tion n'atteint pas tout l'élément chromatophile, mais simplement la substance chromatique qui imprègne à ce niveau les trabéc
points no- daux du réseau protoplasmique. Il s'ensuit que, quand la substance chro- matique est dissoute, persiste la partie
i à la généraliser à tous les éléments mésodermi- ques. - Dans la substance nerveuse, le même phénomène phagocytaire se cons-
fixer leur énergie dans les centres (transformation d'une certaine substance instable .r en une autre substance .r'), les autr
s (transformation d'une certaine substance instable .r en une autre substance .r'), les autres se réfléchissent immédiatement
celles qui résultent de la retransformation de la subs- tance x' en substance x). Or s'il arrive que les neuro-diélectriques em
eaux de Goll et de Burdach. En avant de ces faisceaux est placée la substance gélatineuse de Rolando. Encore plus en avant se t
postérieure (Phot. 20). En avant du cordon postérieur est placée la substance gélatineuse de Rolando et dans l'es- pace compr
sans changements. Au devant des cordons postérieurs on trouve : la substance gélatineuse de Rolando, entre laquelle et les c
iques, dans la partie abaissée de la moelle allongée, est placée la substance gélatineuse de Rolando, limitée par la périphér
dons postérieurs de la moelle épinière ont complètement disparu. La substance gélatineuse de Rolando a en grande partie passé d
ôtés de la ligne médiane. A côté de la moelle allongée se trouve la substance gélatineuse de Rolando, limitée en dehors par les
: les cordons postérieurs, la racine spinale du nerf trijumeau, la substance géla- tineuse de Rolando, le faisceau cérébelle
sont bien développés. En avant des cordons postérieurs se trouve la substance gélati- neuse de Rolando, entourée postérieurem
e. Du côté où les cordons postérieurs sont plus mal développés, 'la substance gélatineuse de Rolando a diminué de volume compar
fibres arciformes externes. Le long du bord antérieur est placée la substance gélatineuse de Rolando, in- diquée très faiblem
ng du bord antérieur, en arrière des fibres arciformes, apparaît la substance gélatineuse de Rolando, sous forme d'un corps a
encore remarquer dans la moelle épinière le non développement de la substance gélatineuse de Rolando du côté auquel touche la
l'extrémité de ce faisceau. Le long du bord antérieur se trouve la substance gélatineuse de Rolando, limitée d'un côté par l
as développés à un plus haut degré que dans la coupe précédente. La substance gélatineuse de Rolando, est d'un côté suffisamm
re moitié de la moelle épinière, à son extrémité même, se trouve la substance gélatineuse de Rolando ; encore plus en avant du
aisceau cérébelleux. Sur le côté opposé dans la moelle épinière, la substance gélatineuse de Rolando est absente, mais par co
de ces fibres myéliniques, au bord de la moelle, nous apercevons la substance gélatineuse de Rolando, beaucoup mieux indiquée q
ieur est placée la racine spinale du nerf trijumeau. Eu avant de la substance gélatineuse de Rolando est placé le faisceau céré
pas la même forme, et leur 'quantité est plus petite. Plus loin la substance gé- latineuse de Rolando est bien mieux dévelop
ves. Les cordons latéraux disparaissent et à leur place apparaît la substance réticu- laire. Les pyramides sont très en évide
s dans la partie abaissée du bulbe rachidien nous trouvons aussi la substance gélatineuse de Rolando, la racine spinale du ne
sé nous rencontrons toutes ces parties (les cordons postérieurs, la substance gélatineuse de Rolando, etc.) dans la moelle épi-
yéliniques. Des deux côtés des cordons postérieurs nous trouvons la substance gélatineuse de Rolando, qui est limitée en arri
racines postérieures ; avec les cordons postérieurs est reculée la substance gélatineuse de Rolando. Les côtés des cordons p
e, où nous voyons les cordons postérieurs, limités aux côtés par la substance gélatineuse de Rolando. Le tableau est tout il
ux. Des deux côtés des cordons postérieurs on aperçoit nettement la substance gélatineuse de Rolando limitée des côtés du comme
le canal central est déplacé dans la direction arrière et aussi la substance gélatineuse de Ro- lando, placée dans les coupe
dons latéraux sont diminués de volume et à leur place est située la substance réticulaire. A cause de la diminution des cordo
lle nous rencontrons les noyaux de Goll et de Burdach, en dehors la substance gélatineuse de Rolando, considé- rablement dimi
s autres constituant ainsi des cavités séparées par des colonnes de substance intercellulaire (rivulation), bientôt, les vais
ais une zone sériée. Le cartilage s'ossifie par calcification de la substance fondamentale, de telle sorte que l'on trouve soit
de l'achondroplasie. Si dans les deux' observations précédentes, la substance toxique semble provenir de l'organisme maternel
l'odorat qui ont paru les plus inoffensives. On peut reprocher aux substances odorantes de posséder en même temps que leurs p
veineuse et lymphatique de l'encéphale : c'est l'intoxication de la substance cérébrale par les poisons cellulaires d'origine n
toute masse néoplasi- que, cancéreuse ou inflammatoire, sécrète des substances toxiques. Cette sécrétion toxique, étant le rés
masse parasitaire sans cesse grandissante du néoplasme doit tuer la substance cérébrale. Ces considérations s'appli- quent li
a nutrition de cet organe. On sait d'ailleurs que le cerveau, et la substance grise, en particulier, représente le milieu org
eut déclarer que, vis-à- vis des poisons faibles, la réaction de la substance grise est une véritable pierre de touche de l'a
génique est l'intoxication de fence- phale, et principalement de la substance grise et des nerfs optiques, par les toxines is
es ou un réseau de fibrilles délicates. Sur les autres placards, la substance a l'aspect de matière caséeuse. Enfin, on trouve
ns les grandes cellules géantes. La congestion très marquée dans la substance grise atteint son maximum dans les couches ,de
cérébelleux où, par place, les fibres ont disparu complète- ment. Substance grise de la moelle. Elle aussi est altérée profon
e et lombaire de la moelle. Au microscope on constate dans toute la substance grise une diminution énorme du nombre des cellu
s pédoncules cérébraux (PI. XLVIII, C et D). , Les cellules de la substance grise de la protubérance paraissent être en nom-
couches granuleuse et moléculaire. Les méninges sont épaissies ; la substance blanche est plus mince. 11ÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELL
x cérébelleux directs, dans les faisceaux de Gowers. Atrophie de la substance grise de la moelle avec disparition des cellules.
uche granuleuse et la couche moléculaire. Réduction de volume de la substance blanche. Atrophie du nerf optique droit. Dans
ellules du noyau dentelé étaient en partie ratatinées. La couche de substance blanche entourant le corps dentelé était pauvre
rmal : 87 grammes au lieu de ho environ. Sur la coupe tandis que la substance blanche ne semble pas réduite, la substance grise
la coupe tandis que la substance blanche ne semble pas réduite, la substance grise au contraire est manifestement diminuée d
a moelle tandis que Menzel et nous, nous trouvons des lésions de la substance blanche et grise. Dans les deux cas les lésions
t beaucoup de ressemblance, quoique dans le nôtre les lésions de la substance blanche occupent plus les parties anté- rieures
bien conservées. Nous trouvons dans les deux cas des lésions de la substance grise. Les lésions du bulbe dans le cas de Menz
le semble avoir complètement disparu. Deux ou trois minces lames de substance uniformément colorée venant se souder en un point
vicale (I'iâ.4). Ce qui frappe ici c'est la disproportion entre les substances grises et blan- ches. La première semble avoir
développement insolite en compa- raison de la seconde ou plutôt la substance blanche semble réduite en certains endroits à d
é question dans un précédent travail) ? (1). Dans ces conditions la substance nerveuse aurait été détruite par une néoformation
Des éléments embryonnaires leur forment un manchon, envahissent la substance du ganglion et s'étendent dans les interstices
e la hauteur du né- vraxe, aussi bien dans les méninges que dans la substance nerveuse. Il semble cependant d'une façon génér
térieures. Remarquons aussi que sur toule la bailleur du névraxe la substance grise est sillonnée par des ramifications fines e
par un gros kyste urinaire. Il y a une atrophie considérable de la substance corticale, et la capsule ne se décortique pas. Le
, et on voit noté 21 0/0 de matières organi- ques, contre 79 0/0 de substances minérales, soit une perturbation toute diffé- r
t là des bandes de tissu con- jonctif adulte qui, pénétrant dans la substance corticale, lui donnent un aspect lobulé en isol
les vaisseaux, traversent tout l'organe et pénètrent jusque dans la substance médullaire, s'y terminant par un épanouissement
tissu scléreux qui remplace le stroma normalement très fin de cette substance médullaire. Cette gangue épaisse étouffe en certa
ale, les vaisseaux situés à sa face profonde sont normaux. Dans la' substance grise, les cellules ont le nom- bre et le volum
andus dans tout le protoplasma et jusque dans les prolongements, la substance fondamentale légèrement bleuie, le noyau central.
ux-ci sont entourés d'une zone étoilée de sclérose, surtout dans la substance blanche. Nous n'avons pas trouvé de corps amylo
nce blanche. Nous n'avons pas trouvé de corps amyloïdes, ni dans la substance grise, ni dans la substance blanche. Les artère
s trouvé de corps amyloïdes, ni dans la substance grise, ni dans la substance blanche. Les artères sont épaissies considérabl
cervicale, les coupes au Pal ne montrent pas de zones pâles dans la substance blanche. Au carmin, on note çà et là quelques gai
re le bord ex- terne du cordon postérieur, la zone spongieuse de la substance gélatineuse la corne postérieure et le cordon l
où siègent ces centres ? Vraisemblablement dans la moelle, dans la substance grise, au voisinage des centres trophiques des mu
médullaires massives, comprenant une certaine étendue en bloc de la substance grise. Ils paraissent être plutôt l'expression de
rent au bacille. » « Si l'on admet, poursuit Brissaud, l'action des substances toxiques sur certains éléments nerveux, à l'exc
14 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s ; mort. On trouve à l'autopsie un foyer de ramollissement dans la substance blanche du lobe frontal droit, par thrombose pr
personnels, pas de plaie récente, pas d'urémie, pas d'ingestion de substances tétanogènes, mais dyspepsie intense depuis six
s des paralysies amyotro- phiques graves et diffuses, même quand la substance grise anté- rieure de la moelle et le système n
à droite. A l'au- topsie, tumeur grosse comme une noisette dans la substance blanche à la face externe du noyau lenticulaire
en question, de facilement reconnaître dans les granulations deux substances distinctes l'une de l'autre : une substance fonda
les granulations deux substances distinctes l'une de l'autre : une substance fondamentale qui prend dans le mélange colorant
tion, le protoplasma cellulaire se déco- lore totalement ; alors la substance fondamentale conserve une coloration très vive.
s vive. Continuez à décolorer, vous obtenez la décolo- ration de la substance fondamentale elle-même, mais, les fines granula
granulations apparaissent sous une masse colorante presque pure. La substance fondamentale prend en même temps que le reste du
ulations composan'. les fils chromatiques, ce qui veut dire que les substances de ces figures sont de l'acide nucléique. Les
urs des épileptiques morts en état de mal montrent ce qui suit : la substance fondamen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 6b ta
du protoplasma. Les granulations, au lieu d'être incluses dans la substance fondamentale, sont disséminées dans toute la cell
s dans toute la cellule. Il y a donc primitivement altération de la substance fondamentale qui libère les granulations, lesqu
e, ou ceux empoison- nés par l'arsenic. Les granulations sont des substances nutritives, les vectrices de tension, des réser
rmes, où d'assez grandes pyramides existent vers le périphérie ; 6° substance médullaire, où se trouvent encore nombre de cel
u descendant qui, peut-être indivis (Koschewnikow), pénètre dans la substance blanche. La direction des fibres des systèmes d
t du prolongement basilaire moyen qui descend directement dans la substance blanche (méthode à l'or), prolongement déjà assim
; celles qui ne se projettent pas, sous forme de radiations, de la substance blanche dans l'écorce, mais suivent d'autres di
lier cet élément aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Sel
olgi, les caractères du protoplasma véritable faisaient défaut à la substance , de structure fibrillaire, du corps cellulaire,
, aussi bien qu'à celle des prolongements protoplas- miques ; cette substance n'était qu'une « formation secondaire du protap
eurs, car Sclmllze découvrit qu'entre les fibrilles il existait une substance finement granuleuse, contenant un pigment jaune
stance finement granuleuse, contenant un pigment jaune-brun ; cette substance granuleuse ou ces granulations interfibrillaire
bre peut s'élever de 3 à 20 et au delà, et dans lesquels circule la substance du corps cellulaire, sont désignés, quoiqu'un p
i, l'explication anatomique de l'origine des fibres nerveuses de la substance grise ? Comment s'établissent entre les cellule
n d'un réseau nerveux qui existerait dans toute l'épaisseur de la substance grise. Golgi incline à croire que ces innombrable
ont plutôt l'aspect des cel- lules des cornes postérieures et de la substance de Holando. Delà deux types de cellules nerveus
tendineux, etc., annexés à ses prolongements nerveux moteurs : « La substance grise et blanche du cerveau ne peut être compar
arborisant, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la substance grise centrale. Mais on n'a point le droit d'ap
t des physiologistes, l' « existence du réseau nerveux diffus de la substance grise des centres *. Ce réseau, « continu dans
second point, l'existence du réseau nerveux, qui envahit toute la substance grise centrale, moelle épinière, moelle allongée,
rieur, et G° la couche grillagée avec ses îlots cellulaires. ' La substance grise du corps genouillé externe est divisée par
que en se confondant avec les fibres des faisceaux pré- cédents. La substance innommée de Meynert fait partie de ce fais- cea
une dégénérescence incomplète et des processus atrophiques dans la substance grise de la protubérance dans la couche grise s
système d'assooiation occipito-temporal, qui est le faisceau de la substance blanche du cerveau le plus tôt revêtu de myélin
a circonvolution du corps calleux ; ces trousseaux arrivent dans la substance blanche du lobe frontal, jusqu'à 2 il 3 centimè
Contribution A la QUESTION DES dégénérescences secondaires dans la substance blanche DE la MOELLE, par SUITE de lésions DE l
queue de cheval sont de deux sortes. Les unes se terminent dans la substance grise du segment le plus inférieur de la moelle
upait distinctement le trajet des fibres radiculaires au sein de la substance de la moelle et portait seule- ment sur celles
stique de contenir des fibres qui, probablement pro- viennent de la substance grise, et qui subissent la dégénérescence desce
s les cordons postérieurs, pénètrent obliquement en avant dans la substance grise. Les dernières fibres se terminent dans la
nt, en décri- van une courbe (coupes longitudinales) pour gagner la substance grise déjà rare en cet endroit. Il est donc pro
, par le procédé des silhouettes. J. S. XV. DE l'action DE QUELQUES substances médicamenteuses SUR la circulation cérébrale; p
uke pense que dans ce dernier cas il existe un état congestif de la substance corticale, et il en donne des raisons histologi
RamonyCajal; aussi Obersteiner a-t-il pu dire avec raison que la substance grise est le terrain où s'opère l'association des
de la vie, le traitement thyroïdien fournit à l'organisme certaines substances qui lui sont nécessaires. R. M. C. XVI. LE TRAI
s de manie traumatique provoquée par une lacération partielle de la substance cérébrale qui s'est produite directement et par
lieu à un épaissisemeut des méninges et à une atrophie lente de la substance corticale. Dans le premier de ces deux cas la f
ujet on constatait en outre l'existence de nombreuses hernies de la substance cérébrale en dehors de la dure-mère, et d'une atr
auche, entre la frontale ascendante et les trois frontales. Dans la substance blanche contiguë à la tumeur se trouvaient troi
entait l'aspect d'un angiosarcome. Absence d'éléments nerveux et de substance névroglique. Les kystes avaient une couche uniq
. Autopsie (12 heures post mortem). Cerveau ; hémisphère droit : la substance blanche présente au niveau du gyrus angularis u
rs la troisième année de sa maladie. En se servant de différentes substances odorantes, de diffé- rentes substances amères o
En se servant de différentes substances odorantes, de diffé- rentes substances amères ou douces, il est facile de mesurer le d
ujets soumis à une sensation gustative extrêmement désagréable. Les substances sapides placées dans la bouche provoquent égale
rfs moteurs « dissociés en fibrilles » se mettre'en rapport avec la substance contractile du muscle : « Cette multiplication
s nerveux que beaucoup de cellules envoyaient, par exemple, dans la substance grise de la moelle épinière : mais la décharge
se des ganglions spinaux peut influencer tous les territoires de la substance grise que tra- verse son prolongement nerveux c
tracter des rapports, par leurs collatérales, avec presque toute la substance grise de la moelle épinière. Le riche plexus de f
pinière. Le riche plexus de fibres à myéline que l'on voit, dans la substance grise de la moelle épi- nière, autour des cellu
parations au Weigert- Pal, est constitué par les collatérales de la substance blanche; ce sont aussi des collatérales qui for
alés par Ramon y Cajal. Les collatérales constituent ainsi, dans la substance grise comme dans la substance blanche, une gran
llatérales constituent ainsi, dans la substance grise comme dans la substance blanche, une grande partie des commissures des
oplasmiques des cellules nerveuses se ter- minent librement dans la substance grise (Golgi); les prolonge- ments nerveux des
le corps protoplasmique seul de la cellule. III. Les cellules de substance grise de la moelle épinière sont de deux espèce
s des cordons donnent naissance d'ordinaire aux voies courtes de la substance blanche. D'après la situation topographique des
, envoient la branche centrale de leur prolongement nerveux dans la substance blanche de la moelle épinière, où son cône d'ac
ont les collatérales de ces branches qui, seules, pénètrent dans la substance grise où elles s'arborisent entre les éléments
stinées à la corne postérieure : celles-ci, après avoir traversé la substance de Rolando, s'arborisent autour des cellules de
xpansion proloplasmique basilaire, et se terminant, en bas, dans la substance blanche, où il devient une fibre nerveuse à myé
myéline du faisceau de projection. Mais, pendant son trajet dans la substance grise, le cylindraxe émet de fines collatérales
ultime se termine libre- ment, se bifurque souvent en arrivant à la substance blanche, four- nissant une grosse collatérale q
, ou par une division en T, avec une ou deux fibres nerveuses de la substance blanche. On distingue dans cette couche des cel
un que le cylindraxe naît et se termine dans l'épaisseur même de la substance grise : les cellules sensitives de Golgi, et le
nstituant une arborisation finale d'une très grande ampleur ». La substance blanche du cerveau antérieur est composée de quat
sociation; 4° fibres centripètes ou termi- nales, ramifiées dans la substance grise. Les fibres de projection provenant de to
fibres calleuses se détachent des collatérales qui montent dans la substance grise où elles se terminent. Les fibres d'assoc
émisphère. Chez l'homme et les grands mammifères, où la quantité de substance grise de l'écorce est indéfiniment multipliée p
d'association forment par leur abondance la masse principale de la substance blanche du cerveau. La quantité et la longueur
arborisent. D'autres collatérales, paraissant se ter- miner dans la substance blanche, semblent destinées à établir des conne
xpansions protoplasmiques des- cendantes qui se terminent en pleine substance blanche. Les fibres centripètes, dont les arbor
rdinaire, obliquement ou horizontalement, toute l'épais- seur de la substance grise jusqu'à la couche moléculaire. Cajal sign
ionnelle de ces innombrables neu- rones : 1° les collatérales de la substance blanche du cerveau; 2° les collatérales des fib
s bipolaires. Partout où s'arborisent des fibres nerveuses, dans la substance grise ou dans la substance blanche (Cajal), il
arborisent des fibres nerveuses, dans la substance grise ou dans la substance blanche (Cajal), il y a des ramifications proto
de bleu de méthylène et d'une certaine quantité de poudre de cette substance colorante. Les morceaux excisés sont après troi
e, peut-être en phénomène d'arrêt provoqué par la contraction de la substance basophile du proto- plasma. Cette substance, qu
ar la contraction de la substance basophile du proto- plasma. Cette substance , qui paraît n'avoir rien à faire avec la foncti
erveuses. L'hislologisle espagnol est porté à voir dans ces amas de substance baaophile, 1 Non seulement elle fait défaut dan
l'activité psychique, les formes des cellules de la névroglie de la substance grise du cerveau se modifient : tantôt rétracté
piques de Deiters.Selon Cajal on doit distinguer la névroglie de la substance blanche de la névroglie de la substance grise.
stinguer la névroglie de la substance blanche de la névroglie de la substance grise. Quant aux théories d'après lesquelles les
llules de la névroglie sont accumulées en très grand nombre dans la substance blanche des centres nerveux, qui a moins besoin
glie distin- guées par R. y Cajal. 1° Cellules de névroglie de la substance blanche. - Elles sont fixes, volumineuses, pouv
ur fonction parait être d'interposer entre les fibres nerveuses une substance nauvaise conductrice des courants qui circulent d
en- sité des processus psychiques. 3° Cellules de névroglie de la substance grise. Connues surtout depuis les travaux de Re
oit provoqué (narcotiques, hypnotisme). En somme la névroglie de la substance ' Retzius. Die Neuroglia des Gehirns beii)t Men
res, se contractent : les capillaires, attirés en tous sens vers la substance grise ambiante, augmentés de diamètre, occupe-
e qui l'environne. Aini pourraient se produire deshyperhémies de la substance grise aussi limitées et localisées que l'exige
eules avec la coloration élective de Weigert, non le protoplasma ou substance cellulaire (Zellp1'Otoplasma) « d'où ces Archiv
stingue donc la fibre de névroglie, c'est qu'elle est à la fois une substance modifiée et émancipée du corps cel- lulaire pro
différentes au même résultat : du mésoderme, elle a dérivé comme substance de soutènement le tissu connectif; de l'ecloderme
soutènement le tissu connectif; de l'ecloderme, la névroglie, comme substance interstitielle et de liaison (Binde substanz).
les, dont elles sont émancipées, chez l'adulte, à l'état normal, la substance de ces éléments ne soit pas ner- veuse : 1" par
(conclusion per exclusioncm); 2" parce que ces fibres possèdent une substance modifiée, non plus protoplas- mique, et sont ém
t pathologique, tout à THÉORIE DES NEURONES. 307 i fait comme une substance connective, c'est-à-dire prolifèrent lorsque le
ophient, et ces anciennes cellules épithéliales, arrêtées en pleine substance blanche ou grise, se transforment en cellules e
eloppement, il n'existe, ontogéniquement et phylogéniquement, comme substance de soutènement, que des cellules épithéliales (
les sont les fonctions de la névroglie" ? Quel est le rôle de cette substance interstitielle ? Ces fonctions sont purement pas-
s de pression. En outre, ainsi que le dit Weigert, qui parle ici de substance de soutènement, les vaisseaux sont, pour le systè
solées de névroglie, et même aucune sur de vastes étendues. Dans la substance blanche du cerveau, au contraire, un abondant f
x central, c'est une règle que toute fibre nerveuse à myéline de la substance blanche est isolée des fibres voisines par des
voisines par des fibres de névroglie. Ainsi naît, dans toute cette substance , un feutrage à mailles plus ou moins larges. La
s exacts. Il est, par exemple, inexact que ce sont dans les amas de substance grise les plus pauvres en névroglie que les con
y est pourtant très abondante, beaucuup plus abondante que dans la substance blanche. Le rôle physiologique de substance iso
s abondante que dans la substance blanche. Le rôle physiologique de substance isolatrice des courants nerveux, attri- bué par
spagnols aux éléments de la névroglie, convient d'autant moins à la substance blanche des centres nerveux que les cylindraxes
, demande Weigert, une autre couche isolante de névroglie ? Dans la substance grise, au contraire, on pourrait admettre l'uti
substance grise, au contraire, on pourrait admettre l'utilité d'une substance isolatrice aux points où les terminaisons arbor
es prescrites et de faire fausse route. Aucune couche isolatrice de substance de névroglie ne doit donc être ici nécessaire. Et
lie ne doit donc être ici nécessaire. Et, s'il en est ainsi pour la substance grise, à plus forte raison en est-il de même po
plus forte raison en est-il de même pour les fibres à myéline de la substance blanche. D'ailleurs, les fibres de névroglie ne
ces maladies est due à une insuffisance et l'autre à un excès d'une substance capable d'agir à la façon d'un stimulant ou à l
croisent immédiatement à l'entrée se trouvent quelque part dans la substance blanche des colonnes latérales et en dehors des
ntérieures et aussi dans la base des cornes postérieures et dans la substance blanche limitant les cornes antérieures ; 1° les
; 1° les artères périphériques, plus petites, qui pénètrent dans la substance blanche et irriguent les parties non desservies
territoire des artères centrales qui s'étend rapidement à toute la substance grise. Ces différentes myélites se distinguent
ux. Dans la gaine adventice de nombreux vaisseaux, et aussi dans la substance corti- cale elle-même, il y a des hémorragies r
es généraux morts d'ictus, des hémorragies siégeant au niveau de la substance grise centrale; ces foyers hémorragiques n'étai
observation d'Alt sur l'existence de nombreuses hémorragies dans la substance grise centrale des épileptiques morts en état d
rganes nutritifs aux neurones, parce qu'ils consistent dans la même substance , dont est formé le corps du neurone, c'est-à-di
t et facilement aux irritations extérieures qui l'atteignent. Cette substance a la propriété de se contracter et de prendre u
plus tard que ses autres parties ; il consiste, évidemment, en une substance pro- toplasmique la moins stable, qui peut, dan
des impulsions centrales qui régularisent et donnent le tonus à la substance protoplas- mique des neurones périphériques. L'
ange colorant étant maintenu dans la pâte du papier, à l'aide d'une substance agglutinante, nous avons dû détruire la matière
connexion directe entre la zone motrice de l'écorce cérébrale et la substance grise de la corne antérieure de la moelle épini
e la zone granuleuse externe pour prendre part à la formation de la substance moléculaire; les cellules de Purkinje ont bien
olfactif et partie voi- sine de la circonvolution du corps calleux, substance perforée anté- rieure, repli unciforme et parti
es des membres ou du tronc. Lorsque, chez le pigeon, on enlève la substance corticale tout entière, presque tous les mouvemen
grande mesure. Le lapin marche après l'ablation de presque toute sa substance corticale. Après des opérations de même nature,
la région lombaire (douzième racine dorsale) où il se perd dans la substance grise au niveau du champ ovale de Flechsic- et
ns le cône terminal en se recourbant en avant pour pénétrer dans la substance grise. Or ce faisceau pouvait dans ce cas être po
le sillon ; 5° ses fibres se terminent en passant en avant dans la substance grise à la base de la corne postérieure du même
il s'agis- sait d'une dégénérescence hyaline des vaisseaux et de la substance voisine. Vorster présente des préparations, déc
de la dure-mère, au niveau du trou ovale gauche et ayant envahi la substance blanche du lobe temporal. 11 s'agissait d'un sa
. tumeur molle (glio-sarcome) de la grosseur d'une pomme, dans la substance blanche du lobe occipital. III. La troisième ob
spinaux, sans altérations de structure, une coloration légère de la substance habituellement non colorée des cellules motrice
ion artérioscléreuse. M. Nissl (IIeildell)ei--). Les rapports de la substance des cellu- les nerveuses avec les états de repo
ence, dans toutes les cellules nerveuses fixées par l'alcool, d'une substance qui se colore sous l'action de ces matières col
d'une autre subs- tance qui ne prend pas ces couleurs. La première substance est répartie d'une façon qui varie avec la natu
thode de Beckera montré que, au moins dans les éléments moteurs. la substance non chromato- phrle a une structure fibrillaire
'ailleurs pas résolue si, dans tous les autres éléments nerveux, la substance non chromatophile est com- posée en totalité -
seulement en partie de fibrilles. On a émis des vues variées sur la substance chromatophile : 1° Becker la considère comme co
on une subs- tance vivante et fonctionnante; 30. Benda pense que la substance chromalophile est constituée par la persistance
aires et des granulations; Lriedmann, Kronthal ont mëmeidentifié la substance chromatophile des cellules nerveuses motrices a
sédons actuellement ne nous permettent que de faire l'analyse de la substance des cellules nerveuses. INISSL a fait. depuis
s années, des recherches sur les mo- fidications structurales de la substance des cellules motrices par le repos, l'activité,
me du noyau, du corps cellulaire et, dans le noyau, il se forme une substance qui prend la couleur. Nissl considère que les d
t établis sont : 1° l'existence dans les cellules nerveuses d'une substance chromatophile et d'une substance non chromatophil
dans les cellules nerveuses d'une substance chromatophile et d'une substance non chromatophile ; 2° la substance non chromat
ubstance chromatophile et d'une substance non chromatophile ; 2° la substance non chromatophile a une structure fibrillaire (ap
(appa- reils de conductibilité pour l'excitation nerveuse) ; 3° la substance chromatophile offre de grandes variétés au poin
es actuellement connus 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui agissent sur la substance de la cellule nerveuse, déterminent d'abord une
de la cellule nerveuse, déterminent d'abord une modification de la substance chromatophile. La répa- ration de la lésion n'e
ment dans la région du vermis inférieur la tumeur pénétrait dans la substance du cervelet en forme d'un noeud isolé. Les aute
tions 420 bibliographie. introduit dans l'organisme de nombreuses substances toxiques et en permet l'élaboration. La bouch
neutralisations s'opèrent, l'épithélium amène des modifications des substances absorbées. Le foie, le corps thyroïde, les caps
E l\IUSGRAVE-CLAY. LVII. Fracture compliquée DU crâne avec PERTE DE substance CÉRÉ- BRALE : GUÉRISON; présentation du malade;
thermiques) peut être réalisée à la condition de l'intégrité de la substance grise centrale. Cette conclusion se trouve en b
rdance avec l'expérience géné- rale, à savoir que les lésions de la substance grise ont pour consé- quence constante des alté
cornes antérieures, et que par contre la plus grande partie de la substance blanche peut être dégénérée sans que la sensibili
le a partout sa consistance normale, et ne présente aucune perte de substance . A noter une teinte grisâtre de deux cordons post
use étude l'auteur conclut à l'existence de trois, facteurs : 1° La substance nerveuse est plus ou moins prédisposée à la par
nsations tac- tiles suivent les cordons postérieurs en dehors de la substance grise. Paralysie motrice, atrophie musculaire
laire accompagne la paralysie motrice quand la lésion siège dans la substance grise. Les troubles senitifs varient suivant le
tion des tumeurs à travers la pie-mère et par les racines dans la substance médullaire. Toute la moelle lombaire est transfor
xtra-dural. La dure-mère n'est pas déchirée et la pie-mère comme la substance médullaire ne sont pas atteintes par la tumeur.
e le deuxième segment dorsal en haut et le septième en bas. Cette substance est dissociée; on y trouve des foyers disséminés,
e membrane pareille à celle de Schwann; puis vient une couche d'une substance homogène ou granuleuse, avec une quantité consi
t d'un protoplasme granuleux. Dans la couche inférieure pénètre une substance homogène de fibres avec ses noyaux. La couche m
à fait inutile, pour la construction duquel se dépense une masse de substance nerveuse si précieuse pour l'organisme. Quelque
érébrale des deux hémisphères est amincie jusqu'à 5 millimètres; la substance grise et la substance blanche peuvent être dist
sphères est amincie jusqu'à 5 millimètres; la substance grise et la substance blanche peuvent être distinguées; épaississe- m
emi transparente. Dans la partie inférieure de la région dorsale la substance blanche est réduite, tandis que la substance gr
e la région dorsale la substance blanche est réduite, tandis que la substance grise est d'un aspect normal. Au-dessus, on aperç
ique, qui a pour base anatomique une gliose ou une gliomatose de la substance grise centrale, et que les cavités, si elles ne
d'autant plus que la gliomatose se localise principalement, dans la substance gélatineuse et, d'après l'avis de M. Roth, on p
uite pendant la vie, est du pus des abcès après l'autopsie et de la substance cérébrale autour de ces derniers indiqua que ce
fications pathologi- ques des -, par Tromner, 404. Rapports de la substance des - avec les états de repos d'acti- vité, e
sychoses - , par Rousseau, 153. Circulation. Action de quelques substances médicamenteuses sur la - cérébrale, par Giannel
- en forme de tour, par Weber,248. Fracture du - avec perte de substance cérébrale, par Smith, 458. CR.\'ECTO)iiE. Sur
choire des -, par Boody, 359. Dégénérescences secondaires de la substance blanche de la moelle par Darkschewitschsch, 132
15 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de son angle droit, confine à la corne postérieure, au niveau de la substance de Rolando. Parlant de ce sommet, l'un des côtés
insinuant entre celle-ci et la zone scléreuse ci-dessus décrite. La substance grise ne parait pas altérée dans sa forme; mais i
nce granuleuse marquée. Le canal de l'épendyme est comblé par une substance hyaline avec de nombreux noyaux. Racines. Les r
ne et semblent correspondre à la bandelette externe de Pierret. - Substance grise. - A l'étage tout à fait inférieur de la mo
un côté que de l'autre. Les cordons antéro-latéraux sont sains. - Substance grise. L'asymétrie des cornes antérieures est peu
-postérieur, qui empiète sur la corne posté- rieure au niveau de la substance de liolando. Cette bandelette renferme très peu
eu d'absolument saines. Les cordons antéro-laté- raux sont sains. Substance grise. Les cornes antérieures sont saines. Les co
démyélinisation manifeste au niveau des traclus qui cloisonnent la substance de Rolanùo; on constate aussi une diminution du
aurait insister sur la démyélinisation des fibres qui atteignent la substance grise en général et la colonne de Clarke en 'pa
u moins dans son ensemble. Nous devons en trouver l'origine dans la substance grise constituée comme on sait par un nombre in
res Irophiques, que l'observation clinique permet de placer dans la substance grise entourant le canal central, et que, par s
se entourant le canal central, et que, par suite, les lésions de la substance grise peuvent aussi bien produire l'acromégalie
rieure, une hémorrhagie du volume d'un haricot qui siège dans la substance blanche au-dessous de l'écorce du pli courbe; tou
n foyers lenticulaires, mouchetés, punctiform.es, entre lesquels la substance nerveuse est livide gris-ardoisé; de même, dans
ellule, et ces vacuoles pro- duisent une destruction profonde de la substance achromatique. Le noyau prend la faculté de se c
n terminant, M. Mouratow émet l'opinion que l'étude de l'état de la substance chromatophile de la cellule n'a pas autant d'im
plus important est la faible pénétration de l'acide osmique dans la substance nerveuse. L'acide osmique est une com- position
e plus grand, nombre des cas, l'altéra- tion porte à la fois sur la substance blanche, sur la substance grise, sur le tissu d
as, l'altéra- tion porte à la fois sur la substance blanche, sur la substance grise, sur le tissu de soutènement, sur les env
s en notant la topographie et la nature de leur altération. a) La substance blanche. Nous l'avons vue altérée dans tous les
nt lombaire, elles sont diffuses et ne respectent que la portion de substance blanche voisine de la commissure grise et quelq
n. Celles qui longent immédiatement la corne postérieure jusqu'à la substance gélatineuse qui la coiffe, en arrière du renfle
névro- glie et les vaisseaux. 86 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. b) La substance grise. - Nous l'avons toujours vue altérée, à d
s à l'oeil nu, c'est la - déformation à peu près constante de cette substance grise. Les cornes sont atrophiées et leurs cont
n résulte que, dans la région dorsale et cervicale inférieure, la substance grise, située en avant des cornes postérieures, f
les rondes, particulièrement autour du canal de l'épendyme, dans la substance gélatineuse de Rolando et la colonne de Clarke.
R8 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cellule; son nucléole disparaît et la substance homogène, résultant de la dissolution des granu
, elles paraissent raréfiées et atrophiées. Pour en finir avec la substance grise, notons une sclérose active autour de la
eure, au point où les fibres radiculaires courtes pénètrent dans la substance gélatineuse de Rolando. c) Enveloppes tissu d
e, se limite au segment postérieur. L'adhérence de la pie-mère à la substance blanche est très intime. Il se passe là quelque
cellules rondes qui obstruent le calibre du canal et infiltrent la substance grise à une assez grande distance de ses parois
s'y cantonne pas et nous la voyons pénétrer dans l'intérieur de la substance blanche en suivant les travées que l'on considé
vasculaires ne s'observent pas seulement à la périphérie et dans la substance blanche du segment posté- rieur. Elles sont trè
énètrent immédiatement dans la corne postérieure. A ce niveau de la substance grise, nous avons noté une sclé- rose plus acti
cordon postérieur était lui-même plus dégénéré. Les lésions de la substance grise sont encore bien moins faciles à interpré
nous montre ailleurs des pro- cessus analogues. Les lésions de la substance blanche se retrouvent dans les scléroses combin
esser tous les éléments constitutifs de l'axe médullaire. Dans la substance blanche, les fibres endogènes, c'est-à-dire celle
rement encore le faisceau de Gowers du cordon antéro-latéral.' La substance grise est modifiée dans sa forme générale et pr
-ci ne peut s'expliquer que par trois hypothèses : altération de la substance nerveuse qui trans- forme anormalement l'excita
pupillaire à la lumière comme à la convergence ; si l'écorce ou la substance blanche voisine était atteinte, la pupille rester
il n'y a pas lésion de cette partie de j'oculomoteur qui occupe la substance du pédoncule cérébral. Enfin, il faut noter un
s. Le professeur Ilamilton (d'Aberdeen) insiste sur l'étude de la substance colloïde, sur sa reproduction et sur son analyse.
ieure, le neurone vaso-moteur siégeant dans la partie moyenne de la substance grise, le neurone sensitif indi- rect siégeant
se trou- vent à la surface du cervelet des deux côtés du vermis. La substance du bulbe est excessivement ramollie, presque di
la queue de cheval, on voit un tissu néoformé, tantôt détruisant la substance médullaire, tantôt l'enve- loppant en forme de
es parties centrales imbi- bées de sang; à la coupe tranversale, la substance grise ne se dis- tingue que diffusément. Dans l
ransversales faites à cette hauteur ne laissent guère distinguer de substance médullaire; rien que le tissu néoformé, parsemé
épaisse; il suffit d'un faible grossissement pour constater que la substance médullaire est détruite presque complètement :
; plusieurs cellules en contiennent deux ou trois. Presque point de substance intercellulaire; par places, les cellules forme
UE NERVEUSE. affinité pour les colorants; il paraît que c'est de la substance hyaline. Dans la portion lombaire inférieure
aisceaux fibreux formant une ligne ondulée. Mais pas de vestiges de substance nerveuse dans l'espace limité par cette ligne;
re une lumière très rétrécie contenant des globules rouges et une substance granuleuse indistincte; ce sont des vaisseaux eu
ion. Le tissu paraît parsemé de petites gouttes ou de tractus d'une substance homogène, luisante, fortement colorée par 1'Iré
subi par les racines extramédullaires. Dans la partie centrale, la substance médullaire manque sur une grande étendue conséq
rés et des blocs 1 1 0 Ii Hyalins. Au centre on trouve un îlot de substance médullaire dont j cependant la teinte (coupes a
par des fibrilles nerveuses très fines res- semblant à celles de la substance grise; quelques blocs arrondis d'une masse gran
rritoires de forme irrégulière, presque incolores, constitués d'une substance colloïde amorphe ou finement granulée; elle par
on voit la subs- tance grise, bien pauvre en cellules nerveuses; la substance blanche n'est que comprimée, la myéline des cor
E DE LA MOELLE. 173 3 Iules sarcomateuses ne pénètrent plus dans la substance médul- faire, mais forment un anneau à son pour
s tubes nerveux sont distendus et remplis d'une matière amorphe, la substance grise paraît gonflée. Le tissu ner- veux ne pré
rales de la moelle sans pénétrer dans sa 174 CLINIQUE NERVEUSE. substance . Néanmoins les altérations du tissu médullaire at
lles très vastes, tantôt vides, tantôt contenant un détritus ou une substance amorphe. Pareil aspect présente la plus grande
uée. Le cordon de Burdach droit présente une structure analogue, sa substance étant toutefois moins raréfiée. Tout ce tissu e
le, ce qui a donné lieu à toute une série de trous et de manques de substance artificiels, localisés exclusivement dans la ré
es méninges, ni dans le tissu nerveux. Sur les coupes au Weigert la substance blanche a mal pris l'hématoxyline; le nombre de
asse les pyramides très écartées, sans toutefois pénétrer dans leur substance . Absolument identique est le caractère des méta
truit presque toutes les racines nerveuses, qu'elle avait envahi la substance médullaire. Les conditions étiologiques de cett
pper la moelle en forme de manchon et pénétrer par places dans sa substance ; l'épaisseur de ce manchon qui s'étend jusqu'à
lonne est creuse : on y voit une cavité à parois conjonctives. La substance centrale de la moelle cervicale (au niveau des
néoformation enveloppait le cordon médullaire sans pénétrer dans sa substance (cas d'01- livier, de Coupland et Pasteur, de C
cependant discutée : Schultze, Richter, Hippet ont démontré que la substance médullaire pouvait aussi être atteinte; néanmoi
- tée à l'espace subdural : à plusieurs endroits elle a envahi la substance médullaire et, chose étrange, souvent c'est à ces
ie inférieure du canal rachi. dien devait, avant d'avoir détruit la substance médullaire. la comprimer au plus haut degré. Il
au-dessus de la région détruite par la néoformation on voit dans la substance médullaire de vastes territoires d'ex- sudat, t
soit par des microbes ou leurs produits de sécrétion, soit par des substances toxiques résultant de la formation exagérée ou
tranche par sa coloration gri- sâtre et sa consistance ferme sur la substance blanche. La lésion s'étend depuis le lobe front
equel la périaitère n'est atteinte que secondai- rement. t. - Les substances toxiques portent leur action sur tout le système
est plus nettement localisé. Cependant on peut admettre que si les substances toxiques ne produisent pas en général de réacti
'il est impossible de dire où finit l'un et où commence l'autre. La substance chromatique et la trame chromatique sont SOCI
aient con- servé leurs dimensions normales, leur épithélium et leur substance . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 289 colloïd
s traces de desquamation épithéliale, des cristaux et des boules de substance hyaline; d'autres étaient étouffées par le déve
contenir l'axe nerveux médullaire; de fait, sur Il' les coupes, la substance médullaire faisait immédiatement hernie et form
e par Westphal « zone d'entrée des racines », située en avant de la substance gélatineuse, et dont la lésion détermine toujours
nerveuses centrales des lésions protoplasmiques qui portent sur la substance chromatique et sur la substance achromatique ;
protoplasmiques qui portent sur la substance chromatique et sur la substance achromatique ; leurs caractères 302 REVUE D'A
petites cellules de 6 à 9 fi, avec gros noyau, disséminées dans la substance céré- brale, placées sur le trajet des vaisseau
LIQUE ; par A. ADAlKIENICZ. (Neiwolog. Centralbl., XVI,,1891.) La substance nerveuse est compressible ; elle peut être compri
par les os du crâne. C'est ce que démontre du reste l'injection de substances colorantes dans la cavité crânienne ; elles pén
rien à voir avec le liquide cérébrospinal. Il y a compression de la substance cérébrale et non production de pression .cérébral
iences sont spécifiés à l'aide de figures. En voici le résumé. La substance blanche de la moelle est excitable à l'électricit
ices destinées aux parties du corps voisines ne sont pas loin de la substance grise des cornes antérieures, tandis que les fi
épandue, que les courtes fibres de la moelle se dirigent près de la substance grise, tandis que les fibres longues se servent
able de la division des arborisations terminales amyéliniques de la substance grise des centres nerveux et nous montre l'épai
es permet de croire que l'arrêt physiologique est dû à l'action des substances de régression physiologique, des produits toxiq
ètres de long sur deux de large, recouverte par une lame épaisse de substance grise. Cette excavation est située à la partie
hémisphère cérébral droit. Il y a peu d'hypérémie généralisée de la substance blanche du cerveau. Il Post mortes. Outre nos o
rs. 332 ) SOCIÉTÉS SAVANTES. sujet après douze ans de présence; substance cérébrale des deux hé- misphères très injectée;
isphère gauche. - Foyer hémorrhagique à la partie postéro- interne. Substance cérébrale des deux hémisphères très injectée. La
moyen, coloration jaunâtre de l'arachnoïde, de la pie-mère et de la substance grise dans une étendue de trois centimètres carré
de leur surface ventriculaire. Légère adhérence des membranes à la substance corticale ramollie dans les deux tiers antérieu
ace externe du cerveau. Cervelet. Arachnoïde et pie-mère jaunes (la substance cérébel- leuse ne l'est pas), à la face inférie
ne ; état d'idiotisme et de démence à peu près complet. Tel est, en substance , le certificat motivant l'admission. M. le Dr B
rales et la couche corticale qui est ramollie. La consistance de la substance blanche est normale. Cerveau très volumineux po
volution pariétale supérieure. Elles s'enlèvent facilement de la substance corticale du cerveau. Pas d'autres lésions encéph
ependant, sur les deux tiers du cerveau, elles adhèrent un peu à la substance corticale dans certains points. Cette substance
dhèrent un peu à la substance corticale dans certains points. Cette substance corticale est injectée; le cervelet, l'isthme d
cerveau dans trois cas (obs. 6, 8 et 12) ; ramollissement de cette substance corticale (obs. 6, 8 et J2); injection de la subs
ent de cette substance corticale (obs. 6, 8 et J2); injection de la substance blanche et de la substance grise du cerveau (ob
icale (obs. 6, 8 et J2); injection de la substance blanche et de la substance grise du cerveau (obs. 4, 5, 6 et 11); atrophie
ésions, principalement les adhérences de la pie-mère cérébrale à la substance corticale ramollie, diffèrent si peu de celles
antérieur du corps quadri- jumeau, contourne le bord latéral de la substance niger et rentre dans le fascicule longitudinal
édiaire, se répand dans la for- mation réticulaire au-dessous de la substance de Soemmering, où quelques-unes de ses fibres c
eau, dans la région du tuber cinereum et des corps mammillaires. La substance cérébrale et cérébelleuse est normale. Les orga
1310 grammes; la capsule est ridée, ratatinée et liés épaissie. La substance en est résistante à la coupe, qui apparait comm
e des régions cervicale et lombaire envoie des diverticuies dans la substance grise. La conclusion qui s'impose, c'est qu'il
l'examen bactériologique du sang, de la pulpe splé- nique et de la substance cérébrale resta négatif. (Revue neurolo- gique,
traîner la dégénérescence de ces cordons ou la désintégration de la substance grise ; voilà pourquoi ladite compression ne prod
jeun et rapidement absorbé, est allé imprégner et impressionner la substance corticale de ce jeune cerveau, donnant lieu à u
t nettement du tissu environnant. Ces traînées sont situées dans la substance grise et plus souvent entourent ou côtoient un
tion des foyers sus-mentionnés ainsi que ceux de la structure de la substance cérébrale en général, nous consta- tous que cel
autres ont dis-' paru sans laisser des traces reconnaissables. La substance fondamentale a perdu sa transparence habituelle.
e grands espaces vides, résultat du ratalinemeut pathologique de la substance fondamentale. Nulle part nous n'avons vu ces es
émarcation bien nette dans le tissu nerveux environnant, soit de la substance grise, soit de la substance blanclie. Elles son
e tissu nerveux environnant, soit de la substance grise, soit de la substance blanclie. Elles sont constituées par deux éléme
nous constatons que ces petits foyers sont formés d'une trame de substance fondamentale à mailles excessivement larges. Les
artout dans le foyer, on rencontre de nombreux leucocytes. Là où la substance fondamentale le permet, on voit très bien le mi
finement granuleux, mais ne contient jamais de myéline ou d'autres substances étrangères. Les noyaux de ces cellules sont trè
mode de production. ' Jusqu'à présent nous n'avons parlé que de la substance grise. En effet, toutes les trois formes de foy
précédemment décrits siègent dans la corticalité cérébrale. Mais la substance blanche n'est pas indemne d'altérations. Ces de
s sont d'autant plus prononcées que les foyers inflammatoires de la substance grise siègent plus près de la substance blanche
foyers inflammatoires de la substance grise siègent plus près de la substance blanche. Voici ce que l'on observe dans cette d
e dans cette dernière quand les foyers siègent à la limite des deux substances . Les vaisseaux présentent pour la plupart les m
aux présentent pour la plupart les mêmes altérations que ceux de la substance grise. Mais dans leur entourage on se trouve en
es ceilules s'observent à l'état isolé dans une large étendue de la substance blanche. L'endothéliulll des capillaires a prol
qu'à poursuivre ce qu'elles deviennent quand nous approchons de la substance grise. En effet, à mesure que nous montons vers
celte diffé- rence dans la coloration des cellules névrogliques des substances blanche et grise ? Il nous est impossible de no
très prononcée qui n'est plus nettement visible quand on examine la substance blanche des circonvolutions faiblement atrophié
altérations diffuses de la POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 441 J substance cérébrale des circonvolutions atteintes. Faisons
nous passerons rapide- ment en revue les faibles altérations de la substance grise loin des gros troncs vasculaires. C'est l
ang, et leur paroi des cristaux d'hématine. Autour des vaisseaux la substance fondamentale n'est nullement altérée. Mais le f
vancés. Ces derniers temps on a Lien étudié les modifications de la substance chroma- tophile des cellules nerveuses dans les
in des corps granuleux et des corps pig- mentaires apparaissent. La substance fondamentale éprouve des modifications profonde
ns la zone inflamma- toire continue longtemps après. Si la perte de substance cérébrale n'est pas très considérable, elle est
ussées d'encéphalite aiguë. 447 menteux quelquefois'. Peu ou pas de substance fondamen- tale. Les vaisseaux présentent de la
(cas n° 3) ou plus souvent nombreux. Ils siègent toujours dans la substance blanche. Le cas n° 3 siège bien dans la cor- ti
s cellules plus ou moins rondes, disséminées un peu partout dans la substance blanche du cerveau. Et cette lésion, qui d'aprè
sur Idinische Jlecl., 1891, XLVII. 448 PATHOLOGIE NERVEUSE. la substance grise, recouvrant le quatrième ventricule, l'aq
actérisée anatomiquement à peu près par les mêmes altérations de la substance cérébrale. Seulement les foyers de cette derniè
e cérébrale. Seulement les foyers de cette dernière siègent dans la substance blanche de n'importe quelle région de l'encépha
ve pas de corps granuleux. Les cellules nerveuses, la neuroglie, la substance fondamentale demeurent intactes. On n'a jamais
amais trouvé non plus de microbes patho- gènes. Macroscopiquementla substance blanche était humide. Mais la véritable caracté
dégénérescence rapide des cellules nerveuses, la dissolution de la substance fondamentale, mais surlout la formation de gros
les cellules nerveuses. poussées d'encéphalite aiguë. 453 La substance blanche répond très vivement au processus infla
leur apparition comme la conséquence d'une faible irritation de la substance blanche. Comme preuve de ce que nous avançons v
correspondant aux foyers inflammatoires ont disparu. Le reste de la substance blanche paraît normal. Donc dans notre cas, au
ue, loin des foyers inflammatoires, les cellules névrogliques de la substance blanche prolifèrent avec une grande intensité.
endre l'absence complète d'altérations des cellules nerveuses, delà substance fonda- mentale et des cellules névrogliques dan
), petit vaisseau à adventrice proliférée ; f r, dissolution de la substance fondamentale. Même grossissement. PSYCHOLOGIE.
érieure jusqu'a l'arête du manteau, mais c'est tout superficiel, la substance blanche est restée intacte. Il existe en même t
ons peu caracté- ristiques ; 2° la toxine diphtérique ne modifie la substance blanche de la moelle que dans des cas exception
ains de chromatine et le protoplasme consiste principalement en une substance achroma- tique ayant l'aspect d'un réseau (spon
psulaire et que cette suppression entraine l'accumulation rapide de substances toxiquesdans le sang; -, il reste à déterminer
réseau à mailles plus ou moins denses dans lesquelles il existe une substance fondamentale d'un- pouvoir tinctorial variable.
s, collatérales qui d'abord assez volumineuses pour laisser dans la substance grise des traces directes ou indirectes de leur d
Une dégénération aberrante et qui peut occuper tout le champ de la substance blanche. Elle se distingue de la première en ce
t, s'y modifient peut-être, et l'existence d'une grande quantité de substance chromatique est une consé- quence même de cette
di fren., 1897, fasc. I.) 1 LI. La signification pathogénique DES substances toxiques dans l'urine DES aliénés; par PELLEGRI
élevé que les urines contiennent une plus grande quantité de cette substance , dont l'augmentation dé- pend surtout des mauva
une section complète de la moelle cervico-dorsale chez le chien, la substance grise de la moelle lombo-sacrée ne reste pas inta
sectionné, sont envahies par la chromatolyse. Cette lésion de la substance grise de la moelle lombo-sacrée n'est cependant p
ue cas le nerf baigne une minute dans une solution au dixième de la substance essayée. Les corps étudiés dans cette nouvelle
aux, équivalent à un simple lavage du nerf d'essai pro- duit par la substance arrivant la seconde ; un antagonisme suc- cessi
ution est à 1 p. 100, l'immersion dure une minute. Certaines de ces substances n'ont permis aucune conclusion ferme, d'autres
l., XVI, 1897.) La partie des cordons latéraux blancs contigué à la substance grise, ou couche limitante de Flechsig, ne cont
ement en rapport avec les cellules des seg- ments postérieurs de la substance grise et constituées de fibres courtes. Or, l'o
n fond incolore ; on voit très bien les fibres les plus fines de la substance grise de la moelle, des lobes cérébelleux, de l
au bain-marie pendant une à deux heures. Presque tout de suite, la substance blanche de la moelle tranche sur la substance g
e tout de suite, la substance blanche de la moelle tranche sur la substance grise plus claire ; la couche blanche du cerveau
p. 100. On décolorera ainsi à son gré jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance blanche soit bleu-noir et la substance grise plus
jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance blanche soit bleu-noir et la substance grise plus ou moins incolore. Au microscope, le
gements ; le protoplasma en est jaune, le nucléole noir intense, la substance intermédiaire incolore. Dans les préparations c
avait affaire il une syringomyélie, ce qui prouve l'atteinte de la substance grise, et suppose vraisemblablement une hémato-
t. 1° Inanition avec conservation des liquides. Les dessins de la substance chromatique subsistent, mais les mottes chromatiq
- trent dans la partie périphérique du protoplasma ; entourées de substance chromatique vive, elles débutent par un tache pâl
cela prouve qu'il y a trouble de nutrition de la cellule, et que la substance chromatique est intimement en rapport avec la n
é du cerveau oscille assez généralement autour - de 1 030 et que la substance de cet organe se gonfle assez bien dans l'eau p
de ces fibres radiculaires forment les longues voies qui gagnent la substance grise du bulbe par le cordon postérieur jusqu'au
n REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. S07 î de la substance grise de l'aqueduc de Sylvius et, l'embrassant de
de Sylvius et, l'embrassant de dehors en dedans, projettent dans la substance grise de nombreux rayons collatéraux; après avo
rayons collatéraux; après avoir tourné autour du bord externe de la substance grise, après avoir contourné le noyau principal d
v, petit vaisseau à adventrice proliférée ; f r, dissolution de la substance fondamentale. Même grossissement. TA13L1 DES
1. Typhoïde. Fièvre chez les alié- nés, par Hyvert, 103. Urine. Substances toxiques de l' - des aliénés, par l'ellegrini,
16 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
que nous venons de décrire : l' Les faisceaux capsulaires; 2° La substance médullaire comprise entre les fais- ceaux et l'
ette dernière partie, il est bon de constater que les lésions de la substance grise qui tapisse le fond des scissures devront
sulaires frontales extra-nucléaires; 2" Loin de ce trajet, sur la substance blanche sous- corticale, sur l'écorce elle-même
bs. XXVIII de la thèse de M. Pitres (résumé). Aphasie. Lésion de la substance ' blanche avoisinant la troisième circonvolutio
maladie du rein. Deux foyers transformés en kystes, confinant à la substance grise de la troisième circonvolution frontale g
GIQUE. taie gauche, méninges épaisses et adhérentes. En ce point, substance cérébrale déprimée et diminuée de consistance.
'extrémité antérieure du noyau ventriculaire du corps strié avec la substance médullaire du lobe frontal, la con- sistance du
rbée par l'étude des circonvolutions et de la subs- tance grise, la substance médullaire était négligée; c'était, avons-nous
LOGIQUE. et passive. Une légère diminution de consistance dans la substance médullaire, adjacente au noyau caudé, ne pouvai
s phénomènes pathologiques qui pouvaient provenir des lésions de la substance médullaire, a essayé d'en déterminer la topogra
nvo- lution frontale gauche. Ramollissement central, diffus de la substance blanche du lobe pariétal. Les bords mal limités
, corps granuleux que l'on constate au microscope, jusque dans la substance blanche du pied de la troisième circonvolution
ar les moyens ordinaires une légère diminution de consistance de la substance médullaire à côté du noyau caudé, et néanmoins,
éanmoins, le microscope lui fait découvrir dans l'intimité de cette substance la cause matérielle de la perte de la parole.
t n'accep- ter qu'avec réserve toute observation dans laquelle la substance médullaire confinant au bord externe du ventric
de l'embryon par une solution de pepsine chlorhydrique, on voit la substance fonda- mentale se digérer complètement, ce qui
conclut qu'il existe un rapport histogénique et chimique entre la substance myéiinique et la névroglie, partant, qu'il n'y a
e proli- fération de la névroglie. Ce qui prolifère, c'est la vraie substance conjonctive qui, elle, peut se transformer fina
ansformer finalement on tissu con- jonctif véritable. Mais alors la substance fondamentale disparaît et cède le pas à la néop
aval. 76 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. IL Recherches sur L1 substance guise centrale DE la moelle 15PI- NIÈRE ET DE L
lques remarques au sujet du déve- loppement de la névroglie dans la substance grise de la moelle (substance poliosynectique).
- loppement de la névroglie dans la substance grise de la moelle ( substance poliosynectique). Puis étudie les cellules gangli
oliosynectique). Puis étudie les cellules ganglion- naires de cette substance ; parmi les figures qui sont jointes à son trav
ttribue la transparence plus grande des coupes de la moelle dans la substance grise à ce que le tissu synectique à ce niveau
niveau possède un indice de réfraction assez voisin de celui des substances employées pour le montage des pièces. Il étudie
ls renfermeraient, au niveau du bulbe, une assez grande quantité de substance grise sous forme de substance synectique, dans
bulbe, une assez grande quantité de substance grise sous forme de substance synectique, dans laquelle se trouveraient même à
t nette des éléments cellulaires, delà subs- tance nerveuseet de la substance conjonctive. - Pour isoler le fais- ceau non en
icale et dorsale (granulations obscures et grains pigmentaires delà substance grise), et l'inflammation parenchyma- teuse de
(Neurol. Centrttl6l., 1882.) Il s'agit d'une forme paraplégique. La substance grise antérieure de la moelle lombaire présente
e l'hémisphère. CH. F. XX. PÉNÉTRATION d'un FRAGMENT DE FER DANS LA SUBSTANCE CÉRÉBRALE; mort en quatre mois; autopsie; par B
es fibres épaisses qui commencent à se conglomérer en trousseaux de substance blanche. Ceci s'applique communément aux circon
tous calibres, parallèles à la surface, libres si prononcées que la substance fondamentale a disparu. C'est par le système de
, tantôt fait disparaître l'excitabilité de l'écorce, tandis que la substance blanche ne subit point de changement T. KAHN. I
amas de corpuscules arrondis, réunis par un enduit gélati- neux de substance amorphe ; le bacterium thermo, petit bâtonnet r
hénomènes ne peuvent s'expliquer que par une altération de toute la substance grise, ou par une méningite assez étendue pour
rs. Sous ces plaques de méningite adhérentes à l'écorce, on voit la substance des circonvolutions ramollie, diffluente, en- f
ingite tuberculeuse sont de nature inflammatoire aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise, mais ce n'
ture inflammatoire aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise, mais ce n'est pas de l'inflammation fran
et la deuxième circonvolution i frontalê;itin épaississement de. la substance .Igriseaavoisinantr : lesicentres moteurs, 'sans
pagné de'rhodiCicati'ons3de consistancedmais àson, : voisi- nage la substance bIahchéqbst'un : fpeutràh)oUien)'&) r2éxa7-
foyer hémorrha- gique dans le centre ovale limité en dedans par la substance grise du lobule paracentral, en haut et en deho
le et pariétale; en bas, il est séparé du corps strié par un lit de substance blanche de 1 centimètre d'épaisseur; en avant,
93 août.l8 ? 8; elle meurt le,16 septembre. -) il Autopsie. Dans la substance blanche de l'hémisphère gauche, au-dessus du ve
rieure de l'insula pour troubler par ses lésions les usages de la substance médullaire confinée à la partie antérieure du b
, avec de petits foyers purulents. L'altération est surtout dans la substance ,1111 ? i-i ,'r-7,i .0 -.1 'I v, ,w > ? 'J ?
,'r-7,i .0 -.1 'I v, ,w > ? 'J ? 1» ? ./t't ? U/ . corticale; la substance médullaire ulfré des espèces C.0clo DES IRRADIA
du volume d'une noisette, facile- ment énueléale, siégeant sous la substance grise dans la "p'artie postérieure delà troisiè
est le même. Dans l'un comme -dans l'autre, elle se trouve dans la substance médullaire sous-corticale de la troisième front
rntatw e t)tauou '>eq un Cancer de deux pouces de long dans.. la substance médullaire dulobe trontat droit n atteignant, p
es cérébraux, et rapporter tousicesiderniers à. l'altération de la. substance grise corticaleRaisonnant; comme l'avait fait'B
ntraîné Ia : pêrte du lan-' gage; l'altération de l'écorce et de la substance blanche sous-corticale n'a été qu'une simple co
s l'épaisseur du lobule de l'insula droit ; entre l'avant-mur et la substance grise de l'insula droit il reste en- core une é
rejeté en dedans, il est séparé du foyer par une légère couche de substance blanche; hémiplégie gauche; membre supérieur co
Nous le croyons, et cette explication découle natu- rellemeut de la substance même de notre mémoire. On sait, en effet, que l
pendant de celui de l'écorce et de toute la portion latente de la substance médullaire correspondante. Il est donc probable
chargée d'artérialiser la tête du noyau caudé et la partie de la substance médullaire adjacente au bord externe du ventric
de la face convexe latérale, mais très souvent, ' dans la partie de substance nerveuse intermédiaire; existe un - sillon tran
cinquième couche. · En comparant une série de douze coupes de la substance corti- cale chez des paralytiques généraux et u
aralytiques généraux et une série de douze autres coupes de la même substance chez des sujets atteints d'autres affections me
en partie, de la corne descendante du ventricule latéral, par de la substance cérébrale. L'examen microscopique montra qu'il
blable, au point de vue de la couleur et de la consistance, à la substance corticale du rein. R. ill. G. XXIII. L'oiTUSION
à conclure que ce n'est point la quan- tité, mais la qualité de la substance nerveuse qui est imparfaite. De pareilles modif
ultant d'une sorte de viscosité des molé- cules constituantes de la substance nerveuse. Lorsqu'il est congénital, cet état pe
rontale gauche; ils occupaient les couches les plus profondes de la substance grise et la substance blanche immédiatement sit
cupaient les couches les plus profondes de la substance grise et la substance blanche immédiatement située au-dessous. Ils ét
rsora'sb ni J9 si Le cereau-pèsés4;170Jgramntes; : sbni',tissu La substance grise est réduite à l'état de sinlplé·I31üéllé su
irais a REVUEÏDE ^PATHOLOGIE .MENTALE. 213 un degré moindre ? La substance ^ grise a-gauche,. étaiti assez, forte- ment inj
droit,quelqnes,l.3ïsteûde la grosseur d'unipois, contenant ' unej, substance , blanche, cireuse, colloïde. : Les" artères et'
chemin par911,1nle scrihlée.de l'ethmoïde, et qui, avait, creusé.Ja substance osseuse du -frontal.. Par ;sa, couleur, etj,sa
sons à "l'appui sont : la coïncidence" temporelle) pour) les .deux substances de pliases de' développement1 pleines d'importanc
comporte une période fondamentale dans laquelle se forme une riche substance intercellulaire. Ranvier fait provenir toute la
une riche substance intercellulaire. Ranvier fait provenir toute la substance finement granuleuse de la destruction des -fibr
assez, nombreuses pour permettre d'expliquer l'origine de toute la substance , moléculaire, et l'on ne saurait comprendre pou
n ne saurait comprendre pourquoi elles ne se détruisent que dans la substance grise. Enfin, cette théorie ne nous donne pas l
rie ne nous donne pas la clef de la grande différence qui sépare la substance blanche de la substance grise (aspect, réaction ;
clef de la grande différence qui sépare la substance blanche de la substance grise (aspect, réaction ; 'développement).Ranvi
la racine ascendante du glbsso-pharv ngien. Au bord in- terne de la substance gélatineuse de la' corne postérieure, on ren- c
l lui semble qu'il coupe une rave ou un morceau de charbon, que ces substances crient sous la dent, etc .. ; insomnie entreten
la pompe àfeu, J'eau cotitientencore trois à quatre millionièmes de substances organiques. Après la seconde, elle n'en a plus
EPSIE JACKSONNIEKNE. H07 forme d'une lamelle qui entraine un peu de substance nerveuse. Le foyer a une coloration jaunâtre gé
nâtre générale avec des ilôts rosés. (PL. VI). Il semblerait que la substance grise forme une sorte de voile mobile sur la cr
substance grise forme une sorte de voile mobile sur la crête de la substance blanche sous-jacente. Hémisphère droit. Face co
lte subs- tance soulevée avec la pince glissait sur le squelette de substance blanche comme une sorte de membrane : c'est la
uelette de substance blanche comme une sorte de membrane : c'est la substance grise déta- c/t';ede/(tt' : <6s<aHeeo<
halite ordinaire dans laquelle la pie-mère est si adlié- rente à la substance grise que, dans son ablation, on met à nu le sq
substance grise que, dans son ablation, on met à nu le squelette de substance blanche tandis que la substance grise, adhérent
lation, on met à nu le squelette de substance blanche tandis que la substance grise, adhérente à la pic-mère, offre les relie
arties n'a eu lieu qu'après macération du cerveau dans l'alcool; la substance grise des parties lésées s'est plissée, ridée s
; la substance grise des parties lésées s'est plissée, ridée sur la substance blanche et a pris une coloration légèrement jau
plus souvent séparé de la scissure callosomarginale par un pont de substance nerveuse, de sorte que l'on ne sau- rait dire q
e se relierait au lobule paracentral que par un pont très étroit de substance nerveuse situé à la lisière du manteau des circ
s un peu avant de la scissure pariéto-occipitale. P. Kérwal. IX. La substance DE soutènement du système nerveux central ; par
mme du tissu conjonctif. Elle se compose d'éléments fi- gurés et de substance amorphe. Cette dernière constitue, par exemple,
et de substance amorphe. Cette dernière constitue, par exemple, la substance fondamentale de la substance grise et des plus
te dernière constitue, par exemple, la substance fondamentale de la substance grise et des plus fortes travées de la substanc
fondamentale de la substance grise et des plus fortes travées de la substance blanche ; elle est molle, mais ferme, absolumen
des. -Au point de vue de la texture générale, la névroglie forme la substance de soutien et d'enveloppe des éléments nerveux;
nes des autres, directement sous la pie-mère. C'est surtout dans la substance blanche de la moelle qu'on en constate le mieux
nt office de gaines, sans constituer de vraies mem- branes. Dans la substance grise, la névroglie forme des ré- seaux cellula
orme des ré- seaux cellulaires dont les intervalles sont remplis de substance fondamentale. Ici prédomine la substance fondam
ntervalles sont remplis de substance fondamentale. Ici prédomine la substance fondamentale; c'est elle qui cimente le nombre
erveuses. Il y existe aussi des endroits tout entiers construits de substance de soutènement. Tels sont les traits généraux q
dant dire en terminant, que, parmi les vaisseaux sanguins, les uns ( substance blanche de la moelle, du bulbe, du cerveau), po
lbe, du cerveau), possèdent une enveloppe de névroglie (cellules et substance fon- damentale), les autres (substance grise de
pe de névroglie (cellules et substance fon- damentale), les autres ( substance grise de l'encéphale) courent, sans enveloppe v
able d'une partie de la commissure moyenne et du segment contigu de substance grise importe peu quant à la vue) ; le même opé
estruction de la couche optique, mais de la lésion simultanée de la substance grise centrale adjacente, qui entoure la partie
les viennent du nerf optique après que le chiasma a pénétré dans la substance de l'encéphale, et se rendent alors aux noyaux
vèle les alté- rations ordinaires de la méningo-périencéphalite; la substance cérébrale et la moelle sont dures et élastiques
ge d'un processus scléreux nettement caractérisé ; de plus entre la substance blanche et la couche corticale, on rencontre de
l'étude micrographique pure de deux faits. L'auteur établit que la substance grise contient un réseau à mailles fines consti
stance grise contient un réseau à mailles fines constitué par de la substance fondamentale conjonctive dont les travées solid
ratine bien plus que du tissu élastique. Les noyaux qui occupent la substance même de ce réseau appartiennent à des cellules
n voie de développement. M. Friedmann, admet, en ce qui concerne la substance blanche, les théories de Jastrowitz, Kuhne, Bol
des cellules, il y ait des fibres libres; nulle part on ne voit de substance granuleuse amorphe. Quant au processus scléreux
: 1'unelonte, traînante, engendrant la destruction graduelle de la substance nerveuse ; l'autre, à évolution rapide, dans la
rgner les départements les plus internes des cordons latéraux et la substance blanche con- ligué des cornes antérieures, ains
de la conductibilité sensitive émane toujours d'altérations de la substance grise de la moelle, cette opinion doit supporter
les cas d'extirpation des zones motrices de l'écorce du cerveau, la substance blanche fut trouvée lésée sur une étendue varia
r l'opération). On iencontra toujours, alors même que les pertes de substance étaient très superficielles, très limitées, une
férence d'avec l'état normal; quant aux fibres myéliniques c'est la substance intercellulaire épaissie qui masque un peu les dé
es les circonvolutions cérébrales, c'est d'abord à la lisière de la substance blanche qu'apparaissent les fibres nerveuses à
che, sans désemparer, du centre de la périphérie ; 2° La lisière de substance blanche de l'écorce du lobule paracen- tral et
e circonvolution frontale ne contiennent encore, dans la lisière de substance blanche, aucune fibre nerveuse à myé- line. P.
onvolutions du côté gauche sont plus petites qu'à l'état normal. La substance blanche des lobes antérieur et moyen est réduite
avancée. A la coupe, la subs- tance grise normale est convertie en substance presque blanche ; bien qu'avancée, la sclérose
es régions malades, par une sorte d'union des couches adjacentes de substance grise pure. Cet état, que l'auteur n'avait jama
nversion de l'instinct sexuel. P. M. XLV. SCLÉROSE DE la LISIÈRE DE substance blanche DU cerveau dans la démence paralytique;
ce tissu de corpuscules osseux qui, en fin de compte, ossifient la substance musculaire, mais en en atrophiant les éléments. U
hérents au squelette sous-jacent, ou bien ils se présentent dans la substance musculaire même sous la forme de lames larges ou
qu'on a séparé, qu'on a même détruit, à l'aide d'une cu- rette, la substance cérébrale d'un côté, ou dans les deux hémis- ph
a vue, alors qu'ici une lésion profonde jusqu'à l'irradiation de la substance blanche peut demeurer sans résultats, même dans
he, il serait à priori tout à fait improbable que l'énorme masse de substance cérébrale qui forme le lobe frontal de l'homme
e ce qui ne passe pas avec les vapeurs d'eau, est constitué par une substance résineuse qui, elle, possède des effets physiol
très prononcé et très étendu de l'artère sylvienne gauche, mais la substance cérébrale ne présentait aucun résidu anatomopat
u de la surface entière de l'encé- phale, à laquelle participait la substance grise elle-même enflam- mée ou atrophiée (exame
s certains faisceaux du même côté de la moelle, quand les pertes de substance sont étendues, a fait défaut ici après l'ablati
partiments à contenu jaune graisseux, et a détruit une partie de la substance corticale et médullaire de l'organe ; à la convex
citation nerveuse ; le mouvement ondulatoire gagne la cellule de la substance grise; cette cellule, en l'arrêtant, le transfo
e (étude sur la), par Chantemesse, 124. Moelle épinière (sur la substance grise de la et de la moelle al- longée), par
17 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
ichromate d'ammoniaque nous a toujours semblé supérieur à toute autre substance , même pour la facilité avec laquelle se colorent
le moment de procéder aux sections méthodiques, on s'expose à voir la substance cérébrale s'émietter sous le couteau en petits bl
le ou dans la capsule interne les trois ou quatre petits fragments de substance blanche, où l'on s'attend à trouver les corps gra
e colorante; et la qualité de la lumière réfléchie par cette nouvelle substance , dont le tissu nerveux est la charpente, varie, s
surfaces de section selon que le rayon lumineux éclaire un cercle de substance myélinique, ou une petite ellipse, ou une grande
x, on arrive à préciser l'incli-naison des faisceaux stratifiés de la substance médullaire et le trajet des fibres qui la compose
Le second inconvénient consiste dans la similitude de couleur de la substance blanche ou médullaire et de la substance grise ou
similitude de couleur de la substance blanche ou médullaire et de la substance grise ou ganglionnaire. Mais ce n'est là qu'un in
d'attention pour faire la différence entre les unes et les autres. La substance ganglionnaire est d'un vert ardoisé; la substance
s et les autres. La substance ganglionnaire est d'un vert ardoisé; la substance médullaire est d'un jaune brun. Comme ces deux te
afin que les vaisseaux entraînés par le couteau, entre la lame et la substance nerveuse, ne tracent pas de sillons sur la surfac
X. Par là seulement on se rend compte du trajet des faisceaux dans la substance blanche et de leurs terminaisons dans la substanc
faisceaux dans la substance blanche et de leurs terminaisons dans la substance grise; par là surtout on saisit, dans son ensembl
T. Lamina terminalis. Lem. Lemniscus. Lm. Lamina medialis. LMV. Substance réticulaire du carrefour frontal. M. Gouttière de
illon sous-frontal, 45, 45. sf. Deuxième sillon sous-frontal. Su. Substance grise centrale sous-épendymaire. si. Sillon du
eife des Allemands). LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. M. Gouttière de Monro.
remier sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous-épenclymaire. si. Sillon du
edunculi, 61. K. Scissure calcarine. L. Scissure limbique. LMA. Substance réticulaire d'Arnold, 59. NaC. Noyau antérieur
ale, 68, 75. GSf. Deuxième circonvolution sous-frontale, 75. GSL. Substance grise du septum lucidum, 74. Hip. Circonvolutio
me festonnée, 140. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold. olh. Quatrième sillon oc
ure limbique, 141. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold, 144, 145. ot,t. Quatrièm
ure limbique, 156. LMÀ. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulairc d'Arnold, 151, 152. P. Circonvoluti
Scissure limbique. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold, 165. o/,,. Quatrième sil
na convoluta, 178. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold, 171, 175. LST. Stratum
re limbique. Laq. Laqueus, 162. LC. Lamina convoluta, 187. LMA. Substance réticulaire d'Arnold. LMA'. La môme substance sur
convoluta, 187. LMA. Substance réticulaire d'Arnold. LMA'. La môme substance sur un plan plus antérieur, 187. LST. Stratum lac
ure de la scissure de Sylvius, 185. sC. Sinus du corps calleux. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 188. T1. Premièr
l, 200. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 195. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 196. T1. Premièr
221, 222. S'. Rranche postérieure de la scissure de Sylvius, 204. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 205, 209, 216. T
térieure de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps calleux. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 227. T1. Premi
CP. Commissure postérieure. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du troi-sième ventricule, 250. FCF. Faiscea
ina medialis, 251. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold. Lmd. Lamina lateralis,
fibres du centre ovale, 269. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du troisièm e ventricule, 267. F. Circonv
ontale de Reil, 516. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LMl. Lame médullaire in
stérieur, 555. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 555, 554. SE. Si
aisceau ou fibres du centre ovale. COL Commissure inférieure (dans la substance grise du tuber cine-reum). DF. Pilier descendan
icq-d'Azyr, 557, 559, 567, 568. GAP. Ganglion de l'anse pédonculaire, substance innominôe sous-lenticulaire, 560, 562. GLA. Globu
u putamen, 572. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 575. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 558, 566. T1.
ps calleux, 585. Cin. Cingulum. COI. Commissure inférieure (dans la substance grise du tuber cine-reum). DF. Pilier descendan
586, 587. Sr. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire. Tse. Tsenia se
05. GUI. Globus medialis, 590, 595. GLP. Globus pallidus, 591. GSL. Substance grise du septum lucidum, 592, 598, 404. L. Scis
GR. Gyrus rectus, 412. GS. Pyramide grise de Sœmmering, 410. GSL. Substance grise du septum lucidum, 409. GVE. Gyrus vestib
ps genouillé interne, 429. G1P. Ganglion interpédonculaire. 429. GSL. Substance grise du septum lucidum, 450, 455. IN. Insula de
458. GLM. Globus medialis, 457. GLP. Globus pallidus, 457. GSL. Substance grise du septum lucidum, 456. 1IAB. Habena, hab
GMA. Gyrus métopique antérieur. GP. Lobule du pli courbe. GSL. Substance grise du septum lucidum, 441. 11AB. Ilabena, ha
e. LFE. Lame festonnée. LES. Capsula extrema, moelle de l'insula, substance blanche innommée de l'insula. LMI. Lame médulla
55. GLP. Globus pallidus, 455, 456. GR. Gyrus rectus, 449. GSL. Substance grise du septum lucidum. IN. Insula de Reil.
o-caudées, 455. LFE. Lame festonnée. LFS. Capsida extrema. LMA. Substance réticulaire d'Arnold, 450. LMI. Lame médullaire
l'habénule. GI. Corps genouillé interne. GR. Gyrus reclus. GSL. Substance grise du septum lucidum, 458. K. Scissure calcari
. Capsula exlrema. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LML Lame médullaire inter
old. LML Lame médullaire interne du thalamus. LMV. Lame médullaire ou substance réticulaire du carrefour frontal, 457. NA. No
a lamina convoluta LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold. LST. Stratum lacunosum.
. Capsula extrema. LMA. Lame blanche corlicale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold, 464, 465. LN. Locu* nig
. GH. Ganglion de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. GSL. Substance grise du septum lucidum. K. Scissure calcarine.
lenticulo-caudées. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LML. Lame médullaire exte
médullaire externe ou latérale du thalamus. LMV. Lame médullaire ou substance réticulaire dn carrefour frontal. LY. Lyre de D
18 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
il ressort que, par suite de la perméabilité variable des diverses substances précitées, les résultats obtenus par la photograp
opsie, on a trouvé une gliomatose qui intéressait principalement la substance grise centrale; mais par places elle empiétait
la substance grise centrale; mais par places elle empiétait sur la substance blanche. Voire que dans les cordons posté- rieu
4. d4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE myélite aiguë de la substance grise, survenue dans le cours d'une maladie inf
stérieure, en arrière du canal cen- tral, quelquefois aussi dans la substance gélatineuse de Rolando, ou sur le trajet de la
rajet de la racine ascendante du trijumeau. Elle envahit d'abord la substance grise centrale, puis la corne postérieure qu'elle
scendante. Enfin vous vous rappelez que dans le cas de Schuppel, la substance grise centrale et les cordons postérieurs manqu
tement les cordons postérieurs. ' La lésion est-elle limitée à la substance grise ? J'incline à croire que non. A en juger
, il est très vraisemblable, comme je viens de vous le dire, que la substance blanche des cordons pos- térieurs el même des c
mis en communication avec un tambour Vlarey par un tuyau de la même substance . ix 3 ' Fie. 3. - Le Clonographe. TRACÉS OB
e-mère, arachnoïde, pie-mère, vaisseaux, tumeurs, faisceaux blancs, substance grise, racines. I. Dure-mère. Généralement peu
eaux blancs voisins, sa limite est moins nette dans la région de la substance grise, vers la commissure par exemple, où l'inf
nt : on voit dans ces régions le tissu médullaire, quel qu'il soit, substance grise ou substance blanche, s'infiltrer peu à peu
es régions le tissu médullaire, quel qu'il soit, substance grise ou substance blanche, s'infiltrer peu à peu de petites cellu
ondation embryon- naire atteint d'abord les parties centrales de la substance grise, où elle disloque t'architectonique des t
issement. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 69 VII. Substance grise. Nous avons vu, en décrivant la topographie
s-ci. Aussi ne pouvons-nous décrire les lésions histologiques de la substance grise an- térieure que dans le voisinage des go
oins intense ; les petites cellules rondes parsèment diffusément la substance grise, formant çà et là des traî- nées périvasc
t continué sur le même type, atteignant son maximum au niveau de la substance grise des cornes antérieures. Cette localisatio
e plus riche, soit par une vulnérabilité plus grande du tissu de la substance grise ; on sait d'ailleurs que la thrombose de
andis que les premiers (tacti- les), après avoir fait étape dans la substance grise de ta cptpnneposténeure, gagnent les régi
enni- que et douloureux) paraissent constitués exclusivement par la substance grise elle-même. Or si nous rapprochons les sym
nt et l'étage de la lésion, et que le relai sensitif établi dans la substance grise était intéressé dans le pro- cessus. A ce
sensibilités thermique et douloureuse, dont les voies conductrices ( substance grise) sont manifestement interrompues des deux
ongueurdi- minuée de volume, dure, sans trace de division entre les substances et tout à fait semblable à un tendon fibreux, s
t formée par du tissu lamineux, condensé, feutré et entremêlé d'une substance granuleuse abondante. L'examen des deux moelles
t rétiforme, de même il y avait de la tuméfaction du ré- seau de la substance grise. Çà et là, on trouvait dans la substance mé
on du ré- seau de la substance grise. Çà et là, on trouvait dans la substance médul- laire et autour des vaisseaux des sillon
profondeur du sillon, productions fibreuses s'éten- dant jusqu'à la substance grise, attaquant le canal central qui est entouré
a face interne de la dure-mère par de nombreux et forts tractus. La substance médullaire est grisâtre. La dure-mère est épaissi
es cordons postérieurs et dans les commissures blanche et grise. La substance blanche est atrophiée. Quelques groupes de fibres
t extrêmement grêles. Les tuniques des vaisseaux sont épaissies. La substance grise est disposée d'une façon asymétrique. Le
re des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée avec atrophie des cellu
ure blanche du côté droit jusqu'à envahir, par un court tractus, la substance de la corne grise antérieure dans sa partie la
ogue, existe un diverticule beaucoup plus petit ne dépassant pas la substance de la commissure blanche. Les cordons de Burdac
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tain degré de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance
de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des cornes grises est irrégulièrement disposée et
ulier. Légère hyper- calcification des centres d'ossification. La substance cérébrale ramollie ne permet de relever aucune lé
Le canal est revêtu de l'épithélium proliféré et est entouré d'une substance scléreuse. Dans la substance blanche, on trouve
thélium proliféré et est entouré d'une substance scléreuse. Dans la substance blanche, on trouve de très rares fibres nerveuses
s, dans la partie la plus périphérique des cordons de Burdach. La substance grise est diminuée de volume dans sa totalité, di
peu de fibres nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La substance grise des divers segments est dégénérée, les ce
dédoublement, le canal central est toujours revêtu d'épithélium, la substance nerveuse est réduite à une mince bande circulai
que l'ou trouve dans les cas d'anencé- phalie où, à la place de la substance cérébrale, il n'y a que du tissu conjonctif dis
et le canal central est déjà divisé en 2 parties par un tractus de substance nerveuse. Dans la région lombaire, sur une long
central et, dans chaque segment, il est impossible de distinguer la substance blanclie de la grise et réciproquement. On voit
urée par les méninges et offrant au microscope les caractères de la substance cartilagineuse. En résumé « Dégénérescence des
1889, Berlin. 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE sant la substance médullaire elle-même. Il existait, par places, de
és dans toute leur étendue. Les vaisseaux de la pie-mère et de la substance blanche, artères et veines, étaient altérés ; i
dul- laires étaient moins envahies que les artères cérébrales. La substance grise était saine, surtout au niveau des cornes a
e et ses vaisseaux, et in- téressant, de ce fait, secondairement la substance blanche, les cordons pos- térieurs en particuli
erne et une méningo-myélite très accentuée avec participation de la substance grise et blanche de la moelle. Les observatio
ce sont des érosions superficielles, des dépressions, des pertes de substance localisées, ordinai- rement consécutives à l'él
transformé en une vaste poche kys- tique à paroi mince et ridée, de substance conjonctive ; c'est la corne in- férieure dilat
sont restés intacts. 4° Tous les ventricules sont dilatés. 5° La substance blanche de la surface cérébrale saine en apparenc
ce blanche de la surface cérébrale saine en apparence, ainsi que la substance grise sont atrophiées. Deux coupes frontales de
une moindre part la cause doit être cherchée dans l'atrophie de la substance blanche et grise de l'écorce cérébrale. z On pe
icroscope, on peut constater les faits suivants : A. L'écorce et la substance blanche sous-jacente de l'hémisphère droit sont
andes. Dans la partie du' pédoncule cérébral située au-dessus de la substance grise de SoeMMMer, la « IIduGc des auteurs alle
utres anomalies. La masse de filets nerveux située au-dessous de la substance de Soem- mering, le pes pedunculi des auteurs,
Mais plus loin on y trouve cité que-la lésion s'est étendue dans la substance blanche de l'hémisphère jusqu'à la paroi extern
on tira une pierre encore plus grosse que les six précédentes, d'une substance extrêmement dure, d'une couleur brune et grisât
tem- bre 1748 et on tira à la fois deux pierres toujours de la même substance , figure et couleur que les autres. Le lendema
te, soit que le processus syphiliti- que ail pris naissance dans sa substance même, sans doute dans les sepla conjonctifs que
très caractéristique,-très frappante de celles colo- rées par cette substance . Il est inutile de décrire la gomme, ou le tiss
ngueur dimi- nuée de volume, dure, sans trace de division entre les substances et tout à fait .semblable à un cordon fibreux,
it formée par du tissu lamineux condensé, feutré et entremêlé d'une substance granuleuse abondante. « L'examen des deux moe
iminuées de nom- bre, il y avait de la, tuméfaction du réseau de la substance grise. Ça et là on trouvait dans la substance m
ction du réseau de la substance grise. Ça et là on trouvait dans la substance médullaire et autour des vaisseaux des sillons et
la profondeur du sillon, productions fibreuses s'étendant jusqu'à la substance grise, attaquant le canal central qui est entou
a face interne de la dure-mère par de nombreux et forts tractus. La substance médullaire est grisâtre. La dure-mère épaissie pr
t sur ce point, elles se rencontrent aussi dans les vaisseaux de la substance blanche, les vaisseaux de la substance grise sont
ssi dans les vaisseaux de la substance blanche, les vaisseaux de la substance grise sont intacts. A côté de vaisseaux totalem
envahies par la végétation (figures), mais celle-ci ne dépasse pas la substance blanche. Il faut remarquer que les cordons po
parties leurs lésions sont très minimes pro- portionnelleuieut. La substance grise qui a conservé un certain degré d'immu- 2
infiltrée de cellules rondes. Quant aux altérations spéciales de la substance nerveuse elle-même, elles sont de deux sortes.
possible de séparer le cylin- dre-axe des parties engainantes. La substance grise et surtout les cellules ganglionnaires et l
cordons postérieurs et dans les commissures blan- che et grise. La substance blanche est atrophiée. Quelques groupes de fibres
t extrêmement grêles. Les tuniques des vaisseaux sont épaissies. La substance grise est disposée d'une façon asymétrique. Le
re des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée'aVec atrophie des cellu
ssure blanche du côté droit jusqu'à envahir par un court tractus la substance de la corne grise (1) Gangitano, Contribulo all
logue existe un diverticule beaucoup plus petit ne dépassant pas la substance de la commissure blanche. Les cordons de Burdac
tées et autour d'elles on note un certain degré de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance
de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des cornes grises est irrégulièrement disposée et
Le canal est revêtu de l'épithélium proliféré et est entouré d'une substance scléreuse '. Dans la substance blanche, on trou
élium proliféré et est entouré d'une substance scléreuse '. Dans la substance blanche, on trouve de rares fibres nerveuses et d
s, dans la partie la plus périphérique des cordons de Burdach. Le substance grise est diminuée de volume dans sa totalité, di
peu de fibres nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La substance grise des divers segments est dégénérée, les ce
dédoublement le canal central est toujours revêtu (l'épithélium, la substance nerveuse est réduite il une mince bande circula
le canal central est déjà divisé en deux parties par un tractus de substance nerveuse. Dans la région lombaire, sur une long
l central et dans cbaque segment il est impossible de distinguer la substance blanche de la grise et réciproque- ment. On voi
urée par les méninges et offrant au microscope les caractères de la substance cartilagineuse. Voici comment railleur résume l
in de la né- vralgie. Les interstices entre les tubes nerveux de la substance blanche sont considérablement agrandis, surtout
la périphérie, leur sommet vers le canal central, passent entre la substance ner- veuse et la déplacent en partie pour occup
riphérie, tantôt s'avançant jusqu'à la commissure postérieure de la substance grise centrale ; d'autres encore pénètrent les
t des fibres névroglillues, mais il la limite entre les cônes et la substance nerveuse ces fibres prolifèrent abondamment et
de la néoformation, mais d'une conséquence de la disparition de la substance ner- veuse, des fibres blanches. Quant aux va
cordons, systémati- que. On trouve seulement éparses dans toute la substance blanche quelques fibres nerveuses plus ou moins
mal, ou se termine en massue volumineuse, d'aspect vitreux. Dans la substance grise les fibres sont épaisses, gonflées, surtout
avages, mais encore ils sont assez marqués. Signalons enfin dans la substance grise des cornes antérieures de petites hé- mor
nt que la rétraction due aux divers réactifs peut faire déchirer la substance nerveuse dont des lambeaux restent adhérents à la
upes de la moelle dorsale. Elle consiste dans l'envahissement de la substance blanche d'une des moitiés de la moelle par un néo
noyaux névro- gliques qui parsèment le reste de la coupe, mais une substance grenue, prenant mal les couleurs, infiltration
s qu'il y ait cependant d'hémorrhagie. La moelle aussi bien dans sa substance blanche que dans sa substance grise est parcour
rrhagie. La moelle aussi bien dans sa substance blanche que dans sa substance grise est parcourue par des vaisseaux énormémen
et la moelle, et entre l'arachnoïde et la pie-mère d'autre part. La substance nerveuse n'est pas refoulée du reste et paraît n'
irréguliers, frangés, il y a eu fonte en certains points, perte de substance , en d'autres au contraire la tumeur pousse des
4 jours. Très légèrement macéré. Viscères d'apparence normaux. La substance cérébrale est de consistance normale. Il y a une
notre ami et collègue Vauverts. Les viscères semblent normaux. La substance cérébrale, les méninges ont leur aspect habituel,
t, à l'éosine hématoxyline ils semblent normaux. Les cellules de la substance grise se colorent, à peu près, à ce niveau et son
ractus fibreux irréguliers le représentent, entourant vaguement une substance méconnaissable dans laquelle 314 NOUVELLE ICONO
étroite dans la moitié atrophiée de la moelle où elle est en pleine substance grise, tandis que du côté opposé elle déborde l
persistent,reconnaissables. Le cerveau droit présente une perte de substance considérable de tout son lobe postérieur, surto
a corne antérieure, la colonne de Clarke, la corne postérieure ; la substance blanche est réduite à quelques lambeaux bordant
ite qui coupant le col de la corne postérieure vient mourir dans la substance blanche de ce côté. Il n'y a plus trace du cana
blanc. Région lombaire supérieure. On reconnaît assez nettement la substance blanche et la substance grise avec les cellules
supérieure. On reconnaît assez nettement la substance blanche et la substance grise avec les cellules motrices, mais il est imp
est très atrophiée. Examinons chacun des éléments de la coupe : la substance grise se distingue nettement de la substance bl
léments de la coupe : la substance grise se distingue nettement de la substance blanche, mais on ne saurait y reconnaître les c
s pathologique ; du côté droit les deux cornes sont bien formées. Substance blanche. A droite à peu près normale, on remarque
ur. N Queue de cheval. Ici il redevient impossible de distinguer la substance blanche de la grise, la moelle est le siège de
ieur atteignent les dimen- sions du petit doigt d'un adulte. ' La substance cérébrale parait normale. Moelle. Tout est norm
ntent les coupes. Région cervicale. On distingue assez nettement la substance grise de la subs- tance blanche, les cellules d
noyau indistinct au lieu d'être clair est coloré en violet sale. La substance blanche présente son aspect normal 1 mais à la
is- tendus, une double rangée de cellules rondes les borde. Dans la substance grise les cellules se voient avec peine, ou les
st souvent invisible. Ici il n'y a plus de néoplasme envahissant la substance blanche, celle-ci est bien isolée dans ses cont
phérie, le centre du néo- plasme présente au contraire une perte de substance à contours irréguliers' comme craquelés, indiqu
araît encore plus atteinte, il est impossible de distinguer dans la substance grise une seule cellule nerveuse. Il existe des
ce sont disséminées sans ordre et un peu partout aussi bien dans la substance blanche que dans là substance grise. Queue de c
et un peu partout aussi bien dans la substance blanche que dans là substance grise. Queue de cheval. Le microscope montre au
proprement-dite présente des caractères normaux, aussi bien dans la substance grise où les cellules sont normales que dans les
Moelle. Région cervicale. La moelle proprement dite est normale, la substance grise présente des cellules bien colorée, la su
normale, la substance grise présente des cellules bien colorée, la substance blanche est seulement parcourue par des vaissea
régulier au centre de la moelle ; celle-ci pré- sente des pertes de substance multiples, elle est déchiquetée par endroits, c
, on reconnaît au centre le canal épendymaire à peu près normal, la substance grise laisse voir ses cellules des cornes antér
cellules des cornes antérieures, mais elle est craquelée, quant à la substance blanche elle est complètement dissociée, de vas
stance blanche elle est complètement dissociée, de vastes pertes de substances irrégu- lières déchiquètent sa périphérie. Peut
19 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
t. Il est il peu près moitié moindre que celui de l'olive droite.La substance grise qui constitue les volutes est très amincie;
l. NCB, noyau du cordon de Burdach. CB, cordon de Burdach. Sgc, substance grise centrale, périépendy- maire. SgR, subst
Burdach. Sgc, substance grise centrale, périépendy- maire. SgR, substance gélatineuse de Rolando. cop, reste de la corne
(aplalie à gauche). Oia, olive inférieure gauche atrophiée. SgR, substance gélatineuse de Rolando. SR, formation réticulée
Pcsd, pédoncule cérébelleux supérieur dé- généré. Subs. ferr., substance ferrugineuse (locus coeruleus). fMtY, fibres
droit, ainsi que dans le noyau terminal de KoelliJ.'e ! ' (dans la substance grise centrale) quelques cellules pigmentées et
diamètre est d'un tiers plus mince que celle de droite, de même la substance gélatineuse de Rolando à gauche est plus pauvre e
tie médiane du corps restiforme) (Voir PI. I, B). Cette région de substance grise que Gudden et Mingazzini ont appelée le n
aient pas comprimés à leur sortie du tronc cérébral (PI. 111). La substance grise du pont est très comprimée et atrophiée à g
he par suite de la compression (voir les figures). - Le noyau de la substance réticulée de la protubérance (nucleus reticularis
érance (nucleus reticularis pon- tis) est normal de chaque côté. La substance réticulée dans l'étage de la calotte présente u
ble de ses fibres, dans ses parties latérales (PI. III, E et F). La substance médullaire qui limite l'olive supérieure, y compr
i limite l'olive supérieure, y compris la par- tie dorsale de cette substance , est aussi très appauvrie en libres nerveuses.
e. Il n'en existe plus qu'un mince lacet de quelques millimètres de substance grise composée de restes trophiques de l'écorce c
ent ; on reconnaît les lobes quadrau- gulaire et semi-luuaire. Leur substance médullaire cependant se trouve en grande partie
oit ; son volume n'atteint pas le tiers de celui de droite. Mais la substance noire de Soemmering est égale des deux côtés. O
ue sur G2 coupes, tandis qu'a gauche il existe dans 72 coupes. La substance médullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa s
oupes. La substance médullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa substance mé- dullaire latérale, les radiations de la cal
quée dans les régions antérieures du corps de Luys, surtout dans la substance médullaire frontale du noyau rouge. Toutefois o
anguine dans les parties avoi- sinantes du troisième ventricule. La substance qui l'entoure est un peu sclé- rosée ; les vais
du vaisseau. Hémisphères cérébraux. Dans le centre ovale et dans la substance médul- laire des circonvolutions rolandiques et
onstate une atrophie des faisceaux de fibres et des lacunes dans la substance blanche au voisinage des vaisseaux, mais pas de l
puisse savoir de quelle partie de ce noyau il s'agit (noyau dorsal, substance gélatineuse ou noyau terminal deIilli- ker). On
correspondait à la dégénérescence des cellules ganglionnaires de la substance grise du pont à droite. Edinger a constaté aussi
nce à signaler entre son observation et la nôtre. Dans notre cas la substance grise était par- tiellement atrophiée et dégéné
roit était dégénéré, alors que l'on trouvait une dégénération de la substance grise du côté opposé, à gauche. Dans les deux c
stiforme. Mais le noyau dorsal du nerf vague n'a rien à faire avec la substance grise qui limite en dedans le corps restiforme.
bril- laire des noyaux sensibles du bulbe et de la protubérance. La substance gélatineuse du faisceau solitaire et celle de l
as de dégénéra lion, tout au plus un léger degré-d'atrophie. . La substance grise des noyaux de la couche optique à droite, d
e pédoncule cérébelleux supérieur gauche était réduit à un reste de substance extrêmement minime,et tout à fait dégé- nérée,
xistence dans ces . noyaux fibreux de corps volumineux polygonaux à substance granuleuse, avec quelques gouttes de graisse, c
tante, semi-tiquide.Ata coupe elle s'affaisse et laisse écouler une substance grenue semi-liquide laquelle parait emprisonnée
nicke. Cette région était comme l'on sait dans ces derniers cas, la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (noyaux
qui entoure l'aqueduc de Sylvius (noyaux des 3e et 4° paires) et la substance du même type de la base du 3e ventricule. Or no
iveau des vertèbres ma-, lades, on ne trouve de cavités remplies de substance caséeuse ou de pus ni de tumeurs. La dure-mèr
és irrégulières, de fines canne- lures verticales sculptées dans la substance osseuse. Ces caractères pathologi- 128 JEAN ABA
de trous, de dé- pressions, de fines trabécules, sculptées dans la substance osseuse qui offre dès lors une apparence poreus
doigt. On suit leurs moindres divi- sions jusqu'à l'intérieur de la substance cérébrale qui paraît comme injectée. A la face
vers le milieu de son trajet, on trouve logé dans l'épaisseur de la substance grise et s'étendant au loin dans le centre oval
que si elle respi- rait de la narine droite de l'éther ou d'autres substances volatiles fortes, elle ne réagissait pas du tou
diminution, écrit- il, s'explique aisément par la destruction de la substance glandulaire, qui devient ainsi incapable de pro
cérébrale sous forme d'amas pulpeux et blanchâtres. Cette perte de substance est expressément signalée dans une observation de
eur constate une dépression très nette correspondant à une perte de substance du cerveau. Au même mo- ment, il se fait une hé
rès l'auteur, à la formation d'un caillot sanguin qui a comprimé la substance cérébrale. Cette interprétation est d'autant plus
evait occuper la deuxième prémolaire droite, se trouve une perte de substance mesurant 2 millimètres sur, faisant communiquer
oit. Il n'existe sur le milieu de la voûte palatine aucune perte de substance . Le rebord du maxillaire inférieur est à peu pr
iation sans inconvé- nient au moment voulu, c'est-à-dire lorsque la substance achromatique est complètement décolorée, ce qui
Gehuchten réserve son opinion en ce qui concerne la structure de la substance achromatique des cellules des ganglions.il s'ex-
9{4 (résumé critique du pré- cédent). il 310 CHARLES LADAME La substance achromatique forme également la trame de l'axone
moins foncée selon l'intensité des phénomènes de chromatolyse. La substance chromatique, appelée aussi substance tigroïde par
énomènes de chromatolyse. La substance chromatique, appelée aussi substance tigroïde par V. Len- hossek'est colorable par l
ces granulations constituent des blocs plus ou moins volumineux de substance chromatique, dont le nombre et la forme sont tr
est la forme spéciale sous laquelle s'y présente le plus souvent la substance chromatique (1). » 1 La substance chromatique j
s'y présente le plus souvent la substance chromatique (1). » 1 La substance chromatique joue le grand rôle, ou du moins le rô
« le rôle visible », car on ne peut savoir ce qui se passe dans la substance achromatique par les moyens techniques en usage a
mettre en évidence les phéno- mènes intimes qui se passent dans la substance achromatique pendant la chromatolyse. , L'org
isation des corpuscules de Nissl incrustés sur les trabécules de la substance achromatique dépend de la disposition de la trame
l'image cellulaire dépendra exclusi- vement de l'organisation de la substance chromatique rendue seule visi- ble par les colo
elle échappe encore à notre investigation. Pour Van Gehuchten, la substance achromatique représente la partie principale, e
matique représente la partie principale, essentielle du neurone, la substance chromatique n'étant que secondaire, nullement i
nullement indispensable à l'élément nerveux, c'est une « espèce de substance de réserve qui s'accurnule dans le protoplasma
rone est lésé dans son intégrité anatomique ou fonctionnelle. Cette substance chromatique n'existe d'ailleurs pas dans toute
; elle n'est donc pas indispensable à la vie du neurone » (1). La substance chromatique se trouve dans les cellules motrices
des cellules motrices à des degrés divers de la dissolution de leur substance chromatique rappelant avec une exactitude parfa
ongements protoplasmiques. Le protoplasma est également dépourvu de substance chromatique au point d'émergence de l'axone.
dit « cône d'origine de l'axone », est composé uniquement par de la substance achromatique. Toutes les cellules ganglionnaire
ntre de la cellule. . Le noyau est bordé d'une couronne de blocs de substance chromatophile groupés ou agglomérés. On ne pe
aitement clair et incolore, ce qui donne encore plus de relief à la substance chromatophile. A ce moment, le noyau est déplacé
la chromatolyse revien- nent à l'état normal en reconstituant leur substance chromatopUile. Elles sont représentées dans nos
s trois couches : la couche molé- culaire, la couche des grains, la substance blanche. Sur les coupes d'ensemble colorées par
-on même à un fort grossissement quelques fibres à myéline dans les substances blanches des lames et des lamelles. L'atrophie
on peut néanmoins constater l'existence de cellules nerveuses. C. Substance blanche du cervelet (PI. XLVII et XLVIII). 1° E
- Il a été dejà dit plus haut que la toison du corps dentelé et sa substance blanche centrale (bile) qui se continue avec le
t contri- buent à former les fibres semi-circulaires internes. 3° Substance blanche centrale du vermis. -- Arbre de vie. - ll
rale du vermis. -- Arbre de vie. - lllalâré cela, il existe dans la substance blanche centrale du vermis un confluent de fibres
s est réduit dans ses dimensions transversales et longitudinales. Substance blanche centrale des hémisphères (PI. XLVII et XL
s de dégénérescence, ni dans les faisceaux, ni dans les racines; la substance grise est normale ; les colonnes de 'Clarke, en
le, il y a deux particularités à relever : 1° Une hétérotopie de la substance grise : la corne antérieure d'un côté envoie en
ue totalement décoloré de .même que la couche la plus interne de la substance mé- dullaire péri-olivaire ; l'atrophie est plu
nt bien conservé ; et cette intégrité relative explique pourquoi la substance médullaire de l'olive est plus riche dans sa mo
sceau central est due peut-être à un certain degré d'atrophie de la substance réticulée de la calotte protubérantielle. Les n
le. Les noyaux arciformes du bulbe ou prépyramidaux ont disparu, la substance grise réticulée du bulbe et ses noyaux semblent
t de Bechterew. B. - Pédoncule cérébelleux moyen. - Protubérance. - Substance réticulée de la calotte (Pl. XLIX, H, I). La
é de la ligne médiane, en un gros faisceau unique, circulaire. La substance réticulée de la calotte paraît moins riche en cel
au du toit, noyau sphérique et bouchon ; 2° l'atrophie totale de la substance grise du pont et la dégénérescence totale du pé
semblent avoir débuté à la fois dans l'écorce du cervelet, dans la substance grise du pont et les olives inférieures ; les cel
rues, celles qui subsistent sont très altérées ; des cellules de la substance grise du pont il ne reste plus trace, le plus g
ellulaires ont eu comme conséquence l'atro- phie des cellules de la substance grise du pont, la dégénérescence du pédoncule c
atrophie dégénérative, mais avec ce ca- ractère particulier que la substance grise du pont et les olives inférieures sont le
on des lésions qui intéressent presque exclusivement les olives, la substance grise du pont et le cervelet (les noyaux gris c
nombreuses et celles qui per- sistent sont nettement altérées : la substance blanche présente liile légère N (1) Brissaud
J. DEJERINE ET A. THOMAS décoloration, mais en comparaison avec la substance grise, elle parait plu- tôt trop épaisse ; un e
lu- tôt trop épaisse ; un examen plus détaillé de l'écorce et de la substance blanche, du bulbe et de la protubérance, des di
la pie-mère qui le recouvre est très épaissie et très injectée, la substance blanche est ferme. Le pont, la moelle allongée
mmes ; comparées il celles d'un cervelet nor- mal, les fibres de la substance blanche et de ses ramifications dans les lames
les lames et lamelles laissent entre elles plus d'espace libre; la substance blanche et la substance grise sont également mo
aissent entre elles plus d'espace libre; la substance blanche et la substance grise sont également moins développées que chez u
e de l'écorce et des noyaux n'ont subi aucune modification. Dans la substance blan- che, il n'existe aucune trace de sclérose
quement par l'atro- phie de l'écorce, des olives bulbaires et de la substance grise du pont, par la dégénérescence totale du
parties qui l'avoisinent.Un fragment de l'écaillé s'enfonce dans la substance cérébrale. Suivant M. Monakow, de Zurich, il DE
erminer l'hémianopsie. D'ailleurs il suffit que les faisceaux de la substance blanche qui se rendent à la sphère visuelle soi
s ou les bords déchiquetés du fragment peuvent déchirer, lacérer la substance cérébrale, d'une manière directe. Mais ici inte
ul cas dans notre statistique. Ces traumatismes, même atteignant la substance cérébrale, n'entraînent pas la paralysie. Lépin
matique . Fie. XIV. Cerveau gauche, face antérieure de la coupo, la substance grise au fond de l'insula est atteinte, le trau
l- latérale, ou bien il y a une hémorrhagie sous-corticale, dans la substance cérébrale, du même côté que du traumatisme, et
ris sont de par le fait de la lésion plus fortement déchirés que la substance blanche en raison de sa plus riche vascularisatio
gonflement con- comitant de tout le crâne, l'autre une explosion de substance dans laquelle les parcelles du cerveau étaient
ient le montrer avec évidence, à cause de la consistance même de la substance nerveuse. Les choses sont d'autant plus obscure
es qu'en cas de lésion il se forme une sorte de magma de sang et de substance cérébrale. Mais, en s'aidant de l'observation c
entré par l'angle interne de l'oeil droit et était parvenu dans la substance cérébrale, déterminant une hémiparésie gauche d
à la partie antérieure de la scissure de Sylvius, elle suit dans la substance cérébrale la scissure parallèle au-dessus de la
. VI bis) que la bandelette optique est embrochée àsa sortie qui la substance de la corne sphénoïdale et que le pédoncule est t
ommence à la scissure interlobai1'e tempono-frontale et traverse la substance grise, la capsule interne, en ne s'éloignant qu
nt où les fibres des bandelettes optiques sortent en faisceau de la substance blanche, traversent^ ventricule latéral, les fibr
t^ ventricule latéral, les fibres commissurales et rentrent dans la substance cérébrale pour ne s'arrêter qu'aux environs du
veau également formolé : En L, grande lésion déchirant largement la substance grise et atteignant NC, le noyau caude; 1L, lo
, que la broche a atteint la partie antérieure du lobe temporal, la substance grise des noyaux centraux et principalement du no
390 RENÉ MARTIAL est traversée par le corps pénétrant ainsi que la substance grise située en haut du sillon de Rolando et un
inent parallèlement pendant un certain temps séparés par un pont de substance nerveuse de 2 centimètres. Le premier de ces cana
centrale postérieure......... le second va plus en arrière dans la substance et ne se termine qu'au droit de la 3e cir- conv
tre observations dans lesquelles elle a eu lieu même après perte de substance cérébrale. Cela s'est produit dans un cas de M.
ce Bourlier un jardinier guérit de sa paralysie malgré une perte de substance cérébrale très nette- 394 RENÉ MARTIAL ment a
igts en travers, et re- présentant un gros lombric en épaisseur. La substance de ce polype était molle et rouge. Elle empêcha
ules névrogliques imprégnées et de vais- seaux. Par places, dans la substance blanche surtout, les cellules de la névro- glie
bre considérable de cellules névrogliques, principa- lement dans la substance blanche sous-corticale; par places il y eu avait
très marquée des fibres myéliniques de la su tance blanche. Dans la substance grise il saute aux yeux que la plus grande^ tie
tence des é ments lymphoïdes, contenant des globules noirs. Dans la substance blam partout on peut voir une masse de grains e
arations, on rencontre dans l'écorce cérébrale elle-même et dans la substance blanche aussi de petits foyers de ramollissement,
taient observés plus souvent, de préférence ils se trouvaient dans la substance blanche et étaient de plus grande dimension. Pa
nde dimension. Par places, auprès des parois vas- .culaires dans la substance blanche on pouvait observer des cellules à forme
préparations obtenues de tous ces morceaux on pouvait voir dans la substance blanche une dégénérescence assez marquée dans l
de myéline en désagrégation. En outre, tout le champ de vue dans la substance blanche est parsemé d'une masse de points noirs
ce cérébrale. Concer- nant le tableau microscopique observé dans la substance blanche, il faut dire qu'elle a une grande ress
es par la méthode de Busch et prises de l'écorce cérébrale et de la substance blanche sous-jacente de diffé- rentes régions d
rice gauche diffèrent le plus des autres préparations. Ici, dans la substance blanche sous-corticale nous observons une dégénér
parlé plus haut. Ces points noirs, principalement observés dans la substance blanche de même que dans la substance grise, pe
incipalement observés dans la substance blanche de même que dans la substance grise, peuvent être contenus ou dans certaines fi
ontenus ou dans certaines fibres myéliniques, présentant par eux la substance myélinique modifiée, ou bien ce sont des globul
isseaux eux-mêmes, par exemple, dans leur enveloppe interne. III. Substance sous-corticale blanche et capsule interne du côté
e sous-corticale blanche et capsule interne du côté gauche. Dans la substance blanche sous-corticale auprès de la ligne médiane
ces on rencontre de petits foyers de ramollissement. L'examen de la substance blanche sous-corticale de la capsule interne et d
s noirs gros et menus sont parsemés çà et là par tout le long de la substance blanche et grise. Le long de certains vaisseaux,
lanche et grise. Le long de certains vaisseaux, qui passent dans la substance blanche, par places s'étendent des blocs noirs à
rées, parsemées çà et là, restent aussi dans d'autres régions de la substance blanche. V. Au niveau de la queue du cheval on
en des morceaux de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substance sous-corticale de l'hémisphère gauche. Le faiscea
s de la corne antérieure et en général les cellules nerveuses de la substance grise de la moelle épinière par tout le long de
IQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 489 seaux. Dans la substance blanche, on observe une masse de points et de glo
ysmes. En comparant les préparations de l'écorce cérébrale et de la substance blan- che sous-corticale avec les préparations
es préparations de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substance blanche sous-corticale du côté gauche, on obser
ière, et aussi à un degré moins grand dans les autres régions de la substance blanche et çà et là dans la substance grise. Les
dans les autres régions de la substance blanche et çà et là dans la substance grise. Les cellules de la corne antérieure cont
téraux, dans les cordons de Türck et dans les autres régions de' la substance blanche porte approximativement le même caractère
araît, en liaison avec un petit foyer de désagrégation locale de la substance nerveuse. Les cellules des cordons de Clarke co
e à un de- gré bien plus faible, existe dans d'autres régions de la substance blanche. La dégénérescence des cellules de la c
ingue plus la coloration plus foncée des éléments dont les blocs de substance chromatophite viennent d'être refaits et qui ca
ue, aux confins de la réaction : vont-elles réparer leurs pertes de substance chroma- tophyle ? ou s'atrophier et finalement
lules qui sont à la période de réparation ; elles réorganisent leur substance chromatique, qui est répandue dans le corps cel
tat normal ; d'autres (PI. LXXVII, b) ont également réorganisé leur substance chromatique, elles ne se distinguent des cellules
i en présence d'un ganglion qui a activement réparé ses per- tes de substance chromatique. Un bon nombre de cellules ont l'appa
réaction seulement; mais aussi lorsque la réparation des pertes de substance chromatique a déjà commencé à s'effectuer. Ce
illon de l'o- reille. Pendant les jours suivants, il y eut perte de substance cérébrale. Il conserva sa connaissance jusqu'au
onnaissance qui dura sept heures. Le traumatisme causa une perte de substances de la voûte du crâne par laquelle sortit de la su
perte de substances de la voûte du crâne par laquelle sortit de la substance cérébrale. Etat au 17 février : Cet homme grand
tte blessure, se trouve dans la coupe pariétale gauche une perte de substance de 1 cent. 5' de diamètre dont les bords sont d
nt déchiquetés et irréguliers. Au fond : des esquilles mélangées de substance cérébrale. Des deux blessures s'échappe une pet
it un trou dans le pariétal droit d'où sort du sang mélangé à de la substance cérébrale. Dans les parties molles on trouve pa
base et dans la partie la plus proche de la scissure de Sylvius. La substance cérébrale est livide, l'hémisphère droit dans ses
e ascendante qui a tendance il se localiser au-dessus du foyer à la substance grise. Dans toutes ces formes de myélite aiguë,
dil'lluente. Sur une section transversale elle est boursouflée, la substance grise injectée et même striée de sang. La lésion,
inflammation se présen- tant sous l'orme de foyer aréolaire dans la substance blanche. J'ai eu l'occasion d'examiner 6 cas de
en de véritables abcès et des foyers de myélite disséminée dans la substance blanche, plus rarement dans la substance grise,
myélite disséminée dans la substance blanche, plus rarement dans la substance grise, avec une méningite très caractéristique (f
llon an- térieur est moins touchée. Les cellules névrogliques de la substance blanche anté- rieure sont multipliées. 566 MA
es péricellulaires de la rage, Babès). La subs- tance blanche ou la substance grise sont parsemées de petits vaisseaux infilt
nnaires de nouvelle forma- tion constituant un riche réseau dans la substance grise. Lorsque la myélite aiguë a une marche fo
e cas que la précédente. Foyer de myélite aiguë déve- loppé dans la substance grise antérieure. Certains leucocytes situés dans
érations de la cellule nerveuse varient depuis la tuméfaction de la substance chromatique avec pâleur des éléments chromatophil
ts chromatophiles et chromatolyse, jusqu'à la désorganisation de la substance achromatique et - mutilation de la cellule. La
n des microbes dans le canal arachnoïdien. J'ai rencontré dans la substance blanche de la moelle une lésion assez caractéri
s névrogliques. J'ai constaté à plu- sieurs reprises que lorsque la substance achromatique de la cellule ner- veuse est altér
à la présence d'un coli-bacille et d'un streptocoque vi- rulent. La substance blanche antérieure latérale et postérieure est le
no- dule péri-nucléaire ; chromatolyse diffuse avec conservation de substance chromati- que informe, en croissant sur une par
les névrogli- ques multipliées ; ces nodules siègent tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la substance grise. Dans d
es nodules siègent tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la substance grise. Dans deux de ces cas, j'ai retrouvé autour
les ne présentent plus de tra- ces d'éléments chromatophiles, et la substance achromatique devient for- tement acidophile. J'
i à la science. ` ? °La myélite a été produite dès le début par des substances toxiques, par de toxines. Malheureusement ces t
de leur existence est difficile à faire. Aussi, l'intervention des substances toxiques d'origine exogène ou endogène et qui n
des poudres inertes, telles que le lycopodium, dé- termine dans la substance grise surtout des foyers de ramollissement dans
e postérieure est également le siège d'un foyer semblable ; dans la substance grise du côté droit le foyer présente une topo-
aux embolies expérimentales, des foyers d'inflammation autour de la substance grise al- térée, foyers absolument semblables à
its sous le nom de blassiger Zustand. Ces lésions irritatives de la substance blanche ont été considé- rées par Lamy comme de
décrites sont purement des lésions dégénératives, soit celles de la substance grise, soit celle de la substance blanche, sans
dégénératives, soit celles de la substance grise, soit celle de la substance blanche, sans aucune réaction inflammatoire. Ceci
n'y avait qu'une légère in- filtration de la pie-mère, et dans la substance blanche atteinte de dégé- nérescence, quelques
imentale avec foyers disséminés dans la subs- tance blanche et la substance grise. Les foyers suivent le trajet des vaissea
mort six jours après. A droite de la figure on voit un foyer dans la substance grise intermédiaire. NATURE ET TRAITEMENT DE
accumulation dans la paroi des vais- seaux et probablement par les substances toxiques qu'ils sécrètent; 2° des microbes qui
imal a vécu 9 jours. Poliomyélite avec participation à droite de la substance blanche antérieure. i'io. 18 B. Le même cas que
cas que la figure précédente ; l'inflammation est limitée ici à la substance grise, substance blanche étant intacte. 586 MAR
e précédente ; l'inflammation est limitée ici à la substance grise, substance blanche étant intacte. 586 MARINESCO une myél
es myélites disséminées, des foyers ayant leur siège tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la substance grise. Enfin,
s ayant leur siège tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la substance grise. Enfin, toujours avec le même mi- crobe,
autour de quelques fibres, et même pouvant aller plus loin dans la substance grise, et même pouvant pénétrer dans la cellule
cellule nerveuse. Je dois dire que la présence des microbes dans la substance grise au voisinage des cellules nerveuses dé- t
altérations c'est la raréfaction des éléments chro- matophiles, la substance fondamentale de la cellule est tantôt colorée,
dépendant tout simplement de Ja fusion plus ou moins complète de la substance chromatique, présente deux aspects variables suiv
bstance chromatique, présente deux aspects variables suivant que la substance fondamentale est colorée ou non colorée. Parfoi
a de la cellule ne contient plus d'éléments chromatophiles, dans la substance fondamentale colorée d'une façon uniforme, on v
atiques, ou même de petits bâtonnets disséminés. D'autres fois, ces substances cons- tituent une espèce de réseau chromatique,
iter les altérations de la myélite aiguë et leurs conséquences. Les substances antiseptiques, non plus injectées dans le canal a
vices réels dans le traitement de la myélite aiguë. Il n'y a pas de substance antiseptique idéale qui puisse être utilisée av
t périphérique. « La cellule motriceréagit par la dissolution de sa substance chromatique. Ce trouble cellulaire dure environ
sible- ment dans l'ordre et la cellule non seulement reconstitue la substance chromatique qu'elle a perdue, mais encore s'en
orphe. « La cellule sensitive réagit aussi par la dissolution de la substance chro- matique. Ce trouble cellulaire est même p
tre part le ganglion plexiforme répa- rait activement ses pertes de substance chromatique. Mais il y avait aussi bon nombre d
e ? On bien est-ce par le gonflement ou les autres troubles dans la substance achromatique que le noyau est expulsé passiveme
bles et dans les motrices. Le phénomène de réparation des pertes de substance chromatique suc- cèdeà celui de réaction. Il a
passer 654 CHAULES LADAME - par la phase de réorganisation de la substance chromatique comme c'est le cas pour le noyau do
de leurs éléments nerveux dont la moitié environ a disparu. 12. La substance chromatique joue un rôle accessoire dans le fonct
20 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
rescence totale ni inflammation. Les vaisseaux étaient tortueux; la substance corticale était plus épaisse qu'à l'état normal
rome. La pie-mère est mince et s'enlève pattout sans entraîner de substance corticale, sauf en quelques points très rares; su
rincipalement; le long de la grande scissure, on entraine un peu de substance grise; à l'extré- mité antérieure dela troisièm
ela troisième frontale, on trouve une ecchymose superficielle de la substance grise. L'aspect des circonvolutions est luisant
ve sur le lobule paracentral : elle se trouve isolée par un pont de substance nerveuse de l'incisure préovalaire (e), limitan
e en se basant sur ce qu'il n'a trouvé à l'autopsie ni sérosité, ni substance colloïde, mais simplement une épaisse couche de
ramides sont injectées de sang veineux. 84 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. La substance corticale est par-ci par-là trouble et gris jau-
des circonvolutions. Les ventricules latéraux sont peu dilatés. La substance cérébrale est légèrement hyperémiée sans autres
roïde joue un rôle dans la formation du sang, soit en éliminant des substances nuisibles, soit en produisant des substances né
soit en éliminant des substances nuisibles, soit en produisant des substances nécessaires à la nutrition du système nerveux.
ale ascendante droite où l'on en- traîne avec elle une partie de la substance grise. En- céphale : 1270 gr.Cerueau : hémisphè
rtains points, très mous sur certains autres, disséminés dans une substance rougeâtre et glutineuse. Le raclage de la tumeur
EXAMEN HISTOLOGIQUE. 119 des fibrilles abondantes, séparées par une substance inter- cellulaire qui a disparu sur les prépara
étrique, le côté gauche étant plus petit que le côté droit. Dans la substance blanche, on remarque une lésion descendante des
sclérose a respecté les faisceaux les plus internes, contigus à la substance grise; il y a une ligne de démarcation brusque
rouve sont tuméfiés. Le tissu scléreux est peu vascularisé. Dans la substance grise, on trouve une grande diminution de nombr
ort. Autopsie. Quelques granulations dans les méninges et dans la substance grise. On voit saillir dans l'espace interpédon-
e matière caséeuse, jaune verdàtre, ramollie au centre, entourée de substance nerveuse, ramollie et violacée par places. Une
lfactif ne peut se faire qu'en entraînant une assez forte couche de substance grise. -Autant qu'on peut le voir par suite de
es. Une, du volume d'un pots moyen, est enlevée, lais- sant dans la substance corticale une petite cavité, mais sans entraîne
un), petits, très pâles; la capsule se détache sans difficulté ; la substance corticale est très amincie, pas de tubercules a
rouve des adhérences delà pie-mère extrêmement pronon- cées avec la substance cérébrale qui est très molle. La dé- corticatio
La dé- cortication ne s'opère qu'en entraînant des morceaux de la substance cérébrale. Le cervelet se décortique avec faci-
sure parallèle, la pie-mère a em- porté avec elle une portion de la substance grise. La môme lésion se retrouve sur la pariét
mme déchiquetée, car presque partout une couche assez épaisse de la substance grise a été entraînée avec la pie-mère; nulle p
nce grise a été entraînée avec la pie-mère; nulle part cependant la substance blanche n'est mise à nu. - Les portions les moi
ont particulièrement énormes ; les capillaires qui plongent dans la substance cérébrale sont aussi très gonflés et parfaiteme
gonflés et parfaitement visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la couche superficielle de né- vroglie a
ies régulières, bout à bout, limitées parles fibres d'origine de la substance blanche, pré- sentent les mêmes séries morcelée
eur développement n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la substance blanche, ce qui domi
xcessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la substance blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des
enons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance blanche très vascularisée et présentant les figur
llules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en partie enlevée avec les méninges,
ur une coupe du lobe occipital, une portion assez considé- rable de substance grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui en
ion portée à l'extrême des élé- ments pyramidaux. A la limite de la substance blanche, l'accu- mulation des noyaux petits et
le cervico-dorsale. Les cordons blancs sont symé- triques ; dans la substance grise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée
tement lésées; celle- ci est réduite en bas à un squelette mince de substance blanche et au-dessus présente,sur une hauteur d
est, par ses autres parties, presque réduit à une simple coque do substance grise. Le pli de passage pariéto-temporal izfé-
on constate que cette coloration est superficielle ; en dessous, la substance cérébrale est fortement colorée en jaune ocreux
atatinement du cerveau, cette dimi- nution de volume, ces pertes de substance qui sont le ré- sultat d'un développement impar
un développement imparfait ou d'un long travail de résorption de la substance cérébrale, » On a yu, en ef- fet, que chez Ren.
tions quelques adhérences, la partie la plus superficielle de la substance grise a été enlevée avec la pie-mère. Ces adhér
nce, montre un cer- tain nombre de corps granuleux répandus dans la substance blanche et qui se colorent en noir sur une coup
es encéphalite; POROSE cérébrale. 175 graisseuses exister dans la substance grise. Sur des coupes colorées, on constate que
amidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas de lésions nettes; la s
uches de la substance grise ne présentent pas de lésions nettes; la substance blanche offre des lésiuns de désintégration.
désintégration. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance blanche a le même aspect; les corps granuleux y
onné par des bandes fibrillaires nombreu- ses qui rayonnent dans la substance grise. Du côté de celle-ci, les lésions sont le
exagérée; les capillaires, au lieu de s'enfoncer tout droit dans la substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'as- pect
tipliées dans la subs- tance grise, mais le sont évidemment dans la substance blan- che. La coupe d'une circonvolution du l
face externe de l'hémisphère, au-dessus du corps calleux, montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
vacuoles, d'espaces vides, qui constituent de véritables pertes de substance . Ces foyers inter- rompant la disposition des f
inter- rompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la substance blanche, comprennent en général les trois premièr
it MM. Bizzozero et Golgi, sous le nom de porose cérébrale. Dans la substance blanche, il n'y a que peu ou pas de corps granu
corps granuleux, mais toute la ligne de transition, entre les deux substances , est infiltrée d'une quantité considérable de p
érable de petites cellules interstitielles. Il y en a moins dans la substance blanche elle-même. 176 SCLÉROSE diffuse DE la M
première frontale; il existe des foyers de désintégration dans la substance grise, des amas considérables de corps granuleux
e la couche des myélocytes, et un certain degré de sclérose de la substance blanche, parsemée de corps granuleux. La moelle
ènes observés et sont évidem- ment consécutives aux désordres de la substance grise. IÎH IDIOTIE COMPLÈTE. VII. Idiotie c
leur ocreuse sur les circonvolutions ; lé- sions consécutives de la substance blanche ; lésions diffuses d'encéphalite chroni
d'encéphalite chronique ; lésions de la subs- tance grise et de la substance blanche de la moelle épi- nière. Portel....,
terne. Sur la face convexe, la pie-mère entraîne une partie de la substance grise qui se soulève par places comme une paroi
dans leur plus grand diamè- tre. Ils ne semblent intéresser que la substance grise. Ils siègent sur la partie postérieure de
il existe une vascularisation anormale très prononcée dans toute la substance grise ; les vaisseaux sont ramifiés dans toutes
nt une vaste bande entre la première et la troisième couche de la substance grise, et comprenant ainsi la moitié environ de l
ce grise, et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la substance grise. Ces foyers sont caractérisés par la rare
fondes sont allongées, granuleuses et très fortement colorées. La substance blanche offre une quantité 'considérable de petit
ne coupe à ce niveau, on constate une dépression en entonnoir do la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu
e une dépression en entonnoir do la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la substance blanche et est
o la substance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la substance blanche et est recouverte par une paroi flottan
des filaments fibril- laires allant de la paroi superficielle à la substance grise res- tante. Cette paroi est composée, de
érée la scissure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La substance grise qui forme les parois de l'entonnoir est r
différents : sur certains points, la sériation longitudinale delà substance grise est encore assez visible, mais ces séries s
és aux points nodaux. Les mailles de ce tissu sont occupées par une substance intercellu- laire qui a disparu des coupes. On
argement dilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans
upart d'entre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la substance blan- che, il exis
lent la substance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la substance blan- che, il existe une large traînée descenda
l existe une large traînée descendante, correspondant à la perte de substance , de la substance grise et dans laquelle les fib
e traînée descendante, correspondant à la perte de substance, de la substance grise et dans laquelle les fibres n'existent pa
lo même tissu fibrillaire que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont moins avancées,
les, espaces par où £ t descendent les fibrilles qui vont former la substance grise, on voit de plus que dans les couches pré
s interstitielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la substance blanche, on voit les mêmes lésions que dans les
d'une paroi fibrillaire nette. Mômes lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet, - Dans la substance grise, la
lésions que plus haut dans la substance grise. Cervelet, - Dans la substance grise, la couche de névroglie est fibrillairo d
uche des cellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la substance blanche, corps granu- leux nombreux, aspect fib
illaire, grosses fibrilles anastomo- sées. Moelle cervicale. - La substance grise a des altérations cellulaires importantes
de montrer par quels élé- ments le processus morbide a débuté. La substance grise montre ses vaisseaux très ramifiés, mais
ne. Elle est constituée par la couche la plus superficielle de la substance grise, épaisse, feutrée, vascularisée. Le contenu
a pas été coagulé par l'alcool. La paroi profonde est formée par la substance grise dans laquelle les taches grises sont très
que foyer, existe une traînée de dégénérations descendantes dans la substance blanche ; enfin, dans quelques foyers, on trouv
après quoi, les débris de la cellule s'éliminent. Los lésions de la substance blanche, tant dans le cerveau que dans la moell
que dans la moelle, sont naturellement diffuses, comme celles de la substance grise qu'elles suivent. Nous ne re- viendrons p
lier des altérations des méninges, des adhérences entre elles et la substance grise. Notre hypothèse ne s'est pas réalisée ;
l n'y avait d'ailleurs aucune adhérence et, au moins àl'ocil nu, la substance grise n'of- frait pas d'altérations. En résumé,
21 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
BSESSION DENTAIRE. 15 gingivite. L'action du chaud et du froid, des substances salées ou sucrées, ne produit sur les dents auc
s actions réflexes suscitées par les im- pressions des sens dans la substance grise du cerveau, et qui constituent l'activité
ilatés, une irrigation sanguine plus active et plus abondante de la substance grise du cerveau. La circulation éveille et e
ments enregistreurs, sur un homme qui présentait une large perte de substance du crâne dans la région temporo-pariétale gauch
lation de l'élément nerveux vrai- ment actif ? Cette « partie de la substance nerveuse où l'activité s'exerce sous la forme p
nser què ce noyau, quoique né- cessaire peut-être au maintien de la substance cellu- laire, n'en partage point les qualités f
faudrait réduire, en ce cas, de 9/10, tout au moins, la quantité de substance cérébrale pensante. On peut admettre que les fa
'homme de génie, sont toujours immanentes à un poids très faible de substance cellulaire nerveuse. Les Principes de Newton, V
ont peut-être pas éte [élaborés dans plus d'un millimètre cube de substance vivante. » , Les physiologistes et les anatomis
me si les mouvements continuaient toujours après l'abla- tion de la substance grise, car l'excitation des fibres médullaires
d postérieur de la circonvolution parié- tale ascendante gauche; la substance grise seulement était désor- ganisée et sur le
on occipito-temporale et pénétrait de plusieurs millimètres dans la substance cérébrale divisant les fibres médul- laires qui
il n'y avait ni tumeur, ni kyste, ni abcès, ni ramollissement de la substance médullaire de la région occipitale ni une autre
faut enlever chez les chats entre 3",5 et 3 centimètres cubes de substance cérébrale et entre 4",5 et 6 centimètres cubes ch
les racines du nerf optique; le plan infé- rieur, les fibres de la substance blanche profonde; les libres des nerfs optiques
t répéter les travaux de Bellonci. Tous les vertébrés possèdent une substance blanche profonde du cerveau moyen ; chez tous,
celui du nerf optique. D'une manière générale, on peut dire que la substance blanche profonde émane de la substance grise du
énérale, on peut dire que la substance blanche profonde émane de la substance grise du toit; elle forme des tractus transvers
sons osseux et chez les sélaciens, les fibres entre- croisées de la substance blanche profonde sont côtoyées par des fibres d
oyen contient aussi une commissure de fibres fines appartenant a la substance blanche profonde. On l'a souvent confondue avec
souvent demandé ce que deviennent les fibres entre- croisées de la substance blanche profonde du toit du cerveau moyen chez
ui vont au pied du pédoncule; elles viennent de la calotte ou de la substance noire et descendent dans le pied pédonculaire.
de l'intelligence ; du mode de développement de cet organe dont la substance grise, loin de se former après la blanche, cent
datant de 1858, d'une induration speciale, non encore connue, de la substance blanche des circonvolutions comme l'une des lés
au, caractérisée par la séparation de la suhs- tance grise et de la substance blanche dans la paralysie générale. BIBLIOGRAPH
e ces deux mots convient le mieux, aux points d'application de la substance vésicante. Actuellement, les trois plaques de vit
emps on a admis que le plomb, aussi bien d'ailleurs que toute autre substance toxique, agissait sur les éléments nerveux - il
es de la moelle épinière. L'absence de toute lésion apparente de la substance grise, dans le plus grand nombre des cas observ
ont plus ou moins sensibles que d'autres à l'influence des diverses substances médicamen- teuses ou toxiques, encore faut-il q
n relativement récente, Oppenheim men- tionne des altérations de la substance grise, sur l'importance des- quelles on peut di
a pu être constatée, ni dans la forme ni dans la constitution de la substance grise, ni dans le nombre des grandes cellules,
pas probable que le même étage de l'axe mé- dullaire, irrité par la substance toxique, commande la réparti- tion symétrique d
es des lésions médullaires, caractérisées par la dimi- nution de la substance grise et un état trouble des cellules. Sharkey
'en veux venir est-il bien nécessaire que les éléments nobles de'la substance grise pré- sentent des lésions grossières pour
as, vulgaire s'il en fut, où ces modifications « dynamiques » de la substance grise exercent sur l'apparition des névrites pé
à celles de la téphromyélite. Eu d'autres termes, les lésions de la substance grise sont absolument subordonnés à la lésion d
- ques, il faut donc, coûte que coûte, invoquer l'influence de la substance grise interposée entre le faisceau pyramidal et l
s périphériques. Et si nous ne constatons pas d'altération de cette substance grise, de deux choses l'une : ou bien nos procé
un trouble de l'influence 12,o- phique des cellules motrices de la substance grise dans la ré- gion d'où ce nerf tire son or
doivent être légitime- ment rapportées à l'influence directe de la substance toxique sur les conducteurs nerveux, il en est
rte en dedans ; 2° Que cette gouttière est occupée par un amas de substance grise de teinte foncée, dont une partie, passan
libre, plus ou moins bosselée (corps godronné) ; 3° Que l'amas de substance grise compris dans la gouttière est entouré de
l'amas de substance grise compris dans la gouttière est entouré de substance médullaire, sauf dans sa partie libre ou godron
lobule. En somme, il y a là une circonvolution complète, avec sa substance grise et sa substance blanche. En raison de la
l y a là une circonvolution complète, avec sa substance grise et sa substance blanche. En raison de la forme particulière de
e- conde a également pris une forme peu ordinaire. La masse de la substance grise peut être comparée, en effet, à deux virg
tés effilées et dirigées en sens contraire, l'une en dehors dans la substance grise de la corne d'Ammon; l'autre en dedans su
ur la face supérieure du lobule. (Voir la ng. 16.) La forme de la substance blanche qui provient de la substance grise s'ex
r la ng. 16.) La forme de la substance blanche qui provient de la substance grise s'explique dès lors. L'écorce qui borde l
la lame bordante hippocampique. Le rattachement de ces lames à la substance grise godronnée est évident ; il ne fait pas de
uant à la lame bordante hippocampique, elle ne peut appartenir à la substance grise du lobule, car celui-ci ne saurait avoir
portent les différents éléments qui la composent. Commençons par la substance médullaire. Portion interne de la substance méd
nt. Commençons par la substance médullaire. Portion interne de la substance médullaire. Subi- culllm j Substance blanche ré
laire. Portion interne de la substance médullaire. Subi- culllm j Substance blanche réticulée; Laine bordante hippocampique
au bord inférieur du lobule, là où Broca plaçait la limite de la substance grise des circonvolutions, et l'ouverture de so
'heure la lame bordante crétée. Portion externe et supérieure de la substance médul- laire. Lame bordante ammonique, Cette po
ui rappelle celle des animaux dite osmotiques. Voyons maintenant la substance grise de la circonvolution. DE L'APPAREIL NERVE
L NERVEUX CENTRAL DE r.'01,FAÔ'PION. 189 Extrémité antérieure de la substance grise. En avant où on peut reconnaître sa parti
lacer sur la face juxta-pé- donculaire de ce dernier, par-dessus la substance blanche réticulée, et venir se terminer sur la
que l'on doit de constater son absence. Extrémité postérieure de la substance grise. - En ar- rière, la substance grise de la
. Extrémité postérieure de la substance grise. - En ar- rière, la substance grise de la formation godronnée, au point où le
s elle ne disparaît pas complètement, car c'est elle qui fournit la substance grise qui est signa- lée par quelques auteurs c
l. Sa lame réticulée, ou plutôt son ruban réticulé, recouvre la - substance grise de la circonvolution crétée dans toute la
gueur de celle-ci; seulement le ruban réticulé sera en dehors et la substance grise en dedans. Il y a donc au-dessus du corps
le fond du ventricule, un prolongement du corps go- dronné, avec substance grise et substance blanche, cette dernière prol
icule, un prolongement du corps go- dronné, avec substance grise et substance blanche, cette dernière prolongement de la lame
levée, la lame réticulée blanche dans le fond même du sillon, et sa substance grise tranchant par sa couleur différente sur l
trémité de la bande diagonale d'une autre part. A ce niveau, leur substance grise va se confondre avec celle de l'espace pe
a même région, on trouve d'un seul côté seulement une large lame de substance grise se continuant du même côté avec le tissus
sur le milieu de la face supérieure du corps calleux une traînée de substance grise, longue de 4 centimètres et appliquée sur
lée me semble suffire au sens de l'olfaction. Pour le restant de la substance grise ammonique, comme pour la substance grise
ion. Pour le restant de la substance grise ammonique, comme pour la substance grise des autres circonvolutions juxtaposées, p
'est en rapport direct qu'avec le volume des nerfs olfactifs; et la substance médullaire de son extrémité inférieure se con-
s loin, il dit : « Il (le centre) va se perdre dans la couche de la substance grise qui revêt l'origine du corps calleux... u
ntinuation de la lame blanche reticulée jusque sur l'uncus, pour la substance blanche ; et pour la substance grise, par une l
iculée jusque sur l'uncus, pour la substance blanche ; et pour la substance grise, par une languette émanant de la partie a
er à sa face supérieure et se continuer'avec cette petite couche de substance grise qui la recouvre ou avec les nerfs de Lanc
tion de l'ourlet, et double l'écorce grise d'une traînée blanche de substance mé- dullaire. » IiIACOMINI. « Les limbi medul
nges, par conséquent à la surface du cerveau, sans pénétrer dans la substance cérébrale elle-même, ainsi que dans les expérie
us fonctionnel provoqué par l'excitation se propageait à toute la substance corticale. Le manteau tout entier peut donc pre
mique ou de travail positif, un refroidis- sement appréciable de la substance du cerveau comme de celle du muscle, suivi, dan
es par le cautère. Où l'écorce n'é- tait pas absolument enlevée, la substance grise fut détruite avec les fibres médullaires
ns complètement, parce que dans un ou deux cas, un petit lambeau de substance grise appartenant à cette circonvolu- tion, a é
ement la lésion fut complète dans les six cas, quelques morceaux de substance grise dans les sillons avoisinants, étant tout
mporo-sphénoidales des deux hémis- phères. (Voir fig. 20 et 21). La substance grise des régions atro- phiées avait entièremen
adhérer à la pie-mère avec une cavité au-dessous aux dépens de la substance grise. Les autres nerfs crâniens étaient normaux
s limitées à la première circonvo- lution temporale, cependant leur substance grise et leurs fibres médullaires étaient attei
gauche et tout le cordon médian postérieur droit, de même que la substance grise à droite, et celle qui entoure le canal cen
que le trajet de la sensibi- lité est en relation immédiate avec la substance grise. Si le trajet sensitif entre en relation
grise. Si le trajet sensitif entre en relation continuelle avec la substance grise, cela rendrait compte de la non dégénéfes
es gaines périvsaculaires et dans les espaces péricellulaires de la substance grise. On constate, en outre, l'atrophie ou la
tieuse s'en mêla et enleva, de concert avec une myélite aiguë de la substance blanche, le malade en quinze jours. - - P. Ti.
nt le diagnostic de : lésions du lobule pariétal inférieur ou de la substance blanche correspon- dante. L'autopsie révèle : u
REVUE d'\NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 275 sions de la substance grise et de ses cellules, l'amyotrophie constatée
e l'action de la puissance. P. K. X. Observation DE TROIS PERTES de substance trouvées dans LES LOBES PARIÉTAL ET FRONTAL DE
même à l'hypoglosse. Il n'y a du reste pas d'interruption entre la substance grise des cornes antérieures représentée par les
possible de déterminer l'ordre de succession : la dé- chéance de la substance nerveuse - 1 hyperplasie du tissu con- jonctif.
; ces cordons unilatéraux occu- paient la limite postérieure de la substance réticulaire et la région 280 REVUE D'ANATOMIE E
'existence d'un ostéome au milieu du lobe frontal gauche, en pleine substance blanche, ostéome constitué par la névroglie mod
hie des cellules pyramidales et des autres cellules nerveuses de la substance grise des frontales y compris la frontale ascen
egment lombaire supérieur, foyers hémorrhagi- ques ayant détruit la substance nerveuse jusques et y compris le tiers antérieu
uche intermé- diaire des olives, et que, de là, il se rattache à la substance fonda- mentale de la couche de Reil dans la pro
gros ganglions. Encore moins abondante est celle des cellules de la substance blanche du cerveau, qui sont évidem- ment de na
éorie SPIROÎDE; par G. JELGERSM.1. (Neurol. Centralbl., 1890.) La substance grise, à la surface du cerveau, affecte une épais
cie est déterminée par deux facteurs : 1° la quantité absolue de la substance grise; 2° l'épaisseur qu'acquiert la substance
antité absolue de la substance grise; 2° l'épaisseur qu'acquiert la substance grise à la surface (épaisseur de l'écorce). La
cerveau lisse présentent les mêmes considérations. La quantité de substance blanche joue, elle aussi, un rôle dans la genès
i, un rôle dans la genèse des circonvolutions. Pour une quantité de substance grise 288 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pa
t plus faible. Normalement, il est fort probable que la quantité de substance blanche est égale à celle de substance grise ;
probable que la quantité de substance blanche est égale à celle de substance grise ; en anatomie comparée, cette équation ne
ution du volume. Il faut donc que la quantité à peu près normale de substance grise s'accommode à cette nouvelle condition. C
qui vont au cervelet - le cordon postérieur qui se termine dans la substance grise du noyau postérieur d'origine des faiscea
ions. Les tractus qui vont agir directement ou indirectement sur la substance grise de la couche optique ou du corps strié sont
Un grand nombre de cellules nerveuses (cellules multipolaires de la substance grise de la moelle- cellules pyramidales de l'é-
ieurs; il en existe aussi dans d'antres systèmes, notamment dans la substance grise; au niveau de la région supérieure de la
lles sont intactes; on constate encore des fibres tangentielles, la substance blanche est atrophiée; vais- seaux en nombre mo
rose descendante du faisceau pyramidal gauche. Pas de lésions de la substance grise de la moelle épinière; les auteurs disent
vant, par l'anatomie patho- logique, la sclérose de la lésion de la substance blanche, on peut direqu'il a été le précurseur
Du siège de quelques hémorrhagies méningées (1837). Sclérose de la substance blanche superficielle des circonvolutions du ce
Sur une altération du cerveau caractérisée par la séparation de la substance grise et de la substance blanche des circonvolu
rveau caractérisée par la séparation de la substance grise et de la substance blanche des circonvolutions de la paralysie gén
'elles unissent ces régions au cer- velet par l'intermédiaire de la substance grise de la protubérance, mais c'est là un poin
érieure. - Pspf, pédoncules epti pel- lucndn. - Slm, sulcus médias, substance perforée antérieure. - Ree, rostre du corps cal
, une supérieure et une moyenne en rapport res- pectivement avec la substance grise de la base du lobe frontal et du irigonum
nce grise de la base du lobe frontal et du irigonum olfactorium, ou substance grise de l'espace perforé antérieur, et une int
f olfactf. - rs, région subtha- lamique. - s, septum lucidum. - sa, substance blanche. - sp, pédoncules cérébel- leux supérie
one, la valériane, l'asa foetida, l'iodoforme et différentes autres substances , mais ils ont rarement alors refusé leur nourri-
uille manger des fruits ou d'autre nourriture saupoudres avec celte substance . J'ai donc presque exclusivement employé l'aloès
ent enlevée, sententleur nour- riture, découvrent immédiatement une substance odoriférante comme l'aloès ou l'asa foetida ave
z intacts pour permettre à l'animal de distinguer et de rejeter les substances pour lesquelles il avait du dégoût auparavant. Ai
c plaisir un morceau, qui n'avait été en contact avec aucune de ces substances , De même, il refusait de manger une e pomme sau
poudre d'aloès et il but une assiette de lait mélangée à la même substance que ses compagnons n'auraient pas touchée. Un tro
c pour qu'il n'y ait pas de doute sur la qualité odoriférante de la substance à l'essai. Cependant, il ne .se produisit aucun
raissait indifférent et ne manifesta aucun signe de dégoût. La même substance placée dans la bouche d'un de ses compagnons, p
s tentatives comiques qour enlever de ses lèvres et de sa langue la substance désagréable. Un aulre animal, qu'on n'avait pas
ces goûts et dégoûts dépendaient seulement du caractère sapide des substances . Les résultats généraux de mon expérience me por-
mité inférieure du lobe tempoial, il ne refusa pas de manger des substances dont le goût et l'odeur répugnent aux animaux nor
homme telles qu'elles détruisent et non pas compriment seulement la substance grise des centres respectifs, . produisent inva
tives, ils ont detruit dans un cas les couches superficielles de la substance grise au moyen du cautère actuel. « Malgré l'ob
s cependant, la table interne du crâne avait été en- foncée dans la substance cérébrale, produisant ainsi une hémi- plégie gé
e générale. Dans deux cas la lésion s'étendait profondément dans la substance blanche. Dans un cas, la lésion corticale était
misphère cérébelleux opposé indirectement par l'intermédiaire de la substance grise de la plolubérance. - Les lésions destruc
22 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sous-jacentes, dans le second il y a une lésion des cellules de la substance grise, une véritable encéphalite superficielle.
), au sacrum (où les troubles trophiques ont déterminé une perte de substance de 12 à 13 centimètres de dia- mètre, à bords t
on remarque une plaque jaune avec diminution de consis- tance de la substance cérébrale, un ramollissement assez étendu sans
et qui tranche, par sa coloration gris-jaunâtre, sur le reste de la substance cérébrale. Les diverses coupes du cerveau (cent
foncée que les mêmes centres du lobe op- posé et que le reste de la substance grise; une partie delà substance blanche avoisi
obe op- posé et que le reste de la substance grise; une partie delà substance blanche avoisinante a, en avant, participé visi
de la scissure calloso-marginale. Dirigé en dehors, il intéresse la substance blanche au niveau du centre ovale de Vieussens,
iverticulum en haut et en dehors jusqu'à 4 centimètre environ de la substance grise corticale de la scissure de Rolando ; enf
de Rolando ; enfin, à sa partie inférieure, la lésion a détruit la substance cérébrale presque jusqu'à la membrane épendymaire
ou jusqu'au delà' du bourrelet de cette commissure, que la perte de substance dépasse de 1 centimètre en arrière. Le contenu
iège d'obstructions ! Userait inopportun d'insister sur la perte de substance des circonvolutions frontales gauches; notons s
ésion destructive d'une portion du noyau caudé ainsi que celle delà substance blanche sous-rolan- dique, d'une moitié du corp
niquement moteurs et nullement sensitifs. Bien mieux connus dans la substance blanche des hémi- sphères sont le trajet et le
'enfin la thèse de Pitres établit que les lésions, siégeant dans la substance 1 E. Savoy. ? H '<HM<on ? e<opo)'a/t !
artie supérieure du noyau caudé \' C n, et une grande portion de la substance blanche sous-roiandique. Sy, scissure de Sylviu
ec des accidents acétonémiques, l'accumulation de glycogène dans la substance cérébrale'. On trouvait aussi du glycose dans l
organes. On pour- rait donc se demander si l'accumulation de cette substance dans les centres'nerveux ne joue pas un rôle da
'y rechercher l'acétone et d'attribuer à une intoxication par cette substance les phénomènes comateux qui terminent par-' foi
de l'urée en carbonate d'ammoniaque, puis successivement toutes les substances contenues dans l'urine. les matières extractive
iscuter la nature et le nom; mais le fait de l'interven- tion d'une substance toxique dans le développement des acci- dents n
'un simple collapsus, il s'agit d'un coma par intoxication. Cette substance toxique, quelle est-elle ? On peut ramener à tr
et toujours le même, et non de l'empoisonnement par une série de substances se métamorphosant et se détruisant au sur et à
écouvrir en raison de la rapidité des changements que subissent les substances de cette série, Frerichs reconnaît l'impossibil
s vraisemblable. Elle est peut-être vraie. Il est possible que la substance toxique soit en réalité l'éther, ou l'acide éthyl
ls dont on la rend res- ponsable. Mais l'acétone n'est-elle pas une substance volatile ! Une partie peut avoir disparu quand
tion de l'urine, que ce n'est qu'une voie accessoire.- L'acétone, substance volatile, s'élimine surtout par les poumons; peu
élimination acétonique par les deux émonctoires ordinaires de cette substance , les reins et les poumons, c'est donc qu'il n'y
urine où l'on soupçonne la présence de l'acétone pour mettre cette substance en évi- dence. On comprend que, suivant la quan
irritation gastro-intes- tinale sont le fait de l'élimination de la substance toxique par ia muqueuse digestive; le mécanisme
t des symptômes d'excitation qui résultent du premier contact de la substance toxique avec la matière nerveuse; les phénomène
G.Hoematot'/tttcAM, syringomyélie, structure anormale du manteau de substance blanche de la moelle épinière. Cas dans lequel
cent, rouge-noir; sa surface de section présente des adhérences, la substance nerveuse y est un peu tuméfiée, la portion infé
ÉTÉS SAVANTES. milieu du tissu aréolaire de la commissure grise. La substance blanche présente des anomalies uniques constitu
e peu ou point de sections transverses de fibres nerveuses, mais la substance blanche paraît constellée de fins rayons qui do
s libres nerveuses, généialement de fin calibre, qui, émanées de la substance grise, se dirigent sur une certaine étendue tra
A la hauteur exacte de 26 centimètres au-dessus du cône spinal, la substance blanche des cordons latéraux et postérieurs est
laires dont la convexité est, sans exception, tournée du côté de la substance grise ; ici existe une aire claire, sorte d'éve
des cordons de Goll souffre un certain arrêt dans la quantité de la substance ; il en est de même des cordons antérieurs bien
é. Des lacunes très étendues s'accompagnent encore d'atrésies de la substance grise et en particulier, des cellules nerveuses
he pareille de la paralysie infantile spinale, qui, au lieu de la substance grise antérieure de la moe'le, n'atteint que l'éc
ale ou légè- rement émoussée. A l'autopsie, on trouve des pertes)de substance porancéplialiques dans le territoire cortical m
èrement atteint. Une fois j'ai rencontré une sclérose diffuse de la substance blanche. (.4%. Zeilschr. f. Psych. XLI, 4-5.) P
elle voisine du centre respi- ratoire. Car il est évident que cette substance grise sous-corticale doit subir un arrêt foncti
lité transversale, c'est-à-dire l'irradia- tion à l'intérieur de la substance grise du corps strié. Dans la chorée vraie de c
du corps strié qui doit entraîner l'arrêt de fonc- tionnement de la substance grise sous-corticale. Dans la chorée, en effet,
éro-postérieures d'encéphaiesdesinges. Onest frappé du volume de la substance grise contrastant avec la par- cimonie des cell
céphale à celui de l'homme. Ces faits prouvent que c'est non pas la substance fonda- mentale servant de lit aux cellules nerv
nsemble. 4. Les cas où l'hémianopsie était due à une lésion de la substance blanche du lobe occipital, au nombre de onze. 5
sie était due à des lésions de l'écorce cérébrale, seule ou avec la substance DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 1 SI blanche sous
extrémité antérieure était à 6 centimètres de la pointe du lobe. La substance blanche n'était que peu lésée. Il n'y avait pas
épaisseur de 2, 5 centimètres ensevelie presque entièrement dans la substance cérébrale. La base du lobe occipital n'était pa
ssu s'étend seulement à quelques millimètres dans l'intérieur de la substance blanche. L'état de la capsule interne, des couc
ésie, quelquefois de l'hémianesthésie seule. 3. Qu'une lésion de la substance blanche du lobe occipital, au niveau des fibres
marginale, du gyrus angularis, du lobule pariétal inférieur avec la substance blanche sous-jacente peut causer l'hémianopsie,
ie et l'hémiplégie. 6. Que les lésions du lobe occipital, écorce et substance DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 207 blanche sous-
trales chez l'homme : « Les fibres optiques réunies forment dans la substance blanche de la portion occipitale du cerveau un
ésiun du lobule pariétal inférieur et du gyrus angu- laris, avec la substance blanche sous-jacente, pénétrant assez profondém
ions 28, 29, 41 et 45, à la lésion du coin seul, ou du coin et delà substance griseimmédiatementenvironnante sur la face inte
ologie.) 234 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. leux. Dans cette substance molle existent des fibrilles droites sépa- rées
rées les unes des autres. La cellule nerveuse se compose de deux substances : l'une, disposée en réseau, se prolonge manifest
res nerveuses ; l'autre, homogène, se prolonge probablement-dans la substance intermédiaire aux mêmes fibrilles. Le noyau de
ionnement direct, sans l'inter- médiaire de l'influx nerveux, de la substance contractile qu'un excitant mécanique fort place
ielle. En ce qui le concerne, il a plusieurs fois rencontré dans la substance blanche de cerveaux d'enfants, des foyers symét
sances de l'opium. Les lois pénales, relatives au commerce de cette substance sont les suivantes : § 237. L'importation, la p
distillation. . On ignore où se forment dans l'organisme la ou les substances en question. IIoppe-Seyler,a, dans son cas d'in
endre à penser au tube intestinal, comme au lieu de formation de la substance qui donne l'acétone. Mais le produit de la dist
ude de réaction et de structure de la créatinine (Nobel, acétone et substances connexes. Arch. f. exper. Path. zend Pkarmokol.
is on en constatait dans l'urine de la sitiophobes. Maintenant la substance dont il s'agit est-elle de l'acétone ? Cela est
n en alté- rant la circulation, soit en agissant directement sur sa substance , provoque une réaction de l'organe, qui se révè
onvulsions. Désignant comme excitants les agents qui font réagir la substance nerveuse, nous devons dire que le nystagmus et
les mêmes réactions indiquées. Chaque exci- tant détermine dans la substance nerveuse un état anormal d'au- tant plus accusé
mal d'au- tant plus accusé que l'excitant est plus intense. Mais la substance nerveuse supportera cet état anormal jusqu'à un
e, plus vite cette limite sera atteinte ; à ce moment, l'état de la substance nerveuse change : d'actif il devient passif : a
abord par le sopor et le coma; finalement, quand l'altération de la substance ner- veuse est généralisée, par une paralysie g
némie cérébrale. On a supposé, en établissant cette doctrine que la substance nerveuse est incompressible. Or, expérimentalemen
s identiques qui résultent de l'excitation ou de la paralysie de la substance nerveuse. Ils n'ont pas d'autonomie propre. Mais
degré, la compression dépassela faculté de compressibilité de cette substance compatible avec son intégrité : troubles fonction
erveuses offrent une constitution normale ainsi que l'ensemble delà substance blanche et les cornes posté- rieures, mais les
contrer dans la partie inférieure de celle- ci au centre même de la substance grise, tandis que, lorsqu'on monte vers sa part
l'idée d'une affection des muscles; les altérations chimiques de la substance musculaire entrent en ligne de compte, ainsi qu
et probablement ausssi avec le cerveau par l'intermédiaire de la substance réticulée qui gagne les noyaux du côté opposé, et
omo- teurs communs sont en connexion avec des fibres issues de la substance blanche profonde des tubercules quadrijumeaux du
sceau longitudinal postérieur,ainsi qu'avec des fibres issues de la substance réticulaire du côté opposé. Le procédé de Weige
commun; dans ces cellules arrivent de nombreux tractus issus de la substance blanche profonde des tubercules quadrijumeaux;
cérations s'agrandit ultérieurement et tend à rejoindre la perte de substance voisine. 2t. -Des douleurs vives, contusives, p
t habituel et la névroglie n'est le siège d'aucune modification. La substance blanche est partout absolument saine. Nerfs p
ntôt elle conserve encore un certain calibre et semble contenir une substance amorphe, homogène, d'un jaune ambré dans laquel
ul- tanées des nerfs périphériques, des racines spinales et de la substance grise de la moelle, ces dernières uni- quement
t d'action (Thatigheitshemmung) des cellules ganglionnaires dans la substance corticale; cet arrêt serait produit par l'irrit
u en faisant s'en- fler l'inhibition. » Concernant ces arrêts, la substance de la question est celle que voici : on peut se
nt l'élude de l'aphasie a clairement démontré à quelle partie de la substance corticale est liée la faculté du langage. De
sont proprement dits que les phénomènes de l'activité réflexe de la substance corticale. Dans le sens le plus étendu du terme
l est bien connu qu'il y a des influences extérieures auxquelles la substance corticale réponde apparem- ment indépendamment
directions : elle peut être trans- mise par les fibres fines de la substance grise dans les cornes antérieures et de là dans
: c'est l'arc de réflexe du premier ordre; ou bien, passant par la substance blanche, elle peut monter à l'écorce grise du c
présent le réflexe du deuxième ordre. L'irritation arrivée dans la substance corticale a plusieurs voies (par les systèmes d
re aura d'autant plus de réaction qu'elle a moins d'étendue dans la substance corticale, donc le réflexe du deuxième ordre au
ans cet état l'irritation ne peut pas s'étendre normalement dans la substance corticale, elle reste restreinte à des limites
prouve que la suggestion n'a fait qu'ouvrir la voie par laquelle la substance corti- cale entretient le courant nerveux. On p
ommeil hypnotique procèdent d'une fonction, quoique modifiée, de la substance corticale. Je veux m'occuper de cette modificat
anie religieuse ; hallucinations. Au- topsie : ramollissement de la substance blanche nerveuse entourant les deux, cornes occ
e droit pèse 600 gr. Plusieurs taches purpurines à la surface de la substance corti- cale. Les circonvolutions présentent une
phères un ramollissement blanc, diffluent, crémeux, puriforme de la substance blanche entourant dans une étendue de 3 centim.
Cervelet : Les deux lobes du cervelet pèsent séparément 45 gr. La substance n'en parait pas ramollie. Les deux corps rhom-
lume. On ne remarque pas de différence dans la répartition des deux substances blanche et grise. La protubérance et le bulbe
rnes occipitales des deux ventricules latéraux. Tout le reste de la substance cérébrale, à part une consistance un peu moindr
cerveau, on trouve un ramollissement crémeux puriforme limité à la substance blanche périépendymaire du prolongement postéri
eur de la grosseur d'une noix et recouverte par une mince couche de substance cérébrale. Cette tumeur forme l'une des parois
mement une lésion manifeste et unique de 414 RECUEIL DE FAITS. la substance périépendymaire limitée à la corne occipitale du
ée à la corne occipitale du ventricule latéral gauche (à droite, la substance blanche qui entoure la corne occipitale paraît
itale, on observe un ra- mollissement crémeux avec diffluence de la substance blanche limitant l'extrémité occipitale de vent
e. Reins : le rein gauche présente une sclérose commençante de la substance des pyramides et de la substance corticale; kyste
nte une sclérose commençante de la substance des pyramides et de la substance corticale; kystes urineux nombreux à la surface
la suite de crises subintrantes. Autopsie : ramollisse- ment de la substance blanche nerveuse entourant le prolonge- ment po
occipital où il existe en ramollissement puriforme, ditfluent delà substance blanche ner- veuse entourant la corne occipital
rhomboidaux ont le même volume des deux côtés. La consistance de la substance grise et blanche est normale. - Le bulbe et l
points, plus vulnérables sont naturellement les régions formées de substance blanche ner- veuse qui entourent les prolongeme
s épileptoyènes, ou bien s'il y a seulement dans cette partie de la substance blanche un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 419
ore obscure, mais qu'elle laisse supposer dans cette partie de la substance blanche l'existence d'une zone épileptogene qu'il
s, notamment à la région cervicale; dans les poches ou tiouve une substance à demi coagulée grai-seuo qui s'échappe avec des
oplasme caverneux qui en prend toute la lon- gueur ; il émane de la substance grise, comprime la substance nerveuse et la tra
d toute la lon- gueur ; il émane de la substance grise, comprime la substance nerveuse et la transforme ça et là en kystes. D
es-axes dans les plaques de sclérose. La myéline, en effet, est une substance , pour ainsi.dire inerte, qui ne peut opposer de
a partie supérieure du noyau caudé NCa, et une grande portion de la substance blanche sous-rolandiquc Si/, scissure de Sylviu
23 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
t le point de départ est en réalité, dans certaines altérations de la substance grise de la moelle épi-nière. Multiplier ces ex
ensemble une masse représentant environ le volume d'une noisette. La substance cérébrale voisine, surtout auprès du cervelet, ét
es muscles : a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la substance grise que dans une très petite éten-due en hauteu
Charcot. Œuvres complètes, t. i H sent les cornes antérieures de la substance grise dans une certaine étendue en hauteur : Myél
ritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux bl
phie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminanl des lésions delà substance grise dans la production des troubles trophiques
rsuitede ladestruction desfilets ner-veux, ne peut plus porter sur la substance contractile elle-même. Mais, quoi qu'il en soit,
ions dans lesquelles lalésion initiale occupe plus parlieulièrementla substance grise, il est commun de voir se produire, comme l
t et se groupent sous forme de petits agrégats, en mê-me temps que la substance contractile offre à divers degrés les modificatio
t un caractère com-mun : toutes tendent à se limiter aux faisceaux de substance blanche, et si, parfois, l'axe gris est envahi, e
arcot et .Toffroy. — Deux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-laléraux de la moel
ve-nait à s'étendre des faisceaux blancs aux cornes antérieures de la substance grise; alors on pourrait voir survenir, en con-sé
publié par un de mes élèves, M. Pierret. — Sur les altérations de la substance grise de la moelle épinière da?is Vataxie locomot
legmasique s'était étendu descordonspostérieursàlacorne antérieure de substance grise du côté droit en suivant la voie des faisce
sclérose fas-ciculée consécutive unilatérale peut, en s'étendant à la substance grise, déter-miner l'atrophie musculaire. Une f
arsemé de nombreux myélocytes. propagée à la corne antérieure de la substance grise du côté correspondant et y avait déterminé
ahi, vers le milieu de la région cervicale, la presque totalité de la substance grise de la moelle, dans une certaine étendue en
, qui intéréressent, dans une grande étendue en hauteur, à la fois la substance blanche et la sub-stance grise, mais prédominant
nsion concentrique du processus morbide, les cornes antérieures de la substance grise se trouvent intéressées, les lésions muscul
en effet, sont limitées d'une façon pour ainsi dire systématique à la substance grise des cornes antérieures dont elles envahisse
mes etnullement proportion-nées, quant àlintensité, aux lésions de la substance grise. Il paraitévident, d'après loutce qui précè
éro-laté-raux dans le voisinage immédiat des cornes antérieures de la substance grise (1 ). La paralysie infantile spinale est,
ralysie infantile spinale, avec lésions des cor-nes antérieures de la substance orise de la moelle épinière, in Archiv. de Phy-si
participation des faisceaux blancs et des cornes posté-rieures de la substance grise dans le développement des affec-tions muscu
ons postérieurs, avant de pénétrer dans les cornes postérieures de la substance grisé. Il ne paraît guère possible de rattacher
ngite spinale postérieure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la substance grise ; 4° lésions irri-tatives des ganglions spi
s soit aux cordons antéro-latéraux, soit aux cornes antérieures de la substance grise ; et quant au rôle que pourraient jouer à c
. Le lobe lui-même est ramolli à peu près dans toute son étendue ; la substance cérébrale présente-là une teinte grisâtre et, en
s, sont en général occa-sionnées par le contact répété et prolongé de substances irri-tantes telles queles urines ou les matières
us redoutables sont ceux que déterminent la dénudation, les pertes de substance du sacrum et du coccyx, la destruction du ligamen
ius et jusque dans les ventricules latéraux. Dans tous ces points, la substance cérébrale est teintée à sa surface et dans une ce
en somme, l'autre à droite, vers la partie moyenne du pariétal. La substance cérébrale faisait issue sous forme de champignon
rales de la moelle épinière, semble désigner tout particulièrement la substance grise comme jouant à cet égard, un rôle prédomina
autre côté, il est parfaitement établi que toutes les par-ties de la substance grise ne doivent pas être ici incriminées in- 1
pouvait invoquer une lésion des nerfs périphériques; c'est dans la substance grise des cornes antérieures de la moelle que nou
ication singulière de l'ataxie (1). Il n'est pas très rare de voir la substance grise spinale affectée dans l'ataxie locomotrice
copique de la moelle a été fait avec soin , les cornes antérieures de substance grise étaient, dans ces deux cas, remarquablement
le d'arthropathie du genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la substance grise des cordons antérieurs parais-sait exempte
it se demander si cette altération d'une des cornes antérieures de la substance grise spinale, révélée par l'examen microscopique
se produit 1. Voir Gharcot et Joffroy. — Note sur une lésion de la substance grise de la moelle épinière, observée dam un cas
he en proche, jusqu'à cer-taines régions des cornes antérieures de la substance grise, le processus inflammatoire, primitivement
résultent, elles aussi, de l'envahissement de ces mêmes régions de la substance grise de la moelle épinière. Dans le cas où il s'
ive ou secondaire, des cellules nerveuses descornes antérieures de la substance grise spinale, paraît être le point de départ de
parties du centre spinal et plus particulièrement, sans doute, de la substance grise. 1. Ollivier (d'Angers) avait déjà noté,
core peut-être que l'étiologie; car, jusqu'à ce jour, il n'est aucune substance , aucune méthode de médication à laquelle on puiss
ajouter ni dans sa couleur,,., car les plaques sont très rares sur la substance grise des circonvolu-tions. 11 n'en est plus de m
des plaques surtout sur les parois des ventricules (Pl. Vil), dans la substance blanche du centre ovale, le sept uni lucidum, le
dum, le corps calleux (Pl. VII) et enfin dans certaines régions de la substance grise (Couches optiques, corps striés. Pl. IV et
ents cordons, sans respecter les sillons et porlent aussi bien sur la substance grise que sur la substance blanche. (Pl. V et VI)
r les sillons et porlent aussi bien sur la substance grise que sur la substance blanche. (Pl. V et VI). Les nerfs eux-mêmes n'é
e de groupement qu'ils affectent pour constituer ce que l'on nomme la substance blanche et la substance grise. Nous nous proposon
ffectent pour constituer ce que l'on nomme la substance blanche et la substance grise. Nous nous proposons de concentrer votre at
préparations comme sur la planche, les parties qui appartiennent à la substance blanche de la moelle vousparai-sent sans doute, a
ontraire, plus ou moins nettement séparés les uns des autres, par une substance d'apparence homogène, que le carmin colore légère
t, tous les vides que les éléments ner-veux laissent entre eux. Cette substance n'est autre que la gangue conjonctive, comme nous
x, dont la base est à la périphérie et dont le sommet se perd dans la substance grise. 1. C. Frommann. — Vntersuch. ilber die n
elette con-jonctif persiste seul. Plus encore peut-être que dans la substance blanche, la né-vroglie joue, dans la substance gr
peut-être que dans la substance blanche, la né-vroglie joue, dans la substance grise, un rôle important ; il est, en effet, des
aussi dans cette partie des cornes postérieures connue sous le nom de substance gélatineuse de Rolando ; dans la commissure posté
qu'elle contient, est beaucoup moins affectée par le réactif. Dans la substance grise, d'ailleurs, de même que dans la substance
le réactif. Dans la substance grise, d'ailleurs, de même que dans la substance blanche, la névroglie présente la structure rétic
2).] Dans cette forme de tissu connectif. il n'existe que fort peu de substance amorphe dans les mailles du réticulum, et la subs
ue fort peu de substance amorphe dans les mailles du réticulum, et la substance intermédiaire fibrillaire, qui est l'un des carac
cellules entre elles. Il s'agira d'abord de ce que l'on voit dans la substance blanche. Les points du réticulum où plusieurs t
es fibrilles, qui font partie intégrante du tissu lamineux. Dans la substance grise, la névroglie est faite sur le même plan gé
nts où les éléments nerveux manquent, y sont plus serrées que dans la substance blanche et de là résulte l'aspect spongieux que n
ent plus nombreuses que partout ailleurs dans certaines régions de la substance grise et qu'elles sont parfois tellementdéveloppé
n est pas moins vrai que, même à l'état frais, les coupes fines de la substance blanche de la moelle, placées dans le sérum iodé
'est que les fibrilles nous ont semblé parfois prendre racine dans la substance des noyaux ou des cellules, et que ce fait, s'il
rès la section du nerf, il se produit une sorte de coagu-lation de la substance médullaire du tube nerveux, en petites masses plu
viebelehre, p. 10 et 20, 1866. 2. Suivant Robin, la myéline est une substance particulièrement riche en principes gras, et sous
alté-ration scléreuse en plaques disséminées est surtout relative àla substance blanche, mais ellepeuts'appliquer également, d'un
ellepeuts'appliquer également, d'une manière générale au moins, à la substance grise. Dans les deux substances, en effet, la név
d'une manière générale au moins, à la substance grise. Dans les deux substances , en effet, la névroglie est faite sur le même mod
les cellules nerveuses, lorsque, par suite de l'en-vahissement de la substance grise, elles se trouvent comprises dans l'aire d'
e dans l'état normal ; le noyau et le nucléole paraissentformés d'une substance d'aspect vitreux, brillante. Il en est de même du
ons de la moelle, aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise et ces cellules, en conséquence, avaient su
ng- et les urines, afin d'y déterminer la proportion de l'urée et des substances extrac-tives. Il serait possible, qu'àl'aide de c
e optic Thalamus, in London Hoipital Reports, 1806, l. III, p. 373. substance grise de la moelle. Le corps strié, lui, serait l
cette région,n'estplus réprésenté que par une toute petite masse de substance grise ; — au-dessous de lui, et en dedans, la cou
ptique, la capsule interne, formée princi-palement par des tractus de substance blanche qui ne sont autres que le prolongement de
m de Putamen. — Plus en dehors encore, se trouve une mince lamelle de substance blanche, la capsule externe, et, mfin une bandele
ule interne, la région correspondante de la couronne rayonnante et la substance blanche avoisinante du lobe postérieur. Il s'ag
Kais. Akademie der Wisscns-cbaften). Nous croyons utile de donner la substance de ce travail.Après avoir rappelé que d'ordinaire
touché. Le foyer avait détruit une longueur assez considérable de la substance blanche et les deux tiers externes du pied de la
Ils avaient de huit lignes à un pouce de longueur, atteignant dans la substance blanche jusqu'à deux pouces. Les régions lésées é
s régions étaient atï'ectées en même temps. Les fibres qui vont de la substance blanche de l'hémisphère dans la partie externe de
profondément lésés, mais que, en outre, les cornes anté-rieures de la substance grise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à
crite à son extrémité. — Cervelet, isthme, rien à noter. Moelle. La substance grise à l'œil nu paraît un peu déformée. Thorax
sains; pas d'ecchymoses. — Foie, non hypérémie. — Reins, anémie de la substance corticale;pyramides distinctes. — Verne, rien. —
ré devant l'auditoire dans quelques développement dont on trouvera la substance dans le Progrès médical (1878, n° S.) (B.). 1
) résultant de la coupe. a, Plaques de sclérose disséminées dans la substance blanche. 6, Plaque scléreuse ayant envahi le corp
scléreuses. e, Vaisseaux devenant de plus en plus apparents dans la substance blanche, à mesure que la coupe est laissée à l'ai
ment et laissant voir des îlots de sclérose dans différentes régions ( substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlot
des îlots de sclérose dans différentes régions (substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans le
ntriculaires). d, Ilots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures ; que
scléreuses. f, X7aisseaux devenus de plus en plus apparents dans la substance blanche, qui paraît saine à mesure que la coupe e
t et. per-mettant devoir des îlots de sclérose dans d'autres régions ( substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlot
oir des îlots de sclérose dans d'autres régions (substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans le
ntérieures des ventricules latéraux- c, Plaques de sclérose dans la substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié
les la-téraux. d, Ilots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures. Quel
ès profonds. e, Vaisseaux devenus de plus en plus apparents dans la substance blanche sur des points sains en apparence, à mesu
x, leur répartition inégale, irrégulière, soit dans les cordons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la substance
s les cordons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la substance grise. Toutes ces coupes, représentent l'état f
produites avec leur teinte natui-elle qui tranche si nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise centrale.
elle qui tranche si nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise centrale. I, Partie supérieure de la régi
ux, lew ré-partition inégale, irrégulière soit dans les cordons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la substance
s les cordons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la substance grise. (Toutes ces coupes sont relatives à l'ét
t reproduites avec leur teinte naturelle qui tranche nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise centrale).
turelle qui tranche nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise centrale). 1, partie supérieure du renfle
es muscles : a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la substance grise que dans une très petite éten-due en hauteu
culées ou circonscrites qui intéres-sent les cornes antérieures de la substance grise dans une certaine étendue en hauteur : Myél
ritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux bl
phie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminant des lésions delà substance grise dans la production des troubles trophiques
sie, 447. Cellules nerveuses motrices des cor-nes antérieures de la substance grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules
lite spontanée, 106 ; — épo-que de son apparition, 106 ; — Rôle de la substance grise sur la production du—, 108. — Influence des
24 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
blable à un fil de cristal. M. Dujardin a si bien décrit cet état des substances animales primitives, que je ne saurais mieux fair
première observation est celle-ci : la tige médullaire est formée de substance blanche à la périphérie, et de substance grise à
ige médullaire est formée de substance blanche à la périphérie, et de substance grise à son centre. Cette observation est immédia
udinale. Rolando a le premier signalé dans ces deux tranchants deux substances grises d'aspect très-différent. La substance du t
es deux tranchants deux substances grises d'aspect très-différent. La substance du tranchant antérieur est rougeâtre et spongieus
longueur, et laissent entre eux de petits intervalles où s'engage la substance de l'axe gris, de manière à donner l'idée d'une s
de manière à donner l'idée d'une sorte de decussation entre les deux substances . Il faut remarquer, en outre, qu'en général la di
es faisceaux moyens, et dans le point qui sert de transition entre la substance spongieuse et la gélatineuse, un certain nombre d
t de soutien aux vaisseaux capillaires multipliés, qui nourrissent la substance nerveuse. Les axes gris ne présentent point, da
avons-nous dit, a signalé les différences d'aspect qui distinguent la substance de leurs cornes antérieures de celle de leurs cor
nnées ne sont point uniformément répandues dans tous les points de la substance spongieuse. Elles sont surtout abondantes dans le
« C'est une question importante de savoir si les gros globules de la substance « grise, dans le cerveau et dans les ganglions, s
nt dans les petites cellules multipolaires qui sont aux confins de la substance gélatineuse ; or comme ces cellules sont par leur
érieurs, d'autres prolongements se dirigent en arrière, traversent la substance des tranchants postérieurs de l'axe gris, et se c
ans celle de l'homme. Outre ces tractus rayonnants des cellules, la substance des (l) Séances de la société nhilumalhique, et
s que sont logés les cordons longitudinaux de la commissure (1). La substance gélatineuse qui constitue le tranchant postérieur
nstitue le tranchant postérieur des axes gris, diffère beaucoup de la substance spongieuse; elle est constituée par des granules
e gris; c'est dans les loges formées par ces lames qu'est comprise la substance gélatineuse. Toutes les fibres des cloisons sont
aux racines postérieures des nerfs spinaux. Outre les cellules de la substance gélatineuse, outre ces (1) On a eontesté la nat
ensitive des parties qu'elle anime. Il s'en faut de beaucoup que la substance grise soit, eu égard à la substance blanche, dans
Il s'en faut de beaucoup que la substance grise soit, eu égard à la substance blanche, dans les mêmes proportions dans toutes l
utes les régions de la moelle. Ainsi, le plus souvent, il y a plus de substance grise au renflement lombaire qu'au renflement cer
s du cerveau. Chaque pédoncule traverse d'abord un premier noyau de substance grise appelé couche optique ; puis un second noya
flement, ou, si l'on aime mieux, un développement de cette traînée de substance grise qui occupe dans toute la moelle le fond du
voit qu'elles sont immédiatement enveloppées par une couche mince de substance blanche formée de fibres transversales juxtaposée
tière, dont le fond est formé de fibres blanches mêlées à beaucoup de substance grise, loge la bandelette des nerfs optiques; ell
ve, et au fond de sa concavité existe la trace d'un sillon médian. La substance qui en forme le fond est d'un gris blanchâtre de
aire. « Elle est, suivant lui, composée de deux parties de différente substance dont l'une est de couleur cendrée et l'autre de c
le bord postérieur de celui-ci. « Il y a pendant toute la vie deux substances dans le lobe supérieur, l'une extérieure, rougeât
he épaisse de 2mm50 environ, et une intérieure blanche semblable à la substance médullaire du cerveau. Chacune de ces moitiés con
ouges, à laquelle aboutissent une multitude de canalicules remplis de substance rouge qui rayonnent du centre à la circonférence
oit où l'infundibulum communiqne avec le corps pituitaire. Quant a la substance du petit lobe elle est d'une seule couleur, tantô
térieurs sont plus grands que les postérieurs, et formés en entier de substance grise. Leur forme est celle de deux ellipsoïdes j
là des tubercules quadrijumeaux est, de chaque côté, un grand amas de substance grise. Ces deux amas, que nous désignerons l'un e
environ sept ou huit millimètres; sa largeur de quatre ou de cinq. Sa substance est d'un gris rougeâtre. Sa base renferme une pet
ue avec lui. Outre cette cavité, de petites cellules creusées dans la substance même du conarium, renferment des concrétions cris
e bande épaisse, formée de fibres blanches entremêlées de beaucoup de substance ganglionnaire, entoure le centre de la couche opt
te au noyau, elle s'en distingue bientôt sous forme d'un cordon où la substance blanche l'emporte de plus en plus sur la grise. C
ail recourbé du pédoncule; celle-ci est presque entièrement formée de substance grise ; elle commence en avant, par une extrémité
plus grands que les postérieurs. Ils sont presque en entier formés de substance ganglionnaire, et tranchent par leur couleur gris
générale de ces axes est celle-ci : chacun d'eux résulte d'un amas de substance grise compris sur les côtés du ventricule médian
iculté. Les axes gris sont évidemment représentés par cette couche de substance grise qui touche à la paroi antérieure du quatriè
cur; elle est dans l'homme singulièrement plissée et chiffonnée. Leur substance a pour éléments de petites cellules à noyaux, trè
homme un grand volume qu'augmente encore une assez grande quantité de substance grise interposée entre ces fibres (1). C'est ic
centre. stance des pyramides est d'un blanc nacré et tranche sur la substance grise à cette époque de la protubérance. C'est do
nscrit, au-dessous des tubercules quadrijumeaux, un cylindre épais de substance grise, au centre duquel est percé l'aqueduc de Sy
se ou d'étage inférieur du pédoncule cérébral. Un amas remarquable de substance grise, désigné sous le nom de locus niger, substa
ans les bandelettes optiques. Ces couches sont formées d'une bande de substance grise que parcourent, d'avant en arrière, une mul
arrière, une multitude de fibres blanches. Deux renflements de cette substance grise constituent les corps genouillés antérieurs
r leur structure. Les antérieurs sont presque exclusivement formés de substance grise, les postérieurs ont une écorce mince de fi
stérieurs ont une écorce mince de fibres blanches. Les cellules de la substance grise sont incolores et se distinguent par leur p
nches, occupant le centre de chaque hémisphère, a été nommé moelle ou substance médullaire, par opposition au nom d'écorce, donné
la pie-mère et des veines et artères qui pénètrent profondément leur substance : il sort de leur partie interne une fibre blanch
rs de ces petits corps transparents et tous blancs, de manière que la substance médullaire blanche du cerveau est apparemment un
de l'extrémité postérieure du cerveau dans l'épaisseur desquelles la substance blanche est distribuée en stries flexueuses à la
elet, absolument frais (1) Cf. Lclut. Note sur la disposition de la substance blanche à la surface du lobule de l'hippocampe da
ans son bel ouvrage, l'anatomie élémentaire d'une tranche mince de la substance corticale du cerveau. Cet anatomiste n'a distingu
présente est epithelial. Le second est formé de fibres entremêlées de substance grise qui proviennent de l'anneau du pédoncule, e
nt dits, et les faisceaux moyens, et se terminent, en partie, dans la substance grise qui forme le plancher de l'aqueduc de Sylvi
Un ou deux faisceaux bien distincts de ces fibres se portent dans la substance grise des couches optiques et des corps genouillé
econde rayonne en un éventail blanc dont les fibres cheminent dans la substance grise du plancher du quatrième ventricule jusqu'a
suffi. Gall, modifiant l'idée de Buffon, posait en principe que la substance grise engendre partout des fibres nerveuses, elle
ence, le sens dans lequel les fibres se développent étant indécis, la substance grise pourrait bien être terminaison aussi bien q
plus petit nerf; nous ne ferons d'ailleurs aucune supposition sur la substance grise des corps genouillés externes, et sur le ra
Questions, encore pour cette fois, insolubles ! Nous savons que cette substance qui conduit toutes les impressions, qui transmet
que par un peu moins de flexuosités dans les détails. Toutefois leur substance n'a point encore acquis ses apparences définitive
s de vaisseaux, d'où naissent les fines artères qui pénètrent dans la substance de la moelle ou du cerveau. Sa structure a été fo
u cerveau. M. Magendie, qui a vu ce liquide recevoir prompte-ment les substances qu'on introduit dans les veines, pense qu'il pour
qui pénètrent dans des parties blanches qui recouvrent des noyaux de substance grise, sont dans le même cas. Nous signalerons en
s les couches corticales, elles sont fort déliées et forment, dans la substance grise plus particulièrement, des réseaux très-fin
, qui s'ouvre dans le sinus caverneux. Vaisseaux lymphatiques. — La substance du cerveau paraît en être dépourvue, mais ils son
tiellement aux enveloppes du cerveau. Les artères et les veines de la substance cérébrale naissent directement des réseaux vascul
res de la pie-mère, et sont surtout abondantes dans l'épaisseur de la substance grise. La (1) Icônes, Analom. Fasc, I, Tab. 1 e
des, et dans ce cas les plis laisseront des empreintes, ou ce sera la substance cérébrale, et alors il ne s'en produira pas. L'ex
ent d'ossification des vertèbres céphaliques et l'accroissement de la substance cérébrale. En général, quand le cerveau est grand
croît, c'est sans qu'il y ait une augmentation notable du poids de la substance osseuse. Aussi, en général, le crâne des blancs c
du corps après la section des cordons postérieurs, en conclut que la substance grise transmet les impressions au cerveau. Fode
t après la section des cordons antérieurs. Il n'en conclut pas que la substance grise conduit le sentiment, loin de là, il combat
(1). M. Calmeil attaqua à son tour cette question. D'après lui, la substance grise suffit pour transmettre les impressions sen
rrière. D'après ces expériences, il admet le pouvoir conducteur de la substance grise. Van Deen a fort soigneusement distingué
ritable intérêt. Tout en accordant un grand pouvoir conducteur à la substance grise de la moelle, Van Deen ne déshérite pas les
dans les cordons postérieurs, et que toutes pénètrent d'abord dans la substance grise ; mais il pense que cette substance les tra
s pénètrent d'abord dans la substance grise ; mais il pense que cette substance les transmet aux cordons postérieurs, qui les con
elle de Bellingeri. M. Stilling en est si convaincu, qu'à ses yeux la substance grise est l'agent essentiel dans la moelle épiniè
nsmission des ordres de la volonté. Les cordons blancs, séparés de la substance grise, perdent toutes leurs propriétés (1). (1)
ibilité; mais les opinions varient beaucoup quant au rôle que joue la substance grise. On oublie trop facilement aujourd'hui ré
eur refusa absolument celui de conducteurs. La preuve, dit-il, que la substance grise n'a sur la sensibilité aucune influence, c'
rachidiens. Paris, 1841. attribuait son habile auteur. De ce que la substance grise est par elle-même insensible, il ne s'ensui
ling avaient depuis longtemps annoncé. Il dit en second lieu que la substance grise transmet les impressions sensitives, et se
en montrant par des expériences très-délicates qu'une couche mince de substance grise intermédiaire aux deux segments de la moell
tenir la sensibilité du segment postérieur. Si l'on enlève toute la substance grise de manière à découvrir la face profonde des
ns les animaux mammifères (2). Examinant enfin les propriétés de la substance grise, il trouve, comme M. Longet avant lui, qu'e
ble. Cependant elle conduit les impressions. 11 admet donc dans cette substance , des fibres particulières conductrices mais non e
érer l'hypothèse d'un entrecroisement à celle d'une conduction par la substance grise, l'une et l'autre hypothèse étant fondées à
vicale, on le rend absolument insensible. Ainsi la grande quantité de substance grise intermédiaire aux deux sections n'a aucun p
mann et Van Deen expliquent ce résultat, en disant que la quantité de substance grise intermédiaire suffisante dans le premier ca
iformes , mais seulement dans les faisceaux intermédiaires et dans la substance grise qui occupe le centre du bulbe. M. Van Dee
nouillés externes sont une dépendance ; 3° enfin son centre, noyau de substance grise que traversent en sens divers une prodigieu
na de les détruire par degrés. Tant que les lésions se bornaient à la substance grise de ces corps, les effets en étaient peu sen
non d'écrire l'histoire expérimentale de l'âme, mais d'en définir la substance . A cet égard les philosophes qui traitent de la m
la matière des corps ne sont pas beaucoup plus heureux. En effet, les substances ne tombent point sous les sens, nous les connaiss
'est-à-dire, par une voie indirecte, .oytsf$*f vôw (3). Or, moins les substances sont connues, et plus l'on s'épuise à raisonner s
ntpi 4'jxtti; xoffjAw xeu çuuioç JCs? a. |S. On appelle matière la substance qui se manifeste dans l'étendue par un certain en
és générales, ensemble qu'on désigne sous le nom de corps, et âme, la substance qui se manifeste dans la Pensée par la Pensée. Ce
la Pensée par la Pensée. Certains philosophes soutiennent que la même substance peut être à la fois le corps et la pensée. D'autr
n n'est pas assise sur des bases bien solides; l'âme, je veux dire la substance qui pense, est le sang pour les uns, pour les aut
lisé à sa manière ce vœu de Carnéades. Il y a, dit-il, deux ordres de substances , les simples et les composées. Celles-ci résulten
les composées. Celles-ci résultent de l'agrégation des simples. Les substances simples ou monades sont actives et dans un change
st une monade simple, et le corps un composé de monades. Dès lors, la substance est commune; tout est matière, tout est esprit.
« En effet, dit Plutarque, qu'enseigne Démocrite ? — Qu'il « y a des substances infinies en nombre, indivisibles, impas-« sibles,
grégation, de l'eau, « du feu, une plante ou un homme; que toutes ces substances « qu'il appelait atomes, à raison de leur solidit
, on ne peut faire une couleur de ce qui est sans cou-ce leur, ni une substance ou une âme de ce qui est sans âme ce et sans qual
la divisibilité indéfinie de la matière. Comme elle est, dit-il, une substance divisible composée de parties qui peuvent toujour
a un sentiment intérieur individuel, peut donc être, dit Collins, une substance matérielle. U ne resterait plus qu'à se faire une
posé n'existe point essentiellement. L'être absolu n'est que dans les substances élémentaires. Locke, qui a parlé de l'immatéria
nce, sinon d'une manière indirecte, c'est-à-dire, en tant que quelque substance capable de penser lui est unie. C'est là, il est
a pensée, qui la constitue, n'est possible que dans l'hypothèse d'une substance simple et indissoluble, ce qui n'est pas le cas d
sibles, semble n'avoir rien de commun avec les propriétés connues des substances matérielles. La pensée ne peut être non plus un s
s; on l'a donc considérée différente de la matière du monde, et cette substance , dont le propre est de penser, a été appelée Espr
nt en Dieu, au moment même où le corps périt en Dieu, considéré comme substance étendue, son idée meurt en même temps en lui, en
tance étendue, son idée meurt en même temps en lui, en tant qu'il est substance pensante, et ainsi l'âme cesse d'être avec le cor
e voir l'âme, mais de décider si la pensée suppose nécessairement une substance absolument indivisible et simple. S'il en est ain
s. Qui a jamais songé à prendre pour mesure un fil de caoutchouc? Les substances les plus inextensibles, les moins contractiles, l
ccession, de nombre et de temps, n'enferment en aucune façon celle de substance . Tout cela pourrait être dans l'âme sans qu'il y
nt génératrices des idées que nous avons des choses considérées comme substances . Une chose quelconque est avant tout un certain e
t tout un certain ensemble de propriétés ; si donc dans la réalité la substance emporte l'accident, dans l'ordre de l'acquisition
e suis convaincu de ce fait une nuit, à la suite de l'ingestion d'une substance narcotique. J'apercevais une foule remuante de pe
bnitz semble implicitement l'admettre, puisque, d'après lui, « chaque substance simple a des rapports qui expriment toutes les au
(3). « Dans l'extatique de Kaltern », dit un de ses historiens, » la substance physique participe à l'extase. En effet, quand el
lumière ayant figure humaine, d'une homogénéité parfaite, composée de substance spirituelle, cristalline et brillante (2). tl)
s procédés sont les mêmes. D'autres magiciens avaient recours à des substances narcotiques. Au temps de saint Augustin, c'étaien
pilote. Voilà ce que l'ivresse produit; voilà comment la plupart des substances narcotiques sont capables d'amener le délire; voi
al éprouve les effets de cet agent, et « c'est en s'insinuant dans la substance des nerfs qu'il les a affecte immédiatement. On r
us parle sur l'estomac. Mettait-on sur l'estomac de la malade quelque substance sapide, sa bouche goûtait et mâchait. On plaça su
d de la puissance créatrice de Dieu. Dieu seul, il est vrai, crée des substances , mais il a communiqué à l'homme seul le pouvoir d
leur fait distinguer avec tant de précision les aliments salubres des substances végétales nuisibles, compense son défaut d'étendu
25 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
les organes un sang difiluent et acide et un ramollissement dans la substance grise de la moelle, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI
surtout sont décolorés.irrégulière- ment en îlots blanchâtres ; la substance grise en apparence nor- male est nettement déli
es parties posté- rieures, il y a une régression granuleuse et leur substance paraît fragile. Les coupes transverses de cette
rine. Aucune coupe ne fait voir la destruction complète de toute la substance nerveuse, et par conséquent, il n'y a pas de myél
né- rées sont en grande partie endurcis à un degré très élevé. La substance grise de la région cervicale et lombaire est inta
eux ; au pour- tour de quelques vaisseaux plus grands se trouve une substance assez étendue et granuleuse, privée de cellules
hérente à la moelle épinière, était-elle coupée ou détachée, que la substance myélitique ramollie s'écoulait pour ainsi dire.
transversales de la moelle surtout à la région dorsale, on voit la substance blanche faire saillie dans DES ACCIDENTS PAR L'
coeur. Les reins plus grands, hypérhémiés, con- tiennent dans leur substance corticale un grand nombre de petits abcès, ayan
dans leur ensemble un même état fragile, bien que le reste de leur substance puisse se couper très bien. Ces enfoncements ci
amas de grandes cellules, étaient pour ainsi dire enfoncés dans la substance des cordons postérieurs et avaient séparé le ti
llules et dans quelques autres places pénétraient plus loin dans la substance blanche, de façon à altérer tous les cordons po
antérieurs çà et là des petits endroits de processus myélitique. La substance grise avec ses cellules, les racines antérieure
leur masse fait trèsfacilement saillie à la coupe. Le reste de leur substance et les cordons latéraux montrent une myélite pa
et de l'acide carbonique qui occasionnent des déchi- rures de la substance de la moelle. Je n'ai pas pu dé- couvrir ces «
hiens. Schultze, de son côté, n'a pas constaté ces déchirures de la substance myélitique. Pour moi, on peut parfaitement bien
rvoyants. Pendant des siècles, on a sectionné, excité, cautérisé la substance grise et la substance blanche du cerveau sans ê
ècles, on a sectionné, excité, cautérisé la substance grise et la substance blanche du cerveau sans être jamais par- venu,
S RADICULAIRES POSTÉRIEURES DANS LA MOELLE ET DE LA STRUCTURE DE LA SUBSTANCE BLANCHE DANS LE SEGMENT POS- TÉRIEUR DE LA MOEL
OS- TÉRIEUR DE LA MOELLE, AVEC ALTÉRATIONS PATHOLOGIQUES DE CETTE substance ; par A. TAKACS. [Neurol. Centralbl., 1887.) Les
viseraient en deux portions : l'une qui pénètre directement dans la substance grise postérieure, l'autre qui gagne auparavant,
stérieure, l'autre qui gagne auparavant, en dedans et en dehors, la substance blanche, autour des cornes grises postérieures.
trent d'emblée dans les cornes grises postérieures, tra- versent la substance gélatineuse et peuvent être suivies ensuite dans
nnes de Clarke où elles semblent se terminer. Celles qui longent la substance blanche autour des cornes grises postérieures (fa
e longueur de trois racines et ne s'in- troduisent qu'après dans la substance de la corne. Des cellules de Clarke partent deu
ui deviendra la source du faisceau de Goll. Les autres, laissant la substance grise en dehors, s'enfoncent dans le segment po
des hauteurs plus ou moins distantes de cette entrée, pénètrent, la substance grise des cornes postérieures. - De là les prop
ui pénètrent toute l'épaisseur de l'écorce ou jusqu'à la lisière de substance blanche, voire dans la couronne rayonnante ; -
iles s'anastomosent avec les branches de fibres nerveuses qui de la substance blanche entrent dans la substance grise ; la co
s de fibres nerveuses qui de la substance blanche entrent dans la substance grise ; la contiguïté, oui ; la continuité non. E
ouillé ; quand on enlève l'oeil, il ne meurt de cet or- gane que la substance fondamentale gélatineuse. C'est parce que les f
trophie de la racine ascendante de ce nerf, mais les cellules de la substance gélatineuse et le sys- tème des fibres longitud
nnue; toutefois elle ne les conduit pas habituellement à avaler des substances non alimentaires ; il convient de mettre ces ma-
lèrent parfois, sans inconvénient, l'ingestion même à haute dose de substances toxiques ou simplement nuisibles. R, M. C. DE
es d'association manifestement autonomes en dedans de la lisière de substance blanche. Discussion. M. Flersiweh. Ces lésions
formée une cavité; dans le cas de M. Zacher, c'eatla lisière de la substance blanche qui s'est trouvée être le terrain génér
érescence vas- culaire occupait surtout les cordons postérieurs; la substance blanche et grise ne présentait pas le mode de r
anes- thésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso-moteurs ( substance grise latèro-postérieure). Recueillies et publi
postérieur du côté gauche, se trouvant séparé de toutes parts de la substance grise par de la subs- tance blanche saine et co
lier cet élément aux fibres ner- veuses. Quelle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Sel
e, aussi bien qu'à celle des prolongements protoplasmiques; cette substance n'est qu'une « formation secondaire 170 0 PHYSI
t s'élever de trois à vingt et au delà, et dans lesquels circule la substance du corps allulaire, sont désignés, quoique un p
l'explication anatomique de l'ori- gine des fibres nerveuses de la substance grise ? Com- ment s'établit entre les cellules,
rmation d'un réseau nerveux qui existe dans toute l'épaisseur de la substance grise. Golgi i incline à croire, sans rien affi
i ont plutôt l'aspect des cellules des cornes postérieures et de la substance de Rolulldo. De là deux types de cellules nerve
orescentes, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la substance grise de l'écorce. Mais on n'a point le droit d
eur de l'extrémité fron- tale à la FA; le maximum d'épaisseur de la substance grise est au sommet des circonvolutions, le min
tation d'épaisseur de 0,1 à 0 ? n. Quant à l'âge, l'épaisseur de la substance grise du lobe pariétal serait plus grande sur l
la psychologie », est celle de. la détermination quantitative de la substance blanche et de la substance grise du cerveau hum
e. la détermination quantitative de la substance blanche et de la substance grise du cerveau humain. Conti a institué de no
mière de ces régions, les différences quantitatives de volume de la substance blanche et de la substance grise sont d'autant
ifférences quantitatives de volume de la substance blanche et de la substance grise sont d'autant plus fortes que les individ
tant plus fortes que les individus sont plus jeunes. Avec l'âge, la substance grise diminue naturellement sur toute l'écorce.
n préganglionnaire, après avoir dépassé la valeur ab- solue de la substance blanche chez les jeunes sujets, la substance gr
leur ab- solue de la substance blanche chez les jeunes sujets, la substance grise décroit d'une quantité absolument LES FON
quantité absolument LES FONCTIONS DU CERVEAU. 205 inférieure à la substance blanche chez les adultes et chez les vieillards
Dans la région postganglionnaire, elle augmente, relativement à la substance blanche, de la PA jusqu'à la scissure pariéto-o
iaire, Conti a trouvé une sorte d'équi- libre stable entre les deux substances grise et blanche. L'année même où paraissait ce
de l'encéphale humain et sur la détermination quanti- tative de la substance blanche et de la substance grisei. Exécutées à
ur la détermination quanti- tative de la substance blanche et de la substance grisei. Exécutées à l'Institut d'anatomie patho
la balance hydrostatique. Quant aux rapports quantitatifs des deux substances , le poids spécifique de la substance blanche de
ports quantitatifs des deux substances, le poids spécifique de la substance blanche des hémisphères dépasse tou- jours celu
la substance blanche des hémisphères dépasse tou- jours celui de la substance grise. La première repré- sente environ 74 p. 1
ncéphale. Au début de la seconde moitié de la vie intra-utérine, la substance grise subit un accroissement considérable, puis
et le développement ulté- rieur de l'organe a lieu au profit de la substance blanche. Chez le foetus à terme, l'épaisseur de
e la substance blanche. Chez le foetus à terme, l'épaisseur de la substance grise est peu inférieure à celle de l'adulte. 1
ent. di fren., 1884, X, p. 193. 206 6 PHYSIOLOGIE. Le poids de la substance blanche des hémisphères atteint son maximum de
s atteint son maximum de cinquante-un à soixante ans, celui de la substance grise de quarante à cinquante ans. Quant au sex
e la substance grise de quarante à cinquante ans. Quant au sexe, la substance grise est en plus grande quantité chez l'homme,
xe, la substance grise est en plus grande quantité chez l'homme, la substance blanche chez la femme. La diminution, avec l'âg
chez la femme. La diminution, avec l'âge, de la quan- tité de la substance grise, est manifeste. La quantité notablement p
ise, est manifeste. La quantité notablement plus considérable de la substance blanche en regard de la grise, le chiffre élevé
bserve chez les individus sains d'esprit. Le poids spécifique de la substance cérébrale est généralement plus élevé pour les
dans les aliéna- tions accompagnées de processus atrophiques de la substance cérébrale; médiocre dans les formes aiguës typi
chaleur à la peau, avec trouble fébrile passager, à la manière des substances excitantes telles que la cannelle et le poivre.
ollissement, d'origine probablement embolique, qui avait détruit la substance corticale des deux coins. On a constaté en même
es plus anté- rieures sont seules épargnées), et d'une partie de la substance grise (zone latérale intermédiaire aux cordons
la face interne de la circonvolution de l'hippocampe. A la base, la substance cérébrale intermédiaire à la bandelette optique e
l y a constaté de l'atrophie, une transformation granuleuse de la substance musculaire, la multiplication des noyaux. L'exame
ques) ; l'altération débute parla transformation d'une partie de la substance musculeuse en organites nucléaires autour desquel
même probable que les colonnes de Clarke participent, ainsi que la substance grise des cornes postérieures, à l'altération.
peintre de soixante-huit ans, affecté d'hémianopsie avec alexie. La substance blanche ressortissant au pli courbe, à la premi
econdaire du segment supérieur des fibres de Gra- tiolet jusqu'à la substance blanche latérale du pulvinar ; diminution consi
he ont subi un recoquillement considérable qui porte surtout sur la substance blanche. Dilatation extrême du ventricule latér
hésitation, lui remit. Cette lettre, signée du même nom, portait en substance que le docteur, se trouvant dans le quartier aupr
les particularités aiuilomo-patholo- giques. Chaque moitié de la substance blanche de la moelle est d'abord divisée par le
ral (Z M, 6) qui se trouve entre le faisceau pyramidal croisé et la substance grise. Le faisceau cérébelleux direct ou de Fle
ostérieure de Westphall (Z, W, 7) immédiatement appliquée contre la substance grise, formant la partie externe et antérieure
s qui la constituent seraient ascendantes et se jetteraient dans la substance gélatineuse. Autopsie I (personnelle). La malad
les cornes postérieures. (Zone de Westphal.) Les fibres fines de la substance spongieuse sont en grande partie détruites. La
rveuses. Le faisceau pyramidal présente un minimum d'altération. La substance grise est intacte ainsi que les racines antérie
ié inférieure du quatrième ventricule. Il n'y a pas de lésion de la substance grise de la moelle. - Atro- phie des racines po
itudinaux parallèles situés en grande partie dans l'épaisseur de la substance grise au point de réunion des cornes antérieures
ur les cordons postérieurs. Néanmoins, la région antérieure et la substance grise sont également amoindries. La sclérose po
E DE FRIEDREICH. 341, Î cordons postérieur ? , il existe encore une substance presque nor- male qui semble englobée dans les
cence quoique à un degré moindre que dans les cordons de Goll. La substance grise est intacte. Racines postérieures atteintes
yen on trouve seulement çà et là quelques fibres nerveuses dans une substance conjonctive fibril- laire. Dans les cordons p
ornes postérieures. Dans les cordons prismatiques il y a, à part la substance blanche en forme de bandelette bordant la corne
libres, tandis que dans les cordons latéraux aussi bien que dans la substance grise on ne voit plus de dégénérescence. La sur
don de Goll. Après ceux-c vient le cordon de Burdach. Bord mince de substance blanche conservé le long des cornes postérieure
le valeur nous est fourni par la limitation des altérations de la substance grise à la seule colonne de Clarke, dont non se
QUI SE RENCONTRENT COMMUNÉMENT AU VOISI- NAGE DE LA JONCTION DE LA SUBSTANCE BLANCHE ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLU
MENT AU VOISI- NAGE DE LA JONCTION DE LA SUBSTANCE BLANCHE ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLUTIONS DANS LES CAS DE PARAL
ayonnent; elles se distinguent des fibrilles qui font corps avec la substance réticulaire ou la charpente. Les filaments de c
filiformes transversaux, Les unes se perdent en divergeant dans la substance 408 SOCIÉTÉS savantes. réticulaire; les autre
ibrilles; ces pertuis permettent une communication directe entre la substance réticulaire intranucléaire et la substance réti
ication directe entre la substance réticulaire intranucléaire et la substance réticulaire extranucléaire. La membrane en ques
les à mailles étroites. Le pourtour du nucléole ou les noeuds de sa substance réticulaire émettent assez souvent des prolonge
les nerveuses entre elles, connexion des cellules nerveuses avec la substance grise, les cellules du tissu con- jonctif, et l
arent ces dernières, comme, de plus, la paroi des capillaires de la substance grise et les cellules nerveuses émettent des fi
ommann avait supposé qu'elles formaient entre les interstices de la substance grise un réseau ténu qui servait de connexion e
iles, les oiseaux, et les mammi- fères, incluses dans une couche de substance finement grenue. Les nerfs sensitifs se résolve
ents (alcool, thé) ; M. Kroepelin, en ce qui concerne ces dernières substances , a constaté qu'elles exercent sur l'interpréta-
26 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
malacie complète avec désintégration lacunaire très prononcée de la substance blanche et disparition à peu près complète de l
ée de la substance blanche et disparition à peu près complète de la substance grise (V. PI. I, fig. A). II. .Une femme de 58
étaient ralentis. Par ce fait, comme chez le malade de Hertoghe, la substance thy- roïdienne aurait pu peut-être provoquer un
ée de poils rares. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 71 La substance thyroïdienne a été également impuissante à modifi
difice s'élève. La glande thyroïde ne leur donne que bien peu de sa substance . C'est le sang qui fait les frais de tout ; et
- connaît bien l'odeur de la térébenthine, de la menthe et d'autres substances odo- nantes, que l'ouïe est parfaite, je finira
qui corres- pond avec l'âge. La spongiose paraît contenir moins de substances calcaires. Au radius vous pouvez reconnaître. f
'acromégalie. Mon confrère Wintler a trouvé un épaississement de la substance grise centrale dans un cas d'acromégalie, ce qu
après l'opération. Les expériences par lesquelles on a introduit la substance glandulaire soit par la bouche, soit sous la peau
pinion est admise par Wernicke (5) qui propose la dénomination de « substance sagittale du lobe occipital ». Sachs (6) fait
ne du noyau amygdalien où il morcelle avec le faisceau uncinatus la substance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygda- li
ipital entraînent une dégé- nérescence qui peut être snivie dans la substance blanche du lobe temporal, mais souvent, à cause
quadrijumeau antérieur. Lorsqu'il s'agit de lésions intéressaut la substance profonde située en dehors du corps genouillé ex
armi ces dernières, il n'en est pas que l'on, puisse suivre dans la substance sous-corticale de la première circonvolution te
gent nettement appréciable aux circonvolutions dont il constitue la substance profonde. La partie dorsale de ce faisceau se c
s- phère droit (Pl. XXXII. 43,14,45,16. Schéma n° I) qui détruit la substance cor- ticale et sous-corticale des deuxième et t
ale ; à ce niveau la lésion respecte la corticalité mais atteint la substance profonde des deux tiers antérieurs des deuxième
lésions corticales du lobule fusiforme. Cette dégénérescence de la substance profonde porte sur les faisceaux de Sachs, de Via
nettement mais de multiples foyers occupent et la corticalité et la substance profonde et à l'exception des « fibrx proprio »
brx proprio » des lobules lingual et fusiforme, il n'existe plus de substance sous-corticale. Le ramollissement s'étend dans la
intéresse le carrefour ventriculaire. Une lésion récente détruit la substance profonde du gyrus supramarginalis et se rend ju
laire de la capsule interne. A part un foyer ré- cent situé dans la substance profonde de la circonvolution frontale ascendante
rand nombre de fibres d'association a donné lieu à une pâleur de la substance profonde des circonvolutions temporales. En dépit
er ne se présente au niveau du lobe temporal. La décoloration de la substance profonde diminue progressivement et la zone dég
du faisceau de Wernicke a déter- miné une pâleur appréciable de la substance profonde. Au niveau du carrefour ventriculaire
s fibres d'association a déterminé'un certain degré de pâleur de la substance profonde des circonvolutions latérales. L'exame
gittale externe, ce ramollissement n'inté- resse que l'écorce et la substance immédiatement sous-corticale ; les couches prof
ricule est grandement dégénérée. On remarque l'extrême pâleur de la substance profonde ; la lésion a entraîné la dégénérescen
ette et se poursuit même dans la circonvolution de l'hippocampe. La substance profonde des circonvo- lutions de la face exter
ure de Sylvius, la temporale profonde) et empiète légèrement sur la substance profonde de la deuxième circonvolution temporale.
rge bande très dégé- nérée, fortement arquée et qui occupe toute la substance profonde de la circon- volution de l'hippocampe
t des corps genouillés externe et interne. La lésion a abandonné la substance pro- fonde, mais détruit totalement l'écorce et
nné la substance pro- fonde, mais détruit totalement l'écorce et la substance sous-corticale de la pre- mière temporale et de
tre dans l'ordre et l'on n'observe qu'une légère décoloration de la substance profonde des circonvolutions latérales. Nous ve
s profonds, entre la paroi ventriculaire inférieure et l'écorce, la substance blanche est d'une extrême minceur (fig. 3) et nou
t. Or, quel parcours allons- nous accorder à ces fibres, puisque la substance profonde de cette région leur refuse le vaste c
rétrécissement de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, la substance profonde occupe un territoire de plus en plus v
e normale des racines ; nous verrons également qu'il existe dans la substance grise de la moelle, à l'état normal et à l'état
e croissance encapsulées dans les ganglions rachidiens et dans la substance grise de la moelle. La néoformation de fibres d
qui sont nées de la portion ex- tra-capsulaire de l'axone, dans la substance blanche du ganglion. Elles sont manifestement a
de la planche XXXVI ; la fibre se di- rige obliquement à travers la substance blanche, puis elle se recourbe pour se placer p
es, il ne m'a pas été possible d'y déceler de neurofibrilles ; leur substance paraît homogène ou granuleuse. Certaines d'entr
ntre elles sont muriformes et se F1G, 1. - Massues terminales de la substance blanche d'un ganglion, avec leurs capsules nucl
e certitude à cet égard. ' Massues des centres nerveux (cervelet et substance grise de la moelle). - Des massues terminant de
r d'elles. Ces formations se rencontrent dans toute l'étendue de la substance grise, mais elles s'accumulent particulièrement
lleurs ce caractère avec les boules norma- les du ganglion et de la substance grise de la moelle, dont nous aurons à nous occ
ation de fibres à myé- FiG. 2. - Fibres terminées en massue dans la substance grise de la moelle. Les mas- sues sans indicati
ôle supérieur des ganglions. Quant aux massues qui existent dans la substance grise de la moelle, on peut se demander si elle
moelle et leur accumulation en certains points à la. li- mite de la substance grise, tendent à prouver qu'il s'agit de fibres q
avant que ceux-ci soient détruits. xix 10 234 NAGEOTTE dans la substance grise de la moelle chez un paralytique général et
psulées de Cajal). ' On retrouve des formations analogues dans la substance grise de la moelle humaine à l'état normal et à
avril 1906. Note sur la présence de massues d'accroissement dans la substance grise de la moelle, et particulièrement' dans l
. Fig. 3. Obs. III (tabes incipiens). Photographie d'une portion de substance blan- che au pôle supérieur du 4" ganglion lomb
6. - Obs. III (tabes incipiens). Trois massues de croissance dans la substance blanche d'un ganglion sacré. L'une d'elles term
ans la subs- tance blanche du lobe frontal gauche, empiétant sur la substance grise de l'écorce de la partie orbitaire et int
e. Dans le pus, qui est d'odeur très fétide, nagent des détritus de substance cérébrale irrégulièrement dissociée. Rien d'app
e. Au plus fort grossissement (immersion 1/12, oc. 12), on voit une substance bleu pâle, dif- fuse, sur laquelle se détache e
nes pyramides ou sur les petits éléments de la troisième couche, la substance foncée dessine un réseau très irrégulier, à mai
rélation seules y donnent quelque valeur. Le gros de cette perte de substance est sur- DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉB
DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 249 venu aux dépens de la substance blanche et plus particulièrement des faisceaux
microscopiques et purement corticales ; 8 sont entièrement dans la substance blanche ; 3 intéressent les deux substances. Ce
8 sont entièrement dans la substance blanche ; 3 intéressent les deux substances . Ces 11 dernières atteignent en partie la grand
outes nettement délimitées ; elles ont disséqué en quelque sorte la substance cérébrale dans leur entourage, beaucoup plus qu
beaucoup plus qu'elles ne l'ont « mangée ». i Les métastases de la substance blanche sont seules régulièrement entourées d'u
s calleux les mêmes pinceaux de fibres que dans l'observation VI. Substance blanche. Rien de particulier à relever dans l'hém
s ou du sang. Bientôt il ne subsiste plus qu'une fine bandelette de substance blanche et le néoplasme émerge même complètemen
emées irrégulièrement, les mêmes « araignées » gonflées que dans la substance blanche. Enfin, où le néoplasme est contigu à l'é
ases, même les petites, à condition qu'elles soient situées dans la substance blanche, ne tardent pas à s'entourer d'une zone v
lles de l'observation VII. Ici, au contraire, les altérations de la substance blanche sont notablement plus étendues que là.
raît logique d'admettre que les néoplasmes se développant en pleine substance blanche, la disséquant en quelque sorte, sont par
Remarques générales. 1. L'écorce résiste mieux à la pression que la substance blanche. Sans doute que la nutrition y est plus
plissant toutes la gaine du sarcolemme et ne laissant plus voir la substance striée. L'infiltration adipeu'se est d'intens
résentant la forme des boules ovoïdes bosselées. La nature de cette substance nous est inconnue, l'acide osmique ne la colore
e graisse et remplissent les gaines sarcolemmatiques vides de toute substance contractile. Quoi qu'il en soit de cette interpré
ou moins serrés des vaisseaux nourriciers sans modifications de la substance noble, fait sur lequel M. Brault a tout particu
vaisseaux sanguins, mais aussi autour des cellules nerveuses de la substance grise. Cramer, Greiff et quelques autres ont tr
e la calotte, du ruban de Reil médian, de la toenia pontis et de la substance réticulée grise sauf une partie comprise entre
llules des noyaux centraux supérieurs, des noyaux latéraux et de la substance grise du pont sont presque complètement conservée
al- gré cela les cellules des noyaux de Goll et de Burdach et de la substance gélati- neuse de Rolando semblent en nombre nor
colorée avec la méthode de Weigert et Weigert-Pal. Les cornes de la substance grise sont encore bien reconnaissables grâce à
ner- veuse colorable avec la méthode de Weigert. Les cellules de la substance grise sont en grande partie conservées. Les fib
ement sous-olivaire, jusqu'à la 8° racine dorsale, presque toute la substance nerveuse, sauf quel- ques petits îlots dissémin
sculaire et au tissu avoisinant (fig. 11). Dans les vaisseaux de la substance médullaire transformée en plaques de sclérose,
etit amas de noyaux po- lymorphes de grandeur différente. Dans la substance médullaire, en dehors des plaques de sclérose, le
aisseaux du cervelet dans cette même région et un peu dans toute la substance blanche extraciliaire, présentent presque tous un
(fig. 13) ; parfois, au contraire, entre la paroi vasculaire et la substance ner- veuse, outre un nombre plus ou moins consi
est d'autant plus étroite que la paroi qui les limite du côté de la substance nerveuse est en général repré- sentée par un an
décrit, soit dans la moelle épinière son dans le cervelet, dans la substance nerveuse non encore transformée en plaques sclé
'une pièce de vingt centimes. L'apophyse clinoïde est branlante, la substance osseuse qui la compose n'existe presque plus et e
nt servi à l'examen microscopique. La selle turcique vidée de cette substance molle et fluente, on aperçoit dans le plancher
llaires interalvéolaires. Ces amas cellulaires ne renferment pas de substance colloïde apparente en amas. L'aspect général de
nstater des phénomènes de régéné- rescence du côté des fibres de la substance blanche. Beaucoup de fibres de nouvelle formati
ence double, l'une partie des racines postérieures et l'autre de la substance blanche de la moelle. L'un de nous (2) a décri
matoire, dans l'épaisseur de laquelle se terminent les fibres de la substance blanche et grise. Les bouts traumatisés des cor
entant des restes d'axones dégénérés. Les fibres persistantes de la substance blanche changent de direction au niveau de la cic
ntrent suivant Cajal, que les axones des racines postérieures et la substance blanche médullaire sont susceptibles de régénér
laire, et aussi bien l'absence de cellules capables de sécréter des substances chimiotaxidues qui puissent attirer les fibres
lation con- sidérable de leucocytes et de globules de sang. Dans la substance grise, même dans cette masse d'éléments émigrés
onstituant parfois une espèce de plexus irrégulier (Fig. 3). ,Dans la substance blanche latérale, on constate un grand nombre d
ilatations parfois considérables produites par l'accumulation d'une substance probablement albuminoïde sur le trajet des fibres
produit alors les cavités kystiques. On rencontre également dans la substance blanche latérale un certain nombre de fibres no
résistance que celle-ci leur oppose. Néanmoins, à la périphérie de la substance blanche, on voit quelques fibres descendant ver
reint, elles sont dégénérées et disséminées par ci, par là, dans la substance blanche. La partie moyenne de la cicatrice est
s de granulations noires. De dif- férents points de la région de la substance blanche partent des faisceaux et des FiG. 6. Co
zones nécrosées qui avoisinent les ré- gions mieux conservées de la substance blanche (Fig.6). Par conséquent, le tis- su de
dire (Fig. 8). Au contraire, les vaisseaux qui sont situés près de la substance grise et de la substance blanche fortement alté
, les vaisseaux qui sont situés près de la substance grise et de la substance blanche fortement altérée ne présentent pas de fi
é de la pie-mère et d'aspect très variable. Ici, il est formé d'une substance fondamentale dans les interstices de laquelle on
t aérolaire ou vasculaire à cause de la dilatation du réseau par la substance interfibrillaire. Ces grosses fibres à trajet irr
s presque inextricables autour des ma- crophages qui ont détruit la substance grise, or, il est certain qu'ils provien- nent
MINEA en rencontre rarement et isolées possédant une gaine de cette substance (Fig. 12). A ce propos il est fort probable que
3). Ils ne sont pas si volumineux que ceux de la cicatrice. Dans la substance grise et blanche située immédiatement au-dessus
ents sur leur trajet sont des fibres de nouvelle formation. Dans la substance grise située immédiatement au-dessus de la région
absolument normales ; elles ne présentent aucune altération de leur substance chromatique. 50 MOELI,E.- La moelle a été fixée
toluidine. - Dans l'ensemble, les lésions constatées portent sur la substance grise, tandis que l'intégrité des cordons blanc
ons blancs, il n'y existe aucun grain noir. Les altérations de la substance grise portent uniquement sur les cornes an- tér
le, gélatineuse, légèrement transparente et adhère intimement il la substance cérébrale voisine ; le tissu néoplasique se con
toute la fibre prend une coloration légèrement violette comme si la substance nucléaire s'était intimement mélangée à la fibre
vent mal colorés par l'hématoxyline, par des débris ou des blocs de substance muscu- laire : la fibre prend parfois à ce nive
ulaires et interstitielles sont plus ou moins dilatées. , Dans la substance grise les lésions sont moins considérable : les c
elle est nettement aplatie, avec élargissement et déformation de la substance grise : le volume total de la moelle est plutôt s
or- mation de plusieurs petits foyers de myélomalacie, limités à la substance blan- che du cordon latéral. Les vaisseaux sa
paisseur. Au niveau de cette dilatation, les parties voisines de la substance grise sont ra- réfiées ; la lumière du canal re
substance grise sont ra- réfiées ; la lumière du canal renferme une substance vaguement grenue se co- lorant en rose par l'éo
et 6° segments cervicaux, la moelle est léèrement compri- mée ; la substance grise est déjetée à droite. Elude histologique.
ESSEUR L. LANDOUZY. HÉHASYNERG1E DROITE PAR HÉ111ORRHAGIC DANS LA SUBSTANCE BLANCHE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBELLEUX DU MÊME COT
passant parles olives, montrait que la partie postéro-externe de la substance blanche de l'hémisphère céré- belleux droit éta
antérieure du pédoncule cérébelleux moyen et le tiers externe de la substance grise antérieure du pont. Il s'arrête sur la li
caillot organisé, où l'on distingue des leucocytes plongés dans une substance rouge amorphe. L'artère est entourée d'un mince
ces. Le foyer cérébelleux occupe la moitié postéro-inférieure de la substance blanche de l'hémisphère droit. Sur une coupe
r les olives, nous avons vu ses dimen- sions. ! 1 ne touche ni à la substance grise des lobes hémisphériques et du vermis, ni
que 3 petites hémorrhagies corticales parallèles à la surface de la substance grise, larges de 1 .millimètre, longues de 3 ou
C- li/, dont un prolongement occupe la partie postéro-externe de la substance blanche, on voit l'olive cérébelleuse centrant
e de la substance blanche, on voit l'olive cérébelleuse centrant la substance blanche limitée en dehors par le lobe semi-luna
ors de l'olive et une bande linéeuse antéro-postérieure séparant la substance blanche du lobe semi-lunaire supérieur et occupée
: 1° Le tiers postérieur du feutrage intra-ciliaire (FIC) ; 2° La substance blanche médiane immédiatement en avant de l'olive
. 547 Sur un coupe (fig. 7) passant au-dessous de la précédente, la substance blanche diminue proportionnellement au reste de
ire, l'autre dans le feutrage extra-ciliaire, et le dernier dans la substance blanche postérieure. Sur une coupe (fig. 8) plu
cas il s'agit d'une trophonévrose en rapport avec des lésions de la substance grise médullaire ; dans d'autres cas les plus n
les notions cliniques en constatant l'existence de lésions dans la substance grise médullaire; cependant, on ne peut considé
ont pas fait allusion à la possibilité d'une artério-sclérose de la substance grise centrale avec ce syndrome. Celte nouvelle
vasales, partent des gros septa conjonctifs qui s'enfoncent dans la substance médullaire. Les faisceaux postérieurs et latéraux
érosés avec diminution évidente des fibres. Par ci, par là, dans la substance grise on trouve de petites hémorragies périvasa
remière dorsale, aussi à droite, on voit une cavité creusée dans la substance grise tout autour d'un groupe de vaisseaux : on
eut faire aux autres : comment peut-on admettre qu'une lésion de la substance grise periépen- dymaire puisse donner lieu à la
nt on connait peu la structure et les fonctions, comme celles de la substance grise, il est très difficile de faire l'évaluat
e la maladie de Dupuytren serait donc unique : une altération de la substance grise spinale, qui dépend de cau- ses variées,
aires est bien souvent une raréfaction du reticulum fibrillaire des substances grises (Pighini, Beduschi et Jardini), le défau
ue d'avoir, dans le milieu, un vaisseau perméa- ble entouré par une substance amorphe et par des détritus, dans lesquels on p
r- réguliers des tissus sclérosés. Leur lieu de prédilection est la substance grise, et, dans mon cas, la substance grise pér
r lieu de prédilection est la substance grise, et, dans mon cas, la substance grise périépendymaire. Cet état pa- thologique
peut causer la maladie de Dupuytren quand elle se localise dans la substance grise centrale de la moelle. 2° La plupart des
adie de Du- puytren, non seulement par les lésions organiques de la substance médul- laire, mais aussi, et, peut-être, plus f
rne et la zone triangulaire de Wer- nicke ; et d'autre part dans la substance blanche du lobe temporal. A cet égard l'on nous
udinal inférieur s'ir- radie dans l'écorce du lobe temporal dont la substance blanche est très dégé- nérée (fibres longues d'
circonvolutions tem- porales. La lésion intéressait l'écorce et la substance blanche sous-jacente, mais ne sectionnait pas l
ou moins régulières. Elles sont séparées ça et là, par des îlots de substance grise qui se détachent de l'angle inférieur du
la configuration du pédoncule cérébral devient frappante lorsque la substance innominée le Reicliert sépare le globus pallidu
enouillé, que ce sont surtout le corps quadrijumeau antérieur et la substance grise de l'aqueduc de Sylvius qui représentent
l'angle supéro-interne de la corne occipitale, c'est-à-dire dans la substance blanche du cunéus. Il se fait donc un entrecroi
2. L,UG/OEL-LAV.\STINE. Hémiasynergie droite par hémorragie de la substance blanche de l'hémisphère cérébelleux du même c
27 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
en les soumettant à l'action des poisons, des virus, des venins, des substances putrides, etc. L'idée de produire ainsi des malad
ts se rencontrent: Io à la surface du rein, et dans l'épaisseur de la substance corticale ; 2° dans les mame-lons et les papilles
eaks) ; on les rencontre dans la subs-tance tubuleuse (jamais dans la substance corticale), et quel-quefois dans les mamelons; il
ts. Au premier degré, le rein conserve son volume ordinaire ; mais la substance 1. Gharcot et Cornil. —Mém. de la Soc. de biol.
seuses ou protéiques. Au second degré, on trouve une atrophie de la substance corticale, et cet état granuleux du rein, qui app
e rein, diminué de volume, est ridé, grenu, ru-gueux à la surface. La substance corticale est notablement atrophiée. Jamais, dans
nts : 1° Les reins en présentent dans les tubules, mais non dans la substance corticale. Les uretères en renferment également.
de soude, on voit les liga-ments et les tendons s'imprégner de cette substance . Les symptômes de cet état de choses se confonden
nait naissance à une matière colorante très soluble : dès lors, cette substance , qui rentrait dans les termes de la loi de 1816,
fibreux, les matières albuminoïdes se trans-forment en géline ; cette substance se dédouble à son tour, par un travail de désassi
e simple hypothèse. Elle se fonde surtout sur la présence de ces deux substances dans le sang normal : mais on ne les y trouve qu'
sement de l'acide urique et de l'urée, mais surtout de cette dernière substance . Jusqu'ici, les déductions théoriques paraissen
égère-ment ; enfin le thé et le café diminuent la proportion de cette substance . Si l'on admet dans ces expériences que la quanti
ue dans le sang, soit en favorisant directement la formation de cette substance (repas copieux, abus de certaines boissons), soit
n du froid, qui réprime la sécrétion acide de la sueur, et l'usage de substances acides, le vinaigre, etc. On peut donc supposer
rmation de capsules secondaires ; le second est la segmentation de la substance fondamentale. Elle se divise en fibrilles qui dev
elles éprouvent la métamorphose colloïde. Quant aux fibrilles de la substance fondamentale du carti-lage, elles subissent la dé
anvier). a, Capsule primitive remplie de capsules secondaires. o, Substance fondamentale segmentée. Les capsules primitives v
r dans les espaces médullaires pour y dé- verser leur contenu. d. Substance osseuse. e. Moelle qui remplit les aréoles de l
e cartilage peut y participer aussi, suivant Forster; c'est tantôt la substance fondamentale qui subit cette transformation ; tan
Surface du cartilage des condyles du fémur (d'après M. Ranvier). La substance fondamentale est segmentée transversalement. Les
mitives de la surface contiennent plusieurs capsules secon-daires. La substance fondamentale est segmentée transversalement. Un l
at normal; mais à un degré plus élevé, il y a une segmen-tation de la substance fondamentale dans le sens horizontal; c'est une s
st produite par la transforma-tion des cellules épithéliales et de la substance fondamentale du cartilage. Ces altérations, qui
sule cartilagineuse normale, contiguë à des cristaux formés dans la substance fondamentale du cartilage. (Grossissement de 200
e lésion constante du cartilage. 11 n'y a point de segmentation de la substance fondamentale, et de proliféra-tion des cellules,
du pus, ce qui est rare ; mais on voit plus souvent se développer des substances délétères qui vont infecter au loin la masse du s
chique, et déterminer la mort sont des cas d'empoisonnement par cette substance (Potton). 3° Il ne faut point habituer le malad
s forte. Voyons donc quelle est l'action spéciale de chacune de ces substances prises séparément, et pour commencer parles deux
xiste, une affection hépatique, suivant Garrod (1). Mais il est une substance encore peu connue, la lithine, qui paraît l'empor
de Natrolithionquelle, et qui renferme une forte proportion de cette substance . L'analyse spectrale a permis à MM. Bunsen et K
ésence dans le lait et dans le sang de l'homme. Ce n'est donc pas une substance étrangère à l'organisme, et si la potasse existe
à l'inanition complète, à l'intoxication déterminée par de certaines substances , l'opium, l'ammoniaque, l'acide cyanhydrique, que
uls, les pupilles con- 1. Lu thèse récente du Dr Magnin renferme la substance de ces leçons. (De quelques accidents de la lithi
icamenteuse : sulfate de quinine, digitale, alcool, etc. — Action des substances putrides. — Septicémie avec fièvre. — Septicémie
pareil cas, cet abaissement de la tempéra-ture. Un grand nombre de substances , employées à titre de mé-dicaments, ont pour effe
st, par exemple, ce qui a lieu pour l'alcool (2). Lorsque ces mêmes substances sont prises à des doses toxi-ques, elles détermin
ue nous l'avons déjà fait remarquer, à dé-terminer la mort. Parmi les substances qui produisent ce résultat, nous citerons le chlo
e, a le pouvoir inverse. À peine pouvons-nous citer trois ou quatre substances , pos-sédant la propriété d'exalter la chaleur ani
ture produites par l'action sur l'organisme des poisons morbides, des substances animales ou végétales en voie de putréfaction. La
stances animales ou végétales en voie de putréfaction. La plupart des substances putrides introduites dans le sang, dans l'expérim
tais; et l'on détermine la fièvre non seulement par l'injection de substances putrides, mais encore par celle des produits de l
n grande abondance dans la circula-tion, et agissent à la manière des substances pyrogènes. Telle est, du moins, l'interprétation
Centralblatt, 1869, n° 2). Il paraît donc établi que la plupart des substances septiques, contenues dans les liquides pathologiq
erminer la fièvre. Mais il est également vrai qu'un certain nombre de substances du même genre, ont sur l'organisme une action rad
exemple, dans les expériences de Weber et de Billroth, l'injection de substances animales putréfiées, d'eau putride, a plusieurs
général rapidement. Il est difficile de prévoir, à coup sûr, quelle substance putride injectée dans le sang produira la fièvre,
est des plus variées. Il est au moins très vraisemblable qu'une môme substance , qui, prise à un moment donné de la fermentation
'iodure dans les urines. On ne saLirait douter, d'après cela, que les substances putrides des parties sphacé-lées ne puissent, ell
sueurs froides, pouls presque insensible, etc. Comment agissent les substances en question pour déter-miner si rapidement un aba
l est très vraisemblable qu'indépendamment de cette action, certaines substances affectent le cœur en paralysant ses mouvements. C
s, qu'elle reconnaît pour cause l'usage immodéré de vins généreux, de substances ali-mentaires abondantes et riches en matières az
ains points, des dépressions; d'au-tres fois, de véritables pertes de substance , des ulcérations dont le fond est rugueux. Déjà l
érations plus ou moins profondes, dont quelques-unes met-tent à nu la substance osseuse. Il semble, qu'en même temps, la texture
artilage lui-même ait changé de nature ; il paraît s'être ajouté à la substance cartilagineuse, du tissu fibreux qu'on enlève sou
viale ; mais, dans quelques articula-tions, on rencontre une sorte de substance blanche, albumi-neuse, un peu concrète, complètem
phe. On trouvait enfin, disséminés ça et là, dans l'épaisseur de la substance intermédiaire du cartilage, dans l'intervalle des
de cristaux siégeaient toujours exclusivement dans l'épaisseur de la substance intermédiaire du cartilage ; on ne les rencontrai
des mains au voisinage des articulations métaCarpo-phalangiennes. La substance blanche compacte ou friable, qui formait ces dépô
ration naturelle, ou laisser voir, an contraire, par transparence, la substance d'un blanc mat qui les compose. Dans la seconde f
que, à une belle coloration pourpre de murexide. Comme on le voit, la substance des concrétions de l'oreille ne diffère par aucun
ait jamais présenté aucun indice d'inflammation. Une petite perte de substance en forme de fossette, et représentant, en quelque
nces, être une précieuse ressource pour le diagnostic ; les pertes de substance ou les cicatrices que les concrétions laissent ap
es cristallines se dissolvaient ainsi que les urates contenus dans la substance fondamentale du cartilage en lais-sant les cellul
isseux ambiant. La capsule propre, épaissie, adhérait intimement à la substance corticale du rein. Celle-ci, atrophiée elle-même,
lement réduites à de très petites dimensions, de telle sorte que la substance propre du rein indurée et de consistance presque
breuse, est lisse, sans bosselures ou granulations. Sur une coupe, la substance corti-cale paraît manifestement épaissie; elle es
t de petits points rouges, visibles à la loupe ou môme à l'œil nu. La substance fabuleuse présente une coloration rouge-brun asse
llèles à la direction des tubuli, et qui se dessinent vivement sur la substance tubuleuse rouge et injectée. L'extrémité de quelq
des Vieillards. 28 Examen microscopique. Les tubes contournés de la substance corticale, examinés sur des coupes minces, à un f
n à un grossissement de 80 à 300 dia-mètres d'une tranche mince de la substance tubuleuse, dans les points où elle renferme des d
; le gauche, atrophié, présentait sa membrane fibreuse adhérente, la substance corticale réduite à 1 millimètre 1/2 d'épaisseur,
comme si elle avait une tendance à la transformation graisseuse ; la substance tubuleuse était remplacée par une masse graisseus
amorphes infiniment petites et toujours du même blanc éclatant. » La substance corticale n'en renfermait pas. Dans les réflexion
ulée. Sur une coupe, on voit que la diminution de volume porte sur la substance corticale, si étroite que les pyramides touchent
haque cône présentait de petits points blancs dus à cette matière. La substance corticale montrait aussi quelques-uns de ces dépô
/2 et cependant, la coupe de cet organe révéla, dans les cônes, de la substance tubuleuse des dépôts blancs d'urate de soude. L
e grosseur à peu près normale, de consistance molle. Sur la coupe, la substance corticale épaisse et de coloration gris jaunâtre
ncs, (PL. III. fig. !, À) linéaires, se déta-chaient vivement, sur la substance tubuleuse rouge et injec-tée. Examinée sur des co
n enveloppe graisseuse. Sa capsule fibreuse y adhérait intimement, la substance corticale atrophiée, était couverte de kystes. Su
orphe. On trouvait enfin, disséminés ça et là, dans l'épaisseur de la substance intermédiaire du cartilage, dans l'intervalle des
phases et voir que les cristaux et la masse amorphe contenus dans la substance intermédiaire du cartilage disparaissaient les pr
allines qui pénètrent entre les éléments anatomiques voisins, dans la substance intercellulaire. Sur les séreuses articulaires,
ein est pâteuse ; sur une surface de section, toute l'épaisseur de la substance corticale, y compris les pyramides de Bertin, pré
u'à droite. Il présente du reste à la surface et sur les coupes de la substance corticale des granulations jaunâtres, en tout sem
tions uratiques. Examen microscopique des reins. — Les coupes de la substance corticale nous ont donné les résultats suivants :
al (0mm044 à 0mm066 de diamètre). A côtéde cesîlotstrèsaltérésde la substance corticale qui constituent, dans ce cas particulie
, à la périphérie de ces masses, s'enfon-çaient de tous côtés dans la substance fondamentale du carti-lage, les minces cristaux s
n ce point, une incision est pratiquée, et il s'en écoule d'abord une substance demi-liquide d'un blanc mat, puis une substance d
en écoule d'abord une substance demi-liquide d'un blanc mat, puis une substance de même couleur, mais de consistance caséeuse. La
ertains points des dépressions, d'autres fois de véritables pertes de substance , des ulcérations dont le fond est rugueux. Déjà l
érations plus ou moins profondes, dont quel-ques-unes mettent à nu la substance osseuse. Il semble qu'en même temps, la texture d
artilage lui-même ait changé de na-ture; il paraît s'être ajouté à la substance cartilagineuse propre, du tissu fibreux qu'on enl
viale ; mais, dans quel-ques articulations, on rencontre une sorte de substance blanche albumineuse, un peu concrète, complètemen
ation qui s'accompa-gne souvent de l'adjonction de tissu fibreux à la substance cartilagineuse elle-même, et pendant ce temps, la
a viscosité plus grande, et, dans certains cas, par la présence d'une substance albumineuse plus ou moins opa-que ; pas de pus, p
petit pertuis. On prévoit aisément que la constatation des pertes de substance ou des petites tumeurs-kystiques que les concréti
'état physiologique ; enfin, il n'y a pas trace de segmentation de la substance fondamentale homogène. On peut toutefois observer
ns ce dernier cas, les nombreux cristaux aciculaires qui pénètrent la substance fondamentale du cartilage, paraissent implantés p
n. Les lésions anatomiques sont les suivantes : 1° à la surface de la substance corticale et quelquefois clans son épaisseur, on
de l'acide urique. Lorsque ces dépôts de sable sont considérables, la substance corticale, est plus ou moins altérée là où ils se
où ils se sont opérés ; 2° en outre des grains d'acide urique dans la substance corticale, on en voit quelquefois un plus grand n
s du métatarse et des doigts anté-rieurs, des tumeurs composées d'une substance blanche, plâ-treuse, qui, examinée au microscope
xtrémités antérieures, sur le péri-carde et sur le péritoine, dans la substance tubuleuse des reins. Des altérations, en tout sem
toujours le plus prononcées. Les canalicules urini-fères sont dans la substance tubuleuse, oblitérés et distendus par des amas d'
es amas d'urates à l'état concret; tandis que leurs origines, dans la substance corticale, sont, ainsi que les corpuscules de Mal
d'après le même auteur, s'assimilent dans l'acte de la nutrition les substances atburninoïdes, qui se changent en génile, partie
r inté-rieur, de nouvelles cellules cartilagineuses; en même temps la substance fondamentale homogène devient striée, se fen-dill
urs d'Utrecht. Rendues libres, par suite de cette désagrégation de la substance fondamentale, les capsules mères s'ouvrent et ver
ndroplastes avec proliféra-tion des cellules et la segmentation de la substance fondamen-tale dont il a été question à propos des
ches d'aspect crayeux A, sont des dépôts d'urate de soude occupant la substance tubuleusc, qui sont représentés à un grossis-seme
iamètres dans la figure 3. Fig. 2. — Tube urinifère contourné de la substance corticale, dont les cel-lules épithéliales B, gro
le dépôt visible à l'œil nu re-présenté en A, figure 1. (Coupe de la substance tubuleusc grossie 150 fois.) Fig. 4. — Cette fi
icamenteuse : sulfate de quinine, digitale, alcool, etc. — Action des substances putrides. —Septicémie avec fièvre. — Septicé-mie
bnormales, 319; — centres mo-dérateurs et régulateurs de la —, 329; — substances diminuant ou élevant la —, 934 — variations par l
tion expérimentale de la —, 310, 336; — élévation par l'injonction de substances putrides, 337; — abaissement par l'injonction de
nction de substances putrides, 337; — abaissement par l'injonction de substances chimiques, 336; — abaissement dans les affections
28 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
te, dans les faisceaux blancs ou dans les divers départements de la substance grise, quelle est l'étendue, la confi- guration
gré l'analogie de composition, sont tout à fait distinctes. Dans la substance grise elle-même il y a lieu, vous le savez, d'é
nes radiculaires antérieures; aujourd'hui, pour ne parler que de la substance blanche, nous aurions à énumérer en plus bien d
la division des faisceaux blancs et des parties différenciées de la substance grise de la moelle. Nous avons pensé qu'il sera
rations. Schéma 1. EXPLICATION DU SCHEMA A. Corne antérieure de substance grise. B. Corne postérieure de substance grise.
A A. Corne antérieure de substance grise. B. Corne postérieure de substance grise. B'. Substance gélatineuse de Rolando.
de substance grise. B. Corne postérieure de substance grise. B'. Substance gélatineuse de Rolando. C. Col de la corne post
térieure. Figure 2. MOELLE NORMALE. Cellules ganglionnaires de la substance grise de la corne antérieure. Coupe pratiquée d
es à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). A. Cavité du canal. D. Substance grise entourant le canal. B. Cellule cylindriqu
l'obj. 2, Vérick. A. Col de la corne. B. Réseau fibrillaire. C. Substance gélatineuse de Rolando. D. Fibres nerveuses se
Racine postérieure. G. Coupe transversale des tubes nerveux de la substance blanche coiiiiguë. PLANCHE V Figure 9. MOEL
Figure 12. MOELLE D'AMPUTÉ. - CELLULES de la corne antérieure de substance grise atrophiée. Coupe pratiquée dans la région
de Pall. Les lésions sont localisées dans la partie centrale de la substance grise des cornes antérieures, et consistent en
res indemnes. B. Cellule altérée. C.-C. Cavité pathologique. D. Substance fibrillaire du tissu altéré. E. Coupe de tubes
es presque symétriques. On reconnaît encore, mais peu distincte, la substance grise englobée dans la plaque scléreuse. A. Cor
es plaques de sclérose disséminées dans les cordons postérieurs, la substance grise, et la plus grande partie du cordon antéco-
rêmement intenses : seules les zones marginales et une partie de la substance fondamenlale des cordons antéro-latéraux sont res
ommissure grise. C-C. Tubes nerveux coupés transversalement de la substance blanche avoisinante. D. Cellule ganglionnaire r
elle se remarque aussi dans la région des cornes antérieures de la substance grise. A. Corne antérieure. - B. Corne postér
ceau latéral. I. Cavité pathologique. J. Paroi de la cavité. IL Substance du gliome. L. Faisceau pyramidal dégénéré. FI
YÉLIE GLIOMATEUSE. Gliome. La préparation représente un point de la substance gliomateuse autour de la cavité pathologique. O
quelle se distinguent quelques bourgeons gliomateux. Le reste de la substance médullaire forme les parois aplaties de celle cav
dégénéré. G-G. Cavité pathologique. 11. Bourgeon gliomateux. 1. Substance du gliome. J. Paroi de la cavité. FIGURE 80.
ecouverte d'une paroi ; la moelle est réduite à un mince manchon de substance nerveuse. A. Corne antérieure. B. Racine post
ntourée par le gliome qui a refoulé, en la détruisant en partie, la substance grise. Malgré retendue de la lésion, il n'y a pas
dans les faisceaux antéro-latéraux et qui ont relativement épargné la substance grise. A. Corne antérieure. B. Corne postérie
ostérieur sclérosé. H. Cavité centrale. /. Paroi du gliome. .1. Substance du gliome central. K-K. Masses gliomateuses sit
par le picrocarmin. La cavité centrale est entourée de très peu de substance gliomateuse, et il existe une sclérose remarqua
une cavité centrale avec paroi, et de plus un foyer cavitairc dans la substance grise gauche au niveau de la partie intermédiai
ux direct. n. Faisceau postérieur. Il. Cavité pathologique. 1". Substance du gliome. J. Foyer cutané delà substance grise
avité pathologique. 1". Substance du gliome. J. Foyer cutané delà substance grise Les pièces dont les figures de cette plan
située à la partie postérieure, d'un aspect cordiforme, gagnant la substance grise centrale. A -.1. Cornes antérieures, cell
MEUR DE LA MOELLE (FIBROME). La préparation montre une partie de la substance de la tumeur de la pièce précédente, colorée au
omposé de trousseaux fibreux ondulés en diverses directions. - 4. Substance interJ1hrjl\airc. li-li. Trousseaux fibreux cou
n voit que le fibrome occupe la partie centrale de la moelle, dont la substance tassée est considérablement réduite ; les diver
e la moelle et s'étend transversalement, absorbant presque toute la substance grise, dont il ne reste que les extrémités des co
29 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
plasie. On sait que, d'après Veissman, le plasma germinatif est une substance d'une grande complexilé, étant formée d'une qua
ar la méthode de Weigert montrent que le réseau fibrillaire dans la substance grise est partout normal. La substance blanche
e réseau fibrillaire dans la substance grise est partout normal. La substance blanche est également tout à fait normale. Dans
us ce rapport. La riche vascularisation est surtout visible dans la substance grise. Au niveau de renflement lombaire la subs
isible dans la substance grise. Au niveau de renflement lombaire la substance grise est tellement vascularisée qn'elle semble ê
ement des foyers des grandes cellules à gros noyaux vésiculeux sans substance inter- cellulaire. Ces foyers sont entourés des
ré, qu'au premier coup d'oeil on n'arrrive même pas à distinguer la substance blanche de la grise. Ce n'est qu'après un exame
réussit à reconnaître d'après les points caractéristiques les deux substances . On voit alors que la moitié gau- che est beauc
'étend vers le côté externe. Il est impossible d'y reconnaî- tre la substance grise excepté un petit reste dans la corue antéri
U . Quant à la configuration interne elle y est mieux conservée. La substance grise conserve la forme caractéristique d'un H,
s les modifications suivantes : Dans le premier segment cervical la substance blanche et la grise conservent leur configurati
re que la droite. La moitié gauche est plus large que la droite. La substance blanche et grise vient de pair avec cette épais
ec cette épaisseur inégale de la moelle. Le réseau myélinique de la substance grise est normal. Les cordons postérieurs de la s
que de la substance grise est normal. Les cordons postérieurs de la substance blanche sont sclérosés, surtout le faisceau de
moins atteint, le troisième par exemple ; ils sont disposés dans la substance blanche aussi bien que dans la grise, les plus no
s contours internes modifiés, c'est-à-dire que les limites entre la substance blanche et la suhstance grise disparaissent et le
a substance blanche et la suhstance grise disparaissent et les deux substances perdent leur structure normale. L'examen micros
men microscopique démontre ordi- nairement l'aspect aréolaire de la substance blanche. Le gonflement des gaines de myéline, l
sibles autour des vaisseaux et des cloisons névrogliques. Dans la substance grise il y a des lésions ana- logues (vaisseaux
uscules amyloïdes attirent notre attention. Ils occupent surtout la substance blanche. Dans la substance grise ils sont moins n
notre attention. Ils occupent surtout la substance blanche. Dans la substance grise ils sont moins nombreux et se localisent
toute la moelle, des lésions vas- culo-scléreuses diffuses dans la substance blanche et grise, plus évidentes dans la moelle
pues par le tissu bien conservé. Les raies ne pénètrent pas dans la substance grise, elles s'arrêtent à une certaine distance
rt de dégénérescence secon- daire. Dans les cloisons élargies de la substance blanche on voit des vaisseaux di- latés et souv
posés en petit nombre. Les vaisseaux ont augmenté de nombre dans la substance blanche aussi bien que dans la grise. Les vaiss
sont très dilatés et gorgés de sang. Parois non épaissies. ^Dans la substance grise le» cellules des cornes antérieures sont
postérieurs non loin de la périphérie). Le réseau myélinique de la substance grise est normalement dense ; les espaces péricel
là ils pénètrent dans la profondeur de la moelle et surtout dans la substance gélatineuse de Rolando des cornes postérieures.
tre les fibres et dans les espaces périvasculaires dilatés. Dans la substance grise ils sont tout à fait sporadiques dans la pé
ute la coupe de la moelle est un peu plus clair que normalement, la substance blan- che aussi bien que la'grise (il est pourt
u côté gauche de la moelle. Celle-ci est aplatie des deux côtés. La substance grise est pâle. Les cordons sont eu général pâl
est surtout marquée dans les cordons latéraux. En approchant de la substance grise on voit les fibres nerveuses plus pâles q
de la moelle. La configuration de la moelle est presque normale. La substance grise est clairsemée mais moins que sur les coupe
upes décrites ci-dessus. A côté de l'aspect clairsemé général de la substance blanche il y a deux foyers minuscules asymétriq
de la dure-mère. La coupe est mieux colorée déjà. Le réseau dans la substance grise est normal. Dans la substance blanche, les
colorée déjà. Le réseau dans la substance grise est normal. Dans la substance blanche, les cordons antéro-latéraux droits mon
e grise contient un réseau myélinique normal et les cordons dans la substance blanche sont tout à fait bien constitués. TUMEU
de la névroglie. - Nulle part de traces d'inflammation : ni dans la substance blanche ni dans la substance grise. Les coupe
de traces d'inflammation : ni dans la substance blanche ni dans la substance grise. Les coupes colorées par la méthode de Ni
uent pas suffisamment le tableau clinique et il pense que certaines substances toxiques produites par la tumeur causaient les
asses néoplasiques ou dans leur voisinage une lésion profonde de la substance grise sous forme d'une hémorragie (Bregman -8 t
les nouvelles méthodes techiques qui i permettent la coloration des substances de désintégration du protoplasma cellulaire, se
phatiques péricellulaires et périvasculaires. C'est qu'en effet ces substances a protagoïdes » ou lipoides » se dissolvent .au
preuves des altérations fines, plus ou moins consi- dérables, de la substance cérébrale, sous l'action d'agents toxiques tandis
ture mesurable ; 3) ils s'accompagnent d'une décomposition de la substance nerveuse, d'où proviennent des produits de désa
ité psychique s'accompagne de modifications physico-chimiques de la substance cérébrale ou qu'un trouble psychique est constamm
ne des phases de la désintégration du protoplasma cel- lulaire. Les substances produites sont appelées substances protagoïdes, l
du protoplasma cel- lulaire. Les substances produites sont appelées substances protagoïdes, li- poïdes ; elles témoignent d'un
guine des centres nerveux, soit par un agent physique, soit par une substance chimique, soit enfin par les poisons microbiens
l'épaisseur peut s'observer aussi au cubitus et au ra- dius, où la substance osseuse même est altérée, car en certains endroit
t des phalanges sont gros, lourds et très courts. Aux phalanges, la substance spongieuse est très abondante et sur plusieurs
rieur aux autres. Phalanges. Dans le corps des os on observe que la substance corticale est fort diminuée, et au contraire qu
présente deux saillies osseuses, à base large, constituées par une substance osseuse très transparente, presque sans structu
bservation, que du' tissu adipeux, avec çà et là, de petits amas de substance amorphe, dont il est difficile de pré- ciser la
l'interne est modifiée à tel point qu'on ne peut pas' distinguer la substance blanche de la grise ni les diffé- rents cordons
grise ni les diffé- rents cordons. Il s'est formé un mélange de la substance blanche avec des îlots disséminés de la substan
un mélange de la substance blanche avec des îlots disséminés de la substance grise. Partout on voit des hémorragies et surtout
ment leur conformation interne modifiée. On peut déjà distinguer la substance grise de la blanche, mais les cornes antérieure
ues. Dans quelques endroits on pouvait constater 1'liéLéroLopie. La substance blanche est modifiée. Les fibres nerveuses, a
ction déviée et tor- tueuse. Par place on voit de faux névromes (la substance blanche sort à tra- vers la pie-mère déchirée e
la périphérie de la moelle). Ii'y-a de grandes hémorragies dans la substance grise principale- ment,mais dans la blanche aus
es diminuent. Dans les segments dorsaux supérieurs, le rapport delà substance blanche à la grise est normal. Par contre on cons
ions par la méthode de Nissl. Eh ! hien, au niveau de la tumeur, la substance grise a perdu complè- tement ses contours norma
normaux. Çà et là on distingue des Ilots irréguliers et peu nets de substance grise. Même au sein de ces îlots, on ne distingue
st qu'au niveau des segments dorsaux supérieurs que la figure de la substance grise devient normale. Les cellules nerveuses y
eur), on voit des modifications notab'es de la configuration de la, substance grise et la disparition de ses cellules (hémorr
rtout du côté des cordons postérieurs). Dans la moelle lombaire, la substance grise reprend sa configura- tion normale, mais
ies existent même dans la région sacrée, surtout au centre, dans la substance grise. Résumé. Dans ce cas les douleurs furent
uer la sub- stance blanche de la grise. On voyait un mélange de ces substances et des hémorragies diffuses récentes. Il faut s
ration et que le trauma opératoire provoqua ces hémorragies dans la substance grise. Elles ont pu se produire même après l'op
tait un bon terrain pour les hémorragies. Comme il est de règle, la substance grise, plus vulnérable, fut le plus modifiée, et
lombo-sacrée. Au-dessus de la région correspondant à la tumeur, la substance grise reprend sa forme caractéristique. Dans les
me) des lésions si profondes qu'il est impossible d'y distinguer la substance grise et de s'orienter convenablement dans la t
nce grise et de s'orienter convenablement dans la topographie de la substance blanche. La moelle n'est plus qu'un étroit ruba
onfiguration interne de la moelle présente peu de modifications, la substance blanche et grise se laissent facilement reconna
moitié droite de la moelle le tissu nerveux est presque normal. La substance grise est sans modification. Dans les cordons p
de la moelle lombaire et sacrée. Le IIe segment lombaire montre la substance grise entourée d'une sorte d'auréole plus clair
ne distingue plus les contours de la cellule nerveuse, rien que la substance tigroïde indique l'endroit où il y avait une ce
à la périphérie de la coupe. On constate par place, surtout dans la substance grise, l'infil- tration cellulaire autour des v
moelle y avait la forme d'un ruban ; la configuration interne de la substance blanche et grise était devenue méconnaissable. Le
eur. Même au niveau du pôle inférieur et supérieur de la tumeur, la substance blanche et la grise commençaient à reprendre le
. Dans la moi- tié droite de la moelle on peut encore distinguer la substance blanche de la grise; dans la moitié gauche cela
e de la grise; dans la moitié gauche cela est devenu impossible. La substance grise dans la moitié droite de la moelle présen
dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses. Les faisceaux de la substance blanche présentent des mo- difications considér
ales). La moitié gauche de la moelle est tellement dégénérée que la substance grise est devenue méconnaissable ; quanta la su
nérée que la substance grise est devenue méconnaissable ; quanta la substance blanche, on y voit des masses plus ou moins gra
e 4 millimètres 334 FLATAU seulement. La mieux conservée est la substance blanche autour de la corne postérieure. Dans le
ôle inférieur de la tumeur la figure bien distincte dessinée par la substance grise et les contours sont bien- accentués (fig
zone assez large des cordons latéraux et antérieurs, tandis que la substance blanche qui entoure la grise est tout à fait bi
ion elliptique ressemblant à la coupe d'un oignon. Elle comprime la substance blanche et grise dans toutes les directions et
On.a aussi constaté l'augmentation du nombre des vaisseaux dans la substance grise aussi bien que dans la blanche, dans le voi
ésentent la configuration interne de la moelle presque normale : la substance grise dessine la figure habituelle et il n'y a
la coupe présente des lésions prononcées. La mieux conservée est la substance grise. Sa configuration est presque normale, le
n est presque normale, le réseau de fibres myéliniques abondant. La substance blanche est dégéné- rée dans tous ses cordons,
ent la mieux conservée. A côté de la dégénérescence on voit lans la substance blanche des raies claires. Ce sont des cloisons
ois vasculaires sont un peu épaissies. Le nombre de vaisseaux de la substance grise est augmenté. Méninges sans modifica- tio
lus marquée. Dans la moitié gauche il ne reste que des traces de la substance blanche dispersées çà et là en petits îlots. Le m
configuration extérieure de la moelle est normale. La figure de la substance grise et des cordons de la blanche est bien con
nté. Pas de lésion inflammatoire bien distincte. Les cellules de la substance grise (les coupes coloriées par la méthode V. Gie
à la tumeur,la moelle conservait sa forme et la configuration de la substance blanche et grise était normale. Mé- ninges et r
es cordons postérieurs. En outre une raréfaction des fibres dans la substances blanche (surtout dans les zones périphériques)
voisinage de la commis- sure postérieure). Le réseau au sein de la substance grise est raréfié. Les cloisons sont épaissies.
même présente peu de lésions. Faible raréfaction des fibres dans la substance blanche. La substance blanche est légèrement dé
ésions. Faible raréfaction des fibres dans la substance blanche. La substance blanche est légèrement dégénérée : à la périphé
si comment l'arachnoïde se glisse sous la tumeur, s'enfonce dans sa substance et disparaît. Dans les endroits où la gomme pén
'écorce cérébrale dans toute l'étendue et toute la profondeur de la substance grise. Après un temps, la paralysie motrice du
pas de limite tranchée entre la partie inférieure de l'écorce et la substance blanche, car les cellules fusiformes de la sixièm
lynévritique sont primitives ou secondaires. Après la section de la substance blanche sous corticale, il se produit une atrop
premier cas où un foyer cortical pro- fond détruisait également la substance blanche sous-jacente, tous les au- tres étaient
s cellules de Betz après les lésions de la capsule interne ou de la substance blanche sous-jacente à la zone rolandique, nous
es. Plusieurs foyers plus petits dans les différentes parties de la substance blanche du cerveau, dans les noyaux striés, dans
térieures de la moelle cervicale sans participation manifeste de la substance blanche. Aucune lésion dans les cellules géante
écorce fut enlevée sur une grande étendue et assez profondément, la substance grise était cependant conservée dans le fond de
ège d'un processus d'ossification par destruction progressive de la substance cartilagineuse et apports d'éléments conjonctif
fférentes. Dans la région correspondante à la partie centrale de la substance grise, on voit une masse compacte, jaune-brunâtre
vers le VIe segment cervical décèle dans la région ceu- trale de la substance grise une masse brunâtre, rond-ovalaire, de consi
sont tellement prononcées qu'il est fort difficile de distinguer la substance blanche de la grise (et cela de deux côtés ou -
II) ces lésions étaient moins prononcées et la distinction des deux substances était possible. Il semble que cette différenc
y constatait au niveau de la tumeur une masse difforme, mélange de substance blanche et grise, avec des hémorragies multiples
de l'insula de ce côté, excepté l'antérieur, sont convertis en une substance molle de couleur jaunâtre et s'écrasant facilemen
façon à mettre^à découvert les ventricules latéraux montre toute la substance grise et blanche des circonvolutions de l'insula,
la, à l'exception de la circonvolution antérieure, convertie en une substance molle de couleur jaunâtre ; et l'on trouve égal
de l'axe médullaire sont seules demeurées intactes, le reste de la substance de la même circonvolution a disparu. Le gyrus t
e fusil ; lecanal ainsi formé -pénétrait sous-corticalement dans la substance médullaire du lobe temporal et du lobe occipita
ccipital, au-dessous et en arrière du gyrus angularis, une perte de substance dont la coupe révéla le prolongement dans cette
e occipitale. Est dégénérée la partie dorsale et an- térieure de la substance médullaire du gyrus temporalis supremus ; sont dé
ul fait défaut. La commissure antérieure peut également manquer. La substance blanche du cerveau est réduite et la substance
galement manquer. La substance blanche du cerveau est réduite et la substance grise proportionnellement augmen- tée. Les vent
ou de celui-ci jusqu'à la lame terminale. Sous le microscope, cette substance avait tous les caractères du tissu adipeux et d
e est intimement uni à ce faisceau et est lui-même recouvert par la substance corticale delà face in- terne de l'hémisphère.
nt et en bas. Recouvert dans toute son étendue par l'épendyme et la substance grise sous-épendymaire, à (t) Analomie des cent
hémisphère, et ses fibres dégéné- rées peuvent être suivies dans la substance grise sous-épendymaire. Le faisceaux occipito-f
nt pas visibles. Les coupes sériées montrent en premier lieu que la substance grise est relativement augmentée et que la subs
er lieu que la substance grise est relativement augmentée et que la substance blanche est réduite au moins de moitié. La subs
ntée et que la substance blanche est réduite au moins de moitié. La substance grise centrale et périventriculaire, de même que
e dirige en arrière, est situé entre l'épendyme ventriculaire et la substance profonde de la première circonvolution lim- biq
gone est renforcé par un grand -nombre de fibres qui viennent de la substance profonde de ce lobe ainsi que du tapétum de la
s la profondeur du lobe occipital droit, on note plusieurs îlots do substance grise hétérotopique. Dans l'hémisphère droit, l
eux. SchrOder reproche à Dejerine, en premier lieu, de parler d'une substance grise sous-épendymaire ; il rappelle que Sachs a
corne occipitale. Les fibres du trigone pénètrent en avant dans la substance propre de la commissure calleuse et des fibres de
s hémorragiques minuscules au niveau de l'écorce et au niveau de la substance blanche profonde, ainsi qu'une prolifération né
ital. Le cervelet est le siège d'une hypoplasie très accentuée ; sa substance blanche est notablement réduite et ses circonvo
a- ques de sclérose arrondies qui paraissent être situées eu pleine substance blanche et indépendantes du ventricule. En séri
dans le lobe frontal. Ces petites pla- ques siègent toutes dans la substance blanche. Cervelet. Protubérance. - On ne trouve
elques cellules mûriformes. Parmi Ips plaques à distance, en pleine substance blanche, il en est quel- ques-unes qui, au lieu
ormées par un tissu névroglique lâche, faisant trou au milieu de la substance cérébrale avoisinante, sont formées par des fib
tement, sur de larges surfaces ; elles s'enfoncent ensuite dans la substance cérébrale dont elles sont séparées par une lign
gliques indiquant un léger processus réactionnel. Altérations de la substance cérébrale entourant les plaques de sclérose. No
aient nettes autour des plaques. Elles le sont d'autant plus que la substance cérébrale, à ce niveau est dense et forte- ment
ongitudinalement.Dans les plaques périvasculaires situées en pleine substance cérébrale, le réseau des cylindraxes est tout à f
ntérieure de ce lobe (fig. 1) est constituée par un amas d'îlots de substance grise dont la forme est régulièrement sphérique
e centre ovale été envahi de toutes parts par une hyperplasie de la substance grise corticale et que l'état réticulé qu'il pr
Il semble bien s'agir d'un degré peu ordinaire d'hétérotopie de la substance grise corticale. Le long de la convexité fronta
rontale, en sorte que la tête du noyau caudé se trouve accolée à la substance blanche profonde des circonvolutions frontales.
mal et dans laquelle se trouvent enclavés un bon nombre d'îlots de substance grise qui, ça et là, envahissent la lumière du
ient extrêmement dissociées et déviées de leur trajet normal par la substance grise hétérotopique, encore abondamment distrib
se divise d'abord transversalement en deux segments qui occupent la substance innominée de Reichert et peu à peu s'infléchissen
ère opposé, a été complètement dévié en dehors et incorporé dans la substance de l'hémisphère. Ainsi, sa face externe, qui à
normalement dirigée vers la toile choroïdienne, se confond avec la substance blanche profonde des cir- convolutions médianes
is pie-mériens, de vais- seaux oblitérés, de pigment sanguin, et de substance grise désorganisée, qui représentent incontesta
al extrêmement intense. Dans toute l'étendue du lobe pariétal, la substance profonde de la circonvo- lution limbique est oc
r, fortement développé, descend plus bas qu'à l'or- dinaire dans la substance blanche de la première circonvolution temporale.
n développement considérable et se confond encore en dehors avec la substance blanche profonde de la circonvolution limbique ;
l'état normal et est en grande partie profondément enclavé dans la substance du noyau médian de la couche optique. Ses rappo
leur tour à travers l'épaisseur du faisceau sagittal jusque dans la substance sous-corticale de la circonvolution limbique. I
rpendiculaire de Werniclie est relativement bien développé, mais la substance blanche sous-corticale voisine ne prend qu'une
nous paraît être plus logique de les considérer comme des îlots de substance grise hétérotopique analogues à ceux que nous a
rieur du trigone forme un fascicule nettement isolé au milieu de la substance grise centrale. 648 ARCIIAMBAULT Sur les coup
cloison fibreuse légèrement arquée qui sépare le noyau caudé de la substance profonde du lobe frontal. Plus haut cette clois
t en partie par un prolongement cor- tical qui relie celles-ci à la substance grise basilaire qui recouvre en dedans le genou
le présente toute une suite de nodosités et se trouve détaché de la substance blanche sous-jacente par des épanchements plus
CALLEUX 651 pie-mère. Il se confond en avant et en arrière avec la substance blanche pro- fonde de cette circonvolution où i
s des deux hémisphères. Ce fait suffit à expliquer également que la substance blan- che des circonvolutions se trouve appréci
t dans leurs diaphyses l'apparence d'un peu de ramollissement de la substance compacte des os. LITTÉRATURE MÉDICALE 1. Vasc
30 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
n peut noter tout an plus une légère diminution de la graisse de la substance corticale. La substance médullaire bien dévelop
s une légère diminution de la graisse de la substance corticale. La substance médullaire bien développée ne semble présenter ri
tologique des os montre surtout des grandes lacunes contenant de la substance médullaire et provenant de l'élargissement cons
provenant de l'élargissement considérable des canaux de Hawers. La substance osseuse (décalcifiée) avoisinant ces lacunes es
apsule se détache relativement facilement bien qu'avec un peu de la substance rénale. La substance corticale réduite à peu pr
ivement facilement bien qu'avec un peu de la substance rénale. La substance corticale réduite à peu près à la moitié. Les pyr
est rougeâtre, ce qui tient probablement à l'amincisse- ment de la substance compacte qui est devenue translucide, laissant vo
ccentuées à l'humérus et un peu moins aux os des avant-bras. Ici la substance compacte est devenue spongieuse, mais l'élargis
ges on rencontre de nouveau un amincissement très impor- tant de la substance compacte avec prolifération de la moelle qui élar
lorées de la mèrne façon que le colloïde. Dans certaines vésicules la substance colloïde est rétractée à la périphérie, en form
Les reins n'ont pas été examinés. La capsule surrénale. - Dans la substance glandulaire les noyaux cellu- laires sont bien
oyaux cellu- laires sont bien colorés. Par contre, les noyaux de la substance trabéculaire 42 MABINKSCO, PARHON ET MINEA so
s macrophages qui ont ingéré des restes de leucocytes ou d'au- tres substances . Il y a aussi des régions où on observe une qua
i contiennent parfois des cristaux de protagon. A la limite de la substance réticulée et trabéculaire on voit, par endroit, d
naux irrégu- liers qui ne permettent plus une délimitation de cette substance . Sur la surface de cette masse il existe des no
teux, on n'observe pas une phase de sclérose. En ce qui concerne la substance médullaire, nos coupes ne nous per- mettent pas
me CONTRIBUTION A L 1-'TUDII, DE f, '0qTl' O.NIALAC[r, 43 dont la substance contractile a disparu. La coloration au scharlach
trent l'élargissement des canaux de Hawers et l'amincissement de la substance compacte. Observation III (PI. VII et VIII).
scharlach montre une abondance extraordinaire de la graisse. Cette substance se trouve en grande abondance dans toutes les cel
'élargissement considérable du canal médullaire sur le compte de la substance compacte dont l'épaisseur est réduite à la moitié
u tiers de celle qu'elle présente sur l'os normal. Enfin cette même substance est transformée en une substance spongieuse et pa
sur l'os normal. Enfin cette même substance est transformée en une substance spongieuse et pauvre en sels miné- raux, ce qui
ses considérables consistant en une réduction très importante de la substance compacte du tissu osseux avec transforma- tion
compacte du tissu osseux avec transforma- tion de cette dernière en substance spongieuse et ensuite en un élargisse- ment not
u aurait eu beaucoup de peine à dire de quel organe il s'agit. La substance colloïde était dans ces régions complètement abse
sente, et en gé- néral les follicules étaient très pauvres en cette substance . Or la scoliose, quand elle ne peut pas s'expli
a l'examen anatomo-patllologiqué et trouva le cerveau très gros, la substance grise particulièrement rouge. Microscopiquement
tendons. Microscopiquement il y avait beaucoup de vaisseaux dans la substance cor- ticale des os, les canaux de Hawers étaien
t très min- ces, légers, spongieux et se coupaient facilement. La substance corticale était amincie et le diploë élargi. Les
du fémur se coupent au couteau avec la plus grande facilité,et leur substance spongieuse semble plus rouge que nor- malement.
bituel, mais les travées étaient minces. Dans le corps thyroïde, la substance colloïde remplit complètement les vési- cules d
s exacte- ment au niveau de l'ancien cartilage de conjugaison. La substance compacte était surtout atteinte, tandis que la su
gaison. La substance compacte était surtout atteinte, tandis que la substance spon- gieuse est très apparente. Au niveau de
os- sesse, les séparations osseuses se faisaient sans déficit de la substance osseuse et les os du bassin étaient, moins atte
ssif, car on assistait à la formation des calus bien que pauvres en substance osseuse. Le processus ne rappelle pas non plus
explication semble devoir être cherchée dans la dose trop grande de substance thyroïdienne. Nous reviendrons plus bas sur cette
de vue chimique Hegnard (153) a trouvé une diminution marquée de la substance minérale des os qui ne forme plus que 24 pour 1
me plus que 24 pour 100 au lieu de 66 pour 100, chiffre normal. Les substances organiques sont au contraire augmentées. La d
ue Isac Ott (163) est d'avis que les parathyroïdes neutralisent une substance albuminoïde toxique qui déterminerait les phéno
n° 1, 1904. 126. Malcolm. On the influence of llze pituilary gland substance on métabolisme. Journal of Physiologia, vol. 30
s, air confiné, électricité, etc.) ou des agents chimiques (alcool, substances alcaloïdes, essences, toxines mi- crobiennes, e
ment caractéristiques de la Presbyophrénie ; elles représentent des substances de désintégration (Abbaustoff) des tissus nerveux
e- mère est adhérente au cortex et présente des épaississements. La substance corticale est d'une épaisseur moindre que chez
une fève, sise dans la région de l'hypophyse, se continuait dans la substance osseuse de la selle turcique. En ne tenant co
uisent bien avant à la mort. Deux des 1 tumeurs sont très riches en substance colloïde; ce ne sont t point les plus grandes,
gue du gau- che. Les noyaux sont plus denses et plus grands dans la substance blanche, les vaisseaux y sont plus engorgés ; l
deux côtés et à droite dans la protubérance, entre les faisceaux de substance blanche. Ce sont des amas,de formes variées, ja
é à expliquer les formes paranoïdes par une lésion anatomique de la substance blanche (Rémond et Chevalier- Lavaur, Encéphale
doute est la dernière res- source, une fois les autres épuisées. La substance blanche en souffre plus que les masses grises.
e pris en considération avant d'affirmer la présence et l'action de substances toxiques sécrétées par les néoplasmes. Au point
s'opposent à son application. En étendant la dilution de certaines substances comme le chlorhydrate de,quinine, dont l'inject
ontraire pendant leur interruption. A l'heure actuelle, la perte de substance est complètement réparée. Au point de vue men
'est servi pour notre malade. Mais on ne saurait s'éton- ner qu'une substance inoffensive pour un organisme dont l'innervation
indre résistance et pour ces organes ainsi débilités l'injection de substances (1) Brissaud et Souques, Hémiplégie, ni Traité
ps calleux, on relève une petite hémorragie récente au niveau de la substance blanche du lobe occipital. Une coupe rasant le bo
iquent pas davantage avec les ventricules. Ils siègent tous dans la substance blanche des hémisphères et beaucoup sont sous-c
il la surface ; leur décortication est difficile. Sur une coupe, la substance corticale est très réduite. ' Le cerveau ne p
ntre un foyer volumineux (volume d'une grosse noix) détrui- sant la substance blanche de la première frontale (Pl. XXVII, IV) d
ière, en ' même temps que se montre un nouveau foyer, situé dans la substance blanche du lobe temporal (PI. XXVII, VI). Enfin
. XXVII, VI). Enfin la figure VII montre de nouveaux foyers dans la substance blanche de la partie postérieure du lobe pariétal
ont permis une longue survie. Comme siège, ces foyers occupent la substance blanche; la plupart sont immédiatement sous-cor
me d'anse. Les corpuscules et les lamelles osseuses, qui forment la substance fondamentale au point de vue anatomique, sont dis
es placées très près l'une contre l'autre et comme creusées dans la substance fondamentale; les capsules renfer- ment chacune
ux, les autres sont formés de faisceaux tendineux qui sortent de la substance fondamen- tale des parcelles cartilagineuses en
cartilage articulaire n'est pas visible et à sa place apparaît une substance osseuse ; tout le reste de la surface articulai
et 16y1), le cartilage hyaloïde est d'une épaisseur normale,mais la substance fondamentale n'est pas homogène com- me l'étal
illifère de la membrane synoviale présente au microscope une tendre substance conjonctive riche en larges vaisseaux aux paroi
rations n'ont démontré nulle part d'altérations pathologiques : les substances blanche et grise de l'encéphale et de la moelle
e à des pièces semblables, a montré une faible dégénérescence de la substance blanche et des racines anté- rieures et postéri
iques de ces cas montrent des foyers isolés de dégénérescence de la substance blanche de la moelle épi- nière et une dégénére
en cartilage fibreux. 2° Un processus d'atrophie idiopathique de la substance cartilagineuse. A la plus minutieuse analyse mi
e sécrétion. Nous avons essayé de faire une injection lente dans la substance de la glande avec de la gélatine colorée au ble
res névrogliques sont des produits du protoplasma, mais non pas une substance intercellulaire Donc faut modifier l'opinion d'
, mais jamais en grande quantité. Elle joue un moindre rôle que les substances lipoïdes. Nous n'avons jamais vu de libres musc
autres parties du cerveau, le deuxième groupe devant re- cevoir des substances albuminoïdes et le troisième groupe des substance
t re- cevoir des substances albuminoïdes et le troisième groupe des substances lipoïdes. Quant au premier groupe des cellule
hiles. basophiles etc... suivant leur affinité pour les différentes substances coloran- tes ; et b) une partie non figurée con
ant des techniques appropriées, on voit qu'il est constitué de deux substances à affinités tinctoriales différentes et qu'il p
eurs. En résumé, l'appareil nucléolaire est conslittté : 1° par une substance acidophile ou oxyphile, à structure granuleuse
bstance acidophile ou oxyphile, à structure granuleuse ; 2° par une substance baso- phile (basicltromaline de Zeu)') ; 3° par
ole des cellules ganglionnaires normales apparaît constitué de deux substances : l'une centrale, oxyphile, l'autre, périphériq
s : l'une centrale, oxyphile, l'autre, périphérique, basophile : la substance oxy- pbile, colorée en rouge, est absolument ho
onnaires à nucléoles hypertro- phiés, la structure granuleuse de la substance oxyphile apparaît très nettement et on peut voi
théliales de la capsule et présentant une altération profonde de la substance cllromatoplliledelVissl (désintégration granuleus
lement hypertrophié et poussant la membrane nucléaire du côté de la substance chromatophiie en état de désintégration granule
a situation périphérique du nucléole. En effet, dans les cellules à substance clarontatoplaile normale el également réparties
e se trouve toujours situé au centre du noyau ; dans les cellules à substance chromatophile altérée à l'état de désintégra- t
énérale, contre la membrane nucléaire et très souvent du côté de la substance chromatophile la moins altérée. Mais je ferai r
nerveuse ganglionnaire, survenant à la suite des altérations de la substance chromatophile. Dans les cellules à corps de Nis
même si des facteurs nocifs interviennent en agissant sur loute la substance chromalophile de la cellule, le nucléole n'est pa
git par un bour- geonnement intense. Mais, si l'altération de cette substance est partielle, désintégration granuleuse, parti
e et, le plus souvent, il se déplace vers la partie qui contient la substance chromatophile la moins altérée. Dans les deux p
tifs normaux (corres- pondant morphologiquement l'état normal de la substance chromato-- phile)et les échanges nutritifs perv
ellule (achromatose partielle), normaux ou dimi- nués dans l'autre ( substance de Nissl normale ou en état de désintégra- tion
ite, le déplacement de celui-ci vers la partie la moins lésée de la substance chromatophiie. RECHERCHES CYTOPATHOLOGIQUES S
dire : déplacement périphé- rique en rapport avec les lésions de la substance chromatophile. Mais il faut remarquer que l'ana
aire, dans les cellules qui présentent une lésion généralisée de la substance chroma- tophile, dans les cellules des ganglion
comme nous l'avons vu, le plus souvent dans les cellules dont la substance chromatophile est partiellement altérée ou altéré
° Dans les cellules qui présentent une altération généralisée de la substance chromatophile, le nucléole garde sa position norm
JONNESCO ce déplacement a lieu vers la partie la moins lésée de la substance chl'o- matophile. Emigration de 1'(ipp(it,eil
mbrane jouit d'une perméabilité plus ou moins marquée à l'égard des substances dissoutes ou les élé- ments figurés. Henneguy (
se et la facilité avec laquelle cette membrane permet le passage de substances nutritives à l'intérieur du noyau. D'autre part
ment opposée au segment modifié de la membrane. Dans les cellules à substance chromatophile partielle- ment altérée, on voit
e la membrane modifiée dirigé vers la partie la moins altérée de la substance chromatophile et, au lieu de trou- ver le nuclé
les sphérules qui entrent dans sa constitution se séparent de leur substance unissante, s'invidualisent mais gardent encore
e des granulations esl la manière dont elles se comportent avec les substances colorantes. Ainsi elles se colorent toujours pa
ranulations du noyau se comportent de la même manière vis-à-vis des substances colorantes acides (méthode de Galleoti, triple
nues dans le noyau qui se comportent de la même manière en face des substances colorantes que celles du cyloplasma. Enfin, il
différentes positions du nucléole sont en rapport avec l'état de la substance chroma- tophile. Rares sont les noyaux en étal
s laisse apercevoir deux plaquettes de basichromatine adossées à la substance acidopliile, l'autre n'en laisse pas apercevoir
soire (1) Les granulations fuchsinophiles se comportent en face des substances colorantes de la même manière que les granulati
homogénéisation du noyau par la manière de se comporter en face des substances colorantes ; en effet dans les deux cas l'aspect
lorés en rouge. 2,) i JONNESCO Altérations DU CYTOPLASMA ET DE la substance Cnn011tATOP111LE de NISSL. Sur les cellules d
les, nous nous bornons simplement à signaler les faits observés. La substance chromatophile de ces cellules d'aspect vacuolaire
avec ces cellules nous devons ajoutai' que l'aspect vacuolaire avec substance chromatophile et noyaux altérés s'ob- serve sur
ules sont très rares on font complètement défaut. Altérations de la substance chromatophile. Dans la majorité des cellules ga
ôté d'une cellule en achromatose complète on observe des cellules à substance chromatophile en état de désintégration granule
tophiies. D'une façon générale dans ces catégories de cel- lules la substance chromatophile de la périphérie est la moins attei
on le plus souvent en forme de rosace se trouve dans les cellules à substance chromatophile en état d'achromatose ou de désin
hère se trouve entou- rée sur tout son pourtour d'une large zone de substance chromatophile d'aspectpoussiéreux. L'examen à u
nombre de petits gra- nules sphériques disséminés sur une sorte de substance fondamentale d'aspect pulvérulent ; quelquefois
mation décrite et en même temps de se rendre compte de l'état de la substance chromatophile. Par toutes ces méthodes de colora-
trouve entouré par la soi-disant plasmosphère. Dans les cellules à substance chro- matophile en état de désintégration granu
mation en question parait exister, car comme on le voit, plus cette substance est altérée, plus la formation s'accroît, s'ampli
nt pas a ! 'infini mais paraissent bien subordonnées à l'état de la substance chromatophile ; en effet dans les cellules en éta
lionnaires, qui ne serait visible que grâce à la chromatolyse de la substance chromatophile ? c'est l'hypothèse qui nous parait
ionnaires présentent les altérations du noyau du nucléole, et de la substance chro- matophile sur lesquelles nous nous sommes
plusieurs vacuoles. Planche XLIV. Fio. 1. Cellule ganglionnaire à substance chromatophile en état de désintégra- tion granu
aire. FiG. 2. Cellule ganglionnaire augmentée de volume avec en (a) substance chro- matophile d'apparence plus ou moins norma
vec nucléole consi- dérablement hypertrophié (d) et déplacé vers la substance chromatophile la moins altérée. Fie. 3. Cellu
disparu, le cytoplasme apparaît coloré en rouge, (b) large zone de substance chromatophile d'aspect poussiéreux, (p) plasmosph
méningite ancienne et de vas- tes foyers de ramollissement dans la substance blanche. y avait des ramol- lissements dans la
sement de 650 fois, nous comptons dans la partie périphérique de la substance blanche du cordon antérieur une moyenne de 70 à 8
ponto-cérébellense, etc.). Mais l'idée générale de l'atrophie de la substance nerveuse considérée en soi comme ayant sa réali
it constituer la cause nécessaire et suffisante de l'atrophie de la substance nerveuse que nous avons décrite. C'est à cette
; son élimination provoqua de vives douleurs et laissa une perte de substance intéressant toute l'épaisseur du pavillon. Au m
sous-jacent, car la chute des tissus nécrosés a laissé une perte de substance , véritable encoche, longue de vingt-cinq millim
ant plasmode. Il n'y a que peu ou pas de pyknose. On ne voit de substance colloïde ni dans les vaisseaux, ni entre les cell
31 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
veus ; 2° nous pouvons d'autre part porter notre attention sur la substance corticale, c'est-à-dire sur la circonvo- lution
n godronnée, le manteau de l'hémisphère est réduit à sa couche de substance blanche, formant ici un gros cor- don dont la c
pas un bord libre ; il se continue en effet en une mince lamelle de substance nerveuse qui s'in- curve en dehors, forme la pa
allant de la superficie à la profondeur : 1° D'abord une couche de substance blanche (0, /%'. ,8,) formée de fines fibres ne
r de ce sillon. 2° Au-dessous du subiculum est une couche formée de substance d'ap- parence amorphe, parsemée de petites cell
es étoilées ou fusiformes. 5° Enfin vient la couche médullaire de substance blanche. B. -Au niveau du sillon qui sépare la
c super- ficiel disparaît (a, lîq. 2). 2° La couche sous-jacente ( substance amorphe avec cellules irrégulièrement dis- posé
ules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non plus que pour la couche de substance médullaire blanche (f, fig. 2) qui forme ici l'
couche au-dessous de la première. En effet : 1° La première couche ( substance amorphe avec cellules irrégulièrement disposées
e cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la couche médullaire de substance blanche, laquelle se continue avec le corps bor
sphère est réduit à sa partie blanche médullaire sans revêtement de substance grise corticale. D. Enfin le sillon qui sépare
a- tion ammonique une masse unique dans laquelle la 8 ANATOMIE. substance corticale pénètre en s'enroulant et non deux ci
on qui sépare les deux circonvolutions, viennent se loger dans la substance superficielle de l'une d'elles, en résumé nous
trouve en allant de la superficie à la pro- fondeur : une couche de substance amorphe, une couche de cellules pyramidales (st
ns son entier, représente une nouvelle formation, surajoutée à la substance corticale; il n'est qu'une circonvolution ordin
ale; il n'est qu'une circonvolution ordinaire, une saillie de cette substance corticale. Il ne sera pas sans intérêt de rappr
» De même lorsque l'auteur décrit la manière dont se comporte la substance grise. « Au niveau de la circonvolution de la c
e. « Au niveau de la circonvolution de la corne d'Ammon, dit-il, la substance grise corti- cale paraît quitter la surface de
e pour devenir profonde... elle se recouvre d'une mince couche de substance blanche à laquelle est due la cou- leur particu
E D'AMMON. 11 paraître elle se met en rapport avec une traînée de substance grise qui en est une véritable dépendance ; cet
e cellules étoilées entre la couche des grandes pyra- mides et la substance médullaire blanche. Cette réserve faite, nous d
du crochet, un aspect tout particulier. Ici, en effet, des îlots de substance blanche sont entourés de subs- tance grise, d'o
ubstance blanche sont entourés de subs- tance grise, d'où le nom de substance réticulée blanche que lui a donné Arnold (subst
nche que lui a donné Arnold (substantiel reticularis alba). « Une substance réticulaire très développée recouvre toute la f
cellules irrégulières, ni cellules fusiformes. Il n'y a même pas de substance conjonctive ou de matière unissante interposée
blanche accompagnée de subs- tance grise et on reconnaît dans cette substance grise les diverses parties de la formation ammo
ez les ani- maux, on trouvait sous le corps calleux des replis de substance grise corticale qui pouvaient être consi- dérés
e (en e) le sillon qui sépare cette circonvolution du reste de la substance corticale, c'est-à-dire de la circonvo- lution
(e), elle n'est séparée en dehors par aucune limite du reste de la substance corticale de l'hémisphère. Nous voyons donc déj
isent le type des autres circonvolutions, si ce n'est que dans la substance grise de la corne d'Ammon on trouve une couche
artie la plus voisine de la fente de Monro ne donne lieu qu'à de la substance blanche, et nous aurons dès lors la formation a
m tadiatum; d, couches des cellules nerveuses étoilées ; couette de substance blanche médullaire. PLANCHE Il. l'ig. 3. Co
parcours, jusqu'au méat audi- tif interne, se trouvent des îlots de substance grise, contenant des cellules nerveuses. Pour
les nerveuses revêtues de membranes, ces îlots sont identiques à la substance grise de la moelle épinière, ainsi qu'aux gangl
sentèrent pour la plupart, à l'examen microsco- pique, des îlots de substance grise, avec des cellules ganglionnaires. Ce fai
RF AUDITIF. 45 rencontre dans chacune d'elles, qu'un seul îlot de substance grise (PL. V, fiq. 6). Mais il arrive quelque-
eux îlots dans une même préparation microsco- pique. Ces îlots de substance grise se perçoivent facile- ment, même à l'aide
s'assure qu'elle se compose d'un double ré- seau, à l'instar de la substance grise de la moelle épi- nière. L'un de ces rése
veuses très déliées que nous venons de mentionner. Chaque îlot de substance grise laisse échapper de longues traînées de ti
nées au microscope, ne présentent pas la moindre trace d'un îlot de substance grise, ni de cellules ganglionnaires. Chez d'au
ve ainsi à la conclusion, que la quantité et l'étendue des îlots de substance grise, avec leurs cellules ganglionnaires, cont
PATHOLOGIE MENTALE. 53 des tubes nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec beau- coup de cellules ganglionnaire
up de cellules ganglionnaires vivement colorées. Il s'échappe de la substance grise des tabécules conjonctifs jusqu'au bord du
ransversale semblable de l'autre individu montrant deux ilôts de la substance grise avec des cellules ganglion- naires. Fig
n- naires. Fig. 8. 3/9 Hart ? Trois cellules ganglionnaires de la substance grise des ilôts mentionnés. On voit la membrane
mbreuses granulations sur le plancher ventriculaire. Atrophie de la substance grise oedé- matiée, brunâtre; congestion de la
phie de la substance grise oedé- matiée, brunâtre; congestion de la substance blanche ferme et dure; réduction de la couronne
ernier augmente et s'accom- pagnent alors de la prolifération de la substance gélatineuse centrale. Les cordons sont peu atte
ants déjà si nombreux, M. Ott vient proposer d'ajouter une nouvelle substance , l'extrait de piscidia qui aurait sur l'opium l
s.' On constatait prin- cipalement une vascularisation énorme de la substance grise, surtout dans les parties centrales^et. l
'élài-is 1 -et'"g'o'r-'és-'deq s(la'ng, leur adventice épaissie. La substance grise présentait des alté- rations qui étaient
manifeste^ au processus' pathologique. Dans" l'a"'méme,réal9'n'; la substance blanche .de^la moelle était vascularisée, son tis
n possible entre le domaine de la raison et de la folie, forment la substance des premières leçons. L'aliénation mentale est
d'un embar- ras gastrique, par exemple. Ils trouvent à toutes les substances ingérées un goût mauvais, atroce, et s'ima- gin
et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de substance blanche. Les circonvolutions du voisi- nage son
plement par un défaut relatif de 212 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. substance corticale, tant pour l'ensemble des hémisphères q
sillon qui le limite en avant représente la scissure de Sylvius, la substance nerveuse en deçà ou au delà de celle-ci devant
cement au niveau d'un 216 REVUE DR P1TH()IO.IIs MENTALE. ruban de substance blanche qui précède la couche optique surle pla
ré dans le cerveau des points de sclérose miliairé, surtout dans la substance blanche. Dans un cas, il y avait de la pachymén
fermeture presque complète de ce dernier organe par un entonnoir de substance blanche, tandis que le cervelet réduit à un bou
nt sains. La pie-mère présente çà et là quelques adhérences avec la substance 320 RECUEIL DE faits. corticale. Les ventricu
appréciable de la moitié gauche de la coupe. La corne antérieure de substance grise est d'un bon tiers moins volumineuse à ga
'y aperçoit pas de corps granuleux. Les commissures, les cordons de substance blanche, les cornes postérieures ne paraissent
altérations sont plus exactement limitées à la corne antérieure de substance grise. Il ne s'agit pas là d'un foyer de myélit
t. Autopsie : méningo-encépha- lite ; ablation presque totale de la substance grise. Dub... (Cliarles-Antonin), âgé de douze
ude, mais qui est finement vasculari- sée, on entraîne avec elle la substance grise ; après plusieurs essais, et malgré le pl
malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la couche de substance grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi ci nu
ce grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi ci nu le squelette de substance blanche des circonvolutions. Ceci se produit sur
ceîzt7-(tl, 1'tivait- coin, le coin, le lobe occipitahde toute leur substance grise, la- quelle ne résiste, mais incomplèteme
alleux, et sur la moitié antérieure du lobe temporo-occi- pital. La substance blanche, ainsi mise à nu, est indurée, ferme, et
n, une véritable coque résultant de la soudure de la pie-mère ci la substance grise, et reproduisant par ses reliefs et ses d
interne du lobe temporal. Mais on n'en- traîne que des fragments de substance grise et non la totalité comme du côté opposé.
oucher, friable, pèse 800 gr. ; la rate, 40 gr.; les reins, dont la substance corticale est décolorée, pèsent l'un 80 gr. et
des portions plus ou moins larges et plus ou moins profondes de la substance grise. Il en était de même sur le lobe temporo-
e droit, la pie-mère entraînait avec elle toute l'épais- S,WR DE la substance grise, mettant ainsi à nu le squelette de la su
S,WR DE la substance grise, mettant ainsi à nu le squelette de la substance blanche atrophiée et indurée. (Dans la Pal. VII,
il a trouvé la même lésion, caractérisée par la séparation de la substance grise et de la substance blanche 1. Mais, dans ce
sion, caractérisée par la séparation de la substance grise et de la substance blanche 1. Mais, dans ces trois cas, cette sépa
ur une altération du cerveau, caractérisée par la séparation de- la substance grise et de la substance blanche des circonvoluti
eau, caractérisée par la séparation de- la substance grise et de la substance blanche des circonvolutions. Voir aussi : Cabuo
du sillon de Rolando semble indi- quer que si les larges pertes de substances observées dans les faits de MM. Curschmann et W
res, très fines qui paraissent naître des cellules pigmentées de la substance de Soemmering et qui se rendent dans la partie
Luys), qui reçoit des fibres venant : 1° du noyau rouge, 2° de la substance de Soemmering, 3° du tubercule quadrijumeau pos
ces cas on essaie d'enlever les méninges, elles entraînent toute la substance grise qui est sous jacente aux points attérésetam
aux points attérésetamenent ainsi une véritable décortication de la substance blanche '. M. Dally fait ensuite une communicat
les contenaient au moment de l'autopsie 1100 grammes de liquide. La substance grise est amincie; tout le cerveau s'est étalé
de lésions analogues, on arrive à circonscrire un département de substance grise dont la lésion ne manque jamais dans tel ou
clinorhombiques (pro- fesseur Friedel, de l'Ecole des mines) de la substance La bibliogra- phie des premières recherches ins
radiatum; - z couches des cellules nerveuses étoilées; ? couche de substance blanche médullaire. 390 EXPLICATION' DES rLNC
supéiieur montrant parmi des tubes nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec beau- coup de cellules ganglionnaire
up de cellules ganglionnaires vivement colotées. Il s'échappe de la substance grise des conjonctifs jusqu'au boni du nerf. 17
ransversale semblable de l'autre individu montrant deux îlots de la substance grise avec des cellules ganglion- 1 - naires.
- naires. rit. 8. 3/9 Hart. : Trois cellules ganglionnaires de la substance grise des îlots mentionnés. On voit la membrane
.llcainyo-eie : éphalile chronique gèncraliséc. Séparation de la substance (le la substance blandie sur toute la face conv
: éphalile chronique gèncraliséc. Séparation de la substance (le la substance blandie sur toute la face convexe de 1'liéiiiib
32 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du réflexe tonus est dans les cellules des cornes antérieures de la substance grise. Les voies centripètes de ce réflexe sont
midaux ; peut-être faut-il aussi lui attribuer la destruction de la substance blanche depuis le point comprimé de la substance
destruction de la substance blanche depuis le point comprimé de la substance blanche jusqu'aux régions postérieures de l'éco
s ramifications de fibres ner- veuses de fort calibre montant de la substance blanche ; 3° des ramifications d'axones ascenda
le nombre des fibres ascendantes de fort calibre qui montent de la substance blanche pour se rami- fier horizontalement dans
dendrites basilaires frappe l'observateur ; l'axone descend dans la substance blanche après avoir envoyé deux ou trois collat
ramifier et envoie quelquefois un fin prolongement axile jusqu'à la substance blanche. Des colla- térales sortent aussi de ce
ou fusiformes, radialement orientées, dont l'axone pénètre dans la substance blanche ; ces derniers axones sont fort rares e
e ; ces derniers axones sont fort rares et gisent souvent en pleine substance blanche (8° couche). Dans le travail in caeM qu
part'des axones de ces derniers neurones descendent jusque dans la substance blanche. Il semble bien résulter de cette premi
endants, si longs qu'ils traversent presque toute l'épaisseur de la substance grise. Cajal a vu un véritable faisceau de fila
hinisation ; mais il faut aussi avoir soin de ne jamais laisser ces substances iL la disposition du malade, et en cesser l'emp
antérieures. Le corps des cellules parait homogène ou granuleux, la substance clrromatoplrile disparait souvent, à la périphé
me et de nombre variables. En outre on constate une hyperémie de la substance grise de la moelle. Les nerfs périphériques res
c- tives (Schoeffer) n'est pas nécessaire, car l'excitation de la substance blanche du lobe occipital produit les mêmes mou-
stati- que des yeux' se rencontre aussi bien dans la lésion de la substance blanche que de l'écorce. L'anatomie nous a en e
rontale ascendante. Dans la profondeur la lésion atteint à peine la substance blanche ». Ces deux observations sont extrêmeme
3 centimètres de haut sur 4 centimètres de long, ayant dilacéré la substance céré- brale et faisant saillie sous les méninge
ntérieure de l'hémisphère est creusée par un caillot qui a mangé la substance cérébrale depuis la partie antérieure de la tro
chiquetée, d'aspect sanglant. Un examen plus attentif montre que la substance cérébrale du pied de la frontale ascendante et du
faisant une légère saillie à l'extérieur puis s'enfun- çant dans la substance blanche sous forme d'une bande étroite qui n'at
eu de la frontale ascendante. Foyer hémorragique volumineux dans la substance blanche en avant de l'insula. Un deuxième foyer
ais l'hémorragie est séparée du noyau lenticulaire par une bande de substance blanche et se porte en avant à travers le pied de
ement qui reste séparé de la surface même du noyau par une bande de substance blanche et va en s'effilant sans dépasser son t
isphère droit ; ce dernier étant vidé, l'hémisphère s'aplatit et la substance cérébrale ramollie subit, au niveau de l'insula
appent de gros caillots noirs. La plus légère pression déchire la substance cérébrale, pour ainsi dire réduite en bouillie.
me distension qui les déplisse en forme de sac. En ces points, la substance cérébrale distendue est ramollie, se laisse très
ement sur le foyer hémorragique, à travers une très mince couche de substance cérébrale ramollie. Dans certains cas cependant
a frontale ascendante, une dila- cération à bords irréguliers de la substance cérébrale ; ces bords étaient distendus par un
surface externe du corps lenticulaire. Mais elle peut intéresser la substance blanche du pied de la couronne rayonnante en s'
de la capsule interne et venant former un foyer volumineux dans la substance blanche antérieure. Dans le cas III, l'hémorrag
morragie : le foyer principal siège en avant du corps strié dans la substance blanche, et il envoie deux prolongements, l'un
ne du corps lenticulaire, se fait en dehors, dans l'avant-mur et la substance blanche qui l'a- voisine ; elle n'atteint la su
nt-mur et la substance blanche qui l'a- voisine ; elle n'atteint la substance même du noyau lenticu- laire que tout il fait à
eaux rompus, et par la résistance légère opposée en ce point par la substance cérébrale à l'hémorragie. 214 PATHOLOGIE NERV
able, il n'y a en réalité ni rupture de fibres ou déchi- rure de la substance grise, ni compression violente de la substance
déchi- rure de la substance grise, ni compression violente de la substance cérébrale, phénomènes par lesquels on explique
uite, un chemin facile à l'hémorragie. La pression exercée sur la substance cérébrale par le sang extravasé est empêchée par
, et au voisinage de cavités empêchant une distension brusque de la substance cérébrale, telles sont les deux rai- sons essen
d'observations, l'hémorragie est tellement volumineuse que toute la substance qui sépare le DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE. 215
ong du corps strié, soit au niveau des houppes terminales en pleine substance blanche et au voisinage d'une des cornes ventri
rébral vessels. (Guy's IIospital Reports). Cas. II. Aneurism in the substance of the pons variolii; ingravescent apoplexy.
pas en rapport avec la localisation, dans un point précis, de la substance cérébrale. La cause de la progression est-elle en
te extravasation de sang pourrait se faire entre les fibres de la substance cérébrale, au lieu d'une issue brusque capable de
ique et à son ouverture par usure avec passage lent du sang dans la substance cérébrale au voi- sinage d'un point eompressibl
. 1); on constate : un aspect indécis des granulations de Nissl, la substance chromatophile périnucléaire étant plus colorée
ie plus ramollie et par- semée de taches incolores appartenant à la substance fibrillaire fondamentale - des tendances à la v
n nombre normal, on constate à peine quelque division diffuse de la substance chroma- tophile finement grenue, parfois accumu
es sont à peu près nor- males, il n'y a guère qu'un tassement de la substance chroma- tique des granulations de Nissl autour
at flou des granulations de Nissl, avec accumulation centrale de la substance chromatique et forma- tion de vacuoles au bout
suivent, tantôt il y a peu de déviation de la nor- male, tantôt la substance chromatique est complètement atrophiée, la cell
est tuméfiée quoique son noyau soit conservé, les vais- seaux de la substance grise sont très développés dans les quatorze à
eize jours suivants il y a peu de chose sauf la dispa- rition de la substance chromatique peu modifiée d'ailleurs. P. Keraval
se dirige à tra- vers la partie interne du corps restiforme dans la substance réti- culaire du bulbe, où il se dispose au-des
e, émigration des leucocytes dans les espaces périvasculaires de la substance blanche et grise médullaire. Les cellules des c
'alcool; mais l'imprégnation prolon- gée de son organisme par cette substance , a certainement produit dans son système nerveu
optique, les deux tiers postérieurs de l'avant-mur ' ! % ig. 5. a. substance grise; b, ,eulriculc5j c, lésions. 282 CLINIQUE
n développés ; ils offrent sur la coupe leur aspect ordinaire, avec substance fondamentale gris jaunâtre, adhérente à l'albug
iguant surtout la corne latérale et le groupe postéro-externe de la substance grise; on constatait aussi la présence de nodul
ans certains cas, une répercussion sur le centre, avant même que la substance toxique se soit propagée à la moelle. Si, au co
e grosseur, de disposition, de nombre des « granules et mottes de substance tigroïde » ainsi qu'à la variété de la constituti
substance tigroïde » ainsi qu'à la variété de la constitution de la substance fondamentale. 2° Examen de deux cas de tabes. A
fondamentale. 2° Examen de deux cas de tabes. Aucune anomalie de la substance chromatique (Schaffer) ou tigroïde (Lenhossek)
d'altérations des petits grains et agrégats de petits grains de la substance chromatique, il ne s'ensuit pas que la lésion du
ons de la vie. C'est pourquoi on n'y trouve pas d'altérations de la substance chromatique, qui ne sauraient résulter que de la
r réducteur normal de l'urine, dû probablement à l'augmentation des substances extrac- tives éliminées. R. C. XIV. Un cas de
s vésicules sont contenus dans une capsule fibreuse consistante. La substance cérébrale est hypérémiée et oedémateuse ; les v
méninges cérébrales et surtout médullaires, et une hypérémie de la substance grise médullaire avec parfois des hémorragies à
istologique. L'ensemen- cement du liquide rachidien,de parcelles de substance médullaire et bulbaire à diverses hauteurs est
diamètre en général, disséminées sans ordre dans les régions de la substance blanche, les plus voisines de l'axe gris ; quel
pas de lésions de leurs bouquets vasculaires ; les vaisseaux de la substance corticale sont fortement congestionnés. L'épith
des multipolaires cle la rétine. Avec les méthodes dites vitales la substance chro- matophile se présente sous un aspect chag
ent répartis et cachant complètement la structure fibrillaire de la substance fonda- mentale. Après l'action de l'alcool ces
ne motrice médullo-bulbaire, sans atteinte des vaisseaux ni de la substance blanche ni des nerfs. (Myélite ascendante anté-
lle épinière se terminent en s'arborisant autour des cellules de la substance grise, avec laquelle elles ont des points de co
ssus et au-dessous du plan d'implantation de chaque racine; 2° La substance grise qui reçoit les fibres centripètes des racin
surales et d'association. Parmi les fonctions qui incombent à cette substance grise, on doit comprendre la conduction de la s
elà du système des neurones périphériques on ne trouve pas, dans la substance grise et dans les faisceaux blancs des cen- tre
dales sont avancées. Le protoplasma de la cellule est transformé en substance jaunâtre, qu'on a appelée à tort pigment et qui
ses mottes qui ne possède pas sa couronne de mottes marginales ; la substance tigroïde représente des corps déchirés, floconn
guère de cel- lules nerveuses à considérer comme pathologiques. La substance chromatique et le noyau sont normaux ; même dan
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. forme anormale. La substance chromatique est normalement colorée. Jamais de
romatique est normalement colorée. Jamais de vacuoles. Peut-être la substance chromatique, dans le tabes au début, se colore-
érescence en virgule tiendrait, d'après les uns, à une lésion de la substance grise, d'après les autres, à une lésion radicul
e de la dégénérescence descendante consé- cutive à une lésion de la substance grise (Déjerine et Sottas, Gom- bault et l'hili
intramédullaire. Cela n'attaque pas l'opinion, d'après laquelle la substance grise donne naissance à des fibres destinées au
es rela- tives à la ligature de l'aorte, qui lèse principalement la substance grise, prouvent que les cordons postérieurs son
égénérescence (abstraction faite d'un très petit coin postérieur de substance nerveuse saine) est immédia- tement accolée à l
ortionnellement volumineux; à l'intérieur de ces mailles existe une substance un peu moins bleue, épaisse, vague, dont l'accu
bleu clair externe. La zone externe, proba- blement moins riche en substance tingible, incomparablement plus transparente, r
enue, les granules en sont très fins et paraissent cimentés par une substance intermédiaire qui les empêche de se distinguer
ES. ruche, sont remplis d'un neurohyaloplasme. Mais nulle part la substance fondamentale de la cellule n'est en rapport conti
'Apàthy et Bethe n'est pas davantage admissible. La structure de la substance fondamentale de la cellule est bien réti- forme
t une couche de cellules profondes qui fournissent des fibres de la substance blanche profonde ; ces fibres forment quelques
ilieu en un faisceau compact qui, en avant de l'angle externe de la substance grise des cavités centrales de l'isthme, s'inco
ractus isthinotectal. Les fibres originelles de ce faisceau dans la substance blanche profonde du lobe optique ne reçoivent pas
phalo-rachidien de l'homme, par la voie lombaire, des sérums ou des substances salines, en quantités relativement assez grande
usion, à travers toute la masse du liquide céphalo- rachidien , des substances injectées en petite quantité dans la cavité sou
cérébrale, s'opère lentement ; en règle générale, le maintien de la substance active au niveau des centres et des racines méd
tif), c'est que les petits foyers circons- crits, localisés dans la substance blanche du centre ovale, lorsqu'ils se montrent
es de filets complètement vides, la pie-mère n'est pas isolable, la substance grise n'est plus qu'un magma diffluent, qui se
agma diffluent, qui se laisse entraîner sous un filet d'eau avec la substance blanche sous-jacente. - Les deux lobes frontaux
ore quelques traces du système vasculaire surtout à gauche, mais la substance grise est ramollie, dissociée et se laisse entr
bifide en avant et s'éten- dant à toute la partie supérieure de la substance blanche. La partie postérieure de cette cavité
nce blanche. La partie postérieure de cette cavité vient jusqu'à la substance grise de la frontale ascendante (moitié supérie
supérieure) et ses deux extrémités antérieures s'évasent jusqu'à la substance grise de la partie la plus antérieure des circo
issement du centre ovale intéressant tout le lobe frontal droit. La substance grise corti- cale parait intacte. Tout le systè
n frontale, le tiers inférieur de la frontale ascendante, cortex cl substance blanche sons-jaccnle. Observation Vs - Femme de
oyer de ramollissement de la grosseur d'une noix et intéressant les substances grise et blanche de la partie la plus antérieur
ble que peuvent affecter les foyers de nécrobiose, intéres- sant la substance corticale de lobes entiers (obs. I), ou leur sy
ifs, aussi bien dans ceux où le ramollissement n'intéressait que la substance blanche que dans ceux où la substance grise éta
sement n'intéressait que la substance blanche que dans ceux où la substance grise était intéressée. Ces convulsions épilepti-
IE NERVEUSE. 419 et parsemée d'étoiles de Vereheyen. A la coupe, la substance corticale est réduite d'épaisseur et a subi la
pôt que normalement. Il semble y avoir oligoplasmie par pauvreté de substances fibrinogènes. En réalité, le sang récem- ment t
que dans cinquante cas d'hystérie et de neurasthénie, la teneur en substances fibrinogènes, leur t) ans-formation cl leur régén
t sont, comme le rapport de la quantité de fibrine à la quantité de substances fibrinogènes, constamment anormaux. Or que sont
é de substances fibrinogènes, constamment anormaux. Or que sont les substances fibrinogènes ? Ce sont des corps qui donnent au
dépôt spontané du sang indique des anomalies dans le quan- tum des substances fibrinogènes, c'est qu'il y a une anomalie dans
d'avant en arrière la circonvolution en question. s'enfonce dans sa substance blanche en se rapprochant de la base, ' pénètre
bliquement de haut en bas la seconde temporale, en pénètre aussi la substance blanche, et se termine à la limite de la substa
pénètre aussi la substance blanche, et se termine à la limite de la substance blanche et de l'écorce de la troisième temporale
e de la pointe antérieure du lobe temporale. L'hémorrhagie, dans la substance blanche des première et deuxième temporales, re
uée sous le milieu de l'écorce du lobe frontal paraît intéresser la substance blanche, du lobule orbitaire, la partie orbitai
ntraux et la capsule interne. Intégrité des ascendantes, et de leur substance blanche, excepté tout près des parties intérieu
bas, ainsi que les nerfs et vaisseaux sous-jacents. Intégrité de la substance grise. Observation IL - Fongus de la dure-mère
ibilité à la per- cussion sont en faveur d'une localisation dans la substance blanche du lobule pariétal supérieur. Les tro
atrophié la pie-mère et la plus grande paitie de l'écorce et de la substance blanche correspondante, a déplacé les parties v
iquide encéphalique. La pression intraventriculaire a comprimé la substance cérébrale contre les parois du crâne, barré les v
e la moelle ; généralement à la périphérie il existe une lisière de substance nerveuse saine. Des foyers qui avoisinent le ce
vont dans la zone intacte. Les foyers, ceux surtout qui occupent la substance grise, sont remplis de vaisseaux pleins à éclat
nt les foyers sont en rapport avec les vaisseaux, c'est pourquoi la substance grise est si atteinte, et qu'il y a eu mobilisa
qu'il y a eu infection puisqu'on a trouvé des pneumocoques dans la substance de la moelle. P. 11FR.1 ? 1L. LXXVII. Contrib
ation du poids du corps ; dans certains cas, cette économie sur les substances brûlées serait peut-être compensée par une dimi
ostérieures simulant la syringomyélie. L'auteur se demande si des substances toxiques ou microbiennes ne peuvent pas suivre
ait une lésion bulbaire placée dans la corne postérieure et dans la substance grise située en avant des noyaux de Goll et de
33 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
qui seront employés. La zone des fibres qui borde immédiatement la substance grise, cornes et commissure, a reçu les noms de
rne postérieure des faisceaux arrondis, séparés par un réticulum de substance grise, qui oc- cupent la corne postérieure dans
stérieure dans sa moitié ou ses deux tiers internes, en avant de la substance gélatineuse de Rolando. Ces faisceaux sont d'au-
-qu'il fût possible de voir s'il s'était développé aux dépens de la substance corticale ou de la substance médullaire. , Exam
'il s'était développé aux dépens de la substance corticale ou de la substance médullaire. , Examen de la moelle. Après un séj
on très pré- cise et très sûre des fibres à myéline les plus fines ( substance grise) ; 3° la coloration des racines hors de l
ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 21 me calibre qui sortent de la substance grise, ou y rentrent, par toute la moitié antér
la forme de petits fascicules arrondis séparés par un réticulum de substance grise. Ces fibres endogènes de la zone cornu-comm
ent très peu en arrière ; on n'en trouve déjà plus au contact de la substance gélatineuse. 3° .Sacrée.- Le triangle médian en
d'en- trée de la racine postérieure immédiatement en arrière de la substance gélati- neuse de Rolando. Cette bande scléreuse
ssauer sont absolument intactes, de même.que les fibres fines de la substance grise. Le fait que dans un cas, même unique, ce
cette intégrité ne se comprendrait pas si certaines cellules de la substance grise avaient disparu ; en outre,ces cellules étu
ion ; on peut supposer que ces fibres sortent horizontalement de la substance grise pour se recourber ou se bifurquer lorsqu'
e part, le trajet de ces mêmes fibres lorsqu'elles rentrent dans la substance grise. Néan- ÉTUDE 1\A1'o\IIQf : C DES COUDONS
zontales. Ces fibres forment de petits fascicules qui sortent dé la substance grise, ou y rentrent, par la moitié antérieure
ppe ; ZLe, ZLi, zone de Lissauer, portions externe et interne ; G.R., substance gélatineuse de Rolando ; SpR zone : spongieuse
.R., substance gélatineuse de Rolando ; SpR zone : spongieuse de la substance gélatineuse ; Spa, Spp, zones antérieure et pos
tance gélatineuse ; Spa, Spp, zones antérieure et postérieure de la substance spongieuse de la corne postérieure. On remarque
bien que ces zones qui à l'état normal tranchent sur le reste de la substance blanche par leur pâleur, se trouvent être ici bea
ieure du (1) Lnc. cit. (2) Guizé. Les parties constitutives de la substance blanche de la moelle épinière de ÉTUDE ANATOMIQ
dépassent jamais en arrière le niveau de la partie antérieure de la substance gélatineuse de Rolando, et dans toute la région l
base au présent mémoire. Avant dp passer aux fibres endogènes de la substance grise, je ferai remar- quer combien ces faits c
OTTE quantité de ces fibres endogènes, ni de préciser le lieu de la substance blanche où elles s'accumulent; la seule chose q
BRES ENDOGÈNES DANS LA CORNE POSTÉRIEURE Le réseau myélinique de la substance grise de la corne postérieure a été décrit avec
égion spongieuse postérieure, au contact de la zone de Lissauer, la substance gélatineuse de Rolando, la région spongieuse anté
nes. Les fibres grosses for- ment des fascicules qui contournent la substance gélatineuse ou qui abor- dent obliquement le bo
la corne antérieure; d'autres fascicules, traversent directement la substance gélatineuse; depluson trouve en avant de la sub
irectement la substance gélatineuse; depluson trouve en avant de la substance gélatineuse un amas transversal de fascicules arr
Les fihres fines forment un réseau très serré partout, sauf dans la substance de Ro- lando, qui est simplement traversée par
i est simplement traversée par de petits fascicules tendus entre la substance spongieuse postérieure et la substance spongieuse
s fascicules tendus entre la substance spongieuse postérieure et la substance spongieuse antérieure. Du bord interne de la co
ngieuse antérieure. Du bord interne de la corne s'échappent vers la substance blanche les fibres fines que j'ai décrites plus
endogènes fines horizontales des cordons postérieurs. Du côté de la substance grise les faisceaux qu'elles forment se perdent
a corne postérieure et le réticulum de la colonne de Clarke dans la substance grise. Les territoires radiculaires des cordons
ase répond au bord de la moelle et dont le sommet s'enfonce vers la substance grise. Au niveau de la moelle dorsale, de la 8e
ie postérieure du cordon postérieur entre le faisceau de Goll et la substance gélatineuse de Rolando. Dans les cordons latéraux
, un bord antérieur, un bord postérieur et une base qui répond à la substance grise.Le cordon postérieur est moins étendu dans
a base répond au bord du cordon et dont le sommet s'enfonce vers la substance grise (Voir fig. 4). Diverses hauteurs de la mo
de sclérose à base périphérique et dont le sommet s'enfonce vers la substance grise. Au niveau de la moelle lombaire, le cord
me valeur au point de vue de l'étude scientifique. Si on se sert de substances pulvérulentes qui adhèrent plus ou moins à la p
t à une distance presque égale l'une de l'autre, plus foncés que la substance intermédiaire ; sur ces ramifications on peut v
ayeux et elle ne tranche pas par la coloration de ses bords avec la substance blanche. Pas d'hémorragie autour. Elle présente u
faisant corps, de consistance moindre. Encastrée et isolée dans la substance blanche, cette tumeur occupe la pointe du noyau
x. Elle s'énuclée assez facilement, entraînant quelques lambeaux de substance blanche par sa face externe et de la substance
quelques lambeaux de substance blanche par sa face externe et de la substance grise par sa face interne ; elle apparaît comme u
s sentiments de reconnaissance. Fig. 2. - Coupe de la tumeur : 1, substance grise ; 2, coque fibreuse ; 3, tissu ostéoïne.
: Méninge très infiltrée. Infiltration leucocytaire intense de la substance blanche. Fig. 5. - Lobe cérébelleux gauche. F
irconvolution directement au-dessous de la tu- meur) (Fig. 3). La substance grise est diminuée d'épaisseur comparativement au
t (4) insiste à propos d'un cas de petit gliome développé en pleine substance blanche sur le ramollissement disproportionné qui
Dupré et Devaux éta- blissent qu'il y aurait une intoxication de la substance cérébrale par les poisons néoplasiques. Une tel
ganglion rachidien que. dans l'étude de l'écorce cérébrale ou de la substance grise de la moelle, et cela pour plusieurs rais
pect normal chez l'adulte ? Les altérations qui n'atteignent que la substance chromatique, indé- pendantes de toute autre alt
(fig. g). La moelle est aplatie dans le sens antéro-postérieur ; la substance grise est à peu près complètement détruite par
e est à peu près complètement détruite par l'hémorrhagie et dans la substance blanche deux foyers d'hématomyélie en forme de
is à travers le Il¡- segment cervical de la moelle. On voit dans la substance grise trois foyers hë- morrhagiques allongés, l
es à direction sagittale dans les deux cornes postérieures. Dans la substance blanche n'existe qu'une infiltration hémorrhagiqu
res sanglantes parallèles aux travées du tissu de soutien ; dans la substance grise, de petites taches hémorrhagiques disséminé
ule sanglante. Les petits foyers hémorrhagiques prédominent dans la substance grise qu'ils soulignent par leur confluence. Le
érieur, destruction à peu près complète par l'hémorrhagie de toute la substance grise, deux foyers d'hématomyélie en coin dans
rs le VIle segment cervical de la moelle. L'hémorrhagie infiltre la substance grise gauche. Le bord antérieur du cordon antér
es des cel- lules et des fibres. Augmentation des vaisseaux dans la substance grise, leur paroi est épaissie. Faisceau céré
s colonnes de Clarke, loin de former une saillie pénétrante dans la substance blanche des cordons postérieurs, est aplati, de
forte. C'est surtout les fibres fines qui paraissent faire défaut. Substance blanche de la moelle. - Ce qui frappe au premier
lanche de la moelle. - Ce qui frappe au premier coup d'oeil dans la substance blanche, c'est que même dans les régions qui para
'étendue des cordons postérieurs, sauf les parties avoisinantes, la substance grise et la périphérie, mais cette raréfaction es
aire moyenne, et faisant tout à fait défaut dans le voisinage de la substance grise. - La région D5 ne présente aucune lésion
hérique de ce fais- ceau, de même que les parties rapprochées de la substance grise, et une bande longeant le cordon de Goll
e de la moelle, et respecte complètement la partie rapprochée de la substance grise. Cette raréfac- tion s'élargit vis-à-vis
forme d'un triangle dont le sommet est dirigé vers le centre de la substance grise. La région lombaire inférieure ne présent
ect, longe de sa partie postérieure la corne postérieure jusqu'à la substance géla- tineuse. Dans les cordons antérieurs la d
faction dans le cordon antérieur se rapproche de plus en plus de la substance et de la commissure grise, de sorte que dans le
périphérie antérieure de la moelle tout en res- tant séparée de la substance grise par une mince bande de fibres saines. Vis
ulement dans la partie pé- riphérique, située un peu en avant de la substance gélatineuse du 5e ascend. qu'elle se présente s
e mieux conservées, n'ont pas l'air d'être tout à fait indemnes. La substance réticulaire apparaît dans toute son étendue forte
situé en arrière des olives. Dans la partie dorsale le repli et la substance réticulaire montrent une sclérose très nette, à l
dégénération bien accusée. Par contre dans sa partie antérieure la substance réticulaire, de même que les fibres intraolivai
tion des fibres arquées, la sclérose de la partie postérieure de la substance réticulaire et du raphé, les lésions des olives e
it une plaque \de dégénération située dans le bras horizontal de la substance blanche. Les cellules de Purkinje, de même que
es, surtout dans leurs parties posté- rieures et une sclérose de la substance réticulaire. Ainsi toutes les lésions principal
érieurs chez Louis Hand... et une raréfaction dans une partie de la substance blanche du cervelet ; ni cliez son frère ni chez
Von Michel, le processus serait une dégé- nérescence primaire de la substance nerveuse, sans prolifération conjonc- tive, aya
res. De l'examen histologique nous avons conclu que « des pertes de substance peuvent se creuser primitivement dans la moelle
u tissu conjonctif végétant détruisent les éléments cellulaires de la substance B. Poch... 3e Dorsale (Grossiss. : 110 D) Color
elle les faisceaux pyramidaux croisés sont dé- générés ; quant à la substance grise des cornes antérieures elle est en grande
en d'autres points existent seules, à l'exclusion de toute perte de substance et semblent même appartenir à un stade évolutif a
ire à l'existence d'une bande conjonctivo- vasculaire au sein de la substance grise postérieure. C'est en de tels points que
dé- couvre plus trace et aucune barrière ne sépare plus la perte de substance , des fibres nerveuses. L'hypertrophie de la név
SYRINGOMYÉLIE 385 que toute la corne postérieure, une partie de la substance grise antérieure, une partie des cordons blancs
re de fibres conjonc- tives et élastiques. Autour de cette perte de substance , à peu près vide, il n'y a nulle réaction névro
moins actif, à moitié éteint, qui réalise ici des vastes pertes de substance , et qui a détruit au moins les deux tiers de la
6e dor- sale la corne postérieure saine est creusée d'une perte de substance comme tail- lée à l'emporte-pièce et dont les b
lle la distribution spinale de certains systèmes artériels. Dans la substance grise elle affecte le trajet et la direction de
est toujours en relation avec l'émergence d'une artériole, Dans la substance blanche des cordons postérieurs, elle suit manife
conjonctivo-vasculaires déterminent-elles les fentes, les pertes de substance ? De plusieurs façons sans doute (fig. 7 et PI. L
en un point et s'entourant de faisceaux conjonctifs, écar- tent la substance nerveuse et délimitent un espace qui pourra ultér
bande conjonctive va désagréger les tissus et isoler des portions de substance nerveuse appelées dès lors à disparaître : de m
tassées. Elles écartent le parenchyme nerveux créant des pertes de substances parallèles à leur direction ; au voisinage, on re
duit. C'est probablement le mécanisme de la formation des pertes de substance assez vastes de la région cervicale, les végéta
nce de troubles circulatoires ou autres. Les limites de la perte de substance primitivement constituée par une simple fissure
méthode de Weigert-Pal. La cavité médiane occupant presque toute la substance grise se continue au niveau de la corne pos- té
F..., il existe à la région cervicale une vaste cavité occupant la substance grise dont elle détruit la base des cornes postér
à des feuillets ou des membranes qui circons- crivent les pertes de substance . Ici, il n'y a aucune réaction névroglique appa-
par la communication constante du canal central avec les pertes de substance . Tous ces caractères semblent déno- ter la loca
és. Il est de notion banale qu'elles se développent surtout dans la substance grise (commissure grise, corne postérieure) et
tte localisation la trouvent dans « la richesse vasculaire de cette substance et en particulier dans l'existence de gros vais
ux de chaque côté du canal central ». Faisons remar- quer que si la substance grise est plus vascularisée elle est aussi plus f
'expansion du processus. Mais insistons surtout sur ce que, dans la substance grise ou dans la substance blanche, il est à son
is insistons surtout sur ce que, dans la substance grise ou dans la substance blanche, il est à son début très souvent systém
nvoquons plus particulièrement l'écartement, la dis- location de la substance nerveuse par des tractus végétants, le morcelleme
res nerveuses, et contribue puissamment à l'extension des pertes de substance . Elle n'est pas indispensable à les expliquer, ai
Baillarger a appelé l'atttention, qui atteignent par- fois toute la substance grise et mettent à nu, après décortication, les c
t à nu, après décortication, les cou- ches les plus profondes de la substance grise au niveau même de certaines localisations
n tissu lacunaire presque comblé par des amas nucléaires. Dans la substance blanche, dégénérescence de la zone radiculaire an
blanche, dégénérescence de la zone radiculaire antérieure depuis la substance grise jusqu'au voisinage du rebord de la moelle,
L'épendyme est obturé par un amas nucléaire. Les vaisseaux de la substance grise sont très nombreux, beaucoup parais- sent
entourés d'une gaîne dilatée et parfois d'un large espace clair. La substance blanche dans les parties postérieure et latérale
ures ; à ce niveau aussi la zone périphérique est moins colorée. La substance grise a une forme plus proche de la normale, mais
elques débris seulement des cellules de Clarke. Les vaisseaux de la substance grise ne présentent plus à leur pourtour les mê
t, prédominantes dans la production des foyers de destruction de la substance grise antérieure, cette irrégularité dans l'att
une iiiéningo-iiiy,lite syphilitique à prédominance au niveau de la substance grise des cornes antérieures, mais d'une polio-
ous. Les vaisseaux présentaient des gaines nucléées surtout dans la substance grise et à son voisinage, ces gaines diminuaient
e est partout altéré mais irrégulièrement : il est remplacé par une substance fibreuse, hyaline, rose, d'autant plus abondante
dinales, mais dans ces conditions nous avons vu souvent la masse de substance mus- culaire comme craquelée transversalement.
es couronnes, mais aussi dans le sein même des fibres. « Quand la substance musculaire diminue, quand la libre s'atrophie, ce
des fibres très petites qui ne présentent plus qu'un mince amas de substance mus- culaire semée de nombreux noyaux. Un degré
é extrême, il ne reste plus que de petits groupes de noyaux dans la substance hyaline fondamentale. Tous ces états voisinent
que quelquefois les noyaux musculaires isolés et encore entourés de substance musculaire sont très volumineux. » L'histoire d
34 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
observé dans toutes les régions de l'encéphale, aussi bien dans la substance grise que dans la substance blanche. Il s'y pré
ions de l'encéphale, aussi bien dans la substance grise que dans la substance blanche. Il s'y présente aussi sous l'aspect d'
turba- tions de la mastication et de la déglutition. L'ingestion de substances liquides se fait avec une grande difficulté. Lo
rtie correspondante de la capsule externe, de l'avant-mur, et de la substance profonde de l'insula de Reil. Ce foyer se trouv
i-même, puisqu'il y également lésion de la capsule externe et de la substance profonde de l'insula. Tout ce qu'il est permis
(côté atrophié). La sensibilité gustative a été déterminée pour les substances salées, sucrées, vinaigrées. Les morceaux de se
t que l'enfant étroi- tement surveillée jour et nuit n'avait aucune substance vicariante sa dis- position, la rapidité de la
g. 9. Même coupe que figure 5. Fio. 40. Section longitudinale de la substance blanche de la moelle épinière (Immersion). 13
entre ces deux réseaux (fig. 11). Si l'on compare les coupes de la substance blanche de la moelle épinière avec celles des n
yline ferrique de Ileidenhain. Quant aux éléments cellulaires de la substance blanche de la moelle épinière, les coupes longi
ne de Schwann ; par contre une telle régularité fait défaut dans la substance blanche de la moelle épinière. Les cellules de
LYSIE AGITANTE 133 ture anatomique des nerfs périphériques et de la substance blanche de la moelle épinière. Chaque fibre ner
a gaine médullaire des fibres nerveuses. Les fibres nerveuses de la substance blanche de la moelle épinière qui ne possèdent
ées parcourt toutes les directions. Les coupes longitudinales de la substance blanche du cerveau et du cer- velet offrent un
offrent un aspect semblable à celui des coupes longitudinales de la substance blanche de la moelle épinière. Les cylindraxes de
que les réseaux névro- gliques le long des fibres nerveuses dans la substance blanche du système nerveux central. Plusieurs
remier cas de paralysie agitante avec le réseau névroglique dans la substance blanche du système nerveux central a attiré (1)
tion d'après Alzheimer (3). Les coupes longitudinales de la moelle ( substance blanche) colorées selon Ziveri offrent un aspec
ture du tissu névroglique dans le voisinage des cylindraxes dans la substance blanche, un aspect tout semblable à celui que n
vé, principa- lement dans les coupes longitudinales provenant de la substance blanche du cervelet, des parties de tissu névro
avec les auteurs qui attribuent une nature névro- glique à toute la substance du système nerveux central sauf aux éléments ne
e cérébrale d'après Eisath-Alzheim er, réseau nêvroglique. A droite substance blanche de la moelle épinière. Gieson. Réseau n
ALYSIE AGITANTE 139 la figure 29, excepté les fibres rigides, comme substance protoplasmatique, laquelle ne diffère du syncyt
substance protoplasmatique, laquelle ne diffère du syncytium de la substance fondamentale du tissu nêvroglique, chez un foet
écrire, nous les trouvons également le long des cylindraxes dans la substance blanche de la moelle épinière. Ces fibres se cr
i existe entre le réseau névrotique le long des cylindraxes dans la substance blanche du système nerveux central et les résea
tions impor- tantes. La coloration des gaines médullaires dans la substance blanche de la moelle épinière selon Weigert n'a
es gaines médullaires par l'arcade osmique et une raréfaction de la substance blan- che accompagnée de l'infiltration d'un ex
intracellulaire que du réseau extracellulaire. La raréfaction de la substance blanche dans la moelle épinière constatée par p
t une forme particulière des cellules névrogliques trouvées dans la substance blanche du système nerveux central dans six cas
follicules forment ainsi un réseau à mailles lâches remplies d'une substance colorée, dans les coupes traitées d'après van Gie
très marqué du réseau néaro- glique le long des cylindraxes dans la substance blanche du système nerveux central et le réseau
es réseaux inlramédullaires dans les nerfs périphériques el dans la substance blanche du système nerveux central dans la para
s et de constitution très robuste. Il faudrait donc admettre que la substance toxique, bien que circulante, se fût localisée
et même abuse d'alcool. Il prétend que dès petites quantités de ces substances ont sur lui une forte influence. Voici mainte
su cellulaire sous-cutané. Excepté ces îlots riches en lipoides ces substances ne sont pas très abondantes dans les cellules h
ution. On devra par exemple traiter des femel- les gravides par des substances ovariennes ou thyroïdiennes, ce dernier traitem
ctivité ostéogénique du périoste et à un trouble du métabolisme des substances calcaires et phosphatées. 2° Elle provoque di
ive de ces agents chez lui, la peau de ses mains aurait absorbé ces substances , dans l'exercice de sa profession. Mais elles n
ngements produits dans les nerfs périphériques par l'application de substances toxiques sur la peau ». Aussi ne devons-nous pas
i dans les cellules, ni dans les méninges, ni dans les racines. Les substances blanche et grise sont hyperémiées. Le faisceau py
amen microscopique. Segments cervicaux inférieurs : hyperémie de la substance médullaire et surtout de la substance grise. Les
inférieurs : hyperémie de la substance médullaire et surtout de la substance grise. Les espaces péri- vasculaires et péricel
voit une dilata- tion assez marquée des vaisseaux et surtout de la substance blanche. La plupart des vaisseaux sont thrombos
uvons les diviser en deux groupes : 1° modifications notées dans la substance médullaire proprement dite et 2° modifications du
dans sa forme, ni dans sa structure. En analysant les lésions de la substance médullaire, nous pouvons constater quej dans au
e.Dans les trois autres cas, rien d'anormal dans les cellules. La substance blanche de la moelle n'a présenté, dans aucun des
à ces cas on pouvait même observer un épanchement du sang entre la substance médullaire et la pie-mère, dû problablement à la
'autre part pénètre lui-même par les vaisseaux lymphatiques dans la substance médullaire ; d'où dilatation des espaces lympha
es lésions érosives un peu suin- tantes qui mettent à découvert une substance crétacée qui tombe en croûtes. Depuis deux ans
au des coudes, des genoux et des mains. L'analyse chimique de cette substance faite par M. le Dr Percival, a montré l'existen
a montré l'existence de sels de calcium (carbonates), mêlés à de la substance cornée. Examen électrique. - Au niveau des mu
u,,face dorsale des pieds), de petits nodules indurés remplis d'une substance sableuse et qui rappellent de très près les pro
sels de calcium et notamment de carbonate de calcium, mêlé à de la substance cornée. Le résultat de cet examen clinique est
s inférieures; dans les coupes les plus supérieures, l'écorce et la substance blanche de la région operculaire sont en grande
LANGAGE DANS L'APHASIE DE BROCA 339 dairement atrophiée Quant il la substance blanche, elle est très endommagée ; il persiste
ntérieur (PI. LI, a, b, c). Les lésions sous-corticales occupent la substance blanche de l'hémisphère et les noyaux gris cent
substance blanche de l'hémisphère et les noyaux gris centraux. La substance blanche de l'hémisphère a complètement disparu da
le externe et l'avant-mur comme n'exis- tant plus. ' Plus haut la substance blanche a été interrompue au-dessous des circonvo
passent au-dessus de la couronne rayonnante, la destruc- tion de la substance blanche s'étend depuis la 2e circonvolution front
olandiques. En ce qui concerne les circonvolutions temporales, leur substance médullaire a plus ou moins participé à la destr
a plus ou moins participé à la destruction de l'écorce, cependant la substance blanche non différenciée du lobe temporal a été
z sérieusement endommagés par les lésions ; il en est de même de la substance blanche sous-jacente. Ganglions centraux. - La
erne, par l'intermédiaire duquel ses libres se prolon- gent dans la substance blanche du lobe frontal. Plus bas la dégénéresc
pecté le pôle de l'insula. On ne suit pas sa dégénérescence dans la substance blanche du lobe orbitaire. Corps calleux. - On
uxième temporales, mais elle envoie un petit prolongement dans leur substance blanche, prolongement qui est limité en avant par
i. s'est effectuée au cours des manipulations. Peu à peu le pont de substance nerveuse, qui constitue le fond de la cavité se
térieure de la première circonvolution anté- rieure ; par contre la substance blanche de cette'circonvolution a été grave- me
cavité sont nettement tranchées ; cependaut, de même qu'en avant la substance blanche de la première circonvolution de l'insu
été en grande partie détruite,de même en est-il en arrière pour la substance blanche de la première et de la deuxième tempor
de ces cir- convolutions qui borde la cavité. Mais la lésion de la substance blanche ne se prolonge guère ni en avant ni en
réapparaître les circonvolutions, mais sur une certaine hauteur la substance blanche (aussi bien la substance blanche ra- di
, mais sur une certaine hauteur la substance blanche (aussi bien la substance blanche ra- diée que la substance blanche non d
substance blanche (aussi bien la substance blanche ra- diée que la substance blanche non différenciée) est détruite ou complèt
la dégénération de ses fibres qu'il faut attribuer la pâleur de la substance blanche dans le lobe frontal, dans le lobe pariét
tion partielle de. ce faisceau qu'il faut expliquer la pâleur de la substance blanche dans le lobe occipital, au niyeau de la
t été signalées sur le trajet des radiations thalamiques et dans la substance blanche du lobe pariéto-temporal. Les fibres du n
DE BROCA 353 coupes sériées permet d'évaluer la quantité énorme de substance cérébrale qui s'est écoulée à travers la brèche
es et tranchées, et les lésions s'arrêtent assez exactement dans la substance blanche au même niveau que sur l'écorce ; on ne t
veau que sur l'écorce ; on ne trouve dans le voisinage ni pertes de substance ,, ni foyers lacunaires. C'est en somme une cavi
assés et recroque- villés, qui semblent indiquer qu'à ce niveau, la substance blanche a été plus éprouvée que l'écorce elle-m
même. Cette cavité s'est creusée très profondément aux dépens de la substance blanche et de l'insula, et s'est arrêtée très b
mur, de la capsule externe, se prolongeant en anière jusque dans la substance blanche de la 2' circonvolution temporale. Dégé
volutions frontale et pariétale ascendantes réapparaissent, mais leur substance blanche, sauf une partie des fibres en U. est c
iétale ascendantes. Dégénération de la couionne rayonnante et de la substance blanche non différenciée, se poursuivant en arr
la plus grande partie de l'insula. -Lésions des- tructives dans la substance blanche de la 2* circonvolution temporale. - Dégé
peu au-dessus de la précédente. Destruc- tion et dégénération de la substance blanche non difl'érenciée, de la substance blan-
tion et dégénération de la substance blanche non difl'érenciée, de la substance blan- che radiée des circonvolutions, s'étendan
che radiée des circonvolutions, s'étendant depuis F3 jusqu'à Pl. La substance blanche est complètement dégénérée jusqu'au bor
cette contracture tardive. Les muscles du côté paralysé, dit-il en substance , sont au début de la maladie flas- ques et iner
ine note-t-on un léger ponctué hémorragique disséminé dans toute la substance blanche. Dans le cervelet on sent une indurat
u de granulations dans son parenchyme. Il en est de même des reins ( substance corticale et médullaire normale), qui pèsent, le
cellules géantes. Il y en a une dans la moelle elle-même, en pleine substance blanche, au voisinage de la corne antérieure.
e dans le liquide céphalo-rachidien (0.1 centigr.) montre que cette substance se trouve dans l'organisme à des doses normales
404 RAUZIER ET BAUMEL . niveau fut comprimée et corrodée, et que la substance médullaire fut atteinte par le processus tuberc
it se trouver le corps calleux, on voit qu'il subsiste une bande de substance blanche s'étendant le long de la paroi interne
t précédée d'ulcérations gingivales très douloureuses avec perte de substance . Les dents déchaussées tombaient une à une bien q
lobes temporaux les méninges étaient adhérentes entre elles et à la substance cérébrale sous-jacente, surtout sur l'hémisphère
vaisseaux. Dans certains endroits les adhérences des méninges à la substance cérébrale étaient si fortes qu'on ne pouvait pa
ableau nous ajouterons qu'on rencontre dans les méninges el dans la substance cérébrale des foyers microscopiques d'hé- morra
ssant à l'étude du tissu néuoglir¡1te, nous devons remarquer que la substance cérébrale de l'hémisphère présente ses modificati
forme ovoïde, sont assez gros, avec deux, trois nucléoles, ont une substance chromatique NOUVl : .1 LE ICONOGRAPHIE DE LA SA
qu'une certaine partie de fibrilles de la région donnée revêtue de substance collagène (fibres colla- gènes), rien de plus ;
u système général de fihres con- jonctives qui n'est pas revêtue de substance collagène. Pour cela nous em- ployons la méthod
es les fibrilles conjonctives d'un or- gane quelconque (revêtues de substances collagène on non), forment un seul réseau conti
cas que nous [examinons, où, grâce à l'adhérence des méninges à la substance cérébrale, on peut s'attendre à trouver un dévelo
yons comment les fibres collagènes se dirigent en faisceaux dans la substance cérébrale et là, en se débarrassant de la subst
isceaux dans la substance cérébrale et là, en se débarrassant de la substance collagène, se continuent en un réseau de fibril
s faisceaux conjonctifs collagènes, après s'être débarrassées de la substance collagène, se soudent pour ainsi dire en une fibr
llagènes des vieilles cellules conjonctives des méninges et dans la substance cérébrale par les membranes réticulaires des espa
s dans notre cas déjà on peut voir par places à la périphérie de la substance céré- brale, aux endroits représentés sur les f
Il faut croire que la nouvelle couverture de la fibre formée par la substance colla- gène vient du côté de ces fibres collagè
contraire dans ce cas d'un petit foyer très limité siégeant dans la substance grise et comparable à ceux que l'un de nous a o
l'hémorragie méningée. Les auteurs ont insisté sur la richesse des substances albumi- noïdes qu'on trouve dans le liquide obt
face médullaire, de sorte qu'on ne peut les enlever sans entamer la substance nerveuse. La consistance de la moelle est gélatin
petits îlots de matière blanche qui font un réel contraste avec la substance environnante. A la région médullaire terminale,
e résulte d'une action physique ou plutôt physico-chi- mique, de la substance employée sur les éléments conducteurs de l'influx
nous a été impossible de les séparer sans entamer en même temps la substance nerveuse. La consistance de la moelle, l'aspect
n médullaire de longue durée avec augmenta- tion de la quantité des substances albuminoïdes - c'est-à-dire obstacle (1) Jean T
celui qui se passe dans le sang après toute émission sanguine. Une substance albuminoïde du liquide (le fibrinogène) sous l'
question qui se pose est de savoir d'où vient l'énorme quantité de substances albuminoïdes et surtout du fibrinogène qu'on trou
l'indice presque certain d'un néoplasme rachidien (1). Parmi les substances albuminoïdes qui envahissent les espaces sous-
enflammées est caractérisé en première ligne par l'abon- dance des substances albuminoïdes et spécialement du fibrinogène, fait
st faible, et en tous cas ne correspond pas à la grande quantité de substances albuminoïdes épanchées. Comme nous l'avons vu,
35 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
circonvolution frontale. En profondeur, elle ne dépassait pas la substance blanche propre de la circonvolution frontale as
aissables. Les fibres à myéline sont plus clairsemées à ces places. Substance blanche sous- corticale. Le type du noyau clair e
myéline n'a pas diminué. Les couches optiques et les autres amas de substance grise, ont également un aspect normal ; il y a
C , où il occupe le fond du cordon latéral droit et empiète sur la substance grise adjacente. Ses limites sont nettes, en ap
6) envahis- sant à la fois, dans la moitié droite de la moelle, la substance grise (cornes antérieure et postérieure) et la
moelle, la substance grise (cornes antérieure et postérieure) et la substance blanche. Son développement maximum se trouve da
moitié droite de la moelle n'est plus représentée que par un peu de substance blanche, étalée la périphérie de la masse caséeus
ur est situé.dans la partie moyenne du seg- ment C7 où il occupe la substance grise intermédiaire aux cornes anté- rieure et
la figure B ne permet pas de conclure à la suppression de toute la substance blanche qui a perdu sa forme ou sa coloration n
trouve, au-dessus de la lésion, aucune imprégnation anormale de la substance nerveuse ; la vacuolisation et la diffusion des g
isceau py- ramidal croisé se massent dans la profondeur, près de la substance grise, celles qui occupent le faisceau fondamen
lus haut, dans les noyaux des cordons de Burdach et vont jusqu'à la substance grise placée entre le faisceau solitaire, le corp
suivi la dégénérescence ascendante du faisceau pyramidal jusqu'à la substance blanche sous-corti- cale ; ce résultat qui dema
idal, émet par sa face interne des fascicules qui pénètrent dans la substance grise bulbaire. Ces fibres sont nombreuses et r
s du faisceau la- téral du bulbe,occuper la partie antérieure de la substance réticulée grise et 70 LONG . ED. LONG P1.. XV
R) et sa racine descendante. Il pénètre transver- salement dans la substance réticulée grise (S Rg),dont il ne dépasse pas la
. 14) ; il se disperse dans une région qui con- tient, à la fois la substance grise annexée au corps restiforme (N Crst), le
), le corps juxtarestiforme (Cj) et la partie la plus reculée de la substance ré- ticulée grise, autour du noyau et de la rac
sal, passe derrière cette racine du trijumeau et se termine dans la substance grise qui entoure le noyau du glosso-pharyngien
hent. D'après nos coupes, le faisceau ou plexus dorsal aboutit à la substance grise, au-dessus des noyaux des cordons postéri
ndante latérale se sont arrêtées pour la plus grande partie dans la substance grise du bulbe ; il ne reste, en effet, et du c
nnellement le nombre des grains noirs. - Ce groupe occupe dans la substance réticulée (fig. 16) la zone limitée parle noyau
culaire, avec les tubercules quadrijumeaux posté- rieurs et avec la substance grise avoisinante (le terme de fibres spin[ ! -
térieur. RI, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil médian. SgAg, substance grise de l'aque- duc. Sgfi, substance grise de
, ruban de Reil médian. SgAg, substance grise de l'aque- duc. Sgfi, substance grise de Rolando. - SR, formation réticulée. SUa,
is absentes de ce côté. ' Se dorsale. Les différents éléments de la substance blanche et de la sub- stance grise vu au fort g
xiste une dégénération légère du cordon de Goll mais le reste de la substance blanche et la substance grise ont gardé leur état
égère du cordon de Goll mais le reste de la substance blanche et la substance grise ont gardé leur état normal. Sur le premie
hémiatrophie légère de la moitié gauche de la moelle portant sur la substance grise et sur le faisceau antérieur à partir du ni
la figure 53 qui se rapporte à une femme tabétique. - La perte de substance peut se présenter sous plusieurs aspects. En fo
cence et d'atrophie atteignant d'une façon plus ou moins globale la substance même de ce noyau. En général, ces réactions secon
upérieure du noyau rouge portant à la fois sur la capsule et sur la substance même de ce noyau. Nous ferons remarquer que,
du noyau rouge doit être attribuée plutôt à la dégénérescence de la substance médullaire centrale qu'à la disparition des élé
tteignait tout particulièrement la zone grise dorso médiane dont la substance moléculaire était notablement réduite et les ré
moyen une atrophie très marquée, laquelle intéres- sait surtout la substance médullaire centrale et la zone marginale grise
. Ici encore, il s'agissait essentiellement d'une raréfaction de la substance moléculaire, bien que, çà et là, la dégénérescenc
ente grise réticulée (gNlUen lialken de l'auteur), c'est-à-dire, la substance moléculaire et les éléments cellulaires de moin
dorso-médiane du noyau rouge et entrent en relation surlout avec la substance moléculaire et avec la charpente grise constitu
de ce noyau et se terminent, au niveau de son tiers moyen, dans la substance grise réticulée des zones latérale et centrale. I
e des zones latérale et centrale. Ici encore, c'est surtout avec la substance moléculaire que les fibres corticales affectent
ulaire, la lésion occupe le segment inférieur de l'hippocampe et la substance profonde de la moitié in- terne du lobule fusif
orsale ou supé- rieure du noyau rouge. En même temps on note que la substance médullaire de ce noyau n'est pas indemne et que
complètement disparu mais il persiste une décoloration notable de la substance profonde du lobule fusiforme et de la circonvol
parait fort mieux délimité. En revanche, la dégénéres- cence de la substance même de ce noyau devient encore plus évidente qu'
. On remarque aussitôt la décoloration intense et généralisée de la substance médullaire centrale du noyau rouge. En outre, l
poursuit sur un certain nombre de coupes et implique légèrement la substance sus-jacente de la circonvolution limbique. La p
ganglion. L'implication de la couronne rayonnante a rf-tenti sur la substance profonde de la circonvolution limbique et des c
montant le long du bord externe de ce noyan pour s'irradier dans sa substance médullaire supérieure, l'autre se portant en ba
e la couche optique, et, d'autre part, la couronne rayonnante et la substance profonde du lobe pariétal. Il existe quelques pet
t le pôle anté- rieur du noyau rouge. On remarque que tandis que la substance médullaire centrale de ce noyau est notablement
un petit foyer de ramollisse- 208 LA SALLE ARCHAMBAULT ment de la substance profonde du lobe pariétal, lequel siège au niveau
nullementrespon- sable de la décoloration si accentuée de toute la substance profonde avoisinante. Cette décoloration tient
mporal, la déco- loration partielle des couches sagittales et de la substance profonde est diffi. cile à constater. En dehors
a capsule interne, ain.ii qu'une décoloration assez accentuée de la substance profonde de la convexité pariétale-et de la capsu
éres- cence très marquée de la couronne rayonnante pariétale, de la substance pro- fonde avoisinante, de la capsule interne e
antérieur du nuyau rouge. On note la décoloration généralisée de la substance médullaire centrale de ce noyau ainsi que la ra
troisième circon- volution frontale gauche mais atteignant aussi la substance profonde des cir- convolutions voisines. Vu de
yonnante. A cet endroit, le ramollissement atteint di- rectement la substance profonde du pied de la deuxième circonvolution fr
nt. Cette lésion a déterminé une décoloration partielle de toute la substance profonde de la convexité pariétale et même de la
sant à l'égard de ce noyau, sauf une certaine pâleur relative de la substance médullaire centrale. La capsule frontale du noy
marginalis et de la première circonvolution temporale, ainsi que la substance profonde des deux tiers postérieurs de la deuxièm
uronne rayonnante, elle, envoie des prolongements linéaires dans la substance profonde de l'opercule rolandique et même dans la
ons de la calotte. La capsule externe est totalement incolore et la substance profonde du lobe pariétal est nettement dé- gén
able et forme un foyer rectangulaire, lequel détruit large- ment la substance profonde de l'opercule rolandique et atteint le b
oloration nette et géné- ralisée, mais peu intense toutefois, de sa substance médullaire centrale. A cet endroit, la capsule
ent dorsal ou supérieur de cette capsule, puis elle pénètre dans la substance même de ce noyau pour s'épuiser enfin dans les
bien que l'on observe assez souvent une certaine raréfaction de la substance médullaire centrale. Dans les lésions du bord s
yéline qui pénètrent à l'intérieur de ce noyau, la résorption de la substance moléculaire, l'atrophie et le tassement des éléme
lycosurie, l'action de centres régulateurs cérébraux placés dans la substance grise interpédonculaire 1>. Certes, le pro
ophie des premières. Les coupes d'après Van Gieson montrent dans la substance grise du noyau 282 VAN WOERKOM caudé et du no
de projection de la capsule interne, ce ne sont que les traînées de substance grise traversant la capsule interne qui sont en r
cules qui restent se sont rapprochés à cause de la diminution de la substance fondamentale. La lamina medullaris externa-est fo
re très dense, dans lequel ces fascicules ne sont pas retrouvés. La substance innominée avec ses fibres transversales, la ban
orrespon- dante du cerveau normal. Par la réduction des traînées de substance grise séparant les faisceaux de la capsule inte
général leurs noyaux sout bien conservés. C'est le même cas avec la substance grise de l'étage ventral : augmentation du pigmen
), une légère proliféra- tion de la névroglie est constatée dans la substance blanche sous-corticale ; surtout autour des vai
orce, la névroglie est à peine en voie de pro- lifération ; dans la substance blanche sous-corticale, le processus est plus a
tie antérieure de la base du noyau lenticulaire, il s'étend dans la substance innominée de Î3eiclrert et dans la base de l'av
s la clinique montre souvent la participation des méninges et de la substance blanche de la moelle : lymphocytose rachidienne
qu'il y a aussi des lésions méningées et des lésions diffuses de la substance blan- che. Dans le second cas, on pourrait se d
on trouve des lésions des cornes antérieures, des méninges et de la substance blanche, c'est-à-dire des lésions diffuses anal
ite. Car c'est au côté droit qu'il persiste encore un petit pont de substance médullaire ramollie qui réunit les parties du n
stion. Le contenu de ces noyaux devient plus clair aux dépens de la substance chromatique, de sorte qu'à la fin, il ne reste qu
enaient intacts, de nouveaux symptômes apparurent, indiquant que la substance grise centrale entrait en ligne. C'étaient des cr
blancs, puis, après les avoir libérés, s'être ensuite fixées sur la substance grise centrale qui, d'accord avec le grand sympal
la normale, aucun d'eux n'offre de trace d'une perte secondaire de substance . Outre la réduction, les phalangettes présenten
acer et, par conséquent, d'annihiler l'effet toxique des nombreuses substances toxiques ou nuisibles absorbées par la paroi in
ubstances toxiques ou nuisibles absorbées par la paroi intestinale, substances qui.lui sont apportées par le système delà vein
attaque. Il pensait aussi que l'acide urique ou plutôt une clo ses substances d'origine pourrait être l'agent toxique de l'ép
ses subs- tances que nous appelons lipoïdes ; comme on le sait, les substances antitryptiques du sang se composent de la combi
iraient déjà une démence secondaire) une augmentation évidente des substances antitryptiques dans le sang (Pour de plus amples
é que la thyréo- globuline, découverte par Oswald, soit vraiment la substance produite par la sécrétion interne de la glande
ombreuses hypothèses pour expliquer la nature et la composition des substances , produites par la glande thyroïde ; de beaucoup p
a quelque doute sur leur action fermentative, car toutes sortes de substances chi- miques peuvent exercer cette action de « f
intoxication ? Comme on ne sait encore que très peu de chose de ces substances elles-mêmes et encore moins de la manière dont
aussi encore complètement la nature et la composition chimique des substances , apportées dans la circulation par ces quatre o
orption sont aussi dimi- nués. Les suites se laissent deviner : des substances alimentaires, proba- blement surtout les albumi
des aminés et les bases aminées, sont transformés insuffisamment en substances inoffensives et assimilables : l'échange gazeux d
ches en toxines. Ils purent même montrer facilement in vitro que la substance cérébrale est très avide de toxines ; si l'on p
, ne sembla pas être la même dans les différentes parties, comme la substance grise et la substance blanche. Dans un cas d'em
a même dans les différentes parties, comme la substance grise et la substance blanche. Dans un cas d'empoisonnemenl par l'abs
t. cas, de son excès d'acide carbonique et peut-être aussi d'autres substances toxiques. Bien que les toxines de l'épilepsieesse
, les malades regardent aussi les attaques comme des déblayeuses de substances nuisibles : si leur sang et leur cortex cérébral
36 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ranchi la ligne médiane, gagné la face postérieure de la moelle, la substance grise médiane, à mesure qu'elle libérait le faisc
és inférieu- res, segment dans lequel la sclérose envahit tantôt la substance grise ou les faisceaux blancs, tantôt se dissém
issant par compression que d'une hématomyélie qui aurait détruit la substance médullaire. En effet les sphincters quoique pares
sens anatomique, impliquant l'idée du retour à l'état normal de la substance médullaire ? C'est possible, nous savons que le
très superficiel, n'intéressant que la moitié de l'épaisseur de la substance grise et situé sur le lobule paracen- tral gauc
gèrement touchée. Dans la profondeur le ramollissement intéresse la substance blanche située au-dessous de la lr8 temporale e
porale et de la 2° pariétale,mais sans sec- tionner complètement la substance blanche sous-jacente à la 2" pariétale. Au-des-
-jacente à la 2" pariétale. Au-des- sous du foyer proprement dit la substance blanche est légèrement teintée en jaune,mais sa
la 2° temporale. Profondément la lésion dessine une vaste perte de substance approchant de la corne occipitale du ventricule l
indemne ainsi que le lobule lingual et fu- siforme. Profondément la substance blanche sous-jacente à la 2e occipitale est dét
périeur etd'unepartiedu faisceau occipital vertical deWernieke). La substance blanche du cuneus, du lobule lingual et du lobule
sions s'étendant vers les points du globe occipital (intéressant la substance blanche faisceau vertical occipital de Wernicke).
ssement ancien sur le gyrus angulaire (pli courbe) empiétant sur la substance grise de la portion postérieure de la première
rieure de la première temporale et s'enfonçant profondément dans la substance blanche jusqu'à la corne postérieure du ventric
bale. A l'autopsie : hémorragie ancienne à gau- che au niveau de la substance blanche du pli courbe et de l'insula avec par-
109 et vie de ces animaux : c'est qu'ils sont engendrés de quelque substance humide des pierres, laquelle-humidité putréfiée
s les faisceaux cérébelleux directs et les faisceaux de Gowers ; la substance grise de la moelle est atrophiée avec dispariti
n d'apparence. Par contre, la moelle présente des altérations de la substance grise (atrophie partielle ou disparition des cell
presque totale des cellules correspondantes), et des lésions de la substance blan- che (dégénération partielle des cordons p
ieurs chez Louis Haud... et « une raréfaction dans une partie de la substance blanche du cervelet ; ni chez son « frère, ni c
rieure ; à droite, il semble res- pecté sur toute son étendue. d) Substance grise. - La substance grise antérieure possède pa
semble res- pecté sur toute son étendue. d) Substance grise. - La substance grise antérieure possède partout un ré- seau my
s et en cellules, surtout au niveau des colonnes de Clarke et de la substance gélatineuse de Rolando. e) Méninges et vaisseau
dire absorbé et remplaeé les parties mentionnées du cortex et de la substance blanche, il est compréhensible que les phénomèn
la compression cérébrale aient presque complètement fait défaut. La substance blanche de la partie inféro-externe des coupes
se et il est difficile d'y reconnaître les éléments cellulaires. La substance blanche appa- raît criblée de petites lacunes,
Ils se manifestent par la formation de vacuoles au détriment de la substance blanche. Densité FIG. 1. Calc, calcarine. Cun,
face noueuse, recou- verte de grosses veines ; séparé partout de la substance cérébrale par un épais tégument de tissu conjon
profon- dément (Calc. Po. Ip.). Il ne reste pas de larges champs de substance blanche, contenant entr'autres les fibres court
c ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 143 substance blanche qui a perdu en épaisseur ; Les masses gri
gorgés de sang. A proximité de la tumeur ou dans les endroits où la substance blanche a beaucoup perdu en épaisseur, ils appa
région. Là où l'écorce est le plus altérée, il en est de même de la substance blanche. On y voit, et cela de nouveau jusqu'au
acées de préférence entre les faisceaux blancs et les trabécules de substance grise qui relient N. C. et N. L. On les retrouv
anquent même pas à proximité immédiate de la tumeur, où pourtant la substance blan- che a une zone sclérosée. C'est dans le c
ion lymphatique se faisait mieux. . Mais en avant de cette coupe la substance blanche, malgré tous nos essais, n'a jamais pri
se étroite, elles font défaut à proximité immédiate de la tumeur. Substance blanche (Carmm et Weigert-fai). - vous y constato
s. En certams endroits où probablement il était très difficile à la substance cérébrale de faire place (p. ex. c. de la Pl. XXV
ellules arai- gnées » en grand nombre. En arrière du néoplasme la substance blanche a un aspect tout à fait nor- mal. ' E
s constaté partout les altérations décrites précédem- ment. Dans la substance grise des vacuoles autour des cellules nerveuses;
s ; par contre dilatation ventriculaire générale, raréfaction de la substance blanche par formation de vacuoles dans le tronc e
rose remarquable de l'épendyme, pénétrant même profondément dans la substance blanche. (fig. 11). Partout nous trouvons des
blé : les cellules sont perdues dans de larges espaces blancs. La substance blanche présente un aspect particulièrement dense
4). Nous avons trouvé des altérations beaucoup plus fortes dans la substance blanche que dans l'écorce. Nous tenons cela pour
l'écorce qui est lésée. Le siège de l'atrophie dans le cortex ou la substance blanche ne fournirait-il pas l'explication de c
rnirait-il pas l'explication de ces variétés de démence. 60 Dans la substance blanche les faisceaux d'association paraissent so
et de cel- lules détruites à savoir : la masse ganglionnaire de la substance grise de l'nque- 1 l<'lG. 1. Fio. 2. ?
ALOTTE PÉDONCULAIRE 167 duc et du tubercule quadrijumeau gauche, la substance réticulaire, la partie supérieure et interne du
ont la même dimension, on voit bien les cellules ner- veuses de la substance ganglionnaire des deux côtés. Dans une coupe en
un petit faisceau de fibres pâles et atrophiées. Les cellules de la substance grise du locus coerules à ce niveau sont très rar
es centres coordinateurs supra-nucléaires (tubercules quadrijumeaux, substance grise sous-épendymaire, etc.), tandis que Teill
e propageait en avant dans la calotte pédonculaire et touchait à la substance grise de l'a- queduc de Sylvius. Il y a encor
t que les symptômes oculo-moteurs ne sont pas dus à la lésion de la substance grise ganglionnaire des tubercules quadri- jume
s du pédoncule. Reinhold (2) place les centres vaso-moteurs dans la substance grise sous-épendymaire, tandis que cette locali
vement petits, des vésicules dont les unes contiennent encore de la substance colloïde plus ou moins modifiée comme le prouve
d'un processus d'hyperplasie glandulaire qui a bouleversé toute la substance cor- ticale (fig. 5). La capsule fibreuse, ép
igmenta- tion. En plus des adénomes, on remarque encore dans la substance corticale de petits amas cellulaires à noyaux t
normaux, ont quelques îlots inflammatoires en certains points de la substance corticale sous l'enveloppe fibreuse ; il reste
es muscles étaient très .volumineux, des gouttes de graisse dans la substance contractile,une pro- lifération des noyaux du s
entres professionnels. Erb localise le centre de l'écriture dans la substance grise de la moelle cervicale. Quelle que soit l
rité du professeur Erb, on devrait même trouver des lésions dans la substance grise de la moelle cervicale. Duchenne de Bou-
ramollissement superficiel ayant détruit la presque totalité de la substance grise. Au Nissl. Les cellules grandes pyramidal
ertaines coupes des hémorragies interstitielles qui ont dilacéré la substance grise. Les vais- seaux sont très congestionnés
u de l'émergence des racines antérieures. Pas d'infiltration .de la substance médullaire. Sclérose très dense et bien systémati
ère cranienne est épaisse, lactescente ; elle adhère fortement à la substance grise des circonvolu- tions, surtout des antéri
épaissie. Il n'y a pas d'altération appréciable des cellules de la substance grise. Les préparations par la méthode de Weigert
à la coupe, gras et conges- tionné. Les reins sont scléreux ; la substance corticale en est très atrophiée ; à la partie i
urtout de Weigert, per- mettent de se rendre compte de l'état de la substance blanche. Les cordons antéro-latéraux sont absol
endroits, elle semble former de véritables nodules infectieux. La substance médullaire est également enflammée ; on y trouve
pie-mère est fort épaisse et infiltrée. Dans l'intérieur même de la substance corticale les parois des vaisseaux sont infiltrée
es, des racines et des cordons postérieurs, périvascularite dans la substance grise moyenne et postérieure et légère infiltrati
chronique an- térieure et postérieure, de périvascularite dans les substances blanche et grise, sans systématisation, et d'in
llement adhérente qu'elle entraînait avec elle de larges plaques de substance grise ramollie. Pas d'athérome des artères de la
mérien- nes et de petits ramollissements superficiels détruisant la substance grise. Au Weigert, les libres de la couronne ra
elui des autres plus grosses qu'à l'état normal est frappante. La substance réticulée paraît également présenter une'diminuti
énorme endartérite ; les ra- cines sont infiltrées, de même que les substances blanche et grise où l'on voit des traînées de c
ocessus inflam- matoire à maximum au niveau de la pie-mère et de la substance nerveuse de la moelle dorsale. Enfin, il y a
ur et postérieur sont enflammés (péri-artérite et endartérite). Les substances blanche et grise de la moelle sont également infi
rononcée. Le tissu nerveux se colore mal, seulement au niveau de la substance grise. Il existe de la périartérite des artères
bite et de la périartérite assez accentuées. L'infiltration de la substance nerveuse prédomine dans la substance grise et s
centuées. L'infiltration de la substance nerveuse prédomine dans la substance grise et surtout au niveau des cornes antérieur
servé leur forme; on voit encore leurs grains chromatiques, mais la substance achromatique reste colorée en bleu. Weigert-Pal
les deux) se décortiquaient facile- ment ; pas de diminution de la substance corticale. Les capsules surrénales entourées de
en faire une lésion due à l'inflammation et à l'embolie locale des substances contenues, dans le sang, est complètement tombé
edèmes ; pour le malade d'Hugues (77), la sensation gustative d'une substance douce ou aigre était suffisante ; pour le sujet
ut phé- nomène vasomoteur. Cette expérience amena la découverte des substances lymphagogues. Nous ne voulons pas décrire toute
ous désirons seulement remarquer que cet auteur trouva une série de substances qu'il appela lymphagogues : ces substances inject
teur trouva une série de substances qu'il appela lymphagogues : ces substances injectées dans le sang augmentent la production
e la pression artérielle. Nous désirons seulement remarquer que les substances lymphagogues sans action vasomotrice étudiées p
dilatés : ils seraient dus à une action lymphagogue spécifique des substances dont nous avons vu le rôle étiologique. Nous avon
être provoqués pour une action sur le système nerveux de certaines substances , ou bien par voie réflexe à la suite d'excitati
s de la première catégorie (à laquelle appartient toute la série de substances dont l'absorption joue un rôle étiologique import
leurs l'oedème circonscrit qui amena Heidenhain à la découverte des substances lymphagogues, avait bien été produit certainement
nie qu'ils agissent en excitant une sécrétion. Selon sa théorie ces substances apportent une modification dans la composition
outtière crânienne ou crânio-spinale. Ce contenu n'est jamais de la substance cérébrale : dans la pseudencéphalie, c'est une
ermé dans une poche logée dans la gouttière crânienne représente la substance cérébrale. Il considère, en effet, cette eau co
ffet, cette eau comme une production primitive, car il admet que la substance cérébrale apparaît dès l'abord sous forme d'un
tervenir une hydrocéphalie foetale, sous l'influence de laquelle la substance cérébro-spinale serait secondairement détruite. E
erveau en un véritable kyste. Dans d'autres circonstances, toute la substance nerveuse est détruite, des faus- ses membranes,
ne, épais de 22 millimètres. Ce pédicule plein est en continuité de substance avec la partie libre sacciforme longue de 6 mil
tant de noter que le pied de la tumeur est continué en avant par la substance Fio. 2. Tumeur pseudencéphalique postérieure.
position de la tumeur ou, d'une façon plus générale, de la perte de substance crâuio-vertébrale, on observe un certain nombre
place. Le fait est fort possible; il se pourrait même que la perte de substance soit très étendue, comme il semble que cela ait
vait peut-être été plus considérable, car l'état d'altération de la substance osseuse indiquait une destructiou secon- daire.
end bien plus d'un étalement des arcs vertébraux que d'une perte de substance secon- daire. On constate, en effet, que le can
On ne constate d'ailleurs aucune disposition insolite, soit dans la substance grise, soit dans la substance blanche : ce segm
ne disposition insolite, soit dans la substance grise, soit dans la substance blanche : ce segment de la moelle est, en somme
jonctif embryonnaire prolifère et finit par constituer^une sorte de substance fondamentale séparant les uns des autres les tr
confondent en un tissu conjonctif qui constitue comme une sorte de substance fondamentale parsemée de vaisseaux. Il n'y a là
e degré de néo-formation vas- culaire devraient coïncider, avec une substance médullaire parfaitement re- connaissable. Même,
- même ; bien avant que la dégénérescence ait envahi et supprimé la substance blanche, les hémorragies intra-médullaires, la
uns des autres : tous, ou presque tous, se trouvent inclus dans une substance conjonctive fon- damentale constituant une mass
port de similitude avec le tissu médullaire. Il est clair que si la substance encéphalique des foetus qui nous occupent en cet
une part, comme de l'autre, ces vaisseaux semblent creusés dans une substance conjonctive très cohérente ; à de très rares ex
es- pondant aux cornes antérieures. Quant à la démarcation entre la substance grise et la substance blanche, elle ne peut êtr
antérieures. Quant à la démarcation entre la substance grise et la substance blanche, elle ne peut être indiquée en aucune faç
présente des parois forts minces, transparentes; il est relié à la substance intra-crunienne par un pédicule très court et trè
, il est continué, dans la région intra-crânienne, par une masse de substance compacte. Ces deux formes présentent les mêmes
rsister encore, dans la partie centrale, une cer- taine quantité de substance cérébrale ; mais elle est peu distincte et sa nat
s le bas. Ainsi, quelle que soit la disposition morphologique de la substance incluse dans le crâne ou le canal rachidien,- n
(2) Les tranches de cerveau ont alors une coloration gris de fer, la substance grise et la substance blanche se distinguant ne
veau ont alors une coloration gris de fer, la substance grise et la substance blanche se distinguant nettement l'une de l'autre
rie de points qui représentent la coupe des fibrilles. Moelle. La substance grise se détache en foncé sur le reste de la coup
y for- ment des plexus, et se portent ensuite plus loin.' Dans la substance grise les fibrilles sont plus fines et plus délié
is avec les cellules nerveuses que des rapports de contiguïté. La substance grise apparaît donc comme formée d'un plexus serr
s ramifié ! MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 403 Cerveau. Dans substance blanche on distingue, les noyaux et les cy- lin
rochés les uns des autres, mais séparés par une quantité notable de substance interstitielle parfaitement hyaline. b) Zone
rapprochées mois séparées, cependant, par de minces colonnettes de substance hyaline qui les limitent nettement et, vers le ba
t;K) ? ët' : os<<e. La couche ostéotçène est constituée par une substance fondamentale fibreuse et par des cellules spéci
diaphyse, les fibres s'imprègnent de sels calcaires-commeplus haut la substance fonda- mentale séparant les colonnes de cellule
sont disposées sans ordre et comme jetées au ha- sard au sein d'une substance interstitielle trop abondante qui tend elle-même
yses les plus altérées (Voy. c. PI. IX, fig. 14). A ce niveau, la substance interstitielle s'imprègne de sels calcaires qui c
t, sont nettement limités par une sorte de coque constituée par une substance interstitielle fibrillaire semée de minces cell
ité est encore exagérée, dans un sens par les placards calcifiés de substance interstitielle qui, pauvres en éléments encapsulé
olonnes cellulaires, régulièrement disposées, sont séparées par une substance interstitielle hyaline plus ' abondante que nor
rieure enferme encore de grosses cellules cartilagineuses. En b) la substance interstitielle se calcifié. Au-dessous se dessine
ut à ce niveau, mais la zone de rivulation est très irrégulière et sa substance fondamentale complètement calcifiée. Fio. 15.
s la profondeur, donnent naissance à l'os compact par apposition de substance os- seuse et inclusion successive, entre les la
les cellules sont parfois un peu plus espacées et séparées par une substance interstitielle dont l'homogénéité n'est pas par-
èrement, restent petites comme si il y avait défaut d'apposition de substance osseuse par les cellules médullaires (Stilling)
de l'entrée de la tête du péroné, sur le fémur il y a un cercle de substance osseuse néoformée, qui fait saillie sur la surf
ce même niveau moins nom- breuses que dans les autres parties de la substance grise du pont ; en tout 588 CATOLA cas elles
es sont bien moins colorables. Les noyaux réticulé et inférieur, la substance grise centrale, les stries acoustiques, la pyrami
- sent complètement normaux, sauf une petite zone très pâle dans la substance blanche des hémisphères cérébelleux. Le corps r
peu coloré par la laque hématoxylinique et qu'il se confond avec la substance réticulée grise et le corps juxtarestiforme. Le
t le feutrage sous-purkinjien sont assez denses et uniformes. De la substance blanche du cervelet nous en avons déjà parlé ;
les glan- dulaires, diminuées de volume, renferment cependant de la substance colloïde. L'étude histologique de l'hypophyse n
is creusé de cavités irrégulières. Les travées, qui représentent la substance fondamentale, ont fortement fixé l'hématoxyline.
groupes de cellules cartilagineuses qu'entoure une mince couche de substance hyaline. Toute la surface du massif exostosique
ndante d'une affection non pas encore localisée du système nerveux ( substance grise de moelle) (1). Tordeus aussi, croit que
propriant des sels calcaires ; ils se transforment en partie en une substance fondamentale homogène, en par- tie en cellules
r laquelle dans les états d'irritation chronique, il se forme de la substance osseuse dans les tissus connectifs, qui d'ordin
cendante un peu d'athé- rome. Reins fortement hyperémiés ; les deux substances se distinguent mal, mais'la zone corticale n'es
calcarine par exemple il ya quelques points infil- trés (fig. 4). Substance blanche. Dans tout le pourtour des ventricules le
it un mince filet gris cerclant un zone légèrement teintée en gris. Substance grise. La substance grise corticale nous est appa
is cerclant un zone légèrement teintée en gris. Substance grise. La substance grise corticale nous est apparue normale. Cepen
a été impossible de re- chercher par exemple des altérations de la substance chromatique. Par contre dans la protubérance il
ule blanche d'infiltration, grand mononucléaire ou lymphocyte. La substance blanche elle aussi est semée de vacuoles et en ce
énales ne diffère nullement de la normale : on y distingue les deux substances , corticale et médullaire, dont l'état de différen
considéré ; la réduction porte simplement sur la quantité des deux substances ; elle est proportionnelle pour chacune d'elle. S
, qu'elle est un agent, tandis qu'elle est simplement un état de la substance vivante dé- terminée par diverses conditions ex
u de petites dimensions, et l'on peut se demander si cette perte de substance ne résulte pas d'une erreur de technique. Le poin
e l'épendyme, l'ouverture du canal épendymaire, l'hétérotopie de la substance grise. On ne peut évidemment nier que la moelle
rdent pas à supprimer le cerveau, origine de toute une partie de la substance blanche de la moelle. Sous l'in- fluence de cet
02. (2) J'ai pu observer, chez l'adulte, un cas d'hétérotopie de la substance prise qui n'avait entraîné avec elle aucune con
e suivie de méningite, on de méningite provoquant l'exclusion de la substance cérébrale hors du crâne, la méningite n'eu rest
ouvert ; mais l'ouverture est un phénomène primitif, par défaut de substance ; il est la con- séquence d'une anomalie de la
ppliquant d'ailleurs exactement à un rachis non fermé par défaut de substance , il conviendrait de désigner la disposition spéci
37 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
tissu ner- veux sous-épendymaire est infiltré dans ces endroits. La substance cérébrale et bulbaire prend aussi part à l'infl
olutions, mais on ne constate pas des foyers inflammatoires dans la substance cérébel- leuse même. Nous n'avons trouvé null
des méninges de la convexité se transmet aussi plus ou moins il la substance cérébrale. Ce fait a été vérifié par l'autopsie
ère donnant lieu à des symptômes en foyer. La participation de la substance cérébrale semble être moins intense et moins fr
lésions se cantonnent seulement à ces régions. Mais dans ces cas la substance épendymaire est toujours plus ou moins atteinte,
mbre des cellules de Purkinje fit nn certain degré d'atrophie de la substance blanche. Anatomiquement donc, comme cliniquemen
parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la substance gélatineuse fait un ressaut en dedans; en arriè
dans; en arrière par la périphérie de la moelle; en de- hors par la substance gélatineuse et le point de pénétration des racine
t des vomissements commencèrent. A ce moment, on constata que de la substance cérébrale sortait de la plaie. Moins d'une heure
aux bords déchiquetés et au fond de laquelle des esquil- les, de la substance cérébrale et des cheveux forment un magma. Dans l
t un magma. Dans le pan- sement provisoire une certaine quantité de substance cérébrale. Après l'admi- nistration de cordiaux
e changement de pansement, on trouva * une assez grande quantité de substance cérébrale tant dans le pansement qu'autour de l
ant dans le pansement qu'autour de la plaie ; la quantité totale de substance cérébrale perdue pourra approximativement être
puis lors. Durant la seconde semaine de la maladie, l'écoulement de substance céré- brale et de liquide céphalo-rachidien ces
atement, en un certain nombre de fragments lesquels forment avec la substance cérébrale et la dure-mère un magma enchevèti é
eu de la lésion, qui est en même temps l'endroit où l'écoulement de substance cérébrale se manifesta sur- 108 JOHANSSON ET Fn
à un trajet de 8 centimètres et nous donne un parcours à travers la substance cérébrale de 7 centimètres au maximum, le point
xième circonvo- lui ion occipitale ; en outre, par répercussion, la substance médullaire a dû être détruite jusqu'aux abords
es de la lésion crânienne, non seulement de grandes par- ties de la substance cérébrale ont été détruites, mais les parties cor
à classer parmi les exceptions rares lorsqu'il s'agit de pertes de substance cérébrale réelles. L'expérience clinique tend pro
ui est entre la superficie intérieure du cerveau et le milieu de sa substance , ils en pourront voir aussi à l'oeil assez d'indi
ans le cerveau ? Une partie servira à le nourrir, à « entretenir sa substance » (2) ; mais la plus grande partie en est employé
autour d'une certaine petite glande, située environ le milieu de la substance de ce cer- veau, tout à l'entrée de ses concavi
ès la mort, comme le courant des esprits animaux s'est arrêté, « la substance du cerveau étant molle et pliante » les pores s
e idée » ils pénètrent dans les luyaux nerveux qui consti- tuent la substance cérébrale et plus loin les nerfs.Ils ont la force
éale n'est reliée à aucun canal, qu'elle n'est pas libre, et que la substance qui la forme est continue avec la substance cér
st pas libre, et que la substance qui la forme est continue avec la substance cérébrale (5). . Nous n'entreprendrons pas de
s colloï- dal représenté par la cellule. En effet, la plupart des substances qui existent dans une cellule se trou- vent à l
es expériences restées célèbres, a montré qu'en opposition avec des substances cristalloïdes qui diffusent facilement et trave
versent les pores des membranes organiques, il y en a d'autres, les substances colloïdes, qui diffusent avec une extrême lente
s de transporter l'électricité et pré- sentent une dissociation des substances dissoutes en ions positifs et ions négatifs, ta
ctro-positifs et les colloïdes électro-négatifs. Presque toutes les substances entrant dans la constitution des corps vivants se
ux-ci un squelette alvéolaire dans les cavités duquel se trouve une substance liquide ; en d'autres mots, les gels sont constit
d'une dizaine de jours l'éltive à 54° C. On mélange intimement ces substances , et on obtient une bouillie bien homogène. Puis o
ient être considérées comme des granulations protéiques chargées de substances colorées. Les granulations colloïdales dont nou
es, ou les cellules fraîches des animaux nouveau-nés, par certaines substances colorantes. C'est ainsi que si on ajoute une go
on spécial au système ner- veux et il a pu réaliser, en traitant la substance cérébrale fraîche par le nitrate d'argent et la
s ou des particules ultramicroscopiques réunies entre elles par une substance incolorable et associées en colonies linéaires, s
nuleuse. En ce qui concerne l'état physique du hyaloplasma ou de la substance intergranulaire,il doit avoir une consistance m
une quantité assez considérable d'électrolytes qui maintiennent les substances protéiques en solution. La dilution réalisée pa
ement les résultats de nos expériences sur l'action des différentes substances en solutions isotoniques mises en contact avec
produites par l'urée et l'antipyrine, nous dirons seulement que ces substances pro- duisent tout d'abord une dissolution très
ut (fig. 18, Pl. XXVIII). On peut ralentir et diminuer l'action des substances dissolvantes si au lieu d'employer des solution
ions hypertoniques en utilisant comme véhicule de dissolution de la substance active non pas l'eau distillée, mais le sérum p
(fin. 19, l'I. XXVIII). Il est incontestable que dans l'action des substances alcalines nous de- vons distinguer trois catégo
nguer trois catégories de faits : Tout d'ahord, c'est la classe des substances détruisant l'édifice morphologique de la cellule
s cellules à cause de la rapidité de la cytolyse réalisée par cette substance . En ce qui concerne l'hydrate de soude (fig. 20)
dissolution et de la cytolyse totale de la cellule, l'action de la substance nocive se borne plus particulièrement à la périph
lvent en une masse diffluente granuleuse. Enfin pour finir avec les substances alcalines je dirai quelques mots de l'action du
lycérine 15 minutes, on dis- socie les cellules dans celle dernière substance , on constate en général que les cellules sont r
oroïdes attenant DU 'le ventricule, les vaisseaux, les noyaux de la substance glise, ni dans les faisceaux de la substance bl
eaux, les noyaux de la substance glise, ni dans les faisceaux de la substance blanche du bulbe. L'examen de la moelle a porté
s, vaisseaux, tissu con- jonctif), ni lésions parenchymateuses ; la substance blanche est indemne de tonte dégénérescence, le
rement myélini- sées. Il en est de même du réseau fibrillaire de la substance grise. Les cornes antérieures ne sont pas défor
es gaines de Schwann. En employant, pour l'étude de ces coupes, des substances (carmin, fuchsine acide) qui colorent les cylin-
urs de la moelle sont sclérosés (fibres nerveuses incluses dans une substance granuleuse à noyaux multiples), les cordons anl
granuleuse à noyaux multiples), les cordons anléro-latératix et la substance grise sont intacts. Les racines rachidiennes an
de contractions fibrillaires. Examen histologique : Dans la moelle, substance blan- (t) Zur Genre der spitalen-neuritischea b
raux; raré- faction des éléments cellulaires et des fibrilles de la substance grise avec sclérose névroglique ; prolifération
e ; prolifération en îlots de l'épendyme, parfois état criblé de la substance grise. Dans les ganglions spinaux, atrophie cellu
de poliomyélite dans les cornes antérieures sacrées ; hétérotopie de substance grise dans les cordons postérieurs à la région
dans lesquels non seulement l'axe gris de la moelle, mais aussi la substance blanche participaient à la dégénérescence. De mêm
s nerveux pé- riphériques et avec moins de gravité l'axe gris et la substance blanche de la moelle (2). Ainsi se fait, par l'
néoplasme (PI. XLI, fig. 4). Sur les coupes passant à ce niveau, la substance grise paraît intacte, les faisceaux des cordons a
t nettement sur la fig. 6 : elle est aplatie d'arrière en avant, la substance grise est tassée, son diamètre transversal cons
la corne postérieure et en par- ticulier la masse volumineuse de la substance gélatineuse de Rolando (gR.). A mesure que se f
A mesure que se forme ainsi la partie postérieure de la moelle, la substance grise de la corne antérieure droite, jusque-là
a moelle a disparu, les lésions de, myélomalacie ayant désagrégé la substance grise des cornes antérieures (fig. 13) et même
rieures (fig. 13) et même un peu de la corne postérieure gauche. La substance blanche est moins touchée, les cordons postérieur
rieur de ces racines. F) Au-dessus de ce point, les lésions de la substance grise s'atténuent pro- gressivement et cessent
segment lombaire et du 1er segment sacré, elles n'atteignent que la substance grise des cornes antérieures. Elles se localise
nu sur la face antérieure de la tumeur (fig. 2, v.). Dans toute la substance médullaire soumise à la compression et non détrui
ieures ou des postérieures ; les premières, venant de régions où la substance grise est détruite, sont complètement dégéné- r
c. a., reconstitution du cordon postérieur gauche c. o. p. et de la substance gelalineuse de Rolando g. Il. Ces racines antér
332 MINGAZZINl différencierait en cellules amiboïdes englobant la substance striée, Blocq et Marinesco (1) ont soutenu une
inflammatoire, ni de très importante prolifération névroglique. La substance blanche avoisinante est très sen- siblement nor
forment le réseau pie-mérien, et qui, de là, s'enfon- cent dans la substance blanche pour venir au niveau de la substance gris
s'enfon- cent dans la substance blanche pour venir au niveau de la substance grise s'anastomoser avec les artérioles provena
n'a pas été suivi de l'accolement parfait des bords de la perte de substance ainsi créée. Cette minuscule cavité n'a pas de pa
ES PETITS MUSCLES 359 triciel lâche et c'est cet effondrement de la substance grise qui, associé à la sclérose péri-vasculair
e volume et comme étriquée par rapport à celle du côté opposé. La substance gélatineuse de Rolando fait particulièrement défa
leurs n'expli- querait pas davantage la localisation exclusive à la substance grise. L'étude de la circulation médullaire fou
-être faut-il faire intervenir en outre la fragilité spéciale de la substance grise, mise en évidence expérimentalement par l
ure temporaire détermine un ramollissement limité de l'axe gris, la substance blanche demeurant saine). Il resterait à expl
ion dorsale. En Du on aperçoit déjà la partie la plus interne de la substance gélati- neuse et de la substance spongieuse à d
jà la partie la plus interne de la substance gélati- neuse et de la substance spongieuse à droite; au niveau de Dv les deux S
uteur. En Dyi la commissure antérieure fait défaut et aucun pont de substance nerveuse ou gliomateuse, n'est jeté entre les d
ie des diverticules latéraux ou postéro-latér3ux, qui segmentent la substance grise, les cornes postérieures ou les cordons lat
es-unes par coupe. Ils font défaut dans les parties saines, dans la substance grise, dans la dure-mère. Voici quelques exem
argeur permettait l'introduction du doigt dans la Lotie osseuse. La substance céré- brale venait faire hernie à travers cette
nière, se ramifie, provoque des lésions plus ou moin étendues de la substance blanche, occa- sionne une solution de continuit
upérieur du : leur segment-cervical la circonférence de la moelle, sa substance grise repren· Fig. 4. CARIE DES VEIUÈBRES 39U
eurs est un peu transparent (à part quelques endroits avoisinant la substance grise). Dans les racines postérieures des deux cô
taine raréfaction dans les voies'latérales, dans le voisinage de la substance grise, surtout à droite, ainsi que dans ces voi
ceaux posté- rieurs. Aussi bien dans les racines lésées que dans la substance médullaire, il y a augmentation des tissus névr
bstance médullaire, il y a augmentation des tissus névrogliques. La substance grise des cornes a une teinte très pâle et le r
davantage dans la région correspondant aux racines postérieures. La substance grise se trouve parsemée des deux côtés d'une p
sibilité d'une action exercée sur le processus pathologique par des substances toxiques produites par la décomposition des mas
'il s'agit plutôt d'une influence prépon- dérante de l'oedème de la substance nerveuse et des troubles circulatoires. Il y a
avait pas non plus de foyers de ramollissement ou d'hémorragie ; la substance grise était relativement indemne. Les méninges
elle droite (à gauche sur le dessin), la diminution du volume de la substance grise, portant à la fois sur les cornes anté- r
rieure de l'hémi-moelle droite, correspondant il l'effondrement de la substance grise. Dans l'ensemble l'hemi-moelle droite est
grise. Dans l'ensemble l'hemi-moelle droite est très atrophiée. La substance blanche est sensiblement indemne sauf en un poi
aieur modéree el diffuse des cordons postérieurs. Du côté gauche la substance grise est un peu diminuée de volume par rapport à
erne, petite cavité triangulaire sans gliomatose. Du côté gauche la substance grise a repris un aspect sensiblement normal. N
Noter toujours du côlé droit le sillon de la face antérieure. Dans la substance blanche, il reste dans le cordon antérieur quel
vaisseaux moins abondants et moins volumineux que du côté droit, la substance blanche paraît intacte. La destruction de la co
Vaisseaux moins abondants et moins volumineux que du côté droit. La substance blanche parait intacte sauf l'existence d'une d
ué de la face antérieure. Du côté droit (côté gauche du dessin), la substance grise est peut-être un peu diminuée de volume. La
ssin), la substance grise est peut-être un peu diminuée de volume. La substance blanche présente une sclérose modérée, mais net
orsal. Les cornes postérieures sont grêles et mal vascularisées. La substance blanche est indemne. Pas de lésions des cordons p
environnant uniformément blanchâtre et mou. On ne distingue plus ni substance médullaire, ni substance corticale. Rein gauche
blanchâtre et mou. On ne distingue plus ni substance médullaire, ni substance corticale. Rein gauche : la tranche de néphroto
surface on observe de petits nodules jaune orange appartenant à la substance corticale. La substance corticale et médullaire
petits nodules jaune orange appartenant à la substance corticale. La substance corticale et médullaire sur les coupes semble n
cu- les dont le contenu est hématoxylinophile ou des blocs de cette substance dans la masse de colloïde éosinophile.Dans un g
lé- rose. Nous n'avons pas trouvé de canaux lymphatiques remplis de substance colloïde. Les paralhijroides contiennent beau
paralhijroides contiennent beaucoup de vésicules adipeuses. Dans la substance parathyroïdienne elle-même, on trouve des cellule
mais volumineuses granulations colorables par le même colorant. La substance colloide dans les alvéoles est peu abondante, e
eins. Le corps thyroïde présentait des follicules dilatés riches en substance colloïde et dont un certain nombre présentaient
re pratiqué. En tout cas on nota macroscopi- quement l'abondance de substances lipoïdes. Les reins outre l'aspect vaso-paralyt
us ou moins évidentes des sécrétions internes et du métabolisme des substances de l'organisme. La thèse de l'un de nous dont c
38 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ôt sur les enveloppes : boite crânienne et méninger ; tantôt sur la substance cérébrale elle-même ; tantôt enfin sur ses vais
euse,des lésions inflammatoires banales et de la sclérose ; dans la substance cérébrale encore des gommes, de l'infiltration
des artères agit presque uniquement en ischémiant ou ané- miant la substance cérébrale, c'est-à-dire en supprimant fonctionn
2° Artérites oblitérantes. Leur mode d'action est l'is- chémie ; la substance cérébrale reçoit moins de sang que normalement;
ar la formation d'un thrombus, et a produit un ramollissement de la substance cérébrale. Ou bien les parois infiltrées de l'a
onner des ramollis- sements très limités dans tous les points de la substance cérébrale. Le diagnostic de la cause se basera
spécial ,de la surface des coupes, et un état un peu poisseux de la substance cérébrale. Mais l'autopsie a été faite quarante
pect des gros reins blancs : volume doublé, aspect blanchâtre de la substance corticale par- semée de stries rouges. Dans c
- pectant la septième, n'ayant contracté aucune adhérence avec la substance cérébrale, ne paraissant pas exercer de compres-
e supérieure. 4° La destruction du terri- toire postéromédian de la substance gélatineuse à la même hauteur pourrait bien ent
pendant la période de dépression. L'azote de ces corps provient de substances qui contiennent de la nucléine; elles sont élim
issant, comme le veut Unverricht, un second entrecroisement dans la substance grise de la moelle dorsale et unissant les cent
vresse a duré assez longtemps, on a vu : 1° les fines mailles de la substance colorable remplacées par des granulations assez
is irrégulièrement disposées; 2° un ton légèrement bleuâtre dans la substance non colorié; 3° les lésions occupent soit toute
is déments séniles et d'un paralysé général. Ce déplacement , de la substance grise était REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
antérieure, qui est composée de trois parties distinctes : 1° une substance fondamentale achromatique contenant : 2° les élém
philes, constitués par des granulations réunies entre elles par une substance amorphe ; 3° une substance d'aspect fibrillaire
granulations réunies entre elles par une substance amorphe ; 3° une substance d'aspect fibrillaire ou strié dans les prolonge
nce. Au cours de ces deux phases se produit la désintégration de la substance chromatique qui commence au voisinage du cylind
rtout la gravite des lésions primitives, c'est l'altéra- tion de la substance achromatique, soit du protoplasma, soit du noya
lation et proba- blement une transformation chimique qui fait de la substance achromatique une masse incolore, d'aspect vitre
e aussi dans les lésions primitives, une colorabilité intense de la substance achromatique. Toutes les fois que la subs- tanc
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXX. LES longs tractus sensitifs DE la substance grise DE la £ MOELLE ET LEUR DÉGÉNÉRESCENCE EXP
ENTALE; par A. CIAGLINSII. (Neurolog. G'elatrnl6l., XV, 1896.) La substance grise de la moelle contient trois sortes de fibre
les dernières prennent naissance dans les cellules nerveuses de la substance grise et passent à divers endroits dans la subs
erveuses de la substance grise et passent à divers endroits dans la substance blanche. Les racines postérieures après leur en
bstance blanche. Les racines postérieures après leur entrée dans la substance de la moelle, dessinent un Y dont les deux bran
le, conséquemment parallèles au plan transversal, pénètrent dans la substance grise. Là, elles affectent quatre directions. Les
directions. Les unes tendent aux cornes postérieures et enlacent la substance de Rolando. Les autres se rendent aux colonnes
rtout des cellules des colonnes de Clarke, après être sorties de la substance grise par les cordons latéraux et antérieurs de
impossible de retrouver le trajet de ces fibres dégénérées dans la substance grise sur des coupes transverses (méth. de Marc
étroites, noires, qui, des cordons postérieurs, pénè- trent dans la substance grise ; aussi peu en remarque-t-on dans les cor
e ascendante d'un cordon de fibres nerveuses blanches occupant la substance grise entre les terminaisons antérieures du cordo
s le même traumatisme révèle, au-dessous de l'endroit lésé, dans la substance grise une petite cavité exactement localisée, e
cordons postérieurs, à côté de la ligne mé- diane, entrent dans la substance grise juste à la place qui cor- respond à la lo
ie expérimentale, que le cordon de fibres blanches qui passe par la substance grise de la moelle entre les terminaisons anté-
iégeait au niveau du premier segment dorsal et du 8° cervical de la substance grise, centre de l'innervation vaso-motrice des
es collatérales du centre de la corne posté- rieure. Atrophie de la substance gélalineus de Rolando. Atrophie des racines ant
elle ne peut faire partie de celle-ci. Et s'il en est ainsi pour la substance , il doit en être de même didacti- quement. -
llules névro- gliques, en un mot tous les éléments principaux de la substance nerveuse. A l'examen du bout périphérique chez
tre secondaires, propagées soit de la boîte cranienne, soit de la substance cérébrale : dans ce cas la méningite vient simple
lésions primitives des méninges peuvent secon- dairement envahir la substance cérébrale (le cas est fréquent pour la gomme ci
e. Celle-ci est blanche, épaissie, dure, .scléreuse, adhérente à la substance cérébrale. Il n'y a ni gommes, ni infiltrations
ue nacrée, résistante à la coupe, ne se laissant pas détacher de la substance cérébrale à laquelle elle adhère fortement. La dé
fin, qui appa- raît nettement comme un vaisseau s'enfonçant dans la substance cérébrale. Les hémisphères sont séparés; les
es horizontales, puis chacune des tranches en coupes verticales. La substance centrale surtout au niveau de la corticalité of
mémoire et de l'intelligence indiquaient l'intégrité relative de la substance cérébrale Nous donnons ici un tableau symptomat
s suivant les cas. Produits habituellement par la destruction de la substance cérébrale, quelquefois par la compression simpl
s zones où une gomme puisse impunément se développer, détruire la substance cérébrale, sans donner des phénomènes de, déficit
probablement aucun symptôme cérébral ; portant leur action sur une substance Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NE
n'assurant plus que d'une façon irrégu- lière l'apport de sang à la substance cérébrale. Furstner répartit en trois groupes l
s dont le protoplasma fait cependant partie. Ce protoplasma est une substance immortelle échappant à la finalité mortelle du
ps, étrangère à tout ce qu'acquiert le corps ; c'est pourquoi cette substance du germe qui seule a qualité pour hériter et tr
muYrbor.r Werziloff admettent dans ce cas une hémorrha- gie dans la substance grise de la moelle, ayant intéressé les cornes
ns une gaine qui s'enfonce par endroits dans l'intérieur même de la substance médullaire, s'amincit à mesure qu'elle remonte,
omateuse) et 2° la façon dont la tumeur se comporte vis-à-vis de la substance médullaire qu'elle a détruite même dans les end
littérature. La tumeur ayant évolué dans les méninges et dans la substance médullaire même, a provoqué une hypérémie (stase
roscopique. Il en conclut que les lésions portent aussi bien sur la substance grise de la moelle épi- nière que sur la blanch
rtie postérieure du cordon latéral gauche. Dans le second cas, la substance grise de la moelle présentait des foyers hémorr
s microscopiques ; elles siégeaient dans la partie centrale de la substance grise, en arrière des cornes antérieures au voisi
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 411 zones où la substance grise était granuleuse en partie, désorganisée
x cas forment un contraste frappant : l'un offrant une lésion de la substance blanche avec dégénérescence chronique, l'autre
nce blanche avec dégénérescence chronique, l'autre une lésion de la substance grise. Dans les deux cas les cellules nerveuses
Les lésoins se rencontrent dans les éléments de l'écorce et de la substance grise spéciale. Elles intéressent les prolongemen
les opinions principales qui ont été émises sur la structure de la substance achromatique de la cellule nerveuse. Cette substa
tructure de la substance achromatique de la cellule nerveuse. Cette substance n'est pas amorphe, comme on le croyait naguère
Il distingue dans cette cellule trois éléments essentiels : i° une substance chroma- tique nommée élément chromalophile; 2°
élément achromatique figuré; 3° un élément amorphe achromatique, la substance fonda- mentale. La substance achromatique figur
3° un élément amorphe achromatique, la substance fonda- mentale. La substance achromatique figurée est constituée par un tése
es d'une façon certaine. D'après l'étude de la texture intime de la substance achromatique 111, Marinesco croit pouvoir admet
léments chro- matophiles de petit volume. Dans le troisième type la substance achromatique organisée se présente sous forme d
cylindre-axe avec le spongioplasma, découle cette conclusion que la substance achromatique organisée sert à la conductibilité
rganisée sert à la conductibilité de l'influx nerveux. Quant à la substance chromatique, certains auteurs (Lugero,Cajal, va
s'efforce d'établir que les éléments chromatophiles constituent une substance fonctionnelle jouissant de propriétés chimiques
teur oculaire externe, du facial, de l'hypoglosse, du spinal, de la substance grise antérieure cervicale, ainsi que dans les
arinesco, chro- matolyse périnucléaire, diffuse ou périphérique. La substance achromatique présente dans certaines cellules u
en jaunâtre ; mais nulle part on ne voit de désintégration de cette substance , ni de rupture des prolonge- ments. Pas d'infla
ongés- 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion des vaisseaux de la substance blanche et de la substance grise médullaire, su
LOGIE NERVEUSE. tion des vaisseaux de la substance blanche et de la substance grise médullaire, surtout dans les cornes antér
ait des cellules rondes lymphatiques. Pas de dégénéres- cence de la substance blanche, Cellules de la corne postérieure intac
ieure de la corne frontale est fort altérée par l'arrachement de la substance grise adhérente à la pie-mère. F' et FI sont pa
aspect néoplasique; d'autres, au contraire, paraissent contenir une substance caséeuse. Les ganglions péribronchiques sont au
ogique et l'expéiimentalion démontrent la nature tuberculeuse de la substance caséeuse des ganglions et des capsules surrénal
sky absorbé par cette enfant, l'estomac étant à jeun, ait excité la substance grise corticale au point de produire cet état c
veux entre eux; au contraire. 1 » A l'hypothèse de la continuité de substance des réseaux protoplasmique ou cylin- d/axile, l
apparaître à une période où il n'existait pas de vaisseaux dans la substance nerveuse, et, après l'apparition de ceux-ci, il
ive là où se trouvent de grands amas de cellules nerveuses, dans la substance grise de l'écorce, que parcourt un si riche rés
ces cellules dont il énumère plusieurs types, deux éléments : la substance fondamentale, faiblement colorable, et, dans cell
ssék se rattache à l'opinion des auteurs qui ne croient pas que ces substances participent aux fonctions proprement ner- veuse
existent déjà chez les embryons. Relativement à la structure de la substance fondamentale des cel- lules des ganglions spina
nvaincre de l'existence des fibrilles que Flemming y a décrites. La substance fondamentale aurait une structure alvéolaire. E
les sortent et qui se terminent par de libres arborisations dans la substance grise. Ce sont des appareils d'émission des sti
arborisation ultime : il agit encore sur toutes les provinces de la substance grise mé- dullaire devant lesquelles il passe,
. V. Lenhossék écrit : Si les dendrites sont constitués par la même substance que le corps cellulaire de la cellule noveuse,
erveuse et de l'activité automatique ou de la fonction nerveuse; la substance du prolongement nerveux axile n'est qu'un organe
ce qu'il est difficile de dire. On est ainsi amené à penser que la substance du protoplasma cellulaire, y compris celle des
et cadavériques concomitantes. Formation de l'état criblé dans les substances nerveuses du cer- veau, du cervelet et du bulbe
n, de consistance très dure, avec épaississement des méninges. La substance grise est complètement atrophiée, la substance bl
ent des méninges. La substance grise est complètement atrophiée, la substance blanche est mieux conservée. Cette atrophie ne
ons blancs, particulièrement sur les cordons postérieurs, et sur la substance grise, spécialement sur les cellules des cornes
es cornes antérieures. Ces lésions paraissent détermi- nées par les substances toxiques qui circulent dans le sang de certains
, semble indiquer que les fibres courtes siègent surtout près de la substance grise et les fibres longues à la périphérie de
mun, que les fibres qui les composent proviennent de cellules de la substance grise et sont des fibres d'un court trajet. (Re
e principalement en direction caudale. Les cellules nerveuses de la substance grise qui avoisinent le bord interne de cette r
mie intense de l'écorce cérébrale, qui se détache facilement de la substance blanche sous-jacente, avec hémorragies ponctiform
s petits îlots disséminés d'encéphalite qui s'étend légèrement à la substance blanche sous- jacente. L'examen microscopique m
e de la pie-mère et de l'écorce ; hémorrhagies ponctiformes dans la substance cen- trale du quatrième ventricule. Les auteu
tamment une variété d'encéphalite, localisée principalement dans la substance de l'écorce cérébrale. Il est tou- tefois impos
anulations chromatophiles faisaient entièrement défaut, bien que la substance chromatophile se trouvât tout de même dans les
et latérales montrent une dégénération intense; les vaisseaux de la substance grise sont hypérémiés et infiltrés. Dans la rég
erveux (hydro et électrothérapie). Il y aurait lieu de chercher.une substance paralysant spécialement le sympathique; 2° en s
ement considérer que la néoplasie est née de la moitié gauche de la substance grise au niveau de la septième racine cervicale
s noyaux sont très abondants et très pressés; ils plongent dans une substance granuleuse, dans laquelle, après les manipulation
noyaux sont identiques, leur léaction aux colo- rants semblable, la substance granuleuse dans laquelle ils sont plongés ne di
- rants les réactions du tissu conjonctif, mais bien celles de la substance granuleuse dans laquelle partout ailleurs sont pl
du segment antérieur du noyau principal, s'éloigne peu à peu de la substance grise centrale et pénètre dans un noyau qui app
e tétanique (tuméfaction de la cel- lule ; coloration diffuse de la substance achromatique; raréfaction et modifications morp
ifié au bout de cinq jours, de la chromatolyse, un'état foncé de la substance achroma- tique, un noyau à contour vague et d'u
me avec la production des lésious qui exaltent l'excitabilité de la substance nerveuse. La phase silencieuse de l'intoxication
trijumeau à la hase, à l'endroit où le nerf vient d'entrer dans la substance cérébrale, on constate : a) La dégénérescence d
des racines spinales (Obersteiner), dont le noyau originel forme la substance gélatineuse de Rolando; les fibres dégénérées d
se de Rolando; les fibres dégénérées de ces racines entrent dans la substance gélatineuse, la suivent en plein jusqu'à la hau
dégénérescence des fibres qui du trijumeau vont au cervelet ou à la substance ferrugineuse de l'un ou l'autre côté. 2° La lésio
re cervieale, les fibres dégénérés pénètrent successivement dans la substance géla- tineuse comme lorsqu'on a lésé le tronc d
r de connexions du cervelet avec le trijumeau. 5° Les lésions de la substance cérébrale dans la région de la substance ferrug
au. 5° Les lésions de la substance cérébrale dans la région de la substance ferrugineuse ne révèle pas les fibres qui, d'aprè
eures, du faisceau radiculaire des cordons laté- raux, gagnerait la substance réticulaire et, côtoyant le noyau des pyramides
étérotopie de la - , parNagy, 56. Longs tractus sensi- tifs de la substance grise de la - , par Ciaglinski, 66. Lésions d
39 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ile, puisque, .par ce, moyen, je,puis, débarrasser..mon estomac des substances quije fati- gueraient, et par l'élaboration, no
râl'ë'dtlllï81dcülfériculvrdeJla cloisontrausparente, le long de la substance perforée antérieuredont il ÇPN 19.YI'lm 1$bord
aris : ¡¡e >;s,e u clqlfillr,çlles,,qui;ëxisLer,dans"toutc cette substance ? Ce'rescau lui-même est constitué : ,16'1 '¡jr
'iencës fort bien conçues, à nier complètement 1 excitabilité de la substance grise. 1".Áprès'avÓir'eit'{]es régions dttesmot
11/'1.' .'1 .¡ ? 1. ,.j abondante des noyaux du sarcolemne et de la substance contractile, cllé-mêmë; lép·ôQplâsniacjitrlés e
lution de l'hippocampe du côté droit, avec nom- breuses pertes' de - substance , dune diminution de^yolume con- sidérable des c
rtes de¡granulations graisseuses et ùel cel- lules granuleuses ; la substance blanche est sillonnée detractus de tissu conjon
du pédoÍ1cllle;' 'c'ést-à. : di;e le 'chaIl1p' 'des fibres motrices' ( substance i : éliculfe) 1 et le domaine 'du' ruban' 1 de'
nce graisseuse des vaisseaux moyens de 1 écorce ainsi que, de la a' substance homologue de la corne d'Anrmon. Les expériences e
auJ.um.i ? '«y i.o. ,...J d'une poliomyélite antérieure ^ aiguë, la substance blanche - ayant,, participé aux lésions, notamm
que les aliments sont empoisonnés. Si on lui a suggéré l'idée d'une substance nauséeuse, la sensation pourra être assez inten
sible de suggérer l'idée d'une altération de struc- ture detoute la substance ; l'hypnotique, par exemple, vase réveiller tout
de ses conclusions. Cette motion, dont les termes contien- nent la substance même des alinéas précédents, sera envoyée aux g
àutorité les" pharmaciens qui délivrent avec autant de facilité des substances toxiques. M. Berger, ayant obtenu'de bons résul
aux auteurs et douze qui lui sont personnelles, dans lesquelles la substance des hémisphères cérébraux se présente BIBLIOGRA
diaire des.circonvolutions vers le bord ou le centre de la perte de substance ; on voit alors les circonvo- lutions, revêtues
elles sont suivies de dégénérescence descendante; 8° les défauts de substance congénitaux et acquis (précoces) peu- vent égal
esurant huit milli- mètres d'épaisseur est irrégulier, dentelé ; sa substance s'émiette et se détache par petits fragments. C
és remplies de protoplasma et de gouttelettes de volume variable de substance graisseuse colorée en brun-foncé par l'osmium.
e, molle, se fragmentant facilement et ren- fermant au milieu d'une substance gélatiniforme de petits amas caséeux dont quelq
le renflement lombaire, 4es cornes grises sont peu distinctes de la substance blanche, et il est évident, à l'oeil nu, qu'à c
cal- leux. En enlevant la pie-mère du côté droit, on endommage la substance cérébrale. Les circonvolutions sont tassées et pâ
de la coupe pédiculo-frontale, on trouve un épaississement de la substance grise qui se trouve au voisinage des centres mo-
e pas. On remarque un contrastes ¡ 220 RECUEIL DE FAITS. entre la substance grise des circonvolutions du côté droit et du c
des mensura- tions exactes de la partie épaissie de la couche de la substance grise qui tapisse le sillon entre les deux circ
ous avons pu constater les résultats suivants : L'épaisseur de la substance grise du fond du sillon entre les deux circonvo
font saillie de trois millimètres environ au-dessus du niveau de la substance blanche sous- jacente. Au contraire, sur l'hémi
contraire, sur l'hémisphère gauche, la surface de la coupe des deux substances (grise et blanche) ne présente pas de différenc
du reste, la différence existant entre l'épaisseur relative de la substance grise. La coupe de l'hémisphère lésé (droit) est
ace frontale à l'endroit le plus saillant de l'épaississement de la substance grise. (Fig. 1 et 2.) En re- montant vers la pé
de différence notable, quant à la largeur relative de la couche de substance grise. (Fig. 1 et 2.) Dans la direction frontal
la direction occipitale, la différence de lar- geur de la couche de substance grise, dans des endroits iden- tiques des deux
es deux hémisphères, est moins prononcée. La largeur relative de la substance grise, en d'autres points, ne présente pas de d
ibles à l'oeil nu; toutefois, le piqueté rouge de la coupe des deux substances (grise et blanche) est plus pro- noncé à droite
la lésion présente à l'examen macroscopique un épaississement de la substance grise, sans altération de consistance. Cet épai
que nous avons décrite, avec un petit foyer de ramollissement de la substance blanche sous-jacente de deux millimètres enviro
mensurations micro- métriques ont été faites avec 2/7 Verick. La substance grise de la partie lésée, examinée à l'état frais
hyl vert, l'acide osmique coloraient parfaitement les travées de la substance du proto- plasma non lésée encore, en laissant
e, dans l'intérieur duquel s'entrecroisent les minces travées de la substance non encore lésée (ce qui in- dique déjà un degr
é dans l'acide acétique avec insolubilité dans l'alcool). Dans la substance blanche, petit foyer de ramollissement offrant le
, ne nous ont présenté que des altérations analogues à celles de la substance blanche du foyer de ramol- lissement, sans épai
226 RECUEIL DE FAITS. tout le territoire de l'altération (les deux substances comprises, grise et blanche). En examinant ce
, qui les atteint indifféremment dans toutes les cinq couches de la substance grise. Les cellules - tuméfiées sont disposées
la région corticale, les cellules des couches superficielles de la substance grise sont encore faiblement tuméfiées, en pass
ulle dans les couches superficielles de la partie horizontale de la substance grise. La présence des cellules tuméfiées seule
ait surtout très marquée dans toute l'étendue du lobe frontal. La substance blanche des circonvolutions, ainsi que celle de
ts histologiques démontrent donc que, dans une partie limitée de la substance grise de la zone dite motrice de l'hémisphère d
RENCHYMATEUSE. 231 et qui sont limitées sur un certain espace de la substance grise corticale. ' M. le professeur Charcot,
e partielle, se présentent sous forme de foyers de sclérose de la substance grise des circonvolutions. Histologiquement, la n
onvolutions. Histologiquement, la né- vroglie est très épaissie. La substance grise, immédiatement sous la pie-mère, présente
dans l'épilepsie partielle, insiste sur ce point que c'est dans la substance grise du cerveau qu'il faut les chercher. Nos r
e véritable fons et origo mali, ainsi qu'il le dit en parlant de la substance grise en général. 236 RECUEIL DE FAITS. EXP
pe verticale par la partie tuméfiée à la base du sillon, près de la substance blanche. Double coloration à l'hémotoxyline et au
des vaisseaux. (Verick, 3/2.) Fig. 5. Coupe verticale à travers la substance grise du fond du sillon entre la première et de
Jnell1no- nie. - Mort. Autopsie : Adhérences de la pic-mère ci la substance grise. Décortication totale, par foyers, de la
mère ci la substance grise. Décortication totale, par foyers, de la substance grise. - Induration et atrophie de la substance
, par foyers, de la substance grise. - Induration et atrophie de la substance blanche sous-jacente. Différence de 120 grammes
u niveau de la 2, on enlève avec elle la couche superficielle de la substance grise dans la moitié de son étendue. La circonv
rtaines circonvolutions même, en dé- cortiquant, on enlève toute la substance grise et on met il nu le sque- lette de substan
n enlève toute la substance grise et on met il nu le sque- lette de substance blanche, laquelle est indurée et atrophiée. Ce fo
en un certain nombre de points une couche plus ou moins épaisse de substance grise, notamment : 4° sur toute la moitié posté
amment dans la bouche tan- dis que le jus reste dans l'estomac. Les substances médicamen- teuses restent toujours dans l'estom
és n'ont pas un goût désagréable. Il faut en excepter le thé et les substances grasses qui, parfois, reviennent à différentes re
sorte de rumination son manger dans sa bouche, d'où il rejetait les substances grasses qui n'avaient pu convenir à son estomac
rop peu ou trop cuits, les parties tendineuses, aponévrotiques, les substances facilement altérées par le suc gastrique, le la
coriaces; les corps gras, principalement la graisse de mouton ; les substances de mau- vaise qualité. Cette dernière cause ser
essus du plan des circonvolutions ou, par places, s'incorporer à la substance carvi- cale qu'elles amplifient du double. Le m
oir condensé en un petit espace nom- bre de cellules normales de la substance grise. C'est Je lobe frontal, à l'exception de
ns microscopiques qui pro- viennent de l'écorce du cerveau et de la substance blanche contiguë du malade' dont il a'parlé 'da
it en outre rechercher d'où provient la formation exagérée de cette substance et quelle est l'altération du sang qui résulte
le sommeil une lumière est approchée des yeux du dormeur, ou si des substances odorantes sont répan- dues auprès de lui, les c
raux avaient une teinte grisâtre qui les distinguait du reste de la substance blanche. La substance grise, dans la par- tie t
e grisâtre qui les distinguait du reste de la substance blanche. La substance grise, dans la par- tie thoracique, avait une t
utres parties de la moelle-fais- ceaux postérieurs et antérieurs et substance grise - il n'y en avait pas du tout ; mais dans
n-seitenstrang-hahnen de Flechsig) ; le sommet se dirigeait vers la substance grise, mais ne la touchait pas non plus ; le cô
corne postérieure ; sa par- tie interne était un peu distante de la substance grise; le côté antérieur du triangle ne se dess
it ici la périphérie de la moelle, le som- met étant tourné vers la substance grise, dont il était un peu séparé; du reste. d
s les cas de sclérose latérale amyo- trophique. Tout le reste de la substance blanche do la moelle (il sera question plus tar
la substance blanche do la moelle (il sera question plus tard de la substance grise) dans les fais- ceaux antérieurs et posté
dis qu'il n'y en avait ni dans la calotte (teymentzcna), ni dans la substance noire de Soëmmering. Même dans le pied du pédon
- clinant un peu du côté extérieur; sa base étroite touchait à la substance noire de Soëmmering, tandis que sa grande base
s dans différentes parties de chaque coupe de petits morceaux de la substance cérébrale et nous les soumîmes ¡¡l'examen micro
noyau caudé. Les corps granuleux qui ne se trou- vaient que dans la substance blanche, y occupaient une région voisine de la
volution. Nous n'avons pu trouver un seul corps granuleux dans la substance grise des circonvolutions, centrales ou autres; d
lques fibres très amincies; dans quelques-unes de ces dernières, la substance contractile avait un aspect granu- leux ; dans
colemme était rempli d'une grande quantité de noyaux, sans trace de substance contractile. Partout d'ailleurs, même dans les
prononcée et limitée à quelques fibres ner- veuses seulement. La substance grise de la moelle épinière a été très soigneu-
gnifiant relativement à celui des cellules normales. Le reste de la substance grise dans la portion cervicale était complètemen
était de même intacte. Dans les régions thoracique et lombaire, la substance grise de la moelle épinière n'était pas modifié
ues de cette dernière catégorie, c'est-à-dire les altérations de la substance grise de la moelle épinière, des racines antéri
u reste, en harmonie complète avec les manifestations cliniques. La substance grise du bulbe était de même tout à fait indemn
stituent les faisceaux pyramidaux et ne passe que plus tard dans la substance grise ; en effet, nous avons trouvé un procès l
avons trouvé un procès largement distribué et très prononcé dans la substance blanche des centres nerveux et de fort légères
uns atteignent, à peu près à la hauteur moyenne des hémisphères, la substance grise qui constitue le fond et les pa- rois lat
que probable que ces fibres, atteignant dans un certain endroit la substance corticale grise, s'y terminent, nous pouvons en
tronc et, en partie, des extrémités supérieures se trouvent dans la substance grise, qui recouvre la moitié supérieure des cir-
des fibres pyrami- dales des hémisphères rencontrent dès l'abord la substance grise qui constitue le fond et les parois du si
s'y terminent probablement; quelques autres seulement atteignent la substance grise qui recouvre la surface exté- rieure des
tumeurs de volume variable, pédiculées ou non et s'attachant sur la substance corticale ou dans l'intérieur des pyramides. Une
es et par les intestins, qui sont refoulés vers lui, réagit sur les substances qui le distendent, et une- masse alimentaire fo
n an, ce fait, jadis inconnu, se présente quelquefois. Toutes les substances ingérées sont ruminées. Néanmoins il en est que
ble favoriser et prolonger la rumination. Ce sont, d'ordinaire, les substances solides,les viandes, surtout les viandes rôties
ruminés de suite et ne remontent plus après l'ingestion des autres substances qui composent le repas. Parmi les liquides, c'est
une journée. Ce fait ne s'est montré que cette année. Toutes les substances ingérées sont également ruminées; ce- pendant c
, les sollicite à lutter contre les principes sociaux. Telle est la substance de la discussion psychologique de M. tioDoender
DES ARTÈRES DU CERVEAU ET PLUSIEURS FOYERS DE RAMOLLISSEMENT DE LA SUBSTANCE cervicale; par ERLITZKY. (Ibid.). Dans l'étio
complètement oblitérée et un petit foyer de ramollissement dans la substance grise et blanche correspondant à la partie nour
roscopique montre une forte hyperémie de tous les capillaires de la substance grise corticale dont les parois sont épaissies
dépression profonde et les hal- lucinations par 1'llyperéinie de la substance corticale due au foyer de ramollissement; l'aut
nvolution occipitale. Partout la lésion se borne exclusivement à la substance grise; elle n'occupe qu'une profondeur de 2 mil
chez les cardiaques et les rénaux, on ne saurait se passer de cette substance daus les cas de tuberculose chirurgicale. M.
les psychoses, 152. Encéphalite parenchymateuse limi- tée de la substance grise avec épilepsie partielle comme syn- dro
pe verticale par la partie tuméfiée à la base du sillon, près de la substance blanche. Double coloration à l'hémotoxyline et au
des vaisseaux. (Verick, 3/2.) Fig 5 ? Coupe verticale à travers la substance grise du fond du sillon entre la première et de
40 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur des coupes colorées par le picro-carmin, on dis- tingue dans la substance blanche, un certain nombre d'ilots irré- gulier
elle ne parait pas non plus nota- blement distendue par le sang. Substance blanche. - Autour de ces vaisseaux, dont un ou pl
utres renferment des cylindres-axes qui semblent plon- gés dans une substance homogène, d'apparence vitreuse; d'autres enfin,
atoxyJine selon Wei- gert ne diffère en rien de la coloration de la substance blanche normale. Elle présente de vastes maille
mbre sont atteints d'une tuméfaction irré-Lilière, -vari- queuse. Substance grise. - Dans son ensemble, l'aspect de la substa
ari- queuse. Substance grise. - Dans son ensemble, l'aspect de la substance grise est tout différent de l'état normal. Les
mal. Les vaisseaux y présentent les mêmes modifications que dans la substance blanche : ils sont modérément remplis de sang.
(voir fig. 9). Archives t. XX. 4 Fig. 9. - Masses vitreuses delà substance grise. 50 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Un certain n
ndue; à l'oeil nu, on voit que les différents foyers situés dans la substance blanche, persistent encore en des points corres
t leur plus haut degré d'intensité. A l'oeil nu, on remarque que la substance blanche, surtout celle des cordons latéraux et
L'examen microscopique fait constater une hypérémie intense dans la substance grise comme dans la substance blanche; les paro
nstater une hypérémie intense dans la substance grise comme dans la substance blanche; les parois vasculaires sont épaissies
s'est produit des extravasations sanguines. On reconnaît dans la substance blanche, l'existence de foyers morbides, offran
es cordons latéraux, affectant, par conséquent, à peu près toute la substance blanche. Au niveau de ces foyers, il existe un
ement tuméfiés dont quelques-uns ont un aspect granuleux. Dans la substance blanche aussi bien que dans la substance grise,
aspect granuleux. Dans la substance blanche aussi bien que dans la substance grise, il existe des corps amyloïdes assez abon
us avons constaté nous-même. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 53 La substance grise est également altérée : les cellules gan-
loïdes se rencontrent dans les deux subs- tances. Les lésions de la substance blanche sont peu prononcées : -. en certains po
hologique. 83 résulte ce qui suit. En ayant soin de ne léser que la substance grise du gyrus sigmoïde du chien , dont on a pr
respondants sont embryonnaires et que, dans certaines parties de la substance blanche, la myéline manque. Citons : le chien, le
qu'après que les fibres nerveuses de ces zones se sont revêtues de substance , de manchons de myéline. P. KÉRAVAL. VIII. DE l
chimique ; myéline et cylindre-axe se gonflent irrégulièrement, la substance blanche change de couleur, s'émiette, les conto
ion presque anguleuse, à travers le cordon latéral (ou à travers la substance de la corne postérieure), en de- hors (région d
près s'être encore une fois infléchies à. angle droit, à travers la substance blanche de la moelle, et arriver à la périphéri
gitudinal supérieur Le sys- tème dorsal représente les libres de la substance blanche profonde du tubercule quadrijumeau supé
des olives était absolument privé de myéline, en même temps que la substance blanche de la couche intermédiaire des olives c
à part le reste du corps restiforme primitif et secondaire, quatre substances grises avec leurs fibres correspondantes. Une sub
ance à des portions homologues des nerfs crâniens sensitifs - de la substance -élali- 92 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
PATHOLOGIQUE. neuse part la racine ascendante du trijumeau - d'une substance grise particulière part la racine ascendante co
res. Ainsi l'opercule est étroit, étroite aussi est la languette de substance grise qui des deux ascendantes se dirige vers l
s de leur genèse sont : l'irritation interne, dite spontanée, de la substance nerveuse, aux points terminaux des nerfs sensor
- des impressions de conceptions anciennement emmagasinées dans la substance corti- cale l'activité percevante de la connais
de la rétine (action vasculaire, processus nutritifs au sein de la substance nerveuse du nerf optique), modelés, perçus, const
tance nerveuse du nerf optique), modelés, perçus, construits par la substance corticale et la connaissance. P. KERAVAL. XXVII
mes ne manquaient pas pour révéler la propagation de la lésion à la substance grise : l'atrophie mus- culaire progressive et
diquaient une affection ir- ritative dea parties postérieures de la substance grise centrale. H. M. C. III. Folie du doute;
sorte d'arrêt de développement systématique; on constate dans la substance grise une myélite diffuse disséminée, ainsi qu'au
ononcée des libres nerveuses fines qui, parties de la lisière de la substance blanche, vont en se ramifiant à travers la couc
riodes de développement des fibres cérébelleuses. Parallèlement, la substance grise du cerveau antérieur a subi la même déché
s d'une encéphalite franchement aiguë avec atrophie partielle de la substance corticale. L'étiologie révèle : tares héréditai
légèrement sur la pie -mère, l'écorce tout entière se détache de la substance blanche. L'écorce est extrêmement ramollie; ell
on de Baillarger et Rey, ainsi que les altérations de la lisière de substance blanche décrites par Tuczek. Discussion. - M.
anesthésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso moteurs . ( Substance grise latérale postérieure) ; par le professeur .
intégrité complète des nerfs, pas trace de névrite, mais dans la substance blanche de l'hémisphère droit, au niveau du lob
hie de la racine descendante du trijumeau, atrophie partielle de la substance ferrugineuse, alro- phie de la corne antérieure
x. Hyperplasie des cellules-araignées dans toutes les couches de la substance grise. Hyperplasie du tissu con- jonctif. Hyper
. f. Nervenheilk., 1888.) Deux tambours creux fermés, constitués de substances idio-élec- triques tournent l'un dans l'autre e
inconvénients d'engendrer des halluci- nations, on obtient de cette substance des effets utiles dans l'agi- tation violente a
D'ANATOMIE ET DU PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 267 DES hétérotopies DE substance GRISE dans la MOELLE; par P. KRONTEIAL. (Neurol
d'un saturnin chez lequel en outre de ces sortes de déplacements de substance grise au milieu de la substance blanche, on tro
re de ces sortes de déplacements de substance grise au milieu de la substance blanche, on trouva une sorte de seconde moelle
terminé l'atrophie du cervelet dans lequel on trouve des lacunes de substance blanche et un trou cons- titué aux dépens du ve
présente une lacune porencéphalique congé- nitale (intégrité de. la substance nerveuse même) qui comprend, sur la crête média
galement sur l'hémisphère droit. M. Dubuisson pense que la perte de substance est due à un trouble vasculaire ayant déter- mi
région de l'entrecroisement sen- sitif en avant et en dedans de la substance gélatineuse de la corne postérieure. Il forme e
s fibres myéliniques indépendantes des faisceaux ascen- dants de la substance blanche dans les couches interne et moyenne; on
che centripète et d'une branche centrifuge, soudées par une lame de substance 336 ANATOMIE. grise. Cet appareil excitateur
e à la moelle : c'est l'arc direct. En résumé, les renflements de substance grise (cornes à la moelle), les corps opto-stri
à la moelle), les corps opto-striés (cornes inter- médiaires) et la substance grise des circonvolutions au niveau des vertèbr
brale, le nerf optique a été creusé d'une cavité et a contenu de la substance grise ; quant à sa texture, elle est cérébrale
eurs admettent que cette région est constituée par une lamelle de substance grise, dont les limites ne seraient autres que
r, à la bandelette optique; l'in. terne, plus ou moins excavé, à la substance grise qui recouvre les deux autres tiers de l'e
tance grise qui recouvre les deux autres tiers de l'espace. Cette substance grise est en quantité très variable : c'est une
cevoir de nombreuses variétés, qu'il n'est pas besoin de décrire. Substance grise de l'espace perforé. - Cette subs- tance
dans les barrières du qua- drilatère, il est si fréquent de voir la substance grise se continuer en dedans et en haut avec ce
omme une émanation de la formation go- dronnée. 348 ' ANATOMIE. Substance blanche de l'espace perforé.- En arra- chant la
- En arra- chant la pie-mère, on enlève le plus souvent le peu de substance grise qui se trouve être en dehors. Avec le man
sse; en dedans, nous avons vu qu'elle forme un relief comblé par la substance grise; nous verrons qu'une partie de son plan p
réquemment, on la retrouve 3SO ANATOMIE. après l'enlèvement de la substance grise; elle adhère dans ce cas, par sa terminai
elle existe à la superficie. En définitive, quand on a soulevé la substance grise qui revêt l'espace perforé, on constate l
formation pectinée est située au fond d'une cuvette remplie par la substance grise ; il faut enlever celle-ci pour apercevoi
e diagonale et la branche interne de l'arc olfactif. - L.S.G. Lame de substance grise accompagnant le pédoncule du corps calleu
e accompagnant le pédoncule du corps calleux et se continuant avec la substance grise qui recouvre les filets de la formation p
Ces deux circonvolutions ne seraient que les soulè- vements de la substance grise de l'espace perforé, qui au lieu d'être é
t espace se ramasserait sous cette forme. En effet, dans ce cas, la substance grise manque totalement ou est en minime propor
du corps godroné, absolument comme l'expansion plate, rubanée de la substance grise de l'espace perforé dont j'ai parlé plus
N. 353 qu'une variété des nombreuses dispositions que présente la substance grise de l'espace quadrilatère. En définitive,
e radiculaire aux différents étages de l'axé nerveux ; 2° l'amas de substance grise, qui constitue la racine grise des^nerfs
cette continuité insignifiante et en quelque sorte banale, que la substance grise extérieure établit entre toutes les parties
e plus ou moins anfractueuse mais ininterrompue de l'hémisphère. La substance grise fait bien réellement partie intégrante de
eu serrés les uns contre les autres, elle ne se distingue pas de la substance grise dans laquelle ses fibres cheminent. Il en
la bandelette optique, va se perdre après un court trajet, dans la substance grise de l'espace perforé sans atteindre le lob
é- rations il a enlevé une grande partie des deux hémisphères. La substance cérébrale détruite avec l'atrophie secondaire con
itions de l'excitabilité de l'écorce cérébrale. A l'état normal, la substance grise de l'écorce est entièrement ou presque en
êmes excitables. D'abor'd examinons l'excita- bilité relative de la substance grise et des fibres médullaires. C'est le poiut
citabilité sur le compte du shock ou de l'hémor- rhagie, puisque la substance grise environnante réagit comme avant. De plus,
expériences. Ces agents sans doute paralysent l'excitabilité de la substance grise. Fritsch et Hitzig ont noté dans leurs ex
1889). 426 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. une longue exposition de la substance grise, l'anode prédomine. Ces expériences indiq
et Heideubain est beaucoup plus élevé. Ce chiffre signifie que la substance grise de l'écorce ne se com- porte pas comme un
. KERAVAL. XLII. QUELQUES MOTS SUR LES processus dégénératifs DE la substance BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX; par M. FrIED
x au sujet du système des fibres propres de la zone limitante de la substance blanche (trousseau d'association directe de Mey
né- rescence limitée en foyer; 3° atrophie générale diffuse de la substance blanche; 4° atrophie diffuse simple de la substan
e diffuse de la substance blanche; 4° atrophie diffuse simple de la substance blanche. La première forme émane des lésions en
tions des fibres blanches quelles qu'elles soient de l'écorce ou la substance blanche constituent le noeud de a symptomatolog
r aux parties latérales du pédoncule fusionnent dans un triangle de substance blanche situé en dedans du noyau lenticu- laire
ue ou une lacune centrale suppose toujours une lésion, une perte de substance ; se rappeler à cet égard que le centre de perce
tte, par Buchuolz. (arcs. f. Psychiat., XX, 3.) Le titre indique la substance du travail. P. K. LX. DE l'albuminurie ET DE la
qui tombe malade à son tour. Elles peuvent encore se transmettre en substance par l'implantation des idées délirantes ; c'est
; - après extirpation des régions motrices, par Ztcheu, 87; de la substance blanche, par Friedmann, 428 ; du pédon- cule
cordon antéro- latéral de la -, par Gowers, 89 ; hétérotopies de substance grise dans la-, par Krontllnl, 267; anatomie
41 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
u en voie de, destruction; dans l'autre, cette gaine existe, sa . substance est parfaitement homogène et ses contours nette
teintée en gris sous l'influence de l'acide osmique; de plus, sa substance n'est plus homogène et le réactif a coloré dans
HOLOGIQUE. lorsque celle-ci reconnaît pour cause une lésion de la substance grise de la moelle épinière, mais encore lors-
ces- mdd., p. 512.) INCOORDINATION DES ATAXIQUES. r4.> de la substance grise de la moelle, surlles,nerssmo, GVJ ? ? Q1
? , 1) Les circonvolutions cérébrales sont aplaties, étalées. La substance encéphalique est ramollie. ' Cerveau énorme, re
n. - Estomac, rate (25 grammes), foie, (440 gram- mes), sains. = La substance corticale des reins, qui pèsent chacun 50 gramm
nou- velles voies ne sont pas frayées par le segment intact de la substance grise, par ce tout petit segment qui peut échappe
tion collatérale. » Il cherche enfin à démontrer directement que la substance grise n'entre pour rien dans ces phénomènes de
la motilité et de la sensibilité, tue l'animal, et constate que la substance grise était parfaitement respectée. En dernier
n, l'animal est mis à mort et l'autopsie confirme l'intégrité de la substance grise. Ces faits semblent donc démontrer que la
à produire l'abolition de la sensibilité et de la motilité; que la substance grise ne joue aucun rôle dans la conduction cen
intéressé la partie frontale au point d'y déter- miner une perte de substance osseuse large comme la moitié d'une pièce de ci
en argent (un dollar mexicain). Par cette blessure était sortie la substance cérébrale en notable quantité. La petite malade
tion n'avait pas atteint la face. Du côté de la moelle épinière, la substance grise antérieure offre, seule, des lésions évid
é- vélé aucune lésion importante' du côté°'des méninges, ni de la substance rise. °1 ! t,.H" " " ni de la substance grise.,
é°'des méninges, ni de la substance rise. °1 ! t,.H" " " ni de la substance grise., ·, si - 'Li- 19f1'l1f..l ? 1.' 1 r ? J
.<Y I, l , , ,^ , ' " .'1''1' ^ r.,Wn9 el 2c<r ? ninges,et,la· substance grise. r ',] '.t, j IJ"¡ z il 11 , }" 't l, 1 J
se traduit anatomique- ment par aucune lésion des méninges ni de la substance grise appréciable à l'oeil nu. II. Observatio
vations de démence épileptique avec lé- sions des méninges et de la substance grise. Chez les malades dont nous allons parler
rfois très étendues, mais toujours profondes, des méninges et de la substance cérébrale. Observation III. Epilepsie. Mélanc
e-mère injectée et opaque par places. Décortication difficile. - La substance corticale, générale- ment ramollie, surtout à l
partie centrale du lobe occipital. Au niveau de ces adhérences, la substance corticale est entraînée avec les méninges. Les
ijue. Quand la pie-mère est enlevée dans les points adhé- rents, la substance grise reste comme érodée et présente une colora
ne du lobe sphénoïdal gauche, que la pie-mère est adhérente à la substance cérébrale sur une étendue de 4 ou 5 centimètres
tres cas, les lésions des méninges l'emportaient sur celles de la substance cérébrale; l'examen histologique, comme on le v
n le verra tout à l'heure, a démontré que c'était, au contraire, la substance cérébrale qui était la plus pro- fondément atte
stater les lésions à l'état frais, principalement les lésions de la substance grise, qui est assurément plus délicate que la
ions de la substance grise, qui est assurément plus délicate que la substance blanche, et dont les éléments s'altèrent avec u
leur évolution. Méninges. La pie-mère adhère assez fortement à la substance grise. Dans les points où la lésion n'est pas t
he la 16 242 ? CLINIQUE MENTALE. T ' plus superficielle de' la' substance 'grise ; ici la' ,fusion de la circonvolution e
s' sous-jacentes. ' " ' ' ' , l ""1 tf' il " Il 1 t , 1 ti t i m; Substance grise.-Sur les points qui ne sont pas très alté
, on peut' s'assurer; à l'aide d'un faible grossis- sement, que la- substance grise a conservé presque tous ses caractères no
la forme d'une bande festonnée poussant dans la profondeur de la substance grise des prolongements plus ou moins saillants
s. longuement question. lorsque, nous décrirons les «^lésions de la substance blanche. ,, , . ? Les.yaisseaux sanguins sont évi
erment des globules sanguins. , 1" De, toutes les altérations de la substance grise, il est ^certain que cellesides cellules
les- retrouve presque . tous intacts, alors que les méninges et la substance blanche sont si profondément altérées. L'état
nts dont parlent Stricker et Unger, sont situés aux confins de la substance grise, et ceux auxquels nous faisons allti- sio
alr(jl n,ll 1 Jm.n r Irtjl' : h b' 9t .. les couches moyennes de la substance grise; et ensuite juloiin JJ'J)j ? nJ-' i - ! ,
1J1 <¡J'THun'IO') ? Tlil '1/1 ? 1. ç . plasma, l'existence de la substance granuleuse au - il il ')I...iJ ! IOJ)jlllllll 1
! , ? '' '1,,[fl `1 > ? 1 ? 1 - <S'M ? ? cc e ? C est dans la substance blanche - 9'j Ut, ', Il i -i . il | ' ' ri)f. ,
ns JL.ij ? t))' ' 1 1 -1' l , d »- 1 .i , z toute l'étendue de la substance blanche d une circon- GJ'\JI¡oLJ J .. 'if "tJ1
'agit assez loin de la -'} .4 .. .jm . 1 I , ! il. ^ A , 1 T 1 ,. substance grise pour qu on ne puisse être tente de les t&
me, la névroglie et les vaisseaux sanguins; et, de même que dans la substance grise, on y trouve des modifications qui rappel
évroglie est particulièrement intéres- sante. Il n'y a pas, dans la substance blanche, de colo- ? < ! i ,, 'H ! 1 t, 1. t 1
existence des cellules araignées dans la couche superficielle de la substance grise; mais ici, elles sont en beaucoup plus gr
oup plus grand' nombre et beau- coup plus faciles à étudier, car la substance blanche est plus transparente et moins condensé
a substance blanche est plus transparente et moins condensée que la substance corticale. 2t8 CLINIQUE MENTALE. o ? TII !
}9 9- ? h 1lD,.rf' ? o, 1=. "q'bl,t Ici JI1() ..II,J ? J1G Dans la substance blanche saine, les capillaires '5.. ? t1n nn·r
sion .atteint.surtout, et, d'abord la"coucheosuper..(kille, 4, la substance rise ? 1 1 dans ijag démence épileptique, j la
subs- tance, grise , et), intéresserait ? la^couche, contiguë^de ; substance , blanche, qui , ;à t.'oeil. nu, ,offre) une, colo
pe pratiquée dans un foyer d'encéphalite diffuse au voisinage de la substance grise. tl, Fig. 1. -A, A, cellules araignées
tentatives intéressantes en France et à l'étranger. On introduit la substance anesthésique dans l'éco- nomie, soit par la voi
oral et de la morphine, il croit avoir obtenu ce résultat. Ces deux substances sont administrées par la voie gastrique, sous f
ule sensitive principalement; ils déterminent une coagulation de la substance de cette cellule, coagulation qui ne serait pas
sur deux faits, expri- ment l'opinion que, dans la chorée grave, la substance blanche de la moelle subit des altérations qui
. , J1 llfl'll 'l'I .'> iy ij· i rn.il ? i · nez .... ainsi la substance hépatique se trouve divisée par un tissu ondulé
, tube digestif, par/ les diffé- rents procédés (moyens mécaniques, substances . excitantes, électricité, etc.) que lui offrait
phiés ; ce n'était plus, sur- tout à droite, que de minces lames de substance ; et, à leur surface, se présentaient de nombre
si on l'admettait, on eût dû trouver, sur ce cerveau, une perte de substance procédant de dedans en dehors; et il en eût dû
e des ventricules, allant s'ouvrir au dehors. Mais on sait que la substance des hémisphères cérébraux, et notam- ment l'éco
n, ne peut donc s'expliquer que par une défectueuse évolution de la substance cérébrale : et cela, sans que l'hydrocéphalie y
au, l'arachnoïde et la pie-mère, adhérentes l'une à l'autre et à la substance grise, sont infiltrées d'un pus épais, crémeux
irconvolutions fron- tales. La pie-mère se détache en entraînant la substance ra- mollie. Outre cette lésion récente, nous
tilagineuse des circonvolutions frontales et princi- palement de la substance grise de ces circonvolutions. En 1875, M. d'Esp
e résultat d'examens anatomiques relatifs aux mo- difications de la substance cérébrale chez les idiots épileptiques. Dans un
portons ici, c'est la localisation des foyers de sclérose dans la substance grise, soit à la surface des circonvolutions, s
léments nerveux qu'il englobe. ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 411 i Dans la substance blanche, la lésion scléreuse, à part la différe
ons de la circonvolution malade qui devaient être occupées par la substance blanche ; peut-être est-il permis de supposer,
pposer, en raison de ce fait, que la sclérose névro- glique dans la substance blanche n'est que secondaire. Quant à la vascul
nt de départ réside dans la 412 CLINIQUE MENTALE. névroglie de la substance grise corticale, mais dont la localisation dans
en plaçant sur chaque moitié successivement une petite quantité de substance à sa- veur très franche, sel commun, coloquinte
La caisse du tympan prend plutôt naissance par la résorption de la substance fondamentale qui préside au développement de l'
t, on obtient des contractions manifestes en excitant la moelle. La substance grise perd son excitabilité avant la blanche. D
ociation qui réunit les unes aux autres les cellules motrices de la substance grise. Ainsi, la cause pro- vocatrice du spasme
et demi au-dessus du bord antérieur du trou occipital, une perte de substance arrondie ayant presque le diamètre d'un pois; d
t en même temps mal accusées; écorce étroite d'un brun jau- nâtre ; substance médullaire jaunâtre, molle, peu vasculaire. Gan-
, peu vasculaire. Gan- glions centraux uniformément atrophiés; leur substance grise est brunâtre. Pédoncules cérébraux normau
absence d'épaississe- ment. Moelle cervicale assez ferme, anémiée; substance blanche un peu grise; moelle dorsale très molle
, les membranes molles se trouvent intéres- sées de concert avec la substance du pont de Varole : la com- pression de la prot
adie des cellules à grand prolongement de la corne antérieure de la substance grise et de la moelle, qui remplissent à la foi
s épaissies au niveau de la tumeur. Reins granuleux à leur surface. Substance corticale décolorée. L'auteur après avoir discu
interhémisphérique; foyer formé par une masse jaunâtre demi-solide, substance blanche sous-ja- cente d'apparence granuleuse.
as de matière brunâtre, semblable àcelle qui s'est déjà écoulée. La substance grise était intacte dans les parties superficiell
s les parties superficielles, très altérée au niveau des sillons. - Substance cérébrale avoisinant la tumeur, jaunâtre et ram
x détruits ou altérés. On peut enfin supposer que, de même que la substance hépatique ou musculaire, qui est le siège d'une
e faisceau pyramidal et aug- mentant le pouvoir excito-moteur de la substance grise médul- laire ; c'est encore au processus
térieur du Ventricule, "mSis^encbfeYsépârâtiônf'cbmplète dé' cette" substance diavéc les qgantgli6n'silcérébrâuxJItLa3·'Cburo
.se trouve-placée, alorsientréj1'àyailt inur- (c/aMsMO ? et a la.)- substance , grise' des circonvolutions frontales,, i-^-joaga
asma : \ on y< retrouve Jbji, rc}i;s,e> djjpo- Fsitiom de. la substance grise, que osur,la, précédente, coupe jjivec t
pourtant,Trque, ,dan§j laj^partiej^jnférigurejde d'hémisphère,- la substance griserde^insulaq/a^ arrive à^hisur- -facë^ libr
si haut , cette^subjtajice.vaadjrec- ttementselcônfondre3 avec ila ; substance ,grisej djiLÇSyâHiSâHâ ? ' Ne. Dans la partie su
l'intérieur de l'hémisphère, t.và directement se, confondre avec la substance , grise de Kavant- tmur,0. Près de là, prend» na
ant- tmur,0. Près de là, prend» naissance ^toute^ne^bandejette^de substance grise ? qui -.s'interpose aentre,le lobe pariétal
jveau. JDans^la.par- tie inférieure,} decla figure,31on démêle jjla^ substance ^grisjT'de S'insula,cla', l'avant-mur, ouclaustr
ance'grise`paraît assez r, égullz re (PLXIV, fg : 5). Les fibrë5·de substance blanche, qui parteiit du 1 be ari tal, o r t)'d
it composée de deux portions, 1 une quiproémiîle en''r`elief sur3la substance cérébrale' Ip, l'autr"' qui' s'enfon éé'i.'dan
laire interne et externe). 011trôûrvé sûilâ'PLt'-XIV;'fig : 'G); la substance grise del'insula, 'fjÇJof à un'niyeau plus1 éle
n,trouve normalement constitués les di- vers éléments propres de la substance grise,.Zmâiil'yjinânque - la disposition réguli
üsr,hâuii : s3ai silb.'c Il oBurile< erveaü'Jde notre^malade; la substance grise ! 9festrès'irrégu ! IèremeuU'distribuée : 3
jni-v^nliViuao 3')Iii'ij ), ij) D : ) 1 ? L 8bm 1-iiiil vraie de la substance nerveuse,, mais. bien de néofor- 891 9f101 911
Ô lui ? 9lbLeT'Si'1 8fTOl,irJlOVfI0110 eLes cas d'hétérbtopie de-la substance cérébi`ale; çl'ùlieq faç6nrénéral`e, 3nei'son`t
9P ? 1 . ·. m.,JJ ku jl atteint de paralysie agitante, un îlot de substance . griser, situé au milieu de la substance blauch
lysie agitante, un îlot de substance. griser, situé au milieu de la substance blauche du lobe occi- pilalndu ecôté droite et'
ure de l'insula que par une t rrm -ff.4, p - 'av - 'n "f bande de substance blanchee(c'entre8caudo-insulàirej'r .311,'OTAHê
'Y* If i ,^09^ '>. de faire remarquer qu une destruction de la. substance ? t 1 1. ai -r -ol -il «U. : 2 9 ffof").-)2 j xii
n 1 1 1,1 r ? li.t 1-,) . .. ± suc l'avant-mur z Ces deux dépôts de substance grise dissocient les éléments, qui, dans la cou
s'traînées'de t ? ujjjt.t'ju qui mettent les deux noyaux en coin- substance grise qui mettent les deux noyaux en com- ai» o
ns les cornes antérieures, et d'une ma- nière générale par toute la substance grise ; les cellules du tissu conjonctif de la
r toute la substance grise ; les cellules du tissu conjonctif de la substance grise étaient plus nombreuses qu'à l'état norma
raient à la membrane externe de quelques vaisseaux. Les colonnes de substance blanche étaient parfaitement saines. , C. T.
ut moins lo- cales, qu'elles atteignent d'assez grandes étendues de substance grise tout en tendant à former foyer sur tel ou
sions toniques des' quatre membres. Les nodosités scléreuses' de la substance corticale que l'on découvre alors ne constituer
remarquables surtout en ce qui a trait au mode de répartition de la substance grise ou blanche : telle cette sclérose latéral
née d'affection bulbaire dans laquelle on rencontra au milieu de la substance grise une masse considérable de substance blanc
ncontra au milieu de la substance grise une masse considérable de substance blanche normale (renflement lombaire); telle enco
e générale des aliénés présentant une pénétra- tion identique de la substance blanche dans les couches grises (moelle dorso-l
l'épilepsie « une décharge accidentelle, soudaine et rapide de la substance grise d'une partie quelconque du cerveau ». Cette
ise par le nerf optique sera pervertie et il y aura illusion. Si la substance corticale est saine, cette illusion sera corrig
sion sera corrigée et regardée comme, une perception erronée; si la substance corticale est malade, l'illu- sion sera accepté
a pas de lésion des centres sensoriels intellectuels situés dans la substance corticale, et que la maladie est limitée entièr
rs.pédiculo-parlétauxsupérieurs, occipitaux et n'intéressant que la substance blanche. Une seconde tumeur identique siégeait
ations n'auraient au surplus que peu ou pas de tendance à envahirla substance grise de la moelle ou les cordons latéraux, mai
té- grité de la sensibilité par la suppléance physiologique de la substance grise, de même qu'inversement une partie de la
ue de la substance grise, de même qu'inversement une partie de la substance grise peut être incapable de fonction sans que la
pe pratiquée dans un foyer d'encéphalite diffuse au voisinage de la substance grise. Fig. 1. -A, A, cellules araignées à prol
noyau caudé. 0, avant-mur (claustrum). C e, corps calleux. Ca, substance grise de la circonvolution centrale antérieure, o
lle, qui sépare le ventricule latéral de la surface cérébrale. F a, substance grise des circonvolutions frontales, qui pénètre
ventricule latéral, et arrive directement sur le noyau caudé. la, substance grise de la portion antérieure de l'insula, dépri
antérieure de l'insula, déprimée, et pénétrant dans la masse de la substance blanche de la circonvolu- tion frontale. C, C
u chiasma des nerfs optiques. (C'est la face posté- rieure.) T p, substance grise de la circonvolution centrale postérieure,
va y for- mer la paroi supéro-exlerne. C c, corps calleux. 1 a, substance grise de la portion antérieure de l'insula, dépri
hémisphère gauche, tout contre le chiasma des nerfs optiques. l', substance blanche du lobe pariétal, arrivant à la capsule i
e cérébrale. la, portion antérieure de l'insula, en retrait. lp', substance grise de la portion saillante de l'insula, qui ar
a portion saillante de l'insula, qui arrive sur l'avant-mur. 1 a, substance grise de la poition déprimée de l'insula. E, Co
DES PLANCHES. ' C n, capsule interne, - C x, capsule externe. P, substance blanche du lobe pariétal, qui arrive sur la subst
e externe. P, substance blanche du lobe pariétal, qui arrive sur la substance blanche de la région cérébrale sous-jacente.
oupe précédente; elle sectionne le sillon pariéto- occipital. Ip, substance grise de la portion saillante de l'insula. U, C
42 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
concernent simplement les fibres nerveuses qui se distribuent à la substance grise (cornes postérieures, colonnes de Clarke,
cordon postérieur, une dégénérescence des libres se rendant à la substance grise de la moelle, avant tout, des collatérales
, avant tout, des collatérales réflexes qui s'arborisent dans cette substance grise. Nous rapporterons à la disparition de ce
, cette sommation des excitations dans les cellules nerveuses de la substance grise que nous percevons comme sen- sation de d
ieurs des fibres endogènes dont les cellules d'origine sont dans la substance grise, et que ces fibres sont - surtout rassemb
erritoire offre l'étendue la plus considérable précisément là où la substance grise possède, relativementet absolument, le pl
interne gauche un morcel- lement anormal des faisceaux blancs parla substance grise. Observation II. Maurice M..., âgé de dix
nstallation à la tête et au pied du lit de tablettes verticales, en substance mauvaise conductrice de la chaleur ; l'usage de
t à l'intérieur ou REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. · 47 autour de sa substance ; il est probable qu'ici la lésion est plus anc
i injecté dans le nerf sciatique de chiens et de lapins vivants des substances pulvérulentes aseptiques (encre de Chine, bleu
u étudier à leurs principaux stades histologiques les lésions de la substance grise et de la substance blanche, en parti- cul
aux stades histologiques les lésions de la substance grise et de la substance blanche, en parti- culier les ulcérations des c
en parti- culier les ulcérations des cellules cordonales. Pour la substance grise il est nécessaire de distinguer chez l'ho
r- donales ou rétro-radiculaires occupant la partie moyenne de la substance grise. Etudiés par la méthode de Nissl, ces deux
Elle n'est nullement en rapport d'intensité avec les lésions de la substance grise. Cette discordance entre ces deux processus
longitudinal inférieur, sans lésions de l'écorce pariétale ni de la substance sous-corti- cale de l'hémisphère gauche. La dég
cet hémisphère, sans en atteindre ni les radiations optiques, ni la substance blanche sous-jacente à l'écorce de la scissure ca
casion d'ob- server une série de cas avec une lésion probable de la substance grise ou des racines des segments situés immédi
que faible; la sub- stance grise est moins résistante encore que la substance blanche. Il s'ensuit que les réactions inflamma
es autres vis- cères et qu'elles sont moins marquées encore dans la substance grise que dans la substance blanche. Il en résu
lles sont moins marquées encore dans la substance grise que dans la substance blanche. Il en résulte, d'autre part, que les i
ans la moelle que dans les autres organes et plus marqués dans la substance grise que dans la substance blanche. 3° D'après
autres organes et plus marqués dans la substance grise que dans la substance blanche. 3° D'après l'état actuel de nos connai
réactionnel de l'organisme contre une intoxication locale due à une substance soluble (Courmont). L'inflammation étant toujou
e plus nom- breuses ; Stoff admet que la douleur se transmet par la substance grise. Brown-Seguart admettait la transmission
grise. Brown-Seguart admettait la transmission delà douleur par la substance grise ; la région antérieure par le tact, la régi
, la dégénérescence des collatérales réflexes, affecte gravement la substance grise de ces régions dans le tabes. « La dégéné
unes qu'on puisse considérer comme décidément pathologiques. ' La substance chromatique, le substratum de la coloration de
aux se montrent avec leur forme normale, non seulement quant à leur substance chromatique, mais quant à leur noyau. Schaffer
cas) et dans le tabes naissant, Schaffer a bien l'impression que la substance chromatique se colore d'une manière plus intens
ve. L'opinion générale aujourd'hui est que la considération de la substance chromatique détermine la nature du jugement qu'on
dans des préparations provenant de deux cas de tabes, l'état de la substance chromatique ne différait en rien de celui des c
romatolyse dans ces cellules, « car, dit-il, la disso- lution de la substance chromatique est un indice anatomique du trouble
stesse de ce raisonnement ? Dans l'altération des granula, ou de la substance chromatique, les auteurs voient « une réaction de
ondition de la vie du neurone, on ne trouve aucune altération de la substance chromatique, altération dans laquelle les auteu
u névraxe. Quant à l'cdléralion essentielle que doit avoir subie la substance même, la substance fondamentale de la cellule,
l'cdléralion essentielle que doit avoir subie la substance même, la substance fondamentale de la cellule, et dont dépend sa fon
es d'origine endogène (Marie), lesquelles tirent leur origine de la substance grise de la moelle épinière. ' Marie. Leçons
circonvolutions est lisse, tan- dis que chez l'homme la surface de substance grise est considéra- blement augmentée par la q
ur le point dans un des tableaux qui accompagnent 'son travail. 1 Substance chromophile. - En examinant la cellule fraîche, c
'qu'on n'avait pas fait auparavant, on acquiert la preuve que la substance chromophile existe bien réellement 'sous la forme
par les réactifs. Il n'est pas douteux que dans la cellule morte la substance chromophile prend' Í1¿ fOl'me et une dispositio
ce type cellulaire normal est la - dégénérescence granuleuse de la substance chromophile : la cel- ,Iule prend une forme plu
de devenir fragiles, se rapetissent et se dur- - clissent ; là, la substance granuleuse n'a aucune tendance à deve- .nir gra
mes et 45 femmes), il y en . avait 25 (8 hommes et 17 femmes) où la substance chromophile présentait la disposition que l'aut
le. Dans tous les cas, naturellement, il y avait des cellules où la substance était en état de dégénérescence; mais la majorité
t il termine son travail par quelques remarques sur la nature de la substance cbromatophile et ses rapports avec le fonctionn
gardant de formuler une opinion absolue sur le rôle précis que la substance chromatophile peut jouer dans le fonctionnement d
\111e Formakowska a intoxiqué un, certain nombre de lapins avec les substances précitées et examiné ensuite les cellules gangl
ges, mais ils appartiennent plutôt au processus de réparation de la substance nerveuse détruite. Celle-ci, trop hautement dif
s vasculaires par dilatation des espaces périvasculaires remplis de substance albumineuse et d'une énorme quantité de leucocy
D'ANATOMIE Er DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 145 - En outre, dans la substance blanche des lobes temporaux, pariétaux, occipit
Les kystes n'ont pas de paroi propre ; ils sont constitués par une substance morte déchue ; ceux qui ont un contenu sont for
ns) sert pendant ce temps à la formation du noyan de la cellule; la substance du filament qui entoure le corpuscule sert à la
s consécutives soit à un traumatisme, soit il l'administration de substances chimiques, soit à une modification des conditions
formés en deux vastes pseudo-kystes dont les parois sont formées de substance cérébrale atrophiée. Au point de vue clinique
et épaissie au moment de la décortication, a entraîné la couche de substance grise du cerveau et on trouve adhérents à la mé
demi-centimètre environ. L'hémi- sphère sous-jacent est réduit à la substance blanche; la forme générale des circonvolutions
nucléaire. L'appareil nllcléolai1'e est toujours constitué par deux substances , l'une acidophile, l'autre basophile, formant d
ares semblent bien ne pas secreter de la sueur, mais simplement une substance graisseuse. Notons, en effet, que les glandes s
ité, ou plutôt l'absence de développement de la quantité normale de substance osseuse avait été le résultat d'une ossificatio
émités inférieures dans la même maladie. Celle-ci, en effet, est en substance une analgésie, tandis que l'anesthésie du tronc
ar la pie-mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de substance cérébrale. La partie des poches qui répond aux lo
masse scléreuse, qui, à la pression, n'est qu'une petite couche de substance corticale. Les deux hémisphères sont réunis par
e la pie-mère qu'au voisinage de ceux des couches inférieures de la substance grise, mécanisme qu'il nous a été souvent donné
n observe les points (portion interne des lobes occi- pitaux) où la substance nerveuse est encore relativement conservée, on
sa périphérie par des libres myéliniques qui atteignent à peine la substance grise, où l'on voit encore quelques libres radi
asculaire importante. Ces capillaires néoformés pé- nètrent dans la substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la s
ent dans la substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la substance nerveuse se nécrose. Il s'agit là d'un cas rapide
n effet, aurait abouti à ce résultat, car tout autour de l'abcès la substance cérébrale était ramollie et, si l'on en croit'
'un homme âgé de vingt-un à trente ans est de 1 341 grammes '. La substance grise est molle et d'un rouge sombre, dans tous l
coupe, on observe le même phénomène sur la surface de section de la substance blanche. Les noyaux opto-slriés. un peu ramolli
la solution de Lugoi. Ils ne sont pas absolu- ment identiques à la substance amyloïde qu'on trouve eu d'autres points du cor
un cas de paralysie bulbaire. On ne les rencontre guère hors de la substance blanche. L'auteur pense que les corps qu'il a t
teinte, et la méthode de Marcha montre qu'elles sont remplies d'une substance qui ressemble à la graisse. On croit qu'elles pro
s de cellules : l'une qu'il appelle la cellule nerveuse, produit la substance transmetteuse ; l'autre, qu'il appelle la cellu
milieu des circonvolutions de l'hippocampe. Pour chaque région, la substance blanche et la substance grise ont été étudiées
ons de l'hippocampe. Pour chaque région, la substance blanche et la substance grise ont été étudiées pour chaque hémisphère.
dans leur ensemble, on trouve comme poids spécifique moyen, pour la substance grise 1037 et pour la substance blanche 1041. l
mme poids spécifique moyen, pour la substance grise 1037 et pour la substance blanche 1041. l.e poids spécifique de la substa
1037 et pour la substance blanche 1041. l.e poids spécifique de la substance blanche est le même dans les deux sexes, mais c
substance blanche est le même dans les deux sexes, mais celui de la substance grise est de 1039 pour les hommes et de 1032 po
: on trouve en outre que les différences les plus accusées entre la substance blanche et la substance grise se rencontrent da
les différences les plus accusées entre la substance blanche et la substance grise se rencontrent dans la région motrice, et
our les lobes frontaux et occipitaux. Dans les deux hémisphères, la substance blanche et la substance grise de la corne d'Amm
t occipitaux. Dans les deux hémisphères, la substance blanche et la substance grise de la corne d'Ammon ont exactement le mêm
que est absolument identique dans les deux hémisphères tant pour la substance blanche que pour la substance grise de chaque r
s les deux hémisphères tant pour la substance blanche que pour la substance grise de chaque région. Le maximum de différence
nce grise de chaque région. Le maximum de différence entre les deux substances se trouve chez l'homme à la région frontale, le
es circonvolutions occipitales, tandis que dans la corne d'Ammon la substance blanche de chaque hémisphère a un poids spécifi
hémisphère a un poids spécifique légèrement inférieur à celle de la substance grise. Chez la femme la seule région où la subs
celle de la substance grise. Chez la femme la seule région où la substance blanche et la substance grise aient le même poi
rise. Chez la femme la seule région où la substance blanche et la substance grise aient le même poids spécifique dans les deu
rconvolution pariétale ascendante. Les diffé- iences entre les deux substances sont sensiblement les mêmes tant dans les régio
l'hémisphère droit que dans le gauche. Le poids spécifique des deux substance ^ dans la région de l'hippocampe est presque ide
des groupes cliniques énumérés plus haut, le poids spécifique de la substance grise et celui de la substance blanche : 1° Paral
plus haut, le poids spécifique de la substance grise et celui de la substance blanche : 1° Paralysie générale : S. G. 1 )40 S
le dans la dégénéres- cence graisseuse et recherche la nature de la substance jaune que l'on y constate. Il présente ensuite
er lieu aussi à la formation de corps concen- triques. En somme, la substance hyaline est très instable et pré- sente, quand
classes : 1° classe corticale, lésions limitées à l'écorce ou à la substance blanche sous-jacente ; 2° basale, lésions atteign
ntre moteur de la jambe, à l'aide de l'excita- teur électrique ; la substance corticale fut incisée à ce niveau, dans une éte
kystes, logés dans la cicatrice dure-mérienne. L'excitation de -la substance blanche sous-jacente a provoqué également des m
excisé a fait constater la présence d'un foyer déjà ancien, dans la substance grise, à côté de traces d'une leptoméningite de
ont pas dépourvus de mémoire. Ils ne possèdent pas, il est vrai, de substance corticale, mais c'est pro- bablement une questi
icielle de l'écorce que dans ses par- ties profondes et que dans la substance blanche. Des altérations des vaisseaux procède
x procède le développement du tissu conjonctif, et l'atrophie de la substance cérébrale, selon l'étendue du processus patholo
tliyroïdine de Howitz et Vermehren, l'iodo- thyrine de Baumann, la substance albuminoïde de Hutchinson ne constituent pas le
endant il semble plus que possible que la tumeur, primitive dans la substance cérébrale, ait pris naissance dans de l'épithél
rises antérieures, ou du moins les cellules ganglionnaires, mais la substance blanche et les nerfs moteurs efférents sont aussi
n microscopique. A l'examen chimique on trouve une augmentation des substances organiques, mais la quantité de graisse est dim
écorce et n'intéressaient légèrement que la couche limitrophe de la substance blanche. Ces observations justifient l'hypothès
sument dans une hyperplasie de la neuroglie, principalement dans la substance grise posté- rieure, sans trace de cavité ; il
s destinés à fournir le milieu nécessaire au fonc- tionnement de la substance protoplasiéesique. Etant donné ces considératio
on du nombre des cellules nerveuses, et lésions vasculaires dans la substance grise du lobe frontal. - On chercha immédiate
égions intra-hémisphériques. Si l'on admet la surexcitabilité de la substance ganglion- naire sous-corticale par une lésion q
ible, tandis que chez les malades attaqués de récidive, la perle de substance se trou- vait remplacée par une membrane résist
ive qu'une fois, chez les autres patients, il existait une perle de substance molle, laquelle faisait lieu de soupape. Il ter
important travail : 1° la glande thyroïde contient une ou plusieurs substances qui, médicalement administrées, sont capables d
se autour de la moelle, une néoformation vasculaire au niveau de la substance grise, de l'hyperproduction névrogliquc surtout
et la protubérance, cette tumeur n'est pas énucléable et envahit la substance du cervelet; elle empiète sur la protubérance;
nfiltration de grains fortement colorés en bleu dans l'écorce et la substance blanche centrale des circonvolutions. Us formen
43 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
sait Magnus Luss. On a conseillé de mêler à la boisson un amer, une substance nauséabonde telle que l'assa fœtida ou de la téré
des habitudes mauvaises et des vices, dans la lutte contre l'usage de substances délétères et, partant, contre les dégénérescences
erve le moindre souvenir, et cela, rien que par l'action de certaines substances agissant à distance sur les mêmes sujets hypnotis
Nous la voyons s.-propager le long de certains objets ou de certaines substances servant à . conducteurs. Nous la voyons encore pa
sateur dans celui du sujet intermédiaire (homme ou animal) ou dans la substance d'un objet quelconque. Ces corps intermédiaires
blication du livre de MM. Bourru et Burot sur l'action à distance des substances toxiques et médicamenteuses, a appelé, sur cette
sont relatives à l'action rayonnante qu'exercent à distance certaines substances chez les sujets hypnotisés. Nos deux éminents c
esthésic qu'ils deviennent impressionnables, en présence de certaines substances toxiques ou médicamenteuses tenues â distance, et
pour vérifier les résultats les uns par les autres, qu en présence de substances similaires j'ai obtenu des résultats similaires,
n sujet hypnotisé, suivant qu'on le met en présence de telle ou telle substance dont il ignore absolument la nature et les effets
ns produites sur l'organisme hypnotisé par les actions à distance des substances stimulatrices se présentent sous deux modalités b
tion du sujet, suivant son impressionnabilité intime, la nature de la substance employée, les phénomènes réactionnels évoluent en
que la susceptibilité du sujet est plus exaltée ou que l'action de la substance employée a un lieu d'élection différent, le sujet
gie, après avoir disposé et numéroté les tubes de verre contenant les substances actives à l'insu du sujet, on les place tout d'ab
arrivent immédiatement à leur maximum d'effet, tantôt l'action de la substance stimulatrice est lente à déterminer ses réactions
hez les sujets dédoublés, elles sont souvent unilatérales, et la même substance qui. du côté droit, détermine un état de souffran
'une grande intensité. Ainsi, sous l'action à distance de certaines substances , on voit incontinent les régions thyroïdienne et
hlorhydrate de morphine à la dose de 2 centigrammes, comme toutes les substances employées, mises en présence de sujets dédoublés,
er le tube ailleurs et à changer le champ d'action périphérique de la substance stimulatrice ? c'est un tout autre tableau qui va
escription détaillée des effets produits par un grand nombre d'autres substances appartenant soit au règne végétal, soit au règne
tention les réactions émotives produites sur l'organisme par quelques substances bien nettement déterminées, et qui ont une action
xpérimentale ne sont, comme les précédentes expériences avec d'autres substances , que (t)Dans la plupart des expériences, le suj
, une période de saturation et une période de décours, suivant que la substance alcoolique qui les a provoquées est présente ou a
ition naturelle, soit par le fait de spécialité d'action de certaines substances qui agissent principalement sur les régions intel
eur, à la tournure de ses désirs, et surtout, suivant la nature de la substance stimulatrice. exprimer avec une allure et une fra
dans ses lignes principales. Inversement, sous l'influence d'autres substances stimulatrices, le haschich, entre autres, ce sont
Dans d'autres circonstances, suivant qu'on a mis en œuvre d'autres substances , c'est tout un nouvel ordre d'émotions qui sont s
emblables chez les mêmes sujets, en employant, comme je l'ai dit, des substances semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en
nces semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en conclure Qu'une substance quelconque, qui a sollicité chez un sujet des scè
rticules de limaille de fer agglomérées dans sa sphère d'action. La substance stimulatrice incluse dans le tube est le souffle
et par étapes vers le réveil, en ayant bien soin, quand il s'agit de substances simulatrices employées comme agent d'excitation,
ur s'opérer d'eux-mêmes, afin que l'action simulatrice propre à telle substance soit complètement éteinte. On s'assure de ce fait
arche régulière des étapes normales. Le sujet, par la privation de la substance stimulatrice, est retombé d'emblée en période lét
out nouveau de questions médico-légales qui, à propos de l'action des substances médicamenteuses et toxiques, vient tout d'un coup
ci la question nouvelle qui se pose : On peut donc, à l'aide de ces substances , qui agissent d'une façon purement physique, prod
e si vaste des maladies du système nerveux. L'ACTION A DISTANCE DES SUBSTANCES TOXIQUES ET MEDICAMENTEUSES RESULTATS PRATIQUES
re métallique. Dans les eaux minérales, les doses pondérables de la substance médicamenteuse sont hors de toute proportion avec
cérine absorbée et retenue par une poudre inerte. La proportion de la substance active varie en général de 5o à 75 pour 100. Cell
ue extérieure. « Je fus frappé de la ressemblance d'action de cette substance avec le nitrite d'amyle, et je songeai à l'employ
s d'apprécier sans danger l'impressionnabilité de certains sujets aux substances médicamenteuses et toxiques. Quand on voit la gra
; Apprécier sans danger l'impressionnabilité individuelle aux mêmes substances ; Codifier l'action, jusqu'ici empirique, de la
remier coup que nos sujets atteignent leur maximum de sensibilité aux substances présentées à l'extérieur. La plupart des critiq
qu'il y ait eu suggestion. Impossible est la suggestion, quand une substance inodore, inconnue du sujet, de l'expérimentateur,
s un flacon pour un autre. Impossible encore, quand il approche une substance dont les effets physiologiques sont inconnus !
uggestion écartée, force est donc d'admettre une action directe de la substance sur l'organisme, quelque chose comme une vibratio
érie médicamenteuse et toxique. Or, un médicament, un poison, est une substance qui a une influence intime et spéciale sur l'orga
ce qui a une influence intime et spéciale sur l'organisme vivant, une substance qui. diluée dans la masse du sang, emportée par l
a porter son action bienfaisante ou meurtrière. Ce sont justement ces substances qui, dans nos expériences, se sont montrées activ
cusant aussitôt par une contraction dite réflexe. S'il s'agit d'une substance ayant la propriété d'impressionner spécialement l
'organisme vivant, la vibration, le mouvement intime partant de cette substance se transmet encore par le nerf sensible; mais ici
intervient l'impression spéciale d'un organe déterminé pour lequel la substance se trouve avoir de l'affinité, et le mouvement ré
udorales, si c'est un sudorifique, et ainsi des autres. Pour d'autres substances , l'impression se transmet aux organes de l'intell
En résumé, dans cas actions de contact extérieur ou de voisinage, les substances qui ont, pour certaines parties de l'organisme vi
conséquences et des cas particuliers. Mais, de même que toutes les substances ne sont pas actives, tous les organismes ne sont
rations expérimentales sur l'action a distance des médicaments et des substances toxiques. Les expériences ont pleinement réussi.
S A LA REVUE De la suggestion mentale et de l'action à distance des substances toxiques et médicamenteuses, par MM. les professe
ne sont pas plus considérables que ceux qui résultent de l'emploi des substances médicamenteuses toxiques. On peut faire de l'hypn
la Charité, une série de démons-trations sur l'action 4 distance des substances toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de m
d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale faites à l'aide de substances médicamenteuses ou toxiques. (Encéphale, sept., o
i même déposé l'émétique directement sur la nuque, j'ai laissé chaque substance pendant près d'une demi-heure. Rien ne s'est prod
ante : J'avais fait préparer par M. Gault. pharmacien à Narcy, huit substances contenues dans des flacons fermés par un simple b
contenues dans des flacons fermés par un simple bouchon de liège; ces substances étaient: l'émetique. 0.10 en dissolution : l'eau
ool à 95V et la scammonèe, o.5o avec f gramme de sucre de lait. — Ces substances furent préparées par M. Gault ên mon absence : ch
une enveloppe cachetée, M. Gault inscrivit sûr un billet le nom de la substance correspondant à chaque numéro. Les flacons, enfer
qu'au moment de l'expérience. Nous ignorions ainsi !a nature de la substance expérimentée, et ce n'est qu'après toutes les exp
vrir l'enveloppe et inscrire à côté de chaque expérience le nom do la substance expérimentée. Ainsi fut fait. Mlle Joséphine D.
c; la scammonée seule tombe juste en produisant des coliques. Sur 7 substances expérimentées, le sujet a accusé des troubles div
coïncidence entre l'auto-suggestion du sujet et l'action réelle de la substance ? Y a-t-il eu de la part de l'opérateur trahison
une tierce personne qui n'assistera pas à l'expérience, une série de substances à actions nettement définies dans des flacons por
portant des numéros. 2° Mettre sous enveloppe cachetée les noms des substances correspondant à chaque numéro. 3° Chez les suje
ujets déjà soumis à ces expériences, employer autant que possible des substances n'ayant pas été expérimentées chez eux pour évite
ces conditions, les phénomènes observés concordent avec l'action des substances expérimentées, il faudra bien admettre qu'il y a
de veille auraient une aptitude singulière à être influencés par une substance contenue dans un flacon placé à côté d'eux et don
eux et dont ils ignorent le contenu, comme s'ils avaient ingéré cette substance . J'avoue n'avoir jamais réussi cette expérience
on veut obtenir d'eux. Sachant qu'ils doivent ressentir l'effet d'une substance contenue dans un flacon, ils commencent par se su
um, émétique, valériane, etc. Si parmi les assistants, connaissant la substance en question, il en est qui, frappés par ces premi
lages de ces 17 couches superposées. A l'état de ramollissement, la substance cérébrale est en effet devenue tellement maniable
conditions climatériques moins inclémentes. Pour les déperditions de substance , la réparation, également, est moins rapide. Se
t variables, ne sauraient donner par eux-mêmes les idées de cause, de substance , ni aucun des principes fondamentaux de la scienc
suivies bientôt du rejet d'une gorgée de liquide. Or, quelle était la substance médicamenteuse renier- mec dans ledit tube, à
a exactement les bases. Il fut en outre décidé que la préparation des substances médicamenteuses employées serait confiée à une pe
'y pouvait trouver de différence. Six autres tubes renfermaient des substances à l'état de poudre; ils étaient enveloppés de pap
sa communication M. Luys affirmait qu'il avait obtenu avec les mêmes substances médicamenteuses des résultats sensiblement simila
oordonnés, et les manifestations ne sont nullement en rapport avec la substance mise en expérience. Mais ce qui montre encore m
nge mobilité et l'extrême incertitude des phénomènes produits par les substances médicamenteuses placées à distance, c'est que la
les substances médicamenteuses placées à distance, c'est que la même substance amène chez le même sujet des phénomènes absolumen
ces de la fantaisie et du souvenir du sujet mis en expérience que des substances médicamenteuses renfermées dans les tubes employé
ffets constatés par la commission n'est en rapport avec la nature des substances mises en expérience et que, par conséquent, ni la
ndance contractée par habitude que présentent certaines parties de la substance grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles
de jeu, en punissant l'ivresse publique, en réglementant la vente des substances médicamenteuses et toxiques, de même leurs convic
Supposez qu'un explorateur revienne de l'Afrique centrale avec une substance mystérieuse et puissante qui priverait l'homme de
e démonstrations publiques; il ferait même des distributions de cette substance étrange, si bien qu'en sortant des représentation
vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrait bientôt, car cette substance serait à certains égards plus dangereuse que plus
es à des conditions précises? Supposez ensuite qu'il s'agisse d'une substance parfaitement connue et déterminée, soit le chloro
qui punit l'ivresse publique, qui réglemente l'usage et le débit des substances toxiques et médicamenteuses, qui détermine les co
ns le somnambulisme provoque, par Mesnet, 33. Action h distance des substances toxiques et medicamenteuses, par Bourru et Bu
44 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
sait Magnus Luss. On a conseillé de mêler à la boisson un amer, une substance nauséabonde telle que l'assa fœtida ou de la téré
des habitudes mauvaises et des vices, dans la lutte contre l'usage de substances délétères et, partant, contre les dégénérescences
erve le moindre souvenir, et cela, rien que par l'action de certaines substances agissant à distance sur les mêmes sujets hypnotis
Nous la voyons s.-propager le long de certains objets ou de certaines substances servant à . conducteurs. Nous la voyons encore pa
sateur dans celui du sujet intermédiaire (homme ou animal) ou dans la substance d'un objet quelconque. Ces corps intermédiaires
blication du livre de MM. Bourru et Burot sur l'action à distance des substances toxiques et médicamenteuses, a appelé, sur cette
sont relatives à l'action rayonnante qu'exercent à distance certaines substances chez les sujets hypnotisés. Nos deux éminents c
esthésic qu'ils deviennent impressionnables, en présence de certaines substances toxiques ou médicamenteuses tenues â distance, et
pour vérifier les résultats les uns par les autres, qu en présence de substances similaires j'ai obtenu des résultats similaires,
n sujet hypnotisé, suivant qu'on le met en présence de telle ou telle substance dont il ignore absolument la nature et les effets
ns produites sur l'organisme hypnotisé par les actions à distance des substances stimulatrices se présentent sous deux modalités b
tion du sujet, suivant son impressionnabilité intime, la nature de la substance employée, les phénomènes réactionnels évoluent en
que la susceptibilité du sujet est plus exaltée ou que l'action de la substance employée a un lieu d'élection différent, le sujet
gie, après avoir disposé et numéroté les tubes de verre contenant les substances actives à l'insu du sujet, on les place tout d'ab
arrivent immédiatement à leur maximum d'effet, tantôt l'action de la substance stimulatrice est lente à déterminer ses réactions
hez les sujets dédoublés, elles sont souvent unilatérales, et la même substance qui. du côté droit, détermine un état de souffran
'une grande intensité. Ainsi, sous l'action à distance de certaines substances , on voit incontinent les régions thyroïdienne et
hlorhydrate de morphine à la dose de 2 centigrammes, comme toutes les substances employées, mises en présence de sujets dédoublés,
er le tube ailleurs et à changer le champ d'action périphérique de la substance stimulatrice ? c'est un tout autre tableau qui va
escription détaillée des effets produits par un grand nombre d'autres substances appartenant soit au règne végétal, soit au règne
tention les réactions émotives produites sur l'organisme par quelques substances bien nettement déterminées, et qui ont une action
xpérimentale ne sont, comme les précédentes expériences avec d'autres substances , que (t)Dans la plupart des expériences, le suj
, une période de saturation et une période de décours, suivant que la substance alcoolique qui les a provoquées est présente ou a
ition naturelle, soit par le fait de spécialité d'action de certaines substances qui agissent principalement sur les régions intel
eur, à la tournure de ses désirs, et surtout, suivant la nature de la substance stimulatrice. exprimer avec une allure et une fra
dans ses lignes principales. Inversement, sous l'influence d'autres substances stimulatrices, le haschich, entre autres, ce sont
Dans d'autres circonstances, suivant qu'on a mis en œuvre d'autres substances , c'est tout un nouvel ordre d'émotions qui sont s
emblables chez les mêmes sujets, en employant, comme je l'ai dit, des substances semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en
nces semblables. Mais il ne faudrait pas cependant en conclure Qu'une substance quelconque, qui a sollicité chez un sujet des scè
rticules de limaille de fer agglomérées dans sa sphère d'action. La substance stimulatrice incluse dans le tube est le souffle
et par étapes vers le réveil, en ayant bien soin, quand il s'agit de substances simulatrices employées comme agent d'excitation,
ur s'opérer d'eux-mêmes, afin que l'action simulatrice propre à telle substance soit complètement éteinte. On s'assure de ce fait
arche régulière des étapes normales. Le sujet, par la privation de la substance stimulatrice, est retombé d'emblée en période lét
out nouveau de questions médico-légales qui, à propos de l'action des substances médicamenteuses et toxiques, vient tout d'un coup
ci la question nouvelle qui se pose : On peut donc, à l'aide de ces substances , qui agissent d'une façon purement physique, prod
e si vaste des maladies du système nerveux. L'ACTION A DISTANCE DES SUBSTANCES TOXIQUES ET MEDICAMENTEUSES RESULTATS PRATIQUES
re métallique. Dans les eaux minérales, les doses pondérables de la substance médicamenteuse sont hors de toute proportion avec
cérine absorbée et retenue par une poudre inerte. La proportion de la substance active varie en général de 5o à 75 pour 100. Cell
ue extérieure. « Je fus frappé de la ressemblance d'action de cette substance avec le nitrite d'amyle, et je songeai à l'employ
s d'apprécier sans danger l'impressionnabilité de certains sujets aux substances médicamenteuses et toxiques. Quand on voit la gra
; Apprécier sans danger l'impressionnabilité individuelle aux mêmes substances ; Codifier l'action, jusqu'ici empirique, de la
remier coup que nos sujets atteignent leur maximum de sensibilité aux substances présentées à l'extérieur. La plupart des critiq
qu'il y ait eu suggestion. Impossible est la suggestion, quand une substance inodore, inconnue du sujet, de l'expérimentateur,
s un flacon pour un autre. Impossible encore, quand il approche une substance dont les effets physiologiques sont inconnus !
uggestion écartée, force est donc d'admettre une action directe de la substance sur l'organisme, quelque chose comme une vibratio
érie médicamenteuse et toxique. Or, un médicament, un poison, est une substance qui a une influence intime et spéciale sur l'orga
ce qui a une influence intime et spéciale sur l'organisme vivant, une substance qui. diluée dans la masse du sang, emportée par l
a porter son action bienfaisante ou meurtrière. Ce sont justement ces substances qui, dans nos expériences, se sont montrées activ
cusant aussitôt par une contraction dite réflexe. S'il s'agit d'une substance ayant la propriété d'impressionner spécialement l
'organisme vivant, la vibration, le mouvement intime partant de cette substance se transmet encore par le nerf sensible; mais ici
intervient l'impression spéciale d'un organe déterminé pour lequel la substance se trouve avoir de l'affinité, et le mouvement ré
udorales, si c'est un sudorifique, et ainsi des autres. Pour d'autres substances , l'impression se transmet aux organes de l'intell
En résumé, dans cas actions de contact extérieur ou de voisinage, les substances qui ont, pour certaines parties de l'organisme vi
conséquences et des cas particuliers. Mais, de même que toutes les substances ne sont pas actives, tous les organismes ne sont
rations expérimentales sur l'action a distance des médicaments et des substances toxiques. Les expériences ont pleinement réussi.
S A LA REVUE De la suggestion mentale et de l'action à distance des substances toxiques et médicamenteuses, par MM. les professe
ne sont pas plus considérables que ceux qui résultent de l'emploi des substances médicamenteuses toxiques. On peut faire de l'hypn
la Charité, une série de démons-trations sur l'action 4 distance des substances toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de m
d'hypnotisme. Etudes de psychologie expérimentale faites à l'aide de substances médicamenteuses ou toxiques. (Encéphale, sept., o
i même déposé l'émétique directement sur la nuque, j'ai laissé chaque substance pendant près d'une demi-heure. Rien ne s'est prod
ante : J'avais fait préparer par M. Gault. pharmacien à Narcy, huit substances contenues dans des flacons fermés par un simple b
contenues dans des flacons fermés par un simple bouchon de liège; ces substances étaient: l'émetique. 0.10 en dissolution : l'eau
ool à 95V et la scammonèe, o.5o avec f gramme de sucre de lait. — Ces substances furent préparées par M. Gault ên mon absence : ch
une enveloppe cachetée, M. Gault inscrivit sûr un billet le nom de la substance correspondant à chaque numéro. Les flacons, enfer
qu'au moment de l'expérience. Nous ignorions ainsi !a nature de la substance expérimentée, et ce n'est qu'après toutes les exp
vrir l'enveloppe et inscrire à côté de chaque expérience le nom do la substance expérimentée. Ainsi fut fait. Mlle Joséphine D.
c; la scammonée seule tombe juste en produisant des coliques. Sur 7 substances expérimentées, le sujet a accusé des troubles div
coïncidence entre l'auto-suggestion du sujet et l'action réelle de la substance ? Y a-t-il eu de la part de l'opérateur trahison
une tierce personne qui n'assistera pas à l'expérience, une série de substances à actions nettement définies dans des flacons por
portant des numéros. 2° Mettre sous enveloppe cachetée les noms des substances correspondant à chaque numéro. 3° Chez les suje
ujets déjà soumis à ces expériences, employer autant que possible des substances n'ayant pas été expérimentées chez eux pour évite
ces conditions, les phénomènes observés concordent avec l'action des substances expérimentées, il faudra bien admettre qu'il y a
de veille auraient une aptitude singulière à être influencés par une substance contenue dans un flacon placé à côté d'eux et don
eux et dont ils ignorent le contenu, comme s'ils avaient ingéré cette substance . J'avoue n'avoir jamais réussi cette expérience
on veut obtenir d'eux. Sachant qu'ils doivent ressentir l'effet d'une substance contenue dans un flacon, ils commencent par se su
um, émétique, valériane, etc. Si parmi les assistants, connaissant la substance en question, il en est qui, frappés par ces premi
lages de ces 17 couches superposées. A l'état de ramollissement, la substance cérébrale est en effet devenue tellement maniable
conditions climatériques moins inclémentes. Pour les déperditions de substance , la réparation, également, est moins rapide. Se
t variables, ne sauraient donner par eux-mêmes les idées de cause, de substance , ni aucun des principes fondamentaux de la scienc
suivies bientôt du rejet d'une gorgée de liquide. Or, quelle était la substance médicamenteuse renier- mec dans ledit tube, à
a exactement les bases. Il fut en outre décidé que la préparation des substances médicamenteuses employées serait confiée à une pe
'y pouvait trouver de différence. Six autres tubes renfermaient des substances à l'état de poudre; ils étaient enveloppés de pap
sa communication M. Luys affirmait qu'il avait obtenu avec les mêmes substances médicamenteuses des résultats sensiblement simila
oordonnés, et les manifestations ne sont nullement en rapport avec la substance mise en expérience. Mais ce qui montre encore m
nge mobilité et l'extrême incertitude des phénomènes produits par les substances médicamenteuses placées à distance, c'est que la
les substances médicamenteuses placées à distance, c'est que la même substance amène chez le même sujet des phénomènes absolumen
ces de la fantaisie et du souvenir du sujet mis en expérience que des substances médicamenteuses renfermées dans les tubes employé
ffets constatés par la commission n'est en rapport avec la nature des substances mises en expérience et que, par conséquent, ni la
ndance contractée par habitude que présentent certaines parties de la substance grise à fonctionner de la même façon lorsqu'elles
de jeu, en punissant l'ivresse publique, en réglementant la vente des substances médicamenteuses et toxiques, de même leurs convic
Supposez qu'un explorateur revienne de l'Afrique centrale avec une substance mystérieuse et puissante qui priverait l'homme de
e démonstrations publiques; il ferait même des distributions de cette substance étrange, si bien qu'en sortant des représentation
vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrait bientôt, car cette substance serait à certains égards plus dangereuse que plus
es à des conditions précises? Supposez ensuite qu'il s'agisse d'une substance parfaitement connue et déterminée, soit le chloro
qui punit l'ivresse publique, qui réglemente l'usage et le débit des substances toxiques et médicamenteuses, qui détermine les co
ns le somnambulisme provoque, par Mesnet, 33. Action h distance des substances toxiques et medicamenteuses, par Bourru et Bu
45 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
La plupart sont mal formés, méconnaissables. Dans l'épaisseur de la substance corticale sclé- rosée, existent quelques corps
sont très petites, aplaties, tassées contre la paroi alvéolaire. La substance colloïde, plus abondante que d'habitude, se col
; il n'y a pas trace de chromatolyse. Rien à signaler du côté de la substance blanche. Les vaisseaux sont normaux. Enfin, pas
la poliomyélite antérieure chronique. Les cornes antérieures de la substance grise ont leur forme et leurs dimensions habitu
est de même pour le reste de la subs tance grise. Les fibres de la substance blanche, la pie-mère, le tissu conjonc- tif et
e avec les altérations des autres couches de l'écorce. En effet, la substance blanche qui se trouve à l'intérieur des lames e
la toison ne se distingue pas, par sa coloration plus foncée, de la substance blanche centrale du cervelet, comme dans les coup
, en arrière de ces noyaux, l'entrecroisement des noyaux du toit. Substance blanche centrale des hémisphères ; elle n'est pas
res exter- nes sont abondantes, se détachent bien sur le fond de la substance blanche centrale et on peut très bien les suivr
en coloré sur toute la hauteur de la protu- bérance et du bulbe. La substance réticulée de la calotte, la substance grise de
rotu- bérance et du bulbe. La substance réticulée de la calotte, la substance grise de la protubérance nous ont paru aussi co
ervé trace de multiplication nucléaire ni de sclérose, tant dans la substance grise que dans la blanche du bulbe et de la protu
oins nombreuses cellules de Purkinje. On peut encore ajouter que la substance grise seule présente des lésions d'a- trophie ;
fait légère du réseau myéliniquede la cou- che des grains et de la substance blanche placée au milieu des lamelles. La subst
grains et de la substance blanche placée au milieu des lamelles. La substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris cen
lleux moyen, du corps restiforme, à l'atrophie très prononcée de la substance grise du pont, de l'olive bul- baire et à une a
Clarke, des faisceaux de Gowers. A part déjà que dans notre cas la substance centrale du cervelet et les fibres arciformes e
trent comme le même processus morbide peut envahir en même temps la substance grise de l'écorce, du pont et des olives infé-
és, par le fait que l'atrophie se limite presque exclusivement à la substance grise de l'écorce, le noyau du pont, les olives
inution de nombre des cellules de Purkinje, à des altérations de la substance chromatique et des noyaux des cellules de Purkinj
cérébelleux dépendant de lésions primitives parenchymateuses de la substance grise de l'écorce cérébelleuse de même ordre qu
e du cervelet. Dans ces cas il n'existait pas de dégénération de la substance blanche malgré les lésions prononcées des cellu
urkinje. Même contraste particulier se retrouve dans notre cas : la substance blanche à l'intérieur des lamelles et des lames
reuse du cervelet on a signalé aussi cette intégrité relative de la substance blan- che contrastant avec les lésions fortes d
de la substance blan- che contrastant avec les lésions fortes de la substance grise de l'écorce. On peut toujours objecter qu
it pu avoir un aspect nor- mal, sans dégénération ni sclérose de la substance même, bien que celle-ci soit atrophiée, réduite
d'un processus inflammatoire aigu, systématisé et localisé dans la substance grise antérieure de la moelle,-il concluai t que
ARAPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE 133 la substance grise des circonvolutions motrices. D'où le nom d
e le même agent (peut-être infectieux), se localise -tantôt dans la substance grise de la corticalité motrice, tantôt dans la
t dans la substance grise de la corticalité motrice, tantôt dans la substance grise antérieure de la moelle. La preuve que
dans la substance grise antérieure de la moelle. La preuve que la substance grise de la zone motrice de l'encéphale est le
l'autre de ces deux affections d'une lésion pure et primitive de la substance grise de la corticalité motrice ou des cornes a
vasculaire, nul- lement systématisées, pouvant intéresser aussi la substance blanche. Contre la conception de Strümpell de l
poliencéphalite, en tant que processus anatomique systématisé à la substance grise, engendrant l'hé- miplégie cérébrale infa
que presque toujours ces lésions n'étaient pas sys- tématisées à la substance grise, mais qu'elles intéressaient aussi plus ou
substance grise, mais qu'elles intéressaient aussi plus ou moins la substance blanche. Même, l'hémiplégie cérébrale infantile p
légie cérébrale infantile pouvait être due à un foyer situé dans la substance blanche sous-corticale et même plus bas, au niv
motrice, mais que les cornes postérieures, la colonne de Clarhe, la substance grise autour du canal central, la substance blanc
a colonne de Clarhe, la substance grise autour du canal central, la substance blanche des cor- dons antéro-latéraux pouvaient
un deuxième travail, rejette l'idée d'une atteinte exclusive de la substance grise de la corticalité motrice et admet que le
et admet que le foyer inflammatoire peut aussi se localiser dans la substance blanche et dans d'autres régions du cerveau. Il
le, survenant par foyers. Si cette myélite atteint de préférence la substance grise des cornes antérieures, elle peut aussi p
rieures, elle peut aussi porter sur les cornes postérieures, sur la substance blanche de la moelle. (1) RoGER et Damaschino,
eure de Wernicke n'est pas une affection exclusivement limitée à la substance grise, que bien souvent la substance blanche pa
ion exclusivement limitée à la substance grise, que bien souvent la substance blanche participe au processus, parfois même d'un
où siègent ces centres ? Vraisemblablement dans la moelle, dans la substance grise, au voisinage des centres trophiques des mu
; les méninges ne sont pas épaissies et ne sont pas adhérentes à la substance cérébrale. Au niveau de la base du cerveau, on
llé interne presque en totalité. En dedans ce foyer s'étend dans la substance réticulée de la calotte dans il détruit une grand
en grande partie. La lésion détruit encore une grande partie de la substance réticulée de la calotte et pénètre en dedans entr
faite de sa portion la plus interne) et la région avoisinante de la substance réticulée. Elle s'avance en avant et en dedans
n (moins sa portion la plus interna) et la partie avoisinante de la substance réticulée de la calotte Sur la coupe représentée
l médian (moins sa portion tout interne) et une grande partie de la substance grise réticulée déjà calotte. En plus il pousse u
, le ruban de Reil médian (moins sa portion la plus interne), et la substance réticulée 'avoisinante de la calotte ; puis s'a
(fig. 3 et 4) une cavité allongée formée par une perte complète de substance et que l'étude histologique nous permet de cons
ban de Reil médian en presque totalité et la partie adjacente de la substance réticulée de la calotte. En dedans, il pousse u
uge étaient conservées) et une destruction d'une grande partie delà substance réticulée. On sait en effet, que dans les cas d
de Reil médian. ni. - - latéral. RTh. Radiations optiques. SgR. Substance gélatineuse de Rolando. SRa (Rm). Formation rét
e ruptures des vaisseaux et des hémorragies, pas de lésions dans la substance grise et les racines, pas d'altérations dans le
foyers nécrotiques multiples, des espaces vides disséminés dans la substance grise et blanche, dus à la résorption des élément
ro-tatéraux qui nais- sent du réseau périphérique pénètrent dans la substance blanche, y aban- donnent des branches collatéra
llatérales et vont se terminer dans les zones péri- phériques de la substance grise (1). Eh bien ! certains foyers nécrotiques
EN, Anatomie du système nerveux de l'homme. 212 ZOGRAPIDI Dans la substance grise on constate de petits foyers hémorragiques
substance grise on constate de petits foyers hémorragiques dans la substance même. Les cellules des cornes antérieures présent
supérieurs et l'absence des réflexes tendineux. Les vaisseaux de la substance grise et blanche sont dilatés, congestion- nés,
e leucocytes. Autour d'eux, dans les gaines lymphatiques et dans la substance voisine, on voit des leucocytes et des éléments
particulier. Ajoutons aussi que dans ""les parties nécrosées de la substance blanche on voitça et là de petits amas de globu
lieu d'être droit, à cause des pressions et de la résorption de la substance altérée, a une forme serpentine ; la partie pos
ensité et d'étendue, mais leur nature est toujours la même. Dans la substance grise on constate une prolifération des éléments
t des éléments névrogliques et des leucocytes en abondance. Dans la substance blanche on constate une destruction générale du t
he on constate une destruction générale du tissu. Une bandelette de substance blanche des cordons fondamentaux antéro- latéra
raphie vasculaire, des espaces vides à cause de la résorption de la substance altérée. Dans 4 cas sur 6 cas j'ai constaté les
es dilatations énormes, de vrais ané- vrysmes des vaisseaux dans la substance même. Les lésions anatomiques et les symptômes
très congestionné. Les reins pèsent 130 grammes, sont plutôt pâles, substances médullaire et corticale peu différenciées ; se
ules sont tapissées de cellules épithéliales normales et pleines de substance colloïde, parfois il y a prolifération de cellule
ns tous les climats et pour toules les races humaines il existe des substances , empruntées au règne végétal le plus souvent, à l
respiratoires que le plus souvent l'absorption se fait. L'emploi de substances chimiques et des voies hypodermiques est tout m
issures nombreuses, fron- tales et occipitales, se sont fermées, la substance blanche s'est tassée en augmentant la surface d
st normal au carrefour. Fig. 2. Vaisseaux faisant empreinte dans la substance cérébrale. Fig. 3. - Coupe du ventricule droit.
ts apparaissent de fines vacuoles et de petites hémorragies dans la substance blanche semée « d'araignées gonflées ». La répart
large zone d'araignées gonflées, semées très régulièrement dans la substance blanche. l'ig. 4. - Coupe 315. Fig. 5. Coupe
émianopsie fut donc en effet à distance. Ces lésions diffuses de la substance blanche méritent d'autant plus d'être relevées,
ont généralement bien conservées à droite et à gauche. Celles de la substance blanche sont gonflées et souvent variqueuses. L
fique, de dimensions relativement petites, mais péné- trant dans la substance blanche a produit des lésions dans tout l'encé-
ent évidemment du côté du néoplasme; elles concernent avant tout la substance blanche, beaucoup moins l'écorce et les masses
2° Il faut surtout se souvenir que tout néoplasme pénétrant dans la substance blanche produit des dérangements graves dans la c
i- quer avec le IVe ventricule et s'être développé aux dépens de la substance cérébelleuse ; en effet les bords en sont absol
les deux membres inférieurs. L'amoindrissement porte sur les deux substances de la moelle, mais surtout sur la substance gri
ent porte sur les deux substances de la moelle, mais surtout sur la substance grise. A un fort grossissement, on ne remarque
, il nous paraît qu'il s'agit surtout d'une atrophie en masse de la substance grise, sans pouvoir affirmer qu'il n'y ait pas
ui a fait nier par Weigert leur pré- sence dans cette zone. Dans la substance blanche il y a de gros aslrocytes, tout le mond
aractères distinctifs. Le travail de sclérose peut s'opérer dans la substance blanche, dans la couche des grains, dans la cou
e son épaisseur et s'étend de la zone des cellules de Purkinje à la substance blanche. Il est particulièrement intéressant de
en né- vroglie que Weigert l'en a considérée comme dépourvue. La substance blanche présente à considérer des lésions banales
ce qui reviendrait logiquement à un îlot de sclérose sénile dans la substance blanche, c'est qu'il nous a paru doublement instr
qu'il nous a paru doublement instructif. En effet la sclérose de la substance blanche qui s'y observe est parfaitement compar
très ancienne de sclérose tubéreuse dans la- quelle l'aspect de la substance blanche sclérosée est seul à ressembler à ce qu
. La lacune qui se forme au niveau de la couche des grains et de la substance blanche n'est que le résultat de NOUVELLE Icono
es sont situées, fré- quemment au fond des sillons, souvent dans la substance blanche autour du noyau dentelé. Ce sont les zo
u névroglique est particulièrement dense ; la zone des grains et la substance blanche se recon- ' (1) W c.noE, Société de Bio
plus comme un petit pois, sont irrégulièrement disséminées dans la substance blan- che des deux hémisphères et dans les noya
ito-frontal. Dans les noyaux gris centraux, elles siè- gent dans la substance grise du noyau lenticulaire et du thalamus, respe
est, dans la moelle, à peine touchée ; on trouve des lésions de la substance blan- che, légères, diffuses, analogues à celle
s n'avons pas constaté de processus de thrombose ni d'hémorragie. Substance grise. - Elle est parfaitement normale à la moell
chromatophiles, quelques-unes sans noyau. A la moelle lombaire, la substance grise est normale. ' Les cellules nerveuses des
inale que sur le compte de l'âge assez avancé du malade (61 ans). Substance blanche. - D'une manière générale, on peut dire q
versée; quelques vésicules dans la région hilaire contenaient de la substance colloïde. Le cas rapporté par Cesaris Demel nou
r que cette repullulation des extrémités, à la suite d'une perte de substance , était 1 conforme aux lois ordinaires de la nut
dans celle-ci où on note à la vue une dimi- nution de volume de la substance grise de la portion cervicale, que dans le cerv
ale in- férieure une diminution de volume d'environ un tiers, de la substance grise par rapport au côté sain. Sur les coupe
ie, on trouva un foyer de ramollissement très étendu, avec perte de substance sur le lobe temporo-occipital, formant une cavi
rapprocher de celui publié par Touche (1) qui observa une perte de substance du lobe pariélo-occiplial droit, due à l'oblité
de la scissure interbémisphénque ; au niveau de cette scissure, la substance céré- brale est complètement absente dans les d
be sphénoïdal, extrêmement aminci, il est réduit une simple lame de substance cérébrale épaisse de 2 centimètres environ et l
SI¡GLAS ET ANDRÉ BARBÉ spongieux, est circonscrite au niveau de la substance cérébrale à laquelle elle adhère par une petite
ci il semble que, par suite de l'absence plus complète de certaines substances , l'élaboration de cette lymphe est plus défectu
ion grave, irrémédiable, mais à un état irritatif particulier de la substance LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 469 ner
n individu soumis à la narcose géné- rale chloroformique ou d'autre substance anesthésique. ' L'art de la peinture nous a lai
46 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le broie. Si l'engrenage pèche, la mouture s'en ressentira. Quelque substance qu'on emploie, elle sera inégale, grossière. Da
ns ses fonctions par' les éléments étrangers plus qu'altéré dans sa substance , les guérisons ne sont pas rares. On a vu, sous
fibres des cordons postérieurs jouent le rôle de commis- sures ; la substance grise est l'intermédiaire obligé entre ces comm
roprement parler l'axe conduc- teur ; 3° certaines parties de cette substance grise (cornes posté- rieures, surtout la base d
i qu'on pouvait tirer des colorations imprimées par le liquide à la substance cérébrale en vue de déterminer la direction des
quelques semaines. dans le bichromate en solution concentrée, la substance du centre ovale qui, à la coupe, est uniformément
é est assez prononcée pour rappeler, à s'y méprendre, celle de la substance grise des noyaux centraux ou des circonvolutions,
n que au premier aspect, on pourrait penser qu'on a affaire à de la substance grise plus ou moins diffuse dans le centre oval
itoire cortical préposé aux perceptions : ou bien il existe dans la substance grise, des centres corticaux isolés, destinés c
d'autres, comme Goltz, croient à l'homogénéité fonctionnelle de la substance grise. L'année dernière, au Congrès médical int
ces recherches, pratiquées à Solnveizerhof, ontportésur toutes les substance ? ., sur tous les groupes chimiques que cette h
ue collapsus, pouls filiforme (impureté de la préparation ? ) Cette substance ne s'accumule pas ; la durée de ses effets n'a
térieure). LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES. 215 de substance à surface irrégulière mais non rugueuse, forme
et en haut tout près de la crête innominée, il existe une perte de substance d'un centimètre carré environ comprenant toute
âne pour en extraire des esquilles, des cheveux et des fragments de substance cérébrale ; puis il ramena l'oeil en place et l
re et non nécessaire. Pour le prouver, il a observé que certaines substances donnent des convulsions épileptiques en agissan
, les autres directement sur la moelle sans qu'il soit besoin de la substance corticale. - C'est ainsi qu'avec la cinchonidin
hez les volatiles, on applique les pôles d'un courant induit sur la substance corticale de la partie postérieure des hémisphè
ues, mais celles-ci ne méritent pas de la faire préférer à d'autres substances d'action analogue, si l'on considère les accide
par la pie-mère ; disparition absolue en cette circonvolution de la substance blanche. 11 s'agit par conséquent d'une lésion
dans les cas connus jusqu'à ce jour, on avait toujours trouvé la substance blanche concurremment lésée. Aux questions que lu
e mode d'en- trecroisement des fibres nerveuses; malheureusement la substance blanche du cerveau ivait été trop maltraitée pa
nt à l'h,tllu- cination (processus hallucinatoire). On en trouve la substance dans le Jahrbûcher fier Psychiatrie (III, 2 '.)
étaient absolument normales au point de vue de leun.rapport avec la substance médullaire et du nombre de leurs fibrilles, i,
n en fuseau de la moelle; la couche superficielle était composée de substance médullaire qui se confondait, et 'se,con tir nu
coupe transversale pratiquée au milieu de la tumeur/ on voyait une substance néoplasique, blanche, durcj'circulaire;1 qui se
;1 qui se distinguait par un contour très accentué du reste de- là' substance médullaire normale. C'était donc cette néoplasi
et accroissement de volume était dû, à une simple hyperptasie de la substance grise. Ce .n'est que plus bas (Fin. 2) que cett
. 4) et conti- inivîf 1.1 -171^1.111 m . i'i ? tij" m 1 ii , sur la substance grise, n^it^.enipiétjer de pb|s en plusçp dedan
a substance grise, n^it^.enipiétjer de pb|s en plusçp dedans sur la substance grise, en dehors, vers le bord de la' moelle.'
le.' Enfin ne' trouvant plus assez 4 ? ilP'ftrfîiien'riP ces £ 4eux substances , elle les refoulait complètement li e rs iiites
? ule sotait dé'lâ'snlistance grise, en bas, elle pénétrait dans la substance médullaire en comprimant ses ? >"n«'.i"1, t'i,
n bleu la subs- tance grise, (les fibres radiées qui traversent la' substance blanche' ainsi que les vaisseaux, et le tissu c
tissu conjonctif de la moelle ? J0'" 1 t Sur la coupe je trouvai la substance grise, 'lés' rayons blancs' ainsi que le tissu
rayons blancs' ainsi que le tissu de la tumeur colorés en bleu, la substance blanche seule avait la couleur violette. Lii'fi
su conjonctif, de la subs-' tance grise et des stries radiées de la substance blanche par le violet' j- ' ,. '" '' 'I ' U l i
organique. Les modifications que. la tumeur avait 'fait subir à la" substance blanche, et, grise de la,moelle érïmrôi nanié e
5). Tout ce que la tumeur, par son envahisse- ment, avait laissé de substance blanche et grise, était contenu dans cette faux
fraction minime le tissu médullaire par la compression. Les deux substances avaient en même temps souffert de cette réducti
substances avaient en même temps souffert de cette réduction. De la substance blanche c'est le cordon latéral qui avait le pl
om- parative de ces cordons des deux côtés de la moelle épinière. Substance blanche. (PL. V, i,g. 5.) * 1° Cordons antérieu
comparatif suivant donnera une idée' des perturba- tions que cette substance avait subies. . , Il . 1 il .1 i i /u- 1 - 1 Su
ns que cette substance avait subies. . , Il . 1 il .1 i i /u- 1 - 1 Substance grise (PL. V,t fi; 5); .1 1 . .1 l, ji 330 RECU
de la moitié' droite de; la moelle. ! ' i Les modifications de la substance grise étaient encore bien plus curieuses que ce
substance grise étaient encore bien plus curieuses que celles de la substance blanche. J ) Dans les conditions normales les f
ieur et s'entrecroisent ! entre elles. - j ' ' Dans notre cas, la substance grise s'était transformée,' sous l'in-, fluence
al suit la même direc- tion que celui des fibres transformées de la substance grise et dont les noyaux ont, sans exception, l
e des rapports de la force à la masse souffre une exception pour la substance des ganglions. A cette exception nous pouvons e
stingue celles dont les éléments cellulaires; liés'cntr'eux par une substance interstitielle, se rapprochent le plus du tissu
ni des vaisseaux, mais très vraisemblablementde la névroglie de la substance grise. La .tumour,sne tenait à la,pie- mère que
glie.. - - t, I m. <) ' t Il Quand un .vrai sarcome surgit de la substance grise,, si riche en névroglie, cette/ névroglie
'ai très minutieusement décrite plus haut, prouveque cette dernière substance appartient au tissu conjonc- tif. En effet le v
t au tissu conjonc- tif. En effet le violet de gentiane a coloré la substance blan- che,,en,violet,tle tissu.du sarcome et la
coloré la substance blan- che,,en,violet,tle tissu.du sarcome et la substance grise, en bleu.t" , , résulte donc que la név
mme » '.publié récemment, j'ai fait constater que les travées de la substance blanche accompagnent les plus grandes ramificat
les plus grandes ramifications des vaisseaux de la moelle etque la substance grise est le siège des capillaires. Or, les tra
posées], de tissu conjonctif .ordinaire fibrillaires, tandis que la substance grise contient , surtout des névro- glies. Il
ui accompagne les gros vaisseaux, et, 2° une espèce particulière de substance do soutien dans le domaine des capillaires, c'e
des autppsies ; le dessèchement des tissus'et en particulier delà substance nerveuse (Ranke 3) peut le mieux expliquer les ph
inière c'est-à-dire des vaisseaux artériels qui pénètrent dans la substance nerveuse : nous signalions pour la première fois,
; nous indiquions la configuration des réseaux capillaires dans la substance grise et dans la substance blanche. Tels sont s
guration des réseaux capillaires dans la substance grise et dans la substance blanche. Tels sont sommairement les résultats p
aspect général de l'appareil vasculaire est le suivant : 1° dans la substance blanche, les rameaux artériels ou veineux, sur
, (voy. IP2*.q. II, IV et F de l'auteur).- L'as- pect général de la substance grise est le suivant. Sur des coupes horizontal
vre en vaisseaux ; ils sont parallèles à ses faisceaux nerveux ; la substance gélatineuse centrale en est tout à fait dépourv
eler que la richesse et la disposition' générale de ce réseau de la substance grise avait déjà été signalée par nous lorsque
diculaires postérieures. La corne postérieure offre au niveau de sa substance gélatineuse un beau réseau capillaire allongé d
l. Adamkiewicz. Mais poursuivons l'étude du réseau capillaire de la substance grise. Sur des coupes sagittales passant par la
ire de la substance grise. Sur des coupes sagittales passant par la substance grise des cornes postérieures on voit facilemen
ra- versent chaque moitié de la commissure pour se rendre dans la substance grise, iisparcourent une sorte de canal, où leurs
commissurales et vont par le trajet le plus court se jeter dans la substance grise de cette colonne qu'elles rem- plissent d
re sulco-commissurale montent et des- cendent verticalement dans la substance grise de la moelle de chaque côté du canal cent
des coupes vertico-sagittales (antéro-postérieures), faites dans la substance grise à quelque distance du canal central. (Voy
se dirige directement en avant, récurrente pour ainsi dire, vers la substance grise des cornes antérieures, où elle se distri
e d'anatomie. 363 rend dans un point diamétralement opposé, dans la substance grise des cornes postérieures ; la troisième br
veines terminales convergentes qui viennent des capillaires de la substance grise. Le deuxième système des vaisseaux de la
es moyennes sont surtout destinées à la corno postérieure et à la substance gélatineuse. Les artères externes passent entre l
ous avons aussi indiqué la disposition du réseau vasculaire dans la substance blanche : « Les capillaires des cordons blancs
s le second, par extension de la suppuration et destruction de la substance cérébrale. Dans l'abcès aigu, la maladie évolue
de l'écorce, prolifération nucléaire de l'épendyme, intégrité de la substance blanche. Les deux autres néoplasmes, du volume
TALE. 387 Les quatre seringues représentent 80 centigrammes de la substance active, équivalent à lui, et 5 grammes de quinine
47 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s puissantes, si puissantes même qu'ils proposent de désigner cette substance sous le nom d'Hypnone, terme qui rappellerait e
avail, indiquer les résultats que nous a donnés l'emploi de cette substance chez l'aliéné agité et atteint d'insomnie. Quel
lle était administrée l'acétophénone; nous l'obtenions, que cette substance ait été introduite dans l'économie par le systè
raduit par la vacuité des vaisseaux sanguins et par la pâleur des substances blanches et grises, et qui tranche ainsi nettem
tophénone du côté des autres organes, prouve évi- demment que cette substance a une action toute particulière et primordiale
use plus impressionnable à l'action de l'acétophénone et cjàe cette substance produise dans ces conditions un véritable somme
c à rechercher si, chez l'homme malade et atteint d'insomnie, cette substance peut produire le sommeil; d'ailleurs, nous l'av
dans le domaine pathologique et étudié l'influence qu'exerce cette substance chez l'aliéné atteint d'in- 6 THÉRAPEUT1QUE.
succombait à l'injection sous-cutanée de 50 cen- tigrammes de cette substance , administraient celle-ci à l'homme à la dose de
l'action de l'acétophénone sur la nutrition nous a montré que cette substance , même administrée à des doses relativement' fai
'effet hyp- notique de l'acétophénone a été absolument nul. Cette substance n'a produit qu'un effet sédatif sur le sys- tèm
es, t. XIII. 2 18 THERAPEUTIQUE. DE L'ACÉTOPHÉNONE. pas que cette substance ait des propriétés hypnotiques directes et ils
ignement qui se dégage de tous les autres cas dans lesquels cette substance ne produit aucun effet de ce genre, ensei- gnem
dans beaucoup de cas, nous ont montré, sous l'in- fluence de cette substance , une diminution du chiffre de l'hémoglobine, ne
étés somnifères si puissantes qu'ils avaient cru trouver dans cette substance l'hypnotique par excellence, d'où le nom d'hypn
i entraînent après elles l'insomnie, et à cet égard peut-être cette substance mérite-t-elle d'être maintenue DE LA PYROMANIE.
ne pas être constante, n'en est pas moins assez générale, que cette substance exerce sur l'agitation musculaire. Dans la plup
èrement opalescente, cependant elle laisse voir par transparence la substance cérébrale étalée et lisse, comme turgescente pr
530 grammes. 56 RECUEIL DE FAITS. La pie-mère est adhérente à la substance corticale sur les deux tiers antérieurs des hém
us généralisées, la pie-mère entraîne avec elle une mince couche de substance grise, moins épaisse à la vérité que dans les c
au grand axe sur chaque hémis- phère permettent de constater que la substance grise des circon- volutions est bien développée
parations par des trainées de granulations jaunes réfrin- gentes de substance graisseuse ; tous sont vides de globules san- g
abondance de corps granuleux de toutes dimensions, indiquant que la substance cérébrale a subi un commencementderégression. D
ance cérébrale a subi un commencementderégression. Des fragments de substance cérébrale empruntés à la troisième frontale et
uves IDIOTIE AVEC HYPERTROPHIE DU CERVEAU. 57 photographiques, la substance est devenue extrêmement dure et très friable, e
m'a paru d'une évidence incontestable dans mes prépara- tions. La substance grise a pris sous l'influence du carmin une color
nt. On ne les rencontre qu'à la région moyenne. Tout le reste de la substance grise est occupé par des myélocites très abonda
rares noyaux. Enfin, on ren- contre, principalement aux confinsdes substances griseetbianche, une grande quantité de cellules
dire la rareté des circonvolutions, et l'énorme hypertrophie de la substance ner- veuse, surtout dans les lobes frontaux et
à la fois un arrêt de développement des éléments cellulaires de la substance grise, c'est-à-dire les caractères de l'idiotie
t surtout très marqué sur le tiers antérieur des faces externes; la substance corticale est plus colorée qu'à l'état normal,
nes; la substance corticale est plus colorée qu'à l'état normal, la substance blanche est très injectée; les rapports d'épais
substance blanche est très injectée; les rapports d'épaisseur de la substance corticale à la substance blanche sont les mêmes
injectée; les rapports d'épaisseur de la substance corticale à la substance blanche sont les mêmes qu'à l'état normal; pas de
sont adhérentes et entraînent en plu- sieurs points des portions de substance corticale très ramollie. Presque partout la sub
s portions de substance corticale très ramollie. Presque partout la substance grise est plus colorée qu'à l'état normal : « l
ce surtout à la superficie des circonvolutions et la présence d'une substance floconneuse jaunâtre, analogue à celle déjà déc
dach donnent des fibres qui, en s'arquant légèrement, traversent la substance grise, s'en- trecroisent en avant du canal cerv
aires, les faisceaux des cordons postérieurs tracent ils travers la substance grise, sous le nom de fibres ara formes, des cerc
ive du même côté, mais sans entrer en rappoi t avec elle ni avec la substance réticulaire : dans les olives et autour d'elles,
uleuses sur le trajet des faisceaux de Gratiolet depuis la perte de substance ). En un mot, phénomènes tout-à-fait analogues à
- quer,' à la hauteur du tubercule quadrijumeau supérieur, sur la substance grise de la cavité encéphalo-médullaire, immédiat
conséquent du cordon central ; et se compose de fibres issues de la substance grise latérale du quatrième ventricule s'arquan
enticulaire forment un appareil continu ; dans les cas de pertes de substance congénitales et totales du cervelet, les giosse
erminer dans cette zone. . P. K. XIII. La réaction chimique DE la substance GRISE; par 0. LANGENDORFF (NeU2'01. Centrabl.,
soude (décomposition des com- posés phésphatiques organiques de la substance corticale). En tout cas, l'acidification représ
us non cadavérique mais biologique eu rapport avec l'activité de la substance grise au même titre que l'acide qui se forme qu
usé aucun phénomène en rapport avec l'action mé- dicamenteuse de la substance expérimentée; mais si, par hasard, je prononçai
lement insuf- fisance d'aliments et que l'aliéné consomme sa propre substance . - Dans maints cas, on maintiendra l'état des f
que les atrophies sus-indiquées ont déter- miné des déplacements de substance . L'énucléation des deux verte aux interprétatio
al et sa femme les observaient dans les plus petites choses. Aucune substance ni solide ni liquide n'était introduite dans le
rculation céré- brale ; les questions restées dans l'urne étaient : Substance grise de la moelle; Lobe cérébral antérieur. Qu
ériphérique, par voie centripète : dira-t-on, par exemple, que la substance grise de la moelle est le siège de la mémoire d
, avec la toile choroïdienne et les plexus choroïdes, sans léser la substance cérébrale à laquelle elle n'ad- hère pas; compr
des hémorrhagies nombreuses, des cellules rondes en abondance sans substance intermédiaire, des altéra- tions vasculaires (p
ération périphérique (pas de cellules granuleuses). Intégrité de la substance grise et de ses cellules. Hyperplasie interstit
e, absence de réflexe plantaire du même côté. Autopsie. Pertes de substance et épaississements ostéophy- tiques.du crâne, m
de verre. 11 devient possible, en marquant sur le crâne la perte de substance occasionnée par l'ablation du mor- ceau broyé p
iieidence nous parait seule évidente. Il semble plutôt que toute la substance soit atteinte en même temps. CH. F. XIII. Manue
plis de passage. A la coupe on constate de la fermeté notable de la substance cérébrale dans toute l'étendue. En pratiquant l
toute l'étendue. En pratiquant les coupes de Pitres on voit que la substance nerveuse est pâle dans tout son ensemble mais s
ptiques, intégrité des yeux, démence. Destruction des trousseaux de substance blanche qui contiennent les fibres de projectio
ement correspond à l'époque de l'ictus : il a dû commencer par la substance blanche, l'écorce s'étant longtemps après atrophi
de dégénérescence; atrophie extrême- ment faible à son début, de la substance blanche latérale du pulvinar et du corps genoui
zone marginale médiane et caudale, c'est-à-dire directement de la substance grise fondamentale (sens de Deiters) et indirecte
Deiters) et indirectement des cellules nerveuses ganglionnaires. La substance blanche zoniforme du pulvinar se compose mi-par
oportionnellement plus grand que chez les mammifères inférieurs. La substance blanche zoniforme et ventrale du corps genouill
ibres du nerf optique issues du corps genouillé externe occupent la substance grise grillagée (lacis de petites cellules gang
pédoncule. Dans le tubercule bijumeau antérieur prend naissance la substance grise superficielle des fibres du nerf optique (c
continuité avec le nerf optique, tandis que celles qui partent delà substance blanche superficielle sont, dans leur pluralité,
et de petit calibre), surtout ceux qui sont groupés serrés dans la substance grise treillagée (plan vertical et transversal)
niformes de la coiffe, qui proviennent des cellules nerveuses de la substance grise superficielle, gagnent la sphère visuelle
grise superficielle, gagnent la sphère visuelle aussi bien que la substance blanche moyenne des fibres de projection. L'ensem
conjonctives longues, qui, sur des coupes trausverses, occupent la substance grise et la région des racines nerveuses, qui, su
aucoup de globes granuleux, c'est-à-dire chargées de détritus de la substance blanche. Une des observations (Obs. I) montre q
e. Une des observations (Obs. I) montre que la multiplication de la substance intermédiaire est diffuse; on la rencontre loin
L'aspect des libres nerveuses atteintes varie du reste ; tantôt la substance blanche et le cylindraxe sont simul- tanément a
t cette tige. Jamais l'altération même du foyer, ne pénètre dans la substance myélinique. Quand le processus est arrivé à son
e se composerait de trois segments : io Une zone spongieuse dans la substance gélatineuse, contiguë à la zone mar- ginale, da
'épuiseraient principalement les fibres de la zone marginale; 2° la substance gélatineuse proprement dite, construite à peu p
bstance gélatineuse proprement dite, construite à peu près comme la substance spongieuse; on y trouve de grosses fibres issue
longements du treillis de la couche spongieuse postérieure; 3° la substance spongieuse qui va de la substance gélatineuse à l
che spongieuse postérieure; 3° la substance spongieuse qui va de la substance gélatineuse à la base delà corne postérieure, e
de grosses fibres qui vont directement en trousseaux jusque dans la substance spon- gieuse où elles prennent une autre direct
monte le long du cordon latéral; un autre se perd en partie dans la substance gélatineuse, en partie dans l'in- térieur des c
t des zones radiculaires, et manquent de bonne heure, tandis que la substance de la corne postérieure qu'elles traversent est
arke, le pre- mier-phénomène pathologique que l'on constate dans la substance grise. Les colonnes de Clarke sont constamment
lules nerveuses demeurent intactes; c'est très tardivement que la substance spongieuse environnante de la corne postérieure
que il a noté la vascularisation très grande des membranes et de la substance grise, des points de sclérose dans les cordons
t de la substance grise, des points de sclérose dans les cordons de substance blanche et des varia- tions de la composition d
e la moelle. Ces lésions sont caractérisées par la congestion de la substance mé- dullaire etsurtout par l'atrophie des cellu
substance mé- dullaire etsurtout par l'atrophie des cellules de la substance grise. Cette atrophie cellulaire s'accompagne e
use. La paralysie générale s'accompagne de lésions constantes de la substance blanche, et les mêmes phé- nomènes se présenten
cérébrales (<879); Corps strié (-1880); Pneumo-gaslrique (1884); Substance grise de la moelle épinière (1886). faits DIV
? 43, 416 ; psychiatrique de Berlin, 252; de tempé- rance, 467. Substance grise (réaction chi- nuque delà), parLanguedorf
48 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
qui, dans une autopsie minutieusement conduite, constata dans la substance blanche du cerveau l'existence de nombreux corp
on de la moelle fraîche montrent une congestion assez intense de la substance grise (coloration hor- tensia), et, en certains
ent pas d'une altération artificielle plus ou moins étendue de la substance nerveuse. Hémisphère droit. Circonvolution fr
se du faisceau pyramidal croisé et direct, il existe encore dans la substance blanche, au niveau de l'angle externe des corne
dant presque jusqu'à la périphérie de la moelle ; dans la région de substance blanche qui s'étend au-devant de la partie anté
tat normal. Les faisceaux cérébelleux directs sont intacts. Dans la substance grise il y a une diminution considérabledu nomb
e nombre tant dans les parois des vaisseaux que dans le tissu de la substance grise. Région dorsale. Mêmes lésions que pour l
érieure, de la corne antérieure; en dedans; elle se confond avec la substance grise, en dehors laisse libre le faisceau céréb
olonnes de Clarke sont bien conservées. Région Lombaire.- Dans la substance blanche, la sclérose est presque localisée étro
ux cylindre-axe, elles ont presque entièrement dis- paru. Dans la substance grise des cornes antérieures, le nombre des fib
ert). Dans la moelle lombaire, le nombre des fibres nerveuses de la substance grise semble normal. Les fibres nerveuses qui c
nombre des fibres nerveuses dans les cornes antérieures. Dans la substance blanche : sclérose des faisceaux de Türclc, scl
proviennent, par conséquent, de points plus ou moins éloignés. La substance grise contient aussi des corps granuleux, quoiq
ussi des corps granuleux, quoique en bien moins grand nombre que la substance blanche; ils siègent, pour la plupart, dans les
ux ou trois seulement, un peu plus nombreux dans le voisinage de la substance grise qu'à la périphérie de la moelle. Au devan
ue des faisceaux antéro-latéraux et dans la partie antérieure de la substance grise, les corps granuleux sont assez abondants
ramifiés, d'autres n'en ont presque pas. Les fibres nerveuses de la substance grise paraissent aussi moins abondantes qu'à l'
e plus dans les espaces périvasculaires. Il y en a très peu dans la substance grise, beaucoup moins que dans les autres régio
m- breuses. Les corps granuleux n'ont pu être retrouvés dans la substance grise de l'écorce; dans la substance blanche, i
'ont pu être retrouvés dans la substance grise de l'écorce; dans la substance blanche, ils étaient, comme nous l'avons dit, t
quantité n'était d'ailleurs pas la même dans toute l'étendue de la substance blanche et, sur certaines coupes (suivant la di
rdons postérieurs et la- téraux était symétrique des deux côtés. La substance grise ne présentait rien d'anormal. Les cellule
de vacuoles. Région dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la substance grise des cornes postérieures et antérieures es
générale de la moitié opérée, tant des parties blanches que de la substance grise. La portion la plus atrophiée des fais- c
mesurées au 58 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. niveau des confins de la substance de Rolando, équi- vaut à 4mm 5, et même 5 milli
tique ; 2° De l'hypérémie et des hémorrhagies capillaires dans la substance grise, principalement dans les cornes postérieu
tate à la ré- gion cervicale des hémorrhagies capillaires dans la substance grise, des cornes postérieures et antérieures,
de l'acide phosphorique, nous avons étudié l'élimination de cette substance et celle de l'azote aux différentes heures de l
p. 232 et 360. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 77 - ces deux substances est à son minimum pendant les heures du matin;
ous l'influence du travail intellectuel dans l'élimination de cette substance . Par suite, cette diminution ne peut être ratta
ières albuminoïdes. Cette moindre décomposition provient-elle de la substance nerveuse ; lé travail intellectuel diminue-t-il
fs qui se passent dans les matières albuminoïdes que renferme cette substance ? Cela me parait difficile à admettre à priori,
n dans les échanges nutritifs qui peuvent se passer au sein de la substance nerveuse. Cette diminution ne peut pas être davan
e le produit de la désassimilation des matières phosphorées de la substance nerveuse, il est certain que, dans les conditions
si, lorsque l'activité des échan- ges qui se passent au sein de la substance nerveuse est suffi- samment grande, cette dimin
apport entre l'acide phosphorique uni aux alcalis et cette dernière substance , plus augmente celui de l'acide phosphorique un
calis ; il y a comme un balancement entre l'élimination de ces deux substances . Les différents faits que nous venons de rappor
e entre elle et les échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance nerveuse un rapport trop étroit pour qu'elle ne
s, sous l'in- fluence du travail intellectuel, sont absorbés par la substance nerveuse pour produire ce travail, et servent à
servent à compenser les pertes en cet acide que fait subir à celte substance les échanges nutritifs qui se passent dans son
nt séparées gaine médullaire, et enfin celles-ci se portent dans la substance médullaire tout en s'entre-croisant entre elles
mmédiat des racines sectionnées, indiquerait que l'altération de la substance grise est simplement l'effet de la séparation des
veuses au moven de leurs prolongements dans le réseau nerveux de la substance grise. Quant aux cordons de Goll et autres, l'i
er dans un liquide dont le poids spécifique est presque celui de sa substance . P. K. V. CONTRIBUTION A la connaissance DES NE
aire et du noyau caudé parce que, à l'époque où ils reçoivent de la substance blanche, la région subthalamique contient déjà
d'altérations artificielles, témoignent pré- cisément de pertes de substances dues à la fièvre typhoïde, à la tuberculose, à
totalement son excitabilité à l'égard des courants électriques; la substance blanche ne subit aucune modification fonctionne
de lésions macroscopiques de l'encéphale ni de la moelle. Seule, la substance cérébrale parait oedématiée. Quelquefois on tro
u graisseux est soit tout à fait atrophié, soit trans- formé en une substance jaunâtre, visqueuse, facile détacher. Au mi- cr
ngements, rétraction du corps cellulaire (bords dentelés), perte de substance de l'élément (sinuosités, va- cuoles) ; enfin l
rmée en un débris in- forme qui cède à l'éther des particules de sa substance . Il en est de même pour des cellules nerveuses
CIÉTÉS SAVANTES. sans altération de structure. Peu de chose dans la substance blanche du cerveau ou de la moelle; elle est ra
scopiques et mi- cl'oscopiques des méninges, des vaisseaux et de la substance cérébrale, qui ont été le plus souvent signalée
'existence de zones de propagation du processus inflammatoire de la substance grise à la substance blanche avoisinante. ,On p
e propagation du processus inflammatoire de la substance grise à la substance blanche avoisinante. ,On pourrait, il, est,vrai
minant joue dans la production de ce phénomène l'inflammation de la substance grise : d'une part cette extension de la scléro
la sclérose est surtout marquée immédiatement à la périphérie de la substance grise et surtout des cornes antérieures; d'autr
e de corps granuleux indiquant les relations de ces régions avec la substance grise enflammée; enfin à la région lombaire où
avec la substance grise enflammée; enfin à la région lombaire où la substance grise (grandes cellules nerveuses et fibres ner
u pro- cessus scléreux doit être rapportée à l'inflammation de la substance grise, semble d'ailleurs prévaloir aujourd'hui
ment disparu : .C'est donc bien là une preuve que dans la zone de substance blanche qui contient les faisceaux pyramidaux,'
les résultats de l'autopsie (lésions des cellules motrices de la substance grise et des faisceaux pyramidaux), se refuse à
a chercher dans le plus ou moins d'intensité du processus dans la substance grise; quant à la cause de ces variations dans
au niveau du lobule paracentral. Abondants corps granuleux dans li substance blanche. La partie située tout à fait à gauche ne
bilité dans l'espèce d'une lésion ou d'un trouble fonctionnel de la substance grise centrale du plancher du troisième ventric
l possible pendant les épisodes çpnvu}sifs et d'agir §ur Joute, Ig. substance de l',ç ? 1pmiJh par la ! 3lq&ip.n et }'6 ! n
scissure de Sylvius. Le corps calleux représente une mince lame de substance blanche. La troisième frontale ne présente ni à
trâctus'1 moteurs sont, condensés (capsule interne)'/ou encore à la substance -rise du` plancher'du troisième veiiTri'culé`(c
en n r"vidence l'existence^ d'Ull autre, centre qui, situé dans la substance de corps quadrijumeaux antérieurs au- dessous d
ique1 de la moelle épinière, fait par nous mêmes, nous donne : a) Substance blanche. Dans la région de l'origine apparente
e de Canada. 310 PATHOLOGIE NERVEUSE. large atteignant presque la substance grise. En avant, sur la bord extérieur elle n'a
sclérose atteint plus les parties anté rieures, mais non encore la substance grise. Dans la région de l'origine apparente de
ns les parties postérieures de cordons latéraux, où elle atteint la substance grise. La localisa- Fig. 7. -Coupe dans la part
ons latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉIMNIÈKE. 313 b) Substance grise. Dans la région cervicale de la moelle ép
a région cervicale de la moelle épinière on ne remarque pas dans la substance grise des changements visibles, même aux grands
plas- matiques qui pénètrent loin dans les parties voisines de la substance grise. Dans la région lombaire de la moelle épi
pathologiques mentionnés plus- haut disparaissent rapidement et la substance grise reprend ses qualités normales. Un coup d'
-mère et qu'elle diminue peu à peu, plus qu'elle s'approche de la substance grise. b) Dans la région où la sclérose n'attei
ement le plus grand développement du tissu conjonctif. e) Dans la substance grise, nous trouvons aussi les changements décr
plus évidents, spécialement dans la partie de la moelle où dans la substance blanche le processus pathologique atteint aussi
s cordons latéraux où la dégénérescence vers l'intérieur atteint la substance grise. Vers le devant elle n'atteignait pas les
cor- dons latéraux et postérieurs ne furent pas épargnés, même la substance grise. L'examen microscopique à un grand grossi
em- ment la destruction moléculaire; deuxième stade : issue de la substance hyaline, constituant des organites irréguliers, e
yaline des cellules de l'écorce englobant par places (ma- cules) la substance blanche. Observation de mélancolie grave : dégé
nt effectué ce désordre ; car la dure-mère est demeurée intacte, la substance cérébrale avec ses méninges molles s'est imprimée
es deux régions au cerveau; de là, des excitations inégales de la substance nerveuse. Dans les deux premiers cas, des trous d
e ces états nécroscoptques. Malheureusement on -n'a pas sou- mis la substance corticale projetée dans les fossettes anormales
econde partie intitulée Dégé- nérescence scléreuse de la lisière de substance blanche de certaines zones déterminées de l'éco
tèmes de fibres intracorticales; la dégénérescence des libres de la substance blanche pourrait bien n'être que secondaire, qu
au niveau du lobule paracentral. Abondants corps granuleux dans la substance blanche. La partie située tout à fait à gauche ne
49 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
rédominante, sinon exclusive, certains éléments bien déterminés de la substance grise, c'est-à-dire l'appareil des cellules nerve
es , comme vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière. Avant d'entrer dan
ccupe, dans la moelle épinière, un espace relati-vement restreint, la substance grise centrale est cependant, au 4e ANNÉE. 1
re spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon central de substance grise est un lieu de passage obligé pour la trans
taires et réflexes doivent nécessairement, elles aussi, passer par la substance grise, — de telle sorte que, si cette voie était
ble. Mais il semble aujourd'hui démontré que toutes les parties de la substance grise ne sont pas indistinctement affec-tées à l'
Dans cet espace si limité, je le répète, si circonscrit, qu'occupe la substance grise au centre de la moelle épinière, il y a lie
épare physiologi-quement, d'une façon très-nette, ce qu'il appelle la substance grise centrale et les cornes de substance grise.
-nette, ce qu'il appelle la substance grise centrale et les cornes de substance grise. La première aurait seule, avec les cornes
is des altérations qui affectent isolément ces diverses régions de la substance grise. C'est là justement le cas des affections
ons étudiées jusqu'ici et qui, comme les premières, ont pour siège la substance grise centrale. Dans ces myélites centrales, la
ourmillements, indi-quant une participation au moins temporaire de la substance grise centrale? Quelques observations faites par
du Hachisch dans le traitement de la chorée. Suivant Corri-gan, cette substance aurait même la propriété de conduire sans encom
inantes se seraient sphacélées et il s'est produit une vaste perte de substance qui, partant du voisinage de l'angle de la mâchoi
ons constaté l'existence d'une atrophie des cor-dons antérieurs de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans
istence de plusieurs foyers de desintégration sur divers points de la substance grisel. Mais, si je ne me trompe, l'étude qui a
nt, et sur certains points exclusivement, les cornes antérieures delà substance grise. Dans loutes les régions de la moelle, les
les lésions de la névroglie envahis-sent la plus grande partie de la substance , grise et s'étendent même parfois aux parties adj
et nullement proportionnées, quant à l'intensité, aux lé-sions de la substance grise. Il nous paraît évident,d'après tout ce q
difficultés, et, malgré des expériences nombreuses, l'action de cette substance reste sur bien des points obscure ou mal définie.
cela tenait, ainsi que nous avons pu nous en convaincre, à ce que la substance active appliquée à la surface d'une plaie au nive
s servis, à la sur-face d'une plaie, mais en injectant directement la substance dans le tube digestif. Dans une première série
ulcération aussi persistante après l'injection hypodermique d'autres substances (voy. Procee-dings Pathological Society, in Ameri
dermique est de nature conjonctive. Il est formé : 1° de faisceaux de substance conjonctive s'entre-croisant en tous sens, à la f
on, de la nécessité de l'expérience physiolo-gique pour découvrir ces substances dans un liquide. Il mentionne également les trava
ntionne également les travaux relatifs à la thérapeutique et dont ces substances ont fait l'objet. M. Laurent a divisé son mémoi
contraire, peut être employée sans inconvénients. A petite dose, ces substances sont utiles dans les cas d'incontinence d'urine,
alcoolisme, ceux qui sont dus à l'alcool pur et ceux qui relèvent des substances surajoutées à cet agent. Il établit que l'absinth
mais qui doivent se différencier par des sym-ptômes attribuables aux substances qui s'adjoignent à l'alcool dans les diverses boi
laire sont exposées dans les 288 pre-mières pages qui représentent la substance du Traite' des maladies des yeux de l'auteur. Il
ent d'une sérosité assez abondante accumulée entre les méninges et la substance cérébrale. Le fœtus, est mis alors dans l'alcool
ection des méninges est.ensuite achevée et on découvre le cerveau. La substance cérébrale est molle, un peu diffluente. La scissu
ligne médiane ; elle dévie ensuite légèrement à gauche. Cependant la substance de l'hémisphère gauche existe dans la tumeur en q
du reste nullement distendues. L'orifice par lequel fait hernie la substance nerveuse est formé aux dépens de l'occipital, des
ne paraît pas être la véritable cause, des hernies congeniales de la substance nerveuse. La méningo-encéphalocèle paraît donc êt
entent les cellules épithéliales, suivant qu'on les considère dans la substance corticale ou dans la substance médullaire. Dans l
s, suivant qu'on les considère dans la substance corticale ou dans la substance médullaire. Dans la première, les cellules sont g
lent plus ou moins à celles que l'on rencon-tre chez l'homme. Dans la substance médullaire, au contraire, les cellides sont plus
r échapper à toute falsification, mais il n'en est rien; d'abord, les substances achetées en poudre sont vendues le plus souvent p
orsque le pharmacien n'a pas lui-même préparé ses produits. Certaines substances ont été chauffées outre mesure pour faciliter leu
i dire du métier pour en comprendre toutes les difficultés. Certaines substances s'obtiennent difficilement à l'état de poudre fin
dicament aussi pur et aussi parfait que possible. « Non-seule-ment la substance prescrite peut avoir été falsitiée ou altérée, ma
ur répondre à l'opinion que s'en fait le médecin qui la prescrit. Des substances préparées par un procédé très-louable peuvent êtr
ordeaux, par déplacement, sans alcool, pour économiser celte dernière substance et obtiendront un pro-duit qui agit facilement, o
n était oblique, et laissait voir un amincissement considérable de la substance com-pacte à ce niveau. L'os fut scié, un peu au-d
ourgeons pâles et décolorés dont le point de départ se trouve dans la substance médullaire. Le périoste, à ce niveau, se décolle
la partie externe. On sent aussi très-bien avec le doigt des îlots de substance osseuse disséminés çà et là. Ces îlots affectent
même manière que les parois de cette même cavité en représentaient la substance compacte. On mit ainsi à découvert la surface i
élément fortement coloré est séparé de ses voisins par des espaces de substance hyaline circonscrits par des tractus colorés qui
r un noyau très-fortement coloré par le carmin. — Absence complète de substance fondamen-tale; les capsules sont serrées les unes
ints une coloration uniforme, et paraît com-plètement envahie par une substance jaunâtre. Cependant on dis-tingue des traclus bla
e, des tubes séminifères avec leur coloration normale, et en avant la substance envahie se présente, à la coupe, sous l'as-pect d
ne put l'enlever sans la déchirer ; sa couleur était très-brune ; sa substance semblait une pulpe noirâtre qui s'écoulait par la
sang et les urines afin d'y déterminer la proportion de l'urée et des substances extractives. Il serait possible, qu'à l'aide de c
s devenus symétriques sont normaux dans le reste de leur trajet. La substance du rein, au point de jonction, se continue sans t
ectés de la même néoplasie. Dans les points envahis par la tumeur, la substance de la rate a com-plètement disparu. On n'y retrou
t une incision qui a été pratiquée pour examiner la disposition de la substance rénale. 1 Les organisateurs du congrès ont fait
r, môme au point de vue pure-ment physique, il est formé par diverses substances , il renferme en lui des liquides décomposables, d
mposables, des tissus ayant des mouve-ments moléculaires propres, des substances ayant entre elles des combinaisons chimiques, et
ès-importanl, à savoir qu'il se forme partout et dans toute espèce de substance organique des courants électriques. En général, o
ment à ce que des courants électriques puissent être produits par des substances organiques coagulables. On oublie trop facilement
appareils ne sont autres que des cloisons membraneuses renfermant une substance albumineuse. C'est la condition anatomique de pre
est autre chose qu'un phénomène chimique, une série d'oxydations; les substances albuminoïdes brûlent dans les tissus, comme le mé
directe et une influence indirecte sur les combinaisons chimiques des substances organiques, ils pénètrent profondément dans les t
cères gorgés de sang ; circonvolutions postérieures un peu aplaties ; substance cérébrale un peu dure. Léger épaississement troub
ules rouges du sang avec quantité de corps granuleux, au milieu d'une substance muqueuse légèrement striée. Le raclage de la surf
tération graisseuse de leur masse. D'après cette donnée, l'emploi des substances stôatogènes, arsenic, phosphore, semblerait indiq
. Les bourgeons eux-mêmes présentent les modifications suivantes : la substance intercellulaire devient plus dure, striée, souven
utopsie. — Aucune lésion des méninges cérébrales et n ehi-diennes. La substance corticale du cerveau a l'aspect et porte les lési
cest-à-dire qu'elle occupe aussi bien les cordons posté-rieurs et la substance grise que les cordons antérieurs. Lorsque le ma
e: réduction considérable du volume delà moelle, état tourmenté de la substance blanche entraînée dans tous les sens par de vérit
ous les sens par de véritables tourbillons de sclérose, lésions de la substance grise dont les cornes sont atrophiées, refoulées,
spèces, les unes dues à la névrite, les autres a l'inflammation de la substance mse; 2° La paraplégie ne tarde pas à leur succé
lpeuse d'un blanc grisâtre et jaunâtre à la fois, ressemblant à de la substance encéphalique dégénérée par la macé-ration que le
uantité, car tous les sels réunis sont de 0gr,32 124 par litre. — Les substances invariables et prédominantes sont l'a-cide silici
us dans les matériaux solides, soit 255er,60, tandis qu'à Salins, les substances solides (d'après Dumas et Pelouze), ne s'élèvent
incipe défini, et elle con-stitue pour la thérapeutique à l'égard des substances médicamen-teuses, un certificat d'identité. — Dep
50 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
lui tend du pain il le saisit. Ne reconnaît ni les odeurs ni les substances sapides. Entend bien et voit bien. Il a un ti
ervical, on trouve une légère dilatation du canal de l'épendyme. La substance grise est normale. Il y a une dimi- nution des
du lobe temporal où elle entraîne, en la décor- tiquant, un peu de substance grise ainsi qu'au niveau de l'extrémité postéri
ar la pie-mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de substance cérébrale. La partie des poches qui répond aux lo
masse scléreuse, qui, à la pression, n'est qu'une petite couche de substance corticale. Les deux hémisphères sont réunis par
e la pie-mère qu'au voisinage de ceux des couches inférieures de la substance grise, mécanisme qu'il nous a été souvent donné
n observe les points (portion interne des lobes occi- pitaux) où la substance nerveuse est encore relativement conservée, on
sa périphérie par des fibres myéliniques qui atteignent à peine la substance grise, où l'on voit encore quelques fibres radi
asculaire importante. Ces capillaires néoformés pé- nètrent dans la substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la s
ent dans la substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la substance nerveuse se nécrose. Il s'agit là d'un cas rapide
tremblement de la pointe. L'enfant semble indifférente au goût dos substances qu'on lui introduit dans la bouche. La déglutit
hère droit. La décortication de la pie-mère en- traîne la couohe de substance grise. A la pie-mère restent adhérents les moul
sseur d'un demi-centimètre envi- ron. L'hémisphère est réduit il la substance blanche; la forme générale est conservée et on
mêmes lésions. La disposition des circonvolutions dépouillées de substance grise est normale et apparaît aussi nettement qu'
able, méningite légère. Les circonvolutions, très aplaties, ont une substance blanche et une substance grise considérablement
es circonvolutions, très aplaties, ont une substance blanche et une substance grise considérablement diminuées d'épais- seur.
d'épais- seur. Examen histologique. - Les libres nerveuses de la substance blanche sont naturellement refoulées et tassées
entricules qui leur donne des directions variables. Au milieu de la substance blanche, on voit un certain nombre de taches sc
Les fibres à myéline sont très nom- breuses, non seulemeut dans la substance blanche, mais en- core dans la substance grise.
ses, non seulemeut dans la substance blanche, mais en- core dans la substance grise. La strie de Baillarger apparaît très net
des de tissu fibreux se colorant en rouge très foncé. Dans toute la substance grise, au niveau de ses étages inférieurs, appa
lement dans cette zone assez vasculaire qui forme la limite de la substance grise et de la substance blanche de l'écorce. A
assez vasculaire qui forme la limite de la substance grise et de la substance blanche de l'écorce. Au début du processus cavi
s'envelopper d'une couche de libres denses qui forme il la perte de substance une véritable paroi. Les méninges sont adhérent
ne certaine mesure, (front loi). paracentral, cire, temporales). La substance blanche est très diminuée de volume, les fibres
normal ; elles sont un peu grêles. Lorsqu'elles pénètrent dans la substance grise, elles subis- sent une raréfaction consid
radiairc. Il y en a beaucoup au voisinage des vaisseaux et dans la substance corticale. La paroi des ventricules est at- tei
stantes, dévies en tous sens, sont très atrophiées. Au niveau de la substance grise, les fibres à myéline s'ar- rêtent et la
e, les fibres à myéline s'ar- rêtent et la zone inférieure de cette substance apparaît creusée de lacunes de dimensions varia
is en amas comme de véritables angiomes, des blocs déchiquetés de substance nerveuse. Les couches les plus externes de l'éc
lulaire. Les vaisseaux, qu'ils appartiennent aux méninges ou à la substance cérébrale, ont le même aspect ; leurs parois so
is avec peu de cellules rondes ; seulement en certains points de la substance blanche, on découvre dans leur gaine adventice
des manchons périvasculaires, ou encore des amas arrondis en pleine substance grise. 120 IDIOTIES. B. Lésions de l'écorce c
ù la méningite est symphysaire, présente de grosses altérations, sa substance grise est en train de se nécroser, car les élém
nt tout le tissu des points nécrosé,. - Dans certaines régions la substance cérébrale résiste mieux, puisqu'elle a des con-
nnect aux deux autres couches de l'écorce. Néanmoins, dans toute la substance cérébrale, existent de nombreuses altérations :
les très rares ou totalement absentes. . D'une façon générale, la substance grise est très démyé- linisée (peu ou uoint de
maire s'observe dans beaucoup de cas. - Du côté des vaisseaux de la substance blanche et de la portion inférieure de la subst
vaisseaux de la substance blanche et de la portion inférieure de la substance grise, notons l'épaississement de l'adventice e
correspondant aux Histologie. 1. in. 1 couches inférieures de la substance grise. A ce niveau, la masse névroglique se cre
alternant avec les ban- des scléreuses : les fibres radiaires de la substance gl i : se ont disparu, alors que persistent enc
sence de corps granuleux est constante du côté de l'écorce, dont la substance grise, aplatie, offre une diminution de ses cel
Dans certaines circonvolutions, nous avons pu noter des pertes de substance avec un processus cavitaire assez ana- logue à
. de Per... p. 81-96.) Elle montre les deux hémisphères ouverts, la substance cérébrale réduite à une mince couche, les ventr
Pie-mère de l'hémisphère droit. Elle est doublée de la couche de substance grise et montre le moule de toutes les circonvo
Se. p., scissure parallèle. Les circonvolutions sont réduites à la substance blanche, atrophiée. Un grand nombre de circonvo
51 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
viter, Colberg a pris le soin d'injecter les vaisseaux à l'aide d'une substance colorée, avant de réduire le poumon en tranches m
ration de M. Gombault, pré-parateur du cours. primitivement dans la substance des cellules de l'endolhélium pulmonaire. Celles
onsidérable du bassinet et un aplatissement complet de la papille. La substance rénale, dans son ensemble, est moins épaisse que
ar la papille : Rein droit, 6 mm. Rein gauche, 14 mm. Epaisseur de la substance corticale : Rein droit, 2 mm. Rein gauche, 5 mm.
n gauche, 5 mm. Les gros orifices vasculaires, situés à l'union de la substance corticale et de la substance tubuleuse, sont beau
ices vasculaires, situés à l'union de la substance corticale et de la substance tubuleuse, sont beau-coup moins visibles que ceux
e aux dépens de l'atmosphère adipeuse dont la graisse en a disparu. Substance médullaire. 1° Papille. Les gros canaux collecteu
est in-filtré d'un certain nombre d'éléments embryonnaires. Dans la substance médullaire proprement dite, les tubes sont dans l
uns des autres par des traînées de tissu conjonctif em-bryonnaire. Substance corticale (Fig. 25). — Comparons cette figure à l
ntent, d'une façon générale, les altérations signalées à propos de la substance médullaire. C'est dans le labyrinthe que les lési
euvent succédera la pénétration dans les voies aériennes de plusieurs substances étrangères, parcelles ali-mentaires, pus, liquide
arités que nous venons de signaler. Dans ce cas, M. Leberl1 trouva la substance pulmonaire infiltrée d'une matière d'exsudation f
ons sont effacées^ et la surface de section paraît lisse et plane. La substance exsudée est plus abondante que dans le cas précé-
lle au-jourd'hui induration grise : or ces auteurs admettaient que la substance du squirrhe pulmonaire peut se fondre en une ma-t
tière tuberculeuse dans les poumons. Déjà signalée par Laënnec, cette substance a été ensuite retrouvée par tous les bons au-teur
s par Yirchow, sous le nom de pigment-induration 1. L'existence d'une substance amorphe finement granulée et mêlée quelquefois à
Ce nom d'ulcère n'était employé de-puis Hunter que pour les pertes de substance des parties exposées (peau, membrane muqueuse). M
malement marbrés de noir. Cette apparence est due à la présence d'une substance infiltrée dans le parenchyme même de l'organe, su
e distribution régulière dont on verra tout à l'heure la description, substance qui, pour ne rien préjuger, a reçu le nom de mati
s ont été trouvés infiltrés de matière charbonneuse aussi bien que la substance propre du poumon. Pearson n'avait examiné le po
encontre : 1° dans l'intérieur des cellules épithéliales ; 2° dans la substance de la paroi alvéolaire elle-même, et là elle est
age bronchique (Koschlakoff)1. Au point de vue morphologique, cette substance noire se montre au microscope sous les aspects su
. Cl. Bernard dont les détails sont consignés dans ses Leçons sur les substances toxiques (1857, p. 64), expérience qui est peut-ê
ntaire du sang consécutive à l'intoxication palustre. Dans ce cas, la substance pigmentaire noire qui infiltre les cellules se
ion pourrait être résolue à l'aide des réactions chimiques, car cette substance se dissout dans les acides concentrés, ainsi que
t Zenker. — Deutsch. Arch., 1867. pigment pathologique, mais d'une substance étrangère venue du dehors. On pensa d'abord au mi
mes assez mal connus, mais voisins de ceux de la phtisie vulgaire. La substance étrangère pénètre par les voies respiratoires et
rface de section s'écoulait un liquide noir tachant les doigts. Cette substance noire ne s'éclaircissait pas par l'action de l'ac
e pulpe noire et conte-nant dans son intérieur un fragment détaché de substance pulmonaire noire, du volume d'une noisette. Le re
sma grenu, à prolongements périphériques qui semblent plonger dans la substance même du tubercule, et sur le bord de laquelle on
autres par une gangue intermédiaire. Celle-ci consiste tantôt en une substance molle, pro top lasmique. Tantôt il s'y dessine de
e du processus est la production d'une sorte d'infarctus, formé d'une substance homogène, pouvant attein-dre la consistance du fr
deux régions: 1° Région centrale; celle-ci paraît constituée par une substance homogène, translucide, d'apparence vitreuse, rapp
sont ramollies et comme tapissées d'une couche blanche, pultacée. La substance cérébrale blanche est partout ail-leurs d'une con
plus grosses encore, faciles à énucléer, et développées au sein de la substance spongieuse qui se montrait partout ramollie et fr
l'existence fréquente d'une coloration ardoisée toute spéciale de la substance corticale du cerveau, chez les individus qui succ
Billard3 et R. Bright4, avaient rencontré cette même coloration de la substance grise chez des individus morts à la suite d'accid
de 2 ou 3, ou même plus encore, et paraissent alors enveloppées d'une substance hyaline, transparente, soluble dans les alcalis e
tie bruns et noirs. Enfin, on les voit assez souvent enveloppés d'une substance hyaline qui forme à leur pourtour une sorte d'aré
l). Bailly et M. Maillot avaient, nous l'avons dit, remarqué que la substance corticale du cerveau présente souvent une teinte
les très petits vaisseaux1 qui composent le réseau capillaire, de la substance grise, d'une quantité plus ou moins considérable
des marbrures, ou bien encore un pointillé très fin et très serré. La substance blanche, à parties cas d'une intensité exceptionn
lés de la matière pigmentaire ; ils appartiennent donc à ce groupe de substances qui tirent leur origine de la dissolution, ou, co
esque subite. A l'autopsie, on trouve les vaisseaux capillaires de la substance grise du cerveau distendus par une quantité souve
, ainsi que l'auteur paraît disposé à l'admettre, d'une atrophie delà substance cor-ticale du cerveau consécutive à l'oblitératio
es à ceux qui existent dans le sang. L'altération pigmentaire de la substance corticale des reins peut elle être rangée parmi l
s de ceux dans lesquels l'obstruction des vaisseaux capillaires de la substance corticale du rein par des corpuscules de pigment
x que nous avons trouvés dans le sang nous pa-raissent formés par une substance organique. Les réactions que nous avons indiquées
nique. Les réactions que nous avons indiquées n'appartiennent pas aux substances minérales cristallisables qu'on pourrait rencontr
t à fait nécessaire, car nous n'hésitons pas à rapporter à celte même substance , et à rapprocher, par consé-quent, des cristaux d
écropsie, et, à plus forte raison, au bout de vingt-quatre heures. La substance qui forme ces cristaux est, eneffet, en dissoluti
résent, indiquer un de ces viscères comme le foyer de formation de la substance organique qui constitue ces cristaux. Quoi qu'il
e de ces cristaux dans le sang et dans les viscères indique que cette substance était en très notable quantité dans l'éco-nomie e
s le pédicule lui-même, qui est alors canaliculé et contient aussi la substance puriforme. Aucune trace d'injection, de vasculari
contiennent les kystes, on remarque qu'elle est com-posée : 1° d'une substance amorphe qui ne paraît être autre chose que de la
s deux sont légèrement hypertrophiés. Accroissement d'épaisseur de la substance corticale qui est d'un jaune orangé, d'aspect gra
isseux et ne contient pas de granulations. Atrophie commençante de la substance tubuleuse. Rate. — 13 centimètres de haut en ba
voir qu'il s'agis-sait là, non pas de pus véritable, mais bien d'une substance ayant tout simplement l'aspect physique du pus et
elles ont dans cer-tains points à peine un millimètre d'épaisseur; la substance qui les constitue a l'aspect de la fibrine coagul
ales épaissies et se prolongeant en dedans, dans la profon-deur de la substance cérébrale, jusqu'au voisinage de la partie an-tér
entraînées par le courant sanguin. Il se produit ainsi des pertes de substance dont le siège, la forme, l'étendue, tant en large
noyaux oblongs et des éléments fusiformes plus rares encore. Dans la substance fibrineuse se trouvent des granulations graisseus
entre les divers feuillets qui com-posent le caillot, des amas d'une substance semi-liquide, jaunâtre, puriforme. La coloration
le, ramolli par places, et présentant çà et là de petits foyers d'une substance puriforme; ces caractères sont très marqués, en p
pas de lésions notables. Le foie est volumineux. Les pyramides et la substance corticale du rein gau-che sont plus rouges que ce
é de volume. — Rein gauche d'un rouge plus foncé que le droit dans sa substance corticale et les pyra-mides. — Rien dans la matri
es autres consistants et décolorés; quelques-uns contenaient môme une substance grisâtre, grenue, d'aspect puru-lent. Le cœur dro
ture grenue, friable, formés de couches superposées, imprégnées d'une substance demi-liquide d'aspect puriforme, l'examen microsc
tentatives pour provoquer directement ce résultat par l'injection de substances irritantes dans les vais-seaux artériels, MM. Tro
e (Aiiflagernng) à la surface. D'abord hyaline et transparente, cette substance , formée de couches stratifiées, ne larde pas à
considéra-ble du point malade dans l'artère crurale par exemple; ces substances passent donc probablement dans le torrent circu-l
tement réprimée par l'application d'un tampon de charpie, imprégné de substances coagulantes. De nouvelles hémorragies ayant été c
ecins qui les ont em-ployés. C. Digitale. — Les propriétés de cette substance , qui jouit d'une si grande puissance pour ralenti
articulaire aigu; phénomènes comateux; hémiplégie; infiltration d'une substance plastique con-crète, contenant des globules pyoïd
blanchâtres ; mais en les enlevant on n'entraînait pas avec elles la substance cérébrale. Thorax. — Le cœur est un peu hypertr
muco-pus très épais, très cohérent, d'as-pect vraiment purulent. Une substance analogue et très abondante s'est écoulée par la t
rminerai en disant qu'en raclant la surface de section, on enlève une substance épaisse, crémeuse, analogue au produit plastique
violacée. Examinée attentivement, au niveau des tâches jaunâtres, la substance du rein paraît conservée, en ce sens qu'on y obse
out particulier que nous désigne-rons, faute de mieux, sous le nom de substance plastique concrète, contenant des globules pyoïde
tiples et de nombreux caillots hémorragiques, un ramollissement de la substance cérébrale au voisinage des couches optiques et du
cours, par suite de la pré-sence d'un obstacle purement mécanique. La substance d'aspect purulent, que renferment les cavités qui
is la paroi des vaisseaux sanguins de petit calibre qui traversent la substance du cerveau. Dittrich a constaté que, dans les cas
laire aigu ; phénomènes comateux : hémi- plégie; infiltration d'une substance plastique concrète, conte-nant des globules pyoïd
Prolifération cellulaire par scis-sion. 60, 65, 67. Protoplasmique ( substance —), 267; — prolongements angioplasti-ques, 269.
a —,113, 192. Squirrhe du poumon, 138. Strongylus armatus, 565. Substance plastique concrète à globules pyoïdes du cerveau
52 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es, les gommes et les infiltrations gommeuses des méninges et de la substance nerveuse, on en est arrivé à soupçonner, puis à
lement, mais à un degré moindre. Les méninges molles adhèrent à la substance cérébrale et en arrachent des lambeaux lors de
d'une lésion vasculaire diffuse, qui se continue d'ailleurs dans la substance blanche sous- jacente, mais à un moindre degré.
rréguliers sur l'adventice des capillaires, faisant saillie dans la substance cérébrale, et donnant par places l'aspect de gr
à celles de l'aire de ce vaisseau. A un plus fort grossissement, la substance fondamentale du cerveau laisse voir en ces poin
ints le réticulum névrotique bien plus nette- ment qu'ailleurs ; la substance interstitielle amorphe semble en avoir été chas
uide qui en distend les mailles ; au con- traire à la périphérie la substance semble condensée. Ce qui prouve bien qu'il s'ag
t les fibrilles de la névroglie ; il est tellement abondant dans la substance grise qu'il en cache presque tous les détails s
s ne sont pas altérées. ' Les reins pèsent ensemble 300 grammes; la substance rénale est légèrement réduite. L'un d'eux porte
rescence récente de l'épithélium des tubes contournés dans toute la substance corticale des deux reins. Cette lésion cellulai
a striation est uniforme et régulière, tandis qu'à la périphérie la substance fibreuse offre une stratification moins nette e
é se distingue par* la 'qualité du'corps* i cenlral ? Au lieu9d'une substance amorphe1 on< rencontre ici-" tantôt une cell
ur l'action des matières colorantes, il se refuse à voir dans cette substance des dépôts de mucine, ni même de cette matière
la cavité. Que cet équilibre vienne au contraire à se rompre, et la substance centrale disparaîtra par résorption. Si l'hyper
ner- veux, on sait qu'entre la , face profonde de la gaine et la substance . nerveuse il existé un, espcé t'rèsëxiâü, mais pa
par une sphérule hyaline pure à contours très nets (b). , , , La substance enveloppante présente déjà ici une certaine tenda
varia pathologie 'nerveuse/"2 at' 1a ? "`I ments irréguliers d'une substance qui se-colore fortement partiel carmin; la cell
êroede"la' gaineradventicè7et-fôiit ail lie PI'Utôt ? dans > lai substance i cérébrale rque ' dans l'espace'Iympliatique : C
on (.de« capillaires fins et moyens. La lésion se propage dans, la, substance blanche. lu. n aim "1 nu -·.dn un pro Toutes
ent la,même lésion ,vasculaire, Fig. 25 : - Vaisseaw pris- dans la' substance grise' de'la'circonvolution ^de- Broca; prolifé
bles -de l'odorat ; quelques malades ne peuvent apprécier certaines substances ; quelques autres, lout en sentant, ne peuvent
ût, assez souvent affaibli, révèle aussi de la confusion dans les-- substances sapides. a" >'> ? ? Ut' ' ' 2° '" ? ' tp.K
vent être considérées comme l'effet de la rétention par le sang des substances toxiques, résultant du défaut de fonction de la
ollissement de la plus grande partie des deux ascen- dants et de la substance blanche sous-jacente ; interruption des communi
corps calleux au point où elles s'épanouissent dans le reste de la substance blanche de l'hémisphère gauche. Il y avait prob
er histologiste et de Lenhossek sur le myélospongium (épendyme et substance gélatineuse). ' ' · Abordant ensuite l'étude de
ur lès colonnes de Clarke. Observation V. Atrophie ayant atteint la substance grise pos- térieure et les cordons de Bunduch.
s antérieures, surtout dans le renflement cervical; intégrité de la substance grise, rien dans les racines antérieures et posté
occipital gauche; foyer de ramollissement ayant interrompu toute la substance blanche du lobe occipital gauche au niveau du b
t-fi.-dire` aux deux petites tumeurs décrites ! , ci-dessus. Là,ria substance cor- ticale est absolument'désorganisée/elle fo
s'éloigne du point central, on voit que la'désorganisation' dé1 la substance -rise,vaenidi,minuanti feramoDissemèntest'de moin
tumeurs dure-mériennes/pùis il s'est étendu'aux'méninges et à la substance nerveuse vôisine : a9 AT`ifïl .r , ·-9,· Ihl.g;D
tôxine. ou I poisou l'on doit com- prendre) unefgrande'quautité de substances morbidesy compris les produits d'une nutrition,
accès épileptiques,' la paralysie, malgré la large extirpation de' substances cérébrales ne s'acerlit, pas, mais même s'aniél
ode de diarrhée etde cachexie, contr'indiquerait une diète riche en substances a ! buminoïdes. Le lavage de l'estomac avec l'e
le' bord interne' d'un 'des'' lobes occipitaux et en même temps `la substance 1 blanche .sous-jacente, ! le corps calleux et le
e partie, ainsi que le démontre l'expérimentation7proviehnent de la substance grise. En même temps "que' lé1 faisceau1 de'Gol
one marginale'de Lissauer participe à cette dégénérescence. Dans la substance gélatineuse, les fibres fines sont plus ou moin
out'à'fait'lésée; d'autres,, enfin; ? attribuent, u.-ie odeur à des substances qui n'en ont pas : ' Quelques faits témoignent
Qt' assezcsouvënti,affaibli; affaiblissement simple et confusion de substances ustatives : ·P.'K. ' f ' : .i r > ' '8t) 'TI
ite*1 ancienne* descendante du' côté gauche; il existe une perte de substance qui comprend' l'écorce et la substance blanche
uche; il existe une perte de substance qui comprend' l'écorce et la substance blanche delà pariétale jusqu'au lobule1 pàracentr
ensitif, s'en vont, après entre-croisement, gagner un territoire de substance blanche situé entre le pédoncule cérébelleux po
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXII. UN C.1S.D'HÉTÉROTOPIE DE la SUBSTANCE GRISE dans LES HÉMI- SPHÈRES cérébraux ;' par M
cunes.Or,au beau milieu du centre ovale deVieus- sens,' .existe une substance grise semblable à l'écorce, avec laquelle elle
corce, avec laquelle elle est en communication par des faisceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans' la
est en communication par des faisceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans' la substance blanche ordinair
sceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans' la substance blanche ordinaire a la même structure que 'la c
ées en substance'. grise pour remplir la place que laissait vide la substance blanche manquante, ou, si l'on préfère, il y a
s fibres blanches qui sont, par -suite, anormalement devenues de la substance grise. P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* '
Ja'syringo- myélie avec des lésions diffuses ou systématisées de la substance blanche : 1° processus gliomateux limité à la'
sées de la substance blanche : 1° processus gliomateux limité à la' substance grise' ou à la moitié de la 'substance1* grise
; 2° gliose atteignant les deux côtés de la moelle cervicale et la substance grise de la`moelle dorsale d'un"côté sur une1 lon
cérébelleux supérieur du côté opposé 40 par , l'intermédiaire déjà substance grise protubérantielle, un des hémi- sphères cé
ème et quatrième paires sacrées : en' cet endroit, il n'y a plus de substance nerveuse, les fibres radiculaires seules sont p
ue']aidélimitation exacte de certaines parties de l'écorce et de la substance blanche impose les coupes de Pitres et de Nothn
ioou'i 3uiiv 91 ,t &t3S"t xoBam). ^'XL. DE l'hétérotopie detlaI substance GRISE,DANS la< moelle; lu- , v ? u par P. KI
erfs< sacrés'îeL9 celles du ''nerf coccygien. Prédominance de la substance grise : organe très vascu- Jaire ne renfermant
cool à 75jplOÔ ? 'J '' ? On déshydrate ét'l'on induit' dans quelque substance que ce soit pour, pratiquer,, les, coupes. f Le
inution partielle des fibres du ruban de Reil du même côté et de la substance blanche profonde des tubercules quadrijumeaux a
aire. moyenne, de la zone marginale de Lissauer. Hyperplasie de la' substance ! intermédiaire aux dépens des fibres nerveuses
e de duboisine chez les aliénés agités.'M. Massaut a employé, cette substance , chez vingt-quatre malades (dix-sept hommes et
hes ocreuses sous-épendymaires ou des dépressions profondes dans la substance grise du noyau caudé ou de la couche optique, i
t 1 1 ', ,trlrx r * Di.x'-r'nio'i's"'a-priè'S'i'Oéti6D,7]a-perté de^ substance osseuse était réparée ;9lé'pourtour du crâne âv
use et répétée, aubesoin, sur le-côté ôppôsédûccànè ! rLa'lpérterde substance 1 du périoste doit avoir là1 même' éténduèrque'
de la La lésion vasculaire porte'non-seullem les vaisseaux de la substance grise, niais aussi sur- ceux delà substance blanc
lem les vaisseaux de la substance grise, niais aussi sur- ceux delà substance blanche, dont la gaîne-adve itice contient un g
- · . ? % Il 'Pl," w4tt .. ' r n : a 4 1 phalite, ulcérations"de la substance corticale, granulaionsde . 41 ' , .. > ? >
r t t. trTJ ^DO·. o , a .trt t·mr· IRtlri n Irs'14t 4.ff : y de, la substance blanche, envahissement des.cellules pyrami- i t
né bilatérali de 'la' grosseur d'un oeuf de pigeon sous-jacent à la substance grise de l'insula et , , . ',) ? TH'\ .. '' -"
° ! Dans les parties des centres, nerveux ^désignées sous le nomade substance grise,; ou la surface. se,, trouve^en.) contact a
ur de la membrane sanguine. qui, pénètre de dehors en, dedans cette substance , que les replis de la membrane divisent en centre
ation 'et, agit à, la façon d'un organe indépendant^D'autre part la substance blanche est ]e, grand centre de réception, qui1
ette combustion, comme une bougie alimente sa* mèche .'^mais^ celte substance blanche fonctionne^en même* temps comme l'appar
vec quelques,mou- ,vements convulsifs. Enfin .s'il'se.chargeait de; substances ^toxiques, les effets varieraient suivant la na
bstances ^toxiques, les effets varieraient suivant la nature de,ces substances ? ) Jfl Altérations' de structurel Celte théori
mes. L'hémisphère gauche ne pèse que 197 grammes ; aux dépens de sa substance blanche s'est formé un pseudo-kyste; la perle d
ns de sa substance blanche s'est formé un pseudo-kyste; la perle de substance est considérable, car.la cavité pseudo-kystique
ial5ù " '' ? ? On peut se demander si normalement il existe dans la substance corticale une double modification' concomitante
ent les plus 'utilisés, mais'ils ont l'inconvénient' de détruire la substance des cellules ; de'plus^ils forment avec les manch
il faut avoir des microtomes immenses et très chers, parce que les substances d'inclusion ne donnent pas à la matière nerveus
l nous faut de meil- leures méthodes de durcissement,' de nouvelles substances d'inclusion lui de nouvelles couleurs électives
lions spinaux.- Son- corps cellulair6ousproto-, plasma possède deux substances . L'une, après un traitement préa- lableuài l'al
ntre v chaque ! nodule.comme entre chaque couche.de'noduiesihy a la substance » incolore. Le noyau lui-même possède- une; fine
snu-1 cléolesi et9souvent;-aussi dès i;ueléolesf accessoires,1) la" substance ? propre dur iioyau 1 sel coin posantid'un isuc
prolongement della cellule prond'somorigine'dans un orba-1 niteide substance incolore placera. la périphérie de la-cellule (à.
ulaires de même construction apparente. Il est des régions de cette substance grise dont nous connaissons la-fonction. Ce son
% les- gan -lions' spinaxn des, c'ellules comi-Y posées de diverses substances ; l'une de ces"substances : se colore, après le
n des, c'ellules comi-Y posées de diverses substances; l'une de ces" substances : se colore, après le traitement à l'alcool, pa
té de structure' dans les cellules,' mais bien à la pro- portion de substance colorable contenue dans 4 tu . Le courant farad
la proportion plus ou moins grande qu'elles pourraient contenir; de substance , colorable. Ce sont'là> des i cellules 'chromo
sous prétexté'de sortilège/par les habitants d'Auxonne ! disait en substance que lës prêtrés'rde' cette''ville*'avaient- expos
excitabilité du nerf; la' diminu- tion est moins prononcée pour les substances à saveur amère. , ? Les résultats obtenus.par l
et d'hémiplégie droite. Elle succombe à un glio-sarcôme occupant la substance blanche du lobe occipital droit allant jusqu'au
ue complète. Le tableau se complique de paraphasie ^prolapsus de*la substance cérébrale, écoulement de liquide céphalo-rachid
formé par une sphérule hyaline pure à contours très nets (b). La substance enveloppante présente déjà ici une certaine tenda
les cérébrales, par Dai-h-sclie-witsch, 222. IHÉ1'ÉROTOI'IB de la substance grise, dans les hémisphères cérébraux, par Ma
ce grise, dans les hémisphères cérébraux, par Matett, 208 ; de la substance ' grise'de)a moelle; par Kronthal, '219." " -
53 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IER. UN CAS DE SARCOME VOLUMINEUX DU CERVEAU AYANT DÉBUTÉ DANS LA SUBSTANCE BLANCHE DE LA RÉGION FRONTALE GAUCHE; OBSERVA
vé un volumineux sarcome du cerveau développé primitivement dans la substance blanche de la corne antérieure de l'hémisphère
s de l'observation. Mais ce n'est que tardivement qu'il a envahi la substance grise centrale, quoi qu'il fût sous-jacent à ce
a substance grise centrale, quoi qu'il fût sous-jacent à cette même substance grise sur une assez grande étendue. Les phéno
e nerveuse qui est bilatérale. Elle présente des adhérences avec la substance cérébrale. Ces adhérences siègent dans toute l'
e en ce point, sans entraîner en même. temps de petits fragments de substance cérébrale. Le cerveau enlevé et dépouillé de se
pect aréo- laire, blanchâtre, et occupant la portion centrale de la substance blanche. Tout autour du tissu néoplasique, on o
'est accrue princi- palement du côté de la convexité, et atteint la substance grise périphérique, sans l'intéresser cependant
et a pris une teinte rougeâtre, elle est toujours située contre la substance grise. Du côté interne on voit à côté de la tum
elle est le plus développée. Elle occupe près des deux tiers de la substance blanche, et à la partie inférieure et externe a
s grand nombre. Elle est, en quelque sorte, isolée du restant de la substance cérébrale par une zone assez large de ramollisse-
et ovoïde étant pos- térieure. Cette tumeur ne siégeait que dans la substance blanche de la partie antérieure du cerveau gauc
ans une grande par- tie de son étendue elle était sous-jacente à la substance grise, Fig. 3. Sixième coupe passant à 7 à 8 ce
ment. Enfin une zone de ramollissement la séparait du restant de la substance blanche. Pour donner une meilleure idée de la d
tre que les localisations exclusives des tumeurs cérébrales dans la substance blanche sont rares, puisqu'elles ont été observ
blement minces et diaphanes. Cependant il n'y avait pas de perte de substance osseuse. f. Enfin, et pour terminer, nous vou
été de biologie en 1883, 1885 et 1886 admet aussi la présence d'une substance toxique. Dans les cultures d'urine, il a pu iso
'on peut très bien concevoir que nos cellules puissent sécréter des substances toxiques dans cer- taines conditions tout comme
l croit que l'épilepsie résulte de modifications de nutrition de la substance nerveuse, et comme d'autre part il sait que les
du système nerveux, et dans l'épilepsie, il serait remplacé par des substances azotées. Nous avons employé ce moyen chez plusi
ut contre le pli courbe, qui plonge d'un centimètre et demi dans la substance blanche. Enfin dans le lobe occipital gauche un
base, les circonvolutions occipito- temporales et en avant, dans la substance blanche des pariétales, vient détruire le pulvi
cendantes, du lobe temporal et de l'insula. Çà et là atteinte de la substance blanche- et des cavités grises centrales jusqu'
issement chronique du cerveau par artério-sclérose ayant détruit la substance blanche avec dégénérescence des faisceaux posté
érose périvasculaire, moins prononcée dans les autres parties de la substance blanche, affectant la forme d'ilôts petits. La
mère présente un aspect louche, les sinus sont gorgés de sang, la substance cérébrale est dissociée et fortement injectée.
ux de Goll ont la périphérie de même coloration. Les contours de la substance grise sont très nets, et sauf quelques fentes qui
ng de ces tractus. L'arachnoïde est légèrement épaissie. Dans les substances blanche et grise on trouve les noyaux de névrog
seaux multipliés se propagent dans quelques endroits jusque vers la substance grise. La prolifé- ration de la névroglie est s
rées par la méthode de Pal, on remarque que la dégénérescence de la substance blanche est en rapport direct avec les infiltra
névrite remar- quable. Dans une coupe on voit se propager dans la substance nerveuse une infiltration allongée, en connexio
ou plus ou moins diffuses, qui ont entraîné la dégénérescence de la substance nerveuse. Dans le canal central et dans la pie-mè
onctifs dans l'intérieur de la moelle où elles peu- vent envahir la substance blanche et la substance grise. On a pu trouver
de la moelle où elles peu- vent envahir la substance blanche et la substance grise. On a pu trouver les cellules géantes non
gus, il y a aussi de petites hémorragies. La dégénérescence de la substance nerveuse reste localisée, en général, mais, dans
pie-mère est épais- sie, congestionnée, infiltrée; elle adhère à la substance ner- veuse. L'infiltration est surtout marquée
cale affectent une couleur blanche, tandis que l'autre partie de la substance blanche a la couleur blanc grisâtre. La substan
re partie de la substance blanche a la couleur blanc grisâtre. La substance grise est pâle. A l'endroit où la pie-mère adhère
rise est pâle. A l'endroit où la pie-mère adhère à la dure-mère, la substance nerveuse de la moelle se ramollit; par places s
reste encoie à la périphérie quelques fibres nerveuses intactes. La substance blanche, du reste est conservée. On trouve pour
ne partie sclérosée qui est nettement limitée du côté intérieur. La substance grise est normale. Sur quelques coupes, on trouve
un revirement complet de l'opinion : la glande thyroïde sécrète une substance toxique, et c'est cette subs-- tance qui exerce
e très nombreuses expériences, il se formerait dans l'organisme une substance toxique qui neutraliserait la sécrétion thyroïd
t l'accumulation dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 l'organisme de cette substance toxique non neutralisée : c'est la condition pa
tion thyroïdienne neu- tralisante, sans qu'il y ait suffisamment de substance toxique à neutraliser. Dans ces conditions ne p
de l'hyperthyroïdisation par l'injection d'une certaine quantité de substance toxique à neutraliser ? C'est ce que nous avons
e l'éosine ne'colore pas en rose. Ce contenu est représenté par une substance que j'appellerai thyromucoïne. A l'état adulte,
ne. A l'état adulte, le corps thyroïde sécrète par contre une autre substance que j'appellerai thyrocolloïne. C'est la thyrom
é à reporter le poison basedowien ou plutôt thyroïdien. C'est cette substance retirée du corps thyroïde foetal qui devrait serv
thèse la plus vraisemblable, il se,for- merait dans l'organisme une substance toxique neutralisée par le corps thyroïde norma
ion ou la destruction de la glande provoque l'accumulation de cette substance toxique non neutralisée dans l'organisme : c'es
raire, il y a plus de sécrétion thyroïdienne neutra- lisante que de substance toxique à neutraliser. Dans ces conditions, on
effets de l'hyperthyroïdisation, injecter une certaine quantité de substance toxique à neutraliser. Le sérum de chien éthyro
hyde est encore plus toxique (1,14). Le furfurol est, de toutes les substances expérimentées, le plus toxique; 24 centigrammes
s de lésions en foyer (l'auteur a observé un cas d'atro- phie de la substance blanche du lobe occipilal avec atrophie de la c
se décortiquent assez facilement, mais entraînent des fragments de substance cérébrale, surtout sur le lobe temporo- sphénoï
ement est assez lâche et ils sont séparés, pour la plupart, par une substance que l'on croi- rait amorphe au premier abord. E
ord. En employant de plus forts grossis- sements, on voit que cette substance qui forme des lignes ou de petits lacs entre le
nu sur les coupes colorées à l'hématoxyline. Les vaisseaux de la substance cérébrale sont extrêmement malades particulière
ccompagnent ceux-ci sur une certaine étendue et semblent envahir la substance médullaire. Cette disposition ne s'observe qu'a
ement infiltrée, mais sans trace d'endartérite. Les vaisseaux de la substance du bulbe et de la protubérance sont sains, sauf
- jours sur la pie-mère et l'arachnoïde, mais les vaisseaux de la substance médullaire elle-même sont plus ou moins atteints
sique. A l'autopsie on trouve un gros foyer de ramollissement de la substance blanche de la région de Broca (écorce indemne) et
cksonienne, et'lià , . la présence d'une altération localisée de la substance corticale, ? (Revue neurologique, mars 1895.) E
ar Charcot et Joffroy. Dans ce cas, les cavités développées dans la substance grise postérieure et antérieure sont secondaires
syringomyélie secondaire, dont les cavités sont creusées en pleine substance blanche, indiquée par M. Marinesco, dans les tu
son étendue reste proportionnelle à l'atrophie, des cellules de la substance grise. Elle respecte les faisceaux avoisinants
. « Ainsi dit l'auteur (page 144), les lésions constatées dans la substance blanche de nos cas de polyomyélite antérieure chr
les sensoriels, même visuels, malgré la propriété dont est douée la substance de déterminer la cécité psychologique. (An- nal
e n'est pas un sommeil analogue à celui que pro- duisent les autres substances hypnotiques : c'est un poison psy- chique, port
es dans l'encéphale par deux foyers hémorragiques; l'un sis dans la substance blanche profonde de l'insula du côté gauche; l'
uge des cylindraxes dans les fibres à myéline, -jaune intense de la substance blanche, - -violette tirant sur le rouge de la
on s'étend uniformément à une distance assez grande du vaisseau, la substance blanche est plus grenue, les cylindraxes formen
e, un dessin bizarre. A côté de l'ensemble des décompositions de la substance ner- veuse ; il y a aussi une régénération des
ion par un poison ayant une affinité élective parti- culière sur la substance cérébrale, dont il déterminerait peu à peu l'al
ieur à celui des noyaux de la névroglie, exemple les cellules de la substance gélatineuse de Rolando : : Type a. Couche de
diaires unissant les tuber- cules quadrijumeaux du côté gauche à la substance grise centrale; il y a deslructioll'parlielle d
osée de fibres à court trajet qui ne tardent pas à pénétrer dans la substance grise. Or, les altérations des cordons postérie
'altérations de la réaction élec- trique, et pas d'altération de la substance grise dans les régions inférieures de la moelle
t pas tenir seulement au rapport qui existe entre les quantités des substances nerveuses colorée et non colorée de la cellule.
tomie patho- logique de la moelle épinière. Les diverses lésions de substance blanche, de la substance grise et de la névrogl
a moelle épinière. Les diverses lésions de substance blanche, de la substance grise et de la névroglie sont indiquées. Les au
xpériences de Roger qui admet que le glucose diminue l'activité des substances toxiques. Les malades qui font le sujet de cett
nées, surtout de pathologie expérimentale, il est à retenir que les substances toxiques exercent une action directe sur les élém
on aboutit ainsi à l'in- toxication. Selon foute probabilité, les substances toxiques qui empoisonnent le sang et le système
: tantôt sur les fibres périphériques (polynévrite), tantôt sur la substance cérébrale (symptômes psychiques); quelquefois e
cé- dents neuro et psychopathiques) aient préparé le terrain. Les substances toxiques sont représentées soit par des pto- ma
fibres nerveuses destinées à relier entre elles les cellules de la substance corticale du cerveau. Parallèlement aux troub
nt les réflexes cutanés et tendineux représentés évidemment dans la substance grise spinale par deux systèmes diastaltiques d
occipital de l'hémisphère gauche et celle d'un second foyer dans la substance blanche de l'hémisphère droit. On peut explique
s de dégénéres- cence : l'un, gros comme un noyau de prune, dans la substance blan- che ; l'autre situé dans la partie sensit
a Charité. En outre des hémorragies habituellement observée dans la substance grise cen- trale, il existait un foyer de ramol
Burton, 164. Sarcome volumineux du cerveau, ayant débuté dans la substance blanche de la région frontale gau- che par Ga
54 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
stèmes au niveau d'une rondelle : tous les fais- ceaux blancs et la substance grise perdent leurs pro- priétés. Si même cette
s dont nous nous occupons par la cessation de la fonc- tion de la substance corticale et en conséquence de cette circonstan
dans leur extension normale. J'ai déjà parlé de la fonction de la substance corticale pendant l'état hypnotique; et, en com
sommeil hypnotique est donc un état d'équilibre des fonctions de la substance corticale dans lequel on parvient par des influ
mes en présence d'une trans- mission d'une certaine étendue dans la substance cor- ticale. En considérant cette circonstance,
- tations restreintes dans les parties les plus différentes de la substance corticale. Toutefois, l'extension de cette irri
et cicatrices surajoutées dans l'hémisphère gauche. Les pertes de substance porencéphaliques de droite affectent un trajet gé
ranglée des deux nerfs optiques, Hémor- rhagies capillaires dans la substance grise de la moelle. Dégéné- rescence secondaire
xiques; 2° celle de l'intoxication autochtone, autogène, ou par des substances pathogénétiques originaires de l'organisme même
rite sur le cerveau. Nous ignorons, dit-il, l'effet direct de cette substance sur le cerveau, c'est-à-dire son action chimi-
substance sur le cerveau, c'est-à-dire son action chimi- que sur la substance cérébrale. Nous ne connaissons que son effet su
mylnitrite, aussitôt l'on aperçoit l'augmen- tation de volume de la substance cérébrale ; ce phénomène dis- paraît quand l'on
à la suite d'un traumatisme, avait le crâne fendu, avec perte de substance osseuse, l'observation directe était impossible,
uis longtemps, on a constaté que certaines personnes inhalent cette substance volontiers, d'autres s'en détournent avec horre
arler de l'influence de l'amylnitrite, j'ai tenu à essayer d'autres substances pour voir si l'influence produite n'était pas d
s substances pour voir si l'influence produite n'était pas due à la substance odorante ; j'ai pris de l'eau de Cologne, du ca
(Forel) possède des faisceaux dont un premier se relie aux lacis de substances grises sis au-dessous du tubercule bijumeau inf
me côté, contiguës à la corne postérieure, pour se terminer dans la substance grise de la moelle épinière. La plus grande som
spinales qui ont trouvé dans la formation réticulaire des relais de substance grise (interrup- tion momentanée), les autres l
momentanée), les autres les tractus fournis par ces foyers gris. La substance grise de la formation réticulaire se compose d'
ées comme le probn- gemeutimll1édiat des fibres de la moelle. De la substance blanche spinale il n'y a que le faisceau radicu
s longitudinales issues, les unes de la couche limitantelatérale de substance grise spinale et peut-être également du système
tractus aboutissent peut-être finale- ment par l'intermédiare de la substance noire de Semmering au corps strié. P. K. Voy.
re vraie) descendent latéralement en côtoyant le bord externe de la substance grise du canal encéphalo-médul- laire, et en dé
une espèce de commissure nouvelle entrecroisée ( ? ) au sein de la substance grise du canal encéphalo-médullaire (ville vent
férieur de la commissure postérieure avec celles qui viennent de la substance blanche profonde du tubercule quadrijumeau supé
sement du vermis de Stillingj ; quelques fibres pénètrent dans la substance gélatineuse et la racine ascendante du trijumeau.
rvelet. La racine du nerf vestibulaire se termine sur- tout dans la substance grise qui occupe la paroi latérale du quatrième
stérieur du troisième ventricule n'avait dé- truit que d'un côté la substance grise de la cavité : l'oeil corres- pondant au
e ; un cas;-l'autopsie démontra plusieurs foyers disséminés dans la substance blanche du cerveau; on avait pendant la vie con
ions de la pression 128 VARIA. sanguine sous l'influence de cette substance . Quant à l'action physiologique générale, elle
épreuve à la date fixée. Le sujet de la composition écrite était -.^ Substance grise de la moelle épinière. Maison nationale
de papier. Plusieurs circonvolutions sont atrophiées par place. La substance cérébrale est hypérémiée et présente un certain
escence totale ni inflammation. Les vaisseaux étaient tortueux ; la substance corticale elait plus épaisse qu'à l'état normal
dire d'une atrophie indépendante de toute lésion matérielle de là substance grise de la moelle et des nerfs périphéri- ques
être enfoncée sans efforts jusqu'à un centimètre, et davantage. La substance grise de la moelle dans la partie lombaire est
t à peine visibles. Dans la partie spinale de la moelle épinière la substance grise est d'une couleur jaunâtre et les cornes an
roscopiques, c'est la grosseur inégale des cornes antérieures de la substance grise. La corne antérieure gauche est plus petite
de quantité de pigment. Les cornes postérieures elles-mêmes de la substance grise ont diminué de volume et sont plus minces
lombaire). Fig. i. Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dégénération pigmentaire. Fi
es vaisseaux et les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise. a, Corne gauche. b, Corne droite. MONO
tion des cordons de Türk. Sclérose des cordons postérieurs et de la substance grise des cornes posté- rieures envahissant une
serait indépen- dante de la sclérose postérieure et la lésion de la substance grise serait due à la sclérose des faisceaux et
avec elles, si bien que dès que la limite de compressibilité de la substance est dépassée, on voit successivement survenir d
olle qui pénètre à peine çà et là de quelques millimè- tres dans la substance blanche du cerveau ; le bourrelet de l'or- gane
colonnes de Clarke ; altération modérée des cordons postérieurs; la substance grise ne présente pas plus de lésion que dans l
rieur et le cordon latéral : ils montent ainsi et pénètrent dans la substance gélatineuse et dans les régions profondes de la
de l'oeil gauche. Double névrorétinite. L'autopsie révèle, dans la substance delà protubérance, la présence d'une tumeur qui
ventricule, que dans une partie de sa moi- tié gauche, a détruit la substance grise du segment supé- ' Voy. NotUnael : Maladi
e postérieure et du ganglion de l'habenula, mais sans en altérer la substance fondamentale, non plus que celle du pied des pé
ron- tal droit, existe une tumeur qui a principalement détruit la substance corticale des deux frontales supérieures, sauf le
es, sauf leurs parties antérieures et postérieures, qui a envahi la substance blanche de la même région (forme et volume d'un
les nerveuses, mais aucune trace de poliomyélite; çà et là, dans la substance grise intacte, cellules-araignées développées,
rome. La pie-mère est mince et s'enlève partout sans entrainer de substance corticale, sauf en quelques points très rares; su
rincipalement; Je long de la grande scissure, on entraine un peu de substance grise; à l'extré- mité antérieure delà troisièm
elà troisième frontale, on trouve une ecchymose superficielle de la substance grise. L'aspect des circonvolutions est luisant
ve sur le lobule paracentral : elle se trouve isolée par un pont de substance nerveuse de l'incisure préovalaire (e), limitan
e en se basant sur ce qu'il n'a trouvé à l'autopsie ni sérosité, ni substance colloïde, mais simplement une épaisse couche de
tées de sang veineux. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 357 La substance corticale est par-ci par-là trouble et gris jau-
des circonvolutions. Les ventricules latéraux sont peu dilatés. La substance cérébrale est légèrement hyperémiée sans autres
roïde joue un rôle dans la formation du sang, soit un éliminant des substances nuisibles, soit en produisant des substances né
soit un éliminant des substances nuisibles, soit en produisant des substances nécessaires à la nutrition du système nerveux.
e du cerveau et surtout de leur sillon, pour permettre d'enlever la substance cérébrale sous-jacente, pendant que en même tem
que l'on veut éviter. Sa principale résistance à la hernie de la substance cérébrale normale est faite autrement. (Voir Drai
près des bords de l'incision. Enfin les vieilles cicatrices dans la substance de l'écorce céré- brale, à l'exception de celle
uppuration et qui remplissent les cavités produites par la perte de substance , déplacent souvent les gros vaisseaux et donnen
qui trouvé une fracture en éclats, avec enfoncement, avec perte de substance cérébrale, à l'endroit indiqué plus bas. Les fr
paraissait large seulement de douze milli- mètres ; mais, comme la substance cérébrale qui l'entourait pa- raissait sombre e
u homogène, brillant, clair, subis- sant difficilement l'action des substances colorantes, altérations 402 SOCIÉTÉS SAVANTES.
ux latéraux qui se rendent au cervelet ; les cordons latéraux et la substance grise étaient de- meurés normaux. L'auteur n'a
suivi d'une revue complète sur les localisations fonctionnelles. La substance blanche des hémisphères et du centre ovale sont é
mbaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses îles cornes antérieures de la substance grise pu voie de dégénération pynen ! ;rire.
s vaisseaux et les cellules nerveuses îles cornes antérieures de là substance grise. a, Corne gauche, - b, Corne droite. 43
55 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des foyers encéphaliques. , De plus, elle existe souvent dans la substance grise des para- lytiques généraux, principaleme
par Ballet et IIenriquez 1 dans la paralysie diphtérique. Dans la substance blanche, MM. Charcot, Joffroy, Ilayem, Gombault
ins, mais disséminés et éloignés les uns des autres; le reste de la substance nerveuse ayant disparu complètement. Notre co
dans la science, on a affaire, soit à des nodules sarcomateux de la substance nerveuse même et des enveloppes des organes cen
lui de la syphilis. P. K. 11 ? Observation DE myélite aiguë dans la substance blanche; par K. KilsTERMANN. (AI'chiv f. Psychi
et l'anesthésie ther- miqne. L'autopsie révèle une altération de la substance blanche (déchéance du parenchyme et proliférati
tion de la névroglie) de la périphérie au centre, sans atteindre la substance grise. Dégénéres- cence ascendante des faisceau
e occipital ne se bornait pas à l'écorce, mais portait aussi sur la substance blanche. Le ramollissement avait envahi aussi l
, intégrité de la sensibilité et des sphincters. L'atrophie de la substance musculaire est excessive; il y a sura- bondance
nes antérieures dans toute la hauteur de la moelle; intégrité de la substance blanche; dégénérescence très avancée des racine
observations concernent des lésions corticales et des lésions de la substance blanche sous-corticale, avec constante loca- li
ition du myxoedème. Quant au mode pharmaceutique de préparation, la substance tyroïdienne pulvérisée est aujoud'hui considéré
che; le crâne fut frac- turé, et une quantité assez considérable de substance cérébrale sortit par la plaie. Le malade demeur
résence prolongée d'un corps étranger (esquille ou tumeur), dans la substance cérébrale, donne lieu, dans le tissu nerveux pé
ciser les fonctions exactes des différents plans cellulaires de la substance grise corticale, dont chaque couche, ainsi que le
résistante, de nature fibreuse ; elle adhérait si étroitement à la substance grise qu'une petite partie de celle-ci suivit l
l'ouïe, la vue, audition colorée). Effets psychiques de certaines substances , temps de réaction, mesures des réactions végétat
à l'appel et 8 se sont retirés à la lecture de la question écrite : Substance goi,c de la moelle (anatomie et physiolo- gie).
à l'appui de la théorie de l'auteur en indiquant la présence d'une substance toxique dans le liquide céphalo-rachidien dont on
nctement dans la moelle épinière et elles atteignaient également la substance grise et la substance blanche. C'était Vierordt
e épinière et elles atteignaient également la substance grise et la substance blanche. C'était Vierordt', qui le premier avai
lisation très distincte des cellules des cornes antérieures de la substance grise. ' C'est M. le professeur Iiorsalcow3 qui
Sharkey observa la prolifération des noyaux des cellules dans la substance grise en général et la disparition des pro- lon
cornes antérieures et des cordons de Clarke et une altération de la substance blanche, surtout dans les cordons postérieurs,
ants : Cavité crazziezrze : Leptoméningite chronique très nette. La substance du cerveau est oedémateuse. Les ventricules du ce
des racines antérieures ainsi que des racines postérieures vers la substance grise des cornes correspondantes et traversent
ure. Les racines postérieures et antérieures tout aussi bien que la substance grise présentent les mêmes anomalies, qui sont
, les faisceaux de Goll ont nue autre coloration que le reste de la substance blanche. Outre cela, nous voyons dans la région
st remarquer que nous ne trouvâmes pas de lésion des cellules de la substance grise, ni sur les préparations colorées par le
e thyroïde semble agir en détruisant ou neutralisant les diverses substances toxiques, et que les phénomènes qui suivent la
ayroprotéine. M. Wermerhen a désigné sous le nom de tliyroïdine une substance amorphe qu'il croit être le principe actif de l
on précipite la thyroéidine. Notkine a retiré du corps thyroïde une substance à laquelle il a donné le nom de thyroprotéide ;
une substance à laquelle il a donné le nom de thyroprotéide ; cette substance serait, d'après l'auteur, la cause déterminante
de la scissure de Sylvius. A un pouce et demi de profondeur dans la substance cérébrale, un trocart explo- rateur rencontra u
une capsule résistante ayant détruit et remplaçant presque toute la substance blanche des deux tiers antérieurs et inférieurs
plus petit que le premier, également en- kysté, fut trouvé dans la substance blanche, immédiatement au- dessous de la portio
'écorce est de nuance foncée, et sa strialion manque de netteté. La substance blanche participe à l'atrophie superficielle; e
raitée par la méthode de Marchi, on remarque, dissé- minées dans la substance blanche, des fibres nerveuses en état de dégéné
résentent également des particularités intéressantes. Dans toute la substance blanche, mais surtout dans les régions qui sont
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. épaissies : dans la substance grise, il en est de même, et on note en outre l
aces laissés vides par la disparition de ces fibres sont remplis de substance et de débris III)ro-cel lu 1 aires, et en ou !
ale, hémorragies dans la subs- tance grise, dégénérescences dans la substance blanche, névrite de plusieurs nerfs rachidiens
ut de quelques jours. La section des cordons postérieurs et de la substance grise avec les cordons antérieurs ne donne pas d'
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 229 limitante de substance grise d'un côté ou de l'autre, reste sans résul
ns, des fils de telle ou telle composition. Les grosses portions de substance seront des corpuscules à désignation typique et
«Comme partout ailleurs, dit-il, les régions qui possèdent de la substance grise, sont bien plus riches en vaisseaux que cel
pathologiques. qui, presque exclusivement, sont occupées par de la substance blanche. Les parties qui sont sur la ligne médi
branches dans le sillon intercrural forment un cône qui pénètre la substance nerveuse où sur une étendue plus ou moins longu
achent sous un angle aigu se rendent : 1° à la partie médiane de la substance noire de Soemmering ; 2° aux pédoncules cérébel
raumatisme et qui sont la conséquence directe de la déchéance de la substance ner- veuse (sans hémorragies préalables), parle
ine, du borax, de l'acide osmique et de ses sels, des injections de substance nerveuse normale, du curare (dange- reux par so
lande pituitaire, cette suractivité se traduit par l'exagération de substances anormales dans l'organisme, qui aboutit à l'acc
e donc bien de l'hyper- nutrition, surtout de l'hyperproduction des substances qui, molé- cule'à molécule, forment de l'hyperp
LOGIE NERVEUSE. : Q81> les centres corticaux et les noyaux de la substance grise, jusqu'aux faisceaux isolés des muscles.
ire à 288 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. droite. L'intégrité de la substance blanche correspondant à ces régions dans la cap
s : les idées de persécution - (on électrise le malade, on mêle des substances nuisibles à ses ali- ments, etc.); les idées de
u corps de la cellule ne sont ni des granulations d'Ehrlich, ni une substance cellulaire à struc- ture particulière. Ils sont
lations basophiles; 2° ce neuroplasme se distingue nettement de la substance fibrillairc différenciée de la cellule, substance
e nettement de la substance fibrillairc différenciée de la cellule, substance développée, perfectionnée dans le prolongement
r les dégénérescences correspondantes également différenciées de la substance fibrillaire difficile à repré- senter, et perme
senter, et permettent de conclure à la disposition réelle de cette substance dans le corps de la cellule ; 4° le cylindraxe do
n sériaire ou filiforme du neuroplasme sont parsemées de tractus de substance fibrillaire intercalée entre les dessins struct
. Cent1"albl" XIV, 180 : ),) Etude spéciale des fibres issues de la substance grise même de la moelle, auxquelles il serait p
de la moelle dor- sale, en une couche ininterrompue qui entoure la substance grise (zone interne), plus large dans la partie
leux, ou bien est un prolongement de la raie médiane de Lancisi. La substance blanche du gyius subcallosus envoie alors une rac
ormer en cet endroit l'ancienne quatrième couche de Meynert dans la substance innominée. Et l'on en peut suivre des fibres de
ion d'un sarcome s'en distingue par l'exten- sion du processus à la substance nerveuse. - Telle myelo-ménin- gite spinale tub
qui tient à une diminution .de volume du cordon de Burdach et de la substance grise dans sa totalité. Le rapport du cordon cu
éparée de la commissure postérieure que par une mince bandelette de substance normale. La corne postérieure est plus étroite
moyenne manque et elle est séparée en deux tronçons. Dans toute la substance grise, diminution de l'élément fibrillaire; les
ssus de la lésion, dégénérescence des cordons et dissociation de la substance grise. A la partie moyenne de la moelle cervica
olition des réflexes est due à une action traumatique, que subit la substance grise par suite de la compression; une abolitio
e par suite de la compression; une abolition des fonctions de cette substance en est la conséquence. Plus tard, les muscles s
arcose) il faut supposer dans les centres nerveux l'existence d'une substance à haute tension chimique, c'est-à-dire d'une stru
ières croisées et non croisées, les secondes croisées seulement. La substance gélatineuse et la partie contiguë de la corne pos
désassimilation, ou comme ferment contribuant à l'assimilation des substances protéiques et enrayant l'accumulation de la muc
e ces cellules suivant les régions de la moelle, du cervelet, de la substance corticale du cerveau, sont des faits trop connu
seule fois. LES NEURONES. 435 La moelle comprend en outre dans sa substance grise un très grand nombre de neurones dont les
s- tituée par des maladies qui se localisent primitivement sur la substance grise de la moelle. Aussi, en pareils cas, la sub
que l'altération de tous les neurones et ils sont nombreux dans la substance grise de la moelle dont les dendrites se metten
ganglion intervertébral, mais au contraire dans les neurones de la substance grise de la moelle. Une telle manière de voir n
e noyau est en étroite relation, par un trousseau vertical, avec la substance grise de la protubérance ainsi qu'avec les fibr
dégéné- rescence cellulaire constitue du ramollissement aigu de la substance grise. Neuf jours après la ligature, la désagré
e de l3ellonci, d'autres enfin paraissent prendre naissance dans la substance grise de la paroi latérale du cerveau intermédi
igent oblique- ment au milieu et en avant, pour se terminer dans la substance blanche réticulaire qui, sur une coupe transver
d'autres poisons spéciaux, alcool, nicotine, etc ? ou peut-être des substances qui se produisent dans l'organismedébilitéparun
ent être cependant produites en partie directement par l'action des substances toxiques contenues dans le sang. Le pro- cessus
ous ses éléments constituants : à noter une certaine diminution des substances grasses et des globules, caractère qui du reste s
la compression, mais à la pénétration directe de la tumeur dans la substance blanche. M. Nicol présente un malade qui, en ju
uellement une cicatrice de 5 centimètres de diamètre, avec perte de substance du crâne. Quand le patient penche la tête à gau
lté musicale dans la folie, par Legre, 131. Myélite aigué dans la substance blanche, par Kustermann, 51. 1115oscEnes. Des
56 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fente des membranes sectionnées sortait une masse blanchâtre de la substance moelleuse. L'opération terminée, les bords de l
, sur la coupe, à l'endroit t de la moitié gauche de la moelle - la substance blanche ainsi que les deux cornes grises du côt
e quantité de noyaux, et ça et des amas sans forme précise, d'une substance non colorée. - La moitié droite de la moelle ép
ification difffuse des éléments nerveux; des fibres nerveuses de la substance blan- che et grise, ainsi que l'atrophie et la
des résultats contradictoires à la théorie de la régénération de la substance de la moelle : l'auteur non seulement n'a pu dé-
bandelette optique; d'autres fois, j'ai rencontré comme un voile de substance blanche passant aussi par-dessus la bandelette
présenté par deux tractus tranchant par leur couleur blanche sur la substance grise du corps cendré. Il m'a suffi de couper les
taient très développées. 72 9 ANATOMIE. sillon qu'apparaissent la substance grise du locus niger et l'origine extérieure du
ux, entre-croisés entre eux et couverts, dans ce cas, d'un voile de substance grise. Pour en avoir une idée nette, il faut l'
corpus fimbrialuiu ; elle est seulement un peu plus élevée et leurs substances communiquent en plusieurs points ». Quant à son
tation pour les anatomistes. En avant, on la voit se perdre dans la substance grise de la couche optique. Son extrémité posté
o la portion réfléchie des ventricules et qui disparaissent dans la substance grise du crochet terminal de la circonvolution
s firnbriatum ; « elle est seulement un peu plus élevée et les deux substances communiquent en plu- sieurs points ». Gratiol
ortion réfléchie des ventricules » et la fait disparaître « dans la substance grise de l'uncus. Archives, t. XXII. 6 82 ' A
r, va, en suivant la face inférieure du tapetum, se termine dans la substance blanche de la corne d'Ammon et du crochet. Je
alleux viennent des pro- ductions du septum lucidum. » Luys. « La substance grise centrale forme d'avant en ar- rière plusi
tumescences qui méritent d'être signalées : . « 1° C'est d'abord la substance grise delà cloison, située sur les parois de la
ée dans quelques endroits de subs- tance grise, et dans d'autres de substance blanche. Différen- tes plaques ou stries, compo
ubstance blanche. Différen- tes plaques ou stries, composées de ces substances sont inter- rompues les unes par les autres....
effets dus au tissu fibreux cicatriciel rempla- çant les pertes de substance , apportait un grand nombre d'observations de tr
s qui, sans être eux-mêmes épileptiques, avaient subi des pertes de substance de l'écorce cérébrale. Chez d'autres animaux (c
ait cru pouvoir conclure de ses expériences sur des pigeons que ces substances déterminaient des accès d'épilepsie en agissant
nt primitivement, comme tant d'autres poisons de l'intelligence, la substance grise de l'écorce cérébrale, et en particulier
rale, consécutive à un processus de contraction vaso-motrice. Les substances qui abaissent l'excitabilité de l'écorce cérébral
de ces observations que, souvent exclusivement locali- sées dans la substance grise, elles peuvent aussi intéresser à la fois
dépend pas exclusivement d'un état de tension ou d'irritation de la substance grise du cerveau; l'écorce cérébrale, et en par
ctèredifférent des contrac- tions provoquées par l'excitation de la substance grise ou de la substance blanche. Cette observa
tions provoquées par l'excitation de la substance grise ou de la substance blanche. Cette observation est une brillante conf
al et les circonvolutions pariétales. Les lésions s'étendaienl à la substance blanche et atteignaient la paroi supé- rieure e
en s'intriquant, cons- tituaient de petites cavités remplies d'une substance semi-gélati- neuse. A l'examen microscopique, i
iné des anémies miliaires. P. KERAVAL. XIV. Des altérations DE la substance GRISE DE la MOELLE dans LES lésions DES cordons
rt) se reco- quiller, se tasser, jaunir, disparaître; finalement la substance intermédiaire s'éclipse; c'est en réalité l'alt
este la seule observation de gliomatose rigoureusement limitée à la substance grise de la moelle. P. K. XVII. DE L1 dégénér
a persistance des fentes foetales et, par suite, à une métastase do substance nerveuse. La moelle a pour ainsi dire tourné au
long de la moelle épinière jusqu'à la 1 ? racine cervicale, dans la substance grise comme dans la blanche. La maladie qui a d
elle épinière, non seulement par la propagation du processus sur la substance médullaire, mais d'une façon purement mécanique
qui s'explique, d'après l'auteur, par l'action des bichromates. La substance inter- médiaire entre les fibrilles constitutiv
s les cas où la maladie est entièrement déterminée par une perle de substance , l'hypnotisme est complètement impuissant. Dans
s cas mixtes, où à côté des phénomènes qui dépendent de la perte de substance se trouvent d'autres déterminés par une in- flu
sme, ramener les symptômes au cadre exigé seulement par la perte de substance . C'est ainsi qu'on peut expliquer la guérison d
dans les cas ex- ceptionnels où les malades sont intoxiqués par des substances convulsivantes. La forme la plus pure de l'alco
eau sur le sommet de la tète. Le crâne est fracturé, per- foré ; la substance cérébrale à nu. La plaie se trouve sur la sutur
laie aussi complet que possible. On aperçoit alors distinctement la substance cérébrale; elle semble avoir été attaquée, et o
attre l'artère dont on a parlé plus haut. On n'a pas retiré d'autre substance cérébrale. A quatre heures du soir même état gé
esquilles adhérentes au périoste. En haut, le stylet rencontre une substance dure qu'on retire avec une pince. C'est un frag
yons ici une section triangulaire de la cicatrice qui donne dans la substance blanche et grise de la moitié saine des bandes
cellules, une raréfaction du réseau des fibres ner- veuses dans la substance grise et en même temps on y remarque le dévelop
ce grise et en même temps on y remarque le développement dans cette substance et dans le cordon latéral voisin des bandes de
ractuosité de l'incus allait en s'amincissant, se confondre avec la substance grise du carrefour après avoir contourné le cro
constante pour la raison que j'ai donnée, et ensuite parce que la substance grise manque souvent en dehors du quadrilatère.
tater, c'est la continuité de la base de la bande diagonale avec la substance blanche réticulée' qui revêt la face juxta-pédo
ier le prolongement de la bande dont l'épaisseur fait relief sur la substance blanche réticulée. Quant à la racine externe du
f, elle se continue également avec ce prolongement en avant de la substance réticulée, que j'ai montré s'a- vançant d'autan
de rechercher les connexités de ce noyau avec certaine partie de la substance grise de l'uncus et le corps godronné. Voici
Il peut être démontré qu'une partie des fibres se continue avec la substance blanche réticulée et que l'autre partie se rend
- il dit : « On ne sait pas au juste si elle envoie des fibres à la substance réticulée, autrement dit à la corne d'Ammon ».
A l'ourlet, portion fibreuse, j'ai ajouté un prolongement de" la substance grise godronnée, et j'ai montré que cet ourlet
eau de l'espace perforé antérieur, forment, par l'étalement de leur substance grise et par l'irradiation de leurs fibres blan
le pouls devient petit : ce qui porte à ranger l'hyoscine parmi les substances qui ont une action cardioplégique très mani- fe
vant être faite la première. M. RENAUT montre des préparations de substance corticale céré- belleuse obtenue par coloration
moelle, un déplacement des colonnes de Clarke, l'hétérotopie de la substance grise. En outre, dégéné- rescence partielle des
des trousseaux qui vont à l'olive supérieure du même côté, dans la substance blanche de laquelle ils forment deux faisceaux
herche en psychiatrie. Mémoire publié. M. Sachs (de Breslau). De la substance blanche du lobe occipital dans le cerveau humain.
e ; la chromatine, à laquelle est due la striation, pâlit aussi, la substance intermédiaire aux raies devient plus obscure ; en
enne des suppléances de l'écorce grise des circon- volutions par la substance grise des ganglions opto-striés, rappe- lant le
sent aux nerfs périphéri- riques, et cela parce qu'on admet que ces substances toxiques atta- quent de préférence le système n
temps, Mendel a observé une diminution du nombre des cellules de la substance ferrugine du côté affecté. Ce der- nier fait no
'écorce en avant, en arrière et sur les côtés du cerveau; 2° que la substance encéphalique restante ne présentait pas de foye
r rapport à celui-ci, et occupe une situation plus profonde dans la substance nerveuse. Plus haut, ces deux faisceaux se rapp
nerf optique du : côté opposé une affection eu foyer qui détruit la substance blanche du même lobe (Obs. 111) détermine la dé
cordon autéro-latéral. H. La face supérieure (dorsale) de la même substance grise donne de fortes et nombreuses fibres blan
he. Puis, comme lésions récentes : une congestion généralisée de la substance blan- che avec ça et là, en arrière, de petits
tales et la frontale ascendante, ayant pour limite superficielle la substance corticale atrophiée d'ailleurs par places. On ne
s faites ci l'aide du chlorhydrate de Piperaidize (spermine). Cette substance extraite du liquide testiculaire est une double
cette atrophie, les grosses fibres myéliniques de l'écorce et de la substance blanche ont subi une dégénérescence parallèle,
es en question et l'intégrité des fibres fines, se poursuit dans la substance blanche du lobe gauche du cervelet. Le corps go
core atrophiés, le pédoncule cérébelleux moyen du côté malade et la substance grise de la protubérance du côté opposé. Atroph
sceaux pyramidaux sont, des deux côtés, dans le bulbe, étriqués. La substance blanche des hémisphères est dissociée en un gra
e, voies motrices de la-, par Rossolimo, 52, 189; - lésions de la substance grise de la - dans les lésions des cordons la
roit, par Eulenburg, 272. TUBERCULES quadrijumeaux, origine de la substance blanche des -, par Held. 401. Tumeurs cérébra
57 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
ux de Havers, en laissant, à leur pourtour un espace libre rem-pli de substance demi-molle, dans laquelle ils baignent complète-m
me avec le tissu osseux proprement dit. Partout ils baignent dans une substance particulière demi-molle, qui leur forme une vérit
r, rien. — Foie,sain; un calcul.— Heins, anémie assez prononcée de la substance corticale. — Muqueuse vésicale, arborisations, qu
manière générale, on voit que les uns sont exclusivement composés de substances animales, d'autres de substances végétales, et qu
s uns sont exclusivement composés de substances animales, d'autres de substances végétales, et que d'autres sont mixtes; enfin que
ont tassés avec ordre. Quelquefois il y a des couches alternatives de substances calculeuses et de poils. — Celte variété ne se re
corps striés et des couches optiques, s'observant aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise. Plèvres :
ptiques, s'observant aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise. Plèvres : adhérences anciennes, surtout
toire des arthro-pathies. Physiologie pathologique. « C'est dans la substance grise, dit M. Charcot, que nous croyons avoir tro
ur l'arthropathie du genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la substance grise des cornes antérieures était indemne. Cet
ait indemne. Cette altération de l'une des cornes antérieures de la substance grise n'est pas un résultat de l'inertie fonction
es avaient conservé des mouvements assez étendus ; 2° la lésion de la substance grise diffé-rait essentiellement de celle qui se
ffet, que, dans cette dernière affectionnes cornes anté-rieures de la substance grise présentent, entre autre lésions, une atroph
oelle du côté gauche, et la presque totalité, sinon la totalité de la substance grise du même cô'é. — D'après les symptômes rem
offroy, Deux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésions de la substance grise et des faisceaux anléro-latéraux de la moel
a môme , à savoir ; lésion des cellules de la partie antérieure de la substance grise. Le second groupe des lésions articulaire
distendues par du sang noir en partie fluide, en partie coagulé. — La substance corticale des reins est remarquablement pâle, jau
pas de calculs. — Rate, hypérémiée. — Vessie, normale. —• Reins : la substance corticale est un peu atro-phiée et considérableme
ante qu'à l'état sain. — Rein gauche, 145 gr., lobule à la sur-face ; substance corticale atrophiée et réduite à la moitié de son
aisseur. Rein droit, 125 gr., plus malade ; dans quelques endroits la substance corticale et la substance tubulaire ont tout à fa
r., plus malade ; dans quelques endroits la substance corticale et la substance tubulaire ont tout à fait dis-paru et les calices
ir, avaient une épaisseur variant d'une à deux lignes. Nulle trace de substance cor-ticale ou de pyramides. L'uretère gauche étai
également tapissé de néomem-branes, remplies de liquide purulent. La substance cbarnue du cœur est ecchymosée ; on y voit de pet
nd nombre de petits kystes. 11 y a une atrophie considérable des deux substances , qui sont confondues, pâles, jaunâtres (75 gramm.
gr.), saine. — Estomac, rien. — Rein gauche (155 gr.), surface lisse; substance corticale jaunâtre, paie; pyra-mides distinctes.—
ièrement en rapport avec l'atrophie des mus- cles sont celles de la substance grise. — Ce ne sont pas les altéra-tions destruct
ui, après avoir occupé primitivement les points les plus divers de la substance grise centrale, se propagent ensuite, princi-pale
profondément lésés, mais que, en outre, les cornes antérieures de la substance grise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à
ina en ma présence, et évacua en finissant environ 4 à 5 grains d'une substance dure, réunie par une très-petite quantité de mucu
ntité de mucus, don-nant à l'urine une couleur blanc de neige ; cette substance tomba au fond du vase, où elle adhéra comme le mu
lés, s'agglomèrent molé-cule à molécule sans l'intermédiaire d'aucune substance organique étrangère ; de là, pour moi, leur plus
niers auteurs ont joint à leur travail une ana-lyse élémentaire de la substance amyloïde de la rate, et ils ont montré qu'elle ap
tions où il se forme dans la rate, aux dépens du sang dé-composé, des substances noires que l'on retrouva dans le foie, dans le ce
; la plupart du temps plusieurs sont réunis en groupe au moyen d'une substance pâle, soluble dans l'acide acétique et dans les a
sont encore par le mode d'action des réactifs. La résistance que les substances noires opposent aux acides et aux alcalis caustiq
vaisseaux; dans les reins, le pigment s'arrête de préférence dans la substance corticale ; dans le cerveau, il se loge surtout d
la substance corticale ; dans le cerveau, il se loge surtout dans la substance grise. 2° Quelles sont les conséquences qu entr
ement sous l'aspect de taches rouges, se distinguant facilement de la substance environ-nante par leur moindre consistance, tout
centimètres de long sur un et demi à deux de large, péné-trant de la substance corticale dans la substance blanche. Les prin-cip
et demi à deux de large, péné-trant de la substance corticale dans la substance blanche. Les prin-cipales altérations siègent sur
prin-cipales altérations siègent sur le lobe temporal gauche, dont la substance grise, moins la première circonvolution limitant
ue le pus splé-nique rougeâtre, lie devin, contenait des débris de la substance ra-mollie de la rate, des fragments de fibrine, d
effets produits par le Hachisch et de l'usage que faisaient de celle substance les princes du Liban et notamment l'un d'eux» le
; mais le Hachisch s'y trouvait mélangé avec la jusquiame et d'autres substances de même nature. (De Medicina Egyptiorum, 1745.)
aire, qui contenait en outre du datura, de l'opium et quelques autres substances . Linné (Amœnitates academicce, 1762), décrit de
e dans l'histoire du Hachisch; il vulgarisa la connais-sance de cette substance , dont les effets n'avaient été jusqu'alors consid
de Gannabine, et sous celui de Hachischine par M. Gastinel. C'est une substance résineuse complexe, d'un brun noirâtre ou verdâtr
ine, on doit se de-mander quelle part d'action il faut attribuer à la substance rési-neuse. M. Gubler pense que les vertus du cha
loisons ni prolongements qui soient l'indice d'une segmentation de la substance même de la tumeur. La disposition lobulée superfi
onscrivent. Outre ces dépressions et ces saillies, la surface de la substance propre est régulièrement tapissée de petits lobub
colorés par le carmin, et la distance qui les sépare, remplie par une substance intermédiaire, beaucoup moins colorée, est sensib
le, ménagé au centre de leur calibre. Le stroma est constitué par une substance amorphe, renfermant, régulièrement espacées, des
nde, qui leur permettent de se procurer le hachisch facilement, cette substance a pu être étudiée et employée depuis longtemps.
à temps. » M. Aubert-Roche ajoute qu'il est loin de croire que cette substance puisse réussir toujours ; mais, se fondant sur le
re sur le traitement de celte terrible maladie par le hachisch. Cette substance avait été administrée à dix cholériquesj pendan
Seulement les quelques résultats favorables obtenus à l'aide de cette substance invitent à de nou-veaux essais et si, malheureuse
58 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de ces zones de ramollissement jaune, qui ne se voient plus dans la substance blanche sous-corticale, les cellules nerveuses
t soignée. Il semble donc ici que la thérapeutique, utili- sant une substance active, réputée même dangereuse par quelques- u
? Oui, répondent MM. Lacassagne et Etienne Martin. En analysant la substance du foie d'un cadavre on peut donc savoir si la
égère dépression vers le bord supérieur de l'hémisphère. Un pont de substance cérébrale sépare d'abord com- plètement les deu
entrées de sublimé et d'acide picrique. Quant à la coloration de la substance tig-oïde des cellules ner- veuses (corps de Nis
de la granulation; 2° par les rapports différents d'épaisseur de la substance fonda- mentale, c'est-à-dire du protoplasma de
tale, c'est-à-dire du protoplasma de la cellule qui existe entre la substance tigroïde. La division de Marinesco, la chromophil
particules de nucléine type, riche en phosphore. La structure de la substance fondamentale, c'est-à-dire du proto- plasma des
- dente des couches marginales, une disposition réticulaire de la substance fondamentale à dessin soit plutôt granuleux, soit
tions favorables, le déve- loppement des lésions, l'extension de la substance de soutène- ment, les altérations primitives, d
de la substance de soutène- ment, les altérations primitives, de la substance blanche de la moelle. Il passe en revue le trem
er et de glycérine de Unna (Griibler), jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance blanche se dis- tingue de la substance grise (8
jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance blanche se dis- tingue de la substance grise (8, 15, 25 secondes; enlever l'excès; séc
ais néanmoins la coloration du fin réseau des fibres blanches de la substance grise n'est aussi belle que par les procédés de
ur s'éparpiller dans le réseau qui entoure la face antérieure de la substance noire de Soemmering et dans la REVUE D'ANATOMIE
et dans la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155 substance noire même. On en retrouve plusieurs laisceaux ar
nt : 1° dans les tuber- cules quadrijumeaux postérieurs; 2° dans la substance noire de Soemmering; 3° dans le globus pallidus
: 1° une phase de réaction caracté- risée par la dissolution de la substance chromophile, le déplace- 156 REVUE D'ANATOMIE E
llule ont complète- ment disparu ou sont réduits à peu de chose. La substance achro- matique est parfois en même temps altéré
'il reste dans le proto- plasma cellulaire une certaine quantité de substance chromatique qui se laisse colorer en bleu. On s
substance chromatique qui se laisse colorer en bleu. On sait que la substance achroma- tique se compose d'une partie réticula
e compose d'une partie réticulaire, fibrillaire, organisée et d'une substance fondamentale amorphe ; c'est celle-ci qui, dans
régularités nutritives et notamment dalis celles de l'oxydation des substances azotées. Les troubles intestinaux pourraient bi
dront l'action destructive des crises convulsives jusqu'à ce que la substance toxique ait cessé d'agir ; et si comme cela par
OIV. J'ai étudié, de mon côté, à ma clinique, l'action de certaines substances comme adjuvants de la suggestion et, en particu
arcot, Exner, elle est née de la découverte de l'excitabilité de la substance cérébrale au moyen de l'électricité; elle date
prolongements protoplas- miques. Forel déclara que la continuité de substance n'était pas nécessaire pour expliquer la propag
ens l'existence d'une propriété iso- latrice de lanévroglie, simple substance de protection et de sou- . tien. Van Geliuchten
e la tumeur, en même temps qu'on pratiqua, une ablation large de la substance cérébrale, les suites immédiates de l'opération
ais déprimées au niveau de la saillie osseuse. A ce niveau aussi la substance cérébrale est déprimée, mais normale d'aspect.
u-nés; 5° ces appendices augmen- tent de beaucoup la quantité de la substance protoplasma- tique nerveuse. En passant dans
d'appendices collatéraux, de grandeur varia- ble, qui sontdela même substance protoplasmatique nerveuse que les dendrites ell
llatéraux, plus son activité est compliquée et plus elle réclame de substance nutritive. Nous ne pûmes nous convaincre de la
la capacité d'attirer et d'absorber le maté- riel nutritif, dont la substance chimique subit des modifi- cations profondes. C
e- ments protoplasmatiques de l'écorce eérébrale. Evidemment, les substances qui ont une affinité plus proche avec les élé-
tes éclipses, soit partielles, soit même totales, mais il existe en substance au fond de sa pensée la plus intime OBJETS DE P
uvelle formation. Dans le cas particulier, elles siégeaient dans la substance grise, et se développaient à la périphérie des
rritoire d'un nerf lésé. J. SÉGL4S. XL. Le poids spécifique de la substance blanche et de la subs- tance grise dans les dif
oids spécifique des diverses par- ties de l'écorce cérébrale, de la substance blanche, du cervelet ne s'éloigne pas d'une faç
spécifique élevé, tandis qu'il sera diminué dans d'autres. Pour la substance blanche, les variations de son poids spécifique
ns de son poids spécifique sont soumises aux mêmes lois que pour la substance grise. Il convient de noter l'abaissement consi
arations provient de la formation d'un sulfure de plomb, puisque la substance noire se dissout dans l'acide nitrique concentr
s cellules pyramidales de l'écorce (lapin), la couche externe de la substance corticale grise du cervelet, les prolongements
res de l'écorce du cerveau de l'homme, les cornes antérieures et la substance blanche de la moelle du lapin, les fines cellul
e blanche de la moelle du lapin, les fines cellules-araignées de la substance blanche cérébrale et cérébelleuse, enfin la moe
rable, tigroïde de Nissl) ; mais toute cellule possède à côté de la substance tigroïde, à côté des petites fibrilles qui serp
Sans doute elles servent à la conductibilité mais il y a aussi la substance inlerfibrillaire. Il est vrai que Bethe et Apâthy
ibres musculaires et les épi- théhums, dénudées, sans plus avoir de substance périfibrillaire. Bethe dit que les fibres myéli
rtébrés, au niveau de l'étranglement de lianvier sont dépourvues de substance inter- brillaire entre les fibrilles de leur cy
trouvée par Bethe et Mann, qui leur fait croire à l'existence d'une substance toute différente, prouve uniquement que la subs
n de Bethe qui est une allure spéciale physique ou chimique de la substance nerveuse, un ordonnancement particulier des moléc
. d'image complète d'un élément nerveux parce qu'elle incruste la substance dans laquelle sont incluses les neurofibrilles. O
cluses les neurofibrilles. Or, Apâthy et moi avons montré que cette substance n'accompagne générale- ment pas les fibrilles d
s sont très rares, car la coloration cesse généralement où cesse la substance périfibrillaire. Les préparations de neurofibri
"lombaire; à l'oeil nu on trouve une dépression ellipsoïde de la substance grise dont le diamètre longitudinal est nettement
e la corne postérieure, dont elle est séparée par une large raie de substance blanche normale, occupe le faisceau cunéiforme
rses zones corticales de Flechsig, leur forme définitive, et que la substance intermédiaire suit le mouvement d'adaptation qu
de tubercule quadrijumeau; un petit nombre de ses fibres va dans la substance noire; il ne parait pas certain que cette parti
uban de Reil s'en va, par-dessus le bord supérieur et interne de la substance noire et un peu en dehors, au hile de la couche
e faisceau qui doit être attribué au ruban.de Reil. Tout près de la substance noire se trouve le noyau subthalamique de Luys
ousseau qui va au noyau lenticulaire. Elles constituent une lame de substance blanche, en dehors du premier segment du globus
u trousseau se rend directement à la capsule interne par la lame de substance blanche et par le premier segment du globus pal
la vie chez le chat et le lapin il envoie de nombreuses fibres à la substance noire, qui, à peu près à la même époque reçoit
meaux. Ces fibres viennent surtout dans la partie postérieure de la substance noire; on trouve là de nombreuses cellules entr
les entre lesquelles des fibres myéliniques nombreuses en anses. La substance blanche moyenne du tubercule quadrijumeau supér
turel. La sugges- tion, en effet, ne puise ses éléments dans aucune substance , ne s'appuie sur aucune réalité, soit tangible,
L'enlèvement de la pie-mère détermine la séparation complète de la substance blanche et de la substance grise, celle-ci restan
e détermine la séparation complète de la substance blanche et de la substance grise, celle-ci restant adhérente à la méninge
ite par Baillarger en 18 ? et attribuée par lui à la sclérose de la substance blanche et au ramollissement de l'écorce). Ce
ités de inéningo-encéplialite (avec séparation de l'écorce et de la substance blanche) qui déterminent des symp- tômes releva
termédiaire desquelles elles irriguent les cornes antérieures de la substance grise. Ainsi s'expliquent les paralysies par en
, du bord latéral et antérieur de l'isthme, du bord antérieur de la substance grise encéphalomédullaire. Au point le plus rap
h et le champ de Goll, à extrémité plus épaisse, s'étend jusqu'à la substance grise; elle se prolonge en arrière sans atteind
lle dorsale, que la partie antérieure du cordon postérieur, vers la substance grise de la corne postérieure; elle disparaît p
uns contre les autres, certains étaient dilatés et contenaient une substance colloide. Un certain nombre des cellules qui en
de part en part sans ren- contrer de grands obstacles du côté de la substance osseuse. La ponction reste indolore. On traite
cutanée) qui peuvent rendre compte de troubles « trophiques » de la substance osseuse. Ont pris part à la discussion MM. KORNIL
d'une formation chimique complexe : on y reconnaît net- tement deux substances . L'une apparaît sur de diverses prépara- tions
. On peut considérer leur réac- tion comme étant acide. La deuxième substance ne retient que faiblement les substances colora
me étant acide. La deuxième substance ne retient que faiblement les substances colorantes, elle mérite par conséquent le nom d
ent les substances colorantes, elle mérite par conséquent le nom de substance (ichi-oinatophile ou basique. Elle se colore plus
tions de ce travail il y ait extension du processus destructif à la substance blanche. Enfin de quelques cas il ressort que l
plus ou moins considérables, si bien que dans certaines cellules la substance chro- matique se réduit à une bande plus ou moi
au contraire, c'est immédiatement autour du noyau que se trouve la substance chro- matique, le reste de la cellule étant gri
ments interposés entre les fibres de l'écorce et entre celles de la substance blanche ne sont pas également pour ces conducte
latéral et il existe, entre le foyer et le ventricule une couche de substance nerveuse ayant encore une certaine épaisseur. L
l'auriculaire; 2° de petites cellules contenant relativement peu de substance chroma- tique, qui, probablement, sont l'origin
au n'avait subi aucune déformation ni destruction apparente de sa substance . La compression avait cependant été suffisante po
tômes sont des (roubles oculo-pupillaires relevant de lésions de la substance blanche de la moelle. L'auteur développe un p
ore définitivement établie. Certaines autopsies ont démontré que la substance corticale n'était pas altérée et que le lobule
moyenne de l'hémisphère gauche et par la partie postérieure dans la substance blanche du lobe occipital. La tumeur n'est pas bi
bulbe, de la protubérance avec quelques altérations minimes de la substance corticale du cerveau. Les auteurs estiment que ce
t et en jarretière au milieu des membres. A l'autopsie on trouva la substance grise saine dans la moelle. Lésions de névrite
59 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
ièces sus-jacentes, la longue et la nodulaire, ne renferment pas de substances minérales, ne sont pas des os faits : ce sont d
elle d'un enfant présentant une hémimélie thoracique, a noté que la substance grise du côté correspondant à la malformation, ét
rqué dans la moelle de deux hémimèles une atrophie très nette de la substance grise cervicale, du côté du membre avorté. Ces
eil- leurs, croyait-on, étaient ceux qui nécessitaient l'emploi des substances les plus disparates et les plus fantaisistes, e
IIENRY MEIGE ' Mais rien n'affirme que ce Pédicure fait usage d'une substance cor- rosive ? La fiole qu'il tient à la main re
e et unique de l'épilepsie jacksonnienne est une irrita- tion de la substance grise corticale de la zone motrice, et particuliè
autre sur la face interne, reliées entre elles par un large pont de substance néoplasique. A la face externe, la tumeur s'éte
les adhérences de sa face profonde sont telles que la tumeur et la substance cérébrale semblent ne faire qu'un seul bloc ; c
de distinguer une séparation tranchée entre le tissu morbide et la substance cérébrale. La différenciation ne repose que sur
plus rouge.- Quant à distinguer, dans le cerveau lui-même, entre la substance grise et la substance blanche, cela est totalem
istinguer, dans le cerveau lui-même, entre la substance grise et la substance blanche, cela est totalement impossible. A l'oeil
E. BRISSAUD ET E. DE MASSARY tissu néoplasique semble remplacer la substance grise absente et en occuper exactement la place
ssu a la forme d'une bande d'un centimètre d'épaisseur environ ;.la substance cérébrale est refoulée, atrophiée ; une limite
. ' A sa face inférieure, la tumeur est étroitement juxtaposée à la substance cérébrale, mais la limite commune aux deux tiss
tissus est très nette. Les cou- ches les plus superficielles de la substance cérébrale sont formées par des bandes de névrog
sion mécanique. Les vaisseaux qui circulent dans cette partie de la substance cérébrale sont cependant profondément modifiés. O
ité de l'os, au niveau de la tumeur, un changement de densité de la substance osseuse qui DE LA MAIN SUCCULENTE 89 donne l'
est comme étiré ;i ce niveau et les deux bouts sont séparés par la substance osseuse de nouvelle formation ; ils ne sont pas
à ce sujet. Mais si par oedème, il faut entendre l'accumulation de substances liquides dans le tissu sous-cutané et qu'on peu
omyélie. Etant donné, dit cet auteur, que dans les affections de la substance grise antérieure, comme dans les poliomyélites,
enser que s'il existe dans la syringomyélie c'est à la lésion de la substance grise postérieure qui, comme on le sait, est alté
emak avait tiré de ses observations la conclusion que c'est dans la substance grise postérieure qu'il faut chercher l'explica
e Cajal, Len- hosék et Van Gebucbten, a montré qu'il existe dans la substance grise, un certain nombre de neurones qui envoie
n succulente ne sont que des équivalents des diverses lésions de la substance grise médiane el postérieure. Je ne veux pas di
romégalie par exemple, des modalités différentes de la lésion de la substance grise, modalités qui dépendent du siège de la l
dans la main succulente, que celle-ci relève de l'altération de la substance grise médiane et postérieure. Mais par quel méc
roglie détermine, comme tout corps étranger dans les cellules de la substance grise, de l'excitation, laquelle quand elle attei
. La capsule se décortique mal. Par places, existent des kystes. La substance corti- cale offre en certaines régions une appa
L'a rate a sa capsule épaissie. Il existe des hémorrhagies dans la substance . Le rein offre des lésions diffuses : altératio
minantes dans les faisceaux postéro-iatéraux. Pour ce qui est de la substance grise, les cellules des cornes antérieures sont
la rage des rues. Ils insistent sur l'ectasie des vais- seaux de la substance grise de la moelle et sur la présence de petites
r- veuses à l'aide de la méthode de Nissl. Dans la rage, on voit la substance chromatique, à la périphérie du corps cellulair
cilite l'é- tude des deux particularités suivantes du protoplasma : substance chroma- tique, réseau achromatique ou spongiopl
pongioplasma. Dans les cellules motrices de la corne antérieure, la substance chromatique est disposée sous forme de grumeaux
y Cajal). Au niveau des points où ces expansions se bifurquent, la substance chromatique a l'aspect d'un cône à base périphéri
ils sont englobés dans un réseau alvéolaire dont la trame répond la substance achromatique ou spongioplasma. Les diverses str
pes cellulaires ; c'est ainsi que dans les cellules nerveuses de la substance gélatineuse de Rolando, les granu- lations chro
pro- fondément l'aspect de l'élément : tantôt la disparition de la substance chromatique s'observe à la périphérie,en regard
rce dans l'espace qui sépare le noyau de la membrane (Fig. 6) et la substance chromophile ne persiste qu'excentriquement, en bo
ules à ce degré de dégéné- rescence. Dans les autres territoires de substance grise, le nombre de ces éléments mortifiés excè
veau des prolongements protoplasmiques. Cette désorganisation de la substance chromophile se poursuit le plus souvent de la pér
it sur ses cellules d'origine en provoquant une désagrégation de la substance chromophile au voisinage du cylindre-axe. Dans la
erveuses qui consomment, sans les réparer, les matières de réserve, substances génératrices de tension nerveuse (1), accumulées
n effet la corne postérieure possède peu de névroglie et surtout la substance gélatineuse qui a une con- sistance faible s'op
même que si, au contraire, la région spinale radiale est prise, la substance blanche voisine des cordons posté- rieurs sera
Joffroy, il existait « des canaux de néoformations creusés dans la substance grise ». L'enseignement qui nous semble découle
nter dans des cas de pa- chyméningite compliqués de cavités dans la substance grise; 2° que cetle (1) Deutsch. Arch. f. Klin.
ieure, le neurone vaso-moteur siégeant dans la partie moyenne de la substance grise, le neurone sensitif indirect siégeant surt
tement coordonnés et auto- matiques, dans la production desquels la substance corticale ne peutplus intervenir. Donc, notez
lulaire normale et, en même temps, en une formation excessive de la substance intersti- tielle du cartilage. Hofmeister propo
Or, une fois qu'elle a pénétré à une certaine profondeur de la substance blanche de la moelle, suivant une direction lég
e recourbe non loin de sa naissance, pour aller se perdre dans la substance grise; Soit qu'elle remonte jusque dans le bulb
MISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 315 Soit qu'elle pénètre dans la substance grise, à tout autre niveau compris entre ces po
ne antérieure. d) Enfin d'abondantes collatérales ramifiées dans la substance grise centrale et dans la partie interne de la
e à ces couleurs ; c'est pour cela que la première peut être nommée substance chromatique et la seconde substance achromatique.
ue la première peut être nommée substance chromatique et la seconde substance achromatique. La substance chromatique, ou chro
mmée substance chromatique et la seconde substance achromatique. La substance chromatique, ou chromatine, forme dans le corps d
observe toute une série de modifications dans la disposition de la substance chromatique ainsi que de sa quantité dans le pr
ériques qui se trouventaltérés dans la polynévrite, mais encore les substances blanche et grise du système nerveux central. Po
édul- laire des racines, que dans leur partie extramédullaire. La substance grise des deux cornes est pénétrée dans toutes le
s et latéraux, il n'y a qu'un petit nombre de fibres dégénérées. La substance grise surtout de la corne antérieure est traver
des lésions cellulaires par la disposition dans ces dernières de la substance chromatique, et, en outre, par l'endroit de la
arations on peut voir très nettement que dans certaines cellules la substance chroma- tique n'est pas distribuée également; c
es la substance chroma- tique n'est pas distribuée également; cette substance a disparu tantôt dans la partie centrale du cor
subs- tance chromatique. Dans les cellules, où la dissolution.de la substance chromatique a envahi la partie centrale du corp
raît comme reculé vers la périphé- rie avec les amas modifiés de la substance chromatique, qui entoure d'un cercle plus ou mo
é au centre de la cel- lule (Fig. 3). ) Plus la dissolution de la substance chromatique dans le centre de la cellule est gr
de la cellule une convexité. Dans la dissolution périphérique de la substance chromatique, -ce qui SUR l'histologie pathologi
cellulaire (Fig. 4). Les cellules avec modification centrale de la substance chromatique dif- fèrent par leur aspect extérie
s motrices de la corne an- térieure, une dissolution centrale de la substance chromatique avec la position périphérique du no
Nissl. Quelle est la signification de la dissolution centrale de la substance chromatique, accompagnée de l'émigration du noy
ocessus plus aigu que dans le second. La dissolution centrale de la substance chromatique avec le déplacement simultané du no
remarquer que les cellules gonflées, la dissolution centrale de la substance chromatique, le déplacement du noyau du centre du
tre cas de polynévrite, ou bien y avait-il aussi alté- ration de la substance achromatique ? Les modifications primitives,de
ines cellules nerveuses, semblaient subir une dissolu- tion dans la substance du trophoplasma (d'après la terminologie de M. Ma
petit nombre d'éléments nerveux on pouvait noter l'altération de la substance achromatique, grâce à l'apparition à l'in- téri
vec l'aspect des figurations authentiques de Lépreux. Les pertes de substance de la face, l'atrophie et la contracture des memb
e de l'être, si l'on admet qu'il s4agit d'un Lépreux. Ces pertes de substance osseuse et musculaire, que l'artiste a figurées
elle encore par ce fait que la lèvre supérieure a subi une perte de substance qui laisse voir les dents, pro- duisant ainsi u
60 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s fines. De quelle manière cela se fait-il ? D'où vient la nouvelle substance ? Nous pouvons supposer que les prolon- gements
diminue graduellement dans son volume. Il est plus probable, que la substance nerveuse a la faculté de produire de nouvelles
importance au fonctionnement régulier du mécanisme psychique. La substance protoplasmique des neurones est dans un état de
une extrême rapidité. L'exagération de l'onde moléculaire dans la substance pro- toplasmique est accompagnée d'une modifica
qu'à force d'être incitée par des impulsions extérieures, que la substance protoplasmique devient un mécanisme, capable de
la dendrite voisine d'un autre neurone. Nous savons déjà, que la substance protoplasmique demeure tranquille, en tant qu'e
rent dans l'écorce cérébrale exigent une plus forte vibration de la substance ner- veuse, que les procès inconscients. Il e
xtrêmes, notamment de facilité et de raideur de la mobi- lité de la substance protoplasmique, correspondent aux deux tempéram
le malade parviennent jusqu'à ses centres perceptifs conscients. La substance protoplasmique correspon- dante garde une certa
fibres cylindraxiles, se détruisent rapidement. Par conséquent, la substance nerveuse de l'individu donné se montra incapabl
les du cylindraxe. A cause de cela leur influence stimulante sur la substance proto- plasmique des dendrites devient plus fai
, du moins dans certains cas une altération de la structure de la substance protoplasmique. Il se peut, que les dendrites d
. Nous pouvons nous représenter ceci de la manière suivante : 1° la substance pro- toplasmique perd jusqu'à un certain degré
n certain degré la capacité de pro- duire de nouveaux liens ; 2° la substance protoplasmique en général, et celle des dendrit
les mélancolies, accompagnées d'un retard des procès psychiques, la substance protoplas- mique en général et celle des dendri
lysie labio- glosso-laryngée avec lésions strictement limitées à la substance grise d'un certain nombre de noyaux bulbaires s
'atrophie type Aran-Duchenne. En effet pour Charcot la lésion de la substance grise des cornes antérieures rendant compte de
de lésions en foyer de la zone psycho- motrice de l'écorce ou de la substance blanche sous-jacente; c'est une dégénérescence
mes : la première, dans la dure-mère et la seconde enfoncée dans la substance de la moelle épinière, qui était fortement comp
qui se localisait principale- ment, mais non exclusivement, dans la substance grise, qui entoure la cavité centrale. Outre ce
trique et élective du procès morbide (presque exclusivement dans la substance grise), et 3° à cause du tableau histologique.
s, adhérentes au moyen de tractus d'aspect gélatino-fibreux à de la substance blanche. La première et la deuxième temporale,
re avant cet enlèvement. Il s'enfonce en effet profondément dans la substance blanche sous la troisième et a deuxième frontal
t contient à ses deux extrémités seulement une couche très mince de substance grise. La troisième temporale est légèrement ra
spon- dantes de l'hémisphère droit peuvent suppléer à la perte de substance de l'hémisphère gauche, surtout si cette suppléan
repris spécialement dans le but de déterminer les altérations de la substance grise de l'encéphale par rapport aux centres di
st agglutinée à la surface, la circonvolution est très rétrécie, la substance grise est diminuée et irrégulière, un peu décol
pécialement affecté. La localisation des altérations graves dans la substance corticale du grand centre d'association frontal
'établir le type schématique des circonvolutions et scissures de la substance corticale en dehors de l'état pathologique. L'aut
me ovoïde de 2 pouces sur 1 1/4 parallèle à la F2 et inclus dans la substance blanche ; à droite, môme région, deux petits sa
et les parties adjacentes des colonnes postéro-médianes et aussi la substance gélatineuse de Rolando avec les parties voisine
re et simple jusqu'à l'ablation de la dure-mère ou d'une portion de substance cérébrale, ou jusqu'aux interventions portant s
es, hyperplasie névroglique, petits espaces ramollis entre les deux substances . Observation II. - Femme trente ans, épilepsie
renfermé dans une capsule propre. Son protoplasma est formé de deux substances , l'une chromatique, l'autre achromatique, de ré
même à pouvoir donner à tous des matelas en employant néanmoins des substances imperméables et l'on n'aura plus à se préoccupe
ondant de la corne, à peu près au niveau du réseau plexiforme de la substance grise, le corps même du croissant constitue une
rvicale. Les anciens auteurs désignaient sous ce nom un faisceau de substance blanche, individualisé à partir de la huitième
e côté; ses terminaisons principales fournissent à l'écorce et à la substance blanche du lobe occipital, de la pointe de celui-
posé 248. SOCIÉTÉS 'SAVANTES.. des mêmes éléments histologiquçs : substance blanche, substance grise, tubes nerveux, cellul
S 'SAVANTES.. des mêmes éléments histologiquçs : substance blanche, substance grise, tubes nerveux, cellules nerveuses, envel
élites systéma- tisées, c'est-àdire propres à un ordre déterminé de substance ner- veuse blanche ou grise (sclérose amyotropb
complète); 2° des péricéré- brites débutant par l'altération de la substance blanche ou des SOCIÉTÉS SAVANTES. ! 249 tubes
rébrites cellulaires, c'est-à-dire avec alté- ration initiale de la substance grise, reconnaissables au cachet démentiel de l
ications cutanées une dégénérescence accu- sée (désagrégation de la substance blanche complètement disparue en certains point
trou\(' ! : principalement chez ces derniers une dégénération de la substance blanche (faisceau de Burdach) avec raréfaction
et celles de la colonne de Clarke présentaient une diminution de la substance chromatophyle devenue homogène et fortement col
ière frontale. Ce cas démontre qu'un sujet peut vivre avec perte de substance et qu'il n'est pas besoin que la force motrice
llules pyramidales. Ces cellules se ren- contrent également dans la substance blanche sous-jacente. Elles sont pour la plupar
incipale de fibres connectives courtes. La plupart des fibres de la substance réticulaire grise ne contient non plus des voies
s de la tumeur, mais dans les parties extérieures (latérales) de la substance réticulaire grise se trouvent des fibres longue
est jus- tement le système de fibres fines, situées en dedans de la substance gélatineuse de la racine bulbaire (inférieure)
tite quantité de fibres, situées dans les régions extérieures de la substance réticulaire grise. Ces fibres, d'une dimension
elle mourut il cause de phénomènes bulbaires très aigus. Dans la substance blanche de l'hémisphère droit on constata un lo
qu'une hyper- plaxie très marquée de ses cellules (surtout dans la substance grise altérée) ; beaucoup de fibres nerveuses o
our suivant le malade mourut. Autopsie. Les parties centrales de la substance blanche, le corps calleux et la partie médiane
contours peu clairs, disparition des granules, transformation de la substance chromatique en une masse presque homogène, sa d
soires; les altérations de l'encéphale de la moelle allongée, de la substance blanche de la moelle épinière et des ganglions
ion primitive en forme de foyer causé par la dégéné- rescence de la substance cérébrale donna un tableau d'idiotisme paralyti
aluer d'une manière approximative la puissance toxique de ces mêmes substances dans l'intoxication chronique. Pour obtenir des
stitielles, des dégénérescences kyrtiques et surtout la fonte de la substance col- loïde interne. Le coeur est libre dans la
es capsules rénales se détachent bien et facile- ment sans perte de substance corticale du rein. Une section faite nous montr
yse, de leurs rapports fonctionnels, L'extension en surface de la substance grise corticale dépend également en premier lie
corce résulte des rap- ports existant entre celle-ci et la masse de substance blanche sous-jacente (Jelgersma). Or la quantit
e de substance blanche sous-jacente (Jelgersma). Or la quantité de. substance blanche est déterminée par le nombre, l'épaisse
et physiologiques, influent nécessaire- ment sur la quantité de la substance blanche et, partant, sur le nombre des fibres n
ce blanche et, partant, sur le nombre des fibres nerveuses de cette substance . Le volume ou calibre de ces fibres dépend de l
, entre autres, seraient résultés de l'énorme augmen-' talion de la substance blanche : il() l'extension de la cavité ventric
nismes et que, grâce au plissement de l'écorce, l'extension de la substance grise a tendu toujours davantage à s'adapter à
ubstance grise a tendu toujours davantage à s'adapter à celle de la substance blanche. La croissance du crâne a suivi seconda
plus circonvolutionné que le cerveau. L'indigence relative de la substance blanche du cervelet est due, nous l'avons dit, à
s par Chiarugi, qui ont demontré que la plus grande épaisseur de la substance grise est au sommet des plis de l'écorce circon
.cette structure . interne (Nissl, Lenhossek, Marinesco, etc.), la substance fonda- mentale ou achromatique de la cellule fu
a- mentale ou achromatique de la cellule fut considérée comme une substance amorphe. A cette époque, on s'occupa surtout de l
icile de trancher cette question. Quand la plus grande partie de la substance chro- matique est ainsi désintégrée, le centre
ont disséminées de fines granulations. Cette désintégration de la substance chromatique permet quel- quefois d'entrevoir da
le cytoplasma un réseau trabéculaire, qui n'est autre chose que la substance achromatique organisée, c'est- à-dire celle qui
iques. Pour que celui-ci soit atteint, il faut une altération de la substance achromatique, éventualité qui présente dans les c
rt, une coloration plus intense. Nous avons envisagé jusqu'ici la substance achromatique comme étant constituée par une mat
Flemming, Becker, Lévi, Lugaro et les miennes ont montré que cette substance est composée d'une partie orga- nisée, dont nou
nisée, dont nous allons éludier la texture, et d'autre part d'une substance fondamentale. La substance achromatique, dont l
dier la texture, et d'autre part d'une substance fondamentale. La substance achromatique, dont la véritable nature a donné
e striation, qui est assez évidente dans les grandes cellules de la substance réticulée du bulbe; mais, pour voir d'une façon
l'opinion que j'ai émise le premier, à savoir que les lésions de la substance achromatique entraînent la dégénérescence des p
du pays, elle quitta l'hôpital. En résumé, nous voyons que des deux substances toxiques, le mercure et l'arsenic, la première
estruction mécanique et désor- donnée (contusion, écrasement) de la substance médullaire. Dans quelques cas rares (suivis d'a
localisation est toujours la même ; le plus souvent elle occupe la substance grise centrale de la corne anté- rieure et post
le remontant à plus de deux ans. Le foyer de sang épanché en pleine substance grise, dans la moitié droite de la moelle qui n
e capsule qui, de proche en proche, a successivement empiété sur la substance grise et sur les divers cordons. Autour de ce k
paralysies amyotrophiques très graves et répandues, même lorsque la substance grise antérieure de la moelle épinière présente
nerveuses, puisqu'il s'agit de l'introduction dans l'or- ganisme de substances physiologiques ayant d'indubitables rap- ports
Opéré, en soulevant les ostéophytes qui, en s'introduisant dans la substance cérébrale, maintenaient l'horrible situation indi
voussure très marquée ; la pie-mère appa- rut très vascularisée; la substance célébrais fut trouvée notable- ment dure, comme
61 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
entent un certain degré de sclérose, la capsule est adhérente et la substance corticale diminuée d'épaisseur. 13) Examen hi
imant le cerveau à travers les méninges restées saines ainsi que la substance corticale. La guérison est complète. (Revista d
de, quel qu'en soit l'objet. 2° On a le droit de se demander si les substances antitoxiques dont le sérum doit, dans la pensée
t deux stades : la pénétration, la fixation de l'impression dans la substance nerveuse, et sa conservation. Dans la reproduct
n- dant la période d'administration de l'opium montrent que celte substance diminue très peu l'excitabilité corticale. Malg
e a été plus rapide et plus intense, elle s'est étendue en nappe de substance éburnée blanche et dure formant Fig. 5. - Face
n organique se rattachent à l'endémie goitro- crétineuse. » - Les substances minérales les plus justement incriminées seraient
potentielle des cellules motrices de la moelle est contenue dans la substance chroma- tique ; 2° l'activité de ces cellules s
gne d'altérations morphologiques exprimées par la déchéance de leur substance chromatique ; 3° le volume du corps de la cellu
tivité; l'épuisement de la cellule s'accompagne d'altérations de la substance chroma- tique et non chromatique étendues. Fr
n aspect finement grenu, et que, par conséquent, la déchéance de la substance chromatique est l'expression fondamentale de l'
e à cette dernière ne reste pas sans retentir sur la vitalité de la substance striée. Dans ces conditions, le rapport étroit
res inférieurs, le tout ayant pour substratum un état morbide de la substance nerveuse. La question de savoir si cet état mor
du pied du pédoncule vers ce dernier noyau. Après avoir traversé la substance de Soemmering, elles prennent une direction dor
TES. 169 le cingulum, dans la couche des fibres tangentielles de la substance grise sous-épendymaire, qui forme le toit du ve
Un certain nombre donnent des collatérales, qui se perdent dans la substance grise centrale. Une dégénérescence nettement vi
tral de la calotte de Forel, dans le stratum intermedium et dans la substance noire de Soemmering, une légère dégénérescence
ôté opposé était plus accentuée que celle-ci du même côté) et de la substance réticulée. F. BOIS,IR ! \, SOCIÉTÉ D'HYP10LOGIG
tion de la folie, les blessures à la tête, l'ingestion de certaines substances vénéneuses, l'inflammation des méninges, etc.,
teurs disposés en série. Selon Marinesco, leur trophoplasma est une substance à haute tension chimique. Pfluger, repre- nant
on se trouva en présence d'une vaste cavité remplie de liquide. La substance cérébrale était retombée à environ six centimèt
lque soin qu'on y mette, sans entrai- ner de véritables lambeaux de substance grise adhérant à la face interne de la pie-mère
idales grandes et géantes. La moelle est indemne aussi bien dans sa substance blanche que dans sa subs- tance grise, et en pa
nguins de la membrane pie-mérienne, transformés successivement en substance corticale et en substance médullaire. Il n'y a
e-mérienne, transformés successivement en substance corticale et en substance médullaire. Il n'y a donc pas lieu de s'étonner
e. Ils affirmaient que tous les nerfs prennent leur origine dans la substance grise. Ils soutenaient que la moelle n'est pas
si- dérait pas moins les hémisphères cérébraux comme une masse de substance nerveuse, homogène au point de vue fonctionnel. O
l'affaiblissement de leurs fonctions comme adéquat à la quantité de substance cérébrale, détruite ou anni- hilée. En 487U,
notamment la fièvre typhoïde, qui surexcitent la formation de cette substance amènent à la fois l'augmen- ' Garnier. La gla»c
it remarqué chez les idiots, de la sécheresse et de la dureté de la substance cérébrale. Bonnet et Haller, ensuite relatent d
côté des membres paralysés. Dans la forme acquise, il y a perte de substance nerveuse, par inflammation du cerveau ou de ses
ment elle est causée par une augmentation de la névroglie et de la substance blanche, mais encore la nutrition semble être mod
e les sulci sont obli- térés. La partie principalement lésée est la substance blanche des deux hémisphères. I.e poids du cerv
'est pas nettement circonscrite, et affecte à peu près également la substance médullaire et la substance grise. Les circonvol
rite, et affecte à peu près également la substance médullaire et la substance grise. Les circonvolutions particuliè- rement a
t former un groupe isolé, se trouvent les cerveaux dans lesquels la substance blanche des hémisphères cérébraux est très peu
des hémisphères cérébraux est très peu développée, tan- dis que la substance grise de l'écorce se distingue par son abon- da
cas que j'ai décrit de 16 à 4 millimètres. Dans ce dernier cas, la substance grise comprenait les deux tiers de la paroi des h
rise comprenait les deux tiers de la paroi des hémi- sphères, et la substance blanche un tiers seulement et parfois même moin
Ces cas sont de beaux exemples de l'exiguïté que peut atteindre la substance blanche des hémisphères, ils sont toujours accom-
pagnés de microcéphalie et de microgyrie. Dans les autres cas, la substance blanche des hémisphères est amoindrie dans des di
ent extrêmement minces dans le cas de llatell. L'insuffisance de la substance blanche des hémisphères se supplée par la subst
uffisance de la substance blanche des hémisphères se supplée par la substance grise qui se distingue par la richesse de son d
richesse de son développement et l'épaisseur énorme de l'écorce. La substance grise des circonvolutions se présente dans cert
- gements et les cellules géantes manquent. Ce qui caractérise la substance grise des hémisphères de pareils cerveaux, c'es
e d'éléments ganglionnaires ressemblant à la quatrième couche de la substance grise des circonvolutions (cas de Mate)), 316 C
éments ganglionnaires, les auteurs la nom- ment l'hétérotopie de la substance grise, quoique cette hétérotopie soit une hétér
sous la forme d'îlots de cellules ganglionnaires incrustés dans la substance blanche. Chez les microcéphales avec microgyrie
ents plus dé- veloppés, qui ressemblent à la quatrième couche de la substance grise de l'écorce (cellules polymorphes). Par
cerveau du micro- céphale qui se caractérise par la richesse de' la substance grise et le développement insuffisant de la sub
chesse de' la substance grise et le développement insuffisant de la substance blanche et qui s'ac- compagne de microgyrie. Ce
u nerveux des hémisphères, les proportions correspondantes entre la substance grise et la blanche sont conservées. - Après ce
e microcéphales, type représentant l'arrêt de développe- ment de la substance blanche des hémisphères cérébraux au degré le p
demi-microcé- phales ; chez lesquels l'arrêt de développement de la substance blanche atteint un degré moins grand et s'accom
and et s'accompagne de l'héléro- topie sous-corticale diffuse de la substance grise. Mais dans ces deux cas, le type reste le
este le même, et son caractère spécial consiste en ce que, entre la substance grise des hémisphères cérébraux et le centre se
dispersées, isolées et jamais agglomérées en forme d'ilots dans la substance blanche. En outre, dans la couche zonale de l'é
ues nous amène de prime abord à la conclusion que la richesse de la substance grise et l'abondance des cellules nerveuses peu
éléments et de leurs combinaisons récipro- ques. De manière que la substance blanche n'est que la continua- tion des prolong
indraxiles de ces cellules favorise le développement abondant de la substance blanche, et la pauvreté de ces ramifications re
s rend son développement insuffisant. Ainsi dans les cerveaux où la substance blanche est peu déve- loppée, les cellules nerv
ellules d'origine des neurones ou dans les voies conductrices de la substance blanche. En tenant compte des réalités clinique
s dénudées des altérations anatomiques intenses dans l'écorce et la substance blanche sous-jacente. Il s'en- suit donc que, s
32 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. séparations de l'écorce de la substance blanche sous-jacente. Tous les chiens ont été o
son voisinage, si enfin on pratique une coupe entre ce point et la substance blanche, dans la règle aucun trouble visuel ne se
lits sont munis à la tête et aux pieds d'une tablette verticale, en substance mauvaise conductrice de la chaleur (xylolithe),
celles des mouvements de la colonne vertébrale à l'énorme masse de substance cérébrale qui constitue les lobes frontaux de l
a semble poussé tout entier d'un côté de la cellule. l'intérieur la substance colorée est dissoute, et il se produit une plas
e : intense-, la.vacuolisation est fréquente et très prononcée ; la substance chromatique a-une tendance marquée à se séparer
les plus diverses tant dans sou volume que dans sa. posilion. et sa substance colorante. Le nucléole qui réoiste mieux, a une
e forment qu'une petite fraction de toute la masse des fibres de la substance médullaire limitante. Il existe en conséquence
isphères-. Du reste, il existe dans d'autres régions cérébrales (la substance grise centrale) des par tics, d'une moindre éte
d'association. Il est certain que l'arrangement des libres dans la substance blanche- du. cerveau ne se fait pas d'une maniè
préparations Weigert ou dans des imitations on ne distingue que la substance grise décolorée à côté de la substance blanche
tions on ne distingue que la substance grise décolorée à côté de la substance blanche qui est très foncée; la différenciation
substance blanche qui est très foncée; la différenciation entre la substance blanche et la substance grise était bien le but
st très foncée; la différenciation entre la substance blanche et la substance grise était bien le but de la méthode ; elle su
" Etat criblé du cerveau de Durand-Fardel, siégeant surtout dans la substance blanche du pôle temporal ; 3° Grosses dilatatio
in temps, que ceux-ci se trou- vent le plus souvent au niveau de la substance grise. Rapprochant cela du fait que dans la moe
dites myélites cavitaires affectionnent également les régions de substance grise médullaire, je pense que l'on peut admettre
dullaire, je pense que l'on peut admettre que la constitution de la substance grise nerveuse se prêle plus qu'aucune autre à
ies méningées traumatiques comme conséquence du contre-coup dans la substance blanche. M... pense que leur origine doit être
qu'il soit lacéré, brisé, souillé, brûlé, détruit parle feu ou des substances corrosives. De tels faits ont une importance mé
ais mouvements réflexes, dont la voie mène directement à travers la substance grise de la moelle, à la hauteur des deuxième e
es de la moelle cervicale ou dorsale est une preuve clinique que la substance grise de la moelle lombaire est aussi atteinte;
u pyramidal croisé au niveau du collet du bulbe, descendent dans la substance grise centrale de la moelle, puis réintègrent le
me qui interrompent la continuité des cordons, 3" les lésions de la substance grise. Faisceaux exogènes. La distinction entre
h. Ces lésions sont dues probablement à l'extension immédiate de la substance grise, et non pas à une dégénérescence secondaire
non pas à une dégénérescence secondaire qui tire son origine de la substance grise. La destruction de ces régions est apte c
rées. Ces auteurs attribuent la sclérose à l'action immédiate d'une substance toxique sur les fibres nerveuses. Elle est attr
ibres nerveuses. Elle est attribuée par Marie à une affection de la substance grise. Dans le paraplégie ataxique les lésions
décubitin avec oedème et état trouble de la pie-mère adhérente à la substance du cerveau ; collection liquide dans les ventricu
62 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
radioscopie montrait aux sommets des poumons un état pommelé de la substance qui fit conclure à une tuberculose; l'épreuve d
, émet l'hypothèse d'une syringo-encéphalie, d'une gliomatose de la substance grise périépen- dymaire bulbo-protubérantielle.
gauche est normale ; la postérieure se réduit à quelques tractus de substance grise, situés de chaque côté d'une grande fente q
au longitudinal postérieur du côté droit est nettement atrophié, la substance réticulée de la calotte fait presque entièrement
) A. Thomas, Recherches sur le faisceau longitudinal postérieur el la substance réticulée bulbo-protubérantielle, le faisceau c
xie lente. Infection tuberculeuse terminale. Autopsie. - Perte de substance crânienne. 111éningo-eocépholite fibreuse SYPHI
,l scissure de Sylvius, dont elle n'est séparée que par un pont de substance de 2 centimètres environ. De ce fait, le lobe o
cervelet, qu'ils recouvrent presque complètement, pénétrant dans la substance nerveuse à,quelques millimètres. Ils existent aus
onvexe appliqués à la surface de la circonvolution. A côté d'eux la substance nerveuse apparaît avec ses caractères normaux.
rès apparents suivent la gaine des vaisseaux ou pénètrent en pleine substance cérébrale, s'arrangeant en colon- nettes de une
n colon- nettes de une ou deux cellules de front. A la limite de la substance saine, ils se voient par petits groupes d'éléme
, ou, plus en avant encore, dans les gaines vas- culaires en pleine substance saine (PI. XXI, A). L'épaississement de la méni
tex vont en s'accentuant vers le centre du placard. A ce niveau, la substance cérébrale intacte apparaît légèrement tassée de
s analogues : partout la lésion méningée prédominante, pénétrant la substance nerveuse par les sillons et secondairement par
halite, faisant face à la perforation crânienne, le tassement de la substance nerveuse est extrême ; le tissu con- jonctif en
endant le bourgeon cellulaire infiltré tantôt refoule devant lui la substance grise, plus souvent envahit les différentes tun
térêt secondaire; nous envisageons pour le moment un type moyen. La substance grise a subi à peu près sur toute la hauteur une
quée, les vaisseaux sont nombreux, parfois sinueux et dilatés. La substance blanche subit aussi des déformations considérable
les jeunes. Dans les cordons postérieurs, on remarque des pertes de substance con- tenant quelques boules amorphes se coloran
nt il est séparé SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 91 1 par un pont de substance intacte ; autour de ces zones, il n'y a ni vaisse
vaisseaux ni cellules jeunes. Le long des septa pénètrent dans la substance blanche de très courtes colon- nettes cellulair
rmes et en continuité directe avec la méninge refoule devant lui la substance nerveuse et arrive presque au contact de la subst
devant lui la substance nerveuse et arrive presque au contact de la substance grise; l'autre partant également de la surface
es sont remplacées par une bande conjonctive, mince, adhérente à la substance médullaire contenant des lumières vasculaires nom
le cordon latéral, les fibres colorées se groupent encore contre la substance grise, mais en moins grande abondance et dispar
par un cordon fibreux, laissant subsister à peine quelques ilots de substance nerveuse, nous avons noté l'énorme déformation
se Paris, 1896. 96 BICHON des faits cités à l'envahissement de la substance blanche par des cônes de cellules jeunes, mais
ais aux compressions et rétractions venues de la péri- phérie. La substance grise subit en général peu de modifications struc
vérifier en raison du mode de fixation) l'intégrité relative de la substance grise, l'absence de nodules cellulaires, la dil
es vaisseaux annexes n'étaient pas lésés. Les modifications de la substance blanche, décrites par les observateurs, sont as
ns les masses nucléaires, qui constituent la lésion dominante de la substance blanche, soit qu'elles apparaissent au milieu des
eure. Nous avons vu toutes les masses néo-formées pénétrant dans la substance blanche, en relation directe avec les méninges
régions seulement, elles détruisaient un territoire assez étendu de substance blanche. Toutes étaient colorées avec-intensité;
la dernière période probablement, à la base de l'encéphale et à la substance blanche du cervelet. ' Nous croyons la nature s
t de membranes déterminant à sa surface des brides qui pénètrent la substance corticale (PI. XXII); la pie-mère très épaissie e
nom- breux foyers de ramollissement blanc et on n'y trouve plus de substance grise et de substance blanche saines. Sur la co
ramollissement blanc et on n'y trouve plus de substance grise et de substance blanche saines. Sur la coupe, on relève une certa
e blanche saines. Sur la coupe, on relève une certaine épaisseur de substance blanche au niveau des circonvolutions de la face
ude de cellules rondes se colorant fortement. A son contact avec la substance corticale, l'en- céphalite est très accusée ; l
- tions. Les capsules surrénales étaient bien développées, avec une substance corticale jaune, dure et une substance centrale
t bien développées, avec une substance corticale jaune, dure et une substance centrale noire et molle ; on sait (1) PELIZZI,
La tumeur a une coloration blanchâtre, plus blanche que celle de la substance médullaire normale; elle est recouverte par une
ement des tissus profonds. Dans la crainte de laisser écouler cette substance fluide, et d'en perdre les rapports avec les él
sse rien voir d'anormal sauf peut-être un léger élargissement de la substance grise de la moitié droite. La pie-mère est très n
ent changé à ce niveau ; on n'y reconnaît , plus la distribution en substances blanche et grise disposées symétriquement de ch
ns les régions centrales de la moelle et aux dépens surtout de la t substance grise. De la substance grise, dont il ne reste au
s de la moelle et aux dépens surtout de la t substance grise. De la substance grise, dont il ne reste aucun vestige apparent
) et les cordons postérieurs et postéro-latéraux. On distin- gue la substance blanche persistante, sous forme de zones périphér
te tu- meur, de telle sorte qu'il semble la limiter, pendant que la substance grise de la commissure, de la corne gauche, l'e
ne paraît pas considérablement modifié ; on distingue assez bien la substance grise et sa gaine de substance blanche. La pie-
modifié ; on distingue assez bien la substance grise et sa gaine de substance blanche. La pie-mère se voit nettement dessinée
n interne marquée par une cavité très petite située au milieu de la substance blanche du cordon postérieur gauche, au centre
es antérieures perdues au milieu du tissu de nouvelle formation. La substance blanche est également envahie, les tubes nerveux
hissement de la moelle se fait d'après le mode déjà analysé. , La substance grise est presque complètement infiltrée par les
es fibrilles et les cellules gliomateuses ; il eu est de même de la substance blanche. Il n'existe presque plus de tubes nerv
as touchées par le processus atrophique. Les fibres nerveuses de la substance blanche sont pour la plupart complètement dégén
rencier ces deux sortes de tumeurs d'après leurs connexions avec la substance environnante, que par des moyens histologiques.
a cellulaire. Reins. Il existe une sclérose nette au niveau de la substance médullaire ; elle se retrouve, mais plus légère
substance médullaire ; elle se retrouve, mais plus légère, dans la substance corticale, où elle semble plus marquée qu'elle
nt abondants dans l'endothélium et la lumière des capillaires de la substance corticale. Les artères, en collapsus, ne montrent
grains pigmentaires ; leurs noyaux ne sont pas visibles. Dans cette substance corticale on trouve des alvéoles remplies de cell
ême trois noyaux. Quelques alvéoles de ce genre se trouvent dans la substance médullaire, mais en très petit nombre. Les br
s-surrénales. - On note une grande dilatation des capillaires de la substance centrale. Les glomérules apparaissent très nets d
a substance centrale. Les glomérules apparaissent très nets dans la substance corticale ; leurs cellules, bien limitées, sont
thyroïde. - Les vésicules, assez larges, inégales, renfermant de la substance colloïde, ont leurs cellules en voie de fonte muq
certaines des préparations relatives à cette région on voit dans la substance blanche, en dehors de la corne postérieure, que
(lobe frontal) ont montré l'intégrité des circonvolutions et de la substance blanche. Considérations générales. Les résult
âne, s'était développée dans le ventricule latéral droit, en pleine substance blanche, remarquablement tolérante. Notons, enc
la possi- bilité d'une atrophie ou d'une absence de formation de la substance grise consécutivement à une anomalie ou à une m
r gauche et droit. Il s'élève, ensuite, perpendiculairement dans la substance médullaire (fibres transverse) qui constitue la
ns radiculaires postérieures dans le tabes. Pour ce qui concerne la substance grise de la moelle chez les paralytiques géné-
e tabes vrai on a pu démontrer plusieurs fois des altérations de la substance grise, mais on a pu remarquer, comme un des sig
du canal épendymaire sont détachées et séparées des parois par une substance fibrillaire qui semble de la fibrine. Plusieurs
rées surtout au niveau des cornes postérieures (PI. LV, D). Dans la substance blanche on constate une sclérose des cordons post
oulouse) soutiennent que la lésion des méninges précède celle de la substance ner- veuse. Or, quelle opinion devrait-on suivr
fibre normale (Voy. pl. LXIV, fig. J). Ils paraissent formés d'une substance non diffé- renciée pour laquelle nous n'avons p
en. periph. Nerven. (Arch. f. Psych., XXXIV, 1901). Biervliet. - La substance chromatophile pendant le cours du développement d
s abondant qu'il l'est normalement. Il existait de larges nappes de substance colloïde, plus grandes même qu'en aucun point d
63 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
une lésion des fibres d'entrée des racines postérieures puisque la substance grise confine à cette zone d'entrée. Mais cet arg
argument ne sau- rait s'appliquer aux troubles de la motilité : la substance grise de la corne antérieure est loin de la pér
à pourquoi on trouve une sorte de noyaux isolés dans la masse de la substance contractile (a, fig. 3) tantôt ils sont en déso
longitudinale. Les vaisseaux sont intacts. Les altérations de la substance interstitielle sont caractérisées par une infil-
érisée par une teinte blanchâtre et par un épuisement graduel de la substance de la striation parallèlement à la prolifération
affections névritiques,que dans les myélopalhies qui intéressent la substance grise cenlrale. D'autre part, les sujets attein
au laboratoire de Bicêtre et étu- dier l'anatomie de ces pertes de substance 'cérébrale qui sont la cause la plus fréquente
nvironnés de toutes parts, en avant, en dehors et en arrière par la substance blanche qui double les circonvolutions. De plus
es noyaux cen- traux des hémisphères, on peut en rencontrer dans la substance blanche envi- ronnante : c'est là un fait presq
es, il y en a 87 dans les noyaux cen- traux et 13 seulement dans la substance blanche cérébrale. Il existe encore un centre n
uvent. Quoiqne parfois très volumineuses et entraînant une perte de substance con- sidérable dans cet organe, lieu de passage
st dans les noyaux gris du cerveau, dans la protubérance et dans la substance blanche du centre ovale. Jamais,dans aucun cas,
ente. Les corps granuleux, éléments de désintégration, envahissent la substance cérébrale Au centre, un vaisseau altéré, mais p
les aper- çoit. Mais à première vue la cavité paraît remplie d'une substance plus ou LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 107
e de volume moyen nous montre une cavité'anfractueuse contenant une substance variable, produit de la désintégration cérébrale
traire il y a 110 FERRAND une véritable cavité, un manque dans la substance cérébrale, lésion typique qui a donné son nom l
ant que la lésion occupe les noyaux gris ou qu'elle siège en pleine substance blanche ou dans la protubérance : ce se- ront t
uses. Dans les noyaux gris normaux du cerveau comme partout dans la substance nerveuse grise on constate la présence de volum
es parois lacunaires déchiquetées étaient gonflés et remplis de cette substance grenue et graisseuse qui en fait des corps gran
ité lacunaire, le tissu blanc étant moins riche en vaisseaux que la substance grise il s'épanche moins d'hématies dans la lac
pie-mère un peu louche, aucune lésion atrophique sur les coupes, la substance blanche et la substance grise sont bien délimit
aucune lésion atrophique sur les coupes, la substance blanche et la substance grise sont bien délimitées. La moelle ne donn
essile, qui à la surface et par ses bords paraît indépendante de la substance des hémisphères, fait cependant corps avec elle,
ersale passant par son milieu ; elle est absolument incluse dans la substance blanche, il n'y a pas trace de substance cortical
absolument incluse dans la substance blanche, il n'y a pas trace de substance corticale, la tumeur parait donc bien être cons
les limites de la néoplasie ne sont pas nettes, elle envoie dans la substance sous-jacente une série de pe- tits prolongement
ssent s'être formés de préférence autour des petits vaisseaux de la substance céré- brale. A un faible grossissement, sur des
air avec nucléole très coloré, un protoplasma contenant des amas de substance chroma- tophile, disséminés ou diversemeut cong
re en partie la po temporale. Cette tumeur n'est pas adhérente à la substance grise des hémisphères par ses bords. On peut le
peut constater que la tumeur paraît tout à fait indépendante de la substance cérébrale qui est simplement refoulée et comprimé
re. De l'étude de ce cas on peut donc tirer cette conclusion que la substance grise des circonvolutions peut être comprimée à
sant, c'est que le sarcome par sa situation, son indépendance de la substance des hémisphères, son adhérence aux méninges par
ions des hémis- phères nornaux,-dans laquelle on peut distinguer la substance grise avec ses cellules pyramidales et la subst
t distinguer la substance grise avec ses cellules pyramidales et la substance blanche avec ses fibres nerveuses, mais dans le
, mais elles pénètrent en travées péri-vas- culaires jusque dans la substance blanche. De plus, dans la substance grise, elle
-vas- culaires jusque dans la substance blanche. De plus, dans la substance grise, elles offrent une disposition très particu
tites cellules rondes ou ovalaires à noyau volumineux dans toute la substance corticale, et s'étendant même en certains point
bstance corticale, et s'étendant même en certains points jusqu'à la substance blanche. D'après l'examen des différents points
e avec amincissement, puis disparition presque totale de la lame de substance nerveuse. La bosse frontale droite existe, bien
ARE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE 231 sur les coupes du cerveau, une substance relativement transparente ne gênant nullement p
ssissant un peu à sa partie inférieure, se fondre avec un cordon de substance nerveuse qui représente la plus importante form
al inférieur parait normale; elle est celle de l'imprégnation de la substance cérébrale saine par le bichromate de potasse.
du tapetum, dont les plus internes s'appliquent (Fig. L) sur toute la substance grise du fond de la scissure calcarine. Masso
al ; qu'elle ne s'étend pas au fascia dentata ; qu'elle respecte la substance blanche immédiatement sous-jacente à l'écorce d
ution marginale supérieure,la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance blanche. Il y a, à ce niveau une large plaque de
pra-marginale. A ce niveau la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance blanche ; l'enlèvement de la pie-mère détermine
e la pie-mère détermine la séparation complète de l'écorce et de la substance blanche (altération décrite par Baillarger, Rey
tement circonscrits avec séparation complète de l'é- corce et de la substance blanche (lésion de Baillarger). Le connaissance
des). Ailleurs les fibres altérées sont plongées et noyées dans une substance grenue, anhyste plus ou moins abondante, qui es
t-être même de localiser le siège du processus pathologique dans la substance grise des cornes antérieures de la moelle. C'es
es recherches d'Albertoni, il diminue l'aptitude épileptogène de la substance corticale et le pouvoir excito-moteur bulbo-méd
ses pieds une servante agenouillée broie dans un mortier quel- que substance médicamenteuse. Derrière le médecin un homme âgé,
et du rectum. Donc, une lésion nucléaire, une lésion intéressant la substance grise de la moelle sacrale sur toute sa hauteur,
me. On conçoit difficilement une lésion nucléaire, une lésion de la substance grise de la portion la plus inférieure du névraxe
us inférieure du névraxe, strictement limitée à une moitié de cette substance , de façon à occasionner une anesthésie strictem
iomyélite infectieuse. Or, la poliomyélite, la myélite limitée à la substance grise de la moelle, peut revêtir un caractère f
es du plexus sacro-coccygien et dans la seule portion motrice de la substance grise. Vous aurez alors de quoi expliquer toute
e ou d'une myélite qui a désorganisé, dans une certaine étendue, la substance grise de la moelle ? De la révulsion sous forme
la moitié postérieure du ruban de Reil, les régions internes de la substance réticulée, quelques fascicules de l'hypoglosse; i
rouve des faisceaux dégénérés, en moins grand nombre, épars dans la substance réticulée et siégeant sur les côtés de la porti
- bre de ces fibres se recourbent dans la portion postérieure de la substance réticulée grise pour pénétrer dans le noyau de
calotte. Ce sont : 1° des fibres éparses dans toute l'étendue de la substance réticulée grise ; 2° des fibres groupées en fas
ins il faut remarquer que l'olive gauche seule est atteinte dans sa substance . Faut-il attribuer à cette lésion le tremblemen
sma il existe une petite plaque qui paraît surtout formée par de la substance grise et englobant les bandelettes optiques et la
les grains s'accumuler en files de chaque côté des capillaires delà substance médullaire. Fragment de l'un des hémisphères cé
, sauf pour l'augmentation très nette des grains névrogliques de la substance médullaire. Même disparition totale et absolue de
'offrent pas le moindre épaississement de leur adventice. Pour la substance cérébrale sous-jacente, elle offre les signes d'u
du pont. Et, par contre, les noyaux ronds deviennent rares dans la substance nerveuse immédiatement sous-jacente au plancher
vales ; cependant immédiatement sous l'épendyme du 4° ventricule la substance ner- veuse en offre très peu, et, par contre, c
roit. « Sur des coupes on voit cette sclérose porter surtout sur la substance grise, la substance blanche étant relativement
es on voit cette sclérose porter surtout sur la substance grise, la substance blanche étant relativement intacte : la substance
bstance grise, la substance blanche étant relativement intacte : la substance grise forme une sorte de petit feston mince, d'
s et humide du côté sain. On s'aperçoit cependant facilement que la substance grise n'est pas (1) Lannois et PAVIOT, Sur un c
ion est ici à son maximum. Si l'on part d'un des rares poinls où la substance grise est conservée, on voit brusquement, comme
n'y a ni tubérosités ni cavités porencéphaliques. Sur la coupe, la substance offre au couteau une résistance et une dureté a
la région des deux pariétales et de la pariétale ascen- dante. La substance blanche est très réduite de volume et les noyaux
quelques cellules pyramidales de moyenne dimension disséminées, la substance médullaire enfin immédiatement au-dessous. Au con
que l'on trouve dans les faisceaux médullaires ascendants, dans la substance grise de la moelle, dans la protubérance et le re
é proposé par Soukhanoff, la pénétration du liquide fixatif dans la substance grise de la moelle épinière est plus rapide. Da
den- drites n'en présentent pas de si nombreux. Par places dans la substance blanche, auprès de la substance grise, on voit
de si nombreux. Par places dans la substance blanche, auprès de la substance grise, on voit des cellules nerveuses dont les
voy. fig. 3). En poursuivant le trajet des dendrites, passant de la substance grise dans la substance blanche, nous avons pu
vant le trajet des dendrites, passant de la substance grise dans la substance blanche, nous avons pu facilement nous assurer
commencent à les perdre graduellement, quand ils pénètrent dans la substance blanche. Les contours des dendrites des cellule
x peuvent être observées là où elles doivent passer au milieu de la substance blanche. Nous avons pu voir plus d'une fois que l
rme variable, commence à perdre ces derniers, lorsqu'il passe de la substance grise dans la substance blanche. Nous avons obs
perdre ces derniers, lorsqu'il passe de la substance grise dans la substance blanche. Nous avons observé ces phénomènes dans
était située juste au milieu d'une masse de fibres nerveuses de la substance blanche. On a l'impression que les prolonge- me
On a l'impression que les prolonge- ments protoplasmiques, dans la substance blanche, ne peuvent avoir d'ap- pendices collat
lle du sous-clavier à la clavicule. Les os sont très légers, car la substance compacte corticale est anormalement mince ; en
dans les petits os, particulièrement ceux du tarse, au point que la substance corticale a une consistance parcheminée et garde
64 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
suivantes : 9) « Que l'âme ne réside pas dans toute l'étendue de la substance du cerveau, prise collectivement. » 2) « Elle
es corps cannelés, des couches des nerfs optiques... ni enfin de la substance cor- ticale du cerveau.... il paraît qu'on peut
supposait, divisée entre tous les centres corticaux, entre toute la substance grise du cerveau, qui joue le rôle de centre ps
s blessures pro- fondes des circonvolutions frontales avec perte de substance cérébrale et suppuration peuvent être guéries e
le coeur ? Dans cette se- conde manière d'envisager les choses, la substance grise médullaire serait encore la véritable mac
dans les fibres de ce faisceau qui correspondent aux centres de la substance grise, préposés à la contraction de tel ou tel
siste. » Il y a dansja théorie de M. Marie deux idées, l'une que la substance grise médullaire est une véritable machine motr
'excitation part de l'encéphale, et va mettre en activité l'ilot de substance grise de la moelle d'où naissent les fibres ner
ation est tout entière d'origine médullaire ; c'est de l'îlot de la substance grise mé- dulU ire, mis en activité par l'incit
ire, que part le stimulus qui va exciter les îlots homologues de la substance grise de l'autre moitié de la moelle... » * U
ÉGION ROLANDIQUE 39 superficielle et laisse subsister. des îlots de substance corticale au milieu des parties nécrosées. Elle
stent superficielles. et ne s'étendent pas au delà du cortex et de la substance blanche immédiatement sous-jacente. Cette dispo
e la face interne n'ont même pas pénétré assez profondément dans la substance blanche pour couper les fibres de projection qui
motrice correspondante soit limitée à l'écorce cé- rébrale et à la substance blanche immédiatement sous-jacente ; et ce pos-
le trajet exact des fibres mêmes au milieu des éléments sains de la substance blanche ou grise. Plus tard, lorsque la myéline e
issent puis disparaissent, en même temps qu'une grande partie de la substance blanche du centre ovale. Sur les coupes passant
t il son côté interne une bande de PORENCÉPHALIE CONGÉNITALE 49 substance cérébrale composée : par l'écorce de la face inte
lleux Gc, par la voûte du ventricule latéral Ve et, en dehors de la substance grise épendymaire, par le pied de la couronne r
mation de l'hémisphère, déjà signalée plus haut ; l'énorme perte de substance qui s'est produite a été comblée en partie par
-dessus de la cavité kystique, les coupes horizontales montrent une substance blanche compacte, comprenant les fibres d'assoc
et au pied de la couronne rayonnante, il est réduit à une bande de substance blanche dont les fibres sont verticales ou obli
le. En même temps que cette diminution considérable de volume de la substance blanche, on constate (fig. 7) : ' 1° Qu'il n'
rs la partie adjacente de Ti,en avant le pied de F3 (PI. XVIII). La substance cérébrale voisine de la tumeur est de couleur j
reste, tout à fait indépendante et assez facilement énucléable. La substance cérébrale qui l'entoure a perdu sa forme normal
seaux sanguins sont très dilatés, la différenciation entre les deux substances de la moelle a presque complètement disparu. Da
eux substances de la moelle a presque complètement disparu. Dans la substance grise, les cellules nerveuses sont réduites à q
sque partout, disparition du noyau, mais sans pigmentation. Dans la substance blanche, on constate les lésions de « l'eedéme
tion complète du faisceau postérieur droit, sauf une mince bande de substance blanche immédiatement en contact avec le bord p
toute'.l'étendue des cordons postérieurs. Les grosses libres de la substance grise (faisceaux verticaux de la corne postérieur
e la racine dans son parcours extramédullaire et la structure de la substance blanche résulte encore d'une façon très évidente
), mais on ne voit pas se vérifier ce même fait à l'intérieur de la substance grise où les fibres myéliniques qui s'y trouvent,
che contient très peu de fibres nerveuses teintes en noir ; dans la substance grise il n'y en a que quelques-unes isolées. *
ment à ce qu'on a observé dans la moelle cervi- cale et dorsale, la substance grise contient à ce niveau un nombre assez remar-
une réaction positive dans les racines médullaires et aussi dans la substance blanche des différents cordons de la moelle, se
eau fibrillaire intracellulaire. Les cylindraxes des fibres de la substance blanche, ainsi que nous l'avons fait entendre i
Méthode de Weigert. En appliquant cette méthode on constate que la substance blanche se colore d'une façon uniforme et avec la
lora- tion des fibres myéliniques de la commissure blanche et de la substance grise est d'un violacé encore plus clair. Mét
le à la périphérie. Dans quelques cellules, en outre, les grains de substance chromatophile existent toujours, mais la différ
s, mais la différenciation fait défaut et ils se confondent avec la substance achromatique colorée elle aussi en bleuâtre.
oiqu'ils ne puissent souvent plus être différenciés nettement de la substance achromatique qui semble avoir été imbibée par'l
nt de la substance achromatique qui semble avoir été imbibée par'la substance chromatophile déjà au début de sa désagrégation.
eulement noter que certains noyaux de névroglie, aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise, sont plus
yaux de névroglie, aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise, sont plus larges que d'ordinaire et nous
ez prononcées et diffuses aussi bien à la subs- tance grise qu'à la substance blanche : mais ce qu'il y a de vraiment re- mar
ns morts de tuberculose des granulations noires assez fines dans la substance blanche de la moelle et dans les racines. Non
s petites boules noires disséminées irrégulière- ment dans toute la substance blanche médullaire, boules qui étaient très nom
(1898) ne put relever dans son observation aucune altération de la substance blanche, ni avec la méthode de Marchi ni avec cel
tous les tubes nerveux qui constituent les différents cordons de la substance blan- che. Il s'agit, évidemment, d'une modific
ologie, n° 4, p. 112, 1901. 72. Dopter et L.rr011GBE. - Action de substances microbiennes sur les nerfs périplzé- riques. Ar
de col- loïde. La colloïde, d'après Oswald, est constituée par deux substances : l'une contenant tout l'iode delà glande en co
tel point qu'on ne peut la sé- parer sans arracher des lambeaux de substance grise.Notre figure I montre la face convexe de
ur obtenue en développant l'écorce du côté droit. L'épaisseur de la substance grise et de la substance blanche est'diminuée à
l'écorce du côté droit. L'épaisseur de la substance grise et de la substance blanche est'diminuée à gauche. FiG. C. Coupe
e de démarcation qui les sépare. Sur certains points, des pertes de substance artificielle permettent d'apercevoir l'espace qui
particulièrement le premier des organes, destinés à neutraliser les substances toxiques qui circulent'dans l'organisme. Nous ver
on thyroïdienne, il se fait dans l'organisme une accumulation d'une substance toxique à l'égard du système nerveux; ce poison
ues faits cliniques ; j'ai dit que de l'intestin peuvent partir des substances nuisibles à l'organisme, lesquelles arrivent à af
erses glandes à sé- crétion interne, il n'est pas étonnant qu'à ces substances toxiques réagis- sent l'hypophyse et la thyroïd
ue les altérations glandulaires sont secondaires et causées par des substances toxiques qui pourraient tenir leur origine de l'i
es hématopoiétiques,(Ie la moelle osseuse etdu foie, causés par des substances toxiques qui agissent sur ces organes et les sti-
ne comportent pas de nombreuses explications. L'augmen- tation des substances minérales a pour effet une augmentation de l'alca
mégalie étudiés on a trouvé des altérations portant surtout sur les substances mi- nérales et les corps gras. Qu'elles soien
nce sur l'élimination de la chaux et sur les échanges nutritifs des substances or- ganiques et tout le monde connait la diminu
edow, etc. - Quant aux conséquences, il ne faut pas oublier que les substances miné- rales du sang, et dans les échanges en gé
um, car des travaux antérieurs m'avaient appris qu'à l'égard de ces substances il n'y avait que des altérations très petites.
s lésions hépatiques qu'avec une augmentation des putréfactions des substances albuminoïdes dans l'intestin. Je ne puis certai
345 et par conséquent à une irrégularité dans l'absorption de cette substance . Que les parois intestinales jouent un grand rô
ont démontré qu'avec un régime très abondant on a une rétention de substances minérales dans l'organisme ; pour obvier à un t
n, car on sait que si une diète abondante provoque une rétention de substances minérales, une diète insuffisante produit l'eff
ge inorganique est de beaucoup plus limité que l'organique, que les substances inorganiques se trouvent dans l'organisme dans un
coup plus petite que les organiques, et qu'un échange normal de ces substances est chose essentielle. La chaux, le phosphore,
l'une ou de l'autre glande. 3° Les altérations se rapportent aux substances inorganiques aussi bien qu'aux organiques, et m
es, elles ont une grande lumière ; elles se sont fait place dans la substance cérébrale. Il est pro- bable que la circulation
ant le fond des sillons, le sarcome s'est engagé bien avant dans la substance blanche. C'est là aussi le maximum de surface de
umeur le cortex a conservé une structure bien mieux dessinée que la substance blanche. Résumé. -IL s'agit d'un sarcome, sis i
n précoce des troubles moteurs. Plus tard la tumeur pénètre dans la substance blanche et y gêne la circulation lymphatique en
riculaire. Par l'angle externe du ventricule latéral, traversant la substance grise sous- épend., la tumeur s'est étendue dan
épaissies. Co ? I)es. - Hémisphère gauche. Dès le pôle frontal, la substance blanche est altérée ; elle prend mieux le carmi
que dans sa moitié antérieure. A la hauteur de la fig. 2, toute la substance blanche est occupée par des va- cuoles et des c
occasionne tout néoplasme qui se développe dans la profondeur de la substance blanche (Voir Iconogr., ne3, 1906). Il n'y a
'hématoxiline- éosine, ne sont nullement comparables à celles de la substance blanche. Les cellules satellites sont sans dout
me de la cellule et de son noyau sont bien conservées, alors que la substance blanche est grossière- ment lésée. On a pris
grossières, encore plus diffuses quoique moins bien étudiées de la substance blanche ? : ' Travail intellectuel estsynonyme
à un haut degré. S'il est vrai que les associations se font par la substance blanche, c'est dans la destruction de celle-ci
Lorsqu'on les arrache, on emporte avec elles de petits fragments de substance nerveuse et la surface des cir- convolutions pr
ce, en Italie, en Allemagne, en Angleterre, usent toutes de la même substance qui aurait la propriété spéciale de produire touj
dée est bonne, elle est juste, elle a toute l'apparence et toute la substance d'une idée logique ; mais si l'idée n'était pas
de sulfonal, comme hypnotique. Si on suspend la distribution de ces substances indifférentes, le lendemain tout le monde se pl
nent aux lésions cutanées provoquées par l'application de certaines substances chimiques, du phénol en particulier, qui, par p
quer qu'il suffit d'un instant pour appliquer sur les téguments une substance corrosive, et que la malade de 1\1. Valobra a p
65 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lquefois aux risques et périls du patient. Or la mor- phine est une substance dangereuse, et le médecin n'est- il pas coupabl
lusion d'une fraction insigni- fiante de son segment antérieur ; la substance blanche configure est atteinte. Intégrité de la
sement limitée du noyau lenticulaire et de la partie contiguë de substance blanche qu'il faut rapporter les sensations fauss
à peine allongées*. Dans les produits artificiels-il semble que la substance blanche soit crevassée M. SPIEr.ncFVra dit que
males de la myéline. Ou bien dans les pro- cessus atrophiques de la substance nerveuse,ils représentent les éléments, transpo
rveuse,ils représentent les éléments, transportés à distance, de la substance blanche en voie de destruction. Dans les proces
ique à l'égard d'éléments cons- tituants déterminés préformés de la substance blanche nerveuse; c'est ce qui parait avoir lie
t rester dans la solution jusqu'à ce qu'à l'oeil nu on distingue la substance grise de la substance blanche. Celles qui ont é
ion jusqu'à ce qu'à l'oeil nu on distingue la substance grise de la substance blanche. Celles qui ont été fixées au liquide d
entre les fibrilles du tissu conjonctif avec nombreux noyaux. La substance contractile ne semble pas offrir des phénomènes d
le d'aniline (1 partie) et d'alcool à 90° (G p.), jusqu'à ce que la substance grise soit complètement décolorée, ce dont on s
s grands, munis de parois faci- les à voir qui, sillonnant toute la substance grise du cerveau, s'en vont aux cellules; en se
disparaît, ils ont alors l'aspect de drains qui garnissent toute la substance de la cellule et leur paroi est formée par le pro
s (figure). ' " Une seconde méthode est consacrée à l'étude de la substance chromatophile. Elle est basée sur la combinai
maline, d'acétone, avec ou sans éther. Quelle est la na- ture de la substance chromatophile Je tendrais, dit l'auteur, à pens
substance chromatophile Je tendrais, dit l'auteur, à penser que la substance de cimentation, autrement dit la subs- tance ch
sformer en grains ; en- tre les grains on voit encore des traces de substance chromato- phile qui se change à son tour en nou
on, et ceux qui forment le grain de la motte chromatophile. Donc la substance chromatophile se forme par les processus de mét
us de métamorphose régressive de la cellule nerveuse. Evidemment la substance chromatophile sécrétée par la cellule nerveuse,
is longtemps que les formes variées sous lesquelles se manifeste la substance chromatophile dépendent de la présence dans le
lymphe ; 3° un réseau formé aux dépens de la décomposition de la substance chromatophile ; ce ne sont pas des canaux ; ils
artition accidentelles de l'élément constitutif des cellules, de la substance chromato- phile, entre les parties fixes du pro
relcventdes noyaux arciformes ont pour caractère l'existence d'une substance fondamentale d'un bleu clair (méthode de \issl)
peuvent expliquer par un oedème stasique dû il la compression de la substance nerveuse ainsi qu'au barrage des voies sanguine
loureuses : racine postérieure, corne postérieure, commissure de la substance grise, cordon anLéro-laLral et finalement péri-
spinal ; celle du second (nommé également deutonourone) occupe la substance grise de la moitié opposée de la moelle. 7. Tou
e la moitié opposée de la moelle. 7. Toute lésion unilatérale de la substance grise de la moelle engendre : cc). Une thermo-a
b). une thermo analgésie croisée quand cette lésion a détruit la substance grise dans le voisinage de la corne antérieure, p
lgésie bilatérale quand la lésion a atteint les deux endroits de la substance grise. 8. Toute lésion limitée de la substance
eux endroits de la substance grise. 8. Toute lésion limitée de la substance grise ne donne jamais qu'une thermo-analgésie lim
de la thermo-analgésie homolaterale, produite par une lésion de la substance grise (ou de la corne postérieure) débute en gé
e la thermo-analgésie contralatérale, produite par une lésion de la substance grise (ou du voisinage) de la corne antérieure,
la thermo-analgésie totale croisée, produite par une lésion de la substance blanche ou du cordon latéral y compris le faiscea
tures. P. KERAVAL. XXV11. - De la nature et de la spécificité des substances toxiques contenues dans le sérum sanguin des ép
nts qui forment le poison épileptogène, notamment à l'excès de la substance sensible. b P. KERAVAL. 128 REVUE D'ANATOMIE ET
le système musculaire. 4. L'onde musculaire normale indique que la substance du muscle a son excitabilité et sa con- tractil
ropre, mais il y a lieu de tenir compte de la surchage du muscle en substances chimiques de dédoublement et de la cessation de
iolet, l'une a Irait à un jeune dégénéré qui à la suite de perte de substance de gland infligée par un chancre phagédénique r
entretiens avec celui-ci. Il faut rejeter absolument l'u- sage des substances empruntées à la matière médicale, car leurs eff
onvulsifs aux doses expérimen- tées et sans être associé à d'autres substances . Démence épileptique ; par l3ouRNEmLLE. (Sera p
contrent disséminés dans tous les espaces où ils ont accès. Dans la substance blanche comme dans la substance grise, on les o
s espaces où ils ont accès. Dans la substance blanche comme dans la substance grise, on les observe avec leurs caractères his
de ramollissement sons-cortical ayant amené la surdité verbale, la substance corticale qui recouvrait le foyer de ramollisse
s membres. Le sujet loca- lise très mal. Si, au lieu d'une perte de substance relati- vement minime et unilatérale, on avait
térieures. Remarquons aussi que sur toute la hauteur du névraxe, la substance grise est sillonnée par des ramifications fines
croire qu'il s'agisse d'une même poussée pathologique ayant dans la substance grise centrale af- fecté laforme dcsyringomyéli
physico-chimiques des urines, l'élimination des sels minéraux, des substances organiques, des substances anormales, la toxici
es, l'élimination des sels minéraux, des substances organiques, des substances anormales, la toxicité urinaire, l'examen du sa
ccompagnent d'une désassimilation excessive, sinon atypi- que de la substance albuminotde ; altération souvent décelable dès
tés médullaires : l'hypertrophie conjonctive refoule, disloque la substance nerveuse, dont elle compromet ainsi la nutrition
e interne et la pic-mère correspondante offre des adhérences à la substance grise. Hémisphère cérébral gauche. La pic-)nére
quantité de ce liquide, isolée on suivie de l'injection de diverses substances . Parmi les caractères physiques du 1 i(¡uide l'
- La méthode qui consiste à injecter après la ponction diver- ses substances dans le canal ricliiclien à part la rachicocaï-
on voit un réseau scléreux lihrillaire, très ténu, qui a envahi la substance blanche des différents, cordons. Les altérati
bres nerveuses se fait en foyers dans les par- tics centrales de la substance blanche. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE. La nouvelle
t des lésions analo- gues àcelles de Kahler pour ce qui concerne la substance blanche ; ils y ajoutent la description de fiss
n de fissures et de 'e petites cavités qu'ils rencontrèrent dans la substance grise et qu'ils interprètent, ainsi que les lés
bstance grise et qu'ils interprètent, ainsi que les lésions de la substance blanche, comme la conséquence de l'effusion de
de ses 20 cas, il a trouvé seulement dans les cas de forte perte en substance nerveuse une dilatation dans le domaine du syst
ventitiels) n'exerce pas. selonFicklcl', une action délétère sur la substance nerveuse; cette dilatation et cette stase initi
due à des processus de destruc- tion de la masse tumorale ou de la substance nerveuse même n'a pas été accueillie avec faveu
e dans les cas de Schmaus et Scarpatetti qu'il cite. Le fait que la substance grise dans ,la dégénération ischémique est mieu
conservée que la blanche s'expli- que, selon Fichier, parce que la substance grise a un ré- ticule capillaire beaucoup plus
tères spinales postérieures qui, elles principalement, irriguent la substance blanche. Une autre cause d'ischémie médullaire,
é mal de 1'ott, pour la production des faits dégéné- ratifs de ' la substance nerveuse ne laisse pas que d'être hypothétique
rossissement ne permet pas de reconnaître une différenciation de la substance grise d'avec la blanche, car de la partie centr
yu'à un failtle grossissement on a l'impression d'espaces vides. La substance blanche est encore discrètement conservée à la
ieur de sa circonférence par une profusion du tissu épidu- ral. La' substance grise se détache assez bien de la blanche ; cel
nombreux corps amyloïdes sont présents et disséminés dans toute la substance blanche. Les vaisseaux se comportent comme dans
lissement central : à la périphérie destruction moins forte de la substance blanche avec phénomènes de tuméfaction des élém
. Un distingue encore, bien que moins nettement que normalement, la substance grise de la blanche. Au Pal il apparaît déjà il
ce grise de la blanche. Au Pal il apparaît déjà il l'a-il nu que la substance blanche iL souder ! ; on la voit, en et)'et, dé
is remplissant des libres tu- méfiées en voie de dégénération. La substance grise semblé être raréfiée : on y rencontre aussi
iveau des segments L1,L ? . Au niveau des segments Ll, L2,L : î, la substance blanche présente des lésions diffuses pas systé
térieurs avecune bande plus ou moins large de tissu sain bordant la substance grise, la zone d'entrée des racines, la pie-mèr
platissement de la moelle (segm. Ll, L2) des lésions diffuses de la substance blanche constituées par une sim- ple diminution
de cet aplatissement, le fait que les lésions destructives de la substance blanche sont diffuses, non localisées au point
écanique directe sur le tissu nerveux. Les lésions diffuses de la substance blanche dans les segments supérieurs et infé- r
SUR LA LAUHOGLNIL DES ALTÉRATIONS MÉDULLAIRES. zigs Dans toute la substance blanche. dans les aerm.L3, L'i, Lu), déco- lora
plupart, des libres tuméfiées l'II'pll'il1l' dégénération : dans la substance grise de la moelle on voit aus-i de nombreuses !
ie cellulaire. Au niveau du 2e segm. lombaire la décoloration de la substance blanche est, dans le cordon anl¡"ro-Iatéral. li
térieur. Au niveau du [CI segm. lomhail et au-dl'su,la lésion de la substance blanche 1 t'I"'{'l'nle presque exclusivement le
sproportion enttc les éléments cellulaires du sang. Telle est, en substance , la très intéressante noie de M. le D' Sakorrap
QLTE6. VOi1' .SSIt(rr('P. De la nature et de la spécifi- cité des substances toxiques contenues dans le sérum san- guin de
rmaux, par Mac Car- thy, p. 41. Squelette. Voir Dé foi mat ion. Substances toxiques. Voir b ? 1- lcpt iq1 ! cs. Suggesti
66 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dégénérescence du seul cordon latéral, sans partici- pation de la substance grise. La réalité d'une pareille association mo
des cordons antérieurs dans toute la hau- teur de la moelle. , c) Substance grise. L'étude des cornes antérieures et pos- t
cordons latéraux sans participation des faisceaux de Türck et de la substance grise; mais de ces trois observations deux au m
ouve d'autres fois. La sclérose, en tous cas, intéresse fort peu la substance grise. « Si l'on cherche à établir la géographi
rtout sous la dépendance de la lésion des cornes postérieures de la substance grise. Or, comme ces cornes n'étaient pas lésée
nt intacts. Dans la seconde période, qui partirait du moment où les substances qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les
t la première et laisse passer les seconds dont il n'a que peu de substances nutritives à extraire. Or, l'estomac étant le siè
urt après l'ingestion et ne re- viennent jamais après le repas. Ces substances , n'ayant besoin que d'une digestion stomacale t
terminé; ce cas se présente surtout si Delagr... n'a ingéré que des substances liquides (potages), ou s'il y a eu simultanémen
s très vite. ' L'intervalle des renvois varie suivant la nature des substances ingérées el suivant le moment de la rumination.
s gorgées qui remontent se succèdent presque sans interruption. Les substances solides ne sont pas ruminées; les aliments semi
e. Voilà donc des cas de mérycisme partiel ne portant que sur les substances liquides, boissons, potages, sans qu'il soit beso
: dans les cas particuliers, l'intervalle qui sépare le renvoi des substances ruminées au moment de l'ingestion est excessive
sque le sujet semble pouvoir exercer une sorte de sélection sur les substances qu'il veut ruminer, les aliments ne sont pas re
s décrits. Autre part (Ors. VII), nous avons vu que le thé et les substances grasses étaient rejetés; mais ce n'était qu'après
t pu donner lieu plutôt à une méprise, car il rejetait de suite les substances grasses; toutefois, il faut remar- quer qu'il r
amelle ou chez les gros mangeurs. Là, comme dans la rumination, les substances re- prennent le chemin de l'estomac ; les agent
lquefois à en produire de véritables. Mais, dans ces cas,jamais les substances solides ne sont soumises à une seconde masticat
es démontre l'accroisse- ment progressif du tissu connectif dans la substance nerveuse, à mesure qu'on descend l'échelle zool
passant dans le nerf optique derrière le chiasma, pénètrent dans la substance grise qui entoure la cavité du troisième ventri
les pupilles restent, sur toute leur éten- due, à l'intérieur de la substance grise centrale sans s'entrecroiser. Il 11 exist
qui passe par le nerf optique dans la moitié correspondante de la substance centrale, dans le noyau et le tronc du nerf moteu
coma semblait décidé- ment causé par une affection' directe de la. substance grise des hémisphères;, et; si cela. semblait,
preuve, de cinq minutes, a consisté dans la reconnaissance de vingt substances simples. La seconde, de dix minutes, aporté sur l
. La seconde, de dix minutes, aporté sur la recon- naissance de dix substances composées, avec dissertation sur l'une. Le jury
es, destinées à relier à la périphérie les centres contenus dans la substance grise des circonvo- lutions. Si ces fibres vien
on de Broca, sont saines. Des coupes multiples pratiquées dans la substance cérébrale amènent à l'extrémité postérieure des
; il a environ la grosseur d'une noisette, et empiète un peu sur la substance blanche; mais la couche optique est intacte.
en existe un autre, qui paraît à peu près de la même date, dans la substance blanche du lobe occipital, et dui afllue à la f
eure. Enfin, il existe un autre petit foyer, plus ancien, dans la substance blanche de la partie antérieure du lobe frontal
sein du tissu altéré se trou- vent encore quelques points sains. La substance grise est réduite à une mince couche qui est so
e celui de Magnus ; au lieu d'être cortical,, le foyer intéresse la substance blanche et occupe le segment externe du noyau l
able à l'oeil nu dans les pédon- cules. Ramollissement marqué de la substance blanche de la moelle, dans la région dorso-lomb
s, aucune lésion des cordons antéro-Iatéraux de la moelle, ni de la substance grise. Par contre, il y avait une dégénérescenc
sans affecter de rapports directs avec lui. Une seconde déprime la substance grise cOllicalesur le pied de la deuxième front
des éléments normaux qui les constituent, ou par l'appa- rition des substances qui ne s'y rencontrent point à l'état phy- siol
ne sorte de nécrose qui amènerait un trouble dans l'élimination des substances extractives et leur accu- mulation dans l'écono
t-être doit-on en chercher la cause dans la destruction des amas de substance , grise interposés entre les fibres motrices. 1
'AUTOPSIE, un petit foyer hémorrhagique avec ramollisse- ment de la substance environnante, au milieu du côté droit de la pro
st hypérémiée, trouble et oedémateuse et se sépare facilement de la substance cérébrale ; dans l'espace sous-arachnoïdien, on
scléreuses ; on sent un thrombus dans l'artère sylvienne droite. La substance du cerveau est flasque et oedémateuse; les vent
s termes, on observera dans les vaisseaux des enveloppes et dans la substance du cerveau, une stagnation du sang. Ce phénomèn
op s'attacher aux dires des malades, qui se souvien- nent mieux des substances très acides ou ayant un fort goût, mminées, que
égrité demeure toujours parfaite. Constance des altérations dans la substance grise des cornes postérieures, ainsi que de l'a
ransverse de l'organe central, assez uniformément répartis dans les substances blanche et grise : infiltration et tuméfaction
pointe cons- tatée ici confirmerait l'opinion du refoulement de la substance grise allégué comme cause de ce symptôme par Sc
'un oeuf de pigeon a détruit l'ecorce, les couches supé- rieures de substance blanche dans le domaine de la première frontale
ssion et qu'un petit nombre de professions où l'on manipu- lait des substances toxiques a fixé l'attention de Morel, Delasiauve,
bres myéliniques, dans la démence paralytique, sur la lisière de la substance blanche. Les mêmes régions sont le terrain de c
de l'écorce contient une grande quantité de cellules-araignées ; la substance blanche présente les mêmes caractères ; en un m
que chez des chiens, à la suite d'extirpations du lobe frontal. La substance grise de toutes les circonvolutions se détache
grise de toutes les circonvolutions se détache avec la pie-mère, la substance blanche crénelée demeurant sur l'organe. La rép
érations d'un genre particulier, qui ont déterminé l'atrophie de la substance nerveuse. 11 ne manque pas non plus de pièces o
de la substance nerveuse. 11 ne manque pas non plus de pièces où la substance nerveuse a été atrophiée primitivement, d'emblé
ne). On a peu constaté d'altérations des cellules nerveuses dans la substance grise. Tout ce qui regarde la décomposition , l
ganglionnaires. La moelle a aussi un rôle (irradiation à travers la substance grise). Les associations existent pour les plus
commémora- tive simple, est un complexus d'associations (rôle de la substance blanche du cerveau); mais sa différenciation d'
e paraisse. Les autres sont des pa- ralysies; les altérations de la substance grise en sont responsables. Ces modifications f
e intermédiaire. On y voit des faisceaux clairs s'infléchir dans la substance blanche de la capsule externe et pénétrer dans
-postérieures (sagittales). Le feuillet su- périeur viendrait de la substance grise du plancher du troisième ventricule et, s
ban de Reil latéral, montre que ce dernier est en connexion avec la substance grise : ses réserves sur les rapports anatomiqu
M. MENDEL voit dans le foyer du ruban de Reil de Ruller le noyau de substance grise décrit par lui ; les cellules n'en sont pas
, récipients à laver, etc.) peut être fa- briquée à l'aide de cette substance modelable et durable. M. Adt (de Forbach) en es
dans les interstices du tissu; il les avait dilatés en refoulant la substance nerveuse (fibres et cellules) atrophiée contre
en la présence d'une matière jaunâtre floconneuse, qui rappelle la substance décrite jadis par Mendel, chez les paralytiques
En tout cas il rejette l'hypothèse, qu'on aurait sous les yeux une substance artificielle produite par la technique employée
67 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
s utile, puisque, par ce moyen, je puis débarrasser mon estomac des substances qui le fati- gueraient, et par l'élaboration no
amment dans la bouche tan- dis que le jus reste dans l'estomac. Les substances médicamen- teuses restent toujours dans l'estom
és n'ont pas un goût désagréable. Il faut en excepter le thé et les substances grasses qui, parfois, reviennent à différentes re
sorte de rumination son manger dans sa bouche, d'où il rejetait les substances grasses qui n'avaient pu convenir à son estomac
rop peu ou trop cuits, les parties tendineuses, aponévrotiques, les substances facilement altérées par le suc gastrique, le la
coriaces; les corps gras, principalement la graisse de mouton; les substances de mau- vaise qualité. Cette dernière cause ser
tumeurs de volume variable, pédiculées ou non et s'attachant sur la substance corticale ou dans l'intérieur des pyramides. - Un
es et par les intestins, qui sont refoulés vers lui, réagit sur les substance » qui le distendent, et une masse alimentaire fo
n an, ce fait, jadis inconnu, se présente quelquefois. Toutes les substances ingérées sont ruminées. Néanmoins il en est que
ble favoriser et prolonger la rumination. Ce sont, d'ordinaire, les substances solides,les viandes, DU MÉRYCISME. 51 surtout
ruminés de suite et ne remontent plus après l'ingestion des autres substances qui composent le repas. Parmi les liquides, c'est
une journée. Ce fait ne s'est montré que cette année. Toutes les substances ingérées sont également ruminées ; ce- pendant
nt intacts. Dans la seconde période, qui partirait du moment où les substances qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les
t la première et laisse passer les seconds dont il n'a que peu de substances nutritives à extraire. Or, l'estomac étant le siè
urt après l'ingestion et ne re- viennent jamais après le repas. Ces substances , n'ayant besoin que d'une digestion stomacale t
t terminé; ce cas se présente surtout si Degr... n'a ingéré que des substances liquides (potages), ou s'il y a eu simultanémen
lés très vite. L'intervalle des renvois varie suivant la nature des substances ingérées et suivant le moment de la rumination.
s gorgées qui remontent se succèdent presque sans interruption. Les substances solides ne sont pas ruminées; les aliments semi
e. Voilà donc des cas de mérycisme partiel ne portant que sur les substances liquides, boissons, potages, sans qu'il soit beso
: dans les cas particuliers, l'intervalle qui sépare le renvoi des substances ruminées au moment de l'ingestion est excessive
sque le sujet semble pouvoir exercer une sorte de sélection sur les substances qu'il veut ruminer, les aliments ne sont pas re
s décrits. Autre part (OBs. VII), nous avons vu que le thé et les substances grasses étaient rejetés; mais ce n'était qu'après
t pu donner lieu plutôt à une méprise, car il rejetait de suite les substances grasses; toutefois, il faut remar- quer qu'il r
amelle ou chez les gros mangeurs. Là, comme dans la rumination, les substances re- prennent le chemin de l'estomac ; les agent
quefois à en produire de véritables. Mais, dans ces cas, jamais les substances solides ne sont soumises à une seconde masticat
op s'attacher aux dires des malades, qui se souvien- nent mieux des substances très acides ou ayant un fort goût, ruminées, qu
-pzezz- monie. - Mort. Autopsie : Adhérences de la pie-mère ci la substance grise. - Décortication totale, par foyers, de l
re ci la substance grise. - Décortication totale, par foyers, de la substance grise. - Induration et atrophie de la substance
, par foyers, de la substance grise. - Induration et atrophie de la substance blanche sous-jacente. Différence de 120 grammes
ès : 110 IDIOTIE ET EPILEPSIE. elle la couche superficielle de la substance grise dans la moitié de son étendue. La circonv
rtaines circonvolutions môme, en dé- cortiquant, on enlève toute la substance grise et on met ci nu le sque- lette de substan
n enlève toute la substance grise et on met ci nu le sque- lette de substance blanche, laquelle est indurée et atrophiée. Ce fo
en un certain nombre de points une couche plus ou moins épaisse de substance grise, notamment : 1°sur toute la moitié postér
s et sur une hauteur de plus de 2 cent. En un mot, il semble que la substance des hémisphères ait été, comme le cerveau tout
re cérébral gauche, dans la région qui correspond au lobe carré, la substance cérébrale est indurée et forme un noyau volumin
suit que, par places, on entraîne des lambeaux assez larges de la substance cérébrale. La face orbitaire des deux lobes fro
de l'occipi- tal. Le kyste contient aussi une petite portion de la substance cé- rébrale allongée. » Nous avons vu, en 186
68 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
allant vers la périphérie de la moelle. A l'hématoxyline-carmin, la substance grise est à peine recon- naissabte ; on trouve
rveux ; mais la moelle elle-même n'est pas faite exclusive- ment de substance grise et de faisceaux blancs; chaque racine (la
quant mal, surface chagrinée et irrégulière sans kyste. A la coupe, substance corticale pâle et mince. Hypertrophie concen- t
rincipaux symptômes furent surtout rénaux. Il apparaît déjà que des substances chimiques très voisines les unes des autres pro
lésion du cinquième au huitième segment de la moelle cervicale. La substance grise de cette région est le lieu de prédilecti
'hémorragie s'est même limitée ici aux segments antérieurs de cette substance . Mais il est à penser que la substance grise d'
segments antérieurs de cette substance. Mais il est à penser que la substance grise d'autres régions de la moelle a également
nde radiographie répond à l'abondante pro- duction, irrégulière, de substance osseuse, qui a lieu dans le cal osseux. P. KERA
rieures, nerfs spinaux, nerfs craniens sensitifs et moteurs, bulbe, substance cérébrale corticale et gan- glions sous-cortica
e, il est probable qu'il s'accu- mule dans l'organisme une certaine substance vénéneuse, dont dépendent et l'éclat spécial de
la suite d'acci- dents infectieux. A l'autopsie on constate dans la substance grise périphérique des hémisphères cérébraux (à
volume des vaisseaux du cerveau, de ses méninges, et surtout de la substance grise. « Dans la substance grise, dit M. Bogrof
rveau, de ses méninges, et surtout de la substance grise. « Dans la substance grise, dit M. Bogroff, les résultats microscopi
optique, le distingué savant russe l'explique par l'hyperhémiede la substance grise du voisinage des ventricules et de la sur
de constater la présence de petites hémorragies des méninges, de la substance grise, et dans un cas, de la moelle épinière. L
l'explique, comme nous l'avons vu plus haut, par l'hyperémie de la substance grise des circonvolu- tions et du voisinage des
et sacro-lombaire du cordon latéro-cérébelleux. Elimi- nation de la substance grise de la moelle sacro-lombaire au moyen de l
XIX, 1900.) Expérience caractérisée par une nécrose partielle de la substance grise malgré laquelle le chien survécut dix jou
roite pendant une heure. On constata une nécrose, par places, de la substance grise de la moelle lombo-sacrée, depuis la par-
rée : cette nécrose nulle part n'avait détruit la totalité de cette substance ; elle avait épargné notam- ment invariablement
décroissent quand on s'élève vers la moelle lombaire supérieure. La substance blanche est certainement atteinte de dégénéresc
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. gauche est bien plus dégénéré, parce que la substance grise du côté gauche de la moelle sacrée a subi
orte abdominale du chien, à produire une destruction iso- lée de la substance grise de la moelle lombo-sacrée ; 2° l'élimina-
moelle lombo-sacrée ; 2° l'élimina- tion de parties étendues de la substance grise de la moelle sacrée supérieure et moyenne
ostérieurs restent indemnes, probablement parce que les segments de substance grise voisins du canal central sont conservés.
lcarine, ayant détruit les lobes lingual et fusiforme et pénétré la substance blanche jusqu'à la paroi interne de la corne po
isuel cortical et dans l'hémisphère gauche, un ramollissement de la substance blanche du pli courbe et des parties voisines des
la grosseur d'un oeuf de poule intéressant la partie moyenne de la substance blanche et dans laquelle on découvre des parasi
lle est l'origine, quelles sont les étapes du dévelop- pement de la substance chromatique et de la substance achroma- tique ?
les étapes du dévelop- pement de la substance chromatique et de la substance achroma- tique ? '1 La substance grise du bul
a substance chromatique et de la substance achroma- tique ? '1 La substance grise du bulbe et de la protubérance d'un foetus
m filamenteux peuplé de granulations très coloré également, par une substance intermédiaire clairsemée non colo- rable. En ce
trace de protoplasma. Ces cellules sont des noyaux, pourvues d'une substance filamenteuse et réti- forme chromatique, d'une
vues d'une substance filamenteuse et réti- forme chromatique, d'une substance uniforme indifférenciée. Quelques-uns de ces no
os nucléole (il y en a parfois deu.\), à fils chromatiques rares, à substance incolore constituant la plus grande partie de l
ité au bord convexe ou concave de l'élément, attire à elle toute la substance chromatique et se partage eu frag- ments isolés
ïde, pourvu d'un gros nucléole, de quelques petites granulations de substance chro- matique, et d'un léger réseau, est alors
a de la cellule, à 1 état, partie de mottes chromatiques, partie de substance achromatique indifférenciée : ce protoplasma co
e ; une couche très mince inférieure ou profonde, à la limite de la substance blanche; qui se compose d'éléments fort semblab
ule nerveuse a, comme la fibre, une origine pluricellulaire, et les substances qui la composent sont des éléments embryonnaire
omposent sont des éléments embryonnaires diversement développés. La substance chromatique n'est que le produit de la fusion d
s. La substance chromatique n'est que le produit de la fusion de la substance chromatique de plusieurs noyaux de cellules qui
e Gowers; par 0. Kohnstamm. (A'(;Uî-0109. Cen- « Les cellules de la substance grise de la moelle, écrit Edinger, sur laquelle
. On trouve, à la suite de la lésion de la partie postérieure de la substance grise au niveau de la portion supérieure de la mo
du ruban de Reil. Un nombre assez fort de fibres resterait dans la substance grise de la moelle, dans la formation réticulai
entrecroisées paraît être les régions moyennes et antérieures de la substance grise, ainsi que la base de la corne postérieur
Ziehen : ce dernier monte dans la couche limitrophe externe de la substance grise et dans les mailles de la formation réticul
de mettre en parallèle les fibres obliques cirzé7éôrzyes, qui de la substance grise d'un côté s'en vont au cordon antérieur de
commissure antérieure, avec les fibres transverses qui unissent la substance grise il la substance grise. Celles des fibres
, avec les fibres transverses qui unissent la substance grise il la substance grise. Celles des fibres ascendantes à court tr
possèdent vraiment des fibres croisées ascendantes qui unissent la substance grise de la moelle au cerveau moyen et au cerve
re admettrait aisément trois doigts, un drain est placé en pleine substance nerveuse. Au dixième jour, toute parai) sie,l tou
- tions locales de l'adventice des vaisseaux. Dans l'écorce et la substance blanche on constate des altérations très pronon
apillaires, infiltration lymphoïde de l'adventice (surtout dans la, substance blanche). Prolifération des noyaux de la subs
rtout dans la, substance blanche). Prolifération des noyaux de la substance névroglique dans les couches corticales profond
; ancien foyer hémorragique dans la partie postéro-externe de la substance blanche de l'hémisphère cérébelleux droit. La piè
ne alimentation simple, variée, mixte, dans laquelle on préfère les substances végétales, proscrivant les matières de conserve
e voir des fibres affectant la direction longitudinale à travers la substance grise qui provenaient, non pas du cordon postér
ent de la dure-mère adhérente à cet endroit aux os du crâne et à la substance cérébrale. L'opération eut un effet très heureux
la profondeur des circonvolutions; la plupart sont situées dans la substance grise et.sous l'écorce célébrale. La localisati
t encore prendre en considération les altérations secondaires de la substance cérébrale, provoquées par la présence du cystic
des fémurs et des tibias apparaissent très épaissies, tandis que la substance osseuse est par endroits raréfiée, et en partie
t endoar- tériite, L'infiltration syphilitique se rencontre dans la substance médullaire également. Altérations parenchymateu
vroglie. Dans la région dorsale moyenne, on voit s'enfoncer dans la substance médullaire une tumeur gommeuse qui occupe à peu
action convulsivante à l'acide urique et pense d'ailleurs que cette substance , loin de s'accumuler au moment des accès ne se
que qu'ils remplacent temporairement et ce sont en défi- nitive ces substances toxiques, parmi lesquelles le carbaminale d'amm
dissolvants de l'acide urique augmentassent l'élimination de cette substance . Si les médicaments donnés possèdent bien la ve
accès épileptique est maintenant appelé à se demander quelle est la substance qui se forme dans l'organisme à la place de l'aci
é avec l'agent de l'épilepsie; à cela on peut objecter que bien des substances toxi- ques s'éliminent fort vite. Enfin Krainsk
dehors) est sim- plement le produit de l'excitation mécanique de la substance mus- culaire : du reste on peut suivre les fais
réflexe au deltoïde et au biceps. En cet endroit, il n'y a pas de substance musculaire sur l'étendue d'une pièce de deux fran
marginale). - A ce niveau la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance blanche : l'enlèvement de la pie-mère détermine
e la pie-mère détermine la séparation complète de l'écorce et de la substance blanche (altération de liaillarger). Lésions à
abcès indépendants, de la grosseur de petites noix, situés dans la substance blanche du lobe frontal droit, au-dessus et en
sous- · SOCIÉTÉS SAVANTES. zizi jacent à la deuxième frontale. La substance grise n'est atteinte nulle part. Il n'y a aucun
Il pourrait - être dû à l'intoxication de la plaque musculaire; la substance toxique serait produite par les muscles en trav
e bandelette optique aboutir, en partie du moins, à trois amas de substances grises : au corps genouillé externe, au tu- be1
es du nerf optique viendraient se terminer dans les amas susdits de substance grise, et principalement dans le corps genouill
des couches optiques. ' Les autres pénétrant directement dans la substance blanche de l'axe cérébro-spinal se mêleraient a
ral. Il est séparé de ce ventricule par le tapetum, mince couche de substance blanche, formée par des fibres qui émanent du c
s grande partie de la scissure calcarine. Toutefois, l'écorce et la substance blanche sous-jacente de cette scissure étaient
es à une lésion, soit de l'écorce grise des hémisphères, soit de la substance blanche sous-jacente, qui nous fournit les preu
cale, c'est-à-dire en faveur d'un foyer hémorrhagique situé dans la substance blanche du centre uvale, qu'en faveur de lésion
la surface du lobe occipital, un foyer circons- crit, situé dans la substance blanche du centre ovale, pro- duira une hémiano
puisque la malade ne présenta aucun signe d'intoxication par cette substance . La malade présenta des signes de dégénération
e tissu scléreux. Même état, quoique moindre, des cordons latéraux. Substance grise très peu , altérée. Pie-mère épaissie. To
69 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
r moi, Considéré au point de vue de la philosophie, l’éther est une substance excessivement déliée, parfaitement distincte de l
t déliée, parfaitement distincte de la matière proprement dite. Cette substance peut être regardée comme une émanation essentiell
ces portaient principalement sur deux points fondamentaux. L’unité de substance que nous proclamons tous deux, c’est pour vous l’
magnétiseur laisse dans l’organisme du sujet une portion de sa propre substance , une certaine dose de fluide... Si l’influence ex
atures, puisque le fluide n’est qu’une émanation directe de sa propre substance . L’éther où on est non-seulement visible pour les
diminuent tant de praticiens actuels, n’en appartient pas moins à la substance du spiritualisme. A pareil jour, à pareille fête,
cration fatale à leur volonté mauvaise. « Ils forment un composé de substances qu’on ne peut se procurer sans crime et allier sa
si doué, de constater la présence, dans les corps de la nature, d’une substance dont l’importance est à peine soupçonnée des sava
minutieuse ne pourrait découvrir la plus légère modification. Cette substance qui se dégage des deux extrémités de l’aimant, in
s effets opposés de fraîcheur et de chaleur fait supposer déjà que la substance qui se dégage ainsi des corps est douée de polari
ce; puis, l’électricité ne se dégage pas sans excitant, tandis que la substance en question peut constamment être vue ou perçue.
La lumière ne saurait être perçue par le sens du tact. C’est donc une substance nouvelle, mais qui se rapproche de la chaleur, de
et que la différence de leurs effets ne permet point de confondre ces substances l’une avec l’autre. Que les deux extrémités d’u
indéniables, du baquet de Mesmer. Mélange confus de toutes sortes de substances organiques et inorganiques réagissant les unes su
ait être un immense foyer non d’électricité ou de galvanisme, mais de substance odique : la découverte de M. Reichenbach prouve q
açait dans l'espace même qu’il occupait, envelopper entièrement de sa substance lumineuse celui qui s’y trouvait, l’feflel, qui c
ource doivent, puisqu'il en est ainsi, dégager en grande abondance la substance odique. C’est ce que reconnaissent les sensitifs
à sont nombreuses; néanmoins elles ne se bornent pas là. L’od est une substance universelle; on la retrouve partout. Les corps am
e universelle; on la retrouve partout. Les corps amorphes, toutes les substances solides, liquides ou gazêiformes. la détiennent e
quantité; seulement la lueur odique est tou- jours rouge dans toile substance , bleue clans telle autre. En prenant pour point d
s impressions qu’il perçoit, la vivacité des lueurs produites par les substances , et les divisant en positives et négatives, le se
n du courant vol laïque : sous cette impulsion, on le sait, certaines substances se déposent sur la lame de zinc, ce sont celles q
eulement par l’intensité des phénomènes que le sensitif distingue les substances . L’od de chaque corps a une action qui se diversi
'une manière précise les impressions qu'elle recevait des différentes substances . Lorsqu’elle se trouvait au-dessus d’une mine de
e chose ici. Ne voit-on pas que la salive employée de nos jours comme substance préserva-tive ou curative date de temps immémoria
riseraient à penser que l’homme est une source riche et permanente de substance odique, si nous n’avions une raison supérieure de
s, ainsi que les fleurs, dégagent une lumière bleuâtre, tandis que la substance odique est rouge dans les autres parties du végét
ir aux deux pôles magnétiques de la terre une accumula tion énorme de substance odique. L’expérience suivante vient corroborer ce
ques devenus visibles pour tous, à cause de l’immense accumulation de substance . Aucune des explications d’ailleurs hasardées,—so
action sur le fer, le nickel, le cobalt, devient dans ce seul cas une substance extrêmement lumineuse; —soit par Biot, Humphry Da
u'elles habitent un corps, soit qu’elles en sortent, ont toujours une substance corporelle. » Saint Hilaire. « L’âme est une ma
qu’à présent. Ils ne pouvaient concevoir l’âme, sans concevoir « une substance , un mouvement, une diffusion. • Ces doctrines s
ience et de la raison.) D’après Spinosa : L’âme est un mode de la substance infinie. L'àme est identiquement conforme au co
intelligence de l’homme. « L’esprit est l’unité intelligente... Une substance simple, ayant conscience d’clle-ménie. » Ch. de H
esprit. » Hermès. Le Fluide(2), /luidut (de /luere, couler), est la substance des êtres et des choses dans ces états d’expansib
onstituants du fluide est donc positivement l’existence de toutes les substances , dans un état puissantiel supérieur de pénétratio
me (de /win, meule), est l'clat de condensation ou de massivité de la substance ; ctat qui nous la rend ainsi vulgairement visible
rmès. tous les corps, et l’on désignait, sous le nom de matière, la substance saisissablc qui les composait. Cette matière, à p
raissait être la voix delà lumière. Ce verbe saint était porté sur la substance humide, d’où s’échappait alors un feu pur, qui mo
e acception, en l’employant seulement pour désigner dan3 les corps la substance saisissable. Cette dé- bouleversait; il en raco
une théorie de la santé, de la maladie et de la guérison. En voici la substance : la santé est le résultat d’une circulation bien
ceskè. (Lettres lur le Psychisme.) a Les idées ainsi revêtues d'une substance , agissent physiquement sur les êtres vivants par
imagine l'aspect de leurs vivantes phé-noménalités, sont formés d'une substance véritable ; attendu que, sans la réalité substant
llon, emblcme de l'âme chez les anciens), adjectif qualificatif de la substance en scs variétés fluidéides; soit qu'elle émane de
ouée d’une force plastique qui, lorsqu’elle a produit (au dehors) une substance , lui imprime une force et peut l’envoyer au loin
titue son ressort. En magnétisme, si nous n'avons de notions sur la substance et la constitution de l'âme, quelle idée pouvons-
nc avant de revenir aux objections de M. d’Arhaud. Qu'est-cc que la substance ? La SmsTANCE, substantia, substratum (de aubsta
ée est une lumière dont notre volonté dispose. « La lumière est une substance . « Le mouvement est son essence. » Ciiardel.
ls sont, car tous les hommes n'en ont pas le jugement. » Hermès. La substance est donc l’esprit subtil, Ia type quintessentiel
ivrou. V esprit universel, l'éther de la planète, comprend toutes les substances dans son unité. Voilà comment et pourquoi la thér
és, pl. 9 et 12. jeune sœur de la Reine, « dont le mal a pénétré la substance , >■ ou suivant une variante, « sur les membres
tion montrera en outre que la connaissance du magnétisme, celle d’une substance universelle qui se modifie indéfiniment sous l’im
tations constantes, la cause de leurs profonds ravissements que cette substance universelle, qui du sein de l’unité allait ainsi
, la jeune sœur de la reine Neferou-Ra ; un mal a pénétré 1 dans sa substance ; que ta Majesté veuille envoyer un homme connais-
re à produire de fortes commotions. Il faut réduire « les différentes substances en, poudre très-fine. » Le plus simple bon sens
re de /'rance). (3) Précis historique, p. 201. Mesmer répondit en substance « que son long séjour en « France ne pouvait lais
nétique humain. Observation par M. Henry André, 667. Unité (de l') de substance et de force, cause de tous les phénomènes vitaux
70 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
z, caractérisée par des lésions centrales consistant en fonte de la substance grise qui constitue la commissure grise de la m
bstance grise qui constitue la commissure grise de la moelle. Cette substance grise se transforme peu à peu en une matière an
le à l'oeil nu. Tout au plus existe-t-il un peu de congestion de la substance grise et une légère diminution de consistance d
ues altérations qui plus haut vont prendre de l'importance. Dans la substance blanche, les travées pie-mériennes qui conduise
traitées par l'acide osmique et montées dans la glycérine. Dans la substance grise, les cellules des cornes antérieures se col
es paraissent occuper l'espace périvasculaire des capillaires de la substance grise, dans les cornes antérieures et la commissu
ensité différente, nous les décrirons au niveau du foyer. Dans la substance grise, l'attention est attirée même à un faible g
ornes, surtout les antérieures : elles paraissent constituées par une substance vitreuse ou colloïde qui se serait infiltrée da
înes lymphatiques des vaisseaux ou entre les éléments propres de la substance grise : il est fréquent d'apercevoir la coupe t
ltérations du même genre, moins avancées. Quant aux vaisseaux de la substance grise, les modifications qu'ils présentent se r
le seulement que ce tissu ait perdu en partie son affinité pour les substances colorantes, au pourtour des lacs de substance col
on affinité pour les substances colorantes, au pourtour des lacs de substance colloïde dé- crits plus haut. Canal central obl
s cellules à gros noyau. On aperçoit enlin sur les coupes dans la substance grise, surtout au pourtour des infiltrations co
cules amyloïdes ; ceux-ci se trouvent non seulement au milieu de la substance même des cornes, mais aussi disséminés dans les
i disséminés dans les filets radiculaires qui en partent. Dans la substance blanche les lésions nerveuses sont réparties d'un
se. Il nous reste à ajouter, pour ce qui concerne les lésions de la substance hlan- che que les petits vaisseaux soûl altérés
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lement, et surtout dans le voisinage de la substance grise, les interstices des tubes nerveux sont o
tance grise, les interstices des tubes nerveux sont occupés par une substance colloïde teintée en rose par le carmin, qui par
nt identique il celle dont nous avons signalé la pré- sence dans la substance grise. Ici, comme dans la substance grise elle pa
s signalé la pré- sence dans la substance grise. Ici, comme dans la substance grise elle paraît avoir pour siège non seulemen
nt 9 diam. Obj. 00 variable Verick). A, A' exsudât colloide dans la substance grise. En A, cet exsudat occupe visible- ment l
ns la moelle dorsale ; la plupart sont situées sous la pie-mère. La substance grise est abso- lument intacte. Quant à l'inf
és les uns contre les autres en amas compacts sans interposition de substance intercellulaire; par places péné- trant la pie-
ropagation de l'infiltration méningée; elles sont évidentes dans la substance blanche au niveau des cordons postérieurs, à la
ndantes de l'infiltration méningée. Elles intéressent d'une part la substance grise centrale sur une hauteur de 5 à G racines
grise centrale sur une hauteur de 5 à G racines, et d'autre part la substance blanche des cordons latéraux sur une étendue un
e blanche des cordons latéraux sur une étendue un peu moindre. La substance grise, dans toute la moitié supérieure de la moel
rnes antérieures principalement (La présence de ces cavités dans la substance grise, soit dit en passant, est à mettre en reg
qu'il s'agit là d'un exsudai primitivement liquide, ayant envahi la substance grise cen- trale par le sillon médian antérieur
partie de la moelle. Cet exsudat se serait arrêté aux limites de la substance blanche, qui lui aurait opposé une barrière plu
ervé leur apparence normale). Par contre le tissu névroglique de la substance grise est à peine altéré : le tissu fon- dament
mais on n'y constate pas la moindre prolifération active. Dans la substance blanche, les lésions que nous avons décrites prés
plus nombreux) plus profonds, quelques-uns même au con- tact de la substance grise; et tous présentant dans leur direction, ce
les vaisseaux des méninges, les lésions vasculaires observées dans la substance blanche de la moelle semblent de peu d'importan
ires, de l'autre des altérations des éléments nerveux dans les deux substances de la moelle. Pour une part au moins, la myélit
eux. Restent à expliquer les altérations du cordon latéral et de la substance grise, en apparence indépendantes des lésions m
ns identiques à celles dont il est question. Pour ce qui regarde la substance grise, nous pensons que les altérations dont el
ision quelle est l'o- rigine de l'exsudat colloïde infiltré dans la substance des cornes antérieu- res et de la commissure gr
oppes molles, dans l'espace sous-arachnoïdien; elle peut envahir la substance médullaire, détruire ou comprimer les racines n
des vaisseaux qui forment autant de centres d'infiltration. Dans la substance grise, « le tissu, qui paraît raréfié est infiltr
une comhlée par celte matière amorphe qui sépare les éléments de la substance grise. » M. le professeur IIayem (1874) à propo
ngés, veines et artères, et des altérations dé- génératives dans la substance blanche de la moelle. La pie-mère offrait une m
à la surface de la moelle sont gorgés de sang. Sur les cou- pes, la substance grise a paru seulement congestionnée dans toute l
orne antérieure gauche est rétractée, atrophiée. Il existe, dans la substance blanche de larges territoires de sclérose, Fig.
même, les lésions sont considérables dans les deux subs- tances. La substance grise est tellement déformée qu'on a peine à reco
mais ne présente pas d'hémorihagies semblables. Les vaisseaux de la substance grise n'offrent pas d'alléralions de leurs parois
n ne constate pas la présence de véritables corps granuleux dans la substance grise : ceux-ci apparaissent seulement au voisina
ent seulement au voisinage des cordons blancs. La névroglie de la substance grise présente un état d'irritation très marquée
Ils se rencontrent également dans les 2 cornes. Nulle part, dans la substance blanche, on ne rencontre d'éléments semblables.
d'un brun sale. Dans cette partie centrale, il existe une perte de substance sur toutes les coupes. Le petit territoire dinu
che, et d'autant mieux systématisée que l'on descend plus bas. La substance grise reprend son apparence normale dans la moell
nnaire assez abon- dante qui se prolonge dans ce sillon. Enfin la substance grise est le siège de petites hémorrhagies sembla
ns la moelle dorsale supérieure, présente une sclérose diffuse delà substance blanche, dont l'origine méuingo-vascuiaire ne s
matoires étaient en ce point beau- coup moins accentués que dans la substance blanche. Tout porte donc à croire que, chez not
de la moelle. La forme de celle-ci est parfaitement conservée : la substance grise a sa configura- tion normale. Les cordons
méningite, et dont le sommet, très-aigu, va se prolonger jusqu'à la substance grise de la commissure. Le sillon médian postér
ninges, fibreuses, très épaissies sont étroitement adhérentes il la substance nerveuse. La pyramide correspondante est dégénéré
inférieur du facial). Les vaisseaux présentent d'ailleurs, dans la substance grise du 4° ventricule, une gaine lym- phatique
il n'est pas sans intérêt de mettre en regard des altérations de la substance grise rencontrées dans ce cas. Les réflexes ten
ature de la peau redevient normale. Bandage sec sans application de substances médicamenteuses. 10. Sur le côté externe de l'a
71 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ds, est rapportée à la rupture d'anévrysmes des petites artères de la substance cérébrale. Ces anévrysmes, dont le rôle pathogéni
de aux hémorrliagies qui se font primitivement dans l'épaisseur de la substance encéphalique, laissant ainsi de côté un certain n
fracture du crâne avec enfoncement qui produit un épanchement dans la substance encéphalique n'exige pas assurément un pareil int
pelure d'oignon. Etudiée seule ment sur les petits vaisseaux de la substance cérébrale, cette artérite scléreuse, qui n'est pa
ve sur les artérioles de tout calibre qui sont dans l'épaisseur de la substance cérébrale, et intéressent par conséquent les deux
embrane, une épaisseur égale à la dimension du calibre vasculaire. Sa substance est striée longïtudinalement, à la façon d'un fai
gtemps; ils siégeaient soit à la surface, soit dans l'épaisseur de la substance grise, soit à la réunion de la substance blanche
soit dans l'épaisseur de la substance grise, soit à la réunion de la substance blanche a\Tec la couche corticale. Cette position
morrhagique. Quand les anévrysmes sont complètement plongés dans la substance grise des circonvolutions, il arrive souvent qu'o
ferme dans l'hémisphère gauche un vaste épanchernent qui a labouré la substance du centre ovale et dilacéré le corps strié. Un ép
aît à peu près sain. L'aorte présente quelques plaques calcifiées. La substance corticale des reins est très atrophiée. Obs. X.
ombreux anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les vaisseaux de la substance cérébrale présentent au microscope une multiplica
ues jaunes cl'athérome. Les reins pèsent ensemble 205 grammes et leur substance corticale paraît un peu atrophiée. Obs. XXIV. S
ite, un autre à la partie antérieure du ventricule droit, une dans la substance grise de l'une des circonvolutions frontales droi
un en arrière de la couche optique gauche, et un autre enfin dans la substance blanche du lobe occipital gauche. On trouve de pl
èsent ensemble 230 grammes et offrent un léger degré d'atrophie de la substance corticale. Foyers anciens sans hémorrhagie réce
es reins petits, grenus à la surface, pèsent ensembfe 180 grammes, la substance corticale est atrophiée, un certain nombre des tu
— Les reins sont très petits, ils pèsent ensemble 110 grammes. — Leur substance corticale est un peu atrophiée. Obs. LV1I. Salp
embre 1867. L'autopsie montre dans le corps strié gauche et dans la substance blanche de l'hémisphère droit, empiétant sur une
édicale de Lyon, 9 février 1868). et ses prolongements à travers la substance grise. Lespetitesartè-res des corps striés sont d
ensemble 205 gr. et présentent un état assez notable d'atrophie de la substance corticale avec aspect grenu de la surface. Obs.
s sigmoïcles présentent seulement quelques végétations en festons. La substance corticate des reins est uu peu atrophiée ; ces or
ccipitales, existe un autre anévrysme miliaire dans l'épaisseur de la substance grise. Obs. LXXV. Salpêtrière. — Charcot. Cro
reins pèsent ensemble 114 gr. et présentent un peu d'atrophie cle la substance corticale. Vaorte est à peu près saine. Obs. LX
s à la surface du cerveau, quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la substance grise. En outre de ces taches d'un rouge noir, on
rouge noir, on voit à la surface du cerceau et dans l'épaisseur de la substance grise, une foule de petites granulations brunes,
remarquait sur fe sac de l'anévrysme, avait donné issue au sang. — La substance cérébrate autour du foyer n'était point ramolfie.
a trouvé les anévrysmes en faisant macérer dans l'eau eten lavant la substance cérébrale ainsi ramollie. M. Schu-lhof dit à ce p
, pour tissu fondamental, du tissu conjonctif réparti au milieu d'une substance finement granuleuse, amorphe. Le tissu conjonctif
noyaux, d'un diamètre large, elliptiques, disséminés au milieu de la substance granuleuse. Quand on dilacere la préparation, on
ffre une configuration exactement semblable à la forme de la perte de substance du crâne; elle devait s'y appliquer, et s'y trouv
ment jusque dans les anfractuosités, se sépare assez facilement de la substance cérébrale, qui ne paraît point ramollie ù sa surf
; on n'y trouve rien d'anormal. Il n'y a point mémo d'injection de la substance cérébrale. Les parois des ventricules ne sont pas
t, d'ailleurs, séparées du foyer de ramollissement par des parties de substance nerveuse qui parurent être à l'état sain. La pièc
ent d'être indiquées. En désespoir de cause, de minces fragments de substance nerveuse, pris sur divers points de la troisième
ettre que les quelques altérations révélées par le microscope dans la substance nerveuse de la troisième circonvolution suffisent
out au moins l'appréciation de la valeur réelle des altérations de la substance nerveuse cérébrale. Sans aucun doute, cette obs
cas, le ramollissement résulte d'une transformation régressive de la substance nerveuse ; il n'est pas le fait d'un processus in
ires. Dans le ramollissement, l'infiltration granulo-graisseuse de la substance cérébrale est la première lésion appréciable. Ell
re : il s'agit dans ce cas d'un foyer hemorrhagique développé dans la substance grise du renflement lombaire ; une vaste eschare
t Wounds, Philadelphie. 1864, p. 84. lité, sinon la totalité, de la substance grise du même côté (1 ). Ainsi, consécutivement
circonvolution marginale postérieure. Le ramollissement s'étend à la substance blanche sous-jacente dans la profondeur de deux c
ofondeur de deux centimètres environ. Au pourtour de cette plaque, la substance grise de plusieurs circonvolutions est, dans une
est due à la présence d'une tumeur qui plonge dans l'épaisseur de la substance blanche, et est recouverte par une couche ex.trôm
e blanche, et est recouverte par une couche ex.trôme-ment mince de la substance grise de la circonvolution. Cette tumeur, qui a l
me les noyaux renfermés dans les cellules, portent des nucléoles. Une substance homogène, amorphe, cimente ces divers éléments. L
t substituées aux éléments cellulaires. Au voisinage de la tumeur, la substance grise, comme la substance blanche du cerveau, n'o
cellulaires. Au voisinage de la tumeur, la substance grise, comme la substance blanche du cerveau, n'ont offert aucune altératio
tération appréciable. — Toutefois, des préparations de cette dernière substance , colorées à l'aide du carmin, ont paru présenter
x circonvolutions ; il occupe , dans Fétendue d'une petite noix, ta substance blanche sous-jacente. La partie la plus antérie
iable à l'œil nu. Leur surface est réouverte d'une couche mince d'une substance glaireuse, transparente, qui s'enlève aisément av
érieure dn fémur gauche. — Ramollissement blanc, violacé, occupant la substance blanche du centre ovale et ayant envahi, la presq
turel qu'à des époques où l'on essayait, en thérapeutique, toutes les substances qui se rencontrent dans le monde minéral, cette m
sur les fibres tendineuses qui sont en rapport de continuité avec la substance musculaire, ou sur les rameaux nerveux moteurs do
xcitation des petits rameaux nerveux et de leurs terminaisons dans la substance du muscle ? La solution de ce problème ne saurait
n corps étranger dont le contact irrite la cornée. De même, certaines substances sont aussi efficaces que la peur pour provoquer u
72 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é à un certain point de la moelle mais une lésion segmentaire de la substance grise des cornes postérieures et du renflement
ble pas jusqu'ici suffisamment justifiée. Nous pourrions répéter en substance à propos de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 68
lite parce qu'il désigne plus particulièrement l'inflammation de la substance grise située entre l'origine de la troisième pa
La maladie de Basedow est une affection centrale, siégeant, dans la substance grise du bulbe, à la hauteur du noyau du facial
ou plus exactement la zone d'entrée des fibres radiculaires dans la substance grise. Si l'on trace une ligne partant de l'ang
stance grise. Si l'on trace une ligne partant de l'angle qui, de la substance gélatineuse de Roland, s'avance vers le sillon
égie droite. Mort, autopsie : pâleur et augmentation de l'eau de la substance du corps opto-strié gauche, petit ramollissemen
e et les vaisseaux du cerveau, avec des signes de dénutrition de la substance blanche. (New-York médical Journal, 2 avril 188
OBs. I. Lésion de la surface des circonvolutions, pénétrant dans la substance médullaire et détruisant quelques-uns des pro-
as. V. Destruction d'une partie du lobe temporo-sphénoïda) et de la substance médullaire sous-jacente; cette destruction inté-
t détruit une partie du corps strié, de la capsule interne et de la substance médullaire du cerveau ; dé- générescence partie
isphère cérébral gauche. On peut se convaincre de l'énorme perte de substance , en palpant son crâne X; ainsi, au niveau de la
clairé ces faits d'un nouveau jour; d'après lui, la contusion de la substance mus- culaire est appréciée à sa juste valeur. M
présente quelques pièces de dégénérescence secondaire à travers la substance blanche de l'écorce, dégénérescence ayant été p
eut suivre une dégénérescence descendante très marquée allant de la substance blanche de l'écorce au centre ovale ; pour des
ros comme un pois, occupant la partie limite entre l'écorce et la substance blanche; dégénérescence secondaire peu étendue.
as : dégénérescence diffuse de fibres nerveuses à myé- line dans la substance blanche corticale, mais ayant plus ou moins res
part une dégénérescence secondaire de haut en bas; elle traverse la substance blanche de l'écorce et coupe la portion cortica
cerveau de ces dégé- nérescences diffuses de fibres nerveuses de la substance blanche, tandis que l'écorce offrait une atroph
it, de 1887, p. 73 : remarquable dégénérescence à l'intérieur de la substance blanche. Préparations de moelle témoignant d'un
lules à plusieurs noyaux, transformation finement granuleuse, de la substance cellulaire, sont incapables de décider de la qu
pper ultérieurement. SÉNAT. loi M. Krontiial. De l'hétérotopie de substance grise dans la moelle. Publiée itz extenso dans
es primitifs et constants de l'affection décrite se nichent dans la substance grise de la moelle épinière, '198 PATHOLOGIE NE
d'une localisation irrégulière du processus patho- logique dans la substance blanche, ils constituent plutôt une complicatio
naisons les plus variées, si le processus pathologique s'étend à la substance blanche de la moelle épinière, ce qui, à notre
er on remarque quelques traces d'adhérences ; la coloration de la substance cérébrale paraît à peu près normale. Le lobe oc
ie dans le liquide de Muiler. Cerveau droit. Portions atrophiées. Substance grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des porti
es. Substance grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche d
ns de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la substance grise est confondue avec la seconde; elle prése
larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellules pyramidales. Ce
ses arrondies, granu- leuses et pigmentées ; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par
dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première couche de substance grise est épaissie, fibrillaire et chargée de n
a- griné qui résulte de l'effondrement des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique, aréolaire qu'on observe
éries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de
à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de petites cellules ronde
upart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée parle réseau vascula
est morcelée parle réseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la substance blanche, nombreux corps granuleux et blocs grai
iation dans les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la substance blanche. Dans le lobe occipital, on retrouve, à c
'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer de L'ÉPILEPSIE
éro-latéral ; ce noyau accessoire' parait être une dépendance de la substance grise du noyau antéro-latéral. Il présente ordi
par la mollesse de son tissu et par la couleur rouge intense de la substance grise dont les con- tours s'aperçoivent à l'oei
égénéralive partielle. Les deux sciatiques présentent des perles de substance du parenchyme probablement congénitales absolum
nes des pou- mons tuberculeux ont infecté les nerfs non pas de leur substance môme, mais de leurs produits de combustion orga
ériode embryonnaire emprisonnées dans les cordons postérieurs de la substance blanche, peuvent, par leur prolifération, donne
lie a pour siège primitif non seu- lement l'épendyme, mais aussi la substance gélatineuse de Rolando et celle de la racine as
opsies de Schultze, le processus mor- bide atteint de préférence la substance grise; les li- mites de ce processus coïncident
ascendante du nerf trijumeau, où s'hyperplasie la neuroglie de la substance gélatineuse. Mais, en outre, on observe comme u
lasie néoplastique, les parties des cordons latéraux adjacents à la substance grise. Toutes ces altérations de la substance b
raux adjacents à la substance grise. Toutes ces altérations de la substance blanche ne sont point du tout égales en lieu et
ère de l'altération pathologique dans les cornes postérieures et la substance grise pour trouver une explication toute prête
acines dans la moelle épinière et de leur marche ultérieure dans la substance blanche et grise. Au contraire, les cas de glio
- tions anatomiques. Nous les voyons dans la distribu- tion de la substance gélatineuse, qui se trouve autour du canal cent
trui- rait pour ainsi dire en bloc les parties avoisinantes de la substance grise. Il serait inutile de revenir sur cette s
ées aux parois de la ca- vité ; d'autres encore se trouvent dans la substance gliomateuse, uniforme en apparence. Quoi qu'il
t dans les conditions altérées du développement embryologique de la substance grise de la moelle épi- nière et que différente
n de parties de certains segments des colonnes postérieures de la substance grise de la moelle épinière et de la subs- tanc
ion, engendré l'élément clonique. Les excitations électriques de la substance blanche con- firment cet exposé, car une région
on corticale envisagée une fois enlevée, on produit, en excitant la substance blanche sous-jacente, des contractions toniques
ramollissement microscopiques de divers volumes dans l'écorce et la substance blanche de l'hémisphère cérébral gauche. P. li.
ns de méningite tuberculeuse cérébro-spinale avec destruction de la substance blanche de la moelle (phéno- mènes paralytiques
ument pure; atrophie, disparition presque totale des cellules de la substance fondamen- tale ; ces altérations, surtout marqu
Intégrité des cornes postérieures, des colonnes de Clarhe, de la substance blanche, des noyaux et des racines des nerfs, dég
ur externe. Les organes atteints sont : le tubercule de Rolando, la substance gélatineuse delà corne postérieure, les racines
Observation ayant son intérêt en ce que : 1° la tumeur occupait la substance même de la moelle sans léser les méninges; 21 le
et des bronches. Pie-mère congestionnée. Le cerveau pèse 1,350. La' substance SOCIÉTÉS SAVANTES. 457 cérébrale sèche, ferme
dales, soit dans l'écorce, soit dans la lisière de l'écorce vers la substance blanche. L'auteur a pris des moyennes. Il a tro
r), lar Amadei, 280.. v- Dégénérescence secondaire à travers la substance blanche cérébrale, par Zacher, 9. Délire aigu
73 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
édullaires des os longs; canaux aréo-Inires, sanguins et adipeux, des substances spongieuse etréticu-laire de tous les os. 2° Le
le canal médullaire des os longs que pour les canaux aréolaires delà substance spongieuse, composent un système de cavités commu
pourtant homogène, eu égard aux parties composantes. Les fibres de la substance compacte sont rayonnées dans les os larges, longi
xtrémités articulaires de ces derniers et dans les os courts. Dans la substance spongieuse, elles sont lamellaires ou filiformes.
erons quelle disposition prend le tissu fibreux dans l'épaisseur delà substance compacte des os, pour en former la trame prétendu
les grands amas de sang noir dont la pression aurait été funeste à la substance nerveuse.Enfin ecttemembrane s'entrouvre par auta
mes, elle forme des rides transversales qui ralentissent le cours des substances étrangères, et peuvent facilement former des culs
ns fait observer, à des degrés différens, suivant la densité des deux substances en action, d'une part les tissus, et de l'autre l
ori. Les expériences si exactes de M. Magen-die, sur l'absorption des substances liquides et gazeuses; celles encore plus original
anes qu'ils renferment ou qui les environnent. i° Altérations de la substance des os. Dans les affections morbides, encore peu
ste externe, circonscrivent la maladie au tissu malade lui-même. A la substance compacte appartiennent les maladies suivantes : (
nécrose, ou la gangrène par obstruction des canaux vasculaires de la substance compacte; véritable carie delà substance compacte
des canaux vasculaires de la substance compacte; véritable carie delà substance compacte ou l'affection du tissu vasculaire est m
ou l'affection du tissu vasculaire est masquée par l'abondance de la substance calcaire. On sait avec quelle netteté cette malad
eule qui se confonde en une masse commune avec les tissus voisins. La substance spongieuse, outre les maladies qui précèdent, est
raréfié, et qui n'offre des apparences si différentes de celle de la substance compacte, qu'en raison de l'extrême vascularité d
e et de la médecine. Mais s'il y a eu des esquilles qui aient lésé la substance du cerveau ou que cet organe ait subi un fort ébr
matières tuberculeuse et colloïdes, les graisses, les sels, et les substances colorantes, mélanose ou kirronose, qu'ils soient
, et lorsque leur présence irritera mécaniquement les tissus, que les substances solides donneront lieu à des complications dont l
isceaux vasculaires se transforment en agens conducteurs des diverses substances gazeuses, liquides ou solides; mais les effets va
lieu lorsque 1 epanchement gazeux est en petite quantité. Dès que la substance qui circule au travers des espaces celluleux pren
t elles sont les produits. Ainsi, on conçoit déjà en théorie, que les substances très perméables, les gaz et les fluides aqueux, t
s ce sens qu'il est bien rare que des fluides, le sang, le pus, ou la substance cérébrale amollie, excepté les cas de fracture av
ubstance cérébrale amollie, excepté les cas de fracture avec perte de substance , puissent se faire jour hors de la cavité du crân
ltration purulente à la partie déclive des plaies, même sans perte de substance . C'est à la même cause cpie se rattache la forme
eu de pratiquer la rhinoplastic, ou contraint à remplacer la perte de substance par un nez artificiel. B. Fosses nasales. i° Pe
ion , sont également disposées à part. Il faut y joindre les diverses substances employées dans l'hémostatique, des vases avec de
les lieux encombrés de malades ; enfin de faciliter l'application des substances médicamenteuses jugées nécessaires pour la guéris
Instrumens de ligature. i° Liens. On y emploie des fils de diverses substances très résistantes, le chanvre, le lin , la soie, l
let et les diverses sortes de serre-nœuds. Premier procédé. Fils de substances végétales ou animales. On fait, comme il a été ex
ides, le sang, la sérosité, le pus, dont l'humidité neutraliserait la substance caustique ou absorberait inutilement le calorique
ique ; 3° préserver de l'action chimique les parties voisines par des substances absorbantes, telles que le linge, la charpie, pou
tus de matière animale désorganisée et plus ou moins combinée avec la substance cautérisante. L'escharre varie de profondeur, de
prédomine sur les autres élémens. En théorie, la décomposition de la substance animale est produite par une véritable combustion
l'acide sulfurique concentré, s'emparent de l'eau que contiennent les substances animales ou des élémens qui forment l'eau ; l'aci
nt la profondeur de l'escharre et le mode d'action plus spécial de la substance cautérisante , le formation d'une aréole inflamma
chute, dans la plupart des cas, il reste une ulcération par perte de substance plus ou moins longue à guérir. Mais sous l'action
s, ou avec une pince à disséquer ou à anneaux que l'on trempe dans la substance cautérisante, et que l'on dépose sur la partie ma
r rendre cette pâte beaucoup plus active. M. Bureaud emploie les deux substances à proportions égales, et M. Velpeau double la pro
tiques pulvérulens, désignation sous laquelle s'employaient certaines substances , et en particulier des cendres très alcalines, le
ficulté à s'oxider et de sa grande capacité pour le calorique, est la substance métallique le plus généralement employée pour for
ux dépens des parties à travers lesquelles il pénètre, à une perte de substance en rapport avec sa forme; il convient lorsque l'a
rectum, etc., ou des trajets fistuleux que l'on veut entretenir. Les substances dont on se sert le plus habituellement comme moye
ons de continuité de forme irrégulière , consécutives à des pertes de substance , si un affrontement complet n'est pas possible, o
plication des sutures. io Nettoyer les lèvres tic la plaie de toute substance étrangère et des caillots sanguins, sans pourtant
lication des ligatures diffèrent suivant plusieurs conditions : i0 la substance qui forme le lien ; 2° les in- t. vi. strumen
s grosses artères ont fait tenter de nombreux essais sur la meilleure substance à employer en ligature. Jones, pour favoriser la
ui rappelle les lanières en cuir de Ruysch, a essayé des ligatures de substance animale; il s'est servi de minces lanières de pea
ables à être bouchée mécaniquement par un corps étranger. L'emploi de substances diverses simule autant de procédés. i° Cire. Co
t tout-à-fait insaisissable, on remplit mécaniquement sa cavité. 20 Substances hygrométriques. On emploie dans cet objet soit un
. On emploie dans cet objet soit une bougie emplastique, ou mieux une substance animale , la corde à boyau , un fragment de peau
cevoir le sang, quoique non oblitéré. Le procédé d'introduction d'une substance étrangère a réussi à Dupuy-tren et à M. Roux, com
uéiïson, M. Mancc a tenté des expériences à ce sujet. D'après lui, la substance étrangère tombe en putrilage, et l'oblitération n
solution. Les plus usités sous forme pulvérulente sont l'alun et les substances végétales, noix de galle, écorce de chêne, racine
ive congestion. 4° Absorbans. Sous ce nom sont comprises toutes les substances molles, spongieuses, susceptibles de s'imbiber de
sines et en particulier la colophane, appartiennent à la seconde. Les substances de forme membraneuse peuvent être employées seule
et le bord de l'ongle encastré. Modification de Lafaye. La perte de substance à l'ongle étant opérée, pour faciliter le rapproc
gairement le tartre, est composé d'un mucus concrète mêlé de diverses substances étrangères qui revêt l'émail des dents, remplit l
on ou une cavité anguleuse dans lesquels séjournent et se vicient des substances étrangères. 2°. Carie, (c) Si la carie est supe
utôt pour les cas exceptionnels, lorsqu'il y a aux dents une perte de substance qui empêche l'emploi des autres instrumens. Le da
peuvent supporter. Action lente. Les cantharides en poudre sont la substance employée pour déterminer la vésication lente; cet
3" enfin, le trajet connu des gros vaisseaux et des nerfs. Diverses substances peuvent servira faire des moxas ; telles sont: le
ise, l'agaric de chêne. Le mode de combustion propre à chacune de ces substances constitue des moxas correspondant à des indicatio
e, et qu'il faisait ensuite sécher avec soin. — 4° Moxa chinois. La substance employée est le duvet que l'on obtient en pilant
moyen est indispensable. Dans la nécessité de remédier à la perte de substance qui rendrait la cicatrisation impossible dans cer
a forme et retendue convenables et que l'on applique sur la perte, de substance . Cet ingénieux artifice par lequel la chirurgie t
allie les deux modes indien et italien. Pour remédier à une perte de substance de l'aile du nez et de la partie supérieure de la
mbeau eurent été organisées, il le reprit pour en couvrir la perte de substance . Il est rare que l'on soit dans l'obligation d'
oins qui concernent le lambeau, on doit panser la plaie avec perte de substance , qui résulte de sa dissection. Pour faciliter le
-même un inconvénient; mais, en outre, les deux côtés de la perte cle substance se froncent et tendent à se rapprocher d'eux-même
même la plus simple, elle n'emprunte encore, pour réparer la perte de substance , que les tégumens voisins disséqués et alongés de
ompression graduée, Procédé de Chopart. Si la largeur delà perte de substance est très considérable, de telle sorte que la plai
rties a pu permettre détailler, presque au parallélisme delà perte de substance , le lambeau dont le déplacement s'effectue suivan
oire, le lambeau est pris sur une partie très éloignée de la perte de substance à réparer. Il s'agit donc cle rapprocher et de ma
emploie la méthode italienne sont plus particulièrement les pertes de substance à la face, et les régions dont ou emprunte le lam
est dû le phénomène cle la réunion spontanée des plaies avec perte de substance . Mais ce nouveau tissu étant privé d'élasticité,
à envahir sur tous les tissus voisins et à les convertir en sa propre substance . Dès qu'une excroissance de cette nature s'annonc
ère est l'ablation totale de la cicatrice, en suppléant à la perte de substance par l'autopla-stique déjà connue. La seconde est
é de l'enlever par dissection, c'est le cas de suppléer à la perte de substance au moyen de l'autoplastique , par l'une quelconqu
s congéniale pour ceux qui doivent journellement livrer passage à des substances étrangères, comme la bouche et l'anus. Ce genre d
employer les corps dilatans , les mèches, tubes ou sondes de diverses substances , dont on augmente graduellement le volume, et sur
at un allongement des muscles, soit qu'elles succèdent à une perte de substance ou à une simple solution de continuité; dans cell
ne remédie que par une opération offensive, à chaque l'ois, pour la substance cérébrale, et, par ses effets, seulement palliati
nt encore. On a conseillé, à cet effet, de les saupoudrer de diverses substances irritantes, le sel, la cendre, le tabac. Mais, po
r ne pas couper le vaisseau, donne le premier exemple de l'emploi des substances animales. Enfin le 18e siècle va étendre la sphèr
un bandage spiral qui montait d'abord jusqu'à la tumeur; un magma de substances résolutives était appliqué sur l'anévrisme, une c
riétés quant à la forme de la ligature elle-même et à la nature de la substance que Ton y emploie. Ligatures avec des substance
t à la nature de la substance que Ton y emploie. Ligatures avec des substances diverses. — (a) Fils de matière animale. Dans le
uvé que l'oblitération s'obtenait également avec des fils de diverses substances végétales ou animales ou avec des fils métallique
les faits relatés parM.Pécot,oncroit que les corps étrangers dont la substance est inaltérable s'enkystent dans les tissus et pe
ne de leurs extrémités : tels sont un éclat de bois ou de toute autre substance , une lame métallique, etc. Nous avons à indiquer
r d'un même coup la peau et le kyste ; le vider, par pression , de la substance cpi'il renferme, détacher ses parois de la peau d
r l'ossification de la paroi membraneuse d'un kyste et remplies d'une substance concrète ou pâteuse et demi-fluide. Nombre d'obse
tissus voisins qu'elles convertissent indistinctement en leur propre substance ; 3° de repulluler très promptement, après l'extir
it tous les tissus, même les plus durs, et les convertit en sa propre substance . Mais à côté de ces trois faits malheureux quatre
matoire, conseille un autre procédé, qui consiste à racler d'abord la substance fibro-cartilagineuse qui recouvre les fragmens et
itielle ou point par point des petites lamelles et des filamens de la substance osseuse. Ces différences, qui ont leur raison pre
n première dans la texture, expliquent pourquoi la nécrose affecte la substance compacte ou la diaphyse des os, tandis que la car
e font que hâter son envahissement sur de nouvelles couches d'os. Les substances qui détruisent l'organisation, les véritables cau
bistouri à plus de trois centimètres (un pouce) de profondeur dans la substance même du cerveau. 5° Pansement. On a complètemen
les fractures du radius. La cicatrisation est en général rapide; une substance ostéo-fibreuse de nouvelle formation réunit les d
le cal-canéum s'unit au cuboïde. L'opération eut un plein succès; une substance ostéo-fibreuse combla le vide causé par l'ablatio
ans le vif, et de ménager des chairs pour recouvrir l'os, contient en substance tout ce qui est essentiel dans l'amputation consi
ION DU BRAS. ANATOMIE OPÉRATOIRE. Le Mémoire de Louis contient en substance tous les principes anatomiques qui dominent l'amp
ints du bras, d'obvier à la rétractilité avec la plus petite perte de substance possible; et nous ne pensons pas qu'une autre mét
, par laquelle on évite la saillie du cunéiforme, une grande perte de substance , la difficulté de l'opération et la presqu'imposs
êmes résultats par une marche aussi avantageuse, et sans une perte de substance aussi étendue. Mais nous ne saurions donner qu'un
t dans la tumeur). D. Portion de l'artère poplitée dégénérée en une substance pul- peuse, parsemée de petites concrétions cré
chement se fait directement à l'extérieur par les trous veineux de la substance compacte. (Voy. pour la texture normale t. IV. pa
74 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bryonnaires disséminées soit dans la subs- tance grise soit dans la substance blanche le long des vais- seaux. Cette légère i
at grenu particulier qui n'existe pas dans les autres parties de la substance blanche ; de place en place, au point d'interse
ate une tuméfaction du cylindre-axe. Les cellules nerveuses de la substance grise sont nombreuses, présentent pour la plupa
sont plus larges, moins délicates que dans les autres parties de la substance blanche ; la vascularisation y est plus grande
Cellule de la névroglie, sans noyau; à prolongements multiples. c, Substance vaguement fibrillaire et pointillée, interposée e
l croisé. Fi(;. 4.- Celliles nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dégénération granulo-graisseus
o.rtMM e< n;e- 1 Claucie Bei-tiar(l. - Leçons sur les effets des substances toxiques et naé- dicamenteuses; Paris, IS57, iv
cordons antéro-latéraux de la région cervicale de la moelle, de la substance noire du pédoncule et du noyau rouge de la calo
enferme effectivement l'histoire d'un ostéome vrai siégeant dans la substance même de l'hémisphère cérébelleux gauche; on y t
irmer que la lésion (gliomateuse) débute presque tou- jours dans la substance grise centrale, et qu'elle prend naissance à la
ur ne s'étendre que tardivement aux cor- dons blancs. Nulle part la substance grise n'est totalement anéan- tie, mais elle se
ôté du trijumeau, des symptômes cérébraux. Quant à l'atteinte de la substance blanche, elle est secondaire et le masque cliniqu
and on isole les uns des autres, par de profondes incisures dans la substance cérébrale, des départements corticaux voisins. En
ve dehauten bas tout autour d'eux une transformation chimique de la substance fondamentale névroidique consistant en aspect [
A d'autres pé- riodes, les corpuscules amyloïdes ont disparu, et la substance fon- damentale apparaît sous la forme d'un rése
distinguer de la sclérose, car la sclérose atteint de préférence la substance blanche, porte surla paroi vasculaire (épaissis
ances qui constituent autant de gibbosités; elles sont composées de substance blanche. La substance grise, surtout à la région
autant de gibbosités; elles sont composées de substance blanche. La substance grise, surtout à la région cer- vicale, est, da
et postérieures, interrompue dans sa continuité par des tractus de substance blanche, de quelque façon qu'on pratique des co
re de cette région, sur une étendue en hauteur peu considérable, la substance grise est réduite à des points. Nous laissons n
- nations, ainsi que pour les états en rapport avec des pertes de substance (paralysie générale au début). Il importe cependa
scinde en A, le tronc avec les ganglions de la base; B, le manteau ( substance blanche et écorce des circonvolutions). Nous ap
l'on se propose d'administrer. Il y a donc à rechercher : 1° si la substance est réellement du curare; 2° quelle est l'activit
UE. encore de grandes variétés dans l'importance de cette lame de substance grise qui est désignée sous le nom de racine gris
me nerveux nous échappe encore à beaucoup d'égards, il est quelques substances que nous savons y jouer un grand rôle, et parmi
ide phosphoripue par les urines on puisse arriver à savoir si cette substance joue un rôle dans la nutrition du système nerve
, par exemple; mais ce sont surtout les urines qui renferment cette substance . Les recherches auxquelles nous nous sommes liv
ne. suppose pas néces- sairement un grand accroissement de la de la substance nerveuse; il se peut que la désassimilation des
la de la substance nerveuse; il se peut que la désassimilation des substances pliosphorées disséminées dans divers tissus de
o- rique de déchet, comme le résultat de la désassimilation de la substance nerveuse. 1 Mosler. l3eilrtie zur lCezzzzln7s.s
onclure que cet acide en excès provient de la désassimilation de la substance nerveuse. L'a- cide phosphorique, en effet, n'e
ide phosphorique et celle de l'azote ; si le rapport entre ces Jeux substances dépasse 17 p. 100, c'est une preuve de l'inter-
orique est plus augmenté que l'azote, mais parce que cette dernière substance est plus diminuée que la première, fait que ne
lapin les cellules du corps ge- nouillé externe et du pulvinar, la substance blanche moyenne du tubercule quadrijumeau antér
organes. Quant à l'atro- phie de la racine du nerf originaire de la substance blanche superficielle du tubercule bi-jumeau an
L'étude nécroscopique démontre qu'il s'agit d'une ré- duction delà substance nerveuse cérébrale, surtout au niveau de la tro
ellules granuio-graisseuses précèdent l'organisation des cordons de substance blanche ou de leur myéline, de même la mort de
entre en quesiion, la conservation des facultés intellectuelles, la substance corticale n'ayant pas subi de dommage. Le trava
droit en deux tronçons ne communiquant que par un pont étroit de substance nerveuse ; l'atrophie de la capsule interne, de l
e pourrait le faire supposer la connaissance du rôle que joue cette substance dans la constitution du système nerveux. Elles
permette de savoir si la folie modifie ou non le rendement de cette substance . Nous verrons en effet que si cette maladie mod
apital de l'action du travail mus- culaire sur l'élimination de ces substances . Cette action est donc inverse de celle du trav
intellectuel; celui-ci, en effet, diminue l'élimination de ces deux substances et augmente seu- lement le chiffre des phosphat
22 gr. 58. L'acide phospho- rique est diminué, le chiffre de cette substance peut descendre de 1 gr. 85 à 1 gr. 49. La dimin
ssion, augmente les échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance nerveuse. D'où vient maintenant cette augmentat
se rattache pas aux échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance nerveuse. En effet, elle n'existe plus dans l'é
a manie modifie LES échanges NUTRITIFS QUI SE passent au SEIN DE la substance nerveuse ; ELLE LES augmente ; 3° la manie rete
la nutrition générale influence dans le même sens ces diffé- rentes substances , on serait tenté de rattacher leur augmenta- ti
t les échanges en acide phosphorique qui se passaient au sein de la substance ner- veuse. B. Etal de mal épileptique. Sous
u près semblables, de sorte que les rapports qui existent entre ces substances et l'état ordinaire ne sont pas ou très peu mod
molles qui partout adhèrent à l'écorce de circonvolutions étroites; substance grise pâle ; anémie de tout l'encéphale; forte
tractus sensitifs, trophiques, vaso-moteurs; il est probable que la substance grise et, en particulier, ses segments postérieur
. Pourquoi maintenant l'écorce est elle seule ? lésée Pourquoi la substance blanche demeure-t-elle indemne dans tous les stad
ésulte de la différence de distribution des vaisseaux dans les deux substances . La substance grise renferme un système de cana
fférence de distribution des vaisseaux dans les deux substances. La substance grise renferme un système de canaux multiples t
vasculaire parcimonieux fourni par les extrémités artérielles de la substance blanche. Pourquoi, dans la pluralité des cas, l
obe pariétal, et celui-ci du lobe occipital. Une troisième perte de substance cicatricielle constitue une fente petite mais p
sont plus larges, moins délicates que dans les autres parties de la substance blanche ; la vascularisation y est plus grande
Cellule de la névroglie, sans noyau, à prolongements multiples. c, Substance vaguement fibrillaire et pointillés, interposée e
al croisé. FtG. 4.- Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dégénération granulo-graisseus
75 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
véritable, par des lames de subs- tance ayant les caractères de la substance osseuse contenant des ostéoblastes et circonscr
us de l'endroit comprimé pren- nent naissance à la périphérie de la substance grise là où celle-ci confine aux cordons latéra
e partie de ces libres se perdent dans le treillis des libres de la substance grise sans qu'on puisse les suivre davantage. M
le névrome terminal ; ces névromes n'envoient pas de libres dans la substance grise. H Celle description est, d'après 31. Fic
le description est, d'après 31. Fickler, en faveur de l'idée que la substance des cordons latéraux a projeté des libres dans
que la substance des cordons latéraux a projeté des libres dans la substance grise sous-jacente il 1'I'IHll'oil comprimé alin
en réalité, partout dilaté, était le siège d'une hylterplasie de la substance gélatineuse centrale puricanaliculaire : celle-ci
remplacement, tantôt il y a d'emblée hypergenèse iri'itative de la substance de soutènement. Les relations des foyers avec l
titutive déterminée du cvlindraxe, qu'il appelle l'aoeostro¡I/(l, substance cimenlaire très analogue, au point de vuehislogé-
s anciens, les relations topographiques des fibres et des cellules ( substance grise et. subs- tance blanche) semblent être ex
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 47 'eusc de la substance blanche des hémisphères de l'l'I11])I') on, On
our lui on ne sait encore exactement ce que l'on colore. Est-ce une substance que Kaplan nomme le myéloaxostroma, et que Stra
t tenté de croire, comme ce dernier auteur, qu'il s'agit, non de la substance périlihrillaire des fibres nerveuses il myéline
ce périlihrillaire des fibres nerveuses il myéline, mais bien d'une substance spéciale, et de la désigner sous le nom cl'avoc
onvaincu que dans la vraie sclérose en plaques, il y a lésion de la substance blanche cL de l'axochromatenine qui lui est lié
dégénérées dans la direction de ces noyaux. Après avoir franchi la substance de Soemmering, elles affectent un trajet postér
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 dans la couche tangentielle de la substance grise sous-épcndy- maire qui forme le toit du v
du tubercule quadrijumeau antérieur : la plupart vont jusqu'à la substance blanche profonde de cet organe ; quelques-unes pe
té et çà et là émettent des rameaux latéraux qui se perdent dans la substance grise du canal encé- ptialomédullaire. ' Il e
ale contiguë au corps calleux. Moelle plus dure que normalement : substance blanche des cordons postérieurs de la moelle dors
le inférieure : on remonte ainsi jusqu'à leurs noyaux bulbaires. La substance grise, celle surtout des cornes antérieures de
ns. Volume, du cerveau normal. . Le noyau dentelé du cervelet, la substance blanche cérébel- leuse, contiennent énormément
l'rèI1l'ale peut également avoir défruit une certaine portion de la substance du cerveau. Le novau du facial a été le plus at
les 1)I'IICPSlb 'aO-I1lf){l'UI'S pé- riphériques se trouve dans la substance grise cenfrateperiepen- dymaire qui constitue l
lieu de décrire en neuropathulogie médullaire le syndrome de celte substance grise, comme on décrit le syndrome des cornes a
e on décrit le syndrome des cornes antérieures et le syndrome de la substance grise centro-poslé- , Heure. En un mot, c'est l
ce grise centro-poslé- , Heure. En un mot, c'est l'altération de la substance grise péri- épendymaire qui donne lieu aux trou
Renie dans Ja tache jaune. L'.t/'oMftcc))'t(<t6'<'unUent une substance grenue accolée à la couche granuleuse externe;
est alors qu'à 5 heures du soir elle vomit plu- sieurs reprises des substances qui exhalent a plein nez l'odeur fécalt., et qu
t peut-être il la propriété, qui leur est commune, de dissoudre les substances graisseuses. (11. 31eyer.) 11. - 5niu aromatiqu
eau précis, lise peut que les allures de ces composé- à l'égard des substances grasses jouent aussi un rôle ]) ? chopat.hogcne
ir d'in- 68 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. truductiun v Iv recherche des substances de l'économie qui don- nent, naissance à bien d
'0 cPnligrammer partit) ? de l'urée à la dose de O¡2d par litre. La substance réductrice signalée par 31. Guerbel n'a pu être
d'association ; les libres dégénérées se di- rigent d'abord dans la substance blanche ; leurs prolongements arrivent ensuite
pose de territoires à fonc- tions psychiques distinctes, de même la substance du cervelet comprend des localités séparées aff
es en maintes régions des circonvolutions pariétales. La lisière de substance blanche présentait dans les deu\ hémisphères un
le patient, ; peut-être est-ce parce que le sérum est chargé de la substance active. Il n'a pas été constaté d'action favorabl
ons directement sous-corticales ; il pénètre profondément dans la substance blanche ((if]. 4.) portant atteinte aux faisceaux
er diminue, la dégénérescence secondaire se localise, tandis que la substance blanche reprend du reste son aspect normal. 11
udé aborde le corps genouillé externe par sa partie supérieure ; la substance blanche latérale inférieure de Fig. 10. 184 A
montrables sur nos coupes. On y peut constater égale- ment que la substance blanche latérale et inférieure de ' c. g. c. es
UES. phénomènes morbides des méningites. Il y a des lésions de la substance nerveuse elle-même déjà signalées parle Pr de Gro
-Liasliiie, Sitvestrini. II y a une diminution con- sidérable de la substance chromatique, des lésions diverses du noyau, de
dhère, en bas, il la tige du corps pituitaire et pénètre en haut la substance cé- rébrale, f C'est un kyste à plusieurs log
rétine ; par U. lOIINSTAl,1. (Netwol. Centmlblatt, 190'0.) De la substance blanche profonde du tubercule quadrijumeau anté
anche du fait (le leur présence sur les parties environnantes de la substance blanche respectées par la dégénérescence second
mme chez l'homme, abaisser la température du corps, ni éliminer les substances to- xiques, car elle est insignifiante et cesse
lle n'a jamais eu une composition normale ; 3° que l'absorption des substances azotées et phosphorées fut satisfaisante ; 4° q
e rétraction des aponévroses palmaires ou plantaires l'examen de la substance grise du renflement cervical ou lombaire parla
e surface de quelques millimètres et dont le voisinage est formé de substances amorphe (dégénérescence graisseuse des cellules
des doigts, en l'espèce, tient iL une simple décalcification de la substance osseuse fondamentale. Ce n'est pas de l'ostéoma
d'une métastase cancéreuse microscopi- ~que dans les méninges ou la substance du cerveau, -ou encore d'altérations que nos mé
ioreit'0 ! 'mes. En conséquence, on résèque de petits mor- ceaux de substance grise en (rois points de cette région de la fron-
ux individus qui se ressemblent Irait pour trait. Mais ces diverses substances ont des caractères com- 3GS PSYCHOLOGIE. lllu
'o'ut une action parallèle; les LA PSYCHOLOGIE DES DÉGÉNÉRÉS. 369 substances correspondantes subiront un certain accroissement
sur le sang par les excréta qu'il y déverse. 1( L'addition de la substance nouvelle, dit Yves 1)clage, rend possible une n
de la division hétéro- gène, d'un protoplasma où une (ou quoique'') substance prédo- mine sur les autres, il est évident que,
substance prédo- mine sur les autres, il est évident que, grâce la substance nou- velle, une nouvelle catégorie de cellules
dément les neurones et, dans le spermato- zoïde ou dans l'ovule, la substance qui les représente. Aussi est-ce le système ner
eint chez les dégénérés alcooliques. J,' Tantôt une portion de la substance pronerveuse de l'oeuf est détruite, et un certa
dure-mérien, sous-aractmofdien et intra-ventriculaire en excès ; la substance nerveuse est mulle, il exisle des lésions infla
ux pyramides, les olives inférieures, la couche interolivaire et la substance arti- culée grise ; dans leur partie antérieure
ions congestives dominent la scène. ramollissement peu étendu de la substance grise (zone postérieure exceptée) surtout au ni
ulaires de la sensibilité permettent de localiser la lésion dans la substance grise médullaire entre G8 et DI. Le Brow n- Séq
une particularité qui mérite d'être mention- née. La fermeté de la substance blanche, l'atrésie des ventricules latéraux, l'
76 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
quelconque, et à plus forte raison dans un organisme malade, d'une substance médicamenteuse, peut donner à la nutrition une
seuses prédomine une subs- tance, physiologiquement homologue de la substance conjonctive, la subs- tance osseuse fondamental
u nombre des éléments cel- lulaires, écartés par la surabondance de substance interstitielle ». Pourrait-on, en s'engageant p
726. i POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 55 Or cette colonne de substance grise qui s'étend en bas jusque au cin- quième
l, fait part des cornes latérales et est parfaitement analogue à la substance grise des cornes antérieures : de telle façon que
sent qu'il existe dans ces cas un trouble de fonctionne- ment de la substance grise cérébrale : à un premier slade d'irritation
e grise cérébrale : à un premier slade d'irritation simple de cette substance correspondraient les spasmes ; à un deuxième, z
raxe présente surtout des lésions vasculaires : capillaires rompus, substance nerveuse « noyée dans le sang », sans alté- rat
, pour désigner un appareil radioactif, on note : 1* le poids de la substance radioactive exprimée en grammes, et 2° son activi
elles érodent à peine, les autres, disséminées en divers points des substances blanche et grise, sont localisées à la gaîne des
lombaire. Sur toutes les coupes, ellessont strictement limitées la substance grise et aux parties limitrophes de la substanc
tement limitées la substance grise et aux parties limitrophes de la substance blanche. On les trouve également sur toutes les c
pendyme, légèrement dilaté, contient des hématies déformées, et une substance amorphe, grenue, colorée en rose pâle par l'éosin
t d'application du radium). Nombreuses petites hémorrhagies dans la substance grise, intégrité des cellules nerveuses (colorati
olyse, et si, par le Marchi, apparaissent, dans la profondeur de la substance blanche, quelques gaines myéliniques plus forteme
on, de la faiblesse, de la maladie. Elle est modifiée par certaines substances : opium, alcool, chloro- . forme, etc. . Le f
rimitive doit se re- trouver sous la complexité actuelle. ' Cette substance vivante, cette cellule qui n'appartient encore ni
ité, une irrésistibilité, une fatalité d'autant plus grandes que la substance cérébrale se rapproche davantage de son état pr
es répandues, les usages, les coutumes, les rites vont atteindre la substance nerveuse sous forme d'équivalents mécaniques et
pas modifiées : « Il s'agit, dit l'auteur, d'une raréfaction de la substance spongieuse de presque tout le squelette avec di
a raréfaction de la subs- tance spongieuse apparaît par places ; la substance compacte est comme fibrillaire. Les altérations
r correspond à une diminution 'de l'espace médullaire tandis que la substance compacte n'a pas subi de modifications. Le dessin
e thermalité de ses eaux indéterminées, très riches en hélium et en substances radio- actives, Néris exerce sur tous les malad
des gaz émanés des sources chaudes, et captés au griffon même; les substances radio-actives, encore mal connues, contenues da
artie moyenne du néoplasme, il n'existe que quelques millimètres de substance nerveuse corticale effritée représentant les dé
tact, envahissant les deux ventricules latéraux et leurs parois, la substance cérébrale de l'hémisphère surtout dans la régio
e en bas, se soudant à la couche op- tique et se continuant avec la substance cérébrale de l'hémisphère comme dans notre cas.
que complètement dépourvu de blocs basophiles, ou s'il en reste, la substance basophile présente un aspect pulvérulent; le noya
U NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE PAR L. ALQUIER. Par quel mécanisme la substance nerveuse est-elle altérée dans la syphi- lis ?
fibres « oedémateuses » au milieu d'autres, à peu près intactes. La substance grise est également atteinte, le canal épendyma
Graaf. Dans l'un des ovaires existent deux petits kystes remplis de substance colloïde. Système nerveux central. Nous avons e
'épendyme et on voyait ces cellules pénétrer dans l'épaisseur de la substance blanche assez loin de la cavité cen- trale obli
une sclérose légère, offre tous les caractères du thymus normal. La substance corticale et la médullaire ne présentent aucune
cation. Cependant les corpuscules de IIassal assez nombreux dans la substance médullaire de certains lobules font dans d'autres
es à travers lesquelles il est possible de constater l'existence de substance colloïde. La paroi des vésicules les plus volum
ons histo-clii- miques ayant pour but de déceler le fer ou d'autres substances ne nous ont rien appris, ce qui peut tenir à la
riphériques, des racines spinales, des méninges, des cellules de la substance grise, n'a pas permis de déceler la moindre lés
iquide clair sous la dure-mère de la moelle épinière. Pie-mère pâle ; substance grise d'un gris-rose tranchant sur la substance
re. Pie-mère pâle ; substance grise d'un gris-rose tranchant sur la substance blanche. Crâne : 181/2 X 14 1/2 cent. ; os du c
olutions sont visiblement atrophiées ; les sillons sont élargis. La substance grise est d'un gris rose, amincie ; l'incision
t d'un gris rose, amincie ; l'incision des vaisseaux sanguins de la substance blanche fait tomber de grosses gouttes de sang.
iées, les sillons sont élargis et plus profonds que normalement. La substance grise de l'écorce céré- brale est manifestement
gis. Le nombre de noyaux qu'on y trouve d'habitude est augmenté. La substance grise contient un grand nombre de cellules en a
hyaline ou vacuolaire). Les espaces péri-cellulaires sont élargis. La substance blanche ne présente pas de lésions systématisée
de de Busch quelques éléments dégénérés, dissé- minés dans toute la substance blanche, mais surtout au niveau des faisceaux p
uelquefois, il peut être totalement résorbé et rem- placé par de la substance osseuse spongieuse. La capsule articulaire peut
rbés ; leur surface est rugueuse et irrégulière. Le droit montre sa substance compacte d'une plus grande épaisseur et son can
ar l'exa- men clinique : de plus on constate une condensation de la substance compacte de la diaphyse, de la substance spongi
ate une condensation de la substance compacte de la diaphyse, de la substance spongieuse de l'épiphyse frap- pées par le proc
let ou des autres maladies qui peuvent amener une compression de la substance du cerveau. Selon moi, nous ne pouvons rapporte
(Franchini) avait trouvé des altérations évidentes de ces diverses substances . En résumant les résultats obtenus, on trouve q
s diamines, etc.. Nous savons que la production'd'une partie de ces substances est en rapport étroit avec les fonctions hépati
gmentation des phosphates terreux pourrait résulter, plutôt que des substances introduites dans l'organisme, d'une altération
tréfaction intestinale : scatol, phénol et (en partie) indican. Ces substances donnèrent toujours des réactions si manifestes,
t aussi l'indican déri- vent de la putréfaction dans l'intestin des substances albuminoïdes sous l'action de bactéries protéol
. Nous préférons supposer qu'à des périodes d'accumulation de cette substance dans l'organisme succèdent des périodes de forte
ord entre eux ; les uns ont trouvé qu'il y a rétention de certaines substances cependant que les autres en ont constaté une pe
ffres très élevés. Légère rétention de la chaux. L'étude de cette substance n'a pas été faite dans le gigantisme. Examen
ouche moléculaire d'une part et d'autre part avec le feutrage de la substance blanche de la moelle. Les noyaux sont d'habitud
es boules graisseuses (vésicules adipeuses) dans les méninges. La substance blanche des lamelles est très réduite de volume ;
s parties, les fibres sont très diminuées de nombre, variqueuses. Substance blanche centrale des hémisphères. Dans la moitié
retrouve la lésion générale, c'est-à-dire l'atrophie en masse de la substance blanche, mais les fibres examinées au microscop
ache claire de trois millimètres sur deux. Ce foyer descend dans la substance blanche du lobe gauche et se trouve situé au-dess
rgule renversée, étendue transversalement, dont la tête affleure la substance gélatineuse de Bolando, la queue s'arrêtant à q
l'amygdale, etc. Il existe également une atrophie pro- noncée de la substance blanche centrale avec raréfaction des fibres myé-
meur, du volume d'une noisette, reliée par un pédicule rétréci à la substance nerveuse du bulbe. Ce n'est qu'à ce niveau que
considérable. La distension du cerveau est tellement grande que la substance cérébrale pénètre dans tous les orifices des os
un sac qu'on vient de vider. Les méninges ne sont pas épaisses. La substance cérébrale sur une section transversale parait trè
en con- servées. Leur volume est peut-être un peu réduit, mais leur substance chroma- tophile est intacte, elle semble même p
sont constitués par des follicules dilatés, vides ou remplis d'une substance exsudative incolore, albumineuse ; des autres, au
un arrêt de développement. Les capsules surrénales présentent une substance trabéculaire, presque libre de lipochrome, où o
ées dissé- minées, qui se rencontrent quelquefois également dans la substance médul- laire l'infiltration de la couche glomér
a couche glomérulaire est évidemment plus prononcée que celle de la substance trabéculaire. On y rencontre même des masses cris
es endroits où abonde également le lipochrome. L'infiltration de la substance glomérulaire n'est pas uniforme; à côté des rég
encore noter une dilatation considérable de petits vaisseaux de la substance corticale et médullaire. Dans le foie on n'obse
rammes. Les capsules surrénales sont petites, minces, claires, leur substance médul- laire, très peu développée, se distingue
arés les uns des autres par des septums conjonctifs minces. Dans la substance colloïdale qui remplit ces follicules, on voit
té et l'hypertro- phie musculaire en rapport avec les tumeurs de la substance corticale des capsules surrénales. Un autre f
n d'Askanazy que certains tératomes embryonnaires sécréteraient des substances chimi- ques qui influencent l'organisme materne
e s'est uni un processus infectieux chronique tuberculeux, dont les substances toxiques doivent avoir sans doute contribué non s
n'y a pas une destruction nette (keine besondene Destruction) de la substance du cerveau. En outre, ils décrivent deux cas de
e, c'est que les cornes antérieures (et, dans le bulbe, au moins la substance grise) sont constam- ment le siège préféré de l
s qui s'opèrent à son insu, qui lui sont imposées par la nature des substances dont il est formé et qu'il n'a ni désirées ni dem
nous voyons déjà poindre l'instinct. Mais la plus grande partie des substances qui entrent dans la composi- tion de tout repré
apportée par les aliments et l'oxygène, la lumière, la chaleur. Les substances ainsi introduites par l'assimilation sont emplo
ellule est adaptée à l'assimi- lation des aliments, c'est-à-dire de substances douées d'un pouvoirénergé- tique considérable;
un surhomme, notamment par l'adjonction d'une nouvelle quantité de substance nerveuse. Quand on voit les colosses de l'époque
dépouiller de ses préjugés. Les concep- tions qui imprègnent notre substance cérébrale et qui y ont été enchâs- sées par l'é
et même avec l'autre, elle frotte et cherche à se débarrasser de la substance irritante. C'est la sensation elle-même qui a mis
autre moyen. Ainsi, par exemple, le corps de l'embryon fabrique une substance hormonique qui, par l'intermédiaire du placenta,
ement exagérée. La chose parait d'autant plus vraisemblable que les substances chimiques contenues dans le sang doivent jouir lo
u nouveau-né est embryonnaire. Ce n'est qu'au bout d'un mois que la substance du lobe occipital commence à blanchir et, vers le
xtérieures de la vie a provoqué une série de différenciations de la substance vivante primitive,-pourarriver à produire, à tr
77 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ur affirmer avec Gowers que l'épi- lepsie est une « maladie » de la substance grise de l'encéphale ; il n'est pas douteux qu'
e nous allons présenter apprend que les lésions très limitées de la substance grise corticale peuvent produire non seulement
hromique, montra que ce corps dur siégeait dans la profondeur de la substance corticale, au voisinage de la substance blanche.
it dans la profondeur de la substance corticale, au voisinage de la substance blanche. Il a refoulé légèrement la partie supe
es méninges ; vers sa partie profonde, il a égale- ment comprimé la substance blanche, dont les faisceaux étaient aplatis, ma
ation, on remarque,sur- tout vers la partie profonde attenante à la substance blanche, une pullu- latitin des noyaux de la né
5 consister en un petit tubercule enkysté : sa localisation dans la substance grise, son isolement, la réaction inflammatoire
pothèse, des attaques d'épilepsie provoquées par l'irritation de la substance grise de la zone motrice : et nous serions en règ
r irradiation la région rolandique, déterminant les décharges de la substance grise de cette région, dont le résultat est la
n ilots séparés, mais au contraire sillon- neraient en tous sens la substance grise des circonvolutions. La synthèse, -\ le r
association des fibres de projection, elles se con- fondent dans la substance blanche inséparable, seule l'étude des dégéné-
, de la partie voisine de la circonvolution du corps calleux, de la substance perforée antérieure, du repli cunéiforme et de
association déjà signalée sous les noms de ruban de Vicq d'Azir, de substance réticulaire d'Arnold. Enfin si l'on peut imagin
on note de l'épaississement de la pie-mère, de la congestion de la substance grise, des corpuscules amyloïdes, enfin des lésio
égrité de la zone d'entrée des racines (Westphal) comptise entre la substance gélatineuse de la corne postérieure, la périphéri
parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la substance gélatineuse fait un ressaut en dedans. MASSON &
parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la substance gélatineuse fait un ressaut en dedans ; en arrièr
taient devenus si denses qu'ils paraissaient . avoir été chargés en substance osseuse ; changement qui du reste ne fut pas cons
seaux. Les muscles sont repoussés les uns contre les au- tres, leur substance contractile est tout à fait intacte, on ne consta
dure et consistante. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 121 La substance librillaire est secondairement détruite. Au milie
s atrophiées, dont les noyaux et le sarcolemme se serrent contre la substance contractile. Les fibres musculaires sont-elles
voit passer à l'état de cellules cartilagineuses avec formation de substance hyaline. D'autres coupes nous monlrent, dans un
ffrent déjà de grandes analogies avec des bandelettes osseuses : La substance fondamentale est condensée, mais non calcifiée; l
le fémur et le tibia gauches sont solidement réunis par un pont de substance osseuse, siégeant il la région poplitée, en dedan
le cas de Munchmeyer, Mays a constaté une raréfaction notable de la substance osseuse des côtes avec des fractures multiples de
i admet dans la myosite ossifiante progressive un déplacement de la substance osseuse. Le tissu conjonctif est en général trè
h a comparé la structure de ces masses celle d'une vertèbre dont la substance médullaire très dure est limitée par une écorce
ure est limitée par une écorce de tissu compact. Les rapports de la substance spongieuse et corticale sont différents par pla
ON CHIMIQUE. i - Composition normale des-os, d'après Berzélius. Substances organiques : DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSI
'observe ci une période tardive, ré- duit le malade à se nourrir de substances liquides, et, lorsqu'il est très prononcé, à se
ne, vide antérieurement. Dans la fosse médiane on voit une portion de substance cérébrale recouverte d'une membrane qui se cont
velet. Dans la fosse médiane, il recouvre du côté droit un reste de substance cérébrale et du côté gauche ce prolongement s'ami
n voit une fosse à forme rhomboïde dont le fond est recouvert d'une substance cérébrale provenant de l'hémisphère droit. Les
cement in- fundibuliforme, d'où sortait un plexus vasculairc. Cette substance céré- brale pénétrait dans l'intérieur du cerve
iforme descend jusqu'à la base du crâne et recouvre ici un reste de substance cérébrale, situé dans la fosse médiane du crâne
aussi un reste de SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 1S9 substance cérébrale, mais il est plus petit. Derrière le re
ts menus disposés autour du noyau. Dans une période plus avancée la substance chromatique commence aussi Fig. 6. - Cellule de
int de grains chromatiques ici, et la cellule ne consiste qu'en une substance chromatique avec vacuoles. Ainsi notre supposit
s de chromatine, et le protoplasme consiste principale- ment en une substance achromatique ayant l'aspect d'un réseau (spongio-
oncule cérébelleux inférieur, et qui va se terminer dans un amas de substance grise, qu'elle divise en deux noyaux : le noyau d
res au niveau du frontal ; le long de la suture sagittale, bande de substance osseuse granulée comme celle des bosses frontal
de fibres. Par ci par là on note sur quelques tubes à myéline de la substance blanche et grise, d'une façon diffuse et sans p
la myéline ont donné les résultats suivants, en ce qui concerne la substance blanche de la moelle. 1 Nous avons noté en géné
race de sclérose. Les différents groupes de fibres il myéline de la substance grise ne nous ont pas paru modifiés il droite.
u renflement lombaire du côté ankylosé. Il y avait diminution de la substance grise avec atrophie des cellules, et en outre d
ance grise avec atrophie des cellules, et en outre diminution de la substance blanche. Comment interpréter cette atrophie méd
rine et Mayor (4). Le plus souvent, il y a à la fois atrophie de la substance grise et de la substance blanche. On se souvien
s souvent, il y a à la fois atrophie de la substance grise et de la substance blanche. On se souvient d'ailleurs que, dans le
re ou son impotence amène à la longue l'atro- phie de la portion de substance corticale dévolue à ses mouvements. M. Landouzy
1758, douleur et tuméfaction au cou-de-pied droit avec formation de substance osseuse s'élevant jusqu'à la partie moyenne de la
, maux dentaires, par exemple, a pour résultat un dépôt passager de substance terreuse. Pas d'autopsie. Réflexions. - Nulle p
présentent de grandes analogies avec la structure d'une vertèbre : substance médullaire très rouge, limitée par une écorce de
rouge, limitée par une écorce de tissu compact. Les rapports de la substance corticale et médullaire sont diffé- rents par p
l ossifié. Bande- lettes osseuses au-dessus des omoplates. Perte de substance de la peau du dos en plusieurs endroits. Atro
bien développée. Fractures multiples des côtes et raréfaction de la substance osseuse. Déviations de la colonne : à gauche et
tat, ce qui nous légitimait à croire à une altération marquée de la substance musculaire. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIV
malformation est cependant augmenté de volume et déprime in situ la substance cérébrale. IIeumann attire l'attention sur la r
ocher droit est plus volumineux que le gauche et qu'à son niveau la substance cérébrale est déprimée. Il n'y a an- cune diffé
rer à travers la coquille, ou lorsqu'on introduit par injection des substances solubles dans l'albumine, ou bien lorsqu'on exe
'abord sous l'inflt de la compression, de sorte que l'épaisseur des substances grise et bl; n'atteint plus guère en beaucoup d
e centre de la fosse crânienne médiane qu'on aperçoit un restant de substance cérébrale, formant deux couches et ressemblant
ns ces deux cas, il n'existe pas d'anomalie dans la topographie des substances blanche et grise des parties lombaire et dorsale
affine, nous n'avons affaire qu'aux seuls tissus; il n'y a point de substance étrangère, qui vienne empêcher la coloration. Si
érantielles manquent ; au-dessous des noyaux rouges est disposée la substance noire de Soemmerin; cette dernière est entourée
l'absence de voies pyramidales ; 3° l'absence de fibres unissant la substance grise du pont de Varole avec le cerveau ; 4° l'
is chez eux aussi le degré de l'anomalie dé- pend de la quantité de substance cérébrale qui persiste. Moins était gros le res
e substance cérébrale qui persiste. Moins était gros le reste de la substance cérébrale, plus l'aspect des cellules était bi-
rtent du cordon de Burdach, s'entrecroisent et se terminent dans la substance réticulaire grise et blanche (PI. XLVI, d). On
'à l'heure de notre visite. Le fond et, si l'on peut ainsi dire, la substance même de ce délire, sont faits par une chaîne sans
is- seaux. Les muscles sont pressés les uns contre les autres, leur substance est . tout à fait intacte, on ne constate pas t
78 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
issant nerveux; la péri- phérie est pour ainsi dire projetée sur la substance grise delà moelle, point pour point, élément po
ux pattes postérieures, lésions inflam- matoires frappantes dans la substance grise d'une des cornes antérieures du renflemen
ie des cellules pyramidales. Epaississement de la névroglie dans la substance corticale et en- dartérite. p. K. IV. Contrib
. Le processus primitif est cons- titué par la dégénérescence de la substance nerveuse. Le nombre des observations existantes
donne lieu à la formation et à l'accumulation dans l'or- ganisme de substances toxiques spéciales. J. SÉGLAS. XII. DES SILLONS
n ou la cOl11preSSio'l des nerfs, par suite de l'excroissance de la substance osseuse autour des orifices. Il fait dépendre l'h
me doit être considérée comme une auto- intoxication causée par une substance dont l'élaboration par la glande thyroïde est e
e substance dont l'élaboration par la glande thyroïde est exagérée, substance ressemblant, par son action, à la cocaïne qui p
e pour une hernie étranglée et opérée^ 1840; Empoisonnement par les substances alimentaires altérées spontanément, 1840; Consul-
térieurs; au centre de ce tissu néoplasique, se trouve une perte de substance , de forme étoilée sur la coupe, qui est la cavi
re sous la forme d'une infiltration diffuse située en arrière de la substance grise centrale, au ni\eau du col de la corne post
res, très atrophiées, passent maintenant en dehors du néoplasme. La substance de Rolando est de nouveau complètement détruite
n dehors d'elle, on aperçoit quelques rares fibres radiculaires; la substance de Holando a complètement disparu a gauche. La
iable suivant les points; de plus, ce tissu est tout infiltré d'une substance , d'aspect hyalin, qui se colore faiblement par
en des points, et particulièrement aux environs de la cavité, cette substance interstitielle est formée de petites boules arron
ment on aperçoit encore les fibrilles, très fines, engluées par une substance interstitielle grenue. La tumeur infiltrée est
; elle se forme, par fonte du tissu a,é%rogiique et est remplie d'une substance homogène, faiblement colorée, qui est un coagul
de ramollissement, gros comme une noisette, occupe l'écorce et la. substance ,blanche dans le dôlüaiuë du pli courbe. Endart
l'extrémité postérieure du corps calleux et ayant proliféré dans la substance du`lobe occipital droit/ D'avant t en airière,
a cicatrice qui avait rem- placé une portion assez importante de la substance cérébrale, ne 134 REVUEf'DE PATHOLOGIE NERVEUSE
ayant' eu., pour .'résultat immédiat; une destruction localisée de substance nerveuse, suivie de> méningite" chronique :
me, attaques d'épilepsie . corticale. A1'autopsie; altération de la substance blanche et de 'l'écorce \ des deux lobes tempor
10 maniaques et 14 lypémaniaques. Je dirai tout de suite que cette substance fut un merveilleux sédatif; peu ou prou elle ap
résentés par les trente-cinq sujets auxquels nous avons prescrit la substance à doses continues comme sédatif de leur agitati
duré onze jours durant lesquels on a prescrit 23 milligrammes de la substance . Observation XX. Jean Gaut..., vingt-cinq ans;
duré dix jours durant lesquels on a prescrit 27 milligrammes de la substance . Observation XXI. François Gaim..., dix-huit an
uré onze jours, durant lesquels on a prescrit 22 milligrammes de la substance . Action physiologique assez marquée avec les de
ré treize jours durant lesquels on a prescrit 26 milligrammes de la substance . Action phy- siologique : sécheresse de la gorg
duré onze jours durant lesquels on a prescrit 24 milligrammes de la substance . Action phy- siologique : sécheresse de la gorg
oubles dans la nutrition de l'organisme : 1° production anormale de substances toxiques; 2° transformation incomplète de celle
entielles de l'écorce du cerveau; dégéné- nescence des fibres de la substance blanche du lobe frontal gauche et du faisceau d
dans la circonvolution crètée, sa cavité. 278 CLINIQUE NERVEUSE. substance blanche : c'est un prolongement postérieur de la
ngement de couleur et de consistance indique la transition entre Ja substance saine et le néo- plasme ; il n'y a aucune trace
brilles fines, qui doivent un aspect grenu au dépôt d'une couche de substance interstitielle (fig. 17) ; traitées par la méth
ent leurs prolongements de manière à former un feutrage serré, sans substance interstitielle ni fibres névrogliques (rtg. 18 et
ferme pas de dégénérescence appréciable. A gauche, au contraire, la substance blanche présente des marques évidentes de dégén
ons frontales; plus en arrière elle s'éloigne graduelle- ment de la substance grise, de telle sorte que le pied des circon- v
tions frontales et la circonvolution rolandique antérieure ont leur substance blanche intacte. En bas, dans la portion qui est
us haut que la tumeur envoyait en arrière un prolon- gement dans la substance blanche de la circonvolution de l'ourlet. Ce pr
moins nombreuses à gauche qu'à droite. Ainsi donc, en résumé, la substance blanche du lobe frontal gauche a subi, autour d
ales où ses fibres s'entre-croisent avec les fibres irradiées de la substance blanche. Il nous faut étudier les lésions de ce
au fond des sillons; au niveau du pied des frontales l'aspect de la substance grise sur les faces latérales des circonvolutions
il.) UN CAS DE GL : OOE nl;Ulio-1GHJI1'l'11 07 petites tumeurs de substance grise, ordinairement multiples, dont le volume
onvolutions de l'écorce; elles coïncident souvent avec des îlots de substance grise dans l'épaisseur des lobes cérébraux, san
eut, au moyen des médicaments, et en modifiant le métabolisme des substances âlbumineuses contenues dans l'organisme, produire
' et Huguenin 2 qui fait passer par les olives et relayer dans leur substance grise, les fibres qui se rendent des corps rest
ication cocaïnique ont eu pour cause princi- pale l'emploi de cette substance , comme agent de substitution ou de transition,
orps calleux sont normales, en arrière, il y a dégénérescence de la substance blanche (blocs et boules de myéline en dissocia
stérieur, pour pénétrer, en dehors du tubercule acoustique, dans la substance blanche du cervelet dans le voisinage du lobule
un peu avant et gagnant directement la région la plus proche de la substance blanche du cervelet. Les stries médullaires pre
e. On ne peut pas bien saisir leurs rapports avec le raphé, avec la substance grise du raphé en relation avec la substance gr
avec le raphé, avec la substance grise du raphé en relation avec la substance grise de la protubérance. Mais on sait, à n'en
res myéliniques dans les couches spéciales de son écorce ni dans la substance blanche. On n'en trouve que dans la substance b
son écorce ni dans la substance blanche. On n'en trouve que dans la substance blanche de la frontale ascendante. 2° Il existe
econdaire part du point lésé du lobe occipital et se propage par la substance blanche antéro-postérieure aux segments corresp
n dedans par le sapetum. Ces irradiations optiques arrivent dans la substance blanche latérale du pulvinar et du corps genoui
ème va d'arrière en avant, en décrivant un cercle, irradier dans la substance grise du corps genouillé externe, prenant part
très riche en capillaires sanguins. Entre celte seconde couche etla substance blanche, en existe une troisième aux dépens de
réquente dans la mélancolie et dans la manie. Dans la mélancolie la substance corticale est souvent pâle, et, dans la manie,
chroniques, d'alié- nation mentale. L'adhérence des membranes à la substance corticale a été constatée avec sa fréquence ord
se montrent guère que dans le quart des cas. Les altérations de la substance médullaire ne dépassent pas la proportion de 25
hémisphères, dont cha- cun avait largement creusé sa place dans la substance blanche du lobe frontal correspondant. On put a
, étant donné la consommation toujours croissante de la gesse comme substance alimentaire au sud de la Russie ? 3. Dr DOURD
uer l'indifférence à l'aversion et lui permettre de manier ces deux substances sans se trouver indisposée ainsi que cela s'éta
. 1,000 chez le chien) abaissait visible- ment l'excitabilité de la substance corticale du cerveau et adou- cissait ou arrêta
sière de Baillarger sous-jacente's représeutent2 millimètres 25; la substance blanche marginale sous-jacente est.de 3 millimè
prenant la place du premier au niveau de la, partie, médiane de la substance grisë`centoale : 4'Au niveaulde l'extrémité sup
angentiels) et par un..tractus blanc spécial,qui,s'enfonçantidansla substance blanche du lobe olfactif et delà1 région- olfac
'une commissure de l'écorce de la corne d'Ammon. ? , v ' * ,. La. substance blanche de la région (Olfactive, celle notamment
e l'atrophie, des mêmes orâanésl,chezl'homme.`sUne portion, de la substance , blanche olfaeth e se poursuit en arrière et peut
79 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éorie d'Adamkiewicz ; 3° à l'état, du fait de cette pression, de la substance blanche, de la substance grise, de la névroglie,
à l'état, du fait de cette pression, de la substance blanche, de la substance grise, de la névroglie, des vaisseaux et des mé
e des altérations de l'épen- dyme, des cellules épithéliales, de la substance grise sous-épen- dymaire, des vaisseaux, et de
nciation la plus tardive et la plus élevée dans les fonctions de la substance nerveuse, bien que, considérée en elle-même, el
ême, elle ne soit qu'une fonction plus ou moins latente de toute la substance nerveuse, dont le degré d'acti- vité varie simp
inhibition et l'action réflexe étant la propriété spéciale de toute substance nerveuse se rencontrent à des degrés divers du
à des degrés divers du haut en bas de l'échelle nerveuse, depuis la substance à organisation élevée de l'écorce, qui parait à
rtement colorés en bleu par la méthode de Nissl dans l'écorce et la substance blanche de la circonvolution, la couche molécul
s l'amputation. 3° ces lésions comportent des modifi- cations de la substance grise et de la substance blanche. 4° les lésion
sions comportent des modifi- cations de la substance grise et de la substance blanche. 4° les lésions de la substance blanche
la substance grise et de la substance blanche. 4° les lésions de la substance blanche paraissent consister en une atro- phie
conductrices et anastomotiques intra-spinales. 6° Les lésions de la substance grise semblent à peu près locali- sées dans les
aire sous-cutané, infiltration dont la consistance serait due à une substance inuci- noïde. On a, de plus, constaté-dans cert
brale non sans enlraitier toutefois eude nombreux points un peu de substance grise. Tandis que l'on enlève le cerveau, il s'
trophiées sont le siège de nombreuses érosions caractéristiques. La substance grise est légèrement ramollie suit out au nivea
rosseur d'une petite noix. A la coupe, on constate l'atrophie de la substance corticale. L'examen histologi(lite du cerveau c
aissies ; et celles-ci sont en voie de dégénérescence hyaline. La substance cérébrale est le siège d'une inflammation relativ
à la périphérie immédiatement au-dessous de la pie-mère. Dans la substance blanche se trouvent des espaces lacunaires au c
ie pas ; il reste pour chaque malade im- muable. Quelles sont les substances actives, contenues dans le sérum sanguin de l'é
umeur biologique, a pris contact avec le monde exté- rieur. Donc la substance stimulante en question, tout en circulant chez
nditions ordinaires, y circule à l'état d'inertie. Ce doit être une substance soluble qui demeure inactive et qui, normalemen
pourquoi l'épileptique ne peut s'immuniser lui-même, par sa propre substance , bien qu'il porte en lui à côté d'éléments toxi
produite par une lésion sous-corticale. L'examen histologique de la substance grise d'où provenaient les libres ramollies (pa
éthylène révèle : 1° un retard considérable dans l'apparition de la substance colorante et 2° une lenteur très grande de l'él
Tel n'est pas mon avis. La lésion des méninges précède celle de la substance nerveuse. La pacliyméningite,1'arach- noïdo-pie
que de la paralysie générale, je crois que les altérations de cette substance sont secondaires et acces- soires, et que le pr
ux lésions des fibres et des cellules nerveuses, engendrées par des substances toxiques dont la nature peut d'ailleurs varier.
aceutique serait celle qui, d'une part, respecterait au maximum les substances les plus instables du sang, et qui' d'autre par
dans les méninges, l'écorce grise (névroglie, cellules) et même la substance blanche par Philippe et Joués. Il faut aussi
à étudier. Pour les hypnotiques en particulier, la diversité des substances à examiner, et sur beaucoup desquelles il a été
ité élevée qui l'a fait abandonner. Beaucoup plus important que les substances précédentes est 324 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'hydr
t on a dit que les sul- fones ne sont pas des stupéfiants, mais des substances adjuvantes du besoin de sommeil. Ils sont à é
oupes de la moelle qui vont être projetées. Cette destruction de la substance grise est le plus accentuée au niveau du renfle-
entraîné un affaissement complet de la corne et un plissement de la substance blanche enveloppante. Dans les parties détruite
e veine profondément altérée. Elles sont le plus accentuées dans la substance grise, diminuent rapidement dans la substance b
us accentuées dans la substance grise, diminuent rapidement dans la substance blanche au point que, arrivées dans l'épaisseur
e. Nous croyons cependant que, dans notre cas, la destruction de la substance grise doit être attri- buée à des bémorrhagies
aque cellule ou fibre musculaire deux 'substances contractiles : la substance fibrillaire anisotrope (disques sombres), ancie
sarcoplasme possède des caractères d'excitabilité différents de la substance fibrillaire. Le sarcoplasme se contracte lentem
muscles lisses et muscles striés rouges, riches en sarcoplasme). La substance fibrillaire se contracte très rapidement (muscl
t (muscles striés pâles). Le sarcoplasme est moins excitable que la substance fibrillaire : il demande, pour réagir, non seul
ermeture et ouverture) agit comme un excitant principalement sur la substance fibrillaire anisotrope, tandis que le régime pe
s que le régime permanent agit comme excitant principalement sur la substance sarcoplasmatique. Ces faits étant établis, les
un retour à l'état em- bryonnaire : diminution ou disparition de la substance fibrillaire (perte de la striation) et développ
caractéristique du sarcoplasme, qui, étant moins différencié que la substance fibrillaire, n'est pas ' IOTEYI0. Etudes sur a
nstituent un faisceau de rayons ayant pour centre les confins de la substance grise centrale du canal encéphalomédullaire, en
ment de la calotte de Meynert. Telle est l'origine thalamique de la substance blanche profonde qui va au cordon antérieur, ou
dégénéres- cence descendante. Proviennent-elles des cellules de la substance grise ' ? Voici un fait de tabès dorsal dans
les osseuses (structure patho- logique), et à des altérations de la substance fondamentale orga- nique. On voit également p
e disparaît, les organes de l'économie subissent une atrophie de la substance active et la multiplication du tissu inteistiti
t, on monte au xylolcol- phane. Il semble que l'on colore ainsi une substance du cylin- draxe qui parait ne pas commencer imm
e sylvie2tite droite. Ces foyers pénètrent de 3 centimètres dans la substance blanche du lobule pariétal inférieur : de 2 cen
qu'il ne s'en sépare plus de flocons colorés, et jusqu'il ce que la substance grise tranche nettement par sa colora- tion rou
substance grise tranche nettement par sa colora- tion rouge sur la substance blanche jaune. Xylol, baume du Canada, couvre-o
s méninges cérébrales. Hyperémie très marquée des méninges et de la substance grise de la moelle. Néphrite double. Le pylore
chons. Dégénérescence myélinique irrégulièrement distri- buée de la substance blanche du nerveux central. Les cellules de la
es à la moitié postérieure de la moelle, et qu'elles épargnaient la substance grise ; plus tard on affirma que cette dernière
répétition de ce mouvement, de même l'impression pro- duite sur la substance nerveuse vivante au cours de la production de l
aucunement de reconnaître la SUBSL tance grise ou les cordons de la substance blaticlie. 1. ! i.. Les deux tiers de la prépar
, limitée aux tuniques, externe et moyenne. Dans cette région, la substance nerveuse n'a pas complètement disparu. Ainsi, s
nettement reconnais- sables malgré un certain degré d'atrophie. La substance grise n'est représentée que par une toute petit
aire plissée et mal colorée. A une petite distance de ce restant de substance grise, on distingue le sillon médian-antérieur, b
dans le cordon anléro-latéral. Toutefois, la presque totalité de la substance blanche continue à être démyélinisée comme préc
bstance blanche continue à être démyélinisée comme précédemment. La substance grise est représentée simple- ment par quelques
THOLOGIE NERVEUSE disséminés çà et là ; par contre les cornes de la substance grise ne sont représentées que par quelques élé
montre des cavités et des lacunes placées, pour la plupart, dans la substance gtise ; les grandes cavités n'ont pas de paroi
ogliques anciennes. D. Coupes au niveau de la 8° racine dorsale. La substance grise a repris sa configuration et sa structure
exercer profondément, jusqu'à l'axe gris central, car c'est dans la substance griae péri-épendymmre que siègent les centres de
tolérance du tissu nerveux pour le corps étranger implanté dans sa substance . Les altérations microscopiques démon- trent ic
80 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
trice, ou, peut-être, trophique, du moins que la racine issue de la substance ferrugineuse. Le facial et quel- 1 Cas publiés
e. Il existe un foyer dans le lobe temporal gauche ; l'écorce et la substance blanche des deux tiers postérieurs de la 1 re e
1 re et de la 2° temporale sont détruits; la partie profonde de la substance blanche du lobule pariétal inférieur est scléro
é ces dernières, s'inflé- chissent longitudinalement en avant de la substance gélatineuse, soit en montant, soit en descendan
n de Bechterew d'après laquelle les cordons de Goll rayonnent de la substance grise ou des colonnes de Clarke dans les cordon
s au milieu (entre la commissure postérieure et la périphérie de la substance blanche). Ces derniers trousseaux pénètrent dan
de la substance blanche). Ces derniers trousseaux pénètrent dans la substance grise jusqu'à la périphérie des cornes antérieure
rale, les fibres se perdent dans le fin réseau placé en avant de la substance gélatineuse d'où partent les fibres qui se rend
t à la commissure postérieure; à la couche limitante latérale de la substance grise des cordons latéraux, elles se confondent
sies et infiltrées; accumulation de cellules rondesjusque dans : la substance corticale. Conclusion : Tabes classique avec arth
les cordons postérieurs (intégrité du reste de ces organes et de la substance grise). Il ne s'établit pas de dégénéres- cence
e la moelle (encéphalite interstitielle de Juergens, myélites de la substance blanche) ; les dégénérescences descendantes et
ma, provoquent une inanition générale du système et encom- brent la substance nutritive, dont ils prennent finalement la place,
t la substance nutritive, dont ils prennent finalement la place, de substances impropres à la nutrition. Tel est le mécanisme
'est qu'apparente, car, si l'on compare deux volumes égaux des deux substances musculaires normales et hypertrophiées, ou des
rfs. La réaction myotomique tient à une modification chimique de la substance contractile du muscle, elle-même provoquée, dan
s les racines postérieures, mais se rencontraient également dans la substance grise, et se manifestaient au niveau des cloisons
u tissu conjonctif, celte prolifération a poussé une pointe dans la substance grise postérieure et dans les cornes postérieur
u gonflé et d'aspect velvétique permet de très bien distinguer la substance grise de la substance blanche. Au bout de quarant
velvétique permet de très bien distinguer la substance grise de la substance blanche. Au bout de quarante-huit heures on en
onte par le procédé que l'on désire. Le microscope révèle alors une substance jaune rouge dans laquelle les éléments nerveux so
essairement à cette période; il n'y a pas encore d'altération de la substance céré- brale ni des cellules nerveuses. P. K.
nt, dans les cordons postérieurs, principalement au voisinage de la substance grise, des fascicules .disséminés. On en a des
cérébello- latéral direct de la moelle, du trousseau limitrophe de substance grise, on constate, à la région qui sera plus t
e de palladium, procède à une dissec- tion méthodique. Il enlève la substance grise et suit pas à pas les faisceaux qui se pr
s sillons de l'écorce proviennent de ce que, en quelques points, la substance blanche cesse de progresser (en ces points se f
a perforé la dure- mère et les os, mais qui n'a pas pénétré dans la substance ner- veuse de plus de un centimètre et demi à d
la péri- artérite des plus petits vaisseaux de la pie-mère et de la substance cérébrale, et une infiltration nucléaire diffus
même chez les individus morts au début de la maladie, alors que la substance cérébrale ne pré- sente pas de signe de scléros
se ou localisée autour des petits vaisseaux de la pie-mère ou de la substance céré- brale. Dans certains cas de typhus pellag
marasme. Dans des cas plus rares, l'épaississement s'accentue et la substance céré- brale est atrophiée, indurée, les ventric
apport avec les cir- convolutions cérébrales. J. SÉGLAS. XXV. Les substances albuminoïdes phosphorées du cerveau ; par MM. D
ogique contemporaine-a établi solidement le rôle très important des substances albuminoïdes dans l'activité vitale des élément
es qui ont lieu dans les cellules existent, grâce à la présence des substances albuminoïdes. Il est donc très naturel, dans l'
du tissu céré- bral. MM. Danilevski et Oumikoff étudient surtout la substance grise du cerveau. Cette substance présente une
i et Oumikoff étudient surtout la substance grise du cerveau. Cette substance présente une composition plus compliquée que be
composition plus compliquée que beaucoup d'autres tissus. Outre les substances albuminoïdes elle contient une grande quantité
elle constitue une propriété exclusive du tissu cérébral. Ces trois substances présenlent une propriété caractéristique du proto
tivité vitale. Cependant, il ne faudrait pas conclure de là que ces substances non albuminoïdes de la masse cérébrale présente
es dans les éléments ner- veux. Mais dans tous ces cas, ce sont des substances albuminoïdes qui constituent la base matérielle
n seulement sur les combinaisons chi- miques non albuminoïdes de la substance grise, mais aussi et sur- tout sur les combinai
s combinaisons albuminoïdes. Tous les éléments consti- tutifs de la substance cérébrale peuvent être divisés en plusieuis gro
peuvent être divisés en plusieuis groupes naturels, notamment en : substances azotées albumi- noïdes, substances azotées non
groupes naturels, notamment en : substances azotées albumi- noïdes, substances azotées non albuminoïdes et substances inor- ga
nces azotées albumi- noïdes, substances azotées non albuminoïdes et substances inor- ganiques y compris H2o. La présence dans
des et substances inor- ganiques y compris H2o. La présence dans la substance cérébrale des combinaisons organiques contenant
ant du phosphore, donne lieu à la formation d'un groupe spécial des substances phosphorées, constituant des éléments constants
n albuminoïdes, les unes azotées, les autres non azotées. Parmi les substances albuminoïdes du tissu cérébral deux jusqu'à pré
la globuline et la stromine. Les recherches très-détaillées sur la substance grise y ont démontré d'une façon indiscutable l
elle du protoplasma nerveux. En même temps, on a remarqué que les substances albuminoïdes se trouvent non-seulement dans les c
les auteurs tirent l'hypothèse que la névrogie est par essence une substance purement nerveuse, un élément nerveux d'un ordr
iquer le genre d'ac- tivité qui lui soit propre. La globuline de la substance grise, qu'il s'agisse des cellules nerveuses ou
titution. La globuline phosphorée est une propriété exclusive de la substance grise du cerveau des vertébrés à sang' froid ou
côté gauche; l'écorce était amincie. Au-dessous de cette plaque, la substance blanche présentait une cavité de la grosseur d'un
ydatides du - avec hémorrhagie cérébrale, par Doenhardt, 405 ; ;- substances albuminoïdes phosphorées du -, par Danilewski
81 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
sez facilement, sauf sur cer- tains points où on entraine un peu de substance grise. Rien d'anormal. Protubérance et bulbe, s
celle d'une noisette, se distinguent à peine par leur couleur de la substance 1% ig. 1. , : 48 Autopsie : Sarcomes DU cerye
que leur forme générale spit notablement modifiée. L'épaisseurde la substance cérébrale qui sépare la paroi ven- triculaire d
ment sur la surface du cervelet ou du bulbe sans pénétrer dans la substance nerveuse et sans l'altérer. Sur les bords laté-
des adhérences très prononcées et irrégulièrement réparties avec la substance corticale sous- jacente. La décortication des c
ifficulté et la pie-mère entraine avec elle une grande partie de la substance corticale des circonvolu- tions. Au niveau de l
es faces interne et externe des lobes tem- poraux et occipitaux. La substance corticale s'enlève presque complètement avec la
n pariétale et occipitale des hémis- phères. Après décortication la substance cérébrale est molle, déchiquetée ; elle présent
érents points, un petit piqueté hémorragique dans l'épaisseur de la substance Fig. 5. nILNI\GO-P\CPH : 1LIT. 61 1 cortica
trouve pas de leucocytes autour des vaisseaux qui pénètrent dans la substance cérébrale, En quelques points, peu nombreux il
istence de petits foyers hémorragiques dans la couche moyenne de la substance grise, apparaissant à l'examen macroscopique, s
part trouvé de foyers de sclérose superficiels ou profonds dans la substance corticale des hémisphères. L'épen- dyme des ven
re. On ne retrouve pas autour des vais- seaux qui pénètrent dans la substance corticale cette in- filtrationlencocytique dont
u mal de Pott, offre des lésions portant sur les enveloppes, sur la substance blanche et sur la substance grise. La pie-mèr
ions portant sur les enveloppes, sur la substance blanche et sur la substance grise. La pie-mère et les nerfs rachidiens appl
scence empiète même légèrement sur la zone radi- culaire. Dans la substance grise, il y a raréfaction notable des cellules,
z étendue qui comprend toute l'épaisseur des commissures. Dans la substance blanche, le cordon latéral est en partie dégéné
de la moelle dorsale, les enveloppes n'offrent rien de spécial; la substance grise présente des cor- nes anterieures presque
en cellules. Le sillon antérieur de la moelle est élargi. Dans la substance blanche on constate du premier coup d'oeil la d
ntité. La pic-mère de la base, très fine, s'enlève sans détacher de substance grise; celle de la convexité, plus épaisse, s'e
end aujourd'hui sous le nom de porencé- phalie toutes les pertes de substance étendues cle l'hémisphère ; il suffit qu'il y a
au contraire, qui a créé ce terme, ne considérait que les pertes de substance qui pénétraient jusqu'au ventricule latéral.
aussi dissemblables qu'un arrêt de développement et une perte de substance consécutive à un processus né- crobiotique quel
orencéphalie. Si l'on tient à conserver ce terme pour les pertes de substance par ramollissement ou autre cause, c'est de dés
illantes et rentrantes. A la partie inférieure se voit une masse de substance blanche, volumi- neuse, arrondie, qui paraît co
ois petits kystes d'aspect gélatiniforme, assez résistants, dans la substance médullaire près du bassinet. Rein droit : 42 gr
ue impossible, car on enlève avec la pie-mère de grands lambeaux de substance grise. Hémisphère gauche. Beaucoup plus petit q
un défaut de développement de certaines circonvolutions et de la substance blanche sous-jacente. Le fond du kyste est formé
he sous-jacente. Le fond du kyste est formé par une mince couche de substance blanche recouverte d'une mem- brane cclluleuse,
uleuse, très résistante, qui lui adhère intimement. Cette couche de substance cérébrale est continue et, en aucun point, il n
par un hyste volumineux, qui s'est creusé une loge aux dépens de la substance grise et blanche de l'hémisphère et qui a détru
vec la pie-mère, assez mince sur toute son étendue. Au niveau de la substance cérébrale, au contraire, cette membrane s'épais
le, au contraire, cette membrane s'épaissit, adhère intimement à la substance cérébrale dans les anfractuosités de laquelle e
formé par cette membrane lisse, et doublée d'une mince couche de la substance blanche qui la sépare du ventricule latéral et
que le processus nécrobiotique puisse détruire com- plètement la substance cérébrale jusqu'au ventricule latéral et établi
ieu d'être formées par les circonvolutions, sont constituées par la substance blanche recouverte par la membrane du pseudo-ky
82 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
hagriné, plisse- , ment des circonvolutions, sclérose cérébrale, la substance grise semble mobile sur la substance blanche. -
utions, sclérose cérébrale, la substance grise semble mobile sur la substance blanche. - Légère . dilatation du ventricule cé
fontanelles. Au niveau du parié- tal gauche se trouve une perte de substance à direction ancéro- (1) Voir llol)s4 complète d
mère ' n'adhère pas avec le crâne, même au niveau de la perte de substance . La suture métopique est soudée. La suture coro
e, de consistance ferme, ayant comme dimension celui de la perte de substance déjà décrite. OBS. XXI. Idiotie méningitique ;
ne ogivale, luette normale. Amygdales volumineuses. D..reconnaitles substances sucrées, salées, amères. Dents complètes ; les
t. Adhérences disséminées sur toute la face convexe; ou entraine la substance grise par petits îlots ; le maximum des lésions
éné- ralisées et ont entraîné en maints endroits presque toute la substance grise des circonvolutions ; quelques-uns des sill
base. Celle-ci est très large et se continue directe- ment avec la substance cérébrale. Elle est presque quadrila- tère et m
s men- tales, montre qu'elle est entièrement constituée par de la substance nerveuse analogue à celle du cerveau. Colorée au
le absolument celui d'une circonvolution cérébrale, au niveau de la substance grise, les cellules ayant l'aspect et la forme
nerveuse développée aux dépens des tubercules mamillaires et de la substance grise du troisième ventricule qui ne forment pl
at DE MAL ÉPILEPTIQUE. Température. 113 Les cas d'hétérotopie de la substance nerveuse paraissent être assez rares. Récemment
et dans lequel on trouva, au milieu du centre ovale, un noyau de substance grise semblable à l'écorce avec laquelle cette
noyau de substance grise semblable à l'écorce avec laquelle cette substance grise était en communication par des fais- ceau
tte substance grise était en communication par des fais- ceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans la
it en communication par des fais- ceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans la substance blanche ordinai
ceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans la substance blanche ordinaire a la même structure que la co
les cellules embryonnaires indifférentes se sont trans- formées en substance grise pour remplir la place que laissait vide l
rmées en substance grise pour remplir la place que laissait vide la substance blanche manquante, ou, si l'on préfère, il y a
des fibres blanches qui sont, par suite, normalement devenues de la substance grise. II. Outre cette anomalie cérébrale, on o
par une membrane lisser mince, surlaquelle on constate des îlots de substance cérébrale.; La suture 111te1·IIé)111SIV1'tllite
ermet pas de trouver la trace de la scissure de Sylviusa Un îlot de substance cérébrale de 5 centimètres carrés environ forme
niveau du lobe frontal qui, lui ? est représenté par une plaque de substance cérébrale offrant : ' l'aspect de circonvolutio
u lobe temporo-sphénoîdal. L'hémisphère droit offre encore moins de substance ]cérébrale. Le lobe frontal y est représen- té p
base, il offre un aspect membraneux, recouvert de minces couches de substance cérébrale. On peut constater sur la base des dé
paroi de subs- tancecèrÚ/n'¿¡II' d'un millimètre d'épaisseur. Cette substance fait défaut au niveau de la scissure de Sylvius
erminé des adhérences assez fortes' pour amener l'arrachement de la substance grise de toute la région; lors de la décorticat
celles de la face interne sont réduits à une simple lamelle unie de substance cérébrale. - Les gal1 ! llions centraux, fortem
misphère. Notons cependant un aplatissement plus considérable de la substance cérébrale sur une bande allant verticalement de
énible. Les circonvolutions cérébrales sont aplaties, étalées. La substance encéphalique est ramollie. Cerveau énorme, remp
hypérémiés; le rein gauche contenait, au niveau de l'union des deux substances , un petit kyste de la grosseur d'un pois. Rien
ures sylviennes, sont les points d'accumulation de ce liquide. La substance nerveuse paraît lavée par le séjour dans ce liqui
e-mère adhère fortement partout et, en l'enlevant, on entraîne la substance grise des circonvolutions. Seules FA et PA, surto
celle d'une noisette, se distinguent à peine par la couleur de la substance nerveuse avec laquelle elles ne paraissent pourta
leur forme générale soit notablement modifiée. L'épaisseur de la substance cérébrale qui sépare la paroi ventriculaire de
s malades qui en font le sujet, nous avons vu se produire dans la substance intersuturale une prolifération de tissus, très
ne au point de faire disparaître ou de réduire à une mince paroi la substance cérébrale. Cette compression doit s'opérer très
83 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
creusa en pro- fondeur, et amena la formation d'une large perte de substance qui devint le siège d'une suppuration fétide. L
lus en arrière et séparée de la première par un petit intervalle de substance saine, il en existe une autre qui surplombe en
cette grande commissure du cerveau, l'existence de deux colonnes de substance grise bien délimitées sur l'hémisphère gauche;
ions pariétales, et à la scissure de Sylvius ; elles pénétraient la substance blanche dans le pied de la troisième frontale e
nication). Les particules gazeuses ou gazéiformes que rayonnent les substances odorantes, entrent dès lors en contact avec les
le mènent à cette conclusion que : les foyers de l'écorce et de la substance blanche qui n'atteignent pas le pied de la cour
tiers supé- rieur de la frontale ascendante : ramollissement de la substance blanche sous-jacente. Seconde tumeur de même na
volutions ascen- dantes dans leur tiers supérieur sans empiéter. La substance blanche du territoire de la capsule interne et
ncien sous-jacent, kystique, séparé du premier par un centimètre de substance blanche, normale et parfaitement isolé égalemen
Broca, celle-ci étant demeurée saine dans son écorce, alors que la substance blanche en est lésée. Non moins concluante sera
cylindroïde' ne se trouve que dans les cavernes qui siègent dans la substance grise et la commissure, jamais dans les caverne
d'affection combinée des cordons DE la moelle AVEC ALTÉRATION DE LA SUBSTANCE GRISE par SIOL1. (lrClc. f. Psych. te. Nervènk
aire cervicale, jusqu'au bas de la moelle sacrée ; l'ensemble de la substance grise des cornes antérieures est lésé dans la par
rs et latéraux (Westphal) et en même temps la proliféra- tion de la substance intermédiaire, ainsi que les lésions des partie
re, ainsi que les lésions des parties nettement différenciées de la substance grise. Il relie la dégénérescence des colonnes
e grise. Il relie la dégénérescence des colonnes de Clarke et de la substance grise des cornes antérieures à l'envahissement
e son mémoire par l'élude des lésions des hémisphères, tant dans la substance blanche produisant l'hé- miplégie, 1'liémiaiies
iplégie, 1'liémiaiiestliésie, l'hémichorée, l'athétose, que dans la substance corticale, avec tout leur cortège de troubles si
ue dans les cas où il s'agit d'évacuer promptement de l'estomac des substances toxiques, il suffit d'in- gérer une grande quan
ie de la première enfance, est causé par une lésion des noyaux de substance grise préposés aux mouvements associés binocula
r- ficielle ; elle ne dépasse pas eu profondeur les limites de la substance corticale. Masses centrales saines. Hémisphère
au de la région fronto-pariétale elle entraîne de gros fragments de substance cérébrale ramollie. Il existe, en effet, un lar
la scissure deSylvius. La pie-mère est injectée et adhé- rente à la substance cérébrale, sur plusieurs points des circonvo- l
r les artères de l'hexagone. Rien à signaler dans l'épaisseur de la substance cérébrale. Rien au cervelet, ni dans le bulbe.
s en présence d'un « produitde sécrétion », et il a expérimenté les substances qui agissent sur les sécrétions. L'atropine à f
aques. La putréfaction détruit le pourpre rétinien comme toutes les substances albuminoïdes ; son action peut être en- rayée e
poser, M. Ayres tire les conclusions suivantes : le pourpre est une substance albuminoïde, formée par les cellules de revête-
par les gros troncs nerveux de l'oeil. Nous ne connaissons pas de substance capable de la ralentir ou de l'arrêter, mais la p
pondante de la scissure de Sylvius. A son niveau, destruction de la substance cérébrale, réduite en masse rosée, avec petit f
iémorrltabie, lésions siégeant à droite et exactement limitées à la substance grise du lobule et à la substance blanche la sépa
roite et exactement limitées à la substance grise du lobule et à la substance blanche la séparant de l'avant-mur, les auteurs
t devant les alcalis. Un certain nombre de cellules contiennent des substances réfractaires, car en dépit de la pepsine et des
du corps rbombuidai du cervelet. En conséquence, la nucléine ou une substance semblable (composée comme elle d'acide pliospli
d'âge de ces éléments et que les variations dans les cellules d'une substance à structure moléculaire complexe sont en rappor
on cherche à la détacher, on constate qu'elle adhère fortement à la substance cérébrale, qui se laisse désa- gréger. Une co
tuberculeuse pénètre profondément la subs- tance grise et un peu la substance blanche, au niveau du lobule paracentral qui es
,.foyer tuberculeux, et, nous avons pu nous convaincre que ces deux substances étaient saines et ne renfermaient pas de corps
et rouge. , " . Le lobule paracentral a conservé sa forme, mais sa substance offre un aspect spongieux, un, peu rougeâtre, e
constituaient une sorte de'noyau qui semblait plonger aumilieude la substance cérébrale devenue, adhérente, ramollie et ^pigm
ubuleux a disparu, et'ilç`st-ù péùprès yilissivled,l ? délimiter la substance corticale de -la'' substance, médullaire. [ ? (
ù péùprès yilissivled,l ? délimiter la substance corticale de -la'' substance , médullaire. [ ? ( Toute la tranche est. hériss
? ,, , 1 1 , ' L .4 ' 1 - l'n.illMHïl ? Il ° . »* ' T ' ' " de sa substance 11 ont pu être- pris pour 1 çiamen llistologiduc
.-IM >|. VHI-, |... ? J. t. 1jh| ,nhi, ,. "h petit abcès dans la substance nerveuse, une zone de congestion, ' ? .r .I1 11 ?
in des cellules, en plein tissu nerveux, et cela aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise. 4° Enfin,
u nerveux, et cela aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise. 4° Enfin, en présence de l'acide osmique
2° les dégénérescences rénales chro- niques ou défectuosités de la substance des reins. Parmi les premières nous trouvons do
dans une -étendue de' quatre a cinq,centimètres. Asymétrie. de la- substance grise sur les,,coupes, du seâment,4lorsalinféri
les systèmes son purfaitement'dessi-1' nés ? unc,çouhe, é rpite,ae, substance ,nervcuse sépare ce double' appareil. Buis le tr
ances laquelle vous m'avez depuis longtemps accoutumé. Teli est, en substance , le discours prononcé par M. Motet... n 'De la
énérale (adhérences, épaississement des méninges, ramollissement de substance grise, induration de substance blanche et des l
ment des méninges, ramollissement de substance grise, induration de substance blanche et des lésions athéromateuses (athérome
t jamais jusqu'à la suppuration ; un changement de coloration de la substance grise due à l'empilement des globules rouges da
liminer l'irrita- tion méningitiquecomme cause de l'injection de la substance grise, comme cause du délire ; après avoir exam
d'affection combinée des cordons de la - avec altéra- tion de la substance grise, par Sioli), 102 ; - (Compression de la
84 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
droit dura deux mois; pendant ces temps il dut s'alimenter avec des substances liquides puisque la mastication lui provoquait
laire. Ostéome de la dure-mère avec pachyméningite. Intégrité de la substance blanche et grise de la moelle, même au microsco
iologique, son importance dépend de larichesse de l'alimentation en substances azotées. La constatation d'une petite quantité
des adhérences généralisées, les cir- convolutions peu marquées; la substance grise est pâle, décolorée, la pulpe cérébrale r
, en puise de tube laryngien, et sentit la résistance vaincue de la substance molle, en pénétrant par l'ouverture de la glott
. P. K. XI. RECHERCHES anatomiques SUR la marche DES FIBRES DE la SUBSTANCE GRISE CENTRALE DES CAVITES CÉRÉBRALES ET LA DISPA
suit dans toute son étendue. Tant et si bien. qu'au niveau de la substance grise du troisième ventricule, on compte quatre t
occupe la région de l'infundibulum; 2° Les fibres qui occupent la substance grise centrale des cavités, se terminent dans l
du noyau lenticulaire ; 3° Le faisceau dorso-longiludinal occupe la substance principale de ces libres; , 4° D'autres fibre
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. C'est à l'atrophie des fibres de la substance grise des cavités qu'il faut rattacher les trou
lé externe, du bras antérieur des tubercules quadrijumeaux, de la substance blanche superficielle du tubercule quadrijumeau a
u même côté; la racine descendante, dans les grosses cellules de la substance grise centrale des ventricules, autour de l'aqued
nte du côté sain a déjà un notable volume. Les fibies émanent de la substance gélatineuse, ou plutôt de la partie latérale de
des paires cervicales postérieures; plus haut, vers les centres, la substance gélatineuse est encore le centre de formation des
hogénétique entre l'atrophie de la racine ascendante et celle de la substance gélatineuse; bien que le trijumeau ait été lésé
des deux organes. P. Klraval. XIV. DE l'atrophie DES fibres dans la substance grise ET des PRO- CESSUS DE division DES noyaux
des lésions suivantes. Tuméfaction et augmentation de volnme de la substance de soutènement; compression des tubes nerveux ;
ellules autour des vaisseaux, ni multiplication, ni néoplasie de la substance de soutènement. Et, somme toute, la dégénéresce
e toute, la dégénérescence secondaire demeure des mois limitée à la substance nerveuse, 'ce n'est qu'à une période avancée qu
émisection de la moelle provoque la myélomala- cie transverse de la substance grise et une dégénérescence secon- daire bilaté
i, il y à division des noyaux dans les cellules con jonctives de la substance blanche et de la substance grise. En multiplian
ux dans les cellules con jonctives de la substance blanche et de la substance grise. En multipliant les hémisections chez les
l'oeil ? Les optogrammes sont la résultante de la décomposition de substances explosibles qui lais- sent après la décharge, d
A. Fick, Chodin, Gscheidlen. Sczerbak, Max Schultze, Remak. Cette substance explosible emmagasinée dans l'enveloppe extérieur
ion interstitielle des plus accusées ; intégrité du plexus et de la substance grise. Discussion : M. B1NSZPdNGEIt traite un j
chement du nerf sciatique suivies de lésions des parties centrales ( substance grise de la moelle) et pense que dans les expér
de dégénération consécutivement à une altération des cellules de la substance grise. M. le professeur KAJEWNIKOW. - Les reche
rétine; le faisceau de Flechsig (allant de l'entre-croisement à la substance grise centrale du troi- 136 SOCIÉTÉS SAVANTES.
l'action de la cocaïne ou de l'atropine, que l'auteur emploie comme substances excitant les fonctions du cerveau. Voilà le rés
caractères communs une lésion nécessaire des cornes antérieures de substance grise, évoluant suivant le mode chronique. A ce
ui occupant primitivement les faisceaux blancs ou les régions de la substance grise, autres que les cornes antérieures, ne pu
les cornes antérieures, ne puisse retentir sur cette partie de la substance grise et déterminer secondairement, acci- dente
diffuses prédominant dans le renflement cervical et intéressant la substance grise des cornes antérieures de cette région de
myélites diffuses, mais prédominant dans les cornes antérieures de substance grise et dont je vous parlais tout à l'heure ?
oupe de cylindre-axe. Entre la paroi de ces pseudo-cellules et leur substance chromatique, il n'existe aucune apparence proto
aucune apparence protoplasmique. Souvent on trouve autour de cette substance chromatique des granulations, mais ce sont des
l en résulte alors un aspect COl'olli(01'me. Il arrive aussi que la substance chromatique se dispose de telle façon qu'elle d
dyna- mique des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de substance grise de la moelle épinière, centres trophiques.d
10 sept. IS9` ? ; p. 324.) 208 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. pement. La substance contractile -- myoplasma s'entoure du plasma in
des faisceaux se différencie en cellules amiboïdes qui englobent la substance striée. Nous basant, quant à nous, sur le mode
- pect de la lèvre à ce moment. On voit qu'il existe une perte de substance assez considé- Anciuvus, L. XXV. iq Fig. 18.
es et naturellement la concavité est tournée en haut. La perte de substance s'est réparée rapidement ainsi que cela se voit
oi des petits vaisseaux, récentes hémorrhagies punctiformes dans la substance grise; hypertrophie du lobe moyen de la prostat
ue parallèle à la scissure de Romande. Sa présence avait détruit la substance cérébrale formant une cavité irrégulière de 55
n enlevait un kyste produisant dans l'hémisphère droit une perte de substance plus étendue. Actuellement, six mois après la d
e peut encore se livrer à ses occupations. Au niveau de la perte de substance , on sent sur le crâne une tumeur pulsalile fluctu
te normal jusqu'à la limite de l'anencéphalie. La formation de la substance corticale dans les cas extraordi- naires, en de
infantile, dans laquelle le progrès de l'inflammation enveloppe la substance corticale, et à laquelle on a donné le nom de Pol
nnée d'existence de la Société. M. Kronthal. De l'hétérotopie de la substance grise de la moelle de l'homme. - L'orateur prés
he corticale de ce lobe, mais avait pénétré si profondément dans la substance médullaire qu'elle avait rompu les trajets eux-
ew, 105; fibres de l'écorce du -, 1 par Kaes, 109; fibres de la substance grise des cavités du , par Schuetz, 109; lésion
NESTIIISIE cérébrale, par Vors- tel, 126. 111;'1 h1\OTOPU : de la substance grise de la moelle, par Krontlial, '3US. tabl
erveuses de la -, par Schaffer, 107 ; atro- phie des fibres de la substance grise de la -, par llinor et Kuo- blauch, 111
85 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i arriver à faire prendre jusqu'à 25 centigrammes par jour de cette substance pour obtenir l'effet comulsivanl. On ob- serve,
, à mettre en évi- i- dence les altérations des cellules nerveuses ( substances chroma- toltlmle et ncurolibrilles) sont les mé
s d'association qui s'élagent dans les cordons latéraux. Dans la substance grise on note l'atrophie avec, pigmentation des c
ormes, pyramidales,ovalaires, rondes, fusiformes, plongées dans une substance granuleuse. Ces nappes ne sont interrompues que
ssement de celte fonction si délicate. La présence du brome dans sa substance glandulaire, constatée par Paderi, rend l'1.l.i
le pédoncule cérébelleux moyen prend sa principale origine dans la substance grise du pont, du côté opposé à l'hémisphère cé
nd, mais contient aussi des fibres dont l'origine se trouve dans la substance grise du pont du même côté (l. c., p. 100). »
n est amené à désirer une simplification dans la nomen- clature des substances à allures diastasiques dont le nombre se multip
que deux réactions l'une, très forte, aboutit à la production d'une substance agissant sur les cellules dé- truites ; l'autre
bstance agissant sur les cellules dé- truites ; l'autre produit une substance agissant d'une façon diffuse sur un grand nombr
culaires, soit les cellules névrogliques qui interviennent quand la substance nerveuse est impliquée dans des inflam- mations
tés ventriculaires sont très dilatées par suite de l'atrophie de la substance cérébrale, les parois ventriculaires présentent
oyaux centraux parti- cipent à l'atrophie. D'une façon générale, la substance blanche de chaque circonvolution paraît beaucou
anche de chaque circonvolution paraît beaucoup plus diminuée que la substance grise. Des dilatations périvascu- laires (état
- nuées de nombre. Les fibres radiées sont très diminuées dans la substance blanche et dans là substance grise des circonvo
es radiées sont très diminuées dans la substance blanche et dans là substance grise des circonvolutions ; les fibres transver
arition des fibres myéliniques explique pour- quoi l'atrophie de la substance blanche paraît beaucoup plus considérable que c
substance blanche paraît beaucoup plus considérable que celle de la substance grise : la par- tie périphérique de la substanc
le que celle de la substance grise : la par- tie périphérique de la substance blanche devient grise par suite delà disparitio
dans l'extrémité libre des circon- volutions et ne dépasse guère la substance grise. Il re- connaît pour cause la prédominanc
nt isolée et indépendante ; ce n'est pas le résultat d'une porte de substance puisqu'elle est bien limitée par une pa- roi pr
lule nerveuse se développe aux dépens d'un neuroblaste unique. La substance chromatique commence à se former vers le 10e jo
abaissement de l'ex- citabilité corticale. Le phosphate bisodique, substance qui préci- pite le calcium, a une action antago
mation du crâne. Si l'ablation corticale est profonde et atteint la substance blanche, on a une atrophie de l'hémisphère céré
moins étendue de la voûte crânienne, sans léser en aucune laçon la substance corticale sous-jacente. Le résultat fut qu'il n'y
une partie correspondante de l'écorce, et tâchant de res- pecter la substance blanche sous-jacente ; il obtint ainsi une hé-
s fibrilles apparentes et le mince réseau de la cellule colorée. La substance chromatique non éliminée donne naissance à une
nt jusqu'à un certain point possible l'étude com- parée de ces doux substances ..1. Séglas. XXI. Les méthodes de psychométrie p
ortion cervicale; une altération partielle dans le rapport entre la substance blan- che et la substance grise ; enfin, une di
ration partielle dans le rapport entre la substance blan- che et la substance grise ; enfin, une dissémination néoplasique so
hétérotopie complète, comprenant de la suh- stance blanche et de la substance grise. Ceci pourrait avoir une explication embr
xistence d'un pouvoir trophique de l'écorce, avec altérations de la substance grise spinale (Dorglierini). IX. Présence de ce
bres descendantes dégéné- rées de la cellule nerveuse, à travers la substance grise spinale, les nerfs et les fibres musculai
veux; dans une première phase, on assiste à la dissociation delà substance chromatique, et dans une phase plus avancée on ob
de cavité à proprement parler et il ne paraît pas y avoir perle de substance . La périphérie, non plus que le centre, ne sont i
lever la constante positive qui traduit l'action excitante de cette substance sur les centres nerveux. L'ingestion de sucre, qu
, tous les paramètres aug- mentent d'où l'on peut inférer que cette substance n'est pas un aliment, mais un excitant du systè
-dire préciser, dans les limites du possible, les e11'ets que cette substance entraîne dans les manifestations de la vie psyc
tructure du nucléole des cellules nerveuses. D'après l'auteur, deux substances , au moins, entrent dans la constitution de ce n
a OII..lamais ce liquide ne renferme d'ammoniaque, d'acétone, ni de substances capables de donner la diazoccaction. Sa toxicit
e il do- ses élevées, chez les diverses espèces d'animaux. '7" La substance toxique spécifique contenue dans le sérum du sa
t admettre que l'hypertoxicité de ce sérum est due à un excès de la substance sensibilisatrice ; 8° cette propriété hypertoxi
on pourrait en outre constater au début «un léger gonflement de la substance interlibrillaire ». Les rélicu- lums ligures pa
uggestion indirecte en faisant absorber quelques centigrammes d'une substance inerte ou anodine, dont je pro- clamais la gran
apisse le fond de la dépression ci-dessus décrite. A ce ni- veau la substance cérébrale présente une consistance plu- tôt mol
et isthme : 100 grs. Sur toute la surface, la pie-mère adhère à la substance nerveuse à des degrés variables. Moelle épinièr
autres plus petits disséminés dans tout l'organe ; le reste de la substance corticale paraît normale ; le rein droit pèse 85
ant en divers points des vési- cules thyroïdiennes renfermant de la substance colloïde. Ce qui frappe au premier examen, c'es
abcès du '01UIll3d'UIl oeuf de pigeon, contenu à l'intérieur de la substance cérébrale et paraissant siéger au niveau de la
ébrale moyenne, incision cru- rale de la dure-mère, ponctions de la substance cérébrale : li- quide céphalo-rachidien louche
perméables de dedans en dehors conservent ainsi longtemps certaines substances nocives qui baignent le système nerveux. Les
i-permanente. Dès lors, quoi d'étonnant à ce que la présence de ces substances anormales et toxiques dans le liquide céphalo-r
86 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
orme de noyaux arrondis, de volumes différents. Elles occupent la substance corticale; quelques-unes se montrent à la sur-
épaisses. L'une d'entre elles fait relief au dehors, et refoule la substance médullaire en dedans, sur une largeur de 1 cent
es transversales et verticales, limitées exactement à l'union de la substance grise avec la substance blanche. Hémisphère gau
icales, limitées exactement à l'union de la substance grise avec la substance blanche. Hémisphère gauche. a) Face convexe : I
il n'y avait pas de paralysie; 2° la limitation des lé- sions de la substance grise; la singulière disposition des lésions du
e sorte que l'ablation des méninges en- traînait toute la couche de substance grise et mettait à nu la substance blanche, atr
n- traînait toute la couche de substance grise et mettait à nu la substance blanche, atrophiée, indurée, des circonvolu- ti
. Autopsie : Mé7zizgo-ezcépha- lite ; ablation presque totale de la substance grise. Dub... (Charles Antonin), âgé de 12 ans,
malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la couche de substance grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi à nu
e grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi à nu le squelette de substance blanche des circonvolutions. Ceci se produit su
paracentral, l'avant-coin, le coin, le lobe occipital de toute leur substance grise, laquelle ne résiste, mais incomplètement
alleux, et sur la moitié antérieure du lobe temporo-occi- pital. La substance blanche, ainsi mise à nu, est indurée, ferme, e
in, une véritable coque résultant de la soudure de la pie-mère à la substance grise, et reproduisant par ses reliefs et ses d
interne du lobe temporal. Mais on n'entraîne que des fragments de substance grise et non la totalité comme du côté opposé. La
ucher, friable, pèse 800 gr. ; la rate, 40 gr. ; les reins, dont la substance corticale est décolorée, pèsent l'un 80 gr. et
s avec des délabrements considérables ; tous 26 DÉCORTICATION DE LA SUBSTANCE GRISE. ces accidents graves ont guéri. Mais, bi
ère droit, la pie-mère entraînait avec elle toute l'épaisseur DE la substance GRISE, mettant ainsi à nu le squelette de la su
isseur DE la substance GRISE, mettant ainsi à nu le squelette de la substance blanche atrophiée et indurée. (Dans la Planche
il a trouvé la même lésion, caractérisée par la sé- paration de la substance grise de la substance blanche. Voir aussi : Cal
ésion, caractérisée par la sé- paration de la substance grise de la substance blanche. Voir aussi : Calmeil, Traité des malad
et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de substance blanche. Les circonvo- lutions du voisinage son
terminerons en notant l'absence de lésions des méninges et de la substance grise chez une femme, vieille épilepti- que, at
le entraîne avec elle, par places, les couches superficielles de la substance grise. Les circonvolutions pariétale et frontal
en avant. De ce côté, comme de l'autre, les circonvolutions et la substance blanche forment encore une couche épaisse entre
I. JI éningo-encéphalite chronique généralisée. Séparation de la substance grise de la substance blanche sur toute la face
alite chronique généralisée. Séparation de la substance grise de la substance blanche sur toute la face convexe de l'hémisphè
87 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
as -de cette maladie que. parce, que les cornes antérieures de la substance grise ont été plus altérées dans ces cas que da
sus morbide uniquement cantonné dans les cor- nes antérieures de la substance grise. Cela n'empêche pas cet auteur d'admettre
es limites habituelles et se propager soit aux autres parties de la substance grise, soit même aux faisceaux de la substance
autres parties de la substance grise, soit même aux faisceaux de la substance blanche. La maladie perd alors, dit Vulpian, da
e atrophique indiquent') des lo- "- . calisations médullaires de la substance , grise;1 autant les secondes dénotent des altér
;1 autant les secondes dénotent des altérations diffuses de cette substance . En somme, il s'ait là d'une combinaison de lés
t là d'une combinaison de lésions systématiques et diffuses de (la. substance grise de la moelle. On est en droit en : effet
: effet 'de circonscrire la lésiollijusqu'à un certain point à -la substance grise seule, en notant l'absence de douleurs, l
ier terme que les cornes antérieures de la moelle et le reste de la substance grise sont largement inté- ressés. C'est, nous
loureux qui reflètent ordinairement les altérations tangibles de la substance blanche, d'autre part ; nous croyons que nous s
tiques des cornes antérieures avec les altérations dif- fuses de la substance grise, ainsi que l'ensemble, la distribution et
ncisé la méninge et réséqué au besoin la portion scIé : rosée de la substance corticale sous-jacente. L'absence de symptômes
elle eût fonctionné, eût-elle, comme on le prétend, neutralisé les substances nuisibles en cir- culation dans le sang. P. K.
e, voire plusieurs heures. 2° Troubles permanents par lésions de la substance cérébrale. a. hémianopsie homonyme bilaté- rale
maladie, mort par paralysie de diaphragme. Examen microsco- pique : substance grise : diminution et atrophie des cellules gan-
s cellules araignées de Deiters, hémorrhagies capillaires notables. Substance blanche : atrophie très nette des fibres de la
s atteindre le lobule de l'Insula. La pie-mère est adhé- rente à la substance cérébrale ramollie qui se laisse arracher avec
gauche est tout à fait superficiel et n'intéresse exactement que la substance grise. A une petite distance, dans la substance
e exactement que la substance grise. A une petite distance, dans la substance blanche, il n'y a pas de corps granuleux. Le fo
rps granuleux. Le foyer de l'hémisphère droit entame notablement la substance blanche sous-jacente. Aucune lésion daus les no
ains cas, le cerveau peut être traversé et subir une vaste perte en substance grise sans qu'aucun trouble s'en suive dans les s
ans une condition d'instabilité et d'irritation particulières de la substance grise de l'écorce cérébrale. Chez beaucoup d'
tion du foyer épileptogène. Tout en considérant l'instabilité de la substance grise de l'écorce comme la cause immédiate de l
Dans l'épilepsie traumatique provenant d'une lésion existante de la substance cérébrale, le tissu cicatriciel épileptogène a ét
mincie de moitié. Cela s'interprète ainsi, d'après M. Jelgersma. La substance grise n'avait pas diminué, mais elle s'étendait
is nécropsies montrent, au point de vue qui nous occupe. A. Dans la substance grise. - 1° Atrophie du noyau principal de 260
ien, de l'oculomoteur externe, de loculomoteur commun. B. Dans la substance blanche. 1° Sclérose du faisceau pyra- midal da
trouve : 1° la, réduplication et l'hétérotopie (congénitales de la substance grise. Voir description et figures) ; 2° les lé
moelle épinière, l'existence de cellules nerveuses est limitée à la substance grise et que, les quelques cellules nerveuses iso
se et que, les quelques cellules nerveuses isolées, qui occupent la substance blanche, avoisinent la substance grise et, morp
nerveuses isolées, qui occupent la substance blanche, avoisinent la substance grise et, morphologiquement, sont identiques au
ires descendants. Elles n'ont pas les caractères des cellules de la substance grise; grosses, ovales, par- fois plus grosses
s qu'en ces régions, on ne trouve pas de cellules nerveuses dans la substance blanche (il ne s'agit donc point d'une migratio
ez l'adulte les systèmes de fibres que l'on peut distin- guer de la substance grise du troisième ventricule. Ce sont : immé-
nov. 1890) et Korsakow. D'où la patho- génie. Intoxication par une substance d'origine externe ou interne luto-intoxication)
vail, à l'aide d'une analyse minutieuse d'un nombre considérable de substances appartenant à tous les règnes et dont une des p
, opium, tabac, cocaïne, etc.). Il a réservé son attention pour les substances moins connues, et dont l'histoire est éparse de
appartienne, a recherché, pour en faire usage, et souvent abus, les substances excitantes pour son système nerveux. Chaque peu
s le corps strié gauche, ancien foyer de ramollissement occupant la substance blanche de l'insula, la capsule externe, la bra
noyau leuticulaire, la tête du noyau caudé, une grande partie de la substance blanche de la troisième frontale. Foyer récent
iés, on trouve une diminution de volume des faisceaux primitifs; la substance inter- médiaire a proliféré, les noyaux se sont
Intégrité complète des organes sensoriels. En un mot, lésion de la substance grise du cerveau et de la moelle (cellules des co
ière aurait pour facteur la propagation des lésions corticales à la substance blanche (l'hémiplégie émanant de l'atteinte des f
llucinations désagréables de l'odorat. Disparition du goût pour les substances sucrées, salées, acides. Tel est l'ensemble sym
sesse, les accidents reparaissaient. Il croit que des lésions de la substance musculaire président à la paralysie, car l'impo
les avec altération primi- tive des grandes cellules motrices de la substance grise des cornes antérieures comme dans la para
minante à la région cervicale dans la corne antérieure gauche de la substance grise, on la rencontrait aussi, quoiqu'à un moind
asmodique des vais- seaux et une anémie momentanée et limitée de la substance - cérébrale, qui peut être suivie dans certains
favorable sans aucun doute à la localisation de l'affection dans la substance grise de l'écorce cérébrale. Le plus souvent,
tures pures de staphylo- coccus p3ogenes aureus; dissociation du la substance du même organe par l'huile; ligature de l'aorte
odosités fusiformes et bacilliformes. Entre ces éléments existe une substance inaccessible aux agents colorants ou peu colorabl
granulations en question ; en même temps elles s'arrondissent et la substance achromatique du corps de la cellule s'imprègne
ts colorants. Puis, chacune d'elles pâlit, s'émiette, tandis que la substance achromatique se constellent de granules d'une f
ions suivantes : le suc disparait, et la charpente se résout en une substance finement grenue, compacte, bien colorée, au mil
milieu de laquelle se voit le nucléole de plus en plus pâle. Cette substance granue n'est pas d'une égale épaisseur partout ;
ngements cellulaires se héris- sent de sortes de nodosités. Dans la substance achromatique qui reste incolore dans son ensemb
ès les recherches de Schuetz, il faut le rattacher aux noyaux de la substance grise centrale. En ce qui concerne le noyau de
ns un cas de maladie de Basedow a trouvé une légère rougeur dans la substance grise, rien de plus. M. GOLDSCIIEIDER a trouvé
rouve pas qu'il y ait atrophie. En effet, ce faisceau se compose de substance blanche et de substance grise dont les rapports e
rophie. En effet, ce faisceau se compose de substance blanche et de substance grise dont les rapports entre elles sont quanti
entre elles sont quantitativement très variables; si, d'un côté, la substance grise concomitante est plus développée, la méth
88 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
elle d'un grain de mil- à celle d'un haricot et qui contiennent une substance d'un blanc grisâtre, molle, d'aspect caséeux, s
s d'autres ilôts enfin, et ce sont ceux qui confinent aux pertes de substance que l'on voit à l'oeil nu sur la coupe du poumo
s à un faible grossissement, on constate des lésions portant sur la substance grise et sur là substance blanche. La substance
on constate des lésions portant sur la substance grise et sur là substance blanche. La substance grise est diminuée d'épais-
ions portant sur la substance grise et sur là substance blanche. La substance grise est diminuée d'épais- seur ; lapremière c
ut, en séries, séparées par les faisceaux des fibres qui gagnent la substance blanche, les cellules n'ont plus leur ordinatio
ont rendus plus évidents par la disparition des cellules. Dans la substance blanche on voit une quantité beaucoup plus consi-
a pourtant peu de corps granuleux dans les couches profondes de la substance grise. Les vais- seaux ne sont pas beaucoup plu
. De plus, on voit, espacés dans les parties superficielles de la substance grise, un certain nombre d'îlots, ou foyers com-
hes. Sur ces points, la disposition des fibres se dirigeant vers la substance est inter- rompue ; les cellules de névroglie s
oir une résistance beaucoup moindre que le reste du tissu, car leur substance est partie par endroits avec la pie- mère, et e
ine, au point de vue des cellules, des couches superficielles de la substance grise, sclérose raréfiante des (1) V. Pilliet.
oelle. Ici, les cellules sont raréfiées dans toute la hauteur de la substance grise, les colonnes de cellules qui la parcourent
bandes épaisses et foncées de tissu de sclérose ; enfin, dans la substance blanche, il existe une émulsion totale de la myél
manifestes et on peut mieux les étudier. On voit qu'à ce niveau, la substance intercellulaire est très abondante, des cellule
in de ces îlots. Ils s'étendent dans presque toute la hauteur de la substance grise, et leur tissu pa- raît extrêmement friab
au centre de chaque foyer, il existel)resque toujours une perte de substance qui s'estproc1uite pendant les manipulations, l
leur forme spéciale. Le cervelet présente ses quatre couches de la substance grise normales en apparence ; les cellules de P
xiste pourtant quelques corps granuleux, mais peu abondants dans la substance blanche. La moelle a été regardée seulement dan
r le carmin dans le cordon latéral de chaque côté, au contact de la substance grise et autour des racines postérieures. Il y
ue DE la lIWELLE, lésion, de la sclérose raréfiante, atrophique, la substance blanche étant prise d'une façon qui est toujour
ant prise d'une façon qui est toujours en rapport avec l'état de la substance grise, paraît l'être secondairement. C'est un c
des adhérences dure-mériennes signalées, où elle adhère aussi à la substance grise, non à la partie pos- térieure, mais à la
liquide absolumentincolore. Lacapsule s'enlève diflicile- ment ; la substance corticale est congestionnée, les pyramides un p
face bosselée lui donne l'aspect d'un rein kystique. A la coupe, sa substance apparaît tranformée en une vaste caverne tuberc
ace on ne trouve que des débris caséeux. A la péri- phérie, dans la substance corticale, se voient d'autres noyaux tuberculeu
rénale avait atteint en quelque sorte son maximum d'intensité. La substance corticale était parsemée de noyaux tuberculeux
89 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
rocédés. Au reste, si on ne peut toujours préve-nir l'introduction de substances étrangères, du moins, avant qu'elles s'épaississe
issent qu'en fracturant et ne peuvent produire nettement une perte de substance par l'ablation d'un disque de l'os. C'est ce qu'a
l'on se propose quant aux divers procédés est d'obtenir une perte de substance autant que possible sans fracture. Aucun n'y réus
peau par une cicatrice vicieuse ; cas plus rare , mais où la perte de substance rend la guérison plus difficile. Ectropion par
paupière entraîne une ouverture de l'œil proportionnée à la perte de substance et, après la cicatrice, la peau de la paupière el
ciseaux courbes. Ce procédé, qui offre l'inconvénient d'une perte de substance du bord cutané palpébral, convient moins que le p
r les vagues notions d'une science encore incertaine , comprit qu'une substance opaque dans l'œil pouvait être un obstacle à la v
des pinces oculaires. On a pour résultat une ouver-ture avec perte de substance , qui offre toutes les chances possibles de ne pas
I" OtOPLaSTIQUE. M. Dieffcnbach a imaginé de réparer les pertes de substance du pavillon de l'oreille en empruntant des lambea
de M. Dieffenbach. Tenté par lui avec succès dans un cas de perte de substance , siégeant à la partie postérieure du pavillon.
ui conservant une largeur deux fois plus considérable que la perte de substance . Peu à peu ce lambeau se rétracte, se durcit et p
ne ouverture permanente. Mais il est évidentqu'aucune perte réelle de substance n'étant produite, rien ne s'oppose à la cica-tris
alva), du sang coagulé (Morgagni), du mucus épaissi semblable à de la substance caséeuse (Itard), etc. B. Les lésions qui font
, qui est le plus parfait, il est très difficile de faire parvenir la substance injectée jusque dans le tympan. La muqueuse du co
les tégumens voisins un 1 ami eau convenable pour réparer la perte de substance de l'organe mutilé. Toutefois cette opération n'e
nouveau. Or deux cas peuvent se présenter: tantôt il y a une perte de substance réelle, compre-nant toute l'épaisseur des parois
fosses nasales. S'il existait sur un des côtés du nez une perte de substance très peu étendue, on pourrait encore, par le simp
rines et masquer ainsi la difformité en opérant une nouvelle perte de substance au lieu de réparer l'ancienne. valeur relative
les raccoutremens du nez, et n'est applicable qu'aux déper-ditions de substance peu considérables. Toutefois les circonstances
e voulue. Après l'action opérée, laver et absterger, pour éteindre la substance corrosive, et l'em-pêcher de se répandre sur les
faire une large ouverture, dirigée d'avant en arrière, avec perte de substance . Si cette échancrure ne suf-fisait pas pour extra
ttière labio-gingivale, clans une étendue proportionnée à la perte de substance nécessaire pour rétablir une conformation dési-ra
irconscrire un étroit lambeau horizon-tal qui doit former la perte de substance , et que l'on détache par une incision curviligne
e, au milieu, par l'ancien orifice et, sur les côtés, par la perte de substance qui a succédé à l'en-lèvement des deux petit lamb
erronée qu'il professait que la division étant toujours sans perte de substance , les parties molles étaient aussi toujours assez
fois la plupart des chirurgiens, précisément clans le cas de perte de substance , ont senti la nécessité d'avoir recours à un moye
. 1 et 2). Après avoir circonscrit entre trois incisions une perte de substance obligée qui, dans ce cas, se trouva de forme quad
glis-sement et sans torsion de pédicule, et l'appliqua à la perte de substance en tendant la lèvre inférieure pour reformer la b
nvénient de ne permettre qu'une réunion imparfaite, avec une perte de substance considérable de la lèvre dont la portion conservé
t 9). Rien n'est mieux combiné que la manière de ré-parer la perte de substance d'une grande partie de la légion buc-cale imaginé
terminées, et la maladie enlevée en entier, reste une large perte de substance de forme quadrilatère. Il ne s'agit plus que de d
ion parotidienne ou supérieure du canal. M. Zancj a recours à la même substance , mais il forme le trajet avec un trocart et gliss
r inflammation du trajet fistuleux. Les cathérétiques et les diverses substances irritantes peuvent y servir. C'est, quanta son ob
Le kyste ouvert, Paracelse et après lui Purmann y introduisaient des substances détersives. Ce moyen, qui provoque une inflammati
un lam-beau triangulaire. L'opération terminée, il reste une perte de substance en V, à deux côtés de longueur inégale. Les deux
r une incision semi-ellip-tique avec des ciseaux courbes. La perte de substance , très con-sidérable au moment de l'opération , se
se. Celle-ci, résultat d'une lésion traumatique avec ou sans perte de substance , peut offrir toute espèce de variétés quant à sa
point intéressée, la scissure ordinairement médiane, et sans perte de substance , gène les mouvemens de déglutition et l'articulat
forme en staphyloplasti-que et uranoplastique dans le cas de perte de substance . STAPHYLORAPHIE. (Pl. 22.) Historique. Quoiqu
parlé plus haut. STRAPTIYLOPLASTIQUE. Dans le cas où une perte de substance trop considérable rend impossible le rapprochemen
cautère l'emploi des escarrotiques ; mais le peu d'efficacité de ces substances , qui, sans détruire, ne font qu'a-jouter une nouv
omme il est naturel de le penser, le plus grand nombre appartient aux substances alimentaires : de petits os, des arêtes de poisso
lus superfi-cielle , nous paraît devoir être préféré. Telle est, en substance , l'opération de la trachéotomie. Ana-tomiquement,
pratiquer, comme le font les vé-térinaires , un orifice avec perte de substance , pour encastrer la canule, en excisant de chaque
as avoir pour conséquence la chute dans le larynx des boissons et des substances alimentaires, au moins pendant tout le temps néce
étalliques, mais plutôt des tiges flexibles de baleine ou de diverses substances , et sur-tout la grande sonde de gomme élastique,
soit de l'obstacle soit de la plaie, pour ingérer clans l'estomac des substances alimentaires liquides ou demi liquides. Il suffit
appropriées pour étendre la pâte chymeuse et diviser ou dissoudre les substances vénéneuses en cas d'empoisonnement. C'est une sim
icielle par la sonde, comme il a été dit plus haut. L'aspi-ration des substances contenues dans l'estomac exige une pompe ou serin
utition de liquides visqueux, huiles douces ou mucilages, ou celle de substances épaisses et onctueuses, comme une figue grasse; d
on, se rangent en deux classes. Les uns se résument en une boule de substances diverses portée à l'extrémité d'une tige flexible
La Faye par une mèche ou un tampon de filasse. Mais l'éponge a été la substance la plus em-ployée. Pour empêcher qu'elle ne se go
20 la nécessité de faire pénétrer par une ingestion artificielle des substances ali-mentaires dans l'estomac, afin de prolonger l
telle que l'on a peine à recouvrir la plaie. Si cependant la perte de substance est trop considérable pour permettre de rapproche
it, à l'exemple de M. Martinet (de la Creuse), suppléer à la perte de substance en excès par la méthode autoplastique, en emprunt
Sansón, qui prouvent que la lésion du péricarde, et même celle de la substance du cœur, ne sont pas nécessairement mortelles, le
t, c'est un in-convénient assez grave que la plaque soit formée d'une substance non altérable, car il serait possible qu'en parco
int, nous pen-sons qu'il conviendrait mieux de les fabriquer avec une substance assez solide pour rester en place tout le temps c
e , leur angle d'inclinaison varie en raison de l'étendue de perte de substance qu'a subie le tube intestinal; ainsi qu'une anse
sont mous et composés de cuir, de futaine, de toile ou de toute autre substance non métal-lique, ainsi que ceux qui, durs ou infl
mètres. On le garnit de bourse, de crin, de coton ou de toute autre substance molle et élastique, et on recouvre le tout de pea
ion suffisante avec ce moyen ; on a proposé aussi d'y intro-duire des substances astringentes , dans le but d'obtenir l'oblité-rat
ération. Plus tard, l'auteur crut voir que de simples ban-delettes de substance animale étaient suffisantes pour arriver au même
es deux bouts de l'intestin d'une étendue proportionnée à la perte de substance qu'il a subie. Il est facile, en introduisant le
ou moins mélangé de ma-tières stercorales, des vers ou des débris de substances réfractaires à la digestion et qui, naturellement
ques à la ligature en se servant pour la faire d'un cordon enduit, de substances escharotiques; mais en outre il avait hérité, de
Dans le cours des deux derniers siècles, on revient à l'emploi des substances détersives esebarotiques et caustiques sous toute
Saba-tier, le caustique est porté sur une tente ou un bourdonnet. Les substances employées de préférence sont en grand nombre, le
autre injection irritante. Incisions. Lorsque la majeure partie des substances contenues dans la tunique sont constituées par de
ladone, de camphre et d'onguent napolitain, se fondant sur ce que ces substances ont une ac-tion remarquable sur les artères, dont
é l'imagination des chi-rurgiens et leur a fait proposer une foule de substances pour la construction de ces sondes. YanHelmont vo
t aux évacuations sanguines, locales et géné-rales, et à l'emploi des substances émollientes qu'il faut avoir recours. Si, au li
ssu blanc qui peut se confondre avec les tissus voisins et former une substance susceptible d'acquérir la dureté et la consistanc
courtes pour les enfans. On a employé pour les confectionner diverses substances telles que le plomb seul ou uni avec l'étain ; ma
usquiame, le mer-cure, l'acétate de plomb, l'alun, et diverses autres substances caus-tiques, narcotiques , cathétériques , mêlées
on ne peut guérir d'une manière radicale qu'en subissant une perte de substance , tandis que si elle est simplement dilatée, elle
ns son intérieur certains instru-mens, bougies, ou autres, chargés de substances caustiques dans le point qu'on supposait devoir r
étaient : le vert-de-gris, le vitriol, la sabine, l'alun, mêlés à des substances emplastiques. Procédé dA. Paré. Partageant les
de l'urètre, comme dans les cas de brûlures de la peau avec perle de substance . Mais en se bornant à appliquer le caustique de m
nce entre leurs orifices est plus directe et plus courte, la perte de substance subie par l'urètre plus considérable, l'âge des m
de ces mêmes moyens, on peut tenter encore de réparer la perte de la substance aux dépens des tissus voisins . La méthode indi
ar anticipation, de celui dans lequel on voudrait combler la perte de substance au moyen d'un bouchon de peau. Mais si le procé
ntenir pro-visoirement à l'état de fistule une portion de la perte de substance ou à pratiquer au besoin, au périnée, l'opération
nférieure de l'urètre à partir du gland jusqu'au scrotum. La perte de substance avait été pro-duite par un amincissement et une m
itation qui aurait pro-bablement lieu si on avait employé toute autre substance qui se fût opposée à la sortie de l'urine. Chez l
la simple adhérence de la pierre par des brides qui pénètrent dans sa substance ; on juge de cette circonstance par le jeu de la
els il croit pouvoir détruire le calcul. Si de nos jours l'énoncé des substances dont il faisait usage peut nous paraître ridicule
ues lithontriptiques. A partir de cette époque on voit employer mille substances plus ou moins insignifiantes: des cloportes, des
irmatif des expériences de MM. Woehler et Magendie sur le passage des substances solubles dans l'urine, il est certain que ce liqu
croissement progressif des accidens qu'elles provoquent. Tel est en substance aujourd'hui l'état de la lithodialysie. De nouvea
a surface de la plaie avec un pinceau imbibé d'eau de Rabel, ou d'une substance légèrement caustique, ou même la tamponner avec d
ou même la tamponner avec des bourdonnets de charpie imbibée de celte substance . M. Velpeau dit qu'on pourrait aussi porter dans
ucoup de fistules de celte nature surviennent à la suite de pertes de substance plus ou moins étendue de la cloison, et que celte
substance plus ou moins étendue de la cloison, et que celte perle de substance est encore augmentée par la nécessité où l'on se
t remplacé dans une partie ou dans la totalité de son étendue par une substance solide. Quelle que soit la cause de l'occlusion
e et récente, et non une ulcé-ration à bords calleux et avec perte de substance . La guérison spon-tanée peut encore survenir lors
s les cas où la fistule est grande et surtout accompagnée de perte de substance : c'est ordi-nairement par la cautérisation qu'on
es ont au-delà d'un demi-centimètre, pour peu qu'il y ait eu perte de substance dans la cloison, la cautérisation seule ne peut p
stuleux a plus de i centimètres d'éten-due, et résulte d'une perte de substance qui pourrait faire crain-dre que les lèvres de la
celles dans lesquelles la cloison vésico-vaginale a subi une perte de substance telle qu'on peut introduire avec facilité plusieu
etenir, tenir en place) s'ap-plique à des instrumens particuliers, de substances diverses et déformes variées, qu'on introduit dan
, de la laine, des éponges, des sachets remplis de tan , etc. , ou de substances diverses. Albucasis s'est servi, dans le même but
ent, le cuivre, le plomb et l'étain , ont été mis en usage. Parmi ces substances les unes étant trop lourdes , les autres trop fac
succès. Au lieu du forceps on pourrait enfoncer des crochets dans la substance du polype pour tirer dessus. Dans trois cas, M. V
t blesser les parties saines s'ils venaient à déchirer tout-à-coup la substance du polype dans laquelle ils sont enfoncés, on pou
nt de prendre garde , en étreignant le lien , de ne point dépasser la substance du polype; au reste, si la malade éprouvait des d
te crainte est fondée, puisque, dans quelques cas, l'absorption de la substance toxique a déterminé la mort. Pour appliquer le ca
ressions que dans les opérations subséquentes, il entame au besoin la substance de ces muscles. Enfin, il a eu connais-sance des
il divise les deux muscles et enlève une portion triangulaire de leur substance , dont la base correspond à la muqueuse; puis il f
nt être construits mécaniquement, de telle sorte ou composés de telle substance , qu'ils puissent se mouler exactement sur la form
M. Bou-vier à cet égard sont loin d'être aussi absolues. En voici la substance (i) : « Tantôt le faisceau sternal et le faisce
. —Fi-gure 10. Rapprochement par des sutures des bords de la perte de substance d'où résulte l'élévation forcée de la paupière et
vant le procédé de M. Lalle-mand, le bord le plus près de la perte de substance vient rejoindre l'angle de la plaie; tandis que l
Réunion du pédicule réappliqué au sommet de la plaie avec perte de substance . (h) Réunion, par des sutures, du pédicule du l
te du nez, vue de profil (Jîg.i), et de face [fig- 5). (i) Perte de substance formée sur le front par la taille du lambeau, (k)
t il a fallu pratiquer l'arra- chement. b. Surface de la perte de substance dont le lambeau a été enlevé. c. Lambeau taillé
). Des points de suture sont posés aux deux extrémités de la perte de substance pour commencer le rapprochement des bords de la p
ntre les deux bouts de l'intestin. Ce moyen donne lieu à une perte de substance dont la forme est celle du canal lui-même. FIGU
90 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
calme aussitôt la douleur des yeux, causée à l’improviste par quelque substance étrangère, moyennant l’application d’un mouchoir
paru d’abord. S’il n’y a aucun rapport réel entre les objets et cette substance spirituelle qui les aperçoit; si nos perceptions
sionnelles de la manifestation que Dieu veut bien faire à l’âme d’une substance où s’en trouvent tous les archétypes : la percept
icipe de sa vie. S’il croit en la vertu, en l’elli-eacité de certaine substance , il transmet sa pensée et des phénomènes se mond
l’aconit, la belladone, le stramoine, l’arnica, le chanvre et autres substances du règne végétal. » Ils prétendent que l’effet
filante, comme la pâte de guimauve. Dans d’autres cas, ou y mêle des substances excitantes, telles que cannelle, girolle, vanille
és intellectuelles, et il en conclut au danger d’user de ces diverses substances toxiques, douées d’action plus ou moins vive sur
ransitoire ordinairement, parfois durable et permanent. En effet, ces substances sont des poisons pour le cerveau, comme d’autres
xcitants qui a donné plus d’une névralgie à nos élégantes. » Si ces substances narcotiques ne nous mettent pas précisément en ra
nde de préjugés, de détailler, sans commentaire , la très-remarquable substance d’un dialogue qui eut lieu entre un somnambule et
organique, le monde extérieur touche le corps entier, — qui est d’une substance ayant quelque affinité avec le cerveau, comme je
ous n’avons pas une conception sui generis, adéquate, de l’expression substance en elle-même. Nous ne pouvons pas regarder cela c
feu composé et non pas bi-composé. 11 est seulement véhicule de deux substances , calorique et lumière, mais il n’a aucunement les
celui des nuances qui ne sont pas chaudes. » Quelles sout les deux substances dont l’arome solaire est composé? C’est ce qu’il
de celle du blanc solaire, ou blanc de lait, (pie cet astre donne aux substances . » Lorsque nos corps, après un raffinement de 1
pansion, fait revenir le sang vers le cœur. Le cerveau, composé d’une substance toute sensitive, est complètement attractif ou po
mpressions sont irrésistibles. Les nerfs sensitifs ont pour agent une substance éthérée qu’on peut appeler magnétisme, et les ner
de M. J. Mathieu sur le moyen d'empêcher la magnétisation à l'aide de substances absorbantes, 123. — Réponse de M. du Potet, 125.
05, 336. Somnambulisalion. — Définition, 279. Sorcellerie, 314. Substances anti-magnétiques, 124. Suppression menstruelle,
subtil que l’éther, ou ce fluide même enseigné par le célèbre Euler, substance très-com-municable, et essentiellement puissance
d’apprécier, par le simple toucher, les qualités d’un grand nombre de substances . Ce fait n’est pas constaté. Les sensitives, en a
ives, en appréciant dans des séances différentes un certain nombre de substances fournies par une pharmacie renommée, se sont donn
de la (I) L'homme est uno unité trinaire décomposable en : 1" Ame, substance essentiellement spirituelle et intelligente; î° F
certains médicaments, force la surexcitation à s'éteindre. Toutes les substances capables de produire cet effet sont dites hyposth
itale, la belladone, la jusquiame, les acides, l’émétique, etc. ; les substances agissant en sens contraire sont appelées hypersth
re pour que l’effet hyposlhénique soit produit; car, sans cela, telle substance qui est déprimante pourrait être excitante. Je
ion toute semblable, et si ce fait ne se répéterait pas pour d'autres substances capables aussi de développer des maladies. Hahn
ropriété d’ajouter aux efforts de la nature, c’est-à-dire, choisir la substance dont les effets sont les mêmes que les symptômes
t physiologiquement. Mais bientôt Hahnemann poussa la réduction des substances qu’il employait jusqu'à l’invisible et jusqu à l’
la manière de préparer toutes les teintures médicamenteuses. Pour les substances solides qui ne sont pas solubes, on procède par t
sont pas solubes, on procède par trituration. On mélange ungrain delà substance avec centgrains de sucre de lait, et on broie un
on prend un grain de ces cent grains, soit le centième de celui de la substance , et on agit de même avec cent autres de sucre de
On compare bien il est vrai, ce qui se passe, dans le broiement des substances au plaleau de verre frottécon-tredes coussins, et
plusieurs centaines de bocaux qui ne renferment que de l’érudition en substance pour le formuliste, de l’argent pour celui qui fa
nicieuse des systèmes, ne détruit pas la propriété médi-catrice des substances . J'ai une lièvre inflammatoire, ma tète est le
ps à un matras, dans lequel vous avez rassemblé un si grand nombre de substances dont vous connaissez peu le mode intrinsèque d’ag
dividus pour lesquels la croyance avait la valeur et la qualité de la substance . Je m’explique : en magnétisme on peut charger un
1) ! (1) Iles faits bien constatés prouvent cependant aussi que des substances magnétisées agissent réellement sur des personnes
tre à même de juger leurs moyens de défense, je vais en reproduire la substance . Voici ce que dit le docteur Jahr : « Quelque a
osait en principe que, plus on divisait les parties matérielles d’une substance , plus la vertu ou l'esprit du médicament se metta
dire : Si ce principe est vrai, un grain de la 30e atténuation d’une substance , dont un grain donne la mort, devra produire ce r
e l’homme des principes de géométrie et de physique. Les atomes d’une substance vont s étaler dans le corps,comme le sable sur la
cation trop variée, trop luxueuse et trop énergique par les doses des substances qu'elle administre dans îles affections qui guéri
t une continuité entre toutes les parties de ce grand univers. (Jette substance éihérée, loin d’être constamment uniforme et semb
ides d’un excitateur à travers une petite boite en verre pleine d’une substance odorante pulvérisée, il en dégage l’a-rorae d’une
théorie; il a tenté par voie électrique l’administration de diverses substances médicamenteuses telles que le soufre, l’iode et l
t des propriétés des milieux qu’il traverse et produit les effets des substances traversées. Celte théorie séduisit l’esprit de qu
magné-tistes. En vain leur objectait-on que, connaissant la vertu des substances qu’ils employaient, il y avait simplement transmi
ur leur identité; et de ce (pie celle-ci transporte les molécules des substances ils ont conclu que celui-là les transportterait a
ent avec ses principes, M. Raspail a composé sa médication avec les substances qui sont destructrices des animaux parasites de l
réunissait en lui les propriétés spécifiques reconnues dans quelques substances , il serait, à coup sûr, la base de toute thérapeu
té c’est la raison pour laquelle mon pauvre petit article, n'étant en substance (pie le type anticipé de celui qui vient de paraî
plus invétérées. «Gardez-vous bien, disait Socrate, de mépriser les substances invisibles; reconnaissez leur puissance par leurs
91 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
as de connexions avec la capsule. D'autre part, l'homogénéité de la substance grise des noyaux lenticulaire et caudé, en bas
r situation entre la bandelette optique (partie céré- brale), et la substance innommée de Reil ou anse pédonculaire de Gratio
du noyau lenticulaire et la queue réfléchie du noyau caudé. Cette substance blanche est formée principalement par les fibre
mmissure cérébrale antérieure, et en est séparé par une couche de substance grise de quelques millimètres d'épaisseur, subs
ne couche de substance grise de quelques millimètres d'épaisseur, substance grise servant à unir celles du septum luci- dum
nt au contraire nettement dans le bas. On les voit pénétrer dans la substance médullaire ou cen- tre ovale du pédicule sphéno
out le cerveau de l'animal. Meynert qui a étudié la structure de la substance blanche hémisphérique avec non moins de soin qu
ou un plus grand nombre de plis. Sur les centres lobulaires de la substance blanche il semble que les fibres de Gratiolet l
e que les auteurs sont loind'être dans le vrai, en considérant la substance corticale comme étendue à la façon d'une coiffe
ur les libres tendineuses qui sont en rapport de continuité avec la substance musculaire, ou sur les rameaux nerv ew moteurs
dictoires, sont ceux où on a obtenu des effets par l'application de substances réputées inertes. Il faut remarquerque ces subs
pplication de substances réputées inertes. Il faut remarquerque ces substances comme le caoutchouc durci, l'ivoire, la cire à
s 108 REVUE CRITIQUE. bien des circonstances on a appliqué, comme substance inerte, en vue d'expériences de contrôle, des s
iqué, comme substance inerte, en vue d'expériences de contrôle, des substances que leurs propriétés électriques rendaient au c
tre les solutions de sels métalliques et l'eau distillée, certaines substances médicamenteuses et au premier rang la pilocarpi
e, en superficie et en profondeur, avec la même régularité qu'une substance poreuse homogène selaisserait imbiber par un liqu
etrait de la surface encéphalique, observés dans le cas de perte de substance de la boîte crânienne, s'effectuent sous l'infl
ns furent la conséquence de ces muti- lations. La destruction de la substance blanche et son excita- tion dans les zones motr
otrices produisirent les manifestations bien connues, tandis que la substance grise des mêmes régions était incapable de réac
ande au Dr BEAcn s'il a trouvé chez les idiots l'hypertrophie de la substance grise qu'a signalée Mierze- jewsid. , Réponda
nérée, au delà de laquelle était un espace clair. -3°Il a trouvé la substance grise atrophiée, mais jamais hypertrophiée. Le
ce bord libre, on trouve sous le corps bordant une épaisse bande de substance grise présentant des alternatives de saillies e
lution temporo-occipitale), les auteurs sont amenés à décrire la substance grise de la corne d'Ammon, en partie, comme une
partie, comme une circonvolution retournée, c'est-à- dire dont la substance grise pénètre dans l'intérieur de l'hémisphère
e dont la substance grise pénètre dans l'intérieur de l'hémisphère ( substance grise de la corne d'Ammon), et en partie comme
mmon), et en partie comme une formation nouvelle et sur- ajoutée ( substance grise du corps godronné). Les principaux points
sseaux qu'il renferme, lesquels sont très serrés, empiètent dans la substance des couches les plus super- ficielles des deux
de fulmi-coton (par l'alcool et l'éther, sans ricin ni aucune autre substance ); son LA CORNE D'AMMON. 169 séjour dans ce co
squ'il se durcit à l'air libre. La pièce est ainsi incluse dans une substance résistante, mais élastique, facile à couper, pr
r les mêmes caractères mécaniques que la moelle de sureau ; cette substance a pénétré dans toutes les an- fractuosités, dan
itation des petits rameaux nerveux et de leurs terminaisons dans la substance du muscle ? La solu- tion de ce problème ne sau
ciens caillots dans l'hémisphère gauche avec ramollissement 'de la substance cérébrale siégeant en dehors du ventricule laté-
, ou bien d'une lésion portant atteinte, plus profondément; dans la substance ner- veuse ? Je crois qu'il serait téméraire de
our lés relations ' établies entre'la corne'etle lobe occipital, la substance blanche^ du lobe sphénoïdal; l'écorcé grise dû
aractère propre d objectivité. )pUqtto3'ni I 3° Ce' souvenir et' la substance du délire intellectuel i n'exer ; 6entl qu'une
92 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
onnement et de l'examen réfléchi. Cen'estqu'en se concentrant que les substances acquièrent de la consis^ tance. Que les vapeurs q
rre avec du blanc d’Espagne, son bec étant aussi blanchi avec la môme substance et touchant à cette ligne. L’hypnotisme le plus c
e tête, si le ceiTeau est mis à nu, il suffit de la compression de la substance cérébale pour plonger le malade dans une léthat^i
rganismeétranger, ce fluide, qui est matière, peut-il agir sur l’âme, substance immatérielle 7 6* Comment l’âme, substance imma
peut-il agir sur l’âme, substance immatérielle 7 6* Comment l’âme, substance immatérielle, peut-elle être unie & la matièr
ous donc cequ’ilt en/enc'aienl? ) ; mai» ilâ indiquaient une certaine substance du inunde inférieur, anaUi^ue au soleil, douée d'
and (i leur volonté l'ordonne, sont mus par des vibrations de cette « substance spiritueuse. » Un savant moderne, M. Babinet, a
Je consultai l’ouvrage de Jahr, et j’enfermai dans un petit papier la substance que l’ouvrage indiquait; mais avant de la lui rem
gt inseusible, je ne sentirai aucune douleur, et avec l’aide de cette substance Loméopathique, je pense être guéri en moins dc si
terminée, en attirant sans cesse dans leur composition une partie des substances environnantes et en rendant aux éléments une port
s environnantes et en rendant aux éléments une portion de leur propre substance . Elle est l’apanage du règne végétal aussi bien q
erfs-réophores qa’un corps extérieur a impressionnés. L'aue est une substance immatérielle, l’mmwiréfe, imperfectible, immortel
très-évidemment agi, malgré le summum fabuleux dc l’attéuuation de la substance mòre. On objecte que, si ce n’est pas l’imagina
nce tle tuus les corps, entendre s qu'elle est répandue dans toute la substance du bi>is, dans les berbes, • dans les pierre
'indique) ue tendent qu'à sublimer, éthériser le gaz générateur de la substance médicative, est-il ratlonnei, bien que l’étroites
ple de Cabanis, à peu de modifications près. L’âme, dit-il, est une substance ¡mmatérielle, mmnioble, imperfectible, immortelle
considère l’éther comme étant en même temps un agent fîuidique et une substance pondérable. Ce qui n’est rien moins qu’un non-sen
M. Dumas sur les équivalents chimif/ucs tendeut à faire admettre une substance unique comme base de tous les corps. On pniil d
l-môiiie l'œuvre sublime du C.réatenr : — Unité de forciî, usrrÈ de substance chimique. La vie et l’harmonie qui rôgneut dans
is, il faut des machines d’induction qui marchent sans acide, car ces substances ont une action médicamenteuse sur l'organisme qui
ta combinaison des acides, et pour la raagiictisaiion électrique ces substances ne doivent pas exister. Je fais faire en ce mom
est communément lorsque l'amorr est passé qu’il voit clair. Certaines substances , commo l’opium, le ciiaii-vre, etc., hypnotisenté
er ici : qu’il établit scienlifiquemenl l’existence irréfutable de la substance invisible ? Or, cette substance, pour avoir gén
emenl l’existence irréfutable de la substance invisible ? Or, cette substance , pour avoir généré notre terre et tout son mobili
ltraction, et l'on devine aisément quelle a dù être la finesse tle la substance qui la compose. En évaluant à 9 millions de mille
notre corps a les siennes actuellement. Leur configuration est d'une substance légtrc. Nos corps sont d'une nature épaisse. C'
en neuf mois le chemin suivi, pendant des milliers de sibcles, par la substance animale, pour arriver à produire notre espèce?
n somnambule en saturant ces parties de fluide, et si vous prenez une substance quelconque dont le sujet ignore les propriétés de
e somnambule ne pourra, en aucune façon, apprécier la saveur de cette substance . Donc, le sens du goût s’exerce bien et dûment
oclame, comme moi, ce principe fondamental : cnité DE FOBCE, üNiTÉ DE SUBSTANCE ; c’cst concÎs, Catégorique 6t précis. L’unité d
ont engmdrés par lo mouvement, unité de force 1 et d’un. L’unité de substance , c’est l’étber-pantogène, seul corps simple. - Ai
l en fasse partie intégrante 1 et de deux. Unité de force, unité de substance , c’est-à-dire une force ET une substance. Or, dan
. Unité de force, unité de substance, c’est-à-dire une force ET une substance . Or, dans ses prémisses, il définit l’éther : I
d’un mouvement subjec-r tif; i> de sorte que l’éther est à la fois substance , force mo~ trice et phénomène ! et de trois. Ce
ciTet, plus Pour couronner l’œuvre, il nous annonce que l’unité de substance est, en fin dc compte, le fluide magnétique lui-m
considère l’éther comme étant en même temps un agent Huidlque et une substance pondérable; ce qui n’est rien moins qu’un non-sen
; fluide, ce qui coule, ce qui est à l’état de liberté moléculaire ; substance , ce qui constitue les divei s corps de la nature
e la nature (Bescherelle aîné). Un agent fluidique peut donc être une substance pondérable. Si le néant était à la disposition de
euses, en petits microcosmes entourés chacun d'une atmosphère de même substance non condensée; que du mode de groupement ou du no
réponds qu’il n’y a aucune confusion possible entre une force et une substance , et que je n’ai pas à définir un corps qui n’exis
¿68). Parbleu, il y a plus que cela, puisqu'il a proclamé l’unité tle substance ; fluide vital, magnétique, électrique, éther, etc
ses. Malheureusement il confond sans cesse les notions de force et de substance , et c'est ce qui jette la perturbation dans ses i
ière, la chaleur et l’attraction sont des phénomènes dus à l’unité de substance mue par l’unité de fojxe. 4* expérience : J’ign
le malade a lait usage, et les propriétés dont on a gratifié bien des substances et des méthodes de traitement, ne sont pas réelle
rouüne qui continuent la veilu médicatrice de telle et telle plante, substance et méthode. Scrutez l’histoire des doctrines médi
la forme peut être détruite s.aiis que l'agent vital [tû eat dans la substance disparaisse. C’est ce principe vital que l'art
cette dose sans eflet appréciable. De même pour le mercure et autres substances . Or, ces globules vous les employez à la 30*, 200
onc il y a une médecine basée sur •opriétés matérielles de cei'taines substances , icamenteuses se prouvent facilement à l'ob-l'en
s fictives et seu-ales, ces effets sont dus k l'une des deux ées. Les substances de Tbomceopathie dites ont perdu toute trftce de
le iisagé et un néologisin« qui 0 votre |>eQSé«, tous dites : • La substance fvid*, ^ DQtre terre et tout sau mobilier, hofnio
ables, conduit aux spécifiques, et toutes les doctrines acceptent ces substances salutaires; et pour les virus, nous sommes aussi
faomme est âme,espritet corps, agit sur cette unité trinaire avec les substances que la nature a douées de certaines propriétés, a
tabli par le Créateur fui renversé, le rapport naturel entre les deux substances étantdérangé, la hiérarchie intervertie, le troub
les plexus nerveux, et par dessus tout dans le plexus solaire. L'âme, substance fluide, est expansible et coercible. Elle se conc
vivacité, de subtilité que le feu et la lumière, il parait être une , substance corporelle, evpcAlt de t^ateuaultr, de se cuosoin
93 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ctéristiques que les autres méthodes de coloration décèlent dans la substance grise et dans les cordons blancs. * Ces restric
ieurs, se colorent très bien et ne présentent pas d'altérations. La substance grise est normale au point de vue de la richesse
ce dernier. En aucun point la zone de dégénérescence ne touche a la substance grise dont elle demeure toujours séparée par une
aux dont le droit est plus malade que le gauche. Le chevelu de la substance grise parait partout normalement déve- loppé.
s cordons postérieurs sont partout parfaite- ment intactes. 5) La substance grise présente dans la région dorsale, une légère
mais celles que l'on voit semblent normales. 7) Le chevelu de la substance grise est, tant dans les cornes antérieures, qu
nte. Mais nous croyons plutôt qu'elle relève d'une altération de la substance grise, alté- ration légère caractérisée par une
des lacunes de la grosseur d'un grain de millet qui siègent dans la substance blanche, au niveau de la circonvolution frontal
par plusieurs métho- des. 1° Méthode de Nissl pour l'examen de la substance grise et des cellules nerveuses. 2° Méthode d
asses proviennent de la trans- formation lente et progressive de la substance chromatique du proloplas- ma. Quant au noyau et
e des fibres y est certainement inférieur à la normale. - Dans la substance grise, te réseau des fibrilles nerveuses, qui jus
s nerveuses, qui jusqu'alors était très bien conservé dans toute la substance grise, éprouve une raréfac- tion notable au niv
ntes. A l'examen microscopique on rencon- tre des altérations de la substance grise et des altérations des cordons. 1° Lésion
la substance grise et des altérations des cordons. 1° Lésions de la substance grise. - Il existe des lésions des cellules et
rinesco les attribue à la transformation lente et progressive de la substance chromatique du protoplasma. Le noyau et le nucléo
vées ; mais le réseau de fibrilles est atrophié. 2° Lésions de la substance blanche. I. - Dans le cas de Marinesco, la subs
Lésions de la substance blanche. I. - Dans le cas de Marinesco, la substance blanche antéro-latérale était intacte. Dans notre
esco les amas de pigments comme l'indice de la transformation de la substance chromatique de la cellule; plus du tiers des cell
onsistance normale. Reins. Pas de délimitation nette entre les deux substances corticale et centrale ; décortication difficile
me à un examen attentif. Les parties claires qui correspondent à la substance interfibrillaire sont amincies considérable- me
nution du volume du muscle dépend non pas d'une destruc- tion de la substance contractile, mais d'une atrophie de la substance
estruc- tion de la substance contractile, mais d'une atrophie de la substance inter- fibrillaire à laquelle le muscle est en
ugiiten, Külliker ont insisté sur la commissure protoplasmique delà substance grise. Les corps cellulaires des parties médianes
nt la commissure antérieure pour se ramifier et se terminer dans la substance grise delà moitié opposée delà moelle. Par ces
t dans les affections générales qui comportent une altération de la substance grise centrale. Toutefois dans la syringomyélie
la cause véritable dans la lésion des cordons médullaires et de la substance grise de la moelle. D'après les recherches de R
ique aidée par l'anatomie pathologique montre que les lésions de la substance blanche des cordons postérieurs se tradui- sent
i- sent surtout par de l'anesthésie tactile ; que les lésions de la substance grise centrale donnent habituellement naissance
l'expression d'une lésion intra- spinale qui intéresse à la fois la substance blanche des cordons postérieurs et la substance
éresse à la fois la substance blanche des cordons postérieurs et la substance grise centrale. En résumé, les troubles objecti
émisphère droit. /jfemo)' ? '/Mtp ancienne à ,gauche au niveau delà substance blanche du pli courbe, du lobule du pli courbe
i-jointe (Fig. 2). Nous verrons plus loin que cette intégrité de la substance grise n'est pas absolue, car il y a un petit fo
de la partie moyenne de l'insula jusqu'au pli courbe et limité à la substance blanche sauf dans le point cité plus haut. Le
e n'est pas lésé ; on en distingue les différentes couches. Dans la substance blanche de la partie supérieure du pli courbe,
rougeàtre indiquant la limite extrême du foyer hémorrha- gique. La substance corticale est indemne, le ventricule a les dimens
ntricule est déplus en plus large. L'hémorrhagie a détruit toute la substance blanche des circonvolu- tions pariétales dans l
r du ventri- cule, el étend des prolongements plus marqués clans la substance blanche de la circonvolution pariétale supérieu
II et Schéma 5). C'est le centre du foyer hémorrha- gique. Toute la substance blanche sous-jacente au lobule du pli courbe est
tance blanche sous-jacente au lobule du pli courbe est détruite. La substance grise n'en est pas touchée. Mais la face inféro-i
envahie par l'hémorrhagie. En bas le foyer s'arrête au niveau de la substance blanche de la 2e temporale. La coupe passe ici au
insula apparaît à ce niveau au fond de la scissure de Syl- vius, la substance grise est séparée du foyer hémorrhagique par une
e grise est séparée du foyer hémorrhagique par une mince couche cle substance blanche. La lésion a complètement détruit ou coup
on a complètement détruit ou coupé les faisceaux qui constituent la substance blanche de la 1" temporale, du lobule du pli co
e l'écorce de la pariétale ascendante, en bas, elle pénètre dans la substance blanche de la -1 r8 temporale. Un cons- tate un
apsule externe, elle laisse indemne à sa partie moyenne une zone de substance blanche qui tapisse l'insula (capsule extrême),
Elle a coupé toutes les fibres profondes de l'insula et atteint la substance blanche de la première temporale. La coupe 1
e de M. Déjerine, on y note la limitation précise de la lésion à la substance blanche. Le pointillé passe seulement en un poi
a substance blanche. Le pointillé passe seulement en un point de la substance grise qui, dans la réalité, n'est pas à ce nive
t pas à ce niveau englobé par la lésion : ceci pour rappeler que la substance grise est détruite dans un point limité de la pre
servation, si la limitation de la lésion presque exclusivement à la substance blanche confirme la nature sous-corticale de l'ap
le de l'aphasie am- nésique, l'étendue même de cette lésion dans la substance blanche ne per- met nullement de déterminer une
e ni l'oxyde de carbone, ni le plomb, ni l'arsenic, ni aucune autre substance toxique n'ont pu être mises en cause dans notre
94 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
de Sylvius). A cer- tains endroits, on produit des éraillures de la substance grise; c'est principalement sur l'hémisphère dr
tout en arrière. - CCCA assez simple, avec de nombreux points où la substance grise a été enlevée. - LP gros, avec encoche pr
ons inflammatoires chroniques très étendues de la pic-mère et de la substance grise d'un certain nombre de circonvolutions.
- Cavernes pulmonaires. - Lésions chroniques des méninges et de la substance grise des circonvolu- tions. Boucher... Ségui
elle de pie-mère sans entraîner une couche plus ou moins épaisse de substance grise. Les adhérences existent également sur
décortiqué. Face interne. La pie-mère est aisément séparée de la substance cérébrale. La circonvolution du corps calleux e
e facilement. En enlevant la pie-mère, on entraîne des fragments de substance cérébrale sur la circonvolution de l'hippocampe
e la décortication de la pie-mère avait mis à nu le squelette de la substance blanche. VI. Pseudo-porencéphalie : Hémiplégi
erture de la dure-mère, on aperçoit une vaste poche creusée dans la substance cérébrale que recouvre la pie- mère ; à l'ouver
convolutions sont déchi- quetées et considérablement atrophiées, la substance grise indurée ; la pie-mère, épaissie, est adhé
ec quelque soin l'enlever sans entraîner de frag- ments notables de substance cérébrale. La scissure de Syl- vius, par suite
cir- convolutions sont à peine saillantes, presque nulles, et la substance cérébrale sclérosée forme une coque mince et dé-
a corde myélocytiques du cervelet, et enfin par un centre réduit de substance blanche dans laquelle se trouvent des corps gra
sion de la myéline. On peut suivre les libres descendantes de cette substance dont l'étendue est du reste fort restreinte.
ière enfance. La couche de myélocytes qui constitue à elle seule la substance grise des circonvolutions se poursuit en diminu
: 1° Lobe frontal. On constate que la couche superficielle de la substance grise est intacte. Il n'y avait donc pas d'adhé-
leurs pro- longements. - Les faisceaux descendants qui vont à la substance blanche ne présentent pas de paquets de fibres
nce. Ses alvéoles sont considérablement élargis, distendus par la substance colloïde et sont sensiblement plus dilatés que
presque cartilagineuse de ces foyers d'encépha- lite. Voilà pour la substance grise. - Dans la subs- tance blanche, la lésion
res. 121 qui est la plus large. La membrane qui ferme la perte de substance est résistante surtout en arrière, où l'on trouve
sseux très net. La seconde craniectomie a laissé une vaste perte de substance antéro-postérieure, un peu oblique en bas et en
. Ici l'atrophie est très prononcée. Les dif- férentes couches delà substance grise, sauf la première, sont absolument confon
ait exister, mais le malade ne fournit aucune ex- plication sur les substances qu'on lui fait sentir. Pommettes saillantes, ma
nlèvement entraine avec elle une couche plus ou moins profonde de substance grise sur les circonvolutions suivantes : les tro
circonvolutions, l'enlèvement de la pie-mère entraî- nait toute la substance grise, laissant à nu la subs- tance blanche, fo
ue 7 du 1 ? avril au 30 sep- tembre 1889, temps durant lequel cette substance a été employée, tandis que durant la période co
95 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
pris des mesures inspirées par la prudence la plus élémentaire : les substances toxiques sont placées en des mains dignes de conf
ée de vérifier les expériences de M. Luys sur l'action à distance des substances médicamenteuses, s'est pleinement réalisé. La c
uand cette personne buvait. Elle reconnaissait toujours exactement la substance que je mettais dans ma bouche et distinguait parf
précautions. Elle fit placer dans un certain nombre de tubes diverses substances ayant un numéro d'ordre. Ces substances ignorées
tain nombre de tubes diverses substances ayant un numéro d'ordre. Ces substances ignorées de tous furent préparées par une tierce
M. le rapporteur constate encore des effets différent» pour les mêmes substances employées à divers jours d'intervalle. M. Luys ma
re la notion fondamentale relative su mode d'action physiologique des substances toxiques et médicamenteuses et la doctrine de leu
ions fonctionnelles caractéristiques de l'action physiologique de ces substances , tandis que, dans les observations de M. Luys ou
re la notion fondamentale relative au mode d'action physiologique des substances toxiques et médicamenteuses et les faits signalés
en présence des manifestations fonctionnelles caractéristiques de ces substances . Aussi ce même auteur émet l'avis que la svmptoma
ation s'étendrait, dans le cas où l'action contraire se produit, à la substance du corps strié, c'est-à-dire au centre thermique
e trouble en ces termes : « Si l'usage du chloroforme et des autres substances toxiques est licite, c'est que, leur action trans
pposant que sa vertu thérapeutique fût capable de remplacer celle des substances dont nous parlons. Mais les effets de l'hypnotism
gtemps d'insomnie, je l'endors par l'usage, a dose thérapeutique, des substances somnifères connues : éther, colorai, opium, ou pa
de Bruxelles, que l'usage de l'hypnotisme, comme l'usage de certaines substances toxiques, fût interdit au public et réservé aux m
la suppose définitivement établie. On administre à un homme sain une substance , et à partir de ce moment l'observateur, ou plutô
t ce qui se produit en lui. tout ce qu'il éprouve, et l'attribue à la substance administrée. Ou voit combien, est imparfaite cett
ifiques, un travail de contrôle. Les expérimentateurs se procurent la substance annoncée et l'administrent, a leur tour, à d'autr
encent, et on arrive à démontrer que ces différences tiennent ou à la substance employée, qui n'est pas toujours la même, ou à la
charlatans, il offrirait les mêmes dangers que présente l'emploi des substances toxiques, telles que la morphine, la digitale emp
de lait étant adoptés comme véhicules, on prend une partie de !a substance active et on la mêle à 99 parties de la substance
nd une partie de !a substance active et on la mêle à 99 parties de la substance inerte: eau, s'il s'agit d'une dilution ; sucre,
si jusqu'à la 10e, 20e, 30e dilution. Pour avoir une idée du peu de substance active qui reste dans les dilutions etendues, il
démontrer que les dilutions et les globules ne contiennent rien de la substance primitive, sans s'apercevoir que c'est la le but
émontrer que leurs granules contiennent des quantités appréciables de substance active; en apparence, quelques découvertes récent
ntale de l'action des doses infinitésimales et de la dynamisation des substances inertes par leur combinaison méthodique avec les
ation des substances inertes par leur combinaison méthodique avec les substances actives. Les faits étaient indéniables, et. pen
par l'intermédiaire de 'a circulation veineuse. M. Bona pease que les substances qui se forment et qui s'accumulent dans les muscl
s le torrent de la circtüagB générale et agissent sur les reins comme substances diurétiques. En flflM M. Bum a trouvé que l'augme
long des gaines des vaisseaux; un peu d'injection superficielle de la substance cérébrale. De 60 à 80 grammes de liquide céphalo-
le est moins dense dans le cordon latéral, mais elle englobe toute la substance grise de ce côté, se condense autour de l'épendym
ns le sixième tronçon (10 centimètres). la sclérose occupe surtout la substance grise a gauche. la région périépendymaire, le fon
uche. la région périépendymaire, le fond cordon de Turck droit, et la substance gélatineuse de Rolando des deux Côtés. Plus bas
ès, au milieu de la moelle dorsale, il n'y a plus de sclérose dan? la substance blanche ; seulement, la moitié gauche de la subst
clérose dan? la substance blanche ; seulement, la moitié gauche de la substance grise est comprimée, la tète étant mince et saill
artie inférieure, la moelle dorsale présente la même altération de la substance grise gauche, et, en outre, une nouvelle plaque d
que existe dans le plancher du quatrième ventricule. Elle occupe la substance grise de ce plancher, du côté gauche, entre l'cmi
eint tour à tour le cordon antéro-latéral. la zone radiculairc, et la substance grise elle-même. Puis elle disparait et les aut
cervical, et l'atrophie y atteint même les libres radiculaires et la substance grise à gauche. Les plaques disséminées dans les
minées dans les cordons 'droits sont partout plus circonscrites et la substance grise de ce côté n'est guère atteinte. Les princi
au premier venu du chlorolorme, de l'éther, du haschich. ou d'autres substances capables de produire le sommeil anesthésique ou d
ques rixe* de l'hypnotisme. (Arch. de Seurologie, iSSS. t. XIV.) La substance de ces leçons a fait l'objet d'une communication
rendait, peu de temps après avoir été gavée, la presque totalité des substances qu'on lui avait ingérées, elle ne tarda pas a dép
96 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
issent pas altérées. Sur les coupes on remarque la congestion de la substance grise, mais on ne note pas de dégénérescence gr
au pyramidal direct, les cornes antérieures et posté- rieures de la substance grise ne présentent aucune lésion. Les racines
ale les tractus péri-vasculaires sont plus épais, par- tout dans la substance nerveuse sclérosée que dans la coupe précédente.
ns la substance nerveuse sclérosée que dans la coupe précédente. La substance grise est- saine, sauf peut-être l'extrémité de l
ncore plus marqué sur le bord externe de la corne postérieure. La substance grise est le siège d'altérations importantes ; le
térieures et de la commissure postérieure on voit un large ruban de substance saine. " Les cordons antéro-latéraux, ainsi que
substance saine. " Les cordons antéro-latéraux, ainsi que toute la substance grise sont absolument sains. Il en est de mêm
paissies. Sous l'influence de l'atrophie cérébrale les noyaux de la substance blanche paraissent plus abondants. Dans celle
rs la zone claire périphé- rique. Ce sont peut-être des traînées de substance nucléaire qui ont échappé à la dégénération.
un aspect finement granuleux, plus prononcé au 4e ventricule. La substance blanche est pâle et légèrement oedématiée. Dans l
ortiquent très facilement. Leur surface est lisse. Sur la coupe, la substance corticale est assez large, relative- ment pâle,
rouble, traversée par des nombreuses stries blanches, jaunâtres. La substance médullaire est hyperémiée. La vessie est petite
nce de coloration entre le cordon laté- ral droit et le reste de la substance médullaire. Tandis que celle-ci avait par- tout
thode de Paal. Au microscope, on ne constata rien d'anormal dans la substance ner- veuse des cornes antérieures et postérieur
er- veuse des cornes antérieures et postérieures, ainsi que dans la substance bilan- che de la moelle, il l'exception de la p
ui déjà il l'oeil nu se distinguait par sa coloration du reste delà substance médullaire. Ici il existait une atrophie notabl
coloration, nous avons encore coloré les coupes avec de la nigrosine, substance surtout favorable pour l'orientation topographi
ranche d'une façon très nette sur le fond plus foncé du reste de la substance blanche. Celle altération existe surtout dans t
l, on constate que la zone radiculaire moyenne et toute la bande de substance blanche qui avoisine la corne postérieure et qu
que le tissu interstitiel est légèrement épaissi. Le triangle de substance saine qui avoisine la corne postérieure affecte
dans la région dorsale inférieure et moyenne, les deux triangles de substance saine s'avancent vers le sillon postérieur, tan-
s que dans la région dorsale inférieure et moyenne ces triangles de substance saine s'écartent et sont séparés par une bande de
ne et par le carmin, on cons- tate une injection considérable de la substance grise antérieure et posté- rieure etaussi de la
ble de la substance grise antérieure et posté- rieure etaussi de la substance blanche dans le domaine des vaisseaux du sillon
t de la folie, étaient attribuées à l'accumulation dans le crâne de substances nocives. En conséquence, toutes les opérations,
présent, indispensable à la solution du problème. Les voici donc en substance . Louis Th...., âgé de huit ans, a eu une premiè
e supérieure. Sur les coupes transversales, dans la même région, la substance grise tranche moins nettement qu'à l'état norma
, la substance grise tranche moins nettement qu'à l'état normal. La substance médullaire est assez fortement congestionnée. L
plus effilé en bas qu'en haut. La prédilection de la lésion pour la substance grise est évidente, mais au niveau de la tête d
act et on le distingue encore fort bien dans tout ce tissu. Dans la substance grise les cellules nerveuses sont encore conser
ectieux. L'extension plus considérable de la lésion au niveau de la substance grise, sa tendance manifeste à fuser le long de
tte disposition n'est pas en rapport avec la structure intime de la substance grise qui, ainsi qu'on le sait, permet 'facilem
configuration des foyers d'hématomyé- lie qui filent le long de la substance grise à une distance quelquefois considérable d
ie en suivant les cornes postérieures et en empiétant un peu sur la substance blanche avoisinante. Au niveau de la 1" dorsale
Au niveau de la 8e dorsale la tache de myélite n'occupe plus que la substance grise, dont elle dessine très bien la forme; elle
e dessine très bien la forme; elle empiète un peu en arrière sur la substance blanche ; par contre elle laisse sortir en avant
érieure par rapport l'extrémité supérieure, sa prédilection pour la substance grise, qu'elle abandonne la dernière ses deux ext
asse arrondie, munie de un ou plusieurs noyaux (I'L. LU). Dans la substance grise les cellules nerveuses ne sont pas détruite
Les noyaux d'origine sont complètement sains. Les vaisseaux de la substance nerveuse ne sont pas altérés, sauf les vei- nul
l, j'ai vu jusqu'à ce jour six hommes dont une notable partie de la substance du cerveau était sortie et qui sont gué- ris. A
97 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de néphrite inters- titielle au début. Les membranes du cerveau, la substance grise et la substance blanche, les pédoncules,
tielle au début. Les membranes du cerveau, la substance grise et la substance blanche, les pédoncules, la protubérance et la
ié anté- rieure du lobe frontal; il a détruit moins l'écorce que la substance blanche de ce lobe des deux côtés. Le reste du
ésintégration cérébrale. On appelle du nom de lacunes les pertes de substance déter- minant une cavité plus ou moins volumine
érieures : atrophie musculaire spasmodique ; 6° le syn- drome de la substance grise centro-postérieur : dissociation, dite sy
somoteurs) ; 70 le syndrome associé des cornes antérieures et de la substance grise centro-postérieure (syndrome de l'entière
et de la substance grise centro-postérieure (syndrome de l'entière substance grise) ; atro- phie musculaire, dissociation di
anulations; elles possèdent un noyau volurtr·pûx ovalaire, riche en substance chromatine; ce noyau est placé'-t,6 jours à la
la première fois le papillome de la pie-mère et des vaisseaux... La substance de la tumeur était d'un gris rou- geâtre, trans
parties antérieures du cerveau n'ont été lésées, plusieurs fois la substance grise des circon- volutions a été atteinte dans
mpression de la moelle surtout des cordons antéro-latéraux et de la substance grise centrale. Suivent un certain nombre de co
fections des centres nerveux, surtout des cornes postérieures de la substance grise, et sont tantôt associés aux trou- bles o
arnit l'intérieur de la calotte de ouate, de gaze ou de toute autre substance soudée à l'os sur une surface grande comme la m
décortication détermine la séparation complète de l'écorce et de la substance blanche (Baillarger, Rey, Tuczek). L'examen m
tement circonscrits avec séparation complète de l'écorce et de la substance blanche. La connaissance de cette variété clini
dans les neurones inférieurs (ganglions et cornes antérieures de la substance grise), dans les premiers, neurones de relais (
ures de la substance grise), dans les premiers, neurones de relais ( substance grise bulbo-médullaire), dans les deuxièmes neu
le grattent jusqu'à produire de profondes érosions et des pertes de substance très étendues. Une habitude assez curieuse est
de la frontale ascendante, adhérences profondes qui arrachent la substance grise sous-jacente. De ce centre la lésion va en
inges sont remplis de sang et leurs parois sont infiltrées. Dans la substance cérébrale, diapédèse abondante, infiltration du
de gliome des centres nerveux. Trois d'entre eux avaient envahi la substance blanche centrale d'un des hémisphères. Deux ava
he centrale d'un des hémisphères. Deux avaient également détruit la substance grise des circonvolutions, un autre avait envah
angers du cerveau et nullement d'aspect néoplasique. D'ailleurs, la substance nerveuse avoisinante est plu- tôt lentement ref
laires des sarcomes. En outre de cette .dégénérescence vitreuse, la substance fondamentale des gliomes subit des modifi- cati
e prolongements qui avaient bouleversé l'architecture normale de la substance grise. - Ce cas, rapproché des quelques observa
iagnostic clinique : , épaississement des méninges, adhérences à la substance grise, dilatation des ventricules. Au point de
e ; d'où la nécessité d'agir vite et de débarrasser l'organisme des substances qui l'intoxiquent. Ce ne sont ni les calmants, ni
ui était très mince. Prolifération névroglique très marquée dans la substance blanche cérébrale et médullaire. Cette observat
duites par des lésions organiques du cerveau. Les leucomdines de la substance nerveuse. M. LAB1TLTT. Vous entendiez, ces jour
le, je venais vous affirmer que les lécithines, qui entrent dans la substance nerveuse, contiennent, à l'état physiologique n
imitif de l'organisme, votre composé ne serait pas un toxique de la substance nerveuse, il en serait plu- tôt un aliment. »
t maintenant plus rien, pour]ainsi dire, sur lesleu- comaïnes de la substance nerveuse, comment procéder pour éta- blir quelq
. Ces points de comparaison étant établis, nous rechercherons si la substance nerveuse contient de tels composés. Pourquoi
ez, messieurs, avec quelle facilité les alcaloïdes se fixent sur la substance nerveuse en donnant des effets physiologiques r
aite, elle seule peut nous fixer sur la valeur thérapeutique de ces substances synthétiques. En vous faisant, messieurs, cette
localisé dans le premier ganglion dorso-spinal et ainsi affecté la substance grise de la moelle, comme dans une poliomyé- li
les membres inférieurs, se comprend si on admet que la lésion de la substance grise s'est étendue au cordon latéral. La dim
céphalite, surtout autour des artérioles et des capillaires de la substance cérébrale, mais aucune des altérations décrites c
ssède une action excitante mais.que comme tous les excitants, cette substance précipite l'accumulation de la fatigue, c'est-à
e céphalo- rachidien ; l'autre par injection sous-arachnoïdienne de substances diverses. Les périodiques de ces dernières anné
romatopliiles, à mesure que la cellule radiculaire se développe, la substance chro- matique apparaît aussi dans les régions p
, le corps cellulaire augmente d'une manière considé- rable, que la substance chromatique s'organise et e dépose de la surfac
t les différentes manifestations de l'invo- lution résident dans la substance amorphe fondamentale, à la- quelle il a donné l
s, des cellules qui formeront par leur dévelop- pement ultérieur la substance gélatineuse de tiolaitdo, comme celles qui ento
, comme celles qui entourent le canal central persistant forment la substance gélatineuse périépendymaire. B. La formation
de blocs dans la zone périphérique du protoplasma cellulaire. La substance chromopltile dissoute persiste jusqu'au moment de
ntrent, en outre, comme l'ont déjà avancé plusieurs auteurs, que la substance cromophyle n'est qu'une matière de réserve des-
ement loca- lisée aux grandes cellules des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière. C'est la ptemière
rable, en nombre et en volume, au niveau des grandes cellules de la substance grise, avec lésions secondaires des racines ant
ULAIRES CORTICALES. Voir Troubles mentaux. LEUCOMAINES. Les de la substance nerveuse, par Labatut, 392. LOBE frontal. Ram
98 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
ningite de voisinage, symphyse méningée et infection définitive de la substance encéphalique. Telle est l'origine de la plupart d
érieure, il est séparé de la racine descendante du trijumeau et de la substance gélatineuse par ses propres fibres radiculaires q
pitaux. — Dans chaque lobe cérébral, on doit considérer séparément la substance grise corticale et la substance blanche. Substa
ral, on doit considérer séparément la substance grise corticale et la substance blanche. Substance grise : écorce cérébrale. —
er séparément la substance grise corticale et la substance blanche. Substance grise : écorce cérébrale. — D'après Ramon y Cajal
rquée des images directement détruites par la lésion. » (Mirallié.) Substance blanche. — La substance blanche est formée par l'
ment détruites par la lésion. » (Mirallié.) Substance blanche. — La substance blanche est formée par l'ensemble des fibres de p
obulaire enkystée, laquelle, à son tour, produirait l'infection de la substance cérébrale. Quoi qu'il en soit, le point essenti
répondent à la caisse, au labyrinthe et à l'antre, existe une zone de substance blanche encéphalique, allongée dans le sens antér
u cervelet. — Comme pour le cerveau, on doit considérer séparément la substance grise corticale, les noyaux gris centraux et la s
parément la substance grise corticale, les noyaux gris centraux et la substance blanche. Si l'on pratique une coupe vertico-tra
figurée sur la planche XVII, on remarque à la périphérie une zone de substance grise macroscopiquement plus importante que celle
nte que celle du cerveau, et, au centres des hémisphères, une zone de substance blanche, de forme plus ou moins triangulaire, et
sposition forme l'Arbre de vie des anciens anatomistes. Au sein de la substance blanche, et près de la ligne médiane, on aperçoit
çoit l'olive cérébelleuse ou corps dentelé. Au niveau du vermis, la substance blanche forme la commissure, réduite à l'état de
: entre les deux on rencontre les noyaux sphénques et les bouchons. Substance blanche. — Elle est formée de fibres de projectio
upent le trajet du faisceau vestibulo-cérébelleux, se placent dans la substance réticulée médiane et descendent dans le fondament
nférieure, le noyau réticulé de la calotte, le corps parabigéminé, la substance noire de Soemmering, le globidus pallidus et la p
ue, le faisceau central de la calotte qui descend des cellules cle la substance réticulée de la calotte. (Bechterew.) Le faisceau
du cervelet, la luette, le vermis supérieur et l'amygdale; 3" dans la substance blanche : le tapetum, le forceps du corps calleux
oyen, inférieur-postérieur et inférieur-moyen du cervelet; 3° dans la substance blanche : entre le ventricule latéral et l'écorce
99 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ET ÉRYTHRASMA. 11 1 forme et de l'éther; mais sans reconnaître ces substances ; il prend l'acide acétique pour de l'alcali et
et s'il commet quelques erreurs dans la reconnaissance de certaines substances sapides ou odorantes, d'ailleurs peu con- nues
Diapédèse et dissémination excessive de leuco- cytes envahissant la substance grise ; on en trouve partout, autour des vaisse
e encore un foyer apoplectique circonscrit; de véritables pertes de substance criblent les cordons postérieurs, et les cor- d
s sui eno, représentanls des produits de destruction, indemnes de substance amyloïde. P. K. IV. DES altérations PROGRESSIVE
ans les cellules nerveuses pyramidales. Dans l'in- flammatiou de la substance grise du cerveau, ce sont les cellules fondes d
cellules et les fibres de l'écorce out dis- paru ; intégrité de la substance blanche. Observation Il. Epilep- sie corticale.
, affection rare est due d'après Hokitansky à une augmentation delà substance iutereellu- laire ; elle est congénitale et se
de Goll ; la seconde partie de fibres forme avant sa jonction à la substance blanche la partie intégrante de la commissure p
n léger degré d'inflammation, et consécutivement des troubles de la substance grise, en rapport direct avec la lésion actuell
enlevée, pro- duisant là un vide d'étendue considérable, dans la substance du cerveau. Cette opération fut suivie d'un tro
corps étranger dont le contact irrite la cornée. De même, certaines substances sont tout aussi efficaces que la peur pour prov
koff; dans ces deux cas, cette scissure était coupée par un pont de substance blanche vers son tiers supérieur; au delà de ce
iewitzetBabès avaient décrit dans la moelle un corps appelé par eux substance chromoleptique, sans affirmer si c'était un cor
c'était un corps inconnu jusqu'alors. M. Dioniidofl a étudié cette substance en colorant des préparations par la safranine.
avec les fonctions.- A l'état pathologique on trouve aussi d'autres substances colorées par la safranine et les autres coloran
sécrétions inutiles ; à l'état patho- logique ce sont des pertes de substances produites soit par des agents extérieurs, soit
que est idiopathique ou secon- daire. Par endroits, surtout dans la substance grise qui est infiltrée d'un exsudat plastique
dans le lobe occipital. On trouve dans l'écorce et surtout dans la substance blanche de ces circonvolutions un grand' nombre
nstitué par les fibres de l'olive infé- rieure, se disperse dans la substance grise du corps dentelé. Systématisation des lés
udié le parcours et la terminaison des racines postérieures dans la substance grise de la moelle. Il a reconnu dans les rac
les cellules de la colonne de Clarke. Les autres pénètrent dans la substance gélatineuse de Rolando, et suivent un trajet ho
e gélatineuse de Rolando, et suivent un trajet horizontal dans la substance grise ; quelques-unes de ces fibres entrent en co
entrent en con- nexion avec les cellules de la région moyenne de la substance grise; d'autres arrivent à la corne antérieure;
éral de la corne anté- rieure ; les autres vont directement dans la substance gélati- neuse et se placent entre les grosses f
ieurs (douleurs névralgiques podaliques) : intégrité probable de la substance grise. Bons effets du fer rouge. Pas d'abcès pa
nerfs cervicaux gauches, gliome avec formation de cavités dans la substance grise centrale de la même région. Pas d'autopsie.
mentaire extrême descellules ner- veuses, avec transformation de la substance grise en un tissu spon- gieux constitué par des
moelle cervicale. D'ordinaire, même dans les colonnes de Clarke, la substance grise est normale (pré- paration à l'appui). An
faisceau longitudinal postérieur s'en- toure de très bonne heure de substance blanche. Ce n'est que plus tard que les autres
rieure et une racine antérieure séparées l'une de l'autre par de la substance grise. La racine antérieure envoie quelques fib
postérieure participe à la genèse d'un feu- trage de fibres dans la substance grise du toit ; de ce feutrage résultent des tr
le- ment, en formant des arcs, le long de la limite interne de la substance grise du toit, et donnent naissance à un système
al, il faut aussi faire la part des ramollisse- ments étendus de la substance blanche des deux lobes occipitaux, l'écorce éta
330 bibliographie. produit pas le sommeil; à dose plus forte cette substance donne lieu à un état de somnolence léger passag
t opaques; granuleuses. Dans 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la substance blanche, l'exsudat avait l'aspect de masses amor-
ils sont détruits. La myéline se désa- grège. Les altérations de la substance blanche sont les mêmes que dans les myélites ai
un chien, augmente l'excita- bilité électrique de l'écorce et de la substance blanche sous- jacente. Cette exagération persis
rale aiguë. Dans l'intoxication chronique, la lésion empiète sur la substance blanche. Dans l'intoxication aiguë, les nerfs p
prédominante est une inflammation parenchymateuse siégeant dans la substance grise. Les cellules sont granuleuses, opaques,
hal n'a jamais observé la présence de corpuscules étrangers dans la substance même des cellules. Les cellules sont très altér
tres nerveux . Les lésions observées sont strictement limitées à la substance grise, ce qui élimine l'idée d'un pro- cessus i
! < ? de MidijiewsÀ-y. 4° an., fasc. I, 1886. piomidolf. De la substance cliroinolepLique. Journal de Illier- jicivsky,
ynert, 303. Tabac (influence de l'usage du sur 1 assimilation des substances azotées), 402. Tabes (étiologie du), par lino
100 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
urs caractères, température. Autop- sie : séparation complète de la substance grise et de la substance blanche. Pu..., Geor
. Autop- sie : séparation complète de la substance grise et de la substance blanche. Pu..., Georges, âgé de cinq ans, est e
Hémisphère droit. - La pie-mère est partout très adhé- rente à la substance grise sur tout le lobe occipital, tout le lobe
a subs- tance grise, mettant ainsi à découvert le squelette de la substance blanche, en avant de la frontale ascendante, on
avant de la frontale ascendante, on n'enlève qu'une partie de cette substance , et des îlots de circonvolutions variant de 2 à
obule de l'izzst.cla sont presque entiè- rement dépouillées de leur substance grise, dont il reste pourtant une mince couche.
carré, le coin et le lobe occipital sont complètement dépouillés de substance grise par l'ablation de la pie- mère. Hémisph
la, sauf à sa partie la plus inférieure et antérieure, est dénué de substance grise. La face supérieure de la première tempor
saines et c'est toujours dans le fond des sillons. Le squelette de substance blanche a un aspect légèrement rosé sur lequel
s; cet aspect se rencontre sur les deux hémisphères cérébraux. La substance blanche n'est ni indurée ni atrophiée ; les bor
ntres moteurs . des membres. La séparation presque complète de la substance grise, et de la substance blanche des circonvol
s. La séparation presque complète de la substance grise, et de la substance blanche des circonvolutions a été .signalée che
i l'accompagne donne une excellente idéede l'aspect des lésions. La substance blanche était atrophiée, indurée, offrait des a
urer, la lésion était à une période relativement moins avancée ; la substance grise se séparait complètement, il est vrai, ma
rise se séparait complètement, il est vrai, mais le squelette de la substance blanche avait une coloration légèrement rosée ;
; les bords des circon- volutions étaient plus arrondis ; enfin la substance blan- che ne paraissait pas avoir perdu de son
disparu par la macération; les autres, plus anciennes et formées de substance osseuse, subsistent encore. Elles se présentent
nous avons observé, le bromure d'éthyle vien- drait se joindre aux substances dont l'usage continué assez longtemps occasionn
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