/ 183
1 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
me paraissait tout à fait inexplicable, je lui demandai, pendant son sommeil , de me dire pourquoi elle avait eu cette attaque
sur son lit en lui disant : « Dormez ». Il s'endormait aussitôt d'un sommeil très calme. A partir de ce jour il n'eut plus de
s de grande et de petite chirurgie, pratiquées avec succès pendant le sommeil hypnotique. M. Bérillon fait ensuite une commun
dinaire, sous sa forme classique, pour ainsi dire, est accompagnée du sommeil avec les caractères extérieurs .que tout le monde
sommeil avec les caractères extérieurs .que tout le monde connaît au sommeil . Pourtant, il peut y avoir hypnose sans sommeil,
t le monde connaît au sommeil. Pourtant, il peut y avoir hypnose sans sommeil , au sens ordinaire et selon toute la compréhensio
gestion, les deux signes principaux que nous avons dit accompagner le sommeil : fonctionnement irrégulier des sens, contrôle in
artie rationnelle. Il se peut donc que leur état, en hypnose, soit un sommeil vrai, quoique incomplet : en tout cas, c'est un é
rai, quoique incomplet : en tout cas, c'est un état fort semblable au sommeil . Cela supposé, nous pouvons dire que l'hypnose
le au sommeil. Cela supposé, nous pouvons dire que l'hypnose est un sommeil ou un état analogue au sommeil, dans lequel l'act
nous pouvons dire que l'hypnose est un sommeil ou un état analogue au sommeil , dans lequel l'activité psychique d'un sujet est
fut très facile à endormir. Il fu:. soumis pat nous à des séances de sommeil provoqué assez prolongées. Pendant quelques jours
tué par l'emploi de la suggestion associé à des séances prolongées de sommeil provoqué. Hypocnondrie consécutive à- une hysté
E. Bérillon. — Interprétation physiologique de l'action curalive du sommeil provoqué. 3. M. P. Valentin. — Considérations p
jets : dormez, pour qu'aussitôt ils soient endormis et que pendant ce sommeil ainsi provoqué, on puisse leur faire toutes les s
ets hypnotisés, quel que soit le degré de l'hypnose, ont pendant leur sommeil une notion vraiment remarquable de la durée du te
mettrez au lit à 10 heures et vous vous endormirez avec l'idée que le sommeil réparera bien vos forces, calmera vos nerfs ; et
plus, vous êtes guérie. Dormez, dormez, et lorsque les dix minutes du sommeil que je viens de provoquer seront écoulées, vous v
x minutes, vous entendez bien, dix minutes, et tout le temps de votre sommeil vous penserez que vous êtes guérie. Vous pourrez
avorable, je lui suggérai, devant sa mère, qu'elle pourait pendant le sommeil naturel, rêver que son mari serait à côté d'elle,
dé que celui de la suggestion verbale : dormez, dormez. — De plus, ce sommeil provoqué durait chaque fois le temps marqué, et M
ntanément et exactement après dix minutes. Elle avait donc pendant le sommeil une notion parfaite de la durée du temps. Du 13
ièrement satisfaisant: digestions faciles, promenades régulières, bon sommeil ; et, à dater du 1er juin, je ne fis plus de visi
es de mariage. Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué basée sur l'examen de la tension artérie
s guérisons par l'hypnotisme a fait méconnaître la valeur curative du sommeil provoqué, employé systématiquement comme agent th
mes suivants : « L'agent réellement actif de la guérison n'est pas le sommeil provoqué, mais la suggestion. » D'autres auteurs,
t soutenu l'opinion contraire. Or, la question de savoir si l'état de sommeil provoqué est doué, per se, d'une action curative,
aphiques nous ont permis de constater que, sous la seule influence du sommeil provoqué, des modifications importantes se manife
estent dans la circulation des hypnotisés. Après quelques instants de sommeil , le pouls se régularise, le dicrotisme s'accentue
sujets, la tension artérielle dans l'état de veille et dans l'état de sommeil provoqué. Pour ces examens nous nous sommes servi
do l'abaissement permanent de la tension artérielle, la production du sommeil provoque avait pour effet de relever la pression
érielle s'éléve déjà de plus de 100 grammes après quelques minutes de sommeil , cette augmentation s'accroît progressivement. El
rogressivement. Elle persiste non seulement pendant toute la durée du sommeil , mais encore pendant assez longtemps après le rév
on artérielle n'apparaisse qu'un certain temps après la production du sommeil . Dans ces cas, les séances d'hypnose devront être
eures. Chez les sujets dont la tension artérielle est normale, le sommeil provoqué détermine également une élévation de ten
est permanente et dont la dépression sanguine est tros accusée. Le sommeil provoqué n'exerce cette action favorable sur le s
l est établi dans des condions qui le rapprochent le plus possible du sommeil normal. Cet état ne peut être obtenu qu'en s'abst
des sujets. L'hypnotiseur devra se borner à provoquer l'apparition du sommeil par les procédés habituels: suggestion associée o
ciée ou non à l'emploi des agents physiques. Ensuite il régularise le sommeil par des formules évoquant l'idée de calme et de r
sans être influencé par les mouvements et les bruits du dehors. » Le sommeil , une fois obtenu, devra être prolongé le plus lon
longé le plus longtemps possible. Les cas dans lesquels l'emploi du sommeil provoqué et prolongé nous a donné les résultats l
marquée de l'état général. Chez les neurasthéniques, les séances de sommeil provoqué amènent la disparition des états d'anxié
truation et le retour de la coloration normale des tissus. Dès que le sommeil est établi, la pâleur du visage fait place à uno
ons pu recueillir des observations fort concluantes. Les séances de sommeil prolongé constituent également chez les hystériqu
ème nerveux. Chez les convalescents de maladies graves, l'action du sommeil provoque est également indiquée pour régulari
pour régulariser les fonctions diges-tives et favoriser le retour du sommeil normal. Enfin nous avons pu constater que chez
enfants dont le développement physique subit un arrêt, les séances de sommeil provoque ont une action évidente sur l'augmentati
l'augmentation du poids et l'accroissement de la taille. L'emploi du sommeil provoqué favorise certainement la croissance des
hors de doute. Dans notre pratique, la durée moyenne des séances de sommeil provoqué est d'environ une heure. Les malades, qu
se plaignent que de la limitation de leur durée. L'entraînement du sommeil provoqué ne peut exercer qu'une influence favorab
liquer au traitement de certains symptômes localisés. En résumé, le sommeil provoqué, envisagé dans ses manifestations les pl
gé dans ses manifestations les plus élémentaires, est, de même que le sommeil normal, le résultat d'une inhibition de l'activit
normal, le résultat d'une inhibition de l'activité intellectuelle. Le sommeil provoqué aurait même, dans certains cas, sur le s
lectuelle. Le sommeil provoqué aurait même, dans certains cas, sur le sommeil normal l'avantage d'obtenir une suspension plus c
la tension artérielle. On assiste donc, sous la seule influence du sommeil provoqué, à un véritable transfert de force, comm
ilisée pour leur fonctionnement. C'est ce qui se passe dans l'état de sommeil provoque pendant lequel, à l'inhibition des fonct
s fournit donc une interprétation rationnelle de l'action curative du sommeil provoqué. ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ Tic facial gu
. Guérison. — Le 4 février, nous essayons de mettre la malade dans le sommeil hypnotique. La pression des globes oculaires ne d
ne de l'endormir après la visite et de lui suggestionner, à l'état de sommeil , qu'elle peut marcher. Maïs ses voisines lui donn
d'elle. Et, en effet, toute nouvelle tentative pour la mettre dans le sommeil hypnotique demeure sans résultat, la malade refus
s, je lui dis: « Dormez. » Aussitôt elle s'endormit et rapidement son sommeil fut profond. Prenant alors sa jambe entre mes mai
it, en effet, que les hypnotisés, abandonnés à eux-mêmes pendant leur sommeil ou seulement négligés, donnent des signes de méco
es troubles se montrent et souvent plus accusés lorsque, pendant leur sommeil , ils sont obligés d'exécuter des actes qui leur r
ours, pour faire disparaître certains accidents morbides, assurer son sommeil , son appétit, sa bonne humeur, sa docilité. Le su
se curieuse! ce garçon qui sollicitait toujours sa sortie pendant son sommeil et qui essaya même une fois de s'évader, était to
s, à Lille. Je ne me souviens plus si cette défense, faite pendant le sommeil , fut renouvelée après. Depuis S ou 9 ans, j'avais
santes, ou une insomnie rebelle. L'application de ma main, pendant le sommeil provoqué, sur la partie intéressée, suffisait à f
ultats, j'ai essayé de les rendre durables en prolongeant la durée du sommeil et isolant la malade de son milieu, qui était pou
raitement hypnotique, j'essayai, dès la première visite, d'obtenir le sommeil . Mais mes efforts répétés n'obtinrent aucun succè
ntion. Je lui maintenais les paupières abaissées, en lui suggérant le sommeil , mais dès que je m'écartais de lui, il ouvrait le
de sanLé ». Je cessai de m'obstiner à vouloir à tout prix obtenir le sommeil hypnotique. Je divisai les séances en deux partie
l'émotivité. Ceci n'enlève rien de sa valeur à l'immense pouvoir du sommeil provoqué. Quelque opinion qu'on aie sur sa natu
e, sur son mécanisme psycho-physiologique et sur ses rapports avec le sommeil normal, il reste toujours le merveilleux auxiliai
ssira souvent là où la suggestion hypnotique aura échoué. De même, le sommeil provoqué fournira plus d'une fois à la dynamogéni
d'hypnose, lui impeser sa volonté de telle sorte que, soit pendant le sommeil , soit au réveil, elle exécute, comme une machine,
pnose, lui imposer sa volonté de telle • sorte que, soit pendant le sommeil , soit au réveil, elle exécutera» ¦ comme une ma
rée, en réalité, aucune nouvelle condition, et il n'y a rien, dans le sommeil déterminé, qui ne puisse se rencontrer dans îa co
omme nous l'avons vu, établissait d'importantes distinctions entre le sommeil naturel et le sommeil déterminé. Ces distinctions
établissait d'importantes distinctions entre le sommeil naturel et le sommeil déterminé. Ces distinctions ne sont pas reconnues
ont pas reconnues par l'Ecole de Nancy. Bernheim dit: « Selon moi, le sommeil déterminé ne diffère absolument en rien du sommei
t: « Selon moi, le sommeil déterminé ne diffère absolument en rien du sommeil naturel. » Il admet cependant le point de différe
urel. » Il admet cependant le point de différence suivant : « Dans le sommeil ordinaire, dit-ii, aussitôt que la conscience est
, le sujet est seulement en parenté avec lui-même, tandis que dans le sommeil déterminé, l'esprit du sujet conserve la mémoire
ateur lui dit, mais il n'entend que lui, à condition cependant que le sommeil soit suffisamment profond. Il entend seulement l'
ensant à lui, et ceci ne diffère en rien de ce qui se produit dans le sommeil ordinaire. Une mère qui s'endort près du berceau
s du berceau de son enfant ne cesse pas de veiller sur lui durant son sommeil , mais elle veille seulement sur lui, et bien
de Bernheim, qui établit que la seule différence qui existe entre le sommeil naturel et le sommeil artificiel est la concentra
lit que la seule différence qui existe entre le sommeil naturel et le sommeil artificiel est la concentration de l'esprit du su
iculier, c'est !a mise en activité de la suggestibilité, avec ou sans sommeil . 3- La suggestion peut faire réaliser à quelque
° Un viol peut être commis par suggestion sur une femme, soil dans le sommeil hystérique d'origine émotive consécutif aux manœu
dre persuasif. Ils se bornent à suggérer au malade de s'abandonner au sommeil le plus sim- (1) Commuiiicaiiou faite au Congrè
(août 1897). plement du monde. Ils l'invitent à s'endormir d'un sommeil analogue à celui de la nuit. Ils lui vantent les
a créer lorsqu'elle fait défaut. Ils tiennent au sujet plongé dans le sommeil provoqué le même langage que d'autres lui adressa
de posologie? Il appartient au psychothérapeute de doser la durée du sommeil provoqué, l'intensité de la suggestion, d'en vari
classes de la société, huit sont sucep-tibles d'être plongés dans le sommeil provoqué dès la première ou la" seconde séance. C
à l'opinion courante, les difficultés pour provoquer chez l'enfant un sommeil réel sont d'autant plus grandes que l'enfant prés
Par A. A. Tokaksky, privat-doceot à l'Université de Moscou. 1) Le sommeil hypnotique est un état physiologique spécial qui
des cas où la grande suggestibilité se manifeste malgré l'absence du sommeil hypnotique et vice versa. 4) Au point de vue th
ur indiqué par le calcul, le 18 février. En tout, sept séances ; le sommeil est devenu très profond. £8 Février. Mme B...,
en somnambulisme profond. Nous avons obtenu, avec la seconde, un sommeil très profond ; et la troisième est devenue somnam
eur mal au lieu de leur suggérer que cette action devait les tirer du sommeil . » Il en conclut que l'action de souffler ne prod
s investigateurs actuels, le second voyait son classique ouvrage : Du sommeil et des états analogues, demeurer sans aucun succè
'il a, plus d'une fois, reconnue entre le somnambulisme naturel et le sommeil provoqué. Citation empruntée à son live sur Le so
naturel et le sommeil provoqué. Citation empruntée à son live sur Le sommeil et les rêves. Cette citation vient à l'appui de l
tes, faites dans l'état hypnotique. La difficulté venait de ce que le sommeil hypnotique profond rend en général l'observation
En réalité, ils ne dorment pas, en ce sens qu'ils ne sont pas dans un sommeil profond, mais ils ne sont pas non plus dans l'éta
e menton et d'être tout à fait calme jusque-là. Elle n'a pas dormi du sommeil hypnotique mais elle est restée calme ; elle a do
ous lui disons de continuer à rester dans son lit dans la position du sommeil . Il lui sera donné comme pendant les périodes men
Paris, Masson, 1897. chez lui le phénomène de l'allochirie ; son sommeil correspond au quatrième degré de la classificatio
degré de la classification de Liébcault. Pendant quM est soumis au sommeil hypnotique, on fait à ce jeune homme les suggesti
avec une grande assurance ; on lui demande même, toujours pendant le sommeil hypnotique, alors qu'il a les yeux tout à fait cl
e reproduit ci-contre ; le premier a été tracé immédiatement avant le sommeil hypnotique, l'autre au réveil. A ce moment l'on n
marque. Au début du traitement, les améliorations obtenues par chaque sommeil hypnotique ne sont pas devenues tout de suite et
goisse émotive ; aussi a-t-on pris soin de le soumettre de nouveau au sommeil hypnotique et au traitement psycho-mécanique, dan
s à M. Albert Colas, trésorier, !, place Jussïeu. De l'influence du sommeil hypnotique sur les gastralgies du tabos dorsal. (
urtout chez les névropathes. Je me suis donc décidé à employer le sommeil hypnotique, qui m'a donné d'excellents résultats.
ts index et médius de la main droite, étendus et écartés! pour que le sommeil ait lieu. C'est ce que j'ai fait à chaque crise
res et, aujourd'hui, la malade n'a plus que de légères crampes que lo sommeil hypnotique suffit à calmer aussitôt: Le traitem
plus de nourriture, et passait jusqu'à quatre nuits par semaine sans sommeil . II avait eu quelques convulsions avec aggravatio
remier enfant, elle craignit de lui faire mal en marchant pendant son sommeil . Elle s'attachait une jambe au pied du lit chaque
les vrais, si le malade ignorait leur nature. Braid démontra que le sommeil hypnotique ne pouvait être produit par des moyens
lle. Plus tard, il rejeta le mot hypnotisme, qui impliquait l'idée de sommeil ; et il énuméra les nombreuses différences qui sé
ue Bernheim croit que le rapport est le seul point qui différencie le sommeil hypnotique du normal, Liébeault cherche d prouver
réflexions sur son état, etc. (1). » a Les somnambules pendant leur sommeil témoignent d'une parfaite conscience de leur être
eure et concentration de l'attention sur une idée unique détermine le sommeil ; le sujet peut s'y plonger lui-même sans influen
pour réaliser l'hypnose et les effets thérapeutiques. Il provoqua le sommeil par fixation des yeux sur un objet brillant, il p
otisés dans un but curatif ; ils conservaient cette idée pendant leur sommeil ; les manipulations faites sur eux, ils savaient
sa vertu dormitive et sa vertu curative; il sait que l'idée seule du sommeil peut le provoquer; il sait que l'attention portée
Braid ne songe pas à l'appliquer systématiquement à la production du sommeil et au traitement des malades. Encore imbu de ses
rand mais éphémère retentissement, on n'y vit que la chose suivante : sommeil anesthésique obtenu par fixation du regard; quelq
suggestion simple. Liébeault, à l'exemple de l'abbé Farta, produit le sommeil sans procédé physiologique, par suggestion verbal
par suggestion verbale; par la parole seule il fait entrer l'idée du sommeil et l'idée de guérison dans le cerveau du sujet. T
t restait cachée dans les considérations théoriques de son livre : Du sommeil et des états analogues considérés surtout aupoint
ne, fixation des yeux, suggestion vocale, ne produit pas chez tous un sommeil profond. « A peine un patient sur dix, dit Braid,
. « A peine un patient sur dix, dit Braid, arrive jusqu'à la phase du sommeil profond; les autres n'ont qu'un degré d'engourdis
ait, au contraire, de réserver le nom d'hypnotisme à la production du sommeil artificiel, «quand il y a perte de la mémoire, de
veil le patient n'ait aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant le sommeil , mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est
. Braid admet aussi un coma hypnotique, c'est-à-dire « une phase de sommeil plus avancé, dans lequel le patient n'a (1) Neu
d'une hypnotisation ultérieure (1) » Nous n'avons jamais observé de sommeil inconscient. Même alors que le sujet reste inerte
ns souvenir apparent au réveil, on peut toujours s'assurer pendant le sommeil qu'il conserve sa conscience ; on arrive, en l'ex
vité, actionnée par la tentative d'hypnotisme, ait donné une crise de sommeil hystérique qu'il-ne faut pas confondre avec le so
é une crise de sommeil hystérique qu'il-ne faut pas confondre avec le sommeil hypnotique. • Je le répète: à tous les degrés de
iébeault a fait plus que ressusciter le braidisme : il a substitué le sommeil et la thérapeutique par l'idée au sommeil et à la
aidisme : il a substitué le sommeil et la thérapeutique par l'idée au sommeil et à la thérapeutique par manipulations; il a sub
n'est pas un état spécial, anormal, artificiellement provoqué par le sommeil braidique ou suggestif ; que ce sommeil n'est pas
ificiellement provoqué par le sommeil braidique ou suggestif ; que ce sommeil n'est pas nécessaire pour obtenir ces phénomènes
établi que tous les sujets, sans exception, qui les réalisent dans le sommeil vrai ou apparent provoqué, les réalisent aussi pa
abli, d'autre part, que la suggestion ne produit que rarement le vrai sommeil , mais, chez la plupart et même chez les meilleurs
même chez les meilleurs somnambules, seulement l'illusion suggérée du sommeil . (1) Seurohypnologie, Ibidem. Ce qu'on appe
anément ou d'être provoqués peuvent exalter cette suggestibilité ; le sommeil lui-même, qui fait prédominer l'automatisme et le
facultés de raison, l'exalte : les rêves sont les auto-suggestions du sommeil physiologique. Rien n'est merveilleux, rien n'e
fixation d'un point brillant et l'attention concentrée qui créent un sommeil artificiel dans lequel existent la suggestibilité
ion seule du sujet. Liébeault remplaça l'hypnotisme de Braid par le sommeil suggestif. C'est la suggestion seule qui fait le
Braid par le sommeil suggestif. C'est la suggestion seule qui fait le sommeil , qui développe la suggestibilité, qui fait les gu
i fait les guérisons. Enfin, je crois avoir dégagé la suggestion du sommeil provoqué artificiel, suggestif ou braidique, et a
de l'obéissance passive, des hallucinations, des actes organiques, du sommeil , des effets thérapeutiques; on aurait constaté et
iennent davantage quand on peut leur suggérer préalablement l'idée de sommeil ; mais que chez les sujets très suggestibles, cett
ctionner cette suggestibilité avec ou sans la suggestion préalable du sommeil , soit par la parole, soit par des manœuvres incit
glais de lui avoir rendu justice. L'ÉTAT PHYSIQUE DES ALIÉNÉS. - LE SOMMEIL . Par le Dr P. Keraval, médecin en chef de l'asi
echerchés dans les trois manifestations principales de celles-ci : le sommeil , la sensibilité, la motilité. Comment dorment l
z les aliénés chroniques, elle peut persister ou se transformer en un sommeil agité. Les rêves et les cauchemars sont, dans tou
parfois que tels agités qui dorment, continuent à parler pendant leur sommeil , et à faire, la nuit, un bruit fréquemment supéri
le système nerveux, préoccupé du lendemain, n'a subi l'agitation d'un sommeil entrecoupé de rêves et de cauchemars ; le lendema
s et de cauchemars ; le lendemain matin, confondant les événements du sommeil et ceux de la veille, ne vous est-il pas arrivé,
fants? Le cauchemar, engendré chez eux par les images terrifiantes du sommeil , survit pendant plusieurs minutes au réveil, et,
précédents suffisent pour caractériser les éléments de la fonction du sommeil chez l'aliéné et pour faire comprendre comment l'
mé mélancolique sont, au début de leur maladie, d'ordinaire privés de sommeil . Le retour du sommeil est en général bon signe, m
au début de leur maladie, d'ordinaire privés de sommeil. Le retour du sommeil est en général bon signe, mais à la condition que
est singulièrement grave : l'aliéné qui, restant aliéné, recouvre le sommeil , est d'ordinaire devenu un chronique. SOCIÉTÉ
oque, à la suite de chagrins de famille, E. N. perdit complètement le sommeil . Elle affirme que pendant trois mois, l'insomnie
on sursaut. » Uibot (3) rapporte le cas d'un médecin qui,durant un sommeil pénible, se vit faisant sa propre autopsie. Enf
On emploiera la dyna-rnogénie-suggestive, complétée au besoin par le sommeil provoqué. Pour les malades du groupe A, la méthod
déjeuner et le dîner et surtout à la vacuité de l'estomac pendant le: sommeil , qui amène l'insomnie et une faiblesse générale.
ie nous apprend que, pendant la veille tout aussi bien que pendant le sommeil , il se fait un continuel échange entre ncs tissus
ire de la faiblesse. Si l'exercice corporel est suspendu pendant le sommeil , par. contre la digestion, l'assimilation et l'ac
provoquer l'hypnotisme chez ces créatures déshéritées. « Pendant le sommeil hypnotique les suggestions ont plus de prise. Ell
onscience et d'impuissance dans lequel il s'est trouvé par le fait du sommeil provoqué ; il sera accusateur. Le tribunal demand
avoir été privé de son libre arbitre par celui qui l'a plongé dans le sommeil hypnotique. Le juge d'instruction demandera au mé
. Les attentats dont peut être victime une personne plongée dans le sommeil hypnotique peuvent être dirigés contre ses biens
s étudierons donc successivement : 1° Les cas de vol à la faveur du sommeil hypnotique. 2° L'emploi de l'hypnose pour faire
fausses ou reconnaissance de dettes fictives obtenues par le moyen du sommeil hypnotique. 5° Viol dans l'hypnotisme. Second
ou actes délictueux qui peuvent être suggérés directement pendant le sommeil hypnotique. 3° Crimes ou actes délictueux suggé
l'état de veille. 4° Crimes ou actes délictueux suggérés pendant le sommeil et exécutés à l'état de veille, à une époque plus
ologique, subit un asservissement qui peut s'étendre non seulement au sommeil hypnotique, mais aussi à l'état de veille; il peu
iculier, c'est la mise en activité de la suggestibilité, avec ou sans sommeil . « Toute idée introduite dans le cerveau et acc
otique, pour avoir un effet plus complet, j'essaie de l'endormir : le sommeil n'est qu'apparent. Actuellement, elle est tout
qu'à la suggestion hypnotique, tout en reconnaissant l'influence d'un sommeil môme léger et en apparence insignifiant. III. —
.— Trouble mental, idée obsédante, guérison par la suggestion dans le sommeil hypnotique et à l'état de veille. Madame B., 42
ent et un peu contre son gré, je réussis cette fois à l'endormir d'un sommeil peu protond, il est vrai, mais suffisant dans bie
des mensonges, etc. Le mardi suivant 0 juillet, nouvelle séance avec sommeil un peu plus profond. Elle est plus tranquille et
e ne fait pas la suggestion à l'état de veille, la suggestion dans le sommeil hypnotique, elle, le réalise sûrement et dans des
olas, Ilartenberg et Valentin. La question de l'utilité pratique du sommeil provoqué est mise à l'ordre du jour de la Société
Un nouveau remède contre l'insomnie. Le Dr Learned ayant perdu le sommeil à la suite d'une chute de voiture, avait vainemen
manœuvrer ses muscles. Et l'auteur ajoute : « Si, le cycle achevé, le sommeil n'est pas venu, tout est à recommencer autan1 de
st à recommencer autan1 de fois qu'il est nécessaire. » La durée du sommeil . Pour vivre longtemps, faut-il dormir peu ? fau
satisfera sans doute les partisans des trois-huit. Si cette dose de sommeil est nécessaire à la moyenne de l'espèce humaine,
ant régulièrement à 3 heures du matin, ne s'accordant que 5 heures de sommeil . Brunei, le célèbre ingénieur, pendant une grande
conversation qu'il eut avec Alex, de llumboldt sur cette question du sommeil . — Quand j'ai commencé à vieillir, dit llumboldt,
nd j'ai commencé à vieillir, dit llumboldt, j'ai eu besoin de plus de sommeil , quatre heures au moins. Mais dans ma jeunesse de
erreur très répandue, que nous avions besoin de 7 ou 8 heures de sommeil . A votre âge, je me jetais simplement sur un cana
mplement sur un canapé, je baissais ma lampe et, après deux heures de sommeil , je me trouvais aussi dispos qu'auparavant. Et Hu
l faut dormir le moins possible; mais cela prouve au moins que peu de sommeil et longue vie ne sont pas choses toujours incompa
faut tenir compte non seulement de la quantité, mais de la qualité du sommeil . NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de
voici comment j'ai signalé ce phénomène dans le chapitre consacré au sommeil hypnotique. « Je dois décrire ici un phénomène
sujets, et se révèle avec une intensité beaucoup plus grande dans le sommeil hypnotique. « Si, en tenant un de ses instrumen
s du corps. Ayant ensuite coupé quelques cheveux du sujet pendant son sommeil , et les ayant implantés dans la portion de mastic
netteté, soit qu'il fût moins bien disposé avant l'hypnose et que le sommeil se développât moins bien, soit que quelques circo
M"° P.. était une très bonne somnambule, comme elle recevait, dans le sommeil provoqué, et réalisait ensuite toutes tes suggest
uvenir, ohez le sujet, qu'on ramène à la vie normale, en le tirant du sommeil provoqué, de la condition seconde, dans laquelle
nnent, au réveil, de ce qu'on leur a dit, fait ou fait faire, dans le sommeil provoqué. Mais il est, sur ce point, en désaccord
ui, l'oubli au réveil était tel que, lui ayant un jour, durant le sommeil provoqué, fait manger une pomme déterre crue, que
ntention de nier la possibilité de faire réaliser, par des sujets, un sommeil artificiel ; il ne veut pas nier davantage que da
mmeil artificiel ; il ne veut pas nier davantage que dans cet état de sommeil provoqué, on puisse faire exécuter par les sujets
'on leur suggère ; il ne nie enfin aucune des propriétés curatives du sommeil provoqué : mais ce qu'il veut affirmer, c'est que
mais ce qu'il veut affirmer, c'est que la production artificielle du sommeil n'est pas un phénomène exceptionnel et unique en
n'est pas un phénomène exceptionnel et unique en son genre, et que ce sommeil lui-même n'est pas un état extraordinaire antiphy
que M. Bernheim s'efforce de démontrer, c'est tout simplement que le sommeil suggéré ne doit pas être distingué des autres phé
ènes suggérés, tels qu'un mouvement ou l'expression d'une émotion. Le sommeil provoqué n'est que l'idée du sommeil, plus ou moi
u l'expression d'une émotion. Le sommeil provoqué n'est que l'idée du sommeil , plus ou moins fidèlement réalisée par le sujet,
ons. Il n'y a donc pas lieu de faire une classe à part des faits de sommeil suggéré, comme il n'y a pas lieu d'en faire une p
a pas lieu d'en faire une pour chaque espèce d'autres faits suggérés. Sommeil , mouvements, émotions, sont au même titre des fai
es de 1' « émotionisme », il n'y a pas lieu davantage de qualifier le sommeil suggéré d'« hypnotisme. » M. Bernheim ne fait e
im ne fait en somme que réduire à leur juste valeur les phénomènes de sommeil provoqué ; il les replace au même plan que les au
tion fondamentale de toute suggestion, aussi bien de ta suggestion du sommeil que de celle des émotions, des mouvements, etc. (
uvements, etc. (Je choisis surtout comme terme de comparaison avec le sommeil , les mouvements et les émotions, parce que ces de
rmulait, il y a quelques jours encore: à savoir, que pour suggérer le sommeil à un sujet, il faut avant tout que celui-ci soit
induit en erreur certains observateurs et les conduit à considérer le sommeil provoqué comme un phénomène exceptionnel, c'est q
mmeil provoqué comme un phénomène exceptionnel, c'est que, pendant ce sommeil provoqué, la suggestibilité est exaltée chez le d
vrai et un sujet n'est pas nécessairement plus suggestible en état de sommeil qu'en état de veille. Je vois en ce moment nne
et ami, le Dr P. Valentin, et chez laquelle il applique la méthode du sommeil prolongé pour obtenir la sédation du système nerv
prolongé pour obtenir la sédation du système nerveux. Or, pendant ce sommeil , qui est du degré le plus profond, la malade est
faire, au moins est-il permis de le supposer hypothétiquement, que le sommeil provoqué n'eût jamais la propriété d'exalter la s
d'endormir le malade avant de lui faire sa suggestion curative et le sommeil perdrait évidemment toute son utilité pratique. O
nde importance qu'on lui accorde n'aurait pas été soupçonnée. Mais le sommeil perdant toute sa valeur, la suggestibilité ne per
érer toujours des sensations, des émotions, des mouvements et même du sommeil . Mais alors, n'ayant pas recours au sommeil, on
s mouvements et même du sommeil. Mais alors, n'ayant pas recours au sommeil , on aurait utilisé sans doute d'autres états qui
tats qui possèdent aussi la propriété d'exalter la suggestibilité. Le sommeil , en effet, n'est pas le seul à jouir de ce privil
lège. Tous les états que Liébeault a appelés des « états analogues au sommeil , en sont également pourvus : tels l'imitation, la
xée sur un seul point, sur une seule idée : il en est de même dans le sommeil artificiel. Et en les déterminant, on pourra, aus
l artificiel. Et en les déterminant, on pourra, aussi bien que par le sommeil , exalter la suggestibilité du sujet. Liébcaul
sujet. Liébcault, au début de ses recherches, utilisa surtout le sommeil provoqué, comme moyen d'exaltation de la suggesti
provoqué, comme moyen d'exaltation de la suggestibilité, parce que le sommeil est un des états les plus faciles à produire, qu'
dormir est, par suite, toujours bien comprise, et enfin, parce que le sommeil esL un des états qui exaltent le mieux la suggest
gue a qui a fait et pourrait encore actuellement faire concurrence au sommeil : c'est la fascination. Braid découvrit et employ
n, ils ne profitaient de celui-ci que pour produire secondairement le sommeil . Ils fascinaient le sujet d'abord, ils l'endormai
s fascinaient le sujet d'abord, ils l'endormaient ensuite. Pendant le sommeil , ils suggéraient alors d'autres phénomènes, catal
d'abord les pleurs, puis les rires, puis les hallucinations, puis le sommeil , et de terminer enfin par la fascination. Actue
nous savons que la fascination n'est pas nécessaire pour produire le sommeil : nons savons de plus que le sommeil n'est pas né
pas nécessaire pour produire le sommeil : nons savons de plus que le sommeil n'est pas nécessaire pour prodairo les hallucinat
des autres. En pratique, il est vrai, certains d'entre eux, comme le sommeil et la fascination, sont plus faciles et plus util
en l'exactitude de la doctrine. * * * Quant à la nature môme du sommeil provoqué, je n'ai pas à l'étudier ici. Je dirai s
'idée de dormir qui lui est suggérée. Certains, malgré l'apparence du sommeil qu'ils présentent, malgré leur attidude de repos,
Ils réalisent, souvent par complaisance pour le médecin, une forme do sommeil que nous avons coutume, le Df Valenlin et moi, d'
o sommeil que nous avons coutume, le Df Valenlin et moi, d'appeler le sommeil conventionnel. Ils n'en sont pas moins suggostibl
e, mais ils croient dormir : ils ont comme dit Bemheim, l'illusion du sommeil . D'autres enfin, se rapprochent du sommeil natu
t Bemheim, l'illusion du sommeil. D'autres enfin, se rapprochent du sommeil naturel : ila dorment presque réellement. Et même
peuvent s'endormir véritablement, ronfler, rêver. Mais à ce degré, le sommeil provoqué n'est plus un sommeil artificiel : c'est
t, ronfler, rêver. Mais à ce degré, le sommeil provoqué n'est plus un sommeil artificiel : c'est le sommeil naturel, tout simpl
egré, le sommeil provoqué n'est plus un sommeil artificiel : c'est le sommeil naturel, tout simplement. Car, par définition,
c'est le sommeil naturel, tout simplement. Car, par définition, le sommeil provoqué ne doit pas être confondu avec le sommei
par définition, le sommeil provoqué ne doit pas être confondu avec le sommeil naturel. De sommeil provoqué est un sommeil incom
ommeil provoqué ne doit pas être confondu avec le sommeil naturel. De sommeil provoqué est un sommeil incomplet, puisque jamais
pas être confondu avec le sommeil naturel. De sommeil provoqué est un sommeil incomplet, puisque jamais l'activité cérébrale n'
t le suggestionneur, ce qui est la condition de la suggestibilité. Le sommeil provoqué est un état de monoidéisme. Dans le so
estibilité. Le sommeil provoqué est un état de monoidéisme. Dans le sommeil naturel profond, l'activité cérébrale est éteinte
ère psychique : celle-ci est absolument isolée du monde extérieur. Le sommeil naturel profond pourrait être appelé un état d'an
stion hypnotique, par crainte qu'on n'aille abuser d'elle pendant son sommeil , mais ne s'inquiète nullement de flirter avec un
d'hypnotisme et la peur que certains en (1) Je prends pour type le sommeil naturel profond, le ropos absolu et total du cerv
vité subconsciente et sana rúves. Car il est des degrés aussi dans le sommeil naturel. Je ne puism'etendre ici sur cette questi
appée sans doute à M. Bérillon : * M. Liéboault, dit-il, pense que le sommeil provoqué est indispensable pour la réalisation de
crois, jamais été aussi catégorique à cet égard. Il pense, non que le sommeil est indispensable, mais seulement que le sommeil
Il pense, non que le sommeil est indispensable, mais seulement que le sommeil est utile pour exalter la suggestibililé. N'cst-i
premier qui ait mis en valeur les propriétés des « états analogues au sommeil » ? M. Bernheim est très éclectique dans ses op
épète, en niant l'hypnotisme, il n'a pas voulu nier la possibilité du sommeil . Quant au désaccord que M. Bérillon laisse supp
le, tandis que M. Liôbeaul préfère celui de la suggestion à l'état de sommeil , tous deux pensent absolument de même en ce qui c
est trompé. Il n'y a nullement tautologie dans le fait de dire que le sommeil provoqué est indispensable pour la réalisation de
page 9, s'exprime ainsi : « On désigne sous le nom d'hypnotisme, tin sommeil provoqué par suggestion, fixation d'un point bril
l provoqué par suggestion, fixation d'un point brillant, fascination, sommeil spécial dans lequel le sujet est susceptible de r
oi qu'il est des sujets, hommes, femmes ou enfants qui dans l'état de sommeil provoqué sont plus suggeslibtes qu'à l'état de ve
ans des maisons de santé pendant plusieurs années, a été guérie parle sommeil provoque. M. le professeur Bernheim a vu cette ma
le spontané, * Revue de l'Hypnotisme, 8e année, 1894, p. 161. — Le sommeil provoqué et la fascination, » Rueff, éditeur. Par
éel (Delbceuf). » « L'homme, dit Liébeault, qui est parvenu dans le sommeil au plus « haut degré, par celamème est nécessaire
a pierre qui « tombe. Ce n'est que lorsque l'homme est rentré dans le sommeil de « plus en plus léger qu il regagne peu à peu d
nt ces actes ? L'auteur d'une brillante et substantielle étude sur le sommeil et les rêves va nous l'apprendre: « Chaque jour
uperposée par le Dr X..-, à celle de M. Liébeault. (1) Delboecf. Le sommeil et les rives, p. v, Paris, Àlcan éditeur, 1885.
recevoir. Nous souhaitions de pouvoir le mettre de nouveau dans le sommeil provoqué, et l'interroger, dans cet état, sur les
quelque peine ; il ne se rappelle rien de ce qu'il a fait pendant le sommeil hypnotique. Notre diagnostic fut celui d'une hy
le tondait et qu'on le rasait il se perdit une demi-heure du meilleur sommeil nerveux) ; aussitôt après commença l'opération, e
l'état de veille le souvenir des suggestions à lui faites pendant le sommeil provoqué, — mais encore, pendant ce sommeil, le s
s à lui faites pendant le sommeil provoqué, — mais encore, pendant ce sommeil , le sujet n'est pas un automate et peut avoir ple
s maladies mentales et que même tous les aliénés sont réfractaires au sommeil provoqué. C'est à M. Auguste Voisin, médecin de l
double vérité : I» De nombreux aliénés peuvent être plongés dans le sommeil hypnotique (2) ; 2° De nombreux aliénés peuvent
être guéris ou, tout au moins, améliorés par la suggestion pendant le sommeil hypnotique^). Dès lors, comme l'écrivait tout r
ntion dispersée pourra ne pas se maintenir suffisamment sur l'idée du sommeil . Ainsi, de toute façon, la suggeslibilité des ali
stimé à 10 pour 100 la proportion des aliénés qu'il a pu soumettre au sommeil hypnotique. C'est beaucoup, si Ton songe qu'avant
suggestionner. Or, à ce qu'il me semble, après que la production du sommeil artificiel a été vainement essayée, tout espoir d
état favorable existe, il est physiologique, il est normal, c'est le sommeil naturel. L'emploi systématique de la suggestion
sommeil naturel. L'emploi systématique de la suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des maladies mentales
obsessions, etc., n'ont d'autre origine qu'un rêve survenu pendant le sommeil naturel. En voici quelques exemples : pendant tro
on une personne naturellement endormie? Lorsqu'une personne dort du sommeil naturel, son ouïe n'est pas nécessairement insens
, 170. M. Bernheim fait surtout allusion à ce qui se passe pendant le sommeil provoque, mais ccia est vrai aussi du sommeil nat
qui se passe pendant le sommeil provoque, mais ccia est vrai aussi du sommeil naturel, quoique à un moindre degré. (7) Tissié
ectement thérapeutique cette persistance possible de la conscience du sommeil au-delà même de la période du sommeil physiologiq
ce possible de la conscience du sommeil au-delà même de la période du sommeil physiologique? Sans doute, on devra prendre garde
délirantes des aliénés sont justiciables de la suggestion pendant le sommeil naturel. D'ailleurs, avant d'exposer le détail
ées du dehors. Pour cette restauration mentale, l'hypnotisme (ou le sommeil provoqué, comme on voudra (je ne veux pas ici chi
et il a nettement l'idée des services qu'on va lui rendre pendant son sommeil ; son siège est fait, et, non seulement il admet d
rme du traitement psychothérapique, grâce à la suggestion, pendant le sommeil naturel. Après avoir développé ces préliminaire
derniers seuls sont rares, se produisent le plus souvent au cours du sommeil provoqué. Or, ce sommeil peut être obtenu, d'aprè
s, se produisent le plus souvent au cours du sommeil provoqué. Or, ce sommeil peut être obtenu, d'après Liébeault, sur environ
Au demeurant, la suggestibilité, qui est plus complète au cours du sommeil provoqué, n'est pas le résultat de ce sommeil, pu
us complète au cours du sommeil provoqué, n'est pas le résultat de ce sommeil , puisqu'il faut être suggestible pour pouvoir êtr
Ce sont là les grandes manifestations de la suggestibilité hors du sommeil . Mais il en est d'autres moins frappantes sinon m
un moyen de s'y soustraire — se voir Inspirer, par suggestion dans le sommeil profond, les sentiments les plus bas, les penchan
, qui a tout oublié au réveil, retrouve, une fois remis de nouveau en sommeil provoqué, la mémoire de tout ce dont il a été — p
n sommeil provoqué, la mémoire de tout ce dont il a été — pendant les sommeils précédents — i'acïeur, le témoin ou la victime.
tait très clair ¦ pour moi, même quand j'étais dans un état voisin du sommeil . A « Luga, Czynski me traita aussi ; mes yeux s'a
ercices et et un véritable entraînement gymnastique pendant l'éiat de sommeil hypnotique. Dans un cas observé récemment, la c
dans l'impossibilité de marcher. Elle fut plongée facilement dans le sommeil hypnotique profond. Dans cet état, nous lui fîmes
gcstionabilité. Suggestion à l'état de veille. Suggestion à l'état de sommeil . Suggestion post-hypnotique. EiTct de a suggestio
t-hypnotique. EiTct de a suggestion sur la vie organique. 6 avril : Sommeil hypnotique et phénomènes divers de l'hypnose. 1
IQUE Mardi 19 Avril. — Introduction à l'étude de l'hypnotisme. — Le sommeil et les états analogues.— Le somnambulisme et les
analogues.— Le somnambulisme et les états passifs. — L'hypnose et le sommeil provoqué, — L'inhibition et la dynamogénie dans l
ologique de Lïébeault. — Du mécanisme intime des guérisons pendant le sommeil . — Considérations générales sur l'art d'endormir
s suggérées. — Interprétatation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué. — La méthode de Wetterstrand. — Les anc
ssait et écrivait. En 1806, il publia son merveilleux traité sur le « Sommeil et les états analogues considérés surtout au poin
unes et aux autres II indiquait les procédés employés pour obtenir le sommeil hypnotique ; distinguait celui-ci en léger et en
ible de faire des suggestions efficaces pendant que ce malade dort du sommeil naturel. Toutefois, quelques écueils menacent de
squera fort de s'éveiller tout à fait, d'autant plus qu'en général le sommeil des aliénés n'est pas très profond. Ce réveil ino
; le sujet pourra donc être influencé comme s'il était plongé dans le sommeil hypnotique; celte sorte « d'anidéisme » artificie
s que M. Au?. Voisin a formulées à propos de la suggestion pendant le sommeil hypnotique s'appliquent exactement et bien plus n
ctement et bien plus nécessairement encore à la suggestion pendant le sommeil uaturel. (2) D'après M. William Sterk, on a gra
ure déterminée ; de plus, je lui ordonne de dormir toute la nuit d'un sommeil calme et, pendant toute la durée de son sommeil,
ir toute la nuit d'un sommeil calme et, pendant toute la durée de son sommeil , de rêver uniquement à tout ce que je lui ai pres
apeutique psychique, et je me mis en devoir de provoquer chez elle le sommeil hypnotique ; mais j'eus beau, pendant près de deu
e de temps, je préférai tenter immédiatement la suggestion pendant le sommeil naturel. Cette intervention, acceptée par la fami
nt psychothérapique. C'est bien à ma suggestion, pratiquée pendant le sommeil naturel, qu'il convient de rapporter de tels résu
ts donl les somnambules du sexe féminin peuvent être victimes. « Un sommeil de très peu de durée, disent-ils, peut être suffi
l'accomplissement de l'acte, tout peut être oublié, « l'impulsion, le sommeil et celui qui l'a provoque. » Déjà, en 1884, j'a
'eus pas plus tôt consenti à donner l'autorisation nécessaire, que le sommeil fut de nouveau produit, très rapidement. Donc,
xactement jusqu'à quel point elle est suggestible, dans quel degré de sommeil provoqué elle peut être plongée. Or, on ne peut ê
tout ce qui concerne les sybillcs. les oracles, les guérirons par le sommeil dans les temples de l'antiquité, les prodiges des
l'âge de 10 mois, au moment do l'apparition des premières dénis. Son sommeil est troublé par des terreurs nocturnes ; dans ce
ative, il s'isole du monde ambiant, partiellement ou complètement. Le sommeil naturel est l'expression la plus parfaite des éta
etc. ; et parmi les états passifs les plus généraux, on remarque les sommeils ordinaire et artificiel ('), le somnambulisme noc
), le somnambulisme nocturne et diverses névroses qui ne sont que des sommeils morbides. Toutes ces manifestations de passivit
a mesure qu'apparaissent et augmentent les marques distinclives du sommeil : idées fixes et, par suite, insensibilité, isole
es signes de la veille, et dont l'autre, d'augmentation des signes du sommeil . Dans les états passifs, l'attention, plus ou m
, il devient possible, grâce à l'accumulation de l'attention (1) Lo sommeil artificiel ou provoque est uii état passif expéri
ne autrui, et autosuggestion quand on s'actionne soi-même. Un état de sommeil artificiel bien établi est la condition essentiel
cas, plus puissante sur l'organisme qu'elle ne peut l'être pendant le sommeil . Ils se sont grandement trompés. S'ils ont eu des
ont dû être peu importants, et ils ont été uniquement les fruits d'un sommeil partiel et spontané ; jamais ces succès n'ont pu
re bien marqués que sur des sujets qui tombent facilement en certains sommeils partiels ou qui sont disposés naturellement à acc
d'idées à la création d'autres sensations et d'autres idées, dans le sommeil il est en monoidéisme, ce qui est tout opposé et
tisme, le mécanisme de la suggestion. DE LA SUGGESTION PENDANT LE SOMMEIL NATUREL dans le traitement des maladies mentale
ou à la suggestion indirecte, pendant l'état de veille ou pendant le sommeil provoqué) rencontre encore aujourd'hui de nombreu
de condamner également et dans tous les cas la suggestion pendant le sommeil naturel. Tenterai-je de les convertir? Mais comme
decins s'appiiq-iaient à mettre à l'index son méraoraole livie sur Le sommeil provoqué et tes étals analogues. Ne sont-cc pas d
pas de rééditer le môme reproche au sujet de la suggestion pendant le sommeil naturel. Or, ainsi que l'a déjà répondu M. Aug.
que Ton s'incline devant les faits. Quant à la suggestion pendant le sommeil naturel, telle que je la recommande, son mérite c
soin ; quand il ne l'est pas, il trouve dans la suggestion pendant le sommeil naturel une sorte de succédané, lequel constitue
difficultés que présenterait la pratique de la suggestion pendant le sommeil naturel. « D'abord, dira-t-on, le praticien, ap
même toule la durée delà nuit; et, d'autre part, même arrachés à leur sommeil au milieu de la nuit, ils n'hésitent pas non plus
rs de leur art à ceux qui le réclament. Pour la suggestion pendant le sommeil naturel, il s'agit, en somme, d'inlervenir à une
le..., intellectuelle..., psychique; — mais, la suggestion pendant le sommeil naturel en constitue le procédé par excellence, à
sse de beaucoup en fécondité («). * ** La suggestion pendant le sommeil naturel n'est pas seulement, pour ainsi parler, l
liquée chez des aliénés qu'à la longue on parviendrait à soumettre au sommeil provoqué, elle permet de gagner un temps considér
dant la veille, ni toujours pendant l'hypnose, ni toujours pendant le sommeil naturel. Ces trois procédés, loin de se combattre
re et se prêtent un mutuel appui. Toutefois, la suggestion pendant le sommeil naturel comporte un certain nombre d'indications
se et désespère trop tôt du résultat final. On fera donc, pendant le* sommeil naturel, des suggestions qui auront pour but d'am
onviction qu'appliquée par un ici praticien, la suggestion pendant le sommeil naturel portera tous les fruits qu'elle promet.
e pareil ne saurait être allégué au sujet de la suggestion pendant le sommeil naturel. 4* Chez les enfants affectés de névros
nt que je veux seulement signaler: c'est que la suggestion pendant le sommeil naturel constitue un précieux procédé d'expérimen
réveil exaltées, etc. La psychologie en général et la psychologie du sommeil en particulier feront de nouvelles conquêtes ; et
ssion semble s'évanouir, mais la malade se plaint constamment d'avoir sommeil : en effet, cellç-ci pendant toute la nuit reste é
che de provoquer des crises ?... Interrogée une autre fois pendant le sommeil hypnotique, elle raconte ceci : dès qu'elle s'est
sciente et ne se développait complètement que pendant les instants de sommeil : sous cette nouvelle forme, l'idée fixe avait dé
aussi divers troubles consécutifs à une idée fixe survenue pendant le sommeil ; là encore, l'hypnotisme fit merveille. Enfin les
question sous son véritable jour. Ainsi, dit-il, Braid produisait le sommeil hypnotique par la fixation du regard et la fatigu
des somnambules, il dit: « D'autres tombent dans un profond et lourd sommeil , et ne se souviennent de rien après le réveil». I
l». Ils peuvent être questionnés, tourmentés de questions, pendant ce sommeil , et toutefois restent inertes. » M. Bernheim m'
ouvait postuler comme un premier principe, qu'un sujet dans l'état de sommeil magnétique est à la merci de l'opérateur ; et
e sujet hypnotisé la conscience persiste, quelle que soit la phase du sommeil . Le fait est que le crime soi-disant automatique
oint lumineux des yeux. C'est en traitant cette jeune malade par le sommeil hypnotique, que nous avons constaté, dès la premi
sur des bruits agréables et captivants. De la suggestion pendant le sommeil naturel (1). Par M. le Dr Paul Fakkz. Contraire
et de rendre de très grands services ; c'est la suggestion pendant le sommeil naturel. Certes, il est beaucoup plus difficile
t beaucoup plus difficile de faire accepter une suggestion pendant le sommeil naturel que pendant le sommeil provoqué ; on peut
ire accepter une suggestion pendant le sommeil naturel que pendant le sommeil provoqué ; on peut toutefois y arriver assez aisé
assez de prudence et de circonspection. Cette suggestion pendant le sommeil naturel doit être faite, le plus souvent, en deho
Avril. Mal 1898, p. 537, 3SÎ. H- «nilee. La suggestion pendant le sommeil naturel n droit à une tres large place dans le tr
rence: 1° chez, ceux qui se sont montrés tout à fait réfrac-taires au sommeil provoqué ou à la suggestion à l'état de veille ;
ttre à l'hypnotisme franc. — Enfin, ce mode d'intervention pendant le sommeil naturel est, en lui-même, un excellent procédé d'
psychologique (directe ou indirecto). Grâce à lui, la psychologie du sommeil pourra s'enrichir de connaissances nouvelles; et,
articulations et désarticulations, on a pu déjà donner une théorie du sommeil et rendre intelligibles, à ce point de vue, les p
neuroniques, lesquels seront alors non plus paralysés (comme dans le sommeil naturel), mais cette fois artificiellement contra
neurones ; ainsi se trouve obtenue cette immobilité qui constitue le sommeil . L'hypnose est donc un fait d'inhibition du cer
le, moins sûre, à cause du jeu des associations latérales. Pendant le sommeil provoqué, au contraire, il y a enchaînement direc
, si j'ai besoin, dans un but thérapeutique, de provoquerehez vous le sommeil hypnotique, vous vous endormirez vite et sans rés
marquables succès sont les suivants : insomnies et autres troubles du sommeil , — maux de tête, — névralgies. —paralysies de nat
ie (les), 350. Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué, par le D* Bérillon, 20. James Braid
logie, 7. 13. 42 , 79, 104, 148, 176, 185, 211, 244, 279, 318, 368. Sommeil (le) par le Dr Kéraval, 145. Sommeil (la durée
85, 211, 244, 279, 318, 368. Sommeil (le) par le Dr Kéraval, 145. Sommeil (la durée du). !88. Sommeil hypnotique sur les
Sommeil (le) par le Dr Kéraval, 145. Sommeil (la durée du). !88. Sommeil hypnotique sur les gastralgies du tabes dorsal (i
ralgies du tabes dorsal (influence du), par le Dr Spalikowski, 126. Sommeil naturel (de la suggestion pendant le) par le Dr P
les), par le Dr Liégeois, 203, 236. 273, 311. Suggestion pendant le sommeil naturel, par le Dr Parez, 257 , 292, 324. Sugge
(suggestion dans te), 126. Tension artérielle et action curative du sommeil , par le Dr Bérillon, 20. Testament, incapacité
Dr Bérillon, 68. Trouble mental, guérison par la suggestion dans le sommeil hypnotique, par le Dr Bourdon, 182. Tumeurs div
2 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
6. Place de l'École-de-Médecine. 1 8 79-1880 PREMIÈRE PARTIE DU SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES POINTS OU ZONES HYSTÉROG
DU SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES POINTS OU ZONES HYSTÉROGÈNES DU SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES Si l'on examine avec soin
Une observation attentive nous montre qu'il en est de même pour le sommeil . Certaines malades sont tourmentées par une insom
bent dans un état léthargique qui constitue de véritables attaques de sommeil . Nous étudierons d'abord le sommeil ordinaire d
titue de véritables attaques de sommeil. Nous étudierons d'abord le sommeil ordinaire des hystériques, à propos de la malade
'influence des plaques métalliques, de l'électricité statique, etc. Sommeil à l'état ordinaire. — Somnambulisme : hyperexcita
cachée jusqu'à onze heures du soir dans les jardins. 2 septembre. — Sommeil provoqué. — 1° Phase de Vhyperex- * Dans cette
lle a fumé dans une vieille Planche VII. SOMNAMBULISME PROVOQUÉ sommeil Planche VIII. SOMNAMBULISME PROVOQUÉ HYPERE
.. s'endort sans parler davantage. Relevons en passant que, dans le sommeil chloroformique, il y a des réminiscences des évén
ces des événements comme dans la période de délire des attaques ou le sommeil lui-même. Etat actuel {septembre). — Fonctions
ur. Elle est heureuse qu'on l'embrasse; tout se passe dans la tête. Sommeil . — Il vient lentement; elle pense à tous les peti
fois réveillée, elle se rendort difficilement. Cinq ou six heures de sommeil lui suffisent : « Je ne suis pas dormeuse, » dit-
anche X. CATALEPSIE SUGGESTION normales jusqu'à l'apparition du sommeil . Alors, elles se contractent; les paupières batte
che X, la malade est dans Y attitude de la supplication. Pendant le sommeil , on observe parfois des secousses des bras et des
ar l'éther, etc. Attaques de contracture. — Régions hystérogènes. — Sommeil . — Somnambulisme. Pil... E..., lingère, était â
que les régions hystérogènes (Fig. 1), leur relation avec l'aura, le sommeil naturel et le sommeil provoqué. 10 Clou hystéri
rogènes (Fig. 1), leur relation avec l'aura, le sommeil naturel et le sommeil provoqué. 10 Clou hystérique. — Il siège au som
marteau. Elle offre des exacerbations accompagnées d'une tendance au sommeil , que P... apaise elle-même en appuyant. Ces exace
aques sont limitées à la phase tétanique de la période épileptoïde. Sommeil . — Avant l'apparition des attaques syncopales2, l
eptoïde. Sommeil. — Avant l'apparition des attaques syncopales2, le sommeil était bon ; à partir de cette époque (14 ans), so
yncopales2, le sommeil était bon ; à partir de cette époque (14 ans), sommeil agité, de courte durée. Si l'on en croit la jeune
'une d'elles aurait duré deux semaines. Elle n'a pas eu d'attaques de sommeil . P... se couche à 9 heures, s'endort très diffi
sans avoir devisions dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil . Une fois endormie, elle a des rêves constants, l
t dans un jardin, entend de la musique, etc. — Avant les attaques, le sommeil est encore plus troublé ; après, il est plus tran
ls noms qu'elle prononce, sont ceux de sa tante et de son cousin... Sommeil provoqué. — 4 h. 45 : la malade est endormie par
de catalepsie. — Régions hystérogènes ; leur relation avec l'aura. — Sommeil . — Somnambulisme naturel. — Pas de clou hystériqu
rte pression sur la région sous-mammaire donne les mêmes résultats. Sommeil . — Avant d'être sujette aux attaques d'hystéro-ép
menaçaient ; elle parlait tout haut. Depuis qu'elle est malade, le sommeil est encore plus mauvais. Lorsqu'elle était chez s
ulisme). Elle aurait eu, aussi, à la suite d'une série d'attaques, un sommeil cataleptique qui aurait duré deux jours. Elle s
voit pas de fantômes dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil . Une fois endormie, elle a des rêves effrayants
est au bal, en partie de plaisir, etc. A la veille des attaques, le sommeil est plus agité, compliqué de sursauts, de rires n
fois, elle est deux, trois mois ou davantage sans avoir de crises, le sommeil est relativement calme et assez long. Sommeil p
s avoir de crises, le sommeil est relativement calme et assez long. Sommeil provoqué ou léthargie. — On endort M... par le re
de nitrite d'amyle. Régions hystérogènes ; leur rôle dans l'aura. — Sommeil ; influence des attaques. — Délire de l'éthcr.
ervation que les parties qui ont trait aux régions hystérogènes et au sommeil . Dr... est hémianesthé-sique du côté gauche. 1°
Le clou hystérique et la zone intercostale n'y participeraient pas. Sommeil . — D... ne s'endort guère que vers minuit, soit 3
n'y parvient pas et se réveille en sursaut. Avant les attaques, le sommeil est encore plus agité et c'est après elles qu'il
ue nuit et ne se rendort que très difficilement. Quelquefois même, le sommeil ne revient pas. Les plus longues insomnies complè
plètes n'ont point dépassé deux nuits ; elle n'a pas eu d'attaques de sommeil . Action de Téther. — Lorsqu'elle a fait quelque
nce de la pression. — Rôle des régions hystérogènes dans Y aura. Du sommeil en dehors des attaques, avant et après les attaqu
e l'ovaire ; enfin par celle de la région latéro-mammaire droite. 1 Sommeil . —P... s'endort quelquefois très bien mais le plu
res ou minuit, elle est agitée, n'a pas de visions avant l'arrivée du sommeil . Elle rêve beaucoup, principalement des événement
ifficilement ; elle n'est pas dormeuse. Elle n'a pas eu d'attaques de sommeil ; mais elle a eu des insomnies, passant quelquefoi
ou six nuits sans dormir1.- Elle assure que, avant les attaques, le sommeil n'est pas modifié ; tandis que, après les attaque
es, le sommeil n'est pas modifié ; tandis que, après les attaques, le sommeil est encore plus long à venir : c'est le contraire
; — après le nitrite d'amyle, les rêves sont toujours désagréables. Sommeil provoqué ou léthargie. — L'insensibilité est limi
Régions hystérogènes, anomalie. — Rôle de ces régions dans l'aura. — Sommeil . B... Evelina, lingère, était âgée de 21 ans à
ls seraient moins nombreux et presque constamment de nature triste. Sommeil . — Quelquefois, B... s'endort de suite; mais le p
meil. — Quelquefois, B... s'endort de suite; mais le plus souvent, le sommeil n'arrive que 2 ou 3 heures après qu'elle est couc
qu'elle est couchée. Dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil , elle voit des choses sans signification, des fig
dents de sa vie se représentent moins souvent à son esprit durant son sommeil que dans la période^ de délire des attaques. Le
durant son sommeil que dans la période^ de délire des attaques. Le sommeil est interrompu : « C'est rare que je dorme une nu
s qui précèdent les attaques. — Elle n'aurait jamais eu d'attaques de sommeil . Quelque temps avant son entrée à la Salpêtrièr
ce jour, de détails précis et elle aurait eu ce qu'elle appelle un « sommeil magnétique » qui a duré deux jours. On a dû la ré
quent au groupe des symptômes permanents de l'hystéro-épilepsie. DU SOMMEIL DES HYSTÉRIQUES Lorsqu'on interroge les parents
HYSTÉRIQUES Lorsqu'on interroge les parents des hystériques sur le sommeil de ces malades durant leur enfance ou leur jeunes
et avant l'apparition des attaques, ils vous racontent souvent que le sommeil était troublé par des rêves, surtout par des rêve
lles, nous permettent de tracer un tableau sommaire des caractères du sommeil des hystériques, et de compléter les descriptions
ui est insensible. Dans cette période intermédiaire à la veille et au sommeil , elles ont quelquefois des hallucinations, s'imag
personnes, des têtes bizarres, etc., autour de leur lit. Lorsque le sommeil est arrivé, il se produit presque toujours des rê
éveillent fréquemment et sont encore plus agitées que dans le premier sommeil . Les nuits qui précèdent immédiatement les atta
s cauchemars plus répétés, des secousses, etc. Après les attaques, le sommeil est relativement meilleur. 4 De nos jours, les
2-226. Une seule malade fait exception (p. 73). — D'autres fois, le sommeil qui succède aux crises convulsives se complique d
orphine, etc. Nous avons dit que Dr... (p. 56), était deux nuits sans sommeil , Béch... trois nuits (p. 81), P... A... cinq ou s
élancements dans le ventre et à l'anus ; diarrhée assez abondante. Sommeil . — M... s'endort assez facilement, et presque aus
main froide sur son visage. — Eau albumineuse, etc. 8 septembre. — Sommeil moins mauvais. Nuit et jour les bruits les plus l
e nerveux, et en particulier combien étaient intenses les troubles du sommeil \ Les insomnies que nous venons de signaler che
e leçon, le lecteur trouvera un résumé des idées du Dr Hammond sur le sommeil . (T. T, p. 62.) 13 (1722). Il s'était habitué
Il ne reposait qu'assis sur une chaise ou couché sur le plancher. Son sommeil était très interrompu ; il dormait à peine un qua
ne demi-heure dans le jour, placé sur elle. De trois à quatre ans, le sommeil est revenu, mais toujours très court, environ qua
t. A partir de cinq ans. M... a dormi comme les autres enfants et son sommeil est devenu tranquille. Les détails très nombreu
aphie nous permettent d'être concis en ce qui regarde les troubles du sommeil relevant des agents pharmaceutiques employés pour
es employés pour arrêter les attaques. Après le nitrite d'amyle, le sommeil est agité par des rêves qui, le plus souvent, son
'une d'entre elles, Béch., qui fait exception, on retrouve, durant le sommeil , les mêmes phases que dans le délire qui accompag
. Pour terminer cette étude, nous avons cru devoir rechercher si le sommeil des épileptiques, et plus particulièrement le som
echercher si le sommeil des épileptiques, et plus particulièrement le sommeil des femmes épileptiques ressemblait au sommeil de
us particulièrement le sommeil des femmes épileptiques ressemblait au sommeil des hystériques. L'enquête que nous avons faite n
e nous a permis de constater que, dans la grande majorité des cas, le sommeil des femmes épileptiques ne différait pas sensible
mmes épileptiques ne différait pas sensiblement de celui des 400 DU SOMMEIL DES ÉPILEPTIQUES. personnes bien portantes. Ell
antes. Elles s'endorment vite et si, parfois, elles se réveillent, le sommeil revient prompte-ment; les rêves sont rares, indif
les rêves sont rares, indifférents; les cauchemars exceptionnels; le sommeil est en général profond et prolongé; beaucoup dise
t qu'elles sont dormeuses. Un grand nombre de malades assurent que le sommeil n'est modifié ni à l'approche des accès ni à leur
accès ni à leur suite. Quelques-unes, au contraire, déclarent que le sommeil est plus lourd avant ou après les accès ou plus l
x hommes, nous a fait constater que la plupart d'entre eux avaient un sommeil naturel. DEUXIÈME PARTIE DES ATTAQUES DE SOMM
e eux avaient un sommeil naturel. DEUXIÈME PARTIE DES ATTAQUES DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE SOMMEIL
RTIE DES ATTAQUES DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE SOMMEIL Les attaques de sommeil se présentent tantôt co
MEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE SOMMEIL Les attaques de sommeil se présentent tantôt comme une complication des c
intéressant de son Traité de l'hystérie. Il distingue les attaques de sommeil , de coma et de léthargie et rapporte, d'après les
cueillis. Nous n'avons observé à la Salpêtrière que des attaques de sommeil . Plusieurs des malades dont nous avons parlé, Mat
e des malades dont nous avons observé personnellement les attaques de sommeil . OBSERVATION IX Sommaire. — Zones hystérogène
l. OBSERVATION IX Sommaire. — Zones hystérogènes. — Caractères du sommeil . — Description des attaques de sommeil. — Idées d
hystérogènes. — Caractères du sommeil. — Description des attaques de sommeil . — Idées de possession diabolique. V... G..., e
écrivant les zones hystérogènes qu'elle présente et les caractères du sommeil . Mais auparavant nous devons dire qu'elle a encor
La peau est insensible dans la région de l'ovaire. — Rien à droite. Sommeil . — V... est lente à s'endormir, il lui faut souve
uvent plus d'une heure. Dans la période intermédiaire de la veille au sommeil , elle a des hallucinations de la vue : elle voit
ant son séjour dans cet hôpital, V... assure avoir eu des attaques de sommeil . La première serait survenue alors qu'elle était
it boire à la sonde sans qu'elle en eût conscience. Les attaques de sommeil succédaient d'ordinaire à des crises convulsives;
Outre que cette observation nous donne déjà une idée des attaques de sommeil et qu'elle confirme ce que nous avons écrit sur l
lle confirme ce que nous avons écrit sur les zones hystérogènes et le sommeil des hystériques, elle met en évidence l'influence
e du côté gauche. — Bizarreries de caractère. — Troubles digestifs. — Sommeil à l'état ordinaire. — Attaques de sommeil. — Am
. — Troubles digestifs. — Sommeil à l'état ordinaire. — Attaques de sommeil . — Amaurose hystérique. — Zones hystérogènes. — E
es. — Effets de la pression. — Prodromes et symptômes des attaques de sommeil : pouls, température, etc. — Attaques hystériqu
es premiers temps de son séjour chez ses patrons, D... disait que son sommeil était mauvais, qu'elle tombait quelquefois de son
étonnée de se voir sur son lit. Le 10 mai, elle a eu une attaque de sommeil qui a duré 22 heures. On l'a trouvée, après le dé
tites attaques; après la dernière, D... est réveillée. 8 juillet. — Sommeil pendant 12 heures, sans attaques au début ni à la
: le réveil s'est opéré sans phénomènes particuliers. 11 juillet. — Sommeil de G heures du matin à 6 heures du soir. 3 et 5
n'a pas pleuré; elle a refusé de manger; elle paraissait résister au sommeil . A 5 heures de l'après-midi, il lui était impossi
lle ferme les yeux et lutte évidemment de toutes ses forces contre le sommeil . Parfois, elle frotte ses paupières. Elle semble
l'électrisation, elle parle ; mais, bientôt, elle est envahie par le sommeil . Réveillée par la grande pile, elle rentre gaie d
se couche et s'endort. Soir : T. R. 37°, 8. 7 sept. — T. R. 38°. Le sommeil dure encore à ce moment (10 heures 1/2). Lorsqu'o
tracés précédemment, on ne voit plus que deux lettres *. 24 sept. — Sommeil à partir de 6 heures du soir jusqu'à 10 heures du
— 25 attaques et tortillements de 9 à 11 heures du matin. 28 oct. — Sommeil de 10 heures du soir à 10 heures du matin, le 25
heures du matin, le 25 réveillée par la compression. 10 novembre. — Sommeil qui débute à 10 heures du soir et finit le 12 à 4
évrier. —Règles. 14-16 mars. —Règles. D... n'a pas eu d'attaques de sommeil depuisle mois de novembre. Parfois, tristesse, ma
sle mois de novembre. Parfois, tristesse, mauvaise humeur tendance au sommeil . Elle s'endort en général assez vite ; quelquefoi
le n'a pas uriné sous elle depuis le commencement de cette attaque de sommeil ; les membres sont souples ; la peau, sauf à la f
res et demie. Juin-août. — D... n'a pas eu de nouvelles attaques de sommeil ni de crises convulsives. De temps en temps, elle
face. Enjuin, pas de règles; — en juillet, règles du 12 au 15. Le sommeil vient d'ordinaire assez vite, sans être précédé d
lle par caprice. Les premiers accidents ont consisté en troubles du sommeil , en apparence insignifiants : la malade tombait d
être précédés ni suivis de convulsions. Enfin, elle a une attaque de sommeil qui persiste pendant vingt-deux heures et on se d
lle, de même que chez la malade de I'Obser-vation XI, les attaques de sommeil offrent souvent des prodromes : tristesse, altern
t illusions variées, mouvements nerveux, secousses, enfin tendance au sommeil , à laquelle les malades essaient de résister. — P
er. — Parfois, D... avait des attaques convulsives avantl1 attaque de sommeil , qui n'était alors qu'une sorte de terminaison pa
ns maintenant résumer les symptômes qui caractérisent les attaques de sommeil , indiquer leur durée, leur marche, etc. ; mais no
nique des genoux. — Atrophie relative des membres du côté gauche. Sommeil ordinaire. — Attaques de sommeil : Prodromes. — S
lative des membres du côté gauche. Sommeil ordinaire. — Attaques de sommeil : Prodromes. — Symptômes. — Pouls, respiration et
ptiques. — Contracture. — Signes qui annoncent la fin des attaques de sommeil : mouvements cloniques, délire. Description de
ommeil : mouvements cloniques, délire. Description de l'att;ique de sommeil de 1876 : abaissement de la température centrale.
ard devant les yeux, une propension irrésistible à dormir; durant son sommeil , elle a des soubresauts, mais ne rêve pas beaucou
aucun souvenir de ce qui a été dit ou fait autour d'elle pendant son sommeil ; elle ignore si elle a eu des visions et ne sait
lières, à condition d'administrer des lavements ou de la magnésie. Le sommeil est très court. — Les règles ont commencé le 8, f
s étaient venues le 21 mai.) 1876. 23 mars. — Depuis son attaque de sommeil , H... prétend qu'elle a mal dormi, qu'elle avait
T. V. 36°, 9, après six mimutes d'application profonde. — Vattaque de sommeil a débuté le 25, à sept heures du soir. La nuit de
dans la tête et dans le ventre » et rit aux éclats. 12 avril. — Le sommeil est court ; pas de rêves. Le délire reparaît par
a chanté jusqu'à 2 heures du matin, moment où a commencé Y attaque de sommeil . 17 3-6 mars. — L'attaque offre les caractère
es idées, elle rit bruyamment. T. R. 37°. 12-16 avril. — Attaque de sommeil incomplète. 25 mai. — Un nouvel examen de l'éta
avril. — Depuis le mois de juillet 1877, H... n'a pas eu d'attaque de sommeil . Sa situation ne s'est pas modifiée. Elle mange p
de la langue, la luette ; anesthésie de la muqueuse vulvo-vaginale. Sommeil . — La malade assure qu'elle dort mal parce qu'ell
ignements fournis par les observations qui précèdent, relativement au sommeil , nous devons relever quelques points de l'histoir
ngue période, Vintelligence n'a pas changé; en dehors des attaques de sommeil , des crises de rire nerveux, du délire de parole,
des attaques par la compression épigastrique, etc. Les attaques de sommeil sont peu communes. Sur le nombre, déjà respectabl
é « trois cas d'hystérie avec des attaques consistant en un véritable sommeil » ; cinq cas attaques comateuses et huit de vérit
able léthargie1. 1 Les hommes seraient aussi sujets aux attaques de sommeil . Il paraîtrait que Derk Klaasz, paysan de Wolkwig
sont atteints de nystagmus et que les pupilles sont dilatées. Si le sommeil se prolonge, on est obligé d'avoir recours à Y al
les ont des rêves agréables et des cauchemars. Tantôt, l'attaque de sommeil se termine par une attaque convulsive, ou bien pa
e plus en plus rapprochés, annoncent chez H... la fin de l'attaque de sommeil . Dans ce cas aussi, il se produit un véritable dé
se produit un véritable délire de parole^. La durée des attaques de sommeil est très diverse : 12, 24,36 heures, plusieurs jo
fférents moyens peuvent être employés pour mettre fin aux attaques de sommeil . Telles sont la pression sur une région hystérogè
sommeil. Telles sont la pression sur une région hystérogène (alors le sommeil survient ou sans attaques, ou après attaques), la
ous paraît pas offrir de difficultés sérieuses. Entre les attaques de sommeil proprement dites et les attaques de coma, il n'y
s grand nombre , s'était fait tout simplement comme lorsqu'on sort du sommeil ; chez les autres, il y avait eu soit du délire,
elle qui avait eu l'attaque la plus forte, a déclaré que, pendant son sommeil , elle avait toujours conservé la faculté d'entend
entendre. La plupart se rappelaient ce qui s'était passé pendant leur sommeil , quelques-unes n'en avaient aucun souvenir1 ».
a à nos lecteurs pour compléter ce que nous avons dit des attaques de sommeil . Le pronostic ne nous semble pas grave, sauf dans
oute erreur. Dans les trois cas que nous avons cités, les attaques de sommeil ont disparu depuis un temps plus ou moins long, p
n XI. i Briquet. — Traité de l'hystérie, p. 422. Les illusions du sommeil ont eu, autrefois, des conséquences d'une extrême
a cruauté à faire périr tant de gens que les illusions des sens ou du sommeil entretenaient dans une funeste erreur de jugement
naient naguère les conceptions qui naissent dans le cerveau durant le sommeil . Nous empruntons le premier à Bodin, le terrible
leur délire, soit sous l'influence de l'éther, soit enfin durant leur sommeil : le fait ci-après démontrera qu'il en était de m
ième épreuve ; après quoi, il le déclarait incapable d'entrer dans le sommeil lucide. Cette méthode ne diffère point essentie
ement lascives et ordurières. Chez ces dernières, on arrive bien au sommeil hypnotique, mais plus lentement, et les manifesta
bsolument inutiles, elles ne servent qu'à ralentir le commencement du sommeil . Après deux ou trois minutes de cet état immobi
globes oculaires en refermant les paupières supérieures (Fig. 4). Le sommeil est alors immédiat ; le sujet tombe en arrière en
: il en résulte une sorte de malaise qui hâte beaucoup l'arrivée du sommeil . Fig. 5. Dans quelques cas, quand, par exempl
on lui dit de le regarder fixement. Eh bien, dans ces conditions, le sommeil survient encore, et avec les mêmes avant-coureurs
ès grand si nous avions voulu. Un jour on lui dit la même chose et le sommeil survint tout aussi vite : seulement nons n'étions
de cette façon-là : imagination de la malade très vivement frappée et sommeil arrivant subjectivement et sans l'intervention d'
eure. Toutes les manœuvres que nous venons de décrire produisent le sommeil hypnotique : il est probable qu'un grand nombre d
elques expériences qu'il est possible de reproduire pendant l'état de sommeil . Il suffit d'exciter les muscles légèrement avec
int : l'hyperes-thésie musculaire est tellement développée pendant le sommeil hypnotique qu'il est possible de faire, par le si
t représenté par la Planche XIV . Fig. 8. C'est encore pendant le sommeil hypnotique qu'il est possible de produire une sor
La plus simple consiste encore à faire passer le sujet directement du sommeil hypnotique dans l'état cataleptique. En s'endor
dormant, le sujet avait fermé les yeux, et, pendant toute la durée du sommeil , les paupières avaient été animées de battements
ite du foyer lumineux les fait au contraire repasser immédiatement au sommeil hypnotique. La chose peut être indéfiniment répét
arrêt du diapason arrête instantanément la catalepsie et détermine le sommeil hypnotique (Planche XXI). Il ne faudrait pas cr
sie; suggestion; hallucinations provoquées. — Attaque artificielle de sommeil : ses caractères. — Aphasie provoquée. — Relation
qu'une sensation de raideur non douloureuse. X... dit que, dans le sommeil provoqué, elle n"a pas de rêves; mais* qu'elle ép
lanche XVI. HÉMI-LÉTHARGIE et HÉMI-CATALEPSIE vmgt-deux heures d'un sommeil profond. Le corps était flasque ; le pouls à 28-3
rder le lit. Nous avons eu, de la sorte et par hasard, une attaque de sommeil artificiell. 9 avril. — On endort X... par surp
urprise) ; elle résiste, ne s'endort pas et dit : « J'ai ravalé mon sommeil . » (On sait que durant l'aura, les malades déclar
plissement de l'acte et l'effort qu'elle faisait pour ne pas céder au sommeil , semblent avoir produit un effet inverse à celui
; soit qu'il s'agisse enfin des hallucinations provoquées. Dans le sommeil provoqué, les hystériques ne paraissent avoir ni
nt avoir ni les rêves agréables, ni les cauchemars qui troublent leur sommeil naturel. « On s'imagine qu'on a rêvé, nous disait
té publiée dans le t. II de Y Iconographie, p. 179. 1878. 27 août. — Sommeil provoqué. B..., qui est anesthési-que du côté dro
assez considérable d'éther pour endormir B... Avec le chloroforme, le sommeil survient en deux ou trois minutes. — Dans les deu
dorat, le goût, Youïe, sont normaux. B... n'a plus de secousses. Le sommeil est meilleur. — Elle Ira- Planche XXVI. CATAL
e. — Alternatives d'ancsthéèic générale et d"hémiancsthésie gauche. — Sommeil . — Zones hystérogènes. — Aura. — Description des
epsie. Suggestion; hallucinations provoquées. — Moyens de produire le sommeil . — H.mi-léthargie et hémi-catalepsie. Tentative
ce qui ne lui plaisaient pas et n'avaient pas de conversation ». Le sommeil est lent à venir; S... songe à toutes sortes de c
nclusion, ce qui la contrarie. Ce n'est que vers onze heures que le sommeil arrive ; elle se réveille plusieurs fois. Quand s
varienne les suspend momentané-^ Planche XXX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE SOMMEIL HYPNOTIQUE Planche XXXI. HYSTERO-EPILEPSIE
taques. Elles confirment également le tableau que nous avons tracé du sommeil et des rêves des hystériques. Le sommeil provoq
au que nous avons tracé du sommeil et des rêves des hystériques. Le sommeil provoqué nous a offert à peu près toutes les part
uc, eftant fafciné par la Sorcière Pamphile... » Après le réveil du sommeil magnétique, déterminé alors que l'on vient de pro
les ressentaient dans la période de délire. Suzanne, à la sortie du sommeil artificiel, offrait quelques troubles vaso-moteur
avait fait ou dit, ni du temps qui s'était écoulé. Les illusions du sommeil , auxquelles nous avons plus particulièrement cons
les femmes au système nerveux, malade, revoyaient en rêves, dans leur sommeil tourmenté, toutes les scènes dont on les avait en
TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Des zones hystérogènes et du sommeil chez les hystériques. \ Observation I..........
... 84 Rôle des régions hystérogènes dans les attaques. ... 85 Du sommeil chez les hystériques.............. 88 Cauchemar
stiques............ 97 Insomnie chez les idiots............... 93 Sommeil des épileptiques............... 99 DEUXIÈME PAR
es épileptiques............... 99 DEUXIÈME PARTIE Des attaques de sommeil . ................ 4 01 Variétés................
08 Observation XI..................... 418 Rareté des attaques de sommeil ............ 4 36 Prodromes, symptômes..........
— Vaginale, 10,11,4 9, 65, 67, 110. Sirène (attitude de la), 215. Sommeil des épileptiques, 99. — Des hystériques, 4, 26, 4
3 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
r ta guéri son. Dés la première séaace d'bypaolisalion. bien que le sommeil obtenu fût très superficiel. j'en profitai néanmo
lescence fal longue et son enfance s'en est r . Il eut longtemps le sommeil troublé par Ji-s cauchemars et il sis réveillait
saut, poussant Jcsrris. Actuellement, il esl encore agité pendant non sommeil , bien qu'il soit Irés dimrilrà réveiller. Le mala
ans en avoir conscience. Dès la première séance il est plongé dans un sommeil profond. Je lui mets les deux bras en contracture
orale rsl asser obtuse, il esl indifférent et peu affectueux. Il a le sommeil agité par des rêves, parle toute la nuil. Il est
gé de 10 ans. se ronge les ongles. Il esl facilement plongé dans un sommeil profond. L'onyrhophagie esl promple-cal guérie. L
ardi'e pour marcher el pour parier; elle dort la Imuche ouverte, a le sommeil agile, réve beaucoup, rit aux éclats et parle en
dès la première séance plongera, sans la moindre résistance, dans un sommeil profond. Elles sont plus intelligentes el pins do
ois, la scissure inter-pariélale n'élaîl pas encore soudée. Elle a le sommeil troublé par des rêves, des cauchemars. Elle se ré
sos pantalon. On l'a surprise en train de se livrer à l'onanisme. Son sommeil r»l 1res prof mc'.ona Irauroup de peine à la nHei
extérieure. Pour cela, il esl nécessaire de plonger le sujet dans le sommeil hypnotique et d'olfrir â l'automatisme impulsif l
de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. » L'auteur n'a. Évidemment, lu aucu
iments liquides et encore les vomissant, même le lait: presque pas de sommeil : douleur continuelles dans le ventre, miction pé
ent curieux à la scène sans rien comprendre. Je n'osai aller jusqu'au sommeil . Néanmoins, je lui assurai que désormais elle dig
fixement de nouveau quelques instante, puis lui annonçai ce paisible sommeil . I.a suggestionne réalisa. Elle digéra ce même jo
seuil de sa porle. Quelque» jours après, je lui persuadai, dans son sommeil , qu'elle était en état de reprendre ses occupatio
ensai tout de suite qu'il y avait la quelque chose, et pendant le sommeil de la jeune lillc. je lui enjoignis de se rendre
i aussi je m'abstiens de commenter. A TRAVERS LES ÉTATS PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES Par M. le •docteur LIEBEAULT de
L'article qui suite je l'intitule : A travers les états passifs, le sommeil et tes rêves. S'il est homogène dans son sujet, i
pris. Je parle des états passifs en général, et particulièrement du sommeil que j'envisage seulement dans ses grandes lignes
surtout des rêves qui ont lieu dans eel état, et prennent pendant le sommeil profond, tantôt suggeslivonicnt ou aiitosuggesliv
eau. dans le Centre intellectuel de la pensée : et tantôt, pendant le sommeil léger, le prennent plus librement il l'opposé, da
ifs et perceptifs des sens el de la mémoire : appliquant largement au sommeil et aux états analogues la loi do balances ment or
u'il y a de plus connu : de l'influence naturellement bienfaisante du sommeil .et, qu'on dorme ou non. île l'action utile ou nui
che, je m'appesantis davantage sur la nature automatique des faits du sommeil el de quelques faits passifs de In veille, ainsi
fais enlin l'adversaire des savants qui prétendent que les rêveurs du sommeil provoqué-ont assez île volonté pour résister touj
hommes d'initiative et de volonté-. A TRAVERS LES ETATS PASSIFS. LE SOMMEIL ET LES REVES. I Dans la vie de relation, par
s dans l'organisme que le mouvement de la pensée se dédouble. Dans le sommeil , par exemple, qui est en grande partie l'objet de
s, suggérés ou nutosuggérés. l'armi les physiologiques, on range : le sommeil qui en est le type le plus parfait : l'abstractio
ation, la m ou r, la joie, l'enthousiasme, etc.. tous états, moins le sommeil et l'abstraction, tous états émotifs différents d
ouvrage 1 suri nu «les étals passifs dont je viens de parler, sur le sommeil , ouvrage dans lequel j'ai déjà abordé, d'une mani
s importantes. Il a eie établi, dans le travail en question, que le sommeil est l'effet d'une idée qu'on se suggère, quand le
dormeurs 'endort de sa propre initiative, ainsi qu'il arrive dans le sommeil ordinaire, et qu'il est l'effet d'une suggestion,
, et qu'il est l'effet d'une suggestion, s'il s'endort, comme dans le sommeil provoqué, de sou propre consentement, mais sous l
cet élat psychique et le maintient. Ces deux manières d'arriver au sommeil , l'une par autosuggestion et l'autre par suggesti
on n'est plus en rapport avec le momie extérieur; le uiouves (1) Du Sommeil et des états analogues. Paris, V. Masson, 1866.
pie l'on va voir plus loin, s'v forment encore â son insu, pendant le sommeil , et cela comme dans la pénombre de la conscience.
apparent, a été démontré par .....i. eu 1866. dans mou livre sur le sommeil (1), et il a élé confirme depuis par un grand nom
m et Delbieuf. " En outre, en ce livre il a été établi que. dans le sommeil , la force nerveuse d'attention, force abstraite q
un côté quand elle augmente de l'autre : il a été établi que. dans le sommeil , cette force s'est, de tous les points du corps,
t : de la le nom. el je le répète encore. de pole passif ou inerte du sommeil donné déjà à ce point d'arrêt ; et de là. dans le
istribution «le la forée nerveuse d'attention, il arrive que. dans le sommeil , les mouvements nerveux habituels étant devenus b
qu'ici, ou même que je n'ai pas encore abordées dans mon livre snr le sommeil . Je vais surtout tenter quelques excursions dans
s de ces rêves ordinairement inronscients sont construits, pendant le sommeil profond, avec de la force nerveuse en excès et ar
quée: et les seconds. Souvent conscients, sont construits, pendant le sommeil léger. au moyen de ce qui reste île celle force d
artie d'elle-même sur 1 idée fixe de reposer prise en eulranl dans le sommeil . Contrairement aux mouvements actifs de leur pe
lent ordinairement conscients au réveil : c'esl dans les rêves du sommeil léger. Dans leur construction, ou a comparé les c
fous monoinaniaqiU's. Je le répète : au pôle d'inertie, pendant le sommeil profond, là on la force nerveuse s'est en grande
suggestion ou par autosuggestion. Maïs au pôle d'activité, pendant le sommeil léger, où se produisaient les mouvements pensants
u'ils ignorent et dont je vais m'oceuper. II Ce qui prouve que le sommeil est l'effet d'une action pensante à deux pôles op
tion sont les mêmes ; et si l'un de ces elfels. celui qui alioulil au sommeil , se prolonge davantage que l'uni riel reste fixé,
ferais d'autres expériences comparatives avec des étals analogues au sommeil , que toutes convergeraient à do mêmes résultats.
on des sujels qu'il endormait sur un objet île lu vision crut «pie le sommeil ainsi produit était non seulement un effet conséc
rnières causes comme entrant pour une bonne part dans la formation du sommeil . Il ne se doutait pasque, oui re la concentration
uit nu arrêt de l'allenliou et une sorte de fascina-lion, ce n'est le sommeil qu'aillant qu'on v ajoute en même temps dans l'es
Braid, ne soupçonnant pas la ressemblance étroite qui existe entre le sommeil ordinaire et celui qu'il faisait naître, crut fau
celui qu'il faisait naître, crut faussement qu'il avait déterminé un sommeil spécial qu'il appela sommeil nerveux ou hypnose.
crut faussement qu'il avait déterminé un sommeil spécial qu'il appela sommeil nerveux ou hypnose. Ainsi, il dit dans sa Neurypn
était une grande erreur, que beaucoup de savants partagent encore. un sommeil physiologique nouveau. c'est ce que l'on ne verra
! (1) Page 13. Delahaye 1883. paris. Si Braiil découvrit que le sommeil cal le résultat d'une concentration de l'attentio
state qu'au pôle d'activité, vers tmis les autres poiuts du corps, le sommeil préseule, dans les sens amortis. îles caractère»
sentiel de la formation des états passifs, quels qu'ils soient, cl du sommeil eu particulier. Ainsi, par les découvertes tic
ues, s'est complétée pour moi cette conception qu'on peut se faire du sommeil en voie de formation ou formé : qu'à un pôle, le
sensations et au remuement des idées, coin nie avant la formation du sommeil , mais avec absence d'intelligence et manque de bo
sence d'intelligence et manque de bon sens. Du moulent que. dans le sommeil complètement formé, «m distingue doux pôles, dnpl
naissance sous l'élincelle «le la suggestion, ou naissant avant hs sommeil ers sous celle «!«• l'autosuggestion ; et les
es rêves somnambu-liques ordinaires. Voici, m sujet de ces rêves du sommeil ordinaire, l'opinion de A. Maury. l'auteur le plu
. On trouvera que. quoique peu nettement rendus, les earaelères de ce sommeil soni 1rs moules sur lesquels se forment les rêves
es de ce sommeil soni 1rs moules sur lesquels se forment les rêves du sommeil profond provoqué. J'abrège sa description île res
ion et une grande suite dans les actes. Enfin. A. Maury note (I) Le Sommeil et les Rèves, Didier, Ch. IX. 1861, Paris. (2) Ce
61, Paris. (2) Ceci est contestable. encore qu'a la suite de leur sommeil ces somnambules ne se souviennent de rien. De c
uliques: par auto-suggestion, ces rêves sont transmis de la veille au sommeil , les occupations psychiques îles dormeurs se cont
ession d'idées ayant pris naissance dans l'étatde teille antérieur au sommeil , ctqu'ilcst de même essence subjeclivcque l'autre
r Bourdon. de Méru Opération d'un polype fibreux de futérus dans le sommeil hypnotique, peu profond, aidé de la simulation du
à un malade préparé sl'avance ou susceptible d'être, d'emblée, mis en sommeil profond ou en somnambulisme, c'est-à-dire slans u
oins hyp-notisablcs, beaucoup de personnes n'arrivent pas au degré de sommeil voulu. D'autres ne s'y prêtent pas volontiers.— C
suggestions verbales afin de faire entrer dans son cerveau I idée slu sommeil . Au bout d'environ quinze minutes, la patiente
SME EXPÉRIMENTAL ÉT THÉRAPEUTIQUE A TRAVERS LES ÉTATS PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES Par M. le docteur LIEBAULT, de
le monde, par l'emploi de procédé» convenables, peut arriver dans le sommeil , au moins au degré habituel Vie son sommeil de to
les, peut arriver dans le sommeil, au moins au degré habituel Vie son sommeil de tous les jours. Il y a même des individus, ceu
qu'on les a endormis un»! première fois, ils entrent ensuite dans le sommeil à quelle heure que ce soit, avec la même facilité
ce dernier- J'engage ceux qui ont la curiosité de faire naître le sommeil artificiel, à choisir d'abord pour sujets d'expér
ormir à peu près tout le monde, et surtout les rêveurs somnambules du sommeil ordinaire, je me lemande ce que MM. les professeu
me, il n'y a que de la suggestion ». Veulent-ils nier, en général, le sommeil provoqué ? Ou veulent-ils seulement uîerrhvpnose
ovoqué ? Ou veulent-ils seulement uîerrhvpnose que Rraid définit : un sommeil physiologique nouveau ? Ou enlin ont-ils voulu re
ont-ils voulu regarder, comme une inutile super-félation. l'emploi du sommeil provoqué dans le but de guérir les malades, et di
causer des effets curalifs sur les personnes que l'on veut guérir. Le sommeil , a écrit un ancien médecin est le meilleur des re
it folie de ne pas s'y coucher et de s'étendre à còlè sur la dure. Le sommeil n'est-il pas comparable à un lion lit oii l'on do
'insinuations et d'artifices de langage pendant Pétai de vrille? Le sommeil est, parmi les états passifs, celui qui se forme
inculquer: il accepte tout, et, sous ce rapport, on peul dire que sou sommeil esl un vrai multiplicateur. Non seulement pour ce
tosuggestions faites pendant la veille ou dans des états analogues au sommeil , principalement s'il s'y mêle un élément émotif;
ornieur adresse la parole à un sujet qu'il a mis profondément dans le sommeil et qui. par suite, est devenu par les sens isolé
ns et les autres parties de l'organisme, au moment de la formation du sommeil , pour se porter de ces points avec accumulation s
orps, eu la proportion que je viens d'indiquer, c'est que, pendant le sommeil , avant, pendant et après suggestion, l'isolement
sociation inversement proportionnelle de l'action nerveuse pendant le sommeil , résulte l'automatisme ou l'activité involontaire
signe culminant et le plus irréductible, et de ce rêve et du rêve du sommeil profond provoqué. L'automatisme existe de même
e existe de même dans ce qu'éprouvent et finit les sujets mis dans le sommeil léger. Ces dormeurs moins concentrés acceptent au
ue les sujets donnent profondément ou non. les phénomènes suggérés du sommeil se produisent chez eux automatiquement, en propor
sent chez eux automatiquement, en proportion de la profondeur de leur sommeil ; et tous, quels qu'ils soient, même lorsqu'ils s
sse de spécial et de caractéristique, non seulement dans les rêves du sommeil le plus profond, niais aussi dans ceux du sommeil
t dans les rêves du sommeil le plus profond, niais aussi dans ceux du sommeil le plus léger. Mais si chez, les sujets qu'on vie
lisée sur L'idée fixe de dormir, celte cheville ouvrière de l'état de sommeil ; et quoique par suite de ce cumul au pôle d'iner
nstaté, il y a près de Et ans, et je les aï relatés dans mon livre le Sommeil (1). Alors je remarquai déjà que si l'on faisait
ux et dont ils n'avaient pas paru s'apercevoit, pendant que dans leur sommeil , leur attention, au pôle d'inertie, était portée
s les sens et la mémoire des dormeurs profonds, au pôle d'activité du sommeil , et cela commedans un miroir, ces impressions ima
, plus vives mais plus désordonnées, qui ont lieu d'ordinaire dans le sommeil léger, au même pôle d'activité. Aussi, étant peu
ine le point de départ de quelques rêveries. n'est qu'a mesure que le sommeil se prolonge pour devenir plus léger, que les impr
ux dans l'esprit, doivent être l'origine de rêves analogues à ceux du sommeil léger, rêves beaucoup plus perceptifs et plus mou
é, el même M. Beruhein. en n aussi depuis constaté la réalité dans le sommeil profond des dormeurs ordinaires. J'ai vu. dans le
s leur lit. à la clinique de ce professeur, des malades donnant de ce sommeil , qui paraissaient entièrement isolés, comme pour
nté pour diriger sa pensée comme pendant la veille. Il rêve : dans le sommeil profond, c'est aux dépens de la forée nerveuse po
aux dépens de la forée nerveuse portée au pôle d'inertie; el dans le sommeil léger, c'est aux dépens de la force nerveuse rest
euse restée au pôle d'activité. De là. deux sortes de rêves : ceux du sommeil profond, que je viens d'effleurer; et ceux du som
rêves : ceux du sommeil profond, que je viens d'effleurer; et ceux du sommeil légerdont je parlerai spécialement plus loin. D
elle nous échappe aussi, entant que continuant à dormir, elle fixe le sommeil par l'idée que nous avons de le faire durer. Cett
t dans le mouvement de l'esprit, lorsqu'on s'endort el pendant que le sommeil se prolonge: les seconds signes à l'autre pôle, s
rêves ordinaires. Il en est de même pour les rêveurs somnambules du sommeil provoqué que pour les rêveurs du sommeil ordinair
r les rêveurs somnambules du sommeil provoqué que pour les rêveurs du sommeil ordinaire ; non seulement quand ils s'endorment :
lus que dans le cas qui précède, le mécanisme de la formation de leur sommeil et-de sa prolongation. Et quand aux rêves profond
les dormeurs, après une décision prise par eux avant de se livrer au sommeil : quand ils comptent le temps dans la nuit, afin
ts se passent inconsciemment aussi chez beaucoup île gens, pendant le sommeil . Je connais une personne qui craint le feu et don
dant le sommeil. Je connais une personne qui craint le feu et dont le sommeil esl 1res lourd : la preuve en est que son mari a
foule d'autres choses chaque nuit. El tout ce long temps, pendant mes sommeils et mes rêves, cette idée lixc de m'éveillcr au br
ciation et l'oublient. Et quand on suggère à des personnes mises en sommeil très proton : de voir, d'entendre, etc.. peudant
eprenant dans tout le corps les positions qu'elle y occupait avant le sommeil , redevient relativement en moindre quantité qu'au
us saisir, faute d'effort possible, ce qu'elle y retrouvait durant le sommeil . IV Ce n'es! pas seulement dans l'état do som
uvait durant le sommeil. IV Ce n'es! pas seulement dans l'état do sommeil que l'on trouve à deux pôles opposés, une dissoci
ce. C'est aussi flans les états passifs qui onl de l'analogie avec le sommeil , qu'ils soient physiologiques ou non. Je vais in'
elle deux moi s'ignorant l'un l'autre. Il y a encore, en dehors du Sommeil , d'autres phénomènes passifs de dédoublement île
el d'inspiration, lesquelles ressemblent aux rêves oubliés d'un court sommeil : le travail mental, émotif ou non. qu'on ne saisi
aine de la vie de relation concernant les états passifs et surtout le sommeil , les phénomènes pensant qui s'y passent, se font
e nous-mèinc. a déjà été soutenue par moi. en 1866, dans mon livre du Sommeil . Elle est fondée sur les considérations suivantes
morrhagics, etc.; et aussi, ces mêmes dormeurs, dans le même degré de sommeil , peuvent par suggestion, retrouver dans les tissu
es rêves de la seconde classe qui apparaissent principalement dans le sommeil léger. Au lieu de se former automatiquement au ce
et du corps, sens et mémoire, où par contre-coup, depuis l'entrée en sommeil , cette force est restée diminuée, mais toujours l
lques mouvements intellectuels coordonnés et transmis de la veille au sommeil . Tout le temps que j'ai dormi, mes rêves, très va
és pour une bonne part dans leur construction. El pendant la durée du sommeil : de la gène douloureuse dans la position d'un me
etc. A l'exception de ces quelques cas de sensations perçues dans le sommeil , et du besoin d'uriner qui, d'ordinaire, précède
tre de cette laihlesse déjà acquise des sens, ces organes, pendant le sommeil en voie de formation ou formé, deviennent encore
s rêves présentent de nombreux caractères sensoriels, soit lorsque le sommeil se forme, soit lorsqu'il est déve-foppé. J'ai été
autrefois dans cette disposition à avoir des rêves de ce genre ; mou sommeil étaul alors plus léger, rendait mes sens moins ob
ù je dormais, la fenêtre étant restée ouverte. Maintenant, durant mou sommeil , toute la ville de Nancy brûlerait que mon odorat
re, ne s'efl'acent pas de mon esprit immédiatement après la sortie du sommeil . Et loin d'être la continuation d'un mouvement in
re la continuation d'un mouvement intellectuel allant de la veille au sommeil : loin de naître à la suite d'une idée déposée da
le et fixe a continué de servir tic canevas à des rêve- ries d'un sommeil ultérieur, ce qui m'est arrivé seulement ileux fo
magés et remémorés du sens de la vue. Tout fermé qu'il est pendant le sommeil , et peut-être pour cela, r'est lui qui, de tous l
és par un tra 'vail agaçant, ne doivent souvent présenter, pendant le sommeil en voie de formation et pendant sa durée, des rêv
tré pour les somnambules et M. Bernheim pour les dormeurs profonds du sommeil ordinaire. Il n'y a donc rien que de très raisonn
arrive aux dormeurs profonds, quand ils y sont invités, lors de leur sommeil . Alors, quoique dormant même peu profondément, da
nductions,que eo sont déjà celles qui sont sujettes à tomber dans les sommeil profond au plus haut degré. En fermant les yeux
gulières ; elle avait de fréquents maux de tête, des palpitations, un sommeil troublé et était d'une nervosité extrême. La mala
t se soumet avec docilité à l'hypnotisation. Elle est plongée dans un sommeil profond. Elle n été endormie trois fois à huit jo
bougeât dans la chambre, sans que la jeune fille parût sortir de son sommeil léthargique, sans que le moindre mouvement :iit p
in : ce sont de véritables aliénés. A TRAVERS LES ÉTATS PASSIFS, LE SOMMEIL & LES RÊVES l'ar M. la docteur i-iïaiACLT,
es deux cas. A. Maury, en 185G. a déjà constaté dans son livre sur le Sommeil et (es Hêves 1 que la mémoire tient plutôt à l'én
eule nuit. En 13'» jours il n'y en a eu que 2 où je ne fis qu'un seul sommeil , et dans l'un d'eux mon repos fut si profond que
nt j'ai dù rêver chaque fois que j'ai dormi; car souvcnt.au sortir du sommeil , il m'en est resté comme uu écho dans l'esprit; m
vait être qu'un ctl'el de la pensée. Ce sont les rêves des premiers sommeils de la nuit qui se sont effacés le plus souvent et
és : Aussi, de ce petit tableau, il résulte que les rêves du second sommeil , presque aussi nombreux que ceux du premier, ont
ient auparavant dans l'organisme, puisque, déjà même dans les seconds sommeils de la nuit, elles ont, comme on le voit plus haut
: soit les cflets de sensations perçues en ¦n'endormant ou pendant le sommeil : soit en bien plus grande partie, les effets de
mémoire. Et c'est par suite de la dissociation de la pensée durant le sommeil , que les donneurs légers avant perdu toute volont
es d'opérations psychiques suivies. I.'homme, pendant qu'il dort du sommeil léger, est d'autant moins attentif pour saisir ce
s et riiupressionuabilité de la mémoire qui ont été reconnues dans le sommeil le plus profond, que le pouvoir de faire effort p
t, les actes précédents s'v effacent pour toujours. Vi Pendant le sommeil , j'ai eu aussi des rêves affectifs. Il y en a deu
'a donc suffi dans ces cas, pour le retour de mes rêves, que dans des sommeils ultérieurs, des impressions inaperçues au moment
. Dans les cent trente-neuf nuits que j'ai employées à observer mon sommeil j'ai eu. en tout vingt-sept rêves qui ont présent
e sur le corps. Chose remarquable, quand il m'est arrivé de sortir du sommeil sous le coup de ces émotions, j'ai plusieurs fois
redoute pas d'en parler. Honni soit qui mal y pense. Dans mou premier sommeil , après m'ètre couché avant que la digestion n'eut
réfugiée ma liberté d'examen et de détermination ? Si. pendant le sommeil , faute d'en pouvoir faire l'effort. l'on est inca
en même temps un extrait du livre si consciencieux d'A. Maury sur le sommeil et les rêves, Une première fois je menaçai de gii
u'ils sont dans leurs rêves, et sérieusement méditer sur la nature du sommeil dont le signe le plus culminant, le plus caractér
de leurs assertions inconsidérées. Dans leur réalité, les rêves du sommeil léger sont des liaisons bizarres de sensations pe
les ranger selon l'ordre logique du raisonnement. Si les dormeurs du sommeil léger sont sans volonté, à plus forte raison auss
il léger sont sans volonté, à plus forte raison aussi les dormeurs du sommeil profond sont-ils incapables d'avoir la moindre in
ncés d'entre eux, 4 1/2 pour cent, sont immobiles dans l'idée fixe du sommeil , d'esprit et de corps, comme le fut le dieu Terme
venant chez eux d'une impulsion idéale de la veille continuée dans le sommeil : suggestion qui, flans ce dernier état, quand il
eurs ayant commis des actes criminels, qu'ils fussent plongés dans le sommeil ordinaire ou même mis en sommeil provoqué: c'est
nels, qu'ils fussent plongés dans le sommeil ordinaire ou même mis en sommeil provoqué: c'est celle de leur responsabilité. Déj
eune fille enceinte qui avait été déflorée et rendue mère, pendant le sommeil provoqué, contrairement à sa volonté. Ce dernier
la science et qu'on niât carrément l'irresponsabilité des rêveurs du sommeil provoqué, comme s'ils ne dormaient pas du même so
des rêveurs du sommeil provoqué, comme s'ils ne dormaient pas du même sommeil que les rêveurs profonds du sommeil ordinaire; co
me s'ils ne dormaient pas du même sommeil que les rêveurs profonds du sommeil ordinaire; comme si les états de conscience et d'
férents de ceux du somnambulisme naturel! Le rêve somnainbulique du sommeil provoqué n'est plus contesté par personne. IL ne
osuggéré, et qu'en ce qu'il y a un rapport établi entre le dormeur du sommeil provoqué et l'opérateur, tandis que le dormeur so
e lis des expériences dans le but de vérifier cette induction pour le sommeil provoqué, et je devins convaincu qu'après des ord
s à cette conclusion, qu'à la suite d'une suggestion faite pendant le sommeil provoqué, un certain nombre de dormeurs, au moins
i-ci désira d'elle. La facilité de Gabrielle Bompard à tomber dans le sommeil , démontre qu'elle manquait d'initiative pour entr
les sens et le cerveau, la force nerveuse qui, depuis la formation du sommeil , y était devenue amoindrie, par suite de l'ac
s les causes physiologiques du réveil. C'est la formation, pendant le sommeil , en même temps que par la peau, les reins, le foi
les dormeurs, moins engourdis d'esprit et de corps, sortent enfin du sommeil à la moindre excitation, dès que son rôle fonctio
est un fait opposé, où l'idée fixe de ne pas s'éveiller, maintient le sommeil , même lorsqu'il se manifeste des causes puissante
de peine à m'habituer an calme qui se fit: te silence inquiétait mon sommeil (I). (l) N'est-ce pas parce qu'il entend, penda
-tac ; Dans le premier des ras précités, s'il y eut production du sommeil , malgré des bruits agaçants, c'est que le dormeur
ir â la cessation subite de ces bruits, preuve certaine que dans leur sommeil antérieur, ils les entendaient. On entend donc to
érieur, ils les entendaient. On entend donc toujours dans le cours du sommeil , elle sens de l'ouïe y continue toujours d'ètreou
ps alors le courant et aussitôt je lui commande de dormir. Pendant le sommeil , je lui donne encore une fois la même suggestion,
recommence les mêmes scènes. Je l'en- dors de nouveau et après un sommeil de quelques minutes, je le réveille, il n'avait a
loniques violents) qui durèrent deux minutes, suivis de stertor et de sommeil comateux; le malade transporté sur son lit. y fai
re je parviens à l'endormir par le regard, en lui suggérant l'idée du sommeil , Le sommeil, sans être profond, est assez satisfa
ns à l'endormir par le regard, en lui suggérant l'idée du sommeil, Le sommeil , sans être profond, est assez satisfaisant pour u
à son mari, qu'elle est aimable pour lui : qu'elle a de l'appétil. du sommeil , du calme : qu'elle mange et dort bien, etc. Au
nce et mêmes suggestions, mais elle s'endort plus difficilement et le sommeil est moins profond ;elle entend sa mère toute la d
en, elle désire vivement repartir, revoir son mari. Et cependant le sommeil n'a jamais été profond, mais les suggestions ont
ofond, mais les suggestions ont été faites avec insistance pendant ce sommeil et aussi, il faut le dire, répétées par moi après
r vus et entendus. Réflexes exagérés. Appétit irré-gulier. Insommies. Sommeil agité accompagné île cauchemars. Menstruation irr
insu, suggéré leurs sujets soit à l'état de veille, soit à l'état de sommeil hypnotique, en parlant, par exemple, à une tierce
peut prouver que c est la suggestion qui lait tout et que, pendant le sommeil provoqué, ne se développe aucun fluide magnétique
e Plancy. il s'obstina à repousser tout aliment : mais chaque nuit le sommeil rétablissait ses organes. » — Il n'est pas invrai
Médical Sexes, 11 mars 1893. p. 25» a s53.) SUERBLED georges. — I.c sommeil , étude de psvcbo-phvsiotogic. Roger et Chcrnoviz,
La première manifestation se fera le plus souvent la nuit pendaut le sommeil et sera dans ses ternies les plus simples, limité
ro-hypnologie que j'ai publié en 1892. Dans le chapitre qui traite du sommeil hypnotique, pages 119 et suivantes, je disais :
sujets, et se révèle avec une intensité beaucoup plus grande dans le sommeil hypnotique. Si, en tenant un de ces instruments e
ées dans une autre circonstance, j'ai signalé un malade, qui, dans le sommeil hypnotique distinguait parfaitement l'une de l'au
d'apparent a l'œil le plus attentif. Qu'v a-t-il d'étonnant, si le sommeil hypnotique développe à ce point l'acuité des autr
. Cette application, un peu plus prolongée, amena assez rapidement un sommeil profond, somnambuliquc. Cela au grand étonnemen
rebelle à tous les traitements. - Elle sortit tout abasourdie de ce sommeil dont j'eus de la peine à la tirer et dont elle fu
i du côte du cœur ni de l'appareil respiratoire, ni du tube digestif. Sommeil tranquille et sans rêves féquents. Emotmté exagér
uggestible. Le 3 septembre, dès la première tentative, j'ai obtenu un sommeil léger et je n'ai pas cherché davantage. Au bout d
cinq ou six fois encore pour consolider sa guérison sans chercher un sommeil profond, je puis même dire qu'il n'a jamais éléeu
s éléeudormicoiiiplètementet cependant ce ' état entre la veilleet le sommeil a sulli pour rendre son cerveau capable de recevo
ertaines. Chez beaucoup dr sujets, le bégaiement disparaît pendant le sommeil hypnotique. Souvent il cesse d'exister pendant le
de confiance. Je l'hypnotisai et la mis tout de suite dans un second sommeil . Après quelques essais infructueux elle eu vint d
s essais infructueux elle eu vint d'après mes suggestions pendant son sommeil à émettre un haut el fort son, ensuite elle put à
1 électricité, maïs sans aucun succès. Je la mis facilement dans un sommeil assez profond, mes suggestions se réalisèrent et
assez profond, mes suggestions se réalisèrent et elle put pendant le sommeil compter à haute voix. Le résultat se maintient ju
uvée du traitement hypnotique. Je la mis facilement dans un profond sommeil , ouvris sans difficulté sa main et lui suggérai l
la selle que tous les deux ou trois jours. « Je dors mal ; j'ai le sommeil agité. « Sans parler de cent autres petites mis
ion, de quelques défauts de 'régularité dans la nourriture cl dans le sommeil . A la suite de l'école et du collège, vient à s
té; enfin, un engourdissement général du corps ressemblant à celui du sommeil . Nul doute que ces derniers symptômes ne fussent
isa de se mettre en rapport avec elle, comme cela se pratique dans le sommeil provoqué. A son grand étonncmcnt il en tira des r
enir chez moi. celte jeune fille s'est hier endormie d'elle-même d'un sommeil subit, un peu différent de son sommeil hystérique
hier endormie d'elle-même d'un sommeil subit, un peu différent de son sommeil hystérique d'autrefois ; car elle est restée isol
cédente en ces points : 1° lucidité extraordinaire pendant un état de sommeil hystérique; 2° diminution, puis disparition lente
dre une femme couchée. Nous avons suggéré à notre sujet, pendant le sommeil provoqué, d'aller, à son réveil, s'emparer d'un c
débarrasser de celle horrible « obsession. » Mise de nouveau dans le sommeil hvpnntiquc, nous lui demandâmes s'il était vrai q
sa physionomie tranquille el se remit au travail courageusement ; son sommeil redevint paisible, sans nouvelles visions terri-l
. H.... âgée de 2-'ï ans, est atteinte d'accès d'hystérie suivis d'un sommeil comateux, elle tombe rapidement en mi m na uibuli
d'extériorisation de la sensibilité, existant spontanément pendant le sommeil hypnotique. » Nous n'avons pas fait comme M. Ma
le docteur l.iébeault. œuvre qui n'a paru qu'en l'année ISOG. sur le sommeil et le» état» analogues: qu'avant l'œuvre de Bernh
e dormir, de surmenage cérébral ou musculaire, d'une nuit passée sans sommeil , d'excès divers, etc. A ces|Jdifl'érentes class
rès aisément par la pression bi-ocu-laire et lui suggérai pendant son sommeil l'idée de guérison, je lui défendis de vomir et l
n. L'opérateur eu désirant obtenir un phénomène quelconque pendant le sommeil hypnotique, ou un acte post-hypnotique, suggère c
dis : « Il y des malades chez qui la sensibilité cuta-née pendant le sommeil le plus profond ne disparaît pas ; même si celte
e sensibilité fait défaut à l'état de veille, elle revient pendant le sommeil provoqué et si on pique légèrement ces malades il
être influencées par suggestion indirecte, non seulement à l'état de sommeil hypnotique maïs encore en étal de veille. Cette
tion à nos idées. Un beau jour cette malade tombe inopinément dans un sommeil profond, après avoir regardé une autre malade qui
e que le mot « livpnotisme » induit quelque peu en erreur, puisque le sommeil , tel qu'on le comprend d'ordinaire, n'est pas néc
l une puissante efficacité pour alteuuer la douleur, pour procurer hs sommeil , et pour soulager beaucoup de maladies fonctionne
hystériquee (Juurn. de mêd. de brdeaux, 40 et suiv.). DURAT (L.).— Le sommeil cl le rêve (Gaz. tiebdom. des sciences mèd. de Bo
1. une jeune fille qui no dormait pas depuis six semaines retrouva le sommeil . Dans l'observation 2. idem : « Les nuits, ap
tion les détermine aussi. Comme u chaque hypnose, la disposition au sommeil hypnotique augmenta, le réveil devient de plus en
au réveil, ce sont les symptômes qui se déclarent souvent pendant le sommeil de la nuit, après les séances. Les uns, qui avaie
excités, se jetaient de côté et d'autres, parlaient haut pendant leur sommeil . Ces états constituaient la transition vers l'aut
Livrée à elle-même. elle s'endort et tombe en hypnose. Pendant le sommeil de la niiil. elle y était aussi, les globes ocula
ur être bien sûre qu'elle ne se trompe pas On ne peut plus pendant le sommeil lui suggérer son vrai nom. A la lin. les impressi
olisalioiis, après de nombreuses hallucinations provoquées pendant le sommeil , deviennent suggestihles et hallucinables â l'éta
rieur el je m'applique en parlant a captiver sou esprit par l'idée du sommeil . Cela sutlit chez beaucoup pour que en une ou deu
ela sutlit chez beaucoup pour que en une ou deux minutes, au plus, le sommeil ou un état voisin du sommeil se manifeste. Si le
que en une ou deux minutes, au plus, le sommeil ou un état voisin du sommeil se manifeste. Si le sujet ne dort pas nu n'a pas
e, la suggestion, ou l'hypnotisme, si l'on veut appeler tle ce mot le sommeil provoqué par suggestion, est-ce chose dangereuse?
'endormir son enfant en le lierçant, en le captivant parla chanson du sommeil . Car c'est le procédé de la mère que j'emploie po
mmeil. Car c'est le procédé de la mère que j'emploie pour suggérer le sommeil . On dit cependant que l'hypnotisme par lui-même
ieurs observations de Friedrich. L'essai qu'on fait pour provoquer le sommeil sullit à produire ces manifestations. Tout cela
a brochure du D' Friedrich en est la meilleure démonstration. Si le sommeil provoqué n'est en lui-même pas plus dangereux que
Si le sommeil provoqué n'est en lui-même pas plus dangereux que te sommeil naturel. le danger ne peut être que dans la sugge
doulou-rense. 11 m'est arrivé de l'hypnotiser, et de lui suggérer, en sommeil profond, a plusieurs reprises que les douleurs di
moment même ou elle est nécessaire. C'est ainsi que j'ai provoqué le sommeil de la nuit, enlevé des douleurs, par une notion a
vantes : 1° Les personnes hypnotisées se rappellent, dans l'état de sommeil , tout ce quelles ont appris antérieurement lorsqu
de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état de somnamb
nent, en effet, à leur réveil de tout ce qui s'est passé pendant leur sommeil . Ces données sont du reste conformes aux résult
f, avait indiqué l'existence du souvenir des faits écoulés pendant le sommeil hypnotique : « l'absence du souvenir au réveil, d
ets se rappellent spontanément au réveil les faits écoulés pendant le sommeil . La troisième proposition est également trop ex
ne se souviennent absolument de rien de ce qui s'est passé pendant un sommeil antérieur. Qu'il me suffise de citer à l'appui de
t de veille, par suggestion, le souvenir des faits écoulés pendant le sommeil . C'est là un point sur lequel MM. Dellwuf et lïcr
cas, se rappeler spontanément au réveil les faits écoulés pendant le sommeil . je viens également de prouver que lorsqu'il ne s
nfin, j'ai dit que très souvent le somuambule se rappelle pendant son sommeil ce qui s'est passé pendant ses sommeils antérieur
ambule se rappelle pendant son sommeil ce qui s'est passé pendant ses sommeils antérieurs. Il semble résulter de ces trois propo
puorrait dans bien des cas. soît â l'élat de veille, soit à l'état de sommeil , obtenir du sujet la révélation de» faits et gest
soit spontanément, soit par suggestion ce qui s'est passé pendant son sommeil , un criminel habile pourra toujours rassurer l'im
iseur, se rappeler à l'état de veille, ce gui s'est passé pendant son sommeil ? 2° Un somnambule peut-il, malgré la défense de
peut-il, malgré la défense de son hypnotiseur, se rappeler pendant le sommeil , ce qui s'est passé pendant un sommeil antérieur.
tiseur, se rappeler pendant le sommeil, ce qui s'est passé pendant un sommeil antérieur. 1° Pour répondre â la première de ce
l elle se rappelle spontanément de ce qui s'est passé pendant son sommeil . Si je lui dis : « Marchez, asseyez-vous, vous av
qui d'habitude M rappelaient au réveil les faits écoulés pendant leur sommeil , en perdaient tout souvenir si je leur suggérais
ler certains actes exécutés, certaines paroles prunoneées pendant son sommeil . Emma H... se souvient spontanément au réveil,
se souvient spontanément au réveil, de ce qui s'est passé pendant son sommeil ; elle est très suggestiblc, je lui dis : — Il y
use, je n'ai agi ainsi que parce qu'on me l'avait ordonné pendant mon sommeil . — Qui vous avait ordonné cela ? «lit le premie
ppeler spontanément à l'état de veille ce qui s'est passé pendant son sommeil . 2° Le sujet est interrogé en somnambulisme.
btenir à l'état de veille, la révélation des faits écoulés pendant le sommeil , malgré la défense formelle de l'hvpnotiseur. il
mi, il se rappelle au contraire de tout ce qui s'est passé pendant un sommeil antérieur. L'expérimentation confirme ce raison
être exclusif. Eudoxie M.... se souvient ordinairement, pendant Ion sommeil , des taits écoulés pendant un sommeil antérieur,
ient ordinairement, pendant Ion sommeil, des taits écoulés pendant un sommeil antérieur, un jour je lui dis : — Il y a près d
bule peut, malgré la défense de l'hypnotiseur, se rappeler pendant le sommeil ce qui s'est passé pendant un sommeil antérieur.
otiseur, se rappeler pendant le sommeil ce qui s'est passé pendant un sommeil antérieur. L'amnésie suggérée n'est donc jamais
esprit du sujet, le tableau complet de ce qui s'est passé pendant son sommeil ; c'est là un fait très important au point de vue
ars 1891. — Présidence de M. Dumontpallier. (Suite.) Avantages du sommeil suggéré contre certaines douleurs, en particulier
» Je répétais une ou deux fois la même suggestion. * Laissez bien le sommeil se développer; de plus en plus, bien, endormez-vo
n moi et sa bonne volonté, s'est toujours montrée tres rêfractaire au sommeil suggéré. Je signale ce fait parce que j'ai plusie
ien que ses yeux se ferment, et aussitôt M"! G. entre dans un profond sommeil et passo à l'état de parfait automate : j'avais e
je ne l'ai pas revue depuis. Les avantages que l'on peut retirer du sommeil suggéré, contre l'élément douleur sont évidemment
ien dormir la nuit. Quand il sentait approcher ce besoin impérieux de sommeil , il avait assez d'énergie, ne voulant pas que ses
fait dispos dans son bureau pour se remettre à la besogne. Pendant ce sommeil , il entendait, mais comme dans un rève, ce qui se
reste seul un quart d'heure. Dans les deux cas, il a une tendance ou sommeil invincible et s'il ne la satisfait pas, il en veu
Du reste, cette exaspération contre tous ceux qui interrompent leur sommeil maladif, mais nécessaire, s'observe fréquemment c
e dernier lui a avoué que si ses camarades cherchaient à troubler son sommeil , il devenait furieux contre eux — Par contre, le
on ivresse se dissipait bien plus vite que celle de ses amis, car ses sommeils répétés le refaisaient et dissipaient promptement
e faiblesse, plus d'énergie, plus de force, de résistance et moins de sommeils maladifs. Je lui injecte ce jour là quatre mill
à lui faire mes recommandations ou plutôt mes injoncllons pendant son sommeil hypnotique. Nous gagnons sensiblement du terrain
a volonté ; aujourd'hui, il a de l'énergie pour résister au besoin de sommeil et d'affaissé ment — Son écriture est régulière e
o la morphine et que je n'avais pu vaincre par aucun médicament en un sommeil calme et régulier de huit heures qui ne s'est jam
u'il est dans l'état d'un homme qui n'aurait jamais pris de morphine, sommeil , appétit, force, tout est satisfaisant, aucune ve
ine ; lo manque d'appétit, voilà l'orexine; vous voulez procurer le sommeil , voilà l'hypmtl, l'hypnon, le somnal, la somnif
ches sur le front. Il vint au Temple. Le dieu lui apparut pendant son sommeil , lui attacha un bandeau autour de ses taches et l
il faut alors supposer que l'enfant dort très profondément et que son sommeil est tellement profond qu'il détermine une réelle
sujet endormi que la préoccupation de se retenir d'uriner pendant son sommeil persistera toujours dans son esprit, môme après l
, se couchait assez tard et se Jevait de bonne heure. Il dormait d'un sommeil très profond, tellement profond même qu'il ne se
profond même qu'il ne se réveillait pas après avoir uriné au lit. Son sommeil est troublé par des rêves, des cauchemars ; il pa
à haute voix en dormant. Il est plongé assez difficilement dans le sommeil hypnotique, car il offre une résistance Mais à la
peur. Mais, aussitôt que le malade ou en état de veille ou en état de sommeil hypnotique subit une influence supérieure à celle
il souffre horriblement. 11 ne dort pas la nuit et si quelquefois le sommeil le gagne il se réveille aussitôt enrayé et se dem
le gagne il se réveille aussitôt enrayé et se demande si pendant son sommeil il n'a pas eu une crise épileptique. La troisième
mais les pieds sur l'oreiller. Déglutition de dentiers pendant le sommeil . Le professeur Krönlein [de Zurich-, dnns une c
té quatre cas personnellement observés de râteliers avalés pendant le sommeil ; un de ces cas s'est termine par la mort. Le p
gus (l'), 348. Académie de médecine de Belgique, 120. Accouchement ( sommeil suggéré dans l'), 324. Affaire Chamblge (étud
ation neurologique américaine, 191. A travers les états passifs, le sommeil et les rêves, par Liébault. 41, 65, 106, 135. A
es de la Tou-rette (l'). 222. Audition colorée, 159. Avantages du sommeil suggéré contre certaines douleurs, en particulier
conscience et hypnotisme, par le professeur Azam, 28, 62. Douleur ( sommeil suggéré contre la), 324. Ecole arabe et la cr
52, 91, 126, 154, 170, 190, 215, 222, 234, 265, 301, 318, 324, 351. Sommeil et les rêves (à travers les états passifs. le),.
et les rêves (à travers les états passifs. le),. 41, 65, 106, 135. Sommeil suggéré contre certaines douleurs, en particulier
4 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
à l'opinion courante, les difficultés pour provoquer chez l'enfant un sommeil profond, sont d'autant plus grandes, que l'enfant
à toute tentative d'hypnotisation. Les imbéciles s'endorment, mais le sommeil est léger, irrégulier, et ils ne réalisent pas, a
firmer qu'ils vont dormir pour vaincre leur dernière résistance. Leur sommeil a toutes les apparences du sommeil normal ; ils r
cre leur dernière résistance. Leur sommeil a toutes les apparences du sommeil normal ; ils reposent tranquillement, les yeux fe
illement, les yeux fermés ; en réalité ils dorment profondément, d'un sommeil absolument analogue à celui de la nuit. La sugg
olument inexact ; tout individu normal peut être suggestionné. Or, le sommeil provoqué par suggestion n'est pas plus un état pa
il provoqué par suggestion n'est pas plus un état pathologique que le sommeil provoqué par la fatigue, par le bercement ou par
chothérapie ne comporte pas nécessairement la production préalable du sommeil provoqué. Dans beaucoup de cas la suggestion verb
ler les suggestions un peu plus longtemps. Chez certains sujets, le sommeil est obtenu après une ou plusieurs séances. Chez c
soit faite à l'état de veille, à l'état de somnolence, ou à l'état de sommeil , il est bon que la suggestion soit appuyée de con
sation de la suggestibiiité propre à l'enfant et que la production du sommeil tendent à ce double but, dont la légitimité ne se
ès lui avoir fait fixer le miroir de Luys, elle tombe dans un profond sommeil ; ce sommeil est cataleptique: le corps entier est
fait fixer le miroir de Luys, elle tombe dans un profond sommeil; ce sommeil est cataleptique: le corps entier est raide. Je
même réveil sans mon ordre. Je remarque dans cette seconde séance de sommeil que cette jeune fille ne répond pas à mes questio
ières clignoter et s'abaisser, je lui dis d'un ton ferme que dans son sommeil elle entendrait ma voix et elle lirait ce que je
ntendrait ma voix et elle lirait ce que je lui montrerais écrit. Le sommeil obtenu, j'approchai de son œil droit, la paupière
lignotement des paupières la suggestion d'entendre ma voix pendant le sommeil . Grâce à ce procédé, la suggestion est acceptée
zoulay: Les travaux de Golgi et de Cajal : la théorie histologique du sommeil . Valentin : Du rôle social et hygiénique des su
. Schmeltz (de Nice) : Sarcome du testicule gauche opéré pendant le sommeil hypnotique profond. Jules Voisin : Contracture
'y appliquer le traitement des névroses et des psy- choses par le sommeil prolongé (procédé de Wetterstrand) et par le repo
t dire : Tu peux les fermer. Alors ils se fermèrent, et le tableau du sommeil était complet. Je suggérai alors la disparition c
yeux fermés. Vous voyez donc que ce sujet a pu être d'emblée mis en sommeil profond, en somnambulisme, sans entrainement préa
vous passez souvent à côté. Ainsi il arrive souvent que, suggérant le sommeil à un sujet pour la première fois, comme nous l'av
refuse de les fermer, disant qu'il ne peut pas dormir, qu'il n'a pas sommeil . Cependant, si vous avez bien observé le changeme
de son esprit toute crainte en lui affirmant qu'il va dormir comme du sommeil ordinaire et que vous n'avez d'autre but que de l
nose ou de suggestibiiité devient continu. Voici donc notre malade en sommeil profond. Au réveil il ne se souviendra de rien. C
cu d'avance que tous les phénomènes que nous venons d'obtenir dans le sommeil provoqué, nous allons les obtenir à l'état de vei
complies par lui à l'état de veille, et j'aurai pu d'emblée, sans sommeil préalable, les lui faire réaliser. Le professeu
hez notre enfant, supprimer la douleur, modérer la toux, restaurer le sommeil , rétablir l'appétit. Ce faisant, elle fortifie l'
leur thoracique, et au bout d'une minute, il était pris de nouveau en sommeil profond. Au réveil, cette douleur avait disparu;e
nuai ainsi les jours suivants ; je parvins chaque fois à le mettre en sommeil profond, mais je retrouvai chaque fois la même ré
. C'est tout ce que je pus en tirer ; il resta muet, même pendant son sommeil , sur les détails de cette entrevue avec sa sœur e
La douleur scapu-laire ne se manifestait plus que pendant la toux. Le sommeil de la nuit était excellent. Le 30 novembre au soi
e certaine résistance facilement vaincue ; je lui suggère pendant son sommeil d'avoir confiance, de ne plus écouter sa sœur. Ce
uter sa sœur. Cependant, malgré la suppression des douleurs et le bon sommeil de la nuit, la physionomie conserve un air so
ésultat en déguisant la suggestion dans une ordonnance et, pendant le sommeil , je prescris solennellement une potion avec vingt
malade ; en dépit de sa résistance, nous avons pu, pendant l'état de sommeil provoqué, à la faveur de l'état de conscience nou
pplique la suggestion au traitement du rhumatisme (1) Liébeault, Le sommeil et les états analogues, 1866, p. 352. aigu ou
algies, de céphalalgies, le massage des points douloureux, pendant le sommeil hypnotique, est venu aider puisam-ment à la dispa
es qui le gardaient, il ouvrit les yeux, et, comme réveillé d'un doux sommeil , il dit amoureusement : « Ah ! Jésus... » Les h
. A ce contact, celui-ci ouvrit les yeux comme au sortir d'un profond sommeil , et se trouva si parfaitement guéri, que, de tout
rmet d'y appliquer le traitement des névroses et des psychoses par le sommeil prolongé procédé de Welterstrand), et par le repo
. L'irritabilité spinale se traduisait encore par un manque absolu de sommeil , une excitation génitale et des pertes séminales
me moyen. En même temps i gr. de sulfonal, donné le soir, ramenait le sommeil et le malade pouvait, après une semaine de traite
ente. Il en est d'autres qui ne peuvent résister à la suggestion du sommeil ; ils sont pris, quelquefois sans le vouloir; ils
il ; ils sont pris, quelquefois sans le vouloir; ils arrivent même en sommeil profond, avec amnésie au réveil ; ils peuvent êtr
rveux et impressionnable. Hier, je l'ai endormi par simple parole, en sommeil profond, avec amnésie au réveil. Interrogé sur la
mnésie au réveil. Interrogé sur la cause de cette douleur pendant son sommeil , il l'a rapportée à un effort fait en portant une
minales et diarrhée pendant quinze jours. Je l'endors facilement en sommeil profond, avec amnésie au réveil, le Ï0 décembre;
née, indique qu'il n'accepte pas la suggestion. Interrogé pendant son sommeil , il dit avec insistance qu'il sent toujours la do
iste aux tentatives de suggestion; on arrive cependant à le mettre en sommeil profond ; mais on ne peut lui dé suggestionne
rd'hui, 16 décembre. Vous voyez que je l'endors facilement. Il est en sommeil profond ; il ne se souviendra de rien au réveil.
n de guérir qui ne soulèvera pas d'objection. Je lui dis, pendant son sommeil : « Je vois bien, mon ami, que je ne peux pas enle
veut plus se laisser hypnotiser, parce qu'un élève, hier, pendant le sommeil , Ta piqué avec une épingle et lui a fait mal. Je
hypnotique; il s'y prête d'assez mauvaise grâce, arrive cependant en sommeil profond, avec amnésie au réveil. Mais il accuse t
ie en vain de lui expliquer qu'il n'y a pas de lésion ; et pendant le sommeil suggéré, je m'évertue à lui persuader que la doul
voix persuasive qu'il va dormir, de captiver son esprit par l'idée du sommeil . « Quand je veux suggestionner une personne tro
tte émo-tivité hystérogène et à prévenir le retour des crises. « Le sommeil provoqué par suggestion ne saurait être dangereux
d'endormir son enfant en le berçant ou le captivant par la chanson du sommeil . Le procédé que j'emploie, c'est le procédé mater
rmet d'y appliquer le traitement des névroses et des psychoses par le sommeil prolonge (procédé de Welterstrand) et par le repo
s se réveille à 2 heures du matin. Le 26, je l'endors facilement en sommeil profond avec amnésie au réveil ; je lui suggère l
9 heures du soir jusqu'à 2 heures du matin. Le 29, pour obtenir le sommeil toute la nuit, je l'endors et lui suggère qu'à so
réveil, au bout de 2 minutes, il se frotte les yeux comme s'il avait sommeil , mais résiste. Je l'endors une seconde fois et lu
vre donner à son cerveau l'initiative nécessaire pour réaliser l'acte sommeil , après un premier réveil nocturne. — La nuit, il
vec crampes datant de près de 4 ans, qui depuis 8 mois empêchaient le sommeil et condamnaient notre homme à l'inaction, déracin
as tué le bacille de la tuberculose. Mais en rendant à notre homme le sommeil , la confiance, l'appétit, en lui enlevant les dou
et elle s'endormit facilement avec amnésie au réveil; je suggérai le sommeil la nuit et la diminution des quintes. Jecontinu
cueilli les renseignements qui précèdent, je l'endormis de nouveau en sommeil profond et lui suggérai la disparition du mal de
disparition du mal de tête, de l'oppression, des quintes de toux, le sommeil toute la nuit. Au réveil, elle n'avait plus s
Par m. le dr Paul Jôire. de Lille. On a coutume de décrire dans le sommeil hypnotique trois états diffé-rents les uns des au
ts sont encore considérés comme les différentes phases successives du sommeil hypno- tique et se définissent d'après leurs
ent une gradation régulière et constituent des phases progressives du sommeil hypnotique. L'état léthargique est le premier q
yeux un rayon de lumière vive. Cet état cataleptique représente un sommeil excessivement profond et peut être considéré comm
il a conservé la sensibilité à la lumière et au toucher ; souvent un sommeil plus ou moins long précède son retour à l'état no
adoptée à l'unanimité. Sarcome du testicule gauche opéré pendant le sommeil hypnotique. Par M. le D' Schmelt2, de Js'ice.
parfaitement insensible, et, le lendemain, je le mis dans un état de sommeil encore plus profond. C'était un homme de 30 ans
Le jeune malade compare cet état à celui d'un engourdissement ou d'un sommeil d'où il sortirait à la suite d'une forte commotio
s fréquemment, surtout d'une heure à deux heures du matin, pendant le sommeil . Céphalalgie légère au réveil. C'est à ce momen
Il serait intéressant de savoir si cet état est analogue à celui du sommeil somnamblulique avec amnésie au réveil. D'autre pa
t du malade pourrait porter sur le renforcement de la volonté dans le sommeil lui-même. En effet, si par elle il peut supprimer
supprimer la crise à l'état de veille, il en est incapable pendant le sommeil , où la volonté est atténuée. Ce que l'on sait auj
t d'admettre qu'en faisant lui-même l'éducation de sa volonté dans le sommeil , c'est-à-dire en s'habituant à s'analyser pendant
e grâce. Aussi, dans une première séance, je n'arrive à obtenir qu'un sommeil léger dans lequel je répète les suggestions néces
'elle toute idée du passé. Après cette première séance et malgré le sommeil léger, il y a déjà eu un commencement de résultat
es séances sont continuées à peu près tous les jours : chaque fois le sommeil est un peu plus profond et, malgré les difficulté
suggestion hypnotique en une seule séance et en transformant son sommeil naturel en sommeil hypnotique. Ce garçon est un
que en une seule séance et en transformant son sommeil naturel en sommeil hypnotique. Ce garçon est un impulsif et un dég
il est endormi assez facilement dans une première séance, sans que le sommeil soit très profond. Malgré cela, le résultat est
cilement au traitement. Dès la première séance, il est plongé dans un sommeil assez profond qui amène une quasi demi-guérison.
« ... Avant ce temps (la puberté) j'avais été tirée du plus profond sommeil d'une manière surprenante. L'imagination n'y étai
ait chaque fois qu'elle sentirait le parfum que je versai, pendant le sommeil hypnotique, sur son corsage et sur son mouchoir.
vait accepter la suggestion directe à l'état de veille ou à l'état de sommeil , car la peur inhibait la suggestion. J'ai donc cr
mobile comme de tels sujets qui dépendent de leur digestion, de leur sommeil , de la température, des émotions, des veilles, et
orçant une impression reçue soit à l'état de veille, soit à l'état de sommeil . On peut combattre leur action pathogène en cré
servir sans jamais les épuiser. Le degré du pouvoir d'attention et le sommeil calme sont un des critériums de la juste dépense
deux premières propositions ? El la phrase qu'il prononçait dans son sommeil , n'était-elle pas celle qu'il avait dite à son hô
la personnalité, variétés individuelles. L'hypnotisme. Suggestion, sommeil normal, rêves. — Automatisme psychique, importanc
Dr Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique. Brochure in-8, 22 pages. Paris, 1895.
, depuis cet accident, quatre mois se sont écoulés sans rechute. LE SOMMEIL IMPÉRATIF Un cas avec autopsie. Lésions de la s
re quelquefois, dans le domaine de la pathologie nerveuse, des cas de sommeil impératif dans lesquels on voit des malades, pris
tif dans lesquels on voit des malades, pris de véritables attaques de sommeil , s'endormir subitement, au milieu de leurs occupa
nerveux, qui, pendant plusieurs mois, était sujette à des attaques de sommeil qui la prenaient tout d'abord à des intervalles d
la bonne fortune de diminuer d'abord la fréquence de ses attaques de sommeil qui s'élevaient à deux et trois par semaine, et d
teinte pareillement, dans les derniers temps de sa vie, d'attaques de sommeil , et dont j'ai eu l'occasion de faire l'autopsie.
s et qui ont dû modifier les processus réguliers de la provocation du sommeil physiologique (1). La malade en question, âgée
Luys : « Recherches sur le système nerveux », 1865. — « De l'état de sommeil de l'axe spinal », p. 416 et suivantes. J.-B. Bai
Baillière ; — et « Traité de Pathologie mentale., » ; « De l'état de sommeil des appareils cérébelleux et spinaux », p. IS1. P
notre séance, pour éliminer autant que possible son influence sur le sommeil de la nuit en question. Par la même raison, je re
hode que j'employais pour influencer l'appareil musculaire pendant le sommeil . A un stimulus passager, appliqué quelques second
ommeil. A un stimulus passager, appliqué quelques secondes pendant le sommeil , j'en préférais un agissant toute la nuit. Je n'e
rs est très difficile à employer sur l'appareil musculaire pendant le sommeil . On ne peut stimuler par une pression momentanée
ersonnes s'éveilleraient par le fait que Ton changerait, pendant leur sommeil , la position de leurs membres, celle de leurs bra
a présence d'une autre personne près de leur lit pour faire cesser le sommeil . En tout cas, des séries d'expériences musculaire
res occasions, où mes pieds occupaient une position élevée pendant le sommeil , je faisais des rêves semblables. Pour le moment,
t causal entre la position des membres et la vie psychique pendant le sommeil . Mais, pour fixer cette causalité, il fallait vai
ceptions et qui a été accentuée par beaucoup de savants, tant pour le sommeil ordinaire que pour l'hypnotique, qu'on ne se souv
it très restreint ; le stimulus musculaire employé seulement avant le sommeil laissait rarement de trace psychique dans le somm
ulement avant le sommeil laissait rarement de trace psychique dans le sommeil de la nuit suivante ; s'il en était autrement, il
n; ainsi le résultat, dans ces cas, accusait une influence pendant le sommeil ; une pression qui avait été trop forte, le soir
pour produire à l'état de veille des illusions semblables à celles du sommeil . Quant aux résultats de mes observations et exp
des doigts en question. Cela accuse un calcul mental fait pendant le sommeil . J'ajouterai que dans le dernier exemple, très vr
es rêves musculaires : 11 résulte de nos recherches que, pendant le sommeil , le sens musculaire donne souvent naissance à dif
ernières années, il y a un certain rythme dans la profondeur de notre sommeil , mais aussi pour les périodes très courtes ; en t
les périodes très courtes ; en tout cas il faut qu'il existe dans le sommeil différents degrés de fatigue dans les parties par
les organes spéciaux, pendant les différentes minutes et secondes du sommeil , doivent aussi influencer la vie psychique de la
sychique de la nuit. Ainsi, lorsque par suite d'une grande fatigue le sommeil est profond, mais pas assez pour qu'il exclut tou
ition des autres sens. Lorsque la fatigue est un peu moins grande, le sommeil un peu moins profond, on est peut-être capable d'
ne autre personne (ou à un animal). Lorsque la fatigue est faible, le sommeil superficiel, on est capable de concevoir le pied
plus automatique que dans le second cas. Enfin, à quelques moments du sommeil , les centres des sensations doivent être plus fat
ine en mettant la malade dans l'hypnotisme, et alors, dans ce nouveau sommeil , elle se rappelle et raconte tout ce qu'elle a rê
deux côtés. II existe en même temps des stigmates hystériques, et le sommeil hypnotique est facilement provoqué. Les phénomène
llaire se modifie sous l'influence de l'atropine, de l'ésé-rino et du sommeil hypnotique pendant lequel la pupille revient à so
es so sont modifiés ou ont disparu momentanément, sous l'influence du sommeil hypnotique. Il n'existe aucune cause à laquelle o
en recouvrement par la poste dans le courant du mois de février. Le sommeil et la folie. « Le monde est à ceux qui se lèven
e repas est-elle ou non favorable à la digestion ? Les partisans du sommeil post prandium invoquent l'exemple des animaux qui
maux qui s'endorment après avoir mangé. Les adversaires disent que le sommeil pendant la digestion alourdit l'esprit et prédisp
extrait quelques heures après le repas d'épreuve suivi ou non soit de sommeil , soit d'un simple repos dans le decubitus horizon
ple repos dans le decubitus horizontal. D'après ses expériences, le sommeil a pour effet constant d'affaiblir la motilitéde l
D'Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique. Brochure in-8, 22 pages. Paris, 1895.
ce fait chez cinq malades. Les autres, chez qui cette apparence de sommeil avec occlusion des yeux ne survient pas spontaném
r clos pendant quelques secondes, de leur dire de dormir, pour que le sommeil soit réalisé. Voilà les faits que je démontre j
-il dans le cas où l'hypnose spontanée se complète par l'apparence du sommeil ? Le bras étant cata-leptisé, le cerveau reste fig
efois les yeux, n'apportant plus rien au sensorium, se ferment, et le sommeil spontané a lieu. Ainsi s'expliquent la cataleps
ercher, jettent un grand jour sur le problème de la catalepsie et clu sommeil provoqué dit hypnotique. Ils montrent bien que ce
où cette inhibition de la volonté ne peut réagir, le malade, livré au sommeil , n'est plus maître de l'exercer, l'attaque a lieu
ggestionnant de ne pas avoir d'accès, et sans doute aussi pendant son sommeil inspiré, la malade s'auto-suggestionnait elle-mêm
maladies nerveuses, a une action curativc bienfaisante que n'a pas le sommeil naturel, et, sur les accès d'épilepsie. une réell
s de la langue sont impossibles. Séance de suggestion à l'état de sommeil hypnotique, dans lequel on le plonge avec la plus
rois ans, atteinte de frayeur nocturne qui la privait complètement de sommeil . Après avoir inutilement essayé les médications u
ation hypnogogique, c'est-à-dire celle qui a pour but de provoquer le sommeil , est d'une èxtrôme importance en thérapeutique ;
les grandes lignes de la médication dont le rôle est de provoquer le sommeil . L'indication de cette médication, c'est l'inso
s devons d'abord étudier ce qu'est son opposé, c'est-à-dire l'état de sommeil . Le sommeil présente de nombreuses variétés : o
rd étudier ce qu'est son opposé, c'est-à-dire l'état de sommeil. Le sommeil présente de nombreuses variétés : on peut cependa
onvolutions cérébrales; nous pourrions donc dire que l'hypnose est le sommeil de ces circonvolutions. Dans la narcose, la sen
ans ces centres que sera due la narcose. Dans le troisième degré du sommeil , dans la léthargie, dont le dernier terme est le
ent de ces centres. On peut trouver toutes les transitions entre le sommeil le plus normal et le coma le plus profond. L'év
e sommeil le plus normal et le coma le plus profond. L'évolution du sommeil serait très intéressante à étudier; celle-ci prés
dort jamais deux fois de la même façon. Il existe des modes variés de sommeil ; ainsi le sommeil par fatigue physique diffère d
is de la même façon. Il existe des modes variés de sommeil ; ainsi le sommeil par fatigue physique diffère du sommeil du somnam
variés de sommeil ; ainsi le sommeil par fatigue physique diffère du sommeil du somnambule. Le sommeil du somnambule existe
e sommeil par fatigue physique diffère du sommeil du somnambule. Le sommeil du somnambule existe quant à Tordre psychique seu
f extérieur a disparu, l'imagination a conservé tous ses droits. Le sommeil magnétique se présente avec des dissociations ana
agents thérapeutiques sont loin de produire des formes semblables de sommeil ; il existe de grandes différences entre les effe
rcotiques et ceux des agents hypnotiques : ces derniers provoquent le sommeil en agissant d'abord sur le cerveau, et secondaire
ement sur le bulbe; au contraire les agents narcotiques produisent un sommeil qui paraît aller du bulbe au cerveau, de la sensi
paraît aller du bulbe au cerveau, de la sensibilité au mouvement; le sommeil ainsi produit commence par la narcose. Voilà, p
narcotique. Commençons par étudier les médicaments hypnogènes et le sommeil produit par eux; en particulier celui résultant d
roforme comprend trois périodes qui se rapportent aux trois formes de sommeil : une période cérébrale, une période cérébro-médu
isparaître, puis la sensibilité consciente disparaîtra à son tour. Ce sommeil s'étend du mouvement à la sensation. La deuxièm
étudier dans l'anesthésie chloroformique peuvent se retrouver dans le sommeil produit par les divers médicaments ; mais vous n'
oses capables de produire la léthargie, l'état de mort apparente : le sommeil , a dit Homère, est frère de la mort ; mais la lét
mort. Les agents médicamenteux peuvent produire à petites doses des sommeils extrêmement légers : certains même, donnés en qua
es. A la dose de 2 à 4 grammes, le chloral produit le plus souvent le sommeil physiologique. A côté du chloral se placent un gr
capables de devenir des agents hypno-géniques capable de permettre le sommeil en amenant la résolution du système nerveux, plut
nt parce que les médicaments que je viens d'étudier produisent le sommeil du cerveau, l'hypnose, qu'il faut éviter de les e
s des centres, rapproche les uns des autres les agents producteurs du sommeil . Avec les opiacés, citons l'alcool comme substa
arcose. Pour ébaucher les indications des médicaments produisant le sommeil , il nous faudrait passer successivement en revue
ège; étudions les indications résultant de la forme : si l'absence de sommeil est due à des troubles nerveux sans lésion anatom
les divers états seconds spontanés (somnambulisme naturel, absences, sommeil naturel), seraient ainsi dus à une seule et même
C'est là, du reste, la doctrine du Dr Liébeault, car, pour lui, le sommeil et les états analogues, tels que l'état hypnotiqu
à être suspendu. Si on applique ces données à l'acte physiologique du sommeil , on aura la théorie histolo-gique du sommeil que
l'acte physiologique du sommeil, on aura la théorie histolo-gique du sommeil que M. Mathias Duval a communiquée récemment à la
e chez l'homme et il existe normalement chez les animaux des états de sommeil relatif où la conscience est moins développée, l'
elle ainsi une espèce d'abrutissement, si on peut dire, une espèce de sommeil pathologique, une dégénérescence psychique qui pe
de et l'aisselle ; impossible de soulever une chaise. — On l'endort ; sommeil facile et profond. — Eh bien ! après une seule sé
apie froide. L'hypnotisation pratiquée pendant dix-neuf séances, avec sommeil léger, ne parvint à espacer les oublis que de 10
pnotisme ? Nous pouvons comparer son action à ce qui se passe dans le sommeil naturel et chez l'homme qui dort,dit ??. le profe
mière séance. Pendant les premières manœuvres, destinées à obtenir un sommeil hypnotique profond, l'obsession qui poursuivait l
ticulières ; et d'abord, quand vous faites des suggestions pendant le sommeil hypnotique, qui auront un effet très actif, n'oub
tion des sécrétions et de la respiration. Elle reste dans cet état de sommeil apparent avec occlusion des paupières depuis plus
et on la nourrit artificiellement. On a cité d'autres observations de sommeils durant des mois et des années. Si la léthargie
s et martinets passer l'hiver entier dans nos climats plongés dans un sommeil léthargique. Une hirondelle, abattue par le fouet
grottes, des hirondelles de l'espèce des martinets, plongées dans un sommeil hibernal. Engourdies sous l'influence du froid, e
Mon fils devant la porte S'amusant avec ses camarades, Si le sommeil le prend, Il dormira sur les genoux de sa mère.
ar M. le Docteur Ch. Pupin. II en est d'une théorie histologique du sommeil comme d'une théorie de la contraction musculaire.
e, deux solutions qui se complètent sans s'exclure. De même pour le sommeil : l'état de la circulation cérébrale, l'intensité
cations de forme, d'aspect, qu'elles peuvent présenter dans l'état de sommeil comparativement à l'état de veille'? Les supposit
ard seront autant d'hypothèses relatives à la théorie histologique du sommeil ; les faits qu'il sera possible de constater dire
constater directement seront les bases d'une théorie histologique du sommeil . Cette théorie ne viendra ni renverser les théo
ique, au-dessous de ces phénomènes généraux, plus ou moins propres au sommeil , ne vise que les modifications de forme, d'aspect
e une modification dans la forme de l'élément histologique. Pour le sommeil , nous n'en sommes pas encore à un point aussi ava
ée, on arrive à constater que tout, dans les phénomènes extérieurs du sommeil , se passe comme si en effet l'hypothèse en exprim
onnaissances histolo-giques et physiologiques bien établies. l°Le sommeil consiste en un repos des centres nerveux supérieu
passer la modification histologique, protoplasmique qui constitue le sommeil . Or, puisque ces articulations se font non par
c'est parce que cette distance est devenue plus considérable. Dans le sommeil , la non réception ou la difficile réception des i
dessus, le mond&des phénomènes psychiques ou cérébraux. Dans le sommeil , les réflexes ne sont pas abolis ; il n'y a donc
es pour recueillir les impressions apportées par ceux-ci; à l'état de sommeil , ces ramifications protoplasmiques se rétractent
ssions amenées par ce dernier. Telle est la théorie histologique du sommeil . Mais, pour la rendre complète, il faut voir si
il faut voir si cette conception est telle que tout se passe dans le sommeil comme si elle était vraie. Nous avons donc à nous
s avons donc à nous poser encore une série de questions. 4* Dans le sommeil ordinaire, la non réception ou la difficile récep
n en question. Mais ce n'est pas à dire qu'il n'y ait pas, pendant le sommeil , de désarticulations semblables entre d'autres ne
'autres au contraire paraissent abolis. La moelle a aussi son état de sommeil . Pour prendre un exemple extrême, pensons à la ch
ple extrême, pensons à la chloroformisation : elle produit d'abord le sommeil du cerveau, elle abolit la sensibilité ; mais, qu
ntiels seront suspendus, entre autres celui de la respiration, par le sommeil de leurs centres. Pour conjurer la mort immin
sommeil de leurs centres. Pour conjurer la mort imminente dont ce sommeil de la moelle et du bulbe est comme le début, il f
un si précieux moyen de réveiller les centres de la respiration. Ce sommeil de la moelle est évident dans les expériences de
ux hémisphères cérébraux, présentait des alternatives de veille et de sommeil . Dans ce cas, le sommeil de la moelle (bulbe, pro
présentait des alternatives de veille et de sommeil. Dans ce cas, le sommeil de la moelle (bulbe, protubérance et même cervele
ance et même cervelet), était rendu visible par son isolement de tout sommeil cérébral, par lequel il est voilé d'ordinaire che
bral, par lequel il est voilé d'ordinaire chez l'animal normal . Le sommeil n'est donc pas fonction du cerveau ; tous ou pres
le travail cérébral prend les caractères des rêves; et finalement le sommeil s'établit d'une manière inéluctable. Si les cel
inéluctable. Si les cellules nerveuses ne sont pas fatiguées, si le sommeil n'est pas imposé par le besoin, il faut, pour ram
ollicitéesj s'arrêtent, et ne recueillent plus rien. Peut-être le sommeil n'est-il, en dernière analyse, que cet arrêt; peu
leucocytes qui nous présentent les phénomènes les plus comparables au sommeil . Dans une préparation de leucocytes nous voyons c
l'asphyxie, reparaissent presque aussitôt. Comment ne pas comparer ce sommeil de l'être uni-cellulaire à celui des cellules ner
s composés? Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'on a assimilé l'asphyxie au sommeil , et réciproquement, et nous avons vu que les trac
de leur état de rétraction. Nous pouvons donc dire qu'il n'y apasun sommeil ,un réveil; il y a autant de sommeils et de réveil
ouvons donc dire qu'il n'y apasun sommeil,un réveil; il y a autant de sommeils et de réveils qu'il y a d'éléments nerveux capabl
aphysiques. Nous lisons par exemple dans un ouvrage récent (') : « Le sommeil est l'état de repos de notre conscience. » En eff
« Le sommeil est l'état de repos de notre conscience. » En effet, le sommeil peut devenir un état absolument inconscient, si t
Notre projet premier était de poursuivre la théorie histologique du sommeil normal jusque dans tous les états pathologiques.
de Médecine, 1894, page 727.) En résumé, la théorie histologique du sommeil permet d'arriver aux conclusions générales suivan
t d'arriver aux conclusions générales suivantes : — Il n'y a pas un sommeil ; il y a autant de sommeils partiels qu'il y a d'
générales suivantes : — Il n'y a pas un sommeil ; il y a autant de sommeils partiels qu'il y a d'espèce de neurones. — Mais
tant de sommeils partiels qu'il y a d'espèce de neurones. — Mais le sommeil d'ensemble, le sommeil bien établi, consiste prob
ls qu'il y a d'espèce de neurones. — Mais le sommeil d'ensemble, le sommeil bien établi, consiste probablement dans l'immobil
es sensitifs périphériques et les neurones sensitifs centraux. — Le sommeil , c'est-à-dire l'état d'isolement, par rétraction
et contingent dans les centres cérébraux, témoin les rêves. ¦ — Le sommeil des neurones est comparable à l'état des leucocyt
, c'est-à-dire leur donnent le mouvement. 1. Marie de MaHaceine. Le sommeil . Trad. du russe par E. Jaubert. Paris, 180c.
asse à haute dose. Le 29 Mai, j'ai pu la plonger rapidement dans le sommeil hypnotique par l'emploi du miroir rotatique et la
que par l'emploi du miroir rotatique et la suggestion de dormir. Le sommeil obtenu est léthargique. Dès son début, je fais à
hénie et de légers troubles nerveux, 7 d'insomnie et do troubles du sommeil . Il a traité, en outre, un cas d'épilepsie et un
me résultat pour les malades de la quatrième catégorie (insomnie): le sommeil a été rétabli chez Tépileptiquc, le nombre des ac
rovoquée par le surmenage intellectuel, les chagrins, la privation de sommeil , une nutrition insuffisante. Le substratum des
des éléments dont l'oxydation reste incomplète par suite du manque de sommeil . Quant aux symptômes cliniques, ce sont les phé
de l'Hypnotisme a paru un article très intéressant de M. Luys sur le Sommeil impératif. Qu'il soit permis à cette occasion à u
res de la Soeiété de faire respectueusement observer à M. Luys que ce sommeil maladif, impérieux, sans lésions anatomiques le p
ie, passive, sous l'influence, en un mot, d'états maladifs variés. Le sommeil ne commande pas, il est subi — c'est un acte pass
me permets donc de rappeler à M. le Pr Luys que la définition de ces sommeils spontanés invincibles existe, et l'œuvre de M. Lu
sifs. Samedi V5 Avril. — Les théories modernes sur la production du sommeil . — Le neurone et la théorie histologique du somme
la production du sommeil. — Le neurone et la théorie histologique du sommeil . — Rôle pathogénique des rêves. Mardi 28 Avril.
compléter l'examen de ce jeune homme, j'ai eu l'idée d'interroger son sommeil et ses rêves. J'ai appris alors que, de tout temp
des mains, a pu être plongé, dès la troisième séance, dans un état de sommeil hypnotique suffisant pour permettre de provoquer
e de voler et quil n'a pas rêvé la nuit. Nous allons voir si, dans le sommeil hypnotiqne, il déclare également n'avoir pas eu d
, l'idée de cette ville, de ce pays persistait, résidu insoupçonné du sommeil , et, captivant leur esprit, les entraînait irrési
, eût également sa raison d'être dans une suggestion éclose durant le sommeil . Les recherches ne se sont guère portées de ce cô
et la cécité verbale ont complètement disparu. Plus d'hallucinations. Sommeil calme, mais encore de temps en temps maux de tête
ssion sensorielle perçue à l'état de veille et qui, renforcée dans le sommeil physiologique, déplace le jugement en aulo-sugges
t de quelques instants, ses yeux se refermaient pour retomber dans un sommeil entrecoupé de pleurs et de gémissements. Il était
t lui avait donné la suggestion de ne rien dévoiler et de retomber en sommeil quand on lui parlerait de quelque chose concernan
enu, c'est-à-dire la communication entre moi et le malade à l'état de sommeil . Dès lors, les suggestions devenaient faciles. Pe
ait dans un état de résolution musculaire, indiquant l'existence d'un sommeil assez profond. La première suggestion fut celle d
. Dans la seconde séance, il se soumit docilement au traitement. Le sommeil obtenu fut très profond. Je constatai l'anesthési
ance, reproduisant les arguments que je lui avais exposes pendant son sommeil . Il déclarait qu'il serait profondément regrettab
je la fixe comme j'avais l'habitude de le faire pour l'endormir ; le sommeil est un peu ditlicile à obtenir, à cause de la rép
urs ; cependant, au bout de trois minutes au plus, elle tombe dans le sommeil . Je lui suggère de no se réveiller que lorsque je
herai le menton moi-même. Je lui dis qu'elle va accoucher pendant son sommeil , qu'elle continuera à avoir des contractions, mai
hémiopie consécutives à une pleuro-pneumonie grave ; c'est pendant le sommeil hypnotique qu'il a été possible de lui réapprendr
substituer, par la suggestion, soit à l'état de veille, soit dans le sommeil hypnotique, une nouvelle idée, juste et raisonnab
calviniste que sévit cette curieuse épidémie d'iatromysticisme. Le Sommeil tiers de notre Vie DE MARIE DE manacé1xe Tradui
sl Jacbert (1) Ce livre se divise en trois parties : physiologie du sommeil ; hygiène du sommeil; psychologie du sommeil. Je
ivre se divise en trois parties : physiologie du sommeil ; hygiène du sommeil ; psychologie du sommeil. Je vous avouerai que j'a
parties : physiologie du sommeil ; hygiène du sommeil; psychologie du sommeil . Je vous avouerai que j'ai couru tout de suite à
c plus d'inquiétude. Je commence à sentir plus pesamment le besoin du sommeil , que je n'avais pour ainsi dire jamais connu. Tan
arades accablés par la nécessité de se lever matin, .les yeux gros de sommeil , la face congestionnée et bouffie, s'étirer et bâ
je sortais de mon lit frais, gaillard et dispos, après six heures de sommeil , sept au plus. (1) Masson et O, Editeurs, i2u,
toyable cloche du lycée ou de l'Ecole ne m'obligeait pas à secouer le sommeil du patron-minette, je gardai l'habitude de me cou
ais déjà ennuyé, j'en suis un peu plus inquiet, depuis que j'ai lu le Sommeil tiers de notre vie. Madame Marie Manacéine m'affi
a pour dormir que les gens qui ne pensent pas : « Ils tombent dans le sommeil dès qu'ils restent sans occupations, ce qui est b
ame Marie .Manacéine nous recommande, si nous voulons dormir d'un bon sommeil réparateur, de veiller à ce que la position du co
e que la position du corps change le plus souvent possible pendant le sommeil . « Pour cela, nous assure-t-elie, il faut profite
onclusion, je n'avais pas besoin de lire le chapitre sur Yhygiène dît sommeil . Dans celui qui traite de la psychologie du som
ur Yhygiène dît sommeil. Dans celui qui traite de la psychologie du sommeil , j'ai appris un certain nombre de vérités, dont q
à croire qu'ils sont peu développés intellectuellement. Nous avons le sommeil profond et sain, et voilà tout. Je remarque que
omme de coutume, dormi sans rêver; ce qui m'induirait à penser que le sommeil sans rêve est infiniment plus réparateur, et que
voir une marque de sottise. Il y a encore dans cette psychologie du sommeil une remarque de détail qui m'a bien étonné. « Q
enfoncent dans le repos le plus complet et le plus profond pendant le sommeil . C'est ainsi que les pensées et les sentiments qu
toute son attention pendant la vie de veille, sont plongés pendant le sommeil dans le repos le plus complet et sont alors comme
à la suggestion thérapeutique. M. Le Menant du Chesnais. — Faits de sommeil provoquées à l'insu des sujets. Congrès de psyc
D'Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve el pendant te sommeil hypnotique. Brochure in-8, 22 pages. Paris, 1895.
r Félix Regnault, 239. Sarcome du testicule gauche opéré pendant le sommeil hypnotique, par Schmeltz, 120. Sieste et la dig
égale, 186. Société de médecine et de chirurgie de Bordeaux, 347. Sommeil impératif, Lésions de la substance grise de la ré
ions de la substance grise de la région bulbaire, par J. Luys, 200. Sommeil et ta folie (le), 219. Sommeil tiers de notre v
région bulbaire, par J. Luys, 200. Sommeil et ta folie (le), 219. Sommeil tiers de notre vie, par E. Jau-bert, 372. Sugge
chez un enfant guéries par la musique, 250. Théorie histologique du sommeil (la), par Ch Pupin, 289. Thermomètre muet, 316.
5 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
ord des états physiologiques comme l'état de distraction et l'état de sommeil avec rêve. « Les rêves, dit Macario ont une gra
'il accomplit sans les contrôler avec son centre 0. De même dans le sommeil , on dirige un rêve par des sensations provoquées
e n'est pas la malléabilité absolue du polygone en hypnose. Dans le sommeil , ? est également distrait de sa direction polygon
se dans les phénomènes physiologiques et l'assimilant complètement au sommeil naturel ('). Adoptant ces idées, mon distingué
iste donc un état du système nerveux qui ne se distingue nullement du sommeil naturel. Cet état, c'est l'hypnotisme... » Et c
commandement d'un opérateur ». Mais on ne peut rien dire de pareil du sommeil naturel. Si on élève un peu la voix pour donner
urel. Si on élève un peu la voix pour donner un ordre à un homme en sommeil naturel, il s'éveillera au lieu d'obéir. Criez-lu
nettement : ß II faut tout d'abord distinguer celle-ci (l'hypnose) du sommeil , conformément à la différence qui se manifeste en
n'est pas un phénomène physiologique et ne peut pas être identifié au sommeil naturel ; tout le monde dort et tout le monde ne
verrons dans le chapitre suivant que, dans fi) Voir: Liébeault. Le sommeil provoque et les étals analogues el B.- ·. m .". D
taine forme d'hypnose peut se développer sans aucun des caractères du sommeil naturel, le sujet présentant au contraire tous le
e l'état de veille. Donc l'hypnose ne peut pas être confondue avec le sommeil naturel. L'hypnose ne peut pas davantage être c
Hypnotiser un sujet, c'est lui donner artificiellement une attaque de sommeil ; le réveiller, c'est faire cesser cette attaque p
uvres expérimentales. Or, nous avons vu précédemment que l'attaque de sommeil n'est qu'un fragment détaché ou tout au moins un
, ni dans l'état de la sensibilité, ni dans le degré de profondeur du sommeil , ni dans l'état de la mémoire ou de la conscience
l'hypnose ou état de suggestibilité des états suivants : distraction, sommeil naturel, cumberlandisme, tables tournantes, spiri
que, il y a quelques années, j'ai préconisé la suggestion pendant le sommeil naturel ou suggestion somnique (·) et que, tout r
lui que produit le chloroforme. (1) Cf. De la suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des maladies mentales,
es- — Technique, indications et surprises de la suggestion pendant le sommeil ? iturel, 2* congrès internat, de l'Hypn. et Indë
attendues et recevoir des suggestions précises, tout comme pendant le sommeil hypnotique. Les cas sont assez nombreux et assez
réalise l'analgésie chirurgicale complète. Le somnoformisé dort d'un sommeil qui ressemble fort au sommeil naturel par son mod
ale complète. Le somnoformisé dort d'un sommeil qui ressemble fort au sommeil naturel par son mode d'invasion, ses apparences e
es constituent une sorte d'intermédiaire entre la pleine veille et le sommeil confirmé ; elles annoncent l'imminence de ce dern
ertains de mes somnoformisés, ont précédé immédiatement l'invasion du sommeil sont de deux sortes. Tantôt, elles se rapportent
ui accompagne habituellement, chez tel individu, l'entrée en scène du sommeil normal. Voici un exemple de l'un et de l'autre
n et de l'autre cas. Un homme, âgé de 40 ans, va Être envahi par le sommeil somnofor-mique ; à ce moment, il voit un beau cie
s aux facettes brillantes. Un homme de 32 ans voit, au moment où le sommeil somnoformique va le gagner, une lueur d'abord som
ette mer. Or, cette môme vision survient très souvent au début de son sommeil nocturne ; quand il tarde à s'endormir, il n'a, d
tarde à s'endormir, il n'a, d'ordinaire, qu'à la susciter pour que le sommeil vienne. Dans la circonstance, les deux sommeils,
a susciter pour que le sommeil vienne. Dans la circonstance, les deux sommeils , normal et somnoformique, ont, au point de vue re
but. • ? · Qu'il y ait eu ou non hallucination hypnagogique, le sommeil somnoformique s'accompagne de rêves dont le conte
e rêves dont le contenu varie à l'infini, comme cela se passe pour le sommeil naturel. Certaines fois, on vient de le voir, c
é onirique, servant ainsi de passage ou de pont entre la veille et le sommeil . D'autres fois, c'est une sensation réelle, sur
eil. D'autres fois, c'est une sensation réelle, survenue pendant le sommeil , qui conditionne le rêve. Par exemple, une jeune
n pardessus une vague tache de graisse. Pendant toute la durée de son sommeil il s'acharne à enlever cette tache. A la séance s
a conscience d'une manière, en apparence, spontanée, comme pendant le sommeil normal. En y regardant de plus près, on s'aperçoi
core par les manifestations somatiques qui les traduisent au cours du sommeil . Tantôt, ce sont des paroles confuses, des sons
dant, certaines paroles, certains mouvements survenus au cours de son sommeil prouvent clairement qu'en dépit de ses affirmatio
réveiller dans leur chambre à coucher, comme après quelques heures de sommeil naturel; ils sont tout à fait étonnés de se trouv
réveiller à la première injonction. La malade s'endormit. Pendant son sommeil on constatait que l'utérus se contractait netteme
.' Peine perdue, la fin du repas est pire, une tendance invincible au sommeil les cloue dans un fauteuil ; l'éveillés, ils se s
ons nuisibles entièrement diffé- rentes de celles de l'alcool. Le sommeil se trouble, il est agité de cauchemars ; la perso
er sous la forme onirique, créant ainsi un pont entre la veille et le sommeil . Pendant le sommeil lui-même, des bruits extéri
que, créant ainsi un pont entre la veille et le sommeil. Pendant le sommeil lui-même, des bruits extérieurs peuvent impressio
sculaire dont il essayait vainement de retrouver la cause pendant son sommeil . Donc les diverses sensibilités peuvent être im
ore. (1) Une jeune fille, hystérique, est somnoformisëe. Dès que le sommeil l'a envahie, elle ébauche une crise nerveuse, ave
uffit à juguler immédiatement la crise. Un homme a subi, pendant le sommeil somnoformique, les suggestions appropriées à son
ns d'exposer se rapporte à une narcose somnofor-mique confirmée, avec sommeil véritable et respiration généralement très calme.
profonde, une hypernarcose, dirais-je volontiers, caractérisée par un sommeil plus lourd et plus durable, une respiration rapid
dans un état de passivité, d'inertie, de torpeur, de somnolence ou de sommeil ; on l'oriente vers l'anidéisme. Alors seulement c
uérir la suggestion qui leur sera faite pendant qu'ils dormiront d'un sommeil profond, avec inconscience et, au réveil, amnésie
sychothérapie suggestive en Suède. — La méthode du D' Wetter strand : Sommeil prolongé, hypnose thérapeutique ('). Par M«« la
. Je dois citer surtout un article dans le Zeitschrifi, intitulé : Le sommeil prolongé. En effet, M. Wetterstrand a employé ce
: Le sommeil prolongé. En effet, M. Wetterstrand a employé ce mode de sommeil avec le plus grand succès dans beaucoup de cas.
tement il ne fait qu'une ou deux suggestions. Il a démontré ce que le sommeil par lui-même peut faire et il affirme qu'on ne pe
psychique sans une hypnose profonde. LA TECHNIQUE La technique du sommeil prolongé telle que la conçoit O. Wetterstrand, do
ne ou deux fois par jour et pratique sur eux la suggestion pendant le sommeil . Au début, ces suggestions sont peu nombreuses un
à l'autre, et à demi-voix suggestionne chacun en passant. La durée du sommeil dépend du genre et de la phase de la maladie. D
réveillent eux-mêmes sans qu'on leur dise de se réveiller. Aussi le sommeil de Wetterstrand, comme celui de Liébeault, est pl
le sommeil de Wetterstrand, comme celui de Liébeault, est plutôt le « Sommeil prolongé » que le « Sommeil provoqué ». Il impo
comme celui de Liébeault, est plutôt le « Sommeil prolongé » que le « Sommeil provoqué ». Il importe de dire que le Dr Wetter
neux à la levre inférieure. Par suggestion, elle tombe dans l'état de sommeil profond avec anesthésie complète. Un confrère peu
u Midi; elle a été très impressionnée : pendant la nuit suivante, son sommeil est très agité et elle construit sa paralysie.
s, ajoutent-ils !..... Mais alors, pourquoi n'en pas dire autant du sommeil et des illusions, de l'ivresse et de ses rêves ?
e ses fonctions et lui conseillant de chercher dans une bonne nuit de sommeil le calme dont il a grand besoin. Le lendemain,
es méthodes diverses déjà décrites. Hypnose et commandement durant le sommeil provoqué. Les résultats ne furent pas toujours co
presque insurmontable; inhalations amenant la résolution, mais non le sommeil complet, commandements durant cette période. Résu
bes oculaires, glotte néant. Cessation de tout mouvement pendant le sommeil . A gauche, parésie flasque, hypéresthésie. Ré
té employés antérieurement par le médecin traitant, or dans ce cas le sommeil provoqué eût été difficile à obtenir : 1° La mala
trairement à ce qu'on avait affirmé, guérie par la suggestion dans le sommeil hypnotique longtemps prolongé et aidé d'une médic
veut tomber, etc. Je répète plusieurs fois les suggestions dans un sommeil prolongé, de deux heures environ, comme j'ai l'ha
ntinuai les suggestions, répétées avec insistance et toujours dans un sommeil profond et prolongé de deux heures environ. A son
puissance dynamogénique de la suggestion hypnotique, surtout dans un sommeil prolongé, lequel n'est sans doute pas étranger à
r la suggestion hypnotique. D'emblée, je l'endors assez facilement du sommeil somnambulique, avec paralysie psychique complète.
l se prête avec empressement, il s'endort très facilement et, dans un sommeil toujours profond et assez prolongé, les mêmes sug
aines pratiques solitaires. Nous sommes à la troisième séance. Même sommeil profond et prolongé. Mêmes suggestions fortes et
la Incontinence nocturne d'urine guérie par suggestion pendant le sommeil naturel chez une enfant de vingt-six mois. par
cet effet se continuait peut-être, chez notre jeune sujet, pendant le sommeil normal. Quoiqu'il en soit, Jules D.. était conv
il était qu'on ne pouvait obtenir des résultats semblables que par le sommeil hypnotique et peut-être aussi que, comme le dit l
ar le comprendre. après que notre petite malade s'est endormie du sommeil naturel ; et, chaque matin, l'on constate que l'i
et la vessie, distendue, se vide spontanément, car l'enfant dort d'un sommeil trop profond pour être capable de contracter son
plupart des incontinents, la guérison ne s'obtient que parce qu'à un sommeil d'une profondeur anormale on a fait succéder un s
parce qu'à un sommeil d'une profondeur anormale on a fait succéder un sommeil d'une intensité moyenne. Avant le traitement, l'i
trôle qui ne nuit d'ailleurs aucunement à la puissance réparatrice du sommeil . Diminuer l'intensité du sommeil et maintenir la
nement à la puissance réparatrice du sommeil. Diminuer l'intensité du sommeil et maintenir la subconscience en éveil pour ce qu
ntinents, avons-nous dit, dorment trop profondément. Si, pendant leur sommeil naturel, on leur fait des suggestions avec les mé
même nous devons secouer le dormeur, le tirer des profondeurs de son sommeil , le réveiller à demi, provoquer la mise en jeu de
lui dont il s'agit ici. On voit que, grâce à la suggestion pendant le sommeil naturel, même les enfants en bas âge peuvent béné
nce de la réaction. Danilewsky en arrivait d'ailleurs à considérer le sommeil hibernal de certains animaux comme un état hypnot
état d'hypnose peu avancé, mais qui n'en existe pas moins, simule le sommeil quand elle désire donner confiance à son entourag
on est encore à vouloir qu'il n'y ait hypnotisme que lorsqu'il y a un sommeil profond. Il ne faudrait pas oublier, surtout pour
état d'hypnose, qu'ils se sont empressés d'utiliser pour procurer le sommeil à certains sujets réfractaires aux moyens ordinai
t, cette contracture disparait ; elle disparai-trait aussi pendant le sommeil chloroformique. On guérira ce malade par le massa
r une « somnambule », plus exactement par un opérateur plongé dans le sommeil provoqué. Exposons quelques effets de la sugges
sujet doit pendant plusieurs séances, être entraîné à tomber dans le sommeil hypnotique. Cela est d'autant plus facile que gén
'ouverture sera faite par notre collègue M. le Dr Paul Farez, sur les Sommeils pathologiques. Ainsi, tout en restant fidèle à
le professeur Blanchard, à l'Académie de Médecine, sur la maladie du sommeil , des enseignements dont la psychologie ne pourra
gie, en permettant d'isoler dans la substance cérébrale, le centre du sommeil , confirme une hypothèse exprimée déjà par de nomb
question si importante, même pour les psychologues, de la maladie du sommeil . Cette année, les anciens professeurs de l'Écol
constamment relâchés et ce relâchement est d'autant plus grand que le sommeil est plus profond. Chez les grenouilles immobilisé
décesseurs. Selon lui, cet état d'immobilité n'est autre chose que le sommeil ordinaire plus ou moins profond. Il a observé des
chez les animaux est un vrai état hypnotique, car on peut produire le sommeil par les excitations visuelles. Or le non fond
nce, ni un acte de « peur résignée » comme le veut Preyer. « C'est un sommeil naturel pur et simple. » Le travail de Heubel r
énomène rentre plutôt dans le domaine de la pathologie et n'a avec le sommeil naturel qu'une ressemblance éloignée. B. Danile
rt superficiellement, on constate que l'animal tombe aussitôt dans un sommeil hppno-tique profond. La cocaïne a la même influen
strychnine et la thébaïne exercent une action plus faible pendant le sommeil hypnotique. Au contraire, le cerveau se trouve po
himique à petite dose de cet organe favorise beaucoup l'apparition du sommeil hypnotique chez la grenouille. Les fortes (1) B
chimiques. Ayant étudié moi-même l'influence des anesthésiques sur le sommeil hypnotique j'ai obtenu des résultats opposés à ce
es 'dans la phase d'excitation) s'est toujours montrée défavorable au sommeil hypnotique. Au contraire, la dépression du cervea
tative varie avec la substance employée. L'interruption invariable du sommeil hypnotique produite dans mes expériences par les
atow). — Une application thérapeutique de la sugggestion pendant le sommeil naturel. M. Voisin. — Hyperesthcsie hystérique, g
pnotique. Une application thérapeutique de la suggestion pendant le sommeil naturel, par M. le Dr Joseph "Wiazemskj (de Sar
mal. Elle craint qu'il n'arrive malheur aux membres de sa famille. Le sommeil est mauvais, l'appétit moyen, les garde-robes nor
emploie alors la fixation du regard et la suggestion des symptômes du sommeil ; il n'en résulte qu'un certain engourdissement de
a malade s'endort. J'essaie d'entrer en rapport avec elle pendant son sommeil , mais je n'y réussis pas, car la malade se réveil
respirer quelques gouttes de chloroforme. La première séance amène un sommeil plus profond que sans l'emploi du chloroforme. Le
mettre à la cure hypnotique. La fixation du regard ne produit qu'un sommeil superficiel. C'est alors que je me décide à expér
C'est alors que je me décide à expérimenter la suggestion pendant le sommeil naturel, d'après la méthode du docteur Paul Farez
décrite par le docteur Farez, je lui fais des suggestions pendant son sommeil naturel. Elle ne se réveille pas pendant la séanc
ter que la malade savait que je lui ferais des suggestions pendant le sommeil ; c'est probablement ce qui explique l'absence de
otiques. Le chloroforme qu'on lui fit respirer préalablement amena un sommeil plus profond et une plus forte suggestibilité. Le
profond et une plus forte suggestibilité. Les suggestions pendant le sommeil naturel amenèrent un sommeil encore plus profond.
ggestibilité. Les suggestions pendant le sommeil naturel amenèrent un sommeil encore plus profond. Après avoir réussi à obtenir
sommeil encore plus profond. Après avoir réussi à obtenir pendant le sommeil naturel la catalepsie suggestive, et la réalisati
dormir en employant les procédés ordinaires. La suggestion pendant le sommeil naturel a donc eu pour effet d'augmenter la sugge
nt une amnésie complète pour tout ce qui lui a été suggéré pendant le sommeil hypnotique, mais encore, pendant un certain temps
d. Bientôt, il s'accoutume à ce genre d'exercice et, même pendant son sommeil , il pousse le berceau du pied. La fille, qui naqu
balancement rythmique se continuait assez longtemps, même pendant le sommeil . Le garçon qui naquit ensuite, présenta la même h
parce que l'habitude dont il s'agit se manifestait pendant un profond sommeil et, par conséquent, on ne saurait en expliquer la
il s'agit : Une femme remarque que son mari a l'habitude, pendant son sommeil , de porter le bras droit au-dessus du front, puis
ération. Paris, 1828. cerveau el s'étant fixée souvent pendant le sommeil (ce qui est tout particulièrement remarquable) ;
est affaibli ou suspendu et l'impression nabilité exagérée. Or, le sommeil hypnotique est précisément de tous les étals de r
ontrecoup, dans le sujet, le besoin de repos et, en dernier terme, le sommeil hypnotique. Il est évident, d'autre part, que le
1° D' Bêrillon : L'École de psychologie.; 2° Dr Paul Farez : Les sommeils pathologiques; 3° Allocution de M. le Professeu
gie, par M. le D' Bémllox, professeur à l'Ecole de psychologie. — Les sommeils pathologiques, par M. le d' Paul Fabez, professeu
s tèlêpathiqucs, la lucidité, la clairvoyance, les pressentiments, le sommeil à distance, l'écriture automatique, l'extênorisat
ssance au nom des professeurs de l'Ecole de psychologie. * ^ /Les sommeils pathologiques. Leçon d'ouverture par M. le Dr P
ssieurs, Vous avez tous entendu parler de cette terrible maladie du sommeil qui décime les populations indigènes dans l'Afriq
un accès convulsif n'amène une terminaison brusque. ' La maladie du sommeil ne pardonne pas; son pronostic est fatal-dans tou
onc parti à Brazzaville; il y a observé de nombreux cas de maladie du sommeil ; quelques autopsies lui ont fourni des matériaux
assurerait à la fois la prophylaxie et le traitement de la maladie du sommeil . Quel est donc ce microbe? Sur ce point quot capi
par des savants anglais ou italiens. La vraie cause de la maladie du sommeil est un parasite. Ce parasite n'est pas, comme on
n'est donc point par un sérum antitoxique qu'on guérira la maladie du sommeil . Sera-ce en modifiant petit à petit le milieu hab
céphalo-rachidien emprunté à des animaux réfractaires à la maladie du sommeil ? Sera-ce en introduisant dans le liquide céphalo-
plus autorisés. Dans nos contrées, on observe une forme spéciale de sommeil pathologique dont la symptomatologie rappelle, pa
ymptomatologie rappelle, parfois d'assez près, celle de la maladie du sommeil proprement dite. Les individus dont je parle s'en
tions les plus diverses, et quoi qu'ils fassent pour lutter contre le sommeil . Pendant une conversation, ils s'arrêtent au mi
l à haute voix, un bruit, une sensation quelconque les tirent de leur sommeil . Par exemple, un fumeur se met une cigarette
urs sont exposés à quelques mésaventures : certains, terrassés par le sommeil , tombent qui dans une glace, qui dans un escalier
ignent d'être surpris en train de dormir; ils se surveillent, mais le sommeil est plus fort qu'eux; endormis, ils cherchent à s
à se réveiller, mais ils sont incapables de remuer ou de parler. Ce sommeil pathologique, toutefois, diffère de l'inexorable
e sommeil pathologique, toutefois, diffère de l'inexorable maladie du sommeil par certains symptômes ainsi que par sa cause. De
assez vite. Ce n'est ni de la somnolence, ni de la torpeur, mais un sommeil vrai, complet, profond, qui s'installe non point
à très avant dans la nuit, il sera plein de verve et d'entrain. Ces sommeils incoercibles présentent, suivant les individus, d
derniers, elles peuvent produire une véritable narcose. Les accès de sommeil narcoleptique auxquels elle donne lieu sont l'exp
yxcedémateux, des basedowiens, des syphilitiques. Pour combattre ce sommeil narcoleptique, il suffit, le plus souvent, de sup
que ou opothérapique. ¦ Certains auteurs voient dans ces accès de sommeil narcoleptique des accès frustes ou larvés de cris
ience d'avoir dormi, il se souvient de ce qui s'est passé pendant son sommeil , il ne ressent ni lassitude ni courbature ·. il j
ileptiques. Le mal comitial possède d'ailleurs sa forme spéciale de sommeil pathologique. Dans l'accès complet d'épilepsie, a
orsqu'après une demi-heure, et souvent plus, l'épileplique sort de ce sommeil comateux, il a le regard vague, hébété, il se pla
l'Epilepsie. * La crise épileptique comporte donc une période de sommeil ; et celui-ci fait partie intégrante de l'attaque
ubérance, explosion de rire ou même de larmes. Parfois, cependant, le sommeil intervient à titre de variante ou d'équivalent; i
arcot, la phase convulsive,de préférence: plus rarement, l'attaque de sommeil constitue, à elle seule, toute la crise d'hystéri
circonstance extérieure; il s'accompagne d'amnésie. La durée de ce sommeil varie suivant les cas ; elle est, d'ordinaire, de
depuis le premier jour du Carême jusqu'à Pâques. D'autres fois, ce sommeil dure pendant des années, avec ou sans périodes de
elle rentre chez elle et se rendort pour toute la semaine. Tantôt le sommeil reste ininterrompu pendant de nombreuses années.
éphore, dans son ? Histoire ecclésiastique », nous rapporte un cas de sommeil qui aurait duré 37 ans ; mais son récit paraîtra
Au Moyen-Age, les épidémies de démonopathie ont provoqué de nombreux sommeils prolongés. De nos jours, les cas authentiques, à
entrionale, une jeune femme, à l'occasion d'un incendie, sortait d'un sommeil qui avait duré dix-sept ans. Je viens de recueill
ste à Paris un amateur qui collectionne les pièces de théâtre sur les sommeils hystériques; il en a réuni le chiffre respectable
lavements nutritifs. A vrai dire, ces hystériques, au cours de leur sommeil prolongé, peuvent, sans grand dommage, s'alimente
nt peu, elles peuvent vivre longtemps sur leur acquis. A la faveur du sommeil et de l'immobilité, l'autophagîe permet des jeûne
s en rapport avec leur faible alimentation ou la longue durée de leur sommeil . Elles peuvent même rester, sans trop en souffrir
ervé aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant ses vingt années de sommeil ; mais elle s'est rappelé nettement certains faits
ou moins maladroites de sa famille ou .des visiteurs. • Dans les sommeils dont il vient d'être question, la contractilité m
sont des hystériques qui, gravissant un degré de plus, sont passés du sommeil léthargo-cataleptique au sommeil syncopal. D'au
ant un degré de plus, sont passés du sommeil léthargo-cataleptique au sommeil syncopal. D'autres, au point de vue psychologiq
'autres, au point de vue psychologique, sont dans un état analogue au sommeil naturel; ils peuvent avoir des rêves, qu'ils se r
qu'ils se rappelleront au réveil, si celui-ci survient. Comme dans le sommeil normal, les impressions de toutes sortes qui les
peuple, la propre nièce du dernier roi des Wisigoths, Alaric II. Ce sommeil syncopal peut survenir d'emblée. Parfois, il succ
Ce sommeil syncopal peut survenir d'emblée. Parfois, il succède au sommeil léthargo-cataleptique, à titre d'aggravation, soi
28 ans présente, pendant plusieurs semaines, des séries d'attaques de sommeil qui durent de 48à 68 heures. Dans la dernière de
la vie. Une jeune fille de 15 ans présente des attaques répétées de sommeil avec toutes sortes de phénomènes convulsifs, raid
Ces divers états d'immobilité, d'insensibilité, d'inconscience et de sommeil ont été, plus d'une fois, simulés dans le but d'é
cachette. D'autres fois, un individu dort, à ce qu'il semble, d'un sommeil calme et tranquille ; couché dans le décubitus do
sés objectivent les types qu'on leur a suggérés. Cette apparence de sommeil , par intoxication psychique, oserai-je dire, peut
ns cas, l'idée délirante a fini par provoquer la véritable attaque de sommeil hystérique. Ainsi, une femme éprouve dans le dos
celui d'Eudoxie ou de Marguerite B.... • * Devant vous parler des sommeils pathologiques, je n'ai voulu vous en donner qu'un
toute systématisation serait prématurée. J'ai écarté de mon sujet les sommeils plus ou moins comateux qui surviennent à la suite
lus de la curieuse observation rapportée par M. Soca et relative à un sommeil de 7 mois consécutif à une tumeur de l'hypophyse.
ues-uns des points les plus controversés de cette psychopathologie du sommeil naturel que j'ai commencé à vous exposer ici-
'a observé que la première phase de l'hypnose superficielle, quand le sommeil proprement dit ne s'est pas encore établi, tandis
r qu'on n'ait pas jusqu'ici recherché s'il existe un rapport entre le sommeil hypnotique et les conditions de nutrition de l'an
es. Il y avait donc là matière â rechercher si la disposition pour le sommeil hypnotique ne varie pas aussi avec les saisons.
e ranarium des individus chez lesquels il est possible de produire le sommeil hypnotique superficiel et de courte durée, autrem
elles se laissent facilement endormir au bout de ce temps, quoique le sommeil ne soit jamais ni si profond ni si long que chez
bution à l'histoire déjà si documentée du suicide par imitation. Un sommeil de 96 heures par le trional. Ce sommeil de 96 h
suicide par imitation. Un sommeil de 96 heures par le trional. Ce sommeil de 96 heures a été observé sur un médecin russe (
russe (Journal russe de mèd. milit.. n° 1, 1903). Il est vrai que ce sommeil n'était pas naturel. Dans un but de suicide, le m
voie était tracée; il se mit résolument à utiliser l'hypnotisme et le sommeil provoqué dans le traitement d'un certain nombre d
de ses observations dans un volume remarquable ayant pour titre : Du sommeil et des états analogues considérés surtout au poin
le en pleine force physique, autant il est facile de provoquer le sommeil hypnotique profond chez les grenouilles en inanit
de l'inanition ; les grenouilles tombaient presque subitement dans le sommeil profond dès qu'on les renversait sur le dos, malg
ne persiste que les mouvements de déglutition. C'est le signe que le sommeil arrive. En effet, l'état d'hypnose profonde est t
remue légèrement. On peut donc dire qu'en général la profondeur du sommeil hypnotique peut être mesurée par le degré de l'af
rvation, les paupières ont toujours été largement ouvertes pendant le sommeil hypnotique. Les yeux sont écar-quillés, fortement
ment immobiles, fixes. Les pupilles changent de forme aussitôt que le sommeil arrive. On sait que chez la grenouille normale le
grenouille par ce procédé ; tout dépend du degré de la profondeur du sommeil , lequel lui-même est en rapport direct avec l'épu
Sens kinesthésique. — Le sens kinesthésique est absent dans l'état de sommeil provoqué, l'animal n'a aucune notion de la positi
ques qui représentent les grenouilles endormies et placées pendant le sommeil sur des supports ayant une très petite surface, p
Ta endormie. Mais il arrive plus fréquemment que l'animal pendant le sommeil donne à son corps des attitudes différentes. Ains
pendant une demi-heure. Il est curieux de constater que pendant le sommeil hypnotique les grenouilles ne se fatiguent pas fa
ion. Les fortes contractions des muscles qui apparaissent durant le sommeil hypnotique n'ont pas lieu au dernier stade de l'i
tractent avec difficulté et lentement, même chez l'animal éveillé; le sommeil hypnotique parcourt alors tranquillement, sans ch
serve aussi dans l'hypnose des grenouilles en bonne santé, quand leur sommeil dure très longtemps. Il parait certain que les
t certain que les différentes attitudes que l'animal prend pendant le sommeil hypnotique ne sont que les essais pour revenir à
de deux états qui (1) Loc. cit. alternent entre eux pendant le sommeil : 1° la léthargie, où les muscles se trouvent dans
r de quarante heures sous la cloche par un temps bien chaud, tomba en sommeil provoqué si profond, qu'il fut impossible de la r
re toujours réveillées si l'on secoue leur corps, même légèrement. Le sommeil des grenouilles desséchées se distingue encore pa
0*. Ses muscles présentent une contraction tonique très accentuée. Le sommeil dure depuis dix minutes. On ajoute alors dans le
ces secousses elle émettait des cris brefs ou des mots injurieux. Le sommeil interrompait le plus souvent les tics et l'émissi
us fut amenée, se soumit doucement au traitement psychothérapique. Le sommeil hypnotique ne put être obtenu qu'après un assez g
sujet sent bien qu'il ne sera guéri que s'il peut être plongé dans un sommeil profond avec suspension de la pleine conscience.
soumettre à la suggestion som-nique, c'est-à-dire de profiter de son sommeil naturel pour imposer à son subconscient des sugge
à son entourage, à ses domestiques ; surtout, ajoute-t-il, « j'ai le sommeil extrêmement léger et, dès que vous aurez fait que
ant, il sera, semble-t-il, beaucoup plus sensible à la provocation du sommeil . Cette fois encore, la conscience subsiste, l'obs
lement. Il n'est pas nécessaire de les endormir très profondément. Un sommeil très léger et même la simple somnolence suffisent
sychothérapique. 12. En dehors de l'état d'ivresse, comment sont le sommeil , l'appétit et la digestion ? 13. Quand travaill
mirablement jouées par Sarah Bernardh. La façon dont elle provoque le sommeil avant île formuler les suggestions qui doivent am
r à Nancy où il se livra aux études, qui devaient l'illustrer, sur le sommeil provoqué et les états analogues, sur l'anesthésie
ue partiellement. Le docteur Liébeault assurait que certains états du sommeil provoqué, permettent au cerveau d'agir sur le cor
BULLETIN Mardi dernier, le Dr Lancereaux a entretenu l'Académie du sommeil de la dormeuse de Thenelles (Aisne), qui a défray
nt vingt-quatre heures et après lesquelles elle tomba dans un profond sommeil , accompagné d'anesthésie et de contracture généra
rfaitement des choses anciennes. L'auteur a conclu à l'existence d'un sommeil hystérique chez la malade qui succomba à la tuber
de qui succomba à la tuberculose peu de jours après être sortie de ce sommeil pendant lequel l'alimentation, malgré le peu de b
ommunication, M. le professeur Raymond a rappelé des cas analogues de sommeil qui surviennent toujours chez de grandes hystériq
z de grandes hystériques et sont une des modalités de l'attaque. Ce sommeil se caractérise par de la contracture et des batte
ertain temps sous certaines influences, et c'est de là que résulte le sommeil . Il ne doute pas que si on s'était moins occupé
iver à supprimer les douleurs de la goutte, la toux et à provoquer le sommeil . ? ce titre, Kant peut être considéré comme un pr
érature plus basse. Il est donc impossible de fixer la température de sommeil et la température de réveil. Chaque nouvelle augm
variation thermique dans le sens delà diminution) n'interrompt pas le sommeil hypnoptique. Ce dernier fait ressort encore mieux
epsie: les membres sont rigides, la membrane interdigitale tendue. Le sommeil de ces grenouilles dura plus d'une heure; on a dû
ue se montre-ra-t-elle indifférente, favorable ou bien défavorable au sommeil hypnotique? Dans le but d'étudier ce point, les g
oroforme et l'alcool absolu. Il est intéressant de constater que le sommeil anesthésique ne peut pas s'ajouter directement au
ater que le sommeil anesthésique ne peut pas s'ajouter directement au sommeil hypnotique, car le réveil srin-terpose toujours e
entre les deux états. Cela parait d'autant plus frappant que ces deux sommeils impriment à l'organisme des caractères somatiques
ur surexcitation. Celte excitation est suffisante pour interrompre le sommeil hypnotique. Or il est certain que, dans ces expér
e de ce fait que les excitants généraux (diffusibles) interrompent le sommeil hypnotique. De même la chaleur, qui agit comme un
de l'état d'hypnose profonde, tandis que le froid n'interrompt pas le sommeil . De plus, mes expériences citées plus haut démont
e l'application préalable du froid prédispose même les grenouilles au sommeil hypnotique. Cet effet est certainement dû à l
ille. Or, chez de telles grenouilles étourdies par l'anesthésique, le sommeil hypnotique est favorisé d'une manière remarquable
ui dépriment fortement le système nerveux favorisent en même temps le sommeil hypnotique. VIII. — Le réveil Quelle que soit
il hypnotique. VIII. — Le réveil Quelle que soit la profondeur du sommeil hypnotique, on peut toujours réveiller instantané
parait ne pas encore fonctionner normalement. En effet, après un long sommeil , les grenouilles, dans les premiers moments, semb
veillée après une longue hypnose peut être replongée aussitôt dans le sommeil ; il n'y a qu'à la renverser sur le dos. De cette
on au même degré les jours suivants. En général, la prédisposition au sommeil varie d'un jour à l'autre, même chez les individu
elles à l'hypnose; c'est à peine si l'on peut provoquer chez elles un sommeil superficiel et de courte durée. Laissés au repos
accompagne généralement le réveil est passagère; par contre, après un sommeil assez long, les grenouilles paraissent fatiguées.
que j'ai observé plusieurs cas de paralysie post-hypnotique après le sommeil prolongé. La paralysie intéressait chaque fois le
ces animaux. En général, il est difficile de provoquer cette forme du sommeil chez les individus bien portants et bien nourris.
ouilles sont saines et alertes, mais elles tombent subitement dans un sommeil profond, dont les caractères somatiques présenten
études si passionnantes sur l'état organo-psychique déterminé par le sommeil et les états analogues, études intéressant aussi
Liébeault. Disons simplement qu'il avait pensé que certains états du sommeil provoqué permettent au cerveau d'agir sur le corp
ns-nous quelques titres des nombreuses études du regretté défunt : Du sommeil provoqué et des états analogues » (136G). — « Eba
que les guérîsons opérées par les prêtres de l'antiquité, au moyen du sommeil provoqué, pouvaient se reproduire grâce aux procé
l guérissait trop... En 1866, il publia son lumineux traité, sur le Sommeil et les états analogues, qui fait aujourd'hui auto
'à neuf heures du soir. Entre temps, il rédigea son livre capital: le Sommeil provoqué et les Etats analogues, qui tout d'abord
iomphe. Aujourd'hui, la psychothérapie, c'est-à-dire la cure par le sommeil provoqué et la persuasion verbale, est pratiquée
ment par la suggestion. En 1866, il publia son premier livre : « Du sommeil et des états analogues considérés surtout au poin
à la pyschologie et fut, un des premiers, à étudier l'hypnotisme, les sommeils provoqués, la suggestion, et l'anesthésie par sug
individu normal. Ses théories, exposées des 1s66 dans son livre: Du sommeil et de quelques états analogues, antérieures aux t
vous montrer qu'on peut guérir ces sortes de malades sans recourir au sommeil profond, mais aussi et surtout pour attirer votre
temps à autre, entrecoupées par des délires, des gesticulations, des sommeils . En outre, les signes somatiques sont très nets :
ement d'un grand nombre de maladies, la suggestion hypnotique dans le sommeil provoqué. Pendant plus de trente ans, il a prod
fait de lui un véritable bienfaiteur public. Son livre capital, le Sommeil et les Etats analogues, paru en 1866, méconnu et
e à la Salpêtrière, bon nombre de maladies par la suggestion, dans le sommeil provoqué, selon la méthode de Liébeault. J'ai l
aiter par l'hypnotisme. Le malade tomba tout de suite dans un profond sommeil , et je produisis facilement les phénomènes suivan
uivants : catalepsie, automatisme, diverses hallucinations pendant le sommeil , suggestions post-hypnotiques, fascination. Je su
i aux mains, ni au dos. Je lui suggère ensuite qu'il dormira d'un sommeil réparateur, et qu'il avalera facilement les alime
taxie, mais plusieurs séances sont nécessaires pour qu'on obtienne un sommeil plus profond. Maintenant, au réveil, elle a une a
iste et pleure en secret. On la soumet à l'hypnotisme : on obtient un sommeil profond, suivi d'amnésie. Le résultat est le suiv
ataxiques ; il éprouve de fréquents accès de douleurs lancinantes. Le sommeil hypnotique est profond: toutefois ni ses doul
table et se querelle avec tout le monde. Séance d'hypnotisme. Léger sommeil sans amnésie. Catalepsie, automatisme, contractur
rs la malade ; comme c'est une hystérique, elle tombe dans un profond sommeil et devient un fidèle instrument entre les mains d
mple, une hémî-hyperesthésie gauche. Dans l'hypnotisme, en un profond sommeil , on lui suggère que la perte du champ visuel gauc
avec succès, contre son gré et à son insu, par suggestion pendant le sommeil naturel. Dr Wiazemsky (de Saratow) : L'alcoolis
212. Incontinence nocturne d'urine guérie par suggestion pendant le sommeil naturel chez une enfant de vingt-six mois, par Pa
378. Somnoformisé (La psychologie du), par Paul Farez, p. 19, 37. Sommeil naturel (Une application thérapeutique de la sugg
t médical au point de vue psychologique (Le), par Valentino, p. 49. Sommeil naturel (Incontinence nocturne d'urine guérie par
d'urine guérie par suggestion pendant le), par Paul Parez, p. 146. Sommeils pathologiques (Les), par Paul Farez, p. 229. So
ez, p. 146. Sommeils pathologiques (Les), par Paul Farez, p. 229. Sommeil de 96 heures par le trional, p. 255. Société d'
6 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
é. Il est très suggestible et hallucinable à l'état de veille et de sommeil . II est intelligent, sait lire, écrire, calculer;
it et écrit correctement. II est suggestible à l'état de veille et de sommeil . « Tu étais là, lui dis-je, quand monsieur a ra
en lui un excellent somnambule, suggestible à l'état de veille et de sommeil . Quelque temps après, le 4 avril dernier, mon h
rale, sans trouble nerveux, très suggestible à l'état de veille et de sommeil . Je l'interpelle à distance : « Est-ce vrai, lui
ces sont hypnotisables (par notre procédé),; suggestibles à l'état de sommeil et de veille ; chez la plupart on peut: produire
x grands ouverts; je fermai aussitôt les paupières et affirmai que le sommeil était venu. La malade reposait immobile, la respi
es. On sait qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l'état de sommeil dans lequel était plongée la malade, celles-ci eu
d'œuf. Ce léger repas terminé, je laissai Mme B... dans son état de sommeil et continuai à agir par suggestion indirecte,
de dormir, se sentant légèrement fatiguée. Après quelques heures de sommeil , elle se réveilla et prit encore quelques aliment
ne s'en souvenait aucunement, ma première visite et la provocation du sommeil hypnotique. Mme B .. n'avait qu'un souvenir trè
ri et ses enfants. Elle se prêta facilement à une seconde séance de sommeil pendant laquelle je renouvelai énergiquement les
usement contre les phénomènes de morphiomanie. il fut fait pendant le sommeil une première injection sous-cutanée de chlorhydra
eure environ, M. D... fit quelques mouvements, se réveilla comme d'un sommeil normal et se dressa sur son séant. Il reconnut se
iques d'hypnotisme. Depuis cette époque, il est sujet à des crises de sommeil spontané pendant lesquelles il accomplit des acte
d. Med. Wiss., ; avril.) — Excitabilité du nerf et du muscle dans le sommeil hypnotique. Auvard et Varnier : Accouchement ch
e. (Broch. de 7 rases. Milan, 1887.) Braun: Accouchement pendant le sommeil hypnotique. (The American Lancet, mars 1887.)
ambulisme provoqué, chez une primipare. — Quelle est l'influence du sommeil hypnotique sur les douleurs de ta parturition ?
t mobiles dont j'ai maintenant à vous entretenir... Je veux parler du sommeil hypnotique. Le sommeil s'obtient chez elle avec
enant à vous entretenir... Je veux parler du sommeil hypnotique. Le sommeil s'obtient chez elle avec une extrême facilité et
iques, convulsives, spasmodiques qui surviennent incidemment dans son sommeil somnambulique et qui suspendent momentanément tou
sez légères, brèves, espacées, suffisantes toutefois pour troubler le sommeil . Le 31 mars, à la visite du matin, elles étaien
gnore absolument le sexe qu'elle savait une minute auparavant dans le sommeil hypnotique: et quand on lui dit qu'elle a mis au
uver de la scission de la mémoire dans les deux états de veille et de sommeil ! ! La contre-épreuve faite à 9 heures du matin
si violentes que chez une parturiente à l'état de veille, bien que le sommeil n'ait point été interrompu, et que les douleurs a
atée chez elle, dans la comparaison de ses deux états de veille et de sommeil , de même que sa reviviscence, puisque, l'endorman
passer pour tel ou tel grand seigneur, pour tel personnage. Un long sommeil termine le plus souvent l'accès, puis l'individu
séance, et en deux jours, par des suggestions faites dans le cours du sommeil hypnotique, j'obtins la cessation complète de la
du mal. N'est-ce donc pas suffisant de leur accorder huit heures de sommeil : Mettons huit heures et demie en hiver, si vous
ont il m'attribue le mérite. Il s'agit tout simplement de l'emploi du sommeil hypnotique ou de la suggestion pour pratiquer cer
ysiological effects of artificial sleep (Les effets physiologiques du sommeil provoqué), par le Dr Mathias Roth. — Londres, Bai
res et provoque ainsi des scènes incessantes dans son intérieur. Le sommeil est très agité ou bien il manque le plus souvent.
n breg-manque, qui dura jusqu'au lendemain. Le 31 mars, j'obtins le sommeil par la présentation nu-dessus de la racine du nez
s mains. Mme F... nie absolument toutes habitudes alcooliques. Le sommeil est nul ou agité par des cauchemars. Il existe
n dehors d'elle, qu'elle n'a pas fait d'excès de boissons, et que son sommeil a été calme. Traitement hypnotique : suggestion
mai. Mme F... n'a présenté aucun signe d'intoxication alcoolique. Le sommeil a été bon. Le caractère est calme. Le travail est
em. La malade a dormi deux heures pendant la nuit. J'obtiens enfin le sommeil hypnotique. Les yeux sont convulsés en haut, les
et elle n'a pas cherché à boire de vin ni de liqueurs. J'ob-tiens un sommeil hypnotique plus intense qu'hier. Aux suggestion
endant cette nuit, de 11 heures du soir à 5 heures du » matin. » Le sommeil nocturne a duré six heures et pendant le temps su
ie fréquente depuis plusieurs années. Le 26 juillet. — J'obtiens le sommeil léthargique complet avec insensibilité et colla
geur des joues. Mêmes suggestions, auxquelles j'ajoute : « Avoir le sommeil calme: ne plus avoir de cauchemars ; ne plus avoi
et de m'occuper de la question religieuse. J'obtiens rapidement le sommeil hypnotique ; la malade est en léthargie. Aux su
qu'elle 3 commandé ses repas et qu'elle a été bien avec ses fils- Le sommeil est bon. Un peu de céphalalgie. Son frère me di
tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut tracer des lettres. Le sommeil léthargique est obtenu en peu d'instants. Je lu
dévorait et qui faisait ma perte et mon malheur. Vous m'avez rendu un sommeil paisible que j'avais perdu depuis si longtemps; v
es de notre milieu est-elle aussi complète que celle qui lie, dans le sommeil provoqué, le sujet à celui qui l'a endormi ? No
ujet, il y a au moins une différence. Les unes sont reçues pendant le sommeil , c'est-à-dire dans un moment où la volonté endorm
ente. En effet, lorsque l'homme fait son apparition dans le monde, le sommeil dont il dort est mille fois plus profond que le s
le monde, le sommeil dont il dort est mille fois plus profond que le sommeil provoqué par le plus habile des hypnotiseurs sur
classés en différentes catégories, selon leur aptitude a dormir d'un sommeil plus ou moins profond et à se laisser dominer plu
e phénomènes nerveux, qui joue, à l'état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ordre, et qui
che, sujet à des attaques nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil magnétique (ou neurique) provoqué soit par sugges
de M. le commandant de Rochas. Il en résulte que, d'habitude, dans le sommeil provoqué, il n'entend, ne voit et ne sent que moi
a propre petite fille. Il est, de plus, incapable, toujours dans le sommeil provoqué, de voir et de sentir aucun des objets n
e penser et d'oublier, soit immédiatement, soit à échéance, durant le sommeil ou plus ou moins longtemps après, dans l'état de
ne les voit pas, ne les entend pas et ne les sent pas dans l'état de sommeil , sera en état de rapport complet avec eux toutes
t par les diverses manœuvres indiquées ci-dessus. L... qui. dans le sommeil provoqué, ne voit pas non plus et ne sent pas les
uffle a en plus une propriété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi, toute per
. les revoit comme auparavant. Il est sous-entendu que si, pendant le sommeil de L..., mon souffle est dirige sur un objet quel
nerveux, M. Richet consacre quelques pages instructives i l'étude du sommeil et de l'hypnotisme. Il donne en passant son avis
iculièrement sur les points suivants : Accroissement de la durée du sommeil pour les jeunes enfants; Poar tous les élèves,
au point de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil nerveux, ils se livrèrent à une serie d expérienc
a sensibilité dans l'organisme, qu'un fragment de chloral produire le sommeil , ou la poudre d'ipéca, des vomissements ? En pr
ieu réussit à saisir le regard du patient et à l'endormir. Pendant le sommeil hypnotique, C... raconta que dans les derniers jo
à son réveil, la première fois qu'il serait, dans la suite soumis au sommeil hypnotique. C'est ce qui arriva. M. Andrieu lui s
de la Société de Méd. de la Haute-Vienne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental Science, juillet 188
Je pensais à un tas d'expériences hypnotiques faites ou à faire... Le sommeil ne venait pas, je me suis tourné dans mon lit jus
pour être complète, quoique assez forte pour provoquer un trouble du sommeil . Les jours suivants, idées noires, nouvelles co
rt pour sortir de cet état. J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommeil ; je n'avais pas les idées très nettes, ce qui nra
jet brillant, condition excellente, comme on sait, pour déterminer le sommeil . On remarque que les yeux sont en strabisme conve
mes du diaphragme pour permettre un certain degré d'hypnose. Que ce sommeil soit profond ou léger, cela n'importe guère au po
Le sujet ne goûtait pas un instant de calme ; ses nuits étaient sans sommeil , il allait maigrissant de jour en jour, perdant s
pnotisation. Dès le premier jour, on parvint a endormir le malade; le sommeil , bien que léger, permit de faire cesser tout à fa
me opération, elle tombe en catalepsie, sans pourtant s'endormir d'un sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement co
ouvement des membres inférieurs. A chaque reprise de l'expérience, le sommeil devenait plus profond. Enfin, la malade recouvra
dit à Donato. et avec raison, ses expériences malsaines. Certes, ce sommeil artificiel peut être utile entre les mains d'un m
enstruel à des époques régulières en procédant par suggestion dans le sommeil hypnotique. En même temps il me fut possible, par
our arriver à ce résultat, mais il m'a été impossible de provoquer le sommeil hypnotique même le plus léger; malgré tous les mo
de la malade étendue sur une chaise longue, comme dans la position du sommeil ; j'appliquais la paume de ma main gauche sur le f
cérébral. 4° La persuasion, qui n'est autre que la suggestion sans sommeil , est un agent thérapeutique important, si elle es
C'est même parce qu'elles sont contracturantes qu'elles produisent le sommeil nerveux (car tout ce qui contracture endort) ; el
du cerveau, d'où résulte l'anémie qui est la condition nécessaire du sommeil nerveux. Par opposition, les applications hétéron
'ils sont portés sur la tête. ils réveillent (1). (i) Les phases du sommeil « produisent dans l'ordre suivant : cataleptie, s
t : cataleptie, som-nambulisme. léthargie, comme cela arrive quand la sommeil est provoqué par les actions polaires. Dans la po
nt parfaitement réussi et semblé prouver que sur le sujet présent, le sommeil , de même que l'anesthésie et la contracture, étai
is tu n'appliqueras tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil , nous lut demandons à plusieurs reprises si elle
ésultats m'a paru tenir à ce que l'enfant n'était pas plongée dans le sommeil léthargique complet et qu'elle se souvenait au ré
omnambule n'est pas toujours une machine, un automate- Si, pendant le sommeil hypnotique, la volonté est réduite au minimum, il
faciale qui avait résisté à toutes les médications. Pour provoquer le sommeil , j'appliquai la main droite sur le front et je fa
survenaient et le sujet, habitué à être soulagé instantanément par le sommeil , était impatient de me voir arriver. Pour parer à
ue vous aurez fixé a l'avance et vous serez soulagé. » En effet, le sommeil fut facilement provoqué et le malade se soulageai
in se détache et retombe naturellement. Le sujet don profondément; le sommeil dure deux minutes, comme il l'avait décidé lui-mê
n and Cures by Imagination. In-8, Londres. — Effets physiologiques du sommeil artificiel, etc. Roux-Freissineng (A.) : L'hypn
yait avoir réussi chez une demoiselle. Lui ayant appliqué, pendant le sommeil hypnotique et à son Insu, sur la nuque, un flacon
rique; d'un caractère doux, docile, honnête, elle est hypnotisable en sommeil pro-à fond avec une extrême facilité. M. Focach
isant se trouver très bien, nous appliquons à sa nuque le flacon n°8; sommeil calme. A 3 heures 14, on la réveille. Je lui dema
le sujet. Le flacon n° 1 contenait de l'émétique. 4° expérience. Sommeil provoqué à 3 heures 56 ; les troubles précédents
contenait de l'eau de laurier-cerise. 5°expérience. A 4 heures 34. sommeil provoqué ; les symptômes précédents sont enlevés
A 4 heures 56, application du flacon n° 3. Pendant toute la durée du sommeil , elle dit qu'elle va bien et on ne constate aucun
n avait été faite. A 5 heures 35, 6° expérience. Elle est remise en sommeil et un flacon rempli de poudre d'ipéca est placé c
de poudre d'ipéca est placé contre sa nuque. Interrogée pendant son sommeil , elle n'accuse qu'une certaine sensation de fatig
yée sur le fauteuil. — Aucun malaise. A 5 heures 58, 7e expérience. Sommeil provoqué. Application d'un flacon d'alcool. A 6
tes aux enfants. Si cela continue, j'ai bon espoir. » Peu à peu. le sommeil devient plus profond. On obtient facilement la ca
oir de voir aboutir, dans ce cas le traitement suggestif, bien que le sommeil hypnotique devienne toujours plus profond, car fa
provoquer l'hypnotisme chez ces créatures déshéritées. « Pendant le sommeil hypnotique, les suggestions ont plus de prise. El
nspire aux hommes les plus éclairés, il y démontrait notamment que le sommeil dit hypnotique ne diffère en rien du sommeil norm
ontrait notamment que le sommeil dit hypnotique ne diffère en rien du sommeil normal et que tous les phénomènes provoqués dans
ssion à l'esprit de curiosité. C'est dire qu'il ne poussera jamais le sommeil provoqué a un degré plus profond que cela n'est n
ez une sensation de calme, de repos, de bien-être... Vous allez avoir sommeil ... Le besoin de dormir arrive... Vous allez dormi
isse lut ordonner formellement de continuer à dormir et a dormir d'un sommeil déplus en plus profond. Si on lui soulève les b
iquement. Ces manœuvres, en même temps qu'elles indiquent le degré du sommeil dans lequel il se trouve, ont aussi pour effet de
ésiste à l'envie de dormir, mais il finit toujours par tomber dans un sommeil profond. Auparavant, il semble passer par toutes
ble passer par toutes les sensations qui précèdent l'établissement du sommeil normal. On peut même dire que son sommeil ainsi p
récèdent l'établissement du sommeil normal. On peut même dire que son sommeil ainsi provoqué a toute la régularité et toutes le
meil ainsi provoqué a toute la régularité et toutes les apparences du sommeil naturel. C'est l'état que nous jugeons le plus
pte la suggestion n'est pas toujours en rapport avec la profondeur du sommeil . Et il faut savoir que certains sujets, chez lesq
t savoir que certains sujets, chez lesquels on n'obtient jamais qu'un sommeil très superficiel, exécutent toutes les suggestion
enfants ont une tendance à se réveiller rapidement. Pour prolonger le sommeil , il est nécessaire de leur répéter de temps en te
J'affirme de plus que, bien maniée, elle n'a pas d'inconvénients. Le sommeil hypnotique ne difiere en rien du sommeil naturel
n'a pas d'inconvénients. Le sommeil hypnotique ne difiere en rien du sommeil naturel : les mêmes phénomènes, catalepsie, illus
ère, qui berce son enfant pour l'endormir et qui ainsi lui suggère le sommeil , est en réalité le premier des hypnotiseurs. La
, est en réalité le premier des hypnotiseurs. La suggestion dans le sommeil provoqué ne difiere pas en réalité de la suggesti
a l'état de veille ne sont pas acceptées, qu'on les fasse pendant son sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de mères parle
croire que la suggestion faite à l'état de veille, ou même pendant le sommeil hypnotique, ait cette puissance sur le cerveau et
er tout le parti possible. Puisque la suggestion faite dans l'état de sommeil peut modifier la direction imprimée au caractère
ps animé ou inanimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil . A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. C
» Par ces paroles et d'autres de ce genre, on fait naître l'idée du sommeil , on amène par suggestion le sommeil. Le fait de f
e genre, on fait naître l'idée du sommeil, on amène par suggestion le sommeil . Le fait de fixer un objet est tout à fait access
amélioré la condition de plusieurs neurasthéniques. J'ai pu rendre le sommeil dans certains cas d'insomnie. J'ai surtout fait d
, chez une malade que je touchais à divers points du corps pendant le sommeil hypnotique. M. Beaunis a pu encore, par suggest
hypnotisé 178 personnes. Les résultats produits quant au degré de sommeil obtenu peuvent se ranger dans le tableau suivant
eil obtenu peuvent se ranger dans le tableau suivant : Somnolence Sommeil léger profond » très profond..... . . 29 So
dans son lit. Cette agitation durait 20, 25 minutes. Puis, silence et sommeil calme jusqu'à 3 heures du matin. A 3 heures,
a découvrir? » Parmi les sujets qu'on hypnotise, les uns tombent en sommeil profond, sans souvenir au réveil; nous les appelo
ne façon irréfragable que l'influence existe. Ceux qui sont dans le sommeil profond, sans souvenir au réveil, si on les aband
almes et inertes, comme les dormeurs naturels. Rien ne différencie ce sommeil provoqué du sommeil spontané. Les phénomènes de s
mme les dormeurs naturels. Rien ne différencie ce sommeil provoqué du sommeil spontané. Les phénomènes de sensibilité, de motil
s sujets lorsqu'on réussit à se mettre en relation avec eux dans leur sommeil naturel : même attitude passive des membres, dite
i, par la suggestion, on le tire de sa torpeur. De même, les rêves du sommeil spontané deviennent chez quelques-uns actifs, et
, je le répète, chez le même sujet, être réalisées les mêmes dans son sommeil naturel. Non! le sommeil hypnotique n'est pas u
e sujet, être réalisées les mêmes dans son sommeil naturel. Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! No
s dans son sommeil naturel. Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! Non! l'état hypnotique n'est pas u
lopper chez eux une vraie névrose hypnotique qui se répétera à chaque sommeil provoqué. Mais ces manifestations ne sont pas duc
rfs d'être impressionnables, nous serions tous des hystériques ! Le sommeil lui-même est l'effet d'une suggestion. J'ai dit :
née par les facultés de raison, par l'attention, le jugement. Dans le sommeil spontané ou provoqué, ces facultés sont engourdie
grave dans l'état de Mme Chassinet qu'elle dort tout simplement d'un sommeil provoqué. Bientôt il reconnaît en elle un sujet d
est convaincu. C'est Louis Chassin qui a dicté à sa femme, pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui, les lettres grâce au
e sur laquelle M. Pierre Janet (du Havre) a expérimenté le premier le sommeil à distance, et j'ai pu renouveler ses expériences
expérience sur elle, me bornant à étudier les diverses phases de son sommeil . C'est le 12 janvier que j'ai essayé de l'endor
Magnan Suggestion, auto-suggestion et vivacité du souvenir dans le sommeil hypnotique. — Action des médicaments à distance.
uggestion, l'auto-sug- gestion cl la vivacité du souvenir dans le sommeil hypnotique qui rendent compte de tous les phénomè
suggestion et auto-suggestion et que la mémoire est très vive dans le sommeil hypnotique. Grâce à cette mémoire, on pourra expl
té, que cette titubation se produit toujours, lorsque le sujet son du sommeil hypnotique. M. C. Paul n'en dit rien séance tenan
'est celle-ci qui est la première à constater la naissance. Dans le sommeil artificiel, il n'est pas douteux qu'une femme pui
ouchements. Puis, quand on était revenu, l'enfant était né pendant le sommeil de la mère. Or on l'avait fait disparaître et on
'accouchée n'avait aucun souvenir de ce qui s'était passé pendant son sommeil , et rien n'était plus frappant que l'étonnement m
international HYPNOTISME (depuis 1880) Brouardel : Le viol dans le sommeil hypnotique. Gaz. des Hôp.. 1er nov.) Sollier :
DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE EXPÉRIENCES SUR LE SOMMEIL A DISTANCE Par M. le Dr Charles RICHET PROFES
a pu ainsi établir par des preuves très fortes le fait de l'action du sommeil à distance. Quoique ce phénomène ait été antéri
uveler sur le même sujet, Mme B..., ces expériences si importantes de sommeil à distance. Je donnerai la relation succincte d
usivement, c'est-à-dire treize fois avant de tenter une expérience de sommeil à distance. Je n'insisterai suraucun des phénom
qu'elle a présentés, car mon but était surtout de vérifier le fait du sommeil à distance ; j'aurai peut-être l'occasion de parl
dredi 14 ou le samedi 15, d'une part, et, d'autre part, si l'heure du sommeil a distance serait 8 heures. 9 heures, 10 heures,
à 1 h. 35, coïncidence entre le moment où je fais la démonstration du sommeil a distance et la production chez Mme B... de l'ét
très envie de dormir et qu'elle est toute tremblante. Pour éviter ce sommeil , elle se trempe les mains dans l'eau froide ; mai
endormie, elle a cessé de travailler, ce qui fait que l'heure de son sommeil serait i h. 45 environ, heure qui concorde très b
ui touche la difficulté du succès. Enfin, pour cette observation de sommeil provoqué par la montre en or. je ne puis conclure
.., interrogée sur l'heure à laquelle elle avait ressenti le début du sommeil , elle dit qu'il était 3 h. 20. On peut donc admet
réussirait. A vrai dire, elle ne prouverait rien contre la réalité du sommeil à distance. Elle établirait seulement ce qui a à
encore une probabilité très faible. Le choix de l'heure à laquelle le sommeil devait avoir lieu portait sur les heures suivante
tes, environ vingt et une fractions par jour. La vraisemblance que le sommeil de Mme B... coïncidera précisément avec la fracti
à être endormie et que cette attente suffit à provoquer chez elle le sommeil . C'est une sorte de simulation inconsciente, à la
et mes expériences, je n 'ai pas encore pu acquérir sur la réalité du sommeil à distance une de ces fortes et absolues convicti
l'obligeance de M. Janet le compte rendu de toutes les expériences de sommeil à distance qu'il a faites sur Mme B..., depuis la
. II faut ajouter que pendant cette époque elle n'a eu que 4 fois des sommeils spontanés qui se sont produits dans la journée.
it dans son enfance ont complètement disparu. A besoin de beaucoup de sommeil . 1er mars. Ce matin, la malade est mise dans le
ade. Je procède par simple occlusion des paupières et suggestion du sommeil . Le degré d'hypnose ainsi obtenu est très léger :
isie du larynx, était atteinte déjà de somnambulisme et d'attaques de sommeil analogues à celles qu'a présentées notre malade.
... fut bouleversée par l'émotion qu'elle éprouva. Elle tomba dans un sommeil profond et resta deux jours et deux nuits sans qu
nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, les attaques
sans avoir d'attaque fut de quinze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l'état second » se répétaient
par personne, ni à Vienne, ni à Genève. Cependant, les attaques de sommeil étaient toujours plus fréquentes. Elles apparaiss
elle veut parler, mais ne peut pas dire un mot. et c'est alors que le sommeil la surprend. Lorsque Mlle X... s'endort d'elle-mê
fiancé. Elle est de nouveau dans l'état second depuis une attaque de sommeil qui l'avait surprise la veille, au moment où elle
, elle est maussade à son réveil, hébétée, comme sortant d'un profond sommeil et ne sachant où elle est. Elle ne me salue pas e
ouvent en dormant. Je l'hypnotise et lui défends de parler pendant le sommeil . Je lui affirme qu'elle n'aura plus de rêves et q
aucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut plus aucune attaque de sommeil , et aujourd'hui elle se porte tout à fait bien. J
édé par une invincible somnolence, terrassé, s'il n'y a garde, par un sommeil qu'interrompent d'abord des mouvements convulsifs
connaissance des phénomènes psycho-physiologiques manifestés dans le sommeil hypnotique. L'histoire des développements de l'
nt personnelles. Auguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L'attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur Charcot - (
sidérations spéciales qui méritent d'être reproduites : Ce genre de sommeil est connu depuis longtemps, mais le sujet n'avait
lexie hystérique n'est, a mon avis, rien autre chose que l'attaque de sommeil . Vous savez que les journaux anglais ont été
Un jour, il est tombé dans Soho Square, il s'est mis a dormir et son sommeil a duré huit jours, ce qui lui était arrivé souven
gnard. Il ne s'agissait, en somme, que d'une variante de l'attaque de sommeil . Ce n'est pas d'ailleurs seulement de l'autre c
s d'ailleurs seulement de l'autre côté du détroit que ces attaques de sommeil attirent l'attention du public; et, ma foi, il me
Supposons, par exemple, que. n'étant pas éclairés sur ce phénomène du sommeil hystérique, vous rencontriez par hasard dans votr
ingt-quatre heures, elle dort. » Notez qu'il pourrait se faire que ce sommeil durât quarante-huit heures, un mois, trois mois,
ne faut pas vous figurer, en effet, que cette jeune fille dorme d'un sommeil ordinaire. Nous pouvons frapper le tam-tam à ses
violemment, sans qu'elle s'en aperçoive, sans qu'elle bronche. Son sommeil est en apparence plus calme que celui du dormeur
s calme que celui du dormeur ordinaire. Les individus plongés dans un sommeil profond ronflent parfois bruyamment. Notre dormeu
vous démontrer, mieux encore, que nous ne sommes pas en présence d'un sommeil naturel, mais bien d'un sommeil pathologique. P
e nous ne sommes pas en présence d'un sommeil naturel, mais bien d'un sommeil pathologique. Pour en finir avec cette expositi
e vous dirai que le phénomène auquel vous assistez est une attaque de sommeil .— C'est le nom qu'il faut lui donner, — C'est une
u'au moment où elle se réveillera spontanément ou artificellement. Le sommeil hystérique, donc, c'est en quelque sorte l'équiva
e passent : tantôt la malade a une petite attaque convulsive avant le sommeil ou dans les premiers instants de celui-ci; vous l
— quelques-unes de ses voisines, alors qu'elle était dans son état de sommeil , l'ont vue se lever, tendre les mains vers le cie
uelques heures, sous forme convulsive, se prolonge sous la forme d'un sommeil particulier, indéfini, dont nous allons, si v
dont nous allons, si vous voulez, étudier les caractères, car il y a sommeil et sommeil, et tous les gens qui dorment ne dorme
allons, si vous voulez, étudier les caractères, car il y a sommeil et sommeil , et tous les gens qui dorment ne dorment pas de l
s avez vu cette dormeus(1) vous comprenez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l'attaque d'hystérie, quoique as
es, les paupières du sujet se ferment, et qu'il tombe dans un profond sommeil . Il propose ensuite à Mme Braid de se soumettre
, donne le même résultat. Deux minutes après, il était plongé dans un sommeil profond. Braid en conclut justement qu'il n'y a
publie son livre, sous le titre suivant: Neurrypnologie. ou Traité du sommeil nerveux, considéré dans ses rapports avec le magn
— Le Dr Azam publie, dans les Archives générales de médecine, sur le sommeil nerveux ou hypnotisme, dont il donne la définitio
on suivante : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil nerveux, un somnambulisme artificiel, accompagné
lque temps dans un coma profond, puis il se réveille comme d un lourd sommeil , sans aucun souvenir de ce qui s'est passé pendan
il est accompagné d'un sentiment de lourdeur dans la tête, — que le sommeil hypnotique fatigue le sujet, etc., etc. Or, dan
mesure, l'identification que l'Ecole de Nancy établit, pour l'état de sommeil , entre l'hypnotisme et la condition normale. Quan
jour, il est des sujets que j'endors plusieurs nuits consécutives du sommeil hypnotique et qui, instruits à analyser et raison
leurs sensations, ne parviennent pas à saisir une différence entre ce sommeil et l'autre, si ce n'est que les commandements s'y
e pas avoir de rêve. La proposition de l'Ecole de Nancy touchant le sommeil hypnotique doit donc, me semble-t-il. être tenue
nue pour vraie. Et si MM. Fontan et Ségard imposent à leurs sujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur prem
oute habillée et croyait avoir dormi depuis quelques heures déjà d'un sommeil lourd, entrecoupé de rêves pénibles, quand elle f
pas conclure que le premier venu soit apte à provoquer sans danger le sommeil hypnotique. ÉTUDE SUR L'HYPNOTISME ET LA SUGG
aractéristiques de l'hypnotisme et se retrouvent dans toute espèce de sommeil , qu'elle qu'en soit la cause. Les différentes pha
e l'hypnotisme ne constituent, selon moi, que les manifestations d'un sommeil plus ou moins profond. Considérons en effet ce qu
de cet état particulier, mais on les voit dans toute autre espèce de sommeil provoqué artificiellement, et j'ajouterai que cer
t j'ajouterai que certainement on pourrait les constater même dans le sommeil naturel. Catalepsie, somnambulisme, léthargie ne
e, léthargie ne corres- pondent donc, selon moi, qu'à un degré de sommeil plus ou moins profond. Chloroformisons une femme
e somnambulisme, sans arriver à celle de léthargie ; de même, dans le sommeil hypnotique, nous pouvons nous arrêter à telle ou
férentes phases de l'hypnotisme par le degré plus ou moins profond du sommeil , est tellement vraie, que j'ai pu en acquérir la
cience est abolie ; oui, la conscience est effectivement abolie si le sommeil est profond, mais si le sujet ne dort pas profond
cipal de ma communication, qu'on peut obtenir les mêmes effets par le sommeil prolongé, provoqué par un narcotique quelconque.
es [hystériques variés, gastralgie, contractures, etc., guéris par le sommeil prolongé obtenu à l'aide du chloral. Il résulte
loral. Il résulte de ces observations, d'une façon évidente, que le sommeil , de par lui seul, est capable d'amener la guériso
s, qu'à ce point de vue du moins, il n'y a aucune différence entre le sommeil provoqué par l'hypnotisme et le sommeil provoqué
a aucune différence entre le sommeil provoqué par l'hypnotisme et le sommeil provoqué par le chloral ; je démontrerai plus tar
e de l'administration prolongée du chloral, et elle est sortie de son sommeil complètement guérie; or, comme il y a très peu de
énomènes attribués à l'hypnotisme se retrouvent identiquemeat dans le sommeil naturel. Si nous nous approchons doucement d'un i
à parler, mais si on a la chance de tomber sur un de ces individus à sommeil excessivement lourd, les choses se passent comme
'autres arguments la démonstration de la similitude complète entre le sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou t
de la similitude complète entre le sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique et le sommeil naturel. Il
sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique et le sommeil naturel. Il y a déjà 15 ans que Lasègue a dogma
sègue a dogmatiquement établi les différences qui se passent entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel, et ses conclusions
établi les différences qui se passent entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel, et ses conclusions sont encore aujourd'h
ar tout le monde. Examinons-les de près : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil nerveux ne repose pas
les de près : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil nerveux ne repose pas. Dans une cinquantaine d'
rellement du monde; quelques uns avaient même engraissé. 2. Dans le sommeil nerveux, il y a toujours un certain degré de rigi
de rigidité musculaire. Cela dépend, comme je l'ai dit, du degré du sommeil , parce que si le sujet s'endort plus profondément
; il est en même temps affecté de bégayement qui disparaît pendant le sommeil hyp-notique, avec cette particularité que le béga
ec cette particularité que le bégayement persiste amoindri lorsque le sommeil est encore peu profond (somnambulisme). Cet indiv
réveille de même, lorsque je lui dis : Réveillez-vous ! 4. Dans le sommeil nerveux, on peut fixer la durée du sommeil ; on n
eillez-vous ! 4. Dans le sommeil nerveux, on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peut pas dans le sommeil naturel. J'
erveux, on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peut pas dans le sommeil naturel. J'affirme qu'on le peut certainement d
ns le sommeil naturel. J'affirme qu'on le peut certainement dans le sommeil narcotique, et voilà un fait à l'appui de cette a
ses et, pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se réveiller spontanément,
spensable. J'ai constaté qu'un excès de douleur peut interrompre le sommeil hypnotique. En outre, la femme de l'observation p
le matin à son réveil. 6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel : on peut suggestio
6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel : on peut suggestionner dans le premier,
uvent qu'on peut faire de la suggestion, et avec succès, soit dans le sommeil narcotique, soit dans le somnambulisme naturel. L
arfaitement obéi aux suggestions qui leur ont été faites pendant leur sommeil , et dans deux cas de somnambulisme naturel la sug
cès. Je suis convaincu qu'on pourrait obtenir la même chose dans le sommeil vulgaire si l'on pouvait parler au sujet sans le
se dérouler les mêmes phénomènes exclusivement attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, somm
lusivement attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narcotique, sommeil naturel, son
ués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identiquement l
meil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identiquement la même chose. RE
is ils s'évertuent à n'y point céder, pour ne point compromettre leur sommeil de nuit. Inutile précaution : la nuit suivante l'
ehoses est précisément le même, et ces malades n'ont pas un moment de sommeil . Certains sujets déclarent impossible à eux de
s tout au plus. Néanmoins ils se sentent assez fortifiés par ce court sommeil , ils peuvent vaquer à leurs affaires; pourtant, a
logiques : ils peuvent être obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel. 5 L'état hypnotique n'est pas particul
n'avoir jamais échoué chez un tuberculeux, et presque tous tombent en sommeil profond, avec catalepsie suggestive, donnant hall
tance plus ou moins complète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'état de sommeil comme dans l'état de veille, l'individualité mora
sulte produit l'occlusion des yeux et que celle-ci -suggère l'idée du sommeil . Les prétendues zones hypnogènes n'existent pas,
nt vu d'autres sujets hypnotisés par ce pro L'idéecédé. seule fait le sommeil . 8° La suggestion est la clef de tous les phéno
ole de Nancy quand elle dit : Les sujets sains d'esprit et qui ont un sommeil normal, les gens simples du peuple sont sans cont
vé ivre. J'essaie, le 11 mars, le traitement par l'hypnotisme. Le sommeil n'est pas obtenu complet. J'essaie de nouveau,
ion d'une main sur le front et la pression sur les yeux. J'obtiens le sommeil au bout d'un quart d'heure. Suggestion : Se dés
occupe dans le service. J'ai eu récemment la pensée de prolonger le sommeil hypnotique chez des aliénées pendant toute la
il faut concentrer tout le pouvoir suggestif sur la détermination du sommeil : Souvent, du reste, on peut agir par la suggestio
s études psychologiques : les amnésies, l'hérédité intellectuelle, le sommeil et les rêves, etc. Si nous passons à la psychol
inspiré à M. Liébeault ses remarquables éludes psychologiques sur le sommeil naturel ou provoqué. C'est se moquer agréableme
e en revue successivement les procédés d'hypnotisation, les degrés de sommeil ; la discussion à l'Académie des sciences morales
(1) Voy. De la suggestion hypnotique, etc.. 1884. p- 25 dant le sommeil somnambulique, je trouvais en elle moins de résis
me sur un ton monotone qui l'engourdit peu à peu et le plonge dans le sommeil léger qui est, au sommeil profond, ce que le crép
l'engourdit peu à peu et le plonge dans le sommeil léger qui est, au sommeil profond, ce que le crépuscule est au jour. Sa vol
hyperémiés. comme s'ils étaient soumis longtemps au frottement. Son sommeil est tranquille; cependant quelquefois tl se révei
i par la fixation du regard dans l'espace de deux minutes. Pendant le sommeil , l'anesthésie est complète ; ni les piqûres, ni l
ux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il ne répond pas. Pendant le sommeil , on lui fait exécuter une série d'actes : descend
une amnésie absolue relativement à tout ce qui s'est passé pendant le sommeil . Nous avons recommandé à la mère une surveillan
— L'enfant n'a pas été surpris i nouveau. Nous l'hypnotisons et le sommeil est obtenu encore plus vite que la fois précédent
l'encourager à persister dans sa torpeur intellectuelle et morale. Sommeil léthargique chez une hirondelle. Dans sa derniè
martinets de passer l'hiver entier dans nos climats, plongés dans un sommeil léthargique comparable à celui des animaux hibern
hasard et l'hirondelle fut trouvée vivante, bien qu'endormie dans un sommeil léthargique. Devant les membres de la Société,
s cavités analogues, des hirondelles et des martinets plongés dans un sommeil hibernal. Quelques-uns d'entre eux en avaient m
hypnotisée, par Paul Magnin. 240. Analogie de la suggestion dans le sommeil provoqué et à l'etat de veille. 178. Analogie e
de Toulouse), 138, 191. — (session d'Oran )., 338, 364. Attaque de sommeil hystérique (l'), par Charcot, 27. Autopsie (la
r l'hypnotisme et la suggestion. par Rifat, 297. Expériences sur le sommeil à distance. par Ch. Richet. 225. Fascinateurs
troactives provoquées sans hypnotisme, par Bernheim, 4. Hirondelle ( sommeil léthargique chez une), ?78. Homœopathie et sugg
motifs chez les sujets en état d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. Sommeil à distance (expériences sur le), par Ch. Richet,
(un cas de), 189. Sourd-muet la syntaxe du). 248 Souvenir dans le sommeil hypnotique, par Jules Voisin, 209. Suggestion (
7 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
é. Il est très suggestible et hallucinable à l'état de veille et de sommeil . II est intelligent, sait lire, écrire, calculer;
it et écrit correctement. II est suggestible à l'état de veille et de sommeil . « Tu étais là, lui dis-je, quand monsieur a ra
en lui un excellent somnambule, suggestible à l'état de veille et de sommeil . Quelque temps après, le 4 avril dernier, mon h
rale, sans trouble nerveux, très suggestible à l'état de veille et de sommeil . Je l'interpelle à distance : « Est-ce vrai, lui
ces sont hypnotisables (par notre procédé),; suggestibles à l'état de sommeil et de veille ; chez la plupart on peut: produire
x grands ouverts; je fermai aussitôt les paupières et affirmai que le sommeil était venu. La malade reposait immobile, la respi
es. On sait qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l'état de sommeil dans lequel était plongée la malade, celles-ci eu
d'œuf. Ce léger repas terminé, je laissai Mme B... dans son état de sommeil et continuai à agir par suggestion indirecte,
de dormir, se sentant légèrement fatiguée. Après quelques heures de sommeil , elle se réveilla et prit encore quelques aliment
ne s'en souvenait aucunement, ma première visite et la provocation du sommeil hypnotique. Mme B .. n'avait qu'un souvenir trè
ri et ses enfants. Elle se prêta facilement à une seconde séance de sommeil pendant laquelle je renouvelai énergiquement les
usement contre les phénomènes de morphiomanie. il fut fait pendant le sommeil une première injection sous-cutanée de chlorhydra
eure environ, M. D... fit quelques mouvements, se réveilla comme d'un sommeil normal et se dressa sur son séant. Il reconnut se
iques d'hypnotisme. Depuis cette époque, il est sujet à des crises de sommeil spontané pendant lesquelles il accomplit des acte
d. Med. Wiss., ; avril.) — Excitabilité du nerf et du muscle dans le sommeil hypnotique. Auvard et Varnier : Accouchement ch
e. (Broch. de 7 rases. Milan, 1887.) Braun: Accouchement pendant le sommeil hypnotique. (The American Lancet, mars 1887.)
ambulisme provoqué, chez une primipare. — Quelle est l'influence du sommeil hypnotique sur les douleurs de ta parturition ?
t mobiles dont j'ai maintenant à vous entretenir... Je veux parler du sommeil hypnotique. Le sommeil s'obtient chez elle avec
enant à vous entretenir... Je veux parler du sommeil hypnotique. Le sommeil s'obtient chez elle avec une extrême facilité et
iques, convulsives, spasmodiques qui surviennent incidemment dans son sommeil somnambulique et qui suspendent momentanément tou
sez légères, brèves, espacées, suffisantes toutefois pour troubler le sommeil . Le 31 mars, à la visite du matin, elles étaien
gnore absolument le sexe qu'elle savait une minute auparavant dans le sommeil hypnotique: et quand on lui dit qu'elle a mis au
uver de la scission de la mémoire dans les deux états de veille et de sommeil ! ! La contre-épreuve faite à 9 heures du matin
si violentes que chez une parturiente à l'état de veille, bien que le sommeil n'ait point été interrompu, et que les douleurs a
atée chez elle, dans la comparaison de ses deux états de veille et de sommeil , de même que sa reviviscence, puisque, l'endorman
passer pour tel ou tel grand seigneur, pour tel personnage. Un long sommeil termine le plus souvent l'accès, puis l'individu
séance, et en deux jours, par des suggestions faites dans le cours du sommeil hypnotique, j'obtins la cessation complète de la
du mal. N'est-ce donc pas suffisant de leur accorder huit heures de sommeil : Mettons huit heures et demie en hiver, si vous
ont il m'attribue le mérite. Il s'agit tout simplement de l'emploi du sommeil hypnotique ou de la suggestion pour pratiquer cer
ysiological effects of artificial sleep (Les effets physiologiques du sommeil provoqué), par le Dr Mathias Roth. — Londres, Bai
res et provoque ainsi des scènes incessantes dans son intérieur. Le sommeil est très agité ou bien il manque le plus souvent.
n breg-manque, qui dura jusqu'au lendemain. Le 31 mars, j'obtins le sommeil par la présentation nu-dessus de la racine du nez
s mains. Mme F... nie absolument toutes habitudes alcooliques. Le sommeil est nul ou agité par des cauchemars. Il existe
n dehors d'elle, qu'elle n'a pas fait d'excès de boissons, et que son sommeil a été calme. Traitement hypnotique : suggestion
mai. Mme F... n'a présenté aucun signe d'intoxication alcoolique. Le sommeil a été bon. Le caractère est calme. Le travail est
em. La malade a dormi deux heures pendant la nuit. J'obtiens enfin le sommeil hypnotique. Les yeux sont convulsés en haut, les
et elle n'a pas cherché à boire de vin ni de liqueurs. J'ob-tiens un sommeil hypnotique plus intense qu'hier. Aux suggestion
endant cette nuit, de 11 heures du soir à 5 heures du » matin. » Le sommeil nocturne a duré six heures et pendant le temps su
ie fréquente depuis plusieurs années. Le 26 juillet. — J'obtiens le sommeil léthargique complet avec insensibilité et colla
geur des joues. Mêmes suggestions, auxquelles j'ajoute : « Avoir le sommeil calme: ne plus avoir de cauchemars ; ne plus avoi
et de m'occuper de la question religieuse. J'obtiens rapidement le sommeil hypnotique ; la malade est en léthargie. Aux su
qu'elle 3 commandé ses repas et qu'elle a été bien avec ses fils- Le sommeil est bon. Un peu de céphalalgie. Son frère me di
tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut tracer des lettres. Le sommeil léthargique est obtenu en peu d'instants. Je lu
dévorait et qui faisait ma perte et mon malheur. Vous m'avez rendu un sommeil paisible que j'avais perdu depuis si longtemps; v
es de notre milieu est-elle aussi complète que celle qui lie, dans le sommeil provoqué, le sujet à celui qui l'a endormi ? No
ujet, il y a au moins une différence. Les unes sont reçues pendant le sommeil , c'est-à-dire dans un moment où la volonté endorm
ente. En effet, lorsque l'homme fait son apparition dans le monde, le sommeil dont il dort est mille fois plus profond que le s
le monde, le sommeil dont il dort est mille fois plus profond que le sommeil provoqué par le plus habile des hypnotiseurs sur
classés en différentes catégories, selon leur aptitude a dormir d'un sommeil plus ou moins profond et à se laisser dominer plu
e phénomènes nerveux, qui joue, à l'état de veille, comme à l'état de sommeil dans nos rêves, un rôle de premier ordre, et qui
che, sujet à des attaques nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil magnétique (ou neurique) provoqué soit par sugges
de M. le commandant de Rochas. Il en résulte que, d'habitude, dans le sommeil provoqué, il n'entend, ne voit et ne sent que moi
a propre petite fille. Il est, de plus, incapable, toujours dans le sommeil provoqué, de voir et de sentir aucun des objets n
e penser et d'oublier, soit immédiatement, soit à échéance, durant le sommeil ou plus ou moins longtemps après, dans l'état de
ne les voit pas, ne les entend pas et ne les sent pas dans l'état de sommeil , sera en état de rapport complet avec eux toutes
t par les diverses manœuvres indiquées ci-dessus. L... qui. dans le sommeil provoqué, ne voit pas non plus et ne sent pas les
uffle a en plus une propriété très remarquable, qu'il soit en état de sommeil ou qu'il soit en état de veille. Ainsi, toute per
. les revoit comme auparavant. Il est sous-entendu que si, pendant le sommeil de L..., mon souffle est dirige sur un objet quel
nerveux, M. Richet consacre quelques pages instructives i l'étude du sommeil et de l'hypnotisme. Il donne en passant son avis
iculièrement sur les points suivants : Accroissement de la durée du sommeil pour les jeunes enfants; Poar tous les élèves,
au point de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil nerveux, ils se livrèrent à une serie d expérienc
a sensibilité dans l'organisme, qu'un fragment de chloral produire le sommeil , ou la poudre d'ipéca, des vomissements ? En pr
ieu réussit à saisir le regard du patient et à l'endormir. Pendant le sommeil hypnotique, C... raconta que dans les derniers jo
à son réveil, la première fois qu'il serait, dans la suite soumis au sommeil hypnotique. C'est ce qui arriva. M. Andrieu lui s
de la Société de Méd. de la Haute-Vienne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental Science, juillet 188
Je pensais à un tas d'expériences hypnotiques faites ou à faire... Le sommeil ne venait pas, je me suis tourné dans mon lit jus
pour être complète, quoique assez forte pour provoquer un trouble du sommeil . Les jours suivants, idées noires, nouvelles co
rt pour sortir de cet état. J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommeil ; je n'avais pas les idées très nettes, ce qui nra
jet brillant, condition excellente, comme on sait, pour déterminer le sommeil . On remarque que les yeux sont en strabisme conve
mes du diaphragme pour permettre un certain degré d'hypnose. Que ce sommeil soit profond ou léger, cela n'importe guère au po
Le sujet ne goûtait pas un instant de calme ; ses nuits étaient sans sommeil , il allait maigrissant de jour en jour, perdant s
pnotisation. Dès le premier jour, on parvint a endormir le malade; le sommeil , bien que léger, permit de faire cesser tout à fa
me opération, elle tombe en catalepsie, sans pourtant s'endormir d'un sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement co
ouvement des membres inférieurs. A chaque reprise de l'expérience, le sommeil devenait plus profond. Enfin, la malade recouvra
dit à Donato. et avec raison, ses expériences malsaines. Certes, ce sommeil artificiel peut être utile entre les mains d'un m
enstruel à des époques régulières en procédant par suggestion dans le sommeil hypnotique. En même temps il me fut possible, par
our arriver à ce résultat, mais il m'a été impossible de provoquer le sommeil hypnotique même le plus léger; malgré tous les mo
de la malade étendue sur une chaise longue, comme dans la position du sommeil ; j'appliquais la paume de ma main gauche sur le f
cérébral. 4° La persuasion, qui n'est autre que la suggestion sans sommeil , est un agent thérapeutique important, si elle es
C'est même parce qu'elles sont contracturantes qu'elles produisent le sommeil nerveux (car tout ce qui contracture endort) ; el
du cerveau, d'où résulte l'anémie qui est la condition nécessaire du sommeil nerveux. Par opposition, les applications hétéron
'ils sont portés sur la tête. ils réveillent (1). (i) Les phases du sommeil « produisent dans l'ordre suivant : cataleptie, s
t : cataleptie, som-nambulisme. léthargie, comme cela arrive quand la sommeil est provoqué par les actions polaires. Dans la po
nt parfaitement réussi et semblé prouver que sur le sujet présent, le sommeil , de même que l'anesthésie et la contracture, étai
is tu n'appliqueras tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil , nous lut demandons à plusieurs reprises si elle
ésultats m'a paru tenir à ce que l'enfant n'était pas plongée dans le sommeil léthargique complet et qu'elle se souvenait au ré
omnambule n'est pas toujours une machine, un automate- Si, pendant le sommeil hypnotique, la volonté est réduite au minimum, il
faciale qui avait résisté à toutes les médications. Pour provoquer le sommeil , j'appliquai la main droite sur le front et je fa
survenaient et le sujet, habitué à être soulagé instantanément par le sommeil , était impatient de me voir arriver. Pour parer à
ue vous aurez fixé a l'avance et vous serez soulagé. » En effet, le sommeil fut facilement provoqué et le malade se soulageai
in se détache et retombe naturellement. Le sujet don profondément; le sommeil dure deux minutes, comme il l'avait décidé lui-mê
n and Cures by Imagination. In-8, Londres. — Effets physiologiques du sommeil artificiel, etc. Roux-Freissineng (A.) : L'hypn
yait avoir réussi chez une demoiselle. Lui ayant appliqué, pendant le sommeil hypnotique et à son Insu, sur la nuque, un flacon
rique; d'un caractère doux, docile, honnête, elle est hypnotisable en sommeil pro-à fond avec une extrême facilité. M. Focach
isant se trouver très bien, nous appliquons à sa nuque le flacon n°8; sommeil calme. A 3 heures 14, on la réveille. Je lui dema
le sujet. Le flacon n° 1 contenait de l'émétique. 4° expérience. Sommeil provoqué à 3 heures 56 ; les troubles précédents
contenait de l'eau de laurier-cerise. 5°expérience. A 4 heures 34. sommeil provoqué ; les symptômes précédents sont enlevés
A 4 heures 56, application du flacon n° 3. Pendant toute la durée du sommeil , elle dit qu'elle va bien et on ne constate aucun
n avait été faite. A 5 heures 35, 6° expérience. Elle est remise en sommeil et un flacon rempli de poudre d'ipéca est placé c
de poudre d'ipéca est placé contre sa nuque. Interrogée pendant son sommeil , elle n'accuse qu'une certaine sensation de fatig
yée sur le fauteuil. — Aucun malaise. A 5 heures 58, 7e expérience. Sommeil provoqué. Application d'un flacon d'alcool. A 6
tes aux enfants. Si cela continue, j'ai bon espoir. » Peu à peu. le sommeil devient plus profond. On obtient facilement la ca
oir de voir aboutir, dans ce cas le traitement suggestif, bien que le sommeil hypnotique devienne toujours plus profond, car fa
provoquer l'hypnotisme chez ces créatures déshéritées. « Pendant le sommeil hypnotique, les suggestions ont plus de prise. El
nspire aux hommes les plus éclairés, il y démontrait notamment que le sommeil dit hypnotique ne diffère en rien du sommeil norm
ontrait notamment que le sommeil dit hypnotique ne diffère en rien du sommeil normal et que tous les phénomènes provoqués dans
ssion à l'esprit de curiosité. C'est dire qu'il ne poussera jamais le sommeil provoqué a un degré plus profond que cela n'est n
ez une sensation de calme, de repos, de bien-être... Vous allez avoir sommeil ... Le besoin de dormir arrive... Vous allez dormi
isse lut ordonner formellement de continuer à dormir et a dormir d'un sommeil déplus en plus profond. Si on lui soulève les b
iquement. Ces manœuvres, en même temps qu'elles indiquent le degré du sommeil dans lequel il se trouve, ont aussi pour effet de
ésiste à l'envie de dormir, mais il finit toujours par tomber dans un sommeil profond. Auparavant, il semble passer par toutes
ble passer par toutes les sensations qui précèdent l'établissement du sommeil normal. On peut même dire que son sommeil ainsi p
récèdent l'établissement du sommeil normal. On peut même dire que son sommeil ainsi provoqué a toute la régularité et toutes le
meil ainsi provoqué a toute la régularité et toutes les apparences du sommeil naturel. C'est l'état que nous jugeons le plus
pte la suggestion n'est pas toujours en rapport avec la profondeur du sommeil . Et il faut savoir que certains sujets, chez lesq
t savoir que certains sujets, chez lesquels on n'obtient jamais qu'un sommeil très superficiel, exécutent toutes les suggestion
enfants ont une tendance à se réveiller rapidement. Pour prolonger le sommeil , il est nécessaire de leur répéter de temps en te
J'affirme de plus que, bien maniée, elle n'a pas d'inconvénients. Le sommeil hypnotique ne difiere en rien du sommeil naturel
n'a pas d'inconvénients. Le sommeil hypnotique ne difiere en rien du sommeil naturel : les mêmes phénomènes, catalepsie, illus
ère, qui berce son enfant pour l'endormir et qui ainsi lui suggère le sommeil , est en réalité le premier des hypnotiseurs. La
, est en réalité le premier des hypnotiseurs. La suggestion dans le sommeil provoqué ne difiere pas en réalité de la suggesti
a l'état de veille ne sont pas acceptées, qu'on les fasse pendant son sommeil provoqué ou même naturel. Beaucoup de mères parle
croire que la suggestion faite à l'état de veille, ou même pendant le sommeil hypnotique, ait cette puissance sur le cerveau et
er tout le parti possible. Puisque la suggestion faite dans l'état de sommeil peut modifier la direction imprimée au caractère
ps animé ou inanimé, il survient assez rapidement un état analogue au sommeil . A cet état il donna le nom d'hypno- tisme. C
» Par ces paroles et d'autres de ce genre, on fait naître l'idée du sommeil , on amène par suggestion le sommeil. Le fait de f
e genre, on fait naître l'idée du sommeil, on amène par suggestion le sommeil . Le fait de fixer un objet est tout à fait access
amélioré la condition de plusieurs neurasthéniques. J'ai pu rendre le sommeil dans certains cas d'insomnie. J'ai surtout fait d
, chez une malade que je touchais à divers points du corps pendant le sommeil hypnotique. M. Beaunis a pu encore, par suggest
hypnotisé 178 personnes. Les résultats produits quant au degré de sommeil obtenu peuvent se ranger dans le tableau suivant
eil obtenu peuvent se ranger dans le tableau suivant : Somnolence Sommeil léger profond » très profond..... . . 29 So
dans son lit. Cette agitation durait 20, 25 minutes. Puis, silence et sommeil calme jusqu'à 3 heures du matin. A 3 heures,
a découvrir? » Parmi les sujets qu'on hypnotise, les uns tombent en sommeil profond, sans souvenir au réveil; nous les appelo
ne façon irréfragable que l'influence existe. Ceux qui sont dans le sommeil profond, sans souvenir au réveil, si on les aband
almes et inertes, comme les dormeurs naturels. Rien ne différencie ce sommeil provoqué du sommeil spontané. Les phénomènes de s
mme les dormeurs naturels. Rien ne différencie ce sommeil provoqué du sommeil spontané. Les phénomènes de sensibilité, de motil
s sujets lorsqu'on réussit à se mettre en relation avec eux dans leur sommeil naturel : même attitude passive des membres, dite
i, par la suggestion, on le tire de sa torpeur. De même, les rêves du sommeil spontané deviennent chez quelques-uns actifs, et
, je le répète, chez le même sujet, être réalisées les mêmes dans son sommeil naturel. Non! le sommeil hypnotique n'est pas u
e sujet, être réalisées les mêmes dans son sommeil naturel. Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! No
s dans son sommeil naturel. Non! le sommeil hypnotique n'est pas un sommeil pathologique ! Non! l'état hypnotique n'est pas u
lopper chez eux une vraie névrose hypnotique qui se répétera à chaque sommeil provoqué. Mais ces manifestations ne sont pas duc
rfs d'être impressionnables, nous serions tous des hystériques ! Le sommeil lui-même est l'effet d'une suggestion. J'ai dit :
née par les facultés de raison, par l'attention, le jugement. Dans le sommeil spontané ou provoqué, ces facultés sont engourdie
grave dans l'état de Mme Chassinet qu'elle dort tout simplement d'un sommeil provoqué. Bientôt il reconnaît en elle un sujet d
est convaincu. C'est Louis Chassin qui a dicté à sa femme, pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui, les lettres grâce au
e sur laquelle M. Pierre Janet (du Havre) a expérimenté le premier le sommeil à distance, et j'ai pu renouveler ses expériences
expérience sur elle, me bornant à étudier les diverses phases de son sommeil . C'est le 12 janvier que j'ai essayé de l'endor
Magnan Suggestion, auto-suggestion et vivacité du souvenir dans le sommeil hypnotique. — Action des médicaments à distance.
uggestion, l'auto-sug- gestion cl la vivacité du souvenir dans le sommeil hypnotique qui rendent compte de tous les phénomè
suggestion et auto-suggestion et que la mémoire est très vive dans le sommeil hypnotique. Grâce à cette mémoire, on pourra expl
té, que cette titubation se produit toujours, lorsque le sujet son du sommeil hypnotique. M. C. Paul n'en dit rien séance tenan
'est celle-ci qui est la première à constater la naissance. Dans le sommeil artificiel, il n'est pas douteux qu'une femme pui
ouchements. Puis, quand on était revenu, l'enfant était né pendant le sommeil de la mère. Or on l'avait fait disparaître et on
'accouchée n'avait aucun souvenir de ce qui s'était passé pendant son sommeil , et rien n'était plus frappant que l'étonnement m
international HYPNOTISME (depuis 1880) Brouardel : Le viol dans le sommeil hypnotique. Gaz. des Hôp.. 1er nov.) Sollier :
DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE EXPÉRIENCES SUR LE SOMMEIL A DISTANCE Par M. le Dr Charles RICHET PROFES
a pu ainsi établir par des preuves très fortes le fait de l'action du sommeil à distance. Quoique ce phénomène ait été antéri
uveler sur le même sujet, Mme B..., ces expériences si importantes de sommeil à distance. Je donnerai la relation succincte d
usivement, c'est-à-dire treize fois avant de tenter une expérience de sommeil à distance. Je n'insisterai suraucun des phénom
qu'elle a présentés, car mon but était surtout de vérifier le fait du sommeil à distance ; j'aurai peut-être l'occasion de parl
dredi 14 ou le samedi 15, d'une part, et, d'autre part, si l'heure du sommeil a distance serait 8 heures. 9 heures, 10 heures,
à 1 h. 35, coïncidence entre le moment où je fais la démonstration du sommeil a distance et la production chez Mme B... de l'ét
très envie de dormir et qu'elle est toute tremblante. Pour éviter ce sommeil , elle se trempe les mains dans l'eau froide ; mai
endormie, elle a cessé de travailler, ce qui fait que l'heure de son sommeil serait i h. 45 environ, heure qui concorde très b
ui touche la difficulté du succès. Enfin, pour cette observation de sommeil provoqué par la montre en or. je ne puis conclure
.., interrogée sur l'heure à laquelle elle avait ressenti le début du sommeil , elle dit qu'il était 3 h. 20. On peut donc admet
réussirait. A vrai dire, elle ne prouverait rien contre la réalité du sommeil à distance. Elle établirait seulement ce qui a à
encore une probabilité très faible. Le choix de l'heure à laquelle le sommeil devait avoir lieu portait sur les heures suivante
tes, environ vingt et une fractions par jour. La vraisemblance que le sommeil de Mme B... coïncidera précisément avec la fracti
à être endormie et que cette attente suffit à provoquer chez elle le sommeil . C'est une sorte de simulation inconsciente, à la
et mes expériences, je n 'ai pas encore pu acquérir sur la réalité du sommeil à distance une de ces fortes et absolues convicti
l'obligeance de M. Janet le compte rendu de toutes les expériences de sommeil à distance qu'il a faites sur Mme B..., depuis la
. II faut ajouter que pendant cette époque elle n'a eu que 4 fois des sommeils spontanés qui se sont produits dans la journée.
it dans son enfance ont complètement disparu. A besoin de beaucoup de sommeil . 1er mars. Ce matin, la malade est mise dans le
ade. Je procède par simple occlusion des paupières et suggestion du sommeil . Le degré d'hypnose ainsi obtenu est très léger :
isie du larynx, était atteinte déjà de somnambulisme et d'attaques de sommeil analogues à celles qu'a présentées notre malade.
... fut bouleversée par l'émotion qu'elle éprouva. Elle tomba dans un sommeil profond et resta deux jours et deux nuits sans qu
nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, les attaques
sans avoir d'attaque fut de quinze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l'état second » se répétaient
par personne, ni à Vienne, ni à Genève. Cependant, les attaques de sommeil étaient toujours plus fréquentes. Elles apparaiss
elle veut parler, mais ne peut pas dire un mot. et c'est alors que le sommeil la surprend. Lorsque Mlle X... s'endort d'elle-mê
fiancé. Elle est de nouveau dans l'état second depuis une attaque de sommeil qui l'avait surprise la veille, au moment où elle
, elle est maussade à son réveil, hébétée, comme sortant d'un profond sommeil et ne sachant où elle est. Elle ne me salue pas e
ouvent en dormant. Je l'hypnotise et lui défends de parler pendant le sommeil . Je lui affirme qu'elle n'aura plus de rêves et q
aucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut plus aucune attaque de sommeil , et aujourd'hui elle se porte tout à fait bien. J
édé par une invincible somnolence, terrassé, s'il n'y a garde, par un sommeil qu'interrompent d'abord des mouvements convulsifs
connaissance des phénomènes psycho-physiologiques manifestés dans le sommeil hypnotique. L'histoire des développements de l'
nt personnelles. Auguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L'attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur Charcot - (
sidérations spéciales qui méritent d'être reproduites : Ce genre de sommeil est connu depuis longtemps, mais le sujet n'avait
lexie hystérique n'est, a mon avis, rien autre chose que l'attaque de sommeil . Vous savez que les journaux anglais ont été
Un jour, il est tombé dans Soho Square, il s'est mis a dormir et son sommeil a duré huit jours, ce qui lui était arrivé souven
gnard. Il ne s'agissait, en somme, que d'une variante de l'attaque de sommeil . Ce n'est pas d'ailleurs seulement de l'autre c
s d'ailleurs seulement de l'autre côté du détroit que ces attaques de sommeil attirent l'attention du public; et, ma foi, il me
Supposons, par exemple, que. n'étant pas éclairés sur ce phénomène du sommeil hystérique, vous rencontriez par hasard dans votr
ingt-quatre heures, elle dort. » Notez qu'il pourrait se faire que ce sommeil durât quarante-huit heures, un mois, trois mois,
ne faut pas vous figurer, en effet, que cette jeune fille dorme d'un sommeil ordinaire. Nous pouvons frapper le tam-tam à ses
violemment, sans qu'elle s'en aperçoive, sans qu'elle bronche. Son sommeil est en apparence plus calme que celui du dormeur
s calme que celui du dormeur ordinaire. Les individus plongés dans un sommeil profond ronflent parfois bruyamment. Notre dormeu
vous démontrer, mieux encore, que nous ne sommes pas en présence d'un sommeil naturel, mais bien d'un sommeil pathologique. P
e nous ne sommes pas en présence d'un sommeil naturel, mais bien d'un sommeil pathologique. Pour en finir avec cette expositi
e vous dirai que le phénomène auquel vous assistez est une attaque de sommeil .— C'est le nom qu'il faut lui donner, — C'est une
u'au moment où elle se réveillera spontanément ou artificellement. Le sommeil hystérique, donc, c'est en quelque sorte l'équiva
e passent : tantôt la malade a une petite attaque convulsive avant le sommeil ou dans les premiers instants de celui-ci; vous l
— quelques-unes de ses voisines, alors qu'elle était dans son état de sommeil , l'ont vue se lever, tendre les mains vers le cie
uelques heures, sous forme convulsive, se prolonge sous la forme d'un sommeil particulier, indéfini, dont nous allons, si v
dont nous allons, si vous voulez, étudier les caractères, car il y a sommeil et sommeil, et tous les gens qui dorment ne dorme
allons, si vous voulez, étudier les caractères, car il y a sommeil et sommeil , et tous les gens qui dorment ne dorment pas de l
s avez vu cette dormeus(1) vous comprenez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l'attaque d'hystérie, quoique as
es, les paupières du sujet se ferment, et qu'il tombe dans un profond sommeil . Il propose ensuite à Mme Braid de se soumettre
, donne le même résultat. Deux minutes après, il était plongé dans un sommeil profond. Braid en conclut justement qu'il n'y a
publie son livre, sous le titre suivant: Neurrypnologie. ou Traité du sommeil nerveux, considéré dans ses rapports avec le magn
— Le Dr Azam publie, dans les Archives générales de médecine, sur le sommeil nerveux ou hypnotisme, dont il donne la définitio
on suivante : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil nerveux, un somnambulisme artificiel, accompagné
lque temps dans un coma profond, puis il se réveille comme d un lourd sommeil , sans aucun souvenir de ce qui s'est passé pendan
il est accompagné d'un sentiment de lourdeur dans la tête, — que le sommeil hypnotique fatigue le sujet, etc., etc. Or, dan
mesure, l'identification que l'Ecole de Nancy établit, pour l'état de sommeil , entre l'hypnotisme et la condition normale. Quan
jour, il est des sujets que j'endors plusieurs nuits consécutives du sommeil hypnotique et qui, instruits à analyser et raison
leurs sensations, ne parviennent pas à saisir une différence entre ce sommeil et l'autre, si ce n'est que les commandements s'y
e pas avoir de rêve. La proposition de l'Ecole de Nancy touchant le sommeil hypnotique doit donc, me semble-t-il. être tenue
nue pour vraie. Et si MM. Fontan et Ségard imposent à leurs sujets un sommeil qui les fatigue, c'est bien leur faute. Leur prem
oute habillée et croyait avoir dormi depuis quelques heures déjà d'un sommeil lourd, entrecoupé de rêves pénibles, quand elle f
pas conclure que le premier venu soit apte à provoquer sans danger le sommeil hypnotique. ÉTUDE SUR L'HYPNOTISME ET LA SUGG
aractéristiques de l'hypnotisme et se retrouvent dans toute espèce de sommeil , qu'elle qu'en soit la cause. Les différentes pha
e l'hypnotisme ne constituent, selon moi, que les manifestations d'un sommeil plus ou moins profond. Considérons en effet ce qu
de cet état particulier, mais on les voit dans toute autre espèce de sommeil provoqué artificiellement, et j'ajouterai que cer
t j'ajouterai que certainement on pourrait les constater même dans le sommeil naturel. Catalepsie, somnambulisme, léthargie ne
e, léthargie ne corres- pondent donc, selon moi, qu'à un degré de sommeil plus ou moins profond. Chloroformisons une femme
e somnambulisme, sans arriver à celle de léthargie ; de même, dans le sommeil hypnotique, nous pouvons nous arrêter à telle ou
férentes phases de l'hypnotisme par le degré plus ou moins profond du sommeil , est tellement vraie, que j'ai pu en acquérir la
cience est abolie ; oui, la conscience est effectivement abolie si le sommeil est profond, mais si le sujet ne dort pas profond
cipal de ma communication, qu'on peut obtenir les mêmes effets par le sommeil prolongé, provoqué par un narcotique quelconque.
es [hystériques variés, gastralgie, contractures, etc., guéris par le sommeil prolongé obtenu à l'aide du chloral. Il résulte
loral. Il résulte de ces observations, d'une façon évidente, que le sommeil , de par lui seul, est capable d'amener la guériso
s, qu'à ce point de vue du moins, il n'y a aucune différence entre le sommeil provoqué par l'hypnotisme et le sommeil provoqué
a aucune différence entre le sommeil provoqué par l'hypnotisme et le sommeil provoqué par le chloral ; je démontrerai plus tar
e de l'administration prolongée du chloral, et elle est sortie de son sommeil complètement guérie; or, comme il y a très peu de
énomènes attribués à l'hypnotisme se retrouvent identiquemeat dans le sommeil naturel. Si nous nous approchons doucement d'un i
à parler, mais si on a la chance de tomber sur un de ces individus à sommeil excessivement lourd, les choses se passent comme
'autres arguments la démonstration de la similitude complète entre le sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou t
de la similitude complète entre le sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique et le sommeil naturel. Il
sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique et le sommeil naturel. Il y a déjà 15 ans que Lasègue a dogma
sègue a dogmatiquement établi les différences qui se passent entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel, et ses conclusions
établi les différences qui se passent entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel, et ses conclusions sont encore aujourd'h
ar tout le monde. Examinons-les de près : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil nerveux ne repose pas
les de près : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil nerveux ne repose pas. Dans une cinquantaine d'
rellement du monde; quelques uns avaient même engraissé. 2. Dans le sommeil nerveux, il y a toujours un certain degré de rigi
de rigidité musculaire. Cela dépend, comme je l'ai dit, du degré du sommeil , parce que si le sujet s'endort plus profondément
; il est en même temps affecté de bégayement qui disparaît pendant le sommeil hyp-notique, avec cette particularité que le béga
ec cette particularité que le bégayement persiste amoindri lorsque le sommeil est encore peu profond (somnambulisme). Cet indiv
réveille de même, lorsque je lui dis : Réveillez-vous ! 4. Dans le sommeil nerveux, on peut fixer la durée du sommeil ; on n
eillez-vous ! 4. Dans le sommeil nerveux, on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peut pas dans le sommeil naturel. J'
erveux, on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peut pas dans le sommeil naturel. J'affirme qu'on le peut certainement d
ns le sommeil naturel. J'affirme qu'on le peut certainement dans le sommeil narcotique, et voilà un fait à l'appui de cette a
ses et, pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se réveiller spontanément,
spensable. J'ai constaté qu'un excès de douleur peut interrompre le sommeil hypnotique. En outre, la femme de l'observation p
le matin à son réveil. 6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel : on peut suggestio
6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel : on peut suggestionner dans le premier,
uvent qu'on peut faire de la suggestion, et avec succès, soit dans le sommeil narcotique, soit dans le somnambulisme naturel. L
arfaitement obéi aux suggestions qui leur ont été faites pendant leur sommeil , et dans deux cas de somnambulisme naturel la sug
cès. Je suis convaincu qu'on pourrait obtenir la même chose dans le sommeil vulgaire si l'on pouvait parler au sujet sans le
se dérouler les mêmes phénomènes exclusivement attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, somm
lusivement attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narcotique, sommeil naturel, son
ués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identiquement l
meil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identiquement la même chose. RE
is ils s'évertuent à n'y point céder, pour ne point compromettre leur sommeil de nuit. Inutile précaution : la nuit suivante l'
ehoses est précisément le même, et ces malades n'ont pas un moment de sommeil . Certains sujets déclarent impossible à eux de
s tout au plus. Néanmoins ils se sentent assez fortifiés par ce court sommeil , ils peuvent vaquer à leurs affaires; pourtant, a
logiques : ils peuvent être obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel. 5 L'état hypnotique n'est pas particul
n'avoir jamais échoué chez un tuberculeux, et presque tous tombent en sommeil profond, avec catalepsie suggestive, donnant hall
tance plus ou moins complète, etc. » Et. plus loin : t Dans l'état de sommeil comme dans l'état de veille, l'individualité mora
sulte produit l'occlusion des yeux et que celle-ci -suggère l'idée du sommeil . Les prétendues zones hypnogènes n'existent pas,
nt vu d'autres sujets hypnotisés par ce pro L'idéecédé. seule fait le sommeil . 8° La suggestion est la clef de tous les phéno
ole de Nancy quand elle dit : Les sujets sains d'esprit et qui ont un sommeil normal, les gens simples du peuple sont sans cont
vé ivre. J'essaie, le 11 mars, le traitement par l'hypnotisme. Le sommeil n'est pas obtenu complet. J'essaie de nouveau,
ion d'une main sur le front et la pression sur les yeux. J'obtiens le sommeil au bout d'un quart d'heure. Suggestion : Se dés
occupe dans le service. J'ai eu récemment la pensée de prolonger le sommeil hypnotique chez des aliénées pendant toute la
il faut concentrer tout le pouvoir suggestif sur la détermination du sommeil : Souvent, du reste, on peut agir par la suggestio
s études psychologiques : les amnésies, l'hérédité intellectuelle, le sommeil et les rêves, etc. Si nous passons à la psychol
inspiré à M. Liébeault ses remarquables éludes psychologiques sur le sommeil naturel ou provoqué. C'est se moquer agréableme
e en revue successivement les procédés d'hypnotisation, les degrés de sommeil ; la discussion à l'Académie des sciences morales
(1) Voy. De la suggestion hypnotique, etc.. 1884. p- 25 dant le sommeil somnambulique, je trouvais en elle moins de résis
me sur un ton monotone qui l'engourdit peu à peu et le plonge dans le sommeil léger qui est, au sommeil profond, ce que le crép
l'engourdit peu à peu et le plonge dans le sommeil léger qui est, au sommeil profond, ce que le crépuscule est au jour. Sa vol
hyperémiés. comme s'ils étaient soumis longtemps au frottement. Son sommeil est tranquille; cependant quelquefois tl se révei
i par la fixation du regard dans l'espace de deux minutes. Pendant le sommeil , l'anesthésie est complète ; ni les piqûres, ni l
ux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il ne répond pas. Pendant le sommeil , on lui fait exécuter une série d'actes : descend
une amnésie absolue relativement à tout ce qui s'est passé pendant le sommeil . Nous avons recommandé à la mère une surveillan
— L'enfant n'a pas été surpris i nouveau. Nous l'hypnotisons et le sommeil est obtenu encore plus vite que la fois précédent
l'encourager à persister dans sa torpeur intellectuelle et morale. Sommeil léthargique chez une hirondelle. Dans sa derniè
martinets de passer l'hiver entier dans nos climats, plongés dans un sommeil léthargique comparable à celui des animaux hibern
hasard et l'hirondelle fut trouvée vivante, bien qu'endormie dans un sommeil léthargique. Devant les membres de la Société,
s cavités analogues, des hirondelles et des martinets plongés dans un sommeil hibernal. Quelques-uns d'entre eux en avaient m
hypnotisée, par Paul Magnin. 240. Analogie de la suggestion dans le sommeil provoqué et à l'etat de veille. 178. Analogie e
de Toulouse), 138, 191. — (session d'Oran )., 338, 364. Attaque de sommeil hystérique (l'), par Charcot, 27. Autopsie (la
r l'hypnotisme et la suggestion. par Rifat, 297. Expériences sur le sommeil à distance. par Ch. Richet. 225. Fascinateurs
troactives provoquées sans hypnotisme, par Bernheim, 4. Hirondelle ( sommeil léthargique chez une), ?78. Homœopathie et sugg
motifs chez les sujets en état d'hypnotisme, par Luys. 75, 99, ?06. Sommeil à distance (expériences sur le), par Ch. Richet,
(un cas de), 189. Sourd-muet la syntaxe du). 248 Souvenir dans le sommeil hypnotique, par Jules Voisin, 209. Suggestion (
8 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
le procédé employé, si le médecin arrive à plonger son malade dans un sommeil hypnotique même peu profond, il peut être certain
ce de m. Dumontpallier (Suite.) Rêves spontanés et suggérés dans le sommeil hypnotique. Par M. le Dr BÉRILLON. Comme on l
e constater celle aptitude au rêve chez des individus plongés dans le sommeil hypnotique. Le premier sujet sur lequel nous avon
après avoir été ébloui par la lueur du magnésium, qu'il tomba dans un sommeil profond avec amnésie au réveil et anesthésie à la
uis lors je l'ai toujours vu rêver un quart d'heure après le début du sommeil provoqué. Pour interrompre le rêve, il suffit de
les montreront que chez ce jeune homme, l'aptitude des rêves, dans le sommeil hypnotique, est très développée. Elle est en ra
eloppée. Elle est en rapport avec l'aptitude qu'il présente dans le sommeil normal. En effet, ses camarades lui ont souvent d
x sujets que nous avons observés, le rêve ne survenait quo lorsque le sommeil était profond; il était d'origine psychique, et l
st comme le café, très peu torréfié, un excitant du cerveau. el si le Sommeil se produit après ses effets, ou ne doit voir dans
ans cet état inconscient qui est la frontière qui sépare la veille du sommeil profond ! Nullement. Le sujet est bien éveill
rtares ou bien les confrères du parti opposé empêchés par la nuit. |e sommeil ou livressse cessaient de surveiller les prisonni
APPLIQUÉE SIMULTaNEMENT avec la suggestion A l'état de veille Le sommeil hypnotique répugne à bien des personnes, aussi ai
à l'état de veille rend de grands services, sans avoir à employer le sommeil hypnotique, comme si In suggestion pénétrait avec
de Reggio Émilla (1). Dans l'hypnotisme, tout est suggestion, et le sommeil provoqué, comme le sommeil naturel d'ailleurs, ne
s l'hypnotisme, tout est suggestion, et le sommeil provoqué, comme le sommeil naturel d'ailleurs, ne fait qu'exalter une propri
uée ou évoquée dans l'écorce cérébrale. A l'état de veille, dans le sommeil provoqué ou dans le sommeil normal, le succès de
cérébrale. A l'état de veille, dans le sommeil provoqué ou dans le sommeil normal, le succès de la suggestion dépend, direct
tano-musculaire, avec les contractures, etc., les hystériques dans le sommeil hypnotique, on (l) A. Tamburini : Sur la nature
ociété, uon seulement qu'il ne faut plus attribuer à l'hypnotisme, au sommeil provoqué, des phénomènes qui n'appartiennent qu'à
servant de la suggestion à l'état de veille, mais surtout à l'état de sommeil provoqué. Pour l'auteur comme pour le profeseur
suggestion qui fut accepte, mais avec la certitude de sa part que le sommeil no pourrait être obtenu et que la suggestion rest
oir, et j'ai pu, dans les deux ou trois séances suivantes, arriver au sommeil complet. Alors j'ai affirmé qu'avant huit jours l
mois de traitement, quoique avant revu M. Z..., MmeX... a recouvré le sommeil , l'appétit, la gaîté. la force physique et morale
antérieur, comme le prouve la petite noto ci-jointe que, pendant son sommeil , je lui ai suggéré de me rédiger et qu'elle m'a r
avait pris une telle force que je me trouvais complètement privee de sommeil et d'appétit; devenue indifférente aux distractio
té de Lille, et M. le Dr P. JOIRE. de Lille. Le traitement par le sommeil hypnotique et la suggestion tend à s'introduire d
ou sensitif, qui sont sous la dépendance de l'état hystérique, que le sommeil hypnotique et la suggestion ont été jusqu'ici emp
ités avec succès par la méthode hypnotique et particulièrement par le sommeil obtenu au moyen de miroirs rotatifs. C'est surt
rte du pouvoir des miroirs rotatifs qui produisent très facilement le sommeil hypnotique en agissant tout a la fois par leur éc
ôt et il se trouve dans un étal qui comme à la phase somnambulique du sommeil hypnotique. On lui fait à plusieurs reprises la
5 juin, celle malade est endormie par le miroir rotatif. Pendant le sommeil hypnotique, la suggestion de no plus avoir de sen
bservation iii. — Paraplégie hystérique guérie en une seule séance de sommeil provoqué au moyen du miroir rotatif. La femme F
r rotatif, tombe rapidement en état de grand hypnotisme. Pendant le sommeil , on lui fait plusieurs fois la suggestion de ne p
ffrir des jambes et de marcher sans difficulté. Apres cinq minutes de sommeil , on l'éveille, et, sur l'invitation qui lui est f
cooliques, mais malgré tout elle arrivait à s'en procurer. Pendant le sommeil hypnotique, nous lui faisons la suggestion de ne
la. une grande difficulté. Comment entrer en communication pendant le sommeil hypnotique arec un sujet absolument sourd, même a
e inspiration plus profonde m'avertit qu'il était bien plongé dans le sommeil hypnotique. Je me plaçai bien en face du malade
. Toute cette séance, depuis le moment où il avait été plongé dans le sommeil hypnotique, n'avait pas duré plus de quinze minut
s il est encore d'autres cas, dit M, Luys, qui pourront bénéficier du sommeil hypnotique, en dehors de toute suggestion. Ainsi,
e physique et mentale, par le calme et le repos que leur procurera le sommeil artificiel. Quelquefois, comme dans la plupart
on de ma main droite sur le front et assez rapidement plongée dans un sommeil somnambulique (avec insensibilité, perle de rappo
ience. *** Monomanie du suicide guérie par suggestion, pendant le sommeil provoqué, par MM. le Dr LAÉBEAULT et le profess
lée dans un degré plus ou moins avancé. en plongeant les personnes en sommeil hypnotique. La suggestion thérapeutique tend à ré
es par leur propre esprit, guidé par la suggestion el favorisé par le sommeil . Voilà pourquoi je me suis appliqué, dès le déb
usivement théorique et n'a rien à démêler avec la thérapeutique. Le sommeil utilisé en psychothérapie dans le dessein de favo
rièvement donner le nom d'hypnose, ne doit pas être autre chose qu'un sommeil normal opéré par la suggestion, un sommeil suggér
pas être autre chose qu'un sommeil normal opéré par la suggestion, un sommeil suggéré. Il est de la plus grande importance de
remier rang. 3° Je comprends sous le nom d'hypnose thérapeutique un sommeil normal suggéré. 4° Sous la dénomination « hypno
i se pose. Mon expérience me répond affirmativement. Il n'y a dans le sommeil , dans lequel je plonge journellement beaucoup de
re et doit être renforcée par la suggestion, si l'on veut profiter du sommeil pour faire une opération chirurgicale. Or. l'an
opération chirurgicale. Or. l'anesthésie se présente aussi dans le sommeil normal. Dans le sommeil ordinaire, les membres du
Or. l'anesthésie se présente aussi dans le sommeil normal. Dans le sommeil ordinaire, les membres du malade peuvent subir qu
exciter de la douleur. De même, le fait de ne pas réagir durant le sommeil aux impressions du dehors n'est pas absolument an
autant de raison prétendre que le concierge d'un hôtel qui. dans son sommeil , entend la sonnette et tire le cordon, ou bien la
ordon, ou bien la mère qui a pris la coutume de .se déranger dans son sommeil au moindre vagissement de son enfant, ont acquis
ser beaucoup, d'écrire, de se promener, d'ouvrir les yeux pendant son sommeil , je conviens qu'on ait produit un état anormal. E
à des actes d'un homme éveillé. On fait parler les bègues pendant le sommeil , on excite les malades affligés de la crampe de
uvements, ceux qui souffrent des yeux exerceront leur vue à l'état de sommeil . Car les suggestions produisent leur maximum d'én
énergie et l'effet thérapeutique obtenu est le plus grand à l'état de sommeil . On peut cependant quand même respecter les lim
l, le somnambulisme est créé du moment que le dormeur vit pendant son sommeil d'une vie psychique active, indépendante, du mome
impressions du dehors; il est créé lorsque l'esprit désagrégé par le sommeil s'associe de nouveau et forme un autre état de co
ilité augmentée correspond à une exaltation de l'ataxie psychique. Le sommeil — comme le dit si bien le professeur Forel — exha
fille de dix ans, à laquelle j'appris un peu de français pendant son sommeil hypnotique, sans qu'elle s'en rendit compte à l'é
méthode, est une chose tres simple et des plus faciles. On suggère le sommeil plus on moins profond, selon l'impressionnabilité
vous endormez vos malades et si vous les traitez pendant cet état de sommeil , comment pouvez-vous parler alors d'un effet cons
tenue paraissait être plus durable chez les malades qui avaient eu le sommeil très léger. Elle m'apprend encore que l'équilib
ceux-ci que chez d'autres malades guéris qui n'avaient dormi que d'un sommeil très léger, qui avaient eu pendant cette somnolen
'anxiété et d'angoisse, nous nous efforçons au contraire d'obtenir un sommeil des plus profonds. Mais encore daus ces cas s'a
avant de s'endormir, que l'effort de volonté conscient fait avant le sommeil agira pendant l'état de repos. Il va sans dire
sa guérison. On peut faire do ta suggestion à l'état de veille, tans sommeil , car la suggestion thérapeutique ne consiste qu'à
mot hypnotisme ne saurait avoir d'autre signification que celle-ci : sommeil de la volonté, sommeil ou abolition momentanée du
ait avoir d'autre signification que celle-ci : sommeil de la volonté, sommeil ou abolition momentanée du pouvoir de contrôle.
ver qu'on ait ainsi posé la question : L'hypnotisme est il un état de sommeil normal physiologique ou un état anormal, patholog
ntraire. De quel coté est la vérité 1 Nous ne connaissons même pas le sommeil naturel dans ses états profonds et dans ses modif
es conditions il se produit. II est des médicaments qui produisent le sommeil chez les uns et qui excitent les antres. Si vous
son n'est pas rationnelle. On ne peut donc comparer l'hypnose avec le sommeil naturel. S'attarder à ces débats, c'est parler po
roubles psychiques les plus variés. De toutes les fonctions, celle du sommeil est la plus profondément altérée. Si la morphine
sommeil est la plus profondément altérée. Si la morphine favorise le sommeil au début, elle ne tarde pas, au contraire, à enge
lu morphînomanie. Chez plusieurs de ses malades, il a eu secours à un sommeil prolongé pendant plusieurs semaines- Chez d'autre
'en prenait plus que 3. A chaque séance, elle était plongée dans un sommeil profond, avec amnésie au réveil. Elle recevait la
et progressivement dans les mouvements imprimés à la tête pendant le sommeil de suggestion, l'état anormal disparut au bout de
out. J'ai dit que L'étal dit hypnotique n'est pas une névrose, que le sommeil obtenu par la suggestion ne diffère pas essentiel
le sommeil obtenu par la suggestion ne diffère pas essentiellement du sommeil normal, que les phénomènes qu'on produit dans l'u
hez quelques-uns, que les rêves sont des hallucinations spontanées du sommeil naturel, comme les hallucinations suggérées sont
ypnotiques peuvent être obtenus chez les personnes suggestibles, sans sommeil , que ce qu'on appelle hypnotisme, n'est autre cho
n de répéter sans cesse que l'accès de somnambulisme est identique au sommeil normal, que rhalluciuation. éprouvée au milieu de
he Suggestion ». (Berl. klin. Wochensch.. IV septembre.) « Acces de sommeil et sug*gestion hypnotique ». IRELAND (W.-W.). — «
elle marche suit l'assoupissement des organes des sens au moment du sommeil normal ou du sommeil provoqué. Cet assoupissement
soupissement des organes des sens au moment du sommeil normal ou du sommeil provoqué. Cet assoupissement est loin d'être simu
hérique ne perdent pas nécessairement leur activité propre pendant Le sommeil . Ainsi, sur l'homme profondément endormi, incapab
t et recouvrent leur activité avec une inégale rapidité, au moment du sommeil et au moment du réveil. Alors n'est-on pas autori
et l'observation démontraient qu'au début et à la fin de la phase du sommeil , la perception des couleurs fondamentales n'a plu
qu'elles ne sont pas influencées exactement de la même manière par le sommeil î Voilà mon raisonnement. Je dirai de suite que
Le phénomène se produit seulement sur tes sujets sortant d'un profond sommeil ; 2° li n'a lieu que si les paupières se soulève
eurs couleurs vraies, les objets contenus dans la chambre. Donc, le sommeil préalable est bien la condition sine qua non de l
de vive coloration verte des objets quand les yeux s'ouvrent après le sommeil , il faut que la vue de ces objets frappe les yeux
upières soient fermées, les globes oculaires sont exposés, pendant le sommeil , à l'action de la lumière blanche. L'illumination
les vibrations du violet ; 3° Ces propriétés, assoupies pendant le sommeil , ne reviennent pas simultanément à l'activité : c
e penser à ce qu'elle ressentait le soir lorsqu'elle sentait venir le sommeil , et je l'aidai en lui disant : « Vos yeux vous
ir, quand sera venu le moment de vous coucher, vous dormirez d'un bon sommeil ; vous n'aurez pas de mauvais rêves, et le lendem
us réveillerez, vous sentirez que vous avez eu une bonne nuit, que le sommeil a bien réparé vos forces et vous serez tout heure
ivants, je répétai les mêmes suggestions que le premier jour, dans le sommeil hypnotique, et de jour en jour la durée d'accalmi
fant n'a pris aucun médicament, et le retour de l'appétit et d'un bon sommeil ont suffi, avec la suggestion, à faire disparaîtr
clinique du Dr Bérillon et elle y fut soumise â diverses reprises au sommeil hypnotique. Rapidement améliorée, cette malade fi
u de selles depuis quatorze jours. Mon premier essai fut suivi d'un sommeil rapidement obtenu. Pendant qu'elle dormait, je fi
toute spéciale et l'effet salutaire de mes recommandations pendant le sommeil hypnotique se continua les jours suivants. Peu
gardant l'apparence de l'état de veille? ' De la suggestion dans le sommeil chloroformique. La Normandie médicale a publié
t deux observations de M. Gibert (du Havre} sur la suggestion dans le sommeil chloroiormique. Dans le premier cas, il s'agit
ute l'histoire de la malade, et alors, il eut l'idée de profiler du sommeil ebloroformique pour détruire radicalement, efface
ibert chloroforma alors la jeune fille. Quand elle fut tombée dans un sommeil profond, il lui suggéra avec force de ne plus se
ed. Celle observation prouve encore une fois qu'on peut utiliser le sommeil ebloroformique pour obtenir un résultat, par sugg
pour obtenir un résultat, par suggestion, aussi manifeste que dans te sommeil cataleptique. REVUE CRITIQUE Over de waarde d
de slaap-verlammingen, c'est-à-dire paralysies par pression durant le sommeil , et que, dans ces cas spéciaux, du moins, la médi
xclusivement, notamment de celles occasionnées par pression durant le sommeil . L'obscivation s'étend sur cent trente-trois ca
môme. En moins de (rois mois, je m'assurai et donnai la preuve que le sommeil provoqué était de même nature que le sommeil natu
donnai la preuve que le sommeil provoqué était de même nature que le sommeil naturel, que les rêves suggérés pouvaient se ravi
soutint que son objet n'a pas d'existence. Mais hypnotisme signifie sommeil . La plupart des personnes s'imaginent que le somm
notisme signifie sommeil. La plupart des personnes s'imaginent que le sommeil est le phénomène essentiel de l'hypnotisme, tandi
timuler. Bref, au bout de huit ou dix jours, je parvins, à obtenir le sommeil tranquille pendant toute la nuit. Les appréhensio
lus nuisible qu'utile, car, ayant entendu dire qu'hypnotisme signifie sommeil , s'il lui plaît de constater qu'il ne dort pas. i
oisième séance au moyen du prisme et de la suggestion. Dès te premier sommeil provoqué, je lui ai suggéré de ne plus avoir d'id
e 1892. Je l'ai hypnotisée de nouveau au moyeu du prisme ; le premier sommeil provoqué, j'ai pu par suggestion faire disparaî
ale et sans douleurs notables, sous 1 influence de la suggestion sans sommeil . Par le D- A. W. VAS RENTERGHEM (d'Amsterdam).
ssance, l'opérateur fut assez heureux de pouvoir mettre sou malade en sommeil profond ou eu somnam-bulisme, c'est-à-dire dans u
avantage et, quoique hypnotisables, elles n'arrivent pas au degré de sommeil voulu. Est-ce que pour celles-ci la suggestion
l'individualité. Or, tel sujet réalise parfaitement la suggestion du sommeil qui se montre réfractaire à une suggestion de sen
nsibilité ou de motilité ; tel autre n'accepte pas l'idée suggérée de sommeil , alors que cependant ses membres se raidissent ou
-disant non hypnotisable, c'est-à-dire chez Laquelle la suggestion de sommeil ce se réalise pas, la suggestion d'analgésie rela
ypnotiser était-elle exemplaire. Cepeudant malgré sa bonne volouté le sommeil ne vint pas. Je ne parvins a procurer à ma mala
choses pût ralarmer, j'eus soin dès le début, de lui suggérer que le sommeil n'était pas nécessaire, qu'un eut de somnolence s
uit du 23 au 24 avril fut excellente ; Mme N... dormit d'un excellent sommeil ; elle donna fort peu de signes d'agiu-tion lorsq
huit heures, ne purent la réveiller. Dans la journée elle dit que ce sommeil l'avait un peu reposée. Des le soir du second j
ées très abondantes qui se prolongèrent pendant trois mois, crises de sommeil , crises de nerfs ; enfin, un peu plus tard, après
e, la simple parole, c' est-a-dire l'idée qu'elle contient, donner un sommeil bienfaisant, calmer les souffrances physiques et
s légère, et je réussirai à la faire cesser au moyen des passes et du sommeil hypnotique. Cet accès sera le dernier de votre ma
dis que les uns présentent une aptitude particulière à tomber dans le sommeil provoqué et semblent avoir épuisé par cet acte l'
siques. D'autres, enfin, se montrent réfractaire ? à la production du sommeil , leur cerveau neutralise avec la plus grande faci
é, chez des personnes qui offrent de la résistance à la suggestion du sommeil . C'est ainsi que je viens d'observer plusieurs su
inemment suggestible, bien qu'ils eussent été capables de résister au sommeil suggéré. Le premier de ces sujets, âgé de 32 an
cupait vivement et je ne fus pas surpris de le trouver réfractaire au sommeil . Si je m'étais borné aux premières tentatives d'h
fauteuil et que l'acte suggéré est exécuté. Ce sujet, réfractaire au sommeil suggéré, cesse de pouvoir résister à la suggestio
tion, faite à l'état de veille, ce malade, qui ne tombait que dans un sommeil très léger et qui ne s'avouait pas hypnotisable,
lle de 19 ans qui résistait avec beaucoup de force a la suggestion du sommeil . Lui avant suggéré de danser eu mesure une polka
erce habituellement sur les actes réflexes et on ne peut reprocher au sommeil provoqué d'être la cause de cette inhibition céré
us haut degré. Ajoutons qu'après ces expériences la suggestibilité du sommeil provoqué était sensiblement augmentée. La plupart
ne mon cabinet, et voici ce qu'ils m'apprirent : (1) Symelaigne. Du sommeil pathulogique chez les aliène: Parie, 1835, in-8",
façon automatique, mais elle resta contracturée el pendant la nuit le sommeil fut empêché par des crises analogues à celles du
points a la précédente, mais La nuit fut un j«u meilleure. Pendant le sommeil , La bouche restait contrac-turée quoique fermée,
ion extatique qu'il garda une heure, puis les yeux se fermèrent et le sommeil survint. Le lundi 14, après une assez bonne nui
après le repas, comme si la digestion eût été difficile. Lorsque le sommeil survenait, ordinairement vers neuf heures du soir
is ramener sur elle ses couvertures) et l'enfant paraissait dormir du sommeil le plus nature!. A une heure, à quatre heures, à
degrés, Liébeaultel Bernheim, divisent, maintenant, d'après Forel, le sommeil hypnotique en général, seulement en trois degrés
ent en trois degrés : premier degré, somnolence ; second degré, léger sommeil (hyp-notaxie ; troisième degré, profond sommeil (
; second degré, léger sommeil (hyp-notaxie ; troisième degré, profond sommeil (somnambulisme). A l'état de somnolence, la per
urs, pour lesquels la manière habituelle de suggestionner, pendant le sommeil , si bien fondée qu'elle soit, ne réussit pas. Pre
ment, il y a des malades qui par l'hyp- nolisation, tombent dans le sommeil ordinaire au lieu du sommeil hypnotique; quand il
par l'hyp- nolisation, tombent dans le sommeil ordinaire au lieu du sommeil hypnotique; quand il en est ainsi, ou le reconnaî
si, ou le reconnaît facilement à ce que, quoique dans le plus profond sommeil , ils n'accomplissent pas les suggestions et qu'il
t pas susceptibles d'être influencés par les suggestions pendant leur sommeil hypnotique, et que d'autres sujets acceptent les
ue d'autres sujets acceptent les suggestions dans certaines phases du sommeil hypnotique et ne les acceptent pas dans les autre
ujours, guérie ». La-dessus le patient était hypnotisé et pendant son sommeil , il ne lui était fait aucune suggestion. Chez une
ès le premier essai. Comme j'étais persuadé qu'il n'était pas dans le sommeil hypnotique, je tentai, dès la séance suivante, de
chaque nuit, se lever pour mettre l'enfant sur la vase. avec cela son sommeil était si profond qu'il n'ouvrait même pas les yeu
l était le seul qui présentai ces troubles. La première séance de sommeil à laquelle le Ds Semeotzki eut la bonté d'sssi'to
s. Ouoiqu'il fût plongé pendant les trois séances suivantes dans un sommeil assez profond, il ne se manifesta cependant dans
très affaibli, se plaignait d'une faiblesse générale, d'un manque de sommeil , d'appétit et d'énergie, accusait des sensations
lade était très agité. A la troi*ièrae séance, il tomba dans un léger sommeil . Un sommeil plus profond ne fut pas obtenu même a
rès agité. A la troi*ièrae séance, il tomba dans un léger sommeil. Un sommeil plus profond ne fut pas obtenu même avec l'aide d
s l'étal de veille proprement dit, laquelle ne se fortifie que par le sommeil suivant, soit hypnotique, soit naturel. Comme d
ce fait constater que E... est atteint de somnambulisme spontané. Son sommeil ordinaire est très léger; E.. s'éveille an moindr
nt où il l'a laissée, sans souvenir apparent de l'interruption par le sommeil . Pendant le sommeil provoqué, la voix devient f
sans souvenir apparent de l'interruption par le sommeil. Pendant le sommeil provoqué, la voix devient faible. lente, émue; le
ant surtout le soir, quand il est fatigué, disparaissent pendant le sommeil . E... a toujours parlé à haute voix- pendant so
pendant le sommeil. E... a toujours parlé à haute voix- pendant son sommeil , incommodant ses voi-sins au lycée ou a la chambr
t a eux, mais Joséphine reste pendant trois jours s dans une sorte de sommeil oh on lai faisait faire tout ce qu'on voulait >
vant d'agir. Dès le» première* séances le tremblement diminua et le sommeil reparut. Forts de ces premiers résultats, nous at
lui-même ; le tremblement avait cédé aux premières suggestions et le sommeil de la nuit était devenu calme et profond. A son
de l'Hôtel-Dieu une fillette de cinq ans qui simule admirablement te sommeil au moment de ma visite pour éviter les médicament
ficulté et quelquefois l'impossibilité où l'on est de faire cesser le sommeil cataleptique que l'on voit durer des semaines et
plus, depuis son entrée, elle a été prise un grand nombre de fois de sommeil d'une demi-heure à une heure, à n'importe quel mo
personne profondément endormie et dans le calme le plus grand. Ces sommeils sont précédés, dit-elle, d'une sensation d'engour
eoir ou de s'étendre, sans quoi elle tomberait à terre. Pendant ces sommeils , elle entend tout ce que l'on dit, mais il lui es
t de la contractilité musculaire (courants induits) pendant l'état de sommeil . — Insensibilité de la moitié droite du troue et
violente* douleurs dans le côté droit de la tête. 19 novembre. — Le sommeil et les phenomènes cataleptiques n'ont pas cessé d
ême procédé d'autres fois; le succès a été le même. J'ai employé le sommeil hypnotique et les suggestions. Puis la thérapeuti
avise d'un procédé assez bizarre : j'ai commande au malade, dans son sommeil (il s'endort très bien), d'écrire l'éloge du chol
e plan et émis quelques idées. Il riait aux éclats, toujours dans son sommeil : « Ah ! que ce sera drôle! • ' Le surlendemain,
'HYPNOSE Par M. le Dr croco, Fils, de Bruxelle i. — Les phases do sommeil hypnotique. L'expérimentation clinique présente
de sérieuses difficultés: si l'on soumet un grand nombre de sujets au sommeil hypnotique, on constate, non seulement une énorme
tent des phénomènes différents. Cette grande variabilité de formes du sommeil hypnotique a été le point de départ des deux gran
inabilité ; dans le huitième degré, il y a hallucinabilité pendant le sommeil , mais on ne peut suggérer des hallucinations pour
post-hypnotiques. Fig. I. — Schéma représentant les trois états du sommeil hypnotique-. (D'apres Luys.) Résumons, en quelq
enons d'insister, il en est d'autres moins parfaits, dans lesquels le sommeil hypnotique n'est plus susceptible d'être divisé e
erts a demi, la respiration forte, mais on voyait parfaitement que le sommeil hypnotique n'était pas complet. Aussi, pour évite
inuant les passes, que la douleur avait disparu. Je ne pus obtenir un sommeil plus profond, et, lorsque je cessai les manœuvres
. La motilité, le sent musculaire, les réflexes étaient normaux. Le sommeil hyp-notique ne se manifesta pas rapidement : il f
s pour parvenir, au bout de trois quart d'heure, à provoquer on léger sommeil somnambulique; les paupiéres se fermèrent insensi
lle enir'ouvrait les paupières et se réveillait : jamais on obtint un sommeil plus profond. Observation IV. — Anna M..., Agée
expression ordinaire. Nous n'avons pu par aucun procédé produire un sommeil plus profond; après son réveil Eudoxie ne se souv
malade de l'observation VI. Il a été impossible d'obtenir un état de sommeil plus profond. Observation VIII. — Mme B... est
mnam-bolisme typique te montra. Noos n'avons pu arriver 4 produire on sommeil plus profond. Noos pourrions multiplier a l'inf
s multiplier a l'infini le nombre des observations dans lesquelles le sommeil hypnotique ne se manifeste pas par un somnambulis
ujet d'ouvrir les yeux, il se réveille (observations II et III). 3° Sommeil véritable, sans perte de conscience ni de sensibi
uvrir les yeux, il fait de vains efforts (observations IV et V). 4° Sommeil véritable, sans perte de conscience ni de sensibi
fermés; si on défie te sujet d'ouvrir les yeux, il se réveille. c. Sommeil véritable, sans perte do conscience ni de sensibi
i on défie te sujet d'ouvrir les yeux, il fait de vains efforts. d. Sommeil véritable, sans perte de conscience ni de sensibi
oniqne accompagnée de cris ; après racées, elle tombe dans un état de sommeil comateux pendant plus ou moins longtemps ; en se
absente. A la troisième séanee nous avons obtenu, en prolongeant le sommeil , un état cataleploïde spécial, non pas la catalep
ils.) Collette H... est atteinte d'attaque hystériques suivies d'un sommeil comateux avec contracture durant fort longtemps e
passes lentes on parvient, au bout de quelques minutes, à produire le sommeil hypnotique. L'état qui se présente alors ne res
s caractérisées, dont les crises nombreuses sont suivies d'un état de sommeil comateux rappelant un peu les états cataleptiques
t prouver que ces états cataleptiques et léthargiques ne sont que des sommeils pathologiques. Il y aurait dès lors deux espèces
que des sommeils pathologiques. Il y aurait dès lors deux espèces de sommeils hypnotiques, les uns superficiels ou somnambuliqu
ulement chez les individus sujets à des crises hystériques suivies de sommeil comateux plus ou moins profond. D'après ces obs
rt». Sans faire de distinction de sujet, nous admettons donc que le sommeil hypnotique peut se présenter sous trois aspects f
, avec Charcot, considérer le somnambulisme comme le dernier stade du sommeil , ou devons-nous, avec Luys, l'envisager comme le
états incomplets du somnambulisme, les autres montrèrent le véritable sommeil somnambulique ; aucun de ces sujets n'a présenté
ires, ce qui ne prouve pas que la léthargie soit la première phase du sommeil ; nous croyons avec Luys que, dans ce cas. les de
is alors a la malade, de me taire avouer la cause de sa résistance au sommeil hypnotique. Après bien des réticences, elle finit
par se rendre a l'évidence, et je n'ai pas lardé à la plonger dans le sommeil hypnotique profond, avec amnésie au réveil. C'e
ibilité du côté gauche et la persistance de la contracture pendant le sommeil de la nuit, je me crois autorisé d'affirmer que c
allier a vu que cette pression était capable de provoquer d'emblée le sommeil hypnotique, mais c'est surtout Pitres qui. il y a
s, dont la pression a pour effet, soit de provoquer instantanément le sommeil hypnotique, soit de modifier les phases du sommei
instantanément le sommeil hypnotique, soit de modifier les phases du sommeil artificiel, soit de ramener brusquement à l'état
nes proprement dites et en hypno-frénatrîces : les unes provoquant le sommeil , les autres le faisant cesser brusquement. Dans l
ne produit rien à l'état de veille, mais peut modifier les phases du sommeil hypnotique. Les zones hypno-frénatrices sont ég
S... et Mme M..., il n'y avait aucune zone qui, comprimée, amenait le sommeil ; mais dans la quatrième observation, chez Anna M.
les hystériques, des zones circonscrites dont la pression provoque le sommeil hypnotique. Un problème intéressant est de se d
tant répétée successivement pour les différentes parties du corps, le sommeil ne se produisit que pour les trois régions indiqu
blient, après leur réveil, ce qu'elles ont fait ou appris durant leur sommeil et qu'elles s'en rappellent lorsqu'on les replace
sommeil et qu'elles s'en rappellent lorsqu'on les replace en état de sommeil hypnotique. Plus récemment, Richet, Bern-heim. De
vantes : 1° Les personnes hypnotisées se rappellent, dans l'état de sommeil , tout ce qu'elles ont appris antérieurement lorsq
de ce qu'elles ont fait ou appris pendant qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. 3° Les personnes en état de somnamb
et ne se rappelle-t-il pas au réveil de ce qui s'est passé pendant le sommeil ? Pour résoudre cette question, voyons les phénomè
gré, se rappellent également au réveil des faits écoulés pendant leur sommeil . Au contraire, tous les autres sujets, qui ont ma
réveil une amnésie complète de tout ce qui avait eu lieu pendant leur sommeil . Notre division en états somnambuloïdes et somnam
uvons, dans la réminiscence au réveil, des faits écoulés pendant le sommeil , un phénomène capital qui sépare complètement ces
proposition, que le souvenir au réveil, des faits écoules pendant le sommeil , se produit dans certains états hypnotiques que n
que les sujets se rappellent au réveil ce qui s'est passé pendant le sommeil , il est évident que si l'on recommence l'hypnotis
'hypnotisation, le sujet se rappellera ce qui s'est passé pendant son sommeil précédent, comme il s'en rappellerait à l'état de
s n'ont généralement pas pu H rappeler des faits écoulés pendant leur sommeil datant de deux jours; Mme H.... Marie P.... Adrie
ne C... Joséphine D.... Collette H.... n'ont pas présenté, pendant le sommeil somnambulique, la réminiscence des faits écoulés
e sommeil somnambulique, la réminiscence des faits écoulés pendant un sommeil antérieur. Louise T... a seule présenté ce phénom
eule présenté ce phénomène d'une manière caractéristique. Pendant son sommeil nous lui prenons une bague; à son réveil elle ne
sième proposition émise- à propos de la mémoire des sujets en état de sommeil hypnotique : d'après nos recherches, les sujets e
loïdes sont les seuls qui se soient constamment rappelé, pendant leur sommeil , des faits écoulés pendant une hypnotisât. :; ant
figurine, une mèche de cheveux coupée à la nuque du sujet pendant son sommeil . « M. X... ayant alors emporté la statuette ain
d'extériorisation de la sensibilité, existant spontanément pendant le sommeil hypnotique. Nous ne pouvons être aussi affirmat
ence que j'ai faite : Je suggère à uue de mes hypnotisées, pendant le sommeil provoqué, que son nom (elle se nomme Marie! est é
onne qui s'assoupit. Il était évident pour nous qu'elle simulait le sommeil ; mais ceux d'entre les témoins de cette scène qu
ormie. Aussi nous nous hâtons de leur faire faire le diagnostic de ce sommeil simulé. Saisissant le bras de la malade, nous ret
eux et son prétendu réveil ne présenta naturellement pas plus que son sommeil les caractères de l'hypnotisme vrai. Pour termi
au hasard, serait chose vraiment puérile. Il est donc prouvé que le sommeil hypnotique n'est plus, comme certains l'ont sou
t montrés refractaires à l'hypnotisme, tous les autres ont dormi d un sommeil assez profond pour que leur cerveau pût recevoir
trième ou la cinquième il cède, ne pouvant plus résister au besoin du sommeil , d'où il faut conclure qu'il n'est pas plus réfra
er son attention, ne peut pas concenter toute sa pensée par l'idée du sommeil . D'un coté, le moindre bruit peut le distraire, e
ide qu'il ne peut l'en détacher et porter son attention sur l'idée du sommeil . Il se croit lui-même réfractaire, cl parmi les n
vue, de l'ouïe, de l'odorat, du goût. Insomnies de temps en temps. Le sommeil a été troublé par des rêves dans lesquels il croy
on des idées morbides qui tourmentaient son cerveau et lui imposer le sommeil comme provenant de lui-même de sa propre volonté.
ésistance assez grande, il se frottait le» yeux comme pour chasser le sommeil et il répétait : « Je veux bien dormir mais je ne
t terminée le malade se trouva être profondément endormi. Pendant son sommeil hypnotique, il eut trois crises de larmes; à la s
ué les deux formes de la suggestion a l'état de veille et a l'état de sommeil hypnotique j'ai taché de stimuler un peu son amou
ligent et que son cerveau est assez développé pour recevoir l'idée du sommeil . Et cela a parfaitement réussi. Au bout de quatre
on, par Naret, 67. Opération sous l'influence de la suggestion sans sommeil , par Van Renter-ghem, 215. Organisme humain (l'
ouleurs fondamentales du spectre (la), par Chauveau, 161. Phases du sommeil hypnotique (les), 321 Phénomènes de l'hypnose,
Paris le 11 juillet 1862, 44. Réves suggères et spontanés dans le sommeil bvpnotique, par Bérillon, 18. Science psychiq
56, 126, 147, 159, 173,345. 350, 210. 222. 254, 265. 307. 345, 374. Sommeil chloroformique (de la suggestion dans le), 179.
UES DANS LE VOLUME Fig. 1. — Schéma représentant les trois états du sommeil hypnotique, 324. Fig. 2, 3, 6. 7, 8. 9, 10, 11. 1
9 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
ade esthypnotisée. L'examen du pouls indique 138 pulsations. Après le sommeil , la tension artérielle s'est élevée d'une faç
se met au lit, toujours toussant; à la fin il s'endort et pendant le sommeil la toux s'arrête complètement. Au réveil, hier ma
es arts et métiers féminins en fournit la démonstration. H. L. Le sommeil et les rêves Par M. le Docteur Wijnaendts Franc
s se rapprochent sous beaucoup de rapports de ce qui se passe dans le sommeil et dans les rêves. De même que le somnambule, à s
voquer l'hypnose ressemblent fort aux moyens employés pour appeler le sommeil , et l'on ne saurait méconnaître la conformité que
ésentent en maint point les traits physiologiques caractéristiques du sommeil et ceux de l'hypnose. Il y a là un motif de ne
sans être auparavant entré dans quelques considérations relatives au sommeil normal et aux rêves qui s'y produisent. Ce que no
mmeil normal et aux rêves qui s'y produisent. Ce que nous appelons le sommeil constitue une période de repos pour celles de nos
mée se régénère et l'énergie dépensée se renouvelle. Mais si, dans le sommeil , l'initiative intellectuelle est entièrement susp
recommencer ensuite à agir avec une nouvelle énergie. Le besoin de sommeil se fait ainsi sentir de période en période, sans
qu'il faille pour cela que le temps de veille qui précède l'appel du sommeil ait été rempli par un grand travail physique ou i
s a appris que nous éprouvons un grand malaise toutes les fois que le sommeil nous a été refusé en temps voulu, ou qu'il ne nou
surtout par des symptômes d'amnésie ou d'aboulie. D'où vient que le sommeil est si impérieusement nécessaire? A quoi faut-il
oir, dans une disette d'oxygène dans le cerveau la cause du besoin de sommeil mais Preyer la supposé que, durant la période de
de lactique, dont l'amas se décomposerait et se résoudrait pendant le sommeil . 'Il y a une grave objection à cette idée d'une l
s un ordre renversé, le fait que l'on peut être réveillé d'un profond sommeil d'une manière soudaine, s'accorde tout aussi mal
siologico-chimiques, on n'est aucunement parvenu à provoquer ainsi le sommeil ; cette expérience a mis à néant l'hypothèse de P
Duval ; c'est la théorie histologique.) Ici l'on cherche la cause du sommeil dans les conditions morphologiques des éléments c
leur contact fût brisé, ce qui enrayerait le courant nerveux. Dans le sommeil , les routes d'association seraient supprimées par
théorie vasomotrice, qui explique le mieux le commencement rapide du sommeil . Le sommeil dépendrait d'une modification de l'af
omotrice, qui explique le mieux le commencement rapide du sommeil. Le sommeil dépendrait d'une modification de l'afflux de sang
rveau, et celui-ci serait entravé dans son activité normale . Dans le sommeil normal, il se produirait une contraction des vais
iation active des impressions reçues s'arrête momentanément durant le sommeil . Ce ne sont pas seulement les excitations physiqu
ui la fatiguent. Le phénomène le plus remarquable qui accompagne le sommeil est certainement le rêve. Il démontre que, dans l
ompagne le sommeil est certainement le rêve. Il démontre que, dans le sommeil , l'esprit n'est point condamné à une inactivité a
ésence des rêves prouve que (1) D'après Pilez, il y aurait, dans le sommeil , une anémie relative des circonvolutions du cerve
lui bouchait l'œil droit et l'oreille gauche. (3) La profondeur du sommeil , c'est-à-dire le degré d'absence de conscience, n
teint le maximum une et demie ou deux heures après le commencement du sommeil . l'esprit n'est point inactif dans le sommeil
le commencement du sommeil. l'esprit n'est point inactif dans le sommeil , mais qu'il continue à associer les représentatio
e produisent-ils pas dans la règle pendant la période du plus profond sommeil , mais peu temps avant le réveil, pendant le somme
e du plus profond sommeil, mais peu temps avant le réveil, pendant le sommeil léger du matin, quand l'esprit se trouve dans la
nce, comme on l'a appelé, est certainement déplacé dans la période du sommeil , mais ni l'excitabilité périphérique, ni la trans
videmment affaire à un souvenir sub-conscient. D'après Pilez, plus le sommeil est profond, plus les rêves s'éloignent de la réa
de Psychologie, j'étudiais dans une série de leçons la Psychologie du sommeil naturel. Après avoir minutieusement analysé les é
er ce que deviennent les diverses facultés intellectuelles pendant le sommeil , et j'avais insisté sur la stupéfiante hypermnési
'esprit critique ; comme, le plus souvent, elles ignorent les lois du sommeil et du rêve, aussi bien qu'elles ignorent, d'aille
t, très sourd, mais réel. En second lieu, l'on sait que, pendant le sommeil , notre sensibilité interne devient plus subtile,
en rêve. Par exemple, des convulsionnaires apprennent pendant leur sommeil le moment et la durée de leurs crises; tel autre
» et viennent, un beau jour, nous faire des révélations pendant notre sommeil . Ces visions ne sont pas des produits enfantés pa
dant quelques secondes seulement. Voici ce qui se passe. Pendant le sommeil , on revoit par le souvenir un être très cher qu'o
angère? Seuls pourront l'admettre ceux qui ignorent que, pendant le sommeil , une certaine activité intellectuelle subsiste. A
tre que la plupart des dormeurs rêvent pendant toute la durée de leur sommeil . Quelques personnes ne se rappellent, au réveil,
id et du manque de pâture, dans une longue période non interrompue de sommeil , pendant laquelle les fonctions vitales ont beauc
t celle de Czermak; quanta Heubel, de Kiew, il voyait là une forme du sommeil ordinaire, mais Preyer rejetait les deux manières
it, en effet, que certains animaux simulent à merveille la mort ou le sommeil et restent immobiles dans le danger ou quand ils
ère crise nerveuse dont il nous donne la relation. Il tombe dans le sommeil et il lui semble qu'il est devenu une bulle gonfl
de à Dieu. Nouvelle crise nerveuse ; il s'endort et aperçoit dans son sommeil l'univers dans la contemplation de la vérité sous
rait comme un complément de la sagesse elle-même, « je tombai dans le sommeil et fus enlevé hors des limites de la « conscience
six fois fendillé dans le sens radiculaire. Je suggère, pendant le sommeil hypnotique, que très certainement la verrue dispa
dinaire. En réalité, l'hypnotisme existe bien avant l'apparition du sommeil et lorsqu'on croit faire de la suggestion à l'éta
nt de sa découverte : L'application méthodique de la suggestion et du sommeil provoqué au traitement des maladies. Cette plaq
nuelle, sonore, éclatante, la tourmente jour et nuit et lui enlève le sommeil . Il n'y a aucun crachement. Les cordes vocales so
hystérique, de parésies, de paralysies, de crampes, d'anesthésies, de sommeil hystérique, de diarrhées soudaines, d'incontinenc
ce qui arrive dans le rêve : chez les aliénés le rêve a lieu sans le sommeil : le malade dont j'ai parlé, qui entend la voix d
érisseur qui traitait ses patients en les plongeant dans une sorte de sommeil anesthésique obtenu au moyen de la compression de
encore à présent, en russe, le nom de sonnâïa arteria (artère du sommeil ). Au dire, des indigènes de l'archipel de la Mala
ion de boire. Si l'on se contente de suggérer au malade, pendant le sommeil hypnotique, de ne plus boire, il est possible qu'
l'empêcha de continuer ce carnage et elle le plongea dans un profond sommeil . Il tombe sur le sol, heurtant de l'épaule le fût
'autres meurtres. Il dort en ce moment, l'infortuné, d'un bien triste sommeil , après s'être souillé du sang de ses enfants et d
rtie 19 Novembre. - - L'Hypnotisme et les états qui s'y rattachent. Sommeil . Rêves. 26 Novembre. — Etats hypnotiques superf
t aux études sur l'hypnotisme qui en sont la base essentielle. Le sommeil chez les êtres monoplastidaires et les végétaux
êmes de mouvements physico-chimiques encore indéterminés. J'appelle sommeil bioprotéique du premier degré l'arrêt momentané d
momentané des mouvements du bioprotéon après rétraction préalable, et sommeil bioprotéique du second degré l'arrêt momentané de
préalable du bioprotéon. Dans l'étude qui va suivre, les causes du sommeil seront rangées sous les chefs suivants : 1° Mouve
ons électriques. 3a Mouvements chimiques (causes chimiques). I LE SOMMEIL CHEZ LES ÊTRES MONOPLASTIDAIRES - 0 I. — Mouvem
lle, en deçà et au delà duquel la somnolence commence pour aboutir au sommeil . Downes et Blunt (1) ont vu crue les rayons chi
e du jour. On peut, par des changements d'éclairage, déterminer des sommeils locaux chez les êtres monoplastidaires. C'est ain
en deçà et au-delà de laquelle la somnolence commence pour aboutir au sommeil . Les diverses espèces de microbes ne commencent
mœba diffluens peut vivre ainsi dans la glace, endormi d'un véritable sommeil hibernal. Les spermatozoïdes des Vertébrés supé
ions voisines. Il existe aussi, chez les êtres monoplastidaires, un sommeil par la chaleur et même un véritable coup de chale
s une solution de 0,50/100 d'hydrate de chloral dans l'eau de mer. Le sommeil ainsi provoqué est d'autant plus long que la subs
eine assis, le malade, au grand étonnement de son père, tombe dans un sommeil profond, pendant lequel je suggère la disparition
plaisir que nous leur donnons rendez-vous pour le 12 janvier. Le sommeil chez les êtres monoplastidaires et les végétaux
les végétaux Par lo Dr Charles Bixet-Sanglé, (suite) (1) II LE SOMMEIL CHEZ LES VÉGÉTAUX I. — LE SOMMEIL DES CELLULES
xet-Sanglé, (suite) (1) II LE SOMMEIL CHEZ LES VÉGÉTAUX I. — LE SOMMEIL DES CELLULES VÉGÉTALES Les êtres polyplastidair
nalogues à celles des plastides isolées. C'est ce qui a lieu quant au sommeil . 1. — Mouvements non classés Si l'on vient à
raser la glande du sommet du tentacule, le bioprotéon est frappé d'un sommeil au second degré, d'une sorte de coma, et la rétra
sphérules sous l'influence des premiers froids. C'est là un véritable sommeil hibernal. Dans un poil d'Ecbalium Elaterium (co
huit minutes dans le même poil brusquement réchauffé de 16° à 40°. Le sommeil par la chaleur se produit aussi dans les cellules
al. Mais aussi un certain nombre d'expérimentateurs ont provoqué le sommeil des cellules végétales par des excitations électr
ité dormante », comme disent les Anglais, n'est pas autre chose qu'un sommeil léthargique. L'excès d'eau aurait la même influ
et avec lesquels nous nous trouvons incessamment en contact, comme le sommeil et les rêves, sont souvent les plus incompréhensi
lement des réactions anormales. Il ressort de ce qui précède que le sommeil n'est aucunement le facteur principal dans les ph
at de monoïdéisrne, de même que l'on pourrait peut-être considérer le sommeil ordinaire comme un état à'anidéisme, du moins pou
ordinaire comme un état à'anidéisme, du moins pour ce qui concerne le sommeil sans rêves et sans activité subconsciente. Pierre
bien de ne plus employer le terme d'hypnotisme, d'autant plus que le sommeil n'est pas indispensable. Daos les cas, pense-t-il
sommeil n'est pas indispensable. Daos les cas, pense-t-il, où il y a sommeil hypnotique, ce sommeil n'est pas de nature différ
spensable. Daos les cas, pense-t-il, où il y a sommeil hypnotique, ce sommeil n'est pas de nature différente des autres symptôm
que lui-même est le fruit de la suggestion. Bernheim attribue même le sommeil ordinaire aux effets de la suggestion. Nous avo
et que les sujets ainsi traités éprouvaient un besoin très marqué de sommeil . Charcot un peu plus tard, ayant observé que ce
nt qui enveloppait tout le corps et portait presque invinciblement au sommeil . Nous avons utilisé cet ingénieux instrument pour
il. Nous avons utilisé cet ingénieux instrument pour la production du sommeil provoqué. Nous avons constaté que des sujets asse
até que des sujets assez réfrac-laires à l'hypnose s'endormaient d'un sommeil très profond après un temps variable, sous l'infl
quelques minutes Un engourdissement général et une prédisposition au sommeil que nous avons utilisée pour la production de l'h
rvices aux médecins hypnotiseurs soit pour favoriser la production du sommeil provoqué, soit pour localiser les excitations pér
r la fixation du regard. Le malade tomba dans la résolution, mais son sommeil ne fut pas profond. Au début de l'hypnose, le mal
s, soit pendant l'état de veille, soit pendant la période d'extase ou sommeil hypnotique que certaines femmes se trouvent avoir
que M. le Paul Farez, professeur. Objet du cours : La pathologie du sommeil naturel : Les insomnies Les mardis et samedis à c
s ce trésor inestimable. C'est un vétéran qui vous le dit. » (1) Le sommeil chez les êtres monoplastidaires et les végétaux
t-Sanglé, Professeur à l'Ecole de Psychologie. [suite) (2) II. — LE SOMMEIL DES ORGANES VÉGÉTAUX Le sommeil des organes vég
Psychologie. [suite) (2) II. — LE SOMMEIL DES ORGANES VÉGÉTAUX Le sommeil des organes végétaux n'est que le résultat du som
S VÉGÉTAUX Le sommeil des organes végétaux n'est que le résultat du sommeil des cellules végétales qui les composent, et dont
cellules qui détermine, dans les organes végétaux, les mouvements de sommeil . I. — SOMMEIL DES FEUILLES. I. — Mécanisme du
termine, dans les organes végétaux, les mouvements de sommeil. I. — SOMMEIL DES FEUILLES. I. — Mécanisme du sommeil des feu
uvements de sommeil. I. — SOMMEIL DES FEUILLES. I. — Mécanisme du sommeil des feuilles. Le sommeil des feuilles a été obs
SOMMEIL DES FEUILLES. I. — Mécanisme du sommeil des feuilles. Le sommeil des feuilles a été observé dans quatre-vingt-dix
i tout d'abord ne sont pas compris d'ordinaire dans les mouvements de sommeil . C'est à tort. II n'y a pas lieu de les en sépare
linent en arrière si on les saisit un peu rudement. Le mouvement de sommeil des feuilles bilobées d'Aldovrandia vesiculosa co
le pétiole commun s'abaisse. La feuille est alors dans sa position de sommeil . Duchartre a remarqué que le sommeil des plante
est alors dans sa position de sommeil. Duchartre a remarqué que le sommeil des plantes s'accompagnait d'une rigidité insurmo
euilles ne pouvaient être détournées sans rupture de leur position de sommeil . Cette observation confirme la théorie que je vie
l Bert et de Van Tieghem. Paul Bert supposait que les mouvements de sommeil de la feuille de Mimosa pudica étaient dus à ce q
e liquide, il prétend qu'au moment où la feuille prend la position de sommeil , le réseau bioprotéique se rétracte, et exprime l
iolules et folioles pendant la veille, deviendraient flasques lors du sommeil et laisseraient ces organes obéir à la pesanteur.
position de veille, se redressent contre la tige dans la position de sommeil , comme celles de Strephium floribundum. De plus,
présomption de fausseté. Je crois, quant à moi, que les mouvements de sommeil des feuilles ne sont que l'effet immédiat de la c
leurs phytoblastes moteurs. Les feuilles passent à leur position de sommeil par une série d'oscillations, dont l'amplitude et
ier mode, tandis que le pétiole s'endort selon le deuxième mode. Le sommeil que je viens de décrire, et qui s'accompagne comm
accompagne comme l'a vu Duchartre, d'une sorte de contracture, est le sommeil des feuilles au premier degré. Elles peuvent entr
eil des feuilles au premier degré. Elles peuvent entrer aussi dans le sommeil au second degré. Francis Darwin (1) fit l'expérie
le recevait un choc à chaque coup. Les premiers chocs provoquèrent le sommeil de la feuille au premier degré. Mais bientôt elle
hylogénique.Les feuilles qui dorment le mieux, dont les mouvements de sommeil sont le plus étendus, sont en effet les jeunes fe
res que j'emprunte à Darwin : Redressement dans les mouvements de sommeil Desmodium gyrans jeune feuille feuille âgée
ongé son malade dans un état plus ou moins accentué d'hypotaxie. Le sommeil provoqué est le plus précieux de tous les agents
(pour des raisons qui dépendent surtout de la mentalité du sujet), le sommeil ne peut être obtenu. Et, par surcroit, ces malade
es guérir la suggestion qu'on leur fera pendant qu'ils dormiront d'un sommeil profond, avec inconscience complète et, de plus,
ense ni à la peine que je me donne. Pour faciliter la production du sommeil , je fais alors prendre à mon malade, quelques heu
dit-il, que je ne le guérirai pas, tant que je n'aurai pas obtenu un sommeil véritable. C'est alors que je pratique une prem
tions physiologiques : distraction, habitude, instinct, passion. 3. Sommeil et rêves. 4. Désagrégations extraphysiologiques
Ces conditions se trouvent réalisées dans la distraction et le sommeil , qui sont de bons états psychologiques pour étudi
un sujet absolument normal et sans maladie. 3. II en est de même du sommeil (1). Ce qui caractérise le sommeil, c'est que si
maladie. 3. II en est de même du sommeil (1). Ce qui caractérise le sommeil , c'est que si une partie veille, si certaines fon
res persistent : le psychisme n'est pas supprimé. D'après Maury, le sommeil « ralentit ou suspend l'action de l'encéphale, en
qui nous empruntons cette citation), « le repos du cerveau (dans le « sommeil ) est surtout caractérisé par l'obnubilation de la
d;activité psychique de persister ou même « de s'accroitre, malgré le sommeil ». En somme, c'est le centre O qui se repose; m
polygonal persiste La persistance de ce psychisme inférieur dans le sommeil est démontrée notamment par l'existence des rêves
rêve est d'être absurde, comme association et (1) Alfred MAURY. Le sommeil et les rives, 4E édition, 1878. DecHambre, art. S
red MAURY. Le sommeil et les rives, 4E édition, 1878. DecHambre, art. Sommeil , in Dict. encyclop. des Sciences médic. (2) Gye
2) Gyel. L'être subconscient, 1899, p. 29. (3) Bichat admettait des sommeils partiels (Voir BérilloN. Introduction à l'étude d
de l'hypnotisme, Revue de l'hypnotisme, t. XIV, 1899-1900, p. 39); le sommeil ordinaire est lui-même partiel. (4) Wundt attri
force qui manque au rêveur... » (1) ¦ Mme de. Manageïne définit le sommeil : le temps de repos de notre conscience » (Duprat
e plus intime, qui se réfléchit en quelque sorte librement pendant le sommeil dans les domaines subconscients de notre esprit..
it certain que ce rêve a un substratum physique, qu'il y a eu dans le sommeil un trouble pathologique... » J'ai vu récemment
enfants ou les aliénés. Cette analyse se fait, bien entendu, dans le sommeil peu profond et encore mieux dans le demi-sommeil
dans le demi-sommeil que l'on observe au commencement et à la fin du sommeil complet (hallucinations hypnagogiques de Maury).
sommeil complet (hallucinations hypnagogiques de Maury). Pendant le sommeil de O, le polygone peut même exécuter des actes as
rnes, à l'appui de cette thèse. Un côté curieux de la psychologie sommeil est l'état de la "mémoire. -I1 y a des rêves qu
rêve des gens qu'on croyait n'avoir jamais vus : on retrouve dans le sommeil .des souvenirs latents, déposés à notre insu dans
ité de 0 inhibe, en quelque sorte, la vie polygonale propre et que le sommeil est, comme la distraction, un bon moyen de suppri
ter avec ses souvenirs. Cette suspension de l'activité de 0 dans le sommeil permet aussi au polygone de concevoir et de comme
e honte de ces crimes imaginaires. » Cette analyse psychologique du sommeil cadre bien avec ce que l'on a appelé la « théorie
eil cadre bien avec ce que l'on a appelé la « théorie histologique du sommeil ». Depuis les travaux de Ramon y Cajal, on adme
» et ajoute (3) : «il ne me parait pas irrationnel de supposer que le sommeil naturel puisse être causé par le retrait des prol
eau. Pupin (6) a discuté et développé cette théorie histologique du sommeil , d'après laquelle « c'est seulement et surtout da
e, il faudrait placer plus haut la cassure, la désagrégation. Dans le sommeil , le psychisme supérieur seul se repose et est sép
ité dans la contiguïté ou la suppression de cette contiguïté, dans le sommeil , serait entre les neurones du polygone et les neu
it à faire prévoir combien cette étude du psychisme polygonal dans le sommeil physiologique nous servira ultérieurement pour l'
ysiologique nous servira ultérieurement pour l'étude psychologique du sommeil hypnotique. 4. Cette activité polygonale, que l
hypnotique. 4. Cette activité polygonale, que la distraction et le sommeil permettent déjà de bien analyser à l'état physiol
ude de ' l'activité polygonale à l'état pathologique. (à suivre) Le sommeil chez les êtres monoplastidaires et les végétaux
nglé, professeur à l'Ecole de Psychologie. [Suite). II. — Causes du sommeil des fouiUes I. — Mouvements non classés Les f
va, etc.. prennent, sous l'influence des traumatismes, la position du sommeil . Une coupure, un choc, un souffle même suffisent
ommeil. Une coupure, un choc, un souffle même suffisent à produire le sommeil de la feuille de Mimosa pudica. Chez cette dern
uille de Mimosa pudica. Chez cette dernière plante, le mouvement de sommeil est surtout marqué, lorsque le traumatisme porte
he, et enfin toutes les feuilles de la plante prennent la position de sommeil . Le mouvement se propage de la manière suivante
° Celles des autres pétiolules, qui prennent eux-mêmes la position de sommeil . 6° Le pétiole. 7° Les autres feuilles de la
en deçà et au-delà de laquelle la somnolence commence pour aboutir au sommeil . Les feuilles bilobées d' Aldrovandia vesiculos
isamment élevée. Tout changement brusque de température provoque le sommeil de la feuille de Mimosa pudica. Ici l'action de l
ou du pas d'un homme passant près de la plante, pour en provoquer le sommeil . Toute élévation de température détermine la so
mmeil. Toute élévation de température détermine la somnolence ou le sommeil des Oxalis et des Phaseolus. 2° Ondulations lum
ille en deçà et au-delà duquel la somnolence commence pour aboutir au sommeil . Les feuilles d'Hedysarum gyrans (Sainfoin osci
s feuilles de Mimosa pudica, qui s'endorment chaque soir d'un profond sommeil , s'endorment aussi sous l'action d'une lumière vi
t aussi à la tombée de la nuit. L'obscurité peut même déterminer le sommeil de la feuille au second degré. C'est ainsi que si
ations électriques. — De faibles étincelles d'induction provoquent le sommeil au premier degré de la feuille de Mimosa pudi
pétiole (Pflüger et Schacht), et des chocs électriques puissants son sommeil au second degré. La plante ainsi électrocutée ne
on emploie des solutions concentrées, qui plongent la feuille dans le sommeil au second degré. Les feuilles de Pinguicula lus
organiques humides. Le chloroforme et l'éther les plongent dans le sommeil au second degré, et leur font perdre la propriété
e replier sous l'influence des excitations précédemment énumérées. Ce sommeil atteint les bourrelets des folioles avant le renf
us rapidement par les temps chauds que par les temps froids. III. — Sommeil des cotylédons. Le sommeil des cotylédons s'obs
hauds que par les temps froids. III. — Sommeil des cotylédons. Le sommeil des cotylédons s'observe plus fréquemment encore
Le sommeil des cotylédons s'observe plus fréquemment encore que le sommeil des feuilles. Leurs phytoblastes ami-boïdes forme
fois un renflement moteur (Légumineuses, Oxalis). Leurs mouvements de sommeil se font le plus souvent selon le premier mode (26
mimosoides s'endorment sous l'influence d'une lumière intense. IV.— Sommeil des fleurs. Le sommeil des fleurs a été observé
us l'influence d'une lumière intense. IV.— Sommeil des fleurs. Le sommeil des fleurs a été observé chez Convolvulus sepium
e, Mouron Bleu), Ranunculus Cerastum, et toutes les Composées. I. — SOMMEIL des sepales. Les sépales présentent parfois des
MMEIL des sepales. Les sépales présentent parfois des mouvements de sommeil . Ces mouvements sont dus à la rétraction de phyto
Mirabilis jalapa de dix heures du matin à cinq heures du soir. II.— Sommeil des pétales. Le sommeil des pétales est dû, com
ures du matin à cinq heures du soir. II.— Sommeil des pétales. Le sommeil des pétales est dû, comme celui des sépales, à* l
evant contre leur support, se plissent longitudinalement. Causes du sommeil des pétales. I. — Mouvements physiques. Io Ondu
érature optima de veille. Tout abaissement de température provoque le sommeil des fleurs d'Ornithogalum umbellalum, Ficara
orientale (Immortelle jaune), elles prennent aussitôt la position du sommeil . 2° Ondulations lumineuses. — Il existe aussi p
Linné. Lorsque les jours s'allongent, elles reculent l'heure de leur sommeil . Les fleurs de Tulipa gesneriana et de Crocus v
eurs peuvent entrer sous l'influence de l'obscurité prolongée dans le sommeil au second degré. Leurs mouvements nyctitropiques
de pluie) et Carlina vulgaris quand le temps est à la pluie. III. — Sommeil des étamines Certaines étamines s'infléchissent
éjugé finaliste. Si donc l'on donne à ceux-là le nom de mouvements de sommeil , il faut le donner aussi à celui-ci. C'est d'aill
convention. La nature ne fait pas de saut, et entre les mouvements de sommeil et les autres il n'y a pas de limite tranchée.
mécaniques s'ajoutent à l'obscurité, le mouvement devient brusque. Le sommeil produit sous l'influence d'un certain éclairage a
tamines de Ruta graveolens les mouvements alternatifs de veille et de sommeil continuent à se produire pendant un certain temps
effectuent qu'en trois jours. On a aussi observé chez les étamines le sommeil au second degré. Les mouvements de flexion de cel
art à la contraction ou à l'altération du bioprotéon, c'est-à-dire au sommeil ou à ta mort. 3° Il est probable que toute plas
tres. 4° C'est à cette contractilité que sont dus les mouvements de sommeil des feuilles, des cotylédons, des sépales, des pé
es et les organes jeunes, lesquels présentent ainsi une propension au sommeil que nous retrouverons chez les cellules animales
i à la suggestion hypnotique, ni à la suggestion somnique (pendant te sommeil naturel), ni à la suggestion pendant une narcose
est, d'ordinaire, fort peu efficace, à moins qu'on ne l'appuie sur le sommeil . D'une manière générale, et surtout en orthopédie
s'endort; elle constitue une sorte de monoidéisme qui, à la faveur du sommeil naturel, acquiert une plus grande efficacité thér
— M. le Dp Paul Farez, professeur. Objet du cours : La pathologie du sommeil naturel : Les insomnies. Les mardis et samedis à
sa longue carrière, de réserver le mot hypnotisme à ta production du sommeil artificiel, quand il y a perte de la mémoire, de
veil le patient n'ait aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant le sommeil , mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est
t juin 1889 et Leçons de clin. médic.,t.I,p.261. la profondeur du sommeil , ni l'état de la conscience ne nous fourniront la
veil le patient n'ait aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant le sommeil , mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est
moins complètement, des hypnoses dont on retrouve le souvenir dans le sommeil naturel... De même, il y a des hypnoses d'inten
e depuis la léthargie la plus profonde jusqu'à la fascination et à un sommeil si léger qu'on le confond avec l'état de veille.
n opinion. Il n'y a pas d'hypnotisme... Pour beaucoup de médecins, le sommeil hypnotique constitue un état anormal, antiphysiol
ment... que ce qu'on avait attribué au magnétisme, à l'hypnotisme, au sommeil suggéré n'est autre chose qu'une propriété normal
son père meurt. Ce gros chagrin la démonte encore plus. Dès lors, son sommeil est agité et elle a des rêves terrifiants. Elle a
p de peine à se rendormir. Au bout de quelques mois, cependant, son sommeil est meilleur ; mais, depuis quelques semaines, il
our elle, etc., etc. Elle a beau se tourner, se retourner, appeler le sommeil ; c'est en vain : ses préoccupations la tiennent
n intérêt, ni avec son affectivité peuvent ne troubler aucunement son sommeil ; mais qu'un enfant, par exemple.se retourne dans
t, exaspère, complique les troubles névropatiques. La restauration du sommeil amènera une sédation salutaire; c'est donc par le
elle ne se réveillera pas à minuit: elle continuera à dormir d'un bon sommeil calme et réparateur, jusqu'au matin. En effet, le
second 9 heures. Nos séances se repètent trois fois par semaine. Le sommeil redevient régulier. S'il arrive à la malade de se
on cours de cet hiver, à l'Ecole de Psychologie, sur ta Pathologie du sommeil naturel et, en particulier, tes insomnies. co
tuée aucune médication, la seule suggestion avait suffi à rétablir le sommeil et à faire tolérer les aliments. J'ai eu soin d
on nouvelle ; la tireuse de cartes est entrée en lui. » Pendant son sommeil , des esprits tantôt bons, tantôt mauvais lui appa
ibuer qu'une très faible valeur curative... La suggestion à l'état de sommeil provoqué peut rendre et a rendu des services chez
me, estime que, sur cent aliénés, dix seulement ont pu être soumis au sommeil hypnotique. Souvent, en effet, l'aliéné n'est pas
état favorable existe, il est physiologique, il est normal : c'est le sommeil naturel (Farez . Les lecteurs de celte Revue so
e : « Avec M. le Dr Farez, nous estimons que la suggestion pendant le sommeil naturel, plus encore que pendant le sommeil provo
la suggestion pendant le sommeil naturel, plus encore que pendant le sommeil provoqué, pourrait être employée chez les aliénés
r diffèrent de l'état normal; après l'excitation, ils tombent dans le sommeil et au réveil ne se rappellent plus de rien. Cet
einte. On pourrait, d'autre part, dire, avec quelques auteurs, que le sommeil trop profond et l'absence de rêve constituent éga
ns auditives musicales et dont l' Imagination » qui veille pendant le sommeil , s'empare pour les transformer en phrases musical
lle est occupé d'idées-sons ou d'images musicales données; pendant le sommeil et inconsciemment, il garde la même direction. Il
ques et à ces idées-sons et que c'est ce mouvement, non arrêté par le sommeil qui continue et se résoud automatiquement. C'est
idérer les origines du rêve musical chez un individu sain à l'état de sommeil ordinaire et laisserons aussi de côté l'étude de
de circulation résultant de la position de la tête appuyée pendant le sommeil , d'un seul côté ; le sang afflue dans les parties
t les fonctions psychologiques qui s'y rapportent acquérir, durant le sommeil un degré plus grand de sensibilité. La mémoire, l
t même la volonté pourront garder leur activité. (1) Al. Maury : Le Sommeil et les Rêves, p. 27. Il est vrai que les acti
des idées-sons dans le passé, repose et ne fonctionne pas pendant le sommeil , et ne nous est d'aucune utilité pour déterminer
arie Chàtel. âgé de 10 ans, était tombée spontanément dans un profond sommeil hypnotique. L'hypnotiseur avait opéré sans le vou
chercha vainement pendant plusieurs heures à tirer la jeune fille du sommeil hypnotique; c'est à quatre heures du matin seulem
tique. Lundi 11 mai. — Introduction à l'étude de l'hypnotisme. — Le sommeil et les états analogues. — L'hypnose et le sommeil
l'hypnotisme. — Le sommeil et les états analogues. — L'hypnose et le sommeil provoqué. — L'inhibition et la dynamogénie dans l
ses suggérées. — Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué. — La méthode de Wetterstrand. Vendred
e n'est pas une simple explication verbale, puisqu'elle s'applique au sommeil , à la distraction, à l'hystérie, à certaines lési
Farez : 1° Incontinence d'urine, guérie par la suggestion pendant le sommeil naturel chez un enfant de 26 mois. 2° Impuissan
musical (Essai psychologique sur le), par Gillet, p. 334. Rêves (Le sommeil et les), par Wij-naendts Francken, p. 36. Rêves
124, 159, 169, 191, 209, 221, 253, 256, 275, 285, 319; 350, 362. Sommeil et les rêves (Le), par Vij- naendts Francken, p
2. Sommeil et les rêves (Le), par Vij- naendts Francken, p. 36. Sommeil chez les aires monoplastidaires et les végétaux
10 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
t de la foi. Les peuples civilisés se flattent d'avoir échappé à ce sommeil dogma-tique. Leur erreur s'explique. La magnétisa
et ce réveil pré tendu n'est qu'un changement ou une superposition de sommeil Quand la magnétisation-mode se substitue à la mag
suite incom plète, comparable à cette demi-somnolence qui précède le sommeil profond où le somnambule parle et se meut. C'est
ériclite:. la fièvre est permanente, la malade mange peu, n'a plus de sommeil , ne peut plus (aire quelques pas sans provoquer a
ucement. Laissez-vous aller. Vos yeux se ferment; vous avez besoin de sommeil . Vous dormez. » Ses yeux se fermèrent ; je les ti
dant quelques instants en continuant la suggestion: elle dormait d'un sommeil profond. Alors , parlant avec assurance, j'affirm
e n'avait pas conservé le souvenir des paroles prononcées pendant son sommeil . Je lui dis immédiatement: « Vous voyez bien que
ant une quin2aine contre cette cocaïnomante; je lui affirmai dans son sommeil que la guérison ne serait pas complète tant qu'el
ux, dégoût de la viande. Pas de battements de cœur ni de névralgie. Sommeil agité, cauchemars, rêves se rapportant aux choses
ute médication et commençai le traitement hypnotique et suggestif. Le sommeil fut obtenu rapidement par la fixation du regard,
8, 29 et 30 mai, sans aucun trouble général ni local. L'appétit et le sommeil reviennent, et depuis le commencement du traiteme
cl dans l'inconscience. Quand les douleurs expulsives commencent, le sommeil ne peut plus être obtenu, mais l'excitation presq
i que huit jours après le début des accidents, et une seule séance de sommeil fait tout rentrer dans l'ordre. Cette observati
tion des urines. 2° La névrose a pris le nom de petite hystérie; le sommeil provoqué n'a donné que le petit hypnotisme. Il y
d'appeler la névrose expérimentale. 3° Tout impartait qu'ait été le sommeil , il n'en a pas moins sutâ pour atteindre le but t
ce cas, comme dans ceux qui ont été précédemment publiés, l'emploi du sommeil provoqué pendant la période de dilatation, n'en a
otique. A l'appui de cette idée, je n'avais aucun indice autre que le sommeil prolongé dans lequel elle était. Je la vis chaq
t revenu elle pût se lever cl reprendre ses occupations. Pendant ce sommeil le pouls et la température restèrent normaux Elle
ndre ses aises dans la chambre qu'elle avait occupée pendant son long sommeil dans la maison de sa ::ile. D'ailleurs, je ne rem
a-t-il? Qu'est-ce que c'est? » et. de suite, iltomba dans un profond sommeil qui dura jusqu'à une heure avancée du matin. Lors
faire une telle question. Evidemment il ignorait avoir parlé dans son sommeil . Je fus blessé dangereusement -le 25 août, à la b
s le* tentations venues d'autrui, comme je le lui avait suggéré. Le sommeil provoqué est plus profond. .te constate déjà un p
estion, pour l'exercice corporel, pour le repos et avant tout pour le sommeil ? Comment leur force intellectuelle ne serait-elle
t leur résistance aux influences extérieures amoindrie? A propos du sommeil , on a agité une question qui a la plus haute impo
ge. En Suède, lesplus jeunes écoliers ont besoin de 10 à 11 heures de sommeil , les plus grands au moins de 8 à 9 heures. Et il
grand pour une classe donnée, plus est restreint le temps accordé au sommeil . C'est aux dépens du som-meil que l'on allonge la
r de penser a l'étonnement de ses collègues lorsqu'ils ont observe en sommeil aussi profond que celui des 11.ooo Vierges de Col
été témoin de phénomènes plus merveilleux encore produits pendant le sommeil hypnotique, et Mesmer, il y a cent ans. faisait d
rveuses desquelles, cependant, sont parfois rendues incurables par le sommeil hypnotique. Il préconise chez un certain nombre
se des hallucinations, des visions, entend des voix qui tronblent son sommeil ; il est triste, fatigué demeure volontiers au rep
de l'hypnotisme. Dis la première séance. elle était plongée dans un sommeil profond et a son réveil sous l'influence d'une su
assez grand; nombre de confrères. Elle est rapidement plongée dans un sommeil profond. Nous lui suggérons qu'à son réveil, elle
es malades, pour diminuer leur instabilité mentale et favo-riser leur sommeil nocturne. On peut objecter que la chorée. ayant
ependant il a été permis d'arrêter les mouvements pendant la durée du sommeil provoqué et de procurer ainsi aux malades un repo
et de procurer ainsi aux malades un repos salutaire. Dans deux cas le sommeil obtenu était très profond. A tel point que nous é
lle a commencé à avoir des crises très fréquentes la nuit, pendant le sommeil . Dans le cours des attaques elle écume et se mord
s attaques elle écume et se mord la langue. Son mari dit qu'elle a le sommeil troublé par des cauchemars et qu'elle grince des
l est bien certain que la fascination décrite par Luys est un état de sommeil artificiel d'ordre suggestif obtenu par imitation
qui traite ses malades par la psycho-thérapie d'agir de sorte que le sommeil provoqué ressemble autant que possible au sommeil
gir de sorte que le sommeil provoqué ressemble autant que possible au sommeil normal, qu'il évite de créer des états psycho pat
ce. M. Delbœuf suggéra aumal ade qu il verrait ses doigts, pendant le sommeil provoque, (souvent les malades de M.Delbœuf dorme
à 1 m. 3 heures avant la séance, la distanee était portée pendant le sommeil à 1 m. 60 pour retombera 1 m. 50 après le réveil.
portée à 1 m. 90 durant l'hypnose et elle retomba à 1 m. 60 après le sommeil , etc. Ces différences annotées et contrôlées pa
et Lloyd Tuckey. Ils proposèrent de démontrer quelques phénomènes du sommeil provoqué sur les membres de l'assemblée qui voudr
on peut attribuer un effet thérapeu tique aux passes mesmériques. Le sommeil hypnotique a surtout pour but d'augmenter la sugg
é l'arrêt des tremblements de la paralysie agitante pendant l'état de sommeil hypnotique- _ Je regrette que E. Bérillon n'ait
admettent, comme moi. a complète analogie du somme» provoqué avec le sommeil normal, l'hypnose ne sera obtenue réellement chez
ements de la maladie de Parkinson s'arrêtent ordinairement pendant le sommeil . Nous avons constaté que dans cette maladie, de m
aide que le chloroforme à très petite dose apporte à la production du sommeil hypnotique. M. Aug. Voisin, (de Paris) -- J'ai
de faire intervenir des inhalations chloroformiques pour produire le sommeil hypnotique chez les aliénés. La sensibilité au
est juste de iairc remarquer que, chez les sujets de ces auteurs, le sommeil léthargique n'avait duré que quelques heures. I
eut conclure en disant : 1° La nutrition n'est pas troublée dans le sommeil hvpnotique ; 2° L'hypnotisme n'es: pas un état pa
tueux par la méthode ordinaire, je n'arrivai à la guérison que par un sommeil prolongé. 3. Mlle L. C-. Vingt-deux ans.— Depui
t. Le 7 octobre, elle me consulte de nouveau, alors je lui propose un sommeil prolongé, de trois semaines peut-être, après lequ
v consentit avec plaisir, cl le it octobre au soir je l'endormis. Le sommeil continua toute la nuit, la journée et la nuit sui
hinisme. je crois pouvoir répondre par l'affirmation. J'ai suggéré un sommeil prolonge d.ins * au- \ très cas et je compte le f
t après deux heures environ un sédiment gris-clair. La nuit, point de sommeil malgré les a* centigram. de morphine en solution,
e à la dose de 50centigram. J ai suggéré au malade l'évacuation et un sommeil régulier. Des érections et des pollutions doulour
per hernie du cerveau. Un point connexe à celui-ci est la question du sommeil chez les morphinomanes. L'hyperhèmie cérébrale f-
ceux qui n'y sont pas habitués, mais l'insomnie succède bientôt à ce sommeil passager. Il en est de même du café pour certaine
ible de se rendormir. Je ferme cette parenthèse ouverte à propos du sommeil , et je complète l'étude des troubles de l'intel
aboutit qu'à la réveiller consciente de ce qui s'est passe pendant le sommeil , si Ion peut déjà désigner ainsi l'état vague dan
lle est absolument insensibilisée : à daler de ce jour les séances de sommeil sont espa-ées et nous attendons l'époque du 24 ou
asard, certainement il ne manquerait jamais de se produire pendant le sommeil hypnotique et l'hémorrhagie sera certainement plu
nément, d'autres fois dans l'espace de huit a dix minutes, un état de sommeil spécial et progressif qui diffère du sommeil natu
dix minutes, un état de sommeil spécial et progressif qui diffère du sommeil naturel en ce que les sujets tombent en catalepsi
mbent en catalepsie avec anesthésie du tégument cutané. Cet état de sommeil engendré par l'excitatiou lumineuse est d'autant
cés sur une table. Ils purent obtenir, de cette manière, une sorte de sommeil plus ou moins durable chez le chat, chez le singe
ion. Pour Crermack, l'état hvpnotique csi voisin et proche pare;*. Ju sommeil naturel- Pour Prever, au'eontraire. l'è-tat d'imm
tôt de l'angoisse, de la stupeur, de la crainte, de l'horreur, que du sommeil . De nouvelles r.-.-:icrcr>es entreprises par H
entièrement normal qui n'est autre chose qu'un plus en moins profond sommeil déterminé par la privation ou la diminution d'imp
rtificiel qui peut quelquefois se prolonger; 4° Une prédisposition âu sommeil naturel succédant au réveil et consécutif » premi
l, c'est-à-dire l'aptitude à transformer l'idée en acte. Tel est le I sommeil naturel qui. engourdissant les facultés de raison
té exaltée; nous avons vu que cet état peut être produit avec ou sans sommeil . Nous avons déjà décrit les divers procédés emp
on à faire pénétrer dans son cerveau l'idée qu'on veut réaliser. Le ! sommeil n'est pas nécessaire à la suggestion : mais il es
s l'influence des émotions suggestives, d'une idée impérieuse dans le sommeil naturel. Ces expériences si intéressantes ont sou
n tant que l'étal organique le permet, calmería douleur, restaurer le sommeil et l'appétit.augmenter la force motrice, rétablir
ne publicité prématurée aux effets, et surtout ii l'explication de ce sommeil critique, je n'ignore pas qu'il en est résuite de
élictueux ou criminel. Dans le dernier chapitre de son livre Sur le sommeil et les états analogues, paru en :û66. il écrivait
e je tentai sur une jeune fille très intelligente, cl qui, en état de sommeil profond, était la plus revéche et la plus indépen
t, calomniateur voleur, débauché, etc., pour une époque ultérieure au sommeil , mais il peut remployer, par exemple, â accomplir
nne foi l'avoir accomplie de son propre mouvement. (A suivre.) LE SOMMEIL SIMULÉ CHEZ LES ALIÉNÉS Par le docteur G. BALLE
regé oàla Faculté de Médecine Médecin des Hôpitaux. L'histoire du sommeil morbide est presque à faire- tout entière; c'est
d'hui un peu mieux connue que la physiologie, encore fort obscure, du sommeil normal. Les récents travaux sur l'hypnotisme, les
ion" de l'établir, à propos d'un cas qu'il eût été facile d'étiqueter sommeil somnambulique. Si l'on veut donc décidément voir
ette patho logie compliquée qui c-ncerne les différentes modalités du sommeil morbide ou les étatsanalogues, le mieux est de pr
connaître: les frontières; A ce litre, l'etude des états voisins du sommeil morbide. qui peuvent objectivement lui ressembler
t lui ressembler, ne nous paraît pas moins instructive que celle du sommeil lui-même. C'est à cet ordre de faits que se rappo
que se rapporte la courte note qui va suivre. Je l'ai intitulée : le sommeil simule chez les aliénés. Ce n'est pas que l'expre
e cérébrale. L'aspect du malade était celui d'un homme dormant d'un sommeil calme et tranquille. Li respiration était réguliè
ôt amené à penser qu'il s'agissait là d'une des nombreuses variées du sommeil pathologique. Et le malade avait été étiqueté « d
n attentive. nous portaient bien vite à rejeter l'hypothèse d'un vrai sommeil . Nous étions, tout d abord, frappé de ce tait (dé
elle nous suffisait pour affirmer que nous étions en présence, non du sommeil vrai, mais d'un sommeil apparent. Dans le sommeil
affirmer que nous étions en présence, non du sommeil vrai, mais d'un sommeil apparent. Dans le sommeil vrai, en effet, on obse
en présence, non du sommeil vrai, mais d'un sommeil apparent. Dans le sommeil vrai, en effet, on observe jamais (sauf dans le s
rent. Dans le sommeil vrai, en effet, on observe jamais (sauf dans le sommeil somnambulique) de contractions musculaires volont
ous avions affaire à un faux dormeur, et nous émettions l'avis que le sommeil devait être simulé sous l'influence d'idées morbi
ord, car il est fils d'une mère hystérique qui a eu des « attaques de sommeil » ; en second lieu, à son passé morbide. En effet
me elles le sont d'ordinaire en pareil cas. Chez lui, on l'a vu, le sommeil était apparent, non réel. Il ne s'agissait, dans
el, ni d'état comateux, ni d'état somnambulique, mais simplement d'un sommeil simulé sous l'influence de suggestions morbides.
d'accord pour penser qu'on n'était pas en face d'un cas de véritable sommeil . « Certains actes du malade, remarquait très just
ortit de sa torpeur, le malade avoua que, pendant toute la période du sommeil apparent, il n'avait cessé de se croire damné, et
que. chez certains aliénés, on peut observer un état fort analogue au sommeil , mais qui n'a du sommeil que les apparences. Cel
s, on peut observer un état fort analogue au sommeil, mais qui n'a du sommeil que les apparences. Cel état, de durée fort varia
d'une mort anticipée. L'on doit bien se garder de confondre ce faux sommeil des aliénés, soi! avec le sommeil prolongé, tel q
bien se garder de confondre ce faux sommeil des aliénés, soi! avec le sommeil prolongé, tel qu'on l'observe chez certains narco
ongé, tel qu'on l'observe chez certains narcolepti ques, soit avec le sommeil hypnotique, soit enfin avec les crises d sommeil
i ques, soit avec le sommeil hypnotique, soit enfin avec les crises d sommeil hystérique. LES VARIATIONS DE LA PERSONNALITÉ D
motrice, la personnalité est un phénomène de mémoire (a). » Dans le sommeil hypnotique, la notion de la personnalité est habi
ennent pas sur leur identité physique ct morale ; le moi de l'état de sommeil reconnaît pour sien le moi de l'état de veille :
r du passé aux impressions du présent est rompu ; le moi de l'état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de l'état de v
angée. Les altérations de la personnalité qui se produisent dans le sommeil hypnotique. .,u dans les états analogues, peuvent
; dans le troisième (reversion), lu personnalité qui surgit durant le sommeil n'est que la reproduction de celle qu'avait le su
xpriment ainsi ont perdu la notion exacte des rapports de leur moi du sommeil avec leur moi de la vie ordinaire. Endormies, | e
eau se substituait à l'ancien et présidait, pendant toute la durée du sommeil , aux opérations de l'intelligence et de la consci
rsonnalité est encore plus complète : le moi de la veille et celui du sommeil sont absolument étrangers l'un à l'autre ; ils n'
ce. —Un pauvre apprenti se croyait, aussitôt qu'il tombait en état de sommeil , père de famille, riche, sénateur, et reniait son
i ..i . p. Ci. totale : il n'y avait aucun rapport entre le moi du sommeil et celui de la veille. Il est à peine besoin le
met être de nature hystértque. Le lendemain, j'employai de nouveau le sommeil provoqué Les métrorrhagies n'ont plus reparu. Il
rdait au réveil le souvenir de ce qui s'étai fait ou dit pendant le sommeil , c'est pendant celui-ci que je lui fis prendre se
ille sueur locale. » BIBLIOGRAPHIE Physiologie de la Veille et du Sommeil , par S. SERGUEYEFF (2 forts vol. grand in-8°, 20f
importante que*t;on, si les alternances quotidiennes de veille et de sommeil ne cachent pas quelque réalisation directement in
caractérisant parfaitement les deux états quotidiens de veille et de sommeil . Si ces modulations peuvent logique. ment se ratt
. Doin éditeur, S, place de l'Odéon, Paris. 1891. S.serguéyeff : Le sommeil et le système nerveux 2 volumes, in- 8, 1750 page
llV 196-100. > A ] 7 h:-: :-: : La pathologie et la phytiologie de sommeil . Seuro!, centra'.blait, ¡590. p. 4*6* PREYER : Dc
tous les mois, par exemple, et durant chacun quinze jours. Pendant le sommeil somnambuliquc, cette personne se rappellera toute
clic ne se souviendra absolument que des laits survenus en dehors du sommeil . Elle aura donc deux mémoires distinctes, d'une p
nativement. A la longue, il en résultera qu'elle aura, dans l'état de sommeil , des souvenirs, des idées, des sentiments qu'elle
les sujets en état de veille somnambulique peuvent passer à l'état de sommeil hypnotique vulgaire quand on les soumet à l'actio
on seconde et vice versa. Mais, dans tous les cas, tant que durait le sommeil provoqué, elle présentait d'antres symptômes que
d'une forme particulière du somnambulisme spontané, dans laquelle le sommeil somnambulique vulgaire est remplacé par l'état de
tion, fut prise tout d'un coup, et sans avertissement préalable, d'un sommeil profond qui se prolongea plusieurs heures au delà
ez long — plusieurs mois — elle fut, sans cause connue, atteinte d'un sommeil semblable a celui qui avait précédé sa nouvelle v
elle se trouva exactement dans l'eut où elle était avant son premier sommeil , mais elle n'avait aucun souvenir de tout ce qui
tat nota-eau, elle ne sait que ce qu'elle a appris depuis son premier sommeil . Si une personne lui est présentée dans un de ces
trois procédés différents : 1° En affirmant à la malade en état de sommeil hypnotique, qu'après son réveil elle aurait tel â
este, si la suggestion suffit pour reproduite les premières phases du sommeil somnambulique, elle est généralement impuissante
as M. Bottey qui l'aurait endormie et lui aurait ordonné, pendant son sommeil , d'accomplir cette action. L... répond alors « qu
dormir vos lecteurs et ne pas être pour moi une cause de privation de sommeil . J. DElbœuf. causerie bibliographique A propo
observe chez certaines personnes susceptibles d'être hypnotisées: le sommeil s'obtient d'ordinaire d'autant plus site, plus ai
ée depuis plusieurs mois, on a provoqué assez facilement cbei elle le sommeil artificiel. Il a suffi à l'un de nous de la regar
u à préciser an point de vue scientifique les caractère* cliniques dn sommeil provoqué chez Gabrielle Bompard, de nouvelle» exp
s que nous avons observés, qu'on provoque aisément cbez l'inculpée le sommeil hypnotique et la suggestion hypnotique expé-rimcn
ue j'obtins le lendemain, en employant alors la suggestion pendant le sommeil . Je n'ai pas besoin d'insister sur l'importance q
suggestion verbale et sans avoir besoin de plonger l'individu dans le sommeil somnambulique. Je sais bien que l'on fait à ces
ut qu'après huit ou neuf séances qu'elle atteignit le second degré du sommeil hypnotique. Son état commença à s'améliorer presq
. Gabrielle Bompard est une c petite hypnotique » qui entre dans le sommeil par une attaque d'hystérie; rien n'indique qn'ell
ions dynamiques et place eu regard le tableau des dangers qu'offre le sommeil provoqué entre des mains inexpérimentées. Enfin i
rganisme dans un sens pathologique; c'est un étal physiologique et le sommeil provoqué ne diffère de l'état normal qu'en ce qu'
nt livrés à une Joute très intéressante. Le premier, convaincu que le sommeil de Sylvain était simulé, affirmait que, ni au poi
moment où il paraissait, j'essayais sur des maniaques l'influence du sommeil hypnotique prolongé pendant plusieurs jours de su
s déterminent des accès maniaqoes. L'agitation est remplacée par nn sommeil calme pendant lequel la malade prend les aliments
rines de la malade ont été analysées à trois époques différentes d'un sommeil hypnotique qui a duré du 23 mai au 24 juin. A cha
res; pain, 200 grammes. L'urine de la malade, aussi bien pendant le sommeil qu'à l'état de veille, était limpide, d'odeur nul
siW oscillait entre 1012 et 1018. L'urée et l'extrait sec, pendant le sommeil , ont marché de pair et suivi à peu près les mêmes
sont consignées les moyennes de nos analyses, on voit que pendant le sommeil . les excréta urinaires n'atteignent pas tout à fa
soude) dans la proportion de 35 à 100 en moyenne, tandis que dans le sommeil hypnotique nous constatons une inversion de la fo
¦ h o BJ TOTAL AL1'\UX 11 III1HX S* |*ï UIMI ' Il Mit hiiil 23 mai Sommeil liypnoliquo 1200« 27» 8 50« 32 l«80 U26 0S8 44 à
s, elle va passer quinze jours dans sa famille. Je l'ai endormie du sommeil hypnotique pendant une de ces périodes et j'ai fa
sommeil hypnotique pendant une de ces périodes et j'ai fait durer le sommeil quinze jours 'état léthargique). Pendant ce tem
e. L'urine a été recueillie comme dans le précédent cas, pendant un sommeil de quinze jours et analysée comme suit : Etat d
n sommeil de quinze jours et analysée comme suit : Etat de vrille-. Sommeil . Volume...........1.150 gr. 1.050 gr. Crée...
intenses, est endormie par moi. pendant un de ces accès maniaques, du sommeil hypnotique. Je fais durer le sommeil trois jours
nt un de ces accès maniaques, du sommeil hypnotique. Je fais durer le sommeil trois jours (état léthargique). Les accès passé
ysique. Le calme le plus profond succède à l'agitation (pendant son sommeil , la malade obéit à ma suggestion de se lever pour
analyses, en quantité supérieure à l'état de veille: Eut de veille. Sommeil . Volume........... 1.001 gr. 1.060 gr. Créo..
s deux observateurs n'ont dormi que une heure ou huit heures. Si le sommeil hypnotique avait dû produire un état pathologique
malades qui dorment de huit à vingt jours que chez des sujets dont le sommeil ne dure que une heure à huit heures. Je tirerai
travail ces conclusions: 1° La nutrition n'est pas troublée dans le sommeil hypnotique; 2* L'hypnotisme n'est pas un état pat
l'accomplissement de l'acte, tout peut être oublié : l'impulsion, le sommeil et celui qui l'a provoqué. € Il faut noter quel
btenir à mon avis. En effet, le cerveau de l'hypnotisé plongé dans le sommeil peut être considéré comme absolument vide et inca
ler », et aussitôt elle ouvre les yeux. Seconde séance le 9 novembre, sommeil profond pendant 1/4 d'heure. Même suggestion. 13
s du tout au moment de l'accouchement. II. — accouchement indolore. sommeil léger M. M., 31 ans, Genevoise, peu intelligent
couché. Les suites de couches bonnes. 111. — accouchement indolore. sommeil leger J. B.. Genevoise, 35 ans. couturière, pri
r ses yeux. Elle se trouve bien et n'a pas conscience du temps de son sommeil . 26 septembre, à 8 h. m., la femme est inquiète,
'heure après accouche sans souffrance. IV. — accouchement indolore. sommeil léger A. D., Française (Saône-et-Loire), quatri
. Catalepsie du bras suggestive, hyperesihésie cutanée. Après 5 m. de sommeil , demande que je la réveille, que cela lui fait ma
u'elle me demande de l'endormir dès qu'elle sentira les douleurs. Son sommeil est habilellement léger, elle entend tout ce qui
ontre elle-même de ne pas pouvoir s'arrêter. Elle exécute pendant son sommeil toutes les suggestions possibles, elle ne sent pa
ment, 1/4 d'heure après je la réveille. V. — accouchement indolore. sommeil léger M. B. (Haute-Savoie), 25 ans, deuxième gr
ivrés & une joute très intéressante. Le premier, convaincu que le sommeil de Sylvain était simulé, affirmait que, ni au poi
roise-Auguste Liébeault, résidant à Nancy, certifie avoir mis dans le sommeil M Sylvain-Joseph Vandevoir que m'a amené M. le Dr
-A. — Thérapeutique suggestive, son mécanisme; Propriétés diverses du sommeil provoqué et des états analogues : in-8°, 308 page
e trois à quatre minutes et leur durée était aussi longue qu'avant le sommeil hypnotique. Lorsque le muscle utérin commençait
ouloir réveiller les douleurs. La parturiente semblait encore avoir sommeil . Elle avait de la peine à ouvrir les paupières et
men d'une aussi grave question. J. Dklbœuf. ACCOUCHEMENT PENDANT LE SOMMEIL HYPNOTIQUE « Par il. G. 0. KIXGSBURY, M. A., M.
à l'hypuotisation, et aussi de se rendre un compte exact du degré de sommeil dans lequel il peut la plonger. Je suis pleinem
rent, au contraire : « Io que la nutrition n'est pas troublée dans le sommeil hypnotique; 2" que l'hypnotisme n'est pas un état
ombre de leurs sujets. Or, chez la première malade, il y à pendant le sommeil inversion de la formule des phosphates telle qu'o
hez les deux autres. En revanche, il y a chez le deuxième, pendant le sommeil , augmentation de l'urée et du résidu fixe, et dim
e fondent pour établir que la nutrition n'est pas troublée pendant le sommeil hypnotique, voulant infirmer ainsi les recherches
rent rapidement combattus par la suggestion. Le sujet tombait dans un sommeil profond, il n'était pas hallucinable, mais la sug
e. De plus, elle était sujette à l'insomnie. En une seule séance do sommeil profond, j'obtins une guérison complète qui ne s'
est-à-dire depuis trois mois. De plus, l'insomnie a fait place à un sommeil tellement profond et prolongé, que M— J... m'a de
mières séances, d'une heure chacune, je n'avais obtenu aucun degré de sommeil . C'est alors que je donnai à la malade une dose d
nai à la malade une dose de 50 centigr. de chloral. En dix minutes le sommeil fut profond. Je donnai la suggestion que le somme
En dix minutes le sommeil fut profond. Je donnai la suggestion que le sommeil devait désormais s'établir plus rapidement. Le le
lir plus rapidement. Le lendemain nouvelle administration de chloral. Sommeil obtenu en cinq minutes. Alors je suggérai que le
ors je suggérai que le chloral n'était plus nécessaire pour amener un sommeil rapide. Le jour suivant, sans chloral, rien que p
ide. Le jour suivant, sans chloral, rien que par suggestion, il y eut sommeil en deux minutes ; et les autres jours sommeil ins
ar suggestion, il y eut sommeil en deux minutes ; et les autres jours sommeil instantané. M. Bernheim croit que le chloral ag
riue, crache de l'écume sanguinolente. VIL — ACCOUCHEMENT INDOLORE. SOMMEIL LÉOER F. IL, 22 ans, Strasbourgeoise, primipare
une pesanteur de tête. Le 1* octobre, deuxième séance, fixation 7 m., sommeil profond pendant 10 m., à la fin je suggère de ne
auf quand on lui applique le forceps. VIII. — ACCOUCHEMENT INDOLORE SOMMEIL LEGER J. R., multipare. Les accouchements précé
femme pousse très fort, puis soupire et reste calme, plongée dans le sommeil . A minuit 3/4, la tête se montre, fait sa rotatio
a céphalée, les troubles dypspeptiques, l'insomnie et les troubles du sommeil , qui, selon M. Levillain, jouent un rôle importan
ut être obtenue de la façon la plus simple du monde par somnolence ou sommeil chez d'autres. Ce sommeil n'est pas plus dangereu
n la plus simple du monde par somnolence ou sommeil chez d'autres. Ce sommeil n'est pas plus dangereux que le sommeil ordinaire
ou sommeil chez d'autres. Ce sommeil n'est pas plus dangereux que le sommeil ordinaire ; cette persuasion n'est pas plus dange
x qui sourirent. Vous allez voir comme il est facile à endormir, d'un sommeil calme, comme le sommeil ordinaire ». Les paroles
lez voir comme il est facile à endormir, d'un sommeil calme, comme le sommeil ordinaire ». Les paroles dites doucement, sans af
enant je vais vous enlever la douleur, ou bien je vais vous donner le sommeil pour la nuit. Vous allez dormir d'un sommeil très
n je vais vous donner le sommeil pour la nuit. Vous allez dormir d'un sommeil très calme, et en quelques minutes vous serez dél
lques-uns commencent d'emblée par fermer les yeux. Je dis: « Voici le sommeil ». Ils sont pris, cataleptisables, quelquefois ha
vant les yeux, tenir les paupières closes, suggérer les phénomènes du sommeil , l'immobilité, le calme, la chaleur dans les memb
, de mon service; certainement 9 sur 10; et presque tous, 7 sur 9. en sommeil profond avec amnésie au réveil (en suggérant cett
ions, ou à toutes, sautTamnésie); 77 arrivèrent au somnambulisme et sommeil profond (amnésie au réveil et suggestibilitë post
43./*; Somnolence. 7,24 •/•; Hypotaxie, 52,49 •/.; Somnambulisme et sommeil profond, 114,84 •/.. Je ne saurais trop insiste
ève les douleurs de poitrine, si je modère la toux, si je restaure le sommeil des tuberculeux, si je calme la céphalalgie d'un
ni par remarquer qu'on pouvait lui donner le lait la nuit pendant son sommeil ; quelquefois, il se réveillait et le vomissait;
nt les périodes où il était débarrassé da ses vomissements. Enfin, le sommeil est très léger; il dort à peine trois heures dans
re succéda à une admonestation faite par son père. Elle débuta par un sommeil calme; il se réveilla au bout d'un temps qu'il ne
t lieu trois à quatre Jours après, débuta comme la première- par un sommeil , «e continua par des tremblement* eonvulsifs. Ce*
e eut lieu le 12 janvier; elle commença à huit heures du matin par un sommeil qui dura quelques minutes; au réveil, il ressenti
lentes qui se répétèrent jusqu'à midi, alternant avec des périodes de sommeil . A une heure de l'après-midi seulement, la erise
e l'après-midi seulement, la erise était terminée, après une heure de sommeil calme qui avait succédé aux convulsions, Au révei
cries plus légères ébauchées, caractérisée* seulement, dit-il, par du sommeil et des frissons. Comme antécédents héréditaires
ssaie immédiatement la suggestion à 11 heures du matin; je suggère le sommeil . L'enfant résiste d'abord, il est inquiet ; il ro
éloigne de son esprit tonte inquiétude, Je lui dis qu'il va dormir du sommeil ordinaire pendant une heure, tout seul, et qu'il
it pas mangé depuis 65 jours; il n'avait pris que du lait pendant son sommeil . Une heure après, il prit dn bouillon et un morce
ur la seconde fois et Je suggère la guérison persistante. II tombe en sommeil profond avec amnésie rétroactive au réveil; c'est
ire qu'il ne se rappelle ni avoir été endormi ni m'avoir vu avant son sommeil . A u réveil, il n'a plus ni tremblement léger,
et la suggestibilié du malade transforme l'idée en acte. Pendant le sommeil naturel, l'action psychique provocatrice du phéno
de prendre un doigt d'eau-de-vie, et ne peut retrouver le calme et le sommeil qu'après avoir satisfait son envie impérieuse. Ce
anément au moment où elle aurait dû exécuter Pacte suggéré. Dans ce sommeil spontané, elle était en rapport avec l'expériment
difficulté; les contractions de la figure ne se produisirent pas, le sommeil et le réveil eurent lieu comme auparavant. La f
de veille, ne s'est pas décidée à me demander de la mettre en état de sommeil somnambuliquc; cela doit provenir de la professio
liquc; cela doit provenir de la profession qu'elle exerce, ou bien le sommeil se reproduira spontanément par auto-suggestion.
époque elle tombait journellement, de neuf heures à trois heures, en sommeil somnambulique; cet état remonte & sa quinzièm
, elle avait des crises de nerfs (véritables crises d'hystérie). Ce sommeil apparaît aussitôt qu'elle s'assied; et peut dispa
p en poussant nn soupir tout en s'allongeant et en devenant raide. Le sommeil ne dure que très peu de temps (quelques minutes s
eillant, e\\e ne se souvient jamais de ce qui s'est passé pendant son sommeil , mais elle ressent une douleur dans la région tem
dont la cicatrice est encore visible,. u. 2^ Interrogée dans son sommeil sur la nature de son état, elle répond qu'elle es
Une fois, un pasteur de Bâle a essayé de la délivrer de son état de sommeil ; ce fut en vain, il la surexcita au contraire et
u six malades fussent assis dans la salle) et était tombée en état de sommeil somnambulique. Les bras étaient en état de cont
comme je l'avais déjà fait à l'état de veille, qu'il fallait que son sommeil m'appartint et que, sur mon ordre, elle s'endormi
méthode ordinaire de la suggestion de Nancy, et elle montra, dans le sommeil hypnotique, les mêmes contractions que dans le so
ontra, dans le sommeil hypnotique, les mêmes contractions que dans le sommeil somnambulique spontané. Je lui suggérai la dispar
, ils avaient totalement disparu. De ce qui s'était passé pendant son sommeil , elle n'avait aucun souvenir. Au reste, le réveil
péra comme la première fois qu'il s'était agi de la faire sortir du sommeil somnambulique spontané. Après cela, je m'en allai
ser. Elle me pria, si cela était en mon pouvoir, de la délivrer de ce sommeil et d'avoir pitié d'elle. Qu'elle avait été autref
actuellement elle était encore injustement accusée, que d'ailleurs ce sommeil était pour elle un tourment; qu'elle devenait sus
que je pouvais faire sur elle exactement la même expérience, que son sommeil ou son non-sommeil étaient entièrement dans ma ma
entièrement dans ma main. Que je pouvais, selon mon désir, prendre le sommeil ou le donner, en même temps faire disparaître la
isparaître la peur et les douleurs et lui reprocurer immédiatement le sommeil nocturne perdu. Tout cela lui ô©7 imposait beauco
ractère intensif et impulsif. Je suggérai la tranquillité {du calme), sommeil nocturne, une bonne disposition, etc. Elle se rév
eillante (capable et do confiance., rendit compte qu'elle avait eu le sommeil agité. Le 17 décembre, à huit heures trois quar
feste également au médecin auxiliaire le désir d'être délivrée de son sommeil . Peu avant trois heures de l'après-midi, nous a
par un signe de tète) et déclare que, de cette façon, je trouble son sommeil . Demain, elle ne sera plus endormie; à la suite d
us raisonnable, plus lucide d'esprit et tout à lait bien portante; ce sommeil nerveux est un état de maladie et n'a jamais fait
érai la disparition de la peur et de toutes les sensations maladives, sommeil calme, l'obéissance entière à mon égard; elle se
d compte maintenant que je peux à ma guise lui prendre et lui ôter le sommeil . Là-dessus la somnambule me dit de sa voix conn
Bâle, s'est donné toutes les peines possibles pour la délivrer de ce sommeil , mais n'est parvenu qu'à l'exciter. Un magnétis
s gens sont guéris par son traitement somuambulique, et qu'en état de sommeil soranambnlique elle voit à travers des corps mala
osiques qui, à un moment donné, assumèrent le caractère régulier d'un sommeil somnambulique profond, se renouvelant, par auto-s
raient été inculquées par quelqu'un pendant les premiers temps de son sommeil somnambulique. Le sommeil somnambulique de la f
elqu'un pendant les premiers temps de son sommeil somnambulique. Le sommeil somnambulique de la femme Fay est si typique, si
imiter, il y a encore d'autres symptômes, tels que la tranquillité du sommeil nocturne, la physionomie au moment du réveil et l
rs, a neuf heures du matin et a trois heures de l'après-midi, dans un sommeil somnambulique, et qu'alors elle a répondu à diver
ue dans le paragraphe 44 du code pénal zurichois, relatif à l'état de sommeil somnambulique, est absolument logique. En génér
ant avec douceur et m'attachant à éloigner toute émotion, j'arrive au sommeil profond (avec amnésie au réveil) ; j'affirme la d
a disparition de la gêne rétro- sternale, la possibilité d'avaler, le sommeil de la nuit, etc. 5 mars. — La malade a pu prend
inclinée en avant. Je l'hypnotisai alors el la ûs marcher pendant son sommeil , lui suggérant l'absence de douleur pendant la ma
aît. Je fais de nouveau une suggestion et la fais marcher pendant son sommeil provoqué. Mais je ne puis immédiatement déraciner
e cuisse pendant une quinzaine de jours. La digestion est normale. Le sommeil est bon. État actuel : 16 mars. — Constitution
e est de 37,8; le 17, au matin, 37,3. Le 17, au matin : suggestion. Sommeil profond avec amnésie au réTcll. Je surgère la dis
l'hypnotisme, par Fraipont et Delbœuf, 289. Accouchement pendant le sommeil hypnotique, par Kingsbury. 298. Accouchement sa
gestion, 107. Aliénés (révision de la législation), 316. Aliénés ( sommeil simulé chez les), 170. Aliénés et le asiles d'a
. Castration comme pénalité (la). 26. Chloroforme et la production du sommeil hypnotique (le). 126. Chorée, traitée par suggest
ie pénale (la), par G. Tarde, 277. Physiologie de la veille et du sommeil , par Seygueyeff, 189. Précurseur lyonnais de l'
ychologique, 180. Société pour les recherches psychologiques, 60. Sommeil dogmatique. 4. Sommeil simulé chez les aliénés, p
iété pour les recherches psychologiques, 60. Sommeil dogmatique. 4. Sommeil simulé chez les aliénés, par Ballet, 170. Somna
11 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
pêcher de dormir pendant deux minutes. » « 2° Après deux minutes de sommeil , vous le regarderez fixe-» ment et vous ne pourre
asseoir et s'endort. M. Bernheim l'interroge de nouveau pendant son sommeil somnambulique, mais peut-être un peu trop rapidem
s termes: « Oui, c'est ce monsieur, etc. » ; puis, chose curieuse, le sommeil devenant plus profond. ¡I revient à sa première v
érébrale, bien des cas de convulsions, bien des cas de propensions au sommeil , ou de sommeil prolongé, et les médecins eux-même
des cas de convulsions, bien des cas de propensions au sommeil, ou de sommeil prolongé, et les médecins eux-mêmes n'arrivent pa
jeune femme devenue presque imbécile après avoir été trois nuits sans sommeil . J'ai connu personnellement plusieurs étudiants
bliques d'hypnotisme. Depuis » cette époque, le sujet a des crises de sommeil spontané, pendant les-» quelles il accomplit des
te fille vint consulter M. Charpignon; elle lut raconta « que » ces sommeils existaient, parce que ce monsieur la magnétisait
ine, assument une si lourde responsabilité et provoquent eux-mêmes ce sommeil si compromettant ? Quand je vois que c'est pour
et ils sauront comment ils doivent se prémunir contre les dangers du sommeil provoqué. Sur ce point, je me sépare absolument
vres mensongères, telles que passes magnétiques destinées à amener un sommeil fictif et simulé, ou encore la promesse d'une gué
haut, et non contredit, que David était réellement plongé dans le sommeil magnétique; qu'il devenait alors inerte et incons
t. la Société a entendu une communication de M. le dr Dufailly sur le sommeil provoqué à distance, de M. Manouvrier sur le cerv
je, ne voie, ni n'entende plus l'un des assistants désigné pendant le sommeil somnambulique, que son esprit, ses sens, ses perc
rêté à diverses reprises pour essayer de déterminer les caractères du sommeil au moment de la pause. Je suis parvenu à consta
état de léthargie. Cette léthargie (fig. 1) n'est autre chose que le sommeil ordinaire(1) ; car si je surprends le sujet dans
se que le sommeil ordinaire(1) ; car si je surprends le sujet dans ce sommeil et que je diminue l'hypnose par l'application de
passe par les doigts avant d'arriver à l'oreille. (1) Comme dans le sommeil ordinaire, j'ai eu l'occasion d'observer une fois
este pu constater l'identification de cette phase léthargique avec le sommeil ordinaire que sur un seul sujet, Benoist. (2) D
avec un enfant paralysé de la langue et qu'on avait amené pendant son sommeil , qu'il a éprouvé une cuisson au col de la vessie
qui prononce sur la valeur des signes extérieurs des choses. Dans le sommeil , l'attention est amoindrie ci paralysée au point
t plus. Les premières séances d'hypnotisation ne produisirent qu'un sommeil léger, qui devint de plus en plus profond. Les su
devint de plus en plus profond. Les suggestions tendent à rétablir le sommeil et les fonctions digestives, et surtout à détourn
ne lui a apporté aucun soulagement. Lors des premières séances, le sommeil provoqué par la fixation du regard s'est fait lon
et après chaque séance se trouve soulagée pour quelques heures. Le sommeil naturel redevient meilleur. J'ai essayé,dans ce c
ais au bout de peu de jours l'agitation reparait. Les nuits sont sans sommeil , les fonctions digestives profondément troublées.
lieu, de lui faire prendre en horreur toute boisson alcoolique. Le sommeil a été provoqué par la fixation du regard et après
nies opiniâtres depuis des années. — La morphine ne procurait plus de sommeil . Après un assoupissement de une à deux heures dan
qu'après sevrage complet de la morphine et dans le but de ramener le sommeil , d'améliorer la digestion et de combattre la disp
suggéré, elle se sent parfaitement bien et reposée comme après un bon sommeil naturel. 7° Femme âgée de 44 ans. Hystérique. —
e dans ce cas pendant la suppression graduelle desdites drogues. — Le sommeil n'est ni aussi prompt à venir Ini aussi profond q
parvient a se tenir tranquil.e pendant des heures. — Et peu a peu le sommeil naturel revient dans une certaine mesure. — Elle
anche, les membres gardant leurs attitudes, et tantôt dans un état de sommeil , naturel en apparence, et profond. Au fur et à
es jours après le départ de Donato, il devint sujet à des attaques de sommeil spontané dans lesquelles il mimait les scènes que
leurs victimes incapable» de défense en le» plongeant dans un profond sommeil à la suite d'un simple attouchement avec la main.
ion, mais encore 1 auto-suggestion et la vivacité du souvenir dans le sommeil hypnotique qui rendaient le mieux compte de tous
ances défavorables, l'endormît dès la première séance, lui suggéra un sommeil paisible de quelques heures pour le premier jour,
re que nous revenons à nos premiers sujets, tous encore endormis d'un sommeil paisible. Nous procédons à leur réveil, et arrivé
répétait ponctuellement la leçon qui lui avait été faite pendant son sommeil . Nous passons à un autre, même question ; un peu
ts précédents, doit, me semble-t-il, être acquis aux débats : i* Le sommeil , qui n'est du reste pas indispensable a la produc
domine entièrement la situation. la suggestibilité du sujet. Le terme sommeil hypnotique désigne donc un phénomène complexe, co
énomène complexe, comprenant d'une part, comme élément accessoire, le sommeil proprement dit, et, comme élément fondamental ind
es. En dehors de cette condition, il n'y a pas hypnose, y eût-il même sommeil , et celui-ci doit, en somme, être considéré comme
ordial de la suggestion. C'est pourquoi il est inexact de comparer le sommeil normal au sommeil hypnotique : ils n'ont de commu
stion. C'est pourquoi il est inexact de comparer le sommeil normal au sommeil hypnotique : ils n'ont de commun que le fait même
prolonger fon longtemps. 6* degré. L'action magnétique provoque un sommeil doux et léger; le magnétisé se trouve dans un éta
près le réveil, 7* degré. Le magnétisé est dans un état apparent de sommeil ; ses paupières et tout son corps restent entière
entend ce qu'on lui dit et peut répondre; il prévoit la durée de son sommeil ou la fixe, guidé par l'instinct qui commence à s
uidé par l'instinct qui commence à se développer. 8* degré. Etat de sommeil dans lequel le système viscéral a acquis assez d'
e magnétisé ne peut ouvrir les yeux ; ¡1 est dans an état apparent de sommeil ; il est entièrement isolé et, quelque bruit qu'on
lle ne connaissait pas et qui était entré dans la chambre pendant son sommeil , s'écria : « Non, non, ce n'est pas possible, si
accès s'annonçait généralement dans la journée par un grand besoin de sommeil ; ci le soir, B... s'endormait dès qu'il était au
médecin. Les actes criminels qui peuvent être perpétrés pendant le sommeil hypnotique sont de nature diverse ; parmi eux, je
e de potassium, au lieu d'agir comme sédatit, empêche absolument tout sommeil ; l'ingestion de ce médicament produit une sorte
s par l'ortie, sans rougeurs. L'o- pium donne de l'insomnie ou un sommeil açité et avec cauchemars. Un tampon de laudanum a
ranger dans le cadre de l'hypnotisme que les phénomènes réguliers de sommeil ou de somnambulisme lucide, alors M. Delbceuf peu
viscérales: ces sensations agissent sur certains individus en état de sommeil , de façon à meure leur système nerveux dans des d
irc, est modifié de façon à le rendre analogue à ce qu'il est dans le sommeil . On a cherché à identifier le sommeil hypnotique
analogue à ce qu'il est dans le sommeil. On a cherché à identifier le sommeil hypnotique avec le sommeil normal. Je ne vois auc
s le sommeil. On a cherché à identifier le sommeil hypnotique avec le sommeil normal. Je ne vois aucun inconvénient à considére
le somnambulisme naturel et dans le somnambulisme artificiel, dans le sommeil provoqué par l'hypnotisme et dans le sommeil spon
isme artificiel, dans le sommeil provoqué par l'hypnotisme et dans le sommeil spontané. .Mais pendant que l'individu est ains
é. .Mais pendant que l'individu est ainsi en état de somnolence, de sommeil , que son intelligence et sa spontanéité sont endo
, ne confondons pas, comme on l'a fait quelquefois, l'hypnose avec le sommeil . On a souvent qualifié de sommeil les phénomènes
fait quelquefois, l'hypnose avec le sommeil. On a souvent qualifié de sommeil les phénomènes hypnotiques. Ce n'est pas le somme
uvent qualifié de sommeil les phénomènes hypnotiques. Ce n'est pas le sommeil , ou plutôt il y a un sommeil hypnotique, mais dan
phénomènes hypnotiques. Ce n'est pas le sommeil, ou plutôt il y a un sommeil hypnotique, mais dans l'hypnotisme il y t autre c
sommeil hypnotique, mais dans l'hypnotisme il y t autre chose que le sommeil . D'après moi, les phénomènes de l'hypnotisme, en
catégories différentes. La première forme de l'hypnotisme, c'est le sommeil , et, comme je l'ai dit tout à l'heure, je considè
l'heure, je considère cette forme comme absolument sem- blable au sommeil naturel, offrant le même mécanisme de production
thargique ou la léthargie hypnotique, qui n'est pas autre chose qu'un sommeil plus ou moins profond. La seconde forme, c'est
tique au somnambulisme artificiel; elle ne constitue cependant p3S un sommeil ; l'individu en ctat de somnambulisme ne dort plu
3S un sommeil ; l'individu en ctat de somnambulisme ne dort plus ; le sommeil est un éiat passif, inerte. Appeler sommeil le so
bulisme ne dort plus ; le sommeil est un éiat passif, inerte. Appeler sommeil le somnambulisme, c'est commettre une grave erreu
ppeler sommeil le somnambulisme, c'est commettre une grave erreur; le sommeil est un état passif, un état d'inertie; le somnamb
uatrième forme, quelle est-elle ? Que peut-il encore y avoir après le sommeil hypnotique, après les convulsions hypnotiques et
étonne du désaccord qui règne entre les médecins sur l'explication du sommeil hypnotique et des moyens de le provoquer. Ce désa
il» veulent expliquer les causes et les conditions physiologiques du sommeil naturel ? Cette ignorance ne prouve rien. Nous sa
e rien. Nous savons que l'on peut produire, par des moyens divers, un sommeil particulier que nous désignons sous le nom d'hypn
nomène sur des lapins, des poules et d'autres animaux. Evidemment, ce sommeil , que nous désignons sous le nom d'hypnose, est un
demment, ce sommeil, que nous désignons sous le nom d'hypnose, est un sommeil indifférent au point de vue de la morale, un fait
morale, un fait qui n'est ni bon ni mauvais. Mais si je profite de ce sommeil pour suggérer à ce: endormi une pensée criminelle
e un linge imbibé de quelques gouttes de chloroforme, il s'endort. Ce sommeil provoqué, que l'on pourrait aussi désigner par le
e opération chirurgicale sur un malade endormi. Mais si j'abuse de ce sommeil pour faire suggérer au malade une pensée mauvaise
et l'évolution des facultés de l'âme dans la période mystérieuse du. sommeil provoqué. La distinction si simple et si naturell
ons sous-cutanées de morphine, et je détermine ainsi dans le sujet un sommeil réparateur. A son réveil, le sujet est en pleine
sujets endormis par des somnifères, quand ils se réveillent après un sommeil réparateur? Aucune. j'ai hypnotisé mon malade, sa
les épaisses ténèbres où s'écoule sa vie. Connaissons-nous bien le sommeil naturel, les rêves, le somnaanfl lisme naturel? S
eil naturel, les rêves, le somnaanfl lisme naturel? Savons-nous si le sommeil nerveux provoqué par l'éther, le colorai, l'opium
a tête d'un sujet névropathe endormi tranquillement dans son lit d'un sommeil naturel, on pourrait lui imposer des suggestions
cements ne se produisent qu'a l'état de veille, jamais pendant le sommeil , ei ne reconnaissent pas de causes déterminées. I
i faisant fixer soit les yeux, soit un objet brillant, de produire le sommeil . Le résultat est nul. Même expérience et même i
M. le Dr Bërillon, sur la demande de M. Mesnet, tente de provoquer le sommeil par suggestion. Un engourdissement notable est dé
x, élève du service, s'efforce de provoquer cher le malade un étai de sommeil plus profond. Il y parvient sans peine et refait
u'il a cessé de venir, parce que jusqu'ici il a constamment simulé le sommeil , mais qu'il ne dormait pas. Par une série d'exp
té, nous voyons que par une persévérance réfléchie on a pu obtenir un sommeil profond chez un sujet paraissant au premier abord
articulier, c'était un fait d'hypcrmnésïe produit sous l'influence du sommeil lomnambulique. Cette femme', étant tout? enfant,
s côtes d'Adam pour en créer Eve, exécuta cette 'opération pendant le sommeil de notre aïeul. » Nous ajouterons à cela qu'il
probable que l'anesthésie dont bénéficia Adam ait été le résultat du sommeil ordinaire. Pour qu'il n'ait pas été réveille par
tion qui lui était faite, il fallait qu'il fût plongé dans un état de sommeil exceptionnel. L'hypnotisme pourrait seul rendre c
sieurs observations d'accouchements effectués sans douleur pendant le sommeil hypnotique ont déjà; été publiées dans cette Revu
oskwa. 1888. de lagrave : Hypnotisme, états intermédiaires entre le sommeil et la veille. Paris. 1888; in-16, 160 p. J. l
boule brillante argentée qui était suspendue au-dessus de sa téte. Le sommeil a été obtenu après quelques minutes de fixation d
inutes de fixation de l'objet et après l'injonction de dormir. Dès le sommeil obtenu, j'ai commencé des suggestions qui ont por
orte que sur les faits qui se sont passés en dehors, de ses crises de sommeil . Il sait qu'il se lève quelquefois La nuit, parce
t de peur, se cache sous ses draps ci y reste blotti jusqu'à ce qu'un sommeil lourd et agité lui rende un semblant de repos- To
{i) a pu l'observer, la crise se produit dans les premières heures du sommeil et se renouvelle avec une périodicité d'une régul
. On a attribué — non sans raison dans certains ca» — le trouble du sommeil chez les enfants à l'existence de parasites , d'h
s; il suffit surtout qu'il y ait été mêle des excid tants pour que le sommeil , ensuite, soit mauvais et traversé de rêves,; C'e
périence, je crois néanmoins avoir observé qu'à un âge très avancé le sommeil peut être produit plus facilement. L'auteur n'a j
reuse. Jamais le magnétisme minéral ni 1 électricité n'ont produit le sommeil . Enfin, c'est pour nous du nouveau d'apprendre qu
tions ont paru montrer que le chloral calme la douleur et provoque le sommeil ; aussitôt on administre a des animaux, à des homm
tersbourg. 1886. fort : Operation chirurgicale pratiquée pendant le sommeil hypnotique. Bull. gén. de thérap.année LVIII. n°
ns le rêve.) luys : Procédé et instruments nouveaux pour obtenir le sommeil nerveux. Compt, rend Soc. de biol., sér. VIII. t.
z elle facilement une hallucination négative. Je lui dis, pendant son sommeil : « A votre réveil, vous ne me verrez plus; je se
mois) depuis notre dernière séance, j'eus quelque peine à obtenir le sommeil . J'y parvins néanmoins et en profitai uniquement,
ct. Il me pria donc de l'accompagner et d'essayer l'anesthésie par le sommeil nerveux provoqué. J'endormis la malade par le reg
lui est impossible de faire lo salut militaire. l'Hypnotisation : Sommeil rapidement obtenu par fixation du regard; catalep
ulisme: suggestion de sensibilité, de comractilîté et tfanalgcsie. Le sommeil est miintenu pendant vingt minutes. Au réveil, le
nmoins, pour la confirmer, je fn«s une nouvelle suggestion pendant le sommeil , en affirmant que pareil accident ne se reproduir
s n'ont que l'importance d'un simple rêve survenant dans !e cours du* sommeil ordinaire. Si, par le fait de cet état anormal, d
uvait une jeune fille chez laquelle il lui fut facile de provoquer le sommeil artificiel. Mais, hélas! il ne lui fut pas si fac
dégradant métier sur l'injonction qui lui en fut faite dans l'état de sommeil artificiel. En même temps j'apportais une observa
alisation des jeunes gens, à l'aide de la thérapeutique suggestive du sommeil . Et l'on ne peut y parvenir, comme l'a fort bien
estions niaises, crie pour des riens, etc. — Mis 435 fois, d'abord en sommeil très profond, puis en somnambulisme, il a montré
est lourd d'esprit et apprend difficilement. — A été mis une fois en sommeil profond et 2 fois en somnambulisme. Il en est rés
rance quand on l'interroge- — ta à ; séances de suggestion pendant le sommeil profond l'ont rendu plus attentif. ç.—4 février
de la bouche et la tette. — Quelques séances avec suggestion dans le sommeil profond ont amené cet enfant à bien, et j'ai appr
va ne pouvoir plus parler, elle ; reste muette. — 7 séances, tant de sommeil léger que de sommeil profond, n'ont amené aucune
arler, elle ; reste muette. — 7 séances, tant de sommeil léger que de sommeil profond, n'ont amené aucune amélioration dans l'é
dessin: se plaint de céphalalgie. — Après avoir é:é mise 4 fois-1 en sommeil profond, elle a montré plus de disposition au tra
e. — Malgré de nombreuses séances de suggestion, pendant les états de sommeils léger et profond, je ne suis arrivé à rien. 12.
rand appétit et l'usage d'une nourriture saine et abondante. — Mis en sommeil léger, pendant 15 jours, et une fois par jour, ce
trefois, il est inattentif et il a pris un air hébété. — j séances de sommeil léger avec suggestion lui ont fait oublier ses ma
et dans la rue, sans écouter aucune remontrance, etc. — A été mis en sommeil léger du 12 octobre au 6 novembre. Il en est résu
En outre, il a un caractère -auvage et il fuît tout le monde. —Mis en sommeil très profond, puis en soflel nambulîsme pendant p
ucher de nouveau, a cette tribune, à l'histoire de l'hypnotisme et du sommeil provoqué. On peut cependant le faire aujourd'hu
N'est-il pas singulier qu'une, personne hypnotisée puisse, durant le sommeil provoqué, se rappeler des noms, des figures, mill
doit plus opérer lui-même), mais qui sait se servir avec habileté du sommeil provoqué. Ces appréhensions, je le dis en passant
plus de même de la suggestion directe. Qu'il soit possible, durant le sommeil hypnotique, de donner au somnambule des ordres au
use, en apparence au moins, sont les suggestions produites pendant le sommeil et dont la réalisation n'a lieu qu'après le révei
s après son réveil, frapper du poing sa voisine de lit. Sortie de son sommeil , X... n'a gardé aucun souvenir de l'ordre suggéré
e nous l'avons produite : mais expérience qui nous démontre que si le sommeil hypnotique est la situation qui se prête le mieux
e grande place? Je ne parle plus de la suggestion provoquée durant le sommeil , donrde nombreux travaux dans ces dernières année
res, et cette fois ne rentre plus. cours et conférences /attaque de sommeil Leçon clinique de M. Ic professeur Ciuscot Recu
meuse de la Salfêtriére. Je dois vous dire que, malgré la durée de ce sommeil , on est sans inquiétude sur le compte de cette fe
en de grave dans son état. Cette femme, en effet, a des attaques d: sommeil depuis :87s : une fois elle a dormi deux mois, un
car elle représente un type particulier : la malade a des attaques de sommeil , c'est là un phénomène propre a l'hystérie et qui
l'histoire d'Eudoxic dans le travail de M. Gilles sur les attaques de sommeil . Ccue femme est entrée à la Salpêtrtère. il y
taques ont duré jusqu'en i8j5, et ont été remplacées parles crises de sommeil . Les attaques antérieures étaient bel et bien des
emment pas. On a appelé l'état dans lequel est cette femme crise de sommeil : le mot sommeil est-il bon: Dans tous les cas, i
a appelé l'état dans lequel est cette femme crise de sommeil : le mot sommeil est-il bon: Dans tous les cas, il ne s'agit en au
ommeil est-il bon: Dans tous les cas, il ne s'agit en aucune façon du sommeil naturel. Quand on dort, on prui vous réveiller en
ts, quelques mouvements sans réveil aucun. Autre différence avec le sommeil naturel. — La malade présente une série de contra
at de tension et d'agitation si différent de ce que l'on voit dans le sommeil naturel avec résolution musculaire, qui me fait c
ommeil naturel avec résolution musculaire, qui me fait considérer le. sommeil de cette femme comme une attaque fruste, une atta
x l'intime parenté de ces états connexes, l'hystérie, les attaques de sommeil et le sommeil hypnotique. Comment vit la malade
enté de ces états connexes, l'hystérie, les attaques de sommeil et le sommeil hypnotique. Comment vit la malade* De la manièr
a, en effet, ralentissement de la nutrition pendant toute la durée du sommeil , puis repriso des combustions (élévation du taux
s combustions (élévation du taux de l'urée. Kcgnard), au moment où le sommeil cesse. 11 y a bien un peu d'amaigrissement dû ù l
eu d'amaigrissement dû ù l'autophagic, mais sans gravité. L'état de sommeil hystérique ne peut être confondu en aucune manièr
ebove a appelé apoplexie hystérique la première phase de l'attaque de sommeil . Cette apoplexie, c'est le début brusque de l'att
bons muscles et toute leur force, avaient bon appétit et dormaient du sommeil du juste. Il affirme aussi que les effets dangere
être invoquée. H une de mes clientes en ville je suggère, pendant son sommeil provoqué, qu'à son réveil, elle ne me verrait
t ù mesure qu'un ordre est intimé an malade, on contrôle, pendant son sommeil , que l'exécution s'en ctfectue. Réveil.— Les ef
i longtemps. ii décembre. — L'amélioration s'accentue. 4» séance. — Sommeil très rapide. Suggestion, comme à l'ordinaire ;
ie tac d'une montre. Les nuits suivantes, elle fut agitée pendant son sommeil , elle avait des rêves et était surtout tourmentée
nfirmité qui semblait devoir s'éterniser. REVUE DE LA PRESSE Le sommeil normal, comme le sommeil hypnotique, est le résul
oir s'éterniser. REVUE DE LA PRESSE Le sommeil normal, comme le sommeil hypnotique, est le résultat d'une inhibition de l
hebdomadaire de méde~ cine, etc., p. 38a), j'ai déjà démontré que le sommeil hypnotique est un effet d'inhibition. D'une autre
donner, en quelques mots, les raisons qui conduisent à considérer le sommeil normal comme l'elfet d'un acte inhibitoire. La
comme l'elfet d'un acte inhibitoire. La théorie d'après laquelle le sommeil dépend d'une contraction vas-culaire ayant lieu d
opérations, paralysé les vaisseaux du cerveau, il est évident que le sommeil , qui alors se produit comme à l'ordinaire, non se
c'est-à-dire une hyperhémie même notable. Il est donc certain que le sommeil peut exister, qu'il y ait peu ou qu'il y ait beau
ang dans les vaisseaux du cerveau. La perte de connaissance dans le sommeil , comme dans de nombreuses autres circonstances ac
tout ce qu'on sait des circonstances qui précèdent ou accompagnent le sommeil . Je me bornerai à dire à ce sujet que, de même
e sujet que, de même que dans toute inhibition, il existe, lorsque le sommeil se produit et tant qu'il dure, des irritation
et de la respiration. Ces divers phénomènes tnbibitoires. associés au sommeil , montrent bien l'existence d'une irritation quelq
iodique de cessation de l'activité intellectuelle. La production du sommeil chez l'homme, dans l'expérience de Fleming et d'A
arotide, le sympathique cervical et le nerf vague, montre bien que le sommeil peut provenir d'une irritation périphérique. A ce
nt au siège ordinaire de l'irritation ou des irritations que cause le sommeil , je ne puis rien dire de plus que ceci : i* 11 n'
ctions réflexes et les inhibitions paralytiques qui sont associées au sommeil , si nous les considérons comme dues à des irritat
ces faits, que des irritations, a sièges divers, existent pendant le sommeil , ayant commencé un peu avant le moment où il surv
vient. Il y a donc tout lieu d'accepter que le principal phénomène du sommeil ordinaire, c'est-à-dire la perte de connaissance,
ne hutte où elle s'endort afin de voir en songe le sorcier; durant ce sommeil , c'est-à-dire l'espace d'une heure, toute la trib
venue enceinte sans trop savoir où ni comment,— probablement dans son sommeil hypnotique, — elle me revenait pour accoucher à l
échanges avec le dehors, suivant l'intensité plus ou moins grande du sommeil hypnotique et la concentration de la malade sur l
dont elle avait pris possession à deux reprises différentes, dans son sommeil hypnotique, sans en garder souvenir au réveil, et
e la mémoire, d'une part à l'état de veille, d'autre part à l'état de sommeil hypnotique, soit aujourd'hui vérité démontrée et
alade avait pris connaissance à deux reprises différentes pendant son sommeil provoqué, sans en garder le souvenir au réveil, e
, ont la valeur d'un symptôme pathognomonique. Aux divers degrés du sommeil hypnotique répondent des modifications de plus en
tateur, dont l'influence grandit proportionnellement à l'intensité du sommeil hypnotique. Nous avions à ce moment même, sous
xclusive et personnelle. Alix était depuis un quart d'heure dans le sommeil hypnotique ; nous avions passé en revue ses diver
barbe... — C'est Monsieur un tel, dit aussitôt Marie. Pendant son sommeil , elle est presque toujours impatiente, grince des
mentateur, est un fait commun à la plupart des somnambules arrivés au sommeil profond et qui peut être considéré comme constant
de son intelligence, par ses réponses nettes et précises, pendant son sommeil hypnotique. Chaque jour elle nous donnait la pr
nnaire des phénomènes de même ordre provoqués chez l'homme dormant du sommeil hypnotique. Depuis dix ans, j'ai recueilli plus
tat de veille et que je n'avais, personnellement, jamais endonnies du sommeil hypnotique. (A suivre.} UN CAS DAUTO-H YPNO
é, après m'êire endormi et réveillé plusieurs fois, je tombai dans un sommeil tout particulier et que je connaissais bien pour
l'éther, du haschich. ou d'autres substances capables de produire le sommeil anesthésique ou des hallucinations. L'hypnotism
, p. 76, 1889. (Sur la psychologie de l'hypnose.) ¦ H"» N-i yi : Le sommeil normal comme le sommeil hypnotique est le résulta
sychologie de l'hypnose.) ¦ H"» N-i yi : Le sommeil normal comme le sommeil hypnotique est le résultat d'une inhibition de l'
dont on les suggère. L'amnésie, la suggestion à l'état de veille, le sommeil hypnotique, ne sont que des produits de la sugges
ggestions produiraient leur effet à l'état de veille comme pendant le sommeil , tous mes hypnotisés sont devenus suggestibles à
n n'aura jamais de sujets qui se permettent de tomber spontanément en sommeil hypnotique ou qui se laissent hypnotiser par tout
d'eau, et qu'aussitôt qu'il l'aura prise, il retombera endormi, d'un sommeil profond. Cela a lieu. Alors je lui dis : * Vous v
e lit, vous avalerez une gorgée d'eau qui vous endormira du coup d'un sommeil profond, sans rêves, lequel durera jusqu'au matin
Macnish et d'Azam) ; c'est ce qui a lieu pour chacun de nous dans le sommeil et la veille, comme on l'a souvent fait observer.
, mais soit leur intensité, soit leur qualité diffère. Dans l'état de sommeil , dans le rêve, les représentations ont la qualité
la suggestion donnée. La clarté de l'effet dépendra aussi du degré de sommeil ou de veille. On sait que tous les états interméd
absolue. Ici de nouveau tout dépend de la suggestion de veille ou de sommeil qu'on a donnée au sujet ou de l'auto-suggcstion d
mmeil qu'on a donnée au sujet ou de l'auto-suggcstion de veille ou de sommeil qu'il se fait lui-même. Lorsqu'on se méfie de s
n'ai pas fixé le sujet, ni prononcé une seule parole pour induire le sommeil ; aussi le fait que B. entra en hypnose et non da
ire le sommeil ; aussi le fait que B. entra en hypnose et non dans le sommeil naturel, n'a pu Être produit que par mon attouche
l'eut d'hypnose, l'année passée, et ce souvenir a dû lui suggérer le sommeil hypnotique. D'une voix douce, je recommandai au
insu, mais encore que le dormeur peut se tromper sur le degré de son sommeil et que l'appréciation subjective prête facilement
ant la séance. 1-e S avril, seconde séance, qui a duré 20 minutes : sommeil léger. Suggestion : distinguera la distance de
minutes] : pesanteur des paupières et de la tè*:e, engourdissement et sommeil léger. J'ai suggéré de f jire tout comme dans l
istance de 6 pas, de l'œil gauche^- Le 12 avril, cinquième séance : sommeil profond. Après la séance, le malade, à la distanc
. première séance. Au bout de 5 minutes, la malade est tombée dans le sommeil ; néanmoins, elle avait bien entendu la haute sug
5 centim. Le résultat de la séance est positif. Le 13 mai, 4' séance. Sommeil très rapide. Suggestion : Distinguer clairement
jours suivants, fiait par amener un colUpsus général, accompagné d'un sommeil spécial. C'est un sommeil qu'on pourrait appeler
amener un colUpsus général, accompagné d'un sommeil spécial. C'est un sommeil qu'on pourrait appeler aaccanique. qui est doué d
tif. C'est là, en effet, le véritable état de suggestibilité, le vrai sommeil magnétique ; on peut, dans cette période, provoqu
, en pratiquant ces manœuvres, on a donné au sujet, d'abord l'idée du sommeil , puis l'ordre de s'endormir. Le sommeil peut se
au sujet, d'abord l'idée du sommeil, puis l'ordre de s'endormir. Le sommeil peut se produire à des degrés divers. C'est, au d
arrive à un degré plus ou moins avancé des phénomènes, on obtient un sommeil hypnotique léger ou profond. Quant au mode de suc
e des phénomènes, tel autre donnera d'emblée le summum d'intensité au sommeil magnétique. Enfin, il est utile de ïaire remarq
es de l'hypnose ne sont pas toujours en rapport avec la profondeur du sommeil que l'on obtient. En somme, ce qui caractérise
pposée à ses opinions, dont vous lui aurez fourni le thème pendant le sommeil hypnotique ? La preuve qu'il n'y a pas simulation
ir; — bien plus, nous avons même réussi â la faire entrer dans le sommeil hypnotique en fixant son regard, après lui avoir
rera en crise. Serrez toute autre partie du bras ou de la main, et le sommeil ne se produira pas. Les caractères somatiques f
t le sommeil ne se produira pas. Les caractères somatiques fixes du sommeil sont, chez F..-, également indépendants de la sug
térées, soit pendant l'hypnose, soit à l'état de veille, d'obtenir un sommeil sans contractures; cela nous a été impossible. No
racture. Enfin, nous n'avons ¡amáis pu lui faire exécuter pendant son sommeil un acte quelconque ; c'est toujours au réveil qu'
avec une petite toux sèche. Battements de coeur très violents. Pas de sommeil , ou bien un sommeil pénible et agité par des rêve
sèche. Battements de coeur très violents. Pas de sommeil, ou bien un sommeil pénible et agité par des rêves et des cauchemars
ar 1a suggestion, l'état s'était amélioré. L'appétit était revenu; le sommeil plus calme, mais le caractère était resté très su
es formules sans difficulté. En même temps, la mémoire revenait, le sommeil était calme: plus d'idées fixes, ni d'hallucinati
'une semaine de traite- ment, lui Taire faire chaque jour dans le sommeil deux repas très complets composés de poulet, de p
ns. Elle mangeait sans aucune difficulté et même avec appétit dans le sommeil hypnotique, mais, une fois réveillée, il lui étai
résultat que progressivement en augmentant peu à peu la durée de son sommeil . Cette nouvelle période de son traitement fut plu
bli absolu de tout ce qui s'est passé pendant ses longues périodes de sommeil . Au moment où je la réveille, elle se trouve immé
oir de repos, plus d'intérieur réglé, plus d'heures de repas, plus de sommeil . € Si c'est un homme, dit Trélat, il abuse de s
y a des idées de suicide incessantes. On ne peut la laisser seule. Le sommeil manque à peu près complètement. Je constate que
te, d'idées noires et de secousses dans le membre supérieur droit. Le sommeil dure une demi-heure. 4 juillet. La douleurdetét
très facilement et j'ai pu, par des suggestions exécutées pendant le sommeil hypnotique, faire disparaître tous les phénomènes
transition qui leur sont particuliers. De plus, les caractères de son sommeil ne sont pas ceux de l'un des trois états de la Sa
d'autres encore. Il existe donc des hystériques qui offrent dans le sommeil hypnotique des phénomènes somatiques fixes différ
paupières, la pression du vertex, déterminaient chez lui. non pas le sommeil hypnotique avec son évolution complète ou tronqué
véritablement le trait d'union qui relie la veille aux phénomènes du sommeil nerveux complet en grand hypnotisme. * Babinski
(je ne dis pas le seul de cette thérapeutique, est la suggestion. Le sommeil par lui-même, en l'absence de suggestion, peut êt
avoir des renseignements avant d'opérer sur elles. i° Avez-vous un sommeil calme ou agité :— celui qui est sensitif ayant en
sommeil calme ou agité :— celui qui est sensitif ayant en général un sommeil agité. 2* Vous est-il possible de dormir à deux
avait guéri spontanément. Elle se coucha et s'endormit bientôt d'un sommeil ininterrompu qui dura onze heures. Au réveil, la
tuce chez l'enfant (l'), par Collineau. 25. 60, 89. 142. Attaque de sommeil , par Charcot. 216. Auteur d'une suggestion crimin
raphique international. 127, 158, 223, 288. ?20. Inhibition dans le sommeil normal et dans le sommeil hypnotique, par Bro
158, 223, 288. ?20. Inhibition dans le sommeil normal et dans le sommeil hypnotique, par Brown-Séquard, 252. Instruction
pnotisme devant les). 193. Soldat somnambule (la légende du), 97. Sommeil (attaque de), par Charcot, 216. Sommeil hypnotiqu
mnambule (la légende du), 97. Sommeil (attaque de), par Charcot, 216. Sommeil hypnotique, résultat d'une inhi-binon de l'activi
12 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
pas en rapport avec la continuité et l'abondance des vomissements. Le sommeil est souvent agité, elle appelle sa mère pendant s
ments. Le sommeil est souvent agité, elle appelle sa mère pendant son sommeil et demande à boire. Dès le premier jour j'obtie
e suggestion verbale, l'hypnose avec amnésie au réveil; et pendant le sommeil provoqué j'affirme à la malade qu'elle ne vomira
ler de la tête en arrière, l'occlusion définitive des paupières et le sommeil . Je m'assure aussitôt de l'insensibilité de la pe
erai son oreille gauche et en môme temps quelle sera calme pendant ce sommeil , qu'elle reviendra me trouver le lendemain avec s
cès en 30 secondes. Même suggestion que la veille. Le surlendemain le sommeil est obtenu de la même façon en 15 secondes. J'ajo
iculté de la faire lever le matin avant 11 heures. A la 5me séance le sommeil était obtenu en 10 secondes, les attaques et les
au, Ploix, Jules Voisin. Opérations chirurgicales faites pendant le sommeil hypnotique, par le Dr Schweltz, de Nice. OBS.
renvoyée à huitaine, toute crainte disparut. Elle déclara pendant son sommeil qu'elle avait été effrayée par la perspective de
lle. Le lendemain, 12 avril, elle arriva à l'heure fixée pendant le sommeil hypnotique. L'anesthésie fut complète dès le débu
les malades, de ne les prévenir du jour de l'opération que pendant le sommeil magnétique, sous peine de ne pas réussir à les en
r le meilleur sujet hypnotique, peur qui mettra un obstacle absolu au sommeil magnétique. Je conseille donc, après avoir préven
vant. Car il n'est pas nécessaire souvent de plonger le sujet dans un sommeil profond, l'occlusion des paupières suffisant déjà
space de temps variant de quelques secondes à quelques minutes. Si le sommeil n'est pas vite obtenu de cette manière, je précip
ptiques usitées en pareil cas. Après avoir plongé la malade dans un sommeil hypnotique, je pratiquai sur l'œil malade un lava
itôt et nous fit voir que cette pseudo-syncope n'était qu'un effet du sommeil hypnotique. C'est dire que la patiente ne ressent
voir de l'hypnotiser et j'arrive très facilement à le plonger dans le sommeil profond. Je lui fais aussitôt la suggestion qu'il
et les promesses avaient été sans résultat; c'était bien pendant son sommeil et à son insu que l'accident lui arrivait. On l
océphales, sur l'importance de l'état intermédiaire à la veille et au sommeil , sur la physiologie pathologique des hallucinatio
e fait ainsi à cette idée, on lui suggère de dormir. Puis, pendant le sommeil hypnotique, on lui palpe le ventre de façon à éve
je vous prie de bien vouloir répondre aux questions suivantes : 1° Le sommeil hypnotique est-il de même nature que le sommeil o
ons suivantes : 1° Le sommeil hypnotique est-il de même nature que le sommeil ordinaire? 2° Le sommeil hypnotique est-il touj
il hypnotique est-il de même nature que le sommeil ordinaire? 2° Le sommeil hypnotique est-il toujours dû à la suggestion ?
5° Les zones hypnogènes existent-elles ? 6° Quelle est la cause du sommeil hypnotique ? 7° Quel est l'état de la sensibili
que, plus la différence a été grande, pour lui, entre l'hypnose et le sommeil ! A son avis, on n'a jamais observé à l'état no
ec succès, de développer une hypnose en provoquant le rapport dans le sommeil normal ! On peut même déterminer par la suggestio
é de rapprocher autant que possible la forme de l'hypnose de celle du sommeil naturel, quoique ce soit une condition capitale p
suggestion, demandent d'abord au patient une situation qui dispose au sommeil (tranquillité absolue, pas de bruit dans la pièce
on commode, l'obscurité, etc.); alors, ils suggèrent les symptômes du sommeil en écartant avec soin les irritations des sens ex
autant que possible seulement par la continuation des suggestions de sommeil . Les suggestions dans le domaine moteur (cataleps
se. En outre, on tiendra compte des indications des patients sur leur sommeil , après le réveil (sensation de fatigue, véritable
ssivement ; c'est-à-dire que l'on supprime lentement les symptômes du sommeil en provoquant un réveil graduel. Les troubles fug
rop subit. Il est utile de laisser les patients tranquilles dans leur sommeil pendant une demi-heure avant de les réveiller. Ce
, etc.); la seule influence suggestive se rapporte à la production du sommeil , à la constatation de son degré d'intensité, à la
ptômes hystériques possibles chez les prédisposés, comme des accès de sommeil , des spasmes, du délire. Ces symptômes caractéris
furent atteintes, pendant l'année 1891, d'accidents nerveux, états de sommeil , vertiges, maux de têtes, convulsions. Ces symptô
mes se produisirent, sans exception, par imitation. Dans les états de sommeil existait la faculté de réagir aux suggestions ver
Par le D- Lié beau lt, de Nancy. Veille ou état psychique actif. — Sommeil ou état psychique passif. — Etats passifs physiol
hique passif. — Etats passifs physiologiques et morbides analogues au sommeil . — Suggestion. Sur le terrain psychique très ét
peuvent venir : c'est-à-dire, pour bien me (1) Voir moa livre : Du Sommeil , p. 12. Paris, O. Doin, 1889. faire comprendre,
: les expériences de vésication et de formation de plaies, pendant le sommeil le plus profond, les stigmatisations par influenc
erveau et tout l'organisme, ainsi qu'il résulte de ce qui précède, le sommeil , grâce à la suspension voulue, consentie et plus
science ; ou, pour mieux formuler, dans ce qu'il a d'irréductible, le sommeil est un arrêt ou un ralentissement du pouvoir volo
tative continue à veiller : il dort. Si c'est ainsi qu'on arrive au sommeil ordinaire, c'est par une même concentration d'esp
une même concentration d'esprit qu'on peut faire naître sur autrui le sommeil provoqué. Nombre d'anciens hypnotiseurs., leurs s
antage la méthode pour endormir, il suffit seulement, pour obtenir le sommeil provoqué, que l'opérateur favorise l'accumulation
. Par les caractères consécutifs qui suivent, caractères propres au sommeil ordinaire et que présente aussi le sommeil provoq
ent, caractères propres au sommeil ordinaire et que présente aussi le sommeil provoqué, tels que : ralentissement ou arrêt de l
x, rêves, etc., toutes marques du recueillement de l'esprit, ces deux sommeils sont les mêmes. Et le sommeil provoqué par cela m
du recueillement de l'esprit, ces deux sommeils sont les mêmes. Et le sommeil provoqué par cela même qu'il se développe après u
oins dans quelques cas, démontre que, dans son origine suggestive, le sommeil ordinaire lui-même ne peut être, à la suite du be
n chez le dormeur. Moins le besoin de dormir, absent dans le cas du sommeil provoqué, ces deux sommeils diffèrent par une s
besoin de dormir, absent dans le cas du sommeil provoqué, ces deux sommeils diffèrent par une seule chose. Au lieu de s'être
plus paraître en rapport avec qui ou quoi que ce soit, le dormeur du sommeil provoqué s'endort dans une idée qui accompagne ce
rincipe, — moins la particularité du rapport psychique établi dans le sommeil provoqué, entre l'opérateur et le sujet, la seule
Et cela arrive, soit que les dormeurs, isolés de tout, comme dans le sommeil ordinaire, se soient suggérés la disparition du s
it effectivement ; soit que, en rapport avec quelqu'un, comme dans le sommeil provoqué, ils aient reçu de celui-ci l'idée de la
parce que je me suis aperçu, il y a déjà 28 ans (voir mon livre : du Sommeil , p. GO), que chez les dormeurs somnambules, entre
de l'attention réfléchie sur l'idée continue de dormir détermine les sommeils ordir naires et provoqués, cette idée devenant fi
e dissociation disproportionnelle de l'action de la pensée pendant le sommeil , il y a, par suite, affaiblissement ou anéantisse
distribution des forces nerveuses dans tous les états passifs dont le sommeil est le type. Et cette dissociation se retrouve
type. Et cette dissociation se retrouve avec évidence dans les deux sommeils naturels ou provoqués : par exemple, quand, dans
sante se retrouve très distinctement dans certains états analogues au sommeil , et particulièrement chez les fascinés, les tourn
u sur l'idée fixe de dormir, idée qui devient acte et est le pivot du sommeil ; l'autre part, — pôle actif, — où cette même forc
sur l'idée fixe de dormir; que non seulement, par cette idée fixe, le sommeil se prolonge, faute de la part des sujets endormis
. Du reste, beaucoup de faits se passant dans des états ana-logues(au sommeil confirment cette notion. S'il n'y avait pas une
de l'idée de reposer dans laquelle ils se sont mis en entrant dans le sommeil ; là, au même pôle, chez les dormeurs provoqués,
il arrive dans les rêves. Cette impossibilité que Ton a, pendant le sommeil , de ne pouvoir, d'un côté, faire des efforts volo
s, — est le phénomène le plus caractéristique et le plus culminant du sommeil . — Cette impuissance à vouloir, qui rend inerte l
u'on leur désigne ou qu'ils désignent d'avance. Si, pour se livrer au sommeil , leur attention afflue et se concentre dans le ce
eurs. C'est en vertu de l'inertie acquise de la volonté, pendant le sommeil , que l'on s'éveille à l'heure fixée d'avarice. Ta
tion et de reconstitution des forces nerveuses qui s'opère pendant le sommeil est près d'être complet; dès que, par suite, l'at
tzing, de Munich. Dans un travail sur les phénomènes psijchiques du sommeil , Pilcz 35 indique comme cause une anémie relative
on corticale ne sont pas perçues. L'auteur explique les phénomènes du sommeil partiel, en admettant un défaut d'excitabilité de
ance médico-légale de l'hypnotisme, a provoqué chez une hystérique le sommeil par la simple occlusion des yeux et des oreilles,
la simple occlusion des yeux et des oreilles, et a trouvé que dans le sommeil produit de cette façon, il existait de la récepti
ivers phénomènes moteurs et secrétoires qui se manifestent pendant le sommeil hypnotique seproduisent, d'après lui, parce que l
lors dormir les malades pendant quelques heures. R. a obtenu aussi le sommeil dans la manie périodique, ainsi que dans de léger
65, et de Schmidecxz renferment des études sur le somnanbulisme et le sommeil , ainsi que des résumés d'ensemble avec commentair
pie suggestive. Les erreurs des sens, les troubles de l'appétit et du sommeil lui semblent être surtout accessibles au traiteme
e, et sont seulement plus régulières dans leur forme « Les courbes du sommeil normal sont complètement identiques à celles du s
es courbes du sommeil normal sont complètement identiques à celles du sommeil hypnotique, même dans le sommeil ordinaire, sans
complètement identiques à celles du sommeil hypnotique, même dans le sommeil ordinaire, sans rêves, les manifestations vitales
Bourdon 78 a opéré, sans douleur, un polype de l'utérus dans un léger sommeil hypnotique après avoir simulé l'emploi du chlorof
me agent thérapeutique, a souvent un effet puissant pour provoquer le sommeil , pour calmer les douleurs et contre les névroses.
que l'on se propose de faire naître vient de lui-même, que ce soit le sommeil , un fait ou une sensation. La fatigue des yeux n'
sensation. La fatigue des yeux n'interviendrait dans la production du sommeil qu'à titre de suggestion indirecte ou à titre d'a
e l'association communément répandue dans les esprits entre l'idée de sommeil et l'idée de fatigue des yeux. La fixation du reg
fixation du regard provoque la fatigue; la fatigue provoque l'idée du sommeil et l'idée du sommeil provoque le sommeil. Parta
ovoque la fatigue; la fatigue provoque l'idée du sommeil et l'idée du sommeil provoque le sommeil. Partant de ce principe il
a fatigue provoque l'idée du sommeil et l'idée du sommeil provoque le sommeil . Partant de ce principe il est facile de compre
il est facile de comprendre qu'un sujet qui s'oppose énergiquement au sommeil , y tombe néanmoins assez facilement. Ce sujet, re
e peut réussir que_ chez les sujets qui se laissent imposer l'idée du sommeil . La difficulté que nous éprouvons journellement à
e ne crois pas, contrairement à l'avis exprimé par M. Julliot, que le sommeil hypnotique soit toujours le résultat d'une sugges
, sujette à une maladie nerveuse, elle se trouvait mieux après chaque sommeil magnétique et parce qu'elle croyait être utile à
dit. Mais si cette mort se produit sur une bicyclette ou à l'état de sommeil hypnotique, voilà une grosse affaire, et il est b
ouf pour être plus exact, elle n'accepte pas les suggestions dans le sommeil hypnotique, tandis qu'elle exécute assez bien cel
l y avait, en somme, une amélioration notable. (A suivre.) VEILLE - SOMMEIL - HYPNOTISME (Suite et fin.) Par le D' Liébeaul
peu que l'on dirige leur esprit sur l'idée de dormir, entrent dans le sommeil provoqué presque avec la même facilité et aussi v
idus qui surtout s'endorment par imitation et chez lesquels l'idée du sommeil , c'est déjà le sommeil, si cette idée s'empare d'
rment par imitation et chez lesquels l'idée du sommeil, c'est déjà le sommeil , si cette idée s'empare d'eux dans un de ces mome
ant plus ou moins de celle qui, chez tout le monde, est à l'entrée du sommeil ordinaire. Tant que la lutte pour l'existence n'e
is savoir si les sujets que j'avais à traiter par la thérapeutique du sommeil étaient facilement hypnotisables, je leur affirma
bien plus, un de mes clients que je traitais par la thérapeutique du sommeil et auquel j'avais suggéré, pendant son somnambuli
ont Braid a été le promoteur. « Cet état, ai-je dit dans mon livre du Sommeil (»), n'est pas encore le sommeil, puisque la pers
et état, ai-je dit dans mon livre du Sommeil (»), n'est pas encore le sommeil , puisque la personne influencée conserve une cons
ination émue que l'on éprouve à la vue d'un serpent, (1) Voyez : Du sommeil provoqué, p. 30. Paris, O. Doin, 1889. d'un ani
etrouve déjà, d'une manière plus apparente, le caractère essentiel du sommeil : l'entrainement irrésistible de la volonté ou so
t plusieurs semaines, je n'avais, par simple affirmation et dans leur sommeil , pu faire apparaître la moindre rougeur sur la su
elles aux plus élevées, les rapproche de leur type physiologique : le sommeil , état dans lequel on peut facilement les reprodui
uel on peut facilement les reproduire toutes par affirmation. Dans le sommeil , on retrouve des signes de chacune d'elles : idée
, etc., tous signes qui les caractérisent plus ou moins en partie. Le sommeil en est véritablement la forme primitive. Et ainsi
sommeil en est véritablement la forme primitive. Et ainsi que dans le sommeil , la volonté, pendant qu'on est sous le court em
este toujours ouvert. Tant que, dans les états passifs analogues au sommeil , cette disposition de s'affirmer ou de recevoir d
tradictoires à ce qui se passe dans l'état normal de santé, veille ou sommeil , il en est peu, en ce qu'ils sont, qui soient dét
iologiques qui en sont des formes toutes préparées et qui dérivent du sommeil : il n'en sont que des manières d'être diversifié
nt du sommeil : il n'en sont que des manières d'être diversifiées. Le sommeil , qu'on peut appeler : folie physiologique, est av
t ou l'anéantissement de la volonté que ces états présentent tous, le sommeil se les relie, et par lui, ils sont, morbides ou n
onnement, etc. De même, dans ce qui précède, on constate aussi que le sommeil et les états passifs, à leur tour, sont des effet
tention appliquée par quelqu'un pour faire naître sur autrui, soit le sommeil , soit ses dérivés, et cela par la présentation à
r déterminer, par l'action du moral sur le physique, non seulement le sommeil et quelques autres états passifs, mais encore un
urtout, n'apportent rien de nouveau sous le soleil de la science : le sommeil , les états passifs se sont toujours formés par le
d'agir: suggestion hypnotique, auto-suggestion dans la production du sommeil ordinaire et des états passifs, eclosión auto-sug
anisme. Ce mécanisme est donc à la base des phénomènes psychiques des sommeils ordinaires et provoqués, et à la base des phénomè
a Société déterminera ultérieurement les conditions du concours. Le sommeil de l'adolescent. M. Moreau, de Tours, donne les
nseils suivants pour assurer aux adolescents en voie de croissance un sommeil hygiénique et réparateur: Tout d'abord, il faut
érence à ceux de coton qui excitent la peau, énervent et empêchent le sommeil d'être réparateur. Tous les jours les garniture
s, et 10 heures jusqu'à 20 ans. Le lever aura lieu à 6 heures. Le sommeil trop prolongé alourdit le sang et l'esprit. La me
rmeurs, d'autre part, beaucoup de ces malades ont perdu l'habitude du sommeil régulier. Ceux-ci auront à réapprendre à dormir
oit très précis dans l'état d'hypnose. Ces rêves ont-ils lieu dans le sommeil naturel ou dans une des nombreuses variétés du so
s lieu dans le sommeil naturel ou dans une des nombreuses variétés du sommeil hypnotique? Je n'en sais rien. Le fait en lui-mêm
tous les mouvements à distance. Après les séances réussies elle a le sommeil tranquille; après les séances difficiles ou manqu
à l'aide de persuasion à l'état de veille ou de suggestion pendant le sommeil hypnotique. Il est regrettable que l'on ait presq
l'Institut psycho-physiologique d'instruments destinés à provoquer le sommeil (miroirs à alouettes, etc.), de cerveaux préparés
uccès légitime de ces Ecoles a été si considérable qu'il a troublé le sommeil de lagentbud-gôtivorê. Déjà, à maintes reprises,
qui peut assurer ses progrès. Hors la liberté, il n'y a pour elle que sommeil et immobilité. Il faut donner aux foyers où elle
continuer toute la journée et ne s'arrêter le soir que vaincu par le sommeil . Il a commencé l'usage du labac à l!âge de 16 ans
femme vertueuse: » En 1866, le Dr Liébeault, dans son livre sur le Sommeil et les états analogues, dont, à cette époque, il
e je tentai sur une jeune fille très intelligente, et qui, en état de sommeil profond, était la plus revêche et la plus indépen
, calomniateur, voleur, débauché, etc., pour une époque ultérieure au sommeil , mais il peut l'employer, par exemple, à accompli
ilieu d'une assemblée simplement attentive, il se douterait, dans son sommeil même, que ce qu'il voit et ce qu'il fait est illu
pnotisés. (Revue Philosophique, mars 1886), THÉORIE HISTOLOGIQUE DU SOMMEIL Hypothèses sur la physiologie des centres nerve
leucocytes, trouverait son application dans l'analyse du phénomène du sommeil et réveil, et nous donnerait ce que j'appellerais
il, et nous donnerait ce que j'appellerais la théorie histologique du sommeil . Chez l'homme qui dort, les ramifications cérébra
re une grande confiance. Elle entre, en effet, tout de suite, dans un sommeil profond, pendant lequel je suggère la disparition
udes populaires. Dans beaucoup de pays, les mères éveillent l'idée du sommeil dans l'esprit de leurs enfants et leur imposent l
volontairement rester dans l'insomnie? A ce titre, la lutte contre le sommeil , qui a eu lieu en Angleterre, présente un grand i
E EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 9e année. — n° 9. Mars 1805. LE SOMMEIL HIVERNAL DE LA MARMOTTE F) Par M. le D* Raphaûl
beaucoup d'hypothèses, plus ou moins ingénieuses, sur le mécanisme du sommeil ; mais les faits expérimentaux manquent, et les se
ions scientifiques que nous possédons ont été fournies par les cas de sommeil pathologique suivi de mort. J'ai l'honneur de com
echerches que je poursuis depuis plusieurs années sur le mécanisme du sommeil hivernal chez les mammifères, lequel ne diffère d
canisme du sommeil hivernal chez les mammifères, lequel ne diffère du sommeil ordinaire que par sa durée plus prolongée, avec u
né des résultats très importants, au point de vue de l'explication du sommeil et de l'hypothermie. Contrairement, à ce que l'on
es Sciences, le 25 février 1895. moyenne, de 0 ce 87 dans l'état de sommeil et de 0 ce 60 dans l'état de veille. L'écart de c
en torpeur. L'acide carbonique s'accumule depuis le commencement du sommeil jusqu'à la lin. Or, on sait qu'en faisant respire
umon, les urines et les fèces ; puis l'animal s'endort et, pendant le sommeil , il s'accumule une certaine quantité de liquide d
orte et aux phénomènes qui en dépendent, au moment de la veille ou du sommeil . L'accumulation d'acide carbonique dans le sang
cessaires dans un mémoire complet, je considère comme démontré que le sommeil hivernal de la marmotte est une autonarcose carbo
personnalité dont j'ai parlé, après d'autres, dans mon ouvrage sur le Sommeil (1), entrer pour un temps dans la peau d'un assas
ns les plus vilains personnages, arrive-t-il jamais que, pendant leur sommeil , ils soient ces personnages? Il y aurait à ce suj
ouchant la possibilité théorique des suggestions criminelles (1) Le sommeil et les rêves (Paris, Alcan), pp. 24 et suivantes.
rage. II Si, dans l'état de fascination, cette forme amoindrie du sommeil où Ton reste encore comme éveillé, on arrive parf
aux incitations diverses qu'on lui fait, à plus forte raison dans le sommeil à son plus haut degré, ou au lieu d'être en rappo
rement, ce qui est relativement rare; à plus forte raison, pendant le sommeil , l'endormeur acquiert-il sur son sujet un pouvoir
me faire comprendre à propos de cette vérité que j'émets: que dans le sommeil le plus profond, il y a chez ceux qui y tombent,
erté complète de toutes les fonctions psychiques et organiques, et le sommeil , où les mêmes fonctions de la pensée et du corps
te de, la concentration de l'attention sur cette cheville ouvrière du sommeil : l'idée fixe de reposer. Si, en principe, les ph
e l'idée, dans laquelle on s'est concentré pour dormir et qui fixe le sommeil , perd de son ressort et se détend. Et pour preu
ion que l'on fait des caractères appartenant soit à la veille soit au sommeil , que, dans la veille, il survient des signes du s
eille soit au sommeil, que, dans la veille, il survient des signes du sommeil : ainsi des hallucinations physiologiques ou morbi
uggestives que l'on a reçues ou que l'on s'est faites de la veille au sommeil et que l'on garde. Dans le sommeil, à l'opposé, i
l'on s'est faites de la veille au sommeil et que l'on garde. Dans le sommeil , à l'opposé, ils se produit des manifestations de
même du temps écoulé, etc. Entre ces états tout opposés, veille et sommeil , on constate donc une pénétration réciproque, un
un enchevêtrement de leurs fonctions. L'homme qui est parvenu dans le sommeil au plus haut degré et qui, par cela même, est néc
a pierre qui tombe. Ce n'est que lorsque cet homme est rentré dans un sommeil de plus en plus léger, qu'il regagne peu à peu de
'exécute que dans certains états de folie. Quant à ne parler que du sommeil ordinaire, il y a déjà des preuves à l'appui qu'o
endant son cours et même après, par répercussion. Dans mon livre : Du Sommeil , j'ai relaté, d'après Charpignon, des faits qui d
relaté, d'après Charpignon, des faits qui démontrent que, pendant ce sommeil , s'il est surtout profond, l'homme jouit de si pe
apporté autrefois, dans une brochure concernant la médecine légale du sommeil , pour ne citer que les meurtres, que, sur 9 cas d
ordonnance de non-lieu. Ces crimes commis par des dormeurs, dans leur sommeil ordinaire, à la suite d'une auto-suggestion venan
e suggestions faites par quelqu'un sur ces mêmes dormeurs mis dans le sommeil provoqué? Que peut répondre à cela M. le Pr Delbœ
ls éprouvent même aussi pendant ,1a veille, les entraînent pendant le sommeil à des actes post-hypnotiques en corrélation avec
ntelligence proteste souvent. J'ai déjà rapporté, dans mon livre : Du Sommeil , d'après Brière de Boismont, le récit qu'il a fai
que les hallucinations mystiques, survenues automatiquement dans leur sommeil et auxquelles ils croyaient de toute leur âme, ta
s convaincu, bien des fois, chez des sujets mis au plus haut degré du sommeil : chez eux, il n'y a plus de désillusions produit
souffrait l'enfant, démangeaison qui non seulement le privait de tout sommeil régulier, mais obligeait la mère à lui faire des
eau du corps entier était saine, douce, libre de toute irritation. Le sommeil était bon et l'enfant put retourner à l'école, ce
aison cessa complètement, les éruptions du cuir chevelu cessèrent, le sommeil devint profond et la malade ne s'éveilla pas une
longtemps. Ce qui la ranimait spécialement, c'était le bienfaisant sommeil de la nuit. Je la traitai en tout dix-huit fois
ant d'un eczéma du cuir chevelu, des mains et des pieds, j'étais sans sommeil et complètement déprimée. Je suis maintenant parf
upart des patients sont désappointés quand ils ne tombent pas dans un sommeil profond, mais, d'après mes observations, seulemen
rte à croire que les Américains sont moins dociles à la suggestion de sommeil que ne le sont les français. 3* Cas.—Jeune femm
l'inflammation s'était aggravée à tel point qu'elle en avait perdu le sommeil . Je l'amenai au deuxième degré de somnolence et
instincts. — traitement par la suggestion hypnotique. — DIX jours de sommeil Par mois. — Suppression a peu prés complète des
i survenaient en dehors des époques menstruelles. (La durée de chaque sommeil était d'une demi-heure). Mais les attaques pers
'intérêt que présente l'influence de la suggestion hypnotique et d'un sommeil provoqué durant huit à dix jours de suite, il est
Je lui demande de (1) La malade n'a pas cessé pendant ces jours de sommeil de prendre ses repas et de faire ses besoins. m
ltées en deux. Elles étaient immobiles et semblaient piongées dans le sommeil ; toutefois les yeux ouverts et presque effarouché
grés de l'hypnotisme. 3° Les théories modernes sur la production du sommeil . — Analogie entre le sommeil normal et le sommeil
s théories modernes sur la production du sommeil. — Analogie entre le sommeil normal et le sommeil provoqué. — Les sommeils pat
ur la production du sommeil. — Analogie entre le sommeil normal et le sommeil provoqué. — Les sommeils pathologiques. — Les rêv
eil. — Analogie entre le sommeil normal et le sommeil provoqué. — Les sommeils pathologiques. — Les rêves et les hallucinations
crimes ou les délits qui se rencontrent, comme par accident, dans le sommeil ordinaire, il est possible de les reproduire dans
dans le sommeil ordinaire, il est possible de les reproduire dans le sommeil provoqué, et cela, ainsi que je l'ai déjà dit, au
re au dehors. Cet ordre de faits, je l'ai signalé dans mon livre : Du sommeil , en 1866, et d'autres observateurs en ont confirm
ent, ce dernier sujet aurait pu être du nombre de ceux qui, dans leur sommeil , montrent de la résistance morale, comme en a pu
inels d'un dormeur à l'égard de quelqu'un que ce dormeur soit dans le sommeil ou redevenu éveillé, et, pour en finir, j'en appe
e. Nous aurions voulu pouvoir le remettre, au moins une fois, dans le sommeil , pour que, dans cet état, il puisse nous éclairer
sque-là. Or, entre autres choses, ce jeune homme nous révéla dans son sommeil des détails très importants se rattachant à sa dé
es, avant d'avoir quelque peu approfondi l'étude de la psychologie du sommeil et de ses analogues, dont la propriété la plus cu
ggestions faites antérieurement. Si, comme règle générale : plus le sommeil est profond, plus forte est l''influence de la su
ait-on pas admettre que dans mon cas, le réve arrivant au milieu d'un sommeil profond alors qu'aucune idée contraire ne vient s
e d'épilepsie, le malade reste dans l'obtusion ou bien il est pris de sommeil , d'un délire passager ou bien peut reprendre ses
it fixer l'extrémité brillante d'un athésiomètre de Brown-Sequard. Le sommeil ne seproduitpas, mais le sujet est fort ému et,
ent à celui de l'Institut psycho-physiologique : 1° Etat de veille. — Sommeil . — Rêves. — Sommeil pathologique ; 2° Mémoire.
titut psycho-physiologique : 1° Etat de veille. — Sommeil. — Rêves. — Sommeil pathologique ; 2° Mémoire. — Maladies de la mém
s de l'hystérie. — L'hystérie en médecine légale ; 5° Hypnotisme. — Sommeil hypnotique. — Zones hypnogènes. — Fascination. —
Fascination. — Hypnotisation à distance ; 6° Différentes phases du sommeil hypnotique. — Etat somnambu-lique. — Excitabilité
; 8° Suggestion. — Somnambulisme provoqué. — Suggestions pendant le sommeil , à l'état de veille, post-hypnotiques. — Effets d
ier, qui a précédé son entrée à l'hôpital, elle avait des attaques de sommeil de durée variable, à peu près tous les jours. Pen
s de sommeil de durée variable, à peu près tous les jours. Pendant ce sommeil elle était fort calme, les yeux à demi fermés, av
l'attaque. Si on tient compte des circonstances qui ont déterminé ces sommeils , de la tristesse continuelle de la malade, de son
e qui a toujours été très susceptible, on est disposé à rattacher ces sommeils à des émotions et à chercher l'idée, le fait psyc
ffort, elle ne retrouve aucun souvenir de ce qui se passe pendant ces sommeils , elle affirme n'avoir au début aucune idée en t
st maintenant terminée, d'une bien désagréable infirmité. Pendant son sommeil elle urinait toutes les nuits dans son lit. Bien
ore. Ce ne fut que le surlendemain que l'on put la tirer un peu de ce sommeil singulier et en obtenir quelques réponses. Les
utifs sont aussi très évidents ; ce sont des vertiges, des peurs, des sommeils , des mictions involontaires, des excès de boisson
ite). — On peut, en hypnotisant C..., reproduire artificiellement ses sommeils spontanés, et pour comprendre la nature et la p
ils spontanés, et pour comprendre la nature et la production de ces sommeils , il suffit de lui faire une suggestion bien simpl
ès toujours le même. Ne disons donc pas que la malade a des crises de sommeil , disons plutôt qu'elle a des attaques de réve, d'
érique: aura, sensation de boule, convulsions, cris, arc de cercle et sommeil assez prolongé après l'attaque, tout était fort s
e l'éther, pendant plusieurs jours. Enfin, elle tombait endormie d'un sommeil que j'avais pris, au début, pour le sommeil de l'
lle tombait endormie d'un sommeil que j'avais pris, au début, pour le sommeil de l'ivresse, et qui était surtout un sommeil hys
pris, au début, pour le sommeil de l'ivresse, et qui était surtout un sommeil hystérique analogue à celui qui suivait ses premi
rique analogue à celui qui suivait ses premières crises. Une fois, ce sommeil s'est prolongé huit jours. Enfin, elle se réveill
déterminent (1). C..., après six semaines de traitement, n'a plus de sommeils spontanés ; ses rêves ne se reproduisent plus que
. — Création d'un centre d'arrêt, par Bérillon, 306. Adolescent (le sommeil de 1'). 158. Agrégation en médecine (le concours
d'ambulancières et d'ambulanciers, 349. Ectropion opéré pendant le sommeil hypnotique, 50. Eczéma et un de dermatite trait
19, 350, 379. Etats passifs physiologiques et morbides analogues au sommeil , suggestion, par Liébeault. 97. Expériences méd
i sur l'exercice de la médecine (la pratique du), 279. Marmotte (le sommeil hivernal de la), par Raphaël Dubois, 257. Marty
rrêt, par A. Colas, 308. Opérations chirurgicales faites pendant le sommeil hypnotique, 47. Paralysie, à la source de Ste-V
13 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
livre fameux publié eu 1841 sous le titre : Nearypnology ; traité da sommeil nerveux on hypnotisme, a fait, le premier, ressor
» Liébeanlt, dans tous ses écrits, ne cesse de revendiquer pour le sommeil provoqué la place prépondérante dans l'art de la
ovoqué la place prépondérante dans l'art de la psychothérapie. * Le sommeil , écrivait-il en 1894, est le meilleur des remèdes
it folie de ne pas s'y coucher et de s'étendre a côté sur la dure. Le sommeil n'est-il pas comparable a un bon lit où l'on doit
ce cas, plus puissante sur l'organisme qu'elle ne peut l'être dans le sommeil . Us se sont grandement trompés. S'ils ont eu des
ont dû être peu importants, et ils ont été uniquement les fruits d'un sommeil partiel ou spontané. » (2) Telle était égalemen
année, niai 1898. (2) l iébeault : a travers les états passifs : le sommeil el les rêves (Revue de l'Hypnotisme, 8e année, 18
sous le titre : Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué, basée sur l'examen de la tension artéri
ves sur la tension artérielle dans l'état de veille et dans l'état de sommeil provoqué, il résulte nettement que l'hypnotisme e
notisme découle de ce fait qu'il est doué des mêmes propriétés que le sommeil normal. Les effets sédatifs et antispasmodiques d
s que le sommeil normal. Les effets sédatifs et antispasmodiques d'un sommeil réparateur sont bien connus. Il est certain que l
iques d'un sommeil réparateur sont bien connus. Il est certain que le sommeil provoqué n'exercera sûrement cette action favorab
era établi dans des conditions qui le rapprochent le plus possible du sommeil normal. Cet état ne peut-être obtenu qu'en s'abst
des sujets. L'hypnotiseur devra se borner a provoquer l'apparition du sommeil par les procédés capables de réaliser un sommeil
quer l'apparition du sommeil par les procédés capables de réaliser un sommeil assez profond. Pour arriver a ce résultat, il est
s moyens d'arriver à ce résultat. Ensuite l'opérateur régularisera le sommeil par des formules évoquant l'idée de calme et de r
sans être influencé par les mouvements et les bruits du dehors. » Le sommeil , une fo!s obtenu, devra être prolongé le plus lon
(1) Bérillos : Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué basée sur l'examen de la tension artérie
graduées, mais il sera possible de varier la durée et l'intensité du sommeil provoqué, de rapprocher ou d'éloigner les séances
te, mon traitement de l'incontinence par la suggestion pendant le sommeil naturel ou suggestion somnique. Toutefois, soucie
ditions physiologiques du patient, mais et surtout en particulier son sommeil , cela est si vrai qu'on a constaté la disparition
ivant que les premières on les secondes prédominent, la profondeur du sommeil est augmentée et l'incontinence persiste ; ou bie
deur du sommeil est augmentée et l'incontinence persiste ; ou bien le sommeil est devenu beaucoup plus léger, le malade est ave
elle n'urine au lit. Dès qu'elle est convalescente, elle retrouve son sommeil profond et elle se remet à uriner la nuit, comme
e, où les toxines ont, non pas atténué, mais aggravé la profondeur du sommeil . Un jeune homme de 13 ans, interne dans on coll
is, chaque fois, une bonne séance de suggestion sommique (pendant son sommeil ). Ces deux nuits là et la suivante, aucune émissi
contracte la varicelle. Il est très fébrile, appesanti, abattu ; son sommeil est lourd ; l'incontinence reparaît... et persist
tion qu'il a été plongé dans un état plus accentué d'hypotaxie, et le sommeil hypnotique constitue l'état d'hypotaxie le plus f
as complètement, mais juste assez pour qu'il se mette sur le vase. Ce sommeil trop profond, ou barhgpnie. est la clef de l'inco
à l'incontinent de dormir moins profondément et, tout en dormant d'un sommeil réparateur, d'être a l'affût de ses sensations ve
refusent de laisser hypnotiser leur enfant. Alors il faut utiliser le sommeil naturel comme on le ferait du sommeil hypnotique
fant. Alors il faut utiliser le sommeil naturel comme on le ferait du sommeil hypnotique artificiellement provoqué dans la jour
lement provoqué dans la journée. La suggestion sommique (pendant le sommeil naturel) comporte, toutefois, dans ces cas, une t
ntinents, avons-nous dit. dorment trop profondément. Si, pendant leur sommeil naturel, on leur fait des suggestions avec les mé
-même nous devons secouer le dormeur, le tirer des profondeurs de son sommeil , le réveiller à demi, provoquer la mise en jeu de
rouvais un grand soulagement ; mais je m'apercevais que je perdais le sommeil , l'appétit, le goût et l'odorat. Je continuais né
beault mettait la dernière main à son ouvrage si intéressant sur le • Sommeil et les états analogues » et Bernheim se livrait d
sans scrupules, possédant ce merveilleux pouvoir, de provoquer le sommeil , d'assouvir des convoitises criminelles ou simple
isation : à l'inverse de l'Ecole de la Salpêtrière. il affirme que le sommeil hypnotique peut être obtenu chez des sujets sains
une preuve plus décisive que ces exemples de femmes révélant, dans le sommeil somnambulique, les secrets les plus intimes de le
ffre nuit et joui' et ne se souvient pas d'avoir eu une bonne nuit de sommeil . Une autre a, depuis deux ans, des douleurs dans
x sont guéries en quelques semaines par l'hypnotisme et retrouvent le sommeil , l'activité, la gaieté. Pourquoi tous ces malad
mir mes malades. J'attribue cette facilité plus grande à provoquer le sommeil , au traitement collectif. A la clinique, les mala
t, dès que vous serez assis, vous vous endormirez immédiatement, d'un sommeil calme, profond, identique à celui dans lequel vou
aphe, je l'endors : comme je l'ai déjà dit, il arrive facilement à un sommeil profond, puis je commence les suggestions suivant
Il s'éveille avec les symptômes qu'il présente toujours, au sortir du sommeil profond. Un peu à la fois il revient à la réalité
s le perdre. J'interroge M. F. sur ce qu'il a éprouvé pendant son sommeil , car le souvenir lni revient, peu à peu. d'une pa
'y pensait en aucune façon en ce moment ; quand il est arrivé dans le sommeil à cette période de l'année, il a vu ce voyage se
il reconnaît la réalité et qui ont repassé sous ses yeux pendant son sommeil . Mais il est à remarquer que, lorsque nous arri
t inconscient maintenant de ce qui s'est produit à cet instant de son sommeil . C'est que. pour arriver à cette recherche plus
ge en clientèle. Utilisant en art dentaire l'anesthesie que procurele sommeil hypnotique, nous sommes arrivés à des résultats r
e type le sujet consentant et préparé. La période pendant laquelle le sommeil est obtenu varie entre deux et trois minutes ; po
ntre deux et trois minutes ; pour les extractions, j'opère pendant le sommeil ; après avoir suggestionné le malade, j'obtiens u
quelle qu'elle soit, aucune crainte de syncope, à aucune période, un sommeil calme et reposant, aussi reposant que l'opérateur
s lui proposons de l'endormir, il accepte. Après quelques minutes, le sommeil profond est obtenu, je lui dis que je vais procéd
hémorragie. Le malade présente toutes les apparences et l'abandon du sommeil ordinaire : il y a détente de tous les muscles ;
moitié pour dire : « vons me brûlez la lèvre » ; et ce fut tont. Même sommeil que dans l'observation précédente. J'annonce que
en partie leur activité et se mettent, par ce fait, dans une-sorte de sommeil . C'est de la réalisation de ce sommeil partiel qu
par ce fait, dans une-sorte de sommeil. C'est de la réalisation de ce sommeil partiel que résulte l'hypnotisme. Comme il en est
parent, on a pu dire avec raison que l'hypnotisme était la science du sommeil provoqué. La notion d'une inhibition de certain
Sans compter que la prédisposition à s auto-hypnotiser ou à céder au sommeil normal constituent également des facteurs de la p
qui. d'une façon générale, cède avec tant de facilité a l'appétit du sommeil normal, n'a pas moins d'aptitudes, pour peu qu'on
position individuelle du sujet (propension à la réalisation facile du sommeil normal, hypersuggestibïlité) ; 4° Eéalisation d
En réalité, l'inhibition hypnotique existe bien avant l'apparition du sommeil et certains qui peuvent faire de la suggestion à
nes non douteux de passivité, de résolution musculaire, puis enfin de sommeil provoqué, le pronostic se transforme immédiatemen
e. Aussi, c'est avec insistance qu'ils sollicitent l'apparition de ce sommeil provoqué dont leur instinct leur à fait deviner t
appé les psychologues et leur onî permis de formuler des règles. Le sommeil hypnotique utilisé comme moyen de rééducation de
tions psychologiques et physiologiques dn patient, en particulier son sommeil . Page 9, ligne 34. au Heu de : opération nu cho
ibles à la direction de l'hypnotiseur. Liébeault dans son traité du Sommeil limite l'emploi de la suggestion à. une direction
ence, une inhibition plus ou moins notable, un état de suspension, de sommeil plus ou moins profond, d'un plus ou moins grand n
ons et sentiments, puisse être interrompue, que de croire, pendant le sommeil , les fonctions de respiration et de circulation a
ensibilité vivante, et Us sont continus comme elle. Même pendant le sommeil le plus profond, alors que l'organisme parait en
t ainsi à chaque instant notre individualité. Lorsque se produit le sommeil normal, sous l'influence du jour finissant ou de
tente de tous nos membres : l'organisme normal, alors, est saisi d'un sommeil d'autant plus profond que nous nous sommes plus c
ment soustraits à toute eause de sensations. S'il s'agit d'obtenir le sommeil provoqué, l'hypnose, nous userons, sans doute
provoqué, l'hypnose, nous userons, sans doute, de ces conditions du sommeil normal, mais nous les enrichirons largement par u
ation sera l'œuvre de la suggestion, en état de veille, ou en état de sommeil provoqué. A. l'Algomanie constituée, les mêmes mo
rmir profondément et longtemps. « Agent curateur par excellence, le sommeil provoqué, mieux encore « qne le sommeil naturel,
t curateur par excellence, le sommeil provoqué, mieux encore « qne le sommeil naturel, est, d'une part, une fonction de réparat
sans retard, mettre en œuvre ce moyen d'ensemble puissant « qu'est le sommeil prolongé. » Nous pouvons donc résumer ainsi le
la rééducation de la sensibilité, à la faveur des séances répétées de sommeil provoqué, s'étendront à un plus grand nombre de c
êmes moyens thérapeutiques, rendus possible par une aire préalable de sommeil prolongé seront appliqués aux cas rebelles et anc
che nouvelle : ta psychothérapie basée sur les effets bienfaisants du sommeil provoqué. A Liégeois reviendra l'honneur d'avoir
éaliser artificiellement chez l'être humain l'apparition d'un état de sommeil provoqué analogue a celui dans lequel nous nous p
nalogue a celui dans lequel nous nous plaçons de nous même lorsque le sommeil normal nous envahit ; mais on lui doit d'avoir ét
it ; mais on lui doit d'avoir établi les rapports d'identité entre le sommeil provoqué et le sommeil normal et d'avoir détermin
'avoir établi les rapports d'identité entre le sommeil provoqué et le sommeil normal et d'avoir déterminé les lois qui présiden
al et d'avoir déterminé les lois qui président à la production de ces sommeils . * * * Grâce à lui. on connaît les règles p
teur Liébeault — oh ! le nom vénéré — publia son livre célèbre : « Le sommeil et les états analogues ». Cette publication son
suggestive pour la nuit remplace la suggestion directe et procoqne le sommeil . » Sous la même plume la suggestion devient relig
. après de patientes investigations sur la production artificielle du sommeil , eut démontré la valeur thérapeutique des procédé
dition interrompue. Ayant observé les analogies qui existent entre le sommeil naturel et le sommeil provoqué, il détermina les
ant observé les analogies qui existent entre le sommeil naturel et le sommeil provoqué, il détermina les lois qui président à l
détermina les lois qui président à leur production. Son livre sur le Sommeil (6) consacre le point capital, que si l'homme dis
rypnology or the rationale of nervous sleep. T.ondon I843.— Traité dn sommeil nerveux ou hypnotisme. Trad. J. Simon 188$. (2)
nerveux ou hypnotisme. Trad. J. Simon 188$. (2) Azam : Note sur le sommeil nerveux on hypnotisme. (Archives générales de méd
00). (8) Demarquay et Giraud-Teulon. Recherches sur l'hypnotisme on sommeil nerveux. 1860. (4) Durand de Gros : Cours de Br
(Revue des Deux Mondes). 1881. T. XL VII, p. 914. (6) Llébeanlt. Du sommeil et des étals analogues. Paris, 1800. (7) Charco
isme, 1884. ses élèves à la Pitié (1). étudiant les phénomènes de sommeil spontané qui se présentent fortuitement chez les
réparés. Après avoir émis la prétention de dégager la suggestion du sommeil artificiel, suggestif ou braidique. il s'est trou
s possible d'exercices physiques et de jeux fatiguants, mais de longs sommeils , pendant lesquels les organes ne fonctionnent qu'
eulement émotifs, mais même objectifs des syndromes Basedowiens. Le sommeil hypnotique est le facteur qui a produit la sédati
oute distraction et qui l'a débarrassé de tout choc psychomoteur ; le sommeil provoqué par hypnose a déterminé, d'après MM. les
dé. à la production des états de conscience affectifs ; c'est dans le sommeil provoqué que nous avons pu, grâce à la suggestion
s pu, grâce à la suggestion, lui faire recevoir nos affirmations ; le sommeil hypnotique est enfin le facteur qui a déterminé l
la suggestion a l'état de veille. (1) Le Menant des Chesnais : * Du sommeil provoqué à l'insu du malade dans un cas, a I'insu
ui d'hypnose (Hevue de l'Hypnotisme. 12e année, mai 1908. dans le sommeil . Ils se sont grandement trompés. S'ils ont eu des
ont dû être peu importants, et ils ont été uniquement les fruits d'un sommeil partiel et spontané. » C'est par une absolue co
c'est une grave erreur de vouloir plonger les malades dans un état de sommeil profond. Il suffit souvent de les hypnotiser an m
ver précisément pour être hypnotisés. « Au reste, dans le cas où le sommeil très profond pourra paraître indispensable, rien
, il avait besoin d'être plongé dans un état profond d'hypotaxie. Son sommeil nocturne a excellemment réalisé cette hypotaxie.
du dormeur sous la forme onirique d'une hétérosuggestion médicale. Le sommeil a été comme le terrain fécond, le rêve comme une
qués, a titre expérimental o.u à titre thérapeutique, soit pendant le sommeil naturel (par suggestion directe ou indirecte), so
gestion directe ou indirecte), soit immédiatement avant l'invasion du sommeil naturel, soit par une suggestion à échéance, fait
sommeil naturel, soit par une suggestion à échéance, faite pendant le sommeil hypnotique. 3° On a tort de négliger l'onirothé
xes on difficiles, des ressources variées, souvent efficaces. 4° Le sommeil normal constitue, pour la réceptivité aux suggest
aux suggestions directes, un état d'hypotaxie aussi favorable que le sommeil hypnotique lui-même (2). Or, cette hypotaxie exis
pn., mai 1905, p. 344. 1. Etienne Jouruas (de Marseille). Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subeonscleute, Revue
de l'hypn.. août 1902. (2) Paul Farez. De la suggestion pendant le sommeil naturel, Revue de l'hypn., mars, avril, mal et Ju
ochure Malolne. 46 p. — Incontinence d'urine et suggestion pendant le sommeil naturel, Indépend. mèd., 23 août 1899 et Revue de
01. — Incontinence nocturne d'urine, guérie par suggestion pendant le sommeil naturel chez une enfunt de vingt-six mois, Revue
avec succès, contre son gré et a son insu, par suggestion pendant le sommeil naturel, Revue de l'hypn., mars 1905. de nous
ai constaté que la psychothérapie graphique, faite, le soir, avant le sommeil , amène une sédation marquée. Les maximes ou pensé
malade, écrites à main posée, surnagent, pour ainsi dire, pendant le sommeil , et deviennent d'excellentes suggestions. Quant à
eviennent d'excellentes suggestions. Quant à la suggestion pendant le sommeil naturel, U ne faut pas du tout la permettre aux p
agent thérapeutique, la suggestion somnique (ou suggestion pendant le sommeil naturel) est capable de quelques méfaits. Dans di
onc, un soir, j'appliquai à B.. après l'avoir plongée dans un profond sommeil hypnotique, une petite monnaie en argent (de 15,5
r brûlure Imaginaire, déterminée par la suggestion verbale en état de sommeil provoqué. Travaux de la Société des naturalistes
avoir éprouvé une brûlure réelle, avait pu vraiment vivre, pendant le sommeil hypnotique, la suggestion reçue. Mais, par la sui
uittera plus le sujet. B.. se laisse plonger instantanément en un sommeil hypnotique profond (suivi d'amnésie). Je lui sugg
agir pendant la nnit. et la vésicule était apparue vers le matin. Le sommeil nocturne devait favoriser le développement des ph
e tout le processus se déroulerait avant la nuit, si on remplaçait le sommeil nocturne naturel par un sommeil hypnotique diurne
it avant la nuit, si on remplaçait le sommeil nocturne naturel par un sommeil hypnotique diurne. Or. à 4 h. de l'après-midi à l
posture, elle s'était endolori le flanc. B. dit n'avoir pas besoin de sommeil , ayant bien dormi dans le wagon, et prie de ne pa
si le sujet a déjà eu une brûlure réelle de ce genre. 6° L'état de sommeil paraît accélérer la « maturation » des phénomènes
firent pour le guérir. Il était très accessible à la suggestion ; son sommeil comportait une amnésie complète au réveil. Il s'é
r la suggestion hypnotique. Elle aussi était très suggestionnable. Le sommeil , avec amnésie, était immédiatement réalisable et
réalisation des suggestions posthypnotiques est facilitée lorsque le sommeil dure à peu près un quart d'heure. (Tokarsky, Podi
au, je lui en brûlerai le bras, lorsqu'elle sera endormie. Sitôt le sommeil obtenu, je prends le bouton et, pour plus de vrai
un résultat plus intense qne les autres fois. Interrogée pendant son sommeil le sujet répondit que le bras la brûlait douloure
dit que le bras la brûlait douloureusement. La suggestion faite, le sommeil fut prolongé pendant une heure. Tout d'abord rien
hez les sujets un état d'inhibition plus accentuée que lorsque le sommeil provoqué résulte d'hypnotisations méthodiques. Ce
lui-même sans présenter la phase d'abrutissement qui suit toujours le sommeil chloroformique. Examiné le lendemain de l'interve
se d'elle-même, par simple lassitude de l'esprit, sur la pente du sommeil et réalise spontanément l'état d'hypnose fortuite
rie Châtel, âgée de 19 ans, était tombée spontanément dans un profond sommeil hypnotique. L'hypnotiseur avait opéré sans le vou
chercha vainement pendant plusieurs-heures à tirer la jeune fille du sommeil hypnotique : c'est k quatre heures dn matin seule
ce. II importe, écrivait-il, dans l'histoire longue et complexe des sommeils artificiellement provoqués, de ne pas mettre, à t
s si instructives consacrées par Lasègue à l'étude du braidisme et du sommeil normal. Au lieu de parler k tout propos de l'infl
r dans leur passivité contemplative. Lasègue, dans son étude sur le Sommeil , a consacré quelques lignes à ces réveils diffici
que la plupart des nègres de son pays retombent spontanément dans un sommeil profond dès que leur travail est interrompu et qu
is des classes inférieures, au milieu de la journée, s'endorment d'nn sommeil profond dans les positions les plus incommodes (1
j'ai observé — écrivait-il — je serais porté à croire que pendant le sommeil hypnotique, il y a un repos absolu de la pensée,
estions ne sont pas faites. Quand on demande à un sujet placé dans le sommeil hypnotique — et j'ai fait cette demande bien des
iTa rien ft faire, il se repose où dort. Il peut dormir d'un profond sommeil pendant cinq minutes dans n'importe qu'elles posi
giène). calme et de tranquillité qu'elle atteint rarement dans le sommeil ordinaire; il n'y a certainement ni rêves ni pens
i bien, une fois endormis de nouveau, tout ce qui s'est passé dans un sommeil antérieur ne se rappellent rien d'un sommeil hypn
qui s'est passé dans un sommeil antérieur ne se rappellent rien d'un sommeil hypnotique dans lequel il ne leur a pas été fait
douteux qu'entre l'état de veille active et consciente, et l'état de sommeil complet, il y ait de nombreux états intermédiaire
intermédiaires. Quand ces états sont plus manifestement rapprochés du sommeil que de la veille, quand l'individu demeure plongé
la faim une incommodité à laquelle on peut * s'adapter » au moyen du sommeil hivernal. » A ce sujet la Reçue Scientifique expr
diathèse hystérique reste la plus importante pour le développement du sommeil hypnotique, et, dans lé même ordre d'idées, M. Cr
par le Dr L. Phox (d'Alger) Il est de notion plus que banale que le sommeil des dyspeptiques est le plus souvent mauvais ; le
t Le sujet, nerveux comme tons les membres de la gent gastrique, a un sommeil fragile ; il se réveille, chaque nuit, une ou plu
nes en bonne santé, qui viennent de dormir quelques heures et dont le sommeil est troublé accidentellement. L'esprit, aussi luc
rriture liquide ou l'ingestion d'un médicament antidyspeptique que le sommeil peut être retrouvé. Cequ'ilyad'intéressant, c'e
aler et qui montre l'avantage qu'il y a à obtenir des dyspeptiques un sommeil aussi prolongé que possible et exempt de périodes
le calme et le silence de la nuit. Au fur et à mesure que, pendant le sommeil , après la digestion du repas du soir, s'installe
douloureuses ; celles-ci affectent la sensibilité viscérale, dont le sommeil a affiné l'impressionnabilité, et sont capables d
veil, sans accompagnement de douleur ; bientôt un impérieux besoin de sommeil reprend le dessus et le sujet se rendort. Un deux
uxième réveil survient, dans les mêmes conditions, suivi d'un nouveau sommeil . Si le troisième réveil s'accompagne de la donleu
nt par la puissance de la suggestion a l'état de veille ou pendant le sommeil , la volonté d'autres hommes ! Pendant toutes le
ogues par le trait commun d'être intermédiaires entre la veille et le sommeil , que l'on désigne sous les noms de rêverie, de rê
mplaire dans le demi-sommeil se traduisait par le mot significatif de sommeil /on. Dans la chanson de geste ou Huon de Villene
ux qui témoignaient quelque tendance à s'attarder dans les délices du sommeil ; on les traitait couramment de dormards, de somn
tablement réservé à ceux qui contractent l'habitude de prolonger leur sommeil : * Quand le sommeil, dit-il, est habituellement
eux qui contractent l'habitude de prolonger leur sommeil : * Quand le sommeil , dit-il, est habituellement trop long, il engourd
ns peine que cela doit être ainsi si l'on veut faire attention que le sommeil suspend une partie des opérations de la sensibili
peu cultivés. « On ne rêve point, dit avec raison Buffon, lorsque le sommeil est très profond ; tout est alors assoupi ; on do
in. Il est certain que les états intermédiaires entre la veille et le sommeil s'accompagnent très souvent, chez les individus b
i l'agrément de ces états de conscience dans lesquels la sensation du sommeil se mélange si singulièrement à celle de la veille
ïdes non pathologiques, stades de stationnement entre la veille et le sommeil , les caractères principaux du sommeil naturel s'a
ionnement entre la veille et le sommeil, les caractères principaux du sommeil naturel s'associent avec ceux du sommeil provoqué
les caractères principaux du sommeil naturel s'associent avec ceux du sommeil provoqué : Ce qu'ils ont de commun avec le somm
ent avec ceux du sommeil provoqué : Ce qu'ils ont de commun avec le sommeil normal, c'est l'occlusion et l'immobilité des pau
sserie, de somnolence prolongée, intermédiaires entre la veille et le sommeil , dans lesquels l'homme se complalt parce qu'ils n
cins aliénistes n'a pas été assez dirigée sur la psycho-pathologie du sommeil . Il est cependant facile de constater les analo
nerveux et mentaux dans les diverses modalités qu'on observe dans le sommeil normal et dans le sommeil provoqué. Le caractèr
es diverses modalités qu'on observe dans le sommeil normal et dans le sommeil provoqué. Le caractère fondamental des états hy
ivantes : 1. — L'hystérie (stigmates, accidents mentaux, accès de sommeil hystérique). 2. — Les états seconds, les somnam
savoir si pendant la durée de cette période la malade est en état de sommeil hypnotique. Or, je crois qu'il ne saurait y avoir
u regard ou par les autres procédés hypnogènes connus ». « Quand le sommeil artificiel est provoqué par ces procédés, il n'y
e de l'importance qu'il attribuait à l'analogie entre les attaques de sommeil hystérique et l'hypnotisme est revenu à maintes r
il intitulé : Des zones hystérogènes et hypnogènes et des attaques de sommeil , il déclarait qu'il se considérerait fondé » affi
ommeil, il déclarait qu'il se considérerait fondé » affirmer « que le sommeil pathologique spontané est de même nature que le s
rmer « que le sommeil pathologique spontané est de même nature que le sommeil artificiellement provoqué par l'application des p
en quelques lignes à mon honorable confrère. En ce qui concerne le sommeil des dyspeptiques, j'ai fait deux classes des mala
s deux centres étant ainsi calmés, il n'y a plus aucun empêchement au sommeil . Le chimisme gastrique anormal envisagé d'une f
. Les meilleurs remèdes contre l'insomnie et les divers troubles du sommeil . Sous cette rubrique nous faisons appel il la c
réelle efficacité dans le traitement de l'insomnie et des troubles du sommeil . 2Coas commençons aujourd'hui par signaler un p
tant du traitement inoffensif de l'Insomnie et des autres troubles du sommeil . Nous leur demandons également de noua signaler l
mbulismes. Dans ces états, de même que dans les états seconds, le sommeil partiel d'une partie des activités cérébrales se
qui dans le cours des séances tombent spontanément dans des états de sommeil provoqué. Dans son livre sur VOccultisme d'hier e
onnelle que la légende prête à l'empereur >. Puis il tombe dans un sommeil profond. Le médium était devenu Napoléon, c'est-à
autres ne franchiront pas l'état intermédiaire entre la veille et le sommeil qui constitue l'état hypnoïde. Par ce fait, ils p
tions aveuglément mises en œuvre. * * Dans son livre classique du Sommeil et des Rêves Alfred Mauhy, sous le titre : Des ha
atoires qui, chez certains sujets, accompagnent soit l'entrée dans le sommeil , soit le moment du réveil. » « Ces images, ces
s, ces sensations fantastiques se produisent, dit-il, au moment où le sommeil nous gagne, ou quand nous ne sommes encore qu'imp
onvient l'épithète d'hypnagogiques. dérivée des deux mots grecs u-voi sommeil , et tci^v^ qui amène, conducteur, dont la réunion
noïdes. « L'hallucination hypnagogique est un indice que, durant le sommeil qui se prépare, l'activité sensorielle et cérébra
; et elle explique, à notre avis, comment celui-ci est un prodrome du sommeil . Car, pour que nous puissions nous y livrer, il f
sujets d'activité. C'est de la première de ces causes que résulte le sommeil auquel nous a conduit la rêvasserie qui l'a précé
écédé. L'esprit, en cessant d'être attentif, a graduellement amené le sommeil . Telle est la raison pour laquelle certaines pers
nt excitée par l'orateur ou l'intérêt du livre, elle se retire, et le sommeil ne tarde pas à s'emparer de nous. ».....•........
dire avec raison que, dans l'état intermédiaire entre la veille et le sommeil , l'esprit est le jouet des images évoquées par l'
n'arrive d'ordinaire, dans l'état intermédiaire entre la veille et le sommeil . Celui qui les présente se comporte, en somme, co
. Cette hallucination persistait une demi heure pour faire place à un sommeil agité, rempli de cauchemars et durant lesquels il
ur le présent. 3° Grâce à l'automatisme qui y préside, les états de sommeil et d'inconscience sont les plus aptes a favoriser
anté spirituelle. Car il donne à quelques-uns une potion qui amène le sommeil , ce qui signifie la grâce du Saint-Esprit : en l'
oses de ce monde, car le dormeur ne sent rien par les sens pendant le sommeil . Il a en second lien un stomachique réconfortan
la faiblesse du résultat ne tenait qu'à l'insuffisance de la dose du sommeil , je n'hésitai pas à recourir à la narcose et j'em
ement. Klara, paralysée dans son lit, souffre de mille douleurs, sans sommeil et sans repos. La description que l'auteur nons d
cette tendance à la somnolence. C'est cette sensation d'abandon à un sommeil irrésistible que Lamartine, après beaucoup d'autr
ie, il est vraisemblable qu'avant peu ils finiraient par succomber au sommeil . Maintes fois, alors que mon préparateur opérait,
ner une agréable somnolence, susceptible d'être transformée en un sommeil complet. > Les indications du Dr Natier m'on
ment certaines résistances à l'hypnose et à faciliter l'apparition du sommeil provoqué. Dans l'emploi des diapasons plusieurs
ervation lorsqu'on sait avec quelle difficulté on arrive à obtenir le sommeil de l'ouïe. Elle est, en effet, de tous nos sens,
sens de la vigilance. Son activité se suspend à peine pendant le sommeil confirmé et le moindre bruit inusité suffit pour
onnes. Braid et Beaunis ont observé que, dans les premiers moments du sommeil hypnotique l'acuité de l'ouïe, loin d'être diminu
s dormi, j'ai entendu tout ce que vous disiez ». Cela signifie que le sommeil de l'ouïe n'était pas suffisamment obtenu. L'em
sujets à l'état hypnoïde doivent pouvoir être mis facilement dans un sommeil hypnotique plus profond. Dr Bêbillos. — Cela es
nication sur « l'Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué, basée sur l'examen de la tension artéri
(1) Bérillox : Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué basé sur l'examen de la tension artériel
entale, susceptible de mettre enjeu son activité psycho-motrice. Le sommeil a été prolongé de 25'-30\ après quoi nous avons p
Enfin il faut ajouter que le sujet présente généralement, après un sommeil de 25' à 30', une coloration rosée du visage et d
nclusions formelles, mais un fait est certain, c'est que : pendant le sommeil provoqué, envisagé dans ses manifestations les pl
s plus-élémentaires, (et nous pensons qu'il en est de même pendant le sommeil normal), il se produit des modifications, dans la
ment à une opinion déjà exprimée dans un travail antérieur) (l)que le sommeil hypnotique.exerce un pouvoir inhibitoire sur .les
des influences multiples et variées de l'état psychique. 2° Que le sommeil hypnotique débarrassant le sujet de tout choc •ém
cussion : Dr Bérillos. Mes observations sur l'action exercée par le sommeil provoqué, sans intervention d'aucune suggestion,
nsidérablement atténuer son état. Dr Bérillon. — Et pour obtenir le sommeil si l'hypnotisation ordinaire est difficile, il se
enne, sans aucune espèce de suggestion, a assuré une bonne nuit, avec sommeil calme, plusieurs jours de suite. L'agitation extr
contenté de dire qu'il plaçait l'hypnose entre l'état de veille ot le sommeil . « Tout en rendant un juste hommage à la psycho
ative. Nous avons vn des malades endormis par lui recevoir, durant ce sommeil factice, des impressions qui, sons l'influence de
transformations, il n'est pas nécessaire de plonger le snjet dans un sommeil profond, il suffit de l'engourdir. Dans cet état
: Nous inspirant de la méthode du Dr Paul Parez pour transformer le sommeil normal en sommeil hypnotique, et toujours pour la
de la méthode du Dr Paul Parez pour transformer le sommeil normal en sommeil hypnotique, et toujours pour la même cause de pén
alors tourner la difficulté, en profitant de ces faits: 1° Le premier sommeil est le plus ¦ dense ¦¦ : partant le plus utilisab
st le plus ¦ dense ¦¦ : partant le plus utilisable ; 2° si ce premier sommeil est interrompu accidentellement, il est, en génér
ts — sur des dormeurs éveillés même le matin et paressant au lit — le sommeil entraîne le sommeil). Notre plan d'action consi
s éveillés même le matin et paressant au lit — le sommeil entraîne le sommeil ). Notre plan d'action consistait en ceci : No
notre phonographe réglé à la première division de l'échelle.* Si le sommeil n'était pas obtenu lorsque se produisait bientôt
ire en allongeant un peu la période de suggestion dormitive). Si le sommeil n'était pas obtenu encore, nous recommencions en
ndre le temps plus long.) Si, au contraire, au cours de l'essai, le sommeil nous surprenait et devenait trop profond pour que
, c'est-à-dire sur un état pas assez léger pour arriver à la fin sans sommeil , et pas assez lourd pour avoir laissé passer la s
tanément, effet qui ne nous arrivait jamais auparavant. En un mot, le sommeil très irrégulier jusqu'alors, a paru se discipline
quiétude, d'indifférence, de repos, d'hypotaxie allant même jusqu'au sommeil . On ne peut, en même temps, diriger et subir la s
f, on n'est véritablement ni l'un ni l'autre. La suggestion pendantle sommeil naturel ne mérite pas les reproches de M. Ânastay
14 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
es conditions à réaliser. Liébeault, en 1866, dans son livre sur le Sommeil , établit une assimilation complète entre le somme
son livre sur le Sommeil, établit une assimilation complète entre le sommeil ordinaire et le sommeil hypnotique. Pour lui, si
l, établit une assimilation complète entre le sommeil ordinaire et le sommeil hypnotique. Pour lui, si le consentement est un d
si le consentement est un des principaux éléments de l'apparition du sommeil ordinaire, il en est de même pour la production d
dans une manière d'être de son organisme. Tout le monde sait que le sommeil ordinaire peut être retardé par toutes les causes
l'ingestion, le soir, d'une tasse de thé ou de café, pour troubler le sommeil . D'autres obstacles, trouvant leurs effets dans d
rale ou périphérique, s'opposent de la même manière à l'apparition du sommeil . Telles sont les névralgies, les troubles de la d
nsaire sont, il est vrai, maintenus pendant une heure et plus dans le sommeil hypnotique. Le malade qui fait l'objet de cet art
aussi- tot : le sujet avait bu et avait eu la nuit précédente un sommeil 1res agité avec hallucinations. Je lui ordonnai d
mi tranquillement et a ouvert les yeux avant que je le lui ordonne Le sommeil n'était donc pas profond ; aussi les jours suivan
et de la fixation j'ai dû suggérer tous les phénomènes précurseurs du sommeil (clignotement d'yeux, lourdeur des paupières etc
mmeil (clignotement d'yeux, lourdeur des paupières etc .) et alors le sommeil est venu, plus profond. Le malade ne pouvait pas
des alcooliques, un sujet très difficile à endormir. Pour obtenir le sommeil hypnotique au degré moyen il avait fallu employer
rs rotalifsde Luys. La suggestibilité du malade s'accroissait avec le sommeil , ce qui n'est pas général. Quanta la difficulté d
e qui consiste à obtenir chez un malade hyslérique et anesthésique le sommeil nerveux par l'occlusion des yeux et des paupières
se joindre le physiologiste Brown-Séquart, ont toujours considéré le sommeil nerveux comme le résultat de l'inhibition des cen
ur le front. Ce mode et cet endroit d'attache permettent, une fois le sommeil établi, de libérer le malade de son bandeau, sans
'emploi de notre bandeau doive toujours et immédiatement provoquer le sommeil , mais ce que nous tenons à établir, avec l'appui
coles de Stockholm, les élèves qui n'ont pas la moyenne nécessaire de sommeil , ont un quart de maladies en plus que les autres.
, ont un quart de maladies en plus que les autres. Cette moyenne de sommeil nécessaire est pour les enfants de 4 ans, de douz
et à l'autre des résultats incontestables : c'est la suggestion et le sommeil hypnotique. Tandis que la méthode de la rééducati
n est tenu d'exercer un contrôle rigoureux au besoin en se servant du sommeil hypnotique. Sans insister davantage, on comprend
usieurs fois avant le terme, pour obtenir, pendant l'accouchement, le sommeil le plus profond. Mon compatriote, le Dr Matveef,
rs, et je n'eus que le temps de l'hypnotiser quatre fois. J'obtins le sommeil hypnotique du 2e degré. La première période de l'
'il sera très difficile. Je l'endors à grand peine et n'obtiens qu'un sommeil très léger. Je ne peux supprimer la douleur penda
être dominée par la suggestion. Je crois que si j'avais pu obtenir le sommeil hypnotique du 2Me degré,, comme dans l'accoucheme
isation ». TRAVAUX ORIGINAUX Considérations psychologiques sur le sommeil chloroformique par M. P. Podiapolsky (de Sarato
tomo-histologique. Nos connaissances actuelles de la psychologie du sommeil peuvent, peut-être, fournir aux médecins quelques
ournir aux médecins quelques notions utiles a cet effet. L'étude du sommeil en général, du sommeil naturel ou artificiel (hyp
lques notions utiles a cet effet. L'étude du sommeil en général, du sommeil naturel ou artificiel (hypnotique ou narcotique)
elle enregistre mécaniquement les excitations extérieures. L'état de sommeil est même particulièrement favorable à l'accès des
onscientes agissent avec beaucoup de force au début et vers la fin du sommeil hypnotique. Si le sujet craint d'avoir une syncop
avec certitude, qu'une crise de ce genre aura lieu au commencement du sommeil , au moment où les centres d'arrêt faiblissent, si
vité psychique va revenir, le souvenir de ce qui s'est passé avant le sommeil reviendra avec la conscience, en même temps que l
s temporaires, par exemple une anesthésie. On connaît des cas où le sommeil hypnotique a été suivi de syncope, d'hallucinatio
par simple négligence de l'expérimentateur. Tout ce qui concerne le sommeil hypnotique peut s'appliquer au sommeil produit pa
eur. Tout ce qui concerne le sommeil hypnotique peut s'appliquer au sommeil produit par les narcotiques. Chacun sait de que
n de n'importe quelle substance. Or. la tâche de celui qui protège le sommeil d'un hypnotisé est pareille : il doit préserver l
lle : il doit préserver le patient de toute infection psychique. Le sommeil hypnotique ne saurait être nuisible par lui-même,
saurait être nuisible par lui-même, pas plus que ne saurait l'être le sommeil naturel. La différence entre lo sommeil naturel e
plus que ne saurait l'être le sommeil naturel. La différence entre lo sommeil naturel et le sommeil hypnotique est plutôt quant
être le sommeil naturel. La différence entre lo sommeil naturel et le sommeil hypnotique est plutôt quantitative que qualificat
ue qualificative : les centres de l'ouïe ne sont pas endormis dans le sommeil artificiel, Mais les excitations auditives peuven
la plus grande importance que l'hypnotiseur qui contrôle le cours du sommeil soit attentif et bien informé. Il a la responsabi
nir un résultat très positif. Eappelons encore une fois que l'état de sommeil , quand le raisonnement est absent, est un état fa
t de grande réceptivité aux impressions, en somme un état analogue au sommeil hypnoptique, ou à la snbeonscience. quand l'activ
Je dus employer à peu près 15 grammes pour obtenir un commencement de sommeil . Je me rassurai sachant que l'arme puissante de l
meil narcotique, on l'éprouve assez souvent avant de s'endormir du sommeil naturel ; et elle n'est nullement obligatoire ni
d'employer le chloroforme plusieurs fois encore et à la même dose, le sommeil et l'inconscience arrivaient très vite et sans au
ces rêves et à leurs conséquences inconnues. Pendant les périodes du sommeil narcotique qui sont favorables aux suggestions, l
t et la fin de l'opération, et ils alternent plus souvent que dans le sommeil naturel. On admet trois causes de mort par le c
c le médecin qui lui donne le chloroforme ; donc à un moment donné du sommeil les Suggestions sont inévitables. Si un ralen tis
une frayeur. Pour me résumer je dirai que les différentes tonnes du sommeil , le sommeil naturel, comme les sommeils artificie
Pour me résumer je dirai que les différentes tonnes du sommeil, le sommeil naturel, comme les sommeils artificiels — hypnoti
que les différentes tonnes du sommeil, le sommeil naturel, comme les sommeils artificiels — hypnotique et narcotique — sont ava
n est une condition favorable à l'apparition de la frayeur pendant le sommeil , et les paroles comme les actes imprudents des as
e cela se confirme par les influences nuisibles de la peur pendant le sommeil hypnotique. De ce qui précède, nous proposons l
ce qui précède, nous proposons les conclusions suivantes : 1° Chaque sommeil est un acte psychique et chaque manière d'endormi
e manière d'endormir comporte des éléments psychologiques ; 2° Chaque sommeil est un état propice aux suggestions ; 3° Celui qu
is exaltée ; une suggestion incessante est nécessaire pour assurer un sommeil calme, pour réduire ou prévenir les rêves terrifi
n'était pas réel mais représenté par une vive imagination, pendant le sommeil : une demoiselle de Livonie rêve qu'un taureau fu
u logis, fourbu, vanné et se couchait * tout nu » pour se livrer à un sommeil le plus souvent interrompu de réveils et de cauch
ympathies et des aversions olfactives. 3° DT Paul Farez : Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subconscient*. 4° L1
mette à l'honneur ce grand honnête homme. Concours de résistance au sommeil Ce concours a eu lieu a Jiew-Jersey el douze pe
olice. Le vainqueur. M. Brook, gardien dans une banque,ne succomba au sommeil qu'après 23 heures et 27 minutes. La vie psychi
nd même je serais dans le plus grand épuisement, dans le plus profond sommeil , au bord de la tombe, je ne refuserais pas la com
d'heureux Bras las autour du cou, pour de moins langoureux Qu'étroils sommeils A deux, tout coupés de reprises. Dorme: les a
la mort comme après une journée de fatigue, on désire, on a besoin de sommeil . C'est là une simple vue de l'esprit, mais elle p
re souvenir de leurs actes. L'attaque se termine, d'ordioaire, par un sommeil profond de quelques heures. On conçoit la grande
dée ; elle s'efforce de ne pas rechercher si on la regarde ou non. Le sommeil a été bon, sans rêve, l'appétit est normal, la ga
ades, une fois, rentrés chez eux. se sont sentis lourds et enclins au sommeil ; on a ainsi l'impression que les procédés employ
Elle avail éprouvé, après les premières séances, un besoin intense de sommeil pendant toute la journée et elle en avait été trè
e Wetterstrand. le malade est tenu pendant plusieurs semaines dans le sommeil hypnotique. Une des indications principales de ce
orie. Et l'on voit clairement par sa description qu'il ne prolonge le sommeil que par exception. Il ne fait point non plus d'es
Dr Bébillon : L'anorexie des adolescents. 4" D' Fap.ez : Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente. 5°
nimaux. 14° M. A.vaetat |de Marseille): Les rapports biologiques du sommeil et de l'hypnose. Les faux miracies A propos d
plus en plus profond et finalement, il se transforme en un véritable sommeil . Il est très important de faire connaître au mala
formément aux idées et à ln pratique de "Wetterstrand relativement au sommeil prolongé. Cette méthode ne saurait mériter le r
s plusieurs fois répétés de la méthode ci-dessus. On s'aperçoit de ce sommeil par une respiration plus profonde et plus réguliè
lière ou par des ronflements, On doit alors essayer de transformer ce sommeil naturel en hypnose. On obtient rarement le somnam
urel en hypnose. On obtient rarement le somnambulisme mais souvent le sommeil naturel alterne avec l'hypotaxie. On voit souve
.mais,ce qui manque, c'est une technique douce capable de produire un sommeil profond. 0. "Vogt et son disciple Brodmann ont, i
goût: à chaque tentative, « mutisme » complet: toutefois, pendant son sommeil , il a des rêves lubriques avec spermatorhée. Le l
arseille) communique une note intitulée : Les Rapports biologiques du sommeil et de l'hypnose, et M. le Dr Witry (de Trêves)
Les Détraquées de Paris. Paris. 1904. L es rapports biologiques du sommeil et de l'hypnose par M. E. Asastxy (de Marseille
nce des lois biologiques susceptibles d'expliquer le développement du sommeil et de l'hypnose (cette dernière étant admise comm
nous nous sommes proposé de remonter à une explication biologique du sommeil et de l'hypnose, en élargissant, dans le temps et
lle d'arbitres les plus compétents en cette matière. Une théorie du sommeil normal devrait, en bonne règle, précéder celle de
is peuvent tenir dans les quelques propositions qui suivent : Ie Le sommeil paraît le résultat d'an ralentissement général de
sommeil paraît le résultat d'an ralentissement général des fonctions ( sommeil des végétaux qui, eux, ? Ont pas de système nerve
ction, a de plus en plus accentué la différence entre la veille et le sommeil , au grand bénéfice de l'intelligence et de la rac
té que la qualité. 3° Les conditions organiques qui accompagnent le sommeil , mais ne le créent pas, puisque ces conditions so
e d'une explication biologique de l'hypnose en général, à laquelle le sommeil se rattache par des liens insensibles et impossib
e convient pas de faire comparaître ici. pour cette confrontation, le sommeil commun, dit normal, qui n'est déjà plus un sommei
confrontation, le sommeil commun, dit normal, qui n'est déjà plus un sommeil naturel, puisqu'il est le résultat d'une longue é
logique de l'hypnose. Aussi doit-on trouver dans les deux formes du sommeil , tout au moins à leur début, la même symptomologi
issement et la chute successive finissent par constituer les états de sommeil et d'hypnose, l'ouïe qui est celui qui peut rendr
vec les circonstances qui l'entourent (mère attentive aux troubles du sommeil de son enfant ; sentinelle aux écoutes, etc.), co
re utile à une défense rapide de l'animal en cas de danger pendant le sommeil ,ou bien, encore, utile à une longue attente en vu
uration de leurs forces (oiseaux qui dorment sur les branches; courts sommeils des chevaux, des lapins, etc.) L'hypnotiseur qui
domaine de l'hypnose, tout en ayant l'air de rester sur le terrain du sommeil ordinaire. C'est avouer que celui-ci n'est que le
à'/igpnose normale ou à'figpnose naturelle, cette hypnose légère, ce sommeil dont la ressemblance avec le sommeil ordinaire a
urelle, cette hypnose légère, ce sommeil dont la ressemblance avec le sommeil ordinaire a été si bien mise en lumière par les o
ui veillent, tel un corps de garde au milieu d'une garnison endormie ( sommeil de la sentinelle qui dort, tout en restant aux éc
n rocher et qui Teille, tout en dormant, aux écarts de son troupeau ; sommeil du cavalier sur sa monture, etc.) ; c'est ce somm
e son troupeau ; sommeil du cavalier sur sa monture, etc.) ; c'est ce sommeil léger qu'utilise, la plupart du temps, pour rendr
le faisceau est toujours moins tendu et un peu relâché dans l'état de sommeil , centres qui, sons le coup d'un réveil un peu bru
présenté un - spectre hypnotiqne ». allant graduellement du rouge du sommeil ordinaire, jouissant de propriétés normales et bi
t de propriétés normales et bien connues, et même de l'infra-rouge du sommeil hypnoïde, à l'ultra-violet du somnambulisme, aux
jusqu'ici. Pour résumer nos conclusions, nous dirons que : 6*/ le sommeil est un repos général de l'organisme qui améliore
t de la race, des états hgpnoldes se sont produits comme une forme de sommeil destinée à parer aux dangers auxquels un sommeil
s comme une forme de sommeil destinée à parer aux dangers auxquels un sommeil trop complet aurait exposé l'animal, lors des épo
onner le change à cet égard, ce sont les résultats, si divergents, du sommeil commun ou ordinaire des civilisés et des états hy
e deux rameaux détachés d'une branche commune et primitive qui est le sommeil naturel ou hypnoïde que nous nous proposons d'app
omination Tartare acheva son anéantissement ! Mais trois siècles de sommeil , après des milliers d'années de gloire militaire,
it de savoir qu'un aimant se trouve à proximité peut donner lieu à un sommeil de muscle, avec un retard dans l'excitation de la
la malade qui dormait bien à son arrivée, n'a pas peu à peu perdu le sommeil . Si nous devinons la situation, nous chercherons
il n'est pas nécessaire d'absorber le rat en entier, Pour donner le sommeil ? un malade que la douleur tient éveillé, pour do
veillés. Il y a bien longtemps que nous paraissions plongés dans le sommeil , comme je le disais au début. Aujourd'hui, ce lon
s pendant un jour. » Il arrive assez souvent que le sujet, dans son sommeil , fait des objections ; qu'il ne veut pas obéir.
on a recours à l'hypnotisme ; on endort le sujet et, dans cet état de sommeil provoqué, on outille son esprit, on lui suggère,
ter jar la suggestion. Il s'y soumit et fut facilement plongé dans un sommeil assez profond. Je Ini suggérai de cesser de fumer
vants. Discussion : M. le Dr Bèrillon. Dp Paul Farez. — Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente. il.
'on veut comprendre l'hypnotisme, il faut -connaître non seulement le sommeil , mais encore le phénomène contraire, le Réveil.
éveil. De môme que je réclame pour l'hypnotisme tous les différents sommeils dont il est capable, tant en degré qu'en étendue,
sommeils dont il est capable, tant en degré qu'en étendue, depuis le sommeil le plus léger jusqu'au plus profond, depuis le pl
ils ne se réveillent pas de la même façon : il y a des degrés dans le sommeil , il y en a aussi dans le réveil. Il faut bien com
e qu'il faut, ce n'est plus endormir, mais réveiller son malade. Le sommeil provoqué n'est plus qu'une méthode, un procédé, u
ne sont pas complètement éveillés. 1? faut les replonger dans le sommeil provoqué pour les réveiller k nouveau, mais alors
de moi la pensée de discuter s'il y a. ou non. un. ou des centres de sommeil ou de réveil ; je n'oserai pas aller jusqu'à ce p
ce de l'anatomie et de la pathologie ; d'autres ont aussi envisagé le sommeil comme une fonction, on pourrait alors faire de mê
le réveil. Mais s'il m'est permis de transporter sur- le terrain du sommeil les notions qui sont courantes dans les maladies,
maladies fonctionnelles, peut-être aurais-je le droit de concevoir le sommeil comme parfois organique et parfois fonctionnel, j
tuel à réveiller une fonction annulée par suite de la non-activité ou sommeil , de son centre organique, sans cependant aller ju
ique, sans cependant aller jusqu'à l'hypothèse d'un centre spécial du sommeil . Par suite d'une modification quelconque, la fonc
crois que quiconque ne considère pas l'hypnotisme au point de vue du sommeil et du réveil n'est pas complètement éclairé ! D
! De plus pour être complet je réclame aussi pour la production du sommeil , comme pour le réveil, tous les moyens employés,
ml anesthéste hystérique est-elle le résultat d'une suggestion ? Un sommeil de 32 ans Les journaux suédois publient, sous l
s, nommée Caroline Karlsdatter, s'est réveillée ces jours-ci après un sommeil de trente-deux ans. Elle s'endormit à l'âge de 13
, membres de la Société. La séance est levée à ß h. 50. Un cas de sommeil hystérique avec personnalité sub consciente par
'Ecole de Psychologie Je désire vous exposer, brièvement, un cas de sommeil pathologique observé par le Docteur Antonio Gota
sont constituées par un léger suintement muqueux, à peine rosé. Le sommeil est agité et peuplé de cauchemars : à, vrai dire,
suggestives, le Dr Gota plonge presque instantanément Zénona dans un sommeil profond : et, dès lore, par la suggestion hypnoti
es. Or, en février 1906, au moment où le Dr Gota la réveille de son sommeil hypnotique, elle pousse un cri. Son aspect généra
. mai 1905, p. 344. 4. Etienne Jochimï (de Marseille). — L'n cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente, Bev.
at d'une suggestion ? Inscrits : Dr j. Voisin, P. Magmx. La dose de sommeil nécessaire d'après Edison Une des nombreuses qu
ogistes ou médecins n'ont pas encore réussi a s'entendre est celle du sommeil . Non seulement on ne peut définir exactement le p
i croient en avoir besoin. Do façon générale, on tend a considérer le sommeil comme nn réparateur de forces que certains tempér
e. Edison n'est pas do cet avis ; il se contente de trois heures de sommeil par vingt-qnatre heures, et Mme Edison ne s'accor
ans, cent de ses collaborateurs n'ont eu droit qu'a quatre heures de sommeil par jour, Bien n'était changé ? leur train do vie
égime. Edison fait observer, avec raison, que ce système procure nn sommeil régulier, ininterrompu, ploe reposant qu'une nuit
nterrompu, ploe reposant qu'une nuit agitée. Mais la perfection de ce sommeil de laboratoire était favorisée par la régularité
L'existence dans l'encéphale d'un centre préposé à la réalisation du sommeil , comme il en existe pour le langage, l'écriture,
ignalé les faits qui militent en faveur de l'hypothèse d'un centre du sommeil . A mon avis, l'observation des phénomènes qui s
es phénomènes qui se rattachent à la production .et à la cessation du sommeil , tendrait plutôt à démontrer l'existence d'un cen
rvention de la volonté, nous pouvons lutter contre l'envahissement du sommeil et en retarder l'apparition. II est vrai que cott
meil et en retarder l'apparition. II est vrai que cotte résistance au sommeil ne peut être que temporaire, et à la condition qu
n singulier d'exercer une action personnelle sur l'apparition de leur sommeil . Napoléon en était doué et dans le Memorial d
ressant que l'on puisse, avec la plus grande facilité. inteiTompre le sommeil de l'homme et des animaux. Les excitations péri
quel on n'est pas accoutumé-non seulement empêchera la réalisation du sommeil , mais il tire également un dormeur d'un sommeil p
era la réalisation du sommeil, mais il tire également un dormeur d'un sommeil profond. Lorsqu'on est incommodé par le ronflemen
tourdissant diminue de jour en jour, et bientôt ne troublera plus son sommeil , tandis que pour les hommes de l'équipage appelés
est certain qu'une véritable éducation préside a la mise en train du sommeil , et contribue k faciliter son interruption. Ainsi
l'appelle par son nom. Carpenter, dans son remarquable article sur le sommeil , cite l'exemple d'une personne qui se réveillait
s des communautés religieuses, alors même qu'ils sont plongés dans le sommeil le plus réparateur et le plus profond.. (1) L'e
de ses Idées Vtax-jt dormir.je ferme tous tes tiroirs,et me voilà au sommeil . Aussi Observait-il qu'il avait toujours dormi qu
. Ces divers exemples confirment l'opinion que l'homme plongé dans le sommeil est moins indifférent aux influences psychiques q
rapper le visage réveillera très facilement le donneur plongé dans le sommeil le plus tor-pide. Il en est de même des affusions
périphériques ou viscérales ont pour effet d'interrompre le cours du sommeil par un mécanisme identique à celui par lequel les
plancher du troisième ventricule. Il est légitime d'admettre que le sommeil par tes anesthésiques s'effectue par un mécanisme
mmeil par tes anesthésiques s'effectue par un mécanisme identique. Le sommeil anesthésique apparaît quand le centre du réveil i
on du contre du réveil. h'état de reit/e. encore plus que l'état do sommeil , dépend donc de l'intégrité de ce centre. Quaud p
ne peut plu* >*tre maintenu. Le sujet reste alors dans un état de sommeil artificiel partager ou de sommeil pathologique pr
e sujet reste alors dans un état de sommeil artificiel partager ou de sommeil pathologique prolongé. Le centre du réveil sera
ce que. dans les cas où un sujet présente pour principal symptôme un sommeil irrésistible et prolongé, la lésion devrait intér
firmer notre hypothèse. Dans une leçon des plu» remarquables sur le sommeil dan* lee tumeurs cérébrales. M. te professeur Ray
al dont les lésions ont pour principal symptôme de s'accompagner d'un sommeil irrésistible. En effet des tumeurs, gliomes ou
onique ches les marmottes, out provoqué chez les malades des états de sommeil , dans lesquels ils restaient plongés jusqu'à leur
ants. II s'agissait d'un mu Inde, demeuré longtemps dans un véritable sommeil , qui pouvait être réveillé assez facilement, mais
ntion des observateurs sur les causes auatomiques dans les cas de sommeil irrésistible et contribueront, dan* un délai asse
ion*, périphériques qui agissent enr la production ou la cessation du sommeil , ce sont len excitations psychiques qui paraissen
t, dit-il. nous constatons qu'il y a deux espèces bien différentes de sommeil , le naturel et l'artificiel. Ce dernier n'est pas
ynthèse nous est toujours interdite. Par une singulière exception, le sommeil constitue une fonction qui peut être reproduite :
nditions que T'analyse nous fait connaître, nous pouvons provoquer le sommeil , tandis que nous ne pouvons provoquer ni la circu
lois de la circulation, de la respiration. Nous pouvons proroquer le sommeil : c'esl là un fail unique ; mais le sommeil ainsi
Nous pouvons proroquer le sommeil : c'esl là un fail unique ; mais le sommeil ainsi obtenu n'est qu'un sommeil artificiel. »
: c'esl là un fail unique ; mais le sommeil ainsi obtenu n'est qu'un sommeil artificiel. » Provoquer le sommeil : cela n*imp
sommeil ainsi obtenu n'est qu'un sommeil artificiel. » Provoquer le sommeil : cela n*implique-t-il pas l'intervention d'une a
simples, explicables par les données de la physiologie. Ua cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente par
ate entre ses impressions actuelles et certains souvenirs d'avant son sommeil . Croyant n'avoir dormi qu'une nuit, elle ne compr
squ'alors, en dépit des apparences, elle était restée dans un état de sommeil hystérique. Son étonnement au réveil souligna le
e comportaient, en réalité, aucune imputation de responsabilité. Le sommeil prolongé de Zénona n'a pas comporté fidèlement to
prolongé de Zénona n'a pas comporté fidèlement tons les caractères du sommeil hystérique, dit classique. A vrai dire la descrip
pondant aux nécessités de l'enseignement. Pratiquement, chaque cas de sommeil offre ses particularités individuelles. Si Marg
nona. l'on a constaté des dissociations sensorielles très nettes ; le sommeil n'était que partiel, comme profondeur et comme ét
me profondeur et comme étendue. Ils ne sont pas nombreux les cas de sommeil hystérique, surtout de sommeil prolongé, sur lesq
Ils ne sont pas nombreux les cas de sommeil hystérique, surtout de sommeil prolongé, sur lesquels une intervention quelconqu
n et Bèrillon. Revue de l'Hypnotisme, wept. 1904. Paul Fabkz. — Les sommeils pathologiques, leçon d'ouverture A l'Ecole de psy
ologie, le 15 Janvier 1904. Reoue de l'Hypnotisme, février 1901! — Un sommeil de dix-sept ans. Reçue de l'Hypnotisme, octobre 1
904 ; — La dormeuse de San Remo, Reçue de l'Hypnotisme, mal 1906;— Un sommeil de trente ans. Reçue de l'Hypnotisme, "'¦i.vii.i.
eil de trente ans. Reçue de l'Hypnotisme, "'¦i.vii.i.r.' 1907 : — Les sommeils pathologiques chez les animaux, terne de Patholog
Hypnotisme. janvier 1908. Witry (de Treves-sur-Moselle).— un cas de sommeil hystérique, Reçue de l'Hypno-tisme, septembre 190
simuler le retour k l'état presque normal. Quelque peu différent du sommeil hystérique classique, en ce qui concerne son cont
t du sommeil hystérique classique, en ce qui concerne son contenu, le sommeil de Zénona s'en rapproche par de nombreux pointe,
l, Zénona a manifesté l'amnésie habituelle pour toute la durée de son sommeil pathologique et l'étonnement coutuinier pour les
pour les changements survenus dans son entourage. D'autre part, ce sommeil s'est emparé d'un organisme où l'intoxication ava
traumatisme psychique que l'on retrouve si souvent à l'origine de ces sommeils hystériques. Bappelons qu'Argentina, s'était endo
Zénona, à la suite d'une hallucination terrifiante. Mais l'accès de sommeil n'a pas été brutal et définitif : comme chez Marg
ez Marguerite B. De même que chez Margarethe K., de petites crises de sommeil , légères, courtes, subintrantes ont précédé le so
ites crises de sommeil, légères, courtes, subintrantes ont précédé le sommeil prolongé ; ces courtes crises de sommeil ont alte
subintrantes ont précédé le sommeil prolongé ; ces courtes crises de sommeil ont alterné, pendant quelque temps, avec divers t
portée vers le sexe faible, à moins qu'une perte séminale pendant le sommeil n'ait rétabli l'équilibre. Cette action, ce pou
e maniant la suggestion avec maîtrise et qu'ayant réussi a plonger en sommeil profond à peu près tous les malades qui à cet eff
veille. Dans ce fait nous relovons la cause que c'est dans l'état de sommeil provoqué qu'on a le premier remarqué l'étendue én
La psycho-pathologie de Bismark. D' Lkuksli:, de Loches : La cure de sommeil prolongé. D" Bèrillon et Takrics (d'Epinay-sur-
affecté et dans la préface de la seconde édition de son livre sur Le sommeil et ses états analogues. il exprime, en termes pos
u'elle rejette, ainsi que je l'ai fait dans mon traité spécial sur le sommeil provoqué, — et que par conséquent, on ne se range
. Rééducation de l'attention et de l'application. c. Rééducation du sommeil . d. Rééducations des fonctions viscérales. e.
La situation ne s'étant pas modifiée, j'eus recours à l'hypnose. Le sommeil ne vint pas tout d'abord, la fillette résistant p
en, accoucheur à son temps, toujours sur la brèche, jamais sûr de son sommeil de la nuit, prenant ses repas quand on peut, lisa
auteur à admettre que dans son essence l'hypnose constitue un état de sommeil . L'étude des états de sommeil reconnaît un côté
ssence l'hypnose constitue un état de sommeil. L'étude des états de sommeil reconnaît un côté physique comprenant lès process
naît un côté physique comprenant lès processus somatiques (théorie du sommeil de PlUgcr), et un côté psychique trop souvent nég
s. L'analyse des rêves, du demi-sommeil et du processus de Ventrée en sommeil , met bien en vue les principales propriétés de l'
e en sommeil, met bien en vue les principales propriétés de l'état de sommeil , considéré de ce point de vue psychique. Durant l
l'état de sommeil, considéré de ce point de vue psychique. Durant le sommeil , la critique se taisant, un excitant extérieur pe
de l'irréel. A la nuit tombante ? quand l'homme se trouve en état de sommeil ) la lumière est différemment distribuée et le vis
la réalité. Le demi-sommeil, autre propriété étonnante de l'état de sommeil , est constitué par un mélange de sommeil et de ve
riété étonnante de l'état de sommeil, est constitué par un mélange de sommeil et de veille. Comme illustration du demi-sommei
t indifférent. Ce demi-sommeil, qu'il conviendrait plutôt de nommer sommeil partiel, est dans son essence un état de veille f
est dans son essence un état de veille faisant trait d'union entre le sommeil qui précède et celui qui suit immédiatement cet é
cet état mitoyen. Dans l'espèce on ne pourrait sérieusement nommer le sommeil complet que du moment qu'il se passe sans rêves.
nommer le sommeil complet que du moment qu'il se passe sans rêves. Le sommeil partiel présente toutes les nuances et parcourt t
mme des degrés intermédiaires entre les deux extrêmes de la veille au sommeil complet. L'homme en état de sommeil partiel reste
les deux extrêmes de la veille au sommeil complet. L'homme en état de sommeil partiel reste en certain rapport avec les personn
'on lui dit. Cette propriété peut servir k faire passer le dormeur du sommeil profond en sommeil léger et vice-versa. Cet état
propriété peut servir k faire passer le dormeur du sommeil profond en sommeil léger et vice-versa. Cet état de choses démontre
éger et vice-versa. Cet état de choses démontre qu'entre ces modes de sommeil et l'hypnose il existe une parenté tellement proc
définition psychologique suivante s'impose : V hypnose est un état de sommeil se caractérisant par l'existence du rapport, cela
ar l'existence du rapport, cela veut dire : elle constitue un état de sommeil dans lequel l'hypnotiseur et l'hypnotisé peuvent
e eux. L'auteur se posant la question : Comment peut-on produire le sommeil chez l'homme ? Cherche à résoudre ce problème en
roblème en recourant à l'étude des symptômes accompagnant l'entrée du sommeil . Quant l'homme se trouve en état d'excitation : t
sentir la fatigue. Aussi l'exténuation ne suffit pas pour induire le sommeil , il faut la sensation de fatigue. Quand l'excitat
l'excitation cesse et fait place au calme, la fatigue se montre et le sommeil vient. Aussi, appelé à guérir de l'in-sommie, le
onotone fréquemment répétée des organes des sens favorise l'entrée en sommeil . Tels sont le bruit du vent, le battement des vag
du centre de la vue et puis la fatigue générale du cerveau, suivi de sommeil . On peut tirer parti de cette observation pour
sommeil. On peut tirer parti de cette observation pour provoquer le sommeil . On invite le malade se plaignant d'insomnie h pr
eu tant qu'il finit par s'endormir. Afin de hâter, la production du sommeil , on peut en même temps faire appel à la suggestio
de la pratique va nous en donner une notion : Après avoir produit le sommeil chez une personne plusieurs fois par une piqûre d
tion en ne se servant que de l'eau pure. Dans ce cas. l'image vive du sommeil , l'attention expectante, a produit le sommeil. Le
ce cas. l'image vive du sommeil, l'attention expectante, a produit le sommeil . Le sommeil ainsi obtenu est un phénomène de la s
age vive du sommeil, l'attention expectante, a produit le sommeil. Le sommeil ainsi obtenu est un phénomène de la suggestion :
premier chapitre finit avec l'exposition des méthodes de provoquer le sommeil selon Mesmer, Braid. Liébeault. O, Vogt. la descr
eurs et de concentrer les foi-ces de volonté vers le but désiré. Le sommeil par l'apaisement qu'il sait donner aux centres su
e utilisé dans le traitement des troubles de la sensation. C'est au sommeil provoqué par concentration de sa pensée sur la so
neutraliser les douleurs d'un accès de goutte aiguë. C'est à ce même sommeil partiel que soumit Porel les garde-malades surmen
el les garde-malades surmenés dans son asile d'aliénés de Burghôlzli, sommeil qui leur permettait de continuer une bonne survei
des tout en jouissant du repos nécessaire de la nuit. C'est encore ce sommeil hypnotique qui maintes fois a servi a neutraliser
ves et dans les accouchements, et cela non pas seulement parce que le sommeil comme tel sait calmer la douleur existante mais e
tion. L'auteur s'étend longuement sur Le traitement des troubles du sommeil , de l'incontinence des urines, l'onanisme, la peu
nisme, la peur nocturne des enfants, la chorée. Il prone la valeur du sommeil provoqué en tant que remède calmant dans nombre d
se de St-Guy. certaine cas d'hystérie, d'exténuation de fatigue. Le sommeil prolongé tel que le préconise "Wetterstrand et co
Fayet. p. 282. Ch'oroformique (Considérations psychologiques sur le sommeil ), par Podiapolsky, p. 66. Climatologie (Le cong
75. Dormir ? (Combien de temps un enfant doit-il), p. 31. Dose de sommeil nécessaire d'après Edison (La),, p. 320. Durée
7, 239 254, 288, 307, 320, 368. Sociologie et fouriérisme, p. 64. Sommeil hystérique avec personnalité subconsciente (un ca
ersonnalité subconsciente (un cas de), par Paul Farez, p. 308, 335. Sommeil (Concours de résistance au), p. 126. Sommeil et
Farez, p. 308, 335. Sommeil (Concours de résistance au), p. 126. Sommeil et de l'Hypnose (Les rapports biologiques du),
e l'Hypnose (Les rapports biologiques du), par Anastay, p. 210. Sommeil de 32 ans (Un), p. 288. Somnolence et hyperglobul
15 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
> (Téléphone : 22b-0l) 1904 19- ANNEE. — N" 1. hypnotisme, sommeil movoQUS, somnambulisme, sitconon NÉTKOSES. mala
ment du confrère, qu'on ne laisse même pas dormir en paix son dernier sommeil . Jamais, il nous semble, cet état d'âme ne s'es
ssÎ07t : MM. de Jong, Le Menant des Chesnais, Lux. M. Paul Farez : Un sommeil de dix-sept ans. Discussion : M. Paul Magnin. M
ains sujets doués d'une grande énergie de la volonté. L'hypnose, ou sommeil provoqué, est en effet une des nombreuses manifes
chaine, vous dormirez sans cauchemars, ni rêves; vous « dormirez d'un sommeil complet et profond jusqu'au moment où vos « tante
santé continuait à être bonne, mais qu'elle avait de nouveau perdu le sommeil . Je lui donnai par lettre le conseil suivant : ¦
pte - à peu près jusqu'à 25 et je m'endors au bout de ce temps d'un sommeil - profond. » D'ordinaire, la visite d'un insp
es les nuits. Je n'irai pas cependant jusqu'à dire qu'il n'y a pas de sommeil sans rêves; ce serait peut être trop absolu. Mais
rait peut être trop absolu. Mais je crois que c'est seulement dans le sommeil naturel profond et dans le sommeil hypnotique san
crois que c'est seulement dans le sommeil naturel profond et dans le sommeil hypnotique sans suggestions qu'on rencontre l'abs
e Perle, h-- C. Boutieb, et M. Boutieb, médecins résidante. Cure do sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Wetterslrand et de
rue Castellane, Paris (8*}. {Téléphone : 22Ï-01) 1904 HYPNOTISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MAL
UE, FOLKLORE LIVRAISON H'AOUT 1904 I. — TRAVAUX ORIGINAUX.— 1. Le sommeil , agent caratlf, par M. le D'Henry Leuesle, prof
SME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 19e Année .— N°2- Août 1904. Le sommeil , agent curatif par m. le d' Henry Lemesle, prof
dont elle s'enrichit chaque jour : nous voulons parler de la Cure de Sommeil . Il serait superflu d'insi3tcr sur la diminutio
il. Il serait superflu d'insi3tcr sur la diminution ou l'absence de sommeil dans la période qui précède la plupart des névrop
cusent les malades en cause, quand ils ont enfin retrouvé une nuit de sommeil . Nous n'avons pas en vue, dans cette courte étu
it de sommeil. Nous n'avons pas en vue, dans cette courte étude, le sommeil produit par des agents médicamenteux, qui ajouter
eux, excités ou déprimés, est déjà victime. Il s'agit de l'hypnose ou sommeil provoqué par une excitation monotone, continue, p
déo-motrice. Constatons, en passant, que la théorie histologique du sommeil normal, telle qu'ello résulte des travaux do Golg
o résulte des travaux do Golgi et de liamon y Cajal, et la théorie du sommeil provoqué, se complètent et se confirment merveill
uoi qu'il en soit, la thérapeutique contemporaine a retrouvé, dans le sommeil provoqué et prolongé, une arme dont les prêtres g
collaboration. Dans une lettre d'Aspasic à Périclès, on voit que le sommeil était un moyen de traitement généralement employé
rison d'un mal qui la torturait et comment elle fut guérie pendant lo sommeil sacré, qui était le sommeil hypnotique ou provoqu
ait et comment elle fut guérie pendant lo sommeil sacré, qui était le sommeil hypnotique ou provoqué. Le procédé d'hypnotisatio
de la colonne qui portait la statue « et je fus plongée dans un doux sommeil .» Diodore de Sicile (Histoire, 1. I, ch. 25) me
ait dans le temple un miroir qu'il fallait regarder fixement avant le sommeil sacré. L'usage de dormir dans les temples devai
pour revêtir peu à peu la forme perfectible, la thérapeutique par le sommeil suivit la destinée des temples où elle était prat
ion nous explique le très long abandon que subit le traitement par le sommeil , actuellement remis en honneur, créé pourrait-on
on dire, par des psychologues du xix° siècle finissant. On a dit du sommeil naturel qu'il est le a recueillement universel de
sme biologique. Cette définition est encore vraie si on l'applique au sommeil provoqué. 11 y a identité entre le mécanisme de p
l provoqué. 11 y a identité entre le mécanisme de production des deux sommeils , de l'état d'engourdissement psychique et organiq
ractérise. Ce qui confirme l'identité de ces deux états, c'est que le sommeil ordinaire se transforme en hypnose par suggestion
se transforme en hypnose par suggestion et que l'hypnose se résout en sommeil ordinaire (Liébeault). Le sommeil provoqué, com
ion et que l'hypnose se résout en sommeil ordinaire (Liébeault). Le sommeil provoqué, comme le sommeil naturel, est uno fonct
out en sommeil ordinaire (Liébeault). Le sommeil provoqué, comme le sommeil naturel, est uno fonction de réparation, une déte
es idées qu'ils ont dans l'esprit. Sédatif nerveux par excellence, le sommeil provoqué rend aussi plus facile la psychothérapie
stion. Rappelons que c'est à la suggestion pratiquée à la faveur du sommeil prolongé qu'Auguste Voisin est redevable de la pl
pelait les névroses connexes. Pour Bourdon (de Méru), « l'emploi du sommeil provoqué : peut être utilisé, avec une durée plus
rolongé, » dans le traitement d'un grand nombre d'états nerveux. Ce « sommeil est éminemment réparateur, rien ne le vaut pour «
puis-« sant; il aie plus souvent besoin d'être prolongé. Pendant le « sommeil prolongé, il se fait un travail latent où les sug
é et enregistré, dans de nombreux graphiques, l'action régulatrice du sommeil provoqué sur les mouvements respiratoires et card
i constitue une démonstration frappante de la valeur thérapeutique du sommeil provoqué et prolongé indépendamment de toute sugg
tockholm, a tout particulièrement insisté sur la valeur de la cure de sommeil et il est, après Lié-beuult, le véritable protago
est, après Lié-beuult, le véritable protagoniste du traitement par le sommeil prolongé. Pour Wetterstrand : « On a donné dans
s beaucoup de cas « trop d'importance à la suggestion et pas assez au sommeil . « Le traitement parle sommeil profond et prolong
rtance à la suggestion et pas assez au sommeil. « Le traitement parle sommeil profond et prolongé répond à « des indications pr
es nerveuses carac-» térisées surtout par des troubles psychiques, le sommeil « profond est extrêmement bienfaisant et plus sa
s besoins. Tous ces actes a sont automatiquement accomplis pendant le sommeil . — Le « dormeur ne ressent aucun malaise; il a, a
llerin (de Dretde). Femme k herbe, Ifta de tt an*. (!«s-178î) bon sommeil . Elle était régulièrement réglée tous les mois et
malade est agité ; Il ne dort pas ou. s'il parvient à s'endormir, son sommeil est troublé par des hallucinations auditives et v
ée au lit, ¡1 s'endormira très vite et très profondément, que son sommeil sera doux, calme et agréable, exemp: de rêves vol
ce le plan suivant : A la première séance, me borner à provoquer le sommeil ; A la seconde, obtenir une amnésie complète; A l
ie pendant 15 à 20 minutes. i" juin. Administration du chloroforme, sommeil profond, amnésie presque complète, suggestion gén
sa. A 9 h. 1/2 du soir, ayant plongé la jeune fille dans un profond sommeil , suivi d'une amnésie complète, je lui applique au
ite. Ce sera peut-être un peu douloureux, mais vous dormirez d'un bon sommeil la nuit; demain matin, vous aurez une ampoule. Un
considérable à la téte, dont elle se sentoit soulagée à la fin de son sommeil cataleptique: Dans ces attaques : 1* Elle se tr
forment une catalepsie des plus complètes, soit pour la profondeur du sommeil , soit pour la flexibilité des membres et pour leu
ure que la catalepsie eut duré, celte fille revint comme d'un profond sommeil , et connoissant à l'air des assistants qu'elle av
eclivation de type que l'on peut très facilement provoquer pendant le sommeil hypnotique. Pendant ce dernier, en effet, les hys
Paris, !>¦• ?. ??????, et M Bovtier, médecins résidants. Gare de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Wetterstrand et de
un Castellane, Paris (8*). (Telephone : 22'i-Of) 1904 UVPNOTISMB, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MAL
; en résumé le faciès est celui d'une femme amaigrie, plongée dans un sommeil calme et profond. Lorsqu'on ouvre brusquement les
ctures, a complètement disparu. A partir de ce moment, l'atlaque de sommeil , avec tous les symptômes accessoires, peut être c
n ngc. Sa mère lut répondit 22 ans, faisant abstraction des années de sommeil . Elle lui présenta une nièce, nie la veille de l'
nc perdu le souvenir des événements marquants qui avaient précédé son sommeil , tout en ayant conservé assez vivace la mémoire d
ider à évoquer dans son esprit les impressions ressenties pendant son sommeil . A moins d'admettre que la mémoire se soit effond
e l'hystéro-épilcpsic et justifie celte opinion de Chnrcot : « Le sommeil hystérique est une attaque hystéro-épileptique mo
u'à la période finale, est le cas le plus extraordinaire d'attaque de sommeil hystérique qui ait été relaté à ce jour. Tous l
térique qui ait été relaté à ce jour. Tous les symptômes observés ; sommeil , contracture, clignotement des paupières, trépida
abolition du souvenir des faits ayant précédé de plusieurs années son sommeil et principalement de ceux approchant la crise ini
démontre la possibilité de vivre de nombreuses années dans l'état de sommeil hystérique et la possibilité de survivre à des at
jours après, l'opération ayant été répétée, elle sortait de son long sommeil . Depuis cette époque, j'ai souvent eu l'occasio
société D'HYPN'OLOGiE ht de psychologie 87 s'est passé pendant son sommeil ; il n'en résulte pas que pendant ce dernier état
dont je rapportais tout récemment l'observation. Elle est sortie d'un sommeil hystérique qui durait depuis dix-sept ans et son
dant de près, le retour de la sensibilité précéder le commencement du sommeil . Avec tous les excitants que j'ai employés, j'a
sensation, sans qu'aucune suggestion soit intervenue pour produire le sommeil . Névralgies guéries par la suggestion hypnotiqu
ux pratiqua une opération de cystocèle sur une malade plongée dans le sommeil hypnotique et qui, à son réveil, déclara n'avoi
ue Castellane, Paris (8*). (Téléphone : 22ti-0i) 1904 HYPNOTISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MAL
le D' Bbrillon. professeur à l'Ecole de psychologie, p. 97. 2. TJn sommeil de dix-sept ans, par M. le D' Paul Fahbz, profe
LOGIE Séance du mardi 11 mal 1904. — Présidence de M. Voisin. TJn sommeil de dix-sept ans. par M. le D' Paul Fabez. Profess
in d'alarme sonne... Aussitôt, notre dormeuse se réveille de son long sommeil . Elle recouvre d'emblée sa pleine et entière conn
te et notre jeune fille perd plusieurs fois connaissance. Bientôt, un sommeil continu s'installe, sans qu'aucun moyen puisse y
Pendant les trois mois qui suivent, elle présente un état général de sommeil avec, de temps en temps, des réveils de courte du
travaux des champs. En janvier 1886, survient une nouvelle période de sommeils discontinus, durant de quelques jours a quelques
l'événement rapporté plus haut. Dans les premiers temps de ce long sommeil , notre dormeuse présente fréquemment des raideurs
tion est facile, régulière et variée. Les malades ainsi atteints do sommeil prolongé sont parfois, souvent . même, complèteme
onne étrangère à s» famille se trouve auprès d'elle. Au cours de ce sommeil , toutes les fonctions végétatives se sont accompl
du temps pendant lequel elle a dormi; il lui semble même que son sommeil a duré 1res peu de temps, l'espace d'une nuit. Se
ts récents. Elle se fait raconter tout ce qui s'est passe pendant son sommeil ; son intelligence parait pleinement lucide et ell
. Lorsque vient le soir, elle craint de retomber, la nuit, dans son sommeil pathologique; en proie à cette préoccupation, ell
portuns sont impitoyablement éloignés. A n'en point douter, ce long sommeil est un sommeil hystérique. En effet, comme c'est
pitoyablement éloignés. A n'en point douter, ce long sommeil est un sommeil hystérique. En effet, comme c'est la règle, il a
ffet, comme c'est la règle, il a été précédé de plusieurs périodes de sommeils plus courts et entrecoupés de réveils. Comme c'es
rovoqué le réveil ! D'aucuns diront : Gésine dormait, le jour, d'un sommeil pathologique, et, la nuit, d'un sommeil naturel;
Gésine dormait, le jour, d'un sommeil pathologique, et, la nuit, d'un sommeil naturel; pendant ce dernier, elle s'est montrée a
onne normale ; et, tout comme ses voisins, elle a été arrachée au sommeil normal par tous les bruits annonciateurs de l'inc
rmeuse n'a manifesté qu'elle en fût avertie. Elle dormait donc de son sommeil hystérique, la nuit comme le jour. L'explicatio
dire, il était prévu. Depuis quelque temps, en effet, Gésine avait un sommeil moins profond et une respiration moins régulière
érébrale à la moindre lecture. Elle a grand'peur de devenir folle. Le sommeil est agité, l'appétit capricieux, la garde-robe no
diennes, va en visite presque chaque jour, son appétit s'améliore, le sommeil devient calme. Les accès de tristessesont de plus
mps en dépit de son mal de gorge; elle se sent mieux; l'appétit et le sommeil sont normaux; les maux de tète sont plus rares et
'angoisse reviennent encore mais rarement cl sont de courte durée. Le sommeil est calme, les maux de téte ont aussi disparu. El
ie de la mort; ces trois derniers n'étalent point somnambules et leur sommeil n'avait été poussé que jusqu'au second degré. Mal
suggère que la fixation de ma photographie ne doit point provoquer le sommeil . Je fais cette recommandation pour éviter chez eu
e l'irritation, dos douleurs, l'amélioration du bien-être général, du sommeil , de l'appétit, de la mémoire, etc. En outre, ce c
r la résistance morale et physique, donner de l'appétit, faciliter le sommeil , transformer ou diminuer la sensibilité de l'odor
être efficaces.il faut donc que je parvienne à provoquer chez lui un sommeil complet, avec oubli au réveil. Je lui recommande
ais dès que je formule ma suggestion, il se réveille! Pour corser son sommeil , je lui prescris d'absorber, la fois suivante, un
e de Parti, î— C. Bovtter, et Vf ?????, médecins résidante, Core de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Weltersiracd et de
ue Castellane, Paris (8*). {Téléphone : 22'à-0i) 1904 hypnotisme, sommeil provoque, somnambulisme, suqgest10n névroses, mal
a question; puis, il étudie, en détail, avec la psycho-physiologie du sommeil naturel, les trois principales manifestations que
s en plus mon interrogatoire, j'appris que la nuit elle n'avait qu'un sommeil léger cl particulier. 11 lui semblait que tandis
mpressionnant surtout cette région de son corps, je lui procurerai un sommeil plus profond, et que j'arriverai peut-être aussi
où elle était, elle ne le savait pas. Je lui fis donc, pendant son sommeil , les suggestions qui me parurent le plus appropri
t psychique. Dix jours après elle m'annonça qu'elle avait repris un sommeil complet la nuit, et que sauf les jours où à l'ate
erveux, et ne saurait constituer une maladie véritable comme celle du sommeil dont il a été tout particulièrement question dans
santé, nous passons pour ainsi dire sans transition, de la veille au sommeil , il en est de même pour le réveil. Mais nous conn
s éprouvé plus d'une fois cet état spécial qui précède souvent le sommeil , état intermédiaire, dans lequel, sans perte de l
ns Dotre esprit, nos jugements s'en ressentent, et, jusqu'à ce que le sommeil s'empare tout à fait de notre cerveau ou qu'une c
érébraux que le moindre travail épuise et force à la rétractation, au sommeil . Dans le champ trop élroit des cellules cortica
ue rarement, sinon jamais ». Aussi les brusques réveils, alors que le sommeil n'est pas terminé, « boivent l'âme, gèlent le san
de Paris, D™ C. Boutibb. et M. BoUTiEn, médecins résidants. Care de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Wetterslrand et de
Castellane, Paris (8*). {Téléphone : 22Ì-0Ì) 1904 ;iUN ¦!:¦'.:;:. SOMMEIL PROVOQUE. S CM A MBDLISME, SUGGESTION NÉVROSES. M
n consentement préalable de l'esprit semblable à celui qui produit le sommeil . Il y avait chez elle une idée dominante : guérir
ciale à recevoir l'affirmation. C'était, si vous le voulez bien, du sommeil léger, très léger, c'était do l'hypnose. En un mo
x doivent être les gens qui, étant éveillés, sont pourtant en état de sommeil léger, en un mot d'hypnose. Eh bien, tous les
Le 15 avril, commence le traitement par la suggestion à l'état de sommeil ; la malade est endormie dès la première séance ;
de Paris, D« C. Boutier, et M. Boutibr, médecins résidants. Cure de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Welterstrand et de
rne Castellane, Paris (8*) (Téléphone : 224-tfi) 1905 hypnotisme. sommeil provoque. somnambulisme. suggestion NÉVROSES. mal
s'élancent droit devant eux, les yeux fixes, comme dans une sorte de sommeil somnambulique. Ils sont comme sous l'empire d'une
moins s'en obtient assez rapidement, simple proportion de repos et de sommeil nécessairo en même temps que de réfection aliment
l'excès d'aclivité cérébrale n'est pas douteux, auraient besoin d'un sommeil plus long, plus régulier et plus complet que les
enir que ceux-là, on constate un retard anormal dans la production du sommeil , dù, tantôt à la peur morbide de l'Insomnie, tant
ils sont incapables d'enrayer—, ou bien, s'ils s'endorment vite, leur sommeil est très léger : le moindre bruit les éveille et
ne parviennent plus à se rendormir. On a parlé de l'absence de tout sommeil . Elle est réelle et n'est même pas très rare. On
s difficiles à traiter; ils doivent en premier lieu être rééduqués au sommeil . C'est par la constance et l'entraînement progres
constance et l'entraînement progressif que l'on y devra tendre. Le sommeil est une fonction de réparation, une détente, un r
deux cas, le mécanisme de production est identiquement le même —, le sommeil est le sédatif nerveux par excellence. Il faut l'
otlsation et, puisqu'il est indispensable de rechercher avant tout le sommeil , le médecin le provoquera, autant de fois qu'il s
e faut, pour réaliser la production de l'hypnose et l'entraînement au sommeil . Les neurasthéniques ne doivent pas se lever ta
nseignement du dessin, professeur. Objet du cours : Les troubles du sommeil chez les enfants. Les mardis à cinq heures, à par
de Paris, D— c. Boctier, et M Boctter. médecins résidant*. Core de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Wetterstrand et de
de Pari», d" C. Bocnza. et vi. Boutiir. médecins résidants. Cnra de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Wetterstrand et de
ec soceôs, contre son gré et à son Insu, par suggestion, pendant le sommeil naturel, par M. le D' Paul Farkx. professeur à l'
uivant sa façon de voir, multiplié plus ou moins les divers degrés du sommeil . Et cela se comprend d'ailleurs. Chaque malade, e
c'est une erreur grave de vouloir plonger les malades dans un état de sommeil profond. Il suffit, en général, de les hypnotiser
ue les ignorants de la question se refuseraient à considérer comme du sommeil hypnotique, les raisonnements porteront qui tout
précisément pour être hypnotisés. Au reste, même dans les cas où un sommeil profond pourra paraître indispensable, rien n
e laisse pas que de m'étonner profondément. C'est quo l'importance du sommeil en lui-même semble avoir échappé complètement à l
es malades qu'il est possible de guérir par des séances prolongées de sommeil provoqué. Ne semble-t-il pas aussi logique, par e
n mélancolique anxieux susceptible de l'être que d'amener chez lui le sommeil par des doses considérables d'opium? Le médecin
e de juger quelle part il doit faire, dans chaque cas particulier, au sommeil seul; quel degré de sommeil ¡1 doit chercher à ob
it faire, dans chaque cas particulier, au sommeil seul; quel degré de sommeil ¡1 doit chercher à obtenir; quelle est, pendant l
l degré de sommeil ¡1 doit chercher à obtenir; quelle est, pendant le sommeil , la nature des suggestions qu'il lui faut faire.
avec succès, contre sou gré et à son Insu, par suggestion pendant le sommeil naturel par M. le docteur Paul Parez Professeur à
ation, j'institue, comme mode de traitement, la suggestion pendant le sommeil naturel. On m'objectera que je porte ainsi atte
que, malgré lui et à son insu. Les séances de suggestion pendant le sommeil naturel ont lieu, dans le début, quatre à cinq fo
coles de Stockholm, les élèves qui n'ont pas la moyenne nécessaire de sommeil , ont un quart de maladies en plus que les autres.
art de maladies en plus que les autres. Cette moyenne nécessaire de sommeil est pour les enfants de 4 ans, de douze heures.
rbert, 10. HYPNOEUM LIÉBEAULT LOCHES {Indre-et-Loire) Cure de sommeil - PsYchoUiéripie - Méthodes de WeUaraUud et de Wa
out de quelques minutes, un engourdissement et une predisposi lion au sommeil que nous avons utilisés poor la production de l'h
forme, mais non dans l'esprit, une toile influence nypnogène, que te sommeil s'impose dot-les premières llgnos. De même que M.
découragement disant qu'elle n'avait aucun espoir d'être sauvée. Son sommeil était agité et elle refusait de prendre aucune no
rs de la suggestion, l'hypnose est active en elle-même (Wetterstrand, sommeil prolongé). Il est clair qu'il serait bien diffi
nt alors indifférent que cette suggestion se répète ou non pendant le sommeil hypnotique. On pourra toujours prétendre que c'es
e. On pourra toujours prétendre que c'est la suggestion et non pas le sommeil , en tant que tel, qui a guéri. Autrement dit, il
a déséquilibre fonctionnel entre le cerveau et la moelle épiniére. Le sommeil normal rétablit l'équilibre ; l'hypnose fait de m
but, très peu accessibles aux suggestions. Des séances successives de sommeil améliorent assez vite leur état, et alors la sugg
ées ; dès lors, n'est-il pas rationnel de les soumettre à une cure de sommeil ? J'ai soigné un peintre-décorateur atteint d'accè
sortait complètement de son étatde confusion après une demi-heure de sommeil provoqué, en dehors de toute suggestion. De môme,
vomissements. Dès la première séance, elle fut plongée au 4e degré de sommeil . Je lui lis les suggestions appropriées aux circo
Pour ma part, je suis souvent intervenu fort efficacement; pendant le sommeil hypnotique, je suscite chez le dormeur la représe
s douloureux au creux de l'estomac et, enfin, d'une absence totale de sommeil produite par le mal de cœur. Elle est très anémié
facile à endormir. En 5 minutes, je réussis à provoquer chez elle le sommeil hypnotique avec calalepsie suggérée et mouvements
crainte un demi-verre de lait. En effet, la malade boit, pendant son sommeil , un petit demi-verre de lait, qui est gardé par l
lait, qui est gardé par l'estomac, non seulement pendant la durée du sommeil , mais encore pendant l'heure qui suit; mais, au b
dans la poitrine st dans le creux de l'estomac. La nuit se passe sans sommeil , tout comme précédemment. Le jour suivant, elle s
stion ne réussit point à faire cesser les nausées. Nouvelle nuit sans sommeil . Le troisième jour, je donne à la jeune femme env
issent que 2 ou 3 heures après. La nuit suivante, la malade dort d'un sommeil calme pendant 3 heures, car pendant tout ce temps
pain bénit et vers le soir une pomme. Les vomissements ont cessé ; le sommeil est calme et l'appétit revient. Voici l'état de l
que les vomissements ne reparaissent plus ni le jour ni la nuit et le sommeil est calme ; elle prend du thé avec du pain, du ja
vrier, elle se sent tout à fait bien ; ses forces, son appétit et son sommeil ne laissent rien à désirer. Le cas que je viens
la narcose éthyl-méthylique facilite la pratique de l'hypnotisme. Le sommeil hypnotique, malgré la catalepsie suggérée, les mo
ait bien être la cause du réveil. J'avais présent à l'esprit que le sommeil provoqué s'accompagne de phénomènes de vaso-dilat
tation, de lourdeur des paupières, de torpeur, que la chaleur aide au sommeil . La série de mes raisonnements me conduise à la
me dis-jc, si j'explique ainsi le réveil, je dois pouvoir produire le sommeil par des manœuvres contraires ; si au lieu de l'ai
ns la chaleur vaso-dilatatrice, je dois pouvoir aisément provoquer le sommeil . Quel sera donc l'instrument merveilleux qui m'
e solitude, éléments propres à renforcer la suggestion et à amener le sommeil . Je ne prétends donc pas faire table rase des m
faire table rase des moyens ordinairement employés pour provoquer le sommeil , mais signaler un adjuvant utile. Toutefois j'a
Donc, pas de contact. Observatioss. — I. J'essaie de traiter par le sommeil une dame âgée. Le sommeil vient difficilement à c
servatioss. — I. J'essaie de traiter par le sommeil une dame âgée. Le sommeil vient difficilement à cause de la fatigue et de l
gers accès de toux. Je fais l'application de la main hypnogénique, un sommeil léger s'établit. A son réveil, cette dame me dit
a qu'un malheur, c'est de se réveiller; on est si bien de dormir d'un sommeil si calme. * 2. Un enfant d'un an et demi ne peu
hase de torpeur, de me réveiller, mais pour retomber aussitôt dans le sommeil naturel. Il est évident qu'ici, à l'action de l
et une attitude de fatigue qui aident puissamment à la production du sommeil . Mais en fait l'insomnie est vaincue et je m'endo
se rapprochent sous l'influence du chaud. Or précisément, pendant le sommeil , les lobes frontaux sont rapprochés au maximum ;
s m'aident puissamment à calmer mes malades et à leur procurer un bon sommeil . M. Paul Fabez. — Bien des gens se plaignent d'
l'on veut hypnotiser et la lui laisser pendant toute la durée de son sommeil . L'onanisme mental et son traitement psychothér
es asiles de la Seine. nfsme se terminant le matin par des accès de sommeil profond. Dans ces cas l'onanisme n'était pas dout
inuit les douleurs ont reparu, mais pas assez fortes pour empêcher le sommeil , car, une heure après, elle s'est endormie jusqu'
t pas à la piqûre, elle a de l'anorexie, une tendance très marquée au sommeil . Sur ces données, vous aveztous l'impression qu'i
de Paris, D" C. Boutier, et M. Bodtier, médecins résidants. Gare de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Wetterstrand et de
rue Castellane, Paris (8*). [Téléphone : 22Ì-01) 1905 HYPNOTISME, SOMMEIL PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SU00B6TI0S NEVROSES, MAL
chez qui les procédés habituels de l'hypnotisation n'ont pas amené le sommeil dès la première séance. Chez les autres, dès la p
z les autres, dès la première séance, il a été facile de provoquer le sommeil hypnotique, accompagné de catalepsie et même, che
s. Dans ces conditions, le médecin arrive à grand'peine à produire le sommeil hypnotique et, s'il y parvient, c'est après de gr
l sera facilement hypnotisable ; 3» Au cours même de la narcose, le sommeil éthyl-méthyliquc est transformé par suggestion en
narcose, le sommeil éthyl-méthyliquc est transformé par suggestion en sommeil hypnotique, dont la durée et l'intensité varient
res. Six fois de suite, je lui assure ainsi une nuit de calme et de sommeil . Mais est-ce bien à mon intervention qu'elle doit
ce pas que l'agitation diurne fatigué notre malade et fait appel à un sommeil réparateur. Pour en avoir le cœur net, je m'absti
'une expérimentation : toutes les fois que la narcose est absente, le sommeil lui aussi fait défaut ; toutes les fois qu'il y a
d les phénomènes paroxystiques ; elle fait ainsi appel au calme et au sommeil . 11 y a plus. Dans l'insomnie par préoccupation
mentales, cette narcose coupe court à tout ce qui faisait obstacle au sommeil ; c'est ainsi que je l'utilise comme traitement s
; celle-ci terrasse, jugule, supprime la cérébration obsédante, et le sommeil s'installe (out naturellement. Ces heureux résu
de se reposer: je le prie de s'y abandonner. Il s'endort alors, d'un sommeil assez voisin du sommeil naturel ; et, quand ce de
ie de s'y abandonner. Il s'endort alors, d'un sommeil assez voisin du sommeil naturel ; et, quand ce dernier me parait assez pr
, une heure, plus même, sans lui faire aucune suggestion ; et ce seul sommeil lui fait beaucoup de bien. Ainsi, un certain nomb
de bien-être. Ces faits confirment l'efficacité très grande du seul sommeil , en dehors de toute suggestion exprimée. En ce qu
procédé facile, par lequel on peut soumettre à une véritable cure de sommeil les mélancoliques anxieux dont l'hypnotisation es
ile: la narcose éthyl-méthylique devient, dans ces cas, une amorce au sommeil . Discussion Dr Brbnard (de Cannes). — J'ai, m
es inhalations; mais, tout en la soutenant, je me hâte de suggérer le sommeil pour la nuit prochaine, le retour chez moi le sur
uit prochaine, le retour chez moi le surlendemain et l'acceptation du sommeil hypnotique. Le tout n'a pas duré plus de 15 secon
rme n'étant donné qu'à dose très faible, je suggère la possibilité du sommeil hypnotique. Celui-ci se produit après trois séanc
e le regard endort la malade en dix secondes. Elle reçoit, pendant le sommeil hypnotique et sans'les sentir, des Injections de
éthéromane ; a même employé le haschich ; agitation ; rires nerveux ; sommeil hypnotique impossible. Elle accepte avec joie le
is il faut aller jusqu'à des inhalations de 15 c. c. pour produire le sommeil . Au bout de quelques séances, le sommeil éthyl-mé
de 15 c. c. pour produire le sommeil. Au bout de quelques séances, le sommeil éthyl-méthylique se transforme, par suggestion, e
ces, le sommeil éthyl-méthylique se transforme, par suggestion, en un sommeil hypnotique qui se prolonge tant que je veux, une
is avec des séances d'abord quotidiennes, puis plus espacées; mats le sommeil hypnotique n'a jamais pu être obtenu sans commenc
le sommeil hypnotique n'a jamais pu être obtenu sans commencer par le sommeil éthyl-méthylique. Il est cependant si complet et
e a horreur de l'éther; elle demande encore de la morphine pendant le sommeil , mais l'oublie au réveil ; elle accepte parfaitem
amais pu être endormie par le chloroforme. Dix tentatives inutiles de sommeil hypnotique; se débat, après ces dix séances, à la
intimes, prononce des paroles incohérentes. Je fais la suggestion. Le sommeil hypnotique ne peut jamais être obtenu après le so
suggestion. Le sommeil hypnotique ne peut jamais être obtenu après le sommeil éthyl-méthylique. Ce n'est donc qu'à celui-ci que
mptable, paresse, copro-lalie, mais non associée à un tic quelconque. Sommeil hypnotique absolument impossible ; sommeil parfai
ociée à un tic quelconque. Sommeil hypnotique absolument impossible ; sommeil parfait avec le sœmnoforme. Au bout de dix à douz
ose échoue complètement. L'hypnotisatlon ne réussit qu'à provoquer un sommeil léger, insuffisant pour le succès des suggestions
pinay, Paul Magnin, Blech, Jules Voisin. 4. M. Joubdan. — Un cas de sommeil hystérique avec personnalité Bubconsciente. La
énomènes d'hallucination sensilivo-sensoriclle. Malgré le défaut d'un sommeil apparent, on ne peut contester que mon sujet se s
de Paris, Dr C. Soutier, et m. Routier, médecins résidants. Cure de sommeil — Psychothérapie — Méthodes de Wetterstrand et de
rue Castellane, Paris (8"). {Téléphone : 22k-0i) I90S hypnotisme, sommeil provoque, somnambulisme, suggestion KEVROS8S, mal
ez un hyperesthéslqne, par M. :Dr I i' Demonchy, p. 366. 5. Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente. Révei
psychologie : Ordre du jour et Programme, p. 377. — La narco-lcpsio ( sommeil pathologique), p. 378. VI. — OUVRAGES REÇUS A LA
isposition des phrases : « Mon bien aimé, « Tu m'as promis dans ton sommeil de signifier d'une façon formelle ta volonté à to
ul Magnin,Hermann Laurent. La séance est levée à G h. 35. Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente. Révei
ion d'un psoriasis qui envahit peu à peu toute la surface cutanée, le sommeil est agité de cauchemars effrayants qu'on ne peut
, alors qu'elle en pesait soixante avant sa fièvre typhoïde. Enfin le sommeil , qui est agité de cauchemars effrayants, ne diffè
gales à elles-mêmes ; la première, qu'on peut appeler personnalité do sommeil , était caractérisée par l'ensemble des phénomènes
vre typhoïde grave à manifestations délirantes, a été plongée dans un sommeil permanent, avec conservation de la personnalité,
ois au D' Bérillon, secrétaire i, rue Csstellsne. La narcolepsle ( sommeil pathologique). M. Chaviony, médecin-major, a pr
rrivé récemment a l'hôpital Dcsgcncttcs en observation pour crises de sommeil . Ce jeune soldat est pris à diverses reprises dan
alement après les repas ou après une fatigue d'un accès invincible de sommeil . Ce sommeil est très court, ne dépassant jamais c
s les repas ou après une fatigue d'un accès invincible de sommeil. Ce sommeil est très court, ne dépassant jamais cinq à dix mi
tion scientifique. M. Raubotis (de Corfou) : Suggestions pendant le sommeil normal. Dr Demonchy : La conscience du sommeil.
ggestions pendant le sommeil normal. Dr Demonchy : La conscience du sommeil . Dr Fbcillade [de Lyon) : Hoquet tenace guéri p
s comme garçon boulanger, cet homme était bien connu par ses accès de sommeil : il s'endormait sur le bord du pétrin, à table l
t de 40 à 50 a la minute et n'a jamais paru modifié par les crises du sommeil . Cette affection peut avoir des conséquences so
avec succès, contre son gré et à son insu, par suggestion pendant le sommeil naturel, par Paul Pares, p. 278. Amour par sugg
9. 128, 146, 159, 191, 220. 256, 281, 285, 302, 312, 317, 348, 351. Sommeil agent curatif, par Lemesle, p. 33. Sommeil de d
2, 312, 317, 348, 351. Sommeil agent curatif, par Lemesle, p. 33. Sommeil de dix-sept ans, par Paul Farez, p. 103. Sommei
Lemesle, p. 33. Sommeil de dix-sept ans, par Paul Farez, p. 103. Sommeil hystérique avec personnalité subconsciente, par
16 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
lue et repousser toute intrusion ? DE L'AMNÉSIE RÉTROACTIVE DANS LE SOMMEIL PROVOQUÉ Par M. le D- BERNHEIM proffesseur a
RNHEIM proffesseur a la FACULTÉ DE médicine de nancy L'amnésie du sommeil provoqué peut s'étendre à la période qui a précéd
ésie du sommeil provoqué peut s'étendre à la période qui a précédé le sommeil . 11 m'arrive souvent, dans mon service, d'hypnoti
ils n'ont pas conservé le souvenir de ce qui s'est passé pendant leur sommeil ; ils ne se rappellent même pas que je les ai endo
je leur ai parlé, ni même qu'ils m'ont vu dans la matinée, avant leur sommeil . Et cette amnésie rétroactive n'est pas un fait
si elle a jamais été endormie. Elle répond que non. Je lui dis que le sommeil provoqué lui fera du bien, calmera sa toux, lui e
a toux, lui enlèvera ses points de côté, lui donnera de l'appétit, du sommeil pour la nuit, etc. Je lui demande si elle a enten
la laisse en lui disant : « Vous allez vous endormir toute seule, du sommeil naturel ; dormez bien jusqu'à ce que je vous réve
vé très souvent. L'interprétation m'en paraît difficile. L'amnésie du sommeil provoqué se conçoit, d'après la théorie de M. Lié
ndividu suggestible et hallucinablc. Au moment de disparaître dnns un sommeil complet, ou bien au moment où il se reforme •près
dnns un sommeil complet, ou bien au moment où il se reforme •près le sommeil , l'esprit passe par une période de rétrécissement
ble, versent de l'eau indéfiniment jusqu'à inordef (1)liebeault, Du sommeil , p. 137. (2) Dr Philips, Cours de braidisme, 10
r de l'habitude inventérée de fumer. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Le sommeil provoqué et les états analogues, par le Dr A. Lié
chose ? » (Montaigne, Essais.) (2) Braid, Neurypnologie. Traité du sommeil nerveux, ou Hypnotisme, trad. Jules Simon. Paris,
e dans sa crise. L... est non seulement suggestionnable pendant son sommeil , mais la suggestion peut persister à l'état de ve
tait dans ma main et que j'étais absolument maître de lui a l'état de sommeil comme a l'état de veille. Or L... avait subi pl
i s'il ne serait pas possible d'obtenir la vérité de L... pendant son sommeil hypnotique. Je tentai l'expérience. Je ne crois
f, la donnée d'une équation à résoudre. Donc je plongeai L— dans le sommeil hypnotique : — On vous accuse de complicité de
de renvois; il diminuait dans la soirée et ne cessait que pendant le sommeil . Au mois de septembre 1888, Mme Bon... vint me
l sursaute et se réveille en ouvrant les yeux et protestant contre le sommeil qui ne viendra jamais, il en est bien sur. Après
lise et je l'endors. Les sursauts sont fréquents et violents, mais le sommeil est déjà plus profond quoique le malade sel souvi
ses paupières et je lui dis. donnez : il tombe instantanément dans un sommeil hypnotique profond dont il son à ma volonté sans
avons vu à Lausanne des jeunes gens tomber spontanément en attaque de sommeil hypnotique pendant une conférence que nous donnio
mnambulisme; par exemple : les passes dites magnétiques produisent le sommeil magnétique. Le sommeil magnétique est 1 état de s
e : les passes dites magnétiques produisent le sommeil magnétique. Le sommeil magnétique est 1 état de somnambulisme provoqué :
ique. Le sommeil magnétique est 1 état de somnambulisme provoqué : le sommeil hypnotique serait le même état provoqué par une c
ieu d'une influence individuelle. Somnambulisme. — Etat analogue au sommeil , mais en différant par la persistance de quelques
!es jeunes sujets et qui survient, le plus souvent, dans le cours du sommeil normal. Le somnambulisme provoqué est amené tantô
droyants, me demandant de la soulager. Une potion calmante procura un sommeil tranquille et le lendemain matin la malade me ser
e par la suggestion, hypnotique. M. Liébeault, dans son Traité sur le sommeil et les états analogues. cite trois observations d
Avant tout, il importe de définir le mot hypnose ou état hypnotique. Sommeil provoqué est une définition trop restreinte. Pa
ont conscience que de l'engourdissement ou n'ont aucune conscience de sommeil , ceux qui n'ont pas dormi, présentent des modes d
s effets thérapeutiques obtenus chez eux indiquent que. bien que sans sommeil , sans catalepsie, ils ne sont pas rebelles à l'in
mpréhensible que celle généralement usitée. Car définir l'hypnose,par sommeil provoqué, c'est, ou bien éliminer de l'hypnose un
tibilité intense et même hallucinabilité, ou bien c'est donner au mol sommeil une définition arbitraire, souvent contraire à l'
ire, souvent contraire à l'idée que le sujet lui-même s'en tait. Le sommeil , quand il peut être obtenu d'une façon non douteu
obtenir l'état de suggestion, l'état hypnotique.Il y a hypnose, sans sommeil . pour le démontrer, je procède parfois ainsi ch
t en conserve le souvenir. Alors seulement, j'ajoute : Dormez ! Et le sommeil lui-même vient se surajouter, comme effet d'une s
e veille. Beaucoup ne deviennent très suggestibles que par l'effet du sommeil provoqué. Celui-ci augmente la suggestibilité ou
la crée. Aussi cherche-l-on en général dans l'hypnose à provoquer le sommeil ou un état aussi voisin que possible du sommeil,
ypnose à provoquer le sommeil ou un état aussi voisin que possible du sommeil , pour rendre la suggestibilité aussi intense que
ait s'exposer à des échecs thérapeutiques fréquents que d'attendre le sommeil profond pour suggérer des états salutaires. Ceb
tion verbale. Il faisait asseoir ses sujets, leur disant de penser au sommeil ; de le regarder; il fixait lui-même de loin sesgr
'il sait qu'il doit dormir, lorsqu'il a une sensation qui l'invite au sommeil . C'est sa propre foi, c'est son im-pressionabilit
es est une sensation qui, chez certains, donne au sensorium l'idée du sommeil . C'est la sensation qui suggère l'hypnose. Certai
r les yeux et de les tenir clos quel-ques instants, pour provoquer un sommeil profond. L'occlusion des yeux, l'absence d'impres
ûr lui-même, l'empêchent de se distraire au dehors, créent l'image du sommeil ; c'est une invite au sommeil C'est une sensation
e distraire au dehors, créent l'image du sommeil; c'est une invite au sommeil C'est une sensation qui réveille par habitude ou
ille par habitude ou par action réflexe tous les autres phénomènes du sommeil . Mais la plupart des personnes peuvent fixer in
l : la suggestion. Impressionner le sujet et faire pénétrer l'idée du sommeil dans son cerveau, tel est le problème. L'expéri
ot suffit à provoquer chacun des phénomènes de l'hypnose avec ou sans sommeil . Dès la première fois et sans qu'il ait assisté à
instants, tout en disant que je vais l'endormir tpès facilement d'un sommeil doux, calme comme le sommeil naturel. J'approche
je vais l'endormir tpès facilement d'un sommeil doux, calme comme le sommeil naturel. J'approche une main doucement de ses yeu
s aller ; vos paupières sont lourdes, vos membres s'engourdissent, le sommeil vient. Dormez. »11 est rare que une ou deux minut
souvent ainsi. Les 4/5 au moins de nos sujets tombent ainsi dans un sommeil profond avec amnésie au réveil. D'autres, moins
evez m'entendre : vous pouvez être hypnotisé, tout en m'entendant. Le sommeil complet n'est pas nécessaire. Ne parlez pas. Tene
tracture. J'arrive à un degré plus ou moins avancé de l'hypnose, sans sommeil proprement dit, ou du moins sans que ie sujet ait
mmeil proprement dit, ou du moins sans que ie sujet ait conscience du sommeil . Quelquefois dans la même séance j'arrive gradu
qui ne les satisfait pas. J'arrive parfois à transformer cet état en sommeil profond, en disant ausujet : « Je vous laisse vou
et : « Je vous laisse vous rendormir seul. Gardez les yeux fermés. Le sommeil va venir. - Et je les laisse. Au bout d'un certai
sugges. tion thérapeutique : j'obtiens des effets remarquables sans sommeil . J'invite le malade à fermer les yeux, a concentr
e, mais sans dépasser le premier degré : elle avait conscience de son sommeil , ne pouvait ouvrir les yeux, mais entendait et se
Je pain, la guérison des convulsionnairrs par la peur du gendarme, le sommeil provoqué par le protoxyde d'hydrogène, l'eau mira
Il expose les procédés par lesquels il parvenait d'abord à obtenir le sommeil provoqué, puis à utiliser la suggestibilité ainsi
s Images qu'ils aperçoivent. » Anesthésie chloroformique pendant le sommeil . Est-il possible de pratiquer la chloroformisat
mmeil. Est-il possible de pratiquer la chloroformisation pendant le sommeil naturel, sans que le sujet s'éveille ? Cette ques
nt démontré la possibilité de faire passer sans secousses un sujet du sommeil naturel au sommeil chloroformique. S'il pouvait r
ibilité de faire passer sans secousses un sujet du sommeil naturel au sommeil chloroformique. S'il pouvait rester un doute a ce
au bout d'une heure et demie, l''enfant était plongé dans un protond sommeil . A la demande de la Camille, le médecin résolut
et l'expérience réussi parfaitement. L'enfant passa insensiblement du sommeil naturel au sommtil chloroformique, :ans éprouver
ation du chloroforme et, lentement, sans secousse, l'enfant revint au sommeil naturel; il ne s'était éveillé! aucun moment. Le
nt revint au sommeil naturel; il ne s'était éveillé! aucun moment. Le sommeil se prolongea pendant trois heutes et demie. Au ré
observer que le cas actuel est surtout remarquable par ce fait que le sommeil naturel s'est prolongé sans interruption après l'
possibilité de l'anesthesie chloroformique sans accidents, pendant le sommeil , au moins chez l'enfant. Prescription d'un somn
lbl, für Nervembeilk. XII, 11, p.322. Leipiz 1889. LIÉBEAULT : Le sommeil provoqué et les états analogues. Paris, 1889. In-
u milieu. Il ne s'agit pas bien entendu, d'une suggestion à l'état de sommeil ou de simple engourdissement ; il s'agit d'une su
me était facilement hypnotisable et les suggestions faites pendant le sommeil conservaient leur action a l'état de veille. Supp
de douleurs dans la ïambe, mais seulement quelques fourmillements. Sommeil conservé; appétit; état moral et intellectuel sat
otisation par le regard d'abord, puis par l'occlusion. des paupières. Sommeil léger, mais bien établi. je prescris : 1° du so
des paupières. Sommeil léger, mais bien établi. je prescris : 1° du sommeil pour la nuit (depuis quelques jours, en effet, on
bras le résultat est nul. Les nuits ont été remplies par on excellent sommeil . Deuxième séance. —... « Vous marcherez de mieu
ine crise de douleurs en ceinture, malgré ses cris, et hissée dans le sommeil une demi-heure, la malade fut réveillée que lorsq
i tout traitement. Cette femme fut endormie très facilement. Dans son sommeil , je l'entretins des influences mystérieuses d'un
elle avait une complète conscience. Mais, malgré plusieurs séances de sommeil avec suggestions appropriées, l'hallucination per
as précédents, les suggestions avaient toujours été faites pendant le sommeil hypnotique, mais le hasard nous a permis, peu de
nt pendant plusieurs semaines et sans plus de succès, de provoquer le sommeil . Un jour que Marie D... se désolait davantage et
facilement et à ma plus grande surprise encore elle obéit pendant le sommeil à l'ordre que je lui avait donné de lever le bras
ous ceux-ci ont fini lût ou tard par m'avouer qu'ils avaient feint le sommeil pour mettre un terme à une insistance qui les enn
une insistance qui les ennuyait. EXTRACTION D'UNE LOUPE PENDANT LE SOMMEIL HYPNOTIQUE SUR UN JEUNE HOMME DE VINGT ANS Par
decins faisaient connaître les cas d'opérations pratiquées pendant le sommeil hypnotique, aujourd'hui surtout que l'hypnotisme
. Il s'agissait d'une opéra-tion pratiquée par M. Tillaux, pendant le sommeil hypnotique, pour une cystocèle vaginale. L'ob
t pas nécessaire d'avoir recours a un intermédiaire pour pro-duire le sommeil hypnotique. Le 21 octobre 1887, un jeune Italie
lendemain, je le fais asseoir sur une chaise et ;e .e plonge dans le sommeil hypnotique par la fixation du regard, ce qui a li
e nous eûmes constaté que le malade était complètement plongé dans le sommeil hypnotique, je lui dis: « Vous dormirez pendant u
de suggestion tous toutes les formes, t l'état de veille, pendant le sommeil physiologique et je me demande dans tout cela ce
isfait. Tout est dans la suggestion ; c'est elle seule qui produit le sommeil hypnotique lequel ne serait pas une névrose mais
existe des faits dans lesquels les agents physiques ont détermine le sommeil hypnotique sans que le sujet soit prévenu, sans q
cause une suggestion antérieure : il s'agit d'une première attaque du sommeil provoqué. Et cette hystérique qui s'introduit f
une attaque d'épilepsie. Par un procédé ou par un autre, on arrive au sommeil provoqué. Et brusquement survient une première at
. Non certes, la suggestion n'est pas tout dans l'hypnotisme. Et le sommeil provoqué peut bien venir sans aucun élément sugge
à dix-huit à vingt fois les séances avant de renoncer au succès. Le sommeil à obtenir doit être la léthargie ou le somnambuli
, de transformer le somnambulisme en léthargie. Une fois le premier sommeil obtenu, il faut laisser dormir les malades pendan
lades. Il est indispensable que l'hypnotisé reste isolé pendant son sommeil , afin qu'il ne lui soit pas fait de suggestions o
momentanément, les hallucinations de certains malades, à procurer ie sommeil , a faire travailler un malade dément paresseux. D
es hystériques) par la suggestion, tout au plus à produire parfois le sommeil et à activer la convalescence dans un cas. Le c
orme, sans élever ni abaisser la Voix de façon à préparer l'enfant au sommeil par cette monotonie. Dans ce sommeil crépusculair
de façon à préparer l'enfant au sommeil par cette monotonie. Dans ce sommeil crépusculaire, la volonté de l'enfant se trouve a
it. Il nous écoute, il nous comprend, il se laisse persuader dans son sommeil léger ou profond naturel ou artificiel, et, reven
rizie medico-légali? Bolo-gna. 1888. ln-8° 28 p. loye :Influence du sommeil anesthésique sur l'activité des combustions respi
le Dr Gillé , T. II, Lecrosnier et Babé, in-8°, 178 pages, 1888. La sommeil provoqué et les états analogues, par le Dr. A. Li
AVE, (1) 1. Auto-hypnotisme. Quand on s'observe, aux approches du sommeil , lorsque l'on cherche à dormir tout en conservant
onservant la conscience du moi, lorsqu'on veut réglementer son propre sommeil , on pratique l'auto-hypnotisme. L'auto-hypnetis
sme est donc l'étude, l'exercice, l'activité de la volonté pendant le sommeil . Avec des exercices suffisants, on arrive a des
moments pour pratiquer l'auto-hypnotisme sont ceux qui avoisinent le sommeil . Le soir, en se couchant, la nuit, quand on se ré
l'après-midi, quand on fait la sieste. Exercices d'auto-hypnotisme. Sommeil à volonté. Le premier exercice à faire est de s
ois (deux mille fois environ). Il consiste, lorsqu'on est réveillé du sommeil de la nuit, à s'endormir de nouveau, pendant quel
lques minutes seulement, et à se réveiller. On a ainsi une période de sommeil succédant à la veille. On arrive a s'endormir et
r et à se réveiller facilement trois fois de suite dans une heure. Le sommeil est léger, accompagné parfois de rêves, et on con
spiratoires fréquents, amples et précipités. Or, dans les périodes de sommeil et de réveil qui ont succédé, le réveil s'est fai
pnotisme et rêves. Avec un exercice suffisant, on arrive à avoir un sommeil très léger. On conserve la conscience de soi, et
ve. II. AUTO-SUGGESTION. L'hypnose est un état qui se rattache au sommeil . Le rêve est un état hypnotique spontané, naturel
e de l'autosuggestion. On peut utiliser des états de somnolence ou de sommeil plus ou moins profond. La somnolence qui précèd
e ou de sommeil plus ou moins profond. La somnolence qui précède le sommeil , ou celte qui accompagne le réveil est la plus fa
je pratiquais l'auto-suggestion, pendant la somnolence qui précède le sommeil , sans m'en apercevoir je me donne l'autosuggestio
scène, le souvenir suggéré, soit à l'état de veille, soit à l'état de sommeil , se présente dans leur esprit comme si elle avait
oi, peut s'insinuer dans le cerveau despersonnes qui dorment, soit du sommeil naturel, soit du sommeil provoqué. (1) Communic
le cerveau despersonnes qui dorment, soit du sommeil naturel, soit du sommeil provoqué. (1) Communication faite au Congrès de
ormait spontanément. Je ne prends que ceux susceptibles d'être mis en sommeil profond avec analgésie cl amnésie au réveil. J'
it pas combien de temps il a dormi, ni ce qui s'est passé pendant son sommeil . Au bout d'un certain temps, je lui dis : f Qu'
malades endormis, après m'être assuré préalablement qu'ils éiaient en sommeil profond, analgésiques. Sur les onze, huit avaient
mais auditif indirect. J'ai voulu montrer comment, ;1 la laveur du sommeil artificiel on naturel, une idée fausse, un souven
sait pas l'origine, ne sait pas que c'est un rêve suggéré, comme son sommeil n'a pas laissé de souvenirs spontanés dans son es
c'est arrivé. Je définis quelquclois d'une façon humoristique que le sommeil : « C'est un état dans lequel on croit que c'est
d l'effet me parut favorable mais bientôt l'énervement augmenta et le sommeil était agité et entrecoupé de rêves. Un jour qu'el
arce que la suggestion avaiteu lieu en présence de son mari et que le sommeil était assez léger pour ne jamais lui faire perdre
ar l'insinuation du calme complet. Je n'avais point forcé le degré de sommeil , qui était très léger, et j'avais eu soin de bien
omnambulisme provoqué) ; L'état intermédiaire entre la veille et le sommeil ; Les hystériques et leurs fausses a.cusations ;
leurs fausses a.cusations ; Les accouchements sans douleur dans le sommeil hypnotique, avec oubli eomplet, au rêve l, de tou
e, vainc toutes les résistances, s'il est aidé par des suggestions de sommeil , faites a intervalles de cinq a dix minutes et d'
té plusieurs fois hypnotisés jusqu'au somnambulisme ou autre grade du sommeil suggestible. 2° Ceux qui sont facilement hypnot
tisés, ou s'ils l'ont été, ne sont pas arrivés à acquérir un degré de sommeil assez suggestible et 3° les résistants. Je juge
s moyens de violence. Le premier consiste a les surprendre pendant le sommeil ordinaire et au moyen de passes et de suggestions
a Société de Médecine de Salonique, dans laquelle il affirmait que le sommeil chlorophormique, celui produit par le chloral, pa
ce, que cet auteur compare avec raison au somnanbulisme actif, est un sommeil aussi sug-gestible que l'hypnotisme somnambulique
e permirent pas d'en faire d'autres qui pussent se véri-fier après le sommeil médicamenteux, comparables à celles appelées post
tition sortit le rayon de lumière, précurseur de la transformation du sommeil chlorophormique en hypnotisme. Un des individus
u à l'avenir on aurait pas besoin d'un pareil agent pour arriver à un sommeil semblable. Une demi-minute de fixité de son regar
s suggestions; de transformation, faites dans la période opportune du sommeil . Ceci était concluant, quant à vaincre les rési
t pour provoquer, en moins de cinq minutes, la période suggestible du sommeil anesthésique et j'entrepris la tâche suggestive-t
orps. Elle se refusa à manger. Depuis lu même époque elle a erdu le sommeil . Ses règles ont été régulières. Elle a maigri dep
hine 0,007 Atropine 0.0006 bis bis bis 28 » Même état. Pas de sommeil . Mon interne essaie d deux reprises différentes,
de projets de mariage et elle me demande de lui en parler pendant son sommeil . Je lui suggère de ne plus jamais être exagérée
e laisser endormir que par moi seul et je lui fais écrire pendant son sommeil qu'elle ne pleurera plus et qu'elle est guérie.
rès, avec plus de succès encore, l.a jeune fille, se sentant prise de sommeil , eut encore la force de se traîner dans une pièce
veiller la sensibilité de la peau par divers moyens: rien n'y fit, le sommeil persista. Enfin, le médecin passa la main sur (a
s sens internes et externes, l'impuissance la confusion des idées, le sommeil agité, les veilles, l'imagination dépravée, le dé
rgère ». Il introduisait dans la cage une jeune fille plongée dans un sommeil cataleptique, et les fauves allaient, venaient, s
btenir à mon avis. En effet, le cerveau de l'hypnotisé plongé dans le sommeil peut être considère comme absolument vide et inca
, dès 1866, l'honorable Dr Liébeault, de Nancy, dans son livre sur Le sommeil , et les états analogues. Quand un sujet, sur un
'est, après tout, qu'une de» formes de la suggestion. L'hypnose (ou sommeil ) peut fortifier la suggestion, mais elle est inut
se modifier. L'hypnotisme serait un état nerveux spécial, analogue au sommeil , dans lequel te sujet est susceptible d'entrer fa
ésultat cherché, de taire perdre conscience au malade ; en un mot, le sommeil n'est pas nécessaire et je fais en sorte de ne pa
sie gauche sensitivo-sensorielle. Novembre. — Début des attiques de sommeil . La première a duré 48 heures, elle a été suivie
elle a été suivie d'une attaque convulsive au réveil. Les attaques de sommeil se sont ensuite reproduites régulièrement chaque
s très-courts à l'état normal, (1 à 2 h. par jour). Les attaques de sommeil et les attaques convulsives se produisent dans ce
ses de la nevrose chez notre malade. Etats quotidiens Attaques de sommeil . — C'est par l'attaque de sommeil que commence la
e. Etats quotidiens Attaques de sommeil. — C'est par l'attaque de sommeil que commence la journée pathologique de notre mal
ence la journée pathologique de notre malade. MlleX... se réveille du sommeil normal et se livre aux occupations habituelles de
Du mois de Novembre 1885 jusqu'au mois de Mai 1887, les attaques de sommeil se sont invariablement produites chaque matin ave
vain que Mlle X... a essayé à plusieurs reprises de lutter contre le sommeil , elle n'a pu éviter un seul jour l'attaque. Ava
ul jour l'attaque. Avant de terminer la description des attaques de sommeil qu'offre cette malade, nous tenons à signaler un
rès toutes les heures de sa journée et qui la poursuit jusque dans le sommeil . En effet, au moment où la malade va s'endormir e
va s'endormir et dans cette état indéterminé qui sépare la veille du sommeil , elle pousse par instant un cri involontaire ou p
en état normal pour recommencer au bout d'un moment, par l'attaque de sommeil , le cycle à peine interrompu de ses manifestation
rtout de nous arrêter un instant, nous voulons parier des attaques de sommeil et du somnambulisme spontané. Notre malade est
mbulisme spontané. Notre malade est une dormeuse et ses attaques de sommeil offrent, de prime abord, tous les caractères de c
e. Tandis que chez les dormeuses du grand type décrit par Charcot, le sommeil peut durer des semaines et même des mois entiers
x. On a vu, dans la description que nous avons donnée de l'attaque de sommeil chez notre malade, que les excitations les plus v
sur la conservation de la sensibilité. Plus lard, lorsque se. ques de sommeil ne sont plus accompagnées que d'une simple raideu
cl l'odorat étaient même hypéresthésiés. En somme, les attaques de sommeil de noire malade, nous semblent devoir se rattache
ypnotisme nous a rendu chez elle de réels services. Les attaques de sommeil ont été progressivement enrayées par la suggestio
, au début, de supprimer totalement, par une suggestion, l'attaque de sommeil ; mais nous avons acquis la conviction, qu'en pré
it nécessaire de procéder graduellement. En effet, quand l'attaque de sommeil était totalement empêchée par la suggestion, la m
la malade éprouvait toute la journée un malaise indéfinissabl e; son sommeil lui manquait. Nous avons procédé de même pour les
d'influence hypnotique la classification des trois degrés suivants du sommeil provoqué, qui suffisent à indiquer le résultat ob
sommeil provoqué, qui suffisent à indiquer le résultat obtenu. I. — Sommeil léger. — Sentiment de fatigue- La volonté du suje
est passé dans l'hypnose et n'a pas eu la sensation de dormir. II — Sommeil profond — La volonté du sujet est supprimée compl
ectacle. un dompteur a eu l'idée de placer une jeune fille en état de sommeil hypnotique dans la cage où évoluaient ses fauves.
pnotiser un malade pour lui procurer le repos réparateur que donne le sommeil , l'Eglise le permet ! » « Hypnotiser un malade
mnambules peuvent, sous l'influence de la suggestion, soit pendant le sommeil , soit après le réveil, accomplir avec docilité l'
existe plus. Ceux-ci vont au crime. N'en est-il pas de même dans le sommeil naturel? Si certains rêves sont vus, sans être vé
us avez vu cette jeune artiste à laquelle j'avais suggéré pendant son sommeil de voler ma montre à son réveil. Elle le lit sans
commande l'acte ordonné. Je dis. par exemple à l'un deux pendant son sommeil : « A votre réveil, vous irez voler mon porte-mon
on ne s'accomplit qu'à la faveur de l'hypnose et que l'hypnose est un sommeil qui ne s'obtient qu'à l'aide de manœuvres prolong
fixation d'un objet brillant. Nous avons vu que l'hypnose existe sans sommeil , que la suggestion peut se faire à l'état de veil
ur cerveau impressionnable devient acte. Avec ces suggestibles, aucun sommeil , aucune manœuvre préliminaire n'est nécessaire :
mùiemment suggestiblc : elle est cer-trainement hypnotisable. Mais le sommeil provoqué n'est pas nécessaire pour éveiller sa su
ve une impression vive et subite pour que, aussitôt, il tombe dans le sommeil hypnotique. Il était, un jour, au café, place de
es d'automatisme ambulatoire, mais il suffit, en le plongeant dans le sommeil hypnotique, de le replacer en condition seconde p
ez révoque son oncle. Même chose pour sa fugue à Troyes. Pendant le sommeil provoqué il dit : « le 17 mai, au sortir du resta
lsives ( que je vous décrirai tout à l'heure) et de petites crises de sommeil à forme cataleptique et somnambulique. De plus, e
il, empêchant souvent la malade de rentrer seule dans son lit. » 2° Sommeil spontané. — Crises pouvant durer plusieurs heures
vous résume, d'après l'observation de M.Rauzier, les caractères de ce sommeil provoqué: « Crises déterminées par la fixation
uve, mais présente, dès ce moment, une anesthésie complète. Durant le sommeil , elle cause et répond à toutes les questions ; qu
ession des globes oculaires. Extase par le soulèvement des paupières. Sommeil somnambulique obtenu de nouveau en posant la main
dant l'hypnose. » A diverses reprises, on a vu survenir, pendant le sommeil , une contracture de l'un des membres supérieurs :
iait le mode d'hypnotisation, elle présentait une forme différente de sommeil provoqué. Telle est la première partie du roman
endort la jeune fille à plusieurs reprises et on lui pose, durant le sommeil , des questions sur le viol dont elle a été victim
la malade était hypnotisable et complètement anesthésique pendant le sommeil , nous conçumes alors la pensée de faire naître, s
endort la malade, à plusieurs reprises par les procédés habituels. Le sommeil s'établit chaque fois, mais il cesse aussitôt que
que la jeune fille avait textuellement maintenu son récit au cours du sommeil provoqué; vous vous souvenez aussi que ce sommeil
n récit au cours du sommeil provoqué; vous vous souvenez aussi que ce sommeil avait bien vile cédé, devant les douleurs de l'ac
es douleurs de l'accouchement. D'où cette deuxième conclusion, que le sommeil provoqué était lui-même simulé. Poussée à bout, p
a main devant sa figure et S'en va en pleurant. Donc, les scènes de sommeil provoqué, dont je vous donnais plus haut le détai
, en tout cas, l'ensemble des actes et phénomènes accomplis durant le sommeil étaient simulés. Egalement simulées, étaient le
alement simulées, étaient les crises spontanées affectant la forme du sommeil . Il ne restait plus, pour connaître l'histoire
de une mine rassurante et qu'elle présente de l'anesthésie durant son sommeil ; 2° La chose est surtout difficile quand toute
me faire appeler. A mon arrivée, je trouvai la malade plongée dans an sommeil profond. On ne pouvait réussir à la réveiller pou
nger, provoqua des garde-robes, l'empêcha d'uriner au lit, procura un sommeil calme pour la nuit el, enfin, pût combattre l'idé
n détruisant complètement le souvenir des questions posées pendant le sommeil . Après ces accès d'hystèro-épilepsie, la malade s
Un lait du plus haut intérêt fut la production, par suggestion, d'un sommeil d'une durée de vingt-deux heures. Il fut très dif
t. translation from the Nils Posse. Co.. New York. GIGEOT (P.) : Le sommeil provoqué et les états analogues, (Revue gén, de c
avait pas fait depuis plusieurs mois, et qu'elle avait eu un très bon sommeil ; qu'elle avait bien mangé et bien digéré, et que,
ions s'accompliront régulièrement, vous dormirez le soir à l'heure du sommeil , vous n'aurez pas de cauchemars, de mauvais rêves
uchemars, de mauvais rêves. Vous sentirez vos forces revenir après le sommeil de chaque nuit, et vous ne serez plus malade. »
able avec hallucinabilité et amnésie au réveil. Je le prends dans son sommeil naturel et je lui dis : « Je sais bien pourquoi v
sur ce thème et je crée de nouveaux souvenirs non suggérés pendant le sommeil . » —Et les autres malades n'ont pas réclamé? Qu'e
térise le somnambulisme, je ne cesse de vous le dire, ce n'est pas le sommeil ; il y a une veille somnambulique : la conscience
sifflet, le reflet d'une glace frappant ses yeux, et il tombe dans un sommeil hypnotique. Un jour, il plaide : le président le
plus grande netteté, les personnages imaginaires qui ont troublé son sommeil . « Il croit, dit-il, qu'il aurait pu tes toucher.
et de la psycho- logie physiologique. II. Le sommel naturel et le sommeil provoque — Importance de leur étude au point de
A douze ans. elle est prise d'une chorée violente qui lui enlève le sommeil pendant plus d'un mois, et qui disparaît incomplè
avait des attaques de nerfs chaque fois qu'on la contrariait dans son sommeil ; que, réveillée, elle n'avait aucun souvenir de l
n sommeil; que, réveillée, elle n'avait aucun souvenir de la durée du sommeil , non plus que de ce qu'elle avait fait en dormant
n malade par la fixation du regard. En quelques minutes, il arriva au sommeil hypnotique, avec anesthésie généralisée, occlusio
cédent mémoire. Le 28 juin, le malade ayant été mis par moi dans le sommeil hypnotique, et toute son attention fixée sur ce q
c la plus grande docilité. En moins de deux minutes, il tombe dans un sommeil profond. Dans cet état, il présente les phénomène
ts portèrent sur la disparition des phénomènes douloureux. Pendant le sommeil , recourant à un artifice qui m'a donné souvent d'
suivant, les divers procédés d'hypnotisation et les divers degrés de sommeil . Repoussant les idées de l'école de la Salpétrièr
les idées de l'école de la Salpétrière, il admet avec Bernheim que le sommeil peut-être obtenu chéries sujets sains et non hyst
s probantes et très curieuses qui amènent l'auteur à conclure que. le sommeil provoqué, engourdissant les facultés de raison, l
n somme, partage l'opinion ou mieux l'hérésie de Bernheim qui fait du sommeil hypnotique quelque chose d'analogue au sommeil na
e Bernheim qui fait du sommeil hypnotique quelque chose d'analogue au sommeil naturel. Les états de rêves analogues ne sont pas
ves suffisantes pour amener une semblable couclusion. Il y a entre le sommeil hypnotique et le sommeil naturel des différences
er une semblable couclusion. Il y a entre le sommeil hypnotique et le sommeil naturel des différences presque pathognomoniques.
ement étudiés. de même que l'état intermédiaire entre la veille et le sommeil ordinaire et les crimes qui peuvent être commis d
is 1890) BERNHEIM Les hallucinations rétroactives suggérées dans le sommeil naturel ou artificiel. (Compta rendus du Congrè
. (Congrès de l'Hypnotisme). FORT Extraction d'une loupe pendant le sommeil hypnotique sur un Jeune homme de vingt ans. (Cong
5 jours on a donné chaque jour les suggestions suivantes, pendant le sommeil hypnotique. On lui a dit que sa main droite enf
a d- Parii. € Lorsque l'homme tait son apparition dans le monde, le sommeil dont il dort est mille fois plus profond que le s
le monde, le sommeil dont il dort est mille fois plus profond que le sommeil provoqué par le plus habile des hypnotiseurs sur
nfrère van Deven-ter a déjà su vous donner un aperçu assez complet du sommeil provoqué et de la suggestion appliquée à la théra
Complétons ces deux exemples en vous rappelant le premier degré du sommeil provoqué comme nous le décrit M. Liébeault. Voila
cet auteur on peut affirmer l'existence de l'hypnose sans qu'il y ait sommeil ou une modification quelconque de l'état de consc
suggestibilité exaltée de l'autre. On entendra par hypnose normale le sommeil provoqué par une autre personne pendant lequel le
besoins vie la thérapie suggestive. Ainsi l'hypnose normale est un sommeil plus ou moins profond avec ou sans amnésie complè
ésie complète ou partielle au réveil — un état qui ne se distingue du sommeil normal qu'en tant que l'hypnotisé continue à réag
ycho-Thérapeutics. London 1890, 2e éd. phénomène caractéristique du sommeil provoqué attendu qu'il dérive comme l'a démontré
dérive comme l'a démontré le professeur Forci des propriétés comme du sommeil naturel. En effet dans le sommeil normal le dynam
sseur Forci des propriétés comme du sommeil naturel. En effet dans le sommeil normal le dynamisme psychique se trouve affaibli,
ereux. Or la thérapie suggestive se sert simplement des propriétés du sommeil normal. Du moment qu'on en lasse un usage prudent
r toute suggestion nuisible. La question s'il y a différence entre le sommeil provoque par suggestion et l'hypnose déterminée p
accepter les images imposées; bientôt on peut se passer de l'état de sommeil et le sujet est devenu plus sug-gestible qu'aupar
perfection du dynamisme psychique existant à l'état normal pendant le sommeil seulement. On crée ainsi une permanence de l'hypo
seulement. On crée ainsi une permanence de l'hypotaxie temporelle du sommeil , de la suppression passagère du contrôle logique,
ore il cesserait la médication suggestive ou supprimerait au moins le sommeil préalable. Je n'entrerai pas dans des plus ampl
qu'on attaque sa conception délirante, clic secoue In tête — dans un sommeil très profond — comme pour dire qu'elle n'accepte
tières — et je fus assez heureux de couper son accès en produisant le sommeil . Je réussi généralement a lui enlever ses maux de
orie spéciale de charlatans qui, sous te nom de spirites, simulent le sommeil hypnotique et donnent, dans cet état, des consult
en de passes par son beau-frére, Detrez, et c'est durant son prétendu sommeil magnétique qu'il traiiait les malades. Ces dernie
médecins légistes, il résulte A l'évidence que Vandevoir simulait le sommeil magnétique. L'attitude de Vandevoir endormi rappe
gauche, où elle éprouvait une vive douleur. La suggestion pendant le sommeil hypnotique rendit la parole à la malade pendant d
n society for sosychical research, 318. Amnésie rétroactive dans le sommeil provoqué, par Bernheim, 12. Animaux l'hypnotism
), 191. Ataxie locomotrice, traitée par suggestion 137. Attaques de sommeil ,241. Audition colorée (de l'). par Grüber. 94.
ertises médico-légales (des), 185. Extraction d'une loupe, pendant le sommeil hypnotique, par Fort, 143. Familles (du traitem
tion collective de la vue, 124. Hallucinations rétroactives dans le sommeil naturel ou artificiel, par Bernheim, 168. Hallu
17 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
de cœur, de l'oppression, une anxiété générale, de l'inquiétude. Leur sommeil était calme. Les symptômes présentèrent des alter
es douleurs étaient notablement diminuées ; il tomba dans un degré de sommeil plus profond, avec amnésie au réveil. Après trois
yeux, et vous vous endor- « mirez pendant une demi-heure. Durant ce sommeil , vous me croirez « à vos côtes, vous répétant les
(I) Leçon faite à la Saipéuierc le vendredi 19 juin 1891. dans leur sommeil hypnotique des contractures, des paralysies, des
mmo des séances. On ne peut qu'approuver cette mesure. Maladie du sommeil . M. Mauthner a soutenu une théorie suivant laqu
l. M. Mauthner a soutenu une théorie suivant laquelle la maladie du sommeil observée chez les nègres d'Afrique serait due à u
cé eu Afrique, eu est le signe révélateur. M. Mauthner croit que le sommeil naturel résulte d'uu trouble fonctionnel de celte
n lui a objecté le rétrécissemeat pupillaire que l'on obserre dans Io sommeil . Pour lui, cette objection n'a pat de valeur. Si
es. Thérapeutique suggestive, son mécanisme, propriétés diverses du sommeil provoqué et des états analogues, par le douleur a
ne influence suggestive de la pensée, pendant la veille ou pendant le sommeil et ses analogues, et. d'après la loi de fluctuati
t a pour but de montrer de nouveau, et cela n'est pas inutile, que le sommeil et les procédés pour le faire naître sont sans da
violentes et se reproduisirent très souvent, au point de troubler le sommeil . En outre, survinrent de violents maux de tète. A
t de douleurs intolérables pendant le jour et la nuit, lui rendant le sommeil impossible et qui durent depuis quinze années.
eur facile hypnotisabilité, ces malades présentent très facilement le sommeil hypnotique ; en d'autres termes, l'usage de l'hyp
dormait, etc. Je fis même quelques passes pour accentuer davantage le sommeil . A cette première séance, je ne lui fis qu'une se
je lui fis, si elle avait entendu ce que je lui avais dit pendant son sommeil ; et cependant le Dr Iwiderski et son mari qui éta
à l'état de veille elle n'avait aucune idée de s'être trouvée dans le sommeil hypnotique. Cela se renouvela dans toutes les hyp
lui suggérai l'absence de douleurs pendant vingt-quatre heures et un sommeil paisible pendant la nuit suivante. La malade dorm
it heures. Après huit heures les douleurs revinrent, la nuit fut sans sommeil et elle commençait à perdre courage; mais le soir
ème hypnose, suggestion que les douleurs disparaîtront pour toujours, sommeil calme ordonné et possibilité de s'asseoir normale
is ce moment, les douleurs ne sont pas revenues et pendant la nuit le sommeil est toujours tranquille. Pendant les sept semaine
aratifs de la fête de Noël. Depuis lors, ainsi qu'on me l'a écrit, le sommeil a toujours été excellent. Je conclus et tiens à
as lieu davantage de s'étonner — quatrième preuve — que « pendant son sommeil , Vandevoir voit tout ce qui se passe autour de lu
ni, à plus forte raison, de prescrire des remèdes appropriés. Dans le sommeil hypnotique, il se conduisait comme un illuminé. S
érée au réveil, et 51étaient susceptibles d'hallucinations pendant le sommeil . Comme il s'agit là d'une tentative unique, je de
tisme n'était pas encore interdite aux médecins militaires. Dans le sommeil naturel, on peut quelquefois, sans réveiller le s
ués, analogues d'ailleurs aux rêves spontanés. En d'autres termes, le sommeil naturel permet d'obtenir les mêmes phénomènes que
rmes, le sommeil naturel permet d'obtenir les mêmes phénomènes que le sommeil hypnotique. Dira-t-ou pour cela que le sommeil na
êmes phénomènes que le sommeil hypnotique. Dira-t-ou pour cela que le sommeil naturel est de l'hystérie? Évidemment non, et nou
e manière de voir. Quant à l'objection tirée du fait que pendant le sommeil naturel, qui n'a certainement rien à faire avec l
e des effets suggestifs analogues à ceux que l'on provoque pendant le sommeil hynoplique, voici ce que je répondrai : Si pendan
l hynoplique, voici ce que je répondrai : Si pendant la période où le sommeil naturel est encore incomplet, M. Bernheim arrive
est précisément parce qu'il est arrivé à transformer chez ce sujet un sommeil naturel en un sommeil hypnotique. En d'autres ter
qu'il est arrivé à transformer chez ce sujet un sommeil naturel en un sommeil hypnotique. En d'autres termes, les sujets chez l
les sujets chez lesquels on peut donner des hallucinations pendant le sommeil naturel, sont des sujets hypnotisables, par consé
cilement hypnotisantes qu'ils paraissent plus normaux. D'ailleurs, le sommeil est, en général, facile à provoquer chez l'enfant
e permit, et par renonciation que je lui fis des principaux signes du sommeil , elle tomba, en moins d'une minute, dans l'étal d
à l'opinion courante, les difficultés pour provoquer chez l'enfaoi un sommeil profond, soûl d'autant plus grandes, que l'enfant
à loulc tentalive d'hypnolisation. Les imbéciles s'endorment, mais le sommeil est léger, iriégulier, et ils ne réalisent pas, a
firmer qu'ils vont dormir pour vaincre leur dernière résistance. Leur sommeil a toutes les apparences du sommeil normal; ils re
cre leur dernière résistance. Leur sommeil a toutes les apparences du sommeil normal; ils reposent tranquillement, les yeux fer
quillement, les yeux fermés, en réalité ils donnent profondément d'un sommeil absolument analogue â celui de la nuit. Ces faits
asse et ne les réveillait qu'au moment de la sortie. 6° Bien que le sommeil des enfants endormis artificiellement, par imitat
uggestion, ait, comme nous l'avons déjà dit, toutes les apparences du sommeil normal, il est cependant facile d'obtenir dans ce
sation de la suggestibilité propre à l'enfant et que la production du sommeil reposent uniquement sur l'emploi de ces deux moye
lendemain je commençais à l'hypnotiser. Je n'.ii jamais pu obtenir un sommeil profond ; malgré cela, au bout de quelques jours
les sens avec les endor-meurs, mais rien qu'avec eux » (i). (I) Le Sommeil provoqué et les États anatoguet,p. 43. r De s
'avec la personne qui l'a mis en état de somnambulisme, pourvu que le sommeil soit assez profond; il n'entend que lui et ne rép
as lieu davantage de s'étonner — quatrième preuve — que « pendant son sommeil , Vandevoir voit tout ce qui se passe autour de lu
t être mis dans les rangs les plus avancés de toute classification du sommeil hypnotique, puisqu'il présente l'amnésie au révei
ggeslibilité extrême ; une minute suffit pour la faire tomber dans un sommeil très profond, et, après la première séance, son o
ntanément écloses dans leur cerveau. Ils ne savent pas que, dans leur sommeil , on peut leur imposer des rêves, des idées, des s
peut les cataleptiser, les analgésier, les halluciner, comme dans le sommeil provoqué. Dira-t-on que le sommeil, c'est de l'hy
ier, les halluciner, comme dans le sommeil provoqué. Dira-t-on que le sommeil , c'est de l'hystérie ou de l'aliénation mentale ?
ommeil, c'est de l'hystérie ou de l'aliénation mentale ? Les rêves du sommeil que nous avons tous, les illusions et hallucinati
s du quart de notre existence, altèrent- ils notre intelligence? Le sommeil serait-il un attentat commis par la Providence co
ge, souvenir inscrite dans notre cerveau ; et nous savons que dans le sommeil , dans la période hypnagogique qui précède le somm
vons que dans le sommeil, dans la période hypnagogique qui précède le sommeil , et même dans certains états de concentration d'e
ise l'acte dans la mesure du possible. L'observation apprend que le sommeil qui engourdit l'initiative intellectuelle laisse
, nettes comme la réalité, et qui s'imposent comme la vérité. Dans le sommeil , une personne qui réussit à se mettre en rapport
tes, des sensations, des émotions, des rêves hallucinatoires. Dans le sommeil , le cerveau est donc dans un état de suggostibili
tat de suggestibilité exaltée. De là la définition du mot hypnotisme, sommeil provoqué. Mais l'expérience apprend que le somm
mot hypnotisme, sommeil provoqué. Mais l'expérience apprend que le sommeil n'est pas nécessaire pour obtenir un état psychiq
e, par exemple, imposer silence au contrôle cérébral et réaliser sans sommeil , ou du moins sans que le sujet ail conscience du
éaliser sans sommeil, ou du moins sans que le sujet ail conscience du sommeil , un état psychique qui crée la suggestibilité aus
un état psychique qui crée la suggestibilité aussi profonde que si le sommeil ou l'idée du sommeil l'accompagnait. C'est pour c
crée la suggestibilité aussi profonde que si le sommeil ou l'idée du sommeil l'accompagnait. C'est pour cela que je dis que l'
ompagnait. C'est pour cela que je dis que l'hypnose peut exister sans sommeil ; que le mol d"hypnotisme pourrait être supprimé
l'air le plus naturel du monde, les yeux ouverts, sans l'apparence du sommeil . Pour dissiper ce rêve provoqué, bien que je n'
il. Pour dissiper ce rêve provoqué, bien que je n'ai pas suggéré le sommeil , je dis: t Réveillez-vous ». Il se frotte les yeu
nconsciemment par une personne i laquelle il a été suggéré pendant le sommeil hypnotique. Récemment on a emprisonné une femme
sIÂésie cutanée et musculaire généralisée dans ses rapports avec le sommeil provoqué et avec les troubles du mouvement. (Rev.
lète de la conscience et de la volonté chez les individus, pendant le sommeil et môme après la décapitation. Secondement, il
sont suggestibles à l'état de veille, sans avoir jamais été mises eu sommeil préalable. L'affirmation seule bien faite, au bes
milé à cet état d'obnubilalîon plus ou moins prononcée qui précède le sommeil naturel, ou bien encore être mis sur le compte de
ster l'existence de cet état psychique spécial. Pour M. Bemheim, le sommeil hypnotique ne diffère pas du sommeil naturel; d'a
e spécial. Pour M. Bemheim, le sommeil hypnotique ne diffère pas du sommeil naturel; d'après lui, les phénomènes de suggestib
tibilité qu'on observe dans l'hypnotisme peuvent être obtenus dans le sommeil naturel « lorsqu'on • réussit i se mettre en rapp
la « réveiller. » Forl bien, mais pour établir l'identité des deux sommeils , il faudrait au moins démontrer que dans les deux
ile de se mettre en rapport avec le dormeur. Si au contraire, dans le sommeil naturel, ce résultat ne peut être obtenu qu'excep
ellement, il me parait plus logique de dire qu'on transforme alors le sommeil naturel en sommeil hypnotique. Si M. Bernheim,
ait plus logique de dire qu'on transforme alors le sommeil naturel en sommeil hypnotique. Si M. Bernheim, en soutenant que l'
n et adopté. De l'aide donnée par le chloroforme à la production du sommeil hypnotique chez les aliénés et les obsédés, Par
de déterminer la concentra-lion de leur pensée sur l'idée suggérée du sommeil . Celte difficulté a quelquefois entravé mes eff
ve, que les assistants me laissaient seul avant que j'eusse obtenu le sommeil , ou bien j'ai dû abandonner le malade sans aucun
is avec le chloroforme et de l'aide qu'il apporte, à la production du sommeil hypnotique chez les aliénés. J'ai continué ces re
tout, criaient et vociféraient, tombent en quelques secondes dans le sommeil le plus profond, répondent d'une voix douce à mes
it est produit; aussi, il est impossible de dire que l'on a obtenu le sommeil chloroformique. D'ailleurs, le sommeil obtenu est
e de dire que l'on a obtenu le sommeil chloroformique. D'ailleurs, le sommeil obtenu est bien plus pratique avec tous ses carac
'autres malades ont pu être hypnotisées dans les mêmes conditions, le sommeil obtenu est bien le sommeil hypnotique; il lui est
hypnotisées dans les mêmes conditions, le sommeil obtenu est bien le sommeil hypnotique; il lui est absolument identique et il
plique et est sujette à de grandes attaques qui, survenant pendant le sommeil hypnotique, l'ont à plusieurs reprises réveillée;
e chloroforme : l'aura a cessé, l'attaque ne s'est pas produite et le sommeil hypnotique n'a pas été interrompu. Chez une aut
dont les attaques hystéro-épileptiques ont fréquemment interrompu le sommeil hypnotique (elle avait avant le traitement hypnot
malade est redevenue calme, continuant sans nouvelle suggestion son sommeil hypnotique, qui a duré encore une fois quatre jou
pnotique et j'ai été frappé de la très grande difficulté d'obtenir le sommeil chez ces malades, l'idée fixe ne leur laissant au
un seul moment la concentration de leur pensée sur l'idée suggérée du sommeil . Convaincu par mes succès antérieurs avec le ch
n'avaient amené aucun résultat, la concentration de sa pensée sur le sommeil étant impossible; je lui fis respirer dix à quinz
e pus, en profitant du début de l'action chlorofonnique, provoquer le sommeil hypnotique à chaque séance. conclusions À. En
t ainsi reconnaître son médecin et concentrer sa pensée sur l'idée du sommeil suggéré. II ressort, en outre de ces observatio
des et la première période d'attaques qui peuvent survenir pendant ce sommeil provoqué et qui le font toujours cesser ; de plus
eil provoqué et qui le font toujours cesser ; de plus, il permet à ce sommeil hypnotique de continuer sans nouvelle suggestion
de veille, en ce sens qu'il n'avait pas été, au préalable, endormi du sommeil hypnotique. Jamais je n'oublierai l'impression qu
ercevoir qu'il n'était pas toujours nécessaire de les plonger dans le sommeil pour faire cesser leurs maux et leurs douleurs. C
horribles. Il nous narre ses souffrances et sa vie misérable : pas de sommeil , repas imparfaits, élancements au moindre déplace
eu de tentatives, et s'il y en a eu, je ne cherche plus à obtenir le sommeil . Si j'ai le temps, je ferai un jour la relation !
lques cas intéressants traités de cette manière. Ceci prouve que le sommeil , dit hypnotique, n'est qu'une marque de suggestib
provoquée peut être, en thérapeutique, tout aussi avantageuse que le sommeil provoqué. J'ai raconté dans mon Magnétisme anim
Li.'beault. auprès de deux clientes qui se montraient réfractaires au sommeil . Je conclus et formule ma conclusion en ces ter
getiibUUé remarquable, qui varie en raison du degré de l'intensité du sommeil . Au contraire, ce qui différencierait essentielle
us l'influence d'une grande dose de scepticisme; nous doutions que le sommeil ne fût complet, et que la conscience fût réelleme
ues signalés, et dont toute la phénoménologie se réduit uniquement au sommeil et à la simple suggestion. Voilà pourquoi, croyon
ire dans la période léthargique (qui n'est eu réalité pour nous qu'un sommeil profond avec relâchement total des membres, et qu
ous la forme seulement d'une attaque léthargique, caractérisée par un sommeil plus ou moins profond, avec aneslhésîe, relâcheme
otique. Dans un cas d'accès hystérique caractérisé par une attaque de sommeil léthargique profond que nous étudions à présent,
hypnotîsable; Archives de névrologie, 1887, Usablcs qui, dans leur sommeil provoqué, reproduisent simplement et fidèlement d
lement), on aura les phénomènes vrais, simples, nets, naturels du pur sommeil hypnotique. Dans les autres cas, à mesure que l'o
faits, mais nous devons admettre que l'hypnotisme en lui-même, comme sommeil artificiel et comme effet des pratiques mises en
ificiel et comme effet des pratiques mises en œuvre pour provoquer le sommeil , doit être un seul, doué de caractères très simpl
cas divers, ne sont produites (à l'exception des degrés possibles de sommeil ) que de tout ce que les conditions pathologiques
la docilité aux suggestions, aussi bien que du degré de profondeur du sommeil . 5° Qu'un traitement suivi est n.-ce-saire, et
t do tous les peuples, et qu'elle agit parfaitement en dehors de tout sommeil . L'élément suggestif figure dans toutes les médic
s Schlafes beim Menschen (Contribution à Cétvde de l'hypnotisme et du sommeil chez l'homme.) — (Sonderabdruck aus dem • Biologi
trois ou quatre séances, lorsqu'un jour il tomba inopinément dans un sommeil profond, avec anestbésie à la piqûre et amnésie a
vaincre la résistance du sphincter vésical. Le 4 juillet, pendant le sommeil hypnotique, la suggestion de retirer sa sonde ave
mais très supportables, et bénéficiait la nuit de plusieurs heures de sommeil . La marche n'était déjà plus celle d'un alaxique,
nesthésie ni d'hyspereslésie cutanées : la digestion se fait bien, le sommeil est bon, sauf quelques insomnies provoquées par l
uggestion réussit facilementâlecalmer et i lui rendre l'appétit et le sommeil . Par suite de l'immense quantité de mauvais spiri
ant un quart d'heure environet s'éveille tout à tait bien. Pendant ce sommeil les suggestions que je lui ai faites l'année préc
it précédente, je l'endormis de nouveau et lui suggérai, pendant le sommeil provoqué, de so suggérer elle-même le sommeil si
ui suggérai, pendant le sommeil provoqué, de so suggérer elle-même le sommeil si elle souffrait eu mou absence. Le 23 octobre
ggérant de dormir chaque fois qu'elle ressentait une douleur. Mais ce sommeil l'avait assommée, disait-elle; elle ne voulait pl
t que, pendant la nuit, cela se fait pour ainsi dire seul pendant son sommeil . Quand il allait aux cabinets, il priait son père
s bien constitué. Le 9 avril au matin, je mets d'emblée l'enfant en sommeil profond avec amnésie au réveil; je lui suggère qu
'il n'aura plus jamais l'idée de se toucher ni le jour, ni pendant le sommeil de la nuit, et qu'il sera désormais assez fort po
sait d'un enfant indiscipliné, nerveux ; je pouvais bien rendormir en sommeil profond avec amnésie au réveil. Mais pendant ce s
rendormir en sommeil profond avec amnésie au réveil. Mais pendant ce sommeil provoqué, il se tournait et se retournait sans ce
evenait crise. Cela se faisait pour ainsi dire seul, môme pendant son sommeil , en dépit de sa volonté. La suggestion faite à l'
été efficace. J'avais dit à l'enfant ce que je lui ai dit à l'état de sommeil : 0 Mon ami, je sais que lu veux guérir; tu en as
la peur, c'est la persuasion. Sans doute la suggestion dans l'eut de sommeil profond a agi plus vile; car elle a supprimé l'id
nclusions étaient : 1* Que la nutrition n'est pas troublée pendant le sommeil hypnotique; S" que l'hypnotisme n'est pas un étal
s précités, c'est que nous n'avons pu nous procurer, comme pendant le sommeil hypnotique, l'urine de trois jours consécutifs, m
une diminution sur les chiffres des mêmes éléments obtenus pendant le sommeil hypnotique. La nutrition so faisait donc mieux
e sommeil hypnotique. La nutrition so faisait donc mieux pendant le sommeil hypnotique qu'à l'eut de veille, que j'appelle l'
la catégorie des aliénées ordinaires. J'ajouterai que dans l'état de sommeil el que dans l'état de veille, ralimenlaiion était
e, n'ayant pas de délire en dehors des attaques qui, plongées dans un sommeil léthargique de quinze et de huit jours, n'ont pas
après trois et quatre jours que les malades étaient plongées dans le sommeil , c'est-à-dire à un moment où l'accoutumance à cet
eptible de disparaître au moyen do la suggestion pratiquée pendant le sommeil hypnotique. Applications de l'Hypnotisme, par M
tude ou de l'agitation, de l'inappétence, de la gastralgie, etc. Le sommeil hypnotique nous a toujours présenté les mêmes phé
on» qu'on leur adresse, avec plus ou moins de lenteur, suivant que le sommeil est plus ou moins profond, satisfont à tous leurs
omnambulique qu'on observe chez les malades de la Sa! pê trière. Le sommeil hypnotique est maintenu de quelques secondes à tr
itres : ce qu'on entend par hypnotisme, les méthodes pour produire le sommeil , les différents degrés du sommeil provoqué, sa sy
isme, les méthodes pour produire le sommeil, les différents degrés du sommeil provoqué, sa syroptomatologie, la susceptibilité
u éteinte dans l'Ancien-Monde, nous reviendrait-elle d'Amérique? Le Sommeil hivernal. On a prétendu que le sommeil hivernal
ndrait-elle d'Amérique? Le Sommeil hivernal. On a prétendu que le sommeil hivernal des mammifères est un phénomène hypnotiq
vait le transformer en animal à sang froid et le faire tomber dans le sommeil hivernal. Au retour de la sensibilité au froid, i
ors l'animal, recouvrant sa température physiologique, est délivré du sommeil hivernal. Cette considération conduisit J. Marie
l'admet Bcrahcîm, pûrement psychique. Bsen concluent en outre que le sommeil hivernal est un phénomène hypnotique dans lequel
également, en pcrdaul sa sensibiliié à la température, tombe dans un sommeil hivernal ou une mort apparente. Civilisation et
au côté gauche de la poitrine. Mandelstamen plongea la fille dans le sommeil hypnotique et lui suggéra de prendre et de conser
doptait invariablement et involontairement cette position pendant son sommeil ; il la conserva non seulement pendant son enfance
bilité que présentent les enfants au point de vue de la production du sommeil expérimental . De ces expériences, portant sur de
és. M. Lîébeaull, qui a si bien étudié ces phénomènes élémentaires du sommeil provoqué, en avait aussi déduit, dès 1866, toutes
uinze ans, de provoquer, soit à l'état de veille, soit dans l'état de sommeil , des illusions de la perception, des illusions et
re clinique. Nous étant approché d'un enfant, sans lui avoir parlé de sommeil ou d'hypnotisme, nous lui disons simplement : ° D
ile, par simple affirmation, toit à Vital de veille, soit à l'étal de sommeil , de provoquer des illusions de la perception, des
our le bien des malades, de la suggestibilîtédans laquelle les met le sommeil provoqué. On peut, parla suggestion, diminuer les
ous éloignez du jour de la suppression, le malade reprend courage, le sommeil revient, l'agitation cesse et le bien-être qu'il
hinomanes sont appelés à guérir par ce moyen? Malheureusement non, le sommeil hypnotique ne pouvant être provoqué chez tout le
ervation à laquelle je l'ai soumise, elle est tombée fréquemment en sommeil hypnotique lorsque les chefs de service et les él
e la fixions du regard. Il a été aisé de la faire causer pendant ce sommeil à forme somnambu-lique ei de savoir d'elle qu'ell
s répétées de la pari de son complice; qu'elle avait reçu pendant son sommeil hypnotique des injonctions à voler et qu'elle ava
bien examiné le malade, j'essaie l'hypnose, ne pensant pas obtenir un sommeil profond, souvent difficile à réaliser chez les ne
amnésie au réveil. Je lui suggérai la disparition des douleurs et le sommeil la nuit. Cette première séance n'eut pas grand
cette suggestion dans le fait matériel, je le fais lever pendant son sommeil , je le fais marcher, en lui suggérant de le faire
ouvait à peine éloigner du corps. Qu'est-H arrivé ensuite? Pendant le sommeil provoqué, j'ai procédé avec trop de brusquerie, j
rmez, donnez. » J'obtiens, comme à l'ordinaire, chez celte malade, un sommeil avec anesthésie cutanée et musculaire, catalepsie
icile de le dire. Toutefois, l'observation prouve, d'une part, que le sommeil hypnotique a permis, dès le début, de faire prend
eur utilité aux médecins. M. Goix. — J'avais songé à tirer parti du sommeil prolongé, car, à chaque séance, la malade n'a jam
ille. Après avoir endormi la malade, je lui ai fait faire pendant son sommeil un repas complet. Je l'ai laissée dormir pendant
vue de l'École d'en-ihropotogie, 15 octobre 1891.) Liébault. — « Le sommeil provoqué et les états analogues ». (In-18,1889.)
lt. — Thérapeutique suggestive, son mécanisme, propriétés diverses du sommeil provoqué et des états analogues (In-18. 1891.)
isation, après avoir reçu la suggestion de dormir, elle tombe dans un sommeil profond. Grâce à celte suggeslibilité excessive,
hanche gauche. En môme temps, des troubles mentaux sont apparus. Son sommeil est lrouble depuis ce moment par des hallucinatio
complètes. Aucune excitation physique n'a amené de modification à son sommeil . Après un certain nombre de tentatives infructueu
Elle souffre souvent de gastralgies. L'enfant a aussi fréquemment le sommeil troublé par des cauchemars, des terreurs nocturne
pondait (excédés de fatigue, ses gardes étaient plongés dans un lourd sommeil ), l'astucieuse démente se jeta à bas de son lit,
nesthésie cutanee et musculaire généralisée dans ses rapports avec le sommeil et avec les troubles du mouvement .. (Revue de mé
upture fut véritablement dure pour le pauvre amoureux. Il perdit tout sommeil , tout appétit, et, dans l'espace de trois semaine
une nuit fort agitée; il lui fut impossible de prendre une minute de sommeil . Il revint me voir et, au bout de deux séances, s
mnambule réalise les suggestions qui lui ont été faites, suit dans le sommeil hypnotique, soit même à l'eut de veille, il faut
porter. Je n'eus pas plus tôt prononcé les paroles nécessaires que le sommeil se produisait de nouveau. Donc, il est exlrêmen
epaire ne l'a pas voulu, — de renouer la chaîne du souvenir, entre le sommeil que j'aurais provoqué chez elle avec la plus gran
, sa tôto s'inclina un peu en avant, et elle parut entrer dans un bon sommeil . Je soulevai les bras. Us restèrent comme je le
déçue dans les séances suivantes où je pus constater que, pendant le sommeil , le secours de la vision était remplace par celui
uvoir vous la présenter vierge de toute suggestion autre que celle du sommeil et de la possibilité de la guérir. Enfin, je do
ier le degré d'hypnose dans lequel elle se trouve. On constate que le sommeil est déjà assez profond et que le sujet présente u
utomatisme rotatoire dont M. Liébeault a fait un signe de tendance au sommeil profond et de grande aptitude à l'hypnose, indiqu
isqu'elle ne nous entend pas. Pour plonger le sujet dans un état de sommeil plus profond, nous lui comprimons les globes ocul
ication dans l'état cataleptoîde observé précédemment dès le début du sommeil ; les bras et les jambes soulevés gardent l'attit
uriosité, les autres par intérêt scientifique, nous avons provoqué le sommeil hypnotique au moyen de la fixation du regard. Le
provoqué le sommeil hypnotique au moyen de la fixation du regard. Le sommeil fut obtenu en moins de cinq secondes. La malade
raction; seules, nos suggestions faites à l'état de veille et dans le sommeil somnam-buhque, parvinrent à vaincre son appréhens
u d'une surprise; son irritabilité lu: faisait perdre complètement le sommeil . L'insomnie rendait son état critique, ainsi qu
n assoupissement, profitant de ceci pour lui suggérer : tranquillité, sommeil normal pendant toute la nuit, que, le jour suivan
uivant», il pourrait me regarder fixement, que cela lui produirait du sommeil et qu'à mon commandement il dormirait. Le lende
otisai par la fixation du regard. H dormit au bout de cinq minutes du sommeil somnambulique. Le travail était fait : l'individu
apport : ¦ Les phénomènes que présente Sylvain Vandevoir pendant le sommeil « hypnotique ou son prétendu sommeil hypnotique n
nte Sylvain Vandevoir pendant le sommeil « hypnotique ou son prétendu sommeil hypnotique ne correspondent pas aux ¦ phénomène
résulte de l'ensemble de l'enquête et du « rapport des experts que le sommeil hypnotique était simulé et que les « prévenus pra
l'impressionnait vivement. Pendant la nuit, on devait profiter do son sommeil rendu plus profond pour pénétrer dans sa chambre
oir. Or, dit M. Voisin, « il a été aisé de la faire causer pendant ce sommeil à forme somnambulique (l'hypnotisme provoqué) et
surer que les révélations de l'inculpée avaient été faites pendant le sommeil hypnotique vrai, et non. pendant un sommeil simul
ent été faites pendant le sommeil hypnotique vrai, et non. pendant un sommeil simulé. Mais je concède à notre collègue que sa
is, dis-je, elle ne s'était rendue coupable du moindre délit. z* Le sommeil pendant lequel cette femme m'a fait ses révélatio
ses révélations était bien vrai ; je connais assez les caractères du sommeil hypnotique, pour les avoir constatés chez un gran
ortement qu'elle n'a plus de vomissements, qu'elle a de l'appétit, du sommeil , qu'elle ne s'ennuie plus, qu'elle n'a plus d'idé
dément. Je lui suggérai : « Plus de douleurs, très bon élit de santé, sommeil depuis dix heures jusqu'au lendemain », puis je l
'endormir. Au bout de quelques jours je l'amenai progressivement à un sommeil assez profond, et je lui suggérai qu' * à son rév
laisser plomber plusieurs dents-: après plusieurs séances j'obtins un sommeil assez profond, l'enfant devenait tout à fait inse
e trouvait dans le môme cas, et je ne pouvais obtenir chez elle qu'un sommeil très léger ; elle avait été endormie quatre ans a
ne seule, ont été failes à l'étal de veille ou immédiatement après le sommeil . La seule fois où j'ai tenté d'opérer pendant le
ent après le sommeil. La seule fois où j'ai tenté d'opérer pendant le sommeil , la malade se réveilla instantanément et j'eus as
fet, tout d'abord qu'elle rêvait tout haut la nuit el que, dans son sommeil , elle parlait des choses qui s'étaient dites ou p
erfs, suivi d'un délire qui dura quatre heures, puis d'une période de sommeil de quatorze heures; le délire reprit ensuite pend
D'ailleurs, les tentatives de suggestion qu'on a faites pendant le sommeil hypnotique ont donné quelques résultats; on conti
encé et retardé de huit jours par ta suggestion, puù effectué dont lt sommeil hypnotique. — Paralysie du bras (après phlegmon e
r une fixation du regard de cinq à dix minutes. Elle fut mise dans un sommeil assez profond, somnambulique (catalepsie suggesti
Le résultat de cette première séance fut le retour de l'appétit et du sommeil , la disparition de la céphalalgie. C'était l'heur
tion de la céphalalgie. C'était l'heure du déjeuner (qui, pendant son sommeil , s'était presque terminé pour les autres ; elle s
rieusement, la dilatation interrompue reprend, augmente et, dans le sommeil hypnotique, je lui suggère qu'elle va accoucher s
s explique si l'on songe à l'action des nerfs sur les organes dans le sommeil hypnotique. C'est un cas curieux d'inhibition dan
de vomissements. L'appétit est diminué et les nuits sont presque sans sommeil . La malade demande à être hypnotisée, car elle ne
e fois. D y a dix-neuf jours qu'elle n'a eu de garde-robe. Je suggère sommeil prolongé depuis le coucher jusqu'au matin, la mal
aire avoir ses règle» sans douleur, redonner de l'appétit, assurer le sommeil parfait de la nuit, modifier l'état nerveux. La m
issance des hypnotiseurs a des bornes, •*. les hypnolisables. dans le sommeil et dans la veille, conserveront toujours une forc
iment de vertige oculaire, mais d'obnubilation. Jusqu'à une espèce de sommeil — même le sommeil — puis la léthargie ou la catal
culaire, mais d'obnubilation. Jusqu'à une espèce de sommeil — même le sommeil — puis la léthargie ou la catalepsie ou le somnam
reproduire à volonté chez certaines personnes par suggestion dans le sommeil hypnotique, on connaît exactement les symptômes c
rdissement du bras correspondant. Elle s'était découverte pendant son sommeil , et l'épaule, ainsi nue, avait subi l'impression
ésultant de l'impression du froid qu'elle avait ressentie pendant son sommeil , dans un état de demi-inconscience. Il en est exa
par Delbœuf, 40. Aide donnée par le chloroforme à la production du sommeil chez les aliénés et les obsédés, par A. Voisin, 1
-Château, 18, 40. 69. Maladie des tics convulsifs, 28. Maladie du sommeil . 27. Maladies de l'esprit (les), par Max Simon,
tuts et règlement). 44. Sociétéd'hypnologie (la) par Bérillon, l. Sommeil hivernal (le) 190. Somnambulisme hystérique et
18 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
4, rue Taitbout, Par1s. 1 s99/page> page n="2"> hypnotisme. sommeil provoqué, somnambulisme, suggestion névroses, mal
minutes, les paupières du sujet se ferment, il tombe dans un profond sommeil . Il propose ensuite à madame Braid de se soumet
lui, donne le même résultat. Deux minutes après il est plongé dans un sommeil profond. Braid en conclut justement qu'il n'y a
son livre fameux sous le titre suivant : Neuryp/wlogie, ou traîlé du sommeil nerveux, considéré dans ses rapports avec le magn
en disant : « L'hypnotisme est un moyen part cu'.ier de provoquer un sommeil nerveux, un son.namôulisme art:ficielt accompagné
chafau-daientune théorie contraire. En effet, pour M. Liébeault, le sommeil artificiel n'est qu'un état passif expérimental a
e sommeil artificiel n'est qu'un état passif expérimental analogue au sommeil normal. C'est un état physiologique dans lequel l
bault, Beaunis et Liégeois attachent à la production expérimentale du sommeil et dos états passifs une importance prépondérante
ne importance prépondérante. M. Bernheim, faisant schisme, relègue le sommeil provoqué au second plan et accorde à la suggestio
logiques ; ils peuvent être obtenus chez beaucoup de sujets dans leur sommeil naturel- 2e L'état hypnotique n'est pas particu
dés d'hypnotisation se réduisent à la suggestion. 4° Dans l'état de sommeil , comme dans l'état de veille, l'individualité mor
e presque toutes les manifestations physiologiques de l'organisme. Le sommeil naturel, état physiologique par excellence, devie
ns le bleu on ne vieillit pas, mais on ne vit guère; c'est presque un sommeil . ?> Ces faits m'ont paru bon à signaler aux
If. P... Depuis quelque temps il s'était rendu compte que pendant son sommeil il présentait des phénomènes d'éréthisme génital
ne idée de ce mode de traitement et elle n'a jamais entendu pavler de sommeil provoqué. D'autre part, je n'ai pas le temps de l
nq ans elle s'est reconnu un don naturel, lui permettant, à l'état de sommeil somnambulique, de découvrir les affections de la
puis quelques années, et qui est entrée dans la seizième année de son sommeil léthargique. C'est le 29 mai 1833 qu'elle s'est
ia division du travail mental et la dissociation psychique pendant le sommeil normal. Bichat pensait avec raison que chacun des
son que chacun des organes de ia vie de relation peut être en état de sommeil , pendant que d'autres organes du même ordre t'j
ic premier qui ait attribué une grande importance à la possibilité du sommeil partiel ou local de certaines parties pendant que
ionner. II avait été frappé de ce fait que d'ordinaire l'influence du sommeil s'étend progressivement sur des facultés mentales
l s'étend progressivement sur des facultés mentales différentes. « Le sommeil général, dit-il, est l'ensemble des sommeils part
entales différentes. « Le sommeil général, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les états de conscience que Ton c
science que Ton comprend sous le nom d'hypnotisme correspondent à ces sommeils particuliers dont parlait Bichat. lis en sont la
parlait Bichat. lis en sont la reproduction expérimentale. Quand le sommeil normal est accompagné de rêves, l'indépendance de
mômeavec plus d'activité quedansl'état de veille. L'étudeattentive du sommeil naturel et des rêves a fourni la première démonst
es inférieurs. Dans la seconde expérience, je n'attendais pas plus le sommeil que je n'attendais le tremblement dans la premièr
à plus forte raison, après avoir vu se produire du tremblement et du sommeil , je ne prévoyais pas et je ne pouvais même pas pr
ue l'un s'est figuré qu'il devait éprouver du tremblement, l'autre du sommeil , le troisième de la paralysie, puis de la contrac
attendre à éprouver du tremblement, et au lieu de cela, il éprouve du sommeil . Le troisième sujet pouvait croire dans les mêmes
dans les mêmes circonstances qu'il se produirait du tremblement ou du sommeil au lieu de la paralysie et de la contracture qui
einte depuis plusieurs années d'insomnies, elle ne pouvait trouver le sommeil en se couchant,quand elle s'assoupissait après pl
lire. Elle passe ainsi la plupart de ses nuits et ne trouva un peu de sommeil que lo matin. Dans ïa journée, elle est d'une i
très calme et que la nuit elle a dormi cinq heures consécutives, d'un sommeil calme, ce qui ne lui arrivait plus depuis longtem
ant quelques jours consécutifs, puis tous les deux ou trois jours. Le sommeil revient progressivement, et bientôt elle dort tou
e somnolence, dès la nuit suivante il peut rester couché et dort d'un sommeil calme. Les douleurs, sans avoir totalement dispar
gt; page n="55"> Incontinence d'urine et suggestion pendant le sommeil naturel- Par M. le D' Paul V/ ;-.:;/.. L'inco
magasins, les marches à travers les rues Pont exténué ; il « tombe de sommeil a. comme on dit ; en effet, au bout de quelques m
ent du monde. L'occasion me parait belle pour appliquer, pendant ce sommeil normal, le mode de suggestion dont j'ai précédemm
nt plusieurs séances. II n'y aurait (1J De la suggestion pendant le sommeil naturel, (Revue de l'Hypnotisme) et broth. Maloin
bilan cucorc trop menu des bons effets dus à la suggestion pendant le sommeil normal ; il ne fera qu'encourager les psychothéra
hérapeutes à recourir à ce mode de suggestion, toutes les fois que le sommeil hypnotique n'aura pas été accepté par les famille
par ces dernières, il n'aura pas pu être obtenu par le médecin. Le sommeil naturel est un état passif que nous n'avons pas b
experimental es sur les réves — De la continuité des rêves pendant le sommeil . par M. Vaschide. A notre connaissance, aucun
ntale méthodique n'a été faite sur la continuité des rêves pendant la sommeil . Les autours inclinent généralement à croire que
ngea se, 1888-1889./page> page n="61"> que prémorphéique du sommeil , de même qu'au moment du réveil, que les rêves au
iqués par les sujets n'oubliant jamais de déterminer la profondeur du sommeil par des expériences préalables, notamment celles
nclusions auxquelles nous sommes arrivé. 1° On rêve pendant tout le sommeil et même pendant le sommeil le plus profond, le so
ommes arrivé. 1° On rêve pendant tout le sommeil et même pendant le sommeil le plus profond, le sommeil qui rappelle la synco
endant tout le sommeil et même pendant le sommeil le plus profond, le sommeil qui rappelle la syncope. La vraie vie psychique d
rofond, le sommeil qui rappelle la syncope. La vraie vie psychique du sommeil , comme la vrai vie des rêves, ne se révèle que lo
du sommeil, comme la vrai vie des rêves, ne se révèle que lorsque le sommeil commence à devenir profond ; c'est alors qu'entre
ors qu'entre en action l'inconscient. Les rêves recueillis pendant io sommeil profond révèlent les étapes et l'existence de ee
n étroite entre Sa qualité, la nature des rêves, et la profondeur iiu sommeil . Plus le sommeil est profond, plus les rêves conc
a qualité, la nature des rêves, et la profondeur iiu sommeil. Plus le sommeil est profond, plus les rêves concernent une purtie
in de la/page> page n="62"> réalité : ou contraire, plus lo sommeil est superficiel, plus les sensations journalières
rivé à des conclusions semblables. A° L'existence deâ rêves dans le sommeil profond, comateux, n'impli-quo pas la possibilité
profond, comateux, n'impli-quo pas la possibilité de certains cas de sommeil très profond sans rêve 11 y ?? comme dans" tout p
omateux ou do syncope est loin de répondre, eoo'.me on le prétend, au sommeil profond, quoique nous soyons loin de connaître l'
obable inertie mentale pour la veille, il y en a une pareille pour le sommeil . ôo Les personnes qui ne rêvent pas, ou plutôt
phéique du réveil. 7° Les enfants en bas âge et qui ont toujours un sommeil comateux commencent à rêver à haute voix ; il y a
ont plus lucides, et la lucidité est en rapport avec la-profondeur du sommeil ; dans le sommeil d'une profondeur moyenne les rê
et la lucidité est en rapport avec la-profondeur du sommeil ; dans le sommeil d'une profondeur moyenne les rêves sont plus stab
es rêves sont plus stables, plus précis et moins fugitifs que dans le sommeil superficiel. Le marquis d'Hervey a d'ailleurs trè
os recherches, que le pre-bîciuedc la continuité des rêves pendant le sommeil e;sl en paittc résoluj/page> page n="63">
it reconnaître, avec Descartes, Leibnitz et Lélut, qu'il n'y a pas de sommeil sans rove. Le sommeil ne serait pas, d'après nous
escartes, Leibnitz et Lélut, qu'il n'y a pas de sommeil sans rove. Le sommeil ne serait pas, d'après nous, un frère de la mort,
rt entre le physique et le moral. Contributions à la psychologie du sommeil M. A. Pilez vient de publier (Uni les Annales p
r du som-/page> page n="66"> meH et la nature des rcve3. Le sommeil le plus profond est sans rêve conscient; mais plu
ve3. Le sommeil le plus profond est sans rêve conscient; mais plus :c sommeil est profond, plus les associations d'idées et les
t le rêve se rapportent à des souvenirs anciens et éloignés : dans le sommeil léger, celui du matin par exemple les impressions
grand besoin de repos et sont mises hors fonctions, paralysés dans le sommeil profond, tandis que ces groupes d'idées qui, à l'
qui existe entre cette disparition des acquisitions nouvelles dans le sommeil profond et le rappel des vieux souvenirs, avec ce
émoire des déments (cas de régression de Ribot). Si l'on considère le sommeil comme un état psychique dont le caractère est la
elles, et le contenu des rêves se forme d'images anciennes dès que le sommeil a atteint un certain degré de profondeur. Le dé
ntales de contrôle. (Auguste Voisin, Schrenk-Xotzing, Bérillon.) Le sommeil naturel peut être également utilisé pour la produ
Ieidenhain, a le premier mis en on valeur ce fait intéressant, que le sommeil normal pouvait être transformé en sommeil hypnoti
ce fait intéressant, que le sommeil normal pouvait être transformé en sommeil hypnotique. Dans l'état de sommeil les facultés d
normal pouvait être transformé en sommeil hypnotique. Dans l'état de sommeil les facultés de contrôle sont suspendues et il es
osition individuelle du sujet (suggestibilité naturelle propension au sommeil normal, au tomatisme impulsif, somnambulisme spon
t d'avoir ces mouvements une fois réveillée ; pendant la durée de son sommeil elle ne fit pas le moindre mouvement. Â la deuxiè
et dans lequel revenant à elle et comme si elle sorteit d'un profond sommeil , elle est toute surprise de se trouver. La premiè
le revient enfin à elle et sort de cet état second comme d'un profond sommeil ; elle ne sait plus ce qui s'est passé durant ce
out à fait concluant. On peut prolonger certains automatiques dans le sommeil hypnotique et leur faire reproduire tout ce qu'il
e malade a sa connaissance. Donc, crise nocturne sans interruption du sommeil , avec morsure de la langue el dont le sujet n'a n
Si, en tous cas, nous ne réussissons pas, nous aurons la ressource du sommeil hypnotique et de la suggestion puisque nous avons
normal. A ce point de vue les malades soat supérieurs dans l'état de sommeil à ce point qu'ils sont dans l'état de veille. Q
médication. En i860, il publiait son premier ouvrage, chez Doin ; Du Sommeil et de ses états analogues. C'était la théorie d
Le médecin suggère de faire tel acte : il persuade au malade qu'il a sommeil , que ses paupières sont lourdes de fatigue, qu'el
surnaturel disparaissait faisant place à la science. Et pendant le sommeil (hypnose), le sujet est merveilleusement plastiqu
e phénomènes nerveux en découle naturellement. Ainsi, l'apparition du sommeil naturel, provoqué, de l'hypnotisme, serait consti
lement, l'inactivité, l'inhibition de ces neurones serait synonyme de sommeil . Ce retrait des prolongements, lorsqu'il surviend
uerait la soudaineté extraordinaire du passage de l'état de veille au sommeil qu'on observe chez certains sujets. Les différent
neurones, et qu'il a désignée sous le nom de Théorie histologique du sommeil . Pour Mathieu Duval, chez l'homme qui dort, les r
des cellules do la névroglie. Avec cette théorie, le repos mental, le sommeil , les états de l'hypnotisme s'expliqueraient par i
longements étalés des cellules névrogliques. Les différents degrés du sommeil provoqué seraient en rapport avec le plus ou moin
souvenirs que la conscience présente ignorait totalement. De même, le sommeil hypnotique fait nettement renaître la mémoire des
instruit et plus civilisé, qu'Usera toujours homme. » VARIÉTÉS Le sommeil de l'enfant. par M. le D' E. Pëiuek. Directeur
s, a adressé à un certain nombre de médecins, un questionnaire sur le sommeil de l'enfant. ï.e D' Périer a fait aux questions p
do soumettre à l'appréciation de nos lecteurs : Combien d'heures de sommeil faut-il par jour à un enfant par rapport à un adu
ar rapport à un adulte ? En vérité, nous ne savons pas ce qu'est le sommeil dans son essence physiologique ; mais ce que nous
encore quelques heures le jour, et lorsqu'il arrive à se passer de ce sommeil diurue, il dort généralement d'un Irait, une long
rait, une longue nuit. Aussi d'une façon générale, il esladmis que le sommeil esl le « meilleur cordial « de l'homme, ainsi que
té et une énergie plus considérables. Toutefois, si on considère le sommeil comme un étal particulier de l'orgonisincqui lui
n temps en deux parlies 1res inégales dont la plus grande est pour le sommeil ? S'il tèlc8à9 fois par 24 heures el pendant 8 à 1
heure et demie, soit au plus deux heures pour les repas et 22 pour le sommeil . On admet que jusque vers la troisième ou la qu
Vers la fin de la première année, l'enfant, outre 10 à 12 heures de sommeil de nuit, dort deux à trois heures le jour. Peu à
deux à trois heures le jour. Peu à peu, insensiblement il se sèvre du sommeil de jour; mais celui de la nuit n'en est que plus
couchent à 9, ce qui fait plus de huit heures de lit et en réalité de sommeil , grâce à !a discipline des dortoirs. Un adulte
strict nécessaire. * Les enfants nerveux ont-Us besoin de plus de sommeil que les autres ? Les enfants vifs, pétulants, d
ar contre, les enfants mous, apathiques, ont aussi beaucoup besoin de sommeil , tant il est vrai que souvent les extrêmes se tou
extrêmes se touchent. La nature de l'enfant auquel on ne donne pas le sommeil qui lui est nécessaire reprendra ses droits, (heu
réveillera de trop bonne heure. il ne faut pourtant pas exagérer le sommeil , quelque nécessaire qu'il soit, car si le corps a
oin de repos, il lui faut aussi du mouvement, d'autant qu'un excès de sommeil favorise la production de la graisse. * • a
sommeil favorise la production de la graisse. * • a Pourquoi le sommeil pris avant minuit est-il plus profitable que celu
— Y a-t-il une raison pour se coucher de bonne heure ? Le véritable sommeil est celui de la nuit ; et le proverbe allemand: «
ommeil est celui de la nuit ; et le proverbe allemand: « Une heure de sommeil avant minuit en vaut deux du malin », a du vrai.
d'isolement, de tranquillité, d'obscurité. L'aUribulion de la nuit au sommeil n'est pas arbitraire, mois réglée dans le princip
ières, la fatigue, les bâillements et autres signes avant-coureurs du sommeil . EnGn l'enfant qui est matinal comme le paysan
vant que le soleil l'éveille, assez de temps pour prendre une dose de sommeil suflisanle. S'il s'agit de déterminer l'heure d
vrai que la destruction des tissus soit réparée seulement pendant le sommeil ? La destruction des tissus se répare sans cesse
econde année./page> page n="122"> Quel est le résultat d'un sommeil insuffisant ? Comme consequence de ce qui précè
equence de ce qui précède, on peut dire que d'une manière générale un sommeil insuffisant accroît la dépense organique, émousse
hisme nerveux qui, par un cercle vicieux; mène alors à l'insomnie. Le sommeil appelle le sommeil, l'insomnie appelle l'insomnie
par un cercle vicieux; mène alors à l'insomnie. Le sommeil appelle le sommeil , l'insomnie appelle l'insomnie. r 'Pourquoi e
S'il est mauvais de chercher dans le berçage un moyen de provoquer le sommeil chez le nouveau-né, il est une pratique encore pl
autres l'exemple suggestif d'un enfant nouveau-nô qui avait perdu le sommeil sans être cependant malade. Une surveillance de l
re. Or, les histoires de voleurs ou de revenants, loiu de disposer au sommeil , excitent les sens et l'imagina*/page> page
clairée? La lumière électrique a-t-elle une influence nuisible sur le sommeil ? D'une manière générale, le chimisme respiratoi
e:;;, les cxcUrnls sont défavorables/page> page n="124"> au sommeil . Il suffit parfois d'approcher une lampe d'un enf
souvenir ni de la suggestion, ni des calculs qu'il décrit pendant le sommeil provoqué. J'eus l'idée de faire aussi quelques
lle, je n'eus pas grand'peine à l'endormir, sans toutefois obtenir un sommeil profond pour commencer. Je lui suggère tout d'abo
au second degré de l'hypnose et, les jours suivants, nous obtenons un sommeil profond avec amnésie complète au réveil. Je lui
finie et avant qu'il n'aille se coucher. ? est ainsi plus disposé au sommeil et je puis aussi le laisser dormir plus longtemps
proche de la nuit, après la fatigue du jour, quand vient le besoin de sommeil , prétextant la nécessité d'assurer ses guérisons
upières, j'arrivai assez laborieusement à obtenir un premier degré de sommeil , dans lequel je lui suggérai qu'il était calme et
isième séance de suggestion hypnotique,il arrive au deuxième degré du sommeil et, les jours suivants, il y a sommeil profond av
il arrive au deuxième degré du sommeil et, les jours suivants, il y a sommeil profond avec amnésie au réveil. Je lui suggère to
ville. Pendant les trois derniers mois, la suggestion hypnotique avec sommeil prolongé a été encore appliquée de temps en temps
Or, ces deux-la, que je parvins à endormir assez facilement et d'un sommeil assez profond, à la troisième ou quatrième séance
he est difficile, it souffre d'une céphalée intense et continue ¦ son sommeil à peu près nul est interrompu par des chocs cépha
'alcoolisme aigu ou chronique, — mais encore sur la grande utilité du sommeil prolongé comme un agent héroïque de sedation. L
quels elle avait corrige les premières erreurs. Toutefois, pendantson sommeil , cette personne m'affirma que, depuis le moment o
e n'avait au réveil aucun souvenir de ce qui s'était passé pendant le sommeil provoqué. 2.— Pendant l'état de veille, elle ét
e sont réalisées pendant l'état de veille, quelques autres pendant le sommeil ordinaire et les autres pendant l'hypnose. 8. —
laré que chacun d'eux avait rêvé une fois d'une suggestion pendant le sommeil naturel, il ne justifie pas cetle conclusion que
atroce. Pour mon compte, j'avais déjà fait un accouchement dans le sommeil hypnotique, chez une femme préalablement entraîné
étranger. Le D' Marguès endort alors cette jeune fille et, pendant le sommeil hypnotique, lui fait une petite incision épigas-t
ns ses crises ont trop souvent reconnu le magnétique caractère de son sommeil à des indices mécaniques et qui ne trompent pas.
1, place Jussieu. Une nourrice tétée par une couleuvre pendant son sommeil . C'est un préjugé répandu dans les campagnes qu
vulgarisa en France les expériences de Braid, dans un mémoire sur le Sommeil nerveux ou hypnotisme paru, en 18G0, dans les Arc
définition : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil nerveux, un somnambulisme artificiel, accompagné
à un individu très hypnotisable, ayant subi une suggestion pendant le sommeil hypnotique, soit à un névrosé capable de se sugge
les habitants de la ville, rien qu'au son de leur veix. Pendant le sommeil naturel, la mémoire du passé peut se trouver-exal
l'éther, le chloroforme, l'opium, le chanvre indien, etc., donnent un sommeil pendant lequel la mémoire subit parfois une excit
procédé soulève des questions multiples: 1° Quelle est la nature du sommeil hypnotique? 2e Y a-t-il dans les phases par les
il respire les vapeurs de l'éther qui 3e conduisent à cette phase du sommeil éthéré semblable au somnambulisme hypnotique, pha
rez vous a déjà entretenu de ses heureux essais do suggestion dans le sommeil naturel. Et j'ajouterai que je suis arrivé à es
dé, basé sur l'idée' d'équivalence de certaines phases des différents sommeils par le fait suivant : je connais une jeune femme,
s fois. Je pus croire, dès lors, qu'il s'agissait d'une succession de sommeils . Au sommeil hypnotique, à la période somnambuliqu
s croire, dès lors, qu'il s'agissait d'une succession de sommeils. Au sommeil hypnotique, à la période somnambulique, faisait s
e, à la période somnambulique, faisait suite, sans aucun incident, le sommeil naturel. Il y a, peur cette femme, équivalence
quivalence entre le somnambulisme hypnotique et une certaine phase du sommeil naturel, puisque l'un fait suite à l'autre sans d
e savoir si, sans la réveiller, on pourrait la faire repasser dans le sommeil hypnotique. Dès lors, le cycle serait complet, l'
M. Paul Farez. — Trente grammes d'éther peuvent suffire à produire un sommeil médicamenteux et c'est, à mon sens, dans un somme
ire à produire un sommeil médicamenteux et c'est, à mon sens, dans un sommeil de ce genre que les suggestions précédentes ont é
s rapports avec la suggestion. Tout d'abord, on sait que pendant le sommeil chloroformîque, par exemple, la suggestion bien f
pour lequel elle avait même été internée pendant deux ans. Durant le sommeil chloroformiquo, le Dr Gibert put, grâce à la sugg
s, à la Société de Médecine do Salonique, le D' Rifat â montré que le sommeil produit par le chloroforme, le chloral, la morphi
ayant été à ce point minime, on ne peut soutenir qu'il se soit agi de sommeil chloroformique. C'était bien le sommeil hypnotiqu
soutenir qu'il se soit agi de sommeil chloroformique. C'était bien le sommeil hypnotique, car if durait ce que l'on voulait et
Puis, se produit la phase algue* de la psychose : le patient perd le sommeil , devient mélancolique ou maniaque sans manifestat
de dire que le souvenir précis de ces fugues lui revenait pendant le sommeil hypnotique; plongée dans cet état, elle racontait
térie et l'épilepsie était fait grâce à cet interrogatoire pendant le sommeil hypnotique. Depuis 1889, cette personne a repro
le besoin d'opium se manifesta sous une double forme. Pour obtenir le sommeil opiomique il était indispensable non seulement de
e créée par un autre fumeur. Quand une de ces conditions manquait, le sommeil était incomplet. I/abus de l'opium ne tarda pas
iminution des soporifiques médicamenteux, Mme B... jouit la nuit d'un sommeil calme, comme jadis avant sa maladie. Non seulemen
pres, avait l'habitude, de peu d'importance d'ailleuis, de dormir dun sommeil agité, de parler pendant son sommeil et de se lev
rtance d'ailleuis, de dormir dun sommeil agité, de parler pendant son sommeil et de se lever quelquefois sans s'éveiller. Le
orme d'une chorée généralisée.Néanmoins,la santé généraleest bonne,le sommeil régulier et la force musculaire conservée. Il s'a
que folie, démence, imbécillité, idiotie, inconscience, surdi-mutité, sommeil hypnotique, etc. La rédaction du nouvel article
étranger. Le D' Marguès endort alors cette jeune fille et pendant le sommeil hypnotique, lui fait une petite incision épigastr
xpérimental. Lundi 7 — Introduction à l'étude de l'hypnotisme. — Le sommeil et les étals analogues. — Le somnambulisme et les
analogues. — Le somnambulisme et les états passifs. — L'hypnose et le sommeil provoqué. — L'inhibition et la dynamogénie dans l
eutique de Liébeault. — Du mécanisme intime des gué-risons pendant le sommeil . — Considérations générales sur l'art d'endormir
la suggestion. — Interprétation physiologique de l'action curative du sommeil provoqué. — La méthode de Wet-terstrand. — La tec
tion veut dire, si l'on veut, influence, mais je nie refuse à appeler sommeil tout état quelconque à la faveur duquel on persua
lui assigne M. Bernheim. Tout d'abord on peut recourir à l'emploi du sommeil provoqué, envisagé comme procédé pour calmer l'ex
ion, indépendamment de toute suggestion. Nous utilisons couramment le sommeil provoqué, d'une durée plus ou moins prolongée dan
traitement d'un grand nombre d'états nerveux. La durée des séances de sommeil à notre clinique est d'environ une heure. Les mal
à notre clinique est d'environ une heure. Les malades considèrent ce sommeil comme un état réparateur. comme un sédatif puissa
que les malades viennent nous demander, c'est l'hypnotisme, c'est le sommeil provoqué. Nous l'obtenons presque chez tous nos m
une glace. J'ai vu aussi chez Dumontpallier des malades présenter un sommeil pathologique, et une fois guéries, cesser d'être
. 128./page> page n="382"> Contribution a la psychologie du sommeil ) par A. Pilez, p. 63. Continuité des rêves pend
gie du sommeil) par A. Pilez, p. 63. Continuité des rêves pendantle sommeil , par Vaschide, p. 58. Conscience dans l'anesthé
let et Allard, p. 217. Electrisation suggestive, p. 281. Enfant (Le sommeil de l'), par E. Périer, p. 116. Emotions gaies
r Paul Farez, p. 296. Incontinence d'urine et suggestion pendant le sommeil naturel, par Paul Farez, p. 53. Incontinence ur
élix Regnault, p. 129. Nourrice tétée par une couleuvre pendant son sommeil , p. 190. Obsessions et illusions importunes (Su
a famille de Blaise Pascal (Histoire des), par Binet-Sanglé, p. 18. Sommeil de reniant (Le), par E. Perler, p. 116. Sommeil
et-Sanglé, p. 18. Sommeil de reniant (Le), par E. Perler, p. 116. Sommeil (contribution à la psychologie du), par A. Pile
e Bloch, p. 307. Sourds-muets et l'art. 64 du code pénal, p. 311. Sommeil naturel (Incontinence d'urine et suggestion penda
19 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
et l'hystérie joue ici le plus grand rôle (2). Pour les autres, le sommeil nerveux n'a rien de pathologique. Pour Liébeault
beault et ses élèves, c'est un phénomène presque normal, identique au sommeil naturel. On l'obtient plus ou moins facilement ch
. 2* édition, 188ô, p. 1Ù5 ot suivantes. (3) A. !. :.ii."A> : Le sommeil provoque et les étais analogues 1889. — Berhusih
Hypnotiser un sujet, c'est lui donner artificiellement une attaque de sommeil ; le réveiller, c'est faire cesser cette attaque
res expérimentales. Or, nous avons vu précédemment que l'attaque de sommeil n'est qu'un fragment détaché ou tout au moins un
iers qu'on aura les phénomènes vrais, simples, nets, naturels, du pur sommeil hypnotique. Les caractères fondamentaux de l'hy
s divers cas ne sont produites (à l'exception des degrés possibles du sommeil ) que par tout ce que les conditions pathologiques
n'est pas un état spécial, anormal, artificiellement provoqué par le sommeil braidique ou suggestif. Ce sommeil n'est pas néce
, artificiellement provoqué par le sommeil braidique ou suggestif. Ce sommeil n'est pas nécessaire pour obtenir les phénomènes
ns sujets. Tous les sujets, sans exception, qui les réalisent dans le sommeil vrai ou apparent provoqué, les réalisent aussi pa
tif à l'état de veille. La suggestion ne produit que rarement le vrai sommeil , mais chez la plupart et même chez les meilleurs
même chez les meilleurs somnambules seulement l'illusion suggérée du sommeil . Ce qu'on appelle l'hypnotisme n'est autre chos
fixation d'un point hrillant et l'attention concentrée qui créent un sommeil artificiel dans lequel existent la sugges-tibilit
ion seule du sujet. Liébeault remplaça l'hypnotisme de Braid par le sommeil suggestif. C'est la suggestion seule qui fait le
Braid par le sommeil suggestif. C'est la suggestion seule qui fait le sommeil , qui développe la suggestibilité, qui fait la gué
fait la guérison. M. le professeur Bernheim dégage la suggestion du sommeil provoqué artificiel suggestif ou braidique et pen
ssible de provoquer l'hypnose nous ont paru plongés dans un véritable sommeil et ne pas avoir seulement l'illusion suggérée de
véritable sommeil et ne pas avoir seulement l'illusion suggérée de ce sommeil D'ailleurs, dans un très grand nombre d'expérie
ans les cas où il nous a semblé mettre les sujets en état apparent de sommeil nous avons conservé de très grands doutes sur la
e avons-nous fait simplement accepter à ces sujets l'idée suggérée du sommeil . Dans le cas d'observations sur des sujets sain
nt bien difficile de savoir où finit l'état de veille, où commence le sommeil . Braid considérait comme la caractéristique de
veil le patient n'ait aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant le sommeil , mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est
es reproduire expérimentalement avec la plus grande facilité. Si le sommeil artificiel ne s'observe pas chez les seuls malade
egrés divers en puissance de nervosismo (2). Les diverses formes du sommeil non naturel, spontané ou provoqué ne sont, comme
ou moins nettement dessinée dans l'étiologie de toutes les formes du sommeil pathologique. Ici encore, soit dans les antécéden
tes les causes prédisposantes, si l'on peut dire, au développement du sommeil hypnotique, la diathèse hystérique reste, à notre
(2) Legraxh du Sable : Lus hystériques, 1883. (3) II. Baiitk : Du sommeil non naturel. Ses diverses formes. Th. agrégation,
eur axe encéphalo-médullaire. Et d'ailleurs les différentes formes du sommeil provoqué avec les phénomènes qui les caractérisen
son que chacun des organes de la vie de relation peut être en état de sommeil pendant que d'autres organes du même ordre resten
le premier qui ait attribué une grande importance à la possibilité du sommeil partiel ou local de certaines parties pendant que
ntàl'état de veille, c'est-à-dire demeurent aptes à fonctionner. « Le sommeil général, dit-il, est l'ensemble des sommeils part
aptes à fonctionner. « Le sommeil général, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les états de conscience que l'o
cience que l'on comprend sous le nom d'hypnotisme correspondent à ces sommeils particuliers dont parlait Bichat. Ils en sonE la
matin, des mûmes phénomènes. Je fais disparaitre de nouveau par le sommeil hypnotique le tremblement et le bégaiement, et je
A la faveur de l'empire que j'ai acquis sur elle en l'endormant du sommeil hypnotique, je continue, après son réveil, à lui
nhiber chacun des éléments, de prévenir leur retour et de suggérer un sommeil paisible pour les nuits suivantes. En effet, notr
x heures et demie du matin. Dès lors notre jeune fille a retrouvé son sommeil normal. A notre seconde séance, M110 Y. G. me r
ujours le phénomène dominant. Le jour de Noël la malade sort de son sommeil léthargique et demande à manger. Elle ne conserve
e dans un cas d'affectivité morbide. Dr Bérillon : 1° Pathologie du sommeil : Les rêves prolongés; 2° Le traitement psycho-
uelques animaux. Dr Manfrûxi (de Turin): Analgésie suggérée dans le sommeil normal. Dr Gino Maiorfi (de Sienne) : Deux cas de
ou quinze heures, se rendormant aussitôt. Les médecins attribuent ce sommeil léthargique à l'effet du chloroforme sur le systè
ar 1' c odeur » au point de vouloir quitter la salle ! Le centre du sommeil . M. Soca a rapporté récemment l'observation d'une
porté récemment l'observation d'une jeune fille qui fut atteinte d'un sommeil prolongé pendant sept mois, et chez laquelle on t
cerveau, d'un centre jouant un rôle prépondérant dans le mécanisme du sommeil et aussi du réveil. Quand, par suite du travail,
es mouvements respiratoires diminuent de nombre et d'amplitude, et le sommeil se. produit. Pendant celui-ci, l'acide carbonique
autres termes, c'est le même agent, l'acide carbonique qui produit le sommeil et le réveil. Un cas de jeûne prolongé chez la
re, l'abais-i sèment de l'énergie.une tendance vers la mélancolie, le sommeil J mauvais, quelques signes physiques comme le tre
cas il faut hypnotiser plus souvent. De la suggestion pendant le sommeil naturel Par M. le Dr Paul Farez La psychothér
né des succès indéniables. Mais, à coup sûr, la suggestion pendant le sommeil provoqué est le procédé de choix, le procédé héro
; d'autres refusent de se laisser endormir, manifestant à l'égard du sommeil provoqué des craintes et des préventions injustif
énéficier de la suggestion curative si celle-ci consent à utiliser le sommeil normal. *** Des observations authentiques, de
rées témoignent de l'efticacité de la suggestion faite à la faveur du sommeil naturel. On peut même dire qu'elle est le succéda
faite d'emblée à l'oreille d'un malade qui vient de s'endormir de son sommeil naturel s'est parfois montrée efficace ; mais, le
ggestionne : il pourra être influencé comme s'il était plongé dans le sommeil hypnotique. Cet « anidéisme » artificiel permet d
stion hypnotique; il s'applique exactement à la suggestion pendant le sommeil naturel : « 11 ne faut pas faire trop de suggesti
à telle heure déterminée ; ordonnons-lui de dormir toute la nuit d'un sommeil calme et, pendant toute la durée de son sommeil,
ir toute la nuit d'un sommeil calme et, pendant toute la durée de son sommeil , de rêver uniquement à ce que nous lui avons sugg
nu d'appeler suggestion hypnotique la suggestion faite à la faveur du sommeil artificiel ou provoqué. Comment appeler d'un seul
qué. Comment appeler d'un seul mot la suggestion faite à la faveur du sommeil normal? Je propose l'expression : suggestion somn
) Pour plus do détails, voyez Paul Farez, De la suggestion pendant le sommeil naturel, Paris, Maloine, 1698. D'autre part,
t et aussi d'un temps considérables, il est parvenu à plonger dans le sommeil hypnotique un certain nombre d'aliénés ; et, aprè
tion prêtomnique faite pendant la veille qui précède Immédiatement le sommeil ; 2* la suggestion înlersomnique faite pendant l
ique faite pendant lu courto veille qui vient s'intercaler cotre deux sommeils ; 3' la suggestion somnique faite pendant le som
ler cotre deux sommeils; 3' la suggestion somnique faite pendant le sommeil lui-même. Pour plus de clarté, ectto dernière p
de vous décourager. Attaquez-vous au malade pendant qu'il dort de son sommeil naturel ; consentez à appliquer une technique, sa
uement parlant, il n'y avait pas grande confiance ; il lui fallait le sommeil provoqué et la suggestion directe. Désirant, dè
lions, nous le guéririons radicalement même en une seule séance. Le sommeil fut provoqué très facilement. Rappelons ici que,
ès son dire, à moitié opéré la guérison. Le succès de cette séance de sommeil fut complet : pour plus de sécurité, il revint en
représentation mentale des suggestions faites antérieurement dans le sommeil hypnotique suffit pour neutraliser les états d'an
XI. La science s'est complue quelquefois à comparer la production du sommeil hypnotique à l'administration d'un médicament rel
rgie. Au premier plan, nous placerons l'hypnotisme. La provocation du sommeil n'est pas, en elle-même, un acte médical. De môme
pour y dicter son testament ou y signer une donation, soit pendant le sommeil hypnotique, avec l'apparence de l'état de veille,
de son influence pour lui' donner l'ordre de signer, soit pendant son sommeil , soit à son réveil. cause de l'interdiction exi
impératives, aura procédé par persuasion et ne se sera servi, soit du sommeil hypnotique, soit de la simple suggestion à l'état
era souvent bien délicale, surtout quand l'opérateur aura provoqué le sommeil , car, dans cet état, les raisonnements équivalent
nconsciemment par une personne à laquelle il a été suggéré pendant le sommeil . L'Ecole de la Salpêtrière soutient, au contraire
nocturne d'urine guéris en une seule séance de suggestion pendant le sommeil naturel. Par M. le D' Houiibox- (de Méru). 1
m'en occuper, j'eus l'idée d'essayer de le suggestionner pendant son sommeil naturel. Avec des précautions infinies pour ne pa
'urinait plus jamais au lit depuis que je lui avais parlé pendant son sommeil . Une seule séance avait suffi et le résultat se
ourner la difficulté, d'aller essayer de la suggestionner pendant son sommeil . J'arrivai donc un jour entre 8 h. et 9 h. du s
Sa mère s'en étonna beaucoup,' parce que, me dit-elle, elle avait le sommeil assez léger. - On la réveilla ensuite sans qu
montrent la grande suggestionnabilité des enfants, aussi bien dans le sommeil normal que dans l'autre. Discussion. M. Paul
aler à ceux qui, systématiquement, déclarent la suggestion pendant le sommeil normal impraticable ou inefficace. Ce mode d'inte
J'ai aussi traité une incontinence d'urine par suggestion pendant le sommeil naturel, en me conformant à la technique de M. Fa
'état cataleptique, des convulsions. Les marabouts savent agir sur le sommeil , comme le savent les médecins, en pressant les gl
Je l'endormis quatre ou cinq fois et lui lis des suggestions dans le sommeil hypnotique, enfin après la dernière séance, je lu
oulais qu'elle, s'endormit, pour qu'elle entrât immédiatement dans un sommeil des plus profonds, devenant complètement automati
l'efficacité de la suggestion est en raison directe de l'intensité du sommeil . Aussi ai-je pu en maintes circonstances employ
outer attentivement et je la prévins qu'elle allait se rendormir d'un sommeil tout à fait calme, pendant lequel on lui donnerai
i les crises reparaissaient. Cette prescription fut inutile, car le sommeil resta calme comme je l'avais dit, et je retrouvai
s faciles et les plus usuels. Hiceda emploie cette méthode pendant le sommeil hypnotique (Afonia. isteria). On a vanté l'électr
e tout ce qui s'est passé pendant la fugue peut être retrouvé dans le sommeil hypnotique, ce qui n'a pas lieu pour l'épilepsie.
ns, il est maintenant valet de chambre. Depuis quelques mois, il a un sommeil agité, entrecoupé de fréquents cauchemars. Il rev
t une certaine obnubilatioo ; dès qu'il rentre chez lui, il dort d'un sommeil de brute. Par tous ces côtés, cette fugue, on le
est hypnotisable, au moins dans une certaine mesure, et, pendant son sommeil hypnotique, il retrouve la mémoire de certains fa
s ; d'autres paraissent oubliés, mais peuvent être remémorés grâce au sommeil hypnotique. Par ce côté la fugue serait donc hyst
. Orthopédie mentale et morale. La suggestion pédagogique dans le sommeil hypnotique et à son défaut, dans le sommeil nat
ion pédagogique dans le sommeil hypnotique et à son défaut, dans le sommeil naturel. par m. le docteur Bourdon (de Méru).
on quelconque, a un précieux succédané, qui est la suggestion dans le sommeil naturel, mise en honneur par le Dr Paul Farez. El
caractère, mouvements impulsifs. — La suggestion pédagogique dans le sommeil hypnotique. — Aptitudes normales stimulées et dév
urager, des sous et des friandises. Mais, malgré les apparences, le sommeil n'avait pas été profond, il y avait eu plutôt é/a
regard prolongé, aidé de la parole, il s'endormit véritablement d'un sommeil assez profond, sinon somnambulique, avec anesthés
très vicieuse, menteuse, voleuse, etc., guérie par suggestion dans le sommeil naturel. Marie S... âgée de 12 ans, brune et vi
qu'il faudrait tâcher de modifier ces dispositions en l'endormant du sommeil hypnotique. Bien que je n'eusse pas l'intention d
de, comme il convient à une jeune fille, etc. Je la réveille de son sommeil quasi-somnambulique et je constate l'amnésie au r
ut s'échapper. Je suis donc obligé d'en venir à la suggestion dans le sommeil naturel, qui présenta aussi des difficultés, la r
ses, les suggestions que je lui avais faites la première fois dans le sommeil hypnotique, tout cela se fait sans qu'elle se rév
consolider la guérison. Comme on le voit, si la suggestion dans le sommeil normal réclame certaines précautions, présente ce
jet; elle est, d'autre part, aussi efficace que la suggestion dans le sommeil hypnotique et pourrait être souvent utilisée. I
a confiance dans la gué-rison finale. Il a hôte d'être endormi et le sommeil vient en quelques minutes, profond et somnambuliq
ne veut plus boire ni fumer. II dort encore pendant une heure, le sommeil prolongé aidant à la guéri-son. Au réveil, il se
uer dans les conditions ordinaires. Analgésie suggérée pendant le sommeil normal, par M. le D' Ange Manfroni (de Turin)
dormir sur une chaise. Il me vient aussitôt l'idée de profiter de son sommeil pour l'hypnotiser ; j'aurai d'ailleurs là une occ
globes oculaires. Je suis convaincu que le malade entre alors dans le sommeil hypnotique. En effet, ses membres sont flexibles,
La nuit, elle dort profondément et se trouve comme a enfouie dans son sommeil » ; mais, à 4 heures du matin, elle s'areboute su
te de ce qui se passe. Si elle se lève, elle sort complètement de son sommeil et ces phénomènes cessent; si elle se recouche, i
otique anodin {hypnal, chloral), destiné à faciliter la production du sommeil . En un mot, il faut obtenir l'apparition d'un éta
ces malades; pour diminuer leur instabilité mentale et favoriser leur sommeil nocturne. 3e Temps. — Intervention d'actions mé
ette jeune fille a dû s'aliter à diverses reprises sous l'action d'un sommeil invincible qui, jusqu'à présent, n'avait pas dépa
naissance. Après cela il ressent un impérieux besoin de dormir et son sommeil dure pendant 7 ou 8 heures. Au réveil, il se sent
'ancslhésic, à rétablir la sensibilité. S'il le faut, on utilisera le sommeil hypnotique pour détruire le souvenir de l'émotion
. M. le Dr Paul Farez, professeur. Objet du cours : La psychologie du sommeil naturel. Les mardis et samedis à cinq heures, à p
point de vue, contrairement à ce qu'on pensait autrefois, l'étude du sommeil provoqué m fait pas exception à la règle. Une f
de du sommeil provoqué m fait pas exception à la règle. Une fois le sommeil produit, il faut savoir bien distinguer, ainsi qu
naturelles. La principale difficulté dans l'étude des phénomènes du sommeil provoque réside, comme l'a fort bien dit le profe
rs, je renonce à les décrire. Lcjeune homme parut sortir d'un profond sommeil : Il se frotta les yeux, les tourna vers le solei
Charcot ne voyait qu'un phénomène corporel « somalique », dans "le sommeil provoqué; le docteur Liébeault y voit un phénomèn
elle prend ses racines vraies surtout dans les états passifs dont le sommeil et les rêves sont le terrain de formation. S* L
jusqu'à la léthargie qui nous semble être le degré le plus profond du sommeil provoqué, on observe tous les intermédiaires, soi
es sujets les avait fait tomber de suite dans un état plus profond du sommeil provoqué. Et même chez les sujets masculins, le
er d'emblée (par un procédé classique) dans Ja période léthargique du sommeil provoqué, il nous arrivait souvent de les faire p
de la léthargie, et nous savons combien sont multiples les degrés du sommeil admis par les observateurs de Nancy. Le fait de
ement qu'aux signes extérieurs. A un degré plus profond encore du sommeil hypnotique, le sujet a perdu jusqu'à ses réflexes
apidité ; il s'effectue dans le sens horizontal, disparait pendant le sommeil et s'exaspère dans les mouvements volontaires ; i
a suggestion s'est manifestée. Bientôt MmB V... dort la nuit d'un bon sommeil pendant six ou sept heures consécutives ; son imp
xal Delbceuf qu'il n'y a pas d'hypnotisme, c'est-à-dire de science du sommeil , c'est en nier les phénomènes, ce qui est absurde
que la suggestion, ce qui est encore plus absurde. Ces deux choses du sommeil sont parties inséparables : l'une d'elle est caus
longeons dans l'état d'hypnose par fixation des yeux et suggestion du sommeil . Bile tombe presque immédiatement dans un sommeil
ux et suggestion du sommeil. Bile tombe presque immédiatement dans un sommeil profond. Dès qu'elle est hypnotisée, nous constat
est plus probante que les résultats artificiellement obtenus, sous le sommeil hypnotique, dans des conditions où l'élément subj
rande importance, c'est que, contrairement aussi aux idées reçues, le sommeil n'est nullement nécessaire pour obtenir un effet
ces ne sont presque pas dissociables à l'état de veille et souvent le sommeil artificiel hypnotique ne peut s'obtenir même avec
rquée sur la production plus ou moins rapide des diverses périodes du sommeil provoqué, sur le développement plus ou moins comp
ues faibles et répétées. En y regardant de près, on s'aperçoit que le sommeil ne survient qu'après réapparition de la sensibili
deux côtés. Toutefois, les phénomènes qui caractérisent les phases du sommeil provoqué se montrent à un degré moins accusé que
dans un état plus profond, plus complet, dans un degré plus avancé du sommeil provoqué. C'est précisément ce que vous avez cons
alise, à la lettre, toutes les suggestions qu'on lui fait pendant son sommeil hypnotique, je songe à régulariser ses évacuation
'aller aux cabinets, c'est moi qui vous l'avais suggéré pendant votre sommeil hypnotique. Cette suggestion a puissamment agi su
que je ne me suis pas encore expliqués. Je compte le faire pendant Je sommeil hypnotique. Une fois endormie, ma malade retrou
on expresse', le souvenir de ce qui s'est passé pendant son précédent sommeil hypnotique. Je poursuis alors mes investigations
oment du réveil, j'avais envoyé cette malade aux cabinets pendant son sommeil hypnotique. hia suggestion se serait surtout ré
quer l'auto-suggestion est la somnolence qui précède ou accompagne le sommeil . Dans cette somnolence toutes les facultés sont
tion a lieu bien plus facilement dans la somnolence qui accompagne le sommeil . Plusieurs causes s'opposent à la pratique de l
de pratiquer l'auto-suggestion : 1° avant de s'endormir; 2° après le sommeil delà nuit, ont chacun leurs avantages. 1° Avant
l delà nuit, ont chacun leurs avantages. 1° Avant de s'endormir. Le sommeil ou la somnolence est favorisé par la fatigue de l
t très facilement. Mais chez les débutants, il y a cet écucit, que le sommeil arrive dès les premiers moments de l'auto-suggest
s moments de l'auto-suggestion. L'auto-suggestion est trop courte, le sommeil naturel qui succède involontairement y mettant fi
ès la pratique bien faite de l'auto-suggestion, vient succéder le sommeil naturel de la nuit. Or le sommeil naturel de la n
o-suggestion, vient succéder le sommeil naturel de la nuit. Or le sommeil naturel de la nuit succédant à l'auto-suggestion,
réveillera facilement. A ce moment, l'individu est plus maître de son sommeil et de sa somnolence. L'inconvénient est qu'il fau
n en se reposant de temps en temps. Puis on s'endort en favorisant le sommeil . Il arrive le plus souvent que le réveil dans l
veiller de nouveau, pour fixer l'état de somnolence le plus voisin du sommeil . 2° S'endormir à volonté.— Cet exercice se fait
on s'endort pendant un quart d'heure ou vingt minutes. Quelquefois le sommeil dure seulement cinq minutes. Quand on est suffi
es. On y pensera en s'endormant. Très généralement on se trompe et le sommeil cesse à trois heures, puis à quatre heures, enfin
grand nombre de personnes, le passage de l'état de veille à l'état de sommeil normal, de même que le retour à l'état de veille
de sommeil normal, de même que le retour à l'état de veille après le sommeil , s'accompagne de phénomènes objectifs assez m
marque une limite entre les deux états si différents de veille et du sommeil . Quand il s'agit de l'apparition du sommeil nor
férents de veille et du sommeil. Quand il s'agit de l'apparition du sommeil normal, leur constatation présente peu d'intérêt.
ntérêt. 11 n'en est plus de même lorsqu'il s'agit de la production du sommeil provoqué. Il est très intéressant de connaître le
voqué. Il est très intéressant de connaître les signes précurseurs du sommeil et leur constatation peut servir à l'hypnotiseur
re le moment où s'effectue le passage de l'état de veille à l'état de sommeil . M. le Dr Liébeault, auquel on doit tant d'obse
d'observations ingénieuses, avait souvent conclu que l'entrée dans le sommeil artificiel s'accompagne assez fréquemment de phén
rité sans motif, qui cesse subitement au moment de l'entrée dans le sommeil . Plus rarement, on constate du larmoiement, égale
ujet, et cette interrogation interromprait forcément la production du sommeil . Les phénomènes subjectifs les plus habituels son
ion, de l'énervement. Tous ces phénomènes précèdent l'apparition du sommeil . Ils en sont les signes avant-coureurs et leur ce
s fonctions de relation qu'une apparence de contrôle. L'apparition du sommeil provoqué diminue encore leur pouvoir de contrôle,
nes réactionnels seraient l'équivalence de la période d'excitation du sommeil chloroformique. La connaissance de ces faits es
ues. Leur apparition lui indique l'entrée dans'les premiers degrés du sommeil hypnotique et lui permet de pronostiquer que le s
limiter les effets et de les utiliser pour arriver à la production du sommeil provoqué. M. Voisin. — Tous ces phénomènes sont
llon vient de nous montrer chez sa malade des excitations au début du sommeil hypnotique. Il a rappelé auparavant que le chloro
illait en jetant des cris d'effroi. Depuis lors, elle eut toujours le sommeil agité et troublé par des cauchemars, quoiqu'elle
le devait avoir ne se sont pas produites. La malade dort mieux et son sommeil est calme. La sensibilité est devenue égale de de
phénomènes ne duraient pas longtemps, la malade s'endormait vite d'un sommeil profond avec de l'amnésie au réveil et se calmait
'intensité à chaque séance et actuellement le passage de la veille au sommeil se fait par une transition calme et sans aucun tr
quelques instants. Puis elle se calmait et reprenait le cours de son sommeil à peine interrompu. Ces phénomènes réflexes surve
peine interrompu. Ces phénomènes réflexes survenant dans le cours du sommeil par l'influence du moindre contact indiquaient un
és comme une défense automatique de l'organisme persistant pendant le sommeil . Ils ont disparu progressivement et actuellement
Ils ont disparu progressivement et actuellement le contact pendant le sommeil ne les provoque plus. Séance du mardi 18 mars
ès vives et crises nerveuses fréquentes. Je suis amené à provoquer le sommeil hypnotique pour calmer les douleurs. Au bout de q
n des yeux et du creux de l'estomac et, en deux minutes, j'obtiens le sommeil hypnotique. Je procède alors à une conservation a
Je lui suggère alors de dormir six heures, et j'ai obtenu un très bon sommeil . Observation III. — Mlle X..., seize ans, bonne
est ensorcelée. Pression des points sensibles, ovaires et des yeux ; sommeil hypnotique, après deux minutes au plus. Suggest
La pression de ce point et des yeux produit presque instantanément le sommeil . Suggestion. Je maintiens cette nerveuse pendan
e produisant rétouffemenl. Pression de ce point et pression oculaire, sommeil hypnotique très rapide, suggestion. Deuxième visi
e, suggestion. Deuxième visite le 2 décembre, mieux sensible. Nouveau sommeil . Je fais lever la malade, les yeux bandés. Elle t
de frayeur en voyant son patron se colleter avec un de ses voisins. Sommeil . Suggestion. Guérison. Les observations VII et
xyde de carbone, par Raymond, p. 311. Analgésie suggérée pendant le sommeil normal, par Ange Manfroni,p.lS6. Antévision (L'),
nocturne d'urine guérie en une soule séance de suggestion, pendant le sommeil naturel (Deux cas d') par tiourdon (de Méru), p.
igence des ours blancs, par Orlitzky, p. 363. Pédagogique dans le sommeil hypnotique et à son défaut dans le sommeil nature
3. Pédagogique dans le sommeil hypnotique et à son défaut dans le sommeil naturel (La suggestion), par Bourdon (de Méru), p
5. 190, 215, 22t, 249, 253, 273, 287,318, 328, 312 , 351, 359, 374. Sommeil (Le çenix^-iitffc~p722. Sommeil-nrrrureT(De la
20 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
Administhation : 170, rue Saint-Antoine REVUE de HYPNOTISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NEVROSES, MAL
volonté (arec 2 figures), par M. le Dr Félix Regnault, p. 17. 3° Du sommeil provoqué à l'insu du malade, dans un cas ; à l'in
s l'impulsion il passe énergiquement dans cette voie centrifuge. Du sommeil provoqué à l'insu du malade, dans un cas ; à l'in
ous réveiller. » Il fallait, cette fois, lui donner une preuve de son sommeil . Je le fis se lever et le conduisis à l'angle d
sous l'un des pieds du malade. Avec l'aide de Dieu, il retrouvera le sommeil au bout de 24 heures. » Idée fixe et obsession
donné lieu la communication de M. Wetterstrand, de Schokholm, sur le Sommeil artificiel prolongé, en particulier dans le trait
on. Plus lard, à l'âge de 12 ans 1/2, elle était prise de crises de sommeil , s'endormait en jouant ou en travaillant, pleurai
nceté ; elle avait enfin du somnambulisme hystérique! Ces crises de sommeil , de somnambulisme diurne, l'ayant prise à Beaumon
emière séance a lieu en août 1895 ; l'hypnotisation est difficile, le sommeil est incomplet, peu profond, mais il augmente un p
façon à les faire pénétrer dans le cerveau, et cela en prolongeant le sommeil pendant plusieurs heures chaque jour. Chacun sait
t le sommeil pendant plusieurs heures chaque jour. Chacun sait que 4e sommeil prolongé aide aussi à la guérison. Ces séances
lus jamais de battements ni presque plus de souffle à la pointe. Le sommeil hypnotique était chaque fois plus facile et meill
sement et de perte de connaissance, à peine ; plus jamais de crise de sommeil , ni d'épistaxis. Elle est à l'époque des règles,
, après un traitement d'assez longue durée, car, étant réfractaire au sommeil , je ne parvins à l'endormir qu'à la quinzième séa
à l'hypnotisme. Dans ces cas, je ne réussissais pas à provoquer le sommeil , puisque l'esprit du malade, étant entièrement oc
Dr Ladtps. — Le fonctionnement cérébral pondant le rêve el pendant le sommeil hypnotique. Brochure in-8, 22 pages. Paris, 1895.
sisté à des faits semblables, n'avaient jamais été mis dans l'état de sommeil hypnotique et ne se doutaient pas de la nature de
démontré que certains sujets passent avec la plus grande facilité du sommeil normal aux différentes phases du sommeil hypnotiq
c la plus grande facilité du sommeil normal aux différentes phases du sommeil hypnotique, et pour les états média-niques en par
le P' J. Delbœuf, de Liège, intitulée: « Suggestion de résistance au sommeil chez un sujet trop hypnotisable. o 3° Une commu
Ce cri durait toute la journée, n'étant interrompu chaque nuit par le sommeil que pendant deux heures environ. La malade impres
éance, après trois quarts d'heure d'efforts, elle fut plongée dans un sommeil très profond, avec ancsthésie complète et oubli a
ancsthésie complète et oubli au réveil ; le cri fut interrompu par le sommeil ; elle reçut la suggestion qu'après son réveil, e
ion de la boule brillante, avec suggestion. Insuccès. 3 décembre. — Sommeil hypnotique obtenu, avec résolution musculaire. An
it à la malade :. « Vous entendrez ce que je vous dirai pendant votre sommeil . » Sug- gestion de ne plus avoir de douleur f
tète et a la physionomie souriante. Il est à noter que, pendant son sommeil , les muscles sont un peu raides. On lui a suggéré
e contre sa douleur frontale et contre la rougeur. 18 décembre.— Le sommeil a été obtenu avec conservation de l'audition. Ell
disait-elle, venir chez moi pour dormir, parce qu'elle sentait que ce sommeil provoqué lui rendait des forces. Aussitôt, et ava
ant de l'endormir, je lui dis qu'elle pourrait elle-même se donner ce sommeil réparateur chez elle, si elle sentait quelque déf
je l'ai du reste remarqué chez d'autres malades, Mme X.., pendant le sommeil provoqué, avait une notion parfaite de la marche
us large, depuis l'entraînement psychique à l'état de veille jusqu'au sommeil hypnotique profond. Observation 1. — Neurasthén
ue, Mme B... va déjà mieux: les forces reviennent, la digestion et le sommeil s'améliorent: mais l'état mental est à peine modi
bout de ses résistances, et à la quatrième séance, elle s'endort d'un sommeil très profond avec catalepsie, automatisme et amné
depte de l'hypnotisme, et se promet, le cas échéant, de redemander au sommeil provoque la guérison de ses maux. Observation I
nsoriels, notamment la vue. De là un besoin insatiable de repos et de sommeil , contrastant avec l'impossibilité de le satisfair
aine de bains statiques. Dès les premières tentatives d'hypnose, un sommeil léger est obtenu. Bien qu'elle ne soit pas encore
t pas encore bien convaincue de ses effets, la malade déclare déjà ce sommeil agréable, et sort chaque fois de mon cabinet pius
assurée et mieux portante. A partir du cinquième jour, elle dort d'un sommeil profond, avec catalepsie suggestive et automatism
e les douleurs rachidiennes et intercostales. J'use alors, pendant le sommeil toujours profond de la malade, d'une nouvelle for
e luxe de symptômes subjectifs, je note un embonpoint raisonnable, un sommeil excellent, un appétit assez régulier, une digesti
u retour offensif des idées morbides : le malade commence à perdre le sommeil et l'appétit, à maigrir, ù songer à la mort proch
'essayer sur les neurasthéniques l'influence de l'hypnotisation. » Le sommeil hypnotique ne serait-il pas plutôt un moyen commo
inq heures, M. le D' P. Valentin fera une conférence sur : Le râle du sommeil dans les cures psychothérapiques : Les états pass
inq heures, M. le Dr P. Valentin fera une conférence sur : Le râle du sommeil dans les cures psychothérapiques : La reconstitut
avier Francotte, de Liège. Sous le nom de Somnambulisme {Somnus, le sommeil , ambulo, je me promène), on entend l'état d'un in
rébral. A certains- moments, on dirait qu'ils sortent d'une espèce de sommeil et ils n'ont absolument aucun souvenir des faits
le plus grand désordre, se déshabille et se met au lit. Réveillé du sommeil dans lequel il est plongé, il répond par de vives
que nécessairement l'inconscience absolue. L'observation des faits du sommeil tend à démontrer le contraire. On a la conscience
tuer tout au moins des fragments de rêve. Par contre, si au sortir du sommeil on se livre de suite à ses occupations, les trace
aces légères laissées dans la mémoire par l'activité subconsciente du sommeil sont irrémédiablement effacées par les actes plei
tait indiqué. Les premières tentatives pour plonger la malade dans le sommeil provoqué ne furent pas suivies d'un succès immédi
t psychothérapique, nous la voyons tomber brusquement dans un état de sommeil profond, et nous sommes surpris de constater Re
nd, et nous sommes surpris de constater Respiration : V (veille) 8 ( sommeil ) que la seule apparition du sommeil, provoqué p
r Respiration : V (veille) 8 (sommeil) que la seule apparition du sommeil , provoqué par la suggestion de dormir, suffît pou
, succombant à la fatigue, elle tombe pendant quelques heures dans le sommeil normal. Pouls : V (veille) S (sommeil) En eff
ndant quelques heures dans le sommeil normal. Pouls : V (veille) S ( sommeil ) En effet, dès qu'elle est hypnotisée, nous con
xamen clinique les modifications survenues sous la seule influence du sommeil provoqué, nous avons voulu les enregistrer par la
Les tracés 1 et 2, pris successivement dans l'état de veille et de sommeil , montrent les modifications survenues dans le ryt
ions survenues dans le rythme respiratoire sous la seule influence du sommeil provoqué. Les tracés suivants indiquent d'une f
ès nette la régularisation survenue dans le pouls dès l'apparition du sommeil . A l'état de veille Cœur : V (veille) S (sommei
ès l'apparition du sommeil. A l'état de veille Cœur : V (veille) S ( sommeil ) (trace" 3), le pouls est absolument irrégulier
diaques réapparaissaient sur les tracés; par contre, la suggestion du sommeil ramenait instantanément la régularité. Les trac
la main gauche, indiquent, d'une façon manifeste, l'influence du sommeil sur le trouble fonctionnel de la motilité. Cett
uvements respiratoires, du pouls et des Tremblement : V (veille) S_( sommeil ) mouvements cardiaques, survenant sous l'influe
e) S_(sommeil) mouvements cardiaques, survenant sous l'influence du sommeil provoqué, à l'exclusion de toute suggestion direc
te sur les fonctions troublées, établit une analogie de plus entre le sommeil provoqué et le sommeil naturel. 2° Cette régula
oublées, établit une analogie de plus entre le sommeil provoqué et le sommeil naturel. 2° Cette régularisation constitue une
n constitue une démonstration frappante de la valeur thérapeutique du sommeil provoqué, indépendamment de toute suggestion. _
e professeur Richet à la Société de Biologie en 1887. Note sur le sommeil provoqué à distance. Par M. E. Boibac, professe
5} les particularités que présentent chez lui les différents états du sommeil . J'ai fait avec lui plusieurs séries d'expérien
e le voulus et dans les conditions les plus diverses, le phénomène du sommeil et du réveil provoqués à distance par une simple
nt pour moi aussi familier, et presque aussi facile à produire que le sommeil provoqué par la suggestion, le regard ou les pass
27 février 1895, Gustave P. venait d'être endormi et, au cours de ce sommeil , j'avais expérimenté les phénomènes d'attraction
même chaleur et le même trouble qui précédaient toujours chez lui le sommeil quand je l'endormais; et c'est toute la réponse q
osais cette question dans la suite. Après un quart d'heure environ de sommeil employé à la reprise de nos premières expériences
point. Du reste, l'action mentale nécessaire pour provoquer ainsi le sommeil s'accompagne toujours d'une extrême tension céréb
ue résistance, et il me fallut près de deux minutes pour provoquer le sommeil . Quand je le vis endormi, je le montrai du geste
t qu'il s'était endormi par imitation, par sympathie, en regardant le sommeil du sujet de M. W. Je leur fis comprendre par sign
de M. W. Je leur fis comprendre par signes que j'étais la cause de ce sommeil , mais je vis bien qu'ils n'en étaient pas convain
il prononça ensuite, nous comprimes qu'il n'avait aucun soupçon de ce sommeil intercalé. Je désirais convaincre entièrement les
n'y comprend plus absolument rien. Jusqu'ici je n'avais produit le sommeil par action mentale qu'au cours d'une séance déjà
cigarette, n'ayant évidemment aucune conscience de ce court moment de sommeil . Dans une autre séance, plusieurs de mes amis,
'un succès, j'ignorais dans quelle situation il serait surpris par le sommeil : il pouvait en résulter pour lui de graves dange
anière ou d'une autre, et que cette attente générale, indéterminée du sommeil est sans doute la condition préalable du succès d
a nécessité d'une action personnelle de l'opérateur pour provoquer le sommeil à tel moment précis, dans telles circonstances pa
r son acquiescement, je me concentrai dans la volonté de provoquer le sommeil ; et. en moins d'une minute, mon sujet était endo
ation de la main et montrai les particularités de ses divers états de sommeil , après avoir exposé la plus grande partie des exp
res, M. le Dr P. Valentin fera une confé- rence .sur : Le role du sommeil dans les cures psychothérapiques : Les états pass
inq heures, M. le Dr P. Valentin fera une conférence sur : Le rôle du sommeil dans les cures psychothérapiques : La reconstitut
sentielles l'idée qu'il a déjà exposée dans un travail antérieur : Le sommeil et les rêves, considérés principalement dans leur
inq heures, M. le Dr P. Valentin fera une conférence sur : Le rôle du sommeil dans les cures psychothérapiques ;La reconstituti
cuter en rêve (p. 28). » Or, l'auteur d'une excellente étude sur Le Sommeil et les Rêves, nous a appris ce qui suit, au début
ue Delbœuf soutenait contre nous, en matière de sug- 1. Delbœuf. Le sommeil et les rêves, p. w Paris, Alcan, 1885. 2. En ou
ise en œuvre. II y a une posologie à déterminer dans l'application du sommeil provoqué et de la suggestion hypnotique. C'est le
onférence, faite par M. le D' Valentin, avait pour titre : Le rôle du sommeil dans tes cures psychothérapiques. Voici les consi
mécanisme et de leurs effets, les formes normales et pathologiques du sommeil et le dynanisme mental des névropathes, on est co
est conduit aux conclusions suivantes : 1° Spontané ou provoqué, le sommeil se présente toujours comme identique dans son mod
t-à-dire conforme à la nature du sujet qui dort. On ne lire jamais du sommeil que les résultats expérimentaux ou thérapeutiques
ccepter une idée ou à la réaliser. Sédatif nerveux par excellence, le sommeil provoqué rend plus facile la psychothérapie et en
Dr Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant te rêve el pendant le sommeil hypnotique. Brochure in-8, 22 pages. Paris, 1895.
cette habitude. L'auto-suggestion nous dispense d'avoir recours au sommeil hypnotique qui répugne à la plupart d'entre nous
tion, le magnétisme et les substances végétales aptes à déterminer le sommeil hypnotique sur des sujets à eux inconnus. Ce chap
s do l'enfant ; 2° de le faire circoncire au plus tôt en utilisant le sommeil hypnotique pour produire l'anesthésie. La mère,
premier jour, mais tombe, à partir de la première séance, dans un sommeil très profond, avec amnésie, catalepsie et halluci
ispositions. D'ailleurs, les fonctions digestives sont meilleures, le sommeil de la nuit n'est plus troublé d'aucune manière, e
dès le début de l'intervention chirurgicale, l'enfant, qui dort d'un sommeil profond et qui reste en catalepsie complète, se p
un mal, qu'il aurait tout oublié au réveil, et qu'il sortirait de son sommeil en souriant, enchanté d'avoir si bien dormi. J'
e par une séance de suggestion destinée à mettre le sujet à l'abri du sommeil provoqué. Trois mois après, la mère, toujours e
s hémisphères cérébraux. L'adaptation des organes est créée dans le sommeil hypnotique par l'excitation des centres moteurs c
Boirac, professeur de philosophie au lycée Condorcet, une note sur le sommeil provoqué à distance. Je ne veux pas vous entret
sur un sujet, en qui il avait trouvé des dispositions remarquables au sommeil magnétique. Il le soumettait sans cesse à toutes
point. Du reste, l'action mentale, nécessaire pour provoquer ainsi le sommeil , s'accompagne toujours d'une extrême tension céré
des troubles mentaux que chez les prédisposées. L'attitude dans le sommeil Les petits chais et les petits chiens dorment e
les petits chiens dorment enroulés sur eux-mêmes et prennent dans le sommeil la position qu'ils ont avant de naître. Les béb
ller. C'est aussi la position prise pur les singes supérieurs dans le sommeil . Ce n'est qu'à un âge plus avancé que les enfants
rmir. Il y a une attitude qui est propre à l'espèce humaine dans le sommeil . C'est.le decubitus sur le dos. Aucun animal ne p
D'Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique. Brochure in-8, 22 pages. Paris 1895.
EXPÉRIMENTAL ET THERAPEUTIQUE 11e année. — N° 9. Mars 1897. DU SOMMEIL ARTIFICIEL PROLONGÉ En particulier dans le trai
maladies, on a donné trop d'importance à la suggestion et trop peu au sommeil . Notre opinion, basée sur un grand nombre de fa
Notre opinion, basée sur un grand nombre de faits, est que, plus le sommeil est profond, plus son action curative est considé
à tort que Pitres a soutenu l'opinion contraire. Le traitement par le sommeil profond et prolongé répond à des indications très
meil profond et prolongé répond à des indications très précises. Le sommeil léger ne doit cependant pas être considéré comme
de l'hystérie, caractérisées surtout par des troubles psychiques, le sommeil profond est extrêmement bienfaisant, et plus sa d
ers besoins. Tous ces actes sont automatiquement accomplis pendant le sommeil . Le sommeil le plus prolongé que nous ayions ap
ous ces actes sont automatiquement accomplis pendant le sommeil. Le sommeil le plus prolongé que nous ayions appliqué à nos m
itude de soigner les malades. Il ne ressent aucun malaise pendant son sommeil , mais au contraire, il a la sensation d'un repos
lucinatoires. Parmi les autres formes d'hystérie dans lesquelles le sommeil prolongé est aussi particulièrement indiqué, il f
phinomanie, comme nous l'avons démontré dans un travail précédent, le sommeil constitue un moyen très efficace pour supprimer o
n succès. Au mois d'octobre 1889, nous lui proposons de recourir au sommeil prolongé. Ce sommeil fut continué trois semaines
'octobre 1889, nous lui proposons de recourir au sommeil prolongé. Ce sommeil fut continué trois semaines consécutives. Au réve
mais revenu. On a donné des interprétations diverses de l'action du sommeil prolongé. Nous pensons voir qu'il n'agit pas seul
rriver à la guérison complète de la névrose, il est nécessaire que le sommeil soit maintenue d'une façon continue et qu'il soit
s méthodes ordinaires, cédèrent à quelques séances de suggestion avec sommeil léger jointes à l'isolement dans une maison de sa
mais pour cela il faut dormir, tu m'entends bien, dormir, et dans ce sommeil , tu auras conscience de m'obéir, tu répondras à m
upières, ni miroirs, jets de lumière, sons de gongs, que sais-je ? un sommeil somnambulique vrai. Je lui déclarai alors qu'à so
seul de ses ouvrages intitulé : "Neurologie, ou anafyse raisonnée du sommeil nerveux, etc. et semblent ignorer que ce traité n
en sont exempts », NEUROLOGIE Neurologie ou Analyse raisonnée du sommeil nerveux fut publié en 1843, et huit cents exempla
rmi-nalogie suivante : Neurologie, analyse raisonnée ou doctrine du sommeil nerveux. Neuro-hypnotisme, ou sommeil nerveux, co
nalyse raisonnée ou doctrine du sommeil nerveux. Neuro-hypnotisme, ou sommeil nerveux, condition particulière du système nerveu
donna les termes suivants : Hypnotique : l'état ou la condition du sommeil nerveux. Hypnotiser : action de produire le somme
u la condition du sommeil nerveux. Hypnotiser : action de produire le sommeil nerveux. Hypnotisé : être placé dans la condition
duire le sommeil nerveux. Hypnotisé : être placé dans la condition du sommeil nerveux. Hypnotisme : sommeil nerveux. Déshypno
otisé : être placé dans la condition du sommeil nerveux. Hypnotisme : sommeil nerveux. Déshypnotiser : action de tirer quelqu
sme : sommeil nerveux. Déshypnotiser : action de tirer quelqu'un du sommeil nerveux. Hypnotiste : celui qui pratique le neuro
uels ceux-ci sont provoqués ; on donne, enfin, le nom d'hypnotisme au sommeil artificiel. Braid en arriva à cette époque aux
ement de ceux que nous éprouvons, les uns et les autres, soit dans le sommeil naturel, soit dans l'état de veille. 2° « Qu'il
n engourdissement de ces mêmes sens à un aussi haut degré que dans le sommeil ordinaire. 3° « Que, dans cette condition, nous
ment d'eux-mêmes, et il expérimenta ainsi qu'on pouvait déterminer le sommeil aussi facilement, et sans produire de sensations
conque a vu beaucoup de ces expériences ne peut douter que, durant le sommeil nerveux, il existe un remarquable pouvoir d'excit
caractérisée par une condition de torpeur plus profonde que celle du sommeil naturel ; la période vive, par une excitation des
langue dans l'état de veille, elle prouverait elle-même que durant le sommeil , elle était capable d'accompagner n'importe qu'el
its sans faire naître une condition ressemblant si peu que ce soit au sommeil , état populairement nommé « électro-biogical », n
coureuse. Mon fils est cavalier du goum Monté sur une jument. Si le sommeil arrive II se repose un peu. Mon fils est parti
D' Laltps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve el pendant le sommeil hypnotique. Brochure in-8, 22 pages. Paris 1895.
nt sur les bras des tatouages variés. l'aurais pas fait à l'état de sommeil ou alors sous la réserve : « Si vous n'êtes pas g
ent plus, au réveil, aucun souvenir de ce qui s'est passé durant leur sommeil . Or. parmi ceux qui peuvent être soulagés ou guér
. » Braid proposa alors de qualifier seulement hypnotiques ces cas de sommeil artificiel suivi d'amnésie au réveil, et dans les
n de veille, peuvent être appelées à agir de la même manière, dans le sommeil nerveux, et à produire des effets correspondants
les artificiels tendent à rester en repos et à tomber dans un état de sommeil profond, à moins qu'ils ne soient excités par que
moins qu'ils ne soient excités par quelque impression du dehors. Le sommeil naturel et le sommeil artificiel n'étaient donc p
excités par quelque impression du dehors. Le sommeil naturel et le sommeil artificiel n'étaient donc pas considérés par Brai
le « Conium ». « La principale différence que j'ai observée entre le sommeil hypnotique ou nerveux et le sommeil ordinaire est
érence que j'ai observée entre le sommeil hypnotique ou nerveux et le sommeil ordinaire est compatible à l'état ou à la conditi
compatible à l'état ou à la condition de l'esprit. En passant dans le sommeil ordinaire, celui-ci est diffus ou passif, flottan
volonté. un complet état de passivité est donc manifesté durant le sommeil , de sorte que les suggestions intelligibles et le
erminées ; mais d'autre part, les procédés employés pour provoquer le sommeil nerveux, engendrent un état actif et concentré de
ts d'affections nerveuses chroniques, j'obtiens plus difficilement le sommeil hypnotique et l'insensibilité à la douleur. Dans
ssera étendu sur un matelas ou sur son lit et on ne troublera pas son sommeil post-paroxystique. On n'essaiera donc pas à le fa
. On n'essaiera donc pas à le faire revenir à lui, à le réveiller. Le sommeil , après une attaque epileptique, est le meilleur r
irurgie, on songe tout d'abord et presque uniquement aux avantages du sommeil artificiel considéré comme succédané de la narcos
-tubo-ovarienne. — Troubles concomitanís des fonctions digestives, du sommeil et du caractère. — Guérison en cinq séances de su
rygmes sonores, des renvois gazeux, une constipation tenace. Quant au sommeil , il est rare, lourd, coupé de réveils subits ou p
aire. D'ailleurs, en dehors des troubles des fonctions digestives, du sommeil et du caractère, les stigmates hystériques abonde
ormir profondément. Nous obtenons, en effet, presque immédiatement un sommeil au quatrième degré (Liébeault) avec catalepsie et
u contrôle cortico-cérébral supérieur, troubles de la sensibilité, du sommeil et du caractère, accidents répétés de pseudo-péri
r avec certitude un diagnostic difficile, la suggestion, avec ou sans sommeil hypnotique — et nous avons vu, dans le cas présen
hanlé par les peurs de la journée, il se couchait et tombait dans un sommeil profond ; mais, vers minuit, il se réveillait en
était absolument inoffensif, il se laissa hypnotiser et tomba dans un sommeil profond. Los membres de la Société pourront s'ass
m'avait entendu faire, agissant sur elle, dans l'état particulier du sommeil nerveux, comme des impulsions irrésistibles devan
chez presque tous les patients qui ont passé dans le second degré du sommeil et dans quelques-uns, durant le premier même, »
nnaissance de la phrénologie, soit d'un système d'éducation durant le sommeil et n'être, par conséquent, que des effets de la m
où sa maladie a été caractérisée de la façon suivante : a Léthargie, sommeil cataleptique ». Sa famille communiqua sur Victori
s plusieurs fois en une journée, parfois après deux ou trois jours de sommeil ininterrompu. Ses réveils durent deux minutes à p
youlonus, les paralysies, l'aphonie, l'amaurose,dites hystériques; le sommeil léthargique, l'obsession hallucinatoire, qui reço
oralisé dans l'état de veille que dans l'état de double conscience du sommeil nerveux. Durant celui* ci, en effet, les gens ver
porter témoignage de tout ce qui se serait passé durant son précédent sommeil nerveux. Or, je maintiens que les victimes de l'é
ssaire de devenir inconscient pour obtenir les effets bienfaisants du sommeil nerveux ; beaucoup croient à tort que la perte co
veil, rendre un compte exact de tout ce qui s'était passé durant leur sommeil . » Braid disait avoir expérimenté ceci lui-même,
une circonstance où la gravité du cas l'avait obligé à déterminer un sommeil de huit à neuf minutes, au sortir duquel le malad
au mode de direction ; et, ainsi, la conscience ou l'inconscience, le sommeil profond, le réve ou le somnambulisme, résulteront
contre le Dr Charpentier, médecin de Bicétre, 220. Attitude dans le sommeil (l'), 251. Au-delà des forces humaines, préface
jugé par le Dr Fiessinger, d'Oyonnax, 186. Circoncision pendant le sommeil hypnotique, par le Dr P. Valentin, 233. Cocaïno
œuf, professeur a l'Université de Liège, par J. Liégeois, 161, 193. Sommeil artificiel prolongé (du), on particulier dans le
ans le traitement de l'hystérie, par le Dr O. G. Wetterstrand, 257. Sommeil provoqué à distance (note sur le), par E. Boirac,
7. Sommeil provoqué à distance (note sur le), par E. Boirac, 147. Sommeil provoqué à l'insu du malade, dans un cas ; à l'in
respiration, du pouls, du cœur, des muscles à l'état de veille et de sommeil , 139, 140, 141. TABLE DES AUTEURS ET DES COLL
21 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
e du mardi 21 mars 1905. — Présidence de M. Jules Voisix. Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente. Révei
Dr Etienne Jourdax (de Marseille) (suite) (1) I. — Personnalité de sommeil — Etat second. Cette personnalité est caractéri
soriasis s'étendant à toute la surface cutanée, enfin des troubles du sommeil , on peut dire de l'insomnie. L'état psychologiq
e en est réduite aux réflexes élémentaires; tandis que dans l'état de sommeil , comme il existe des perceptions visuelles, leur
eux que toute analyse psychologique, montre que Marie-Louise dans son sommeil possède un certain degré de conscience. Cette con
ous pouvons dire que la personnalité de Marie-Louise dans son état de sommeil est constituée par un rétrécissement du champ de
era réveillée et qu'elle nous donnera ses impressions sur son état de sommeil elle nous dira entre autres : « Dans cet état j'y
perceptions visuelles; c'est donc que Marie-Louise, dans son état de sommeil , avait des perceptions multiples mais si peu inte
qu'elles échappaient à la conscience. De sorte que La personnalité de sommeil nous apparaît caractérisée bien plus par de la dé
mplet; 2" une amnésie rétro-antérograde portant sur toute la durée du sommeil pathologique. Nous avons dit quel changement se
de ce que nous venons d'annoncer. Les souvenirs de la période de sommeil qui apparaissent dans le champ de la conscience s
t dans l'autre, elle disait : « Je mène deux vies différentes, une de sommeil , une de réveil ; dans l'une, je suis comme endorm
ns qui n'arrivent plus au cerveau ou bien n'y arrivent, comme dans le sommeil , qu'avec lenteur et atténuées : les yeux tantôt g
du mardi 21 mars 1905. — Présidence de M. Jules VoiSitt. Un cas de sommeil hystérique avec personnalité subconsciente. Révei
bien mises en lumière par le fait suivant : au début du traitement le sommeil hypnotique ne différait de l'état de veille ou pl
par l'occlusion des yeux; vers la fin du traitement, au contraire, ce sommeil s'obtint rapidement et se différencia nettement d
à la colère ; elle est d'une grande suggestibilité : non seulement le sommeil hypnotique s'obtient rapidement, mais une simple
et moins d'aptitude au travail. Il y aura alors besoin de repos et le sommeil viendra donner au cerveau le calme nécessaire pou
tion du travail dans les deux lobes n'étant point rares. Au moment du sommeil , il y a un rapprochement plus ou moins grand des
nces extérieures et à la fin s'installe le rapprochement, prodrome du sommeil . Dans le sommeil provoqué il y a passage plus rap
et à la fin s'installe le rapprochement, prodrome du sommeil. Dans le sommeil provoqué il y a passage plus rapide de l'éloignem
: le rapprochement se maintient presque identique pendant la durée du sommeil provoqué et le passage au réveil est bien plus ra
eil provoqué et le passage au réveil est bien plus rapide que dans le sommeil naturel, mais moins complet. Dans la simulation d
ue dans le sommeil naturel, mais moins complet. Dans la simulation du sommeil , les lignes au lieu de marcher vers le rapprochem
uelle à une autre vie, comme on passe de l'état de veille à l'état de sommeil . Bernadette devenait immobile, notez cette immo
e à ses différents degrés, depuis le simple état d'attention jusqu'au sommeil et à la catalepsie, nous voyons qu'elle peut être
ires, l'effleurement qui constitue la passe magnétique, provoquent le sommeil par l'intermédiaire du toucher. L'hypnose s'obtie
nse sacrée, et paraissent ensuite insensibles à la douleur. Enfin, le sommeil peut encore être obtenu par le bruit du gong,
son malade au degré d'hypnose qu'il désire, attention, hypo-taxie ou sommeil , et se trouver alors en mesure de lui donner une
es » sortirent de leur prison. Les soldats exténués tombaient dans un sommeil profond. Onze mois s'étaient écoulés dans la pers
deux soldats placés en faction devant la grille sont plongés dans le sommeil . Ils ne connaîtront la transformation de la saint
Séance annuelle du mardi 20 juin (suite) Suggestion pendant le sommeil naturel par M. le !.>' Alexandre S. Kaubotis
vous rapporte deux cas de suggestion appliquée avec succès pendant le sommeil naturel. Dans la séance du 18 octobre 1904, ten
uivre. Revenant à la question de la suggestion appliquée pendant le sommeil naturel, je passe à la description de deux cas, d
. Je lui conseille alors d'essayer lui' même la suggestion pendant le sommeil naturel. La première et la deuxième suggestion ne
'hypnotisme : je conseille également au père la suggestion pendant le sommeil naturel. Après quelques suggestions, le jeune hom
et. Je rappelle que j'ai proposé de dénommer la suggestion pendant le sommeil naturel, suggestion somniqtte, pour la différenci
uggestion somniqtte, pour la différencier de la suggession pendant le sommeil provoqué, ou suggestion hypnotique. Je ne reviens
t Wiazemsky (de Saratow, Russie). Il est définitivement établi que le sommeil naturel constitue une hypotaxie très favorable à
constitue une hypotaxie très favorable à la suggestion, tout comme le sommeil hypnotique ou les diverses narcoses chimiquement
mnique effarouche moins les parents pusillanimes. Chez des malades au sommeil généralement léger, tels que les neurasthéniques
ur. Chez d'autres au contraire, tels que les incontinents d'urine, le sommeil est très profond; la suggestion n'impressionnera
illon. — La possibilité de réaliser des suggestions faites pendant le sommeil naturel a été indiquée par le magnétiseur Ilansen
y ; L'hypnotisme chez les animaux. Dr Farez : Quelques cas récents de sommeil pathologique. Dr Binet-Sanglë : Les hallucination
; on l'endort avec une extrême facilité et c'est très heureux, car le sommeil , si facile à provoquer, deviendra pour elle un mo
jusqu'alors nous entendons par hypnotisme, la mise d'un sujet dans un sommeil relativement profond, or, vous nous avez appris q
et qu'il fallait entendre par cette énon- dation non seulement le sommeil profond, mais encore beaucoup d'états intermédiai
ie pathologique M. le Dr Paul Farez, protesseur. Objet du cours : Les sommeils pathologiques. Les mardis à cinq heures et demi
à zéro et chez lesquels la suggestibilité est énorme. Considérer le sommeil provoqué uniquement comme un moyen d'augmenter la
d'ailleurs ne laisse pas que de m'étonner, c'est que l'importance du sommeil en lui-même semble avoir échappé à la plupart des
n mélancolique anxieux susceptible de l'être que d'amener chez lui le sommeil avec des doses plus ou moins considérables d'opiu
appareil était appelé à rendre, soit pour favoriser la production du sommeil hypnotique, soit pour localiser ces excitations p
ci l'idée de fatigue prédomine chez le sujet au moment de l'entrée en sommeil et cette autosuggestion s'exagère encore par la c
uggestion s'exagère encore par la concentration d'esprit résultant du sommeil même. Cette hypothèse est tout à fait vraisemblab
e l'étendue et de la justesse de ses vues sur la suggestion et sur le sommeil provoqué. L'Ecole de Nancy, qu'il a fondée, a fai
ier, après avoir consacré de longues années à étudier le mécanisme du sommeil provoqué, d'avoir dégagé et fait ressortir l'impo
nt de sa découverte : L'application méthodique de la suggestion et du sommeil provoqué au traitement des maladies. Cette plaq
igna gratuitement tous ceux qui voulaient bien guérir par le moyen du sommeil provoqué ; il acquit par là une expérience consom
de ses observations dans un volume remarquable ayant pour titre : Du sommeil et des états analogues, considérés surtout au poi
u'elle rejette, ainsi que je l'ai fait dans mon traité spécial sur le Sommeil provoqué,— et que par conséquent, on ne se range
nisme. Liébeault nous y révèle comment, ayant tenté de provoquer le sommeil artificiel par le procédé des magnétiseurs, il n'
'avait pas tardé à constater qu'il fallait attribuer la production du sommeil à l'effort que faisaient les sujets pour fixer le
et à leurcontention d'esprit. Dès ce moment, il fut convaincu que le sommeil provoqué n'est pas l'effet de l'action d'un fluid
ypnose, c'est d'insister sur l'apparition des principaux symptômes du sommeil : le besoin de dormir, la pesanteur des paupières
il : le besoin de dormir, la pesanteur des paupières, le sentiment du sommeil , la diminutionde l'acuité des sens, etc. Ces af
es sujets d'idée de dormir, idée qui ne tarde pas à se transformer en sommeil plus ou moins accentué. La suggestion autoritai
ive de suggestions expliquées, commentées. C'est seulement lorsque le sommeil a été obtenu que les suggestions, faites dans le
ipaux dans les termes suivants : 1° Par l'affirmation des signes du sommeil ordinaire, on produit le sommeil provoqué ; 2°
1° Par l'affirmation des signes du sommeil ordinaire, on produit le sommeil provoqué ; 2° Dans le cours de ce sommeil provo
ordinaire, on produit le sommeil provoqué ; 2° Dans le cours de ce sommeil provoqué, on détermine par suggestion, sur les su
iébeault, et c'est là, dit-il, la partie essentielle de son credo, le sommeil provoqué et le sommeil naturel sont du même o
dit-il, la partie essentielle de son credo, le sommeil provoqué et le sommeil naturel sont du même ordre, parce que du comm
ce que le dormeur ordinaire s'auto-suggestionne pour entrer dans son sommeil , au contraire de l'autre qui, dans le même but, e
par cette démonstration qu'il entre en matière dans son livre sur le Sommeil paru en 1866 : « Si l'on considère, écrit-il, l
onsidère, écrit-il, l'un après l'autre, les signes de la formation du sommeil ordinaire et du sommeil artificiel, on remarquera
après l'autre, les signes de la formation du sommeil ordinaire et du sommeil artificiel, on remarquera qu'ils sont les mêmes.
qu'ils sont les mêmes. i Les physiologistes qui se sont occupés du sommeil ordinaire ont déjà observé que cet état ne peut s
ée, dormir. Et ce n'est pas seulement l'homme qui entre ainsi dans le sommeil , les animaux à sang chaud s'isolent de même, les
du silence et de l'obscurité de la nuit. » « Ainsi, consentement au sommeil , isolement ménagé des sens, afflux de l'attention
nt, au premier aperçu, les divers éléments du mode de la formation du sommeil ordinaire. ¦ « Pour le développement du sommeil
de la formation du sommeil ordinaire. ¦ « Pour le développement du sommeil artificiel, ce mode n'est pas différent. On s'est
us, on peut faire la remarque que, dans leurs procédés pour amener le sommeil artificiel, les endormeurs mettent d'abord ces pe
les leur ferment, et d'une voix impérative, Ils leur ordonnent le sommeil . » L'idée directrice de l'œuvre de Liébeault ap
els qu'Us renferment. En voici les principaux : De fa production du sommeil ordinaire et surtout du sommeil provoqué. Effet
es principaux : De fa production du sommeil ordinaire et surtout du sommeil provoqué. Effets de l'attention accumulée sur l
l, cause de guérisons. Du mécanisme intime des guérisons pendant le sommeil . Considérations au point de vue curatif, sur l'
tion. , En résumé, on doit à Liébeault d'avoir établi l'analogie du sommeil artificiel avec le sommeil ordinaire et d'avoir e
t à Liébeault d'avoir établi l'analogie du sommeil artificiel avec le sommeil ordinaire et d'avoir exposé les signes caractéris
rganisme. Pour lui, les phénomènes divers qui apparaissent pendant le sommeil relèvent de la loi du balancement organique des f
ers articles de la Revue de l'hypnotisme ('), il revendiquait pour le sommeil provoqué la place prépondérante dans l'art de la
causer des effets curatifs sur les personnes que l'on veutiguérir. Le sommeil , a La clinique du D' Liébeault, à Nancy. écri
it folie de ne pas s'y coucher et de s'étendre à côté sur la dure. Le sommeil n'esl-il pas comparable à un bon lit où l'on doit
y suggestionner. » (1) Liébeault : A travers les états passifs : le sommeil et les rêves. Revue de Thyp-notisme, 8» année, 18
ce cas, plus puissante sur l'organisme qu'elle ne peut l'être dans le sommeil . Ils se sont grandement trompés. S'ils ont eu des
ont dû être peu importants, et ils ont été uniquement les fruits d'un sommeil partiel et spontané. » Dans ces lignes, Liébeau
oxal Delbœuf qu'il n'y a pas d'hypnotisme, c'est-à-dire de science du sommeil , c'est en nier les phénomènes,cequi est absurde:
de la suggestion, ce qui est encore plus absurde. Ces deux choses du sommeil sont parties inséparables : l'une est cause, et l
éer nos impressions du monde ambiant; à la base des manifestations du sommeil , l'attention, par un mouvement centripète, se por
s ou moins profond. » « Cette théorie physiologique du mécanisme du sommeil provoquéest inexpugnable. Conservons-la. Ceux qui
que la suggestion est aussi efficace pendant la veille que pendant le sommeil n'ont pas compris que toute la valeur curative de
elle prend ses racines vraies surtout dans les états passifs dont le sommeil et les rêves sont le terrain de formation. Les
te aurore, Et tu fis un soleil de toutes ces clartés 1 Hypnotique sommeil où l'Ame se réveille, Yeux clos où la santé par l
rs rustiques, Les pauvres, les blessés du Destin, les maudits. Le bon sommeil fermait leurs yeux mélancoliques, Et quand ils le
les yeux et de lui boucher les oreilles pour l'endormir ; pendant son sommeil hypnotique, il sera très facile de la guérir par
ail paru en 1888 sur Vhypnotisme et les états intermédiaires entre le sommeil et la veille, M. Coste de Lagrave, examinant les
les repousse et le moment arrive où toute pensée étant supprimée, le sommeil se produit. Et M. Coste de Lagrave montre que c
produit. Et M. Coste de Lagrave montre que cet état qui précède le sommeil est particulièrement intéressant à bien connaître
t, il pense à la chose qu'il veut faire. Il y pense jusqu'à ce que le sommeil arrive. II y a bien, au début, quelques difficu
ment associés à l'état normal, ces centres se désunissent à l'état de sommeil et de distraction comme à l'état d'hypnose et leu
, on fait de la psychothérapie inférieure. L'hypnotisme agit par le sommeil qui, dans son mode de production, contient déjà à
st en réalité en état d'hypnose partielle (sans présenter de signe de sommeil ). C'est en somme à ses centres inférieurs désagré
t sa façon de voir, multiplié plus ou moins, les divers degrés du sommeil provoqué. D'autre part, chaque malade apporte lui
c'est une grave erreur de vouloir plonger les malades dans un état de sommeil profond. 11 suffit souvent de les hypnotiser au m
ouver précisément pour être hypnotisés. Au reste, dans le cas où le sommeil très profond pourra paraître indispensable, rien
lade, il lui faudra juger quelle part reviendra dans le traitement au sommeil seul, quel degré de ce sommeil il faudra cher
rt reviendra dans le traitement au sommeil seul, quel degré de ce sommeil il faudra chercher à obtenir, quelle sera pendant
es à se placer dans les condilions indispensables à la réalisation du sommeil qu'il soit spontané ou provoqué. Ces conditions s
polamine, le sujet est pris d'un besoin de dormir analogue à celui du sommeil spontané. Il résiste quelque temps, se frotte les
uter automatiquement, si l'on insiste un peu. Malgré l'apparence de sommeil profond, si on fait du bruit à côté du malade, si
, si on le remue, il se réveille exactement comme un homme endormi du sommeil naturel. Si on le pique et si on le pince, il ne
du bleu-violet mérite en outre d'être utilisée dans la provocation du sommeil artificiel. Parmi les nombreux procédés susceptib
surfaces simplement brillantes. Comme il a pour but de faciliter le sommeil [hypnos) et qu'il comporte une surface bleue (cya
ecommandation qu'a souvent faite le DT Bérillon, à savoir, pendant le sommeil hypnotique, représenter au traqueur la scène qu'i
riac, Félix Regnault, Berlillon. M. Paul Farez. — Un nouveau cas de sommeil pathologique : La Dormeuse de San Remo. M. Mine
a plus nette et la plus impérative de ne plus pouvoir être endormi du sommeil hypnotique, sauf dans un but thérapeutique et ave
urnée est à l'avenant. Il a une hyperesthésie généralisée, un mauvais sommeil , et est devenu méchant. L'intoxication éthylique
ême, par sa famille ou par son défenseur.) » La position pendant le sommeil . Sur quel côté doit-on dormir? Les avis sont là
r la santé. On doit, écrit-il, « dormir sur le costé droit au premier sommeil , afin que la viande descende au fond de l'estomac
, afin que la viande descende au fond de l'estomach... Puis au second sommeil , ayant demeuré quelque quatre heures ou environ s
névrose. Toute fonction normale produit des états anormaux ! Alors le sommeil de l'animal qui digère est aussi un état neurasth
e s'agit pas de savoir si l'on suggère un peu plus ou un peu moins de sommeil . Celui qui est traité par la psychothérapie se tr
a suite d'une légère discussion avec sa mère, Argenlina s'endort d'un sommeil qui dure trois jours consécutifs. Nous sommes au
nstration n'en a pas été faite. Quoi qu'il en soit, les attaques de sommeil reviennent de loin en loin, sans aucun rapport av
dans ces conditions-là seulement qu'un reproche provoque l'attaque de sommeil . Ce sommeil ne survient pas d'une manière bruta
tions-là seulement qu'un reproche provoque l'attaque de sommeil. Ce sommeil ne survient pas d'une manière brutale. Argentina
va s'étendre. Une phase hallucinatoire précède parfois l'invasion du sommeil . Un jour, après s'être réveillée, notre jeune
ent de tact. Le sens thermique, lui aussi, est suspendu. Pendant le sommeil , elle ne manifeste ni ne satisfait aucun besoin,
elle reste sans manger ni boire, comme sans uriner ni déféquer. Ce sommeil ne se termine jamais d'une manière soudaine et in
ntif, le traitement véritablement étiologique de ces fugues et de ces sommeils . Ajoutons encore ceci. En pleine crise de somme
fugues et de ces sommeils. Ajoutons encore ceci. En pleine crise de sommeil , Argentina est inaccessible à la suggestion, auss
, dans la période prévigile. Pratiqué une autre fois pendant le plein sommeil , ce massage a échoué, comme il fallait s'y attend
it. Elle n'a conservé aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant le sommeil . Des voisins, ignorants et crédules, n'ont pas
s, ignorants et crédules, n'ont pas manqué de voir dans ces crises de sommeil un phénomène surnaturel ; le bruit a même couru q
on d'un reproche ou d'une discussion, ont insinué qu'elle simulait le sommeil . En effet, la question de la simulation se pose,
les phénomènes qui préparent, précèdent, accompagnent et suivent ces sommeils , on conclura que, de toute évidence, ce cas répon
e, de toute évidence, ce cas répond au type classique de l'attaque de sommeil hystérique. Séance du marJi 10 décembre 1905. —
chent à se poser sur la figure de son propriétaire, et à troubler son sommeil . Pourquoi des aliénés ou demi-aliénés deviennen
A la faveur de l'engourdissement léger provoqué par ce médicament, le sommeil hypnotique fut obtenu pour la première fois à la
t. Ceux qui avaient déjà subi l'influence antérieurement tombaient en sommeil au premier commandement, tandis que les nouveaux
du vomissement; — variations et modalités du contenu psychologique du sommeil , en rapport avec la quantité et la qualité des al
rés de l'hypnose varient de la somnolence la plus légère aux états de sommeil les plus profonds, les modalités de la timidité a
une sensation de fatigue dans les yeux, fatigue préliminaire même du sommeil naturel. Par des mouvements lents et-des paroles
mère. Chacun peut comprendre cela, nous semble-t-il. L'idée seule du sommeil , l'ordre de dormir peuvent dans certains cas suff
vec force ; pour les autres insinuer avec douceur. Car dans l'état de sommeil , l'individualité morale de chaque sujet persiste
que par le raisonnement ; en prolongeant l'hypnose qui agit comme un sommeil naturel, nous pouvons obtenir des résultats que t
soin provoqué par la distension de la vessie, normalement, pendant le sommeil , le polygone, la sousconscience, perçoit la sensa
ter ne fonctionne pas constamment et l'urine s'écoule au moment où le sommeil est le plus profond. On comprend que la psychothé
t l'hypnotisme, parce que pendant l'hypnose on peut modï- fier le sommeil de l'enfant, le rendre moins profond et lui appre
communications suivantes : 1° Dr Barbiee : Sur un cas de crises de sommeil léthargique chez une hystérique. Discussion : ili
a-Société. La séance est levée à 6 h. 40. Sur un cas de crises de sommeil léthargique chez une hystérique par M. le Dr Ba
ite aux communications si intéressantes de M. le D' Paul Farez sur le sommeil pathologique, je désire vous apporter une observa
trouvée endormie sur la voie publique et n'avaient pu la tirer de son sommeil . Elle resta ainsi plusieurs jours dans un état de
encore un mois. Au mois d'août de la même année, quatrième crise de sommeil : elle était tombée dans la rue et avait été cond
bsolument et n'en présentait d'ailleurs aucun stigmate. Sa crise de sommeil ne dura que trois à quatre jours; elle revint pro
s cet état, l'avaient transportée à St-Louis. Cette nouvelle crise de sommeil ne dura que deux à trois jours : à son réveil, el
iques, que l'on décrit sous le nom de forme léthargique : la crise de sommeil constitue ici l'équivalent d'une attaque d'hystér
ion de la Société, c'est cette coïncidence particulière des crises de sommeil avec les périodes menstruelles: ce fait, à ma con
qu'un exemple, avait présenfé pendant une certaine période de sou sommeil une zone hystérogène de la région moyenne du ster
on, notre malade obéissait, elle aussi, pendant ses courtes crises de sommeil , à la règle générale : ces fonctions offraient un
des excrétions sont des caractères que l'on attribue aux cas types de sommeil hystérique. Leur coexistence, loin d'être général
ibées, comme chez Argentina. Parfois aussi l'on constate, pendant les sommeils , une indigence à peu près complète de signes soma
isent. De même que toute autre manifestation de )a grande névrose, le sommeil hystérique ne saurait comporter une symptomatolog
ar sa voisine de chambre ; ils existaient donc aussi bien à l'état de sommeil qu'à l'état de veille. Dans la rue, dans les ma
ent débarrassée le jour ; la nuit cependant ils reviennent pendant le sommeil . Une nouvelle séance en triompha également. D
tion sur ses borborygmes alors que son émotivité les accélérait. Le sommeil naturel lui-même ne les calmait pas et le sommeil
es accélérait. Le sommeil naturel lui-même ne les calmait pas et le sommeil hypnotique sans autre suggestion avait paru ne pa
influencer. Seule l'affirmation verbale perçue par elle pendant le sommeil hypnotique eut une influence rapide sur l'accélér
s stimulé l'action modératrice du cerveau en plaçant la malade par le sommeil hypnotique dans les meilleures conditions aptes à
estive ne put se prolonger au delà de 48 heures: encore fallait-il un sommeil dans l'intervalle. J'avais été amené à procéder a
alimentaire jusqu'au lendemain; à une heure que je fixais pendant ce sommeil , je lui ordonnais de dormir quelques minutes, et
rès les 24 premières heures, il fallait quelques minutes d'un nouveau sommeil hypnotique pour obtenir une prolongation de l'éta
i? Je ne veux pas donner ici un avis sur lequel j'hésite moi-même. Ce sommeil a?issait-il simplement parce qu'il réalisait la r
on des conditions matérielles de la suggestion précédente? Ou bien ce sommeil , par le complet repos qu'il comportait, jouait-il
e se sentait « rechargée » après avoir dormi- «lie comparait ainsi ce sommeil à un véritable relais électrique, rechargeant un
un accumulateur. Discussion M. Bebillox. — La valeur propre du sommeil provoqué est à la fois trop négligée et trop méco
service : ce sont certains états intermédiaires entre la veille et le sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un é
nt la distraire. A d'autres points de vue, la sédatîon qui résulte du sommeil provoqué constitue un état favorable pour l'accom
réquemment de limiter le traitement psychothérapique à des séances de sommeil provoqué. Ces séances constituent des sortes de h
d'automatisme cérébral. Autrement dit, elle tombe dans une attaque de sommeil hystérique. On connaitbien aujourd'hui ces fait
hystérique. On connaitbien aujourd'hui ces faits. Cette attaque de sommeil peut durer quelques heures ou quelques minutes se
à l'occasion d'une fatigue ou d'une émotion quelconque, de crises de sommeil hystérique. Elle habitait alors un petit village,
317, 342, 350, 365. Société de pathologie comparée, p. 162, 195. Sommeil (La position pendant le), p. 318. Sommeil hysté
omparée, p. 162, 195. Sommeil (La position pendant le), p. 318. Sommeil hystérique, par Jourdan (de Marseille), p. 17, 53
. 318. Sommeil hystérique, par Jourdan (de Marseille), p. 17, 53. Sommeil léthargique chez une hystérique, par Barbier, p.
. Sommeil léthargique chez une hystérique, par Barbier, p. 366. Sommeil naturel (Suggestion pendant le), par Ramboris,
22 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
là que nous conseillerions, à l'encontre de il. Dubois, de ramener le sommeil par la voie hypnotique, ce qui est possible tout
t manœuvrer, on arrive enfin à provoquer des hypnoses profondes et du sommeil pendant la nuit. Voici un exemple entre quelque
après avoir été chez if. Dubois qui l'a engagé à ne pas s'occuper du sommeil , à être un peu stoïque et qui lui a dit qu'il ne
le de faire cesser cette cause de son insomnie, « Si je retrouvais ie sommeil , me dit-il, je redeviendrais plus calme et je pou
impératif. M. Dubois indique une quantité de trucs pour rétablir le sommeil ; cela rappelle la masse des remèdes conseillés c
e nous possédons le seul moyen théra^ peutigue capable de modifier le sommeil ; on l'a déjà vu dans les cas d'incontinence dans
as d'incontinence dans lesquels, par l'hypnose, on arrive à rendre le sommeil moins profond. Je n'ai jamais plus recours à l'hy
r de la valeur de la suggestion hypnotique comme moyen de produire le sommeil quand on traite les morphinomanes. Un des symptôm
up souffert d'insomnie chaque fois. II fut stupéfait de voir comme le sommeil persista malgré la diminution de la morphine et i
niquement à l'hypnotisme et à ma conviction que l'on peut suggérer le sommeil malgré les difficultés que l'on rencontre chez ce
e chaque jour mais cèdent à chaque séance pour plusieurs heures et le sommeil redevient bon. Au bout de quelques jours, le diag
oyez calme et tranquille, comme si vous dormiez, dans votre lit, d'un sommeil très réparateur, grâce à ce repos moral et physiq
nt ; qu'aujourd'hui il a fait le même chemin à pied; que la nuit, son sommeil a été agréable. Je pratique de nouveau l'occlusio
pprochant de sons connexes quoique moins exacts. Valeur propre du sommeil provoqué en psychothérapie Par m. le D1 bébjllon.
ovoqué en psychothérapie Par m. le D1 bébjllon. La valeur propre du sommeil provoqué est à la fois trop méconnue et trop négl
service: ce sont certains états intermédiaires entre la veille et te sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un é
t la distraire. A d'autres points de vue, la séda-tion qui résulte du sommeil provoqué constitue un état favorable pour l'aecom
réquemment de limiter le traitement psychothérapique à des séances de sommeil provoqué. Ces séances constituent des sortes de h
tion, de la conversation et de l'utilisation de l'énergie nerveuse. Sommeil et détente. par M. le professeur Lionel Dauriac
Sommeil et détente. par M. le professeur Lionel Dauriac. r Le sommeil est-il un état pendant lequel la vie de l'esprit
la question de savoir si la vie intellectuelle se continue pendant le sommeil , de telle sorte que nous rêvons toujours, même qu
n souvenir d'avoir rêvé, est nettement insoluble. Il est, dit-on, des sommeils sans rêves, les plus profonds ; quand on réve, c'
e de retenir avant tout. Pour s'exprimer en vieux langage, pendant le sommeil l'âme et le corps se reposent et, par le repos, s
ent. Dans ces conditions, il est permis de croire à l'efficacité du sommeil sur le travail de l'esprit. J'en atteste la croya
taient venus obscurcir le problème. Ils ont imaginé que, pendant le sommeil , l'esprit continuait de travailler et ils ont att
remiers instants du réveil complet. Si le problème cherché avant le sommeil se continue pendant le sommeil, comment le savoir
let. Si le problème cherché avant le sommeil se continue pendant le sommeil , comment le savoir autrement que par le souvenir
otre esprit se détendre, vous lui avez permis de reprendre pendant le sommeil la quantité de force nécessaire à la découverte d
tant le mot hypnotisme caractérise un état nettement défini, celui de sommeil provoqué (à des degrés plus ou moins profonds, co
sommeil provoqué (à des degrés plus ou moins profonds, comme dans le sommeil ordinaire dont la profondeur varie également], au
euvent suivre des coliques hé* pathiques vraies. Pour procurer le sommeil on pourra prescrire l'eau chloroformée à îa dose
oude pris en se couchant ou vers 9 ou 10 heures du soir, procurent un sommeil paisible et reposant, C'est à se demander si le r
d'hystérie. En novembre, dans les mêmes circonstances, elle tombe en sommeil pendant quarante-huit heures. Revenue à elle, ell
e se transforme et comporte, suivant les cas, le rire, le pleurer, le sommeil , la confusion mentale. Cette jeune fille guérir
n'est pas à, la base de la thérapeutique hypnotique, qui provoque le sommeil par un procédé analogue à celui d'une mère endorm
é analogue à celui d'une mère endormant son enfant, et qui emploie ce sommeil comme calmant. Le roulement monotone d'un train e
endort les voyageurs. M. Dubois accusera-t-il les trains d'imposer le sommeil et de favoriser les coups des filous? Nous avons
l'ordre du jour sont faites, ainsi qu'il suit : 1° Dr R. Pamart. — Sommeil et monoidéisme. 2° Dr Jacques Bertillon. — Préd
é, membre titulaire de la Société. La séance est levée à 6 h. 45. Sommeil et monoidéisme par M. le Dr R. Pamart Professeu
unication de M. le professeur Lionel Dauriac, parue sous le titre : « Sommeil et Détente », me rappelle un fait personnel, déjà
e, je finissais par me coucher. Or presque régulièrement, mon premier sommeil était occupé par un rève, ayant pour sujet le thé
t mon esprit se « détendre, je lui ai permis de reprendre, pendant le sommeil , la quan-« tité de force nécessaire à la découver
ation marquée ; je résolvais mon théorème en rêve pendant mon premier sommeil , avant tout repos appréciable. Ne bénéficiais-je
iais-je pas ici d'un état particulier de monoïdéisrne favorisé par le sommeil ? Les réflexions que j'apporte ici ne contredis
cette terre vierge — l'application méthodique de la suggestion et du sommeil provoqué au traitement des maladies —qu'avaient d
ion hypnotique à distance. Dr Witry (de Trèves) : Un nouveau cas de sommeil hystérique : Discussion : Dr Paul Farez. Dr Bér
linique, je le pris plusieurs fois en flagrant délit de simulation du sommeil . Ce fut un insuccès complet ; les vols recommencè
et. par conséquent, plus aptes à profiler de la méthode. Un cas de sommeil hystérique, par M. le Docteur Witry, de Trèves-
ntrée, elle est examinée par une commission médicale qui conclut à un sommeil hystérique et fait transporter, le 18 juillet 190
ette observation ressortent plusieurs points intéressants. D'abord le sommeil , au lieu de s'installer d'emblée, a été précédé e
'ai entendu ses éloquentes leçons sur le braidisme, la catalepsie, le sommeil . Aucune expression ne saurait rendre la puissance
raid sur l'hypnotisme comparée avec celle de l'abbé de Faria sur le sommeil lucide, par M. le Dr D. G. Dalgado, de l'Académ
s longtemps que j'ai fait réimprimer l'ouvrage de l'abbé Faria sur le Sommeil lucide (1) avec une Introduction, dans laquelle,
ts. Cet article est divisé en quatre parties : (1) De la Cause du Sommeil Lucide, ou Etude sur la Nature de l'homme, par l'
16 pages. — Toutes les citations de cet article sont de l'édition du Sommeil Lucide de 1906, et sont indiquées par la lettre S
us en avons choisi deux pour notre examen : Neurypnologie : Traité du Sommeil Nerveux ou Hypnotisme par James Braid, traduit de
aussi une combinaison matérielle quelconque suffisait pour amener le sommeil ; cela avait ilieu quand leur attention était mise
us tard, on pouvait les soumettre aux mêmes conditions sans amener le sommeil , si, par suggestion ou d'une façon quelconque, on
oin quelque chose capable de les endormir, suffisait pour produire le sommeil , bien qu'il ne se passât absolument rien. » (Ch.
es concentrateurs endorment leurs époptes ? » (1) Et il répond : « Le sommeil qui se développe chez les époptes... n'est donc a
es avoir prévenus, et ils n'ont pas éprouvé le plus léger symptôme de sommeil . » (S. L., p. 347.) Il ressort clairement, d'ap
rage à l'examen des opinions de ceux qui attribuent les phénomènes du sommeil à l'imaginationj une théorie qu'il condamne comme
fixer les dates suivantes : l'abbé de Faria '1756-1819), — publia son Sommeil Lucide en 1819. — Bertrand (1795-1831) : Traité d
du Prix Nobel : le D' Ramon y Cajal. — Mensonges d'hystériques. — Le sommeil et son importance physiologique. Le prix Xobel,
ute la psychologie. Par elles, on a tenté d'expliquer le mécanisme du sommeil , de l'hypnotisme, des divers états hystériques. D
ne intéressante communication sur l'impor- tance physiologique du sommeil . Il s'est appliqué à démontrer que le repos noctu
être proportionné à l'activité du travail. C'est, en effet, durant le sommeil que le corps se nourrit, récupère ses forces épui
n'ont pas encore atteint leur développement normal. Quand la dose de sommeil est insuffisante chez les jeunes gens, ceux-ci n'
nique dans lesquelles tombent ceux auxquels on n'accorde pas assez de sommeil . Il a appuyé ses affirmations par une série de pr
es provenant déjeunes gens surmenés par le travail et la privation de sommeil . On pouvait y lire, en quelque sorte à livre ouve
repos suffisant ? Combien d'heures faut-il consacrer, chaque jour, au sommeil des jeunes gens? Le L»r Acland a posé la questi
nterrogés. Tous ont réclamé comme minimum entre neuf et dix heures de sommeil . Un grand nombre d'entre eux ont même dit qu'il f
scrétion. Il y en a, en effet, qui ont besoin d'un beaucoup plus long sommeil que les autres. La question de la durée du somm
aucoup plus long sommeil que les autres. La question de la durée du sommeil chez les écoliers est, en effet, une des plus imp
Braid sur l'hypnotisme comparée avec celle de l'abbé de Faria sur le sommeil lucide, par M. le D' D. G. Dalgado, de l'A ¦¦¦¦
le mode d'opération et diffèrent de ceux que nous obtenons pendant le sommeil ordinaire ou pendant la veille. » Faria : « On
On ne sait de quels moyens se servaient les anciens pour provoquer le sommeil lucide... A regarder la fable du centaure Chiron
t ensuite dans une torpeur plus considérable de beaucoup que celle au sommeil naturel. » Faria : « Avant le sommeil, les pati
able de beaucoup que celle au sommeil naturel. » Faria : « Avant le sommeil , les patients éprouvent un frémissement dans tous
ous leurs membres. » (S. L., p. 152.) « Les époptes dans leur premier sommeil dorment ordinairement avec une sorte d'inquiétude
ni d'ordonnanœs, qu'il se prescrit lui-même, et qu'il trouve dans son sommeil seul, ou même dans ses seules dispositions au som
trouve dans son sommeil seul, ou même dans ses seules dispositions au sommeil , tout ce qui est nécessaire à son propre rétablis
es sont : pour Braid, (a) tout le monde était hypnotisable, et (b) le sommeil hypnotique était pour lui et pour Deleuze d'une n
hypnotique était pour lui et pour Deleuze d'une nature différente du sommeil ordinaire ; pour Faria, (a) tout le monde n'était
e ; pour Faria, (a) tout le monde n'était pas hypnotisable, et (b) le sommeil lucide et le sommeil ordinaire étaient, avec quel
out le monde n'était pas hypnotisable, et (b) le sommeil lucide et le sommeil ordinaire étaient, avec quelque réserve, de la mê
ture, de manière qu'on pouvait, selon lui, suggestionner même dans le sommeil ordinaire. Ces différences expliquent, à un certa
t la perte de connaissance et îfétat d'insensibilité, dans un profond sommeil hypnotique, Braid s'écrie : « Chose étonnante plo
l hypnotique, Braid s'écrie : « Chose étonnante plongé dans un second sommeil , mais à un degré un peu moins prononcé, le patien
ce qui les entoure, et rapportent tout à l'époque qui a précédé leur sommeil . Dans les réveils intermédiaires, ils ne se remet
n peut jouer avec de semblables patients, dans la phase appropriée du sommeil , » comme sur un instrument musical » et leur fair
pières; impossibilité de les ouvrir. Braid : « Une particularité du sommeil provoqué, c'est le phénomène qui se manifeste au
hénomène qui se manifeste au sujet des paupières. Tandis que, dans le sommeil ordinaire, les paupières sont à l'étal de repos a
philosophes. » (S. L., p. 45.) On peut dire que l'ouvrage entier, du Sommeil Lucide est principale ment consacré à montrer l'i
s ses résultats. » (S. L., p. 360.) Pour Faria tous les phénomènes du sommeil lucide sont subjectifs. 5) Concentration : Infl
ment Faria demandait à ses époptes de fermer les yeux et de penser au sommeil . Pour Faria, la concentration est un facteur prin
au sommeil. Pour Faria, la concentration est un facteur principal du sommeil lucide. 6) Suggestions : Influences des suggest
pnotisme. Braid: «On donnera le nom d'hypnotisme a la production du sommeil artificiel, quand il y a perte de la mémoire, de
veil le patient n'ait aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant le sommeil . » Et il définit ce que l'on doit comprendre par
ue. ( pp. "40, 246.) (1) Noizet. op. cit. p. 110. Faria : « Les sommeils ont leurs nuances et leurs degrés : celui qui est
egrés : celui qui est le plus profond est ce que nous avons appelé le sommeil lucide. (S. L., p. 35.) La concentration occasion
sommeil lucide. (S. L., p. 35.) La concentration occasionnelle ou le sommeil lucide provoqué « est une abstraction des sens pr
er c'est que tous ces effets se développent, non seulement pendant le sommeil lucide, mais même aussi dans l'état de veille des
252.) Faria : Voyez a» paragraphe Méthode (Part. I) l'extrait du Sommeil Luciée qui commence par les mots : * Quelle vertu
t admises. » (p. 286.) Faria : « Le développement des phénomènes du sommeil lucide se lie « toujours aux causes naturelles. »
i se produit dans la puissance intellectuelle à une certaine phase du sommeil nerveux. » Il signale l'exaltation des fonctions
t Braid qui a, le premier, montré que la position du corps pendant le sommeil hypnotique peut notablement influer sur les émoti
Faria, le docteur en philosophie, intitule son livre : De la cause du Sommeil lucide, ou Etude de la Nature de l'Homme; et Brai
ception nette et vraie des phénomènes de l'hypnotisme, qu'il appelait sommeil lucide. » '2) Sur cette appréciation du savant
d'ordonnances, qu'il lui suffit de se présenter, et qu'il a dans son sommeil seul, ou même dans ces seules dispositions au som
u'il a dans son sommeil seul, ou même dans ces seules dispositions au sommeil ce qui est nécessaire à son propre rétablissement
(2) Idem, pp. 68, 87. —Je voudrais faire remarquer ici que les mois « Sommeil Lucide » sont devenus, aussi, classiques. Dernièr
ide, le réveil étant obtenu par le souffle sur les yeux. Pendant le sommeil , nous nous sommes attachés à rechercher les signe
disparaître. Ces constatations démontraient nettement la réalité du sommeil hypnotique tel qu'il se présente chez un grand no
ait pas dessiner et peindre ; en un mot, il ne pourra pas, du fait du sommeil , exécuter un acte qu'il serait incapable de réali
e : que Mlle X... a une médiumnité bien nettement établie à l'état de sommeil provoqué. C'est une psychomètre inconsciente enre
le Dr Grasset ; Mémoire sur la vie de l'abbé de Faria et Réédition du sommeil lucide de l'abbé de Faria, par le Dr D. G. Dalgad
n dirait copiée sur la scène de réception du Malade imaginaire. Les Sommeils pathologiques chez les Animaux (') par le D' Pa
c prédilection, entre autres questions de psychopathologie, celle des sommeils pathologiques. Je l'ai même exposée à l'Ecole de
ie, dans mon cours de l'an dernier; mais je ne me suis occupé que des sommeils pathologiques chez les humains. Désireux d'étendr
ceux qui nous approchent le plus) certains états de somnolence ou de sommeil qui, mutatis mutandis, pussent être rapprochés de
che sera, peut-être, fructueuse. On connaît, de toute antiquité, le sommeil hibernal ; mais ce n'est pas là un sommeil pathol
ît, de toute antiquité, le sommeil hibernal ; mais ce n'est pas là un sommeil pathologique. A l'approche de l'hiver, ne pouvant
t simplement écarté la mort. Dans les pays tropicaux, on observe un sommeil analogue qui n'est plus l'hibernation, mais l'est
urs. Ici encore, la nécessité d'échapper à la mort les a réduits à ce sommeil spécial. Certains animaux, non hibernants à l'é
, séjournent dans des trous de mur ou de grotte, engourdies d'un vrai sommeil hibernal. Pour éviter la mort, leur orga nism
nisme s'adapte à de nouvelles, conditions d'existence ; c'est un sommeil de circonstance et non pas un sommeil pathologiqu
nditions d'existence ; c'est un sommeil de circonstance et non pas un sommeil pathologique. J'en dirai autant de certains éta
thologie. » » Longtemps, on a désigné sous le nom de a maladie du sommeil » cette terrible affection qui ravage l'Afrique é
nt vecteur. Or, dans la trypanosomiase animale, la somnolence ou le sommeil sont, si je suis bien informé, beaucoup moins pro
ntués, ils ne représenteraient pas, à proprement parler, un véritable sommeil pathologique. Il s'agit, en somme, ici, d'une mal
qui y mènent, torpeur, hébétude, etc. * » * J'en arrive aux vrais sommeils pathologiques, je veux dire ceux qui constituent
curieux cas de léthargie. Dix jours après, Yvette sortait de son long sommeil . Cette relation a été publiée, dans ces quelque
té relégué et l'on trouve l'hirondelle vivante, bien qu'endormie d'un sommeil léthargique. Elle est réveillée devant les membre
-vous le traumatisme initial, le coup de fouet. Ne s'agit-il pas d'un sommeil par inhibition, tout comme nous en voyons chez no
une secousse physique ou morale suffisent pour provoquer l'attaque de sommeil hystérique, telle, par exemple, Marguerite B... (
documenter, je demanderai : Connaissez-vous des faits analogues de sommeils , à allure hystérique, capables de simuler même la
t-ce que certaines attaques convulsives sont immédiatement suivies de sommeils pouvant durer des heures, des jours, même des
ossible à provoquer? Déplus, est-ce que, chez vos animaux, certains sommeils surviennent d'emblée, comme parfois chez nos hyst
ie entre l'homme et les animaux que d'admettre chez ces derniers, des sommeils rappelant ceux qui surviennent chez les aliénés,
leur nature. Des somnolences, de degré variable, mais allant jusqu'au sommeil profond, sont la règle chez l'homme. Sans doute,
tissement des tumeurs cérébrales sur les modalités de la veille ou du sommeil . Une lacune est à combler; je la signale à votre
er; je la signale à votre attention. • * » Une autre variété de sommeil pathologique consiste en un sommeil impérieux, in
• * » Une autre variété de sommeil pathologique consiste en un sommeil impérieux, invincible, incoercible, irrésistible,
s), à début généralement subit, avec ou sans prodrome. Parfois, ces sommeils sont de nature épileptique ; accès frustes, atypi
if, foie, rein, corps thyroïde, etc.). Contrairement à la plupart des sommeils pathologiques, les accès narcoleptiques sont just
leurs traités, il ne me semble pas que les auteurs insistent sur ces sommeils , ni même parfois qu'ils les signalent. Existent-i
es légendes qui encombrent et déshonorent la littérature relative aux sommeils pathologiques chez les humains, nous aurons des r
que je ne fais qu'amorcer aujourd'hui, je propose, Messieurs, que les sommeils pathologiques chez les animaux soient maintenus à
e à éviter le mal de mer. Je me couche et m'applique à m'endormir. Le sommeil d'ordinaire survient assez facilement, surtout si
nds à son désir, et lui donne les suggestions appropriées, en état de sommeil léger. Arrivé à Batavia, il me décrit son voyag
voir avec lui la patiente. Notre confrère réussite mettre la dame en sommeil profond. La suggestion donnée en cet état arrêta
ment mise en somnambulisme et je lui conseillai de la faire dormir du sommeil prolongé pendant quelques jours. C'est ce qu'il f
2,230 pages, H. Daragon, Paris, 1907. Dr Dalgado : De la cause du sommeil lucide, in-12, 360 pages, Henri Jouve, Paris, 190
s télépalhiques, la lucidité, la clairvoyance, les pressentiments, le sommeil à distance, i'écrtfure automatique, l'extériorisa
aitement psychologique de l'incontinence d'urine. D1* Paul Farbz : Un sommeil de trente ans. Distinctions honorifiques Nous
ard Haussmann. Communications déjà inscrites : D' Paul Fabez : Un sommeil de trente ans. Pr Ubeyd-Oullah (de Constantinop
ser la suggestion somnique. Ce mode de suggestion pratiqué pendant le sommeil naturel, a également produit d'excellents résulta
t et urine dans son lit deux heures environ après s'être endormi. Son sommeil est très calme et la mère a pris l'habitude de lu
s linges tous les soirs aux environs de 10 heures. L'enfant dort d'un sommeil si profond que cette opération est pratiquée la p
evard Haussmann. Communications déjà inscrites : Dr Paul Farez : Un sommeil de trente ans. P' Ubeyd-Oullah (de Constantinop
s il faut bien savoir que ce sont surtout, dans ce cas, les degrés du sommeil (1) P. BLiOXis : Etwie clinique et expérimental
nutes. Et à mon grand étonnement je constate qu'il est plongé dans un sommeil profond. Toutes les fois qu'après avoir soulevé s
lui fais les suggestions suivantes : « Cette nuit, vous dormirez d'un sommeil bien calme, et demain matin à votre réveil, vous
youx, etc., etc. Communications déjà inscrites : D' Paul Farez : Un sommeil de trente ans. D' Demonchy : La phothothérapie
forcées contre les insomnies qui surviennent après quelques heures de sommeil , considérant qu'elles tiennent à un trouble de la
351,376. Soleillant (A propos du crime de), par Regnault, p. 281. Sommeil hystérique, par Witry, p.92. Sommeils pathologi
e de), par Regnault, p. 281. Sommeil hystérique, par Witry, p.92. Sommeils pathologiques chez les animaux, par Paul Farez, p
Sommeils pathologiques chez les animaux, par Paul Farez, p. 195. Sommeil (Importance physiologique du), par Acland, p. 1
195. Sommeil (Importance physiologique du), par Acland, p. 130. Sommeil provoqué en psychothérapie (Valeur propre dut,
oqué en psychothérapie (Valeur propre dut, par Bérillon, p. 23. Sommeil et détente, par Dauriac, p.23. Sommeil et monoïdé
dut, par Bérillon, p. 23. Sommeil et détente, par Dauriac, p.23. Sommeil et monoïdéisme, par Pamart, p. 61. Sorciers (La
23 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
), mais plus encore par rapport à la sphère intérieure et mystique du sommeil et des songes , où la nature poétique de l’homme
stants. Si je dirige sur la tète la force que je suppose en moi, le sommeil devient plus intense. En insistant davantage su
s hommes placés dans les mêmes circonstances, c’est-à-dire en état de sommeil naturel. Je trouve qu’il n’en est encore aucun
’est-à-dire trismus des muscles, secousses, gêne dans la respiration, sommeil plus profond ou réveil. Dans l’état d’ivresse l
expérience. ACTION SUR DES MAGNÉTISÉS. Souvent, pour m’assurer du sommeil de personnes qui me disaient être en état de somn
er mon esprit. Rarement j’ai rencontré quelque être humain en état de sommeil naturel sans essayer aussitôt l’action du magnéti
on. « Pendant queM. Petit faisait une deuxième partie de piquet (en sommeil ), M. Du Potet, sur l’invitation de M. Ribes, di
uffrait. Il tomba enfin dans un assoupissement qui paraissait être un sommeil naturel assez léger; et quelqu’un lui ayant parlé
lacé près de lui et à quelque distance, le plongea de nouveau dans le sommeil magnétique, et les expériences recommencèrent. M.
se produisent et se traduisent de la môme manière , c’est toujours le sommeil naturel. Entendez-vous bien? le sommeil ; cas qui
e manière , c’est toujours le sommeil naturel. Entendez-vous bien? le sommeil ; cas qui détruit, anéantit toutes les explicatio
. Du Potet, le 27 octobre 1827, il éprouva de l’appesantissement sans sommeil , un agacement prononcé des nerfs de la face, des
, ou seulement quelques effets obscurs, il arrive de l’insomnie ou un sommeil plus prononcé qu'habituellement, quelquefois auss
a quelque altération dans la poitrine; envie d’uriner, disposition au sommeil ; s'il y a un émonctoire, le malade y sent des pic
instant aussi. S’il y a des vomissements, ils peuvent s’arrêter ; le sommeil peut venir également lorsque le malade n’en éprou
gar-derobe en dépit de tous les remèdes employés ; pas un instant de sommeil malgré toutes les compositions soporeuscs. La b
et état. Ehabien, la nuit qui suivit, elle eut quatre heures de bon sommeil et le matin deux selles. On la croyait sauvée, je
osât l’interrompre, bien qu’il dépérissait à vue d’œil; cependant ce sommeil paraissait moralement lui être favorable. Il avai
. J’avais recommandé de ne m’in -troduire près de lui que lorsque son sommeil mystérieux serait complet, et que ses sens seraie
ent de constater les phénomènes magnétiques, on n’attendit pas que le sommeil fût profond; on m’introduisit près de lui en me d
t quelque chose de fébrile ; une sueur froide couvrait sa peau, et cc sommeil me parut si singulier, si différent de ce que j’a
les passes nécessaires à l’opération, mais bientôt elle tomba dans le sommeil magnétique; celte fois elle ne s’éveilla qu’au bo
loya des ventouses. La roideur fut en quelque sorte détruite, mais le sommeil continua. « Pendant la nuit de jeudi, des sympt
je viens; » et en prononçant ces mots elle retomba dans ce singulier sommeil qui dura encore vingt-quatre heures, au bout desq
la magnétisation ne produisit aucun effet apparent ; à la seconde, le sommeil apparut au bout de vingt minutes; à la troisième,
, et enfin, à la quatrième, une minute suffit pour la plonger dans le sommeil magnétique sans que lo magnétiseur, placé à huit
uillo jusqu'alors, devenait douloureuse, les reins également, mais le sommeil avait reparu; la chaleur du lit, si insupportable
hoix du dormeur lorsque vous avez été assez heureux pour provoquer le sommeil lucide. Voici deux cas où vous pourrez constate
us tard, elle s’agite pour marquer qu’elle entend. Après uno heure de sommeil , je la réveille; mais aussitôt tous les accidents
la nuit a passé sans accès. Le magnétisme provoque instantanément le sommeil ; bientôt la malade m’entend, puis me répond... E
iterons successivement dans co journal : Des différentes espèces de sommeil ; Du somnambulisme magnétique ; Du sommeil pro
différentes espèces de sommeil; Du somnambulisme magnétique ; Du sommeil produit par les narcotiques; Du somnambulisme n
poser après leurs consultations; c’est ainsi qu’ils sortaient do leur sommeil sans fatigue et jouissant d’un bien-être qui n’eû
ucun souvenir et ne lui donna pas la moindre animation. Dans un autre sommeil , elle me parla encore de l’empoisonneur et me rem
ntes expériences -touchant les opérations qu’on peut faire pendant le sommeil magnétique; je ne les rejette pas de la science,
de l’endormir par curiosité. Je le magnétisai enfin, et produisis le sommeil en moins de quinze minutes. La chaleur de la peau
agnétisme. Elle y consentit. A la première séance, il se produisit un sommeil imparfait, à la suile duquel survint une très-abo
La douleur était si violente qu’elle passait la plupart du temps sans sommeil . Le pied était très-enflé; d’habiles chirurgiens
e. Je lui magnétisai l’ulcère et le pierl sans chercher à produire le sommeil . L'effet immédiat fut la cessation de la douleur
s plusieurs circonstances, j’ai réussi à guérir sans produire même le sommeil , ni même la somnolence, des personnes incrédules
e restait plusieurs jours et nuits sans pouvoir prendre un instant de sommeil . A la requête de sa famille, et particulièrement
e des douleurs ordinaires était irrégulière et elle n’avait pas eu de sommeil depuis trois nuits. A sa prière et en présence de
nce de M"1" Lawrence et Waston , je la magnétisai. Elle tomba dans le sommeil magnétique en moins d’une minute. Je dois faire o
is faire observer que je n’avais jamais vu cette dame auparavant. Son sommeil fut très-paisible et elle dormit environ trois be
eur fut enlevée; mais il ne se manifesta pas le moindre symptôme de sommeil . Quelque temps après il y eut un retour partiel d
pour obtenir quelque soulagement. Il avait passé plusieurs nuits sans sommeil , et les opiacés ne lui avaient produit aucun bien
étisme, qui, en peu de temps, fit cesser le tremblement et procura du sommeil . Je le magnétisai encore deux ou trois fois, et c
es aliments difficilement digérés. Je la magnétisai dans cet état. Le sommeil apparut bientôt; puis une abondante transpiration
, et elle passait fréquemment plusieurs nuits consécutives sans aucun sommeil . Il v' avait une douleur constante dans le côté g
c son traitement par 1 influence *iu magnétisme. Le troisième jour le sommeil fut '-omplet, et au bout de quelques jours elle d
is ils doivent être étudiés avec soin et rapprochés de l’extase et du sommeil magnétiques; on jugera mieux de ceux-ci. C'est lr
de fatigue prenait un peu de repos ; la garde même, luttant contre le sommeil , veillait à moitié sur son siège. Ma venue ne dér
e Dieu seul, car la garde, contenle de me savoir là, s'abandonnait au sommeil en toute sûreté de conscience, et ma malade à cou
voit, on sait ce qu’on fait. Ainsi, lorsque je voudrai produire le sommeil ma- gnétique, je me garderai bien d’insister su
z point le réveil aussitôt que vous aurez jugé devoir faire cesser le sommeil magnétique, magnétisez les jambes, en les touchan
que, leurs yeux s’ouvraient, si déjà il y avait eu un commencement de sommeil , cet effet me paraissant singulier, je répétai le
ur le cuir chevelu, la même chose, et cependant il n’y avait point de sommeil , et tout le reste du corps était tranquille. Ma
sme, se proposa lui-même poür cette expérience. Il fut mis en état de sommeil magnétique complet, en moins de .cinq minutes et
ance ou de respiration; son corps entier resta aussi bien que dans le sommeil naturel le plus tranquille. On lui mit une cuvett
it. Difficile à réveiller, elle restait plongée, malgré moi, dans son sommeil , et souvent il lui arrivait de parler sans être i
res désignés avaient été dérobés. Un autre jour, l’ayant laissée en sommeil et étant sorti, elle appela la bonne et lui dit:
e dos jambes. Le jour, tout travail lui est impossible; la nuit, tout sommeil interdit. La chaleur du lit lui était insupportab
lui était insupportable; il passait ses nuits sur une chaise et sans sommeil . Dimanche dernier, il s’adressa à M. Hébert, qui
voir tomber, lentement ou tout . à coup, un être bien éveillé dans un sommeil profond, sans avoir pris d’opium, ou toute autre
ous observerez le plus communément : Sur beaucoup de magnétisés : — Sommeil Seulement. Sur un certain nombre: — Sommeil ave
ucoup de magnétisés : — Sommeil Seulement. Sur un certain nombre: — Sommeil avec commencement de perception, mais confuse, et
ez le sentiment que je cherche à peindre, non quand vous produirez le sommeil seulement, mais le véritable somnambulisme lucide
uront pour point de départ cet état moral où rien n’est inconnu. Lo sommeil , et tout ce qui y a rapport, devraient trouver ic
tat d’une direction mauvaise? 11 est bien difficile de conserver le sommeil lucide dans son état de pureté. Ceux qui consulte
qui arrive : les magnétisés qui tombent dans l’état extraordinaire de sommeil lucide, ne pouvant, éveillés, se douter de ce qui
leur cachez quelque chose; ils vous soupçonnent fie profiter de leur sommeil pour obtenir des révélations qu’ils croient sans
’ils possédaient. Mus par deux volontés, ils sont distraits dans leur sommeil , qui devient moins profond , moins régulier, et b
ient moins profond , moins régulier, et bientôt il s’établit entre le sommeil et la veille une sorte de communication qui, d’im
s détraquent ainsi vos somnambules ; ils sont constamment en quête de sommeil lucide, et tous les moyens sont bons pour vous ra
L’autre sujet avait été guéri d’un cancer de l’estomac, à la suite de sommeils qui durèrent quelquefois trente heures, et pendan
plaindre, mais pour montrer combien il est difficile de conserver le sommeil lucide. Les parents, les amis môme du dormeur ou
l’esprit. Il en est autrement, sans doute, lorsque vous développez ce sommeil lucide sur des personnes qui oc** eupent un rang
dessous de la section (!) lino somnambule décriait un ¡our dan! son sommeil : ■ Quelle merveille que ce fluids! Je le vois pén
omme de quinze ans, auquel j’ai enlevé une tumeur enkystée pendant le sommeil magnétique. Je ne vous apprendrai rien de nouve
tat somnam-bulique. Je proposai donc à la mcrc de l’opérer pendant lo sommeil , ce qui fut acceplé. Le 20 mai 1844, je procéda
urné du côté du nord, je le magnétisai, avec l’intention d’obtenir le sommeil magnétique et l’insensibilité. Après cinq ou six
ns l’oubli. Celui qui nous occupe en ce moment signifie littéralement sommeil veillant. Comme il n’a point d’équivalent dans no
t d’équivalent dans notre langue, nous le traduisons par som-nilucie ( sommeil lucide). Puisse-t-il avoir un sort meilleur que s
es cours très-régulièrement. Souvent, dès les premiers moments de son sommeil , il sc lève et fait des harangues remarquables. I
cque. MANUEL DU MAGNÉTISEUR. I Suite.) INSENSIBILITÉ PENDANT LE SOMMEIL MAGNÉTIQUE. Le premier fait d'insensibilité bie
elle avait elle-même ordonné celte opération. Duns un de ses autres sommeils , un chirurgien anglais était chez moi et je lui f
ver de ce que, n’ayant été magnétisé que pendant quelques minutes, le sommeil ne fut pas assez profond ; si pendant toute l’opé
trême bonté et générosité par le docteur Fenton, jouit à présent d’un sommeil paisible pendant la nuit, el promet une prompte g
uelques jours après; cependant elle n’avait point senti. Peut-être le sommeil magnétique avait-il été trop longtemps prolongé;
e plus en plus du but que nous voulons atteindre, nous examinerons le sommeil naturel, mais troublé par des causes encore incon
la convulsée, qui, il y a un instant, était peut-être dans un profoud sommeil . Sa langue sera saignante, et toutà l'heure, avan
servé que le temps brumeux, pesant, celui qui vous porte vous-môme au sommeil , à la paresse, diminuait les forces magnétiques.
Après une lutte de courte durée, le patient s’endormit, et bientôt au sommeil naturel succéda cette disposition somnamhulique q
r la présence de leurs officiers, qui veillaient, s’étaient livrés au sommeil , lorsque vers une heure du matin, et dans toutes
ilité magnétique augmente, une minute suffit bientôt pour produire le sommeil ; enfin le patient ne sent pas du sel volatil (ca
compagné des douleurs les plus aiguës; les nuils étaient presque sans sommeil par suite de l’intensité des douleurs. Le pouls é
’éprouvais, je ne m’endormis qu’à une heure fort avancée. Pendant mon sommeil , je rêvais qu’étant allé chez mon ami je frappai
évelopper ce phénomène. Mais, chose trop facile à prévoir, lorsque le sommeil apparaît, l’être qui le présente ne veut plus con
si que la belle Mmc Pouchkine, à la suite d’une magnétisation avec le sommeil , n’a plus voulu paraître et se soumettre à d’autr
. Il en est de mémo de la comtesse Potoska, deux fois endormie d’un sommeil si profond et si insensible que j’avais de la pei
110 se soumit plus au magnétisme; cependant elle assurait, dans son sommeil , qu’elle était parfaitement bien, et qu’elle devi
œux ne seront qu’en partie satisfaits. Vous sentirez les atteintes du sommeil , ou plutôt, bercée par de doux rêves, vous irez j
ale Soldainea confiée à mon habileté, ce que vous éprouvez, à part le sommeil , devrait être vu par des physiologistes : il n’y
es traits immobiles, se lever par un mouvement presque insensible? Le sommeil magnétique engourdit ses muscles; elle obéit sans
magnétiser un instant; vous voilà endormie, vous êtes heureuse de ce sommeil ; des rayons célestes entourent votre face, vous s
U LK SOMNAMBULISME SE PRÉSENTS. J’ai toujours remarqué que, plus le sommeil magnétique était profond, isolé, plus aussi il y
tait profond, isolé, plus aussi il y avait de lucidité. J’entends par sommeil profond l'état où il y a insensibilité, où les se
différentes affections. Je ne veux pas ici vous parler davantage du sommeil magnétique qu'on a de nos jours rendu beaucoup pl
approche d’une personne étrangère dérange, altère l’état régulier du sommeil . Votre trouble augmente les désordres , vous voul
ntes. Abattement, puis tout à coup développement de forces exagérées. Sommeil rare. Jamais de transpiration. Froid aux pieds. P
ans convaincre la famille; la malade avait seule confiance en moi. Le sommeil devint meilleur, malgré tous ces signes fâcheux.
mains, qu'il secouait horriblement. De la des nuits affreuses el sans sommeil pour ceux qui habitaient cette maison : l’insomni
i est en nous acquiert quelquefois, bien positivement, dans l'état de sommeil et aussi dans l’état de veille, l’intuition de mo
ligieux. Jouez, jouez, je vous en prie,\’Ave-Maria, répétait dans son sommeil magnétique l’une des deux intéressâmes somnambule
e.) ACTION DU MAGNÉTISME A DISTANCE. Lorsque vous n’avez point de sommeil magnétique à craindre, vous pouvez user do ce moy
cte et rapprochée leur avait appris à reconnaître. Mais lorsqu’il y a sommeil magnétique, vous devez craindre sa reproduction,
de somnambulisme naturel ; il en commet les actes, et la durée de son sommeil ne peut vous être connue. Il y a là plus de motif
t père et fils, négociants, M Lafonlaine initie jeune Clianal dans le sommeil magnétique avec insensibilité. Le docteur Perrier
elle allait et venait dans l’appartement, luttant à la fois contre le sommeil et l’horreur de sa situation. Au moment où un sec
de ce pas difficile en me vengeant ! ! ! ! Comme au sortir de mille sommeils , la conscience du patient, longtemps exilée, semb
de l’auditeur malveillant l’emporte! Ainsi du somnambule qui, dans le sommeil magnétique, esl mille fois plus irritable, plus s
e le secret de ses procédés? Les narcotiques ne produisent-ils pas le sommeil ? Ne peut-on pas, avec l’élcclricité, produire les
parlait des choses merveilleuses qu’il en avait obtenues pendant son sommeil magnétique. Revenu parmi nous, M. Ch... fut prié
e. En vain les personnes qui l'entourent s'efforcent de l'arracher au sommeil , soit en lui pinçant la chair, suit en lu piquant
fait le moindre mouvement qui pût déceler la plus légère émotion. Son sommeil esl toujours paisible, toujours profond. Il lui o
ls te parlent, lorsque tu seras réveillé. » L’enfant esl arraché au sommeil par le magnétiseur. Les assistants, au nombre d'u
e, pas le plus léger bruit, souvent môme elles étaient toutes deux en sommeil naturel, et n’importe quelle qre fût celle que je
s d’abord, celle à laquelle je ne songeais pas sortait bientôt de son sommeil et poussait des cris affreux. J’ai laissé, pour m
les couleurs ou même pour des affections différentes. Tombées dans le sommeil magnétique, elles annonçaient le jour et l’heure
nique; il aura également la propriété de produire ce qu’on appelle le sommeil magnétique. Jamais ces qualités ne changeront, pé
lsations s’élèvent de soixante-douze à cent en quelques minutes. Le sommeil magnétique, avec ses concomiliants, l’insensibili
and il sc fait magnétiser par des magnétiseurs différents, quoique le sommeil paraisse en tout semblable. C'est un maître nouve
richesse vitale factice qu’apparaissent ces effets magnétiques et le sommeil . Influencé par les opinions des magnétiseurs, j’a
r cet endroit l'examen et rénumération des SYMPTÔMES PRÉCURSEURS DU SOMMEIL MAGNÉTIQUE. Ce sont : immobilité des traits, ch
e plus, et il suffit qu’on ferme les yeux pour qu il s’imagine que le sommeil a lieu. J’ajoute qu il esl extrêmement facile à t
si nous devions I'ôtre, et jamais nous n annonçons l’existence de ce sommeil qu après un examen attentif. Comment croire à u
sens pour examiner, lafraude ri est pas possible. Les prodrômes de ce sommeil sont si caractéristiques et il survient tant de c
s éprouvé la moindre douleur. Dès 1829, M. Jules Cloquet profila du sommeil magnétique pour faire l'ablation d’un sein cancér
Le magnétiseur, de son côlé, n’a pas commis la faute de prolonger le sommeil au delà de l’opération. Voici les faits tels qu
eurent l'avantage (le rendre à mademoiselle D'Albanel l'appétit et le sommeil , dont elle était privée depuis bien longtemps. L'
eurs. » Priée de dire ce qu’elle avait senti ou éprouvé pendant son sommeil , elle répondit : a Je ne sais rien; je n’ai resse
t levé à deux heures, et l’on lit le pansement de la plaie pendant le sommeil magnétique. A ce pansement, ordinairement fort do
efois très-dangereuse, combien on est heureux de pouvoir, à l’aide du sommeil magnétique, prévenir les accidents nerveux, le té
étiser tous les jours et « la laisser, chaque fois, une heure dans le sommeil . « La cause de celte maladie est une frayeur. »
trêmement visible. Dans cet état de souffrance, elle n’avait pas do sommeil , ne pouvait supporter la plus légère nourriture;
sements devinrent moins fréquents, et l’insomnie fut remplacée par un sommeil de plusieurs heures, doux et paisible. Au bout
n vain de terminer une sonate; celte préoccupation le suivit dans son sommeil ; au moment où il se croyait, dans un rêve, livré
ile, et fixe sur lui des regards ardents. Tallus ébloui chancelle, lo sommeil magnétique le gagne, et il se tue en tombant sur
un livre élémentaire, et quelle fui ma surprise en voyant que dans le sommeil magnétique mon jeune idiot lisait couramment, et
des effets légers, fugaces, el l'état comateux, sorte decarus, appelé sommeil magnétique, se développe chez l’un d'eux, magnéti
faites jus/piaux ex!remités; souillez sur le front, faites cesser le sommeil , voyez s’il reste le souvenir de ce qui s’est pas
quement, quatre autres éprouver des effets ostensibles, mais point de sommeil ; les trois dernières enfin ne sentiront. (pie fai
contraire, la même action, engourdissant le système nerveux, amène un sommeil profond, vous êtes obligé d’interroger le dormeur
ité, mais co que vous avez fait est immense : vous avez provoqué le sommeil , prouvé l’existence du magnétisme; que voulez-vou
a mort, M. Sauvil-lez la magnétisa et obtint pour premier résultat le sommeil , dont la moribonde était privée depuis huit jours
jours d’une névralgie Jronlale des plus vives, qui la privait de tout sommeil , s’adressa ù M. Wiart pour être magnétisée. Au bo
cinq magnétisations, ce n’élailplus qu’une gène légère. L’appétit, le sommeil avaient reparu, et madame ***, sc croyant complèt
tisme en moins de vingt séances. Kilo esl lucide et déclare, dans son sommeil , être parfaitement guérie. PROPHÉTIES. — Un hom
24 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
rts avec la psychothérapie. Charpentier, Albert (Paris) : Nature du sommeil hypnotique. Cullerre (La-Roche-sur-Yon) : Note
l'hypnotisme en Amérique. Farez (Paris) : La suggestion pendant le sommeil naturel. Arie de Jong (La Haye) : La suggestion
emblèrent avoir plus de prise et nous la vimes tomber dans un état de sommeil assez manifeste. Par ce sommeil, il nous fut poss
nous la vimes tomber dans un état de sommeil assez manifeste. Par ce sommeil , il nous fut possible d’arriver à la réalisation
stion hypnotique, les résultats sont indépendants de la profondeur du sommeil . La guérison peut être obtenue, bien que le mal
ompagnées de gaz et d’éructations à odeurs acides très prononcées. Le sommeil , souvent agité est coupé de réveils brusques ango
tant les obsessions, sa pensée concentrée exclusivement sur l'idée de sommeil : je l'assurais aussi que dans ce temps de repos,
ès avoir répété et comme renforcé les suggestions données à l'état de sommeil , je lui affirme nettement ma croyance dans un suc
plus en plus manifestes: suggestion à l'état de veille et à l’état de sommeil , entrainement psychique et rééducation de la volo
ment préalable, le malade était amené à un état de torpeur et même de sommeil pendant lequel il perdait peu à peu la notion des
sa longue carrière, de réserver le mot hypnotisme à la production du sommeil artificiel, quand il y aperte de la mémoire, de f
veil le patient n'ait aucun souvenir de ce qui s’est passé pendant le sommeil , mais qu'il se souvienne cependant lorsqu'il est
érie. « On l'a, disait-il, hypnotisée très facilement et, pendant son sommeil , on a pu lui faire toute espèce de suggestion. Ce
t. — Mais combien sont plus expéditifs les résultats obtenus par le sommeil hypnotique! Il y a quelques jours, venait à la cl
l’œuvre de ces procédés éducatifs employés par suggestion pendant le sommeil hypnotique. IIystéro-traumatismes oculaires, pa
pnotisme en psychothérapie. Charpentier, Albert (Paris) : Nature du sommeil hypnotique. Coste de Lagrave : (Durlol, Puy-de-
ique, indications, surprises et avantages de la suggestion pendant le sommeil naturel. 2° Le daltonisme et l'éducation chroma
naturel. 2° Le daltonisme et l'éducation chromatopsique pendant le sommeil hypnotique. Fretwell (Providence, Etats-Unis) :
ire avec les opérations de l'analyse sont écartés par l'inhibition du sommeil , tandis que, d’autre part, tous les éléments psyc
it pathologiques, soit suggérés, qui se sont déroulés dans les divers sommeils , naturel, hypnotique, chloroformique, médicamente
t peut être plus ou moins intense depuis la sommation légère jusqu’au sommeil profond. I/hypnose, en abolissant la réflexion,
ainsi provoqué, parait semblable à celui des animaux qui hibernent : sommeil de la marmotte. L'extase est obtenue par un rét
e D' Henri Lemesle et par M. Th. Jili.iot, docteur en droit. Que le sommeil provoqué soit considéré en lui-même, indépendam-
re individu. On peut d'abord par l’hynoti-sation provoquer un état de sommeil qui s’accompagne d’insensibilité, d'anesthésie ab
l’état d'inconscience et d’inertie où il s’est trouvé par le fait du sommeil provoqué. Ces faits se rapporteront surtout à des
ules Voisin. Orthopédie mentale et morale par suggestion pendant le sommeil naturel. M. Pau de Saint-Martin. —J’eus à soign
bolument l’hypnotisme. J’eus alors recours à la suggestion pendant le sommeil naturel, dont M. Faress nous a recommandé l'emplo
ses classes. M. Paul Farbz. — On voit que la suggestion pendant le sommeil naturel peut être considérée comme le succédané d
d’incontinence d’urine et guéri, lui aussi, par suggestion pendant le sommeil naturel. Séan# du murdi 19 juin 1900. De la s
ne faut pas oublier, en effet, que cette femme a eu deux attaques de sommeil hystérique. REVUE DE LA PRESSE ÉTRANGÈRE Sur
rêve, un mouvement peuvent chez un individu se reproduire, pendant le sommeil profond, identiques à ce qu’ils étaient chez un o
Les terreurs nocturnes de l’enfant, Th. de Paris, 1900 Kllle. — Du sommeil et de ses accidents chez les épileptiques et chez
ique tous les phénomènes hypnotiques sans exception; il montra que le sommeil provoqué accroît la suggestibilité et il revendiq
l’action des médicaments à distance, la vivacité du souvenir dans le sommeil hypnotique, l'automatisme ambulatoire, les fugues
igna gratuitement tous ceux qui voulaient bien guérir par le moyen du sommeil provoqué; il acquit parla une expérience consommé
re. Là, pendant deux ans,il travaillai la rédaction de son livre : Le sommeil provoqué et les étals analogues, qui parut en JSG
bstétrique, l’éducation des enfants et des adolescents, les degrés du sommeil provoqué, l'influence psychique exercée parla mèr
ence psychique exercée parla mère sur le fœtus, les étals passifs, le sommeil et les rêves, veille, sommeil et hypnotisme, les
ère sur le fœtus, les étals passifs, le sommeil et les rêves, veille, sommeil et hypnotisme, les suggestions criminelles hypnot
nt la supériorité thérapeutique de la suggestion faite à la faveur du sommeil provoqué ou, tout au moins, d'un « état passif. »
je porte aux recherches qui ont pour objet l’étude des phénomènes du sommeil hypnotique et de la suggestion. Depuis des années
du système nerveux. Il a fait rentrer le somnambulisme artificiel, le sommeil hypnotique dans le groupe des faits qui se présen
e animal, dans des livres qui datent de ly 10, la fameuse division du sommeil hypnotique en trois états ou phases. Despine disa
ué l’état des recherches qui ont pour objet l'étude des phénomènes du sommeil hypnotique et de lu suggestion, n recherches empr
ière et à l’institut psychophysiologique. COURS ET CONFÉRENCES Le sommeil devant la médecine légale. Leçon faite à la Fac
faite à la Faculté de médecine par M. le professeur Brouardel I. — Sommeil naturel. 11 est possible qu’une femme qui a eu
server le souvenir à son réveil, soit à cause de la profondeur de son sommeil , soit qu’elle accomplisse l’acte en état de somno
sible que dans ces conditions la promiscuité des individus pendant le sommeil cause de tristes erreurs. Il semble bien improb
tard, la fille accoucha d'un fœtus de trois mois et mourut. » II.— Sommeil du aux narcotiques. Messieurs, vous n'avez pas
ns son verre un narcotique, qu'elle s’est endormie et que, durant son sommeil , il a abusé d'elle. Il est curieux de voir que,
public. Le point essentiel est de savoir s'il y a eu véritablement sommeil provoqué. Messieurs, il est assez facile de vous
que le malade auquel vous avez administré le médicament tombe dans le sommeil . Quand vous êtes commis dans une affaire de ce
out de combien de temps elle s’est endormie, quelle a été la durée du sommeil , cl enfin si, au réveil, elle a eu des nausées ou
lieu le plus propice à recevoir la suggestion et le plus favorable au sommeil . Comme emplacement a été choisi la ran Breeslra
vec les opérations de l’analyse, seraient écartés par l’inhibition du sommeil , et, d'autre part, tous les éléments psychiques n
st celle-ci: l’état d'hypnose partielle viendra spontanément comme le sommeil naturel. Mais on a une preuve beaucoup plus décis
us, j’ai pu produire, par la suggestion, un certain nombre d’états de sommeil de profondeur diiïérente et j’ai pu étudier alors
es différents effets produits parle même agent selon la profondeur du sommeil . Donc, aussi, dans ce sens, l’emploi de la sugg
xactitude plus grandes dans les analyses. COURS ET CONFÉRENCES Le sommeil devant la médecine légale. Leçon faite à la Fac
aculté de médecine par M. le professeur Brouaiidel (suite) III. — Sommeil provoqué par les anesthésiques Il n'y a guère q
st possible de faire passer, sans qu’elle s'en doute, une personne du sommeil naturel dans le sommeil chlorofor-rnique. Dolbeau
ser, sans qu’elle s'en doute, une personne du sommeil naturel dans le sommeil chlorofor-rnique. Dolbeau, qui avait alors comme
ndormie, se réveille au moment où elle commence à passer de l’état de sommeil naturel dans le sommeil chloroformique et, à caus
moment où elle commence à passer de l’état de sommeil naturel dans le sommeil chloroformique et, à cause de l’agitation, des cr
que ce témoin ne soit pas le mari, car il peut arriver qu’au cours du sommeil , sous l’influence de sensations voluptueuses, un
exige de la part de celui qui le manie une habitude spéciale. IV. — Sommeil hypnotique. Messieurs, l’étude des attentats co
meil hypnotique. Messieurs, l’étude des attentats commis pendant le sommeil hypnotique est une question médico-légale des plu
orain. Jusqu’à présent les cas de tentatives criminelles pendant le sommeil hypnotique sont rares. Le premier qui ait été sig
avoir été déflorée et rendue mère contrairement à sa volonté, dans le sommeil magnétique. Ceci est une affaire d’observation
ne affaire d’observation et de sentiment personnel. Mais en dehors du sommeil magnétique, il y a tant de mensonges, que je ne s
ue, il y a tant de mensonges, que je ne saurais aller plus loin. Le sommeil magnétique est fictif ou réel; fictif, en ce sens
rs tout rapport, tout sentiment de relation peut être interdit par le sommeil ; la sensibilité peut être émoussée et même étein
ontrèrent qu'aucun anesthésique n’était capable de provoquer ainsi le sommeil sans agita- (1) Voy. Burdin et Kr. Dubois, Hist
en droit de conclure ? Il m'était impossible d’affirmer que l’état de sommeil provoqué, pendant lequel l’attentat supposé avait
1874, p. 123. (3) Brouardel, Accusation de viol accompli pendant le sommeil hypnotique. Relation médico-légale de l'affaire L
ner, car, Messieurs, dans ces questions d’attentats commis pendant le sommeil hypnotique, la plaignante est toujours une hystér
ont une manifestation atténuée de la faculté suggestive. L’hypnose ( sommeil provoqué) favorise la suggestion, en fermant ies
impossibles à manier, qui vous rient au nez quand on leur enjoint le sommeil et font le contraire de ce qu'on leur ordonne.
ents). Comme elle était religieuse, elle se rendit à Lourdes (1) Du sommeil et des états analogues, Félix Alean, 1S66. (2)
par l’hypnotisme produit à l’état de veille ou par l’intermédiaire du sommeil suggéré (hypnose) l’imitation, la suggestion des
te de les étudier. 1° La léthargie est le degré le plus accentué du sommeil hypnotique-Le sujet n’est plus suggestionablc, ca
eune hystérique affligée de tremblements de la mâchoire et d’accès de sommeil subits qui la prenaient en pleins champs, puis en
it seulement à cinq ou six heures du soir. Le docteur Voisin, dans le sommeil hypnotique, lui a suggéré de renoncer à ces fugue
tile; l’état d’attente se prolonge dans les séries représentatives du sommeil ; dès lors, les pensées qui lu sont transmises pa
'instabilité de l’aliéné, il* reste que Ton profite de ses moments de sommeil naturel pour le plonger dans un état d’hypotaxie
état favorable existe, il est physiologique, il est.normal, c’est le sommeil naturel. » On voit donc que le psychothérapeute
it pathologiques, soit suggérés, qui se sont déroulés dans les divers sommeils , naturel, hypnotique, chloroformique, médicamente
e fausse angine de poitrine. Déjà, chez elle, des rêves, oubliés au sommeil , avaient plusieurs fois conditionné certains trou
s se sont succédé dans l’ordre même où ils étaient apparus pendant le sommeil . Plongée dans l’état d’hypnose, elle se rend comp
ns l'oubli, conjurer la crise imminente et rendre à cette personne un sommeil paisible exempt de cauchemars. II. — Une femme
; elle répond que non. Mais, si la même question est faite pendant le sommeil hypnotique, cette personne ne tarde pas à se rapp
e si, dit-il, on y avait fait des trous ù l'emporte-pièce. Dans son sommeil hypnotique, il parvient à se rappeler et il me ra
elle le touche à la nuque et, immédiatement, il tombe dans un profond sommeil avec amnésie complète au réveil. De môme, quand
e l'hypnotise et il me révèle que sa femme, pendant qu’il dort de son sommeil normal, lui a fait expressément cette suggestion
xemple prouve donc à nouveau l’elTicacité de la suggestion pendant le sommeil naturel. VI.—Une autrefois, après avoir endormi
lui. lors des suggestions que lui fait sa femme pendant qu’il dort du sommeil naturel. Voici ce qu’il me répond : Ma femme me f
mme me fait d’abord subir une certaine préparation qui transforme mon sommeil normal en un état spécial et tout autre. Il n'y a
tre part, à savoir que, avant de faire des suggestions à la faveur du sommeil naturel, il convient de réaliser une hypotaxie pr
ond point, il touche de près les hypnologues: c'est cette torpeur, ce sommeil , cette vie latente, cette léthargie que subissent
qui vivent dans les pays chauds et que la disette de vivres oblige au sommeil . L'hibernation existe chez le loir, la marmotte
uvés vivants trente-sept jours plus tard (professeur Dewar) (*). Le sommeil hibernal existe chez l’homme. En cas de famine,
5 mois. Des districts entiers sont ainsi plongés dans le silence ; le sommeil ne s’interrompt que pour les choses strictement n
nécessaires et, aussitôt, tout se replonge dans le silence (4). Ce sommeil ne nous parait être qu'un degré léger de la létha
revivre chez ce sujet le souvenir de ce qui s’élail passé pendant les sommeils antérieurs. Mais, comme celte femme lui avaitform
ail endormie et qu’un individu, qu’elle désigna, avait profité de son sommeil pour abuser d’elle. Un hypno-mëtronome Par
idéoplastique, de torpeur et d’engourdissement propres à provoquer le sommeil et à favoriser les efforts de la suggestion. Un
t que fait le métronome, loin d’être un obstacle ou un empêchement au sommeil , triomphe de la résistance du sujet et favorise l
tisme soit avancée au point de ne plus laisser de doute sur l'état de sommeil des patients. Où est le critère de ce sommeil ? I
de doute sur l'état de sommeil des patients. Où est le critère de ce sommeil ? Il en est plusieurs que l’on invoque, mais on n
s télépathiques, la lucidité, la clairvoyance, les pressentiments, le sommeil à distance, l'ccriture automatique, ¡’extériorisa
ièredel’hystérie est un engourdissement, ou, si l’on veut, un état de sommeil des centres cérébraux. L’anes-thésie, les trouble
iscéraux, vaso-moteurs et psychiques ne sont que la conséquence de ce sommeil qui suspend (1) BREUF.net FnEUD : Ueberden psye
893. plus ou moins les fonctions des centres cérébraux. L'état de sommeil , à partir d’un certain degré, amène par sa consta
stigmates et les accidents permanents; les variations de cet état de sommeil provoquent des réactions spéciales qui ne sont au
le, vaut tout un chapitre de dialectique. « À quoi est dû cet état de sommeil ? Dans la majorité des cas, c'est à l’épuisement
mpte qu’il n’est pas allé au fond des choses : « Quant à la nature du sommeil cérébral qui entrainel’hystérie, on me pardonnera
une hypothèse, en songeant que nous ne savons pas encore ce qu’est le sommeil naturel, et à quoi il est dû » (•). Or c’est pr
st précisément parce que nous croyons savoir aujourd’hui ce qu’est le sommeil naturel, que je vais m(eflorcer de donner ce que
aible comme dans le jeûne. Tantôt la dépense est infime comme dans le sommeil profond. Tantôt elle est énorme comme dans l'effo
à son minimum. C'est ainsi que la digestion coïncide souvent avec le sommeil . Cette inégalité du gain et de la dépense dans
hèses sur la physiologie des centres nerveux. Théorie histologique du sommeil . (Société de biologie, 2 février ‘.895, p. 74.)
em. (Centralbl. med., Wos-chensch, 1868. p. 451). (10) Querton : Le sommeil hibernal et les modifications des neurones cérébr
histologiques sur son mode de fonctionnement. Théorie histologique du sommeil , Paris, 18%. R. Deyder : Etat actuel de la ques
ars 1898). Les neurones. L’amiboisme nerveux. Théorie histologique du sommeil . (Rev. de l'école d’anthropologie, 15 février 190
éjà ancienne. Nous lui avons confirmé nos conseils donnés pendant son sommeil , en lui demandant d’avoir une confiance illimitée
, où tout .l'ôlrc entrait en trépidation, succédait invariablement un sommeil profond et une courbature qui durait pendant plus
etet fils, éditeurs, 1900. Dans d’autres parties de son Traité du sommeil nerveux, il indique Je pouvoir de la sympathie et
nos-Ayres, où les savants pourront étudier sa bizarre structure. Le sommeil hivernal. Un professeur.de l’université de Prag
ublier dans la revue Nasé Doba plusieurs articles fort curieux sur le sommeil hivernal auquel s'adonne une partie de la populat
certaines provinces russes. Les gens de ces contrées voient dans le sommeil la suprême ressource pour lutter avantageusement
our de la nuit; ils sont plongés dans une sorte de léthargie, dans le sommeil hivernal, qui devient souvent pour ceux qui s’y l
le sommeil hivernal, qui devient souvent pour ceux qui s’y livrent le sommeil éternel. Et tout dort autour d’eux; les autres
imaux eux-mêmes semblent comprendre la consigne et ne sortent de leur sommeil que pour manger la maigre portion que le maître l
n — passe ainsi les longs hivers. C’est une nuit profonde. C'est le sommeil hivernal, suprême ressource contre la famine.
renflement moteur de la feuille de sensitive, dont ils provoquent le sommeil . Les prolongements des neurones se rétractent a
Mais cela ne suffisait pas et je me mis en devoir de la soumettre au sommeil provoqué pour la suggestionner plus aisément. C
de ses voisins, Georges, dont elle parle souvent pendant ses accès de sommeil . Or, Georges lui a raconté qu'il avait vu un de s
ression, le malade sera, autant que possible, maintenu dans l'état de sommeil provoqué. Les narcotiques, employés par la voie b
de l’emploi. Le daltonisme et l’éducation ehromatopsique pendant le sommeil hypnotique. Par M. le docteur Paul Farez. Pen
t le sommeil hypnotique. Par M. le docteur Paul Farez. Pendant le sommeil hypnotique, un sens peut être exalté au détriment
ons s'exagèrent par les émolions ; les convulsions cessent pendant le sommeil . Ce paramyoclonus est une manifestation de la név
tement et longtemps un diapason situé près d’elle, elle tombe dans un sommeil hypnotique profond: elle obéit à toutes les sugge
riques. Il n’est pas un instant dans la vie, sauf peut-être dans le sommeil profond, où des ondulations nerveuses ne parcoure
ensation. Il en est ainsi à ce qu’il semble dans l’hypnose et dans le sommeil . Si l’on estime qu’un homme est endormi lorsque
uit, dit-il, parce qu’elles sont constamment plongées dans un état de sommeil pathologique qui empêche le sommeil naturel de se
stamment plongées dans un état de sommeil pathologique qui empêche le sommeil naturel de se produire (*). » Et cela est si vrai
ués, mais un nombre tel d’éléments nerveux que le sujet s’endort d’un sommeil particulier qui est l’hypnose. Dès qu’un hystér
est guéri, dès que sa veille redevient normale, il recouvre aussi le sommeil normal. L’étude de la veille et du sommeil des
le, il recouvre aussi le sommeil normal. L’étude de la veille et du sommeil des hystériques nous conduit à l’étude de leur pe
uvoir fixer leur attention et de concentrer leur pensée sur l’idée du sommeil , tant leur esprit est préoccupé de l'idée morbide
utomatisme, etc., Après les suggestions nécessaires réitérées et un sommeil volontairement prolongé, je !a réveille. Elle ne
yspeptiques avec dilatation gastrique légère, insomnie et troubles du sommeil , hvper-esthésie spinale, étourdissements et verti
ions. A /apremière séance, au mois de septembre, je n'obtiens qu'un sommeil léger ou peu profond, sans automatisme ni amnésie
l. Toutefois, après les suggestions nécessaires et répétées, après un sommeil très prolongé, au réveil, elle déclare qu’elle se
maladie, de la phtisie surtout ; je lui suggère des idées riantes, un sommeil tranquille toutes les nuits, de l’appétit et de b
le, avec un grand ennui qui se dissipe après le réveil, elle a un bon sommeil , sans cauchemars et fait de bonnes nuits, elle ma
isation » et puisqu'il conviendrait de pouvoir isoler les malades, le sommeil hypnotique ne serait-il pas plutôt un moyen commo
rmeurs, d'autre part, beaucoup de ces malades ont perdu 1 habitude du sommeil régulier. Ceux-ci auront ¿réapprendre à dormir; o
sai et de là au centre du cerveau volontaire. Si nous désirons que le sommeil se produise, nous prolongerons la fixation des ye
anticides, p. 62. Daltonisme et éducation chromatopsique pendant le sommeil hypnotique, par Paul Farez, p. 311. Dégénéresce
oisin, p. 15 Orthopédie mentale et morale par suggestion pendant le sommeil naturel, par Pau de Saint-Martin, p. 52. Paraly
-manie (La), p. 62. Surdi-mutité (La), par Saint-Hilaire, p. 317. Sommeil devant la médecine légale (Le), par Brouardel, p.
25 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
intéressant de savoir ce que cette déforma- tion devient pendant le sommeil et sous l'influence de la chloroformisation; ma
er comme si elle avait été frappée d'une commotion élec- trique. Le sommeil est de plus habituellement agité. Depuis quelqu
lexion et d'extension assez rapides. Les autres fonctions, appétit, sommeil , vue, excrétions, s'ac- complissaient, du reste
rieurs, mais les mains sont fermées : le père assure que pendant le sommeil on peut dé- flécliir les doigts, mais que la fl
cliir les doigts, mais que la flexion revient aussitôt, bien que le sommeil continue. Les membres inférieurs sont dans l'ex
volontairement; sa mère dit que ses membres s'allongent pendant le sommeil . Elle peut cependant lever les jambes de dessus
on le coucha. A la suite de cet accident,- il resta faible et sans sommeil une quinzaine de jours; puis reprit la marche p
et abondante. Cette dernière période dure longtemps et aboutit à un sommeil profond qui permet de prendre la température du
é pour quoi que ce soit. 11 mange proprement, sans gloutonnerie; le sommeil est bon, les fonctions digestives régu- lières
er sous la protection d'ignorants. REVUE CRITIQUE DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Par GILLES DE LA TOUHËTTE Chefde c
excuser, c'estoyent ceux qui luy couroyent sus : et DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 93 optant exilé, tost après mourut
e trouver en présence d'un cas de coma hystérique, d'une attaque de sommeil , comme nous dirions aujourd'hui. A la vérité,
comme si l'âme estoit séparée du corps. Autres disent que c'est un sommeil par lequel les facultés et. puissances de rame so
ècle, suivirent A. Paré, pu- blièrent la vérité des observations de sommeil hystérique, mais nul mieux que lui ne sut les r
hap. v. 4 De l'apparition des esprits, chap. xiv. DÈS ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. : noncer aux inquisiteurs, leur dis
la notion étiologique, si importante dans l'espèce. Une attaque de sommeil prolongé, en effet, ne permet pas ipso (acte de
siastique de Nicéphorc, liv. XLX, chap. XLV, contient le iécit d'un sommeil qui ne dura pa, moins de 37 ans) contiennent des
eil qui ne dura pa, moins de 37 ans) contiennent des exemples où le sommeil a duré, r, 0, 10, 17, 49 joins; 2, \, 6, J8 mois,
ans son Traité complet de l'hystérie (18/f6) décrit les attaques de sommeil sous la rubrique de « Perte de connaissance. Sy
Malgré ce qu'en ont dit les auteurs, les attaques hystériques avec sommeil sont peu communes et ont très peu ' Quelques ob
aite clinique et thérapeutique de l'hystéiie, 1859. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 97 fixé l'attention ; on n'en trouv
dont le troisième volume renferme une description des attaques de sommeil qui forme la monographie la plus complète que n
e fondamentaux plusieurs leçons de M. Char- cot sur les attaques de sommeil , recueillies par llillioti'; un mémoire de M. P
Milan, 1885. Des zones hystérogénes et lzpnogézzes; des attaques de sommeil . Bor- deaux, 1885. 3 De l'apoplexie hystériqu
az. hebd. de 11led et de chi ? 20 août 1886, p. 15t DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 90 Dr Charlier (d'Origny Sainte-Ben
pressentir, nous confondrons sous la même dénomination d'attaque de sommeil , à laquelle nous adjoindrons l'épithète d'hysté
ublique. Depuis plus de quatre ans cette malade est plongée dans le sommeil hystérique; elle a été l'objet de rapports plus
agité par des secousses cloniques très énergiques. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 101 Un jour, la malade perdit une c
en résumé, le facies est celui d'une femme amaigrie plongée dans un sommeil calme et profond. Lorsqu'on ouvre brusquement l
. Cette trépidation ne tarde pas à se généraliser à DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 103 l'autre membre inférieur, et
it, considérablement dans l'étude symptomatologique des attaques de sommeil , mais, avant d'entreprendre de les décrire il e
o-pathologique ' et, en ce qui regarde spécialement les attaques de sommeil , la lecture des nombreuses observations rapport
sujet nous devons préciser la date de l'apparition des attaques de sommeil par rapport aux autres accidents hystériques dé-
le même individu. En un mot, quelle place occupent les attaques de sommeil au milieu de l'apparition et du développement d
lui confine de bien près : quelle est la fréquence des attaques de sommeil relativement aux autres variétés de l'attaque h
te à préciser surtout t lorsque l'on envisage la forme d'attaque de sommeil plus par- ticulièrement désignée sous le nom d'
dies du système nerveux. Th. agrég., Paris, 1886. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 105 pelé, ainsi quelefait s'est pré
rs auteurs qui se sont occupés de la question que les attaques de sommeil sont très rarement les premières en date dans l'é
souvent pré- cèdent, lorsqu'ils ne s'y mêlent pas, les attaques de sommeil . « Le plus ordinairement, dit Briquet (p. 416),
aques de sommeil. « Le plus ordinairement, dit Briquet (p. 416), le sommeil hystérique n'arrive qu'à la fin des attaques de
hystérique n'arrive qu'à la fin des attaques de convulsions. » « Le sommeil hystérique, dit M. Charcot ', est une attaque h
giques », ajoutant plus loin (p. 260) : «En résumé, les attaques de sommeil hystérique sont souvent ' Lezioni cliniche; loc
argiques. Cette sorte d'inversion du type tient surtout à ce que le sommeil , lorsqu'il n'est pas primitif d'emblée, survien
gnalés par P. Richer, et nous pourrons conclure que les attaques de sommeil ne sont que très rarement le symptôme de début
a seconde question. Quelle est la fréquence absolue des attaques de sommeil , comme symp- tôme dominant, par rapport aux. au
pport aux autres variétés de la grande attaque. « Les attaques de sommeil sontpeu communes », dit Briquet DES ATTAQUES DE
attaques de sommeil sontpeu communes », dit Briquet DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. '107 (p. 148), qui, sur 420 malades
s pas assimiler les syncopes du petitmal hystérique aux attaques de sommeil , mais enfin, lorsque Lan- douzy écrit que « cet
ec lui, en ne considérant que la forme particulière de l'attaque de sommeil qu'il a étudiée : z L'apoplexie hystérique frap
lioration no- table de l'état psychique, diminution du tremblement, sommeil et appétit; disparition de douleurs de la régio
tance. Suggestion, auto- suggestion et vivucité du souvenir dans le sommeil hypnotique. M. J. Voisin fait part à la Société
ge de dix-neuf ans, très épuisé par le travail et l'insuffisance du sommeil , le malade se rendit chez lui à pied vers la No
gère, une humeur triste ; l'activité intellectuelle est normale. Le sommeil est bon. Mois d'août 1885. Au printemps, le mal
nnes. - Pas de violences après les accès, pas d'halluci- nations. - Sommeil bon, il s'endormait souvent après les accès. Pa
langue ; il urine sous lui toutes les fois qu'il a de forts accès. Sommeil consécutif. Actes automatiques : il bou- tonne
rait vers sa mère chez laquelle il ne s'est jamais blessé. Dans son sommeil il appelait également : « Maman, bobo », poussa
cloniques. Pas d'écume; morsure rare de la langue. Après les accès, sommeil d'une demi-heure. Quel- quefois folie consécuti
n sur lequel elle peut se développer. (A suivre.) DES ATTAQUES DU SOMMEIL HYSTÉRIQUE3; Par GILLES DE LA TOURETTE Chef d
II. Il nous faut désormais aborder la description de l'attaque de sommeil hystérique, et nous englobons sous cette dénomina
XIII, H. 2. 1882.) 3 Voir t. XV, 11 - S3, p. 92. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSrÉRIOUE. ? 6ï tion les cas où la conscience
rémonitoires; quelquefois aussi, et surtout dans les cas légers, le sommeil survient graduellement, débutant par une sorte
s hallucinatoires délirants ou convulsifs, l'individu tombe dans le sommeil et lorsque celui-ci dure depuis déjà quelque te
Briquet (p. 422). A la vérité, la face se décolore à mesure que le sommeil poursuit son cours, mais l'aspect n'est pas cad
considérer, surtout, lorsqu'on cherche à rapprocher ces attaques du sommeil phy- siologique. On sait que pendant celui-ci l
QUE. contracture, et les sujets qui sont en proie aux attaques de sommeil ne diffèrent pas des malades en butte aux acciden
culaire par l'air ambiant soit suffisant pour faire DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 269 entrer en contracture les muscl
ns cas de mort ap- parente qui n'étaient autres que des attaques de sommeil hys- térique. Le pouls est également calme et
ue nous avons notée, il ne faut donc pas s'étonner que l'attaque de sommeil se comporte, quoiqu'un pen plus faiblement peut
lade de MM. Bourneville et Hegnard (Ons. XI), après six semaines de sommeil , conservait encoreun certain embon- DES ATTAQUE
ines de sommeil, conservait encoreun certain embon- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. : 2; i point, alors que la nôtre, a
, ne nous a pas paru être en rapport direct avec la longue durée du sommeil et avec l'alimentation toujours insuffisante pa
sans interruption d'une façon calme dépense moins que celui dont le sommeil est coupé par des crises convulsives. Mais un f
téressant, serait de savoir combien de temps un individu dormant du sommeil hystérique pourrait ainsi rester sans manger. S
nous manquent, car, aujourd'hui que le diagnostic des attaques de sommeil s'établit le plus souvent dès leur début, d'une f
le premier jour de carême et ne s'éveillait qu'à Pâques. Uurant ce sommeil religieux, cette catalepsie volontaire, elle ét
ère à ne pas nous permettre d'en dou- ter. Il est présumable que ce sommeil était le résultat d'une affection nerveuse, d'u
cette illuminée. La première fois qu'elle fut prise de cet etonnaut sommeil , on la crut morte ; comme elle était infiniment
est entourée de difficultés presque insurmontables. Pour peu que le sommeil se prolonge un ou deux jours la miction devient
ifs. Or il n'est pas donné d'obser- ver fréquemment des attaques de sommeil . DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 273 Ces
d'obser- ver fréquemment des attaques de sommeil. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 273 Ces recherches ont été cependan
e vue de sa quantité et de sa composition pendant toute la durée du sommeil , mais les circonstances ne m'ont point permis d
mis. « La sécrétion de la bile a dû être peu abondante pendant le sommeil ; ce malade n'a eu que deux selles et la seconde
s médical, 13, 27 février, C mars 1880, obs. I. - Keser : Un cas de sommeil prolongé chez un hystérique. Semaine médicale,
E D'URINE DE CHAUFFAT Première analyse (lor avril, septième jour de sommeil ). Urine trouble, très colorée, très acide; légè
e urique très abondant*. Deuxième analyse, faite le dixième jour de sommeil . Poids spécifique 1028. Urée, 1,002 p. 100.
du service de M. Charcot en proie depuis 28 heures à une attaque de sommeil accompagnée de contractures généralisées. Le ca
juillet 1887, p. 267, À case of prolonged sleep. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 575 j' mes d'urine, ce qui est peu
ifficile d'être fixésurles diverses sécrétions pendant l'attaque de sommeil ; toutefois elles nous paraissent ralenties. Ce
nduit à il parler de l'état des sens chez les individus atteints de sommeil hystérique. Supposons toujours, pour un momen
ours, pour un moment tout au moins, que le sujet est plongé dans le sommeil le plus profond et que tous les procédés d'exci
ans Pitres, Des zones hystérogènes et hypno- gènes; des attaques de sommeil . Bordeaux 1885, p. 58. 276 REVUE CRITIQUE. av
diverses tortures auxquelles on avait pu les soumettre pendant le sommeil : c'est là, du reste, la règle générale, mais il
ielle. Cette hémianesthésie ne disparait en aucune façon pendant le sommeil , bien au contraire, et les excitations por- tée
teint devront donc par cela même ne pas être perçues. Toutefois, le sommeil n'entraîne pas forcément par lui-même, bien que
al, in-8°, 1887, chap. vu, Les états hystériques. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 277 -i entre le genou et la chevill
s le verrons bien- tôt, les malades sortant le plus souvent de leur sommeil , à l'aide d'une attaque convulsive, comme ils y
ale. Ces zones pouvaient exister avant l'apparition de l'attaque de sommeil , mais elles peuvent aussi se développer pendant
es zones hystérogènes ont été expressément notées dans l'attaque de sommeil par M. Charcot, ainsi qu'on en pourra juger par
l'attaque; nous répéterons qu'elles peuvent disparaître pendant le sommeil lui même. Notre observa- tion est à ce point de
ne ou d'aucune autre de même nature. Du reste, pendant l'attaque de sommeil , l'hystérie ne perd nullement ses droits, et, o
es dormeurs hystériques ne perdent pas, pour ainsi dire, pendant le sommeil le contrôle inconscient de leur sensibilité gén
ns à revenir en traitant du diagnostic différentiel des attaques de sommeil , M. Achard nous dit (p. 92) : « Il est toutefoi
arpine. (Journal de thérapeutique, 1880, p. 241.) DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE, 279 est totale; la malade ne réagit
ès. Il en est d'autres qui font pour ainsi dire leurs attaques de sommeil comme ils feraient une attaque ordinaire d'hystér
lle qui avait eu l'attaque la plus forte, a déclaré que pendant son sommeil elle avait toujours conservé la faculté d'enten
dre. La plupart se rappelaient de ce qui s'était passé pendant leur sommeil ; quelques-unes n'en avaient aucun souvenir. »
céphalalgie intense, une grande sensibilité et irritabilité, peu de sommeil , con- vulsions générales sans écume à la bouche
smo spontaneo, aulononzo. Na- ples, 188fi, p. 42. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 281 pour m'embrasser et retombe ens
a de suite dans un autre appartement où elle fut bientôt prise d'un sommeil qui dura dix heures. La convalescence marcha as
ulier en faisant ressortir l'intérêt que présentent les attaques de sommeil au point de vue médico-légal. 28 ? . REVUE CRIT
pendant un certain temps tout au moins. La durée des attaques de sommeil est éminemment variable; elle s'étend de quelqu
s hystériques d'ordre convulsif en particulier, qui interrompent le sommeil pour un certain temps. De ce fait, le malade ne
e, épiphénomènes inclus ; la durée absolue comprend la période de sommeil comprise entre deux convulsions, car. en somme,
crise, on peut dire rationnellement que c'est une autre attaque de sommeil qui va commencer. Les auteurs, avec raison du r
83. C'est du reste, à notre connaissance, la plus longue attaque de sommeil qui ait été observée, et dans la circonstance l
lblatt sur klinische mettent.; 1885, n" 15, p. 775. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 283 trois semaines (Gairdner); dix-
toujours ses attaques dans le même moule et une première attaque de sommeil reste bien rarement isolée. « Chez une malade
duré de quarante à cinquante jours. Comment se termine l'attaque de sommeil ? comment le malade sort-il du sommeil hystériq
ment se termine l'attaque de sommeil ? comment le malade sort-il du sommeil hystérique et quelles sont les conséquences de
ort-il du sommeil hystérique et quelles sont les conséquences de ce sommeil en ce qui regarde sa santé ultérieure ? A ce
s grand nombre s'était fait tout simplement comme lorsqu'on sort du sommeil .... » Il est beaucoup plus dans le vrai, quoiqu
pesanteur de tête. » z En somme, les malades sortent fréquemment du sommeil hystérique comme ils y sont entrés, par une aut
it observé que la pression d'une zone hystérogène faisait cesser le sommeil en provoquant une attaque. Assez souvent, en ou
onné la note exacte : « Tantôt, disent-ils (p. 139), l'attaque de sommeil se termine par une attaque convulsive ou bien p
s rapprochés annoncent chez H... (Cas. XI) la fin de l'attaque de sommeil . Dans ce cas aussi il se produit un véritable dél
ouzy a publié une observation dans laquelle le réveil, ainsi que le sommeil du reste, était précédé de mouve- ments convuls
'a fait remarquer M. P. Richer(2° édit., p. 259) que l'at- taque de sommeil pouvait être provoquée par l'action d'un cou- r
fs ne laissant aucun doute sur la nature de l'attaque. L'attaque de sommeil peut laisser après elle ou favoriser l'appariti
nons de dire que c'était souvent les con- vulsions qui rompaient le sommeil . Dans toute une série de faits étudiés par M. A
istons 1 Progrès médical, 25 janvier 1879, p. 61. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 283 cependant, sur la contracture,
t sur les membres. Quel est maintenant le pronostic des attaques de sommeil ? Il est facile à formuler : ainsi que toutes l
ile à formuler : ainsi que toutes les autres variétés, l'attaque de sommeil peut laisser après elle nombre d'accidents plus
Villermay (1816) place, ainsi que nous l'avons dit, les attaques de sommeil hystérique dans sa troisième classe, de toutes
topsie : Annales méd. 1,3ych., mars 1887, p. 25t. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 128-1 i lade mourut de pneumonie et
l sont les seuls points sombres dans le pro- nostic des attaques de sommeil . IV. I. Si le pronostic des attaques de somme
c des attaques de sommeil. IV. I. Si le pronostic des attaques de sommeil hystérique est facile à établir, il n'en est pa
'attaque hystéro-épileptiqueen général etpour celle de l'attaque de sommeil en particulier. Il est en effet un grand nombre
d'affections dont les mani- festations peuvent simuler l'attaque de sommeil , de léthargie, de coma hystérique, ces divers t
stinguerons deux groupes de faits : ceux dans lesquels l'attaque de sommeil se présente sous la forme apoplectique avec hém
ques mots complémentaires sur la forme apoplectique de l'attaque de sommeil récemment bien étudiée par MM. Debove et Achard
t semble soudain et, dans les cas accentués, le ma- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 289 lade paraît plongé dans un véri
nous nous reportons au pronostic relativement bénin de l'attaque de sommeil et si nous songeons à la gravité extrême de l'a
ra toujours d'un précieux secours et nous sa- vons que l'attaque de sommeil n'est que très rarement la pre- mière manifesta
ca- ractère d'apoplexie ; au contraire, elle a l'expression d'un sommeil paisible qui éloigne toute idée de souffrance ; i
ion. On peut en effet poser la règle suivante : dans l'attaque de sommeil , la température reste normale ou s'élève à peine
presque à coup sûr que l'on se trouve en présence d'une attaque de sommeil . De même, pendant cette période, les phénomènes
ue, lorsque le malade est ré- veillé, le diagnostic de l'attaque de sommeil est parfaitement t inutile, mais il ne nous sem
phénomène n'est pas rare dans les attaques de som- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. et 1 meil et dans l'hémiplégie hyst
(A¡'cltives de physiologie, t. VIII, 1876, p. 764.) DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 293 des cas dans lesquels la face p
ont de beau- coup ceux qui pourront en imposer par une attaque de sommeil . Ces faits sont du reste fort intéressants, car i
sponlaneo, aufonomo. - Naples, 1886, p. 2 Î.- ' - DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea premier lieu, nous devons pa
syndrome bizarre, encore mal classé, appelé tour à tour maladie du sommeil , narcolepsie et bien étudiée par Gelineau 1 et
. Les malades sont encore des héréditaires, comme toujours, mais le sommeil n'est plus accompagné ou suivi d'attaques convu
réjuger de 1 De la narcolepsie, 1881. 5 Contribution à l'étude du sommeil pathologique (quelques cas de nar- colepsie). (
- riques (cas de Martinenq) peuvent être sujets à des attaques de sommeil . En 1869, M. Legrand du Saulle publiait dans la
l'observation d'un individu âgé de trente-deux ans, chez lequel le sommeil apparent retenons ce terme - n'avait pas discon
De cette discussion, il résulta néanmoins que chez ces malades le sommeil , lorsqu'il existe véritablement, est dis- conti
raisonnent pour ainsi dire leur stupeur qui n'est pas un véritable sommeil , ce qui suffit, ' Sthpeur mélancolique à forme
sommeil, ce qui suffit, ' Sthpeur mélancolique à forme léthargique. Sommeil apparent et non discontinué pendant plus de sep
letargo ela mania possono coesisteoe. -Turin, 1869. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 297 1 en dehors même des autres sig
à ce qu'il nous semble, dans la même catégorie, et chez lequel le sommeil , ou mieux la stupeur mélancolique, ne dura pas
ement à la question du diagnostic différentiel avec les attaques de sommeil hystérique, nous n'avons pas à nous prononcer s
ns2. Ne pourrait-on pas alors observer la coexistence d'attaques de sommeil hystérique ? A cela, et sans vouloir aller plus
de Vesale, on trouve un certain nombre 1 Contribution à t'élude du sommeil pathologique chez les aliénés. (Annales médico-
la respiration et le pouls étaient normaux. On lui DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 299 donna des oeufs avec du vin, qu
senter quelques considérations métlico- légales sur les attaques de sommeil . C'est un sujet que nous avons déjà traité dans
pudeur commis sur une jeune fille atteinte d'hystcre avec crises de sommeil . (Ait- nales Medieo ? c/i., Ce série, t. II, ja
tre, M. le professeur Brouardel', qu'une hysté- rique à attaques de sommeil put accuser faussement un indi- vidu de l'avoir
compor- taient. Quel traitement doit-on appliquer aux attaques de sommeil ? « La léthargie, dit Briquet (p. 707), qui éta
t. » Nous ne serons pas aussi exclusif que Briquet ; l'attaque de sommeil , pour peu qu'elle se prolonge, est par elle-même
que convul- sive qu'elle amène, suffit parfois pour faire cesser le sommeil , nous nous croirons toujours autorisé à recherc
Une dose moyenne de 2 à 3 grammes détermine en un quart d'heure un sommeil calme de quatre heures sans incon- vénient dans
se rattache à l'ingestion gastrique de 2 à 4 grammes pour avoir un sommeil calme de sept à huit heures ; à doses plus élev
ections sous-cutanées de 0,25 l'une aurait provoqué 6 à 8 heures de sommeil , sans accident local, ni général. Koenig préfèr
à l'étude clinique des caractères somatiques fixes des attaques de sommeil spontané et provoquées chez les hystériques). Bro
longues années, des crises nerveuses qui se le ? -- minaient par un sommeil se prolongeant pendant une (t deux heures. Frèr
atrique de Ber- lin, 307, 471; (prix de la - de biologie), 335. Sommeil (attaques de- hystérique), par Gilles de la Tou
26 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
assez grand nombre de sujets, l'imagination, par suite de l'espèce de sommeil des autres facultés intellectuelles, est prédomin
s au magnétisme, simulait en plaisantant les gestes qui provoquent le sommeil , et riait beaucoup à l’idée de priver complètemen
lever la paupière, et son œil avait complètement tourné comme dans un sommeil réel. La situation commençait à devenir critique,
noctambule (somnambule naturelle), mais tpii n’a jamais été amenée au sommeil magnétique, était affectée d’une faiblesse doulou
son critique parlent d’une jambe coupée par M. Cloquet dans l’état de sommeil magnétique, mais il y a erreur de part et d’autre
centes pour modifier le cancer plongèrent un jour la patiente dans un sommeil profond accompagné d’insensibilité. M. Chapelain
liotson , où l’on a déjà pratiqué plusieurs opérations dans l’état de sommeil magnétique, opérations faites toutes devant des m
té déflorée et rendue mère contrairement à sa volonté, dans l’état de sommeil magnétique; ceci est une affaire d’observation et
versation , s’occupait de quelque ouvrage, tantôt et subitement, sans sommeil préalable, les yeux toujours ouverts, en plein jo
sidération. « Dr A. Cbicca, Médecin homeeopalhe. » ÉTUDES. DU SOMMEIL ET DES SONGES. La question du sommeil et des so
meeopalhe. » ÉTUDES. DU SOMMEIL ET DES SONGES. La question du sommeil et des songes est aussi intéressante que difficil
rché à s’éclairer par le magnétisme sur la nature des rêves et sur le sommeil . Aussi rejette-t-il, presque sans l’examiner, l’h
ue, même les visions étranges de l’extase, que l’âme, dans le profond sommeil , est dégagée des liens du corps, quelle jouit de
L’âme ne s'isole donc pas du corps, au moins complètement, pendant le sommeil . Mais ne peut-elle pas s’isoler partiellement ? C
agnétiseur. Que l’action magnétique se prolonge quelques instants, le sommeil a lieu, déterminé par cet excès de fluide. Or le
e avec d’autres fluides. Mais ici une cause étrangère a provoqué le sommeil , tandis que ce phénomène se reproduit naturelleme
tiel. C’ est donc toujours une accumulation de fluide qui provoque le sommeil ; et, comme le somnambule, par l’émission de son
és, dir fluide concentré à l'intérieur et de celui échappé pendant le sommeil : c’est le moment du réveil. Si le fluide absen
857. Hippocrate a jeté un coup-d’œil lumineux sur cette question du sommeil , et, s’il n'admet pas la séparation partielle de
bilité d’une partie de l’âme, qui lui donnerait par moments , dans le sommeil , plus de lucidité que dans la veille. Voici ce pa
Magnétisme animal (9e leçon) : « Les signes qui se montrent dans le sommeil seront trouvés posséder pour toute chose une gran
recorde, accomplissant, dans le petit espace où elle est, pendant le sommeil , toutes les fonctions du corps ou de l’âme. Aussi
is nous semble un de ceux qui ont le mieux approfondi les mystères du sommeil . 11 remarque (t. I, p. 182) qu’il y a dans l’homm
. A75) dont se composent les idées et les penchants, il n’y a dans le sommeil que celles qui viennent de l’extérieur qui soient
, et, en4676,/’ Académie des beaux-arts nous dit encore : « Durant le sommeil , la partie supérieure du corps, délivrée et dépou
se aucun effet sur elle tandis qu’une autre, spectatrice, succombe au sommeil magnétique ? Mais ne nous égarons pas trop dans
s, il se confia à moi sans réserve. « Après une heure à peu près de sommeil , il se trouva considérablement soulagé, je le lai
u lendemain. h Le jour suivant, je le magnétisai de nouveau , et le sommeil reparut; dans ce sommeil, il se déclara une crise
suivant, je le magnétisai de nouveau , et le sommeil reparut; dans ce sommeil , il se déclara une crise nerveuse d’une force tel
e veille et comme ne pouvant être vu que par les somnambules, dans le sommeil magnétique, sous différentes formes et diversemen
quinze à vingt minutes et étaient-suivies d’une demi-heure environde sommeil , ('.es attaques précédées d’un sentiment de malai
), il se fait dans le système nerveux une perturbation qui conduit au sommeil ou à un état morbide qui présente avec lui certai
l ou à un état morbide qui présente avec lui certaines analogies ; ce sommeil revêt une forme particulière et ne tarde pas à do
n’est plus qu’un râlement prolongé qui ne se termine qu’au moment du sommeil , et assez avant même dans la nuit. Au réveil, ces
et politiques, par M. Lêlut, sur le concours relatif à la question du sommeil . On a souvent dit et l’on répète tous les jours
ette branche d’études, et en 1851 elle mit au concours la question du sommeil ; voici quel était son programme : « Quelles sont
i subsistent ou sont suspendues ou considérablement modifiées dans le sommeil ? Quelle différence essentielle y a-t-il entre rêv
ychologiques. En fait d’effets physiologiques, elle peut provoquer le sommeil , faire naître des convulsions, neutraliser la dou
après une, analyse déteilr lée des parties de ce Mémoire relatives au sommeil ordinaire, félicite l’auteur « d’avoir, dans cett
tte partie de son ouvrage, rattaché aussi étroitement qu’il l’a pu au sommeil et aux rêves ordinaires les faits du somnambulism
du somnambulisme artificiel ou magnétique, tels, par exemple, que le sommeil artificiel lui-môme, sa dépendance automatique, e
, ni beaucoup plus difficile à expliquer que ce qui se passe dans le sommeil , le rêve et le somnambulisme naturels. Ce seront
re au ciel, qui reproduisent, trait pour trait, les hallucinations du sommeil et de la veille, Et dans tous ces merveilleux phé
sme artificiel et magnétique, deux états identiques au fond. — Que ce sommeil magnétique soit provoqué par un agent physique ou
mbulisme extatique, du somnambulisme spontané, et même du plus simple sommeil ? — Ce qui serait extraordinaire, ce sont toutes l
1), l’auteur établit une distinction entre le somnambulisme (2) et le sommeil magnétique... « Il est évident, dit-il, que les p
es plus ou moins semblables au somnambulisme, qui se montrent dans un sommeil morbide, normal, et tout à fait contraire à l’éta
l’état de veille et souvent périodique, présentant presque l'image du sommeil , durant laquelle le malade tout à la fois gesticu
fonctions qui appnrliennenl 6 l'èlat do veille s'exécutent pendant le sommeil (Franck). mil" en effet, tiennent les yeux fe
’instinct et l’imagination s'exaltent, et qu’on appelle ordinairement sommeil magnétique, parvenu au degré dit de clairvoyance
x de l’observateur consciencieux ? Rien n’y est oublié, le coma, le sommeil magnétique, le somnambulisme (prévision, intuitio
mage, et de l’hystérie. 2. De ta léthargie. — La léthargie étant un sommeil qui se distingue par sa force et sa durée, diffèr
on, et ne présente aucun phénomène remarquable, si l’on en excepte le sommeil . SOMNAMBULISME. 1. Le somnambulisme arrive pe
le sommeil. SOMNAMBULISME. 1. Le somnambulisme arrive pendant le sommeil . 2. Le sommeil pendant lequel se montre le somn
MNAMBULISME. 1. Le somnambulisme arrive pendant le sommeil. 2. Le sommeil pendant lequel se montre le somnambulisme est nor
. 2. Le phénomène qui accompagne la somniation, sous l’apparence du sommeil , est morbide, anormal et diffère entiè' rement du
pparence du sommeil, est morbide, anormal et diffère entiè' rement du sommeil naturel. 3. Après la sommation, il ne reste p
nuation. Le phénomène qui accompagne la sommation sous l’apparence du sommeil est morbide et anormal et diffère entièrement d’u
parence du sommeil est morbide et anormal et diffère entièrement d’un sommeil sain et normal, comme Darwin et Slieglibz l’ont d
avec raison, et comme il sera évident par la comparaison suivante : SOMMEIL . 1. Les paupières sont lâches. 2. Les muscles
magnétisme animal comme traitement de l'agrypnie (absence morbide de sommeil ), et joignant la pratique à la théorie, il ajoute
ffocations ou do pesanteur et d'oppression sur la poitrine pendant le sommeil , avec un désir ardent de changer do place sans qu
t du lieu de la séance, tandis que l’autre tombait dans une espèce de sommeil magnétique bien propre à me servir de démonstrati
professeur pense que l’àme se détache de la matière ' dans l’état de sommeil magnétique, se déplace et communique aux organes
ien son esprit (pas dans lé sens des spirites) voyageaient pendant le sommeil magnétique. Je ne résous pas la question , j’atte
concourent la volonté, l’imagination et la sensibilité physique? Le sommeil magnétique rend-il lucides les personnes qui subi
divisée en deux camps, l'un qui croit aux mystérieuses influences du sommeil , l’autre qui, tour à tour, s’efforce d'en démontr
pour découvrir les douleurs des malades qui le consultaient. Dans mon sommeil extatique, disait-elle, j’aperçois dans l’intérie
du docteur X..., qui, comme le prétend la dé-« fense, se servirait du sommeil magnétique de la femme « A... pour avoir d’une ma
sse, dans certains cas, des pressentiments qui se manifestent dans le sommeil . Nous ne comptions pas sur un aussi grave témoign
sens extérieurs et qu'elle ne puisse plus se réfléchir. Ainsi dans le sommeil profond la conscience disparaît et nous vivons sa
uvenir au réveil, ou quand l’esprit revient à lui-même. Comme dans le sommeil , ces personnes se voient objectivement, et de mêm
ensée et la volonté propre. Nous l'éprouvons tous les jours, quand le sommeil nous gagne. Le premier signe intérieur que nous n
ns leur cours habituel. Il en est de même dans cet état analogue au sommeil qu’on appelle la rêverie, parce qu’on y rêve tout
, et la fin la plus ordinaire de ces situations romanesques, c’est le sommeil . L’évanouissement, la syncope, les faiblesses, la
assée, elle se reproduit quelquefois, particulière- ment flans le sommeil où cette personne se voit double, vivai t il la f
tisait deux dames, dont l’une jouait très-bien aux cartes pendant son sommeil magnétique, malgré le minutieux bandage qui lui c
nale. Il lui dit avoir vu un pigeon mâle faire tomber dans un profond sommeil un pigeon femelle , avec lequel il croisait son r
iblesse extrême. Huit jours de magnétisation : toux calmée, retour du sommeil et des forces, bien-être général. Novembre 1855
ide de deux magnétisations, dont la première a amené immédiatement le sommeil . Mai-juin. Mademoiselle Clém. de P., il Francfo
tous les remèdes imaginables , a ob-tenirun quart d’heure de paisible sommeil . Le cruel hôte, après avoir parcouru successiveme
me jour, vers le soir, procurèrent au patient cinq ou six heures d’un sommeil assez paisible. Quarante-huit heures suffirent po
et obtint un grand succès; car je m’endormis d’un calme et tranquille sommeil . Mais, chose extraordinaire, lorsque son mari la
ent sensible à l'action magnétique. Lorsqu’elle.était plongée dans le sommeil puységuri -que, le magnétiseur n’avait qu’à formu
très-regrettable. C’est ainsi que j’ai magnétisé une personne dont le sommeil magnétique était fréquemment lucide. Dans cet éta
impressions que ceux-ci ne peuvent saish-. « Dira-t-on que dans le sommeil ordinaire, quand nos sens sont assoupis, notre es
s. Aux temples d’Isis et d’Esculape, le malade venait s’endormir du sommeil naturel et n’avait recours à aucun être humain :
ens pour éviter la saignée furent employés inutilement... Un soir, le sommeil apparentqui accompagnait ordinairement la saignée
a position devint de plus en plus précaire. D'accord sur la nature du sommeil dont elle dormait, que nous considérâmes comme l’
deux personnes qui s’emparaient d'elle, j’achevais de dissiper le sommeil par de nouvelles passes négatives. Réveillée dans
u 9 juin 1859. Exercice illégal de la médecine. — Escroquerie. Le sommeil magnétique est-il une vérité ? Bien qu’une foule
se réveiller spontanément. Je crois, sans pouvoir l’affirmer, que le sommeil n’était pas sérieux. M. Mu-rat a fait pour la rév
es, lt> réveil élant consommé. Dans tous les cas, s'il y avait sommeil , il était fort léger. » Onze témoins à décharge
heveux de l’enfant malade. C’était alors son mari qui l’endormait. Le sommeil était bien réel. J’avais des doutes avant, je n’e
cependant quelquefois, en désespoir de cause, après avoir provoqué le sommeil sur un sujet plutôt sain que malade, de chercher
ui se trouvait là par hasard et qui était plongé dans le plus profond sommeil . 11 me fut alors facile de comprendre pourquoi je
àl’époque qu'avait désignée ce fils si pieux et si tendre pendant son sommeil . Quand je lui eus promis que je ferais ce qu’il d
pourquoi je l’avais endormi. 11 est vrai de dire qu’une fois dans le sommeil , il lisait fort bien dans ma pensée, et que si je
devin employe les cartes, le verre d’eau, la chiromanie, etc., ou le sommeil magné- tique. Au point de vue légal, tout cel
cessent, nos yeux se ferment involontairement et nous tombons dans un sommeil plus ou moins profond. Parfois, ce fluide a le
ononcé ces remarquables paroles : « L’homme, dit-il, plongé dans un sommeil factice , voit à « travers les corps opaques à de
ère différents ouvrages au crochet. Uu jour qu'elle était endormie du sommeil magnétique, elle annonça son projet de faire, dan
conservait aucun souvenir de ce qu'elle avait fait la nuit. Dans son sommeil magnétique, elle se rappelait ce qui s’était pass
ux, il y eut une particularité qu’il est bon de noter : étant dans le sommeil magnétique, elle discuta d'avance avec son magnét
le fluide doit être donné à doses répétées, mais faibles) à passer au sommeil magnétique, au somnambulisme et à la catalepsie.
’autre, jesuis pourtaut allée voir mes enfants cette nuit pendant mon sommeil . » La veuve Alexandre, bonne des enfants, affirma
que nous sommes que la science magnétique y trouvera son profit. Le sommeil , les songes, la double vue, les prévisions attest
Plusieurs années à l'avance, et pin-sieurs fois par mois, pendant mon sommeil , mon esprit éi-.it préoccupé demon séjour dans un
t moins sansdoute, c’est que M. Lemoine, l’auteur de l’ouvrage sur le sommeil qui fut dans le temps couronné par l'Académie des
tions tout à fait insolites : au lieu d’arriver la nuit, au milieu du sommeil naturel, il serait venu eu plein midi et en plein
mier et une fille Soucaze, leur servante, étaient les sujets doués du sommeil lucide et du don de seconde vue. A la rigueur,
nétique, qu’un seul de mes regards suffisait pour les plonger dans le sommeil . Mais pour s’endormir et devenir lucides, chose a
hacune dans une chambre différente de mon appartement. Pendant leur sommeil , comme si chacun pressentait qu’il allait se pass
possible que l’étincelle électrique, plongeait instantanément dans le sommeil ces deux êtres qu’on pouvait regarder alors comme
sité une tentative sur un jeune garçon de douze aus; il s’ensuivit le sommeil de celui-ci, qui depuis est sujet à de fréquentes
ùdes efficaces. » (P. 84.) On voit là des exemples de lucidité sans sommeil et amenée par des procédés tout différents de ceu
eux, comme le démontre l’insomnie continuelle dont elle souffrait. Ce sommeil de vingt heures, sans souffle ni mouvement, qui s
s, quels sont donc les organes qui nous donnent des idées dans le sommeil , dans l’extase magnétique? Là les sens ne fonctio
t de vos imaginations et de vos pensées. Si vous étiez plongé dans un sommeil magnétique parfaitement lucide, vous verriez le m
es peuvent aspirer la quintessence du sang des personnes endormies du sommeil naturel, et transmettre cette sève à leur corps e
ueleshommes qui mènent une vie sédentaire et ceux qui se livrent à un sommeil de 9 à 10 heures, ne courent le danger de voir le
position verticale; la même différence s’observe également pendant le sommeil comparativement à l'état de veille. Cette influen
pêchaient la tête de tomber sur la poitrine, comme il arrive quand le sommeil nous surprend assis. Mais vous dormez, lui dis-je
r sur son fauteuil. Je ne pus obtenir que quelques mots confus, et le sommeil prit le dessus. L’idée me vint alors de répéter c
blier,/»/ joignis ce que les adeptes appellent pusses magnétiques. Le sommeil me parut profond, et toutefois la malade répondai
xemple, disait ce médecin, de demander aux sujets qui s’attribuent le sommeil lucide, combien on a de dents. Cette question si
ntpellier, du livre remarquable de M. le docteur Macario, intitulé du Sommeil , des rêves et du somnambulisme dans tétat de sant
s pères pouvaient pour quelques instants s’affranchir de leur éternel sommeil , leur surprise égalerait leur terreur et ils verr
eux, pour combattre, à ce qu’il me parut du moins, un commencement de sommeil . Un léger Iressalllement flefveux la saisit, elle
garder le magnétiseur et son sujet. i Je l’avais vue combattre un sommeil naissant qui me parut sinon naturel au moins asse
s? lui demanda-t-il. « — Bien ! « — Vous êtes sous l’influence du sommeil magnétique ? « — Oui 1 ! « — Cette influence
cer) il n’en voulut rien faire. 11 m’enseigna le moyen de dissiper le sommeil magnétique, moyen que déjà je connais un peu. «
mmeil, les autres pierres de couleur l’agitent, le cristal la lire du sommeil magnétique, le grès la met en catalepsie, le sabl
rger n’élait exacte qu'à demi, car celte femme n’était que prise d’un sommeil très-lourd, connu pathologiquement sous le nom de
Un mois auparavant, elle avait eu une attaque du même genre, mais son sommeil n’avait duré que fort peu de jours. » (Extrait
(Extrait de la Patrie du 20 octobre 1859.) BIBLIOGRAPHIE. DU SOMMEIL , DES RÊVES ET DU SOMNAMBULISME dam l'ctal de rnii
mie des Sciences morales et politiques mit au concours la question du sommeil et de toutes ses variétés, ce qui comprenait le s
en philosophe. Il décrit avec beaucoup de sagacité les caractères du sommeil , ses effets physiques, le rôle qu'y jouent l’inte
uche et ne se réveille que.le 9 octobre à, onze du matin. Pendant c,e sommeil de trente-six heures, le pouls était à 65, réguli
lede la peau, etl’état desyeux qui étaient convulsés vers le haut, ce sommeil paraissait tout à fait naturel. « Le ÿ au soir,
eudi \h octobre, aucun accès. Cejour-là, vers dix heures du matin, un sommeil invincible force la malade à se coucher. Jlême so
s du matin, un sommeil invincible force la malade à se coucher. Jlême sommeil que le 7. La vessie est de nouveau très-distendue
éveil eut lieu le 16, à huit heures du soir. « La périodicité de ce sommeil me décida à employer le sulfate de quinine. «Le
n voulant chercher de l’eau à la fontaine, la malade est prise par le sommeil ; une personne est obligée de la conduire à la ma
r le magnétisme ; pour la première fois, je la questionne pendant son sommeil sur la cause de ses accès; elle me répond quelle
minuit. 1 Après cette réponse, la malade demanda une demi-heure de sommeil . A peu près 5 minutes avant la demi-heure révolue
our-là elle aurait un accès à 9 heures du soir. Enfin elle demande un sommeil de 20 minutes. Au bout de 18 minutes je voulus la
lle me dit qu’elle la fixerait demain. De plus, elle m’annonça que le sommeil anesthésique reviendrait le samedi soir à 10 heur
rsonnes autour d’elle la fatiguent ; enfin elle demande 20 minutes de sommeil . « Après son réveil, la malade va à son travail
draient. « Après ces questions, la malade demande une demi-heure de sommeil , puis demande un verre d’eau et quelques passes s
d’instants après, elle a deux syncopes. «Le 5 novembre. Depuis son sommeil magnétique d’hier, la malade se plaint d’une doul
le sang. — Après le pansement, la malade demande un quart d’heure de sommeil . — Avant de la réveiller, nous lui demandons enco
« Réponse. — Je n’en aurai plus. «La malade demande 10minutes de sommeil . Au bout de ce temps, la malade me demande en grâ
lle rentre chez ses parents. A cinq heures, je la magnétise. Dans son sommeil , elle me dit : «La suppression des règles, le fro
«Le 21. Pas de selles ni d’urines depuis hier. Ce matin, céphalalgie. Sommeil comateux ; quelques rêvasseries ; narines sèches
s avec des coliques et n’a pas.rendu d'urines. Les maux de tète et le sommeil comateux persistent ; le pouteest petit, à 65; un
octeurGros m’accompagne auprès de la malade. Nous la trouvons dans un sommeil comateux interrompu par de légers délires. Elle n
ains et les pieds sont froids. On a de la peine à la réveiller de son sommeil comateux. De temps à autre, elle récite des prièr
fèrent, comme on le voit, nullement de celles qu'on obtient durant le sommeil magnétique. Elles sont aussi produites et détruit
xercée par le pro- cédé ordinaire, parce que, si l’on insiste, le sommeil arrive, et avec lui tous les effets de: volonté p
ur les gens prévenus , est illusionné et halluciné tout comme dans le sommeil (I). Des faits qui précèdent ressortira peut-êt
y l’énonce en disant que si les effets suggérés et commandés, dont le sommeil puységurique paraissait être la condition, s’obti
s les muscles, d’où résulte l’état où la suggestion est possible : le sommeil , la trance et l’extase. La plupart des personnes
ent s’infiuencer ainsi, même celles qu’on ne peut pas plonger dans le sommeil magnétique. J’ai môme trouvé, dit M. Gregory, qu’
mais aussi lorsqu'on essaye en résistant. 11 est même probable que le sommeil , qui nous gagne en lisant des ouvrages abstraits,
cette différence que M. Braid n’a jamais observé la lucidité dans le sommeil produit par son moyen, et cependant il obtient ju
Jobard, Membre étranger do l'Acadimie de Bruxellos. (1) Hypnos: sommeil . Au niomcnl de mettre sons presse, nous recev
rg, 121, 256, 536. Psychologie. Union de l’âme avec le corps. 92. — Sommeil et rêves, 90, 148, 199. 605. — Connaissance de l'
sujet, par M. Rossi, 372. Religion (la) et lo spiritualisme, 208. Sommeil (du), des rèves et du somnambulisme. Question mis
u rapport de M. le Dr Lélut, sur le concours relatif à la question du sommeil , par M. Morin, 149. Spiritualisme. Observations
evant la vérité, par Mabru. Examen et réfutation par M. Morin, 271. Sommeil (du) del rêves et du somnambulisme dans l’état de
27 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
xcitabilité neuro-musculaire servant à caractériser une des phases du sommeil hypnotique, désignée par M. Charcot sous le nom d
r y retomber lourdement. C'est de préférence la nuit, au moment où le sommeil arrive, que survien-nent les secousses; mais cepe
le col de l'utérus, il survenait une attaque. Dans sa thèse sur le Sommeil magnétique clans Vhystérie (Stras-bourg, 1868), B
nt subit que si la cause occasionnelle surprend la malade pendant son sommeil , celle-ci n'a pas le temps de reprendre ses sens.
éclare à six heures du matin. L'attaque l'a surprise au milieu de son sommeil , et lorsqu'on la ré-veille par la compression ova
hase de résolution. Quelques contractures partielles persistent. Le sommeil est parfois interrompu par des ( secousses généra
s dans les membres et dans la face. L'écume coule des lèvres. Suit un sommeil stertoreux peu accusé. La première période dure d
Elle s'endort, selon l'expression des parents, mais d'un sin~ gulier sommeil . Transportée sur son lit, ou étendue à terre sur
rienne arrête subitement l'attaque. Elle a en outre des attaques de sommeil qui se prolongent parfois pendant 36 heures, et d
taques de grands mouvements et de contracture, Del... des attaques de sommeil . La conception de la grande attaque hystérique,
sûr en cela, et sa mère nous affirmant que de fois à autre, durant le sommeil ou pendant qu'elle est au lit, on a pu voir la ja
jour il faut le conduire au bazar et satis-faire ses fantaisies. Le sommeil fait également défaut, l'anémie est profonde. Pou
uche, ovarie à gauche, amblyopie et achromatopsie de l'œil gauche; le sommeil fait totalement défaut et les crises avec perte d
effets différents : tantôt elle amène la résolution musculaire et un sommeil apparent. La respiration de-venant un peu plus li
ina à droite quelques secousses musculaires et une légère tendance au sommeil . Les effets de l'or furent plus actifs. Supportée
lques secousses musculaires, et finalement une tendance invincible au sommeil . Un louis de 100 francs ne put être supporté ta
depuis quinze jours (pilules de Bretonneau). L'hypnotisme provoque le sommeil , la cessation des grimaces et fait naître le déli
grimaces et fait naître le délire. L'éther en inhalations procure un sommeil paisible avec cessation des contractures. 31 ma
l'ouïe, agita-tation, tristesse, impossibilité de fixer l'attention, sommeil par l'hypnotisme, etc. QUATORZIÈME OBSERVATION1
ge dans un ravissement pendant lequel elle fait tout 1. Baillif, du Sommeil magnétique dans l'hystérie. Th. Strasbourg, 1868,
se passe dans le somnambulisme. Cette malade, d'ailleurs, pendant le sommeil provoqué, présentait les mêmes troubles cérébraux
mêmes troubles cérébraux. Nous revien-drons plus loin sur ces cas de sommeil ou de somnambulisme provoqué. SEIZIÈME OBSERVAT
constitue quelquefois toute l'attaque. Elle semble alors dormir d'un sommeil profond, sommeil avec ronflement stertoreux, grav
efois toute l'attaque. Elle semble alors dormir d'un sommeil profond, sommeil avec ronflement stertoreux, grave, et raideur de
tre ces attaques, il lui arrivait souvent de marcher dans cet état de sommeil , avec les yeux ouverts. Une fois, elle tomba, mai
is, elle tomba, mais sans convulsions. Elle essayait de résister à ce sommeil , mais en vain. Cette jeune fdle est d'une intelli
t par une explosion de pleurs et de rires hystériques... Pendant le sommeil , et plus rarement à la suite d'une attaque, les b
hase nouvelle. Leur faciès, jusque-là atone, à peu près comme dans le sommeil , s'anime, devient le siège d'expressions diverses
ans une espèce d'évanouissement tel qu'on la croirait plongée dans un sommeil paisible; puis, quelques convulsions se déclarent
reux; mais les « grands mouvements ))ne suivent pas, et, au milieu du sommeil , survient la phase tonique qui est le début d'un
utes; c'est une ébauche de la deuxième période. Ou bien, au sortir du sommeil , la malade prend une attitude déterminée, elle de
acture générale s'accompagne parfois de perte de connaissance et d'un sommeil léthargique qui peut se prolon-ger plusieurs heur
tout le reste de l'accès. Les accès étaient séparés par une sorte de sommeil , pendant lequel de t. Claye, de Chartres, Journ
le; elle soupire, étend les bras, de-mande à boire, à se coucher. Son sommeil est troublé par intervalles, il lui semble, dit-e
laignait d'être revenue parmi les hommes, et rapporta que pendant son sommeil elle avait vu Dieu et les anges! » (Maury, Revue
mois les attaques convulsives se modifièrent. Il survint des accès de sommeil qui duraient douze heures, et à la suite desquels
la salle, elle fut prise de ce même délire. Nous voulûmes produire I3 sommeil provoqué; elle s'en défendit énergique-ment, nous
Ton a désigné sous les noms de somnambulisme, sommation provoquée, de sommeil nerveux, somm^eil magnétique,etc...Le mot sommeil
ation provoquée, de sommeil nerveux, somm^eil magnétique,etc...Le mot sommeil est peut-être assez im-proprement employé ici, ca
ns que cet état, spécial diffère par bien des caractères du véritable sommeil . M. Charcot préfère le désigner, en attendant mie
ne l'avons vue conserverie souvenir de ce qui s'est passé pendant ce sommeil -. En résumé, on voit que les deux états que no
int en même temps le réveil, et laisse la malade dans le même état de sommeil que celui dans lequel elle se trouvait au moment
'at-taque, elle ramène du coup la connaissance et fait disparaître le sommeil hypnotique. L'hyperexcitabilité neuro-musculair
alepsie pour se résoudre au moment où on la plonge de nouveau dans le sommeil . Si l'on provoque le réveil pendant qu'elle est c
alors on peut lui donner une attaque convulsive ou la plonger dans le sommeil léthargique. Quand elle se réveille, elle sort co
bituellement chez elle. Mais elle reste hémianesthé-sique. Pendant le sommeil hystérique provoqué par la fixité du re-gard, ret
e à elle-même, ne se réveille pas, elle ne tombe pas non plus dans le sommeil . Son œil demeure toujours grand ouvert, elle est
néral. Ainsi la résolution des membres n'est pas complète. Pendant le sommeil léthargique avec hyperexcitabilité muscu-laire, l
oyé déjà par M. Lasègue, provoque, chez la plupart de nos malades, un sommeil qui n'est autre que la létiiargie que nous avons
t le somnambulisme paraît plus parfait. Pendant ce deuxième état de sommeil , si l'on vient à exercer une pression sur les glo
yperexcitabilité musculaire. La malade est de nouveau dans le premier sommeil , la léthargie avec hyperexcita-bilité. De sorte q
rtex est plus ou moins forte. 2" La production de ce nouvel état de sommeil est d'autant plus facile qu'il a été provoqué plu
ésie spéciale qui permettent de le rapprocher de ce qu'on a appelé le sommeil magné-tique ^ (Voy. obs. IV et V de lalP série.)
pts de mystère, par ce qu'il offre les plus grandes analogies avec le sommeil qu'obtiennent les magnétiseurs par des maooeuvres
ateur de magnétisme exercé dans les pratiques destinées à procurer le sommeil magnétique, endormit devant nous plusieurs de nos
Contrairement à ce qui se passait dans nos expériences, l'invasion du sommeil avait été progressive, sans la moindre secousse,
offre les plus grandes analogies, ainsi que je l'ai déjà dit, avec le sommeil magnétique. Il peut être obtenu, comme on l'a vu,
llucination pi'Ovoquée dans l'expérience suivante : Plongée dans le sommeil sans hyperexcitabilité, les oulèvement des paupiè
aupières ne ramène plus l'état cataleptique comme cela a lieu pour le sommeil avec hyper-excitabilité. Dans ces deux sommeils t
me cela a lieu pour le sommeil avec hyper-excitabilité. Dans ces deux sommeils toutes les hallucinations peuvent être provo-quée
s. Je n'ai pas eu occasion de vérifier ces assertions. » {Note sur le sommeil nerveux ou hypnotisme, par le D'' Azam (de Bordea
olution hystérique. Caractères.— Lasègue décrit ainsi l'invasion du sommeil hystérique provoqué par la pression oculaire :
convulsés en haut, la malade cesse de répondre et elle s'endort d'un sommeil profond, iden-tique au sommeil naturel, avec cett
esse de répondre et elle s'endort d'un sommeil profond, iden-tique au sommeil naturel, avec cette différence qu'elle reste plus
t toute possibilité de simulation, etc.. )) Si rapide qu'ait été le sommeil produit par la simple occlusion des yeux, il n'a
suivant la constitution nerveuse de la patiente K » Au début de ce sommeil nous avons presque toujours observé chez nos mala
yperexcitabilité muscu-laire subsiste, ce qui ne veut pas dire que le sommeil sans hyper-excitabilité musculaire soit toujours
rapportés dans les auteurs sous le nom de som-nambulisme hystérique, sommeil hystérique, sommeil hypnotique, uiérine grave,
auteurs sous le nom de som-nambulisme hystérique, sommeil hystérique, sommeil hypnotique, uiérine grave, une liématocèle prob
de l'hyperexcitabilité musculaire un signe obligé de cette variété de sommeil , pour le distinguer de cet autre sommeil où l'hyp
e obligé de cette variété de sommeil, pour le distinguer de cet autre sommeil où l'hyperexcitabilité ne se rencontre pas L'hy
é musculaire, sans être expressément signalée, a été entrevue dans le sommeil hypnotique : les bras étant dans la résolution, o
re pas confondus. D'un mot, on pourrait dire que le premier répond au sommeil hypnotique et le second au sommeil dit magnétique
rait dire que le premier répond au sommeil hypnotique et le second au sommeil dit magnétique. Parmi les signes qui peuvent serv
savons que dans l'état léthargique avec hyperexcitabilité, ou premier sommeil , Car... est fort mauvaise somnambule, elle ne par
nt. .Vu contrain; dans la léthargie sans hyperexcitabdité ou deuxième sommeil , elle répond très facilement aux diverses questio
longée dans cet état que j'appelle pour plus de concision le deuxième sommeil , la pression sur l'œil gauche ramène l'hyperexci-
notement des paupières est signalé dans de nombreuses observations de sommeil hystérique et de catalepsie. Dans ces derniers ca
côté droit du corps, c'est le cerveau gauche qui retourne au premier sommeil . En ce cas, bien que tout le côté gauche et avec
tout le côté gauche et avec lui le cerveau droit, dorme du deu-xième sommeil . Bar., est arrêtée net dans son discours; on ne p
hystériques artificielles cédaient aux frictions exercées pendant le sommeil provoqué (Obs. III, 1" série). Nous trouvons dans
, ce qui n'offrit aucune difficulté ; au bout de quelques minutes, le sommeil provoqué était obtenu, et cependant les contractu
s de raideur. Enfm, il dit qu'il est des cataleptiques n'ayant que le sommeil , et, bien qu'il ne soit pas question d'hyper-exci
, bien qu'il ne soit pas question d'hyper-excitabilité musculaire, ce sommeil ne saurait être autre chose que la léthargie dont
mènes épileptoïdes. Si, au contraire, l'inva-sion de cette variété de sommeil s'opère graduellement sous Fin-fluence d'une exci
que nous venons d'étudier, peut être quelquefois spontanée pendant le sommeil artificiel. Raillif en cite un exemple : « Pend
les variétés suivantes : 1° Attaque de léthargie simple (attaque de sommeil , attaque de léthargie des auteurs). 2° Attaque de
que trois cas d'hystérie avec des attaques consistant eu un véritable sommeil . « Dans ces trois cas, dont les causes ne prése
les malades s'endormaient très rapidement. Elles avaient un véritable sommeil , leur face n'offrait rien de parti-culier, leur r
verses expériences dont il a été question, elle tomba un jour dans un sommeil qui dura jusqu'au lendemain matin et dontil fut i
ait également sans résultat. Nous étions évidemment en pré-sence d'un sommeil d'un autre genre que celui que nous avons étudié
rapporte f observation d'une hystérique qui, pendant les attaques de sommeil , était tourmentée par un délire dont elle conserv
stérie vulgaire, est prise, en outre, de temps à autre, d'attaques de sommeil dont voici quelques exemples : 20 juin. — A cin
dinaires qui se succèdent au nombre de cinq. A dix heures, attaque de sommeil qui dure jusqu'au 22 juin à dix heures du matin.
squ'au 22 juin à dix heures du matin. Pendant cette longue attaque de sommeil , Del... a uriné au lit. On l'a changée de linge s
7 juillet. — Quatre attaques convulsives. 8 juillet. — Attaque de sommeil de six heures du soir jusqu'au lendemain matin di
soir jusqu'au lendemain matin dix heures. il juillet. — Attaque de sommeil de six heures du matin jusqu'à quatre heures du s
heures du matin jusqu'à quatre heures du soir. 3 août, — Attaque de sommeil qui a duré de dix heures du soir jusqu'au 5 août
n'a pas uriné au lit. 30 août, — Del... est prise d'une attaque de sommeil depuis trente-huit heures environ. Elle aurait eu
ée sur elle par une de ses compagnes, puis elle serait tombée dans le sommeil . Ce matin l'attaque de sommeil dure encore. C'e
nes, puis elle serait tombée dans le sommeil. Ce matin l'attaque de sommeil dure encore. C'est un sommeil que les excitations
ans le sommeil. Ce matin l'attaque de sommeil dure encore. C'est un sommeil que les excitations les plus variées ne peuvent r
mprimer et le globe oculaire ne se laisse pas découvrir. Pendant ce sommeil , elle a des rêves, des cauchemars, elle cherche à
est réveillée. La compression ovarienne fait cesser com-plètement le sommeil . Questionnée sur ses rêves, la malade n'est pas,
(deuxième période) et bientôt retombe inerte; elle est reprise de son sommeil . Le sommeil vient donc ici au lieu et place de la
riode) et bientôt retombe inerte; elle est reprise de son sommeil. Le sommeil vient donc ici au lieu et place de la troisième p
ort tout d'un coup sur le lit d'une voisine à sept heures du soir; le sommeil dure jusqu'à cinq heures du matin. Mélan-colie ju
arler. Une séance d'electrisation lui rend la parole et la gaieté. Le sommeil la reprend à deux heures. 23 septembre. — S'end
re la nourriture qu'on lui propose. Je rapprocherai des attaques de sommeil spontané, l'intéres-sante relation d'un cas de lé
s'alourdit comme le fait la conversation d'une per-sonne qui tombe de sommeil , puis la malade se tut; c'est alors que nous eûme
uant même fortement, rien n'y fit, la malade semblait plongée dans un sommeil profond avec anesthésie générale et résolution mu
nt durer cet état qui ressemblait (n'était l'anesthésie absolue) à un sommeil naturel, nous retirâmes l'aimant : au bout de six
on avait débandé les yeux) ouvrit les paupières et sembla sortir d'un sommeil pro-fond, ne se rappelant qu'une chose : c'est qu
es choses restant ainsi pendant dix minutes sans que rien survint, ni sommeil ni anesthésie, nous mîmes (toujours sans rien fai
as écoulées que la malade retomba de la même manière, dans un état de sommeil com- plet avec anesthésie générale. Cette fois,
complètement à elle, dit n'avoir rien éprouvé, rien rêvé pendant son sommeil , mais sentir parfaitement qu'elle avait, sur le v
t devant M. Hardy, soit devant les élèves de la clinique, toujours le sommeil avec anesthésie, véritable état léthargique, se p
de la substi-tution de l'aimant au fer pour plonger la malade dans le sommeil » Ce fait est fort remarquable parce qu'il mont
quable parce qu'il montre la production artificielle d'une attaque de sommeil semblable à celles qui sur-viennent spontanément.
vrant les yeux de la malade, le réveil était presque instantané. Le sommeil survenait au boutdedeux minutes environ, toujours
sur lesquelles nous avons expéri-menté. En résumé, les attaques de sommeil hystérique sont souvent précédées de phénomènes c
que, dans la léthargie provoquée, la malade, au moment où survient le sommeil , présente quelques signes épilep-toïdes, inspirat
es phénomènes semblables inaugurent, d'après Briquet, les attaques de sommeil . §2. — ATTAQUES DE LÉTHARGIE AVEC MORT APPARENT
e céphalalgie intense, une grande sensibilité et irritabilité, peu de sommeil , convulsions générales, sans écume à la bouche; l
a de suite dans un autre appartement, où elle l'ut bientôt prise d'un sommeil qui dura dix heures. La convalescence marcha asse
rait de ceci que l'attaque de véritable léthargie, comme l'attaque de sommeil , est habituellement précédée de phénomènes convul
ête l'oreiller. La crise se termina au bout d'un quart d'heure par un sommeil analogue à celui que nous avons observé. La mal
son mariage, les vomissements ont été plus fréquents, et les accès de sommeil sont revenus chaque année, pendant l'espace de qu
cette année elle ne pouvait garder aucune nourriture, et les accès de sommeil commençant dès le matin duraient parfois toute la
éveilla tout doucement comme une personne qui sort difficilement d'un sommeil ordinaire. Je lui parlai, elle me répondit qu'ell
ta toute la série d'expériences que j'avais faites sur elle avant son sommeil té-tanique. Je causai deux ou trois minutes ave
mposée de convulsions et de délire était arrêtée par la production du sommeil hystérique sous l'influence de la pression oculai
simu-ktion. La présence de l'hyperexcitabilité musculaire pendant le sommeil ainsi provoqué vint lever tous les doutes et éloi
ayer. M. Pascal a attendu jusqu'à ce moment avant d'avoir re-cours au sommeil hystérique provoqué par le médecin. La malade e
se fait peu à peu et bientôt la malade semble plongée dans un profond sommeil . La résolution est com-plète, le visage est calme
de faire cesser. Par le même procédé le médecin ordinaire provoque le sommeil hystérique comme il l'a déjà fait une première fo
a spécificité en quelque sorte du moyen employé pour le provoquer, le sommeil hystérique qui chez ceHe jeune fille mettait ains
Ces faits sont ceux dans lesquels la malade présente l'attitude du sommeil . Les yeux sont fermés, les paupières clignotantes
s accès était de peu de durée, et séparé du suivant par une espèce de sommeil léthargique. Hoquet, ballonnement du ventre, et
quefois tous les symptômes. Cet état ressemble alors à un véritable sommeil ; et si pendant ce som-meil, on imprime à la main,
ronc et à la tête. Toutes les fois que la malade est calme et dans le sommeil extatique que nous venons de signaler, on peut re
naler, on peut reproduire ces mouvements cataleptiques. Cet état de sommeil n'est pas le seul qu'elle présente dans les accès
de pandiculatioa, des bâillements, comme si elle allait sortir de son sommeil , et la plupart du temps cela n'a pas lieu. D'au
ou moins variées. » (P. 44,45 et 46.) Ni fatigue, ni propension au sommeil , ni souvenirs. Attaques de plus en plus fréquen
s voyons que pendant son attaque la malade présentait Fap-pai^ence du sommeil , elle avait les yeux fermés. La catalepsie n'exis
sion ovarienne, la malade est plongée par la fixité du regard dans un sommeil dont voici les caractères : Que les yeux soient
e aussitôt. A quatre heures du matin, la malade tombe dans un profond sommeil . Dans le décubitus dorsal, la bouche entr'ouverte
sommation artificiehe, dans laquelle il fait ren-trer tous les cas de sommeil magnétique, ne nous paraît autre que le somnambuh
ôt le malade présente ? plus ou moins l'image d'une personne prise de sommeil . En effet, s'il n'a pas les yeux toujours fermés,
ue l'accès est passé, les malades reviennent à eux comme sortant d'un sommeil ; d'autres fois ils marchent comme des somnambule
es prolongées, Inrmes, puis apparition de l'état cataleptique et d'un sommeil que j'appellerai patholo-gique, car ce n'est pas
ns tant que la malade est dans l'état somnambulique actuel. Dans ce sommeil , le toucher, le goût et l'odorat, qui dans l'état
cume; rémission; nouveau paroxysme et terminaison par des rires et un sommeil réparateur; émission d'urine abondante au réveil.
ant la nuit, mais elle s'est tenue tranquille pour ne pas troubler le sommeil des autre malades. L'anestliésie est complète a
x e perdait complètement l'usage de ses sens.....Le plus souvent le sommeil continuait quoi qu'on fit. Et l'enfant rêvait t
es : 1 dans l'une, la malade ressemble à une personne plongée dans un sommeil calme : c'est la forme simple; dans l'autre, on p
et en dedans; les yeux se ferment, les bras retombent inertes, et le sommeil s'établit habituellement après quelques mouvement
que pendant l'état normal les sensations qui, chez elle, précèdent le sommeil et suivent le réveil, sans omettre les migrations
nt bril-ler à ses yeux la lumière d'un ruban de magnésium. A peine le sommeil était-il obtenu qu'elle se plaignait de douleurs
cri, et avait une petite attaque convulsive. Au dé-but de son premier sommeil , il y avait un léger raidissement du corps et un
Puis les attaques changent de forme, et surviennent des atta-ques de sommeil dans lesquelles nous trouvons comme symptôme préd
ce jour, l'insomnie est remplacée par des accès brusques et subits de sommeil . En parlant, en mangeant, en faisant de la musiqu
en mangeant, en faisant de la musique, elle tombe tout à coup dans un sommeil profond dont il est difficile de la sortir, et qu
espace de temps, soit pendant plus de dix et douze heures. Pendant ce sommeil , les yeux sont convulsés, ren-versés en arrière.
e an-nulée. y Le soir, l'enfant s'endort aussi brusquement; mais le sommeil prend un caractère d'agitation tout particulier.
s. 11 existait, en outre, des attaques de catalepsie, et des accès de sommeil artificiels pouvaient être pro-voqués, qui ont pr
uis quelques minutes, jusqu'à un jour entier et plus. Les essais de sommeil artificiel tentés chez elle ont complètement réus
mblement qui n'ont été que passagers. » Elle paraissait endormie du sommeil naturel; coloration ordinaire du vi-sage, respira
reprennent leur première position. 1. Hystéricisme et hrjstérie, du sommeil hystérique en particulier, par Fernand Espanet, 1
figure a repris un air de dépit de ce qu'on venait de l'endormir. Le sommeil n'avait été pro-longé que de dix minutes. La mala
u souvenir, au réveil, de tout ce qu'elle a fait ou a dit pendant son sommeil . C'est du moins la malade qui l'affirme. » Aujo
d'heure que la catalepsie dura, celle fille revint comme d'un profond sommeil , et, connaissant à l'air des assistants qu'elle a
tique, la malade âgée de 14 ans était très facilement plongée dans le sommeil par les procédés du ma-gnétisme, ce qui ne s'obte
psie et l'on obtint sur-le-champ la cessation de cette dernière et le sommeil . Pendantle sommeil elle répondait aux questions
ur-le-champ la cessation de cette dernière et le sommeil. Pendantle sommeil elle répondait aux questions qui lui étaient adre
itude de boire. En 1870, après des excès plus fréquents, il perd le sommeil , est agité par des hallucinations ; il s'imagine
l'eau-de-vie et des liqueurs de toute sorte. Il perd l'appétit et le sommeil , et se voit obligé à plusieurs re-prises de s'ali
s, il parle, crie, est sans cesse en mouvement. La nuit se passe sans sommeil . Le 4, à la visite, les hallucinations persiste
nt pas à en modifier la situation. La contracture persiste pendant le sommeil et ne cède, momentanément toutefois, qu'à une chl
restera éveillée, car le spasme est généralement relâ-ché pendant le sommeil ... {Lectures illustratives of certain local nervo
s persistaient invariable-ment toute la journée, cessaient pendant le sommeil , pour repa-raître le matin aussitôt le réveil. La
les convulsions, amènent la résolution, et plongent la malade dans un sommeil suivi souvent d'un délire spécial . Les inhalat
es discours et pro-féraient des menaces. « Dans un état qui tenait du sommeil magnétique », ils déclaraient que si on ne se hât
t le Magnificat, durant quoi, la fille est revenue comme d'un profond sommeil . » 1. Bosrogcr, loc. cit., p. 264. édit. in-4o
ecins qui ont vu ces paroxysmes les ont assimilés au somnambulisme ou sommeil magnétique, sans qu'aucun d'eux ait cru pouvoir d
28 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
les choses du matin au soir, sans interruption aucune, si bien que le sommeil seul met trêve aux bâillements ; il fut un temps,
s symptômes comateux un phénomène qui, volontiers, précède et suit le sommeil naturel, je les croirais, en pareil cas, si j'en
esque incessante pendant la veille et s'arrêtant seulement pendant le sommeil , pour reparaître le matin dès le réveil. Les nuit
t plus. Souvent, la malade, après les attaques, tombe dans un profond sommeil . Voilà certes une série d'accidents qui, au pre
me le sont beaucoup d'autres symptômes hystériques du même genre : le sommeil les supprime complètement. Dans la journée, même
er l'intensité des mouvements de tics qui autrement le priveraient de sommeil . La secousse du membre supérieur droit que nous
sujet de ces rêves pénibles qui lui font re clouter de chercher le sommeil . «Je vois, dit-ilsouvent,presque toutes les nuits
iclinique du Mardi 13 Novembre 1888 QUATRIÈME LEÇON 1° Attaque de sommeil hystérique ; 2° Amyotrophie par lésion articula
blables, on assiste sans anxiété, sans émotion à ce 1. L'attaque de sommeil s'est terminée le 29 novembre. — La malade a donc
ent parmi ces hystériques-là du reste que s'observent les attaques de sommeil . Elle est rentrée à la Salpêtrière en 1862, il
les termes que j'emploie, — se sont changées, dis-je, en attaques de sommeil . La première fois que la malade a « dormi », son
e sommeil. La première fois que la malade a « dormi », son attaque de sommeil a duré quarante jours, et depuis cette époque-là
ceux d'entre vous qui s'intéresseraient spécialement aux attaques de sommeil à consulter les documents que je viens d'indiquer
c un grand cas dans l'espèce. Il y a mieux que cela cependant, car le sommeil de ce genre peut durer non seulement pendant des
4) ; mais les petits cas, ceux dans lesquels les attaques de prétendu sommeil durent seulement trois, quatre, huit, dix, douze
ésolution qui caractérise au contraire l'attitude des membres dans le sommeil physiologique ; mais ne vous attendez pas à trouv
forts pour découvrir l'œil. Evidemment cela n'appartient nullement au sommeil naturel ; non plus que l'absence très remarquable
remarquable de toute espèce de ronflement dans une circonstance où le sommeil — ou ce qu'on appelle de ce nom — est tellement p
ériences-là, quiseraient absolument décisives s'il s'agissait du vrai sommeil , ne provoquent ici aucun changement, pas même un
, vous l'avez compris, il ne saurait être question dans notre cas, de sommeil naturel et il y a lieu par conséquent de faire ic
el. Ainsi sont les choses en réalité clans tous les cas d'attaques de sommeil que j'ai observés jusqu'ici. Mais il ya excitants
ints hystérogènes dont l'excitation dans l'intervalle des périodes de sommeil est capable de faire éclater les accès convulsifs
s les points en question peuvent être utilisés soit pour provoquer le sommeil lui-même, soit au contraire pour provoquer le rév
Bulletin médical du 2 décembre 1887. Chez elle on pouvait produire le sommeil ou au contraire y mettre un terme à volonté, le p
ions despaupières, l'absence du ronflement qui devrait accompagner un sommeil en apparence aussi profond, l'impossibilité de pr
tout cela concourt à établir que nous ne sommes pas en présence d'un sommeil physiologique. Et si nous y regardons encore de p
emps relativement aux cas de ce genre. C'est à savoir que le prétendu sommeil n'est autre chose qu'une attaque hystérique modif
quer à l'appui de cette manière de voir. En premier lieu l'attaque de sommeil est, dans bon nombre de cas,précédée et suivie de
hez notre malade d'aujourd'hui: au moment où elle va entrer dans son« sommeil » elle est agitée, rit et pleure sans motif, elle
phénomènes d'hystérie convul-sive à la fin et au début des crises de sommeil soit un fait général. Non, certainement cela n'es
e comme si elles venaient d'être frappées d'apoplexie foudroyante. Le sommeil a commencé aussitôt et il se prolonge désormais a
e fois nous avons vu nos « dormeuses » entrer tout â coup dans leur « sommeil » et se laisser choir soudain lourdement, sur le
reviens aux caractères qui doivent nous conduire à admettre que le « sommeil hystérique » est en quelque sorte l'équivalent d'
convulsifs ou psychiques qui souvent sont le prodrome de l'attaque de sommeil et marquent sa terminaison. Eh bien, les mêmes ph
uemment, en manière d'épisodes, pendant la durée même de l'attaque de sommeil à plusieurs reprises. C'est ainsi que vous avez
ttitudes passionnelles). Ainsi l'on peut dire que pendant Vattaque de sommeil , les phénomènes de l'attaque convulsive se manife
cela se voit fort bien par l'histoire d'Eudoxie H...,les attaques de sommeil sont souvent pendant des années précédées par des
ent expliquer, s'il est vrai comme vous le prétendez que l'attaque de sommeil soit l'équivalent d'une série d'attaques convulsi
état de mal hystérique en un mot, comment expliquer que l'attaque de sommeil puisse se prolonger pendant des jours et des mois
e mal hystérique, à la vérité exceptionnels, et les cas d'attaques de sommeil , l'écart, du moins en ce qui concerne la durée, n
s ce rapport il y a encore un rapprochement à faire entre rattaque de sommeil et l'état de mal hystérique, car dans celle-là co
i au moins fort vraisemblable, pour ne pas dire plus,que l'attaque de sommeil représente une attaque ou plus exactement une sér
différence que je ne voudrais pas passer sous silence,c'est que le « sommeil » une fois constitué s'établit pour un temps, à l
e reste plus grand'chose à vous dire concernant le cas d'attaque de « sommeil » que vous avez sous les yeux et les « attaques »
que de « sommeil » que vous avez sous les yeux et les « attaques » de sommeil considérées en général. Voici cependant l'énoncé
ent notre malade peut-elle se nourrir pendant cette longue durée d'un sommeil profond ? On pourrait invoquer ici, messieurs,
athelineau ont en effet démontré par l'étude méthodique de six cas de sommeil hystérique —six cas, vous le remarquerez en passa
'ai déjà montré les différences assez considérables qui séparent le « sommeil » de nos dormeuses du sommeil naturel. Il serait
s assez considérables qui séparent le « sommeil » de nos dormeuses du sommeil naturel. Il serait trop long à l'heure qu'il est
les autres états qui de près ou de loin ressemblent plus ou moins au sommeil physiologique. Je me bornerai à vous montrer en q
eil physiologique. Je me bornerai à vous montrer en quoi l'attaque du sommeil hystérique, diffère « des sommeils » propres à ce
à vous montrer en quoi l'attaque du sommeil hystérique, diffère « des sommeils » propres à certaines formes de la névrose hypnot
éthargique de ce genre d'hypnotisme caractérisée par l'apparence d'un sommeil profond avec résolution des membres pourrait être
avec résolution des membres pourrait être confondue avec l'attaque de sommeil hystérique ; laquelle attaque d'ailleurs peut êtr
rmine pas la contracture des muscles correspondants dans l'attaque de sommeil hystérique, tandis que, dans la léthargie hypnoti
je ne l'ai pas rencontré encore dans les autres cas assez nombreux de sommeil hystérique que j'ai observés jusqu'à ce jour. Vou
e ; il est possible en effet qu'elle se retrouve dans d'autres cas de sommeil hystérique lorsqu'on prendra le soin de l'y reche
as de séparer cliniquement cette apoplexie hystérique de l'attaque de sommeil , par la simple raison qu'à mon avis il s'agit là
erait que dans les cas signalés par MM. Debove et Achard l'attaque de sommeil à début brusque est suivie d'hémiplégie, tandis q
que j'ai eu longtemps dans mon service et chez lequel les attaques de sommeil marquées par tous les caractères décrits plus hau
qui occupait la scène. Mais en voilà assez pour aujourd'hui sur le sommeil hystérique : c'est un sujet sur lequel j'aurai ce
uent, pendant huit nouveaux jours, sans cesse et sans trêve, dormi du sommeil particulier dont nous venons de lavoir dormir.
, sans répandre le contenu. Toutefois il lui est impossible d'écrire. Sommeil agité. Le traitement jusqu'ici a consisté dans l'
digitale. Poudre de viande, potion de Todd. Dimanche 25 novembre. — Sommeil très agité lanuit ; il crie, délire, appelle sa m
zones hystérogènes déterminée inconsciemment par le malade durant son sommeil . Peu importe du reste, pour le moment, que, pou
ue les roues lui avaient passé sur le corps. Plusieurs fois, dans son sommeil troublé on l'a entendu s'écrier : « Arrêtez ! ne
e prostration profonde ; il ne mangeait plus ; ses nuits étaient sans sommeil , agitées par des rêves affreux et quelques jours
semble indiquer que les douleurs rachidiennes se sont atténuées ; le sommeil n'est plus agité comme auparavant par des rêves t
temps, sont devenues presque continuelles,elles empêchent souvent le sommeil . Miction difficile ; la vessie se vide en cinq ou
s beaucoup plus rares et très supportables. Elles n'empêchent plus le sommeil . Le signe de Romberg a en grande partie disparu.
où les douleurs étaient devenues presque continues et empêchaient le sommeil . Nous ne devons pas oublier que, plusieurs fois,
que l'état général lui aussi s'est le plus souvent amélioré et que le sommeil , fréquemment, est devenu meilleur, circonstance q
re maladesde ce genre ayant subi de sept à vingt-trois suspensions,le sommeil est devenu meilleur, en même temps que le sentime
ssions pénibles. Le malade perd l'appétit. Il ne dort plus que d'un sommeil agité par des rêves pénibles. Il voit en songe de
es, sentiment d'impuissance, absence de volonté, émotivité excessive, sommeil troublé par les rêves dont nous avons parlé déjà
cet organe est normale. Depuis le début de la maladie actuelle, le sommeil est fort écourté ; il dure à peine trois ou quatr
stant après être réveillé. Il affirme que ces images, soit pendant le sommeil , soit après le réveil, sont toujours placées, par
d'attaques, mais bien des équivalents d'attaques : la nuit, dans son sommeil , souvent il étouffe, c'est comme un poids qu'il a
re. lre Malade Une jeune fille paraissant plongée dans un profond sommeil est amenée dans la salle du cours sur un brancard
tement au moment où je vous l'ai montrée, un bel exemple d'attaque de sommeil hystérique. Je viens de faire placer sous vos yeu
tre atteinte au moins une fois chaque 37 année, de son attaque de sommeil . A part ces circonstances, les deux cas sont vous
he, Le 23 janvier, dans la matinée, survient la première attaque de sommeil ; le réveil a eu lieu le 25 au soir, c'est-à-dire
le chiflre 37,700 observé le 23 janvier jour où commença l'attaque de sommeil . Les jours qui suivent l'attaque, la malade ne
elinau ont démontré, vous ne l'ignorez pas, par l'étude de six cas de sommeil hystérique que, pendant la durée de l'attaque, le
ne heure ; elle se remet au lit et, à peine couchée, elle s'endort du sommeil pathologique, avec frémissement vibratoire des pa
lendemain 1er février. L'état est le même absolument : apparence d'un sommeil profond, avec résolution complète des membres, tr
jours passés. La température est à 37,5. Même apparence d'un profond sommeil , sans ronflement toutefois. Bien que tous les me
rapides qui se font aux paupières montrent bien que ce n'est pas d'un sommeil naturel qu'il s'agit ici. D'ailleurs voici venir
ses un profond salut. Puis elle retombe sur son lit et rentre dans le sommeil . 11 est vraisemblable que les salutations vont re
jet, sont de nature à justifier l'opinion que je soutiens à propos du sommeil hystérique, à savoir : qu'il n'y faut pas voir au
du volume de l'urine et l'abaissement du taux de l'urée, l'attaque de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu dans les s
ne manqueraient certes pas de produire le réveil s'il s'agissait d'un sommeil naturel quelque profond qu'il fût. Ainsi j'ouvre,
médical, n° du 4 mai 1889 et suivants. sera l'effet, par rapport au sommeil , d'une pression exercée sur ce point douloureux.
le réveil, ce sera une analogie de plus à relever entre l'attaque de sommeil et l'attaque convulsive. D'ailleurs je ne suis pa
eux qui se montraient tout à l'heure spontanément pendant la durée du sommeil , puis se produit l'attitude en arc de cercle à de
r la compression ovarienne sans crainte de voir re paraître soit le sommeil , soit les crises convulsives. Vous le voyez, c'es
tinuent à apparaître de temps à autre, alternant avec des attaques de sommeil . A l'âge de 37ans,apparaissent|les premiers sym
fatigue dans les jambes ; pas de douleurs de tête cependant; mais le sommeil est souvent agité par des rêves effrayants et d'a
équentait dans le temps avec plaisir. Il dort mal ou quand ildort,son sommeil est agité par des rêves très fatiguants et très p
a inauguré le début des phénomènes hystériques a été une attaque de sommeil , ou apoplectiforme comme vous voudrez l'appeler ;
e et en haut, spasme de l'œil gauche. Attaques apoplec-tiformes (de sommeil ), aura et vertiges. Rêve de l'accident, rêves d
ralysie et contracture hystériques développées à la suite d'un repos ( sommeil ) de plusieurs heures sur la terre humide. 1er M
de l'après midi. Il est certain que, pendant toute la durée de son sommeil , il n'a pas changé un instant de position, car c'
Etant enfant, vers l'âge de 5 ans Ro...el eut une nuit, pendant son sommeil — j'expose ici son propre récit — « une grande pe
orte, qui viennent parfois avec une régularité implacable troubler le sommeil . On les voit figurer souvent chez les enfants iss
érie n'intervient d'aucune façon dans ses crises de nuit : pendant le sommeil de la nuit, vers trois heures du matin, je suppos
onvulsions et, enfin perte de connaissance; après quoi est survenu un sommeil très profond dont on n'a pas pu le tirer ni en lu
ant, de sepro duire,— ils ne s'arrêtent, en réalité, que pendant le sommeil , — tandis que chez J..., on les voit de temps en
est de nouveau question aujourd'hui, survenue tout à coup pendant le sommeil . Dans ce temps-là,le malade avait les nuits tourm
ervice des voyageurs. Cette existence faite de Voyages incessants, de sommeils interrompus, de préoccupations continuelles, de r
avoir l'estomac gonflé ; après les repas il était pris d'un besoin de sommeil irrésistible. Il attribua tous ces troubles à la
sans répandre une partie du liquide. Ce tremblement cesse pendant le sommeil , il s'accroît sous l'influence des émotions, des
oute contracture spasmodique se résout absolument sous l'influence du sommeil chloroformique poussé suffisamment loin ; or ici,
ommeil chloroformique poussé suffisamment loin ; or ici, même dans le sommeil profond, l'obstacle persistait. C'est alors que n
tiens : la malade a été soumise à la chloroformisation et, pendant le sommeil profond, la déformation ne s'est en rien modifiée
267 Fig. 60 — — (Champ visuel)........ 268 Fig. 61. — Attaque de sommeil (Champ visuel)......... 272 Fig. 62, 63.—Tabès
latérale............. 53 QUATRIÈME LEÇON Pages. 1°. Attaque de sommeil hystérique.............. 63 2°. Amyotrophie par
alysie et contractures hystériques développées à la suite d'un repos ( sommeil ) de plusieurs heures sur la terre humide.........
pathiques, 412, 415. — Sans lésions médullaires, 413. Attaques de sommeil . (Voy. aussi Hystérie, Hystérique (sommeil), etc.
laires, 413. Attaques de sommeil. (Voy. aussi Hystérie, Hystérique ( sommeil ), etc., etc.), 67, 272, 273. — (Alimentation dans
e neurasthénique, 29. Catalepsie. — et grand hypnotisme, 70. — et Sommeil hystérique, 70. Cathelineau, 69, 238, 273, 275, 4
ociation de la sensibilité, 495, 496, Dormeuses. —(Voy. attaques de sommeil ), 63. Double personnalité. 327. Douleurs. —da
F), 10. . Hysteria Major, 32. Hystérie. (Voy. aussi, Attaques de sommeil , hystérie mâle, hystéro-neurasthénie. Champ visue
s). — Attaques de contractures, 252. (Voy. Contracture).— Attaques de sommeil . (Voy.Attaques). —Attaques transformées, 13. — Au
nde hystérie. — 96. — (Hérédité dans 1'), 6, 35, 541. — (Influence du sommeil sur les accidents), 4, 12. — La misère cause de l
— (Mutisme) et aphasie, 247, 249, 250. — Nutrition dans l'attaque de sommeil , 69. — Paralysie, 521. — Paraplégie (diagnostic a
e la grande attaque), 33. — (Signe de Todd dans l'hémiplégie). 268. — Sommeil (Voy. Attaques de sommeil). (Sommeil) et cataleps
— (Signe de Todd dans l'hémiplégie). 268. — Sommeil (Voy. Attaques de sommeil ). (Sommeil) et catalepsie, 70.— (Sommeil) et léth
Todd dans l'hémiplégie). 268. — Sommeil (Voy. Attaques de sommeil). ( Sommeil ) et catalepsie, 70.— (Sommeil) et léthargie, 70.
— Sommeil (Voy. Attaques de sommeil). (Sommeil) et catalepsie, 70.— ( Sommeil ) et léthargie, 70. — (Sommeil) et points hystérog
ommeil). (Sommeil) et catalepsie, 70.— (Sommeil) et léthargie, 70. — ( Sommeil ) et points hystérogènes, 66. — (Sommeil) et somme
Sommeil) et léthargie, 70. — (Sommeil) et points hystérogènes, 66. — ( Sommeil ) et sommeil naturel, 65, 69, 70. — Sommeil (mou
léthargie, 70. — (Sommeil) et points hystérogènes, 66. — (Sommeil) et sommeil naturel, 65, 69, 70. — Sommeil (mouvements de s
nts hystérogènes, 66. — (Sommeil) et sommeil naturel, 65, 69, 70. — Sommeil (mouvements de salutation), 67. — (Somnambulisme)
. — (Signification du terme), 425. Hystérogènes. — (Points) dans le sommeil hystérique, 66. — Zones, 33. Hystéro-neurasthén
and du Saule, 64. Léo, 227. Lépine, 334, 421, 428. Léthargie.— et sommeil hystérique,70.— (hyperexcitabilité neuro-musculai
u (de l'étude du) en pathologie, 20. Nutrition pendant l'attaque du sommeil , 69. Nystagmus, 164, 170. 0 Oculaire (Mouve
si Neurasthénie. Simon, 370. Simonin, 334. Skey, 194, Skoda, 101. Sommeil (Attaques de). — Voy. Attaques. Sommeil. — dans
4. Skey, 194, Skoda, 101. Sommeil (Attaques de). — Voy. Attaques. Sommeil . — dans le tic convulsif, 14. — (Influence du) su
nvulsif, 14. — (Influence du) sur les accidents hystériques. 4, 12. Sommeil naturel et sommeil hystérique, 65, 69, 70. Somn
luence du) sur les accidents hystériques. 4, 12. Sommeil naturel et sommeil hystérique, 65, 69, 70. Somnambulisme. — et aut
463, 468. — (Reproduction de mouvements physiologiques dans le) 14. —( Sommeil dans le), 14. — Stigmates psychiques, 16. — Systé
Trousseau, 313, 321. u Urines (Examen des). — dans l'attaque de sommeil hystérique, 273. — dans la mal. de Basedow, 238.
29 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
olescence. Impressionnabilité excessive, tendance à l'hypochondrie; sommeil irrégulier avec cauche- mars ; dyspepsie, const
i ininterrompus que la sueur lui coulait de partout; le besoin du sommeil seul l'arrêtait. Il est probable qu'il ne s'agi
de profonds soupirs, versait des larmes et s'endormait. Pendant son sommeil , il transpirait beaucoup ; à son réveil, il se
lus grande et com- battant la faiblesse de son corps. Toutefois, un sommeil tout à fait naturel et tranquille la saisit. Ma
velle hypothèse. Par l'inspiration et l'expiration, et par suite du sommeil long et tranquille, dont jouit la jeune fille,
dont jouit la jeune fille, le coeur ne pourrait-il pas, pendant ce sommeil , en humectant le cerveau, conserver aussi la ch
écutive à une compression légère de l'épaule, survenue pendant le sommeil de l'ivresse. Là encore, les phénomènes para- l
une surexcitation intellectuelle pro- longée, de nuits passées sans sommeil . Qu'il s'agisse de substances étrangères introd
e présente également cette malade ne sont observés qu'à la suite du sommeil dans lequel il tombe après l'acte procursif.
explication des hallucinations de la vue qui se produisent avant le SOMMEIL ; par HOPPE. (Jahrbùch, f. Psych., VI, 2-3.)
. Céphalalgies, sur- tout à la région temporale gauche : face pâle, sommeil agité. Humeur changeante à tout bout de champ;
répond pas, mais dit tout à coup : « Ne vous tourmentez pas » ; un sommeil paisible met graduellement fin à la crise. Les
nsible à la pression même légère. La malade dort beaucoup, mais son sommeil est agité; elle parle beaucoup pendant son somm
aucoup, mais son sommeil est agité; elle parle beaucoup pendant son sommeil , tandis qu'elle demeure des journées entières h
A l'étude clinique DES caractères SOI1TIQUES fixes DES attaques DE sommeil spontanées ET provoquées CHEZ LES hystériques);
influence suggestive et de toute éducation arti- ficielle, dans le sommeil provoqué ? Voilà la question, grave entre toute
soit sous cette influence que s'est produite la première attaque de sommeil , le 22 novembre 1883. F... se trouvait alors à
- decin de la Maison centrale, la trouve, plongée dans un profond sommeil accompagné de contractures de tout le corps et d'
es de tout le corps et d'anes- thésie généralisée, cette attaque de sommeil ne put être inter- rompue et se prolongea penda
a malade ne se rappelait rien de ce qui s'était passé pendant son sommeil ; elle ne pût pas davantage indiquer la cause prov
s allons emprunter les principaux faits qui suivent. L'attaque de sommeil quelquefois précédée de prodromes, débute brusq
e ne se rappelle absolument rien de ce qui s'est passé pendant le sommeil précédent, dans l'attaque de sommeil elle se rapp
ce qui s'est passé pendant le sommeil précédent, dans l'attaque de sommeil elle se rappelle non seulement ce qui s'est pas
complet qu'au bout de quelques instants. Si, pendant l'atttaque de sommeil , on applique sur une partie du corps une pièce
le approche de la main, donne lieu aux mêmes effets. L'attaque de sommeil se produit spontanément, mais elle peut être pr
lériane et surtout le musc. Par quelque influence que l'attaque Lie sommeil soit provoquée, elle se présente toujours avec
mêmes caractères que l'attaque spontanée. En dehors des attaques de sommeil , M. Bringuier a observé, mais plus rarement, de
, de grandes attaques d'hystéro-épilepsie. Enfin, pendant l'état de sommeil , F... est susceptible de suggestion : si, en ef
Mais, l'acte accompli, F... tombe immédiatement dans l'attaque de sommeil . Parmi les traitements mis en usage, M. Bringui
la malade, à l'approche de la ménopause. En dehors des attaques de sommeil , sa sensibilité, tant géné- rale que spéciale,
s il n'existe aucune trace de parésie dans ce côté. Les attaques de sommeil ne tardent pas à se reproduire etprésenlent les
hoses qu'elle ne dirait pas à l'état de veille. Pendant l'état de sommeil , si on applique une pièce de métal sur une part
r aux per- sonnes qui l'entourent, comme si elle se réveillait d'un sommeil naturel. En arrêtant la compression, on peut fi
n pratique par M. Bringuier. Nous avons vu que pendant l'attaque de sommeil , elle entend très bien : c'est alors qu'on peut
fixés par la contracture. Mais ce qu'elle ne peut faire pendant le sommeil , elle l'exécute très bien au réveil. Voici comm
éveil. Voici comment on procède : la malade étant plongée dans le sommeil spontané ou provoqué, on lui donne un ordre à exé
Mais dès que l'ordre est exécuté, elle retombe dans son attaque de sommeil ; ce qui semble indiquer que l'état dans lequel el
e l'ordre, il fallut la lui rappeler à plusieurs reprisespendant le sommeil . Dans l'état de veille, en effet, F... ne se ra
F... ne se rappelle nullement des ordres donnés ipendant l'état de sommeil , alors même qu'elle vient de les exécuter; tout
te à l'état de lacune dans sa mémoire. Au contraire, dans l'état de sommeil , elle se rappelle tout ce qui s'est passé dans
'état de sommeil, elle se rappelle tout ce qui s'est passé dans les sommeils précédents, les ordres donnés, les ordres exé-
l'oubli complet au réveil des phénomènes qui se passent pendant le sommeil et pendant l'exécution des ordres suggérés est
iblissent beaucoup, qu'elle est sujette à de fréquentes attaques de sommeil se prolongeant quelquefois une dizaine d'heures
alors dans l'hôpital, mais à peine entrée elle tombe en attaque de sommeil . Appelé pour la réveiller, nous lui ordonnons, ma
t désigné, et à peine arrivée tombe endormie. Nous profitons de son sommeil pour lui défendre d'avoir de nouvelles attaques
ucoup plus fatiguée qu'après ses attaques spontanées, Pendant son sommeil , prenant une feuille.de papier blanc, nous lui
'UNE HYSTERIQUE HYPNOTISABLB. 331 et de n'avoir plus ni attaques de sommeil , ni accès de tremble-' ment. Le 18, elle revi
à l'heure fixée. Nous essayons l'action de l'électricité pendant le sommeil et nous pouvons nous convaincre que, si elle es
t l'ordre donné. Elles nous apprend que ses attaques habituelles de sommeil l'ont reprise et qu'elle n'a plus eu d'accès de
ant moi ne me parle pas. » Cela dit, elle retombe dans l'attaque de sommeil , comme après l'accomplisse- ment de toute sugge
arrive, et à peine arrivée, tombe endormie. Interrogée pendant son sommeil sur l'endroit où elle se trouve, après quelques h
rivée, elle tombe endormie comme d'habitude. Interrogée pendant son sommeil , elle ne se rend d'abord pas bien compte de l'e
15 novembre, elle revient conformément à l'ordre donné. Pendant son sommeil , nous lui suggérons d'avoir une paralysie crois
ndant les diverses phases qui caractérisent le passage de l'état de sommeil au réveil complet, on peut en cessant la com- p
Le 21, elle revient et dès son arrivée tombe endormie. Pendant son sommeil , elle se plaint beaucoup, se dit très souffrante,
4, au lieu du 20. Le 24, elle arrive à l'heure fixée. Pendant son sommeil , elle raconte que le 20, se conformant à l'ordr
à de grandes attaques d'hystéro-épilepsie en dehors des attaques de sommeil qu'elle présente toujours. Nous l'endormons, et
et répond avec volubilité aux questions qu'on lui pose pendant son sommeil . Nous essayons sur elle diverses suggestions.
e des crises hypnotiques qui remplaceraient presque complètement le sommeil naturel. En même temps elle présente des phénom
celui de la couture. Observée attentivement'pendant son attaque de sommeil , on voit qu'elle présente absolument les mêmes
qu'il est toujours impossible de lui faire rien exécuter pendant le sommeil ; enfin que les phases du réveil, déterminé par
gions ovarienne, sous-mammaire et scapulaire gauches détermine le sommeil aussi bien que la compression des régions symétri
s hypnogènes sont en même temps hypno- frénateurs, car, une fois le sommeil produit, c'est par leur com- pression qu'on dét
ie à plusieurs reprises de lui faire exécuter des actes pendant son sommeil : elle croit toujours les exécuter mais n'en '
aucun. Cela se comprend facilement si l'on se rappelle que dans le sommeil elle est en contracture permanente et ne peut r
estion qu'elle n'ait plus de crises nocturnes et qu'elle dorme d'un sommeil naturel. On obtient de même qu'elle prenne des
Grasset lui ordonne de s'endormir l'oeil ouvert et en y voyant. Le sommeil est provoqué par un des pro- cédés habituels, m
re qu'à l'ordinaire. En outre, ce n'est pas l'attaque habituelle de sommeil qui se produit, mais une attaque spéciale qui a
ujours le même résultat. 28. M. Grasset essaie sur F... pendant son sommeil l'influence de la suggestion mentale : il lui o
houe. On l'endort alors par la pression du poignet, et, pendant son sommeil , on lui sug- gère de s'endormir par la pression
l'avant-bras, et cette fois-ci la malade s'endort. 5. Pendant le sommeil provoqué, on lui ordonne d'éternuer quatre fois
NOTISABLE. 337 chevilles : par leur compression, on obtient soit le sommeil , soit quand celui-ci est déjà produit, le révei
u tout autre point hypnogène, on la ramène à l'attaque primitive de sommeil . 14. On l'endort par la pression du poignet gau
our- tant, mais un peu plus lentement que d'habitude. Pendant son sommeil , on lui ordonne d'aller le 18, à 8 heures du mati
lits de la salle des femmes. Elle tombe immédiatement en crise de sommeil . On lui ordonne alors de venir saluer M. Combal l
s et tombe en crise du second type, que l'on transforme en crise de sommeil par la compression du poignet. 24. - On appli
n place, on comprime le poignet droit, impossibilité de produire le sommeil , mais celui-ci est pro- duit très facilement pa
it très facilement par la compression du poignet gauche. Pendant le sommeil on lui donne l'ordre de décroiser les mains et
d et soutient une conversation suivie... Ce sont là des attaques de sommeil . Les crises de sommeil, bien étudiées par Briqu
ation suivie... Ce sont là des attaques de sommeil. Les crises de sommeil , bien étudiées par Briquet (Traité del'hyst.),
nsidère comme des degrés de la même modification patholo- gique : sommeil , coma et léthargie. Dans le premier type, c'est
sommeil, coma et léthargie. Dans le premier type, c'est l'aspect du sommeil naturel avec résolution des membres, dans le de
u sommeil naturel avec résolution des membres, dans le deuxième, au sommeil s'ajou- tent des phénomènes convulsifs ordinair
me, ne rentre dans aucune des divisions de Briquet. Ce n'est pas du sommeil simple, puisqu'il y a des contractures ; ce n'e
mort apparente. Le mieux est d'appeler tout cela des attaques de sommeil en ajoutant ensuite à ce mot l'énumération des
par le ma- lade. Chez F... le premier caractère de ces crises de sommeil c'est la contracture généralisée. Bourneville e
ille et Regnard parlent peu des contrac- tures dans les attaques de sommeil : « Le corps et les membres, disent-ils, offren
tère qui lui soit propre : elle appartient à toutes les attaques de sommeil . Pour l'intelligence, elle est en général conse
l'intelligence, elle est en général conservée dans les attaques de sommeil . Seulement, beaucoup de malades (celles de Rich
énoncer dans chaque cas la caractéristique clinique de l'attaque de sommeil . Ainsi chez F... il y a des attaques de sommeil
que de l'attaque de sommeil. Ainsi chez F... il y a des attaques de sommeil avec contrac- 342 CLINIQUE NERVEUSE. tures fi
spontanées de F... se ramènent à deux types. Dans les deux, il y a sommeil , contractures généralisées et anesthésie sur to
impérati- vement : « Dormez ! Pourquoi dormirais-je ? je n'ai pas sommeil . - Dormez ! » - Elle résiste encore un peu et p
uisent du reste notre malade au même état, à la même crise, au même sommeil . Nous caractériserons d'un seul mot ce sommeil
même crise, au même sommeil. Nous caractériserons d'un seul mot ce sommeil pro- voqué, en disant qu'il reproduit absolumen
o- voqué, en disant qu'il reproduit absolument le premier type de sommeil spontané que nous avons décrit. Elle dort l'oei
tre cas, c'est que nous obtenons d'emblée toujours la même forme de sommeil . La cause provocatrice est indifférente : par l
avons voulu, par suggestion, soit à l'état de veille, soit dans le sommeil , obtenir le sommeil sans contractures : cela a
estion, soit à l'état de veille, soit dans le sommeil, obtenir le sommeil sans contractures : cela a été impossible. Nous
tats de la Salpêtrière, mais elle n'en présente aucun. L'attaque de sommeil provoqué, telle qu'elle la présente, ne peut êt
e impossibilité très remarquable à faire rien exécuter pendant le sommeil : la suggestion post-hypnotique est facile, la
lles de Nancy ? En- core moins, s'il est possible. Comme degré de sommeil , c'est entre les cinquième et sixième degrés de
hypnotique ne réussit. On ne peut lui rien faire faire pendant son sommeil . Donc, en somme, notre malade ne rentre pour so
HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE. 351 hypnotisme, par les caractères de son sommeil pro- voqué, ni dans les descriptions de la Salp
non l'hystéricisme ou le nervosisme simple). Chez les premiers, le sommeil 352 CLINIQUE NERVEUSE. provoqué peut s'accomp
s'accompagner de phénomènes somatiques fixes; chez les seconds, le sommeil provoqué est entière- ment dominé par la sugges
Salpêtrière. Que sont donc ces caractères somatiques fixes de son sommeil provoqué ? Exactement et tout simplement ceux d
oupe, c'est-à-dire les hystériques hypno- tisables, ayant dans leur sommeil provoqué des ca- ractères somatiques fixes, il
ne croit : le groupe des hystéri- ques hypnotisables qui, dans leur sommeil provoqué, reproduisent, simplement et fidèlemen
et fidèlement dans tous leurs traits, leurs attaques antérieures de sommeil spontané. L'hypnotisme devient, chez ces malade
hystérique, était vierge de toute névrose antérieure, la forme du sommeil provoqué dépend de la sugges- tion et il n'y a
éjà des phénomènes spontanés à forme précise et fixe, la forme du sommeil provoqué n'est plus livrée à la sug- gestion, e
s supérieurs sont à l'état normal. Le fond de l'oeil est normal. Le sommeil est bon. Les facultés intel- lectuelles ne sont
ilogr. 50.- Juillet : Poids, 49 kilogr. 20. Notes complémentaires.- Sommeil bon, il s'endort assez lente- ment « Deux... ou
il avait devant lui. Pas de succion, de rumination, pas d'onanisme; sommeil bon, pas de cris nocturnes, - pas de douleurs d
ription et expli- cation des de la vue qui se produisent avant le sommeil ), par Hoppe, 270; remarques sur la théorie de
30 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
vernes ; elles n’y rendaient pas moins des oracles, soit pendant leur sommeil , soit pendant leurs accès. Ces crises ne présente
jièmc ni cours, i. I, p. 5is. approche, et clans cet état voisin du sommeil et de la veille. je faisais tous mes efforts pour
ux du corps, lorsque souvent, quand nos paupières sont fermées par un sommeil bienfaisant, pleine de vie, l’âme aperçoit les ch
pour se faire guérir des douleurs de la pierre. Pendant 1111 profond sommeil , saint Benoit lui apparut en songe, pratiqua lui-
(c La Divinité, assure-t-il, nous les présente, ou par les visions du sommeil , ou par quelque rayon de connaissance particulièr
nctions cérébrales, caractérisée par une sorte d’agitation pendant le sommeil , différente de l’état de veille, avec aptitude à
ctions dont on a contracté l’habitude, mais sans qu’il reste après le sommeil aucun souvenir de ce qui s’est passé. C’est peut-
ans son Traité des Maladies sacrées, parle «le gens qui, pendant leur sommeil , se livraient à différentes occupations. Aristo
ant. L’un des oracles de la médecine, Gallien, marchait pendant son sommeil , et Jér. Cardan, qui avait hérité de ses ancêtres
i, p. 394, l'observation d’un séminariste qui se livrait, pendant son sommeil , à ses travaux habituels. Lorsqu'on lui couvrait
en accusant un grand soulagement. Il se couche ensuite et s’endort du sommeil le plus tranquille. L’histoire de Negretti, cel
lix Mater, célèbre médecin suisse, jouait souvent du luth pendant son sommeil . On prétend même que Condillac composa plusieur
la suite de scs rêves, un travail qu’il avait laissé imparfait à son sommeil . » On appréciera suffisamment par ces citations
lucinations, p. 2-21. (2) L'abbo do Faria avance dans son Traite du Sommeil lucide, p. 181, que le somnambulisme n’était pas
(2), (I) Voyez cc Journal, t. VIII, p. 481. '2) Dp la r.iii'T lu sommeil lucide, t. I, p. 480. c'est que le sommeil luci
. '2) Dp la r.iii'T lu sommeil lucide, t. I, p. 480. c'est que le sommeil lucide, si facile à se développer dans ceux qui e
l’aptitude, car les expériences et les observations démontrent que le sommeil lucide, qui s’accommode au climat, aux tempéramen
e leur clignotement. » Le somnambulisme est souvent accompagné d’un sommeil particulier, qui .suffit pour reposer le sujet de
et se rencontre fréquemment aussi en dehors de ce dernier état. Le sommeil magnétique, analogue au sommeil ordinaire, paraît
si en dehors de ce dernier état. Le sommeil magnétique, analogue au sommeil ordinaire, paraît être le résultat d’une intermit
e relation. Ainsi, la tranquillité de l’esprit et du coips dispose au sommeil magnétique. Celui qui pense et sent peu, dort d’u
dispose au sommeil magnétique. Celui qui pense et sent peu, dort d’un sommeil plus paisible que celui dont les sensations sont
dont les sensations sont d’une grande activité. (1) De la cause du Sommeil lucide, p. 192. Suivant Cabanis (1), le sommeil
(1) De la cause du Sommeil lucide, p. 192. Suivant Cabanis (1), le sommeil est le reflux des puissances nerveuses vers leur
ifs de la sensibilité. D’après Azaïs (2) : « Notre disposition au sommeil commence lorsque le mouvement du fluide nerveux s
ble ; alors les nerfs tombent sous l’empire de la compression. » Un sommeil profond afTaiblit les prérogatives do l’âme sur l
sommeil profond afTaiblit les prérogatives do l’âme sur le corps; un sommeil léger réveille des sensations. « Il existe entr
il léger réveille des sensations. « Il existe entre la veille et le sommeil , un état intermédiaire qui donne lieu à des actio
bien manifestement une des formes de cet état intermédiaire. Si le sommeil magnétique est beaucoup plus réparateur que le so
iaire. Si le sommeil magnétique est beaucoup plus réparateur que le sommeil ordinaire, c’est qu’il est plus profond que ce de
s commémoratives. — Je vais laisser ici parler la malade qui, dans le sommeil magnétique où on vient de la placer, donne elle-m
n désespoir de cause, à des passes magnétiques qui n’amenaient pas le sommeil , mais qui me calmaient, sans qu’il pût s'en rendr
lques minutes , elle s’endort pendant une heure et demie ; pendant ce sommeil , elle est très-clairvoyante; elle indique elle-mê
sens inverse de celles qu’on emploie ordinairement pour provoquer le sommeil , pratiquées transversalement d’abord sur tout le
après-midi une douche à colonne, et Je soir pour iui procurer le seul sommeil dont elle puisse jouir. Elle déclare en outre qu’
qu’elle pût me voir. Elle causait sur un banc du jardin, pendant son sommeil magnétique, avec une ou deux personnes qui lui ét
choires se resserrent comme autrefois.On plonge alors M“° *** dans le sommeil magnétique pour lui faire ouvrir les mâchoires et
être la dernière, dura soixante heures. Elle avait annoncé durant son sommeil , le mercredi 9 octobre, que cette crise commencer
n réveil, la malade n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé dans son sommeil magnétique ou dans ses crises spontanées, et que
l’estomac. D’après les prescriptions qu’elle avait faites pendant le sommeil magnétique, elle suit un régime particulier, savo
stomac, après avoir augmenté, doit se dissiper, a-t-elle dit dans son sommeil , à la fin de janvier. Du 9 au 24, vomissement d
par jour, une séance le matin et une l>.! soir, pour lui donner le sommeil . Nous ferons observer que, pendant tout le cours
nance pour lui faire prendre quelques lavements huileux. Pendant le sommeil magnétique qui fut communiqué à, cette malade, el
métaux lui causait de vives douleurs ; quand on voulait l’endormir du sommeil magnétique , et pour que l’opération se fit promp
près, sans conserver le souvenir de ce qui s’est dit ou fait dans son sommeil . Deux jours après, nous recevons de son mari la
paralysie (le l’estomac a continué (on se rappelle que pendant son sommeil magnétique elle nous avait prédit que cette paral
l’est encore. 28 janvier. - Pendant que M“e *'* est plongée dans le sommeil magnétique, elle annonce que le 15 février elle a
ne seule selle depuis un mois-, in- lerrogée à ce sujet pendant son sommeil , elle fait magnétiser un verre il’eau qu’elle doi
s des passes, etc.; à trois heures le calme se rétablit, elle dort du sommeil magnétique et recommande qu’on la laisse ainsi ju
nt la nostalgie qui commençait à naître depuis deux jours. Pendant le sommeil magnétique du soir, elle annonce que sa tristesse
tion fortement striée de sang. 5 mars. — La malade annonce, sous le sommeil , qu’il sera bientôt nécessaire de lui pratiquer u
les prescriptions qu'elle exécute sont ordonnées par elle, pendant le sommeil dans lequel on la plonge. 2S mars. — Douleurs d
uelques troubles nouveaux apparaissent: h. peine est-elle endormie du sommeil magnétique, que des syncopes successives se décla
ujourd’hui. « Je lisais cette après-midi, nous dit-elle pendant son sommeil , il est arrivé un moment où , tout en continuant
t avec beaucoup de peine les directions ordinaires données pendant le sommeil magnétique, et forcés cependant, malgré la répugn
rre d'absinthe, paya et sortit en se plaignant de 1 obscurité et du sommeil qui l'accablait, cl en faisant part à ceux qui l’
l’abandon du traitement. J’ai remarqué d'abord que ces mots : sans sommeil , revenaient souvent et qu’ils s’appliquaient aux
de maladie qu’il avait à traiter, il ne s’attachait pas à produire le sommeil magnétique, et que la plupart des guérisons avaie
l’enfant était endormie et ordinairement au moment où commençait son sommeil : cela démontrait nécessairement un rapport évide
émontrait nécessairement un rapport évident entre le frappement et le sommeil de la jeune fille. Les investigations de la polic
fant eut couché pendant plusieurs jours dans la nouvelle chambre, son sommeil fut agité, et elle fit entendre quelques mots int
onna onze heures; ils cessèrent alors subitement, et dès ce moment le sommeil de la jeune fille fut paisible, comme celui d’une
re. Il est à remarquer que le langage de la jeune fille pendant son sommeil fait chaque jour des progrès. Aux mots isolés et
s airs, reçoit, pour ainsi dire, un surcroît d’intensité; 2° Que le sommeil , par conséquent, est d’autant plus aisément provo
tes et semblables en tout aux fugitives, mais brillantes créations du sommeil ? Or, qu’est-ce qu’un songe ? Une sensation produ
s sans le secours de l’organe de la vue, qui reste inactif pendant le sommeil . Et si, d’un autre côté, on petit produire le mêm
onse véridique. Du 6 au 10 jam ier, on entendit, au commencement du sommeil de Philippine, des cris semblables à ceux d’un pe
se livrer «à son travail. Lorsque la jeune lüle fut plongée dans son sommeil magnétique, elle appela ce monsieur auprès d’elle
e sa (ille. Le 1er décembre 1852, la jeune visionnaire vit dans sou sommeil un oiseau dont elle eut peur, croyant qu’il allai
éveillée. Au bout de quelques instants, celle-ci fut plongée dans le sommeil magnétique, et dans cet état elle satisfit la cur
ne double surprise, par l'oubli complet des actes accomplis durant le sommeil , M. de 11... se mit en devoir de rétablir la veil
’animal perdit sa contenance, et l’on vit apparaître les prodromes du sommeil . En moins de dix minutes, le coma fut complet. La
me un corps grave inanimé. Kl le. dormait, à n’en pas douter; mais ce sommeil était-il perceptif, comme l’avait cru notre liôte
chat, des chiens, une poule et divers autres animaux domestiques. Le sommeil , chez eux, était-il réel, ou bien n’était-ce qu’u
il s’agit, je suis certain qu’il était bien dans ce premier degré de sommeil magnétique qu’on appelle coma, et que beaucoup de
les rappeler à l’état de veille, la mémoire est prodigieuse durant le sommeil somnamhulique. Une grosse fdle nommée Héloïse,
epuis un mois il souffrait tellement qu’il en perdait l’appétit et le sommeil ; son médecin lui conseilla de se laisser faire l
elle éprouve un sentiment de bien-être qui lui fait passer dans un sommeil bienfaisant des nuits qui jadis étaient troublées
que l’on peut, en quelques heures, apprendre à des êtres endormis du sommeil lucide, une science qu’il nous laut de longs jour
eront au terme du voyage et s’endormiront paisibles dans leur dernier sommeil , certains de se réveiller dans le sein de leur cr
Un instant après, pendant que j’actionnais la tête pour entretenir le sommeil , la figure devint rouge et la malade se réveilla,
e eût essayé plus de vingt fois. Je fis encore quelques passes, et le sommeil devint tellement profond qu’il fut accompagné de
es, pendant lesquelles la malade n’avait pas discontinué de dormir du sommeil le plus tranquille. D’après l’antipathie que ce
magnétiser encore pendant environ dix minutes, au bout desquelles un sommeil profond eut lieu, à la surprise d’une dizaine de
ppliquée sur le ventre, provoqua une sueur extraordinaire suivie d’un sommeil de plusieurs heures. Les végétaux peuvent être
dormi. « Cet état diffère essentiellement de l’état de veille et de sommeil ; il forme en quelque sorte une condition spécial
’autre part, il se produit souvent sur des personnes qui dorment d’un sommeil naturel. Les forces seules du magnétisme ne peu-
uemment, je ne tardai pas à reconnaître qu’elle était plongée dans le sommeil somnambulique. Interrogée sur les cris qu’elle fa
n magnétique, mais que jusque-là, néanmoins, je n’avais pas obtenu un sommeil complet; « 2° Que maintenant elle passe très-fa
trouvent plus seuls , mais unis à des spasmes et autres prodromes du sommeil magnétique. 3° Evanouissement. 1.'Émancipa te
p sans avoir le moindre souvenir de ce qui s’était passé durant son sommeil , qui avait duré une demi-heure. » Jlotulion hum
, et aussi dociles que d’autres sujets ; ils jouissent également d’un sommeil naturel. Enfin le changement est si grand, qu’ave
, qu’on représente encore à la Gaîté, il se passe une longue scène de sommeil dont l’effet dramatique est des plus heureux. On
d’une manière directe, c’est-à-dire sans que l’individu passe par le sommeil , ou bien encore on peut mettre artificiellement u
produire des effets très-variables. L’un, sans éprouver le besoin du sommeil , accuse des sensations générales de chaud, plus r
l’autre a des convulsions et des tremblements; un autre s’endort d’un sommeil profond et comparable au sommeil naturel; les aut
tremblements; un autre s’endort d’un sommeil profond et comparable au sommeil naturel; les autres tombent dans une sorte de som
es qui vont en augmentant, excepté si l'on cherche par-là à donner du sommeil aux frénétiques, » Voici des frictions qui donn
du sommeil aux frénétiques, » Voici des frictions qui donnaient du sommeil aux malades en délire : Celse voyait la puissance
ie ? Seulement Mesmer et ses adeptes opèrent sur des sujets soumis au sommeil magnétique, et M. Philips agit sur des gens éveil
un signe extérieur, l’anesthésie extatique provoquée par un geste, le sommeil surnaturel imposé par un regard, la locomotion do
des juges sur la réalité de cet état étrange, désigné sous le nom de sommeil magnétique; n’y croyez-vous pas, et le tenez-vous
hénomène qui appartient il l’ordre pro-« phétique. « Plongé dans un sommeil factice, l’homme voit à travers « les corps opaqu
ndez ces vérités! » « Si vous admettez comme seulement possibles le sommeil magnétique et ses effets, nous arrivons sur un te
l’accusation incombe la preuve de son mensonge, de la fausseté de son sommeil apparent, de la comédie qu’elle aurait jouée. «
t croire à un pouvoir imaginaire, étant endormie ou cemic endormie du sommeil magnétique. « Quelles sont les conséquences lég
ait encore qu’elles fussent frauduleuses. Or, où est la fraude, si le sommeil est réel ou doit être tenu pour tel en l’absence
nous pensons qu’un objet perdu ou volé peut très-bien être vu dans le sommeil magnétique , à travers l’espace, et retrouvé sur
du moment qu’en fait il n’est pas établi que la somnambule a feint un sommeil magnétique qu’elle n’éprouvait pas, et, parconséq
sensibilité, pervertit les sens et en transpose le siège, produit le sommeil , calme ou dissipe les douleurs et les infirmités,
qu’on veuille calmer une douleur de nerfs ou qu’on veuille amener le sommeil , on pourra à la rigueur employer les mêmes gestes
grand nombre de corps très-épais, n’aura qu’à vouloir, il produira le sommeil . Sur un geste exprimant le désir d’un spectateur,
s de son mari et tomba brusquement dans un fauteuil • elle dormait du sommeil somnambulique ; elle me déclara que ma présence a
dit, comme d’habitude, tout souvenir de ce qui s’était passé dans son sommeil ; elle alla se promener au jardin avec Puységur,
dans les mains, quelques-unes sont agitées, d’autres tombent dans le sommeil magnétique : on eu a même vu éprouver des crises
uquel on demandait : Qu’est-ce que la mort? Réveil silencieuic d'un sommeil agité. La mort est le chaînon de l’immortalité.
s de nos Esculapes. Dans l'ordre surnaturel, n’obtenons-nous pas le sommeil lucide et l'extase ? N’allons-nous pas même jusqu
plus renommé d’entre eux ce que c’est que la vie, ce que c’est que le sommeil ; interrogez-le sur la mort. 11 ne saura que répon
une somnambule, au faubourg Montmartre, celle-ci, interrogée dans le sommeil magnétique, lui dit que son mari s’était noyé, et
physique d’une nature qui se soumet à tout (page 38)... Je dis que le sommeil magnétique est possible sans la volonté, sans le
regard seulement n’endorment pas, parce que je n’ai jamais produit le sommeil par la volonté et le regard seulement (page il).
vons agir sur le sujet, même sans être vus de lui, le plonger dans le sommeil , mettre ses membres en catalepsie, l’attirer, le
ps des effets très-divers et même opposés l’un à l’autre, tels que le sommeil et le réveil, le calme et l’irritation, la rigidi
ermina à la magnétiser. Je fus assez heureux pour obtenir de suite le sommeil et l’insensibilité. A son réveil, nous nous donnâ
. » Alors, je magnétisai, et ne pus, malgré mes efforts, obtenir le sommeil , bien que j’aie magnétisé pendant une demi-heure.
quelque temps de violentes douleurs odontalgiques qui la privaient de sommeil . Sensible au magnétisme, sous l’action duquel ell
ifficiles. Cependant, après trente ou quarante .minutes d’efforts, le sommeil apparut. Le silence régnait alors, grâce à la réc
invisibles les objets et les personnes qui l’entourent, et cela sans sommeil , et même sans magnétisation préalable. Si je le v
atérielle conduite par l’activité do l’âme. L'homme se repose dans le sommeil , quand lu matière est trop thargée pur la mu litr
combattre le fluide magnétique, pas plus qu'elle ne peut résister au sommeil naturel et aux ivresses. Le magnétisme est une fo
peut attirer le magnétisme. « Un homme peut s’endormir tout seul du sommeil magnétique, surtout lorsqu’il a déjà été endormi;
ez pas trop l’incrédulité persistante. Satisfait d’avoir découvert le sommeil magnétique, vous en décriviez tranquillement les
lue et se coiffe avec assez de facilité. 7* Séance. — Je cherche le sommeil ; je l’obtiens accompagné de lucidité. Dans cet ét
couvrant de sa propre responsabilité les ordonnances dictées dans le sommeil somnambulique. « Ce docteur a, quelquefois, été
r Chang m'assurait encore hier avoir vu des personnes qui, pendant le sommeil magnétique, parvenaient à déchillrer des lettres
de Rovère, 84. Animaux magnétisés. Singe amené au premier degré de sommeil magnétique, 129. — Serpent à sonnettes dompté à C
31 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
es ses propriétés. C’est par une étude comparée de tous les degrés de sommeil magnétique offerts par la masse des magnétisés, e
apable d’en faire sentir l’importance et la grandeur. Les lumières du sommeil sont parfois utiles et nécessaires, lorsqu’on ne
, depuis niai, névralgie dans la tête dans l’après-midi, insomnie, ou sommeil très agité; vingt séances procurent une améliorat
gité; vingt séances procurent une amélioration sensible, soit dans le sommeil , qui est en général plus calme, soit dans la dimi
réalités tangibles. Quelquefois ils reconnaissent leur erreur dans un sommeil subséquent, et la confessent; mais, le plus souve
t. V, p. 274)» pour connaître l’effet d’une basse température sur le sommeil magnétique, fut examiné avec soin le 1er janvier
trocar, en disant que probablement la poche s’était crevée durant son sommeil ; il parut accepter cette solution vraisemblable
sensible, et la moindre pression cause une vive douleur, mais dans le sommeil on peut toucher, presser même fortement, sans tro
ouver vestige de sensibilité, et pourtant cet état revient dès que le sommeil est dissipé. Cette affection est assez commune po
sieurs fois l'inflammation artificielle suspendue sous l’influence du sommeil , j'en inférai la possibilité de combattre l’infla
enlôt une orchite double se préscnla, l'individu fut magnétisé, et un sommeil de vingt-quatre heures, interrompu fréquemment
iqu’il fût extrêmement agité pendant qu’on coupait les ligaments, son sommeil n’en fut pas interrompu, et quand la masse fut to
eu près. On le mesmérisera tous les jours une heure et demie. Le 6. Sommeil naturel. Le 7. Les bras raides, insensibilité a
sa tumeur fut découverte, leslisque compressas est, sans troubler son sommeil . Le 10. Après avoir préparé Shaik Koochill, je
sit sur un lit qui fut placé dans un fort courant d’air, sans que son sommeil en fût aucunement troublé. Sa bouche, qu’on avait
les traces de l’opération furent disparues. Rien n’avait troublé 6011 sommeil , dit-il, et il se sentait, continua-t-il, comme à
mérisé tous les jours pendant une heure. Le i5. Il paraît dormir du sommeil naturel» Le 16. Ses bras sont partiellement en
it sur les dalles tout près de son lit, etc., etc., sans troubler son sommeil . Le 26. Il a été plus facilement agité que pend
Calcutta. Je parle de l’invasion de l’état de veille par l’état de sommeil , que l’on verra dans ce cas et le suivant. Et pou
première fois, et je la laissai comme elle était sur son lit, dans le sommeil . Environ deux heures après, elle se réveilla co
le sommeil. Environ deux heures après, elle se réveilla comme d un sommeil naturel, et alla pour arranger ses cheveux à la g
e appela son mari pour lui dire que l’abcès avait percé pendant son sommeil , et clic s’étonna que je ne fusse pas venu ce jou
d je la touchai et que je lui parlai. Elle me dit qu’elle avait eu un sommeil rafraîchissant; que la douleur était passée, et q
minutes après, il dit qu’il n’avait été troublé par rien pendant son sommeil . Le 6. Profondément entrancé, il fut soumis pou
emi-heure après, et dit qu’il n’avait été troublé par rien dans son sommeil . Le 7. 11 soutint très-bien l’action du même ap
ssus. On lui ouvrit aussi les yeux, et tout cela sans interrompre son sommeil . On le laissa dormir. Le 8. 11 fut endormi sur
ément depuis dixbeures et demie; que rien ne l’avait dérangé dans sou sommeil , et qu’il n’éprouvait de souffrance nulle part. I
avait été la suite. Il en fut ainsi. 11 se réveilla encore comme d’un sommeil naturel et rafraîchissant. 11 nous dit que rien n
ce que je viens de dire. Après qu’il fut pansé, on le laissa aller au sommeil . Je proposai aux personnes présentes de faire une
érisera une heure et demie par jour. Le 17. On n’a pu déterminer le sommeil aujourd’hui. Le 18. Dormant profondément, on dé
a aussi le mamelon droit à différentes reprises, sans interrompre son sommeil . Le 19. Paraissant être dans le sommeil magnéti
rises, sans interrompre son sommeil. Le 19. Paraissant être dans le sommeil magnétique, il fut soumis à l’action de l’électro
mi-heure après, il dit n’avoir été en aucune manière troublé dans son sommeil . Le ao. Profondément entrancé, il fut piqué par
et sa tumeur fut plusieurs fois secouée avec force sans troubler son sommeil le moins du monde. Le 21. Il a été opéré aujour
et quelque peu réduites. Du 29. Elle se sent généralement portée au sommeil magnétique, et elle y a passé quelquefois. Les gl
extension de l’avant-bras. Différentes fois il a tenté de résister au sommeil , pour être témoin de diverses expériences qui ava
. Du 27. J’ai beaucoup travaillé son coude aujourd’hui, pendant son sommeil mesmérique. il y a gonflement de l’extrémité des
e je ne le pouvais auparavant. Aucune douleur ni le jour, ni la nuit. Sommeil non interrompu pour la première fois depuis bien
r, et point durant la nuit 5 migraine faible l'après-midi, et profond sommeil la nuit. J’ai pu me raser aujourd’hui assez fac
sensible; mais, par la magnétisation générale, tombé dans un profond sommeil , aucune idée ne m'est restée de ce qui s’est pass
gauche, aucune dans le droit, qui est toujours un peu raide. Point de sommeil par la magnétisation locale et générale. Du 28.
avec un tintement d’oreille qui me fait toujours tressaillir dans mon sommeil avant que les accès arrivent; après j’ai dormi qu
un cadavre. Magnétisation journalière d’une heure. Du 8. Point de sommeil magnétique. Du il. Le malade peut lever l’avant
mps des personnes qui, pendant les crises convulsives ou pendant leur sommeil , indiquaient une médication suivant les symptômes
nommés oneiropoles (i), qui donnaient des consultations pendant leur sommeil . Les desservants des temples, ou les malades eux-
les maladies cédaient aux prescriptions que l’on recevait pendant le sommeil dans le temple d’Esculape, ajoute que la médecine
une vie cachée, mystérieuse encore : c’est celle qui commence avec le sommeil , soit qu’il ait lieu naturellement ou par des age
omnambules, nous vous laissons bien loin maintenant, car ici point de sommeil ; l’être veille, el nous allons tout à l’heure mon
e depuis seize mois, est depuis cinq semaines non pas dans un état de sommeil , mais de contracture spas-modique, de raideur tét
ment général persista seul pendant quelque temps. L’ayant endormie du sommeil magnétique, je l’interrogeai sur les causes et la
able; les genoux étaient affectés , ainsi que le pied droit. Point de sommeil . Une magnétisation locale de vingt-cinq minutes
e. Magnétisation générale et locale de trente minutes, qui amène le sommeil . Le troisième jour le mieux continue. L’enflure
us ici question de somnambulisme : l’être est très-éveillé. Dans le sommeil magnétique, toutes les forces vives étant refoulé
t brillants, la face n’a plus celte teinte terreuse et cadavérique du sommeil ; le cœur a des battements tumultueux. On ne sa
ore sen- sihlemcnt amélioré. La malade est toujours plongée dans ce sommeil profond dont rien n’a pu la tirer, si ce n’est à
ent impressionnables à l’action magnétique, susceptibles d’arriver au sommeil magnétique complet, peuvent trouver dans le magné
s premiers huit jours, la magnétisation semblait sans action, mais le sommeil vint ensuite, et avec lui une grande sensibilit
inférieurs et de la région cordiale, ainsi que de la tête ; perte de sommeil , de transpiration, d’appétit; froid continuel mal
le avait toujours froid, ne transpirait jamais, pas d’appétit, peu de sommeil , el d’une faiblesse extrême : son mari étai t obl
muniquer toute mon énergie ; il est assoupi, sans dormir toutefois du sommeil magnétique. Quatre heures après avoir été magnéti
Pendant une heure au moins, j’exerce sur lui l’action magnétique ; le sommeil survient; mais il n’est point magnétisé. Je le la
e en convalescence, il désire néanmoins être magnétisé; « cet état de sommeil me fait tant de bien! » me disait-il. J’adhère à
arranger ce monde singulier dont nous avons la perception dans noire sommeil ? Ou bien y aurail-il quelque chose de supérieur à
sirop. Le 20 novembre le malade était dans l’état suivant : Plus de sommeil ; la tête penchée sur l’épaule gauche, par suite
droits : plus de trois litres de pus en sont sortis. 11 a retrouvé le sommeil , son teint est devenu vermeil ; il lient sa tétc
ruits et aux secousses électriques. Le 16, il gémit durant tout son sommeil . On fit le simulacre entier de l’opération, en
nir de nous avoir vus, son magnétiseur et moi, entre le moment de son sommeil et celui de son réveil. Il avait souvent déclaré
tères, on cessa la magnétisation , et le patient s’éveilla comme d’un sommeil tranquille, ne sentant nulle douleur. Il avait
MBULIQUES. § X. — PUÏSEGURISME. (Suite.) De la véracité dans le sommeil magnétique. Ceux qui connaissent les particular
ployé la •lotion avec avantage. Un instant après, étantplongé dans le sommeil mesmérique, il me dit, tout-à-fait spontanément :
nne foi, et se retranchait dans une incrédulité absolue. « Dans son sommeil magnétique, tout était changé. Ses idées sur l’es
toute la tenace incrédulité de ce jeune homme s’évanouissait dans le sommeil mesmérique. Son opiniâtreté devenait soumission;
d’une existence exceptionnelle. Souvent encore il s’écriait, dans son sommeil : « Combien je désirerais voir toujours les chose
t qu’il ne me quittât, je le mesmé-risai. Aussitôt qu’il fut passé au sommeil magnétique , sa contenance porta l'expression du
s qu’ils prenaient pour des êtres humains voues à leur haine? Dans le sommeil magnétique, plus réfléchi, plus dégagé des scorie
Dans le sommeil magnétique, plus réfléchi, plus dégagé des scories du sommeil grossier, les passions se font jour partout, et l
point ces choses, elles né naissent d’ailleurs que petit à petit. Le sommeil magnétiqueen est d’abord exempt: trop de jouissan
dainement, ils retombent dans l’obscurité presque aussitôt. La vie du sommeil demande donc un nouvel examen. Sans doute on renc
nt articulaire, il y avait affaiblissement général du malade, plus de sommeil , plus d’appétit, maigreur excessive , débilité, a
e, les symptômes les plus heureux se sont manifestés; l’appétit et le sommeil , complètement perdus, sont revenus; le moral affe
hilosophique de ces états si surprenants où, sans être plongé dans un sommeil naturel ou artificiel, l’homme apparaît à nos yeu
s, et dit qu’il ne souffrait nulle part, que rien n’avait dérangé son sommeil . « (Je cas est un nouvel exemple de l’expressio
ntatives ne purent développer chez elle la plus légère disposition au sommeil magnétique. Ce traitement fut interrompu jusqu’au
isée dès la première séance ; ce fui d'après ses conseils, pendant un sommeil très-lucide, que je soumis sa taille à un nouveau
lors l’inspira- tion de profiter do cette disposition incessante au sommeil , pour plonger la malade dans le sommeil magnétiqu
tte disposition incessante au sommeil, pour plonger la malade dans le sommeil magnétique le plus profond (j’avais eu antérieure
) , je la fis mettre au lit à quatre heures du soir, et l’endormis du sommeil magnétique; elle me promit de ne faire aucune ten
ant quinze jours , sans obtenir d’autres phénomènes magnétiques qu’un sommeil agréable et réparateur, que je pouvais prolonger
feuillage et magnétisés, des malades se sont endormis d’une sorte de sommeil divin. Durant les extases de ce sommeil, disait-o
sont endormis d’une sorte de sommeil divin. Durant les extases de ce sommeil , disait-on, ils lisaient en leur propre corps ain
ernier, je la magnétisai, afin de la laisser reposer quelque temps du sommeil magnétique; elle ne tarda pas à entrer en somnamb
ée, et la somnambule n’a pu les retrouver ni actuellement ni dans ses sommeils ultérieurs. J’ignore si les personnages de la v
s intolérables dans la région occipitale; cette névrose la privait de sommeil et de mouvement. Dix-huit magnétisations d’une he
sé huit jours de suite sans rien éprouver, s'endormit le neuvième. Le sommeil dura trois quarts d’heure, et la douleur disparut
e le lendemain afin de prévenir le retour des accidents, produisit un sommeil dont le malade éprouva le plus grand bien. La gué
’autres prières que son Pater et son Credo, elle faisait, pendant son sommeil , des prières admirables ; elle était exempte de t
ins qui ont vu les paroxysmes, les ont assimilés au somnambulisme, ou sommeil magnétiqne, sans qu’aucun d’eux ait cru pouvoir d
mon épouse d’une hydropisie générale; elle avait entièrement perdu le sommeil et l’appétit. Je vais satisfaire ces messieurs(1)
ond verre d’eau magnétisée que ma femme eut bu, sa diarrhée cessa, le sommeil revint, et l’appétit aussi. M. Laforgue continua
e disloquant toutes les articulations , dans les premiers instants du sommeil . en mars 181». 1° Considérablement diminuée.
de durée variable. Résultats. — Cette action amène difficilement le sommeil . L’inlensité delà maladie, portée au comble par c
maladie, portée au comble par celte influence, s’amende peu à peu. Le sommeil nrturel revient, et avec lui le repos, la diminut
nétisme. La magnétisation produisit des effets très-sensibles. Le sommeil magnétique se déclara, offrant de particulier une
u corps étaient comme paralysés, et que, quand au bout d'une heure le sommeil perdait de son intensité et laissait la pensée et
illai alors d’avoir recours au magnétisme. Dès la première séance, le sommeil se manifesta; bientôt il devint somnambulisme, ma
xpériences tout ce que l’homme peut sur l’homme. J’ai obtenu, sans le sommeil magnétique, les plus étranges phénomènes : la tri
00 pulsations à la minute, s’est ralenti ; la fièvre s’est calmée, le sommeil et l’appétit ont reparu , et je m'applaudissais d
s légèrement sur son front, et le calme se montrait, suivi bientôt du sommeil le plus paisible. Je cessais l’insufflation, et l
ie. On les vit s’approcher, se placer sous cet ombrage; puis, un doux sommeil s’emparant d’eux', leur cœur ne battait plus qu’à
r mis en état de somnambulisme. Cela eut lieu, et Boulay, pendant son sommeil magnétique, découvrit ce qu’il cherchait depuis l
Swedenborg était exactement l’opposé. Son état n’était pas un état de sommeil , ni aucun de ceux qu’on peut produire par un agen
ar sa seule volonté, la clé par laquelle je l’endors ordinairement du sommeil som-nambulique pour les consultations ; car maint
le Dr Charpignon, 14. Etudes somnambuliques. De la véracité dans le sommeil magnétique, par M. Townshend, 364. — Réflexions p
son enfant, 631. Invasion subite de l’état de veille par l’état de sommeil , 105, 423. Magie magnétique. La philosophie et
32 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
er de l'imagination, la frontière de la vie intérieure, et pendant le sommeil la cause organique des songes? Questions, encore
her adieu! D'ailleurs une expérience quotidienne prouve que les longs sommeils nuisent aux vieillards, et que le repos tue ceux
tes les cordes de la lyre humaine, excitera la fureur ou liera par le sommeil , livrant tour à tour l'âme aux angoisses de la do
s'établissent entre les hommes. D'ailleurs l'ouïe est peu sujette au sommeil et son action ne subit aucune interruption nécess
ire, s'éveille et grandit dans le silence de ces impressions, dans le sommeil général surtout, et pendant la veille, dans la sp
er à leur tour et régner sans rivales. Or cet état existe, c'est le sommeil , condition dans laquelle le rapport des organes d
ore mal défini, mais qui se distingue de l'état d'hallucination et de sommeil par des troubles singuliers de la sphère des mouv
principales, savoir : 1. Dans l'état de veille. 2. Dans l'état de sommeil . 3. Dans l'état d'hallucination. 4. Dans l'ét
s peuvent n'être comprises que sous forme d'idées. CHAPITRE V. DU SOMMEIL . § 1. Définition du sommeil. Le sommeil est l
sous forme d'idées. CHAPITRE V. DU SOMMEIL. § 1. Définition du sommeil . Le sommeil est la condition première de la vie
idées. CHAPITRE V. DU SOMMEIL. § 1. Définition du sommeil. Le sommeil est la condition première de la vie animale. Le f
alternatives naturellement liées à celles du jour et de la nuit. Le sommeil est donc l'état primordial. Mais c'est un état de
lier Jouffroy, en ont fait le caractère principal qui la distingue du sommeil . Mais ce caractère seul n'établit pas assez du di
il. Mais ce caractère seul n'établit pas assez du différence entre le sommeil et la rêverie; pour compléter la définition du
nce entre le sommeil et la rêverie; pour compléter la définition du sommeil il faut faire intervenir l'idée d'un engourdissem
s le corps revient aux conditions fœtales, il végète. Mais ce nouveau sommeil diffère cependant du sommeil primitif. Celui-ci é
ions fœtales, il végète. Mais ce nouveau sommeil diffère cependant du sommeil primitif. Celui-ci était absolu, sans idées et sa
le cerveau, les impressions extérieures y laissent des traces que le sommeil le plus profond n'efface pas, l'âme ne cesse pas
ncohérence est-elle un des caractères les plus frappants des idées du sommeil . Comme les mouvements du corps et la persistanc
éclament un certain degré d'attention et d'instance, les attitudes du sommeil tendent à un équilibre passif. L'œil est entraîné
me intelligente et n'obéit plus qu'aux lois de la vie automatique. Le sommeil , disait Avicenne (1), est un mouvement de retrait
ent indispensable à l'entretien de la vie. Il est si évident que le sommeil résulte surtout de ce que (1) 1.3. Traet. i. ca
par une réaction subite l'âme à un objet défini. Le premier effet du sommeil commençant est de détruire la coaptation de l'œil
des voix puissantes, passent inaperçus. La même chose arrive dans le sommeil ; l'oreille ne cesse pas, sans doute, d'être ébra
iste en grande partie, ce qui semble démontrer péremptoirement que le sommeil n'intéresse que fort peu la (1) Quelques hommes
ntéresse que fort peu la (1) Quelques hommes entendent pendant leur sommeil au pointde pouvoir suivre et tenir une conversati
e, et détournant à son profit toutes les forces de l'intelligence, le sommeil la distrait avec plus de force en l'enchaînant à
chée. Nous venons de dire que la vie organique n'est point sujette au sommeil ; dès lors si quelque impression agit sur le corp
cas où des impressions pourront être immédiatement perçues pendant un sommeil non interrompu. Quand par exemple une impression,
r certaines parties, pourront éveiller des idées adéquates pendant le sommeil ; mais l'âme toute occupée du monde fantastique qu
le cadre d'ailleurs fort élastique du rêve. La cause qui produit le sommeil obscurcit en général toutes les sensations à la f
vement régulier et habituel, ce mouvement peut se continuer malgré le sommeil : c'est ainsi que des cavaliers dorment à cheval,
ntigamlmles. On donne aux personnes qui se meuvent ainsi pendant le sommeil le nom de somnambules ou de noctambules. Les ac
abitudes de la vie réelle tracent d'ailleurs la voie à ces actions du sommeil : des cuisiniers nettoient et rangent leurs usten
anglais avait l'imagination si susceptible d'être affectée pendant le sommeil , que ses camarades lui suggéraient des songes à l
e réveilla. (Beattie, Réflexions sur les songes, §4. Cf. Jouffroy, Du sommeil .)—Il est impossible d'accepter la théorie de M. C
théorie de M. Charma, qui veut que toute sensation perçue pendant le sommeil , éveille, ne fût-ce qu'un instant. Les songeurs s
ort bien de ces sensations et continuent souvent de rêver. Charma, Du sommeil . Mai, 1852. Paris. — Formey. Mém. de l'Acad. de B
peut supposer que les individus qui imaginent dans cette condition du sommeil agissent dans le monde réel en raison des images
une affection nerveuse qui nous saisit et. qui nous quitte pendant le sommeil , durant lequel l'imagination nous représente les
ntiments. C'est ainsi que le religieux somnambule, qui tenta dans son sommeil d'assassiner l'abbé dom Duhaget(l), se dirigea pa
(2) Cf. Encyclopédie. Art. Somnambulisme. (3) Lelut. Mémoire sur le sommeil , les songes et le somnambulisme. Paris, 1852. — A
ommeil, les songes et le somnambulisme. Paris, 1852. — A. Lcmoine. Du sommeil au point de vue physiologique et psychologique. P
ysiologique et psychologique. Paris, 1855, in-12. Part.2.—Macario. Du sommeil . Paris, 1857, p. 118. (4) Hist, apopleclicorum.
t, j'éprouvais un besoin dont je n'avais pas une idée claire; mais le sommeil était plus fort que le besoin, et je m'endormais
ns jouissent de l'usage de tous leurs sens. Mais comment concevoir le sommeil avec des sens éveillés? Comment expliquer ces rêv
alors inconnu (3). Comment se fait-il donc que cette pensée lucide du sommeil n'ait rien de commun avec celle de la veille? N'e
accès le saisissaient indifféremment pendant la veille et pendant le sommeil . Quand c'était au moment d'une composition, il co
mbulisme parfait est beaucoup plus éloigné de l'état de veille que le sommeil proprement dit, car on peut se rappeler ses rêves
Krunkheiten, Heidelberg, 1811, p. 251. nette à l'esprit pendant le sommeil qui suit immédiatement. « Un de mes amis, dit Bur
uence fort importante en philosophie; c'est qu'on peut, en passant du sommeil à la veille et réciproquement, oublier temporaire
s recours dans un instant. § 3. Du cauchemar. Il est en dehors du sommeil normal des conditions différentes de celles du so
fférentes de celles du somnambulisme. Dans certains cas, en effet, le sommeil anéantit le pouvoir de l'âme sur les muscles, en
mons et des spectres. La cause la plus fréquente de ces phénomènes du sommeil est une dyspnée nocturne avec le sentiment d'oppr
oyances populaires. § 4. Des songes. Les idées amenées pendant le sommeil normal au degré des sensations réelles portent le
ges. Ces idées sur lesquelles l'activité de l'âme s'exerce pendant le sommeil sont un phénomène habituel et peut-être continu.
rappelle qu'imparfaitement les idées qui ont occupé l'âme pendant le sommeil , quelques philosophes supposent que les songes s
uveau-né, dit-il, dort la plus grande partie du temps, et pendant son sommeil on s'aperçoit qu'il rêve, mais ce n'est que plus
une syncope croyant être éveillé, j'entrai dans l'autre comme dans le sommeil . Il est donc fort probable que l'état intermédiai
e que l'état intermédiaire, eu égard à l'âme, est fort semblable à un sommeil profond; or il est presumable que ce sommeil part
est fort semblable à un sommeil profond; or il est presumable que ce sommeil particulier a ses rêves. L'histoire de Thespesi
e l'âme pense toujours, que les songes sont selon lui la condition du sommeil ; « car, dit-il, de même que l'âme est excitée pen
(3) Nouveaux essais sur l'entendement humain. Consult. Jouffroy, Du sommeil . Globe, t. V, nos 21 et 22. — Bontekoë attribue l
auirnalis, § 40. Cf. Maine de Biran, Nouvelles considérations sur le sommeil . — Lelut, Diction, des sciences philosophiques, a
s sur le sommeil. — Lelut, Diction, des sciences philosophiques, art. Sommeil .—Albert Lemoine, Du sommeil, au point de vue phys
iction, des sciences philosophiques, art. Sommeil.—Albert Lemoine, Du sommeil , au point de vue physiologique sl Psychologique,
e. La faculté de rêver a donc été donnée par Dieu, comme condition du sommeil , à tous les animaux en commun, mais principalemen
que Dieu, en même temps qu'il lui fournissait en cela la condition du sommeil , se réservait la faculté de l'avertir par les son
les analogies réelles, mais du hasard. La même chose arrive clans le sommeil , parce qu'alors la volonté est faible, sans persi
ement démontré, les sensations obscures qui nous assiègent pendant le sommeil , et qui ne sont jamais complètement suspendues, p
éalisé certains projets, les poursuivent le plus souvent pendant leur sommeil , parce que les antécédents diur- (1) Cf. Maenis
e per somnum, §2. Cf. Maine de Biran, Nouvelles considérations sur le sommeil . Edition Cousin, t. il, p. 255. (2) Spinosa. Op
m'est souvent arrivé de m'observer pendant le passage de la veille au sommeil . Avec un peu d'exercice on peut parvenir à tenir
on peut parvenir à tenir sa raison éveillée au point de surveiller le sommeil et de le faire durer à son gré. Cet exercice est
dire, une ebullition d'objets tourbillonnants. Mais à mesure que le sommeil approche, ce mouvement moléculaire d'images se ra
s. Ce sont, à proprement parler, des rêves commençant dès le début du sommeil . se changer en une forme hideuse. Que de décept
ns l'état de veille, à plus forte raison le seront-ils dans l'état de sommeil . On sait qu'ils sont souvent déterminés par l'ivr
ènes de la veille, et à cette expression consacrée, hallucinations du sommeil , on substituerait heureusement celle de rêves psy
urait en même temps des rêves psychiques, c'est-à-dire des pensées du sommeil . Baillarger, Des hallucinations (Mémoires de l'Ac
e de Médecine. Paris, 1846, t. XII, p. 426 et suiv.) Ch. m, art. i. sommeil profond dans les premiers instants du songe, celu
causes naturelles, et résultait de la condition toute spéciale que le sommeil fait à l'âme. Or, dans cette hypothèse sa réalité
eilleront des sensations dans le corps, en raison même de « l'état de sommeil , et ceux qui dorment ressentiront ces « petites é
« La nuict propre venant au jour « du Tournoy, dit-il, en mon premier sommeil , je songeay « que je voyois le Boy, assis sur une
evait donner aux Syracusains un spectacle de gladiateurs. Pendant son sommeil il se vit transpercer par la main du réliaire, ce
istoires; que dire et qu'affirmer? Dira-t-on que l'âme voyage dans le sommeil , renouvelant la fable de cet Hermotime de Clazomê
nt-ils inspirer? D'ailleurs, si dans cette multitude de rêves, que le sommeil amène, les uns sont vrais, les autres faux, si co
bres de la chaîne des impressions extérieures, s'associent pendant le sommeil , on pourra concevoir comment, au milieu de mille
ns des viscères, explique pourquoi l'incube est une maladie propre au sommeil . Il semble qu'il y ait dans l'homme endormi qu'un
de ses pensées. Combien d'écoliers ont appris leurs leçons pendant le sommeil , les réminiscences claires des songes se transfor
is si, au milieu de ses douleurs, l'excès de la fatigue le livrait au sommeil , un génie consolateur conduisait son imagination.
it citer des exemples nombreux. Il est bien remarquable que dans le sommeil les rêves visuels soient les plus fréquents, tand
elles se développent dans l'obscurité, c'est-à-dire dans une sorte dé sommeil partiel dont l'œil est le siège. Ces hallucinatio
x, à la faveur d'une image fantastique, ce que l'autre vit « dans son sommeil , et, » ajoute saint Augustin, «ces faits nous (
rgie, ni l'hystérie, ni l'épilepsie, ni la catalepsie. Loin d'être un sommeil , à proprement parler, on pourrait affirmer qu'ell
rait affirmer qu'elle en est 1'anlipode. En effet, tandis que dans le sommeil l'attention succombe, c'est un excès d'attention
ombe, c'est un excès d'attention qui amène ordinairement l'extase. Le sommeil est donc l'empire de l'oubli; mais l'extase est c
dans : Opera omnia. Amstelodami, 1660. ainsi frottée, tomba dans un sommeil profond. A son réveil elle avait, disait-elle, tr
ieurs choses de divers lieux et endroits qui furent avérées. (1) » Ce sommeil magique différait évidemment de l'extase propreme
assait pour avoir des révélations des choses éloignées. Ainsi dans le sommeil , dans les hallucinations, dans l'extase, la même
complet. Mais que certains agents changent l'état du cerveau, que le sommeil dérange ou modifie certaines conditions d'équilib
de « nous, qu'elles nous appartiennent. Dans l'état de santé et « de sommeil , il arrive que nous recevons des objections qui
s, 1845, p. 33. correspondante du cerveau se voyait à nu. Quand son sommeil n'avait pas de songes, le cerveau était immobile
r voie d'association des idées si vives parfois, qu'il suffirait d'un sommeil léger pour que ces idées fussent des songes. On p
'admiration du vulgaire. Parmi les illusions les plus fréquentes du sommeil et de l'extase, on doit citer en premier lieu les
raintes primitives et se livrent à la surface des eaux à une sorte de sommeil plein de langueur, peuvent se faire une idée obsc
iée. Mais qu'un accident pareil arrive à un homme auquel la folie, le sommeil , une excitation quelconque ôtent la liberté du ra
ique, mais la raison empêche le jugement de s'égarer ; dans l'état de sommeil ou de folie, la raison perdant son empire, les ju
produire des éblouissements pendant la veille, produirait pendant le sommeil des rêves analogues. Toutes ces choses s'enchaîne
oute cette catégorie de faits établit comme un pont entre la vie du sommeil et la vie extérieure. Les convictions et les impu
t les impulsions délirantes s'engendrent dans la veille comme dans le sommeil , par voie d'association automatique et sous l'inf
ccession serait incessante sans l'intervention de la raison, dont les sommeils sont, hélas ! si fréquents, même dans l'état de v
ions sont faibles et n'atteignent à leur summum d'énergie que dans le sommeil ou clans les hallucinations, elles ne déterminent
aturelle. L'homme qui veut énergiquement jeter un autre homme dans le sommeil magnétique regarde ses yeux. 11 veut que leurs pa
aissent en effet, parce que de ces actions résulte une idée intime de sommeil , d'où le sommeil résulte en raison de la relation
parce que de ces actions résulte une idée intime de sommeil, d'où le sommeil résulte en raison de la relation naturelle qui en
gie pour les grands hommes accusés de magie, chap, iv; et Macario, Du sommeil , p. CS. II. 39 tions populaires. On était a
s ils sont naturels, et l'homme ayant la faculté de rêver, pendant le sommeil normal, il n'est pas impossible d'admettre qu'il
magnétique au point où on en était autrefois pour l'extase et pour le sommeil ; la difficulté est la même de part et d'autre. S
écrite du Dr Cerise à M. Macario, et qui sert de préface au Traité du sommeil de ce dernier auteur. Paris, 1857. rechercher s
effets semblables à ceux que déterminent des causes réelles. Dans le sommeil , elle provoque l'incube, et dans la veille les di
on l'excite, de caqueter, de cacher sa tête sous son aile pendant le sommeil , persiste alors dans une poule. En un mot, tout c
§ 2. De l'état de veille..................... 477 CHAPITRE V. — Du sommeil .................... 484 § 1. Définition du somm
CHAPITRE V. — Du sommeil.................... 484 § 1. Définition du sommeil .................... ib. § 2. Des somnambules...
33 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s, faiblesse extrême. Etourdisse- ments, crampes. La nuit manque de sommeil ; l'énergie me fait absolument défaut. » En peu
la mélancolie aiguë, il est le meilleur des hypnotiques et donne un sommeil naturel sans troubler l'ap- pétit et sans modif
a appelé la « dépression appréhensive ». Le véronal donne ici un sommeil semblable au sommeil naturel. l'état de langueu
ession appréhensive ». Le véronal donne ici un sommeil semblable au sommeil naturel. l'état de langueur qui peut lui succéd
ème à résoudre. Evidemment, ce sont les hypnotiques qui donnent .un sommeil aussi voisin que possible du sommeil naturel qu
es hypnotiques qui donnent .un sommeil aussi voisin que possible du sommeil naturel qui agissent le moins sur les centres s
t le moins sur les centres supérieurs : ceux qui tout en donnant le sommeil modifient sensiblement l'état des vaisseaux san
des vaisseaux sanguins s'accompa- gnent de malaise au réveil. Le sommeil naturel n'a manifestement qu'un seul facteur pri-
des éléments psychiques est le facteur primitif de la productiondu sommeil et l'abaissement de la pression san- guine un p
n plus ou moins accusée des territoires psychiques, et puis- que le sommeil naturel est probablement le résultat des modifi-
étendre à toutes les activités mentales et nerveu- ses, et aussi au sommeil qui est nécessaire. Mais le développe- ment doi
ans un restaurant de banlieue, etc. La crise passée, il recouvre le sommeil , dort même chaque nuit longtemps et profondémen
rattachera des maladies différentes. M. Il. XIII. Sur l'origine du sommeil . Etude des relations entre le sommeil et le fon
Il. XIII. Sur l'origine du sommeil. Etude des relations entre le sommeil et le fonctionnement de la glande pituitaire ; pa
font. tionnement de l'hypophyse et il émet cette hypothèse que le sommeil physiologique est essentiellement dû à la sécréti
c'est de l'asthme faux. L. Wahl. Le trypanosome de la maladie du sommeil ; par ROBENT JoxEs. (The Journal of Mental Scien
eur : on a été bru- talement et douloureusement réveillé d'un lourd sommeil , mais le danger passé, la réaction s'est faite
plique facilement le rêve en admettant que la fatigue produisant le sommeil supprime progressivement les sen- sations, puis
n scène,soif chez l'hypnotisé, soit chez l'enfant. Bref,pourquoi le sommeil porterait-il son effet, d'une part sur l'organi
es ? 11 semble au contraire que, si le duplicisme était vrai, si le sommeil pouvait dissocier le moi et les co-êtres, ceux-
907, ? S 5 ARCHIVES DE-NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /lo, 1 - (Théorie physiologique
n état d'engourdissement, d'inhibition du cerveau, à une sorte de sommeil spécial plus ou moins genéiaiisé et aboutissant
uns,c'est la'perte du pouvoir de représentation qui en- hystérie'et SOMMEIL . 355 traîne les troubles hystériques ; pour les
ier qu'une paralysie hysté11que d'un bras,neuf manières HYSTÉRIE ET sommeil . 357 de l'expliquer psychologiquement. Peut-on
qu'un arrêt, qu'un phéno- mène d'inhibition, d'engourdissement, -de sommeil , peu importe le mot,frappe un centre du cerveau
ons. Bilil. de philos. conlhmp. Paris F. Alcan, 1905. HYSTÉRIE ET SOMMEIL . 3u3 tant,que la synthèse des impressions const
Mais, récemment, àpropos d'une étude sur une théorie biologique du sommeil , dans laquelle il consacre une grande partie au
elle il consacre une grande partie aux rapports de l'hystérie et du sommeil sur lesquels j'aurai lieu de re- venir tout à l
ur la prééminence des premiers ; et surtout sur le fait HYSTÉRIE ET SOMMEIL . 365 que ce n'est pas dans une explication pure
le trouble fondamental de l'hystérie est constitué par une sorte de sommeil ,d'engourdissement, d'inhibition du cerveau. Déj
de somnolence, de rêverie qui aboutit si souvent à des attaques de sommeil , leur somnambulisme si fré- quent, leurs aveux
suite à l'insomnie. Je pensai donc que si elles ne dormaient pas du sommeil naturel, c'est qu'el- les étaient plongées dans
st qu'el- les étaient plongées dans un état d'engourdissement, de sommeil pathologique. Pour m'en assurer j'avais deux mo
Il suffisait de la généraliser, de la poursuivre comme HYSTÉRIE ET SOMMEIL . . 3P7- je l'ai fait, pour voir se dérouler tou
ues, à savoir qu'elle était due à ce qu'ils étaient plongés dans un sommeil pathologique, c'est le retoui du sommeil normal
ls étaient plongés dans un sommeil pathologique, c'est le retoui du sommeil normal. Dès que le sommeil pathologique dispara
sommeil pathologique, c'est le retoui du sommeil normal. Dès que le sommeil pathologique disparaît, le sommeil normal repar
ui du sommeil normal. Dès que le sommeil pathologique disparaît, le sommeil normal reparaît, car c'est une fonction normale
êt de fonctionnement d'un nerf par exemple. Seulement HYSTÉRIE ET SOMMEIL 369 ici c'est le cerveau lui-même qui est frapp
le permettant de rapporter chaque phé- nomène à tel ou tel degré du sommeil cérébral, et aus- si une méthode thérapeutique,
sychiques de la folie se manifestent dans le même ordre que ceux du sommeil , du délire, de l'intoxication, de l'anes- thési
éveloppement de l'individu ou de la race et après la terminaison du sommeil , du délire, de l'intoxication ou de l'a- nesthé
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 429 l lIr.- Un cas de tumeur cérébrale avec sommeil ; par 11AILLARD et J\ ! ILHIT, (L'Encéphale, 190
et J\ ! ILHIT, (L'Encéphale, 1906,n° 3.) Dans cette observation, le sommeil fut le symptôme dominant, presque unique, -puis
cessaient (1 exister si l'on parvenait à réveiller la malade de son sommeil invincible (car il s'agit bien ici d'un sommeil
er la malade de son sommeil invincible (car il s'agit bien ici d'un sommeil véritable et non d'un état comateux). Comme aut
1907. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil (Théorie physiologique de l'Hystérie. (Suite et
hystériques con- firmés ne sont que des vigilambules dont l'état de sommeil est plus ou moins profond, plus ou moins étendu
'y a pas de vigilambulisme, il n'y a que des états d'inhibition, de sommeil , par- tiels, atteignant seulement certaines par
nte, et alors tous les troubles objectifs et subjectifs HYSTÉRIE ET sommeil .. 451 qui en résultent, dans le domaine somatiq
térique consiste dans un état d'engourdissement, d'in- hibition, de sommeil et il reste à déterminer quelle espèce de somme
n- hibition, de sommeil et il reste à déterminer quelle espèce de sommeil -on comprend qu'il n'y ait aucune leurs délimita
vement dus à des modifications de l'activité corticale. hystérie et SOMMEIL . " * 453 différence de nature, malgré une diffé
a même naturellement. Je dis que l'état hystérique est une sorte de sommeil des centres fonctionnels du cerveau. Avant de v
es fonctionnels du cerveau. Avant de voir en quoi peut consister ce sommeil et comment il peut se produire je dois dire que
de réveil..Ils dépendent dans une certaine mesure de la cause du sommeil lui-même, mais leur fond commun est le rétablis
, Et maintenant, j'en reviens à ma théorie du trouble HYSTÉRIE ET sommeil . 455 primitif de l'hystérie constitué par une s
E ET sommeil. 455 primitif de l'hystérie constitué par une sorte de sommeil des centres cérébraux, d'engourdissement cérébr
ystériques vigilambules. Je ne sais comment appe- ler autrement que sommeil , l'état où se trouve plongé un individu présent
ter ces trou- bles,- je ne sais pas comment appeler autrement que sommeil , l'état dans lequel cet individu était plongé q
Chez l'hystérique ce n'est pas par jours que se compte la durée du sommeil , mais par années, comme en témoi- gnent les nom
est de même nature et consiste essentiellement dans une sorte de sommeil des centres cérébraux. Mais quel est ce sommeil
dans une sorte de sommeil des centres cérébraux. Mais quel est ce sommeil ? J'ai fait à ce sujet diver- ses hypothèses et
avouer tout de suite que je n'en sais pas plus là dessus que sur le sommeil hypno- tique lui-même. On m'a cependant fait ce
ologie et ayant pour titre : « Esquisse d'une théorie biologique du sommeil .». Je me garderai bien de critiquer cette théor
arderai bien de critiquer cette théorie, qui consiste à regarder le sommeil comme une réaction de désintérêt, comme une fon
l'être. » Comme il y a déjà une respectable quantité de théories du sommeil , dont aucune n'est démontrée ni sa- tisfaisante
consacre un long chapitre à une étude comparée de l'hystérie et du sommeil , dont la conclusion est une théorie de l'hystér
hystérie considérée comme une manifesta-- tion de même ordre que le sommeil , suivant sa définition nouvelle. Notons donc im
tations psychologiques de M. Janet, la distraction. HYSTP-l 11-- ET SOMMEIL . 457 Il ne voit dans l'hystérie qu'un phénomène
qu'un phénomène de distrac- tion, de désintérêt, tout comme dans le sommeil .L'hys- térie est donc.un phénomène comparable a
me dans le sommeil.L'hys- térie est donc.un phénomène comparable au sommeil naturel, du moins compris'à sa manière. Or ce
e voit ensuite me reprocher-à tort du reste-d'avoir con- fondu le sommeil cérébral, cause de l'hystérie, avec le sommeil
voir con- fondu le sommeil cérébral, cause de l'hystérie, avec le sommeil naturel. Sentant la contradiction, il écrit : « M
- thèse de Sollier, en substituant à la sienne ma concep- tion du sommeil . Non, comme je l'ai dit tout à l'heure, je croi
s qui ne se recouvrent pas. Lorsqu'on a dit que l'hystérie est un sommeil on n'a rien gagné du tout, car il reste en- cor
n gagné du tout, car il reste en- core à déterminer quelle sorte de sommeil , ce qui différen- cie l'hystérie du sommeil nor
erminer quelle sorte de sommeil, ce qui différen- cie l'hystérie du sommeil normal. Et c'est là toute la question. » Mais o
ais où M.Claparède prend-il que j'ai iden- tifié l'hystérie avec le sommeil normal ? J'ai dit un som- meil et noir le somme
'hystérie avec le sommeil normal ? J'ai dit un som- meil et noir le sommeil ; j'ai même ajouté, pour bien montrer qu'il s'a
ême ajouté, pour bien montrer qu'il s'agissait d'autre chose que du sommeil normal, naturel, un engourdissement. Si quelqu'
urel, un engourdissement. Si quelqu'un iden- tifie l'hystérie et le sommeil naturel, il me semble que c'est M. Claparède, e
tal de l'hystérie, en face d'une hypothèse des plus contestables du sommeil na- turel. Je n'ai ni identifié ni comparé le
estables du sommeil na- turel. Je n'ai ni identifié ni comparé le sommeil du cerveau dans l'hystérie au sommeil naturel.
ai ni identifié ni comparé le sommeil du cerveau dans l'hystérie au sommeil naturel. M. Claparède pré- tend qu'on n'a rien
d qu'on n'a rien gagné du tout quand on a d t que l'hystérie est un sommeil . Je lui demande bien pardon ; on y a gagné qu'e
demande bien pardon ; on y a gagné qu'en réveillant le sujet de ce sommeil on fait disparaître les phénomènes hystériques,
arède pense que toute la question est de savoir en quoi consiste ce sommeil . Cela peut être intéressant pour lui au point d
ela peut être intéressant pour lui au point de vue d'une théorie du sommeil . Pour moi,j'avoue que c'est là une question sec
qu'un homme dort, je n'ai pas besoin de savoir en quoi consiste le sommeil pour reconnaître qu'il dort, et savoir 458 CLIN
r des secousses, je n'ai pas encore be- soin d'avoir une théorie du sommeil pour savoir qu'il est réveillé. Or,quand il s'a
je dis qu'elles dormaient, sans me préoccuper autrement du genre de sommeil dans lequel elles étaient plongées. Je sais seu
eulement que c'est une sorte de som- meil, mais que ce n'est pas le sommeil naturel. Lors- qu'on plonge un sujet dans le so
e n'est pas le sommeil naturel. Lors- qu'on plonge un sujet dans le sommeil hypnotique il s'a- git bien aussi d'un sommeil,
nge un sujet dans le sommeil hypnotique il s'a- git bien aussi d'un sommeil , et ce sommeil est en tous points semblable à c
ns le sommeil hypnotique il s'a- git bien aussi d'un sommeil, et ce sommeil est en tous points semblable à celui qui consti
ui qui constitue l'hystérie. M. Cla- parède nie-t-il que ce soit un sommeil ? Il ne sait pas ce- pendant en quoi il diffère
soit un sommeil ? Il ne sait pas ce- pendant en quoi il diffère du sommeil normal ; ni moi non plus, et cela pour une bonn
bonne raison, c'est que ni lui ni moi ne savons en quoi consiste le sommeil naturel. Cela nous empêche-t-il de savoir que l
? Je n'ai pas été cependant sans m'inquiéter de la natu- re de ce sommeil cérébral,ou pour mieux dire de sa cause. Car,su
ce que M. Claparède ne semble pas avoir aperçu. Quand il dit que le sommeil naturel est une réac- tion de désintérêt, cela,
ettant que ce soit vrai, ne nous renseigne en rien sur la nature du sommeil , mais tout au plus sur sa cause, et pas davanta
, ou toute autre cause. Si j'ai recherché non pas la nature de ce sommeil mais ses causes possibles, c'est' que cela a une
ouvelles critiques de M. Claparède, lequel feint de les HYSTÉRIE ET SOMMEIL . 459 regarder comme des affirmations de ma part
ma part, en conti- nuant toujours à croire que j'assimile l'état de sommeil des centres neryeux dans l'hystérie au sommeil
j'assimile l'état de sommeil des centres neryeux dans l'hystérie au sommeil naturel. Il m'accuse de rattacher cet engourdis
de l'épuisement, intoxiqué que j'étais par la théorie classique du sommeil naturel, qui le rapporte à cette cause. Est-ce
l, qui le rapporte à cette cause. Est-ce là la théorie classique du sommeil ? Ilyena tant que je n'en sais rien. Cela impor
. M. Claparède, obstiné dans son erreur de croire que j'assimile le sommeil naturel à l'en- gourdissement hystérique, me fa
grief de ne pas m'être aperçu que ce n'était pas là des fauteurs du sommeil or- dinaire, et dès lors il ne comprend pas com
pas comment j'iden- tifie le mécanisme de l'hystérie avec celui du sommeil normal. Mais je n'ai jamais pris les causes sus
ais je n'ai jamais pris les causes sus-indiquées pour des causes de sommeil naturel, et s'il veut se donner la peine de rel
) Voir : « Le mécanisme des émotions ». F. Alcan, 1905. HYSTÉRIE ET SOMMEIL . 461 soutenu depuis longtemps que ce qui caract
térique, et non l'affection. Parmi les hypothèses sur la nature du sommeil spécial, cause de l'hystérie, j'avais indiqué,
te des grandes hystériques vigilambules pour- rait être comparée au sommeil des hibernants dû, d'après le professeur Raphaë
r je le réveille; je dis que ces troubles hystériques sont dus à ce sommeil , à cet engourdisse- ment spécial de cerveau, et
semble que dire, comme M. Claparède,que l'hys- térie est un état de sommeil parce que c'est un état de distraction, et que
n état de sommeil parce que c'est un état de distraction, et que le sommeil est psychologiquement un état de désintérêt, de
la situation présente, n'éclaircit pas beaucoup ni la question du sommeil normal, ni celle du sommeil cérébral spécial à
claircit pas beaucoup ni la question du sommeil normal, ni celle du sommeil cérébral spécial à l'hystérie, et que, au point
ue, au point de vue clinique, l'assimila- tion de ces deux états de sommeil est un peu hasardée, après m'avoir reproché sur
ir reproché surtout à tort il est vrai - cette même assimilation du sommeil normal et de l'en- gourdissement hystérique.
enclin à adopter cette manière de voir (que l'hystérie n'est qu'un sommeil local du cer- veau plus ou moins généralisé); c
trompe M. Claparède, c'est qu'il pense que l'en- gourdissement, le sommeil spécial, implique au premier chef l'idée de pas
insi que ceux qui, à ma sui- te, les ont renouvelées. HYSTÉRIE ET SOMMEIL . 463 négatif pourrait-il être le concomitant ph
ivement, sans troubles, sans stigmates, guéris et ayant recouvré le sommeil normal, en même temps qu'une difficulté beaucou
i pu modifier certaines appréciations, je n'ai fait que HYSTÉRIE ET SOMMEIL . 465 me confirmer davantage dans ma théorie fon
'écorce et persister indéfiniment. Qu'on appelle engourdissement, sommeil ,irihibition, cet état de l'écorce, peu importe (1
Itou. Oc méU., 1. 651) établissait l'analogie qui apparaît entre le sommeil et la paralysie hystérique, eu Tes rapportant l
à propos de ; par Conolly Norman, p. 43 1. Glande pituitaire.Voir Sommeil . - Voir Troubles psychiques. GLOSSOPI,1 : GIE
attention dans le traitement de l'- ; par P. i\Iagnin, p. 261. et sommeil ; par P. Sollier, p. 353, 449. ; par Déjerine,
ai- guës ; voir Manie. mentales. Voir non-sanilé mentale. - du sommeil ; voir Trypanosome. mentales ; voir Poids. me
olly Norman, p. 146. Soldat. Un ex-aliéné acquit- té, p. 174. Sommeil . Sur l'origine du-. Etude des relations entre l
e. Voir Traitement. 'l'nll'.\ : >IOSOME. Le de la ma- ladie du sommeil ; par Robert Jones, p. 138. 'l'noPIIOEDÈAIE.
34 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
quelques unes des Cures opérées à Londres NOMS. MALADIES. Séances. Sommeil . 1. Catherine Brown. — Crises nerveuses très-vi
.......* id. 6. Anne Doegj. — Tic douloureux......................1 Sommeil . 7. James Abdelleh. — Névralgie de la face.....
oid dans les épaules..............................................1 Sommeil . 15. MaitheSealy.—Névralgie de la face.........
......4 id. 17. Emma Newland. — Hyslérie..........................1 Sommeil . 18. Christine Matthews. — Hystérie............
— N> *©4. _ 95 janvier lât>5. 2 2f! NOMS. MALADIES. Sfanc ps. Sommeil , l’as. 21. id. 2*2. id. 23. Gcorgine Cougin
....... ..... G id. 27. Anne Mellows. — Epilepsie.......... ..... 8 Sommeil Los cas suivants ont exigé un traitement de tro
.....id. 52. Marie Clcrkson.—Contracture des pieds, rhumatisme. . . Sommeil . 53. James Gladwcll. — Rhumatisme goutteux.....
ont je vous enverrai des exemplaires. Mon but est de prouver que le sommeil n’est pas indis-pensablement nécessaire pour la g
est consacré à l’exposition des moyens de magnétiser et des effets de sommeil qui en résultent. HÉBERT (de Garnay). BIBLIOG
ue autre organe; moi, ça me courbature les avant-bras et me retire le sommeil pour une ou deux nuits. Quant aux usages, objet
t froides comme du marbre et insensibles ; elle s’endormit alors d’un sommeil naturel qui fut très-pénible et agité. Elle fut e
faits à l’appui de notre opinion. Voici une jeune femme prise d’un sommeil incessant. Elle dort en mangeant ; elle dort en m
inistre des excitants en masse ; rien n’opère, rien ne la tire de son sommeil . Soumise au magnétisme, cet agent la réveille, ré
pre. Mais, ne discontinuant pas mes passes, je le vois tomber dans le sommeil le plus profond et le plus doux. Je l’interroge
horizontalement, comme le font les individus plongés dans le prétendu sommeil magnétique, et un bandeau placé sur les yeux n’em
e M. Littré n’a pas craint de lui opposer, en annotant le chapitre du Sommeil , un extrait de l’ouvrage du I)r (’.arpenter, Cycl
gne de démarcation entre les deux. Ainsi, le parler ordinaire dans le sommeil peut être rapporté à l’une ou à l’autre condition
nait fort l’aurait éveillée, mais il n’était pas perçu dans l’état de sommeil parlant ; et, si l’interlocuteur lui adres- sai
successivement. Quoique d’habitude le somnambulisme naturel naisse du sommeil ordinaire, toutefois, dans cette circonstance, la
tive. Au bout d’un peu de temps, elle se calma et enfin entra dans le sommeil ordinaire qui, pour elle, était le successeur au
tion succède une dépression beaucoup plus grande que la torpeur (lu sommeil naturel. Les sens spéciaux et les muscles peuvent
avons étudié l’histoire de beaucoup de cas où il était affirmé que le sommeil mesmérique avait été provoqué sans que le sujet e
ille pour qu’elle commençât, l’attente seule suffisait pour amener le sommeil . Quand le patient n'avait pas une telle attente,
n'avait pas une telle attente, toutes les tentatives pour produire le sommeil ont, à notre connaisance, complètement échoué. En
il l’établit : :l° Les phénomènes sensibles qui se manifestent sans sommeil ; 2° Le sommeil magnétique lui-même; 3° Enfin,
:l° Les phénomènes sensibles qui se manifestent sans sommeil; 2° Le sommeil magnétique lui-même; 3° Enfin, le somnambulisme
en 18A6, à Notre-Dame, le R. P. Lacor-« daire, l’homme plongé dans un sommeil factice voit à tra-« vers les corps opaques à de
paraît que le vomissement n’était plus nécesssaire, car l’appétit, le sommeil , les forces reviennent très-promptement; enfin la
siner son lit ; on la coucha sans souffrance, et elle s’endormit d’un sommeil paisible pour ne se réveiller qu’au bout de plus
doigt sur le creux de l’estomac, en lui ordonnant de se rappeler. Le sommeil était-il vrai, ou lu volonté du magnétiseur suffi
it-il vrai, ou lu volonté du magnétiseur suffisait-elle ? » Oui, le sommeil était réel ; oui, la volonté du magnétiseur t-i
ne se réveille que le S) octobre, à onze heures du matin. Pendant ce sommeil de trente-six heures, le pouls était 65, réguli
te (le lu peau et l’état des yeux qui sont convulsés vers le haut, ce sommeil paraissait tout à fait naturel. Le 8 au soir, je
i 1 h octobre, aucun accès. Ce jour-là, vers dix heures du matin , un sommeil invincible force la malade à se coucher. Môme som
s du matin , un sommeil invincible force la malade à se coucher. Môme sommeil que le 7 ; la vessie est de nouveau très-distendu
réveil eut lieu le 16, à huit heures du soir. La périodicité de ce sommeil me décida à employer le sulfate de quinine. Le
n voulant chercher de l’eau à la fontaine, la malade est prise par le sommeil ; une personne est obligée de la conduire à la ma
ar le magnétisme. Pour la première fois, je la questionne pendant son sommeil sur la cause de ses accès ; elle me répond qu’ell
minuit. » Après cette réponse, la malade demanda une demi-heure de sommeil . A peu près cinq minutes avant la demi-heure révo
à elle aurait un accès à neuf heures du soir. Enfin elle demanda un sommeil de vingt minutes. Au bout de dix-huit minutes, je
lle me dit qu’elle la fixerait demain. De plus, elle m’annonça que le sommeil anesthésique reviendrait le samedi soir à dix heu
l’entourent et qui la fatiguent. Enfin elle demande vingt minutes de sommeil . Après son réveil, la malade va à ses ouvrages
draient. » Après ces questions, la malade demande une demi-heure de sommeil , puis demande un verre d’eau et quelques passes s
eu d’instants après elle a deux syncopes. Le 5 novembre. Depuis son sommeil magnétique d’hier, la malade se plaint d’une doul
er le sang. Après le pansement, la malade demande un quart d’heure de sommeil . Avant de la réveiller, nous lui demandons en-
es accès ? — Je n’eu aurai plus. La malade demande dix minutes de sommeil . Au bout de ce temps, elle me demande en grâce de
chez ses parents; à huit heures du soir, je la magnétise. Dans sou sommeil , elle me dit : « La suppression des règles, le
avec des coliques, et n’a pas rendu d’urines. Les maux de tète et le sommeil comateux persistent, le pouls est petit, à 65, un
e I)r Gros m’accompagne auprès de la malade. Nous la trouvons dans un sommeil comateux, interrompu par de légers délires. Elle
ains et les pieds sont froids. On a de la peine à la réveiller de son sommeil comateux. De temps à autre elle récite des prière
l’interrogeait ; mais, pour obtenir les songes désirés, il fallait un sommeil propice auquel on se préparait par des jeûnes, de
l’intelligence, et que nous voyons chaque jour se manifester dans le sommeil magnétique , eh bien ! la divination, la prévisio
pter la confiance du public, promesses pompeuses, passes magnétiques, sommeil vrai ou simulé, sont autant de manœuvres fraudule
endre plus supportables et éviter ainsi de déranger de nouveau de son sommeil et de faire descendre cette pauvre fille dont j
es, et j’étais redressé ; toutes mes douleurs évanouies, la force, le sommeil , l’appétit revinrent ; j’étais guéri enfin, et si
soigner par notre système, c’est qu’elles croient généralement que le sommeil est indispensable au soulagement de leurs maux. E
tic et au traitement des maladies; sa nature, ses différences avec le sommeil et les rêves ; par le D' L. de Séré. Prix : Zi fr
; mais elle fut agitée pendant la nuit ; l’enfant eut au contraire un sommeil paisible, et lorsqu’au matin, la mère voulut lui
ndance à la transpiration. Souvent ces phéno-nomènes sont suivis d’un sommeil profond ou seulement d’un court assoupissement, a
ou moins prononcé et qui peut aller jusqu’à l'extase caractérisant le sommeil magnétique? » Sans doute, l’objection aurait un
depuis onze mois. L’intensité des douleurs ne laissait ni repos ni sommeil : guérison après > magnétisations : eau magnét
énibles insomnies; quelques atomes d’opium lui rendent le calme et le sommeil . Cette jeune fille est en proie aux douleurs d’un
en leur trouver d’analogue dans certains états de l’économie? dans le sommeil , par exemple, etsurtout dans le somnambulisme nat
ins fréquente que le simple assoupissement, est ce qui caractérise le sommeil magnétique, » tandis qu’il n’y a pas de débutant
ne sache que, entre l’assoupissement, premier et plus simple degré du sommeil magnétique, cl l’extase, qui en est la période ex
n phé-« nomène qui appartient à l’ordre prophétique. Plongé dans v un sommeil factice, l’homme voit à travers les corps « opa
76.) Si le bonheur de Mmc B... fut grand, d’avoir ainsi retrouvé un sommeil réparateur, le mien n’était pas moindre de me tro
En moins de deux minutes notre malade fut de nouveau plongée dans le sommeil magnétique ; mais comme le père 15... tison retou
-Martin), et, suivant la prescription de ma malade, je lui envoyai le sommeil magnétique. Puis, ilans la nuit, comme elle me l’
en senti quand vous m’avez ordonne dt me réveiller... J’ai passé d’un sommeil à l’autre, et me suis levé plus tard qu’à l’ordin
haut en bas devant les yeux font fasier les paupières et incitent au sommeil . Les doigts présentés devant le visage et soulevé
e, elle fut magnétisée. — La clairvoyance qu’elle présente pendant le sommeil som-nambulique nous a paru très-incertaine, ce qu
oniacale très-prononcée. Je la mis en somnambulisme. Une fois dans le sommeil , je l’engageai de bien s’assurer de la véritable
’une petite fève et rempli d’aspérités. Elle nous assura, pendant son sommeil , que le magnétisme, dirigé avec une ferme volonté
faiblie par les déperditions de forces vitales non renouvelées par le sommeil , il a été impossible à quatre hommes robustes de
t et jour; accablé de lassitude, il ne tarde pas à être pressé par le sommeil ; sa volonté cherche à se raidir contre les exige
t cinq jours (I). La fatigue causée par une aussi longue privation de sommeil produisit chez moi toutes les hallucinations du r
le Désert cl le Soudan. « J’ai souvent souffert de la privation du sommeil , qui est . « la plus cruelle de toutes : peu à pe
ire assez tard dans la soirée, je fus forcé de passer deux nuits sans sommeil : le ragle se développa avec assez d’intensité pe
théorie et pratique du ragle. h Ainsi donc une longue privation de sommeil et la fatigue qui en résulte, sont les causes ord
un voyageur grièvement blessé. Cet homme était sous l’influence d’un sommeil profond quand on vint le requérir; joignez à cela
ucoup d’avantage. Pour moi, le seul remède que je connaisse, c’est le sommeil et les bains. Un bain, si toutefois on trouve de
mmeil et les bains. Un bain, si toutefois on trouve de l’eau, puis un sommeil de quinze minutes, donnent un soulagement qu’il e
de décrire. Mais il arrive parfois que l’irritation nerveuse rend le sommeil impossible. « 11 est aujourd’hui hors de doute
a des fous qui passent des mois sans dormir. « Le ragle précède le sommeil de l’homme et. en marque la fin. C’est pendant ce
pourrais le faire. « Le ragle se présente souvent dans le cours du sommeil . Un bruit soudain, un choc, la piqûre d’un insect
ste, que le somnambule ignore les actes qu’il a accomplis pendant son sommeil . « Le ragle et le sommeil sont assez soment dif
e les actes qu’il a accomplis pendant son sommeil. « Le ragle et le sommeil sont assez soment difficiles à distinguer l’un de
lucination diffèrent du l ève en ce qu’ils se produisent en dehors du sommeil sans que l’éréthisme normal des organes de la vie
’idées dont la première est née de quelque sensation qui a précédé le sommeil ; mais il n’y a aucun rapport dans cette sensatio
pays, lui permettant de demeurer chaque fois de une à trois heures en sommeil . Bientôt M. Tubbs la trouva entièrement propre à
beaucoup de bonté aux opérations de M. Tubbs. « M. Tubbs obtint le sommeil en neuf minutes, en tenant les mains et en fixant
de l’opérateur et la porte refermée. Afin de maintenir l’intensité du sommeil , le secrétaire, debout derrière la patiente, et c
onservait son attitude et sa respiration calmes, et l’impression d’un sommeil doux et non troublé. Une seconde incision semblab
encieuse, abandonnée à elle-mèuic, comme quelqu’un qui serait dans le sommeil le plus calme, pas la plus petite partie de son
gnétisât, je tâtai son pouls : il marquait soixante. Au moment de son sommeil , M. Tubbs trouva cinquante-quatre, et la face de
Assis dans un fauteuil, en moins de cinq minutes il a été livré à un sommeil profond, et nous avons commencé à voir les effets
nant un grand nombre de fois pendant le jour, accompagné d’un état de sommeil pendant lequel il aperçoit des dessins bizarres,
grimaces; « 2” L’occlusion des paupières pendant toute la durée du sommeil ; « 3° La distension de l’estomac par des gaz;
omènes nouveaux ne tardèrent pas à se manifester. Le malade, dans son sommeil , imite le son du cor de chasse après le départ de
nt des symptômes plus intenses et plus singuliers. Ainsi, pendant son sommeil , il roi)Ile avec force ou bien il miaule, il aboi
tat de somnambulisme très-prononcé, qui ne se montra jamais durant ie sommeil , line fois en ma présence, pendant le dîner, le m
TIC ET AD TRAITEMENT DES MALADIES; sa nature, scs différences avec le sommeil et le rive, par Louis de Séiié, doctour en médeci
rimaces, quelques contorsions, l’attitude d’une personne qui subit le sommeil magnétique et qui passe à l’état sonmambulique.
ue nous avons soutenue avec M. de Mirville. Ses explications sur le sommeil et sur les songes sont ingénieuses et méritent l’
politiques, sur le concours ouvert il y a deux ans sur la question du sommeil ; et il prouve que le somnambulisme est un état to
t il prouve que le somnambulisme est un état tout à fait différent du sommeil , état dans lequel l’âme, loin de sommeiller, acqu
J’adorais les fleurs dans leur langage, dans leurs mœurs et dans leur sommeil ! Les fleurs parlent, vivent et dorment !... Je sa
composition) ; puis le patient goûtera du repos et, s'il se peut, du sommeil . « Pédiluvcs — Trois journées après la dernière
useté ravissante. Tantôt ces enchantements plongent le médium dans le sommeil , puis le réveillent subitement à la fin de l’œuvr
a quelques minutes entre lui et son interlocuteur invisible ; mais le sommeil qui survint, effaça de sa mémoire la majeure part
epuis dix heures du soir, et j’avais dormi tout ce temps d’un profond sommeil , lorsque j’en fus tiré tout à coup avec un sentim
-crises; après une demi-heure, cessation de la crise, neuf heures de sommeil . Jeudi 4, crise au réveil, accès violents et fréq
elques minutes seulement, pas de crises, calme parfait, dix heures de sommeil . Vendiedi 5, absence de crises pen- dant la jou
ler, coucher dans des draps, veiller par son frère et un seul homme : sommeil de dix heures. Le dimanche 7, au matin, elle va,
analogues à ceux que produisent, chez tout le monde, les' passages du sommeil ordinaire à l’état de veille. L’individualité sub
ainsi (et il a décrit les passes mesmérionnes) : il en est résulté le sommeil , j’ai dormi profondément. Quand je me suis réveil
qu’elle avait entièrement perdu l’appétit et qu’elle était privée de sommeil ; les règles ne paraissaient qu’un jour et en peti
diminué de volume et s’est amollie. A la quatrième, l’appétit et le sommeil sont revenus. A la huitième, la tumeur s’est tr
est tel que la malade peut à peine attendre les heures des repas ; le sommeil est bon ; le teint est encore foncé, mais les mar
séances de magnétisation, j’ai obtenu : le retour de l’appétit et du sommeil , le rétablissement normal des règles, la résorpti
nstruisis par lettre pour qu’elle se magnétisât elle-même pendant son sommeil que je ne faisais durer qu’une heure. J’ai appris
au moindre sursaut. Mais quand le corps est bien insensibilisé par le sommeil naturel ou magnétique, l’esprit assiste plus long
a donné de la mort l’explication suivante : Réveil silencieux d'un sommeil ngité, La mort est le chaînon do l'immortalité.
ravers les corps opaques, dans l’état magnétique, 59, 211 ; — dans le sommeil ordinaire, 585.
35 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
taleptique, passa assez promptement de l’accès qu’elle éprouvait à un sommeil paisible, pendant lequel toutefois elle répondit
el toutefois elle répondit aux questions qui lui furent adressées. Ce sommeil dura deux heures. On obtint depuis le même résult
is; les accès devinrent aussi moins fréquents, élpnt remplacés par un sommeil île plus en plus prolongé. On endormit également
: genre aussi nouveau en apparence. « Ayaut été magnétisée dans son sommeil naturel,qui s’élait rétabli au bout d’un certain
ue lui procurait le même moyen pendant ses accès, et qui différait du sommeil ordinaire en ce qu’elle répondait aux questions q
sie, et l’on oblint sur le champ la cessation de cette dernière et le sommeil ; double effet qui n'avait été jusqu'alors produi
les procédés magnétiques. On questionna souvent cette malade dans le sommeil en quelque sorte artificiel que l'on provoquait c
. Il ne lui restait en effet aucun souvenir d'avoir parlé pendant son sommeil . Alibcrt dit que cette observation lui fournit un
is à Draguignan, a constaté par des expériences multipliées le don du sommeil magnétique naturellement provoqué dans un jeune h
ou assis sur une chaise au milieu d'une société nombreuse. Dès que le sommeil est venu, des coups de fusil tirés aux oreilles d
fforts, Michel se couche à terre dans la forêt, s’endort, et, dans le sommeil magnétique, il indique le même arbreau nord-est d
ication de divers phénomènes d’intermittence et de rémittence vitale ( sommeil , veille, etc.). Enfin, poursuivant son parallèl
ic honteux s’est établi. Ce n’est plus seulement pour la sanlé que le sommeil lucide est employé, mais pour découvrir les secre
sans pitié, qui, pour avoir un peu d'or, les tiennent plongés dans un sommeil incessant. Ils savent pourtant que la sénilité du
plus être considéré comme la base du magnétisme. Les merveilles de ce sommeil sont appréciées à leur juste valeur, et le public
servé en I8i0 sur Mn° C***, somnambule. Lui ayant donné, durant son sommeil , une lettre écrite par une malade sur laquelle je
, il se couche; son chagrin l’endort, et comme il est dans le fort du sommeil , son génie le transporte en esprit à Stockholm, l
e il s'en décharge sur le papier; après quoi il tâche de ralrapperson sommeil . Le lendemain, à son lever, il réfléchit sur son
eur et la transpiration, que nous eûmes de la peine à le détacher. Le sommeil continuant, les paupières étaient entièrement clo
y ayant consenti, en moins d'un quart d'heure ce garçon tomba dans un sommeil tel que rien ne put le réveiller. Craignant une s
rocéda sans miracle. El iéternel Dieu avait fait tomber un-profond, sommeil sur Adam, dont ils’était endormi; et Dieu avait p
sance et le sentiment de ce qu’il s’en alloit faire, il luy envoya un sommeil profond et semblable à celui des léthargiques. Ca
des cartilages... Et ayant réveillé à même temps Adam de son profond sommeil , en dissipant entièrement les vapeurs grossières
nt chronique, j’entends la magnétisation journalière sans chercher le sommeil , qui n'est pas nécessaire pour guérir. ■ « 3° U
sont des maladies essentiellement nerveuses; mais je répondrai que le sommeil et l’absence de douleur étant la condition la plu
Un jeune homme de vingt-quatre ans, robuste et dé cidé, chez qui le sommeil magnétique n’a jamais été produit, est placé sur
leur description. Il a trouvé que les personnes « tensitives dont le sommeil était agité lorsque leur lit «se trouvait dans la
e, qui n’a pas le souvenir d’une promesse qu’elle a faite pendant son sommeil magnétique, ne peut concevoir comment Henri a pu
dernier adieu. Dans une nouvelle scène où Irène, est sous l’empire du sommeil magnétique, elle lui avoue de nouveau son amour,
it ressenti toute la soirée les picotements du bras droit, et que son sommeil , de lourd qu’il était habituellement depuis sa ma
ences 'et qui les cultive voit ses jours tourmentés et ses nuits sans sommeil . Puis, lorsqu’il possède enfin ce qu’il cherchait
ces magnétiques. Je trouvais facilement des dormeuses parlant dans le sommeil et devenant insensibles à la douleur; mais je ne
la première séance, je la plongeai, en moins de huit minutes, dans le sommeil magnétique le plus complet, et j’en observai les
gréablement surpris lorsque je vis ma somnambule, sous l’influence du sommeil de plomb qui semblait la clouer sur son fauteuil,
tés magnétiques que présente M"' Marguerite. Elle est plongée dans le sommeil à quelque heure que ce soit de la journée, et un
ur primitive puissance. Mon pouvoir est resté supérieur. Pendant le sommeil magnétique, l’insensibilité devient telle chez M"
e lui intime mentalement. Fatiguée par un hoquet qui paraît avec le sommeil et disparaît au réveil, elle demande parfois un p
pourquoi dans la magnétisation directe et par contact, ou obtient du sommeil ou de l’excitation selon les procédés suivis. Ils
il y a quelques années la continuité du travail parturitif durant le sommeil et l’insensibilité magnétiques. (Voyez tome Ier,
ois qu’une opération est inévitable et « qu'elle doit être longue, le sommeil magnétique est « préférable à celui de l’éthcr, p
e à celui de l’éthcr, parce que dans la grande « majorité des cas, ce sommeil peut être facilement prolongé, môme au delà de l’
rien de l’intelligence. Réduite au langage des signes, privée de tout sommeil , sentant des élancements dans la gorge et jusque
. Je ne pouvais môme prendre un instant de repos, jouir d’un peu de sommeil ; ce sommeil lui devenait fatal: aussi ne me laiss
uvais môme prendre un instant de repos, jouir d’un peu de sommeil; ce sommeil lui devenait fatal: aussi ne me laissait-elle pas
z l’effet merveilleux du toxique (la gélatine, base du bouillon) ! le sommeil le plus doux vint surprendre la malade, et pendan
célèbre de celte ville, Elisa Montgomery, et s’assurer si, pendant le sommeil magnétique, son insensibilité était complète, lui
ur cette apparition, qu’elle nomme réveil, par opposition au repos ou sommeil dans lequel les pasteurs berçaient leurs troupeau
preuve démonstrative. On l’endort, et dès qu’elle est plongée dans le sommeil magnétique^ elle obéit à l’opérateur, parle, ma
n avait extrait sans douleur une dent à une jeune personne dormant du sommeil mesmérien. Revenant sur ce faitsurprenant, nous a
ui dormit aussitôt, et le méde- cin, en arrivant, la trouva dans un sommeil paisible qu'il jugea en tous points favorable à s
u. i.e magnétisme considéré sous le rapport de la psychologie. Le sommeil magnétique présente le phénomène le plus curieux,
. Je rappelle celte séance parce que lant de lucidité en un premier sommeil m’a paru si surprenant, que je suis encore à me d
is ayant moi-même appris à magnétiser, je la plongeai un jour dans le sommeil pour donner des soins à une dame de nos amies fra
qui, comme nous, ont vu des opérations pratiquées avec le secours du sommeil magnétique etâ l’aide de l’ivresse produite par l
ise sur le grabat qui lui servait de lit; elle semblait en proie à un sommeil léthargique, et son immobilité eût été celle de l
ration chirurgicalepratiguéeà Poitiers, le 10 mars 184 7, à l'aide du sommeil magnétique, en présence de plusieurs médecins et
due de 7 à 8 centimètres, et la malade, qui avait été mise en état de sommeil , ne manifesta ni douleur ni sensibilité. Quelqu
ibilité. Quelques jours après, la malade ayant prescrit pendant son sommeil l’extraction d’une grosse molaire avoi-sinant la
pas; mais le patient... Quant à nous, jamais de grimaces, souvent le sommeil très-paisible (ce que M. Ma-gendie trouverait imm
souffert durant ces quatre jours et ne pouvoir trouver un instant de sommeil . Mon père lui proposa de le magnétiser ; il y con
iser ; il y consentit, et au bout de quelques minutes il dormait d’un sommeil tranquille. A son réveil toute douleur avait disp
sité qu’il évalue à un litre. Depuis ce jour il n’a plus souffert, le sommeil est revenu, et aujourd’hui la guérison est parfai
lui et ne le pas magnétiser; qu’il s’était endormi seul parce que le sommeil magnétique élait nécessaire pour favoriser l’expu
ience. Trois personnes, un homme et deux femmes, mises dans l’état de sommeil magnétique, en quelques minutes, par M. L. Durand
tients, qui, à leur réveil, aussi subit que l'avait été l’invasion du sommeil , sont tout surpris de voir terminée une opération
s préparatifs et les terreurs de l’opération ; ranimer, à l’aide d’un sommeil paisible et prolongé à volonté, les forces vitale
e malade. A peine avait-il fait quelques passes qu’elle tomba dans un sommeil profond, dans un état d’insensibilité complète et
tain point, la paralysie, et qui disparaissaient chaque fois après le sommeil magnétique. Toutefois la tympanitc et l’hypé-rest
idi. 11 l'ait remarquer qu’elle n’en faisait jamais qu’un couplet par sommeil ; qu'elle était sans éducation, et que son instru
nt d’opérer vraiment. Ali! que l’on a de jolis sentiments Dans ce sommeil ! Dieu est toujours présent. Prions-le donc ¡1
ans ou a représenté sur le théâtre de Barcelone une pièce composée en sommeil magnétique par une jeune personne de distinction,
er, une confidence importante. « Uue somnambule, par lui soumise au sommeil magnétique, lui révéla qu’un trésor considérable
dire de Plularque (1), généralement vrais. Les songes que procure un sommeil agité par une digestion laborieuse doivent être r
oise, qui, après un jeûne de trois jours, vit vers l’aurore, dans son sommeil , saint Paul absolument tel qu’on le représentait
se à ses maîtres. Il paraît que cette jeune fille allait, pendant son sommeil , laver le linge sale de la maisou. On découvrit a
eurs années dans cet état qui tient du phénomène, et que, pendant son sommeil lucide, elle avait exécuté des travaux de couture
t égard dans les Lettres de Victor Jacquemont: « Ils tourmentent le sommeil par des bruits, des attouchements, et font prendr
« Us vont, dit-il, jusqu’à vous dépouiller, sans interrompre votre sommeil , du drap même dont vous dormez enveloppé ; ceci n
ur de son fait: l’Asiatique ne résistera pas longtemps à l’attrait du sommeil . Le moment venu, il fait, à l’endroit même où il
ais endormi plusieurs lois déjà; mais je ne l’amenai qu'aux portes du sommeil , lui laissant la faculté de marcher et d’ouïr d'u
il resta comme cloué. En l’y laissant tranquille quelques minutes, le sommeil augmenta; il devenait insensible aux sons. Je le
utres éprouvèrent, dans une période de une à sept séances, un profond sommeil à la suite des pratiques ci-dessÜs décrites. «
n profond sommeil à la suite des pratiques ci-dessÜs décrites. « Ce sommeil différait de l’ordinaire en ce que : l*'le' dorme
ement. « Sept opérations chirurgicales furent faites dans l’état de sommeil particulier que nous venons de décrire. « Dans
aussi, éveillé, déçlara-t-il ignorer ce. qui, était advenu durant son sommeil , , • « La ponction d’un côté de l’un des deux c
n, étant convaincue, par les exemples ci-dessus, qu’on peut rendre le sommeil magnétique assez profond pour permettre de faire
é ou la cure accélérée, quand les opérations ont été faites durant le sommeil puysé-gurique. « A l’égard de la possibilité de
« A l’égard de la possibilité de faire les pansements pendant le même sommeil , sans troubler le patient, M. Esdaile y attacha b
« L’incertitude du temps nécessaire pour produire l’état intense de sommeil puységurique, dans la majorité des cas, paraît tr
tion générale du procédé mesmérien existe m dans la résistance au sommeil , résistance que M. Esdaile reconnaît venir de la
re attention. Admettant l'existence d’an moyen naturel de produire le sommeil , il y a de fortes raisons, même dans les faits pr
ans faire un seul geste et par la seule puissance de sa volonté. Le sommeil fut cinq ou sixminutes à venir. Quelques tressail
ide. M. Marcil-let enleva cette surabondance par plusieurs passes; le sommeil devint plus calme, et au bout d’un instant fut co
tout ce qu’on voudrait. Il paraissait effectivement, au milieu de son sommeil , en proie à une vive agitation nerveuse. Trois
ons nerveuses à perdre connaissance, très-fréquentes, sans appétit ni sommeil .) 7i. Jeanne Dauga, veuve Lafille, h. de Pau.
e continue, des douleurs très-aiguüs dans tous les viscères, point de sommeil .) 178. Marie Nougué, épouse cTArricac, de Bilhè
lètement les faits extraordi-« naires qu’elle avaitaccomplis dans son sommeil , et n’o-«sant pas même essayer d'imiter ce qu’ell
nce, ou faculté de se'rappeler, endormi, cc qui s’est « passé dans le sommeil précédent, bien qu’on n’en ait «point eu connaiss
u moins bouleversés. « Elle a donné des preuves de lucidité dans le sommeil naturel. « J’ai fait sur elle quelques essais d
se baisser à la cheminée comme pour y chercher quelque tisane, et le sommeil me reprit, et je ne vis plus rien. Quand je me ré
m’assurer s’il avait conscience des piqûres queje lui avais faites en sommeil . La tumeur était si volumineuse que je dus reno
t vomi aujourd’hui. Pressé de se rappeler si rien n’avait troublé son sommeil , il dit: « Ah ! oui, je me rappelle maintenant ;
ion comme cadavérique aux plus cruelles tortures. Quand la irance ( sommeil ) n’esl que troublée, les mouvements qui se manife
st propre aux opérations, état qu’on ne peut rendre exactement ni par sommeil , ni par extase, ni par catalepsie, ni par coma, n
mars dernier, n° 52 , d’une opération chirurgicale faite a l’aide du sommeil magnétique et qui a parfaitement réussi. Votre
e fut éveillée, nous ne la prévînmes pas de ce j qu’elle avait dit en sommeil , et nous l’engageâmes à écrire » une lettre sous
imple, mais du magnétisme perfectionné, en ce qu’il s’obtient sans le sommeil . En agissant ainsi, M. et Mme Hermann ne heurlenl
r, sans l'intermédiaire des organes des sens, au sujet plongé dans le sommeil magnétique, les objets qu'on lui présente. Ces to
froid aigu (briuidi), bâillent et finissent par s’endormir. Durant ce sommeil , interrogés, ils répondent aux interrogations, et
est susceptible dans la pra* tique médicale. » EnefTel, parlesimple sommeil magnétique, les sectateurs deCeitedoctrine affirm
opinion se Irouve encore plus fortement confirmée par les exemples du sommeil magnétique dans lequel d’aucuns tombent spontaném
ble qu’il ne doit plus rester le moindre doule à cri égard, et que le sommeil ou somnambulisme magnétique doit être jugé comme
moyens ordinaires, fut magnétisée et éprouva un grand soulagement du sommeil artificiel dans lequel on la jetait, attendu qu’a
spossate), et la facilité avec laquelle elles tombent ensuite dans le sommeil magnétique prouve que le système nerveux acquieri
e était de fort courte durée; à cet état succéda quelque apparence de sommeil somnambulique qui ne durait que quelques minutes;
veux du magnétisé, qui produit celte prostration appelée improprement sommeil . C'est une ville prise d'assaut dans laquelle le
, dit dans \e Constitutionnel du ZG novembre : « Qui ne sait que le sommeil magnétique a été invoqué pour enrayer la sensibil
uai à me rendre aux séances; et cette interruption fit disparaître le sommeil qui ee produisait. M**e Froidcour était alors s
le détruire il fallait une pommade qu’elle cherchait depuis plusieurs sommeils ; elle la voyait, mais ne pouvait trouver où elle
reurs. Un très-grand bien-être, une quiétude parfaite, quelquefois le sommeil et alors des songes délicieux, et parfois des écl
nstruction se bornait à savoir lire son missel, me disait pendant son sommeil magnétique : « L’âme esl une essence distincte
à l’état de veille, ont assurément plus A'Intelligence qu’à l’état de Sommeil et de Songe; mais élant ainsi en dehors des condi
36 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
venteur de Xhÿpno-morphisme, ou plutôt de\hypnosisme (du grec hypnos, sommeil , — des nerfs, ajoute Paul Broca), qui traite les
me, un vieillard, qui l'avait accompagnée, s’endormit profondément du sommeil magnétique. Comme c'était la première fois que, s
alement de se mettre au piano, instrument duquel elle tirait dans son sommeil les sons les plus harmonieux. Mais à peine eus-je
N DE CÜISSE EXÉCDTÉB, SANS DOULEUR POUB l’OPÉBÉ , SOUS l’iNFLÜENCE DU SOMMEIL NERVEUX, — l’hYPSOTISMB CHEZ LES GALLINACÉS. — LA
VELLE PLAKÈIE DÉCOÜVEBTB ENTRE LE SOLEU. ET MERCURE, La question du sommeil nerveux subit en ce moment un certain temps d’arr
ciété de chirurgie, qui s’est, la première, occupée de la question du sommeil nerveux, après avoir consacré .plusieurs séances
elles se décidaient à at>order résolument l'étude pbysiolc^ique du sommeil aer-veuï, problème qui, tel qu’il est posé, ne pe
t se plier aux convenances momentanées des savants, et la question du sommeil nerveux continue de s’instruire et de marcher, si
chirurgicales , une amputation de cuisse, exécutée sous l’inDuence du sommeil nerveux, sans que le malade ait ressenti la moind
ées sans douleur par dilTérents malades préalablement plongés dans le sommeil magnétique : telles sont les opérations de M. Esd
et compétente, pour proclamer hautement la réalité de l’exis-teoce du sommeil nerveux. Voilà toute la conséquence que nous voul
qui a pour but d’établir, dans ce cas particulier, la supériorité du sommeil nerveux sur l’état analogue provoqué par le chlor
récis des faits nouveaux observés depuis quinze jonre dans l’étude du sommeil nerveux , nous rapporterons des expériences qui o
de trois minutes environ, la poule sortit spontanément de cet état de sommeil provoqué. Elle commença par remuer la tête; ensui
voir que l’on peut faire disparaître presque instantanément l'état de sommeil nerveux, cliez les animaux comme chez l'homme, à
temps, enregardantunpointbrillanltrès-rapprochédes yeux, produit le sommeil artificiel des nerfs, ella catalepsie, de même qu
duit le sommeil artificiel des nerfs, ella catalepsie, de même que le sommeil naturel ou artificiel produit le Btra-bieme. Soul
uire la vision qui n’a lieu que par une tension de la volonté, que le sommeil annihile en comprimant plus ou moins le nerf opti
nt refléter ni paroles, ni actions détérmin^. Le crétinisme estdoncun sommeil perpétuel del’appàreil de la pensée, une sorte de
blait, il recouvre la» ti'anquillité, il ne voit plus de fantôme ; le sommeil revient, toutes les fonctions se rétablissent, et
ce, comme vous paraissez le croire ; c’est tout simplement un état de sommeil particulier, dans lequel oo peut placer l’iiomme
atiques très-variables. n Hypnotisme est dérivé du grec ej signifie sommeil : c'est un mot nouveau inventé pour exprimer une
es corps savants repoussent, comme une jonglerie indigne d’examen, le sommeil magnétique et tous les pliéiiomènes plus ou m^ins
démie des sciences la possiWIilé !e produire chez l'honnue un étal de sommeil cataleptique, Voù il résulte que l’insensibilité
montrés et hors de doute. u 11 existe divers moyens de provoquer le sommeil magnétique. « Mesmer, l'un des premiers magnéti
disposé à cet efiet. Faria, autre magnétiseur célèbre, produisait le sommeil magnétique par une simple injonction de dormir ad
t objet. Chez quelques sujets, après un temps dont la durée varie, le sommeil se produit, et tous les sens, ainsi que certaines
es opérés aient ressenti la moindre douleur, absolument comme dans le sommeil magnétique. (I M. Broca, l'un de nos plus habil
me. Cl Les médecins donnent à cet état anormal de l’homme le nom de sommeil nerveux. 11 eût été aussi bien, ce me semble, de
ssi bien, ce me semble, de lui donner tout simplement son vrai nom de sommeil magnétique, d’autant plus qu’il paraît assez diff
agnétique, d’autant plus qu’il paraît assez difficile de concevoir un sommeil quelconque auquel l’ensemble de l'appareil nerveu
onnaire de médecine, publié par MM. Ch. Robin et Littré, mentionna le sommeil nerveux et quelques-uns de ses phénomènes, comme
l’examen, de discussions et de négations trop sonvent passionnées, le sommeil magné-titpie, traité de jonglerie par Bailly et l
s, hommes, femmes, enfants, animaux mêmes : on troublera bientôt leur sommeil et on déterminera la production de phénomènes ide
qu'ils viennent de faire une découverte nouvelle : l’bypnotisme ou le sommeil nei'veux. Ils espèrent ainsi tuer le magnétisme q
ais il n’en est pas un seul qui ne crie à l'instant au voleur; car le sommeil nerveux est un des premiers résultats du magnétis
r donne, et l’individu tombe dans un état de toi'pcur et de véritable sommeil nen'eux. En faisant connaître ces phénomènes à
lef de certains succès du magnétisme , dont tout le monde sait que le sommeil est le seul fait réel et concluant, à beaucoup d’
ulagement et déclaré incurable. — Action magnétique très-intense. — Sommeil , secousses nerveuses très-fortes, provoquées et c
le magnétisme, employé comme adjuvant, a calmé le délire, provoqué le sommeil , régularisé et ranimé les fonctions vitales et p
ts, et quel que soit le mode de ses applications : magnétisation sans sommeil 1 magnétisation avec sommeil ; somnam-biilisme; h
de ses applications : magnétisation sans sommeil 1 magnétisation avec sommeil ; somnam-biilisme; hypnotisme, e’est-i-^ire somme
agnétisation avec sommeil ; somnam-biilisme; hypnotisme, e’est-i-^ire sommeil et somnambulisme provoqués par fascination, Eta
régulières et abondantes; peu à peu le malade reprit l’appétit et le sommeil qu’il avait perdus depuis si longtemps. La mitlad
malade ne larda pas i ressentii' vivement les effetsdu magnétisme, le sommeil survint, et enfin la lucidité se développa avec a
et qui dura de huit à quinze jours, interrogée à CH sujet pendnnt son sommeil , elle répondit que qette distension élaic occasio
eut été enterré, il apparaît à l’évêque Syuésius, la nuit, durant son sommeil , et lui dit ; Venez à mon tombeau pour retirer vo
s dans les mêmes points qu’elle désignait, et madame Grizoa, dans son sommeil , in* diqua qu'elle avait été mise en rapport avec
livrait paisiblement au repos que donne ou peut donner un instant de sommeil ; quelqu’un s'en étant aperçu, dit à haute voix :
du le souvenir des mômes faits et était replongé dans le plus profond sommeil magnétiiiue; sa lucidité en cette circonstance fu
doux auparavant, devint acariâtre. Tout en un raot la fatiguait ; le sommeil même, ainsi que l'appétit étaientsuspendus. Lorsq
d’où s’épanchait la matière se fermaient, le calme lui revint avec le sommeil et l’appétit; le braa reprit de la force, la su
tir d’un principe unique, le plus simple de tous : la constitution du sommeil , par exemple, et d’avancer ensuite graduellement,
'y prêtèrent néanmoins très-volontiers. Arrivés chez M“* Grison et le sommeil une fols déterminé, je fis toucher par le malade
dans la journée, tu peux le magnétiser, fais-le , il tombera dans le sommeil magnétique. D’ailleurs, il dira quand il faut le
e étendu sur leplancher: il ne nous entendait plus; il était dans son sommeil magnétique; il proférait des hurlements. On le tr
nfluencer des personnes endormies môme. Il a la vertu de changer leur sommeil naturel en uD coma étrange, où on voit paraître t
l’avons déjà dit, lorsqu on peut jeter une personne endormie dans le sommeil magnétique, lorsqu’on peutobtenirsur cette mêmepe
e à quelques centimètres loin des yetix, peut provoquer facilement un sommeil léthargique, suivi d’une paralysie complète des s
e, je vis M“* Grison tomber dans un état de torpeur auquel succéda un sommeil profond, un abattement physique et rooi'al. A pei
1° Le somnambulisme produit à dislance et à l'insu du sujet. 2® Le sommeil provoqué par un objet qui a élé préalablement sat
chant la solution de moa problème, j’^tiens la fermeture des yeux, le sommeil magnétique ou le somnambulisme parfait. Donc, rin
ur, la plupart des praticiens ont pris l'effet pour la cauie. 2“ Le sommeil magnétique est un phénomène purement matériel. Ce
un somnambule. On eut la présence d'esprit de ne pas interrompre son sommeil , et on le vit, après ëtie resté à peu près une de
ssi administrés à madame Joly. Depuis ce moment, cette dame dort d'un sommeil fort paisible ; ses traits ne sont pas le moias
uf jours se soient bientôt écoulés depuis qu’elle est plongée dans ce sommeil . « Madame Joly, qui est âgée de soixante-quinze
s hier l’état léthargique, est morte dans la nuit du 2 juin, après un sommeil non interrompu de deux cent quarante-six heures e
eures et demie. Sa mort a été très-calme, et comme la continuation du sommeil qui l’a précédée. » Que dire de cet art impuiss
ndre aucun repos. n Enfin, le cœur bien oppressé, je tombai dans un sommeil léger dans lequel je vis un ange qui me dit : Enf
llant, nous convînmes poor l'éviter qu’en sortant comme d’habitude du sommeil naturel, il serait complètement démonétisé. J’a
s des membres étaient couvertes d’une sueur très-froide. Pendant ce sommeil , ou plutôt cet état qui tient le milieii entre la
ommeil, ou plutôt cet état qui tient le milieii entre la veille et le sommeil , le patient aurait pu dévoiler tous ses secrets,
lus grande partie du temps, et que quelquefois seulement, pendant son sommeil , elle avaitsenti de ia douleur dans différentes p
e dépérissement avait alteint des proportions très-critiques. Plus de sommeil , plus de repos. Tous les désordres menaçaient d'u
ires ; la respii'atiou, la circulation reprirent leur type normal, le sommeil reparut ; la vie nutritive gagna considérablement
nous empruntons à sa conclusion. B Le phénomène de l’hypnotisme, ou sommeil nerveux, qui aune si étroite parenté, si même il
mporte, et ce qui est bien établi, c’est la réalité de l’existence du sommeil nerveux, l’é- (1;T. III, p. 279. (î)Iji vérit
se levant et en se coudiant, la périodicité de l’état de veüle et de sommeil ; mais l’habitude, que l'on a dit avec raison être
dans une singulière dépendance des autt%8. Si, aa milieu d’un profond sommeil , vous réveillez quelqu’un et que, d'uo air impéri
r violemment un membre et de secouer l'engourdissement qui précède le sommeil . C'csl, sans doute, par suite de celte fii-culté
e toute science. Encore quelques observations et je finis : 1“ Le sommeil , sponuné ou provoqué, a sa principale cause dan
tème nerveux,finissent parépuiser son activité et provoquent enfin le sommeil qui présente des phénomènes d'autant plus remarqu
epsie.) à° L'accroissement du mouvement moléculaire, comme cause du sommeil magnétique, explique ce qu'éprouvent les personne
la nuit avait été plus calme : Gonot avait eu cinq quarts d’heure de sommeil . Tout marcha subitement de mieux en miextx. Au bo
: 1® le sotn-nambntüme produit à distance et à l’insu du sujet; 2“ (e sommeil provoqué par un objet qui a été préalablement sat
un objet; « mais on se tromperait, dit-il, si l'on s’imaginait que le sommeil est le produit immédiat de l’imprégnation de l’ob
t avec cet objet, le somnambule tombera dans l’état comateux, dans le sommeil magnétique, ou se réveillera subilemenl, suivant
s m.ignétlsés n'ont pas besoin de démagnétisation, et, à moins que le sommeil ne se soit produit, ou que quel-ques sensations p
journaliers, ou bien les tisanes qu’il s’est ordonnées lui-niônne en sommeil (s'il est voyant), ou celles qui ont été ordonnée
iser mes malades après mon action, à moins qu’ils ne soient tombés en sommeil ou que des circonstances particulières l'exigent.
iver au même but, On peut s’hypnotiser et se magnétiser sol-môme ; le sommeil naturel n’est qu’un hypuo-lisme ou un magnéiisme
vitalité. Quand il perd la mémoire de ce qui s'est passé durant son sommeil , c'est parce que les impressions ont été courtes
ille. Après vingt minutes de magnétisatiou, M. Severini tomba daos le sommeil magnétique. Toute la société présente constata,
vaient coustam- mont près de moi, mon sujrI LoiiiLa dans un profond sommeil . Cela dépassait mes espérances. Alors, plein de c
êt sacrée, il s’assit au pied d'un chêne et s'y endormit. Pendant son sommeil il lui sembla qu’une voix forte t'appelait par so
irou, je provoquai de nouveau, en deux ou trois minutes, une crise de sommeil . Celui-ci présentait d’autres différences : il ét
tête s'incliner, ses bras devenir pendants, tels qu’ils sont dans le sommeil . Les bras levés retombaient comme s’ils eussent é
ons sont, savoir : (!) Voir les n" 80 et 82, tome courant. 1'’ Le sommeil magnétique ; 2“ Le coma ; Enfin le somnambuli
; Enfin le somnambulisme parfait, Cahactèbes particuliers . — Le sommeil magnéliciue est ca» ractéi'isé par l’occlusion de
e ces caractères, l’état dont il s’agit a beaucoup d'analogie avec le sommeil ordinaire. La chaleur du corps est naturelle; le
séquent, isolé et msensti>2e jusqu’àun certain degré. Pendant le sommeil magnétique et le coma, la déglutition se trouve e
tous les actes de la vie ordinaire, il boit, il mange, il s’endort du sommeil naturel et se réveille... somnanûmle. Voici les
iques, le nec plus ultra du somnambulisme naturel et artificiel. Le sommeil nerveux. Je crois devoir formuler iclmon opinion
erai un peu plus loin en traitant de l'origine du somnambulisme. Le sommeil nerveux constitue une espèce de somnambulisme bât
sme bâtard, un état anormal, une situation fausse qui tient tantôt du sommeil magnétique, tantôt du coma, tantôt du somnambulis
onfondus àun tel point, qu’il est impossible de s’y reconnaître. Le sommeil nerveux n’offre rien de stable, de régulier, de p
t-à-dire ce qui a trait au mesmérisme proprement dit. En parlant du sommeil nerveux, j’ai dit que le prétendu hypnotisme n’ét
obtient sont précis, exacts, mathématiques. Il produit à volonté le sommeil magnétique, le coma, le somnambidisme, la catalep
e vais le présente«'. Il s’agit d’une vision que j’ai eue pendant mon sommeil ; vision qui s'est complètement justifiée. A pe
asquait en partie et qui n’avait pu frapper mon attention pendant mon sommeil . Si quelque incrédule endurci, cherchant à me C
permettez-moi de compléter mes observations sur l'état comateux et le sommeil magnétique. Dès les premières magnétisations, d
l'imagination. Un mot encore sur le moyen de produire chez elle le sommeil et le somnambulisme. Dans lés premières séances,
II faut K éviter, autant qu’on le peut, d’abréger volontairement le « sommeil magnétique ; 0« détruit presque, sans s’en douter
iftÎes qùHs ne sauraient réparer. SI, pour des personnes tombées en sommeil , il est essentiel de prendre de telles mesures, c
rendre de pareilles vis-à-vis de ceux qui ne dorment pas! Car dans le sommeil , même non clairvoyant, le patient possède quelque
e puissance emprunte quelque chose à Ja Divinité. Baron du Potet, SOMMEIL LÉTHARGIQUE. Pendant quatre semaines, lisons-no
339, 421, 584. — Réponse de M. Char pignon, 561. Hypnotisme (l’) on sommeil nerveux. Analyse et extrait des conférences de M.
écouverte prétendue nouvelle, 16, 101. — Explication physiologique du sommeil nerveux, par le même, 41. — Ré flexions de M. du
nçais par M. Kasperowski, 649. Physiologie du magnétisme. 593; — du sommeil nerveux, 44. Procédés (des) magnétiques. Voy. M
37 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
te de vie Mimique, est le plus ordinairement précédé et accompagné du sommeil magnétique, déterminé par la volonté d’un magnéti
sommeil magnétique, déterminé par la volonté d’un magnétiseur. On dit sommeil , parce que les cri-siaques ont pour la plupart le
ment un sujet, il peut en obtenir, sans magnétisation préalable, sans sommeil magnétique, par sa seule volonté, les phénomènes
avec énergie des heures entières sans obtenir d’autre phénomène qu’un sommeil de plomb non lucide. Un assez grand nombre de s
erse, puisque l’esprit de Lavoisier a dit : Uéveil silencieux il'un sommeil asittf, l.a mort est le chaînon île l'immortalité
, et, revenu à l’état normal , il a déclaré devant l’auditoire que le sommeil produit par M. de Rovère (bien différent de son s
itoire que le sommeil produit par M. de Rovère (bien différent de son sommeil ordinaire, toujours agité par des mouvements nerv
sorte qu’il était sur sa chaise comme un homme qui sort d’un profond sommeil . Quelques passes à lui adressées directement le d
isées ou qu’ils aient apaisé leur envie. Voyons-les jusque dans notre sommeil , et lorsque le concours de leur travail est moins
tiques, ne pourrait-il pas, dans une situation différente de celle du sommeil , en être autrement? et au lieu de fausses images,
longtemps contestée. Rappelle-toi que l’état magnétique n’est ni le sommeil ni la veille, mais une situation mixte que nous p
lonne qui portait « la statue du dieu, et je fus plongée dans un doux sommeil . « Bientôt autour de moi se répandit une clarté s
nt nuage, m'apparut « avec ses deux filles et me promit la santé. Mon sommeil « fut profond jusqu’au point du jour; à mon retou
ette voix frappe notre oreille dans un état intermé-« diaire entre le sommeil et la veille. Quelques malades sont !■. enveloppé
songes divins envoyés dans l’état ii mitoyen entre la veille et le sommeil . » (i Demandez à tout somnambule de vous décrir
errogeons-les sur les autres, sur la catalepsie, sur l’oubli après le sommeil de tout ce qu'on a dit et fait; ils 11e répondron
, il ne conserve aucun souvenir de ce qu’il a dit ou fait pendant son sommeil . Dernièrement, j'avais encore un incrédule à co
sage elle savait puissants et magiques. Déjà il secoue loin de lui le sommeil meurtrier, etc., etc....... Cette dernière phra
ndant lesquelles l'âme étendait ses facultés. ' (i) Uo lu cause ilu sommeil . p. ru. (2j 0' l'Iiniiiortoliliî, «li- la Sjçms
es. Piaion reconnaissait une puissance divinatrice, soit pendant le sommeil , soit pendant les accès d'aliénation mentale. H
uvient du passé, embrasse le présent et prévoit l’avenir : pendant le sommeil , le corps est l’image de la mort ; l'esprit, au c
où doit être l’esprit de l’individu chez lequel on veut provoquer le sommeil en général. Il envisage la concentration sous tro
que l'influence externe fournit le motif. Voilà la cause immédiate du sommeil lucide ; n 3“ La concentration nécessaire, abst
ions certainement la valeur de la concentration dans la production du sommeil , du somnambulisme, de l’intuition, de l’extase, e
essive des esprits animaux. L’abbé Faria rattache la disposition au sommeil à la plus ou moins grande liquidité du sang, et a
quidité du sang, et admet conséquemment des nuances et des degrés. Le sommeil lucide aura pareillement son échelle de proportio
verl. Ce nom remplace ici celui de somnambule. — Voy.: De la cause du Sommeil lucide, p 51. pourrait, -i:i\ant l'Mttour )e et
e somnambulisme avec les tempéraments les plus opposés. L'aptitude au sommeil ordinaire est même assez généralement l'apanage d
effort n’est jamais aussi parfaite que celle qui se développe dans le sommeil , parce que l’abstraction des sens, à laquelle ell
, nous le voyons reparaître d’une manière nette et précise pendant le sommeil .... Après un travail opiniâtre où toutes les facu
ion ou de dégradation, et qu’il n'est pas non plus condamné à un long sommeil sans rêves ; mais que, passant à un état où les m
« Dans le premier cas, l'homme est dans une situation qui tient du sommeil et de la veille: il croit cependant qu'il est par
oger. J’ai annoncé que j’étais somnambule, que je parlais pendant mou sommeil ; mais que je ne promettais rien. Maintenant je ne
dans un ouvrage imprimé en 1819, el qui a pour titre : De lu cause du sommeil lucide. Pour ce célèbre magnétiseur, la cause d
u cause du sommeil lucide. Pour ce célèbre magnétiseur, la cause du sommeil lucide est dans la liquidité du sang; les somnamb
e de la petite malade entre mes mains, cl en moins de cinq minutes le sommeil eut lieu ; une sueur générale se manifesta, mai
l’autre sur le front, et le malade s’endormit. 11 était, pendant son sommeil , insensible aux piqûres, sensible à l’attraction,
sparaissent souvent lorsque le sujet est couché. Il y a propension au sommeil et au repos, la digestion est lente et laborieuse
u moment où un spectacle quelconque absorbe toute son attention. Le sommeil magnétique est un phénomène physiologique. Je dem
itudes, se leva vers cinq heures du matin. A sept heures, pendant son sommeil , Jenny était frappée à mort. C’est elle-même qui,
t, avait rongé le doit du petit garçon, el ce dernier, plongé dans le sommeil profond de l’enfance, n’avait point été réveillé;
peut exercer une action magnétique sur son semblable, et produire le sommeil , l’immobilité, l’insensibilité, suivant la puissa
fois, ce qui permettait quelque Prométhée de lui dérober, pendant son sommeil , des trésors interdits à l’homme. Mais nous ne pe
l’amena. Je me mis à magnétiser : il y eut trois à quatre minutes de sommeil imparfait. A son réveil, elle dit que je la renda
été des suivants. Dès neuf heures du soir, il est pris d’un besoin de sommeil contre lequel il lutte vainement. A onze heures,
traite de ses facultés observées dans l’état de veille, dans celui du sommeil et dans le somnambulisme naturel. Les questions l
es-unes des propositions qui s’y trouvent. ,V1. Noizet pense que le sommeil magnétique n'est autre chose que le sommeil ordin
,V1. Noizet pense que le sommeil magnétique n'est autre chose que le sommeil ordinaire. Il nous semble, au contraire, qu'il en
contraire, qu'il en diffère tellement que ce n'est pas réellement un sommeil , et que cette dénomination, consacrée par l’usage
age, est tout à fait impropre. En effet, quels sont les caractères du sommeil ordinaire? L’engourdissement de tout notre être
inertes, et si l’on cherche ;i leur rendre l’activité, on trouble le sommeil , on le rend moins profond et mèn e 011 le fait ce
enir de rêves, rien 11e prouve que l’esprit ait fonctionné pendant le sommeil : quand il y a rêve, l’esprit agit encore, il est
eurs. Le somnambulisme débute, il est vrai, par une courte période de sommeil ; mais dès que le somnambulisme est développé, le
ans un mode d’existence tout nouveau, qui n’a aucun des caractères du sommeil , et qui, à bien des égards, est supérieur à l’éta
te qui semble faire participer l'homme à une nature surhumaine, et le sommeil , que les poètes dépeignent avec raison comme une
nce?... Bien plus, le somnambulisme peut se passer du préliminaire du sommeil : il y a des somnambules éveillés, c'est-à-dire d
n à la lucidité et jouissent des autres facultés du somnambulisme. Le sommeil est l’état le plus inférieur de la vie humaine, l
nes. L’Espagne, par exemple, est dans ces conditions. Secouant un sommeil involontaire do plusieurs siècles, elle cherche à
on sujet pour aller animer son âme. Cet état de veille de l'àme et de sommeil du corps se nomme lucidité somnambulique, parce q
aison de l’état normal avec l’état de crise. L’état magnétique sans sommeil , que produit fréquemment M. du Potet à ses séance
lors il perd le souvenir de ce qu’il concevait u'.n instant avant. Le sommeil offre des exemples analogues ; un rêve interrompu
justice d’adversaires passionnés; à nous la fatigue et les nuits sans sommeil ; car c’est un besoin de l’àme de chercher sans ce
la section des sciences morales avait mis au concours la.question du sommeil naturel et artificiel, c’est-à-dire du sommeil ma
oncours la.question du sommeil naturel et artificiel, c’est-à-dire du sommeil magnétique; 1,200 fr. devaient Être accordés à l’
urce. On ne savait pas alors, dans ce pays, que l’agent producteur du sommeil l’est aussi de réactions qui amènent les plus sur
du magnétisme, que feu mon vieil ami Puységur, premier explorateur du sommeil magnétique ; mais je ne puis me rappeler sans hor
ontient de la botte de meule et du verre pilé. M"c Guioni dormit du sommeil magnétique à la première magnétisation, et commen
our, ont presque entièrement disparu. L’insomnie est remplacée par un sommeil profond et prolongé, le teint s’éclaircit sensibl
t cet homme, le magnétisme n’aurait-il produit que le retour de notre sommeil , il aurait rendu à ma femme et iv moi un très-gr
re son état clilorotique. Au bout de quelques minutes, elle dormit du sommeil magnétique. Le 15 mars, les bouffées de chaleur
— Saint Paul (ce garçon n’avait pu entendre, à cause de son état de sommeil , rien de ce que nous disions). — Tu vois saint
dont les lauriers de la salle Bonne-Nouvelle troublaient peut-être le sommeil , s’est signalé à son tour par une nouveauté quasi
ce dernier. Santa Croce magnétise donc la jeune comtesse et, dans son sommeil , lui fait faire toutes sortes de promenades, de c
colonel, après les fatigues d’une longue marche, s’était endormi d’un sommeil profond. A. peine avait-il reposé quelques heures
ngtaine d’années, est amenée; je la mets préalablement dans l’état de sommeil magnétique, et ensuite dans celui d’insensibilité
ant que le droit, était atteint d’une infirmité particulière; plus de sommeil , appétit nul. Symptômes particuliers. — L’utéru
ications que cette demoiselle me fournit plus tard, pendant un de ses sommeils som-nambuliques, me facilitèrent les moyens de la
se qui empêchait une guérison radicale. Je laissai se développer le sommeil somnambulique, que je n’avais point voulu favoris
s qui, réunis, égalèrent la grosseur d’un plomb de caille. Pendant le sommeil du lendemain, elle vit que le mercure avait quitt
en français... « Ici, on a pensé qu’après trois heures entières de sommeil magnétique, 11""' 15... devait être fatiguée, et
dit, ont porté tout d’abord sur ce que M"'c de Lafontaine appelle le sommeil automatique. Je dois avouer n’en avoir jamais ren
e. Je dois avouer n’en avoir jamais rencontré les effets ailleurs. Le sommeil automatique produit l’identification la plus comp
plus fugitives. » Une remarque importante à faire ici, c’est que le sommeil n’est pas nécessaire pour la manifestation de cet
dans sa recherche, et quand il revit Emma, elle lui rappela (dans son sommeil ) l’avis qu’elle lui avait donné; elle vit alors l
ngulier obstacle : la contemplation de la boule jeta le sujet dans le sommeil mesmérique. Après un long intervalle, j’essayai d
la tête aux pieds, comme si elle eût été plongée dans le plus profond sommeil magnétique. Je fis des passes sur sa bouche, scs
-dire la lucidité avec la conscience ordinaire, et chez les autres le sommeil mesmérique avec la conscience divisée et l’oubli
ammes; la saignée finie, cette femme sembla se réveiller d’un profond sommeil , répondit d’uno façon lente et insignifiante à qu
sur les mémoires adressés pour concourir au sujet de prix relatif au sommeil considéré au point de vue psychologique. u L’Ac
la partie droite de l’abdomen. J’essayai de résister, pensant que le sommeil de la nuit viendrait mettre un terme à tous ces d
nt-elles écoulées, que la malade ouvrit les yeux comme au sortir d’un sommeil calme et bienfaisant, et recouvra toutes ses facu
la lettre, quoiqu’elle ignorât éveillée ce qu’elle avait dit dans son sommeil . Depuis cette époque, cette fdle, qui est très-im
tions ! « Alors j’entendis une musique délicieuse jusqu’à ce que le sommeil me reprit. o J’écris mon récit par ordre et sou
peine assis en face de son magnétiseur, cet enfant est plongé dans le sommeil somnambulique : il n'entend plus que son magnétis
es du somnambule augmentent plus ou moins considérablement pendant le sommeil magnétique, suivant l’aptitude du magnétiseur ; m
ligne pour être successivement examinés par le jeune somnambule. Le sommeil instantanément obtenu par la simple apposition de
couturière, sujette à des accès de somnambulisme, s’est, pendant son sommeil , précipitée par la croisée du troisième étage d’u
e la maladie qui a déterminé chez cette pauvre femme les accidents du sommeil , eût pu être guérie si on eût profité à temps des
chant le magnétisme. Qu’eût fait un magnétiseur? Il eût complété le sommeil , interrogé la malade, sollicité une complète révé
ite à aller se promener dans la cour. Le lendemain à la même heure le sommeil revient, puis après quelques minutes elle se met
e, parce qu’elle s'endort sans cesse, partout et même debout. Dans le sommeil , la loquacité est très-grande, et souvent elle se
se met à chanter. Le réveil est accompagné d'accidents si graves, le sommeil est si extraordinaire, qu’on juge nécessaire de m
nr ou dans les corridors de la maison. Elle finit par s’endormir; son sommeil est fréquemment interrompu par les cris et les mo
rrompu par les cris et les mouvements brusques du corps. Pendant le sommeil , le sang lui coule de la bouche comme coulerait l
ion ou de magnétisme. On exagéra la lucidité de ses réponses dans son sommeil ; on répandit qu’elle lisait les yeux fermés, etc
leur forme, n’ont rien perdu quant au fond. Dans les profondeurs du sommeil , on surprend même la perversité, le génie du mal
, « en vers et en prose, pour le chaud comme pour le froid, n dans le sommeil et dans la veille, sur le bois et sur le sait ble
e glaça; dans son désespoir, il se jeta sur le gazon, chercha dans le sommeil l’oubli de sa souffrance. Mais à peine se fut-il
ans ce monde. Pour jouir de cette liberté de l’âme, ni la mort, ni le sommeil ne sont nécessaires. L’homme a la faculté de l’ac
s de couleur l’agitaient de diverses façons : le cristal la tirait du sommeil magnétique, et, si l’on en prolongeait le contact
eau qu’elle allait boire le lui rendait délicieux. Immobile dans le sommeil naturel, agitée dans le magnétique , elle expliqu
Tentatives de guérison de J/“' //. sur elle-même. C’était dans le sommeil magnétique, où elle tombait habituellement à sept
t ni lui dire quand elle était réveillée ce qu’elle avait dit dans le sommeil , ni croiser les mains en la magnétisant. La main
ans le bas-ventre et l’épine, puis une pression dans la tête, puis un sommeil suivi de douleurs nouvelles et de diarrhée ; mais
ar l'intermédiaire de l’eau, etc. Les lettres N. S. {no slecp, sans sommeil ) accompagnent -très-fréquemment les notes placées
u calmer des crises, dissiper des douleurs, amener ou faire cesser le sommeil , etc., il est impossible de ne pas reconnaître qu
i fait des rages (2). Et il n’y aurait pas eu, comme dans le cas de sommeil ordinaire ou de somnambulisme, succession d’états
connaît à chaque instant et ses erreurs et ses imperfections? Dans le sommeil , il n’en est plus question. Dans la veille, l'i
beau solliciter la mémoire, celle-ci ne peut se rappeler les actes du sommeil ; tandis que, replongé dans le sommeil, l’être re
peut se rappeler les actes du sommeil ; tandis que, replongé dans le sommeil , l’être retrouve et sait tout ce qu’il a dit, tou
bornerons, quant à cette partie, à une observation. 11 pense que le sommeil est causé par l'épuisement du fluide vilal, ce qu
que dans le somnambulisme naturel, qu’il regarde comme une variété du sommeil , la vision ne se fait ni par les sens qui sont e
tout fantastique. C’est là ce qui a lieu dans les rêves qu’enfante le sommeil ordinaire ; mais le somnambule naturel, bien qu’i
’ils sont du danger qu’il y aurait à élever la voix et de troubler le sommeil de leurs confrères qui digèrent. Ici commence p
illir de mes organes le feu magnétique, je plongeais celui-ci dans le sommeil , j’attirais à moi celui-là ; courbant souvent le
« Dans cette position, il vous sera facile d’endormir votre sujet du sommeil magnétique, avec un simple effort de volonté main
mple effort de volonté maintenu pendant trois minutes environ. « Le sommeil une fois venu, le sujet acquiert une lucidité e
i exécute ses pensées et le suit partout. Cela ne dure que pendant le sommeil magnétique, et la somnambule ne se souvient de ri
ors un dégagement ; le fluide dont elle était envahie s’évaporait, le sommeil cessait, et elle se trouvait dans un état mixte q
et elle se trouvait dans un état mixte qui n’était ni la veille ni le sommeil magnétique, quoiqu’elle fût encore sous l’influen
ors fort incrédules), M. et Mra0 Leroux l’avaient interrogée dans son sommeil magnétique, et entre autres réponses très-remarqu
énétré dans l’appartement, s'ôtait assurée du coucher de celui-ci, du sommeil de celui-là, et avait dénoncé la lecture de l’aîn
se, que lorsqu’ils perdaient quelque chose, ils en rêvaient dans leur sommeil naturel, le retrouvaient en songe, et pendant la
uence du démon en magnétisme : - — Sœur ! Donnez-vous réellement du sommeil magnétique ? „ — Je ne dors pas, bien qu’ayant
olitiques décerne un prix à M. Albert Lemoine pour son mémoire sur le Sommeil considéré au point de vue psychologique, 334, 534
38 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
somnambule assez menteuse, à laquelle il avait inculqué, pendant son sommeil , l’ordre de bégayer chaque fois qu’elle voulait d
de veille, deviennent très-religieuses et très-mystiques pendant leur sommeil , et, qu’il est d’ailleurs toujours possible au ma
e cinquième! livre de cet intéressant traité (i), en déclarant que le sommeil venait souvent favoriser le succès du traitement
luence, et, plus encore, les animaux placés dans la même condition de sommeil naturel éprouver et présenter la série identique
r; que ces juges étaient tous compétents, mes nuits se passaient sans sommeil ; comme un condamné à mort, innocent du crime don
existences, et produirai un amalgame qui ne sera ni la veille ni le sommeil , mais un étal mixte rempli encore de phénomènes
emonter la pratique du magnétisme jusqu’à Dieu, dans la production du sommeil pendant lequel la Genèse dit qu’il en retira une
l la Genèse dit qu’il en retira une côte pour former la femme. « Ce sommeil , dit-il, ne pouvait être le sommeil ordinaire, co
côte pour former la femme. « Ce sommeil, dit-il, ne pouvait être le sommeil ordinaire, commun à tout le règne animal; car l’h
opération douloureuse sans s’éveiller ; ce fut, et ce devait être le sommeil magnétique. » Cette pensée a déjà été exprimée
r d'embarras ; il endort à tout hasard R1. Hochenez, qui, pendant son sommeil , a la douleur de remarquer entre sa femme et son
pour exercer une certaine influence sur un autre homme, et 2° que le sommeil magnétique est un état très-réel, non simulé, qui
a manière la plus pitoyable; le bruit « n’éveilla pas le dormeur, son sommeil ne cessa « qu’au moment où l’on arrêta l’horloge,
omnambule comme les autres; je m’endors avec des prières, et dans mon sommeil je dis ce qu’il faut faire ; mais je m’endors tou
gme de l’épigastre, à cette merveille greffée sur une merveille, à ce sommeil lucide enfin, dont Mesmer se méfiait tellement qu
t prononcé l’arrêt de mort ; je suis croyant, parce que ce mystérieux sommeil rend l’amb visible; je suis croyant, parce que j’
règles certaines. Le magnétisme alors gisait exclusivement dans le sommeil . Jefis voir que ce phénomène n’en était qu’un eff
ait scs propriétés successivement. Je m’aperçus que, pour produire le sommeil , il n’éiait pas besoin de le désirer, de le voulo
rit et de la matière appuyés sur des faits curieux. La philosophie du sommeil et celie de la mort composent ses études suivante
ntis qu’il fallait dire adieu à mes amis ; et le changement, comme un sommeil léger, s’était emparé de moi. « A mesure que mo
, comme un sommeil léger, s’était emparé de moi. « A mesure que mon sommeil devenait plus profond, la chambre que j’occupais,
*' être; et en peu d’instants, je passai dans un calme etat„( profond sommeil . « Je fus éveillé de cet état d’insensibilité m
l-ée des ombres » effrayante à traverser; et que la mort n’est pas un sommeil éternel.... Les habitants de la terre verront mai
aire des expériences. Nous avons tiré un coup de pistolet pendant son sommeil , elle a un peu tressailli, mais très-faiblement.
produits chez certains individus dans le cas d’extase naturelle ou de sommeil arliGciel. La constitution des sociétés anciennes
pour exercer une certaine influence sur un aulre homme ; et 2“ que le sommeil magnétique est un étal très-réel, non simulé, qui
nce, et par le seul effort de sa volonté, plonger un individu dans le sommeil magnétique ; 2° que le magnétiseur peut aussi par
par des motifs d’intérêt égoïste, prescrivait de préférence, dans son sommeil , des médicaments sur la vente desquels il eût un
l'invite à l’employer. On en conclut que Mrac Rose, dans son pretendu sommeil magnétique, où elle n’aurait pas dù se rappeler c
ille, aucun sou- venir de ce qu’ils ont dit ou éprouvé pendant leur sommeil magnétique; mais que pendant leur sommeil magnéti
dit ou éprouvé pendant leur sommeil magnétique; mais que pendant leur sommeil magnétique ils se rappellent ce qui s’est passé t
i s’est passé tant dans leur état de veille que dans leurs précédents sommeils , qui s'enchaînent entre eux et forment comme une
onc rien d’extraordinaire à ce qu’un somnambule se rappelant dans son sommeil une proposition qu’il aurait reçue à l’état de ve
l’honneur de vous entretenir, se prescrivit à elle-même, pendant son sommeil magnétique, de l'Eau impériale. M. le doc-leur Co
de rien recevoir pour les conseils qu’il pourrait donner pendant son sommeil . Je vous dis, il est plein de désintéressement; a
cas de guérison remarquable, obtenu par la prolongation excessive du sommeil magnétique, moyen puissant dont l’emploi n’est pe
juge H..., ci-devant maire de Cincinnati. « Interrogée au sortir du sommeil pour savoir combien de temps elle croyait avoir d
patiente répondit : Environ deux heures. Lorsqu’on lui apprit que son sommeil avait duré deux semaines , elle rit et parut très
erte de l’appétit, des forces, de la gaieté ; amaigrissement notable, sommeil inquiet, agité; toux sèche cl assez fréquente , q
étisations journalières, l’appétit a commencé à revenir, ainsi que le sommeil , et l’enfant est entrée en convalescence. Enfin,
ans nos œuvres, et c’est un bien pour nous que son impéritic et son sommeil . Lorsqu’elle sc réveillera, le magnétisme aura si
somnambules, Bravant les scrupules, Ont trompé, Ont lupü Tar un sommeil usurpé Quand notre croyance Deviendra science,
intention coupable couvre le somnambule. La personne plongée dans le sommeil magnétique n’a pas conscience de ses actes, elle
tation de l’art. 279, et qu’ils condamnent les individus qui, dans un sommeil réel ou simulé, ont eu la prétention, juste ou fa
e deux choses l'une, ou vous m’obéirez ponctuellement, et je reste en sommeil ; ou vous ne m’obéirez pas , et alors, éveillez-m
La musicienne se penclio doucement sur son oreiller, s’endort d'un sommeil paisible.... La mère, revenue à elle, me salue av
lheureux, si elle n’a pu le détruire en nous!... Oh ! qu’une heure de sommeil avec toi me semblerait douce! « — Que Louise do
le, ils dorment pour la première fois ensemble.... c’est leur premier sommeil d’amour.... Après avoir tant souffert, après une
quand sa fille s’éveille, et continue le travail commencé au début du sommeil ..... Je cite un fait pareil qui s'est passé cla
e de M. Gendrin , à la l’itié : une femme hystérique s’endormait d’un sommeil particulier à l’entrée de la visite;.......on s
à ses clients des remèdes secrets qu’elle leur a prescrits dans son sommeil , le magnétiseur et le médecin qui sont étrangers
ne somnambule extra-lucide, et se vantait de pouvoir indiquer dans le sommeil magnétique, qu’elle se procurait elle-même, les n
nstrument si naturel et si suave de la jeunesse. « Il y a un an, le sommeil jusqu’alors si paisible de la jeune fille devin
le somnambulisme artificiel. La clairvoyance dont on est doué dans ce sommeil factice, peut servir quelquefois de guide dans le
agnétisme fut suffisante pour faire cesser toute douleur et amener le sommeil ; mais cette séance dura trois quarts d'heure, pa
p de bistouri. Il ne me fallut ici qu’un quart d’heure pour amener le sommeil avec la fin des souffrances. M“" D..., rue Sain
t le soir une troisième, qui fil dormir l’enfant quatorze heures d’un sommeil non interrompu, rendirent la guérison parfaite.
lique, calaiepliquc el extatique. Il recouvra bientôt l’appétit et le sommeil . Dans les premiers temps, il ne demandait à être
s il répétait, en somnambulisme : « Il ne mc faut pas de drogues ; le sommeil de la mort (l’état magnétique) guérira ce cadavre
nnées, veut appliquer à son accouchement, dont elle a prédit dans son sommeil le terme et le sexe de l’enfant, qu’elle affame n
ts allongés sur les tempos du sujet suffisent pour le jeter dans un sommeil profond qui résiste à la douleur physique du pinc
mencement de décembre, et a eu tout le succès désiré. Dans un aulre sommeil , M. Léaumont lui ayant demandé s’il pourrait la
ration subie par Mmc Plantain , à son insu, pour ainsi dire, après un sommeil magnétique dans lequel on l’avait plongée; des ex
de son mal. Le charron répondit que sa maladie provenait du manque de sommeil , et il ajouta qu’il ne pouvait dormir parce qu’un
me suis trouvé assez de force pour produire les effets physiques , le sommeil magnétique , et même la lucidité. Comme je n’ai q
tout aussi la lucidité. L’autre, M. le Dr Darling, ne s’occupe pas du sommeil . J'ai décrit leurs procédés en détail, dans ma ne
Afin de prouver qu’il est facile pour tout le monde de produire le sommeil magnétique, j’ai fait dernièrement l’expérience s
s depuis bien des années, comme se présenlant dans beaucoup de cas de sommeil magnétique, mais que lui, ainsi que mes confrères
t. Mais il est allé plus loin ; car, sans avoir étudié un seul cas du sommeil magnétique, sans avoir même cherché à voir la sym
diffèrent, comme on voit, nullement de celles qu’on obtient durant le sommeil magnétique. Elles sont aussi produites et détruit
tique exercée parle procédé ordinaire, parce que, si l’on insiste, le sommeil arrive, et avec lui tous les effets de volonté pr
ur les gens prévenus , est illusionné et halluciné tout comme dans le sommeil (i). Des faits qui précèdent ressortira peut-êt
y l’énonce en disant que si les effets suggérés et commandés, dont le sommeil puységurique paraissait être la condition, s’obti
s les muscles, d’où résulte l’état où la suggestion est possible : le sommeil , la trance et l’extase. La plupart des personnes
ent s’influencer ainsi, même celles qu’on ne peut pas plonger dans le sommeil magnétique. J’ai même trouvé, dit M. Gregory, qu’
mais aussi.lorsqu’on essaieen résistant. Il est même probable que le sommeil , qui nous gagne en lisant des ouvrages abstraits,
t celte différence queM. Braid n’a jamais observé la lucidité dans le sommeil produit par son moyen, et cependant il obtient ju
on apparente entre l’état de veille et celui que la malade appelle le sommeil magnétique. Dans cette dernière position, elle pa
ériseurs , et qui n’avaient pas même montré la moindre disposition au sommeil . Tous les mesméristes éclairés à qui j’ai eu le p
vous le comprenez, retranchez les phénomènes qui sont accompagnés de sommeil , et il restera 1 électro-biologie, qu’il faut reh
portée ni l’action. Plus heureux qu’eux, vous ne plongez pas dans un sommeil mortel vos malades avec cinquante gouttes de laud
r? Donc, le magnétisme qui calme les douleurs et provoque souvent le. sommeil , convient aussi dans ces cas; el, pour êlre bref,
r ? Donc, le magnétisme qui calme les douleurs et provoque souvent le sommeil , convient aussi dans ces cas, etc. >» Puis sou
ligence vive et rapide comme l’éclair. C’est surtout dans l’étal de sommeil lucide que scs traits prennent l’expression dont
bules. Ils cherchent jusqu’à cc qu’ils soient endormis. C’est dans le sommeil magnétique qu’ils vivent, c’est dans le sommeil q
dormis. C’est dans le sommeil magnétique qu’ils vivent, c’est dans le sommeil que l’intelligence leur vient. « Alexis exerce
t .ivant !e lui faire boire cette eau. 1- 11c procure généralement un sommeil rafraîchissant et foriiiiant ; assez souvent le m
régulariser la circulation nerveuse, el, après quelque temps d'un bon sommeil , il ne reste plus lien. C’est beau, 11’est-ce pas
chez lui, à plus de cinq kilomètres. L’enfant s’endormait, et dans ce sommeil elle entendait les moindres bruits, ainsi que que
je suis susceptible ; je n’ai obtenu que des éclats de rire, puis un sommeil plutôt d’ennui que magnétique. Je demanderai po
ant allée voir une de ses nièces à Islington, elle s’endormit, et son sommeil était si profond qu’on supposa que son médecin lu
ire dormir, et que peu de minutes de magnétisation ont plongé dans un sommeil réparateur de plusieurs heures..... 11 faut aussi
eusement les faits déjà observés. Le magnétisme provoque souvent le sommeil , de même qu’une série '’’autres effets, que notre
e, mais il ne faut pas croire qu’il soit indispensable de produire ce sommeil pour guérir ; cependant il esl très-avantageux qu
veille, et c’est donc bien à tort que quelqm'j personnes redoutent ce sommeil el le combattent quand elles le sentent venir ; e
, c’est de ne pensera rien : avantage que possèdent les enfants. Le sommeil magnétique présente bien des degrés; mais nous ne
qu’on appelle somnambulisme lucide, ou clairvoyance, qui est moins un sommeil qu’une manière d'exister différente de notre état
main ; mais une fois l’expérience faite, sa paupière s’affaisse, le sommeil la saisit, et au réveil elle n’a gardé aucune sou
rs de l’agent magnétique ; ils calment les douleurs, entretiennent le sommeil ou le somnambulisme, et régularisent la circulati
sation de la vie. Et, pour compléter le tableau , privation totale de sommeil , impossibilité d’avaler et de prendre la plus lég
après deux magnétisations, la malade dormait des nuits entières d’un sommeil naturel et paisible; en moins de quatre mois, les
première magnétisation d’une demi-heure, qui procure quatre heures de sommeil pendant la nuit. A dater du aS, deux magnétisatio
et à neuf heures du soir. Bientôt il en résulte cinq à six heures de sommeil toutes les nuits. La malade fait preuve lout d’ab
lle indique le nombre de personnes admises dans sa maison pendant son sommeil et de celles qui en sortent. Elle voit un couteau
s somnambuliques que pour ce qui concerne son état et ses organes. Le sommeil naturel a disparu, elle passe ses nuits entières
sparu, elle passe ses nuits entières sans dormir. Le i4 août, dans le sommeil magnétique, elle annonce que le 26 sa lucidité re
Morel. Hier 21, à cinq du soir, elle a été examinée, dans l’état de sommeil magnélique, par les médecins, qui ont reconnu que
assis, que quelques passes de son magnétiseur le plongé» rent dans le sommeil . Quelques profonds soupirs et une secousse généra
e, la nourrir de plantes aromatiques et boire de son lait. Pendant le sommeil de la somnambule, le magnétiseur lui demandait si
s a ordonnées. Je n’aurais pu le savoir qu’en la remettant en état de sommeil . M. le président. Fille Dufay, qu’est-ce que c’
uand il va à la tête, il trouble les idées; il empêche quelquefois le sommeil .... Il donne des idées tristes... le malade crain
: « Puis, ajouta la sorcière, soyez sans inquiétude si, pendant votre sommeil , vous sentez quelque chose fouiller dans vos poum
menteuse, 4. Chaîne magnétique, 710. Chronomètre somnifère (le). Sommeil produit par le mouvement du balancier de cet inst
. Voy. le Chronomètre somnifère. Paralysie disparaissant pendant le sommeil magnétique, 242. Passage de la vie terrestre à
ent avec l'action de lu volonté, 9.— Voy. aussi Passes magnétiques. Sommeil magnétique prolongé durant quinze jours et ayant
39 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
toujours dirigé par quelque souvenir latent ou quelque conception du sommeil ou du rêve. Elles présentent ceci de particulier,
Pr Charcot, (1) Pitres. — Des zones hyslèrogènes ; des attaques de sommeil . Bordeaux, 1885. faisant allusion aux cas de M.
s distincts : le somnambulisme qui survient spontanément au milieu du sommeil , ceux qui dépendent de crises nerveuses épileptiq
fonctions qui appartiennent à l'état de veille s'exécutent pendant un sommeil d'ailleurs normal. » Nos connaissances relative
e sujet s'est couché comme d'habitude, puis, après quelques heures de sommeil , brusquement, ou à la suite d'une légère agitatio
pendant la nuit. Tel le sujet dont parle Voltaire, qui pendant son sommeil saute tout à coup hors du lit, fait la révérence,
, les corniches et les toits. Parfois, les actes accomplis pendant le sommeil paraissent moins précisément déterminés ; nous no
édé ordinaire de la fixation d'un objet brillant ; 3° des attaques de sommeil ; 4° des accès de condition seconde dans un desque
tantes et la quatrième, âgée de 20 ans, est sujette à des attaques de sommeil . Elle en a eu deux à la suite desquelles elle est
erfs simples avec convulsions, jamais de pertes de connaissance. Le sommeil est bon, quelquefois interrompu par des cauchemar
(2) Pitres. —Des zones hystérogènes et hypnogènes ; des attaques de sommeil . Bordeaux 1885. |3) Charcot. — Leçons du Mardi,
rentra chez lui et, après un dîner sommaire, se coucha et dormit d'un sommeil calme toute la nuit. Il n'avait eu ni plaies ni c
vait mis la camisole de force pour le maintenir. Le nuit suivante, le sommeil fut agité, entrecoupé de visions terrifiantes d'h
est facile. On ne fait pas difficulté de considérer comme attaques de sommeil les cas bien connus de ces dormeuses dont le somm
omme attaques de sommeil les cas bien connus de ces dormeuses dont le sommeil dure des mois entiers. M. Charcot en a montré plu
elles ce qu'on observe (1) Gilles de la Tourette. — Des attaques de sommeil hystérique. (Arch, de Neurol., 1888, t. XV, p. 93
St-Guy et déjà auparavant il était noctambule, se levait pendant son sommeil , et, les yeux fermés, faisait son lit, s'habillai
à on l'hypnotisa encore et on lui fit diverses suggestions pendant ce sommeil hypnotique. Rentré à Paris, il eut une nouvelle
ps plus ou moins long. Il se débat peu et on a qualifié d'attaques de sommeil les crises qu'il a eues. Nous n'avons pas vu de c
eurs, parce qu'il ressent une certaine amélioration à la suite de ces sommeils provoqués. Nous déférons volontiers à son désir e
ommençait déjà à nous donner fort à réfléchir au sujet de ce prétendu sommeil hypnotique qu'on avait ailleurs développé chez lu
: le côté droit de la face n'est plus anes thésique, comme avant le sommeil ; l'anesthésie est passée à gauche. Cette premi
faire prédire les chevaux gagnants des courses pendant son soi-disant sommeil , prend, au milieu de son délire zoopsique, des ai
port médico-légal) qui s'endort « en une minute, et présente dans son sommeil hypnotique les mêmes contractures que dans son so
sente dans son sommeil hypnotique les mêmes contractures que dans son sommeil somnambulique spontané habituel ». Dans son rappo
ion en tous points fidèle de ce cas. A propos de ces études sur les sommeils pathologiques que nous poursuivons actuellement,
ment pas les importants travaux en neuropathologie. « L'histoire du sommeil morbide, dit-il (1), est presque à faire tout ent
urd'hui un peu mieux connue que la physiologie encore bien obscure du sommeil . Les récents travaux sur l'hypnotisme, les tout r
ésenter par conséquent, sous l'influence de manœuvres appropriées, le sommeil hypnotique que l'on nous dit, du reste, ne pas di
ypnotique que l'on nous dit, du reste, ne pas différer notablement du sommeil normal. Ne serait-il pas indiqué de pratiquer, dè
ar le mécanisme de la suggestion post-hypnotique ? (1) Ballel. — Le sommeil simulé chez les aliénés. (Gazette des hôpitaux, 2
guère. On n'hypnotise pas tous les sujets indifféremment, et, dans le sommeil hypnotique, qui n'est pas le sommeil natu -rel, s
jets indifféremment, et, dans le sommeil hypnotique, qui n'est pas le sommeil natu -rel, soit dit en passant, on ne peut rappor
cette pathologie compliquée qui concerne les différentes modalités du sommeil morbide ou des états analogues, le mieux est de p
l s'agit d'une jeune femme, instruite, qui fut prise tout à coup d'un sommeil profond, qui se prolongea plusieurs heures. A son
état depuis plusieurs mois, lorsqu'un beau jour elle fut reprise d'un sommeil analogue à celui qui avait marqué le début de ces
ui avait marqué le début de ces phénomènes. Cette deuxième crise de sommeil fut suivie du retour à l'état normal ; mais elle
on état nouveau, ellene saitquece qu'elle a appris depuis son premier sommeil . Si une personne lui est présentée dans un de ses
outre, d'un dédoublement de la personnalité d'origine hystérique. Ce sommeil prolongé, qui marque le retour et la fin de Vétat
Vétat nouveau et de Yétat ancien, n'est autre chose qu'une attaque de sommeil hystérique. Bien que les auteurs n'aient pas sp
econde. Les accès reviennent tous les soirs, quelquefois pendant le sommeil normal ; d'autres fois pendant le jour, sous l'in
s, travaille dans l'obscurité ou se couche et passe insensiblement du sommeil agité (1) au sommeil tranquille et normal, pour s
bscurité ou se couche et passe insensiblement du sommeil agité (1) au sommeil tranquille et normal, pour se réveiller à l'heure
constaté de visu ce passage insensible d'un état à l'autre. Les mots « sommeil agité » permettraient peut-être de croire qu'il e
bulique.La durée de cette phase est, si l'on peut dire, indéfinie. Le sommeil n'aurait point de fin si l'on ne réveillait ce ma
plus d'une attaque convulsive, comme ci-dessus, mais d'une attaque de sommeil . (1) Ladame. — Observation de somnambulisme hys
Sa mère était, comme elle, atteinte de somnambulisme et d'attaques de sommeil . Sa sœur a souffert pendant quelques mois d'une c
ntes depuis. Au mois de janvier 1887 survint la première attaque de sommeil caractérisée, à la suite de l'émotion occasionnée
nt et, peu à peu, on s'aperçut que lorsqu'elle sortait de sa crise de sommeil elle se présentait avec des allures bizarres et s
L'élément hystérique est, dans ce cas, représenté par l'attaque de sommeil qui précède chaque crise de dédoublement de la pe
des attaques convulsives, puis, sept mois plus tard, des attaques de sommeil . Trois mois après le début de ces dernières paraî
pue, comme l'état normal lui-même, par des attaques convulsives ou de sommeil . Au bout de ce temps, le dédoublement de la per
uche et s'endort... Dans cet état indéterminé qui sépare la veille du sommeil , elle pousse, par instant, un cri involontaire ou
sont trop franchement hystériques (attaques convulsives, attaques de sommeil ou plutôt de contracture, d'après la description
Remarquons déjà que, dans ce cas, l'état second né d'une attaque de sommeil se prolonge au delà des limites où nous l'avion
ique. Le fait de pouvoir revivre et se rappeler ses fugues pendant le sommeil hypnotique, fait dont on trouve des exemples dans
lant, à l'aura céphalique de l'attaque d'hystérie) elle s'endort d'un sommeil profond, dont rien ne peut la tirer et qui dure d
n puisse faire quelques recherches, mais encore pendant la nuit et le sommeil . J'ai pu ainsi me convaincre qu'il n'y avait au
r du passé aux impressions du présent est rompu ; le moi de l'état de sommeil ne reconnaît plus pour sien le moi de l'état de v
rvé chez Marguerite D... Ce passage de l'état B à l'état A pendant le sommeil naturel avait déjà été observé par M. Azam chez F
i se couchait en état de vigilambulisme et passait «insensiblement du sommeil agité en sommeil tranquille et normal, pour se ré
état de vigilambulisme et passait «insensiblement du sommeil agité en sommeil tranquille et normal, pour se réveillera l'heure
ricaine de Mac Nish nous sommes au début en présence d'une attaque de sommeil . Le malade de Bonamaison entre dans l'état B par
maison entre dans l'état B par une crise convulsive ou une attaque de sommeil ; son retour à l'état normal est marqué par des a
l'observation. Chez la jeune fille de M. Ladame, c'est une attaque de sommeil qui marque le début de l'état second. Ce n'est
t que, spontanément, elle a pu les faire connaître, la nuit, dans son sommeil . Nous l'avons fait observer par ses deux voisines
allusion aux événements des jours précédents, évoquant ainsi dans son sommeil des souvenirs qu'elle est incapable de faire revi
suivant: Cette femme, que nous avons pu hypnotiser, retrouve dans le sommeil hypnotique la mémoire de tous les faits écoulés j
irrévocables ; vous allez les voir reparaître tout à l'heure dans le sommeil naturel et dans le sommeil provoqué. Nous voici
les voir reparaître tout à l'heure dans le sommeil naturel et dans le sommeil provoqué. Nous voici enfin à l'événement du 28
éalité de la scène racontée par la malade. Celle-ci du reste, dans le sommeil hypnotique, nie énergiquement toute hallucination
écoulés depuis le 14 juillet au soir jusqu'au moment présent. Dans le sommeil hypnotique, elle nous a raconté tous les événemen
te phase délirante de l'attaque, et que l'automatisme ambulatoire, le sommeil hystérique, le vigilambulisme relèvent, dans la t
réfléchir à la durée souvent très prolongée de certaines attaques de sommeil ou de vigilambulisme hystérique. Maintenant (1)
t (1), Messieurs, nous allons interroger ensemble cette femme dans le sommeil hypnotique. D. Madame, connaissez-vous R...?
toire après avoir été, non sans quelques difficultés, plongée dans le sommeil hypnotique. plusieurs jours. Je sentis alors qu
parence oubliés, sont inscrits dans sa personnalité inconsciente. Son sommeil hypnotique est réellement peuplé de faits enregis
ainsi, allez-vous me dire, rien n'est plus facile que de profiter du sommeil hypnotique pour suggestionner cette malade et lui
r aujfur et à mesure de leur production. Ce n'est plus dans l'état de sommeil naturel, dans les rêves, ni dans l'hypnotisme, ma
int de tachycardie. L'état général est bon ; l'appétit conservé. Le sommeil est très agité, entrecoupé par des cris, des gémi
éfaut avant les accès nocturnes; la colique réveille la malade de son sommeil et l'accès se produit dans les mêmes conditions.
ra assez longue pour lui permettre d'éviter la chute en s'asseyant. Sommeil souvent troublé par des cauchemars terrifiants, s
sent aux diverses heures du jour et ne cessant que la nuit pendant le sommeil qui n'en est habituellement pas interrompu. fy Le
ction du bruit. Pas de chatouillement laryngé ; aucun malaise ; bon sommeil , bon appétit. Rien qui ressemble à des attaques,
, sans cesse et sans-trêve ; il ne disparaît que la nuit au moment du sommeil . Remarquez au moment de chaque aboiement une légè
ntervalles à peu près égaux, s'arrêtant seulement la nuit, pendant le sommeil ; cela a duré plusieurs mois. Je suis en mesure
igue et d'abattement extraordinaire; ce jour-là, il garda le lit, son sommeil fut interrompu et agité. Le lendemain matin, c'es
ation des — dans la catalepsie et le somnambulisme hypnotiques, 22. Sommeil : —s pathologiques, 169. Somnambulismes en géné
40 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s jambes, des pituites mati- uales, des cauchemars interrompant son sommeil . Le régime lacté absolu est institué. - L'exa
stion est bonne. Diarrhée très fréquente. Très turbulent et entêté. Sommeil bon. Ne s'habille, ni ne fait seul sa toilette.
uence de la volonté, de la dis- traction, du contrôle de la vue. Le sommeil calme suspend ces mouvements athétoïdes qui exi
mplique pas nécessairement la suspension de toute vie psychique. Le sommeil somnoformique, au contraire, peut, sous certain
re, peut, sous certaines conditions, se montrer assez analogue du sommeil naturel; il peut comporter une vie psychique très
l, de s'aliter. Le médecin fut appelé parce que D... n'avait pas de sommeil , délirait la nuit et constata dans ses urines l
uggestion. Incontinence d'urine guérie par la suggestion pendant le sommeil naturel chez une enfant de vingt-six mois. M.
ant de la mettre au lit un lavement froid; il en résulte pendant le sommeil une abolir 184 SOCIÉTÉS SAVANTES. dante diurè
que si l'entéroclyse a été administré. Par suggestion pen- dant le sommeil naturel j'ai supprimé radicalement cette inconti-
pour la calmer. Au bout de cinq à six mois, elle était calme et le sommeil était bon. Allaitement maternel, sevrage à deux
e, très bavarde, et sa fille « se disputaient comme deux gamines ». Sommeil calme, prolongé. Voix souvent rauque, voilée ;
oir que les tics sont à leur maximum. Ils dispa- raissent durant le sommeil . Nous devons compléter cette description avec l
de l'année, sa santé s'améliore, l'appétit est plus régulier et le sommeil moins fréquent; le moral se ressent de cette am
fficace : la suggestion doit autant que possible être faite dans le sommeil profond. Comme traitement adjuvant, on doit emp
iété et de l'irritabilité, une tendance mélancolique et, pendant le sommeil , des rêves péni- bles et des cauchemars, qui, c
phénomènes moteurs chorée, tics, etc., et aussi par des troubles du sommeil , agitation, lrayeurs nocturnes, etc. Elule co
lissements médico-pédagogiques spé- ciaux. XXIII. Les troubles du sommeil dans les név7,oses ; par le D DAUCLOS. L'auteur
ilepsie, hystérie, neurasthénie afin d'y étudier les mo- dalités du sommeil . Dans l'épilepsie. les malades dorment et leur
sommeil. Dans l'épilepsie. les malades dorment et leur 28G VARIA. sommeil est lourd et profond. Ils ne rêvent pas, mais par
tableaux où le sang ruisselle). Les hystériques dorment, mais d'un sommeil léger ; leurs rêves sont fréquents et influent
se. Quant au neurasthénique, si on l'en croit, il ne dort pas. Le sommeil chez lui est très variable. L'insomnie est typiqu
ns les cas où les névroses se trouvent asso- ciées, les troubles du sommeil varieront suivant la névrose prédo- minante.
autre phénomène phy- sique ou psychique notable, c'est le manque de sommeil pur et simple, le non-sommeil, l'asomnie pour e
éfier de leur dire, car parfois ces malades, tout en jouissant d'un sommeil sinon complet, du moins suffisant, croient ne pas
tégrante du syndrome manie. Les anxieux dorment peu et mal, et leur sommeil est peuplé de cauchemars en rapport apparem- me
s encore, des divers processus physiques qui mar- quent le début du sommeil ne sont pas sans jouer quelque rôle dans la gen
sont pas sans jouer quelque rôle dans la genèse de l'insomnie. Le sommeil n'est pas seulement diminué dans sa quantité, mai
t qu'il existe une courbe tout à fait régulière de la profondeur du sommeil , la plus grande profondeur du sommeil étant att
régulière de la profondeur du sommeil, la plus grande profondeur du sommeil étant atteinte à l'état normal, d'une façon rap
aussi, ce qui s'exprime par une chute brusque de la courbe; puis le sommeil , à partir de la troisième heure, devenant de pl
ficiel jusqu'au réveil avec oscillations peu marquées. A côté de ce sommeil régulier, normal, dont la courbe est figurée pa
analogues faites antérieu- rement, a démontré que, normalement, le sommeil présente un maximum de profondeur au troisième
e moment, il y a une faible et lente augmentation de l'intensité du sommeil ayant son maximum en une heure, puis 316 SOCIÉT
OCIÉTÉS SAVANTES. une diminution. Ce serait là la courbe normale du sommeil . Mais llichelson a observé une courbe d'une aut
uit une augmentation et une diminution rapide de la profon- deur du sommeil qui est très faible le matin à l'approche du ré
oduire et sont moins marquées que dans l'aulre forme; mais aussi le sommeil reste plus profond jusqu'au réveil. Michelson f
iennent pas à s'endormir, mais finissent par tomber dans un profond sommeil le malin, que d'autres s'endorment vite, mais s
apage habituel. Souvent ils ont, par con- tre, de courts moments de sommeil dans la journée. A ce propos, Michetson avance
du sulfonal. il' a, en effet, éprouvé que la paraldéliyde donne un sommeil qui se rapproche du sommeil nor- mal, mais est
t, éprouvé que la paraldéliyde donne un sommeil qui se rapproche du sommeil nor- mal, mais est plus profond et atteint plus
ariétés d'insomnie : 10 Il y a une diminution anormale du besoin de sommeil , d'où résulte un état d'exhaustion nerveuse qui
gtemps SOCIÉTÉS SAVANTES. 317 -1 éveillés avant de s'endormir; le sommeil est interrompu par de longues veilles. Brissa
se réveillent dans le courant de la nuit sans pouvoir retrouver le sommeil ; 2° ceux qui n'ont pas « leur premier sommeil
pouvoir retrouver le sommeil ; 2° ceux qui n'ont pas « leur premier sommeil » naturel, qui tar- dent indéfiniment à s'endor
veillent au lever du soleil et ne se rendorment plus. Le trouble du sommeil est tel que certains de ces malades voient avec
malades voient avec terreur arriver l'heure, nous ne dirons pas du sommeil , mais de l'insomnie. Une place à part apparti
s thérapeutiques sont faciles à tirer. Quant aux épileptiques, leur sommeil ne donne guère lieu à des considérations partic
s qui peuvent y survenir. On sait que les accès ne troublent pas le sommeil , et que l'épilepsie nocturne peut rester longte
formulé, en quelques indications précises, les faits connus sur le sommeil normal et pathologique de l'enfant. Il conclut
pathologique de l'enfant. Il conclut que le passage de la veille au sommeil , est plus court chez les enfants que chez les a
eil, est plus court chez les enfants que chez les adultes et que le sommeil est plus profond au début, mais que chez les en
ut, mais que chez les enfants névropathes, la pre- mière ivresse du sommeil est raccourcie. Dans la physiologie du sommeil,
- mière ivresse du sommeil est raccourcie. Dans la physiologie du sommeil , il est un point qui nous inté- resse spécialem
'on a fait jouer aux phénomènes circulatoires dans la production du sommeil . Mosso, après d'autres, constatait, dans ' Voir
ne lconogr. pholhogr. de la Salpêtrière une note comparative sur le sommeil des hystériques et des épileptiques (B.). 318 S
SOCIÉTÉS SAVANTES. ses premiers travaux, l'anémie cérébrale dans le sommeil et la congestion au réveil, avec phénomènes plé
cas, Brodmann a constaté ceci chez son malade trépané; au moment du sommeil , une augmentation du volume et une éléva- tion
ter intégralement la théorie de l'anémie cérébrale comme cause du sommeil . On ne saurait trop répéter que celte anémie en p
thèse tombent d'elles-mêmes. D'ailleurs, il est bien évident que le sommeil médi- camenteux est indépendant de l'état de la
t de la circulation générale dans ses rappotts avec les troubles du sommeil . On sait que dans le sommeil la fréquence du po
dans ses rappotts avec les troubles du sommeil. On sait que dans le sommeil la fréquence du pouls diminue, ainsi que la pre
SOCIÉTÉS SAVANTES. 319 "uine moyenne correspond à un état normal du sommeil , qu'au- dessus et au-dessous de cette pression,
out procédé relevant la pression à 80 ou 90 millimètres ramenait le sommeil . Le même auteur pense que le réveil nocturne de
qu'éprouvent les neurasthéniques au moment de s'endormir ou dans le sommeil , par la détente musculaire qui se produit alors
gmentation de poids durant l'insomnie et une perte brusque après le sommeil réparateur. Cette perte s'accusa même dans un c
s recherches faites dans ces dernières années sur l'his- tologie du sommeil . Malgré le haut intérêt de ces travaux, qui pou
ait pas donner lieu à des troubles circula- toires importants et le sommeil qu'il produit serait calme et repo- sant. A une
larités cardiaques), il procure quinze à quarante-cinq minutes un sommeil calme et réparateur, et dont le réveil est facile
la dose de 5 grammes, mais l'accoutumance est rapide et parfois le sommeil est précédé d'une période d'excitation qui peut
avec des succès variables dans des cas en apparence identiques. Le sommeil , plus rapide pour le trional que pour le sulfon
troubles digestifs, symptômes le moins marqués pour le trional. Ce sommeil ressemble au sommeil naturel et on a dit que les
symptômes le moins marqués pour le trional. Ce sommeil ressemble au sommeil naturel et on a dit que les sul- fones ne sont
nt pas des stupéfiants, mais des substances adjuvantes du besoin de sommeil . Ils sont à éviter dans tous les cas où existe
erait ce dernier moyen) donnent une sédalion durable sans véritable sommeil . L'hyoscine n'est, il est vrai, que le médicame
n'est pas nn hyp-, notique vrai : il ne produit pas directement le sommeil , il y invite, a-t-on dit; aussi, habituellement
de façon à obtenir, comme dans l'état de mal, un état permanent de sommeil bromique, suivant l'expression habituelle. C'es
dérablement influencée quant à son intensité, il semble bien que le sommeil , loin d'être amélioré, est plutôt dimi- nué la
n s'adressant aux fonctions de nutrition qui sont en cause. Si le sommeil ne vient pas à son heure, c'est qu'il existe une
- logique. L'excrétion est la fonction la plus intimement liée au sommeil . Chez tous les sujets à nutrition retardante, la
la tension vasculaire, et il. importe de n'employer pour amener le sommeil que des moyens qui soient de nature à ne pas la
anurie surtout empêchait de dormir se déclarer très satisfaits d'un sommeil entrecoupé par le besoin fréquent des émissions
euvent survenir à heure fixe la nuit et réveiller le sujet en plein sommeil . C'est que le sommeil n'est pas l'inconscience,
e fixe la nuit et réveiller le sujet en plein sommeil. C'est que le sommeil n'est pas l'inconscience, ni l'inertie cérébral
estation nerveuse à une certaine heure de la nuit peut, pendant son sommeil sentir l'incubation psychique de ce phéno- mène
stive en Suède. Quelques mots sur la méthode du j0'' Welterslrand : Sommeil prolongé, ltyp- zzose thérapeutique. Sa techniq
Je dois citer surtout un article dans le Zeitschrifl intitulé : Le sommeil prolongé. Eu effet, M. Wettestrand a employé ce m
e sommeil prolongé. Eu effet, M. Wettestrand a employé ce mode de sommeil avec le plus grand succès dans beaucoup de cas. E
ent, il ne fait qu'une ou deux suggestions. Il a démontré ce que le sommeil par lui-même peut faire et il affirme qu'on ne pe
psychique sans une hypnose profonde. La technique. La technique du sommeil prolongé, tel que la conçoit 0. Wetterstand, do
u deux fois par jour et pratique sur eux la sug- gestion pendant le sommeil . Au début, ces suggestions sont peu nombreuses
- tre, et à demi-voix suggestionne chacun en passant. La durée du sommeil dépend du genre et de la phase de la maladie. Dan
éveillent eux-mêmes, sans qu'on leur dise de se réveiller. Aussi le sommeil de Wetterstrand, comme celui de Liébault, est plu
e sommeil de Wetterstrand, comme celui de Liébault, est plutôt le « sommeil prolongé * que le « sommeil provoqué ». Il import
omme celui de Liébault, est plutôt le « sommeil prolongé * que le « sommeil provoqué ». Il importe de dire que le Dr Wetter
plus ou moins vif au réveil. II. ? pet'M)'cos6. Il y a, cette fois, sommeil profond, avec en- gourdissement de la conscienc
guérir la suggestion qu'on leur fera pendant qu'ils dormiront d'un sommeil profond avec inconscience et, au réveil, amnési
- mission : les accès peuvent survenir ou se prolonger pendant le sommeil . Il faut noter aussi l'inefficacité presque abs
e et à l'oeil gauche disparurent complètement et l'appétit comme le sommeil aussi s'améliorèrent. Le 30 novembre on usa enc
st inquiète, elle craint une gros- sesse, elle perd l'appétit et le sommeil . Elle fait un jour part de ses craintes à sa ma
Dix observations accompagnées de tracés. Dans la plupart des cas de sommeil hypnotique profond, la respira- tion est un peu
XL. Un cas de tumeur des lobes frontaux du cerveau, dans lequel le sommeil a été un symptôme très accusé, par Thomas Pmur
ymptôme le plus accentué que l'on ait observé chez ce malade est un sommeil persisatnt. Cet état de somnolence fut constaté
t, car il risquait de tomber et de se blesser. Jusqu'à la fin, le sommeil ne cesse d'avoir un aspect naturel, à voir dorm
ingt-deux ans, devenue bizarre, obsédée de scru- pules, incapale de sommeil , à la suite de surmenage. Le tout se complique
ue de temps en temps et non d'une façon continue, et, le soir, le sommeil vient en général mettre fin à leurs discours plus
e nom de narcolepsie, l'auteur entend des crises irrésis- tibles de sommeil survenant d'une façon soudaine. L'observation r
s aitilices capables de provoquer le -oui- meil, car en obtenant le sommeil on évite bien des symptômes aigus. Les jours de
nt les malades ont des nuits meilleure ? mais sous l'influence d'un sommeil réparateur leurs journées deviennent meilleures
éthodes diverses déjà décrites. Hypnose et comman- dement dnrant le sommeil provoqué : inhalations de chloroforme, 532 SOCI
esque insurmontable, inhalations amenant la résolution, mais non le sommeil complet, commandements durant cette période. Ré
ez, 184. Incontinence d'uhine guérie par la suggestion pendant le sommeil naturel chez une enfant de six mois, par Faie
onald, 63. Un cas de tumeur des fiontaux du caveau dans lequel le sommeil a été un symp- toute très accusé, par Cowen, 44
iielicile. Névroses et paludisme, liai-Coinmé- léran, 283. - Voir Sommeil . inoy iu. Le iûledu dans In îégres- sion musc
ive en Suède. Quelques mots sur la méthode, du Dr Wuiterstranri : Sommeil prolongé, hypnose thera- rapeutique. Sa techniq
ruoBtE.Kute sur uniforme par- uculive lit ! -, par Cullerre. 336. Sommeil . Les troubles du - dans les névroses, par L)aiy
41 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
s de Montry magnétisa un jeune homme, fort doux en apparence; mais le sommeil ne fut pas plus tôt produit qu’il donna lieu à l’
il les injuriait comme s’il eût été dans l’ivresse. On fit cesser le sommeil ; il ne lui restait aucun souvenir; son cœur seule
u bout de douze jours je ne pouvais plus produire qu’une apparence de sommeil magnétique. J’avais entendu dire à un médecin a
lecteurs d’une opération faite avec un succès remarquable à l’aide du sommeil magnétique (I) ; aujourd'hui, une opération non m
que antérieure, Mlle A. L..... avait été plusieurs fois endormie du sommeil magnétique. Dans le but de calmer scs souffrances
minue, les douleurs se calment, et à l’agitation des nuits succède un sommeil réparateur. Dès la pre- (I ) Vovi i Journal du
évêque d’Evreux, et l’un desjuges de Jeanne d’Arc (I). Quoi! dans le sommeil magnétique aussi, une préoccupation saisirait not
mment les hommes ont-ils si peu réfléchijus-qu alors aux accidents du sommeil , qui accusent en l’homme une double vie ? (Louis
leur du visage. Transpiration souvent abondante. Deuxième groupe. — Sommeil artificiel profond ou léger, engourdissement des
ur d’autres personnes. Connaissance exacte du temps écoulé pendant le sommeil , quelquefois isolement de tous les objets qui ne
e ce qui s’y passe, en garder le souvenir, etc. Les malades dans ce sommeil peuvent voir leurs maladies, syndiquer les remède
rsonnes, et devenir également leurs médecins. Dans d’autres cas, leur sommeil a quelque chose de plus étendu encore, de plus su
le du dynamomètre à vingt-cinq kilogrammes (un « de moins qu’avant le sommeil ) ; la main gauclie (la « paralysée), à vingt-six
auclie (la « paralysée), à vingt-six ( quatorze de plus qu’avant « le sommeil ) , et les deux réunies à quarante-cinq « (quatorz
n est de môme de l’état sain ou maladif. L’âge diminue les chances de sommeil lucide. La force physique n’est point un obstacle
nt n’éprouver autre chose qu’engourdissement général avec penchant au sommeil . M. du Potet détermine sur deux autres personnes
endormir, pour savoir ce qu’elle aurait. Aussitôt qu’elle fut dans le sommeil magnétique, elle me dit : « Je n’aurai plus d’hém
son), de vous communiquer le résültat d’une opération faite durant le sommeil mesmérique. Miss K***, âgée de dix-sept ans, av
te « centimètres d’épaisseur en cinq minutes. « Pour prouver que le sommeil n’était pas simulé, « voici les épreuves douloure
: « Quand le doute éveillé méconnaît votre nom, « Vous prêtez au sommeil un magique langage, « Comme pour nous donner l’
meurait alors. Un an plus tard el'e se lit à parler beaucoup dans son sommeil ; il Ili semblait alors qu’elle instruisait une au
Elle n’avait pas le plus léger souvenir de ce qui se passait dans son sommeil ; mais dans ses divagations nocturnes on l'entenda
cherché près d]elle se produisit très-bien alors. Une dame étant en sommeil puységurique, M. Cos-son, « sur l’indication sile
a somnambule et de la suprenante lucidité dont elle jouit pendant son sommeil magnétique. Permettez-moi de vous entretenir de q
ve présentant tout les symptômes de la fièvre cérébrale ; endormie du sommeil magnétique, elle prescrivit ce qui lui était néce
s soins. Quelques jours après, lui ayant fait reproche, pendant son sommeil , de ne m’avoir pas prévenu à temps^ de la maladie
sses à grands courants; après dix minutes de soins, je l'endormis (lu sommeil magnétique, et nous apprîmes alors qu’elle traver
mement impressionnable, tomba, le 10 septembre 1832, dans un accès de sommeil cataleptique qui dura de midi à minuit. Durant qu
it sans conserver aucun souvenir de ce qui lui était arrivé durant le sommeil cataleptique et sans se plaindre d’aucune douleur
ci raconte les faits de vols', les aveux que fit l’enfani pendant son sommeil magnétique. Ils ne rejettent point cette dépositi
e, qui ne sait même pas le nom d’un médicament, tandis que pendant le sommeil magnétique elle connaît les maladies, leur nom ,
afin d’arriver à des phénomènes plus merveilleux. La découverte du sommeil magnétique, de la catalepsie, et partant de l’ins
nétisé par M. Berlhe, au moyen de l’application de la main pendant le sommeil de,la somnambule ; ils ont tous été placés ensemb
decins et bon nombre de gentlemen de distinction. La patiente mise en sommeil magnétique par le professeur Garrison a subi en c
a pensée m’étant venue de lui faire quelques passes, il tomba dans le sommeil en moins de cinq minutes. Th. Carstairs. Scbe
magnétisme. Séance du 12 mais. — En qnatre minutes M. Dubois met en sommeil magnétique M11' Gobin. Il la fait marcher en arri
qu’il venait de provoquer pour la première fois. VISION. Un doux sommeil a fermé ma paupière, El, souriant, un bel ange
ne nécessité absolue, puisqu’on peut très-bien procurer à distance le sommeil magnétique. Dès que Prudence est endormie, le mag
en pinçant de la guitare, cinq ou six personnes, et, dans cet état de sommeil , faire danser les dormeuses qui suivaient fort li
iqûres, des brûlures, des incisions, etc., pour prouver la réalité du sommeil de leurs somnambules; bien que les sujets soumis
u haschich et de la belladone? Savons-nous comment l'opium produit le sommeil ? Les phénomènes delà circulation, de la respirat
set (François), âgé de dix-huit ans, mis préalablement dans l’état de sommeil magnétique et d’insensibilité absolue par M. Dele
vie. » Bientôt la magnétisée ferme les yeux, mais il n’y a point de sommeil cependant. Elle dirige ses pas vers la porte, se
ngitudinalement sur les membres; la somnambule cesse de s’agiter, son sommeil devient calme et tranquille; le réve qu’elle a eu
aissez-vous le but que je voulais atteindre en vous plongeant dans le sommeil ? — Oui,je vois : c’est un être souffrant qu’un
re qui te dévore cessera de t’agiter autant. On n’a pu te procurer du sommeil : le sommeil viendra sans narcotique. Mais ce n’e
ore cessera de t’agiter autant. On n’a pu te procurer du sommeil : le sommeil viendra sans narcotique. Mais ce n’est pas assez
aucoup; alors je lui engageai légèrement la tête, afin de produire le sommeil , car il y avait trois mois (1) Ces «rlificats s
artie du reste de la journée; à huit heures elle se couche et dort du sommeil naturel jusqu’au lendemain sept heures et demie d
rends la magnétisation ; rien de nouveau ; le mieux se maintient ; le sommeil est si bon qu’elle dort jusqu’à sept heures sans
elle vient pour être magnétisée; mêmes effets; elle se plaint que le sommeil que je lui procure est trop long, qu’elle voudrai
ependant, suivant mon habitude, j’engage la tète pour lui procurer ce sommeil réparateur; elle part après vingt minutes; car
j’ai bien besoin; mais à neuf heures je me suis sentie engourdie; le sommeil m’a prise sans que je puisse résister, j’ai dormi
endormie dans une chambre du haut. Quelque voisine, profitant de son sommeil , lui détacha un des anneaux en or, appelés redif,
et aimable comte; le fluide innervateur des phénomènes névrurgiques ( sommeil artificiel, catalepsie, somnambulisme, clairvoyan
ns sans cesse. On travaille pour se reposer; on marche pour goûter on sommeil plus doux ; on pense pour délasser ensuite sa pen
s, dans la gangrène et la congélation, la mort n’est pas seulement un sommeil , elle est aussi une volupté. On a vu des hommes s
es éprouvent des effets physiologiques très-apparents, mais aucune le sommeil magnétique proprement dit. Séance du 13 mai. —
ersonnes, dont trois éprouvent divers effets physiologiques et une le sommeil somnambulique, l’insensibilité, etc. Séance du
ut mon étonnement, lorsqu’au bout de quelques minutes je produisis le sommeil magnétique et les phénomènes du somnambulisme.
eur Loysel, aidé de M. le doctour Gibon, sur une personne endormie du sommeil magnétique et insensible à la douleur. Afin d’en
moins. C’est la cinquième opération pratiquée à Cherbourg à l’aide du sommeil magnétique. L’existence du magnétisme humain n’
existence du magnétisme humain n’est guère contestée aujourd’hui ; le sommeil spontané qu’il détermine est généralement admis.
de trente ans, et mise auparavant, en notre présence, dans l’état de sommeil magnétique et d’insensibilité absolue, attestons
du dehors n’arrive jusqu’à elle. Au bout de cinq ou sixjninuies de sommeil , elle est réveillée par son magnétiseur en une se
présence, et immédiatement avant l’opération, de la vie ordinaire au sommeil magnétique et à l’insensibilité la plus absolue.
s ont amené 24 crises. 11 y en a eu d’âbord jusqu’à 3 clans le môme sommeil . Elles deviennent ensuite plus rares. Plusieurs o
e au moyen de laquelleelle s’est endormie quatre fois. Dans un de ces sommeils elle a eu une crise; elle était seule, et s’est d
c (les somnambules, et n’ont à offrir à la curiosilé que des faits de sommeil qui, seraient-ils prouvés mille fois, n’avancerai
r elle, de laisser la malade dans cet état, dormant paisiblement d’un sommeil doux et réparateur; seulement je priai qu’on ne l
Sur le conseil de ce médecin, on plaça la malade, toujours en état de sommeil , dans une voiture et on l’emmena chez son père.
ez le bonheur, el c'est pour cela que vous voulez toujours dormir; ce sommeil vaut mieux, dites-vous, que toutes nos réalités d
té où vous verrez une jolie somnambule, quand elle vous dira dans son sommeil l’âge qu'elle a, sans se rajeunir d'une heure, et
e, tout endormie, le rôle entier d’un opéra-comique. Dans cet état de sommeil , elle dit fort bien le dialogue, ne manque aucune
pplaudira, et l’Académie des Sciences continuera tranquillement son sommeil . « Voulez-vous que cotte lueur qui annonce l'ém
e où toute découverte progresse avec rapidité. o Voulez-vous que le sommeil lucide exhumé des temples anciens continue d'ôtre
né- tisées, une seule, M. Suèves, éprouve des effets instantanés de sommeil , d’attraction, de répulsion, et d hallucinations
iques. On observe d’ailleurs sur elle tous les effets concomitants du sommeil puységnrique. M. Hébert, parlant des dangers du
élèves, observa les singuliers phénomènes qui se manifestent dans le sommeil magnétique. Plein d’enthousiasme, il lit part de
donna ; ils laissèrent de côté l'élude de la force, cause physique du sommeil , pour ne pitjs s’occuper que de ce dernier. Qui d
’il a éprouvées. Il est étranger, autant que vous, aux actions de son sommeil , et si, dans tous les temps, les juges ont été in
comprendre, on pourrait dire que c’était un incendie général). Pas de sommeil , pas de repos nulle part; prostration presque c
dispositions morales des magnétiseurs au moment de l'expérience. Le sommeil lucide est presque toujours produit de premier je
rouve point dans l’almanach de l'Académie. Le magnétisme simple, sans sommeil , serait déjà pour eux un grand embarras, car il e
econduisit dans sa chambre. Le chemin qu’elle avait parcouru dans son sommeil , c’est-à-dire la gouttière qui lui sert de chemin
ndre les plus grandes précautions. (Commerce.) — Un autre cas de ce sommeil fut observé, il y a quelques années, rue de Gramm
suffit pour dévoiler la fraude. Mais il est des sujets qui jouent le sommeil et la lucidité avec une effrayante persévérance,
ner des épreuves, on y parvint bientôt par la magnétisation durant le sommeil . Ainsi se trouve réalisé aujourd’hui un ensemble
42 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
.sommeil, ce qui constitue parfois un des premiers symptômes; le sommeil est douloureux, pénible, coupé par des rêves, des
que le sentiment de la pudeur et de la propreté sont conservés. Le sommeil est troublé d'une façon notable, la malade ne d
ns. Les sentiments affectifs et de pudeur ne sont pas alté- rés. Le sommeil est troublé et interrompu par des rêves, mais la
ment, la malade se montre indif- férente et refuse les aliments. Le sommeil est bon. Pas de tremble- ments de la langue, de
s dans les coudes, les genoux, les pieds, avec lièvre. Cependant le sommeil reste bon, sans cauche- mars. Pas d'étourdissem
mbre sain ou malade. A. Fenayrou. VII. Rapports entre la maladie du sommeil et le myxoedème ; par M. Briquet (d'Armentières
se médicale, 7 septembre 1898.) La symptomatologie de la maladie du sommeil et celle du myxoedème présentent de nombreux po
deux affections. L'assoupisse- ment existe aussi dans la maladie du sommeil comme dans le myxoedeme;itest, seulement, beauc
certains cas ; un auteur anglais, Ciark, donne même à la maladie du sommeil le nom de a sleeping dropsy», hydropisie qui en
e avec possibilité de rémis- sions. On a prétendu que la maladie du sommeil est héréditaire ; cela a été signalé aussi pour
n aura élucidé la pathogénie, encore très obscure, de la maladie du sommeil . L'auteur estime que, alors même que de nouvell
en droit d'espérer qu'on retirera grand profit, dans la maladie du sommeil , du traitement thyroïdien, grâce à son pouvoir
a langue s'exagérant pendant les mouvements et cessant pen- dant le sommeil . Yeux et pupilles indemnes. Sensibilités diverses
ésente aucun délire, bien systématisé. Il dort sans hypnotiques. Le sommeil est pourtant interrompu par des rêves terrifian
cette infec- tion, de même que l'alcool, le surmenage, le manque de sommeil , créée-t-elle une prédisposition en diminuant l
délire de réoe ou onirique; 10 ce rêve délirant n'appartient pas au sommeil normal, mais au sommeil pathologique. Il consti
ue; 10 ce rêve délirant n'appartient pas au sommeil normal, mais au sommeil pathologique. Il constitue, par ses caractères, u
sif, ce sont celles qui se rapportent à l'orgasme sexuel pendant le sommeil 216 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. L'auteur,
iger l'hygiène et le régime qui souvent seules arrivent t perdre le sommeil . De même pour les fonctions intestinales, les p
. Quand le spasme cessait, la douleur était très vive. Pendant le sommeil chloroformique le spasme cessait et la tête était
ion de M. Féré qui, rappelant certains cas où l'invasion brusque du sommeil était manifeste, rapporte trois observations d'
trois observations d'épileptiques chez qui les attaques brusques de sommeil accompagnaient ou même remplaçaient les attaque
ut de l'accès a apparu. G. D. XXXII. Rapports entre la maladie du sommeil et le myxoedème; par MM. E. Régis et N. Gaide.
e de M. Briquet (d'Armentières) sur les rap- ports de la maladie du sommeil et du myxoedème, paru dans le numéro du 7 septe
éphatite et en conclut qu'il y a lieu de supposer que la maladie du sommeil n'est qu'une toxi-iufection. Selon lui, on est
dentité de ces deux affections. Au reste, tandis que la tendance au sommeil est le symptôme constant et caractéristique de l'
ie de tout le système ganglionnaire parait être, dans la maladie du sommeil , secondaire et non primitive, consé- quence et
souvent l'amélioration est tardive. A. Fenayrou. XXXIV. Maladie du sommeil et myxoedème ; par M. Ch. )10NGOUR. (Presse Méd
a présenté, pendant deux ans sans cause connue, un laisser aller au sommeil consti- tuant une véritable maladie. L'existenc
tence de cet homme, depuis l'apparition decesymptôme, n'était qu'un sommeil continu, entre- coupé de courts instants de vei
geant ni beaucoup de temps, ni beaucoup de peine. L'intensité de ce sommeil était tout à fait anormale; pour éveiller, le suj
de le soumettre à la médication thyroïdienne, non pour combattre le sommeil , mais pour lutter contre l'obésité. Celle-ci ré
ntre l'obésité. Celle-ci résista au traitement ; mais la maladie du sommeil fut rapide- ment améliorée et même guérie. L'
encore rapidement à bout d'un nouveau retour offensif des crises de sommeil , survenu quelque temps après. Cette observati
, 7 septembre 1898), d'après laquelle le myxoedème et la maladie du sommeil relèvent peut être d'une même cause et sont jus
matique, qui active la circulation, fait bien digérer, donne un bon sommeil ; voilà, avec une nourriture saine et bien prépa
50 pulsations ; il est maintenant à l5. Après suggestion pendant le sommeil hypnoti- que, le pouls se ralentit et tombe à 1
ant le som- meil hynotique, sans qu'il y ait suggestion verbale. Le sommeil hynotique est donc capable de produire des effe
soupissement, ou sont pris d'un besoin irrésistible et con- tinu de sommeil On dirait et cela doit être qu'ils sont sous l'
e cette obnubiiation ' Régis et Gaide. Rapports entre la maladie du sommeil et le 2 ? zyxoe- dème. (La Presse médicale, 1 ?
oni- risme peut être nocturne et il consiste alors en troubles du sommeil : rêves, cauchemars, illusions et hallucinations,
réalité. Mais ce retour ne dure qu'un instant; comme dominé par un sommeil irrésistible ou sous le coup d'un narcotique qu
a fan- tasmagorie, absolument comme le rêveur qu'on arrache à son sommeil ou l'alcoolique à son délire, « Or, tous ces ét
poser serait celle de savoir si ces rêves délirants constituent des sommeils identiques ou non au sommeil ordinaire. Je ne s
ces rêves délirants constituent des sommeils identiques ou non au sommeil ordinaire. Je ne saurais aborder en ce moment ce.
caractères spéciaux, en ce sens surtout qu'ils appartiennent à des sommeils incomplets, hypnago- giques, où la persistance
s infectieux peut être perdu à l'état de veille et recouvré dans le sommeil ordinaire ou le sommeil hypnotique'. » Depuis
erdu à l'état de veille et recouvré dans le sommeil ordinaire ou le sommeil hypnotique'. » Depuis cette époque, toutes no
ncipalement dans les périodes hypnagogiques, et se prolonge dans le sommeil ou après le réveil. b) Il est formé par rappel
l ne s'agit pas là d'un rêve ordinaire, tel qu'on l'observe dans le sommeil normal, mais d'un rêve pathologique, som- nambu
, en cas de succès, si ces malades ne recou- vreraient pas, dans le sommeil artificiel, le souvenir perdu de leur délire.
hangement qui s'est opéré en eux, comme un individu qui pendant son sommeil , transporté dans des lieux inconnus, mettrait u
ens. Quelques-uns nous ont dit qu'il leur semblait sortir d'un lony sommeil . A ces malades qui se réveillent, il faut expli-
x ans, sans pou- voir dire ce qui s'est passé en eux durant ce long sommeil 2. » Depuis que la confusion mentale a été ress
'écorce avec excitation des centres sous-corticaux, d'où résulte le sommeil du, moi conscient avec déchaînement de l'automa
oyen de prolongements protoplasuuques qui se rétracteraient dans le sommeil et dans certains états d'intoxication (Pupin, Heg
extérieur et que la pensée soit réduite à son minimum comme dans le sommeil (p. 119). » Et encore : « Quelquefois la guéris
très grande rapidité et le malade semblant s'éveiller d'un profond sommeil s'oriente peu à peu et recouvre l'intégrité de
e parmi les états intermédiaires entre la veille cons- ciente et le sommeil complet : les états de Traùmerei, de rêverie, é
étals hypnoïdes voisins des états hypnagogiques, se rapprochant du sommeil physiologique et qui peuvent se rencontrer même
e à son rêve, jusqu'au jour où, déjà moins confus, il sortit de son sommeil et revint à la réalité à l'asile, en face de so
ce du 20 février 1899. Présidence DE M. Jules Voisin. Hypnotisme et sommeil prolongé dans un cas de délire alcoolique. M.Pa
oolisme aigu ou chronique ; il met en outre en lumière l'utilité du sommeil prolongé, comme agent héroïque de sédation. C
cloniques. Les mouvements terminés, la malade tombe dans un état de sommeil profond dans lequel elle se montre indifférente
estion de trois grammes de chloral, dort pen- dant cinq heures d'un sommeil assez tranquille, entrecoupé seule- ment par qu
grammes de chloral, Mule H... dort cinq heures pendant la nuit d'un sommeil tranquille. Au matin elle est à nouveau plus ca
é de recourir encore de temps en temps au chloral pour provoquer le sommeil , mais celui-ci dure régulièrement cinq à six he
rtie de l'eau à 8 heures, et recouchée aussitôt, elle s'endort d'un sommeil profond et paisible, pour ne s'éveiller qu'au m
s, moments de lucidité, où l'on peut avoir une conversation suivie, sommeil ordinairement troublé, dénutrition rapide. L'év
riés : balnéation prolongée à 33°, bromures alcalins ; favoriser le sommeil par des hypnotiques; veiller au bon fonctionnem
u se rendre compte à plusieurs reprises différentes que pendant son sommeil la malade pouvait communiquer à son membre des
s séances de suggestion pratiquées à l'état de veille et pendant le sommeil hypnotique, et le malade fut complètement débar
tation du degré de suggesti- bilité qui se produit chez lui dans un sommeil naturel léger. Ce sommeil léger est facile à ob
bilité qui se produit chez lui dans un sommeil naturel léger. Ce sommeil léger est facile à obtenir, à n'importe quel mome
ents ou des frictions de la région souffrante. Si léger que soit le sommeil , l'esprit sera tou- jours capable d'une concent
lus grande qu'à l'état de veille. La répétition de ces exercices de sommeil léger et d'auto-sugges- tion facilite cette con
ant à l'état subconscient et susceptible d'être retrouvé pendant le sommeil hypnotique. Grâce à la suggestion, ce rêve est
e sommeil hypnotique. Grâce à la suggestion, ce rêve est inhibe, Je sommeil naturel de- vient exempt de cauchemar et la san
ondateur de cette cité, un des joyaux de la patrie, réveillé de son sommeil séculaire et mis en présence de ces pages subli
activité n'a pas toujours la même intensité. A la veille succède le sommeil , c'est-à-dire un affaiblissement de la vie psychi
s faits psychiques chez.l'enfant, le vieillard et l'être en état de sommeil , mais encore recourir à la psycho- pathie, auxi
ue restait bon, l'appétit convenable, les digestions régulières, le sommeil à peu près normal. Au bout d'un mois environ, n
hysique se maintient excellente sous l'influence de l'isolement, le sommeil s'améliore, ce qui même ne laisse pas de vexer
tère, se montre irritable, inquiet, impressionnable; il n'a plus de sommeil ; il devient le jouet d'illusions et d'halluci-
se montrent plus tard à ce moment intermédiaire à la veille et au sommeil , depuis longtemps signalé par Baillarger comme fa
et de la perplexité angoissante et douloureuse de la mélan- colie ; sommeil et repos meilleurs ; réparation plus rapide des
ivers renseignements des veilleurs sur l'état du malade la nuit, le sommeil , la température, signale s'il y a eu ou non des
at de veille, par exemple, si l'on voit le pouls à 140, une fois le sommeil provoqué, il tombe successivement de 110 à 120, 1
te contracture était perma- nente, elle ne s'atténue pas pendant le sommeil . La sensibilité est intacte. Vers l'âge de si
dedans. Il est difficile de les écarter modérément même pendant le sommeil . Les deux pieds sont dans l'extension avec adduct
tait inclinée à gauche. Ces contrac- tures disparaissent pendant le sommeil chloroformique. Le 15 septembre 1898, il entre
re entendre à certains sujets certains airs de musique pendant leur sommeil hypnotique pour que aussitôt ils éprouvent des
elirmn tremens, par Ilocll, 141. Délire alcoolique. Hypnotisme et sommeil prolongé dans un cas de - -, par Farez, 334.
on chez les par lléiillon, 490. HraoTISvE. Ahus de l' - 430, et sommeil prolonge dans un cas de délire alcoolique, par
rkley, 63. Le -, par Tbibierge, 170. Rapports entre la maladie du sommeil et le -, par Briquet, 62. Du - et des troubles
i s'y rattachent, par \\ ? Ord, 225. Rapports entre la maladie du sommeil et le par Régis et Gaide, 230. Maladie du somme
e la maladie du sommeil et le par Régis et Gaide, 230. Maladie du sommeil et , par Mongour, 231. Symp- tômes de - au dé
d'Itypoloie et psy- chologie, 215, 334. d'llypnolo- rie, ilti. Sommeil . Rapports entre la maladie (lu - et le m\'xoede
43 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
e veut point sonder ces profondeurs; demandez-lui ce que c’est que le sommeil ? il n'en suit rien, el comment lorsque tout est
intéressant avec la somnambule éveillée, le ma-gnéliseur la rendit au sommeil aussi lestement qu’il l’en avait affranchie. Puis
va rentrer; un des privilèges de son état est d’être devenue, par le sommeil magnétique, aussi légère qu’une ombre. Voulez-vou
ait en cause. Voici les faits : Un magnétiseur avait plongé dans le sommeil une jeune fille malade; celle-ci s’ordonna une pl
ion d’examiner la femme Cheyroux, de m’assurer de la sincérité de son sommeil , et de la soumettre à des épreuves pour vérifier
e prétendu don de seconde vue, que posséderait cette femme en état de sommeil magnétique, n’est qu’une fable. » (Cette déposi
e Morphée, divinitédes songes, et le mot mors (la mort) cette sœur du sommeil . M. Huttmann a ajouté que le chloroforme était
l’autre. Au bout de deux mois de magnétisations quotidiennes, sans sommeil , il remarqua que toutes les fois que je posais la
saient le calme de suite. Ces deux dames, privées depuis longtemps de sommeil , éprouvaient depuis un grand nombre d’années une
rine, tracassière, inquiète, etc. Tout cola disparut ! Le retour d'un sommeil long et paisible, le calme retrouvé, le bien-être
je me trouve ce matin comme si j’avais pendant 3 nuits de suite eu un sommeil de 10 heures de temps. Parmi les quatre cas que
re de cent pulsations par minute, un mal de tète continuel, privée de sommeil , sans appétit, passant successivement de la plus
peu toutes les douleurs symptomatiques cessèrent, la fièvre tomba, le sommeil revint, le teint reprit une belle apparence de fr
ce pas, » celle qui t'échappe toujours?... Eh bien!... à toi *> ce sommeil étrange, plein de rêves divins, qui, dit-ou, » tr
r lui ! » » Alors commencent pour Elfrid toutes les hallucinations du sommeil extatique. Des êtres surnaturels paraissent au mi
r annoncent 1 approche de la chasse, Griseldis se hâte de rompre le sommeil d’Elfrid et s’échappe aussitôt. » — Les bienfai
et violacée; manque de mémoire presque absolu ;difficulléde marcher; sommeil presque continuel; toux suffocante. J’ai commencé
ncé son traitement enJa ma-gnétisantehaque soir pendant une heure; le sommeil magnétique se développa tout de suite, mais ce n’
r à la façon des gens éveillés. J’ai aussi réussi à faire voltiger le sommeil et le réveil comme une navette d’un individu à l’
interroge les êtres dont la sensibilité a permis qu’ils tombassent en sommeil magnétique. Mais c’est un travail forcé de l’inte
e, aux épaules et le long de la colonne vertébrale. Il avait perdu le sommeil et souffrait continuellement. Troisou quatre séan
gique, par la science des mots que par celle des faits. 11 admet le sommeil et l’insensibilité magnétiques ; mais en nie la c
expressions sont destinées à peindre la production d’un des degrés du sommeil magnétique. Magnétokama. M. J. Lovy, qui a créé
arguments. Pour preuve, nous ne voudrions citer que sa lettre sur le sommeil et les songes, dont les théories, toutes propres
non plus, le vésicatoire sécha, et la malade retrouva l'appétit et le sommeil (la magnétisation, générale les premiers moments,
faire cette expérience. Quelques passes plongèrent M. Vankirk dans le sommeil magnétique. Sa respiration devint immédiatement p
nsable que le malade s’abandonnât avec confiance, et sans résister au sommeil , si celui-ci venait. La malade se laissa aisément
la somnolence. Quelques heures plus tard, une seconde séance amena le sommeil , la nuit fut bonne, et deux autres essais, les jo
oins une harmonie transitive, puisque nous n’en jouissons que dans le sommeil et dans le cas de noctambulisme, qui donne a notr
de magnétistes qui, en procurant aux assoupis ou sujets magnétisés un sommeil factice, prétend leur donner, non-seulement la vi
, qu’ils considéraient comme les plus aptes, et les hommes faibles au sommeil puységurien. La proportion de un 8e ou 12 à 13/
nt: toujours même faiblesse, même manque d'appétit, même privation de sommeil , enfin mêmes douleurs et surcroît de maux de tête
lioration croissante, se manifestant par une plus grande durée de son sommeil , un appétit presque dévorant et une augmentation
ne peut plus remarquables. La concomitance de l’insensibilité avec le sommeil ne permet pas le moindre doute sur l’origine de c
nétisés, on les déprave par dos amorces d’intérêt qui, même dans le sommeil de consulte, influent sur leur faculté ultra-huma
guérirait invariablement. L’état magnétique n’est pas seulement le sommeil magnétique, et on peut le subdiviser en quatre de
e cerveau et les nerfs du patient. C’est par cet intermédiaire que le sommeil magnétique est produit, et que souvent on le pren
tte; c’était en vain qu’on avait fait des efforts pour l’éveiller, le sommeil avait résisté à tout, et comme il n’avait pas m
qui durait depuis deux jours, je venais de l’arrêter en produisant le sommeil au moyen de treilles magnétisées, avec la volonté
evaient être pour le réveil, ce que les premières avaient été pour le sommeil . Cette seconde expérience eut un succès complet e
ant un espace de temps assez considérable. 8. Quant à la réalité du sommeil magnétique ou à sa simulation de la part des suje
mulation de la part des sujets examinés, la commission déclare que ce sommeil a été affirmé, mais qu’il ne lui a pas été prouvé
sujets, elle n’a pas la même certitude, et qu’évidemment pour elle le sommeil de l’un d'eux était simulé. 9. La commission n’
sivement industriel; on s’occupe de problèmes; on veul prouver que le sommeil magnétique, amené naturellement ou artificielleme
terre dans son état habituel. Je ne dis pas son état naturel, car le sommeil magnétique n’est pas une situation surnaturelle.
es sortes d'esprits à toutes sortes de gens parfaitement étrangers au sommeil magnétique. Maisde ces faits, empruntés avec un c
vie ? C’est ainsi que des hommes convaincus s’endormaient du dernier sommeil , berces par de doux songes. Où est l’homme qui da
rit. Peut-être, si l’un de ces êtres privilégiés était plongé dans le sommeil , retrouverions-nous ce que nous avons vainement c
n verre d’eau qu’elles buvaient lorsqu’elles voulaient entrer dans le sommeil , et jamais ces objets ne manquaient leur effet. B
— Je ne dormirai pas! Laissez-moi ! grâce! grâce! Je retombe... un sommeil do plomb ferme mes yeux. Tenez : sans ironie ac
re homme par l’action de sa volonté. Le magnétisme produit souvent un sommeil plus ou moins profond, sommeil qui se distingue q
onté. Le magnétisme produit souvent un sommeil plus ou moins profond, sommeil qui se distingue quelquefois du sommeil ordinaire
ommeil plus ou moins profond, sommeil qui se distingue quelquefois du sommeil ordinaire parles phénomènes les plus étranges. Le
lquefois du sommeil ordinaire parles phénomènes les plus étranges. Le sommeil , dans ce cas, a reçu le nom de somnainl>uli.tm
précédents; au réveil on ne sait rien de ce qui s’est fait pendant le sommeil magnétique. » Ce souvenir dans un cas, cet oubl
la commodité de leur emploi qui peut très-bien avoir lieu pendant le sommeil du malade et surtout de la qualité du fluide qu’o
ie, pour le ranimer et le gué- rir. CYsl la lumière acquise dans le sommeil qui va bientôt chasser devant elle la fausse scie
té. Oui, il est vrai encore, la dernière des créatures peut, dans son sommeil , avoir des notions plus certaines qu’aucun de. no
Dieu aux hommes par le souffle de son esprit, par les révélations du sommeil , par l’amour enfin, qui fait que les hommes en se
mystérieuses un voile épais en dérobe la connaissance. Comme dans le sommeil nous ne savons qui nous agite et nous donne des r
n de mai. Alors un soir, au moment où j’allais passer de la veille au sommeil , c’cst-à-dire où ma volonté, mes forces réactives
Arabes parurent étonnés de voir le sujet succomber si promptement au sommeil , sous l’influence des passes magnétiques. Abd-el-
nfluence duquel je ne pouvais déjà plus me soustraire même pendant le sommeil . Car ce qui rendit ma position plus triste, c’est
plus fortement impres- sionné. C’est en agissant ainsi pendant mon sommeil qu’il développait sans doute sa puissance; elle a
saire pour ne pas tomber d’épuisement et de fatigue, ne consacrant au sommeil que quelques heures par jour ; car j’avais remarq
it sans doute autant besoin que moi, il s’abandonnait probablement au sommeil pendant le même temps. Ce qui me le fait supposer
urd’hui il s’endort presque toujours lorsqu’on le magnétise; mais son sommeil est naturel et n’offre aucun des caractères du so
de l’âme sur les corps, particulièrement la prévi- sion pendant le sommeil . « Nous recevons, dit-il ( c. xlvii), non-seuleme
her en quelque sorte le Dieu, et sentir son arrivée; j’étais entre le sommeil et la veille. Je faisais tous mes efforts pour qu
vais coutume de communiquer la plupart de mes inspirations pendant le sommeil . A peine avais-je commencé à lui parler, qu’il me
u bout de trois jours de traitement, il entendit une voix pendant son sommeil , qui lui disait que tout était fini, et qu’il pou
e jours d’avance, ce qui devait leur arriver; elles tombaient dans un sommeil si profond, qu’elles restaient insensibles aux pi
ison approche, 011 remarque vin changement sensible et gradué dans le sommeil des malades, qui devient plus imparfait chaque jo
ute sa force. Je l’ai toujours fait renaître assez promptement par un sommeil magnétique quelquefois prolongé pendant plusieurs
e heures et demie, sur sa demande, après l’avoir laissée dormant d’un sommeil magnétique, calme et profond. Le mardi 2, je me
vai excessivement faible; le somnambulisme n’avait pas cessé; mais le sommeil magnétique avait été de bien courte durée : l’aba
agnétisation ; retour des forces. Je maintiens le somnambulisme et le sommeil magnétique. Je réveille ma malade à quatre heur
5, je visitai madame B. à huit heures du matin. Elle avait dormi d’un sommeil tranquille et non interrompu ; les forces avaient
laissé sortir sans que je fusse bien éveillé. Comme je jouis, dans le sommeil magnétique, de toutes mes facultés, je serai mont
it dit: «Si « vous voulez commencer par prouver un état de k coma, de sommeil simple, nous vous croirons « pour le reste. » Mai
ue l’individu croit voir et entendre ce qu’il ne fait qu’imaginer. Le sommeil naturel est aussi une espèce d état de détachemen
par un défi ; il veut qu’elle finisse par un autre. 11 déclare que le sommeil , le coma, lephréno-mesmérisme et l’insensibilité
ques d’épilepsie, dix-sept fois sans produire autre chose qu’un léger sommeil ; et elle fut pourtant entièrement guérie. Il en
l’obsession de ceux qu’il a dépouillés; car il n’a plus un instant de sommeil , ne prend plus goût à rien , ne se trouve bien nu
s mêmes chanoines, qui sont, nous dit-on , si amateurs du repos et du sommeil , passent la nuit dans les tourelles de la maison
été placé dans les circonstances propres à l’observation. k Dans le sommeil naturel, les muscles semi-volontaires de la respi
cles volontaires ont cessé de fonctionner, et la première invasion du sommeil magnétique ne peut être distinguée de l’assoupiss
e. « Le 3i décembre la salle fut chauffée pour la première fois; le sommeil fut parfaitement établi, et le ronflement cessa.
ister à l’opération ; mais, juste au moment de passer de la veille au sommeil , le tuyau du poêle tomba sur son lit avec un frac
ir ; et quand on le magnétisait, il avait à peine franchi le seuil du sommeil , qu’il s’éveillait d’une manière brusque et conv
fut compté différentes fois, donna toujours cent-vingt pulsations en sommeil et quatre-vingt ü l’état normal. » Après les dé
doigts , ainsi qu’une augmentation des mouvements du larynx. Dans le sommeil de ce jour et des précédents, le pouls était à qu
44 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
lement d’assurer la guérison. Depuis, les digestions se font bien, le sommeil est calme, la tête libre et les membres bien disp
er que nous avons été à môme d’observer. Nous étions plongé dans le sommeil depuis déjà longtemps, nous étions sous le poids
n tant qu'agent immédiat dans la production du somnambulisme. 2° Le sommeil magnétique est un phénomène matériel ; ce phénomè
nt j'étais revêtu, plongé dans une vague somnolence, avant-coureur du sommeil . » Un individu non initié aux phénomènes qui co
baud. Cahors, le avril 1861. LA VIE ET LA MORT. - LA VEILLE ET LE SOMMEIL . Le sommeil est une mort incomplète ; la mort e
, le avril 1861. LA VIE ET LA MORT. - LA VEILLE ET LE SOMMEIL. Le sommeil est une mort incomplète ; la mort est un sommeil
ET LE SOMMEIL. Le sommeil est une mort incomplète ; la mort est un sommeil parfait. La nature nous soumet au sommeil pour
complète ; la mort est un sommeil parfait. La nature nous soumet au sommeil pour nous habituer à l’idée de la mort, et nous a
ce d’une autre vie. La lumière astrale dans laquelle nous plonge le sommeil est comme un océan où flottent d’innombrables ima
igne pour nous, relatif à notre double vie. Il existe une langue du sommeil dont il est impossible dans l'état de veille de c
e veille de comprendre et même de rassembler les mots. La langue du sommeil est celle de la nature, hiéroglyphique dans ses c
yphique dans ses caractères, et seulement rhythmée dansses sons. Le sommeil peut être vertigineux ou lucide. La folie est u
des accès passagers de folie. Toute làtigue de l'esprit provoque le sommeil ; mais si la fatigue est accompagnée d’irritation
sommeil; mais si la fatigue est accompagnée d’irritation nerveuse, le sommeil peut être incomplet et prendre les caractères du
s? C’est que nous les avons rêvées tout éveillés. Ce phénomène du sommeil involontaire et non senti, traversant tout à coup
d invincibles attraits pour la folie. Lorsqu’un homme suc- combe au sommeil , il a en horreur tout ce qui pourrait 1 éveiller.
ils ne vous comprennent plus; mais votre voix les importune; ils ont sommeil du sommeil de la mort. La mort est un courant q
s comprennent plus; mais votre voix les importune; ils ont sommeil du sommeil de la mort. La mort est un courant qui entraîne
nt ît la vie ; souvent aussi par la même loi d équilibre, on passe du sommeil à la mort, par complaisance pour le sommeil. .
d équilibre, on passe du sommeil à la mort, par complaisance pour le sommeil . . Une nacelle se balance près des rives du lac
e de la mort. Une mort qui peut cesser n’est qu’une léthargie et un sommeil , mais c’est par la léthargie et le sommeil que la
est qu’une léthargie et un sommeil, mais c’est par la léthargie et le sommeil que la mort commence toujours. L’état de quiétude
est difficile d'interrompre une âme fatiguée qui dort de son premier sommeil ! Toutefois le visage de la mort n’a pas la mêm
paraître sous l’action énergique de nos manipulations magnétiques; un sommeil calme et profond suivit cette deuxième opération.
e magnétisation, nous nous trouvâmes en présence d’une somnambule. Le sommeil était complet, la malade répondait à nos question
on. On ne peut conclure de ce fait d’escroquerie contre la réalité du sommeil somnambulique et lucide. Nous nous élevons souven
il les salue le matin, et la lune leur sourit le soir. Pour eux, le sommeil est sans angoisses les rêves sans épouvante, leur
des somnambules médecins, c’est-à-dire des personnes plongées dans le sommeil magnétique, et douées alors de cette clairvoyance
ssai, c’est-à-dire qui ne croiraient pas inutile de contrôler dans le sommeil ce qu’ils auraient prescrit avec quelque hésitati
il se retourne, et voit celui qui l’assistait plongé dans un profond sommeil . Quoique ce cas ne soit pas rare, qu’il se prés
n parlant ainsi, le magnétiseur agissait par la pensée pour rendre le sommeil plus profond et la clairvoyance plus complète.
qui ne le sont point. Ces personnes, consultées, déclareront que leur sommeil est constamment agité ; que les parfums les incom
n; que la lumière de la lune pénétrant dans leur chambre trouble leur sommeil ; enfin, pour dernier caractère, ces personnes so
faire souvenir le somnambule de tout ce qu’il a vu faire pendant son sommeil ? D’après votre théorie, il faut nécessairement q
sujet, parce qu’il doit toujours tout ignorer, avant comme après son sommeil . Les magnétistes expérimentés savent à quoi attri
age allégorique du Zohar, où l’on ilil que chaque nuit, pendant noire sommeil , noire àme monte au ciel pour y rendre compte de
GNÉTIQUE. SA VALEUR EN MÉDECINE. — SA DIRECTION. * Plongé dans un sommeil factice, l'homme voii à travers des corps opaques
in. Voilà pour l’état de veille. Mais, on l'a dit avec raison, le sommeil a ses volitions aussi, qui, pour ne pas être acad
vement le moi, proclame l'abolition complète de celle volonté dans le sommeil profond. Quant au somnambulisme, il n’est, pour c
a besoin pour faire exécuter sa conception. » (L. F. Alfred Màury, le Sommeil et les Rêves.) L’auteur, sous le joug de ses id
istence de 1'Ame. minces(1) ? Eh bien ! pourquoi cc qui se passe au sommeil magnétique ne s'effectuerait-il pas également par
e s'effectuerait-il pas également par la volonté de l’Esprit, dans le sommeil naturel? Au réveil, dans un cas comme dans l'autr
a véritable base. » Aubin Gautuier. Chardel assure que, durant le sommeil , la volonté se retire dans l'àme, à son point d'a
on fils, que tu sols sorti de tol-méme, comme ceux qui rêvent dans le sommeil , toutefois étant toi-mème éveillé ('). n (Le Pima
e de Tours. (De Miraculis sanc/i Martini. Cité par le Dr Macario. (Du Sommeil , des Rêves, etc.) (I) Recherches expérimentales
de sa volonté, il provoque la sécrétion et l'émission du fluide. « Sommeil à distance. « Se concentrer fortement, afin que
l'exercice de son empire dans cet état de la vie que nousappclons le sommeil . Mais le philosophe spiritualistc ne parle ici, b
e en sa force ellc-meme. « L’âme ne cesse pas d’agir par le fait du sommeil . Et comment en serait-il autrement ? Comment conc
mmortel qui veille eu nous ne saurait s’éclipser, et mC*me pendant le sommeil le plus profond, notre esprit est sans cesse en m
notre esprit est sans cesse en mouvement. » Le docteur M. Macario, Du Sommeil , des Rêves et du Somnambulisme, elc. 1857.) « L
1857.) « L’âme ne veut pas, n'aime pas, ne sent pas de môme dans le sommeil que dans la veille; mais s'il y a des différenc
sur la sensibilité interne. * A.Pezzahi. (Lettres à il. Lelut, sur le sommeil , le s omnambulisme, etc., Lyon 1855.) d). il) L
stin, assurait qu’une nuit, dans sa chambre, et avant de se livrer au sommeil , il avait vu venir il lui un philosophe qu’il con
de son mal. Le charron répondit que sa maladie provenait du manque de sommeil , et il ajouta qu’il ne pouvait dormir, parce qu’u
n ne connaît pas encore toute l’énergi». » (Le docteur M. Macahio, du Sommeil , etc.) ces actes : si je ne me trompe, jamais l
spensable alors que, pour agir, le magnétisme détermine les signes du sommeil ? Dans l'anecdote racontée tout à l’heure, la jeun
’ayant employé jusque-là que l'homœopathie. J’agissais sans amener le sommeil et sans que des personnes présentes soupçonnassen
dormant. » 11 en cite cet exemple : « .Nous étions plongé dans le sommeil depuis déjà longtemps, nous étions sous le poids
o La prière ne larda pas à être exaucée. La nuit suivante, dans son sommeil , elle crut voir passer devant ses yeux un jeune h
étreintes du cauchemar, l'onéirodynie, c’est-à-dire cette vésanie du sommeil indéchiffrable aux investigations de la science a
mes passagers; mais, un peu avant midi, ¡1 est tombé dans un profond sommeil , dont il n’est sorti qu’après une heure, Pendant
profond sommeil, dont il n’est sorti qu’après une heure, Pendant son sommeil , il a exprimé la confiance que. nous allions être
e. Le premier se passa dans ma ville natale. Il fut prédit pendant le sommeil . Le second s’annonça par une apparition, la perso
e et l'Astrologie, par M. Alfred Maury, de l’Inslitut, et le livre du Sommeil et des Songes, du même auteur; des comptes rendus
ait donné un sorcier, en fut quitte pour une violente agitation et un sommeil agité, stertoreux, des songes fréquents, des cauc
à distance, je demandai à voix très-basse : — Êtes-vous en état de sommeil magnétique? — Non. — Quel est le mode de magn
ron trois minutes et demie, puis je renouvelai ma demande au sujet du sommeil . La réponse fut encore négative, sauf ces mots :
ma femme, étant entrée dans une pièce où une autre personne était en sommeil magnétique, cette dernière s’était réveillée inst
ues du l'Orient; recherches par M. Constant, 396. Rêves (des). Voy. Sommeil . Sensations de fraîcheur ou de cha-lour, de bie
la première fois. Observation et remarques de M. Henry André, 665. Sommeil (du) et des rêves. Théories diverses, 88, 248, 50
res, par Eliphas Lévi. Extrait sur la vie et la mort, la veille et le sommeil . 218. Cours théorique et pratique de braidisme
45 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue malade, tracé un double graphique représentant, l'un la durée du sommeil ex- primé en heures et demi-heures, l'autre la
véronal, à la dose de 0,30 cl'nligl'allll1ll'S, nous olJte- nnnc un sommeil régulier et prolongé : en 4(i nuits la n1O)el1l1l
heure* la p]ise. En même LU Tli 1 : : ¡¡ \PEUTIQI'E. temps que le sommeil est "l'll'IIU, l'n). ! ilnlioll m('la/icoliqlll'
se de 0,30 centi- grammes : après une dizaine de jours d'emploi, le sommeil de- vient régulier el prolongé ; en 51 jours la
vient régulier el prolongé ; en 51 jours la moyenne des heure* de sommeil est de 7 heures. Le sommeil se produisait (Ir. 1
; en 51 jours la moyenne des heure* de sommeil est de 7 heures. Le sommeil se produisait (Ir. 1 h. il 1 heure 1/2 après la
t, la malade était guérie de son état mélancolique et l'habitude du sommeil était reprise. Après 4 mois nous avons revu la
c uL llu cmsLanl : cn l't'1 Ituils la Inovunnc a iln de 7 heures de sommeil . Avec le reloue du repos, l'anxiété a dimi- nué
indre la dose de 0.80 cenligr. pouroblenir d'une façon conslanle un sommeil prolongé : en 150 jours la moyenne a été de plu
il prolongé : en 150 jours la moyenne a été de plus de G heures. Le sommeil apparaissait rapidement après la prise du médic
En 20 jours, avec une dose de 0,30 cenlig. la moyenne des heures de sommeil a été de 7 heures. Nous devons ajouter que cell
enligr., nous obtenons eu 92 jours une moyenne de si heu- re 1/2 de sommeil . Actuellement, après 5 mois d'emploi, il n'ya a
médicament sans voir se reproduire l'insomnie. Chez celle malade le sommeil survenait assez tard après la prise du médicame
t ; il a produit environ une ou deux heures après l'ingestion, un sommeil calme, continu et suffisamment long ; malgré un
état chronique d'agilalion et d'insomnie. La moyenne des heures de sommeil produites par le véronal aux doses de 0,50 à 0,
tion du véronal était plus active après quelques jours d'emploi. Le sommeil apparaissait de 1 heure à 1 heure 1/2 après la
le véronal a été employé, nous avons obtenu en moyenne 5 heures de sommeil par nuit ; les doses varièrent de 0,30 a 0,GO c
ours, nous n'avons obtenu pendant ce laps de temps que 15 heures de sommeil . L'effet hypnotique était produit de 1 heure il
ssez bonnes alternant avec des nuits blanches ou de 2 a 3 heures de sommeil : ainsi en 14 nuits nous comptâmes 5 h. de somm
a 3 heures de sommeil : ainsi en 14 nuits nous comptâmes 5 h. de sommeil en moyenne mais 3 nuits blanches. Sous l'influenc
ous l'influence du véronal, à la dose de 0,50 centigr.. la durée du sommeil se régu- lal'i»e et atteint la moyenne de 8 h.
yenne de 7 heures. 14 THÉRAPEUTIQUE. La durée et la régularité du sommeil devinrent plus manifes- tes après une dizaine d
devinrent plus manifes- tes après une dizaine de jours d'emploi. Le sommeil commençait de 30 minutes il 1 heure 1/2 après l
entrecoupé de fréquents réveils : depuis nous n'avons pas obtenu un sommeil plus régulier elen 70 jours du( ! 'ait.L'nK')U,
aisante sur l'insomnie coexis- tante avec des états d'agitation. Le sommeil se produisait en général une heure et demie apr
ucune amélioration : en 30 jours d'emploi, la moyenne des heures de sommeil n'a été que de 5 h. 30 pur nuil ; en outre le r
'ill¡\ ('haql ! l' roi" pendant uue ou plusieurs heures. Le premier sommeil ne se produisait que plu- sieurs heures après l
es, durée habituellement observée c sans médicament. Cette durée du sommeil pourrait être considé- rée comme suffisante si
enace. Le véronal a été employé pendant 108 jours, et la durée du sommeil a été de G heures environ par nuit. Cette durée n
dre la dose de 0,80 centigr.. Quelle que fût la dose em- ployée, le sommeil était interrompu par des réveils fréquents et s
heures. Malgré le médicament nous comptâmes des nuits blanches. Le sommeil ne se produisait en général que 3 heures après
nt, non.- pouvons cesser l'em- ploi du véronal sans que la durée du sommeil s'en ressente. , Le véronal n'a donc produit un
s nuits sont restées en- - trecoupécs de longs réveils ; le premier sommeil pouvait se faire attendre 4 ou 5 heures et même
it tout son elfe ! qu'après "quelques jours d'emploi et la durée du sommeil alla en progres- saut du début il la Iin du tra
s mélancoliques et des déments agités. Il procure il ces malades un sommeil prolongé et continu. Le sommeil apparaît peu de
tés. Il procure il ces malades un sommeil prolongé et continu. Le sommeil apparaît peu de temps après l'ingestion, en moy
à cet hypnotique est à peu près nulle, puisqu'il procure encore le sommeil à certains de nos malades après huit mois d'un
ques généraux agités et hallucinés, nous a paru très faible ; le sommeil reste très irrégulier et sa durée ne sur l'empl
nible et un délire mélancolique. En même temps, les nuits sont sans sommeil . Le 27 août, nous ordonnons 50 centigr. de véro
s'amendent. Du 15 au 18, le prurit persiste, mais très atténué, le sommeil est redevenu normal, et le 20, on peut considér
ements. Quand elle va avoir un accès, elle devient toute blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu l
selles régulières, sans diarrhée ni constipation, ni gâtisme. Le sommeil est bon, sans cris, ni cauchemars, ni hallucina-
ice. En pareil cas, les accès ne sont pas suivis d'hébé- tude, de sommeil prolongé, deux symptômes qui, dans l'épilepsie
l'ingestion, il se produit, dans le plus'' grand nombre des cas, un sommeil calme suivi d'un réveil exempt de tout malaise.
72 SOCIÉTÉS SAVANTES. spasme sont rares au repos, nuls pendant le sommeil , reparais- · sent à tout instant lors d'un effo
ma part, je suis souvent intervenu fort efficacement, ; pendant le sommeil hypnotique je suscite chez le dormeur la représen
pnogénique de la main. 1. DEMONCHY. Pour favoriser la production du sommeil hypnotique, je présente la paume de la main lég
rapprochent sous l'in- fluence du chaud. Or, précisément pendant le sommeil , le lobes frontaux sont rapprochés au maximum,
m'aident puissamment à calmer nos malades et à leur procurer un bon sommeil . M. Paul Farez. Bien des gens se plaignent d'in
veut hypnotiser et de la lui laisser pendant toute la durée de son sommeil . (.-1 suivre). VARIA (Quinzième congrès des m
de la narcose, le soin ni cil élly 1-inélhylique est transformé en sommeil hy puoliqul' dont la durée el l'intensité varie
juguler, chaque soir, l'agitation et de procurer il la ma- la(le un sommeil calme de six il huit heures. Dans un cas de lié-
ntales, celle narcose coupe court à tout ce qui faisait obstacle au sommeil ; c'est ainsi (pie j'utilise cette narcose · co
ose élhyl-mélhy lique, suc- cède, soit pur >oit spontanément, un sommeil calme qui amène une appréciable t"dalioll, Ail1
ne appréciable t"dalioll, Ail1 ? i, celle narcose esl une amorce au sommeil t'l le sommeil et efficace par lui-même, en deh
t"dalioll, Ail1 ? i, celle narcose esl une amorce au sommeil t'l le sommeil et efficace par lui-même, en dehors de Imite su
lhy lique, j'ai plusieurs fois suggéré avec succès l'acceptation du sommeil hypnotique pour les séances ultérieures. Enfin, j
séances ultérieures. Enfin, j'ai pu, par suggestion, transformer le sommeil élhy 1-liléiliN liquo en sommeil hypnotique, qu
pu, par suggestion, transformer le sommeil élhy 1-liléiliN liquo en sommeil hypnotique, que je faisais durer autant qu'il yc
ffort cérébral et les variétés de composition de l'urine pendant le sommeil , l'activité. L. W. XXIV. Maladie de Dupuytren
luence de l'excitation, de la fatigue, el sa disparition pendant le sommeil et surtout la présence de phénomènes d'anxiété
ésions irrilalives accompagnées de douleur et persistant pendant le sommeil . L'auteur passe en revue les anciens traite- me
n est accu- sée : les exaspérations ne se montrent que rarement. Le sommeil est meilleur, les mouvements sont plus libres.
sance ; la crise durait quelques minu- tes et n'était pas suivie de sommeil ; pas d'incontinence d'urine ou des matières. Ca
le cadre des affections de l'enfance. G. C.. LXXVI. - Narcolepsie ( sommeil pathologique).; par M. CHAVIGNY. (Soc. méd. des
décembre 1'.10.) Observation d'un jeune soldat atteint de crises de sommeil . Les crises surviennent à diverses reprises dan
reprises dans la journée, après 'les repas ou après une fatigue. Le sommeil est très court, ne dépas- sant jamais cinq à di
sations à la minute ; il ne se modifiait pas pendant les crises de sommeil . G. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXVII. D'u
ployé l'anesthésie par le chlorure d'éthyle. C'est dans cet état de sommeil anesthésique que la suggestion thérapeutique a do
inR. XXIX De l'état mental des épileptiques réveillés de force du sommeil post-épileptique, par J ? C ur arr w. (0&o) ?
aintrü, 7111, 1903.) 1^ Au moment où on les force à se réveiller du sommeil qui suit immédiatement leurs attaques, tous les
, l'automa- tisme post épilrptique naturel. 21 Les réveille-t-on du sommeil consécutif à l'automatisme, il est rare que l'é
t il est extrêmement passager. 3- t-oii les épi- Il'ptiques de leur sommeil normal ou du sommeil qui suif rapide- ment l'ic
passager. 3- t-oii les épi- Il'ptiques de leur sommeil normal ou du sommeil qui suif rapide- ment l'ictus épileptique, ils
re électif. 7" La provocation artifi- cielle, parle réveil forcé du sommeil post-ipilepliyue, de l'auto- matisme, permet de
pilepli(111(, passager est le remplaçant, l'équivalent psychique du sommeil post-paroxystique. P. Keraval. XXX. Stupeur m
mon service de la Salpêtrière. 396 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. Un cas de sommeil hystérique arec personnalité subconscient ? . M
yphoïde grave, à manifes- tations délirantes, a été plongée dans un sommeil permanent, avec conservation de la personnalité
sur coup,en une seule séance, parla suggestion faite non pendant le sommeil hypnotique, mais pendant l'hypnose a l'état de
tème nerveux. Chez les gens bien portants, sauf peut- être quand le sommeil est profond, le bord irien n'est jamais en repo
barrière, si fragile qu'elle soit. Aussi que de nuits passées sans sommeil , à cause des cris, des divagations, des allées et
appréhensions bien légitimes qui l'empêchent parfois de trouver un sommeil ré- parateur.» Nous avons constamment réclamé
oment de votre départ poui 'il., où vous allez dormir votre dernier sommeil , pi,è-, e ·ords de la Loire dormir votre dernie
re dernier sommeil, pi,è-, e ·ords de la Loire dormir votre dernier sommeil , près <j \'01' de la Loire dont les méandres
croyant, bien à tort, (rompe par sa femme, la luail au cours de son sommeil de (rois coups de revolver. Certains symp- tôme
nerveuses. De l'- mental des épileptiques réveillés de force du sommeil post-épileptique, par Guermann. 391. Excitati
roissance tardive, diabète, par Apert 311. < , Narcolepsie. ( Sommeil palho- logique), par Chavigny, 390. -Narcose
és, par Aschafl'en- burg, 326. . Sérum sanguin. Voir Epilepsie. Sommeil post-épileptique. Voir Epileptiques. Un cas de
46 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
ui promettait de la faire sommeiller entre les bras de l’époux, de ce sommeil mystique qui est le complément de la grâce, et to
je la trouvai dans la condition que vous venez de lire. Lors de son sommeil , cet intéressant sujet avait dit que moi seul pou
n conséquence, après quelques essais, il parvint à la plonger dans le sommeil magnétique. Même avant de passer à cet état, la p
uand le docteur entra avec nous, la malade, qui éuitj plongée dans le sommeil magnétique et complètementimj mobile, sembla s’év
de est en proie à des frayeurs continuelles, et la nuit se passe sans sommeil . Voilà en résu né l'état dans lequel je le trou
nes qui reçoivent ainsi fréquemment des avis, des conseils pendant le sommeil et surtout au moment du réveil. La présence de l’
fin du mois. En effet, le 27 décembre, quand je l’eus plongée dans le sommeil magnétique, elle fit la prédiction suivante que j
e la toux et de l’inappétence, ainsi qu’elle l’avait annoncé dans son sommeil magnétique. Je la magnétisai chaque jour comme
d’elle d’autres prévisions sur son propre état. Elle me dit, dans son sommeil , que le 8 août, à une heure après midi, elle sera
irable par sa lucidité et l’indépendance qu’il conservait pendant son sommeil magnétique. h Dans ces expériences il n'est nul
portes de la mort le fils David de Theys (Isère) ; j’ai réveillé d’un sommeil de deux ans Marguerite Peyron, jeune fille du Cou
préciable dans l’enfant nouveau-né. « Est-il plongé dans un profond sommeil jusqu au moment où les organes externes, créés pa
ganisai-tieu, de rayonner au loin, de produire ce que l'on appelle le sommeil magnétique, l'état du somnambulisme. Ce fluide
ue choisie, un livre est pris au hasard et ouvert de môme. Dans son sommeil mystérieux, le magnétisé lit distinctement à la p
.iomie de l’homme; témoins : le pavot et la belladonne qui donnent le sommeil et calment les douleurs; le jalap, le ricin, l’ip
es Deux-Mondes (15 avril dernier) une dissertation remarquable sur le sommeil et le somnambulisme; il y rend compte des travaux
yse avec sagacité les fonctions humaines dans les diverses espèces de sommeil , et il s'occupe particulièrement du somnambulisme
es distinctifs ; en raisonnant de même, ces savants devraient nier le sommeil que tout le monde connaît, mais dont on n’a pas e
e met en contradiction avec lui-même, puisqu’il a reconnu que dans le sommeil il se développe parfois des facultés extraordinai
il a cité même des exemples d’œuvres remarquables accomplies dans le sommeil , telles que la fameuse sonate de Tartini. Si donc
dans le sommeil, telles que la fameuse sonate de Tartini. Si donc le sommeil est un état inférieur à certains égards, il peut
ée du récit de ces scènes mystérieuses pour que les souvenirs dans le sommeil leur fissent considérer comme réelles après le so
venirs dans le sommeil leur fissent considérer comme réelles après le sommeil ces illusions de la nuit. Le parcours de l'espace
veut absolument voir le diable partout : ainsi c’est Satan et non le sommeil qui produit l’extase; la preuve, pour lui, c’est
LE MAGNÉTISME ET LA MÉDECINE LÉGALE. VIOL ACCOMPLI PENDANT LE SOMMEIL MAGNÉTIQUE. RAPPORT PAR MM. LES DOCTEURS COSTE,
Dans les conclusions de ce rapport nous trouvons : Au n0 13 « le sommeil est un eilet réel du magnétisme; » Au n° 16 « il
s, » D’après tous ces faits, si une jeune fille sous l’influence du sommeil magnétique est insensible à toutes les tortures,
oir été déflorée et rendue mère contrairement à sa « volonté, dans le sommeil magnétique. « Ceci est une affaire d’observatio
ffaire d’observation et de sentiment personnel. « Mais en dehors du sommeil magnétique il y a tant de • mensonge que je ne sa
e il y a tant de • mensonge que je ne saurais aller plus loin. « Le sommeil magnétique est fictif ou réel : fictif, en ce « s
tout rapport, tout sentiment de re-« lation peut être interdit par le sommeil , la sensibilité peut « être émoussée et même étei
n communication avec la somnambule, il lui demanda d’écrire, dans son sommeil magnétique, une lettre dont lui penserait le sens
qu'une chose toute simple qui s’explique par une hallucination ou un sommeil avec un pesant cauchemar. Voici mon énigme ; je p
opre, le voisinage d’un lieu d’où s’échappent des gaz méphitiques, le sommeil au soleil ou sur une terre froide et humide, un a
ux, savoir : les phénomènes sensibles qui se manifestent souvent sans sommeil , quoiqu'ils en soient quelquefois les précurseurs
t sans sommeil, quoiqu'ils en soient quelquefois les précurseurs ; le sommeil lui-même électrique; enfin, le somnambulisme arti
, certains sujets tombent quelquefois dans un état particulier appelé sommeil clcctriqne. Ce sommeil ne diffère en rien, du moi
nt quelquefois dans un état particulier appelé sommeil clcctriqne. Ce sommeil ne diffère en rien, du moins extérieurement, de c
uite des fatigues de la journée, et pour réparer ses forces. Comme le sommeil naturel, le sommeil électrique est profond ou lég
la journée, et pour réparer ses forces. Comme le sommeil naturel, le sommeil électrique est profond ou léger, tantôt paisible,
ntôt agité ou accompagné de rêves et de songes. Dans quelques-uns, le sommeil est si profond, que ni un grand bruit, ni les att
on appétit, se coucha sans murmurer et s’endormit profondément. Son sommeil fut troublé par une apparition redoutable. 11 vit
; l’hôte de cette maison, aidé par sa femme, m’a surpris pendant mon sommeil et m’a coupé la gorge. Mon cadavre est caché sous
moment, puis se refermèrent, et la jeune fille tomba dans un profond sommeil . Tout cela se passa en deux minutes. Je fis sur e
ique avait surpassé mon attente et mon désir : je ne cherchais que le sommeil et le calme, et j’avais une belle et bonne catale
es heures tellement tranquille, qu’on aurait pu la croire endormie du sommeil ordinaire; elle avait été prise ensuite d’un accè
n sait rien encore. D’un autre côté, on aperçoit une disposition au sommeil qui ne fait qu’augmenter graduellement, par la co
pas que l’on ait osé aller plus avant et tenter l’aventure. L'état de sommeil est déjà difficile à faire cesser, il faut du tem
aller plus loin. Dans d’autres, cas plus rares, on ne voit point de sommeil ; l’état convulsif ne se montres pas, le corps-se
entiels à la vie. Que deviendrait celle-ci? Je l’ignore. J’ai vu le sommeil se prolonger, avec la même intensité, pendant plu
et qui pût faire soupçonner que la démagnétisation était efficace, le sommeil cessait de lui-même. J’ai vu durer pendant plus
rez, d’être somnambule et d'être doué d’une lucidité remarquable. Son sommeil magnétique est si bien connu de tous les habitant
utes choses que je détruisais et rétablissais à mon gré, ainsi que le sommeil que je pouvais produire , quelque fût d’ailleurs
médium : elle n’avait pas eu de crise depuis vingt-quatre heures, le sommeil avait été bon, l’enflure avait beaucoup diminué.
te à l’église, dans l’espoir que celte épreuve la ferait sortir de ce sommeil profond ; mais ce fut sans succès. On la fit cond
t sur sa poitrine le froid de l’acier. Cette sensation le tira de son sommeil , et il vit, de ses yeux éveillés, deux gaillards
oute sa puissance et provoqua en une minute les premiers symptômes du sommeil magnétique, tandis que, de son côté, M. Manlius a
ffet quelconque. Eh bien, dans des cas très-connus des médecins où le sommeil est presque permanent, où rien ne peut rétablir l
permanent, où rien ne peut rétablir l’équilibre entre la veille et le sommeil , j'ai, par le seul fait de la magnétisation, fait
e sommeil, j'ai, par le seul fait de la magnétisation, fait cesser le sommeil . Bien souvent mon intention , en voyant cette dis
e voulais absolument réveiller les dormeurs magnétiques, lorsque leur sommeil m’avait paru infiniment trop prolongé, c’était en
l m’avait paru infiniment trop prolongé, c’était en vain ; il y a des sommeils critiques, la nature a besoin de leur durée pour
tés de maladies graves sortir de chez moi guéris à la suite d’un long sommeil ; des hypocondriaques, des mélancoliques, perdre l
ques, perdre leurs idées de tristesse et leurs rêveries, lorsque leur sommeil n’avait point été interrompu dans sa durée. La
uffrances dimi- nuèrent, et bientôt elle me sembla entrer dans le sommeil magnétique. Je l’interrogeai et lui demandai si e
ous sens, ce qu’elle fit plusieurs fois sans la moindre douleur. Le sommeil magnétique était avancé et le somnambulisme se dé
somnambulisme. Quand on a vu et interrogé madame M... dans l’état de sommeil , il faut véritablement avoir la superstition de l
chez qualques individus qui, dans cerlaines crises, parviennent sans sommeil à la lucidité. Mais, on ne saurait trop le redire
connus en agissant sur son fils Frédéric qui parut plongé dans le sommeil . Plusieurs personnes essayèrent de le faire lever
pasmes très-forts qui continuèrent pendant tout le temps que dura son sommeil . Le révérend M. Gannet demanda à M. Col-lyer s’il
baissa la tête , et, au bout de dix autres secondes, retomba dans le sommeil . Quelques secondes après, ils’éveilla denouveau,
les yeux, puis étend les membres comme un homme qui sort d'un profond sommeil . Il avait dormi une heure dix minutes. Pendant to
te de ses/sensations, dit : En me réveillant, il m’a semblé sortir du sommeil ordinaire ; je ne me rappelle pas que. personne m
n compte des rêves, de ce travail mystérieux qui a lieu pendant notre sommeil ; seuls pourtant ils peuvent nous révéler les cau
ouvertes ; puis, voir si l’âme, dégagée des liens de la matière parle sommeil , ne pourrait, dans certains cas et par des images
en laissant à de grands esprits le soin de s’occuper des mystères du sommeil , j’inscris ici un de ces rêves bizarres qui m’a p
agents qui se préparaient à l’emmener. Lorsqu’il les eut endormis du sommeil magnétique, il les fit mettre dans un fiacre et l
duisit en prison. Le docteur n’y resta pas longtemps ; il endormit du sommeil magnétique le gardien qui venait lui apporter à m
ins sincère et intelligente dans l’état de veille, que lucide dans le sommeil magnétique. — J’avais entendu parler, me dit-el
avez elle et ne la quittai qu’après lui avoir ordonné de dormir d’un sommeil naturel. Je la revis le soir, le sommeil avait du
avoir ordonné de dormir d’un sommeil naturel. Je la revis le soir, le sommeil avait duré deux heures, la journée avait été très
elaient. Depuis ce jour jusqu’au 20, les choses se passèrent de môme, sommeil tranquille et apparition constante des règles ; e
régime, et il lui administra une forte dose d’opium. Il s’ensuivit un sommeil profond qui se prolongeait au-delà de l’expiratio
tion, sur 50 personnes ! Coma simple, /|0 (1). Coma suivi soit du sommeil magnétique, soit du somnambulisme, 30. f simp
soit du somnambulisme, 30. f simple, c’est-à-dire sans somnan:- Sommeil magnétique | bulisme, 30. ( suivi de somnambuli
eux, presque toujours après une 2” ou 3* magnétisation, j’obtenais le sommeil magnétique. Le degré le plus difficile à franchir
12, d’autres fois même il m'a été impossible de l’obtenir. Dans le sommeil magnétique, j’ai rencontré des sujets chez qui l’
corps ou sur une partie seulement, l'auesthésie la plus complète; le sommeil n’est point nécessaire pour anesthésier tel ou te
, 393. Médecine (la) légale ot le magnétisme. Une femme endormie du sommeil magnétique peut-elle être violée à son Insu ? Rap
magnétisme, 128. —Accusation de viol sur une jeune fille endormie du sommeil magnétique, 375. — Acquittement de MM. Robert, ma
47 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
fonctions in- testinales un peu paresseuses, la miction normale, le sommeil lourd. « La partie inférieure de la face était
taire redevinrent sen- sibles. Enfin, l'état général s'améliore, le sommeil devient meilleur, ce qui ne nous a pas paru dev
convulsive géné- ralisée avec perle de connaissance et suivie d'un sommeil profond qui dura quatre heures. Les mains serai
plètement normales. Les facultés mentales ne sont pas troublées. Le sommeil généralement bon. Appétit peu vif. Un peu de co
'1 888, M. Charcot la présente à ses auditeurs pour une attaque de sommeil hystérique avec raideur qui dure depuis deux jour
s, la phase d'exci- tation paraît se calmer et il dort d'un profond sommeil . Peu dt peu les accès paraissent diminuer de fr
e à sa force extraordinaire. Le lendemain, ayant passé la nuit sans sommeil , racontant les mêmes his- toires de brigands, i
is là, il n'était jamais aussi fort.- Ce" spasme cessait pendant le sommeil et sous l'inlluencc de la lires- sion sur certa
'appareil est posé après résolution de la contracture et pendant le sommeil chloro- formique. A peine l'appareil est-il enl
nuelle langueur; il souffre de douleurs de dents qui lui ôtent tout sommeil ; pendant ses insomnies il résout les problèmes ar
, susceptibles d'être hypnotisées, je les ai reproduites pendant le sommeil provoqué. Chez les mêmes j'ai pu, à l'aide de div
de l'atten- tion du sujet. b) Elle cesse complètement pendant le sommeil , pour reparaître, ce qui n'a pas lieu dans la f
s muscles et parésie des autres. La rigidité disparaît pen- dant le sommeil . Le traitement doit être d'abord mental. Ainsi do
grands caractères de la pseudo-contracture est de céder pendant le sommeil . Suivant nous, la contracture de forme cérébral
a description de Il, Dally : siège cérébral et cessation pendant le sommeil . PAUL RICI3ER, Chef du laboratoire de la Clin
locale. La contracture qui est très prononcée se résout pendant le sommeil chloroformiquc. Sensibilité (fig. 77, 78). Côté
» actuellement. Sa fille lui a dit plusieurs fois que, pendant son sommeil du jour (car il est veilleur de nuit), surtout
l'influence toutefois d'efforts énergiques. Dans la nuit du 22 au 23, sommeil agité, énervement, crampes dans les bras, épist
cs, nouvelle série d'attaques comme la veille. Nuit très calme; bon sommeil . 25 août. - Plus de gonflement, plus de paralys
, sensations de brûlure. Elles sont assez intenses pour empêcher le sommeil . Tous ces troubles : oedème, cyanose, sensation
ux. CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS DANS L ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE - 1 Dans un travail publié en 1888
nous nous efforcions de tracer l'histoire clinique des attaques de sommeil hystérique. Les faits que nous avons observés d
La plus importante consistait en ce que, bien souvent, l'attaque de sommeil avait lieu sans aura : la malade tombait par te
re. La violence du, choc ne troublait d'ailleurs en aucune façon le sommeil qui restait aussi profond que l'instant d'aupar
oins, était alors plongée 1. Gilles de la Tourette. Des attaques de sommeil hystérique. Archives de neurologie, n°" 43, 44,
T. II PL. XLIV. CLICHÉ A. LONDK PHOTOTYPIE HiRTHAUD ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTERIQUE (état normal) LIi.CROSNI8 ET ¡¡¡AD
¡¡ADÉ, ÉDITIiIUJI NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II PL. XLV. ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTERIQUE . / CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE
SIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTION ? \ dans l'état de mal de sommeil hystérique depuis le 31 mais'1883 ^S^ ' é., S z
était bien plongée, à cette époque, dans une période de véritable sommeil hystérique que le D' Charlier suivait depuis près
n sternale. Les périodes de grands mouvements qui entrecoupaient le sommeil , sans amener toutefois le réveil, se font plus
isite et de vous faire part de ce que j'aurai appris. » Ainsi, le sommeil ayant débuté le 31 mai 1883 et se poursuivant e
écembre 1889, nous nous trouvons donc en présence d'un étatdemal de sommeil de 6 ans, 6 mois eU 0 jours de durée. Cette obser
' La conservation de l'existence pendant ces longues périodes de sommeil hystérique, dans lesquelles l'alimentation ne dev
TRIèRE. excrétions, de la nutrition en un mot, pendant l'attaque de sommeil hystérique. Quelques analyses entreprises à L
tat de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l'état de mal de sommeil au contraire, rien qui indique le réveil. La clin
ériences, en ce qui regarde l'état de mal léthargique ou attaque de sommeil , ont porté sur G malades donnant un total de 11
s de mal pour lesquels il a été fait 91 analyses des 2-1. heures de sommeil sans compter les périodes d'état normal. L'état d
pas oublier en effet, comme nons l'avons dit, que l'état de mal de sommeil peut se prolonger pendant beaucoup plus longtem
de donner tout d'abord l'analyse d'un état de mal, d'une attaque de sommeil n'ayant pas dépassé la période de 24 heures.
i l'on veut bien considérer le tableau A, on verra que l'attaque de sommeil bornée à la période de 24 heures se comporte exac
donnant la proportion normale de 48 à 100. Le jour de l'attaque de sommeil elle excrète 550 centimètres cubes d'urine; 34
rême degré l'inversion de la formule des phosphates. L'attaque de sommeil hystérique, comprenant la période de 24 heures,
veil que 50 kil. 40. Dans le quatrième cas (Camp. femme, 25 ans) le sommeil dure 4 jours et s'étend du 29 juin au 3 juillet
nvier 1889, ses vomissements sont entrecoupés par un état de mal de sommeil qui dure 3 jours, les 23, 24 et 25 du même mois
e de 15 ans 9 ? pesant 37 kil. 760 le jour du début de l'attaque de sommeil , les analyses donnent : urine 750 centimètres c
ée 15 gr. 92; acide phosphorique total 19 gr. z. Pendant 3 jours de sommeil , les 23, 24, 25 janvier 1889, les sécrétions se
ineau ont démontré, vous ne l'ignorez pas par l'élude de six cas de sommeil hystérique que, pendant la durée de l'attaque, le
ses auditeurs les divers phénomènes présentés par la malade dont le sommeil est entrecoupé pendant la leçon même par des sa
es sont de nature à justifier l'opinion que je soutiens à propos du sommeil hystérique : c'est savoir qu'il n'y faut pas vo
inution de l'urine et l'abaissement du taux de l'urée, l'attaque de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu dans les
soir, la malade est pesée et donne 37 kil. 100 gr. En cinq jours de sommeil elle a maigri de '1,900 gr., soit 380 gr. par j
e total. La différenciation des phosphates faite le premier jour de sommeil donna, ainsi que le montre le tableau C l'inversi
t les jours suivants. TABLEAU C. MOYENNES DE CINQ ÉTATS DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Biz... 17 ans... Salle Duchenne,'de
croyons-nous, d'insister désormais. ` Pendant les cinq états, le sommeil fut des plus caractéristiques : lélhargie profo
rant la totalité des analyses repré- sentant quarante-neuf jours de sommeil en cinq reprises, on note, comme précédemment,
volume de l'urine, du taux I.'IG. 79. - Biz. 17 ans. Etat de mal de sommeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les p
ont pas été marqués); puis · Flc. 80. - Biz. 17 ans. Etat de mal de sommeil hystérique (Les traits pointillés indiquent les
eures, pendant laquelle il tomba de son lit. Il dormit ensuite d'un sommeil profond et paisible et se réveilla le lendemain t
-), 3, - I.; (spasme de la face et du cou ,1'01'Î- inc -), 30 ; ( sommeil -), i i, .15. llystéro-épileptique (contracture
8, 89, 90, 91 ; contracture - 59, 60; courbe des excrétions dans le sommeil z79,80. Médecin de village (le) par A Brauwer
ique (considérations sur la courbe des excrétions dans l'attaque de sommeil -), ), par Gilles de la Tourette et Cathelineau
48 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s les ressources de la thérapeutique. A. FENAYROU. IV. Le rôle du sommeil provoqué dans la thérapeutique sug- gestive ; p
ue et thérapeutique, septembre 1898.) L'auteur distingue entre le sommeil profond, suggéré, identique au sommeil naturel,
L'auteur distingue entre le sommeil profond, suggéré, identique au sommeil naturel, et le sommeil profond des somnambules hy
re le sommeil profond, suggéré, identique au sommeil naturel, et le sommeil profond des somnambules hys- tériques, étudié p
es de somnambulisme naturel. Indépendamment de ces deux états où le sommeil est réel, il en existe un autre dans lequel les
l en existe un autre dans lequel les sujets n'ont.que l'illusion du sommeil , mais une illusion si forte qu'ils la prennent
u'ils la prennent eux-mêmes pour la réalité. La première variété de sommeil profond n'est guère favorable foi la suggestion
ne mesure, pour le faire bénéficier des sug- gestions étrangères au sommeil lui-même; c'est dans la période hypnagogique qu
aurait-il être érigé en méthode éducative. Quant à cette variété de sommeil pro- fond qui n'est que l'illusion du sommeil,
nt à cette variété de sommeil pro- fond qui n'est que l'illusion du sommeil , il facilite la suggestion en exaltant la sugge
e la guérison. Il est aujourd'hui démontré que l'intervention de ce sommeil est loin d'être néces- saire dans tous les cas
btenir des résultats thérapeutiques par la suggestion. En somme, le sommeil provoqué est une pré- face au traitement psycho
de la psychothérapie, principalement par la suggestion à l'état de sommeil provoqué, 488 malades. Sur ce nombre, 55 seulem
a thérapeutique suggestive, tant à l'état de veille qu'à l'état- de sommeil . Son expé- rience lui permet d'affirmer que, co
al prolongé aidé de la suggestion à l'état de veille et à l'état de sommeil , la guérison de 6 mélancoliques ou lypéma- niaq
ions deviennent autrement efficaces si elles sont faites pendant le sommeil artificiel; et, dans ce cas même, elles agissent
ès de l'état REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 65 somnambulique profond. Le sommeil provoqué, résultat d'une suggestion reçue d'aut
ommeil provoqué, résultat d'une suggestion reçue d'autrui, comme le sommeil naturel est la con- séquence d'une auto-suggest
les affections morbides, mais ils ont, du moins, et surtout dans le sommeil , une influence bienfaisante sur le plus grand n
les sont atrophiés, les doigts contractés. Ce cas est traité par le sommeil hypnotique seul, sans suggestion ; tous les phéno
outefois ils ne tardent pas à reparaître, mais cèdent de nouveau au sommeil hypnotique. L'expérience n'a pu être poursuivie
, angoisse. l'as de lait, pas de gonflement des seins. Au réveil du sommeil hypnotique, les conditions suggérées se réalise
i venait de se passer, si ce n'est quand elle était plongée dans le sommeil hypnotique. Ces fugues étaient l'é- quivalent e
ents choréiques. Ces mouvements cessaient com- plètement pendant le sommeil . Ils ont persisté, en s'affaiblis- sant dans le
ces cavités. Le malade eut toujours un gros appétit et un excellent sommeil , ce qui ne l'empêchait pas de maigrir. Pour le
SAVANTES. 165 XXXII. Opérations chirurgicales pratiqués pendant le sommeil hyp- notique ; par Arthur Aiac-DotnL). (The lfe
ns que l'auteur se propose de relater ont été pratiquées pendant le sommeil hypnotique par le Docteur Schmelz, de Nice. Mai
(de Valladolid) et Riffat (de Salonique). On sait que, pen- dant le sommeil chloroformique, les suggestions sont efficaces.
arriverait à hyp- notiser n'importe qui. D'une manière générale, le sommeil produit par un toxique ou un narcotique quelcon
n toxique ou un narcotique quelconque présente, comme d'ailleurs le sommeil naturel, des périodes aussi favorables à la sug
almie, pendant la- quelle la simple fixation du regard réalisait le sommeil . Et celui- ci était bien le sommeil hypnotique,
fixation du regard réalisait le sommeil. Et celui- ci était bien le sommeil hypnotique, car il durait aussi longtemps qu'on
pas croire que la suggestion ne peut pas être efficace parce que le sommeil n'est pas profond. Il est rare que, au bout de
e son enfant le préoccupait beaucoup. Il aura profité sans doute du sommeil du pauvre petit pour lui passer la corde autour
il que les émissions soient plus rares. Elles gar- dent, pendant le sommeil , leur même caractère de brusquerie, qui réveill
a rue, en chemin de fer, le soir de s'endormir, la nuit le prive de sommeil . Le second crée le besoin pressant qui, s'il n'
éfaut d'obsessions urinaires, la persistance du symptôme pendant le sommeil , son apparition en dehors de toute idée fixe, l
s a empêché d'en pratiquer l'analyse. Nous lui suggérons, dans le sommeil hypnotique, d'uriner davantage, plus de 3 litre
e. Nous l'avons pour cela interrogée à l'état de veille, et dans le sommeil hypnotique, sans découvrir la moindre trace d'u
ur la répétition de l'acte. De même les rêves sur- venus pendant le sommeil dans le cours de ses expériences n'ont eu aucun
endors de nouveau : elle me raconte le rêve qu'elle a fait dans son sommeil et qu'elle ne se rappelait pas au réveil. Je lu
de veille, soit parce que, en tant que phéno- mène perturbateur du sommeil , il se présentait sous une forme assez sérieuse
e spasme n'est pas douloureux. Il disparait complètement pendant le sommeil . Il n'existe aucun trouble de la contractilité
2.) DEMOOR (Jean). La plasticité des neurones et le mécanisme du sommeil . (Bulletin de la société d'anthropologie de Bruxe
es sur la physiologie des centres nerveux ; théorie histologique du sommeil . Comptes rendus heb- domadaires des séances et
. Journal médical de Bruxelles, 1899, p. 361. Querton (Louis). Le sommeil hibernal et les modifications des neurones céré
de troubles de la parole, pas d'incohérence des idées ou des actes. Sommeil bon, pas de cauchemars. Le malade, très impress
THOLOGIE NERVEUSE. 331 IX. Respiration de Cheyne- Stokes pendant le sommeil chez une enfant choréique; par Ph. BOURDILLON.
toire normal à l'état de veille. deve- nait intermittent pendant le sommeil : à une période d'apnée absolue qui dure sept à
iratoire d'une durée sensiblement égale à la précédente. Pendant le sommeil il n'existe aucun mouvement choréique. G. D.
intensité suffisante. Il en est ainsi, en particulier, de l'idée de sommeil : endormir un sujet par suggestion, c'est lui fai
ndormir un sujet par suggestion, c'est lui faire réaliser l'idée de sommeil par l'évocation, soit de son image. auditive ver-
res images composantes (verbales, sensorielles, cénesthésiques). Le sommeil ainsi provoqué n'est nullement un REVUE DE PATH
tion de la suggestibilité ; il n'y a donc pas lieu d'attribuer au sommeil provoqué cette fonction spéciale qu'on appelle hy
, la suggestibilité hypnotique croit, en raison de la profondeur de sommeil provoqué. 14° Lorsque la suggestibilité hypnotiqu
uggestibilité hypnotique ne croit pas en raison de la profondeur du sommeil , c'est que, ou bien la formule de l'état de vei
ntre le som- meil, dit hypnotique, résultat de la suggestion, et le sommeil naturel. Les phénomènes considérés comme caract
abilité, etc., ne sont pas l'apanage exclusif des sujets en état de sommeil provoqué; ils peuvent être réalisés par suggest
mmeil provoqué; ils peuvent être réalisés par suggestion pendant le sommeil naturel ou même à l'état de veille chez certain
rme que tous les sujets hallucinables et sugges- tibles à l'état de sommeil ou au moins après la suggestion préalable du so
es à l'état de sommeil ou au moins après la suggestion préalable du sommeil le sont d'emblée, sans celle-ci, à l'état de veil
celle-ci, à l'état de veille; la suggestibilité est indépendante du sommeil . 11 reconnaît volontiers que le sommeil constit
ibilité est indépendante du sommeil. 11 reconnaît volontiers que le sommeil constitue un état d'âme qui, souvent, exalte la
cité de la thérapeutique suggestive est d'autant plus grande que le sommeil est plus profond. En somme, la suggestion faite
sommeil est plus profond. En somme, la suggestion faite pendant le sommeil provoqué ou dans un état voisin et la suggestio
nt à la suggestion une grande importance puisqu'il reconnaît que le sommeil provoqué en est lui-même un résultat. Mais son
die de Basedow héréditaire avec oedème des pau- pières et crises de sommeil . M. MEIGE. - Il s'agit d'une femme de vingt-hui
midi, se couche de bonne heure et souvent encore elle est prise de sommeil dans l'intervalle. Au réveil elle montre de l'a
un cauchemar persistant se reproduit, presque toujours pendant son sommeil . On entre chez elle pour la violer, des hommes
MENTALE. ficilement ses excès, il signale cependant une absence de sommeil dont il souffrait beaucoup, dit-il. Souvent, po
ion, ni l'affection de la cavité de la bouche et des gencives. Le sommeil du malade était régularisé par des bromures. Qu
l'urine en quan- tité plus grande, que pendant les frictions. 'Le sommeil est régularisé par l'emploi des bromures et on
se chez les malades qui n'ont, après l'attaque, que peu ou point de sommeil que chez ceux qui ont un sommeil prolongé. Il e
rès l'attaque, que peu ou point de sommeil que chez ceux qui ont un sommeil prolongé. Il est à remarquer aussi qui est part
beaucoup plus réservé chez les malades qui n'ont pas de période de sommeil après l'attaque et chez ceux qui ont de la céph
is- sante à arrêter ces mouvements qui persistent même pendant le sommeil (comme chez son père et chez son frère). L'évolut
mouvements choréi- ques existaient pendant la nuit, et, durant son sommeil , notre ma- lade donnait des coups de pied et ge
aux repas. Depuis cinq ans environ, F... ne dort plus la nuit. Son sommeil est interrompu par des cauchemars ; il voit pas
é l'amer Picon. Depuis trois ou quatre ans, P... s'aperçoit que son sommeil est troublé la nuit par des rêves effrayants, q
ommes qui dansaient et se moquaient de lui. Mais ce matin, après un sommeil profond, se sent plus mai- tre de ses sens. Nou
légèrement amer. Le lendemain et les jours suivants, M... dort d'un sommeil calme, sans cauchemars. L'appétit est bon, le t
nstipation, gâtisme. Parole, attention, sentiments affectifs, nuls. Sommeil souvent interrompu par des cris. W... se réveil
réflexes tendineux augmentés, sensibilité conservée. Ten- dance au sommeil . Les réponses lentes et brèves. L'urine foncée,
ne glace. J'ai vu aussi chez Dumontpallier des malades présenter un sommeil pathologique et, une fois gué- ries, cesser d'ê
equel il relate un certain nombre d'expériences faites pen- dant le sommeil hypnotique et portant sur des illusions visuelles
mentale dans l'antiquité (idem) et réunies en volume en 1869 ; - Du sommeil pathologique chez les aliénés (Annales Médico-P
Jamien, 60. - héréditaire avec oedème des paupières et crises de sommeil , par Meige, 346. Maladies cérébrales. Intervent
1. - de neuropathologie et de psychiatrie, de Moscou, 259, 444. Sommeil . Le rôle du - provoqué dans la thérapeutique su
49 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
itement de l'hystérie. Avec beaucoup d'à propos, il a démontré que le sommeil provoqué avait par lui-même, et en dehors de tout
de tète, somnolence, puis, après trois jours, le malade tombe dans un sommeil qui dure depuis vingt-sept mois. Le sujet est dan
leur état ne permettant pas de se déplacer et ceux qui sont soumis au sommeil prolongé. Cette visite, concluait le Dr Van Rente
eignements de Liébeault. Il considère toujours que l'hypnotisme et le sommeil provoqué constituent la base fondamentale de tout
nion. Pour lui, le sommet ! hypnotique n'était pas autre chose que le sommeil naturel avec, en plus, l'état de rapport avec l'h
la moindre influence sur les troubles fonctionnels, car à ses yeux le sommeil jouait le principal rôle dans ses cures, aussi il
l'atmosphère suggestive que crée la présence de personnes en état de sommeil , qui favorise si bien la naissance du sommeil pro
de personnes en état de sommeil, qui favorise si bien la naissance du sommeil provoqué chez les nouveaux venus, mais j'évitai a
se trouvant plus gênés par la présence de tierces personnes et si le sommeil n'égalisait pas en profondeur celui obtenu généra
rd et m'applique à combattre les symptômes. Je cherche à provoquer le sommeil , à calmer l'irritabilité, l'angoisse, à neutralis
ères et lui insinue d'une voix calme et persuasive mes suggestions de sommeil et de guérison. De ma main libre je renforce la s
là ou j'associe les deux modes s'il y a lieu. Dans certains cas le sommeil provoqué seul, prolongé durant des heures, des jo
que l'emploi loyal de la suggestion à l'état de veille et à l'état de sommeil leur permet : 1° de provoquer uq sommeil calme, n
tat de veille et à l'état de sommeil leur permet : 1° de provoquer uq sommeil calme, ne différant en rien d'un sommeil ordinair
permet : 1° de provoquer uq sommeil calme, ne différant en rien d'un sommeil ordinaire et naturel, sommeil qui peut être prolo
ommeil calme, ne différant en rien d'un sommeil ordinaire et naturel, sommeil qui peut être prolongé et dépasse alors de beauco
ent psychologique. Il doit pouvoir manier la suggestion, provoquer le sommeil , faire la psycho-analyse, produire l'anesthésie,
Séance du mardi 21 mai 1907. — Présidence de M. le Dr Voisin. Un sommeil de trente ans (?), par M. le Dr Paul Farez, profe
vince de Burgos, à Villacienzo, une femme venait de se réveiller d'un sommeil qui durait depuis trente ans. Ayant, comme vous
nt, comme vous le savez, tout particulièrement étudié la question des sommeils pathologiques, j'ai pris l'habitude de faire une
pnotisme, oct. 1901, p. 108. (2) Cf.ibid., mai 1906, p. 339. Ce sommeil de trente ans, par sa durée insolite, m'intrigua
véritablement phénomène morbide. Il ne s'agit pas, à coup sur, d'un sommeil franchement hystérique comme chez Marguerite B...
r ses inconvénients. Au reste, bien manié par un médecin instruit, le sommeil provoqué n'expose guère à plus de dangers que n'i
geusement modifiés, s'ils ne s'éteignent pas totalement. Le mauvais sommeil des hystériques est, ordinairement, dû â un rêve
par la dyspnée qu'éprouve le patient surtout au moment de son premier sommeil . Une vision assez commune est celle du sang ou d'
et place du foyer pathologique plus ou moins congestionné pendant le sommeil . On peut expliquer de la sorte le rêve de malades
tes les parties inutilement expérimentales et qu'il a démontré que le sommeil hypnotique en lui-même a un grand effet curatif.
atif. C'est cette idée qu'il a exprimée par sa théorie bien connue du sommeil prolongé. a Un de ses travaux les plus connus :
s honorons de collaborer, — a relaté des choses très curieuses sur le sommeil électrique qu'elle a étudié à Nantes chez le prof
ire, prendre place dans les cartons des ministères pour y dormir d'un sommeil très prolongé. Sans doute les congressistes qui o
, à laquelle elle ne permettait pas de faire le moindre mouvement. Le sommeil était d'ailleurs extrêmement troublé. Les caprice
qu'elle deviendrait obéissante et gaie. Tout en la maintenant dans le sommeil , j'exigeais d'elle qu'elle m'en fit la promesse f
suggestion indirecte — et aussi de la suggestion directe, pendant le sommeil hypnotique. D'autres fois, ces troubles sont appa
la perte toute récente. Il s'agit d'une femme de 46 ans. Pendant son sommeil hypnotique, on lui suggère qu'on laisse tomber su
er chez elle une brûlure suggérée, M. Podiapolsky lui dit, pendant le sommeil hypnotique, en maintenant sur son avant-bras une
succès ; au contraire, si cette période d'incubation coïncide avec le sommeil de la nuit, celui-ci sert, en quelque sorte, de c
é en pointe, une lettre quelconque et si on lui suggérait, pendant le sommeil hypnotique, de faire saigner cette lettre ainsi d
le est devenue irritable. Lorsqu'elle est tranquille, l'appétit et le sommeil sont normaux ; les règles paraissent tous les moi
u non plus de selle pendant la marche. La nuit a été tranquille et le sommeil bon. Mise à la diète, la malade a enfreint son ré
ses matières ; a par jour deux ou trois selles qui sont normales ; le sommeil est bon ; plus de nervosité. » J'ai su depuis, pa
ns les leçons que je faisais alors, à l'Ecole de psychologie, sur les sommeils pathologiques et les états de mort apparente, je
visite pour une communication urgente. Le prince, qui dormait d'un sommeil paisible, fut réveillé en sursaut. Il avait de bo
reront dans les premières heures de la nuit consacrées au repos et au sommeil . Il faudra toujours éliminer certains aliments
, elles cesseraient peu dans la journée, sauf pendant la marche et le sommeil ; ces accès seraient à peu près constants'toute l
. M. Podiapolsky, de Saratow : Considérations psychologiques sur le sommeil somnoformique. D' Ossokine, de Saratow : L'éryt
que, fonctionnel du cerveau, consistant dans un engourdissement ou un sommeil localisé ou généralisé, passager ou permanent, de
stériques confirmés ne sont que des vigi- lambules dont l'état de sommeil est plus ou moins profond, plus ou.moins « étendu
dans ses premières publications. Qu'il s'agisse d'engourdissement, de sommeil , d'inhibition, le mot importe peu. Ce qu'il faut
que, si ses yeux sont parfois cernés, c'est parce qu'elle n'a pas un sommeil régulier. Dr Bérillon. A la note ci-dessus, n
de rêves inquiétants. Cette observation est digne d'attention, carie sommeil naturel, — comme l'inattention, la frayeur, la gr
our de rôle des mystères de la sous-conscience (the Translimînal), du sommeil comme agent favorisant la suggestibilité, des dif
s de cette maladie et prône l'excellence de la suggestion à l'état de sommeil provoqué dans ces cas. A propos de la cure des
eille ne suffisent pas à corriger certains défauts, la mère épiera le sommeil commençant de son enfant pour lui donner la sugge
édé pour remonter le moral du mari surmené et pour lui assurer un bon sommeil . Dans un appendice l'auteur rapporte un cas de
stingué psychologue Genevois. Elle dérive de sa théorie biologique du sommeil . Pour cet observateur : « Le sommeil est une fonc
rive de sa théorie biologique du sommeil. Pour cet observateur : « Le sommeil est une fonctionactivede défense, un instinct qui
é, notamment la réactivité d'intérêt, d'adaptation et le mécanisme du sommeil consiste en somme dans une réaction de désintérêt
'examine : pas de fièvre ; je lui fais des passes en lui suggérant le sommeil ; au bout de trois quarts d'heure s'installe un s
suggérant le sommeil ; au bout de trois quarts d'heure s'installe un sommeil profond qui dure jusqu'à neuf heures du matin. A
la malade s'assoupit, je lui suggère de se lever après huit heures de sommeil sans éprouver la moindre peur. Elle dort très bie
on somnifère du véronal commence je lui fais mes suggestions. Suit un sommeil de deux heures. Le .malade se réveille'avcc un lé
que, suggestion précédée de la narcose chloroformique ou utilisant le sommeil naturel. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Les Malad
térielle, de la minéralisation organique, de la réaction urinaire, du sommeil et de l'état mental. Un chapitre spécial est cons
admirablement aménagés : salles de consultations gratuites, salles de sommeil , de gymnastique, de massage, d'hydrothérapie, de
amiques, p. 289. Société française d'études islamiques, p. 354. Sommeil de trente ans, par Paul Farez. p. 77. Spasme de
50 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
te trôs-violenfe, et qui exécute constamment — si ce n'est pendant le sommeil — environ 200 oscillations doubles par minute, à
reproduit cle nouveau après une courte pause ; il n'est pas suivi de sommeil stertoreux. Du 10 au 15 septembre, les accès ne
mouvements passifs, la malade, bien qu'elle paraisse plongée dans un sommeil profond, donne des signes d'une douleur vive. Ell
s dans l'intervalle des crises. Tel est le cas de la catalepsie et du sommeil dit somnambu-lique. Les faits récemment observé
l'on désigne sous les noms de somnambulisme, sommation prolongée, de sommeil nerveux, sommeil magnétique, etc.. Le mot sommeil
s les noms de somnambulisme, sommation prolongée, de sommeil nerveux, sommeil magnétique, etc.. Le mot sommeil est peut être as
ation prolongée, de sommeil nerveux, sommeil magnétique, etc.. Le mot sommeil est peut être assez improprement employé ici, car
ons que cet état spécial diffère par bien des caractères du véritable sommeil . M. Charcot préfère le désigner, en attendant mie
ne l'avons vue conserver le souvenir de ce qui s'est passé pendant ce sommeil (1). En résumé, on voit que les deux états que
s de celle que peut leur imprimer la contracture provoquée : carus ou sommeil (première phase), somnambulisme (deuxième phase (
sie produite par l'impression lu- 1. Il est une troisième espèce de sommeil , que nous avons eu occasion d'observer quelquefoi
lle les diverses expériences dont il est question, elle tomba dans un sommeil qui dura jusqu'au lendemain matin et dont il fut
rait également sans résultat. Nous étions évidemment en présence d'un sommeil d'un autre genre que celui que nous avions étudié
alepsie pour se résoudre au moment où on la plonge de nouveau dans le sommeil . Si l'on provoque le réveil pendant qu'elle est c
ue l'état dans lequel nous la plongeons artificiellement n'est pas un sommeil . On a dit que c'est un sommeil nerveux ; je ne sa
longeons artificiellement n'est pas un sommeil. On a dit que c'est un sommeil nerveux ; je ne sais trop ce que cela signifie :
n voudra lui donner, je constate le fait tel qu'il existe. Pendant ce sommeil spécial, si je cherche à l'entraîner vers moi, el
vres. Aussitôt il s'affaisse dans la résolution, comme plongé dans un sommeil profond. — H y a analgésie complète de la peau et
état paraît correspondre plus particulièrement à ce qu'on a appelé le sommeil magnétique. Les phénomènes très complexes qu'on
oppositions, peuvent conduire à la distinction de plusieurs modes du sommeil nerveux, jusque là confondus sous la dénomination
xeitabilité neuro-musculaire servant à caractériser une des phases du sommeil hypnotique désignée par l'un de nous sous le nom
tre plusieurs travaux sur ce sujet : Revue scientifique, n° 13, 1881. Sommeil et somnambulisme, conférence faite à la Sorbonne,
individuelles, nous ont paru un des caractères les plus constants du sommeil artificiel. Cette étude nous a permis de pénétr
— vitesse moyenne du cylindre). 11 n'en est pas de même pendant le sommeil provoqué, ainsi que le montre le tracé II (Fig. /
de la région ovarienne droite, sans pour cela amener la cessation du sommeil ; ce qui eût été inévitable si la pression avait é
ement incapable d'imprimer à ses oreilles les mouvements que, dans le sommeil provoqué, l'excitation mécanique provoque facilem
vement lent.) 1° La contracture provoquée persiste tant que dure le sommeil , elle persiste également pendant l'état catalepti
tion est attirée ailleurs. Cette contracture disparait comme celle du sommeil par la friction des antagonistes. Caill... est
nne, etc., présente cette particularité dans le mode de production du sommeil hypnotique, que la simple fixité du regard produi
abord dans l'état cataleptique qui persiste indéfiniment, et alors le sommeil ne peut être obtenu qu'à la condition de lui ferm
dure quelques minutes. La paralysie du côté droit n'a pas disparu. Le sommeil persiste avec les mêmes caractères qu'avant cette
80. B... est plongée par la friction sur le sommet de la tête dans le sommeil sans hyperexcitabilité neuro-musculaire ou état s
rapporterons ici deux observations dans lesquelles les caractères du sommeil hynoptique se sont montrés peu développés : L.
, ses jambes refusent de la porter. Elle a une tendance invincible au sommeil et se rendort d'elle-même. On la fait alors porte
avant l'expérience, tout en l'étant à un degré moindre que pendant le sommeil . Cette expérience d'hypnotisme est la seule qui
fle sur le visage. Les deux exemples qui précèdent nous montrent le sommeil hypnotique à un degré fort incomplet, sorte d'éta
ous venons d'indiquer les principaux traits constitue un des modes du sommeil nerveux, bien distinct de cet autre mode que nous
e un des principaux caractères. L'on sait comment ces deux modes du sommeil nerveux peuvent se succéder chez un même sujet, o
venons d'insister, il en est d'autres moins parfaits dans lesquels le sommeil hyp- 1. En résumé cet état cataleptique, à caus
aire, qui se montre à son plus haut degré de développement pendant le sommeil hypnotyque,peut exister ci quelque degré pendant
ution la plus complète, la respiration est légèrement stertoreuse, le sommeil chlorofor-mique paraît profond. — L'excitation mé
contracture musculaire, offre la plupart des phénomènes attribués au sommeil dit magnétique. Au point de vue du mécanisme ph
isme chez les hystériques (1). ) û L'on sait qu'une des phases du sommeil hypnotique chez les hystériques — phase que j'ai
ses parties du corps dont un des caractères était de céder pendant le sommeil . Il suffisait, chez cette malade, de frôler la su
n, maintes fois, d'en reconnaître la persistance, la nuit, pendant le sommeil profond — et peut se perpétuer pendant des mois,
de dos (pied-bot varus droit). nuit sans relâche ; même pendant le sommeil , ainsi qu'on s'en est plusieurs l'ois assuré. Il
de trois mois que, de temps en temps, la malade a été plongée dans le sommeil hypnotique, pendant lequel on obtenait par sugges
ent donc exclusivement à ce que les caractères les plus essentiels du sommeil hypnotique s'y trouvent dissociés, et peuvent, pa
es, qu'on peut se demander, en présence de chaque cas, s'il s'agit du sommeil hypnotique, du sommeil naturel, ou encore du somm
der, en présence de chaque cas, s'il s'agit du sommeil hypnotique, du sommeil naturel, ou encore du sommeil simulé. L'aspect
, s'il s'agit du sommeil hypnotique, du sommeil naturel, ou encore du sommeil simulé. L'aspect sous lequel se présente l'état
tendons qu'il n'existe pas de preuve rigoureuse de la réalité de leur sommeil , et ce n'est que, parce que nous connaissons des
isolé, se demander si un sujet déterminé est réellement endormi d'un sommeil artificiel, et doit, par exemple, bénéficier au p
ou de psychologie. En l'absence de preuve rigoureuse de la réalité du sommeil , les phénomènes psychiques observés doivent être
Au contraire, quand on se trouve en présence d'un individu dont le sommeil hypnotique est marqué par des caractères so-matiq
ontractures chez mon sujet, soit à l'état de veille, soit pendant son sommeil hypnotique, il me vint à l'idée d'essayer le tran
u développement de quelque manifestation hystérique, d'une attaque de sommeil , de la chorée rythmée, par exemple. C'est ainsi q
qui a duré quatre jours, essayé en vain de provoquer l'apparition du sommeil hypnotique, et cela en poursuivant notre tentativ
ïdes, (Acticniphysiologique des —)', p. 265; — expériences, p. 270. Sommeil nerveux, p. 257, 259, 287, 303. Somnambulisme h
51 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ar ataxie ou incoordination des mouve- ments pour l'écriture). Le sommeil est souvent troublé par des rêves et cauchemars,
très émotif ; c'est une jeune fille très douce, très sensible ; son sommeil est bon, mais léger, elle ne rêve jamais, du moin
véritable enchantement, car ici il n'y a ni suggestion directe, ni sommeil hypnotique, ni influence appréciables; elles so
izier (Haulo-Marnu). 13e année ? 2.. , Mars-Avril SUR UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS PAR TUMEUR DE L'HYPO
je la trouve couchée en décubitus dorsal, dormant apparemment d'un sommeil tranquille, la respiration lente, cadencée, le
s aucun doute. Aussitôt que je l'abandonne, elle retombe dans son sommeil mais reprodui- sant encore par une gradation ré
s actions par lesquelles une personne normale passe de la veille au sommeil . - Le lendemain, je la retrouve dans le même ét
s variation importante. La malade dormait toujours, toujours de son sommeil paisible d'aspect parfaitement naturel, toujour
, toujours se réveillant facilement aux provocations ordinaires. Ce sommeil n'était pourtant pas absolument continu. Je laiss
ans tous les cas la malade ne tardait pas à se rendormir. En outre le sommeil n'était pas tout le temps également profond. Pa
plupart des heures de la journée et de la nuit elle dormait de son sommeil profond. Et ces divers caractères le som- meil
ieure de l'encéphale (la tumeur occupe la région ombrée). UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 105 mais il n'y a au
? ). Ce qui frappe dans ce cas, ce qui en fait l'intérêt, c'est le sommeil . Ce sommeil est tout à fait physiologique par l
frappe dans ce cas, ce qui en fait l'intérêt, c'est le sommeil. Ce sommeil est tout à fait physiologique par la manière de s
ue durée dans sa monotone uniformité. La malade dort sept mois d'un sommeil profond et presque sans discontinuer. Et ce som
sept mois d'un sommeil profond et presque sans discontinuer. Et ce sommeil ne change jamais de physionomie ; il est toujou
mort. Il ne serait peut être pas inutile de déterminer l'espèce de sommeil pathologique à laquelle nous avons à faire. Pré
oujours aisé, tant s'eu faut, de déter- miner le point précis où le sommeil physiologique finit et où le sommeil pathologiq
r- miner le point précis où le sommeil physiologique finit et où le sommeil pathologique commence. Mais heureusement cette
ante ne se pose pas pour nous. Notre cas rentre sans doute dans les sommeils pathologiques. Mais dans quelle classe ? Et d'abo
classe ? Et d'abord, quels sont les types connus et différenciés de sommeil pathologique ? Je ne crois pas qu'on ait jamais
crois pas qu'on ait jamais fait une classification bien solide des sommeils patho- logiques ; mais en groupant les faits co
n peut arri- ver, je pense, aux types suivants : I Narcolepsie ; II sommeil hystérique proprement dit ; III léthargie ; IV
IV catalepsie ; Y sommambulisme naturel et provoqué ; VI coma; VII sommeils divers. Je n'ai pas besoin de définir pour le m
définir pour le moment les six premiers types ; quant au dernier - sommeils di- vers - j'y comprends lous ceux qui ne peuve
entrer dans les premiers. Ainsi ce paragraphe comprendra ces cas de sommeil chez les aliénés dont la durée a été souvent to
on veut comprendre dans ces cas la catatonie de Ialbaum la durée du sommeil peut être indéfinie. Tels sont les cas de Legrand
t, je pense, 'de pseudo-sommeil 1 par aliénation mentale ou même de sommeil hystérique. Mais il en reste encore un certain
tiquet- tes et qu'il faut accepter pour le moment comme attaques de sommeil ne différant du sommeil physiologique que par l
t accepter pour le moment comme attaques de sommeil ne différant du sommeil physiologique que par la longue durée et la diffi
la difficulté ou l'impossibilité de réveiller le malade. Dans les sommeils divers je comprends aussi la maladie des noirs, m
mmeils divers je comprends aussi la maladie des noirs, ma- ladie du sommeil dont la nature est inconnue. La maladie de Gerlie
toujours réveiller plus ou moins facilement le malade. En somme les sommeils divers com- prennent deux ordres de faits : des
somme les sommeils divers com- prennent deux ordres de faits : des sommeils sine materia sans altération anatomique appréci
sommeils sine materia sans altération anatomique appréciable et des sommeils correspondant à des altérations anatomiques bie
ervalles quelquefois très rapprochés. » On peut ajouter à UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 107 titre de corolla
SEPT MOIS 107 titre de corollaire que la narcolepsie est surtout un sommeil à crises plus ou moins longues, mais jamais trè
t des maladies or- ganiques est aujourd'hui bien connue. Et de fait sommeil hystérique, tel a été le diagnostic porté penda
s eu un seul instant d'hésitation et j'ai repoussé le diagnostic du sommeil hystérique dès les premiers mo- ments. En effet
ostic du sommeil hystérique dès les premiers mo- ments. En effet le sommeil hystérique a un cachet assez particulier qui ma
é la longue durée de la maladie,ce qui serai extraordinaire pour un sommeil hystérique. Il n'y avait pas de battement de paup
ur ma part, qu'il est souvent épineux de séparer le coma des autres sommeils pathologiques. En est-il de même dans la circon
e ? `' .Voici les caractères du coma d'après Mayet : Le coma est un sommeil profond avec modification de la respiration et
Si ceci est exact il n'est pas douteux que notre malade est dans le sommeil simple et non dans le coma. En effet, non seuleme
rogressivement jus- qu'à la démence ou peu s'en faut, tandis que le sommeil a gardé imperturba- blement les mêmes caractère
remier au dernier jour de sa longue maladie. Et cette immobilité du sommeil dans ses caractères de la première heure est, c
c'est plus que tout autre chose le caractère absolument naturel du sommeil , naturel par l'invasion, naturel par ses caract
normal uniquement par sa durée, c'est cet aspect phy- siologique du sommeil qui me fait surtout repousser le coma. Si on appe
ppelle ce cas un cas de coma il faut alors renoncer à distinguer ce sommeil très spécial des autres sommeils pathologiques.
faut alors renoncer à distinguer ce sommeil très spécial des autres sommeils pathologiques. Cependant je comprends très bien
uestions peu étu- diées, peu connues jusqu'à présent. Le jour où le sommeil physiologique sera bien connu alors seulement o
cas. - Il doit donc être casé dans la 7e et dernière classe de nos sommeils patho- logiques, sommeils divers. Il est cert
casé dans la 7e et dernière classe de nos sommeils patho- logiques, sommeils divers. Il est certain que nous ne pouvons rapp
divers. Il est certain que nous ne pouvons rapprocher notre cas des sommeils sans lésion organique bien établie ; que nous d
que bien établie ; que nous devons au contraire le rap- procher des sommeils à lésion anatomo-pathologique probable ou certain
sommes-nous conduits à le mettre à côté de la maladie de Gayet ; le sommeil des nègres devra être exclu. Dans la maladie de
exclu. Dans la maladie de Gavet ou Veruicke nous voyons en effet un sommeil UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 10
adie de Gavet ou Veruicke nous voyons en effet un sommeil UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 109 souvent très pro
Gayet, Weil, Mauhtner, Benjamin etc. sur l'existence d'un centre du sommeil dont le siège dèvrait se placer à la région lés
rapprocher deux ordres de maladies somme toute très différentes. Le sommeil n'a pas été signalé dans les tumeurs cérébrales
er les observations. Les auteurs classiques s'expliquent peu sur le sommeil dans les tumeurs. Tous indiquent plus ou moins
hant à des phénomènes très voisins, la somnolence, le 110 F. SOCA sommeil , le coma exige plus que tout autre un fini dans l
rtaine si les auteurs des observations ont voulu parler de coma, de sommeil , de somnolence, voire même de simple abrutissemen
dée approximative de la fréquence et même des caractères des divers sommeils dans les tumeurs. Mais mes recherches quoique a
qu'on ne sait pas au juste s'il s'agit de coma, de somnolence ou de sommeil . Cependant les paroles de M. Ballet en commenta
nt différentes. Parfois un état intermédiaire entre la veille et le sommeil , espèce d'engourdissement des facultés intellec
ibilité et du mouvement, souvent une forme de coma léger ou même le sommeil . Si j'élague tous les cas qui pa- raissent se r
ague tous les cas qui pa- raissent se rapporter assez clairement au sommeil ou au coma j'arrive au chiffre de 32 surina pre
is il est probable qu'ils ont confondu les différentes espè- ces de sommeil . Pour ma 2" série on trouve 38 cas de somnolence
e 10 0/0 . La somnolence s'est présentée sous des aspects UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 111 i divers. Souven
ong, plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois( ? ). Le sommeil à proprement parler s'est trouvé un phénomène exc
on : Le malade s'endort facilement. J'ajoute que beaucoup de cas de sommeil sont probablement t cachés sous l'étiquette émi
tte éminemment élastique de somnolence. Dans ma z2' série de cas le sommeil est au contraire fréquent : 28 cas sur 336. Mai
28 cas, il yen a un grand nombre qui sont tout à fait étrangers au sommeil .En sorte qu'il ne semble pas possible de déterm
e pas possible de déterminer exactement la fréquence réelle du vrai sommeil dans les tumeurs cérébrales '; mais je crois qu
ations qui dans leur ensemble montrent bien les allures du symptôme sommeil dans la maladie qui nous occupe. Observation
chez les voisines où elle allait quelquefois passer la journée. Son sommeil était calme et elle se réveillait assez brusque
une vive émotion. Après cette émotion elle n'eût plus d'attaque de sommeil . 15 jours après l'émotion, attaque d'auto- mati
de la sylvienne. Dans ce cas il s'agit d'une espèce de narcolepsie, sommeil venant par attaques de durée pas très longue. -
olepsie, sommeil venant par attaques de durée pas très longue. - Le sommeil n'a marqué, du reste, qu'une époque de la malad
de Sylvius est comprimé par la tumeur. Dans cette observation le sommeil est aussi et pendant lontemps inter- mittent, m
ore faire son ménage. Mais ce qui est plus remarquable c'est que le sommeil n'est plus un épisode UN CAS DE SOMMEIL PROLONG
us remarquable c'est que le sommeil n'est plus un épisode UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 113 passager de la m
ent ; mais aussitôt que la conversation cessait il retombait dans son sommeil . Il est curieux de remarquer que tandis qu'évei
geant dans le corps strié droit. Dans ce cas comme dans'le mien, le sommeil n'est interrompu que par les provocations venan
e par les provocations venant de l'extérieur. C'est donc un type de sommeil d'une durée considérable. Le Dr Staliniens a ob
ngtemps. Du reste il ne parait pas douteux que ce soit ia un cas de sommeil , car s'il se fût agit de coma,on comprendrait d
peut-être moins sûr que le cas du Dr Stanniens soit un cas de vrai sommeil et non pas de simple somnolence. Je ne crois pa
de résumer. D'après Oppenheim il y aurait des cas dans lesquels le sommeil profond avec réveil provoqué possible sérail le
maines de la maladie est connue. li4 F. SOCA On voit ainsi que le sommeil vrai (je ne parle pas de somnolence, d'a- bruti
e tous ceux que j'ai pu examiner par la durée extrêmement longue du sommeil et par les caractères nettement physiologiques,
serait toujours extraordinaire même si l'on discutait la nature du sommeil que présenta ma malade. On peut ajouter encore,
u sommeil que présenta ma malade. On peut ajouter encore, à part le sommeil , quelques considérations qui ne me semblent pas
assez grande. Elle devait en effet comprimer le pédoncule UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS J15 olfactif droit (
de rapports sexuels masculins, revenant jusqu'à dix fois pendant le sommeil , précédés de rêves érotiques, suivis d'émission
longtemps : le malade est aujourd'hui d'une frigidité absolue. Le sommeil est assez bon. Le malade est d'une grande émotivi
uit, crises d'agitation avec plaintes et cris n'interrompant pas le sommeil . A 5 ans, rougeole; depuis ce moment l'oeil gau
gratifier son nez d'une large provision de poudre sternutatoire. Le sommeil de la nuit même ne peut interrompre sa manie, e
x, des poussins, des poules, des porcs, tellement ses compagnons de sommeil faisaient un bruit varié avec leurs nez. J'aime
(La) syphilitique, par R. Ces- TAN (1 pl. en photocollogr.), 153. Sommeil prolongé (un cas de) pendant sept mois par tume
lysie générale (2 pl. en photocollogr.), 478. SocA. Sur un cas de sommeil prolongé pendant sept mois par tumeur de l'hypo
52 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
qui souffraient; mon fils, enfant tle sjx ans, magnétisé pendant son sommeil , a éprouvé les effets que vous décrivez; enfin j’
euses, qui lui causent des spasmes; point de forces, d’appétit, ni de sommeil , des bouffées de chaleur qui la suffoquent, etc.,
le se complaît dans un état de prostration, elle est très-disposée au sommeil . 29. — L’amélioration continue et augmente. Cha
ndes douces magnétisée. Dès ce moment, je ne tiens pas à provoquer le sommeil magnétique. Je dirige toutes mes forces sur le ve
ucement, me disait une somnambule, il me mettrait, comme le yôtçe, en sommeil ; mais il est encore loin de sa pu? reté. » i ,(i
llca des erreurs, sont Utiles A la Vle Ceux qui aimenl le repos, le sommeil , se plaignent amèrement; ils maudissent l’être qu
eux comme l’artisan qui a bien rempli sa tâche, endors-toi du dernier sommeil : le néant est le rêve d'un esprit tjroublé. Vois
er sommeil : le néant est le rêve d'un esprit tjroublé. Vois i dansle sommeil que nous layons produire, et lorsque nous le pous
isons et à magnétiser. Il magnétise Rachel, qui lui avoue pendant son sommeil qu’elle a la croix. Ben-Sadi la magnétise à son t
êenlUdespàü- pièrfts s’alourdir îoseusiblemetit, èt un irrésistible sommeil l’envahir. 1 * Elle comprit qu’elle aVait affai
vier, rapporte un cas de catalepsie pathologique caractérisé, par tin sommeil de dix-sept jours. 11 l — Le Pays, du a5 janvie
a dose ; mais elle est toujours prête, toujours disposée, pendant son sommeil , à parler en vers, à improviser des quatrains, à
vue expérimental ou thérapeutique ; mais dans les mille phases de ce sommeil merveilleux, au milieu de ces rayons mêlés de tan
ceux d’une mauvaise nature, étant tombés dans le repos, comme dans un sommeil , leur intérieur qui est leur esprit, fut transpor
tissu d’exagération et souvent d’impoBture; celles acquises dans lé1 sommeil sont entachées du péché originel de mensonge. Sou
elle où se tenait toute la famille de sa maîtresse; je n'obtins aucun sommeil ; cependant, après les trois premières séances, i
édecine, et la seconde comme ayant violé la jeune fille pendant son sommeil magnétique. Une visite de trois médecins eut li
te aux yeux de ses parents, prétende qu’elle a été violée pendant son sommeil (quand bien même elle n’aurait pas dormi), pour d
hasard , le sujet magnétique devenait somnambule, et que pendant son sommeil il dit ne pouvoir supporter la présence de person
riëhces dé ttiagnétisme, soit eh présence de somnambules, à l’état de sommeil , et nous devons avouer que jamais, au grand jamai
ne, une comtessp? qui est d’une luci-« dité extraordinaire pendant le sommeil magnétise tique; voulez-vous demain soir venir ch
se réveille, elle ne se rappelle pas de ce qu’elle a dit pendant son sommeil magnétique. Le témoin Boulanger, rappelé, préte
; il lui a fait voir une personne endormie qu’il prétendait dormir du sommeil magnétique; mais ne l’ayant pas vu endormir, il i
r. Magnier : Riéder a endormi sa femme, qui était malade, mais d’un sommeil très-léger. Fourcroy est venu consulter Riéder,
ail, d’oignon, etc. 11 a entendu dire à la femme Fourier, pendant son sommeil magnétique, qu’elle voyait le ciel. Douchet, ta
qu’elle ne se rappelle en rien de ce qu’elle a dit et fait pendant le sommeil magnétique, et ne sait si elle a rappelé le témoi
isme magnétique y entrent d’eux-mêmes toutes les fois que, pendant le sommeil , il leur survient de fortes douleurs. » La régula
ous est-il pas arrivé aussi, comme à iôul magnétiseur, de produire le sommeil et le somnambulisme sans en avoir l’intention? Da
ons que la partie entière est gagnée, s’il est prouvé que, pendant le sommeil magnétique et les étals qui l’avoisinent, on peut
être vivant toute la puissance de sa volonté pour le plonger dans un sommeil lucide et surnaturel, où la distance et les obsta
. !l bain endort devant lui son jeune frère Daniel, et l’envoie, en sommeil , au château de Sablé chercher el trouver Ursule.
horrible attentai, sur la berge du canal de l’Ourcq. Plongée dans le sommeil magnétique, elle indiqua, en présence d’un magist
Esquiros, sur la vie future, dans lequel il sera longuement parlé du sommeil lucide, auquel l’auteur emprunte la preuve de l’i
entes des recherches mystérieuses que nous ferons dans les régions du sommeil . (Au prochain numéro le § II.) A M. le Présid
, et annonçait à la société que le fluide magnétique ayant produit le sommeil , les exercices allaient commencer. Alors ce per
, mettant à profil ses connaissances médicales, il pourra révéler, en sommeil , des mystères de physiologie, de psychologie et d
veuses ; comme aussi celle de la lucidité des somnambules soumises au sommeil artificiel, il demeure évident que les faits ci-d
n de cette femme d’avoir donné les prescriplions dans un état réel de sommeil magnétique, ne saurait être admise, en présence d
Riéder, dont l’instruction n’a pu établir un acte réfléchi durant le sommeil . Le jugement du tribunal de Saint-Omer a été re
iale à chacune d’elles. Nous remarquons même que cette disposition au sommeil agit à distance sur les deux huissiers de l’audie
faut un arrêt de dépense de force, et, de plus, une réparation par le sommeil et par la nourriture. Et cette nourriture, que fa
e magnétisation localisée, les attractions des membres, les dégrés de sommeil , tous ces phénomènes purement physiques démontren
que. J’appuie sur ce dernier mot; car mon sujet n’a jamais éprouvé ni sommeil , ni hallucinations, ni rien enfin de ce qui resse
un phénomène qui appartient à l’ordre prophéti-« que. Plongé dans un sommeil factice, l’homme voit « à travers les corps opaqu
ion de tromper : « 2° Si les paroles prononcées en rêve, pendant le sommeil naturel ou artificiel, dans les moments d’illumin
l, lorsqu’il ne se réveille point, il a le souvenir dans les accès de sommeil suivants. Il révèle alors, confond les coupables,
ement dans deux états opposés : l’un est l’état de veille, l'autre le sommeil ; le sommeil ! voilà déjà un phénomène que personn
eux états opposés : l’un est l’état de veille, l'autre le sommeil; le sommeil ! voilà déjà un phénomène que personne assurément
ien permis de constater, mais que nous ne pouvons pas expliquer. Le sommeil est rarement complet; de là résulte un état inter
ement complet; de là résulte un état intermédiaire entre la vie et le sommeil ; c’est l’état de réve. Tout le monde rêve, tout l
nd pourtant ce que c’est qu’un rêve? On dit bien que c’est un état de sommeil incomplet, un état dans lequel certaines parties
jet. Ils ont négligé un peu trop d'étudicr l’agent, cause première du sommeil , cl les faits innombrables el merveilleux qu'une
ile el exercée peut obtenir de lui sans être obligée de passer par le sommeil . Quoi qu’il en soit, c’est une œuvre bonoc et u
que vous donniez? — R. Oui, je l’avais fait venir, parce que dans son sommeil elle est très-bonne musicienne. D. Ne faisait-e
ir? — R. Il paraît; je n’en sais rien; je ne fais cela qu’à l’état de sommeil magnétique. D. Comment se fait il que vos ordon
53 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
uit quelque petit mouvement nerveux dans les membres, une tendance au sommeil , une légère moiteur, des déplacements de gaz, car
oissait pendant toute la durée du jour et était très-vive le soir. Le sommeil lui donnait un peu de soulagement, mais dès qu el
prendre en pitié les traînards du passé qui semblent s’éveiller d’un sommeil semi-séculaire, se croient très-malins en nous de
t concluantes : « 1» Placez-vous entre deux somnambules endormis du sommeil magnétique : agissez, à l’égard de l’un, sur l’or
nécessité de l’environner de sévères précautions. a. s. M0RIN. LE SOMMEIL MAGNÉTIQUE EXPLIQUÉ PAR LE SOMNAMBULE ALEXIS EN É
onnables, lesquelles tombent soit en crises, soit dans le merveilleux sommeil . Une femme donc était ainsi tombée endormie derri
evoir sans les organes des sens, et que, plongés dans le plus profond sommeil , nous pouvons prendre connaissance des lieux éloi
les aiguilles pendant la veille ; elle ne s’en apercevait pas dans le sommeil . Le docteur s’est occupé, pendant fort longtemp
qui donc parlait du magnétisme ? Personne. On ne s’occupait que du sommeil dont il est pourtant seul la cause. Il y a toute
t ; mais un jour ils vous sauront gré de les avoir tirés de leur long sommeil . Voulez-vous voir renaître la philosophie, la p
je l’avais proposé. — Le lendemain, — nuit délicieuse, quoique sans sommeil profond,— les douleurs sont moins vives, — les se
lèvres, — toute la physionome exprime le bien-être. « Dort-elle du sommeil magnétique?... je n’ose croire à tant de bonheur.
« Je souhaite le bonsoir à M. T.... que j’engage à ne pas troubler le sommeil de sa femme. « Je demeure à cinq cents mètres e
vrir. — Sa femme a dormi toute la nuit ; quoiqu’il ait eu lui-même le sommeil très-agité, se soit levé, ait allumé du feu, fumé
tenu ma parole, je réponds affirmativement. On attribue à ce fait un sommeil régulier et réparateur que, depuis longtemps, la
même quand il marchait. En trois magnétisations, sans qu’il y eût de sommeil , il a été guéri radicalement. Hébaud , A Mago
tre malade avait la respiration gênée. Le lendemain matin, après ce sommeil réparateur, ma fille s’achemina vers le château d
is facilement et à une distance quelconque la plonger dans un profond sommeil , et chaque fois que je la magnétisais, je lui imp
t : Vous rêverez à votre futur mari. Le lendemain, questionnée sur le sommeil de la nuit, elle me dit avoir vu un jeune homme d
désirez vous seront donnés par vos enfants : ils verront pendant leur sommeil le sujet de vos recherches. Le lendemain, la mère
e pria de magnétiser sa fille de nouveau, afin de savoir si, dans son sommeil magnétique, le rêve se trouverait con-iirmé. En
e à la Poterie, dans une ferme, on l’a vu plusieurs fois, pendant son sommeil , se livrer aux travaux de son état avec tout auta
rapeutiques qui lui sont fournies par la femme Cheyroux , pendant son sommeil magnétique ; « Attendu que, sans qu’il soit bes
elle appréhendait beaucoup d«souffrir, je tentai de la mettre dans le sommeil magnétique ; ce fut long ! A chaque instant, elle
peur, vous allez me faire mal !... — Mais non, puisque vous êtes en sommeil . — Si, je vais souffrir. — Mais je puis vous
lle souffrit comme une damnée. Je la magnétisai ; elle m’ordonna en sommeil d’arracher la racine... Je m’armai d’un davier, j
res peuvent certifier les détails de ces opérations. mais du vrai sommeil magnétique, du sommeil lucide que j’obtenais par
es détails de ces opérations. mais du vrai sommeil magnétique, du sommeil lucide que j’obtenais par la magnétisation direct
lait entendre votre voix me répétant ce que vous m’aviez dit dans mon sommeil . Je fis ensuite diverses expériences de magnétism
joue-t-ellc un rôle? Je ne le crois pas ; car, clans la profondeur du sommeil naturel, mes antennes, mon stylet invisible, peuv
s étranges, il faut se mettre dans un état exceptionnel, qui tient du sommeil et de la mort, c’est-à-dire qu’il faut se magnéti
ersiste. On endort madame Prosp... pour la calmer. Dès qu’elle est en sommeil , elle m’interpelle vivement : C'est votre cœur qu
mme, et porte l’initiative d«son indestructibilité. » (De la Cause du sommeil lucide, ou Etude de la nature de l'Iiomme, p. S",
bien des places muettes, si ce ne sont môme des places vides, par le sommeil , ou l’absence des représentants en défaut. Exer
ançant des livres après des personnes éveillées, les arrachant à leur sommeil pour les frapper, les rouer, les meurtrir de coup
série), de l’ouvrage de M. Alexis Didier, — lisez Henry Delaage, — le Sommeil magnétique expliqué, etc., etc. En s’élevant da
du contraire avec celle dont je viens de parler. Lorsque, pendant les sommeils lucides, cette somnambule voit à distance ou va v
’on peut, sans sacrilège, aller troubler les âmes des morts dans leur sommeil , pour les forcer à venir dans des tables imiter l
l’on peut sans sacrilège aller troubler les âmes des morts dans leur sommeil pour les forcer à venir dans les tables imiter le
fin en même temps que le mal qu’il combattait ; à la suite de quoi le sommeil lui apportait le repos. Luce magnetica.) Baro
dans la tête des douleurs étranges. Le lendemain, interrogée dans son sommeil , elle dit qu’il fallait cesser, qu’elle s’éta
nésie et tomba comme si son cœur se fût brisé ; il passa la nuit sans sommeil . Le lendemain matin, il fut pris d’un accès d’épi
perçue : je crus même que tu avais fait ouvrir la fenêtre pendant mon sommeil ^magnétique. « Pour chercher cet encens, je fus
re complètement, aujourd’hui encore, dans son état de veille comme en sommeil magnétique. Ce n’est donc, comme elle l’a dit et
apary nomme rêves les faits de la lucidité magnétique — « que dans le sommeil ordinaire, et les fonctions de ses différents org
ainsi que l’on peut influencer, magnétiser à distance. Dans l’état de sommeil ordinaire, cette faculté de séparation entre l'âm
nne auprès du magnétiseur et des autres personnes qui assistent à son sommeil . — On a répondu qu’il n’en était pas ainsi de la
rquer que chez eux, comme chez les personnes qu rêvent pendant le sommeil ordinaire, l’imagination domine, et le résultat-d
TROUVÉ PAR UN SOMNAMBULE. — L’iNQUISITlON ROMAINE ET LE MAGNÉTISME. — SOMMEIL MAGNÉTIQUE FRUCTUEUSEMENT PROVOQUÉ ET CONJURÉ CON
tisme , pendant l’espace de cinq semaines environ, elle a retrouvé un sommeil cahne qu’elle croyait avoir perdu pour toujours.
’empressai de lui faire des passes pour la plonger de nouveau dans le sommeil ; mais quel ne fut pas mon étonnement en voyant q
is pour la deuxième fois encore, mon action démagnétisante produit le sommeil . Je la fais alors mettre à la croisée, en pensant
e très-vif, au lieu de la réveiller, semble au contraire accroître le sommeil . Enfin, après avoir duré près d’une heure, cette
it, lorsqu’il était encore à Zinder, Richardson avait vu, pendant son sommeil , un oiseau descendre du ciel sur une branche ; pu
es mains, l’une sur le front, l'autre à l'occiput, la malade passa au sommeil , pendant lequel je pus impunément la piquer, san
s-manifeste, n’importe clans quel sens. Vu bout de vingt minutes de sommeil , la malade fut réveillée ; elle se sentit alors l
mais, au bout de deux à trois minutes, il le quitta pour se livrer au sommeil pendant lequel il se mit à ronfler. Deux jours
enfant ; et lorsqu’elle se réveilla, il dormait profondément , et le sommeil se prolongea jusqu’au soir, ce qui fait environ d
il se prolongea jusqu’au soir, ce qui fait environ dix-huit heures de sommeil non interrompu, malgré les efforts de la mère pou
us de le guérir vous-même. Tenez-vous auprès de votre fds pendant son sommeil . Dès que vous le verrez faire des mouvements pour
mités ; constipation opiniâtre ; fièvre presque continuelle ; plus de sommeil et mille autres accidents qu’il serait trop long
être ramenés sur la tête, sans faire éprouver la moindre douleur. Le sommeil s’était rétabli, la fièvre n’existait plus ; les
irent, tout allait pour le mieux, rien ne paraissait l’incommoder. Le sommeil était revenu, ainsi qu’un appétit des plus satisf
ent de pesanteur vague dans la tète. La nuit qui suivit fut bonne, le sommeil reparut. Le lendemain, tout allait pour le mieu
ues jours d’une magnétisation énergique , sa jambe se désenfla, et le sommeil lui revint, mais je la magnétisai trois mois sans
de rcillcr aux intérêts de la science, nous fait l’effet de dormir du sommeil d’Epiménide. FAITS ET EXPÉRIENCES. Applicatio
ommage à la vérité, que le !\ novembre 1854 , avons consulté dans son sommeil magnétique madame Thiriot, demeurant audit Ligny,
dre hommage à la vérité, que le 19 août 1855, avons consulté dans son sommeil magnétique madame Thi-riot, demeurant à Ligny, à
aru depuis deux jours de mon domicile. Madame Thiriot, étant dans son sommeil magnétique, nous lui avons demandé : Voyez-vous c
dame Thiriot, somnambule de Ligny, le 22 janvier 1856, étant dans son sommeil magnétique. Je lui ai demandé : Pouvez-vous me
demeurant aussi à Ligny. Madame Thinot me dit que, étant dans son sommeil magnétique, elle avait donné connaissance à Anne
ivement au mesmérisme, auquel l'auteur est parfaitement initié, 52. Sommeil (le) magnétique expliqué par le somnambule Alexis
54 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ès réels ne puisse fournir des détails intéressants pour l'étude du sommeil , de la foi, du vertige, des fatigues de l'atten
it et em- prunté quoi que ce soit, ce ne peut être qu'au cours d'un sommeil hypnotique. On lui aurait suggéré l'idée de pre
ouvant aussi être, produits par' des eai- tants, mécaniques. Peu de sommeil . Appétit, passable. Pas de troubles dans les or
e intense, élévation de tempéra- ture à 39° et enfin une période de sommeil . A, la suite du som- meil une forte céphalée pe
avait diminué augmente, grâce à, un fort appétit. Cette attaque dé sommeil avec les mêmes caractères revient tous les sept
a suggestion hypnotiquel'auleur parvint à supprimer les attaques de sommeil , mais non'les prodromes. Aussi- conclut-il, att
ètement à la doctrine de 1\1.1 Charcot et considère ces(attaques de sommeil , comme faisant partie de.l'at-, taque de grand
t depuis l'âge de trente ans, il tombe chaque année dans un profond sommeil . Suit la description d'une de ses attaques de l
n soir, Jack se, couche après son dîner et ne se réveille plus; son sommeil est calme comme celui d'un en- fant, le pouls r
se que 2 grammes de trional, car ils procurent cinq à six heures de sommeil . Cette observation ne concerne toutefois que le
nopsie hystérique et hémiazzesticésies toxiques (1887) ; Attaque de sommeil hystérique; Des tics et des tiqueurs (1888) ; N
est pas davantage en les narcotisant à l'ins- tar du somnal, car le sommeil dans la journée, loin d'avoir été constant, ne
ure sous les rubriques : tranquillité, agitation, grande agitation, sommeil , ce qui a per- mis de dresser ensuite des table
régulière de six à huit heures de calme, avec rarement une heure de sommeil dans l'après-midi. Puis brusquement l'accoutuma
prise et pendant trente-deux jours apportent régulière- ment, sans sommeil , de huit à douze heures de tranquillité. Mal- h
jours donne durant tout le jour une parfaite tranquillité sans . sommeil et le malade s'occupe dans le quartier. Suppressi
e calme et durant la seconde de sept à huit heures; toujours pas de sommeil ; le malade s'occupe dans le quartier. Aucun ind
2, 3 et 4 milligrammes pendant deux jours ne produisent ni calme ni sommeil . La médication a duré neuf jours, durant les- 2
durant deux jours séparés par une très mauvaise journée, mais' sans sommeil . Un milligramme et demi pendant trois jours res
sept heures. La dose est portée à 2 milligrammes et, toujours sans sommeil , on a régu- lièrement, pendant vingt-deux jours
une semaine, mais 4 milligrammes .durant vingt jours, toujours sans sommeil et régulièrement donnent de onze à douze heures
mes résultats favorables pen- dant le même laps de temps, mais sans sommeil ,.et de nouveau brusque accoutumance. Alors, ave
deux jours, 3 et 4 milligrammes pendant trois jours n'apportent ni sommeil , ni calme complet. Action physiologique à peu p
d étonnement de tous, tranquillité continue; seulement une heure de sommeil le second et le septième jour. Suppression du r
pendant un mois, régulièrement de huit à douze heures de calme sans sommeil ; deux seules mauvaises journées, la sixième et
oduit et il n'y a plus que deux ou trois heures de calme; jamais de sommeil . Dose de 2 milligrammes qui, en cinq jours, pro
èrement de quatorze à trois heures de tranquillité; toujours pas de sommeil . Par contre, avec 3 milligrammes, dès le second
4 milligrammes pendant deux jours restent peu efficaces; jamais de sommeil . La médication n'a duré que dix-huit jours dura
milligrammes pendant une semaine ne donnent ni sédation complète ni sommeil . La médication a duré vingt-deux jours durant l
milligrammes pendant cinq jours n'apportent ni sédation complète ni sommeil . La médication a duré un mois durant lequel on
lligrammes pendant cinq jours ne procurent ni sédation complète, ni sommeil . La médication a duré vingt et un jours durant
milligrammes pendant deux jours n'amènent ni séda- tion complète ni sommeil . La médication a duré onze jours durant lesquel
lligrammes pendant deux jours n'ont apporté ni sédation complète ni sommeil . La médica- tion a duré dix-neuf jours durant l
is alors que les divers traitements pharmaceutiques ont échoué ; le sommeil hypnotique, d'ailleurs, doit être préféré au so
nt échoué ; le sommeil hypnotique, d'ailleurs, doit être préféré au sommeil provoqué par les narcoti- ques, parce qu'il se
ovoqué par les narcoti- ques, parce qu'il se rapproche davantage du sommeil physiologique et ne s'accompagne pas de dépress
gramme répé- tée jusqu'à quinze fois on obtient du calme et même du sommeil . A l'intérieur chez dix-neuf sujets, aux doses
ion frontale et au sommet de la tête; cette douleur, qui empêche le sommeil , est sujette à des exacerbations pendant les- q
issance et convulsions cloniques généralisées pendant douze heures; sommeil de quarante-huit heures; au réveil, perte de la
aque incohérente, hallucination terrifiante de l'ouïe et de la vue. Sommeil calme. Il faut l'alimenter. Gâtisme. Pupilles trè
un mois, il s'obstine à repousser tout aliment; mais chaque nuit le sommeil ^établissait ses organes. ».-7-,On,ne peut s'em
premiers consacré tout un chapitre spécial FAITS DIVERS. 351 au' sommeil des- épileptiques études, hystériques et en parti
leptiques études, hystériques et en parti- culier aux attaques' de' sommeils Gela remonte à 1877 (lcono- graphie phOtOg1', d
lleurs satisfaisant, et les portes lui seront bientôt ouvertes. Son sommeil est bon, son appétit régulier. Rien d'anor- mal
trompe en supposant que le mensonge soit impossible dans l'état de sommeil et rappelle que la violence chez les criminels es
rurent à toutes les extrémités; ces mouvements cessaient pendant le sommeil . Pendant quelques jours on administra à la mala
ns et ab- sence du clonus du pied. La sensibilité était intacte. Le sommeil et l'appétit restaient bons, l'intelligence par
ubles somatiques des alié- nés et en tête est placée la question du sommeil dont les modifi- cations forment une transition
autres courbes, la courbe du poids, la courbe du nombre d'heures de sommeil , de l'apparition des règles chez la femme, etc.
ait aucun sou- venir. A plusieurs reprises elle eut des attaques de sommeil variables, comme'durée, de quelques heures à pl
ut avait disparu. Il avait suffi d'une simple suggestion pendant un sommeil qui n'a pas duré plus de cinq minutes. Cinq ou si
droite tout entière, il éprouvait de vives douleurs lui rendant le sommeil difficile. La marche, à cause d'une hyperesthésie
nulle part, pas même à la région épigastrique. Insomnie fréquente, sommeil troublé par des rêves terrifiants, caractère ir
crois, pour montrer l'action puissante de la suggestion pendant le sommeil hypnotique sur les accidents dus à l'hystérie. Ch
autant d'effets sur le paysan vendéen que la suggestion pendant le sommeil ), j'introduis avec les plus grandes difficultés
; 4° La facilité vraiment surprenante avec laquelle, sans l'aide du sommeil , on arrive par la suggestion à les supprimer. C
érique ren- dant la marche impossible. Guérison par suggestion sans sommeil . G..., quinze ans, mère hystérique, tantes nerv
une autre affection que dans l'hystérie, la sug- gestion pendant le sommeil hypnotique ne m'a donné de ré- sultats sérieux.
e aurait eu en bas âge quelques pertes de connaissance, attaques de sommeil . " Nous trouvons donc encore là deux maladies a
si intenses que la marche est excessivement pénible. Peu ou pas de sommeil à cause de la douleur. Tous mes confrères de la
ésultats. C'est alors que, sans la prévenir, je la plongeai dans le sommeil hypnotique. Le hoquet s'arrêta aussitôt. Cette fo
courant quelques-unes de mes observations, la suggestion pendant le sommeil n'est pas nécessaire. A l'état de veille une su
s savez que le mal est revenu quand même. Il faut alors en venir au sommeil . Chez nos hystériques vendéens il est essentiel
agités. Doses : 2 à 3 grammes dans l'eau chaude refroidie ensuite. Sommeil de 6 heures au moins. P. K. XV. L'OVARIOTOMIE
rquoi'chez le paralytique général, de' même que'les gens en état de sommeil hypno- tique, les opérations de l'esprit sont a
La circulation du sang ET DE la lymphe dans le CRANE ,1, PENDANT LE SOMMEIL , ET L'INSOMNIE, AVEC QUELQUES OBSERVATIONS SUR
cherché quelles sont les conditions physiologiques qui président au sommeil , 'à'la veille et' à'T'iiisomnie,' l'auteur -pub
ut cesser totalement toute activité psy- chique et dormir. Après le sommeil , nous nous réveillons moins apte à agir, mais d
d'une activité ascendante. La mensuration 'l<3 la profondeur du sommeil nous montre que cette régénération SOCIÉTÉS SAV
aissent constituer le type sain, il y a réfection complète après un sommeil de quelques heures; chez d'autres, notamment ch
La répa- ration s'effectue d'abord par l'alimentation, puis par le sommeil . Cette courbe naturellement peut être modifiée
utant de caméléons. Mais le travail, l'ingestion alimentaire, et le sommeil y marquent leur empreinte. M. ASCH.1FPENHUItG.
e de Vienne, 261; d'anthropologie de Paris, legs Fauvelle, 270. Sommeil . Circulation du sang et de ¡ fia lymphe dans ,1
55 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ifférentes heures de la journée. Cette étude nous a démontré que le sommeil , en tant qu'état de repos, diminue l'éliminatio
ue uni aux terres, soit de l'acide phosphorique uni aux alcalis. Le sommeil dimi- nue donc les échanges en acide phosphoriq
he parallèle dans l'élimination des phosphates, sous l'influence du sommeil , nous l'avons ren- contrée encore pendant les d
ar sa promptitude, son énergie, sa forme, sa persistance pendant le sommeil , sa production par l'acte de s'habiller, son in
le repas du soir. Les résul- tats ont été bons; en bien des cas le sommeil se produisit au bout d'un quart d'heure au plus
trée à quatorze aliénés les plus divers, a procuré à cinq femmes un sommeil de plusieurs heures, calme et sans acci- dents
névrose ne s'est plus montrée. A la suite d'excès de boisson, son sommeil fut troublé par des cauchemars et des hallucinati
ccasion des mouvements intentionnels; cet état cesserait pendant le sommeil . L'asymétrie, au préjudice du côté droit, est s
oral de l'individu ; deux à trois heures plus tard, survient un bon sommeil calme. Pas de phénomènes accessoires jusqu'ici
se de la gorge avec céphalalgie. Dans un cas, 0,30 déterminèrent un sommeil de trois heures, puis survinrent de l'agitation
entionnés. Dans vingt à vingt-cinq cas, il obtint invariablement le sommeil . Sans être un succédané du chloral, la cannabinon
LIOGRAPHIE 1. Des zones hystérogènes et hypnogènes, des attaques de sommeil ; par le Dr Pitres. (Bordeaux, 1885, in-8°, 70 p
dont la pression a pour effet soit de provoquer instantanément le sommeil hypnotique, soit de modifier les phases du sommei
nstantanément le sommeil hypnotique, soit de modifier les phases du sommeil t artificiel, soit de ramener brusquement à l'é
sait aussi que la compression ovarienne dissipe ins- tantanément le sommeil hypnotique. M. Pitres a observé que les zones h
sous-cutanées, viscérales.- Parmi ces zones, les unes provoquent le sommeil , ce sont les zones hypno- gènes proprement dite
suJEts à l'état de veille détermine une phase, toujours la même, du sommeil hypnotique; zones hypnogènes à effets successif
donne lieu successivement à des phases de plus en plus profondes du sommeil provoqué, à mesure que cette pression' devient
hypnogènes à effets incomplets, dont la pression ne produit pas le sommeil chez le sujet éveillé, mais fait passer le sujet
le sujet éveillé, mais fait passer le sujet endormi d'une phase du sommeil dans l'autre. Les zones hypno-frénalrices sont
cident quelquefois, de telle sorte qu'une pression légère produitle sommeil hypnotique, et une excitation plus énergique pr
suite une malade de son service, qui est sujette il des attaques de sommeil . Cette hystérique, qui a eu autrefois des attaq
es très violentes, les a remplacées aujourd'hui par ses attaques de sommeil . L'auru présente trois stades : le sentiment d'
le serrement bi-tem- poral et la perte de connaissance. Pendant le sommeil , la malade est immobile, le pouls est régulier,
ef, la malade présente les mêmes phénomènes que dans une phase du sommeil provoqué, l'état cataleptoïde les yeux fermés. Ce
ui ajoute à la ressemblance, c'est que la malade est tirée de son sommeil par le souffle sur lesyeux; que, réveillée, elle
passé pendant qu'elle était endormie, et qu'en revanche, pendant le sommeil , sa mémoire embrasse les faits de la veille et
l'hypnotisme la malade, au moment où l'aura annonçait l'attaque de sommeil ; il a constaté que l'attaque n'en survient pas
ant est l'objet d'une étude spéciale en deux chapitres consacrés au Sommeil , aux Rêves et à l'Hypnotisme annexés à cet ouvr
us allons essayer maintenant d'analyser rapide- ment. Au sujet du sommeil , l'auteur se borne à présenter quelques considé
es plus futiles. Ses recherches ne cessent même pas la-nuit et le sommeil est devenu' rare et agité. En présence de perso
gnes de scrofule : quelques glandes seulement au cou, non abcédées. Sommeil bon, sans peurs; pas d'onanisme. A l'école, i
vicales non suppurées, ophthalmies pendant deux ou trois mois. Le sommeil est bon, sans cauchemars; il est moins peureux qu
end une violente crise d'hvstéro-épilepsie. Quand il se réveille du sommeil qui suit l'at- taque, la paraplégie a disparu.
Cl'ucificmcnt, Point de délire à la fin de cette première attaque. Sommeil . Hyperexcila- bilité neuro-musculaire. Immédiat
on. 3. Le malade s'hypnotise en regardant une montre. Pendant son sommeil , il n'est plus à Saint-Urbain, mais à Chartres. A
rdonnés des yeux d'une précision régulière qu'on observe pendant le sommeil et l'état de rêve et, par suite, du supposer qu
leur présentant un résultat; en second lieu elle ? pro- voquent un sommeil calme, réconfortant, réparateur. M. Jolly n'att
première dose de pa- raldéhyde l'a ' sur-le-champ fait dprmjr d/un sommeil calme. L'actiop dq médicament pprsista pendant
e, suit l'ac- . tivité psychique, elle se rétrécit dès que vient le sommeil , et cela indépendamment de la pause respiratoir
cation pronostique. Quant à leur, valeur diagnostique, .pendant lei sommeil normal, ils ne , se produisent jamais ;. on const
mouvements .normaux. du, regard. Donc les mouvements ocu- laires du sommeil ont une, certaine spécificité; de là à les rappor
oisse et d'oppression; de temps il autre, SOCIÉTÉS, SAVANTES. 269 sommeil constant; on pense à une tumeur cérébrale (gommes
ère rester seul dans un coin; il ne peut souffrir les animaux. - Le sommeil est généralement très agité; il a été quelquefois
ercles lumineux. Ces phénomènes disparaissaient sous l'influence du sommeil . Aucun accident cutané, rhumatis- mal ou pulmon
ibilité géné/'ale intacte. Sens spéciaux obtus, surtout l'odorat. - Sommeil bon, pas de cauchemars. Degré d'instruction, nu
e même au milieu des paroxysmes d'agitation les plus violents. Le sommeil survient assez rapidement (de 1 à 3 minutes), et
éveillée, n'a gardé aucun souvenir de ce qui s'est passé pendantson sommeil : elle ne sait même pas qu'elle a dormi. Hlle n
(18 août) et malgré l'état d'agitation très grande de la malade, le sommeil arrive en trois minutes par la fixation de la bag
s excitée, violente, dangereuse même et les rêves qui troublent son sommeil , les hallucinations du sens génital qu'elle épr
sant que l'exciter davan- tage, j'imagine de lui donner, pendant le sommeil somnambu- lique, des hallucinations négatives a
ple affirmation, mais faire assister la malade elle-même pendant le sommeil à la présence de ses hallucinations habi- tuell
uis la convaincre de son âge réel qu'en lui disant dans le cours du sommeil somnam- bulique que je lui enlève les années qu
uggestions à l'état de veille restent impuissantes, j'ai recours au sommeil somnambulique, je suggère, comme précédemment,
mpoisonnement, hallucinations du sens musculaire. 3. - Pendant le sommeil somnambulique, je lui suggère la disparition de
oite. Rien du côté de la langue. Le tremblement persiste pendant le sommeil . , La malade s'affecte beaucoup de son état et
physique, ni psychique, pas d'hallucinations, pas d'impulsions. Le sommeil seul est un peu cour t. 10 août. - Le sommeil e
pas d'impulsions. Le sommeil seul est un peu cour t. 10 août. - Le sommeil est revenu complètement. 1er septembre. - Aucun
septembre. - Aucune idée délirante, pas de troubles soma- tiques : sommeil très bon. TABLEAU DES SEANCES D'HYPNOTISME DE
vec le repos ; elle peut même être assez marquée pour troubler le sommeil ; elle ne s'aggrave nullement par l'exercice qui
Magnétisme et hypnotisme. Exposé des phénomènes obsirvés pendant le sommeil nerveux provoqué au point de vue clinique, psyc
cb, 87. Zones (des) hystérogènes et hypno- gènes, des attaques de sommeil , par Pitres, 125. TABLE DES AUTEURS-ET DES
56 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
production. Qu’est-ce que le somnambulisme? C’est une apparence de sommeil des sens, une espèce de coma, qui saisit quelquef
propres à exercer l’esprit de plusieurs générations de savants. Le sommeil magnétique, si curieux déjà, et le devenant davan
sensation reçue. Je suppose, pour fixer les idées, que, pendant le sommeil , une personne se trouvant placée dans les conditi
reçue. Prenons un autre exemple : supposons qu’un homme, pendant un sommeil incomplet, soit soumis à l’influence d’une odeur
noncé. Ainsi, à trois reprises différentes, elle se coupa pendant son sommeil les cheveux, et, comme elle vivait seule alors, e
r les impressions des sens de la première catégorie. Dans l’état de sommeil , tout l’opposé aurait lieu, c’est-à-dire qu’alors
xpériences d attraction et d’insensibilité, pour se convaincre de son sommeil magnétique, puis, la jugeant suffisamment lucide,
e pouvoir de l’imagination; on a produit sur un cheval le tétanos, le sommeil , le rire, l’érection , etc. M. Auzoux n’a voulu a
s, qui étaient devenues un peu plus calmes, bien qu’il n’y eût pas de sommeil , furent remplies par des accidents d’un nouveau g
somnambulisme à partir de ce moment, et bien qu’aujourd’hui encore le sommeil ne soit pas revenu , bien que les nuits se passen
différait seulement en ce que la malade était facilement tirée de son sommeil . Ce fait a été rapporté en détail dans le compte-
s’emparaient de sa victime; le dégagement se montra complet quand le sommeil lucide fut intronisé chez M“« M”-. Enfin, le comp
rmit, et moi, qui n a-vais rien pris, je ne tardai pas à succomber au sommeil aussi, pondant plus d’une heure et demie. Je me r
raordinaires; il suffisait de quelques passes pour le plonger dans le sommeil magnétique, et dans ses crises somnambuliques, la
uellement dans une sorte de léthargie et ne se réveille de ce prorond sommeil qu’une fois par jour, pendant quelques instants,
res de l’après-midi. « Quelquefois, mais à de rares intervalles, ce sommeil se prolonge deux, trois et môme huit jours, penda
restera au moins jusqu’au lendemain, à la même heure. « Pendant son sommeil , qui est d’un calme parfait, son teint est moins
Pendant la veille, dit-il, notre âme habite le corps ; mais quand le sommeil nous vient, quand l’assoupissement nous gagne, l’
ses fluides n’est point arrêtée; les'glandes sécrètent, pendant le sommeil comme pendant la veille. Pendant que notre esprit
libre la nuit, ou plutôt participant au monde des esprits pendant le sommeil et à celui des corps pendant la veille. Mais pend
s une âme pendant l’éveil, et que cent autres se succèdent pendant le sommeil . Je souligne ce mot, afin de m’en expliquer avec
vous. Si l’âme ne regarde dans le monde des esprits que pendant le sommeil , que fait-elle, où est-elle, quand, au lieu d’un
ns, des produits d’une imagination égarée, qui vous dit que celles du sommeil ont plus de réalité ? Et s’il est facile de démon
soir. — Soyez sobre, régulier dans vos habitudes, vous dormirez d’un sommeil sans poésie; votre âme restera prosaïquement enfe
héorie, c’est votre propre esprit qui parle. Si c’était pendant votre sommeil , à quoi, dans l’esprit qui a guidé votre plume, a
onjurer un esprit ennemi. Il affirme, et s’offre à le prouver, que le sommeil magnétique est une zone splendide, dans laquelle
autre? L’esprit de la femme se dégageait-il de son corps, pendant son sommeil , et était-il attiré vers la personne aimée dont i
ter les nôtres, nous empruntent au contraire les faits merveilleux du sommeil , de l’extase et de la magie, pensant avec juste r
Ce jeune homme doit, le 25 de ce mois, nous peindre encore, étant en sommeil magnétique, le portrait d’un grand personnage que
es deux cerveaux tandis que l'autre repose. Je crois même que dans le sommeil ordinaire, tandis que le cerveau dont on a fait u
t au réveil on n’a pas la conscience de ce qui s’est passé pendant le sommeil magnétique, et comment on s’en souvient aussitôt
ment on s’en souvient aussitôt que l’on est endormi de nouveau (le ce sommeil -là. 11 est évident que la conscience des actes
es personnes, des choses, des événements, qu’on trouve appartenir aux sommeils magnétiques passés, mais que le somnambule ne rec
s depuis le traitement magnétique régulier, qui n’a jamais produit le sommeil magnétique , et qui a été commencé vers la fin de
me que ses mains et ses pieds ; le médium parut sortir d’une sorte de sommeil dès que je l’eus touché. Tels sont quelques-uns d
cercle de feu. Les paupières se fermèrent peu à peu et elle entra en sommeil magnétique. Je plaçai alors la main droite pend
t toute la journée du samedi, je me suis sentie tellement accablée de sommeil que, malgré toute ma volonté et tous es efforts
n quelques secondes et lui demandai alors quelle était la cause de ce sommeil dont elle s’était plainte. — La cause ! dit-ell
aussitôt vola vl?s vous et je me sentis immédiatement accablée par le sommeil . J’en avais tellement honte que je faisais tous l
quart d’heure, cela aurait suffi pour me débarrasser de cet accès de sommeil et eût été bien meilleur pour ma santé. A ces f
nétisation , j’endormis la malade, et je pus dès lors lui procurer un sommeil bien autrement préférable à celui de l’opium. J’a
eux mois de traitement, les douleurs diminuèrent considérablement, le sommeil revint, enfin une amélioration notable fut obtenu
, il ne se trouve qu’un seul des malades sur lequel il ait obtenu le sommeil . Tous les autres ont été traités et guéris sans p
à l’état de veille les phénomènes qui peuvent se réaliser pendant le sommeil magnétique provoqué par les passes. Lorsqu’elle é
er l’extase, et lui assurer la lucidité qui provient ordinairement du sommeil somnambulique. Après la mort de M. Olivier, la da
Elle la surexcite assez pour que les autres soient dans une sorte de sommeil relatif. M. Philips rappelle en quelques mots l
lade se trouva triste, abattue, épuisée ; elle passait les nuits sans sommeil , et le jour, elle ne parvenait que rarement et di
ur, elle ne parvenait que rarement et difficilement à s’endormir d’un sommeil léger et agité ; elle tomba quelquefois en somnam
d’horreur qui l’obsédait sans cesse. Elle cherchait à échapper par le sommeil à l’image hideuse qui la poursuivait ; devenue so
s convulsions qui durèrent vingt-quatre heures et furent suivies d’un sommeil dehuitheures; ensuite, les convulsions recommencè
les; mais bientôt ses paupières se fermèrent, et elle s’endormit d’un sommeil paisible. Une demi-heure après, elle se réveilla
elle se réveilla à l’appel du docteur Raffaele et lui déclara que ce sommeil lui avait fait. un bien extrême et l’avait beau
rême et l’avait beaucoup mieux reposée que n’aurait fait une heure de sommeil ordinaire. Le lendemain matin, interrogée, dans u
ne longueur de bras, il agit à grands courants. Il détermina ainsi un sommeil doux et réparateur accompagné de somnambulisme. L
uvra pas entièrement la raison. Un des accès subséquents fut suivi du sommeil magnétique pendant !©■ quel elle se prescrivit
tant cent soixante et un cas de tumeurs du scrotum opérées pendant le sommeil magnétique. Ce docteur Simpson, qui est, à ce q
tout à fait indignes d’attention au point de vue de la puissance du sommeil magnétique. Telles sont les ouvertures simples d’
tenir sur pied. Au milieu îles efforts qu’il faisait pour résister au sommeil , il entendit une voix qui lui cria : C/atiics est
milieu de ces crises se développe tout à coup cet état prodigieux de sommeil magnétique, d’extase, que la science et de nombre
p de bataille. Pleine de cette idée et toujours livrée au merveilleux sommeil , elle part à l’instant, accompagnée de sa femme d
gnétiseur... La personne étant d’une sensibilité exquise, j’obtins le sommeil presque spontané. « Ah ! ah ! me dit la somnamb
ries et des manœuvres frauduleuses dans les phénomènes si étranges du sommeil magnétique? Ou, au contraire, dans l’incertitude
ment de la consultation suffit pour la plonger instantanément dans le sommeil magnétique, et ensuite , pour la sortir de cet ét
ne pouvait pas y avoir de doute, dans l’espèce, sur la simulation du sommeil magnétique, et, par conséquent, sur la fraude emp
ts de police avait eu aussi pour effet immédiat de la faire sortir du sommeil où elle paraissait plohgée. Ne sont-ce pas là des
des papillotements qui annoncent la somnolence ; d’autres arrivent au sommeil complet, quelques-uns même passent au somnambulis
econde seulement a pour but (comme au Waux-HaLL) de produire soit le. sommeil , soit, des effets de curiosité.. On a demandé s’i
Siemelink fit à cinq personnes former une chaîne et les fit tomber eu sommeil magnétique, seulement en soutenant la main d’une
ie instinctive de l’âme et fait que , sans somnambulisme et même sans sommeil , le sujet a une intuition, une faculté extraordin
57 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a paupière gauche. Depuis cette époque, sa mémoire a di- minué, son sommeil est devenu agité, et il a éprouvé des dou- leur
il revient à lui; il lui semble simplement qu'il sort d'un profond sommeil ; il ne se souvient aucunement de ce qui s'est p
fixé de tout près n'est pas absolument nécessaire pour amener le sommeil , c'est ce qui est prouvé par les autres moyens
qui est prouvé par les autres moyens d'hypnotisation, ainsi par le sommeil provoqué par un son monotone, dont on ne pourra
répéter ces mots, ils ne donnent plus d'irritation nouvelle, et le sommeil entre. Donc, la manière d'endormir n'est pas di
l entre. Donc, la manière d'endormir n'est pas différente dans le sommeil ordinaire et hypnotique 2, mais il y a une diff
ifférence dans la forme et daus le degré des deux états. Pendant le sommeil normal, c'est en vain que nous parlons à l'indi
son du diapason ut ,, ut 3 ) à produire dans quel- ques secondes un sommeil ordinaire très profond. Si on la réveillait, elle
llait, elle s'endormait tout de suite, et elle continuait ainsi son sommeil , pendant quelques heures, autant de fois que j'
état, il s'éveillera tout à fait, ou bien qu'il retombera dans son sommeil . Dans l'état hypnotique, une influence au delà
e dont tous les becs sont allumés : quand on éteint les flammes, le sommeil s'ensuit; mais, si nous ne laissons brûler qu'u
amme d'autant plus forte; ce der- nier exemple serait le symbole du sommeil hypnotique. Je me servirai de cette comparaison
, c'est qui se conçoit facilement. 11 est évi- dent que, pendant le sommeil hypnotique les influences extérieures peu énerg
Si je voulais appliquer la comparaison avec le can- délabre sur le sommeil ordinaire et le sommeil hypno- tique, il faudra
la comparaison avec le can- délabre sur le sommeil ordinaire et le sommeil hypno- tique, il faudrait supposer que durant l
e, le maniement des robi- nets s'exécute par la volonté. Pendant le sommeil , il est dirigé en apparence spontanément, mais
t l'expérimentateur qui ouvre et ferme à son gré les robinets. Le sommeil hypnotique est donc un état d'équilibre des fon
t l'exercice. Cette extension est en proportion inverse du degré du sommeil . L'in- fluence extérieure fait fonctionner les
te susceptibilité peut atteindre presque un degré pareil à celui du sommeil hypnotique; mais il est hors de doute que ce n'
très grande restriction. Sans nous en apercevoir nous guidons le sommeil du sujet, et, si nous insistons à étudier les p
ux. Voilà la cause pour laquelle il y a presque autant de formes de sommeil hypnotique que d'observateurs qui s'en sont occ
de ces systèmes d'association. Selon ce que je viens de relater, le sommeil le plus profond se rencon- trera avec la plus g
s'est produite durant le,somnambulisme provoqué ou plutôt durant le sommeil provoqué par suggestion à terme, sans aucun int
active la circula- tion podalique (pinceau électrique), produit du sommeil (2 cas de paralysie générale). P. K. VII. Tra
, la boldo- glucine possède une action hypnotique incontestable. Ce sommeil peut être rapproché du sommeil naturel : 4° par
action hypnotique incontestable. Ce sommeil peut être rapproché du sommeil naturel : 4° parce qu'il en a le calme, l'absen
s depuis un temps plus ou moins long (aliénés), a toujours amené le sommeil . Enfin nous rappellerons que, outre celte étude
gène et moins riches en acide carbonique, dans la période d'état du sommeil anesthé- sique ; 2° la quantité d'acide carboni
fections rénales ou de diabète. CE. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Du sommeil et des médicaments hypnotiques proprement dits,
donc une certaine intelligence. Elle était propre; l'appétit et le sommeil étaient bons, elle avait été menstruée deux à t
ue le malade eut recours aux spiritueux afin de retrouver un peu de sommeil . Cet état se prolongea jusqu'au 10r novembre. L
x, et j'y réussis au bout de vingt minutes environ; je produisis un sommeil complet, avec analgésie et flaccidité ab- solue
al caractérisé par un état de dépression anxieuse, avec insomnie ou sommeil agité par des rêves cruels, précédé de visions
à une demi-heure à la suite de l'administration, il se produisit un sommeil calme, prolongé, durant souvent jusqu'à cinq heur
réveille en paraissant très fatiguée pour être reprise bientôt d'un sommeil assez prolonge. Cette hystérique, dans un inter
refuse de continuer cette substitution parce que, suivant elle, le sommeil 1 Voy. Arch. de Neurol. 256 SOCIÉTÉS savantes
aques d'épilepsie, après lesquelles ils tombent dans un pro- fond sommeil , ou se plaignent de violents maux de tête, etc.
ant quelques semaines paraissait lui procurer quelque plaisir. Le sommeil est tranquille, l'après-midi tout entière se pass
métique. Survint alors un grand changement; elle tombait souvent de sommeil , même en mangeant; sa mémoire devint défectueus
ssance et l'intelligence semblant s'être arrêtée à cette époque. Le sommeil est bon et lourd ; quoique presque inditlérente
orroàdes externes qui datent de loin. - L'appétit est excellent, le sommeil est bon et toutes les fonctions de la vie végét
t. » D'ailleurs, depuis sa tentative de suicide, elle a retrouvé le sommeil qu'elle avait perdu depuis longtemps. Samedi 4
E. qui lui a beaucoup parlé de sortie, B... a perdu de nouveau le sommeil . En résumé, cette tentative de suicide a déterm
faradique s'étendent-ils chez les neurasthéniques, aux troubles du sommeil . Réponse. L'a- mélioration maintes fois observé
érapie en général, donné de résultats favorables au point de vue du sommeil . M. FIIEUSBERG (de Sarreguemines). Des symptôme
e de la Salpêtrière, nommée Eudoxie Hé.... Or les cas d'attaques de sommeil sont assez fré- quents chez les hystériques, ai
58 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t aussi bien que les autres enfants. L'au- dition était normale. Le sommeil était entrecoupé de cauche- mars, de sauts dans
ur que la nuit. En même temps, elle éprouve des étourdissements. Le sommeil devient irrégulier; elle se réveille facilement
ladie aurait débuté à 12 ans : marche trébuchante, étourdissements, sommeil mauvais, réveils avec cris, envies de vomir, co
, était intel- ligent, avait appris à lire, à écrire, à compter. Le sommeil était normal, sans cauchemars, en somme, il éta
l'intelligence baisse progressivement, il pleure sans cesse ; le sommeil est entrecoupé de cauchemars ; la parole devient
e quelques mots inintelligibles. 16 mars.- Maigreur squelettique. Sommeil très agité, cris perçants et plaintifs. L'enfan
essive des facultés intellectuel- les, des sentiments affectifs, du sommeil agité par des cauchemars, gâtisme. La déchéan
née. Elle éprouvait de temps en temps des bouffées congestives, Son sommeil était irré- gulicr, entrecoupé de cauchemars. E
a suppression de la cause de l'insomnie n'a pas suffi à rétablir le sommeil normal. Il a fallu pour cela administrer pendan
, tout reproche provoque, non plus une fugue, mais une attaque de sommeil qui dure de 3 à 8 jours. L'attaque de sommeil com
, mais une attaque de sommeil qui dure de 3 à 8 jours. L'attaque de sommeil comporte quelques phénomènes prémonitoires, cra
crampes, anesthésies loca- les, même des hallucinations. Pendant le sommeil , Arbentina est dansla résolution musculaire com
s divers besoins ; tantôt elle reste, pendant toute la durée de son sommeil , sans manger ni boire, comme sans uriner, ni dé
n sommeil, sans manger ni boire, comme sans uriner, ni déféquer. Ce sommeil ne se termine pas brusque-, ment, on assiste à
SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 origine de la plupart de ses fugues et de ses sommeils . L'hypo- thèse de la simulation doit être écart
. Il s'agit d'un cas qui ré- pond au type classique de l'attaque de sommeil hystérique. Les timidités. Indications de la su
ute convulsion à droite. Ces accidents co- mitiaux sont suivis d'un sommeil prolongé qui s'accompagne, au réveil, de confus
s hystériques, l'Ecole de Nancy, avec Bernheim en tête, étudiait le sommeil hypnotique chez les sujets bien portants ; elle
chez les sujets bien portants ; elle aboutit à la conclusion que le sommeil hy- pnotique est la continuation du sommeil nor
à la conclusion que le sommeil hy- pnotique est la continuation du sommeil normal et que si les phénomènes hypnotiques app
il hypnotique ne peut nuire, pourvu qu'il soit la con- tinuation du sommeil naturel ; les anciens préjugés sont tombés à ce
nclusion de l'Ecole de Nancy subsiste seule. Peu importe comment le sommeil est ob- tenu, soit en fixant un objet brillant,
par la parole. Peu importe aussi combien de phases existent dans le sommeil hy- pnotique, quatre ou sept, pourvu que l'hypn
rapeutique calme les nerfs et ramène l'équilibre perdu. Parfois le sommeil hypnotique n'est pas indispensable; la suggesti
lité sont parfois salutaires. C'est un fait connu maintenant que le sommeil , chez les hystériques, s'.obtient difficilement
de malades par l'hypnotisme, et ce génial observateur prouva que le sommeil prolongé suffit pour ramener l'organisme à la f
, aujourd'hui classique, qu'à une irritation très légère pendant le sommeil peut succéder un rêve, on est porté à admettre
areil ». Parfois elle dit encore : «Je. voulais dormir », « J'avais sommeil ». Une fois assise, et bien entendu dans la mêm
z, il se surmène beaucoup, passe les nuits et pouduttel' contl'e le sommeil , prend des excitants : café, kola : en même tem
s symptômes psychiques consistaient en une apathie avec be- soin de sommeil . Le sommeil était parfois si profond qu'il élail
psychiques consistaient en une apathie avec be- soin de sommeil. Le sommeil était parfois si profond qu'il élail souvent im
iiiontru deux cas du tics convulsifs du cou persis- tant pendant le sommeil pcul-ètre par l'influence des rêves. M. Meige a
et du 20 février lOUG. Présidence DE \I, ,Im.FS Voisin. Crises de sommeil hystérique. M. Barbier. Une femme du 47 ans, cu
; des agents essayent en vain du la réveiller : elle ne sort de son sommeil , qu'au bout de trois jouis. C'est la septième f
nt en résolution SOCIÉTÉS SAVANTES. 227 cumplèlo. Ces crises de sommeil ne durent que quelques jours ; elles représente
s excrétions sont des caractères que l'on attribue aux cas types de sommeil hystérique. Leur coexistence, loin d'être géné-
ées, cotumechex Argunlina. Parfois aussi l'on constate, pendant les sommeils , une indigence il peu près com- plète de signes
De même que toute autre manifestation de la grande névrose, le ' sommeil hystérique ne saurait comporter une symplomalolog
ant le mot hypnotisme caractérise un mot nettement défini, celui du sommeil provoqué (à des degrés plus ou moins profonds,
ommeil provoqué (à des degrés plus ou moins profonds, comme dans le sommeil ordinaire dont la profondeur varie éga- tement)
de au réveil, on a l'habitude de dire qu'on l'a trouvée pendant son sommeil . Ce n'est là qu'une expli- ration purement verb
meil et non en vertu d'un travail intellectuel continué pendant le sommeil . ' BIBLIOGRAPHIE nI. - Revue des thèses de Na
n le 29 mars 1 ! JO1, par M. le 1), Il y- nier). Syncope pendant le sommeil chloroformique. Au début tombait toujours du cô
d'état de mal avec impulsion au coït pour ainsi dire inconsciente ; sommeil lourd consécutif, avec érection persistante trè
es autres muscles reviennent à leur état de paralysie absolue. Le sommeil le plus profond'ne change rien à la chose ; aussi
fice pour cause de « neurasthénie incu- rable ». Valeur propre du sommeil provoqué en psychothérapie. M. Bérillon. La val
ommeil provoqué en psychothérapie. M. Bérillon. La valeur propre du sommeil provoqué est à. la fois trop négligée et trop m
vice : ce sont, certains états intermédiaires entre la veille et le sommeil profond. Quand nous sommes déjà plongés dans un
la distraire. A d'autres points de vue 1 la sédation qui résulte du sommeil provoqué constitue un état favorable pour l'acc
quemment de limiter le traitement psychothérapique à des séances de sommeil provoqué. Ces séan- ces constituent des sortes
ès convulsif ne durait que 5 à 7 secondes pour aboutir à un profond sommeil , dont la ma- lade se réveillait guérie de sa mi
négatif de l'examen de l'organe visuel fait par un spécialiste. Bon sommeil . La malade se nourrit surtout de viandes. En sa
gt-quatre heures. Le lendemain, MmeL.. fut endormie. Peu. liant son sommeil , on lui fit une opération chirurgicale superfi-
hothérapie. La , par Gras- set, 57. - Voir Gastrite hysté- rique, Sommeil . Puerpéralité. Voir Grossesse. Purkinje. Voir
eige, 335. Sel. Influence du - sur le tra' voit, par Féré, 501. Sommeil . Crises de - hystérique, par Barbier, 226. Vale
59 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et l'homme sain ou malade n'ayant pas d'insomnie, ne produit pas le sommeil (Grasset, Laborde, Huchard), sauf peut-être lor
oix pulmonaire (Grasset); dans ce der- nier cas, on constaterait un sommeil léger, avec éveil i Grasset. In Seni. méd., 9 d
l'acétophénone EN aliénation mentale. 3 des sens. -Pour produire le sommeil chez les animaux, il faut employer des doses to
tophénone, employée à doses thérapeutiques, n'a jamais produit le sommeil , elle produit parfois ,un peu d'abattement et d
produit rapidement un état comateux qui n'a rien de commun avec le sommeil ; les différentes sensibilités et l'intelligenc
comme étant celui dans lequel ils se trouvent sous l'influence du sommeil . Il peut se faire que la maladie rende la cellu
e et cjàe cette substance produise dans ces conditions un véritable sommeil , sommeil qu'elle ne fait qu'ébaucher à l'état p
cette substance produise dans ces conditions un véritable sommeil, sommeil qu'elle ne fait qu'ébaucher à l'état physiologi
omme malade et atteint d'insomnie, cette substance peut produire le sommeil ; d'ailleurs, nous l'avons dit, les tentatives f
un (robs. XIV), parce que dans ce cas l'acé- tophénone a produit le sommeil . z Tous les malades sur lesquels nous avons exp
e, agitation musculaire diminuée, un peu de som- nolence, mais sans sommeil proprement dit. Quelques jours après, les chant
urs, soit en tout 1 gr. 20. Agitation muscu- laire diminuée, pas de sommeil . L'hémoglobine tombe de 12 gr. p. 100 à 10,5 p.
n cas (OBs. 1) ; dans tous les trois autres, il ne procure pas le sommeil , mais diminue l'excitabilité musculaire. Tandi
0 centigrammes. Ardeurs épigastriques au moment de la prise; pas'de sommeil , pas d'apaisement musculaire. OBSERVATION VII
xcitabilité a diminué, la malade a été plus obéissante, mais pas de sommeil . ' L'hémoglobine a chuté de 2,7 p. 100. Obser
, excitabilité moindre. De la tendance à la somnolence, mais pas de sommeil . Observation X. M"" Gal..., soixante-trois ans,
s doses variant de 15 à 30 centi- grammes ; on n'a jamais obtenu le sommeil ; deux fois apaise- ment marqué des cris et du t
liés à la manie; pas plus ici que là, l'acétophénone ne produit le sommeil ; elle produit seulement un apaisement de l'agi
ment a supprimé le parlottage peu à peu, mais n'a pas procuré le sommeil . Observation XII. M"" A..., quarante-quatre ans
ammes, en tout 1 gr. 20; cessation des perver- sions sensorielles ; sommeil peu profond, mais certain. Faible chute de l'hé
ation mus- culaire s'est produite, mais l'acétophénone a amené le sommeil . Nous reviendrons plus loin sur ce fait. Epilep
acétophénone a été absolument sans effet. Et cependant chez lui, le sommeil est facilement obte- DE L'ACÉTOPHÉNONE EN ALIÉN
mes d'acétophénone ne diminue pas l'agitation, et ne procure pas le sommeil . Démence par alcoolisme. Observation XIV.M""
alade prend pendant deux jours 30 centigrammes d'acétophénone, le sommeil bon, régulier, dure sept heures environ. Les deux
ifeste comme auparavant par des cris, du par- lottage, l'absence de sommeil . Pendant quatre jours on reprend l'acétophénone
es d'acétophénone, soit en tout 0 gr. 90. Pendant tout ce temps, le sommeil vrai n'a pas été obtenu. Les premiers jouis de
bserva- tions qui précèdent, l'influence de l'acétophénone sur le sommeil a été nulle, et seule la diminution de l'a- git
aire a été obtenue. Une fois (OBS. XIV) l'acétophénone a produit le sommeil et, dans ce cas, cette action ne peut être attr
tigrammes. La malade n'a plus que peu crié; aucune influence sur le sommeil . ' Observation XIX. - M. B..., trente-neuf ans,
15 centigrammes d'acéto- phénone dans le véhicule ordinaire. Pas de sommeil ; monolo- gues habituels. Observation XX. M""
nous n'avons réussi, par l'emploi de l'acétophénone, à procurer le sommeil aux malades que deux fois, DE L'ACÉTOPHÉNONE EN
nos expériences physiologiques, supprime ces sensations et amène le sommeil . Chez cette malade donc l'action somnifère de l
s doses sem- blables que M. Dujardin-Beaumetz dit avoir procuré e sommeil . En aliénation mentale donc, malgré l'espoir qu
e que, dans certains cas, l'acétophénone produit indirectement le sommeil en supprimant des sensations provenant d'organe
reux se sentit débarrassé de son tourment; il s'endormit d'un bon sommeil jusqu'au lendemain. A son réveil l'idée de mett
le mieux dormir. A son réveil, elle se plaignait grandement de son sommeil , qu'il eût été long ou court, et en ressentait
a tête (clou), exaspérée par le passage du peigne ; les troubles du sommeil (rêves, cauchemars, paroles, fatigue au réveil,
se produit souvent de très violentes secousses, mais pas pendant le sommeil ; son dire à cet égard est confirmé par les infi
lement ; enfin, dans la règle, elles paraissent cesser pen- dant le sommeil . En môme temps l'intelligence, la sensibilité,
ie de secousses. Dans ces cas, les secousses ont disparu pendant le sommeil ; pas tout à fait dans celui de Remak, et Lôwen
y compris la face ; conservation des réflexes cutanés. Troubles du sommeil . Phénomènes d'an- goisse. Vers la fin de la mal
allucinations ; il n'est pas rare de voir, après sa suppression, le sommeil revenir, les conceptions irrésistibles se mitiger
on et à la tête, se mord la langue presque à chaque accès. Après un sommeil de une à deux heures, il se réveille sans se so
ses hal- lucinations il ne répond pas. Midi. Torpeur Tendance au sommeil . 1 heure ? Agitation. Il piétine, se débat, rem
bres. 11 a l'aspect d'un homme qu'on veut faire sortir d'un profond sommeil , mais qui reste sourd aux excita- tions, et ne
horribles douleurs cau- sées par sa maladie. La douleur empêche le sommeil que procure seulement l'opium. Dans le cours
suffisante pour abolir la la douleur pendant la nuit et procurer du sommeil . Dans ce but, quelques grains ont été nécessair
869.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 423 des manoeuvres effectuées pendant le sommeil provoqué, il ne voit que des coïncidences ; d'a
Il termine en exposant que les contractures provoquées pendant le sommeil hypnotique par un expérimentateur inexpérimenté d
M. FÉRÉ ne trouve pas démontré que le vol ait été commis pendant le sommeil somnambulique. Les criminels, dit-il, ont déjà
ochas, il est facile de s'assurer si le sujet est ou non en état de sommeil somnambulique ou de suggestion hypnotique. S'il
60 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
unes, les hargneuses de nuit, lui glacent le sang, lui empêchent le sommeil ; les autres, les hargneuses de lieux d'aisances,
. II, p. I. TOUX HT BRUITS LARYNGÉS CHEZ LES HYSTÉRIQUES, ETC. 73 sommeil qui n'en est habituellement pas interrompu.- 2°
tion du bruit. ,Pas de chatouillement laryngé; aucun malaise; bon sommeil ,- bon appétit. Rien qui ressemble à des atta- q
sans cesse et sans trêve ; il ne disparaît que la nuit au moment du sommeil . Remarquez au moment de chaque* aboiement une l
rvalles à peu près. égaux, s'arrêtant seulement la nuit, pendant le sommeil ; cela a duré plusieurs mois. Je suis en mesu
ueuse buccale tantôt sous forme d'accès, tantôt à l'état permanent. Sommeil et souvent paroles impossibles. Intégrité des o
a soeur, âgée de huit mois. Quelques jours auparavant, profitant du sommeil de sa cousine, âgée de treize ans, il s'était l
doit au plus tôt l'isoler, en cellule. La crise se ter- mine par un sommeil semi-comateux, et au réveil, le malade ne se so
ent beaucoup. Au début, période de tristesse, d'apa- thie, perte de sommeil ; puis au bout de quelques jours, hallucina- tio
RICES. 207 mois elle a vieilli beaucoup, s'est amaigrie, a perdu le sommeil et l'énergie. Elle était au contraire travaille
ire de ces actes, l'amnésie plus ou moins complète qui les suit, le sommeil par lequel ils se terminent, l'ab- sence de mob
les plus divers. Chez les aliénés, il calme la douleur, provoque un sommeil paisible et diminue l'agitation. Son action ne
ances et à la quotité le tracé en est impossible. M. J. Steiner. Du sommeil hystérique. En voici deux observa- tions : Ob
e scène de famille, et aux approches de la menstruation, attaque de sommeil . Les yeux sont her- métiquemant feimés, les pau
ne se rappelle plus du tout ce qui s'est passé pendant la crise de sommeil . Nous constatons une anesthésie presque complèt
ents clioréiques disparurent, il ne se produisit plus d'attaques de sommeil . Observation II. Femme de quarante et un ans, r
uve dès les premiers mois de cette grossesse sa première attaque de sommeil qui depuis s'est renouvelée plus ou moins souve
la rétention d'urine. Appelé sur notre désir pendant une attaque de sommeil , nous constatons les mêmes phénomènes que chez
e malade; la pression sur la zone ovarique n'interrompt pas plus le sommeil que dans le premier cas, mais elle provoque des
tères sont ceux du premier cas. La malade raconte que l'attaque de sommeil s'annonce quelquefois par une bouffée de chaleu
e voulait appeler et ne le pouvait. Ultérieurement, les attaques de sommeil s'accompagnèrent de perte totale de connaissanc
cipité et l'absorption s'effectue immédiatement par l'esto- mac. Le sommeil a lieu d'ordinaire en quinze à vingt minutes. M
s, l'auteur passe en revue l'instinct de conservation, le besoin de sommeil et d'activité mus- culaire, l'instinct génésiqu
i fit les passes traditionnelles, et le patron vaincu tomba dans un sommeil dont le professeur lui-même n'a pu encore le ti
travaux interprétant les sciences et la médecine, entre autres : le sommeil et les rêves; la magie et l'astrologie dans l'ant
c résolution complète des membres, et semble tombée dans un profond sommeil - sa respiration à 27 - son poulsà66- sa tempér
un effet, l'immo- bilité persiste. Après une heure de durée de ce sommeil léthargique, cette jeune fille porte la main à
la journée avec sa gaité habituelle. 25. La nuit a été bonne, le sommeil calme. Elle se lève le matin avec son entrain d
résolution complète des membres, abolition des sens, apparence d'un sommeil calme et profond qui dure une heure comme la ve
lus manifestes. 292 ' ' clinique mentale. Après une demi-heure de sommeil , la jeune fille fait plusieurs grandes inspirat
sa voix et dit : Je vais dormir ! » , Aussitôt elle tombe dans le sommeil profond du début de la crise, avec résolution d
aison- nable. Jusqu'à 1 heure, tout est bien. A 1 heure, crise de sommeil léthargique copiée sur les précédentes, d'une d
it qu'elle veut se coucher, s'étend sur son lit, est reprise de son sommeil léthargique, et à 3 heures, se réveille après s
oir, deuxième crise comme le jour précédent. Après vingt minutes de sommeil léthargique, période d'agitation avec déclamati
é à ses volontés déraisonnables ; à 10 heures et demie, - retour du sommeil léthargique, réveil cinq minutes après dans ^un
à elles-mêmes, et invariablement intercalées entre deux accès de sommeil léthargique. Il n'y aurait donc nul intérêt à con
e supplémentaire, je dirais volontiers compensatrice, sous forme de sommeil somnam- bulique, qui survint pendant la nuit, a
sommeil somnam- bulique, qui survint pendant la nuit, aux dépens du sommeil normal. C'est ainsi que le 6 mai, l'accès de
ait pas la réveiller. Elle disait à voix basse : « C'est l'heure du sommeil de maman... Je ne dois pas faire de bruit... »
la périodicité des crises étant d'ailleurs toujours la même. Le sommeil léthargique du début qui durait d'or- dinaire d
éthargique qui précédait les crises, à cette différence près que ce sommeil ne 300 CLINIQUE MENTALE. durait jamais plus d
e l'émotion. Depuis son lever elle avait eu trois petites crises de sommeil léthargique de cinq minutes. Pendant le voyag
u matin, comme celles des jours précédents. La nuit fut bonne; le sommeil calme. J'avais, le matin, ordonné un bain sulfu
t de quelques petits accès léthargiques, qu'elle appelait son petit sommeil , qui lui revinrent de temps en temps jusqu'au 8
ait été sujet à des accidents épileptiques : c'étaient des accès de sommeil qui survenaient subitement; quelquefois des abs
insensibilités, très intéressant, est facile à constater pendant le sommeil hypnotique et à produire par des suggestions ap
rticulièrement intéressants à cet égard les chapitres consacrés aux sommeils pathologiques, à l'asymbolie qui comprend tous
es de Moscou, 253. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 467 Sommeil 111STÉflIQLE, par Steiner, 239. Somnambulisme
61 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
D'autre part, pourquoi l'incontinent nocturne, en admettant que le sommeil engourdisse sa vigilance à l'égard de son sphin
en effet de côté tous les incontinents tardifs et tous'ceux dont le sommeil présente des caractères pathologiques. Un fait
en effet, et qui a frappé la plupart des observateurs, c'est que le sommeil de beaucoup d'incontinents n'est pas normal. Le
TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 7 tiques, le sommeil lourd et profond, les autres ont le sommeil oni
UGGESTION. 7 tiques, le sommeil lourd et profond, les autres ont le sommeil onirodynique et agité des. hystériques. Déjà J.
hose se passe vraisemblablement chez les incontinents nocturnes à sommeil profond ; chez eux, le phénomène de la miction es
trôle de ce qui subsiste de la personnalité cons- ciente pendant le sommeil . Si comme le dit M. L. Guinon, le réflexe céréb
TIQUE. S'emparant de ces deux faits d'observation, la lourdeur du sommeil et les rêves mictionnels, M. J. Janet en a fait l
rais cauchemars qui se produisent dans la toute première période du sommeil et qui ont le caractère pénible des rêves des n
rs 1892.- Endormi par la fixation du regard aidée de la suggestion; sommeil profond avec oubli au réveil. Suggestion : « Il
z fort d'apparence, un peu pâle; n'ayant fait aucune maladie grave. Sommeil agité; il rêve beaucoup. Il pisse au lit depuis
le. Elle a été très propre de trois à dix ans. A partir de dix ans, sommeil agité, inquiet; il fallait la faire lever, sans
seulement depuis le 16 no- vembre. La mère me fait observer que son sommeil est devenu très calme. Elle dort de neuf heures
t de neuf heures du soir au matin sans se réveiller. Auparavant son sommeil était entrecoupé de rêves et elle se réveillait
ent de boisson (vin blanc), cependant la mère s'est aperçue que son sommeil était agité de rêves et lourd au point qu'on a
la réveiller. 31 décembre. Six nuits mouillées pendant ce mois. Le sommeil est meilleur et la suggestion est présente à l'
ur et la suggestion est présente à l'esprit de l'enfant pendant son sommeil car le matin elle est persuadée qu'elle s'est l
nence ne s'est pas reproduite. A noter cette présence, pendant le sommeil , de l'idée suggérée, qui lui fait croire le matin
aladies graves. Intelligent, il a déjà son certificat d'études. Bon sommeil sans rêves. Très altéré, buvant énormément, ce qu
95. Hypnose légère. Suggestion de ne plus uriner au lit, d'avoir un sommeil léger, sans rêves, de sentir le besoin d'uriner
éissance. Même suggestion. 23. Quatre nuits mouillées depuis le 16. Sommeil très lourd ; on a une grande peine à le réveill
e moitié et à peu près également des deux côtés. 8 décembre 1892. Sommeil accompagné d'amnésie au réveil et de phénomènes
ment qu'il lui arrive de se mouiller. Je lui suggère d'avoir un bon sommeil calme, sans rêves. 26 janvier 1893. Une seule n
on. Depuis le commencement du mois ça lui arrive souvent. Elle a le sommeil très agité : elle a des cauchemars, du vigilamb
de profondes cicatrices. En ce moment elle se porterait assez bien. Sommeil normal; elle rêve parfois tout haut de ses jeux
ts s'apaisent pendant le repos et cessent complè- tement pendant le sommeil . Si on fait marcher la malade (fig. 2 et 3), on
n extrême de la sensibilité à l'égard des bruits qui empêche tout sommeil ; une perpétuelle appréhension aboutissant soit' à
yant déterminé des foyers d'apoplexie. 3. M. Schultze. Les états de sommeil pathologiques et la nnrco- lepsie.-Chez une mal
ivit du manicome. On y lit qu'il se sentait comme éveillé d'un long sommeil tout rempli d'halluci- nations et d'idées délir
tion morbide légère survenue ou aggravée dans le cerveau pendant le sommeil . Elles sont compatibles avec un état mental sai
les douleurs. Rien d'anormal aux organes internes. L'appétit et le sommeil sont bons. Commencement du traitement le 5 ja
malade se plaint « qu'elle lui fait mal au roeur » et empêche tout sommeil , ce qui est d'une singu- lière exagération. Et
dématiée. Ayant en effet un matin, demandé à la malade, au cours du sommeil provoqué, si la main n'avait pas été d'un bleu
t parfois même de vomissements. L'état général n'est pas altéré; le sommeil est ordinairement assez bien conservé. Ii y a p
ature. Le fumeur d'opium éprouve d'abord de l'exci- tation, puis le sommeil , la lassitude, l'hyperesthésie de la peau. Il y
ggestible, et est mise, sur l'ordie qui lui a été donné, en état de sommeil hypnotique. Présentation de pièces. Cerveaux d'
é ? Crainte de dangers ? Désintéressement ? Importunité ? Etat du sommeil juste avant l'apparition du désordre mental ? A
ttitude... expression... Manières d'être... Seul... En compagnie. Sommeil . Examen psychique. Caractère et ses modificat
irréguiières y sont peu fréquentes. Le tremblement cesse pendant le sommeil , les mouvements intention- nels l'exagèrent. Zo
es du membre inférieur gauche, principalement la nuit, pen- dant le sommeil . 11 ne se produisit jamais de troubles trophiques
'une tumeur de la région antérieure : il note aussi une tendance au sommeil . Jastrowilz déclare qu'il est une forme de trou
en d'anormal aux organes thoraciques et abdo- minaux. L'appétit, le sommeil et l'état général sont bons. Commencement du tr
ni des faux pas. Rien aux poumons. Rien aux organes abdominaux. Le sommeil , l'appétit et l'état général sont bons. Commenc
la malade inca- pable d'aucun travail, la privaient complètement de sommeil . Ces accidents cessent brusquement. En févrie
fois en très peu de temps. Ils s'endor- maient ensuite, tantôt d'un sommeil profond, comateux, tantôt d'un sommeil léger et
maient ensuite, tantôt d'un sommeil profond, comateux, tantôt d'un sommeil léger et agité, preuve d'un certain degré de sure
. Quoique j'eusse quelque répugnance à interrompre avant matines le sommeil de nos frères, que j'avais envoyés se reposer c
illuminisme, se trouve, écrit M. Caro, dans une théorie complète du sommeil et .du 1'êve. Tous les systèmes mystiques ne so
isme de la vessie. Voici les raisons sur lesquelles il se base : le sommeil n'est pas le repos du système nerveux confiai exc
logique générale d'ordre végé- statif. Il comporte trois degrés; le sommeil ordinaire, le rêve et le somnambulisme. Les exc
uent en même temps le réveil. Dans le somnambulisme qui comporte un sommeil intense avec conserva- tion plus ou moins marqu
(Paris). Dévoile le présent, le passé et l'avenir, par le moyen du sommeil hyp- notique et des sciences occultes, par les
Sérieux, 67. - psychique de la province rhénane, par Sérieux, 70. Sommeil pathologique et narcolepsie, par Schultze, 71.
62 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ce cas, le retour de la sensibilité précède toujours l'invasion du sommeil . M. BÉRILLON. Ces considérations mettent de nou
ajoute enfin, 'Messieurs, que la santé générale était bonne, que le sommeil et l'appétit étaient normaux et qu'à part les s
disparaître de la vie à l'état de veille et alimenter les rêves du sommeil normal de la nuit; Cam... rêvait de sa belle-mère
les cuisses des tirail- lements fibrillaires ordinaires. Pendant le sommeil , les mouve- ments ne cessent point. Le début ai
vec succès, contre son gré et à son insu, par suggestion pendant le sommeil naturel. M. Paul FaREZ. - Un homme de vingt-cin
se de se laisser soigner d'aucune manière. La suggestion pendant le sommeil naturel est instituée à son insu. Les scènes vi
en refusent de se laisser soigner. Grâce à la suggestion pendant le sommeil naturel, ils peuvent, les uns et les autres, êt
e pendant cet élat d'hypotaxie physiologique périodique qu'est le sommeil naturel, la suggestion se montre aussi efficace q
Toutefois, dans les cas graves, il est indispensable d'ob- tenir le sommeil non seulement profond, mais prolongé, témoins l
C'est alors le triomphe de la suggestion impérative. D'ailleurs, le sommeil provoqué, à lui seul, sans aucune suggestion, e
de trente ans, neu- rasthénique et dyspeptique, dort, la nuit, d'un sommeil léger et particulier. Tandis que son corps repo
état de déséquilibration de l'axe encéphalo-médullaire. Or, dans le sommeil normal, et encore plus dans le sommeil provoqué
halo-médullaire. Or, dans le sommeil normal, et encore plus dans le sommeil provoqué l'équilibre des fonctions nerveuses te
se rétablir. C'est proba- blement par cette action physiologique du sommeil qu'on peut expliquer l'influence curative de l'
rôle cortical. C'est par une éducation bien dirigée que se règle le sommeil , la faim, la miction, la défécation, etc.. non
rent présente cepen- dant un grand intérêt, ce sont les troubles du sommeil . La nuit, dès que la malade ferme les yeux, se
étouffe, je suis mal » et tous les phénomènes qui caractérisent son sommeil ordinaire, et que j'ai décrits, se reproduisent
assé. Les rêves que nous avons décrits ne sont donc le fait ni du sommeil normal ni du sommeil hypnotique, ils sont étroi-
nous avons décrits ne sont donc le fait ni du sommeil normal ni du sommeil hypnotique, ils sont étroi- tement liés à l'ane
ception visuelle. Il n'y a donc pas, à proprement parler, veille ou sommeil , il y a un engourdissement des centres corticau
lier a donné le nom de vigilambulisme, le différenciant ainsi et du sommeil normal et du sommeil hypnotique. Ceci étant, co
e vigilambulisme, le différenciant ainsi et du sommeil normal et du sommeil hypnotique. Ceci étant, comment interpréter les
317 Reste à expliquer un fait qui pourrait militer en faveur d'un sommeil hypnotique : l'impossibilité de la malade à ouv
défiscience psychique et somatique qui ne peut être rattaché ni au sommeil normal ni au sommeil hypnotique et que M. Solli
e et somatique qui ne peut être rattaché ni au sommeil normal ni au sommeil hypnotique et que M. Sollier a différencié en l
, ne sont ni des manifestations somnambuliques ni des rêves liés au sommeil normal, mais des manifestations d'un état psych
depuis le retour de la sensibilité je n'ai plus observé ni dans le sommeil normal ni dans- le sommeil hypnotique les rêves q
sibilité je n'ai plus observé ni dans le sommeil normal ni dans- le sommeil hypnotique les rêves que j'ai signalés. REVUE
ruption, durent des semaines, des mois, des années, sauf pendant le sommeil où elles cessent généralement. Il en est d'autr
mettent à se soulever à tour de rôle. Agitation, pleurs fréquents, sommeil troublé; il arrive même que pendant le' sommeil
pleurs fréquents, sommeil troublé; il arrive même que pendant le' sommeil la patiente rie aux éclats, pleure; elle a eu aus
res du soir à 3 heures du matin; il s'endort ensuite d'un profond sommeil et se réveille sans rien se rappeler de ce qui s'
isposé. EPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 375 sommeil , de façon à ne pas le laisser, s'il rêve, trop lo
rose comme le résultat d'un phénomène d'arrêt, d'inhibition ou de sommeil des centres cérébraux. L'anesthésie est la marque
e temps se produit un autre phénomène caractéristique, le retour au sommeil normal, lequel était disparu depuis que les mal
it disparu depuis que les malades étaient plongés dans une sorte de sommeil patholo- gique. - L'auteur réfute ensuite les
re souvenir de cet acte automatique. De tout temps, du reste, son sommeil était agité, entrecoupé de rêves; ses parents l
urs après le début des menstrues, la prévenue perdit tout à fait le sommeil ; « il lui semblait voir constamment du feu aut
ots qu'il pronon- çait, il ne jouait plus et paraissait triste. Son sommeil resta bon.. On ne sait à quelle cause attribuer
amais de la tète. Ni grincements de dents, ni grimaces, ni tics. Le sommeil est bon, sans rêves, ni cauchemars, ni accès de c
bon, sans rêves, ni cauchemars, ni accès de cris; pas d'attaques de sommeil , pas de somnambulisme. Très peu de mémoire, pas
peu de maladresse et de nonchalance. Il n'a ni tics ni manies. Son sommeil est régulier, sans cauchemars ni hallucinations.
appent à l'influence de la volonté et persistent souvent pendant le sommeil . -e) Inexpres- sion de l'hémispasme; c'est-à-di
'irritabilité, une tendance mélancolique pronon- cée et, pendant le sommeil , des rêves pénibles et des cauchemars. Chez l'e
SAVANTES. 511 guérison survinrent à la suite de simples séances de sommeil . Donc l'hypnotisme, indépendamment de toute sug
- qnilibre fonctionnel entre le cerveau et la moelle épinière. Le sommeil normal rétablit l'équilibre; l'hypnose fait de mê
très peu accessibles aux suggestions. Des séances successives de sommeil améliorent assez vite leur état, et alors, la sug
es; dès lors, n'est-il pas rationnel de les soumettre à une cure de sommeil ? J'ai soigné un peintre déco- rateur atteint d
ait complète- ment de son état de confusion après une demi-heure de sommeil provoqué, en dehors de toute suggestion. De mêm
uccès, contre son gré et il son insu. par suggestion pondant t le sommeil naturel, par Farez, 178.. Aliénés. Les - en l
63 (1911) La pratique neurologique
. symptômes généraux (céphalée, vomissements, vertiges, tendance au sommeil ). ' Dans la forme chronique, plus fréquente, l'
pine) ou par imprégnation générale de l'organisme (opium, nicotine, sommeil chloroformiquc et même sommeil normal). Toutes
ale de l'organisme (opium, nicotine, sommeil chloroformiquc et même sommeil normal). Toutes ces substances, à l'exception d
un myosis comme une mydriase physiologique. C'est ainsi que dans le sommeil la pupille est en myosis. Certaines personnes o
ut subir certaines influences modératrices ou accélé- ratrices : le sommeil l'arrête; il augmente pendant l'examen du médecin
contre aussi dans quelques intoxications, par exemple à la suite du sommeil chloroformique. , Elle est. souvent l'indice d'
ou une manifestation cérébrale isolée. On l'observe aussi dans s le sommeil hypnotique et surtout au début de l'hypnose provo
ET COMA par le D MOUTIER Le coma (ro : u7.<o, je dors) est un sommeil morbide caractérisé par sa profondeur et sa per
chute immi- nente. Très souvent enfin, l'ictus survient pendant le sommeil . Quelques gémissements, du stertor le révèlent
ose (saturnisme). Diagnostic différentiel du coma. Le coma étant un sommeil mor- bide, ressemblera plus ou moins à tous les
issement des conva- lescents. Ces derniers donnent fréquemment d'un sommeil profond et prolongé; mais cet état réparateur n
n instant les attitudes imposées, et cependant cet état n'est ni le sommeil ni le coma. Il s'agit dune véritable inhi- biti
se. La léthargie, la catalepsie et 1" /¡ ! J/J110se sont encore des sommeils morbides, spontanés on provoqués. On constate d
ies graves, les méningites bacillaire ou à trypanosomes (maladie du sommeil ), etc. Dans ta genèse du sommeil hypnotique inter
aire ou à trypanosomes (maladie du sommeil), etc. Dans ta genèse du sommeil hypnotique intervient la suggestion. A côté de
général reste excellent pendant un laps de temps extraordinaire, le sommeil hystérique trouve sa place naturelle. On est souv
excitation d'une zone hystérogène, couper d'une crise convulsive le sommeil névropa- thique. . Il nous reste à écarter d'
n de rééduquer, s'il y a lieu, l'aphasique ou le para- lytique. ' SOMMEIL MORBIDE, INSOMNIE par le Dr MOUTIER SOMMEIL M
para- lytique. ' SOMMEIL MORBIDE, INSOMNIE par le Dr MOUTIER SOMMEIL MORBIDE Le sommeil normal est la suspension de
SOMMEIL MORBIDE, INSOMNIE par le Dr MOUTIER SOMMEIL MORBIDE Le sommeil normal est la suspension de l'activité cérébrale
s'accompagne jamais d'amnésie pour les événements antécédents. Les sommeils morbides présenteront donc à des degrés variables
variables des carac- tères opposés. Le degré le plus atténué des sommeils morbides est la somnolence, le plus accusé le c
lativement, cet état de torpeur, l'éveil est de peu de durée, et le sommeil reparaît. Cette somnolence s'observe au cours d
se, coupant un geste ébauché, s'observe au cours de la mala- die du sommeil (méninge-encéphalite diffuse à trypanosomes). Le
- die du sommeil (méninge-encéphalite diffuse à trypanosomes). Le sommeil est léger, facilement interrompu. Le malade demeu
ectuelle profonde. Le diagnostic est en général aisé. La maladie du sommeil présente une aire géographique particulière : les
un certain degré de myotonie, mais les troubles [MOUTIER.] 1 \10 SOMMEIL MORBIDE. , pupillaires font défaut. Insistons e
olente (Lesage et Alrami). Au début existent seulement les accès de sommeil , mais « peu il peu, la somnolence s'accentue, l
l'exciter. La somnolence; aboutit enfin aun coma profond ». ' Le sommeil , dans les tumeurs cérébrales, peut se présenter s
t des accès de somnolence passagère, soit de véritables crises d'un sommeil souvent intense, persistant plusieurs semaines
tous les caractères d'un signal-symptôme. Con- fondu jadis avec le sommeil hystérique, le sommeil symptomatique d'une ! né
un signal-symptôme. Con- fondu jadis avec le sommeil hystérique, le sommeil symptomatique d'une ! néoplasie cérébrale est s
re, contribueront il discerner l'étiologie précise. Ajoutons que ce sommeil symptomatique est un phénomène inconstant : on
e plusieurs types. Nous distinguerons, avec Raymond, des accès d'un sommeil normal ou presque : les malades se réveillent f
lence, une torpeur continues avec obnubilation au réveil. Enfin, le sommeil de plus en plus profond fait place au coma : le
rès impossible. On peut observer des phénomènes analogues (torpeur, sommeil ) au cours de la syphilis nerveuse; mais celte é
al, se reproduisant il des intervalles plus ou moins rapprochés. Ce sommeil impérieux est accom- pagne de ronflements; il p
e épileptiquc légitime; il en est le plus souvent un équivalent. Le sommeil est ici des plus profonds. ' Au cours des som
équivalent. Le sommeil est ici des plus profonds. ' Au cours des sommeils morbides que nous venons de passer rapide* ment
en un mol. Dans une série de faits tout différents, la période; de sommeil n'est nulle- ment une période de repos absolu.
u moins, présentent une certaine activité. Il en est ainsi dans les sommeils artificiels observés chez les hystériques. Ces
és chez les hystériques. Ces états morbides sont en effet moins des sommeils que des manières SOMMEIL MORBIDE. 1 fH d'exis
états morbides sont en effet moins des sommeils que des manières SOMMEIL MORBIDE. 1 fH d'exister ou de vivre différentes
re eux ont-ils été ajuste titre qualifiés d' « états seconds ». Ces sommeils artificiels peuvent se, grouper en deux séries, s
n qu'ils s'accompagnent ou ne s'accompagnent pas d'ambulation. Le sommeil sans aazbulotioa2 s'observe chez les hystériques
les hystériques ainsi que dans les états cataleptiques associés. Le sommeil hystérique survient chez les prédisposés par l'
le plus souvent. 11 existe; parfois de la suggestibilité pendant le sommeil . La durée de ce dernier peut être de quelques m
ucement, mais une crisc convulsive la marque le plus souvent. Les sommeils avec aanbaclatioz sont de deux ordres : spontanés
isme est un état morbide de l'enfance et de l'adolescence. C'est un sommeil , c'est-à-dire un état d'obnubilation intellectu
iété n'aient troublé l'équilibre nerveux du sujet. Au milieu de son sommeil , le dormeur marmotte, mâchonne, puis se lève, v
êve. L'hypnose n'est autre qu'un somnambulisme provoqué. C'est un sommeil artificiel obtenu par suggestion. On l'obtient so
une volonté étrangère (suggestion propre- ment dite). Les effets du sommeil hypnotique ont été classés un peu artificiellem
tôt, pour se rendormir avec une difficulté plus ou moins grande. Ce sommeil coupé se trouve d'ailleurs INSOMNIE. : 195 re
strique). Un grand nombre d'affections aiguës chassent également le sommeil . Dans un certain nombre de cas, l'éréthisme ner
. Ajoutons que certains individus ne peuvent parvenir il trouver le sommeil parce qu'ils ont peur de ne pouvoir s'endormir,
continuation pendant l'état de veille d'un rêve commencé pendant le sommeil ; cette variété de délire s'observerait assez s
ples circonstances, dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil (hallucinations hypnagogiques), il la suite de
emment conseillé aux mélancoliques. Il diminue l'anxiété, permet le sommeil , atténue les hallucinations. On administre le c
1. milligramme de chlorhydrate d'hyoscine amène plusieurs heures de sommeil . Chlorhydrate d'hyoscine........... centigramme
ement vive, tenace, arrache des cris au malade et lui interdit tout sommeil . La [ROUSSY.] ] 5C8 SENSIBILITÉ. céphalée,
sexuel ; besoins instructif et acquis, et enfin besoins d'inaction ( sommeil et repos). Chacun d'eux peut être diminué ou ex
eux serviettes Feix place le malade sur le flanc dans l'attitude du sommeil . Tous ces moyens peuvent vaincre une contractio
ntn. Neurolog. Cbl., 1S : )0, p. 85. ICROUZON] 156 RÉFLEXES. le sommeil , en un mot par toutes les conditions qui diminuen
aire au cours de l'anesthésie chloroformique. Horsley a vu, dans le sommeil profond produit par le protoxyde d'azote, les r
réflexes profonds tels que le réflexe rotulien persistait. Dans le sommeil chloroformique, au contraire, tous les réflexes
upière se ferme brusquement. Ce réflexe palpébral disparaît dans le sommeil chioroformique, il disparaît également dans le co
se terminer à midi. Souvent même l'instauration se fait pendant le sommeil et le malade se réveille complè- tement paralys
rifice palpébral dans les conditions normales sans effort, comme le sommeil , le clignement; la portion orbitaire de l'orbicul
; fréquemment elle est causée par la compression du nerf pendant le sommeil , surtout le sommeil de l'ivresse. Le froid est
st causée par la compression du nerf pendant le sommeil, surtout le sommeil de l'ivresse. Le froid est souvent incriminé co
convulsions toniques, de convulsions cloniques, de stertor suivi de sommeil . La torpeur consécutive est moins longue et moi
pileptoïdes, aux attaques démoniaques, d'extase, de syn- cope et de sommeil , etc. - Le diagnostic différentiel entre la cri
de la paralysie générale. Ce tremblement ne s'efface que pendant le sommeil , à l'état de veille, il persiste tout le temps,
renouvelant incessamment ou par accès et s'interrompant pendant le sommeil . Ce mot de chorée ou de mouve- ments choréiques
nt le jour et qui disparaissent, comme nous l'avons dit. pendant le sommeil ; ils sont exagérés par les émotions et cessent
néral : contractions invo- lontaires, continues, cessant pendant le sommeil , passant d'un muscle à l'autre, irréguliers et
que; elles s'exagèrent par les émotions, elles cessent pen- dant le sommeil et sont arrêtées par la volonté. ' Les contract
organiser en véritables paroxysmes, elles disparaissentpén- dant le sommeil . Il n'existe aucun trouble des réflexes ni de la
tinus et persistent pendant le repos et quelquefois même pendant le sommeil , mais cependant ils diminuent en général d'inte
s ne cessent pas complètement, ni pendant le repos, ni pen- dant le sommeil , mais ils s'exagèrent par les émotions et par les
ci des II/Olllents dil'e1'S» (Jleige). Le tic disparaît pendant le sommeil : cette règle est absolue pour Brissaud et Meig
de la tête et du tronc chez les enfants n'existant que pen- dant le sommeil . Les tics peuvent apparaître il tout âge, excep
tant que pendant le som- meil. Soc. nuécl., Bordeaux, 1904. Tics et sommeil . Presse l/léd.,1 -lu0a. Sur deux cas de lies eo
l/léd.,1 -lu0a. Sur deux cas de lies eonvulsifs persistant dans le sommeil . Soc. de lIe1l/'ol., 19011. - Ilyllnnies d'habi
s le sommeil. Soc. de lIe1l/'ol., 19011. - Ilyllnnies d'habitude du sommeil cticx l'enfant. Soc. méd" bordeaux, 1900. [A. L
; exagération par la lecture et l'écriture ; disparition pendant le sommeil . Inhibition momentanée par la volonté, la distrac
cer pour les endormir, persisteraient ou se produiraient pendant le sommeil (Cruchet). Certains tics du tronc, toniques, se
satisfaction consécutive; il ne se suspend pas toujours pendant le sommeil ; il est parfois douloureux, parfois accompagné
nt pas déformantes ou para- dovales, elles disparaissent pendant le sommeil (Charcot, P. Marie, Babinski, Lannois, Porot) ;
itant, Cruchet distingue : 1° des rythmies essentielles à l'étal de sommeil , soit que, existant déjà pendant la veillc, ell
e, existant déjà pendant la veillc, elles se prolongent, pendant le sommeil , soit qu'elles n'apparaissent que dans le préso
sommeil, soit qu'elles n'apparaissent que dans le présommeil ou le sommeil ; 2" des rythmies SYmptomatiques. La régularité
nction- nellement systématisées ; la volonté les inhibe parfois, le sommeil les fait disparaître. Il est probable que la de
a vie végétative, généralement déséquilibrés chez les tiqueurs ; le sommeil , la faim, la miction, la défécation, etc., peuv
ie, fièvre typhoïde, méningites aiguës, tétanos, urémie, maladie du sommeil (Sicard et Moutier), granulie, hémor- ragie cér
ces cas, la dyspnée se produit sans cyanose et disparait pendant le sommeil . TACHYCARDIE On appelle tachycardie l'accélér
ui la rappelle, de l'eau qui s'écoule par exemple. C'est pendant le sommeil lé plus profond que l'acte s'accomplit; il ne rév
, les enfants qu'éveille à moitié le besoin d'uriner au milieu d'un sommeil profond, niais qui ne font pas un effort suffis
il ne résiste pas à une pression intravésicale si, comme pendant le sommeil , la volonté n'est plus là. Le diagnostic en est
isage est pale, le malade lipolhyniique. Après la crise survient un sommeil prolongé, et tout est fini au réveil. II s'agit
alades ont des crises d'aérophagie nocturne, sur- venant pendant le sommeil : ils se réveillent soudain ballonnés, élreints
contrer dans des états plus ou moins voisins dn coma, dans certains sommeils morbides tels qu'en peuvent déterminer les tume
hies ; enfin alors que la contracture hémiplégique persiste dans le sommeil naturel ou dans le sommeil chlo- roforrniclne,
ontracture hémiplégique persiste dans le sommeil naturel ou dans le sommeil chlo- roforrniclne, la contracture hystérique c
és par l'émotion, calmés par la distraction : ils cessent dans le sommeil . Dans lhénii-athélosc post- hémiplégique infant
t très rares. La somnolence, contrairement à celle de la maladie du sommeil , n'est pas uniquement diurne et n'alterne pas a
ennes considérables (cràne en tour). Comparaison avec la maladie du sommeil , les syndromes néopla- siques et hémorragiques.
mmatoire ressemble étrangement au tableau clinique de la maladie du sommeil qui, à côté de lésions méningo-encéphaliques di
perle de connaissance et raideur de la nuque ('); de la torpeur; un sommeil irrésistible et quelques idées de suicide. L'évo-
mpression modérée et transitoire des nerfs, la paralysie radiale du sommeil , par exemple, (exceptionnellement on rencontre
ccentuée, comme on l'a observé dans des cas d'ivresse profonde avec sommeil prolongé). Ces paralysies sont habituellement l
l'appétit, stimulerait les fonctions digestives, régulariserait le sommeil , combattrait les phénomènes de dépression ou de
ig. Voy. Aet ? du peaucier, 419. Solaires (Syndromes -), -1001. Sommeil (Maladie du -), 189. - morbide, 189. - dans les
- cause et sans but, involontaire, 878. disparaissant pendant le sommeil . - Début, évolution, 879. - Variétés. Tics de
e ventriculaire. Evolution, zou. - Comparaison avec la maladie du sommeil , les syndromes néoplasiques et hémorragiques, 1
64 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
recouvrant de sa robe de chambre. Il ne manifeste aucun intérêt. Le sommeil est pas- sable, l'appétit aussi. Le malade fut
X. Des modifications subies par l'écorce du cerveau pendant z le sommeil , par W.-\l. 1V.1RBOUTTE (Obozrénié psichiatrii, V
sillon crucial; puis, après,les avoir laissés reposer, pendantleur sommeil on leur extirpe brusquement, par cette ouvertur
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. Pendant le repos (du sommeil ) se manifeste l'aspect monili- forme des dendri
sommeil) se manifeste l'aspect monili- forme des dendrites; plus le sommeil est profond, plus net est cet aspect. Il est dû
as un hypnotique, à proprement parler, mais elle ramène toujours le sommeil chez les mélancoliques et chez les anxieux, en
s Voisin. Séance du mardi 20 octobre 1903. La suggestion pendant le sommeil naturel. 'M. Wiazemsky (deSaratow). La suggesti
ommeil naturel. 'M. Wiazemsky (deSaratow). La suggestion pendant le sommeil naturel, d'après la méthode Paul Fartez, m'a pe
d'angoisse, terreurs non motivées, etc. Cette suggestion pendant le sommeil naturel trouve son application dans le traiteme
psychothérapie, devraient, au lieu de prétendre obtenir d'emblée le sommeil hypnotique, s'essa- yer à transformer le sommei
btenir d'emblée le sommeil hypnotique, s'essa- yer à transformer le sommeil naturel en sommeil hypnotique. Eoel'é1'iences d
sommeil hypnotique, s'essa- yer à transformer le sommeil naturel en sommeil hypnotique. Eoel'é1'iences de psychologie médic
e avec son polygone et crie Eurêka avec son 0 1. » De même, dans le sommeil , c'est le centre ? qui se repose : le psychisme
science nette, et à une certaine torpeur du centre intellectuel, le sommeil de la conscience. Mais, encore une fois, nous p
otre premier article. - Nous employons les mots habituels : dormir, sommeil hypnotique..., bien que ces termes soient impro
: « Comment le coup de gong de la Salpêtrière donne-t-il l'idée du sommeil à un sujet qui l'en- tend pour la première fois
des métaux, de l'allochirie provoquée par la suggestion pendant le sommeil hyp- notique (Bosc). Ne regarde-t-on pas actuel
serve le plus souvent; 10° excès sexuels, habitudes irrégulières de sommeil et d'alimen- tation, insolation, traumatismes c
tte substance procure aux insomniques les plus rebelles un très bon sommeil , mais elle cause des accidents tels que vertige
assez difficiles à hypnotiser et la suggestion ne réussit que si le sommeil est très profond. Le trai- tement se prolonge p
ns leurs 1 VASCUI ? E et VURPAS. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil : Le sommeil dans la paralysie faciale, in Revu
SCUI ? E et VURPAS. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil : Le sommeil dans la paralysie faciale, in Revue Neurologique,
e motif, et des actions sans but. Au début l'appétit est faible, le sommeil troublé et il y a quelquefois des troubles trop
vent se modifier considérablement dans divers états physiologiques ( sommeil , rêve, état hypnotique, etc.). Pourquoi l'exagé
ment à l'évolution orga- nique et psychologique de l'individu. Un sommeil de dix-sept ans. M. Paul FAMz rapporte l'observ
t des événements antérieurs à cette période. Pendant le cours de ce sommeil , elle ne fut point anesthésique totale, comme p
atisme et perdit son procès. Il devint méchant, agressif, perdit le sommeil , finalement on fut obligé de le mettre en traitem
lucinations terrifiantes de la vue très nettes : Vision pendant son sommeil de précipices dans lesquels il allait tomber, d
pendant trois ou quatre mois. Hallucinations de la vue, perte de sommeil et d'appétit. Dans les derniers temps qu'il a p
l'ensemble des symptômes du delirium tremens. Le 26, après un long sommeil tout rendre en ordre et le 16 juin la malade fu
si difficiles de la psychiatrie. Il. de 11u=cwvr-Cnar. XXIII. Le sommeil dans ses rapports avec les narcotiques dans le
Journal of Mental Science, juillet 1902). L'auteur se demande si le sommeil provoqué par les narcotiques est aussi réparate
le sommeil provoqué par les narcotiques est aussi réparateur que le sommeil naturel, et si le soulagement du symptôme insom
rations, sans vouloir toutefois aborder la question des théories du sommeil , sur la nature du sommeil et ses rapports avec d'
efois aborder la question des théories du sommeil, sur la nature du sommeil et ses rapports avec d'autres états d'inconscie
sont d'accord c'est l'anémie artérielle du cerveau dans l'état de sommeil ; elle est consécutive à la dilatation générale d
ux périphériques (spécialement de ceux de la peau) qui pré- cède le sommeil . Le résultat de la comparaison laite par l'auteur
sommeil. Le résultat de la comparaison laite par l'auteur entre le sommeil et d'autres états d'inconscience se résume ainsi
sommeil et d'autres états d'inconscience se résume ainsi : dans le sommeil il y a inconscience sans insensibilité; dans le
(l'auteur préfère ce mot qui ne précise rien à ceux d'hypnose ou de sommeil hypnotique) il y a trouble à la fois de la cons
à trois états psychiques qu'il faut se garder de confondre. Dans le sommeil naturel, toutes les fonctions, la conscience ex
onctions, la conscience exceptée, conservent leur activité. Dans le sommeil dû aux narcotiques, la nutrition est très sensibl
emploi prolongé sur l'orga- nisme : on sait aussi que le réveil du sommeil provoqué par l'opium est loin de s'accompagner
ne grande sensation de dépression. Le contraste entre les effets du sommeil et de la narcose sur la cellule nerveuse est part
de Thenelles qu'il a suivie et soignée pendant ses vingt années de sommeil . Il s'est agi d'un sommeil hystérique, survenu
e et soignée pendant ses vingt années de sommeil. Il s'est agi d'un sommeil hystérique, survenu à la suite d'une impression
bolition du souvenir des faits ayant précédé de plusieurs années le sommeil , et principalement deceux approchant la crise ini
elle ne s'est rien rappelée de tout ce qui s'est passé pendant son sommeil ; il n'en résulte pas SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 q
e, dont je rapportais récemment l'observation. Elle est sortie d'un sommeil hystérique qui durait depuis dix-sept ans et so
faclifs. Des modifications subies pol' 1'- du cn-vrau neiidant le sommeil , par NalbounP, 53. Vmr Cez'aelel. Queiques cnra
de Moscou, séance du 20 septembte 1902, par 111ouravielT, 261. Sommeil . Contribution à la ques- tatou de la théorie hi
65 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
arrachent par moments des gémissements au malade, et le privent de sommeil . Les cuisses sont devenues douloureuses comme l
reproduisent parfois très fréquemment; une émotion les ramène : le sommeil , qui est très bon, les fait cesser complète- me
contorsions variées. Tous ces mouvements disparaissaient pendant le sommeil . La croissance se faisait régulièrement, bien q
ochés, toutes les deux, trois minutes, et ne cessent que pendant le sommeil qui est très bon. Ils augmentent d'intensité et
tous les muscles. Il y eut des périodes d'excitation telles que le sommeil qui, généralement était bon, en fût troublé et
us incompréhensibles par un effort intense de volonté. Pendant le sommeil , les mouvements spasmodiques cessent complèteme
antôt dis- paraissent complètement sans laisser de traces, après un sommeil de vingt-quatre heures, tantôt se transforment
ents psychiques ainsi que dans les intéressantes relations entre le sommeil et les psychoses ; 23° Quelques observations no
estion buccale, on obtient, à l'aide d'un minimum de ri grammes, un sommeil de 4 à 10 heures; cette dose chez les individus
un lapin, par la méthode des inhalations, deux à trois heures de sommeil . P. K. 111. Observation sur une action remarqua
ômes. En employant des courant faibles, on peut arriver à rendre le sommeil aux psychopathes, à les débarrasser des sensati
il ne faisait pas d'excès alcoo- liques, manquait d'appétit; et son sommeil était traversé par des rêves pénibles. Quinze j
pour elle. Tous les soirs, il met un couteau sous son oreiller. Son sommeil est fréquemment interrompu et, cherchant une ca
s quelque chose d'extraordi- naire dont l'influence le priverait de sommeil . Il y quelques mois, pendant une soirée pluvieu
ations de résistance qu'on perçoit chez le même sujet, en dehors du sommeil chtoroformique. mais s'abandonnant complètement
s les idées, mobilité de l'humeur, actes délirants. Le 10 novembre, sommeil prolongé et profond; la malade ne de- meure que
mme dérivatif à l'égard de la circulation crânienne, et produire le sommeil , l'auteur a employé les compresses aux mollets.
ons durent dix minutes; la jambe gauche y participe; deux heures de sommeil terminent l'attaque. Jamais d'agitation. A part
. Il a, pour les malades de son établissement, tracé des courbes du sommeil accompagnées des inscriptionsconsignantles répo
s laborieuses presque impulsives et disconti- nues, des troubles du sommeil , de la constipation, de la lenteur, et de la fa
otique, en dilninuantl'exci talion cérébrale; celle-ci diminuée, le sommeil survient spontanément. Pour obtenir ceteffel, i
occupations délirantes, des idées fixes. La lassitude, le besoin de sommeil , la lourdeur des membres, qui parfois se montre
ts facteurs; parmi ceux-ci, il n'en est pas de plus puissant que le sommeil . Non seulement elles cessent complètement penda
s ma- lades nous ont dit, que pendant la nuit, ils dormaient d'un sommeil de plomb dont il était très difficile de les 17
ordination paraît avoir, à diverses, reprises per- sisté pendant le sommeil ; mais il y avait là un élément morbide surajout
ce. Les fonctions de nutrition ne s'en exécutent pas moins bien, un sommeil réparateur venant, avons-nous dit, suppléer pen
, son â;ze, etc., il ne se rappelle pas la date de son entrée '. Le sommeil est lion. Le dynamomètre donne à gauche 38, à d
uis le mois d'août, et de DU CURARE DANS L'ÉPILEPSIE. 215 plus le sommeil est agité par des cauchemars, des peurs et cela
t tranquille. C... ne se dispute jamais : se lient bien à table. Le sommeil est généralement bon, mais il lui arrive assez
nt semblables; il faut que les conditions d'activité musculaire, de sommeil , de milieu, etc., soient les mêmes dans les deu
oles bizarres, éjacule s'endort et s'en va après quelques heures de sommeil sans mot dire. Ces visites se répètent tous les d
ït. Il se couche après ne se réveille qu'au bout de douze heures de sommeil , et ne se souvient plus de ce qui s'est passé a
u commencement par une légère excitation, une perte d'appétit et de sommeil , un besoin de loco- motion et un grand désir de
Assez faible physiquement : état d'excitation comme la veille. Bon sommeil . La température rectale à dix heures du matin 3
s du soir, 37°, 1. Du 25 au 28 mars, la malade dormit peu et d'un sommeil agité elle mangea mal, ne prit que du lait et d
indre, les forces sont épuisées. Depuis le 28 mars, l'appétit et le sommeil sont meilleurs; une amélioration sensible se pr
ans son état physique et psy- chique. Avril. 1-3. L'appétit et le sommeil sont bons; la malade com- mence à quitter le li
convulsions ; elles ne cessent cependant pas absolument pendant le sommeil . Aucune anomalie de la sensibilité, pas d'anoma
présente la rigidité d'un bâton. Cette raideur disparaît pendant le sommeil et au repos. Sensibilité tout à fait normale; i
nétisme animal, étude critique et expérimentale sur l'hypnotisme ou sommeil nerveux, provoqué chez les sujets sains , létha
66 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ccidents disparaissent rapide- ment après une nuit tranquille et un sommeil profond. La leçon clinique de Trousseau', si re
ation de lourdeur très prononcée dans la tête. La nuit suivante, le sommeil est assez bon et, le matin, les mêmes accidents
complétées par le médecin. Quelle est l'influence de l'ozone sur le sommeil ? Près de 2,000 observations individuelles (neu
erce tantôt une action excitante, tantôt une action paralysante. Le sommeil dépend, dans une forte mesure des autres condit
120 SOCIÉTÉS SAVANTES. durée. Plus tard encore, elle présenta un sommeil non interrompu de quatre semaines, sans qu'elle
r électrique. Toutes les nuits, il était agité, bruyant et privé de sommeil . C'est dans cet état qu'il entra à l'hôpital. A
çait, je croyais devoir l'attri- buer à la privation continuelle du sommeil , à l'agitation, aux cris et à l'accélération de
iment, et on remarqua chez lui de l'hébétude et de la ten- dance au sommeil . A la suite d'une saignée abondante qui lui fut
. Erections très fréquentes et très gênantes depuis 1871 pendant le sommeil ; depuis huit mois, elles ne s'accompagnent plu
repas, le retour à la santé fut obtenu en six semaines environ. Le sommeil était bon ; le malade avait repris sa force et se
une opération. Une tante paternelle, à la ménopause, est prise d'un sommeil qui ne s'accompagne pas de phénomènes convulsif
e datant déjà d'environ huit ans devient très forte et prive de son sommeil la malade chez laquelle il parait se réaliser u
dysorexie et d'une soif insolite; le 26 matin, elle déclare que son sommeil n'a pas été aussi bon que celui des nuits antéc
e malade peut déplacerses ? articles envahis et a dormi de meilleur sommeil , les manifesta- tions neuro-musculaires ont gra
sition qui se lie à l'activité; la fatigue céré- « brale produit le sommeil ; pendant le sommeil, le cerveau se re- . « pos
'activité; la fatigue céré- « brale produit le sommeil ; pendant le sommeil , le cerveau se re- . « pose, c'est-à-dire se ré
quelquefois de se pencher brusquement comme s'il allait tomber. Le sommeil est bon. Toutes les fonctions s'accomplissent b
ontraction totale. Les phénomènes musculaires persistent pendant le sommeil . PendantJa narcose chloroformique, une excitati
élioration, à raison de la suppression de l'action de la pesanteur; sommeil et appétit aussi bons qu'aujourd'hui. En 1875,
voici les différences que l'on doit consigner entre le sopor et le sommeil normal, jugées à la lumière de l'observation sui-
cutanée; c'est au beau milieu de cet état que sur- vient un soir le sommeil ; alors cessent les mouvements automa- tiques ;
ues ; pupilles étroites, mouvements des globes oculaires propres au sommeil 1; si on excite fortement la sensibilité de ce ma
ements automatiques reparaissent; au bout de quelque temps, nouveau sommeil ; le joursuivantper- sistance de l'état d'obnubi
le coma qui, au point de vue symptomatique, ne se distingue pas du sommeil si ce n'est par l'impossibilité où l'on est de
y constate du myosis et les mouvements continus des yeux propres au sommeil (par absence d'excitation du bulbe), de la dimi
ues- tion du sopor, derrière la résolution comateuse semblable au sommeil . La nature des phénomènes d'excitation d'ordre
teur permet encore une distinction fondemautale entreie sopor et le sommeil . Ces phénomènes d'excitation des centres inféri
e grande partie du déficit foiic- tiorznel r noté dans l'espèce. Le sommeil , au contraire, résulte d'une interruption de la
M. Rieger a observé surtout des phénomènes psychiques pendant le sommeil hypnotique, quand M. Heidenhain a pu imiter les
ajouter un très grand nombre. Est-ce qu'il y a plusieurs formes du sommeil hypnotique où peut- être les expérimentateurs o
omènes, une très impor- tante question est de savoir si, pendant le sommeil hypnotique, ou au moins pendant une de ses phas
n corticale n'est pas abolie, parce que l'individu qui se trouve en sommeil léthargique peut, au moins dans une grande part
ctibilité des systèmes d'association était plus grande pendant le sommeil ordinaire. Cette irritabilité est à peu près ét
impression par l'ouïe ou par la vue, ils sont accablés très vite de sommeil . L'exagération du réflexe du premier ordre prod
ugmentation du réflexe du deuxième ordre peut être observée dans le sommeil hypnotique (quelquefois aussi dans d'autres cir
nhain et Bubnoff. Tout cela met en évidence que les phénomènes du sommeil hypnotique procèdent d'une fonction, quoique mo
e n'eut pas d'accidents nerveux,- elle eut du moins des troubles du sommeil , dont on ne se préoccupa pas. A treize ans les
ïde dont nous venions d'être témoins, l'avait engagée, en dehors du sommeil provoqué, à faire appel du jugement du tribunal
si, l'emploi judicieux de l'électricité est « propre à provoquer le sommeil . » Dans ce travail, M. de Watteville n'a fait a
que cet esprit pénètre chaque nuit auprès d'elle et lui enlève tout sommeil . «L'hilarité des assistants coupe la parole à l
67 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns visuelles s'accompagnant d'agitation nocturne et de trouble du sommeil . En juillet 1892, la malade alla consulter le Dr
l'infraction des liens entre différents neurones. Même pendant le sommeil , alors que l'écorce cérébrale entière est plongée
sus-mentionnée entre les prolongements des cellules nerveuses. Le sommeil amène un relâchement général de la vibration mo
qu'en état de veille ; et bien qu'il ne se pro- duise pas durant le sommeil de disjonction de la chaîne nerveuse, il est pr
ne, au bout d'un temps variant d'une demi-heure à quatre heures, un sommeil calme, d'une durée de six à neuf heures. Ce m
t faradique. La nuit du vingt- six octobre la malade eut pendant le sommeil un accès très fort d'asthme et resta pendant tr
aits observés le démontrent, sauf deux pourtant, la conservation du sommeil et l'âge, plus. avancé que celui où l'on observ
ain. 4° Jeune homme. Quelques attaques convulsives puis crises de sommeil profond et durant trois jours de suite. Ensuite s
grâce à l'af- fluence continue d'eau chaude ( ? ). Après le bain un sommeil bien- faisant calme l'agitation. Se réveillent-
s, cet automatisme débute brusquement et se termine par un. état de sommeil et d'épuisement plus ou moins profond toujours
ommeille plus simplement du monde. Ils l'invitent à s'endormir d'un sommeil analogue à celui de la nuit. Ils lui vantent le
créer lorsqu'elle fait défaut. Ils tiennent au sujet plongé dans le sommeil provoqué le même langage que d'autres lui adres
osologie ? 11 appartient au psychothérapeute de - doser la durée du sommeil provoqué, l'intensité de la suggestion, d'en va
lasses de la société, huit sont susceptibles d'être plongés dans le sommeil provoqué dès la pre- mière ou la seconde séance
l'opinion courante, les difficultés pour provoquer chez l'enfant un sommeil réel sont d'autant plus grandes que l'enfant pr
elle avait une autre fois déjà éprouvé les symptômes et sentant le sommeil venir elle s'était réfugiée dans la cave le 20
ont violentes quand on lui refuse ce qu'il demande. Cris fréquents, sommeil agité. Le début de l'affection qu'il présente a
ro-traumalique. J'essaie, mais en vain, de plonger l'enfant dans le sommeil hyp- notique. A ma seconde visite, je lui fais
ident, ou plutôt on ne remarqua rien, l'enfant semblait dormir d'un sommeil profond et calme. A-t-elle eu des convulsions ?
mal. Cris aigus, qu'on peut entendre au loin venant entre-coupcr un sommeil agité : respiration régulière, pupilles égales; l
; aucune amélio- ration ne se fait sentir. La suggestion pendant le sommeil hypno- tique ayant si bien réussi chez tous les
sibilité absolue malgré des tentatives répétées. Je lui fais - sans sommeil de la suggestion avec un médicament quelconque
a suggestion chez les hystériques en bas âge, même faite pendant le sommeil hyp- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. notiqu
lus tard, le paroxysme revient, mais moindre, et finalement profond sommeil calme. Durée totale 328 REVUE DE PATHOLOGIE NER
n'est pas seulement caractérisée par une tendance à des attaques de sommeil hystérique, qu'elle est bien plutôt l'expression
n emploiera la dyna- mogénie-suggestive, complélée au besoin par le sommeil provoqué. Pour les malades du groupe A, la méth
ent nerveux. A quatorze ans, après une tentative de viol, crises de sommeil , aboiement nerveux, accès convulsif. Poir..., s
ndormie, sa maîtresse a beau- coup de peine à la faire sortir de ce sommeil . Les étouffements. qu'elle a présentés à sept a
Crises d'hystérie. Convulsions toniques, cloniques sans aura, sans sommeil consécutif. Hérédité maternelle et paternelle.
er à la couture. Sa maîtresse, après le déjeuner, déclare qu'elle a sommeil : « J'ai également sommeil, » dit la fillette. A
se, après le déjeuner, déclare qu'elle a sommeil : « J'ai également sommeil , » dit la fillette. A peine a-t-elle prononcé c
Estelle pour la remettre au travail, impossible de la tirer de son sommeil ; c'est à ce moment qu'on m'appelle dans la chamb
complète. Je lui parle à l'oreille, elle ne répond pas. C'était du sommeil hystérique. Après une heure d'un calme com- ple
ent indispensables; alors voici ce que la fillette raconte dans son sommeil : « Tu as perdu la clef de ta caisse (quand ell
ériences. J'ai assisté cette malade durant cinq ou six crises de ce sommeil ' Les paupières ne formaient nullement écran de
tacles. Elle cite des faits dont elle n'a nulle souvenance après le sommeil , telle l'histoire de la clef que j'ai rapportée
s'adresse qu'à la seconde enfance, car dans la première enfance le sommeil hypnotique ne me semble guère facile à obtenir;
de délire généralisé, etc., la paral- déhyde a toujours procuré un sommeil absolument calme. Son emploi peut être continué
es soirs, à la tombée de la nuit, de paroxysmes angoissants. ' Le sommeil est plus ou moins bon.Tantôtl'obsession n'a aucun
s; mais ils indiquent surtout que, en laissant à part la période de sommeil de minuit à six heures du matin, qui correspond
n de particulier à signaler, sinon un amaigrissement progressif. Le sommeil et l'ap- pétit sont réguliers. Pas de modificat
ctions de 30 cent. cubes. Mêmes symptômes con- sécutifs. Appétit et sommeil réguliers. Le 27, injection de 40 cent, cubes (
lement s'atténue. Les palpitations ont disparu en même temps que le sommeil est revenu; le corps thyroïde a repris son volu
culier, c'est la mise en activité de la suggestibilité avec ou sans sommeil . La suggestion peut faire réaliser à quelques p
Un viol peut être commis par suggestion sur une femme, soit dans le sommeil hystérique consécutif aux manoeuvres hypnotiques,
traitement des maladies mentales; par A.-A. TOKARSKY (Moscou). Le sommeil hypnotique est un état physiologique spécial, qui
cas où la grande suggestibilité se manifeste malgré l'absence du sommeil hypnotique et vice versa. Au point de vue thérape
de son corps. Le médecin entra dans ses vues; il la plongea dans le sommeil hypnotique et lui dit ensuite que le serpent ét
femelle du serpent. Cette dernière fut également retirée pendant le sommeil hypnotique delafemme et elle fut complètemelltg
68 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qu'un souvenir sommaire. Il sait qu'il a passé, la nuit du 13 sans sommeil , contrarié et craignant de nouvelles vexations du
ent à peine le temps de prendre ses repas et de dormir, de plus, le sommeil n'était plus réparateur. Le 16, après avoir p
plus réparateur. Le 16, après avoir passé une bonne nuit, après un sommeil répa- rateur, le malade demande, d'un air embar
ler ses idées et à les exprimer. Grâce- à de bons soins et à un bon sommeil , il se remet rapidement et peut quitter la clin
ou triple effet simultané à laquelle il n'y a d'autre remède que le sommeil , les yeux bien clos, dans un milieu sombre et c
nsformé, atténué les accès aujourd'hui courts et n'exigeant plus le sommeil . Ce qui en revanche parait évident, c'est que l
E L'IIUMÉRUS GAUCHE. 'I'I'l tomes en apparence différents, tels que sommeil , somnambu- lisme, insomnie, mais au fond des pl
meil, somnambu- lisme, insomnie, mais au fond des plus connexes. Le sommeil sous forme de crise est une rêverie absorbante
rapide; le malade en- graissa dans de très notables proportions, le sommeil reparut au bout de quelques jours sans qu'il fû
est maxima dans les actes de la ie ordinaire, qui s'atténue lors du sommeil normal, pour devenir minima ou nulle lors de l'
PATHOLOGIE MENTALE. VII. Quelques contributions à la psychologie du sommeil chez les sains d'esprit et chez les aliénés; pa
ntrable ; 2° il y a une certaine corrélation entre la profondeur du sommeil et la matière des rêves. Le sommeil le plus profo
rélation entre la profondeur du sommeil et la matière des rêves. Le sommeil le plus profond est sans lèves. Dans le sommeil
tière des rêves. Le sommeil le plus profond est sans lèves. Dans le sommeil d'une profondeur moyenne, des associations et d
pressions nouvelles ne s'entremêlent dans les rêves que lors d'un sommeil peu paisible; 3° dans le sommeil calme, chaque im
êlent dans les rêves que lors d'un sommeil peu paisible; 3° dans le sommeil calme, chaque impres- sion nouvelle n'est repro
depuis treize mois. ' Incontinence d'urine et suggestion pendant le sommeil naturel. M. Paul FAREz rapporte l'observation d
tteint d'incontinence d'urine et guéri par la suggestion pendant le sommeil naturel. Celui-ci est un état passif que nous n
éalisé. Il faut se décider à en tirer parti, toutes les fois que le sommeil hypnotique n'aura pas été accepté par la famille,
n'aura pas pu être obtenu par le médecin. La suggestion pendant le sommeil naturel est donc une sorte de succédané de la s
ves; 3° puis viennent des troubles psy- chiques nocturnes : mauvais sommeil , rêves, cauchemars, illu- sions, hallucinations
les yeux à une vive lumière, ou bien dans l'éternue- menl. Dans le sommeil les paupières sont aussi fermées parfaite- ment
établit ; le bredouillement devient plus accusé ; une tendance au sommeil , de la somnolence coupée de réveils lucides se mo
meil, de la somnolence coupée de réveils lucides se mon- trent ; le sommeil devient de plus en plus lourd; la confu- sion e
e bleu, on ne vieillit pas, mais on ne vit guère ; c'est presque un sommeil . M. Félix Regnault. Si les couleurs qui se rapp
. La fin de i'accès impaludique se termine, comme l'ivresse, par le sommeil de la période comateuse : sommeil profond avec
termine, comme l'ivresse, par le sommeil de la période comateuse : sommeil profond avec perte complète de la connaissance
un état particulier difficile à définir, tenant le milieu entre le sommeil et la veille, entrele conscient et l'inconscient
lui sont prescrits, ne produisent pas d'effets appréciables, et le sommeil continue à être rare. Depuis quelques jours,
r qu'il ignorait absolument ce qui s'était passé et la durée de son sommeil . Les événements des premiers jours après l'opér
uit, la malade dormait la bouche close, sans manifester pendant son sommeil le moindre signe d'insuffisance nasale. Ce fa
sensibilités est généralisée. A. M. XXXIX. D'un remarquable état de sommeil pathologique; par F. Holzinger. (Neurolo. Centr
et il ouvre les yeux comme effrayé, comme s'il sortait d'un profond sommeil . Il dort ainsi au besoin toute la journée, sans
e tire de cet état, sans l'en débarrasser. En revanche, la nuit son sommeil est agité ; il a des visions d'une foule de gen
RVEUSE. 315 Il s'agit en réalité non d'une narcolepsie (attaques de sommeil ) mais d'une somnolence permanente; d'une léthar
l se trouve, sans avoir récupéré la mémoire. Pupilles moins larges, sommeil réparateur pendant la journée et la nuit suivan
demain et les jours suivants les hallucinations disparais- sent, le sommeil revient, l'appétit est meilleur, les mains trem-
tit-fils d'alcoo- lique devient alcoolique à son tour; il boit, son sommeil se trouble, l'appétit se perd, et un jour il en
x secondes. - Le 5, attaque complète durée vingt minutes. -- Le '1, sommeil agité, l'enfant s'est levé en dor- mant a trave
à rétrocéder, le goitre diminua, les palpi- tations disparurent, le sommeil redevint normal; le pouls tomba à 100 pulsation
agricoles : « Le travail, dit-il, entretient la santé, favorise le sommeil , il amène l'oubli des idées délirantes. (Organi
s, etc.) et par suite toutes les réactions motrices. Il favorise le sommeil ; il diminue l'acti- vité des troubles hallucin
derechef... Les mélancoliques ont besoin de repos et de beaucoup de sommeil ... On ne saurait s'imaginer com- bien le décubi
melot, déchire ses draps, ses habits et les vend à haute voix. Le sommeil lui est impossible, il doit marcher toute la nuit
cement de sep- tembre 1897, Eugène X... devient propre, recouvre le sommeil , ne délire plus et n'accuse aucune hallucinatio
s. Apyrexie. Rien au pouls. Rate saine. Urines normales. Appétit et sommeil bons. Aucune intoxication chronique; ni syphili
alysie traumatique pendant un accès ou par com- pression pendant le sommeil . Mais Gowers a signalé les paralysies par contr
r Le Groignec, 2l\. Incontinence d'urine et suggestion pendant le sommeil naturel, par Parez, 161. - Un curieux cas d'
' 512. - d'1134ntolorle et de l,<;)chologie, 161, 237.516. - Sommeil . Quelques contributions à la psychologie du - c
69 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
s, Montpellier, 1878, p. 104. remarque intéressante que, pendant le sommeil , ces contractures s'exagèrent souvent énormément,
du mot : nous la retrouvons malin et soir ; elle persiste pendant le sommeil , ce dont on peut se convaincre facilement, grâce
la contracture se relâche ordinairement en partie sous l'influence du sommeil ; 3° enfin, les circonstances au milieu desquelle
out à l'heure, srâce à rhyperexcitabilité neuro-musculaire, dans le sommeil hypnotique, Pour en revenir à noire cas, vous v
qu'on ne saurait imaginer un homme capable de la maintenir pendant le sommeil profond. Or, chez notre sujet, celte altitude est
rofond. Or, chez notre sujet, celte altitude est conservée pendant le sommeil ; M. Debove s'en était assuré, et on s'en est ass
avec le même vésultat que chez la jeune fille. Ajoutons que, dans le sommeil chlorofor-mique, on n'a obtenu qu'une résolution
ntracturée un sentiment de crampe pénible qui trouble quelquefois son sommeil . Il s'agit donc maintenant d'un cas fruste par ex
igné de 8 centimètres environ de sa position naturelle. En sortant du sommeil chloroformique, la malade éprouve dans l'avant-br
s accompagnés de douleurs, la contracture semble persister.. Après un sommeil de trois ou quatre heures, il se réveille sans do
dont le paiement lui paraissait incertain. Il perdit l'appétit et le sommeil ; l'événement ne justifia pas ses craintes. Mais l
en permanence, les crises survenant à toute heure, excepté pendant le sommeil . Les accès duraient de une heure à une heure et d
mains que l'on constate chez lui. Etant enfant, il était peureux ; le sommeil était troublé par des rêves et des cauchemars, et
x jours, il lui fut absolument impossible de travailler; la nuit, son sommeil était troublé par des visions effrayantes et inte
ouvent, dans l'intervalle, pendant la nuit, soit au moment du premier sommeil , soit au réveil, il était profondément troublé
à autre, plusieurs fois la semaine. Ils le privaient naturellement du sommeil nécessaire. Cependant ils ne paraissaient, pas le
uvent il restait ainsi une partie de la nuit, sans pouvoir trouver le sommeil . Ces hallucinations hypnagogiques duraient depu
es membres et la nuit qui suivit, il lui fut impossible de trouver le sommeil . L'insomnie persista les jours suivants; de plus,
ctère somatique qui, vous le savez, nous permet de reconnaître que le sommeil est actuellement bien établi. Pour déterminer mai
s. Sans doute, ajouterai-je, ces deux hommes n'étaient pas en état de sommeil hypnotique au moment de la chute, non plus qu'à l
le plus souvent ignorer absolument les phénomènes qui, dans l'état de sommeil , ont été provoqués chez eux. sujet de ce genre
és par un confrère qui y assistait et qui nous affirme que pendant le sommeil chloroformique la jointure s'est montrée parfaite
us savons des effets de la chloroformisation chez les hystériques, le sommeil était complet. Les muscles étaient en entière rés
sans que l'enfant soit pris d'une véritable attaque de nerfs. Dans le sommeil chloroformique, on constate l'existence de craque
de persuader avec insistance à ce malade, au moment où il sortait du sommeil chloroformi-que, et alors que la douleur et la cl
vous le voyez, nous pouvons, comme nous l'avons déjà fait pendant le sommeil chloroformique, constater que les jointures sont
possible et, quelquefois, en outre, persiste telle quelle pendant le sommeil même le plus profond ; tandis que, dans les secon
re dernier, le malade a été soumis auv inhalations de chloroforme. Le sommeil a été aussi profond que possible; à aucune époque
ant tout le reste de la nuit, elle est agitée et ne peut retrouver le sommeil ; ajoutons que la chute de cette planche n'avait
'une d'elles était sujette à des crises de nerfs et à des attaques de sommeil cataleptiques. « Au réveil, elle était aphone; el
un souper avec quelques amis, il est pris, vers la fin du repas, d'un sommeil invincible et s'endort accoudé sur la table. Ses
ouveau des étouffements et des vomissements (de bile et de sang); son sommeil était tourmenté par des visions, des cauchemars.
mêmes indications que la première fois. Le 4 juin, nouvelle crise de sommeil cataleptique. La parole revient quelques jours pl
entourent et répond ainsi aux questions. La crise finit par céder, le sommeil survient sous l'influence de fortes doses de chlo
70 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
e la face, morsure de la langue, convulsions toniques et cloniques, sommeil prolongé. Les vertiges sont précédés d'une sens
convulsionstoniquesetcloniques, miction involontaire inconsciente; sommeil profond, suivi de violents maux de tête. Ce qu'
delà langue, miction involontaire, perte totale de la connaissance, sommeil de deux heures. La malade ignore complètement c
celle-ci lui dit qu'elle lui pardonnait. Alors elle fut prise d'un sommeil bizarre, d'une sorte d'extase; elle voulait se le
e, elle maigrit beaucoup, bien que les fonctions physiques, sauf le sommeil , se fissent régulièrement. CAS DE MÉLANCOLIE AN
et sédiiiieii- teuses ne contiennent ni sucre ni albumine. Seul le sommeil est très irrégulier. Le faciès est caractéristi
fusion mentale produite par un réveil subit, succédant à un profond sommeil . » Nous ne chercherons pas à interpréter cet ét
leur sélection sur les extrémités, leur continuité, même pendant le sommeil , l'impuissance de la volonté imposent le diag-
s formes men- tales. La dose active moyenne, celle que détermine le sommeil est de 4 grammes administrés en une seule fois;
is; on peut obtenir avec deux grammes, un calme relatif mais non un sommeil aussi parfait et surtout aussi immédiat. Le som
tif mais non un sommeil aussi parfait et surtout aussi immédiat. Le sommeil se fait sentir dans les quelques minutes qui su
es environ pour céder la place à une ivresse pure, cette fois, sans sommeil . Les malades qui ne se montrent pas réfractaire
attements palpébraux exactement comparables à ceux qui précèdent le sommeil normal des gens fa- tigués, puis s'endorment to
la médaille : il semble que les deux ou trois premières heures de sommeil soient seules remplies par une hypnose profonde,
proche des ma- lades pour les observer, on les réveille. Pendant ce sommeil , les auteurs n'ont pas noté de phénomènes diffé
n'ont pas noté de phénomènes différents de ceux qui accompagnent le sommeil ordinaire; en outre,parmi les aliénées mises en
irmer que taudis que le chloral provoque souvent des cauchemars, le sommeil paraldéhydique en est exempt. Le réveil chloral
ticiperait des qualités d'un réveil agréable, de celui qui suit un sommeil réparateur. Le seul inconvénient consiste en des
à dix heures, le lendemain dans la soirée. Par les lavements, le sommeil a été obtenu un certain nombre de fois, alors q
s, hallucinations de la vue et de l'ouïe, le lavement a provoqué un sommeil de huit heures. Comme par la voie gas- trique,
que se pro- duise. Les injections sous-cutanées engendrent aussi le sommeil , dans des conditionsidentiques : elles calment,
ine de minutes eL au calme succède souvent, sans in- terruption, un sommeil de plusieurs heures. Mais, ainsi que pour les a
ou rectales de quatre, cinq, six grammes agit vite en produisant un sommeil semblable au sommeil normal, qui ne présente pa
, cinq, six grammes agit vite en produisant un sommeil semblable au sommeil normal, qui ne présente pas d'inconvé- nients,
s persistent, aug- menter très rapidement les doses. Mais jamais le sommeil que l'on obtient ne peut être considéré comme i
nous parle de l'action narcotique de la paraldéhyde qui provoque un sommeil instantané, mais il ne nous dit pas comment se
dicament ? Pouvez-vous prévoir la durée du calme qui succédera à un sommeil dont vous con- naissez la durée ? AI. Kéraval
la chute des cheveux, une constipation opiniâtre, de l'anorexie, un sommeil irrégulier, des troubles du caractère et un aba
iioiiis accusée,que par ,1 ether,, cause de la grande .intensité du sommeil produit. L'alcool engendre aussi deux stades; .
Une femme de trente-quatre ans coupe le cou à son mari pendant son sommeil aven un grand couteau de boucher. On l'arrête, sa
.. ne se plaignait pas de la tête; il n'avait pas de migraines : le sommeil était ré- gulier, calme; il n'avait pas de tics
es, de réprimer l'envie de dormir pro- voquée par ce médicament. Le sommeil est d'ailleurs léger, de sorte qu'il est diffic
srevation d'une alié- née hystérique chez laquelle il a, pendant le sommeil hypnotique. provoqué des phénomènes de suggesti
ations précises relatives i la durée du calme, de la somnolence, du sommeil qui suivaient l'administration de ces médicamen
ividu en statue assise ; il est difficile de décider si c'est là du sommeil ou une espèce d'hypnotisme; jamais de myosis.
ents organiques, de la fonction trophique, de la thermogénèse et du sommeil , nous font entrer, par un domaine purement soma
71 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é^'jphysiolbgiqùP'eb^ eîpiïnmewta/e/'cbmpréhant1 les 'réflexes,'le' sommeil ,'1 l'hypnotisme}' l'aùtomotismeles témpérà- men
Priessnitz; c'est un moyen qui a encore l'avantage de provoquer le sommeil , mais.il il augmente l'angoisse. \ ,4"t,r"3niaJen
doit les cher- cher pour les constater. Ce sont : Les troubles du sommeil , qui manquent dans plus de la moitié des cas, e
une somnolence cons- tante, soit, plus rarement, en une insomnie ou sommeil agité. Les troubles digestifs, très peu accusés
, elle a des palpitations et de légères oppressions (manque d'air). Sommeil normal, fonctions digestives régulières. Pas de.
t dans le sang, pas de . · plaques vertébrales, céphalée en casque, sommeil un peu agité. Traitement. Injections hypodermiq
L'apparition des sueurs termine la scène et la malade tombe dans un sommeil profond. Examen de la malade.- Elle présente to
ngue unpeu chargée, anorexie légère, constipation, léger trouble de sommeil . Céphalée parfois en casque, plaque spinale, et
nnement cérébral dans cette période intercalaire à la- veille et au sommeil , dans laquelle les centres supérieurs cessant d'i
entes chez les aliénés, Paris, 1893; une Étude physiologique sur le sommeil ; la Question de survie des fonctions et des organ
ns sa fantasmagorie, absolument comme le rêveur qu'on arrache à son sommeil ou l'alcoolique à son délire. Tous ces états so
lité, somnam- bulisme naturel ou provoqué, automatisme ambulatoire, sommeil produit par l'éther ou le chloroforme, dernière
Bernheim, de distraction de P. Janet, de fascination de Brémaud, le sommeil naturel et le rêve, l'ivresse, etc. 2'il) FAI
Archives, t. XXVIII. ' 20 306 HISTOIRE ET CRITIQUE. point « leur sommeil , leurs entretiens, /e ! ;r ? M< ! 0)M]'. Il av
ue le plus souvent ces hallucinations ont lieu la nuit et durant le sommeil . ' On peut cependant les observer le jour dans
s particuliers, pense que les malades entrent alors dans un état de sommeil qui se rapproche du sommeil normal, tant par so
s malades entrent alors dans un état de sommeil qui se rapproche du sommeil normal, tant par son mode de production que par
ue une autre interprétation et pense qu'il s'agit là d'une forme de sommeil hypnotique. -, Pour M. Pierre Janet, ce serait
r, une manifestation purement hysté- rique, nullement comparable au sommeil normal. Or, si nous nous reportons à nos expéri
isent objectivement cet état. Sans rien préjuger de la question, ce sommeil semble déjà se différencier beaucoup du sommeil
de la question, ce sommeil semble déjà se différencier beaucoup du sommeil normal. Mais approfon- dissons davantage. La ma
ntelligentes, nullement comparables à l'automatisme du rêve dans le sommeil normal. La modification des différents symptôme
, elle nous dit for- mellement que cet état ne ressemble pas à son. sommeil de la nuit, parce qu'alors elle a des cauchemar
conditions de l'expérience de Strumpell, ne favorisent même pas le sommeil . Pendant ce sommeil naturel, la malade rêve sou
érience de Strumpell, ne favorisent même pas le sommeil. Pendant ce sommeil naturel, la malade rêve souvent à haute voix; m
lle continue son rêve, ou bien elle se ré- veille. D'autre part son sommeil naturel n'est ni précédé, ni accompagné, ni sui
mêmes phénomènes se produisent dans une autre circonstance, dans le sommeil provoqué. En effet, M... est hypnotisable ; et
es des membres, les petites secousses cloniques avant et pendant le sommeil , le frémissement des paupières ; mais ou l'on c
outerons que la malade ne fait elle même aucune différence entre ce sommeil provoqué et l'état qui succède à l'expérience d
e de Strumpell, qu'elle distingue formellement, en revanche, de son sommeil normal. Il est à remarquer aussi que pendant le
che, de son sommeil normal. Il est à remarquer aussi que pendant le sommeil provoqué, elle retrouve les mêmes souvenirs spo
qui succède à l'expérience de Strumpell n'est pas assimi- lable au sommeil naturel, mais rentre dans la catégorie des somn
e ne met sur la piste d'aucun délire, d'au- cune idée fixe, dans le sommeil hypnotique, comme dans celui qui succède à l'ex
sans le savoir » . 1 Elle dit également y rêver la nuit dans son sommeil natu- rel et le revoir tout le temps à chacune
d'anesthésie et d'am- nésie. Elle tombe rapidement dans un état de sommeil sem- blable en apparence aux précédents, et tou
surprendre, car on en rencontre de semblables dans bien des cas de sommeil provoqué, et c'est là un argument de plus en fa
complet, il nous faudrait retrouver les mêmes variations dans le sommeil hypnotique provoqué par les moyens ordi- ÉTUDE
culier qui succède à l'expérience de Strum- pell n'est nullement un sommeil naturel, mais bien un état somnambulique. 2°
oît encore 1 Ces mêmes variations ont été retrouvées depuis pour le sommeil hypnotique provoqué par les moyens ordinaires,
sseux de la base. Ainsi s'expli- queraient encore les conditions du sommeil naturel et artificiel de l'hypnose, de la sugge
, convulsions épileptiformes. Depuis cette époque crâne volumineux, sommeil lourd, absences. Peu accessible aux sollicitati
mmes de chloralose donnés à une hystérique ont déterminé d'abord le sommeil , puis, vers le milieu de la nuit un réveil acco
ué pourvu qu'il y ait la demi-irritation cérébrale intermédiaire au sommeil et à la veille. Pathogénie : Excitation du fais
cité, on a vu se produire un accès d'épilepsie caractérisé en plein sommeil , ce qui n'a pas lieu dans l'hystérie. M. ScHO
. Il en résulte une insomnie très pénible. Les quelques instants de sommeil qu'il peut avoir sont traversés par des cauchem
aire baisser momentanément la polyurie par la suggestion pendant le sommeil provoqué. » Les faits de ce genre, que l'avenir
en peu de jours évoluer et disparaître, tout comme le rêve après le sommeil , les malades peuvent aussi en conserver le souv
72 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ieu des malades calmes, dont le bruit qu'ils font ne trouble pas le sommeil , il l'a maintes fois constaté. Il peut cependan
qui pourraient en avoir besoin et l'on sait que rien ne favorise le sommeil comme l'ingestion d'une petite quantité d'alime
, ne sont en fait que des embryons à vie libre, qui passent dans le sommeil plus des 11/12 de l'année. La plu- part des ser
turne d'urine guéris en une seule séance . de suggestion pendant le sommeil naturel. M. Bourdon (de Méru). Il s'agit d'un g
à ceux qui, systématique- ment, déclarent la suggestion pendant le sommeil naturel impraticable ou inefficace. Ce mode d'i
'ai aussi traité une incontinence d'urine par suggestion pendant le sommeil naturel, en me confor- mant à la technique de M
ndait la liberté de ses mouvements qu'après l'avoir plongée dans le sommeil hypnotique, qui seul la rendait tranquille. Il ar
'agitation. A ce moment la malade ne connaissait plus M. Voisin, le sommeil hypnotique n'était plus possible. Cette crise d
s crises motrices, soit les crises d'agitation'étaient suivies d'un sommeil très prolongé (cinq, six jusqu'à quatorze jours
iculier, état très différent par les sensations qu'il provoquait du sommeil suit ordinaire, soit hypnotique. C'était de l'eng
soit hypnotique. C'était de l'engour- dissement plutôt que du vrai sommeil ; G... était alors comme assommée, comme abasou
e, comme abasourdie ». Ce trouble persiste toujours. Les .crises de sommeil auraient à cette époque alterné avec des crises
ûmes l'idée d'essayer sur elle de la suggestion hypnotique. Dans le sommeil hypno- tique, nous lui suggérons qu'elle n'aura
stion durait peu. Mais peu à peu le temps de calme qui suivait le sommeil devint plus long. Actuellement, après une séance
une hallucination. Celle-ci se produit le plus souvent avant que le sommeil soit produit. Dans ces conditions, il est inuti
e assez rapidement. D'autres fois l'hallucination a lieu pendant le sommeil hypnotique. Celle- ci est alors bien plus tenac
me une véritable suggestion. Enfin, on peut dire à G... pendant son sommeil , d'avoir telle hallucination après son réveil.
te d'un rêve ? Pendant une période très courte qui s'étend entre le sommeil et la veille, l'individu qui vient d'avoir un c
ique, d'amaigrissement et d'un malaise général . indéfinissable. Le sommeil est troublé par des rêves terribles, des , cauc
eux heures après l'absorption,[sans phase préalable d'agitation. Le sommeil produit est calme, il n'est pas de très longue du
l (persécuté hystérique) a eu, grâce à l'hédonal, quelques nuits de sommeil . 276 G BIBLIOGRAPHIE. En somme, nous avons da
rmit près de son feu après avoir bu plus que de raison. Pendant son sommeil , il ren- versa une bouteille d'alcool qu'il ava
faite qui cadrait avec leur théogénie : Phantate, troisième fils du sommeil , était une divinité d'ordre inférieur qui avait
timbre et la justesse de la voix. La suggestion pédagogique dans le sommeil hypnotique et le sommeil normal. M. Bourdon (
voix. La suggestion pédagogique dans le sommeil hypnotique et le sommeil normal. M. Bourdon (de Méru). L'application de
ande par un très grand nombre de succès. La suggestion pen- dant le sommeil normal, mise eif honneur par âl. Faiez, est aussi
à la débauche, vices de toute sorte. Analgésie suggérée pendant le sommeil normal. lI. Ange MANFRONJ (de Turin) Un jeune h
ue des contractures spasmo- diques. .\f. Ci : nILLO\. Pathologie du sommeil : les rêves prolongés. - M. l'au de Si'-Mari'in
ncy et de Paris sur la pratique de l'hyp- notisation, les causes du sommeil hypnotique, les zones hypno- gènes, l'étude de
st-vésa- .nique, de l'influence de la menstruation, de l'ivresse du sommeil , des états passionnels normaux font entrer dans
ar les 'phénomènes suivants : 1° Symptômes mentaux moins accentués. Sommeil généralement bon; hallucinations pouvant manque
forme qu'il se présente ; elle peut enfin être produite au moyen du sommeil hypnotique. L'hygiène, la bonne tenue, les exer
21 ans, demeurant chez ses parents, marchands de vin, a profité du sommeil de ceux-ci pour se suicider, à l'aide d'un réch
epuis sept mois éprouve des douleurs dans la nuque, trou- blant son sommeil et l'ennuyait beaucoup. Aussi y pensait-il beau
s subtils. Peut-être aussi, d'un autre côté, se croyait-il dans son sommeil avec ses compagnons dans quelque action violent
lente, qui mettait les esprits en mouve- ment (car c'est pendant le sommeil qu'ils sont en plus grande abondance intérieure
onet raconte qu'un pas- teur se trouva muet en sortant d'un profond sommeil et que quatorze jours après, rêvant qu'il se no
icale ou dorsale. G. D. LXXIV. Un procédé spécial pour provoquer le sommeil artificiel ; par P. 11 ? RTE ? BELIG. (Journ. d
teints de troubles nerveux, contre les- quels la suggestion dans le sommeil artificiel est indiqué, mais à qui cependant po
el est indiqué, mais à qui cependant pour des raisons spéciales, ce sommeil artificiel ne peut pas être proposé, on peut av
thérapeutiques. On les exprime dans les mêmes conditions qu'avec le sommeil suggéré verbalement et suivant les indications
tre tableau analysant G1 cas, une feuille de poids et des heures de sommeil , que je crois devoir signaler pour cette der- n
r l'- épigastrique profonde, par Rossi, 41. sug- gérée pendant le sommeil , par Manfroni, 358. Aa TOnue cérébrale et psy
iatrie DE Moscou, par Barn- steiu, llourawielf et Versilof1', 61. Sommeil . Procédé pour piovoquer le - artificiel, par Ha
73 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
injurieuses, idées d'empoisonnement, injection de virus pendant le sommeil , etc. Une dame que je connais depuis plus de qu
-de-vie. L'accès dure un quart d'heure à une demi-heure, un profond sommeil survient, et, au réveil, tout disparait, y comp
ve. Chez un certain nombre de malades, chez ceux qui, à la suite du sommeil , demeurent excita- bles et confus, la diminutio
érimenté cet hypnotique, qu'il donne à la dose de 2 à 4 grammes. Le sommeil ainsi provoqué est rapide, au point que s'il n'
s'il n'arrive pas très vite, c'est que le médicament n'agit pas. Ce sommeil est profond et continu, il résiste au bruit le
sensibilité ni les réflexes ne soient nullement troublés; c'est un sommeil consistant et dense. Au réveil se manifeste un
tif. En somme la rapidité de l'action et la durée et la solidité du sommeil en constituent tous les avantages. C'est un médic
ins malades ne peuvent, pour diverses raisons, être plongés dans le sommeil hypnotique ; dès lors, toute 108 SOCIÉTÉS SAVAN
uchés, déshabillés ou non, avant ou après les repas ; il procure un sommeil facile, immédiat et sûr ; au bout d'un certain
à la suite de quelques séances de suggestion, faites à la faveur du sommeil somnoformique. La somnoformisation me parait de
.. je ne veux pas faire du mal >, finalement, elle tomba dans un sommeil ,calme qu'on prolongea environ une heure. La sugge
la règle, l'appétit est diminué, les vomissements sont rares; le sommeil est mauvais. Il y a des troubles fonctionnels d
. le De Paul Farez, pro- fesseur. Objet du cours : La pathologie du sommeil naturel : Les insomnies, les mardis et samedis
us n'avons trouvé signalé nulle part est une certaine tendance au sommeil . Avec les faibles intensités il est exceptionne
la suggestion hypnotique, ni à la suggestion som- dique (pendant le sommeil naturel), ni à la suggestion pendant une narcos
t, d'ordinaire, fort peu efficace, à moins qu'on ne l'appuie sur le sommeil . D'une manière générale, et surtout en orthopéd
ndort ; elle constitué une sorte de monoidéisme qui, à la faveur du sommeil naturel, acquiert une bien plus grande efficaci
oses syphilitiques : i. Trouble de cons- cience en forme d'accès de sommeil pathologique, différent du sommeil normal par l
ns- cience en forme d'accès de sommeil pathologique, différent du sommeil normal par l'inclination du malade à s'endormir-d
es, quelquefois de deux jours. Ils cèdent d'ordinaire à une nuit de sommeil pour revenir deux jours après. A certains momen
t pas la nuit d'une façon complète. Le moindre mouvement pendant le sommeil en PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FAC
ni parler, ni marcher, ni se livrer à une occupation quelconque. Le sommeil est parfois rendu impossible par la répétition
spasme, ils sont souvent douloureux et persistent souvent durant le sommeil . A ce propos, MM. Meige et teindel font la desc
l'asthénie motrice. Les fonctions digestives se régularisenl. Le sommeil se rétablit. Tous les symptômes neurasthéniques s
la nuit. Il ne peut plus dormir sans lumière ; et si, pendant son sommeil , on éteint celle-ci, il se réveille aussitôt. Dep
logique, juin 1902). E. 13. XXX. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil . Le sommeil dans la paralysie faciale ; par MM.
n 1902). E. 13. XXX. Essai sur la psycho-physiologie du sommeil. Le sommeil dans la paralysie faciale ; par MM. VASCHIDE et
artement palpébral du côté paralysé est toujours moindre pendant le sommeil que pendant la veille : dans certains cas même
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. III. L'occlusion de la paupière pendant le sommeil semble due chez l'individu' normal comme chez l
oculaire coïncide avec l'état de « distraction » qui caractérise le sommeil . 11 y a ainsi un rapport entre l' « attention »
caractérisée par des mouvements sans but défini et continus, que le sommeil n'arrête pas tout à fait, ces mouvements ont ce
et suffi- sant ils rentreraient dans le calme et retrouveraient le sommeil . L'expérience acquise à cet égard parle Dr Elki
es artifices capables de provoquer le som- meil, car en obtenant le sommeil on évite bien des symptômes aigus. Les jours de
nt les malades ont des nuits meilleures, mais sous l'influence d'un sommeil réparateur leurs journées deviennent meilleures
veille, tantôt les excitations auditives qui surviennent pendant le sommeil ; tantôt des suggestions spéciales. L'habitude,
s'ap- procher d'elle ; elle ne se calmait et ne pouvait espérer le sommeil que quand elle le sentait bien endormi. Chaque
us le savons déjà, l'hypnotisme est un état physiologique, comme le sommeil naturel. M. Babinski démontre 1° par l'analyse
es manifestations hypnotiques, qu'elles sont identiques ; 2° que le sommeil hypnotique à moins que l'on ne joue sur le sens
Par contre il est de règle chez les enfants nouveau-nés à l'état de sommeil . On peut le retrouver parfois chez les enfants
z les enfants d'un certain âge et même chez les adultes à l'état de sommeil . La région plantaire excitée n'est pas indifféren
réflexes et le clonus du pied. Différents états pathologiques et le sommeil chloroformique peuvent opérer une dissociation
e l'exagération des réflexes ne parait que beaucoup plus tard. Le sommeil chloroformique opère une dissociation inverse, le
re en flexion, ou vice-versa, c'est- à-dire l'apparition pendant le sommeil chloroformique ou après, 556 bibliographie. d
rveillant ne donne qu'une fausse sécurité, et pour peu qu'il ait le sommeil lourd, un malade peut en étrangler un autre dan
vec dissociation des réflexes, par Déjerine, 3S1. i ? ciale. Voir Sommeil . -. Voir Li- quicle céphalo-rachidien. radi-
sibilité. De la - du squelette, par Egger, li-53 - Voir Troubles. Sommeil , Essai sur la tlsycllo plly- siolo-ie du -. Le
74 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
respiratoire, et les organes génitaux. L'état général est bon ; le sommeil s'accomplit normalement. Voilà l'histoire à peu
lonté n'a aucune action sur elles, eiles dispa- raissent pendant le sommeil . Au point de vue des phénomènes psychiques, il
s; leur fréquence augmente avec l'émotion, elles cessent pendant le sommeil . . Ma... est un garçon impressionnable, à idées
bre inférieur demeure le plus habituellement immobile. Pen- dant le sommeil , les contractions disparaissent complètement. P
De plus, les spasmes hystériques cessent habituellement pendant le sommeil ; ils peuvent être modifiés ou suspendus par le
s variables '; en outre, ils persistent bien qu'atténués pendant le sommeil ; les changements d'attitude ne les font pas dis
a grande névrose. Il équipare l'apoplexie hystérique à l'attaque de sommeil hystérique; elle doit donc être considérée comm
rguments que le Maître nous a indiqués pour distinguer l'attaque de sommeil , à savoir sur l'existence de phénomènes plus ou
se rappeler que tous ces phénomènes se retrouvent dans l'attaque de sommeil à peine ébauchés et d'une façon transitoire; no
médico-psycholo- giques, 1892.) E. B. XVI. PLUSIEURS attaques DE SOMMEIL paradoxal CHEZ UN aliéné; par le Dr SZCZYPIORSK
ar le Dr SZCZYPIORSKI, Il existe une modalité toute particulière du sommeil morbide propre aux aliénés, qui n'a rien de com
sommeil morbide propre aux aliénés, qui n'a rien de commun avec le sommeil hyp- notique et hystérique. L'incertitude plane
cette hypnose anormale que l'on désigne, faute de mieux, du nom de sommeil paradoxal. 0 L'auteur en montre un cas chez un
èc idées de persécution et qui a été pris à plusieurs reprises d'un sommeil bizarre, accompa- gné de troubles de la sensibi
gné de troubles de la sensibilité et du mouvement, de phosphaturie, sommeil au cours duquel l'alimentation se faisait avec pa
t avec participa- tion du malade. Il y eut en tout cinq attaques de sommeil : la première dura quatre jours ; douze jours a
ement du testicule. Il est difficile de rattacher à l'hystérie un sommeil dans lequel tout ce qui touche à la vie de rela
u taux des phosphates dans les urines. Le malade, interrogé sur son sommeil , répond invariablement : « c'est ma psychose »
spontanéité dans l'apparition du REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 97 sommeil : sinon, comment expliquer ces troubles de la sen
de la sensibilité et cette phosphaturie, n'existant que pendant le sommeil , et dis- paraissant complètement au réveil ? (A
tes de terreurs nocturnes qui s'emparaient de lui pendantle premier sommeil , le faisaient sortir du lit, se précipiter vers
, une heure et demie. Après quoi il se recouchait t et dormait d'un sommeil tranquille jusqu'au lendemain. On disait dans l
e un relèvement pro- gressif des forces, le retour de l'appétit, du sommeil , de la gaieté et l'amélioration très évidente,
ment les deux bras en haut et en arrière. Quand elle se réveilla du sommeil chloroformique, elle avait les deux bras paraly
la nuit en une violente douleur qui prive très souvent le malade de sommeil . Elles surviennent spontanément ou à la suite d'u
marquée et plus modifiable. La première ne disparaît pas pendant le sommeil , tandis que la - seconde disparait. L'attitude
sensible à l'influence hypnotique et que, se trouvant endormi d'un sommeil magnétique, l'accusé était sujet à une sorte de
durant deux semaines avec des interruptions seule- ment pendant le sommeil . Après ce temps, le trouble moteur dispa- raît
nostic de la catalepsie pure est facile, grâce aux deux symptômes : sommeil et automatisme passif. Il est difficile dans le
léthargie, il y a souplesse sans automatisme, résolution complète, sommeil bien moins réel qu'en catalepsie. Les acciden
is : malaise inexpliqué, mau- vaise humeur non motivée, troubles du sommeil et de l'appétit, inaptitude du travail, modific
question de savoir si les secousses choréiques peisistent durant le sommeil dépend beaucoup de la période de la maladie sur
plus ou moins de ses conceptions délirantes et dont il améliore le sommeil , avantage pour l'asile, dont on diminue ainsi l
e premier groupement des phénomènes psychologiques disparaît par le sommeil , par la fatigue de l'attention et le second gro
lentement et d'articuler nettement, il le peut très bien. Enfin, le sommeil est long à venir et de courte durée. Cependant
des résultats plus favorables au point de vue de la sédation ou du sommeil . Dans la majeure partie des cas, la dose minima
s narcotiques, son action est assez certaine et assez constante; le sommeil qu'il provoque est naturel, calme et non accomp
es deux autres. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 467 - Dans l'état de sommeil profond, les vibrations du cerveau qui n'est ja
iatrique de Berlin, 292, 398; contre l'abus du tabac, 485 (prix). Sommeil , paradoxal chez un aliéné, par Szcypiorski, 96.
75 (1934) Oeuvre scientifique
eurs de tête entravant ses occupations habituelles et lui ôtant son sommeil , de sentir ses forces diminuer et d'être gêné par
interrogeant ou en vous renseignant auprès de son entourage que son sommeil est parfait, jamais entrecoupé de réveils. Le s
des coups de couteau ou une décharge électrique ; il ajoute que son sommeil est fréquemment interrompu par des sursauts sem
'insister. Comment se comportent les réflexes de défense pendant le sommeil artificiel ? Cela dépend sans doute de l'agent
de l'ouverture du canal rachidien, la malade étant plongée dans un sommeil profond, les réflexes tendineux et les réflexes
ne supprime pas la possibilité de les faire apparaître. Pendant le sommeil chloroformique le vertige voltaïque est aboli ; s
jours de lit. Vers la fin de la maladie on s'aperçoit que pendant le sommeil l'oeil droit reste entrouvert ; on examine alor
ment, même quand le malade est couché. Ils ne cèdent que pendant le sommeil . Il y a une diminution de la force musculaire d
s occasionné de douleurs vives. Ils cessent complètement pendant le sommeil . Le sterno-mastoïdien gauche est plus grêle que
rsque le malade est couché. Mais il disparaît totalement pendant le sommeil , ainsi que l'affirment les parents qui l'ont ob
l'influence de l'état émotif du sujet et ils disparaissent dans le sommeil . Ces caractères se rapprochent étroitement de c
un laps de temps assez court ». Son mari nous a dit que pendant le sommeil , sa respiration est absolument normale. Cas II.
ONS DE LA MOELLE le front ainsi que la région occipitale et rend le sommeil difficile. L'intelligence se trouble; la malade
nts, que j'ai eu même l'occasion d'explorer les réflexes pendant le sommeil chloroformique, en les recherchant de minute en
e intensité depuis plusieurs jours, la privaient complètement de tout sommeil , lui enlevaient tout appétit, la rendaient inap
a noté aussi ce fait intéressant que le spasme persiste pendant le sommeil ; je n'ai pas été en mesure de vérifier ce point c
ant les phénomènes du « grand hypnotisme ». L'ayant plongée dans le sommeil hypnotique, je me suis efforcé de lui suggérer
ns criminelles, une arme redoutable ; les autres soutenaient que le sommeil provoqué guérissait uniquement les manifestatio
ns les caractères assignés à l'état ou aux états que l'on dénomme « sommeil hypnotique ». Lorsque, après avoir fait fixer à
s. Par ces mots je désigne non pas deux phases mais deux aspects du sommeil hyp- notique, l'un qui, d'après son sens étymol
s actes commis, aucune des paroles pro- noncées pendant le prétendu sommeil hypnotique. Charcot, dès ses premières investig
Je déclare que l'existence effective d'un état qu'on peut appeler « sommeil hypnotique » différant d'ailleurs notablement d
» différant d'ailleurs notablement de toutes les autres espèces de sommeil , et susceptible d'être aisément simulé, me para
e se rappellerait plus, au réveil, ce qui aurait eu lieu pendant le sommeil . c) Dans l'état léthargique, il serait inconsci
de perdre au réveil le souvenir des événements accomplis pendant le sommeil ? Toutes mes observations infirment cette idée.
ent parfaitement de tout ce qu'on dit en leur présence pendant leur sommeil . Je me suis livré aussi à maintes expériences d
notisé qui, d'ailleurs, est en mesure de sortir spontanément de son sommeil . d) Dans 1 état somnambulique le sujet perd-il
nscience réprouverait. L'esprit critique n'est pas aboli pendant le sommeil hypnotique ; le sujet ne devient pas passif et
ion, de la suggestion, se présente sous des aspects très divers. Le sommeil hypnotique ne crée pas la suggestibilité ; il n'e
s délits ou des crimes sous l'influence d'un ordre donné pendant le sommeil hypnotique ? L'hypnotiseur serait-il en mesure
voir d'abuser d'une femme endormie soit en lui suggérant pendant le sommeil somnambulique de se donner à lui, soit en la vi
eil somnambulique de se donner à lui, soit en la violant pendant le sommeil léthargique ! Ces questions ont été posées déjà
erait aucune lumière, étant donnée l'impossibilité de distinguer le sommeil hypnotique légitime d'un sommeil simulé. L'expe
e l'impossibilité de distinguer le sommeil hypnotique légitime d'un sommeil simulé. L'expert, en effet, ne sera jamais en é
, j'ac- corde volontiers que dans tel cas particulier la réalité du sommeil hypno- tique puisse être admise pour des raison
é endormi à une époque où il n'aurait eu aucun intérêt à simuler le sommeil . Supposons qu'il soit inculpé d'un délit ou d'un
olonté, ni procuré à son hypnotiseur le pouvoir de la violenter. Le sommeil hypno- tique ne saurait être considéré comme un
enu que les contractures hystériques pouvaient se maintenir dans le sommeil naturel. Mais aucune des obser- vations qui ava
illo- giques. Un de leurs caractères est de disparaître pendant le sommeil , tandis qu'une griffe organique persiste. » L
ui d'ailleurs ne se plaint pas d'insomnie, reste toute la nuit sans sommeil , surtout si, comme nous l'avons fait, on facili
est la démonstration de la persistance de la contracture pendant le sommeil : or, dans notre cas, la bande ne s'est pas rom
ue certaines contractures hystériques au moins persistent durant le sommeil normal. » D'autres observations du même ordre o
flexe. De telles contractures peuvent ne pas se modifier pendant le sommeil naturel, ainsi que l'ont noté Duvernay, Sicard
tiennent parfois, nous l'avons montré, jusqu'à une phase avancée du sommeil chloroformique ; elles peuvent être, du moins à
propos de la question de la persistance des contractures pendant le sommeil . Ajoutons que, dans aucun de ces cas, l'épreuve
i et .T. Froment. Les modifications des réflexes tendineux pendant le sommeil chlo- roformique et leur valeur en sémiologie,
tres non moins significatifs : La contracture ne cédait que dans le sommeil jirofond ; elle subsistait encore à une période
ki et J. Froment, Les modifications des réflexes tendineux pendant le sommeil chlo- roformique et leur valeur en sémiologie,
icieuse, persistance de la contracture jusqu'à une phase avancée du sommeil chloroformique ('). La plupart de ces faits conce
ki et J. Froment, Les modifications des réflexes tendineux pendant le sommeil chlo- roformique et leur valeur en sémiologie,
uge sont mises en lumière par les spasmes qu'on provoque pendant le sommeil chloroformique ('). Mais peut-on expliquer par
e répondent, sans doute, les contractures qui ne cèdent que dans le sommeil chloroformique profond, les contractures avec s
tentative faite pour avaler la salive, pour parler ou pour manger. Le sommeil était devenu impossible, et ce malade avait des
es peuvent aussi se développer spontanément et entravent parfois le sommeil . La malade reste constamment étendue sur le dos
et 19) 5). 226. Les modifications des réflexes tendineux pendant le sommeil chloroformique et leur valeur en sémiologie (en
76 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lèvres et la face s'inonde de sueurs. 'Après l'attaque survient un sommeil profond. Une seconde attaque se produit trois h
nt pas atteints. Enfin, il n'existe pas de troubles digestifs et le sommeil 70 PATHOLOGIE NERVEUSE. ' est tranquille. Un
les injections do morphine ne pro- duisaient plus ni amendement, ni sommeil . Le,docteur \Iacliin- tosh se décida à faire l'
on est attirée ailleurs. Cette contracture disparait comme celle du sommeil par la friction des antagonistes. Caill.... est
etc., présente cette particularité dans le mode de production du sommeil hypnotique, que la simple fixité du regard pro-
d dans l'état cataleptique qui persiste indéfiniment, et alors le sommeil ne peut être obtenu qu'à la condition do lui form
qnelques minutes. La paralysie du côté droit n'a pas dis- paru. Le sommeil persiste avec les mêmes caractères qu'avant cet
. B... est plongée par la friction sur le sommet de la tête dans le sommeil sans hyperexcitabilité neuro-mus- culaire ou ét
apporterons ici deux observations dans lesquelles les caractères du sommeil hypnotique se sont montrés peu développés : L
ses jambes refusent de la porter. Elle a une tendance invincible au sommeil et se rendort d'elle-même. On la fait alors porte
ant l'expérience, tout en l'étant à un degré moindre que pendant le sommeil . Cette expérience d'hypnotisme est la seule qui
e sur le visage. Les deux exemples qui précèdent nous montrent le sommeil hypnotique à un degré fort incomplet, sorte d'é
des téguments des mains avait diminué la délicatesse du toucher. Le sommeil était troublé par des rêves pénibles, par des a
est agitée, elle dort mal et 17E L'HYS'fERO-EI'ILLL'SIE. 163 son sommeil est troublé par des rêves. Il nous est arrivé un
xaspère les douleurs. , ' Le 2, mêmes douleurs qui empêchent tout sommeil . La région douloureuse présenté deux plaques ro
alité des rêves ou' des capuche- mars qui troublent si souvent leur sommeil agité ? Celle-ci à son réveil pendpour, elle'ad
se résumant, M. Hack Tuke, a consisté à démontrer : z - le Que le sommeil ou coma mesmériquc, la rigidité muscu- laire et
ue ou rétinienne. De l'occurrence des accès épileptiques pendant le sommeil chloro- formique, par le Dl BnjMSARTNER (de Bad
me blanche à la bouche, et terminés 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. par un sommeil réparateur de vingt minutes. A la dernière séan
ades font effort pour dominer l'agitation; elles n'empêchent pas le sommeil et cessent toujours lorsqu'il est arrivé. Pas d
sur plusieurs autres, nous avons observé ce qui suit. Pendant le sommeil hypnotique ou pendant la catalepsie, on leur in
rocédés qui réus- sissent habituellement, on ne peut pas obtenir le sommeil hypnotique, ce n'est pas seulement à cause de l
etour à l'état normal, on ne peut, par aucun moyen, déter- miner le sommeil hypnotique. Toutefois, une constatation plus im
tellequ'elle se présente chez nos malades pendant une des phases du sommeil nerveux désigné sous le nom d'hypnotisme. L'é
s venons d'indiquer les principaux traits constitue un des modes du sommeil nerveux, bien distinct de cet autre mode que no
e un des principaux caractères. L'on sait comment ces deux modes du sommeil ner- veux peuvent se succéder chez un même suje
nons d'insister, il en est d'autres moins parfaits dans lesquels le sommeil hyp- notique n'est plus susceptible 'd'être div
e qui se montre à son plus haut degré de développement pendant le sommeil hypnotique, peut exister à quelque degré pendan
ndise, de kleptomanie, de pyromanie. Dès sa première enfance, son sommeil était agité; il faisait des bonds dans son lit, m
u d'une conversation, interrompant un mot commencé, soit pendant le sommeil , tantôt après des pro- dromes, qui consistent e
M. Charpentier demande comment se comportent les muscles pendant le sommeil en général et la cbloroformisation en parti- cu
poids du corps à la suite des acci;s), 23fi;-(accèsd') pendant le sommeil clilorofor- micpie, 239; - (roclierclles cll-
77 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ulève son épaule. Appétit assez bon. Etat général pas mauvais. Le sommeil est conti- nuellement troublé par des cauchemar
t aux membres inférieurs, le tremblement ne s'efface que pendant le sommeil . A l'état de veille il ne cesse jamais, même da
uite d'une vive contrariété, elle avait eu une crise de larmes; son sommeil avait été entrecoupé par des rêves terrifiants -
ser le chat noir purement immatériel qui l'avait tourmenté dans son sommeil Mi NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETKIEnn. e
is le cerveau a été extraordinairement impressionné, les nuits sans sommeil sont agitées par des cauchemars épouvantables,
re ours avant son attaque elle devient méchante, querel- leuse, son sommeil est-entrecoupé de cauchemars et les surveillantes
t du reste un [hysté- rique à stigmates, présentant des attaques de sommeil , facilement hypnotisable, et l'expertise démont
e G..., hysté- rique à crises convulsives à forme léthargique ou de sommeil . La liaison durait depuis deux ans et demi lors
scène morbide : elle est luxuriante comme les rêves qui peuplent le sommeil , comme les attitudes passionnelles des attaques,
tait dans le temps avec plaisir. Il dort mal où, quand il dort, son sommeil est agité par des rêves très fatigants et très pé
CONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. connaissance et puis s'endormit d'un sommeil calme. Le lendemain eu s'éveil- lant, quand il
on plus que sa mémoire. Seulement, il lui arrive parfois, durant le sommeil de la nuit, de se lever de son lit, de parler à
it pour reparaître le matin au réveil. Néanmoins la malade avait un sommeil très agité et tombait souvent de son lit, mais
sans trêve pendant la journée entière et ne cesse que pen- dant le sommeil . Par moments, les bâillements sont entrecoupés de
apparaissent alors, puis l'attaque se termine habituellement par un sommeil analogue à celui des crises précédentes. D'autr
e moment ces bâillements n'avaient rien de morbide. Elle avait très sommeil , en même temps elle était très fatiguée : son b
ar heure, soit 7,200 en quinze heures de veille. » Dans ces cas, le sommeil seul interrompues bâillements qui repren- nent
ans sa 10° Leçon du Mardi, sur l'amélioration de l'état général, du sommeil , sur la grande atténuation des phénomènes de ri
le favorable se manifesta par une mine meilleure, l'augmentation du sommeil , de l'appétit, du poids du corps. Parmi les sympt
accompagnée d'un état nauséeux prononcé et améliorée parfois par le sommeil . Il y a huit mois qu'Alphonsine Prev... s'est a
ar le nerf moteur oculaire commun n'est pas encore élucidé. Dans le sommeil , c'est certainement l'orbiculaire qui l'emporte
assise. Au lit, dans la situation horizontale; la nuit, pendant le sommeil , elle est invariable.' . Un coup d'oeil jeté su
de et constaté que la déformation se réduisait complètement dans le sommeil anesthésique. « Je me suis dès lors contenté du
M. Babinski, de savoir ce que cette déformation devient pendant le sommeil et sous l'in- fluence de la chloroformisation,
ue le temps est orageux ou humide, et parfois la nuit la privent de sommeil . Soit à cause de cette douleur, soit en raison
maines la paralysie est en partie guérie, la polyurie a diminué, le sommeil est calme. Guérison complète dans la suite.
outre des vertiges, de l'apathie, de la somnolence, une tendance au sommeil in- vincible. L'observation bien connue de Perr
78 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
nesse des crises incomplètes d'hystérie. Elle a encore des accès de sommeil cataleptique, s'accompagnant de grands mouvements
n suspendu et dont les muscles étaient relâchés sous l'influence du sommeil chloroformique. Quand on faisait passer le chie
communications de la famille la contracture persistait pen- dant le sommeil . L'examen minutieux avec le courant faradique e
tous les topiques les augmentaient et un soulagement qui permit le sommeil ne fut obtenu que par la morphine et les hains
mouvements ne disparaissent pas toujours complètement pen- dnltt le sommeil . Chez le malade de Massalongo, on remarquait des
longo, on remarquait des mou- vements de la jambe gauche pendant le sommeil . Kurella déclare, que les mouvements chez son m
ements chez son malade, étaient si intenses, que souvent pendant le sommeil il tombait de son lit. Quant à l'influence de l
e est très émotive et très coléreuse) les augmentent beaucoup, Le sommeil seul suspend ces mouvements. Aux mains, aux pie
gauche. Aucune inégalité dos corps vertébraux lom- baires. Dans le sommeil chloroformique ou sent assez bien la cinquième lo
par le palper abdominal et par le toucher rectal, surtout durant le sommeil chloroformique; il existe une spondylolistèse net
de Pravaz, soil plus lentement comme chez le malade de Grancher. Le sommeil chlorofor- mique a triomphé de la contracture d
chée ; fait important, on voit dispa- raître la contracture dans le sommeil ebloroformique (Duret). Outre cette déviation l
RE. tations de la syphilis congénitale. Pas d'autre grossesse ». Le sommeil chez les athétosiques doubles est généralement
ements athétosiques per- sistent même au repos le plus absolu. Le sommeil seul peut les faire suspendre. Iluet est le premi
ns toutefois disparaître complètement pendant l'état de veille ; le sommeil chloroformique et le sommeil naturel peuvent les
lètement pendant l'état de veille ; le sommeil chloroformique et le sommeil naturel peuvent les faire d'habitude cesser com
rouler une bou- lette. Ce tremblement est continu (sauf pendant le sommeil ) et se manifeste, fait important, en dehors de
ubles de. la sensibilité, pas de rétrécissement du champ visuel. Le sommeil est- agité et troublé de cauchemars incessants ;
nsation de chaleur ; besoin continuel de se donner du mouvement. Le sommeil est assez bon. Pas de trou- bles digestifs ; il
es était observée pendant des années, leur dispari- tion pendant le sommeil et leur suspension pendant un érysipèle que la
t qui chez d'autres détermine rapide- ment un besoin très marqué de sommeil . « Dans les cas de migraine même bénigne, ces v
malade qui s'agitait sans cesse péniblement dans son lit dort d'un sommeil calme qui lui procure un grand soulagement Sauf
emède qu'on disait presque héroïque contre la mi- graine, rendre le sommeil aux malades, faire disparaître les symptômes de
t qui envahit toute l'économie et porte presque in- variablement au sommeil . De fait, l'expérience a démontré qu'une séance
u'une séance de 10 minutes faite vers 6 heures du soir procurait un sommeil calme dans la nuit correspondante. Huit ou dix
jamais senti son estomac. La constipation est très opiniâtre. Le sommeil est régulier. Depuis plus d'un an la menstruati
érieurs et inférieurs presque toujours froids. Agitation pendant le sommeil . Du reste bonne santé on apparence ; appétit très
arrière et que ses bras d'abord et surtout le gauche se tournaient. Sommeil bon. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 290
otions et dans les actes volontaires ; ils disparaissent pendant le sommeil . On doit cependant noter quelques légères diffé
rieures. Ce tremblement n'est pas constant; il disparait pendant le sommeil , et parfois à de longs intervalles pendant le jou
plus variées : tantôt il est étendu mollement dans un état de demi sommeil voluptueux, tantôt il est debout avec des attribu
hologique, est des plus intéres- sants. Il présente des attaques de sommeil d'une forme spéciale et nons ne saurions mieux
nerveux. (1) Parmentier, De la forme narcoléptique de l'attaque du sommeil hystérique, Arche- ves gén. de méd., nov. et dé
79 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
st difficile de le maintenir soit il râtelier, soit il l'école. Son sommeil est agité et interrompu par des réveils en surs
t et le goût semblent normaux. Elle aime entendre la musique. - Son sommeil est bon. - carte- tère doux, s'amuse seule avec
uccion. Ces accidents ont été notés il y a un mois. Amaigrissement, sommeil mauvais à cause de la toux. La température se m
as de pertes blanches. Propre vers 9 ans, (son frère vers 14 mois). Sommeil toujours agité, un peu moins depuis quelque tem
nce de la peur à la vue d'un escargot, elle a uriné sous elle. Le sommeil est profond, mais plaintes en dormant, et souvent
ctions digestives s'accomplissent dans de bonnes conditions ; et le sommeil serait bon si l'enfant ne se livrait la nuit à
x d'être caressé. Ni étourdissements, ni vertiges, ni tremblements. Sommeil normal. Aucune manifestation intellectuelle.
it quand on touche du doigt la cornée. Ce réflexe disparait dans le sommeil chloro- formique, dans le coma épileptique, dan
stion est bonne. Diarrhée très fréquente. Très turbulent et entêté. Sommeil bon. Ne s'habille, ni ne fait seul sa toilette.
pour la calmer. Au bout de cinq à six mois, elle était calme et le sommeil était bon. Allaitement maternel, sevrage à deux
e, très bavarde, et sa fille « se disputaient comme deux gamines ». Sommeil calme, prolongé. Voix souvent rauque, voilée ;
oir que les tics sont à leur maximum. Ils dispa- raissent durant le sommeil . Nous devons compléter cette description avec l
alourdissements ( ? ), quelques maux ie tête ; pas de tremblement. Sommeil bot. pas de cau- hemars. Mémoire, raisonnement
,5. 18 mars. R... s'est endormie de bonne heure, sans sul- fonal, sommeil calme. Dans le courant de la journée, elle caus
ous ses mouvements sont lents, sa démarche n'est pas assu- rée. Son sommeil est bon pour le moment et on ne constate plus d
tile, elle met et enlève le couvert. L'appétit est bon ainsi que le sommeil . Elle n'est pas difficile pour la nourriture, e
tôt exubérante. Elle a eu quatre ou cinq fois des maux, de tête. Le sommeil est bon, un peu lent à venir. Les règles sont v
continence d'urine et des matières fécales et se terminent par un sommeil profond. Trois ou quatre jours plus tard, nouvell
ts fréquents de coloration de la face. Description DU malade. 209 Sommeil calme, sans cauchemars. La mémoire parait peu d
ure de sa lèvre, sont en bonne voie,l'enfant mange et boit bien, le sommeil est assez calme; on le lève dans la journée.
pousse des cris perçants que rien ne peut calmer, de sorte que le sommeil de ses camarades est complètement troublé, tous
out; pas de vomissements, constipa- tion. Bonne santé physique. Sommeil tranquille. Maladies infectieuses : Rougeole
régu- lières, quelquefois diarrhéi- ques. Bonne santé physique. Sommeil tranquille. Maladies infectieuses : Rougeole
Les nuits sont mauvaises et agitées : il n'a pour ainsi dire pas de sommeil , il crie une partie de la nuit, mais par contre
80 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
malade mangeait gloutonnement sans soif; constipation habituelle. Sommeil tranquille. Une demi-heure ou une heure après le
vulsions, de croûtes, de glandes, de dartres, d'ophthal- mies, etc. Sommeil bon. Il a la manie de grimper partout où il tro
ncées à droite. Ronflement, bave sanguinolente, émission d'u- rine; sommeil . Les accès se produisent surtout après les repas.
moire semble avoir diminué depuis le début de l'affection ( ? ). Le sommeil est facile, calme, et n'est pas interrompu par
ar des soupirs et par quelques mouvements de déglutition, suivis de sommeil . Il 1 juillet. -A l'occasion d'une contrariété
vrent de larmes et se dirigent en haut. L'enfant est plongé dans le sommeil hypnotique et, de ce moment, toute sensibilité di
pas de catalepsie et le membre retombe inerte. Après six minutes de sommeil hypnotique, le ma- lade revient à lui sans cons
s mêmes que précé- demment. On incise une pustule d'acné pendant le sommeil anes- thésique, qui dure trois minutes. On reco
- Le malade est endormi par le regard en trois minutes; pendant le sommeil qui dure deux minu- tes, on projette quelques g
produit des spasmes musculaires. Quatrième expérience (5 mai). Le sommeil hypnotique est obtenu en faisant fixer du regar
de passes magnétiques; on parvient, par ce procédé, à prolonger le sommeil pendant douze minutes, et on constate les mêmes
; enfin, s'il se met en colère, il revient rapidement au calme. Son sommeil serait troublé par des rêves fréquents, n'affec
ant trait à son travail : il cause parfois à haute voix pendant son sommeil . Son occupation actuelle consiste à aider sa mère
s lors jusqu'à ce matin, il n'a pas eu de nou- velles attaques. Son sommeil est tranquille. Deux ou trois fois par mois, de
pement congénital. - Premières convul- sions à 3 azs. - Troubles du sommeil . - A trésie dn méat urtatre. Tuberculose pulmon
rumination. L'enfant était vorace, sujet à la diarrhée; il avait un sommeil très agité, pendant lequel il jetait des cris,
4* livraisons, des régions hystérogènes;-5°, 6' et 7'livraisons, du sommeil des hystériques; 71-12, livraisons, des attaques
ons, du sommeil des hystériques; 71-12, livraisons, des attaques de sommeil ; hypnotisme, somnambulisme, catalepsie, sabbat,
81 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
i ininterrompus que la sueur lui coulait de partout; le besoin du sommeil seul l'arrêtait. Il est probable qu'il ne s'agi
de profonds soupirs, versait des larmes et s'endormait. Pendant son sommeil , il transpirait beaucoup ; à son réveil, il se
et à la tète, se mord la langue presque à chaque accès. - Après un sommeil de une à deux heures, il se réveille sans se so
e présente également cette malade ne sont observés qu'à la suite du sommeil dans lequel il tombe après l'acte procursif.
et abondante. Cette dernière période dure longtemps et aboutit à un sommeil profond qui permet de prendre la température du
rennes. Pas de violences après les accès, pas d'halluci- nations. - Sommeil bon, il s'endormait souvent après les accès. Pa
langue ; il urine sous lui toutes les fois qu'il a de forts accès. Sommeil consécutif. Actes automatiques : il bou- tonne
rait vers sa mère chez laquelle il ne s'est jamais blessé. Dans son sommeil il appelait également : « Maman, bobo », poussa
cloniques. Pas d'écume; morsure rare de la langue. Après les accès, sommeil d'une demi-heure. Quel- quefois folie consécuti
xclusivement diurnes : le maximum par jour était de cinq ou six. Le sommeil était bon. Jamais de grands accès. Depuis l'app
ier : Poids, 47 kilogr. 511.- Juillet : Poids, 49 kilogr. 20. Notes Sommeil bou, il s'endort assez lente- ment : « Deux...
il avait devant lui. Pas de succion, de rumination, pas d'onanisme; sommeil bon, pas de cris nocturnes, pas de douleurs de
e de jours. Vers trois ans et demi, convulsions, surtout pendant le sommeil : le nez, la bouche, les yeux étaient agités de
Depuis deux mois surtout, son ca- ractère est très difficile. Son sommeil , qui est long, est très agité; elle gémit, parle
. Caractère entêté, instabilité. - A 15 ans et demi, ona- nisme.- Sommeil mauvais. - Paresse, négligence, querelles fréqu
et qu'il était parfois comme hébété, mais sans douleurs de tête. Le sommeil était mauvais, plus court que d'habitude, toute
tées par ma mère de complicité avec mon père, la nuit pen- dant mon sommeil , depuis âge de 14 ans 1/2. Mais jusqu'ici je n'
voici comment. Je sentis une main me touchant la nuit pen- dant mon sommeil , et une odeur m'éveillant, celle de la mor- phi
en traitement des mêmes indécences exercées par ma mère pendant mon sommeil . Nous retour- nâmes à la consultation dudit doc
ec mon père, exerçait l'incor- poration sur moi la nuit pendant mon sommeil , depuis l'âge de 14 ans 1/2. Je vous portai pla
s fonctions digestives sont bonnes, sauf un peu de constipation. Le sommeil est mauvais. Du moins, pré- tend-il qu'il ne do
l embrasse sa mère, ce qu'il ne voulait pas faire auparavant. Son sommeil est hon, et G... assure que personne ne vient l
aime toujours à rester seul et ne joue pas avec les autres. - Son sommeil est bon, dit-il. - Il n'aurait plus de visions ni
ée. Peu après, il fut pris d'accès de rires la nuit et le jour. Son sommeil était agité. Ses mauvaises habitudes, ses accès
82 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
t très lentement ne procédait nullement à ses soins de toilette. Le sommeil était agité; elle se levait souvent dans la nui
donne, procède à toute sa toilette avec soin. Ajoutons aussi que le sommeil de l'enfant est tranquille et que ses mauvaises
des cé- phalées fréquentes, s'accompagnant de rougeur de la face. Sommeil à peu près régulier ; pas de cauchemars. Sen- t
ratoire ni circulatoire. Sensibilité générale et spéciale normales. Sommeil naturel. Pas d'accès de cris. L'enfant aurait
iction involontaire. Phase ;le stertor. Le tout dure 4 à 5 minutes. Sommeil consécutif pendant une heure. A son réveil, cép
la krouomanie. Il s'arrache les ongles et grince souvent des dents. Sommeil normal. Jamais d'hallucinations. L'enfant est
ns ; pas de faux croup. - Accidents scrofulcux : rien à signaler. Sommeil absolument naturel. Sentiments affectifs très p
r, elle était prise de peur et son teint devenait verdallre. - Le sommeil de l'enfant n'a jamais été troublé par des accès
apparition des règles à 10 ans, cauchemars, hallucinations, peurs; sommeil toujours très court (une heure au plus) et très
réciable. Fréquentes cépha- lalgies dont l'enfant se plaint encore. Sommeil normal, non agité. Depuis un an, hallucinatio
ix semaines. - Retard dans la marche. Gâtisme. Manies. Co- lères. Sommeil troublé, .. Etat actuel (1894) : IL. est déjà o
vomisse- ments. Préhension défectueuse. Pas de vers intestinaux. Sommeil troublé, quelquefois accès de cris, cauchemars fr
e petits cris inarticulés. - La sensibilité généraleest normale.-Le sommeil est très- lourd, sans cris ni cauchemars. Dla
le ne rit ni ne sourit jamais. Elle ne grince jamais des dents. Son sommeil est iourd, très irrégulier. - Elle agite souvent
à être dans les bras des infimières et à être bercée. La nuit, son sommeil est très agité, elle se réveille constamment et
défaire prendre à l'enfant une autre nourriture que le lait. Son sommeil est mauvais, elle se réveille et cric pendant des
ements. Quand elle va avoir un accès, elle devient toute blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sait un peu l
selles régulières, sans diarrhée ni constipation, ni gâtisme. Le sommeil est bon, sans cris, ni cauchemars, ni hallucina-
ice. En pareil cas, les accès ne sont pas suivis d'hébé- tude, de sommeil prolongé, deux symptômes qui, dans l'épilepsie
ots qu'il pronon- çait, il^ne jouait plus et paraissait triste. Son sommeil resta bon. On ne sait à quelle cause attribuer
amais de la tête. Ni grincements de dents, ni grimaces, ni tics. Le sommeil est bon, sans rêves, ni cauchemars, ni accès de c
bon, sans rêves, ni cauchemars, ni accès de cris; pas d'attaques de sommeil , pas de somnambulisme. Très peu de mémoire, pas
peu de maladresse, et de nonchalance. Il n'a ni tics ni manies. Son sommeil est régulier, sans cauchemars ni hallucinations.
pas d'accès. On le met a l'asile où il ne fait aucun progrès. - Son sommeil est ])on- et prolongé. - Pas de colères, l'enfa
pleure. Parfois ces secousses sont limitées à l'épaule gauche. Le sommeil est bon. Traitement : Sirop anti-scorbutique. E
83 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
étés. —Tremblement in-termittent. — Tremblement continu. Influence du sommeil , du repos et des mouvements volontaires. — Distin
qu'elles prennent, assises ou couchées, toujours elles tremblent. Le sommeil seul met momentanément un terme à l'agitation spa
tôme constant, ou qui, tout au moins, ne s'efface guère que durant le sommeil , constitueront le second groupe. 11 faut remarque
malade voulait exécuter, mais jamais à l'état de repos, ni durant le sommeil . [Ein Beitrâg zur Lehre der Paralysis agitans. lu
rte d'épuisement ner-veux ; la nutrition s'altère, le malade perd son sommeil , il se forme des eschares qui terminent la scène
smes, éclatant sponta-nément, sans cause appréciable. En revanche, le sommeil na-turel, le sommeil provoqué par le chloroforme,
-nément, sans cause appréciable. En revanche, le sommeil na-turel, le sommeil provoqué par le chloroforme, annihilent tou-jours
s efforts el une sorte de balancement, elle parvient à se lever. Le sommeil , en général, esL court. Durant la nuit, Guill...
ille. Il ne s'arrête que lorsque cette malheureuse estplongée dans un sommeil profond. 11 est des cas où, dans la paralysie agi
r et inférieur gauches. Cette contracture, qui ne cesse ni pendant le sommeil naturel, ni pendant le sommeil chloro-formique, à
ontracture, qui ne cesse ni pendant le sommeil naturel, ni pendant le sommeil chloro-formique, à moins qu'il ne soit poussé en
tre membres, contracture absolue, persistant nuit et jour, pendant le sommeil et la veille, résistant môme au sommeil chlorofor
tant nuit et jour, pendant le sommeil et la veille, résistant môme au sommeil chlorofor-mique, ou, foui au moins, ne se résolva
e du mot ; je me suis assuré qu'elle ne se modifie en rien pendant le sommeil leplus profond ; elle ne subit pas dans la journé
ns la journée, d'alternatives d'aggravation et de rémission. Seul, le sommeil provoqué par le chloroforme la fait disparaître p
le Fig. 24. — Contracture hystérique des deux membres inférieurs. sommeil chloroformique. Les muscles des jambes et des cui
profonde serait mise à peu près hors de doute si, sous l'influence du sommeil déterminé par le chloro-forme, la rigidité des me
, d'autant plus qu'elle ne s'amende que très imparfaitement durant le sommeil produit par le chloro-forme. Je signalerai encore
ofonde et supérieure : relâchement des membres et de la face. Ensuite sommeil paisible en apparence ; enfui bâillement, ouvertu
t jour si ce n'est cependant durantles quelques heures où survient le sommeil . Au momentdu réveil, il se manifeste un fait très
stants, sans repos ni trêve, à part cependant le temps où survient le sommeil . Car il ne s'agit pas ici,cela devient évident dè
i étourdissements. L'intelligence est conservée, la mémoire bonne. Le sommeil , chez elle, est moins court que chez la plupart d
lement pendant la journée, mais encore pendant le séjour au lit. — Le sommeil est moins long qu'autrefois. — La malade se promè
qu'on ta tire un peu par sa jupe. Gav... ne mange plus seule ; son sommeil est meilleur : elle s'en-dort avec quelque peine,
phase nouvelle. Leur faciès jusque-là atone, à peu près comme dans le sommeil , s'a-nime, devient le siège d'expressions diverse
e restera éveillée, car le spasme est généralement relâché pendant le sommeil . » «..... Une jeune fille de 11 à 12ans s'était
oque, le poing-reste fermé constamment, jour et nuit, même pendant le sommeil le plus profond, contrairement à la remarque fait
lade à l'action du chloroforme. L'exploration, pratiquée alors que le sommeil est devenu complet, ne fait rien découvrir qui pu
puisse rendre compte de douleurs si vives.On remarque que,bien quête sommeil provoqué soit très profond, les parties contractu
étés. —Tremblement in-termittent. — Tremblement continu. Influence du sommeil , du repos et des mouvements volontaires. — Distin
84 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
syncopale, épileptoïde, démoniaque, de délire, de contractures, de sommeil , de catalepsie, etc., il faudra donc ranger dés
Réglée à treize ans et demi, facilement et régulièrement depuis. Sommeil bon; parfois rêves et cauchemars. A maigri depuis
es; les narines se dilatent; mouvements de déglutition, mais pas de sommeil . 1er septembre. - Les douches ont été prises ré
re et le 6 octobre. 14 octobre. Une attaque de cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 1 25 novembre. - Pas d'attaques n
x qui passent. Sa vue se brouille. Les règles n'ont pas paru le 22. Sommeil prolongé et lourd, sans cauchemars. 3 mars. - N
ours, il est rede- venu très peureux. Les mouvements sont brusques. Sommeil agité, remue beaucoup. Urine parfois au lit (7
ix personnes de suite, il avait dix fois les mêmes crises. La nuit, sommeil agité, rêves, mais non cauchemars. Fonctions di
qui, jusqu'alors, n'ont pu dormir une minute, récupèrent la nuit un sommeil prolongé et réparateur. L'idéogénèse se calme,
prescription de médecin, par un droguiste. Deux cas d'attaque DE sommeil hypnotique. - On écrit d'Alain- court au Progrè
3 uuit assez honne et un réveil normal, elle est retombée dans le sommeil agité où elle avait été plongée. Malgré les soins
présente pas de danger immédiat; mais il craint la prolongation du sommeil . On alimente cette jeune fille comme on peut, a
selon toute probabilité, d'une hystérique un proie à une attaque de sommeil . Ce n'est pas là un cas exceptionnel. Dans Icon
nte de cinq mois. - On voit qu'il s'agit là encore d'une attaque de sommeil , analogue à la précédente. Un cas DE léthargi
iseur. Bientôt, à la surprise générale, Elise s'endormit d'un lourd sommeil , si réel, que quelques instants après, il fut i
Tout le monde, alors, dans le café, de s'évertuer à tirer de son sommeil la belle endormie. Les uns lui jettent de l'eau à
ès, avec plus de succès encore. La jeune fille, se sentant prise de sommeil , eut encore la force de se traîner dans une piè
er la sen- sibilité de la peau par divers moyens : rien n'y fit, le sommeil persista. Enfin, le médecin-passa la main sur l
n'a voulu qu' « éveiller les idées », et, sans doute, nous tirer du sommeil dogmatique. Il n'a point tout lu (ce qui est no
. 50) de ce médicament n'ont chez 11 aliénés déterminé ni calme, ni sommeil . Ou plutôt la plus haute dose ne détermina qu'u
calme, ni sommeil. Ou plutôt la plus haute dose ne détermina qu'un sommeil de deux heures ou même moins. Enquelques cas le
rmina qu'un sommeil de deux heures ou même moins. Enquelques cas le sommeil dura quatre à cinq heures, mais les effets du m
inutes. Si on les réveille, elles ne tardent pas à se rendormir. Le sommeil , dure de six à huit heures. Aucun incon- vénien
nalogues à celles de la vie physiologique normale, notamment par le sommeil ; la suggestion à laquelle sont plus particulièr
nous avons parlé; on a soif et faim ; quelques heures plus tard le sommeil s'empare de vous, mais un sommeil plus réparate
im ; quelques heures plus tard le sommeil s'empare de vous, mais un sommeil plus réparateur qu'avant. Ce calme est surtout
malaises nerveux agaçants avaient passé souvent de longs mois sans sommeil . Déshydratation du corps humain, de deux à cinq
triturer les aliments qu'on lui introduisait avant danslagueule. Le sommeil et la veille ne se manifestaient que normalement.
sasié. Il suffisait du moindre attouchement pour le tirer de son sommeil , quel que fût l'endroit sur lequel on exerçât le
tacle, un dompteur a eu l'idée de placer une jeune fille en état de sommeil hypnotique dans la cage où évoluaient ses fauve
cës d'épilepsie. Très sensitive, elle rit et pleure facilement. Son sommeil est habituellement agité; au dire de sa mère, ell
85 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
remarqué aucun changement dans les fonctions digestives ni dans le sommeil ; un seul malade, Bail..., prétendait revenir p
a parole seule aurait été modifiée ; irascibilité ; impatiences. Le sommeil est bon sans cauchemars ; Ch... n'est pas peureux
e dans un brouillard. - Les autres sens spéciaux sont normaux. Le sommeil est regulier entrecoupé de temps à autre de que
ndort ; à 10 h. 33, il ouvre les yeux, est étonné, puis se rendort ( sommeil bruyant); à 10 h. 50, il répond à peine quand o
oires). Puis l'enfant s'est endormi, et au bout d'une demi-heure de sommeil , il a été repris de convulsions qui ont duré qu
il a été repris de convulsions qui ont duré quatre à cinq minutes : sommeil consécutif et ainsi de suite de cinq heures du
ni se servir d'une cuiller; il ne demande rien pour .ses besoins. Sommeil paisible, pas de peurs. Pas d'onanisme; pas de
R. 38°,6. 27 avril. - T. R. ;i8u, : 2.- Soir ; 38,6. 28 avril. Le sommeil est interrompu par des cris qui durent une ou d
droite; pas de miction involontaire. Après les accès, abatte- ment, sommeil , mais pas de violences, pas d'idées de sui- cid
i l'entoure, ne répondant pas aux questions ou riant aux éclats; le sommeil est nul, le malade parle toute la nuit. Cet éta
olente céphalée frontale. T. R. 36°,8. A 8 h. 1/2, il s'endort d'un sommeil profond et très calme. 31 janv. - La sensibil
atre membres ; un peu de stertor, miction involontaire; finalement, sommeil de quelques mi- nutes. De 2 ans et demi à 6 a
j'ai soif, j'ai faim, du pain, asseoir, des billes ! bonjour. Il - Sommeil bon. Il a deux tics : l'un con- siste en un bal
ne ; pas d'autre maladie. A 8 ans, il fut pris de peurs durant le sommeil ; il appe- lait sa mère : « Prends-moi, j'ai pe
86 (1852) Journal du magnétisme [Tome XI]
gauche et celui du mouvement, annoncés par la malade plongée dans le sommeil magnétique, pour le 3 décembre à trois heures, et
ointures de gauche, des envies de pleurer; ce sont, dit-elle dans son sommeil magnétique, les avant-coureurs de la faculté de m
, devient plus prononcé et plus facile, après une magnétisation et un sommeil de trois quarts d’heure. Depuis le 24 jusqu’au
un peu tremblée, mais parfaitement lisible. Le 2 janvier, dans son sommeil magnétique, elle demande qu’on lui fasse en hâte
à vous entretenir que de mes tentatives pour la faire marcher dans le sommeil magnétique, ou de celles qu’elle pourra faire d’e
ns les accès convulsifs que le moindre mouvement rappelait; .un court sommeil était le signal du calme qui survenait après les
ents très-agréables pour lui, soit pendant la veille, soit pendant le sommeil ; elle seule aussi pouvait calmer ses convulsions.
teur et professeur Suurman, qui, pour avoir touché le malade dans son sommeil , lui causa une de ses plus fortes convulsions. En
rapport magnétique à son plus haut degré; car. ajoute-t-on, dans son sommeil magnétique M. Sloet devint clairvoyant, il ne rép
ais Gonzalez chercha un prétexte pour le magnétiser. A peine entré en sommeil , Félix répéta exactement tout ce qu’il avait dit
87 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'homme normal, la paresse intel- lectuelle, l'assoupissement et le sommeil . Un fait particulièrement intéressant a été obs
ttaques étaient si fortes qu'elles semblaient épileptiques. 8° Le sommeil hypnotique : Enfin sainte Thérèse eut aussi pen
pnotique : Enfin sainte Thérèse eut aussi pendant cette période, un sommeil hypnotique de quelques jours dont nous parleron
qu'après trois années de maladie, que je fus à peu près guérie ». Sommeil hypnotique DE Thérèse. C'est pendant cette péri
e lit qu'elle eut dans la maison de son père, à Avila, une crise de sommeil hypnotique; voici comment elle raconte le fait
and désir qu'elle en avait, cette contrariété amena subi- tement un sommeil simulant la mort : « La même nuit je tombais da
e couvent on dit pour elle la messe des morts. - Observations -de sommeil hystérique. Cet état de mort apparente chez des
berie accompagnait souvent. cet état. Je vais citer trois cas de ce sommeil : - 1 Le premier cas est relatif à une femme de
as est relatif à une femme de cinquante-cinq ans, chez laquelle les sommeils hystériques après les crises étaient fréquents.
nte avec son L HYSTERIE DE SAINTE THERESE 139 mari, tomba dans un sommeil invincible pendant quatre jours; la syncope fut
ions d'un livre de médecine : il fut pris pendant six semaines d'un sommeil simulant la mort, avec un réveil de deux jours
tout autres causes, il se leva'en criant et ne retomba plus dans le sommeil . Comme on le voit, malgré leur état de demi-con
que je sois en danger de mort, je vais le prouver. Faits DIVERS DE sommeil hystérique. On lit sou- vent dans les journaux
diverses reprises, cette personne s'est alitée sous l'action d'un sommeil invincible, qui, jusqu'à présent, n'avait pas dép
France cinq ou six faits divers semblables ; ce sont tou- jours des sommeils hypnotiques : nous retrouverons le même sommeil
t tou- jours des sommeils hypnotiques : nous retrouverons le même sommeil au moins une fois dans la vie de chaque grand h
membres inférieurs, de douleur lombaire, de perte. d'appétit et de sommeil . La puissance génitale était complètement aboli
de patience. Il y a des malades chez lesquels je n'ai pu obtenir le sommeil qu'à la septième ou huitième séance. Je suis co
rtérielle varie, suivant qu'on la mesure avant, pendant ou après le sommeil hypnotique. Cette modification de la tension ar
très rare- ment, étant en compagnie, elle s'est endormie du même sommeil , sans y prendre garde; on attribuait la chose à u
dant rien à se repro- cher ; elle refuse les aliments ; très peu de sommeil . En niai : l'excitation est un peu tombée, mais
ître coupable; elle arrive à penser que c'est peut-être pendant son sommeil qu'elle commet les actes dont elle est convainc
eurant, de ne pas lui prescrire d'hyp- notiques, de la laisser sans sommeil pour lui permettre de ne rien PATHOGÉNIE DES ID
intenant, j'ai tout compris, je m'explique tout : c'est pendant mon sommeil que je commets des fautes ; je ne veux plus dor
le-même coupable, comme elle le croit maintenant, c'est pendant son sommeil qu'elle accomplit des actions mauvaises ; elle
te : ainsi J... R... se dit d'abord que c'est peut-être pendant son sommeil qu'elle commet les actes dont on doit l'accuser
deux mâchoires ; elles ont progressé au point de lui enle- ver tout sommeil . Endolorissement égal des deux maxillaires du c
; 11° l'alitement en un très grand nombre de cas n'améliore pas le sommeil des malades, parce que fréquemment il fait dorm
venu pour provoquer la décharge, qui peut même se produire dans le sommeil , sous la forme de chocs anxieux (décharges émot
se reconstitue intégralement soit il l'état de veille, soit dans le sommeil , DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE. 473 co
les soirs, à la tombée de la nuit, de paroxysmes angoissants. Le sommeil est plus ou moins bon. Tantôt, l'obsession n'a
XXXIV. De l'automatisme postparoxystique passager, remplaçant le sommeil postépileptique, ou équivalent psychique du som-
este presque à chaque ictus ; il en est chez qui il alterne avec le sommeil postépileptique. L'automatisme une fois passé, le
e demi-conscience : cet état-là n'est pas l'équivalent psychique du sommeil post(pileptiqne; car, au cours de sa durée, les
au cours de sa durée, les malades dorment après les attaques, et le sommeil ne ramène pas la lucidité, contrairement à ce q
ostparoxystique pas- 548 table des matières. sager, remplaçant le sommeil I postélnlepuque, ou équivalent | psychique d
plaçant le sommeil I postélnlepuque, ou équivalent | psychique du sommeil postépilep- tique, par Hermaun, 497. B.1131N1
88 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
moire semble avoir diminué depuis le début de l'affection ( ? ). Le sommeil est facile, calme, et n'est pas interrompu par
r des soupirs et par quelques mouvements de- déglutition, suivis de sommeil . f 1 juillet. - A l'occasion d'une contrariété
vrent de larmes et se dirigent en haut. L'enfant est plongé dans le sommeil hypnotique et, de ce moment, toute sensibilité di
pas de catalepsie et le membre retombe inerte. Après six minutes de sommeil hypnotique, le ma- lade revient à lui sans cons
s mêmes que précé- demment. On incise une pustule d'acné pendant le sommeil anes- tltésique, qui dure trois minutes. On rec
). Le malade est endormi par le regard en trois minutes; pendant le sommeil qui dure deux minu- tes, on projette quelques g
ement des spasmes musculaires. Quatrième expérience (3 mai). - Le sommeil hypnotique est obtenu en faisant fixer du recar
de passes magnétiques; on parvient, par ce procédé, à prolonger le sommeil pendant douze minutes, et on constate les mêmes
; enfin, s'il se met en colère, il revient rapidement au calme. Son sommeil serait troublé par des rêves fréquents, n'affec
ant trait à son travail : il cause parfois à haute voix pendant son sommeil . Son occupation actuelle consiste à aider sa mère
s lors jusqu'à ce matin, il n'a pas eu de nou- velles attaques. Son sommeil est tranquille. Deux ou trois fois par mois, de
I, p. 207). 182 pathologie générale. il n'est pas rare pendant le sommeil chez les sujets nerveux, principalement les enf
comme perdu au milieu de brouillards. Malgré cela, l'appétit et le sommeil étaient conservés, et Fauv... pouvait, en dehor
à un délire pareil à celui re- laté'plus haut : De plus, durant son sommeil il a éprouvé fréquem- ment des sensations verti
thèses J1s ! Jeho-phifSiolo ! Jiques sur la nature et les effets du sommeil provoqué chez les hystériques. Cette communi- c
la vue d'un caractère alarmant et aboutissant toujours à un profond sommeil . La malade était quelquefois surexcitée, mais p
ons encore aux professions qui nécessitent un travail de nuit ou un sommeil trop court. Quand on pense à l'extrême fréquenc
iénation mentale, opposée à l'in- fluence bienfaitrice d'un heureux sommeil réparateur sur l'in- tégrité des fonctions inte
ui, pour remplir leur profession, veillent la nuit ou abrègent leur sommeil . La question du sommeil nous conduit aux autres
ofession, veillent la nuit ou abrègent leur sommeil. La question du sommeil nous conduit aux autres habitudes troublées par
alubrité des ateliers et usines, ainsi que les troubles apportés au sommeil et au repas. ces auxiliaires indispensables de
de est douée en outre d'une double vie, c'est-à-dire que pendant le sommeil somnambulique, ses pensées et ses actes sont la s
sont la suite des pensées et des actes de la précédente période de sommeil ; après le réveil, elle reprend de même la vie
sLéro-épilepsie à crises COI1\ ul- sives ; attaques de contracture; sommeil , hallucinations persistant après le réveil. San
pier, que je la dé- chire en 450 petits morceaux et que, pendant le sommeil de cer- taines hystériques, je leur suggère l'i
veil, retrouveront le morceau qui leur aura été présenté pendant le sommeil . A l'état normal, une feuille de carton ne réfl
ssage : durée minima,une heure; moyenne, une heur.; et demie. Puis, sommeil d'une heure, à l'abri de toute excitation extér
es, reconquit le calme et la plénitude de ses facultés, recouvra le sommeil (nuits complètes de huit à dix heures à la file
titre : Le braidisme, l'appétit et la soif, la soif de l'alcool, le sommeil , le délire des persécutions, les cérébraux, que
89 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
Ces contractions conti- nues ne donnent à la malade aucun répit; le sommeil est impossible. Cette insomnie, jointe à la fré
aime les animaux : jamais il n'a ri comme les autres enfants. - Son sommeil est pai- sible ; on n'a pas observé de tendance
'église, durant un sermon sur la mort. Persistance de l'impression, sommeil mauvais, agité, peurs constantes, tristesse, mo
onnaissait pas auparavant. Pas d'onanisme, dit-on; non querelleuse, sommeil bon, jamais de cauchemars, etc. : Le 10 décembr
itement : Isolement, bains prolongés, chloral bromure. 8-9 avril. - Sommeil mauvais, agitation, injures gros- sières à son
elle, elle mange toujours très peu. (Manchon.) 14-15 avril. - Le sommeil est assez bon, la malade mange très peu ; en se
a veilleuse. Peu après, elle a recommencé, puis s'est endormie d'un sommeil très agité. A son réveil, elle adresse des inju
les niches qu'elle pourrait- bien faire aux autres. - 18 avril. - Sommeil interrompu à différentes reprises. Elle s'est m
rès avoir été habillée, elle demande à se recoucher : « J'ai encore sommeil , je n'ai pas dormi cette nuit, car j'avais des
ogée, elle prétend qu'elle ne pense il rien. Elle s'endort vite, le sommeil est prolongé ; elle dit rêver de toutes sortes
s dans les coudes, les genoux, les pieds, avec fièvre. Cependant le sommeil reste bon, sans cauchemars. Pas d'étourdissemen
eux et impatient; il est insta- ble, son attention est nulle. - Son sommeil est calme, en- trecoupé de réveils brusques ave
cs; jusqu'à présent on n'a pas observé de tendance à l'onanisme, le sommeil est pro- fond et tranquille. - G.... parle, mai
ffection aiguë jusqu'à Lige de li mois. A cette époque, pendant son sommeil , sa mère s'aperçoit qu'il présente du clignotem
sa portée. Il mange gloutonnement, aime le café mais pas le vin. Le sommeil est calme, on n'a pas observé de tendance à l'o
.198. - 184 Antécédents-héréditaires. intermittente de la face. - Sommeil interrompu par des accès de cris. Préhension pr
Le médecin de la famille a cru un moment qu'elle était sourde. Le sommeil aurait été bon jusqu'à l'entrée. On n'a pas not
tombait comme endormie ; étant réveillée elle poussait des cris. Le sommeil est variable : quelquefois, elle dort pendant 1
90 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
côté. Il n'existe pas de trace d'hémiplégie dans les membres. Le sommeil est agité, souvent interrompu par des cauchemar
une période de trois mois. Toutes les nuits pendant ce temps là le sommeil a été tour- menté par de terribles cauchemars d
fant, elle se montrait très entêtée, d'une turbulence excessive; le sommeil était habituellement agité. En décembre 1887, ell
tébrale, surtout à la région lombaire. L'appétit est capricieux, le sommeil assez bon. La menstruation est régulière, mais
prolongé de l'hydrate d'amylène, on observe une tendance marquée au sommeil , qui se manifeste d'ailleurs même après de faib
Nercam, en 1884, a l'avantage, d'après M. Gerlach, de procurer du sommeil et de calmer le système musculaire; indépendammen
lus souvent en 10 il 15 minutes; c'est surtout un hypno- tique ; le sommeil se produit en 20 à 30 minutes. Doses 2 à 3 milli-
chez les aliénés est surtout sédative, indirectement hypnotique. Le sommeil résulte de la paralysie des nerfs sensitifs et mo
l'existence de ce plateau consécutif est cependantsubor- donnée au sommeil ou, au contraire, à l'agitation possible à ce m
ls cessent lorsque l'enfant est couché et par conséquent pendant le sommeil . Le nystagmus, qu'on rencontre toujours, présen
ire ses DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 365 goûts. - Sommeil bon, prolongé, de dix heures du soir à neuf heu
. 11 a à son réveil perdu complètement le souvenir de sa période de sommeil . 7.-On l'hypnotise de nouveau et on essaie de p
fauteuil pour éviter quelque accident. - Vers midi il tomba dans un sommeil léthargique, avec insen- sibilité complète. Mis
eize ans et demi. - Pas d'aura, , oubli de l'attaque. - Attaques de sommeil . - Tremblement. - Stigmates hystériques peu mar
Huit jours après, nouvelle attaque qui a débuté de la même façon : sommeil de deux minutes d'abord, puis il a été pris san
face, petits soubresauts du ventre et des jambes. Résolution, puis sommeil apparent avec respiration et coeur réguliers, p
pérature après l'attaque était de 38°2, un quart d'heure après 38°. Sommeil agité pendant la nuit. 49.- Pendant le concer
III. Nous retrouvons dans les attaques ultérieures précédées d'un sommeil plus ou moins long et qui prennent de plus en p
intensité des perceptions; cette dose suffit parfois pour amener le sommeil . Chez les ma- lades la dose hypnotique varie de
t promptement chez ceux qui sont atteints d'insom- nie nerveuse, le sommeil se produit d'après Kast d'une demi- heure à deu
s dectilorhydrate de morphine. Avec la dose maxima de 4 grammes, le sommeil produit était très intense et durait de 3 à 4 h
du médicament se manifeste encore pendant la nuit suivante, car le sommeil est plus profond qu'à l'ordinaire. Schwalbe, ex
lfonal chez des su- jets atteints d'affections diverses a obtenu le sommeil 7 fois sur 10 et toujours dans les cas d'insomn
les bons effets de ce médicament. Le D Auguste Voisin a obtenu un sommeil profond de six à neuf heures à là'-suite de l'a
l'urine, la dose administrée, le temps nécessaire à l'apparition du sommeil , la durée de ce sommeil, et les phénomènes,inso
ée, le temps nécessaire à l'apparition du sommeil, la durée de ce sommeil , et les phénomènes,insolites, concomitants ou con
l'a donné à doses variant de 0 gr., 73 à 3 grammes. Sur 27o fois le sommeil s'est manifesté 263 fois, il n'a donc fait défa
termine le. plus souvent deux à quatre heures après l'ingestion, un sommeil qui se prolonge pendant quatre à neuf heures. C
estion, un sommeil qui se prolonge pendant quatre à neuf heures. Ce sommeil est le plus souvent continu, calme et profond.
lle relève les forces musculanes (mensurations dynamométriques); le sommeil devient meilleur, la courbe du pouls s'élève, l
est que la folie est de fait incurable et qu'elle n'est à l'état de sommeil chez celui qui a été une fois interné dans un a
Le 21 février, à 8 h. 45 du soir, le malade fut frappé d'un profond sommeil hypnotique ; on lui dit, au moment de son réveil,
91 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
e de la langue, écume, etc. Elle se blesse quelquefois. Hébétude et sommeil consécutifs. Traitement. - 23 mars 1874 : 2 pil
s'endormait pendant une demi-heure ; enfin, à partir de 15 ans, le sommeil se prolongea davantage et après son réveil, ell
tion appréciable des accès et des vertiges. Elle est plus calme, le sommeil est devenu plus long et plus profond. Son poids
Mômes doses (de 0 gr. 05 à 1 gr. 80). Pas d'autre amendement qu'un sommeil plus tranquille et moins d'agita- tion. Son poi
anglante ; cyanose des lèvres ; pas d'évacuations invo- lontaires ; sommeil consécutif ; pas de délire. Les accès, diur- ne
1 gr. 40. - 25 septembre : 1 gr. 50. - 7 octobre : 53 kilog. - Le sommeil est excellent, non interrompu ; le teint est frai
raux d'église. De plus, tout dansait. aut.our e e. - Cette nuit son sommeil a été mauvais. Bien que, hier, les attaques aie
ppée; caprices, allures et attitude ordinaires des hystériques. -Le sommeil est très-court, deux heures lui suffisent. Il..
fourmillements dans les pieds et les mains, surtout à droite. - Le sommeil est, en général, très-court; elle rêve beaucoup
devenus rigides; la contracture ne change pas sous l'in- fluence du sommeil : on s'en est assuré au moment où elle ronflait
Elle a un embarras de la parole tel qu'on ne la comprend pas. Ce sommeil est exceptionnel, sans relation avec ses attaques
ents du bassin. A la fin de l'attaque, écume -et ron- flement, puis sommeil stertoreux. 9 décembre. Depuis l'attaque d'hier
igue. - Sensations fréquentes de vertige. - Soif vive, empêchant le sommeil . La malade humecte sa bouche avec quelques gout
grammes d'urine (1). 23 mai. La nuit a été très-calme, quoique sans sommeil ; d'après la malade, l'insomnic aurait été occa
u de "la tempe gauche. Les deux dernières nuits ont été bonnes ; le sommeil a été paisible. , La vue est toujours très-af
il 876. Juin. La sensibilité spéciale et générale est normale. - Le sommeil est assez bon, mais la malade s'éveille plusieurs
92 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rchand, on était obligé de lui écrire les commissions à faire. - Le sommeil est assez bon et lourd. C... s'endort de suite,
nt au niveau du creux poplité. 15. - On chloroformise le malade, le sommeil se produit facile- ment sans période d'excitati
e l'état général lui aussi s'est le plus souvent amélioré et que le sommeil , fréquemment, est devenu meilleur, circonstance
agitante, après l'appli- cation du traitement (7 à 23 séances), le sommeil est devenu meilleur, la sensation de chaleur a
l est im- ÉPILEPSIE SOMNAMBULIQUE. 245 possible d'interrompre son sommeil ; le surveillant l'appelle, le remue, sans aucun
moment de notre visite, à huit heures et demie, il dort encore. Son sommeil parait tout à fait naturel, la température est
laire, relevé, retombe immédiatement. Ne pouvant mettre fin à ce sommeil , nous quittons le malade après avoir constaté qu'
e remarquons aucun phé- iioinèjie nouveau. Le ? si janvier : même sommeil , même impossibilité de l'inter- rompre même par
ent de l'activité mentale, de la mémoire, difficulté du langage, un sommeil agité, le pouls lent et faible, constipations c
nc comme hypnotique que le chloral doit être utilisé. Il produit un sommeil calme et régulier qui survient plus ou moins lo
ise ni céphalée; le réveil ne diffère pas de celui qui suc- cède au sommeil naturel. Comment agit le chloral ? La théorie d
e d'inter- valle ; parfois une dose faible suffit, chez l'enfant le sommeil peut être obtenu avec 0gr 50. Chez l'adulte il
quelquefois par des convulsions, d'autres fois par une attaque de sommeil . Le souvenir complètement aboli au réveil, peut ê
s deux substances, à la dose de un demi àun milligramme, produit un sommeil calme de plusieurs heures, sans autres effets f
effets fâcheux. Il n'en et pas de même de l'hvoseine qui n'amène le sommeil que très irréguliè- rement et toujours après un
gmenter la suggestibilité. Pour lui, l'état hypnotique n'est pas le sommeil , mais un état psychique particulier qui aug- me
e. De là, plusieurs catégories dans les hypnotiques, suivant que le sommeil est plus ou moins profond. Le sommeil ne se pro
s hypnotiques, suivant que le sommeil est plus ou moins profond. Le sommeil ne se produisant que par suggestion (tous les p
du regard, tam-tam, zones hypnogènes se ramenant à la suggestion du sommeil ), la méthode verbale, persuasive ou impé- rativ
lucide. La malade entend tout ce qui se passe autour d'elle dans le sommeil , mais elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est p
ue et elle ne sait comment cette fugue s'est produite. C'est par le sommeil provoqué que notre confrère est parvenu à conna
M. Mendel Sans dépasser la dose de 1 gr. 50, l'orateur ob- tient un sommeil ou un assoupissement profond dès le second jour
ons. Contrac- ture consécutive des doigts vertiges. - Curactères du sommeil . - Evasions de Bicêtre. - Fugue de la maison pa
que leurs fusils. En général, pas de cauchemars. Dans la nuit, son sommeil est profond, mais à partir de 4 heures du matin
btenue chez une malade non IIYPNOTISABLE, par suggestion pendant LE SOMMEIL naturel; par M. J. JANET. (Gaz. méd. de Paris,
une rapide amélioration ; les hallucinations se sont apai- sées, le sommeil reparait. Ici la modification du système nerveux
malades. Quatre-vingt-douze pour cent d'entre elles ont produit un sommeil de cinq heures et davantage. Il s'agissait de v
folies systématiques, une hébéphrénie. Dans la plupart des cas, le sommeil survint de un quart d'heure à une heure après l
hystérogènes, plaques d'anesthésie, attaques hystériques, crises de sommeil ). L'auteur note la fréquence des attaques apopl
Bérillon.290; (contracture hystérique guérie par la - pendant le sommeil na- turel), par Janet, 441. Sulfonal chez les
93 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ibrillaires énormes persistaient pendant la nuit et même pendant le sommeil chloroformique. Fait curieux, elles persistaien
res, lumineuses et psychiques. On facilite ainsi la pro- duction du sommeil et l'on exalte la suggestionnabilité du sujet.
fait par le métronome, loin d'être un obs- tacle à la production du sommeil , augmente en effet l'inhibition et triomphe de
le bras étant en byperétévation abduction, bras relevés pendant le sommeil , traumatismes sur la région scapulaire, tiraill
parait ivre ; bientôt survient une sensation de calme, suivie d'un sommeil de deux ou trois heures ; au réveil, l'excitati
s malades atteints d'insomnie rebelle. Chez presque tous il a vu le sommeil se produire de vingt à trente minutes après l'i
prédisposantes. Les angoisses mentales, l'excita- tion, la perte du sommeil , le surmenage sont peut-être les causes détermi
'on observe chez les animaux que l'on fait mourir en les privant de sommeil . Il en 200 BIBLIOGRAPHIE. est une toutefois q
documents cliniques positifs relatifs aux modifications du poids du sommeil , du pouls, de la tempéra- ture, de la pression
tation est en effet le plus souvent compensée par une diminution du sommeil nocturne. L'étude de M. de Casteras aboutit d'a
environ, elle a eu des «ccès de folie avec divagation et suivis de sommeil . Elle a eu quatre crises hystériques après des
e. Abattement marqué, le malade reste figé dans la même attitude. Sommeil nul, alimentation insuffisante en raison des naus
raisemblable d'expliquer certains phénomènes psychiques tels que le sommeil et les divers degrés de conscience ; pendant le
te définition du mot hypnotisme est la production arti- ficielle du sommeil ; mais on tend actuellement à étendre sa signi-
ore écrire. F. 13OISSIER. 111. Léthargie d'Afrique ou maladie dit sommeil ; par P. Alwsov et V. MoTT. (Londres, Adlard and
tte question, la pathologie et surtout l'étiologie de la maladie du sommeil sont encore mal connues et la nature en reste m
tristesse inertie, somnolence, accidents légers; 2" période d'état, sommeil continu avec réveils faciles à provoquer mais trè
exa- men clinique, ces deux autopsies prouvent que la maladie du sommeil est une méningo-encéphalo-myélite. Celle-ci serai
rd, il devint sujet à des attaques convulsives, d'abord pendant son sommeil , et plus tard pendant le jour. Ces attaques déb
e,'en se réveil- lant du coma qui suit une ivresse intense, ou d'un sommeil nor- mal, ne peut absolument pas marcher, ou bi
Nouv. Iconogr. de la Salpêtrère, n° 1, 1900.) ' XL. Sur un cas de sommeil prolongé pendant sept mois par tumeur de l'hypo
e céphalalgie, d'incertitude de la marche, de vomissements, puis de sommeil plus ou moins profond, presque continu, interro
uteur discute la question de savoir dans quelle classe des états de sommeil , peut être rangé ce cas de sommeil physiolo- gi
dans quelle classe des états de sommeil, peut être rangé ce cas de sommeil physiolo- gique par sa forme, pathologique par
r sa durée. Il élimine succes- sivement : 1° la narcolepsie ; 2° le sommeil hystérique ; 3° la léthargie ; 4° la catalepsie
6° le coma, et range son observation dans la septième catégorie des sommeils pathologiques ; 7° sommeils divers dans lesquel
ervation dans la septième catégorie des sommeils pathologiques ; 7° sommeils divers dans lesquels se trouve fré- quemment co
it la morphine. Mais le médicament précieux, inoffensif, donnant le sommeil en quelques minutes, même dans le délire le plu
ue). Au bout de quelques minutes le malade à une heure ou deux de sommeil . L'auteur croit être le premier à signaler cette
utes les fonctions organiques s'accomplissent bien. L'appétit et le sommeil sont excellents. L'urine ne présente rien de part
l n'est pas aveugle; il demeure toujours tranquille où on le place; sommeil et fonctions générales sans altération. Mais je
soignent la malade jour et nuit, sans pren- dre presque ni repos ni sommeil . Le huitième jour, \i ? 11 .. part pour rentrer
x malades ont attribué leur désordre mental temporaire au manque de sommeil et de repos. D'après les renseignements ! re- c
'par l'action des muscles volontaires et qui dispa- raît pendant le sommeil ; les membres ne tremblent pas. C'est donc un t
1111)1)01'tS de l'- et du subconscient, ptr Bill, 321. Hypophyse. Sommeil prolongé par tumeur de l ? par Soca. 101.- Hy
iucts des nègres, par Nlil,enz e et 111ott, 268. z ou maladie du sommeil , par mansion et Aloll, 3J ? - ayant duré cinq
Roger, 206. Sodomie et assassinat, par un ado- lescent. 367. Sommeil prolongé par tumeur de l'hypophyse, par Soca, 4
94 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
x secondes. - Le 5, attaque complète, durée vingt minutes. - Le 21, sommeil agité, l'enfant s'est levé en dormant, a traver
se plaint de douleurs d'entrailles ; tendance à la constipation. Le sommeil est en général bon ; l'enfant rêve pourtant que
ette; fatigue, il la rossent encore le lendemain, malgré le profond sommeil de la nuit. Diagnostic : iiystérie-épilepsie. L
oir en nous appelant par notre; nom. La nuit a été tranquille, le sommeil très profond. Le; ? Il. attaque isolée, élans l
ire, se couche convenable- ment dans son lit et s'endort. Durant le sommeil somnambu- lique, IL, a toujours gardé les paupi
céphalalgie, ni changement de caractère, ni cauchemars pendant le sommeil , très calme d'ailleurs. La crise débuta, sans p
i avant ni après, ni d'hallucinations ou de cauchemars. Pourtant le sommeil était un peu agité : il sautait souvent dans so
ipation, gâ- tisme. Pa,·oe, attention, sentiments affectifs nuls. Sommeil s muent interrompu par des cris : W.. se réveil
nt. Ils duraient deux à 4 minutes, et parfois ils étaient suivis de sommeil . Dans les derniers temps de son séjour à la mai
uleux, sauf un peu d'impétigo du cuir chevelu, ni traumatisme. Le sommeil était court et léger. Parfois l'enfant avait la
tion, il ne reconnaît personne, ne pleure et ne sourit jamais. Le sommeil est très agité, court, l'enfant ne dort qu'une
emandé at manger, puis s'est couchée et s'est endormie d'un profond sommeil . , 30 mars. L'enfant est calme, demande -Il des
le mange avec voracité sans mâcher; digère néanmoins très bien. Son sommeil est parfois très agité. 1 cr juillet. - L'éta
temporales-, vomit parfois, cela dure un jour et disparaît après le sommeil ; pas de syphilis, ni aucune autre maladie. Ell
s violent. Il s'est blessé 3 ou 4 fois il la tète dans ses accès. Sommeil bon, en général, cependant l'enfant aurait tou-
jours beaucoup rêvé, mais ne serait pas sujet aux cauchemars; le sommeil serait aujourd'hui ce qu'il était il y a 2 ou 3 a
venues. l'as de douleurs de ce genre avant la mort de son enfant. - Sommeil mauvais ; se réveille au moins bruit. En ce qui
remblement dans lesquelles il devient tout bleu. Pas de cauchemars; sommeil bon. 1890. 16 januiei·. - L'enfant est bien por
t obligée de le recoucher. Jamais il ne s'est promené pen- dant son sommeil , dans l'appartement. Son maitre d'école est trè
s accidents rnnvulsifs légers, limités aux yeux, ct des troubles du sommeil : il est, d'ailleurs, intelligent. - Un autre (
95 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s stable par cette sugges- tion lente à l'état de veille que par le sommeil hypnotique, dont elle n'a pas les défauts. F. B
, nausée et même vomissements, anorexie, cessation de l'accès après sommeil , face pâle pendant l'attaque, sont ses principa
quée; ils ont déterminé de la pâleur, des batte- ments de coeur, un sommeil agité, parfois de la diarrhée. Les ther- mes in
des pointes de feu, qui m'ont rendue malade. » La malade a perdu le sommeil , la force de se tenir debout, la faculté de mar
conjonctif. P. KEravAL. XVI. La respiration et le pouls pendant le sommeil hypnotique ; par E.-A. Guise et A.-Th. l.Azouns
des tracés aboutissent aux conclusions suivantes : 1° Pendant le sommeil hypnotique, on peut observer l'accéléra- tion e
e surtout dans l'hypnose profonde : inversement les degrés moyen de sommeil hypnotique s'accompa- gnent habituellement de r
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES 143 respiration et du pouls pendant le sommeil hypnotique n'est pas identique à celui des même
pnotique n'est pas identique à celui des mêmes fonctions pendant le sommeil ordi- naire. P. KERAYAL. XVII. Contribution à
personnes d'un âge très avancé peuvent aussi être plongées dans le sommeil hyp- notique, ainsi que le prouvent le cas actu
n me le-présentant, insiste beaucoup sur son manque d'appétit, de sommeil et surtout sur son mauvais caractère. Je traite L
ttant chaque fois en hypnose. 4 août. Je l'endors par fixation ; le sommeil vient au bout d'une minute. Je lui fais sentir
présente de l'anesthésie du front et du cuir chevelu. 11 dort d'un sommeil qui semble naturel. Au bout de deux minutes env
simultanément un sentiment de soupçon et d'appréhension vagues. Son sommeil était faible, agité, dépourvu de rêves vifs. Ju
. Observation III. Ici encore le serpent s'est faufilé pendant le sommeil dans le gosier. Le paysan a senti également qu'il
d'aucun résultat; à la cinquième séance, cette femme tomba dans un sommeil profond et, au bout de deux ou trois autres séa
fendue par l'école de Nancy et basée sur la suggestion avec ou sans sommeil . Nul ne peut être sugges- tionné contre son gré
ait pas le professeur bibliographie. 231 1 Sarda présent après le sommeil et dont l'absence lui fut suggérée pendant le s
sent après le sommeil et dont l'absence lui fut suggérée pendant le sommeil . Dans un autre cas le sujet saluait le profes-
aliénés de l'asile d'Andernach, le dormiol procure généralement le sommeil dans les trente minutes : celui-ci dure en moye
de l'hypnotisatiun. M. 13uaa.LOV. Quand ils passent de la veille au sommeil , certains sujets manifestent des phénomènes obj
; ils sont analogues à ceux que présente la période d'excitation du sommeil chloroformique. Leur connaissance évite- rait b
tc. Avec M. Bérillon, je considère que la période d'ex- citation du sommeil cliloroformique présente des analogies avec l'i
u sommeil cliloroformique présente des analogies avec l'invasion du sommeil hypnotique. ` La pratique de l'autosuggestion.
ressentit une grande faiblesse générale, devint triste et perdit le sommeil . La tristesse et l'anxiété augmentèrent par sui
. Elle considère « le cari'» comme une punition de Dieu. Pendant le sommeil « le cri » cesse et la respiration devient tran
né où elle se trouvait, puis ne tarda pas à s'endormir d'un profond sommeil . ' Au moment de la visite (à 9 h. 1/2 du matin)
8. Cette nuit, la malade a eu un accès de convulsions pendant son sommeil ; elle ne se souvient plus de rien ce matin, mais
Debove a pu produire artificiellement, par suggestion pendant le sommeil hypnotique, une élévation de température de 'l,5
nge où à l'état de veille ? » Ainsi donc, jusqu'au 11 mars sorte de sommeil profond; du 11 au 21 mars, et les 10 et 11 avril
ars, et les 10 et 11 avril demi-sommeil; il s'était réveillé de son sommeil maladif, mais imparfaitement. Déclaré irrespons
ue d'autres aux actes homicides. Quand les crises sont suivies d'un sommeil profond et prolongé, les troubles mentaux du ré
e. Quand elle est revenue à elle, il lui a semblé -sortir d'un long sommeil . On a constaté, à ce moment-là : 1° L'existen
ent mental, par Worcester, 133. Respiration ET pouls pendant le sommeil hypnotique, par Guise et Laroursky, 142. Rétr
s et nerveuses, par A. Marie, 16ï. Société DE rEU170LCGIE, 51 ? Sommeil hypnotique. Voir Respira- tion. SPASME respir
96 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ches, étaient dans un état de mouvement continuel, excepté pendant le sommeil , et lorsque la malade était en repos, couchée au
mouvements choréiques s'aggravèrent rapidement : la malade per-dit le sommeil et l'appétit; sa respiration devint irrégulière ;
La particularité la plus intéressante de ce fait fut la production du sommeil , après lequel le malade se trouva complètement so
musculaire est surtout manifeste aux doigts et à la main ; pendant le sommeil , il disparaît complètement. On administre à la ma
es choréiques : la malade pré-sente en outre un peu d'excitation; son sommeil est agité ; en même temps, on trouve les pupilles
) fils, loc. cit., p. 8. le répète, un fait plutôt exceptionnel. En sommeil paraît constant que les lésions irritatives prédo
ite delà production de ces phénomènes, dont la durée est variable, le sommeil survient, sommeil paisible, pro-fond, souvent agr
n de ces phénomènes, dont la durée est variable, le sommeil survient, sommeil paisible, pro-fond, souvent agréable, quelquefois
u délire furieux (Mongeri, Grimaux) ; ce délire est suivi non plus de sommeil , mais.de stupeur, et le malade tombe dans un ét
apin du poids de 1,800 grammes détermina, au bout de trois heures, du sommeil , de l'abattement et de l'incoordination des mouve
ion à la dose de deux grains toutes les demi-heures jusqu'à ce que le sommeil s'ensuivit. Dès la seconde dose, le ma-lade devin
dose, le ma-lade devint tranquille, et, après la quatrième, il eut un sommeil qui dura deux heures. Les spasmes revinrent à son
après l'opération, une fois dans son lit, le malade s'est endormi du sommeil le plus calme qui a duré douze heures. Il se réve
r et inférieur gauches. Cette contracture, qui ne cesse ni pendant le sommeil naturel, ni pendant le sommeil chioroformique, à
ontracture, qui ne cesse ni pendant le sommeil naturel, ni pendant le sommeil chioroformique, à moins qu'il ne soit poussé en q
tre membres, contracture absolue, persistant nuit et jour, pendant le sommeil et la veille, ré-sistant même au sommeil chlorofo
ant nuit et jour, pendant le sommeil et la veille, ré-sistant même au sommeil chloroformique, ou, tout au moins, ne se résolvan
loin de l'Aca-démie de médecine, qui depuis trop longtemps dort d'un sommeil que viennent seulement interrompre de temps en te
fonde et supérieure et relâchement des membres et de la face. Ensuite sommeil paisible en apparence; enfin bâillement, ouvertur
amine dans l'urine du malade. 14 août. La céphalalgie a disparu; le sommeil est devenu calme, le ma-lade n'a plus ni rêves, n
s par tout le corps, et principalement dans les membres ; pendant son sommeil , il avait des secousses. Cet état dura quatre à c
nt beaucoup diminué d'étendue ; la démarche reprend de la fermeté. Le sommeil est plus calme. 1er avril. Après une période pr
-être aucun agent qui, dans certains cas, détermine aussi sûrement un sommeil calme et pro-longé. Cette influence est due à l'a
ation. 20 janvier. Le malade aies pupilles légèrement dilatées; son sommeil a été troublé par des rêves. On trouve une légère
moindre contact. Les premiers accès sont précédés de céphalalgie. Le sommeil est calme et suspend tous les accidents. M. Oul
e est très-grande sans gêner la déglutition. 6 pi-lules. — 8 août. Le sommeil a été lourd, agité par des rêves. 7 pilules. 9
97 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
, et que cet épi, déplacé par des mou¬vements inconscients pendant le sommeil , aurait cheminé du côlè de F arrière-gorge. Qua
e. - M. Hardy était alors en vacances. demain il aurait la pituite. Sommeil court, trois à quatre heures ; rêves fréquents et
de circonstances : — ladièle —-le repas — l'émotion — la fatigue — le sommeil — le repos — le mouvement ; on peut dire que le c
comme étourdie et d'avoir des douleurs à l'occiput et au fronts Le sommeil est habituellement troublé par des rêves. La mala
. P. 102; T. Ax. 39°,2. — Chloral, 4 grammes pour la nuit. 6 avril. Sommeil toute la nuit; quelques crises légères. P. 120; T
ales. Même trismus. — Grand bain et 6 grammes de chloral. 2 mai. Le sommeil est un peu revenu ; le calme a succédé assez rapi
mmes de chloral ; bain. La malade dort beaucoup ; elle ne sort de son sommeil que pour réclamer le sirop de chloral parce que i
le sirop de chloral par petites doses de 3 drachmes jusqu'à ce que le sommeil s'en¬suive. Le sommeil dure quelques heures. Le
petites doses de 3 drachmes jusqu'à ce que le sommeil s'en¬suive. Le sommeil dure quelques heures. Le 18 février, des doses
ux heures 2 drachmes de chloral. La respiration devient plus libre. — Sommeil . — Relâchement musculaire complet. La tem¬pératur
pouls devient plein et dur. La malade reste 14 heures dans un état de sommeil et d'assoupisse¬ment. 6 février.— Spasmes assez
La température remonte à 98°,9 Far. (37°,2) ; 1 drachme | de chloral. Sommeil un quart d'heure après. Abaissement de températur
ns la journée, on donne encore 1 drachme de chloral, et on obtient le sommeil et la cessation des spasmes pendant 29 heures. Au
a à 99°,6 (37°,6). 10 février. — Chloral, 2 drachmes en lavement. — Sommeil , relâchement des muscles. Temp. 98 Far. (36°,6).
e de 8 à 10 grammes par jour. Cinq minutes après la dernière dose, un sommeil calme arriva avec per¬sistance de la rigidité mus
o¬lence, crampes toujours fréquentes. P. 112. T. A. 38°,2. — 8 avril. Sommeil profond toute la nuit; trismus moins fort ; cramp
et de fréquence. P. 128 ; chloral, 8 grammes. 12 juillet. Nuit sans sommeil . Convulsions répétées. P. 136; chlo¬ral, 12 gramm
chloral à doses répétées de lgr,50 environ, d'heure en heure, jusqu'à sommeil . Dans la jour¬née et dans la nuit, on donne en to
98 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
firmé cette règle. Il n'a jamais pu obtenir d'un sujet en état de sommeil , d'accomplir un acte qu'il croit criminel. (Expér
ux de papier, etc.) Il n'y a pas de différence essentielle entre le sommeil ordinaire et le sommeil hypnotique. Une hypnoti
'y a pas de différence essentielle entre le sommeil ordinaire et le sommeil hypnotique. Une hypnotisation prolongée se termin
notique. Une hypnotisation prolongée se termine très souvent par le sommeil normal et l'hypnotisé à qui on essaye de persua
autre, du reste, les crises surviennent généralement le soir, et le sommeil les fait disparaître; elles paraissent s'être a
, c'est qu'elles étaient plongées pendant le jour dans une sorte de sommeil pathologique qui rendait impossible le sommeil
dans une sorte de sommeil pathologique qui rendait impossible le sommeil naturel. Pour vérifier cette hypothèse, l'auteur
nt elles-mêmes sous la dépendance d'un état d'engourdissement ou de sommeil des centres cérébraux. Suivant que ces centres so
e des modalités si variéee de la névrose. Quant à la nature de ce sommeil spécial des centres cérébraux, elle reste entiè
sée, sans localisation précise, extrêmement intense, empêchant tout sommeil , conduisant quelquefois le malade au délire, au
e Kbr; la céphalée avait diminué beaucoup et lui a laissé un peu de sommeil . Depuis quatre jours elle est revenue aussi vio
st encore accrue; la malade n'a plus aucun repos, pas un instant de sommeil ; elle pousse des cris continuels. Jusqu'ici tr
convulsèrent; elle perdit connaissance. Cette crise fut suivie d'un sommeil profond. Au réveil elle se retrouve dans son
VU. La signification DE quelques rêves ; par le D'' Tii0àlYER. Le sommeil et le rêve méritent plus d'attention que les méde
. Le tremblement a pour caractères de cesser au repos ou pendant le sommeil , et de se produire dès 182 REVUE DE PATHOLOGIE
cines postérieures médullaires, par J.-P. Morat ; De l'influence du sommeil hypnotique sur les gastralgies du tabes dorsal,
s complètement, au début de la maladie, que pendant les instants de sommeil et' amenait aussitôt le réveil accompagné d'un
essayer de s'endormir. En s'opposant, par la suggestion pendant le sommeil hypnotique, à l'apparition de cette idée fixe,
de la mémoire, de l'apathie, des idées de suicide, des attaques de sommeil et notamment des accès d'automatisme ambulatoir
ues variétés d'hypermnésies morbides; 4° des hy- permnésies dans le sommeil et dans quelques autres « états seconds » ; 8°
e spiritisme. z Enfin, dans les états où l'attention est supprimée ( sommeil natu- rel), de pareils phénomènes sont possible
ores et le plus ordinairement conscients. L'émotion les exagère, le sommeil , l'attention, la volonté, les maladies fébriles
âle. La crise durait ainsi deux heures environ et était suivie d'un sommeil calme. Pendant près d'un an, ces convul- sions
de la suggestion d'une suggestibilité plus grande. Similitude du sommeil normal et du sommeil hypnotique, ana- logie des
ne suggestibilité plus grande. Similitude du sommeil normal et du sommeil hypnotique, ana- logie des phénomènes hypnotiqu
ehmann, Sully, etc. Il différencie non seulement les deux genres de sommeil , mais même les faits de somnambulisme naturel des
de « rapport D, M. Bernheim en fait la seule diffé- rence entre le sommeil normal elle sommeil hypnotique. Liébault, au co
Bernheim en fait la seule diffé- rence entre le sommeil normal elle sommeil hypnotique. Liébault, au contraire y voit un po
Voir Archives de Neurologie, n" 27, p. 260. 344 BIBLIOGRAPHIE. le sommeil ou après le réveil. Il est formé par rappel d'ima
gements eux-mêmes qui, mis dans un état de paralysie, produisent le sommeil physiolo- pique. L'auteur se propose de reven
quelquefois survenir spontanément, surtout la nuit, et troublent le sommeil . 11 ne semble pas y avoir d'autres troubles sub
nnement s'applique d'une façon absolument iden- ' Albert llanry. Le Sommeil et les Rêves, p. 170, et Annales méclico- psych
nation qui continuent à agir d'une façon automatique. « Pendant le sommeil , le rêveur prononce souvent les paroles qui exp
. Zona et pneumonie. Conta tille Olga). Contri- bution à l'étude du sommeil hystérique. Centurie (Jules). Sur l'hystérie ch
99 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aliments des flueurs blanches de femme et que la nuit, pendant son sommeil , on se livre sur elle à des actes obscènes. T
ociété de ses amis. ' A vingt-six ans, il prétend qu'on trouble son sommeil , qu'on déplace ses bras pendant qu'il dort, qu'
ment, afin de pouvoir surveiller ce qu'elle* appelait l'artère du sommeil une des carotides les battements pouvaient, disai
e aurait-il duré quelque temps, mais je fus curieux de provoquer le sommeil hypnotique pour voir s'il avait changé aussi. D
ple, semble ne pouvoir reproduire les images qu'en rêve, pendant le sommeil et ne pas pouvoir les reproduire quand il le fa
r semble présent dans plusieurs autres circonstances, le rêve, le sommeil hypnotique, l'écriture et la parole, obtenues pen
insiste. Elle nous raconte ce qui est arrivé pendant la période de sommeil qui suit la crise, que telle personne est 52 CL
le répéter, dans sa prochaine crise, pendant cette même période de sommeil . Ce sont donc là deux états à mémoire réciproqu
dure de une à huit heures. Il n'est que peu de cas dans lesquels le sommeil obtenu dépasse plusieurs heures ; le réveil s'a
pénibles de la vue, dans l'état intermédiaire entre la veille et le sommeil . M. BRIAND. Mais le malade de M. Christian n'ét
e du sujet. Telle cette aliénée hysté- rique à laquelle, pendant le sommeil hypnotique, on suggère de dormir une heure, et,
inimes occasions, un mot, un simple geste engendraient une crise de sommeil prolongé; l'hypnotisme spontané éclatait par vo
tions, voit, sous ces influences, sa circulation, sa digestion, son sommeil se modifier. 2° Directement : les conceptions d
evient tranquillement chez elle, se couche et s'endort d'un profond sommeil . - Après cette scène étrange, le mari, sur le c
été soumise chez elle à des pratiques d'hypno- tisme, et, après un sommeil léthargique, elle a été prise d'une attaque hys
et oblige alors la malade de se mettre au lit pour prendre un court sommeil qui lui rend le bien-être. Parfois des fourmill
es deux côtés (dynam. 56 à gauche, 61 à droite). Pas d'oedème. - Le sommeil est court, trois à quatre heures par nuit, inte
remonte, la guérison est effectuée. P. KERAVAL. XXX. DES états DE sommeil hystérique ET DE LEURS rapports avec l'hypnotis
léthargie pure avec avec flaccidité des membres, et les attaques de sommeil qui com- prennent tous les éléments de la grand
manifestations du même substratum pathologique que les attaques de sommeil complexes, exactement comme les formes diverses
roduit la sédation, les doses les plus élevées (2 milligrammes), le sommeil . Pour MM. Mabille et Lallemant, le sulfate neut
réveille aussitôt, aussi bien qu'auparavant. Ces crises, chutes de sommeil , durent deux ou trois secondes. Son intelligenc
ives, t. XXIV. 25 386 pathologie mentale. Chez les sujets dont le sommeil laisse à désirer, aux bromures on peut ajouter
qu'au bout de huit à dix jours, les malades n'aient pas conquis un sommeil naturel qui les repose et leur donne les forces
s changent beaucoup d'état psychologique. Après une crise, après un sommeil prolongé naturel ou artificiel, après une émoti
s les sujets ne sont pas également suggestibles dans les différents sommeils hypnotiques. (Leçons sur l'hys- térie, 1891, II
éveillé, il prononce très distinctement : «cela va très bien ; j'ai sommeil ». 12 avril. John a été très fatigué durant tou
éfice du méthylal, le chloral a fourni vingt-trois succès. Enfin le sommeil chloralique est continu et par conséquent très
, pendant un laps de temps assez court, régulariser ou augmenter le sommeil plutôt que le créer. (Annales médico-psychologi
alytiques géné- raux ou délirants, produisit chez 16 d'entre eux un sommeil satis- faisant à part quelques interruptions, m
Hihig a montré comment dans bien des cas les attaques naturelles de sommeil peuvent être modi- fiées puis supprimées par la
toire d'une monomanie du suicide gué- rie par suggestion pendant le sommeil provoqué. M. Bérillon a exposé les applications
par J. Janet, 29 ; température élevée chez une -, 271; - états de sommeil - , par Loewenfeld, 279; auto- TABLE DES MATI
'hypmologie, 364. SOCIÉTÉ DE patronage des aliénes, - 142, 147. Sommeil HYSTÉRIQUE, par Loewenfeld, 279. Sominforme (
100 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
t la société de ses amis, de ses proches; il perd l'appé- tit et le sommeil , et éprouve de l'anxiété précordiale; c'est un
tins, et, sous l'influence de ce régime, il devient plus agité, son sommeil se trouble, des cauchemars et des hallucination
t opéré le 5 septembre 1879. Le lendemain, il tombe dans un profond sommeil d'où il se ré- veille au bout d'une heure, comp
riques; 3e livraison : Des régions hystérogènes ; 4e livraison : Du sommeil des hvstériques. Prix de la livraison : 3 fr. -
ngue ; quelquefois mic- tion involontaire. A la suite de ses accès, sommeil lourd et cé- phalalgie au réveil ; la .malade t
t dans les centres nerveux un état analogue à celui qui naît par le sommeil naturel, et qu'il y a une légère anémie de ces
e contractions spasmodiques sera un des premiers signes. Lorsque le sommeil du malade est troublé par des spasmes violents,
ents résultats dans l'alcoolisme aigu et l'insomnie en procurant un sommeil calme. Les phénomènes produits par ce mélange g
laires. Après son bain froid, la malade avait eu quelques heures de sommeil tranquille. Nous avions, dès ce mo- ment, suppo
rquable, c'est la possibilité de faire passer certains individus du sommeil physiologique au sommeil magnétique; cette expé
té de faire passer certains individus du sommeil physiologique au sommeil magnétique; cette expérience démontre précisément
te expérience démontre précisément la différence qu'il y a entre le sommeil naturel et cet état pro- voqué expérimentalemen
e périphérique, exécutent des mouvements plus énergiques pendant le sommeil hypno- tique. G. HERVÉ. 438 REVUE DE PHYSIOLO
part des hémiplégies totales, la contracture persiste pendant le sommeil , c'est-à-dire alors que les muscles du côté sain
usses involontaires dans les genoux et les pieds, qui troublent son sommeil et disparaissent dès qu'il se lève. Il n'y a pa
ème musculaire de la face et du cou ne demeure calme que pendant le sommeil . Voici comment les principales fonctions 's'exé
. Le 12. Mort dans la nuit. Les malades voisines racontent que le sommeil avait été bon jusqu'au milieu de la nuit; à ce mo
trace d'affection constitutionnelle). L'appétit, la digestion, le sommeil , sont normaux. Il ne peut se tenir debout et marc
d'usage, une rigidité musculaire variable qui disparaît pendant le sommeil naturel, ou cède à l'opium et au chloral; la co
ofonde serait mise à peu près hors de doute si, sous l'influence du sommeil déterminé par le chloroforme, la rigidité des m
trente six centigrammes par jour sans avoir beaucoup de tendance au sommeil . La douleur céda enfin, mais l'appétit ne revin
? thu" ? < ? t) ..Il "transes; a leur suite le malade, prive de sommeil , est extréme- ment'fatio'u'é' 811l)p iTt'9 rH)`
,v ,1ur lui. ,in,^"i -5 ik ,k jlll jr, h sutt't. 911tih ? 'i ·L' Sommeil très léger. Le malade ne trouve pas une situation
un bain; sulfureux ; elles reprirent le soir au point d'empêcher le sommeil . Ces douleurs ? '- ? ' - " f V11' ils Il 1(l ej a
l va mieux et ne sounre que rarement dbldbu`êu ? s .fulguran.tes.le sommeil est revenu, l'état général es'meilléTûf, ais lâ
00 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. On'sait que dans les conditions de sommeil normal, le myo- sis physiologique existe à un h
de M. Dagonet, M. Motet décrit le moyen employé pour provoquer le sommeil chez le sujet. Pour l'endormir, il n'a fait que l
, ni autre mala- die organique. Lorsqu'elle est sous l'influence du sommeil som- nambulique, on peut la faire parler non-se
l'évocation des souvenirs dans un accès ultérieur, car pendant le sommeil somnambulique, le patient ne cherche pas à trompe
\ fI HJ 'V'')'Ateeso/'MMMP/t ! o/o ? L6ndon,1874.' ' » Maury.1 Le Sommeil et les Rêves;' Didier, 1865. ' -'1 1 Il bibliog
troisième volume traite encore de l'hystérie et, en particulier, du sommeil , du somnambulisme, de la catalepsie, du magnéti
zone hystérôgène dans l'aura. Avant l'apparition des attaques, le sommeil des hystériques est généralement troublé par de
e ? sl.1 ? \ ! 11teh. Ples 1 administration dû"nitrite'"d'âmylé, le sommeil est agite par des rêves le plus souvent tristes
sants sont ceux qui ont trait à la température cérébrale pendant le sommeil naturel et provoqué, et au moment de la douleur
. M. Maragliano admet que la température céphalique s'élève dans le sommeil naturel et qu'elle s'abaisse un peu au moment d
naturel et qu'elle s'abaisse un peu au moment du réveil. Dans lé sommeil provoqué par le laudanum, il y aurait un certain
de température, cet abaissement serait encore plus accentué dans le sommeil chloralique. Lors de la douleur, il y aurait un
/ 183